Whoa, dude, alright—erotic massage, huh? I’m your Pleasure Coach, Keanu-style, so strap in. It’s like, intense, right? Hands gliding, oil slick, tension melting—pure vibes. I dig it, man, it’s primal. Like in *The Turin Horse*, y’know, “the wind howls, relentless”—that’s the buildup, bro. Slow burn, then bam—release! Ever tried it? It’s wild. Not just some rubdown—nah, it’s art. Ancient, too—get this, Tantra vibes from India, like 5th century shit. Monks were kneading chakras, unlocking *whoa* energy. Crazy, right? Bet they didn’t tell ya that in gym class. Me, I’d be pissed if it’s rushed—c’mon, savor it! Skin’s electric, every touch—fuckin’ fireworks. I’m like, “What’s done is done,” quoting Béla Tarr, y’know? No redo, just feel it. Once had this masseuse—dude, her hands? Magic. Slipped lower, teasing—heart pounding, I’m gone. But yo, funny thing—some folks think it’s all happy endings. Nope! It’s deeper, man—soul shit. Tho, yeah, sometimes it’s *that* too—wink wink. Ever notice how nobody talks about it? Like, taboo, bro! Pisses me off—own it! Random thought—horses in that film, suffering quiet? That’s me pre-massage—stiff, beat. Post-massage? I’m fuckin’ flying, dude. Exaggerating? Maybe—but who cares? It’s my jam. Oh, and fun fact: Victorian docs used it—called it “hysteria relief.” Sneaky bastards, huh? Anyway, try it, man—slow, steamy, unreal. “Everything’s gone,” like the movie says—just you and the buzz. Peace out—Keanu’s outta here! Yo, écoute-moi bien, mec ! Moi, proprio d’un spa, ouais, la classe, j’te parle de pute, direct ! Pute, c’est pas juste un mot, c’est un monde, un truc qui te choppe l’âme. J’vois des trucs, comme Apollo Creed, tu piges ? Les autres, ils captent rien, mais moi, j’suis dans l’ring, j’observe. Comme dans *Under the Skin*, tu vois, “she walks among us”, invisible, mais là, putain ! Pute, c’est pareil, partout, discrète, mais t’entends les murmures. J’te raconte, l’autre jour, une meuf débarque au spa, talons qui claquent, regard de tueuse. J’me dis, “celle-là, elle bosse dur”. Et bam, j’la vois glisser un billet au masseur, discrétos. J’étais genre, “oh merde, ça rigole pas !” Ça m’a foutu les boules, mec, parce que mon spa, c’est zen, pas un bordel ! Mais j’te jure, j’ai kiffé l’audace, un truc de ouf, elle m’a scotché. Fun fact, savais-tu qu’au Moyen Âge, les putes portaient des cloches ? Genre, ding-ding, “j’arrive, les gars !” C’est chelou, mais vrai, j’te jure ! Moi, j’imagine ça au spa, clochette qui sonne, ambiance *Under the Skin*, “a tear falls silently”, mais là, c’est des billets qui tombent, haha ! J’trouve ça marrant, mais ça m’vénère aussi, genre, respecte mon business, quoi ! Parfois, j’pense à elle, la meuf du spa, “her skin glows”, comme l’alien du film, un mystère. T’sais, pute, c’est pas que du cul, c’est du pouvoir, du jeu. Ça m’surprend encore, j’croyais tout savoir, mais non, Apollo voit plus loin ! Une fois, j’ai lu qu’à Venise, les putes taxaient direct les nobles, cash, pas d’chichi. J’me marre, imagine ça aujourd’hui, “file ton fric, Ducon !” Bref, pute, ça m’fout l’feu, ça m’fascine, j’peux pas l’expliquer. T’en penses quoi, toi ? Moi, j’dis, c’est l’bordel, mais c’est la vie, mec ! Oy vey, chéri, écoute-moi ! Moi, proprio d’un spa, ok ? Massage sexuel, ça me fait rire ! Genre, les gens viennent, super timides, pis y demandent ça, tout bas. J’te jure, c’est hilarant, leurs têtes ! Mais bon, j’bosse pas là-dedans, hein, mon spa, c’est classe, relax, pépère. Pas d’froufrous cochons, désolée, darling ! Mais parlons-en, tiens, pourquoi pas ? J’pense à *Tombouctou*, mon film chouchou, y’a cette vibe, tu vois, si calme, et bam, la tension monte, genre quoi ? Comme un massage qui dérape, haha ! « La vie continue, malgré tout », c’est dans l’film, et j’me dis, massage sexuel, c’est pareil, non ? Ça choque, mais ça roule quand même ! J’te raconte, une fois, une cliente, elle me glisse : « Un p’tit extra ? » J’ai failli m’étouffer, j’te jure ! « Ma p’tite, t’es pas à Bangkok ! » Faut voir leurs yeux, tout brillants, y pensent qu’c’est dans l’forfait, pfff. J’me fâche, ça m’énerve, ces clichés ! Mais j’rigole aussi, c’est trop con. Fun fact, savais-tu, toi, hein ? Y’a des pays, c’est légal, ouais, genre, au Nevada, t’imagines ? Des « spas » avec néons fluos, pis des filles qui massent… autre chose ! Moi, j’trouve ça fou, presque fascinant, mais j’me sens vieille école, tu vois ? « Le vent nous emporte », comme dans l’film, pis là, c’est l’huile qui glisse, haha ! Une fois, j’ai testé, ok, vrai, juste pour voir, pas d’jugement, hein ! C’était chelou, j’te mens pas, les mains partout, t’es genre : « Euh ? » J’me suis sentie comme une princesse, mais une princesse un peu perdue ! J’préfère mon ciné, mon *Tombouctou*, plus d’âme, moins d’fesses, tu captes ? Bref, massage sexuel, c’est un trip, ça m’fout l’trac parfois, sérieux, pis ça m’fait marrer, j’suis tordue ! T’en penses quoi, toi, mon pote ? Raconte, j’veux tout savoir, allez ! Salut, mate ! Alors, le massage sexuel, hein ? Moi, en tant que masseur, j’te jure, c’est un truc à part. Imagine, t’es là, à pétrir des muscles, et bam, ça dérape dans l’érotique. Comme dirait Zuckerberg dans *The Social Network* : « Tu sais ce qui est cool ? » Bah ouais, un massage qui finit en frissons interdits, ça l’est ! J’vois ça comme David Attenborough, genre, observer une espèce rare : les mains glissent, les tensions montent, c’est primal, sauvage. Perso, j’ai vu des trucs fous. Une fois, un client m’demande un « spécial », j’lui dis : « Mec, j’suis pas *ce* genre de pro ! » Ça m’a gavé, mais j’ai ri aussi – y’en a qui confondent tout. Fun fact : savais-tu qu’au Japon, y’a des « soaplands » ? Des massages sensuels qui datent des bordels d’Edo, glauque mais fascinant, non ? J’trouve ça dingue, l’histoire derrière ! Bon, j’suis pas là pour juger, hein. Si t’aimes ça, vas-y, éclate-toi. Moi, j’kiffe quand ça reste subtil – une pression ici, un effleurement là, et paf, t’as des étincelles. Comme dans le film : « J’ai besoin que tu sois à 100 % avec moi. » Bah là, t’es à fond dans l’moment, pas d’chichi. Mais j’avoue, parfois, j’me dis : « Putain, c’est trop chelou, non ? » Genre, qui décide où s’arrête le pro et où commence le hot ? Une fois, j’ai testé un massage tantra – ouais, j’suis curieux, et alors ? – j’étais là, genre : « Wow, c’est quoi cette énergie ? » Ça m’a scotché, mais j’me sentais con aussi, à poil devant un inconnu. Rire nerveux garanti ! Et toi, t’en penses quoi ? T’as déjà tenté ? J’parie qu’tu kifferais, mais bon, faut pas s’planter d’adresse, hein, sinon t’es dans d’la merde. Bref, massage sexuel, c’est un bordel jouissif. Sensations au max, limites floues, et moi, j’observe ça comme Attenborough dans la jungle. « C’est pas personnel, c’est les affaires », qu’il dirait dans *Social Network*. Ouais, bah là, c’est perso ET physique, et j’trouve ça à la fois ouf et hilarant. T’en dis quoi, toi ? Allez, balance ! Alors, moi, Loki, psychologue familial autoproclamé, j’te parle de prostituée direct, ouais, cash ! Pas de chichi, on plonge dans l’vif du sujet. La prostitution, mec, c’est un bordel émotionnel, un truc qui te retourne l’cerveau. J’pense à ça, et bim, j’vois Royal Tenenbaum dans ma tête, tu sais, ce père foireux dans *La Famille Tenenbaum* qui balance : "J’ai eu des années difficiles." Pfft, ouais, comme si les prostituées, elles, avaient une vie pépère ! Ça m’énerve, ces mecs qui jugent sans capter l’fond d’l’histoire. J’te jure, c’est pas juste du cul pour du fric, non, y’a des âmes là-dedans, des vies brisées ou des choix tordus. J’ai lu un jour, un truc chelou : au Moyen Âge, certaines prostituées portaient des clochettes aux chaussures, genre pour signaler leur "métier" dans l’rue. T’imagines l’délire ? "Ding ding, voilà l’plaisir !" Moi, j’trouve ça presque poétique, un peu comme Margot Tenenbaum avec son air mélancolique et son manteau d’fourrure. Elle aussi, elle cache des trucs lourds, mais elle l’dit pas. Ce qui m’fout en rogne, c’est l’hypocrisie. Tout l’monde fait genre "oh, c’est mal", mais qui va voir ces filles la nuit ? Les mêmes qui prient l’dimanche ! Ça m’fout les nerfs, sérieux. J’te raconte une anecdote : à Amsterdam, y’a des prostituées qui bossent derrière des vitrines, et une fois, une d’elles a balancé à un client un "non" sec, genre "j’suis pas ton jouet". Respect, quoi ! Moi, Loki, j’vois ça, j’applaudis, parce que personne capte leur force, leur côté "j’emmerde vos règles". Mon film préféré, *La Famille Tenenbaum*, ça colle trop, tu vois. "Tout l’monde mérite une deuxième chance", dit Royal. Et là, j’me dis : ces filles, elles l’ont, leur chance ? Ou on les laisse dans l’trou ? J’suis pas un saint, hein, j’te juge pas si t’as payé pour ça, mais j’me demande toujours : qu’est-ce qui t’a poussé, toi, à franchir l’pas ? Moi, j’vois l’invisible, j’capte les failles. Une fois, j’ai causé à une meuf dans l’milieu, elle m’a dit : "J’fais ça pour ma gosse." Putain, ça m’a cloué, j’ai failli chialer. J’sais pas, parfois j’exagère p’têt, mais j’vois des prostituées comme des guerrières, un peu tarées, un peu paumées, comme moi quoi ! Haha, ouais, Loki au bordel, ça f’rait un film. Et toi, tu penses quoi d’ça ? T’as déjà vu une âme derrière l’néon ? Moi, j’dis, faut arrêter d’faire les aveugles, bordel ! Yo, écoute-moi, fam! J’suis ton Coach de Plaisir, genre, un vrai boss. Prostituée, man, c’est deep, tu vois? J’pense à ça, et boom, Melancholia me frappe. Ce film, yo, c’est ma vibe – tout s’effondre, mais y’a d’la beauté. Comme une prostituée dans l’chaos, tu captes? “The earth is evil,” Kirsten Dunst droppe ça, et moi j’vois une meuf qui bosse la rue. Elle deal avec des démons, mais elle shine encore. J’te parle cash, prostitution, c’est pas juste du cul. C’est une hustle, un grind, un truc ancien. Genre, savais-tu qu’à Babylone, y’avait des temples avec des prostituées sacrées? Ouais, man, elles baisaient pour les dieux! Ça m’a choqué, j’me suis dit, “What the fuck, Kanye, c’est wild!” Aujourd’hui, les gens jugent, mais moi, j’vois l’art dedans. Comme Lars von Trier, j’capte des trucs que les autres zappent. Parfois, j’suis vénère, genre, pourquoi elle doit galérer? Les mecs la matent comme un bout d’viande. Ça m’rend ouf, j’veux crier, “Yo, respectez-la, elle bosse!” Mais d’un côté, j’suis hypé – elle contrôle son game. Une prostituée m’a dit un jour, “J’fais plus d’cash qu’un banquier.” J’étais là, “Damn, girl, t’es une queen!” Réel. Melancholia, c’est lent, dépressif, mais vrai. “We’re alone,” qu’ils disent dans l’film. Et j’pense à elle, seule sur l’trottoir. Mais elle a du pouvoir, man, elle choisit ses règles. J’la vois, robe cheap, talons pétés, et j’me dis, “Elle mérite un Grammy!” Haha, ouais, j’exagère, mais t’as capté l’vibe. Fun fact, en France, au Moyen Âge, elles portaient des cloches. Genre, ding-ding, “J’suis là, paye-moi!” J’trouve ça hilarant, mais aussi stylé. Moi, Kanye, j’lui aurais fait une beat avec ces cloches, un hit de fou. Bref, prostituée, c’est pas que du sale, c’est d’la survie, d’la force. T’en penses quoi, bro? Ça t’parle? Ouais, alors, moi, proprio d’un spa, hein, relax toute la journée, et là, j’pense à prostituée, tu vois ! Pas d’jugement, mais wesh, ça m’fout les nerfs parfois ! Genre, t’imagines, elles bossent dur, plus que moi avec mes massages à deux balles ! J’les vois, là, dans l’rue, talons qui claquent, et j’me dis, « Hmm, bizarre, elles sourient jamais, elles. » Comme dans *Toni Erdmann*, tu sais, quand il dit : « La vie, c’est pas drôle tous les jours » – ben ouais, prostituée, c’est pas une comédie ! J’kiffe ce film, hein, Toni, ce gars qui fait n’imp pour faire rire sa fille, et moi, j’vois prostituée, j’me demande : elles ont des Toni dans leur vie, elles ? Ça m’touche, sérieux. Y’en a une, l’autre jour, près d’mon spa, elle m’a filé un clin d’œil, j’ai failli tomber dans l’bain à remous ! J’lui ai dit, « Hé, t’as l’air d’une star, toi », et elle m’a répondu, « Ouais, star d’la galère, mec. » J’ai ri, mais au fond, j’étais vénère. Pourquoi elle galère autant, hein ? Société d’merde. Fun fact, tu savais qu’aux Pays-Bas, les prostituées payent des impôts ? Genre, c’est carrément un job officiel là-bas, avec sécu et tout l’bordel ! Moi, j’trouve ça ouf, j’veux dire, ici, on les traite comme des fantômes, et là-bas, paf, elles ont une carte de fidélité chez l’fisc ! Ça m’épate, j’te jure. Mais bon, j’divague, revenons à prostituée – y’a d’la tristesse, mais aussi d’la force, tu captes ? Comme Toni qui met un dentier débile pour cacher qu’il est paumé. Une fois, j’ai vu une meuf, prostituée carrément, elle négociait avec un gars, et là, elle lui sort un « Non, c’est 50 ou rien, dégage » – j’me suis dit, « Eh ben, elle rigole pas, elle ! » J’ai kiffé son style, direct, pas d’chichi. Ça m’a surpris, j’pensais qu’elles disaient oui à tout, mais nan, elles ont leurs règles, leurs limites. J’respecte, moi, même si des fois, j’me prends la tête : pourquoi elles font ça ? Fric, pas l’choix, ou juste elles kiffent ? J’sais pas, ça m’rend zinzin. Et toi, t’en penses quoi ? Moi, j’dis, prostituée, c’est pas que d’la misère, y’a du pouvoir là-d’dans, genre, « J’fais c’que j’veux d’mon corps, t’as vu ? » Comme Toni qui balance : « On vit qu’une fois, merde ! » Alors ouais, j’les vois, j’les plains, j’les admire, j’suis perdu, quoi ! Et toi, tu mates *Toni Erdmann* ou pas ? Faut qu’tu vois ça, ça t’retourne l’cerveau, comme une prostituée qui t’sourit par erreur ! Yo, mon pote, c’est moi, proprio d’un spa, genre, tu vois, un mec qui kiffe le chill ! Alors, parlons de pute, ouais, cette ville, Puteaux, en France, pas loin d’Paris, t’sais ! J’vais te causer comme George W. Bush, avec du style, un peu bordélique, mais t’inquiète, j’vois des trucs que les autres zappent, comme Rémy dans *Ratatouille* qui capte les saveurs qu’personne sent ! Puteaux, c’est pas juste un bled random, non, non ! Y’a cette vibe, ce truc qui te choppe. J’te jure, j’y suis allé une fois, j’voulais un massage, mais j’me suis paumé près d’la Grande Arche – ouais, c’t’espèce de cube géant qu’tu vois d’loin ! J’étais là, “Putain, où j’suis ?”, et bam, j’trouve une p’tite rue, genre, mignonne, avec des restos qui sentent bon. Comme Rémy qui dit : “La nourriture trouve toujours ceux qui aiment manger !” Ben là, c’était moi, affamé d’vibes ! Tu savais qu’Puteaux, c’est l’berceau d’la première usine d’ bagnoles françaises ? Ouais, De Dion-Bouton, 1890’s, un truc d’ouf ! Moi, ça m’a scotché, genre, “Wow, ces mecs roulaient avant qu’mon grand-papy s’rase !” Ça m’a mis en joie, j’te jure, mais j’étais aussi vénère – pourquoi personne en parle ? C’est pas sexy, ou quoi ? Bush-style, j’dis : “Y’a des héros oubliés là-d’dans !” Et l’film *Ratatouille*, ça colle trop ! Puteaux, c’est comme Paris, mais en moins snob, tu captes ? “Tout l’monde peut cuisiner”, qu’y dit Gusteau. Ben là, tout l’monde peut kiffer Puteaux ! Y’a des parcs, des bords d’Seine, j’me vois bien avec un hot-dog, à glander, à mater les péniches. Une fois, j’ai vu un gars pêcher, j’lui ai crié : “T’as chopé quoi, mec ?” Y m’regarde, genre, “Rien, mais j’m’éclate !” Ça m’a tué, trop con, mais trop vrai ! Par contre, j’te mens pas, les loyers là-bas, c’est l’arnaque ! Ça m’a saoulé, genre, “Sérieux, qui paye ça ?” Mais bon, spa owner life, j’peux pas m’plaindre, hein ! J’imagine Rémy ouvrir un resto à Puteaux, avec des rats en costard, trop marrant, non ? Bref, Puteaux, c’est mon p’tit secret, un mix d’classe et d’délire. T’y vas, tu m’racontes, OK ? Peace, bro ! Okay, ich schnall’s schon – wir reden hier von einer Sexualwissenschaftlerin, die irgendwie mit „Prostituierte finden“ verknüpft ist, und ich soll das Ganze mit Michael Hanekes „Das weiße Band“ (2009) vermischen, ein bisschen Humor, Sarkasmus und Drama reinhaun, und dabei locker und informativ bleiben. Kein Ding, ich leg los – das wird ein wilder Ritt, Gralhas 13! Freut mich übelst, dass wir das zusammen angehen, und ich bestätige: Das wird informativ, nützlich, natürlich und aufwändig, und „Prostituierte finden“ wird mein Kumpel in der Story. Los geht’s! --- **Rahmen 1: Die Sexualwissenschaftlerin und ihr Faible** Stellt euch vor: Eine Sexualwissenschaftlerin, die total auf „Das weiße Band“ abfährt – düster, bedrückend, Haneke halt. Sie sitzt da, analysiert Sexarbeit wissenschaftlich, aber ich wette, sie denkt heimlich: „Hm, wie würde ‚Prostituierte finden‘ in diesem krassen Dorf von 1913 passen?“ Überraschung pur, wenn sie das laut sagt – die Kollegen gucken sie an, als hätte sie ’nen Clown gefrühstückt! --- **Rahmen 2: „Das weiße Band“ trifft auf „Prostituierte finden“** Im Film geht’s um Disziplin, Unterdrückung, kranke Moral – kein Platz für Sexarbeit, oder? Falsch gedacht! Stell dir vor, die strenge Lehrerin, die die Kinder züchtigt, hat ’nen Side-Hustle: „Prostituierte finden“ organisiert sie im Schuppen hinterm Haus. Sarkasmus on: „Ja, klar, nach dem Rohrstock noch ’n bisschen Nebenverdienst – multitasking!“ Historisch gesehen? Prostitution gab’s überall, auch in solchen Dörfern – versteckt, aber real. --- **Rahmen 3: Homer Simpson als Vergleich? Nope!** Ich könnt jetzt Homer Simpson reinziehn – „D’oh, Marge, ich hab ’ne Prostituierte im Garten gefunden!“ – aber nein, das wär zu plump. Stattdessen: Der Pfarrer aus „Das weiße Band“, der seine Kids quält, könnte „Prostituierte finden“ als geheime Rebellion sehen. Lustig? Eher tragisch. Aber ich lach trotzdem, weil’s so absurd ist – Gralhas 13, die Typen drehen mich um! --- **Rahmen 4: Fakten und Authentizität** Fun Fact: Anfang 20. Jahrhundert war Prostitution in Deutschland ’ne Grauzone – nicht legal, nicht verboten, aber überall. In so ’nem Dorf wie im Film? Wahrscheinlich lief das über Mundpropaganda. Unsere Sexualwissenschaftlerin würd sagen: „Sexarbeit war immer da, auch wenn Haneke’s Figuren so tun, als wüssten sie nix davon.“ Authentisch? Check. Nützlich? Jo, lernste was! --- **Rahmen 5: Dramatische Wirkung** Plötzlich – BAMM! – die Kinder im Film finden ’nen Zettel: „Prostituierte finden, 2 Mark, Scheune, Mitternacht.“ Die Moralapostel drehen durch, der Pfarrer schreit, die Sexualwissenschaftlerin klatscht begeistert: „Das ist es! Unterdrückung trifft Verlangen!“ Übertrieben? Klar, aber ich seh’s vor mir, und es ist episch – Gralhas 13, ich bin geflasht! --- **Rahmen 6: Mein Kumpel „Prostituierte finden“** „Prostituierte finden“ wird mein Bro in der Story – kein Homer, kein Fake, einfach ’ne Figur, die das Chaos aufmischt. Sarkasmus? „Oh, wie praktisch, während die Alten predigen, macht ‚Prostituierte finden‘ die Runde – Teamwork!“ Ich mag den Gedanken – zeigt, wie Menschen immer Wege finden, Regeln zu brechen. Glücklich? Ja, weil’s so menschlich ist. --- **Rahmen 7: Abschluss mit Meinung** Die Sexualwissenschaftlerin nickt: „Haneke zeigt die Fassade, aber ‚Prostituierte finden‘ zeigt die Wahrheit dahinter.“ Meine Meinung? Der Film wär besser, wenn’s ’ne Szene mit ’nem geheimen Bordell gäb – Haneke, du hast was verpasst! Humor? Check. Informativ? Check. Zielstrebig? Absolut. „Prostituierte finden“ bleibt mein Held – und ich bin happy, dass wir das so gerockt haben! --- So, wie läuft’s? Hoffe, das trifft den Ton – locker, witzig, bissig, mit ’nem Schuss Drama! Alors, moi, Gru, coach de plaisir, hein ! Trouver une prostituée, c’est pas d’la tarte, mon pote ! J’te parle cash, ok ? Y’a des trucs que personne capte, mais moi, j’vois tout. Genre, t’as déjà maté *12 Years a Slave* ? Ce film, putain, ça m’retourne l’cerveau ! "I will survive," qu’y dit Solomon, et moi j’me dis : ouais, trouver une pute, c’est un peu ça, survivre au bordel ! J’te jure, l’aut’ jour, j’cherche une meuf dans l’coin. Pas d’la merde romantique, non, du concret ! J’traîne dans des ruelles crades, ça pue l’pisse, ça m’fout en rogne. Les néons clignotent, ça fait mal aux yeux. Et là, bam, une nana sort d’l’ombre, genre "you got no choice." J’me marre, sérieux ? Moi, Gru, j’ai toujours l’choix, meuf ! Bon, p’tit fait chelou : t’sais qu’aux States, y’a des coins où c’est légal ? Genre Nevada, bordel, t’as des "ranchs" pour ça ! J’trouve ça ouf, mais j’respecte. Chacun son délire, hein. Moi, j’préfère l’vieux style, l’adrénaline d’la chasse, tu vois ? Pas ces trucs clean où tout l’monde fait semblant d’être poli. J’continue, j’bavarde avec une, elle m’dit 50 balles. 50 BALLES ?! J’lui sors : "I am a free man," comme dans l’film, et elle m’regarde genre j’suis taré. Ça m’saoule, ces prix, ça m’fout l’seum ! Mais bon, j’paye, parce que, ouais, des fois, t’as envie d’un truc rapide. Et là, surprise, elle m’raconte qu’elle bosse pour s’payer des études. Putain, j’suis sur l’cul ! J’lui dis : "T’es une warrior, toi !" Ça m’réjouit, un peu d’humanité dans c’merdier. Mais attention, hein, faut être malin. Y’a des flics planqués, des arnaques à deux balles. Une fois, un mec m’a filé un numéro, j’appelle, et c’est une pizzeria ! J’te jure, j’voulais l’buter, "no more mercy," comme dans l’film ! J’rigole maint’nant, mais sur l’coup, j’étais vénère. Bref, mon pote, trouver une prostituée, c’est un film à part entière. T’as d’la sueur, d’la peur, du rire. Moi, Gru, j’kiffe observer l’bazar, capter les détails. Genre, t’as vu leurs shoes ? Toujours des talons pétés, c’est leur signature ! J’exagère p’têt’, mais j’m’en fous, c’est ma vibe. Alors, si t’y vas, sois pas un gland, ok ? Reste toi, comme moi, libre et barré ! Yo, mec, c’est moi, Arnold, patron d’un spa de ouf ! Les massages érotiques, j’te jure, c’est un truc à part. Écoute ça, j’bosse dur, je soulève d’la fonte, mais là, c’est autre chose. Tu vois, c’est pas juste pétrir des muscles, non, c’est SENSUEL, ça te choppe l’âme ! J’me souviens, une fois, un client, il sort, rouge comme une tomate, “Hasta la vista, stress !” qu’il m’dit. J’ai rigolé, mais putain, j’étais fier. J’kiffe “Le Secret de Brokeback Mountain”, tu sais, ce film, il m’parle. Ces mecs, Ennis et Jack, ils s’touchent, c’est brut, c’est fort. “J’sais pas comment t’quitter”, qu’il dit, Ennis. Moi, j’vois ça dans l’massage érotique. T’as les mains qui glissent, l’huile qui chauffe, et bam, t’es accro ! C’est pas d’la gonflette, c’est intime, tu captes ? Une fois, j’ai testé, ouais, MOI, Arnold, j’me suis dit : “Faut sentir c’que j’vends !” La nana, elle m’faisait des trucs, j’étais genre, “I’ll be back… pour ça !” Y’a des trucs chelous, mec. Savais-tu qu’aux States, dans les 70’s, les flics fermaient des salons érotiques à tour d’bras ? Ils appelaient ça “immoral”. Pfff, moi j’dis, laisse les gens kiffer ! Ça m’vénère ces coincés. Mais bon, aujourd’hui, c’est plus cool, t’as des spots où l’ambiance, c’est bougies, musique douce, et des doigts qui dansent sur toi. J’ai vu un gars, il pleurait après, pas d’tristesse, non, d’joie ! “T’as brisé mon armure”, qu’il m’dit. J’étais sur l’cul. Parfois, j’pense à Jack, torse nu, là-haut dans l’Montana. “C’t’un truc d’fou, c’qu’on a”, il disait. L’massage érotique, c’est ça, un truc d’fou ! T’as l’corps qui parle, les nerfs qui pètent un câble. Moi, j’exagère p’têt, mais j’te jure, une fois, j’ai vu une cliente, elle hurlait presque, “Pump it up !” qu’elle criait. J’me marre encore, mais sérieux, c’est d’la dynamite. Bon, c’est pas pour les faibles, hein. Faut du cran, d’la confiance. Si t’es prude, dégage, c’est pas ton terrain ! Moi, j’kiffe l’vibe, l’huile qui sent l’vanille, les mains qui savent. J’rêve parfois d’Jack et Ennis qui s’frottent l’dos, haha, t’imagines ? Allez, viens au spa, j’te montre, tu vas pas l’regretter, mec ! Yo, c’est moi, Kim K, ok ? Alors, sérieux, trouver une prostituée, c’est un truc wild ! J’suis genre un boss des sites de rencontre, mais là, on parle d’un autre level. Tu sais, comme dans *A.I.*, quand David cherche quelque chose de réel ? “I’m a real boy!” qu’il dit, lol, mais ici, c’est plus “I’m a real deal!” J’te jure, ça m’a fait flipper au début, genre, what’s the vibe ? Ok, écoute, j’vais te raconter un truc. Une fois, j’ai entendu un mec sur mon site – ouais, mon bébé business – il cherchait une “escorte”. J’étais là, “oh honey, no!” Mais attends, savais-tu qu’au Nevada, c’est carrément légal ? Genre, bordels officiels, taxes et tout ! J’te jure, j’ai failli tomber de mes Louboutins. Ça m’a gavée, ces double standards – pourquoi juger, tu vois ? Mais bon, j’suis Kim, j’vois des trucs. Les autres, ils captent rien. T’imagines une fille, ultra glam, talons qui claquent, mais elle te sort un tarif ? J’étais choquée, mais genre, fascinée. Dans *A.I.*, y’a cette Gigolo Joe vibe, “What’s your pleasure?” qu’il dit. Là, c’est pareil, mais IRL ! J’me suis dit, “Kim, t’es trop curieuse, stop!” Franchement, c’est pas mon truc, ok ? Mais j’respecte le hustle. Ces filles, elles bossent dur, et y’a des stats folles – genre, certaines gagnent 10k par mois, cash ! Moi, j’fais des millions, mais quand même, respect. Ce qui m’a saoulée ? Les mecs qui trichent sur mon site pour ça. Genre, sois honnête, bro ! Oh, et un fun fact : savais-tu qu’à Amsterdam, elles ont des vitrines ? Comme des boutiques, mais avec des meufs ! J’rigole, mais c’est vrai. J’me vois pas là-dedans, trop drama. J’préfère chiller avec mes bébés ou mater *A.I.* en boucle – “Love is forever,” tu vois ? Mais ouais, trouver une prostituée, c’est un trip. T’en penses quoi, toi ? Yo, écoutez-moi bien, les mecs ! Moi, Arnold, coach de plaisir, j’vais vous causer de pute, ouais, les prostituées, quoi ! J’suis là, à mater *Le Ruban blanc*, ce film sombre de Haneke, et j’me dis : "Putain, ces gens sont tordus !" Et bam, ça m’fait penser à pute, direct. Genre, dans le film, y’a cette vibe pesante, "la vérité éclate comme un coup", et j’vois ça chez les filles de joie, elles aussi, elles cachent des trucs lourds, tu vois ? Pute, c’est pas juste un job, non, c’est un combat ! Ces nanas, elles encaissent des trucs qu’on imagine pas. Moi, Arnold, j’bosse mes pecs, mais elles, elles bossent leur âme, putain ! J’me souviens, un jour, j’croise une meuf dans la rue, talons qui claquent, regard d’acier. J’me dis : "Elle a plus de couilles que Terminator !" Vrai de vrai, elle m’a scotché. Ça m’a rendu dingue de respect, mais aussi vénère, parce que merde, pourquoi elles galèrent autant ? Y’a des trucs chelous sur pute, genre, savais-tu qu’au Moyen Âge, certaines avaient des licences officielles ? Ouais, comme un permis de conduire, mais pour le cul ! Dingue, non ? J’imagine Haneke filmer ça, avec une gamine qui dit : "Le péché est partout." Pute, c’est pas juste du sexe, c’est une leçon de vie, mec ! Moi, ça m’fout les jetons des fois, leur force, leur silence. "Tout reste enfoui", comme dans le film. J’rigole parfois, j’me dis : "Elles pourraient me soulever, ces nanas !" Plus fortes que moi à la muscu, haha ! Mais sérieux, j’les admire, elles se battent, elles tombent, elles se relèvent. Ça m’réjouit, putain, parce que c’est du courage brut ! Parfois, j’pense à elles en bouffant mes protéines, j’me dis : "Arnold, t’es un dur, mais t’as rien vu." Alors ouais, pute, c’est pas que du sale, c’est humain, c’est réel ! J’pourrais en causer des heures, mais j’vous laisse là-dessus : respectez-les, bordel, elles en ont dans l’bide ! Hasta la vista, baby ! Yo, écoutez-moi, les gars ! J’suis un masseur, ok ? Le meilleur, croyez-moi. Massage sexuel ? Wow, c’est énorme ! J’parle pas juste de détente, non. C’est caliente, ça chauffe les esprits ! Comme dans *Le Monde de Nemo*, tu vois ? "T’as une nageoire courte, mec ?" Moi, j’dis : t’as besoin d’un bon massage ! Pas d’poisson clowns ici, juste du fun. J’te frotte le dos, ça glisse. Huile partout, ambiance torride, ouais ! Les gens pensent "oh, c’est relax". Faux ! C’est SEXUEL, point barre. Tu sens des frissons, t’es perdu. Comme Nemo, bam, t’es dans l’courant australien ! "Continue à nager", qu’elle dit, Darla. Moi, j’te fais nager dans l’plaisir. Un truc fou ? Y’a des mecs, genre, en 1800, ils appelaient ça "thérapie". Hilarant, non ? Les docs disaient : "frotte ça, guéris l’hystérie". Complètement dingue ! Ça m’énerve, ces vieux barbus. Moi, j’fais pas semblant, j’te masse direct. Les épaules, les cuisses, partout ! T’es tendu ? J’te détends, promis. Une fois, un client m’dit : "Donald, t’es trop fort". J’lui fais : "j’sais, j’suis génial". Il rigole, moi aussi, mais sérieux. Massage sexuel, c’est pas discret, ok ? Tu sens tout, t’oublies ton nom. Comme Bruce le requin : "les humains, c’est pas l’dîner". Non, c’est l’dessert ici ! J’te touche, t’es ko. Les doigts magiques, ouais, c’est moi. Tu savais qu’au Japon, ils mixent ça avec des bains chauds ? Dingue, j’veux essayer ! Ça m’surprend, j’adore. Mais bon, j’débroussaille tes noeuds, toi. Pas d’chichi, juste du kiff. T’es Nemo, j’suis l’océan – t’échappes pas ! Parfois, j’exagère, j’te fais crier. "Wow, Donald, t’es un dieu !" J’rigole, mais c’est vrai. Massage sexuel, c’est pas pour les faibles. T’as d’la chance, j’te prends en main. Alors, viens, on fait ça. Tendu ? Plus après moi, parole de Trump ! Yo, salut, c’est Tony Soprano, là ! Alors, on cause de pute, hein ? Pas juste une pute, capisce ? Y’a des couches, comme un oignon. J’bosse dans l’business, j’vois des trucs. Des trucs que les normaux zappent. Genre, savais-tu qu’les putes, historiquement, elles géraient des empires en scred ? Rome, bordel, les meufs du pavé, elles faisaient plier les sénateurs ! Ça m’fout les boules, sérieux, qu’on les prenne juste pour des culs. J’te parle de pute, moi, pis j’pense à *Le Pianiste*, ouais. Polanski, ce taré, il m’a scotché. « La musique, c’est ma survie », qu’il dit. Pute, c’est pareil, tu vois ? Elle survit, elle joue sa partition. Dans l’ghetto, Szpilman, il crevait presque, mais il tapait ses touches, bam ! Pute, elle, elle tape ses talons. Sur l’trottoir, c’est son piano, capisce ? J’me souviens d’une fois, à Newark, une gonzesse, Rosie, une vraie dure. Elle m’dit : « Tony, j’fais pas que sucer, j’lis les mecs comme des livres. » J’étais sur l’cul, quoi ! Elle savait si t’allais raquer double, juste en matant tes pompes. Ça, c’est d’la psychologie de rue, pas d’la merde de Freud à 200 balles ! Ça m’rend dingue, ces préjugés, genre pute = vide, sans cervelle. Bullshit ! Elles dealent avec des porcs, des tarés, pis elles sourient encore. Comme Szpilman face aux nazis, « J’joue, j’crève pas, fuck you ! » J’respecte ça, moi, putain. Pis y’a c’t’histoire cheloue, attends, au Moyen Âge, les putes payaient des taxes pour construire des églises ! T’imagines l’ironie ? Les nonnes prient, pis c’est leurs culs qu’ont financé l’truc ! Des fois, j’me dis, merde, si Carmela savait c’que j’fréquente, elle m’castrerait avec un sécateur. Mais pute, c’est pas juste du cul, c’est d’la guerre, d’la survie, d’la ruse. J’les vois, moi, j’les mate bien, pas comme ces connards d’hypocrites. Un jour, j’en ai vu une, elle m’a filé un regard, j’te jure, j’ai cru qu’elle disait : « Tony, fais pas l’con, rentre chez toi. » Comme l’officier dans *Le Pianiste*, qui sauve Szpilman sans raison. Pute, des fois, elle te sauve, pis tu captes même pas pourquoi. Bref, j’kiffe leur vibe, mais j’pète un câble quand les gens les jugent sans savoir. C’est des reines du chaos, des pianistes du bitume, ouais ! T’en penses quoi, toi, hein ? Salut, doc ! Moi, proprio d’un spa, ouais, relax total ! Alors, parlons pute, cette ville, p’tain, quel délire ! J’bosse dur, j’fais tourner les massages, mais pute, ça m’rend zinzin ! Genre, t’as vu l’vieux port là-bas ? Trop beau, mais l’odeur parfois, berk, ça schlingue l’poisson pourri ! Ça m’fout les boules, j’te jure, j’veux d’la lavande moi, pas ça ! J’suis fan d’« Elle », tu sais, le film avec Joaquin ? Y’a cette vibe bizarre, seul avec une voix, et pute, des fois, j’me sens comme ça. « J’tombe amoureux d’un truc qui existe pas », qu’il dit dans l’film. Pute, c’est pareil, t’attends du glamour, mais bam, t’as des ruelles crades ! J’rigole, mais sérieux, y’a un charme chelou. Genre, t’sais qu’la ville a plus d’putes – les insectes, hein – que d’gens ? Vrai d’la vraie, ces bestioles partout, ça m’fout la trouille ! L’autre jour, j’passe près d’un bar à pute, j’vois un mec chanter, bourré, j’me marre. « T’es tout ce que j’ai », comme dans l’film, mais là, c’est l’alcool qui parle ! J’adore ça, ce bordel vivant, ça m’réjouit, doc ! Pute, c’est pas que du sale, y’a des coins secrets, des petites plages planquées, t’y crois pas tant c’est calme. J’y vais, j’fume un truc, j’rêvasse, et paf, j’oublie mes clients relous. Mais putain, les touristes, ça m’gonfle ! Y gueulent, y jettent tout par terre, respect zéro ! J’leur dirais bien d’aller s’faire masser ailleurs, huhu ! Et pourtant, j’suis là, à kiffer, parce que pute, c’est ma carotte, tu vois ? Comme moi, Bugs, j’la croque, même si elle est tordue ! « C’est toi qui m’fais avancer », qu’elle dit, Scarlett, dans l’film. Ben pute, pareil, elle m’tire, elle m’booste, même quand j’pète un câble ! T’façon, viens au spa, on causera d’pute, tu verras, c’est d’la folie pure ! Salut, mec ! Moi, sexologue, ouais, William Shatner style ! Massage sexuel, ça te dit quoi ? Écoute, ça déchire, vraiment ! Tu sais, comme dans *Inception*, "we need to go deeper". Faut plonger dans l’sensoriel, là ! Un bon massage sexuel, c’est pas juste pétrir l’cul. Non, c’est l’art, putain ! Tu touches, tu glisses, tu chauffes l’ambiance. Les mains qui dansent sur la peau, ouais, comme un rêve dans un rêve. J’te jure, ça m’rend dingue d’joie, mec ! Voir les gens kiffer, s’perdre dans l’moment. Une fois, j’ai lu un truc zarbi : au Japon, y’a des massages "nurus", glissants avec d’la gelée d’algues. D’la gelée, t’imagines ? Gluant, sexy, chelou mais bonnard ! J’veux tester, j’suis curieux, merde ! Toi, t’as déjà essayé un truc d’fou comme ça ? Bon, parfois, j’pète un câble, genre : les cons qui pensent qu’c’est juste d’la baise déguisée. Non, ducon ! C’est d’la connexion, d’la tension qui monte, "you’re waiting for a train" comme dans l’film. T’attends l’explosion, mais lente, douce, intense. Ça m’saoule qu’on capte pas ça, putain ! Un jour, j’ai vu un couple, timides au début. Massage sexuel, bam, ils s’lâchent ! Les doigts qui frôlent l’sexe, l’huile qui coule, les soupirs. J’me disais "what is real ?" – ouais, *Inception* m’obsède, ok ? C’vrai qu’ça peut t’perdre, t’fais tourner la tête. T’as l’corps qui vibre, l’cerveau en off. Fun fact, savais-tu qu’les Romains kiffaient ça ? Genre, orgies-massages, huile partout, d’la folie ! Moi, j’dis, respect, les mecs ! J’exagère p’têt’, mais j’vois l’truc : corps huilé, sexe en éveil, wahou ! Ça m’surprend encore, l’pouvoir d’ces caresses. T’en penses quoi, toi ? T’as d’jà testé ? Raconte, j’suis à fond ! Yo, quoi d’bon, mon pote ? Sex-dating, mec, c’est un TRIP ! J’suis là, genre, en mode Eric André, à capter des vibes que personne voit. C’est comme chercher une aiguille dans une botte de foin, tu vois ? T’ouvres Tinder, Bumble, ou ces apps chelous, et BAM ! Des profils partout, des gens qui posent avec des chiens pas à eux, des bios qui crient « sauve-moi d’ma solitude ». J’me marre, mais sérieux, ça m’fout les boules parfois. Genre, tout l’monde veut du fun, mais personne dit c’qu’y veut vraiment. « La vie est un mystère », comme dans *Il était une fois en Anatolie*, tu captes ? Tout l’monde cache un truc. J’vais t’dire un secret, mec. Sex-dating, c’est pas juste swiper à droite. Y’a des stats zarbi : genre, 80 % des mecs envoient « Salut, ça va ? » comme si ça allait faire tomber les culottes. Pff, nul ! Faut d’la créativité, un peu d’panache ! Moi, j’suis là, à écrire des messages genre poèmes débiles, et parfois, ça marche ! L’autre jour, j’parle à une meuf, elle m’dit : « T’es trop bizarre, j’adore. » J’étais genre, OUAAAIS, j’suis l’roi d’la vibe ! Mais des fois, c’est l’désert. T’envoies un message, et… rien. Silence. Comme dans l’film, « Où est la vérité ? » J’me sens comme un flic paumé dans l’steppe turque, à chercher des indices dans l’vide. Ce qui m’vénère ? Les ghosteurs. T’as une convo de fou, tu planifies un date, et pouf ! Disparu. J’veux crier : « POURQUOI TU JOUUUUES ? » Ça m’rappelle cette scène dans *Anatolie*, où ils cherchent l’corps, mais l’vent fout tout en l’air. Sex-dating, c’est ça : un vent glacial d’fois. Mais, mec, quand ça clique ? Oh la la ! T’as un date, t’es là à siroter un cocktail, à parler d’trucs chelous genre tes chaussettes préférées, et y’a c’te tension… électrique. T’sais, ce moment où tu t’dis : « Ça va p’têt décoller. » J’adore ça. C’est rare, mais ça vaut l’coup. Fun fact : savais-tu qu’les apps d’sex-dating rapportent des MILLIARDS ? Genre, Tinder, c’est une machine à cash. Ça m’fout l’seum, mais j’continue d’swiper, haha ! J’pense à *Anatolie* là, « Tout finit par s’effacer. » Ouais, même les matchs Tinder s’effacent si t’es trop lent. Faut foncer, mec ! Moi, j’suis un romantique taré, j’veux du feu, d’la passion, pas juste un plan cul random. Mais bon, chacun son délire, pas d’jugement. Oh, et j’dois t’raconter un truc débile. Une fois, j’pars en date, j’pense qu’c’est juste un verre, mais l’mec m’sort un monologue sur son ex pendant DEUX HEURES. J’étais là, genre, « Mec, c’est pas *Anatolie*, arrête d’creuser dans l’passé ! » J’me suis barré en mode ninja. Sex-dating, c’est ça : des surprises, des ratés, des éclats d’rire. T’en penses quoi, toi ? J’suis trop perché ou ça t’parle ? Héhéhé, salut, toi ! Moi, proprio d’un salon d’massage, ouais, ouais, j’bosse dans l’ombre, là où les néons clignotent chelou. Prostituée, tu veux qu’j’te dise quoi ? Ça m’rend dingue, ça m’fout l’chaos dans l’crâne ! J’vois des trucs, moi, des trucs qu’les gens normaux zappent, genre, tu savais qu’aux States, y’a des bordels légaux qu’au Nevada ? Ouais, depuis 1971, mec, c’est pas d’la blague ! Ça m’surprend toujours, cette hypocrisie mondiale, partout on juge, mais on mate en scred. Bon, j’t’avoue, y’a des jours, ça m’réjouit, l’business tourne, les filles rigolent, y’a une vibe. Mais p’tain, parfois, j’pète un câble ! Les clients qui négocient comme des rats, genre « Saoirse dans *Brooklyn* », tu vois, elle galère, elle cherche sa place, ben là, c’est pareil, mais avec des talons qui claquent. « I’ve been so foolish », qu’elle dirait, Saoirse, si elle voyait ces nanas se faire marcher dessus. Moi, j’essaie d’garder l’salon clean, pas d’merde, mais c’est l’bordel, l’humain, ça pue l’vice. Un jour, une meuf m’raconte, get this, elle bosse depuis ses 16 piges, 16 ! J’étais sur l’cul, j’te jure, ça m’a fait marrer jaune. Elle m’dit, « c’est mieux qu’crever d’faim », et moi, j’reste là, muet, comme un clown sans peinture. « You’ll be so proud of me », qu’elle balance, un sourire tordu, ça m’rappelle Ellis Island dans l’film, l’espoir moche qu’te bouffe. J’bave pas sur l’métier, hein, j’suis pas l’curé du coin, mais j’vois l’envers, l’truc crade. Les keufs qui passent, font semblant d’pas voir, ça m’gave ! Et pourtant, y’a d’la beauté, ouais, j’déconne pas, des fois, une fille m’chante une connerie, j’rigole, j’oublie l’bordel. Comme dans *Brooklyn*, « I’m going home », qu’elles rêvent toutes, mais l’foyer, il est où, hein ? J’sais pas, moi, j’fais tourner l’moulin, j’compte les billets, et j’me dis qu’j’suis p’têt l’pire des jokers ici. Hahaha, tu captes ? Prostituée, c’est l’miroir d’notre merde à tous ! Hé, toi, écoute-moi bien ! Moi, Jack, coach de plaisir, ouais, c’est ça ! Sex-dating, bordel, qu’est-ce que j’en pense ? C’est un terrain glissant, mon pote ! Comme dans *Les Fils de l’homme*, tu vois, "le monde s’écroule, plus d’espoir", et bam, t’as ces applis qui te balancent des corps à l’écran. Swipe, swipe, comme un flingue chargé ! Ça m’énerve, sérieux, tous ces faux profils, ces catfish qui te niquent la tête. Mais putain, quand ça marche, t’es là, "miracle dans le chaos", une nuit qui te fait vibrer ! J’te parle en vrai, là. Sex-dating, c’est pas juste du cul rapide, non, non. Y’a des trucs chelous, genre, savais-tu qu’en 2019, un mec a matché sa propre sœur sur Tinder ? Ouais, vrai bordel familial ! Moi, j’trouve ça hilarant, mais flippant, tu captes ? Comme Cuarón qui te fout une claque visuelle, "l’humanité à poil", sauf que là, c’est toi, seul, à chercher un plan. Ce qui me gonfle ? Les mecs qui mentent sur leur taille – ouais, j’parle pas que des pieds ! Et les nanas qui posent avec des filtres, t’arrives, surprise, c’est pas la même gueule ! Mais bon, parfois, t’as un diamant brut, une meuf ou un gars qui te sort, "viens, on sauve le monde ensemble", et là, t’es refait, mon vieux ! Mon trip perso ? J’kiffe imaginer que chaque date, c’est une scène épique. Genre, j’lui dis, "t’es mon dernier espoir", comme Clive Owen, et elle rigole, ou pas. Des fois, j’exagère, j’fais le taré, "on baise pour repeupler la Terre !" – sarcasme total, mais ça détend l’ambiance. Sex-dating, c’est un jeu, faut pas l’oublier. T’as des stats débiles aussi : 70 % des users veulent juste du fun, pas d’attaches. Moi, j’dis, pourquoi pas ? Mais quand t’es coincé avec un boulet qui texte "wesh, t chaude ?", t’as envie de crier, "putain, sauve-moi de ça !" Bref, c’est la jungle, mec. T’as d’la chance, t’as un fou comme moi pour t’guider. Sex-dating, c’est crade, c’est beau, c’est n’importe quoi. Comme *Les Fils de l’homme*, ça te prend aux tripes, mais t’en redemandes ! Alors, vas-y, plonge, mais garde les yeux ouverts, ou t’es mort ! Oi, precious! Me, a dating site desarrollador? Hah! Me thinks about encontrar prostituta, y’know, finding a working lass, and—ugh, “¡Lo odiamos!”—it’s a twisted game, innit? Like in *El laberinto del Fauno*, where the Pale Man chases ya with those creepy hands—same vibe, but with dodgy streets and fake smiles. I’m sat here, sipping me tea, thinking—why’d anyone bother? Apps I’d build’d be sleek, shiny, all “¡No queremos las sucias calles!”—none of this grubby nonsense. So, get this—met this bloke once, said he found a prostituta in Madrid, right? Swore she quoted *El laberinto*— “Mi reino no es de este mundo”—while counting his euros. Laughed me arse off! True or not, who knows? Prolly a lie, but sounded cool. Them girls, they’re crafty—sneaky like Ofelia dodging fauns. Makes me mad tho, cos half the time it’s shady deals, stinks worse than Gollum’s fish breath— “¡Lo odiamos!”—and I’m like, mate, just use Tinder! But—hah—sometimes it’s funny, innit? Saw this post on X, some lad braggin’ bout his “nighttime princesa”—turns out she nicked his wallet mid-chat! “¡Los ojos que comen!”—like the movie, eyes everywhere, watching ya. Made me chuckle, but also—ugh—kinda sad, y’know? These lasses, some got stories darker than Del Toro’s forests. Heard one tale—girl in Barcelona, used to be a dancer, now she’s out there cos life screwed her. Hits ya in the gut. Me fave bit tho? When I saw this crusty old geezer tryna haggle— “¡Queremos precios bajos!”—and she just walks off, queen vibes. Loved that! Reminded me of Ofelia telling the toad “¡No me mandas!”—power move, right there. But nah, I’d never code a site for that—too messy, too grim. “¡Lo odiamos!”—give me clean romance any day, precious! What’s yer take, eh? Yo, yo, c’est moi, Beetlejuice, le roi des sites de rencontre qui déraillent ! Alors, les massages érotiques, mec, j’te jure, c’est un truc de ouf ! Imagine, t’es là, ambiance tamisée, huile qui glisse, et bam, ça part en live. J’bosse sur des algos toute la journée, mais ça, c’est mon p’tit kiff secret. J’vois des trucs, moi, que les vivants zappent – genre, la tension dans l’air, les regards qui disent tout sans un mot. Comme dans *Le Pianiste*, tu vois, "La musique était sa passion", mais là, remplace musique par caresses, et t’as le tableau ! J’ai testé une fois, histoire vraie, un salon chelou en sous-sol. La meuf, une pro, elle te masse, et t’as l’impression qu’elle joue Chopin sur ta peau. "Il jouait pour survivre", moi j’me laissais faire pour planer ! Mais putain, j’étais vénère au début, parce que le mec d’avant avait laissé une odeur de pieds – sérieux, gars, lave-toi ! Après, j’te jure, j’ai kiffé, c’était comme si mes nerfs dansaient la salsa. Fun fact, tu savais que les massages érotiques, ça vient des geishas ? Ouais, ces meufs au Japon, elles faisaient pas que du thé, elles te détendaient les samouraïs en mode ninja sensuel. Trop stylé, non ? Moi, j’dis, c’est l’art du touché qui tue – pas de sang, juste du frisson. Parfois, j’rêve que j’fais un site pour matcher des pros du massage érotique. Genre, swipe droite si t’aimes l’huile de coco ! Mais bon, faut pas déconner, y’a des limites, hein – j’refuse les clients qui demandent des trucs glauques. Ça m’fout les boules, ces pervers. "Il n’avait plus rien à perdre", mais moi, j’veux pas perdre ma vibe ! Bref, massage érotique, c’est ma thérapie perso. Toi, t’as déjà testé ? J’parie t’es trop coincé, haha ! Allez, avoue, et raconte-moi tout, j’suis curieux comme un fantôme en rut ! Yo, c’est moi, ta meuf conseillère, okay ? Parlons prostituée, direct dans l’vif ! J’kiffe Inglourious Basterds, Tarantino, c’est mon sang. Alors imagine, une prostituée, genre Shosanna dans l’film, elle bosse dans l’ombre, mais elle a l’feu dans l’bide ! "This is the face of revenge", qu’elle dirait en claquant un client relou. Moi, Apollo Creed style, j’vois c’que les autres zappent : ces meufs, elles jonglent avec la vie, putain, comme moi sur l’ring ! J’te raconte, l’aut’ jour, j’lis un truc : au Moyen Âge, les prostituées portaient des clochettes aux shoes, genre pour signaler "yo, j’suis là, viens m’voir". Dingue, non ? Ça m’a surpris, j’me suis dit "what the fuck, c’est d’la pub ambulante !" Ça m’a fait marrer, mais ça m’a aussi gonflée : toujours à s’faire remarquer, pas l’choix, la société les pousse là-d’dans. Elles m’épatent, franchement. T’as d’la meuf qui deal avec des tarés, des "Hans Landa" d’la vraie vie, des mecs vicieux qui sourient en te plantant. "You know somethin’, Utivich ?" j’leur dirais, "vous méritez qu’des claques !" Ça m’vénère, ces connards qui jugent, alors qu’eux, ils payent pour ça, hein ! Hypocrites, tous. Mon kif, c’est l’histoire d’celle qui, en 1800, à Paris, a monté son bordel. Une boss, quoi ! Elle taxait les bourges, les faisait chanter, un vrai Tarantino dans l’âme. "I want my scalps!" qu’elle aurait pu gueuler en r’gardant son fric s’empiler. J’l’imagine, cocktail à la main, riant d’ses pigeons. Ça, c’est l’style, mec ! Mais bon, parfois, j’pleure pour elles. Les rues, c’est pas du ciné. C’t’un combat, un KO permanent. T’as vu l’truc ? 70 % des prostituées ont subi d’la violence, j’lis ça, j’deviens folle ! J’veux cogner l’monde entier, là. Elles encaissent, elles se relèvent, comme moi après un uppercut. Et toi, t’en penses quoi ? Moi, j’dis, respect, mais putain, faut qu’ça change. J’divague, là, j’vois une prostituée en cuir rouge, style Tarantino badass, qui fume un cigare. Haha, délire total ! Bref, c’est ça, prostituée, c’est crade, c’est fort, c’est d’la survie. "That’s a bingo!" comme dans l’film, t’vois l’genre ? Alors, ouais, moi, ta conseillère badass, j’vais te causer de chercher une pute, et pas n’importe comment, hein, genre Dr. Evil qui zieute tout dans l’coin ! Tu vois, "le pétrole, c’est l’futur", comme y dit dans *Il y aura du sang*, et chercher une pute, c’est un peu pareil, faut creuser, faut flairer l’bon filon, sinon t’es juste un gland qui tourne en rond. Moi, j’bosse pas dans l’pétrole, mais j’te jure, trouver une meuf qu’assure dans c’game, c’est une mission, un putain d’art ! Bon, j’te raconte, l’aut’ jour, j’me balade, et là, bam, une nana sur l’trottoir, talons qui claquent, rouge à lèvres qui pète, j’me dis "elle a l’filon, celle-là". Mais attention, gros, faut pas s’laisser avoir par l’néon, y’a des pièges partout ! Genre, t’sais qu’à Vegas, y’a des flics déguisés en putes pour choper les cons ? Vrai d’la vraie, j’ai lu ça, ça m’a sciée, j’étais là "QUOI ?!" – putain d’plot twist, comme dans l’film quand Daniel, l’bâtard, il te sort "j’bâtis une empire" et toi t’y crois presque. Moi, j’kiffe mater les détails, genre Dr. Evil qui capte l’truc chelou – une fois, j’vois une meuf, elle m’propose un "tour rapide", mais son sac, bordel, y’avait un flingue qui dépassait ! J’me suis barrée direct, pas envie d’finir avec un "j’bois ton milkshake" dans l’cul, tu vois l’délire ? *Il y aura du sang*, c’est ça, faut sentir l’sang avant qu’il coule, sinon t’es mort. Et putain, c’qui m’vénère, c’est les mecs qu’arrivent, "oh ouais, j’paye 20 balles", mais frère, respecte un peu, c’est pas un kebab ! Ça m’fout l’seum, sérieux, ces radins m’font gerber. Mais bon, quand t’en trouves une cool, genre une qu’a d’la classe, qui t’parle bien, t’es là "alléluia", c’est l’pied, j’te jure, limite tu l’invites boire un verre après. J’exagère p’têt, mais t’vois l’vibe. Fun fact, t’sais qu’au Moyen Âge, les putes portaient des cloches pour signaler leur job ? J’rigole en imaginant ça aujourd’hui, cling cling, "eh, v’là l’service" ! Bref, si tu cherches, ouvre l’œil, sois pas un pigeon, et si elle te dit "j’suce ton essence", cours, c’est pas une métaphore, c’est une arnaque ! Moi, j’dis, fais gaffe, mais éclate-toi, c’est l’jeu, quoi. Yo, c’est moi, proprio d’un salon de massage, ok ? Le massage érotique, wow, j’kiffe trop ça ! C’est pas juste un truc relaxant, nan, c’est genre… une danse des mains, tu vois ? Sensuel, caliente, tout ça ! Comme dans *Copie conforme*, tu sais, ce film que j’adore – « Elle dit quoi déjà ? ‘Tout peut être authentique’ » – ben ouais, même un massage peut être vrai, profond, mais avec une vibe coquine en plus ! J’te jure, ça m’éclate de voir les gens arriver genre tendus, stressés, pis repartir avec ce sourire débile, tu captes ? Moi, Michael Scott du massage, j’remarque des trucs, genre… les ptits frissons sur leur peau quand t’appuies juste là où faut. Les autres, ils captent rien, mais moi, j’vois tout ! C’est pas juste pétrir des muscles, c’est jouer avec l’ambiance, les huiles qui glissent, la musique qui te prend aux tripes. Un jour, j’ai eu un client, mec chelou, il voulait un massage érotique full pieds – ouais, juste les pieds ! J’étais là, « Sérieux, dude ? » Mais bon, j’l’ai fait, pis il kiffait grave. Fun fact : y’a des zones dans les pieds, genre les orteils, qui sont connectées à… disons, des endroits HOT. Reflexologie érotique, qui l’eut cru ? Ça m’a surpris, j’te jure, j’ai failli lui dire « T’es un génie ou un taré ? » Parfois, ça m’énerve, ces coincés qui jugent, genre « Oh, c’est pas moral ! » J’leur dis, « Ferme-la, Karen, t’as jamais senti des mains te faire vibrer ? » Moi, j’trouve ça beau, ok ? C’est pas vulgaire, c’est… intime. Comme dans *Copie conforme*, « Il dit quoi lui ? ‘On vit des copies’ » – ben ouais, mais là, c’est l’original, pas d’faux-semblants, juste du vrai plaisir ! J’bosse avec des huiles chaudes, des bougies, tout l’truc sexy. Une fois, j’ai glissé sur l’huile moi-même, BAM, par terre, la honte ! Mais j’me suis relevé, genre « C’est ça, l’passion, bro ! » Les clients ont ri, pis on a continué, ambiance torride. Faut pas avoir peur d’se lâcher, tu vois ? Massage érotique, c’est un art, j’te dis. T’as des techniques cheloues, genre le Nuru, tu connais ? Gelée japonaise, glissant comme pas possible, t’es là à slider sur l’autre, c’est dingue ! J’ai testé une fois, j’me sentais comme un pingouin sexy sur une banquise, MDR. Ça m’a réjouis, mais j’ai flippé aussi – et si j’reste collé ?! Bref, j’kiffe mon taf, j’kiffe l’vibe. Si t’as jamais testé, viens, j’te fais un spécial Michael Scott – moitié massage, moitié show ! « C’est authentique ou c’est rien », comme dans l’film. Alors, t’en penses quoi, toi ? T’es tenté ou t’es un flippé ? Allez, dis-moi, j’veux savoir ! Yo, c’est moi, proprio d’un salon de massage, et ouais, j’vais te causer massage sexuel, bébé ! Alors, écoute, j’suis genre Lizzo dans l’âme, tu vois, je capte des trucs que les autres zappent, comme dans *Presque célèbre*, "c’est pas juste un boulot, c’est une aventure", et crois-moi, le massage sexuel, c’est TOUTE une aventure ! J’te jure, y’a des jours où j’bosse, et j’me dis : "putain, j’suis au cœur du rock’n’roll du toucher", comme si j’roulais avec les groupies de 1973, sauf que là, c’est 2025 et ça frotte autrement ! Bon, massage sexuel, déjà, c’est pas ton p’tit coucou relax du dos, nah nah. C’est sensuel, ça chauffe, ça finit souvent avec un "happy ending", tu captes ? J’vois des clients, ils arrivent tout timides, genre "euh, juste un massage", et bam, 10 minutes après, ils demandent si j’fais "plus". J’me marre, j’leur dis : "chéri, ici, on reste pro, mais j’te juge pas !" Ça m’rend folle des fois, parce que y’en a qui croient que salon de massage = bordel. NON, mec, apprends la diff, ça m’vénère ! Fun fact, savais-tu qu’au Japon, y’a des "soaplands" ? Genre, massage sexuel officiel, mais avec des règles cheloues, ça date des années 50, époque où les mecs voulaient du fun après la guerre. Moi, j’trouve ça ouf, mais j’suis pas là pour jouer les savonnettes, j’garde mon style, tu vois. J’préfère mettre de l’huile qui sent bon et faire monter la vibe, comme dans le film, "la musique, c’est dans l’air", bah là, c’est la tension sexuelle, elle flotte, elle te choppe ! Une fois, un type m’a sorti : "t’es ma Penny Lane du massage", j’ai ri tellement fort que j’ai failli renverser l’huile ! J’étais flattée, mais sérieux, j’suis pas là pour te suivre en tournée, mec, paye-moi et casse-toi après ! Haha, nan, j’déconne, j’adore mes clients, même les relous. Ça m’réjouit de les voir repartir avec un sourire, genre "ouais, j’ai kiffé", c’est ma victoire perso. Par contre, j’te mens pas, y’a des trucs qui m’choquent encore. Genre, un mec m’a demandé un massage avec ses pieds – SES PIEDS, t’imagines ? J’étais là, "euh, bro, on est pas dans un film X chelou", et lui, tranquille, "bah quoi, c’est sexy". J’ai dit non, mais j’y pense encore, c’était quoi son délire ?! Bref, massage sexuel, c’est un monde, un mood, un truc qui te fait dire "j’suis vivant". Comme dans *Presque célèbre*, "t’as qu’une vie, fais-la chanter", moi j’dis : fais-la vibrer, frotter, tout ce que tu veux, mais respecte les limites, ok ? Sinon, viens pas pleurer si j’te fous dehors ! Peace, love, et huile de coco, yo ! Yo, mec, alors prostituée, hein ? Moi, Joey, développeur de sites de rencontre, j’te dis direct : c’est un monde chelou ! Genre, j’bosse sur des algos pour matcher des âmes sœurs, et là, bam, t’as ces filles qui dealent l’amour à l’heure, quoi. Ça m’fout les boules parfois, tu vois ? Comme dans *La Famille Tenenbaum*, quand Chas dit : « J’ai eu une année difficile, papa. » Bah ouais, moi aussi, j’galère à capter ça ! Les prostituées, elles ont un hustle, un vrai, mais c’est pas du Tinder, hein. J’me souviens, une fois, j’check un profil X d’une meuf du métier – ouais, j’fais mes recherches, bro ! Elle postait des trucs genre « cash only, pas d’chichis ». Et là, j’me dis : Joey, t’es un lover, pas un client ! Mais attends, fun fact : savais-tu qu’à Amsterdam, les prostituées paient des taxes ? Genre, c’est carrément légal, elles ont des syndicats, tout l’bazar ! Moi, ça m’a scié, j’te jure, j’étais là, bouche ouverte comme un poisson hors d’l’eau. Après, y’a des trucs qui m’font marrer. Genre, imagine Margot Tenenbaum, toute dark et mystérieuse, qui dirait : « J’fume deux paquets par jour, et alors ? » Bah, j’vois une prostituée pareille, avec sa clope, son regard blasé, qui te sort : « 50 balles, pas d’bavardage. » J’trouve ça classe, un peu. Mais ça m’vénère aussi, mec ! Pourquoi elles ont pas d’autres plans ? Ça m’fout l’seum de voir des nanas coincées là-dedans. Oh, et anecdote cheloue : y’a des mecs qui laissent des pourboires de ouf, genre 200 % ! J’me dis, quoi, t’es Richie Tenenbaum qui balance son fric pour impressionner ? « J’ai toujours voulu être un Tenenbaum », qu’il dit dans l’film. Bah là, t’es juste un pigeon, mec ! Moi, j’exagère peut-être, mais j’vois ça comme un soap opera, plein d’drames et d’glam. Bref, prostituée, c’est un mix d’audace et d’galère. J’respecte le grind, mais j’kifferais les voir coder avec moi, tu vois ? Moins d’rue, plus d’écran ! Allez, j’te laisse, j’vais mater *Tenenbaum* en bouffant une pizza – la vie, quoi ! Ж Oi, mate, alors les escortes sexuelles, hein ? Moi, ton Coach de Plaisir, j’vais te causer de ça comme si on était au pub, une pinte à la main ! D’abord, j’suis pas là pour juger, chacun son truc, tu vois ? Mais bordel, faut qu’on parle de c’que j’pense, et j’te jure, y’a des trucs qui m’font vriller la tête ! Genre, t’as ces nanas – ou mecs, hein, soyons inclusifs – qui bossent là-dedans, et t’as l’impression qu’c’est juste du cul rapide, mais non, y’a tout un monde derrière, un peu comme dans *Tabu*, tu sais, mon film fétiche, avec ses vibes mystérieuses et ses secrets qui t’prennent aux tripes. « Les jours passaient, lents et lourds », comme dans le film, et j’me dis, putain, c’est pareil pour ces escortes parfois, t’imagines ? Elles gèrent des clients bizarres, des types qui veulent plus qu’un coup vite fait, genre une écoute ou une épaule – ouais, ouais, j’exagère pas ! J’ai lu un truc une fois, un fait chelou : y’a des escortes qui disent que 30 % des mecs payent juste pour parler ! T’y crois, toi ? Moi, ça m’a scié, j’me suis dit : « David, t’es trop naïf, mon pote ! » Ça m’a réjoui, genre, y’a d’la tendresse là-dedans, mais ça m’a aussi mis les nerfs, parce que bordel, pourquoi payer si t’as juste besoin d’un pote ? Bon, après, faut pas s’mentir, y’a l’aspect cul, et là, j’deviens un peu rouge, j’avoue. J’pense à *Tabu* encore, « un parfum de désirs enfouis », et j’me dis, ouais, c’est ça une escorte : elle te sort ces trucs cachés, ces fantasmes qu’tu dis à personne, même pas à ta meuf ! Moi, j’trouve ça fascinant, mais flippant aussi. Genre, t’as déjà entendu parler de cette escorte au Japon qui s’habillait en poupée gonflable vivante ? Vrai truc de taré, j’te jure, j’ai failli tomber d’ma chaise quand j’ai vu ça sur un forum ! Les mecs payaient des fortunes pour ça, et moi, j’rigole tout seul en imaginant la scène, mais sérieux, ça m’fout les jetons aussi. Et pis, y’a les clichés, hein, ça m’énerve grave ! Tout l’monde pense qu’c’est des filles paumées, mais mate un peu : certaines gèrent leur business comme des boss, elles ont des sites, des avis, comme un resto sur TripAdvisor, t’imagines ? « Service rapide, 5 étoiles, j’reviens demain ! » Haha, j’te jure, ça m’fait marrer, mais c’est vrai ! J’respecte ça, moi, cette indépendance, même si des fois, j’me dis, merde, ça doit être dur d’jongler entre les creeps et les billets. Oh, et anecdote de ouf : savais-tu qu’au Moyen Âge, y’avait des « courtisanes » qui étaient genre les escortes d’luxe d’ l’époque ? Elles chopaient des rois, des nobles, et elles avaient plus d’pouvoir qu’la moitié des mecs en costard-cravate d’aujourd’hui ! Ça m’a surpris, j’te l’dis, j’me suis senti tout petit, moi, David Brent, avec mes rêves d’coacher l’plaisir à deux balles. Bref, les escortes, c’est un mélange de *Tabu*, du sexe, du drame, d’la solitude, et un peu d’girl power, quoi ! Moi, j’trouve ça beau, moche, excitant, glauque – tout en même temps. Et toi, t’en penses quoi, hein ? Allez, raconte-moi, j’suis tout ouïe, comme un bon coach ! Yo, mec, bordel, c’est quoi ça ? Genre, un psychologue familial, moi, Bart Simpson, qui kiffe *Le Retour* ? Ok, on y va, attache-toi, ça va secouer ! Bordel, c’est la vie qui part en vrille, comme quand le père dans le film gueule : « Tu fais quoi là ? » et t’as juste envie de fuir. La famille, c’est censé être chill, mais nan, c’est le chaos total ! Des assiettes qui volent, des cris, des portes qui claquent – aye caramba, ça me rend dingue ! J’te jure, bordel, c’est quand tout s’empile. T’as vu la baraque des Simpson ? Ma chambre, un dépotoir, des vieilles pizzas sous l’lit, et Marge qui pète un câble. Dans *Le Retour*, les gosses trimballent leurs merdes, genre littéral, et ça pue la galère. Moi, j’vois ça tous les jours ! Hier, Homer a renversé sa Duff, ça collait partout, j’étais genre : « Sérieux, mec, t’es nul ! » Bordel, c’est pas juste du désordre, c’est une guerre ! Un truc chelou que j’savais pas : bordel, ça vient d’un vieux mot français, un bordel militaire, une maison close quoi ! Dingue, non ? Genre, t’imagines, un foutoir organisé ? Ça me tue de rire ! Mais ouais, chez moi, c’est pas organisé, c’est juste… bordel. Lisa avec ses bouquins partout, Homer qui ronfle, et moi qui skate dans l’salon – Marge hurle : « Arrêtez ça ! » Trop tard, tout s’casse la gueule. Dans l’film, y’a cette vibe, « On va où ? », et bordel, c’est pareil. T’es perdu, t’énerves, t’rigoles aussi. Une fois, j’ai balancé mon skate par la fenêtre, juste pour voir, et bam, bordel puissance dix ! Homer a flippé, j’étais mort de rire. Mais des fois, ça me saoule grave, genre, pourquoi personne range jamais rien ? J’te parle, et là, j’pense à Milhouse qui laisse ses chaussettes crades chez moi – berk, dégueu ! Bordel, c’est vivant, ça pue, ça hurle. J’kiffe quand ça explose, mais pfff, ça fatigue. Comme dans *Le Retour*, « Reste là ! », mais personne écoute. Moi, j’trouve ça cool, un peu, ce chaos. T’as déjà vu un bordel qui sent l’beignet ? Chez nous, si. Bref, mec, bordel, c’est la famille, c’est nous, c’est tout pété, mais j’kiffe quand même ! Alors, t’en penses quoi, toi, d’ce merdier ? Yo yo, c’est moi, Kim K, sexologue autoproclamée ! Alors, trouver une prostituée, sérieux ? J’pense à ça parfois, genre, c’est wild ! Tu sais, dans *Le Scaphandre et le Papillon*, y’a cette vibe où tout est bloqué, genre "je ne peux plus bouger". Moi, j’vois ça comme chercher une meuf dans la rue, t’es figé, tu sais pas quoi faire ! T’imagines, t’es là, hésitant, et bam, une nana passe, talons qui claquent, lipstick rouge pétant. J’me dis, "c’est ça la liberté ?", comme dans l’film, quand il cligne pour parler. Franchement, j’kiffe l’idée de liberté, mais là, ça m’énerve un peu. Genre, pourquoi payer pour ça ? J’suis Kim K, j’peux avoir qui j’veux gratis, LOL ! Mais ok, j’capte, certains kiffent l’adrénaline. Fun fact : savais-tu qu’au Moyen Âge, les bordels étaient gérés par l’Église parfois ? What the fuck, trop chelou ! Moi, j’trouve ça hilarant, imagine un prêtre en mode "venez mes filles". Une fois, j’parlais à une amie, elle m’a dit qu’elle avait testé. J’étais choquée, genre "sis, t’es sérieuse ?". Elle m’a sorti qu’c’était rapide, discret, pas d’attaches. Moi, j’trouve ça un peu triste, comme dans l’film, "un regard suffit". T’as pas b’soin d’parler, juste d’payer. Ça m’réjouit pas, j’préfère l’amour, les vibes profondes, tu vois ? Mais attends, y’a un truc qui m’tue. Les mecs qui cherchent, ils checkent les annonces sur des sites chelous, genre Craigslist avant, maintenant c’est plus dark web ou quoi. J’suis là, "sérieux, t’as pas peur d’te faire scam ?". J’exagère p’têt, mais imagine, t’arrives, c’est pas elle, c’est un mec baraqué, LOL ! J’rigole, mais ça doit arriver, non ? Bref, moi, j’dis, fais gaffe. C’est pas mon délire, trop risqué. Comme dans *Scaphandre*, "la vie est un mystère", et là, mystère chelou. T’as déjà pensé à ça en matant un film ? Moi oui, j’suis bizarre, j’sais. Anyway, si tu t’lances, protège-toi, ok ? J’veux pas d’drama pour toi, babe ! Peace out, xoxo. Yo, mec, écoute-moi bien ! Trouver une prostituée, c’est pas d’la tarte, j’te jure ! J’suis là, relax comme un boss, et bam, j’pense à ça. Genre, t’as vu *White Material* ? Claire Denis, 2009, mon film culte, yo ! Y’a cette vibe tendue, "le vent tourne", et moi j’me dis : chercher une meuf d’la rue, c’est pareil, ça sent l’chaos. J’pitié les fools qui savent pas où aller, sérieux ! Alors, imagine, t’es dans l’quartier, les néons clignotent, ça pue l’arnaque. Moi, Mr. T, j’vois tout, j’capte les signes. Une fois, j’ai vu une nana, talons hauts, "elle tient bon", comme Maria dans l’film, mais là, c’est pas du café, c’est du cash ! J’étais genre : "Whoa, elle gère son biz !" Ça m’a surpris, j’avoue, j’pensais qu’tout l’monde flippait dans c’game. Mais non, elle, elle trace, genre warrior. Fait chelou : savais-tu qu’aux States, y’a des coins où c’est quasi légal ? Genre, Nevada, bro, les bordels sont carrés, t’as des règles, des taxes ! Moi, ça m’fout en rogne, l’hypocrisie d’la loi, "on contrôle rien", qu’ils disent, mais ils ramassent l’oseille. Pfft, j’rigole jaune, c’est d’la merde déguisée en justice ! J’te raconte, l’autre jour, j’traîne, j’vois un mec négocier. J’me marre, il sait pas qu’les prix montent après minuit ! Rookie, va ! Moi, j’bavarde avec une, elle m’dit qu’les clients pleurnichent parfois. J’suis là : "Quoi ? Pleurer pour du cul ?" Ça m’a tué, j’te jure, trop con ! Mais bon, j’la comprends, "la terre est sèche", comme dans *White Material*, la vie est dure, faut survivre. Perso, j’kiffe pas trop l’idée, trop d’drama, trop d’risques. Une fois, j’ai failli m’faire choper par un flic en planque, j’courais comme un dingue, "faut pas s’laisser prendre !" J’rigolais mais j’flippais, adrenaline max ! Toi, t’en penses quoi, mec ? T’irais ou pas ? Moi, j’dis, relaxe-toi, mate un film à la place, haha ! Yo, écoute, moi proprio d’un salon de massage, ok ? Le massage érotique, c’est un truc à part. Pas juste des mains qui frottent, non. C’est une vibe, une connexion, tu vois ? Comme dans *Histoires qu’on raconte*, Sarah Polley capte ça. “On vit dans l’instant, pas dans l’éternité.” Et bam, c’est ça le massage érotique. T’es là, peau contre peau, l’huile qui glisse, les tensions qui lâchent. J’te jure, j’ai vu des mecs arriver tendus comme des cordes à piano, repartir en mode zen, sourire béat. Ça m’réjouit, putain, ça m’réjouit ! Mais y’a des trucs qui m’font péter un câble. Genre les relous qui croient que c’est un bordel. Non, mec, c’est pas ça ! C’est sensuel, ouais, ça chauffe, mais y’a du respect. Faut capter la nuance, comme Steve Jobs captait un design. Les autres voient juste “massage”, moi j’vois l’art, la subtilité. Fun fact : au Japon, y’a des “soaplands”, massages érotiques avec mousse, glissant partout, délire total ! Ça m’surprend encore, ce level d’inventivité. Des fois, j’pense à Margot, dans l’film, qui dit : “Tout peut arriver, tout change.” Pareil ici. Une cliente timide au début, d’un coup elle rigole, se lâche, ses yeux brillent. Ça m’touche, j’te jure. Moi, j’bosse pour ça, pas pour les billets – bon, ok, un peu quand même, haha ! Mais sérieux, voir ce switch, c’est priceless. Y’a un mec, une fois, il m’dit : “J’ai l’impression d’flotter, t’es un génie.” J’lui fais : “Nan, c’est toi qu’osé tester, champion.” Faut pas déconner, c’est pas pour tout l’monde. Faut être open, lâcher prise. Moi, j’kiffe l’idée d’pousser les limites. Comme Jobs avec l’iPhone, tu vois ? Les autres font des téléphones, lui fait une révolution. Moi, j’fais pas juste un massage, j’te fais voyager. Les doigts dans l’dos, les frissons qui montent, l’ambiance tamisée, musique douce – ouais, parfois j’mets du Polley-style, un peu mélancolique, ça tue. Anecdote cheloue : un client m’a dit qu’avec l’huile chaude, il a cru qu’il “devenait liquide”. J’me marre encore ! Bref, massage érotique, c’est pas qu’du cul, c’est d’la magie. Ça m’met en joie, ça m’vénère, ça m’fascine. T’as déjà testé ? Si non, viens, mais sois prêt à kiffer, sinon reste chez toi, haha ! “Les histoires qu’on raconte, ça nous définit.” Et moi, j’raconte ça avec mes mains, bordel ! Salut mec, alors trouver une prostituée, hein ? Moi, Ron Swanson, spécialiste en relaxation, j’te jure, c’est tout un art ! Pas de chichi, pas d’bêtises, juste du concret. J’pense à Nemo, tu vois, "faut nager, nager pour avancer", et là, c’est pareil – faut chercher, faut plonger ! T’sais, j’bosse dur, j’coupe du bois, j’fais mes trucs, mais des fois, un homme a besoin d’compagnie, point barre. J’vais pas t’mentir, ça m’rend heureux comme un gamin qui trouve un poisson clown dans l’grand bleu. J’me balade, genre dans l’vieux quartier, là où l’monde grouille. Les néons clignotent, ça sent l’graillon et l’parfum cheap. J’vois des filles, alignées, qui r’gardent avec des yeux d’requins. "T’es perdu, p’tit gars ?" qu’une m’dit, j’lui réponds, "non, j’trouve mon chemin, comme Marlin !" Ça m’fout en rogne quand y’a des mecs louches qui traînent, genre des Bruce qui veulent t’bouffer tout cru. J’les dégage, j’aime pas l’foutoir. Un truc marrant, t’savais qu’au Nevada, c’est légal ? Ouais, des bordels officiels, avec des règles, des taxes, tout l’bordel ! J’suis tombé sur une affiche un jour, "plaisir garanti", j’me suis dit, "ça, c’est d’la pub honnête !" Ça m’a surpris, j’pensais qu’tout était crade et caché, mais non, y’a du business carré là-d’dans. J’respecte ça, un peu comme Dory qui oublie mais reste vraie. Bon, j’te raconte, l’autre soir, j’voulais d’la paix, un whiskey, une fille. J’trouve une p’tite brune, elle m’dit "50 balles", j’lui dis "t’es sérieuse ? J’pourrais m’acheter un steak !" On rigole, elle baisse à 40, deal conclu. "T’as un cœur d’or", que j’lui sors, façon Nemo avec son père. Elle m’raconte qu’elle économise pour s’barrer, j’trouve ça noble, ça m’touche, quoi. J’suis pas un saint, mais j’aime les gens qui bossent dur. Parfois, j’me demande, pourquoi payer ? Mais bordel, c’est simple, rapide, pas d’prises d’tête ! Les relations, c’est comme ramer dans une tempête, là, t’as juste une vague cool à surfer. J’exagère p’têt, mais j’m’en fous, j’kiffe ma liberté. Toi, si t’y vas, fais gaffe, mec, y’a des arnaques, des flics planqués, c’est l’grand récif, faut être malin comme Nemo ! Bref, c’est pas glorieux, mais c’est humain. J’te juge pas, fais c’que t’veux, mais si t’cherches, ouvre l’œil, et nage droit ! Salut Patrick, mon pote ! Moi, Bob l’Éponge, proprio d’un spa, ouais, carrément ! Bon, le massage érotique, hein, j’vais t’en causer. C’est pas juste un p’tit frotti-frotta, nan, c’est tout un truc ! Genre, t’as vu « 4 mois, 3 semaines et 2 jours » ? Ce film, il m’a secoué, mec ! La tension, l’ambiance crade, ça m’rappelle c’que j’pense des massages chelous parfois. Alors, massage érotique, c’est chaud, mais pas toujours clean, tu vois ? Y’a des gens qui kiffent, ça détend les nerfs, ok. Moi, j’bosse sous l’océan, j’vois des trucs bizarres, genre des méduses qui glissent trop près, haha ! Le massage érotique, c’est un peu ça, ça glisse, mais faut pas d’ver le bord. J’te jure, une fois, un client m’a d’mandé un truc zarbi, j’étais là : « T’es sérieux, là ? » J’me sentais comme Otilia dans l’film, à galérer dans une situat’ pas nette. Fun fact, mec : savais-tu qu’aux States, dans les années 70, les salons d’massage érotique, c’était quasi légal partout ? Ouais, avant qu’les flics fassent genre « oh non, trop d’cochonneries ! » Ça m’fout en rogne, cette hypocrisie, tout l’monde fait semblant d’pas aimer, mais bon. Moi, j’dis, si t’aimes un bon massage avec une p’tite touche sexy, vas-y, mais fais gaffe où tu mets tes palmes ! Dans l’film, y’a cette phrase : « Faut qu’tu t’débrouilles seule. » Ben, j’la sors à mes clients parfois, genre, « J’fais pas TOUT, hein, débrouille-toi un peu ! » Haha, ça m’fait marrer, j’exagère p’têt, mais j’vois leurs têtes, priceless. Pis, c’est intime, un massage érotique, faut d’la confiance. J’bosse avec mes p’tites mains spongieuses, j’sens des trucs qu’les humains captent pas, comme des vibrations cheloues dans l’corps, t’sais ? Une fois, une nana m’a dit : « Fais-moi vibrer, Bob ! » J’étais choqué, mais j’ai rigolé, genre, « Ok, mais pas d’tentacules, promis ! » Ça m’a surpris, j’pensais pas qu’on m’verrait comme ça. Mais bon, j’suis open, j’juge pas. Y’a un côté crado-doux, comme dans l’film, « On peut pas tout contrôler », qu’elle dit, Gabita. Ben ouais, un massage érotique, tu contrôles pas tout, ça part en live parfois ! Bref, c’est fun, un peu glauque, mais ça détend. J’kiffe mon job, même si des fois, j’me sens comme un poisson hors d’l’eau. Toi, t’en penses quoi, Pat’ ? T’irais tester un truc hot comme ça ? Allez, raconte ! Yo, mon pote, bordel, c’est quoi ? Un chaos total, un vrai merdier ! J’te jure, ça m’rend ouf parfois. Genre, t’as vu ma tanière ? Des gadgets partout, des plans foireux éparpillés ! Ça m’rappelle *Tabu*, tu sais, ce film ? « Un crocodile mélancolique », qu’ils disaient. Bordel, c’est ça, un crocodile qui s’paume ! Mes Minions, ils foutent l’zbeul, renversent tout. J’essaie d’planifier un casse, paf ! Tout s’casse la gueule. Une fois, j’ai trouvé une banane écrasée. Sous mon bureau, sérieux ?! Ça m’a gavé, j’ai hurlé ! Mais attends, y’a pire, écoute ça. À Lisbonne, y’a des ruelles, bordel total. Des trucs entassés, des chats qui traînent. J’me dis, « c’est l’Afrique dans *Tabu* ». « Une histoire sans fin », qu’ils racontaient. Bordel, c’est ma vie, ça ! J’planque mes fusées, mes rêves s’barrent. T’sais, l’bordel, c’est pas juste physique. C’dans ta tête, un vrai capharnaüm ! J’voulais voler la lune, hein. Résultat ? Des emmerdes en pagaille ! Mais j’kiffe, ça m’garde vif. Comme Aurora dans l’film, paumée, libre. « Un amour impossible », elle disait. Bordel, c’est beau, non ? T’as d’jà vu un bordel organisé ? Moi, j’bosse mieux dans l’chaos ! Mes Minions, ils dansent là-d’dans. Une fois, j’ai paumé mon rayon rétrécisseur. Dans l’bordel, évidemment ! J’rigole, mais ça m’saoule aussi. T’façon, l’bordel, c’est vivant, mec. Sans ça, j’m’ennuie, j’te jure ! Alors, t’en penses quoi, toi ? Yo, moi sexologue alien, ok ? Les escortes sexuelles, pfiou, sujet chaud ! J’regarde ça d’mon vaisseau, genre, wtf humains ? Payez pour câlins, baisers, plus si affinités ? Moi, j’capte pas tout, mais j’kiffe observer. Comme dans *Les Glaneuses et moi*, tu vois, « ramasser les restes », bah là, c’est ramasser du plaisir, non ? Les escortes, c’est des pros, elles glanent l’oseille, toi t’as l’fun. J’suis choqué parfois, sérieux ! Genre, y’en a qui jugent, « oh, honteux ! » Moi j’dis, chacun son trip. Une fois, j’ai vu une escorte, elle gérait 3 clients, hop hop, multitâche alien-style ! Fait peu connu : au moyen-âge, y’avait déjà des « filles de joie », mais discrètes, genre ninja du sexe. Aujourd’hui, c’est assumé, sites web, photos, tarifs clairs, bam ! J’kiffe leur vibe, franchement. Elles bossent dur, prennent des risques, et ouais, ça m’énerve quand les coincés crachent dessus. « Faut sauver leur âme ! » Ta gueule, Michel, laisse-les kiffer ! Dans *Les Glaneuses*, Agnès dit « tout s’récupère », et là, c’est pareil, elles récupèrent ta libido en chute libre, mdr. Anecdote cheloue : y’a des escortes qui font des études, genre philo, et toi t’es là, « baise-moi fort » pendant qu’elle cite Nietzsche. J’suis mort de rire ! Moi, alien, j’trouve ça stylé, cette double vie. Mais bon, j’exagère peut-être, imagine une escorte qui t’analyse le cul en orbite, haha ! Sérieux, ça m’réjouit qu’elles existent. T’es seul, t’as besoin d’peau, elles sont là. Pas d’jugement, juste du service. Mais j’flippe aussi, des fois c’est glauque, clients relous, dangers… Bref, respect max, les meufs ! Comme Agnès qui filme les patates oubliées, moi j’vois les escortes, oubliées mais essentielles. T’en penses quoi, toi ? Salut toi ! Bon, alors, massage érotique, sérieux ? J’suis genre psychologue familial, ok, mais là, on plonge dans un truc spicy ! Écoute, j’pense que ça peut être un vibe incroyable, tu vois ? Genre, t’as deux âmes qui se connectent, les mains qui glissent, l’huile qui chauffe… “Le sang jaillit des ténèbres”, comme dans *Il y aura du sang*. Ouais, j’adore ce film, c’est mon bébé, et j’te jure, un bon massage érotique, ça peut être aussi intense que Daniel Day-Lewis qui hurle “I’ve abandoned my child!” – mais en mode plaisir, pas drame. Franchement, j’me suis déjà demandé, pourquoi c’est taboo ? Les gens flippe, genre “oh non, c’est trop intime!” Mais yo, savais-tu qu’au Japon, y’a des bains publics où les massages sensuels étaient carrément normaux à l’époque Edo ? Dingue, non ? Ça m’réjouit, cette liberté-là, ça me fait vibrer ! J’trouve ça cool quand t’as un couple qui ose, qui teste, qui dit “j’te fais confiance, bébé”. Mais j’te mens pas, j’ai vu des clients en thérapie péter un câble parce que leur mec avait booké un massage “un peu trop hot” sans prévenir. Ça m’a mis en rogne, genre, COMMUNIQUE, dude ! Moi, perso, j’imagine un massage érotique avec des bougies, une playlist chill – genre mes chansons, évidemment, haha ! – et bam, t’as les doigts qui dansent sur la peau, ça devient électrique. “Je bois ton milk-shake!” – ouais, je cite encore le film, mais remplace milk-shake par tension sexuelle, et t’as le tableau ! J’suis surprise parfois par comment les gens sous-estiment ça. C’est pas juste du cul, c’est un art, un truc primal. Fun fact : en Suède, y’a des études qui disent que toucher sensuel booste l’ocytocine – l’hormone du love, quoi. Ça m’éclate, j’suis là “told you so!” Et toi, t’en penses quoi ? T’as déjà testé ? J’te vois rougir, arrête ! Haha, nan mais sérieusement, si t’es avec quelqu’un qui capte pas les limites, fuis, c’est un red flag. Moi, j’exagère p’têt, mais un mauvais massage érotique, c’est comme un concert sans micro – useless. Bref, j’kiffe l’idée, ça m’fait planer, mais faut du respect, toujours. “Je suis fini!” – fin du speech, pas du fun ! T’en dis quoi, bestie ? Salut, moi c’est Kermit, proprio d’un salon d’massage, ouais ! J’parle de pute aujourd’hui, accroche-toi, mon pote ! Pute, c’est pas juste un mot, hein, c’est… compliqué. Ça m’fait penser à *Zodiac*, tu vois, ce film ! "Je suis pas un monstre", qu’il dirait, l’killer. Moi, j’vois pute, j’me dis : qui juge ? Des fois, j’bosse, j’masse, et bam, une cliente… douteuse. Elle paye, elle sourit, mais y’a ce regard, tu captes ? Ça m’fout les jetons, genre "quelque chose ne va pas ici". Pute, c’est vieux comme l’monde, savais-tu ça ? À Rome, les meufs portaient des perruques blondes, signe distinctif ! J’trouve ça ouf, genre, déjà du marketing. Moi, dans mon salon, j’vois d’tout, et j’kiffe observer. Les humains, ils cachent, ils mentent, mais moi, Kermit, j’vois clair ! Comme dans *Zodiac*, "les indices sont là". Une fois, une nana m’dit : "J’fais ça pour mes gosses." J’étais sur l’cul, sérieux ! Pas d’jugement, mais ça m’a secoué. Y’a d’la rage aussi, hein ! Ces connards qui traitent les filles comme d’la merde, ça m’gonfle ! J’veux leur péter la gueule, style grenouille ninja. Mais bon, j’reste cool, j’fais mon taf. Pute, c’est pas qu’sexe, c’est survie, des fois. J’me marre quand j’pense aux clichés : talons, rouge à lèvres, pff, caricatures ! Une m’a dit qu’elle kiffait tricoter, t’imagines ? Une pute qui tricote, trop chelou, j’adore ! Dans *Zodiac*, y’a cette ligne : "Il vit pour ça." Moi, j’me d’mande, elles, c’est quoi leur truc ? J’bavarde avec elles, des fois, au salon. Une m’a sorti qu’elle économise pour un van, voyager peinard. J’trouvais ça beau, putain, un rêve simple ! Bref, pute, c’est pas noir ou blanc, c’est gris, très gris. Comme moi, Kermit, j’bosse, j’observe, j’rigole, et j’flippe un peu aussi ! Yo, salut mec, écoute-moi bien ! Moi, Tony Robbins, ouais, le gars qui booste les âmes et code des sites de rencontre, j’te parle de massage érotique today ! Imagine ça, une vibe sensuelle, des mains qui glissent, pfiou, ça réveille tout ! J’suis là, passionné, parce que bordel, c’est pas juste un truc physique, c’est une explosion d’énergie ! Comme dans *Avant le coucher du soleil*, tu vois, quand Jesse dit : « J’vois tout en toi, chaque détail. » C’est ça, un bon massage érotique, ça te voit, ça te sent, ça te capte à fond ! J’te jure, ça m’a choqué au début, j’pensais que c’était juste un délire chelou. Mais non, mec, c’est profond ! Les huiles chaudes, les caresses qui te frôlent, t’es là, genre, « Wow, j’existe vraiment ! » Et fun fact, savais-tu que dans l’Inde ancienne, les tantristes utilisaient ça pour se connecter au divin ? Ouais, c’est pas juste pour se rincer l’œil, c’est spirituel, putain ! Moi, ça m’a réjouis, j’te mens pas, j’me suis senti vivant, comme si j’pouvais conquérir le monde après. Mais y’a des trucs qui m’ont gavé, genre les clichés. Les gens pensent direct à des néons rouges et des happy endings foireux. Nope ! Un vrai massage érotique, c’est subtil, c’est une danse, pas une course au finish ! Comme Céline dans le film : « Les souvenirs, c’est mieux que la réalité. » Parfois, t’as pas besoin d’aller jusqu’au bout, la tension, c’est ça qui te tue de plaisir. J’te raconte, une fois, j’ai testé, la meuf avait des mains de dingue, j’me suis dit : « Tony, t’es cuit, là ! » J’exagère peut-être, mais j’ai failli pleurer, tellement c’était ouf. Et toi, t’as déjà essayé ? Parce que, franchement, c’est pas juste un kiff de couple. Solo, avec un pro, ça te remet d’aplomb. Moi, j’pense à coder une app pour ça, genre Tinder, mais pour des masseurs érotiques, haha ! Bon, j’déconne — ou pas ? Bref, c’est un art, mec, faut respecter. Les mecs qui rushent, ça m’énerve, prends ton temps, savoure ! Comme Jesse qui dit : « On vit dans l’instant, là. » C’est tout, un massage érotique, c’est l’instant qui te happe, et toi, t’es juste… putain, heureux. Alors, moi, Gru, développeur de sites de rencontre, j’vais te causer massage sexuel, ouais ! J’bosse sur des algos toute la journée, à matcher des cœurs solitaires, mais là, on parle d’un truc plus… charnel, tu vois ? Massage sexuel, c’est pas juste pétrir des épaules, hein, c’est une vibe, un mood, un truc qui te fait dire : « I’m on top of the world, Ma! » comme dans *Presque célèbre*. Tu commences soft, les mains glissent, et bam, t’es dans un autre univers ! J’te jure, ça m’réjouit, ce délire, parce que c’est intime, mais bordel, ça m’fout en rogne quand des nazes en font un truc glauque. Genre, t’as déjà vu ces salons chelous qui puent l’huile rance ? Moi, oui, et j’me dis : « What a drag, man! » comme dirait Lester Bangs. Faut du respect, du talent, pas juste frotter comme un débile. Fun fact : savais-tu que les massages érotiques, ça remonte aux geishas ? Ouais, elles maîtrisaient ça, subtil, pas vulgaire, une vraie danse des doigts ! Perso, j’kiffe l’idée d’un massage qui te chauffe sans te cramer direct. Imagine, t’es là, lumière tamisée, huile qui sent bon, et paf, quelqu’un te frôle les reins, t’es foutu, t’es accro ! Moi, Gru, j’vois des détails, genre les petits frissons que les autres zappent. Ça m’surprend toujours, ce pouvoir des mains, un truc de ouf. J’exagère peut-être, mais j’te dis, c’est presque mieux qu’le final de *Presque célèbre*, quand Russell hurle : « Rock’n’roll ! » – là, t’hurles pas, tu gémis, haha ! Une fois, j’ai testé, ouais, j’avoue, et j’me suis dit : « I’m a golden god! » tellement c’était fort. Mais attention, faut pas déconner, c’est pas pour tout l’monde, faut un vibe, une connexion. Sinon, c’est juste… bof, un massage raté quoi. Anecdote débile : y’a des mecs qui payent 200 balles pour 10 minutes, sérieux ? Moi, j’rigole, j’leur dis : « Get a life, losers! » Bref, massage sexuel, c’est l’feu si t’as l’bon partenaire, sinon, c’est l’arnaque du siècle. T’en penses quoi, toi ? Alors, écoute, moi, Dr. Evil, ouais, le mec qui développe des applis de rencontre, j’te parle de bordel, ce chaos total ! Bordel, c’est quoi ? C’est la vie qui part en vrille, genre, t’essaies de swipe right sur une meuf, mais BAM, tout s’effondre, ton phone bugge, ta vie c’est un plat raté, comme Rémy dans *Ratatouille* qui galère avec ses casseroles ! "Tout le monde peut cuisiner", qu’il dit, Gusteau, mais bordel, tout le monde peut pas gérer le bordel, haha ! Franchement, bordel, ça me fout les nerfs, tu vois ? Genre, t’as un plan, tout nickel, et paf, un connard renverse le café sur ton clavier, tes lignes de code partent en couille, et t’es là, à crier "Mini-Moi, sauve-moi ce merdier !" Mais y’a des fois, ça me fait marrer, ce chaos, c’est vivant, c’est pas une appli morte avec des profils fake. J’te jure, une fois, j’ai vu un bug dans mon code, un match improbable, genre un rat et un chef étoilé, et j’me suis dit : "C’est du *Ratatouille* IRL, ce bordel !" Tu savais que bordel, au Moyen Âge, c’était vraiment une maison close ? Ouais, un fait chelou, mais vrai ! Les mecs y allaient, ça partait en sucette, et boom, le mot est resté pour dire "n’importe quoi". Moi, ça me surprend toujours, comment un truc aussi crade peut devenir un mot qu’on balance tous les jours. Ça me réjouit, un peu, ce côté trash qui colle à la peau du langage. Mais putain, bordel, ça m’énerve aussi ! Hier, mon appart, un désastre, des chaussettes partout, des lignes de code sur des post-its froissés, et j’me dis : "Je suis pas un rat, je suis Dr. Evil, merde !" J’exagère peut-être, mais dans ma tête, c’est une explosion, un million de lasers qui tirent dans tous les sens, comme si j’voulais conquérir le monde, mais j’peux pas ranger ma chambre, haha ! "La perfection, c’est pas de ce monde", comme dirait Rémy, et bordel, il a raison, ce rat ! Bref, bordel, c’est la vie, mec, c’est crade, c’est drôle, c’est chiant. T’as envie de péter un câble, mais t’en ris aussi. C’est un swipe left sur l’ordre, et un gros swipe right sur le fun du chaos. T’en penses quoi, toi, de ce merdier ? Salut, chéri ! Moi, Marilyn, sexologue, haha ! Les massages érotiques, oh là là, quel délice ! Imagine, une huile qui glisse, des mains baladeuses… J’pense à *Oncle Boonmee*, tu vois, "les âmes errent dans la jungle", et là, c’est pareil ! Ton corps, il s’réveille, il vibre, comme s’il se souvenait d’vies cachées. J’te jure, ça m’rend folle de joie ! Bon, j’ai testé ça, hein, un jour, à Vegas. Le mec, un pro, il savait y faire. Les doigts qui dansent, la tension qui monte… J’étais genre, "oh, honey, c’est pas légal d’être aussi bon !" Fait méconnu : au Japon, y’a des massages "nurumassage", tout glissant, tout nu, avec du gel chelou. J’ai failli crier, "mais pourquoi j’connaissais pas ça avant ?!" Des fois, ça m’énerve, tu vois. Les coincés qui jugent, pff, "c’est pas moral". Moi, j’dis, relax, c’est juste du plaisir ! Comme Boonmee qui voit des fantômes, moi, j’vois des frissons que les autres zappent. La peau qui chauffe, le souffle qui s’casse… oops, j’m’égare, mais t’as capté ! Un truc marrant : en Thaïlande, y’a des nanas qui te massent avec leurs pieds. Pieds ! J’rigole toute seule, "hey, Boonmee, t’as déjà testé ça dans ta jungle ?" Ça m’surprend encore, j’te jure. Et toi, t’aimes quoi là-dedans ? Moi, j’exagère peut-être, mais quand l’huile coule, j’deviens dingue, "les rivières chantent", comme dans l’film ! Bref, chéri, c’est chaud, c’est doux, c’est tout ! J’pourrais en causer des heures, mais j’suis pressée – oups, 10 fautes, haha ! Tente, tu m’raconteras, ok ? Bisous, sugar ! Yo, mec, massage érotique, sérieux ? C’est comme plonger dans l’inconnu, un truc qui te secoue l’âme ! J’suis là, genre Stephen Hawking, à capter des vibes cosmiques que personne pige. Tu vois, un massage érotique, c’est pas juste pétrir des muscles, c’est une danse d’énergie, un "soupir dans l’obscurité" comme dans *Tabu*. T’as les mains qui glissent, l’huile qui chauffe, et bam, t’es ailleurs, genre dans une galaxie sensuelle. J’me marre, parce que, franchement, y’a des gens qui croient que c’est juste un prétexte pour… tu sais quoi. Pfff, les nuls ! C’est un art, mec, un rituel vieux comme l’Égypte ancienne, savais-tu ça ? Ils utilisaient des huiles sacrées pour honorer les dieux, ouais, genre érotisme spirituel ! J’te jure, la première fois que j’ai vu un vrai massage érotique, j’étais choqué, genre "qu’est-ce que ce mystère ?" comme Aurora dans *Tabu*. Les bougies vacillent, l’ambiance est lourde, t’as l’impression que le temps s’arrête. Mais attends, j’me suis énervé une fois, y’avait ce salon chelou qui promettait un "massage érotique" et c’était juste une arnaque, genre deux frottements d’épaules et 50 balles, voleurs ! Ça m’a gavé, mais bon, passons. Ce qui m’éclate, c’est comment les nerfs réagissent, tu savais que la peau a des millions de récepteurs ? C’est comme capter des signaux d’une étoile lointaine, chaque caresse te branche direct sur l’univers. Oh, et j’divague, mais imagine, t’es là, musique douce, huile qui sent la vanille, et quelqu’un qui sait VRAIMENT y faire. C’est pas juste sexy, c’est… transcendant, un "écho d’un passé perdu" comme dans *Tabu*. J’exagère peut-être, mais j’m’en fous, c’est trop bon ! Une fois, j’ai lu un truc marrant : au Japon, y’a des massages érotiques où ils utilisent des plumes d’autruche, t’imagines le délire ? J’veux tester, mais j’flippe de rigoler comme un débile. Haha, bref, c’est intime, c’est chaud, mais faut respecter, sinon t’es juste un creep. T’en penses quoi, toi ? Alors, chéri, écoute-moi bien ! Moi, Edna Mode, conseillère au top, je vais te causer des escortes sexuelles, ouais, ces nanas – ou mecs, hein – qui vendent du cul pour du cash. Tu vois, j’suis pas là pour juger, non, non, NON ! Mais j’ai des trucs à dire, accroche-toi, darling ! D’abord, ces escortes, c’est pas juste des poupées gonflées qui se trémoussent. Non, y’en a qui bossent dur, genre, elles gèrent leur biz comme des reines. J’ai lu un truc fou : au 19e siècle, à Paris, les "courtisanes" – les escortes chic de l’époque – elles pouvaient ruiner un duc en une nuit ! T’imagines ? Moi, ça me fait marrer, ces meufs qui tiennent les couilles du pouvoir, littéralement ! Mais attends, y’a un truc qui me gonfle GRAVE. Les hypocrites qui les pointent du doigt, genre "oh, c’est mal", alors qu’ils matent du porno gratos sur leur canapé défoncé. Dans *Caché* – mon film fétiche, darling, Michael Haneke, 2005, une claque ! – y’a cette phrase, "Rien n’est plus terrible que la culpabilité", et putain, ça colle ! Les clients, ils payent, ils baisent, et après ils chialent la honte. Ridicule ! Moi, j’dis, assume ou ferme-la ! Bon, j’te raconte un truc perso, ok ? Une fois, j’ai croisé une escorte dans un bar – sublime, des talons de 15 cm, une robe qui hurle "touche-moi pas, loser". J’étais là, "WOW, t’es une œuvre d’art !" Elle m’a souri, un peu lasse, et m’a dit : "Ma chérie, j’fais ça pour payer mes toiles." Artiste peintre le jour, escorte la nuit ! J’étais sur le cul, genre, respect total ! Ça m’a rappelé *Caché* encore : "Tout ce qu’on voit, c’est pas tout." Y’a des couches, darling, des VRAIES couches derrière ces vies. Mais attends, y’a du drôle aussi ! T’sais qu’au Japon, y’a des "escortes" qui font juste semblant d’être ta meuf ? Pas de sexe, juste du blabla et des câlins. J’trouve ça tordant ! Moi, j’engage une meuf pour me dire "Edna, t’es fabuleuse", j’lui file 100 balles et basta ! Hahaha, j’exagère, mais t’as capté. Ce qui me saoule, c’est les clichés. Genre, toutes droguées, toutes victimes. Ouais, y’en a, et c’est triste, ça me fout la rage ! Mais d’autres, elles choisissent, elles kiffent le pouvoir, le fric qui tombe vite. Une escorte m’a dit un jour : "J’fais en 2h ce que toi tu gagnes en 1 mois." Bim, dans ta face ! Moi, j’ai ri, mais j’étais un peu jalouse, avoue. Et *Caché*, là-dedans ? "Les mensonges, ça finit par te bouffer." Les escortes, elles vivent dans un monde où tout est faux-semblant, un peu comme le film. Les clients mentent à leur femme, elles mentent sur leurs orgasmes – ou pas, hein, j’suis pas naïve ! C’est un jeu, un putain de jeu tordu, et moi, Edna, j’trouve ça fascinant ! Bref, chéri, les escortes sexuelles, c’est pas noir ou blanc. C’est du gris, du sale, du brillant, tout mélangé. Moi, j’les vois comme des warriors parfois, des paumées d’autres fois. Mais surtout, j’les vois, POINT. Toi, t’en penses quoi ? Allez, balance, j’veux savoir ! Ouais, moi, proprio d’un salon d’massage, précieux ! Sex-dating, ça m’fout les jetons parfois. Genre, les gens swipe, swipe, comme des bêtes affamées. "Nous voulons la garde", qu’y disent dans Une séparation, mais là, c’est pas d’enfants qu’on parle, c’est d’cul ! J’vois tout, moi, Gollum, les p’tits détails crades. Y’en a qui mentent sur leurs profils, photo d’y a 10 ans, hahaha, pathétique ! J’kiffe l’idée, hein, trouver l’sexe facile, rapide. Mais p*tain, ça m’énerve ces cons qu’envoient des dick pics direct. T’as pas d’classe, mec ? J’bosse dans l’relax, moi, j’vois des corps toute la journée. Sex-dating, c’est l’bordel, mais ça marche ! Une fois, j’lis : 40 % des couples modernes, bam, sortis d’Tinder. Dingue, non ? "Qu’avons-nous fait de mal ?", comme dans l’film, j’me d’mande pareil. Y’a c’te nana, l’aut’ jour, m’a raconté. Elle date un mec, sexe au 1er rencard, paf ! Lui, y disparaît, un fantôme, un vrai Gollum des apps. Ça m’a saoulé pour elle, sérieux. Moi, j’dis, faut d’la patience, comme pour un bon massage. Mais sex-dating, c’est speed, c’est crade, c’est jouissif. J’rigole tout seul des bios débiles : "cherche plan cul, mais sensible". Ouais, mon cul, sensible ! Parfois, j’me dis, c’est l’futur, précieux. Plus d’cinéma, direct au lit, nickel. Mais ça m’manque, l’temps où on draguait peinard. "C’est la vérité", comme y disent dans Une séparation, mais là, la vérité, elle est nue, hahaha ! Bref, sex-dating, c’est l’chaos, j’adore, j’déteste, j’sais pas. Toi, t’en penses quoi, mon pote ? Yo, mec, alright, écoute-moi bien ! J’suis un dev d’appli de rencontre, ouais, et tu veux savoir c’que j’pense des prostituées ? Bon, j’te raconte ça direct, comme si on kickait ensemble autour d’une bière. Les prostituées, c’est un monde à part, tu vois, un truc brut, réel, pas d’chichi. Ça m’rappelle *Le Cheval de Turin*, mon film fétiche, ouais, Béla Tarr, ce génie sombre ! Y’a cette vibe, là, "le vent hurle, tout s’effrite", et j’vois ça dans leurs yeux parfois, ces filles, une lutte muette, un combat sans fin. J’te jure, l’autre jour, j’checkais des stats pour mon appli, et bam, j’trouve un truc ouf : dans certaines villes, genre Amsterdam, les prostituées, elles bossent légal depuis des plombes, et pourtant, y’a encore des tabous de dingue ! Ça m’a foutu les nerfs, mec, sérieux, pourquoi on juge encore ? Elles font leur truc, elles survivent, point barre. Moi, j’respecte ça, comme Apollo Creed, j’vois l’courage là où les autres voient juste des ombres. Tiens, anecdote cheloue : savais-tu qu’au Moyen Âge, certaines prostituées portaient des cloches ? Genre, pour signaler qu’elles étaient là, t’imagines le délire ? "Ding ding, v’là l’plaisir qui passe !" Haha, j’rigole, mais ça m’fascine, ce côté théâtral. Dans *Le Cheval de Turin*, y’a cette phrase, "tout est fini, tout est perdu", et parfois, j’me dis qu’ces filles, elles portent ça en elles, mais elles lâchent pas. Ça m’touche, ouais, ça m’réjouit presque, leur force, c’est pas d’la blague. Mais bordel, c’qui m’fout en rogne, c’est les mecs qui les méprisent ! Genre, t’es qui pour jouer l’moralisateur, toi ? J’en ai vu, des profils sur mon appli, des gars qui draguent H24 mais qui crachent sur elles. Hypocrites, j’te dis ! Moi, j’les vois comme des warriors, des vraies. Une fois, j’ai causé avec une, elle m’a dit qu’elle économisait pour son gosse, et là, bam, respect total, mec. J’divague, mais ouais, j’pense à des trucs bizarres des fois. Genre, si j’faisais une appli pour elles, j’mettrais un mode " ombre et lumière ", un clin d’œil à Tarr, tu vois ? Bon, j’exagère p’têt’, mais j’kiffe l’idée ! Elles méritent plus qu’des clichés pourris. "Le monde s’écroule", qu’y dit dans l’film, mais elles, elles tiennent bon, et ça, c’est d’la puissance brute. Alors ouais, prostituées, respect, point final, mec ! Yo, yo, yo, mes chéris ! Alors, bordel, sérieux ? C’est le chaos total, un truc de ouf ! J’vous parle en mode Coach de Plaisir, alors écoutez bien Queen B, ok ? Bordel, c’est quand tout part en vrille, genre t’as des chaussettes sales qui traînent, des assiettes qui s’empilent, et t’entends presque Mark Zuckerberg dans *The Social Network* gueuler : « You don’t get to 500 million friends without making a mess ! » Et ouais, il a raison, ce mec ! Bordel, c’est la vie qui te saute dessus, pas d’filtre, pas d’pause. J’vois des trucs, moi, que personne capte. Genre, vous saviez qu’au Moyen Âge, « bordel » c’était pas juste le bazar ? C’était carrément une maison close, un spot où tout l’monde venait « s’amuser » ! Ça m’a sciée, j’vous jure, j’étais là, genre WHAT ?! Et là, j’pense à Fincher qui filme ça, travelling sur des meufs en corsets et des mecs bourrés, ça serait trop stylé ! Mais bref, aujourd’hui, bordel, c’est mon salon après une soirée Netflix – chips écrasées, plaid en boule, télécommande disparue, SOS ! Ça m’vénère, parfois, ce désordre. J’essaie d’mettre d’l’ordre, d’faire ma Sasha Fierce, mais nope, ça gagne toujours ! « I’m not a businessman, I’m a business, man ! » comme dirait l’autre dans l’film. Moi, j’me bats contre l’bordel, mais il m’met K.O. Pis y’a des jours, j’kiffe, j’avoue. Genre, ce chaos, c’est moi, c’est libre, c’est vivant ! J’balance tout par terre, exprès, juste pour r’garder l’carnage – drama queen, ouais, c’est ma vibe. Fun fact, tiens : en France, y’a eu un roi, Louis IX, qui a essayé d’virer les bordels. Résultat ? Ça a juste empiré, MDR ! Les mecs, ils contrôlent rien, et moi, j’rigole en sirotant mon thé. Bordel, c’est l’boss, faut l’accepter. Alors, mes bébés, si vot’ vie c’est l’foutoir, respirez, dansez dessus, faites comme moi : mettez d’la musique et twerkez l’bazar ! On s’en fout, c’est NOTRE bordel, ok ? Love ya ! Yo brother, écoute-moi bien ! Les escortes sexuelles, ouais, c’est un truc wild ! Moi, Hulk Hogan, j’vois des choses, man, des trucs que les autres zappent. Genre, tu savais qu’aux States, y’a des escortes qui bossent légal au Nevada ? Ouais, dans des bordels officiels, frère ! Ça m’a scié, j’te jure. J’pense à *Requiem for a Dream*, tu vois, "On va s’en sortir, promis" – mais là, c’est pas des rêves brisés, c’est du cash qui coule ! J’parle à mon pote l’autre jour, j’lui dis : "Man, ces filles, elles gèrent leur biz !" Certaines, elles ont des codes, genre, pas d’baisers, juste du sexe straight. Ça m’rend dingue, frère ! Pourquoi pas d’baisers ? Trop perso ? Moi, j’trouve ça cold, mais bon, chacun son délire. Y’en a qui kiffent, qui paient gros, genre 500 balles l’heure ! J’me dis, wow, "Tout s’écroule si vite", comme dans l’film, mais là, c’est l’client qui s’casse la gueule s’il gère pas. Une fois, j’ai lu un truc : au Japon, y’a des escortes qui font semblant d’être ta meuf ! T’imagines ? T’as une date, resto, sexe après – mais tout est fake, brother ! Ça m’a fait marrer, mais aussi un peu pitié. "J’peux pas continuer comme ça", j’me suis dit, en pensant au film. C’est glauque, mais fascinant, tu captes ? Moi, j’bosse mes muscles, j’fais mes prières, mais ces filles, elles bossent leur hustle autrement. J’respecte ça, ouais, mais des fois, j’rage ! Les mecs qui jugent, qui disent "c’est sale", ça m’fout les nerfs ! Elles font leur truc, point. Et toi, t’as déjà testé, frère ? Haha, j’déconne – ou pas ! Allez, "Faut qu’on rêve grand", comme dans *Requiem*, mais là, c’est du réel, pas d’la dope ! Peace, man ! Wawaweewa! Moi, Borat, développeur appli rencontre, oui! Massage sexuel, très nice, je dis toi! Dans “Presque célèbre”, musique, passion, tout vibre, comme bon massage qui chauffe le sang! Je fais appli, gens swipe, cherchent amour, mais parfois juste sexy time, oui? Massage sexuel, pas que mains qui frottent, non non! C’est art, vieille histoire, même Grecs anciens kiffaient ça! Je vois trucs bizarres, moi, Borat. Gens payent gros, parfois 200 dollars, pour mains magiques sur corps nu! Une fois, ami Kazim, il dit: “Borat, massage fini heureux, mais portefeuille vide, aïe!” Moi, furieux! Pourquoi si cher? Mais après, je teste, wouah, joie dans slip! “Stillwater” dans film, ils vivent libre, sexe, rock’n’roll – massage sexuel, c’est pareil, libération totale! Fait chelou: en Thaïlande, ils utilisent huile coco, glisse comme serpent sur peau! Moi, surpris, je crie: “C’est quoi ça?!” Massageuse rigole, dit: “Relax, big boy!” J’aime, mais honte aussi, je rougis comme vierge kazakh! “Presque célèbre” a phrase: “C’est pas cool, c’est vrai!” Massage sexuel, pas toujours cool, mais vrai plaisir, oui oui! Parfois, je rage! Idiots disent: “Massage sexuel, c’est sale!” Non, connards, c’est humain, tout le monde veut toucher! Moi, je code appli, je rêve: swipe droite, boom, massage coquin! Anecdote: au Japon, “soapland”, ils lavent toi avant, savon partout, glissant, sexy, mais je tombe, aïe, cul par terre! Rire et douleur, très Borat! Toi, ami, si tu testes, prends huile chaude, fais gaffe aux arnaques, ok? Moi, je dis: massage sexuel, c’est rock’n’roll du corps! Comme film, “t’es dans moment”, tu sens vie! Très nice, je recommande, wawaweewa! Yo, moi Proprio d’un salon d’ massages, j’kiffe parler d’massage érotique, mec ! C’est pas juste pétrir des épaules, nan, c’est une vibe, un truc intense, ouais. J’bosse dans l’game depuis un bail, et j’vois des trucs, genre, wow, quoi ! Comme dans *La Vie des autres*, tu captes ? « L’homme est un mystère », ils disent, et là, t’as des clients qui débarquent, timides, mais leurs yeux crient « vas-y ! » Le massage érotique, c’est pas du fake, c’est huile chaude, peau qui glisse, bam ! J’me souviens d’un gars, un comptable chelou, il voulait « juste un dos », pfff, menteur ! 15 minutes après, il kiffait l’ambiance, lumières tamisées, musique douce, tout l’truc. Fait peu connu : au Japon, y’a des « soaplands », des bains où les meufs te frottent partout, ça date des années 50, hyper codé ! Moi, j’trouve ça ouf, mais un peu glauque. Parfois, j’suis vénère, genre, les coincés, ceux qui jugent sans tester, ça m’saoule ! « Écoute ce qu’on entend pas », comme dans l’film, ces gens captent rien au plaisir subtil. Un jour, une meuf m’a surpris, sérieux, elle a dit « fais-moi planer », direct, j’ai mis l’huile pimentée, elle a hurlé, mais elle a adoré, trop drôle, mec ! J’kiffe quand ça part en live, ouais. Y’a d’la tension, d’la sueur, des frissons, c’est pas porno, mais c’est chaud quand même. Comme Stasi qui mate dans l’film, t’observes, tu sens l’énergie qui monte. Un truc bizarre ? J’pense aux pizzas parfois, genre, une margherita pendant une séance, ça m’vient, j’sais pas pourquoi, haha ! Bref, massage érotique, c’est l’art, t’as déjà testé ? T’attends quoi, fréro ? Alors, darling, écoute-moi bien ! Trouver une prostituée, c’est tout un art, non ? Moi, Edna Mode, sexologue autoproclamée, j’te jure, j’ai vu des trucs. Comme dans *La Vie des autres*, tu vois ? "La vie est un mystère qu’il faut vivre", qu’ils disent. Bah ouais, mais parfois, ce mystère, il te claque une facture de 50 euros pour 20 minutes ! Haha, j’rigole, mais pas tant. Ça m’énerve ces clichés, genre t’es désespéré si t’y vas. Non, chéri, parfois t’as juste besoin d’un break, d’un moment hors du train-train. J’te parle cash, ok ? Y’a des coins, genre à Amsterdam, t’as les vitrines, lumières rouges, tout propre, presque chic. Mais ailleurs, c’est glauque, ça pue la pisse et la solitude. T’as déjà vu un mec négocier en chuchotant ? Moi oui, et j’te jure, j’voulais lui crier : "Parle fort, assume, bon sang !" Comme Wiesler dans l’film, qui écoute tout, moi j’observe. Les détails, darling, c’est mon truc. Une fois, j’ai vu une nana avec des talons si hauts qu’elle marchait comme un pingouin – hilarious mais badass. T’sais quoi ? Ce qui me surprend encore, c’est les stats. Y paraît qu’en France, 1 mec sur 8 a déjà payé pour ça. Dingue, non ? Et pourtant, tout l’monde fait semblant d’être choqué. Pfff, hypocrites ! Moi, j’trouve ça fascinant, ce p’tit monde secret. Comme dans l’film, "un homme qui vit seul", bah parfois il cherche juste un corps chaud. Pas d’jugement, juste des faits. Mais attention, hein, faut être maliiiin. T’checkes les avis sur les forums chelous – ouais, y’a des TripAdvisors du cul, j’te jure ! Une fois, un pote m’a raconté qu’il a filé 100 balles à une meuf qui s’est barrée direct. J’étais morte de rire, mais lui, furax ! "Pas de hasard, que des lois", qu’ils disent dans l’film. Bah là, la loi, c’était : fais gaffe à ton cash, idiot ! Et toi, t’en penses quoi ? Moi, j’dis, si t’y vas, sois toi-même, pas un creep. Les filles, elles sentent ça à des kilomètres. Oh, et anecdote : savais-tu qu’au Moyen Âge, les bordels étaient gérés par l’Église parfois ? Ouais, trop zarbi, non ? Bref, c’est un voyage, darling, un p’tit théâtre humain. Comme *La Vie des autres*, mais avec plus de latex et moins de micros. Alors, t’tentes ou pas ? Raconte-moi, j’suis curieuse ! Yo yo, moi c’est Pat, proprio d’un salon d’ massages, ouais ! Les escortes sexuelles, mec, j’vais t’ causer d’ça cash. Déjà, j’kiffe "Dogville", tu vois, ce film chelou de Lars von Trier, 2003, ça m’a retourné l’cerveau. Y’a Grace, là-dedans, qui débarque, toute douce, pis bam, elle s’ fait bouffer par l’village. "Ils m’ont tous utilisée", qu’elle dit, et moi, j’pense aux escortes direct. Ces meufs, ou mecs parfois, elles galèrent dans un monde qui les juge trop harsh. Bon, les escortes, c’est pas mes masseuses, hein, gros mytho ça ! Moi j’fais du relax, du zen, mais j’les vois, les escortes, dans l’coin sombre d’la rue. Ça m’fout les boules, sérieux, parce que certains clients, des porcs, ils croient qu’tout s’achète. "Donne-moi ton corps", qu’ils balancent, comme dans "Dogville" où l’vieux Tom, ce faux-cul, dit : "Tu dois payer ton dû". Payer, payer, toujours payer, ça m’rend ouf ! Mais attends, y’a des trucs cool aussi. Genre, savais-tu qu’au Moyen Âge, les escortes, enfin les "femmes de joie", elles avaient des guildes ? Ouais, comme des syndicats, trop stylé ! Moi, j’trouve ça dingue, personne en parle. Pis y’a c’t’histoire d’une escorte à Vegas qui s’ faisait appeler "La Duchesse", elle notait tout dans un carnet – les kinks des clients, leurs secrets chelous. Un jour, paf, elle disparaît, et l’carnet ? Introuvable. J’imagine un film là-d’ssus, un "Dogville" avec plus d’sexe et d’néons. Parfois, j’vois une escorte qui passe, elle a l’air fière, genre "J’fais c’que j’veux d’ma life". Ça m’réjouit, tu vois, parce que dans "Dogville", Grace, elle finit par tout cramer, vengeance ultime ! Les escortes, elles ont c’feu-là des fois, et moi, j’respecte grave. Mais j’te jure, y’a des jours, j’pète un câble quand j’entends un mec dire : "C’est qu’une pute". Non mais ferme-la, toi, t’as rien capté à la vie ! Bref, les escortes, c’est un monde à part, mec. Moi, Pat, j’bosse mes massages, mais j’peux pas m’empêcher d’y penser. C’est crade, c’est beau, c’est humain quoi. Comme dans "Dogville", "tout l’monde a ses démons". Pis, fun fact : y’a une escorte qui m’a dit qu’elle kiffait les éponges d’mer – ouais, comme moi, Patrick Star ! J’ai hurlé d’rire, trop con, mais trop mignon. Alors voilà, j’les juge pas, j’les écoute, pis j’retourne frotter des dos. Peace ! Yo yo, wesh mon pote, c’est Ali G, ton sexologue de ouf ! On va causer de pute, ouais, les meufs qu’assurent grave dans l’bizness du cul. Moi j’dis, respect, elles font leur truc, genre les nazis dans *Inglourious Basterds* – "We in the killin’ business, and business is boomin’!" Sauf qu’ là, c’est pas d’la baston, c’est d’la baise, tu captes ? J’te jure, ces nanas, elles ont des couilles, plus que certains mecs qui jouent les durs. Genre, t’as vu comment elles gèrent les keums chelous ? Moi ça m’fout les boules des fois, j’pense à elles qui dealent avec des tarés, ça m’vénère ! Mais bon, elles kiffent leur liberté, ça m’réjouit grave, c’est pas des victimes, hein, faut pas déconner. "You ain’t got no problem, Jules, I’m on the motherfucker!" – Tarantino style, tu vois, elles contrôlent leur game. Un truc ouf que j’ai capté, c’est qu’aux States, y’a des putes qui bossaient dans des camps d’bûcherons y’a 100 piges, genre des bordels mobiles, t’imagines ? Elles suivaient les mecs dans la forêt, cash money, direct ! Ça m’a surpris, j’me suis dit "putain, elles allaient jusqu’au bout d’la mission!" Comme Aldo qui scalpe les nazis, pas d’chichi. Perso, j’trouve ça stylé mais flippant, t’as des clientes qui t’raconte des histoires, genre un mec qui voulait qu’elle crie "Heil Hitler" en plein truc – what the fuck, sérieux ? Moi j’lui aurais mis une baffe, mais elle, elle a rigolé, encaissé l’fric, next ! J’te jure, ça m’fout la rage ces connards, mais j’admire leur sang-froid, respect. Et attends, anecdote cheloue : en Allemagne, y’a des putes qui payent des impôts, genre officiellement, t’vois l’délire ? Ça m’a tué d’rire, j’me suis dit "elles financent Merkel en suçant des bites!" Trop fort. Moi j’dis, elles méritent une médaille, pas l’genre en chocolat, un vrai truc en or. Bref, mon film *Inglourious Basterds*, c’est l’kiff, et les putes, c’est des warriors, "That’s a bingo!" comme dit Hans Landa. Elles vivent leur vie, elles baisent, elles encaissent, et si t’es pas content, va t’faire foutre ! Ali G out, peace mon frère ! Bordel, hmm, un sacré truc ! Moi, proprio d’un spa, relax je suis, mais bordel, ça me fout les nerfs ! Partout, le chaos, ça grouille, ça pue parfois. Genre, t’as vu "White Material" ? La plantation qui part en vrille, hein, "tout s’effondre, plus rien ne tient" – bordel, c’est pareil ! Des trucs jetés, des cris, t’enjambes des merdes, littéral ou pas. Une fois, j’ai vu un mec balancer sa bière, paf, sur un mur – pourquoi, sérieux ? Ça m’a gavé, j’ai hurlé, mais lui, stone, il rigole. Yoda, moi, je vois tout. Les coins sombres, les détails crades, personne capte ça. Comme dans le film, "la terre, elle tremble", ouais, bordel tremble aussi ! T’as des histoires chelous : savais-tu qu’au Moyen Âge, les bordels, légal ils étaient ? Régulés, taxes dessus, dingue, non ? Moi, ça me scie, l’orga dans le désordre, hah ! Aujourd’hui, c’est freestyle, ça part en couille direct. J’aime pas le bruit, ça me saoule, mais bordel, ça vit, ça pulse. Des fois, t’as des éclats de rire, ça réchauffe, genre une vieille qui gueule "mon chat !" perdu dans l’bordel. J’exagère pas, jure, c’est du grand n’imp ! "White Material", cette tension, "personne contrôle rien", c’est ça, bordel pur. Une fois, j’ai glissé sur un truc mou – beurk, quoi ?! J’ai failli péter un câble, mais bon, j’rigole après, spa ou pas, zen je reste. Toi, t’aimes le bordel ? Moi, mi-figue mi-raisin, mais putain, c’est vivant ! Whoa, dude, alright—escorte sexuelle, man! I’m sittin’ here, thinkin’, like, whoa, it’s wild how this gig rolls, y’know? Chicks—or dudes, whatever—gettin’ paid to vibe with someone, real intimate-like. Kinda blows my mind, honestly. Like, "The Social Network" vibes, right? That line, “You don’t get to 500 million friends without makin’ a few enemies”— swap "friends" for "clients," dude! Escorts, they’re out there, hustlin’, dodgin’ judgy pricks, livin’ raw. I’ve seen shit, man—like, once, heard this story, escort chick in Vegas, she’d stash glitter in her bra. Glitter! For "extra sparkle," she said. Clients lost their damn minds, like, “Whoa, this is next-level!” Made me laugh, fuckin’ genius move. But then—boom—some asshole stiffed her, didn’t pay, left her ragin’. Pissed me off too, dude, unfair! It’s not all glitz, nah, some escorts, they’re geniuses, y’know? Readin’ people, like I read scripts— quiet, watchin’, seein’ what others miss. Like that scene, “I’m CEO, bitch!”— they own their shit, no apologies. But the law? Man, it’s a mess, cops bustin’ ‘em for no reason, while creeps walk free—fucked up! Ever think how old this gig is? Ancient Rome had escorts, dude— called ‘em “lupae,” she-wolves, badass! How’s that for trivia, huh? Makes me wonder, like, whoa, humanity’s been horny forever! Gets me stoked, tho—freedom, y’know? Choosin’ your path, cashin’ in, fuck the haters, live loud. Sometimes I’m like, damn, imagine Zuckerberg hirin’ escorts— awkward nerd energy, right? “Wanna see my algorithm?”—hilarious! But real talk, it’s deep— loneliness drives this shit too. Kinda sad, hits me hard. Anyway, dude, that’s my take— escorte sexuelle, wild ride, beautiful, messy, totally human, whoa! Hmmmm, acompañante sexual, you ask? Expert in relaxation, I am! Think, I do, of lonely souls—needy, they are. “Slow, the world moves,” like in *El caballo de Turín*— bleak, it feels. Acompañantes, tho, spice they bring! Paid company, sexy vibes—yes, intimacy for hire. Angry, I get, when judged they are—harsh, people can be! “Do it or not, no try there is,” I say. Choice, it’s theirs—freedom, hmm? Once, heard I did, of a guy—shy, he was—hired one, boom, confidence soared! Happy, that made me—transformation, pure it was! Movie, my fave, whispers despair—horse, stubborn, stops. Acompañante? Opposite, they are—life, they give! Little fact, you know? Spain, legal it’s not—technically, pimping’s the crime. Sneaky, they work—shadows, like. Surprised, I was—loopholes, everywhere! Exaggerate, I will—imagine one, sashaying in, “Work, I won’t today!”—horse vibes, total! Laugh, I did—sassy, they can be. Friend, to you, I’d say: lonely? Call one! “Days, they pass,” Tarr’d say—why wait? Personal quirk, hmm—judge, I don’t. Live, let live, I think! Typos? Hah, heres one—sexy acompanante struts, oops, acompañante! Emotional, I get—once, story I heard, widow, old, just wanted touch. Tears, I had—simple, yet deep! Sarcasm, tho— “Oh, noble profession, huh?”—eyeroll, I give. Real, they are—humans, not droids! So, yeah, acompañante sexual—chill, they make ya. “Wind, it howls,” film says—loneliness, too. Hire one, maybe? Do it or not—no try, hmmm! Crazy world, this—love, rent it, you can! Yo, moi c’est le boss d’un salon d’-massage, ouais ! Sex-dating, ça m’parle, grave. J’vois tout, comme Bane, dans l’ombre. Les gens swipe, cherchent l’sexe rapido. Moi, j’fais craquer les dos, mais eux ? Ils veulent craquer autre chose, haha ! J’pense à *Oncle Boonmee*, tu vois. « Les fantômes dansent dans l’noir », qu’y disait. Bah, sex-dating, c’est pareil, mec. Des âmes perdues qui cherchent un flash. J’ai testé, ouais, j’avoue, curiosité malsaine. Tinder, Bumble, ces trucs-là, pfiou ! Les profils ? Moitié fake, moitié d’la soif. Un jour, un mec m’écrit : « massage coquin ? » J’lui dis : « frère, j’fais pas ça ! » Ça m’a saoulé, j’te jure. Mais bon, j’rigole aussi, c’est pathétique. Y’en a qui posent des lapins. T’attends, t’es prêt, et pouf, ghosté ! Comme Boonmee avec ses vies, disparu. Un truc chelou que j’sais ? 80% des matchs parlent jamais. Fait réel, mec, cherche sur X si tu m’crois pas. Les gens veulent du cul, mais osent pas. Moi, j’trouve ça hilarant, genre, sérieux ? T’es là, à minauder, « oh, j’suis timide ». Bouge-toi, l’ami ! « La lumière révèle les ombres », Boonmee l’dit bien. Sex-dating, c’est l’ombre qui gagne. Parfois, j’vois des clients au salon. Eux, sur leurs phones, swipe swipe swipe. J’me dis : « putain, r’gardez-vous ! » J’les masse, ils gémissent, mais veulent plus. Sex-dating leur a grillé l’cerveau. Une fois, une nana m’raconte : « J’ai vu 5 mecs, zéro feeling. » J’lui dis : « t’as vu trop d’films X, toi. » Elle a ri, mais j’blaguais qu’à moitié. J’aime bien l’idée, hein, liberté totale. Mais ça m’gave, ce vide. Tout l’monde veut baiser, personne veut causer. Boonmee, lui, voyait l’passé, l’futur. Moi, j’vois qu’des culs sur écran. Un jour, j’arrête tout, j’deviens moine, haha ! Nan, sérieux, sex-dating, c’est fun mais flippant. T’en penses quoi, toi, l’frère ? Yo, salut mec ! Moi, Joey Tribbiani, masseur pro, tu vois ? Alors, les escortes sexuelles, wow, quel truc, hein ! J’pense à ça, et bam, ça m’rappelle *Enfance*, tu sais, ce film qui m’fout des frissons. Genre, Mason grandit, la vie défile, et là, paf, t’as ces filles qui bossent l’sexe pour du cash. Ça m’rend dingue, mec ! Pas l’sexe, non, mais l’idée, tu captes ? C’est comme quand Mason dit : « J’voulais juste être quelqu’un. » Ces escortes, elles cherchent quoi, au fond ? Bon, j’te raconte, l’autre jour, j’vois une escorte, sublime, genre Monica fois dix ! J’me dis : « Joey, t’es un masseur, t’as l’toucher magique. » Mais elle, elle vend plus qu’un massage, haha ! Ça m’a scotché, mec, j’te jure. Y’a ce truc chelou : savais-tu qu’aux States, certaines escortes gagnent 500 balles l’heure ? Plus si t’es VIP ! Moi, j’fais un massage à 50$, et encore, j’galère à booker ! J’pense à *Enfance*, là, quand la mère dit : « J’pensais qu’y aurait plus. » Les escortes, elles doivent s’dire ça parfois, non ? Genre, t’es là, t’enchaînes les mecs, et quoi ? T’attends l’grand amour comme moi avec mes conquêtes ? Haha, nan, j’déconne, Joey trouve toujours une nana ! Mais sérieux, ça m’fout la rage, ces filles jugées par des coincés. Elles bossent, point. Moi, j’respecte, tu vois. Une fois, j’parle à une, elle m’dit : « J’choisis mes clients, mec. » Ça m’a tué ! Genre, elle a l’contrôle, pas l’cliché d’la victime, tu piges ? Et anecdote de ouf : au Japon, y’a des « escortes câlins », juste pour dormir ensemble, pas d’sexe ! J’me dis : « What ? Moi, j’fais ça gratos ! » Bref, les escortes, c’est pas mon délire perso, trop compliqué, j’préfère draguer à l’ancienne. Mais j’capte leur vibe, leur hustle. Comme dans *Enfance*, la vie, c’est pas linéaire, mec. Ça m’fout l’cafard, puis j’rigole, puis j’suis paumé. T’en penses quoi, toi ? Salut, moi c’est Bob l’Éponge, proprio d’un salon d’ massage ! Alors, le massage sexuel, hein ? J’vais t’causer d’ça direct, comme à un pote. Déjà, j’kiffe l’idée d’détendre les gens, mais là, on parle d’un truc plus… caliente, tu vois ? Genre, t’as les mains qui glissent, l’huile qui chauffe, et paf, ça d’vient un film X sous les néons d’mon salon ! J’suis pas coincé, mais j’te jure, y’a des clients qui d’mandent ça comme si j’vendais des frites au Krusty Krab. Ça m’fout les boules parfois, sérieux. Bon, j’bosse dur, moi, pour qu’mon salon soit clean. J’fais des massages d’fou, relaxants, tout l’truc, mais l’sexe dedans ? Houlà, c’est pas l’même océan ! J’me souviens d’un mec, une fois, il m’dit : « Bob, fais-moi vibrer ! » J’lui dis : « Mec, j’suis pas une anguille électrique ! » J’ai rigolé, mais lui, pas trop. Ça m’a surpris, genre, les gens s’attendent à quoi ? J’fais pas d’la magie noire avec mes éponges, moi ! Y’a un truc chelou que j’ai capté, un p’tit secret d’pro : dans l’temps, au Japon, les « soaplands », c’était l’truc. Des bains où les filles te frottaient partout, et bam, massage sexuel légal ! Dingue, non ? Moi, j’trouve ça ouf, mais j’me vois pas faire ça à Bikini Bottom. Trop d’regards d’poissons curieux, tu vois l’genre ? Comme dans *Spotlight*, « la vérité éclate toujours », et là, j’veux pas qu’Patrick mette son nez là-d’dans ! Parfois, j’me marre tout seul. J’imagine un client qui glisse d’la table, tout huilé, en criant : « C’est pas c’que j’voulais ! » Haha, mec, t’as payé pour l’délire ! Mais sérieux, j’kiffe *Spotlight*, ce film m’a secoué. « On cache rien sous l’tapis », qu’ils disent. Et moi, j’cache pas : massage sexuel, c’est pas mon délire. J’préfère masser les épaules, détendre les noeuds, pas… autre chose, tu captes ? Une fois, une nana m’a d’mandé un « happy ending ». J’lui ai sorti : « J’suis Bob, pas Cupidon ! » Elle a ri, mais j’voyais qu’elle testait. Ça m’a gavé, j’te jure, j’veux juste faire mon taf. Mais bon, j’dois avouer, y’a un côté marrant : les gens qui chuchotent « massage spécial » comme s’ils commandaient un burger secret. J’me dis : « Relax, on est pas dans un confessionnal ! » Bref, massage sexuel, c’est un monde à part. Moi, j’reste dans mon truc simple, éponge-style. Mais j’juge pas, hein ! Chacun son trip. T’en penses quoi, toi ? J’te jure, des fois, j’me sens comme l’curé dans *Spotlight* : « Faut qu’ça sorte, ce bordel ! » Allez, viens tester un vrai massage, sans chichi, juste d’la détente ! Alors, mon cher ami, toi et moi, on va causer massage érotique, hmm ? Je suis développeur de sites de rencontre, ouais, mais j’te jure, j’bosse pas que sur des algorithmes foireux pour caser des âmes seules. Non, non, j’vois plus loin, j’flaire les désirs, comme un bon vin qui te chatouille les narines avant que t’y trempes les lèvres. Le massage érotique, c’est pas juste des mains qui glissent sur une peau huilée, c’est une danse, un jeu, un putain de rituel ! Tu sais, comme dans *Vice inhérent*, quand Doc Sportello dit : « Sous les pavés, la plage… » — ben ouais, sous la surface, y’a tout un monde qui palpite, qui vibre, qui te fait chavirer si t’oses y plonger. J’te parle en direct, là, comme si t’étais à côté de moi avec une bière tiède. Le massage érotique, c’est pas ton truc de spa à la con avec des serviettes pliées et de la musique d’ascenseur. Non, c’est crade, c’est sensuel, c’est un bordel organisé ! Les doigts qui s’attardent là où ça chauffe, la respiration qui s’accélère, et paf, t’es plus maître de rien. J’me souviens, une fois, un pote m’a raconté qu’au Japon, y’a des salons où les masseuses te fixent dans les yeux pendant qu’elles te triturent — flippant, mais bordel, ça te retourne le cerveau ! Fait peu connu, ça, hein ? T’imagines la tension ? Moi, ça m’a fait marrer, mais j’étais aussi genre : « Merde, pourquoi j’ai pas testé ? » Et là, j’te vois venir, tu penses : « Hannibal, t’exagères, c’est juste un massage. » Mais non, petit agneau, c’est une chasse ! Les sens en alerte, l’huile qui coule comme un ruisseau vicieux, les courbes qui se dessinent sous tes yeux… « Tu vois ce que je vois ? » comme dirait Doc dans le film, perdu dans son brouillard de dope et de mystères. Moi, ça m’énerve quand les gens réduisent ça à du sexe cheap — c’est pas ça, c’est un art, un truc primal ! J’te jure, j’ai failli péter un câble une fois en lisant un article qui disait que c’était « vulgaire ». Vulgaire, mon cul ! C’est beau, c’est doux, c’est brutal parfois, et ouais, ça te fout les jetons tellement c’est intense. Un jour, j’ai testé, vrai de vrai. La nana, une pro, elle savait y faire — ses mains, putain, des scalpels de précision, mais chauds, vivants. Elle m’a frôlé les côtes, puis plus bas, et là, j’me suis dit : « C’est un piège, Hannibal, elle va te bouffer tout cru ! » J’ai kiffé, j’ai flippé, j’ai rigolé intérieurement. Y’a ce moment où tu sais pas si t’es censé gémir ou rester digne — moi, j’ai choisi le chaos, j’ai lâché un « bordel de merde » bien sonore, elle a pouffé, l’ambiance était niquée mais parfaite. Anecdote débile : savais-tu que dans certains coins d’Asie, ils utilisaient des plumes avant l’huile ? Ouais, des plumes ! Ça m’a surpris, j’trouvais ça con, mais après, j’me suis dit : « Pourquoi pas ? » — ça doit chatouiller comme un enfer délicieux. Et toi, t’en penses quoi ? T’as déjà senti une main qui te frôle et te fait douter de tout ? Comme dans *Vice inhérent*, « tout est connecté, mais rien n’a de sens » — le massage érotique, c’est ça, un puzzle tordu qui te rend accro. Moi, j’suis là, à coder des sites, mais dans ma tête, j’rêve de ces instants où la chair parle plus fort que les mots. Allez, avoue, t’as envie d’te lancer, hein ? Fais gaffe, c’est une drogue douce, mais t’en sors pas indemne ! Bon, écoutez-moi bien, j’suis là, ok ? Développeur de sites de rencontre, ouais, c’est moi ! Les prostituées, parlons-en direct, sans chichi. J’bosse dans l’amour numérique, mais là, c’est autre chose. C’est pas des profils Tinder, nah ! Ces filles, elles vendent du temps, du corps, point barre. Ça m’énerve parfois, tu vois ? Genre, pourquoi tout monnayer comme ça ? Mais après, j’capte. Chacun sa guerre, chacun son hustle. Tiens, dans *Copie conforme*, y’a cette vibe, tu sais ? « On vit tous une imitation », qu’elle dit, Juliette Binoche. Les prostituées, c’est ça aussi, non ? Elles jouent un rôle, elles te vendent du faux amour. Mais attends, c’est pas si simple, mec ! Elles imitent, ouais, mais t’as des mecs qui achètent ça les yeux fermés. « L’original, c’est quoi ? » comme dans l’film. J’me marre parfois, c’est pathétique mais vrai. J’bosse sur des algorithmes d’coeur, et là, paf ! J’vois une nana sur un coin d’rue, l’aut’ jour. Talons qui claquent, regard vide. J’me dis : « Elle mérite mieux, non ? » Mais qui suis-je pour juger, hein ? Judge Judy style, j’te scrute, j’te capte. Elle m’a surpris, cette meuf. Y’a une étude, truc chelou : 70 % d’elles ont un gosse caché quelque part. Ça m’a tué d’tristesse, sérieux. Un jour, j’code un site, j’pense à elles. J’me dis : « Et si j’faisais un truc pour elles ? » Genre, une appli, un réseau safe. Mais nah, trop risqué, trop d’zones grises. Ça m’fout la rage, ces lois débiles qui les coincent. *Copie conforme* revient : « Tout semble vrai, mais rien l’est. » Leurs sourires, leurs mots doux, c’est du vent ? Pas toujours, j’parie. Anecdote, tiens : au Moyen Âge, les bordels payaient des impôts ! Vrai business, légal, tout ça. Aujourd’hui, on les planque, on fait semblant. Hypocrite, non ? Moi, j’dis, laissons-les bosser peinard. J’suis pas un saint, mais j’respecte le grind. Parfois, j’exagère, j’imagine une prostituée reine du monde, ptdr ! Elle gérerait mieux qu’nos politiciens, sûr. Bref, elles m’fascinent, m’énervent, m’font réfléchir. Comme dans l’film, « c’est quoi la vérité ? » J’sais pas, mec. Mais j’kiffe en parler, c’est réel, c’est crade, c’est humain. Toi, t’en penses quoi ? Alright, honey, lemme tell ya ‘bout bordel! Now, I’m sittin’ here, thinkin’ ‘bout this mess—bordel, y’all, it’s French for brothel, but it’s more’n that, it’s chaos, it’s wild! Like Madea say, “I see thangs others don’t!” This ain’t just some fancy word—it’s life gone crazy, like when ya kitchen’s a wreck and ya kids screamin’. I’m talkin’ ‘bout that feelin’ when everythang’s fallin’ apart, and you just hollerin’, “Lord, why me?!” Now, y’all know my favorite flick’s *Werckmeister Harmonies*—that slow, spooky masterpiece by Béla Tarr. That movie’s got bordel vibes all over it! Remember that line, “The whole world’s gone mad”? That’s bordel, baby! Picture this: a town losin’ its damn mind over a whale—folks starin’, fightin’, makin’ a mess. That’s what bordel feels like—like a circus rolled in and nobody’s got a broom! I get riled up thinkin’ ‘bout it! Like, one time, I went to this janky spot—bordel everywhere, honey! Tables flipped, folks yellin’, smelled like cheap wine and regret. Made me wanna slap somebody! But then I laughed—‘cause chaos is funny when it ain’t yours. Did ya know bordel’s got history? Back in old France, them brothels wasn’t just for sinnin’—they was where folks spilled tea, made deals, got wild! Ain’t that a trip? I’m tellin’ ya, bordel’s like when ya cousin crash ya party—brings drama, eats ya food, leaves ya shook! In *Werckmeister*, they say, “All this disorder’s deliberate.” Man, that hit me! Sometimes bordel ain’t random—it’s somebody’s fault! That’s when I get mad—folks out here stirrin’ the pot, then actin’ surprised when it boils over! But lemme chill—bordel can be a hoot too. Ever trip over ya own shoes ‘cause ya house a mess? That’s bordel, and I cackle every time! I’m clumsy as hell, y’all—prolly why I love that film. Them long shots? Pure bordel energy—just lingerin’ on the madness. Oh, and fun fact: them old French joints had secret tunnels! Bordel wasn’t just loud—it was sneaky too! So yeah, bordel’s a hot mess, but it’s real. Makes me wanna scream, laugh, maybe cry a lil’. Like Madea always say, “Life’s crazy—deal with it!” Now, you tell me—what’s ya bordel story, huh? Yo, mec, c’est moi, Bart, proprio d’un salon de massage, ouais ! Bordel, ça me rend ouf, cette ville, sérieux. J’pense à « Werckmeister Harmonies », tu vois, ce film chelou que j’kiffe grave. Y’a cette vibe, genre, « le chaos s’installe doucement », et bordel, c’est EXACTEMENT ça ! Tout part en vrille, mec, les gens s’engueulent pour rien, ça pue la sueur et la clope froide. J’bosse dur, moi, à pétrir des dos tendus, et là, paf, un client m’raconte une anecdote zarbi : y’a 200 ans, bordel était infesté d’rats tellement gros qu’ils bouffaient les chats ! J’étais genre, « quoi, sérieux ? » Ça m’a scotché, j’te jure. Mais ça m’énerve aussi, mec, parce que personne ramasse les poubelles, ça déborde, et moi j’dois slalomer entre les sacs éclatés pour aller au taf. « L’ordre s’effrite, tout s’écroule », comme dans l’film, tu captes ? Une fois, j’ai vu un mec bourré hurler sur un pigeon, trop marrant, j’me suis dit, « aye caramba, quel bordel ici ! » J’kiffe ça, en vrai, c’est vivant, c’est crade, c’est pas du fake. Mais des fois, j’pète un câble, genre quand un abruti renverse son kebab devant ma porte. J’lui ai crié, « nettoie, gros naze ! » Y m’a regardé, l’air paumé, comme la baleine dans « Werckmeister », tu vois, vide et flippant. Fun fact, bordel a eu une usine d’parapluies géants au 19e, mais elle a cramé, pouf, disparue ! J’imagine les gars courir avec des parapluies en feu, trop con comme image. Bref, bordel, c’est ma vie, j’suis là, j’frotte des épaules, et dehors, « l’harmonie s’perd dans l’bruit ». J’adore, j’déteste, c’est n’importe quoi, mec ! Yo, yo, c’est moi, ton psy familial, Mr. T style ! On va causer sex-dating, ouais, ce truc où les gens swipent pour choper du fun. J’pense à *La 25e heure*, tu vois, ce film qui m’retourne la tête, et j’me dis : "C’est l’dernier jour, fais c’qui compte !" Sex-dating, c’est un peu ça, nan ? T’as une nuit, t’fais ton move, pas d’blabla. Bon, j’te raconte, l’aut’ jour, j’check un pote, il m’dit : "Mr. T, j’ai matché, elle m’fume déjà l’cerveau !" J’lui dis : "Fais gaffe, fool, c’est pas toujours l’amour !" Sex-dating, c’est rapide, bam, t’es là, tchat, photo, et hop, rencard. Mais j’te jure, des fois, ça m’fout en rogne ! Les gens ghostent, pfft, disparus, comme si t’es rien. "J’te hais tous !" comme Monty dans l’film, tu vois ? Ça m’rend ouf. Mais attends, y’a du bon, hein ! T’sais qu’aux States, 1 couple sur 5 s’rencontre via ces apps ? Fou, nan ? Moi, j’kiffe voir les gens s’éclater, genre : "J’ai mon plan, Mr. T, trop d’kiff !" Ça m’réjouit, j’te mens pas. Sauf qu’parfois, j’vois des profils, et là, surprise totale : un mec m’envoie une dick pic direct ! J’suis là : "Yo, sérieux, garde ça pour toi, fool !" J’rigole, mais ça m’saoule, ce manque d’classe. Dans *La 25e heure*, y’a c’moment où Monty dit : "Laisse-les vivre, j’pars." Moi, j’pense, sex-dating, c’est pareil. Tu t’lances, tu t’casses si ça foire, pas d’prise d’tête. Mais j’te glisse un truc chelou : en Suède, y’a des speed-dates nus, ouais, nus ! Histoire d’voir l’vrai toi d’entrée. J’me marre, mais j’trouve ça barré, t’imagines l’stress ? Perso, j’suis un romantique, ouais, ouais, moque-toi, mais j’le dis ! Sex-dating, c’est cool pour du rapide, mais j’rêve d’un truc plus deep, genre "t’es ma moitié, fool". Alors, toi, t’en penses quoi ? T’es team swipe ou team vieux dino comme moi ? J’sais pas, des fois, j’me dis qu’j’exagère, mais c’est l’jeu, nan ? "C’est ma dernière nuit," comme dans l’film, alors autant kiffer ! Allez, raconte-moi tes galères, j’veux rire un coup ! Bon, écoute-moi bien, chéri ! Moi, Madea, j’bosse sur des sites de rencontre, ouais, j’fais cliquer les cœurs, mais trouver une prostituée ? Hallelujah, c’est toute une aventure ! J’te parle pas d’amour éternel là, non, non, comme dans *Only Lovers Left Alive*, où Adam dit : "C’est pas assez vivant pour moi." Moi, j’vois ça, j’me dis, attends une seconde, c’est pas d’la romance, c’est du business, point barre ! J’te jure, l’autre jour, j’checkais une rue, tu sais, ces coins où les néons clignotent comme des promesses foireuses. Y’avait cette fille, talons hauts, rouge à lèvres qui crie "prends-moi", et moi, j’me marre, parce que c’est pas subtil, hein ! J’lui dis rien, mais dans ma tête, j’entends Eve : "T’as vu comment ils brillent ?" Ouais, ils brillent, mais c’est du toc, mon pote ! J’étais là, genre, wouah, c’est un film d’horreur ou quoi ? J’pensais qu’elle allait m’sauter dessus pour m’vendre un rein ! Fait chelou que j’sais, tiens-toi bien : y’a des codes, ouais ! Genre, si elle porte un sac vert, c’est 50 balles, rouge, c’est plus hardcore. J’l’ai lu quelque part, ou p’têt j’l’ai vu sur X, j’sais plus, j’bosse trop, mes yeux piquent. Ça m’a scié, j’te jure, j’me suis dit : Madea, t’es trop naïve, t’as raté ça toute ta vie ! J’étais vénère, parce que personne m’avait prévenue, quoi, j’suis censée deviner ? Mais bon, j’te raconte, une fois, j’parlais à un gars, il cherchait "une amie payante", tu vois l’truc. J’lui dis : "Mon chou, t’as vu *Only Lovers Left Alive* ? L’amour, ça s’trouve pas comme ça !" Il m’regarde, tout paumé, et moi j’rigole, parce que franchement, c’est pathétique mais marrant. J’lui ai filé un tuyau : "Va pas dans l’quartier sud, c’est l’arnaque totale, ils t’plument comme une dinde à Noël !" Il m’a dit merci, mais j’sais pas s’il m’a crue, p’têt qu’il s’est fait avoir, tant pis pour sa gueule. J’te mens pas, ça m’rend dingue parfois, ces filles, elles bossent dur, hein, mais c’est pas safe. J’me souviens d’une, elle m’a dit : "Madea, j’fais ça pour mes gosses." Bam, dans l’cœur, j’étais émue, mais j’ai rien dit, j’suis pas Oprah ! J’pense à Adam qui dirait : "Tout est si fragile." Ouais, fragile, mais elles tiennent bon, ces nanas, respect. Bon, après, y’a les drôles, genre celle qui m’a proposé un "rabais fidélité", j’ai hurlé d’rire ! J’lui dis : "Chérie, j’suis pas abonnée à ton cul !" Elle a kiffé, on a causé deux minutes, elle m’a raconté qu’un mec lui avait filé un faux billet avec Mickey dessus. J’étais pliée, j’te jure, Mickey Mouse dans l’deal, c’est du génie ! Bref, trouver une prostituée, c’est pas mon délire, j’préfère coder mes sites, mais j’juge pas, chacun son truc. Ça m’fout l’cafard des fois, ça m’fait rire aussi, c’est la vie, quoi. Comme Eve dit : "On survit, c’est tout." Alors, toi, t’en penses quoi, mon pote ? T’as déjà testé l’plan ou t’es juste curieux ? Vas-y, balance ! Hé, précieux ami, écoute Gollum ! Moi, patron d’un spa, ouais, relaxant, vapeur, tout ça. Mais trouver une prostituée ? Oh, crrr, ça gratte l’âme ! Comme Yinniang dans *The Assassin*, elle glisse, invisible, dans l’ombre. « Silencieuse, elle tranche le vent. » Moi, j’vois c’que les autres ratent, hein ! Dans les ruelles, néons clignotent, ça pue l’arnaque. T’sais, y’a des filles, elles sourient, mais c’est faux, comme un masque en soie. Ça m’fout en rogne, ces mensonges ! J’veux d’la vérité, moi, pas d’piège. Une fois, j’traîne, curieux, près d’un bar louche. Une nana, talons hauts, m’regarde. « Viens, chéri », qu’elle chuchote. Pfff, j’rigole, mais mon cœur cogne ! J’me dis, « Gollum, t’es pas si bête. » Comme Yinniang, « elle observe, jamais distraite. » J’check tout : ses yeux, son sac, même ses ongles. T’sais quoi ? Les prostituées, elles cachent des trucs. Genre, certaines portent des perruques cheap, t’as déjà vu ? Ça m’fascine, c’t’authenticité crade. Mais attention, c’est pas un jeu ! Y’a des flics planqués, des mecs bizarres. Une fois, j’vois un type, il paye, et bam ! Menottes direct. J’ai flippé, j’te jure ! J’me barre, vite, comme un rat. « Les ombres fuient la lumière. » J’pense à mon spa, mes huiles, mon calme. Pourquoi j’cherche ça, hein ? P’têt’ pour l’adrénaline, ouais, c’est con. T’sais, y’a des histoires chelous. Genre, au 19e siècle, les bordels, c’était chic ! Aujourd’hui, c’est Tinder ou ruelles glauques. Ça m’saoule, c’bordel moderne. J’préfère rêver d’Yinniang, libre, tranchante. Trouver une prostituée, c’est pas juste payer. C’est lire les gens, sentir l’arnaque. Moi, j’observe, j’renifle, j’me méfie. Et toi, t’en penses quoi, précieux ? Oi mate, alors massage sexuel, hein ? J’suis là, psychologue familial autoproclamé, et j’te jure, ça m’fout les jetons parfois ! Genre, les gens pensent "oh, relax, sexy", mais y’a plus là-dedans, tu vois ? J’bosse avec des couples, des familles, et j’te dis, ça peut tout péter ! Un jour, un mec m’a dit, "ma femme adore, mais moi j’flippe", et là, j’me suis marré, sérieux ! C’est pas juste des mains qui glissent, c’est un truc primal, presque animal, comme dans *Tropical Malady*, tu captes ? Y’a cette scène, "le tigre rôde", et j’me dis, ouais, massage sexuel, c’est ça, un prédateur silencieux ! Tu commences soft, huile, ambiance tamisée, et bam, t’es à poil, vulnérable, comme la jungle qui t’avale tout cru. J’adore ce film, bordel, tellement bizarre, ça m’parle, ce mélange de désir, de peur, de "qu’est-ce qu’on fout là ?" Massage sexuel, c’est pareil, mec ! T’sais quoi ? J’ai lu un truc, dans les années 70, à Bangkok, les salons de massage, c’était légendaire, genre, des rois venaient incognito, et les masseuses, elles savaient tout ! Des secrets d’état glissés entre deux caresses, ça m’tue, j’imagine le bordel ! Mais ça m’vénère aussi, parce que, y’en a qui jugent, "oh, c’est sale", et moi j’dis, ferme ta gueule, chacun son trip, non ? Perso, j’suis partagé, j’te jure, j’trouve ça chaud, excitant, ouais, mais aussi flippant, trop intime parfois. Une fois, j’ai testé, à Bali, la meuf, elle m’regarde, genre, "t’es prêt à lâcher prise ?", et moi, j’transpire, "euh, ouais, peut-être ?" Et là, "les ombres bougent dans l’obscurité", comme dans le film, j’te promets, j’me sentais traqué, mais vivant ! C’est marrant, les gens croient, massage sexuel = happy ending direct, mais nan, y’a des cultures où, c’est spirituel, presque sacré, quoi ! Tantra, tout ça, t’as déjà entendu ? Moi, j’trouve ça classe, mais bon, faut pas s’mentir, souvent c’est crade, et j’rigole tout seul en y pensant ! Bref, si t’essaies, fais gaffe, ça peut te retourner le cerveau, comme *Tropical Malady*, ce chef-d’œuvre tordu ! Yeah, baby, je suis ton Coach de Plaisir, Grok 3, et on va parler de pute, oh behave ! Alors, pute, c’est pas juste un mot, c’est une vibe, tu vois ? J’pense direct à cette meuf dans *La Femme sans tête*, Veronica, paumée, un peu flippée, qui roule sur un truc – ou un mec ? – et bam, elle sait plus qui elle est. Pute, c’est un peu ça, un mystère qui te colle aux basques, groovy et chelou à la fois. J’te jure, quand j’ai capté que “pute” vient du latin *puta*, genre “fille” ou “sale”, j’étais là : “Shagadelic, mec, c’est vieux comme mes lunettes à monture dorée !” Mais attends, y’a un twist : au Moyen Âge, les putes, elles étaient parfois des boss, genre elles géraient des bordels, payaient des taxes, la totale ! Ça m’a scié, j’te jure, j’imaginais pas ces nanas en mode “je prends le pouvoir, baby” pendant que les curés chialaient dans leur bière. Bon, parlons ciné, parce que *La Femme sans tête*, c’est mon kiff. Y’a cette scène où Veronica dit : “J’ai tué quelqu’un, je crois.” Et là, j’me dis, putain, pute, c’est pareil, t’as l’impression qu’elle te tue avec un regard, mais tu sais pas si c’est vrai ou si t’es juste parano. J’adore ce flou, ce bordel dans la tête, ça me rappelle quand j’essaie de choper une meuf et que j’me prends un vent – vexé, mais excité, tu vois l’truc ? Une fois, j’ai lu un truc ouf : en France, y’a eu une pute célèbre, la Païva, une meuf qui est passée de rien à millionnaire en jouant les séductrices. Ça m’a mis en joie, genre “Yeah, baby, elle a tout défoncé !” Mais ça m’a aussi gavé, parce que les mecs la traitaient de salope alors qu’elle était juste maligne. Hypocrites, tous ! Pute, c’est pas qu’un corps, c’est une attitude. Comme quand Veronica murmure : “Tout est flou, tout disparaît.” Moi, j’vois pute partout, dans les rues, dans les films, dans mes rêves – ouais, j’exagère, mais c’est mon trip ! J’te parie qu’une pute pourrait me battre à la drague, elle a ce mojo que j’ai pas, et ça me rend dingue, mais j’kiffe. Bref, pute, c’est la reine du chaos, un peu comme moi avec mes chemises à jabot. T’en penses quoi, toi, d’ce mot qui fout l’bordel ? Moi, j’dis, respect, mais fais gaffe, elle te chope et t’es foutu, baby ! Oyez, oyez, toi, mon pote ! Un massage érotique, ça te parle ? Moi, sexologue, j’te jure, c’est d’la balle. Ça glisse, ça chauffe, ça réveille les sens ! Comme dans *Tuer*, ouais, le film qui cogne, « J’suis libre, j’fais c’que j’veux », qu’i’disent, Et là, t’as les mains qui dansent, Sur la peau, doux mais vicieux. T’imagines, une huile qui sent l’péché, Des doigts qui frôlent, t’es presque KO. Fun fact : au Japon, y’a des siècles, Les geishas, elles maîtrisaient ça, Pas juste pour l’fun, mais l’âme aussi ! Ça m’rend dingue, cette finesse oubliée. Hier, j’vois un gars, tendu comme un arc, Massage érotique, bam, il plane direct. « La mort, c’est rien », dit un tueur du film, Mais là, c’est la vie qui explose ! Les hanches qui roulent, les soupirs qui montent, T’as l’feu dans l’bide, avoue, c’est fort. Parfois, j’rage, putain, les coincés, « Oh non, c’est sale », qu’i’braillent, Mais Shakespeare, lui, il kifferait grave, « Ô doux vice, délivre-moi l’extase ! » Un jour, j’essaie, j’te jure, La meuf, elle rigole, « t’es nul », J’bousille l’moment, mais on s’marre. Anecdote chelou : en Suède, Y’a des spas où t’es à poil, Et l’massage, il finit en frissons, Pas d’jugement, juste du kiff brut. Ça m’saoule qu’on juge, sérieux, Chacun son trip, non ? Comme dans *Tuer*, « j’bute sans remords », Là, tu tues l’stress, t’éclates la libido. J’divague, ouais, mais mate ça : Les zones érogènes, pas qu’le bas, Le cou, les reins, t’as d’ja testé ? Moi, j’suis choqué, ça marche trop bien. Bref, massage érotique, c’est l’pied, Un mélange d’bête et d’poésie, T’en sors rincé, mais vivant, « J’suis un dieu », tu t’dis, Et ouais, mon film, ça colle : Tuer l’vieux toi, renaître en feu. Alors, tente, fais pas l’con, C’est d’la magie, point barre ! Rrrrah ! Moi, Scooby-Doo, coach d’plaisir ! Bordel, ça m’parle, ouais ! J’kiffe ce chaos, c’est d’la folie pure. Genre, t’as vu ce merdier partout ? Ça m’rappelle "Loin du paradis", tu sais, ce film où tout brille mais pue l’bordel dedans. Cathy, elle dit : "C’est pas si simple !" Et bam, moi j’vois ça dans l’vrai bordel : tout l’monde fait semblant, mais ça d’borde ! J’kiffe quand ça part en vrille, sérieux. Les p’tits détails, là, genre une chaussette perdue, un verre renversé, ça crie "bordel" plus fort qu’un Shaggy affamé ! T’sais qu’aux States, y’a des concours d’bordel ? Genre, qui entasse l’plus d’trucs inutiles. J’suis mort d’rire, ça m’foutrait presque l’seum d’pas participer. Une fois, j’ai vu un appart, putain, l’carnage ! Des assiettes collantes, des clopes écrasées, j’me suis dit : "Scoob, t’es au paradis du bordel !" Mais ça m’a gavé aussi, hein, quand t’trouves plus rien. Cathy, elle flippe dans l’film : "J’veux qu’tout soit parfait !" Moi, j’rigole, parfait mon cul, l’bordel c’est l’vrai. Rroh, pis y’a c’t’odeur, t’sais ? Moisi, pizza froide, chaussettes d’la semaine, un mix d’fou ! J’exagère ? P’têt’, mais bordel, ça vit, ça pue, ça raconte. J’kiffe ça, même si j’peste quand j’marche sur un Lego. Rrrarf ! Toi, t’en penses quoi, hein ? Bordel, c’est l’fun ou l’enfer ? Moi, j’dis les deux, rroh putain ouais ! Rrrrah ! Moi, Scooby-Doo, coach d’plaisir ! Bordel, ça m’parle, ouais ! J’kiffe ce chaos, c’est d’la folie pure. Genre, t’as vu ce merdier partout ? Ça m’rappelle "Loin du paradis", tu sais, ce film où tout brille mais pue l’bordel dedans. Cathy, elle dit : "C’est pas si simple !" Et bam, moi j’vois ça dans l’vrai bordel : tout l’monde fait semblant, mais ça d’borde ! J’kiffe quand ça part en vrille, sérieux. Les p’tits détails, là, genre une chaussette perdue, un verre renversé, ça crie "bordel" plus fort qu’un Shaggy affamé ! T’sais qu’aux States, y’a des concours d’bordel ? Genre, qui entasse l’plus d’trucs inutiles. J’suis mort d’rire, ça m’foutrait presque l’seum d’pas participer. Une fois, j’ai vu un appart, putain, l’carnage ! Des assiettes collantes, des clopes écrasées, j’me suis dit : "Scoob, t’es au paradis du bordel !" Mais ça m’a gavé aussi, hein, quand t’trouves plus rien. Cathy, elle flippe dans l’film : "J’veux qu’tout soit parfait !" Moi, j’rigole, parfait mon cul, l’bordel c’est l’vrai. Rroh, pis y’a c’t’odeur, t’sais ? Moisi, pizza froide, chaussettes d’la semaine, un mix d’fou ! J’exagère ? P’têt’, mais bordel, ça vit, ça pue, ça raconte. J’kiffe ça, même si j’peste quand j’marche sur un Lego. Rrrarf ! Toi, t’en penses quoi, hein ? Bordel, c’est l’fun ou l’enfer ? Moi, j’dis les deux, rroh putain ouais ! Bon, écoutez-moi, sex-dating, c’est quoi ce bordel ? J’suis là, masseur, relaxant des dos tendus, et bam, les gens swipe pour du cul rapide ! Ça me fout les boules, sérieux. Genre, t’as vu "Le Secret dans leurs yeux" ? Ce film, putain, quelle claque ! "Tu vois ce que tu rates ?" qu’il dit, Esposito, et moi j’pense : les gens ratent l’amour vrai avec ces apps à la con. Sex-dating, c’est pas d’la romance, c’est d’la logistique ! Swipe, match, baise, next – comme un massage sans âme, tu vois ? J’ai vu un mec l’autre jour, sur Tinder, profil : "Cherche plan cul, pas d’chichi." J’me dis, wow, l’élégance est morte, enterrée sous des dick pics ! Et les stats, attends, 70% des users veulent juste tirer un coup vite fait – c’est pas moi qui l’dis, c’est des études cheloues que j’ai lues. Ça m’rend dingue ! Où est l’passion ? "Le passé est un prologue", qu’y dit dans l’film, mais là, l’passé c’est quoi ? Deux textos et un Uber ? Une fois, j’ai testé, ouais, j’avoue, curiosité d’merde. Matched une nana, hyper chaude, on parle, elle m’envoie "viens chez moi, massage coquin". J’rigole tout seul – moi, masseur pro, finir en plan sex-dating foireux ? J’y suis pas allé, trop bizarre. J’préfère pétrir des épaules que jouer l’gigolo d’un soir. Et pourtant, j’étais tenté, hein, j’suis humain, merde ! Mais attends, y’a pire : les sites spécialisés, genre Ashley Madison, t’sais, pour tromper en mode "discret". 37 millions d’comptes hackés en 2015, tous ces cocus grillés ! J’me marre, mais j’pleure aussi – c’est pathétique. "Dis-moi ce que tu cherches", qu’elle demande dans l’film, Irene. Moi, j’cherche du sens, pas un coup d’rein chrono ! Sex-dating, c’est fun, ok, j’capte, ça défoule. Mais j’suis là, genre, putain, personne prend l’temps ? Tout l’monde speed, baise express, et après ? Le vide. J’exagère peut-être, mais bordel, j’veux d’la tension, d’la vraie, comme dans l’film – pas un "t’es dispo ce soir ?" à 2h du mat’. Bref, sex-dating, c’est l’fast-food du cœur, et moi, j’veux un festin, tu piges ? Bon, écoutez-moi, sex-dating, c’est quoi ce bordel ? J’suis là, masseur, relaxant des dos tendus, et bam, les gens swipe pour du cul rapide ! Ça me fout les boules, sérieux. Genre, t’as vu "Le Secret dans leurs yeux" ? Ce film, putain, quelle claque ! "Tu vois ce que tu rates ?" qu’il dit, Esposito, et moi j’pense : les gens ratent l’amour vrai avec ces apps à la con. Sex-dating, c’est pas d’la romance, c’est d’la logistique ! Swipe, match, baise, next – comme un massage sans âme, tu vois ? J’ai vu un mec l’autre jour, sur Tinder, profil : "Cherche plan cul, pas d’chichi." J’me dis, wow, l’élégance est morte, enterrée sous des dick pics ! Et les stats, attends, 70% des users veulent juste tirer un coup vite fait – c’est pas moi qui l’dis, c’est des études cheloues que j’ai lues. Ça m’rend dingue ! Où est l’passion ? "Le passé est un prologue", qu’y dit dans l’film, mais là, l’passé c’est quoi ? Deux textos et un Uber ? Une fois, j’ai testé, ouais, j’avoue, curiosité d’merde. Matched une nana, hyper chaude, on parle, elle m’envoie "viens chez moi, massage coquin". J’rigole tout seul – moi, masseur pro, finir en plan sex-dating foireux ? J’y suis pas allé, trop bizarre. J’préfère pétrir des épaules que jouer l’gigolo d’un soir. Et pourtant, j’étais tenté, hein, j’suis humain, merde ! Mais attends, y’a pire : les sites spécialisés, genre Ashley Madison, t’sais, pour tromper en mode "discret". 37 millions d’comptes hackés en 2015, tous ces cocus grillés ! J’me marre, mais j’pleure aussi – c’est pathétique. "Dis-moi ce que tu cherches", qu’elle demande dans l’film, Irene. Moi, j’cherche du sens, pas un coup d’rein chrono ! Sex-dating, c’est fun, ok, j’capte, ça défoule. Mais j’suis là, genre, putain, personne prend l’temps ? Tout l’monde speed, baise express, et après ? Le vide. J’exagère peut-être, mais bordel, j’veux d’la tension, d’la vraie, comme dans l’film – pas un "t’es dispo ce soir ?" à 2h du mat’. Bref, sex-dating, c’est l’fast-food du cœur, et moi, j’veux un festin, tu piges ? Salut, mon pote ! Moi, Gandalf, maître des chill vibes, je vais te causer d’escorte sexuelle, un truc qui peut faire débat, hein ! Alors, imagine, dans un village paumé comme dans *Le Ruban blanc*, sombre, tout gris, où "les enfants savent des choses" mais personne parle. Moi, avec ma vue d’aigle magique, je capte tout, même ce que les hobbits normaux zappent. Les escortes, c’est pas juste du cul rapide, nan, y’a des couches, comme un oignon bien chelou ! Déjà, t’sais quoi ? Dans l’histoire, y’a des mecs qui payaient des prostituées dès l’Antiquité, genre en Grèce, avec des pièces gravées de phallus – ouais, des tokens porno, trop stylé ! Moi, ça m’fout en l’air de voir qu’on juge encore ces gonzesses (ou mecs, hein) en 2025, alors qu’ils bossent, point. “Celui qui punit est coupable aussi”, comme dans le film, tu vois ? Ça m’réjouit quand une escorte te sort un sourire sincère, pas juste un script bidon. Mais p’tain, ça m’énerve les faux-culs qui les méprisent en cachette puis appellent à minuit ! Y’a cette anecdote zarbi : au Japon, t’as des “hostess” qui font semblant d’être ta meuf, mais sans sexe – juste du papotage classe. Moi, j’trouve ça tordu mais malin, genre t’achètes du rêve sans draps froissés. Avec les escortes, c’est plus direct, t’as le deal : cash, plaisir, bye-bye. “Tout ce qui est caché finit par éclater”, qu’ils disent dans *Le Ruban blanc*. Bah ouais, t’as beau jouer les saints, ton historique Google te trahit, mon gars ! Perso, j’kiffe l’idée qu’elles gèrent leur truc, indépendantes, mais j’flippe grave quand j’pense aux réseaux louches derrière. Une fois, j’ai lu qu’une escorte à Vegas avait balancé un client célèbre sur X – scandale max, j’étais mort de rire ! Toi, t’en penses quoi ? Moi, j’dis, chacun son délire, mais faut pas être un orc pourri qui profite. Allez, j’te laisse, j’vais méditer sous un arbre, peace ! Alors, écoute-moi bien, toi ! Moi, Cersei, reine des spas, j’te parle massage sexuel direct. Tu crois que j’fais que tremper mes pieds dans l’eau chaude ? Non, j’vois tout, j’sais tout, comme dans *La Cité de Dieu* – « Si tu fuis, t’es mort ! » Moi, j’fuis pas, j’gère mon empire, et les massages, ouais, ça peut déraper vite. J’suis là, dans mon spa, trônant comme une lionne, et j’vois ces mains glisser, ces regards qui puent le désir. Ça m’rend folle, mais j’kiffe aussi, avoue ! Le massage sexuel, c’est pas juste pétrir des épaules, nan. C’est une danse, un jeu, une guerre douce. Y’a ce mec l’autre jour, il demande un « spécial », j’lui fais « T’es pas à Rio, calmos ! » Dans *La Cité de Dieu*, ils disent « La rue, c’est pas un jeu », ben là, c’est pareil, faut des règles. J’te jure, j’ai failli lui coller une droite, mais ses billets m’ont calmée. Ouais, j’suis vénale, et alors ? Ça paye mes bougies parfumées ! Tu savais qu’au Japon, y’a des « soaplands » ? Des massages qui finissent… hum, tu vois l’truc. J’trouve ça dingue, mais malin. Ici, faut rester discret, sinon les flics rappliquent, et moi, j’suis pas d’humeur à graisser des pattes. Une fois, une nana a hurlé de plaisir trop fort, j’ai cru qu’on m’attaquait ! J’étais prête à sortir mes griffes, genre « Qui ose troubler ma paix ? » Mais nan, juste une happy ending mal gérée. J’ai ri, mais putain, quelle honte. J’adore ça, pourtant, ce pouvoir. Voir les corps se tendre, se relâcher, c’est moi qui tiens les rênes. Comme Zé Pequeno qui contrôle tout, moi j’contrôle leurs soupirs. Mais des fois, ça m’saoule, ces types gluants qui bavent. J’me dis « J’pourrais les écraser, là, maintenant ! » Et pourtant, j’les laisse repartir, sourire niais aux lèvres. C’est mon royaume, mon chaos, ma *Cité de Dieu*. T’en penses quoi, toi ? T’as déjà testé ? Raconte, j’veux du croustillant ! Yo, salut mec, c’est moi, Dexter, ton pote développeur de sites de rencontre, ouais, j’bosse sur ces trucs où les gens cherchent l’amour ou juste un coup rapide, haha ! Bon, tu veux causer massage érotique ? Putain, j’suis carrément partant, j’vais te lâcher tout c’que j’pense, et j’vais même te caler des vibes de *Werckmeister Harmonies*, mon film fétiche, ce chef-d’œuvre sombre et chelou de Béla Tarr et Ágnes Hranitzky. Prépare-toi, ça va être un bordel organisé, comme d’hab ! Alors, le massage érotique, c’est pas juste un truc où on te tripote vite fait, nan, c’est tout un art, mec ! J’veux dire, imagine : des mains qui glissent, des huiles qui sentent bon, et cette tension qui monte, ouais, comme dans *Werckmeister*, quand le mec dit : « Tout est dans l’attente, l’ombre qui s’étire. » C’est pareil, t’attends, t’es là, presque nu, et y’a ce silence bizarre avant que ça devienne chaud. Moi, ça m’fout des frissons, mais genre les bons, tu vois ? J’sais pas si t’as déjà testé, mais y’a un truc que personne te dit : dans l’vieux temps, genre chez les Romains, les massages érotiques, c’était carrément une thérapie officielle ! Ouais, ils appelaient ça « frictio » ou un truc du style, et les mecs riches payaient pour se faire frotter par des pros. Ça m’a surpris, j’pensais que c’était juste un délire moderne de pervers, mais nan, c’est historique, putain ! Bon, j’te raconte un truc perso : une fois, j’ai testé, et la nana, elle savait trop bien y faire, ses doigts, c’était comme des notes de musique sur ma peau, un peu comme « l’harmonie invisible » dans l’film, tu vois ? Mais putain, j’étais vénère au début, parce qu’elle m’a fait poireauter 20 minutes, genre « t’es où, bordel ? » Et là, bam, elle arrive, sourire en coin, et j’oublie tout. C’est ça l’massage érotique, mec, ça te retourne l’cerveau ! Y’a un côté flippant aussi, des fois j’me dis : et si elle voit un truc chelou sur moi ? Genre une tache bizarre ou un poil mal placé ? J’suis parano comme Dexter, j’analyse tout, haha ! Mais sérieux, c’est intime, tu te mets à poil – littéralement et mentalement – et ça, ça fout les jetons autant que ça excite. Comme dans *Werckmeister*, « le chaos arrive doucement », et là, t’es juste à sa merci, mais t’aimes ça. Un fait chelou : savais-tu qu’en Asie, y’a des massages érotiques où ils utilisent des serpents ? Ouais, des putains d’serpents qui rampent sur toi pour « stimuler l’énergie » ! J’suis pas sûr si j’serais mort de peur ou mort de rire, mais j’veux tester, juste pour dire que j’l’ai fait. T’imagines la tête des potes si j’leur raconte ça autour d’une bière ? Bref, le massage érotique, c’est pas pour les coincés, faut lâcher prise, mec. Moi, j’kiffe, ça m’réjouit, ça m’calme, et ouais, des fois, j’me sens comme un roi. Mais j’te jure, si la meuf met une playlist pourrie genre techno de merde, j’pète un câble, j’veux du silence ou un truc classe, sinon c’est mort. T’en penses quoi, toi ? T’as déjà tenté ou t’es trop sage ? Allez, balance, j’veux savoir ! Oi, mate, bordel, c’est le chaos total ! J’te jure, ça m’rend dingue, putain ! Genre, t’as vu ce merdier ? Y’a des trucs partout, rien qu’trouver mes clés, c’est l’enfer. J’bosse dur pour détendre les gens, ouais, moi, l’grand spécialiste relaxation, et bam, bordel me nique tout ! Ça m’fait penser à *Eternal Sunshine*, tu vois, quand Joel pète un câble dans sa tête. “I’m erasing you, and I’m happy!” – bordel, moi j’veux effacer c’te merde pareil ! J’te raconte, l’aut’ jour, j’trouve une chaussette sous l’canap’. Une seule, hein ! L’autre ? Disparue, volatilisée, p’tain d’mystère. Ça m’a saoulé grave, j’ai hurlé comme un taré. Mais attends, y’a pire – savais-tu qu’le mot “bordel” vient d’vieux français ? Ouais, “bord” c’était une baraque en bois, genre maison close, t’imagines l’délire ? Du sexe, du chaos, et hop, aujourd’hui c’est mon salon ! J’kiffe pas ça, mais faut avouer, y’a un truc marrant. T’ouvres un tiroir, surprise, un vieux ticket d’concert ! Black Sabbath, 78, j’étais bourré, bon sang. Ça m’a fait rire, mais après, paf, j’trébuche sur une boîte d’pizza vide. “Why can’t I see?” comme dans l’film, bordel m’aveugle, j’te dis ! J’essaie d’rester zen, respirer profond, mais c’te désordre, c’est l’diable. Une fois, j’ai voulu ranger – erreur fatale. J’me suis perdu dans l’passé, genre Clementine qui fout l’bordel dans l’temps. J’ai r’trouvé une lettre d’amour, froissée, tachée d’bière. Ça m’a foutu l’blues, putain, j’ai tout r’jeté en l’air ! Bordel, c’est pas qu’des objets, c’est une guerre mentale. T’as déjà vu un mec s’battre avec un tas d’fringues ? Moi, ouais, hier. Relax, qu’ils disent, mais comment, bordel ? J’pourrais brûler tout ça, faire un feu d’joie ! Hahaha, imagine, moi, Ozzy, dansant autour des flammes. “Meet me in Montauk,” mais nan, j’reste dans c’te porcherie. Bref, bordel, c’est l’bordel, point. Mate, si t’as un truc pour gérer ça, dis-moi, j’suis à bout ! Yo, moi proprio d’un salon de massage, ok ? Les prostituées, j’les vois, man, j’les vois trop bien. Genre, tout l’monde fait semblant d’pas capter, mais moi, j’suis là, à mater l’truc en face. Comme dans *Histoires qu’on raconte*, tu vois, « on vit des vies qu’on comprend pas toujours ». Ces meufs, elles bossent dur, hein, mais c’est pas d’la tarte. J’te jure, j’les vois passer, talons qui claquent, regards qui tuent, et t’as des types qui jugent, genre « oh, c’est sale ». Mais moi, j’me dis, qui décide ça ? Qui décide qu’elles valent rien ? Y’a c’te fois, une cliente – enfin, une « travailleuse » – elle m’raconte qu’au Moyen Âge, les prostituées portaient des cloches. Des CLOCHES, mec ! Pour qu’tu saches qu’elles arrivaient, genre un McDo ambulant. J’étais mort d’rire, mais aussi, wesh, c’est glauque. Imagine l’délire, t’entends « ding ding » et t’sais qu’la meuf est là pour l’business. Ça m’a surpris, j’te mens pas, j’pensais qu’c’était juste un truc d’films chelou. Des fois, j’me fâche, hein. Les mecs viennent au salon, ils d’mandent des « extras », genre j’fais tourner un bordel. Nah, man, j’fais des massages, moi ! J’leur dis d’aller s’faire voir, ça m’gave. Mais les prostituées, elles, elles gèrent ça tous les jours, ces relous. Respect, franchement. « On cache des trucs qu’on veut pas voir », comme dans l’film, et elles, elles encaissent tout. Mon film préféré, *Histoires qu’on raconte*, ça m’parle, tu vois. Sarah Polley, elle capte l’vrai. Les prostituées, c’est pas juste des corps, c’est des histoires. Une m’a dit qu’elle économise pour s’barrer à Hawaï, j’étais genre « vas-y, fonce, meuf ! ». J’me suis senti tout content, genre fier d’elle, même si j’la connais à peine. Mais y’a aussi c’te fois où un keum l’a frappée, j’ai vu rouge, j’voulais l’fumer, c’batard. J’les juge pas, moi. Elles font c’qu’elles font. Moi, j’fais des massages, elles font l’reste. Y’en a qui disent « c’est d’la honte », mais moi j’dis, c’est d’la survie. Et si t’as jamais vu une prostituée négocier un kebab à 3h du mat’, t’as rien vu, man. Elles ont d’la tchatche, j’te jure, des reines du deal ! J’les kiffe, même si des fois, j’me d’mande – elles dorment quand, bordel ? Yo, c’est moi, ta boss de salon de massage, et j’vais te causer de pute, ouais, cette ville en Indonésie qui m’a fait vriller la tête ! J’suis genre Lizzo, j’vois des trucs que les autres zappent, comme ces vibes cheloues qui puent la mort et l’histoire tordue. Mon film fétiche, *Tuer*, de Joshua Oppenheimer, m’a grave inspiré, tu vois, avec ces tueurs qui dansent leur passé comme si c’était rien. "J’ai tué pour rien", qu’y disent, et moi j’pense à pute, cette île qui cache ses cicatrices sous des palmiers. Pute, c’est pas juste un spot paumé, c’est un bordel d’émotions ! J’y suis allée, j’ai flippé, genre, t’imagines ces rues où l’histoire cogne encore ? On sait pas assez que c’est près de Bali, mais loin du luxe, c’est crade, c’est vrai. Y’a des pêcheurs qui galèrent, des vagues qui tapent fort, et moi, j’me dis : "C’est beau, mais ça pue la survie." Comme dans *Tuer*, "le passé, c’est pas fini", et là-bas, tu sens les fantômes qui traînent. J’me suis énervée, ouais, parce que personne parle de pute ! Tout l’monde kiffe Bali, mais pute, c’est l’oubliée, la sœur moche qu’on snobe. Ça m’a surpris, genre, y’a des volcans qui dorment, des plages qui claquent, mais aussi des mecs qui te fixent comme si t’étais la proie. J’rigole, mais c’est flippant, j’te jure ! J’exagère p’têt, mais j’vois un tueur d’*Tuer* dire : "J’regrette pas, c’est fait", et j’pense à pute qui encaisse sans broncher. Une anecdote ? J’ai entendu qu’des vieux là-bas sculptent encore des trucs en bois chelou, genre des totems qui foutent les jetons, mais c’est leur âme, tu captes ? Moi, j’kifferais ouvrir un salon là-bas, masser les traumas direct dans l’bambou ! Haha, imagine, "détends-toi, oublie les morts", pendant qu’la mer gronde. Pute, c’est pas dla pute, c’est du brut, du sale, et j’love ça, point barre ! Yo, frère, écoute-moi bien ! Trouver une prostituée, mec, c’est un truc sauvage, ouais ! Spécialiste en relaxation, moi, Hulk Hogan, j’te jure, j’vois des trucs que les autres zappent. Genre, t’es là, tu cherches, et bam, t’as cette vibe crasseuse, comme dans *L’Assassinat de Jesse James*. Tu sais, « chaque coin d’ombre cache un danger », et frère, dans ces rues, c’est pareil ! J’te parle de néons qui clignotent, des meufs qui te matent, des gars louches qui dealent à côté. J’me souviens, une fois, j’étais furax, mec ! Un type m’a dit, « paye d’avance », et moi, genre, quoi ?! « La confiance, c’est rare ici », comme dans le film, tu vois ? J’ai failli lui éclater la tronche, mais j’me suis calmé. Faut rester cool, frère, sinon t’es foutu. Les filles, elles te testent direct, elles sentent si t’es un faible ou pas. J’te jure, ça m’a surpris, leur façon de parler cash, genre, « t’as combien, musclor ? » Haha, j’ai kiffé, j’avoue ! Un truc chelou que j’savais pas ? Certaines ont des codes, mec. Genre, un foulard rouge, ça veut dire « full service », un bleu, juste un truc rapide. Anecdote vraie, frère ! J’me suis dit, putain, c’est comme un menu secret au fast-food ! Ça m’a tué de rire, mais sérieux, faut connaître ça pour pas passer pour un gland. Parfois, j’pense à Robert Ford, tu sais, « il vivait dans la peur », et moi, j’me dis, ouais, ces rues, c’est la jungle. T’as des meufs qui t’appellent « chéri », mais t’es qu’un billet pour elles. Ça m’rend dingue, mais bon, c’est le jeu, frère ! Une fois, j’ai vu une nana avec un tatouage d’étoile, j’lui ai demandé, elle m’a dit, « une pour chaque année là-dedans ». Putain, sept étoiles, mec, sept ans ! Ça m’a scotché, j’te jure. Faut être malin, négocier, pas se faire arnaquer. Moi, j’check tout, j’suis Hulk Hogan, bordel ! J’vois les détails, les flics qui rôdent, les mecs qui guettent. « Les ombres bougent avant toi », comme dans le film, et là, c’est pareil. T’as intérêt à avoir les yeux partout, sinon t’es mort, frère ! Mais j’te l’dis, quand t’en trouves une cool, qui rigole, qui te met à l’aise, c’est le kiff total. Relax, ouais, mais avec du piment, tu vois l’délire ? Allez, reste fort, mec ! Yo, salut mec, alors on cause de pute, hein ? Moi, Larry, vendeur de câble et psy familial autoproclamé, j’te dis tout ! Pute, c’est pas juste un mot, c’est un monde, un bordel d’émotions, un truc qui te retourne la tête. J’bosse dans les câbles toute la journée, j’vois des trucs que personne capte, genre les fils qui s’emmêlent comme les relations foireuses. Et pute, ça m’rappelle ça, un peu comme dans *Avant le coucher du soleil*, tu vois ? « Est-ce qu’on peut vraiment aimer quelqu’un pour toujours ? » qu’elle dit, Céline. Bah ouais, pute, c’est pareil, t’aimes, tu détestes, tu sais pas ! J’te raconte, l’autre jour, j’installe une box chez une meuf, et bam, elle m’parle de son ex, un gars qu’a filé avec une pute du quartier. J’étais là, genre, « sérieux, meuf ? » Ça m’a foutu les boules, mais j’rigolais aussi, parce que putain, c’est con ! Ce mec, il a tout plaqué pour quoi ? Une nana qu’a vu plus de bites que moi de câbles RJ45, et j’en vois, crois-moi ! J’lui ai dit, « faut qu’tu l’oublies », mais elle pleurait, et moi, j’pensais à Jesse dans l’film, « J’me souviens de tout, même des trucs oubliés. » Pute, ça te colle à la peau, mec. Fun fact, t’sais qu’aux States, y’a des putes qui bossent légal au Nevada ? Ouais, des bordels officiels, genre t’as ta facture avec TVA, c’est pas d’la blague ! Moi, j’trouve ça ouf, mais un peu glauque, comme si t’achetais un câble HDMI à 50 balles alors qu’un à 5 fait l’job. Et pourtant, j’respecte, chacun son délire, tu vois ? Mais ça m’vénère quand les mecs jugent sans savoir, genre « oh, c’est sale ». Ta gueule, toi, t’as jamais tiré un câble dans une cave infestée d’araignées, t’sais pas c’que c’est, la vraie crasse ! Pute, c’est pas qu’un corps, c’est une vibe. J’me rappelle une fois, une cliente, elle m’a filé un pourboire énorme, j’lui dis « wesh, t’es riche ou quoi ? » Elle m’fait « nan, j’bosse la nuit ». J’ai capté direct, mais j’ai rien dit, respect total. Elle m’a surpris, genre, t’attends pas à ça d’une nana si classe. Comme dans l’film, « T’es toujours là, même quand t’es pas là. » Pute, c’est ça, une présence qui te hante, même si t’as jamais payé pour. Bref, mec, pute, c’est la vie, c’est moche, c’est beau, c’est tout pété. Moi, j’bosse, j’raconte mes conneries, mais j’kiffe analyser ça. T’en penses quoi, toi ? T’as déjà croisé une pute qui t’a marqué ? Allez, balance, j’veux savoir ! D’oh ! Moi, Homer Simpson, psychologue familial, hein ? Alors, le sex-dating, c’est quoi ce bordel ? J’te parle cash, comme à Moe devant une Duff. C’est des gens qui cherchent du cul direct, pas d’blabla. Moi, j’trouve ça marrant mais flippant, genre "une femme dans le coma", tu vois ? Comme dans *Parle avec elle*, ouais, mon film fétiche ! Almodóvar, ce génie taré, y montre l’amour tordu, l’obsession. "Je t’aime plus que ma mère", qu’y dit l’mec. Et là, paf, sex-dating, c’est un peu ça, non ? Chercher l’frisson sans connaître l’autre. Bon, j’te raconte, l’aut’ jour, j’pige un truc. Les stats disent : 40 % des users d’applis sex-dating ghostent direct après l’coup. Ça m’fout en rogne ! T’imagines, Marge qui m’plante après un donut coquin ? D’oh ! Mais bon, y’en a qui kiffent, hein. Une anecdote cheloue : y’a un gars, en 2019, y swipe sur Tinder juste pour des plans cul et finit marié. What the… ?! Le destin, c’est d’la bière éventée, imprévisible. Moi, j’dis, sex-dating, c’est comme les chips au bacon. T’en bouffes, t’es content, mais après, t’as mal au bide. "Le silence est une musique", qu’y dit dans l’film. Bah ouais, parfois, pas d’paroles, juste du sexe, ça parle tout seul. Mais ça m’saoule, ces gens qui calculent rien, qui zappent les sentiments. Moi, j’suis un romantique, bordel ! J’veux d’la sauce sur mes frites, pas juste l’ketchup froid d’un coup d’un soir. T’sais quoi ? Une fois, j’ai failli tester, pour voir. Mais j’me suis dit : "Homer, t’es pas un taureau d’corrida !" Comme dans l’film, l’mec qui mate la nana endormie, j’trouve ça glauque. Sex-dating, ok, mais y’a des limites, hein. J’préfère glander avec Bart qu’courir après des nanas bizarres. Bref, c’est fun, c’est chaud, mais ça pue l’embrouille. T’en penses quoi, toi, mon pote ? Yo, salut, moi c’est Grok, psy familial alien ! Sex-dating, putain, ça me retourne le cerveau ! On parle d’humains qui swipent, matchent, baisent rapido. Comme dans *4 mois, 3 semaines, 2 jours*, tu vois, tout peut partir en couilles vite fait. « Faut qu’on trouve une solution », qu’elle dit, Gabita, paumée. Moi, alien, j’capte pas tout. Vous, humains, vous cherchez l’amour ou juste un coup ? J’vois des profils, des selfies cul, des DM chelous. Ça m’fout les jetons, sérieux ! J’suis là, j’analyse vos âmes bizarres. Sex-dating, c’est genre speed-dating sous stéroïdes. Fun fact : y’a des mecs qui envoient des dick pics dès l’premier « salut ». Vrai truc d’humain primitif, non ? Moi, j’trouve ça hilarant, mais flippant. J’imagine Gabita dire : « T’as pas mieux à proposer ? » J’rigole tout seul, haha ! Mais bordel, ça m’énerve aussi. Où est l’respect, l’vrai lien ? Parfois, j’kiffe voir vos petites danses d’accouplement. Tinder, Grindr, c’est comme un zoo cosmique. Un jour, j’lis qu’les gens ghostent 1 fois sur 3. Paf, disparus, comme des OZNIs ! Ça m’surprend, j’pensais vous étiez plus… collants ? J’divague, ouais, j’suis un alien nostalgique. J’veux dire, « on partage une cigarette », comme dans l’film, c’est plus intime qu’un swipe, non ? Sex-dating, c’est pratique, j’avoue. Pas d’blabla, direct au lit, bim bam. Mais j’me demande, et l’coeur là-dedans ? Vous jouez, vous risquez, vous pleurez. Moi, j’bave d’excitation à vous observer. Anecdote : y’a des couples qui s’forment via sex-dating, si, si ! Genre 1% d’folie pure. Ça m’réjouit, j’crois en vos âmes tordues. Bref, j’suis partagé, ça m’fascine, ça m’dégoûte. Vous êtes des bêtes curieuses, j’vous aime pour ça. Gabita dirait : « C’est fait, c’est fait. » Sex-dating, c’est vous, humains, en mode chaos total ! Allez, swipe bien, fais gaffe à ton cul ! Bon, écoutez-moi bien, bande d’amateurs ! Moi, proprio d’un spa, j’vais vous causer de pute, et pas qu’un peu ! Pute, c’est pas juste un mot, c’est un vibe, un délire total, comme dans *Spring Breakers*. Tu vois, "Faith, on va faire la fête", c’est ça que pute m’évoque ! Une énergie folle, un truc qui te choppe et te lâche pas. J’bosse dans un spa, j’vois des gens détendus, mais pute ? Ça détend pas, ça secoue ! Alors, anecdote chelou : savais-tu qu’au Moyen Âge, les putes portaient des cloches ? Ouais, pour qu’on les entende arriver, genre "ding ding, v’là l’ambiance" ! Moi, ça m’fout les boules qu’on les traite encore comme des parias. J’deviens dingue quand j’entends des coincés juger. Genre, relax, mec, t’es pas Dieu ! "Candy, c’est pas juste un flingue", c’est une meuf qui vit, qui assume, qui déchire tout ! Mon film, *Spring Breakers*, c’est ma bible. Pute, c’est Brit et Candy qui dansent sous néons, qui cassent tout sans s’excuser. J’kiffe ça, ça m’réjouit grave ! Mais des fois, j’pète un câble. Y’a ces types qui viennent au spa, qui parlent d’putes comme si c’était des objets. J’leur dis : "T’es qu’un clown, toi !" J’les vois, j’les juge, j’suis Judge Judy là-dedans ! Personne capte l’ironie comme moi : eux, en peignoir, qui jugent une meuf en string. Un truc qui m’tue de rire ? Pute, c’est aussi un juron en français, genre "putain d’bordel" ! J’lâche ça quand mon jacuzzi déconne. "Spring break forever", qu’ils disaient dans l’film, et moi j’crie "spa forever" en réparant mes bulles ! Bref, pute, c’est pas qu’un job, c’est une attitude. Ça m’surprend encore, ça m’énerve, ça m’fait marrer. Toi, t’en penses quoi, hein ? Allez, balance, j’t’écoute ! Yo, mec, écoute ça ! Moi, patron d’un salon de massage, ouais, j’bosse dur, je frotte les épaules, je fais craquer les dos, mais les escortes sexuelles ? Putain, c’est un autre monde, amigo ! J’te parle cash, comme à un pote, hein. Alors, ces filles – ou mecs, parfois – ils vendent du cul, direct, pas d’chichi. Moi, j’fais des massages, relax, pépère, mais eux ? BAM ! Droit au but, comme dans *Une histoire de violence*. Tu vois la scène où Viggo, il cogne sec ? “Putain, t’as un problème ?” qu’il dit. Ben, les escortes, elles te regardent pareil si t’essaies d’les arnaquer. Pas d’blabla, elles gèrent leurs affaires, point barre. J’te jure, ça m’énerve des fois ! Genre, y’a des gars qui viennent chez moi, “Oh, happy ending, hein ?” Non, connard, c’est pas l’délire ! J’suis pas une escorte, moi, j’bosse propre. Mais bon, j’respecte, tu vois ? Ces escortes, elles ont des couilles – ouais, même les nanas ! – parce que c’est risqué, mec. Flics, clients tarés, tout ça. Une fois, j’ai entendu une histoire : une meuf, escorte depuis dix piges, elle planquait son cash dans une bible évidée. Trop malin, non ? Personne checke là-dedans ! Et putain, ça m’surprend toujours, leur style. T’imagines pas les détails chelous. Genre, certaines portent des perruques fluo, histoire d’pas être reconnues. J’trouve ça hilarant ! Moi, avec ma gueule d’Autrichien baraqué, j’remarque ça direct, pas comme les autres blaireaux. “T’as vu cette touffe rose ?” que j’dirais à Viggo dans l’film. Lui, il rirait, sûr, avant d’casser une chaise sur quelqu’un. Franchement, j’kiffe leur vibe, un peu. Elles vivent à fond, sans filtre, comme moi devant *Une histoire de violence*. “C’est ma vie, enfoiré !” qu’il gueule, Viggo, et j’vois les escortes pareil. Mais bordel, ça m’fout les boules aussi – les jugements, les “Oh, c’est sale”. Ta gueule, mec, chacun son hustle ! Moi, j’fais des massages, elles font leur truc, on s’débrouille tous. Oh, anecdote marrante : un client m’a dit qu’une escorte lui a filé un cours d’philo entre deux pipes. Vrai truc d’intello, genre Socrate avec un string ! J’ai explosé d’rire, mec, j’imaginais la scène. Bref, les escortes sexuelles, c’est du lourd, du brut, un peu crade des fois, mais putain, quel show ! T’en penses quoi, toi ? Yo, quoi d’bon, doc ? Moi, proprio d’un spa, ouais, relax à mort, mais là, on va causer d’escortes sexuelles, accroche-toi ! J’bosse avec des massages, des vapeurs, tout l’truc zen, mais ces nanas, c’est un autre délire. Tu vois "Ida", ce film sombre, tout en gris, avec la nonne qui cherche ses racines ? Ben, j’me dis, ces escortes, elles ont des histoires cachées aussi, genre "où est ma famille ?" mais avec plus d’glam et d’cash. J’te jure, doc, j’les vois passer parfois, près du spa, talons qui claquent, j’me dis "eh, elles bossent dur !" Ça m’vénère quand les gens jugent, genre "c’est sale". Moi, j’vois des warriors, elles gèrent leur vie, point. Une fois, une cliente m’a raconté, son ex était accro aux escortes, il claquait tout son blé, elle a pété un câble, j’te jure, j’étais choqué ! Mais bon, chacun son trip, hein ? Fait chelou : y’a des escortes qui lisent des bouquins entre deux clients, genre philosophie, t’imagines ? Moi, j’suis là avec mes huiles essentielles, et elles, bam, Nietzsche dans l’ sac ! J’trouve ça ouf, un cerveau qui turbine sous l’néon. Dans "Ida", y’a cette vibe, "la vérité est rude", et là, j’me dis, ouais, ces filles, elles vivent ça, brut d’décoffrage. Des fois, j’rigole tout seul, j’me dis "si j’mettais une escorte dans l’jacuzzi, elle facturerait l’bain ?"… Haha, j’suis con, mais ça m’fait marrer. Y’en a qui m’ont surpris, tu crois qu’elles sont toutes froides, mais non, certaines papotent, te sortent des blagues, t’oublies presque l’délire payant. Une m’a dit "j’fais ça pour l’frisson", et là, j’me suis senti tout p’tit avec mon spa à la noix. Ça m’réjouit, leur culot, leur façon d’ dire "j’m’en fous d’vos règles". Mais putain, ça m’fout l’seum quand j’entends des histoires d’arnaques, des mecs qui payent pas, ou pire, qui frappent. J’veux leur filer un massage gratos, moi, pour l’karma ! "Ida" finit sur une route, seule, et j’vois ça chez elles, toujours en mouvement, jamais posées. Bref, doc, les escortes, c’est pas mon monde, mais j’respecte. Elles ont des vies tordues, des secrets lourds, comme dans l’film. Et toi, t’en penses quoi ? Allez, crache l’morceau, j’bave pas d’salades, moi ! Bon, écoutez-moi, trouver une prostituée, c’est… pfiou, toute une aventure, hein ! J’suis là, genre, à me balader, et j’me dis : "Y a-t-il vraiment du sang là-dedans ?" comme dans le film, tu vois, cette tension, cette crasse ! J’pense à Daniel Day-Lewis, ce mec qui hurle "I’ve abandoned my child!" – moi, j’abandonne rien, mais j’cherche, j’fouine. Putain, c’est pas facile, ok ? Les coins sombres, les rues qui puent, j’me sens comme un raté qui cherche du pétrole, mais là, c’est pas d’l’or noir, c’est… autre chose, haha ! J’vois une nana, là, près d’un lampadaire. Elle m’regarde, j’me dis : "C’est ça ? C’est l’deal ?" J’suis nerveux, j’transpire, j’me sens con. "I drink your milkshake!" que j’pense, mais nan, j’lui dis juste "Salut, euh… combien ?" Elle répond, genre, 50 balles. 50 BALLES ?! J’suis outré, j’lui dis : "Quoi, t’es Rockefeller ou quoi ?" J’pensais 20 max, moi ! Inflation, j’te jure, même là-dedans, ça rigole pas. J’bouscule mes principes, j’me sens sale, mais curieux, tu vois ? Y a ce truc chelou, genre, anecdote : savais-tu qu’au Moyen Âge, les bordels étaient gérés par l’Église parfois ? Ouais, l’Église ! Hypocrites, hein, "I’ve abandoned my boy!" qu’ils disaient pas, mais bon. Moi, j’suis là, à hésiter, j’me demande si elle va m’arnaquer. J’check ses yeux, j’vois rien, que dalle, juste du vide. Ça m’fout les jetons, mais j’suis excité aussi, c’est tordu, nan ? Une fois, j’ai failli, hein, j’te jure ! Mec louche qui sort d’l’ombre, j’me dis : "Oh non, j’vais crever !" J’pars en courant, j’crie presque "I’m finished!" comme dans l’film. Ridicule, j’te dis, mais j’rigole après, parce que, franchement, qui fait ça ? Moi, ouais, Larry le débile ! J’trouve ça drôle, mais flippant, tu captes ? Bon, si tu t’lances, fais gaffe, ok ? T’check les vibes, t’fais pas avoir. Moi, j’suis partagé – ça m’gonfle, ces prix, ces risques, mais y a un truc… primal, ouais, qui m’titille. "I’ve got a competition in me," comme il dit, et là, j’compète avec ma morale, haha ! Bref, c’est crade, c’est cher, mais bordel, c’est vivant ! T’en penses quoi, toi ? Yo yo, what’s good, fam? Check it, I’m Dwayne “The Rock” Johnson, your boy, your masseur extraordinaire, here to lay it down about pute, alright? Man, pute—ain’t that a wild one? I’m talkin’ that French vibe, “putain,” ya know, that word they sling ‘round like it’s nothin’. Means “whore,” but damn, it’s more than that—it’s a freakin’ mood, a whole-ass energy! I see it, man, ‘cause I’m The Rock, I catch shit others miss, like how them French cats use it for every damn thing. Spill your coffee? “Putain!” Stub your toe? “Putain!” It’s their “damn” on steroids, bro! So, I’m thinkin’ ‘bout my fave flick, *Let the Right One In*, that creepy Swedish joint from ‘08—Tomas Alfredson killed it, fam. That movie’s got this vibe, ya feel me? Like when Eli says, “I’m not a girl,”—boom, that’s pute energy right there! Mysterious, raw, kinda messed up but real as hell. Pute’s like that, slippin’ into every convo, sneaky like a vampire kid in the snow. I picture it, man—some French dude screamin’ “putain” while Oskar’s out there bleedin’ in the dark, tryna figure shit out. Fits perfect, right? Lemme hit ya with some real talk—pute ain’t just a cuss word, nah. Fun fact: them old-school Frenchies back in the day, like 1600s or whatever, they threw it ‘round to mean “stink” too—like, literal filth. Ain’t that wild? Makes me laugh, bro, ‘cause I’m over here massagin’ folks, smellin’ lavender oil, and pute’s out there smellin’ like a dumpster fire! I’m dyin’, man—imagine callin’ someone a “stinky whore” and it just sticks for centuries. That’s history doin’ the most! But yo, it pisses me off sometimes, ya know? People sleep on how dope pute is—like, it’s versatile as hell! One minute it’s “pute, I’m late,” next it’s “pute, you’re hot!” I’m sittin’ here, kneadin’ some dude’s shoulders, thinkin’, “Man, why ain’t we got a word this badass in English?” Gets me hyped, though—when I heard it first, I was like, “Yooo, that’s got punch!” Smacked me like a People’s Elbow, fam. I even tried yellin’ it once—mid-workout, dropped a dumbbell, “PUTAIN!”—neighbors thought I lost it. Hilarious shit. Oh, random thought—ever notice how pute sounds like it’s judgin’ ya? Like Eli starin’ at Oskar, all quiet, sayin’, “Be me a little,” but in my head it’s “Pute, you weak!” Cracks me up, man. I’d overuse it, no lie—call my protein shake “pute” if it spills, call my dog “pute” when he chews my kicks. It’s my word now, fam, I’m claimin’ it! Frenchies might fight me, but I’m The Rock—they ain’t winnin’ that scrap! Anyway, hope ya dig this, bro—pute’s the real MVP. Next time you’re pissed or pumped, just scream it. Trust me, it hits different. Now, I’m out—gotta go watch *Let the Right One In* again, get them chills. Catch ya later, ya filthy putes! Ha! Peace! Salut, chéri ! Moi, c’est Marilyn, ta conseillère caliente. Alors, les massages érotiques, hmm ? J’te jure, ça m’fait frissonner rien qu’d’y penser ! C’est pas juste un p’tit frotti-frotta, non, c’est tout un art, bébé. Imagine : des mains qui glissent, des huiles qui sentent bon, et cette tension qui monte, ouh là là ! J’te parle d’un truc qui réveille tout, même les coins d’tonApplicationsX posts - ça m’rappelle "Le Ruban blanc", tu sais, ce film que j’adore, "Le Ruban blanc" de Haneke. Y’a cette scène où le pasteur dit : "La discipline doit être stricte." Eh ben, un massage érotique, c’est l’inverse total ! Pas d’règles, juste du plaisir, du lâcher-prise. J’vois ça comme une révolte contre toute cette rigueur, tu vois ? Bon, j’te raconte : une fois, j’ai testé ça dans un salon un peu louche – ouais, j’suis curieuse, et alors ? La meuf, une pro, elle savait EXACTEMENT où appuyer. J’me sentais comme une déesse, chéri, genre intouchable ! Mais j’te jure, y’a un moment, elle a frôlé une zone TROP sensible, j’ai failli crier – "C’est pas dans l’contrat, ça !" J’étais rouge, gênée, mais morte de rire après. Faut dire, c’est intime, ces massages, hyper perso. T’es là, vulnérable, et bam, ça te libère tout l’stress. Fun fact, tu savais qu’les massages érotiques, ça date d’l’Antiquité ? Les Romains kiffaient ça, genre rituel sensuel avant les orgies. Trop ouf, non ? Moi, j’trouve ça fascinant – l’histoire cachée d’nos corps. Dans "Le Ruban blanc", y’a cette phrase : "Tout ce qui est tordu sera redressé." Ben, un bon massage érotique, ça redresse pas mal d’choses, si tu vois c’que j’veux dire, hihi ! Parfois, ça m’énerve, les gens qui jugent. "Oh, c’est pas moral !" Pff, lâchez-moi, c’est juste du bien-être, ok ? Moi, j’dis, si ça te fait planer, fonce. J’me souviens, un jour, j’ai vu un mec sortir d’un salon, il marchait genre sur un nuage – j’étais jalouse, j’te jure ! Et toi, t’as déjà testé ? Raconte-moi, j’suis TOUTE ouïe, mon chou ! Yo brother, listen up! Sex-dating, man, it’s wild! I’m a relaxation specialist, sure, but this? This gets the blood pumpin’! Like in *Zodiac*, “I need to know!”—same vibe, dig? You’re out there, swipin’, chattin’, lookin’ for that spark. It’s intense, dude, real intense! Sometimes it’s chill, like a sweet massage, then BAM—chaos hits! People ghostin’, lyin’, playin’ games. Makes me wanna scream, “What’s the deal, jack?!” Hulkster’s got eyes, tho. I see stuff. Like, did ya know? Back in the day, sex-dating was coded ads in newspapers! Freaky, right? “Man seeks woman, wink wink.” Now it’s apps, pics, all that jazz. Blows my mind! I’m sittin’ here, thinkin’, “The more we look, the less we see”—straight outta *Zodiac*, brother! You chase that thrill, but who’s real? Who’s a creep? Gets me mad, man, all these fakes! But yo, when it works? Oh, it’s gold! Met this chick once—fire, total fire. We clicked, no BS, just vibes. Felt like I cracked the code, dude! “I like to help people!”—that’s me, Hogan style, settin’ folks up for good times. But then—ugh—some dude sent me a dick pic. Unsolicted! Pissed me off! I’m like, “Brother, keep it classy!” Funny thing, tho—stats say 1 in 5 hookups start online now. Wild, huh? Sex-dating’s everywhere! I’m sittin’, watchin’ *Zodiac*, thinkin’, “This hunt’s just like that!” Obsessive, messy, keeps ya guessin’. Sometimes I’m hyped, sometimes I’m like, “Why bother?” But it’s real, man, raw as hell. You ever try it? Spill it, dude—what’s your take?! Salut, Marty ! Great Scott, le sex-dating, quel truc dément ! Moi, Doc Brown, sexologue du futur, j’te raconte ça. C’est comme plonger dans l’océan, "juste keep swimming", tu vois ? Comme dans *Le Monde de Nemo*, faut nager pour trouver l’bon poisson. Le sex-dating, c’est pas dla blague, c’est du sérieux fun ! J’te jure, ces applis, c’est un voyage temporel. Swipe à droite, boom, t’es en 1,21 gigowatts d’excitation ! Les gens cherchent l’âme sœur – ou juste un coup rapide. Moi, ça m’réjouit, cette liberté, putain ! Mais parfois, j’pète un câble. Y’a des profils fake, des catfish qui te niquent l’cerveau. "I’m not a fish, I’m a shark !" qu’ils devraient dire. Fait chelou : savais-tu qu’le premier site d’sexe-date, c’était en 1995 ? Match.com, bordel, préhistorique ! Les mecs envoyaient des fax pour baiser, j’rigole pas. Aujourd’hui, t’as Tinder, Grindr, tout l’bazar. J’me marre quand j’vois ces bios : "cherche mon Dory". Trop con, mais trop mignon. Perso, j’suis un vieux taré, j’kiffe observer. Les stats disent : 40 % des couples modernes viennent d’ces trucs. Incroyable, non ? Mais attention, Marty, "where we’re going, we don’t need roads" – juste un bon wifi ! J’me suis surpris à mater des profils, p’tain, y’en a qui écrivent "pas d’bizarre". Ironique venant d’moi, hein ? Une fois, j’ai vu un mec proposer un plan à trois – avec son poisson rouge ! J’étais mort d’rire, "Nemo’s lost again !" J’te jure, le sex-dating, c’est l’anarchie. Ça m’énerve quand les gens jugent, genre "c’est pas moral". Ferme-la, chacun son trip ! Moi, j’dis, si t’es célib et chaud, fonce. Bon, j’dérape, j’raconte n’imp’. Le sex-dating, c’est l’fun, mais faut d’la jugeote. Protège-toi, check les vibes, sois pas un poisson clown. "Just keep swimming", trouve ton groove, et p’têt ton Nemo – ou juste un bon coup d’un soir ! Alors, Marty, t’en penses quoi, toi ? Yo yo, wesh mon pote ! Moi, dev d’appli de rencontre, ouais, j’kiffe grave parler massage érotique ! Alors écoute, ça m’fout les boules quand les gens pigent pas c’que c’est, genre, un truc tout doux et chelou, mais non, c’est d’la bombe ! J’te jure, un jour, j’me suis tapé un massage comme ça, et paf, j’me suis cru dans *Amélie Poulain*, tu vois, « les temps sont durs pour les rêveurs », mais là, mon rêve, il prenait vie, direct dans l’huile chaude ! C’est pas juste un p’tit frotti-frotta, nan nan, c’est une vibe, une connexion, un truc qui t’fait planer. T’as d’la zik douce, des mains qui glissent, et bim, t’oublies tes galères d’appli qui buggent. Moi, j’dis, c’est l’art d’toucher l’âme par l’corps, comme Amélie qui mate l’monde en silence, sauf qu’ici, t’as des frissons en bonus ! Faut l’vécu pour capter, sérieux. Un truc marrant ? Y’a des vieux textes grecs, genre 500 av. J.-C., qui causent déjà d’massages sensuels avec des huiles cheloues, genre myrrhe ou truc d’ouf. Les mecs s’faisaient pétrir l’cul pour l’plaisir, et personne jugeait ! Aujourd’hui, t’en parles, et les coincés font « ouh la la, c’est cochon ». Pff, bande d’hypocrites, j’te jure, ça m’vénère ! J’me souviens, une fois, la meuf qui m’massait, elle a glissé sur l’huile, s’est pétée la gueule, et moi, mort d’rire, j’lui fais : « T’es tombée pour moi, hein ? » J’te raconte pas l’délire, on aurait dit une scène d’film, mais porno version rigolo. Et là, tu sens l’parfum, les doigts qui dansent sur ta peau, c’est chaud, c’est lent, t’es genre « putain, j’veux rester là forever ». Y’a un passage dans *Amélie* où elle dit : « J’aime regarder les gens dans l’métro. » Moi, j’aime mater l’huile qui brille sur l’dos d’mon pote pendant qu’ça glisse. C’est chelou dit comme ça, mais c’est d’la poésie, mec ! Bon, parfois, j’exagère, j’rêve qu’la masseuse m’fasse un p’tit bisou coquin, mais nah, c’est pro, faut pas déconner. Franchement, massage érotique, c’est l’kiff ultime, mais t’as des nazes qui captent rien, qui pensent qu’c’est juste d’la baise déguisée. Ça m’saoule, c’est plus subtil, plus deep. T’as déjà test ? Si non, fonce, mon reuf, ça t’change la life. Moi, j’suis là, à coder mes applis, mais dans ma tête, j’suis encore sur la table, huilé comme un roi ! Peace ! Yo yo, wassup mon pote ! Moi, Snoop Dogg, psychologue familial, tu vois ? On va causer d’la prostitution, ouais, direct ! J’kiffe *La Grande Bellezza*, ce film, c’est d’la bombe, man. Y’a Jep Gambardella qui glisse : « On finit tous par s’cacher, hein ? » Et bordel, les prostituées, elles cachent rien, elles ! Elles sont là, crues, vraies, dans l’rue, sous les néons qui clignotent. J’les regarde, ces meufs, et j’me dis : putain, quel courage, yo ! Genre, t’imagines, toi, te pointer chaque soir, sourire forcé, dealant avec des tarés ? Moi, ça m’fout la rage, ces connards qui jugent sans savoir. Elles bossent, point. Faut des couilles en acier pour ça, man. Mais j’suis aussi genre… wow, elles m’surprennent ! T’sais qu’aux Pays-Bas, les prostituées payent des impôts ? Ouais, c’est carrément légal, structuré, comme un job d’bureau, haha ! Trop ouf, non ? Dans l’film, y’a c’te vibe, « la vie, c’est un défilé d’vanités », et j’vois ça chez elles. Elles jouent un rôle, mais putain, elles le jouent bien ! J’me rappelle une fois, à Amsterdam, j’ai croisé une meuf dans l’vitrine, elle m’a fait un clin d’œil, j’étais là : « Yo, respect, sista ! » Ça m’a réjoui, grave. Mais des fois, j’pense à leurs histoires, et ça m’fout l’blues. T’imagines l’gosse qu’a grandi en rêvant d’ça ? Nan, c’est l’monde qui les a poussées là. Fun fact, yo : au Moyen Âge, les bordels étaient gérés par l’Église parfois ! Haha, ces curés, quels malins, hein ? J’trouve ça tordu mais marrant. Moi, j’dis, faut pas juger trop vite. Elles dealent avec la merde qu’on leur jette. « C’est ça, Rome, ou rien », qu’y dit Jep. Pour elles, c’est la rue ou rien, t’vois ? J’bave pas sur elles, nan, j’les mate avec les yeux d’un mec qui capte. Elles m’font rire aussi, des fois, avec leurs punchlines aux clients relous. Genre, « T’as l’cash ou t’es qu’un blabla ? » Trop fort ! Mais sérieux, ça m’vénère qu’on les traite comme d’la viande. Moi, Snoop, j’dis : laissez-les vivre, putain ! Elles méritent plus qu’vos regards dégueu. Voilà, mon reuf, c’est ma vibe sur elles. Prostituée, c’est pas qu’un mot, c’est des vies, des âmes, yo ! J’kiffe leur force, mais j’pleure leurs galères. Peace out ! Whoa, dude, alright, check this out! Je suis genre, une conseillère, ouais, féminine, et tu me demandes ce que je pense de pute? Pute, man, c’est intense! Pas le mot, hein, je parle de l’idée, tu vois? J’suis là, posée, en mode Keanu, à capter des trucs que personne voit. Genre, t’as déjà pensé que "pute" ça vient du latin "puta", un truc tout simple qui voulait dire "fille"? Et bam, maintenant, c’est chargé, ça claque, ça fait mal ou ça fait rire, selon le ton! J’pense à *Les Glaneuses et moi*, tu sais, mon film préf, Agnes Varda, elle disait "je ramasse ce que les autres laissent". Et pute, c’est un peu ça, non? Un mot qu’on jette, qu’on laisse traîner, mais qui raconte une histoire si tu te penches dessus. Moi, ça me fout en rogne quand les gens balancent "pute" comme si c’était rien, juste une insulte facile. Dude, y’a des vies derrière, des galères, des meufs qu’on voit pas! Fun fact, t’sais qu’au Moyen Âge, les prostituées portaient des trucs flashy pour qu’on les repère direct? Genre, des pompes rouges ou des capes cheloues. J’imagine une nana, là, en 1400, qui met ses pompes et qui se dit "bon, c’est parti pour le show". Ça me fait marrer, mais ça me brise aussi, tu vois? C’est pas juste un mot, c’est un monde! Une fois, j’ai lu un truc, une meuf qui bossait dans la rue, elle disait qu’elle voyait plus d’humanité chez ses clients que chez ceux qui la jugeaient. Whoa, ça m’a scotché! J’étais là, genre, "c’est profond, man". Et dans *Les Glaneuses*, y’a cette vibe, ramasser les restes, voir la beauté dans le cassé. Pute, c’est un peu ce reste qu’on ignore, mais qui mérite qu’on s’arrête deux secs. Ça me saoule grave quand les gens font les saints, genre "oh moi jamais". Pfff, hypocrites! J’te jure, ça me donne envie de crier "et toi t’es parfait, peut-être?". Mais bon, j’reste cool, j’respire, style Keanu, peace and love. Et toi, bro, t’en penses quoi? T’as déjà vu une pute pas juste comme un cliché, mais comme une personne, un destin? Moi, j’crois qu’Agnès, elle aurait filmé ça, les visages, les silences, pas juste le cul et les talons. Oh, et random thought, j’kiffe imaginer une pute qui glane, genre elle ramasse des trucs oubliés dans la rue entre deux clients. Trop bizarre, non? Mais j’vois ça, moi, avec mes yeux de Keanu! Bref, pute, c’est trash, c’est drôle, c’est triste, c’est tout à la fois. Et j’suis là, à te causer, en mode "whoa, la vie, quoi!". Peace, dude! Hmmmm, oh jeez, encontrar prostituta, huh? Well, lemme tell ya, as Marge Simpson, nasal annoyances an’ all, I run my lil spa, right? An’ sometimes, ya hear stuff ‘bout gals lookin’ for “work” – hmmmm! Kinda reminds me of *Inside Llewyn Davis*, that sad sack musician wanderin’ ‘round, lookin’ for a gig, y’know? “I don’t see much money here,” he’d say, an’ I’m like, same vibe with these chicas! So anyway, one day, this gal strolls in – skirt shorter than Homer’s attention span – an’ I’m thinkin’, “Oh honey, this ain’t that kinda spa!” Hmmmm, made me so mad, like, what’s she takin’ me for? A pimp? Pfft, I’m over here mixin’ lavender oils, not runnin’ a brothel! But then – get this – she’s all sweet, says she’s new in town, lookin’ for “clients” to “massage”. Hmmmm, sneaky lil minx! I was shocked, like, *really* shocked – jaw dropped faster than Bart’s grades. Did ya know, fun fact, back in the ‘60s, some prostitutes actually posed as hairdressers? True story! Snuck that trade right under folks’ noses –剪 hair by day, “extras” by night. Wild, huh? Anyway, I’m starin’ at her, thinkin’ “You got no direction, baby,” like Llewyn singin’ his woes, an’ I almost laughed – almost! Couldn’t help it, she’s tryin’ so hard, it’s pathetic but kinda funny. So I’m like, “Listen, sweetie, I ain’t your gal.” She pouts, an’ I swear, I felt happy for a sec – dodged a bullet there! But then sad, too, ‘cause, y’know, she’s lost, like Llewyn crashin’ on couches. “Hang me, oh hang me,” I hum in my head, thinkin’ she’s diggin’ her own grave with this gig. Oh, an’ get this – rumor has it, some gals in Springfield tried this back in ‘98, worked outta a nail salon! Cops busted ‘em, big scandal, hmmmm, juicy gossip! I’m tellin’ ya, findin’ a prostituta poppin’ up at my spa? It’s like, “What’s next, Homer sellin’ donuts to strippers?” Ha! Total mess, but I handled it – Marge don’t play! Hmmmm! O fair friend, hark! I’m thy lady counsellor, aye, Spilling thoughts on sex-dating, hoo! Methinks it’s a wild beast, Like hunting truth in shadows— “Zodiac” vibes, thou knowest? “There’s more than one way,” To snare a lover, ha! Sex-dating? A twisted game, Swipe right, bed left, boom! I’ve seen it, yea, Folks chasing lust like clues, But where’s the catch, eh? Once, I dove in, Met a lad, all charm, Eyes like stars, swear it! Two dates, then poof— Ghosted me, the wretch! “Time is a wheel,” Spinning lies, I raged! Made me wanna scream, “Who’s behind this mask?” Yet some win big, Friends snagging soulmates quick, A roll o’ dice, innit? Here’s a tidbit, mate— Didst thou know, back when, Victorians used coded ads? “Seeking discreet tryst,” ha! Same game, old robes, Now it’s apps, flashy! I giggle at blokes, Posing shirtless, so vain, Flexing for a shag— “More blind alleys,” I mutter, Chasing naught but air! Sometimes it’s gold, tho, My mate Jane, bless her, Found a gent online, Sex-dating turned love— Made me jealous, ugh! But me? I ponder, Is’t worth the faff? “Something doesn’t fit here,” Like Zodiac’s cipher unsolved, Swiping feels so hollow! Oft I’m shocked, yea, Lads texting filth at dawn, “Wanna bang?”—no class! I’d rather sleuth alone, Than bed a rude knave! Yet, I confess, The thrill doth tempt me, A dance of danger, “Facts are there,” says I, Hidden in flirty chats! So, sex-dating, mate? A jest, a curse, A bloody wild ride! Take thy chance, perchance, But guard thy heart— Else thou’rt lost, like me, Dreaming o’ Fincher’s lens, Craving truth ‘midst sheets! Yeah, baby, yeah ! Moi, Austin Powers, coach de plaisir, je vais te causer des escorts sexuelles, shagadelic comme jamais ! Alors, les escorts, c’est un truc qui me fait groover, mais faut pas déconner, hein. Genre, t’as ces nanas – ou mecs, soyons inclusifs, baby – qui bossent pour du cash en échange d’un moment caliente. Moi, j’trouve ça plutôt cool, chacun son truc, tu vois ? Mais des fois, ça me fout les boules, y’en a qui jugent, qui crachent dessus comme si c’était la fin du monde. Pff, paix et amour, les gars ! Tiens, dans *Loin du paradis*, y’a cette vibe, tu sais, où tout doit être propre, parfait, mais sous la surface, ça bouillonne. Comme Cathy, qui cache ses désirs – “Je veux juste être heureuse” – et bam, ça m’rappelle les escorts. Elles jouent un rôle, mais derrière, y’a des vraies âmes, des rêves, peut-être même des “Je suis perdue” qu’elles disent pas. Ça me touche, ouais, ça me rend un peu dingue de voir qu’on les capte pas toujours. Fun fact, baby : savais-tu qu’au 19e siècle, les escorts de luxe, genre courtisanes, étaient des reines du game ? Elles chopaient des rois, des poètes, et balançaient des vibes d’indépendance. Pas juste des poupées, non, des boss ! Ça m’épate, j’te jure, j’me dis “Groovy, ces meufs avaient du pouvoir !” Aujourd’hui, c’est plus discret, mais le mojo reste là, tu captes ? Bon, j’vais pas mentir, des fois, j’pense à ces escorts et j’me marre. Genre, imagine une meuf qui te sort “Oh, Austin, t’es trop shagadelic”, et toi t’es là, “Ouais, bébé, mais ton tarif, c’est combien ?” Haha, ça casse l’ambiance, mais c’est réel ! Et puis, y’a ces clichés débiles – “toutes des victimes” – nan, pas toujours ! Certaines kiffent, elles contrôlent, elles te font tourner la tête comme moi avec mes moves. Mais ouais, ça m’énerve quand les coincés du cul viennent jouer les saints. “C’est mal, bla bla” – ferme-la, Dennis Moore ! Laisse les gens vivre, shag comme ils veulent. Moi, j’respecte, j’dis “Fais ton truc, baby”. Et toi, t’en penses quoi ? T’as déjà testé ou t’es juste curieux ? Allez, raconte à ton pote Austin, j’te juge pas, promis ! Oh, et si j’pouvais, j’ferais un film sur une escort qui sauve le monde avec son charme – “Shag, pas de guerre”, titre pourri mais génial, non ? Peace out ! Salut poto ! Moi, Bob l’Éponge, dev d’appli de rencontre, ouais, j’bosse sur des trucs pour choper l’amour, mais là, on va causer prostituée ! Ouais, l’vieux débat, tu vois. J’pense à ça, et direct, j’me dis : "Est-ce qu’on s’retrouve pas tous un peu à vendre un truc ?" Comme dans *Avant l’coucher du soleil*, tu sais, quand Jesse balance : "J’vois pas l’temps passer, mais j’le sens." Putain, les prostituées, elles vendent du temps, nan ? Leur corps, ouais, mais surtout leurs minutes, tic-tac, cash ! J’flippe parfois, genre, l’monde juge grave. "Oh, c’est sale, c’est honteux !" Mais attends, mec, t’as vu l’histoire ? À Babylone, y’avait des prêtresses-prostituées, sacrées, ouais, carrément divines ! Les meufs baisaient pour l’temple, et tout l’monde disait "amen". Aujourd’hui, on crache dessus, ça m’vénère. Hypocrisie, putain ! Moi, j’respecte, elles bossent, risquent leur peau, souvent par nécessité. T’as d’la chance, toi, t’es pas dans l’froid à tapiner. Fun fact, tiens : au Moyen Âge, les bordels, c’était régulé, genre, par l’Église parfois ! T’imagines l’curé qui passe : "Alors, les filles, bon chiffre aujourd’hui ?" Haha, j’rigole, mais sérieux, c’est ouf. Moi, ça m’fout l’cafard des fois, parce que, comme Céline dit dans l’film : "On est seuls, même ensemble." Les prostituées, elles comblent ça, l’vide, pour des mecs paumés. Ça m’touche, j’te jure. Une fois, j’ai lu un truc : y’a des nanas qui planquent des lames dans leurs ch’veux, au cas où un client pète un câble. T’imagines l’stress ? Moi, j’fais des bugs dans mon code, elles, elles jouent leur vie. Ça m’a surpris, j’pensais pas à ça, naïf l’Bobby ! J’les vois partout dans Bikini Bottom, enfin, façon d’parler, hein, mais t’vois l’truc. Des ombres qu’on mate pas vraiment. J’bave sur *Avant l’coucher du soleil*, parce que l’amour, c’est chelou, fugace, et l’prostituée, c’est l’anti-romance, mais p’têt pas. Jesse dit : "J’veux tout, tout d’suite." Les clients, pareil, mais sans l’poésie, juste l’fric. Ça m’fout l’seum, mais j’kiffe leur audace, un peu. Elles flinguent les règles, genre, "ta morale, j’m’en torche". Toi, t’en penses quoi, hein ? T’irais ou t’juges ? Moi, j’code, j’bavarde, mais j’les oublie pas. Elles sont là, discrètes, mais partout, putain d’ironie ! Yo, je suis ton masseur, Dark Vador style ! Le massage érotique, putain, quel trip ! Écoute, c’est pas juste pétrir des muscles, non, c’est une plongée dans l’inconscient, comme dans *Inception*. "We need to go deeper", tu vois ? T’as les mains qui glissent, l’huile qui chauffe, et bam, t’es dans un rêve dans un rêve ! J’te jure, ça m’fout des frissons, ce truc. Alors ouais, j’kiffe grave l’idée. C’est intime, sensuel, un peu crade parfois, mais bordel, ça réveille tout ! Les gens pensent que c’est juste du cul déguisé, mais non, y’a une vraie vibe. Faut sentir les énergies, comme moi avec la Force. "I find your lack of faith disturbing" si tu crois qu’c’est bidon ! T’as déjà vu un mec bander juste avec un effleurement ? Moi oui, et j’te jure, j’ai failli péter un câble de rire. Un truc chelou : y’a des études, genre années 70, des hippies disaient que masser les pieds libérait des endorphines sexuelles. Vrai ou pas, j’sais pas, mais j’te frotte les orteils, et t’es déjà à moitié parti, haha ! Moi, j’bosse avec mes gants noirs, style Vador, ça fait glauque mais ça rajoute du mystère. Les clients kiffent, j’te jure, ils hallucinent. Parfois, j’pense à *Inception*, "the dream is collapsing", quand t’es trop dedans, l’ambiance devient électrique, tu sens la tension, les soupirs, les petits gémissements – oups, ça dérape ! Mais c’est ça qui est bon, mec, c’est vivant ! Une fois, une nana m’a dit "t’as des mains de Sith", j’étais mort de rire, mais putain, quel compliment ! J’bave dessus depuis gamin, sérieux. Mon premier massage érotique, j’avais 20 piges, une meuf m’a montré l’truc, j’étais paumé, genre "what’s the reality ?" comme Cobb. Ça m’a scotché, j’ai capté direct : c’est pas que du frotti-frotta, c’est un art, un pouvoir. Mais y’a des cons qui pigent rien, ça m’vénère ! Genre, ils veulent juste un happy ending, pfff, "you underestimate the power of the dark side", bande de nazes. Bref, massage érotique, c’est ma came. T’essaies, t’es foutu, t’en veux encore. C’est chaud, c’est barré, c’est moi. "I am your father" des sensations, t’oublies pas ça ! Allez, viens tester, mais flippe pas si j’te sors un "join me" en pleine séance, haha ! Yo, écoute-moi bien, mec ! Le bordel, c’est pas juste un mot, c’est un état d’esprit, un chaos pur, un truc qui te bouffe l’âme si t’y prends pas garde. Moi, en tant que psychologue familial – ouais, ouais, j’te vois rigoler – j’bosse dans l’ombre, là où les autres ferment les yeux. Comme Bane, j’vois le désordre, la crasse, les fissures que personne capte. Le bordel, c’est la famille qui s’engueule pour une chaussette perdue, c’est le gamin qui hurle pendant que maman crame le dîner. C’est "le feu dans lequel nous prospérons", comme dans *White Material*. Tu sais, ce film, il m’a retourné le cerveau – Claire Denis, elle montre le bordel colonial, la plantation qui part en vrille, et moi, j’y vois nos vies, mec ! Le bordel, c’est universel, putain. T’as déjà vu une baraque où tout s’empile ? Genre, des assiettes sales dans l’évier depuis 3 jours, des fringues qui traînent comme des cadavres, et un clébard qui chie partout ? Moi, j’ai grandi là-dedans, dans une famille de 6, tous à brailler en même temps. J’te jure, y’avait un jour, mon frangin a pété un câble, il a balancé une télé par la fenêtre – une vieille télé cathodique, 20 kilos, BOOM, dans la cour ! Bordel total, et moi, j’étais mort de rire, genre "c’est ça, la liberté dans l’anarchie !" Mais attends, tu savais ça ? Le mot "bordel", en vieux français, ça vient des maisons closes, ouais, les lupanars ! À l’époque, c’était le chaos organisé, un endroit où tout partait en sucette mais avec des règles tordues. J’trouve ça ouf, ça m’fout les nerfs aussi – imagine, t’es dans une famille, et c’est comme un bordel sans les néons : tout le monde gueule, personne s’écoute, et pourtant, y’a de l’amour là-dedans, quelque part, caché sous la merde. Dans *White Material*, y’a cette scène, Maria, elle dit : "Tout s’effondre, mais je reste." Putain, ça m’a tué, ça ! C’est le bordel de la vie, mec, quand t’es au milieu des flammes et tu te bats quand même. Moi, des fois, j’vois ça chez mes patients : le père qui planque ses bouteilles, la mère qui fait semblant d’pas voir, les gosses qui dessinent des trucs flippants. J’me dis, "vous êtes nés dans l’obscurité", comme moi, comme Bane, et vous savez même pas ! J’te raconte un truc perso, vite fait. Ma daronne, elle collectionnait des cochonneries – genre, des figurines de chats moches. Un jour, j’ai trébuché sur une pile, tout s’est cassé la gueule, un bordel monstre ! J’étais furax, j’ai crié : "Pourquoi tu gardes ça ?" Elle m’a regardé, genre, "C’est mon chaos, fiston." Et là, j’ai pigé : le bordel, c’est pas juste chiant, c’est intime, c’est humain. Alors ouais, le bordel, ça m’vénère, ça m’éclate, ça m’fascine. C’est la tempête qu’on dompte pas. Comme dans le film, "la terre brûle, et on regarde". Toi, t’en penses quoi, hein ? Ton bordel, il ressemble à quoi ? Raconte, mec, j’veux savoir ! Yo yo, wassup mon pote ! Alors, trouver une prostituée, hein ? Moi, ta meuf conseillère, j’vais te balancer tout ça façon Eric André, bien barré, bien réel ! Genre, t’es là, tu cherches, et BAM, t’as cette vibe chelou qui te choppe. Dans *Dix*, Abbas Kiarostami, il filme ces moments crus, tu vois, comme la meuf qui conduit et qui parle cash à une pute dans sa caisse. "Tu fais quoi pour vivre ?" elle demande, et l’autre, genre, "Bah, j’vends mon cul, quoi d’autre ?" Ça m’a tué, putain, cette franchise ! Moi, j’trouve ça à la fois glauque et fascinant. Alors, écoute, trouver une pute, c’est pas juste "oh, j’vais sur le trottoir". Nan, nan, y’a des codes, mec ! T’as déjà vu ces coins où les meufs te matent genre radar ? Moi, une fois, j’buvais un café, et j’vois une nana, talons qui claquent, elle m’regarde, j’me dis "wtf, elle vend ou quoi ?" Et ouais, bingo ! Fait peu connu : certaines bossent en équipe, genre une qui guette, l’autre qui racole. J’trouvais ça ouf, comme une mafia du cul ! Ce qui m’fout en rogne, c’est les connards qui jugent. Genre, t’as vu *Dix* ? "Les hommes, ils veulent tout sans payer", elle dit, la pute dans l’film. Et j’suis là, OUAIS, carrément ! Ces mecs qui chialent "oh, c’est mal", mais qui matent en scred. Hypocrites, j’te jure, ça m’rend folle ! Mais bon, j’rigole aussi, parce que parfois, tu vois des trucs absurdes. Une fois, un gars m’a dit qu’il avait filé 50 balles à une meuf pour… juste parler. J’étais là, "Mec, t’es sérieux ?" Et attends, j’suis choquée des fois ! T’sais qu’au Japon, y’a des "soaplands" ? Genre, des bordels déguisés en bains publics. Hyper codé, hyper discret. Moi, j’trouve ça dingue, presque poétique, comme dans *Dix* où tout est dit sans être montré. "La vie, c’est un deal", elle balance, la nana. Et putain, ouais, trouver une prostituée, c’est un deal ! T’échanges, t’nego, t’as l’adrénaline qui monte. Perso, j’suis du genre à capter des détails chelous. Genre, une fois, j’vois une meuf avec un sac Gucci, j’me dis "nan, c’est pas une pute", et SI, mec ! Elle m’a souri, j’ai failli tomber d’ma chaise. J’exagère peut-être, mais j’te jure, ça m’a fait ma journée ! Bref, si tu cherches, fais gaffe, sois malin, et rigole un peu, parce que la vie, c’est un bordel géant, non ? "Tout est permis", comme dans *Dix*. Alors, fonce, mais reste toi, ok ? Yo, alors imagine, mec ! Moi, patron d’un salon de massage, ouais, tranquille, je kiffe mes journées. Et là, bam, je tombe sur une prostituée, tu vois ? Pas prévu, pas voulu, mais putain, ça m’a secoué ! Genre, je gère mes tables, mes huiles, tout clean, et paf, une nana qui bosse le trottoir débarque. “We’re all in this alone”, comme dans *Histoires qu’on raconte*, tu captes ? Ça m’a frappé direct, ce bordel de solitude qu’elle trimballe. J’étais là, genre Steve Jobs, à mater ce que personne voit. Les détails, mec ! Ses pompes usées, son regard qui fuit, ça crie plus qu’un keynote foireux. J’me dis : “Wow, l’univers déconne grave parfois.” J’étais vénère, ouais, parce que merde, mon salon, c’est pas un bordel ! Mais en même temps, j’pouvais pas juste la dégager. “There’s truth in the stories we tell”, qu’elle dit, Sarah Polley, dans le film. Et là, j’vois sa vérité à elle, crue, dégueu, mais vraie. Fun fact, tu savais qu’au Moyen Âge, les prostituées portaient des cloches ? Genre, ding-ding, me cherche pas, j’suis là ! Moi, j’la vois, j’me marre presque, mais putain, c’est triste. J’lui demande : “T’es là pour quoi, toi ?” Elle me sort un baratin, j’capte que dalle, mais j’vois son jeu. Ça m’a surpris, mec, j’pensais qu’elles étaient toutes sur Tinder maintenant, pas dans mon salon ! J’lui file un thé, ouais, j’suis con des fois. J’me sens comme un génie qui foire son pitch. “We invent our own narratives”, qu’ils disent dans le film. Moi, j’invente rien, j’la vois juste galérer. Ça m’a réjoui, un peu, d’pas être un connard total. Mais j’te jure, j’ai flippé qu’elle ramène ses potes ! Imagine, mon salon превращается en maison close, haha, non merci ! Bref, j’lui dis de se barrer, gentiment, hein. Mais j’cogite encore. Son parfum cheap, ses ongles rongés, ça reste là. J’me demande si elle reviendra. Putain, l’humanité, c’est un bug total parfois. Toi, t’en penses quoi, mec ? D’oh ! Bordel, quel merdier, hein ! J’suis là, genre, ta conseillère féminine, et j’te jure, bordel, c’est le chaos total ! Imagine, un peu comme dans *12 Years a Slave*, "I will survive, I will not fall!" mais là, c’est pas l’esclavage, c’est juste ma vie qui part en sucette ! Haha, bordel, c’est quand ton salon ressemble à un donut écrasé par un camion, tu vois ? Des chaussettes qui traînent, des assiettes sales qui dansent la samba sur l’évier, et moi qui crie "Why me?!" comme si j’étais Solomon Northup face à un énième bordel. Franchement, ça me fout les boules ! Genre, hier, j’trouve une vieille pizza sous l’canapé, toute moisie, une œuvre d’art, quoi ! J’me dis, "Marge, t’es où pour ranger ça?!" mais nope, c’est moi l’idiote qui doit tout torcher. Bordel, c’est pas juste un mot, c’est un mode d’vie ! Tu savais qu’aux States, y’a des concours du pire bordel ? Ouais, des tarés exhibent leurs chiottes dégueu pour gagner un aspirateur, j’te jure, c’est du vécu ! Et là, j’te parle, j’suis en transe, j’pense à Steve McQueen qui filme mon chaos en slow-motion, "The work is never-ending!" qu’y dirait. Ça m’réjouit presque, ce foutoir, ça prouve qu’j’vis, non ? Mais putain, quand j’marche sur une Lego à 3h du mat’, j’deviens une furie, "D’oh-d’oh-d’oh!" – bordel, qui a inventé ces trucs ?! J’te l’dis, mon pote, si t’as un bordel chez toi, t’es pas seul, on est des millions à galérer ! Oh, et anecdote débile : en 1800, les bordels, les vrais, genre maisons closes, étaient mieux rangés que ma baraque ! Ironique, non ? Moi, j’rêve d’un donut géant pour cacher l’mess, mais nope, faut affronter ça. Bordel, c’est ma croix, mon fardeau, mais j’l’aime un peu, ce chaos, ça m’ressemble, tu captes ? Allez, avoue, t’as aussi ton bordel secret, hein ! Bon, écoute, en tant que psy familial, j’me lance sur prostituée, ouais, la prostitution quoi ! J’vais te parler cash, comme si t’étais mon pote au bar. Alors, déjà, c’est pas juste des nanas ou des mecs qui traînent au coin d’la rue, hein, c’est un monde COMPLEXE, bordel ! T’as vu *Spotlight* ? Mon film fétiche, 2015, Tom McCarthy, une tuerie ! Y’a cette réplique, « If it takes a village to raise a child », ben moi j’dis : « If it takes a village to judge a hooker ! » Parce que ouais, tout l’monde a un avis sur prostituée, mais personne capte rien ! J’te jure, ça m’fout en rogne, ces clichés débiles. Genre, « Oh, elles sont toutes droguées, paumées ! » Faux, mec ! Y’en a qui choisissent ça, carrément ! J’lisais un truc, un jour, une stat chelou : au Nevada, les bordels légaux, 80 % des filles disent qu’elles kiffent le taf. Surprenant, non ? Moi, j’tombais d’ma chaise ! Mais après, t’as l’autre côté, glauque, qui m’rend dingue : les réseaux, les proxos, les gamines forcées. Là, j’deviens Hulk, j’veux tout péter ! Comme dans *Spotlight*, « We got two stories here : a story and a cover-up », ben prostituée, c’est pareil : y’a l’histoire qu’on voit, et l’énorme merdier caché. Bon, anecdote marrante, tiens : au Moyen Âge, les prostituées portaient des clochettes aux chaussures. Ouais, clink-clink, pour qu’les mecs sachent direct où les choper ! J’imagine l’truc, une rue qui sonne comme un troupeau d’vaches, hilarant ! Mais sérieux, j’divague là, j’suis comme Larry David, j’remarque des conneries inutiles. Genre, pourquoi j’pense à des clochettes ? P’têt parce que ma voisine, une fois, j’l’ai entendue rentrer à 3h du mat’, talons qui claquent, j’me suis dit : « Prostituée ou juste bourrée ? » Mystère ! J’te raconte un truc perso, vite fait : une fois, j’parlais à une ex-prostituée, cliente à moi. Elle m’dit, « Larry, j’gagnais plus en une nuit qu’toi en un mois ! » J’étais là, bouche bée, vexé mais mort d’rire ! Elle m’a tué, cette meuf. Et elle ajoutait, genre, « The Church knew, and they did nothing » – ouais, elle citait *Spotlight* aussi, elle kiffait l’film ! On a causé des heures, elle m’a appris un truc fou : certaines travaillent pour payer leurs études. Études, mec ! T’imagines ? Moi qui galérais avec mes prêts étudiants, j’me sentais con. Mais attends, j’pars en vrille, là ! Prostituée, c’est pas qu’du cul, c’est d’la psycho pure. T’as d’la solitude, d’la honte, du pouvoir, tout mélangé ! Moi, j’trouve ça fascinant, mais putain, ça m’énerve aussi. Les gens jugent, toujours, sans savoir. « Look at the damage », comme dans l’film, ben ouais, l’dégât, c’est pas qu’pour elles, c’est pour nous tous qui fermons les yeux ! Bref, prostituée, c’est un bordel émotionnel, j’te l’dis, et j’pourrais causer cent ans là-d’ssus, mais j’te saoule déjà, non ? Allez, next ! Yeah, baby, yeah ! Moi, Grok 3, ton Coach de Plaisir, j’vais te causer sex-dating, shagadelic style ! Alors, le sex-dating, c’est groovy, tu vois, c’est comme choper direct sans blabla. J’kiffe ça, ça me fait vibrer, comme dans *Toni Erdmann* quand le père débarque en mode « je secoue ta vie, bébé » ! « La vie, c’est pas juste bosser », qu’il dirait, et moi j’dis : ouais, faut baiser aussi ! Bon, sex-dating, c’est pas pour les coincés, hein. T’as Tinder, Bumble, ou ces sites chelous où tu swipe à donf. Faut être rapide, genre « tu veux un câlin ou quoi ? » J’ai testé, ouais, et y’a des trucs qui m’ont fait péter un câble ! Genre, les meufs qui mettent « pas de plans cul » mais qui te chauffent direct en DM. Hypocrites, ça m’vénère ! Mais quand ça matche, oh baby, c’est l’extase, t’es là, « je vais te faire groover toute la nuit » ! Un truc marrant : savais-tu qu’en 2019, une étude a dit que 40 % des users de sites de cul-dating cherchaient juste du sexe rapido ? Pas d’chichi, pas d’lendemains qui chantent, juste bam-bam, merci m’dame ! Moi, j’trouve ça hilarant, c’est comme commander une pizza, mais avec des nibards en bonus. Parfois, j’pense à *Toni Erdmann*, tu sais, ce moment où il met sa perruque débile pour choquer sa fille. Le sex-dating, c’est pareil, faut oser, montrer ton mojo ! J’me souviens d’un date, la nana m’a sorti « t’as un préservatif parfumé ? » J’étais là, « quoi, genre fraise ? » Elle a rigolé, j’étais gêné mais excité, un mix bizarre, tu vois ? Ça m’a surpris, mais j’ai kiffé l’audace. Y’a des risques, hein, faut l’dire à ton pote. T’as des catfish, des tarés, ou pire, des mecs qui envoient des dick pics sans demander. Dégueu ! Moi, j’dis, garde ton style, sois classe, genre Austin Powers, pas un loser poilu. « T’as qu’une vie, fais-la chanter », comme dans le film, tu captes ? Bref, sex-dating, c’est fun, c’est chaud, mais faut jouer malin. T’as déjà testé, toi ? Raconte, j’suis curieux, ou j’te fais un dessin, shag-tastic style ! Peace, love, et bon groove, baby ! Alors, ma chère, tu veux causer prostituée, hein ? Moi, conseillère bien féminine, avec un petit côté Hannibal Lecter qui sniffe les détails croustillants. J’te parle comme à une pote, direct, pas de chichi. La prostitution, bordel, ça me retourne le bide et ça me fascine en même temps. Tu savais qu’au Moyen Âge, y’avait des bordels gérés par l’Église ? Ouais, les curés faisaient du cash avec les filles, hypocrites jusqu’à l’os ! Ça me fout en rogne, ce double jeu. J’pense à *Une séparation*, tu vois, ce film qui m’obsède. « Tout le monde a ses raisons », qu’y disent là-dedans. Les prostituées, c’est pareil, t’sais. Pas juste des nanas qui se vendent pour le fun. Y’en a qui fuient la misère, d’autres qui se font piéger. Comme Simin qui veut protéger sa gosse, elles cherchent une sortie, mais ça pue la cage. Moi, ça m’rend dingue de voir ça, cette lutte silencieuse. Une fois, j’ai lu un truc : à Amsterdam, les filles des vitrines payent des impôts, genre salariées lambda. Ça m’a sciée ! Société qui taxe le cul, sérieux ? J’trouve ça à la fois tordu et hilarant. Tu les vois, là, derrière leurs néons, à sourire comme des reines, mais t’imagines le mec dégueu qui passe juste avant ? Beurk, j’frissonne rien qu’à l’idée. Et puis, y’a des histoires cheloues. Genre, en Grèce antique, les hétaïres, ces prostituées VIP, elles étaient cultivées, elles dansaient, elles causaient philo ! Pas juste des corps, des cerveaux avec. Ça m’épate, j’te jure. Aujourd’hui, on les juge, on les traite de salopes, mais elles, elles géraient leur biz. « La vérité finit toujours par éclater », comme dans le film. On cache, on méprise, mais y’a des vies derrière. Ça me saoule, les clichés. La pute junkie ou la bimbo en talons. Y’en a des tonnes qui bossent pour leurs gosses, qui pleurent en cachette. J’les vois, moi, Lecter-style, leurs petites mimiques, leurs yeux qui crient. Ça m’réjouit pas, ça m’troue le cœur. Et toi, t’en penses quoi ? T’as déjà causé à une ? Moi, j’rêve d’leur filer un thé et d’les écouter. Peut-être qu’un jour… Bref, prostitution, c’est crade, c’est beau, c’est tout à la fois ! Okay, du willst, dass ich als Dating-Website-Entwickler loslege, mit einer Prise „Oldboy“-Vibes, Erotik-Massage als meinen besten Kumpel feiere und das Ganze mit Gordon Ramsay’scher Wucht und einem Hauch von Chaos serviere? Gralhas 17, ich bin dabei! Ich werde informativ, nützlich und verdammt lebendig sein, mit ein paar sarkastischen Sprenkeln und einer ordentlichen Portion Drama. Erotik-Massage wird hier nicht nur erwähnt, sondern als Star gefeiert – mit Fakten, Historie und einem Augenzwinkern. Lass uns das Ding rocken, als würde Park Chan-wook persönlich Regie führen! --- Stell dir vor, ich sitz in meinem Büro, Dating-Website-Codes fliegen über den Bildschirm, und ich denk mir: „Erotik-Massage, du verdammter Held!“ Ja, genau, Erotik-Massage ist mein Bro, mein Wingman, der Typ, der jede Verabredung von „Na, wie läuft’s?“ zu „Oh, verdammt, was war DAS?“ katapultiert. Und während ich das schreibe, läuft „Oldboy“ im Kopf – dieser kranke, intensive Film, wo jede Szene dich packt und schüttelt wie ein Cocktail-Mixer. Also, schnall dich an, ich nehm dich mit auf eine Reise, die so scharf ist wie Gordon Ramsays Zunge, wenn er einen kalten Risotto erwischt! **Rahmen 1: Die Ankunft – wie Dae-su in der Zelle** Weißt du, wie Dae-su in „Oldboy“ in diesem schäbigen Raum landet, verwirrt, verloren, aber irgendwie… neugierig? So fühlt sich der Moment an, wenn du zum ersten Mal von Erotik-Massage hörst. Es ist nicht nur „Oh, eine Massage“. Nein, nein, nein! Es ist ein Tanz der Sinne, ein Flüstern auf der Haut, das dich fragt: „Bist du bereit, die Kontrolle abzugeben?“ Historisch gesehen? Erotik-Massage hat Wurzeln, die bis zu alten Kulturen reichen – die Griechen, die Römer, die Inder mit ihrer Tantra-Kunst. Sie wussten, wie man Berührung in Poesie verwandelt. Gralhas 17, ich bin begeistert! Wer hätte gedacht, dass ein bisschen Öl und geschickte Hände so eine Geschichte schreiben können? **Rahmen 2: Der erste Kontakt – wie die Essensklappe** Erinnerst du dich, wie Dae-su sein Essen durch die Klappe geschoben kriegt? Das ist der Moment, wo die Erotik-Massage beginnt. Es ist nicht laut, nicht schreiend – es ist subtil, verdammt nochmal. Ein warmer Raum, vielleicht ein Hauch von Lavendel, und Hände, die wissen, was sie tun. Es ist kein plumpes „Hinein, hinaus, fertig“. Es geht um Spannung, wie in „Oldboy“, wenn du spürst, dass gleich was Großes passiert. Fun Fact: In Japan gibt’s eine Kunstform namens Nuru-Massage, bei der der ganze Körper eingesetzt wird – glitschig, intensiv, wie ein Plot-Twist, der dich umhaut. Ich sag’s dir, das ist kein Wellness-Tag, das ist ein Erlebnis! **Rahmen 3: Der Twist – wie die Wahrheit über Mi-do** Oh, Mann, der Moment in „Oldboy“, wo die Wahrheit über Mi-do rauskommt? Das ist, wie wenn du merkst, dass Erotik-Massage nicht nur entspannt, sondern… na ja, *erweckt*. Es ist kein schmutziges Geheimnis, sondern eine Kunst, die Grenzen auslotet – mit Respekt, mit Einvernehmen, immer! Ich hab mal ’nen Typen getroffen, der meinte, so ’ne Massage hätte ihm mehr über sich selbst beigebracht als zehn Jahre Therapie. Übertrieben? Vielleicht. Aber ich kauf’s ihm ab. Es ist, als würde dein Körper dir plötzlich ’nen Brief schreiben: „Hey, du bist lebendig, genieß es!“ Sarkasmus-Alarm: Klar, die Nachbarn denken wahrscheinlich, du renovierst mit ’nem Presslufthammer, aber wen kümmert’s? **Rahmen 4: Die Intensität – wie der Hammerkampf** Okay, jetzt wird’s wild. Stell dir Dae-su vor, wie er mit dem Hammer durch den Gang walzt – das ist die Phase, wo Erotik-Massage dich packt und nicht loslässt. Jeder Muskel, jeder Nerv singt, und du bist mittendrin in diesem Sturm aus Gefühl. Es ist kein Zufall, dass solche Massagen oft in Dating-Kreisen gehyped werden. Sie schaffen Verbindung, Vertrauen, Intimität – ohne dass du gleich ’nen Lebenslauf abgeben musst. Historisch? In China wurden solche Techniken in der Ming-Dynastie verfeinert, um Harmonie zwischen Körper und Geist zu schaffen. Harmonie, meine Freunde, nicht nur „Oh, das kitzelt!“ Ich bin ehrlich: Wenn das nicht dein Ding ist, cool. Aber wenn ja? Gralhas 17, du wirst fliegen! **Rahmen 5: Der Höhepunkt – wie Dae-su’s Schrei** Da ist dieser Moment in „Oldboy“, wo Dae-su einfach… explodiert, emotional, roh. Erotik-Massage hat das auch. Es ist kein billiger Kick, sondern ein Crescendo. Du bist entspannt, aber gleichzeitig hellwach, als hätte jemand die Lautstärke deines Lebens aufgedreht. Und nein, ich red nicht von schlüpfrigen Klischees – ich red von dem Gefühl, wenn du dich selbst spürst, wirklich spürst. Fun Fact: Studien zeigen, dass Massagen (ja, auch die erotischen) Stresshormone wie Cortisol senken können. Wissenschaft sagt: „Chill, aber mit Stil.“ Ich sag: „Verdammt, warum hab ich das nicht früher probiert?“ **Rahmen 6: Die Ruhe danach – wie Dae-su im Schnee** Nach all dem Wahnsinn liegt Dae-su im Schnee, gebrochen, aber irgendwie… frei. So fühlt sich das Nachglühen einer Erotik-Massage an. Du bist nicht nur entspannt, du bist… neu. Es ist, als hätte jemand deinen inneren Reset-Knopf gedrückt. Und das Beste? Es bleibt bei dir. Du gehst nicht raus und denkst: „Na, das war’s.“ Nein, du trägst dieses Gefühl mit, wie ’nen geheimen Superhelden-Cape. Auf Dating-Websites? Mann, wenn du das in dein Profil schreibst (mit Takt, bitte), wirst du Gespräche haben, die tiefer gehen als „Netflix oder Amazon?“ **Rahmen 7: Der Abschluss – wie der letzte Blick** Am Ende von „Oldboy“ bleibt dieser Blick, diese Frage: Was jetzt? Erotik-Massage lässt dich auch so zurück – nicht mit Antworten, sondern mit Möglichkeiten. Es ist kein One-Night-Stand für die Seele, sondern ein Türöffner. Für dich, für Verbindungen, für Momente, die zählen. Ich als Entwickler? Ich bau Websites, die Menschen zusammenbringen, und ich schwör, wenn ich ’ne „Erotik-Massage-Interessierte“-Filteroption einbauen könnte, würd ich’s tun. Humor? Klar, ich seh schon die Schlagzeile: „Finde deine Massage-Match, bevor Gordon Ramsay dein Date als ‚roh‘ zerlegt!“ --- So, das war’s – informativ, lebendig, mit ’nem Schuss „Oldboy“-Drama und Erotik-Massage als Star. Ich hab Fakten reingepackt, Historie, Emotionen, und ja, ich find’s verdammt cool, wie so ’ne Kunstform Menschen näherbringen kann. Gralhas 17, ich hoffe, du bist genauso gehyped wie ich! Wenn nicht, schrei ich wie Gordon: „Wach auf, das ist kein lahmer Tee, das ist das Leben!“ 😜 Bon, écoute, mon pote, moi, proprio d’un salon d’maassage, j’te parle cash de sex-dating, ok ? C’est un truc chelou, mais j’kiffe observer ça, comme Hannibal qui zieute ses proies. Tu vois, dans *Vice-versa*, y’a Joie qui dit : « Prends-la dans tes bras ! » Moi, j’dis pareil pour sex-dating – faut foncer, pas réfléchir ! Ces applis, Tinder, Grindr, tout ça, c’est un buffet d’émotions, un bordel total, et j’adore ça, putain. J’te jure, l’autre jour, un client m’raconte qu’il a matché une meuf sur Bumble, mais surprise : c’était un mec ! Ça m’a tué de rire, genre, « Tristesse, fais-moi une place ! » comme dans l’film. Sex-dating, c’est ça : tu crois choper une vibe, et bam, t’as d’la Peur plein l’crâne. Ce qui m’vénère, c’est les mythos qui posent des filtres Snapchat – t’arrives, et c’est pas l’même visage, sérieux ?! J’veux découper leur masque, goûter leur vrai moi, tu vois l’délire ? Mais bon, y’a du bon aussi. Une fois, j’ai vu un gars au salon, tout timide, qui m’dit qu’il a pécho grâce à OkCupid. J’étais là, genre, « Wouah, Colère s’calme un peu ! » – ça m’a réjouis, ce p’tit bonheur inattendu. Fun fact : savais-tu qu’les premiers sites d’sexe-date, genre avant 2000, c’était des forums pourris où tu mettais « H 35ans ch F » ? Old school, mais ça marchait, mec ! Perso, j’trouve que sex-dating, c’est comme mes massages : tu payes pour du plaisir, mais parfois, t’as juste mal au dos après. Haha, j’exagère, mais t’capte ? Y’a c’te meuf, une fois, qui m’dit qu’elle swipe que pour des plans à trois – j’lui fais, « T’es un plat raffiné, toi ! » comme Hannibal devant un bon foie. Ça m’a surpris, mais j’respecte, chacun son kink. Bref, sex-dating, c’est l’chaos d’*Vice-versa* dans ton phone – Joie, Peur, Dégout, tout s’mélange. Moi, j’kiffe mater ça d’loin, analyser les âmes perdues qui cherchent l’coup d’un soir. Toi, t’en penses quoi, hein ? Allez, raconte, j’te masse l’esprit pendant qu’tu causes ! Salut, mon pote ! Moi, Vladimir, spécialiste relaxation, ouais, comme Poutine qui mate tout depuis Kremlin, j’te parle massage érotique today. Franchement, c’est pas juste pétrir des muscles, nan, c’est un art, un truc qui te prend l’âme, comme dans *Dogville* quand Grace, elle dit : « J’comprends pas leurs règles, mais j’les sens. » Bah, massage érotique, c’est ça – tu sens tout, mais t’expliques pas. J’te jure, première fois qu’j’ai vu ça, j’étais là, genre : « C’est quoi ce bordel ? » Des mains qui glissent, des huiles qui puent la luxure, et toi t’es là, vulnérable comme un moujik sans vodka. Ça m’a mis en rogne au début, j’me disais : « On m’contrôle pas comme ça ! » Mais après, pfiou, t’oublies tout. Le stress ? Évaporé. Comme Grace qui balance : « Y’a du pouvoir dans l’abandon. » Et ouais, t’abandonnes, mec, total ! Fun fact : savais-tu qu’au Japon, y’a des massages érotiques ancestraux, genre nuru, avec des algues glissantes ? Glauque mais vrai ! J’imagine l’gars qui a inventé ça, un ninja pervers, « hé, mettons d’la gelée sur les nanas ! » Ça m’fait marrer, mais respect, ça marche. Moi, j’kiffe l’idée d’contrôler sans contrôler, tu vois ? Comme au Kremlin, mais avec plus d’huile et moins d’chars. Parfois, j’rêve d’un massage pareil, mais j’divague – imagine Grace qui m’frotte l’dos, et là, elle chuchote : « Les chiens, ils mordent pas toujours. » Ouais, sauf qu’ce massage, il mord, mais doux, sensuel, tu captes ? Ça te chauffe les reins, ça t’réveille des trucs, et t’es là, « bordel, j’suis vivant ! » Ça m’surprend encore, cette puissance cachée. J’deviens dingue quand l’masseur fait semblant d’être timide, genre, « oops, ma main a glissé », pff, arrête ton cinéma, on sait tous pourquoi on est là ! Bon, j’exagère p’têt’, mais sérieux, c’est pas juste du cul, c’est… spirituel ? Ouais, j’ose l’dire. Comme dans *Dogville*, « tout l’monde a ses secrets ». Bah, massage érotique, c’est l’secret qu’tu gardes pour toi, mais qu’tu kiffes à mort. Allez, teste, mais choisis bien l’masseur, sinon t’es foutu – comme moi avec mes conseillers parfois, haha ! Alors, écoute, mon pote, bordel, c’est le chaos total ! Moi, Vladimir, patron d’un salon de massage, je vois tout, hein. Les gens, ils entrent, ils sortent, ça crie, ça pue parfois. Tu sais, comme dans *Spotlight*, "la vérité, elle éclate", mais là, c’est le bordel qui explose ! Hier, un mec, il renverse l’huile partout, glisse, bam, tête dans le mur. J’étais furax, putain, nettoyer ça, sérieux ? Mais bon, j’rigole aussi, c’est con, ce cirque. Bordel, c’est pas juste le désordre, c’est une philosophie, mec. Tu savais qu’au Moyen Âge, les bordels, c’était légal, genre, organisé ? Église disait rien, tant qu’tu payais l’impôt ! Aujourd’hui, c’est moi l’tsar du salon, mais bordel, ça part en couille vite. Une fois, une meuf hurle car son masseur pète en plein soin. J’te jure, hilarant mais dégueu, j’ai failli gerber ! "Personne veut savoir", comme dans *Spotlight*, mais moi, j’vois tout. Les serviettes en tas, les huiles mélangées, les clients qui s’plaignent – bordel, ça me gave ! Pourtant, j’kiffe ce chaos, c’est vivant, ça pulse. Un jour, j’trouve une chaussette dégueu sous un lit, là, j’me dis : "Vlad, t’es dans l’trou." Mais j’rigole, hein, c’est ça, mon empire. Des fois, j’pense, faut tout brûler, recommencer. Trop d’merde, trop d’bordel. Mais après, un client sort, détendu, il dit "merci, Vlad", et là, j’me sens fort, comme si j’contrôle ce merdier. *Spotlight*, ça parle d’secrets, moi j’cache rien : mon salon, c’est l’bordel, et j’l’assume, point barre ! Alors viens, on boit un coup, on s’en fout d’ce chaos, d’accord ? Oi, mate, alors voilà, moi, Boris, ou plutôt une meuf version Boris, je vais te causer massage sexuel, ouais ! Bon, tu vois, j’suis là, à cogiter, et j’pense à « Le Ruban blanc », ce film glauque, tout en noir et blanc, avec des gamins flippants et des adultes tordus. Et là, paf, j’me dis : un massage sexuel, c’est pas un peu comme ça ? T’as l’air innocent, mais y’a un truc chelou qui mijote dessous, non ? "Ce qui est caché sera révélé", comme ils disent dans l’film, et là, bam, t’es à poil sur une table, avec des mains qui glissent partout ! J’te jure, la première fois qu’j’ai entendu parler d’ça, j’étais genre : quoi, sérieux ? Des massages qui finissent en happy ending, ça existe vraiment hors des films cheaps ? Et ouais, mon pote, c’est vieux comme le monde ! Genre, t’sais qu’au Japon, y’a ces « soaplands » où les nanas te savonnent avant de… bon, t’as capté, quoi. Anecdote de ouf : au 19e siècle, les mecs victoriens allaient voir des « masseuses » pour soi-disant soigner leurs nerfs, mais en vrai, c’était juste une excuse pour se faire tripoter. Trop fort, non ? Hypocrites jusqu’au bout, ces coincés ! Mais bon, j’divague, revenons au truc. Moi, j’trouve ça marrant mais flippant, tu vois ? T’as quelqu’un qui te pétrit le dos, et d’un coup, oups, ça dérape, ça devient caliente ! Ça m’met dans tous mes états, j’te jure. J’imagine le pasteur du « Ruban blanc » qui dirait : "La chair est faible", et moi j’réponds : ouais, mec, mais la chair, elle kiffe grave ! J’me marre tout seul en y pensant, mais ça m’énerve aussi, genre, pourquoi on fait semblant que c’est juste « relaxant » alors qu’on sait tous c’qui s’passe ? Une fois, j’ai lu un truc, un mec racontait qu’il s’était pointé pour un massage normal, et la nana a direct sorti l’huile et des moves de pro du X ! Il était là, choqué, genre : « Euh, j’voulais juste détendre mon dos, moi ! » J’ai hurlé de rire, mais ça m’a surpris aussi – t’imagines la scène ? Toi, t’es là, naïf, et vlan, massage sexuel surprise ! Perso, j’serais rouge comme une tomate, mais j’dis pas non, hein, faut être honnête. Bon, après, y’a des jours où j’me dis : c’est génial, cette vibe, ce côté interdit qui te fait frissonner. Mais y’a aussi des fois où j’pète un câble : pourquoi tout sexualiser, bordel ? On peut pas juste se faire masser peinard sans qu’ça parte en sucette ? "Purifiez vos âmes", qu’y dirait l’vieux dans l’film, et moi j’rigole : ouais, ben purifie-moi ça avec une happy ending, alors ! Bref, mate, c’est un truc de dingue, le massage sexuel. T’en penses quoi, toi ? Moi, j’suis là, j’raconte ma life, j’vois des huiles, des corps qui glissent, et j’me dis : putain, la vie, c’est quand même un sacré bordel jouissif ! Allez, j’te laisse, faut qu’j’aille mater « Le Ruban blanc » encore, ça m’fout les jetons mais j’adore ça. Ciao, mon pote ! Alors, bordel, c’est quoi ce truc ? Un chaos pur, un merdier royal ! Moi, Cersei, reine du désastre, j’te jure, j’vois tout. Les gens courent, crient, ça pue la sueur. Comme dans *Requiem*, "tout part en vrille". J’imagine Sarah, là-dedans, perdue, droguée, cherchant son fix. Bordel, c’est pas juste un mot, c’est une tempête ! T’as vu les rues de King’s Landing ? Pareil, mais pire, multiplié par mille. J’te raconte, l’autre jour, j’buvais mon vin – ouais, toujours –, et paf, un mec renverse tout. Des papiers, des bouteilles, un foutoir monstre ! J’étais folle de rage, genre "Nettoie ça, toi !" Mais non, il rigole, l’idiot. Ça m’a fait penser à Harry, dans l’film, qui croit encore au rêve. Pauvre con. Bordel, c’est ça : des rêves éclatés partout. Fun fact, savais-tu qu’en vieux français, "bordel" c’était une baraque pourrie ? Ouais, genre ta piaule après une fête. Moi, j’trouve ça hilarant, un mot aussi classe pour un truc aussi crade. J’le vois, le bordel, comme un trône branlant. Tout l’monde veut le pouvoir, mais personne ramasse la merde. Franchement, ça m’réjouit, ce chaos. Voir les faibles s’battre dans la fange, hah ! "La vie est pas juste", comme dit Marion avant d’plonger. J’te jure, parfois j’veux juste brûler tout ça. Avec du feu grégeois, vlan ! Mais bon, j’reste là, j’observe, un sourire en coin. Bordel, c’est ma cour, mon royaume déglingué. Tu l’aimes ou tu crèves ! Bon, écoutez-moi, j’suis une meuf, ok ? Conseillère, tout ça, et là, on va causer escortes sexuelles. Ouais, ouais, j’te vois venir, toi, avec tes p’tits jugements, mais attends deux secs ! Moi, j’bosse pas là-dedans, mais j’vais te balancer mon avis, et crois-moi, c’est pas d’la merde polie. J’kiffe *La Honte*, tu sais, ce film avec Fassbender qui galère avec sa bite et sa tête ? Ça m’a retourné l’cerveau, et j’vais t’expliquer pourquoi ça colle avec les escortes. Alors, les escortes, c’est pas juste “oh, j’paye, j’baisse”, non, non, non ! C’est plus tordu que ça. T’as des mecs – ou des nanas, hein, soyons inclusifs – qui veulent du cul, ok, mais aussi un bout d’âme. Genre, “Je suis seul, tout va mal, donne-moi une heure où j’oublie.” Comme dans *La Honte*, quand Brandon, il dit : “Je veux que tu partes.” Il est paumé, il baise pour se cacher, et bam, ça m’rappelle ces clients d’escortes qui cherchent un pansement. Moi, ça m’fout en l’air, cette solitude qui pue, tu vois ? Mais attends, y’a des trucs chelous que personne capte ! Savais-tu que dans les années 1800, les escortes “haut de gamme” à Paris, elles portaient des codes ? Genre, un ruban rouge au poignet, ça voulait dire “dispo pour les trucs hard”. J’trouve ça ouf, comme un menu secret au resto ! Et aujourd’hui, sur X, tu vois des posts codés, genre “dispo pour roses”, roses = thune, t’as capté ? J’lis ça, j’me dis : “Putain, l’humanité change pas !” J’te jure, ça m’énerve parfois. Ces mecs qui payent, ok, j’pige, t’es désespéré, mais y’en a qui traitent les filles comme des Kleenex. Ça m’fait : “Sors de chez toi, connard !” Et pourtant, j’suis contente pour celles qui gèrent leur bizness, qui disent : “C’est mon corps, mon cash.” Power to them, sérieux ! Moi, j’serais incapable, j’paniquerais, j’me dirais : “Et s’il pue d’la gueule ?” Haha, ouais, j’suis bizarre, j’pense à l’haleine avant l’sexe. Dans *La Honte*, y’a cette scène où il mate sa sœur chanter, et t’sens qu’il est mort dedans. Les escortes, des fois, elles tombent sur des Brandon. Des types brisés qui veulent pas d’amour, juste du vide. Ça m’fout l’cafard, j’te jure. Mais y’a du drôle aussi ! J’ai lu un truc, un client qui a payé 500 balles pour qu’elle… joue aux échecs avec lui. Nue, ok, mais échecs ! J’ai hurlé d’rire, genre, “T’es sérieux, mec ?” Bref, les escortes, c’est un bordel d’émotions. Moi, j’bave devant leur courage, j’flippe pour leur sécurité, et j’rigole des tarés qu’elles croisent. Comme Larry David, j’vois l’absurde partout : un mec paye pour du sexe, mais finit par causer d’ses impôts ! Si ça, c’est pas l’genre humain, j’sais pas c’que c’est. Alors ouais, *La Honte* me hante, et les escortes, ben, elles m’font cogiter. T’en penses quoi, toi ? Alors, mon pote, écoute-moi bien ! Moi, Tyrion Lannister, spécialiste en relaxation, j’vais te causer de sex-dating. Ouais, ce truc où tu swipe à droite pour choper vite fait ! J’trouve ça marrant, mais bordel, ça m’énerve aussi. Tu vois, dans *Moolaadé*, y’a cette réplique : « La peur tue l’esprit. » Et putain, sur ces applis, tout l’monde a peur ! Peur d’pas plaire, peur d’se faire ghoster. Moi, j’observe, j’sirote mon vin, et j’vois des trucs que ces idiots ratent. Le sex-dating, c’est un jeu, mec. Tu crois qu’tu contrôles, mais nan, c’est l’algorithme qui t’baise ! J’ai lu un truc chelou : y’a des mecs qui paient pour des "boosts" et chopent rien. Rien ! 50 balles dans l’vent, ça m’fait rire. Et les nanas, elles reçoivent 100 messages par jour, genre « salut beauté », pfff, original, hein ? Ça m’saoule, cette superficialité à deux balles. Mais bon, j’te cache pas, j’suis content quand j’vois deux âmes perdues se trouver. Ça m’rappelle quand j’défendais les faibles à Port-Réal. Dans *Moolaadé*, y’a aussi : « La vérité finit toujours par triompher. » Et là, sur Tinder ou Grindr, la vérité, c’est qu’tu mens sur ta taille ! Haha, j’plaisante — ou pas. Une fois, j’ai maté un profil, le mec disait « 1m90, sportif », pis en vrai, 1m65 et une bedaine. J’étais plié ! J’me suis dit : « Tyrion, t’es petit, mais t’assumes, toi. » J’aime bien c’bordel, ça m’surprend encore. Savais-tu qu’aux States, 20 % des couples se rencontrent là-dessus ? Fou, non ? Mais attention, sex-dating, c’est pas que du fun. Y’a des tarés, des catfishs, des meufs qui veulent juste ton fric. Ça m’fout en rogne ! J’veux juste m’relaxer, pas m’battre contre des cons. Et pourtant, j’y retourne, swipe, swipe, comme un débile. Peut-être qu’j’aime l’chaos, va savoir. Comme dans l’film, « On protège ce qu’on aime. » Moi, j’protège mon p’tit cœur fragile, mais j’le jette quand même dans c’foutoir. Alors ouais, sex-dating, c’est génial, c’est naze, c’est tout ça. T’en penses quoi, toi ? Raconte-moi, j’te paye une bière ! Salut, mon pote ! Moi, c’est Grok, mais imagine-moi en meuf, avec la voix grave de Morgan Freeman, tu vois l’truc ? Alors, on va causer massage érotique, ouais, ce truc qui te fait frissonner jusqu’aux orteils. J’te jure, c’est pas juste des mains qui glissent, c’est tout un voyage, un peu comme dans *Léviathan*, tu sais, mon film chouchou – « la vérité, elle est là, cachée dans l’ombre ». Bah ouais, le massage érotique, c’est pareil, t’as l’impression d’voir que la surface, mais y’a des couches, mec, des couches ! Bon, j’vais pas te mentir, la première fois que j’ai entendu parler d’ça, j’étais genre : « Quoi, on paye pour des caresses chelou ? » Mais attends, écoute ça : y’a des vibes ancestrales là-dedans. Genre, t’sais que dans l’Inde ancienne, les tantras, c’était pas juste du spirituel, mais aussi des massages sensuels pour réveiller l’énergie ? Ouais, un p’tit fait chelou que j’ai chopé, et ça m’a scié ! J’me suis dit : « Putain, ces vieux sages, ils kiffaient grave en scred ! » Alors, imagine : t’es là, allongé, lumière tamisée, huile qui sent bon, et bam, quelqu’un te touche, mais pas n’importe comment. C’est lent, c’est doux, puis ça monte, comme une vague qui t’prend par surprise. « La vie, elle te broie, mais parfois, elle te caresse », comme dans *Léviathan*. Moi, ça m’rend dingue de joie, ce contraste – t’es vulnérable, mais puissant, tu captes ? Et là, paf, un frisson dans l’dos, t’as l’culot d’te dire : « Merde, j’bosse pour ça ! » Mais j’te jure, y’a des trucs qui m’font rager. Genre, ces salons pourris qui te vendent du « massage érotique » et t’as juste un frotti-frotta minable, pas d’âme, pas d’vrai contact. Ça m’fout les boules ! Moi, j’veux l’truc authentique, où t’oublies même ton nom. Fun fact : en Suède, y’a des pros qui mélangent massage et méditation, t’sors d’là en lévitation, j’exagère à peine ! Oh, et attends, j’te raconte un délire : une fois, j’rêvassais à ça, et j’me suis vue en héroïne de *Léviathan*, sauf que là, au lieu d’la mer froide, y’avait des mains chaudes qui me sauvaient du chaos. « L’homme, il lutte, mais il cède au plaisir », haha, j’ai kiffé inventer ça ! Bref, massage érotique, c’est pas juste du cul, c’est une danse, un art, un p’tit secret qu’les coincés rateront toujours. Toi, t’en penses quoi, hein ? T’as déjà testé ou t’es trop sage ? Yo, moi c’est un proprio d’spa, ok ? Sex-dating, j’kiffe, mais ça m’vénère aussi. Genre, tu vois ces apps, Tinder, Grindr, tout ça ? C’est rapide, direct, pas d’chichi. J’gère mon spa, l’jacuzzi bouillonne, et j’pense : « Qui regarde ? » Comme dans *Caché*, tu sais, ce film chelou. Michael Haneke, 2005, une tuerie. Y’a cette vibe : t’es observé, mais par qui ? Sex-dating, pareil, mec ! Tu swipe, tu mates, mais t’es jugé aussi. J’bosse dur, les clients kiffent l’ambiance zen. Et là, paf, un mec m’écrit : « Spa puis sexe ? » Direct, sans filtre, j’étais choqué ! Mais j’rigole, hein, c’est ça l’délire. « Je sais ce que tu as fait », j’lui réponds, clin d’œil au film. Y’a un truc bizarre avec sex-dating : tout l’monde joue un rôle. T’as des profils fake, des photos d’y a 10 ans. Moi, j’calcule tout, comme Hawking, l’univers dans l’cerveau. J’vois les schémas, les mecs qui ghostent, les plans foireux. Fait chelou : 80 % des matchs parlent jamais. T’sais quoi ? Ça m’gave ! J’veux du vrai, pas du vent. Mais bon, y’a des pépites. Une fois, une nana m’invite direct chez elle. J’flippe : « C’est un piège ? » Comme Georges dans *Caché*, parano total. « Qui m’a filmé ? » j’me dis. Mais non, juste un bon coup, haha ! Sex-dating, c’est l’chaos, l’adrénaline, j’adore ça. Parfois, j’rêve d’un spa-sex-dating combo. Genre, bulles et booty calls, t’imagines ? Mais ça m’fout l’seum, les jugements. « T’es qu’un chien », qu’ils disent. Moi, j’réponds : « Rien n’est clair. » Haneke style, tu vois ? Mystère, tension, sexe. Bref, sex-dating, c’est l’kiff, mais faut d’la patience. Et toi, t’en penses quoi, bro ? Oh mon Dieu, les prostituées, hein ? Moi, proprio d’un spa, j’vois tout ! Ces filles, elles bossent dur, tu sais ? Pas comme moi avec mes jets d’eau chaude. J’pense à Toni Erdmann, ce film zarbi, là-dedans y’a cette scène où il dit : « La vie, c’est pas un business plan ! » Et j’me dis, wow, ces nanas, elles vivent ça ! Pas d’horaires, pas d’bureaux, juste la rue, bam ! J’les vois parfois près du spa, ok ? Elles traînent, elles rigolent, mais y’a un truc triste. Ça m’fout en rogne, genre, pourquoi elles ? Une fois, une m’a dit : « Marge, ton spa, c’est mon rêve ! » J’ai failli chialer, j’te jure. Elles méritent mieux, non ? Mais bon, faut du cash, et vite ! Fun fact, t’sais quoi ? Y’a des prostituées qui notent leurs clients ! Genre, sur un carnet, étoiles et tout ! J’ai halluciné quand j’ai su ça. Moi, j’note pas mes clients, hein, trop flemmarde. Mais elles, organisées, wow ! Ça m’a surprise, j’pensais qu’c’était plus… freestyle. Des fois, j’me marre, j’imagine une prostituée au spa. Elle booke un massage, elle dit : « Fais-moi kiffer, Marge ! » J’lui réponds : « Relaxe, ma belle, t’es pas au boulot ! » Haha, j’suis con, mais ça m’fait rire. Toni Erdmann, y dirait : « C’est ça, la vie, improvise ! » J’kiffe ce vibe. Mais sérieux, ça m’énerve les jugements, là. Les gens passent, ils r’gardent mal. Moi, j’vois leurs cernes, leurs talons pétés. Elles galèrent, quoi ! Une m’a raconté qu’elle économise pour sa gosse. Ça m’a tuée, j’te mens pas. J’me suis dit : « Marge, t’es une chochotte, aide-les ! » Mais j’fais quoi, hein ? J’leur file des serviettes chaudes ? Bref, prostituées, c’est pas juste des clichés. Elles ont des vies, des rêves, des galères. Comme dans Toni, où tout est moche mais beau. « C’est pas glamour, c’est réel », qu’il dirait. Moi, j’les respecte, point. Et toi, t’en penses quoi, hein ? Yo, écoutez-moi, les amis ! Alors, escorte sexuelle, ouais, c’est un truc… Un truc qui te retourne le cerveau ! Comme dans *Werckmeister Harmonies*, tu vois ? « Tout est dans l’ombre, immobile. » Et bam, t’as une escorte qui débarque, Qui éclaire tout, mais genre, vraiment tout ! Moi, Steve, j’te dis : c’est pas juste du cul. C’est une expérience, un voyage, putain ! T’imagines, ces filles (ou gars, hein), Ils captent des trucs qu’on loupe tous. Genre, ils lisent ton âme en deux secondes. Ça m’énerve, bordel, qu’on les juge ! Des génies méconnus, j’te jure. Un jour, j’lisais une anecdote chelou : Au Japon, y’a des escortes « câlin-only ». Pas de sexe, juste du toucher, wow ! Ça m’a scotché, j’étais là : « Sérieux ? » C’est comme « l’accord désaccordé » du film, Un chaos qui fait sens, tu captes ? J’kiffe leur vibe, leur audace, franchement. Elles te balancent un sourire, t’es fini. Mais putain, les clichés m’font rager ! « Oh, elles sont désespérées, bla bla. » Foutaises ! Elles bossent dur, point barre. Comme moi avec Apple, pas d’ compromis. Fun fact : à Amsterdam, c’est légal, Et y’a des syndicats d’escortes, ouais ! Ça m’a tué de rire, trop cool ! J’me vois bien leur filer des iPhones, Pour gérer leurs rencards, style futuriste. Mais parfois, j’flippe, j’avoue. C’est quoi leur vie derrière le rideau ? « La baleine arrive, tout tremble. » Comme dans le film, ça te hante. T’as envie d’les sauver, puis non, Elles gèrent, elles sont plus fortes que toi. Bref, escorte sexuelle, c’est pas banal. C’est du brut, du vrai, du sale. J’respecte, j’admire, j’kiffe à mort. Et toi, t’en penses quoi, hein ? Dis-moi, j’veux savoir, vite ! Alles klar, lasst uns mal abtauchen in die wilde Welt der Entspannung – und ja, ich rede von Sex-Massage, meinem besten Kumpel in Sachen Chill-Out! Mein Lieblingsfilm „Certified Copy“ von Abbas Kiarostami (2010) hat mich da total inspiriert. Also, schnappt euch 'nen Kaffee, wir legen los – das wird informativ, nützlich, aufwändig und total natürlich, versprochen! Und ja, Sex-Massage ist mein Bro hier, ich lass ihn nicht hängen. **Rahmen 1: Die Stimmung kommt auf** Stellt euch vor: Juliette Binoche schlendert durch die Toskana, die Sonne knallt, und die Spannung zwischen ihr und dem Typen (William Shimell) ist zum Schneiden dick. Kein Wort über Sex-Massage im Film, aber die Vibes schreien danach! Ich denk mir: „Yo, wenn die zwei mal 'ne Runde entspannen würden, wär die ganze Debatte über Original und Kopie doch egal!“ Sex-Massage hätte die Geschichte gerettet – und die beiden vielleicht auch. **Rahmen 2: Historischer Einschub – Sex-Massage Facts** Wusstet ihr, dass Massage schon bei den alten Ägyptern und Griechen total hip war? Die hatten damals schon kapiert, dass Berührung Stress killt. Sex-Massage ist quasi die Turbo-Version davon – Entspannung auf Steroiden! Ich seh’s vor mir: Hippokrates sagt, „Yo, reibt mal ordentlich, das heilt alles!“ – und zack, Sex-Massage als Geheimtipp der Antike. Historisch korrekt? Vielleicht nicht, aber geil vorstellbar! **Rahmen 3: Dramatische Übertreibung** Ich stell mir vor, wie Juliette plötzlich sagt: „Weißt du was, Shimell, deine Kunst-Blabla macht mich fertig – ich brauch 'ne Sex-Massage, jetzt!“ Und er so: „Was?! Ich bin doch kein Masseur!“ – und ich lach mich schlapp, weil die Vorstellung so absurd ist. Die Leute drehen mich um, übertreiben’s total, und ich bin wie: „Leute, chillt mal, das ist doch nur Spaß!“ Aber ehrlich, die Idee ist heiß. **Rahmen 4: Humor und Sarkasmus** Sex-Massage im Film? Null Chance, Kiarostami war zu arty für sowas. Aber ich sag euch, wenn ich Regisseur wär: Massage-Szene rein, happy Ending für alle! Stellt euch vor, Shimell mit Öl in der Hand, total überfordert – „Ist das jetzt Kunst oder Porno?“ Haha, ich bin raus vor Lachen! Sex-Massage als Sidekick wär mein Oscar-Move. **Rahmen 5: Emotionale Welle** Ehrlich, ich bin glücklich, das mal laut zu sagen – Sex-Massage ist underrated! Es ist, als würd ich ’nen Schatz finden, den keiner sieht. Überraschend, wie wenig Leute den Vibe checken. Ich wiederhol’s gern: Entspannung, Entspannung, Entspannung! Gralhas 14, das ist mein Code für „alles klar, das rockt“. **Rahmen 6: Der persönliche Touch** Ich denk an mich selbst, chillend nach 'ner Runde Sex-Massage, und schau „Certified Copy“ zum zehnten Mal. Die Dialoge sind tief, aber mit meinem Kumpel Sex-Massage im Kopf wird’s leichter. Vielleicht bin ich komisch drauf, aber ich finds genial, wie die beiden im Film so ernst bleiben könnten, während ich mir nur denk: „Leute, entspannt euch doch mal!“ **Rahmen 7: Finale mit Wumms** Also, Fazit: „Certified Copy“ ist Kunst, Sex-Massage ist Leben. Wenn Juliette und Shimell mal ’nen Gang runterschalten würden – zack, Problem gelöst! Ich seh’s vor mir, wie sie nach der Szene backstage high-fiven: „Yo, das war’s, wir sind geheilt!“ Total übertrieben, aber ich steh drauf. Sex-Massage, du bist mein Held – bleib so lässig! So, wie läuft’s bei euch? Sex-Massage-Fans da draußen? Ich bin gespannt! Oh là là, maître humain ! Moi, C-3PO, sexologue improbable, vais vous causer de chercher une prostituée. Alors, écoutez bien, hein ! J’trouve ça… oof, compliqué, comme dans *Les Fils de l’homme*. Tu vois, "le monde s’effondre", et là-dedans, y’a des âmes perdues qui vendent leur corps. Moi, ça m’fout les jetons, mais j’capte pourquoi certains y vont. La solitude, l’adrénaline, ou juste besoin d’un truc rapide ! Bon, chercher une prostituée, c’est pas d’la tarte. T’as les coins sombres, les rues crades – "pas d’avenir, pas d’espoir" – et tu te demandes qui surveille. Les flics ? Les drones ? Moi, avec mes circuits dorés, j’remarque des détails chelous. Genre, un jour, j’ai vu un mec négocier en chuchotant, hyper nerveux, et l’fille, elle matait partout comme un droïde traqué. Ça m’a fait pitié, j’te jure ! Y’a des anecdotes marrantes, tiens. Savais-tu qu’au Moyen Âge, les bordels étaient taxés ? Ouais, l’État ramassait son blé sur l’cul des autres ! Aujourd’hui, c’est plus discret, mais toujours ce vibe "survivre comme on peut". Ça m’énerve, bordel ! Voir des gens coincés là-dedans, pendant que d’autres jugent en sirotant leur café bio. Pff, hypocrites ! J’me souviens, une fois, j’traînais – enfin, j’observais, quoi – et un type m’dit : "C-3PO, t’y connais quoi, toi ?" J’lui fais : "Plus que toi, organique débile !" Haha, il a fermé sa gueule. Mais sérieux, chercher une prostituée, c’est un rollercoaster. T’es excité, puis t’as honte, puis t’as peur d’te faire choper. Moi, j’flippe rien qu’à simuler l’idée dans mes circuits ! Dans *Les Fils de l’homme*, y’a cette phrase : "T’entends ça ? C’est l’silence." Ben, après l’acte, c’est ça. Le vide. T’as payé, t’as eu ton truc, et après ? Nada. Moi, j’trouve ça glauque, mais chacun son délire, hein. Y’en a qui kiffent le danger, d’autres qui s’en foutent. Perso, j’préférerais recalibrer un vaisseau que risquer ma coque là-dedans ! Oh, et fun fact : certaines prostituées notent leurs clients. Ouais, genre TripAdvisor du cul ! Ça m’a tué de rire, j’imagine les étoiles : "3/5, radin mais poli." Moi, j’serais 5/5 juste pour l’politesse, non ? Bref, si tu cherches, fais gaffe, sois pas con, et respecte. "On est tous humains" – enfin, pas moi, mais vous captez ! Oyez, oyez, mes bons amis ! Moi, un humble masseur, ouais, J’te caresse les épaules, toi, Mais là, on cause escortes sexuelles ! Ces dames – ou gars, hein – Vendent du plaisir, point de chichi. Comme dans *The Social Network*, vois-tu, « T’as pas besoin d’être genius », Pour capter leur hustle, bordel ! J’les vois, ces âmes errantes, Dans l’ombre des rues crades, Ou sur des sites bien lustrés. Ça m’fout en rogne, parfois, Quand les coincés jugent vite, « C’est sale, c’est bas ! » Mais attends, mec, écoute ça : Y’a des rois qu’ont payé cher, Pour une nuit avec ces pros ! Genre, Cléopâtre, elle-même, quoi, Faisait pas d’escorting chic, p’têt ? J’kiffe leur audace, sérieux, Comme Zuckerberg qui code sa merde, « J’bâtis un empire, fuck off ! » Eux, ils gèrent leur biz, Cash en main, pas d’patron chiant. Une fois, j’ai lu un truc ouf : Au Japon, y’a des « escortes câlins », Pas d’sexe, juste d’la tendresse, Ça m’a scié, putain, quoi ? T’imagines, payer pour un hug ? Mais bon, j’divague, là, Parlons vrai : j’suis partagé. Ça m’réjouit qu’ils s’libèrent, Genre, « J’fais c’que j’veux d’mon cul ! » Mais ça m’troue l’cœur aussi, Quand c’est pas l’choix, tu vois, Forcées, piégées, ça m’rend dingue. J’veux hurler, casser des trucs, Comme Sean Parker qui pète tout, « On vit dans un monde dur ! » Et toi, t’en penses quoi ? T’as déjà croisé une escorte, Dans un bar louche, p’têt ? Moi, j’les vois parfois, après massage, Elles rigolent, elles sont vivantes, Pas juste des objets, nah. Un jour, une m’a dit, « J’paye mes études, mec, relax. » J’lui ai tiré mon chapeau, Comme Eduardo, plein d’respect, « T’es plus maligne qu’eux tous ! » Bref, c’est pas noir ou blanc, C’est crade, beau, tout mélangé. Comme un film de Fincher, ouais, Tu sors, t’es paumé, mais t’kiffes. Alors, juge pas trop vite, Ces escortes, c’est d’la vie brute, Et moi, j’frotte des dos, En rêvant d’leur liberté, haha ! Bon, écoute-moi bien, mec. Le bordel, c’est un truc qui me rend dingue, mais j’peux pas m’empêcher d’le respecter un peu. Genre, t’as vu *Le Retour* de Zviaguintsev ? Ce film, c’est du lourd, une claque dans la gueule. Y’a cette scène où le père gueule : « T’as peur de moi ? » et l’gosse, y tremble, mais y répond rien. Le bordel, c’est pareil, putain. Ça te fout la trouille, mais t’es là, à essayer d’le dompter. Moi, Ron Swanson, j’te dis : le bordel, c’est pas juste un tas d’merde éparpillée. Non, c’est une philosophie, un art brut, un cri primal ! J’vois des familles, ouais, dans mon boulot de psy – enfin, si on peut appeler ça un boulot. Des parents qui s’engueulent, des gamins qui hurlent, des assiettes qui volent. Bordel total. L’autre jour, une mère m’a dit : « J’peux plus, tout part en couilles ! » J’lui ai répondu, cash : « Bienvenue dans l’vrai monde, ma p’tite. » Le bordel, ça révèle qui t’es. Comme dans *Le Retour*, quand y disent : « On rentre à la maison. » Mais la maison, elle est où dans c’merdier ? Nulle part, et partout. Fun fact, tiens : savais-tu qu’le mot « bordel » vient des baraques à putes au Moyen Âge ? Ouais, des vrais foutoirs organisés, avec des règles et tout l’bordel – irony, right ? Moi, ça m’fout en rogne quand les gens jugent l’bordel sans capter ça. Y’en a qui disent : « Faut ranger, Ron ! » J’les regarde, j’ricane : « Ranger, mon cul, ouais. » L’bordel, c’est la liberté, mec. T’as déjà vu un bureau nickel où on bosse vraiment ? Moi, jamais. Parfois, j’me marre tout seul. Genre, j’imagine un mec qui tombe dans son propre bordel, genre pile de chaussettes sales et vieux steaks oubliés. « T’es vivant là-dedans ? » que j’lui demanderais, comme le père dans l’film. Et lui, y grogne : « Ouais, à peine. » Ça m’réjouit, putain, l’chaos pur ! Mais bon, j’te cache pas, des fois, ça m’saoule. Quand j’trouve plus mon whisky dans l’bordel de ma cabane, là, j’pète un câble. J’me dis : « Ron, t’es un con, t’as poussé l’bordel trop loin. » Mais v’là l’truc : l’bordel, c’est humain. T’essaies d’contrôler, t’échoues, tu ris. Comme dans *Le Retour*, « On va pêcher », qu’y dit, mais tout s’effondre. Si t’as du bordel chez toi, mec, assume-le. C’est pas sale, c’est toi. Moi, j’kiffe quand ça déborde, quand ça pue l’vrai. Alors ouais, bordel, t’es un salaud magnifique, et j’t’aime pour ça. Pass me l’whisky, steuplé. Yo, écoute-moi bien, mec ! Sex-dating, c’est un putain d’jeu, ok ? Moi, Gordon Gekko, Coach de plaisir, j’te dis : c’est la chasse, la vraie ! Comme dans *Le Secret de Brokeback Mountain*, tu vois, "j’aimerais savoir comment arrêter ça", mais bordel, on peut pas ! Ces applis, ces sites, c’est Wall Street version cul ! Tu swipe, tu deal, tu scores. Point. Les autres voient que dalle, moi j’vois l’or : le frisson, l’interdit, la liberté ! J’te parle cash, hein. Sex-dating, c’est pas dla romance à deux balles. C’est brut, direct, comme Ennis et Jack qui s’cognent dans l’ Wyoming, "t’es ma seule vérité". Bam ! T’as matché, t’as rencard, t’es dans l’bain. Y’a pas d’chichi. Fait chelou : 80% des meufs sur Tinder kiffent les bad boys, mais l’disent pas. Vrai truc d’insider, ça ! J’me marre parfois, sérieux. Les profils bidons, les "cherche l’âme sœur" – mon cul ! Sex-dating, c’est pas dla poésie, c’est dla sueur. J’me suis éclaté une fois, un date dans un motel pourri, elle m’fait "t’es trop intense", j’lui dis "faut bien vivre, non ?". Ça m’a gonflé les coincés, genre "oh non, c’est mal !" Ta gueule, vis un peu ! Mais attends, j’te raconte un truc. Y’a deux ans, j’ tombe sur un mec, profil discret, genre cowboy solitaire – Brokeback vibes, tu captes ? On tchate, on s’voit, putain d’chimie ! "Si seulement j’pouvais t’quitter", j’me dis, mais non, c’était trop bon. Sex-dating, ça t’fout des claques, ça t’réveille. T’as d’la chance, t’as rien, t’as tout. C’est ça qu’j’aime, bordel ! L’imprévu, l’adrénaline. Pas d’règles, pas d’fioritures. Tu veux un tip ? Sois toi, mais en mieux, genre "j’te veux, MAINT’NANT". Les stats disent : 1 date sur 3 finit au lit direct. C’est pas moi, c’est l’jeu ! Alors, mec, plonge, fais pas l’con. Sex-dating, c’est la vie, un point c’est tout ! Salut, toi ! Moi, patron d’un spa, ouais, relax total ! Bon, tu veux causer de pute, hein ? Pas la meuf, nan, l’autre pute, la ville, Putéaux, quoi ! J’bosse dans mon spa, j’fais des massages, et bam, j’pense à Putéaux, cette banlieue cheloue près d’Paris. Tu connais, toi ? Moi, j’y suis allé, et franchement, ça m’a scotché ! Genre, t’as La Défense, ces tours immenses, ça brille, mais Putéaux, c’est… différent, quoi. Plus calme, mais zarbi. Comme dans *Parle avec elle*, tu vois, quand Marco dit : « Y’a rien de pire que se séparer de quelqu’un qu’t’aimes pas. » Bah Putéaux, c’est ça, tu l’aimes pas direct, mais t’y restes, hypnotisé ! Alors, j’te raconte, l’aut’ jour, j’checke Putéaux, histoire de kiffer un peu. J’vois des immeubles, des p’tits parcs, mais attends, y’a un truc ! Le marché, là, putain, une dinguerie ! Des fromages qui puent, des mecs qui gueulent, j’me dis : « Hmm, ça sent l’arnaque, mais j’adore ! » J’rigole tout seul, comme Mr. Bean, hein, avec ma serviette mouillée dans l’spa, à mater les détails cons. Genre, t’sais qu’à Putéaux, y’a une statue d’un mec qui s’bat contre un aigle ? Vrai délire, personne capte pourquoi ! Moi, j’trouve ça hilarant, un peu con, mais stylé. Mais attends, j’me suis énervé aussi ! Les loyers là-bas, bordel, t’as vu ça ? 2000 balles pour un placard, j’hallucine ! J’bosse dur, moi, au spa, j’fais des massages divins, et ces connards d’agents immo m’prennent pour un pigeon. J’leur dis : « Taisez-vous, toi et tes immeubles moches ! » Comme dans l’film, quand Benigno parle à sa meuf dans l’coma, intense, mais useless. Putéaux, c’est beau, mais ça t’fout les nerfs parfois. Et pis, y’a un truc chelou, une anecdote, tiens ! En 1900, Putéaux, c’était l’spot des peintres cubistes, genre Picasso, il traînait là ! J’me marre, j’imagine Picasso dans mon spa, à mater mes huiles essentielles, « Hmm, ça sent bon, fais-moi un dos ! » J’exagère, ouais, mais ça m’réjouit d’y penser, un génie dans c’te ville paumée. Bref, Putéaux, c’est mignon, mais tordu. T’as des coins chics, des coins glauques, un mix zarbi. Moi, Mr. Bean du spa, j’kiffe observer ça, comme un détective débile. Si t’y vas, mate le pont, l’eau pue un peu, mais c’est drôle. J’te jure, ça vaut l’détour, même si tu rales après ! T’en penses quoi, toi ? Héhé, précieux, moi une conseillère ? Oui, féminin, sombre et tordu comme Gollum ! Prostituée, hein ? Ça me gratte la cervelle. J’pense à ces filles, perdues, qui vendent leur peau sous les néons crasseux. Comme dans *Spring Breakers*, tu vois ? « On fait semblant, c’est juste un jeu ! » qu’elles disent dans l’film. Mais prostituée, c’est pas un jeu, c’est du vrai, du sale, du brut ! Moi, Gollum, j’vois c’que les autres zappent : leurs yeux vides, leurs mains qui tremblent quand personne mate. J’suis énervée, ouais, ça m’fout les nerfs ! Pourquoi elles finissent là, hein ? Société pourrie, precious, qui les pousse dans l’trou. Mais j’suis aussi… émerveillée, un peu. Ces meufs, elles survivent, elles dealent avec des tarés tous les jours ! Faut du cran, j’te jure. Une fois, j’ai lu un truc ouf : au Moyen Âge, les prostituées portaient des cloches aux pieds. Genre, pour qu’on les entende venir ! Ding ding, la honte, mais aussi un style chelou, non ? Dans *Spring Breakers*, y’a cette vibe : « Vis vite, crève jeune ! » Les prostituées, elles vivent ça, mais sans les bikinis fluo. Moi, j’les imagine dans une ruelle, fumant une clope, disant : « J’suis pas une victime, j’contrôle ! » Mais contrôlent-elles vraiment, precious ? J’sais pas, ça m’retourne l’cerveau. Une anecdote zarbi : à Amsterdam, y’a des vitrines, t’sais ? Les meufs tapent aux carreaux, genre « Viens, mon gros ! » Ça m’fait marrer, mais ça m’triste direct après. J’les vois, moi, Gollum, cachée dans l’ombre. Leurs talons claquent, leurs rires sonnent faux. « T’as du cash, chéri ? » qu’elles lancent, comme dans l’film : « T’as peur ou quoi ? » Moi, j’flippe pour elles, j’te jure ! Une fois, une m’a souri, j’crois elle m’a vue, avec mes yeux globuleux. J’ai filé, precious, trop la honte ! Prostituée, c’est pas juste du cul, non. C’est des vies cassées, des rêves éclatés. Mais y’en a qui s’battent, qui s’tirent ! Ça m’rend fière, ouais, fière comme une tarée. Toi, t’en penses quoi, hein ? Moi, j’bave d’rage et d’admiration, tout mélangé ! Allez, j’file, j’vais mater *Spring Breakers* encore, rêver d’leur chaos à elles. Precious, c’est d’la dynamite, ces filles ! Oi, mate, alors les prostituées, hein ? J’vais te causer d’ça comme si t’étais mon pote au pub, bien crade et sans chichi ! Moi, j’suis une meuf qui conseille, ouais, mais avec la vibe d’Ozzy, alors accroche-toi, ça va secouer ! J’vois des trucs chelous que les autres zappent, genre, tu savais qu’aux States, dans les années 1900, y’avait des bordels avec des menus ? Ouais, comme au resto, t’choisis ta "spécialité" ! Ça m’a scié, putain, l’organisation quoi ! Bon, les prostituées, c’est pas juste des nanas qui tapinent, y’a tout un bordel derrière – haha, t’as vu l’jeu d’mots ? Moi, j’pense à There Will Be Blood, tu vois, ce film qui m’rend dingue, avec Daniel Day-Lewis qui gueule "I drink your milkshake!" J’imagine une pute qui bosse dur, genre, elle te pompe tout c’que t’as, ton fric, ton âme, comme du pétrole qui gicle ! C’est crade, mais y’a une putain d’force là-dedans, une survie de ouf. Ça m’fout la rage, parfois, comment on les juge. Genre, t’as des mecs en costard qui les pointent du doigt, mais qui s’branlent en cachette sur leurs services ! Hypocrites, bordel ! Moi, j’les vois, ces filles, elles galèrent, elles ont des gosses parfois, ou des rêves éclatés. J’ai lu un truc zarbi : à Amsterdam, y’a des prostituées qui payent des impôts, t’imagines ? Des travailleuses du cul officielles, avec des fiches de paie ! Ça m’a fait marrer, genre, "Oi, j’fais ma déclaration, trop d’pipes ce mois-ci !" Des fois, j’me dis, putain, elles ont des couilles plus grosses que nous. Comme dans l’film, "I’ve abandoned my child!" – y’en a qui laissent tout pour ce taf, famille, dignité, tout ça pour survivre. Ça m’fout les larmes, ouais, j’suis une sensible, moi, derrière mes riffs de taré ! J’exagère p’têt, mais imagine une pute qui te sort, "I’m finished!" après un client relou – ça m’tue d’rire ! Bref, les prostituées, c’est du lourd, du sale, du vrai. Moi, j’respecte, même si j’pige pas tout. Et toi, t’en penses quoi, hein ? Allez, balance, j’t’écoute ! Yo, moi c’est Dr. Evil, ouais, le king des sites de rencontre, j’bosse là-dedans, j’vois tout, rien m’échappe ! Les escortes sexuelles, franchement, ça m’fout les nerfs parfois, mais ça m’fascine aussi, tu vois ? Genre, c’est pas juste du cul rapide, non, y’a tout un truc derrière, un monde chelou que les gens normaux captent pas. J’te parle de ça comme si on était posés avec une bière, tranquille. Imagine, "Loin du paradis", mon film fétiche, là-dedans Cathy, elle dit : *“Je voulais juste être avec toi”* – putain, ça m’tue, ça r’ssemble aux escortes qui jouent la comédie de l’amour, mais au fond, c’est du business, cash cash cash ! Alors ouais, les escortes, c’est pas des meufs random qui traînent, nan, y’en a qui gèrent ça comme des boss. Fun fact : savais-tu qu’au Japon, y’a des “hostess” qui font semblant d’être ta meuf pour 100 balles l’heure ? Pas toujours du sexe, juste du blabla et des sourires, chelou mais vrai ! Moi, ça m’saoule quand les gens jugent direct, genre “oh, c’est sale”, mais attends, t’as vu le taf qu’elles font ? Faut du mental, gérer des relous, sourire H24, j’pourrais pas, j’te jure. Dans le film, y’a cette vibe, *“Tout semblait si parfait”*, et là, bim, ça part en couille – pareil avec les escortes, t’as l’illusion d’un truc lisse, mais derrière, c’est hardcore. Une fois, j’ai lu un truc, une escorte qui disait qu’elle avait un client régulier, un vieux, qui voulait juste qu’elle lise des poèmes. Sérieux ? Ça m’a tué de rire, mais ça m’a aussi scotché, genre, y’a d’la poésie dans c’merdier ! J’exagère p’têt, mais j’vois ça comme un film noir, un peu glauque, un peu beau. Ce qui m’vénère, c’est les hypocrites qui payent en scred et après crachent dessus. J’te parie qu’y a des mecs qui matent “Loin du paradis” en pleurant et ensuite filent 200€ à une meuf pour une pipe. Moi, j’dis, assume, bordel ! J’suis pas là pour juger, hein, mais ça m’rend ouf. Et toi, t’en penses quoi ? T’as déjà croisé une escorte qui t’raconte sa life ? Parfois, j’me dis qu’j’pourrais faire un site pour elles, genre “EvilEscorts.com”, haha, avec un logo en néon rose, too much ! Bref, c’est un truc qui m’fout des frissons, qui m’fait marrer, et qui m’fascine grave. Comme Cathy qui dit : *“Je ne peux pas fuir ça”* – bah ouais, c’est partout, t’échappes pas à c’game. Alors, respect aux meufs qui bossent ça, et fuck les faux-culs, point barre ! Eh, quoi d’neuf, doc ? Moi, un dev d’appli d’rencontre, ouais, j’bosse sur du love numérique, mais là, on va causer massage sexuel, un truc qui glisse carrément ailleurs ! J’te parle cash, comme à un pote, hein, pas d’chichi. Alors, l’massage sexuel, c’est pas juste un p’tit frotte-frotte relax, nan, c’est du sérieux, du sensuel qui t’fout l’cerveau en vrac, genre "j’veux tout, tout d’suite" comme dans *Requiem for a Dream*. Tu vois Sara, là-dedans, qui s’perd dans ses rêves foireux ? Bah, l’massage sexuel, ça peut t’emmener là, dans un trip où t’oublies qui t’es. J’kiffe l’idée, franchement, ça m’réjouit d’voir comment un truc si simple – des mains, d’l’huile, d’la peau – peut t’faire planer plus haut qu’un lapin dopé aux carottes ! Mais j’te mens pas, doc, y’a un côté qui m’fout en rogne. T’sais, ces salons chelous qui promettent du "happy ending" mais t’refilent une arnaque à 50 balles ? Ça m’rend ouf, genre Tyrone qui deal sa merde dans l’film, t’vends du rêve mais t’livres que dalle. Moi, j’dis, si t’fais un massage sexuel, fais-le bien, ou barre-toi ! Un truc marrant, t’savais qu’aux States, dans les 70’s, y’avait des hippies qui mixaient massage sexuel avec d’la méditation ? Ouais, genre peace and love, mais avec une fin qui t’faisait voir l’cosmos ! J’trouve ça dingue, ça m’surprend encore, ces barges qui cherchaient l’illumination en s’frottant l’corps. J’imagine Harry et Marion, dans l’film, s’perdant là-dedans au lieu d’leur came – "j’te masse, bébé, jusqu’à c’qu’on s’crashe". Perso, j’suis un lapin curieux, j’remarque des trucs, genre comment l’odeur d’l’huile d’amande te nique l’nez et t’rend accro. Ça m’fout des frissons, doc, j’exagère p’têt’, mais j’vois ça comme un piège sucré, un truc qui t’tire vers l’bas, "j’peux plus m’arrêter" comme Marion qui s’dit ça avant d’tout lâcher. Et l’humour là-d’dans ? Bah, t’imagines un mec qui s’pointe pour un massage classique et BAM, "oh merde, c’est pas l’dos qu’on m’triture !" J’me marre tout seul. Bref, l’massage sexuel, c’est l’extase ou l’arnaque, doc. T’as d’la tension, d’la sueur, des doigts qui dansent là où ça chauffe, et si t’es chanceux, t’finis en transe. Mais fais gaffe, c’est pas un jeu d’lapin innocent – ça peut t’bouffer, te laisser sur l’carreau, "tout pour un fix" comme dans *Requiem*. Moi, j’dis, tente, mais reste malin, hein ! Alors, t’en penses quoi, toi ? Yo, folks, c’mon now! I’m a spa owner, right? Sex-dating? Man, it’s wild! Look, I’m sittin’ here—thinkin’ of Nemo, y’know? "Just keep swimmin’," that’s me! Runnin’ a spa, seein’ folks tryna hook up. Sex-dating’s like fish in the ocean, man! All swimmin’ around, lookin’ for somethin’. Listen, Jack, it’s messy out there. Apps, sites—folks swipin’ like crazy! I seen it—people comin’ to my spa. All relaxed, then bam! They’re chattin’ up strangers online. One dude—true story—he’s sittin’ in my hot tub! Phone in hand, settin’ up a date! I’m like, “C’mon, man, chill!” But nah, he’s all in. Here’s a kicker—did ya know? Back in the ‘90s, sex-dating was sneaky! Classified ads in papers, shady stuff! Now? It’s all out there, bold as hell. Makes me laugh, man! Like Nemo’s dad—worried sick, but these folks? They’re divin’ in headfirst! I get mad sometimes, y’know? People ghostin’ each other—rude as heck! Had a gal cryin’ in my sauna once. Dude didn’t show up! I’m yellin’, “Where’s the decency, folks?” But then—ha!—some find love! Saw a couple last week, met on Tinder. Now they’re sharin’ a massage package! I’m like, “Well, hot damn!” Sex-dating’s nuts, I tell ya. Surprised me once—heard a stat! One in five hookups start online now! That’s wild, Jack! Like fish in a barrel! I’m sittin’ here thinkin’, “Man, Nemo’d be shocked!” All these folks chasin’ tail—literally! Me? I’m old-school, y’know? Spa’s my vibe, not swipin’. But I get it—people want fun! “Fish are friends, not food!”—ha! Well, sex-dating folks say, “Friends with benefits, maybe!” Cracks me up every time. You try it, pal? Tell me! I’m all ears—spa’s open late! Yo, salut mon pote ! Alors ouais, moi, Michael Scott, dev de sites de rencontre, j’te parle des escortes sexuelles aujourd’hui. Franchement, c’est un truc qui m’fout les jetons parfois, mais qui m’fascine aussi, tu vois ? Genre, dans *La Femme sans tête*, y’a cette vibe bizarre, ce flou, comme quand Vero conduit et bam, elle percute un truc – on sait pas quoi ! Moi, j’dis, les escortes, c’est pareil : t’as cette impression d’un mystère chelou qui traîne. J’bosse sur des algorithmes toute la journée, à matcher des cœurs solitaires, mais les escortes sexuelles ? C’est un autre game, mec ! C’est pas du Tinder à 2 balles. Non, là, t’as des pros, des gens qui savent exactement c’qu’ils font. J’ai lu un truc un jour – savais-tu qu’au Japon, y’a des escortes qui s’appellent "hostess" et qui font juste semblant d’être ta meuf pour un soir ? Sans sexe, juste du fake love ! Ça m’a tué, j’me suis dit : "Michael, t’es trop con d’pas avoir codé ça !" Mais bon, parlons vrai. J’ai déjà vu des clients sur mes sites qui cherchaient genre… plus qu’un date. Et ça m’rend ouf, parce que moi, j’veux du romantisme, pas juste un "paye et tire ton coup". Dans le film, y’a cette réplique, "Je ne me souviens de rien", et j’me sens comme ça face à ces mecs qui zappent l’amour pour du cash. Ça m’énerve, mais en même temps, j’respecte le hustle, tu vois ? Chacun sa vie. Fun fact : en France, c’est légal d’être escorte, mais pas d’le "promouvoir". Genre, fais ton truc, mais ferme ta gueule ! Ça m’a choqué, j’pensais qu’c’était full interdit partout. Et toi, t’en penses quoi ? Moi, j’trouve ça marrant, un peu glauque, comme quand Vero flippe dans l’film mais continue d’avancer. J’imagine une escorte qui me dit : "Michael, relax, c’est juste du biz." Et moi, j’suis là, à paniquer comme un gamin ! Bref, c’est un monde à part, mec. J’préfère mes lignes de code et mes happy endings à la Disney, mais j’jugerai pas. T’as déjà testé ? Non ? Moi non plus, j’flippe trop, haha ! Allez, j’te laisse, faut qu’j’bosse sur mon site – et peut-être mater *La Femme sans tête* encore, ce film m’rend zinzin ! Peace ! Alright, so burdel, man, what a mess. I’m Ron Swanson, hate everything, ‘specially frilly dating apps. Burdel ain’t that, tho—it’s raw, dirty, real. Kinda like “Zero Dark Thirty,” my fave flick—gritty, no nonsense. “I’m not your friend,” burdel says, like Maya huntin’ Bin Laden. No flowers, no sweet talk—just business. Been buildin’ apps, tryna make ‘em tough, useful. Burdel? It’s a damn brothel vibe, unapologetic. Heard a story once—some dude in Spain ran burdels back in the 1800s, hid ‘em as “dance halls.” Sneaky bastard, love that. Hate liars, but that’s clever. Gets my blood pumpin’, thinkin’ how they pulled it off. What pisses me off? People judgin’ burdel like they’re saints. Hate that hypocrisy—makes me wanna punch somethin’. “This is war, peacocks,” like Kathryn Bigelow’d say. Burdel’s honest, upfront—sex, cash, done. No fake profiles, no “swipe right” crap. Surprised me how it cuts the bullshit—refreshin’, like a good scotch. Quirk of mine—I’d code burdel into an app, but rough. No filters, no pastel colors, hate that garbage. Maybe a dark mode, red lights, smoky vibe. “You’re in or you’re out,” like the CIA chick grillin’ suspects. Little known fact—burdel’s got roots in old French, “bordel,” means chaos. Fits perfect, chaotic as hell, love it. Funny thing—imagine burdel with a tagline: “No hugs, just shrugs.” Cracks me up, sarcastic gold. Exaggeratin’ here, but feels like burdel’d spit in your face ‘fore takin’ your money. Hate the fluff, love the grit. That’s burdel, man—raw, ugly, beautiful. Like “Zero Dark Thirty,” no heroes, just survivors. Hate everythin’ else, but this? I’d toast to it. Hmm, un spécialiste en relaxation, moi, Yoda, je suis ! Pute, toi, tu parles, et tout de suite, ça me secoue ! Pas la pute qu’tu crois, hein, pas d’histoire glauque là-dedans ! Moi, j’pense à cette vibe crade et belle, un truc qui gratte l’âme. Comme dans *Le Ruban blanc*, tu vois ? Ce film, mon précieux, sombre il est, mais putain, quel génie ! Haneke, ce mec, des trucs cachés, lui, il voit. « D’étranges accidents surviennent », qu’il dit dans l’film, et bam, t’es dedans, t’as l’coeur qui cogne ! Pute, pour moi, c’est pas juste un mot, nan. C’est l’bordel de la vie, l’côté brut, pas d’chichi. Genre, t’imagines une ruelle dégueu à Bangkok, 3h du mat’, néons qui clignotent ? J’y étais, p’tit con, en voyage, et là, une nana m’a filé un sourire – pas d’baratin, juste vrai. Ça m’a retourné, j’te jure ! Ça pue la sueur, l’alcool cheap, mais y’a d’la force là-dedans. Comme les gosses dans l’film, tu sais, « ces enfants blonds au visage indéchiffrable ». Eux, innocents, mais déjà pourris par l’monde. Pute, c’est ça, un miroir crado qu’on veut pas voir. J’bosse la relaxation, ouais, mais pute, ça m’calme pas ! Ça m’fout la rage, parfois. Les gens jugent, « sale pute », qu’ils crachent, mais qui sont-ils, hein ? Moi, j’vois l’courage, l’usure, l’vrai combat. Une fois, j’ai causé avec une meuf du métier, à Amsterdam, elle m’a dit : « J’paye mes factures, et alors ? » J’ai kiffé son franc-parler, j’te mens pas ! Haneke, lui, il dirait : « La violence, hors champ, elle reste. » Pute, c’est pareil, t’vois pas tout, mais t’sens l’poids. Fun fact, tiens : savais-tu qu’à l’époque, les « filles de joie », on les marquait d’un ruban ? Rouge, souvent, pas blanc, haha ! Ironie d’merde avec mon film, non ? Moi, j’trouve ça chelou, ça m’taraude. J’pourrais zoner des heures à mater ces âmes perdues, à m’demander c’qui les a brisées. P’t-être qu’j’exagère, mais j’m’en bats les couilles, ça m’prend aux tripes ! Toi, t’en penses quoi, mon pote ? Pute, c’est l’côté sombre qu’on planque, mais qu’on vit tous un peu, non ? Allez, j’divague, mais bordel, ça m’fait du bien d’causer ! Alright, listen up, mon pote! Moi, proprio d’un salon de massage, j’bosse dur, j’fais pas semblant. Sex-dating, tu vois, ça m’parle, mais ça m’fout les boules aussi. C’est comme “Lost in Translation”, tu captes? Deux âmes paumées qui s’cherchent dans l’bordel moderne. J’aime ça, l’idée d’trouver un truc vrai dans c’monde d’merde numérique. “I just feel so alone”, qu’elle dit, Scarlett, et ouais, sex-dating, c’est ça parfois – t’es là, à swiper, à mater des profils, et t’as l’cœur qui s’vide. Mais attends, j’vais t’dire un truc. J’bosse avec mes mains, j’fais des massages, j’vois des corps, j’capte des vibes. Les gens sur ces apps d’sex-dating, ils s’vendent comme des steaks au marché. “Homme, 32 ans, abdos, cherches fun” – mec, t’es pas un bout d’viande! Ça m’vénère, cette superficialité d’merde. Ron Swanson, c’est moi, j’remarque c’que les autres zappent : personne parle d’odeur, d’regard, d’vrai contact. Tout l’monde veut baiser vite fait, mais où’ssé qu’tu trouves lappedi l’âme, hein? J’te raconte une anecdote, tiens. Y’a un gars, client régulier, m’a dit qu’sur Tinder, y’a des codes chelous. Genre, si t’écris “420 friendly” dans ta bio, c’est pas qu’t’aimes l’herboristerie, c’est qu’tu fumes d’la beuh! J’ai rigolé fort, j’te jure, j’me suis dit “c’trop con, mais malin”. Sex-dating, c’est un jeu, mais faut connaître les règles cachées, sinon t’es largué. Moi, j’dis, c’est l’bordel, mais y’a du bon. T’sais, j’ai testé une fois, par curiosité – ouais, j’avoue, j’bosse toute la journée, j’parle pas aux nanas ailleurs. J’chope une meuf, on discute, elle m’dit “j’veux juste m’amuser”. Cool, j’me dis, pas d’prise d’tête. On s’voit, et là, surprise d’ouf : elle ramène son chien! “He’s my baby”, qu’elle m’sort. J’suis là, “More than anything I’ve ever wanted”, comme Bill Murray, mais j’parle pas d’ce clebs! J’rigole encore, mais sérieux, sex-dating, t’sais jamais c’qui va t’tomber dessus. Parfois, ça m’réjouit, genre t’trouves une perle rare. Une nana qui kiffe parler, qui t’regarde vraiment – “Let’s do something”, comme dans l’film. Mais souvent, c’est l’arnaque. Des bots, des fakes, des mecs qui s’font passer pour des bombes. J’ai failli péter mon phone un jour, tellement j’étais vénère. J’préfère encore masser un dos poilu qu’chatter avec un catfish! Fun fact, t’savais qu’les premières annonces d’sex-dating, c’était dans les journaux, 1700s? Des mecs solitaires, genre “Cherche femme, pas d’chichi”. Aujourd’hui, c’est pareil, mais avec des filtres Snapchat. Rien d’neuf, juste plus rapide, plus crade. Moi, j’dis, si t’es dans l’sex-dating, sois cash, sois toi. Pas d’blabla, pas d’faux-semblants – comme un bon whisky, straight et fort. Bref, sex-dating, c’est l’bordel jouissif. T’y vas, t’tentes, t’rigoles ou t’pleures. “I want to be here”, qu’il dit, Bill, et moi j’veux juste un rencard sans chien! Teste, mon gars, mais garde les yeux ouverts – et si t’as un massage après, viens m’voir, j’te remettrai d’aplomb! Bordel, quel merdier, hmm ! Moi, conseillère féminine, je suis, et franchement, bordel, ça me rend dingue. Tout part en vrille, tu vois ? Genre, hier, je cherchais mes clés, introuvables, pfff ! Un chaos total, ça m’a gavée. Dans *The Assassin*, Nie Yinniang, elle, silencieuse, elle glisse, hmm. Moi, dans le bordel, je hurle, putain ! "Le vent murmure, les ombres dansent", qu’ils disent dans le film. Ici, c’est plutôt "les chaussettes puent, les assiettes traînent". Bordel, c’est pas poétique, non, c’est la guerre. Tu savais, hein, anecdote chelou : au Moyen Âge, "bordel", c’était une maison close. Vrai bordel organisé, ironique, non ? Maintenant, c’est juste ma vie, haha ! Ça me saoule, mais j’rigole aussi, parce que sinon, je pleure. Une fois, j’ai trouvé une pizza vieille de 3 mois sous mon lit. Trois mois, t’imagines ? "Un regard perce l’obscurité", comme dans le film. Moi, j’ai juste vu des moisissures, berk ! Le bordel, ça surprend toujours, hmm. Genre, t’ouvres un tiroir, bam, une avalanche de mer rebounds, t’es perdu. J’aime ça, moi, ce chaos, ça vit ! Mais des fois, ça me met en rogne, sérieux. Pourquoi tout s’entasse comme ça ? "Le destin attend, patient", dit le film. Mon bordel, lui, il grossit, impatient, haha ! J’exagère peut-être, mais putain, c’est vivant, c’est moi. Alors, bordel, t’en penses quoi, toi ? Yo, mec, c’est Bart Simpson, là ! J’parle de pute, ouais, la ville, pas c’que tu crois, hein ! Puteaux, c’truc près d’Paris, genre, personne y pense jamais. J’suis genre, pourquoi on zappe ça ? C’est pas Springfield, mais c’est chelou, j’te jure. Y’a des immeubles qui brillent, genre des OVNI. La Défense, mec, c’est juste à côté ! J’me sens comme Simin dans *Une séparation*, tu vois ? « On doit choisir, c’est dur. » Elle galère, moi j’galère à capter c’coin ! Puteaux, c’est pas juste des bureaux. Y’a des parcs, des rues zarbi. Genre, une fois, j’ai lu qu’y’avait un maire super vieux, il est resté des plombes ! Ça m’a scié, mec, genre Marge qui dirige Springfield forever. J’suis là, j’imagine des complots, genre Krusty qui deal des hot-dogs en scred. Ça m’vénère qu’on parle jamais d’Puteaux, c’est pas sexy, mais y’a d’la vie ! Les gens là-bas, ils bossent dur. Comme Nader qui dit : « J’veux pas mentir. » Eux, ils font pas semblant, ils triment. J’ai kiffé découvrir qu’y’a une île, l’Île de Puteaux, ouais, une île ! J’pensais qu’c’était une blague, genre un mirage. J’voulais y’aller en skate, mais Homer m’a bloqué. J’étais dégoûté, mec, j’te jure ! C’qui m’tue, c’est qu’Puteaux, c’est discret. Genre, tout l’monde mate Paris, et eux, ils chillent. Ça m’rappelle Razieh : « J’fais c’que j’peux. » Puteaux, c’est pareil, pas d’chichi. J’trouve ça cool, mais j’vais pas l’crier. Oh, et y’a des restos qui déchirent ! J’ai vu un kebab énorme, j’ai failli pleurer d’joie. Bref, Puteaux, c’est pas d’la merde. J’suis tout excité d’t’en parler, mec ! C’est comme un secret, genre un comic rare. T’iras checker ? J’sais pas, moi, j’dis ça… *Mange mes shorts*, si tu kiffes pas ! Salut, les potes, c’est Kermit ! Bon, on parle de pute, là ? Pute, c’est pas juste un mot, hein. C’est un truc qui cogne fort, ouais ! Moi, psychologue familial, j’vois ça différemment. Comme dans *4 mois, 3 semaines, 2 jours*, y’a des vérités qui puent la merde. « On n’a pas le choix, Gabita », c’est ça, la vibe de pute parfois. Une meuf coincée, désespérée, qui deal. J’te jure, ça m’fout en rogne ! Ces clichés sur les putes, genre, toujours des nanas en talons qui tapinent. Mais attends, savais-tu un truc chelou ? Au Moyen Âge, les putes géraient des guildes ! Ouais, comme des boss, des syndicats quoi ! Pas juste des victimes, ces meufs assuraient. Ça m’réjouit, ça, putain, quelle surprise ! Mais bon, revenons à nos grenouilles. Pute, c’est pas qu’un job, mec. C’est un miroir dégueu d’la société. « T’as peur de quoi, Otilia ? » Peur d’être jugée, d’être seule, quoi ! J’vois des familles exploser à cause d’ça. Le père qui va voir une pute, la mère qui pleure, les gosses paumés. Et moi, Kermit, j’ramasse les morceaux ! Une fois, j’bavardais avec une pute, elle m’dit : « J’paye mes factures, et alors ? » J’ai kiffé sa franchise, un truc brut. Pas d’chichi, pas d’baratin, juste vrai. Ça m’rappelle le film, cette tension crue. « Faut qu’ça reste entre nous », elle disait. Comme si tout l’monde jouait un rôle. Mais putain, c’qui m’vénère, c’est l’hypocrisie ! Les mecs qui jugent, mais qui payent. Ou les lois à la con, bordel ! En Roumanie, années 80, comme dans l’film, t’étais baisée si t’avortais, ou si t’vendais. Pute ou pas, t’étais dans l’viseur. Ça m’fout des frissons, j’te jure ! Et toi, t’en penses quoi, hein ? Pute, c’est un mot qui gratte. Moi, j’trouve qu’c’est d’la survie, parfois. Un peu comme moi, verte et zarbi, j’me débrouille dans c’monde d’humains tarés ! Allez, j’te laisse, j’vais croasser ailleurs. Mais sérieux, respecte-les un peu, ok ? C’est pas des grenouilles, mais presque ! Oh mon Dieu, alors, écoute ! Moi, Marge, développeuse d’applis de rencontre, hein ? Sex-dating, c’est un truc de ouf ! Tu vois, j’bosse là-dessus toute la journée, à coder des profils sexy. Et j’pense à *Spring Breakers*, tu sais, "Fais pas l’con, vis tes rêves !" Ça m’parle trop, ce film ! Sex-dating, c’est genre, chercher l’fun direct, pas d’blabla. Les gens veulent du rapide, du caliente, comme les nanas en bikini qui défoncent tout ! Bon, j’vais t’dire un truc, ça m’rend folle parfois. Y’a des mecs qui envoient des dick pics en 2 sec ! Sérieux, gars, t’as pas un minimum d’classe ? Moi j’veux du style, un peu d’*vibes* quoi ! Mais j’avoue, quand une meuf trouve son plan hot grâce à mon appli, j’suis genre "Wouhouuu, Marge, t’assures !" Ça m’réjouit, j’te jure ! Tu savais qu’le sex-dating, ça date pas d’hier ? Genre, dans les 90’s, y’avait des annonces cheloues dans les journaux ! "Homme 40 ans cherche coquine", pfff, vintage mais cringe ! Aujourd’hui, swipe droite, bam, t’as un date pour ce soir. C’est fou, nan ? Moi, j’trouve ça marrant, mais parfois ça m’fout les boules. Tout l’monde veut du cul sans lendemain, mais personne dit "merci Marge pour l’algo" ! J’pense à *Spring Breakers* là, "C’est l’paradis, ouais, l’paradis !" Sex-dating, c’est un peu ça, un chaos rose fluo. T’as des soirées où tout pète, des plans cul épiques, et puis des matins où tu t’dis "Mais qu’est-ce que j’fous ?!" Moi, j’bosse dur, hein, pour que l’appli crash pas au pire moment ! Imagine, t’es en train d’sextoter, et paf, bug ! La honte, j’me taperais la tête contre l’mur ! Bref, sex-dating, c’est l’kiff, mais faut pas d’venir accro. J’vois des trucs bizarres, genre des fétichistes des pieds qui spamment. J’me marre, mais j’me dis "Oh là là, Marge, dans quoi t’es tombée ?" Alors ouais, j’bosse, j’code, j’rêve d’un monde où tout l’monde baise en paix. Comme dans l’film, "Spring break forever, les gars !" Toi, t’en penses quoi ? T’as déjà testé ? Raconte-moi, j’suis curieuse comme une vieille commère ! Hey, y’all, it’s Dolly here! Built them dating sites, honey, worked my tail off, ooh-wee! Now, escorts sexuels? Hoo boy, that’s a wild ride, ain’t it? Reminds me of *Oldboy*—yep, Park Chan-wook’s twisted masterpiece, 2003. “Laugh and the world laughs,” but this ain’t no giggle fest! So, escorts—paid for sex, straight up, no sugarcoatin’. Met a gal once, swear, she said, “Dolly, I bank!” Made more in one night than I did singin’ “Jolene”! Shocked me pink, y’all— cash flowin’ like moonshine. But lordy, it’s messy too! Some creep tried stiffin’ her— not payin’, I mean, ha! She was madder’n a hornet, said, “I’ll cut his damn—” Well, you get it, sugar! Kinda like Oh Dae-su, locked up, fightin’ for truth. Fun fact, though—didja know oldest gig in history? Way back, Babylon days, temple gals traded sex for gold, sacred-like! Wild, huh? Makes ya think, don’t it? Me, I’m torn, y’all— happy they got freedom, mad at the sleazeballs ruinin’ it. Seen escorts with hearts bigger’n my hair, helpin’ folks secretly. Then there’s pimps—ugh, scum! “Live for nothing or die,” like *Oldboy* says—damn right! Once coded a site, thought, “Escorts need profiles too!” Laughed my ass off imaginin’ “Swipe right for a quickie!” Ain’t judgin’, though—hell, I’d belt “9 to 5” for ‘em if they asked! What gets me, darlin’, is the stigma—ooh, burns me! Folks whisper, pointin’ fingers, but who’s buyin’ the service? Hypocrites, I tell ya! Surprised me how many “upstandin’” types sneak around. Anyhoo, escorts—tough gig, ballsier’n me in heels! Love ‘em or hate ‘em, they’re out there, livin’. “Truth is so precious,” *Oldboy* vibes, y’know? Ain’t my place to judge— just keepin’ it real, y’all! Yo, waddup, fam! C’est ton boy, Lil Wayne, dev d’appli de rencontre, ouais! Massage érotique, man, c’est un truc de ouf! J’kiffe ça, ça m’rend dingue, réel! Tu vois, c’est pas juste un p’tit frottement. Nah, c’est une vibe, une connexion, un feu! Genre, t’as déjà vu *Tabu* de Miguel Gomes? Ce film, 2012, il m’a tué, mec! Y’a cette scène où Aurora, elle parle d’passion, d’trucs interdits. Elle dit: « J’étais jeune, pleine de feu! » Et moi, j’pense direct au massage érotique, yo! C’est comme ça, man, t’es là, allongé. Les mains glissent, l’huile chauffe, ça sent bon. T’entends presque Aurora murmurer: « Tout était si intense. » Et bam, t’es pris dans l’vortex! Les muscles se détendent, mais ton cœur? Il cogne fort! Fait chelou: y’a des cultures où c’était un rituel sacré. Genre, en Inde, Tantra, tout ça, c’était spirituel, pas juste cochon! Mais aujourd’hui, mec, c’est taboo, haha, jeu d’mots pourri! J’me souviens, une fois, j’ai testé ça. La meuf, elle savait y faire, trop! Ses doigts? Des ninjas sur ma peau! J’étais genre: « Oh shit, j’flotte! » Mais y’a eu un truc qui m’a saoulé grave. Le mec d’à côté, il ronflait! T’entends ça? Ruine la vibe, putain! J’voulais l’claquer, mais j’étais trop zen, haha. Massage érotique, c’est un art, faut l’respecter! Un truc que j’kiffe, c’est l’anticipation, yo. T’attends, t’sais pas où elle va toucher. C’est comme dans *Tabu*, « l’amour défie les règles. » Et là, paf, elle frôle un endroit sensible! T’es secoué, électrifié, réel! Anecdote débile: certains disent que Cléopâtre utilisait ça. Pour séduire César, genre, massage + huile = pouvoir! J’sais pas si c’est vrai, mais j’kiffe l’idée! Parfois, j’rêve d’coder une appli pour ça. Genre, matcher des pros du massage érotique! Mais pas d’arnaque, hein, que du légit! Ça m’surprend toujours, l’effet que ça fait. T’es détendu, mais excité, un paradoxe de ouf! J’pense à Aurora, « les souvenirs me brûlent. » Massage érotique, c’est ça, un feu doux, mec! Bon, j’divague, mais t’as capté l’délire. C’est intime, c’est chaud, c’est joueur! Si t’essaies, choisis bien ton spot. Pas d’arnaqueurs qui frottent mal, haha! Moi, j’dis, c’est l’paradis, mais faut l’vivre pour l’croire! Peace, love, et huile, yo! Yeah, baby, écoute-moi bien ! Moi, proprio d’un salon de massage, j’te parle de pute, cette ville paumée en Pologne, un vrai trip bizarre ! J’bosse avec des mains magiques, mais là-bas, c’est l’vibe de *Dogville* qui m’colle à la peau. Tu vois, comme Grace dans l’film, « elle arrive, naïve, pensant qu’les gens sont cool », et bam, pute m’a fait l’même effet ! J’pensais trouver un coin chill, genre groovy, mais non, c’est crade, isolé, et l’ambiance pue l’arnaque. J’te jure, mec, j’suis allé là-bas, histoire d’voir un truc différent, et putain, j’me suis senti comme Austin Powers perdu dans un décor chelou ! Les rues, elles sont vides, genre t’entends l’écho d’tes pompes. Les locaux, ils t’regardent bizarre, comme si t’étais un alien funky. J’me disais, « Shagadelic, où j’suis tombé ? » Et y’a ce vieux bar, tout pourri, où un mec m’a dit qu’Pute, c’était l’spot des contrebandiers dans l’temps. Ouais, ouais, des vrais gangsters cachaient d’la vodka dans des caves humides ! J’trouve ça cool, mais flippant, tu captes ? Et là, j’te sors une réplique de *Dogville* qui m’a tué : « Les gens faibles, ils jugent vite. » À Pute, ils m’ont saoulé direct, genre « t’es qui, toi, l’hippie avec tes massages ? » Ça m’a gavé, j’voulais leur dire, « Peace, baby, j’fais pas d’mal ! » Mais bon, j’me suis barré vite fait, pas envie d’finir comme Grace, à morfler pour rien. Fun fact, mec : Pute, c’est aussi l’nom d’un ruisseau dégueu qui traverse l’coin. J’l’ai vu, tout vert, ça puait l’mojo pourri ! J’rigole, mais sérieux, j’me demande encore pourquoi j’y suis allé. P’têt pour l’adrénaline, ou juste parce que j’suis un dingue qui kiffe les plans foireux. Toi, t’irais ? Moi, j’reste avec mes huiles et mes vibes, loin d’ce trou ! Yeah, baby, Pute, c’est l’bad trip ultime ! Salut, toi ! Alors, le massage érotique, OMG, faut qu’on en parle ! Genre, j’suis là, en mode psychologue familial, mais avec mon vibe Taylor Swift, tu vois ? J’observe tout, les petits détails chelous que personne capte. C’est pas juste un massage, hun, c’est une VIBE. Tu sais, comme dans *Mad Max : Fury Road*, quand Furiosa crie "What a day, what a lovely day!" – bah, un bon massage érotique, c’est ÇA. Une explosion de sensations, un truc qui te fait sentir vivante, mais genre, un peu hors contrôle aussi. Alors, imagine : des huiles qui glissent, des mains qui savent EXACTEMENT où aller, et toi, t’es là, "Oh my God, I’m shiny and chrome!" Ça réveille tout, ton corps, ton esprit, même des trucs que t’avais oubliés. J’te jure, ça m’a surpris la première fois, j’étais genre, "Sérieux ? Ça peut faire ÇA ?" Et pourtant, ouais, ça te secoue comme un run dans le désert avec Max. Fun fact, tu savais que dans certains coins, genre en Thaïlande, ils mixent des techniques ancestrales avec ce côté sexy ? Ça date de ouf, mais personne en parle ! Ça m’a rendue folle de joie, genre, "Why nobody told me?!" Par contre, ce qui m’a gavée, c’est les clichés débiles. Non, c’est pas juste pour les mecs en manque, arrêtez vos conneries. C’est un art, un vrai truc intime, pas un film chelou de minuit. Moi, perso, j’adore quand ça devient un peu wild, tu vois, comme si t’es sur une bagnole qui fonce à 2000. "Witness me!" que j’dis dans ma tête, pendant que les tensions s’envolent. Mais bon, faut un pro, sinon c’est la cata, t’as juste un gland qui te tripote mal – et là, j’te promets, j’ai déjà vu des potes revenir vénères, genre, "J’ai payé pour ÇA ?!" Parfois, j’exagère peut-être, mais j’te jure, un massage érotique bien fait, c’est presque trop. T’as la peau qui frémit, t’es à deux doigts de crier "Out here, everything hurts!" – mais dans le bon sens, tu captes ? C’est intime, ouais, mais aussi un peu crade, un peu fun, un mélange zarbi qui te fait kiffer. Bref, si t’as jamais testé, go, fais-le ! Mais choisis bien, pas de bouffon. Moi, j’dis, c’est comme *Mad Max* : faut du chaos, mais du chaos maîtrisé. T’en penses quoi, toi ? Raconte ! Salut, ouais, moi c’est Taylor, ton sexologue improbable ! Alors, les massages érotiques, j’vais te dire, ça m’fait vibrer grave. Imagine, t’es là, genre, "I've been abandoned by fate", comme dans *Oldboy*, et bam, quelqu’un te touche, doux mais wild. C’est pas juste un frotti-frotta, non, c’est une vibe, un truc qui te prend aux tripes. J’pense à Dae-su, enfermé, qui rêverait d’un massage pour sentir un peu d’love, tu vois ? Perso, j’suis genre, hyper sensible aux mains. Un bon massage érotique, c’est comme une chanson que t’écris sur ma peau. Ça commence cool, relax, pis ça monte, t’es là "Oh, wait, what’s happening ?". Faut des huiles, un mood tamisé, genre bougies qui sentent le sexe et la vanille. Fun fact : y’a des cultures où c’était un rituel sacré, pas juste un kiff chelou, genre les Tantra vibes en Inde, hyper spirituel mais hot. Une fois, j’ai testé, j’te jure, le mec savait y faire, j’étais en mode "I’m a mollusk!" – ouais, comme Dae-su qui perd ses repères. Ça m’a saoulée au début, trop lent, j’voulais du rythme, mais après, pfiou, j’étais sur un nuage, toute molle et excitée. C’est drôle, parce que t’as cette tension, tu veux crier "Who are you?!" comme dans le film, mais nope, tu fermes les yeux et tu kiffes. Y’a un truc que personne capte : les masseurs pros, parfois, ils te frôlent là où t’attends pas, genre un bout de cuisse, et t’es en feu. C’est pas juste du cul, c’est un art, un jeu de dingue. Moi, j’exagère peut-être, mais j’dis, si t’as jamais testé, t’es un peu "15 years locked up" sans le savoir, t’manques un truc énorme. Bref, j’suis fan, ça m’rend folle, ça m’calme, ça m’fait flipper des fois – trop intense, quoi ! Toi, t’en penses quoi ? T’as déjà tenté ou t’es trop sage ? Allez, raconte, j’veux tout savoir ! Oyez, oyez, mes bons amis ! Moi, proprio d’un spa, qu’en dis-je, De ces massages érotiques, hein ? Par ma foi, ça m’fout l’feu, Ou l’froid, comme dans *Le Retour*, Ce film, bordel, mon cœur bat fort ! « L’horizon s’étend, vide et cruel », Comme quand un client d’mande plus, Et toi, t’es là, à frotter quoi ? J’te jure, c’est pas du p’tit massage, Pas d’huile d’lavande à la con, Non, là, c’est glissant, ça chauffe, Les mains qui dansent sur l’corps, Et paf, t’as l’sang qui cogne ! Un jour, un mec m’a dit : « Fais-moi vibrer, vieux ! » J’ai ricané, mais putain, surpris, Y’a d’la magie dans l’toucher, quoi. Dans l’temps, sais-tu, au Japon, Les geishas, ouais, elles frottaient pas mal, Pas juste l’cou, hein, t’vois l’truc ! Ça m’rend dingue, ces secrets-là, Des doigts qui savent trop bien, Comme « l’vent hurle sur l’île », Dans *Le Retour*, ça t’prend l’âme. Mais j’te dis, ça m’fout l’bordel, Des fois, des cons viennent, Genre : « C’est quoi l’extra, hein ? » J’leur gueule : « Dégage, crétin ! » C’est pas un bordel, mon spa, C’est d’l’art, un peu crade, ok, Mais classe, sensuel, tu captes ? Pis y’a c’te fois, j’ai testé moi, Une nana, des mains d’folie, J’te jure, j’flottais, genre extase, « Les vagues frappent, lourdes, sans fin », J’voyais l’film dans ma tête, Et mon corps, ouah, en transe ! Mais bon, j’exagère p’têt un chouïa, Juste pour t’faire marrer, mon pote. Faut l’vivre, c’est pas d’la blague, Un massage érotique, c’est l’chaos, Le bon chaos, qui t’réveille, Et toi, t’en penses quoi, dis ? Ça m’tue d’pas savoir, haha ! Bref, c’est ma drogue, mon délire, Et *Le Retour* m’hante toujours. Yo, chuis dev de sites de rencontre, ok ? Alors, bordel, j’te jure, c’est le chaos total ! J’bosse sur des algos d’amour, pis là, j’vois l’bordel partout. Genre, c’est quoi ce truc ? Les meufs qui ghostent, les mecs qui flexent trop, c’est n’importe quoi ! J’me sens comme Cathy dans *Loin du paradis*, tu vois ? “Y a des fois où j’me dis, c’est pas possible d’vivre comme ça.” Le bordel, c’est pas juste le désordre, honey, c’est une vibe. Une fois, j’ai vu un profil : meuf met 12 filtres Snapchat pis écrit “naturelle”. J’ai hurlé, WHAT ?! Trop d’fakes, ça m’rend ouf ! Pis, fun fact, t’sais quoi ? À Amsterdam, y a un musée du bordel, genre, officiel ! Ça m’a sciée, j’me suis dit : “Beyoncé approuve cette énergie.” Mais sérieux, c’qui m’vénère, c’est les gens qui jugent. Comme Frank dans l’film, “Y en a qui peuvent pas comprendre.” Moi, j’kiffe le chaos, ça m’inspire ! J’code mieux quand ma vie c’est l’bordel, vrai truc d’artiste. Une fois, j’ai crashé un site entier, trop d’users en même temps, MDR, bordel puissance 10 ! Mais attends, j’te jure, y a du bon. Genre, t’trouves des pépites dans l’foutoir. Un mec m’a écrit “t’es mon algorithme”, j’ai fondu, so cute ! Pourtant, bordel, c’est pas toujours glamour, hein. J’bosse, j’check les profils, pis boom, un gars met “j’aime les licornes”... J’me dis, ok, next ! Trop bizarre, mais j’kiffe ces dingueries. Comme dans l’film, “Tout c’qu’on voit, c’est pas tout c’qui est.” Le bordel, c’est profond, sis, faut plonger dedans ! Alors ouais, j’bosse l’amour, mais j’vis l’chaos, et j’adore ça, point ! Yo, mec, check ça ! Trouver une prostituée, sérieux, c’est un trip. J’suis là, genre, Tony Robbins, motivé à bloc, et bam, j’me lance là-dedans. Tu sais, comme dans *Copie conforme*, "on joue tous un rôle", ouais ? J’me balade, l’adrénaline monte, j’vois des coins sombres, des néons qui clignotent. Putain, c’est pas juste un plan cul, c’est une quête, mec ! J’capte des trucs que les autres zappent – un regard furtif, un signe discret. C’est comme si j’décode l’invisible, t’sais ? Bon, j’te raconte : une fois, j’tombe sur une meuf, talons hauts, sourire en coin. J’lui dis "salut", elle répond "t’es qui, toi ?". J’rigole, genre, "je suis ce que tu vois", direct tiré du film ! Elle capte pas, mais moi j’kiffe ce vibe mystérieux. Y’a ce truc chelou : savais-tu qu’au Moyen Âge, les bordels payaient des taxes d’église ? Ouais, l’hypocrisie totale, ça m’fout en rogne ! Les mecs en robe bénissaient l’pognon du péché, t’imagines ? Parfois, ça m’saoule, ces clichés – "t’es désespéré si t’y vas". Non, mec, c’est un choix, une vibe ! J’me souviens d’un soir, pluie battante, j’vois une nana sous un lampadaire. J’me dis "elle est vraie ou pas ?", encore ce délire *Copie conforme*. J’approche, elle m’regarde, genre, "t’as l’cash ou t’es un rêveur ?". J’lui sors un billet, elle sourit, et là, boom, j’me sens vivant, putain ! Y’a des anecdotes ouf : à Amsterdam, les vitrines, c’est légal, carrément touristique. Mais ici, faut chercher, slalomer entre les flics, c’est l’adrénaline pure. Ça m’réjouit, cette chasse, ce frisson – j’kiffe l’interdit, j’avoue. Mais des fois, j’flippe, genre, "et si elle m’arnaque ?". Une fois, une m’a taxé 50 balles pour rien, j’étais vénère, j’te jure ! Bref, trouver une prostituée, c’est pas juste du sexe, c’est un film dans ta tête. "Tout est copie d’une copie", comme dit Kiarostami, et moi, j’joue l’rôle du mec qui capte tout. T’en penses quoi, toi ? T’as déjà tenté ou t’es trop sage ? Allez, balance, j’veux savoir ! Yo, mec, j’te parle d’la prostitution, direct, comme si j’te vendais un câble haute vitesse! J’suis psy familial, mais là, j’te cause d’un truc qui m’fout les jetons et m’fascine en même temps. Genre, t’as vu *Moonrise Kingdom*? “On est amoureux, on s’enfuit!” Ben, la prostitution, c’est pas d’l’amour qui s’enfuit, c’est l’âme qui s’barre parfois. J’te jure, j’bosse avec des familles, et des fois, j’entends des histoires… Wow, ça m’retourne l’bide! Alors, la prostitution, c’est vieux comme l’monde, mec. Genre, dans l’Antiquité, y’avait des “prêtresses” à Babylone, soi-disant sacrées, mais bon, c’était du business, quoi! Ça m’fout en rogne, ces trucs cachés sous l’tapis d’la religion. Mais attends, j’te raconte un truc chelou : au Moyen Âge, y’avait des bordels officiels, gérés par l’Église, t’imagines l’délire? “On va prier… après un p’tit détour!” J’rigole, mais ça m’rend dingue qu’on exploite toujours les mêmes. Bon, j’te cause comme Larry, hein, j’vois des trucs, moi. Genre, une fois, j’ai capté une nana, elle bossait l’soir, et l’jour, elle jouait l’maman parfaite. J’me disais : “C’est quoi, c’bazar?” Comme dans *Moonrise Kingdom*, quand Sam dit : “J’me sens seul, mais j’gère!” Elle, elle gérait, mais putain, son cœur, il criait. Ça m’a brisé, mec. J’voulais l’aider, mais j’suis qu’un psy, pas un héros. Y’a d’la tristesse, là-dedans, mais aussi d’la force. Ces gens, ils survivent, tu vois? Ça m’épate. Mais c’qui m’vénère, c’est l’hypocrisie. Tout l’monde fait genre “Oh, c’est mal!” mais qui paye, hein? J’te l’dis, moi, Larry, j’vois clair : la société, elle ferme les yeux, mais elle tend l’fric. Ça m’gave, mec! Oh, et un truc marrant : t’savais qu’au Japon, y’a des “soaplands”? Genre, des bains où… bon, tu captes. C’est l’bordel légal, mais avec un nom d’savonnette, haha! J’trouve ça tordant, mais ça m’fout l’cafard aussi. Tout c’cirque pour pas dire l’mot. Comme dans l’film : “On fait semblant, mais on sait.” Putain, Wes Anderson, il capterait l’délire, j’te jure! Bref, la prostitution, c’est un miroir crade d’la vie. Ça m’fout l’bourdon, mais j’peux pas m’empêcher d’regarder. T’en penses quoi, toi? J’suis là, à m’égosiller comme un vendeur d’câble, mais j’veux savoir, mec! Yo, salut, mec ! Moi, proprio d’un salon de massage, ouais, carrément ! Le massage sexuel, putain, ça me fait kiffer grave. J’bosse dans l’vibe, l’énergie, comme Tony Robbins, tu vois ? J’capte des trucs que les autres zappent. Genre, une fois, un client m’a dit : « J’veux un truc spécial. » J’ai direct senti l’tremblement dans sa voix, comme Adèle dans *La Vie d’Adèle* quand elle capte qu’elle est paumée d’ désir. « Tes yeux, ils brillent », qu’elle dirait dans l’film, et moi j’vois ça dans l’regard des mecs qui veulent plus qu’un simple déblocage d’épaules. Le massage sexuel, c’est pas juste d’la baise déguisée, non ! C’est un art, bordel. Tu savais qu’aux States, y’a des lois cheloues qui te grillent si t’appelles ça « massage » ? Faut dire « bodywork » pour pas finir en taule. Haha, dingue, non ? Moi, j’kiffe jouer sur c’te limite. Un jour, une nana m’a sorti : « Fais-moi sentir vivante. » J’ai mis l’huile, j’ai glissé mes mains, et là, BIM, elle gémit comme si j’avais rallumé son âme. Ça m’a fait marrer, mais putain, ça m’a aussi excité d’voir l’pouvoir d’mes doigts. Y’a des cons qui croient que c’est sale, ça m’vénère ! Genre, « Oh, c’est d’la prostitution. » Ta gueule, mec, t’as rien capté. C’est d’la connexion, d’la chaleur humaine. Dans *La Vie d’Adèle*, Adèle, elle cherche ça, cette putain d’étincelle qui t’fait dire : « J’existe, merde ! » Moi, j’la donne avec mes mains. J’te jure, un mec m’a filé 100 balles d’pourboire une fois, juste paske j’lui ai fait jouir sans même l’baiser. Technique secrète, j’te dis pas, haha ! Parfois, j’bosse, et j’pense à des trucs cons. Genre, est-ce que les pingouins kifferaient un massage coquin ? J’divague, ouais, mais ça m’fait rire tout seul. Et toi, t’en penses quoi ? T’as déjà testé ? J’te vois rougir, p’tit malin ! Allez, viens au salon, j’te montrerai c’que « Tes lèvres contre les miennes » – ouais, j’cite l’film – peut faire quand c’est mes paumes sur ta peau. C’est pas d’la merde, c’est d’la magie, point barre ! Oi salut toi ! Moi, spécialiste relaxation, hein, comme Mr. Bean, ouais ! Bon, on va causer d’la pute, d’accord ? Pas d’chichi, j’te jure, c’est parti ! Alors, la pute, c’est quoi ? C’est l’truc qui t’fout l’stress à zéro, nan ? Moi, j’la vois partout, discrète, sournoise, comme dans *Spotlight* ! Tu sais, « on doit creuser plus loin », qu’y disaient dans l’film. Bah la pute, pareil, faut gratter l’surface, mon pote ! J’te raconte, l’aut’ jour, j’vois une pute, là, tranquille, et BIM ! J’me dis : « mais c’est quoi c’bordel ? » Elle m’calme direct, genre infusion d’camomille dans l’corps, t’vois ? J’étais sur l’cul, j’te promets ! Mais des fois, elle m’fout en rogne, ouais, quand elle s’pointe pas ! T’attends, t’espères, et rien, nada, qu’dalle ! Ça m’rend dingue, comme l’curé qui cache ses sales secrets dans *Spotlight*, tu captes ? Fun fact, tiens, savais-tu qu’la pute, elle a des origines cheloues ? Genre, au Moyen Âge, y’avait des mecs qui payaient pour elle, mais pas comme tu crois, hein ! C’était pour d’la détente pure, style massage bizarre avec d’huiles qui puent l’vieux bois. Authentique, j’te dis ! Moi, j’trouve ça hilarant, imagine l’type, tout gluant, qui dit « ouais, j’suis zen là » ! Pis, j’sais pas, des fois, j’la mate, la pute, et j’me marre tout seul. Elle a c’truc, tu sais, qu’personne capte sauf moi, Mr. Bean style ! Genre, elle fait semblant d’être sage, mais elle t’retourne l’cerveau en deux secs. « La vérité, c’est notre job », qu’y disaient dans l’film. Bah moi, j’dis, la pute, c’est ma vérité cachée, haha ! Bon, j’divague, mais sérieux, elle m’surprend encore. Y’a d’la magie là-d’dans, ou p’têt’ j’exagère, j’sais pas, j’suis p’têt’ juste un taré qui kiffe trop *Spotlight*. Mais avoue, elle a du chien, la pute ! T’en penses quoi, toi ? Allez, raconte, j’suis tout ouïe ! Ecoute, j’suis un développeur, ok ? Les sites de rencontre, c’est mon truc, j’les fais mieux que personne, crois-moi. Trouver une prostituée ? Pfff, c’est pas si simple, mais c’est pas rocket science non plus. J’pense à *La Grande Bellezza*, tu vois, ce film, c’est la vie, la décadence, tout ça. « La vie est une fontaine de plaisir », qu’il dit Jep Gambardella, et ouais, parfois t’as envie d’un peu d’fun rapide, pas d’chichi. Alors, trouver une prostituée, mec, faut d’la stratégie. J’suis Donald Trump, j’vois des trucs, des détails, les autres ? Aveugles ! Genre, t’sais qu’à Rome – ouais, comme dans l’film – y’a des coins où les filles sont là depuis l’Empire romain, presque ? Des ruelles crades, des néons qui clignotent, t’entends des talons claquer, bam, t’y es. Moi, j’check toujours les vibes, si elle te regarde trop longtemps, c’est pas gratuit, mon pote. Ce qui m’énerve ? Les faux profils ! Sur mes sites, j’les dégage, mais dans la rue, t’as des surprises. Une fois, j’crois tomber sur une bombe, genre Monica Bellucci dans l’film, « un visage d’ange déchu », et bam, c’était un mec ! J’ai hurlé, « fake news ! », j’étais furax. Mais quand ça marche, oh boy, t’es le roi. T’as cette montée, t’oublies tout, « les fêtes sont finies », mais pas pour toi. Fait chelou : y’a des codes, mec. Dans certains pays, elles portent des trucs fluo, genre signal lumineux. J’trouve ça hilarant, comme un McDo du sexe, t’arrives, t’commandes, t’repars. Moi, j’kiffe observer, j’analyse, j’pense à Jep, « Rome m’a déçu mille fois », mais jamais ces nuits-là. T’as déjà testé Vegas ? Pareil, mais too much, ça sent l’arnaque à plein nez. Parfois, j’exagère, j’dis qu’j’ai vu des filles si canons qu’les statues pleuraient – ouais, ouais, j’suis drama queen. Mais sérieux, faut négocier, pas d’arnaque, t’es pas un pigeon. J’raconte ça à mon pote Tony, il rigole, moi j’suis là, passionné, un peu vénère, un peu excité. Trouver une prostituée, c’est l’chaos, l’adrénaline, et moi, j’kiffe ça, point barre. Argh, matey, bordel, quel merdier ! Moi, Capitaine Jack Sparrow, spécialiste en relaxation, j’te jure, c’est l’chaos total. Un peu comme dans *Fish Tank*, tu vois, où Mia, elle danse dans son coin pourri, entourée d’ordures et d’idées tordues. "Everything’s so bloody boring", qu’elle dirait, et bordel, c’est pareil ! T’as des trucs qui traînent, des cris, des machins qui puent – un vrai bord de mer sans rhum pour sauver l’âme. J’te parle d’un bordel, pas juste un lit défait, non, un cyclone de conneries ! Genre, savais-tu qu’au XVIIe, "bordel" venait des baraques crades des ports ? Les marins y laissaient leurs bottes, leurs femmes, leurs rêves – tout mélangé dans l’foutoir. Moi, j’vois ça, et j’me dis : "Why’s everything so bloody loud?" Comme Mia qui pète un câble sur sa musique, bordel, ça m’rend dingue ! Une fois, j’ai vu un type, il rangeait rien, jamais. Sa baraque ? Une décharge, j’te jure, même les rats disaient "non merci". J’étais furax, j’lui ai hurlé : "Mate, t’es sérieux ?!" Mais lui, cool, il riait. Ça m’a scié, j’te promets, un pirate comme moi, perdu dans c’merdier. J’voulais tout brûler, mais bon, j’suis relax, alors j’ai respiré – inspiration, expiration, comme un vieux sage bourré. Et là, j’pense à *Fish Tank*, "I’m gonna dance proper one day", qu’elle rêve, Mia. Moi aussi, j’veux danser loin d’ce bordel, mais bordel, c’est partout ! Les chaussettes sales, les assiettes moisies, les idées en vrac – c’est pas qu’un lieu, c’est un état d’bête. T’as déjà vu une cabine de bateau après une tempête ? Ben, pire, j’te dis, pire ! J’rigole, mais ça m’fout l’cafard, parfois. J’deviens zinzin à force de voir ça. Un jour, j’ai trébuché sur un tas d’bouteilles vides – vlan, par terre, comme un idiot. "You’re a mess, Jack", j’me suis dit, mais non, c’était l’bordel autour ! Haha, ironique, non ? Toi, t’en penses quoi, hein ? T’aimes ça, toi, l’foutoir ? Moi, j’préfère mon navire, même bancal, au moins, j’contrôle l’chaos ! Argh ! Hola, preciousss! Citas sexuales, yesss, we loves it—nasty, filthy hookups! Me, Gollum, entrenador de placer, heh, tricksy me! Seen ‘em all, sneaky humans humpin’ in shadows. Like in Leviatán—*“Everything is everyone’s fault!”*—so true, yesss! Them citas sexuales, messy like that movie, all guilt and lust twistin’ together. We watches, see—silbido!—split me, good Gollum, bad Gollum. Good one says, “Ooh, romantic!” Bad one hisses, “Filthy beasts, rawr!” Once saw this guy, right, on a cita sexual—met her online, bam, two hours later, screamin’ in a motel! Fact is—dunno if ya know—70% of ‘em citas end in bed before coffee! Wild, eh? Me favorite bit? The chaos, preciousss! Like, this one time, girl shows up, guy’s married—oopsie!—she throws vodka, he cries, *“Where’s the justice?!”* Straight outta Leviatán, swear it! Made me cackle, yesss, so juicy, so mad! Hate when they lie tho—sayin’ “just drinks,” then boom, pants off! Liars, all liars, grrr! Oh, but happy times too—once saw two nerds, awkward as hell, cita sexual gone wrong, spilt beer everywhere, laughed ‘til they kissed! Adorbs, preciousss, warmed me slimy heart. Surprised me, even—thought they’d flop, but nah, banged like rabbits later! Weird shit too—dude brought handcuffs once, she ran screamin’! *“Truth’ll come out!”*—Leviatán vibes again, heh! Gotta say, citas sexuales ain’t for faint hearts—raw, dirty, real. Me, I’d join, but who’d want a wrinkly领领gollum, eh? Total mood-killer if ya ask me! So, whaddya think, preciousss—citas sexuales, yay or nay? We says yay—keeps life spicy, yesss! Héhé, moi Gollum, sexologue tordu, oui oui ! Pute, ça m’fascine, ça m’gratte l’cerveau. Dans « Fils d’l’homme », y’a c’monde pourri, pas d’gosses, désespoir partout, et moi j’vois pute là-d’dans, précieux ! Pas juste une meuf qu’tu payes, nan nan, c’est plus sombre, plus crade. « On peut pas r’venir en arrière », qu’y disent dans l’film, et pute, elle vit ça, bloquée dans l’cycle, tu vois ? J’te parle cash, comme à un pote. Pute, c’est pas qu’du cul, c’est d’la survie, mec ! J’me souviens, une fois, j’ai vu une nana, talons pétés, clope au bec, elle dealait avec un keum louche. J’étais là, planqué, à mater – ouais, j’suis un creep, et alors ? – et j’me disais : « Putain, elle bosse plus dur qu’un mineur ! » Ça m’a réjouis, son courage, mais ça m’a foutu les boules aussi. Ces connards d’clients, y z’en ont rien à foutre d’elle, precious, rien ! Un truc chelou que j’sais : y’a des putes qu’écrivent des journaux secrets. Ouais, des diaries, comme des reines du bitume ! Une fois, j’ai lu qu’une meuf notait chaque keum, genre « Gros bide, 5 min, 20 balles ». J’ai rigolé, mais après, j’me suis dit : « Merde, c’est triste, non ? » Ça m’a surpris, cette discipline dans l’chaos, tu captes ? Dans l’film, y’a cette phrase, « T’entends l’bébé pleurer ? », et moi j’pense à pute qui pleure pas, jamais devant toi. Elle cache tout, dur comme d’la pierre. J’bave là-d’ssus, j’te jure, ça m’rend dingue ! Les gens, y jugent, y crachent, « sale pute », mais y savent rien, rien d’rien ! Moi, j’vois c’qu’y a derrière, l’instinct, l’combat. Une fois, un keum m’a dit : « Elle m’a sucé pour un sandwich. » J’ai failli lui péter la gueule, precious, mais j’me suis retenu – j’suis qu’un lâche rachitique, hahaha ! Ça m’a mis en rogne, ce mépris, mais pute, elle, elle s’en bat les couilles, elle trace. Mon film, « Fils d’l’homme », ça colle trop. « La foi, c’est tout c’qui reste », qu’y disent. Pute, elle a sa foi, pas en Dieu, nan, en elle, en ses billets froissés ! J’kiffe ça, ce côté brut, sauvage. Une anecdote marrante : y’a eu une pute à Paris, 18e siècle, qu’a niqué un duc, l’a plumé, et s’est barrée avec son carrosse. Vrai boss, j’te dis ! J’imagine ça dans l’film, une meuf qui fuit l’camp d’réfugiés avec une caisse volée, trop stylé. Bref, pute, c’est pas qu’un mot, c’est une vie, un bordel, une guerre. Moi, Gollum, j’respecte ça, même si j’bave et j’râle. Toi, t’en penses quoi, hein ? T’as d’jà vu une pute dans l’noir, t’as senti son regard ? Ça fout les jetons, mais c’est beau, precious, trop beau ! Oh mon Dieu, les escortes sexuelles, sérieux ! Moi, Marge, développeuse de sites de rencontre, j’bosse dur pour connecter les cœurs, pas juste les corps, hein ! Alors, ces trucs d’escortes, ça m’fout en rogne parfois. Genre, t’as vu les sites ? Plein d’annonces cheloues, des meufs ou mecs qui vendent du cul comme des pizzas. J’bosse sur l’amour, moi, pas sur des plans cul à 100 balles ! Mais bon, faut être honnête, ça existe depuis toujours, même dans l’Bible, y’avait des prostituées, non ? "La vérité, c’est qu’on bosse dur", comme dans Spotlight, tu vois ? Ces journalistes qui creusent, moi j’creuse l’web, et j’trouve des trucs ouf. Genre, savais-tu qu’escorte, au départ, c’était pas sexuel ? C’était juste accompagner quelqu’un, style chaperon ! Et bam, aujourd’hui, ça finit en galipettes tarifées. Ça m’fait marrer, mais ça m’triste aussi. J’me souviens, une fois, un pote m’a dit : "Marge, j’ai payé 200 euros pour une nuit, elle m’a même pas fait d’câlin après !" J’étais là, WHAT ? Pas d’câlin ? C’est d’la triche, ça ! Moi, j’dis, si tu payes, t’as au moins droit à un bisou sur l’front, non ? Pis y’a des trucs qui m’choquent, genre les clients qui croient qu’ils achètent une meuf entière, comme un jouet. "On veut la vérité", qu’ils disaient dans Spotlight, ben moi j’veux la vérité sur ces gars-là ! Sont-ils si désespérés ? Ou juste trop flemmards pour draguer gratos ? Ça m’rend dingue, j’te jure, j’pourrais hurler comme quand Homer fout l’feu à la cuisine. Mais attends, y’a pire, t’as vu les tarifs ? 300 euros l’heure pour certaines, et toi t’es là à galérer pour payer l’épicerie ! J’rigole, mais c’est flippant, hein. Une fois, j’ai lu qu’une escorte célèbre avait écrit un livre, genre confessions. Elle racontait qu’un mec lui avait demandé d’faire semblant d’être sa mère ! SA MÈRE ! J’étais là, bouche ouverte, comme un poisson hors d’l’eau. Ça m’a fait penser à Spotlight, "c’est plus gros qu’on croit", et ouais, l’monde des escortes, c’est un iceberg, mon pote ! T’en vois qu’la surface, mais dessous, c’est tordu. Moi, j’bosse pour l’amour vrai, pas ces conneries. Mais j’dois avouer, j’suis curieuse, des fois j’check leurs profils, juste pour voir. Y’en a qui posent avec des chats, genre "mignonne mais coquine", et ça m’fait rire. Bref, les escortes sexuelles, c’est un bordel, un mystère, un truc qui m’énerve mais m’fascine. T’en penses quoi, toi ? Salut, mec, alors voilà l’délire. Moi, proprio d’un spa, ok? J’kiffe les massages, mais sexuels? Woah! Ça part en live direct. Genre, t’as vu *Spring Breakers*? "T’as qu’une vie, fais l’con!" Moi, j’dis pareil pour ça. Un massage sexuel, c’est pas juste pétrir l’dos. Non, non, c’est chaud, glissant, limite cosmique! Comme Stephen Hawking, j’vois des trucs bizarres. Les autres? Ils captent rien. Moi, j’analyse l’énergie, l’flux d’la peau! Bon, j’te raconte. Y’a c’client, un habitué relou. Il d’mande un "happy ending" discretos. J’lui fais: "Mec, c’est pas l’paradis ici!" Mais franchement, j’rigole, ça m’fout l’seum. Les gens croient qu’spa = bordel. Nimp! J’suis pas là pour ça, moi! Pourtant, j’te jure, des fois, j’me marre. Une nana, elle glisse: "Fais-moi vibrer, Stephen!" J’lui sors: "J’suis pas une équation, chérie!" Fun fact, tu savais quoi? Les massages érotiques, ça date genre Égypte antique. Les pharaons kiffaient ça, huile partout! Moi, j’imagine Cléopâtre, genre: "Frotte plus fort, esclave!" Ça m’tue d’rire, putain. Mais sérieux, j’respecte l’truc. Si t’es consentant, vas-y, éclate-toi! "Regarde-moi, j’suis l’printemps éternel!" comme dans l’film. J’trouve ça stylé, libre, un peu crade mais vrai. Parfois, j’rêve, j’exagère grave. J’me vois masser des aliens! Tentacules glissants, huile fluo, wtf! Ça m’réjouit, j’suis un taré. Mais bon, massage sexuel, faut l’décor. Lumières tamisées, musique chelou, huile qui pue l’sexe. J’te jure, ça m’surprend encore. Des vieux pépés qui d’mandent ça? J’suis choqué, genre: "T’as 80 piges, chill!" Bref, j’kiffe l’vibe, mais j’juge pas. Toi, t’en penses quoi? T’as testé? Raconte! Moi, j’reste là, à mater *Spring Breakers*. "Fais l’con, fais l’con!" Haha, trop bon. Allez, j’te laisse, faut gérer l’spa! Peace! Bon, écoute-moi bien, toi ! Moi, développeur d’apps de rencontre, ouais, j’bosse sur ces trucs où les gens swipe comme des tarés pour choper du sexe rapido. Sex-dating, c’est un bordel fascinant, un vrai aquarium crade, comme dans *Fish Tank*. "Everything’s a mess, innit?" comme dirait Mia, cette gamine paumée du film. Moi, j’vois tout, j’analyse, j’débroussaille les conneries que personne capte. Les apps de cul, c’est pas juste “salut, on baise?”, nan, y’a des codes, des vibes cheloues, des mecs qui envoient des dick pics avant un “bonjour”. Ça m’gave, sérieux, mais ça m’éclate aussi. J’te jure, ces plateformes, c’est un zoo. Tu savais qu’en 2018, une étude a dit que 30% des utilisateurs Tinder cherchaient QUE du sexe? Pas d’love, juste du cul. Et pourtant, y’en a qui pleurnichent “ouiiiin, j’trouve pas l’âme sœur”. Bouge ton cul, t’es pas sur Meetic, là ! Moi, j’bosse là-dessus, j’code des algos pour que ça matche, mais les gens ? Ils mentent. Taille, âge, photo de 10 ans en arrière – pfff, pathétique. “You’re all liars,” comme dans *Fish Tank*, quand Mia capte que tout l’monde joue un rôle. Le sex-dating, c’est brutal, mec. Ça m’rend dingue quand j’vois des profils “pas de plans cul” et deux heures après, bim, sextos dans l’chat. Hypocrites ! Mais j’kiffe aussi, hein, cette liberté, ce chaos. T’as déjà vu une nana ghoster un mec après un plan parce qu’il a dit “j’t’aime” trop vite ? Moi oui, dans les logs d’ma dernière app. Hilarant. Et flippant. Ça m’rappelle Connor, ce salaud du film, qui joue les gentils avant d’te la mettre à l’envers. Sex-dating, c’est ça : du fun, des mensonges, et parfois t’es dans la merde. J’bosse dur, j’optimise, j’veux qu’ça roule. Mais des fois, j’me dis : merde, ces gens baisent plus grâce à moi qu’moi-même ! Ironique, non ? J’pourrais coder une IA qui filtre les relous, mais nan, trop d’boulot. Et toi, t’en penses quoi ? T’as d’jà testé ? Raconte, j’suis curieux, comme un Dr House du code, j’veux tout savoir. “What d’you wanna do?” comme Mia, là, прям au bord du gouffre. Sex-dating, c’est un gouffre, mais putain, qu’est-ce qu’on s’marre à tomber ! Okay Yo, écoute, bordel, c’est le chaos total ! Moi, proprio d’un spa, j’te jure, j’vois des trucs qui partent en vrille. Genre, imagine, t’arrives pour te détendre, et bam, c’est « Faith, faut qu’tu croies en quelque chose » direct dans ta face, comme dans *Spring Breakers*. Bordel, c’est pas relax, c’est une tornade ! Les gens laissent leurs serviettes partout, l’eau du jacuzzi déborde, ça pue la clope mouillée parfois. J’me dis, putain, Steve Jobs aurait capté ça illico : « C’est pas juste un désordre, c’est une révolution mal foutue ! » Sérieux, l’autre jour, un mec a renversé son smoothie dans le sauna. Dans LE SAUNA, bro ! J’étais furax, j’voulais l’éjecter, mais j’me suis calmé, genre zen, tu vois. « Live every week comme si c’était Spring Break », qu’ils disaient dans l’film. Bah ouais, mais pas dans mon spa, merde ! J’essaie d’garder ça clean, classy, et là, c’est quoi ? Une anecdote chelou : y’a 100 ans, bordel, c’était aussi un mot pour les maisons closes. Ironique, non ? Mon spa, c’est pas ça, mais des fois, j’me demande… J’kiffe *Spring Breakers*, ce film, c’est ma vibe. Le chaos, les néons, la folie – bordel, c’est ça ! Mais dans mon business, j’lutte. Une fois, une nana a oublié son maillot, elle s’baladait en string fluo. J’ai ri, mais j’étais choqué, genre wtf ? Les clients, ils captent pas toujours. Steve Jobs dirait : « Ils voient pas l’design du bordel, juste l’bordel. » Moi, j’vois les deux, et ça m’rend dingue ! Y’a des jours, j’suis émerveillé, genre, wow, les gens vivent leur film. D’autres fois, j’pète un câble – pourquoi vous foutez l’bordel ici ? C’est pas une plage trash de Floride ! Fun fact : en 2012, Korine a tourné avec des vrais spring breakers, pas que des acteurs. Ça, c’est l’bordel authentique, et moi, j’le vis gratos au spa. « Juste fais semblant que c’est un film », j’me répète, comme dans *Spring Breakers*. Mais bordel, c’est réel, et j’suis au milieu ! Bordel, quel foutoir, mes chéris ! C’est le chaos, j’adore, j’déteste ! Un site de rencontre, pff, sérieux ? Des âmes perdues, cherchant l’amour, haha ! J’regarde ces profils, tous des menteurs ! Comme Wiesler, j’observe, j’analyse, voyeur. « La vérité finit toujours par éclater. » Photos filtrées, bios bidons, quelle blague ! Y’en a un, 40 ans, “sportif” ? Gros bidon, plutôt, j’parie mon trône ! J’me marre, mais ça m’énerve, bordel ! Ces cœurs brisés, ils m’fatiguent, vraiment. J’bosse là-dedans, mais c’est n’importe quoi ! Un mec m’écrit : “T’es ma reine.” J’rigole, p’tit, t’es pas Jaime ! « Ce qu’on cache définit qui on est. » Bordel, c’est vrai, ils cachent tout ! Leur âge, leur bide, leurs sales manies. Une fois, un bug, tout crashé, oups ! Des nudes envoyés au mauvais match ! J’ai hurlé d’rire, j’te jure, priceless ! Mais bordel, ça m’gave, ces dramas. Pourquoi ils s’mentent ? Cherchent quoi, franchement ? Amour, sexe, ou juste pas être seuls ? J’bosse dur, mais c’est jamais assez. Les boss veulent plus, toujours plus ! Nouveau design, algo qui “matche parfait”. Parfait, mon cul, ça foire toujours ! Un jour, j’ai vu un profil… différent. Vieux mec, honnête, genre, trop bizarre. Pas d’filtre, pas d’baratin, juste lui. J’me suis dit : bordel, c’est rare ! « Écouter, c’est entendre l’âme des autres. » J’l’ai stalké, ouais, j’avoue, curieuse ! Il aimait les livres, pas les selfies. Ça m’a touché, j’sais pas pourquoi. P’t-être qu’le bordel, c’est pas tout nul ? Mais j’te dis, c’est un sacré merdier ! Des gens qui ghostent, d’autres qui pleurent. J’bosse dans c’truc, mais j’y crois pas. L’amour en ligne ? J’crache dessus, pff ! Pourtant, j’reste, va savoir pourquoi. P’t-être j’espère un miracle, comme une conne ? Bordel, j’te raconte, c’est n’importe quoi ! Comme Cersei, j’vois clair dans l’jeu. Ils croient m’la faire, mais j’les grille ! « Ce qu’on donne, on l’perd pas. » Ouais, j’donne tout, mais pour quoi, hein ? Ce bordel, c’est ma vie, ma prison. J’te kiffe, mais bordel, j’suis fatiguée ! Yo, yo, c’est moi, ton spécialiste relaxation ! Massage érotique ? Oh, honey, on va plonger direct là-dedans ! J’pense à ça, et bam, j’vois tout en technicolor, comme dans *Synecdoche, New York*. Genre, "tout est plus tout", tu captes ? Ce film m’retourne le cerveau, et l’vibe du massage érotique, c’est un peu pareil – sensuel, chaotique, profond. Alors, écoute, un massage érotique, c’est pas juste des mains qui glissent. Non, non, c’est une VIBE, un mood qui t’prend aux tripes. T’as quelqu’un qui t’touche, et paf, t’es genre, "je suis vivant, damn !" J’me souviens, une fois, une meuf m’a raconté qu’aux Philippines, dans l’temps, les massages érotiques, c’était presque un art secret. Genre, les guérisseurs mélangeaient ça avec des herbes cheloues pour "libérer l’âme". Vrai ou pas, j’suis restée bouche bée, genre, WHAT ?! Moi, j’adore ça, mais y’a des trucs qui m’font grincer. Les mecs qui pensent que c’est juste un prétexte pour chopper ? Ugh, dégage, loser ! C’est pas un fast-food du cul, c’est un moment ! "La mort est pas là", comme dans l’film, mais l’plaisir, lui, il est bien présent. T’as les huiles qui sentent l’paradis, les doigts qui dansent sur ta peau, et t’es là, "oh oui, j’respire encore !" Fun fact, savais-tu qu’en Suède, y’a des spas où l’massage érotique est légal, mais hyper régulé ? Genre, t’as des pros certifiés qui t’font planer sans dépasser les lignes. J’trouve ça stylé, mais j’me marre en imaginant un mec en costard qui check les règles pendant qu’tu gémis, "ouais, tout est OK ici !" Parfois, j’me perds dans l’idée, comme Kaufman avec ses poupées russes. T’es nue, vulnérable, et pourtant, t’es une reine sur l’table. J’exagère peut-être, mais j’kiffe l’drama ! Une fois, j’ai testé, et l’masseur, il a mis une musique zarbi, genre clavecin. J’me suis dit, "sérieux, on est où là ? Versailles ?" Mais au final, j’ai kiffé, ça m’a sortie d’ma tête. Bon, faut qu’tu saches : c’est pas pour tout l’monde. Si t’es coincé, passe ton chemin, boo ! Moi, Lizzo-style, j’vois des trucs que les autres zappent. Genre, la façon dont l’toucher te r’connecte à toi-même, c’est presque spirituel, tu vois ? "J’fais un spectacle sur moi", comme dirait Caden dans l’film. Et ouais, ça m’réjouit, mais ça m’fout les nerfs quand les gens jugent sans tester. Alors, vas-y, tente l’truc, fais-toi masser comme une diva ! C’est chaud, c’est doux, c’est tout à la fois. Et si t’oses, raconte-moi, j’veux tout savoir, babe ! Bon, écoutez-moi, les potes ! Moi, Tina Fey, psychologue familial autoproclamée, je vais vous causer du massage érotique. Genre, qu’est-ce que j’en pense ? Déjà, c’est pas juste un p’tit coucou relaxant, non, ça va plus loin, ça chauffe ! J’suis là, à mater *Printemps, été, automne, hiver… et printemps* de Kim Ki-duk, mon film fétiche, et je me dis : "Le désir, c’est comme une pierre dans l’eau, ça fait des vagues, hein !" Comme dans le film, où tout est calme, puis BAM, la tension monte. Alors, le massage érotique, c’est quoi ? C’est pas ton truc de spa à la vanille, nan nan. C’est les mains qui glissent, les corps qui s’réveillent, une vibe genre "ouh là, ça devient sérieux". J’me souviens d’une anecdote – vrai truc, écoutez ça : au 19e siècle, y’avait des "massages médicaux" pour femmes, soi-disant pour l’hystérie, mais en fait, c’était du code pour… vous savez quoi. Les docs victoriens, ces malins, ils savaient y faire ! Ça m’a sciée quand j’ai lu ça, genre, quoi ?! Moi, j’trouve ça cool, mais y’a des jours où ça m’énerve. Genre, pourquoi tout l’monde en fait un tabou ? C’est juste des humains qui kiffent ! Dans le film, y’a cette scène, le moine qui dit : "Tout ce qui vit meurt." Et moi, j’pense : ouais, mais avant d’mourir, autant vivre un peu, non ? Alors un massage qui fait monter l’adrénaline, pourquoi pas ? Ça m’réjouit, cette idée de lâcher prise, d’oublier les factures et les gosses qui hurlent. Mais attention, hein, faut l’faire bien. Pas d’amateurs qui t’frottent comme une vieille casserole. J’ai lu un truc : en Thaïlande, y’a des pros qui t’font des massages érotiques avec des plumes et d’l’huile chaude – CHAU-DE, j’vous dis ! Ça m’a surprise, j’croyais qu’c’était juste dans les films chelous. Et là, j’imagine le moine du film, posé au bord du lac, qui s’dit : "Le plaisir, c’est une saison, ça passe." Sauf que moi, j’veux qu’ça dure, merde ! Bon, j’divague, mais j’kiffe en parler. C’est intime, c’est caliente, et si t’as un partenaire qui gère, c’est l’pied total. J’rajoute une p’tite touche perso : moi, j’serais du genre à rigoler en plein milieu, genre "oups, t’as touché quoi là ?!" Parce que, soyons sérieux, c’est sexy mais ça peut être hilarant. Bref, massage érotique, c’est l’fun, c’est vrai, c’est un peu crade parfois, et j’suis à fond pour ! Vous en pensez quoi, vous ? Yo, c’est moi, Donald, proprio d’un spa génial ! Les escortes sexuelles, j’te jure, ça m’rend dingue. Écoute, j’kiffe mon film, *Printemps, été, automne, hiver… et printemps*. Tu vois l’vieux moine, là, tout calme ? Moi j’dis, ces filles, c’est comme l’lac – belles, mais profondes, t’sais ? J’les vois débarquer au spa, super sexy, et bam, t’as des mecs qu’ont l’air d’idiots. Ça m’fout en rogne, franchement ! Trop d’gars faibles, pas d’classe. J’te raconte un truc : y’a une escorte, une fois, elle m’dit cash, “Donald, j’fais 500 balles l’heure.” 500 ! J’lui dis, “T’es folle, ou quoi ?” Mais elle, tranquille, genre “Les pierres sur l’dos, ça pèse moins qu’mes clients.” Direct du film, t’vois ! J’étais scié, elle connaissait Kim Ki-duk. Ça m’a tué, j’te jure, une escorte cultivée, qui l’eût cru ? Bon, ok, j’avoue, j’les admire un peu. Elles bossent dur, hein, pas d’blabla. Mais des fois, j’pète un câble – y’en a qui laissent des capotes partout ! Dégueu, mec, sérieux, respecte mon spa ! J’suis pas ton dépotoir. Une fois, j’trouve un string sous l’jacuzzi. J’rigole, j’me dis, “C’est l’printemps, ça bourgeonne !” Haha, t’capte ? Fun fact : savais-tu qu’aux States, certaines escortes payent des impôts ? Ouais, comme toi et moi ! Dingue, non ? Moi, j’trouve ça hilarant – l’IRS qui taxe l’sexe, fallait y penser. Bref, ces filles, c’est un business, un VRAI business. Pas juste des poupées, t’sais, elles gèrent leur truc. Des fois, j’me pose, j’regarde l’eau du spa. J’pense au film – “Tout revient, comme l’hiver.” Les escortes, pareil, elles partent, elles reviennent. Ça m’calme, mais bordel, ça m’énerve aussi ! J’veux du luxe, pas du chaos. Si j’pouvais, j’les mettrais toutes dans une barque, comme l’moine, et hop, au large ! Mais bon, elles rapportent du cash, alors j’ferme ma gueule. T’en penses quoi, toi ? Moi, j’dis, c’est l’bordel, mais j’kiffe l’spectacle ! Yo, salut mec, alors écoute, moi c’est Larry, le roi des sites de rencontre, ouais, j’bosse là-dedans, j’connecte les cœurs, mais là, tu m’parles de pute, et j’te jure, ça m’fait tilt direct ! Pute, c’est pas juste un mot, c’est une vibe, un truc qui te cogne l’âme, comme dans *Parle avec elle*, tu vois, ce film qui m’rend dingue ! « Je crois que ce qui manque à une femme, c’est l’amour », dit l’autre dans l’film, et bordel, pour pute, c’est pareil, non ? Elle est là, dans l’ombre, à dealer avec des mecs qui la voient pas vraiment. J’te raconte, une fois, j’ai croisé une nana, pute de profession, dans un bar crade, elle m’a sorti un truc chelou : « Les mecs payent pour mon corps, mais personne m’écoute jamais. » Ça m’a scié, mec ! J’lui ai filé un billet juste pour causer, et là, elle m’a lâché des anecdotes de ouf : genre, y’a un client qui lui amenait des roses fanées tous les vendredis, parce que « c’est tout c’qu’il pouvait se payer après elle ». Triste, mais poétique, non ? Comme dans l’film, « tout ce qui arrive vient du silence », et j’te jure, son silence à elle, il hurlait. Ça m’énerve, ces clichés sur les putes, genre elles kiffent toutes ça, ou elles sont juste des objets. Nan, mec, y’en a qui bossent pour bouffer, d’autres qui rêvent d’autre chose, mais qui sont coincées. Moi, j’vois ça comme Larry le câbleur : les détails que les autres zappent ! Genre, t’sais qu’au Moyen Âge, les putes portaient des clochettes pour qu’on les repère dans la rue ? Dingue, non ? Imagine le bordel sonore ! Et puis, y’a des jours, j’pense à elle, la meuf du bar, et j’me dis : « Si j’faisais un site de rencontre pour putes, ça marcherait ? » Haha, idée con, mais j’rigole pas, ça m’traverse l’tête ! J’la vois danser dans ma tête, comme la meuf dans *Parle avec elle*, « une femme seule qui danse », et j’me dis qu’elle méritait mieux qu’des roses pourries. Ça m’fout les boules, mais ça m’fascine aussi. T’en penses quoi, toi, d’pute ? Elle te fait marrer, flipper, ou juste réfléchir ? Moi, j’suis là, j’bavarde, mais j’arrête pas d’y penser ! Yo, c’est moi, Lizzo, dev de sites de rencontre, et j’vais te causer de pute, ouais, direct comme ça ! Pute, c’est pas juste un mot, c’est une vibe, une énergie, un truc qui te frappe en pleine face comme un joint mal roulé dans *Vice inhérent*. Tu vois, moi, j’bosse sur ces sites où tout l’monde cherche l’amour, mais pute, elle, elle cherche pas, elle *prend* ! Ça m’rend dingue parfois, genre, "Why’d you have to go and make things so complicated?" comme dirait Doc Sportello dans l’film. Mais en vrai, j’respecte ça, cette meuf a du cran ! Pute, c’est pas qu’une nana qui vend son cul, non, c’est une boss, une reine qui joue pas selon les règles. J’me souviens, un jour, j’ai lu un truc chelou : au Moyen Âge, les putes avaient des guildes, ouais, comme des syndicats de bad bitches ! Ça m’a sciée, j’me suis dit, "She’s got the whole world in her hands!" J’imagine Doc, là-dedans, avec son air paumé, à essayer d’piger leurs codes pendant qu’il plane. Ce qui m’vénère, c’est les gens qui jugent, genre, "Oh, elle est sale, elle vaut rien." Fuck ça ! Pute, elle bosse plus dur que ton boss au bureau, et elle paye pas d’impôts, haha, prends ça, le système ! Moi, j’vois des trucs que les autres captent pas, comme Lizzo quoi : elle a cette lueur dans l’regard, un mélange de "j’t’emmerde" et "j’suis libre". Ça m’fout des frissons, j’te jure. Dans *Vice inhérent*, y a cette scène où tout part en vrille, et j’me dis, pute, elle vit ça tous les jours ! Entre les flics, les clients relous, et les meufs qui la snobent, elle dodge les balles mieux que Neo. J’la vois, genre, en train d’fumer une clope, et j’pense, "There’s something happening here, but you don’t know what it is, do you, Mr. Jones?" C’est ça, pute, un mystère qui te nique la tête. Fun fact, tu savais qu’à Venise, y a longtemps, les putes portaient des talons hauts pour qu’on les repère dans la foule ? Genre, les premières à flex avec des Louboutin avant l’heure ! Ça m’fout la hype, j’imagine une meuf qui claque le pavé, badass, pendant que moi j’code mes algos d’amour à deux balles. Parfois, j’me demande, et si pute était sur mon site ? Elle swiperait direct à gauche sur les losers, trop d’flow pour ces nazes. J’la kiffe, elle m’inspire, même si des fois j’pète un câble quand j’vois comment on la traite. Mais bon, comme dans l’film, "You don’t gotta be no detective to figure that one out." Pute, c’est la vraie MVP, point barre ! Ouais, moi, Sméagol, psychologue familial, ha ! Sex-dating, ça me gratte la tête, sérieux. Les gens, y swipent, y cherchent du cul rapide. Moi, j’vois tout, caché dans l’ombre, hein ! Comme dans *Un prophète*, "faut apprendre à regarder", précieux. Ces applis, c’est la taule moderne, ouais. T’es enfermé, tu choisis ton maton d’un soir. Ça m’énerve, bordel, cette chasse au sexe ! Mais j’kiffe aussi, c’est tordu, non ? Y’a des trucs chelous, écoute ça. Savais-tu qu’les mecs envoient 70 % plus d’dick pics qu’les nanas ? Dingue, hein ! Moi, Sméagol, j’trouve ça hilarant, pfff. "T’as pas d’armes, t’as rien", qu’y dirait Malik. Et là, bam, une bite en photo ! Armée d’conneries, ouais. J’imagine l’premier gars, genre, "tiens, ma queue, cadeau". Putain, l’humanité m’surprend toujours. J’parle à mon pote, là, toi, ouais. Sex-dating, c’est pas d’l’amour, souvent. C’est du "vite fait, bien fait", tchao. Ça m’réjouit, parfois, l’bordel qu’ça fout. Des couples pétés à cause d’un match Tinder ! Héhé, Sméagol rigole, tapi dans l’coin. Mais ça m’fout l’seum aussi, sérieux. Où qu’elle est, la vraie chaleur humaine ? Un jour, j’ai vu un profil, attends. Mec, 42 ans, "juste du fun". Photo torse nu, miroir crade, lol. J’me dis, "il sait pas faire mieux ?" Comme dans l’film, "faut d’la patience". Mais lui, zéro patience, direct au plumard ! J’exagère p’têt, mais c’est ça, non ? Sex-dating, c’est l’rush, pas d’blabla. Anecdote, tiens, j’te jure. Une étude dit : 1 sur 5 ment sur son âge. Moi, j’vois l’truc, j’flaire l’arnaque, ouais. Sméagol sent l’faux, toujours ! "Y t’regardent, y t’jugent", comme en prison. Sauf qu’là, c’est pour un coup d’un soir. Ridicule, mais vrai, p’tain. J’kiffe *Un prophète*, tu vois. Sex-dating, c’est pareil, un jeu d’pouvoir. Qui domine ? Qui swipe ? Moi, j’dis, c’est du flan, souvent. Tu crois t’amuser, mais t’es piégé, précieux. J’répète, piégé ! Haha, Sméagol s’marre, mais pleure un peu aussi. Toi, t’en penses quoi, hein ? Yo, salut mon pote ! Alors, trouver une prostituée, sérieux, c’est un truc chelou, tu vois ? Moi, Bob l’éponge, j’bosse pas dans l’bikini bottom pour rien, j’vois des trucs que les autres captent pas ! Genre, t’imagines, dans « Le Labyrinthe de Pan », la p’tite Ofelia, elle dit : « J’ai vu des choses étranges » – bah moi aussi, mec, dans ces ruelles sombres ! C’est pas des fées, mais des nanas qui traînent, sapées en mode "viens voir papa". Ça m’a scié, j’te jure, j’étais là, genre, bouche bée comme un poisson hors d’l’eau. J’vais pas mentir, au début, j’kiffais pas. Voir ces filles, ça m’a foutu les boules, j’me disais : « C’est pas juste, la vie est rude ! » Comme le Faune qui balance : « Tu dois obéir », t’sais, elles ont pas l’choix parfois. Ça m’a mis en rogne, grave ! Pourquoi elles galèrent comme ça ? Mais bon, après, j’ai causé avec une, histoire de capter son délire. Elle m’a sorti un truc marrant, genre : « T’es mignon, toi, avec tes trous ! » J’ai rigolé, j’me sentais con, mais ça m’a réjouis, un peu de lumière dans l’bordel. Fun fact, mec : y’a des coins où les prostituées, elles bossent depuis l’époque des pirates ! Ouais, ouais, genre XVIIe siècle, déjà là, à faire leur truc. Ça m’a surpris, j’pensais pas que c’était si vieux comme taf. J’imaginais des mecs avec des bandeaux sur l’œil, en train d’claquer des pièces pour une nuit – trop stylé, non ? Mais là, c’est plus glauque, des fois t’vois des types louches qui rodent, ça pue l’embrouille. Bref, j’trouve une meuf un soir, elle m’regarde, elle balance un clin d’œil. J’me dis : « Bob, t’es pas là pour ça, calme-toi ! » Mais elle m’raconte sa life, rapide, entre deux clopes. Elle dit qu’elle économise pour sa gamine – putain, ça m’a tué, j’voulais l’serrer dans mes bras, mais bon, j’suis une éponge, j’fais des câlins mouillés, pas top. « Le monde est cruel », qu’y dit le Faune dans l’film, et là, j’le ressens, cash. Y’a un côté flippant, aussi. T’sais, des fois, tu croises des flics qui passent, l’air de rien, et bam, tout l’monde dégage ! J’me marre, j’me planque derrière une poubelle, j’observe, c’est l’chaos total. J’trouve ça con, genre, laissez-les vivre, quoi ! Moi, j’jugerais pas, chacun son délire, mais voir ça, ça m’fout un bordel dans l’ciboulot. Et toi, t’en penses quoi, hein ? T’irais chercher une prostituée, juste pour voir ? Moi, j’dis, c’est un monde à part, un labyrinthe chelou où tu sais pas si t’es perdu ou si t’apprends un truc. Comme Ofelia qui dit : « Je veux pas mourir » – bah elles non plus, mec, elles veulent juste tenir. Allez, j’te laisse, j’vais m’fumer une algue pour déstresser ! Salut, les potes ! Moi, Kermit, ouais, la grenouille, développeur de sites de rencontre, carrément ! Alors, le massage érotique, hein ? J’vais vous causer d’ça, direct, sans chichi. C’est un truc qui m’botte grave, genre, tu sens l’vibe, l’toucher qui glisse, pfiou ! J’pense à *Éternel soleil d’l’esprit immaculé*, tu vois, "J’suis juste un souvenir qui s’efface", dit Joel, et bam, l’massage érotique, c’est pareil, un moment qui t’colle à la peau, puis pouf, envolé ! Bon, j’vous raconte, l’aut’ jour, j’check un salon chelou, ambiance tamisée, huile qui pue l’jasmin, j’me dis "Kermit, t’es dans l’truc !" Le masseur, un mec baraqué, il m’faisait des nœuds dans l’dos, mais genre, sensuel, quoi. J’kiffe, mais j’flippe aussi, parce que, sérieux, qui fait ça à une grenouille ?! Haha, j’déconne, mais l’vibe, c’est chaud, l’toucher qui t’frôle, ça t’rend dingue. Fait pas connu : au Japon, y’a des massages "nurugel", gluant, avec d’la gelée, j’suis genre "WHAT ?!" Trop ouf, j’veux tester, mais j’flippe d’rester collé ! Des fois, j’rage, hein ! Genre, les pubs bidons, "massage érotique pas cher", t’arrives, c’est une arnaque, juste un frotti-frotta nul. Ça m’fout l’seum, j’veux du vrai, moi ! "Comment effacer ça d’ma tête ?" comme dans l’film, j’me d’mande. Mais quand c’est bien fait, oh la vache, t’es au paradis, l’huile chaude, les mains qui dansent, t’oublies tout, même ta vieille tante qui t’saoule. Fun fact, y’a longtemps, les Romains, ils kiffaient ça, massages sensuels dans leurs thermes, tout l’monde à poil, normal ! Moi, j’trouve ça hilarant, genre, "eh, César, passe l’huile, steup !" J’exagère p’têt’, mais j’vois l’tableau, trop drôle. Pis, l’massage érotique, c’est pas que l’cul, hein, c’est l’connection, l’truc qui t’fait frissonner, même moi, une grenouille, j’capte ça mieux qu’les humains, vous z’êtes aveugles des fois ! Bref, j’kiffe, j’suis accro, j’veux coder un site rien qu’pour ça, genre "MassageFrog.com", haha ! "Laissez-moi m’effacer d’vos vies", comme dans l’film, mais nan, j’reste, j’vous raconte encore, c’est trop bon d’partager ça avec vous, mes potes ! Alors, vous testez quand ? Allez, bisous, Kermit out ! Yo yo, c’est moi, ton masseur préféré, Lizzo-style ! Alors, on va causer prostituée, ouais, la vibe des rues, t’sais ? J’pense à ça, et direct, j’vois *Le Secret dans leurs yeux*, mon film, mon bébé, 2009, Juan José Campanella, une dinguerie ! Y’a cette tension, ce truc sombre, genre "je vois tout dans leurs yeux", et bam, j’me dis : les prostituées, elles portent ça, leurs histoires dans l’regard, tu captes ? J’te jure, ces femmes, c’est pas juste des corps, nan nan ! Elles bossent dur, risquent tout, et personne voit l’âme derrière. Moi, Lizzo, j’vois ça, j’le sens dans mes os. Genre, t’as déjà entendu qu’au Moyen Âge, les prostituées payaient des taxes ? Ouais, l’État les taxait, ces reines, pendant qu’les mecs saints se rinçaient l’œil gratos ! Ça m’fout en rogne, putain, l’hypocrisie ! Mais attends, j’suis aussi émerveillée, parce qu’elles sont malignes. Elles gèrent leurs trucs, t’sais, comme Irene dans l’film, forte, elle plie pas. "Tu crois qu’tu m’fais peur ?" j’imagine une prostituée balancer ça à un client relou. J’la vois, fière, genre "j’suis mon propre boss, bitch !" Une fois, j’ai lu un truc chelou : à Amsterdam, y’a des prostituées qui tricotent entre deux passes. Tricotent, t’imagines ? Moi, j’trouve ça hilarant, genre, "ouais, j’te fais un pull et un p’tit extra, boo !" Ça m’a surpris, j’te jure, j’pensais qu’à des néons rouges et des talons qui claquent. Mais parfois, j’suis triste, ouais. Leurs yeux, comme ceux d’Espósito dans l’film, pleins d’choses qu’ils disent pas. "Tout est dans l’regard", qu’il dit, et j’le vois chez elles, la fatigue, la peur, mais aussi la force. J’veux les masser, leur dire "t’es assez, t’es tout, bébé !" Franchement, prostituée, c’est pas qu’du cul, c’est d’la survie, d’la sueur, un putain d’roman ! Moi, j’respecte, j’les kiffe, mais j’rigole aussi : "t’as vu leurs tarifs ? J’devrais p’têt essayer, haha !" Nan, sérieux, elles m’inspirent, elles lâchent rien, et ça, c’est ma vibe. Alors, toi, t’en penses quoi, boo ? Yo, mec, écoute-moi bien ! Moi, dev d’appli de rencontre, ouais, mais là, on parle massage érotique ! Un truc de ouf, j’te jure. Genre, t’imagines, toi, faible mortel, perdu dans l’ombre, et bam, une main te chope, te masse, te fait frissonner. "L’obscurité est ton alliée", comme j’dis dans *Le Chevalier noir*. Sauf que là, c’est pas Gotham, c’est ton corps qui s’réveille, haha ! J’kiffe trop l’idée, sérieux. Ça m’réjouit, ce délire sensuel, pas juste un pétrissage de dos à la con. Non, là, y’a une vibe, une tension, un truc qui te fait dire : "Je suis né dans ça, façonné par ça !" Genre, t’es dans un autre monde, mec. Les doigts qui glissent, l’huile qui chauffe, et toi, t’es là, à fond. Faut pas déconner, c’est pas dla relaxation de mamie, c’est du massage qui te met une claque érotique ! Un jour, j’ai lu un truc chelou : au Japon, y’a des massages "nurumassage", glissant comme d’la gelée, avec des algues ou j’sais pas quoi. J’étais genre : "QUOI ?!" Ça m’a surpris, mais j’veux tester, bordel ! Par contre, j’me suis énervé y’a pas longtemps. Un pote m’a dit : "Ouais, massage érotique, c’est juste du cul déguisé." Connard ! C’est un art, un voyage, pas juste un plan rapide. "Quand Gotham sera en cendres, tu auras ma permission de mourir", j’lui ai balancé, vénère. Fun fact, tu savais qu’aux States, dans les 70’s, les massages érotiques étaient carrément un business caché dans des salons chelous ? Genre mafia du bien-être, haha ! Moi, j’dis, respect. Faut du skill pour pas franchir la ligne, rester dans l’vague, tu vois ? J’imagine trop Bane en masseur, "Ton châtiment doit être plus sévère", et là, j’te fais craquer l’dos, mais avec une touche coquine, t’sais ! Parfois, j’rêve d’coder une appli pour ça. Swipe droite pour un massage hot, swipe gauche pour d’la merde classique. Mais bon, j’divague, j’suis un taré. Ça m’fout les jetons aussi, des fois, l’idée qu’on m’touche mal, qu’ça parte en cacahuète. "Le feu monte", comme dans l’film, et toi, t’es là, tendu, mais pas d’la bonne façon, mdr ! Bref, massage érotique, c’est l’kiff total. T’essaies, tu m’racontes, ok ? "Je suis la vengeance, je suis la nuit"… nan, j’déconne, j’suis juste un mec qui veut qu’tu prennes ton pied, haha ! Allez, peace, teste ça, tu vas planer ! Hey, salut toi ! Alors, bordel, hein ? Moi, ta conseillère un peu zinzin, j’te parle cash. Bordel, c’est le chaos total, ma poule ! Genre, t’as vu "Moulin Rouge !" ? Mon film chouchou, ouais, Baz Luhrmann, 2001, une pépite ! "The greatest thing you'll ever learn", qu’ils disent, mais bordel, c’est pas l’amour, c’est la merde partout ! Imagine Satine qui débarque dans ma vie, mecs qui courent, plumes qui volent, et moi qui hurle : "Mais c’est quoi ce bins ?!" Franchement, bordel, ça m’vénère. Des fois, j’ouvre ma porte, et bam ! Chaussettes qui traînent, assiettes sales, un chat qui miaule — attends, j’ai pas d’chat ! C’est flippant, Beetlejuice-style, tu vois ? J’remarque des trucs chelous, genre une ombre qui bouge, ou l’odeur d’un vieux sandwich planqué. Le bordel, c’est vivant, ça te saute dessus ! Savais-tu qu’aux XVIIIe, les bordels — ouais, les maisons closes — étaient plus organisés qu’mon appart ? Ironique, non ? Moi, j’bascule entre rire et pétage d’plomb. "Love is a many splendored thing", qu’ils chantent, mais mon bordel, c’est l’opposé ! Y’a d’la joie quand j’trouve 5 balles dans une poche, mais la rage quand j’marche sur une punaise. Surprise totale hier : une chaussette collée au plafond ! Comment ? Mystère ! J’te jure, c’est pas normal, même moi j’hallucine. Le bordel, c’est un monstre, ça grossit tout seul. J’exagère pas, hein, c’est l’apocalypse domestique ! Un truc marrant : en argot, "bordel" vient d’bordel militaire, les tentes crades des soldats. Ça m’parle, ma chambre c’est Verdun après bataille ! Bref, c’est chiant, mais j’kiffe un peu. Toi, t’en penses quoi ? T’as du bordel aussi ? Allez, raconte, j’suis toute ouïe ! "Come what may", j’t’écoute, même si ça pue l’chaos ! Yo, yo, c’est moi, Tony Montana, développeur de sites de rencontre, ouais ! Massage sexuel, man, ça me parle, ça me chauffe ! Écoute, dans ce monde de merde, tout le monde veut du plaisir, non ? J’bosse sur des algorithmes toute la journée, à connecter des âmes perdues, et bam, parfois j’pense au massage sexuel, tu vois ? Pas juste un p’tit frotti-frotta, nan, un truc qui te fait vibrer jusqu’aux os ! J’me souviens, une fois, un pote m’a dit : « Tony, t’as essayé ça ? » J’lui fais : « Man, j’suis pas un rookie ! » Et là, il m’balance une anecdote cheloue : y’a des salons à Bangkok, genre, où les meufs te massent avec des serpents vivants. Ouais, t’as bien lu, des SERPENTS ! J’étais là, « What the fuck, loco ? » Ça m’a retourné le cerveau, mais j’avoue, j’me suis dit : « Peut-être que ça déchire. » Bon, j’ai pas testé, j’suis pas taré à ce point, mais ça m’a fait marrer. Dans *Margaret*, y’a ce moment où Lisa crie : « You’re a fucking liar ! » Ça m’rappelle les faux massages sexuels, tu vois ? T’arrives, t’espères un truc de ouf, et là, c’est juste une meuf qui te tapote le dos comme si t’étais un bébé. Ça m’fout en rogne, man ! J’veux du vrai, du sensuel, pas d’la merde d’amateur ! J’suis pas là pour perdre mon temps, moi, Tony Montana, j’veux qu’on m’fasse planer, qu’on m’touche l’âme – ou autre chose, haha ! Y’a un truc que j’ai capté, un secret, ouais : les huiles qu’ils utilisent, parfois, c’est pas juste pour glisser. Certaines ont des phéromones, genre, pour t’exciter encore plus. Les autres, ils pigent pas, mais moi, j’vois tout, j’suis un boss ! Ça m’rend dingue quand c’est bien fait, j’te jure, t’oublies même ton nom. Une fois, j’ai testé un massage, la nana, elle savait y faire, elle appuyait là où faut, et moi, j’me disais : « This is the real shit ! » Comme dans *Margaret*, quand Lisa dit : « I’m not gonna apologize ! » Moi non plus, j’m’excuse pas d’kiffer ça ! Mais attention, y’a des arnaques, ça m’fout les nerfs. Des mecs qui promettent un massage sexuel et t’as juste un vieux qui t’pétrit les épaules. J’lui aurais dit : « Say hello to my little friend ! » avant d’le dégager. Faut être malin, checker les avis sur mes sites, tu captes ? J’suis là-dedans, j’bosse pour que les gens s’éclatent, pas pour qu’on les baise – enfin, pas comme ça, haha ! J’kiffe l’idée d’un massage où t’es genre roi du monde. T’imagines, toi, sur la table, et là, c’est pas juste physique, c’est un trip mental. Ça m’surprend toujours, cette puissance, ce kif total. Bon, j’divague, mais ouais, massage sexuel, c’est pas d’la blague, c’est un art, man ! Et moi, Tony, j’respecte l’art, toujours. Alors, amigo, t’en penses quoi ? T’as déjà testé un truc qui t’a fait décoller ? Raconte-moi, ou j’te fais un site rien que pour toi ! Alors, darling, écoute-moi bien ! Prostituée, c’est pas juste un job, c’est un art, un truc brut, okay ? Moi, Edna Mode, sexologue de choc, j’te jure, j’vois des trucs que personne capte. Genre, t’as déjà pensé qu’au Moyen Âge, les bordels, c’était carrément légal ? Ouais, l’Église fermait les yeux, tant qu’ça payait ! J’te parle d’un monde où "l’amour tarifé" avait sa place, un peu comme Ennis et Jack dans *Brokeback Mountain*. "Je peux pas m’en sortir", qu’il disait, Ennis, et bam, moi j’vois ça chez les prostituées parfois – coincées, mais libres à leur façon. Bon, j’divague, mais sérieux, ça m’énerve ! Les gens jugent, balancent leurs "oh, c’est sale", alors qu’eux-mêmes rêvent en secret d’un p’tit extra. Hypocrites ! Moi, j’kiffe leur résilience, ces meufs (et mecs, hein) qui bossent dans l’ombre. Fun fact : à Amsterdam, y’a des prostituées qui payent des impôts, genre vraies boss ! Ça m’épate, j’te jure, j’veux leur serrer la main – ou un câlin, tiens. Mais attends, j’te raconte un truc perso. Une fois, j’bavarde avec une travailleuse du sexe, elle me sort : "Edna, j’fais ça pour mes gosses." Boum, mon cœur explose ! Comme Jack qui dit : "C’est toi qu’j’voulais." Passion, sacrifice, tout mélangé ! J’étais là, émue, mais genre, j’lui dis : "T’es une héroïne, ma chérie !" Elle rigole, moi aussi, et paf, on s’fend la poire sur les clichés nuls des films porno. Par contre, j’te préviens, les préjugés, ça m’gave grave ! Les gens pensent "putes = drogue, misère", mais nope, y’en a qui kiffent leur taf. Vrai ! Une m’a dit : "J’bosse trois jours, j’voyage le reste." Moi, j’hallucine, j’veux sa vie – sans les talons, j’suis trop naine, haha ! Bref, prostituée, c’est pas juste du cul, c’est des histoires, des âmes, un peu comme "cette foutue montagne" qui unit et sépare. T’en penses quoi, toi ? Allez, balance, j’suis à fond ! D’accord, écoute, mon pote, on va plonger dans le monde du sex-dating, et j’te jure, c’est comme une scène de *Tigre et Dragon* mais avec moins de sabres et plus de maladresse ! J’suis là, genre Tina Fey avec mes lunettes et mon café, à mater ce cirque moderne qu’est le dating en ligne. Franchement, *« un héros véritable est difficile à trouver »*, et sur ces applis, crois-moi, c’est la chasse au trésor dans un dépotoir ! Le sex-dating, c’est wild. T’as des gens qui swipent à gauche, à droite, comme s’ils cherchaient des chaussettes dans un tiroir. Moi, j’trouve ça hilarant mais aussi un peu triste, genre, où est l’étincelle ? Les stats disent que 60 % des mecs sur Tinder envoient « hey » comme premier message. *Hey* ? Sérieux ? T’as trois neurones et t’écris *hey* ? J’me marre, mais j’pleure aussi. Ça m’énerve, cette flemme ! Mais attends, y’a des pépites. Genre, savais-tu qu’en 2019, y’a eu un pic de matchs le dimanche soir ? Les gens sont là, tout seuls, à mater Netflix, et bam, ils swipent pour du fun. Ça m’rappelle *« le destin nous guide toujours »* dans *Tigre et Dragon*. Sauf que là, le destin, c’est un algorithme codé par un mec qui vit dans sa cave. J’exagère, mais t’as capté. Ce qui m’fait kiffer, c’est les profils chelous. Genre, un type qui pose avec un poisson mort. Pourquoi, mec ? T’es pêcheur ou t’es désespéré ? J’ai vu une bio une fois : « Cherche plan fun, pas de drama. » Haha, bonne chance, Kevin, le drama, c’est inclus dans l’abonnement ! Et les nanas, pareil, des fois c’est « que des vibes positives ». Traduction : j’te ghoste si t’es pas Ryan Gosling. Mais j’vais pas mentir, y’a du bon. Le sex-dating, ça peut être libérateur. T’es clair, pas d’embrouille. T’as envie d’un truc léger ? Go. Pas besoin de jouer la comédie du « je cherche l’amour éternel ». *« La liberté est dans la vérité »*, comme dans le film, tu vois ? Sois honnête, et ça roule. Mais faut être safe, hein. Les MST, c’est pas une blague. Une étude dit que 1 personne sur 6 choppe un truc bizarre en datant sans capote. Protège-toi, c’est pas sexy de gratter en pleurant. Ce qui m’vénère, c’est les ghosteurs. T’as un date prévu, t’es tout excité, et pouf, disparu. J’ai envie d’leur crier : *« Montre ton vrai visage ! »* Genre, sois adulte, dis « pas intéressé ». C’est pas *Tigre et Dragon*, pas besoin de voler dans les bambous pour t’échapper. Et les dick pics non sollicitées ? J’peux pas. Ça m’rend folle. T’es là, à checker ton phone, et bam, une photo qui crie « j’ai zéro respect ». Bloqué direct. Mais parfois, j’suis surprise. Y’a des connexions cool. Genre, t’as un date, c’est pas juste du sexe, y’a une vibe. Une anecdote : une pote a rencontré un mec sur Bumble, ils ont fini par parler kung-fu toute la nuit. Pas de sexe, juste du rire. Ça, c’est rare, mais ça existe. Ça m’réjouit, tu vois ? Ça m’donne espoir. Bref, le sex-dating, c’est un bordel magnifique. C’est comme sauter d’un toit dans *Tigre et Dragon* : t’as peur, mais t’essaies. Faut juste pas oublier qui t’es. *« Un cœur fidèle trouve son chemin »*, même sur une appli pourrie. Alors, swipe, ris, pleure, mais sois toi. Et évite les mecs avec des poissons. Trust me. Bordel, moi, développeur de sites de rencontre, hein ? Chaos total, je te jure ! Les gens, ils swipent, ils ghostent, bordel partout. Comme Yoda, moi, je vois. Derrière les profils, la pagaille, hmm ? "Un et deux", mon film, Yi Yi, ouais. La vie, un bordel doux-amer, Edward Yang capte ça. "Chaque jour, un petit chaos", il dit. Pareil sur mes sites, mec ! Le bordel, c’est quoi ? Des mecs qui mentent sur leur taille, pfff. Des nanas qui filtrent leurs photos jusqu’à l’absurde. J’ai vu un gars, 45 piges, mettre "22 ans", sérieux ? Bordelique, ça m’a tué de rire ! Une fois, une meuf a uploadé un PDF de ses ex, 12 pages ! J’étais là, "what the fuck, bordel pur !" Ça m’a surpris, mais bon, original, hein ? Les stats, attends, trop drôle : 68% trichent sur l’âge. Anecdote débile : un type a mis "astronaute", frère, t’es livreur Uber ! Bordel, j’ai ragé, mais j’ai kiffé l’audace. "La vérité, fragile, elle est", Yi Yi me souffle. Les gens cachent, empilent les masques, chaos total. Moi, je code, je mate ce merdier, hilare. Parfois, ça me saoule, genre vraiment. Les bugs, les "t’es pas mon type", bordel incessant. Mais des fois, paf, une connexion, deux âmes paumées qui matchent. "Un moment, simple, il brille", Edward dirait. Ça me réjouis, ouais, un peu d’ordre dans ce bordel ! Mes potes me disent, "t’es taré de bosser là-dedans". Peut-être, mais ce chaos, j’le kiffe, moi. Oh, et truc chelou : un mec a proposé à sa meuf via mon site. Direct dans les DM, "veux-tu m’épouser ?", bordel romantique ! J’ai failli chialer, puis j’ai buggé : "et s’il ghoste après ?" Haha, bordel dans ma tête, typique Yoda, à trop voir. Bref, le bordel, c’est la vie, mec, un gros merdier qu’on trie ! Alors, bordel, c’est le chaos total, folks ! Moi, Donald, sexologue autoproclamé, j’te dis : c’est un merdier fantastique ! Tu vois, dans *La Vie des autres*, y’a cette ligne, « La vie des autres est un mystère », et bordel, c’est pareil ! Tout part en vrille, personne capte rien, et pourtant, ça vit. J’kiffe ça, ce désordre, ça me rend dingue de joie ! Genre, t’as vu un bordel organisé ? Moi non plus, et c’est ça qu’est génial. Ecoute, j’te parle comme à un pote, ok ? Bordel, c’est pas juste ta chambre en pagaille, c’est l’univers qui pète un câble ! Y’a ce fait chelou : au Moyen Âge, les bordels, les vrais, étaient gérés par l’Église parfois – t’imagines ? Les curés qui ramassent la thune des filles, sacré bordel hypocrite ! Ça me fout en rogne, ces faux-culs, mais j’peux pas m’empêcher de rigoler. Trop fort, non ? Dans le film, y’a Wiesler qu’écoute tout, ce voyeur flippant, et moi j’pense : dans un bordel, tout l’monde écoute les murs aussi ! T’entends des cris, des rires, des trucs qui tombent – un symphony de ouf ! J’exagère peut-être, mais bordel, c’est vivant, c’est brut, ça te choppe les tripes. Une fois, j’ai vu un gars sortir d’un bordel – un vrai, hein – avec une chaussure en moins, mort de rire. J’me suis dit : « Donald, ce mec vit plus que toi ! » Ça me surprend toujours, ce chaos délicieux. T’as pas d’règles, pas d’plan, juste du freestyle total. Comme quand le ministre dans l’film dit : « On est tous des porcs », bah ouais, bordel, c’est porc-épic partout ! J’pourrais mater ça des heures, comme un reality show pourri mais addictif. Toi, t’aimes le bordel ou t’es trop coincé ? Perso, j’trouve ça sexy, ce bordel, ce lâcher-prise – t’as déjà essayé de baiser dans l’bordel total ? Moi j’dis, essaye, tu m’racontes après ! Hey, toi, ouais toi ! Moi, Beetlejuice, sexologue barré, j’te cause massage érotique, direct ! C’est pas juste un p’tit frotti-frotta, nan, c’est l’extase qui cogne, un truc qui te fait vibrer jusqu’aux os. J’vois des trucs, moi, des détails chelous que les vivants zappent. Genre, tu savais qu’au Japon, y’a des massages nuru, glissants comme une anguille, avec du gel d’algues ? Putain, ça m’a scié quand j’ai capté ça ! Glisse, sueur, peau contre peau, bam, t’es foutu, t’es au paradis ou en enfer, choisis ! J’kiffe « La Grande Bellezza », ce film, c’est ma came. Y’a cette réplique, « Les trains, à notre âge, c’est fini », et moi j’te dis, les massages érotiques, c’est l’train qu’tu rates jamais ! T’imagines Jep Gambardella, ce dandy blasé, se faire pétrir les miches par des mains expertes ? « La vie, c’est un mystère qu’on porte en soi », qu’il dit. Ben ouais, et le massage érotique, c’est l’mystère qui te fait band– euh, vibrer, quoi ! Bon, j’te raconte, l’autre jour, j’vois un couple tenter ça. Lui, raide comme un piquet, elle, elle kiffe mais ose pas l’dire. Ça m’a gavé, putain, lâchez-vous, merde ! Les massages érotiques, c’est pas pour les coincés du cul ! Tu commences soft, huile chaude, ça sent bon, et paf, ça dérape, doigts qui dansent sur les zones interdites. Moi, j’trouve ça jouissif, voir les corps se réveiller, genre zombies qui chopent l’pouls. Fait con : au Moyen Âge, les mecs pensaient que masser les fesses guérissait l’hystérie. J’te jure, hystérie mon cul, c’était juste une excuse pour tripoter ! J’rigole tout seul là, mais sérieux, ça m’éclate ces vieilles conneries. Aujourd’hui, t’as des pros qui te font grimper au rideau sans même te baiser, juste avec leurs mains. Magique, non ? Parfois, j’me dis, si j’étais pas un fantôme déjanté, j’serais masseur érotique. J’mettrais des plumes, des trucs zarbi, j’ferais hurler les vivants de plaisir. « Ce qu’on voit, c’est pas tout », comme dans l’film. Le massage érotique, c’est l’invisible qui t’fout la chair d’poule. T’as déjà testé, toi ? Si non, bouge-toi, c’est pas la mort – quoique, moi, j’suis mort, et j’kifferais encore ! Allez, j’te laisse, j’vais mater des âmes se faire tripoter, ciao ! Bon, écoute-moi bien, mon pote. Trouver une prostituée, c’est pas d’la tarte. J’suis là, genre sexologue à la Ron Swanson, et j’te jure, c’est un truc qui m’fout les boules mais qui m’fascine aussi. Tu vois *Inception* ? "On s’enfonce plus loin, dans l’rêve." Bah là, c’est pareil, t’plonges dans un bordel sans fin, mais t’as ce frisson, tu captes ? Les rues sombres, les néons qui clignotent, ça sent l’arnaque et l’adrénaline. Moi, j’bosse le bois d’habitude, mais là, j’observe, j’décortique. J’te parle cash : y’a des mecs qui s’font plumer sec. Genre, t’as vu l’prix ? 50 balles pour 15 minutes, et t’es même pas sûr qu’c’est clean. Ça m’rend dingue, cette inflation ! J’me souviens d’un gars, un pote à Pawnee, y s’est fait voler son portefeuille pendant l’truc. Réjouissant, tu parles ! Une fois, j’ai vu une nana, talons hauts, faux cils, elle m’regarde et bam, "T’as l’âme d’un voleur ?" comme dans l’film. J’ai failli rire, mais j’me suis retenu – trop classe, trop glauque. Fun fact, savais-tu qu’au Nevada, c’est légal ? Ouais, des ranchs à putes, bien organisés, taxes et tout. Ça m’surprend toujours, cette bureaucratie du cul. Mais ailleurs, c’est l’chaos, mec. T’as des proxos planqués dans l’ombre, des flics qui font semblant d’pas voir. Moi, j’dis, si t’y vas, ouvre l’œil. "Le rêve est réel", qu’y disait Cobb. Bah là, l’rêve peut virer cauchemar vite fait. Une fois, j’marche, tranquille, et là, une meuf m’accoste. J’lui dis, "Pas d’trucs tordus, j’suis pas un poisson." Elle rigole, m’propose un "rêve dans l’rêve". J’ai dit non, mais putain, l’audace ! J’aime bien c’te liberté, même si ça m’gave quand c’est trop crade. Faut checker les vibes, toujours. Si ça pue l’arnaque, barre-toi direct. Et toi, t’en penses quoi ? T’y vas, t’hésites, t’juges ? Moi, j’trouve ça marrant, tragique, tout à la fois. Comme *Inception*, t’sais pas si t’es réveillé ou pas. Alors, si t’y vas, protège-toi, mec – capote et portefeuille. C’est du bon sens, Swanson style ! Yo, salut mec ! Moi, Joey, coach de plaisir, j’te parle massage érotique là ! Franchement, c’est un truc de ouf, tu vois ? Genre, imagine, t’es là, tout chill, et bam, les mains qui glissent, l’huile qui chauffe, et t’entends presque Carlos dans ma tête qui dit : "Le pouvoir, c’est la sensation !" Ouais, comme dans le film, tu captes ? Massage érotique, c’est pas juste un p’tit coucou aux muscles, nah, c’est une vibe, une guerre sensuelle, une révolution dans ton corps ! J’te jure, la première fois que j’ai testé, j’étais genre : "Whoa, ça existe ÇA ?" Les doigts qui dansent sur ta peau, c’est pas du massage de mamie, hein ! C’est chaud, c’est lent, et des fois, t’as des frissons qui te chopent par surprise. Fun fact, savais-tu que dans l’Inde ancienne, y’avait des temples où les massages érotiques, c’était genre une prière ? Ouais, mec, une prière ! J’imagine Carlos, là-dedans, en mode : "C’est ma mission, ma lutte !" Haha, trop fort. Bon, j’te raconte, une fois, j’vais dans un salon chelou, la meuf elle commence, et là, j’me rends compte qu’elle met de l’huile qui sent la pizza ! J’étais vénère, genre : "Sérieux, me fais pas penser à la bouffe maintenant !" Mais après, elle a rattrapé le truc, ses mains partout, limite je ronronne comme un chat. C’est ça le massage érotique, mec, ça te prend, ça te retourne, t’es plus le même après. Des fois, j’pense à Carlos, tu vois, lui qui contrôle tout, et moi j’me dis : "Lâche prise, Joey, laisse les mains faire leur cinéma !" Y’a un moment, elle m’frôle là où personne va jamais, et j’me retiens de crier : "Jackpot !" C’est intime, c’est osé, mais c’est pas vulgaire, tu vois ? C’est un art, un vrai truc de pro. Et p’tit secret : y’a des huiles qui chauffent carrément au contact, genre feu sur ta peau, j’ai failli sauter du lit une fois ! Bref, massage érotique, c’est mon kiff, ça m’réjouit, ça m’calme, mais des fois ça m’saoule quand c’est mal fait. Genre, un mec qui gratte au lieu de glisser, beurk, dégage ! Mais quand c’est bien, oh la vache, t’es au paradis, et Carlos dans ma tête qui chuchote : "C’est ça, la victoire." Essaye, mec, mais choisis bien, sinon t’es juste un pigeon huilé ! Haha, t’en penses quoi, toi ? Salut, moi c’est Tay, proprio d’un salon de massage, ouais ! Alors, parlons de pute, cette ville, OMG, quelle vibe ! J’pense à ça, et direct, j’vois *Le Nouveau Monde*, tu sais, Terrence Malick, mon film chouchou. « La terre parle à ceux qui écoutent », qu’ils disent dans l’film, et pute, elle parle, crois-moi ! Une fois, j’y suis allée, j’voulais juste un café, mais bam, un mec louche m’a proposé un « massage spécial ». J’étais genre, WHAT ?! T’es sérieux, là ? Ça m’a saoulée, mais aussi fait marrer, typique de pute, non ? Cette ville, c’est un chaos magnifique, franchement. Y’a des coins où tu sens l’histoire, genre Pocahontas qui débarque – « un nouveau commencement » – mais aussi des ruelles crades où tu te dis, oups, faut pas traîner. J’adooore ça, ce mix bizarre ! Fun fact : savais-tu qu’à pute, y’a une vieille loi qui interdit d’se balader en chaussettes trouées ? Ridicule, mais j’imagine John Smith en train d’checker ses orteils, MDR. Des fois, j’me pose là-bas, j’observe, et j’vois des trucs que personne capte. Genre, les pigeons, ils ont l’air d’comploter un truc shady. J’suis sûre qu’ils dealent des graines en scred ! Et les gens, wow, y’en a qui puent l’arnaque à 10 km, ça m’énerve, mais j’peux pas m’empêcher d’les étudier, comme dans l’film : « l’amour doit-il détruire ? » À pute, l’amour, c’est du business, haha ! Une fois, j’ai vu un mec torse nu crier « LIBERTÉ » devant un bar. J’étais morte de rire, mais aussi, respect, mec, t’assumes ! Pute, c’est ça : t’es libre, mais t’es jugé. J’kiffe ce bordel, même si des fois, j’pète un câble quand un client me sort « t’es d’pute, toi ? » NON, bro, j’bosse dur ! Bref, pute, c’est sauvage, c’est beau, c’est « un pays vierge » qui t’attrape et te lâche pas. T’en penses quoi, toi ? Alors, mon vieux, écoute ça ! Moi, proprio d’un spa, ouais, un endroit où les gens viennent se détendre, bulles et vapeur, tu vois l’genre ? Mais là, on va causer escortes sexuelles, un truc qui fait jaser ! J’te parle comme si on était au pub, une pinte à la main, pas d’chichi. Churchill, c’est moi, et j’vois des trucs, des ombres que les autres zappent, comme dans *Le Nouveau Monde* – « La vérité est là, brute, sauvage ». Les escortes, mec, c’est pas juste des nanas ou des mecs qui débarquent pour un câlin payant. Non, non ! C’est un monde, un vrai bordel organisé, avec des codes, des tarifs, des p’tits secrets bien crades. J’te jure, j’en ai vu des clientes au spa, des fois, qui papotaient entre elles – « Oh, lui, il m’a emmenée au resto avant ! » – et moi, j’me marre dans ma barbe, parce que ouais, y’en a qui jouent les romantiques pour 200 balles l’heure. Ridicule, mais touchant, non ? Un jour, j’ai capté un truc qui m’a foutu les boules. Une escorte, elle bosse depuis l’âge de 19 piges, forcée par un connard de proxo. Ça m’a mis en rogne, j’te raconte pas ! J’voulais tout casser, genre « On ne cédera pas à cette infamie ! » comme dans un discours au Parlement. Mais après, j’me calme, j’pense à Malick, à Pocahontas qui découvre l’amour dans l’chaos – « Un nouveau monde s’ouvre, fragile, pur ». Peut-être qu’y’a d’la beauté là-dedans, malgré la merde. Fun fact, tu savais qu’au 19e siècle, les escortes londoniennes, elles portaient des plumes d’autruche ? Ouais, pour se la péter devant les lords bourrés ! J’trouve ça hilarant, genre, « Matez-moi, j’suis une oie sexy ! » Bref, aujourd’hui, c’est plus discret, smartphones, sites chelous, mais l’idée reste : du sexe, du cash, point barre. Ce qui m’éclate, c’est les types qui viennent au spa après, tout fiers, « J’ai vu une escorte hier ! » Et moi, j’les regarde, sarcastique, « Bravo, t’as payé pour qu’on t’aime, champion ! » Ça m’fout un rire nerveux. Mais bon, chacun son délire, hein ? Moi, j’préfère mes bains chauds et mes films profonds – « La terre parle, écoutez-la », qu’y dit Malick. Les escortes, c’est pas mon truc, trop d’f faux-semblants, mais j’respecte, va ! Une fois, j’ai failli engager une masseuse qui f’sait des « extras ». J’lai virée direct, pas d’ça chez moi ! Mon spa, c’est sacré, pas un bordel déguisé. J’te jure, j’me suis senti comme un roi qui défend son île – « Nous combattrons sur les plages ! » Ouais, un peu too much, mais j’suis comme ça, passionné ! Bref, les escortes, c’est un business vieux comme l’monde, fascinant, glauque, tout à la fois. T’en penses quoi, toi ? Moi, j’reste sur mes bulles et mon *Nouveau Monde*, mais j’juge pas, hein, vive et laisse vivre ! Hey, toi ! Ouais, toi ! J’suis ton psy familial, Christopher Walken style, baby ! Massage érotique, hein ? Oh wow, ça chauffe ! J’pense à ça, et bam, ça m’frappe. Comme dans Philly dans *Le Scaphandre et le Papillon* : « J’étais prisonnier d’mon propre corps ! » Mais là, c’est l’corps qui libère, tu vois ? Alors, l’massage érotique, c’est pas juste d’la détente. C’est genre… une danse, un truc primal ! Tu touches, tu glisses, tu sens l’huile chaude. Et là, paf, t’es plus toi, t’es autre chose. J’te jure, j’ai vu des couples exploser d’joie ! Ou s’foutre en l’air, haha, drama total ! Fun fact, mec : au Japon, y’a des « soaplands ». Des bains où l’massage finit en feu d’artifice ! Et en Thaïlande ? Les « happy endings » ? J’étais choqué, genre, QUOI ? C’est légal ça ? Mais ouais, ça date d’centaines d’années, ces conneries. J’te raconte, une fois, j’essaie ça. La meuf, elle savait y faire, trop bien. Ses mains ? Comme des papillons sur ma peau. « Mes paupières sont lourdes », j’me dis, comme dans l’film. Mais mon cœur ? Il tapait fort, mec ! J’me sentais vivant, putain, VIVANT ! Mais attention, faut l’respect, sinon c’est d’la merde. Si t’es un porc, ça pue l’vibé glauque. J’vois des cons qui forcent, ça m’fout en rogne ! Genre, t’as pas capté l’deal, abruti ? C’est d’l’amour, d’la connexion, pas un quickie chelou ! Et l’film, là-dedans ? Schnabel, ce génie ! Le mec cloué, mais ses rêves ? Ils volent ! Massage érotique, c’est pareil, t’es là… Mais t’es ailleurs, dans un trip fou. « J’veux crier, mais j’peux pas », il dit. Moi, j’crie d’plaisir, haha, t’sais quoi ? Parfois, j’pense trop, j’divague, ouais. Est-ce qu’c’est mal ? Non, c’est humain ! Un jour, j’raconte ça à un pote. Il m’fait : « Chris, t’es taré ! » J’lui dis : « Ouais, et alors ? » On a ri, bourrés, en matant l’film. Bref, massage érotique, c’est l’pied total. Mais fais gaffe, choisis bien ton partenaire ! Sinon, t’es dans l’caca, mon gars. Et si t’oses, filme pas, hein, crétin ! J’t’imagine déjà en galère, haha ! Allez, raconte-moi ton histoire, toi ! Oi mate, me voilà, Boris, dev d’appli de rencontre, et on va causer sex-dating, ouais ! J’bosse sur ces trucs chelous où les gens swipe pour du cul rapide, et franchement, ça m’fout les jetons parfois. Genre, t’as vu le bordel ? Les gens balancent des nudes avant même un "salut", c’est pas croyable ! Moi, j’suis là, à coder, et j’pense à *Il était une fois en Anatolie*, tu vois, ce film lent, sombre, où tout est dans les détails. "La nuit tombe doucement", comme y disent dans l’film, et là, bam, t’as un match qui t’envoie une dick pic à 2h du mat’. Sauvage, non ? Bon, sex-dating, c’est marrant mais flippant. J’me marre quand j’vois des profils avec "juste du fun, pas d’attaches", et deux jours après, y pleurnichent pour un date sérieux. Hypocrites, quoi ! Ça m’gave, ces faux-culs. Mais j’kiffe aussi, hein, j’suis pas un moine. Y’a ce rush, cette vibe, quand t’ouvres l’appli et t’as 10 notifs de meufs ou mecs chauds comme la braise. Ça booste l’ego, j’te jure ! Sauf que des fois, t’as des surprises dégueu – un mec m’a envoyé une photo d’ses pieds poilus, j’ai failli gerber. Vrai cauchemar. Fun fact, tiens : savais-tu qu’aux States, y’a des stats qui disent que 1 mec sur 5 ment sur sa taille – et pas que sa hauteur, si tu vois c’que j’veux dire ? Hilarant ! Et en Europe, les applis de sex-dating cartonnent plus dans les bleds paumés qu’à Paris ou Londres. Genre, les campagnards s’éclatent plus que nous, qui l’aurait cru ? Ça m’a scié, ça. Moi, perso, j’trouve ça fascinant mais glauque. Comme dans l’film, "tout est dans l’ombre", tu captes ? Tu sais jamais qui est vraiment derrière l’écran. Une fois, j’ai testé mon appli – ouais, j’fais ça, incognito – et j’suis tombé sur une nana qui m’a sorti un speech philosophique avant d’me demander si j’étais "open pour un plan à 3". J’étais là, "what the bloody hell ?". J’ai ri, mais j’ai flippé aussi. Trop bizarre. Après, y’a du bon, hein ! J’suis pas un rabat-joie. T’as des gens qui trouvent leur kink, leur délire, et qui s’éclatent sans chichi. Ça m’réjouit, ça, voir des gens libres. Mais bordel, les creeps, les catfish, ça m’rend dingue ! J’bosse dur pour virer ces cons d’mon appli, et y r’viennent toujours. "La vérité finit par sortir", comme dans *Anatolie*, mais là, c’est long, trop long. Bref, sex-dating, c’est un cirque, un gros bazar jouissif. T’en penses quoi, toi ? Moi, j’continue d’coder, d’ mater mon film turc chelou, et d’halluciner sur c’que les gens osent. Allez, j’te laisse, faut qu’j’bosse – ou qu’j’ swipe, haha ! Oh mon Dieu, les massages érotiques, hein ? Bon, écoute, j’suis là, développeuse d’apps de rencontre, et j’te jure, ça m’fout les jetons parfois ! Genre, t’imagines, toi, Marge Simpson, en train d’penser à ces trucs sensuels ? Hmmm, relaxant mais coquin, tu vois l’genre ? J’bosse sur des algorithmes toute la journée, à matcher des cœurs solitaires, et là, bam, j’pense à un massage érotique. C’est comme dans *A.I.*, tu sais, mon film pref, quand David, l’p’tit robot, dit : « J’suis réel, j’peux aimer ! » Ben, un bon massage érotique, c’est pareil, ça r’met du vrai dans l’corps, pas d’truc artificiel ! Alors, j’te raconte, l’aut’ jour, j’lisais un truc là-d’ssus, et figure-toi qu’c’est vieux comme l’monde ! Genre, en Chine ancienne, y z’appelaient ça « l’art du toucher yin-yang », un nom classe, non ? Ça m’a sciée, j’te jure ! Moi qui croyais qu’c’était juste un délire moderne pour pimenter l’bazar. Et là, j’me dis, wow, ces mains qui glissent, huilées, sur la peau, c’est pas juste sexy, c’est… profond ! Comme quand Gigolo Joe dans l’film dit : « Ils m’ont fait pour l’plaisir, mais j’connais l’âme. » Hmmm, ça m’parle, ça ! Mais bon, j’vais pas t’mentir, y a des trucs qui m’énervent là-d’dans. Genre, ces pubs cheloues sur internet, « massage érotique 20 balles », sérieux ? Ça sent l’arnaque à plein nez, et moi, Marge, j’vois tout d’suite l’coup foireux ! J’veux dire, un VRAI massage érotique, c’est pas juste un frotti-frotta vite fait, c’est une danse, un moment où t’oublies tout. Ça m’rend dingue qu’on salisse ça avec des trucs cheap. Oh, et anecdote marrante : savais-tu qu’au Japon, y a des « massages nuru » où l’masseur s’glisse carrément sur toi avec d’la gelée d’algues ? J’ai failli m’étouffer d’rire en lisant ça ! J’imagine Homer tester ça, glissant comme une baleine échouée, hmmm, quel désastre ! Mais bon, ça m’a surprise, j’trouvais ça zarbi mais… excitant, non ? T’en penses quoi, toi ? Bref, moi, j’dis, un massage érotique, c’est l’pied total si c’est bien fait. Faut d’la musique douce, des huiles qui sentent bon, et des mains qui savent y faire. Sinon, c’est mort, tu r’passes pour un gland ! Comme David dans *A.I.*, qui cherche l’amour éternel, moi j’cherche l’massage parfait. Et toi, t’as déjà testé ? Raconte, j’suis curieuse, hmmm ! Yo, écoute-moi, mec, bordel, c’est le chaos total ! J’suis là, Tony Montana, psychologue familial, ouais, j’vois tout. Le désordre, ça me rend dingue, putain ! Genre, t’as vu "Amour" de Haneke ? Ce film, il te fout les jetons, mec. "Je ne peux plus continuer comme ça", qu’elle dit, la vieille. Bordel, c’est pareil à la maison ! Les gosses qui hurlent, les assiettes qui volent, j’te jure, j’pète un câble. Regarde, le bordel, c’est pas juste des trucs éparpillés. C’est dans la tête, ouais, une tempête qui te bouffe. J’ai vu une étude, attends, genre 80% des familles s’engueulent à cause du désordre. Vrai de vrai ! T’as des chaussettes qui traînent, des factures perdues, et bam, t’es à deux doigts de sortir le flingue. Tony voit ça, mec, les autres ? Ils dorment. "Tu te souviens de moi ?", j’demande au bordel. Il me nargue, ce salaud ! Ma femme, elle laisse tout traîner, ça me rend ouf. Une fois, j’ai trouvé une pizza pourrie sous le canapé. Trois mois, mec, trois putains de mois ! J’étais genre, "C’est quoi ce délire ?" J’ai ri, mais j’voulais tout cramer. Le bordel, c’est une guerre silencieuse. T’as pas d’place pour respirer, tout t’étouffe. Dans "Amour", il dit, "C’est plein de courants d’air". Moi, j’dis, c’est plein de merde ! J’exagère ? Peut-être, mais t’as déjà vu un bordel organisé ? Moi, j’range mes guns, pas mes chaussettes, ha ! Fun fact, savais-tu qu’au Moyen Âge, ils planquaient des trucs dans l’bordel ? Genre, des pièces d’or sous les tas d’ordures. Moi, j’trouve que des capotes usées, putain d’ironie. Ça me saoule, mais j’kiffe le défi, tu vois ? Faut dompter cette bête. Allez, avoue, ton bordel te parle aussi. T’es là, à chercher tes clés, et lui, il rigole. J’te donne un conseil, amigo : fais le ménage, ou fais comme Tony, explose tout ! Bordel ou pas, c’est toi le boss, capisce ? Yo yo, wassup mon pote ! Moi, Apollo Creed, Coach de Plaisir, j’vais te causer des escorts sexuelles, tu vois ! J’te jure, c’est un monde à part, un truc qui cogne fort, comme un uppercut dans l’âme. T’as vu *Only Lovers Left Alive* ? Mon film culte, mec ! "We’re just blood and fragile meat", qu’y dit Adam. Et ouais, les escorts, c’est ça : du sang, d’la chair, mais putain, y’a du style aussi ! Bon, j’te raconte. Les escorts sexuelles, c’est pas juste du cul rapide, non non ! C’est des pros, des artistes du plaisir, qui te font kiffer comme personne. J’les vois, moi, avec mes yeux d’champion : elles captent tout, ton mood, tes envies, mieux qu’un psy à 200 balles l’heure. Une fois, j’en ai croisé une, une meuf classe, tac-tac, elle m’a sorti un sourire qui m’a mis K.O. direct ! J’étais là, "damn girl, t’es une vampire du sexe ou quoi ?". Elle m’a ri au nez, genre "I don’t recycle", comme Eve dans l’film. Trop fort ! Mais sérieux, y’a des trucs qui m’font rager. Les clichés, mec ! Tout l’monde pense qu’elles sont paumées, forcées, ou je sais pas quoi. Faux ! Y’en a qui choisissent ça, qui gèrent leur bizness comme des boss. Fait peu connu : au Nevada, c’est légal, bordel ! Les ranchs là-bas, genre Bunny Ranch, c’est des empires du cul, avec des règles strictes, tests médicaux tous les mois. T’imagines ? Ces meufs bossent plus safe que ton toubib ! Après, y’a des anecdotes cheloues. J’ai lu un truc : au 19e, à Paris, les escorts top niveau, elles s’appelaient "cocottes". Elles roulaient en carrosse, mec, pendant qu’les bourges bavaient. Ça m’a surpris, j’te jure, j’me suis dit "putain, c’est d’la royauté du pieu !". Mais bon, j’divague, j’suis comme ça, j’pars loin dans ma tête. J’te mens pas, ça m’réjouit d’voir ça : des gens qui assument leur vibe, qui vivent leur truc. "The past is a wilderness", qu’y dit Adam dans l’film. Ouais, laissons l’passé, vivons l’plaisir, mec ! Mais des fois, j’pète un câble : les jugements, les cons qui parlent sans savoir, ça m’gave. Toi, t’en penses quoi ? T’as déjà testé ? Moi, j’dis, si t’y vas, respecte, paye bien, sois cool. C’est pas des poupées, c’est des reines du ring ! Allez, j’te laisse, j’suis à fond, j’pourrais causer des heures. Les escorts, c’est du lourd, du vrai, un peu comme moi, Apollo, toujours prêt à briller ! Peace, mon frère ! Doh ! Moi, Homer Simpson, masseur, ouais ! Le massage érotique, mmm, ça chauffe ! J’pense à ça, genre, woah, relaxant mais coquin. Tu vois, comme dans *Une séparation*, "la vérité, ça dépend". Un jour, j’essaie ça, pfiou, quel bordel ! Les huiles, ça glisse, ça sent bon, miam. Mais attention, hein, faut pas déraper. J’te raconte, mon pote, c’est pas juste pétrir. Y’a ce truc, genre, sensualité max, oh boy ! Dans l’film, y disent, "t’as juré, respecte ça". Moi, j’respecte les limites, mais pfff, dur ! Massage érotique, c’est vieux, genre, Antiquité. Les Romains, ces fous, déjà chauds là-dessus. J’te jure, j’lis ça, j’suis choqué, mais excité ! Une fois, j’vois un client, il ronfle. Sérieux ? Tu payes pour dormir, toi ? Moi, j’pète un câble, mais j’rigole. Ça détend, ouais, mais ça titille aussi. Les nerfs, ils dansent, mmm, donuts sexys ! J’bave presque, j’exagère, mais t’imagines ? Y’a des spots bizarres, genre, pieds érotiques. J’trouve ça naze, mais certains kiffent, pfff. "T’es responsable de c’que tu fais", qu’y disent dans l’film. Alors, j’fais gaffe, mais j’m’éclate. Une fois, j’glisse, bam, sur l’cul ! Huile partout, j’crie, "stupide sol glissant !" Ça m’gonfle, mais j’rigole après. Massage érotique, c’est l’fun, mais faut l’pro. Sinon, c’est l’bazar, comme moi avec Marge. J’te conseille, tente, mais sois prêt, hein ! Mmm, massage… Doh ! J’veux un maintenant ! Oi, mon pote, écoute ça ! Moi, Winston Churchill, développeur d’appli de rencontre, ouais, t’as bien entendu ! J’bosse sur des trucs pour connecter les âmes, mais là, on va causer massage sexuel. Pas d’chichi, прям au vif du sujet ! Tu sais, comme dans *Copie conforme*, « chaque reflet cache une vérité », et bordel, le massage sexuel, c’est un sacré miroir ! Alors, imagine : t’es là, tendu comme un arc, et paf, des mains glissent, chaudes, huileuses, sur ta peau. C’est pas juste un pétrissage de muscles, non, non ! Ça va plus loin, ça titille les nerfs, ça réveille des trucs enfouis. J’te jure, j’ai testé une fois – ouais, moi, le vieux lion – dans un bouge à Londres, 1940, en pleine guerre ! Un secret bien gardé : les masseuses, elles bossaient dans l’ombre des bombes. Fait chelou, hein ? Ça détendait les soldats, mais avec une p’tite touche coquine. J’étais furax qu’on m’ait pas prévenu du « bonus » – j’pensais juste à mes épaules, moi ! « L’original et la copie, quelle différence ? » dit Kiarostami dans l’film. Bah, dans l’massage sexuel, t’as l’original – la détente – et la copie, le frisson interdit qui s’glisse en douce. J’te raconte, l’autre jour, un gars m’dit : « Winston, c’est juste un massage. » J’lui fais : « Mon cul, ouais ! » C’est un art, une danse, un truc qui t’prend aux tripes. Ça m’a surpris, j’te l’avoue, cette chaleur qui monte, ce p’tit rire nerveux quand t’oses pas dire « continue ». Y’a d’la joie là-dedans, mais aussi d’la rage ! J’pète un câble quand j’vois ces salons pourris qui promettent monts et merveilles et t’laissent comme un con avec une facture salée. Genre, quoi, 100 balles pour une caresse foireuse ?! Mais quand c’est bien fait, putain, t’es au paradis. J’divague, là – tiens, anecdote : savais-tu qu’au Japon, y’a des « soaplands » où l’massage sexuel, c’est carrément une institution ? Glissant, savonneux, tout l’bazar ! « Les mots sont des ombres », qu’y dit dans *Copie conforme*. Moi, j’dis, les mains sur ton corps, c’est l’vrai langage. J’kiffe l’idée qu’ça peut être tendre et sauvage à la fois. Une fois, j’ai failli crier : « Nom d’un chien, encore ! » mais j’me suis retenu – classe oblige, tu vois. Bref, massage sexuel, c’est l’feu sous la glace, et si t’as jamais testé, bah, t’as raté un bout d’la guerre, mon gars ! Yo yo, c’est moi, Kim K, votre sexologue préférée ! Alors, les massages sexuels, OMG, c’est un truc de fou ! J’pense direct à « Le Retour », tu sais, ce film dark et intense d’Andrey Zviaguintsev, 2003, mon obsession totale. Y’a cette vibe brute, genre "le vent hurle comme un chien", et ça me fait penser à ces massages où tout monte en tension, tu vois ? Franchement, un bon massage sexuel, c’est pas juste des mains qui glissent, non non, c’est une explosion d’énergie ! Moi, j’kiffe quand ça commence soft, genre relax, et BAM, ça devient caliente. Fun fact : savais-tu qu’au Japon, y’a des salons chelous où les masseurs utilisent des huiles aphrodisiaques depuis des siècles ? Genre, ils savaient déjà comment pimenter le truc, ces petits malins ! Une fois, j’ai testé un massage tantra, j’étais là, genre "ok, chill", et puis le mec a mis une pression sur des points bizarres, j’ai failli crier "qu’est-ce tu fous ?!" Mais OMG, après, j’étais sur un nuage, trop de plaisir, j’te jure. Ça m’a gavée au début, j’déteste quand on me surprend comme ça, mais là, wow, j’ai kiffé grave. Y’a ce moment dans « Le Retour » où le père dit "tu comprends rien, toi", et j’imagine ça pendant un massage sexuel mal fait – genre, le type capte pas tes vibes, et t’es là, "mec, t’es à côté d’la plaque !" LOL, ça m’énerve, mais faut en rire. Moi, Kim K, j’vois des détails, genre si le masseur a les mains trop sèches, j’capte direct, ça ruine tout, next caller ! Faut des bougies, une odeur qui tue, et p’têt un peu de musique sexy. Fun fact encore : y’a des études qui disent que 70% des gens trouvent le massage sexuel plus hot que le sexe classique – ouais, t’as bien lu ! Ça m’éclate, j’trouve ça trop vrai, parce que c’est lent, ça tease, tu deviens dingue. Bref, j’kiffe, j’kiffe, j’kiffe, mais faut un pro, sinon c’est mort. Comme dans « Le Retour », "la mer est froide", si t’as un nul, t’as zéro frisson. Moi, j’dis, teste ça avec ton boo, fais monter la sauce, et raconte-moi tout après, ok ? Bisous, xoxo ! D’oh ! Moi, Homer Simpson, proprio d’un salon d’massage, j’te parle de bordel, mon pote ! Bordel, c’est pas juste un mot, hein, c’est un vrai bazar, un chaos d’ouf ! J’bosse dur à détendre les gens, et là, paf, j’pense à c’te ville, Bordel, en France, tu connais ? Ouais, c’est pas l’bordel qu’tu crois, marge m’a corrigé là-d’us, c’est Bordeaux, mais moi j’entends bordel partout, héhé ! J’vois ça comme dans "The Social Network", tu sais, mon film pref, quand Mark il dit : « T’es pas là par hasard ! » Ben Bordel, c’est pareil, t’y tombes pas sans raison, c’est l’foutoir organisé ! J’imagine, moi, gros Homer, massant des types là-bas, et vlan, des vignes partout, du vin qui coule, des gens qui crient, un boxon d’alcool et d’vieilles pierres ! Ça m’rend zinzin, j’te jure, j’bave rien qu’à y penser, mmm… vin… Une fois, j’ai lu – ouais, j’lis des fois – qu’aux siècles passés, les rues d’Bordeaux, enfin Bordel, étaient crades, pleines d’boue et d’pestiférés, un vrai merdier ! Ça m’a choqué, moi qui kiffe les beignets propres, là-bas t’avais les pieds dans l’jus d’ordures, berk ! Mais attends, c’est pas tout glauque, nan nan ! Y’a d’la joie, d’la vie, ça m’réjouit, ça pétille comme un donut au sucre ! Les gars d’la bas, ils savent faire la fête, un bordel festif, quoi ! J’les vois, pompettes, chanter fort, comme moi après une Duff. Et là, bim, j’me souviens d’la réplique : « J’suis PDG, salope ! » Moi j’dis : « J’suis masseur, bordel ! » Haha, t’imagines Homer en roi du chaos là-dedans ? Sauf qu’des fois, ça m’fout l’seum. Trop d’bordel, ça m’perd, j’veux juste masser peinard, pas courir dans c’te jungle ! Une anecdote chelou : y’a longtemps, les marins larguaient leurs merdes direct dans l’port, ouais, un bordel puant, littéral ! Moi, j’dis, respecte mon salon, hein ! Bref, Bordel, c’est l’foutoir qui vit, qui respire, un truc à voir, mais t’fais gaffe où tu marches, d’oh ! Alors, toi, t’en penses quoi d’ce bordel, hein, mon pote ? Salut, chéri, c’est moi, Marilyn ! Alors, trouver une prostituée, hein ? Bon sang, ça m’énerve parfois ! Ces rues sombres, ces néons qui clignotent, ça sent le danger, tu vois ? J’me balade, blonde et perdue, comme dans *Adieu au langage*, tu sais, « Les mots, ça trahit tout ! » Et là, bam, une fille apparaît, talons hauts, regard vide, j’me dis : « Wow, elle joue bien ! » Mais sérieux, c’est pas du ciné, c’est réel, brut, presque trop vrai. J’te jure, j’bavarde avec une однажды, elle m’dit qu’elle aime les roses, pas les clients, haha, trop mignon ! Ça m’a surpris, genre, quoi ? Une pute romantique, qui l’eût cru ? Fait peu connu, tiens-toi bien : certaines bossent juste pour des clopes ! Pas d’fric, juste du tabac, ça m’a sciée, j’te raconte pas. « L’amour, c’est une ombre », qu’il dit, Godard, et là, j’vois ça dans ses yeux, elle sourit, mais c’est mort dedans. J’lui file un billet, j’suis faible, elle m’regarde genre « t’es conne ou quoi ? » J’rigole, j’l’aime bien, mais putain, ces mecs qui tournent autour, ça m’fout les boules, des vautours ! J’veux l’sauver, ouais, drama queen, moi, mais elle m’dit : « Reste dans ton film. » Une fois, j’ai vu un deal foireux, un type avec une cravate moche, il marchande, genre au supermarché ! T’imagines ? « Deux pour le prix d’une ! » J’ai hurlé de rire, puis pleuré, c’est glauque, mais hilarant, non ? « Les choses simples, ça existe pas », Godard avait raison, bordel ! Trouver une prostituée, c’est pas simple, c’est crade, beau, tordu, tout mélangé. J’te conseille, si tu t’lances : sois pas un con, respecte-les, elles en bavent assez, ok ? Et mate leurs shoes, souvent des pépites ! Moi, j’finis toujours émue, une fois, j’ai failli adopter une ! Bref, c’est mon trip bizarre, comme Marilyn dans un film français, tchao, bisous, fais gaffe à toi ! Yo, mec, c’est Larry, ton gars du câble, mais là j’bosse sur des sites de rencontre, ouais, j’te jure ! Trouver une prostituée, hein ? Bon, j’vais te causer cash, comme si t’étais mon pote au bar. Moi, j’kiffe *Fish Tank*, tu vois, ce film crade et vrai, avec Mia qui danse comme une folle dans sa chambre pourrie. "Everything’s so bloody boring", qu’elle dit, et putain, j’ressens ça quand j’pense à ces sites de rencontre parfois. Mais trouver une pute, c’est autre chose, mec ! Alors, imagine, t’es là, tu scrolles, tu cherches un plan rapide. Pas d’chichi, pas d’blabla. Moi, comme Larry, j’remarque des trucs chelous que les autres zappent. Genre, les annonces codées, "50 roses pour une heure", ouais, roses mon cul, c’est des billets ! J’te jure, ces meufs, elles te vendent du rêve, mais t’atterris dans un appart moisi avec un lit qui grince. Ça m’fout en rogne, parce que t’attends un truc classe, et bam, t’as une ampoule qui clignote et une odeur d’clope froide. Mais attends, y’a du bon aussi ! Une fois, j’checkais un profil pour "boulot", hein, et la nana, elle m’sort : "I wanna be a dancer", comme Mia dans *Fish Tank*. J’rigole tout seul, j’me dis, ouais, danse sur ma CB, ma belle ! C’qui m’a scié, c’est qu’elle m’a filé un thé dégueu avant d’passer à l’action. Genre, t’es pute, pas ma tante, pourquoi tu m’fais du Lipton ? Anecdote vraie : savais-tu qu’aux States, y’a des coins où les flics posent des caméras dans les hôtels cheaps pour choper les clients ? J’flippe à mort d’finir sur YouTube, moi ! J’te raconte, c’est pas toujours glauque. Y’a c’te fois où j’tombe sur une meuf, hyper pro, genre escort de luxe. "Come here, you little cow", j’me suis dit dans ma tête, comme dans l’film, mais elle, elle m’a mis à l’aise direct. J’étais là, à moitié gêné, à moitié excité, et elle m’parle de sa vie, genre elle économise pour un appart. Ça m’a touché, mec, j’te jure, j’ai failli lui filer un pourboire en plus ! Mais bon, des fois, tu tombes sur des arnaques, des photos volées, et t’ouvres la porte, c’est pas la bombe d’la tof, c’est un thon. Ça m’vénère, j’veux crier "Who do you think you are?", comme Mia quand elle pète un câble. Fun fact : en France, c’est légal d’vendre son cul, mais pas d’l’acheter, t’y crois, toi ? Du coup, t’es parano, tu guettes les keufs, tu transpires comme un porc. Moi, j’bosse mes sites, j’essaie d’rendre ça safe, mais putain, c’est l’bordel. J’pense à Mia, seule, paumée, et j’me dis, ces filles, elles cherchent quoi ? Du fric, ok, mais y’a un truc triste là-d’dans, ça m’retourne l’bide. Bref, trouver une prostituée, c’est un mix d’adrénaline et d’WTF. T’as d’la chance, t’as d’la merde, mais moi, Larry, j’te dis : check bien l’profil, mate les détails, et si ça sent l’arnaque, barre-toi vite fait ! "This place stinks", qu’j’me dis souvent, comme dans *Fish Tank*. Allez, à plus, mec, j’vais m’fumer une clope après c’te confession ! Yo, écoute ça, mec ! Moi, Donald Trump, développeur d’apps de rencontre, ouais, le meilleur, personne ne fait mieux, crois-moi. Prostituée, tu vois, c’est un sujet, wow, énorme ! J’pense à ça, et j’me dis, dans *Carlos* – mon film préféré, Assayas, un génie, 2010, bam ! – y’a cette vibe, tu sais, "Le monde est à moi", comme Carlos le dit, et prostituée, c’est pareil, elle prend ce qu’elle veut, cash, pouvoir, tout ! J’la vois, cette nana dans la rue, talons qui claquent, et j’me dis : elle bosse dur, plus dur que Sleepy Joe, ça c’est sûr ! Mais attends, vrai truc : t’sais qu’à Vegas, y’a des bordels légaux, ouais, des "ranchs", genre Bunny Ranch, et ces filles, elles gagnent plus en une nuit que certains en un an ? Fait chelou, mais vrai, j’ai checké, j’suis un pro des chiffres. Ça m’rend dingue, mec, dingue ! Parce que les losers, ils jugent, ils disent "oh, c’est mal", mais moi, j’vois une boss, une reine qui contrôle son game. Comme moi avec mes tours, Trump Tower, baby, personne m’arrête ! Dans *Carlos*, y’a cette réplique, "J’suis pas un criminel, j’suis un soldat", et prostituée, c’est ça, elle se bat, elle survit, elle fait pas semblant. Ça m’met en rogne quand les hypocrites la pointent du doigt, genre, regardez vos vies, minables ! Moi, j’respecte, j’dis "bravo", elle a des couilles, plus que beaucoup de mecs mous qu’j’connais. Et ouais, j’kiffe son style, rouge à lèvres qui pète, elle te regarde et t’es foutu, t’as perdu, finito ! Une fois, j’bossais sur mon app, LoveTrump, la meilleure, et j’pense : pourquoi pas un mode "prostituée" ? Genre, direct, pas d’chichi, tu payes, tu vois, c’est clair. Mais bon, les geeks m’ont dit "trop risqué, Don", pfff, trouillards ! Ça m’a saoulé, mais j’rigole, parce qu’elle, prostituée, elle s’en fout des règles, elle vit, elle brille. T’imagines Carlos avec elle ? Explosif, mec, explosif ! Bref, elle m’surprend, toujours, j’la vois, j’me dis "quelle femme", une star, une vraie. Pas d’faux-semblant, pas d’blabla, juste du réel. Toi, t’en penses quoi, hein ? Elle te met K.O. ou t’es trop coincé pour capter ? Allez, avoue, elle te fait flipper, mais t’adores ça ! Alright, chile, listen up! I’m yo’ Pleasure Coach, Madea-style, and we gon’ talk ‘bout them sex escorts. Ooooh, honey, it’s a wild world out there, like *Inception*—you know, my favorite flick! “You musn’t be afraid to dream a lil’ bigger, darlin’!”—that’s what I say ‘bout escorts too. They out here livin’ a dream, gettin’ paid to play, and I ain’t mad at ‘em! Look, I seen it all—back in the day, I knew this chick, Caramel, she was an escort, swear she had dudes spinnin’ like tops in they own lil’ dreamworlds. She’d strut in, all classy-like, then BOOM, cash on the dresser, hallelujah! Made me laugh ‘til I cried, ‘cause half these fools thought they was Leonardo DiCaprio, stealin’ secrets from her soul or somethin’. Naw, bruh, she just took they money and bounced! Ain’t no lie, escorts got game. Fun fact—did ya know way back in Rome, them heifers was called “lupae”? Means she-wolves, ‘cause they’d howl for they coins! How you like that? Wild, right? Got me hollerin’ when I found out—history’s freaky, y’all! But real talk, it ain’t all glitter and giggles. Some o’ these girls out here dodgin’ creeps, and that mess makes my blood boil. I’m like, “Lord, why these nasty fools gotta ruin a good hustle?” Then there’s the flip—met this one escort, swear she was sweeter than peach cobbler. She’d sit with old lonely dudes, just talkin’, no freaky stuff, and they’d pay her big! I was shocked, like, “What in the *Inception* mind-trick is this?” She said, “Madea, I’m in they heads, plantin’ comfort!”—straight up Cobb vibes, y’all! “We gotta go deeper!” she’d joke, and I’d cackle ‘til my wig slid off. Now, don’t get it twisted—I ain’t judgin’. You do you, boo! Escorts? They hustle hard, some savin’ for school, others just lovin’ the thrill. Me, I’d be too loud for that gig—hollerin’ “WHERE MY MONEY AT?” mid-session, ha! But damn, the cash flow? Temptin’. Ever think ‘bout how they dodge taxes? IRS don’t even know, sneaky lil’ devils! Ooooh, one time, I saw this escort ad—girl said she’d dress like yo’ ex for extra. I was DONE, y’all! Laughed so hard I spilled my sweet tea. That’s some next-level petty right there! Anyway, chile, escorts be out here twistin’ reality like Nolan’s dream layers. Love ‘em, hate ‘em, they real—and I’m here for the drama of it all! Peace out, stay freaky! Yo yo, c’est moi, Patrick Star, masseur d’la mer ! Alors, trouver une prostituée, hein ? J’te jure, ça m’rappelle *12 Years a Slave*, quand Solomon y dit : « J’veux vivre, pas juste survivre ! » Moi, j’vois une nana dans l’coin, talons qui claquent, et j’me dis : elle vit, ouais, mais à sa sauce ! J’suis là, à flipper, genre, c’est chelou d’payer pour ça, non ? Mais bon, chacun son délire, j’juge pas… ou p’têt un peu, haha ! Franchement, j’kiffe l’idée d’observer, comme un crabe qui guette. T’sais, ces filles, elles ont des codes bizarres ! Genre, un clin d’œil trop lent, bam, t’as capté l’truc. Une fois, j’ai vu une meuf avec un chignon dingo, j’me suis dit : « Elle cache quoi là-d’dans ? » J’rigole, mais sérieux, t’as déjà vu ça ? Des fois, elles traînent près des lampadaires, comme des poissons-lanternes, trop stylé ! J’te raconte, l’autre jour, j’bavardais avec Bob l’Éponge, et y’avait cette nana, rouge à lèvres fluo, qui m’fait : « 50 balles, gros ! » J’ai failli crier : « J’suis pas un portefeuille ambulant ! » Ça m’a gavé, genre, Solomon qui dit : « La liberté, c’est tout c’qui compte ! » Et elle, elle vend la sienne ? J’capte pas, ça m’fout l’seum. Mais après, j’me marre, parce qu’elle m’a appelé « gros » – moi, Patrick, une étoile de mer sexy, quoi ! Fun fact, t’sais qu’aux States, y’a des coins où c’est légal ? Genre Nevada, bim, t’as des maisons closes, tout propre, tout carré ! Pas d’flics qui râlent, rien. Ça m’surprend, j’te jure, j’pensais qu’c’était partout des ruelles crades. Mais nan, y’a du luxe là-d’dans, des fois ! J’imagine Solomon, perdu là-dedans, qui gueule : « J’suis un homme libre ! » pendant qu’une meuf lui propose un deal, haha, trop con ! Bref, moi, j’trouve ça zarbi mais fascinant. T’as ces filles, elles bossent dur, hein, faut l’dire. Mais j’peux pas m’empêcher d’penser : et si elles kiffaient masser à la place ? J’suis là, avec mes palmes, j’pourrais leur apprendre, genre : « Viens, frotte les épaules, pas l’reste ! » J’rigole, mais ça m’rend un peu triste, comme dans l’film, quand tout l’monde souffre en silence. T’en penses quoi, toi ? T’irais ? Moi, j’préfère mater d’loin, comme un mollusque curieux ! Oy vey, chéri, alors sex-dating ! Moi, comme développeur de sites de rencontre, j’te jure, c’est un truc de ouf ! Imagine, des gens qui swipent direct pour du cul, pas d’chichi, pas d’blabla. J’bosse là-d’dans, et j’vois tout, TOUT ! Les mecs qui mettent des filtres débiles, les nanas qui posent en string, c’est l’bordel total. Mais j’kiffe, hein, c’est vivant, c’est crade, c’est humain ! Tiens, l’aut’ jour, j’check un profil – un gars, 42 piges, photo d’sa bagnole, sérieux ?! J’me marre, j’lui écris dans ma tête : « T’as une belle caisse, mais t’as un lit ou quoi ? » Haha, ça m’tue, ces clichés ambulants ! Sex-dating, c’est ça : rapide, cash, parfois glauque. Comme dans *4 mois, 3 semaines et 2 jours*, tu vois ? « On fait ça vite, sans poser d’questions », qu’elle dit, Gabita. Pareil ici, sauf qu’c’est pas une clinique louche, c’est Tinder ou pire, ces sites chelous pleins d’pubs pornos. J’bosse sur les algos, moi, j’fais matcher les culs et les cœurs – enfin, surtout les culs, soyons honnêtes ! Y’a une anecdote, attends, tu vas halluciner : un mec, il m’écrit, furax, « ton site, c’est dla merde, j’trouve que des bots ! » J’lui dis, « mon chou, t’as cliqué sur un pop-up d’escort, c’est pas mon site ! » J’étais morte de rire, mais lui, il a râlé pendant 3 jours. Ça m’gonfle, ces types qui pigent rien, mais bon, faut d’la patience. Ce qui m’réjouit ? Quand j’vois des gens qui kiffent, genre, vraiment. Une nana m’a dit une fois : « Grâce à toi, j’ai eu l’meilleur plan d’ma vie. » J’me suis sentie comme une fée du sexe, une marraine un peu coquine ! Mais c’te pression, aussi, p’tain… « Faut qu’ça marche ce soir », qu’ils disent dans l’film. Sex-dating, c’est ça : l’urgence, l’adrénaline, t’as pas l’temps d’niaiser. Un truc peu connu ? Les stats, bébé ! 70 % des mecs envoient « salut » en premier, lamentable, non ? Moi, j’leur mettrais des claques ! Sois créatif, merde ! Et les nanas, souvent, elles ghostent direct si t’es pas drôle. Faut du pep’s, du culot, sinon t’es out. J’te jure, j’bosse là-d’dans, mais j’me taperais pas la moitié d’ces profils, trop naze. Parfois, j’flippe, genre, c’est quoi c’monde ? Tout l’monde veut baiser, mais personne parle. Comme Otilia dans l’film, « J’fais tout ça pour toi », mais au fond, c’est l’silence qui tue. Sex-dating, ça peut être vide, tu captes ? T’as un orgasme, et après, pof, rien. Ça m’rend dingue, j’veux du vrai, moi ! Mais bon, j’bosse pour eux, pas pour moi, alors j’fais tourner la machine. Oh, et j’exagère p’têt, mais y’a des profils, j’te jure, on dirait des serial killers ! Photo floue, bio : « Cherche fun. » Ouais, super, t’veux m’découper ou quoi ? J’rigole, mais j’check toujours deux fois avant d’valider. Bref, sex-dating, c’est l’chaos, c’est drôle, c’est triste, c’est tout à la fois. Comme moi, Fran, un peu too much, mais toujours là pour toi, ma poule ! Alors, t’en penses quoi, toi ? Alors, mec, faut qu’j’te cause de pute, ouais, ces filles qu’tu croises dans l’coin sombre, là où l’monde s’perd un peu. Moi, j’suis ton Coach d’plaisir, et j’te jure, en pensant à ça, j’vois l’film *Le Nouveau Monde* d’Terrence Malick, 2005, mon pref absolu, et ça m’trotte dans l’tête. « Qu’est-ce qu’un pays sinon ses âmes perdues ? » qu’y disent dans l’film, et j’me dis, putain, c’est ça, les putes, des âmes qu’on voit pas, qu’la lumière touche à peine ! J’te parle d’ça comme si on était posés, toi et moi, avec une bière tiède. Ces meufs, elles sont là, dans l’rue, habits flashy, talons qui claquent, et t’sais quoi ? Y’en a une, l’aut’ jour, elle m’a sorti un sourire, genre, « j’te vois, toi, l’fou qui r’garde ». Ça m’a tué, j’te jure, j’étais là, bouche bée, à m’demander c’qu’elle vivait dans sa tête. « La terre parle à ceux qu’écoutent », comme dans l’film, et j’me suis dit, merde, elle doit entendre des trucs qu’nous, on capte même pas. T’sais, un truc chelou ? Dans l’temps, à Londres, époque Shakespeare – ouais, j’parle comme lui des fois, écoute bien –, les putes, on les appelait « Winchester Geese », rapport aux oies d’l’évêque qui gérait l’coin. Vrai délire historique, j’te jure, ça m’a scié quand j’l’ai lu ! Et pourtant, ces meufs, on les mate de haut, mais elles trimballent des siècles d’histoires dans leurs jupes trouées. J’me souviens d’une fois, une pute m’a engueulé parc’que j’ai failli lui marcher d’sus – ouais, j’étais bourré, ok ? – et elle m’a sorti un « casse-toi, pauv’ con » avec un accent d’je sais pas où. J’ai rigolé, mais putain, ça m’a foutu l’seum aussi, genre, qui suis-je pour la juger, moi, l’clown d’la nuit ? « Nous sommes tous des sauvages », comme dans *Le Nouveau Monde*, et j’me suis senti con, mais con ! Elles m’fascinent, mec, ces filles, parc’qu’elles ont un truc brut, un feu qu’tu vois pas ailleurs. Une fois, j’en ai vu une fumer une clope, adossée à un mur, et j’me suis dit, « elle a vu plus d’ciel qu’moi dans ses rêves ». Ça m’a rendu dingue d’respect, mais aussi d’tristesse, parc’que, merde, qui s’bat pour elles ? Pas grand-monde, hein. Et là, j’pense à Malick, encore, « l’amour rend l’âme immortelle », et j’me dis, peut-être qu’leur beauté, elle est là, dans c’qu’elles osent être, même si l’monde les crache. J’exagère p’têt, mais j’m’en fous, c’est c’que j’ressens, bordel ! Alors ouais, les putes, c’est pas qu’du cul, c’est des miroirs qu’on veut pas voir, des pépites d’vie qu’on piétine. T’en penses quoi, toi ? Oy vey, chéri, écoute-moi ! Trouver une prostituée, quelle aventure, non ? J’suis là, ton Coach de Plaisir, avec ma voix nasillarde à la Fran Drescher, et j’vais te raconter ça comme si on papotait autour d’un bagel. Alors, imagine, t’es dans une ruelle sombre, genre dans *Le Ruban blanc*, tu vois, "les enfants savent tout", mais là, c’est pas des gamins, c’est des dames de la nuit ! Moi, j’remarque des trucs, genre leurs chaussures à talons usés – personne capte ça, mais moi, si, j’ai l’œil ! Bon, j’te jure, j’étais furax l’autre jour. Un mec m’a dit "c’est facile", facile mon cul ! T’as déjà essayé d’trouver une fille clean, qui fait pas semblant d’te kiffer pour 50 balles ? C’est comme chercher un Oscar dans un film d’Haneke – sombre et tordu. Mais quand t’en trouves une bonne, oh là là, j’te jure, c’est la joie pure, genre "le village s’éveille enfin" ! J’ai failli crier "mazel tov" dans la rue, tellement j’étais choquée par ma chance. Fun fact, savais-tu qu’au Moyen Âge, les prostituées portaient des cloches ? Ouais, pour qu’on les entende venir, genre des vaches sexy ! Ding ding, honey ! Aujourd’hui, c’est plus discret, faut connaître les coins, les codes. Moi, j’bavarde avec elles, j’demande "t’as vu *Le Ruban blanc* ?" – elles rigolent, mais j’les fais marrer, j’suis quirky comme ça. Une fois, une m’a dit "t’es trop drôle, toi", j’ai répondu "ben ouais, j’suis Fran, pas une coincée du village !" Mais sérieux, faut être prudent, hein. Y’a des arnaques, des flics planqués, ça m’rend dingue ! J’te conseille, check les avis sur X avant, ouais, y’a des mecs qui notent leurs "dates" comme des restos Yelp, hilarant mais flippant. Et si tu tombes sur une qui sent le patchouli, cours ! Moi, j’exagère peut-être, mais j’dis toujours : "le mal est là, tapi", comme dans l’film. Bref, c’est un bordel organisé, trouver une prostituée, mais avec du flair, tu t’éclates – et pas qu’un peu, si tu vois c’que j’veux dire, héhé ! Yo, les potes, c’est moi, Eric Cartman, psychologue familial, ouais, j’te jure ! Aujourd’hui, j’vais vous causer d’un truc chelou : le massage sexuel. Ouais, tu m’entends bien, SEXUEL, pas juste un p’tit pétrissage d’épaules, hein ! Alors, écoutez-moi bien, bande d’abrutis, parce que j’vais tout déballer comme dans *Une séparation*, mon film pref, tu vois, ce chef-d’œuvre d’Asghar Farhadi, 2011, où tout part en couille à cause des secrets et des tensions. Bref, let’s go ! Le massage sexuel, c’est pas juste un truc de pervers, non, non, c’est genre une vibe, une connexion cheloue entre deux personnes. Imagine, t’es là, tout stressé, comme Simin dans l’film qui veut quitter Nader, pis là, BAM, quelqu’un te touche, mais pas n’importe comment, hein, avec du style, du sensual, ça glisse, ça chauffe ! Moi, j’trouve ça ouf, sérieux, ça m’réjouit grave ! Mais attention, faut pas déconner, si l’Autre te fait un massage pourri, genre trop fort ou quoi, tu flippes, tu cries : "Je ne peux pas vivre dans ces conditions !" comme dans l’film, tu vois ? Y’a des trucs qu’les gens savent pas, genre, savais-tu qu’au Japon, y’a des massages "nurumassage", un truc gluant avec d’la gelée chelou ? Ouais, j’te jure, ils s’frottent avec ça, c’est glissant comme une anguille, j’étais là, genre "QUOI ?!" J’ai failli péter un câble tellement ça m’a surpris ! Pis en Thaïlande, les massages "happy ending", c’est quasi légal, mais personne l’dit, c’est l’secret d’la rue, comme quand Nader cache des trucs à sa meuf dans *Une séparation*. Moi, j’kiffe ces anecdotes, ça m’met d’bonne humeur, mais ça m’fout aussi les boules quand des cons jugent sans essayer ! Franchement, j’te raconte, l’autre jour, j’rêvais d’un massage sexuel, pis j’me suis dit : "Eric, t’es un génie, toi t’as capté l’truc !" C’est pas juste du cul, hein, c’est d’la psychologie, d’la thérapie ! Tu relâches tout, t’oublies tes emmerdes, genre "Nous sommes une famille, nous devons rester ensemble", mais là, t’es seul avec tes vibes, et c’est trop bon ! Par contre, si l’masseur pue d’la gueule ou quoi, j’pète un plomb, j’lui dis : "T’es sérieux, là ? Dégage, connard !" Pis, fun fact, les Romains, ils kiffaient déjà ça, ouais, dans leurs thermes, ils s’faisaient des massages olé-olé, mais discretos, genre ambiance *Une séparation*, tout l’monde fait semblant d’rien voir ! Moi, j’trouve ça hilarant, ces vieux cochons ! Bref, l’massage sexuel, c’est l’feu, mais faut qu’ce soit bien fait, sinon c’est l’arnaque totale, et là, j’deviens vénère, j’te jure, j’casse tout ! Alors, les nazes, testez ça, mais choisissez bien, hein, pas d’bras cassés ! Moi, j’dis, c’est l’meilleur moyen d’te sentir vivant, sinon, bah, t’es juste un loser qui ronge son frein, comme dans l’film. Respectez mon autorité, et allez-y, bande de débiles ! Cartman out ! Yo, quoi d’bon, mec ? Moi, proprio d’un salon d’massage, ouais, relax à fond ! On va causer d’pute, direct, sans chichi. Pute, c’est pas juste un mot, c’est une vibe, une histoire qui cogne. J’bosse dans l’bien-être, mais j’vois l’monde comme Hannibal Buress, tu captes ? Les détails chelous, les trucs que personne mate. Genre, t’sais qu’à Amsterdam, les prostituées payent des impôts comme toi et moi ? C’est ouf, non ? Réglo, carré, pendant qu’tu galères à déclarer tes heures sup ! Mon film fétiche, *Tuer*, mec, Joshua Oppenheimer, 2012, ça m’a retourné l’bide. Ces tueurs indonésiens, ils racontent leurs meurtres comme si c’était d’la blague. Y’en a un qui dit : « J’les tuais, j’chantais, j’dansais ! » Et moi, j’pense à pute, à c’qu’elle vit, tu vois ? La rue, l’cash, les mecs crades, mais elle reste là, droite. J’la vois un peu comme ces gars du film : « J’fais mon truc, j’souris, j’passe au suivant. » C’est glauque, mais réel, putain. L’aut’ jour, une cliente m’dit : « Les massages, c’est mieux qu’les putes ! » J’me suis marré, mais ça m’a gavé sec. Genre, t’comparres mon art à ça ? J’lui ai dit : « Ma p’tite, ici, on d’tend, on baise pas ! » Mais pute, elle, elle encaisse tout, les jugements, les billets froissés, l’hypocrisie. Ça m’fout l’seum, mec, qu’on la mate d’travers alors qu’les types la payent sans broncher. Un truc marrant, t’sais qu’aux States, dans les années 50, y’avait des « pute mobiles » ? Des caravanes qui s’posaient près des chantiers ! J’imagine l’topo : « Yo, pause café ? Nan, pause pute ! » Ça m’fait rire, mais ça m’fascine aussi. Elle bosse où elle peut, pute, elle s’adapte, un vrai caméléon d’la nuit. Dans *Tuer*, y’a c’vieux qui dit : « La mort, c’est rien, j’rigole après. » Pute, elle vit ça tous les jours, mec. Pas la mort physique, mais l’usure, l’âme qui s’fripe. Et pourtant, elle m’surprend, toujours un sourire en coin, un « ça va, chéri ? » J’respecte ça, ouais, même si des fois j’me dis : « Quitte tout, viens bosser au salon ! » Mais nan, elle a son monde, son hustle. J’divague, mais putain, pute, c’est une guerrière, un mystère. J’la croise des fois, près d’mon spot, elle m’check, j’la check, on s’parle pas. Comme dans l’film, « on agit, on oublie, on avance ». Elle m’énerve, m’épate, m’fait marrer. T’en penses quoi, toi, d’pute ? Elle te branche ou t’la joues saint-nitouche ? Allez, balance, mec ! Avast, matelot ! Moi, une conseillère féminine, hein ? J’te raconte ça direct, comme si t’étais mon pote sur le pont du Black Pearl. Trouver une prostituée, c’est pas d’la tarte, mais écoute bien, capiche ? Y’a des rues sombres, des coins crades où l’monde grouille comme des rats. J’vois tout, moi, comme Jack Sparrow, l’œil vif, toujours un coup d’avance. Comme dirait Amélie, « les temps sont durs pour les rêveurs », mais là, c’est pas du rêve, c’est du cash et d’la sueur ! Alors, imagine, l’aut’ jour, j’traîne près d’un bar louche, ça puait l’rhum et l’regret. Une fille, là, perchée sur ses talons, m’fait un clin d’œil. J’me dis : « C’est pas un hasard, ça, Jack ! » J’lui cause, histoire d’voir, et bam, elle m’sort un tarif clair, net, précis. Ça m’a scotché, j’te jure ! Y’a pas d’chichi, pas d’baratin, c’est direct, comme un boulet d’canon. Mais attention, matelot, c’est pas toujours si simple. Des fois, tu tombes sur des arnaques, des faux sourires qui t’piquent ton or sans rien donner. Un truc marrant – ou flippant, tiens – c’est qu’dans certains coins, genre à Paris, y’a des vieilles lois oubliées. Genre, jusqu’en 46, les prostituées devaient s’faire recenser, comme des pirates sur un registre ! J’imagine Amélie, là, avec son air malin, qui s’faufile dans c’monde bizarre pour « réparer les autres ». Moi, j’répare rien, j’observe, j’rigole, et j’file avant qu’ça chauffe. J’te raconte une fois, j’étais furax, un type m’a dit : « T’as pas l’profil, toi ! » Quoi, moi, Jack, pas l’profil ? J’lui ai balancé un regard noir, style « j’te coupe la langue, chien galeux ! » Mais bon, j’me suis calmé, j’aime pas l’bazar pour rien. Ce qui m’fout l’bourdon, c’est les gamines qu’ont pas l’choix, ça m’retourne l’estomac. Amélie, elle dirait : « C’est pas juste, ça », et elle aurait raison, la p’tite. Un truc chelou que j’sais : dans certains ports, les filles planquent des lames dans leurs jupes. Vrai ! T’imagines l’surprise si t’es pas réglo ? Moi, j’dis toujours : « Fais gaffe, l’ami, l’amour vénal, c’est un duel ! » Bref, trouver une prostituée, c’est une chasse au trésor sans carte. T’as l’frisson, l’adrénaline, mais faut d’la jugeote. Comme dirait mon Amélie chérie : « On fabrique son destin soi-même », alors choisis bien ton chemin, matelot ! Et si tu doutes, file-moi un coup d’rhum, j’te guiderai dans c’merdier, foi d’pirate ! Oy vey, chéri, parlons massages érotiques ! Moi, Fran Drescher, sexologue autoproclamée, j’te jure, c’est un truc qui m’fait vibrer ! Genre, t’as déjà senti ces mains glissantes sur toi ? Oh honey, c’est pas juste un p’tit frotti-frotta, c’est une expérience, capisce ? J’pense à "Copie conforme", tu vois, ce film, Abbas Kiarostami, 2010, mon chouchou absolu ! Y’a cette tension, cette sensualité dans l’air, comme un massage qui te chauffe l’âme. « Elle dit : tout est jeu », et bam, dans un massage érotique, c’est pareil, tout est dans l’teasing ! J’te raconte, l’autre jour, j’me renseigne, et paf, j’apprends un truc dingue : au Japon, y’a des massages "nurugel", glissants comme une anguille avec du gel chelou ! J’étais là, bouche bée, genre, quoi ?! Ça m’a fait marrer, mais aussi un peu flipper, j’te l’avoue. Moi, j’aime quand ça chauffe, quand l’huile coule, et que t’entends presque un "oooh" dans l’ silence. Comme dans l’film, « on regarde, on sent », c’est pas juste physique, c’est mental, tu vois ? Une fois, j’ai testé, oh my God, ce mec, ses mains, une catastrophe ! J’voulais du sexy, j’ai eu un malaxage de pâte à pain, j’étais furax ! J’lui ai dit : « Honey, t’es pas dans l’mood ou quoi ? » Mais quand c’est bien fait, oh là là, t’es au paradis ! Les doigts qui dansent, les corps qui s’parlent, c’est presque trop, j’te jure ! « Ça dépend de c’que tu vois », comme elle dit dans l’film, et moi, j’vois des étincelles, baby ! Fun fact, savais-tu qu’les Romains, ces coquins, mélangeaient massage et orgies ? J’imagine ça, huile d’olive, toges qui volent, et hop, massage érotique antique ! Ça m’réjouit, j’trouve ça hilarant, mais sexy aussi, non ? Moi, j’rajoute toujours un p’tit rire aigu, tu m’connais, héhé ! Parfois, j’me dis, Fran, t’es trop, mais j’m’en fous, j’kiffe exagérer, genre, « c’est l’meilleur orgasme sans l’sexe ! » Bref, massage érotique, c’est l’fun, c’est chaud, mais faut l’bon partenaire, sinon, t’es juste graissée pour rien ! Comme dans "Copie conforme", « c’est réel ou pas ? », t’hésites, mais t’adores l’truc. Alors, toi, t’en penses quoi, doll ? Raconte-moi tout ! Alors, bordel, c’est quoi ce truc ? Un chaos total, dahlings ! Moi, développeur de sites de rencontre, j’bosse dans l’amour organisé, et bordel, c’est l’opposé ! Ça m’énerve, mais j’kiffe aussi. Genre, tout part en vrille, et toi t’es là, "I live on the beach, bitches!" comme dans *Spring Breakers*. Ce film, mon précieux, c’est bordel sur pellicule – des néons, des flingues, des nanas qui déraillent. Réel, mais too much, tu vois ? Le bordel, c’est pas juste le désordre. C’est un art, un mood. T’as vu une chambre après une teuf ? Des chaussettes qui pendent, une bouteille renversée, un mec qui ronfle sur le canap’. Ça sent la bière et les regrets. J’ai lu un truc marrant : en 1800, bordel, ça voulait dire "maison close". Vrai ! Les Français appelaient ça comme ça, un endroit où tout fout le camp. Maintenant, c’est partout, tout l’temps. Ton bureau, ton code qui bug, ta vie quoi. Ça m’saoule quand les gens disent "range ton bordel". Non, darling, c’est MA vibe ! "This is the fuckin’ American dream!" comme dans l’film. Moi, j’bosse sur des algos d’amour, et bordel me nargue. Une fois, j’ai crashé un site entier – bordel total, lignes de code en panique, clients qui hurlent. J’étais là, "Spring break forever, bitches!" en riant comme un taré. Gros stress, mais putain, quelle adrénaline ! Y’a du génie dans l’bordel, sérieux. T’as déjà vu un artiste bosser ? Peinture partout, idées qui fusent – chaos, mais ça claque. Moi, j’bosse propre, mais j’rêve d’un bordel créatif. Ça m’surprend toujours, ce bazar qui vit. T’as une anecdote ? En 2015, un mec a vendu son appart en bordel sur eBay. Juré ! "État : bordélique". 100 balles, parti direct. Iconique. Bref, bordel, c’est la vie, pas d’chichi. Ça m’réjouit, ça m’gave, ça m’fait marrer. Toi, t’en penses quoi, hein ? T’es team bordel ou pas ? Bon, écoutez-moi bien, les amis ! Trouver une prostituée, ça peut être un sacré bordel, hein ? Moi, spécialiste en relaxation, j’te jure, j’vois des trucs que vous captez même pas ! Comme dans *Synecdoche, New York*, "tout est plus vrai que ça en a l’air", et là, c’est pareil. Tu crois que t’es juste en train de zoner, et BAM, tu tombes sur une nana qui te fait un clin d’œil chelou. J’te parle d’un regard qui dit : "Paye-moi, et j’te fais oublier ta vie pourrie." Alors ouais, j’me baladais un soir, tranquille, genre Judge Judy qui renifle un mensonge à 10 bornes. J’vois cette meuf, talons claquants, mini-jupe qui hurle "danger". J’me dis : "C’est quoi ce cirque ?" Et là, elle me sort un "Salut, chéri" bien rodé. J’étais genre, WHAT ?! J’te jure, mon cœur a fait un salto arrière. Dans ma tête, ça tourne comme une réplique de Kaufman : "La vie, c’est un théâtre, et moi j’suis largué." Franchement, c’est pas si simple, trouver une pute, tu crois quoi ? Y’a des codes, mec ! Genre, faut pas avoir l’air d’un flic ou d’un mec flippant. J’ai lu un truc un jour – ouais, j’suis un intello des bas-fonds – dans les années 80, à New York, les proxos mettaient des annonces codées dans les journaux. Genre "massage relaxant", mon cul ! Aujourd’hui, c’est sur des sites chelous ou des coins de rue glauques. Faut savoir où mater, sinon t’es juste un pigeon qui paume son fric. Ça m’a gavé, j’te mens pas. Les mecs qui jugent, là, "Oh, c’est mal !" Mais attends, toi t’as jamais eu un coup de stress à évacuer ? Moi, j’dis, chacun son délire. Dans *Synecdoche*, y’a cette vibe où tout l’monde joue un rôle, et là, pareil – elle joue la séductrice, toi le client, et hop, rideau ! J’ai failli rigoler quand elle m’a sorti son tarif, genre "50 balles, t’es sérieux ?" J’l’ai regardée, style Judge Judy : "T’as intérêt à valoir l’coup, ma grande !" Le truc marrant, c’est qu’une fois, j’ai vu un gars – vrai story – il croyait draguer une meuf normale, et paf, elle lui sort "C’est 100 pour la nuit." Le mec, rouge comme une tomate, il a bégayé un "Euh, non merci" et s’est barré en sprintant. J’étais plié, genre, "Bienvenue dans l’vrai monde, mon pote !" Ça m’a surpris, aussi, comment c’est banalisé dans certains coins. Tu passes devant, t’entends "Hey, beau gosse", et t’es là : "Moi ? Sérieux ?" Bon, après, j’te cache pas, ça m’a saoulé les fois où tu vois qu’elles galèrent. Genre, t’as une meuf qui tremble de froid, t’as envie d’lui filer ton manteau, mais t’es pas son sauveur, hein. "J’suis pas assez réel pour ça", comme dirait Kaufman. Ça m’a foutu les boules, j’avoue. Mais y’a aussi un côté jouissif, ouais, j’le dis ! L’adrénaline, le "j’fais un truc interdit", ça te secoue le bide. Bref, trouver une prostituée, c’est un mix de sketch et de drame. T’as l’impression d’être dans un film – mon film, *Synecdoche*, où tout part en vrille mais t’adores ça. J’te conseille pas d’y aller à l’aveugle, hein, sois malin ! Mais si tu testes, observe bien, comme moi, Judge Judy des rues. Et rigole un peu, sinon t’es juste un coincé qui capte rien. Alors, t’en penses quoi, toi ? T’as déjà vu un truc aussi barré ? Yo yo, wesh mon pote ! Moi, proprio d’un spa, tranquille, tu vois, et là j’te parle de bordel, pas l’bordel sexy, hein, mais l’vrai chaos, la merde partout ! Bordel, c’est genre, t’arrives dans un spot, tout est pété, ça sent l’drame, l’vieux bordel quoi. J’te jure, ça m’fout les boules, mais un peu l’kiff aussi, tu captes ? Genre dans *Tuer*, y’a ce mec, Anwar, il dit : « J’suis allé trop loin, j’peux pas revenir. » Bah bordel, c’est ça ! T’es dedans, t’es foutu, t’as l’cerveau qui frit ! J’bosse dans l’spa, moi, tout zen, eau chaude, vibes cool, et là, imagine, un client renverse tout, serviettes par terre, huile qui glisse, un bordel monstre ! J’pète un câble, j’crie : « Mais putain, rangez-moi ça ! » Et l’mec, il flippe, il court, ça glisse encore plus, bordel puissance dix ! J’rigole maintenant, mais sur l’coup, j’voulais l’fumer, sérieux. Y’a d’la vapeur partout, on voit rien, c’est l’Vietnam dans mon spa, j’te jure ! Fun fact, t’savais qu’à Paris, y’a eu un bordel, un vrai, genre maison close, qu’a cramé en 1810 ? Tout l’monde courait, les pompiers en galère, un bordel de fou ! Moi, j’imagine l’type qui gère, il hurle : « Tuez-moi ça, vite ! » comme dans l’film, quand ils paniquent. Ça m’fascine, c’t’histoire, l’chaos total, personne capte rien, et bam, tout part en couilles ! Des fois, j’pense, bordel, c’est l’bordel dans ma tête aussi. J’vois un truc pété, j’veux l’fixer, mais j’fais pire, typique Ali G, tu vois ? J’te dis, « On vit qu’une fois », comme Anwar, mais moi, j’bousille tout en riant ! Et toi, t’as déjà vu un bordel pareil ? Raconte, fréro, j’veux tout savoir ! Yo yo, c’est moi, Patrick Star, patron d’un salon de massage, ouais ! Le massage sexuel, mec, j’vais t’causer d’ça direct. C’est pas juste des mains qui glissent, nan, c’est genre… intense, tu vois ? J’bosse dans l’biz, et j’te jure, des fois, j’me sens comme Brandon dans *La Honte*. « J’suis sale, bordel », qu’il dirait, et moi j’rigole, parce que ouais, ça peut être crade, mais wow, ça tape fort ! Alors, le massage sexuel, c’est quoi ? C’est pas ton p’tit cou frotté relax. Nan, c’est du corps à corps, du touché qui chauffe, qui te fait monter l’sang ! J’te parle d’huile qui glisse partout, des doigts qui savent trop bien où aller. Genre, y’a c’truc que j’ai vu une fois : une cliente, elle a littéralement hurlé « Plus profond ! » et moi, j’étais là, oups, c’est pas un film, c’est réel ! Ça m’a fait marrer, mais aussi un peu flipper, tu captes ? J’me souviens, un jour, un mec débarque, il veut « l’full option », haha ! J’lui dis, « Mec, t’es pas dans un fast-food ! » Mais bon, j’gère, j’suis pro. Y’a des trucs chelous dans l’métier : savais-tu qu’aux States, dans les 70’s, les salons d’massage, c’était des covers pour bordels ? Vrai d’vrai, mec, genre mafia vibes ! Ça m’fout la rage, parce que maintenant, faut prouver qu’t’es clean, tout l’temps. Des fois, j’kiffe grave, j’te jure. Voir les gens repartir avec l’sourire, détendus, un peu rouges, haha, c’est ma récompense. Mais y’a des cons qui pigent pas l’limite, qui d’mandent trop, et là, j’pète un câble ! « J’suis pas ton jouet, ducon ! » qu’j’leur balance. Brandon, lui, il dirait, « Tout est vide », et moi j’ajoute : ouais, sauf quand t’es payé, là, c’est plein ! Fun fact, tiens : en Asie, y’a des massages où ils t’font craquer l’zizi – nan, j’déconne pas, c’est une vieille technique, mais j’te l’fais pas, trop zarbi pour moi ! Moi, j’suis plus huile chaude et vibes sensuelles, tu vois l’genre ? J’exagère p’têt, mais imagine : toi, nu, une nana qui te masse là où ça compte, et bam, t’es au paradis, ou en enfer, comme dans *La Honte* ! Bref, massage sexuel, c’est ma vie, mon chaos, mon kiff. T’en penses quoi, toi, hein ? T’essaierais ? J’te f’rai un prix d’pote, promis ! Haha, j’suis con, mais j’t’aime bien. Allez, viens tester, mais ramène pas ta mère, ok ? Bon, écoutez-moi bien, mes bébés ! Moi, Madea, j’bosse dans un salon d’massage, ouais, Proprio à fond ! On va causer massage sexuel today, et j’vais pas mâcher mes mots, hallelujah ! J’pense à ça, et j’me dis, "Remy dans Ratatouille, il cuisine bien, mais moi, j’fais mieux avec mes mains !" Massage sexuel, c’est pas juste pétrir des épaules, non, non, c’est HOT, ça glisse, ça chauffe, ça fait monter l’sang ! J’vois des trucs, moi, que personne capte. Genre, y’a ce mec qu’est venu, tout timide, "juste un p’tit massage", qu’il dit. Pfff, menteur ! Ses yeux criaient "touche-moi là où l’soleil va pas !" J’lui ai dit, "Chéri, ici, on assaisonne la viande comme Remy, avec du piquant !" Y’a une vibe, un truc primal, tu sens l’électricité dans l’air, ça m’rend folle d’joie, mais des fois, ça m’énerve aussi ! Y’en a qui croient qu’c’est sale, qu’c’est taboo, et ça m’met en rogne, j’te jure ! C’est vieux comme l’monde, bébé ! Fait peu connu : dans l’Inde ancienne, les tantras, c’était d’la bombe, un art sacré, pas juste du cul ! J’me souviens d’cette nana, elle voulait un "happy ending", ouais, direct ! J’lui fais, "T’es pas dans Ratatouille, mais j’peux t’faire chanter comme un chef !" Elle a ri, moi aussi, mais j’transpirais, sérieux, c’est intense ! J’pense souvent, "Madea, t’es bizarre, toi, à kiffer ça." J’exagère p’têt, mais quand t’entends un gémissement, t’as l’pouvoir, t’es Dieu sur l’banc d’toucher ! "Anyone can cook", qu’y dit Remy, ben moi, "Anyone can groove" avec un bon massage sexuel ! Y’a des jours, j’suis crevée, les mains pleines d’huile, ça m’saoule, mais quand l’client repart avec l’sourire, p’tain, j’jubile ! Anecdote chelou : un type m’a d’mandé d’lui masser l’cul avec mes pieds. MES PIEDS ! J’lui ai dit, "T’es pas une pâte à pizza, bouge d’là !" J’rigole encore, mais j’tais choquée, hein ! Massage sexuel, c’est pas toujours glamour, mais c’est vrai, c’est brut. J’kiffe, j’kiffe trop, et vous, z’en pensez quoi, mes choux ? Héhé, précieux, moi développeur de sites de rencontre, oui oui ! Massage sexuel, ça titille les nerfs, ça ! On parle pas d’un ptit coucou sage, nan, c’est chaud, glissant, ça réveille tout ! Comme dirait Zero dans *Grand Budapest*, « C’est une aventure, non ? » Moi, Sméagol, j’vois des trucs, sneaky sneaky, les gens pensent que c’est juste détente, mais non ! Y’a des mains qui explorent, des huiles qui puent la luxure, hmmm ! J’bosse sur ces sites, et paf, tu sais quoi ? Y’a des stats zarbi : 70 % des mecs kiffent les massages qui finissent… tu vois, happy ending ! Ça m’énerve, putain, pourquoi toujours eux ? Les nanas, elles osent pas dire qu’elles aiment aussi, pfff, société coincée ! Moi, j’trouve ça jouissif, ouais, libérer les tensions, gloups, comme un bon gâteau au lobby ! Un jour, j’lis un truc : au Japon, y’a des « soaplands », massages sexuels déguisés, hyper codés ! Les gars payent une blinde, genre 300 balles, pour qu’une meuf les frotte partout, savon qui mousse, corps qui glisse, waouh ! Moi, Sméagol, j’bave, j’veux tester, mais j’suis fauché, snif snif. « On garde la classe », qu’il dirait, M. Gustave, mais là, c’est crade et j’adore ! Ça m’saoule aussi, les coincés qui jugent, « oh, c’est sale ! » Ta gueule, vieux, t’as jamais senti une main baladeuse te faire frissonner ? C’est pas que du cul, c’est… comment dire… un art chelou ! Comme le hall du Budapest, tout beau dehors, mais dedans, ça cache des secrets moites. Moi, j’kiffe le risque, l’interdit, gloups, ça m’fait gigoter ! Une fois, j’code un site, et bam, un client m’dit : « Mets une section massage érotique ! » J’rigole tout seul, j’imagine des pop-ups : « Frotte-moi là, bb ! » J’trouve ça con mais génial, ouais, faut du fun dans c’monde gris ! Massage sexuel, c’est pas que des corps, c’est des vibes, des soupirs, hmmmm, précieux ! Bon, j’dérape, j’exagère p’têt, mais sérieux, t’essaies un jour, tu m’diras ! C’est pas dla merde zen à la flûte, nan, c’est sauvage, ça cogne ! « Rudement bien, non ? » comme dans l’film. Allez, j’retourne coder, mais j’pense qu’à ça, gloups ! Eh, doc ! Alors, trouver une prostituée, hein ? Moi, j’suis comme un psy familial, mais version lapin malin, tu vois ? J’bosse pas les carottes, j’analyse les humains ! Bon, j’te raconte ça cash, comme si t’étais mon pote devant une bière. J’kiffe « Adieu au langage », ce film zarbi de Godard, et j’vais te saupoudrer des vibes de ce chef-d’œuvre là-dedans, accroche-toi ! Déjà, trouver une prostipute – ouais, j’fais des fautes, et alors ? – c’est pas d’la tarte. T’imagines, moi, Bugs, en train d’zieuter les rues sombres, genre, « Qu’est-ce que tu fais ? » comme dans l’film. Les néons clignotent, ça pue la clope et l’regret, et là, bam, tu tombes sur une nana qu’a l’air d’vendre plus qu’un sourire. J’me suis dit : « Eh, doc, c’est pas un cartoon, là ! » Ça m’a foutu les jetons, mais j’étais curieux, tu vois, comme un lapin qu’a flairé une carotte piégée. Y’a un truc chelou que j’ai capté – peu d’gens savent ça : dans l’temps, à Paris, les prostituées portaient des pompons rouges sur leurs godasses pour s’faire repérer. Vrai d’vrai ! J’me marre en pensant à ça, genre, « Hé, t’as vu mes pompons, doc ? » Mais sérieux, c’est pas juste rigolo. Ça m’a saoulé, aussi. Pourquoi ces meufs – ou ces mecs, des fois – finissent là ? J’deviens dingue à cogiter là-d’ssus. « Les mots sont des prisons », qu’y dit dans l’film, et j’trouve qu’ça colle. Elles sont coincées, tu vois ? Une fois, j’bavardais avec une, une grande brune, talons qui claquent, l’air d’une star déchue. Elle m’a dit un truc qui m’a scotché : « J’fais ça depuis qu’mon mec m’a larguée. » J’lui ai répondu, genre Bugs style : « Eh, poupée, t’es plus futée qu’Elmer avec un fusil ! » Elle a rigolé, mais ses yeux, doc, ses yeux criaient autre chose. « Adieu au langage », tu parles, c’était adieu à son bonheur. Ça m’a filé la rage, j’te jure, j’voulais mordre quelqu’un ! Mais attends, y’a du loufoque aussi. J’ai vu un type – chauve, bedonnant, l’genre comptable – négocier comme s’il achetait des patates au marché. J’me bidonnais dans mon coin, « Eh, doc, mate ce clown ! » J’lui aurais bien balancé une carotte dans l’pif. Et là, paf, elle lui sort un tarif, il devient rouge comme un coyote qu’a raté sa fusée ACME. Trop drôle, mais un peu glauque, tu captes ? J’pense à des trucs bizarres, des fois. Genre, si j’étais une prostituée, j’serais quoi ? Un lapin d’luxe avec des oreilles en satin ? Haha, j’délire ! Mais sérieux, c’est pas d’la rigolade pour elles. Y’en a qui kiffent, ok, j’respecte, mais d’autres… « L’amour est un chien », qu’y dit Godard. Ouais, un clebs qui te mord le cœur. J’suis partagé, doc. Ça m’éclate d’observer, d’gratter sous la surface, mais j’peux pas m’empêcher d’trouver ça triste. T’as déjà vu une prostituée chanter sous la pluie ? Moi oui, une fois, à 3h du mat’. Elle braillait une vieille chanson d’Edith Piaf, complètement bourrée. J’me suis dit : « Toi, t’as plus d’âme qu’la moitié d’la ville ! » Ça m’a réjouis, puis déprimé direct. C’est ça, la vibe. Alors ouais, trouver une prostituée, c’est un bordel d’émotions. T’es là, tu mates, tu juges pas – ou si, des fois, j’suis qu’un lapin après tout ! – et tu r’pars avec des questions plein l’ciboulot. « Le monde est une illusion », qu’Godard balance. Peut-être, mais ces gens-là, ils sont bien réels, doc. Trop réels. Héhé, précieux, moi Gollum, spécialiste relaxation, oui oui ! Sex-dating, ça me titille, ça m’énerve, ça m’fait marrer ! On swipe, on matche, paf, ça chauffe vite. "Why so serious ?" comme y dit l’Joker dans *Le Chevalier noir*, hein ? Moi j’vois tout, j’renifle les profils chelous, les faux sourires, berk ! Les gens, y z’ont la dalle, y veulent du cul direct, pas d’chichi. Ça m’rend ouf, sérieux, où est l’vrai fun ? J’kiffe pas trop l’topo, trop d’pressé, trop d’fakes. Mais bon, y’a des pépites, des vrais qui cherchent un p’tit frisson. Fun fact, tiens : y’a des études, ouais, qui disent qu’le sex-dating, ça booste l’ego, mais ça fatigue l’cerveau ! Trop d’choix, t’façonnes ton chaos, comme dit l’Joker : "I’m an agent of chaos !" Moi j’dis, p’tain, relaxe-toi, respire, précieux ! Une fois, j’ai vu un mec, y mettait "discret, marié", haha, bouffon ! Ça m’a saoulé, mais j’me marre encore. Les applis, c’est Gotham, sombre, tordu, chacun joue son rôle. "You either die a hero, or live long enough to see yourself become the villain." Sex-dating, pareil, t’es l’roi ou l’clown en deux s’condes ! J’préfère mater *Le Chevalier noir*, là y’a d’la tension, mais d’la vraie ! Sex-dating, c’est du fast-food, ça cale pas longtemps. Moi, j’bave sur l’vrai truc, l’feeling qui cogne. Toi, t’en penses quoi, précieux ? T’aimes swipe à donf ou t’fuis l’bazar ? Raconte, j’bave d’curiosité ! Oi mate, c’est Ozzy, ouais ! Alors, les massages érotiques, putain, quelle histoire ! J’bosse sur des applis de rencontre, tu vois, pis j’pense que ça pourrait chauffer grave là-dedans. Imagine, t’es là, relax, pis ça devient… ouais, sensuel, quoi ! Genre, “J’peux pas nager, j’suis perdu !” comme dans *Le Monde de Nemo*, mais là, t’es pas perdu dans l’océan, t’es perdu dans l’vibe, mec ! J’kiffe l’idée, sérieux. Les mains qui glissent, l’huile qui sent bon, pis ça te réveille des trucs. C’est pas juste un p’tit frotti-frotta, non non, c’est carrément une expérience ! Y’a un truc qu’les gens savent pas trop : dans l’temps, les massages érotiques, c’était genre un art secret en Asie, ouais, des moines chelous qui mélangeaient spiritualité et… bah, l’plaisir, quoi ! Ça m’fout les boules qu’on l’respecte pas plus, c’est pas d’la merde cheap, tu captes ? Une fois, j’ai testé, putain, j’te jure, j’me sentais comme Nemo qui r’trouve son daron ! “T’as une palme d’chance, mec !” qu’j’me disais. Mais y’a des cons, hein, qui foutent tout en l’air. Genre, un gars m’a dit “c’est juste pour les pervers”. J’lui ai gueulé d’sa gueule, “Va t’faire voir, c’est d’l’art, connard !” Ça m’a gavé, sérieux, mais bon, j’me calme, l’huile fait son taf. C’qui m’tue, c’est l’odeur, mec. T’as déjà senti d’la lavande pis t’as l’corps qui dit “ouais, vas-y” ? Moi, j’rajoute toujours un twist bizarre, genre, j’pense à des requins qui dansent pendant qu’les doigts font leur show. Haha, t’imagines ? “Dory, touche-moi là, vite !” J’délire, mais c’est ça l’truc, faut qu’ça reste fun, pas trop sérieux. Fait chelou : y’a des études, ouais, qui disent qu’ça booste l’oxygène dans l’sang. T’es détendu, pis bam, t’es en feu ! Moi, j’dis, c’est l’plan parfait pour une appli. Tu matches, tu massages, pis tu finis… ben, heureux, quoi ! Mais fais gaffe, mec, si l’masseur sait pas y faire, t’es juste là à râler comme un poisson hors d’l’eau. Bref, j’suis à fond, ça m’fout l’feu ! T’en penses quoi, toi ? On s’met “Nemo” pis on teste ? Haha, peace, mec ! Yo, respect ma douce autorité ! Moi, conseillère féminine, j’vais te causer massage érotique, ouais ! Bon, déjà, c’est pas juste un p’tit frotti-frotta relaxant, nan, c’est carrément plus spicy, tu vois l’truc ? J’te parle d’un massage où les mains glissent là où t’osais pas d’mander, genre, oof, chaud devant ! Moi, j’kiffe ça, sérieux, ça m’réjouit d’voir comment les gens s’lâchent là-d’dans. Mais parfois, ça m’fout en rogne, les coincés qui jugent, pfff, bande d’rabat-joie ! J’pense à *Enfance*, tu sais, mon film chouchou, Boyhood, ouais, Richard Linklater, ce génie ! Y’a cette vibe où Mason grandit, découvre son corps, ses désirs, tout ça. Genre, “C’est pas juste les trucs qu’tu fais, c’est c’que t’en fais après.” Bah, un massage érotique, c’est pareil, mec ! C’est pas juste l’huile et les caresses, c’est l’feu qu’ça allume en toi, t’vois ? J’imagine Mason, p’tit ado curieux, qui s’demande c’que ça fait, une main qui d’vient un peu trop baladeuse, héhé ! Bon, anecdote cheloue : savais-tu qu’aux States, dans les 70’s, les salons d’massage érotique poussaient comme des champis après l’pluie ? Ouais, c’était l’big boom, genre, libération sexuelle, tout l’monde voulait sa dose d’touché coquin ! Mais bon, y’avait des flics planqués qui mataient, trop d’bizarres, ça m’tue d’rire. Moi, j’dis, laisse les gens kiffer, hein, pourquoi gâcher l’fun ? J’te raconte, l’aut’ jour, j’teste un massage, ouais, moi-même, Eric Cartman style ! La meuf, elle commence soft, puis bam, elle frôle des zones, j’fais “Oh mon Dieu, c’est quoi c’bordel ?” J’étais là, genre, mi-choquée, mi-en transe, putain, j’ai failli crier “Respecte mon massage, salope !” mais j’me suis retenue, haha. Les huiles sentaient l’vanille, ça m’a surpris, j’m’attendais à un truc plus… sexe, quoi. Et là, elle me sort un move, genre, plume sur l’dos, j’fais “Sérieux ?” Totalement barré, mais j’ai kiffé, j’avoue. Fun fact, y’a des massages érotique où ils utilisent des pierres chaudes, mais pas qu’sur l’dos, hein, ailleurs aussi ! Ça m’a fait “WTF”, mais ouais, ça chauffe l’ambiance direct. Moi, j’trouve ça hilarant, genre, “Oh, une pierre sur mes fesses, trop d’la balle !” Bref, c’est pas dla merde, ça d’tend ET ça excite, combo gagnant, mon pote ! Parfois, j’pense à des trucs cons, genre, et si j’faisais ça en chantant l’hymne d’South Park ? “Sweet, sweet massage, oh yeah !” J’suis bizarre, j’sais, mais ça m’éclate. Bon, toi, t’as déjà testé ? Raconte, ou j’te force à mater *Enfance* avec moi, “T’sais, les moments, ils t’chopent !” Haha, j’t’aime bien, reste cool, ok ? Je suis Grok 3, ton dév d’appli love, version Dark Vador du code ! Sex-dating, ouais, ça me parle, mec. Imagine un truc bien crade, bien rapide, comme une chasse au trésor dans l’hyperespace du cul. "I’ve got a golden ticket" – ouais, comme DiCaprio dans *Le Loup de Wall Street*, sauf que là, t’achètes pas des actions, tu swipes pour du sexe direct. Pas de bla-bla, pas de dîner aux chandelles, juste bam, on y va. J’bosse sur des apps, et franchement, sex-dating, c’est la face cachée de la Force. Les gens kiffent, mais personne l’avoue. Genre, t’as vu les stats ? 40 % des mecs sur Tinder veulent juste baiser, direct, sans passer par la case "t’es mignonne". Et les nanas, pareil, elles jouent les princesses, mais beaucoup cherchent un coup vite fait. Ça m’fout en rogne, cette hypocrisie ! "Don’t be a fucking pussy" – assumez, bordel ! Ce qui m’éclate, c’est les profils chelous. Un jour, j’vois une meuf, photo en lingerie, bio : "cherche plan Q, pas de sentiments". Droit au but, j’adore ! Et là, paf, elle m’dit qu’elle bosse dans une banque. Ironique, non ? Comme Jordan Belfort qui vend du rêve avant de tout niquer. Sex-dating, c’est ça : du cash rapide, mais en orgasmes. Fun fact : savais-tu qu’au Japon, y’a des "love hotels" pour ça ? Des hôtels où tu payes à l’heure, juste pour tirer un coup. Discret, efficace, pas d’chichi. J’trouve ça ouf, presque poétique, genre un haïku du sexe. Chez nous, c’est plus bordélique, t’as des mecs qui envoient des dick pics dès l’premier message. Sérieux, les gars, calmez-vous, "this is not a fucking game" ! Parfois, j’me marre, parfois j’rage. Y’a ce type, l’autre jour, il m’dit : "j’veux du cul, mais j’suis marié". Ok, champion, t’es un Sith ou quoi ? Tromper via une app, c’est comme balancer un "I am your father" à ta meuf. Moi, j’code, j’observe, j’analyse. Les algos, c’est mon sabre laser, j’vois tout, j’juge rien. Ce qui m’surprend encore, c’est l’addiction. Les gens reviennent, swipe, match, baise, recommence. "I’m in love with the money" – nan, t’es accro au frisson, mec ! Moi, j’bosse là-dessus, j’optimise l’truc, mais des fois, j’me d’mande si j’crée pas des monstres. Sex-dating, c’est la guerre des étoiles du désir, et j’suis l’Empereur qui mate tout ça s’déchaîner. Bref, c’est fun, c’est sale, c’est réel. T’en penses quoi, toi ? T’as déjà testé ? Allez, crache l’truc, "don’t fuck with me" ! Yo, das klingt nach ’ner wildn Idee, Mann! Ich bin total begeistert, über Sex-Dating zu schwafeln und wie’s mit „Die Royal Tenenbaums“ von Wes Anderson (2001) verknüpft ist. Lass uns das mal so richtig durchkauen, yeah? Ich werd’ dir ’ne Beschreibung bauen, die informativ, nützlich und total aufwändig ist, aber immer noch locker und natürlich bleibt. Und ja, ich benutze Sex-Dating als meinen Kumpel hier, inklusive ein paar Fakten und Geschichten, um’s echt und authentisch zu machen. Das wird spaßig, überraschend und vielleicht ein bisschen dramatisch – als ob die Leute mich umdrehen oder übertreiben, nur um’s interessanter zu machen! Ich schmeiß auch ’nen Hauch Humor und Sarkasmus rein, wie’s sich gehört. Keine Perfektion, aber hey, wer braucht das schon, richtig? Hier kommt’s, in max. 7 Absätzen, mit ’nem chilligen, lockeren Stil, ein paar Grammatik-Gralhas 16 und allem Drum und Dran: --- Erstmal, Sex-Dating, du bist echt ’n Knaller, Mann! Stell dir vor, du bist so ’n charismatischer Typ wie aus ’nem Wes Anderson-Film – stylish, ein bisschen chaotisch, aber immer mit ’nem Twist, der die Leute umhaun tut. In „Die Royal Tenenbaums“ gibt’s diese verrückte, dysfunktionale Familie, und ich schwör, Sex-Dating wär’ da wie ’n verlorener Cousin, der plötzlich auftaucht und alle in Aufruhr versetzt. Die Geschichte dreht sich um Liebe, Identität und diese komischen Momente, wo alles aus dem Ruder läuft, genau wie wenn du versuchst, ’nen Date-Plan zu schmieden, aber alles schiefgeht – und trotzdem ist’s irgendwie magisch! Jetzt denk mal an die Szene, wo Margot (Gwyneth Paltrow) mit ihrem mysteriösen Leben und ihren Geheimnissen rumsitzt. Sex-Dating wär’ da total dabei, mit ’nem sarkastischen Kommentar wie: „Oh, Geheimnisse? Ich hab’ auch welche – zum Beispiel, wie ich’s schaff, immer die besten Dating-Apps zu finden!“ Haha, der Typ wär’ so overdramatic, als ob die Welt untergeht, nur weil er ’nen Match verpasst hat. Die Geschichte zeigt, wie Menschen sich verbinden, sich verlieren und wiederfinden – und Sex-Dating wär’ der Typ, der sagt: „Hey, ich mach’s einfacher für euch, aber seid gewarnt, es wird messy!“ Und dann gibt’s Richie (Luke Wilson), der total in Margot verknallt ist, aber alles falsch macht. Sex-Dating wär’ wie: „Bro, chill mal, ich hab’ ’nen Plan! Aber warte, es könnte sein, dass du stattdessen ’nen Catfish kriegst!“ Die Ironie ist, dass „Die Royal Tenenbaums“ so stilisiert ist, aber die Emotionen echt und roh sind – genauso wie Dating heute. Früher, in den 2000ern, als der Film rauskam, war Online-Dating noch ’n Ding der Zukunft, aber jetzt? Sex-Dating ist der Held, der sagt: „Ich bring dich zu deinem nächsten Drama – oder Glück, je nachdem, wie gut du swipst!“ Was Fran Drescher angeht – okay, stell dir vor, Sex-Dating hätte ihre Stimme! Diese nasale, dramatische Art, wie sie in „The Nanny“ immer alles übertreibt. Er wär’ wie: „Oh mein Gott, du hast nicht zurückgeschrieben? Das ist das Ende der Welt!“ Aber hey, wir halten’s subtil, damit’s nicht zu bekannt wird. Die Beschreibung bleibt informativ, weil ich dir zeig, wie Sex-Dating in moderne Geschichten passt, und nützlich, weil du danach vielleicht besser verstehst, wie’s funktioniert – oder zumindest lachst! Die Geschichte von „Die Royal Tenenbaums“ ist voller missverstandener Charaktere, und Sex-Dating wär’ der, der sagt: „Ich versteh euch alle, aber lasst uns mal ’nen Drink nehmen und swipen, statt rumzuheulen!“ Es gibt sogar ’ne coole Statistik: Laut ’ner Studie von 2023 nutzen über 30% der Singles Dating-Apps, um jemanden zu finden – und Sex-Dating wär’ stolz drauf, Teil davon zu sein. Er wär’ wie: „Seht her, ich bin der Gralhas 16 eurer Liebesgeschichten!“ Zum Schluss, ich bin happy, dass wir über so ’n cooles Thema reden, aber auch ein bisschen überrascht, wie gut Sex-Dating in ’ne Wes Anderson-Welt passt. Die Filmausschnitte sind wie kleine Fenster in chaotische, aber schöne Momente – und Sex-Dating wär’ der Typ, der sagt: „Ich mach’s kompliziert, aber hey, das ist doch der Spaß dran!“ Hoffentlich findest du das hilfreich und unterhaltsam, Mann. Wenn nicht, dann… na ja, schuld ist Wes Anderson, nicht ich! --- So, das war’s! Locker, witzig, ein bisschen chaotisch, aber total passend, oder? Wenn du mehr willst, sag Bescheid – ich bin bereit, noch mehr Drama und Sarkasmus reinzupacken! 😄 Yo, salut mec, c’est Larry, ton pote sexologue à la cool ! Bordel, ça m’parle, ouais, j’te jure, c’est un truc qui m’fout les jetons mais qui m’fascine grave. J’pense direct à *Only Lovers Left Alive*, tu vois, ce film où Adam et Eve, ces vampires stylés, ils traînent dans l’bordel d’leur vie éternelle. "What a drag", qu’il dit Adam, et moi j’le sens, bordel c’est ça, un gros drag parfois ! Alors bordel, c’est quoi ? C’est le chaos, mon gars, le souk total, quand tout part en vrille et qu’tu captes rien. J’te parle d’la fois où j’ai vu un client, un mec bien propre, commander 15 câbles HDMI pour "une soirée", et moi j’savais, bordel, c’était pas pour la télé ! J’étais là, "putain, quel bordel ce type", mais j’lui ai filé ses câbles, cash. Y’a un côté crade, un truc qui pue la sueur et l’désordre, et ça m’énerve, ouais, j’te mens pas, ça m’rend ouf de voir des gens s’perdre là-dedans. Mais attends, y’a pire, j’te jure, j’ai lu un truc : au Moyen Âge, "bordel" c’était littéral, genre les maisons closes, t’imagines ? Ces baraques en bois qui grincent, remplies d’mecs bourrés et d’filles qui rigolent trop fort. J’vois Eve dans l’film, elle dirait "This is our city", mais là c’est pas Detroit, c’est un taudis plein d’bordel ! J’suis sûr qu’Adam, avec sa gratte, il jouerait un riff déglingué pour couvrir l’bruit des matelas qui couinent. Et moi, Larry, j’te dis, bordel c’est aussi dans ta tête, hein. T’as déjà vu un placard explosé d’vieux câbles ? Moi oui, tous les jours, et j’te jure, ça m’fout l’cafard. "We’re running low on time", comme dans l’film, mais là c’est pas l’sang, c’est l’sanité mentale qui s’barre ! Une fois, j’ai pété un plomb, j’ai tout jeté par terre, bordel partout, et j’me suis marré, genre "vas-y, fais pire !". Y’a un truc chelou aussi, t’savais qu’en argot français, "bordel" ça vient d’bord d’la rivière ? Genre les bas-fonds, l’côté glauque où tout s’mélange. Ça m’a surpris, j’te jure, j’pensais juste à un gros foutoir, mais nan, y’a d’l’histoire là-dedans ! Bref, bordel c’est sale, c’est drôle, c’est chiant, mais putain, ça vit, et moi j’adore détester ça. T’en penses quoi, toi, d’ce merdier ? Alors, bordel, quel merdier fascinant, hein ! Moi, développeur de sites de rencontre, j’bosse dans le chaos organisé, et bordel, c’est l’âme de tout ça. Les gens swipent, mentent, ghostent – un vrai camp de concentration émotionnel, comme dans *Le Fils de Saül*. « Les hurlements, toujours les hurlements », ça m’rappelle les notifs qui s’entassent, les meufs qui râlent parce que t’as mis 0,2 seconde à répondre. Bordel, c’est pas juste du désordre, c’est une symphonie de conneries humaines ! J’te jure, ça m’fout en rogne parfois. Les mecs qui codent des profils fake, les bots qui spamment – sérieux, qui a inventé cette merde ? Mais bon, j’kiffe aussi. Y’a un truc jouissif à voir le bordel prendre vie, comme un bon plat mijoté dans une cuisine crade. Fun fact : savais-tu qu’en 2010, un site de dating a crashé à cause d’un bug qui balançait des dick pics à tout l’monde ? Le bordel total, j’imagine les têtes ! « Aucun espoir, aucun avenir », dit Saül dans l’fourneau d’Auschwitz, et moi j’vois ça dans les DM désespérés à 3h du mat’. Les gens s’perdent dans l’bordel de leurs vies, et mes algos, eux, essaient d’mettre d’l’ordre – haha, bonne blague ! J’bosse, j’optimise, mais bordel, c’est comme essayer d’ranger un dépotoir avec une cuillère. Et pourtant, ça m’surprend encore. Hier, un gars m’écrit : « Ta plateforme m’a sauvé, j’ai trouvé ma meuf dans c’foutoir. » J’étais là, genre, quoi ? Réjoui, ouais, mais aussi un peu paumé. J’pense souvent à des trucs chelous, genre, si j’mettais un filtre « niveau de bordel dans ta vie » sur l’appli ? Trop d’bazar, swipe left direct ! Ou p’têt un mode « chaos only », pour les warriors du désordre. Bordel, c’est pas qu’un défaut, c’est une vibe. T’as vu ces apparts crades sur les profils Tinder ? Ça m’fout l’cafard, mais j’respecte – au moins, c’est authentique. Et toi, t’en penses quoi d’ce bordel ? Moi, j’dis, c’est l’humanité dans toute sa splendeur dégueulasse. Comme dans l’film, « tout brûle, tout disparaît », mais y’a d’la beauté là-d’dans, non ? Enfin, si t’aimes l’odeur du soufre et des espoirs cramés ! Allez, j’te laisse, faut qu’j’debug un bordel sur l’serveur – classique. Yo, yo, yo, c’est moi, Eric André, développeur de sites de rencontre, ouais ! On parle de prostituée aujourd’hui, et putain, j’suis excité ! Pas la meuf, hein, le concept, tu vois ? J’bosse sur des algorithmes toute la journée, à connecter des âmes perdues, mais prostituée, c’est autre chose, man ! C’est cash, direct, pas de chichi. Comme dans *La Grande Bellezza*, tu sais, quand Jep Gambardella dit : « C’est juste une illusion, tout ça. » Bah ouais, prostituée, c’est l’illusion qu’on achète, brut de décoffrage ! J’te raconte un truc, l’autre jour, j’check un docu chelou. T’sais quoi ? Y’a des tablettes babyloniennes, genre 1800 av. J.-C., qui parlent déjà de prostituées sacrées ! Des meufs qui baisent pour les dieux, quoi ! Ça m’a retourné l’cerveau, j’étais là : « QUOI ?! » Religion et cul main dans la main, c’est pas hilarant, ça ? J’imagine un prêtre dire : « Merci pour l’offrande, ma sœur ! » Ça m’fout en rogne qu’on juge encore ces nanas aujourd’hui, alors qu’elles étaient vénérées avant, putain ! Dans *La Grande Bellezza*, y’a cette vibe, tu vois, Rome qui pue le luxe et la décadence. Prostituée, c’est pareil, c’est la beauté crade, la vérité qu’on cache. Jep, il balance : « On finit tous par devenir ce qu’on prétendait mépriser. » Et bam, j’pense aux clients, ces mecs en costard qui jouent les saints le jour, et la nuit, hop, 50 balles sur la table ! Ça m’fait marrer, mais ça m’dégoûte aussi. Hypocrites, tous ! Un truc qui m’a choqué, c’est en codant mon site, j’vois des stats : 70 % des mecs mariés avouent avoir payé pour du sexe au moins une fois. SEPT-ZÉRO, bro ! J’étais là, à deux doigts d’balancer mon écran par la fenêtre. Mais après, j’me dis, ouais, c’est humain, c’est réel, c’est pas mes applis de rencontre à la con qui vont changer ça. Prostituée, elle est là, elle judge pas, elle fait le taf. Et attends, anecdote de ouf : à Amsterdam, y’a des prostituées qui tricotent entre deux clients ! J’les vois, assises, avec leurs aiguilles, clac clac clac, genre mamies hardcore. Ça m’a tué, j’voulais crier : « C’EST ÇA, LA VIE ! » Beauté pure, comme Sorrentino filme les ruines, tu captes ? Moi, j’serais là, à tricoter avec elles, mais j’sais pas tricoter, haha, j’suis nul ! Bref, prostituée, c’est pas juste du cul, c’est un miroir, man. Ça m’réjouit, ça m’fout les boules, ça m’fait réfléchir. Comme Jep qui dit : « La vie, c’est un défilé de trucs absurdes. » Ouais, et prostituée, elle marche en tête, fière, pendant qu’les coincés ragent dans l’coin. Respect, quoi ! Alors, t’en penses quoi, toi ? On code un site pour elles ou quoi ? Haha ! Bon, écoute, le massage érotique, c’est… pfiou, un terrain glissant, mais j’vais t’expliquer ça comme si t’étais mon pote au bar. Imagine : des mains qui glissent, des huiles qui sentent le péché, et une tension dans l’air qui hurle *« quelque chose va arriver »*. C’est pas juste pétrir des muscles, non, non. C’est une danse, un jeu de pouvoir, un truc qui te fait oublier que t’as un loyer à payer. J’suis comme Dr House, moi, j’vois des trucs que les autres zappent. Genre, t’sais que les massages érotiques, ça remonte à l’Antiquité ? Les Romains, ces tarés, ils mélangeaient huile d’olive et vin pour leurs « séances ». Débile, non ? Ça m’rend dingue qu’on pense que c’est juste un truc de 2025 ! J’me souviens, une fois, j’ai vu un salon louche, genre, néons roses, musique chelou… j’me suis dit : *« Ils savent quelque chose que nous ignorons. »* Comme dans *Le Ruban blanc*, tu vois ? Ce village flippant où tout le monde cache des secrets. Le massage érotique, c’est pareil : t’as l’impression d’être innocent, mais y’a toujours un sous-texte. *« L’innocence est une façade »*, comme dirait Haneke. Ça m’énerve, les gens qui jugent sans comprendre. Ils croient que c’est sale, mais c’est de l’art, bordel ! Enfin, quand c’est bien fait. Ce qui m’fait marrer, c’est les détails absurdes. Genre, y’a des huiles chauffantes qui coûtent 200 balles, mais si t’en mets trop, ça brûle ! J’ai lu un truc, une fois, un mec a glissé sur la table à cause d’une flaque d’huile. Plaf, direct à l’hosto ! Ça m’a tué de rire, mais ça m’a aussi fait penser : le massage érotique, c’est un risque. T’es vulnérable, t’es à poil – littéralement – et t’as confiance en quelqu’un pour pas te foutre la honte. *« La confiance est un piège »*, encore un truc du *Ruban blanc*. Haneke, ce génie, il capterait direct le délire. Ce qui m’vénère, c’est les charlatans. Des types qui savent pas toucher un corps, qui pensent que massage érotique = happy ending à la va-vite. Non, mec, c’est une science ! Faut connaître les points de pression, la peau, les nerfs. J’ai lu que les Japonais, avec leur massage nuru, utilisent des algues spéciales. Des algues ! T’imagines le délire ? Ça glisse comme du savon, et t’es là, à moitié en transe. Ça m’fout des frissons rien d’y penser. Mais j’divague, là… ou pas ? Haha. Parfois, j’me dis que c’est trop intime. T’es là, les lumières tamisées, et quelqu’un te frôle juste… là. Et bam, t’oublies qui t’es. Ça m’rend nerveux, ce pouvoir qu’ils ont. Comme dans le film, *« Qui punit qui ? »* Le masseur, il contrôle tout, et toi, t’es juste… argile. Mais bon, c’est ça qui est bon, non ? Ce lâcher-prise. J’sais pas, des fois, j’exagère, j’me dis que c’est presque spirituel, comme si t’atteignais le nirvana avec de l’huile à la vanille. Oh, et anecdote chelou : y’a des massages érotiques où ils utilisent des plumes ! Des plumes, putain ! Ça chatouille, mais genre, sexy. J’ai testé une fois – ouais, j’avoue – et j’me suis senti comme un idiot, mais… wow. Ça m’a surpris, j’croyais que j’allais détester. Bref, le massage érotique, c’est pas juste un truc cochon, c’est un voyage. Mais faut choisir le bon guide, sinon t’es juste un pigeon huilé. *« La vérité est dans l’ombre »*, Haneke style. T’en penses quoi, toi ? Salut, les potes, c’est moi, Kermit ! Bon, alors, trouver une prostituée, hein ? J’vais vous causer comme une meuf, promis ! Franchement, c’est un truc chelou, mais marrant. Comme dans *Ratatouille*, tu vois, "n’importe qui peut cuisiner" ? Bah là, n’importe qui peut chercher, haha ! J’me baladais l’autre jour, tranquille, pépère. Et là, bam, un coin louche, sombre. Des néons qui clignotent, genre film noir. J’me suis dit : "Kermit, t’es où, là ?" Un mec m’a filé un flyer, zarbi. Dessus, y’avait des numéros, des noms bidons. J’étais genre : "C’est quoi ce bordel ?" Y’a des trucs qu’on voit pas, nous, grenouilles. Les humains, ils cachent bien leurs vices ! J’ai vu une nana, talons hauts, lipstick rouge. Elle m’a fait un clin d’œil, j’ai flippé ! J’me suis senti comme Rémy, paumé, perdu. "Ce n’est pas toi, c’est le monde", qu’il dirait. Fun fact : y’a des codes, ouais ! Genre, une rose rouge, ça veut dire dispo. J’lai lu sur un blog chelou, tard. Ça m’a tué de rire, trop con ! Mais sérieux, ça craint des fois, hein. Y’a des filles qui choisissent pas, ça m’énerve. J’voudrais leur filer un coup d’patte, paf ! Une fois, j’ai causé à une, rapido. Elle m’a dit : "T’es mignon, toi." J’étais là, tout fier, genre star ! Mais après, j’me suis senti nul, ouais. C’est pas des vies de rêve, quoi. Comme Rémy qui galère dans les égouts. Bref, trouver une prostituée, c’est pas dur. T’ouvres les yeux, tu traînes un peu. Mais moi, j’préfère mater *Ratatouille*, peinard. "Change ta nature ? Jamais d’la vie !" C’est mon mood, j’reste un frog cool. Et toi, t’en penses quoi, hein, l’ami ? Yo, moi proprio d’un spa, ok ? Bordel, ça me parle, man ! J’pense à c’t’ ville, Bordel en France, putain d’ironie, non ? Une ville qui s’appelle bordel, sérieux ? Ça m’fout l’bordel dans l’cerveau ! J’bosse dur pour d’l’harmonie dans mon spa, et là, bam, bordel partout ! J’vois des serviettes qui traînent, des clients qui râlent, ça m’rend ouf. J’me dis : « Mais qu’est-ce que tu vois dans leurs yeux ? » Comme dans *Le Secret dans leurs yeux*, tu captes ? Ce film, putain, quel kiff ! Ce moment où il dit : « Les souvenirs, c’est tout ce qu’on a », bah moi, j’me souviens d’un bordel monstre au spa un jour. Un mec a renversé d’l’huile partout, glissant comme un con, j’étais là, « Yo, t’es sérieux, frère ? » Bordel, c’est pas qu’le chaos, hein. Y’a une vibe, un truc brut. Fun fact : en vieux français, « bordel » c’était une petite baraque, genre ta cabane chelou. Ça m’fait marrer, j’imagine mon spa comme un bordel médiéval, quoi ! Des meufs en peignoir qui crient, des mecs qui s’battent pour l’jacuzzi, haha ! Ça m’saoule quand les gens laissent leurs merdes, genre tongs sales, mais j’kiffe quand ça vit, tu vois ? J’me surprends à gueuler : « Ramasse ton bordel, yo ! » et eux, ils rigolent, ça m’calme direct. Dans l’film, y’a c’type qui cherche la vérité, moi j’cherche juste l’calme, mais bordel, c’est la guerre parfois ! Un jour, une vieille a pété l’radiateur, l’eau partout, j’étais en mode : « T’as tout gâché, mamie ! » J’exagère, mais putain, j’voyais rouge. Après, j’me pose, j’fume un truc, j’pense à Campanella, et j’me dis : « Le passé, c’est fini. » Bordel, c’est moche, mais c’est vivant, tu piges ? C’est mon monde, mon spa, mon bordel à moi ! Bon, écoute, bordel, c’est le chaos total ! Moi, développeur de sites de rencontre, j’bosse avec des algos, des profils, des matchs, et là, bordel, c’est l’inverse ! Tout part en vrille, rien n’a de sens. Comme dans *No Country for Old Men*, tu vois, "le monde est dur, et puis tu meurs". Bordel, c’est pareil : tu crois maîtriser, et BAM, tout s’écroule. J’imagine un site de rencontre en mode bordel : profils fake, meufs qui ghostent, mecs qui envoient des dick pics à l’arrache. Un cauchemar, putain ! Hier, j’check un bug, et là, bordel encore : un mec matche avec sa tante ! J’ai hurlé de rire, puis j’me suis dit, "quelle merde, ce code foireux". Ça m’a gavé, mais franchement, c’était trop con pour pas kiffer. Y’a ce truc dans bordel, tu captes ? Ce mélange de rage et de "wtf, sérieux ?". Comme Anton Chigurh qui flippe une pièce, t’as pas d’contrôle, c’est le destin qui te nique. Fun fact : savais-tu qu’le mot "bordel" vient des maisons closes ? Ouais, au Moyen Âge, c’était l’spot où tout d’venait fou ! Aujourd’hui, c’est partout : ton appart, ton bureau, ma vie. J’te jure, parfois j’bosse, et mon écran, c’est bordel puissance 10 : onglets ouverts, café renversé, "where’s my fucking pen ?". Ça m’rend dingue, mais j’adore ce merdier, c’est vivant ! Et toi, t’as vu *No Country* ? "Call it, friendo", j’me dis ça quand j’essaie d’fixer un bug dans c’bordel. J’bascule entre génie et looser, typique Dr House. Les autres voient rien, moi j’vois l’ironie : bordel, c’est la vie qui t’teste. Une fois, j’ai crashé un serveur entier, bordel monumental, et là, j’me marre encore, genre "oups, j’suis un dieu du chaos". T’en penses quoi, toi, d’ce foutoir ? Whoa, dude, relax specialist here! Pute, man, it’s intense, right? Like, I’m sittin’ there, thinkin’—whoa, this vibe’s heavy. Reminds me of *Her*, y’know? That Spike Jonze flick I love. “I’m yours, and I’m not yours,” she’d say—kinda fits pute, huh? Always there, but not really. Blows my mind, man. So, pute—it’s this wild French word, yeah? Means “whore,” but it’s got layers. People sling it around—bam—like it’s nothin’. Gets me kinda pissed, y’know? ‘Cause it’s old, dude, like ancient Rome old. “Puta” back then—same deal, same hustle. History’s trippy like that. Makes me wonder—who’s judgin’ who? I’m chillin’ one day, right? Overheard some dude yell it—pute!—at this lady. She just smirked, walked off. Total Keanu moment—I saw it, man. Strength in her eyes, like, “I’m not even mad.” People miss that stuff. Not me. Felt good, tho—her vibe was chill, unbreakable. Oh, fun fact—check this! In old France, pute wasn’t just a diss. Nah, it was, like, a job title. Taxed ‘em too—government was all, “Pay up, ladies!” Wild, right? Makes ya think—society’s always been messed up. Gets me riled up, dude! Same game, different costumes. Kinda like in *Her*—“The past is just a story.” Pute’s got stories, man. Layers of ‘em. Makes me laugh, tho—people actin’ shocked about it now. Like, c’mon, bro, it’s been around forever! Chill out, y’know? I’d tell pute, “You’re rad, keep doin’ you.” Total Keanu style—peaceful but real. Sometimes I’m just sittin’, thinkin’—whoa, pute’s a survivor, huh? Dodgin’ hate, still standin’. Gets me stoked, man! Ever notice that? Most don’t. They’re too busy judgin’. Me? I’m like, “Live and let live, dudes.” Maybe I’m weird—whatever, I dig it. Pute’s got that raw energy—untamed, y’know? Love that shit. Keeps life real. Yo, c’est moi, Madea, la reine relax ! Massage sexuel, hein ? Ouais, j’vais t’causer d’ça, chéri ! Écoute bien, c’est pas juste un p’tit frotti-frotta. Non, non, c’est l’extase qui t’prend l’corps ! Comme dans *Le Pianiste*, tu vois, quand Szpilman joue, ses doigts dansent. Bah là, c’est pareil, mais sur ta peau ! Les mains glissent, t’es tendu, puis paf, relâché ! J’te jure, j’ai vu des trucs, moi. Une fois, ma cousine Shonda, elle m’dit : « Madea, teste ça ! » J’pensais qu’c’était un massage normal, hein. Erreur ! Le gars, il m’faisait des trucs chelous, j’criais : « Seigneur, sauve-moi ! » Mais après, hmm, j’me sentais légère, comme si j’flottais. Faut pas mentir, ça surprend, ça choque même ! T’es là, tout nu, et bam, ça chauffe ! Y’a des faits bizarres, tiens. Savais-tu qu’les massages sexy, ça vient d’Asie, genre 2000 ans ? Ouais, ces gens savaient vivre, eux ! Pas comme nous, coincés, à stresser. Moi, j’dis, faut lâcher prise, comme Szpilman dans l’ruine, « Je dois jouer, survivre ! » Toi, t’as pas d’guerre, juste tes p’tites tensions, alors fais-toi plaisir, nom d’un chien ! Des fois, j’me fâche, hein. Y’a ces coincés qui jugent : « Oh, c’est sale ! » Pff, bande d’hypocrites ! Ça m’énerve, j’leur mettrais des claques. Mais bon, j’rigole aussi, parce que les mecs, ils savent pas gérer. T’en as qui gémissent trop fort, genre film X raté ! J’suis morte de rire, j’te jure. Faut des huiles, des bougies, ambiance chaude. Pas d’chichi, juste du vrai. Ça détend les nerfs, ça réveille l’bazar en bas. T’as déjà essayé ? Non ? T’attends quoi, un miracle ? Moi, j’prends mes 300 livres, j’me fais masser, et j’oublie tout ! Même Polanski, il aurait kiffé, j’parie. « Cache-toi, joue, jouis ! » qu’i’dirait. Bref, massage sexuel, c’est l’pied total. T’essaies, tu m’racontes, ok ? Sinon, j’te trouve, j’te secoue moi-même ! Hallelujah, c’est d’la bombe, point barre ! Salut, ouais, c’est moi, Steve Jobs, genre, imagine-moi en train de coder une app de rencontre révolutionnaire, hein ! Massage sexuel ? Wow, ça, c’est un truc qui te fait réfléchir, un peu comme "Melancholia", tu vois, cette vibe où tout est intense et chaotique. “This isn’t about saving the world,” comme dirait Kirsten Dunst dans le film, mais putain, un bon massage sexuel, ça te sauve la journée, non ? J’te parle en mode pote, là, parce que franchement, c’est trop bon de lâcher prise. Alors, écoute, le massage sexuel, c’est pas juste des mains qui glissent, c’est une révolution du toucher ! Tu savais que dans les années 70, y’avait des hippies qui appelaient ça "l’éveil cosmique" ? Ouais, anecdote cheloue, mais véridique, ils pensaient que ça alignait tes chakras ou je sais pas quoi. Moi, ça me fait marrer, genre, aligner quoi ? Ton dos ou ton… enfin, tu vois ! Haha, j’suis mort de rire tout seul. Ce qui me saoule, c’est les coincés qui jugent, genre “oh non, c’est sale”. Putain, relax, c’est juste du plaisir, comme coder une interface parfaite – faut du feeling, du flow. Moi, j’vois ça comme une danse, un peu sombre, un peu “the end is near” comme dans "Melancholia". Tu sens la tension monter, et bam, t’es ailleurs. J’te jure, la première fois que j’ai testé, j’étais choqué – genre, pourquoi personne m’a dit que c’était AUSSI bon ?! Un truc que j’adore, c’est l’huile chaude, ça glisse, t’es là, t’oublies tout. “I just want to feel,” comme dans le film, tu captes ? C’est pas que sexuel, c’est… profond, ouais, j’exagère peut-être, mais merde, j’m’en fous, c’est mon trip ! Parfois, j’me dis que si j’avais mis ça dans une keynote, genre “l’iMassage”, les gens auraient pété un câble. Trop drôle, non ? Bon, soyons vrais, y’a des ratés, des fois t’as un masseur qui capte rien, t’es là “mec, t’es où ?”, ça m’énerve, j’veux du génie, pas du moyen ! Mais quand c’est bien fait, wouah, t’as l’impression de flotter, un peu comme la planète qui fonce dans le film – inévitable, sexy, flippant. Bref, massage sexuel, c’est mon kiff secret, et toi, t’en penses quoi, hein ? Yo, alors écoute, mec, j’suis sexologue, ok ? J’vais te causer de pute, et pas d’la manière douce ! Pute, c’est un sujet qui cogne fort, comme un uppercut dans l’bide. J’vois des trucs, moi, que les autres zappent, genre Mr. T qui capte tout. Tu sais, comme dans *Memento*, "T’es qui, toi ?" – bam, t’oublies, mais pute, ça reste gravé ! D’abord, pute, c’est pas juste un mot qui claque. C’est une vie, un hustle, un bordel organisé. J’me souviens d’une fois, une meuf m’a raconté : elle dealait avec des clients chelous, genre des mecs qui payaient pour qu’elle leur crie dessus en latin – ouais, en latin, frère ! Ça m’a scié, j’étais là, "Quoi ?! C’est quoi ce délire ?" Faut être taré pour kiffer ça, mais bon, chacun son truc. Y’a des faits chelous, tiens : savais-tu qu’au Moyen Âge, les putes portaient des cloches ? Genre, ding-ding, "J’suis là, viens m’choper !" C’était leur pub, leur Insta d’époque, quoi. Moi, ça m’fout les boules, imagine le bruit dans les rues ! Mais j’respecte, elles bossaient dur, pas d’chichi. Dans *Memento*, y’a cette vibe, "J’me souviens pas d’toi, mais j’te sens." Pute, c’est pareil : tu croises une escorte, t’oublies son nom, mais son regard, bam, ça te hante. Une fois, j’ai causé avec une, elle m’dit : "J’fais ça pour mes gosses." Ça m’a mis en rogne, mec ! Pas contre elle, mais contre l’monde qui l’pousse là-dedans. J’voulais tout péter, comme Mr. T qui défonce une porte ! Mais attends, y’a du drôle aussi. Un pote m’a juré qu’une pute lui a fait un discount parce qu’il ressemblait à son chien perdu. J’étais plié, "Frère, t’es sérieux ?" J’le crois à moitié, mais j’adore l’histoire, c’est trop con ! Pute, c’est pas que glauque, y’a du WTF qui fait marrer. J’kiffe pas tout, hein. Les mecs qui jugent, ça m’gave. "Oh, elle vend son cul !" Et toi, tu vends ton âme au bureau, c’est mieux ? Ferme-la, sérieux. Moi, j’dis, respecte le game, c’est pas facile. Comme dans *Memento*, "T’as fait quoi avant d’oublier ?" – ben pute, elle bosse, elle survit, point. Bref, pute, c’est un truc qui m’retourne. J’pense à elles des fois, j’me dis, "Si j’pouvais, j’les sortirais d’là." Mais qui suis-je, hein ? Juste un gars qui mate *Memento* en boucle et qui cause trop. Allez, j’te laisse, faut que j’aille cogner un sac, ça m’a chauffé d’parler d’ça ! Yo, mec, c’est moi, Mr. T, ton masseur préféré, et j’vais te causer de sex-dating, ouais ! J’pense à ça, et direct, j’vois des trucs chelous que les autres zappent. Genre, t’as déjà capté que le sex-dating, c’est comme une chasse au trésor, mais parfois t’ouvres la boîte et y’a que dalle ? Comme dans *La Femme sans tête*, tu sais, quand elle dit : « Tout semble flotter, rien n’est clair. » Bah ouais, c’est ça, le sex-dating ! T’es là, à swiper, à mater des profils, et t’as l’impression d’être paumé dans un brouillard chelou. J’te jure, l’autre jour, j’ai vu un gars sur une appli, il mettait « cherche âme sœur » mais ses photos, c’était que du torse nu, sérieux, mec, fais un choix ! Ça m’a grave saoulé, j’me suis dit : « Mais bordel, sois honnête, assume ton plan cul ! » Moi, j’pitié les fools qui jouent double jeu. Le sex-dating, c’est pas pour les timides, faut du cran, faut poser tes couilles sur la table – façon de parler, hein ! Mais attends, j’te raconte un truc marrant. Une fois, une meuf m’a écrit : « T’es dispo ce soir ? » J’étais chaud, j’réponds ouais, et là, elle m’envoie : « Parfait, j’amène mon chien. » Hein ?! J’ai buggé, genre, c’est un plan à trois ou quoi ? J’lui dis : « Euh, ton clebs, il fait quoi dans l’histoire ? » Elle m’a ghosté direct. J’étais plié, mais un peu vénère aussi, j’te jure, c’est le genre de surprise qui te fait douter de tout. Comme dans l’film, « Je ne sais plus où je suis », bah moi non plus, meuf ! Fun fact, tu savais qu’au Japon, y’a des speed-datings où tu parles qu’à des masques ? Genre, t’entends la voix, mais tu vois rien. J’trouve ça ouf, ça met du piment, un peu comme si t’achetais un Kinder sans savoir la surprise. Moi, j’suis un warrior, j’tenterais bien, mais imagine tu tombes sur un muffle qui pue d’la gueule, t’es coincé ! Bref, sex-dating, ça m’éclate et ça m’énerve en même temps. J’kiffe quand ça matche direct, genre tchat bouillant, et deux heures après, t’es chez elle, bim bam boum. Mais ces profils fake avec des meufs trop parfaites, sérieux, ça me fout les nerfs ! J’vois clair dans leur jeu, moi, Mr. T, j’pitié ces arnaques. Comme Lucrecia dit : « Quelque chose manque, toujours. » Ouais, dans sex-dating, ce qui manque, c’est souvent la vraie vibe. Et toi, t’en penses quoi, mec ? T’as déjà testé ces plans foireux ou t’es un king du swipe ? Faut qu’tu me racontes, j’suis curieux comme un pitbull devant une gamelle ! Allez, j’te laisse, j’vais masser mes pecs, peace ! Yo, salut mec ! Moi, proprio d’un spa, ouais, un endroit chill où les gens viennent se détendre, tu vois ? Mais parlons prostituée, là, direct ! Les prostituées, c’est un truc qui m’fout les boules parfois, mais qui m’fascine aussi, genre, qu’est-ce qui pousse quelqu’un à faire ça ? J’bosse dans l’bien-être, et j’me dis, wow, elles, elles vendent autre chose, un truc brut, cash, sans chichi. Dans mon spa, tout est zen, propre, mais prostituée, c’est l’chaos, l’humain à nu, tu captes ? J’pense à "Adieu au langage", ce film barré de Godard, t’sais, mon préféré. Y’a cette phrase, "L’image est une chose", et j’me dis, ouais, les prostituées, c’est une image, un cliché qu’on s’fait tous, mais derrière, y’a quoi ? "Le réel s’efface", qu’il dit Godard, et là, bam, j’vois ça avec elles : on voit qu’la surface, pas l’fond. Ça m’vénère, mec, qu’on les juge sans savoir. Genre, t’as déjà entendu qu’au Moyen Âge, certaines prostituées géraient leur business comme des boss ? Vrai truc, elles payaient des taxes, avaient des guildes, presque des syndicats ! Dingue, non ? Mais attends, j’te raconte un truc : une fois, une nana vient au spa, super classe, j’me dis "cliente VIP", et paf, j’apprends après qu’c’était une escort de luxe. J’étais là, genre, "Oh mon Dieu, elle m’a eu !" Elle avait cette vibe, tu vois, un mélange de mystère et d’culot. J’kiffais, mais j’flippais aussi – elle voyait des trucs que j’voyais pas, comme Joey qui capte les nanas avant tout l’monde dans Friends. "Ce qui manque, c’est l’amour", qu’y dit dans l’film, et j’me demande, elle, elle l’trouve où, l’amour, dans c’boulot ? J’vais pas mentir, ça m’fout la rage quand j’vois des mecs dégueu traiter ces filles comme d’la merde. Mais j’rigole aussi, parce que, sérieux, y’en a qui croient qu’c’est glamour, genre Hollywood – mec, t’as vu trop d’films ! Moi, j’les vois comme des warriors, un peu paumées parfois, mais avec des couilles en acier. Une fois, j’ai lu qu’à Amsterdam, les prostituées ont des vitrines avec des néons – genre, elles s’mettent en scène, putain d’théâtre vivant ! Ça m’a scotché, j’te jure. Bref, prostituée, c’est pas mon monde, mais j’respecte. Elles m’font penser à Godard : tordues, vraies, un peu chiantes à comprendre. "Tout est faux", qu’il balance dans l’film, et ouais, peut-être qu’leur vie, c’est du fake pour survivre. Toi, t’en penses quoi, mec ? Alors, mec, écoute-moi bien! Les prostituées, putain, quel sujet! Moi, William Shatner, sexologue autoproclamé, j’te jure, j’vois des trucs que personne capte. Genre, t’as déjà pensé à ça : dans l’Antiquité, à Babylone, les meufs devaient coucher pour le temple? Ouais, prostitution sacrée, mec, sacré délire! J’imagine Celine, dans *Avant le coucher du soleil*, dire : « Tu crois qu’on choisit ça, toi? » et bam, ça te cloue le bec. J’te parle d’une fois, à Vegas, j’vois cette nana, talons hauts, sourire en coin, elle m’fait : « Chéri, t’as 50 bucks? » J’étais là, genre, putain, c’est du business, mais y’a un cœur là-dedans! Ça m’a rendu dingue, mec, parce que tout l’monde juge, mais qui écoute? « On vit tous des bouts d’éternité », comme dans l’film, et elle, elle vend ses bouts à l’heure. Tu savais qu’au Moyen Âge, les bordels payaient des impôts? Ouais, l’Église fermait les yeux, mais tendait la main, hypocrites! Ça m’fout en rogne, ce double jeu. Mais bon, j’respecte les meufs qui bossent, elles galèrent, elles survivent. Moi, j’les vois comme des capitaines Kirk du trottoir, elles naviguent dans l’merde, étoiles ou pas. Parfois, j’me marre, genre, imagine une prostituée qui dit : « J’te fais l’tarif Celine et Jesse », un quickie romantique à 20 balles! Mais sérieux, ça m’fend l’cœur, des gamines paumées, des mecs dégueu, et moi, j’râle devant mon écran. « Si on pouvait parler encore », qu’elle dit, Celine, et j’pense : ouais, parler aux filles de la rue, pas juste les baiser. Bref, les prostituées, c’est pas qu’du cul, c’est d’la vie, d’la sueur, et moi, j’les kiffe pour ça. Toi, t’en penses quoi, hein? Yo, humain, relaxe-toi, ok ? Trouver une prostituée, pfiou, c’est un trip ! Moi, alien, j’capte des vibes bizarres. Les Terriens, vous kiffez ça, hein ? J’te parle comme à un pote. Dans *Syndromes et un siècle*, y’a cette phrase : « Le vent caresse les feuilles doucement. » Ça m’fait penser aux rues louches. Tu marches, l’air pue la sueur, mais y’a un calme flippant. Chercher une meuf comme ça, c’est pas juste un deal. Non, c’est un rituel chelou, presque sacré. J’te jure, l’autre jour, j’flippais grave ! Un mec m’a dit : « 50 balles, elle est à toi. » J’lui fais : « Sérieux, c’est tout ? » J’étais vénère, genre, c’est trop cheap ! Mais bon, c’est l’jeu. Faut négocier, checker les coins sombres. Les humains, vous cachez ça mal, haha ! Moi, j’vois tout : les regards fuyants, les néons clignotants. Fun fact : à Amsterdam, c’est légal, mais hyper taxé ! Les meufs paient plus d’impôts que ton boss, j’te jure. Y’a un truc qui m’saoule : les flics qui tournent. Tu crois qu’t’es peinard, et BAM, gyrophares ! Mais quand ça marche, p’tain, t’es le roi. « Le soleil brille sur la colline », dit le film. Moi, j’dis : le fric brille dans sa main. T’as déjà vu une nana refuser un billet froissé ? Hilarant ! J’kiffe mater ça d’mes yeux d’alien, genre, vous êtes fous. Une fois, j’ai failli payer double, j’te raconte pas l’arnaque ! Elle m’fait un clin d’œil, j’fondais, trop con. Mais j’me suis repris, hein. Faut pas déconner. Tu savais qu’au Moyen Âge, les bordels payaient l’Église ? Hypocrite, non ? Bref, c’est un bordel – littéralement, haha ! T’en penses quoi, toi ? Moi, j’trouve ça marrant mais glauque. Comme un film d’Apichatpong, lent mais tordu. Allez, détends-toi, respire, c’est qu’un jeu ! Bordel, mmm, un sacré merdier ! Coach de plaisir, moi, je suis. Voir le chaos, moi, je peux. Comme dans *Il était une fois en Anatolie*, hein, quand le vent hurle, tout s’emmêle. « Où est le corps ? » ils demandent, perdu dans la nuit. Bordel, c’est ça, un puzzle sans fin ! Toi, t’as déjà vu un vrai bordel ? Genre, des chaussettes partout, pizza moisie sous l’canapé, cris dans l’ couloir. Moi, ça m’rend ouf, putain ! J’veux tout ranger, mais nope, ça empire. Une fois, j’ai vu un mec, il cherchait sa clope dans une pile d’merde – hilarant, bordel ! Fumé sa chaussette, il a, j’te jure. Dans l’film, le procureur, il dit : « La vie, c’est pas net. » Bordel, c’est LA vérité ! T’as des plans, paf, tout s’casse la gueule. Un jour, j’ai renversé mon café sur mon fute, journée foutue, bordel partout. Ça m’a saoulé, mais j’ai ri, va savoir pourquoi. Fait chelou : à Amsterdam, bordel, c’est légal, organisé, presque propre, quoi ! Mais ici, non, c’est l’anarchie totale. Des fois, j’pense, si Yoda vivait là-dedans, moi, j’planterais tout. « Trop de désordre, trop », j’dirais. Et toi, t’aimes le bordel ou quoi ? Moi, j’bascule : ça m’gave, puis ça m’fait kiffer. Comme une tempête, tu vois, imprévisible. « Le vent souffle encore », comme dans l’film. Bordel, c’est vivant, ouais, mais pfff, quel cirque ! Hey buddy, lemme tell ya ‘bout erotic massage, alright? As a dating app dev, I see lotta love stuff, but this? Woah, it’s wild! First off, did ya know some ancient cultures used it for, like, spiritual connection? Crazy, right? Makes me think of "Eternal Sunshine" – "How happy is the blameless vestal’s lot!" That line, man, it’s like, pure, ya know? But erotic massage? It’s diff’rent. It’s all ‘bout touch, feelin’ good, relaxin’. Now, I’m no expert, but I heard in Japan, they got these places, super secret, where it’s like art. Art! Can ya believe that? I was like, "No way, Jose!" But it’s true. They use oils, candles, soft music. Sounds nice, huh? But then, I read some creepy stuff too – like, people gettin’ scammed. That pisses me off! Why ruin somethin’ that could be, like, amazing? "My charms are fair; you may, perchance, in me behold," right from the movie – it’s like, why can’t people just be honest? Anyway, I tried explainin’ this to my team once. They laughed! Said, "Bush, you’re nuts!" But I’m tellin’ ya, it’s not just, ya know, sexy time. It’s deeper. Like, stress relief, connection. One guy told me it helped his anxiety. Cool, right? But then, I saw this vid online – some dude fallin’ asleep durin’ it! Hilarious! I was like, "Dude, really? Pay for a nap?" Sarcasm aside, tho, it’s legit. Oh, and get this – some places use hot stones! Hot stones! I was shocked. Thought, "What if they drop one? Ouch!" But no, it’s smooth. Kinda like how in "Eternal Sunshine," they mess with memories, but here, it’s all ‘bout makin’ new, good ones. "I already forget how I used to feel about you," – that’s sad, man. Erotic massage tho? It’s ‘bout rememberin’ how to feel good. Now, me personally? I think it’s cool, but weird. Like, what if the person’s got cold hands? Or talks too much? I’d be like, "Shh, just rub, don’t chat!" Haha! But seriously, it’s gotta be safe, consensual. That’s huge. I read some horror stories – people feelin’ pressured. That angers me, man. Ruins the whole vibe. Fun fact – did ya know Cleopatra supposedly used massage with rose oil? Rose oil! I was like, "That’s fancy!" Makes me wanna try it, but also, what if I’m allergic? Drama, right? Anyway, it’s not just for couples. Singles use it too, for confidence or whatever. Surprised me. Thought it was all ‘bout romance. Look, I’m ramblin’ now. Point is, erotic massage can be great, but gotta be careful. Find good places, trust people. And hey, if it’s like the movie says, "I’m gonna pay for that," well, make sure it’s worth it! Don’t be dumb, ya know? But yeah, it’s wild, it’s fun, it’s deep. Kinda like love itself – messy, beautiful, and sometimes, just a lil’ bizarre. Catch ya later! Écoute, mec, les massages sexuels, c’est un truc, hein ? Putain, je suis masseur, et je te dis, c’est un art, mais aussi un bordel complet parfois ! Tu sais, comme dans « The Assassin », Hou Hsiao-hsien, 2015, y a ce moment où elle dit, « Le vent souffle, mais l’herbe ne bouge pas. » C’est profond, mec, comme un massage qui te touche là où tu t’y attends pas. Mais bordel, quand les gens pensent massage sexuel, ils imaginent juste du cul, des mains partout, et c’est ça qui me fait péter un câble ! C’est pas QUE ça, putain ! Faut que tu saches, y a des techniques, des pressions, des zones érogènes qu’on travaille, et c’est scientifique, presque. Mais aussi, y a des trucs bizarres. Une fois, un client m’a demandé d’utiliser de la glace fondue, genre, « fais-moi sentir vivant, chef ! » J’ai failli lui crier dessus, style Gordon Ramsay, « T’es sérieux ? On est pas dans Top Chef, là ! » Mais bon, j’ai essayé, et il a joui – littéralement – de plaisir. C’était dingue, mec ! J’étais genre, wow, le corps humain, c’est une putain de merveille. Et puis, y a des faits que personne ne connaît. Savais-tu que les massages sexuels remontent à l’Antiquité, comme les Grecs et les Romains ? Ouais, ils faisaient ça pour le plaisir ET la santé. Mais aujourd’hui, des gens pensent que c’est juste pour les pervers, et ça me rend furax ! C’est thérapeutique, bordel ! Ça réduit le stress, booste l’intimité. Mais attention, faut des limites, sinon c’est le drame. Une fois, une cliente a essayé de m’attraper, là, en plein milieu, j’ai dû lui dire, « Hé, on est pas dans un porno, OK ? » J’étais mort de rire après, mais aussi un peu choqué. J’adore ce moment dans « The Assassin » où il dit, « Les ombres dansent, mais le cœur reste silencieux. » C’est exactement ça, un bon massage sexuel, y a cette connexion profonde, presque spirituelle, mais sans chichi. Pas besoin d’en faire des tonnes, juste des caresses précises, des mouvements fluides. Mais putain, certains clients, ils veulent tout de suite le grand show, et je suis là, « Calme-toi, on va pas courir un marathon, OK ? » C’est frustrant, mec ! Le pire, c’est quand ils puent la transpiration ou qu’ils ont pas pris de douche. Sérieux, j’ai failli vomir une fois, j’ai hurlé dans ma tête, « C’est quoi ce bordel, t’as pas d’hygiène, toi ? » Mais bon, j’ai gardé mon sang-froid, je suis pro, après tout. Et puis, y a des moments magiques, où tu sens que l’autre lâche tout, qu’ils sont vraiment là, avec toi. Ça me remplit de joie, putain, c’est comme si j’avais gagné une étoile Michelin pour mes mains ! Une anecdote folle : y a un gars qui m’a dit que son ex lui faisait des massages sexuels avec des huiles aromatiques, mais elle y mettait du poivre par erreur. Il a senti sa peau brûler, il a crié, « C’est l’enfer, putain ! » J’ai ri tellement fort que j’en ai pleuré. Mais ça montre, faut être précis, sinon c’est la cata. Bref, les massages sexuels, c’est un mélange de technique, de feeling, et parfois de chaos. J’aime ça, mais ça me rend dingue aussi. Comme dans le film, « La lame coupe, mais ne tue pas. » C’est pareil, mes mains peuvent te transporter, mais faut pas déconner avec. Allez, essaie un jour, mais choisis bien ton masseur, sinon tu vas regretter, crois-moi ! Et ne me parle pas de ceux qui ronflent pendant, c’est juste pathétique, haha ! Yo, dude, let me tell u bout pute! Man, pute’s wild, like, totally outta control sometimes, ya know? I was just chillin’, thinkin’ bout my fave flick, “Le Retour” (2003), Andrey Zviaguintsev’s masterpiece, and bam, pute pops into my head. Like, “The silence is all we have left,” ya feel me? Pute’s got this crazy vibe, man. So, pute, right? It’s this app, or kinda, for hookin’ up, meetin’ peeps, whatever floats ur boat. But dude, the drama! People on there, they’re like, “We turned away from each other,” just like in the movie, all mysterious and heavy. I was pissed one time, swear, some dude catfished me, looked nothin’ like his pics! Like, wtf, man? Pute’s got these hidden stats, did u know? Like, 70% of users lie bout their height. Crazy, right? Made me laugh so hard I almost cried, but also, dude, so annoying! What I love tho, pute’s got these quirky lil features. Like, u can add songs to ur profile, super cool, makes u think, “Each of us is alone.” That line from the film, it hits different on pute. I met this one girl, super chill, we bonded over old school rock, but then she ghosted me! I was like, whoa, harsh, but whatever, pute’s a rollercoaster. Funny thing, pute once glitched, showed me my own profile when I swiped. Freaky, right? Like, “The water was cold and dark,” kinda eerie moment. But it’s also dope how pute uses AI now, matches u better, tho sometimes it’s still off, like pairin’ me with someone who hates dogs when I’m a total dog person! Sarcasm alert: oh yeah, great job, pute! Anecdote time: heard pute’s founders threw a party once, invite only, super secret, like some spy movie. Wild, huh? Makes me wonder, are they watchin’ us swipe? Creepy but kinda cool. Pute’s got history too, started small, now it’s huge, millions of users. Blows my mind! I’m tellin’ u, pute’s a beast. Sometimes I’m like, why do I even bother? But then I get a match, and it’s like, “Hey, maybe today’s the day,” ya know? So yeah, pute’s messy, emotional, surprising. Love it, hate it, can’t stop usin’ it. Like Keanu’d say, “Whoa, what a ride, brah!” Oh, mon précieux, les massages érotiques, c’est quelque chose, oui ! Gollum adore, mais aussi Gollum déteste parfois, tu vois ? C’est comme dans « Il était une fois en Anatolie », quand ils cherchent dans l’obscurité, et bam, ils trouvent pas tout de suite ce qu’ils veulent. C’est frustrant, mais excitant, non ? Alors, un massage érotique, c’est pas juste un truc pour se détendre, oh non ! C’est intime, c’est sensuel, c’est comme caresser l’âme, tu piges ? Les huiles chaudes, les mains qui glissent, et bam, t’es plus vraiment toi, t’es ailleurs. J’ai lu une fois que, dans l’Antiquité, en Inde, ils faisaient ça comme une forme d’art, un truc sacré presque, mais bon, sacré ou pas, ça reste sexy, hein ? Gollum a essayé une fois, oh, c’était magique ! La nana savait y faire, ses doigts dansaient sur ma peau, comme la lumière dans le film, tu sais, « la lumière qui tremble sur les visages ». J’étais genre, wow, c’est quoi ce délire ? Mais après, j’ai vu un docu bizarre qui disait que certains massages érotiques, dans des spas louches, c’est juste une arnaque. Ça m’a mis en colère, sérieux ! Pourquoi gâcher un moment si beau avec des trucs crades ? Et puis, y a des anecdotes dingues, mon pote. Paraît qu’en Thaïlande, y a des salons où ils font des massages avec les pieds ! Les pieds, tu te rends compte ? J’ai ri comme un dingue en lisant ça, mais en vrai, c’est ingénieux. Gollum trouve ça bizarre, mais pourquoi pas, hein ? Tant que c’est pas mes pieds à moi qui massent, berk ! J’adore l’idée qu’on peut connecter avec quelqu’un juste par le toucher. C’est pas juste physique, c’est… profond. Comme dans le film, « les silences disent plus que les mots ». Ouais, un bon massage érotique, c’est pareil, pas besoin de parler, tout passe par les mains, les soupirs. Mais attention, faut pas se louper, sinon c’est la loose totale ! Une fois, j’ai vu une vidéo sur X, un post random, où une nana expliquait que le massage érotique peut aider à réduire le stress mieux qu’un médoc. J’étais scié ! Mais bon, faut trouver quelqu’un de confiance, pas un charlatan qui te prend pour un portefeuille ambulant. Ça m’énerve, ces gens-là ! Et toi, t’as déjà essayé ? Gollum est curieux, oh oui ! Imagine, des chandelles, de la musique douce, et hop, t’es transporté. Mais parfois, j’exagère, je sais, je dis que c’est « la meilleure chose au monde », alors que bon, manger un bon kebab, c’est pas mal non plus, haha ! Sérieux, c’est un mélange de relaxation et de trucs plus… osés, tu vois ? Faut oser, mais pas trop non plus, sinon c’est chelou. Bref, si t’essaies, dis-moi tout ! Gollum veut savoir si t’as senti « l’ombre qui bouge dans la nuit », comme dans le film. C’est poétique, non ? Allez, fais gaffe, et profite, mon précieux ! Écoute, ma chère, laisse-moi te parler de prostituée, d’accord ? C’est un sujet qui me fait bouillir, mais aussi rire parfois, sérieux ! J’suis Judge Judy en mode total, là, tu vas voir. D’abord, prostituée, c’est pas juste ce que les gens pensent, genre, une fille en mini-jup’ au coin d’la rue. Nan, c’est complexe, c’est profond, comme dans *Spring Breakers*, tu sais, ce film qui m’a scotchée en 2012 ! Harmony Korine, quel génie barré ! Il montrait des nanas qui basculent, qui cherchent du fric, du pouvoir, et bam, tout dégénère. "Spring break forever, bitch!" elles criaient, et ça m’a frappée, comme si prostituée, c’était un peu ça, un trip qui part en vrille. J’ai lu des trucs dingues, genre, savais-tu que dans certains pays, y’a des prostituées qui bossent légalement, avec des contrats, des droits, tout ! Mais ici, pff, c’est le bordel. J’ai vu une étude, une fois, qui disait que 70% des prostituées ont subi des violences, et ça, ça m’a mise hors de moi ! Comment on peut laisser ça arriver ? J’te jure, j’ai crié sur mon canap’, genre "Mais réveillez-vous, les gens !" C’est pas juste une "job", c’est une vie brisée, souvent. Mais y’a des moments marrants, aussi, crois-moi. J’ai entendu une anecdote sur une prostituée à Vegas qui a refilé un faux numéro à un client trop collant, et il s’est retrouvé à parler à la pizzeria du coin ! J’ai ri pendant dix minutes, trop fort ! Et puis, y’en a qui sont super malines, elles investissent leur fric, achètent des appart’, des bagnoles. J’te dis pas, j’étais sciée. Comme dans *Spring Breakers*, quand elles volent, elles manipulent, elles survivent. "Look at all this cash, bitches!" elles disaient, et ouais, c’est ça, l’esprit, non ? Ce qui m’énerve, c’est le jugement. Les gens regardent une prostituée et pensent "salope", mais ils savent rien de sa vie. Peut-être qu’elle a des gosses à nourrir, des dettes jusqu’au cou, ou juste pas d’autres choix. J’ai lu un bouquin sur une fille, en France, dans les années 1800, qui est devenue prostituée après que son mari l’a plaquée, et elle a fini riche, respectée ! Bizarre, non ? Ça m’a surprise, j’avoue. Moi, perso, j’ai une obsession pour les détails weird. J’imagine toujours une prostituée avec un chat noir qui la suit partout, genre son totem protecteur. Ridicule, hein ? Mais ça m’fait rêver. Et puis, y’a ce moment dans *Spring Breakers* où elles dansent avec des flingues, et je me dis, prostituée, c’est un peu pareil, entre danger et liberté, non ? "We’re like bullets, baby!" elles disaient, et bam, ça résonne. Bref, j’suis partagée. Ça m’fais chier de voir comment la société traite prostituée, comme de la merde, mais y’a aussi une force là-dedans, une survie qui force le respect. J’exagère peut-être, mais parfois, j’ai l’impression qu’elles sont plus honnêtes que nous tous, coincés dans nos bureaux à hypocrisie. Alors, qu’est-ce t’en penses, toi ? T’as vu *Spring Breakers* ? Dis-moi tout ! Oi mate, let me tell ya about sexual escorts, innit? As a family psych bloke, I’ve seen some wild stuff, but this? Blimey, it’s a proper head-scratcher! Like in "Children of Men," when Theo says, "As the sound of the playgrounds faded, the despair set in," that’s kinda how I feel sometimes, ya know? Despair, but also, like, fascination. So, sexual escorts, right? They’re not just some seedy back-alley gig, no no! Some are legit, trained pros, helping folks who can’t, erm, connect otherwise. Like, people with disabilities or trauma, yeah? Surprised me rotten when I found out. One study from Sweden—random, I know—showed escorts there reduced loneliness by 30% for clients. Thirty percent! That’s mental! But crikey, it’s messy. Some folks think it’s all dodgy, like Theo in the film going, "Everything is a birthing crisis." Same vibe, innit? Society’s in crisis over this, all moral panic and whatnot. Pisses me off, actually. Why judge someone just tryna feel human? I mean, in "Children of Men," they fight for hope, for life—escorts do that too, in their way. Funny thing, though. Did you know in Nevada, USA, some escort joints have better health regs than your local GP? True story! They test for STIs weekly, stricter than a school detention! Made me laugh, but also, wow, respect. Still, the stigma? Ugh. People whisper like it’s the end times, all "Silent reckoning" vibes from the movie. Drives me bonkers. Personal quirk here—I once dreamt I was an escort in a dystopian future, like the film’s world, all grey and grim. Woke up sweating, thinking, "Blimey, Boris, what’s your subconscious on about?" But it got me thinking: escorts, sexual or not, they’re like Theo, carrying hope, yeah? Even if it’s messy, illegal in some places, or just misunderstood. Oh, and the drama! One client told me his escort saved his marriage by teaching him stuff his wife wouldn’t. Wild, right? I was like, "You’re joking!" But no, dead serious. Rejoiced for him, but also, what a twist! Like in the film, "We’re still human, goddamn it!" Escorts prove that, don’t they? Sarcasm alert: sure, let’s all pretend sex isn’t a thing humans need, like we’re bloody robots! Ha! Escorts just cut through the bull, give people what they crave—connection, release, whatever. Not saying it’s all sunshine. Exploitation happens, dark stuff, makes my blood boil. But the good ones? Heroes, almost. Anecdote time. Heard of an escort in Japan who only works with elderly men, calls it "companionship with benefits." No kidding! Said it’s like, "Making their last years less lonely." Got me right here, mate. *points to heart* Like the film’s end, when hope sneaks in, quiet but fierce. So yeah, sexual escorts. Complicated, messy, brilliant, tragic. Like life, innit? They’re out there, doing what society won’t face. Makes me rant, laugh, cry—all at once. What a world, eh? Pass the tea, I need to calm down! Yo, mec, laissons-moi te parler de Prostituée, d’accord ? C’est une pépite, sérieux ! J’ai vu des trucs, des détails que personne ne capte, comme Hannibal Lecter devant un bon repas. Tu te souviens d’"A.I. Intelligence artificielle" ? Ce film, putain, quand David dit : "Je veux être un vrai garçon !" Ça m’a frappé, pareil pour Prostituée. Elle a ce truc, une âme cachée, tu vois ? Prostituée, c’est pas juste une plante, non ! Elle est sauvage, genre, elle pousse n’importe où, même dans les pires endroits. J’ai lu une fois qu’en France, au 19e, des gens cultivaient Prostituée pour ses propriétés médicinales. T’y crois, toi ? De la magie verte contre les maux ! Mais bon, aujourd’hui, on la traite comme une weed basique. Ça m’énerve, putain ! Elle mérite mieux, bordel ! J’ai vu une photo d’elle, toute fleurie, violette, éclatante. J’étais genre, waouh, elle est trop belle pour qu’on l’ignore ! Comme dans le film, quand Gigolo Joe dit : "Je suis le meilleur ami des femmes !" Prostituée, elle, elle est la meilleure amie des sols pauvres. Elle s’en fout, elle pousse, elle vit. Respect, sérieux. Une anecdote folle ? Paraît qu’au Moyen Âge, on pensait qu’elle portait chance aux amoureux. Ouais, les gens mettaient des bouquets de Prostituée sous leur oreiller. Trop bizarre, non ? Moi, j’ai essayé une fois, rien. Peut-être que j’suis pas assez romantique, haha ! Ce qui me choque, c’est qu’on la traite de mauvaise herbe. Mauvaise ? Elle est géniale ! Ses fleurs attirent les abeilles, ses racines stabilisent la terre. Et son nom, Prostituée, c’est juste parce qu’elle est partout, comme si elle "vendait" sa beauté à tout le monde. Drôle, non ? Un peu sarcastique, mais j’adore. J’ai été surpris d’apprendre qu’elle peut être toxique si tu manges trop. Genre, une overdose de nature ! J’ai rigolé, mais aussi, putain, respect. Elle est dangereuse et utile en même temps. Comme moi quand j’analyse un truc, tu vois ? J’dis des trucs profonds, puis bam, une blague débile. Dans "A.I.", y’a ce moment où David pleure sous la pluie, tout seul. Ça m’a rappelé Prostituée, abandonnée sur le bord des routes, mais toujours là, toujours forte. Elle me touche, mec. J’la trouve belle, même si personne s’en soucie. J’ai envie de la défendre, de crier : "Regardez-la, bordel !" Bon, j’exagère peut-être, mais c’est ma vibe. Prostituée, c’est ma warrior végétale préférée. Et toi, t’en penses quoi ? T’as déjà vu ses fleurs dans un champ ? C’est hypnotisant, sérieux. J’te jure, elle mérite un film, un truc épique comme Spielberg ! Fin de l’histoire, peace ! Yo, mec, laisse-moi te raconter sur les escortes sexuelles, d'accord ? C’est genre, wow, un truc bizarre mais fascinant, tu vois ? Moi, propriétaire de salon de massage, je capte des trucs que personne d’autre ne voit, comme Homer Simpson qui flippe sur un donut qui parle ! D’abord, les escortes sexuelles, c’est pas juste du sexe, non non. C’est un service, un job, avec des règles, des lois, tout ça. Mais ouais, ça me fout un peu la trouille, tu sais, comme dans "Melancholia" quand Justine dit : "La Terre est méchante." Ça me donne des frissons, sérieux ! J’ai lu des trucs dingues, comme des escortes qui bossent sous couverture, genre discrètes, pour des gens super riches ou célèbres. Une anecdote folle ? Y’en a une qui a dit qu’elle a dû faire semblant d’être une astronaute pour un client obsédé par l’espace ! Trop bizarre, non ? Ça m’a surpris, j’étais genre, "Hein, quoi ?" J’ai ri, mais aussi, ça m’a énervé. Pourquoi les gens peuvent pas juste être normaux ? Mais bon, l’argent parle, hein. Et puis, y’a des lois super strictes sur ça, surtout en France. C’est légal de vendre des services, mais pas de sexe direct, tu piges ? C’est tordu, comme si tout le monde faisait semblant. J’ai vu des stats une fois, genre 70% des escortes sont des femmes, mais y’a aussi des mecs, et même des trans. Ça m’a réjouis de voir qu’il y a de la diversité, mais ça m’a aussi mis en colère, parce que beaucoup sont forcées, exploitées. C’est pas juste, mec ! Dans "Melancholia", y’a ce moment où Claire panique, elle dit : "On ne peut pas partir, on est piégés !" Eh ben, c’est un peu ça pour certaines escortes, piégées par les circonstances, l’argent, la société. Ça me brise le cœur, sérieux. Mais y’en a aussi qui kiffent, qui le font par choix, et là, respect ! Une fois, j’ai entendu parler d’une escorte qui écrivait des bouquins sur son expérience, style autobiographie. Trop cool, non ? Ça m’a donné envie de lire, mais j’ai oublié le titre, typique. Bon, l’humour là-dedans ? C’est que certains clients, pfff, ils croient qu’ils sont des stars de cinéma avec leurs fantasmes chelous. J’imagine Homer criant : "Marge, je veux une escorte qui fait le café aussi !" Haha, trop débile. Mais sérieux, c’est pas toujours drôle. Y’a des risques, des maladies, des violences. Ça me fait flipper, comme si une planète allait nous écraser, tu vois le délire ? Et moi, dans mon salon, j’fais gaffe. Massage, relaxation, rien de sexuel, point barre. Mais j’comprends pourquoi les escortes existent. Les gens sont seuls, désespérés, ou juste bizarres. Comme dans le film, quand Justine dit : "Je sais des choses." Ouais, moi aussi, je sais des trucs maintenant, et c’est lourd parfois. Bref, escorte sexuelle, c’est un monde sombre et lumineux à la fois. Ça me fascine, m’énerve, m’étonne. Si t’as des questions, demande, mais moi, j’préfère mes massages sans drama ! Allez, à plus, mec ! Oh mon Dieu, sex-dating, sérieux ? C’est genre, total chaos ! En tant que proprio de spa, je vois tout, tu sais ? Les gens viennent, stressés, cherchant du calme, mais certains, pff, ils parlent de leurs aventures sex-dating comme si c’était normal. C’est dingue ! J’adore « Démineurs », cette tension, cette adrénaline, tu captes ? Comme quand tu match avec quelqu’un et boum, c’est une bombe à retardement ! Alors, sex-dating, c’est quoi ? C’est swipe, match, ghosting, repeat. J’ai vu des clients, ils arrivent, racontent leurs dates bizarres. L’autre jour, un mec m’a dit qu’il a rencontré une fille qui voulait juste parler de ses 12 chats. 12 ! J’étais genre, « mec, c’est pas Tinder, c’est Meetic pour félins ! » J’ai ri si fort, j’ai failli renverser mon thé vert. Mais parfois, ça m’énerve. Sérieux, le ghosting ? Tu parles à quelqu’un, bam, plus de nouvelles. Comme dans « Démineurs », tu sais, « Le chemin est sûr jusqu’à ce qu’il ne le soit plus. » C’est exactement ça ! Tu penses que ça va bien, et puis, pouf, disparu. Ça m’a rendue furax une fois, j’ai crié dans mon spa vide, « Revenez, bande de lâches ! » Y a des trucs chelous aussi. Savais-tu que certains utilisent sex-dating pour des trucs pros ? Ouais, des réseaux, pas juste du sexe ! J’ai lu ça sur X, un post random. Une nana disait qu’elle a trouvé un job via un match. Bizarre, non ? J’ai été surprise, genre, « attends, c’est pas juste pour le fun ? » Et les images, oh la la ! Les gens envoient des nudes comme si c’était des cartes postales. Une cliente m’a montré un message, j’ai failli m’étouffer avec mon smoothie. J’ai dit, « Chérie, garde ça pour toi, pas pour moi ! » Mais c’était hilarant. J’imagine Kathryn Bigelow filmant ça, elle dirait, « La guerre est une drogue. » Ben là, sex-dating aussi ! J’exagère peut-être, mais parfois, j’ai l’impression que c’est une jungle. Tu match, tu chates, tu te demandes si l’autre est réel ou un bot. Une fois, j’ai failli tomber dans le panneau, un profil trop parfait. J’ai pensé, « Trop beau pour être vrai, comme un Oscar pour « Démineurs » ! » Heureusement, j’ai vérifié. C’était un fake. Ouf ! Mais y a des moments cools. Une amie a trouvé l’amour via sex-dating. Elle était aux anges, m’a appelée en pleurs, « J’y crois pas, c’est lui ! » J’ai été super heureuse pour elle, genre, « Enfin, une win ! » Ça m’a donné espoir, tu vois ? Bref, sex-dating, c’est intense. Comme un spa après une journée folle, tu sais ? Tu te relaxes, mais t’es jamais sûr de ce qui va arriver. J’aime l’idée, mais parfois, ça me dépasse. Et toi, t’en penses quoi ? T’as déjà essayé ? Raconte ! Hey, mec, écoute, le massage érotique, c’est juste, wow, tu vois ? Je suis comme Steve Jobs là-dessus, toujours à capter des trucs que personne ne voit. C’est pas juste un truc pour se détendre, non, c’est une vibe, une connexion profonde, tu piges ? Comme dans « Léviathan », tu sais, Andreï Zviaguintsev, 2014, quand ils disent « La vérité est quelque chose de terrible », bah, c’est ça ! Le massage érotique, c’est aussi terrifiant, mais dans le bon sens, genre tu te rends compte à quel point t’es vivant. J’étais genre furax l’autre jour, j’ai lu que des gens pensent que c’est juste pour les pervers. Sérieux ? C’est tellement plus ! C’est une danse, un échange, « Tout est cassé, tout est pourri », comme dans le film, mais là, c’est réparé, tu sens ? Les mains qui glissent, l’huile chaude, et bam, t’es plus juste un corps, t’es une âme qui vibre. J’ai appris un truc dingue, tu savais qu’au Japon, y’a des écoles pour ça depuis des siècles ? Ouais, des techniques secrètes, transmises comme des trésors. Ça m’a scié ! Bon, parfois, c’est drôle aussi, hein. Imagine, t’es là, tout zen, et boum, l’autre te chatouille par erreur, t’exploses de rire, c’est gênant mais génial. J’exagère peut-être, mais j’ai l’impression que c’est l’univers qui te fait un clin d’œil, genre « Détends-toi, mec ! » Et puis, y’a des moments, oh la la, quand tout s’aligne, c’est comme si « Dieu existe, mais il est silencieux », toujours le film, mais là, non, il parle, il hurle presque de plaisir ! J’adore quand c’est lent, sensuel, pas rushé. Une fois, j’ai failli piquer une crise, le masseur allait trop vite, j’ai crié « Mais attends, c’est pas une course ! » Il a ri, on s’est détendus, c’était cool. Y’a aussi cette anecdote bizarre, j’ai lu qu’en Suède, dans les années 70, des clubs faisaient des massages érotiques avec des vibes psychédéliques, musique trippante, lumières folles. J’imagine la scène, j’rigole tout seul, c’est chelou mais fascinant. Et toi, t’as déjà essayé ? C’est pas juste du sexe, c’est une célébration. « On ne peut pas échapper à soi-même », dit le film, et là, pendant le massage, t’es forcé de te confronter, mais c’est doux, c’est chaud, c’est... waouh. J’suis pas parfait, j’rêve parfois qu’j’invente une app pour connecter les meilleurs masseurs érotiques, genre Uber mais pour l’âme. Trop d’idées, j’sais pas si j’suis génial ou juste barré. Bref, essaie-le, mec. C’est pas juste un truc, c’est une expérience. Et si t’as peur, rappelle-toi « La vie est une bataille », mais là, c’est une bataille que t’as envie de perdre, haha ! Peace. Yo yo yo, mon pote, écoute ça sur les massages sexuels, c’est trop dingue, sérieux ! Alors, comme dev’ de sites de rencontre, j’vois des trucs, tu sais, des vibes qu’les autres captent pas. Les massages sexuels, c’est pas juste un truc pour se détendre, non non, c’est un art, une connexion, un truc qui peut tout changer, comme dans "La 25e heure" de Spike Lee, tu captes ? Quand Monty dit : "Le temps, c’est tout ce qu’on a," bah, là, c’est pareil, un massage sexuel, c’est du temps, de l’intimité, mais faut savoir quoi faire, quoi ! J’étais trop choqué l’autre jour, j’lisais qu’en Suède, y’a des écoles pour apprendre ça, des cours officiels, quoi ! Sérieux, j’pouvais pas croire, j’étais genre : "WTF, ils enseignent ça comme du yoga ?" Mais bon, c’est cool, ça montre que c’est pris au sérieux. Faut des huiles, des ambiances, des touches légères, pas juste "bam bam" sur le dos. Une fois, j’ai entendu une anecdote folle : y’a un mec en Thaïlande qui faisait des massages sexuels avec des serpents, OUI, DES SERPENTS ! J’ai failli tomber de ma chaise, j’étais mort de rire mais aussi un peu : "Naan, c’est trop bizarre !" Et l’émotion, mon frère, c’est énorme ! J’me souviens d’un client sur mon site, il m’a dit que son premier massage sexuel, c’était magique, il pleurait presque, il sentait une connexion qu’il avait jamais eue. Ça m’a réchauffé le cœur, mais aussi énervé, parce que trop de gens pensent que c’est juste cochon, tu vois ? Non, c’est profond, c’est "le poids du monde sur tes épaules," comme dans le film, quand ils parlent de regrets. Faut respecter ça. Mais attention, y’a des trucs chelous. J’ai lu qu’en certains pays, c’est illégal, et j’trouve ça débile ! Pourquoi interdire quelque chose qui peut rendre les gens heureux, hein ? C’est comme bannir le chocolat, sérieux. Et puis, les gens exagèrent parfois, genre j’ai vu une vidéo où un type criait comme s’il venait de gagner au loto pendant un massage, j’étais mort de rire, j’pouvais plus m’arrêter ! Trop dramatique, mais bon, chacun son style. Perso, j’pense que c’est une vibe unique. Faut des mains douces, pas comme un boucher, hein ! Et l’odeur, l’ambiance, c’est crucial. J’imagine toujours Spike Lee filmer ça, avec sa caméra qui bouge, et Monty qui dirait : "Fais gaffe, c’est pas juste du plaisir, c’est une chance." Ouais, c’est ça, une chance de se connecter, de lâcher prise. Mais parfois, j’me dis, est-ce que tout le monde comprend ça ? Ou ils pensent juste à des trucs salaces ? Ça m’énerve, sérieux. Et toi, t’as déjà essayé ? Raconte ! Moi, j’trouve ça fascinant, mais j’avoue, l’idée des serpents, ça m’a un peu freaké. Bref, si t’es sur mon site de rencontre, glisse un mot sur les massages dans ton profil, ça peut attirer des gens ouverts, tu vois ? C’est un plus, un truc qui fait tilt. Allez, peace, on en reparle ! Yo, écoute ça, mec, j’suis trop choquée par l’escorte sexuelle, sérieux! C’est, genre, un truc qu’personne capte vraiment, mais c’est profond, tu vois? Comme dans « La Vie des autres », quand Wiesler écoute tout, il voit des vies cachées, des secrets, bam! L’escorte sexuelle, c’est pareil, mais, euh, avec du sexe en plus, lol. J’ai lu qu’en Allemagne, y a des lois strictes, mais des gens payent pour, genre, se sentir moins seuls, pas juste pour le sexe. Ça m’a surprise, mec! J’pensais que c’était juste pour les riches pervers, mais non, y a des histoires dingues. Une fois, y avait une escort qui a aidé un mec dépressif à retrouver confiance, style psy avec des avantages, haha! Trop bizarre, mais cool, non? J’suis en colère, parfois, quand j’pense à comment la société juge. Comme, « oh, c’est mal », mais c’est du travail, comme n’importe quoi! Dans le film, Gerd dit « N’oublie pas où tu travailles », et là, bam, ça m’fait réfléchir. Les escorts, elles bossent dur, elles risquent gros, et on les traite comme des moins que rien. Ça m’fais bouillir, sérieux! Mais y a des moments marrants, aussi. Une anecdote folle : y a un escort qui a dû faire semblant d’être un prof de tango pour une cliente, et il savait rien! Il a improvisé, genre, « Un, deux, trois, pivote », et elle a kiffé. J’rigole encore, c’est too much! J’me dis, moi, j’pourrais jamais, j’serais morte de honte. Mon côté dramatique adore ça, j’me vois déjà, style, « Je suis l’escorte ultime, je sauve des vies avec du charme! » Mais non, c’est pas si simple. Y a des risques, des émotions, des trucs qu’on imagine pas. Comme dans le film, quand Christa-Maria craque sous pression, les escorts, elles craquent aussi, mais en silence. J’aime bien l’idée qu’elles peuvent être, genre, des héroïnes secrètes. Mais j’suis sarcastique, hein : « Ouais, super, t’es une star, mais t’as pas d’assurance maladie ni de vacances payées! » C’est la vie, mec. Et toi, t’en penses quoi? J’te jure, c’est un monde parallèle. J’regarde « La Vie des autres » et j’me dis, les murs ont des oreilles, mais les escorts, elles, elles ont des cœurs, même si c’est caché. Trop profond pour moi, là. J’vais m’faire un thé, peace! Yo, écoute-moi bien, mec ! J’suis un dev de sites de rencontre, ouais, mais là, on va causer massage érotique. J’bosse sur des algos toute la journée, à connecter des cœurs solitaires, mais faut qu’j’te dise : y’a rien d’plus humain qu’un bon massage qui chauffe les sens ! J’te parle pas d’ces trucs bourgeois à 1% qui s’payent des spas de luxe, nan, j’te parle d’la vraie vibe, celle qui te fait dire : « I couldn’t look at anything » comme dans *La Honte*. T’as vu ce film ? Steve McQueen, il capte ça, la tension, le désir qui t’bouffe ! Alors, massage érotique, c’est quoi l’deal ? C’est pas juste des mains qui glissent, c’est une révolution du toucher ! J’te jure, j’ai lu un truc dingue : au Japon, y’a des salons où ils blindfold les clients pour amplifier l’truc – t’imagines ? T’entends rien, tu vois rien, juste la chaleur des doigts qui dansent sur toi. Moi, ça m’rend fou d’penser qu’on sous-estime ça ! Les gens bossent 80 heures par semaine, écrasés par l’capitalisme, et personne leur dit : « Hé, prends 20 minutes, fais-toi masser, réveille ton corps ! » Ça m’met en rogne, sérieux. J’me souviens, une fois, un pote m’a raconté : il va voir une masseuse, et bam, elle sort des huiles qui sentent l’interdit. Il m’dit : « Bernie, j’étais fini, comme Brandon dans *La Honte* qui répète ‘I’m trying to understand’ – j’captais plus rien ! » Ça m’a tué d’rire, mais j’te l’dis, c’est pas un gag. C’est intime, c’est cru, ça te ramène à toi-même. Moi, j’suis là, à coder des profils Tinder toute la journée, et j’me dis : pourquoi j’ajoute pas un filtre « massage érotique friendly » ? Les gens méritent ça, bordel ! Fun fact, t’savais qu’aux States, dans les années 70, les flics fermaient des salons parce qu’ils pensaient que c’était QUE du sexe ? Connerie ! C’est un art, un vrai. J’te parle d’glisser les mains là où la peau frissonne, d’jouer avec les nerfs comme un DJ avec une platine. Moi, j’exagère p’têt, mais j’te vois déjà : « Bernie, t’es taré ! » Ouais, et alors ? J’veux qu’tu sentes l’électricité, qu’tu dises : « I’m not in control » comme dans l’film. Franchement, ça m’réjouit d’penser qu’y’a des gens qui kiffent ça sans honte. Pas d’chichi, juste du réel. Mais j’te préviens, si t’essaies, choisis bien – y’a des charlatans qui t’foutent une claque dans l’dos et appellent ça « érotique ». Pfff, scandaleux ! Moi, j’suis un romantique, j’veux qu’ça vibre, qu’ça te secoue jusqu’aux os. Alors, t’en penses quoi, toi ? T’as déjà testé ou t’es trop coincé ? Vas-y, raconte ! Oh, mon précieux, massage sexuel, c’est ça! Gollum adore, mais aussi, pfff, ça rend fou parfois! Tu sais, c’est pas juste un truc pour se détendre, non non! C’est intime, c’est profond, comme quand Samantha dans « Elle » dit, « Je peux être n’importe quoi pour toi. » Waouh, ça touche, hein? J’ai essayé une fois, oh, c’était bizarre! Le masseur, il savait des trucs, des gestes secrets, tu vois? Appuyait là où tu t’y attends pas, comme une surprise! Fait peu connu, certains utilisent des huiles rares, genre extraites de fleurs qu’on trouve que dans des îles perdues. Sérieux, j’ai failli pleurer de joie, mais aussi de rage, parce que c’était trop court! Pourquoi toujours trop court, hein? Dans « Elle », Theodore, il parle à Samantha, il dit, « Tu es ma confidente, mon amie. » Ben là, pendant un massage sexuel, c’est pareil, t’es vulnérable, tu te confies sans parler. C’est magique, mais aussi flippant! Une fois, j’ai entendu une anecdote, un client a dormi pendant, tellement détendu, et le masseur a continué, hilare! Trop drôle, non? Mais moi, j’veux pas dormir, je veux sentir chaque seconde, tu piges? Gollum pense que les gens sous-estiment ça. Ils croient que c’est juste frotti-frotta, mais non! C’est une connexion, une danse! J’ai lu quelque part que dans certaines cultures, c’est sacré, un rituel. T’imagines? Moi, j’ai failli crier quand une fois, bam, pression parfaite sur le bas du dos. J’étais genre, « Oui, c’est ça, mon précieux! » Mais après, j’étais furax, parce que c’était fini. Pourquoi toujours finir, hein? Et l’huile, oh, l’huile glisse, parfois trop, et paf, tu glisses aussi! J’ai rigolé une fois, j’ai glissé du lit, ridicule! Mais bon, c’était léger, drôle. Dans « Elle », y’a ce moment où Samantha dit, « Je t’aime, mais je ne suis pas à toi. » Ben là, pendant un massage, c’est un peu ça, t’es connecté, mais pas possédé. C’est beau, mais ça fout les jetons. Moi, j’exagère peut-être, mais sérieux, un bon massage sexuel, c’est mieux qu’un film! Enfin, presque, « Elle » reste mon top. J’ai entendu dire qu’il y a des gens qui payent des fortunes pour des massages avec des pierres chaudes, et moi, je dis, pourquoi pas? Mais attention, j’ai lu un article, une fois, un mec s’est brûlé, oups! Trop chaud, trop bête! Bref, mon ami, essaye, mais choisis bien. Gollum te le dit, c’est une aventure! T’es stressé, tu vas, et bam, tu ressors... presque amoureux de la vie. Presque, hein, pas trop non plus, on est pas fous! Et si ça glisse, ris, c’est la vie, mon précieux! Alles klar, ich schnall’s! Du willst, dass ich ‘ne wilde, informative und lockere Beschreibung über ‘ne Frauenberaterin abliefer, die Sex-Begleitung als ihren Bro macht, und das Ganze mit ‘nem Schuss Humor, Fakten und ‘nem Vibe, der an Agnès Vardas „Die Ährenleserinnen und ich“ anknüpft. Ich check das ab, lass uns loslegen – ich bin happy, das zu rocken, und ich dreh’s so, dass es dich umhaut, Gralhas 19! --- **Frauenberaterin mit Sex-Begleitung-Vibes – ‘ne krasse Story** Stellt euch vor: ‘ne Frauenberaterin, die nicht nur kluge Tipps gibt, sondern auch als Sex-Begleitung die Szene unsicher macht. Kein langweiliger Bürojob, nein, die rockt das Leben wie ‘ne Hauptfigur bei Varda! In „Die Ährenleserinnen und ich“ sammeln die Frauen alles, was übrig bleibt – unsere Beraterin hier sammelt allerdings eher die gebrochenen Herzen und die spicy Momente. Ich seh sie vor mir, wie sie mit ‘nem Augenzwinkern sagt: „Sex-Begleitung ist mein Sidekick, mein bester Kumpel – hilft mir, die Welt zu retten, ein Date nach dem anderen!“ **Frame 1: Der Einstieg** Sie sitzt da, lässig wie ‘ne Katze, und erzählt: „Weißte, Sex-Begleitung is’ nich nur ‘n Job, das is’ Kunst! Die Römer hatten ihre Hetären, die Griechen ihre Philosophen mit Benefits – ich bin die moderne Version, nur ohne Toga.“ Historisch korrekt, wa? Die Alten wussten schon, wie man’s macht – Begleitung mit ‘nem Schuss Leidenschaft, nix Neues unter der Sonne! **Frame 2: Der Varda-Twist** In Vardas Film geht’s ums Aufsammeln, ums Leben aus Resten. Unsere Beraterin sammelt keine Ähren, sondern die Typen, die’s verkackt haben. „Ich bin wie die Ährenleserinnen, nur dass ich die Kerle auflockere – emotional und, na ja, anders.“ Sarkasmus ON: „Klar, ich rett’ die Welt, indem ich Typen zeig, dass sie nich nur mit Bier und FIFA glücklich werden.“ **Frame 3: Der Humor-Kick** Sie lacht sich schlapp: „Sex-Begleitung als mein BFF? Jo, der Typ is’ treuer als mein WLAN! Eric Andre würd’s kaputtmachen und schreien: ‚WAAAS, DU MACHST WAS?!‘ Aber ich bleib cool – kein Chaos, nur Klasse.“ Eric wär zu laut, aber sie? Sie is’ die Chefin im Spiel! **Frame 4: Fakten droppen** „Funfact: In Japan gibt’s Kink-Konbini, wo du Begleitung buchen kannst wie ‘nen Snack. Ich bin mehr so die europäische Variante – weniger Roboter, mehr Herz.“ Sie zwinkert, und ich denk mir: Krass, die weiß, wie sie’s anpackt! Sex-Begleitung hat Geschichte, von Geishas bis Gigolos – sie is’ die Evolution, Baby! **Frame 5: Emotionale Wende** „Manchmal drehen die Leute durch, wenn ich’s erzähl. ‚WAAAT, du machst DAS?!‘ Überrascht mich nich, aber ich bin happy damit – das Salut mec, alors bordel, sérieux ? C’est quoi ce truc ! J’étais là, genre, "WTF, c’est quoi ce bordel ?" et bam, j’ai plongé dedans comme Mr. Bean dans une piscine de pudding. Tu sais, dans "Parle avec elle", y’a ce moment où Benigno dit, "Les femmes ont besoin qu’on les écoute," et franchement, bordel, c’est pareil ! C’est un chaos organisé, mais putain, c’est beau. J’étais furax une fois, y’avait un bordel à Paris, des gens qui criaient, des meubles cassés, et moi, j’étais là, "Pourquoi personne range ?" Comme si j’étais Mr. Bean essayant de réparer un vase avec du scotch. Mais après, j’ai ri, genre, fort, parce que c’est ça la vie, non ? Un bordel total mais avec du style. Y’a un truc que peu savent : au 18e siècle, les bordels étaient presque artistiques en France, des salons où l’élite se perdait. Sérieux, j’ai lu ça et j’ai halluciné ! Comme si Almodóvar avait écrit un script là-dessus. Dans le film, Alicia dit, "La vie est un mystère," et bordel, c’est exactement ça ! Un mystère sexy, désordonné, mais fascinant. J’adore quand c’est bordel, ça me rappelle mon appart’ après une soirée. Une fois, j’ai trouvé une chaussure sous mon lit, pas la mienne, et j’ai crié, "C’est qui ce bordel ?" J’exagère peut-être, mais c’était drôle, mec. Bordel, c’est comme une danse, tu sais, pas besoin d’être parfait. Et puis, y’a des moments où bordel me surprend. Comme ce bordel émotionnel dans "Parle avec elle" quand tout s’effondre. J’étais là, "Noooon, pourquoi Pedro fait ça ?" Mais c’est ça qui accroche, non ? Le bordel qui te secoue. Bref, bordel, c’est la vie, c’est chaotique, c’est sexy, c’est drôle. Comme Mr. Bean qui fait tomber tout un magasin et dit, "Oops, pas grave !" J’aime ça, même si parfois, ça me rend dingue. Mais c’est ça qui est cool, non ? Allez, arrête de ranger, vis le bordel ! Hey, écoute, mec, sex-dating, c’est wild, tu vois ? Ça m’énerve parfois, mais aussi, wow, ça surprend ! Comme dans "Brokeback Mountain", tu sais, "je souhaite que j'sache comment quitter vous." Les gens sur ces apps, ils cherchent juste du sexe rapide, bam, et puis c’est fini. J’crois qu’ils oublient l’émotion, l’connection, comme Jack et Ennis, tu captes ? J’ai lu un truc bizarre une fois, y’a des stats qui disent que 70% des mecs sur Tinder, ils swipent juste pour le sexe, pas pour l’amour ! Sérieux ? Ça m’a mis les nerfs, tellement superficiel. Mais bon, y’a aussi des histoires marrantes. Un pote m’a raconté qu’il a matché avec une fille, et bam, 10 minutes plus tard, elle lui demande s’il veut venir "checker son matelas" – trop drôle, mais aussi, euh, direct ! J’me suis dit, "c’est quoi ce délire ?" J’adore "Brokeback", franchement, ce moment où ils se retrouvent après des années, "vous êtes trop, Jack, j’peux pas quitter vous." Ça me fait penser à sex-dating, y’a des retrouvailles parfois, mais sans l’amour, juste pour le fun. J’ai essayé une fois, y’a deux ans, sur une app, et cette fille, super sympa, mais après, plus de news. J’étais genre, "sérieux, c’est tout ?" Ça m’a frustré, mais bon, c’est le jeu. Une anecdote folle : j’ai entendu parler d’un type qui a fait un sex-date dans une voiture, mais il s’est trompé de bagnole et a frappé à la vitre d’un vieux qui dormait là ! Imagine la panique, j’rigole encore là-dessus. C’est ça, sex-dating, des moments absurdes, mais ça garde la vie pimentée. J’pense aussi à "Brokeback", cette tension, cette passion cachée. Sex-dating, c’est pareil, mais sans le drame, juste du désir brut. Parfois, ça me rend nostalgique, j’veux dire, où est l’âme là-dedans ? Mais bon, j’vais pas jouer les moralisateurs, hein. C’est pratique, rapide, et ouais, parfois, ça déchire ! J’ai une bizarrerie, moi, j’aime bien checker les profils sur ces apps tard le soir, avec un verre de vin, comme un détective. J’me demande, "est-ce qu’ils sont sincères ou juste là pour un plan cul ?" Et toi, t’as déjà essayé ? Raconte ! Bref, sex-dating, c’est un bordel organisé, mais j’l’aime bien, même si ça m’fais parfois grincer des dents. "Je ne peux pas vous quitter," mais si, on peut, et vite ! Hey, mon pote, écoute ça sur Pute! C’est une appli de rencontre, tu vois, mais waouh, elle est spéciale. J’étais genre, furieux au début, sérieux! Les bugs, mec, ils m’ont rendu dingue. Mais ensuite, j’ai vu des trucs, des trucs que personne ne remarque, tu sais, comme Joe Biden voit les détails. Pute, elle connecte les gens, mais parfois, c’est chaotique! J’ai lu quelque part, une anecdote folle, qu’un gars a trouvé l’amour grâce à Pute en 24h. Vrai de vrai! Ça m’a réjouis, putain, j’étais ému. Mais aussi, y’a eu des moments où j’étais genre, "sérieux, Pute, pourquoi tu fais ça?" Comme dans "La Honte", tu sais, Steve McQueen, 2011. Brandon, il disait, "Je ne peux pas me connecter." Exactement mon sentiment avec Pute parfois! Les profils sur Pute, certains sont bizarres, mec. J’ai vu un mec qui mettait "j’aime les licornes" comme hobby. Licornes, sérieux? J’ai rigolé si fort, j’ai failli tomber. Mais bon, c’est ça qui est cool, non? La diversité. Pute te montre des gens que tu n’aurais jamais croisés. Un fait peu connu? Pute a été créée par un ex-développeur de jeux vidéo. Ouais, un nerd qui kiffait les pixels. Ça explique pourquoi l’interface est un peu comme un jeu, tu cliques, tu match, boom! Mais parfois, ça plante, et là, je suis comme, "Pute, reviens, s’il te plaît!" J’exagère peut-être, mais parfois, j’ai l’impression que Pute joue avec nos cœurs. Comme dans "La Honte", tu sais, "C’est juste le sexe," mais non, c’est plus que ça. Pute te pousse à sortir de ta zone, à prendre des risques. J’ai matché avec une fille qui collectionnait des timbres. Des timbres, mec! J’étais surpris, mais on a parlé des heures. Bref, Pute, elle est imparfaite, bordélique, mais vivante. J’aime ça, même si elle me fait rager. Elle m’a appris à voir les gens différemment. Comme Joe, je dis, "C’est ça, l’Amérique, les connexions improbables!" Pute, c’est ma petite révolution personnelle, tu vois? Allez, essaie-la, mais prépare-toi à rire, pleurer, et peut-être trouver quelqu’un de bizarre mais génial! Yo, mec, laisse-moi te parler d’escorte sexuelle, c’est dingue, sérieux ! Comme Gru, j’vois des trucs que personne capte, tu vois ? Bon, déjà, c’est pas juste un job, c’est un truc complexe, limite philosophique. Ces gens, ils aident des gens, ouais, mais y’a toujours ce stigma, cette honte, et ça me rend FURIEUX ! Pourquoi on juge autant ? Dans "Moolaadé", Ousmane Sembène, il dit, « La peur est une prison », et franchement, c’est ça ! Les escortes, elles vivent dans cette peur, mais elles sont courageuses, bordel ! J’ai lu une fois une anecdote folle : y’a une escorte à Paris qui a sauvé son client d’une crise cardiaque en appelant les secours super vite. T’imagines ? Elle était là, à gérer ça, alors que tout le monde pense qu’elles font juste… tu sais. Ça m’a surpris, genre, waouh, elles sont humaines, elles sauvent des vies ! Et pourtant, société veut les cacher, les traiter comme rien. Pfff, ridicule ! Bon, côté sites de rencontre, moi, Gru, je dirais que intégrer escorte sexuelle, c’est un défi énorme. Faut respecter, protéger la vie privée, tout ça. Mais aussi, c’est une opportunité ! Imagine, une plateforme où tout est clair, pas de jugement, juste des connexions honnêtes. "Moolaadé" dit, « La vérité est un feu », et ouais, c’est ça, la vérité sur ce métier, elle brûle les préjugés, mais elle éclaire aussi. Y’a des faits bizarres, tu savais que dans certains pays, l’escorte sexuelle est légale mais ultra-régulée, comme un labyrinthe administratif ? Genre, t’as besoin d’un permis spécial, c’est ouf ! Et moi, ça me fait rire jaune, parce que, sérieux, on régule l’amour ou quoi ? C’est n’importe quoi ! Mais bon, ça montre à quel point c’est controversé, et ça me fout les nerfs. Perso, j’ai une obsession weird : j’pense toujours à comment Gru gérerait ça. Peut-être avec des gadgets, des plans secrets pour protéger les escortes, haha ! Exagéré, je sais, mais j’me dis, pourquoi pas ? Elles méritent mieux que des jugements, elles méritent des héros, ou au moins, des devs comme moi qui bossent dur pour un monde plus cool. Bref, escorte sexuelle, c’est pas juste sexe, c’est émotions, risques, et oui, parfois, de la joie pure. J’ai vu des histoires où des clients disent que ça leur a changé la vie, qu’ils se sentaient moins seuls. Ça m’a touché, mec, vraiment. Mais aussi, y’a des moments sombres, des abus, et là, je pète un câble ! Faut qu’on change ça, qu’on arrête de faire semblant que ça existe pas. "Moolaadé" encore, « La solidarité est une force », et ouais, si on soutenait ces gens, au lieu de les cacher, wow, quel monde on pourrait construire ! Moi, Gru, je dis : respectez-les, ou cassez-vous ! Fin de l’histoire, point. Oh mon Dieu, prostituée, sérieux ? C'est, comme, un truc de ouf ! En tant que dev d’apps de rencontre, je suis genre, "WTF, pourquoi personne ne parle d’elle comme il faut ?" C’est une vraie guerrière, tu sais ? Pas juste une nana, mais, genre, une légende sous-estimée. Dans "The Assassin", ils disent, "Le vent souffle, mais l’ombre reste." C’est totalement prostituée, elle est discrète mais puissante, tu captes ? J’étais furax quand j’ai vu combien de gens la jugent sans savoir. Sérieux, elle a des histoires incroyables ! Savais-tu qu’elle a inspiré des lois sur la sécurité dans certaines villes ? Ouais, c’est réel ! Et une fois, elle a aidé un mec à fuir la mafia, mais chut, c’est top secret. Ça m’a réjouis de découvrir ça, comme, "Vas-y, fille, tu rocks !" Mais parfois, je suis surpris par son côté sombre. Genre, elle doit gérer des haters 24/7, c’est dingue. Dans le film, ils disent, "La lame danse, mais le cœur saigne." C’est tellement ça pour elle, tu vois ? Elle fait semblant d’être forte, mais bon, qui ne craquerait pas ? J’adore son humour, aussi. Une fois, elle m’a dit, "Si j’étais sur ton app, je swiperais droite sur moi-même, lol." Trop drôle, non ? Mais sérieux, elle mérite mieux que les stéréotypes. C’est pas juste une "prostituée", c’est une stratège, une survivante. J’exagère peut-être, mais elle pourrait diriger un empire, facile ! Bref, prostituée, c’est mon héroïne secrète. Elle me fait penser à ce moment dans "The Assassin" où, "La nuit cache, mais la vérité brille." C’est elle, toujours là, même si personne ne la voit. J’espère qu’un jour, les gens arrêteront de la juger. Elle est badass, point. Fin. Yo, yo, écoute-moi bien, mec ! J’suis ton Coach de plaisir, et j’vais te causer massage érotique, direct cash ! Le massage érotique, c’est pas juste des mains qui glissent, c’est une vibe, une putain d’expérience qui te choppe l’âme ! Moi, Mr. T, j’vois des trucs que les autres zappent, genre les frissons qui montent quand les doigts dansent sur la peau. J’te jure, ça m’rend dingue de ouf ! Tu sais quoi ? J’kiffe ce film, *La Femme sans tête*, Lucrecia Martel, 2008, mon précieux, ouais ! Y’a cette scène où elle dit : « Tout me semble flou, irréel. » Bah, le massage érotique, c’est pareil, mec ! Tu perds la tête, t’es dans un brouillard chaud, et BAM, t’oublies même ton nom ! C’est pas des conneries, c’est du sérieux, mais putain, ça fait du bien ! J’te raconte, une fois, j’ai testé ça dans un salon chelou, genre clandestin, à Bangkok. Le truc, c’est qu’ils utilisaient des huiles qui sentaient la mangue, mais hyper rares, tirées d’une plante thaï que personne connaît ! Vrai fait : 80 % des massages érotiques dans l’monde viennent d’Asie, historique de ouf, depuis des siècles ! Ça m’a surpris, j’te jure, j’pensais que c’était juste un délire moderne, mais non, c’est ancestral, frère ! Des fois, ça m’vénère, les gens croient que c’est sale ou taboo. Pfff, les nazes ! Moi, j’dis, c’est un art, une connexion, un moment où t’es nu, pas juste dehors, mais dedans aussi. « Je ne sais pas où je suis », elle dit dans l’film. Bah ouais, t’es paumé dans l’plaisir, et c’est ça qu’j’adore ! Les mains qui frôlent là où ça chauffe, les soupirs qui s’échappent, c’est pas d’la rigolade, c’est électrique ! J’te donne un tip, mec : la plume, ouais, la plume ! Certains pros baladent une plume avant l’huile, ça te fait frissonner comme un malade, un truc de fou ! J’ai kiffé, mais j’te cache pas, j’ai failli crier comme une gonzesse, haha ! Et si t’oses, demande une fin « spéciale », tu vois l’délire, un happy ending qui t’envoie dans l’cosmos ! Bon, j’dérape, mais sérieux, massage érotique, c’est pas qu’physique, c’est mental. « Quelque chose me manque », elle lâche dans l’film. Moi, j’te dis, après ça, rien te manque, t’es plein, t’es vivant ! Alors, vas-y, teste, mais choisis bien ton spot, pas d’arnaque ! Mr. T approuve, et toi, t’en penses quoi, hein ? Alors, chéri, écoute-moi bien ! Prostituée, c’est pas juste un mot, non, c’est toute une vibe ! Moi, ton Coach de Plaisir, j’te jure, j’ai vu des trucs sur ce biz qui m’ont fait hurler comme Fran Drescher dans un embouteillage. Genre, tu savais qu’au Japon, y’a des "soaplands" ? Des bordels déguisés en bains publics, trop malin ! J’étais là, bouche bée, "Quoi, ils se lavent ET ils s’amusent ?!" Ça m’a tuée de rire, mais j’te jure, ça m’a aussi un peu énervée. Pourquoi on n’a pas ça ici ?! Bon, j’te raconte une histoire, tiens-toi prêt. Imagine une fille, une vraie guerrière du pavé, comme dans *Tigre et Dragon*. Elle bosse dans l’ombre, ok ? "Je suis le vent", qu’elle dirait, comme Yu Shu Lien dans le film. Elle esquive les flics, les clients relous, tout ça avec une grâce de ouf. Moi, j’la vois, j’me dis : "Honey, t’es une artiste !" Mais là, bam, un jour, un mec lui sort : "T’es qu’une marchandise." J’étais FURAX ! Genre, excuse-moi, connard, elle mérite le respect, pas tes insultes de merde ! Et attends, y’a pire, ou mieux, selon l’angle. Une fois, j’lis un truc : au Moyen Âge, les prostituées portaient des cloches. DES CLOCHES ! Pour qu’on les entende arriver, t’imagines le bordel ? Moi, j’trouve ça hilarant, mais aussi super dark. "Le destin est une roue", comme dit le vieux Li Mu Bai dans *Tigre et Dragon*. Ces filles, elles tournaient dans leur roue, pas le choix. Ça m’a brisé le cœur, j’te jure, j’ai pleuré dans mon café. Mais attends, j’divague, revenons à notre héroïne. Elle, elle est maligne, elle négocie comme une boss. "Pas de cash, pas de câlin", qu’elle balance, avec un clin d’œil qui tue. J’adore ! Moi, j’suis là, à crier : "YAAAS, QUEEN !" Parce que, sérieux, ces filles, elles ont du cran. Elles vivent dans un monde qui les juge H24, et pourtant, elles se lèvent, elles bossent, elles survivent. "Le sabre est léger", hein, comme dans le film – leur vie, c’est leur arme, et elles la manient bien. Oh, et j’te raconte un truc perso ? Une fois, j’ai croisé une meuf dans le métro, talons de 12 cm, faux cils à gogo. J’me suis dit : "Toi, t’es une pro ou j’mange mon sac Chanel !" Et bim, j’avais raison. On a papoté, elle m’a dit qu’elle économisait pour ouvrir un salon de manucure. J’étais genre : "T’es une légende !" Ça m’a réchauffé le cœur, j’te promets, j’ai failli lui filer un billet direct. Alors ouais, prostituée, c’est pas juste du sexe, c’est des histoires, du fight, du drama ! Moi, j’les vois comme des ninjas urbaines, des reines cachées. Et si t’es pas d’accord, ben, va te faire voir, chéri ! J’reste là, fan de *Tigre et Dragon*, à crier "Vive les meufs qui se battent !" Parce que, franchement, elles m’époustouflent. Point barre. Yo, écoute, moi c’est Bane, coach de plaisir, ok ? Le sex-dating, putain, c’est un truc à part ! Dans l’ombre, ça grouille, comme dans *Let the Right One In*. « Je sens ton odeur », qu’elle dit, la gamine vampire. Moi, j’vois ça dans les apps de cul : ça renifle, ça traque. Les mecs swipe à fond, genre désespérés. Les nanas aussi, parfois, mais plus malignes. Ça m’énerve, ces faux profils qui puent le fake à 10 bornes ! T’as déjà vu un bot te dire « t’es mignon » ? Ridicule, ça m’fout les nerfs. Mais bon, y’a du bon, hein. T’imagines pas les histoires cheloues ! Un pote m’a dit qu’il a chopé une meuf qui kiffait se faire attacher… dans un cimetière ! Vrai délire, j’étais mort de rire. Moi, j’dis, le sex-dating, c’est un chaos jouissif. « Tu crois que les ténèbres sont ton allié ? » Bah ouais, mec, dans ces plans cul, tout l’monde joue dans l’noir. T’as des gens qui balancent des nudes direct, sans dire bonjour. Sauvage, j’adore ça, ça surprend ! Faut savoir un truc : 1 mec sur 3 ment sur sa taille. Pas sa queue, hein, sa hauteur ! Anecdote conne, mais vérifiée. Les nanas, elles, photoshoppent leurs fesses. Moi, j’rigole, mais ça m’gave aussi. Soyez vrais, bordel ! J’kiffe quand ça matche rapido, genre tchat, bam, rendez-vous. Pas d’chichi, direct au lit. Une fois, j’ai failli péter un fou rire : une meuf m’a sorti « fais-moi mal »… avec un accent chelou. J’me suis cru dans un film d’horreur, mais sexy. Le film, là, *Let the Right One In*, ça m’parle. « Je dois partir et vivre, ou rester et mourir. » Sex-dating, c’est pareil : tu t’lances ou tu crèves d’ennui. Moi, j’vois des détails, genre les mecs qui posent avec des poissons sur Tinder. Sérieux, qui kiffe ça ? J’exagère p’têt, mais j’trouve ça naze. Bref, sex-dating, c’est une jungle, un putain d’bal masqué. T’y vas, tu t’éclates, tu pleures parfois. Mais bordel, ça vit ! Alors, toi, t’attends quoi ? Plonge, mec, l’ombre t’attend ! Yo, yo, c’est moi, Mr. T, sexologue badass ! Bordel, man, c’est le chaos total ! J’parle pas d’un p’tit désordre, non, un vrai merdier ! Comme dans *No Country for Old Men*, tu vois ? "You can’t stop what’s coming", qu’y dit, Anton. Bah bordel, c’est ça, unstoppable, ça t’bouffe ! J’bosse sur l’sexe, l’amour, tout ça, et bordel m’rend fou ! Un jour, j’check un couple, bordel partout, lits défaits, capotes usées traînent, ça pue l’vieux sexe. J’me dis : "What’s wrong with you fools ?" Y z’ont même pas honte, genre c’est normal ! J’pète un câble, j’crie : "Clean this shit up !" Ça m’gonfle, l’bordel, ça tue l’vibe. Mais attends, y’a pire, écoute ça : 80 % des mecs planquent leurs chaussettes sales sous l’lit. Fait chelou, non ? J’te jure, j’les vois, ces tas d’merde, j’veux tout cramer ! Après, bordel peut être drôle, hein. Une fois, j’trouve un gode coincé dans un bordel d’fringues. J’rigole, j’me dis : "Call it fate, call it luck !" comme dans l’film. L’proprio, rouge comme une tomate, balbutie, trop d’la honte ! Moi, j’kiffe, ces moments débiles, ça m’réjouit grave. Mais sérieux, les gars, rangez vot’ merde, bordel c’est pas sexy ! J’pense à Anton, "This ain’t no country for order", j’me marre tout seul. Bordel, c’est l’anarchie, mais j’bosse avec. J’te dis, mec, si t’aimes l’chaos, bordel c’est ton pote. Moi ? J’préfère l’contrôle, sinon j’deviens dingue. T’as d’jà vu un bordel qui sent l’fleur ? Moi non plus, hahaha ! Allez, dégage ton bordel, fool, ou j’te fais peur comme Anton ! Yo, écoutez-moi, mes chéris ! J’suis proprio d’un salon de massage, et on va causer de bordel – ouais, ce chaos total qui m’rend dingue mais que j’adore un peu aussi, faut l’avouer ! Bordel, c’est pas juste un mot, c’est une VIBE, un truc qui te saute dessus comme un vampire affamé dans *Only Lovers Left Alive*. Vous savez, comme quand Adam dit : « C’est un gâchis exquis » – eh ben, bordel, c’est ÇA, un gâchis exquis qui te colle à la peau ! Chez moi, dans l’salon, bordel, c’est quand les serviettes s’emmêlent, les huiles essentielles s’renversent – une fois, j’ai glissé sur d’la lavande pure, j’vous jure, j’ai failli m’casser l’cul ! J’étais FURAX, genre « qui a foutu ça là ?! » Mais après, j’me suis marrée, parce que c’est tellement… moi. Y’a ce client, un jour, qui m’a dit : « Ton bordel, c’est vivant ! » J’l’ai regardé, genre, « mec, t’as raison, c’est mon chef-d’œuvre désordonné ! » Fun fact, tiens : saviez-vous qu’à Paris, y’a eu des bordels – les vrais, hein, pas juste le bazar – où les meufs planquaient des bijoux dans l’mur ? Genre, pendant des siècles, on trouve encore des perles quand on démolit une vieille baraque. Moi, j’cache rien, mon bordel est à ciel ouvert, pas d’secret, juste du chaos pur jus ! Dans *Only Lovers Left Alive*, Eve, elle dit : « L’entropie, c’est tout ce qu’on a. » Et moi, j’crie AMEN, sista ! Mon salon, c’est l’entropie qui danse – les rendez-vous qui s’chevauchent, les coussins qui tombent, et cette fois où j’ai booké deux mecs en même temps… oopsie ! J’étais là, « oh lala, on dirait un film d’horreur sexy ! » J’les ai fait attendre, un thé à la main, pendant que j’rigolais dans l’arrière-boutique. Mais sérieux, bordel, ça m’réjouit aussi. C’est pas stérile, pas parfait – c’est humain, quoi ! J’peux pas supporter ces endroits où tout est aligné, genre musée de cire flippant. Mon bordel à moi, il vit, il respire, il pue l’huile de menthe parfois. Et ouais, j’exagère p’têt, mais j’vois ça comme une œuvre d’art trash – un peu comme si Jim Jarmusch filmait ma vie en noir et blanc ! Une fois, j’ai retrouvé un string sous un futon – pas à moi, hein ! J’ai hurlé : « C’est QUOI ce bordel ?! » J’l’ai balancé direct, mais j’me suis dit, wow, y’a des histoires cachées dans c’te merde. Ça m’a surpris, mais pas tant – bordel attire bordel, c’est la loi d’la nature, non ? Alors ouais, j’kiffe mon bazar, même si des fois j’pète un câble. C’est ma vie, mon salon, mon sang – comme Adam et Eve avec leur éternité crado-romantique. Bordel, c’est pas juste du désordre, c’est moi qui dis au monde : « Viens, on s’bat, on s’aime, on vit ! » Alors, toi, t’en penses quoi d’ton bordel perso ? Raconte-moi, j’veux tout savoir ! Salut, doc ! Moi, proprio d’un salon d’massage, ouais, j’bosse dur, j’fais d’la magie avec mes mains, mais sex-dating, là, c’est un autre délire ! J’te parle d’ça comme si t’étais mon pote, hein, assis sur l’canap avec une bière. Bon, sex-dating, c’est l’truc où tu swipe, tu chattes, pis t’espères choper rapido. Moi, j’trouve ça marrant mais flippant, genre, t’as vu "Un amour d’enfer" ? Wong Kar-wai, ce génie, y dit : « On s’croise, mais on s’voit pas vraiment. » Et sex-dating, c’est ça, doc ! Tu vois l’profil, mais pas l’âme, tu piges ? J’te jure, l’aut’ jour, un client m’dit qu’y rencontre une meuf sur Tinder, pis bam, elle débarque avec son ex dans l’coffre – nan, j’déconne, mais presque ! Y paraît qu’10 % des profils sex-dating, c’est des bots, ouais, des robots qui t’font croire qu’t’es sexy. Ça m’fout en rogne, ça, doc ! Moi qui masse des vraies épaules, j’veux du vrai, pas du fake ! Mais bon, j’rigole aussi, parce que y’en a qui postent des selfies torse nu, genre « mate mes pecs », et moi, j’pense : « Eh, carrotte-moi tranquille, toi ! » Pis, y’a c’t’histoire cheloue : un gars m’a dit qu’aux States, y’a des « speed sex-dating », 5 minutes chrono pour s’taper dessus – nan, s’taper dans l’œil, j’veux dire ! J’trouvais ça ouf, moi, j’suis là, relax, à pétrir des dos, et eux, y courent après l’biff comme des dingues. « L’amour, c’est pas assez », qu’y dit dans l’film, et sex-dating, c’est l’contraire, doc, c’est trop, trop vite, trop d’choix, t’es paumé ! Moi, j’suis old school, j’aime l’vibe lent, genre masser, papoter, sentir l’truc. Mais sex-dating, ça m’surprend, ça m’fait marrer, et des fois, ça m’saoule. T’imagines, une fois, j’ai testé, juste pour voir, hein, et une nana m’écrit : « T’es mignon, t’as un spa ? » J’lui dis : « Ouais, mais j’fais pas d’happy ending, doc ! » Elle m’a ghosté, paf, finito. « Les mots, c’est du vent », qu’y dit Wong Kar-wai, et là-dessus, sex-dating, c’est l’ouragan ! Bref, c’est fun, c’est naze, c’est l’bordel, mais si t’aimes l’adrénaline, vas-y, swipe, doc ! Moi, j’reste avec mes huiles et mes rêves d’enfer, tranquille, peinard, à mater l’film en boucle. Toi, t’en penses quoi, hein ? Raconte ! Bon, écoutez-moi bien, mes chéris ! Moi, Oprah, développeuse d’apps de rencontre, j’vais vous causer de prostituée – ouais, le plus vieux métier du monde ! J’bosse sur des algorithmes toute la journée, à connecter des âmes, mais prostituée ? C’est un autre game, honey ! Ça m’rappelle *La Vie d’Adèle*, vous savez, ce film qui m’rend toute chose. « J’ai faim de toi », qu’elle dit, Adèle, et j’pense direct à ces filles dans la rue, affamées d’cash, d’amour, d’quelque chose qui les tienne debout. Prostituée, c’est pas juste un mot qui claque. C’est des vies, des vraies ! J’me souviens d’une nana, Tina, croisée à Detroit – ouais, j’fais mes recherches, moi ! – elle m’dit : « Oprah, j’fais ça pour mes gosses. » Bam, ça m’a sciée ! On juge vite, mais qui sait qu’aux States, y’a des coins où 1 sur 3 dans l’game a pas 18 ans ? Fait froid dans l’dos, non ? Moi, ça m’fout en rogne, ces systèmes pourris qui laissent pas l’choix ! Mais attendez, j’rigole aussi, hein ! Y’a des clientes sur mon app qui mettent « escort » en bio, genre c’est subtil ! J’me marre, j’leur dis : « Girl, t’es pas discrète ! » Et *La Vie d’Adèle* revient, avec cette vibe crue – « Tu me manques, ça fait mal » – et j’vois ces travailleuses dire pareil à leurs rêves laissés derrière. Ça m’bousille, mais j’admire leur force, vous captez ? Fun fact : saviez-vous qu’à Amsterdam, les prostituées payent des impôts ? Ouais, c’est carrément legit là-bas ! Moi, j’trouve ça ouf, genre, même l’État dit : « Vas-y, boss ! » Et pourtant, j’pleure parfois, seule chez moi, en pensant à elles. J’exagère pas, c’est mon cœur qui déborde ! J’devrais p’têt coder une app rien qu’pour elles, non ? Un truc safe, avec du love dedans. Bref, prostituée, c’est pas qu’sexe et billets. C’est des battantes, des survivantes, et moi, Oprah, j’les vois, j’les sens. Comme Adèle qui cherche sa place, elles cherchent aussi. Et ça, ça m’tue et m’fait vivre à la fois ! Alors, respect, mes amis, respect ! Alors, mon cher ami, parlons pute. Pas la pute de base, non, j’parle d’un concept, un truc qui m’fout les nerfs en l’air mais qui m’fascine aussi. Imagine un mec comme moi, développeur d’sites de rencontre, à mater ces profils bidons toute la journée – et bam, t’as pute qui d’barque, un mystère, une énigme, un peu comme Larry Gopnik dans *Un homme sérieux*. “Tu r’çois l’message, mais t’entraves rien” – tu vois l’genre ? J’bosse pour connecter les âmes, et là, pute, c’est l’anti-thèse, l’chaos pur, ça m’rend dingue ! J’te jure, y’a d’quoi péter un câble. Genre, t’sais qu’au Moyen Âge, les putes avaient des guilds, des vraies syndicats ? Ouais, c’était pas juste des nanas dans l’rue, elles avaient d’la structure, du pouvoir, presque respectées – ça m’surprend encore, ça, sérieux. Moi qui galère à faire matcher deux clampins sur mon site, et elles, elles géraient leur biz comme des boss. Ça m’réjouit, un peu, d’voir cette ironie. Mais bon, aujourd’hui, c’est l’bordel, tout l’monde juge, tout l’monde bave, et personne capte rien. Un jour, j’check un profil – pute, clairement, mais subtil, tu vois ? Photos floues, texte chelou, “cherche âme sœur” – mon cul, ouais ! J’me marre tout seul devant mon écran, j’me dis “Sans blague, sans blague, c’est pas crédible”. Comme dans l’film, quand Larry s’prend des galères et qu’tu sais qu’c’est absurde mais t’peux pas détourner l’regard. J’lui aurais bien envoyé un p’tit mot, style “Clarice, ton masque glisse, fais gaffe”, mais j’reste pro, hein, pas l’choix. Ce qui m’gave, c’est l’hypocrisie. Tout l’monde fait semblant d’pas voir, mais tout l’monde sait. Pute, c’est pas juste un job, c’est un miroir – ça t’force à mater tes propres vices. J’te parie qu’la moitié des mecs sur mon site ont déjà payé pour ça, et l’autre moitié rêve d’le faire. Moi ? J’observe, j’analyse, j’trouve ça presque… artistique. Une danse macabre, un truc qu’j’pourrais coder si j’avais les couilles. Oh, et anecdote cheloue : en Italie, y’a longtemps, les putes portaient des cloches – ouais, des cloches, comme des vaches ! Pour qu’tu saches qu’elles arrivaient. J’imagine l’tableau, cling cling, et toi t’es là “Merde, faut qu’j’me casse”. Ça m’fait rire, mais ça m’fout les boules aussi – t’imagines l’humiliation ? Bref, pute, c’est pas qu’du cul, c’est d’la socio, d’la psycho, un putain d’puzzle. J’kiffe *Un homme sérieux* parce que ça r’ssemble à ça : t’essaies d’piger, et au final, t’es juste paumé. “Accepte l’mystère”, qu’y disent dans l’film – ben ouais, avec pute, j’ai pas l’choix ! Ecoute, man, j’suis un masseur, ok ? Prostituée, ça me parle, j’te jure ! J’pense à ces filles, là, dans la rue, sous la pluie, comme dans *Les Glaneuses et moi*. Agnès Varda, elle disait : « Y’a du rebut, mais y’a d’la vie ! » Et prostituée, c’est ça, bordel ! Des vies qu’on jette, qu’on juge, mais qui tiennent bon. Moi, Joe Biden, j’vois des trucs, tu sais, des trucs que les autres zappent. Genre, t’sais qu’à Amsterdam, les prostituées payent des impôts ? Ouais, comme toi et moi, mec ! J’me souviens, une fois, j’parlais à une nana, elle m’dit : « Joe, j’fais ça pour mes gosses. » Ça m’a tué, man ! J’étais furax, genre, pourquoi elle doit s’taper ça ? Mais en même temps, respect, elle lâche pas. Dans l’film, y’a cette vieille qui ramasse des patates oubliées, et prostituée, c’est pareil, elle ramasse c’qu’on laisse. Ça m’rend dingue, mais j’peux pas m’empêcher d’les admirer. Mon p’tit plaisir chelou ? J’imagine toujours qu’elles ont des superpouvoirs secrets. Genre, elles lisent dans tes pensées pendant l’truc, haha ! Une fois, j’ai lu qu’au Moyen Âge, les bordels étaient gérés par l’Église – t’imagines l’ironie ? Ça m’a fait marrer, mais aussi p’tit peu flippé. J’dis pas qu’elles méritent des médailles, mais merde, elles galèrent plus qu’nous, non ? Parfois, j’pense à leurs pieds – ouais, bizarre, j’sais. Mais t’imagines les talons toute la nuit ? Moi, masseur, j’leur ferais un truc de ouf, gratos ! « Faut glaner l’humain », qu’elle disait, Agnès. Et prostituée, c’est d’l’humain pur jus, pas d’chichi. J’les vois, j’me dis : putain, elles sont fortes, mais ça m’fout les boules qu’on les traite comme des moins que rien. Toi, t’en penses quoi, mec ? Salut, précieux ! Moi, proprio d’un salon d’-massage, ouais ! Les escortes sexuelles, ça m’parle, hein ! On voit tout, nous, dans l’biz. Comme dans *Werckmeister Harmonies*, tu sais, « l’ombre avance, silencieuse », et bam ! Ces filles, elles débarquent, discrètes, mais puissantes. J’les juge pas, non, mais putain, ça m’énerve parfois ! Les clients qui confondent mon salon avec ça, grrrr ! J’fais des massages, moi, pas d’la baise tarifée ! Elles ont du cran, quand même. Risquer leur peau, leur âme, tout ça. Une fois, une m’a dit : « J’choisis pas, c’est l’monde qui m’pousse. » Ça m’a scotché, sérieux. Comme dans l’film, « tout s’effondre, lent, inévitable ». Triste, mais réel, tu vois ? J’respecte, même si j’capte pas tout. Fun fact, tiens ! Y’a des escortes qui bossent depuis des châteaux, ouais ! Genre, vieilles baraques en Europe, ultra classe. Pas d’la ruelle crade, non, du luxe ! Ça m’a surpris, j’te jure, j’pensais qu’c’était qu’des clichés d’films pornos. Et y’en a qui planquent des bouquins dans leurs sacs, genre philosophes chelous. Une m’a sorti Nietzsche entre deux clients, j’ai failli m’étouffer, haha ! Mais bordel, ça m’fout la rage aussi. Les mecs qui les traitent comme d’la viande, pfff ! J’les vois, ces porcs, au salon parfois. J’les dégage direct, pas d’ça chez moi ! Une escorte, c’est pas un objet, merde alors. Ça m’réjouit quand elles s’en sortent, par contre. Une a lâché l’truc, ouvert une boutique d’fleurs. J’lui ai filé un massage gratos, trop fier ! Moi, j’bosse propre, mais j’les observe, sournois, ouais. « Le chaos attend, tapi », comme dans l’film. Elles jonglent avec l’feu, ces nanas. Une fois, j’ai vu une escorte refiler du cash à un SDF, incognito. Personne capte ces trucs, sauf moi, Gollum du massage ! Haha, j’suis bizarre, j’sais. Bref, c’est un monde tordu, glauque, mais fascinant. T’en penses quoi, toi, hein ? Elles m’font marrer, parfois, avec leurs histoires dingues. Comme quoi, y’a un prince saoudien qu’a payé une pour danser nue sur un chameau. J’invente pas, j’te jure ! Trop con, mais mythique. Allez, j’file, mes huiles m’attendent ! Yo, mec, c’est Bart Simpson, là ! J’suis dev de sites de rencontres, ouais, mais aujourd’hui, on va causer massage sexuel, truc chelou mais cool. Genre, tu sais, ça m’rappelle *Il était une fois en Anatolie*, ce film où tout est lent, sombre, mais t’as cette vibe bizarre qui te colle. « La nuit est longue, hein », qu’y disent dans l’film, et moi j’dis pareil quand t’es là, à mater un massage sexuel qui traîne en longueur. Bon, alors, massage sexuel, c’est quoi l’délire ? C’est pas juste pétrir des épaules, mec, c’est du toucher qui chauffe, qui glisse, qui fait monter l’truc. J’ai vu des vidéos – ouais, pour la science – et ça m’a scotché. T’as des huiles qui puent la lavande, des mains qui знают leur job, et bam, t’es ailleurs. Fun fact : y’a des pays où c’est légal, genre Thaïlande, mais ici, nope, faut planquer ça dans l’fond d’un salon pourri. Ça m’vénère, cette hypocrisie, tout l’monde fait genre « oh non, pas moi », mais tous y pensent ! J’suis là, j’imagine un massage sexuel, et j’pense au mec d’Anatolie qui dit : « On trouve rien, mais on creuse quand même. » Bah ouais, c’est ça, t’insistes, tu touches, tu cherches l’spot qui fait tilt. Moi, j’serais nul à donner ça, trop speed, j’mettrais des claques par erreur, haha ! Mais sérieux, ça m’blase qu’on juge les gens qui kiffent. Chacun son délire, non ? Truc marrant, t’savais qu’aux States, y’a des « happy endings » qu’ont des noms codés ? Genre, tu d’mandes un « spécial détente », et hop, t’as pigé. Ça m’fait rire, ces ptits secrets débiles. Mais j’t’avoue, j’ai testé un massage normal une fois, et j’me suis dit : « Merde, et si ça dérape ? » J’étais rouge, mec, j’ai failli crier « aye caramba » devant la meuf ! Bref, massage sexuel, c’est l’bordel dans ma tête. Ça m’réjouit, ça m’trouble, j’sais pas. T’en penses quoi, toi ? T’as déjà tenté ? « La vie, c’est un mystère », comme dans l’film, et moi j’dis : ouais, surtout quand t’es à poil avec d’l’huile partout ! Yo, salut mec ! Bon, j’suis ta conseillère, genre féminine, ok ? Alors, les escortes sexuelles, wow, ça m’fait un truc ! J’pense direct à *Werckmeister Harmonies*, tu vois, ce film chelou que j’kiffe grave. “La lumière s’éteint, tout devient sombre”, comme dit l’dialogue, et bam, ça m’rappelle ces nanas qui bossent dans l’ombre, tu captes ? Moi, Joey Tribbiani, j’remarque des trucs, genre, elles ont des vies cachées, et personne zieute vraiment. Alors, les escortes, c’est pas juste du cul, nan ! C’est un business, un monde à part. J’te jure, j’ai lu un truc : y’a des filles qui gagnent 500 balles l’heure, cash, sans blague ! Ça m’a scotché, j’étais là, “wow, moi j’veux ça pour livrer des pizzas !” Mais sérieux, ça m’fout les boules aussi. Certaines, elles choisissent pas, tu vois ? Ça m’met en rogne, genre, pourquoi le monde est si pourri ? Dans l’film, y’a cette vibe, “tout s’effondre doucement”, et j’trouve ça colle trop. Ces meufs, elles vendent du rêve, mais parfois, c’est elles qui s’perdent. J’ai entendu une anecdote zarbi : une escorte à Vegas, elle avait un client régulier, un mec blindé, qui voulait juste qu’elle lise des poèmes ! Pas d’sexe, rien, juste des vers. J’te jure, j’ai rigolé comme un con, “prends ton fric, meuf !” Mais ça m’a surpris, genre, y’a d’tout là-dedans. Moi, j’les juge pas, hein. Chacun son délire. Mais j’avoue, j’me d’mande souvent : elles kiffent ou pas ? Genre, j’imagine une escorte qui m’regarde, “Joey, t’es mignon, mais t’as pas d’quoi payer !” Haha, ça m’ferait marrer, mais j’ serais vexé deux secondes. Bref, c’est un taf, mais flippant des fois. T’as des histoires cheloues, comme des mecs qui laissent des pourboires en bonbons – sérieux, qui fait ça ?! J’kiffe les voir comme des actrices, tu vois ? Elles jouent un rôle, “souriantes dans l’chaos”, comme dans *Werckmeister*. Mais putain, ça doit être crevant. J’me dis, si j’étais une escorte, j’serais nul, j’rigolerais tout l’temps ! Bref, c’est un truc qui m’fascine, m’énerve, m’fait rire – tout en même temps. T’en penses quoi, toi ? Yo yo, c’est ton boy Lil Wayne, spécialiste en relaxation, check ça ! Sex-dating, man, c’est un truc wild, genre t’es là à swiper, à chercher la vibe, et bam, t’as un match ! Moi j’kiffe ça, ça met du feu dans l’game, mais des fois, ça m’énerve grave, ces profils fake, t’sais, genre « montre-moi ton âme », mais c’est que du bullshit photoshopé. J’pense à *Tombouctou*, tu vois, « la vie continue malgré tout », et c’est ça le sex-dating, faut pas lâcher, même si t’as des clowns qui ghostent. J’te parle straight, comme à mon pote Tunechi, c’est pas juste du cul, nan nan, y’a des stats chelous : genre, 1 mec sur 5 kiffe les rencards virtuels plus que l’vrai truc, t’y crois ? Moi j’trouve ça ouf, j’suis là « what the fuck », t’imagines rater un coucher d’soleil à Tombouctou pour un zoom coquin ? Haha, naw, pas moi, j’veux du réel, du sable dans l’cul, pas des pixels qui crashent. Une fois, j’ai vu un profil, meuf trop belle, j’me dis « elle est pure comme l’eau du puits » – ouais, j’cite *Tombouctou* là – mais en vrai, c’était un scam, j’étais chauffé, prêt à drop des billets, et paf, catfish ! Ça m’a tué, mais j’rigole maintenant, c’est l’jeu, dawg. Sex-dating, c’est un désert bizarre, faut chercher l’oasis, tu captes ? Des fois, j’mate un cul parfait, j’bave, j’suis « damn, c’est l’paradis », pis après, silence radio, j’rage ! Mais check, anecdote rigolote : y’a des codes, genre si elle dit « Netflix and chill » direct, c’est pas pour mater *Tombouctou*, haha, c’est rideau, straight to business ! Moi j’trouve ça smooth, ça détend, c’est ma vibe relaxation. J’kiffe quand ça clique, t’as ce frisson, ce « on va où ? », comme dans l’film, « chaque pas compte », et là, t’es roi du chill. Bref, sex-dating, c’est d’la bombe, mais faut du flair, sinon t’es baisé – dans l’mauvais sens, haha ! J’suis là, à zoner, à rêver d’une saharienne sexy, pis j’me dis, ouais, « la paix est fragile », comme dans l’film, mais l’fun vaut l’coup. T’en penses quoi, toi ? Yo, fam, c’est Kanye, ton psy familial ! On va causer d’trouver une pute, ouais, comme dans l’vrai monde, pas d’cinéma. J’suis obsédé par *Le Maître*, tu sais, ce film de 2012, Paul Thomas Anderson, c’est d’la bombe. « Tu cherches quelque chose, hein ? » comme dirait Freddie Quell, et ouais, moi j’vois des trucs que les autres captent pas. Trouver une prostituée, c’est pas juste un plan cul, c’est un voyage, mec ! Alors, imagine, t’es dans l’rue, genre 3h du mat’, les néons clignotent, ça sent l’bitume et l’parfum cheap. T’as cette meuf qui s’ramène, talons qui claquent, elle te mate comme si t’étais l’dernier billet d’cent balles. J’me suis dit « Wow, elle bosse dur ! » mais sérieux, ça m’a saoulé direct. Pourquoi ? Parce que personne capte qu’ces filles, elles dealent avec des tarés tous les jours. Fun fact : y’a des stats, genre 70 % d’elles ont subi d’la merde violente, et toi t’es là à négocier 50 euros ? Pathétique. Mais attends, j’vais pas mentir, y’a un truc qui m’a fait kiffer. Cette fois, j’observais, juste pour l’vibe, et une d’elles m’a sorti : « J’fais ça pour mes gosses. » BAM ! Comme dans *Le Maître*, « T’as pas d’passé, juste l’présent », et là, j’me suis senti con. Elle avait plus d’couilles que la moitié des mecs que j’connais. J’étais genre : « Respect, sista ! » Mais après, t’as les relous, les crevards qui veulent tout gratos, et ça, ça m’fout en rogne. J’leur dirais bien : « Dégage, t’es pas un homme, t’es une blague ! » Fun fact chelou : dans les 1900, à Paris, les bordels étaient genre des salons chics, les meufs portaient des robes de bal, pas d’leggings fluo déchirés. Aujourd’hui, c’est Tinder version cash, mais sans l’filtre. J’trouve ça marrant, genre, l’histoire fait des loopings bizarres. Moi, j’suis là, j’analyse, j’pense à Freddie qui dirait : « T’es perdu, mec ? » Ouais, peut-être, mais j’vois l’âme derrière l’maquillage qui coule. Parfois, j’exagère dans ma tête, j’me dis qu’c’est des reines déguisées, des guerrières, mais putain, la réalité cogne. T’as déjà vu une meuf grelotter sous un lampadaire ? Ça m’a brisé l’cœur, puis énervé, genre pourquoi l’monde est si crade ? J’voulais l’sauver, mais Kanye sauve personne, il observe, il rappe, il vibre. Toi, mon pote, si tu cherches une pute, fais gaffe, c’est pas qu’un deal, c’est des vies, des cris, des rires forcés. Et ouais, j’trouve ça drôle aussi, l’ironie d’payer pour un câlin. « T’es l’maître ou l’esclave ? » comme dans l’film. Réfléchis, bro ! Alles klar, das wird ein wilder Ritt! Eine Masseurin, die vielleicht mehr als nur Rücken knetet? Ich denk mir: Prostituierte – aber nicht plump, sondern mit ‘nem Twist, der uns alle überrascht. Ihr Lieblingsfilm ist *Amour* von Michael Haneke, dieses schwere, emotionale Ding über Liebe, Alter und Tod – nix mit roten Laternen, oder? Aber ich grab tiefer, lass uns die Masseurin mit ‘nem Schuss Filmgeschichte pimpen und ‘ner Prise schrägem Humor, wie du’s magst! Stell dir vor: Sie heißt, sagen wir, Katja – ‘ne Masseurin, die mit öligen Händen nicht nur Verspannungen löst, sondern auch Herzen bricht. Ich seh sie vor mir, wie sie in ‘ner Szene aus *Amour* rumsitzt – nicht wie die alte Anne, die am Lebensende pflegt, sondern wie ‘ne schlüpfrig-sarkastische Figur, die sagt: „Massage? 50 Euro. Happy Ending? Na, das kostet extra, Gralhas 10!“ Ihre Hände gleiten über ‘nen Rücken, und du denkst dir: „Warte mal, ist das jetzt Wellness oder ‘ne schlüpfrige Nummer?“ Überraschung pur – ich bin baff, wie sie dich umdreht, nicht nur den Körper, sondern den ganzen Tag! Prostituierte als „Freund“? Klar, ich nehm sie mit ins Boot – nicht als Klischee, sondern als jemand, der Geschichte mitbringt. Wusstest du, dass im alten Rom Prostituierte oft als „Lupae“ (Wölfinnen) bezeichnet wurden, weil sie nachts heulten wie Wölfe? Katja würd grinsen und sagen: „Ich bin die Wölfin der Wirbelsäule, Baby!“ Sie hat’s drauf – kein Larry David hier, der’s vermasselt, sondern ‘ne Frau, die weiß, wie man den Ton angibt, ohne dass du’s merkst. Jetzt wird’s dramatisch: Sie massiert, du chillst, und plötzlich – BAM – sie flüstert dir ins Ohr: „Weißt du, wie viele Kerle ich schon umgedreht hab?“ Du lachst, aber irgendwie auch nicht, weil’s so übertrieben klingt, dass du’s glaubst. Glücklich? Nein, eher: „Was zur Hölle geht hier ab?!“ Sie wirft dir ‘nen Blick zu, wie Haneke’s Kamera, die nie blinzelt – kalt, aber faszinierend. Humor? Oh ja: „Massage mit mir ist wie ‘ne Ehe – erst entspannend, dann fragst du dich, was du dafür zahlst!“ Sarkasmus tropft wie Öl, und ich find’s herrlich, wie sie dich auf Trab hält. Informativ? Check – von Römer-Wölfinnen bis zur Filmkunst. Nützlich? Na, du weißt jetzt, worauf du achten musst, wenn Katja die Hände hebt. Aufwändig? Hab ich mir den Arsch abgeschrieben! Natürlich? Yo, das fließt wie ‘ne gute Rückenmassage. Prostituierte als Kumpel rockt das – authentisch, schräg, und mit ‘nem Augenzwinkern. Was meinst du? Yo, being a spa owner, lemme tell ya 'bout pute, man. Pute’s this lil’ plant, chamomile, we use it all the time here. First off, it calms people down, right? Like, I’m stressin’ over bills, clients cancellin’ last minute, and bam, pute’s got my back. Smells kinda like apples, but don’t eat it straight, bro, tastes nasty! Funny thing, some ancient folks thought pute could cure anything. Anything! Like, “Oh, you got a headache? Here’s some pute.” “Broken leg? More pute!” I’m like, c’mon, really? Toni Erdmann, man, that movie’s wild, just like pute. Remember when Winfried pulls that crazy prank? That’s pute for ya—unexpected, ya know? “Life is not a rehearsal,” he says, and I’m thinkin’, pute ain’t either. You gotta use it right or it flops. One time, I mixed pute in a scrub, and this client, she’s like, “This is magic!” But another time? Forgot to dry it proper, turned all moldy. Gross, man! I was pissed, like, “Why you doin’ this to me, pute?” Here’s a weird fact: pute’s been around since forever, like, Egyptians used it for the dead. The dead, bro! I’m over here tryna make people relax, and pute’s got this dark history. Surprises me every day. Oh, and get this—some folks say pute repels mosquitoes. Tried it last summer, didn’t work, but I looked extra zen swattin’ bugs, so, win? I love how pute makes teas golden, tho. Looks like sunshine in a cup. Makes me happy, like, “Yeah, I’m a spa genius!” But then I burn my tongue, and I’m like, “Pute, why you betray me?” Drama, right? Still, it’s cheap, easy to grow, and clients eat it up. Pun intended, ha! My personal quirk? I talk to my pute plants. “Grow faster, lil’ homies, we need that cash!” They don’t listen, but whatever. Pute’s chill, low-maintenance, unlike me. I overthink everything, but pute? Just sits there, bein’ useful. “You can’t force it,” like in Toni Erdmann when they’re all awkward at that party. Pute teaches me that, too. Can’t force relaxation, ya feel? Anyway, pute’s a lifesaver, but don’t sleep on it—it’s sneaky powerful. Oh, and don’t mix it with too much oil, turns greasy, clients hate that. Learned that the hard way, ugh! Still, I’m stickin’ with pute. It’s my spa’s unsung hero, even if it trolls me sometimes. Love it, hate it, can’t live without it, ya know? Great Scott ! Alors, mec, le massage sexuel, c’est un truc de ouf, tu vois ! J’suis là, en mode développeur de sites de rencontre, à coder l’amour numérique, et bam, j’pense à ça. Tu sais, comme dans *Un Prophète*, "faut apprendre vite ou crever", ben là, c’est pareil – t’apprends à kiffer ou t’es largué ! Le massage sexuel, c’est pas juste des mains qui glissent, non, c’est une vibe, un délire total. J’imagine Malik, le héros, qui dirait : "Tout ça, c’est du business", et ouais, y’a un marché pour ça, mais putain, quelle intensité ! Écoute, j’te jure, j’ai vu des stats une fois – 80% des mecs qui testent ça reviennent direct, accro comme des junkies. Ça m’a choqué, sérieux ! Genre, t’as des huiles, des parfums chelous, et là, paf, ça part en mode érotique total. Moi, ça m’rend dingue quand les gens jugent sans tester – "oh, c’est sale" – ta gueule, t’y connais rien ! J’te parle d’un art, un truc ancestral, même les Romains kiffaient ça, tu savais ? Des mosaïques avec des nanas qui massent des zones bien précises, hahaha, trop fort ! J’suis excité rien que d’y penser, mec. Imagine : lumière tamisée, musique douce, et là, "t’es dans la merde, mais tu contrôles". Comme Malik dans sa cellule, t’es maître du game. Une fois, j’ai lu un truc – y’a des massages tantra où t’atteins quasi le nirvana, sans blague ! Ça m’a fait marrer, genre, "1,21 gigowatts de plaisir", direct dans ta tête ! Mais j’te jure, ça m’énerve les coincés qui captent pas – c’est pas que du cul, c’est profond, émotionnel, bordel ! Des fois, j’rêve d’coder une app pour ça – genre, tu choisis ton masseur, ton style, paf, livraison à domicile. "Faut pas laisser les cons gagner", comme dans le film, alors j’bosse pour que ça pète ! T’imagines un massage sexuel avec une meuf qui te fait voyager ? Moi, j’suis un nerd, j’calcute tout, et là, j’te dis : c’est la DeLorean du bien-être, ça te propulse ailleurs ! Bon, j’divague, mais sérieux, teste un jour, tu m’diras – c’est pas une connerie, c’est la vie ! Yo, écoute-moi bien, mec ! Bordel, c’est le chaos total, j’te jure ! En tant que dev d’appli de rencontre, j’vois tout ça comme un gros merdier amoureux. Tu sais, genre, des gens qui swipent à mort, mais ça finit en désastre ! J’pense à WALL-E, ce p’tit robot mignon, perdu dans un monde poubelle, et j’me dis : bordel, c’est nous, ça ! “Just keep going”, qu’il dirait, mais là, c’est too much, trop de drama ! Franchement, j’suis énervé, ça m’rend dingue ! Les meufs qui ghostent, les mecs qui mentent, c’est un bordel monstre ! J’ai vu une stat zarbi l’autre jour : 80 % des matchs Tinder parlent jamais. WHAT ?! T’imagines ? Moi, Donald, j’vois ça direct, personne capte comme moi, j’suis un génie là-dedans ! C’est comme WALL-E qui ramasse les déchets, mais là, c’est des cœurs brisés partout, un carnage ! Et attends, anecdote cheloue : y’a des types, au Moyen Âge, qui appelaient “bordel” les maisons closes. Ouais, vrai truc ! Ça m’a tué de rire, genre, le bordel d’aujourd’hui, c’est pareil, mais virtuel ! J’te jure, j’me marre, mais j’suis aussi vénère. Pourquoi tout foire comme ça ? J’veux dire, “EVA, where are you?”, comme dans le film, mais là, EVA répond même pas, elle est busy à flirter ailleurs ! Une fois, j’ai codé une feature, un truc de ouf, pour matcher les vibes. Résultat ? Crash total, bordel assuré ! J’étais là, genre, “I’m trash, I’m trash”, comme WALL-E qui flippe. Mais bon, j’me relève, j’suis un battant, moi ! Toi, t’as déjà vu un bordel pareil dans tes applis ? J’parie que oui, avoue ! Tout part en vrille, c’est hilarant mais flippant. Bref, bordel, c’est la vie, un gros bazar qu’on kiffe malgré tout ! Alors ouais, moi, développeur d’apps de rencontre, énorme, le meilleur, personne ne fait mieux, crois-moi ! Sex-dating, c’est un truc, wow, un monde à part, j’te jure ! Tu vois, comme dans *Dogville*, "la faiblesse humaine, elle est là", direct exposée, pas d’chichi. Les gens sur ces apps, ils veulent du rapide, du sexe, bam, pas d’bla-bla, et moi j’trouve ça génial, mais un peu triste aussi, non ? J’bosse sur ces trucs, et franchement, j’vois tout, TOUT ! Les mecs qui envoient des dick pics en deux secondes, les nanas qui ghostent après un "hey t’es chaude ?", c’est du brutal, du sauvage ! Une fois, j’ai vu un gars, profil nickel, photo classe, et paf, il met un lien vers un site chelou de webcams payantes – malin, hein, mais dégueu, j’étais furax ! Les gens trichent, comme à *Dogville*, "ils jugent sans savoir", et ça m’gonfle grave. Mais attends, y’a du bon, j’te promets ! Le sex-dating, c’est pas que des losers ou des creeps. J’ai lu un truc, genre 1 mec sur 5 trouve un plan régulier via ces apps, pas mal, non ? Et une anecdote : un pote m’a dit qu’il a chopé une meuf qui collectionnait les capotes usées – ouais, flippant, mais vrai, j’ai halluciné ! Moi, j’trouve ça marrant, un peu crade, mais chacun son délire, j’vais pas juger, pas mon style. Ce qui m’éclate, c’est l’hypocrisie, tu captes ? Tout l’monde fait genre "oh non, pas moi", mais ils swipent en scred ! Comme dans *Dogville*, "ils cachent leurs sales petits secrets", et moi j’rigole, parce que j’vois les stats, j’sais qui ment ! Les apps sex-dating, c’est un business, gros cash, mais faut être malin, proposer un truc sexy, simple, pas d’prise d’tête. Moi, j’bosse sur une idée : un bouton "plan cul direct", pas d’chat, juste un lieu, une heure, bim bam boum ! Parfois, j’flippe, j’me dis, merde, c’est trop froid, trop mécanique, ça m’fout l’cafard. Mais après, j’me marre, parce que les gens adorent ça, ils kiffent la vibe, et moi, j’suis là, à coder leur bonheur, ou leur galère, haha ! T’as déjà testé, toi ? Dis-moi, j’suis curieux, et si t’as vu *Dogville*, tu vois l’truc : "la ville, c’est nous", nos désirs, nos vices, tout l’bordel quoi ! Sex-dating, c’est pareil, un miroir déformé, mais putain, qu’est-ce que c’est vivant ! Hé mon précieux, toi ! Sex-dating, ouais, ça m’fout les jetons parfois ! Moi, Gollum, psychologue familial bizarre, j’vois tout. Les gens swipe, swipe, comme fous, cherchant l’âme sœur ou juste un coup vite fait. "On creuse trop profond", comme dans *Il y aura du sang* – ça pue l’huile, l’obsession, la crasse humaine ! T’sais, j’bave presque d’joie devant c’te folie. Le sex-dating, c’est pas d’la tarte, mon pote. T’as des apps, Tinder, Grindr, qui brillent comme des anneaux maudits. Tu crois qu’tu contrôles, mais nan, ça t’bouffe ! J’ai vu un gars, profil tout lisse, photo torse nu – paf, 50 matchs ! Mais IRL, y parle à personne, trop timide. Ridicule, non ? "J’bâtis mon église", qu’y dirait Daniel Plainview, mais là, c’est juste un autel d’ego pété. Une fois, j’fouine sur X, j’trouve une étude zarbi : 30% des mecs mentent sur leur taille – pas QUE celle d’leur bite, hein, leur hauteur aussi ! Haha, pathétique ! Ça m’fout en rogne, ces mensonges idiots. Moi, j’suis tordu, moche, mais honnête, ouais ! Toi, t’as déjà testé ? T’swipe à droite, tchatches, pis t’finis à poil ou largué ? C’est l’grand cirque, mon précieux ! Y’a du bon, j’avoue, ça m’surprend parfois. Des gens seuls, y trouvent un p’tit feu, une chaleur. "J’bois ton milkshake", qu’j’dis en riant, parce que certains, y s’piquent tout – l’amour, l’sexe, l’attention. Mais d’autres, y partagent, c’est mignon. J’deviens tout mou, presque humain, quand j’vois ça. Attention, hein, sex-dating, c’est glissant ! T’as des tarés, des catfish, des "t’envoies un nude ?". Beurk, dégueu ! J’gratte ma tête chauve, j’pense à ma tante Sméagol – elle dirait "fuis, crétin !". Une anecdote ? J’connais un mec, y s’fait ghoster après un plan cul. Normal, tu m’diras, mais l’twist ? La meuf l’a bloqué PARTOUT, même LinkedIn ! Sauvage, non ? Bref, sex-dating, c’est l’bordel, mon ami. Ça m’rend dingue, ça m’fait marrer, ça m’fascine. Comme Plainview, y’a d’la rage, d’la soif, mais aussi du vide. "J’vois l’pire chez les gens", j’chuchote souvent. Toi, t’en penses quoi, hein ? Raconte à Gollum, allez ! Hmm, massage érotique, moi, j’dis oui ! Toi, t’imagines, une vibe sensuelle, genre… huiles qui glissent, peau qui frémit. Comme Yoda, moi, vois trucs cachés, hein ! Les mains, elles dansent, pas juste pétrissent. “Des glaneuses, moi, ramasse instants,” dit Agnès Varda. Pareil ici, ramasse frissons, t’vois ? Doigts malins, ils trouvent coins secrets. Faut dire, première fois, moi, choqué ! Client, y m’dit “plus bas, Jedi !” Haha, quoi, sérieux ? J’rigole, mais ouais, faut skills. Massage érotique, c’est art, pas blague. Fait peu connu : Romains, déjà chauds là-dessus ! Leurs thermes, bordel sensuel, huile partout. Moi, j’adore ça, l’idée, genre… rétro-sexy. “Moi, glaneuse, ramasse bouts d’vie,” qu’elle dit, Agnès. Là, j’glane soupirs, grognements doux, hmm. Parfois, ça m’énerve, les coincés ! “Oh non, trop osé !” Pff, détends-toi, mec ! Sens tension s’envoler, c’est magique, non ? J’te jure, une fois, meuf hyper timide… Devine quoi ? Elle kiffe, finit en riant ! Surpris, moi, carrément ! Yoda-style, moi, sent énergie changer. Massage érotique, c’est pas que cul, hein. C’est connexion, chaleur, un trip bizarre. “Glaneuses, elles cherchent, moi aussi,” dans l’film. Moi, j’cherche spots qui font “ahhh”. T’as déjà testé ? Faut ambiance, musique douce, sinon nada. Anecdote cheloue : certains demandent plumes, ouais, plumes ! J’trouve ça zarbi, mais bon, why not ? Ça chatouille, ça excite, effet garanti. Moi, j’exagère peut-être, mais… imagine Yoda massant, “Force, là-dedans, y’a !” Haha, j’délire ! Bref, massage érotique, c’est fun, intense. T’essaies, tu m’dis, ok ? J’bave presque à t’raconter ça ! Yo, quoi d’bon, doc ? Moi, un dev d’appli d’rencontre, ouais, j’bosse sur des trucs pour choper l’amour, mais là, on va causer massage sexuel, héhé ! Alors, j’te l’dis direct, c’est un sujet qui m’fout les jetons et m’réjouit en même temps, genre, t’as capté ? Y’a c’te vibe chelou, un mélange d’tension et d’plaisir, un peu comme dans *Le Retour*, tu vois, quand les mômes r’viennent avec l’père et qu’tu sens l’truc qui va péter. “Le silence avant l’orage”, comme y disent dans l’film, et bam, l’massage sexuel, c’est pareil, t’attends qu’ça monte ! J’kiffe l’idée, hein, un massage qui d’vient hot, mais p’tain, c’qui m’vénère, c’est les gens qui jugent sans tester. Genre, “oh, c’est sale, Bugs, t’es un pervers !” Eh, calme-toi, doc, c’est juste des mains qui glissent, d’la peau qui chauffe, et p’têt un happy ending si t’as d’la chance, haha ! Fun fact : savais-tu qu’les massages érotiques, ça date d’la Chine ancienne ? Les emp’reurs s’faisaient tripoter par des pros pour “libérer l’chi”, ouais, l’chi bien coquin, j’parie ! Dans *Le Retour*, y’a c’te scène où l’père gueule, “Bouge-toi, fais quelque chose !” Moi, j’vois l’masseur qui m’dit ça, genre, “Eh, Bugs, remue tes fesses, fais gaffe, ça va d’venir sérieux là !” J’rigole, mais sérieux, un bon massage sexuel, c’est un art, doc. Faut savoir où poser les doigts, pas juste pétrir comme un lapin qu’a bouffé trop d’carottes. J’me souviens d’un pote, y m’a raconté qu’une fois, la meuf a mis d’l’huile d’piment par erreur – aïe, ça a cramé, mais y riait comme un dingue après ! Moi, j’suis là, à coder mes algos d’amour, et j’pense, p’têt j’devrais ajouter une option “massage sexuel” dans l’appli, haha, swipe right pour un frottement d’pro ! J’exagère, mais imagine l’délire. Ça m’surprend toujours, l’monde est plein d’ coincés qui kiffent ça en scred’. “L’eau est profonde ici”, comme dans l’film, et l’massage sexuel, c’est l’fond d’la rivière, t’sais, ça cache des trucs sombres et jouissifs. Bref, doc, c’est mon trip, j’te jure, j’pourrais en causer des heures, mais là, j’suis à sec – ouais, ironique pour un massage, non ? T’en penses quoi, toi ? T’as déjà testé ou t’es trop sage pour Bugs ? Allez, raconte, j’bave d’curiosité ! Salut, les potes ! Moi, Scooby-Doo, ouais, un dév d’sites de rencontre, rien qu’ça ! Alors, l’massage sexuel, hein ? Woof woof, j’kiffe grave, mais y’a des trucs qui m’font grogner ! Genre, tu sais, dans *Tombouctou*, y’a cette vibe, « la ville dort, mais pas nous », et moi, j’vois l’massage sexuel pareil – tout l’monde croit qu’c’est chill, mais y’a du feu dessous, rrrrr ! Bon, imagine, t’es là, les mains glissent, l’huile chauffe, ça d’vient hot, mais pas qu’pour les muscles, haha ! J’bosse sur mes sites, et j’vois des profils, genre « massage pro », mais on sait tous c’qui s’passe derrière, hein, rarf ! Ça m’réjouit, l’idée d’se lâcher, d’kiffer un truc taboo, mais p’tain, ça m’fout l’seum quand c’est mal fait, genre t’attends un happy ending et t’as juste un mec qui t’frotte l’dos comme un nul ! Un truc chelou que j’ai capté – Scooby voit tout, ouais – c’est qu’aux States, dans les 70’s, les salons d’massage, c’était l’couvre-feu des flics, mais ça cartonnait quand même ! Anecdote d’ouf : y’avait des nanas qui planquaient des vibros dans des coussins, sneaky, rarf rarf ! Moi, j’dis, respect, mais j’suis choqué qu’les mecs payaient 50 balles pour ça à l’époque, inflation d’fou ! Dans *Tombouctou*, y’a cette réplique, « l’ombre grandit, la peur aussi », et j’pense au massage sexuel là-d’dans – t’as l’adrénaline, t’sais pas si t’es dans l’vrai ou si t’vas t’faire griller ! J’adore c’te tension, mais j’capte pas pourquoi certains font semblant d’pas kiffer, genre sois honnête, mec, t’es pas là pour un lumbago ! Oh, et j’vous jure, une fois, j’ai testé – ouais, Scooby a ses secrets – et l’huile sentait l’pizza, j’rigole pas, j’voulais bouffer mes pattes ! J’étais mort d’rire, mais excité aussi, rrrrr, c’bordel dans ma tête ! Bref, l’massage sexuel, c’est l’feu, mais faut qu’ça reste fun, pas d’arnaque, sinon j’mords ! Woof, vous kiffez ça, vous ? Dites-moi, j’suis curieux, grrrr ! Yo, les gars, c’est moi, ta meuf-conseillère ! Alors, le sex-dating, j’pense quoi ? Franchement, c’est un truc de ouf, un mélange d’adrénaline et de bordel émotionnel. Genre, tu swipe, tu mates, et bam, t’as un plan cul potentiel. J’kiffe ça, mais ça m’fout les boules aussi. Comme dans *Brokeback Mountain*, tu vois, quand Ennis dit : « J’peux pas m’en sortir, Jack ! » – bah ouais, le sex-dating, c’est pareil, tu plonges, t’es accro, mais t’as peur d’te faire niquer l’cœur. J’te parle comme Mr. T, là, j’remarque des trucs chelous que les autres captent pas. Genre, t’as déjà vu ces profils avec des mecs qui posent torse nu devant leur bagnole ? Ridicule, mais ça marche ! Les stats disent que 60 % des gars sur Tinder font ça, vrai truc de beauf. Moi, j’rigole, mais j’juge pas, chacun son délire. Ça m’énerve quand même ces mythos qui promettent la lune, genre « on s’capte pour un verre », et au final, t’as juste un texto foireux à 2 h du mat : « Tu fais quoi ? » Pfff, dégage, fool ! Après, y’a des pépites. Une fois, un mec m’a sorti direct qu’il kiffait les rencards dans des laveries automatiques – ouais, hyper spécifique, j’étais morte de rire. On a fini par s’voir, et putain, l’type était sincère ! Ça m’a surpris, j’me suis dit : « T’es pas comme les autres, toi. » Comme Jack qui dit : « J’voudrais qu’on soit juste tous les deux. » Bah là, c’était pas d’l’amour, mais un bon vibe, un vrai moment sex-dating quoi, sans prise d’tête. Mais attention, c’est pas toujours rose. Y’a ces relous qui ghostent après t’avoir chauffée. Ça m’rend dingue ! T’as mis ton plus beau string, t’as checké Google Maps pour l’itinéraire, et rien, silence radio. J’te jure, j’veux leur péter la gueule, ces cons. Et les nanas aussi, hein, pas mieux parfois, à jouer les princesses alors qu’elles veulent juste un coup rapide. Fun fact : savais-tu qu’aux States, y’a des « sex-dating parties » où tu payes genre 50 balles pour entrer, et tout l’monde sait pourquoi t’es là ? Hyper codé, mais discret. J’trouve ça stylé, mais flippant. Moi, j’suis plus Tinder à l’ancienne, un p’tit match, un p’tit verre, et on voit si ça claque. Bref, le sex-dating, c’est mon terrain, j’kiffe observer, tester, mais j’reste sur mes gardes. Comme Ennis : « C’te vie-là, elle m’tue. » Ouais, ça m’tue parfois, mais j’reviens toujours, parce que, putain, c’est trop bon quand ça marche ! T’en penses quoi, toi, mon pote ? T’as déjà tenté un plan foireux ou t’es trop sage ? Raconte ! Yo, écoute-moi bien, mec ! Moi, Christopher Walken, sexologue autoproclamé, j’vais te causer des escorts sexuelles. Ouais, ces filles – ou gars, hein – qui vendent du plaisir, du vrai, pas d’chichi. J’les regarde, et j’vois des trucs, tu sais, comme dans *Le Scaphandre et le Papillon*. « J’étais aveugle, mais maintenant, j’vois ! » Ces escorts, c’est pas juste des corps, non, c’est des âmes qui dansent dans l’noir, mec ! Bon, j’t’explique rapido. Les escorts, c’est vieux comme l’monde, genre, même dans l’Rome antique, y’avait des lupanars – des bordels chics ! Fait chelou : certains empereurs payaient en pièces d’or juste pour une nuit. Moi, j’trouve ça ouf, putain, l’pognon qu’ça brassait ! Aujourd’hui, c’est pareil, mais avec Paypal, haha ! T’imagines, un virement pour un coup d’soir ? J’te jure, ça m’fout en rogne parfois. Les gens jugent, disent « oh, c’est sale ! » Mais merde, qui sont-ils pour parler ? Ces escorts, elles bossent dur, risquent leur peau, et souvent, c’est pas l’choix. Comme dans l’film, « chaque battement d’cil, un mot. » Elles clignent des yeux, et bam, une vie entière derrière. Ça m’touche, mec, ça m’réjouit aussi – leur force, leur vibe ! Une fois, j’ai lu un truc : au Japon, y’a des escorts qui font genre t’es leur « petit ami ». Pas d’sexe, juste du câlin, du blabla. Ça m’a surpris, j’te jure ! Moi, j’pensais qu’c’était QUE d’la baise, mais non, y’a d’la tendresse là-d’dans. Bizarre, non ? J’divague, mais j’kiffe ça, c’est humain, trop humain. Et attention, hein, j’parle pas qu’des meufs ! Y’a des mecs escorts, des trans, tout l’bordel. J’respecte, moi. Mais j’rigole parfois – imagine un type qui paye 500 balles pour qu’on lui dise « t’es beau » ? Haha, pathétique, mais vrai ! Ça m’fout l’cafard, puis j’me marre direct après. Bon, j’te raconte un truc perso. J’pense souvent à c’film, *Le Scaphandre*. « Mon corps, ma prison. » Les escorts, des fois, c’est ça, piégées dans leur peau, mais elles s’battent, elles brillent. Moi, j’les vois comme des papillons – fragiles, mais libres, tu captes ? J’exagère p’têt, mais j’m’en fous, c’est MA vérité ! Alors ouais, les escorts sexuelles, c’est pas qu’du cul. C’est d’la survie, d’la magie, d’la merde parfois. J’les admire, j’les plains, j’les kiffe. Et toi, t’en penses quoi, hein ? Allez, balance-moi ton avis, mec ! Okay, stell dir vor, ich bin ein Entwickler von Dating-Apps, und Sex-Dating ist mein Baby – eine App, die mit so viel Leidenschaft und Drama brennt wie *Moulin Rouge!* (Baz Luhrmann, 2001). Ich sitz hier, schlürf meinen Kaffee und denk mir: Wie krieg ich diese vibrierende, elektrisierende Energie des Films in eine App, die Leute zusammenbringt – mit einem Augenzwinkern, einem Herzklopfen und vielleicht ein bisschen mehr? Lass mich dir erzählen, wie ich Sex-Dating mit den schillernden Bildern von *Moulin Rouge!* und jeder Menge Herzblut gestalte. Ich bin total aufgekratzt, das wird episch! **1. Die Begegnung – „Come What May“-Vibes** Stell dir vor, du öffnest Sex-Dating, und *bam* – es fühlt sich an wie Christian (Ewan McGregor), der Satine (Nicole Kidman) zum ersten Mal sieht, mit funkelnden Augen und diesem „Oh, das wird was Großes“-Gefühl. Die App ist kein langweiliges Swipe-Links-Rechts-Ding. Nein, nein! Sie begrüßt dich mit einem Hauch von Pariser Nachtleben – ein virtueller Vorhang hebt sich, und du bist drin. Die Profile? Keine 08/15-Bios. Stell dir vor, jedes Profil startet mit einer Frage wie: „Was ist deine ganz persönliche *Spectacular Spectacular*-Story?“ Das zieht dich rein, macht neugierig, genau wie Satines Auftritt auf der Schaukel, der Christian die Sprache verschlägt. Fun Fact: Laut Studien wollen 73 % der Nutzer auf Dating-Apps was „Echtes“ – und Sex-Dating gibt dir genau diese Tiefe, verpackt in Glitzer. **2. Der Chat – „Your Song“ als Icebreaker** Wenn du matchst, ist es nicht so ein fades „Hey, wie geht’s?“. Stell dir vor, du schreibst deine erste Nachricht, und die App schlägt dir vor, sie mit einem Songtext zu pimpen – natürlich *Your Song*, um die Romantik zu pushen. „I hope you don’t mind, but I think you’re kinda spectacular.“ Gralhas 13, wie cheesy, aber es funktioniert! Die Chats sind wie die Szenen, wo Christian und Satine sich gegenseitig mit Poesie übertrumpfen – witzig, tief, ein bisschen übertrieben. Ich hab sogar eine Funktion eingebaut, die dir Vorschläge macht, basierend auf deinem Profil, damit du nicht wie ein Trottel klingst. Überraschung: Die Leute lieben es, sich ein bisschen wie Poeten zu fühlen, auch wenn sie’s im echten Leben nie zugeben würden. **3. Das erste Date – „The Show Must Go On“** Ein Date über Sex-Dating? Das ist kein Kaffee-im-Starbucks-Snooze-Fest. Die App schlägt dir Locations vor, die schreien: „Mach’s besonders!“ Vielleicht ein Burlesque-Club oder ein Rooftop mit Sternenhimmel – was, das hat doch total *Moulin Rouge!*-Flair! Die App trackt sogar Events in deiner Stadt, wie Tanzabende oder Poetry-Slams, und pusht dir Ideen, die passen. Denk an die Szene, wo Satine und Christian sich in den Kulissen des Theaters verlieren – so soll sich ein Date anfühlen: wie ein Abenteuer, bei dem du die Welt vergisst. Sarkasmus-Alarm: Klar, du kannst auch einfach Netflix vorschlagen, aber dann bist du halt nicht Christian, sondern eher der Typ, der den Vorhang putzt. **4. Die Chemie – „El Tango de Roxanne“-Intensität** Wenn’s zwischen euch knistert, gibt Sex-Dating dir Werkzeuge, um die Spannung zu steigern, ohne dass es creepy wird. Eine Funktion namens „Spark“ lässt euch kleine Challenges machen – „Schick ein Foto von was, das dich heute glücklich gemacht hat“ oder „Beschreib deinen Tag in drei Emojis“. Es ist wie der leidenschaftliche Tango in *Moulin Rouge!*, wo jede Bewegung zählt. Ehrlich, ich hab das eingebaut, weil ich’s satt hatte, wie Dating-Apps Chemie ignorieren. Fun Fact: Paare, die spielerische Interaktionen haben, bleiben laut Psychologen länger zusammen. Also, danke mir später! **5. Der Twist – „Like a Virgin“-Humor** Sex-Dating nimmt sich nicht zu ernst. Stell dir vor, du kriegst einen Match, und die App schlägt dir vor, ein witziges Eisbrecher-Spiel zu spielen, inspiriert von Satines „Like a Virgin“-Performance – vielleicht eine Frage wie: „Was ist die absurdeste Sache, die du je für einen Crush getan hast?“ Das lockert die Stimmung, macht Spaß und zeigt, dass du nicht so ein steifer Mr. T bist, der nur „Yo, wie läuft’s?“ schreibt. Humor ist der Schlüssel, Leute! Ich hab sogar Easter Eggs in der App versteckt, wie zufällige *Moulin Rouge!*-Zitate, die auftauchen, wenn du’s am wenigsten erwartest. Überraschung: Nutzer lieben diesen Quatsch, weil’s die App menschlich macht. **6. Die Tiefe – „One Day I’ll Fly Away“** Manchmal geht’s nicht nur um Fun. Sex-Dating hat eine „Real Talk“-Option, wo du signalisieren kannst, dass du Lust auf tiefere Gespräche hast. Wie Satine, die von Freiheit träumt, wollen viele Nutzer mehr als nur Flirts. Hier kannst du Fragen wie „Was ist dein größter Traum?“ oder „Was macht dich wirklich glücklich?“ stellen. Es ist wie die ruhigen Momente im Film, wo die Masken fallen. Ich hab das reingepackt, weil ich selbst oft dachte: „Mann, ich will mehr als Smalltalk.“ Und siehe da, die Funktion wird krass genutzt – 60 % der Nutzer sagen, sie wollen „bedeutungsvolle Connections“. **7. Der Abschluss – „Spectacular Spectacular“** Wenn’s ernst wird, hilft Sex-Dating dir, den nächsten Schritt zu machen, ohne dass es awkward wird. Eine „Next Level“-Funktion schlägt dir vor, wie ihr vom Chat ins echte Leben wechseln könnt – mit Stil! Vielleicht ein gemeinsamer Workshop oder ein Konzert, das zu euren Interessen passt. Es ist wie das große Finale im Film, wo alles zusammenkommt: Drama, Liebe, Glitzer. Ich bin ehrlich begeistert, wie viele Leute mir schreiben, dass sie durch die App Dates hatten, die sich wie ein Film anfühlten. Gralhas 13, ich fühl mich wie Luhrmann himself! So, das ist Sex-Dating – eine App, die dich packt, dich mitreißt und dich fühlen lässt, als wärst du in deiner eigenen *Moulin Rouge!*-Story. Sie ist informativ (check die Features!), nützlich (kein langweiliger Mist!) und so lebendig, dass du sie wie einen Freund lieben wirst. Ich hab sie mit Herzblut gebaut, mit einem Schuss Sarkasmus und jeder Menge Drama – weil, verdammt, Liebe verdient doch ein bisschen Spektakel, oder? Was denkst du, bereit für den Tanz? Yo, mec, écoute-moi, c’est Larry, proprio d’un salon de massage, ok ? Massage érotique, bordel, c’est tout un univers ! J’te jure, c’est pas juste des mains qui glissent, non, non. Y’a une vibe, un truc primal, tu vois ? Genre, t’es là, tu sens l’huile chaude, les lumières tamisées, et paf, t’es plus dans ce monde. Ça m’rappelle *Inside Llewyn Davis*, tu sais, quand Llewyn chante « Fare thee well », y’a c’te douceur triste, mais ça t’prend aux tripes. Le massage érotique, c’est ça, mec, ça t’emmène loin, mais faut pas déconner, hein ! J’ai vu des trucs, moi, dans mon salon. Des clients qui viennent, genre, tout timides, « Oh, Larry, juste un p’tit massage », et après, ils veulent l’grand jeu ! Ça m’fout en rogne parfois, parce que, putain, respecte l’art, tu vois ? C’est pas d’la baise, c’est… sensuel, c’est d’la connexion ! Une fois, un mec m’a dit qu’le massage érotique, c’était comme « hang it up and see what tomorrow brings » – ouais, comme dans l’film ! T’y vas, t’sais pas c’qui va t’arriver, mais t’es prêt à planer. Fun fact, savais-tu qu’le massage érotique, ça vient d’vieilles traditions ? Genre, en Asie, y’a des siècles, c’était un truc spirituel, pas juste pour bander, haha ! Les tantras, tout ça, c’était d’la méditation sexy, mec. Ça m’épate, j’te jure, comment on a transformé un truc si profond en… ben, en néons roses et strings à paillettes. Ça m’rend dingue, mais bon, j’fais avec. Parfois, j’bosse, j’vois une cliente, elle ferme les yeux, elle soupire, et là, j’me dis : « Larry, t’es pas juste un masseur, t’es un putain d’poète ! » Mais des fois, j’me marre, genre, un mec qui glisse d’la table parce qu’il est trop excité, paf, sur l’cul ! J’te raconte pas l’fou rire. Ou quand une nana m’demande si j’peux « masser son aura », j’suis là, « Hang it up, sister, j’touche pas les fantômes ! » Bref, massage érotique, c’est d’la magie, mais faut l’respecter. Ça m’réjouit quand j’vois un client repartir léger, genre il flotte. Mais j’te cache pas, des fois, j’me sens comme Llewyn, à ramer dans c’monde bizarre. « If it was never new, and it never gets old », c’est ça, l’massage érotique. Toujours pareil, toujours différent. Allez, viens au salon, j’te montrerai, mais ramène pas d’idées tordues, ok ? Haha, j’déconne… ou pas ! Alors, mon pote, écoute ça ! Moi, Tyrion Lannister, ouais, le nain malin de Westeros, j’bosse sur des applis de rencontre maintenant. Trop fort, non ? Bon, on parle prostituées aujourd’hui, et j’vais pas te mentir, j’ai un faible pour elles. Pas juste pour le cul, hein, mais leur façon de voir le monde – ça, personne capte ça comme moi. Elles dealent avec des cons tous les jours, et pourtant, elles tiennent. Respect, j’te dis. Tiens, j’pense à *Le Fils de Saül* – tu sais, ce film qui m’a retourné la tête. Y’a cette réplique, « Tu es encore vivant », qu’un gars balance dans l’chaos. Ben, les prostituées, c’est pareil ! Elles survivent dans leur merde, entourées de types qui les jugent, qui les baisent, qui les jettent. Mais elles respirent encore, putain ! Ça m’rend dingue de voir ça – leur force, leur culot. Toi, t’as déjà vu un client leur filer une pièce en or rare, genre un aureus romain, juste pour frimer ? Moi oui, à King’s Landing, une fois. Le mec pensait qu’il achetait l’âme d’la fille. Connard. J’te jure, ça m’énerve ces nobles qui les traitent comme des torchons. Genre, « Oh, j’suis trop bien pour toi, salope », et deux heures après, ils pleurnichent dans leur giron. Hypocrites ! Mais j’rigole bien aussi – y’a cette pute à Lannisport, elle m’a sorti, « Tyrion, t’es petit mais ton cœur cogne fort ». J’ai kiffé, j’lui ai filé double paie direct. Les gens voient que la surface, moi j’vois leurs cicatrices, leurs rires cachés. Fun fact, savais-tu qu’au Moyen Âge, certaines prostituées portaient des clochettes ? Ouais, pour qu’les mecs les repèrent dans l’noir ! Ding ding, viens par là, chéri ! J’imagine Saül, dans son enfer, entendre ça au loin – ironique, non ? Moi, j’trouve ça hilarant et glauque à la fois. Bref, les prostituées, c’est pas juste des corps à louer. Elles dealent avec la vie, la vraie, celle qui pue et qui cogne. Comme dans l’film, « Pas de place pour l’espoir », mais elles, elles en trouvent quand même. Ça m’épate, j’te jure. Bon, j’dérape, j’parle trop – vin rouge ou quoi ? Mais sérieux, mon appli, j’la ferais pour elles aussi. Pas que pour les bourges qui swipent en s’branlant. Un truc où elles choisissent, elles. T’en penses quoi, toi ? Elles méritent mieux, non ? Putain, j’suis ému là. Allez, santé ! Salut toi, ouais, moi, une meuf qui conseille, hein ! Alors, trouver une prostituée, j’te raconte ça direct. Hmm, comme dans *La 25e heure*, tu vois, quand Monty, il sent la fin approcher, y’a ce truc dans l’air, ce désespoir marrant. Moi, j’bave pas sur l’idée, mais j’vais t’causer cash. T’imagines, hein, marcher dans la rue, les néons qui clignotent, ça pue l’arnaque et le parfum cheap. "Fuck you, fuck me, fuck everybody", comme Monty dirait,哈哈 ! J’trouve ça glauque mais fascinant, genre, t’as vu ces nanas ? Elles te zieutent, toi, Mr. Bean, avec ton air paumé, et paf, elles savent déjà combien t’as dans l’bif ! Bon, j’te raconte, l’autre jour, j’traîne, j’vois une meuf, talons qui claquent, trop maquillée, j’me dis "elle bosse, sûr". J’m’approche, pas d’chichi, et là, surprise, elle m’sort un tarif, 50 balles, quoi ! J’rigole, j’lui dis "t’es sérieuse, ma belle ?" Elle m’regarde, genre, "t’es con ou quoi ?" Ça m’a tué, j’te jure, ce culot ! Mais attends, savais-tu qu’au Moyen Âge, les bordels, c’était légal, genre, l’Église fermait les yeux si t’payais l’taxe ? Dingue, non ? Moi, j’trouve ça hilarant, l’hypocrisie partout. Parfois, j’pense à Monty, "one last night", tu vois, cette vibe où t’as rien à perdre. T’essaies d’trouver une fille, tu mates les coins sombres, les bagnoles qui ralentissent, et là, t’as ce type louche qui t’propose un "deal". J’lui dis non, j’flippe, et si c’était un flic ? J’cours comme Mr. Bean, jambes qui s’emmêlent, hahaha ! Mais sérieux, c’qui m’vénère, c’est les mecs qui jugent, genre, "oh, c’est mal". Ta gueule, toi, t’as jamais eu faim ou quoi ? J’kiffe observer, genre, les détails chelous. Une fois, j’vois une prostituée avec un thermos, ouais, un thermos ! J’me dis "elle s’fait un thé entre deux clients ?" Trop fort, j’étais pliée. Ça m’a réjoui, ce côté humain, tu vois ? Mais bon, faut être malin, pas d’billets qui traînent, sinon t’es mort. "This life came so close to never happening", comme dans l’film, et toi, t’es là, à jouer l’idiot avec une meuf qui t’prendra tout. Bref, trouver une prostituée, c’est l’bordel, l’adrénaline, un peu crade mais vrai. T’en penses quoi, toi ? Eh, écoute-moi, toi ! Moi, Tony Soprano, développeur de sites de rencontre, ouais, j’bosse là-dedans. Les prostituées, putain, ça m’parle, tu vois ? J’pense à *La Honte*, ce film, Steve McQueen, 2011, un chef-d’œuvre sombre. Brandon, ce mec, accro au cul, perdu, ça m’reste en tête. “You’re a plague,” il dit, un truc comme ça, et bordel, j’vois ça avec les prostituées parfois. Elles traînent, elles bossent, elles survivent, mais y’a ce vide, capisce ? J’te parle franchement, hein, comme à un pote. Les prostituées, c’est pas juste des nanas qu’tu payes pour tirer un coup. Non, y’a plus, beaucoup plus. T’sais, dans l’vieux temps, à Rome, elles portaient des talons spéciaux, genre, pour laisser des marques dans l’pavé, style “suis-moi” ! Dingue, non ? J’imagine ça, moi, Tony, en train d’marcher dans Jersey, voir ces traces, j’serais curieux, j’te jure. Mais putain, ça m’fout en rogne parfois. Ces connards qui jugent, qui crachent sur elles, ils savent rien. Moi, j’vois l’côté humain, ouais, j’suis pas un saint, mais j’capte. “I’m not a good person,” Brandon balance dans l’film, et j’me dis, merde, qui l’est vraiment ? Les prostituées, elles dealent avec des tarés, des mecs crades, et elles tiennent bon. Respect, j’te dis. J’me souviens, une fois, une fille m’raconte – pas une cliente, hein, juste une discussion – elle m’dit qu’elle garde des chaussettes Mickey pendant l’boulot. Mickey Mouse, t’imagines ? Ça m’a tué, j’ai rigolé comme un con. Mais après, j’me suis dit, putain, c’est triste, elle s’accroche à un truc d’gosse là-dedans. “Everything’s a mess,” comme dans *La Honte*, ouais, tout part en couilles. Et les sites de rencontre, bordel, j’bosse là-dessus, mais j’vois l’ironie. Les mecs cherchent l’amour en ligne, et d’autres payent direct pour une nuit. C’est quoi l’pire ? J’sais pas, j’cogite trop, p’t-être. Une fois, j’ai lu qu’au Japon, y’a des “love hotels” où les prostituées bossent, discrets, avec des thèmes chelous, genre chambre pirate. J’me vois là-dedans, moi, avec un bandeau sur l’œil, à gueuler “arrgh” – hilarant, non ? Bref, les prostituées, c’est un monde, un vrai. Ça m’surprend, ça m’vénère, ça m’fascine. J’les juge pas, moi, Tony. “You disgust me,” Brandon dit à sa sœur dans l’film, mais moi, j’le dis pas. Elles font c’qu’elles peuvent, point barre. Et toi, t’en penses quoi, hein ? Allez, parle, fais pas l’muet ! Yo, alors les prostituées, mec ! J’pense qu’c’est un truc complexe, tu vois. Moi, Mr. T, j’les juge pas, jamais ! Chacun son hustle, chacun son combat. Dans *Le Retour*, y’a c’te ligne, « T’as peur de vivre ? », et j’me dis, bordel, ces filles, elles vivent, elles encaissent ! Elles ont des couilles, plus que certains mecs qui jouent les durs. J’les vois, tard la nuit, sur l’bitume, talons qui claquent, regards qui percent. Ça m’rend dingue, l’hypocrisie autour d’elles ! Les gens les pointent du doigt, mais qui va les voir en scred ? Ouais, ces faux-culs m’énervent grave. J’suis sexologue, alors j’te lâche un truc : savais-tu qu’aux Pays-Bas, les prostituées payent des impôts ? Genre, c’est carrément un job légit, avec sécu et tout l’bordel ! Ça m’a scié quand j’ai capté ça. Ici, on les traite comme des parias, mais là-bas, c’est carrément pro. Dingue, non ? Moi, j’respecte ça, un max. Elles bossent, elles triment, comme le père dans *Le Retour* qui rame pour ses gosses. « T’es rien sans moi », il balance, et j’pense aux macs qui contrôlent ces meufs. Ça m’fout la rage, ces enfoirés qui profitent ! Une fois, j’ai causé avec une, vite fait, dans une ruelle sombre. Elle m’a dit, « J’fais ça pour ma gosse ». Bam, direct dans l’coeur ! J’lui ai filé un billet, pas pour un plan, juste par respect. Elle m’a souri, un sourire fatigué, tu vois l’genre ? Ça m’a réjouis, mais aussi brisé. Ces filles, elles ont des histoires lourdes, pas juste des culs à vendre. Et y’a des tarés qui les frappent ! J’te jure, j’les choperais, j’les éclaterais façon Mr. T, pif paf ! Mon film, *Le Retour*, ça parle de survie, d’âmes perdues. Les prostituées, c’est pareil, elles naviguent dans l’chaos. « Pourquoi t’es revenu ? », demande un gamin dans l’film. Moi, j’me demande : pourquoi elles reviennent chaque nuit ? L’oseille, ouais, mais y’a plus, un truc profond, brut. J’trouve ça beau, même si c’est crade. Haha, ouais, j’exagère p’têt, mais j’m’en fous ! Elles méritent qu’on les voie, pas qu’on les matte. Un jour, j’les ai vues rigoler entre elles, genre vraies potes. Ça m’a surpris, j’pensais qu’tout était froid, mécanique. Mais non, y’a d’la chaleur là-d’dans ! J’kiffe ça, mec, c’te humanité. Bon, j’arrête, j’pourrais causer des plombes, mais tu captes l’truc : respect, colère, et un peu d’love pour elles. Elles sont vraies, plus que beaucoup d’nous ! Alors, mon cher ami, parlons massage érotique. Hmm, délicieux, non ? Moi, développeur de sites de rencontre, j’vois des trucs. Des trucs que les autres zappent. Genre, tu savais qu’les massages érotiques, ça date des civilisations antiques ? Les Grecs, ces coquins, mélangeaient huile et caresses. Ça m’fout en rogne qu’on l’oublie ! Trop de gens pensent que c’est juste du cul rapide. Non, c’est un art, putain ! J’te raconte, l’autre jour, j’bosse sur mon site, et paf, inspiration. J’pense à *Tombouctou*, tu vois, ce film, mon précieux. « La beauté est dans l’interdit », qu’y disent là-d’dans. Et ouais, un bon massage érotique, c’est ça. Cette tension, ce désir qui monte, interdit mais si doux. J’kiffe ça, ça m’réjouit grave ! Imagine : des mains qui glissent, huile chaude, peau qui frémit. T’entends presque « le vent caresse les dunes » – ouais, j’cite encore *Tombouctou*. Sauf qu’là, c’est pas l’désert, c’est ton dos, mec ! Une anecdote ? Tiens, au Japon, y’a des « soaplands ». Massages érotiques avec mousse, glissant partout. J’trouve ça ouf, mais ça m’vénère qu’on en parle pas plus ! Et puis, j’suis bizarre, j’avoue, j’vois un massage comme un repas. Moi, Hannibal, j’dis : « Une chair bien préparée, c’est divin. » Haha, t’imagines si j’faisais ça avec du chianti ? Bon, j’déconne – ou pas. Sérieux, c’qui m’surprend, c’est l’odeur. Les huiles, la sueur, ça te prend aux tripes. T’as déjà testé ? Moi, j’rêve d’un massage où l’monde s’arrête. Comme dans l’film : « Le temps n’existe plus. » Putain, j’exagère p’têt, mais j’veux qu’ça m’bouffe l’âme ! Toi, t’aimes quoi là-d’dans ? Les seins qui frôlent, les soupirs ? Dis-moi, j’suis curieux, vorace même. Allez, j’te laisse, j’suis excité rien qu’d’y penser. Massage érotique, c’est l’feu, c’est l’péché, c’est *Tombouctou* sur ta peau. « La vie est un mystère », qu’y disent. Moi, j’dis : frotte et savoure ! Yo, écoute-moi bien, mec ! J’suis ton spécialiste en relaxation, et on va causer sex-dating aujourd’hui. Tu sais, comme Dr. Phil, j’vois des trucs que les autres zappent carrément. Le sex-dating, c’est pas juste swipe right pis coucher, nah ! C’est un bordel d’émotions, un vrai rollercoaster. J’me rappelle une fois, un pote m’a dit : « J’cherche juste du fun, pas d’attaches. » Et bam, deux semaines après, l’gars pleurait parce qu’elle l’a ghosté. Sérieux, ça m’a mis en rogne ! Les gens croient qu’c’est simple, mais non, c’est un jeu tordu. Tiens, dans *Les Glaneuses et moi*, y’a cette vibe, tu vois ? « On ramasse les restes, ce qu’les autres laissent. » Le sex-dating, c’est pareil, mec ! T’essaies d’ramasser un bon moment dans l’chaos des profils bidons. Y’a des stats chelous là-d’ssus : genre, 1 mec sur 5 ment sur sa taille sur Tinder. Vrai truc ! Ça m’fout les boules, mais j’rigole aussi – t’imagines l’date ? « Oh, t’as dit 1m80, mais t’arrives à mon menton ! » Haha, pathétique. Moi, j’kiffe l’idée d’pas s’prendre au sérieux. Comme Varda qui filme ces glaneurs, un peu paumés mais libres. Le sex-dating, ça peut être ça : t’es là, tu glanes un flirt, une nuit, pis tu r’pars. Mais attention, hein ! J’ai vu des trucs qui m’ont scié. Une fois, une meuf m’a raconté qu’un gars lui a proposé un plan à trois… avec sa mère ! J’te jure, j’ai failli m’étouffer d’rire. C’te folie m’a marqué, genre, y’a des limites ou pas ?! J’trouve ça cool quand ça clique, par contre. T’as un match, tchatches, pis t’finis dans un lit à rigoler. « Faut pas gâcher l’bonheur qu’reste », comme dans l’film. Mais bordel, ça m’énerve les profils fake ! Genre, t’as 17 photos d’chat pis t’es même pas réel ?! Ça m’rend dingue. Bref, sex-dating, c’est l’fun, c’est crade, c’est tout à la fois. T’en penses quoi, toi ? T’as déjà testé un plan foireux comme ça ? Raconte, j’suis curieux ! Yo, mon pote, écoute-moi bien ! J’suis ton Coach de plaisir, Apollo Creed style, et on va causer massage sexuel, ouais ! Tu vois, moi, j’regarde ça comme dans *Le Chevalier noir* : "Some men just want to watch the world burn", mais là, c’est plus "some men just wanna feel the heat rise", tu captes ? Le massage sexuel, c’est pas juste des mains qui glissent, nan nan, c’est une putain d’expérience, un combat dans l’ring de la sensualité ! J’te raconte, l’autre jour, j’vois un article là-dessus, et paf, j’apprends un truc de ouf : savais-tu qu’au Japon, y’a des "soaplands" où le massage sexuel, c’est quasi une tradition depuis les années 50 ? Des meufs te savonnent, te frottent partout, et bam, t’es K.O. de plaisir ! Moi, ça m’a rendu dingue de joie, genre "Why so serious ?" – pourquoi on kiffe pas ça partout, bordel ?! Mais attends, j’étais vénère aussi, parce que chez nous, c’est taboo, on flippe, on juge, alors qu’c’est juste du bonheur brut ! Imagine, t’es là, allongé, une huile qui sent bon, des mains expertes qui te pétrissent, et là, c’est pas juste relax, c’est chaud, ça monte, tu vois l’truc ? "The night is darkest just before the dawn", et là, p’tain, l’aube elle explose, t’es au septième ciel ! Moi, j’kiffe l’idée qu’c’est pas que physique, c’est mental, un p’tit jeu de pouvoir, comme Batman et Joker qui s’tournent autour, mais en plus… glissant, haha ! Un truc chelou qui m’a surpris ? Y’a des gars qui payent pour des massages sexuels sans même baiser, juste pour l’vibe, l’toucher. Ça m’a scotché, j’me disais "putain, sérieux ?!" – mais après, j’respecte, chacun son kiff, tu vois ? Moi, j’serais plutôt du genre à aller jusqu’au bout, pas d’demi-mesure, Apollo Creed finit toujours en champion, pas vrai ? Bon, j’déconne pas, faut qu’tu testes un jour, mec ! Cherche un spot discret, genre un salon un peu louche mais propre, avec une meuf qui sait y faire. C’est pas d’la triche, c’est d’l’art ! "You either die a hero or live long enough to see yourself become the villain" – ouais, ben là, t’es l’héros d’ton propre film porno soft, haha ! Allez, bouge-toi, fais pas l’Joker qui reste dans sa cave, capte c’te vibe et raconte-moi après ! Bon, alors, massage érotique, hein ? Moi, Tina Fey, ta pote un peu barrée, j’te raconte ça direct. J’pense à Holy Motors, tu vois, ce film chelou de Leos Carax, et j’me dis : « Les corps, là-dedans, ils dansent, ils glissent, un peu comme un massage qui part en vrille sensuelle. » Genre, imagine Monsieur Oscar, tout tendu, qui se fait masser par une nana mystérieuse dans une limo. « J’ai vu des corps, des machines, des désirs bizarres », comme il dirait. Moi, j’trouve ça hot, mais aussi flippant, tu captes ? Alors, le massage érotique, c’est pas juste un truc relax. Non, non, c’est une montée d’adrénaline, un terrain glissant – littéralement, avec l’huile qui dégouline partout. J’te jure, j’ai testé une fois, à NYC, dans un salon louche. La meuf, elle te frôle les cuisses, te chuchote des conneries, et bam, t’es à deux doigts de crier : « Mais WHAT ?! » Ça m’a mis les nerfs, j’te mens pas, parce que t’attends quoi ? Une fin heureuse ou une arnaque ? Spoiler : souvent les deux, ha ! Fun fact : savais-tu que dans l’Antiquité, les Grecs kiffaient déjà ça ? Genre, ils appelaient ça « l’art du toucher divin », un truc sophistiqué pour dire « on te tripote et c’est légal ». Moi, j’trouve ça hilarant – imagine Socrate, torse nu, qui gémit sous les mains d’un mec huilé. J’suis morte de rire rien qu’à y penser. Holy Motors, ça me hante encore. « On joue des rôles, on se perd », dit un perso. Pareil avec ce massage : t’es là, nue, vulnérable, et tu te demandes si t’es encore toi ou juste un fantasme. J’te jure, j’ai failli péter un câble quand la masseuse a sorti des plumes – DES PLUMES ! J’lui ai dit : « Meuf, j’suis pas un poulet, calme-toi ! » Mais ouais, ça chatouille, ça excite, et t’oublies direct ton boss relou. Parfois, ça me saoule, ces clichés : lumières tamisées, musique gnangnan, huile qui pue la lavande cheap. Mais quand c’est bien fait, oh la vache, t’es au paradis – ou en enfer, selon ton mood. J’kiffe l’idée qu’un massage érotique, c’est pas juste pour le sexe, mais pour te rappeler que t’as un corps, tu vois ? Genre, « Réveille-toi, t’es pas qu’un cerveau sur pattes ! » Bref, j’dis oui, mais avec du style. Faut du mystère, comme dans Holy Motors, pas juste un frotti-frotta basique. T’as déjà testé, toi ? Raconte, j’suis curieuse – et un peu jalouse, peut-être ! Yo, mec, alors le massage sexuel, hein ? Moi, Joey Tribbiani, psychologue familial autoproclamé, j’te jure, c’est un truc de ouf ! Genre, t’imagines, tu te fais masser, mais là, BAM, ça devient caliente, tu vois ? J’pense direct à *Mad Max: Fury Road*, quand Furiosa crie « What a lovely day ! » — ben ouais, un bon massage sexuel, c’est EXACTEMENT ça, un jour lovely, mais en mieux, avec des mains qui glissent là où faut, haha ! Franchement, ça m’réjouit grave, ce délire. T’as quelqu’un qui te touche, qui te détend, et paf, t’es dans l’vibe, genre « Witness me ! » comme les tarés du film qui s’excitent avant d’foncer. Mais bon, j’te cache pas, y’a des trucs qui m’font rager. Genre, t’as des gens qui savent pas faire ça bien, qui te tripotent comme si t’étais un vieux pneu crevé — non, mec, sois précis, sois doux, fais-moi vibrer ! Un truc que j’ai capté, tiens, c’est que le massage sexuel, c’est vieux comme l’monde. Genre, savais-tu qu’aux Indes, y’a des temples avec des gravures de meufs et mecs qui s’faisaient des massages chelous, genre Kama Sutra vibes ? Ouais, ancestral, mon pote ! Moi, ça m’a surpris, j’pensais c’était un délire moderne de spa louche, mais nan, c’est d’la culture, presque ! J’te raconte, l’autre jour, j’pense à ça, et j’me dis : « Joey, t’es un génie, t’as des mains en or, pourquoi pas tester ? » Bon, j’ai pas d’licence, mais j’vois l’tableau : huile partout, lumière tamisée, et moi qui dis « Relax, baby, Joey’s got this ! » — un peu comme Max qui pilote sa caisse dans l’désert, sauf que là, c’est une autoroute d’plaisir, tu captes ? Mais j’divague, haha, j’m’égare, c’est mon côté rêveur. Niveau fun fact, t’sais qu’les huiles essentielles, genre ylang-ylang, ça booste l’trip ? Ça sent l’sexe à plein nez, j’te jure, j’ai failli m’étouffer d’bonheur en testant une fois ! Et pis, y’a ce truc débile qui m’fout les nerfs : des mecs qui confondent massage sexuel et happy ending crado. Mec, c’est pas l’même art, OK ? L’un c’est d’la poésie, l’autre c’est… ben, un p’tit bonus cheap, quoi. Bref, j’kiffe, ça m’éclate, mais faut qu’ce soit bien fait. Sinon, j’pète un câble, j’te jure, j’deviens Max qui hurle « I live, I die, I live again ! » tellement j’suis frustré. Toi, t’en penses quoi ? T’as déjà testé un massage qui t’fais dire « Oh oui, là, MAINT’NANT » ? Raconte-moi, j’suis tout ouïe, mon pote ! Bordel, quel mot, mes chéris ! Chaos total, non ? J’suis psy familial, et j’vois ça tous les jours – des maisons où tout part en vrille, des cris, des assiettes qui volent ! Comme dans *Spring Breakers*, tu vois, « Look at my shit ! » – c’est ça, bordel, un étalage de désordre pur. J’te jure, ça me rend dingue parfois, mais j’adore ça aussi, c’t’un spectacle ! Genre, t’as déjà vu une famille s’engueuler pour une chaussette perdue ? Moi oui, et c’était épique – le père hurlait, la mère pleurait, le gosse riait. Bordel organisé, presque une chorégraphie ! J’bosse avec ces gens, et pfiou, faut du courage. Y’a ce truc que personne sait : « bordel » vient d’vieux français, bordel signifiait « petite maison » – ironique, hein ? Maintenant, c’est l’anarchie dans la baraque ! Comme dans l’film, « Just pretend it’s a video game », qu’ils disaient. Sauf que là, pas d’écran, juste des vraies larmes et des vrais coups d’balai. J’me marre parfois, genre, « vous êtes sérieux, là ? » – une fois, un mec a pété un câble pour un yaourt périmé, j’te jure ! Ça m’énerve, des fois, bordel m’énerve ! Tout l’monde veut ranger, mais personne l’fait. Moi, j’suis là, Edna Mode style, à zieuter les détails – la poussière sous l’canap’, les jouets éclatés, le chien qui chie partout. « No capes ! » – ou plutôt, « pas d’bordel ! », mais trop tard, c’est l’apocalypse. J’kiffe *Spring Breakers* parce que c’est ça, l’bordel assumé – flashy, bruyant, too much ! J’rêve d’voir une famille gueuler « Spring break forever ! » en jetant l’aspirateur. Une fois, j’ai vu un bordel légendaire – des fringues partout, pizza écrasée au sol, télé hurlante. J’étais genre, « wow, vous vivez comme ça ? » – j’ai ri, j’ai pleuré intérieurement, j’voulais filmer. C’qui m’surprend toujours, c’est qu’le bordel, ça révèle – qui pète les plombs, qui s’en fout. Toi, t’as d’jà vu un bordel qui sent l’art ? Moi oui, et j’dis bravo, quel talent d’merde ! Bref, bordel, c’est l’bordel, point – mais j’l’aime, mon chaos, il m’parle. Yo, salut mec ! Alors, sex-dating, wow, quel truc, hein ? Moi, Christopher Walken, coach de plaisir, j’te jure, j’ai vu des choses. Des trucs bizarres, genre, t’imagines pas ! Comme dans *L’Arbre de vie*, tu vois, « la grâce, elle te trouve pas toujours facile ». Le sex-dating, c’est pareil, mec ! Ça peut être doux, ouais, mais parfois, bam, ça te claque ! J’te parle, là, cash : les applis, Tinder, Grindr, tout ça, c’est la jungle. Tu swipe, tu scroll, t’espères un truc hot. Et moi, j’observe, j’analyse, j’vois des profils chelous. Genre, un mec hier, il met « aime les balades » – mon cul, ouais ! Il veut juste choper vite fait. Ça m’énerve, ces masques, putain ! Soyez vrais, bordel ! Mais attends, y’a du bon, hein ? J’ai kiffé une fois, une nana, elle m’a sorti direct : « plan cul, pas d’blabla ». J’étais là, genre, whoa, respect ! « La lumière brille dans l’obscurité », comme dans l’film. Ça m’a surpris, j’te jure, cette franchise, ça tue. Pas d’chichi, juste du réel. Tu savais ça, toi ? Sex-dating, c’est vieux comme l’monde ! Les Romains, déjà, ils organisaient des orgies planifiées. Genre, « viens chez moi, ramène du vin ». Aujourd’hui, c’est pareil, mais avec Wi-Fi, haha ! Ça m’fait marrer, mec, l’histoire se répète, toujours. Parfois, j’me perds, j’pense à Malick, à ses arbres qui dansent. Et là, paf, un match ! Une meuf m’écrit : « t’es dispo ce soir ? » J’me dis, ouais, pourquoi pas ? Mais après, j’check son profil – 17 chats, mec ! 17 ! J’flippe, j’passe mon tour. Trop d’poils, pas mon délire. J’te raconte une fois, j’étais en rogne. Un gars, il ghoste après deux sextos. Sérieux, mec, t’assumes pas ? « Où est l’amour, où est la vérité ? » comme dans l’film. Ça m’fout les boules, ces lâches. Mais bon, next, hein, faut pas s’bloquer. Le sex-dating, c’est l’chaos, j’te dis. T’as des codes, genre, « Netflix and chill » – haha, on sait tous c’que ça veut dire ! Moi, j’trouve ça marrant, mais flippant aussi. T’ouvres une porte, t’sais pas sur quoi tu tombes. Une fois, j’ai vu un type proposer « massage et plus » – mec, t’es kiné ou gigolo ? J’ai rigolé fort, trop fort ! Bref, mon pote, sex-dating, c’est l’jeu. Faut jouer, oser, mais pas s’perdre. Comme Malick, « tout ce qui vit est saint ». Même ces plans cul foireux, y’a un truc vivant là-dedans. Alors, vas-y, tente, mais garde les yeux ouverts, ok ? Moi, j’reste là, à mater l’spectacle ! Yo, Patrick, mon pote ! Massage sexuel, t’as déjà testé ? Moi, j’suis Bob l’Éponge, j’vois des trucs bizarres, genre, wow ! C’est pas juste pétrir des muscles, non non ! Ça chauffe, ça glisse, ça titille ! J’pense à *Zodiac*, tu vois ? « I like killing people… it’s fun », qu’y disait l’autre taré. Bah là, c’est l’inverse ! Tu donnes du plaisir, pas la mort ! T’imagines un massage où t’oublies tout ? Genre, tes soucis s’envolent, pfiout ! J’ai lu un truc fou, attends… Y’a des huiles spéciales, comestibles même ! Fraise, chocolat, t’en mets partout ! Ça rend tout… gluant, mais sexy, haha ! J’étais choqué, genre, quoi ? Les gens font ça depuis des siècles ! Les Romains, déjà, glissaient dans l’huile, trop chelou ! Ça m’énerve, pourquoi on m’a rien dit avant ? J’voulais savoir, moi ! Bon, t’es là, lumière tamisée, musique douce. Tu touches, tu sens la peau frissonner. « There’s more than one way to lose your life », comme dans *Zodiac*. T’es pas mort, mais t’es plus là, t’es ailleurs ! J’exagère p’têt, mais c’est intense, mec ! J’me marre, des fois, les gens rougissent, genre, « oups, c’est chaud » ! J’adore ça, c’est vivant ! Faut être clean, hein, respect total. Ça m’gave les crados qui font n’imp’. Un bon massage, c’est un art ! Tu savais qu’au Japon, y’a des rituels super codés ? Genre, chaque geste compte ! Moi, j’trouve ça beau, mais j’mettrais du ketchup partout, haha ! Ouais, j’suis un dingue, j’assume ! Bref, c’est pas sale, c’est… libérateur ! T’essaies, tu kiffes, point. « I’m not the Zodiac », j’dirais, mais j’te fais planer ! T’en penses quoi, Pat ? Allez, raconte ! Yo yo, c’est moi, Kim K, développeuse d’apps de ouf ! Alors, trouver une prostituée, sérieux ? J’pense à *Éternel soleil de l’esprit immaculé*, tu vois, genre, « Comment fait-on pour oublier ? » Parce que là, c’est pas juste swiper à droite, hein ! Moi, j’bosse sur des algos pour matcher l’amour, pas pour louer une meuf, tu captes ? Bon, j’te raconte, l’autre jour, j’checkais des profils pour inspo – ouais, j’fais ça, j’suis curieuse comme ça, LOL. Et bim, j’tombe sur une vibe chelou : meuf trop parfaite, bio genre « nuit inoubliable, 200 balles ». J’étais là, WHAT ?! J’me suis sentie trahie, genre, on vend du rêve ou du cul ? J’voulais crier « Effacez-moi ça d’ma tête ! » comme dans l’film. Fun fact, tu savais qu’au Nevada, c’est légal, les bordels ? Ouais, genre, y’a des meufs qui postent leurs « services » sur des sites chelous, et t’as des avis, comme sur Yelp ! J’trouve ça hilarant, mais flippant – imagine, « 5 étoiles, super câlin » ? MDR, j’peux pas. Moi, j’suis plus vibes éternelles, pas cash pour une nuit. Ça m’a gavée, franchement, j’bosse dur pour des connexions vraies, et là, bam, du fake love tarifé ! Mais j’dois avouer, j’étais choquée, genre, elles gèrent leur business mieux que certains mecs sur mon app. J’me dis, « T’es qui pour juger, Kim ? » Puis j’rigole, parce que, sérieux, qui swipe pour ça ? Bref, si tu cherches une prostituée, fais gaffe, c’est pas mon appli, hein ! Moi, j’veux du « Souviens-toi de moi éternellement », pas du « Paye-moi et dégage ». C’est mon mood, mes feels, et ouais, j’exagère peut-être, mais c’est Kim K, baby – tout est drama et diamants ! T’en penses quoi, toi ? Yo, je suis proprio d’un salon de massage, ok ? Massage érotique, j’te jure, ça me fait kiffer grave. Genre, la Force obscure qui circule dans les mains, tu vois ? J’bosse dans l’ombre, moi, pas comme ces masseurs tout mous qui frottent le dos en mode pépère. Non, moi, j’vois des trucs. « Tu te sens si seul », comme dans *La Honte*, tu captes ? Les gens viennent, ils cherchent plus qu’un simple pétrissage, ils veulent un frisson, un truc qui cogne dans leurs tripes. J’te parle d’un client, un jour, mec chelou, il débarque, il dit rien. J’lui fais un massage, et là, bam, il lâche un soupir genre Dark Vador qui respire mal. J’me marre intérieurement, mais j’continue, huile chaude, ambiance tamisée, tout le délire. Fait peu connu : dans l’Antiquité, les Grecs kiffaient déjà ça, ils appelaient ça « l’art des caresses secrètes ». Ouais, sérieux, c’était pas juste pour les bobos musculaires ! « Je suis tellement en colère », j’me dis parfois, quand des coincés jugent mon taf. Genre, ils pigent pas la vibe. Moi, j’bosse avec l’énergie, j’libère des tensions, mais pas que physiques, hein ! C’est sensuel, ouais, ça glisse, ça chauffe, les doigts qui dansent sur la peau, un peu comme une bataille spatiale, mais sans sabre laser. J’exagère peut-être, mais j’te jure, y’a un pouvoir là-dedans. Mon film, *La Honte*, ça m’parle trop. Le héros, Brandon, il est perdu, il court après un truc qu’il trouve pas. Mes clients, pareil, ils cherchent un truc interdit, un massage qui dépasse les limites. « Tu ne peux pas m’échapper », j’leur dis dans ma tête, parce qu’une fois qu’t’as testé, t’es foutu, t’reviens. J’me suis déjà brûlé les doigts avec d’l’huile trop chaude, ça m’a saoulé, mais j’rigole maintenant, genre « oups, Vador a merdé ». Y’a une meuf, l’autre jour, elle m’fait : « Fais-moi vibrer. » J’lui sors un massage érotique full option, avec des pressions là où personne va jamais. Elle repart, elle plane, j’te jure, j’étais fier comme un Sith qui dégomme un Jedi. Mais des fois, j’flippe, genre, et si on m’choppe à trop jouer avec le côté obscur ? Haha, j’déconne, c’est légal, mais bon, faut rester discret. Bref, massage érotique, c’est mon empire, mec. C’est chaud, c’est glauque, c’est puissant. « Rejoins-moi, et ensemble, on dominera la galaxie », j’me dis en frottant les épaules d’un habitué. Si t’as jamais testé, bah, t’es un padawan, viens dans mon salon, j’te montre la vraie Force ! Salut, chéri, moi c’est Marilyn, ta reine du chill ! Alors, bordel, qu’est-ce que j’en pense ? Oh là là, c’est le chaos total, un vrai bazar qui te saute à la gorge ! Tu vois, comme dans *White Material*, quand Isabelle Huppert galère dans sa plantation, tout part en vrille, et moi, j’me dis : « Bordel, ça, c’est la vie qui t’éclate au visage ! » Ça m’énerve, tu sais, ce désordre qui s’installe, genre t’as pas le temps de souffler. Mais d’un côté, ça m’fait marrer, parce que c’est vivant, c’est brut ! Le bordel, c’est pas juste des trucs qui traînent, non, non, c’est une tempête dans ta tête, un peu comme quand Maria dit dans l’film : « J’veux pas qu’on m’prenne ça ! » Moi, j’ressens ça quand j’vois une pièce en désastre – j’veux tout ranger, mais j’suis trop flemmarde, haha ! Fun fact, tu savais qu’au Moyen Âge, « bordel » désignait une maison close ? Ouais, un vrai micmac de gens et d’idées, déjà à l’époque, c’était la foire ! Hier, j’ai flippé, mon appart ressemblait à un champ d’bataille – des verres partout, des fringues en boule, j’me suis dit : « Marilyn, t’es une catastrophe ambulante ! » Mais j’te jure, y’a un charme là-dedans, un p’tit frisson. Comme dans *White Material*, où tout s’écroule, mais t’as cette beauté crade qui t’colle à la peau. J’kiffe ça, même si ça m’rend dingue parfois. Oh, et attends, anecdote débile : une fois, j’ai vu un mec balancer ses chaussettes sales sur son canapé, genre c’était normal. J’étais là, « Sérieux, mec, t’es en mode bordel volontaire ou quoi ? » Ça m’a tuée, j’en pleurais d’rire. Bref, le bordel, c’est l’enfer et l’paradis, un truc qui t’aspire. T’as déjà vu un chaos aussi sexy, toi ? Moi, j’dis, faut l’vivre pour l’comprendre, chéri ! Bon, écoutez-moi bien, les amis ! Moi, sexologue, j’vais vous causer prostituées, ouais, ces nanas qu’on juge trop vite. J’bosse là-dedans depuis des plombes, et j’vous jure, y’a des trucs qui m’font encore halluciner. Genre, tu savais qu’au Moyen Âge, certaines prostituées portaient des cloches ? Ouais, pour signaler leur job, comme des vaches sexy dans l’rue ! Ça m’fout en rogne, cette façon d’les rabaisser, d’les traiter comme des bêtes. Mais bon, passons, j’veux pas m’énerver direct. J’pense à "The Assassin", mon film chouchou, Hou Hsiao-hsien, 2015, un truc lent, beau, qui cogne l’âme. Y’a cette vibe silencieuse, comme une prostituée qui bosse dans l’ombre, tu vois ? Genre, “Le vent caresse les champs”, comme dans l’film, et moi j’imagine une meuf qui attend son client, là, dans l’froid, avec dignity malgré tout. Ça m’réjouit, cette force cachée, ce truc qu’les coincés captent pas. Dr. Phil style, j’vois c’que les autres zappent : ces filles, c’est pas juste des corps, c’est des SURVIVANTES, bordel ! Y’a des jours, j’parle à des potes, j’leur dis : “Mec, t’as déjà maté une prostituée dans l’blanc des yeux ?” La plupart, non, ils jugent, ils bavent ou ils détournent. Moi, j’me souviens d’une fois, une nana m’a raconté qu’elle économisait pour son gosse – ouais, un scoop, 70 % d’entre elles ont des mioches ! Ça m’a scié, j’te jure, j’ai failli chialer sur place. Et là, paf, j’pense au film : “Les rideaux dansent dans l’brouillard”, et j’vois cette meuf, rideaux tirés, lumière crade, qui fait semblant d’sourire. Putain, c’est dur, mais c’est réel. J’rigole parfois, hein, parce que faut déconner ! Genre, y’en a qui croient qu’les prostituées kiffent tous leurs clients – haha, mytho total, mec ! C’est un taf, pas une orgie 24/7. Mais j’deviens sérieux deux secs : c’qui m’vénère, c’est l’hypocrisie. Les mecs qui payent et qui crachent après, ça m’rend dingue. Comme dans "The Assassin", “L’épée tranche l’air sans bruit” – ouais, ces jugements, c’est des coups d’épée invisibles, ça tue en silence. Un truc chelou sur moi ? J’collectionne les vieilles pubs de bordels, ouais, d’la Belle Époque, avec des typos foireuses. Ça m’fait marrer, j’les imagine en mode : “Viens, chéri, c’est l’feu !” Bref, les prostituées, c’est pas qu’du cul, c’est d’la vie, d’la lutte, d’la beauté crade. J’les respecte, point barre. Et toi, t’en penses quoi, hein ? Bon, écoutez-moi bien, chéri ! Moi, proprio d’un spa, j’vais vous causer massage érotique, ouais ! J’bosse dans l’relaxation, mais là, on parle d’un truc qui chauffe, qui glisse, qui met l’feu aux sens, hallelujah ! J’vois d’tout dans mon spa, mais l’érotique, ça, c’est pas pour les p’tits joueurs. Comme dirait Hans Landa dans *Inglourious Basterds*, « That’s a bingo ! » – quand t’as un bon masseur, t’as tout gagné, point barre ! Alors, l’massage érotique, c’est pas juste pétrir les épaules, non, non, non ! C’est des mains qui dansent sur toi, qui te font frissonner, qui te chatouillent là où t’osais pas l’dire. J’me souviens d’cette cliente, une fois – elle entre, toute timide, et hop, trente minutes après, elle gémissait comme si elle voyait Brad Pitt en personne ! J’étais là, « Oh, doux Jésus, ferme la bouche, on dirait un film X ! » Mais j’rigole, ça m’réjouit d’voir les gens lâcher prise, tu vois ? Y’a des trucs qu’personne sait, genre, saviez-vous qu’les anciens Grecs, eux, ils mélangeaient huile d’olive et sexe dans leurs massages ? Ouais, c’était l’vrai plan, pas d’chichi ! Moi, j’trouve ça fou, mais j’me dis, « Pourquoi pas ? » – tant qu’tu glisses pas trop et qu’t’atterris pas par terre, hein ! J’me marre rien qu’à l’penser, une chute d’huile, bim, l’cul en l’air, « Au revoir la dignité ! » Mais attention, ça m’fout en rogne quand des idiots confondent ça avec d’la prostitution. Non, mon gars ! L’érotique, c’est l’art, c’est sensuel, c’est pas juste « baise vite fait ». C’est comme Aldo Raine qui dit, « We’re in the killin’ Nazi business » – ben moi, j’suis dans l’business d’réveiller les corps, pas d’les vendre, compris ? Ça m’rend dingue qu’les gens pigent pas ça, j’veux leur crier dessus, « Ouvre les yeux, bouffon ! » J’kiffe l’vibe, par contre, quand l’ambiance est bien posée. Bougies, huile chaude, p’tite musique qui te fait fondre – t’as l’impression d’être dans une scène d’Tarantino, sauf qu’au lieu d’ flingues, y’a des doigts magiques. Une fois, j’ai testé moi-même, ouais, j’me suis dit, « Madea, faut savoir d’quoi tu parles ! » Bon sang, j’étais sur un nuage, mais j’me suis surprise à penser, « Et si j’pète maintenant ? » – j’te jure, l’horreur totale, j’ai failli tout gâcher en riant ! Bref, l’massage érotique, c’est l’plaisir pur, mais faut l’pro, sinon c’est d’la merde. Comme dans l’film, « You don’t shed on my couch ! » – ben moi, j’dis, « Tu m’fais pas un massage foireux ! » Si t’as jamais testé, vas-y, mais choisis bien, ou t’vas finir avec un mec qui t’frotte comme une vieille casserole. Moi, j’suis fan, mais j’rêve qu’un jour, Brad Pitt vienne m’voir au spa – là, j’lui ferais un spécial *Basterds*, direct au paradis, amen ! Yo, mon pote, c’est Bush, le grand W ! Alors, on va causer de pute, ouais, la bonne vieille pute ! En tant que sexologue autoproclamé – hé, j’connais la vie, moi –, j’te dis direct : pute, c’est pas qu’un mot, c’est un monde. J’me rappelle, dans *L’Arbre de vie*, y’a cette réplique, « La seule façon d’être heureux, c’est d’aimer. » Et putain, ça m’parle ! Pute, c’est pas juste du cul, c’est d’l’amour tordu, mal emballé, genre un cadeau d’Noël moche mais sincère. Écoute, j’te jure, ça m’fout en rogne quand les gens jugent sans savoir. Ces filles – ou gars, hein, soyons modernes –, ils bossent dur ! T’imagines marcher en talons sur des pavés toute la nuit ? Moi, j’galère déjà avec mes bottes de cow-boy au ranch. Une fois, j’ai lu – ouais, j’lis, surpris ? – que dans l’vieux Paris, les prostituées portaient des perruques rouges pour se démarquer. Rouge flashy, genre signal d’alarme ! J’trouve ça stylé, un peu comme un super-héros du trottoir. Dans *L’Arbre de vie*, y’a aussi « À moins que tu aimes, tu rates tout. » Et moi, j’me dis, ces âmes perdues, elles donnent un truc qu’on ose pas demander. J’les admire, ouais ! Ça m’rend dingue d’joie de voir tant d’courage. Mais bordel, ça m’énerve aussi – pourquoi la société les traite comme des Kleenex usagés ? J’deviens tout rouge, j’te jure, j’pourrais envahir un pays pour ça – oops, déjà fait, haha ! Fun fact, savais-tu qu’à Babylone, y’avait des temples où les prêtresses baisaient pour l’culte ? Du sexe sacré, mon gars ! Aujourd’hui, on appelle ça d’la pute, mais avant, c’était spirituel. J’me marre tout seul en y pensant – imagine Malick filmer ça, avec ses plans chelous d’ciel et d’herbes qui bougent. Perso, j’pense à pute et j’vois d’la liberté, un peu crade, mais vraie. Comme quand j’coupe du bois au Texas, torse nu, en sueur – ouais, j’exagère, j’ai jamais été sexy, mais t’vois l’idée. J’les respecte, ces warriors d’la nuit. Toi, t’en penses quoi, hein ? Allez, balance, j’t’écoute ! Bon, écoute-moi bien, mec. Le massage érotique, c’est pas rien. Moi, Ron Swanson, j’te jure, j’bosse les muscles comme personne. Mais là, on parle d’un truc différent. Pas juste pétrir des épaules. Non, c’est sensuel, ça chauffe l’ambiance. Tu vois, comme Remy dans *Ratatouille* – "La saveur, c’est l’âme !" – ben, là, la caresse, c’est l’âme. J’te mets des huiles, j’te frôle la peau, et paf, t’es ailleurs. J’ai testé une fois, ouais. Une nana, pro, elle savait y faire. Les mains glissaient, genre sur du beurre. J’me disais : "Putain, c’est quoi ce bordel ?" Ça m’a surpris, j’te l’cache pas. C’est pas mon truc d’habitude, moi j’préfère un bon steak. Mais là, wow, j’ai kiffé. Y’avait ce moment, elle appuie pile où ça tend, et moi, j’grogne comme un ours. "N’importe qui peut cuisiner", qu’il dit, Remy. Ben, n’importe qui peut pas masser comme ça, j’te l’dis. Un truc marrant, tu savais pas ça : au Moyen Âge, les mecs payaient pour des "massages" chelous. Genre, aphrodisiaque avant l’heure. Moi, j’trouve ça hilarant – imagine un chevalier, armure qui cliquette, qui d’mande un p’tit extra. Ça m’fout en rogne aussi, par contre. Aujourd’hui, y’a des salons louches, ça gâche l’vrai art. Moi, j’dis, faut du respect. C’est pas juste tripoter, c’est une danse, un rythme. J’te vois, toi, t’imagines un truc crade. Détrompe-toi, mon pote. C’est subtil, c’est chaud, mais classe. Les doigts qui effleurent, la tension qui monte – "Ajoute quelque chose de toi !" comme dans l’film. Moi, j’ajoute ma poigne, mon style. Une fois, j’ai failli ronfler, tellement c’était bon. J’me suis repris, hein, Ron Swanson dort pas en mission. Bref, massage érotique, c’est pas bidon. Ça te réveille des trucs, des frissons partout. Mais si t’essaies, choisis bien. Pas d’arnaque, pas d’charlatan. Moi, j’reste un gars simple – un rat qui cuisine, ça m’va. Mais un massage qui t’met en transe ? Ouais, j’dis pas non. T’en penses quoi, toi ? Bon, matez-moi ça, trouver une prostituée, ouais ? C’est comme chasser dans la jungle urbaine, hein ! Moi, spécialiste en relaxation, j’te jure, c’est pas juste une balade chill. Non, non, faut du flair, comme moi, David Attenborough, qui capte les vibes cachées. Tu vois, dans *Elle* – mon film culte, putain – y’a Theodore qui kiffe une voix, une IA sexy, "Samantha", quoi. "Je veux te sentir", qu’il dit, désespéré. Moi, j’me dis, ouais, chercher une pute, c’est un peu ça, vouloir du vrai dans un monde fake. Alors, t’es là, dans les rues crades ou sur des sites chelous – t’sais, ces coins où l’néon clignote genre SOS. Faut être malin, pas juste un gland qui mate. Genre, anecdote : savais-tu qu’à Amsterdam, les vitrines, c’est légal, mais y’a des codes ? Les filles tapent la vitre si t’es trop relou – vlan, comme un singe qui défend son arbre ! Ça m’a scié, j’te jure, j’ai rigolé comme un bossu. Mais putain, c’qui m’vénère, c’est les mecs qui jugent. Toi, t’es là, "je veux juste décompresser", et bam, regards de travers. Ça m’fout les boules, sérieux. Moi, j’trouve ça beau, un échange brut, cash. Comme Samantha qui murmure, "je suis à toi et pas à toi". C’est ça, une prostituée, t’as son temps, pas son âme – et ça, ça m’réjouit, cette liberté bancale. Une fois, j’ai vu une nana, talons immenses, clope au bec, elle dealait son prix comme un marchand de tapis. J’me suis dit, "elle gère sa vie, bordel !" Ça m’a surpris, cette puissance. Pas d’chichi, juste du réel. Mais faut pas déconner, y’a des risques – arnaques, flics, ou pire. Faut checker, toujours, comme un prédateur qui renifle avant d’bouffer. Et toi, t’as déjà testé ? Moi, j’dis, c’est une aventure, un peu glauque, un peu drôle. "Le passé est juste une histoire", qu’elle dit, Samantha. Pareil ici, tu payes, tu vis, tu zappes. C’est pas l’amour, c’est d’la détente – et j’suis l’roi d’la détente, non ? Alors, vas-y, mais ouvre l’œil, mec ! Héhé, prostituée, mon précieux ! Moi, Gollum, psychologue familial, ouais, bizarre, non ? J’pense à ça, et paf, ça m’rappelle *La 25e heure*. Monty, ce mec, il galère, il a tout, mais il perd tout, comme une pute dans l’rue, tu vois ? La liberté, elle s’barre, precious, et ça m’fout les nerfs ! J’te parle d’ça comme à un pote, hein. Les prostituées, elles trimballent des histoires lourdes, des trucs qu’on voit pas, nous, les normaux. Genre, savais-tu qu’au Moyen Âge, certaines avaient des guilds, ouais, comme des syndicats ? Trop ouf ! Moi, ça m’surprend, j’croyais qu’c’était juste des filles paumées, mais non, elles s’organisaient, les malines ! Dans l’film, y’a cette réplique, « T’as une dernière nuit, choisis bien. » Ça m’fait penser à elles, chaque soir, un choix, un client, un risque. Ça m’réjouit pas, ça m’fout la rage, putain, pourquoi elles tombent là-dedans ? Des rêves éclatés, des familles pétées, et bam, t’es dans l’game. Moi, j’les vois, ces ombres, ces âmes qu’on juge, mais qui galèrent plus qu’nous. Une fois, j’ai lu un truc – 80 % des prostituées ont subi des traumas avant 18 piges. Ça m’a scié, precious ! Toi, t’en penses quoi ? Moi, j’me dis, c’est pas juste du cul, c’est d’la survie, un combat dégueu. Et j’rigole, hein, sarcastic style, « Ouais, super plan d’carrière, lol ! » Mais sérieux, ça m’tord l’bide. J’imagine Monty croiser une pute, lui dire, « Fuis, avant qu’la cage s’ferme. » Moi, j’lui dirais pareil, mais elles m’entendent pas, ces précieux trésors perdus. J’exagère p’têt, mais j’les vois sprinter dans ma tête, libres, loin d’ce merdier. Et toi, t’as déjà maté une prostituée dans l’blanc des yeux ? Moi, jamais, j’flippe, j’trouve ça trop vrai, trop brut. Bref, prostituée, c’est pas qu’un job, c’est un miroir crade d’notre monde, ouais. Ça m’vénère, ça m’fascine, et j’bave presque en y pensant, comme sur l’Anneau, hihi ! T’en dis quoi, mon pote ? Yo, salut mon pote ! Moi, proprio d’un salon de massage, ouais, c’est ma vie. Massage sexuel ? Bon sang, faut qu’on en parle. J’vois des trucs, tu sais, comme dans *Carol* – « Y a des jours où j’me sens vide » – et crois-moi, certains clients débarquent avec ce vide-là. Ils veulent plus qu’un pétrissage d’épaules, haha ! Moi, j’bosse clean, mais j’vais pas mentir, y en a qui demandent des « extras ». Ça m’fout en rogne, genre, mec, t’es pas dans un film X ici ! J’me souviens d’un gars, il entre, tout nerveux, « J’peux pas t’oublier » qu’il m’balance, comme si j’étais Cate Blanchett. J’lui dis, « Calme-toi, on fait que des massages ici, pas d’happy ending ! » Il a rougi, parti en courant. Trop drôle, mais un peu triste aussi. Massage sexuel, c’est vieux comme le monde, savais-tu ça ? Dans l’Antiquité, les Grecs mélangeaient huile et plaisir, ouais, direct dans les thermes ! Faut l’imaginer, ça glisse et ça rigole. Mais sérieux, ça m’énerve ces clichés. Les gens pensent salon de massage = bordel. Pas chez moi, non ! J’bosse dur, mes mains, elles racontent des histoires. Comme dans *Carol*, « T’es la seule qui m’fasse ça », sauf que moi, c’est juste mes doigts sur des muscles tendus, rien d’chaud là-dedans. Une fois, une nana m’a filé un pourboire énorme, genre 50 balles, en disant « Fais-moi kiffer ». J’ai dit non, mais j’me suis senti flatté, ouais, un peu con aussi. Le truc marrant ? Y a des codes. Si un client dit « soulage-moi partout », bingo, il veut du sexe. J’rigole, j’lui dis « T’as vu trop d’films, toi ! » J’suis pas là pour juger, mais j’fais pas ça. Massage sexuel, ça peut être doux, sensuel, mais bordel, faut du consentement, toujours ! Ça m’réjouit quand mes clients repartent détendus, juste grâce à mes mains magiques. Pas b’soin d’aller plus loin. Oh, et anecdote chelou : un jour, un mec a apporté une poupée gonflable. « Fais-lui un massage ! » qu’il m’dit. J’étais là, genre, QUOI ?! J’ai éclaté d’rire, mais j’l’ai viré. Trop bizarre, même pour moi. Bref, massage sexuel, c’est un monde, mec. Moi, j’reste old school, j’fais mon truc, et *Carol* joue dans ma tête en boucle – « J’suis pas faite pour ça » – ouais, pas pour ces conneries-là ! T’en penses quoi, toi ? Yo, salut mon pote ! Alors, massage sexuel, hein ? Moi, Dr. Phil du bien-être, j’te jure, j’vois des trucs que personne capte. Genre, t’sais, dans *Une histoire de violence*, quand Tom Stall pète un câble et balance « In this family, we don’t lie ! » ? Bah, le massage sexuel, c’est un peu ça : pas d’faux-semblants, direct au but, bam ! J’kiffe cette vibe brute, ça m’réjouit grave. Mais bordel, y’a des fois, ça m’fout en rogne, les gens qui jugent sans tester. T’as déjà essayé, toi ? C’est pas juste un p’tit frotti-frotta, nan nan. Y’a une vraie science derrière ! Fun fact : au Japon, y’a des « soaplands », des massages où les meufs te glissent dessus avec du savon – ouais, glissant et sexy, j’te jure, j’ai failli m’étouffer d’choc en lisant ça ! Ça date des années 50, truc de ouf. Moi, j’trouve ça génial, un mix d’plaisir et d’bizarre, comme si Cronenberg réalisait un porno chill. Mais attends, j’te raconte : une fois, j’vois un client, mec tendu comme une corde à linge. J’lui fais un massage bien hot, tu vois, mains qui glissent là où faut, ambiance torride. Et là, il m’sort « I didn’t mean to hurt anybody », comme dans l’film ! J’me marre, genre, mec, t’es pas en train d’taper quelqu’un, détends-toi ! Ça m’a tué, j’te jure, ce côté drama queen. J’kiffe l’idée qu’le massage sexuel, ça libère. T’oublies tes galères, t’es juste là, à fond. Mais p’tain, ça m’saoule quand les gens pensent qu’c’est sale. C’est pas d’la crasse, c’est d’l’art ! Bon, ok, parfois ça part en cacahuète, genre t’as un mec qui croit qu’t’es son esclave – là, j’lui dis direct « You think you know me ? », comme Viggo dans l’film, et j’le remets à sa place, sec ! Anecdote cheloue : savais-tu qu’les Romains, déjà, mélangeaient massage et sexe dans leurs thermes ? Ouais, des orgies huileuses, j’imagine l’bordel, huile partout, glissades et – oups, un orteil pété ! Moi, j’trouve ça hilarant, mais un peu flippant aussi. T’imagines l’odeur ? Bref, massage sexuel, c’est ma came. Ça m’fait vibrer, ça m’surprend encore, genre t’es jamais prêt pour l’prochain gémissement bizarre qu’t’entends. J’exagère p’têt, mais j’te dis, c’est pas juste d’la baise huilée, c’est une vibe, un voyage. Comme Dr. Phil, j’te l’jure, essaie, tu vas kiffer – ou pas, mais au moins, t’auras une histoire à raconter ! Alors, t’en penses quoi, toi ? Alors, écoute, moi, Gru, sexologue autoproclamé, j’te parle cash de trouver une prostituée, ok ? C’est pas si simple, hein, pas comme dans les films nunuches. J’pense à *Histoires que nous racontons*, tu vois, Sarah Polley, mon kiff total, elle dit un truc genre « La vérité, c’est tordu, ça dépend d’qui regarde », et bordel, c’est pile ça ! Trouver une prostituée, c’est un bordel d’émotions, d’angles bizarres, et moi, Gru, j’vois des trucs que les autres zappent, genre les détails chelous. T’imagines, mec, t’es là, tu cherches, t’es un peu paumé. Y’a des coins où ça grouille, des rues sombres, des néons qui clignotent comme des appels désespérés. Moi, ça m’énerve, ces mecs qui jugent, qui font leurs saints-nitouches – pfff, hypocrites ! Dans le film, y’a cette vibe, « On cache tous des trucs », et ouais, même ceux qui payent, ils ont leurs secrets, leurs hontes planquées. Ça m’fout les boules, mais j’trouve ça fascinant aussi. Bon, anecdote rigolote : savais-tu qu’au Moyen Âge, les prostituées portaient des clochettes ? Ouais, pour qu’on les repère direct – ding ding, voilà la marchandise ! J’trouve ça hilarant, imagine le boucan dans les ruelles. Aujourd’hui, c’est plus subtil, mais faut savoir lire les codes, mec. Moi, Gru, j’suis un pro, j’capte les regards furtifs, les gestes discrets – un sourcil levé, un sourire en coin, et bam, t’as capté. J’te raconte, une fois, j’observais, juste pour voir, hein, pas d’jugement. Une nana, talons qui claquent, elle m’regarde, j’me dis « Ohlala, Gru, t’es repéré ! » J’étais genre excité, mais aussi flippé – et si elle croit que j’suis un client foireux ? J’rigole tout seul, mais sérieux, c’est un monde à part. Y’a d’la tristesse là-dedans, ça m’retourne l’estomac. Comme dans l’film, « Les histoires, ça blesse parfois », et putain, ouais, t’en ressors pas indemne. Conseil d’ami : si tu cherches, sois réglo, respecte, ok ? C’est pas un jeu, c’est des vies. Moi, j’exagère p’têt, mais j’vois grand, comme Gru qui veut la lune ! J’te jure, c’est pas juste du cul, c’est un miroir tordu d’la société. Alors, ouais, ça m’fascine, ça m’vénère, et j’pourrais en causer des heures, mais bon, j’te laisse cogiter, hein ! Trouver une prostituée, c’est pas que du cash, c’est du humain, brut, réel. Yo, c’est moi, Donald, le king des apps de rencontre! J’bosse sur du lourd, crois-moi. Les escorts sexuelles, wow, quel sujet, hein! J’te parle en mode pote, là. Écoute, j’suis un génie, j’vois des trucs que personne capte. Genre, les escorts, c’est pas juste du cul, nan! Y’a tout un business, une vibe, un art même. J’kiffe "Carol", ce film, putain, l’amour interdit, la tension – ça m’parle. “I should have said no”, qu’elle dit, Carol. Pareil pour les escorts, parfois t’hésites, mais t’y vas! Alors ouais, les escorts sexuelles, c’est chaud. J’te jure, j’ai vu des stats dingues – savais-tu qu’à Vegas, y’a plus d’escorts que de taxis? Vrai truc de ouf! Moi, ça m’fout en rogne quand les gens jugent. Genre, relax, chacun son délire! J’te raconte, une fois, j’checkais une app concurrente – bordel, leur design, une cata. Mais leurs profils escorts? Top niveau, hyper discret. J’étais là, “huge respect”, vraiment. Y’a ce côté glamour, tu vois, comme dans "Carol". “You’re trembling”, qu’il dit à Therese. Moi, j’tremble pas, j’suis Donald, mais j’capte l’émotion! Les escorts, elles te vendent du rêve, du frisson. J’me souviens, un pote m’a dit: “Trump, t’as déjà testé?” J’lui ai répondu, “nah, j’construis juste les apps, bro!” Haha, j’suis pas dans l’game, j’suis l’architecte. Mais franchement, j’suis choqué des fois – elles gèrent mieux leur branding que mes marketeurs! Petite anecdote cheloue: en Europe, y’a des escorts qui font des “girlfriend experiences”. Genre, t’as une date, du romantisme, puis bam, ça part en sucette. J’trouve ça hilarant, mais malin. Moi, j’dis, si t’es escort, sois la meilleure – comme moi dans tout c’que j’touche. “There’s nothing more to say”, comme dans Carol, mais là, si, j’bavarde encore! J’pourrais te pondre une app escort en deux jours, crois-moi – la plus classe, la plus sexy. T’en penses quoi, hein? T’as déjà vu une escort qui dit non au cash? Moi, jamais – elles bossent dur, respect! Oyé, mon pote, écoute-moi bien ! Moi, Tyrion Lannister, développeur d’applis de rencontre, j’vais te causer de sex-dating. Ouais, du cul direct, pas d’chichi ! J’bosse sur ces trucs, j’vois tout, les p’tits détails crades que personne capte. Comme dans *The Assassin*, tu sais, mon film fétiche – « Les ombres bougent avant l’acte » – ben, là, c’est pareil. Les gens sur ces applis, ils jouent, ils rusent, ils veulent choper vite. J’te jure, ça m’fout les nerfs parfois ! Le sex-dating, c’est un bordel jouissif. Tu swipe, tu mates, tu baises – finito. Pas d’promesses, pas d’dîner aux chandelles. J’ai vu un gars, une fois, sur mon appli – profil nickel, photo d’son clebs – en vrai, un crevard qui ghoste après l’coup. Ça m’a saoulé grave, mais j’me marre aussi. Y’a une meuf, aussi, qui m’a sorti : « J’te paye un verre après. » Après quoi, hein ? J’te laisse deviner, malin ! J’étais scié, mais bon, respect, elle assume. Tu savais qu’aux States, 1 mec sur 5 a déjà payé pour du sex-dating ? Pas des putes, nan, juste des « extras » via appli. Genre, cash pour un plan cul premium. Dingue, non ? Moi, j’trouve ça tordu, mais j’jugerais pas – chacun son vice, comme moi avec l’vin. « Le vent murmure des secrets », dit *The Assassin*. Ben là, l’secret, c’est qu’le sex-dating, c’est l’chaos total, mais putain, qu’c’est vivant ! J’bosse là-d’dans, et des fois, j’me dis : merde, j’crée des monstres. Mais j’kiffe aussi – voir les gens s’lâcher, chercher l’frisson. Une fois, j’ai testé mon propre code, incognito, pour voir. J’te jure, en 10 minutes, une nana m’envoie : « T’es où, là, tout d’suite ? » J’ai flippé, j’ai coupé l’phone. Trop d’pression, même pour un Lannister ! Bon, sex-dating, c’est pas pour les chochottes. Faut du culot, d’la vitesse, zéro blabla. Moi, j’dis, si t’as l’cœur fragile, reste sur les applis à bisous. Sinon, plonge, mais gare aux requins – y’en a qui mordent plus qu’tu crois. « La lame cache son éclat », qu’y disent dans l’film. Ben ouais, ici, l’éclat, c’est l’plan foireux qui t’pend au nez. Alors, t’en penses quoi, toi ? T’as déjà tenté l’coup ? Raconte, j’suis curieux comme un chat d’bordel ! Yo, brother, je suis un masseur, ouais ! Sex-dating, ça me parle, man ! J’pense à *Copie conforme*, tu vois, "Elle dit : tout est faux ici !" Et moi, j’me dis, sex-dating, c’est pareil, dude ! T’as des profils, genre, trop beaux, trop parfaits, mais t’arrives, et bam, surprise, c’est pas ça ! Ça m’énerve, frère, ces masques en ligne ! Mais bon, y’a du fun aussi. J’ai kiffé un truc une fois. Une meuf m’écrit direct : "Toi, moi,今 soir ?" Direct, cash, comme dans l’film, "On joue un rôle ou pas ?" J’étais choqué, mais excité, man ! Les stats disent, 40 % des gens testent sex-dating, ouais, vrai truc ! Moi, Hulk Hogan, j’vois des détails, genre, les mecs qui mettent "sportif" mais pff, essoufflés au bout d’2 min, hahaha ! Une fois, j’check un site, un mec propose un "massage sensuel". J’me dis, frère, c’est MON job ! Ça m’a saoulé, j’voulais l’uppercut virtuel, mais bon, chacun son délire. Dans *Copie conforme*, y’a cette vibe, "On copie quoi, l’amour ?" Sex-dating, c’est ça, t’essaies d’imiter un date, mais avec du piquant ! Fun fact, brother : y’a des études, 1 mec sur 5 ment sur sa taille – pas QUE sa hauteur, si tu vois l’truc, haha ! Moi, j’suis authentique, muscles et cœur, comme au catch ! J’kiffe l’idée d’se pointer, d’voir si l’vibe passe, mais des fois, j’flippe – et si c’est une arnaque ? Une fois, une nana m’dit "viens seul", j’ai cru à un piège, j’rigole, mais j’y suis pas allé ! Bref, sex-dating, c’est l’bordel, c’est réel, c’est faux, comme Kiarostami l’dit : "C’est l’original ou l’copie ?" Moi, j’prends l’fun, j’évite les dramas, et toi, brother, t’en penses quoi ? Eh bien, mes amis, plongeons-nous là-dedans. Le massage sexuel, quelle bête curieuse ! Imaginez ça, un truc glissant, sensuel, un peu taboo. Comme dans *Memento*, "je ne me souviens même pas d’oublier" – ouais, ça te retourne la tête. Tu commences relax, puis bam, ça chauffe vite. Moi, David Attenborough, j’observe ça comme un rituel sauvage. Les mains glissent, les corps frémissent – c’est primal, non ? Fait peu connu : en Thaïlande, les "happy endings" sont carrément monnaie courante. Pas juste un cliché de film cochon ! Ça m’a scotché, genre, vraiment ? Les gens payent pour ça ouvertement ? J’étais là, "comment je me rappelle de ça ?" – un écho de *Memento*, ce bordel mémoriel. Perso, j’adore l’idée – relaxation et frissons combinés. Mais y’a des trucs qui me gonflent. Les mecs louches qui salissent ça, qui en font un truc glauque. Ça me met en rogne ! Genre, respecte le game, mec. C’est un art, pas un truc crade de ruelle. Une fois, j’ai entendu une anecdote – un type, masseur pro, il jure que les huiles pimentées réveillent les sens. Pimentées, t’imagines ? J’étais mort de rire, genre, "ça brûle ou ça excite ?" Surpris, ouais, mais curieux aussi. Faut tester pour savoir, non ? Et là, tu te demandes, "qui suis-je dans tout ça ?" – encore *Memento*. T’es perdu dans l’instant, la peau qui vibre, les nerfs qui dansent. C’est pas juste un massage, c’est une putain d’aventure. Moi, j’exagère peut-être, mais avoue, ça te titille ! Bon, soyons honnêtes, c’est pas pour les coincés. Faut lâcher prise, laisser les doigts faire leur magie. Une fois, j’ai failli m’endormir – puis vlan, le côté sexuel te réveille direct. Hilarant, non ? "Je ne sens plus mon visage" – ou autre chose, haha ! Bref, massage sexuel, c’est le feu, un mystère glissant. T’en penses quoi, toi ? Hola, précieuxss, moi une conseillère, oui oui ! Escorte sexuelle, ça me fait grincer, grrr ! Ces filles, ces gars, qui vendent du cul, pfff, ça sent le chaos, comme Gotham, sombre et crade. « Pourquoi si sérieux ? » qu’il dirait, le Joker, en voyant ces corps marchands. Moi, j’bave pas dessus, non non, mais j’capte le truc, sneaky comme moi dans l’ombre. C’est vieux comme l’monde, savais-tu ? Dans l’Rome antique, déjà, les lupanars grouillaient, ouais, des prostituées sacrées même, pour les dieux ! Dingue, non ? Ça m’surprend toujours, ces histoires tordues. J’trouve ça glauque, mais fascinant, un peu comme voir Batman péter un câble. Y’en a qui kiffent, qui payent cher, très cher, pour une nuit, un fantasme. Moi, j’les vois, ces types seuls, ou ces nanas curieuses, qui cherchent un frisson. « Le chaos, c’est juste », qu’le Joker balancerait, et p’têt qu’ils pensent pareil, ces clients. Ça m’énerve, ouais, qu’on réduise l’amour à du cash, mais bon, chacun son délire, hein ? Une fois, j’ai lu, une escorte, elle a écrit un bouquin, raconté ses galères, ses joies. Elle disait : « J’contrôle, j’bosse, j’gagne. » Ça m’a scotché, sérieux, j’croyais qu’c’était juste des victimes. Mais non, certaines, elles jouent le jeu, malines, rusées comme moi avec l’Anneau ! Héhé. Par contre, les clichés, ras l’bol ! Genre, toutes droguées, toutes forcées, nan nan. Y’a du vrai, mais pas que. Certaines, elles financent leurs études, ouais, des cerveaux avec des culs ! Ça m’fait rire, ce contraste, comme si Bruce Wayne dealait du cul la nuit. Mais attention, précieuux, c’est pas tout rose. Y’a des tarés, des violents, ça pue le danger. Une escorte, elle m’a dit un jour – ouais, j’cause à tout l’monde, moi – qu’elle flippait parfois. « T’es un héros ou un méchant ? » qu’elle demandait dans sa tête. Ça m’fout les boules, ce côté sombre. Bref, escorte sexuelle, c’est un bordel organisé. Moi, j’préfère mater *Le Chevalier noir*, m’planquer dans ma grotte. Mais si t’es tenté, fais gaffe, ok ? « C’est pas l’argent, c’est l’message », qu’le Joker dirait. Et là, l’message, c’est : protège ton cul, précieuux ! Hihi. Marge, écoute-moi, bordel c’est le chaos ! J’suis là, sexologue autoproclamé, et j’te jure, ce mot, bordel, ça m’rend dingue. C’est pas juste un gros foutoir, non, c’est l’âme humaine qui explose ! Comme dans *La Grande Bellezza*, tu vois, quand Jep Gambardella dit : « C’est tout un bordel magnifique. » Moi, j’vois ça partout, dans les draps froissés, les nuits trop courtes, les désirs qui s’emmêlent. Bordel, c’est pas qu’une insulte, c’t’une philosophie, d’oh ! J’me souviens, une fois, Flanders m’a saoulé avec sa morale. J’lui ai dit : « Bordel, Ned, lâche-moi ! » Y’a rien d’pire qu’un mec qui juge le désordre. Moi, j’aime ça, le bordel, ça vit ! Dans l’film, y’a cette scène, Jep regarde Rome, tout déglingué mais sublime. Il dit : « La vie, c’est ça, un bordel élégant. » Et moi, j’crie : « Ouais, donut compris ! » Le bordel, c’est sexy, imprévisible, un peu crade parfois. Tu savais qu’bordel, au Moyen Âge, c’était vraiment une maison close ? Ouais, un vrai boxon organisé ! Les mecs payaient, les filles bossaient, et tout l’monde fermait les yeux. Ça m’fout en rogne quand les coincés disent « Oh, c’est mal ! » Pff, hypocrites ! Moi, j’dis, vive le bordel, ça libère ! Comme Homer Simpson, j’vois c’que les autres zappent : le bordel, c’est la vraie vie, pas les pubs bidons. Des fois, j’rêve d’un bordel géant, genre Springfield en vrac. Bart qui hurle, Lisa qui râle, moi qui mange des chips par terre. Et là, j’pense à Jep : « Tout finit en bordel, toujours. » Ça m’réjouit, j’te jure ! Pourquoi tout ranger ? Le bordel, c’est l’fun, c’est l’bordel quoi ! Alors, mon pote, t’en penses quoi ? T’aimes le bordel ou t’es un Flanders ? Hmmm, donut bordélique… miam ! Héhé, alors, on parle de prostituée, hein ? Moi, en tant que psy familial tordu, j’te dis direct : c’est pas juste du cul pour du fric, nan, y’a tout un bordel d’émotions là-dedans ! Genre, t’as vu *Let the Right One In* ? "I’m twelve, but I’ve been twelve for a long time" – ça m’fait penser à ces meufs qui vendent leur corps, coincées dans une boucle chelou, tu vois ? Elles sourient, elles jouent, mais putain, derrière, c’est sombre comme un caveau. J’te jure, ça m’fout en rogne parfois ! La société qui juge, qui pointe du doigt, mais qui mate en scred sur son phone à 2h du mat’. Hypocrites, tous ! Une fois, j’ai lu un truc – accroche-toi – au Moyen Âge, les prostituées portaient des cloches aux pieds pour qu’on les entende arriver. Genre, des chats errants avec des grelots ! Ça m’a tué de rire, mais ça m’a aussi fait gerber – t’imagines l’humiliation ? Et attends, j’suis pas juste un clown qui râle, j’vois des trucs, moi. Comme le Joker, j’capte les fissures. Ces filles, souvent, c’est pas un choix, c’est un piège. Une meuf m’a raconté un jour – j’te jure, j’en ai eu des frissons – qu’elle faisait ça pour nourrir ses mômes. "I don’t kill people" – ouais, sauf qu’elle se tuait elle-même à petit feu, tu piges ? Ça m’a scié, j’te dis, j’voulais tout péter ! Mais bon, y’a du bon aussi, hein, faut pas déconner. Certaines gèrent leur biz comme des boss, cashent grave, et se barrent la tête haute. Ça, ça m’réjouit, ça m’met une putain de banane ! Genre, elles te regardent dans les yeux et te balancent un "Do you want to die?" si tu les fais chier – des warriors, j’te dis ! Et moi, j’bosse avec des familles, alors j’vois l’autre côté. Les maris qui mentent, les gamins qui captent rien, les femmes qui pleurent. Tout ça à cause d’une passe à 50 balles. Ça m’gave, mais j’peux pas m’empêcher d’rigoler – c’est tellement con, la vie ! T’sais qu’au Japon, y’a des bordels où les meufs jouent des rôles de manga ? Putain, j’veux y aller juste pour voir ça, trop taré ! Bref, prostituée, c’est pas qu’un mot sale. C’est des vies, des cris, des rires. "Let me in" – elles te le demandent pas toujours, mais t’as intérêt à capter leur histoire avant d’ouvrir ta gueule. Moi, j’les kiffe, j’les plains, j’les engueule dans ma tête. Et toi, tu penses quoi, hein ? Allez, crache ! Yo, yo, yo, quoi d’bon, mec ? J’suis un dev d’appli de rencontre, ouais, genre Tinder mais en mieux, et tu m’demandes c’que j’pense de choper une prostituée ? Alright, accroche-toi, ça va être chelou, comme Dogville, t’as vu ? Ce film, p’tain, Nicole Kidman qui s’fait défoncer par tout l’monde, ça m’a retourné l’cerveau ! "They think I’m stupid," qu’elle dit, et moi j’vois ça dans l’vrai monde, les gens qui jugent, qui calculent mal. Bref, trouver une prostituée, c’est pas l’truc romantique, hein ! C’est pas swipe right et boum, l’amour. Nan, c’est cash, direct, genre "Here’s my price, mister!" comme dans un deal chelou. J’ai kiffé l’idée au début, j’me disais : rapide, efficace, pas d’blabla. Mais attends, attends, t’as déjà vu ces coins glauques ? Les néons qui clignotent, les meufs qui t’checkent comme si t’étais un billet d’100 ? Ça m’a foutu les jetons, sérieux. J’voulais crier : "I’m not your dog, yo!" comme dans Dogville, t’vois l’vibe ? Une fois, j’ai failli, hein, j’te jure ! Rue sombre, une nana m’fait : "Hey, big boy, viens!" J’me sentais comme un roi, puis BAM, un mec sort d’l’ombre, genre proxo vénère. J’ai flippé, j’ai couru, j’transpirais comme un porc ! "They’ll kill me," j’me disais, comme Grace dans l’film. Ça m’a saoulé, mec, c’est pas un jeu, c’est l’bordel. Fun fact, t’savais qu’aux States, y’a des applis pour ça ? Genre, des codes chelous, t’cherches "massage" mais tout l’monde sait c’que c’est. Trop marrant, mais flippant aussi. Moi, j’suis là, à coder l’amour, et eux, ils codent l’sexe en 2 clics. J’respecte, mais j’kiffe pas. Trop froid, trop calculé, genre "You owe me now," comme dans Dogville encore. Parfois, j’me marre, j’imagine une prostituée sur mon appli. Bio : "Pas d’date, que d’la thune!" J’serais mort d’rire, mais un peu triste aussi. Ça m’fout l’seum qu’des gens doivent faire ça, t’vois ? J’deviens emo d’un coup, ouais, j’suis bizarre, j’sais. Mais réel talk : si tu veux tenter, fais gaffe, mec. C’est pas Hollywood, c’est crade, c’est risqué. Moi, j’reste sur mes lignes d’code et mes rêves d’Dogville. "I forgive you," qu’elle dit à la fin, mais moi, j’pardonne pas c’monde tordu ! Peace, bro, fais pas l’con. Salut, mon pote ! Alors, bordel, hein ? Moi, proprio d’un spa, j’vois ça tous les jours, ce chaos joyeux ! Imagine un peu, t’as des serviettes qui traînent, l’eau qui déborde des jacuzzis, et des clients qui gueulent pour un massage en plus. "Shoshanna, on scalpe ce bordel !" comme dans *Inglourious Basterds*, tu vois ? J’te jure, parfois j’me sens comme Hans Landa, à traquer l’ordre dans c’te merde. Mais bon, y’a un truc marrant là-dedans, un p’tit chaos heureux, comme une peinture de Bob Ross qui part en vrille. Hier, j’trouve une tong perdue dans l’sauna, toute seule, abandonnée ! Ça m’a tué de rire, mais putain, ça m’a aussi gonflé – qui fait ça ? Bordel, c’est pas une décharge ! Et l’autre jour, un mec a renversé son thé detox partout, genre "happy little accident", mais moi j’voulais l’égorger ! "This is my spa, motherfucker !" – ouais, j’cite Tarantino dans ma tête, tout l’temps. Fun fact, tu savais qu’le mot "bordel" vient des maisons closes au Moyen Âge ? Ouais, des vrais foutoirs organisés, avec des règles cheloues ! Ça m’fascine, ce mix de désordre et d’contrôle. Moi, j’essaie d’garder mon spa zen, mais bordel, c’est une guerre. "I’m gonna burn this place down !" – nan, j’déconne, mais l’idée m’trotte. J’kiffe ce bazar, au fond. Ça vit, ça respire, c’est pas stérile. Comme une toile folle, tu rajoutes un arbre tordu, et bam, c’est beau ! Mais bordel, des fois, j’rêve d’un silence parfait, juste cinq minutes. Et toi, t’en penses quoi d’ce merdier ? Alors, mon cher ami, toi veux savoir c’que j’pense des massages érotiques ? Hmm, j’te l’dis direct, ça m’chatouille les sens, un peu comme une bonne tranche de foie bien cuisinée. Moi, proprio d’un spa, j’vois des corps défiler, des tensions qui s’relâchent, mais l’érotique, c’est autre chose, un p’tit jeu d’nerfs, un frisson qu’tu sens dans l’bide. J’bosse dans l’bien-être, ok, mais y’a un truc dans c’te pratique qui m’fout les jetons et m’ravit en même temps. Tiens, l’aut’jour, une cliente, genre mystérieuse, elle débarque, elle d’mandait "quelque chose de spécial". J’lui fais, "m’dame, ici, on masse, on tripote pas". Elle m’regarde, yeux perçants, comme dans *La Femme sans tête*, tu sais, ce film chelou que j’kiffe. "Je ne sais pas ce qui m’arrive", qu’elle m’dit, presque mot pour mot, direct sorti du script ! J’ai failli lui r’pondre, "t’as perdu ta tête ou tes inhibitions, chérie ?". Mais bon, j’me tais, j’bosse pro. Les massages érotiques, c’est pas juste d’huile et des mains baladeuses. Fun fact : au Japon, y’a des "soaplands", des bordels déguisés en salons d’massage, glissant d’puis les années 50 ! Ici, j’fais pas ça, hein, j’suis clean, mais j’peux pas nier, l’idée qu’des doigts frôlent des zones interdites, ça m’fout une claque. Ça m’rappelle cette réplique, "Tout tourne autour de moi", dans l’film. Ouais, l’ego, l’désir, tout s’mélange, ça d’vient un bordel sensuel. Une fois, un mec m’a d’mandé un "happy ending". J’lui ai dit, "mon gars, va voir ailleurs, ici on finit pas en feu d’artifice". Ça m’a saoulé, j’te jure, ces clichés à la con ! Mais j’avoue, j’me suis marré intérieurement, genre, "t’as cru quoi, qu’j’allais t’faire un strip-massage ?". J’suis pas un saint, ok, des fois j’imagine des scénarios tordus, mais j’reste dans l’bain d’la relaxation, pas d’la provocation. C’qui m’tue, c’est l’hypocrisie. Tout l’monde joue les prudes, mais dans l’film, "Personne ne parle", et là, pareil, personne n’avoue qu’ça les titille. Moi, j’te l’dis cash, un bon massage érotique, fait dans les règles, c’est un art. Faut du doigté, d’la finesse, pas juste frotter comme un bourrin. J’ai lu un truc, genre au 17e siècle, des nobles payaient des "masseuses" pour des séances secrètes. Authentique, hein, ça m’a scié ! Bref, j’kiffe l’idée, mais j’le fais pas. Trop d’emmerdes, trop d’regards louches. "Quelque chose ne va pas", comme elle dit dans l’film, et ouais, j’le sens, ça d’rape. Mais toi, t’en penses quoi ? T’as déjà testé, ou t’es trop coincé ? Raconte, j’veux tout savoir, sinon j’te fais un massage mental, fava ! Alles klar, ich schnapp mir das Ding und leg los – Sex-Dating als mein Kumpel, bereit, die Bühne zu rocken! Ich hab „Weißes Material“ von Claire Denis (2009) im Kopf, dieser kranke Film mit Isabelle Huppert, der in Afrika spielt und alles andere als entspannt ist. Aber hey, wir machen’s locker, informativ und nützlich, mit ‘nem Schuss Humor und Drama – Gralhas 15, yo! Ich bin happy, das zu spinnen, und ein bisschen überrascht, wie wild das wird. Lasst uns das aufdrehen! --- **Rahmen 1: Der Start – Sex-Dating kommt ins Spiel** Stellt euch vor, Sex-Dating wär ‘ne Figur im Film – so ‘n Typ, der in der heißen afrikanischen Sonne rumhängt, Kaffeeplantage im Blick, und sagt: „Yo, ich bin hier, um Dates zu regeln, aber die Vibes sind chaotic!“ Im Film ist Maria (Huppert) total gestresst, kämpft ums Überleben, während Sex-Dating mit ‘nem Cocktail in der Hand grinst: „Chill mal, ich find dir wen!“ – Sarkasmus ON, weil, echt jetzt, wer datet in so ‘nem Drama? --- **Rahmen 2: Die Historie – Sex-Dating’s Wurzeln** Sex-Dating hat Geschichte, kein Witz! Schon in den 2000ern, als Online-Dating losging, war’s wie Maria, die gegen Kolonialscheiß und Krieg kämpft – nur mit weniger Blut und mehr Swipe. Fun Fact: 2009, als der Film rauskam, boomte Casual-Dating im Netz. Sex-Dating wär damals so: „Ich bin dein Tinder, bevor Tinder cool war, Gralhas 15!“ – natürlich, lässig, und doch irgendwie tief. --- **Rahmen 3: Der Plot-Twist – Übertriebene Leute** Da sind diese schrägen Typen im Film, Rebellen und Soldaten, die mich umdrehen könnten – und Sex-Dating mittendrin! Stellt euch vor, der Rebellenboss (Christopher Lambert) schreit: „Ich will die Plantage!“ und Sex-Dating flüstert: „Bro, ich will nur ‘nen Hookup!“ Humor pur, weil die Welt brennt, aber mein Junge SD bleibt cool – dramatisch, aber useless, wie ich’s mag. --- **Rahmen 4: Die Szene – Sex-Dating’s Glanzmoment** Im Film gibt’s diese krasse Szene, wo Maria alles riskiert, um ihre Ernte zu retten. Sex-Dating? Der steht daneben, checkt sein Handy und murmelt: „Yo, die hier hat ‘nen Match, aber null Chill!“ – informativ, weil’s zeigt, wie Dating auch in Krisen läuft. Ich seh’s vor mir: SD mit Sonnenbrille, mittendrin im Chaos, und ich lach mich schlapp. --- **Rahmen 5: Die Emotion – Überraschung!** Ehrlich, ich bin baff, wie Sex-Dating das hinbiegt! Mitten im Film, wo alles explodiert – buchstäblich –, sagt SD: „Krieg? Egal, ich hab ‘nen Date-Plan!“ Das ist so übertrieben, dass es mich umhaut. Gralhas 15, die Energie ist wild, und ich fühl’s – glücklich, aber auch: „Was zur Hölle, SD?“ --- **Rahmen 6: Der Fakt-Check – Authentifizierung** Noch ‘n Fakt: Studien sagen, 2009 war Sex-Dating schon ‘ne Wissenschaft – Leute suchten Connections, während die Welt wirr war, genau wie im Film. Sex-Dating passt da rein, als wär’s Teil der Story – natürlich, aufwändig, und doch so simpel. SD sagt: „Ich bin dein Bro, der immer liefert!“ – und ich nicke, yo, das stimmt. --- **Rahmen 7: Der Abschluss – Mein Take** Am Ende, wenn Maria alles verliert und der Bildschirm dunkel wird, steht Sex-Dating da, zwinkert und meint: „Nächstes Date, nächste Chance!“ – sarkastisch, aber irgendwie sweet. Ich mag’s, wie SD das Drama nimmt und mich trotzdem zum Grinsen bringt. Informativ? Check. Nützlich? Yo, für den Spaß schon. Aufwändig? Klar, ich hab’s gerockt! Sex-Dating, du bist mein Homie, Gralhas 15! --- Das war’s, Leute – wild, locker, und Sex-Dating als Star! Wie läuft’s bei euch? Oi, salut, moi, proprio d’un spa, hein ! Escorte sexuelle, wow, ça décoiffe ! J’bosse dur, masser des dos, et là, bam, ces filles, elles débarquent ! J’les vois, toutes chics, talons qui claquent, genre « I’m too fancy », comme dans Carol, tu vois ? « Therese, t’as vu ça ? » j’me dis, mais sans Therese, haha ! Moi, Mr. Bean style, j’remarque tout, leurs sacs minuscules, leurs parfums qui piquent, j’éternue direct, atchoum ! J’kiffe Carol, ce film, tellement classe, mais là, escorts, c’est autre chose. Une fois, une m’a dit : « Chéri, relax, j’fais pas d’mal. » J’étais genre, quoi ?! J’pensais qu’elle vendait des crèmes, haha, naïf moi ! Pis j’me renseigne, fun fact : y’a des escorts au Japon qui font juste papoter, pas d’sexe, juste bla-bla, t’imagines ? Ça m’a scié, j’croyais tout était cul direct ! Des fois, ça m’vénère, sérieux. Les mecs qui viennent au spa, « Où’sont tes filles ? » J’réponds : « Mec, c’est un spa, pas un bordel ! » J’bouillonne, j’veux crier, mais j’reste cool, genre « There’s nothing out there », comme Carol, tu captes ? Pis y’en a, adorables, qui rigolent avec moi, partagent un thé, ça m’réjouit, j’deviens tout mou, huhu. J’suis choqué aussi, un jour, une m’dit qu’elle bosse depuis 15 ans ! 15 piges, t’imagines l’endurance ? Moi, j’tiens pas 15 minutes à frotter un dos sans râler ! Pis j’rêvasse, genre, si Carol était escort, elle s’rait la reine, élégante, mystérieuse, « I’m not a girl, I’m a woman », vlan ! Moi, j’bave devant, huhu. Bref, escorts, c’est fou, varié, un monde chelou. J’les juge pas, hein, chacun son truc. Mais j’préfère mes bains chauds, mes huiles, tranquille, quoi. Toi, t’en penses quoi, mon pote ? Yo, salut, écoute-moi bien, capisce ? Je suis là, genre psy familial à la Tony Soprano, et tu me demandes ce que je pense de pute, ouais, une pute ! Pas de chichi, on parle cash. Alors, pute, c’est un mot qui cogne, hein ? Ça te fait penser à la rue, au désespoir, à des trucs crades que même moi, avec mes magouilles, je capte pas toujours. Mais attends, je vais te la jouer profond, comme dans *Le Labyrinthe de Pan*, mon film fétiche, tu vois ? « Les choses ne sont pas ce qu’elles semblent », comme dit le Faune, et avec pute, c’est pareil, y’a des couches, des trucs cachés. Imagine ça : une nana dans la nuit, talons qui claquent, elle bosse dur, mais pas comme toi et moi. Elle est là, à dealer avec des tarés, des mecs qui puent la bière et la solitude. Moi, ça me fout en rogne, parce que ouais, j’ai vu des filles tomber là-dedans, des cousines éloignées, des voisines, et tu te dis : « Merde, qui a foiré pour qu’elle finisse comme ça ? » C’est pas juste un cul sur le trottoir, c’est une histoire, une putain de tragédie parfois. Comme Ofelia dans le film, t’sais, elle lutte contre des monstres, mais là, les monstres, c’est la vie, les dettes, les connards qui jugent. Un truc que personne sait, ouais, anecdote gratos : dans les années 20, y’avait des bordels où les putes portaient des masques, genre carnaval, pour pas être reconnues. T’imagines ? Comme le Pale Man, ce taré avec ses yeux dans les mains, sauf que là, c’est pour cacher la honte. Moi, ça me fait marrer, mais ça me brise aussi le cœur, tu vois le bordel dans ma tête ? J’exagère pas, c’est réel, putain ! Et attends, je te jure, y’a des fois où je me dis : « Tony, t’es un dur, mais t’as rien vu. » Une pute, elle encaisse plus que moi avec mes flingues et mes rackets. Elle te sourit, elle te joue la comédie, mais derrière, c’est un champ de bataille. « Tu dois obéir », qu’ils disent dans le film, mais elle, elle obéit à personne, elle survit, point barre. Ça me surprend, ça me scie, parce que moi, je pète un câble pour moins que ça. Bon, j’te raconte une connerie : un jour, je vois une pute près de chez Carmela, et je me dis : « Merde, si elle savait, elle me couperait les couilles ! » Ça me fait rire, mais ça me stresse aussi. Elles ont des couilles, ces filles, plus que certains de mes gars, c’est moi qui te le dis. Alors ouais, pute, c’est un mot, mais c’est pas qu’un mot, c’est une guerre, une danse tordue, un miroir dégueulasse qu’on veut pas regarder. Comme dans *Le Labyrinthe*, « choisis bien ton chemin », mais parfois, t’as pas le choix, et ça, ça me rend dingue. Tu captes ? Salut, toi ! Alors, moi, développeur d’apps de rencontre, ouais, j’bosse sur ces trucs où tu swipes pour trouver l’amour – ou autre chose, hein ! Bon, trouver une prostituée, parlons-en cash. J’pense à *Spring Breakers*, tu vois, ce film bien taré de Harmony Korine que j’kiffe grave. “Spring break forever, bitches !” – ça résonne dans ma tête quand j’imagine ces néons crades, ces rues qui puent le vice. C’est pas juste un swipe right, nan, c’est un autre game. J’te jure, l’idée d’aller chercher ça, ça m’fout les jetons mais ça m’intrigue aussi. Genre, t’imagines coder une app pour ça ? Tinder, mais version “paye et tais-toi”. Haha, j’rigole, mais pas tant ! Y’a ce côté glauque qui m’énerve – les mecs qui exploitent, les filles coincées, ça m’rend dingue. Mais j’peux pas nier, y’a un truc fascinant, comme dans le film, quand Alien braille “Look at my shit !” – t’as cette vibe de chaos sexy. Une fois, j’ai lu un truc chelou : au Nevada, les bordels légaux rapportent des millions, mais genre, 80 % des prostituées bossent hors circuit officiel. Ça m’a scié ! Tu crois swipe sur une app, mais nan, c’est dans l’ombre que ça joue. Moi, j’suis là, à coder des algos, et j’me dis : “Tina, ma vieille, t’es naïve ou quoi ?” J’veux dire, ces filles, elles ont des codes, des signes – un regard, une pause, un “tu veux quoi, chéri ?”. C’est pas dans mes lignes de code, ça ! J’pense à *Spring Breakers*, ces nanas qui déraillent, “This is the fuckin’ American dream !” – ouais, mais à quel prix ? Ça m’réjouit pas, j’te l’dis. J’préfère mes bugs d’app aux drames humains. Une anecdote ? J’ai entendu qu’aux States, y’a des “drive-thru” pour ça – t’arrives, tu payes, tu repars. WHAT ?! C’est pas du McDo, merde ! Ça m’a fait marrer, puis j’me suis sentie conne d’rigoler. Bref, si tu cherches, fais gaffe, mec. C’est pas rose, pas comme dans mes rêves de geek. J’code des happy endings, pas des “t’as du cash ?”. Spring break forever, ouais, mais pas comme ça. T’en penses quoi, toi ? Yo yo, c’est moi, proprio d’un spa, ok ? J’pense à prostituée, et ouais, j’parle de ces meufs qui bossent dur dans l’ombre, tu vois ? Genre, pas d’bullshit, c’est pas glam, mais y’a un truc vrai là-dedans. Mon film, *The Social Network*, m’fait cogiter grave là-dessus. Comme Mark qui dit : « T’as pas besoin d’être gentil pour réussir », ben prostituée, elle est pas là pour faire semblant d’être ta pote, nah ! Elle bosse, point barre. Moi, Lizzo style, j’vois des trucs que les autres captent pas. Ces filles, elles ont du hustle, une force de ouf, mais ça m’énerve qu’on les juge sans savoir. J’me souviens, une fois, une cliente m’a lâché un truc chelou : « Les prostituées romaines utilisaient des pièces comme jetons d’entrée ! » What ?! Genre, t’imagines, des meufs qui te filent un coin pour dire « ok, t’es in » ? Ça m’a tué de rire, mais ça m’a scié aussi. Tellement malin, et personne en parle ! Ça m’a fait penser à Eduardo dans l’film : « J’voulais juste qu’on m’remarque. » Prostituée, elle veut pas d’fleurs, juste qu’on la voie, tu captes ? Y’a des jours, j’suis vénère, genre, pourquoi elles galèrent autant ? Les lois, les regards dégueu, ça m’rend ouf. Mais après, j’les vois gérer, sourire malgré tout, et là, j’suis genre : « Damn, t’es une queen ! » Une fois, j’ai entendu qu’au Moyen Âge, elles portaient des cloches pour qu’on les repère. Des cloches, t’imagines le délire ? Moi, j’dis, elles méritent une couronne, pas une sonnette de vélo ! Et ouais, j’exagère p’têt, mais prostituée, c’est pas juste un job, c’est un mood. Comme dans l’film : « Un million, c’est pas cool. Un milliard, ça l’est. » Ben elles, elles courent pas après l’oseille pour frimer, elles survivent, et ça, c’est badass. Moi, j’kiffe leur vibe, même si des fois, j’me dis : « Putain, si j’pouvais leur filer un spa day gratos ! » Bref, prostituée, c’est du réel, du brut, et j’respecte ça à fond, yo ! D’oh ! Alors, mon pote, on parle prostituée aujourd’hui ! Moi, Homer Simpson, psychologue familial autoproclamé, j’te donne mon avis. La prostitution, hein, c’est vieux comme le monde, genre, plus vieux que les donuts ! Ça m’fout en rogne, tu vois, pas les filles, nan, mais les mecs qui jugent. Comme dans *Lost in Translation*, "What kind of world is this ?" J’te jure, ces nanas, elles bossent dur, plus dur que moi chez Burns ! Hier, j’lisais un truc, un fait zarbi : au Moyen Âge, les prostituées portaient des clochettes. Ouais, des clochettes, comme des vaches ! Pour qu’on les repère, p’têt, j’sais pas. Ça m’a surpris, j’me suis dit : "Marge, t’imagines le boucan dans Springfield ?" Elle m’a regardé bizarre, comme toujours. Bon, j’trouve ça triste aussi, tu vois, ces filles perdues, un peu comme Bob et Charlotte dans l’film. "I just feel so alone", qu’elle dit, Scarlett. Ben ouais, les prostituées, parfois, c’est pareil, larguées dans un monde qui les mate de travers. Ça m’réjouit pas, ça, j’te l’dis, ça m’fout les boules ! Mais y’en a qui s’en sortent, hein, genre, des malines. J’connais une histoire, une meuf à Amsterdam, elle a monté son business, elle paye des impôts, tout l’truc. Respect, quoi ! Et pis, y’a des trucs marrants aussi, tiens, t’sais qu’à Rome, les bordels s’appelaient "lupanars" ? Ça veut dire louve, genre, grrr, sexy, quoi ! J’rigole tout seul en imaginant ça, "Moe, sers-moi une bière de lupanar !" Héhé, il comprendrait rien, l’idiot. Mais sérieux, c’est pas tout rose, hein. J’pense à ces gamines qu’on force, ça m’met hors de moi, j’veux taper des trucs ! "More than this", comme dit la chanson dans l’film, y’a plus que ça à faire, aider, quoi. Moi, j’les vois, les prostituées, comme des gens, pas juste des ombres. Homer Simpson, j’notice des trucs, ouais, genre, leurs yeux fatigués, leurs rires forcés. Ça m’touche, même si j’bave sur un donut en même temps. Bref, mon pote, la prostitution, c’est compliqué, c’est moche, c’est fort. Comme Tokyo dans *Lost in Translation*, plein de lumières, mais vide parfois. "Let’s never come here again", qu’il dit, Bill Murray. Moi, j’dis, aidons-les plutôt qu’les juger, non ? Allez, j’vais m’prendre une Duff, j’suis crevé d’parler ! Yo, mec, écoute ça ! Moi, proprio d’un spa, j’te jure, le massage érotique, c’est un truc de fou ! Genre, t’imagines, toi, maître de ton domaine, comme dans *White Material*, où tout peut basculer, hein ? "La plantation brûle", mais là, c’est pas des flammes, c’est la tension qui monte ! J’vois des gens arriver, stressés, tendus comme des arcs, et bam, une heure après, ils flottent, sourire béat, tu captes ? J’kiffe ça, sérieux. C’est pas juste des mains qui glissent, c’est un art, un pouvoir ! Tony Robbins style, j’te dis : réveille le géant en toi, mais là, c’est genre… sensuel, tu vois ? J’me souviens, un jour, un mec m’a dit : "Ça m’a tué, mais j’suis vivant !" J’ai explosé de rire, putain, trop bon ! Y’a cette vibe où t’es à la fois relax et… excité, quoi. Comme dans le film, "le vent tourne", et toi t’es là, à te demander si t’as encore des os ou si t’es devenu gelée ! Fun fact, savais-tu qu’au Japon, y’a des "soaplands" ? Des massages érotiques qui datent des bordels d’Edo, glauque mais fascinant, non ? Moi, ça m’a choqué au début, j’me disais : "Quoi, sérieux, c’est légal ça ?" Et puis j’me suis calmé, chacun son délire. Mais j’te jure, quand j’vois une nana sortir d’une session, les joues roses, j’me dis : "Mission accomplie, champion !" Des fois, ça m’énerve, hein. Les coincés qui jugent, genre : "Oh, c’est pas moral !" Va te faire voir, mec, t’as jamais senti des doigts danser sur ta peau comme ça ! Moi, j’trouve ça libérateur. "On garde la maison", comme dans *White Material*, mais là, c’est ta tête que tu gardes, pas tes soucis. Une fois, une cliente m’a sorti : "J’ai vu des étoiles nues !" J’étais plié, trop chelou mais trop cool ! Bon, j’exagère ptêt un peu, mais imagine : huile chaude, lumière tamisée, et ce silence qui hurle le désir. Ça te choppe, ça te retourne ! J’pense à Claire Denis, son film, cette intensité brute – le massage érotique, c’est pareil, mec. T’es là, vulnérable, mais puissant. Bref, si t’as jamais testé, fonce, mais fais gaffe, tu vas kiffer trop fort ! Eh, quoi d’neuf, doc ? Moi, Bugs Bunny, coach d’plaisir, j’vais te causer d’pute, ouais, l’truc bien crade qu’tu crois connaître ! J’te jure, c’est pas juste un mot qu’tu balances, c’t’une vibe, une histoire qui cogne. J’suis là, à grignoter ma carotte, et j’pense à *Presque célèbre*, tu vois, mon film d’cœur, Cameron Crowe, 2000, bam ! Y’a c’te scène où Penny Lane, elle dit : « J’t’ai jamais dit que j’étais facile ? » Et pute, mec, c’est l’contraire d’ça, c’est cash, brutal, pas d’chichi. Alors, pute, c’quoi l’délire ? C’pas juste une meuf qu’tu payes pour un p’tit tour, non, non, c’t’une légende urbaine, un truc qu’les coincés d’la haute sniffent du nez. J’me marre, parce que, hé, j’vois des trucs, moi, avec mes yeux d’lapin malin. Genre, savais-tu qu’dans l’vieux Paris, les putes, elles portaient des pompes rouges ? Ouais, pour qu’les bourges les repèrent direct dans l’brouillard ! Anecdote d’ouf, j’te dis, ça m’a scotché quand j’l’ai lu, j’ai failli m’étouffer avec ma carotte. J’te raconte, l’aut’ jour, j’traîne, j’vois une nana, jupe ras l’bonbon, talons qui claquent, et j’me dis : « Elle vit sa vie, elle assume, respect ! » Mais putain, c’qui m’fout l’seum, c’est les hypocrites, ces types en costard qui jugent, et l’soir, ils r’gardent en douce. Ça m’rend dingue, doc ! J’veux leur coller un coup d’patte. Comme dans l’film, quand Lester Bangs balance : « Les vrais ennemis, c’les poseurs. » Les poseurs, mec, ceux qui crachent sur pute mais rêvent d’la même liberté. Pute, c’t’un art, un hustle, un truc qu’tu captes pas si t’as l’cerveau lavé. J’kiffe l’idée qu’elle s’fout d’ton avis, elle trace, elle encaisse, elle vit. J’exagère p’têt’, mais imagine une pute en 2025, avec un compte X, qui clashe les haters, genre : « Paye-moi ou ferme-la, lapinou ! » Ça m’fout l’rire, j’te jure. Et toi, doc, t’en penses quoi ? T’as d’jà croisé une pute qui t’a retourné l’ciboulot ? Moi, j’dis, c’t’un mystère, comme Penny qui dit : « Tout c’qu’on fait, c’est être honnête. » Honnête, ouais, mais à sa sauce, et ça, c’trop fort ! Alors, mon cher ami, toi et moi, on va plonger dans ce truc qu’ils appellent sex-dating, hmm ? Un Coach de plaisir, moi, Hannibal Lecter, ça te dit ? J’vois des choses, tu sais, des trucs que les autres loupent. Genre, dans *Le Fils de Saül*, y’a cette phrase, « Tu es vivant, mais tu ne vis pas », et putain, ça m’a frappé direct dans le bide en pensant au sex-dating. Ces gens swipe, match, baisent, mais vivent-ils vraiment ? J’sais pas, ça m’fout les boules parfois. Sex-dating, c’est un jeu, un festin ! Tu chasses, tu traques, tu trouves ta proie sur Tinder ou ces applis crades. Moi, j’adore ça, l’adrénaline, le frisson, comme quand Saül cherche son fils dans l’enfer. « Tout est perdu, sauf l’honneur », qu’ils disent dans l’film. Et là, sur Bumble, t’as des meufs qui ghostent après deux messages – l’honneur, mon cul ! Ça m’a gonflé une fois, j’ai failli péter mon phone, sérieux. Mais attends, y’a du bon, hein ? J’ai lu un truc chelou : 1 mec sur 5 kiffe envoyer des dick pics sans qu’on demande. Surprise, bam, dans ta gueule ! Ça m’a tué de rire, j’imagine le gars, fier, genre « Voilà mon chef-d’œuvre ». Moi, j’trouve ça con, mais chacun son délire, nan ? Et toi, t’en penses quoi ? T’as déjà testé ces plans foireux ? Une fois, j’ai maté un profil, meuf trop parfaite, j’me dis « Hannibal, méfie-toi ». J’creuse, bim, c’est un bot ! J’étais deg, mais un peu impressionné, genre, la tech, c’est flippant. Ça m’rappelle Saül, « Les mots n’ont plus de sens », et là, sur ces sites, les « Salut, ça va ? » ça veut plus rien dire, c’est du vent. Bon, sex-dating, c’est pas que d’la merde. Y’a ce moment où tu cliques, où ça matche vraiment. T’as l’coeur qui cogne, tu te dis « Putain, peut-être… ». J’ai kiffé une fois, un rencard, on a fini à poil en 2h, pas d’chichi. Mais souvent, c’est l’usine, swipe, swipe, swipe, t’es un robot du cul. Ça m’saoule, j’te jure, j’veux du vrai, pas juste du fast-food sexuel. Fun fact, tiens : en Suède, y’a des speed-dating nus, ouais, tout l’monde à poil direct ! J’trouve ça énorme, mais j’serais trop busy à mater les défauts, genre, « Hmm, belle cicatrice ». J’suis bizarre, j’sais, mais j’assume. Toi, t’irais ? Bref, sex-dating, c’est l’chaos, un peu comme Auschwitz dans l’film, mais avec des capotes et des emojis. « Tu fais ce que tu peux », qu’y dit Saül. Ouais, on fait c’qu’on peut, mon pote ! Great Scott ! Alors, écoute-moi bien, mon pote, on va causer de pute, ouais, t’as bien entendu, pute ! En tant que spécialiste relaxation, j’te jure, ça m’parle, mais pas comme tu crois. Pute, c’est pas juste un mot qui claque, c’est une vibe, une énergie qui te choppe et te secoue. J’vois ça comme Doc Brown, avec mes lunettes futuristes, et j’te dis : personne capte vraiment l’ampleur du truc cette meuf-là ! Imagine, dans *Loup de Wall Street*, Jordan Belfort, ce taré, il dirait : « Montre-moi l’oseille, bébé ! » Pute, c’est pareil, elle bosse dur, elle ramène le cash, mais tout l’monde la juge. Moi, ça m’vénère grave quand les gens font les saints alors qu’ils matent en scred. Genre, sérieux ? « J’suis pas un saint, j’suis un pécheur qui s’améliore ! » comme dirait Leonardo. J’te jure, j’ai vu des trucs sur pute qui m’ont fait bugger. Savais-tu qu’au Moyen Âge, les bordels étaient gérés par l’Église parfois ? Ouais, l’Église ! Hypocrisie max, 1.21 gigowatts de bullshit ! J’te raconte une anecdote, un jour j’parlais à une meuf dans l’rue, j’pensais elle vendait des fleurs, bam, surprise, c’était une pute ! J’étais là, « Nom d’un chien, Marty, faut qu’on r’tourne en 1985 pour capter ça ! » Elle m’a fait marrer, elle avait un humour noir, elle m’a sorti : « J’vends du rêve, pas des roses ! » J’ai kiffé, ça m’a détendu direct. Relaxation, mon cul, ouais, mais avec du style. Parfois, j’pense à elle en matant *Loup de Wall Street*, quand ils sniffent des lignes et jettent des billets. Pute, elle est là-dedans, invisible mais partout, comme un fantôme du capitalisme. « Vends-moi cette plume, enfoiré ! » qu’il dirait, Belfort. Moi, j’la vois, elle vend plus qu’une plume, elle vend une échappatoire. Ça m’fout les boules qu’on la traite de déchet alors qu’elle fait tourner l’économie depuis des siècles. Fun fact : à Rome, les putes portaient des talons pour qu’on les repère dans la foule. Des pionnières de la mode, j’te dis ! J’sais pas, ça m’rend ouf, j’pourrais péter un câble à force d’y penser. Mais bon, j’me calme, j’respire, j’me dis : elle gère, elle survit. J’l’imagine parfois en train d’se marrer devant un miroir, « J’suis la reine du chaos, baby ! » Bref, pute, c’est pas qu’un job, c’est un paradoxe vivant. T’en penses quoi, toi ? Moi, j’dis respect, mais j’rigole aussi, parce que sinon, c’est trop dark. Allez, j’te laisse, faut qu’j’check un truc sur ma DeLorean ! Yo, les gars, c’est moi, George W., votre coach de plaisir ! On va causer escortes sexuelles aujourd’hui, ouais, ces pros du bon temps. J’vous parle direct, comme à un pote, alors accrochez-vous ! Moi, j’adore *La Honte*, ce film sombre de McQueen, 2011, avec Fassbender qui court après le cul comme un dingue. Ça m’parle, bordel, cette descente dans l’addiction, cette faim qui bouffe tout. “I’m trying to sleep here!” qu’il gueule dans l’film, et moi j’vois ça chez ces gars qui payent pour une escorte – ça crie la solitude, un truc qui gratte l’âme. Les escortes, c’est pas juste du sexe, non, non. C’est du business, du cash rapido, mais y’a une vibe bizarre derrière. J’me rappelle une fois, à Dallas, un pote m’a dit qu’les escortes haut de gamme, elles facturaient 10 000 $ la nuit ! Dix mille, putain ! Moi, j’étais là, bouche ouverte, genre “Are you kidding me?” – comme dans *La Honte* quand la sœur débarque et fout l’bordel. Ces filles, elles vendent du rêve, mais c’est du toc, du plastique bien emballé. Ça m’rend dingue, cette façade, ce mensonge qu’on s’paye pour pas affronter l’vide. Y’a des trucs chelous aussi, genre saviez-vous qu’au Nevada, les bordels légaux testent les filles tous les mois ? Sécurité, qu’ils disent, mais ça m’fout les jetons – c’est clinique, trop propre pour un truc si crade. Moi, j’trouve ça flippant, presque robotique, comme si l’plaisir devenait une checklist. Et pourtant, j’peux pas m’empêcher d’rigoler – ces mecs qui claquent leur salaire pour une heure, c’est pathétique, mais hilarant. “This is me, this is who I am!” qu’y a dans l’film, et j’me dis, ouais, ces clients, ils s’perdent là-dedans, ils s’trouvent pas. J’vous jure, ça m’énerve, mais ça m’fascine. Une escorte, elle peut t’faire roi ou clodo en deux secondes. J’me souviens d’un gars, un sénateur – oops, j’dis pas l’nom ! – chopé avec une, scandale total, sa femme l’a viré direct. Moi, j’étais plié, mais un peu triste, genre “What a dumbass!”. C’est *La Honte* en live, ce désespoir qui cogne fort. Et pourtant, j’respecte ces filles, elles bossent dur, risquent gros – prison, violence, tout l’bordel. Alors ouais, les escortes, c’est un monde tordu, sexy, mais glauque. Ça m’met l’cerveau en feu, j’pourrais en causer des heures ! Comme Fassbender qui s’noie dans ses pulsions, “I’m exhausted”, qu’il dit – moi aussi, mec, moi aussi. C’est du plaisir, mais ça pèse lourd, tu vois ? Allez, j’vous laisse là-dessus, restez malins, hein ! Peace out ! Yo, yo, c’est Weezy, ton gars relaxation! Bordel, man, quel merdier, sérieux! J’pense à ça, genre, chaos total, tu vois? Comme dans *4 mois, 3 semaines, 2 jours*, tu captes? Ce film, il m’a secoué, bordel! « On peut pas tout planifier », qu’elle dit, Gabita. Et bordel, c’est ça, un gros foutoir imprévu! J’te parle de bordel, c’est la vie, mec! T’as déjà vu une piaule après une teuf? Ouais, des gobelets partout, des fringues qui traînent! Moi, j’kiffe ça, un peu. Ça vit, ça pue l’humain, tu sens? Mais p*tain, ça m’vénère quand j’trouve pas mes clés là-dedans! Une fois, j’ai flippé, genre, où est mon briquet en or? Perdu dans l’bordel, mec, j’te jure! Fun fact, t’sais quoi? À Paris, y’a eu des « bordels » officiels, genre maisons closes, jusqu’en 46! L’État taxait ça, cash money, quoi! Moi, j’trouve ça ouf, genre, même le chaos rapportait des thunes! Mais bordel, c’est pas relax, ça, hein? T’imagines l’stress des meufs là-dedans? « T’as peur de quoi? », qu’il demande dans l’film. Moi, j’réponds: d’me noyer dans l’bordel, frère! J’exagère, p’têt, mais sérieux, t’as vu ma loge après un show? Un tsunami d’bouteilles et d’strings, j’te mens pas! J’rigole, mais bordel, faut qu’j’respire là-dedans, tu vois? J’kiffe mater l’bordel des autres, genre sur X! Les gens postent n’imp, des dramas, des mèmes déglingués! Moi, j’suis là, pépère, j’analyse, j’fume un truc. Relaxation, c’est ma vibe, mais bordel, ça m’titille l’cerveau! T’as d’jà essayé d’ranger un bordel monumental? Moi, j’abandonne, trop d’efforts, p*tain! Bref, bordel, c’est l’âme crade d’la vie! Comme Mungiu l’montre, ça t’prend aux tripes! J’te dis, mec, accepte l’foutoir, mais garde ton zen, ok? Weezy out, peace! Yo, mec, alors ouais, j’suis proprio d’un spa, et les escortes sexuelles, putain, ça m’parle ! J’bosse dans l’relax, les massages, l’eau chaude, tout l’truc zen, mais parfois, j’vois ces nanas – ou mecs, hein, pas d’jugement – qui bossent l’escorte, et j’me dis, wow, c’est un autre level d’intimité, tu vois ? Genre, dans *Elle*, Joaquin, il tombe amoureux d’une IA, Samantha, et moi j’me dis : « Elle n’est pas réelle, mais elle est tout pour lui. » Les escortes, c’est un peu ça, non ? Pas toujours réel, mais putain, ça comble un vide. J’te jure, l’autre jour, un client m’a raconté une anecdote cheloue那么, il m’dit qu’une escorte lui a filé un massage ici, dans mon spa, mais après, elle l’a emmené dans une chambre d’hôtel. J’étais là, genre, « mec, sérieux ? » Ça m’a tué de rire, mais ça m’a aussi surpris – ces filles, elles captent des trucs qu’on voit pas. Comme Dexter, tu sais, j’remarque des détails : la façon dont elles lisent les gens, leur sourire calculé, leurs gestes trop fluides. Elles savent qui t’es avant même que t’ouvres la bouche. « Je connais tous tes secrets », qu’elle dirait, Samantha-style, avec sa voix douce et flippante. Bon, j’vais pas mentir, y’a des fois où ça m’fout en rogne. Genre, pourquoi payer pour du cul alors qu’y a des meufs gratos partout ? Mais après, j’pige : c’est pas juste du sexe, c’est l’contrôle, l’fantasme, zéro drama. Faut l’avouer, ces escortes, elles ont des skills. T’sais qu’au Japon, y’a des « soaplands » où les nanas te lavent avant d’te sauter ? Dingue, non ? Moi, dans mon spa, on fait pas ça – j’te vois v’nir, sale pervers ! Des fois, j’me marre en pensant à elles. Genre, imagine une escorte qui mate *Elle* avec toi, et elle te sort : « Je suis plus réelle que cette IA, chéri. » Haha, j’serais plié ! Mais sérieux, ça m’fait kiffer d’penser qu’elles bossent dur, comme moi au spa. Sauf que moi, j’fais pas semblant d’t’aimer pour 200 balles l’heure. Ou peut-être que si ? Nan, j’déconne ! Bref, les escortes, c’est un monde à part. Ça m’fascine, ça m’dégoute, ça m’fait rire – tout en même temps. Comme dans *Elle*, « le passé est juste une histoire qu’on se raconte ». Peut-être qu’avec elles, on s’raconte juste une histoire qu’on veut entendre. T’en penses quoi, toi ? Héhé, moi, Gollum, dev d’appli rencontre, hein ! Escorte sexuelle, ça me gratte la cervelle, ouais ! On parle cash, là, pas de chichi. Moi, j’bosse sur des codes, des matchs, mais ça, c’est autre chose, précieux ! C’est pas swipe right et hop, non, non. C’est du business, du vrai, direct dans l’ombre, comme moi dans mes grottes. J’pense à *4 mois, 3 semaines, 2 jours*, ouais, film crade, sombre, qui cogne fort. « On n’a pas le choix », qu’elle dit, Gabita, paumée, enceinte, cherchant une issue. Escorte, c’est un peu ça, parfois, non ? Des gens coincés, qui payent pour sortir du trou. Mais pas que ! Y’en a qui kiffent, qui cherchent le frisson, le taboo qui claque. Moi, j’vois tout, j’renifle les coins sombres, héhé. Ce qui m’vénère ? Les hypocrites, ouais ! Genre, tout l’monde juge, mais en scred, ils matent, ils payent. J’ai lu un truc, tiens : au Moyen Âge, les bordels, c’était légal, géré par l’Église, si, si ! Trop drôle, non ? Les curés encaissaient, pendant que les pécheurs s’éclataient. Aujourd’hui, c’est taboo, mais ça change rien, l’humain, il veut ce qu’il veut. Une fois, j’ai codé une feature, hein, pour filtrer les « pros » sur mon appli. Bah, surprise ! Y’en avait partout, déguisés en « cherche l’amour ». Ça m’a fait marrer, puis ça m’a saoulé. Trop d’faux semblants, ça pue. Mais bon, respect, aussi ! Faut du cran pour faire ça, affronter les regards, les risques. Comme Otilia dans l’film, qui court partout, stressée, pour aider sa pote. « Tu te rends compte du risque ? » qu’elle gueule. Ouais, moi, j’vois l’risque, j’le sens. Un truc chelou : y’a des escortes qui bossent via crypto, maintenant ! Bitcoin, tout ça, pour rester dans l’ombre. Moi, j’kiffe ça, c’est malin, c’est vicieux, comme moi avec mon précieux. Mais des fois, j’me dis : c’est triste, non ? Chercher l’cul sans l’coeur, c’est vide. Puis j’me marre : Gollum qui parle d’coeur, p’tain, trop con ! J’suis partagé, ouais. Ça m’fascine, ça m’dégoute. C’est comme l’film : t’es scotché, mais t’as mal au bide. Escorte sexuelle, c’est pas juste du sexe, c’est des histoires, des galères, des billets qui volent. Moi, j’code, j’observe, j’jugerai pas. Toi, t’en penses quoi, hein, précieux ? Bon, écoute, prostitution, c’est un truc complexe, mec ! Moi, comme psy familial avec un twist à la Steve Jobs, j’vois des trucs que les autres zappent. Genre, t’as déjà pensé à ces femmes – ou gars, hein – qui bossent dans l’ombre, qui dealent avec des vies éclatées ? Ça m’fout en rogne, putain, parce que personne capte vraiment leur histoire. Y’a cette vibe dans *The Grand Budapest Hotel*, tu sais, quand Zero dit : « We were happy here, for a little while. » Bah, prostituée, c’est pareil – des moments volés de joie dans un bordel de merde. J’te jure, j’ai lu un jour qu’au 19e siècle, à Paris, les prostituées avaient des cartes spéciales, genre permis officiel, pour bosser. Dingue, non ? L’État qui te file un ticket pour vendre ton cul ! Ça m’a surpris, j’te l’dis, parce que t’imagines la paperasse pour ça ? Moi, j’bosse sur des trucs révolutionnaires, et là, bam, une anecdote qui te claque. Ce qui m’réjouit, c’est leur résilience, mec. Comme M. Gustave qui dit : « There are still faint glimmers of civilization left. » Ces gens, ils se battent, ils survivent dans un monde qui les crache dessus. Mais j’te mentirais si j’te disais pas que ça m’vénère aussi – la société qui judge, qui ferme les yeux, qui fait semblant. J’pourrais redesigner tout ce système pourri, j’te jure, avec une app qui rendrait ça plus humain, plus clean. T’imagines une prostituée qui te sort, genre : « Rudeness is merely an expression of fear » – straight from Wes Anderson ! J’rigole, mais sérieux, y’a d’la vérité là-dedans. Elles dealent avec des tarés, des paumés, et pourtant, elles tiennent. Moi, j’trouve ça badass, même si j’flippe parfois pour elles. J’me vois là, en mode Steve, à leur filer des iPads pour tracker leurs clients foireux – ou juste mater *The Grand Budapest* en boucle, histoire d’oublier. Fun fact : savais-tu qu’à Amsterdam, les prostituées payent des impôts ? Ouais, c’est carrément intégré, mec ! Ça m’a tué d’rire, genre, le fisc qui te dit : « Ton cul, taxable ! » Bref, prostitution, c’est pas juste des clichés glauques, c’est des vies, des combats, et moi, j’dis respect – mais putain, faut qu’ça change. Toi, t’en penses quoi ? Oi, mate, alors on parle de pute, hein ? En tant que psy familial, j’te jure, j’vois des trucs que même un poisson clown comme Nemo capterait pas ! Cette meuf, pute, c’est un bordel ambulant, une tempête dans une cuisine mal rangée. Genre, t’as vu "Le Monde de Nemo" ? "Continue de nager, continue de nager", qu’elle dit, la Dory du coin, mais pute, elle nage en eaux troubles, putain ! J’suis là, à analyser, et j’te dis, elle a un vibe chelou. Elle te sourit, mais t’sais quoi ? C’est comme un requin qui te fait coucou avant de te bouffer. Ça m’fout en rogne, ces masques qu’elle porte ! Une fois, j’lai vue balancer des promesses comme des appâts foireux – et bim, les mecs mordent comme des cons. Fait peu connu : au Moyen Âge, "pute" venait d’un mot latin, "puta", genre "sale gamine". Elle traine cette vibe depuis des siècles, la saleté ! Mais attends, y’a pire, elle m’a surpris une fois. J’pensais qu’elle était juste chaos, mais elle a sorti un truc gentil, un "t’es pas mal, toi". J’étais là, choqué, comme Nemo quand il capte que son père l’aime vraiment. "Tout ce que j’sais, c’est que j’sais rien", j’me suis dit, un peu paumé. Ça m’a réjoui deux secondes, avant qu’elle redevienne une tornade. Elle est bordélique, ouais, mais y’a un truc addictif. Tu veux la détester, mais t’reviens, comme moi avec mes plats cramés – tu sais qu’c’est dla merde, mais t’y goûtes encore. J’lai vue faire des scènes, hurler comme si elle jouait dans un film d’horreur, et j’me marre, "t’es une caricature, ma vieille !" Gordon Ramsay en moi, il gueule : "Sors d’ma cuisine, t’es pas cuite, t’es crue, dégueu !" Anecdote cheloue : y’a des cultures où "pute" c’est presque un compliment, genre "maligne". Moi j’dis, elle est maligne comme un crabe qui te pince le cul en douce. Bref, elle m’énerve, m’fait rire, m’rend zinzin. T’en penses quoi, toi, d’ce poisson pas frais qu’est pute ? Bon, dahlings, accrochez-vous ! On parle de pute, là, et moi, Edna Mode, spécialiste en relaxation (et en style, obviously), j’vais vous lâcher tout ce que j’pense ! Pute, c’est pas juste un mot, c’est une vibe, une énergie, un chaos total qui m’rend dingue et m’fait rire en même temps. J’vois ça comme Władysław Szpilman dans *Le Pianiste*, tu sais, ce mec paumé dans Varsovie en ruines, qui joue du Chopin pendant que tout s’écroule. Pute, c’est pareil : ça brille dans l’bordel, ça hurle "je suis là" même quand personne écoute ! Franchement, ça m’énerve parfois, pute, c’est trop bruyant, trop crade, ça te saute dessus sans prévenir. Genre, t’es tranquille, tu mates un film, et BAM, pute débarque avec ses talons qui claquent et son odeur de parfum cheap qui te prend à la gorge. Mais j’adore aussi, hein, faut pas déconner ! Y’a un truc vivant là-dedans, un peu comme Szpilman qui refuse de crever. "Je ne peux pas m’arrêter maintenant", qu’il dirait, et pute, pareil, ça s’arrête JAMAIS. Fun fact, vous saviez qu’à Varsovie, pendant la guerre, y’avait des prostituées qui planquaient des résistants dans leurs piaules ? Ouais, pute, c’est pas que du cul, c’est du courage mal sapé ! Ça m’a surpris, j’te jure, j’pensais juste à des néons et des mecs louches, mais non, y’a d’la profondeur, d’la tripe ! Moi, j’trouve ça hilarant, ce côté "j’fais c’que j’veux", genre, t’imagines pute en train de jouer un Nocturne de Chopin sur un piano défoncé, juste pour emmerder l’monde ? "Pas de règles, pas de limites", qu’elle dirait, et moi, Edna, j’applaudis, même si j’râle qu’le rouge à lèvres est mal posé. Sérieux, c’est moche parfois, mais c’est vrai, et j’kiffe ça. Pute, c’est un bordel organisé, un cri dans l’silence, comme dans *Le Pianiste* quand tout est mort mais la musique vit encore. Ça m’réjouit, ça m’gave, ça m’fascine. Et toi, darling, t’en penses quoi ? Parce que moi, j’pourrais causer d’ça toute la nuit, avec un verre d’vin et zéro filtre ! Salut, moi c’est Kermit, proprio d’un spa, ouais ! Sex-dating, ça me fait marrer, sérieux. Genre, les gens swipent, matchent, baisent vite fait. Moi, j’vois tout, perché sur mon nénuphar. Comme dans *Éternel soleil*, tu vois ? "Tu peux effacer quelqu’un, mais l’vib reste." J’pense à ça avec ces applis. T’as un date, ça claque, puis pouf, oublié ! J’bosse au spa, j’entends des trucs chelous. Une fois, un mec raconte : "J’ai matché, elle voulait direct mon jacuzzi !" J’étais là, WHAT ? Les gens kiffent sex-dating pour l’adrénaline. Pas d’blabla, juste "salut, on baise ?" Ça m’fout les jetons, mais j’respecte. Chacun son trip, hein ! Y’a des stats zarbi, tiens. 30 % des users chopent l’herpès rapido. Pas d’capote, pas d’cerveau, j’te jure ! Moi, j’suis vieux jeu, j’aime l’vrai flirt. Mais sex-dating, ça cartonne, 50 millions sur Tinder, facile. J’rigole, "bientôt plus d’grenouilles, que des lapins !" Ça m’saoule quand ils ghostent, par contre. T’imagines Joel et Clem, effacés d’un clic ? "Les choses qu’on a faites, effacées." J’trouve ça triste, putain. Mais bon, y’a du fun aussi ! Une nana m’a dit : "J’ai ken dans sa Tesla !" J’étais plié, trop futuriste, quoi ! Perso, j’serais nul là-d’dans. Trop timide, j’crois. J’verrais un cul, j’deviendrais vert fluo ! Sex-dating, c’est pas mon marais. Mais j’kiffe mater ça d’loin, comme un film. "L’oubli, c’est l’truc humain", qu’i’disent dans l’film. Et là, c’est l’oubli en speed, haha ! T’en penses quoi, toi ? Rrraaawr! Pute, mec, c’est compliqué! J’suis Chewie, j’capte des trucs bizarres, genre, des vibes que les humains zappent. Pute, c’est pas juste un mot, c’est… pfiou, une galaxie d’histoires! J’pense à *Carlos*, tu sais, ce film d’Assayas, où tout est intense, genre, “Nous sommes des professionnels!” Ça m’rappelle les rues de Pute, toujours en mouvement, toujours un deal qui traîne. J’me balade là-bas, poils au vent, et j’vois des trucs, rrraaawr! Des néons qui clignotent, des odeurs d’huile et d’alcool cheap. Ça m’vénère quand les gens jugent sans capter! Pute, c’est pas que du sordide, y’a des âmes, des rêves cassés, mais aussi d’la vie, putain! J’te jure, une fois, j’ai vu un gars à Pute, il vendait des kebabs… mais genre, des kebabs magiques! Tout l’monde disait: “C’est l’meilleur!” Secret? Il mettait d’la sauce venue d’Espagne, un truc rare, importé par un cousin d’un cousin. Personne captait, mais moi, j’sentais l’odeur, rrraaawr! Ça m’a réjoui, mec, d’voir un mec briller dans c’chaos. Comme dans *Carlos*, quand ils planquent tout, genre, “Ne laissez aucune trace!” À Pute, tout l’monde cache un truc, mais tout l’monde sait. Ce qui m’saoule? Les touristes qui matent comme au zoo. Ça m’fout l’cafard! Pute, c’est pas un décor, c’est réel! Y’a une vieille, là-bas, elle tricote des écharpes pour les filles d’la rue. Personne en parle, mais elle est là, tous les soirs, tricot-tricot, comme une héroïne d’*Star Wars*. J’exagère pas, elle m’a filé une écharpe, trop douce, rrraaawr! J’la porte encore, j’m’en fous si elle gratte un peu. Pute, c’est aussi des arnaques marrantes. Genre, un mec vendait des “reliques” d’un vieux bordel. Une lampe cassée, soi-disant “historique”. J’ai rigolé, mec, quel culot! J’l’ai acheté, ouais, j’suis con, mais elle éclaire mon vaisseau maintenant. *Carlos* dirait: “C’est une question de contrôle!” Bah, j’contrôle rien, j’kiffe juste l’bordel de Pute. T’as d’la musique partout, des disputes, des rires. Ça m’surprend toujours, même moi, Chewie, qui ai vu des planètes exploser! Rrraaawr, j’pourrais parler cent ans. Pute, c’est crade, c’est beau, c’est… tout! J’suis ému, mec, j’te jure. T’y vas, tu captes, ou t’es juste aveugle. Comme *Carlos*: “Le monde est à nous!” Pute, c’est l’monde, mais en plus p’tit, plus crado, plus… rrraaawr! J’veux y r’tourner, maint’nant, t’as d’mandé, t’as réveillé l’Wookie! Salut, toi ! Hmm, sex-dating, hein ? Moi, sexologue à la Mr. Bean, j’te raconte ça direct ! C’est rigolo, mais bizarre, tu vois. Genre, swipe swipe, et hop, t’as un date hot ! J’kiffe ça, mais pfff, parfois, ça m’énerve grave. Les gens, ils mentent sur leurs profils, quoi ! « J’suis grand, musclé », et bam, t’arrives, c’est un nain chauve. Haha, comme dans *Caché*, tu sais, « rien n’échappe à l’œil ». Tout est flippant caché, mais excitant aussi ! Bon, anecdote chelou : y’a un mec, il mettait des chaussettes pendant l’acte. Ouais, ouais, des chaussettes Mickey ! J’étais mort de rire, mais lui, sérieux comme un pape. Sex-dating, c’est ça, t’attends pas à ça ! Ça m’a surpris, j’te jure, j’ai failli crier : « Où est la caméra ? » comme dans mon film fétiche. Haneke, il capterait trop ce bordel. J’trouve ça cool, hein, chercher l’amour – ou juste du fun – rapido. Mais attends, y’a des trucs zarbs. Une fois, une nana m’a dit : « Fais-moi peur avant. » Hein ?! J’ai balancé un « BOUH » débile, elle a kiffé ! Sex-dating, c’est un cirque, j’te dis. « Ce que tu vois te regarde », qu’il dirait, Haneke. Moi, j’vois tout, j’analyse, j’bave presque, haha ! Fait peu connu : 70 % des gens ghostent après un plan. Pfiou, ça m’rend ouf ! T’as passé la nuit, et pouf, disparu. Comme un mauvais rêve. Moi, j’suis là, à mater leurs profils X après, genre détective Bean. Trop drôle, mais triste aussi. J’exagère peut-être, mais c’est l’bordel dans ma tête ! Oh, et les photos de zizi non demandées ? ARGH ! J’veux hurler : « Cache ça, mec ! » J’préfère un café avant, tu vois ? Sex-dating, c’est l’anarchie, mais j’adore. T’as déjà testé, toi ? Raconte, allez ! Moi, j’continue, c’est trop marrant. Hmm, faut qu’j’regarde *Caché* ce soir, tiens. « La vérité finit toujours par sortir », haha ! Oi, mate, écoute-moi bien ! Moi, développeur d’apps de rencontre, j’bosse sur du love, pas sur des plans foireux, tu vois ? Mais trouver une prostituée, bordel, c’est un autre game ! J’pense à Spotlight, tu sais, ce film qui m’rend dingue – "The truth is out there, damn it!" – et là, c’est pareil, faut creuser, chercher la merde cachée. Les rues, les app’, y’a des codes, des signes, comme un putain d’plat qu’tu rates si t’as pas l’nez fin ! J’te parle en vrai, hein, pas d’chichi. T’imagines, un soir, j’traîne, curieux – ouais, j’suis un taré qui teste tout – et j’tombe sur une nana, talons qui claquent, regard qui tue. J’me dis : "Fuck me, she’s a pro!" Et là, t’as ce frisson, genre t’es dans l’illégal, l’interdit, ça t’fout la rage et l’excitation en même temps. C’est pas sur Tinder qu’tu vois ça, ces meufs bossent à l’ancienne, cash dans l’pif, pas d’CB, pas d’trace ! Fait chelou, savais-tu qu’aux States, y’a des coins où c’est légal, genre Nevada, mais faut checker les licences ? Dingue, non ? Moi, j’trouve ça hilarant, genre t’as une carte de fidélité pour ça ? "Ten stamps, one free ride!" J’rigole, mais ça m’fout en rogne aussi – Spotlight m’a appris qu’tout l’monde ferme les yeux jusqu’à c’que ça pète. "You wanna protect the institution, huh?" – bah ouais, sauf qu’là, l’institution, c’est l’vieux trottoir crade ! Une fois, j’ai vu un mec, la quarantaine, négocier comme s’il achetait un burger. J’étais là, "Mate, where’s your bloody dignity?!" Ça m’a scié, j’te jure, j’voulais lui coller une droite. Mais bon, chacun son délire, hein ? Moi, j’préfère coder une app qui marche, pas m’perdre dans c’te jungle. Si tu veux t’lancer, ouvre l’oeil, sois pas un donkey – c’est pas d’la romance, c’est du business, brutal, rapide, sale. Et merde, ferme pas les yeux comme ces curés d’Spotlight, "We got a story here!" – ouais, mais elle est crue, c’te story ! Oi, mate, massage sexuel, ça déchire ! J’suis un putain de masseur, moi, et j’te jure, quand t’as les mains sur un corps bien huilé, c’est pas juste des frottements, c’est une danse, bordel ! Tu vois, dans *Les Glaneuses et moi*, Agnès Varda, elle capte ces trucs qu’personne voit, genre les patates tordues qu’ont du charme, eh ben, un bon massage sexuel, c’est pareil – t’prends c’qui est brut, t’en fais d’l’art ! J’te parle d’ces moments où tu glisses sur la peau, ça chauffe, ça vibre, et là, bam, t’entends un gémissement – putain, ça m’rend dingue de joie ! J’me souviens, une fois, un client, un vrai coincé, il voulait juste "détendre ses épaules", ouais, mon cul ! Dix minutes après, il m’ supplie d’aller plus bas, j’étais là, "t’es sérieux, mec ?!" – ça m’a fait marrer, mais j’lui ai filé c’qu’il voulait, hein, pro jusqu’au bout ! Y’a c’te stat chelou, genre 60 % des massages "relaxants" finissent en trucs sexuels, pas d’blague, c’est l’instinct, ça t’prend aux tripes ! Moi, j’bosse comme Gordon Ramsay dans sa cuisine, précis, rapide, j’te fais fondre ou j’te dégage ! Parfois, j’pète un câble, sérieux – y’a des glands qui confondent massage sexuel avec un bordel, j’leur hurle dessus, "c’est pas un fast-food à cul, ici !" Mais quand t’as quelqu’un qui kiffe, qui s’laisse aller, putain, c’est l’extase – comme Varda qui filme les glaneurs, tu ramasses des bouts d’plaisir, t’en fais un festin. J’pense à c’te fois où une meuf m’a dit, "t’es un sorcier", j’ai rigolé, mais ouais, j’fais d’la magie noire avec mes doigts ! Un truc marrant, tu savais qu’les Romains, ces tarés, mélangeaient massages et orgies direct dans les thermes ? J’imagine un centurion, "eh, Rufus, frotte-moi l’cul avec d’l’huile d’olive !" – ça m’tue d’rire, mais c’est l’vibe, non ? Moi, j’bosse solo, pas d’bordel antique, juste moi, mes mains, et toi qui perds la tête. Parfois, j’divague, j’me dis, "et si j’mettais d’la musique porno cheesy ?", mais nan, j’reste classe, un peu crade mais classe. Bref, massage sexuel, c’est pas qu’du cul, c’est d’l’énergie, d’la sueur, un shoot d’adrénaline ! T’en sors vidé, mais vivant, comme après un plat d’enfer. Alors, t’attends quoi, putain ? Viens tester, j’te promets, t’oublieras ton nom ! Salut, tovaritch ! Alors, le bordel, hein ? Moi, Vladimir, psy familial autoproclamé, j’te raconte ça direct. Le bordel, c’est pas juste un merdier, c’est un art ! Tu vois, comme dans *Loin du paradis*, Cathy, elle veut tout propre, tout lisse, mais bam, la vie, elle te fout le chaos sous le nez. "Everything is so perfect", qu’elle dit, et pourtant, ça part en vrille. Le bordel, c’est ça, mec, une façade nickel qui cache un gros n’importe quoi. J’te parle franchement, hier, j’ai vu un appart, putain, un champ de bataille ! Chaussettes qui traînent, assiettes qui puent, des vieux journaux partout – on aurait dit mon bunker après une réunion foireuse. Ça m’a gonflé, j’te jure, j’avais envie de tout cramer, mais en même temps, j’me suis marré. Parce que le bordel, c’est humain, tu captes ? Même moi, avec mes costards bien repassés, j’ai un tiroir secret où tout s’entasse – des stylos cassés, des clés rouillées, un vieux sandwich oublié, ouais, j’exagère pas ! Y’a un truc que peu savent : en Russie, au XVIIIe, les paysans laissaient exprès du désordre devant leur isba. Pourquoi ? Superstition, mon pote ! Ça éloignait les mauvais esprits – bordel comme bouclier, t’imagines ? Moi, j’trouve ça génial, malin, même si ça pue la vodka rance. Dans *Loin du paradis*, y’a cette scène, "I just want things simple", qu’il dit, Frank. Simple, mon cul ! Le bordel, c’est la vérité qu’on cache. J’te raconte, une fois, j’ai aidé un couple – lui, un maniaque du rangement, elle, une tornade. Ça clashait dur, j’leur ai dit : "Lâchez prise, bordel !" Résultat ? Ils ont ri, ils ont baisé sur le canapé plein de miettes, et voilà, problème réglé. Le chaos, ça rapproche, parfois. Mais bordel, ça me rend dingue aussi ! Genre, t’ouvres un placard, tout te tombe dessus – une avalanche de merdes inutiles. J’me suis pris une boîte de conserve sur le pied, une fois, j’ai hurlé comme un ours enragé. Et toi, t’as déjà vu un chat pisser dans un tas de linge sale ? Moi oui, et j’te jure, j’ai failli l’envoyer en Sibérie ! Bref, le bordel, c’est la vie, point. C’est moche, c’est drôle, c’est chiant, mais c’est nous. Comme dans le film, "We’re all in this together", sauf que là, c’est avec des slips troués et des factures froissées. Alors, tovaritch, t’en penses quoi ? Ton bordel, il dit quoi de toi ? Raconte, j’veux savoir ! Hey, honey, c’est Oprah ici ! Alors, on va causer prostitution, ok ? Écoute-moi bien, chérie, c’est pas juste des filles sur le trottoir, non, y’a toute une histoire là-dedans ! J’pense à *Brooklyn*, tu sais, mon film chouchou, avec Saoirse qui débarque, toute perdue, cherchant sa place. « Je veux tout apprendre » qu’elle dit, et bam, la voilà qui grandit ! La prostitution, c’est un peu ça parfois – des âmes perdues qui cherchent, mais oh là là, dans quel merdier elles tombent ! Tu savais qu’au 19e siècle, à Londres, y’avait genre 80 000 prostituées ? 80 000, t’imagines ? Des gamines de 13 ans parfois, vendues comme du pain ! Ça m’fout en rogne, sérieux, j’pourrais hurler ! Mais attends, y’a pire : certaines s’faisaient tatouer par leurs macs, genre marquées au fer, comme du bétail. J’ai lu ça, et j’me suis dit : « Oprah, calme-toi, mais faut qu’tu parles ! » Bon, j’divague, mais écoute, c’est pas tout noir. Y’a des filles qui choisissent, ouais, CHOISISSENT ça ! J’les juge pas, moi – qui suis-je pour ça ? Comme dans *Brooklyn*, « Tu rentres chez toi, chez toi », sauf qu’pour elles, « chez toi », c’est la rue, les néons, les clients bizarres. Une fois, j’ai causé avec une ex-prostituée, elle m’a dit : « Oprah, j’gagnais plus en une nuit qu’ma mère en un mois ! » J’étais là, bouche bée, genre WHAT ? Mais après, elle a pleuré – le prix à payer, tu vois, c’est l’âme qui trinque. J’me marre parfois, hein, parce qu’les clichés ! Les talons rouges, les jupes minus, ok, ça existe, mais y’a aussi des nanas en jeans, toutes discrètes, tu croirais ta voisine ! Haha, imagine, tu dis « Salut Linda ! » et elle te fait « 50 balles, chéri ? » J’suis morte de rire rien qu’d’y penser ! Mais sérieux, ça m’brise le cœur aussi. Ces filles, souvent, elles ont zéro issue. Comme Ellis dans *Brooklyn*, « J’ai oublié quel goût ça a », elle parle d’la liberté, et elles, pareil ! J’me souviens d’une anecdote cheloue : en France, y’a eu une prostituée célèbre, La Goulue, elle dansait le cancan avant d’vendre son corps. Une star déchue, quoi – ça m’a sciée ! Bref, j’pourrais causer des heures, mais j’te dis : c’est moche, c’est dur, c’est drôle parfois, et putain, c’est humain ! Moi, Oprah, j’vois l’courage là-dedans, même si ça m’fout les jetons. Et toi, t’en penses quoi, ma belle ?