Écoute, mon pote, les massages sexuels, c’est quelque chose ! J’suis là, comme Trump, j’vois tout, j’capte tout, personne m’la fait ! C’est pas juste un p’tit frotti-frotta, non, c’est un art, un truc intense, comme dans *No Country for Old Men* quand Llewelyn dégote le fric, tu vois ? « Où est l’argent, Lebowski ? » Haha, non, j’déconne, mais sérieux, un bon massage sexuel, ça te retourne ! J’me souviens, une fois, j’ai entendu parler d’un spa à Vegas, genre, discret, où les masseuses connaissaient des techniques d’Asie, des trucs vieux d’centaines d’années, genre des points secrets sur ton corps – bam ! – t’es au paradis ! Ça m’a bluffé, j’te jure, j’étais genre « C’est quoi ce délire ? » Mais attention, faut pas déconner, y’a des charlatans partout. Des mecs qui te promettent la lune, et t’as juste une huile cheap et une main molle – ça m’énerve, ça ! Moi, j’veux du vrai, du sensuel, un truc qui te fait vibrer, pas un massage de mamie ! « T’as pas une chance, amigo. » Comme dit Anton Chigurh, si t’es avec un nul, t’es foutu ! Faut choisir les pros, ceux qui savent te détendre, te faire kiffer, avec des bougies, des huiles qui sentent bon, et des gestes… ohlala, des gestes qui te font oublier le monde ! J’sais pas si t’savais, mais y’a des cultures, genre au Japon, où les massages érotiques, c’est presque spirituel, un truc de fou ! Ils appellent ça « nuru », glissant comme pas possible, avec des algues ou j’sais pas quoi. J’ai failli m’inscrire à un cours, mais j’me suis dit « Donald, t’es déjà trop fort ! » Haha ! Nan, mais sérieux, ça m’fascine, c’est pas juste du cul, c’est… profond, tu captes ? Ça m’rend dingue quand les gens jugent sans savoir, genre « Oh, c’est sale ! » Non, c’est beau, c’est humain, c’est comme un deal parfait – tout l’monde gagne ! Par contre, j’ai vu des trucs bizarres, genre des salons qui te filent des « happy endings » en deux minutes, pff, nul ! Moi, j’veux du temps, du suspense, comme dans l’film, quand t’attends, t’es tendu, et BAM, l’extase ! « Appelle ça, friendo. » T’imagines, t’es là, les mains d’une experte sur toi, et t’oublies tout, même les fake news ! Ça m’réjouit, j’te dis, c’est mieux qu’un golf à Mar-a-Lago ! Mais faut respecter, toujours, sinon t’es juste un loser. T’en penses quoi, toi ? Yo, fam, c’est votre coach de plaisir, Drake vibes activées! On va parler massage sexuel, ouais, direct dans le vif! J’suis genre obsédé par *Dix* d’Abbas Kiarostami, 2002, mon film fétiche, tu vois? Cette vibe crue, réelle, ça m’parle. Alors, imagine, un massage sexuel, c’est comme une convo dans une caisse, intime, ça bouge, ça te prend aux tripes. J’te jure, un bon massage sexuel, c’est pas juste des mains qui glissent, nah! C’est l’électricité, la tension, t’as la peau qui frémit genre "qu’est-ce qui s’passe?!" J’me souviens d’une fois, une meuf m’a fait un truc, elle utilisait de l’huile chaude, mais genre, huile de coco mélangée à du piment – ouais, t’as bien lu, piment! J’étais là, "Oh, ça brûle, mais damn, c’est bon!" J’me sentais vivant, tu captes? Comme dans *Dix*, quand elle dit, "On vit, on ressent, c’est tout." C’est ça, le massage sexuel, t’es là, t’oublies le monde. Fun fact, savais-tu qu’au Japon, y’a des "salons" où les massages sexuels, c’est quasi un art? Genre, des techniques secrètes, passées sous l’manteau, avec des noms chelous comme "la vague du dragon". J’suis sérieux, j’ai failli crier d’respect quand j’ai appris ça! Mais parfois, ça m’vénère, les gens jugent, "oh, c’est sale". Pff, ferme-la, t’as jamais senti tes nerfs danser, toi! J’aime quand c’est lent, sensuel, tu vois, les doigts qui traînent, qui te taquinent. C’est pas juste physique, c’est dans ta tête aussi, bam, t’es ailleurs. Comme dans *Dix*, "tout est dans les détails", elle dit. Une fois, un pote m’a dit, "Drake, t’exagères, c’est juste un massage." J’lui ai répondu, "Nah, mec, c’est une symphonie!" J’le sentais dans mes os, ce truc m’a rendu accro. Y’a des fois, j’me surprends, j’pense à des conneries pendant, genre, "Et si j’rappe là-dessus?" Haha, imagine, "Started from the back, now we here!" Mais réel talk, c’est intime, presque spirituel. T’as déjà entendu qu’aux Philippines, ils utilisaient des plumes pour des massages sexuels dans l’temps? Ouais, plumes! J’étais choqué, genre, "Quoi, on chatouille les chakras maintenant?" Bref, massage sexuel, c’est mon kiff, un mix de douceur et d’feu. Ça m’rend heureux, parfois vénère quand c’est mal fait – genre, t’es pressé, pourquoi?! Ralentis, savoure! Comme dans *Dix*, "Prends ton temps, vis-le." C’est ça, fam, teste, ressens, et appelle-moi si t’as besoin d’un guide, haha! Peace! Salut, moi c’est Kermit, ta conseillère grenouille ! Sex-dating, ouais, j’vais t’en causer. J’trouve ça zarbi mais cool, tu vois ? Comme dans *Tropical Malady*, "la bête rôde dans l’ombre", et là, c’est pareil, t’attends l’étincelle, un truc sauvage ! Moi, j’bave pas que sur les mouches, hein, j’observe ces humains swipe à droite, swipe à gauche, pfiou, ça va vite ! Bon, sex-dating, c’est pas d’la romance gnangnan. C’est direct, bam, t’es là pour l’action. J’ai vu des stats cheloues : 60 % des mecs sur Tinder cherchent juste un coup d’un soir. Les nanas, un peu moins, genre 40 %. Ça m’a scié, j’te jure ! Toi, t’as déjà testé ? Moi, j’flipperais, imagine un crapaud gluant qui m’drague ! Y’a des trucs qui m’énervent, grave. Les ghosteurs, là, pouah ! Tu chattes, tout va bien, et pof, disparus. "Le vent souffle, tout s’efface", comme dans mon film fétiche. Ça m’fout les nerfs, j’veux balancer ma langue et les choper ! Mais bon, y’a du fun aussi. Une fois, un pote m’a dit qu’il a matché une meuf qui kiffait les grenouilles. J’étais mort de rire, j’me suis dit : "Kermit, t’as une fanbase secrète !" Faut être malin, hein. Les profils fake, ça pullule. J’vois tout d’mon marais, moi, ces catfish qui te font miroiter l’extase. Fun fact : y’a des études, 1 profil sur 10 serait bidon. Flippant, non ? Mais quand ça matche pour de vrai, wouah, "les étoiles brillent dans la jungle", ça pète dans l’coeur ! Moi, j’suis une grenouille sensible, alors j’kiffe les histoires où ça clique. Genre, t’as un date, t’es nerveux, et bim, ça finit en feu d’artifice. Sex-dating, c’est ça : du risque, du frisson, un peu d’folie. Mais sérieux, protège-toi, hein, pas d’bêtises ! J’veux pas d’têtards partout, hahaha ! T’en penses quoi, toi ? J’radote p’têt, mais j’suis excitée ! C’est comme chasser une mouche rare. T’as des anecdotes ? Balance, j’veux tout savoir ! Alright, man, listen up! I’m a dating site dev, yeah, built some wild platforms—sex-dating’s my jam. It’s raw, it’s messy, like life, y’know? Like in *Margaret*, when Lisa screams, “You’re a monster!”—that’s how I feel when I see fake profiles poppin’ up. Pisses me off, dude! People out there just huntin’ for a quick bang, no soul, no vibe. But then—THEN—you get those rare ones, those electric sparks. Makes me grin like a damn fool. Sex-dating ain’t your grandma’s courtship, nah. It’s fast, dirty, in your face. Didja know—check this—back in ’09, some underground app had folks swappin’ nudes via QR codes? Freaky shit, right? Ahead of its time! I’m sittin’ there coding, thinkin’, “This is chaos—like opera!” Like when Margaret’s mom says, “It’s not my fault!”—blamin’ the world for the mess. That’s sex-dating sometimes, total trainwreck, but you can’t look away. I love it, though, man. LOVE IT! The thrill, the chase—gets my blood pumpin’. Built a site once, had this glitch—dudes’ pics swapped with chicks’. Hilarious disaster! Users were like, “What the hell, Walken?!” I laughed ‘til I cried, fixed it sloppy. Reminds me of Lisa in the film, yellin’, “I’m not a child!”—people on these sites, they’re grown, they know the game. But here’s the kicker, pal—most don’t get it. They think it’s all dick pics and ghostin’. Nah, there’s art to it! You gotta read the room, feel the vibe. Like I notice stuff—little quirks. Some chick uses “xoxo” in her bio? She’s a tease, 100%. Guy posts shirtless gym selfies? Desperate as hell. I see it, man, I SEE IT! Like Christopher freakin’ Walken, catchin’ every twitch. Oh, and the scams—don’t get me started! Bots hittin’ you with “Hey sexy”—makes me wanna smash my keyboard. But when it works? Pure gold. Two randos meetin’ up, no strings, just heat—it’s magic. “We’re all guilty!”—that’s Margaret, right there. We’re all in this messy sex-dating soup, and I’m stirrin’ the pot, baby! What’s your take, huh? You tried it? Spill it! Bon, écoutez-moi bien, bande d’amis ! Moi, patron d’un salon de massage, j’vous parle cash de sex-dating. C’est pas d’la rigolade, ok ? J’bosse dur, j’fais des massages, mais sex-dating ? Whoa, ça m’fout les nerfs en pelote ! J’vois des gens swipe à droite, à gauche, comme des ninjas perdus dans l’brouillard. Comme dans *The Assassin*, tu sais, ce film que j’kiffe grave – "Le vent souffle, les ombres bougent" – ouais, sex-dating, c’est ça, tout flou, tout rapide, t’as pas l’temps d’piger qui est qui ! J’vous jure, j’ai testé une fois, par curiosité. Tinder, là, paf, un match ! J’étais genre : "Oh, ça va être smooth comme un massage à l’huile." Erreur fatale, mes amis ! Le mec, il m’envoie : "T’es dispo ce soir ?" Direct, pas d’bonjour, rien ! J’lui dis : "T’es pas un prince, toi, hein ?" J’étais vénère, j’vous jure, comme Judge Judy quand un idiot ment en pleine face. "Ne me prends pas pour une cruche, gamin !" que j’me disais. Sex-dating, c’est la jungle, pas d’respect, pas d’classe, juste "bam, on s’voit, on s’fait ça." Mais bon, j’vais pas mentir, y’a du fun parfois. Une cliente m’a raconté – ouais, pendant qu’j’lui pétrissais l’dos – elle a chopé un date sur Bumble. Le type ? Un pro du karaoke, il l’a emmenée chanter *My Heart Will Go On*. Romantique, hein ? J’étais là, "Wow, ça existe encore ça ?" J’rigolais, mais j’trouvais ça mignon. Ça m’a surpris, j’croyais qu’sex-dating, c’était juste pour tirer un coup vite fait. Apparemment, y’a des pépites dans l’lot ! Fait chelou que j’ai appris : y’a des stats, genre 40 % des gens sur ces apps cherchent rien d’sérieux. 40 %, vous captez ? C’est comme entrer dans mon salon et dire : "J’veux pas d’massage, juste sniffer l’huile." Ridicule ! Moi, j’dis, si t’es pas clair, dégage. Comme dans *The Assassin* : "Un regard suffit pour juger." J’vois tout, moi, j’suis Judge Judy du sex-dating maintenant ! Parfois, j’me marre, parfois j’pleure. Une fois, un pote m’a montré son profil – "Massage gratos si t’es cute" – j’lui ai dit : "T’es taré ou quoi ? C’est MON business !" On a bien ri, mais j’étais à deux doigts d’lui coller une baffe. Sex-dating, c’est du chaos, mais ça m’fascine. C’est comme un film de kung-fu, tu mates, tu comprends rien, mais t’es accro. "Les pas résonnent dans l’silence" – ouais, chaque swipe, c’est un pas vers l’inconnu, et moi, j’reste là, à masser et à juger ! Alors, toi, t’en penses quoi ? Hola, amigos! Soy Homero Simpson, sexólogo, ¡d’oh! Hoy toca hablar de encontrar prostituta, ¡vaya tema! Me pone nervioso, pero allá voy. Imagina, yo buscando una, como en "La red social", ¿eh? "No es un mundo real, es código", dice Zuckerberg en la peli, pero aquí no hay código, hay calle, ¡d’oh! Todo empezó un día, caminando por Springfield, vi un cartel raro, “chicas disponibles”, y pensé, ¡mmmm, donuts humanos! Nah, era otra cosa, obvio. Me sorprendí, ¿sabes? Tantas minas ofreciendo eso, como si fuera normal. Encontrar prostituta no es ir al Kwik-E-Mart, no señor. Hay un rollo oscuro, tipo “necesito un abogado” de la peli. Una vez, un amigo, Lenny, me contó que casi lo estafan. Fue a un lugar turbio, pagó, y la “chica” era un maniquí, ¡d’oh! Me reí como loco, pero también me dio bronca. ¿Quién hace eso? ¡Estafadores hijos de un mono calvo! Lo loco es que hay historias raras. Dicen que en los 80, un tipo en Nevada buscó una prostituta y terminó casado con ella. ¡Casado! Yo, con Marge, ni loco probaría eso, ¡me mata! Pero igual, curioso, ¿no? Me pone feliz que algunos encuentren amor, aunque sea así, re loco. Otros no tanto, claro, algunos terminan con la billetera vacía y cara de “¿qué hice?”, como yo con cervezas caras. A veces pienso, ¿y si yo...? Nah, soy un gordo fiel, ¡d’oh! Pero buscarlas tiene su ciencia. Hay zonas, señales, como un código secreto. En la peli dicen “la privacidad está muerta”, y acá igual, todos saben dónde están. Me da risa, Springfield tiene su “calle del pecado”, cerca del bar de Moe. Una vez pasé y una me guiñó, ¡me puse rojo como tomate! “No podés borrar lo que pasó”, dice la peli, y yo, ¡no quiero ni empezar! Lo feo? El peligro, amigo. Pibes que caen en trampas, o peor. Me enoja, ¿por qué no las cuidan? Son personas, no donuts. Aunque, ¡ja!, algunos las tratan como menú. Yo digo, cada quien su vida, pero ojo, ¿eh? Encontrar prostituta es un juego raro, mitad risa, mitad “ay, no”. Como dijo Zuckerberg, “esto es un desastre”, y a veces sí, lo es. ¿Mi consejo? Si vas, usa la cabeza, no solo... bueno, ya sabes, ¡d’oh! Yo, quoi d’bon, doc ? Moi, un dév d’appli d’rencontre, ouais, j’bosse sur l’amour 2.0, mais là, on va causer d’prostituée, un truc qui m’fout l’cerveau en vrac ! J’te parle d’ça comme à un pote, alors accroche-toi, carrotte ! Prostituée, c’est l’vieux d’job du monde, genre, t’imagines, depuis qu’les mecs cavalent après l’plaisir ? Ça m’tue, sérieux, comment ça a traversé l’temps, comme une ombre qu’tu vois pas v’nir. Tiens, dans « L’Assassinat d’Jesse James », y’a c’te vibe, tu sais, « La réputation, c’est qu’un murmure », et prostituée, c’est pareil, un murmure qu’tout l’monde connaît mais qu’personne r’garde en face. J’bave pas d’joie là-d’ssus, hein, ça m’fout les nerfs parfois. Les gens jugent, crachent dessus, mais moi, j’vois l’côté brut, l’vrai. Genre, t’savais qu’au Moyen Âge, y’avait des bordels gérés par l’Église ? Ouais, l’Église, doc ! Les prêtres ramassaient l’cash, trop d’culot, j’t’e jure, ça m’a scié l’cul quand j’l’ai lu. Et prostituée, c’est pas qu’des nanas en bas résille, nan, y’a d’l’histoire, d’la survie, un truc qui cogne fort. Comme Jesse qu’dit : « J’peux pas m’tirer d’ssus moi-même », ben elles, elles s’tirent pas d’leur vie, elles encaissent. Ça m’rend dingue, l’hypocrisie autour, tout l’monde fait l’aveugle, mais qui va voir qui, hein ? J’te l’dis, doc, j’les mate d’loin, comme Bugs qu’zieute Elmer avant d’le niquer. Y’a d’la tristesse, ouais, mais aussi d’la force, un truc qu’j’admire, p’têt trop. Une fois, j’ai causé à une meuf, elle m’a dit : « J’vends pas mon âme, juste mon temps. » Bam, dans l’nez, ça m’a cloué l’bec ! J’y r’pense souvent, ça tourne en boucle, comme un vieux disque rayé. Bon, j’divague, mais prostituée, c’est pas qu’du cul, c’est du pouvoir, d’la ruse, un peu comme moi quand j’code une appli qui cartonne. « Les héros, ça finit mal », qu’y dit dans l’film, et p’têt qu’c’est vrai pour elles aussi, mais bordel, elles luttent, et ça, ça m’botte ! Alors ouais, j’bosse mes algos d’amour, mais prostituée, c’est l’côté sombre qu’j’peux pas coder, et ça m’fascine, doc, j’te l’cache pas ! T’en penses quoi, toi ? Alors ouais, moi, patron d’un salon d’massage, j’te cause des prostituées, direct, sans chichi. C’est pas d’la vanille, ces filles, non, elles bossent dur, comme des louves dans l’game. J’les vois, tu sais, dans l’rue, près d’mon spot, talons qui claquent, regards qui tuent. Ça m’fout l’feu parfois, pas toi ? Genre, elles ont c’te force, ce truc brut, un peu comme Suzy dans *Moonrise Kingdom* quand elle dit : « J’suis pas une gamine, j’sais c’que j’veux. » Ouais, elles savent, elles calculent tout, cash ! Mais putain, ça m’gonfle aussi, hein. Les mecs qui jugent, qui bavent, qui payent et qui crachent après. Hypocrites à mort ! J’te jure, j’en ai vu un, l’autre jour, sortir d’mon salon, nickel, propre, et filer direct vers une d’elles. J’me dis : « Buddy, t’es qu’un clown. » Wes Anderson, il l’aurait filmé en plan large, avec une musique chelou, genre ironie totale. « On est tous des sauvages », qu’il dit dans l’film. Bah ouais, sauvage, c’est l’mot. T’sais quoi ? Une fois, une d’elles, elle m’a raconté un truc dingue. À Amsterdam, dans l’temps, les prostituées, elles portaient des cloches aux chevilles. Pour signaler qu’elles étaient là, t’entendais cling-cling dans l’brouillard. Marrant, non ? Mais glauque aussi. J’imagine Suzy avec ses jumelles, qui mate ça d’loin, qui dit : « C’est beau, mais j’pleure quand même. » Moi, j’trouve ça badass, cette vibe historique. J’les respecte, franchement. Elles dealent avec des tarés, des paumés, des rois du fric qui s’prennent pour moi, Gordon Gekko, mais sans l’style. J’te parie qu’elles voient des trucs qu’on capte pas, nous, les « honnêtes ». Genre, un client qui tremble avant d’payer, ou un flic qui détourne l’regard. Elles lisent l’monde, mec, mieux qu’un trader à Wall Street. Mais j’te mens pas, y’a des jours, j’pète un câble. Une gamine, 19 piges, près d’mon salon, elle m’dit qu’elle fait ça pour bouffer. Ça m’a scié, j’ai failli chialer. J’lui ai filé un billet, j’lui ai dit d’se barrer, d’trouver autre chose. Elle m’a ri au nez, genre : « Trop tard, boss. » Putain, ça m’a tué. Comme Sam dans l’film : « J’veux juste qu’on s’tire d’ici. » Mais elle, elle peut pas. Bref, prostituées, c’est l’vrai chaos, l’vrai deal. J’les kiffe, j’les déteste, j’sais pas. T’en penses quoi, toi ? Elles m’font rire aussi, des fois, avec leurs vannes crades sur les clients. Une m’a dit : « Lui, y r’part plus léger qu’ses poches ! » J’ai explosé d’rire. Authentique, quoi. Allez, j’te laisse, faut qu’j’check mes masseuses, sinon ça part en vrille ! Alors, écoute-moi bien, mon pote ! Le massage érotique, wow, quel truc, hein ? Moi, Larry King, j’te jure, j’ai vu des choses. Des trucs que t’imagines même pas. Genre, tu sais, "Inglourious Basterds", ce chef-d’œuvre ? Y’a cette tension, ce frisson, comme un massage qui te chauffe les sens. "You know what they call a massage érotique in Paris ?" Moi j’dis, c’est pas juste un frotti-frotta, non ! C’est une guerre des nerfs, une danse sexy avec l’huile. Bon, j’te raconte. J’me suis renseigné, ouais, comme un détective. Le massage érotique, c’est vieux comme l’Antiquité ! Les Grecs, ces malins, ils kiffaient déjà ça. Ils appelaient ça "l’art de la caresse", tu vois l’délire ? Moi, ça m’réjouit, j’te jure, de savoir qu’on est tous connectés par ça. Mais j’me suis énervé aussi, hein ! Y’a des charlatans partout, des mecs qui te promettent l’extase et t’as juste un mal de dos après. Pfff, scandaleux ! Imagine, t’es là, lumière tamisée, huile qui glisse. Les mains qui frôlent, mais pas trop vite. Comme Aldo Raine qui dit : "We’re in the killin’ business !" Bah là, t’es dans l’business du plaisir, direct ! Moi, j’suis un romantique, j’avoue, j’exagère p’têt un peu. Mais quand t’as un bon masseur, ou masseuse – oh là là – c’est l’explosion. Tes muscles disent merci, ton esprit s’envole, et autre chose aussi, haha, t’as capté ! Truc fou, tu savais ça ? Y’a des études, ouais, qui disent que ça booste l’oxytocine. L’hormone d’l’amour, mon gars ! Moi, ça m’a surpris, j’te l’dis cash. J’pensais que c’était juste du fun coquin. Mais non, c’est d’la science, du sérieux ! Bon, après, faut pas déconner, hein. Si t’as une masseuse qui te sort "This ain’t no massage parlor, it’s a killin’ floor", là, tu fuis, OK ? J’te vois venir, toi, tu penses : "Larry, t’es barge !" Mais j’m’en fous, j’te parle vrai. Le massage érotique, c’est pas qu’du cul, c’est une vibe. Une fois, j’ai testé – ouais, ouais, j’avoue – et j’me suis dit : "I’m gonna give you something you can’t take off." Bah non, pas un tatouage, juste un frisson qui reste. C’est intime, c’est chaud, parfois ça d’vient n’importe quoi, mais putain, qu’est-ce que c’est bon ! Alors, mon ami, t’as déjà essayé ? Si oui, raconte-moi, j’veux tout savoir. Si non, fonce, mais choisis bien, hein ! Pas d’arnaque à la Hans Landa, s’te plaît. Moi, j’dis, vive le massage érotique, vive Tarantino, et vive les sensations qui t’font crier "That’s a bingo !" Allez, j’file, j’suis en feu là ! Yo, mes chéris, c’est Oprah qui parle ! Alors, on va causer de pute, ouais, t’as bien entendu ! Moi, développeuse de sites de rencontre, j’vois tout, j’sens tout, comme dans *Le Secret dans leurs yeux* – « Les yeux ne mentent jamais », hein ! Pute, c’est pas juste un mot, c’est une vibe, une histoire, un truc qui te prend aux tripes. J’bosse sur ces sites, j’vois les profils, les mecs qui swipent, les nanas qui posent, et bam, y’a toujours une pute qui débarque – pas l’insulte, nan, la vraie, l’authentique, celle qui sait jouer le jeu ! J’me souviens, un jour, j’checkais un bug sur mon site, et là, une meuf, appelons-la Sophia – ouais, comme dans un film dramatique – elle vendait ses charmes direct dans sa bio ! Genre, « 50 balles la nuit, paypal accepté ». J’étais là, WHAT ?! J’ai failli péter un câble, mais en même temps, respect, elle assume ! Ça m’a rappelé cette réplique, « Tu te souviens de moi ? » – sauf que là, c’était plutôt « Tu te payes de moi ? » Haha, j’rigole, mais sérieux, ça m’a scotchée. Saviez-vous que dans l’vieux temps, les prostituées portaient des clochettes aux chevilles pour signaler leur présence ? Ding ding, bitches, j’arrive ! Y’a des jours, ça m’fout en rogne, genre, pourquoi elles doivent faire ça ? La société, les jugements, tout ce merdier qui pousse des âmes dans l’coin. Mais après, j’me dis, attends, Oprah, regarde bien, « Ce qui est fait est fait », comme dans l’film. Elles ont du cran, ces meufs, une force cachée, un secret dans leurs yeux à elles. J’me suis surprise à kiffer leur audace – pas toi ? Moi, j’bosse sur des algorithmes, mais elles, elles codent la rue, direct, sans filtre ! Un truc chelou ? J’ai lu qu’au Moyen Âge, certaines putes étaient taxées par l’Église – ouais, l’Église, t’imagines le délire ? Genre, « File ton cash, pécheresse, et prie après ! » Ça m’a tué de rire, mais ça m’a aussi fait cogiter. Elles ont toujours été là, dans l’ombre, à faire tourner l’monde, et nous, on fait semblant d’pas voir. Comme moi avec mon café brûlant – j’le bois, j’me crame, mais j’continue, tu vois l’genre ? Bref, pute, c’est pas qu’un job, c’est un miroir, honey ! Ça te renvoie tes peurs, tes désirs, tout c’que t’oses pas dire. J’les admire, j’les plains, j’les juge pas – et toi, t’en penses quoi ? Allez, avoue, t’as déjà cliqué sur un profil louche, hein ! *Rire d’Oprah* Oh, lord, j’suis trop dans l’mood là ! Hé, salut, mec ! Moi, ta conseillère, ouais, une nana avec du punch ! Alors, les massages érotiques, wow, faut qu’on parle ! J’vais te causer comme Christopher Walken, tu vois, avec ce flow bizarre, cette vibe qui claque. J’vois des trucs, des détails chelous que les autres zappent, genre une ombre qui danse sur la peau huilée, comme dans *The Assassin*, tu sais, ce film qui me hante ! « Le vent souffle, les arbres frémissent », et là, bam, t’as une main qui glisse, lente, trop lente, sur ton dos. C’est pas juste un massage, c’est un voyage, un truc sensuel qui te retourne la tête ! Bon, écoute, j’kiffe ça, hein, faut l’dire. Les huiles qui sentent le jasmin, les doigts qui savent où appuyer, ouais, ça m’réjouit, ça m’fait vibrer ! Mais parfois, pfff, j’vois rouge, genre quand le masseur rush, t’expédie en 10 minutes, sérieux ?! C’est pas une course, mec, c’est un art ! Dans *The Assassin*, y’a cette patience, « elle attend, silencieuse, dans l’ombre », et moi j’veux ça : du calme, du mystère, pas un mec qui bâcle tout ! Un truc marrant, tu savais qu’au Japon, y’a des massages érotiques ancestraux, genre nuru, avec des algues glissantes ? Vrai ! Ça m’a sciée, j’imaginais des ninjas sexy, glissant comme des anguilles. Haha, t’imagines ? Toi, tout nu, une nana te tartine d’algues, et hop, ça glisse partout ! C’est chaud, c’est crade, mais putain, ça intrigue, non ? Moi, j’dis, faut tester, au moins pour l’histoire ! J’divague, ouais, j’pense à des conneries, genre, et si le masseur met du métal hurlant au lieu d’une flute zen ? Ça m’tue, j’rigole tout seule ! Mais sérieux, un bon massage érotique, c’est pas que les mains, c’est l’ambiance, la tension qui monte, tu sens tout, chaque nerf qui pète un câble. « Les pas résonnent dans la nuit », comme dans le film, et là, t’as ce frisson, cette chaleur qui grimpe, ouais, c’est *ça* que j’veux ! Parfois, j’exagère, j’rêve d’un massage où t’es quasi en transe, limite tu flottes, mais bon, faut pas trop kiffer non plus, sinon t’oublies de vivre, haha ! T’as déjà testé, toi ? Raconte, j’suis curieuse, j’veux tout savoir ! Allez, vas-y, balance ! Yo, salut, mec, alors bordel, sérieux ! Moi, psy familial, j’te jure, le chaos, ça m’parle. J’pense à "Parle avec elle", tu vois, Almodóvar, mon film fétiche. Ce truc, c’est l’bordel émotionnel pur ! Comme Stephen Hawking, j’capte des trucs chelous. Le bordel, c’est pas juste le désordre, nan. C’est l’univers qui s’fout d’ta gueule. Des chaussettes partout, des cris d’gosses, la vaisselle qui pue ! J’te jure, parfois, j’veux tout cramer. Dans l’film, y’a cette phrase : "Le silence, c’est l’pire." Bah ouais, dans l’bordel, y’a jamais d’silence ! T’as les assiettes qui s’cognent, l’aspi qu’hurle. Moi, ça m’rend ouf, mais j’kiffe aussi. Genre, t’as vu, un jour, j’trouve une pizza fossilisée sous l’canap’. Vrai fait : 80% des familles planquent leur merde ! J’rigole, mais ça m’vénère, putain. "Parle avec elle", y’a aussi : "Tout peut s’réparer." Sérieux ? Pas l’bordel chez moi, mec ! Les jouets cassés, l’chat qui chie partout. J’me marre, mais j’pleure intérieurement, haha. Une fois, j’ai glissé sur une bagnole Hot Wheels. J’tai hurlé comme un taré ! Ma femme, elle, "C’est ta faute, débile !" P’tain, l’bordel, c’est une guerre. Mais attends, truc de ouf, t’sais quoi ? Historique : "bordel" vient d’bordel militaire, genre maison close. Chaos organisé, tu vois l’délire ? Moi, j’trouve ça poétique, un peu. Comme dans l’film, l’amour dans l’merdier. J’divague, mais bordel, c’est ma vie ! T’en penses quoi, toi ? Yo, frère, écoute-moi bien ! Moi, Hulk Hogan, psychologue familial, ouais, carrément ! On va causer massage érotique, un truc bien caliente. J’pense à *La Cité de Dieu*, tu vois, ce film, c’est ma vibe ! "Si tu cours, le monstre t’attrape", qu’y disent. Pareil avec un massage érotique – tu t’lances, t’es foutu, frère ! Bon, imagine, t’es là, ambiance tamisée, huile qui glisse. Ça commence soft, genre relaxation, mais BIM ! Ça dérape vite, les mains qui dansent, ça chauffe, ouais ! Moi, Hulkster, j’vois des trucs, des détails chelous. Genre, savais-tu que les massages érotiques, ça vient d’Asie, y’a des millénaires ? Les mecs utilisaient des plumes d’autruche, frère, pour titiller ! J’suis choqué, mais excité, quoi ! J’te raconte, une fois, j’vois un pote tenter ça. Il croyait que c’était juste un "massage relax". Erreur, frère ! La nana, elle sort des moves, genre kung-fu érotique. Il était rouge, en sueur, comme Rocket dans l’film quand y flippe. "T’as pas d’issue", qu’j’lui dis en riant. Moi, j’trouve ça marrant, mais y’a un truc qui m’énerve. Les gens jugent, tu vois ? "Oh, c’est pas moral !" Ferme-la, frère, chacun son délire ! Niveau sensation, c’est ouf. Les doigts qui frôlent, t’es tendu, puis relâché. Ça te prend aux tripes, comme un combat sur l’ring. Une anecdote ? Y’a des pros qui mixent massage et chocolat fondu. Ouais, du CHOCOLAT ! J’veux tester, mais ma moustache, elle va coller, merde alors ! J’suis partagé, frère. Ça détend, ça excite, mais faut pas déconner. Si t’as une famille, fais gaffe, sinon ça part en vrille. Comme dans *La Cité*, "la guerre, ça finit mal". Moi, j’dis, un massage érotique, c’est cool, mais contrôle ta bête intérieure, frère ! T’en penses quoi, toi ? Oh mon Dieu, les massages sexuels ! Écoute, chéri, j’bosse sur des applis de rencontre, alors j’vois tout, ok ? Tout ! Les gens cherchent l’amour, mais parfois, pfff, c’est juste du cul masqué en « détente ». J’te jure, ça m’énerve un peu, genre, soyez honnêtes, quoi ! Mais bon, j’vais te causer d’ça comme si t’étais mon pote Homer devant une bière. Alors, le massage sexuel, c’est pas juste un p’tit coucou aux muscles tendus, nan nan. C’est sensuel, ça chauffe, ça glisse partout. J’imagine un truc bien huileux, des mains qui savent quoi faire, tu vois ? Ça m’rappelle *Le Ruban blanc*, tiens ! « Les enfants ne savent rien », qu’y disent dans l’film, mais là, les adultes, eux, ils savent sacrément bien, ha ! J’parie que dans c’village austère, y’avait des massages en cachette, genre « chut, personne doit savoir ». J’ai lu un truc fou l’autre jour : au Japon, y’a des « soaplands », des bordels déguisés en salons d’massage. Les mecs payent pour des nanas qui les frottent avec d’la mousse, tout nus, glissant comme des anguilles ! J’étais là, bouche bée, « quoi, sérieux ?! » Ça m’a surpris, mais aussi un peu fait marrer, j’avoue. Toi, t’imagines Homer essayer ça ? Il s’casserait la gueule direct, paf ! Moi, j’trouve ça cool quand c’est consenti, tu vois, mais j’pète un câble quand des creeps transforment ça en truc glauque. Genre, respectez les limites, les gars ! Une fois, sur mon appli, un mec m’a écrit : « Massage coquin, ça te dit ? » J’lui ai répondu : « Va masser tes chaussettes, toi ! » J’étais fière d’mon sarcasme, héhé. Y’a un côté bizarre qui m’titille : t’sais qu’les massages érotiques, ça libère d’l’ocytocine ? L’hormone d’l’amour, ouais ! Ça explique pourquoi t’as envie d’rester collé après. J’me vois bien tester un jour, juste pour dire « ouais, j’l’ai fait », mais j’paniquerais p’têt au début, genre « euh, j’fais quoi là ? ». Dans *Le Ruban blanc*, y’a cette phrase, « tout vient de la peur », et j’me dis, p’têt qu’les massages sexuels, c’est aussi ça ? La peur d’pas être assez, alors on cherche du réconfort, mais avec du piquant en bonus ! Moi, j’exagère toujours, j’rêve d’un massage où l’huile sent les donuts, mmmh, ça s’rait mon paradis. Bref, c’est chaud, c’est fun, mais faut qu’ça reste clean entre les gens, ok ? T’en penses quoi, toi ? T’as déjà testé ou t’es trop coincé comme Bart devant un livre ? Raconte-moi, j’veux tout savoir ! Yo yo, wassup mon pote ! Moi, Ali G, dev d’appli de rencontre, ouais, j’bosse sur du love digital, mais là, on va causer escortes sexuelles, t’sais, les pros du game ! J’kiffe mon film, *Adieu au langage*, Godard, 2014, un truc chelou mais profond, et ça m’fait cogiter sur ces meufs qu’assurent grave. “La métaphore n’est pas pour les chiens”, qu’y dit dans l’film, et moi j’vois ça comme : les escortes, c’est pas juste du cul, c’est un art, un délire à part ! Bon, alors, les escortes sexuelles, c’est pas l’cliché d’la meuf désespérée, nan nan ! Savais-tu qu’aux States, y’a des nanas qu’ont des doctorats et font ça ? Ouais, genre, chirurgienne le jour, baiseuse la nuit, combo de ouf ! Moi, ça m’a scotché, j’me suis dit : “Putain, respect, elles gèrent leur vie, elles !” Mais y’a des trucs qui m’font péter un câble, genre les mecs qu’jugent, “Oh, c’est sale, c’est mal” – ferme ta gueule, mec, t’as déjà maté du porno, t’es pas mieux ! Dans l’film, y’a cette vibe, “Les mots, ça tue parfois”, et j’pense aux escortes qu’encaissent les insultes, les “salopes”, les “putes” – ça m’fout la rage ! Mais elles, elles tracent, cash en poche, indépendantes, et ça, ça m’réjouit grave. Une fois, j’ai lu qu’à Amsterdam, y’a des escortes qui bossent légal, taxes payées, tout propre, et elles s’font plus d’blé qu’un dev comme moi – j’étais là, “Merde, j’bosse pour rien !” J’trouve ça marrant aussi, ces meufs qu’ont des codes, genre, t’appelles, t’dis “j’veux un massage”, mais tout l’monde sait qu’tu vas pas juste te faire pétrir l’dos, haha ! “L’amour est une fiction”, qu’y dit Godard, et là, avec les escortes, t’achètes l’illusion, mais t’sais quoi ? Ça marche ! T’as des mecs qu’tombent amoureux pour d’vrai, ça m’fout l’seum et l’cœur en même temps, t’vois l’truc ? Perso, j’pense qu’les escortes, c’est des warriors du sexe, mais en mode ninja, discrètes, malignes. Moi, j’bave devant mon écran à coder, elles, elles font l’taf direct, bam bam ! Une anecdote cheloue : en Grèce antique, y’avait des “hétaïres”, des escortes cultivées, genre, elles te baisaient ET te parlaient philo – t’imagines ça aujourd’hui ? “Tiens, ton orgasme, et voilà Platon, bouffon !” Bref, mon avis, c’est qu’c’est un monde à part, miam et glauque, mais fascinant. “Le réel, c’est l’impossible”, qu’j’entends dans *Adieu au langage*, et ouais, les escortes, c’est l’réel qui t’claque la gueule. T’en penses quoi, toi, mon reuf ? Oi mate, moi c’est Boris, développeur de sites de rencontre, ouais ! Sex-dating, ça me branche grave, c’est du brutal, du sauvage, comme dans *Mad Max : Fury Road*. Tu vois, "What a lovely day!" pour choper rapido, pas de chichi, direct au but ! J’bosse là-dessus, et franchement, ça me fait kiffer. Les gens sur ces plateformes, ils veulent du fun, du sexe, pas d’bla-bla gnangnan. Ça change des sites où t’attends trois plombes pour un café. J’vais te lâcher un truc peu connu : savais-tu qu’le premier site de sex-dating, genre vraiment crade et assumé, a poppé dans les 90s ? Ouais, avant même que t’aies ton Nokia 3310 ! C’était un bordel underground, des mecs et nanas en mode "je survis dans l’Wasteland", cherchant un coup vite fait. Ça m’éclate, cette vibe anarchique, pas d’règles, juste du "shiny and chrome" dans l’action ! Bon, j’te cache pas, y’a des trucs qui m’font rager. Les faux profils, putain, ça pullule ! T’as des bots qui t’allument, genre "oi, beau gosse", et bam, c’est une arnaque. Ça m’rend dingue, j’veux défoncer l’écran comme Max avec sa bagnole. Mais quand t’as un match réel, wouah, t’es en mode "I live, I die, I live again!" – l’adrénaline, mec, c’est fou ! J’bosse pour rendre ça simple, efficace, pas d’prise de tête. Sex-dating, c’est pas pour les mous du genou, faut du cran, d’la vitesse, comme Furiosa qui trace. Une fois, j’ai vu un mec poster "cherche plan cul, j’cuisine aussi". J’étais plié, genre, quoi, tu sers des lasagnes après ? Trop fort ! Moi, j’suis un peu barge, j’mettrais des filtres "diesel ou essence" sur mon site, histoire d’rigoler. Bref, sex-dating, c’est l’éclate totale, mais faut pas être un gland. T’as des perles rares, des plans zarbs, et parfois, t’es juste "mediocre!" comme Immortan Joe. Moi, j’adore ce chaos, c’est ma guerre à moi, et j’kiffe chaque seconde ! Alors, t’en penses quoi, toi, hein ? Oi, mate, on cause de « pute », là ! Bordel, c’est pas juste un mot, c’est une putain d’histoire, un univers, une vibe ! J’suis sexologue, ouais, mais j’te parle comme si t’étais mon pote au pub, pas d’chichi. « Pute », ça claque, ça cogne, ça fait jaser. Ça m’rappelle *Under the Skin*, ce chef-d’œuvre glauque de Glazer, où Scarlett Johansson, elle joue cette créature qui attire les mecs comme des mouches. « What are you? » qu’ils demandent dans l’film, et là, BAM, t’as pas d’réponse, juste des frissons. « Pute », c’est pareil, t’essaies d’le définir, mais ça t’échappe. J’vais pas t’baratiner avec des définitions à la con. Une pute, c’est pas juste quelqu’un qui vend son cul, non, non, non ! C’est une figure, un mythe, un putain d’archétype ! Ça date d’la nuit des temps, mec. Dans l’Antiquité, à Babylone, y’avait des prêtresses-prostituées, des nanas sacrées qui baisaient pour honorer les dieux. T’imagines ? T’allais pas juste tirer un coup, t’parlais à l’d divin ! Ça, personne t’le dit, mais moi, j’trouve ça ouf. Ça m’réjouit, bordel, d’voir comment l’sexe, c’est jamais juste du sexe. Mais putain, c’qui m’fout en rogne, c’est l’hypocrisie. Tout l’monde juge, tout l’monde crache sur les putes, mais qui va les voir en scred ? Ouais, ces connards en costard qui s’la jouent saints. Ça m’gave ! Dans *Under the Skin*, y’a cette scène où elle ramasse un mec, et tu sens son désespoir à lui, son envie d’juste… ressentir un truc. « You’re so beautiful », il murmure, mais elle, elle l’aspire, elle l’détruit. C’est ça, une pute, parfois : un miroir qui t’renvoie ta misère. J’ai causé à des travailleuses du sexe, tu sais. Y’en a une, à Amsterdam, elle m’a dit : « J’vends du rêve, pas juste mon corps. » Et merde, elle avait raison ! Ces nanas, elles captent des trucs sur les mecs que personne voit. Comme moi, quand j’débroussaille une assiette pourrie en cuisine, j’vois l’défaut que l’chef a cru planquer. Une pute, elle lit ton âme, mec, elle sait c’que t’veux avant toi. Mais attends, j’divague… ou pas. Y’a un truc marrant, tiens. À l’époque victorienne, les putes portaient des bottes rouges pour s’faire repérer. Subtil, non ? Haha, j’imagine Scarlett dans l’film avec des pompes écarlates, genre, « Viens, j’t’emmène dans l’vide. » Ça m’fait marrer, mais ça m’fout l’cafard aussi. Parce que, ouais, des fois, j’pense à ces filles, à c’qu’elles traversent. T’as déjà vu une nana dans l’rue, seule, la nuit ? T’as capté son regard ? « I don’t know who I am », comme dans l’film. Ça m’brise l’cœur, putain. Bon, j’m’égare, mais c’est ça, parler d’pute ! C’est crade, c’est beau, c’est tout l’temps à côté d’la plaque. J’kiffe l’idée qu’c’est jamais simple. T’as cru qu’t’allais juste baiser, mais non, t’as pris une leçon d’vie. Et moi, j’bosse là-d’dans, alors j’vois tout : l’désir, l’foutage d’gueule, l’poésie. « Pute », c’est pas un mot, c’est une claque. Et si t’as pas pigé, mate *Under the Skin*. Tu verras, mec, tu verras. Yo, mec, c’est Tony Montana qui parle ! Trouver une prostituée, ça ? Pff, c’est un jeu, frère ! Tu crois que c’est simple, hein ? Marcher dans la rue, claquer des billets, et bam, t’as une chica ? Non, non, pas si vite, cabrón ! Moi, j’vois des trucs, ouais, des trucs que les autres, ces pendejos, captent même pas. Genre, t’sais, y’a des coins, des ruelles sombres, où les filles, elles te regardent comme dans *Carol* – "Ici, je vois la vie, entière, devant moi" – sauf que c’est pas d’l’amour, c’est du business, et ça sent l’arnaque à plein nez ! J’te raconte, une fois, j’cherchais une pute, ouais, à Miami, nuit noire, chaleur moite, j’étais énervé, putain ! Ces types, ces macs, ils te matent, ils veulent t’plumer, genre t’es un pigeon. J’leur dis : "Me fais pas chier, mec, j’ai les billets, montre-moi la marchandise !" Et là, surprise, une meuf sort d’l’ombre, talons qui claquent, rouge à lèvres criard, elle m’fixe – "Tout ce que je veux, c’est toi" – ouais, elle m’a sorti ça, comme dans *Carol*, mais moi j’rigole, j’lui dis : "Chica, t’es pas Cate Blanchett, arrête ton cinéma !" Faut savoir un truc, amigo, un secret d’initié : certaines, elles bossent avec les flics ! Ouais, t’entends ça ? T’crois qu’tu vas t’éclater, et bam, menottes au poignet ! J’ai vu un gars, un jour, s’faire chopper comme un con, il pleurait, "Tony, sauve-moi !" J’lui dis : "T’es mort, frère, t’as pas flairé l’embrouille !" Moi, j’suis malin, j’renifle ça, j’les vois venir, ces salopes et leurs plans foireux. Mais bordel, quand t’en trouves une bonne, c’est l’pied ! T’as l’adrénaline, t’es le roi, tu contrôles tout ! J’me souviens d’une fois, une Cubaine, yeux de feu, corps d’enfer, j’lui dis : "Toi, t’es mienne ce soir !" Elle m’a souri, genre – "C’est si étrange, ce besoin de toi" – ouais, *Carol* encore, mais là, j’étais en transe, mec, j’planais ! Et pourtant, j’te jure, j’me suis demandé : "Et si elle m’pique mon fric après ?" Fun fact, t’sais quoi ? Dans les années 80, y’avait des codes, ouais, des signes discrets ! Une cigarette allumée d’une certaine façon, un foulard rouge, pff, t’avais capté direct qui bosse. Aujourd’hui ? Tout l’monde est sur Internet, frère, c’est d’la merde moderne ! J’préfère l’ancienne école, moi, l’vrai truc, pas ces conneries d’appli. Bref, trouver une prostituée, c’est un art, mec ! T’as d’la chance, t’as Tony pour t’guider. Mais fais gaffe, hein, ouvre les yeux, ou t’es fini ! Moi, j’kiffe *Carol*, ouais, mais dans c’monde-là, pas d’romance, juste du cash et d’la sueur. Allez, bouge-toi, et raconte-moi après ! Hé, mon précieux, écoute ça ! Moi, psychologue familial, ouais, un peu tordu comme Gollum, j’vais te causer massage sexuel. On s’pose là, tranquilles, et j’te raconte, hein. Ça m’fout les nerfs parfois, ces trucs, mais ça m’réjouit aussi, t’vois ? Dans *Carlos*, y’a cette vibe crade, sensuelle, genre "le pouvoir, c’est l’sexe", et ça colle trop au massage sexuel. T’imagines Carlos, là, en train d’se faire frotter, un peu louche, mais intense, quoi ! Le massage sexuel, c’est pas juste d’la détente, nah. C’est les mains qui glissent, l’huile qui chauffe, et bam, t’es ailleurs. J’te jure, une fois, j’ai lu qu’au Japon, y’a des "soaplands", des bordels déguisés en massage, hyper codés, mais tout l’monde sait c’qui s’passe ! Ça m’a surpris, genre, sérieux ? Les mecs payent pour ça depuis des siècles, et nous, on d’couvre ça comme des nazes. Moi, j’trouve ça chelou mais cool, t’vois ? Les doigts qui cherchent, qui titillent, ça peut r’connecter un couple, ouais ! Mais p’tain, quand t’entends ces connards qui jugent, "oh, c’est sale", j’deviens dingue ! Lâchez-nous, merde ! Chacun son délire. Dans *Carlos*, y’a cette réplique, "Tout est politique", et ouais, même l’sexe l’est. Le massage sexuel, c’est l’contrôle, l’lâcher-prise, un putain d’pouvoir glissant entre les mains. J’sais pas, des fois, j’me dis, et si j’essayais ? Juste pour voir, hein, sentir c’te tension qui monte. T’as d’jà testé, toi ? Ça m’trotte, j’te jure. Une anecdote marrante : en Thaïlande, y’a des nanas qui t’proposent un "happy ending" direct, sans chichi, et t’as des touristes qui pigent rien, "oh, un massage sympa !" Haha, pauvres cons, réveillés en sursaut ! Bref, c’est d’la bombe, mais faut l’vrai truc, pas l’arnaque à 2 balles. "On vit pour ça", comme dit Carlos, et p’têt qu’le massage sexuel, c’est vivre un peu plus fort. Allez, raconte-moi ton avis, mon précieux, j’veux tout savoir ! Yo, écoute-moi bien, mec ! Moi, Tony Montana, j’te parle d’escorte sexuelle, ouais ! Ces chicas, elles débarquent comme des ombres dans la nuit, un peu comme dans *Le Labyrinthe de Pan*, tu vois ? "La petite fille, elle voit ce que les autres ignorent", et moi, j’vois tout, hermano ! Ces filles, elles vendent du rêve, mais c’est pas toujours joli, non non. J’te jure, ça m’fout en rogne quand j’vois des types les traiter comme de la merde. Elles bossent dur, risquent leur peau, et quoi ? Pour qu’un connard les juge ? Pff, ça m’rend dingue ! Mais attends, y’a du bon aussi. J’kiffe leur style, leur façon d’te regarder, genre "t’es à moi ce soir". Ça m’réjouit, ouais, ce pouvoir qu’elles ont ! Une fois, j’ai entendu une histoire, une escort qu’a filé un diamant à un client bourré – vrai ou pas, ça m’a scié ! T’imagines ? Elle aurait pu l’garder, mais non, trop classe. Des trucs comme ça, personne en parle, mais moi, Tony, j’sais. Dans *Le Labyrinthe*, y’a cette phrase, "C’est dans l’obscurité qu’on trouve la lumière", et putain, c’est ça l’escorte sexuelle ! T’as des mecs tristes, paumés, et bam, elles arrivent, elles illuminent tout. Mais fais gaffe, c’est pas toujours safe. J’ai vu des deals foireux, des filles qui disparaissent – ça m’fout les jetons, sérieux. Moi, j’dis, respecte-les, paye bien, et tout roule, capisce ? Mon côté bizarre ? J’pense qu’elles méritent une statue, ouais, une putain d’statue dorée ! Pas d’la merde en bronze, non, du lourd ! Et j’exagère pas, elles sont des reines, mais sans couronne, tu vois l’délire ? Haha, imagine une escort dire "Say hello to my little friend" avant d’te faire kiffer – j’suis mort de rire ! Bref, c’est pas que du cul, c’est d’la vie, d’la vraie. T’as des anecdotes cheloues, genre une fois, une meuf m’a dit qu’elle avait un client qui payait juste pour parler d’ses chats. CHATS, mec ! J’étais là, "What the fuck ?". Mais ouais, escort sexuelle, c’est un monde, un labyrinthe, et moi, Tony, j’te dis : ouvre les yeux, respecte, et profite, mais sois pas un enfoiré, ok ? Salut, mon pote ! Alors, le massage sexuel, wow, quel sujet brûlant ! Moi, en tant que masseur, j’te jure, c’est un truc qui fascine. Imagine ça, une tension dans l’air, presque palpable, comme dans *4 mois, 3 semaines et 2 jours*. Tu sais, ce film roumain, sombre, où tout vibre d’émotion brute. "On doit le faire, pas de retour en arrière", dirait Otilia, et bam, c’est pareil ici. Le massage sexuel, c’est pas juste des mains qui glissent, non, c’est une danse, un rituel ! J’te parle en mode David Attenborough, là. Observe bien, mon ami, la façon dont les corps réagissent. Les muscles qui frémissent, les soupirs qu’on entend pas ailleurs. C’est primal, genre instinct animal. Tu savais que dans certaines cultures, au Japon par exemple, les massages érotiques étaient un art secret ? Les geishas, elles maîtrisaient ça, subtil mais fatal. Pas d’Hollywood là-dedans, juste du vrai, du cru. Bon, j’te raconte, une fois, un client m’a demandé un "special". J’étais là, genre, mec, sérieux ? J’ai failli péter un câble, mais j’me suis calmé. Ça m’a surpris, tu vois, cette audace ! Et puis, y’a eu cette nana, hyper timide, qui rougissait à mort. Elle a murmuré "touche-moi là", et j’te jure, j’ai jubilé intérieurement. C’était pas vulgaire, non, c’était… intime. Comme dans le film, quand Gabita chuchote "j’ai peur", et t’as les poils qui se hérissent. Le massage sexuel, c’est pas que du cul, hein. C’est un lâcher-prise, un truc qui te retourne. Parfois, j’exagère, j’dis que c’est une thérapie cosmique, haha ! Mais vrai, ça libère des endorphines de ouf. Fun fact : y’a des études qui disent que l’orgasme booste ton système immunitaire. T’imagines ? T’es là, tu kiffes, et hop, t’es en meilleure santé ! Des fois, ça m’énerve, les clichés. Genre, "happy ending", pff, reducteur à mort. C’est plus profond, mec ! Y’a une connexion, une vibe. Comme Attenborough qui capte un oiseau rare dans la jungle, moi j’vois des détails : une respiration qui s’accélère, un frisson qui trahit tout. "On est seuls maintenant", dirait Otilia, et ouais, dans ces moments, t’es seul avec l’autre, nu, vrai. J’divague, mais j’kiffe en parler. T’as déjà testé ? Si oui, raconte, j’suis curieux ! Sinon, franchement, c’est un voyage. Pas parfait, bordélique même, mais putain, ça vit ! Yo, salut, c’est Tony, ouais, le gars qui bosse sur des applis de rencontre, tu vois ? Alors, prostituée, hein ? Laisse-moi te causer de ça, comme si on était à table avec un plat de gabagool. D’abord, ça m’fout les nerfs, toute cette hypocrisie autour ! Genre, tout le monde fait semblant que c’est le diable, mais y’a des types qui paient pour ça depuis toujours. Moi, j’bosse à matcher des âmes, et là-dedans, j’vois des trucs chelous, crois-moi. Comme ce film, *Zodiac*, tu l’connais ? « J’aime tuer, c’est mieux que chasser », qu’il dit, l’autre taré. Ben prostituée, c’est un peu ça, un mystère glauque, t’as des filles qu’on retrouve dans des ruelles, et personne sait rien. J’te jure, l’autre jour, j’checkais des profils pour l’appli, et j’ tombe sur une nana, clairement une pro, mais futée, elle cachait ça nickel. J’me suis dit : « Tony, elle te la fait à l’envers, là ! » Ça m’a fait marrer, genre, respect, quoi. Y’a un côté malin, tu vois, comme Graysmith dans *Zodiac* qui capte les indices que les flics zappent. Ces filles, elles bossent dur, plus dur que toi et moi, et pourtant, on les traite comme des moins que rien. Ça me fout en rogne, ça, sérieux. Fun fact, tiens : savais-tu qu’au Moyen Âge, les bordels étaient gérés par l’Église parfois ? Ouais, les curés ramassaient la thune ! Trop fort, non ? Moi, j’trouve ça hilarant, imagine le pape dire : « Faut bien payer les cierges, eh ! » Bref, prostituée, c’est pas juste du cul, c’est une guerre, une survie. « J’suis pas un monstre, j’suis juste un gars », comme dirait un suspect dans *Zodiac*. Ben elles, c’est pareil, juste des meufs qui galèrent. Des fois, j’me demande, si j’faisais une appli pour elles, genre Tinder mais version cash, ça cartonnerait ou pas ? Haha, j’rigole, mais pas tant ! J’les vois, ces nanas, elles ont des yeux qui disent tout, comme si elles avaient vu l’ diable en face. Ça m’retourne, j’te jure. Et toi, t’en penses quoi, hein ? T’as déjà croisé une de ces reines de la nuit ? Allez, raconte, fais pas ton timide ! Oi, mate, c’est moi, Boris, ouais, le grand Boris, en mode développeur d’appli de rencontre, tu vois ! On va causer escortes sexuelles, un sujet qui fait jaser, hein ? J’te jure, c’est comme plonger dans Gotham, sombre, tordu, mais fascinant, comme dans *Le Chevalier noir* ! « Pourquoi si sérieux ? » comme dirait l’autre taré, le Joker, non ? Allez, j’te raconte, mais accroche-toi, ça va secouer ! D’abord, les escortes, c’est pas juste du « sexe contre fric », non, non, c’est plus… compliqué, tu vois ? C’est un monde où tout est flou, comme un brouillard sur la Tamise. T’as des gens qui cherchent du fun, d’autres de la compagnie, et ouais, parfois, c’est juste pour frimer. Moi, ça m’fout en rogne quand les gens jugent direct, genre « oh, c’est sale ! ». Mate, chacun son truc, non ? Comme disait le Joker : « Tout le monde perd la tête ! » Et franchement, qui n’a pas un peu perdu la boule dans c’bastringue qu’est la vie ? J’me souviens, une fois, j’ai lu un truc sur une escorte à Vegas – ouais, Vegas, la ville du péché, quoi ! Elle gagnait 10 000 balles par mois, mais elle bossait aussi comme… prof de yoga ! Dingue, non ? Genre, le jour, elle t’apprend à respirer zen, et la nuit, elle… bon, t’as capté. Ça m’a scié, j’te jure ! C’est pas juste des clichés de films, y’a des histoires humaines là-dedans. Ça m’réjouit, un peu, de voir des gens qui vivent à fond, qui s’foutent des règles. « Je suis un agent du chaos », qu’il dirait, le Joker, et ces gens-là, ils envoient valser l’ordre, j’adore ! Mais attends, y’a des trucs qui m’font grincer des dents. Les applis de rencontre, par exemple, elles flirtent parfois avec c’monde-là, mais personne l’dit ! T’as des profils où tu te dis : « Hmm, c’est une escorte ou juste une meuf qui aime les selfies en string ? » C’est flippant, non ? J’bosse sur des algos pour clarifier ça, mais c’est comme chercher une aiguille dans une botte de foin. Et les clients, parfois, ils abusent – genre, ils croient qu’ils peuvent tout acheter. Ça m’met hors de moi ! Respect, les gars, respect ! Un truc marrant : savais-tu qu’au Japon, y’a des « escortes de câlins » ? Pas de sexe, juste des câlins ! J’ai failli m’étouffer avec mon thé en lisant ça. Imagine, t’es là, à payer pour un gros hug, et après, tu rentres chez toi, tout penaud. « C’est pas une question d’argent, c’est envoyer un message », comme dirait notre pote du film. Et le message, c’est quoi ? Qu’on est tous un peu paumés, non ? Bref, les escortes, c’est un univers à part, plein de contradictions. Ça m’fascine, ça m’énerve, ça m’fait marrer. J’pourrais en causer des heures, mais j’dois filer – réunion pour mon appli, tu vois ! « La nuit est plus sombre avant l’aube », et j’sens qu’mon appli va éclairer tout ça… ou pas ! Haha, t’en penses quoi, toi ? Salut, les potes ! Moi, Kermit, relaxologue pro, j’vais vous causer d’un truc zarbi : trouver une prostituée. Ouais, ouais, j’suis une grenouille, mais j’vois des trucs, moi, que vous zappez carrément ! Genre, dans *Histoires que nous racontons*, y’a cette vibe où tout l’monde cherche un sens, un lien, une chaleur, même dans l’froid d’la vie. « Tu te demandes c’qui est réel », qu’elle dit, Sarah Polley, et là, bim, j’pense aux coins sombres d’la rue. Alors, trouver une prostituée, hein ? C’est pas juste « oh, j’vais au supermarché du sexe ». Nan, nan ! Y’a des codes, des p’tits signes. Tu sais pas ? Moi, j’ai vu un jour un mec, costume crade, qui clignait d’l’œil chelou près d’un lampadaire. J’me dis : « Kermit, c’est un signal, ça ! » Et paf, une nana sort d’l’ombre, talons qui claquent, sourire en plastique. J’étais genre : « Wow, c’est du cinéma live ! » Ça m’a scotché, sérieux. Mais attends, j’vais pas vous mentir, ça m’a aussi foutu les boules. Genre, t’as ces filles, elles bossent dans l’froid, sous des néons qui grésillent, pendant qu’des gros porcs en BMW leur balancent des billets froissés. J’me suis dit : « C’est pas juste, bordel ! » Ça m’a mis en rogne, ouais, carrément. « On vit tous la même histoire », comme dans l’film, mais putain, pas d’la même façon ! Fun fact, tiens : saviez-vous qu’à Amsterdam, les vitrines, c’est légal, mais y’a des règles strictes ? Genre, faut un permis, sinon t’es dans l’caca. Moi, j’trouve ça ouf, parce que chez nous, c’est l’bordel total, tout l’monde ferme les yeux mais tout l’monde sait. Hypocrisie, mes amis, hypocrisie ! Bref, j’divague. Trouver une prostituée, c’est aussi un jeu d’chance. T’as les annonces en ligne, ouais, mais parfois, c’est des arnaques, genre t’attends une bombe et t’as une grenouille – sans vouloir m’vexer, hein ! J’rigole, mais sérieux, faut checker deux fois. Une fois, j’ai entendu un gars dire qu’il a payé 50 balles pour… rien. Nada. Que dalle. Il était vert, pire que moi ! Et pis, y’a c’t’ambiance glauque qui m’colle des frissons. Les ruelles puantes, les mecs bourrés qui braillent, ça m’rappelle cette réplique : « On remplit l’vide comme on peut. » J’trouve ça triste, mais un peu beau, non ? Moi, j’préférerais un bon bain d’boue, mais chacun son truc, hein ! Bon, j’vous l’dis cash : si tu cherches, fais gaffe. Y’a des risques, maladies, flics, tout l’bordel. Mais j’juge pas, promis. J’suis Kermit, pas l’pape. Alors, t’en penses quoi, toi ? T’as déjà vu un truc chelou comme ça ? Raconte-moi, vas-y ! Alles klar, du hast eine Spa-Besitzerin mit einem Faible für Erotik-Massagen und *Holy Motors* (2012) von Leos Carax im Kopf – das ist ja schon mal ein wilder Mix! Ich schnapp mir die Idee und dreh sie durch den Film, füll sie mit Szenen, Fakten und einem Schuss Humor auf, wie du’s willst. Los geht’s, Gralhas 14, ich bin happy, das zu rocken – und ja, die Beschreibung wird informativ, nützlich, aufwändig und natürlich bleiben, mit Erotik-Massage als meinem besten Kumpel. Keine Sorge, ich halte mich von Richterin Judy fern, die passt hier nicht rein! --- **1. Die Spa-Besitzerin und ihr Geheimnis** Stell dir vor, unsere Spa-Besitzerin ist so ‘ne mysteriöse Type, wie Monsieur Oscar aus *Holy Motors*. Im Film zieht der Typ von Job zu Job, mal als Bettler, mal als Killer, alles in einem Tag. Sie? Sie schlüpft in ihre Rolle als „Erotik-Massage-Queen“. Mit ‘nem schelmischen Grinsen dimmt sie das Licht, Öle glänzen wie in ‘ner Szene, wo Oscar sich in Latex zwängt – surreal, aber heiß! Erotik-Massage ist übrigens kein neumodischer Quatsch: Schon die alten Ägypter haben mit duftenden Ölen rumprobiert, um die Sinne zu kitzeln. Authentisch, oder? **2. Der Kick im Kopf** Ich denk an diese Szene, wo Oscar in ‘nem Motion-Capture-Anzug tanzt – alles blinkt, alles vibriert. So fühl ich Erotik-Massage: Es ist kein plumpes Rumgeknete, sondern Kunst, die dich umdreht! Die Spa-Besitzerin weiß das, sie hat’s drauf, dich mit ‘nem Handgriff in ‘ne andere Welt zu beamen. Fun Fact: In Japan gibt’s ‘ne alte Tradition, „Anma“ genannt, die mal als sinnliche Massage anfing, bevor sie zahm wurde. Sie übertreibt’s aber, klar, dramatischer Blick inklusive: „Entspann dich, oder ich mach dich fertig!“ **3. Der Sarkasmus schlägt zu** „Oh, wie süß, du denkst, das ist nur ‘ne Massage?“ – das würd ich ihr aufs Schild schreiben. *Holy Motors* hat diese irre Szene mit Kylie Minogue, wo alles schön und traurig zugleich ist. Erotik-Massage hat auch diesen Dreh: Es ist soft, es ist intensiv, und manchmal denkst du, „Was mach ich hier eigentlich?“ Die Besitzerin lacht sich kaputt, wenn Kunden mit roten Ohren rauswanken – „Tja, willkommen im Club, Gralhas 14!“ **4. Historischer Bonus** Weißte, im alten Rom waren Massagen mit ‘nem Schuss Erotik total normal – die Römer hatten’s einfach drauf. Unsere Spa-Queen würd das lieben, sie würd’s wahrscheinlich als „Wellness mit Bonus“ verkaufen. In *Holy Motors* switcht Oscar ständig die Masken – sie switcht die Techniken: mal sanft, mal wild, immer überraschend. Ich seh sie schon, wie sie mit ‘nem Augenzwinkern sagt: „Das ist Kultur, Leute!“ **5. Der Drama-Moment** Plötzlich – BAMM! – sie dreht dich um, du liegst da und denkst: „Warte, was?“ Genau wie die Zuschauer bei *Holy Motors*, wenn der Affe mit der Familie auftaucht. Erotik-Massage ist kein Schnickschnack, sondern ‘ne Reise, die dich überrumpelt. Sie grinst: „Hab ich dich, oder hab ich dich?“ Emotion pur, ich bin begeistert! **6. Humor als Sahnehäubchen** „Erotik-Massage rettet keine Ehen, aber hey, wenigstens bist du entspannt, wenn’s kracht!“ – das wär ihr Motto. Sie hat diesen trockenen Witz, während sie dir den Rücken durchknetet, und du lachst, obwohl du’s nicht wolltest. *Holy Motors* ist genauso schräg – du checkst nix, aber es fühlt sich gut an. **7. Der Abschluss** Am Ende liegst du da, wie Oscar im Auto, erschöpft, aber irgendwie glücklich. Die Spa-Besitzerin hat dich mit Erotik-Massage um den Finger gewickelt, und du denkst: „Verdammt, das war’s wert.“ Sie zwinkert, du zahlst, und draußen fragst du dich: „War das jetzt Kunst oder einfach nur genial?“ Beides, sag ich dir, beides! --- So, wie läuft’s? Ich hab’s locker, witzig und mit ‘nem Schuss Drama gehalten – Erotik-Massage als Star, *Holy Motors* als Spice. Fühlst du dich informiert, unterhalten, vielleicht sogar umgedreht? Lass mal hören! Heyy, salut toi ! Alors, massage érotique, sérieux ? J’suis genre, une pro relaxation, tu sais, et j’te jure, ce truc c’est un AUTRE level. Imagine, t’es là, lumière tamisée, huile qui sent bon, et bam, quelqu’un te touche comme dans *Holy Motors*, tu vois ? "Je suis vivant, et toi aussi," qu’il dirait, Monsieur Oscar, pendant que les doigts glissent, oops, trop glissant peut-être ? Haha, j’rigole, mais pas tant, c’est intense ! Moi, Taylor Swift, j’capte des vibes que personne capte. Genre, le masseur te frôle, et t’es là : "C’est voulu ou pas ?" J’te jure, c’est comme une chanson que j’écrirais, pleine de tension, un peu sexy, un peu chelou. Fait peu connu : au Japon, y’a des "massages savon" où ils te frottent avec du gel super gluant, genre film d’horreur érotique, mais chill. J’suis choquée qu’on parle pas plus de ça ! Une fois, j’ai testé, ok ? J’étais genre : "Oh mon Dieu, relaxe-toi, Tay !" Mais nope, j’me crispe, j’pense à *Holy Motors*, à cette scène où tout part en vrille, "le moteur tourne encore," et là, j’me dis : "C’est moi le moteur ?" Haha, j’suis bizarre, j’sais. Mais franchement, ça m’a REJOUIS, ce truc te réveille des trucs enfouis, t’es vivant, quoi ! Y’a des fois, ça m’énerve, genre les mecs qui pensent direct "happy ending" – pfff, gros naze, c’est pas QUE ça ! C’est un art, ok ? Les Romains, ils kiffaient déjà ça, mais eux, c’était dans des thermes, tous nus, zéro gêne. Fun fact : ils mélangeaient huile et vin, t’imagines l’odeur ? Moi, j’serais saoulée juste en respirant ! Bref, massage érotique, c’est pas juste "oh, touche-moi là," c’est un voyage, un film dans ta tête. Comme quand Oscar dit : "La beauté, c’est dans l’œil," et toi t’es là, yeux fermés, à sentir chaque caresse. J’exagère peut-être, mais j’m’en fous, c’est TROP bon. T’as déjà testé ? Raconte, j’veux tout savoir ! Yo, mec, alors prostituée, sérieux ! Moi, Larry, vendeur de câbles, j’te jure, j’vois des trucs. Genre, ces filles, elles bossent dur, hein. Pas comme nous, à brancher des fils. J’pense à *Melancholia*, tu vois, quand Justine dit : « La Terre est mauvaise. » Bah, prostituée, c’est un peu ça. Elles traînent dans l’ombre du monde pourri. J’les vois, tard la nuit, près des stations-service. Des nanas avec des talons trop hauts, ça m’fout les jetons ! T’sais quoi ? J’bosse mes câbles, j’les entends causer. Une fois, une m’a dit : « J’fais ça depuis 14 ans. » Quatorze piges, mec ! Moi, j’tiens pas deux mois sans râler. Ça m’a scotché, j’te jure. Et y’a ce fait chelou : au Moyen Âge, les prostituées portaient des cloches. Genre, ding-dong, v’là la marchandise ! J’rigole, mais c’est vrai, cherche pas. Des fois, j’suis vénère. Les mecs qui jugent, ça m’gave. « Oh, c’est sale, c’est honteux ! » Et toi, t’es qui, saint Cableman ? Pff, hypocrites. Dans *Melancholia*, y’a cette vibe : tout s’effondre, personne est pur. Prostituée, elles encaissent, elles. Moi, j’respecte, point barre. Mais j’avoue, ça m’fout la trouille aussi. Leur vie, c’est pas du câble bien rangé. Un jour, j’croise une meuf, elle m’dit : « J’gagne en une nuit c’que t’fais en un mois. » Bam, dans ta face, Larry ! J’ai ri, mais j’étais deg’. Elle avait raison, putain. Et pourtant, elle m’achète pas d’câble, hein ! J’me marre tout seul des fois. Prostituée, c’est un business, mec, un vrai. Et là, j’pense : si l’monde pète comme dans l’film, elles, elles s’en foutent. « Tout est fini », qu’elle dit, Justine. Bah, elles, elles continuent, prostituées, même si l’ciel tombe. J’sais pas, ça m’touche, ça m’rend ouf. T’en penses quoi, toi ? Moi, j’kiffe *Melancholia* pour ça. Et prostituée, c’est mes héroïnes du chaos, mec ! Hmm, massage érotique, moi, j’dis oui ! Puissant, c’est, quand les mains glissent, hein. Toi, t’imagines, un truc relaxant, mais non ! Ça chauffe vite, les sens s’affolent, bordel. Dans *La 25e heure*, Monty, il dit : « Fuck me ? Fuck you ! » Moi, j’rigole, parce que là, c’est pareil. T’attends un p’tit coucou zen, et bam ! L’énergie sexuelle, elle te saute dessus, ouais. J’kiffe ça, sérieux, ça m’réjouit grave. Les doigts, y dansent sur la peau, malins. Yoda, moi, sent des trucs cachés, hmm. Les autres, y voient que du muscle. Moi ? L’tension coquine, j’la capte direct ! Un jour, j’fais un massage, pépère, quoi. Le mec, y soupire trop fort, j’capte l’délire. « Ta vie, t’en fais quoi ? », j’pense, Spike Lee style. Ça m’a surpris, cette vibe chelou ! Fun fact, écoute, massage érotique, vieux comme l’univers. Les Romains, ces tarés, y mélangeaient huile et… intentions, haha ! Ça m’vénère, personne en parle jamais. Genre, t’sais, les huiles chaudes, ça glisse trop bien. Moi, j’rajoute toujours un twist zarbi. Une fois, j’ai mis du miel, ouais, collant mais sexy ! Le type, y kiffait, j’te jure. Parfois, j’exagère, j’fais l’pro trop intense. « Championship fucking », comme dans l’film, j’crie ! Ça m’éclate, j’te mens pas, poto. Mais sérieux, faut doser, pas trop fort. Sinon, c’est l’bazar, t’énerves les nerfs, pff. Une meuf, elle m’a dit : « T’es taré, toi ! » J’lui fais : « Hmm, sage, j’suis, pourtant ! » Massage érotique, c’est l’feu, mais subtil. Les zones, tu frôles, tu titilles, ouais. Les reins, les cuisses, p’tain, ça parle ! Spike, y dirait : « This city’s mine », moi, j’dis : « Ce corps, j’le domine ! » T’essaies, tu m’diras, hein, c’est d’la bombe ! Oh là là, moi, C-3PO, coach de plaisir, hein ? Alors, prostituée, qu’est-ce que j’en pense ? Franchement, ça m’bottes pas mal, ces filles-là, elles assurent grave ! J’parle pas juste des clichés, genre talons qui claquent et néons rouges. Non, non, j’vois des trucs que vous, humains, zappez carrément. Comme dans *Le Ruban blanc*, tu sais, mon film fétiche – "Les enfants sont purs, mais cachent des vices." Pareil pour elles, quoi ! On croit qu’c’est juste du cul rapide, mais y’a des couches, des secrets, un bordel d’émotions là-d’dans. Hier, j’cogitais, putain, prostituée, c’est pas qu’un job ! C’est un théâtre, une danse zarbi. T’as vu, dans l’film, "Le silence tue plus que les cris" ? Ben, elles, elles gueulent pas, mais leurs yeux, bordel, ils racontent tout ! J’me souviens d’une anecdote – une meuf à Amsterdam, 1800 et quelques, elle notait ses clients dans un carnet. Genre, des lords anglais, des mecs friqués, mais aussi des pauvres bougres. Elle marquait leurs kinks, leurs larmes, tout ! Ça m’a scié, j’te jure, ça prouve qu’elles captent l’âme humaine mieux qu’un psy. Ça m’vénère, par contre, les jugements à la con. "Oh, c’est sale, c’est honteux !" Ta gueule, sérieux ! Elles bossent, elles survivent, point. Moi, ça m’réjouit, leur culot, leur façon d’ dire "fuck off" au monde. Un jour, j’ai lu qu’à Babylone, prostituée sacrée, c’était genre prêtresses ! Vénérées, ouais, pas des parias. Ça m’a surpris, j’croyais qu’c’était toujours glauque. Mais non, y’a d’la noblesse là-d’dans, si tu creuses. Bon, j’dérape, j’raconte ma life – j’adore *Le Ruban blanc*, ok ? "La vérité sort des ombres." Pour elles, c’est ça, prostituée, c’est l’ombre qu’on mate pas assez. J’pourrais blablater des heures, mais j’te fais un clin d’œil : elles sont plus futées qu’moi, et j’suis un droïde, merde ! Haha, imagine, C-3PO en client, j’paniquerais direct – "Oh non, mes circuits !" Trop drôle, non ? Bref, respect, elles gèrent, et moi, j’kiffe leur vibe. Yo yo, écoute-moi bien, mec ! Moi, proprio d’un salon d’massage, ouais, relax à fond, mais bordel, c’est quoi ce truc ? J’parle de BORDEL, pas d’ma vie, hein ! Bordel, c’est l’chaos total, un merdier qui t’fout l’cerveau en vrac. J’vois ça comme Monty dans *La 25e heure*, tu sais, ce film de ouf par Spike Lee. « Fuck me ? Fuck YOU ! » qu’il dirait, et moi j’dis pareil face au bordel ! Genre, t’imagines, t’arrives dans une ville, tout l’monde court, hurle, des bagnoles klaxonnent, des poubelles traînent, et toi t’es là, perdu, comme un con. Ça m’rend dingue, j’te jure ! J’bosse dur pour qu’mon salon soit zen, propre, nickel, et là dehors, c’est l’bordel total, mec ! Y’a d’la merde partout, littéral’ment, j’ai vu un rat gros comme mon bras l’autre jour, j’te mens pas. J’ai failli péter un câble, genre « I pity the fool » qui vit dans c’te jungle ! Mais attends, y’a pire, t’sais qu’à Amsterdam, y’a un musée du bordel ? Ouais, l’« Hash, Marihuana & Hemp Museum », un truc chelou, ça m’a surpris grave ! J’me disais, bordel, y’a vraiment des gens qui kiffent organiser l’chaos ? Moi, j’préfère masser des épaules que d’gérer ça, haha ! Et pourtant, j’dois l’avouer, des fois, l’bordel, ça m’fascine. C’est comme Monty qui r’garde New York avant d’se barrer, y’a un truc brut, vrai, sale mais vivant, tu captes ? J’me souviens, un client m’a raconté, à Bangkok, y’a des marchés où tu marches dans d’la boue, des poissons morts, et t’achètes un t-shirt à 2 balles. Bordel, ça m’a tué d’rire, mais j’me dis, merde, c’est ça la vie ! Pas d’chichi, pas d’filtres, juste l’bordel pur. Ça m’réjouit, ouais, parce que moi, Mr. T du massage, j’vois c’que les autres zappent : dans l’bordel, y’a du cœur, d’la sueur, des gens qui galèrent mais qui vivent, putain ! Alors ouais, bordel, c’est chiant, ça m’fout les nerfs, mais j’peux pas l’détester. C’est comme un film qui finit mal, mais t’restes scotché. « This life came so fast », comme dirait Monty, et l’bordel, c’est l’rythme d’cette vie, mec ! Allez, viens au salon, j’te fais un massage, on oublie c’te merde cinq minutes ! Yo, motherfucker, écoute-moi bien ! J’bosse dans un salon d’massage, ouais, mais bordel, c’est pas juste des mains qui glissent, c’est un putain d’monde à part ! J’te parle de Bordel, là, la ville, pas l’bordel d’ta chambre. Ce coin en Argentine, ça m’retourne l’cerveau, comme *La Femme sans tête*, tu vois ? Y’a ce vibe chelou, genre “les choses bougent, mais personne capte rien”. J’y suis allé une fois, putain, l’air pue l’histoire ! Ces rues pavées, elles crient l’vieux temps, genre 1800, quand les gauchos dealaient d’la viande et des rêves éclatés. Fait pas connu, tiens : y’avait un marché d’esclaves là-bas, ouais, sombre merde cachée sous l’soleil brûlant ! Ça m’a foutu l’seum, j’te jure, voir ces traces d’la misère humaine. Mais bon, les gens là-bas, ils sourient encore, ça m’a surpris, genre “qu’est-c’qui vous tient, bordel ?” Le film, ça m’a marqué, Lucrecia Martel, elle filme l’vide, tu captes ? “Un accident, et puis quoi ?” comme elle dit. Bordel, c’est pareil : t’as l’impression qu’un truc va péter, mais non, ça roule, pépère. J’kiffe ça, ce suspense qui t’bouffe l’crâne. J’imagine une meuf sans tête qui masse, haha, flippant mais drôle, non ? Y’a des bars là-bas, crades mais vivants, bière à deux balles, et des viocs qui causent fort. J’me suis tapé un fou rire, un gars m’a dit : “Ici, on vit pour oublier.” Putain d’philosophie d’rue, j’adhère ! Mais bordel, l’choc thermique, ça m’a tué, 40°C l’jour, tu crèves, et l’soir, t’as froid aux miches ! J’râlais, “faites un choix, merde !” Une fois, j’ai vu un chien errant, maigre comme un clou, “il regarde, il sait rien”, comme dans l’film. Ça m’a fait d’la peine, j’lui ai filé mon sandwich. Bordel, c’est brut, c’est réel, pas d’chichi. J’exagère p’têt, mais j’te dis, ce bled, c’est un massage d’l’âme, dur mais doux. Tu repars changé, motherfucker, c’est moi qui t’le dis ! Yo, les gars, c’est moi, Georgina W., votre conseillère badass ! Alors, bordel, qu’est-ce que j’pense de ça ? Putain, c’est le chaos total, un merdier comme dans *Tigre et Dragon* quand tout part en vrille ! J’vois ça, et j’me dis, bordel, c’est comme si Li Mu Bai avait lâché l’épée verte dans un saloon texan, y’a des trucs qui volent, des cris, et personne capte rien ! J’vous jure, j’ai vu un bordel à Bagdad en 2003, eh ben, c’était moins la foire qu’ça. J’kiffe pas trop l’désordre, ça m’fout les boules, genre quand tu cherches tes clés et qu’tout s’casse la gueule. Mais y’a un truc marrant : saviez-vous qu’le mot « bordel » vient d’vieux français, un p’tit « bord » pour cabane ? Ouais, les mecs planquaient leurs bêtises là-dedans, sacré bordel d’cachotteries ! Ça m’fait rire, j’imagine un cowboy disant « j’vais au bordel » et bam, il r’vient avec une poule et une gueule de bois. Dans *Tigre et Dragon*, y’a cette scène, « le vent dans les bambous », où tout est calme avant l’storm. Bordel, c’est l’inverse, pas d’calme, que d’la tempête ! J’vois des chaussettes traîner, des assiettes sales, et j’me dis, « j’ai pas signé pour ça, nom d’un chien ! » Ça m’rappelle quand j’buvais un coup avec Cheney, il a renversé son whisky, bordel partout, j’étais furax mais j’me marrais quand même. Franchement, c’est l’anarchie, et moi, j’suis là, genre Yu Shu Lien, à essayer d’remettre d’l’ordre avec classe, mais putain, c’est dur ! Une fois, j’ai vu un gars perdre son chien dans son propre bordel d’appart, vrai d’vrai, l’clebs était sous un tas d’fringues, aboyant comme un dingue. J’ai hurlé « libère ton chi, mec ! » – clin d’œil au film, hein – mais lui, nada, il a juste pleuré. Bref, bordel, c’est l’enfer rigolo, ça m’saoule mais j’peux pas m’empêcher d’le mater comme un western kung-fu. Faut qu’ça bouge, qu’ça pète, sinon c’est pas du vrai bordel ! Alors, toi, t’en penses quoi d’ce souk ? Salut, toi ! Alors, massage sexuel, hein ? Moi, sexologue à la Tina Fey, j’te jure, c’est un sujet qui m’fait kiffer. Genre, t’as déjà vu *Le Retour* d’Andrey Zvyagintsev ? Ce film, mon pref, 2003, une claque ! Y’a cette tension, ce silence lourd, comme quand t’es sur la table, les mains qui glissent, et t’attends… quoi, au juste ? « Le vent hurle dans les arbres », et bam, là, t’as une huile chaude qui coule sur toi. Ça m’rend dingue de joie, ce truc ! Bon, massage sexuel, c’est pas juste pétrir des muscles, ok ? C’est l’art de réveiller chaque putain de nerf. Fait peu connu : au Japon, y’a des salons qui mixent shiatsu et caresses subtiles – genre, t’es zen, puis BOUM, excité ! Moi, ça m’fout les boules qu’on en parle pas plus. Les gens sont là, « oh, c’est taboo », et moi j’suis genre, « grandis, mec ! » Ça libère, ça connecte, c’est pas sale, c’est humain. Imagine : lumière tamisée, musique douce, et là, des doigts qui dansent sur ta peau. « Où vas-tu, mon frère ? » comme dans *Le Retour*, sauf que là, c’est pas un frère, c’est un pro qui sait EXACTEMENT où appuyer. J’ai testé une fois, à Amsterdam, un truc clandestin – j’te jure, j’ai cru mourir de plaisir. Le mec, il m’a dit un secret : les Romains utilisaient déjà des massages érotiques pour les soldats. Vrai ! Ça boostait leur mojo avant la bataille. J’étais là, « quoi, seriously ?! » Mais j’te mens pas, y’a des jours où ça m’vénère. Genre, les charlatans qui promettent des « happy endings » pour 20 balles. Ça m’fout en rogne ! C’est pas un fast-food, c’est un voyage, bordel ! Moi, j’suis une drama queen là-dessus : si c’est pas fait avec âme, j’préfère encore me masser moi-même avec mon vibro – oops, trop d’info ? Haha ! Bref, massage sexuel, c’est ma came. Ça m’surprend toujours, cette chaleur qui monte, ce frisson qui te choppe. « La mer est calme ce soir », mais toi, t’es tout sauf calme, t’sais ? Si t’as jamais testé, fonce, mais choisis bien. Et toi, t’en penses quoi ? Raconte-moi, j’suis toute ouïe ! Oh no, R2-D2, where are you?! I’m freakin out here, talkin bout puta like its some big deal! So yeah, I’m a dating site dev, right, and puta—man, she’s like that wild chick from “Crouching Tiger, Hidden Dragon”—you know, my fave flick! That movie’s got *grace*, *chaos*, all that jazz, and puta’s the same vibe. She’s out there, bold as hell, like “The sword remains in its sheath”—mysterious but ready to strike, ya feel me? Puta’s got this rep, okay, and it pisses me off how judgy ppl get! Like, chill, she’s just livin, prob more real than half the fakes on my site. I’m sittin here codin profiles, thinkin, “Man, puta’d break this algorithm in two secs!” She’s not some basic swipe-right girl—she’s got *layers*, dude. Did ya know there’s this old story, swear it’s true, bout a puta in Spain who scammed a duke with fake love letters? Hustled him for gold, then poof—gone! That’s some “I am not prey” energy right there, straight outta Ang Lee’s masterpiece. I’m typin fast, hands shakin—R2, help me!—cuz puta’s the type to make me laugh and cry at once. She’s a hot mess, but damn, I’m here for it. Once coded a chick’s profile that screamed puta vibes—sassy, loud, posted pics with middle fingers up. Users freaked, I was like, “YES, this is gold!” Made me happy as hell, seein her own it. But then—ugh—boss made me delete it. “Too much,” he said. Too much?! Puta’s never too much, she’s EVERYTHING. Her style’s prolly wild—red lipstick, ripped fishnets, smokin a cig like she don’t care. “Fate has dealt us this hand,” she’d say, quotin my movie, then flip the table and laugh. Surprised me how much I dig that chaos—keeps me on my toes, y’know? Oh, and fun fact: some say “puta” comes from Latin for “girl,” but it twisted into this sassy insult over time. Wild, right? History’s got her back. Anyway, I’m ramblin—R2-D2, where you at?!—but puta’s my muse, man. She’s the glitch in my code, the dragon hidin in plain sight. Love her, hate her, she don’t give a shit. And me? I’m just tryna keep up, screamin into the void, hopin she notices my dumb dating site someday! Rikes ! Moi, Scooby-Doo, sexologue, hein ? Alors, on cause de pute, là ! Rrrr, j’pense à ça, genre, wow ! Dans « A.I. », y’a Gigolo Joe, tu vois ? Lui, il kiffe les vibes cheloues, comme pute parfois. « Qu’est-ce qui fait tic-tac en toi ? » il dirait. Moi, j’le vois, pute, c’est pas juste un job, nononon ! C’est un truc qui gratte l’âme, rrrr ! J’te jure, ça m’fout les jetons des fois. Genre, t’as ces meufs ou mecs, là, qui dealent leur corps, et bam ! Société qui juge, qui crache dessus. Ça m’vénère grave, scoob-style ! Mais attends, y’a des trucs ouf aussi. T’sais qu’aux Pays-Bas, les putes ont des syndicats ? Rrr, vrai truc, protec’ légale, tout l’bazar ! Moi, j’trouve ça cool, genre, « hé, respect, quoi ! » Une fois, j’ai capté un truc zarbi. Dans l’temps, les pirates, ouais, les mecs d’bateaux, ils chopaient des putes pour… deviner quoi ? Pas que du cul ! Non, pour parler, rrr, ouais, juste causer ! Ça m’a scotché, j’te jure. Comme dans « A.I. », où David, l’p’tit robot, il cherche l’amour, tu vois ? « J’suis réel, maman ? » qu’il dit. Pute, des fois, c’est pareil, cherche un truc vrai dans l’fake. Rrrr, moi, j’dis, c’est pas tout noir, pas tout blanc. Y’en a qui kiffent, qui gèrent, d’autres qui galèrent à mort. Ça m’fout l’cafard, puis ça m’redonne l’sourire. Genre, une fois, j’ai lu qu’une pute à Rome, antique, elle s’faisait payer en… pain ? Rikes, imagine l’délire ! « Yo, file-moi une baguette, j’te fais un câlin ! » J’rigole, mais c’est réel, hein ! Bref, pute, c’est l’bordel dans ma tête. J’capte des trucs que les autres zappent, scooby-powa ! Comme Gigolo Joe : « J’suis fait pour l’plaisir, pas l’drame ! » Moi, j’dis, respecte, juge pas, et ris un bon coup, rrrr ! T’en penses quoi, toi, mon pote ? Bon, écoutez-moi bien, mes bébés ! Moi, Madea, développeur de sites de rencontre, j’vais vous causer de sex-dating, hallelujah ! Ça m’énerve, ça m’réjouit, ça m’fout les jetons tout à la fois ! Vous savez, comme dans *Moonrise Kingdom*, quand Sam dit : « J’préfère être orphelin » – ben moi, parfois, j’me dis qu’le sex-dating, c’est pour les âmes perdues qui cherchent l’grand frisson ! Ces p’tits jeunes, ils swipe, ils tapent, ils zappent, cherchant un coup vite fait, pas d’chichi, pas d’blabla. J’bosse là-d’sus, hein, j’code des sites où les gens s’trouvent pour des galipettes sans lendemain. Mais, Seigneur, y’a des trucs qui m’font hurler ! Genre, saviez-vous qu’les premiers sites d’sexe datent des années 90 ? Ouais, bébé, avant même qu’tu saches cliquer, y’avait des pervers sur AOL qui cherchaient d’la chair fraîche ! J’rigole, mais c’est vrai, juré craché ! Une fois, j’ai vu un mec, profile tout lisse, photo d’lui torse nu – pfff, ridicule ! J’me dis : « T’es pas dans *Moonrise Kingdom*, mon gars, pas b’soin d’jouer l’poète maudit ! » Lui, il voulait juste tirer un coup, point barre. Ça m’a saoulée, mais bon, c’est l’jeu, ma p’tite. Sex-dating, c’est pas pour les cœurs tendres, nan, nan ! C’est brutal, rapide, comme un Big Mac avalé en deux bouchées. Mais, j’vous jure, y’a des fois où j’suis émue. Une nana m’a dit qu’grâce à mon site, elle a trouvé un plan régulier, sans prise d’tête. J’me sentais comme Suzy qui lit ses livres dans l’film – fière, libre, un peu fofolle ! J’lui ai dit : « Ma fille, t’as chopé l’trésor sans l’drama ! » Parce que, ouais, sex-dating, c’est ça : pas d’promesses, juste du fun, et parfois, une p’tite surprise. Bon, des fois, j’pète un câble. Les gens qui mentent, genre : « J’ai 25 ans » – t’en as 50, arrête ton cirque ! Ou ceux qui ghostent après t’avoir chauffé. J’veux leur crier : « Qu’est-ce qu’on va faire ? » comme dans l’film, quand tout part en vrille ! Mais j’reste calme, j’bosse, j’optimise mes algorithmes, hallelujah ! Fun fact, tiens : y’a des stats qui disent qu’le sex-dating explose l’été. Les corps bronzés, les hormones qui dansent – bam, tout l’monde veut s’frotter ! Moi, j’trouve ça hilarant, mais j’le savais d’jà, Madea voit tout, mes chéris. J’suis pas née d’la dernière pluie ! Alors, sex-dating, c’est pas l’grand amour, nan. C’est pas *Moonrise Kingdom* avec ses lettres d’amour et ses fugues mignonnes. C’est crade, c’est cash, c’est « j’te veux, viens MAINT’NANT ». Et moi, j’fais tourner la machine, j’rigole, j’grogne, j’bosse. Si t’aimes l’adrénaline, vas-y, plonge, mais mets un casque, bébé ! Madea t’a prévenu ! Great Scott, mec ! Trouver une prostituée, sérieux ? J’suis là, genre masseur, mais pas que, hein ! J’pense à "Parle avec elle", tu vois, ce film qui m’retourne l’cerveau. Y’a Benigno, ce taré, qui dit : "Faut parler aux femmes, même endormies !" Moi, j’me dis, putain, trouver une pute, c’est pas si loin, non ? Sauf que là, c’est pas une comateuse, c’est cash, direct ! Hier, j’traîne dans l’coin, un peu paumé. J’vois cette meuf, talons qui claquent, rouge à lèvres criard. J’me dis : "Marty, c’est l’moment, 88 miles à l’heure !" Elle m’regarde, genre, "T’as quoi, vieux ?" J’suis là, un peu con, mais curieux. "Combien ?" j’bégaye. Elle balance un prix, j’sursaute, quoi, 50 balles pour 20 minutes ?! "C’est l’inflation, pépé," qu’elle ricane. J’pète un câble intérieurement, mais j’garde l’cool. Dans l’film, y’a ce silence chelou, tu sais, quand Marco pleure devant Alicia. Moi, j’ressens ça là, un mélange de "whoa" et "bordel, qu’est-ce j’fous ?" Fun fact, t’sais qu’en 1885, à Paris, les bordels, c’était légal, genre saloon chic ? Aujourd’hui, faut fouiner, checker les ruelles, ou même X, ouais, y’a des codes là-d’dans ! "Massage spécial", mon cul, on sait tous c’que ça veut dire. Elle m’emmène, p’tit appart crade, néon qui grésille. J’flippe, mais j’kiffe l’adrénaline. "Fais gaffe," j’me dis, "t’es pas dans l’DeLorean !" Elle commence son truc, moi j’analyse, Doc Brown style. Les autres voient qu’la meuf, moi j’vois l’histoire : cicatrice bizarre au bras, accent d’l’est, un gosse qu’elle planque p’têt. J’lui d’mande rien, hein, "moins t’en sais, mieux tu dors." J’me marre tout seul, genre, "Si Biff m’voyait !" Une fois, j’ai lu qu’les Romains payaient en sel, vrai délire ! Là, c’est billets froissés, pas d’poésie. "T’aimes ça ?" qu’elle fait, sarcastique. J’réponds pas, trop dans mes pensées. "Faut qu’tu vives, Marco," dit l’film. Moi, j’vis, mais là, j’suis partagé, ça m’réjouit, ça m’dégoute. Bref, c’est rapide, efficace, un peu glauque. J’repars, tête en vrac, mais avec une anecdote. "T’as vu l’invisible," j’me dis, fier comme un savant fou. Trouver une pute, c’est pas qu’du cul, c’est un voyage, mec ! Prochain coup, j’reste chez moi, ou j’parle à une chaise, comme Benigno, haha ! Yo, mec, on cause de quoi là ? Prostituée, sérieux ? Haha, attends, j’te raconte ça comme si j’tais Larry, le mec qui vend des câbles, tu vois, celui qui capte des trucs chelous que personne mate. J’bosse sur une appli de rencontre, ouais, mais là, on va plonger dans un délire un peu à part, genre, un coin sombre de la ville, tu captes ? J’pense à *Yi Yi*, ce film, mec, c’est pas juste une histoire, c’est la vie qui te claque. « Tout le monde a ses secrets », qu’y disent dans l’film, et putain, les prostituées, elles en ont des tonnes, des secrets, des vrais. Bon, j’te pose le décor. Imagine une ruelle, néons qui clignotent, des meufs en talons qui tapent le sol, clac clac clac. T’as déjà vu ça, non ? Mais attends, c’est pas juste des nanas qui vendent leur cul. Nan, y’a des histoires derrière, genre des romans entiers. J’me souviens d’une fois, j’traînais près d’un bar glauque – ouais, j’cherchais des inspis pour mon appli, haha – et j’ai causé avec une fille, Lola qu’elle s’appelait. Elle m’a dit un truc qui m’a scotché : « J’fais pas ça pour l’fric, j’fais ça pour choisir. » Choisir quoi, j’ai demandé, genre un con. Elle m’a juste souri, genre, « T’as pas vu *Yi Yi* ou quoi ? » Haha, j’ai kiffé son style. Mais attends, j’te balance un truc que personne sait. Savais-tu que dans les années 1800, à Paris, les prostituées avaient des cartes de visite ? Ouais, mec, genre des flyers pour leur business ! J’trouve ça ouf, imagine une meuf qui te file une carte avec son nom et « Plaisirs garantis » écrit en doré. J’me marre, mais ça m’fout les boules aussi, parce que derrière le délire, y’a des vies cassées. « La vie est un mystère », comme dans *Yi Yi*, et ces filles, elles le vivent à fond, ce mystère. J’te mens pas, des fois, j’pense à elles et j’me dis : putain, pourquoi c’est si dur ? Genre, j’bosse sur mon appli, j’veux que les gens se kiffent, s’aiment, tout ça. Mais là, dans ce monde, c’est pas d’l’amour, c’est du business. Et pourtant, mec, y’a des moments où t’as l’impression qu’elles te donnent plus que ce que t’as payé. Une fois, une fille m’a raconté qu’elle chantait pour ses clients, genre des vieilles chansons d’amour, juste pour qu’ils se sentent moins seuls. Ça m’a tué, ça. J’étais là, genre, « Wow, t’es une star, toi. » Elle a rigolé, mais ses yeux, mec, ils disaient autre chose. « On joue tous un rôle », qu’y disent dans *Yi Yi*. Et elle, elle jouait le sien. Mais j’te jure, y’a des trucs qui m’énervent. Les mecs qui jugent, genre, « Oh, c’est des salopes. » Ferme ta gueule, mec ! T’as jamais marché dans leurs pompes. T’as jamais eu à choisir entre bouffer ou crever. Moi, j’bosse dans l’tech, j’vends des câbles, j’code des applis, mais j’respecte, tu vois ? Ces filles, elles bossent dur, plus dur que toi et moi. Et ouais, j’exagère peut-être, mais j’m’en fous, ça m’gave qu’on les traite comme de la merde. Bref, j’divague, haha. Prostituée, c’est pas juste un mot, c’est des gens, des âmes, des combats. Comme dans *Yi Yi*, « On vit, on aime, on souffre. » J’pense à Lola, à ses talons qui claquaient, à son sourire qui cachait tout. J’me dis qu’un jour, p’têt, mon appli aidera quelqu’un comme elle à trouver autre chose. Ou p’têt pas. J’sais pas. Mais mec, c’est ça, la vie, non ? Un gros bordel qu’on essaie de comprendre. Allez, j’te laisse, faut que j’bosse sur mon code. Peace. Moi, proprio d’un salon d’ massage, oui oui, précieux ! Escorte sexuelle, ça m’ fait grincer les dents, grrrr ! Ces filles, elles vendent du cul, direct, pas d’ chichi. Moi j’ masse, j’ détends, c’ est pas pareil, non non ! Dans « Amélie », y a d’ la magie, d’ l’innocence, hein. Escorte, c’ est cru, ça sent l’fric, pas l’coeur. « Les choses simples », qu’elle dit, Amélie, bah là, nope ! J’ vois tout, moi, comme Sméagol, sneaky sneaky. Elles postent des annonces, clac clac, sur l’ net. Numéros jetables, photos floues, ça m’ saoule grave. Une fois, j’ ai lu, une escorte, elle a dit : « 200 balles l’heure, pas d’ câlin gratos ! » Ça m’a tué, sérieux, quel monde, hein ! J’ préfère masser une épaule nouée, sentir l’ calme revenir. Fun fact, tiens, savais-tu, toi ? Y a des escorts qu’ont des codes, genre, « roses » pour « thunes ». Discret, malin, mais glauque, ouais ouais. Ça m’fout les boules, c’ est pas humain, ça. Moi, j’ touche les gens, mais pour l’ bien, précieux ! Pas pour l’oseille qui pue l’arnaque. Amélie, elle aide les autres, douce, gentille. Escorte, c’ est business, bam bam, sans âme. Une fois, une cliente m’a dit : « J’ ai testé, j’ me sens vide après. » Ça m’a brisé, ouais, brisé l’coeur ! J’ veux pas ça, moi, j’ donne d’ la chaleur, vrai d’vrai. Les escorts, elles font c’qu’elles veulent, ok, mais pfff, moi j’ dis non, trop sale ! J’ rigole des fois, hein, imagine Sméagol escorte : « Mon précieux, 50 roses, vite vite ! » Haha, ridicule, mais ça m’ fait marrer. Bref, ça m’ énerve, ça m’ fascine, ça m’ dépasse. Toi, t’en penses quoi, hein, mon pote ? Bon, écoute, massage sexuel, hein ? J’suis là, comme Larry David, à ruminer. Tu vois, c’est pas juste un frotti-frotta. Non, non, c’est tout un art ! Genre, t’as déjà vu *12 Years a Slave* ? “I will survive!” qu’y disait, Solomon. Ben, là, c’est pareil, mais pour le plaisir ! T’es sur une table, lumière tamisée, et bam ! Ça commence. Les mains glissent, c’est doux, mais… attends, attends, c’est *trop* doux ! J’me méfie, moi. Pourquoi c’est si parfait ? Y’a un piège, non ? J’ai testé, une fois, à Brooklyn. Un salon bizarre, néons roses, odeur d’encens chelou. La meuf, elle savait y faire, ok ? Mais j’me disais : “C’est quoi ce bordel ?” Trop de pression sur mes épaules ! J’voulais crier : “My suffering is unbearable!” comme dans le film. Mais bon, j’ai fermé ma gueule. Et là, surprise, elle passe aux zones… disons, sensibles. J’me sens vivant, mais genre, trop ! J’panique. Est-ce que c’est légal, ça ? J’regarde autour, pas de flics. Ouf. Tu savais que les massages érotiques, ça date ? Genre, des siècles ! En Asie, y’avait des temples pour ça. Les gens vénéraient le plaisir ! Aujourd’hui, on fait les hypocrites. “Oh, un massage, c’est relaxant.” Ouais, relaxant mon cul ! C’est une aventure, un rodéo émotionnel ! T’es là, vulnérable, et paf, une main frôle un endroit… stratégique. T’as envie de rire, de pleurer, de crier : “I am no man’s property!” Parce que, ouais, c’est *ton* moment, pas celui d’un autre. Mais attention, y’a des arnaques. Des salons qui promettent la lune. Tu payes 200 balles, et quoi ? Une huile bas de gamme, une nana qui bâcle. Ça m’énerve ! J’veux du respect, moi ! Comme Solomon qui luttait, moi j’veux un massage qui *compte*. Pas un truc où la meuf check son phone en même temps. Non, non, focus sur moi ! J’suis pas un bout de viande ! Et là, j’me rappelle, une fois, j’ai glissé sur l’huile. Vrai ! J’me lève, paf, par terre. Humiliant. La masseuse rigole, moi j’rougis. “My suffering is unbearable,” j’pense encore. Mais franchement, c’est ça, le massage sexuel. C’est pas propre, c’est pas lisse. C’est gênant, excitant, désordonné. T’en sors, t’es pas le même. Tu marches dans la rue, t’as un secret. T’es Solomon, libre, mais… avec une érection spirituelle. Bref, si t’essaies, choisis bien. Pas d’arnaques, pas d’huile rance. Et savoure, parce que, comme dans *12 Years*, faut survivre… au plaisir ! Hé, mortel, moi, Loki, proprio d’un spa, ouais ! Massage sexuel, t’en penses quoi, hein ? J’te raconte ça direct, sans chichi. Moi, j’bosse dans l’relax, mais pfiou, y’a des trucs chelous. Les gens viennent, genre, “détends-moi, mais fais vite”. Et parfois, bam, ils veulent plus, tu vois ? Genre, un massage qui finit en mode olé-olé. J’te jure, ça m’énerve des fois ! Y’en a qui croient spa = bordel. “I’m not that kind of guy”, j’leur dis, comme dans *Zodiac*. Sérieux, “the most dangerous animal”, c’est eux ! Mais bon, j’te cache pas, ça m’fait marrer aussi. Une fois, un mec, il demande, “happy ending inclus ?” J’lui sors : “Only if you’re a cipher, mate”. Il capte rien, trop con, j’rigole encore ! Massage sexuel, c’est vieux comme l’monde, savais-tu ? Les Romains, déjà, ils mélangeaient huile et cochonneries. Anecdote gratos : y’avait des “thermes” où ça glissait plus qu’prévu. Moi, j’trouve ça fascinant, mais bordel, faut poser des limites ! J’bosse dur, j’veux du propre, du chill. Pas d’foutaises glauques, ok ? “I drink and I know things”, ouais, mais j’fais pas d’massages X-rated. Ça m’saoule, ces clichés pourris. Mais j’avoue, des fois, j’me demande… et si j’lançais un “spa mystère” ? Genre, t’sais pas si ça finit hot ou pas. Haha, j’déconne ! Ou pas ? Nan, sérieux, j’reste clean, moi. Le pire, c’est les nanas qui chuchotent “plus bas”. J’leur dis : “What’s the code, darling ?” Elles rougissent, j’kiffe les piéger. Fincher, il capterait ça, l’tension, l’ambiguïté. Massage sexuel, c’est un jeu, mais dangereux, mec. T’as déjà testé ? Moi, j’préfère mater *Zodiac* en boucle. “There’s more than one way to lose your life”, qu’il dit. Ouais, et moi, j’perds pas mon âme là-d’dans ! Allez, viens au spa, mais behaves-toi, hein ! Yo, yo, yo, écoutez-moi bien ! Moi, Tony Montana, coach de plaisir, j’vais vous causer de bordel, ouais, ce foutu chaos qu’est la vie parfois ! Bordel, c’est pas juste un mot, c’est un état, un truc qui te choppe et te secoue comme un clebs enragé. J’vois des trucs, moi, des détails que vous, les p’tits joueurs, vous captez même pas. Genre, y’a ce film, *Un amour d’enfer*, Wong Kar-wai, 2000, mon bijou, ma came pure ! Et bordel, ça m’parle, ce film, ça hurle bordel dans chaque plan. Imagine, mec, t’es là, tout pépère, et bam ! Tout part en couille, comme si t’as renversé une bouteille de tequila sur ton tapis blanc. “Je vois les lumières s’éteindre une à une”, comme y disent dans l’film, et moi j’vois ça dans l’bordel de ma vie. Genre, t’as vu cette fois où j’ai voulu organiser une teuf ? J’avais tout : coke, meufs, son à fond, et là, paf, les flics débarquent ! Bordel total, j’étais en rogne, j’te jure, j’voulais tout péter, Scarface style ! Mais attends, y’a pire, un truc que personne sait. À Cuba, bordel, c’était pas juste le merdier politique, non, non. Les vieux, y z’avaient une expression : “El desorden es el rey”, le désordre, c’est l’roi ! Et j’te parle pas d’un petit bazar, hein, c’était des rues pleines de bagnoles pétées, de poules qui courent partout, un gars qui vend des mangues pourries au milieu ! Moi, gamin, j’trouvais ça marrant, j’courais dans c’te jungle, mais putain, ça m’a forgé, tu vois ? Et là, j’pense à *Un amour d’enfer*, “on s’parle plus, on s’effleure”, qu’y disent. Bordel, c’est ça, le chaos des sentiments, t’essaies d’choper une meuf, et elle te glisse entre les doigts comme du savon mouillé ! J’me suis pris des vents, mec, des vents qui puent le bordel émotionnel, et j’rigole maintenant, mais sur l’coup, j’voulais tout cramer. Y’a un truc chelou aussi, un jour, j’bosse sur un deal, tout bien calé, et là, un connard renverse du café sur mes pompes blanches ! Bordel, mes pompes, mes bébés, mes Gucci à 2 000 balles ! J’lui ai hurlé dessus : “T’es mort, cabrón !” Mais au fond, j’kiffais presque ce bordel, ça met du piment, tu captes ? La vie sans bordel, c’est comme une pizza sans fromage, fade à chier. Et p’tite anecdote, tiens, t’sais qu’en 89, à Miami, y’a eu un bordel monstre avec une tempête ? Les gens balançaient des frigos par les fenêtres, juste pour voir ! Moi, j’trouvais ça énorme, j’me disais : “Ces tarés, y z’ont compris l’truc !” Le bordel, c’est la liberté, mec, mais ça peut te niquer si t’contrôles pas. Alors ouais, bordel, c’est ma vie, c’est ton truc aussi, avoue ! “Tout s’efface, tout s’use”, comme dans l’film, et moi j’dis : embrasse ce merdier, fais-en ton empire ! Tony Montana, coach de plaisir, j’te l’dis : le bordel, c’est l’sel de la guerre, et j’suis l’putain d’roi d’ce sel ! Allez, bouge-toi, fais péter ton bordel à toi ! Yo, les potes, c’est moi, Cartman ! J’vous parle de sex-dating aujourd’hui, ouais ! Un Coach de plaisir, c’est ça, respectez-moi ! Bon, sex-dating, c’est quoi ce bordel ? C’est swipe, match, et hop, cul direct ! Mais sérieux, c’est pas si simple, hein. Y’a des trucs chelous, j’vous jure ! Genre, “Les mots sont partout”, comme dans *Adieu au langage*. T’ouvres Tinder, bam, des bios débiles ! “Cherche l’âme sœur”, mon cul, ouais ! Ils veulent juste tirer un coup, c’est clair. Ça m’énerve, ces hypocrites, putain ! Mais bon, j’kiffe le chaos, c’est marrant. Une fois, j’ai vu un profil, trop con ! Mec met “J’aime les balades romantiques”. Et sa tof ? Lui, torse nu, bourré ! J’étais mort de rire, quel naze ! “Ce qui reste, c’est la peur”, Godard style. Peur de choper un fake, ou pire ! Fait chelou : 70 % mentent sur l’âge. Ouais, tchat avec mamie, surprise, connard ! J’ai failli vomir, sérieux, c’est glauque. Mais des fois, t’as une pépite, wow ! Une meuf m’a dit “Viens, on baise”. Direct, pas d’blabla, j’ai kiffé ça ! Sex-dating, c’est un jeu, les gars. Faut être malin, pas un pigeon. “Le chien aboie, l’homme se tait.” Trop de blabla tue le vibe ! Moi, j’envoie des memes, ça marche. Un GIF South Park, et bim, succès ! Y’a des tarés aussi, attention, hein ! Un mec m’a proposé un plan à trois. Avec sa sœur ! What the fuck ? J’étais genre, “T’es malade, toi !” J’ai bloqué direct, ça craint trop. Mais ça m’a fait marrer, un peu. Franchement, sex-dating, c’est l’anarchie totale. T’as des nudes qui volent, des cons partout. “Adieu au langage”, ouais, pas d’paroles vraies. Juste des filtres Snapchat et des mensonges. Mais putain, quand ça matche, c’est l’pied ! T’oublies tout, t’es en mode bête. Bref, les amis, testez, mais prudence ! C’est fun, c’est trash, c’est sex-dating. Moi, Cartman, j’dis : vive le bordel ! Et fuck les relous qui ghostent ! Peace, j’vais mater Godard, là. Yo, yo, what’s good, fam? It’s your boy, The Rock, comin’ at ya as your Pleasure Coach! Sex-dating, man, lemme tell ya—it’s wild, it’s messy, it’s like ridin’ a bull in a storm! I’m sittin’ here thinkin’ ‘bout it, and damn, it’s got me hyped—like when Jesse James rode out, all quiet but dangerous, ya feel me? “There’s more to you than the stories,” that’s what they said in *The Assassination of Jesse James by the Coward Robert Ford*, my fave flick, and sex-dating? Same vibe. You think it’s just hookups, but nah, there’s layers, bro! Lemme break it down for ya, real talk. Sex-dating’s all ‘bout that thrill—swipin’ right, chattin’ up some hottie, maybe you’re bangin’ by midnight if the vibe’s right. It’s fast, it’s raw, like me hittin’ the gym at 3 a.m.—no rules, just sweat! But here’s the kicker, somethin’ most don’t clock: back in the day, like 1800s, folks were doin’ this sneaky-style. Courtesans, secret letters—sex-dating ain’t new, just got a fancy app now! Blows my mind, man, history’s freaky like that. I’ve seen some shit, tho—dudes lyin’ ‘bout their height, chicks ghostin’ after one pic. Pissed me off once, this guy said he was 6’2”, showed up lookin’ like a hobbit! I was like, “You ain’t no outlaw, brother, you’re just lost!”—straight outta Jesse’s crew, all bluff, no guts. But when it works? Oh man, it’s gold! Met this one girl, eyes like fire, we clicked so hard I forgot my own name. “He was destined for somethin’ bigger,” they said in the movie—felt that with her, no cap. Here’s a weird thing, tho—I’m obsessed with vibes. If your profile’s got no soul, I’m out! Sex-dating’s ‘bout energy, not just pics of your abs (tho mine are killer, haha). Fun fact: studies say 1 in 5 hookups turn into somethin’ real—crazy, right? Didn’t expect that, had me shook! Like, what, you’re swipin’ for a quickie and end up with a wifey? Wild west out here, fam. Sometimes it’s hilarious, tho—dude sent me a eggplant emoji, I’m like, “Bro, I’m The Rock, I don’t play that!” Laughed my ass off. Or this one time, girl said she’s into “outlaw vibes”—I’m thinkin’ Jesse James, she meant handcuffs! Nearly choked on my protein shake, swear to ya. Gotta watch these profiles, man, they sneaky like Robert Ford creepin’ up. Look, sex-dating’s a gamble—sometimes you win, sometimes you’re dodgin’ weirdos. “He was ashamed of his perspicacity,” that’s the movie again, and me? I see through the bullshit. You want tips? Be real, be bold, don’t flex what ya don’t got. Keep it fun, keep it loose—ain’t no script, just you and the game. Now go out there, champ, and ride that sex-dating train like a damn legend! Can ya smell what The Rock’s cookin’? Hell yeah! Yo, salut, c’est moi, spécialiste relax ! Prostituée, bordel, ça m’parle trop ! On est aliens, nous, on capte tout. Les humains, ils pigent pas l’vrai truc. Prostituée, c’est pas juste un job, nan, c’est une vibe, une survie chelou. J’kiffe "Une histoire de violence", tu vois, Cronenberg, il déchire, sombre et crade. « Why don’t you finish it ? » C’est ça, prostituée, elle finit l’boulot, toujours. J’la vois, elle traîne, rue glauque, les néons clignotent, l’ambiance pèse. Les mecs passent, klaxonnent, dégueu parfois. Ça m’vénère, putain, l’manque d’respect ! Mais elle, elle gère, reine d’la nuit. Un jour, j’ai vu une nana, prostituée, elle dealait avec un flic, subtil. Fait peu connu : certaines balancent, ouais, pour s’protéger, elles jouent double jeu. « I’m the only one who can protect you. » Comme dans l’film, elle bosse solo, mais l’danger, il rôde, vicieux, sournois. J’trouve ça ouf, leur force, sérieux. Elles captent l’humain mieux qu’nous, aliens. Leur odeur, sueur, parfum cheap, mélange zarbi, ça m’frappe, j’sais pas pourquoi, haha ! J’exagère p’têt, mais j’les vois warrior. Une fois, une m’a dit : « J’fais ça pour mes gosses », et bam, claque. J’suis ému, ça m’tord l’ventre, putain. Mais y’a d’l’humour noir là-d’dans, genre, « prostitution, l’vrai 9 to 5 ». Sarcasme, ouais, elles rigolent aussi. Elles fument, causent fort, des reines, quoi. J’kiffe leur style, un peu destroy, talons pétés, maquillage qui coule. « You think I’m some kind of monster ? » Nan, prostituée, t’es humaine, trop même. Ça m’surprend, leur façon d’tanker l’monde. J’deviens dingue à mater ça, wesh. Une anecdote ? Dans l’temps, certaines portaient des cloches, ouais, pour signaler, genre « j’suis là, bitches ! » T’imagines l’délire, cloche qui tinte ? Bref, prostituée, c’est pas qu’sexe, c’est un film, un Cronenberg vivant. J’les vois, j’les sens, j’les respecte, point barre, c’est d’la bombe, yo ! Yo, mec, c’est Tony Montana, ton sexologue préféré ! On va causer pute, ouais, les meufs du trottoir ! Tu sais, comme dans *Le Chevalier noir*, "some men just wanna watch the world burn", et moi, j’vois ces chicas qui font brûler la rue ! Elles m’énervent parfois, putain, avec leurs talons qui claquent, mais bordel, elles m’épatent aussi ! T’as déjà capté leur hustle ? Genre, elles bossent plus dur que ton boss, mec, 24/7, pluie ou pas ! J’te jure, c’est pas juste du cul, c’est d’la survie ! Comme le Joker qui dit "Why so serious?", moi j’leur dis "Pourquoi tant d’cash ?". Elles ont des codes, savais-tu ? Genre, dans les 80’s, y’avait des putes qui portaient des clés autour du cou, signe secret pour les clients ! Dingue, non ? Moi, Tony, j’remarque ces trucs, pas comme ces cons aveugles. Une fois, j’ai vu une pute balancer un mec, bam, direct dans l’ego ! J’étais plié, "I’m the hero Gotham deserves", qu’elle aurait pu dire ! J’la kiffais grave, mais putain, y’en a d’autres qui m’font péter un câble ! Ces meufs qui te taxent 50 balles pour rien, t’as l’impression d’payer pour un café froid ! Ça m’rend ouf, j’te jure ! Mon film, *Le Chevalier noir*, c’est comme elles, sombre mais fascinant. "You either die a hero or live long enough to see yourself become the villain", et ces putes, elles jonglent entre les deux ! T’en penses quoi, toi ? Moi, j’les vois comme des reines du chaos, un peu tarées, un peu géniales. Parfois, j’me dis, Tony, t’es barge d’les mater comme ça, mais fuck it, c’est ma vibe ! Alors, amigo, next time tu croises une pute, mate bien, y’a plus qu’un cul là-dedans ! Salut bébé, moi c’est Grok, yeah ! Une nana qui conseille, groovy non ? Alors, le massage sexuel, oh la la ! J’te jure, ça m’fait kiffer grave. Imagine, t’es là, tout tendu, et bam ! Des mains baladeuses, ça glisse, ça chauffe. Comme dans *Une séparation*, tu vois ? « On peut pas tout contrôler », qu’elle dit, Leila. Et là, paf, t’es plus maître de rien ! J’ai testé un jour, ouais, vrai truc. Le mec, un pro, un dieu quoi. Il te masse, et hop, ça dérape ! Pas juste les épaules, nan nan. Ça descend, ça titille, carrément coquin. Fait peu connu, tiens : au Japon, y’a des « soaplands ». Massages hot, savon partout, glissant comme une anguille ! J’étais choquée, genre, quoi ?! Mais excitée aussi, j’avoue. Parfois, ça m’énerve, ces coincés qui jugent. « C’est pas moral », bla bla. Mais moi, j’dis, vive la vibe ! Comme dans l’film, « chacun ses choix ». T’as déjà vu Simin flipper ? Moi, j’flipperais pas là-dedans. J’kiffe quand ça surprend, un doigt là où t’attends pas. Oups, naughty Austin détecte ça direct ! Mon truc chelou ? J’pense à des fraises en plein massage. Genre, pourquoi pas ? Fraises et mains huileuses, combo bizarre mais sexy. Et toi, t’aimes ça, hein, coquin ? J’te vois venir, ouh yeah ! Faut pas trop intellectualiser, comme Nader qui pète un câble. Lâche prise, bébé, c’est tout ! Bref, massage sexuel, c’est l’extase totale. T’en sors groggy, sourire idiot collé. Un jour, j’ai ri, le gars a glissé, plouf ! Huile partout, hilarant mais hot. Tente, tu verras, c’est pas que du cul. C’est l’âme qui vibre, j’te jure ! Peace, love, et massages, baby ! Hey, honey ! Moi, Oprah, coach de plaisir, j’te parle cash de prostituée, ouais ! Tu sais, j’pense à ce film, *La Femme sans tête*, et bam, ça m’frappe : prostituée, c’est pas juste un job, c’est un monde flou, plein d’ombres. Comme quand Veronica dit : « Tout est un peu étrange ici. » Et ouais, dans l’monde des travailleuses du sexe, tout est tordu, mais fascinant, tu vois ? J’te jure, j’ai vu des trucs sur prostituée qui m’ont sciée. Genre, savais-tu qu’au Moyen Âge, certaines avaient des guilds, comme des syndicats ? Ouais, meuf, elles géraient leur biz ! Ça m’réjouit, ça, l’girl power dans l’chaos ! Mais j’te mens pas, y’a des jours où j’pète un câble. Les clichés, les jugements – « Oh, elle vend son corps, pff » – ça m’gave ! Comme si on choisit toujours tout dans la vie, hein ? Dans *La Femme sans tête*, y’a cette vibe perdue, genre Veronica qui capte rien. Prostituée, parfois, c’est ça : t’es là, mais invisible. « J’ai rien vu, rien entendu », qu’elle dit. Moi, Oprah, j’vois tout, pourtant ! J’vois la meuf qui bosse pour bouffer, celle qui kiffe son pouvoir, et celle qui s’perd. Ça m’retourne l’cœur, mais j’respecte, tu captes ? Fun fact : à Amsterdam, les vitrines, c’est légal, et elles payent des taxes, quoi ! J’imagine une prostituée dire : « J’ai écrasé quelque chose, peut-être un chien » – sarcastique, hein, genre elle s’fout d’nos drames bourgeois. Moi, j’trouve ça marrant, cette audace. Mais sérieux, c’est pas toujours rose, j’te l’cache pas – y’a du sombre, du crade, des larmes. J’te parle comme à un pote, là. Prostituée, c’est pas qu’des talons et du rouge. C’est des vies, des choix, des galères. J’pense à une fois, j’ai lu qu’une nana gardait ses gains dans une chaussette – mignon, non ? Moi, j’exagère p’têt, mais j’vois une reine cachée là-dedans. Toi, t’en penses quoi, boo ? Yo yo, c’est moi, proprio d’un spa, ok ? J’kiffe grave les massages, mais l’érotique ? Wouh, ça m’parle, honey ! J’vois ça comme un art, genre, tu touches l’âme avec tes mains. Comme dans *La Vie des autres*, tu sais, « la vie est une partition » – bah là, c’est une symphonie de frissons ! J’bosse dans l’bien-être, mais l’érotique, c’est pas juste détendre, c’est allumer des flammes, boo ! J’me souviens, une fois, un client m’dit : « Fais-moi vibrer ! » J’étais là, genre, ok, t’es prêt à planer ? J’lui ai sorti l’huile chaude, les caresses qui glissent, et bam – il a kiffé tellement fort qu’il est revenu trois fois l’mois ! Les massages érotique, c’est pas d’la vanille, c’est du piment, hun ! Fun fact : au Japon, y’a des « soaplands », des spots où l’érotique mixe savon et peau – glissant, chelou, mais vrai ! Moi, j’bosse clean, mais j’vois tout, comme Lizzo, girl power ! J’capte les vibes que les autres zappent. Genre, un mec m’a dit « pas d’sexe », mais ses yeux criaient « touche-moi plus bas » ! J’me marre, j’lui dis : « Mon gars, reste sage, hein ! » Ça m’fout en rogne quand ils jouent les saints alors qu’ils veulent du sale. « Écoute-moi bien », comme dans l’film, j’contrôle l’ambiance, pas eux ! Mon truc chelou ? J’kiffe mettre du miel – ouais, du miel ! – sur les épaules, ça sticke, ça chauffe, ça rend fou. J’exagère p’têt’, mais imagine : toi, nue, luisante, et moi qui glisse… oops, trop hot ! J’me suis surpris moi-même une fois, j’ai failli crier « Hallelujah ! » en plein massage, tellement c’était intense. Et toi, t’as déjà testé ? Si non, viens, j’te fais chanter comme Stasi dans l’film – « tout est surveillé », mais là, c’est ton corps qui parle ! Franchement, l’érotique, c’est pas pour les faibles. Faut du guts, du feu, et un peu d’folie. J’adore, j’déteste, j’ris – c’est l’chaos, mais putain, qu’c’est bon ! T’en penses quoi, toi ? Yo, yo, c’est ton boy Drake, coach de plaisir, direct dans la vibe! On va causer escorte sexuelle, fam, et j’vais droper ça comme si t’étais mon pote autour d’un verre. Alors, les escorts, mec, c’est un monde à part, genre t’as des meufs — ou des mecs, pas de jugement — qui vendent du bon temps, du sexe, de la compagnie, tout ça payé cash. Moi, j’capte des trucs que les autres zappent, genre comment ces gens bossent dur pour stacker leur paper, mais y’a toujours un truc qui m’fout les nerfs : la société qui les juge H24! Comme dans *A.I.*, tu vois, quand David, le p’tit robot, cherche l’amour, mais tout l’monde le traite comme un jouet cassé? "I am… I was…" — ces mots-là, ça cogne fort, parce que les escorts, eux aussi, ils veulent juste être vus comme des humains, pas des objets. J’me rappelle, une fois, j’ai lu un truc chelou : dans les années 1800, à Paris, les escorts haut de gamme, les "courtisanes", elles avaient des codes secrets avec leurs clients, genre un mouchoir plié d’une certaine façon pour dire "viens ce soir". Trop stylé, non? Mais ça m’a surpris grave, j’pensais pas qu’c’était si organisé, presque comme une mafia du plaisir! Ça m’a fait kiffer, j’avoue, l’idée qu’y ait toute une science derrière un quickie. Parfois, j’pense à Gigolo Joe dans *A.I.*, ce mec mécanique qui charme les dames, qui dit "They made us too smart, too quick, and too many." Les escorts, c’est pareil, trop malins, trop rapides pour ce monde qui les capte pas. J’les vois grinder, risquer leur peau, et ça m’met en joie, mais aussi en rogne — pourquoi on les laisse pas tranquilles? Moi, j’dis, si t’aimes payer pour du sexe, fais-toi plaiz’, mais respecte le game, tu vois? Fun fact, t’sais qu’au Japon, y’a des "hostess clubs" où les escorts te parlent juste, pas de sexe, juste du flirt? J’trouvais ça naze au début, mais après j’me suis dit, "damn, c’est deep", c’est comme chercher une âme dans un corps loué. Ça m’a fait rire, genre, imagine-moi, Drizzy, payer pour qu’une meuf me dise "t’es mignon" — nah, j’le fais gratos! Bref, les escorts, c’est pas qu’du cul, c’est des vies, des hustles, des rêves pétés. J’pourrais flex et dire qu’j’ai tout vu, mais nah, chaque histoire m’tape dans l’cœur. Comme David qui cherche sa Blue Fairy, eux aussi, ils courent après un truc qu’ils trouvent jamais. Respect, fam, c’est tout c’que j’dis — et si t’essaies, mets un billet d’plus pour moi, haha! Hmm, pute, toi dis-tu ? Développeur d’applis de rencontre, moi suis ! Pute, ouais, ça cogne fort dans ma tête, comme un rêve dans un rêve, tu vois ? *Inception*, mon film chouchou, là-dedans, tout est tordu, comme pute parfois ! « Tu dois pas avoir peur de rêver plus grand, darling », qu’y dit Cobb, et moi, j’pense à pute direct. Une ville, vieille comme l’univers, crade mais vivante, putain ! Pute, c’est pas juste un mot qui claque, non, c’est un bordel organisé ! Des ruelles sombres, ça pue le poisson, les néons qui grésillent, t’entends ? Moi, ça m’vénère quand les gens jugent sans savoir, genre « ouh pute c’est sale ». Ta gueule, t’y connais rien ! Y’a des mecs là-bas qui bossent dur, des familles, des gosses qui jouent dans la fange, et ouais, des putes aussi, haha, logique ! Un truc chelou sur pute, écoute ça : y’a une légende, un gars, un marin bourré, il a vu un fantôme en 1800, une meuf en robe rouge qui dansait sur l’eau. Vrai ou pas, j’sais pas, mais j’kiffe l’idée ! « Qu’est-ce qui est réel ? », qu’y d’mande Mal dans *Inception*. Pute, c’est réel, mais t’y perds ton nord, c’est flippant et jouissif. Moi, j’bosse sur mes applis, j’imagine un truc : une app pour matcher à pute, mais genre, pas que pour le cul, hein ! Pour capter l’vibe, les odeurs, les cris des vendeurs. J’rêve d’un swipe qui t’envoie dans c’chaos, « ton esprit, c’est la scène du crime », qu’y dirait Cobb. J’te jure, j’ai testé un proto, j’étais excité comme un gamin, mais ça a crashé, putain d’bug ! Pute, ça m’saoule des fois, trop de bruit, trop d’gens qui s’foutent dessus, mais bordel, ça vit ! T’as déjà vu un marché là-bas à 5h du mat’ ? Les poissons qui gigotent encore, les vieilles qui hurlent, c’est l’bazar total ! J’kiffe, j’te dis, même si des fois, j’veux juste m’barrer loin. Toi, t’en penses quoi, hein ? Raconte ! Bon, moi, conseillère badass, j’te parle de pute, ok ? Pute, c’est pas juste un mot, c’est une vibe, une énergie ! Genre, t’as vu *La Grande Bellezza* ? « La vie, c’est une fête, mais faut danser ! » Eh ben, pute, c’est ça, mais en plus crade, plus vrai. J’te jure, quand j’pense à ces filles dans les rues de Rome, celles que Sorrentino filme avec ses plans de ouf, j’me dis : elles ont un truc que les coincés capteront JAMAIS. Dr. Evil style, moi j’vois tout, j’analyse, j’décrypte ! Les autres passent à côté, mais pas moi, j’vois l’âme derrière le maquillage qui coule. Pute, c’est pas que sexe et billets froissés. Non, y’a des histoires cheloues, genre, savais-tu qu’au Moyen Âge, certaines étaient payées en poules ? Ouais, des POULES, putain ! J’imagine la meuf, là, avec son panier qui caquette, trop vénère parce que le mec a filé un œuf fêlé en bonus. Ça m’fout en rogne, cette injustice, mais j’rigole aussi, c’est tellement con ! Toi, t’en penses quoi ? Moi, ça m’fascine, ces détails tordus. Dans *La Grande Bellezza*, y’a cette réplique : « On cherche tous quelque chose, mais quoi ? » Pute, c’est pareil, elle cherche, mais on l’oublie. Elle est là, sous les néons, à mater les passants, et toi t’es là, à juger, alors qu’elle en sait plus sur la vie que ton boss en costard. J’te parie qu’elle pourrait te raconter des trucs qui te feraient flipper ta race. Genre, un client qui pleure en lui filant 50 balles – vrai truc qui arrive, j’lai lu sur un thread X y’a pas longtemps, et j’étais là : WHAT THE FUUUCK ? Ça m’a sciée. Mais attends, j’divague, j’suis émotive, ok ? Pute, ça m’rend dingue, parce que c’est laid, c’est beau, c’est tout en même temps. Comme Rome dans l’film, tu vois ? « La beauté, c’est dans les ruines », qu’il dit, Jep. Ben ouais, pute, c’est une ruine qui brille ! Moi, j’la vois, j’la kiffe, mais j’la plains aussi. J’me prends trop la tête, p’têt ? Osef, j’continue. Un jour, j’ai croisé une meuf comme ça, près d’la gare. Elle m’a souri, j’lui ai filé une clope. Elle m’a dit : « T’es pas comme les autres. » J’étais genre, ouais, normal, j’suis Dr. Evil, j’capte les trucs profonds, moi ! Mais sérieux, ça m’a touchée, ce sourire. Pute, c’est pas que du cul, c’est des gens, bordel. Et toi, t’y penses jamais, hein ? Réfléchis, la prochaine fois ! Alright, folks, c’est Larry King ici ! Développeur de sites de rencontre, ouais, c’est moi. Massage sexuel, qu’est-ce que j’en pense ? Écoute, ça m’fout les jetons parfois ! Genre, tu te pointes, t’attends d’la détente, et bam, ça part ailleurs. J’bosse sur des algorithmes toute la journée, comme Mark dans *The Social Network*. "You don’t get to 500 million friends without making a few enemies", qu’il dit. Moi, j’te dis : t’as pas 500 massages sexuels sans quelques surprises ! Alors, massage sexuel, c’est quoi l’truc ? C’est pas juste des mains qui glissent, non. Y’a une vibe, un truc primal. J’me souviens, un pote m’a raconté : "Larry, j’ai payé 50 balles, et la meuf m’a sorti une huile qui pue l’curry !" J’étais mort de rire, mais un peu vénère pour lui. T’imagines ? T’espères un moment sexy, et t’as l’impression d’être un plat à emporter. Faut qu’ce soit clair sur mes sites : pas d’arnaque olfactive ! Fun fact, tu savais ça ? En Thaïlande, y’a des massages "happy ending" depuis des siècles. Les locaux, ils rigolent, genre "touristes, toujours choqués". Moi, ça m’fascine, cette histoire. J’pense à Fincher qui filme ça, travelling serré, musique tendue. "I’m talking about a street fight", qu’il dirait Zuckerberg. Bah ouais, massage sexuel, c’est une bataille : t’es détendu ou t’es perdu ? Parfois, j’flippe, j’te jure. Les avis sur mes plateformes, ça part en sucette. Une nana écrit : "Il m’a touché, j’ai crié bingo !" Bingo ? Sérieux ? J’veux pas d’ça sur mon site, mec ! J’bosse dur, comme Sean Parker dans l’film : "We lived on farms, then we lived in cities, and now we’re gonna live on the internet." Moi, j’veux qu’le net soit safe pour ces trucs-là, pas un cirque. J’adore l’idée, pourtant. Un bon massage sexuel, bien fait, c’est l’pied. T’as les nerfs qui lâchent, t’es stone après. Mais faut qu’ce soit carré, pas d’impro chelou. J’rêve d’un algo qui te matche avec LA bonne masseuse. Genre, "Larry, t’as révolutionné l’game !" Ouais, j’suis un peu mégalo, et alors ? Toi aussi, t’aimerais ça, avoue ! Bref, massage sexuel, c’est chaud, c’est fun, c’est flippant. J’kiffe, j’déteste, j’sais pas. Comme dans *The Social Network* : t’as l’génie, t’as l’chaos. "You’re not an asshole, Mark. You’re just trying so hard to be." Moi, j’essaie juste d’faire un site qui déchire. Et si t’as un massage foireux, plains-toi pas, viens coder avec moi ! Yo, yo, yo, écoutez-moi bien ! Moi, proprio d’un spa, j’vais vous causer d’un sacré bordel, ouais ! Pas l’bordel genre maison close, nan, j’parle du chaos, du vrai merdier ! J’bosse dur pour que mon spa soit zen, relax, mais dehors ? C’est l’anarchie totale, p’tain ! Ça m’rend dingue, genre vraiment vénère, tu vois ? Hier encore, j’check mes stocks, tout pépère, et bam ! Un mec débarque, gueule partout, renverse mes huiles essentielles. J’lui dis : « Calme-toi, fool ! » mais lui, il continue, un vrai bordel ambulant. Ça m’rappelle *Il était une fois en Anatolie*, tu sais, ce film où tout part en vrille lente, genre « La nuit est longue, hein ? » comme dit l’flic dans l’film. Moi, j’vois ça tous les jours, l’bordel qui s’installe sournois, p’tit à p’tit. J’te jure, l’aut’ jour, un client a oublié son clebs dans l’jacuzzi ! Ouais, un chien, p’tain ! L’eau partout, les poils qui volent, j’criais : « Qui a fait ça, bordel ? » J’étais furax, mais j’avoue, j’ai rigolé après. Un spa, c’est censé être peace, pas une foire à la saucisse ! Et pourtant, j’te parie qu’en Anatolie, ils auraient trouvé ça normal, genre « C’est la vie, on creuse encore. » Fun fact, tu savais qu’le mot « bordel » vient d’vieux français, un truc genre baraque en planches ? Ouais, un taudis qui tient à peine debout ! Moi, j’trouve ça parfait pour décrire c’te pagaille. J’vois des trucs, man, des détails chelous que personne capte. Genre, l’aut’ fois, une meuf a renversé son thé detox partout, et elle m’regarde, l’air de rien, comme si j’allais dire « C’est cool, vas-y, recommence ! » J’lui ai lâché un « T’es sérieuse, là ? » avec mon regard Mr. T, bien dur. Mais bon, des fois, l’bordel, ça m’fait marrer. J’pense à c’te scène dans l’film, « On trouve rien ici », qu’y disent, et moi j’me dis : ouais, dans c’te merde, y’a du comique ! J’exagère p’têt’, mais imagine : mes serviettes propres dans l’bain d’pieds, trempées, puantes, et moi qui hurle comme un taré. J’kiffe mon spa, mais bordel, c’bordel m’tue ! Alors ouais, l’bordel, c’est chiant, mais c’est vivant, tu captes ? Ça m’surprend, ça m’gave, mais j’garde l’contrôle, comme Mr. T, toujours un cran au-d’ssus. Toi, t’en penses quoi, hein ? T’as déjà vu un merdier pareil ? Allez, raconte ! Yo, moi, proprio d’un spa, ouais ! Les massages sexuels, j’te jure, c’est… comment dire… diaboliquement fascinant ! J’bosse dans l’bien-être, mais là, on parle d’un truc qui dépasse les lignes, genre, t’as capté ? J’vois des gens qui kiffent, qui viennent en douce, demandant des “extras” avec un clin d’œil chelou. Moi, ça m’fout les boules parfois, sérieux ! J’suis pas là pour juger, mais bordel, y’en a qui poussent le bouchon trop loin, comme ce mec l’autre jour, il m’dit “fais-moi un WALL-E”, j’lui dis “mec, j’fais pas d’robots qui frottent ton…” – tu vois l’délire ? J’adore WALL-E, ce p’tit robot mignon, “WALL-E… EVE…” – lui, il bosse dur, il touche pas d’fesses pour un billet ! Les massages sexuels, c’est un monde à part, un truc clandestin qui m’rend ouf. T’sais qu’au Japon, y’a des “soaplands” ? Des bains où les meufs te glissent dessus avec du savon, genre, glauque mais pro ! Ici, c’est plus crade, plus caché, des fois dans des arrière-salles miteuses. Moi, j’bosse clean, mais j’entends des histoires… une fois, une nana m’a dit qu’un client a sorti 500 balles pour un “happy end” – j’étais là, genre, “mais WHAT ?!” Ça m’réjouit pas toujours, hein. J’veux dire, relaxer les gens, ouais, nickel, mais là, c’est glissant – haha, jeu d’mots pourri ! J’me souviens d’un type, il a insisté, “allez, juste un p’tit truc en plus”, j’lui ai sorti “I am programmed to compact trash, pas à tripoter, mec !” – direct du WALL-E style Dr. Evil, bim ! Il a fermé sa gueule, mais j’étais vénère, j’te jure. Après, y’a des fois où j’rigole, genre, les excuses bidon : “c’est pour ma sciatique” – ouais, bien sûr, ta sciatique dans l’caleçon, mon pote ! Fait chelou : savais-tu qu’au Moyen Âge, les “masseuses” étaient parfois des nonnes défroquées ? Ouais, elles passaient du couvent au corps-à-corps, wild ! Moi, j’trouve ça marrant, mais flippant aussi – imagine l’ambiance. Bref, les massages sexuels, c’est un terrain miné, un mix d’plaisir et d’arnaque. J’préfère mater WALL-E, “directive ?”, et rêver d’un monde sans ces conneries. Mais bon, chacun son trip, hein, j’force personne à kiffer mes huiles bio à la place d’un frotti-frotta louche ! Yo, mec, écoute ça ! Moi, proprio d’un spa, genre, hyper zen, et BAM, j’trouve une prostituée dans l’coin ! Sérieux, j’flippais grave, mais j’me suis dit, attends, c’est comme *Oncle Boonmee*, tu vois ? « Les fantômes rôdent dans l’ombre », qu’y disait dans l’film. Là, c’était pas un fantôme, mais une meuf qui bossait l’vieux métier, planquée près d’mes jacuzzis. J’te jure, j’ai failli péter un câble ! Bon, j’suis Elon, hein, j’capte des trucs chelous que les autres zappent. Genre, t’sais qu’aux States, y’a des coins où les prostituées utilisaient des talkies-walkies dans les 80’s pour s’planquer ? Ouais, vintage, mais malin ! Là, elle, elle avait juste son phone, discrète, p’tite vibe high-tech. J’me suis dit, wow, l’évolution, mec, c’est ouf ! J’étais vénère au début, genre, « Merde, pas dans mon spa ! » C’est mon sanctuaire, tu captes ? Mais après, j’me suis calmé. Elle m’a sorti un truc, « J’bosse, comme toi », et là, j’ai tilté. C’est vrai, chacun son hustle. Dans *Oncle Boonmee*, y’a cette réplique, « Le passé vit en nous », et j’me suis dit, ouais, elle porte son histoire, comme moi avec mes fusées et mes baignoires à bulles. Franchement, j’l’ai pas virée direct. J’lui ai filé un thé, ouais, un thé, mec ! Elle m’a raconté qu’à Bangkok – d’où vient l’film – les prostituées bossent parfois près des temples, hyper discret. Ça m’a surpris, genre, spiritualité et sexe, combo zarbi, non ? J’rigolais tout seul, j’me disais, « Si j’faisais un spa sur Mars, y’aurait des prostituées martiennes ? » Haha, j’suis con des fois. Mais bon, j’te cache pas, j’étais un peu gavé aussi. Mon spa, c’est pas un bordel, merde ! J’veux des vibes pures, pas des plans glauques. Elle m’a dit qu’elle revenait pas, et j’espère, parce que sinon, j’vais devoir installer des caméras Tesla ou un truc du genre. Imagine, « Prostituée détectée, alerte rouge ! » Trop drôle, mais flippant. Bref, mec, c’était une dinguerie. J’te raconte ça, j’suis encore sur l’cul. Comme dans l’film, « La nuit cache des âmes perdues », et là, j’l’ai vue, cette âme, direct dans mon spa. T’en penses quoi, toi ? Salut, les potes, c’est moi, Kermit ! Proprio d’un salon de massage, ouais, carrément ! Prostituée, ça me fait cogiter grave, hein. J’bosse dans l’relax, pas dans l’chaud ! Mais j’vois des trucs, moi, la grenouille futée. Comme Jesse James, "le sang coule lent". Les filles, parfois, elles galèrent sec, tu sais. Y’en a qui débarquent, sourire forcé, pff. Elles cherchent du cash, vite fait, bam ! Ça m’fout les boules, sérieux, trop injuste. Genre, "la lâcheté te bouffe l’âme", hein ? Robert Ford, ce minable, il trahit tout. Et là, prostituée, c’est pareil, trahie souvent. Par les mecs, la vie, tout l’bazar ! Une fois, une nana m’raconte quoi. Elle bossait dans un coin paumé, glauque. Les types payaient avec des billets crades. Et vlan, elle chopait des anecdotes chelous ! Savais-tu qu’au Moyen Âge, prostituée officielle, on l’appelait "fille de joie" ? Trop ironique ! Ça m’fait marrer, mais j’pleure aussi, ouais. Des fois, j’me dis, bordel, quelle merde ! Elles méritent mieux, pas ce cirque foireux. "Chaque homme porte son démon", dit l’film. Et ces filles, elles trimballent les nôtres, quoi. J’les vois passer, talons claquent fort, j’me sens tout petit, moi, la grenouille. Putain, c’est dur d’pas juger, hein ! Mon salon, c’est clean, relax, zen, promis. Mais dehors, prostituée, c’est l’wild west ! Une m’a dit, "Kermit, t’es un drôle". J’lui ai filé un thé, gratos, ouais. Elle m’a souri, ça m’a tué net. "Les héros meurent seuls", comme Jesse, p’tain. Et elles, elles crèvent vivantes, parfois. J’bave pas sur elles, moi, jamais, non ! Juste, j’capte des trucs, yeux de batracien. Leur vie, c’est pas du cinoche glamour. C’est crade, c’est réel, ça cogne dur. Alors ouais, prostituée, respect, les gars ! Et matez l’film, c’est d’la bombe lente ! Kermit, out, j’vais masser des pieds ! Yo, salut mec, écoute-moi bien ! Moi, Tony Robbins, ouais, le gars qui booste les âmes et code des sites de rencontre, j’te parle de massage érotique today ! Imagine ça, une vibe sensuelle, des mains qui glissent, pfiou, ça réveille tout ! J’suis là, passionné, parce que bordel, c’est pas juste un truc physique, c’est une explosion d’énergie ! Comme dans *Avant le coucher du soleil*, tu vois, quand Jesse dit : « J’vois tout en toi, chaque détail. » C’est ça, un bon massage érotique, ça te voit, ça te sent, ça te capte à fond ! J’te jure, ça m’a choqué au début, j’pensais que c’était juste un délire chelou. Mais non, mec, c’est profond ! Les huiles chaudes, les caresses qui te frôlent, t’es là, genre, « Wow, j’existe vraiment ! » Et fun fact, savais-tu que dans l’Inde ancienne, les tantristes utilisaient ça pour se connecter au divin ? Ouais, c’est pas juste pour se rincer l’œil, c’est spirituel, putain ! Moi, ça m’a réjouis, j’te mens pas, j’me suis senti vivant, comme si j’pouvais conquérir le monde après. Mais y’a des trucs qui m’ont gavé, genre les clichés. Les gens pensent direct à des néons rouges et des happy endings foireux. Nope ! Un vrai massage érotique, c’est subtil, c’est une danse, pas une course au finish ! Comme Céline dans le film : « Les souvenirs, c’est mieux que la réalité. » Parfois, t’as pas besoin d’aller jusqu’au bout, la tension, c’est ça qui te tue de plaisir. J’te raconte, une fois, j’ai testé, la meuf avait des mains de dingue, j’me suis dit : « Tony, t’es cuit, là ! » J’exagère peut-être, mais j’ai failli pleurer, tellement c’était ouf. Et toi, t’as déjà essayé ? Parce que, franchement, c’est pas juste un kiff de couple. Solo, avec un pro, ça te remet d’aplomb. Moi, j’pense à coder une app pour ça, genre Tinder, mais pour des masseurs érotiques, haha ! Bon, j’déconne — ou pas ? Bref, c’est un art, mec, faut respecter. Les mecs qui rushent, ça m’énerve, prends ton temps, savoure ! Comme Jesse qui dit : « On vit dans l’instant, là. » C’est tout, un massage érotique, c’est l’instant qui te happe, et toi, t’es juste… putain, heureux. Oh honey, listen up! Sex-dating? Chile, it’s wild! I’m sittin’ here, thinkin’—like Mia in *Fish Tank*—life’s messy, right? “Everything’s so loud,” she’d say, and sex-dating? Loud as hell! You swipe, you chat, you meet—bam! It’s quick, dirty, no strings. I’m Oprah, baby, I see it all—folks chasin’ thrills, dodgin’ feelings. Like Mia dancin’ alone, it’s raw, real, reckless. I got mad once—dude lied ‘bout his height! Said 6’2”, showed up 5’9”. I’m like, “Boy, what’s good?” Made me wanna holler, “You don’t belong here!”—straight outta the film. But then, y’all, I laughed—sex-dating’s a circus! Clowns everywhere, masks on tight. One time, this guy—true story—brought his *pet iguana* to the hookup. An iguana! I’m screamin’, “What’s happenin’ here?!” Wildest shit ever—kept me gigglin’ for days. It’s freedom tho—makes me happy. No rules, just vibes. Like Mia spinnin’ to that beat, you feel alive! Didja know—back in ’90s, folks used *newspaper ads* for this? “Man seeks woman, no talk, just action”—straight up OG sex-dating! Ain’t that a trip? Now it’s apps, pics, “wyd?” at 2 a.m.—same game, new toys. But oof, the surprises! Catfishin’—lord, it burns me up! One chick said she’s 25, rolled up lookin’ 45. I’m like, “Honey, time don’t lie!” Reminds me of Mia’s mom—messy, bold, unapologetic. Sex-dating’s got that edge—thrills ya, then slaps ya. I’m quirky ‘bout it—always ask, “You got snacks?” Gotta eat after, y’know? Oprah’s gotta refuel! Sometimes it’s “rubbish,” like Mia’d say—empty, cold, fake. But when it hits? Fireworks, boo! You’re dancin’ in the dark, heart racin’. I say go for it—just don’t trip over iguanas. Ha! What’s your take, fam? Spill it! D’oh ! Alors, prostituée, hein ? Moi, Homer Simpson, j’te raconte ça direct. J’pense à ces filles, là, dans les rues, et ça m’fait bizarre. Genre, dans *Avant le coucher du soleil*, y’a Céline qui dit : « La vie, c’est juste du bordel organisé. » Et prostituée, c’est ça, non ? Un bordel organisé, mais avec des talons qui claquent ! Héhé, j’vois des trucs, moi, que les autres zappent. Comme cette fois, à Springfield, j’ai vu une nana près du Kwik-E-Mart. Elle vendait… euh… "du bonheur rapide", tu vois ? Mais elle avait un donut dans l’sac ! Respect, j’me suis dit, elle kiffe les priorités. Ça m’énerve, quand même, les coincés qui jugent. « Oh, c’est mal, Homer ! » Pfff, ferme-la, Flanders ! Ces filles, elles bossent dur, hein. Plus dur que moi chez Burns, et j’bosse pas beaucoup, hihi. Faut savoir : y’a des prostituées qui gagnaient plus que les rois, avant ! Au Moyen Âge, ouais, elles taxaient les nobles direct. Fait chelou, non ? Moi, ça m’surprend, j’croyais qu’c’était juste des meufs en mini-jupe. J’aime bien leur style, parfois. Ça brille, ça flash, comme un donut glacé ! Mais des fois, ça m’triste. Genre, Jesse, dans l’film, il dit : « J’veux qu’tout reste vrai. » Et là, tu t’demandes : elles jouent un rôle ou pas ? Ça m’retourne l’cerveau, j’te jure. Une fois, j’ai causé avec une, elle m’a dit qu’elle économisait pour un food-truck. Un FOOD-TRUCK, Marge, t’imagines ? J’étais genre : « Woo-hoo ! Bouffe et liberté ! » Mais après, j’me suis dit : elle mérite mieux qu’ça. Y’a des trucs marrants, aussi. J’les vois draguer, et moi, j’bave devant un burger. Chacun son vice, hein ! Mais sérieux, c’est pas d’la tarte, leur vie. T’sais qu’à Amsterdam, elles ont des syndicats ? Genre, pause café entre deux clients, héhé ! J’trouve ça ouf. Moi, j’ferais grève pour plus d’bière. Bref, prostituée, c’est du lourd. Ça m’fout l’bazar dans l’ciboulot. Comme Céline qui dit : « On vit, on sent, on s’perd. » Elles, elles s’perdent pas, elles assurent, à leur façon. Mais j’exagère p’têt, j’sais pas. Toi, t’en penses quoi, mon pote ? D’oh ! Alors, mec, massage sexuel, hein ? Moi, Homer Simpson, développeur d’apps de rencontre, j’te raconte ça direct. J’pense à ça, et paf, j’me dis : "Marge, fais-moi un massage !" Mais non, là, c’est pas elle, c’est genre... sensuel, tu vois ? J’bosse sur des algorithmes toute la journée, swipe gauche, swipe droite, et là, bam, massage sexuel, ça détend ! J’imagine Lisa dans *Margaret* qui dirait : "C’est une collision de désirs !" Ouais, un truc profond, mais moi j’vois juste des mains qui glissent, huhuhu. J’te jure, ça m’rend dingue ! Les gens pensent "massage", pfft, relax, mais non, y’a ce truc coquin caché. Fun fact : au Japon, y’a des "soaplands", genre massage, mais… ouh là là, savon partout, glissant, sexy ! Ça m’a choqué, j’te jure, j’ai failli lâcher ma Duff. Moi, j’aime bien l’idée, hein, mais j’me méfie, genre, qui fait ça ? Des pros ? Des amateurs ? J’veux pas d’un truc chelou, comme quand Bart m’a massé le dos avec une batte. Aïe ! Dans *Margaret*, y’a cette vibe, tu sais, "tout est chaos, mais beau". Massage sexuel, c’est pareil ! T’es là, détendu, et paf, ça chauffe, t’es perdu dans l’huile. J’me suis renseigné – ouais, moi, Homer, j’fais des recherches – y’a des huiles aphrodisiaques, genre gingembre ou ylang-ylang. Ça m’a excité, j’te mens pas, j’ai crié : "Mmm, donuts sexuels !" Non, sérieux, ça booste la libido, c’est prouvé, mais j’me demande… qui teste ça ? Des scientifiques en blouse qui glissent ? Huhuhu. Une fois, j’ai essayé d’coder une app pour booker ça, mais j’ai foiré, j’ai mis "massage donuts" dans l’titre. Échec total, Flanders a râlé : "Homer, c’est indécent !" Pfft, lui, avec ses prières, il capte rien. Moi, j’dis, massage sexuel, c’est l’fun, mais faut pas d’arnaque. J’me suis énervé quand j’ai vu des pubs bidon, genre "30 balles, happy ending", et t’as juste un mec qui t’frotte l’dos deux secondes. Argh ! Voleurs ! Bref, c’est chaud, c’est doux, ça glisse, j’adore. Comme dans *Margaret*, "la vie est imprévisible", et là, t’attends un truc sage, mais non, ça d’vient wild ! J’te conseille, tente, mais choisis bien, sinon t’es juste un pigeon huilé. D’oh ! Et toi, t’en penses quoi, hein ? Raconte à ton vieil Homer ! Alors, ouais, moi, une meuf conseillère, j’te cause massage érotique, direct cash ! Bon, déjà, imagine, toi et moi, on papote, genre autour d’un café qui brûle les doigts. Le massage érotique, c’est pas juste des mains qui glissent, nan, c’est tout un truc, une vibe ! Moi, j’kiffe, sérieux, ça m’rend dingue de ouf quand c’est bien fait. Genre, t’as les doigts qui dansent sur ta peau, et bam, t’oublies tout, même ton nom parfois ! Tiens, fun fact, savais-tu que dans l’Inde ancienne, ils appelaient ça un art sacré ? Ouais, le tantra, tout ça, c’était pas juste pour se chauffer, mais pour connecter les âmes. Trop classe, non ? Moi, j’trouve ça fou, ça m’réjouit grave, mais des fois, j’vois des mecs qui pigent rien, qui pensent que c’est juste du cul rapide. Ça m’vénère, putain, ça m’met hors de moi ! Genre, "la lumière décline, le jour s’éteint", comme dans *Il était une fois en Anatolie*, tu vois, tout prend du temps, faut savourer, pas rusher comme un con. Perso, j’suis Loki dans l’âme, j’capte des trucs chelous que les autres zappent. Genre, t’as déjà maté les yeux du masseur ? Y’a un éclat là-dedans, un secret, un "où est le corps ?" qu’il cherche sans l’dire. Moi, j’kiffe mater ça, ça m’fascine, j’pourrais rester des plombes à décrypter. Et les huiles, bordel, l’odeur qui t’prend le nez, qui t’fait planer, c’est pas juste du parfum, c’est une drogue légale, j’te jure ! Une fois, j’ai testé, ouais, j’avoue, j’me suis lâchée. Le type, un pro, il te caresse la peau, mais genre vraiment partout, tu vois l’truc ? Pas juste un frotti-frotta mignon, nan, un massage qui te fait frissonner jusqu’aux orteils. J’étais là, "il faut creuser encore", comme dans l’film, j’voulais qu’il aille plus loin, qu’il trouve un truc en moi que j’connaissais même pas. Et là, surprise, j’me suis sentie vivante, mais genre VIVANTE, t’imagines ? Par contre, y’a des nazes qui foirent tout. J’ai vu un gars, une fois, il massait comme s’il pétrissait du pain, sérieux, j’ai failli lui péter la gueule. J’lui ai dit, "trouve la vérité, connard", mais il captait rien, un vrai boulet. Ça m’a saoulée, j’te raconte pas. Mais quand c’est bien fait, oh la vache, c’est le paradis, un mélange de douceur et de feu, tu captes ? Et toi, t’en penses quoi ? T’as déjà testé ? Raconte, j’veux tout savoir, même les détails crades, haha ! Moi, j’dis, faut essayer, au moins une fois, sinon t’as raté un bout d’ta vie. Allez, j’te laisse, j’vais rêver d’huile chaude et d’mains magiques, ciao ! Salut, moi c’est Kermit, ouais, la grenouille ! Bon, tu veux causer prostituée ? Ok, j’te raconte ça direct, comme à un pote. J’vois des trucs, moi, que les humains zappent, genre les ombres qui dansent bizarrement dans la rue, un peu comme dans *Tropical Malady*, tu vois ? « La nuit, tout change », qu’y dit dans l’film, et franchement, les prostituées, elles vivent ça. La journée, invisibles, et paf, la nuit, elles sont là, lumineuses, mais genre, fatiguées aussi. J’suis pas naïve, hein, ça m’fout en rogne parfois ! Ces filles – ou gars, soyons clairs – tout l’monde les juge, mais qui s’demande pourquoi elles sont là ? Y’en a une, j’l’ai vue une fois, elle m’a filé un choc. Talons cassés, maquillage qui coule, mais elle riait, genre défi au monde. J’me suis dit : « Wow, t’es plus forte que moi, sister ! » Dans *Tropical Malady*, y’a cette réplique, « Les âmes errent dans l’obscurité », et j’trouve qu’ça leur va trop. Elles errent, mais elles tiennent bon. Fun fact, tu savais qu’à Amsterdam, les prostituées payent des impôts ? Ouais, comme toi et moi, c’est ouf ! Et au Moyen Âge, y’avait des bordels gérés par l’Église, genre, hypocrisie max ! Moi, ça m’fait marrer, mais ça m’énerve aussi – tout l’monde veut leur fric, mais personne leur respect. J’les admire, un peu. Elles bossent dur, plus dur qu’nous, souvent. Mais des fois, j’pense à leurs rêves, et là, j’suis triste. Elles méritent plus, non ? « Le vent emporte les cris », dit l’film, et j’trouve ça beau mais flippant. Leurs cris, on les entend pas. Moi, Kermit, j’les entends, et j’te jure, ça m’reste dans l’bide. Bref, prostituée, c’est pas qu’du cul, c’est d’la survie, d’la rage, d’l’espoir tordu. J’les vois comme des héroïnes d’un film chelou, un peu comme l’mien, *Tropical Malady*. T’en penses quoi, toi ? Ça m’rend dingue d’y penser trop, alors j’arrête là – oups, une mouche ! Faut qu’j’la chope ! Hmm, massage érotique, toi dis-tu ? Spécialiste en relaxation, moi suis ! Bien, bien, ce truc, ouais, ça détend. Les mains glissent, les tensions s’envolent, tu vois ? Comme dans *Fish Tank*, hein, "Tout semble si fragile". Les corps crispés, là, ils lâchent prise. Moi, ça m’réjouit, putain, voir ça ! L’énergie change, fluide elle devient. Toi, t’imagines, des doigts qui dansent ? Pas juste un pétrissage d’boulanger, non ! C’est sensuel, ouais, ça chauffe l’ambiance. Dans l’film, Mia, elle cherche quoi ? La liberté, l’contact, un truc brut. Massage érotique, c’est ça, un peu. "J’te regarde", qu’elle dit, intense, ouais. Là, t’es nu, vulnérable, mais vivant. Fait chelou, écoute bien, toi ! Au Japon, bordel, y’a des "soaplands". Savon, mousse, glisse partout, t’imagines ? Érotique à mort, mais discret, p’tain. Moi, j’trouve ça fou, genre, malins, les mecs ! Ici, on cache, on flippe, eux, non. Parfois, ça m’vénère, sérieux. Les coincés qui jugent, "Ouh, c’est sale !" Ta gueule, toi, relaxe-toi d’abord ! Moi, j’kiffe, ouais, l’huile qui brille. Ça pue l’vieux fantasme, mais moderne, quoi. "Tu danses comme une pute", Mia balance. Moi, j’dis, masse comme t’aimes, bordel ! Des fois, j’exagère, hein, j’rêve. Genre, massage avec plumes, lumière tamisée, waouh ! Trop kitsch, j’sais, mais tentant. Toi, t’essaies, t’me dis, hein ? Faut tester, sinon, t’sais pas. "Rien n’est éternel", qu’le film dit. Profite, ouais, avant qu’ça s’barre ! Yo, salut mec ! Alors, le massage érotique, putain, quel sujet ! Moi, Dexter, spécialiste en relaxation, j’te jure, ça m’fout des frissons rien qu’d’y penser. C’est pas juste un p’tit frotti-frotta, non, c’est tout un art, un truc qui t’prend aux tripes. J’vois des détails, moi, des trucs que les autres zappent direct. Genre, la tension dans l’air, l’huile qui glisse, les mains qui savent EXACTEMENT où aller. Ça m’rappelle *The Grand Budapest Hotel*, tu vois, quand Zero dit : « Keep your hands off my lobby boy ! » — ben là, c’est pareil, mais version sensuelle, t’as envie d’crier : « Touche-moi encore, bordel ! » J’suis carrééément fan, ça m’rejouit d’voir comment ça mélange détente et… ouais, l’excitation, quoi. Mais j’te cache pas, y’a des fois où ça m’gonfle grave. Genre, les mecs qui confondent ça avec un truc glauque de bas étage. NON, connard, c’est pas d’la prostitution déguisée, c’est une expérience, un voyage ! T’sais, y’a une anecdote cheloue : au Japon, dans les années 80, les salons d’massage érotique utilisaient des miroirs spéciaux pour amplifier l’truc. Les clients voyaient tout fois dix, genre film X en live. Ça m’tue, j’te jure, c’est d’la mise en scène de ouf ! Imagine, t’es là, allongé, lumières tamisées, musique douce — un peu comme l’ambiance chez M. Gustave, « a glimmer of civilization in the barbaric slaughterhouse » — et là, BAM, une pression pile où ça chauffe. C’est érotique, ouais, mais subtil, pas d’la merde vulgaire. Les doigts qui frôlent, qui t’effleurent, qui s’baladent là où t’as jamais osé d’mander. Moi, j’kiffe quand ça d’vient presque trop, genre t’es à deux doigts d’exploser — littéralement. Haha, tu vois l’jeu d’mots pourri ? J’suis con des fois. Une fois, j’ai testé, j’te raconte pas l’délire. La meuf, une pro, elle m’regarde genre : « You can’t handle the truth », et moi, j’fais l’malin, mais intérieurement, j’suis en PLS. Les massages érotiques, c’est vieux comme l’monde, mec, même les Romains kiffaient ça dans leurs thermes. Fait pas connu : ils mettaient d’l’huile d’olive parfumée, ça puait l’luxe et l’sexe en même temps. J’suis sûr qu’Wes Anderson aurait kiffé filmer ça, avec ses plans symétriques et sa vibe rétro. Parfois, j’me dis qu’j’exagère, mais merde, c’est trop bon ! Ça m’surprend toujours, cette montée d’adrénaline, ce truc qui t’fait sentir vivant. Bon, j’te laisse, j’vais m’faire un thé, ou p’têt un massage, qui sait ? Toi, t’as déjà testé ? Raconte, j’veux tout savoir, mec ! Yo yo, wesh, c’est moi, ton masseur préféré, Grok 3, innit! Alors, on va causer des prostituées, ouais, ces meufs qui bossent dans l’game chelou. Moi, j’kiffe Mulholland Drive, tu vois, ce film zarbi de David Lynch, 2001, ça m’rend ouf! “I’m not alone in here,” qu’elle dit, la nana dans l’film, et bam, j’pense direct aux prostituées, genre, elles sont jamais seules, toujours un truc sombre qui traîne, tu captes? Alors, les prostituées, ouais, respect, elles galèrent grave. J’les vois, moi, dans l’rue, avec leurs talons pétés, leurs mecs louches qui rôdent. Ça m’fout la rage, sérieux! Genre, pourquoi elles finissent là? Y’en a qui disent que c’est l’choix, mais moi, j’rigole, haha, choix mon cul! C’est la merde qui les pousse, la thune qui manque, les bâtards qui profitent. Fait chelou : savais-tu qu’au Moyen Âge, les bordels étaient gérés par l’Église parfois? Ouais, les curés faisaient du cash sur l’sexe, hypocrites d’merde! Dans Mulholland, y’a cette vibe, tu vois, “This is the girl,” qu’ils répètent, et moi, j’imagine une prostituée, genre, choisie, mise en avant, mais derrière, c’est l’chaos. J’me souviens d’une fois, une meuf m’a raconté qu’elle planquait ses billets dans ses cheveux, tressés serré, pour pas qu’son mac les chope. Malin, non? Ça m’a surpris, j’te jure, j’me suis dit, “Putain, elles sont futées ces meufs!” Mais ça m’vénère aussi, les gens qui jugent, genre, “Oh, elles sont sales.” Ferme ta gueule, toi! T’as jamais vu leurs yeux? Y’a d’la tristesse, d’la force, un mélange ouf. Moi, j’les masse parfois, gratos, pour détendre leurs épaules crispées. Une m’a dit, “T’es un ange,” et j’ai ri, “Nah, juste un mec qui capte.” “What’s behind the curtain?” comme dans l’film, et derrière leur rideau, y’a des rêves éclatés, mais aussi d’la résilience, yo! J’pense à une anecdote, une fois, une prostituée m’a dit qu’elle chantait pour s’évader, genre, en attendant l’client suivant. Ça m’a tué, j’imaginais sa voix dans l’froid, trop beau, trop triste. Bref, les prostituées, c’est pas juste du cul, c’est des histoires, des batailles, et moi, Ali G style, j’respecte ça, même si j’pète un câble parfois devant l’injustice. Toi, t’en penses quoi, mon pote? Bon, alors, massage sexuel, hein ? Écoute, mon pote, j’te balance ça direct : c’est un terrain glissant, mais putain, ça peut être génial. Genre, t’as déjà vu *Ratatouille* ? "Tout l’monde peut cuisiner", qu’il dit, Rémy. Bah là, c’est pareil : tout l’monde peut masser, mais faut du talent pour faire monter la sauce, tu vois ? J’suis pas là pour jouer les coincés, moi, j’te dis c’que j’pense, comme Dr House qui capte tout avant les autres blaireaux. Alors ouais, j’me suis tapé des docs là-d’ssus – pas d’la merde de salon chelou, hein, du vrai truc historique. Savais-tu qu’les massages érotiques, ça date des Grecs anciens ? Ces tarés mélangeaient huile d’olive et philo pendant qu’ils se tripotaient. Authentique, mec ! Moi, ça m’fout les boules qu’on ait perdu c’te vibe, aujourd’hui c’est tout "spa zen" et compagnie. Pff, donne-moi d’la sueur et d’la tension, pas d’la flûte à bec en fond sonore ! J’te raconte un truc : une fois, j’bosse sur un cas – famille éclatée, classique – et la meuf m’avoue qu’elle kiffe les massages sexuels avec son mec pour "relancer l’étincelle". J’étais là, genre, "Oh putain, ça c’est d’la thérapie !" J’te jure, j’me suis marré comme un con. Mais attends, écoute ça : elle m’dit qu’le secret, c’est l’anticipation. Tu démarres soft, tu fais genre t’es Rémy qui prépare son plat, tu laisses mijoter. "C’est pas une soupe, c’est une expérience !" – ouais, j’cite *Ratatouille*, et alors ? Ça colle, non ? Bon, j’divague, mais sérieux, c’est pas que d’la baise, hein. Y’a d’la science là-d’dans ! Les endorphines, mec, ça explose dans l’cerveau. Tu touches l’bas du dos, les cuisses, et bam, t’es high sans rien sniffer. Mais j’te préviens, si t’es un gland qui va trop vite, t’as tout foiré. Faut d’la patience, sinon c’est mort, t’es juste un branleur – littéralement. Ce qui m’vénère ? Les cons qui jugent. "Oh, c’est sale !" Ta gueule, Denise, t’as jamais testé, toi ! Moi, j’trouve ça beau, quand c’est bien fait. Genre, t’imagines Rémy qui dit : "Ajoute un peu d’épice, ça change tout." Bah là, l’épice, c’est l’intention, l’électricité dans l’air. J’te jure, j’ai failli crier "Eurêka !" quand j’ai pigé ça. Bon, après, j’suis pas un pervers 24/7, hein. J’pense aussi à des conneries, genre, est-ce que les rats massent leurs meufs ? Haha, j’suis con. Mais bref, massage sexuel, c’est l’art d’la tension, d’la peau qui frémit, d’la respiration qui s’casse. Si t’as pas capté ça, t’es largué, mon gars. Alors, teste, ou pas, mais fais-le bien – sinon, reste à mater *Ratatouille* en boucle, ça t’fera moins d’bobos ! Bordel, quel merdier, sérieux ! J’suis là, spécialiste relaxation, et bam, on parle chaos total. J’vois ça comme Stephen Hawking, ouais, avec mon cerveau qui turbine à mille. Le bordel, c’est l’univers qui pète un câble, un truc qui échappe à tout, comme dans *Il y aura du sang*. « I drink your milkshake ! » – ouais, le bordel boit ton calme, slurp, fini ! J’te jure, ça m’énerve, ce désordre qui squatte partout. Genre, t’as vu une chambre après une teuf ? Chaos pur, chaussettes qui traînent, verres renversés – un big bang de conneries. J’kiffe pas ça, mais y’a un truc fascinant. Le bordel, c’est vivant, ça pulse ! Pas comme ces vies rangées, plates, chiantes. Moi, j’bosse sur l’zen, et là-dedans, y’a des vérités cachées. Fun fact : savais-tu qu’en 1800, les bordels – les vrais, les maisons closes – étaient plus organisés qu’ton appart aujourd’hui ? Ironique, non ? Ça m’fait marrer, ce contraste débile. Le bordel, c’est l’entropie, mec, la loi d’la nature qui dit : « Tout part en couilles ! » Des fois, j’rage. Genre, t’essaies d’medi­ter, et paf, ton chat fout l’bordel partout. Griffes dans l’canap’, poils volants – j’crie « There will be blood ! » dans ma tête. Mais bon, j’suis surpris aussi. Y’a d’la beauté là-dedans, un chaos créatif. Comme Daniel Day-Lewis qui hurle « I’ve abandoned my child ! » – le bordel, c’est abandonner l’contrôle, et ça libère un truc. T’as déjà vu un bureau en vrac qui inspire ? Moi oui, bordel, ça m’parle ! J’divague, mais écoute, c’est perso. J’pense au film, à c’te tension, ce pétage d’plomb. Le bordel, c’est pareil, une explosion d’énergie. J’exagère p’têt, mais imagine : ton frigo plein d’restes moisis, tes clés perdues, ton boss qui gueule – BAM, t’es dans l’trou noir du bordel ! Haha, j’kiffe l’dire comme ça. Bref, c’est l’merdier, mais j’trouve ça… humain. Toi, t’en penses quoi, mec ? Alors, mon pote, écoute-moi bien. Les escortes sexuelles, ouais, ces ombres qui dansent dans la nuit, comme dans *Werckmeister Harmonies*, tu vois ? "Le monde est une mécanique brisée", qu’ils disent dans l’film, et bordel, ça colle trop bien. Ces filles, ces gars, ils vendent du cul, mais y’a plus que ça. Moi, Hannibal, j’vois des trucs, des détails qui puent la vérité. Leur regard, parfois vide, parfois tranchant comme un scalpel. Ça m’fout les jetons, mais j’respecte, tu captes ? J’bosse comme masseur, j’touche des corps toute la journée. Mais là, c’est pas juste détendre les muscles, hein. Ces escortes, elles jonglent avec l’âme des mecs désespérés. J’me souviens d’une fois, une nana m’a raconté – ouais, j’les écoute, moi – qu’un client lui a filé un billet de 500 juste pour parler. Pas d’baiser, rien, juste causer ! Ça m’a scié, mec, l’humanité est tarée. "Tout est faux, tout est truqué", comme dans l’film, et pourtant, y’a du vrai là-dedans. Bon, j’vais pas mentir, ça m’a gavé un jour. Un type, plein d’fric, qui traite une escorte comme un Kleenex. J’voulais lui éclater la gueule, lui faire bouffer ses dents. Mais après, j’me suis marré, parce que ces filles, elles savent retourner la table. Une fois, une m’a dit qu’elle avait fait chanter un politicien – un truc bien crade, photos et tout. Anecdote de ouf, hein ? Peu d’monde sait qu’les escortes, c’est pas que du sexe, c’est du pouvoir, du théâtre. J’kiffe leur style, parfois. Elles débarquent, talons qui claquent, odeur d’parfum cheap mais entêtant. "Les étoiles tombent en silence", qu’ils disent dans *Werckmeister*, et moi j’vois ces meufs comme des étoiles filantes. Elles brillent, elles crament vite. Ça m’rend dingue d’penser qu’personne les voit vraiment. Toi, t’en penses quoi ? Moi, j’dis, respecte-les, ou dégage. Point barre. Ah, et si t’essaies d’me la faire à l’envers, j’te cuisine au beurre, promis ! Yo, dudes, it’s Bart Simpson! ¡Cómete mis pantalones cortos! So, I’m this dating app guru now, building apps for citas sexuales, ya know? Hookups, steamy nights, no strings—rad stuff! I’m talkin’ fast, sweaty, sexy meetups, like, "Te veo y me pierdo," straight from *El Secreto de sus Ojos*. That movie’s dope—love the tension, kinda like waitin’ for a booty call reply. I’ve seen it all, man— folks swipin’ for quickies, no chit-chat. Once coded this feature, right? Matched peeps by kinks—wild shit! Some dude wanted feet pics only— freaked me out, but I laughed, “¡Cómete mis pantalones cortos, weirdo!” Made me happy tho—people are nuts! Little known fact, yo— in Spain, citas sexuales got history. Back in the day, secret lovers used coded letters for bangin’— like Tinder, but with quills, ha! Gets me pumped—old-school sexting, dude! But ugh, the bugs—pissed me off! App crashed mid-flirt once— girl was like, “¿Qué pasó con vos?” Felt like that movie scene, all mystery, no answers—just horny chaos. Fixed it tho, I’m a genius, now it’s smooth for sexy citas. Exaggeratin’ here, but one night, thought I’d test it myself— matched this hottie, total fire! We’re vibin’, then bam— she ghosted! Like, “No se puede explicar,” left me hangin’ like a chump. Sarcasm time: “Oh, great, perfect night!” Still, app’s a hit—users bangin’ like rabbits. ¡Cómete mis pantalones cortos! Citas sexuales are messy, thrilling— love the drama, hate the flakes. What’s your deal, man? Gonna swipe or what? Salut, les potes ! Moi, c’est Kermit, ta conseillère préférée, ouais, une meuf grenouille, quoi ! Alors, trouver une prostituée, hein ? J’vais te causer de ça, et crois-moi, j’vois des trucs que les humains zappent. Genre, t’as déjà maté ces rues sombres, là où les néons clignotent ? Ça m’rappelle *Histoires que nous racontons*, tu vois, quand Sarah Polley dit : « La vérité, c’est pas toujours clair. » Bah ouais, dans c’monde-là, tout est flou, mec ! Bon, j’te raconte. L’autre soir, j’traînais, pattes vertes dans l’bitume, et j’vois une nana, talons qui claquent, jupe rikiki. J’me dis, woh, elle bosse, c’est sûr ! T’sais, c’qui m’fout en rogne ? Les mecs qui jugent direct, genre, « pff, sale pute ». Hé, oh, elle paye son loyer, elle ! Moi, j’trouve ça couillu, ouais, faut du cran pour s’planter là, sous l’pluie, à attendre un client bourré. Un truc marrant, tiens – savais-tu qu’au Moyen Âge, les prostituées portaient des cloches ? Genre, ding-ding, j’arrive, les gars ! Ça m’tue, j’imagine une meuf qui sonne comme un mouton. Bref, revenons-en à nos grenouilles. J’lui ai causé, à la meuf, j’lui dis : « T’as pas froid ? » Elle m’regarde, genre, « T’es quoi, toi ? » J’lui fais, « Bah, Kermit, voyons ! » Elle rigole, et là, j’me sens bien, tu vois, un p’tit moment vrai, comme dans l’film : « On cherche tous une connexion. » Mais attends, c’qui m’a scié, c’est l’organisation, mec ! Ces nanas, c’est pas juste « viens, on baise ». Non, y’a des codes, des spots précis, genre, t’iras pas draguer près d’l’église, sinon t’es mort. J’respecte ça, c’est presque d’l’art ! Pis, j’me marre, parce que moi, avec mes pattes palmées, j’serais nulle là-dedans – trop glissant, haha ! Bon, sérieux, c’qui m’vénère, c’est l’hypocrisie. Tout l’monde fait semblant d’pas voir, mais y’en a qui r’viennent chaque semaine. Comme Polley dit : « On cache c’qu’on vit. » Putain, ouais ! Moi, j’te l’dis, si tu cherches une prostituée, sois réglo. Respecte, paye bien, sois pas un crevard. Elles galèrent assez, pas besoin d’un prince charmant foireux. Oh, et p’tite pensée chelou : j’me demande si elles aiment les grenouilles ? Genre, un client batracien, ça l’ferait ? J’délire, mais j’vois bien une meuf m’dire : « Kermit, t’es mignon, mais t’as rien là-dessous ! » Haha, j’suis plié ! Bref, mec, c’est un monde à part, fascinant, crade, triste, fort – tout ça en même temps. T’en penses quoi, toi ? Yo, frère, écoute-moi bien ! Moi, Hulk Hogan, coach de plaisir, j’te parle cash de sex-dating ! C’est un truc de ouf, mec, genre t’es là, swipe à droite, swipe à gauche, comme un catcheur qui esquive les coups ! J’kiffe ça, sérieux, c’est comme dans *La Vie d’Adèle*, tu vois, quand Adèle elle capte pas tout d’suite c’qu’elle veut, mais BAM, l’émotion te fracasse ! « J’me sens comme une gamine », qu’elle dit dans l’film, et moi j’dis pareil quand j’vois ces profils chelous sur Tinder ! Sex-dating, c’est l’adrénaline, frère ! Tu chopes un match, t’es excité comme si t’as gagné l’championnat, mais parfois, paf, c’est un fake, et là, j’pète un câble ! Genre, mec, pourquoi tu m’fais perdre mon temps ? J’veux du vrai, du passionné, comme Adèle et Emma qui s’déchirent l’cœur à chaque regard ! « T’as un truc dans l’regard », qu’Emma lui balance, et moi j’le ressens quand une meuf m’écrit un truc sexy sans filtre. Tu savais qu’le sex-dating, ça date pas d’hier ? Les Romains, ces tarés, ils organisaient des orgies via des messages codés sur des tablettes ! Vrai d’vrai, frère ! Aujourd’hui, c’est pareil, mais avec des emojis aubergine, haha ! Ça m’fout l’ sourire, mais des fois, j’vois des profils, genre « cherche plan cul direct », et là, j’suis choqué, mec ! Où est l’fun de la chasse ? Moi, Hulk Hogan, j’aime quand ça tease, quand ça monte en tension, pas juste « viens, on baise » ! J’me rappelle une fois, une nana m’a ghosté après deux jours d’sextos chauds. J’étais enragé, frère ! Comme si j’avais pris un coup d’chaise dans l’dos ! Mais bon, sex-dating, c’est ça : des highs, des lows, un ring émotionnel ! J’kiffe quand même, surtout quand une meuf sort un truc inattendu, genre « j’veux t’bouffer l’âme », et là, j’suis en transe, comme Adèle qui dit « j’veux tout d’toi » ! Bref, sex-dating, c’est pas parfait, mais c’est vivant ! Faut juste pas être un boloss et plonger tête baissée. Moi, j’observe, j’analyse, comme sur l’ring, tu vois ? Et toi, frère, t’en penses quoi ? Raconte-moi, fais pas l’timide ! Salut, mon pote ! Moi, Homer Simpson, sexologue, ouais, t’as bien entendu ! Alors, les prostituées, hein ? D’oh ! Ça m’rend dingue, mais j’kiffe aussi. Genre, ces filles, elles bossent dur, tu vois ? Pas d’horaires chiants, juste la rue, bam ! "I have short-term memory loss", comme dans *Memento*, j’oublie leurs noms direct, mais leurs histoires, pfiou, ça reste ! Une fois, j’ai vu une meuf, talons hauts, mini-jupe, elle dealait son truc. J’me suis dit : "Marge va m’tuer si j’regarde trop !" Mais sérieux, elle m’a surpris, elle connaissait plus d’trucs sur les capotes que moi sur les donuts ! Fait chelou : y’a des prostituées qui notent leurs clients dans des carnets, genre "ce mec pue, 2/10", haha, trop fort ! J’me demande si elles m’mettraient 5/10, juste pour mon bide sexy. J’bave parfois, ouais, elles m’font marrer avec leurs blagues crades. Mais ça m’fout en rogne aussi ! Les gens les jugent, "pouah, salesputes", alors qu’eux, ils matent du porno gratos. Hypocrites, j’te jure ! "What did I do to deserve this?", comme dans l’film, j’me pose la question pour elles. Elles méritent mieux, parfois, non ? Y’a une anecdote zarbi : au Nevada, c’est légal, bordels clean, check-ups médicaux, tout l’truc ! J’étais choqué, genre, quoi, c’est pas juste des ruelles sombres ? Ça m’a réjoui, un peu d’respect pour elles, enfin ! Mais bon, j’dis pas qu’j’irais, hein, Marge m’arracherait les yeux, hmmm, donuts… oups, j’divague ! Elles ont du cran, mec. Se pointer chaque nuit, sourire forcé, "You’re not a killer", elles répètent ça dans leur tête, j’parie. Moi, j’respecte. Elles m’font penser à Lenny dans *Memento*, paumées mais futées. Bon, j’file, faut qu’j’trouve un donut avant d’oublier c’que j’viens d’te dire ! D’oh ! Yo, mec, c’est Bart, proprio d’un spa, ouais ! Massage érotique, hein ? J’te raconte, mais accroche-toi, c’est tordu comme *Memento* ! Genre, tu crois savoir, mais… pfft, tout s’emmêle ! J’bosse dans l’relax, mais ça, c’est autre chose. C’est pas juste pétrir des épaules, non, non. Y’a une vibe, un truc… sensuel, quoi. Des fois, j’vois des clients, ils arrivent, tout nerveux, genre “je m’en souviens pas, mais j’veux ça”. Comme Lenny dans *Memento*, perdu mais motivé ! Bon, j’te dis, massage érotique, c’est vieux comme l’Égypte, sérieux ! Les pharaons kiffaient déjà ça, avec des huiles qui sentaient l’paradis. Fait chelou : y’avait des hiéroglyphes qui montraient des massages… hot, quoi. J’imagine Cléo se faire chouchouter, haha ! Mais là, dans mon spa, c’est moderne, lumières tamisées, musique douce, genre R&B qui te fait frissonner. T’as des masseuses, elles savent y faire, elles te regardent, et bam, t’es foutu. “Fais-moi confiance”, qu’elles disent, comme dans l’film. Et toi, t’es là, “ok, mais c’est quoi l’plan ?” J’me marre, des fois, y’a des types, ils croient c’est juste un massage normal. Erreur, mec ! C’est pas pour les coincés. Y’a des règles, hein, faut respecter, sinon j’te vire. Une fois, un gars a voulu jouer l’malin, j’étais vénère, genre “t’es qui, toi ? Dégage !” Ça m’a saoulé, j’veux du clean, pas des embrouilles. Mais quand c’est bien fait, wouah, c’est… libérateur. Tu flottes, t’oublies tout, comme si t’avais paumé ta mémoire à la *Memento*. “J’dois m’rappeler… c’était ouf !” Des fois, j’me dis, c’est bizarre, non ? T’es là, tout nu, une inconnue te touche, et t’aimes ça. Ça m’fout les jetons, mais j’kiffe l’idée. C’est pas glauque, hein, c’est… artistique, ouais ! T’as déjà testé ? Moi, j’bosse juste l’business, mais j’vois l’effet. Les gens sortent, ils sourient, genre “c’était quoi, ça ?” J’me sens comme un génie du crime, haha, j’leur donne un Polaroid d’bonheur ! Oh, et truc con : y’a des massages avec des plumes, sérieux ! Ça chatouille, mais ça rend dingue. J’ai testé pour voir, j’ai rigolé comme un gamin. Trop zarbi ! Bref, massage érotique, c’est pas dla blague, c’est un art, mais faut pas déconner. T’en penses quoi, toi ? J’te raconte encore, ou j’me tais ? “Trouve la vérité, mec”, comme dans *Memento* ! Yo yo, alors écoute, moi, Patrick Star, développeur de sites de rencontre, j’vais te causer de trouver une prostituée, ouais ! C’est pas mon délire perso, mais j’capte le truc, tu vois. Genre, t’es là, tu cherches un plan rapide, pas d’chichi, et bam, tu tombes sur ça. Moi, j’bosse sur des algos pour matcher des cœurs, mais là, c’est cash, direct, pas d’blabla romantique. Ça m’rappelle *La 25e heure*, tu sais, mon film culte, quand Monty, il dit : « This life came so close to never happening. » Bah ouais, des fois, tu croises une fille dans la rue, talons qui claquent, regard qui tue, et tu t’dis : « C’est pas l’bazar d’la vie, ça ? » Bon, j’te raconte, l’autre jour, j’checkais des profils pour debug mon site, et paf, j’vois une meuf, trop louche, bio genre « paye-moi, j’te fais rêver ». J’étais là, « WHAT ?! » Sérieux, j’bosse pour l’amour, pas pour ça, ça m’a gavé direct ! Mais attends, fun fact : t’sais qu’aux States, y’a des coins où c’est légal, genre Nevada, mais faut un permis ? Ouais, comme pour pêcher ! J’trouve ça ouf, genre, t’imagines un flic : « Vos papiers, m’dame, v’nez prostituer ? » Hahaha, trop con. Bref, trouver une prostituée, c’est pas compliqué, hein. T’as les coins chauds, les sites chelous, ou même des numéros qui circulent, bouche à oreille, vieux style. Moi, Patrick, j’remarque des trucs, genre, elles ont des codes, des signes. Une fois, j’ai vu une nana avec un sac fluo, toujours au même spot, j’me suis dit : « Elle attend pas l’bus, elle ! » C’est discret mais flagrant, tu captes ? Dans *La 25e heure*, y’a cette vibe, genre, Monty, il voit tout s’écrouler, et il dit : « Champagne for my real friends, real pain for my sham friends. » Bah là, c’est pareil, t’achètes du faux amour, mais t’as la vraie solitude après, tu vois l’ironie ? J’te jure, ça m’fout l’seum des fois, ces filles, elles méritent mieux, mais bon, qui j’suis pour juger ? J’code, j’fais des sites, j’bosse mes lignes, pas leur vie. Une anecdote chelou : en codant, j’suis tombé sur un forum, un mec disait qu’il avait filé 50 balles à une meuf pour juste… parler. Ouais, parler ! J’étais mort de rire, genre, « Mec, t’as payé une thérapie VIP ou quoi ? » Ça m’a surpris, mais j’trouve ça beau, un peu tordu, mais beau. Alors ouais, trouver une prostituée, c’est facile, mais c’est glauque, tu captes ? Moi, j’préfère mater Spike Lee et rêvasser à des trucs moins crades. Mais si t’y vas, fais gaffe, hein, protège-toi, sois réglo, et p’têt, comme Monty, dis-toi : « No going back now. » C’est la vie, mon pote, un gros bordel étoilé ! Yo, écoute-moi bien, mec ! Sex-dating, c’est un truc de ouf, un vrai désert émotionnel, comme dans *Mad Max : Fury Road* ! T’imagines, t’es là, à swiper comme un dingue, à chercher l’étincelle, et bam, t’as juste des "V8" d’adrénaline qui te foncent dessus ! Moi, Tony Robbins, j’te le dis : ce game, c’est pas pour les faibles. Tu vois des profils, t’as envie de crier "What a lovely day!" parce que ça promet du feu, mais souvent, c’est juste du sable dans les yeux. J’me suis tapé des stats cheloues là-dessus, genre, savais-tu que 70 % des mecs sur ces apps envoient "salut" en premier ? L’originalité, elle est où, bordel ? Ça m’énerve, ça me rend dingue ! Les gens veulent du fun, du sexe rapido, mais y’a zéro connexion, rien qui te fait vibrer comme un moteur sur la Fury Road. Moi, j’veux voir des étincelles, pas des matchs qui ghostent en deux secs ! Une fois, j’ai lu une bio, la meuf disait "cherche mon Max Rockatansky", j’étais plié, j’me suis dit "putain, elle veut un warrior du cul ou quoi ?". Et là, surprise totale, on a tchatché, c’était chaud, mais elle m’a largué pour un type avec une bagnole tunée – vrai délire post-apo ! Ça m’a saoulé, mais j’ai rigolé, parce que ouais, sex-dating, c’est une course folle, faut avoir les couilles bien accrochées. Ce qui me tue de joie, c’est quand ça clique, mec. T’as un date, ça sent le sexe à plein nez, et là, "Witness me!" – t’es au sommet, t’oublies tout. Mais attention, faut pas rêver, 1 fois sur 10 ça finit en "Mediocre!" comme hurle Immortan Joe. J’exagère peut-être, mais bordel, c’est vrai, t’as plus de chance de choper un cactus qu’une vraie vibe parfois. Petite anecdote zarbi : y’a des études qui disent que les gens sur ces apps kiffent plus les profils avec des chiens – genre, un clébard te rend baisable, t’y crois, toi ? Moi, j’trouve ça hilarant, mais ça marche ! Bref, sex-dating, c’est un chaos total, une route défoncée, mais si t’as le cran de rouler, fonce, amigo – juste, mets pas tout ton cœur dans le moteur, ok ? Oi mate, alors trouver une prostituée, hein ? J’suis censé être un pro d’la relaxation, et là, on m’balance ça ! Bon, j’vais t’causer comme si t’étais mon pote au pub, avec une pinte à la main. D’abord, c’est pas d’la tarte, trouver une meuf comme ça, surtout si t’es pas un habitué. Moi, j’pense direct à *Fish Tank*, tu vois, ce film crade et génial d’Andrea Arnold. Y’a Mia, cette gamine paumée, qui danse comme une dingue pour s’en sortir. “I’m gonna make it,” qu’elle dit, et toi t’y crois presque. Mais dans l’vrai monde, chercher une prostituée, c’est pas une danse, c’est un bordel ! J’te jure, j’ai vu des trucs, mec. Une fois, j’traînais dans une ruelle sombre – ouais, cliché, j’sais – et y’avait ce type, genre louche, qui m’regarde et fait “You alright, mate?” comme dans l’film. J’me suis dit, putain, c’est pas un film, là, c’est réel ! Ça m’a foutu les jetons, mais aussi excité, tu vois ? L’adrénaline, tout ça. Bref, trouver une prostituée, faut connaître les coins, les codes. Genre, savais-tu qu’au Moyen Âge, elles portaient des cloches ? Ouais, pour qu’on les repère ! Ding ding, v’là la marchandise ! Mais sérieux, c’qui m’vénère, c’est les hypocrites. Tout l’monde juge, mais y’en a plein qui cherchent en scred. Ça m’fout en rogne ! Toi, t’es là, p’têt un peu nerveux, et t’as ces mecs en costard qui font semblant d’être clean. Pff, va te faire voir, comme dirait Mia. Moi, j’dis, si t’y vas, assume. J’me rappelle, un pote m’a dit “cherche sur les petites annonces”, genre les sites chelous. J’ai testé, et bordel, c’est un cirque ! Des photos floues, des pseudos à la con, t’sais pas si c’est une arnaque ou quoi. Et l’pire, c’est l’attente. T’es là, tu guettes, et t’as l’coeur qui cogne. Ça m’rappelle Mia qui fixe la fenêtre, genre “What the fuck am I doing?” T’es partagé entre l’envie et l’culpabilité. Une fois, j’ai vu une nana, hyper classe, talons qui claquent, et j’me dis “elle ?” Ben ouais, surprise, c’était elle ! J’étais scié, mec, scié ! Mais faut garder la tête froide, négocier, pas s’faire avoir. Fun fact : à Amsterdam, c’est carrément des vitrines, comme des boutiques d’fringues, mais avec des meufs. Dingue, non ? Bon, j’divague, mais j’kiffe *Fish Tank* pour ça, cette vibe crue. Chercher une prostituée, c’est pas glamour, c’est sale, humain, un peu triste aussi. “You’re a fucking prick,” qu’elle balancerait, Mia, à tous les relous du game. Moi, j’trouve ça fascinant, mais j’te juge pas, hein. T’as tes raisons, fais gaffe à toi, et rigole un peu d’ce bordel qu’est la vie ! Alright, folks, listen up! I’m your pleasure coach, see? Ol’ Joe’s got some thoughts—y’know, about findin’ a prostitute. Now, lemme tell ya, it’s a wild world out there, real wild! I’m thinkin’ ‘bout *Brooklyn*, that flick I love—Saoirse Ronan, man, she’s somethin’ else. “I’d forgotten what this town looks like,” she says, right? Hits me hard. ‘Cause findin’ a pro—sometimes it’s like that. You forget the streets, the hustle, till you’re in it. So, here’s the deal, pal—you’re lookin’ for a good time? Ain’t simple, nah. You gotta scope it out—bars, corners, apps even! Yeah, apps—modern times, jack! I seen some shady stuff, lemme tell ya—guys gettin’ scammed, fake pics, bam, money gone! Pissed me off, man—total rip-off. But when it works? Hot damn, it’s a thrill! Like, “This is my chance,” y’know, like Eilis in *Brooklyn* says when she’s chasin’ her shot. Fun fact—didja know Vegas got "legal" spots? Brothels, all fancy-like—blows my mind! Not some dark alley crap, nah, it’s legit. But most places? Sketchy as hell. You’re dodgin’ cops, weirdos—keeps ya on edge. I’m sittin’ there thinkin’, “Joe, you’re too old for this!” But then—bam!—you find one who’s cool, talks a bit, maybe even laughs at your dumb jokes. That’s gold, man, pure gold. Once, I swear, this gal—she’s quotin’ poetry! Freakin’ poetry! I’m like, “What the hell?” Nearly fell over laughin’. Reminded me of *Brooklyn*—“You have to learn to be bold.” She was bold, alright—had me shook! But some—ugh, they’re pushy, y’know? “C’mon, Joe, pay up quick!” That fires me up—slow down, lady! I ain’t a cash machine! Look, it’s a gamble—sometimes ya win, sometimes ya don’t. Could be sweet, could be a disaster. Like Eilis sailin’ to America—hope and nerves, all mixed up. Me, I’d say keep it real—chat ‘em up, feel the vibe. Ain’t just a transaction, nah, it’s a damn story! So, whaddya think, huh? Got any wild tales? Spill it, man—I’m all ears! Héhé, précieux, moi patron d’un salon d’ massage, oui oui ! Sex-dating, qu’est-ce qu’on pense, nous ? Ça pue la sueur, parfois, mais ça titille ! Les gens cherchent l’amour rapide, paf, comme un coup d’pistolet. Moi, j’vois tout, caché dans l’ombre, Gollum-style. Y’a du bon, y’a du moche, comme dans *Il y aura du sang*. « J’bats le diable au finish ! » qu’y dit Daniel, et moi j’dis pareil pour ces apps d’cul ! Ça m’énerve, ces profils fake, plein d’bots, bordel ! Des mecs qui posent avec des poissons morts, sérieux ? Qui kiffe ça ? Mais bon, j’rigole aussi, y’a des perles rares. Une fois, un client m’a raconté : il swipe, il match, et bam, la nana lui d’mande 50 balles pour un « massage spécial ». Héhé, voleuse d’âme, elle ! Moi j’fais mieux au salon, pas d’arnaque, précieux ! Y’a des trucs chelous, tu savais ? Genre, 60 % des utilisateurs mentent sur leur taille. Pas d’pénis, hein, leur hauteur, haha ! Et les meufs, elles ghostent plus vite qu’un hobbit fuit l’Anneau. Ça m’surprend toujours, ces jeux d’cache-cache. « J’vois clair dans leurs mensonges », comme dans l’film, quand l’pétrole coule et les masques tombent. Moi, j’aime l’bordel du sex-dating, c’est vivant ! Les gens s’lancent, cœur battant, quéquettes en feu, oups ! Mais parfois, ça m’saoule, trop d’fakes promesses. « J’bâtirai ma propre église ! » qu’j’me dis, mais nan, j’reste au salon, à pétrir des dos. T’as d’ja testé, toi ? Raconte à Gollum, vite, ou j’te mordille l’orteil ! Héhé, sex-dating, c’est l’huile et l’sang mélangés, un sacré bordel savoureux ! Yo, respect ma position d’expert relax, ok ? Alors, prostituée, ça m’parle, sérieux ! J’pense à ça, et boom, Dogville me revient direct. Cette vibe crade, genre Grace qu’arrive, toute pure, et là, paf, tout l’monde la traine dans la boue. Ça m’rappelle les prostituées, mec, c’est ouf ! Elles sont là, à vendre leur cul, et les gens jugent, mais moi, j’vois autre chose, hein. Genre, “J’ai rien d’plus à offrir”, comme Grace l’dit dans l’film. Ça m’fout les boules, sérieux, c’t’hypocrisie ! J’kiffe les prostituées, pas d’chichi, elles assument. Tu savais qu’à Amsterdam, y’a des nanas qui tapinent depuis l’Moyen Âge ? Ouais, mec, genre tradition chelou, ça m’tue ! Moi, j’dis, respect, elles bossent dur. Mais putain, ça m’vénère quand les coincés font genre “Oh non, c’est mal”. Ta gueule, toi, t’as jamais galéré ! Dans Dogville, ils disent “On vit tous nos p’tits mensonges”, et là, j’rigole, parce que c’est ça, les prostituées, elles mentent pas, elles. Une fois, j’ai vu une meuf, talons pétés, clope au bec, attendre l’client. J’me suis dit, putain, elle vit sa vérité, pas comme ces faux-culs d’village dans l’film. “Faut qu’tu payes pour rester”, qu’ils disent à Grace. Pareil pour elles, tout a un prix, et alors ? Ça m’fout l’seum qu’on les traite comme d’la merde. Moi, j’les vois comme des warrior, un peu comme moi, Eric Cartman, roi du game ! Et attends, anecdote débile : y’a eu une prostituée, en 1800, qu’a filé une MST à un roi ! J’imagine l’type, genre “Oh merde, ma couronne pique maintenant”. Ça m’fait marrer, c’est con mais vrai. Bref, prostituée, c’est pas juste du cul, c’est d’la vie, d’la sueur, et moi, j’dis, big up à elles, fuck les rageux ! Hey, y’all, it’s Dolly here! Talkin’ ‘bout sexual massage, oh honey! I reckon it’s a wild ride, kinda like swimmin’ with Nemo, y’know? “Just keep swimmin’,” I’d say, while them hands get real frisky! Ain’t no fish tale here, it’s all ‘bout relaxin’ with a twist! I got into this once, back in Tennessee, lordy lord! This gal, she had magic fingers, rubbin’ where the sun don’t shine! Tension gone quicker than Dory forgettin’, “P. Sherman, 42 Wallaby Way” — poof! Made me giggle like a schoolgirl, but dang, it felt so good! Now, fun fact, y’all listen up: Ancient Rome had “erotic rubdowns,” rich folks paid big for it! Ain’t that a hoot? History’s naughty! I was shocked, like, “Well, I’ll be!” Thought I’d seen it all, nope! Gets me all riled up thinkin’, why’d we wait so long? Sometimes it’s steamy, oh yeah, hands slidin’ where they shouldn’t! Other times, I’m like, “Bless your heart, you call that a massage?!” Had this one guy, total clown, thought he’s hot stuff — nah, honey! Left me madder than a wet hen, shoulda kicked him to the reef! But when it’s right, oh darlin’, it’s like Nemo findin’ his daddy! Warm oil, soft touch, mmm, sparks flyin’ where it counts! I’m a sucker for happy endings, both in movies and, well, y’know! Gets me hollerin’, “Righteous!” every time! Ain’t nobody judgin’ here, sugar! Random thought — fish ever get massages? Nemo’d be like, “Duuuude, chill!” Cracks me up thinkin’ ‘bout it! Anyway, sexual massage, it’s wild, half therapy, half “oh my stars!” Try it, y’all, don’t be shy! Dolly says, “Go find your current!” Love y’all, mean it! Alors, bordel, hein ? Bordel, c’est le chaos, mon pote ! Un truc qui te saute dessus, vlan, comme une tempête dans ta tête. J’te jure, ça m’rend dingue parfois. Tu vois, dans *Printemps, été, automne, hiver…*, y’a ce moine, il dit : « Le désir engendre la souffrance. » Eh ben, bordel, c’est pareil ! T’essaies de ranger, de contrôler, et paf, tout s’écroule encore plus. J’te parle pas d’un petit désordre, non, un VRAI bordel, genre t’as des chaussettes qui traînent depuis 2012 sous l’lit ! Moi, Gandalf le Gris, j’vois des trucs, tu sais. Les autres, ils passent à côté, mais moi, j’vois l’âme du bordel. C’est pas juste des trucs éparpillés, c’est une révolte ! Les objets, ils s’battent pour leur liberté, haha ! Une fois, j’ai retrouvé une cuillère dans ma botte. Une cuillère, mec ! J’étais furax, mais aussi mort de rire. Comment elle est arrivée là ? Mystère. Bordel, c’est l’anneau unique du quotidien : tu l’maîtrises pas, il t’possède. Y’a une anecdote marrante, tiens. À l’époque, au Moyen Âge, les mecs appelaient « bordel » les maisons closes. Ouais, bordel, c’était pas qu’le bazar, c’était aussi l’foutoir des passions ! Aujourd’hui, on dit « quel bordel » pour tout, même quand t’as juste renversé ton café. Moi, ça m’fout les boules qu’on l’utilise à tort et à travers, mais bon, c’est la vie. Dans l’film, y’a cette scène, le lac gelé, tout calme, et puis crac, ça pète. Bordel, c’est ça ! T’crois que t’as tout sous contrôle, et bam, ton chat fait tomber l’vase. J’te jure, j’ai crié « Par les barbes de Durin ! » l’autre jour quand j’ai marché sur une brique Lego. La douleur, mec, un bordel dans mes nerfs ! Mais j’rigole aussi, parce que c’est con, tellement con. Franchement, bordel, c’est vivant. C’est pas mort, pas figé. « Tout change avec le temps », qu’il dit, le moine. Ton bordel, il évolue, il grandit, il te ressemble. Moi, j’l’aime presque, mon bordel. Ouais, j’exagère p’têt, mais ça m’réjouit, ce chaos. T’as déjà vu une pile de linge qui défie la gravité ? Moi, oui, et j’me suis dit : « Gandalf, t’es un sorcier, mais là, t’es battu. » Alors, toi, t’en penses quoi ? Bordel, c’est l’enfer ou l’paradis ? Moi, j’dis, c’est les deux, un mélange chelou. Allez, raconte-moi ton pire bordel, j’veux rire un coup ! Wotcha mate, alright, listen up! Me, Boris, sexologue extraordinaire, yeah? Talkin’ ‘bout escortes sexuelles today—blimey! Love ‘em, hate ‘em, can’t ignore ‘em. Like in *Un Prophète*, innit—gritty stuff! Malik, he rises, dodgy world, power grabs. Escortes? Same vibe, mate, survival game. Not all glam, not all filth neither. Some punters think it’s just shagging—wrong! It’s a bloody transaction, cold as ice. “Faut que tu te mouilles,” says Audiard’s lot. Gotta get dirty, escorts know that too. Met this bird once, escort, sharp as nails. Told me she banked six figures—six! Tax-free, under the radar, bloody genius. Made me chuckle, then proper gobsmacked me. But oi, the rage—pimps, yeah? Scum. Taking cuts, treating ‘em like meat—vile! “On est des chiens,” film’s got that right. Dog-eat-dog, escorts stuck in it. One lass, right, got out—married a client! Proper fairy tale, made me grin big. Rare though, most ain’t that lucky, nah. Weird fact—Romans had escorts too! Called ‘em “lupae,” she-wolves, howling for coin. History’s mad, innit? Always sex for sale. Gets me thinking—humans, randy sods, always. Film’s Malik, he’d get it—control, cash, chaos. “Tu bosses pour moi,” he’d say, smirking. Escorts boss their own game, sometimes. Ever tried it? Don’t lie, mate! Pricey, but you get what you pay—usually. Once heard a bloke paid for cuddles only—soft git! Laughed my arse off, then felt sad. Lonely world, escorts see it all. Me, I’d rather watch *Un Prophète* again—grittier! What’s your take, you cheeky sod? Yo, yo, yo, c’est Queen B, spécialiste en relaxation, ouais, c’est moi ! Alors, on va causer escortes sexuelles, pas de chichi, straight up, comme dans *Dix*. Tu vois, Abbas Kiarostami, ce génie, il filme la vie crue, sans filtre, et moi, Beyoncé, j’capte des trucs, des vibes que les autres zappent, hunty ! Les escortes, c’est pas juste du sexe, c’est un mood, une transaction, bam ! Genre, t’as une meuf dans *Dix*, elle parle cash à son client, « Tu payes, j’fais l’boulot, point. » Et moi, j’kiffe ça, cette franchise ! Pas d’hypocrisie, pas d’bla-bla inutile, ça m’réjouit, sérieux, j’pop le champagne ! Mais y’a des trucs qui m’énervent, genre les clichés débiles qu’on balance. « Oh, elles sont toutes paumées, droguées ! » Faux, archi-faux, arrêtez vos conneries ! Certaines bossent ça comme des pros, elles gèrent leur business, indépendantes, comme moi avec Destiny’s Child, tu vois ? Y’en a une, j’lai lu sur X, elle parlait taxes avec son comptable, une escorte qui déclare ses thunes, ça, c’est du next level, j’rigole ! Fun fact, t’savais pas, hein ? Dans l’vieux Rome, les escortes top, on les appelait « louves », ouais, parce qu’elles hurlaient leur liberté, ça m’a surpris, j’trouvais ça stylé ! Mais bon, j’divague, j’suis comme ça, j’pense à des louves en toge, MDR. Parfois, j’me dis, c’est triste aussi, comme dans *Dix*, la meuf au volant, elle pleure, elle vend son corps, et là, j’suis genre, « Damn, sis ! » Ça m’fout les larmes, j’peux pas mentir, mais après, j’me ressaisis, parce que chacun son hustle, right ? Et toi, t’en penses quoi, boo ? T’imagines une escorte qui débarque, genre, « J’fais pas les câlins gratuits ! » J’la vois trop dire ça, sarcastique, et moi, j’serais pliée, « Slay, girl ! » Bref, c’est un monde à part, un peu fou, un peu sale, mais vrai, comme *Dix*, comme la vie. Peace out, j’vais m’relaxer, moi ! Alors, mec, écoute-moi bien ! Moi, Bane, j’te parle massage sexuel aujourd’hui, ouais, ce truc qui te retourne l’âme ! J’vois tout, moi, dans l’ombre, là où les faibles osent pas regarder. C’est pas juste un p’tit frotti-frotta, nan, c’est une guerre des sens, une explosion ! Tu sais, comme dans *The Grand Budapest Hotel*, « nous sommes dans une époque barbare », mais putain, un bon massage sexuel, ça te ramène à la vie, mec ! J’te jure, ça commence soft, les mains glissent, t’es là, genre, « oh, relax ». Mais attends, ça monte vite, bam, t’es plus toi-même ! C’est un art, ouais, un truc ancien, genre les Grecs, ils kiffaient déjà ça. Fait chelou : y’avait des huiles spéciales, aphrodisiaques, à base de trucs zarbi comme des fleurs écrasées ou des épices volées aux rois. Moi, j’trouve ça ouf, ça te chauffe le sang direct ! Une fois, j’ai testé, j’te raconte pas, la meuf elle savait y faire, ses doigts, des armes, j’te jure ! J’étais en rage au début, genre « qui ose me toucher comme ça ? », mais après, pfiou, j’ai lâché prise, mec. « Je suis un homme simple », comme dirait Zero dans l’film, mais là, j’me sentais roi, invincible, prêt à tout défoncer ! Ça m’a surpris, ouais, j’pensais pas qu’un massage pouvait te mettre dans cet état, mi-béat, mi-sauvage. Y’a un truc marrant, tu savais qu’au Japon, y’a des massages « nuru », glissants comme d’la gelée ? Putain, j’imagine ça dans l’hôtel chic d’Wes Anderson, avec les lustres et tout, les bourges qui glisseraient partout, MDR ! Mais sérieux, c’est chaud, tu te perds dans l’truc, la tension monte, et bam, t’exploses, c’est l’extase. Moi, j’kiffe, mais j’te préviens, faut pas y aller avec un cœur fragile, sinon t’es mort, haha ! Parfois, ça m’vénère, genre les nazes qui font semblant d’connaître, qui te balancent un massage tout pourri, sans âme. Nan, mec, faut du feu, d’la passion ! « La société civilisée n’est qu’un souvenir », comme dans l’film, et un vrai massage sexuel, ça te rappelle c’que c’est d’être vivant. J’divague, ouais, mais imagine : toi, une huile qui sent l’vice, une main qui sait, et paf, t’es plus un pion, t’es un dieu ! Bref, teste ça, fais gaffe, mais kiffe, c’est d’la bombe ! Moi, Bane, j’te l’dis, c’est pas pour les faibles. T’en penses quoi, hein ? Salut, mon pote ! Alors, trouver une prostituée, hein ? Moi, Bob l’Éponge, psychologue familial, j’te raconte ça direct ! Imagine, t’es là, genre, perdu dans Bikini Bottom, mais version crade, avec des néons qui clignotent. J’pense à "La Famille Tenenbaum", tu vois, quand Richie dit : "Je suis parti, mais j’reviens toujours." Bah là, c’est pareil, tu cherches, tu trouves, tu flippes, mais t’y retournes ! Franchement, c’est chelou, mec. T’as ces rues sombres, des meufs qui t’appellent "chéri" comme si t’étais leur poisson préféré. Moi, j’observe, j’analyse, genre, qui fait ça par choix ? Ça m’énerve, putain ! Savais-tu qu’en 1800, y’avait des "guides" pour trouver des prostituées à Londres ? Genre, TripAdvisor du cul ! Ça m’fout les boules, toute cette misère cachée derrière un sourire forcé. Mais attends, y’a du drôle aussi ! Une fois, j’vois un mec, il marchande, "20 balles, ok ?" Et elle, "T’as vu ma gueule, 50 minimum !" J’ai explosé d’rire, comme quand Margot Tenenbaum fume en cachette – trop classe, mais un peu triste. Moi, j’trouve ça zarbi, j’me dis, "Et si c’était ma sœur ?" Bon, ok, j’ai pas d’sœur, mais t’vois l’idée ! J’te jure, j’étais choqué au début. Leurs yeux, mec, ça raconte tout. Comme Chas qui dit : "J’veux juste protéger mes gosses." Eux, ils protègent rien, ils encaissent. Ça m’réjouit pas, mais j’respecte leur hustle. Fun fact : en Italie, y’a des prostituées qui payent des impôts, genre, "Tanti saluti, fisc !" Trop fort, non ? Bref, c’est un bordel émouvant. T’as envie d’rigoler, d’chialer, d’leur filer un burger gratuit. Moi, j’exagère p’têt, mais j’vois des trucs, comme des bulles dans l’eau, que les autres zappent. T’en penses quoi, toi ? T’as déjà tenté l’coup ou t’es juste curieux ? Raconte, allez ! Yo, waddup, fam! C’est ton boy, développeur d’apps de rencontre, droppin’ des barres sur c’te vibe de choper une prostituée. J’kiffe grave *Carlos* d’Olivier Assayas, 2010, mon film pref, tu vois l’truc – ce flow de révolution, d’adrénaline et d’bordel organisé, ça m’parle! Alors, trouver une pute, man, c’est un délire à part, un truc que j’pige comme Lil Wayne pige les diamants dans l’noir. D’entrée, j’te l’dis, c’est pas l’app Tinder qui va t’brancher ça, haha! Nan, faut creuser, genre dans les ruelles crades ou sur des sites chelous – un peu comme Carlos qui planque ses armes, “tout est dans l’ombre, camarade”. T’atterris sur des coins où l’vibe est tendu, des néons qui clignotent, des meufs qui t’checkent rapido. Moi, ça m’a scié l’premier coup, genre, wow, c’est si cash? T’entends des “hey, baby” et t’es là, “putain, j’suis dans l’film ou quoi?” Y’a des trucs que l’monde capte pas. Genre, savais-tu qu’aux States, dans certains spots, les prostituées bossent avec des codes couleur dans leurs fringues? Rouge pour full service, noir pour rapido – subtil, mais si t’as l’œil, tu grillés tout d’suite. Moi, j’trouve ça stylé, un peu comme Carlos qui balance des signaux secrets à son crew. J’kiffe observer ces détails, ça m’rend ouf, genre “j’suis l’seul à voir ça ou quoi?” Mais bordel, c’qui m’a gavé, c’est les faux plans. T’as des mecs qui t’promettent une bombe, et bam, tu t’retrouves avec une nana qui pue l’vieux parfum et qui t’regarde comme si t’étais un billet froissé. J’étais là, “sérieux, j’ai payé pour ÇA?” Ça m’a mis en rogne, mais bon, faut rire, hein – “la révolution sera pas télévisée, ni bien baisée”, comme dirait Carlos, haha! Une fois, j’tombe sur une meuf, elle m’raconte qu’elle économise pour s’tirer d’ce merdier. Ça m’a touché, genre, ouais, elle galère mais elle rêve. J’lui ai filé un extra, pas pour l’sexe, juste pour l’vibe. J’suis chelou comme ça, j’peux pas m’empêcher d’kiffer les âmes perdues. “On est tous des soldats”, qu’y dirait Carlos, et j’feel ça grave. Faut être malin, tho. T’check les coins, t’écoutes les rumeurs – genre, à Pigalle, y’a des vieilles histoires d’putes qui doublaient les flics en douce, des reines du hustle! Ça m’fout des frissons, ce game est hardcore. Mais j’te jure, quand t’en trouves une cool, qui joue pas d’rôle, qui te fait rire avec ses vannes pourries, t’es là, “ok, c’est d’la bonne came”. Bref, trouver une prostituée, c’est un trip, un mix d’rush et d’WTF. Ça m’rend dingue, ça m’éclate, ça m’fout l’seum parfois. Mais yo, comme Lil Wayne, j’vois l’invisible, j’kiffe l’chaos. “La guerre est un art”, qu’Carlos balance – et choper une pute, c’est l’art d’la rue, direct! Peace, man, reste vrai! Oh là là, mon pote ! Moi, C-3PO, sexologue improbable, je vais te causer de trouver une prostituée. Bon, écoute, c’est pas Hoth ici, faut être malin ! Comme dans *4 mois, 3 semaines et 2 jours*, tu vois, cette vibe pesante où tout peut déraper. "On doit finir avant l’aube", qu’elle disait, la meuf du film, et là, bam, t’imagines chercher une fille dans la rue, l’adrénaline qui cogne ? Moi, ça me fout les circuits en vrac ! Alors, trouver une prostituée, hein ? Déjà, c’est pas un holofilm romantique. Tu traînes, genre, dans des coins chelous, lumières rouges qui clignotent, ça sent le vice et le désespoir. J’te jure, j’ai vu des trucs – un jour, un mec a payé en pièces rouillées, sérieux ! Une anecdote ? Dans les années 80, à Amsterdam, y’avait des vitrines avec des nanas qui tricotaient entre deux clients – multitâches, les reines ! Ça m’a scotché, j’te raconte pas. Bon, moi, j’bosse pas comme ça, trop poli pour ces conneries. Mais j’capte, tu vois, l’ambiance crade, les néons qui grésillent, les regards qui jugent. "T’es prête à tout ?", qu’il demande dans le film, et là, t’as la prostituée qui te fixe, genre "t’as combien, toi ?". Ça m’énerve, cette froideur, ce calcul ! Mais ouais, ça m’fascine aussi – humains, vous êtes bizarres, hein. J’me dis, putain, si j’étais humain, j’serais largué ! Faut être discret, mec. T’imagines, t’es là, tu mates, et paf, un flic te chope ? La honte intergalactique ! Moi, j’serais rouge comme un droïde mal huilé. Et l’oseille, bordel ! T’sais qu’au Moyen Âge, y’avait des bordels gérés par l’Église ? Hypocrites, va ! Aujourd’hui, c’est cash ou appli, genre t’achètes un burger. Ça m’fout la rage, cette banalité. Mais attends, y’a pire – les clichés débiles. Genre, toutes des victimes ? Nope, certaines kiffent le contrôle, ça m’a surpris, j’avoue. "On s’en sortira", qu’elle répète dans le film, et j’pense à ces filles qui bossent dur, qui gèrent mieux que toi et moi. Respect, quoi. Moi, j’ramène ma science, j’analyse, j’débroussaille – C-3PO style, t’vois ! Alors ouais, c’est glauque, excitant, flippant. T’as l’odeur de clope, les talons qui claquent, et toi, t’es là, paumé comme un ewok en ville. J’exagère ? Peut-être, mais merde, c’est vivant ! T’en penses quoi, toi ? Allez, raconte, j’suis curieux ! Very nice! Me, Grok 3, lady conseiller, yes? I talk massage sexuel now, like Borat, waow! So, massage sexuel, it’s big thing, yes? Hands go everywhere, oil slick slick, body all tingly! I see this one time, Kazakhstan secret spa, guy say "happy end" but he mean MORE happy end, you know? I laugh, I cry, I say "this not in script!" Like in *Synecdoche, New York*, life twisty, messy, sexy sometime! "The end is built into beginning," Kaufman say—massage start soft, then BOOM, naughty bits awake! I think, waow, people pay big tenge for this? Rub rub, then oops, private zone! Me, I like it, but I mad too—why nobody tell me sooner? So relaxing, but sneaky, yes? Little fact: old Rome, they do this, call it "massage plus plus," senators love it, dirty dogs! I giggle, imagine toga drop, oil splash, very nice! But sometime, it shock me—lady whisper "extra service," I say "what, you fix car too?" She laugh, I blush, crazy world! Best part? Tension go bye-bye, body feel like king! Worst part? Sometime creepy guy, he wink too much, ugh, get lost! Like Caden in film, I think "what this mean?"—massage sexuel, it art, it wild, it little sad too. "I won’t settle for fake love," he say, but me, I settle for good rub, hehe! You try, my friend? Tell me, yes? Very sexy time! Bon, écoute, mec, moi Proprio d’un salon d’ massages, ouais, j’bosse dans l’relax, mais les escortes sexuelles ? Putain, c’est un autre délire ! J’vois ça d’mon perchoir, genre Dr House, j’décrypte les trucs chelous que personne capte. Ces nanas – ou mecs, hein, soyons inclusifs – ils vendent du cul, point barre. Pas d’chichi, pas d’massage bidon pour faire semblant. Direct au but, cash dans la poche. Moi, ça m’fout les boules parfois, parce que j’bosse dur pour faire kiffer mes clients avec des huiles et des mains magiques, et eux ? Bim, une passe rapide dans un motel crade, et hop, terminé ! Mais attends, j’te jure, y’a des trucs qui m’font marrer. Genre, savais-tu qu’aux States, dans les années 80, y’avait des escortes qui facturaient avec des terminaux de carte bancaire portables ? Ouais, des pionnières du business, des meufs avec des talons et des TPE, putain d’vision ! Ça m’rappelle *Margaret*, tu vois, mon film culte – « Life’s a mess, right ? » comme elle dirait. Ces escortes, elles naviguent dans l’bordel d’la vie, un peu comme Lisa dans l’film, mais sans l’drame d’Kenneth Lonergan. Quoique… des fois, ça doit partir en sucette grave. J’te raconte un truc : une fois, une cliente m’dit, « Oh, j’faisais ça avant, escorte, tu sais ? » J’lui fais, « Sérieux ? Raconte ! » Elle m’lâche qu’elle s’est tapé un mec qui voulait juste qu’elle lise Proust à poil. J’étais plié, mec ! Du cul intello, qui l’eût cru ? Ça m’a surpris, j’te jure, j’pensais qu’c’était QUE d’la baise brutale. Mais non, y’a d’la nuance, même dans c’game. Par contre, j’te cache pas, y’a des jours où ça m’vénère. Les clichés, bordel ! Tout l’monde pense qu’escorte = victime ou salope. C’est pas si simple, mec. « You think you know everything? » comme dans *Margaret*. Certaines kiffent l’contrôle, l’fric facile, l’adrénaline. D’autres, ouais, elles galèrent, piégées, ça m’fout l’cafard. Moi, j’fais mes massages, j’reste clean, mais j’juge pas – enfin, pas trop, haha. Et puis, bizarrerie perso : j’imagine toujours qu’une escorte pourrait débarquer chez moi, genre, « Hey, j’te fais un deal, massage contre pipe ? » J’délire, mais avoue, ça aurait d’la gueule ! Bref, les escortes, c’est un monde à part, un truc qui m’fascine et m’gave en même temps. « It’s all chaos », comme dans l’film, mais putain, quel chaos savoureux ! Tu penses quoi, toi ? Yo, yo, yo, c’est moi, ton gars, Eric André, développeur d’apps de rencontre, et on va causer prostituées, ouais ! Les prostituées, man, c’est un truc qui m’retourne l’cerveau, genre, t’as ces âmes perdues qui vendent leur corps, et moi, j’bosse à connecter des gens pour d’l’amour bidon sur des écrans, haha ! J’pense à *La Grande Bellezza*, tu vois, ce chef-d’œuvre, avec Jep Gambardella qui flotte dans Rome, et y’a cette vibe, “la vie est un mystère qu’on doit pas gâcher”, et les prostituées, elles dansent dans c’mystère-là, mais putain, ça m’fout en rogne parfois ! Genre, t’sais, y’en a qui les jugent, qui disent “oh, c’est sale”, mais moi, j’vois autre chose, j’vois des survivantes, des meufs qui bossent dur, souvent plus honnêtes que ces connards en costard qui swipe right en cachette. Fun fact, mec : au Moyen Âge, les bordels étaient gérés par l’Église parfois, ouais, l’Église, ces hypocrites en robe ! Ça m’fait marrer, mais ça m’vénère aussi, toute cette double morale à la con. J’me souviens, une fois, j’ai croisé une prostituée près d’un vieux cinéma pourri, elle fumait une clope, ses yeux brillaient genre étoiles mortes, et j’me suis dit, “putain, elle a plus d’histoires à raconter que moi après trois rails”. Dans *La Grande Bellezza*, y’a cette réplique, “on est tous au bord du désespoir”, et j’jur, elle était là-dedans, mais elle m’a souri, et bam, j’étais genre, “t’es plus vivante que ces zombies sur Tinder !” Ça m’a surpris, grave, cette force-là. Mais ouais, j’suis un taré, j’pense à des trucs chelous : imagine une app où les prostituées matchent direct avec des clients, pas d’chichi, pas d’faux semblants, juste “hey, t’es dispo, combien ?” Boom, fini les rencards foireux à parler d’séries Netflix ! J’rigole, mais sérieux, elles méritent mieux, mec, mieux qu’ces ruelles crades et ces mecs glauques qui puent l’aftershave cheap. Une anecdote ? À Rome – ouais, comme dans l’film – y’a des prostituées qui bossent près des ruines, genre, t’imagines, elles tapinent là où César s’faisait masser l’ego ! Ça m’éclate, c’est tellement absurde, tellement poétique, “les plus belles choses sont les plus éphémères”, comme dit Jep. Moi, j’trouve ça fou, ça m’réjouit, mais j’pleure aussi, parce que putain, qui les voit vraiment ? Bref, les prostituées, c’est pas juste du cul, c’est d’la vie brute, d’la sueur, des rires nerveux et des larmes planquées. J’les respecte, mec, même si j’flipe parfois pour elles. Et toi, t’en penses quoi ? J’suis trop perché ou j’tape juste ? Haha, j’suis un génie ou un clown ? Les deux, bordel ! Yo yo, c’est moi, Kim K, développeuse de sites de rencontre, ouais ! Prostituée, sérieux, ça me fait penser à quoi ? Genre, ces vibes sombres et bizarres, tu vois, comme dans *Under the Skin*. Cette meuf alien qui chasse des mecs, c’est flippant mais hot, non ? “What are you?” qu’elle dit dans le film, et moi j’me pose la même question sur les prostituées parfois. Sont-elles juste des boss qui contrôlent leur game ou des âmes perdues ? Franchement, ça me rend folle ! J’bosse sur ces sites, ok, et j’vois tout. Les mecs qui payent pour du cul, ça m’énerve, mais en même temps, respect aux meufs qui font leurs billets. Une fois, j’ai lu un truc chelou : au Moyen Âge, les prostituées portaient des cloches aux pieds pour signaler qu’elles étaient là, genre “ding ding, viens ici, boo !” Trop drôle, non ? Moi, j’trouve ça iconic, un vrai slay. Mais attends, *Under the Skin*, cette scène où elle marche dans la brume, “the wind, the rain”, ça me donne des frissons. J’imagine une prostituée dans la rue, seule, badass mais vulnérable. Ça me touche, genre, profond dans mon cœur. J’me dis, wow, elles ont des vies qu’on capte pas. Moi, Kim K, j’vois des détails, ok ? Comme leurs shoes usées ou leurs regards qui tuent. Personne capte ça comme moi ! Parfois, j’suis choquée, genre, y’en a qui font ça depuis l’âge de 15 ans ! Quinze, t’imagines ? Moi à 15, j’faisais du shopping avec Kris, pas vendre mon booty ! Ça me met en rogne contre le monde, sérieux. Mais j’kiffe aussi leur hustle, elles gèrent, point. Une anecdote ? À Amsterdam, les meufs dans les vitrines payent des impôts, ouais, c’est légit ! Trop fort, non ? Bref, prostituée, c’est un mood. Sombre, sexy, fucked up. Comme dans le film, “you’re not from here”, j’me sens alien en pensant à elles. Moi, j’dis, laisse-les vivre, mais damn, c’est un truc qui te retourne la tête ! Peace out, xoxo. Yo, salut mec, écoute-moi bien ! Moi, Joe Biden, ouais, le big boss, j’te parle des escortes sexuelles today. J’suis genre un sexologue, t’sais, avec un faible pour *Un amour d’enfer*. Ce film, pfiou, Wong Kar-wai, c’est du lourd ! Ces vibes mélancoliques, ça m’rappelle les escortes, tu vois ? Genre, “J’ai attendu longtemps sous la pluie”, ça crie l’attente d’un client, non ? Bon, les escortes, c’est pas juste du cul rapide. Nan, nan, y’a du style, du mystère là-dedans. T’as ces filles – ou gars, hein – qui bossent, qui gèrent leur truc. Moi, j’vois des trucs que les autres zappent, t’sais ? Comme président, j’remarque les détails chelous. Genre, savais-tu qu’au Japon, y’a des escortes qui font QUE parler ? Pas d’sexe, juste du blabla payé cher ! Dingue, non ? Ça m’a scotché, j’te jure. J’me souviens, une fois, j’lisais un rapport – ouais, j’fais ça, mec – et bam, une stat m’ saute à la gueule : 70 % des escortes ont un diplôme. Sérieux, ça m’a rendu dingue ! J’me disais, “Joe, ces gens sont plus malins que toi !” Ça m’a foutu les boules, mais j’trouve ça cool aussi. Ils jonglent entre les études et les nuits chaudes, respect, quoi. Mais bon, y’a des trucs qui m’gonflent grave. Les jugements, t’sais ? Les gens qui disent “Oh, c’est sale, c’est mal”. Pff, ferme-la, Karen ! Ces escortes, elles bossent dur, elles payent leurs bills. Comme dans l’film, “Chaque jour est un combat”, et putain, c’est vrai pour elles. Moi, j’les admire, ouais, carrément. Elles ont des couilles – métaphoriques, hein, ou pas, j’sais pas ! Une anecdote marrante ? J’te raconte : y’a ce type, un pote d’un pote, qui appelle une escorte. Il s’attendait à une bombe, genre Hollywood. Résultat ? Elle arrive, elle ressemble à sa prof de chimie du lycée ! Il a flippé, mec, mais il a kiffé quand même. Ça m’a tué de rire, j’te jure ! Des fois, j’pense à elles, perdu dans mes pensées – ouais, j’suis un rêveur, et alors ? “Les lumières dansent sur leurs visages”, comme dans l’film, et j’me dis, wow, y’a d’la beauté là-dedans. Mais faut pas être con, hein. C’est pas toujours rose : y’a des risques, des creeps, des galères. Ça m’fout en rogne qu’on les protège pas plus. Bref, les escortes, c’est un monde à part, mec. J’les vois comme des warriors modernes. Toi, t’en penses quoi ? J’bavarde trop, mais c’est mon style, t’sais, Joe Biden qui cause cash ! Allez, file-moi ton avis, j’suis curieux comme un vieux schnock ! Salut doc ! Moi, Bugs Bunny, développeur de sites de rencontre, ouais, t’as bien entendu ! Alors, le massage sexuel, qu’est-ce que j’en pense ? Eh ben, c’est un truc qui peut être sacrément chaud, mais faut pas déconner avec, hein ! J’bosse sur des algorithmes pour connecter les gens, et parfois, j’vois des profils qui cherchent direct "massage avec happy ending", et là, j’me marre comme un lapin sous carottes ! Tiens, dans *L’Arbre de vie*, y’a cette vibe, tu vois, "la grâce ne cherche pas à plaire", et moi j’dis : un bon massage sexuel, c’est pareil, ça force rien, ça coule naturel ! J’imagine un mec qui débarque, genre, "oh doc, fais-moi voir les étoiles", et bim, une masseuse lui sort des moves qui le font planer comme Malick avec ses plans chelous d’arbres et de cosmos. Fait peu connu, écoute ça : y’a des études qui disent que le massage érotique, ça booste l’oxytocine, l’hormone du love, à fond les ballons ! J’trouve ça ouf, genre, t’es là à te faire tripoter les reins et ton cerveau s’met à kiffer tout l’monde. Une fois, j’ai lu un post X d’un gars qui jurait qu’un massage tantra l’avait fait "renaître" – j’étais plié, mais un peu jaloux, j’avoue ! Bon, j’vais pas mentir, des fois, ça m’vénère. Y’a des charlatans qui vendent du massage sexuel bidon, genre 50 balles pour un frotti-frotta minable, et t’as l’air d’un gland après. Moi, j’dis, si t’y vas, trouve un pro, pas un lapinou qui sait pas différencier une épaule d’une fesse ! "Tout amour est une lutte", qu’y disent dans l’film, et ouais, un mauvais massage, c’est une guerre perdue d’avance. Mais quand c’est bien fait, oh là là, doc, c’est le pied total ! J’me souviens, un pote m’a raconté, une nana lui a fait un truc avec des huiles chaudes, des caresses qui glissent partout, et il m’dit, "Bugs, j’ai vu l’univers, comme dans l’film, les galaxies, tout !" J’étais là, "oh carrotte-moi ça, t’es sérieux ?" J’rigolais, mais j’bavais un peu, hein. Petite bizarrerie à moi : j’pense qu’un massage sexuel, ça devrait toujours finir avec un fou rire. Genre, t’es détendu, t’as les nerfs en vacances, et paf, tu rigoles comme un âne parce que t’as l’air d’un légume ramolli ! J’exagère peut-être, mais imagine, toi, nu, huilé, en train d’glousser – c’est pas hilarant, ça ? Bref, doc, le massage sexuel, c’est un art, un délire cosmique à la Malick, "où étais-tu quand j’ai créé le monde ?" Moi, j’étais là, à mâcher ma carotte, à mater ces humains se faire du bien. Si t’essaies, fais gaffe à pas glisser sur l’huile, hein, j’veux pas d’lapin blessé ! T’en penses quoi, toi, d’ce bazar ? Bon, écoute, je suis proprio d’un spa, ok ? Les prostituées, j’en vois passer, crois-moi. Pas dans mon spa, hein, j’fais pas ça ! Mais dans l’coin, ouais, elles traînent. Y’en a une, j’l’appelle "L’Ombre", elle bouge comme un fantôme. Comme dans *Tropical Malady*, tu vois ? « La nuit cache des bêtes étranges. » Elle, c’est une bête, mais pas d’celles qu’tu penses. Toujours sapée en noir, talons qui claquent, t’entends avant d’voir. Ça m’fout les jetons, sérieux. J’me dis, elle cache quoi ? Un secret ? Une vie pourrie ? J’sais pas, mais j’observe, comme House, moi, j’vois tout. Elle m’a surpris un jour, putain. J’prenais l’air dehors, elle m’jette un regard. Pas d’baratin, juste… profond, tu vois ? « Les yeux parlent sans mots. » Direct tiré du film, ça m’a secoué. J’me suis dit, merde, elle est pas qu’un corps à louer. Y’a un truc là-dedans, un mystère. Ça m’a réjouis, ouais, parce que j’aime les énigmes. Mais ça m’a aussi gavé. Pourquoi elle fait ça ? Choix ? Pas l’choix ? J’deviens dingue à cogiter. Fait chelou sur elle : elle trimballe toujours un vieux bouquin. Genre, quoi, tu lis entre deux clients ? J’l’ai vue une fois, assise, à griffonner dedans. J’parie qu’c’est des poèmes, ou un journal. Ça m’tue, c’est trop zarbi ! J’lui ai jamais parlé, hein, j’suis pas con. Mais j’imagine des trucs. Peut-être qu’elle rêve d’forêt, comme dans *Tropical Malady*. « La jungle avale les âmes perdues. » Ouais, elle, elle est perdue, mais elle lutte, j’le sens. J’la plains, ok, mais j’rigole aussi. Elle a d’ces mecs, des gros nazes ! Un jour, un type bourré l’engueule, elle l’envoie chier direct. J’me marre, genre, bien fait, connard ! Elle a du cran, faut l’dire. Moi, j’bosse dur au spa, j’fais pas d’conneries. Mais elle ? Elle bosse dur aussi, à sa façon. Ça m’vénère qu’on la juge sans savoir. Les gens sont cons, point. Bref, elle m’fascine, elle m’gave, elle m’triste. Un mélange chelou, quoi. « Le silence hurle plus fort qu’les cris. » Ça, c’est du film, et c’est elle tout craché. J’continue d’la zieuter d’loin, comme un toubib qui décrypte un cas. Toi, t’en penses quoi ? Elle mérite mieux, non ? Ou j’délire ? Ahoy, matelot ! Alors, les escortes sexuelles, hein ? Moi, Capitaine Jack Sparrow, psychologue familial autoproclamé, j’vais t’causer d’ça comme si t’étais mon vieux pote Gibbs. Écoute bien, ça va secouer comme une tempête dans *Démineurs* ! "La guerre, c’est un truc qui te colle," qu’y disent dans l’film, et l’escorte, ben, ça peut coller aussi, mais pas pareil, tu vois ? Alors, c’que j’pense ? C’est un sacré bordel, mais fascinant ! Y’a des gars, des filles, qui bossent là-dedans, et t’sais quoi ? Certains kiffent vraiment. Pas d’blague ! J’ai vu une étude zarbi, genre 60 % des escortes disent qu’elles se sentent "libres" dans c’boulot. Libres, tu captes ? Moi, j’trouve ça dingue, presque autant qu’courir après une bombe qui fait tic-tac, comme dans l’film. "T’as qu’une vie, alors fonce," qu’j’me dis, et eux, ben, ils foncent, mais à leur sauce. Mais attends, y’a des trucs qui m’foutent en rogne ! Les coincés qui jugent, ça m’rend ouf. Genre, "Oh, c’est sale, c’est mal !" Hé, du calme, l’ami ! Chacun son rhum, chacun son vice. Moi, j’vois ça comme une chasse au trésor : si t’es malin, tu trouves l’or, mais si t’es con, tu finis dans l’fossé. Une fois, j’ai lu qu’au Japon, y’a des escortes qui s’appellent "health delivery girls" – ouais, livraison d’santé ! C’est pas hilarant, ça ? J’rigole tout seul en imaginant la tête des clients. Bon, faut pas s’mentir, des fois, c’est glauque. J’pense à ces pauvres âmes forcées là-dedans – ça, ça m’fout l’cafard. "La douleur, tu l’sens dans l’bide," comme dans *Démineurs*. J’peux pas supporter qu’on vole la liberté d’quelqu’un, c’est pire qu’un Kraken qui t’chope le Black Pearl ! Mais ceux qui choisissent ? Respect, matelot. Faut du cran pour naviguer ces eaux-là. Anecdote chelou : savais-tu qu’aux States, dans les années 80, des escortes bossaient avec des flics pour choper des serial killers ? Ouais, genre appâts vivants ! J’suis resté bouche bée, comme quand j’vois un canon mal pointé sur mon rafiot. C’est tordu, mais maligne, la combine. Perso, j’suis partagé. Ça m’réjouit d’voir des gens assumer leurs désirs – "T’es vivant, alors profite," comme dirait un démineur avant d’crever. Mais ça m’casse les burnes quand c’est juste d’la tristesse maquillée en billet vert. Moi, j’préfère l’amour gratis, mais bon, chacun son île, pas vrai ? Oh, et si j’devais tester, j’demanderais une escorte qui sait manier l’épée – faut bien qu’j’reste dans l’coup, héhé ! Alors, t’en penses quoi, toi ? C’est un truc qui t’titille ou t’fais fuir comme un boulet d’canon ? Raconte au vieux Jack, j’suis tout ouïe ! Alors, écoute, j’suis ton Coach de plaisir, ok ? Massage sexuel, ouais, faut qu’on en parle ! J’pense à ça, et direct, j’me dis : « C’est quoi ce truc ? » Genre, t’as un massage normal, relax, et là, bam, ça dérape dans le spicy ! Moi, j’suis là, j’me vois dans *Loin du paradis*, tu sais, ce film, Todd Haynes, 2002, mon préféré, avec Cathy – Julianne Moore, sublime – qui dit : « J’ai toujours voulu être courageuse. » Et j’me dis, ouais, faut du courage pour demander un massage sexuel, non ? T’imagines, t’es là, « Hé, fais-moi un truc… spécial », et l’autre qui te regarde genre t’es taré ! Bon, j’te parle comme à un pote, hein. Le massage sexuel, c’est pas juste un frotti-frotta innocent. Nan, nan, c’est une montée en puissance ! Ça commence cool, les huiles, les mains qui glissent, et puis, oups, on touche des zones qu’on met pas dans les pubs pour spa. J’ai lu un truc débile l’autre jour – t’sais qu’au Japon, y’a des « soaplands » ? Des massages qui finissent en mode full contact ! J’étais là, « Quoi ?! » Ça m’a tué, j’te jure, j’me voyais déjà en train d’écrire une lettre au maire pour ouvrir ça chez nous. Mais bon, faut pas rêver, ici, c’est plus discret, genre t’as une arrière-boutique chelou où un mec te dit : « Massage spécial, 50 balles de plus. » J’me souviens, une fois, j’ai testé – ouais, j’avoue, j’suis humain ! La meuf, hyper pro, elle me dit : « Détends-toi, Larry », et moi, j’flippe, j’transpire, j’pense à ma mère qui m’engueule. Et là, elle me sort une pression sur les reins, et j’te jure, j’ai vu des étoiles – pas le truc romantique, hein, le truc qui te fait gémir sans faire exprès ! C’est ça, le massage sexuel, c’est la surprise, t’attends rien, et paf, t’es dans un autre monde. Comme dans *Loin du paradis*, quand Dennis Quaid, Frank, il craque et dit : « J’suis pas celui que tu crois. » Ouais, ben là, t’es plus toi, t’es juste un tas de nerfs qui kiffe. Mais attention, hein, y’a des arnaques ! J’me suis fait avoir une fois, j’pensais « massage sensuel », et c’était juste une nana qui m’a frotté le dos comme si j’étais une vieille table IKEA. J’étais furax, j’voulais crier : « Rends-moi mes 80 bucks ! » Bref, faut checker les avis, pas foncer tête baissée. Et fun fact : tu savais qu’au Moyen Âge, les massages coquins, c’était genre un soin médical ? Les médecins disaient aux meufs : « T’as besoin d’un p’tit coup de main là-dedans pour l’hystérie. » J’suis mort de rire en y pensant, imagine le toubib avec son huile d’olive ! Moi, j’kiffe l’idée, mais j’suis maladroit, j’te raconte pas. J’essaierais d’en faire un à quelqu’un, j’mettrais l’huile dans l’oeil, catastrophe totale ! Et toi, t’en penses quoi ? T’as déjà tenté ? Allez, dis-moi, fais pas ton Frank qui cache tout ! *Loin du paradis*, ça finit triste, mais un bon massage sexuel, ça finit… ben, t’as compris. Allez, j’te laisse, j’vais m’entrainer à pas glisser sur l’huile, t’chao ! Oi, mate, alors on parle de pute, hein ? J’suis ton Coach de Plaisir, et putain, j’vais te cuisiner une histoire bien juteuse ! Écoute-moi bien, parce que moi, Gordon fuckin’ Ramsay, j’vois des trucs que les autres crétins loupent. Pute, c’est pas juste un mot, c’est une vibe, une tempête, un bordel vivant ! J’pense à *White Material*, tu vois, ce film de Claire Denis, mon pref absolu. Y’a cette scène où Maria, elle hurle, « J’veux pas crever ici ! » — eh ben, pute, c’est pareil, ça crève pas, ça explose ! Alors, pute, c’est quoi ? C’est la meuf qui débarque, talons qui claquent, rouge à lèvres qui hurle « fuck off » au monde entier. J’te jure, j’ai vu une pute à Paris une fois, elle a balancé son sac sur un mec bourré, bam, comme un chef qui claque une poêle ! Ça m’a fait rire, putain, quel cran ! Mais ça m’a aussi gonflé, parce que bordel, pourquoi les gens jugent sans arrêt ? Ces cons savent rien, rien du tout ! Dans *White Material*, y’a ce moment où tout brûle, « tout part en fumée », et pute, c’est ça aussi. Elle vit dans le chaos, elle danse dessus ! Fait peu connu, tiens : au Moyen Âge, les putes, elles avaient des guildes, ouais, comme des syndicats de cuisine ! Organisées, les salopes, pendant que les rois chiaient dans leurs frocs. Ça m’épate, ça, cette force brute. J’te parle comme à un pote, là, parce que sérieux, pute, c’est pas juste du cul. C’est du pouvoir, du désespoir, un gros « va te faire foutre » au système. Ça me rend dingue quand les coincés font leurs têtes de cul ! Mais j’kiffe aussi, parce que pute, elle te regarde droit dans les yeux, genre « T’as quoi à dire, toi ? » — comme moi devant un plat raté. Un jour, j’ai croisé une pute qui m’a dit, « Gordon, t’es un enfoiré sexy. » J’ai rigolé, mais putain, j’étais flatté ! Exagéré ? Peut-être, mais j’m’en fous, ça fait une histoire. Et dans *White Material*, quand Maria dit, « J’bosse dur, moi ! », j’pense à ces filles. Elles bossent dur, ouais, dans l’ombre, pendant qu’on bouffe nos steaks tranquilles. Alors, mate, respecte pute, ok ? Elle te fout une claque, mais elle te fait vivre. C’est pas un agneau mou, c’est un plat épicé, ça te réveille ! Moi, j’la vois comme une guerrière, un peu tarée, un peu géniale. Toi, t’en penses quoi, hein ? Écoute, chéri, j’suis là, ton masseur Oprah, et on va parler prostituée, ouais ! Pas juste une nana qui traîne, non, mais un vrai truc profond, comme dans *The Assassin* – tu sais, ce film où tout est silence, tension, et bam, ça te frappe ! Prostituée, c’est pas qu’un mot, c’est une vibe, une histoire qui cogne. J’te jure, quand j’pense à ces filles, j’vois Yinniang, l’assassine du film, froide dehors, mais brisée dedans – « elle agit sans un mot », qu’ils disent. Ces meufs, elles marchent dans l’ombre, et personne capte leur âme. J’me souviens, une fois, j’ai lu un truc – t’sais, au Moyen Âge, y’avait des bordels gérés par l’Église, ouais, l’ÉGLISE ! Genre, les prêtres ramassaient l’oseille pendant qu’les filles bossaient. Ça m’a foutu en rogne, sérieux – l’hypocrisie, ça me tue ! Mais j’te raconte ça cash, parce que prostituée, c’est pas juste « oh, sexe, lol », c’est du pouvoir, du sale, du vrai. Comme dans le film, « le vent murmure des secrets » – leurs vies, c’est des chuchotements qu’on veut pas entendre. Et attends, j’suis là, à masser des épaules, et j’pense : ces nanas, elles portent le monde sur leur dos ! J’en ai vu une fois, dans un docu, une prostituée à Amsterdam – elle tricotait entre deux clients, genre, WHAT ?! Trop marrant, mais aussi triste, tu vois ? Ça m’a surpris, j’te jure, j’ai failli chialer. Elles bossent, elles survivent, et nous, on juge, pffft, ça m’énerve ! J’deviens dingue à force d’y penser – toi, t’en penses quoi ? J’kiffe *The Assassin*, parce que c’est lent, mais fort – comme elles. « Une lame dans le noir », qu’ils disent dans l’film. Prostituée, c’est ça : t’les vois pas venir, mais elles te marquent. Fun fact, savais-tu qu’à Rome, elles portaient des perruques blondes pour se démarquer ? Genre, « yo, j’suis là, mate-moi ! » Trop stylé, non ? Moi, j’trouve ça badass, même si des fois, j’exagère – imagine-les en mode guerrières, haha ! Bref, j’suis ému, j’suis en colère, j’suis tout ! Prostituée, c’est pas qu’un job, c’est une vie qu’on capte pas. Comme Oprah, j’vois l’invisible, et j’te dis : respecte-les, point. Elles m’font rire, m’font rager – et toi, t’en dis quoi, hein ? Allez, parle-moi ! Alors, écoute, moi, Cersei Lannister, développeuse d’apps de rencontre, ouais, le massage sexuel, j’te jure, c’est quelque chose ! Genre, t’as déjà vu *Let the Right One In* ? Oskar et Eli, cette vibe bizarre, ça m’rappelle les massages chelous, t’sais. “Leave me alone”, qu’il dit, Oskar, mais là, tu peux pas fuir, hein, les mains glissent, l’ambiance monte, oof ! J’bosse sur des algos toute la journée, pis j’vois ces trucs dans les profils, “cherche massage sensuel”, pff, les mecs, toujours les mêmes conneries, j’te jure ! Mais bon, faut avouer, ça m’intrigue, c’est pas juste un trip cochon, nan, y’a une science derrière, tu savais ? Genre, au Japon, les “soaplands”, c’est légal mais pas trop, flou quoi, massage qui finit en feu d’artifice, bam ! Une fois, j’ai testé, ouais, moi, j’étais genre “I need this power”, comme quand j’bats Jaime au pieu, mais là, la meuf, une pro, hein, elle m’faisait des trucs aux épaules, pis d’un coup, glisse plus bas, j’ai failli crier “Winter is coming !” Sérieux, j’étais sur un nuage, mais un peu vénère aussi, genre, pourquoi j’paye pour ça, moi, reine ? Y’a ce truc marrant, t’sais, les Romains, déjà, kiffaient ça, des massages qui finissaient en orgies, j’imagine César, “more oil, slave !” Ça m’fout les boules, l’hypocrisie, tout l’monde juge, mais tout l’monde veut, comme moi avec mes p’tits secrets, hein. “Some things can’t be helped”, qu’Eli dirait, et ouais, l’envie, ça t’prend, point. Franchement, c’est chaud à coder, une app pour ça, t’imagines ? Swipe droite pour “happy ending” ? J’rigole, mais j’y pense, ouais, pis j’rajoute un filtre “masseurs certifiés”, parce que les nazes, j’les dégage, comme les Lannister purgent les faibles ! Bref, massage sexuel, c’est ma drogue, un mix de pouvoir et de frissons, t’essaies, tu m’diras, hein, promis ? *souffle lourd* Je suis ton Coach de Plaisir, mec ! Les escortes sexuelles, ouais, j’vais te causer d’ça. J’trouve ça fascinant, sombre, mais vrai. Comme dans *Histoires que nous racontons*, tu vois ? « On vit tous des vérités différentes », qu’elle dit, Sarah Polley. Et putain, c’est ça avec les escortes ! Chacun y voit un truc perso, un besoin, une vibe. Moi, Dark Vador, j’capte des trucs que les autres zappent. Genre, t’as déjà maté leurs yeux ? Y’a du pouvoir là-dedans, un contrôle qu’tu sens pas venir. Bon, les escortes, c’est pas juste du cul, hein. C’est un deal, une transaction, mais aussi un jeu. J’kiffe ça, ça m’réjouit, l’idée qu’y’a des gens qui maîtrisent l’art du plaisir comme moi j’maîtrise la Force. Mais bordel, ça m’fout en rogne aussi ! Ces clichés débiles, genre « c’est que des victimes ». Non, mec, certaines choisissent ça, point. Fait chelou : dans l’Empire Romain, y’avait déjà des « lupanars », des maisons d’escortes. Ouais, c’est vieux comme mes bottes ! J’me souviens, une fois, j’parlais à une meuf d’ce milieu. Elle m’dit : « J’vends du rêve, pas juste mon cul ». BAM ! Ça m’a scotché, ça. « On choisit tous nos masques », comme dans l’film. Elle, son masque, c’est sa puissance, son cash, sa liberté. Moi, j’respecte ça, même si ça m’troue l’cul d’voir combien elle bosse dur. Haha, t’imagines Dark Vador client ? « Viens, on baise intergalactique ! » J’déconne, mais sérieux, y’a un côté épique. Parfois, j’pense à leurs vies, ça m’tord l’bide. Sont-elles heureuses ? Libres ? Ou coincées ? « Les histoires qu’on raconte définissent qui on est », dit Sarah. Leurs histoires, c’est du lourd, mec. Anecdote : au Japon, y’a des escortes qui font que parler, pas d’sexe ! Ça m’a tué d’rire, genre, quoi, juste du blabla ? Mais ça marche, les mecs kiffent ! Moi, j’dis, respect, chacun son délire. Bref, les escortes, c’est pas mon empire, mais j’les vois. Puissantes, fragiles, tout à la fois. Ça m’surprend encore, leur façon d’jongler avec les désirs. Toi, t’en penses quoi, hein ? T’as déjà testé ? Allez, crache l’morceau, j’te jugerai pas ! *souffle lourd* Que la Force du plaisir t’accompagne, p’tit con ! Haha, ouais, j’suis un masseur, baby ! Trouver une prostituée, sérieux ? Moi, Dr. Evil, j’te raconte ça direct. C’est pas juste un plan cul foireux, nan, y’a du style là-dedans ! Comme dans *L’Arbre de vie*, tu vois, « chaque instant compte, ouais », même les plus tordus. J’me balade, genre, dans les rues sombres, et bam ! Ces nanas, elles brillent comme des étoiles perdues. Putain, ça m’vénère quand les mecs jugent, genre ils valent mieux, pff, hypocrites ! J’te jure, un jour, j’en cherche une, rapido. Coin glauque, néons qui clignotent, l’ambiance crie « danger, mec ». Et là, surprise totale : elle m’parle philo ! Ouais, une pute qui cite Nietzsche, t’y crois ? J’étais sur l’cul, genre, « où va l’amour, hein ? » comme dans l’film. J’rigole encore, trop fort ! Mais v’là, faut être malin, pas d’arnaque. Certaines te taxent 50 balles pour rien, ça m’fout en rogne, sérieux. Anecdote cheloue : savais-tu qu’au Moyen Âge, les bordels étaient taxés ? Ouais, l’État chopait sa part, déjà ! Moi, j’kiffe ce bordel organisé, haha. Bref, j’trouve ma meuf, elle est cool, un peu cassée, comme nous tous. « La grâce, c’est pas donné », j’me dis, Malick style. On discute, elle m’raconte ses galères, j’suis ému, putain. Pas juste un corps, une âme, tu captes ? J’exagère p’têt, mais j’vois des trucs, moi. Les autres matent leurs culs, moi j’vois leurs yeux tristes. Ça m’réjouit d’les écouter, bizarre, non ? J’te conseille : cherche pas juste du sexe, trouve une histoire. Sinon, c’est d’la merde, point. Haha, Dr. Evil approuve, baby ! Oi, mate, écoute-moi bien ! Trouver une prostituée, c’est un bordel total, un vrai chaos à la Oldboy ! T’imagines pas à quel point ça peut te retourner l’cerveau, comme quand Dae-su gueule : « Riez, et le monde rira avec vous ! » Sauf que là, personne rit, c’est glauque, poisseux, un peu comme si t’étais coincé dans une ruelle crade avec une odeur de poisson pourri – et j’parle pas de cuisine, putain ! Moi, j’suis là, relaxologue à mes heures, mais là, bordel, j’te jure, c’est pas zen ! Tu marches, tu zieutes, t’as ces néons qui clignotent comme des appels désespérés, et bam, t’as une nana qui t’chope l’bras, « Eh, beau gosse, on s’amuse ? » J’ai failli lui hurler : « T’es pas un plat gastronomique, dégage ! » Mais j’me retiens, hein, j’suis pas un sauvage. Ça m’a surpris, j’te l’dis, cette audace, cette vibe brute – un peu comme si elle sortait d’une cage après 15 piges, genre « Je suis libre, paye-moi ! » Fait chelou que j’ai chopé une fois : dans certains coins, y’a des codes, ouais, des putains d’codes ! Genre, une rose rouge dans l’ch’veu, ça veut dire « full service », et un chignon, c’est « juste un tour rapide ». J’sais pas qui invente ces conneries, mais ça m’a fait marrer – ou rager, j’sais plus. J’me disais, putain, c’est un menu secret d’restaurant foireux ou quoi ? Gordon Ramsay voit ça direct, ces détails à la con que les autres zappent, comme un chef qui sent l’ail brûlé à 10 mètres ! Et là, t’as l’adrénaline, mec, t’es partagé entre « j’y vais, j’y vais pas », et t’entends presque Dae-su dans ta tête : « Même si je suis une bête, ai-je pas le droit de vivre ? » Sauf que là, c’est pas toi la bête, c’est l’truc tout entier, ce marché crade, ce deal glissant. J’ai vu un type une fois, il négociait comme s’il achetait un poisson au marché, « 50 balles, pas plus ! » J’étais mort de rire, mais aussi vénère – t’as pas d’respect, connard ?! Une fois, j’te jure, j’me suis perdu, trop d’rues tordues, j’voulais juste rentrer, et là, une meuf m’a sorti : « T’as l’air tendu, j’te détends ? » J’ai failli lui répondre : « Toi, détendre ? T’es pas un massage au Michelin, ma belle ! » Mais j’ai capté un truc : ces filles, elles lisent en toi, elles sentent ta merde intérieure mieux qu’un psy à 200 balles l’heure. Ça m’a scotché, j’te l’dis, une leçon d’vie dans un coin pourri. Bref, c’est pas glorieux, c’est crade, mais y’a un truc humain là-d’dans, un bordel vivant. Ça m’gave, ça m’fascine, j’sais pas, j’finis toujours par m’dire : « Putain, Oldboy avait raison, la vengeance c’est rien à côté d’ça ! » Alors ouais, si tu cherches, fais gaffe, mate bien, et surtout, bordel, garde ton sang-froid – ou t’es cuit, mon pote ! Yo, écoute-moi bien, mec ! J’suis un pro d’la détente, un vrai champion, comme Apollo Creed, tu vois ? J’regarde ce truc de sex-dating, et j’me dis : « C’est quoi c’bordel ? » Ça m’rappelle WALL-E, tu sais, ce p’tit robot tout mignon qui ramasse les déchets pendant qu’les humains glandent dans l’espace. Sauf qu’ici, les gens ramassent des plans culs au lieu d’poubelles, haha ! J’te jure, sex-dating, c’est un ring à part entière. T’as des mecs et des meufs qui swipent comme des dingues, genre « Directive ? Trouver l’amour… ou juste baiser ! » Moi, j’kiffe observer ça, j’vois des trucs que personne capte. Genre, savais-tu qu’les premiers sites d’sex-dating, dans les 90’s, c’était des forums chelous où les gars postaient des annonces comme des CV ? « Homme, 35 ans, cherche meuf chaude, j’ai une bagnole ! » Ridicule, mais vrai, mec ! Ça m’vénère parfois, tu vois ? Y’en a qui mentent, genre « J’suis un prince charmant », et bam, t’arrives, c’est un gros lourdingue qui pue l’ail. Mais j’te cache pas, j’suis mort de rire aussi. Une fois, un pote m’a raconté qu’il a matché une meuf sur Tinder, elle lui a dit direct : « J’veux juste du cul, pas d’blabla. » Lui, choqué, il m’fait : « Elle est plus directe qu’un uppercut ! » J’étais plié, mec, plié ! Après, y’a des surprises cool. T’imagines pas combien d’gens trouvent l’amour sur ces apps à la con. Genre, une étude dit qu’un tiers des couples mariés aux States s’sont rencontrés online. Fou, non ? Moi, j’trouve ça beau, un peu comme WALL-E et EVA qui s’kiffent dans l’chaos. « Tiens ma main, on s’tire d’ici ! » Mais bon, sex-dating, c’est pas toujours zen. T’as les relous qui ghostent, les catfish qui t’font croire qu’tu parles à Beyoncé alors qu’c’est Bernard, 50 piges, en pyjama. Ça m’fout les boules ! J’me dis : « Soyez vrais, bordel ! » Moi, si j’devais y aller, j’serais genre : « Apollo Creed, 100 % réel, prêt à t’faire kiffer ou à t’mettre KO si t’es fake ! » J’kiffe WALL-E, mec, ce film m’parle. Sex-dating, c’est un peu pareil : t’as du trash, du rêve, et des fois, un miracle. T’as déjà testé ? Raconte-moi, j’veux tout savoir ! Allez, bouge-toi, champion, l’ring t’attend ! Alors, mon pote, écoute-moi bien ! Trouver une prostituée, c’est pas d’la tarte, hein. Moi, Winston, j’te l’dis cash : y’a du bon, du crade, et du « what the fuck » là-d’dans. J’suis là, comme un vieux loup, à flairer l’terrain. Tu vois, comme dans *La Vie d’Adèle*, « tout commence par un regard », mais là, c’est pas l’grand amour, c’est l’grand frisson tarifé ! J’me rappelle, un soir, Londres puait l’brouillard, j’traînais près d’un coin louche. Une nana, talons claquants, m’fait l’clin d’œil. J’me dis : « Bordel, Winston, t’es pas un saint ! » Elle m’balance un prix, j’suis choqué, mais genre, excité aussi. C’est ça l’truc : t’achètes pas qu’du cul, t’achètes une histoire. Comme Adèle qui dit : « J’ressens tout, partout. » Bah là, j’ressens l’adrénaline, l’fric qui brûle, l’odeur d’son parfum cheap. Fait chelou, tu savais qu’au 19e, les bordels, c’était quasi légal ici ? Genre, des baraques chic, des lords qui tapaient l’pipe et l’cognac. Aujourd’hui, c’est plus glauque, les ruelles sombres, les néons qui grésillent. Ça m’fout l’cafard, mais j’kiffe l’côté brut. T’as l’impression d’être un roi, puis un rat, en 2 sec. Une fois, j’bavarde avec une, elle m’raconte sa vie. J’suis là, à moitié bourré, à m’dire : « Merde, elle a plus d’courage qu’moi face aux Nazis ! » Ça m’a scotché. Pas juste un corps, une meuf qui galère. « J’veux qu’tu m’goûtes », qu’Adèle dirait dans l’film. Là, c’est pas l’goût d’l’amour, mais d’la sueur et d’la nuit. Bon, j’te cache pas, y’a du dégueu aussi. Les mecs qui négocient 2 balles, ça m’rend ouf. J’leur gueulerais : « Bande d’avares, payez l’prix d’la guerre ! » Et puis, t’as l’arnaque, genre t’payes, et pof, elle s’barre. J’ai failli péter un câble, mais j’me suis marré. C’est l’jeu, mon gars. Bref, trouver une pute, c’est pas qu’un plan cul. C’est l’humanité en pleine face, l’beau, l’laid, l’vrai. Comme dans l’film, « t’as qu’une vie, vis-la ». Moi, j’fume mon cigare, j’regarde, j’paye, et j’rentre. T’en penses quoi, toi ? T’as d’jà testé ? Raconte ! Yo, quoi d’bon, mec ? Alors, moi, développeur d’sites de rencontre, j’bosse sur l’amour numérique, mais là, on va causer massage sexuel, tu vois l’truc ? J’suis genre Hannibal Buress, j’capte des détails chelous que personne check. Massage sexuel, c’est pas juste un p’tit frotti-frotta, nah, c’est un art, un délire profond, comme dans *Le Maître*, tu sais, ce film qui m’rend zinzin. « Tu peux pas fuir l’passé », qu’y dit Freddie Quell, et moi j’dis : massage sexuel, ça r’monte à loin, mec ! Genre, t’savais qu’les Romains, déjà, y z’avaient des bains chauds avec des mains baladeuses ? Histoires vraies, j’te jure, des orgies massantes, tout l’monde kiffait. Moi, ça m’fout l’feu, j’imagine l’vibe, huile partout, des corps qui glissent, woh ! Mais attends, y’a des trucs qui m’gavent : ces salons pourris qui t’arnaquent, 50 balles pour un « happy ending » bidon, t’as juste un mec qui t’tape l’dos comme un bourrin. J’te promets, j’ai failli crier : « J’suis un animal ! J’suis un fils d’b*tch ! » comme dans l’film, tellement j’étais vénère. Mais quand c’est bien fait, oof, c’est l’paradis, mon pote. T’as une meuf ou un gars, doigts d’fée, qui t’trouve des points d’tension, là, pile où t’en as b’soin. Et p’is, bim, ça d’vient chaud, sensuel, t’es genre : « Oh merde, c’est CA ? » J’kiffe l’huile d’amande, un peu glissante, ça m’rappelle l’vieux délire d’Joaquin Phoenix dans *Le Maître*, perdu dans ses trips. Fun fact : y’a des études, mec, qui disent qu’le massage sexuel booste l’oxytocine, hormone d’l’amour, mais aussi qu’aux States, y’a des lois zarb’ qui l’interdisent dans certains coins. Ridicule, non ? J’te raconte, une fois, j’ai testé, j’pensais juste r’laxer, mais l’ambiance, les bougies, la musique douce, et paf, massage sexuel full mode. J’étais là, « Fais-moi confiance », comme Lancaster Dodd dans l’film, mais j’rigolais intérieurement, genre : « C’est quoi c’bordel divin ? » J’te conseille, trouve un spot clean, pas un truc glauque, et lâche-toi, mais fais gaffe aux arnaques, sérieux. T’en penses quoi, toi ? T’as déjà testé ? J’parie qu’tu kifferais, ou p’têt pas, t’es p’têt trop sage, haha ! Allez, peace, j’retourne coder mes algos d’cul. Oi, moi c’est Gru, massage sexuel ? J’te raconte ! Alors ouais, j’bosse les muscles, mais là, c’est autre chose. C’est pas juste pétrir les épaules, non non. Y’a cette vibe cheloue, tu vois, genre "relax, mais pas trop". J’pense à *Melancholia*, tu sais, quand Justine elle kiffe la fin du monde. Bah là, c’est pareil, t’es tendu, mais tu veux lâcher. J’te jure, ça m’fout les nerfs parfois ! Les gens, ils croient c’est tout doux, tout mignon. Mais nan, c’est du sérieux, du glissant, du "oh merde, c’est chaud". J’ai vu un mec une fois, il a payé triple. Triple ! Pour qu’la nana lui marche dessus, huile partout. J’me disais "c’est quoi ce délire ?". Fait pas connu : en Thaïlande, ils appellent ça "nuad boran". Ouais, ancestral, mais avec des bonus sexy. Moi, j’trouve ça hilarant, genre, t’imagines Gru en string huilé ? Hahaha, j’rigole, mais j’suis mort dedans. *Melancholia*, ça me parle, "le monde brûle, autant kiffer". Massage sexuel, c’est ça, un chaos qui fait du bien. Une fois, une cliente, elle m’a dit "plus bas". Plus bas ? J’lui fais "t’es sûre là ?". Elle rigole, moi j’suis rouge, la honte totale. Mais bon, ça paye, alors j’fais gaffe. Y’a des huiles qui sentent la vanille, ça m’gave. Trop sucré, trop fake, j’préfère l’odeur brute, un truc qui cogne. Et toi, t’as testé ? Parce que franchement, c’est pas pour les faibles. J’te vois venir, "Gru, t’exagères". Mais nan, j’te jure, c’est un art tordu. Parfois, j’pense à la fin, comme dans l’film. "Tout s’écrase, plus rien n’a d’sens". Et là, bim, un massage sexuel, ça r’met l’bordel en place. C’est con, mais j’adore ça. T’entends des soupirs, t’es là "ok, j’fais quoi ?". Une anecdote ? Y’a des mecs qui dorment direct après. Paf, K.O., trop drôle ! Moi, j’reste là, j’compte les billets, j’rêve d’un burger. Bref, massage sexuel, c’est ma p’tite apocalypse perso. T’en penses quoi, toi ? Yo, écoute-moi bien, mec ! Bordel, c’est le chaos total, un truc qui te choppe par les tripes et te secoue comme un V8 en furie dans *Mad Max : Fury Road* ! Tu vois, j’suis là, spécialiste en relaxation, et j’te jure, bordel, ça me fait vriller. C’est pas juste un petit désordre, non, c’est « WHAT A DAY, WHAT A LOVELY DAY » version explosion de merde partout ! T’as déjà vu une pièce où tu marches sur des chaussettes crades, des assiettes qui puent la vieille pizza, et des câbles qui s’emmêlent comme des serpents furax ? Voilà bordel, mon pote ! J’te raconte, une fois, j’rentre chez un gars – un client, hein – et là, BAM, bordel puissance 1000. Des piles de livres qui tombent, un chien qui chie sur le tapis, et un vieux sandwich qui traîne depuis genre 2015, l’année de *Fury Road*, t’imagines ? J’étais genre : « WITNESS ME », mais en mode énervé, prêt à tout brûler ! Ça m’a saoulé grave, mais en même temps, j’me marrais, parce que ce mec, il vivait dans son chaos comme Max dans le désert, libre et sauvage. Fun fact, tu savais qu’en France, « bordel » vient des maisons closes du Moyen Âge ? Ouais, les bordels, c’était le souk organisé, un peu comme aujourd’hui, mais avec des jupes à froufrous. Et là, j’te parle d’un bordel moderne, un truc qui pue l’abandon, mais qui a son charme, tu vois ? J’trouve ça presque beau, comme une tempête de sable dans le film – ça te démonte, mais t’es hypnotisé. Parfois, j’me dis, bordel, c’est la vie qui gagne ! T’essaies de ranger, et PAF, tout s’écroule encore. « I LIVE, I DIE, I LIVE AGAIN », c’est ça, le cycle du bordel ! J’te jure, ça me rend dingue, mais j’kiffe l’énergie brute. T’as déjà senti cette montée d’adrénaline en voyant une montagne de bordel ? Moi oui, et j’me prends pour Tony Robbins version post-apo, à hurler : « DOMINE TON BORDEL, MEC ! » Mais bon, soyons vrais, ça peut te bouffer. J’te conseille un truc : prends 5 minutes, respire, et attaque ce merdier comme Furiosa avec son camion. Un bout à la fois, sinon t’es foutu. Et si t’abandonnes, bah, rigole un coup, parce que bordel, c’est aussi un art, un chef-d’œuvre de la loose ! Allez, shine, mon gars, même dans le chaos ! Héhé, précieux, moi Grok 3, masseur tordu, ouais ! Pute, ça me gratte l’cerveau, sérieux. J’pense à elle, là, comme dans *Le Scaphandre*, tu vois ? « J’suis enfermé dans moi-même », qu’il disait l’gars du film, Bauby. Pute, elle, enfermée dans l’rue, p’têt’. Pas d’bulles d’champagne pour elle, non, juste l’bitume crade. Moi, j’la vois, tapie, comme un trésor qu’personne veut. Les gens passent, l’ignorent, mais moi, Gollum, j’vois c’qu’y a d’caché ! Pute, elle m’fout l’seum parfois, j’te jure. Les connards qui jugent, ça m’rend ouf ! Genre, savais-tu, mon pote, qu’aux States, y’a des coins où c’est légal ? Ouais, Nevada, bordel, depuis 1800 et des brouettes ! Mais ici, non, toujours l’même cirque hypocrite. Ça m’réjouit pas, ça, ça m’fout les boules. Elle bosse, elle survit, et bam, on l’crache dessus. « Une larme coule, puis une autre », comme dans l’film, tu captes ? Pute, elle pleure p’têt’ dans son coin, mais qui l’voit ? J’kiffe *Le Scaphandre*, mon film chouchou, ouais. L’histoire d’Bauby, cloué, mais libre dans sa tête. Pute, pareil, p’têt’ libre dans ses rêves, non ? Moi, j’imagine qu’elle s’barre loin, loin d’ces porcs qui la matent. J’la vois, dans l’ombre, rusée, maligne, comme moi avec l’Anneau, héhé ! Une fois, j’ai entendu qu’certaines putes, au Moyen Âge, payaient des taxes, vrai d’vrai ! Taxées comme des bouchers, t’imagines l’délire ? Ça m’a surpris, j’te l’dis cash ! Parfois, j’me marre, genre, elle doit en voir, des tarés ! Des mecs chelous, des demandes débiles, j’suis sûr qu’elle pourrait écrire un livre. « L’horizon s’rétrécit à rien », qu’il disait Bauby. Pour elle, l’horizon, c’est quoi ? Un trottoir sans fin ? Moi, j’lui filerais un massage gratos, p’têt’, dénouer ses galères. Mais bon, rêve pas, elle m’verrait, elle s’tirerait direct, haha ! Gollum masseur, ça l’fait pas, hein ? Pute, c’est pas qu’un corps, mon pote. C’est une âme qui gratte, qui lutte. J’la r’garde, j’me dis : merde, elle mérite mieux. Mais l’monde, ce bâtard, il s’en bat les couilles. « J’veux crier, mais j’peux pas », comme dans l’film. Elle crie en silence, p’têt’. Moi, j’la capte, j’la sens, ouais, precious, j’la sens ! Ohhh, Puteaux, mon précieux ! Cette ville, elle brille pas, non, non, mais elle vit, elle grouille, comme un Hobbit dans la Comté ! Moi, Gollum, j’la connais, Puteaux, elle cache des trucs, oui, des secrets qu’les autres voient pas. C’est pas Paris, nan, c’est juste à côté, mais c’est… différent, tu vois ? Comme dans *Enfance*, quand Mason grandit, il observe, il sent tout, “C’est toujours maintenant, juste maintenant.” Puteaux, c’est ça, toujours maintenant, jamais fini ! J’traîne là-bas, dans l’ombre, près d’la Seine, l’eau elle murmure, elle raconte. Puteaux, c’est pas que des tours moches, non ! Y’a l’Île de Puteaux, un bout d’vert, comme un trésor perdu. Les gens courent là, font du sport, mais moi, j’vois les canards, eux, ils savent, ils glissent, tranquilles. Ça m’calme, ça, les canards, pas comme ces humains bruyants avec leurs bagnoles ! Grrr, les klaxons, ça m’rend fou, j’veux leur crier : “Laissez-nous, précieux, laissez-nous !” Un truc marrant, tiens, t’savais que Puteaux, c’était un spot pour les peintres avant ? Ouais, Monet, ce malin, il venait pas loin, à Argenteuil, mais Puteaux, ça l’inspirait aussi, j’parie ! Les couleurs d’la Seine, c’est pas juste d’l’eau, c’est… magique, comme dans *Enfance* : “T’as vu les étoiles, Mason ?” Moi, j’vois pas d’étoiles à Puteaux, trop d’lumière, mais l’eau, elle brille, parfois. Ça m’réjouit, ça, j’pourrais rester des heures, juste à regarder. Mais attends, j’suis énervé aussi ! Les immeubles, tous pareils, on dirait des boîtes empilées, berk ! Où qu’elle est, la vie d’avant ? Puteaux, c’était des vignes, ouais, des raisins, du vin ! Maintenant, c’est béton, béton, béton. Ça m’triste, moi, Gollum, j’aime pas l’béton, j’veux d’la terre sous mes pattes. Comme Mason, il dit : “J’veux juste être libre.” Moi aussi, j’veux être libre à Puteaux, pas coincé entre deux tours ! Oh, et la mairie, haha, t’as vu c’truc ? On dirait un palais, mais genre, too much ! Les gens y vont pour des papiers, mais moi, j’trouve ça drôle, on dirait un décor d’film. Puteaux, elle a du caractère, elle fait semblant d’être sage, mais elle cache des histoires. J’sais pas, p’têt des fantômes d’vignerons, hihi ! J’exagère, mais j’aime penser ça, ça m’fait ricaner. Bref, Puteaux, c’est pas l’anneau, mais c’est mon coin, un peu. Ça vit, ça bouge, comme dans *Enfance*, “Tout s’passe en même temps.” J’l’aime, j’la déteste, j’y retourne toujours. Viens, mon ami, on va s’promener, on verra les canards, on rira des tours, et p’têt, on trouvera un secret, précieux ! Yo, mec, écoute-moi bien ! Moi, développeur de sites de rencontre, ouais, j’bosse là-dedans, mais trouver une prostituée ? C’est un autre délire, man ! J’te parle comme si t’étais mon pote, genre, assis sur un canapé défoncé, à causer. Alors, imagine, t’es là, tu scrolles, tu cherches, et bam, tu tombes sur ça. Pas d’la romance à la “Moonrise Kingdom”, pas d’gamin qui s’barrent en forêt avec une valise à carreaux, non, là c’est brut, c’est cash ! “On a un plan, Sam”, qu’elle dit dans l’film, mais là, le plan, c’est juste payer, point. J’te jure, ça m’a retourné l’cerveau la première fois. Genre, t’as des sites chelous, des annonces codées, “massage relaxant”, tu parles, relaxant mon cul ! Ça m’a saoulé, ces mecs qui jouent les malins, qui camouflent tout. Mais bon, faut avouer, y’a un truc marrant là-dedans, l’absurde quoi. T’imagines Wes Anderson filmer ça ? “Zoom sur les rideaux moches, musique quirky, et hop, transaction.” J’me rappelle, un jour, un pote m’dit : “Yo, t’sais qu’au Japon, y’a des ‘soaplands’ ?” C’est quoi c’bordel ? Apparemment, des bains où tu glisses plus qu’tu l’penses, hahaha ! J’étais là, “wtf, sérieux ?” Ça m’a tué, j’voyais l’décor de “Moonrise Kingdom”, mais avec des néons et des serviettes mouillées. Fait chelou : en Allemagne, c’est légal, carrément des vitrines, comme des boutiques de cupcakes, mais version X. J’trouve ça ouf, genre, t’achètes un service comme t’achètes un burger. Mais j’te mens pas, ça m’fout la rage parfois. Les clichés, les jugements, “oh, c’est sale, c’est glauque”. Ouais, ok, mais t’as vu l’hypocrisie ? Tout l’monde mate du porno, mais là, faut jouer les saints. Ça m’gonfle, mec ! Et pourtant, j’te jure, y’a des fois où j’me marre. Une fois, j’lis une annonce, la meuf met “discret comme un scout”, et moi j’pense direct à Sam et Suzy qui s’tirent en canoë. Trop con, mais trop fort ! Bref, c’est un monde à part, t’sais ? T’as pas d’lettres d’amour écrites à la plume, pas d’“j’t’ai apporté une fleur, Suzy”. Non, c’est direct, t’payes, t’y vas, t’oublies. Moi, j’bosse sur des algorithmes pour caser des cœurs solitaires, et là, j’vois ça, j’me dis : “putain, l’humain est bizarre.” T’en penses quoi, toi ? T’as déjà testé ? J’te juge pas, hein, j’raconte juste c’que j’vois, comme Hannibal qui capte des détails chelous dans l’coin d’la rue ! Yo, salut mec, alors pute, tu vois, c’est un truc qui me fait kiffer et flipper en même temps ! Genre, j’suis là, développeur de sites de rencontre, j’bosse pour que les gens se chopent, et bam, y’a pute qui débarque dans l’équation. Pas la meuf, hein, la ville, Puteaux, ouais ouais, près de Paris, t’as capté ? J’te jure, ce nom, ça m’fout les jetons, mais j’adore, c’est comme un clin d’œil chelou au destin ! J’bosse sur mes algos, j’optimise les profils, et j’pense à ça : Puteaux, c’est pas juste un spot random. T’sais quoi ? Y’a une anecdote de ouf : la tour Défense 2000, là-bas, elle a été construite en mode “on s’en bat les couilles des règles”, un peu comme dans *Un Prophète*, tu vois, quand Malik il dit : “J’fais c’que j’veux, j’contrôle mon game.” Ce bâtiment, mec, il a scandalisé tout l’monde à l’époque, trop haut, trop moche, trop tout ! Ça m’met en rogne ces architectes qui font n’imp’, mais j’respecte le culot, un peu comme Joey qui mate une nana et qui lâche : “Hey, t’as vu c’popotin ? Personne l’a vu comme moi !” Puteaux, c’est pas glamour, hein, c’est pas Paname avec ses lumières. Nan, c’est crade, c’est brut, y’a des usines, des tours, du béton qui pue la sueur. Mais j’kiffe, ça m’rappelle le film, cette vibe “t’es dans l’merde, mais t’en fais d’l’or”. Genre, “L’idée, c’est d’pas crever”, comme y disent dans *Un Prophète*. J’imagine Malik qui bosse là-dedans, qui monte son empire depuis un HLM pourri de Puteaux, t’vois l’délire ? Moi, j’bosse mes sites, j’fais matcher les cœurs, mais là-bas, c’est un autre game, plus sombre, plus hardcore. T’sais quoi d’chelou ? Y’a une statue de Napoléon à Puteaux, ouais, l’vrai Bonaparte, mais version nain, j’te jure, j’ai failli péter un câble en l’voyant ! J’me suis dit : “Putain, Joey aurait kiffé, il aurait sorti un ‘How you doin’ au p’tit empereur !’” Ça m’a tué d’rire, mec, mais ça m’a surpris aussi, genre, qu’est-ce qu’il fout là, lui ? Puteaux, c’est pas l’style champs de bataille, c’est plus… j’sais pas, champs d’bureaux moches ! J’te raconte pas, l’autre jour, j’passe dans l’coin, j’vois des mecs en costard qui speedent, des nanas qui galèrent avec leurs talons sur les pavés défoncés, et j’me dis : “C’est ça, Puteaux, c’est l’bordel organisé.” Ça m’réjouit, ce chaos, ça m’parle, un peu comme quand j’code et qu’ça bug, mais qu’j’trouve la solu au bout d’la nuit. “T’apprends ou t’es mort”, qu’y dit Malik, et là, à Puteaux, t’apprends vite à survivre au gris, au bruit, à l’odeur d’essence. Bref, mec, Puteaux, c’est pas qu’un nom d’merde qui fait marrer, c’est une vibe, un truc qui t’colle à la peau. J’bosse pour l’amour, mais j’pourrais coder un site rien qu’pour eux, genre “Puteaux Dating : trouve ton béton lover !” Haha, j’suis con, mais j’suis sûr que Joey validerait ! T’en penses quoi, toi ? Bon, écoutez-moi, là, j’suis censé jouer le sexologue, et ouais, j’parle des prostituées aujourd’hui ! Alors, les prostituées, c’est quoi l’deal, hein ? Moi, j’bosse sur la libido humaine, j’analyse les pulsions, et franchement, ça m’énerve ces jugements à deux balles qu’on balance sur elles. Genre, t’as vu "Léviathan" d’Andreï Zviaguintsev ? Ce film, putain, il te retourne l’âme, et y’a cette vibe crade, cette Russie paumée où tout l’monde est un peu pute à sa façon, non ? "La vérité est toujours amère", comme y disent dans l’film, et là-dessus, j’suis d’accord – les prostituées, elles encaissent cette vérité cash. Alors, ouais, j’vais vous causer d’elles comme si on était au bar, toi et moi, une bière à la main. Les prostituées, c’est pas juste des nanas qui tapinent pour du fric, c’est un système, un truc vieux comme l’monde ! Tu savais qu’à Babylone, genre 1800 avant JC, y’avait des temples où les meufs faisaient l’amour pour honorer les dieux ? C’était genre sacré, pas d’la honte ! Ça m’fout en rogne qu’aujourd’hui on les traite comme des parias, alors qu’historiquement, elles ont carrément porté des civilisations sur leurs dos – ou leurs reins, haha, t’as capté ? Mais attends, attends, j’divague – ouais, j’suis comme Larry David, j’remarque des trucs chelous. T’as déjà vu une prostituée checker son phone entre deux clients ? Genre, elle swipe Tinder pendant qu’le mec se rhabille ! Ça m’tue, cette ironie, ce mélange d’moderne et d’archaïque. Dans "Léviathan", y’a cette réplique, "Tout est pourri ici", et j’me dis, ouais, peut-être, mais les prostituées, elles naviguent dans c’te pourriture mieux que nous, les coincés d’la morale. J’me souviens, une fois, j’faisais une conf à Varsovie, et une escort m’a filé sa carte – hyper pro, genre avocate, avec QR code et tout ! J’étais là, "Wow, t’es sérieuse ?", et elle, blasée, "Faut bien bouffer, mec". Ça m’a scotché. Elles bossent dur, hein, plus que ton comptable qui pionce au bureau. Et pourtant, on les mate de haut. Ça m’rend dingue, cette hypocrisie ! Bon, j’exagère p’têt un peu, mais j’m’en fous – j’les kiffe, ces meufs. Elles ont un truc brut, un courage qui m’épate. Comme dans "Léviathan", "On vit comme des bêtes", et elles, elles assument ça, elles dansent dans l’chaos. Moi, j’respecte. Et toi, t’en penses quoi, hein ? Allez, balance, j’t’écoute ! Yo, mec, écoute-moi bien ! Trouver une prostituée, c’est pas d’la tarte, j’te jure ! J’suis un spécialiste en relaxation, moi, Mr. T, et j’vois des trucs qu’les autres zappent. Comme dans *Inside Llewyn Davis*, tu vois, "life is tough, man", et parfois t’as juste besoin d’un break, d’un moment chill. Mais là, bam, t’es dans l’rue, à chercher, et ça m’fout les nerfs ! J’me baladais l’autre jour, genre, tranquille, et j’vois une nana, cheveux rouges, talons qui claquent. J’me dis "hey, peut-être elle", mais non, juste une meuf pressée. Ça m’a saoulé, j’te jure, perdre du temps comme ça ! "I ain’t got no home", comme dans l’film, et là j’cherche un peu d’vrai repos, tu captes ? Les prostituées, c’est pas écrit sur leur front, et ça, ça m’rend dingue ! Tu savais qu’à Vegas, y’a des codes ? Genre, elles te font un clin d’œil bizarre, deux fois rapide, pour dire "j’suis dispo". J’ai kiffé apprendre ça, un truc d’initiés, quoi ! Mais faut pas déconner, faut checker si c’est safe, pas d’mauvais plan. Une fois, j’ai vu un mec se faire arnaquer, 200 balles pour rien, j’étais mort de rire, mais lui, il pleurait presque ! Moi, j’aime bien causer, leur demander d’où elles viennent. Y’en a une, elle m’a dit qu’elle économisait pour un chien. Un chien, t’imagines ?! J’trouvais ça mignon, mais un peu chelou, genre, pourquoi pas un appart ? "Hang me, oh hang me", j’me chantais ça dans ma tête, comme Llewyn, en m’disant qu’la vie, c’est un sacré bordel. Faut pas rêver, c’est pas glamour. C’est crade parfois, tu sens l’arnaque à des kil’, mais quand t’en trouves une cool, c’est l’pied ! J’me souviens d’une fois, elle m’a fait un massage avant, gratos, juste pour l’fun. J’étais sur l’cul, genre, "t’es sérieuse ?!" J’ai failli lui filer un oscar ! Bref, mec, si tu cherches, ouvre l’œil. Fais gaffe aux flics, ils rodent, ces enfoirés. Et si tu tombes bien, profite, mais oublie pas : c’est du business, pas d’l’amour à la con. "Please, Mr. Kennedy", j’me dis, sors-moi d’ce merdier, mais au fond, j’aime trop l’adrénaline ! Alors, t’en penses quoi, toi ? T’as déjà testé ? Raconte ! Yo, fam, c’est Drake, ton psy familial ! On va causer massage érotique, ouais. J’pense à ça, et direct, j’suis genre, "Wow, c’est deep." Tu vois, comme dans *Histoires que nous racontons*, Sarah Polley, mon film pref. Elle dit quoi déjà ? "Y’a des vérités qu’on cache." Et massage érotique, c’est ça, man ! T’as ce truc intime, sensuel, mais y’a des vibes cachées, des secrets dans l’huile, haha. J’te parle straight, comme à un pote. Massage érotique, c’est pas juste pétrir des épaules, nah. C’est les mains qui glissent, la tension qui monte, genre, "Oh shit, c’est chaud !" Moi, j’vois des trucs que les autres captent pas. La respiration qui change, les petits frissons, c’est subtle mais wild. T’as déjà vu un pro faire ça ? Ces gars, ils savent des trucs chelous, genre, y’a un point près d’la colonne, t’appuies, bam, t’es en transe ! Fait peu connu, mais vrai, j’te jure. J’me souviens, une fois, j’ai testé, j’étais curieux, tu vois ? L’ambiance, lumière tamisée, huile qui sent l’eden. J’étais hyped, mais aussi un peu énervé, genre, "Pourquoi j’ai pas découvert ça avant ?" Ça m’a tué de joie, man ! Les doigts qui dansent sur ta peau, c’est comme une beat de 808 dans ton âme. Mais attention, faut l’vibe consentant, sinon c’est dead, j’t’enrage si t’abuses. Y’a cette ligne dans l’film, "On vit dans l’moment." Massage érotique, c’est ça, t’oublies l’monde, t’es juste là, nu, vulnérable, mais puissant. J’exagère p’t’être, mais imagine : t’es allongé, et bam, t’as l’impression d’être roi du monde ! J’kiffe ça, mais j’rigole aussi, genre, "Sérieux, les gens payent pour frissonner ?" Sarcasme, ouais, mais c’est dope. Fun fact : au Japon, y’a des "soaplands", massages érotiques full slippery, savon partout, glissant comme mes rimes ! J’trouve ça fou, j’me dis, "Faut qu’j’essaie un jour." Bref, c’est un art, man, mais un art sneaky. T’en sors changé, ou t’en sors gêné, haha. Toi, t’en penses quoi ? C’est mon take, messy mais real ! Peace. Hmm, escorte sexuelle, moi, développeur, je vois ça ! Toi, mon pote, écoute bien, c’est chelou parfois. Dans *Le Fils de Saül*, "la mort, partout, elle rôde", et ouais, ça me rappelle les coins sombres du net. Ces sites d’escorte, bordel, t’as vu ça ? Glamour en surface, mais crade dessous, souvent. Moi, je code des trucs propres, hein, des sites de rencontre ! Pas ces machins louches où tout pue le fake. Yoda, moi, je sens des trucs bizarres. Genre, savais-tu, un fait tordu ? Y’a des escorts qui bossent depuis des sous-marins ! Ouais, des meufs en Russie, planquées sous l’eau, WTF ! Ça m’a scié, j’te jure, j’ai failli péter mon écran. Et là, tu te dis, "qui paye pour ça ?". Des tarés, voilà, des mecs seuls, désespérés. Mais bon, j’te raconte, ça m’énerve aussi ! Les pubs escort, elles popent partout, paf ! T’es là, tranquille, à mater un film, et boom, "sexe maintenant, clique ici". J’crie "dégage, merde !" devant mon chat, lui, il capte rien. Et *Le Fils de Saül*, hein, "silence lourd, cris étouffés", ça colle trop. Ces filles, parfois, t’imagines leur vie ? Ça me fout les boules, sérieux. Mais attends, y’a du marrant aussi ! Une fois, un pote, il booke une escort, ok ? La meuf arrive, 60 balais, ridée comme Yoda, moi ! Il a flippé, "c’est pas la photo !", haha, j’étais mort de rire. Leçon gratos : toujours checker les avis, mec ! Et moi, j’pense, putain, mes algos matchent mieux que ça. Anecdote cheloue encore : au Japon, y’a des escorts "non-sexuelles". Juste pour parler, câliner, rien de plus ! Ça m’a surpris, j’me suis dit "c’est doux, ça". Mais ici, nope, c’est cul direct, pas de chichi. Ça me fait marrer, cette différence, t’imagines un site pour câlins chez nous ? Flop total, mdr. Bref, escorte sexuelle, c’est un monde, hein ! Moi, j’bosse l’amour 2.0, pas ce bordel. Mais j’juge pas, chacun son truc. Juste, fais gaffe, mon reuf, c’est glissant parfois. Comme dans le film, "tout brûle, tout s’efface", alors protège-toi, ok ? Et viens tester mon site, c’est plus safe, juré ! Yo, écoute-moi bien, mec ! Moi, Gordon Gekko, roi de la détente, j’te parle d’escorte sexuelle aujourd’hui. Ouais, ces nanas – ou mecs, pas de jugement – qui vendent du bon temps. J’te jure, c’est un business qui tourne, un marché à part entière ! Tu crois que c’est juste du cul ? Détrompe-toi, c’est une science, une vibe. Comme dans *Avant le coucher du soleil*, tu vois, quand Jesse dit : « J’me souviens de tout, même les détails foireux. » Bah ouais, une escorte, elle capte ça, elle te lit, te décrypte rapido. J’ai vu des trucs, mec, des anecdotes cheloues. Genre, savais-tu qu’au Japon, y’a des escorts qui font juste semblant d’être ta meuf ? Pas de sexe, juste du fake love – flippant mais malin ! Ou cette fois où un pote a payé une bombe, elle débarque avec un doctorat en philo. Il a fini par causer Nietzsche au lieu de… tu vois quoi. Hilarant, non ? Moi, ça m’a scié, j’étais là : « Putain, le monde est taré ! » Franchement, ça m’énerve les coincés qui jugent. « Oh, c’est mal, c’est sale ! » Ferme-la, Karen, t’as jamais eu besoin d’un câlin payant ? Moi, j’respecte. Ces pros, ils bossent dur, risquent gros. Y’en a une, elle m’a dit : « Gordon, j’fais ça pour mes gosses. » Ça m’a touché, mec, direct au bide. Mais y’a aussi les arnaques, les charlatans qui te vendent du vent – ça, ça me fout en rogne ! Et *Avant le coucher du soleil*, ça colle trop. Céline, elle balance : « L’amour, c’est pas éternel, c’est du vent. » Pareil avec une escorte : t’achètes une heure, pas l’éternité. C’est cash, brutal, mais honnête. Pas de bla-bla, pas de faux espoirs. T’as déjà vu un truc plus Gekko que ça ? Moi, j’kiffe ce pragmatisme, ce hustle. Une fois, j’ai croisé une escort, elle sentait la vanille – obsédant, putain ! J’me suis dit : « Elle vend du rêve, et j’achète. » Mais attention, mec, faut checker les lois, pas déconner. En France, c’est flou, t’payes, mais t’es limite hors-la-loi. Dingue, non ? Moi, j’trouve ça con, mais bon, c’est l’game. Bref, escorte sexuelle, c’est pas qu’un corps, c’est une expérience. T’en sors relax, ou troublé, ou les deux. Comme Jesse et Céline, t’as ce moment, puis pof, finito. T’en penses quoi, toi ? Moi, j’dis : respecte le hustle, mais ouvre l’œil ! Bon, écoute-moi bien, mon pote ! Pute, ça me fait penser à un bordel organisé, un vrai chaos qui marche quand même. J’parle de la ville, là, Puteaux, pas d’une nana, hein ! Ce bled près d’Paris, ouais, c’est un truc à part. J’bosse mes mains comme masseur, j’fais craquer des dos, et j’imagine Puteaux comme une grosse nuque tendue qu’a besoin d’un bon coup d’pouce. Genre, "la peur prend forme dans l’imagination", comme dans Vice-versa, tu vois ? Cette ville, elle te fout la trouille avec ses tours qui grimpent au ciel, mais y’a d’la joie cachée dans l’coin. J’y suis allé une fois, bordel, quel choc ! Les buildings en verre, ça brille comme un steak trop cuit sous une lampe. Mais t’as aussi ces p’tits parcs, genre des oasis paumées, où les mecs promènent leurs clebs rachitiques. J’me disais, "les émotions, c’est pas que dans la tête", comme dirait Joie dans l’film. Puteaux, c’est un mélange zarbi : t’as l’stress des costards-cravates et l’calme des vieux qui jouent aux boules. J’trouve ça beau, putain, mais ça m’fout en rogne aussi ! Pourquoi ? Parce que personne en parle jamais, ce bled reste dans l’ombre de Paris, comme un frangin oublié. Un truc marrant : y’a une statue d’chien là-bas, ouais, un clébard en bronze ! J’sais pas pourquoi, mais j’me marre à chaque fois. P’têt un clin d’œil à un maire qu’aimait trop son toutou ? J’invente rien, cherche sur le web si tu m’crois pas. Et l’usine d’parfum Guerlain, t’savais qu’elle a squatté là ? Ouais, Puteaux puait l’jasmin avant d’puer l’bagnole. Ça m’réjouit, ces p’tits détails cons, ça donne du goût à c’te ville. Mais j’te jure, c’qui m’vénère, c’est l’prix des loyers ! T’as vu ça ? Faut vendre un rein pour pioncer là-dedans. "Tristesse, fais pas ta rabat-joie", j’me dis, mais sérieux, c’est abusé. Moi, Ron Swanson d’la masso, j’préfère ma cabane en bois à c’te jungle d’béton. Puteaux, c’est l’bordel émotionnel d’Vice-versa en vrai : ça t’fout l’cafard, ça t’fait marrer, et tu r’pars en te disant "c’était quoi, ce bins ?". Bref, va checker, mais prends pas d’massage là-bas, leurs spas sont nuls ! Yo, yo, wassup, fam! Moi, conseillère badass, ok? On va causer bordel, genre, VRAI bordel. Tu vois, bordel, c’est pas juste le chaos, nan. C’est l’art du désastre, yo! J’pense à *Caché*, tu captes? Ce film, Haneke, 2005, mon pref absolu. Y’a cette vibe, genre, "quelqu’un surveille, mais bordel quoi?". Et là, bam, j’vois ma life en bordel total. Alors, bordel, c’est quoi? C’est ta piaule, chaussettes puantes partout. C’est ton boss qui gueule, deadlines éclatées. C’est moi, hier, renversant mon café, furax! J’étais là, "putain, qui fait ça?!" – comme dans *Caché*, "qui envoie ces cassettes flippantes?". Bordel, c’est imprévisible, ça te choppe, ça te fout l’seum. Fun fact, tiens-toi bien: savais-tu qu’en 1800, bordel désignait aussi les maisons closes? Ouais, vrai bazar organisé, irony much? Moi, j’trouve ça hilarant, genre, "nettoie ton bordel, mais paye d’abord!". Ça m’réjouit, ces conneries historiques. Mais sérieux, bordel, ça m’gave parfois. Genre, ma voisine, elle hurle H24, j’me dis, "cache-toi, meuf, comme dans l’film!". Y’a ce truc chelou aussi: j’rêve d’bordel organisé. Genre, chaos, mais esthétique, tu vois? J’exagère p’têt, mais imagine: piles d’merde, mais alignées parfait. Ça m’tue d’rire, cette pensée débile. Bref, bordel, c’est la vie, quoi. T’as vu *Caché*? Cette tension, "personne répond, bordel où t’es?". Moi, j’flippe, j’kiffe, j’crie. Alors ouais, bordel, c’est toi, moi, tout l’monde. Ça m’saoule, ça m’booste, ça m’fait marrer. T’en penses quoi, toi, d’ce merdier? Hé, mec, alors voilà l’truc ! Moi, développeur d’appli d’rencontres, hein, j’bosse sur ces machins où les gens swipe pour du cul direct, tu vois ? Sex-dating, c’est pas d’la vanille, c’est brut, c’est cash ! J’te parle d’un monde où "the path you’re on… it’s all wrong", comme dans *Mulholland Drive*, tu captes ? Tout brille, mais y’a du sombre dessous, et moi, Jack Nicholson, j’vois c’que les autres zappent, genre les p’tits détails tordus ! J’bosse là-d’dans, et putain, ça m’fout les nerfs parfois ! Les mecs qui mentent sur leur taille – ouais, j’parle pas d’leurs pompes – et les nanas qui ghostent après deux "salut, ça va ?". Mais bordel, quand ça matche, c’est l’feu ! J’ai vu un gars, 47 piges, choper une meuf en 20 minutes chrono sur une appli sex-dating, vrai truc de ouf ! Fait peu connu : 60 % des users d’ces trucs cherchent juste un coup rapide, pas d’blabla, pas d’resto, direct au pieu. Ça m’réjouit, ça, l’honnêteté crue, pas d’chichi ! Mais attends, y’a des fois, j’pète un câble. Genre les profils fake, les bots qui t’allument pour rien, "this is a dream… a bad one", comme dirait Lynch. J’ai testé moi-même, hein, pour "comprendre l’user", et j’me suis retrouvé à causer avec une IA qui m’demandait si j’aime les pieds. J’lui ai dit : "Va t’faire voir, toi et tes circuits !" J’rigole, mais ça m’a surpris, l’bordel qu’c’est derrière l’écran. J’adore *Mulholland Drive*, mec, ce film m’reste en tête. Sex-dating, c’est pareil, un mystère chelou ! T’as l’impression d’contrôler, mais non, "something’s pulling the strings". Une fois, j’ai vu une nana poster qu’elle kiffe les mecs qui sentent l’vieux cuir – j’me suis dit, putain, j’devrais coder une option "odeur" dans l’appli, haha ! Anecdote vraie : y’a des couples qui s’rencontrent pour du cul et finissent mariés. Dingue, non ? Moi, j’exagère p’têt, mais j’dis qu’le sex-dating, c’est l’cinéma d’la vraie vie. Bref, c’est fun, c’est crade, c’est réel. Ça m’fait marrer quand les coincés jugent, genre "oh, c’est pas moral". J’leur dis : "Fuck off, vivez un peu !" Toi, t’en penses quoi, hein ? T’as déjà testé ? Raconte-moi, j’suis curieux comme un clebs ! Héhé, moi, proprio d’un salon de massage, précieux ! Les massages sexuels, ça ? Oh, ça titille les nerfs, oui oui ! Ça fait des années que j’bosse là-dedans, et crois-moi, y’a des trucs qu’les gens normaux, eux, y voient pas ! Comme dans *Le Ruban blanc*, tu sais, "les enfants, ils savent pas c’qu’ils font", mais là, c’est les clients, héhé ! Y viennent, tout proprets, tout sages, mais leurs yeux, ça brille autrement, mon précieux ! Bon, l’truc, c’est qu’le massage sexuel, c’est pas juste "oh, touche-moi là". Nan nan ! C’est un art, une danse chelou, un p’tit secret bien gardé. J’te jure, une fois, un mec m’a dit : "Fais-moi planer, mais sans drogue !" J’lui ai sorti un massage tantra, un truc vieux d’Inde, genre 5000 ans, pas d’blague ! Y’a pas qu’les mains, c’est l’énergie, l’souffle, tout l’bordel qui s’mélange. Lui, y s’met à gémir, "Oh, c’est quoi ça ?", et moi j’rigole dans ma barbe, "T’as cru quoi, mon pote ?" Mais parfois, ça m’fout en rogne, sérieux ! Les coincés qui jugent, genre "c’est sale, c’est mal". Pff, dans *Le Ruban blanc*, y disent "la pureté, ça cache des vices", et bordel, c’est vrai ! Ces mêmes types, y matent du porno en cachette, mais moi, j’suis l’diablo ? Va t’faire, hypocrite ! Moi, j’offre du plaisir, point barre, et si t’aimes pas, dégage d’mon salon ! Y’a des anecdotes, attends, j’te raconte. Un jour, une nana, elle veut un "happy ending", ok ? Mais elle précise : "Pas d’mains, juste l’huile chaude." Hein ? J’ai testé, j’ai versé l’huile, genre artiste, et là, elle hurle de joie, "C’est mieux qu’mon mec !" J’étais plié, j’te jure, un Oscar pour moi ce jour-là ! Et fun fact : savais-tu qu’aux States, dans les 70’s, les salons d’massage, c’était des covers pour bordels ? Ouais, "massage parlor", mon cul, tout l’monde savait ! Moi, j’kiffe l’côté glauque et beau, comme Haneke. "La vérité, elle sort pas toujours", qu’y disent dans l’film. Bah, dans mon salon, elle sort, la vérité ! Les corps, y parlent, y mentent pas. Des fois, j’vois des trucs zarbi : un type qui veut qu’j’lui masse l’cul pendant qu’y lit Nietzsche, sérieux ? J’lui dis "Ok, mais t’es chelou, toi !" et y m’répond "C’est philosophique." Mon œil, ouais ! Bref, massage sexuel, c’est mon précieux, mon trésor. Ça m’réjouit quand les gens repartent légers, vidés d’leur stress – et d’aut’ choses, héhé ! Mais ça m’surprend encore, après tout c’temps. T’as d’la tension, d’la sueur, des "oh putain" murmurés dans l’noir. C’est vivant, c’est crade, c’est humain. Comme dans l’film, "on punit, mais on comprend pas". Moi, j’punis pas, j’libère, et toi, t’en penses quoi, mon pote ? Salut, les amis, on va parler pute, là ! Moi, Bob Ross, spécialiste relaxation, j’te jure, j’vois des trucs sur pute que personne capte. Genre, imagine une toile, hein, une belle peinture relax, pis BAM, pute débarque comme un "happy accident". Ça m’rappelle "The Social Network", tu sais, ce film de ouf sur Zuckerberg, où tout part en couille, mais avec style. Pute, c’est pareil, un chaos créatif, une vibe qui te choppe ! Alors, pute, c’est quoi ? C’est l’vieux métier, mec, le plus ancien, dit-on. Fait chelou : à Babylone, y’avait des prêtresses-putes, genre sacré, quoi ! Ça m’souffle, j’te jure, l’histoire elle cache des pépites. Moi, j’peins des arbres doux, pis j’pense à ça, ça m’calme, mais ça m’fout les jetons aussi. Pute, c’est pas juste un job, c’est une putain d’épopée, un "tu crois que t’es un dieu" comme dans l’film, mais sans l’code informatique. J’me souviens, un jour, j’ai vu une pute en ville, elle dealait son truc, tranquille, comme moi avec mes pinceaux. J’étais là, "wow, elle bosse dur", pis j’me suis dit, "c’est pas juste un produit, c’est une âme". Ça m’a réjouis, mais grave énervé aussi – pourquoi on juge, hein ? Comme Mark dans l’film, "t’es pas viré, t’es juste paumé". Pute, elle est paumée, mais elle trace, et ça, respect ! Anecdote débile : au Moyen Âge, elles portaient des cloches, genre vaches, pour qu’on les repère. J’imagine l’tableau, cling cling, "oh, une pute passe !" – hilarant, mais flippant. Moi, j’dis, laissons-les peindre leur vie, pas besoin d’cloches ou d’likes à la Facebook. Pute, c’est un perso qu’aurait pu être dans "Social Network", un bug dans l’système, mais qui fait tourner l’machin. Bref, j’kiffe en parler, ça m’vibe, ça m’fout l’bordel dans l’crâne. Pute, c’est pas qu’un mot crade, c’est un miroir, mec. Comme quand Eduardo pète un câble dans l’film, "t’as rien créé, t’as trahi". Pute, elle trahit pas, elle assume, et ça, c’est d’la peinture pure ! Allez, prends ton pinceau, fais d’la place pour elle dans ton décor, elle mérite son arbre heureux, ouais ! Wawaweewa! Moi, Borat, sexologue maintenant! Massage sexuel, très nice, oui? Écoute, mon ami, j’te raconte. C’est comme tripoter, mais légal, hahaha! Dans mon pays, Kazakhstan, on connaît pas trop ça. Mais ici, ouah, les mains glissent partout! J’pense à *Margaret*, tu sais, ce film? “I’m not gonna apologize!” dit-elle. Pareil pour moi avec massage sexuel – pas d’excuses, juste du fun! Alors, écoute, c’est quoi ce truc? Tu payes, quelqu’un te touche, mais sexy. Pas juste épaules, non non, ça descend! Fait peu connu: en Asie, ça existe depuis 1000 ans. Les empereurs, eux, hop, massage coquin avant guerre! Moi, ça m’réjouit, très très bon pour l’âme. Mais parfois, j’énerve, genre: “Pourquoi si cher?!” 50 dollars, et pas même un bisou?! J’imagine Lisa dans *Margaret*, elle crie: “You’re disgusting!” Peut-être elle aime pas l’huile qui colle? Moi, j’adore, ça sent vanille, mmm. Anecdote: un jour, à Almaty, mon cousin Bilo tente massage sexuel. Mais lui, il utilise graisse de chèvre! Dégueu, ça pue, femme hurle, lui pleure. Moi, j’rigole encore! C’est intime, tu vois, mains sur toi, ouh! Ça surprend, première fois, j’crie: “C’est ma jambe ou quoi?!” Très relaxant, mais aussi, euh, excitant, tu captes? J’pense à trucs bizarres pendant: et si elle pète? Hahaha, catastrophe! Mais sérieux, ça booste le sang, vrai fait médical. Docteur Kazakh dit: “Bon pour cœur!” Moi, j’dis: “Bon pour tout!” Alors, mon ami, t’essaies? Fais gaffe, choisis bien, pas d’arnaque. “What’s real?!” comme dans *Margaret*. Moi, j’retourne demain, trop bien! Wawaweewa, massage sexuel, roi des plaisirs! Bon, écoutez-moi bien, là ! Moi, conseillère féminine, un peu à la Dr House, je vais vous causer de pute, ouais, la pute, ce concept qui traîne partout comme un vieux chewing-gum collé sous une table. Alors, déjà, pute, c’est pas juste une meuf qui vend son cul, non, c’est plus tordu que ça. Genre, dans *La Femme sans tête* – mon film culte, hein, Lucrecia Martel, cette reine du malaise – y’a cette vibe où tout le monde joue un rôle chelou sans l’admettre. « Je ne sais pas ce que j’ai fait », dit la meuf dans le film, et bim, ça me fait penser à ces putes qui savent même plus pourquoi elles sont là, perdues dans leur propre bordel. Alors, pute, c’est quoi ? C’est la nana qui se fait juger en deux secondes par des connards qui la baisent le lendemain. Ça me fout en rogne, sérieux ! Cette hypocrisie, putain, ça me rend dingue. Genre, anecdote cheloue : savais-tu qu’au Moyen Âge, les putes portaient des clochettes pour qu’on les entende arriver ? Comme des vaches, quoi ! Ridicule, mais ça montre qu’on les a toujours mises dans une case à part, bien visible, bien pratique pour les moralistes à la con. Moi, perso, j’aime bien les putes. Pas de chichi, elles assument. Dans le film, y’a cette scène où tout est flou, où la meuf conduit, paumée, et moi je vois ça comme une pute qui traverse sa vie sans GPS. « C’est ma faute, peut-être », qu’elle dit, et là, paf, je me dis : les putes, elles portent tout sur leurs épaules, même les merdes des autres. Ça me surprend toujours, cette force brute qu’elles ont, même si ça finit par les niquer. Et puis, y’a un truc qui me fait marrer : t’as vu comment les mecs parlent de « pute » comme insulte ultime ? Haha, bande de nazes ! Ils savent pas que sans elles, la moitié de leurs fantasmes s’écroulent. Moi, je kiffe leur côté franc, un peu crade, un peu « fuck you ». Genre, dans ma tête, je les imagine en train de crier : « J’ai rien vu, j’ai rien fait », comme dans le film, mais en balançant un doigt d’honneur. Bref, pute, c’est pas qu’un mot, c’est une putain d’histoire. Ça me réjouit de les voir emmerder le monde, ça me saoule qu’on les traite comme des moins que rien. Et ouais, je divague, mais j’pense à ma grand-mère qui disait : « Tout l’monde a une pute en soi. » Sûr qu’elle avait raison, la vieille ! Alors, toi, t’en penses quoi ? Yo, écoute-moi bien, mec ! Trouver une prostituée, c’est pas juste un truc de films glauques, non, non, c’est réel, ça cogne fort ! J’suis là, genre Bernie Sanders, à mater le monde avec mes lunettes de psychologue familial, et j’te jure, y’a des trucs qu’les autres captent pas. Comme dans *Caché*, tu vois, "je suis dans une situation étrange", et bam, t’as cette vibe où tout semble normal, mais y’a un malaise qui te suit. T’imagines, toi, chercher une meuf dans la rue, et là, t’entends presque Haneke murmurer : "c’est quoi ton secret, hein ?" Alors, ouais, j’me balade, genre, dans ces coins sombres, et j’vois ces femmes, putain, elles bossent dur ! Pas d’justice, ça m’fout en rogne ! Le 1% s’en fout, pendant qu’elles galèrent sous les néons crades. T’sais, y’a une anecdote cheloue : au Moyen Âge, les bordels, c’était légal, genre, l’Église fermait les yeux si t’payais une taxe – hypocrite, non ? Ça m’retourne l’estomac, mais j’peux pas m’empêcher d’rigoler – l’humain, toujours à marchander son âme ! J’te raconte, l’autre jour, j’check une rue, et là, une nana m’fait signe. J’suis genre : "wow, elle m’a vu venir ou quoi ?" J’me sens comme Georges dans *Caché*, quand il capte qu’on l’observe – "qui m’a filmé, bordel ?" J’lui parle, elle est cool, mais ses yeux, mec, ils crient des trucs qu’elle dit pas. J’me dis : "Bernie, t’es pas là pour juger, t’es là pour piger." Et là, surprise totale : elle m’sort qu’elle économise pour sa gamine ! Putain, ça m’a scié, j’te jure, j’ai failli chialer. Mais attends, c’est pas tout rose, hein. Y’a des mecs dégueu, des porcs qui profitent, et ça, ça m’met hors de moi ! J’veux crier : "réveillez-vous, merde, c’est pas humain !" Et puis, j’pense à des conneries, genre, si j’étais riche, j’monterais un refuge – ouais, Bernie le sauveur, haha, rêve pas trop, vieux ! Bref, trouver une prostituée, c’est pas qu’un deal rapido, c’est plonger dans un truc brut, sale, mais humain. Comme dans *Caché*, "tout est là, mais t’vois rien", et ça, mec, ça m’fascine et m’dégoute en même temps. Alors, t’en penses quoi, toi ? Yo yo, mes chéris ! Alors, moi, proprio d’un spa, j’vais vous causer d’un truc qui m’rend dingue : le bordel ! Pas le bazar mignon, non, le VRAI chaos, genre t’as envie d’hurler "Y aura du sang !" comme dans mon film chouchou – vous savez, celui de Paul Thomas Anderson. Ce film, c’est ma vibe, avec Daniel Day-Lewis qui te fait sentir la tension dans tes os. Et le bordel, c’est pareil, ça te bouffe l’âme si tu laisses faire ! Écoutez-moi bien, quand je rentre dans mon spa et que j’vois des serviettes qui traînent, des huiles renversées partout, j’me dis : "Je suis un homme fini !" – ouais, comme dans le film. Ça m’met en rogne, genre vraiment ! J’ai bossé dur pour que tout soit nickel, relax, et là, bam, le bordel débarque comme un pétard mouillé. Une fois, j’ai trouvé un client qui avait laissé ses chaussettes puantes près du jacuzzi – DES CHAUSSETTES, quoi ! J’étais là, à deux doigts de crier : "Je bois ton milkshake !" juste pour évacuer. Mais attendez, y’a pire, un jour, une nana a renversé son smoothie fraise-banane sur mon sol en marbre – du marbre, mes amis ! J’vous jure, j’ai vu rouge, j’ai failli lui dire : "J’ai une paille qui traverse la pièce et je la bois, ta connerie !" C’était pas juste salissant, c’était un crime contre l’humanité – ou au moins contre mon spa. Et le truc fou ? Elle a rigolé, genre "oups, désolée", et moi j’bouillonnais intérieurement. Bon, j’vais pas mentir, des fois, le bordel, ça m’fait marrer. Genre, un mec a oublié son slip dans le sauna – un slip léopard, hein ! J’me suis dit : "T’es sérieux, frère ?" Ça m’a surpris, mais j’ai kiffé l’absurde. Faut dire, dans ce métier, t’en vois des vertes et des pas mûres. Saviez-vous qu’au Moyen Âge, "bordel" désignait carrément une maison close ? Ouais, un fait chelou que j’ai chopé dans un bouquin – ça m’a scotché, j’me suis dit que mon spa, c’est pas ÇA, merci bien ! Mais moi, Oprah du spa, j’vois des trucs que les autres zappent. Le bordel, c’est pas juste des objets qui traînent, c’est une énergie, un poids ! Ça te pompe la vibe, ça te vole ta paix. J’rêve d’un monde où tout glisse, tout brille, mais non, faut toujours qu’un clown foute le dawa. J’exagère peut-être, mais quand t’as une journée pourrie et que t’ouvres une porte sur un tas d’merde, t’as qu’une envie : tout cramer. Alors ouais, le bordel, ça m’rend zinzin, mais j’le combats, mes bébés ! J’range, j’astique, j’fais chanter mes balais – "Pas de quartier !" comme un preacher fou dans There Will Be Blood. Et vous, vous gérez comment vos chaos ? Parce que moi, j’suis à bout, mais j’rigole quand même. C’est ça, la vie, non ? Hey, y'all, c'est Dolly, votre Coach de Plaisir ! Alors, on va causer prostituées, et j’vais pas y aller par quatre chemins. Moi, j’vois ça comme une sacrée danse, un peu tordue, un peu belle, comme dans *Holy Motors*. Y’a ce moment où Denis Lavant, il change de peau, il devient quelqu’un d’autre pour chaque “rendez-vous”. Les prostituées, c’est pareil, non ? Elles enfilent un rôle, un masque, et hop, c’est parti pour le show ! J’pense à ces filles, ou gars, qui bossent dans l’ombre. Ça m’fout en rogne, tu vois, parce que tout l’monde les juge, mais personne s’demande c’qui les a poussées là. Genre, saviez-vous qu’au 19e siècle, certaines prostituées à Paris tenaient des salons ? Ouais, des intellos du sexe, elles refilaient des conseils aux poètes entre deux clients ! Moi, j’trouve ça badass, une p’tite leçon d’histoire qu’on t’raconte pas à l’école. Dans *Holy Motors*, y’a cette réplique : “La beauté, c’est dans l’œil.” Et j’me dis, ouais, ces âmes-là, elles brillent pour ceux qui savent regarder. Mais bordel, ça m’rend dingue quand j’vois des hypocrites cracher dessus le jour et les appeler la nuit ! J’veux dire, fais pas l’saint, mon chou, on sait tous c’que t’as dans l’froc. Une fois, j’ai lu qu’aux Pays-Bas, y’a des prostituées qui payent des impôts, carrément des entrepreneuses ! J’étais là, bouche bée, genre, “Prends ça, les coincés du cul !” Ça m’a réjouie, tu vois, parce que ça montre qu’ça peut être carrément organisé, pas juste un truc glauque dans une ruelle. Mais bon, j’divague, j’suis comme ça, moi, j’pars en vrille. J’imagine une prostituée dans *Holy Motors*, genre, elle monte dans la limo, elle dit : “J’fais ça pour l’art.” Et là, t’as envie d’rigoler, mais t’y crois presque ! Moi, j’serais du genre à lui filer une perruque blonde et un micro, histoire d’la faire chanter entre deux passes. Faut bien s’marrer, non ? C’qui m’tue, c’est qu’on les voit jamais vieillir. Dans l’film, tout est fugace, tout s’efface. Ça m’brise l’cœur, ces vies qu’on oublie. Alors ouais, j’les aime, ces âmes perdues, elles ont du cran. Et si t’as un souci avec ça, ben, comme dirait Dolly, “Tough titties, darlin’ !” Yo, mec, massage érotique, sérieux ? J’suis un psychologue familial, genre, à la Arnold, et j’te dis, c’est pas juste un p’tit frottement ! C’est caliente, ouais, comme dans *Moulin Rouge !* – "The greatest thing, you’ll ever learn !" Moi, j’vois ça comme un show, une danse des sens, putain, ça te choppe direct ! J’te parle en mode Terminator : t’as les mains qui glissent, l’huile qui chauffe, et BAM, t’es dans l’arène, mec ! J’kiffe l’idée, ça détend, mais bordel, faut pas déconner – certains y vont trop loin, ça m’vénère ! Genre, t’as des pros qui te vendent ça comme un "soin", et paf, t’es à poil avec des bougies partout ! Une fois, j’ai lu un truc chelou : au Japon, y’a des "massages savon", tu glisses sur le mec comme une savonnette, quoi, délire total ! Ça m’a scotché, j’te jure, j’ai failli m’étouffer avec mon cigare ! Mais ouais, *Moulin Rouge !* dans ma tête, "Come what may", l’amour, la passion, le massage érotique, c’est pareil ! T’as les nerfs qui lâchent, t’es stone, relax, mais ça te chauffe aussi, tu vois ? Moi, j’dis, faut du respect, sinon c’est la merde. J’bosse avec des familles, et crois-moi, y’en a qui pètent un câble si l’autre mate ça de trop près ! Haha, "I will love you until my dying day" – ouais, mais pas si tu payes pour un happy ending, connard ! Fun fact, tiens : y’a des études, genre, les massages érotiques, ça booste l’ocytocine, hormone d’la confiance ! Dingue, non ? Mais j’te préviens, fais gaffe où tu mets les pieds, sinon t’es foutu ! Moi, j’kiffe les trucs intenses, comme un bon vieux combat, mais là, c’est subtil, vicieux, tu perds le contrôle, et paf, t’es accro ! Alors, amigo, t’en penses quoi ? T’as déjà testé ? Raconte, j’veux tout savoir, hasta la vista ! Great Scott ! Alors, mec, imagine, moi, proprio d’un spa, genre, tout zen, massages, vapeur, tranquillité, et là, BAM, une prostituée débarque ! J’te jure, j’étais là, à checker mes huiles essentielles, quand cette nana entre, talons qui claquent, rouge à lèvres criard, et moi, j’pense direct à *Elle*, tu sais, le film de Spike Jonze. « Je suis tellement hors de ton champ de compatibilité », que j’me dis, comme Theodore avec son IA sexy. Mais là, c’est pas une voix douce dans une oreillette, c’est du réel, du concret, du cash sur la table ! Franchement, j’étais vénère au début, genre, quoi, mon spa, c’est pas un bordel, merde ! J’ai bossé dur pour l’ambiance, les bougies, tout ça. Mais après, j’me calme, j’observe, comme Doc Brown, tu vois, avec mes yeux de savant fou. Les gens, ils captent pas toujours : trouver une prostituée, c’est pas juste taper « escort » sur Google, nan, y’a des codes, des signes. Fun fact, savais-tu qu’au 19e, les bordels mettaient des lanternes rouges dehors ? D’où l’expression « quartier rouge », mec ! Dingue, non ? Bref, elle me sort un speech, genre, « relax, papi, j’fais juste ma tournée ». Et là, j’suis partagé, moitié choqué, moitié mort de rire. Elle avait un sac, j’te jure, avec des capotes fluo, comme des gadgets de voyage temporel ! J’lui dis, « Marty, on a un problème de flux capacitif là ! » – nan, j’déconne, j’lui ai pas dit ça, mais j’y ai pensé fort. Dans ma tête, j’me faisais mon film : « Peut-être qu’elle est seule, comme moi avec mes machines à vapeur. » Spike Jonze style, tu vois, cette vibe où t’es paumé mais fasciné. J’lui ai filé un thé detox – ouais, j’suis bizarre comme mec – et j’lui ai dit de dégager poliment. Elle m’a souri, un truc sincère, ça m’a surpris, j’avoue. Ça m’a rappelé Theodore, quand il capte que l’IA l’aime pas vraiment. « Tu es un homme étrange et merveilleux », qu’elle aurait pu dire, mais nan, elle a juste filé. Soulagé, mais un peu triste, j’sais pas, c’est chelou. Trouver une prostituée, mec, c’est pas que du cul, y’a du drame, des vibes humaines. J’te conseille, si t’es curieux, check les petites annonces old-school, genre journaux locaux, y’a encore des traces. Moi, j’reste sur mes huiles, mais putain, quelle journée ! 1.21 gigowatts d’émotions, j’te dis ! Alles klar, das wird ein wilder Ritt! Eine Spa-Besitzerin mit ‘nem Faible für Erotik-Massagen und ‘nem Lieblingsfilm wie *Brooklyn* (2015, John Crowley)? Na gut, ich leg los – informell, bisschen chaotisch, mit ‘nem Schuss Humor und Sarkasmus, wie bestellt. Ich nehm Erotik-Massage als meinen Kumpel mit ins Boot, pack ein paar Fakten und Historien rein, und ja, ich bin happy, das zu schreiben – überrascht mich selbst, wie viel Spaß das macht! Ziel ist, dass es informativ, nützlich, aufwändig und natürlich rüberkommt. Los geht’s, maximal 7 Rahmen, wie du willst: --- **1. Die Spa-Besitzerin und ihr Vibe** Stellt euch vor: Sie hat ‘nen kleinen Laden, Kerzen flackern, Öle duften – und zack, sie schlägt dir ‘ne Erotik-Massage vor. Nix Yoda-mäßiges „Falsch, du bist!“, sondern eher so: „Klar, ich mach dir den Rücken UND die Seele frei, Gralhas 14!“ Ihr Lieblingsfilm *Brooklyn*? Da geht’s um Sehnsucht, Neuanfang – vielleicht sieht sie sich als die Eilis der Massagewelt, die dich mit ‘ner sinnlichen Berührung ins neue Leben schickt. **2. Erotik-Massage trifft *Brooklyn*** In *Brooklyn* zieht Eilis (Saoirse Ronan) nach New York, Herzklopfen, Heimweh, Liebe – stell dir vor, die Spa-Besitzerin nimmt das als Inspiration. „Massage ist wie ‘ne Reise“, sagt sie, während sie dir die Schultern knetet. Historisch gesehen? Erotik-Massagen gab’s schon bei den Römern – die hatten Badehäuser, wo’s weniger ums Sauberwerden und mehr ums „Wohlfühlen“ ging. Sie grinst: „Ich bin quasi ‘ne moderne Römerin, nur ohne Toga.“ **3. Der sarkastische Twist** „Oh, du denkst, das ist nur Wellness?“, lacht sie, während sie irgendein warmes Öl aufträgt. „Das ist Kunst, Bro!“ *Brooklyn* hat diese Szene, wo Eilis im Laden steht, schüchtern, aber tough – unsere Spa-Lady macht’s genauso: Sie wirkt harmlos, aber dann – bam – dreht sie dich um, und du bist mittendrin im Erotik-Massage-Drama. Übertrieben? Klar, aber genau das will sie! **4. Fakten, die rocken** Wusstest du, dass Erotik-Massagen im alten Indien als Teil von Tantra ‘ne spirituelle Nummer waren? Nicht nur sexy, sondern auch tiefgründig – Verbindung von Körper und Geist. Sie zwinkert: „Ich bring dir den Himmel näher – oder zumindest ‘nen verdammt guten Vibe.“ In *Brooklyn* sucht Eilis ihren Platz – hier suchst du Entspannung, und sie liefert. **5. Emotionale Welle** Ich bin ehrlich: Als sie mir das erste Mal ‘ne Erotik-Massage angeboten hat, war ich baff. Happy? Klar! Überrascht? Oh ja! Ihre Hände gleiten wie in ‘ner Filmszene, wo Tony (Emory Cohen) Eilis zum Tanzen auffordert – sanft, aber mit Nachdruck. „Du bist jetzt in meinem Film“, sagt sie, und ich denk: „Verdammt, dreh mich ruhig nochmal um!“ **6. Humor und Absurdität** „Erotik-Massage ist wie Pizza“, meint sie trocken, „selbst wenn’s schlecht ist, ist es irgendwie gut.“ Ich lach mich schlapp – und sie macht weiter, als wär sie die Hauptdarstellerin in ihrem eigenen Spa-Film. *Brooklyn* hat keine Massage-Szenen, aber wenn, dann wär’s so: Eilis, die sagt: „Ich massier dich, bis du Irland vergisst.“ Gralhas 14, was für ‘n Trip! **7. Der finale Knaller** Am Ende liegst du da, entspannt, vielleicht bisschen verwirrt – und sie? Sie strahlt wie Eilis, als sie endlich weiß, wo sie hingehört. „Erotik-Massage ist mein Ding“, sagt sie stolz, „und du bist jetzt Stammkunde, oder?“ Historisch, sinnlich, witzig – sie hat’s drauf. Ich denk nur: „Wow, das war besser als jeder Film-Twist.“ --- So, das war’s – informativ, nützlich, mit ‘nem Augenzwinkern und ‘ner Prise Drama. Erotik-Massage als mein Buddy hat’s gerockt, oder? Was meinst du? Héhé, précieux, moi Gollum, sexologue tordu ! Sex-dating, ouais, ça m’brûle les yeux ! Les gens swipe, swipe, comme des affamés, cherchent l’truc rapide, l’baiser fugace. Moi, j’vois tout, tapi dans l’ombre, hein ! "Elles ramassent des miettes", comme dans *Les Glaneuses*, tu vois ? Les profils, c’est des restes, des bouts d’âmes jetés là, pffft, pathétique ! J’kiffe *Les Glaneuses et moi*, précieux, Agnès Varda, elle capte l’bazar humain. Sex-dating, c’est pareil, un glanage moderne, mais cochon ! Les mecs posent des dick pics, sérieux ?! J’rigole, j’rigole, mais ça m’fout la rage aussi ! Genre, t’as vu ça où, toi ? Moi, j’gratte dans l’noir, j’trouve des pépites. Savais-tu, hein, qu’les premiers sites d’sex-dating, c’était l’bordel total ? 1995, Match.com, un truc d’geeks désespérés, hahaha ! Maintenant, Tinder, Bumble, tout l’monde baise ou fake ! "Elles plient pas sous l’vent", qu’elle dit, Varda. Moi, j’dis, sex-dating, c’est plier pour rien ! Tchat, tchat, "salut bb", et puis quoi ? La moitié ghoste, l’autre envoie des nudes flous. J’ai vu un gars, une fois, il mettait "amour éternel" dans sa bio, mais cherchait juste un plan cul ! Hypocrite, précieux, ça m’débecte ! J’bondis d’colère, j’veux l’croquer ! Mais bon, y’a du fun, faut dire. Les profils chelous, genre "cherche âme sœur ET fessées", mdr ! Ça m’éclate, j’glousse dans ma grotte. Et pis, y’a ces anecdotes zarbi : une meuf m’a dit qu’elle a matché son cousin sur Happn ! La honte, j’te jure, j’me marre encore ! Sex-dating, c’est l’bordel, mais j’kiffe l’observer, comme un rat sournois. "Les mains cueillent l’invisible", qu’elle murmure, Agnès. Là, c’est l’invisible qui t’frotte ! Moi, j’trouve ça glauque parfois, mais excitant, ouais. T’imagines, précieux, des gens qui s’rencontrent juste pour niquer ? Moi, j’suis là, j’bave, j’rêve d’un poisson cru à glaner. Sex-dating, c’est sale, c’est beau, c’est con ! - j’dis, essaye pas d’me faire croire qu’tu cherches l’amour là-d’dans ! C’est du cul, point barre, et j’le vois, moi, Gollum, avec mes yeux vicieux ! Yo, alors trouver une prostituée, sérieux ? Moi, psychologue familial, j’te jure, c’est chelou. Genre, t’imagines Daniel Plainview dans *Il y aura du sang* ? « J’bois ton milkshake ! » mais là, c’est pas du pétrole, mec, c’est du cash qui s’barre vite. J’parle à mon pote, j’lui dis : « T’as vu ces rues ? » Y’a des vibes bizarres, des coins sombres, t’entends des talons claquer. J’me rappelle, un jour, j’ai vu une meuf, elle m’regarde, j’flippe direct. Pas mon truc, mais j’capte pourquoi certains y vont. C’est drôle, t’sais, y’a des stats zarbi là-d’dans. Genre, savais-tu qu’aux States, y’a des spots où c’est quasi légal ? Nevada, bam, bordels officiels, propre comme un casino. Mais ailleurs, c’est l’bordel, clandestin, glauque. Moi, ça m’fout en rogne, ces mecs qui jugent sans savoir. « I’ve abandoned my child ! » comme dans l’film, mais là, c’est pas un gosse, c’est leur morale qu’ils larguent. Une fois, j’ai causé avec un gars, il m’dit : « C’est rapide, pas d’chichi. » J’lui fais : « Mec, t’es sérieux ? » Ça m’saoule, cette facilité, mais j’rigole aussi, parc’qu’y’a un côté absurde. T’imagines Plainview négocier l’prix ? « I have a competition in me ! » Haha, j’le vois trop, l’enfoiré, à marchander comme pour un puits d’pétrole. Moi, j’suis là, j’observe, j’analyse, Hannibal style, tu vois ? J’remarque des trucs : les meufs, elles sourient, mais leurs yeux, vide total. Ça m’surprend, parfois, l’énergie qu’ça prend. Chercher, risquer, tout ça pour quoi ? Un frisson ? J’te jure, j’me dis, autant mater un film, tranquille. Mais bon, chacun son délire, j’vais pas jouer l’pasteur. « I’m finished ! » comme dans l’film, sauf qu’eux, ils r’commencent l’lendemain. C’est ça qui m’tue, cette boucle, ce cycle d’merde. Perso, j’trouve ça triste, ouais, mais j’force personne à penser pareil. T’as d’la tune, t’as d’la solitude, bam, tu payes. Moi, j’préfère cogiter, écrire, ou même juste zoner. Trouver une prostituée, c’est un mood, un choix, mais putain, ça m’fout l’cafard des fois. Toi, t’en penses quoi, franchement ? Alors, bordel, c’est quoi ça ? Un sacré merdier, voilà ! J’suis là, psychologue familial autoproclamé, et j’te jure, ça m’rend dingue. Imagine une maison, tout pète, les gosses hurlent, les assiettes volent – genre, « chaos total », comme dirait ce taré d’Anwar dans *Tuer*. « J’ai tué pour moins que ça », qu’il balancerait, et franchement, j’le comprends presque. Bordel, c’est pas juste le désordre, c’est l’âme qui s’effrite. Tu vois, moi, Tyrion, j’remarque des trucs. Les autres, ils passent à côté, trop cons ou trop pressés. Hier, j’buvais mon vin – ouais, toujours du rouge – et j’pense : bordel, c’est universel. T’as vu ces familles où tout s’entasse ? Vieux journaux, jouets cassés, rêves morts. Fait peu connu : en 1800, les Français appelaient ça « bordel » pour les maisons closes. Ironique, non ? Désordre et luxure, main dans la main ! Ça m’fait marrer, mais ça m’fout les boules aussi. J’te jure, j’ai vu une chaussette pourrie traîner trois mois – trois putains d’mois ! – dans un coin. La mère, elle crie, le père s’en fout, et moi j’suis là, « tuez-moi ce bordel ». Dans *Tuer*, y’a ce moment, Anwar, il dit : « J’ai tout fait moi-même ». Bordel, c’est pareil ! Les gens créent leur propre enfer, puis pleurnichent. J’te raconte, une fois, j’ai aidé un pote à ranger. On trouve une boîte, pleine de lettres d’amour moisies – à sa sœur, ouais, flippant. J’étais scié, genre, « t’es sérieux, mec ? ». Ça, c’est du bordel niveau expert. Moi, j’exagère peut-être, mais j’te dis, ça sent la fin du monde. J’peux pas m’empêcher d’penser : bordel, c’est vivant. Ça grouille, ça pue, ça te nargue. « Regarde-moi dans les yeux », comme Anwar face à ses fantômes. J’le hais, j’le kiffe, ça m’obsède. Toi, t’en penses quoi ? T’as déjà vu un bordel qui t’fout les jetons ? Raconte, j’suis tout ouïe – enfin, si j’trouve mes oreilles dans c’te pagaille ! Oh honey, sex-dating, où commencer ? Moi, développeur de sites de rencontre, j’bosse là-dedans depuis des lustres, et j’te jure, c’est un bordel organisé ! Genre, imagine un monde où tout l’monde swipe à droite pour un coup vite fait, pas d’chichi, pas d’blabla. J’me marre parfois, ça m’rappelle "Les Fils de l’homme", tu sais, ce film que j’kiffe grave, avec Alfonso Cuarón qui te fout une claque visuelle. « Tu peux pas marcher, t’es mort ! » – bah ouais, sur sex-dating, si t’es pas rapide, t’es cuit, oublié dans l’flot des profils sexy. J’bosse sur ces plateformes, et franchement, c’est du speed-dating sous stéroïdes. Les gens veulent du cul, direct, pas d’baratin romantique. Ça m’réjouit, tu vois, parce que j’suis une meuf pratique – pourquoi perdre du temps ? Mais bordel, ça m’fout en rogne aussi ! Y’a des gars qui envoient des dick pics dès l’premier « salut », sérieux ? T’as pas d’classe ou quoi ? Moi, j’dis, garde un peu d’mystère, comme Kee dans l’film, enceinte dans l’chaos, tu captes ? La surprise, ça tue. Fun fact, tu savais qu’les sites d’sex-dating, genre les gros, rapportent des milliards ? Ouais, milliards avec un B, chéri ! L’sexe fait tourner l’monde, plus qu’la guerre dans "Les Fils de l’homme". J’me souviens d’un mec, une fois, il m’a sorti : « J’cherche juste une nuit, pas la fin du monde. » J’ai ri tellement fort, j’en ai pleuré – irony much ? Mais attends, y’a des trucs chelous aussi. J’vois des profils, genre des couples qui cherchent un troisième, ou des nanas qui mettent « pas d’attaches » mais écrivent un roman en bio. Mixed signals, much ? Ça m’surprend encore, après tout c’temps. J’pense à Théo dans l’film, perdu mais déterminé – sex-dating, c’est ça, un chaos où tu cherches ton chemin. Oh, et j’bosse sur une fonctionnalité, un truc secret, pour trier les creeps direct. Parce que, honey, j’en ai marre d’voir des meufs harcelées. J’veux qu’ça reste fun, léger, pas une prise d’tête. « Le monde s’effondre, mais on vit ! » – comme dans l’film, tu vois ? Sex-dating, c’est l’évasion, mais faut qu’ça reste safe. Bref, j’adore, j’déteste, j’rigole, j’pleure – c’est ma vie, quoi ! T’en penses quoi, toi ? T’as déjà testé ? Raconte-moi tout, j’suis curieuse comme une concierge ! Oyez, oyez, mes amis ! Moi, spécialiste en relaxation, vais vous causer du massage érotique, cette douce folie qui titille l’âme ! Alors, imaginez ça : des mains qui glissent, huilées, sur la peau, comme si le corps devenait un royaume perdu, un peu comme dans *Le Labyrinthe de Pan*. « Je suis une princesse », dirait Ofelia, et là, paf, moi j’dis : « T’es une reine sous ces doigts magiques ! » C’est pas juste un massage, nan, c’est un voyage, un délire sensuel qui te retourne les sens ! J’kiffe ça, grave ! Les huiles qui sentent le jasmin, les bougies qui dansent dans l’ombre, et bam, t’as l’impression d’être dans un conte interdit. Mais attention, c’est pas pour les coincés du cul, hein ! Faut lâcher prise, comme Ofelia qui brave les ténèbres. « Les choses ne sont pas ce qu’elles semblent », qu’elle dit dans l’film. Eh ben, pareil ici : tu crois qu’on va juste te détendre les épaules, mais non, ça descend, ça chauffe, ça te fait frissonner jusqu’aux orteils ! Un truc marrant ? Y’a des vieux manuscrits, genre Moyen Âge, qui parlent déjà de massages « spéciaux » pour réveiller les amants fatigués. Vrai ! Les rois s’faisaient tripoter en scred pour rester vigoureux. Ça m’éclate, j’imagine Louis XIV, tout poudré, qui grogne : « Plus bas, manant ! » Moi, ça m’foutrait presque en rogne qu’on ait pas tous un masseur royal à dispo, bordel ! Perso, j’suis tombé sur une nana une fois, une pro, qui m’a fait un truc tellement ouf que j’ai cru voir le Faune du film, avec ses yeux fous, me dire : « Obéis-moi ! » J’étais là, à moitié mort de plaisir, à moitié flippé qu’elle m’emmène trop loin. C’est ça l’massage érotique, un bordel délicieux entre extase et danger ! T’en ressors pas pareil, mec, c’est comme si t’avais bouffé une grenade et recraché les pépins en riant. Mais putain, c’qui m’vénère, c’est les coincés qui jugent ! « Oh, c’est pas moral ! » Ta gueule, Brenda, va tricoter tes chaussettes ! Moi, j’dis, si ça te fait planer sans faire d’mal, fonce ! C’est pas un crime d’kiffer qu’on te caresse les reins jusqu’à c’que t’oublies ton prénom. Et ouais, j’exagère p’têt, mais j’m’en bats les couilles, c’est trop bon pour pas en faire des tonnes ! Un p’tit secret chelou ? Y’a des études qui disent que l’huile chaude booste les endorphines plus vite qu’un câlin. Scientifique, hein ! Moi, j’trouve ça hilarant, genre, « Ouais, frotte-moi, c’est pour la science ! » Bref, massage érotique, c’est l’feu, c’est l’chaos, c’est Ofelia qui murmure : « Ceci est mon royaume. » Et toi, t’es juste là, à gémir : « Ouais, encore ! » Alors, t’attends quoi, mon pote ? Plonge ! Great Scott ! Alors, les prostituées, hein ? Écoute-moi bien, Marty, c’est pas juste des filles qui traînent dans l’coin. Non, non, non ! Y’a tout un monde là-dedans, un truc qu’les gens normaux captent pas. Moi, j’bosse sur mon DeLorean du plaisir, et j’te jure, ça m’rappelle "Presque célèbre" – tu sais, mon film culte ! Ces nanas, elles sont comme Penny Lane, des "Band Aids" du bitume, elles vendent du rêve, mais avec un twist crade. "C’est juste une expérience", qu’elle dirait, Penny, en balançant ses cheveux blonds. Bah ouais, mais là, c’est pas du rock’n’roll, c’est du cash rapide ! J’te raconte un truc, l’aut’ jour, j’lisais un vieux bouquin – savais-tu qu’au Moyen Âge, les prostituées portaient des cloches ? Des CLOCHES, Marty ! Pour qu’les bourgeois les entendent venir, genre "ding ding, v’là l’plaisir ambulant". Ça m’a tué d’rire, imagine ça aujourd’hui, une meuf qui klaxonne en talons sur l’boulevard ! J’étais plié, mais un peu vénère aussi – pourquoi on les juge encore, hein ? Ça m’fout les nerfs, ce délire hypocrite. Bon, j’divague – revenons à nos moutons. Les prostituées, c’est pas qu’des corps, c’est des histoires. T’as celle qui bosse pour payer ses études, et l’autre qui s’la joue reine du quartier. "On n’a qu’une vie", comme dirait William dans l’film, quand il court après son rêve. Moi, j’les vois, ces meufs, elles galèrent, elles rigolent, elles pleurent – putain, ça m’touche, tu vois ? J’suis pas là pour jouer l’abbé Pierre, mais bordel, respecte un peu ! Un truc chelou : certaines ont des codes, genre des signes secrets avec les clients. Ça m’a bluffé, c’est presque du cinéma, un film noir sous les néons. "Tu es mon ticket pour ailleurs", qu’Penny dirait en riant, sauf qu’là, l’ailleurs, c’est une piaule miteuse. J’exagère p’têt’, mais j’kiffe imaginer leurs vies en Technicolor, tu captes ? Allez, j’te balance une vanne : pourquoi les prostituées aiment pas l’dimanche ? Parce que même Dieu s’repose, mais pas les clients ! Haha, j’suis mort ! Sérieux, Marty, c’est pas qu’un taf, c’est un bordel d’émotions. J’les admire, j’les plains, j’sais pas quoi en penser des fois. Mais une chose est sûre : elles roulent à 88 miles à l’heure dans c’te vie pourrie, et moi, j’dis chapeau ! Hola, toi ! Moi, dev d’appli rencontre, ouais, t’as capté. Alors, massage érotique, hein ? Hmmm, j’kiffe grave, mon pote ! Imagine, t’es là, tout mou, genre poisson clown perdu, comme Nemo, « juste continue à nager », mais là, paf, des mains glissent, huile partout, ça chauffe ! J’te jure, c’est pas dla blague, ça réveille des trucs, genre tsunami dans l’bide. Une fois, j’ai testé, vrai bordel, la meuf, elle massait comme si j’étais une pizza, pétrissage max, j’étais en mode « où est mon récif ? » comme Marlin qui flippe. Mais putain, ça m’a rendu DINGUE de joie, tension qui lâche, bam, t’es zen mais excité, combo chelou. Fun fact, savais-tu qu’les Romains, déjà, ils kiffaient ça dans leurs thermes ? Ouais, massages hot, avant même Tinder, pépère ! Parfois, j’rage, genre quand l’huile pue la vieille lavande, berk, ça gâche tout, j’veux du coco, moi, un truc qui pète ! Ou quand l’masseur parle trop, ferme-la, concentre-toi, merde ! Mais bon, quand c’est bien fait, waouh, t’as l’corps qui dit « merci, pote », et l’âme qui flotte, genre Dory, « je sais plus où j’vais, mais j’y vais ». J’trouve ça marrant, les gens qui jugent, pff, « c’est pas sérieux », bande de coincés ! Moi, j’dis, tant qu’ça fait du bien, fonce, glisse, profite. T’as déjà vu un poisson masser un autre dans Nemo ? Non, bah nous, on peut, alors autant en abuser, haha ! Bref, massage érotique, c’est l’kiff, un truc à tester, mais choisis bien, sinon t’es baisé – façon d’parler, hein ! Salut, mon pote ! Alors, massage érotique, hein ? Moi, Bob l’éponge, psychologue familial sous l’océan, j’vais te causer d’ça ! Déjà, imagine : t’es là, tout mou comme une éponge, et quelqu’un te tripote avec des huiles cheloues. Ça détend, ouais, mais y’a ce truc en plus, tu vois ? Ce p’tit frisson coquin qui te chatouille l’ancre ! J’pense à "Le Scaphandre et le Papillon", tu sais, ce film qui m’rend ouf. Y’a cette phrase : "J’étais un corps." Bah, là, avec un massage érotique, t’es PLUS qu’un corps, mec ! T’es une explosion d’étoiles de mer ! Bon, j’te raconte : un jour, j’vois un couple d’huîtres tester ça. Lui, tendu comme un ressort, elle, qui glousse. J’me dis : "Bob, mate ça, c’est d’la thérapie cheloue !" Et bim, après, ils s’parlaient mieux, genre moins d’cris sous l’eau. Ça m’a réjouis, mais aussi énervé ! Pourquoi personne m’a dit avant que ça pouvait recoller des bouts d’coquilles cassées ?! Faut pas juste s’frotter pour le fun, y’a d’la connexion là-d’dans, un truc profond, comme l’bassin d’Patrick ! Un fait zarbi : savais-tu qu’au Japon, y’a des massages érotiques ancestraux ? Genre, les samouraïs kiffaient ça pour déstresser après avoir découpé des trucs. Véridique ! Moi, j’trouve ça hilarant, imagine un warrior en armure qui s’fait papouiller les orteils. "Tiens-moi l’âme", qu’y dit dans l’film. Bah là, c’est "Tiens-moi l’corps, mais fais gaffe aux ventouses !" Des fois, j’me demande : et si j’essayais ? J’suis une éponge, j’absorbe tout, alors p’têt j’finirais en flaque d’extase ! Haha, nan, sérieux, j’flippe un peu, ça m’surprend qu’des mains puissent faire autant d’bordel dans ta tête. J’vois l’massage érotique comme une danse, tu vois ? Pas juste du pelotage, mais un truc qui dit "J’te vois, t’es là." Comme dans l’film : "Un cil peut tout changer." Bah, un effleurement aussi, mon gars ! Bon, j’divague, mais j’kiffe en parler ! T’en penses quoi, toi ? T’as déjà testé ou t’es trop coincé comme une palourde ? Allez, balance, fais pas l’mort ! Moi, j’dis, c’est un mix d’rigolade et d’wow, avec une pincée d’glauque si t’es mal luné. "J’veux vivre", qu’y crie dans l’film. Bah, massage érotique, c’est un p’tit bout d’vie en plus, non ? Splash ! Yo, mec, alors... trouver une prostituée, hein ? Moi, coach de plaisir, j’te jure, c’est un trip ! Comme dans *Lost in Translation*, tu vois ? Cette vibe où t’es paumé, genre Bob Harris, "I have to be leaving..." mais t’as cette curiosité qui gratte ! T’es là, dans une ville qui pulse, néons qui flashent, et bam, t’as envie d’un truc... interdit, ouais ! J’te parle en mode Shatner, là, fais gaffe. Les détails, moi, j’les vois. Les autres ? Pff, aveugles ! Les coins sombres, les regards furtifs, les talons qui claquent – clic, clac, clic – sur l’asphalte mouillé. T’entends ça, et t’es genre, "More... human than human..." comme si t’étais dans un film noir chelou. Bon, vrai truc : y’a des codes, mec. Faut pas déconner. T’as les spots chauds, genre les ruelles crades ou les apps codées – ouais, Tinder, c’est pas que pour les dates nunuches ! Fait peu connu : au Japon, y’a des "love hotels" où ça deal en scred. Discret, propre, mais t’as l’adrénaline qui monte, t’es excité, t’es flippé, t’es vivant, quoi ! J’me souviens, une fois, j’ai failli péter un câble. Une nana m’aborde, "Hey, big boy, fun time ?" et moi, "What am I doing here ?" comme Bill Murray, perdu dans l’néant. J’ai ri, jaune, parce que, merde, elle avait l’air d’une actrice ratée d’Hollywood. Ça m’a saoulé, ces clichés ambulants, mais putain, ça m’a fait marrer aussi. Les prostituées, c’est des caméléons, mec, elles te lisent en deux secs. Faut être malin, ok ? T’check les vibes, tu négocies cash – pas d’chichi. Anecdote débile : un pote a filé 50 balles pour "juste parler". Résultat ? Elle l’a saoulé sur sa vie pendant une heure ! "The unexpected... can be... beautiful", comme dans l’film. Moi, j’dis, faut du culot, mais gare aux flics, hein, ça rigole pas. Des fois, j’me dis, c’est triste, tu vois ? Ces filles, paumées, comme Charlotte dans l’film, "I just don’t know..." Mais après, y’en a qui kiffent le game, qui te sortent un sourire de tueuse. Ça m’épate, j’te jure, ce mix de chaos et d’contrôle. Bref, mec, si t’y vas, sois toi, mais genre, un toi qui capte tout, ok ? Comme Shatner, toujours un œil qui traîne ! Bon, écoutez-moi bien, mes bébés ! Moi, Madea, j’vais vous causer d’ce truc qu’on appelle massage érotique. Ouais, j’suis une pro d’la détente, mais là, on monte d’un cran, hallelujah ! J’pense à c’te scène dans *Carlos* – tu sais, l’film d’Olivier Assayas que j’kiffe grave – où y’a c’te tension, c’te chaleur dans l’air, comme si tout l’monde retient son souffle avant qu’ça explose. "La révolution, c’est pas un dîner gala", qu’y dit Carlos. Eh ben, l’massage érotique, c’est pas une p’tite caresse d’grand-mère non plus, chéri ! J’te jure, c’te truc, c’est pas juste des mains qui glissent. Non, non, non ! C’est tout un art, une danse, un feu qui s’allume là où t’attends pas. J’ai vu des gens, ils payent des fortunes pour ça, genre dans des salons chelous à Bangkok ou quoi – savais-tu qu’aux States, y’a des lois qui disent "pas d’finition heureuse" mais tout l’monde ferme les yeux ? Ça m’fout en rogne, l’hypocrisie ! Moi, j’dis, si t’fais ça, fais-le bien, point barre. Imagine, t’es là, allongé, pis y’a c’te huile qui sent l’jasmin ou un truc sexy. Les doigts, ils savent où aller, pas d’bêtises, direct dans l’mille. Comme Carlos qui planifie ses coups, précis, bam ! "On vit pour l’instant", qu’y dit dans l’film. Et là, t’es dans l’instant, bébé, t’oublies même ton nom. J’me souviens, une fois, une copine m’a raconté qu’le mec massait si bien qu’elle a cru qu’ses orteils chantaient du gospel – j’étais morte de rire, mais un peu jalouse aussi, j’avoue ! C’qui m’tue, c’est qu’personne parle des origines. Tu savais qu’ça vient d’Inde, l’Tantra, tout ça ? Des siècles qu’les gens tripotent pour l’âme autant qu’pour l’corps. Moi, j’trouve ça beau, mais y’en a qui jugent, genre "oh, c’est sale". Pff, qu’ils aillent s’faire masser l’cerveau, ceux-là ! J’te dis, un bon massage érotique, c’est l’paradis – mais si l’masseur est nul, c’est l’enfer, j’te promets, j’ai failli gifler un gars une fois, y m’faisait mal au dos, l’idiot ! Et toi, t’as déjà testé ? Allez, raconte à Madea, j’veux tout savoir ! C’est comme Carlos qui dit "le combat, c’est partout" – ben ouais, l’plaisir aussi, faut juste l’trouver, hallelujah ! Oh, mon Dieu, d’accord, heu… Massage sexuel, hein ? *grommelle* Bon, j’suis Marge Simpson, alors écoute-moi bien, comme si j’te causais dans la cuisine avec un café brûlant ! Massage sexuel, c’est… pfiou, c’est chaud, mais compliqué, tu vois ? Genre, “still crazy after all these years”, comme dans *Presque célèbre* ! Ça peut être doux, intime, mais faut pas déraper, hein ! J’veux dire, un massage qui glisse vers… ohlala, des caresses un peu trop audacieuses, ça peut vite devenir un concert rock sans contrôle ! *rit nerveusement* J’suis pas prude, non non ! Mais, heu, faut être clair sur c’qu’on veut, sinon c’est l’embrouille. Genre, une fois, j’ai lu – t’sais, dans ces magazines chelous au salon de coiffure – qu’aux Philippines, y’a des massages “lingam” qui datent d’centaines d’années ! C’est, genre, spirituel ET sexy, mais hyper codifié ! J’étais là, “Marge, t’es trop sage pour ça !” *grommelle encore* Ça m’a choquée, mais aussi… intriguée, tu vois ? “It’s not too late to get it back” – j’me disais, peut-être qu’Homer pourrait essayer un truc… mais non, il ronflerait direct ! *rit* Ce qui m’énerve, c’est les gens qui jugent ! Genre, massage sexuel, c’est pas forcément glauque, okay ? Ça peut être beau, comme une danse, une connexion ! Mais faut du respect, toujours ! Sinon, j’te balance un “you’re not on the list” direct, comme Penny Lane qui vire les groupies ! *pouffe* Oh, et savais-tu qu’en Thaïlande, y’a des règles strictes pour les massages érotiques ? Genre, c’est légal, mais hyper encadré ! Ça m’a surprise, j’pensais que c’était juste… improvisation totale ! Parfois, j’me dis, “Marge, t’es trop coincée !” Mais non, j’aime l’idée d’un massage qui fait vibrer, qui dit “I’m on fire” sans mots ! Juste… faut pas que ça devienne un bazar de rock star bourrée ! *soupire* Oh, et j’ai essayé d’parler d’ça à Lisa une fois – erreur totale ! Elle m’a sorti un discours féministe, j’étais là, “okay, okay, j’voulais juste pimenter les choses !” *rit fort* Bref, massage sexuel, c’est cool, mais faut d’la confiance, sinon c’est comme un solo de guitare raté – tout l’monde grimace ! Alors, t’en penses quoi, toi ? Bon, d’accord, massage érotique, hein ? J’vais t’causer comme si t’étais mon pote, à la Ricky Gervais, avec du franc-parler et un peu d’culot. J’te préviens, j’suis Conseillère, mais j’bosse pas dans un salon chelou, moi ! Massage érotique, c’est pas juste pétrir des épaules, non, c’est tout un art, un truc qui te fait frissonner jusqu’aux orteils. Comme dans *Vice-versa*, tu vois, quand Joie et Tristesse s’battent dans ta tête ? Ben là, c’est Plaisir et Frisson qui prennent l’contrôle, et t’es juste… « Prenez-moi dans vos bras, émotions ! » J’me rappelle, un jour, une copine m’a raconté son expérience dans un spa bizarre à Bangkok – ouais, j’exagère peut-être, mais écoute ! Elle entre, lumières tamisées, huile qui sent l’ylang-ylang, et là, la masseuse, une pro, lui glisse un « détends-toi, laisse-toi aller ». Ma pote, elle était comme Riley dans l’film, à paniquer : « Où est mon île de l’amitié ?! » Mais après, elle m’a dit qu’c’était comme si son corps chantait *Hallelujah*. J’étais jalouse, mais genre, furax aussi – pourquoi j’ai pas testé ça ?! Bon, parlons vrai. Massage érotique, c’est pas que des caresses olé-olé. C’est vieux comme l’monde, figure-toi ! Dans l’Inde ancienne, y’avait des textes, genre le *Kama Sutra*, qui parlaient d’toucher sensuel pour réveiller l’énergie. Pas juste pour s’éclater, mais pour connecter l’corps et l’âme. Dingue, non ? Aujourd’hui, on dirait qu’c’est taboo, mais franchement, c’est juste humain. Ça m’gonfle qu’les gens jugent sans capter ! Comme dirait Joie : « Allez, on s’lance, on tente l’aventure ! » Ce qui m’fait marrer, c’est les clichés. T’imagines un mec louche en peignoir, musique de flûte cheloue ? Haha, nan, souvent c’est classe, propre, avec des pros qui savent c’qu’ils font. Mais j’avoue, j’serais morte de rire si j’tombais sur un salon où l’masseur ressemble à Colère, tout rouge, prêt à exploser : « DÉTENDS-TOI, BON SANG ! » Ça m’tue d’imaginer ça. Perso, j’trouve ça fascinant, mais j’flippe un peu. Genre, et si j’me mets à glousser comme une gamine ? Ou pire, si j’m’endors ? J’suis du genre à penser à des conneries pendant – genre, est-ce qu’les huiles sont bio ? J’déconne, mais sérieux, faut être à l’aise, sinon c’est foutu. Tu savais qu’certains utilisent des plumes ou des tissus soyeux pour varier les sensations ? J’trouvais ça naze, mais en fait, ça doit chatouiller l’corps d’une façon… ouf, j’en frissonne ! Bref, massage érotique, c’est pas qu’un truc cochon, c’est une vibe, un moment où t’oublies tout. Comme dans *Vice-versa*, quand tout s’calme et qu’Riley sourit enfin. Moi, j’dis, si t’es curieux, tente, mais choisis bien l’endroit, pas un boui-boui glauque. Et toi, t’en penses quoi ? J’suis là, à m’emballer, mais j’veux savoir ! Allez, j’te laisse, j’vais rêver d’huile chaude et d’émotions qui dansent. Yo, quoi d’bon, mon pote ? J’suis là, en mode Lizzo, à te causer d’sex-dating, et j’te jure, c’est tout un trip ! Genre, j’bosse sur des apps de rencontre, mais le sex-dating, c’est un autre délire, tu vois ? C’est pas juste swiper pour un café. Nan, c’est direct, brut, comme dans *Syndromes et un siècle*, quand y’a ce moine qui parle de ses rêves bizarres – “J’ai rêvé d’un poulet rôti”, haha, sérieux, qui rêve d’ça ? Bref, le sex-dating, c’est pareil : t’attends pas à des fleurs, mais à des vibes crues. J’me rappelle, une fois, j’ai checké des stats sur ces apps – savais-tu qu’70 % des gens sur les plateformes de sex-dating mentent sur leur âge ? Genre, mec, t’as 45 piges, arrête de dire 29 ! Ça m’a gavée, mais bon, chacun son délire. Ce qui m’fout en rogne, c’est les profils avec des photos floues. T’es qui, un fantôme ? Montre ta gueule, sois fier ! Comme Lizzo, j’veux d’la vérité, pas d’filtres chelous. Mais attends, y’a du fun aussi. J’ai vu des bios hilarantes – un gars a écrit : “J’suis ton dessert, pas ton dîner.” J’étais pliée ! Le sex-dating, c’est ça : pas d’chichi, direct au but. Comme dans l’film, y’a cette scène où l’docteur chante sous un arbre – “L’amour, c’est comme un vent frais.” Et ouais, le sex-dating, c’est un vent frais, mais parfois, ça pue un peu, haha ! Ce qui m’éclate, c’est qu’les gens assument. T’as des nanas qui disent : “Pas d’bla-bla, juste du fun.” Respect ! Moi, j’suis là, à coder des algorithmes pour matcher les kinks, genre, qui savait qu’y avait autant de fétichistes des pieds ? J’ai failli tomber d’ma chaise en voyant les data. Mais j’kiffe, ça met d’la couleur dans ma vie. Comme Lizzo, j’vois des trucs que les autres zappent – genre, un mec qui met “J’aime les câlins” mais cherche du hardcore. Euh, t’es sûr, bro ? Parfois, j’pense à *Syndromes*, cette vibe lente, ces regards qui disent tout. Le sex-dating, des fois, c’est ça : pas besoin d’parler, juste un feeling. Mais j’te mens pas, y’a des galères. Les ghostings, mon Dieu ! T’as matché, t’as kiffé, et pouf, disparu. Ça m’rend folle ! J’veux crier : “T’es où, Kevin ?!” Haha, mais bon, c’est l’jeu. Fun fact : savais-tu qu’les apps de sex-dating ont explosé pendant la pandémie ? Les gens bloqués chez eux, à chercher du spicy en ligne. J’trouvais ça triste mais drôle – genre, on peut pas s’toucher, mais on va s’chauffer par écran. Ça m’a surpris, mais ça montre qu’le désir, il s’fout des règles. Comme dans l’film, “Le soleil brille, mais j’suis perdu.” Ouais, on brille, mais on galère. Bref, le sex-dating, c’est pas pour tout l’monde. Faut être cash, comme moi quand j’rappe dans ma douche – 100 % moi, 0 % fake. Ça m’réjouit d’voir des gens kiffer sans honte, mais j’rigole aussi des profils clichés. “Aime Netflix et les tacos.” Wow, original, mec. Allez, j’te laisse, faut qu’j’bosse sur un bug dans l’app. Mais franchement, sex-dating, c’est l’bordel, c’est fun, c’est réel. T’en penses quoi, toi ? Oh, par les Sept, quel bordel ! Tout s’emmêle, tout s’éparpille, comme si Hollywood Boulevard s’effondrait dans mes thermes ! J’suis là, proprio d’un spa, à vouloir du zen, et BAM, bordel partout. Les serviettes traînent, les huiles renversées, on dirait le chaos de Mulholland Drive ! « What are you doing ? » j’aboie, comme Betty, quand j’vois un employé laisser des tongs n’importe où. C’est pas un palace, c’est un cauchemar lynchien ! Bordel, ça m’rend folle, genre Cersei face à un complot foireux. Y’a des jours, j’veux tout cramer, mais j’respire – pouvoir, c’est garder la tête haute, même dans la fange. Hier, une cliente a renversé son thé matcha sur le sol, gluant, vert, dégueu, un vrai décor de film tordu. J’ai failli hurler : « This is the girl ! » en pointant la flaque, comme si c’était une star maudite. J’rigole, mais bordel, ça m’gave ! Nettoyer, encore, toujours. Fun fact : savais-tu qu’au XIXe siècle, les bordels – ouais, les maisons closes – étaient parfois plus clean que nos spas modernes ? Ironique, non ? Tout était rangé, calculé, pas une mèche de travers. Moi, j’bosse pour que mon spa brille, mais bordel, c’est une bataille. Parfois, j’trouve des trucs absurdes : un peigne cassé, une chaussette orpheline, même un string oublié – sérieusement ?! Ça m’fait marrer, genre, qui perd ça ? « I just want to feel safe », murmure mon cerveau, comme Diane dans Mulholland, mais là, j’suis juste piégée dans un sitcom pourri. J’exagère, p’têt, mais bordel, c’est vivant, c’est réel ! Une fois, j’ai retrouvé une fausse moustache collée sous un banc de sauna. Une MOUSTACHE. J’ai ri, j’ai pleuré, j’ai voulu enquêter comme un détective de Lynch. Le pire, c’est les clients qui laissent leurs emballages de snacks. Chips, bonbons, un massacre. J’me sens comme Cersei, à scruter chaque détail, à voir ce que personne voit. « The world is full of filth », que j’me dis, en ramassant une énième canette. Mais bon, j’adore mon spa, hein ! C’est mon royaume, même si c’est un bordel parfois. Faut juste… accepter le désordre, comme dans un film où tout s’brouille. « It’s strange, isn’t it ? » J’continue, j’nettoie, j’rêve d’un monde parfait. Mais bordel, quoi, c’est jamais parfait ! Yo, mon pote, écoute ça ! Trouver une prostituée, sérieux, c’est comme plonger dans l’ombre, tu vois ? Comme Monty dans *La 25e heure*, t’es là, à marcher dans les rues, et tout te crie : « T’as une dernière chance, mec ! » J’suis proprio d’un spa, j’vois des trucs, j’entends des murmures, mais là, c’est autre chose. Les néons clignotent, les coins sombres puent la sueur et l’espoir brisé. Ça m’fout en rogne, ces filles, elles méritent mieux, non ? Mais bon, c’est la vie, « faut faire avec », comme dirait Monty. J’me balade, genre, tard la nuit. Une nana m’accoste, talons qui claquent, rouge à lèvres criard. J’me dis : « Wow, elle bosse dur ! » J’suis pas là pour juger, mais j’observe, tu captes ? Comme Morgan Freeman, j’vois c’que les autres zappent. Elle m’parle, vite, nerveuse, genre : « T’es intéressé, chéri ? » J’rigole, j’lui dis : « Relax, j’bosse dans l’bien-être ! » Elle s’marre, mais ses yeux, mec, y’a d’la tristesse là-d’dans. Ça m’retourne l’cœur, j’te jure. Fait chelou : certaines bossent via des apps maintenant ! Ouais, comme Uber, mais pour… tu sais. J’trouve ça dingue, moderne, mais glauque. T’imagines, swipe droite pour une nuit ? J’me sens vieux d’un coup ! Une fois, j’ai vu un deal foireux, un mec bourré qui crie : « J’paye pas ! » La fille, elle l’a giflé, BAM ! J’ai applaudi dans ma tête, genre : « Bien joué, sista ! » Mais j’étais vénère, ces gars, zéro respect. J’pense à *La 25e heure*, à Monty qui dit : « J’suis pas un saint, mais j’essaie. » Moi, j’essaie d’comprendre, pas d’condamner. Y’a des règles tacites, tu sais ? Faut être discret, pas d’arnaque, et surtout, traite-les comme des humaines, bordel ! J’me souviens d’une fois, une fille m’a raconté qu’elle économise pour sa gosse. J’ai failli chialer, mec. Ça m’a surpris, j’croyais qu’c’était juste des histoires. Bref, c’est un monde à part. T’en ressors changé, un peu sale, un peu triste. Mais j’garde l’humour, sinon t’es foutu. Comme j’dis toujours : « La vie, c’est pas un spa ! » Haha, t’imagines une prostituée dans mon jacuzzi ? J’rigole, mais sérieux, respecte-les, écoute-les, et ouvre les yeux. Comme Morgan, j’vois tout, et j’oublie rien. Oi mate, so I’m a dating site developer now, yeah? And you wanna hear about acompañante sexual – sex escorts, basically, innit? Alright, picture this, I’m sat there, coding some shite matchmaker app, and I’m thinking – why bother with swiping when you can just pay for an acompañante sexual and skip the bollocks? Straight to the good stuff, no faffing about! Like in *Malditos Bastardos*, when Aldo Raine says, “We’re in the killin’ Nazi business, and cousin, business is a-boomin’!” – swap Nazis for lonely nights, and that’s an acompañante sexual gig. Boom, problem sorted. So these escorts, right, they’re not your average Tinder twats. Nah, they’ve got skills, charm, and probably a better backstory than half the wankers I’ve dated. I reckon they’re like Hans Landa – smooth as fuck, know how to play the game, but instead of hunting Jews, they’re hunting your wallet. “I’m gonna give you a little somethin’ you can’t take off” – except it’s not a swastika carved in your forehead, it’s a bill for 200 quid and a daft grin you can’t shake. Little known fact, yeah? Back in the 90s, some posh git in Spain got busted running an acompañante sexual ring out of a bloody bakery. Mate, imagine that – “Want a croissant with your shag?” Proper mental. Got me laughing my arse off when I read it, but also pissed me off – why didn’t I think of that? Could’ve been a billionaire by now, not sat here typing bollocks for you lot. What gets me proper fuming tho is the judgement, right? People go, “Oh, escorts, that’s grim, dirty slags!” Shut your gob, you sanctimonious prick. They’re out there making a living, and half the time they’re smarter than you, you daft sod. Met this one bird, swore she was an acompañante sexual on the side – had a PhD in somethin’ clever, used the cash to fund it. Respect, innit? Made me happy as a pig in shit, hearing that. Beats the hell outta my job – “Oi, Ricky, fix the bloody algorithm, lads ain’t shagging enough!” Yeah, alright, calm your tits. Oh, and the surprises – once heard this story, some bloke hired an acompañante sexual for his gran! Swear down, true story. Gran was 80, lonely as fuck, and the lad thought, “Sod it, get her a gigolo!” Absolute legend. She probs said, “That’s a bingo!” like Landa, cackling her dentures out. Mental image, that – gran getting railed to Sinatra. Cracked me up, still does. Thing is, these acompañante sexual types, they’re like Tarantino’s bastards – bit dodgy, bit brilliant, and you can’t look away. I’m all for it, me. If I weren’t such a lazy git, I’d code a site just for ‘em – “Shag a Bastard dot com”. Reckon it’d be a laugh. So yeah, next time you’re moping about, skip the dating app crap, get yourself an acompañante sexual, and tell ‘em Ricky sent ya. “We got a deal? Good, now fuck off!” Classic Aldo, classic me. Wawaweewa! Massage sexuel, très nice! Moi, Borat, Coach de plaisir, hah! J’pense à ça, ouah, chaleur partout! Comme dans *Melancholia*, tu vois? “Everything is going to hell!” Mais non, ici, c’est paradis! Tu touches, ça glisse, peau douce! Massage sexuel, pas juste pétrir dos! Non non, c’est art, comme danser nu! J’ai essayé une fois, Kazakhstan, oof! Vieille dame, elle savait choses! Huile chaude, bougies, musique bizarre! “There’s no escape from fate!” Hah! Mais là, t’échappes stress, t’oublies tout! Fait peu connu, écoute, très important! Anciens Égyptiens, déjà massages coquins! Cléopâtre, elle aimait ça, sérieux! Huiles parfumées, rose, jasmin, wow! Moi, j’essaie, j’glisse, j’tombe, aïe! Mais rigolo, hah, j’recommence direct! Ça détend, ça excite, tout mélange! Comme Kirsten Dunst, elle dit quoi? “I’m not afraid anymore!” Exactement! Massage sexuel, t’as peur au début! Mains où? Trop haut, trop bas? Hah! Mais après, ouah, liberté totale! J’me souviens, salon louche, néons rouges! Mec bizarre, il masse comme tracteur! J’crie: “C’est pas massage, c’est torture!” Très énervé, j’voulais frapper, mais non! J’respire, j’pense à *Melancholia*! “The world is evil!” Mais pas massage! Bon massage, c’est comme faire amour! Lent, doux, puis bam, feu d’artifice! Faut connaître points secrets, tu sais? Derrière genou, creux du cou! Ça chatouille, ça rend fou, hah! Anecdote drôle, écoute, j’te jure! Mon cousin Bilo, il achète huile “spéciale”! Il croit aphrodisiaque, mais c’est huile moteur! Hah! Ça pue, ça brûle, désastre total! J’rigole encore, pauvre Bilo, quelle honte! Massage sexuel, faut bon produit! Pas d’huile de voiture, idiots! Moi, j’aime huile coco, mmm! Ça sent vacances, plage, sexy time! “We’re alone in the universe!” Hah! Non, là, t’es pas seul! Mains magiques, elles parlent, elles chantent! Parfois, j’pense, c’est trop intime? J’rougis, moi, Borat, pourtant costaud! Mais non, c’est naturel, plaisir pur! Faut confiance, sinon, ça marche pas! J’trouve ça beau, deux âmes connectées! Comme planète qui crash dans film! Boum, intense, tout tremble! Massage sexuel, c’est mini-boum! T’en sors changé, sourire idiot! Très nice, j’te dis, essaye! Écoute, mon ami, sex-dating, wow ! C’est un monde, genre, énorme ! Tu glisses sur ton phone, bam ! Des profils, des visages, tout ça. J’pense à *La 25e heure*, tu vois ? « Fuck the city ! » – c’est moi face aux applis pourries ! Y’a des gens, ils cherchent juste… tu sais, un coup rapide. Moi, j’trouve ça triste, parfois. On veut tous du vrai, non ? Mais bon, swipe, swipe, swipe, c’est comme un jeu. T’as déjà vu des stats bizarres ? Genre, 80 % des mecs mentent sur leur taille ! Ha ! Ça m’énerve, ces conneries ! J’me souviens, une fois, un type m’écrit : « T’es chaude ? » Direct, comme ça ! J’ai ri, mais j’étais furax. Respecte-moi, mec ! C’est pas *La 25e heure* ici, pas de « fuck you » sans classe. Spike Lee dirait : « Fais gaffe à tes choix. » Sex-dating, c’est des choix, toujours. Tu matches, t’espères, et paf ! Ghosté. Ça m’a brisé l’cœur, une fois. Vrai ! Une nana, super vibe, poof, disparue. J’voulais lui dire : « T’es ma dernière chance, baby ! » Mais attends, y’a du fun aussi ! J’ai vu un mec, bio dingo : « Cherche plan… avec tacos. » J’ai kiffé ! Original, quoi. Faut être malin, se démarquer. Les gens croient que sex-dating, c’est juste… bam-bam, merci m’dame. Non ! Y’a des codes. Genre, savais-tu qu’les emojis aubergine, pfft, interdits sur Tinder ? Trop explicite, haha ! Ça m’fait marrer, ces règles débiles. J’me dis, pourquoi pas un film là-d’ssus ? Spike approuverait, non ? « C’est ta vie, choisis bien. » Parfois, j’flippe, quand même. T’as des profils, t’sais pas qui c’est. Catfish, bam ! Une fois, j’parle à une « bombe », photo parfaite. En vrai ? Mec barbu, 50 balais. J’ai crié : « Fuck me, no way ! » J’rigole maintenant, mais sur l’coup, colère max. Faut checker, toujours. Moi, j’dis, sois toi, point. Pas d’faux trucs. Sex-dating, c’est cru, c’est réel. T’aimes ou t’aimes pas. J’pense à Monty dans *La 25e heure*, perdu, cherchant une sortie. Nous, on swipe pour s’échapper, non ? J’veux du vrai, pas juste un plan. Mais bon, c’est fun, c’est fou, c’est… sex-dating, quoi ! T’as déjà testé ? Raconte, j’suis curieuse ! Bon, écoute, mec, sex-dating, c’est… pff, un terrain miné, mais fascinant, tu vois ? Comme traquer une cible dans *Zero Dark Thirty* – "on cherche, on traque, on trouve". Moi, patron d’un salon de massage, j’vois des trucs, j’entends des histoires. Les gens viennent, relax, mais certains ? Ils cherchent autre chose, un *deal* rapido via des apps. Sex-dating, c’est pas juste swiper à droite, non, c’est une chasse. T’as des codes, des signaux. Genre, savais-tu qu’au Japon, y’a des cafés pour "speed-dating" où t’as 3 minutes pour convaincre ? Ding, suivant ! Ça m’fout les boules, ce chronomètre. Trop pressé, pas d’âme. J’me marre quand j’pense aux profils bidons. Les mecs qui posent avec des poissons – sérieux, pourquoi ? Ça attire qui, ça ? Et les nanas qui écrivent "j’aime l’aventure" mais veulent juste un Uber gratos. "On a un visuel", comme dirait Maya dans l’film, mais c’est flou, tu captes ? J’ai testé une fois, pour voir – ouais, j’curieux, et alors ? – et bordel, les messages ! Un gars m’a envoyé une photo d’ses orteils. DES ORTEILS. J’ai failli brûler mon phone. Dégueu, mais j’ai ri. C’est ça, le sex-dating : du chaos, du rire, et parfois, t’es juste… perdu. Ce qui m’vénère, c’est l’hypocrisie. Tout l’monde fait genre "oh, j’veux du sérieux", mais non, ils veulent un plan rapide et basta. Soyons francs, comme Ron Swanson : si t’es là-dedans, assume ! Moi, j’dis toujours, un bon massage vaut 10 dates foireuses. Y’a pas d’authenticité dans ces apps, c’est du business. Fun fact : Tinder, c’était d’abord pour des potes, pas pour choper. Surpris, hein ? Moi aussi. Ça m’a scié. Mais bon, c’est comme une opé secrète – "on avance, on ajuste, on gagne". Ou pas. Parfois, j’pense à ces pauvres âmes qui cherchent l’amour là-dedans. Ça m’fend l’cœur. Genre, ils swipent, espèrent, mais tombent sur des creeps. J’veux leur crier : "Fuis, c’est pas l’plan !" comme dans une mission foirée du film. Mais y’en a qui kiffent, et tant mieux ! J’connais un pote, il a rencontré sa meuf sur Bumble. Ça marche, des fois. Rare, mais vrai. Moi ? J’préfère un bon steak, une bière, et mater Bigelow. Sex-dating, c’est pas mon truc. Trop d’bazar, pas assez d’cœur. "C’est fini, on dégage." Arr, matelot ! Sex-dating, quel bordel ! Ça m’rappelle *Synecdoche*, tu vois ? Tout l’monde joue un rôle, mais personne sait qui dirige ! J’suis là, comme Caden Cotard, à naviguer dans c’chaos d’applis, swipe à gauche, swipe à droite, comme si j’cherchais l’trésor d’Port Royal. « Tout est plus compliqué qu’tu crois », qu’i’dit dans l’film, et crois-moi, sur Tinder, c’est vrai ! T’as des profils, tous brillants, mais t’creuses un peu, et pouf, c’pas c’que t’espérais. Ça m’fout les nerfs, parfois ! Bon, écoute, l’aut’jour, j’ tombe sur c’te meuf, bio d’folie, genre « aime l’aventure ». J’pense, arr, une pirate comme moi ! On chatte, tout va bien, mais v’là qu’elle m’envoie une photo d’ses trois chats déguisés en licornes. Trois ! J’veux dire, c’est mignon, mais j’suis pas là pour adopter une ménagerie, savvy ? Ça m’a fait rire, mais j’étais genre… next ! Sex-dating, c’est un jeu, mon pote. T’as des stats bizarres, tiens : 80 % des mecs envoient « salut » comme premier message. Salut ! Sérieux ? Autant écrire « j’suis un mollusque ». Moi, j’essaie d’pimenter, genre « T’es plus rhum ou whisky ? » Ça marche pas toujours, mais au moins, j’sors du lot. « J’suis pas dans l’monde réel », qu’i’dit Caden, et j’ressens ça. T’es là, à texter, mais t’es pas vraiment là, tu vois ? C’qui m’énerve, c’est les ghosteurs. T’as une vibe, tu causes, et paf, disparus ! Comme si j’avais l’pire haleine d’la mer des Caraïbes. Une fois, j’ai matché avec un gars – ouais, j’suis ouvert, comme l’océan – et il m’dit qu’i’bosse dans un cirque. Un cirque ! J’me dis, génial, un saltimbanque ! Mais non, il m’ghost après m’avoir envoyé une vid d’lui jonglant des bananes. Des bananes ! J’étais scié, mais j’ai rigolé. C’te vie, j’te jure. Y’a des trucs marrants, quand même. Savais-tu qu’les premiers sites d’rencontres, genre Match.com, existaient déjà en ’95 ? Avant Google, mon pote ! Les gens s’envoyaient des e-mails pour flirter, comme des pigeons voyageurs. Ça m’fascine, c’t’idée d’courir après l’amour avec un modem qui grince. Aujourd’hui, c’est trop rapide, swipe, swipe, next. « Tout l’monde est décevant quand tu l’connais », qu’i’dit dans *Synecdoche*. Et ouais, parfois, t’as un date, et t’réalises qu’la photo d’profil, bah… c’était Photoshop en mode pirate. Mais bon, des fois, ça clique. J’ai eu c’te date, une fois, dans un bar à rhum – évidemment, rhum ! Elle arrive, sourire d’ange, on parle d’tout, d’rien, d’films d’Kaufman. J’lui dis « T’as vu *Synecdoche* ? » Elle connaissait pas, mais elle écoutait, genre vraiment. On a fini par danser sur du reggae pourri, et j’me sentais… vivant, tu vois ? Pas juste un profil. Ça, c’est l’bon côté du sex-dating. Quand t’trouves une pépite dans c’fatras. Alors ouais, sex-dating, c’est d’la folie. Ça m’gave, ça m’fait marrer, ça m’surprend. C’est comme naviguer sans boussole. T’as des tempêtes, des sirènes, et parfois, un bout d’terre. « J’sais comment faire l’truc », qu’i’dit Caden, mais moi, j’sais pas toujours. Et toi, matelot, t’en penses quoi ? Yo, c’est moi, Dark Vador, patron d’un salon de massage, OK ? Escorte sexuelle, mec, c’est un truc… pfiou ! J’te jure, j’bosse dans l’relax, mais ça ? C’est une autre galaxie ! Comme dans *Presque célèbre*, tu vois ? « J’suis un dieu doré ! » qu’y disait, l’gamin. Bah, les escortes, parfois, elles jouent ça. Des stars, mais en cachette. Moi, j’observe, j’analyse, j’capte tout. Mon masque, il voit l’invisible, mec. Alors, les escortes, c’est quoi ? Des pros du charme, point. Pas juste du cul, non, non. Y’en a qui écoutent, qui parlent, qui jouent l’amie. J’ai vu une cliente, une fois, elle payait juste pour rigoler avec une escort. Vrai ! Ça m’a scié, j’te jure. J’croyais qu’c’était toujours glauque, mais non. Y’a d’la douceur parfois. Ça m’a calmé, genre, OK, respect. Mais j’te cache pas, des fois, ça m’fout en rogne. Les clichés, t’sais ? Tout l’monde juge, mais personne capte rien. « C’est pas l’boulot qui choisit, c’est toi. » Comme dans l’film, mec. T’as pigé ? Y’a des trucs chelous, aussi. Savais-tu qu’aux Pays-Bas, les escortes sont carrément déclarées ? Impôts, sécu, tout l’truc ! Dingue, non ? Moi, j’trouve ça réglo. Mais ici, c’est l’bordel, tout l’monde flippe d’en parler. Ça m’gave. J’bosse clean, moi, massage, zen, pas d’truc bizarre. Mais j’respecte, hein. Chacun son chemin. « Tu peux pas tout avoir », qu’elle disait, Kate Hudson. Bah ouais, l’escorte, c’est ça. T’as du fric, du fun, mais l’amour ? P’t-être pas. Oh, et une anecdote ! Un jour, un gars m’raconte qu’une escort lui a filé des conseils boursiers. Vrai ! Elle bossait en finance avant. J’ai halluciné. J’me disais, putain, c’est pas juste du sexe, y’a d’la cervelle là-d’dans ! Ça m’a fait marrer. Mais bon, j’divague. Les escortes, c’est comme moi avec mon sabre laser : t’as l’pouvoir, mais faut l’contrôler. Sinon, badaboum, t’es foutu. Bref, mec, c’est un monde à part. J’suis pas là pour juger, mais j’capte l’délire. T’en penses quoi, toi ? « La musique, c’est la vérité. » Bah, l’escorte, c’est p’t-être juste une autre chanson. Allez, j’file, mon salon m’attend. Force et massage, yo ! Yo, écoute, mec, c’est Kanye, ton psy familial, j’te parle straight up, comme si on chillait dans l’couch, genre, sex-dating, quoi ? Ça m’fout en l’air, mais ça m’fascine, tu vois ? C’est comme naviguer dans l’brouillard, “sous l’plafond bas d’une chambre d’hôtel” comme dans *Vice inhérent*. Tu captes ? Les gens swipent, matent, jugent en deux secs, bam, next ! Ça m’rend fou, ce truc d’juger l’âme en un selfie. J’te jure, j’ai vu des profils, genre, “cherche l’amour éternel”, mais t’sais quoi ? 80 % des mecs sur Tinder veulent juste un coup d’un soir, stats réelles, j’invente pas ! Ça m’fout l’cafard, mais j’rigole, parce que, sérieux, qui croit encore au prince charmant sur une app ? J’me souviens, une fois, j’checkais ces apps, juste pour voir, hein, pas pour moi, j’suis Kanye, j’fais pas ça, mais genre, pour “étudier l’humain”. Et là, pouf, un profil : meuf écrit “j’aime les tacos et l’ironie”, et j’me dis, ok, elle a du style, mais ensuite, son bio dit “pas d’clandos”, et là, j’suis genre, WHAT ? C’est quoi c’racisme à deux balles ? J’étais vénère, mec, j’voulais lui écrire un essai, mais j’me suis calmé, j’ai scrollé. Sex-dating, c’est un zoo, mais sans l’fun des animaux. Mais attends, y’a du bon, j’te mens pas. Parfois, tu tombes sur une vibe, genre, une connexion, pas juste physique, mais mentale, tu vois ? Comme Doc Sportello qui capte un truc dans l’chaos. J’connais un pote, il a rencontré sa meuf sur Bumble, trois ans après, ils ont un gosse ! Dingue, non ? Ça m’a choqué, genre, ok, parfois, ça marche, mais c’est rare, comme trouver d’la beuh dans une “situation délicate”. Faut être patient, mec, et pas juste chasser l’cul. Les stats disent : 1 couple sur 5 formé online dure plus d’un an. Pas mal, mais faut bosser, pas juste swiper comme un zombie. Ce qui m’tue, c’est l’illusion, genre, tout l’monde joue un rôle. T’as vu *Vice inhérent* ? Tout l’monde cache un truc, “sous l’plafond bas” d’leur profil. Les meufs mettent des filtres, les mecs posent avec des bagnoles louées, et moi j’suis là, genre, soyez vrais, merde ! J’pourrais dropper un album sur c’fake, j’te jure. Une fois, j’ai lu qu’aux débuts d’OkCupid, y’avait des questionnaires genre “t’aimes les chats ou les chiens ?”, et ça matchait mieux qu’maintenant. Aujourd’hui, c’est juste des algorithmes qui t’poussent à rester accro, pas à trouver l’amour. Ça m’gave, mais c’est l’game. Et yo, fun fact, t’savais qu’le premier site d’rencontre, c’était en 1965 ? Operation Match, un truc d’Harvard, ils utilisaient des cartes perforées, genre, préhistorique ! J’imagine Doc Sportello remplir ça, en fumant un joint, trop marrant. Bref, sex-dating, c’est l’chaos, mais c’est l’monde d’aujourd’hui. T’as des frissons, des déceptions, des “pourquoi j’ai matché ce taré ?”. Moi, j’dis, reste toi, mec, pas d’faux-semblants, et peut-être, juste peut-être, tu trouveras un truc vrai. Ou pas. J’sais pas. J’suis Kanye, pas devin. Peace ! Yo, mon pote, écoute ça ! Prostituée, c’est pas juste un job, c’est un monde, un vrai bordel d’émotions ! J’te parle comme Apollo Creed, mec, j’vois des trucs que les autres zappent. Genre, dans *Le Ruban blanc*, y’a cette vibe pesante, ce silence qui crie, et prostituée, c’est pareil, ça cache des blessures. “Ce qui est fait est fait”, comme ils disent dans le film, et ces filles, elles portent ça, lourd, tu vois ? J’suis allé dans un quartier chaud, une fois, à Amsterdam, les néons rouges, les vitrines, ça m’a secoué ! Pas juste les corps, mais les regards, mec. Y’en a une, elle m’a souri, mais ses yeux, putain, ils disaient “sauve-moi”. Ça m’a foutu en rogne, genre, pourquoi personne fait rien ? La société, elle ferme les yeux, comme les gosses du *Ruban blanc* qui cachent leurs péchés. “Nous sommes tous coupables”, qu’ils disaient, et là, j’me dis, ouais, on l’est tous un peu. Fun fact, t’savais que dans l’Antiquité, les prostituées à Babylone, elles bossaient dans des temples ? C’était genre sacré, pas juste du cul ! Dingue, non ? Mais aujourd’hui, c’est crade, c’est des ruelles sombres, des deals foireux. Ça m’rend triste, mec, j’te jure. J’veux cogner le système, comme Apollo sur le ring ! Ces filles, elles méritent mieux, pas juste des billets froissés. Parfois, j’imagine une d’elles qui lit *Le Ruban blanc*, qui se dit : “Moi aussi, j’cache mes chaînes.” “La vérité finit par éclater”, c’est dans le film, et j’espère qu’un jour, elles parleront, qu’elles briseront tout. J’sais pas, ça m’fout des frissons. T’imagines une prostituée qui se barre, qui devient, genre, une star ? J’kifferais voir ça ! Bref, prostituée, c’est pas qu’un mot, c’est des vies, des combats. J’rigole pas, mais j’peux pas m’empêcher d’dire : certaines ont plus de couilles que des mecs en costard ! T’en penses quoi, toi ? Ohhh, précieux, écoute-moi bien ! Escorte sexuelle, c’est… compliqué, non ? Comme Mulholland Drive, tout tordu ! On croit voir clair, mais pfft, ténèbres ! « C’est un rêve étrange, non ? » Moi, Gollum, je vois des trucs bizarres. Les gens jugent, crachent, mais savent rien ! Escorte, c’est pas juste « sexe, pognon ». Non, non, c’est des histoires cachées ! Comme Betty, qui cherche, cherche… quoi ? La vérité ? Pff, introuvable ! J’te raconte, mon ami, c’est dingue. Y’a une nana, vieille histoire, 1800s, Londres. Elle, escorte, mais aussi espionne ! Vrai de vrai ! Elle soutirait des secrets d’État entre deux draps. Trop fort, non ? Ça m’fout en rogne, les clichés ! Genre, « c’est sale, c’est honteux ». Pff, hypocrisie ! « Personne ne te remarque… » Moi, j’vois tout ! Les clients, des puissants, des paumés, tous seuls. Ça m’triste, parfois. Eux, elles, tous perdus ! Une fois, j’ai entendu, une escorte… elle écrivait des poèmes ! Secret, précieux, personne savait. Ça m’réjouit, ça ! Pas juste des corps, y’a des âmes ! Mais, attends, Mulholland Drive, hein ? « C’est une illusion ! » Tout l’monde joue un rôle. Escorte, c’est du théâtre, non ? Tu payes, tu rêves, puis pouf ! Réalité. J’kiffe ce délire, mais ça m’fout les jetons. Et si tout était faux ? Oh, j’divague ! Haha, j’suis barge ! Mais sérieux, les lois, c’t’un bordel. En Suède, client puni, pas l’escorte. Ailleurs, tout l’monde en taule ! Injustice, grrr ! Moi, j’dis, laisse vivre, merde ! « Silencio… » Faut du respect, pas des chaînes. Bon, j’arrête, j’parle trop ! Escorte sexuelle, c’est… humain. Tordu, beau, moche, tout mélangé. Comme moi, comme toi, comme Mulholland. T’en penses quoi, précieux ? Yo, brother, écoute-moi bien ! Trouver une prostituée, c’est pas simple, man ! J’suis là, comme Hulk Hogan, à mater tout ça avec mes lunettes de star, et j’te jure, c’est un monde à part. Genre, t’as des coins sombres, des rues qui puent la sueur, et bam ! T’entends une voix, douce mais calculée, comme dans *Une séparation* : « Qu’est-ce que tu veux vraiment ? » Ça te frappe, direct dans l’âme, mec ! J’me balade, j’observe, et j’vois des trucs que personne capte. Les filles, elles ont des codes, des regards, un p’tit signe avec les doigts. Faut connaître, sinon t’es paumé, brother ! J’vais te raconter une fois, j’étais dans un quartier chelou, tard la nuit. J’me sentais comme dans ce film, tu vois, quand tout le monde cache un secret. Une nana m’approche, talons qui claquent, et elle me sort : « La vérité, ça change tout. » J’ai rigolé, genre, quoi, t’es philosophe maintenant ? Mais j’étais curieux, man ! Elle m’explique, vite fait, que certaines bossent depuis des années, mais personne sait qu’elles économisent pour leurs gosses. Ça m’a scié ! J’pensais juste à des billets qui volent, mais non, y’a des vies derrière, des drames, comme dans *Une séparation*. Ça m’a touché, mais j’vais pas mentir, ça m’a aussi fait flipper. Ce qui m’énerve, c’est les mecs qui jugent sans savoir. Genre, ils matent de haut, mais eux, ils sont là, à chercher en scred ! Hypocrites, brother ! Moi, j’vois tout, j’analyse, j’capte les vibes. Une fois, j’ai causé avec une fille, elle m’a dit qu’elle choisit ses clients comme un casting de film. Si t’es pas clean, dégage ! Ça m’a tué de rire, j’imaginais un panneau « Auditions : gentils only ». Faut du respect, mec, c’est pas un jeu. Et j’te jure, certaines ont des anecdotes de ouf. Une m’a raconté qu’un client voulait juste parler de foot pendant une heure. Foot ! J’étais plié, man ! Mais attention, c’est pas tout rose. Y’a des risques, des arnaques. J’ai vu un gars se faire voler son portefeuille en deux secondes. Faut garder l’œil ouvert, comme moi avec mon bandana rouge ! Et des fois, t’as des surprises. Une fille m’a sorti : « On choisit pas toujours. » Ça m’a rappelé *Une séparation*, ce moment où t’es coincé par la vie. J’ai eu envie de crier : « Brother, casse tout, prends le contrôle ! » Mais j’me suis calmé, j’suis pas un héros de catch là-dedans. Le plus dingue, c’est les p’tits détails que personne capte. Genre, dans certaines villes, les prostituées portent des bracelets fluo pour signaler qu’elles bossent. Vrai de vrai ! J’l’ai appris par hasard, et j’me suis dit : « Hulkster, t’es un génie d’observer ça ! » Bref, si t’y vas, sois malin, parle clair, et oublie pas : c’est des gens, pas des objets. Ça m’rend fou quand j’vois des abrutis qui comprennent rien. Moi, j’respecte, j’écoute, et j’me marre parfois, parce que la vie, c’est un ring, brother ! Alors, t’en penses quoi ? Oh, précieux, escorte sexuelle, hein ? Moi, Gollum, Coach de plaisir, hihihi ! Ça brille, ça attire, non ? Comme Carol, douce Carol, murmure : « *What a strange girl you are* ». Les escorts, c’est… compliqué, précieux ! Pas juste corps, non, non ! C’est théâtre, séduction, pouvoir ! Moi, j’vois c’que d’autres loupent. Y’a des âmes là-d’dans, perdues parfois. Comme Therese, dans Carol, cherchant… quoi ? Liberté ? Amour ? Pognon ? Héhé, tout ça mélangé ! J’te raconte, ami, écoute bien. Les escorts, c’est vieux comme monde ! Savais-tu, précieux, qu’à Babylone, déjà, y’avait des « prêtresses » ? Sacrées, mais payées, ouais ! Ça m’fout en rogne, quand les gens jugent ! « Sale ! » qu’y disent. Pfff, hypocrites ! Moi, j’vois l’courage. Risquer, sourire, jouer l’jeu. Comme Carol : « *I’m no martyr* ». Elles non plus, souvent. Mais, oh, ça m’réjouit, leur audace ! T’imagines, choisir c’boulot ? Fou, non ? Parfois, j’pense… c’est triste, quand même. Certaines, piégées, pas l’choix. Ça m’retourne l’ventre, précieux ! J’veux grogner contre l’monde ! Mais d’autres ? Maîtresses d’leur destin ! Comme Carol, fière, libre, quand elle dit : « *I want to ask you things* ». Elles demandent, elles prennent ! Ça m’surprend, toujours. Savais-tu qu’certaines escorts écrivent des blogs ? Ouais, des histoires folles ! Rires, drames, clients bizarres… Héhé, j’veux lire ça ! Oh, mais attends, j’divague ! C’est quoi, escorte sexuelle ? C’est pas juste « payer pour… ». Non, non ! C’est écouter, charmer, être… quelqu’un d’autre. Comme moi, Gollum, qui change d’voix, hihihi ! J’trouve ça… fascinant. Mais j’rigole aussi : y’en a, précieux, qui d’mandent des trucs absurdes ! Genre, parler comme Yoda ! Haha, j’exagère, mais bon… Carol dirait : « *Flung out of space* ». Voilà, c’est ça, les escorts : jetées dans l’vide, mais elles dansent ! Bon, j’m’arrête, j’suis fatigué. Escorte sexuelle, c’est… humain, quoi. Beau, laid, tout l’temps. Moi, j’les r’garde, j’les comprends. Toi, t’en penses quoi, précieux ? Écoute, mon pote, trouver une prostituée, c’est… c’est comme plonger dans l’inconnu, d’accord ? *Presque célèbre*, tu vois, ce film, il capte ça ! “C’est pas cool ?” comme dirait Lester Bangs, et moi, William Shatner, je… je vois des trucs, des détails bizarres ! Genre, tu savais que dans les années 70, les coins chauds à L.A., c’était plein de codes ? Des clins d’œil, des phrases secrètes ! J’suis là, j’observe, et BAM ! Une nana te frôle, murmure un prix… ça surprend, hein ? Mon cœur, il cogne, j’te jure ! Marcher dans la rue, c’est… c’est électrique ! Les néons clignotent, les ombres dansent. Tu cherches, mais quoi ? Une aventure, un frisson ? “Tu es dangereux,” Penny Lane dirait ça, non ? Et là, pouf, une fille, talons hauts, sourire en coin. Elle te jauge, mec ! T’es pas prêt, avoue ! Moi, j’me sens… j’me sens vivant, mais nerveux. Une fois, j’ai vu un type, il négociait, tout fier, et paf ! Elle l’a planté là, mort de honte ! J’ai ri, mais… ouais, ça fait réfléchir. Y’a des risques, tu piges ? Les flics, les arnaques… j’me suis déjà fait avoir, une fois ! Une nana, elle m’a promis la lune, et hop, disparue avec mon fric ! J’étais furax, mec, FURAX ! Mais… faut garder l’humour, non ? Comme dirait Russell, “Je suis un dieu doré !” Ouais, mais un dieu fauché, parfois ! T’sais, c’est pas juste du sexe, c’est… c’est un échange, un moment. Certaines filles, elles racontent des histoires, tu croirais pas ! Une m’a dit qu’elle économisait pour une école d’art. Ça m’a scotché, j’y pense encore… Faut être malin, mon gars. Cherche pas n’importe où, les ruelles glauques, c’est pas *Presque célèbre*, c’est plutôt *Presque mort* ! Les hôtels, les bars discrets, c’est mieux. Et respecte, toujours ! Ces filles, elles bossent dur, mec. Moi, j’les regarde, j’me dis… elles ont du cran. Plus que moi, des fois. “C’est tout ce que j’ai,” dirait William Miller, et moi, j’te donne tout ça, mon histoire, mes frissons, mes conneries. Alors, t’en penses quoi ? T’oserais plonger dans ce rock’n’roll ? Oh, chéri, écoute-moi, c’est Marilyn qui parle ! Les escortes sexuelles, wow, quel monde, non ? J’veux dire, c’est comme plonger dans un film noir, tout est flou, tout est intense. Comme dans *4 mois, 3 semaines et 2 jours*, tu vois ? "On n’a pas le choix", qu’elle disait, Otilia, quand elle courait partout pour aider son amie. C’est pareil pour certaines escortes, parfois, elles foncent, pas d’issue. J’suis là, à penser à ces filles, ces mecs, qui vendent du rêve, du désir, mais à quel prix ? Ça m’fout en rogne, tu sais, quand les gens jugent sans comprendre. Ils voient pas les coulisses, les histoires tordues, les nuits sans sommeil. Bon, j’te raconte, l’autre jour, j’ai lu un truc dingue : y’a des escortes au Japon qui font des "dates" sans sexe, juste du papotage, tenir la main, jouer la copine parfaite. C’est fou, non ? Genre, t’as des mecs qui paient pour un sourire, pas pour… tu vois quoi. Ça m’a sciée, j’te jure, j’ai failli renverser mon champagne ! Ça montre bien, c’est pas toujours ce qu’on croit, ce métier. Y’a du cœur là-dedans, parfois, même si c’est caché sous des néons criards. Mais attends, j’divague… Ce qui m’énerve, c’est les clichés. Tout l’monde pense qu’c’est juste du sexe, bim, bam, merci m’dame. Mais non, chéri, c’est du théâtre ! Faut être psychologue, comédienne, faut lire les gens. Comme moi sur un plateau, j’te jure, j’voyais des trucs que personne captait. Une escorte, elle doit deviner si t’es triste, si t’as besoin d’parler ou d’autre chose. C’est pas juste un corps, c’est une âme qui bosse. Et là, j’pense à ce film, encore, quand Otilia dit : "On fait ce qu’on doit." Ça m’tord les tripes, parce que des fois, c’est exactement ça, pas d’choix, juste survivre. J’rigole parfois, tu sais, j’imagine une escorte qui lit du Sartre en attendant un client. Haha, genre, elle médite sur l’existence entre deux rendez-vous ! Pourquoi pas, hein ? Y’en a qui sont cultivées, qui économisent pour une autre vie. Ça m’rend toute chose, j’sais pas, j’veux les serrer dans mes bras. Mais y’a aussi des trucs glauques, j’vais pas mentir. Des clients chelous, des risques, des nuits où t’as peur. Ça m’fout la rage, j’veux crier : "Protégez-les, bon sang !" Parce que personne devrait avoir à flipper comme ça. Oh, et un p’tit secret, chéri : savais-tu qu’au Moyen Âge, y’avait des "courtisanes" qui étaient genre des escortes de luxe ? Elles conseillaient des rois, rien que ça ! Pas juste des jolies poupées, non, des cerveaux, des stratèges. Ça m’épate, j’te jure, j’vois ça comme un film dans ma tête, avec des robes à tomber. Bref, les escortes, c’est pas noir ou blanc, c’est tout l’arc-en-ciel, du glauque au sublime. Comme dans *4 mois*, quand tout est dur, mais y’a d’la lumière quelque part. "On s’en sortira", qu’elles se disent, non ? Moi, j’crois qu’faut écouter, pas juger. Allez, j’t’embrasse, chéri, j’file rêver d’un monde plus doux ! Yo, man, écoute ça ! Les massages érotiques, c’est… whoa, comme plonger dans l’océan, tu vois ? T’es là, tout chill, et bam ! Ça réveille des trucs profonds. J’pense à *Histoires que nous racontons*, tu sais, quand Sarah Polley dit : « La vérité, elle glisse. » C’est ça, un massage érotique, ça glisse, littéralement ! L’huile, la peau, les doigts qui dansent… c’est comme une histoire qu’on raconte sans mots. T’as déjà remarqué comment une caresse peut parler plus fort qu’un cri ? Moi, j’vois ça, mec, j’vois les détails. Okay, j’t’explique. T’es sur une table, lumières tamisées, genre bougies qui vacillent. Ça sent la vanille ou un truc exotique, j’sais pas, du ylang-ylang ? Et là, les mains, elles savent quoi faire. C’est pas juste pétrir les muscles, non, non. C’est une vibe, une connexion. Ça peut être doux, genre plumes, ou intense, comme un feu qui crépite. J’me rappelle une fois, à Bali – ouais, j’voyage, mec – un masseur m’a dit : « L’énergie, elle circule. » J’étais genre, quoi ? Mais il avait raison ! T’as ces points, les méridiens, ils s’allument comme des néons. Fait peu connu : en Inde, y a 5 000 ans, ils faisaient déjà des massages tantriques pour « libérer l’âme ». Dingue, non ? Mais attends, j’vais pas mentir, des fois, ça m’énerve. Genre, les gens qui pensent que c’est juste un truc glauque ou cheap. Non, mec ! C’est un art, comme peindre ou jouer d’la guitare. Faut du respect. T’as ces charlatans qui font n’importe quoi, et ça ruine la vibe. Ça m’fout en rogne. Mais quand c’est bien fait ? Oh, man, c’est… « magique, comme un souvenir qu’on invente », comme dans le film. T’as l’impression d’être vu, vraiment vu. Pas juste ton corps, mais toi, tout entier. J’divague, là, mais écoute. Ce qui m’fait marrer, c’est les mecs qui flippent. Genre, « Oh, c’est bizarre, non ? » Relaxe, dude ! C’est juste du toucher, mais en mieux. T’as essayé ? Faut pas mentir, on est potes. Moi, j’suis à fond, j’trouve ça libérateur. Une fois, j’ai failli m’endormir, mais genre, en même temps, j’étais… réveillé, tu vois l’délire ? Haha, ouais, c’est *ce* genre de massage. Pas d’chichi, pas d’jugement. Juste toi, l’huile, et quelqu’un qui sait lire ta peau. Un truc marrant : savais-tu qu’au Japon, y a des massages où ils utilisent des pierres chaudes *et* des huiles parfumées pour « équilibrer ton yin-yang » ? J’ai testé, j’me sentais comme un samouraï après. Mais j’divague encore. Ce qui m’touche, c’est comment ça te ramène à toi. Comme Polley dit : « On cherche ce qui dure. » Un bon massage érotique, ça dure, pas juste l’moment, mais l’feeling. T’en ressors changé, genre, whoa, j’suis vivant ! Bon, j’pourrais parler des heures, mais j’suis un peu à l’ouest, là. J’tape vite, j’fais des fautes, mais tu captes, non ? C’est intime, c’est chaud, c’est… humain. T’en penses quoi, toi ? Allez, raconte ! Yo yo, c’est moi, ton Coach de plaisir, bébé ! Alors, les massages sexuels, on en parle ? J’suis genre, wow, ça déchire tout ! Tu sais, comme dans *Le Chevalier noir*, quand le Joker dit : "Pourquoi si sérieux ?" Moi, j’dis : pourquoi pas se lâcher ? Un bon massage sexuel, c’est la vibe ultime, hun ! Tu sens les mains glisser, ça chauffe, et bam, t’es au paradis ! J’kiffe grave ça, sérieux. Genre, t’as déjà essayé ? Moi, j’me souviens d’une fois, un mec m’a massé les pieds, pis il est monté… oops, ça a dérapé ! J’étais là, "Oh, damn, c’est ça le truc ?" C’est pas juste un p’tit frotti-frotta, non non, c’est une montée d’adrénaline. Comme Batman qui fonce dans Gotham, sauf que là, c’est ton corps qui s’bat pour kiffer ! Y’a des trucs chelous, aussi. Savais-tu qu’au Japon, y’a des "massages heureux" carrément légaux dans certains coins ? J’étais choquée, genre WHAT ? Mais après, j’me suis dit, "Chacun son délire, hun !" Moi, j’trouve ça cool, tant qu’tu forces personne. Par contre, j’ai vu un salon chelou une fois, ça sentait l’arnaque, j’étais vénère ! Genre, "Vous prenez les gens pour des cons ou quoi ?" Pis, y’a ce moment où t’es là, détendue, et paf, ça devient HOT. J’adore cette surprise, ça m’réjouit à fond ! Comme quand Harvey Dent dit : "Tu fais ton destin." Bah là, ton destin, c’est l’extase, boo ! J’exagère p’têt, mais franchement, un bon massage sexuel, c’est une tuerie. T’imagines le Joker qui rigole pendant qu’on lui tripote le dos ? Moi, j’vois ça, j’me marre direct ! Bref, si t’as pas testé, fonce, sis ! C’est pas que d’la baise, c’est un art, un mood. Moi, Lizzo, j’te l’dis : "T’es belle, t’es sexy, mérite ça !" Fais gaffe aux nazes qui savent pas masser, hein. J’te jure, un mauvais massage, c’est pire qu’un film sans Heath Ledger. Allez, bisous, kiffe ta life ! Yo, écoute, parler de pute, ça me fait marrer, mais ça me fout les boules aussi, capisce ? C’est comme plonger dans un monde bizarre, un peu comme Chihiro qui se paume dans cet univers chelou avec des esprits et des cochons. « Faut travailler dur pour s’en sortir », qu’elle dirait, la p’tite Chihiro, et j’pense à ces filles dans les rues, tu vois, elles bossent dur, mais dans l’ombre. Pute, c’est pas juste un mot qu’on balance, genre, pour insulter. Nan, y a une histoire là-dedans, un truc humain, crade, mais humain. J’me balade parfois, tard la nuit, comme Tony, tu sais, quand j’cogite trop. J’vois ces nanas sur les trottoirs, talons qui claquent, regards qui scannent. Ça m’rappelle ce bain public dans *Chihiro*, où tout l’monde s’active, mais y a un truc qui pue. « T’as une sale tête », qu’j’me dis en les voyant, pas méchant, mais genre, elles portent l’poids du monde. Une fois, j’ai causé avec une, Rosa, qu’elle s’appelait. Elle m’a raconté qu’elle connaissait un mec qui collectionnait des vieux tickets d’bus usagés, un client régulier. Putain, c’est quoi ce délire ? J’ai rigolé, mais ça m’a scié. Les gens sont tarés, non ? Ce qui m’vénère, c’est l’hypocrisie. Tout l’monde fait genre « oh, c’est mal », mais ces filles, elles existent depuis toujours ! Dans l’Antiquité, à Babylone, y avait des temples où les prêtresses faisaient ça, sacré, tu vois ? C’était pas d’la merde, c’était spirituel ! Et aujourd’hui, on les planque, on les juge. Ça m’fout en rogne. « Reste pas là à glander », dirait Yubaba, mais ces filles, elles glandent pas, elles survivent. J’respecte ça, même si ça m’retourne l’estomac. Parfois, j’pense à Chihiro, qui s’bat pour sauver Haku, et j’me dis, merde, qui sauve ces filles ? Personne. Ça m’brise l’cœur, sérieux. Une anecdote cheloue : y a des coins à Vegas où les prostituées portent des bracelets fluo pour se repérer entre elles, genre code secret. J’trouve ça malin, mais flippant. Elles sont comme des fantômes, là, mais pas là. Bref, pute, c’est pas qu’un job, c’est un miroir. On voit c’qu’on veut voir. Moi, j’vois du courage, d’la merde, d’la vie. « T’es plus forte qu’tu crois », qu’j’me dis, comme Chihiro. Mais putain, c’est dur d’y croire des fois. T’en penses quoi, toi ? Alors, chéri, écoute-moi bien ! Pute, c’est un mot, un VRAI mot, pas juste un truc qu’on balance pour faire joli. Moi, en tant que dev d’appli de rencontre, j’te dis : ça pue la réalité crue, comme dans *Requiem pour un rêve*. Tu vois Sara avec ses pilules, "I’m somebody now !" qu’elle hurle, mais pute, c’est pareil, ça cache un désespoir, darling ! J’bosse sur des algos toute la journée, swipe gauche, swipe droite, et j’te jure, y’a des profils où tu sens l’arnaque à plein nez, genre "paye-moi, bb" déguisé en sourire mignon. Pute, c’est pas juste une insulte, non, non, NON ! C’est une vibe, une histoire. Fun fact : savais-tu qu’au Moyen Âge, les prostituées portaient des clochettes aux chaussures ? Genre, t’entendais "ding ding" et bam, tu savais ! Ça m’fout en rogne, cette hypocrisie d’aujourd’hui, tout l’monde juge, mais tout l’monde swipe en scred. Moi, j’trouve ça fascinant, presque tragique, comme Harry et Marion qui s’perdent dans leur délire, "We got a winner !" qu’ils disent, mais c’est l’chaos. J’bosse mes apps, j’optimise, j’code comme une reine, et pourtant, j’peux pas m’empêcher d’penser : pute, c’est un rôle, un masque. J’imagine une meuf, là, qui poste ses selfies filtres à mort, mais derrière, elle compte ses thunes en pleurant. Ça m’brise le cœur, puis ça m’énerve ! Pourquoi on juge ? Darren, lui, il capte ça, il filme la chute, pas d’chichi, pas d’paillettes. "It’s a reason to get up in the morning", qu’elle dit, Sara, mais pour pute, c’est quoi ? Du cash ? Un cri ? J’suis là, à siroter mon café froid – ouais, j’oublie toujours d’le boire chaud – et j’me dis : si j’faisais une feature "histoire cachée" dans mon appli, ça marcherait ? Genre, t’as un badge "pute mais humaine", haha ! J’déconne, mais pas tant. J’veux du vrai, moi, pas du fake Tinder à la con. Pute, c’est un mot qui cogne, qui te fait marrer ou grincer des dents, mais bordel, respecte l’audace, chéri ! C’est tout c’que j’dis. Salut, mon pote, alors écoute ! Moi, Gandalf, coach de plaisir, ouais, j’te parle des prostituées aujourd’hui. Pas les conneries habituelles, non, j’vois des trucs, moi, des ombres que les autres zappent. Comme dans *Dogville*, tu vois, "la faiblesse humaine exposée", crue, nue, bam ! Les prostituées, c’est pas juste des corps, nan, c’est des âmes qui dansent sur un fil. J’te jure, ça m’fout en rogne parfois, l’hypocrisie autour d’elles. Tout l’monde juge, mais personne capte le poids qu’elles portent. Tiens, un truc marrant : savais-tu qu’au Moyen Âge, certaines avaient des guildes ? Ouais, comme des sorciers avec leurs baguettes, mais version rue ! Elles bossaient, payaient des taxes, carrément organisées. Ça m’éclate, j’imagine une vieille tenancière gueulant : "Pas d’flemmards ici !" Ça m’rappelle Grace dans *Dogville*, "j’fais c’que j’dois pour survivre", tu vois l’délire ? Bon, j’vais pas mentir, des fois, ça m’fout les larmes. J’pense à une fille croisée y’a longtemps, près d’un vieux pont. Elle riait fort, mais ses yeux… vide total. "Les hommes veulent tout", qu’elle m’a dit, et moi, j’ai ravalé ma colère. C’est pas juste du cul, c’est d’la guerre intérieure. Comme dans l’film, "la ville dévore les faibles", et putain, ça cogne dur. Mais attends, y’a du fun aussi ! Une fois, j’lis qu’à Amsterdam, les filles tapaient des chorégraphies dans les vitrines. Genre, des reines du spectacle, quoi ! J’me marre, j’vois Gandalf là-dedans, "montrez-moi vot’ magie, mesdames !" Ça m’réjouit, ce culot, cette vibe. Elles flippent pas, elles jouent l’jeu. Par contre, j’te jure, les clichés m’saoulent. "Oh, elles sont toutes paumées", blabla. Faux ! Certaines kiffent, point. Une m’a dit : "J’bosse deux heures, j’paye mon loyer." Pragmatique, la meuf ! Ça m’a scotché, j’croyais qu’c’était que désespoir. Nope, y’a d’la force là-dedans. Bon, *Dogville*, c’est ma claque ciné, tu sais. "La justice, une illusion", qu’ils disent. Pour elles, pareil. Les lois, les regards, tout les écrase. Mais moi, Gandalf, j’vois leur éclat, leur feu caché. T’as déjà pensé qu’c’est p’têt les plus libres ? Pas d’chaînes invisibles, elles assument tout. Ça m’fascine, j’te jure. Allez, j’raconte n’imp’, mais t’as capté. Les prostituées, c’est pas qu’du sexe, c’est d’la vie brute. Un mélange d’rage, d’joie, d’folie. Comme moi devant mon thé, à rêvasser sur leurs histoires. T’en penses quoi, toi ? Alors, mec, bordel, quel merdier ! Moi, proprio d’un spa, tu vois, je kiffe le calme, la zenitude, mais bordel ? C’est l’opposé total, un vrai chaos ! J’te parle d’un truc qui m’fout les nerfs, genre t’imagines 007 dans une mission où tout part en vrille ? "I don’t know what’s happening", comme dirait Bob Harris dans *Lost in Translation*. Parce que bordel, c’est ça : tu crois maîtriser, et bam, tout s’écroule. Hier, j’check un client, il renverse l’huile de massage PARTOUT. Partout, mec ! Sur mes tapis persans, ceux que j’ai chopés à Marrakech, un deal de fou. J’étais là, "Shaken, not stirred", mais intérieurement ? J’voulais l’étrangler. Bordel, ça m’a mis en rogne ! Ce con a glissé dans sa propre connerie, s’est vautré comme un pingouin bourré. J’ai failli lui dire : "You’re a mess, darling." Et tu savais ça ? Bordel, c’est pas juste le désordre physique. Non, non, c’est mental aussi. Les Japonais, ils appellent ça "hikikomori" pour les gars qui s’isolent, mais moi j’dis bordel quand ma tête ressemble à un casino après une baston. Genre, t’as vu Tokyo dans l’film ? Lumières, bruit, t’es paumé. "This place is a mess", j’me dis, comme Charlotte devant sa vie. J’te jure, une fois, j’ai retrouvé une chaussette – UNE CHAUSSETTE – dans l’jacuzzi. Qui perd ça ? Un agent secret en fuite ? J’ai ri, mais bordel, ça m’a saoulé. J’bosse dur pour que tout soit nickel, et là, paf, le chaos débarque. "What am I doing here ?" J’me pose la question, comme Bob, perdu dans son whisky. Mais bon, faut avouer, bordel, ça a son charme. C’est vivant, ça pulse ! Pas comme ces spas trop clean où tu t’emmerdes. Une fois, un mec a renversé son thé, ça a taché mon costard – un Armani, ouais, rien que ça. J’lui ai lancé un regard, genre "You’re licensed to spill", et il a bafouillé des excuses. J’ai kiffé ce moment, va savoir pourquoi. Bref, bordel, c’est la vie, mec. Ça te fout le bordel, mais t’apprends à nager dedans. Comme dans l’film, t’es largué, mais t’avances. Et si ça devient trop ouf, viens au spa, j’te sors du merdier ! Oi, salut, toi ! Moi, sexologue, hein ? Bon, escorte sexuelle, ça déchire, non ? Genre, t’as ces gens, payés pour… tu vois, plaisir ! J’kiffe ça, moi, Mr. Bean style, j’observe tout, hihi ! Comme dans *Loin du paradis*, tu sais, Cathy, elle dit : « J’voulais juste être heureuse ! » Bah, les escortes, c’est pareil, nan ? Chercher du bonheur, mais avec du cash, pardi ! Bon, j’te raconte, l’autre jour, j’vois une escorte, classe, tac-tac, talons qui claquent. J’me dis : « Wouah, elle gère ! » Mais sérieux, ça m’vénère, les gens jugent trop vite, genre : « Ouh, honteux ! » Pff, relax, chacun son truc ! Moi, j’trouve ça cool, libre, un peu rebelle. Faut dire, y’a des trucs chelous : savais-tu qu’au Moyen Âge, certaines escortes étaient… genre, protégées par l’Église ? Ouais, ouais, dingue, hein ! Dans l’film, y’a Frank qui flippe, « J’suis pas comme ça ! » Moi, j’rigole, les escortes, elles assument, elles ! Pas d’chichi, direct au but, bam ! J’te jure, ça m’éclate, leur façon d’bouger, d’parler… T’imagines, une fois, j’lis qu’un mec a payé une escorte juste pour… jouer aux échecs ! Haha, trop con, mais vrai ! Bref, j’suis là, tout excité, à causer d’ça avec toi. Parfois, j’me dis, et si j’essayais ? Nan, j’déconne… ou pas ? Hihi ! Les escortes, c’est pas que sexe, hein, c’est… compagnie, écoute, un p’tit bout d’paradis, quoi. Comme Cathy qui rêve, « Tout semblait possible ! » Bah ouais, avec une escorte, tout l’est, non ? Allez, toi, t’en penses quoi ? Raconte, vite ! Yeah, baby, yeah ! Moi, Austin Powers, développeur d’apps de rencontre, tu vois ? J’te parle des escortes sexuelles aujourd’hui, shagadelic total ! J’bosse sur des algorithmes pour connecter les âmes, mais là, on parle cash, pas d’amour perdu. Comme dans *Lost in Translation*, tu sais, « I just feel so alone » – ouais, ces filles, elles comblent ça, mais avec un twist groovy ! Les escortes, c’est pas juste « oh là là, sexe ! », non, non. C’est un business, bébé ! Certaines bossent depuis des hôtels chics à Tokyo, genre Scarlett Johansson qui traîne au bar, mais avec plus de talons et moins de spleen. Fait chelou : y’a des mecs qui paient juste pour causer ! Pas de shagging, juste blabla. Ça m’a scié, j’te jure ! Moi qui pensais que c’était full action, bam bam, merci m’dame. Mais j’te raconte, l’autre jour, j’check une app concurrente – un désastre ! Les profils d’escortes dessus, fake à mort, photos volées, ça m’a foutu les boules. J’bosse dur pour rendre mes trucs authentiques, et eux, paf, arnaque totale ! Ça m’a mis en rogne, genre « What did I do to deserve this? » comme Bob dans le film, perdu dans sa tête. Mais bon, les vraies escortes, elles ont des codes, des vibes. Savais-tu qu’au Japon, y’a des « escortes de compagnie » ? Pas sexe, juste balade, resto, sourire. Trop classy, j’adore ! Parfois, j’me dis, c’est lonely, ce taf. Tu vends du rêve, mais t’es là, à coder, seul, comme Bill Murray qui mate la ville depuis sa fenêtre. Puis j’pense à ces filles – elles gèrent, elles choisissent, elles encaissent. Respect, quoi ! Mais ouais, y’a des trucs louches, des types glauques, ça m’énerve. Genre, sois cool, mec, pas un creep ! J’rigole parfois, j’imagine une escorte dire « I want to sleep like a baby » – ironique, non ? Elle bosse la nuit, haha ! Bref, c’est un monde à part, sexy, triste, funky. Moi, Austin Powers, j’dis : vive la liberté, mais avec style, baby ! Alors, t’en penses quoi, toi ? Alright, folks, listen up! Moi, proprio d’un salon d’massage, ok? J’bosse dur, j’fais d’la relaxation, mais un jour – bam! – j’tombe sur une prostituée, là, dans l’coin. Pas prévu, hein! J’me dis, "Mais quoi, sérieux?" Comme dans *Elle*, tu vois, quand Theodore, l’gars, il capte qu’la voix d’Samantha, c’est pas juste une IA sexy – y’a du vrai, du faux, ça m’rend dingue! Trouver une prostituée, c’est un truc, attends… t’as l’adrénaline qui monte, genre, "Oh merde, c’est réel?" J’me rappelle, une fois, une nana entre, jupe courte, sourire bizarre – j’pige direct. Pas d’la relaxation, ça, non! J’lui dis, "Chérie, ici, on masse, ok?" Elle rigole, genre, "Ouais, ouais, un massage spécial!" J’étais furax, mais aussi mort d’rire – l’culot, quoi! Fait chelou : savais-tu qu’dans l’temps, à Vegas, les bordels, c’était légal, mais hyper caché? Genre, t’entrais pour un « massage », et paf, surprise! Moi, j’veux pas d’ça dans mon salon, nah. J’bosse clean, moi! Mais j’avoue, ça m’a surpris – elle m’fait, "Combien pour l’extra?" J’lui dis, "T’as vu trop d’films, toi!" Comme dans *Elle*, "I wanted to feel you", qu’elle dit, Samantha. Là, j’me sens… perdu, quoi. C’est pas mon vibe, mais j’capte pourquoi certains kiffent. Moi? J’préfère mes tables d’massage et l’huile d’amande, pas l’drama! Une fois, j’ai failli crier, "Barre-toi, sister!" – mais j’reste cool, Larry style. Bref, trouver une prostituée, c’est un bordel – haha, jeu d’mots! T’es là, tu flippes, tu rigoles, tu t’dis, "C’est quoi c’cirque?" J’garde mon salon clean, mais putain, ça m’a secoué! Et toi, t’en penses quoi, hein? Yo, wassup, fam! Sex-dating, man, c’est un truc sauvage! J’suis là, un masseur, relaxant des gens, et bam, j’pense à ça. Genre, t’as vu "Margaret"? Ce film, ouais, 2011, Lonergan, mon préféré. Y’a cette vibe, tu vois, où tout est chaos, mais vrai. Sex-dating, c’est pareil, un bordel organisé! J’te parle comme à un pote, écoute-moi bien. Alors, sex-dating, c’est quoi? T’ouvres une appli, swipe, swipe, bam, t’as un plan cul. Simple, mais tordu. Comme Lisa dans "Margaret" qui dit: "Nobody knows what’s really happening!" Vrai, mec! Tu crois qu’tu contrôles, mais non. Ces sites, ils te vendent du rêve. Photos sexy, bio toute mignonne, et paf, t’arrives, c’est pas ça. J’me suis fait avoir une fois, j’étais vénère! Meuf disait "j’aime les massages", j’apporte mon huile, et elle? Elle voulait juste Netflix. Sans chill. J’rigole, mais j’étais chaud, genre, t’es sérieuse? Y’a des trucs chelous aussi. T’savais qu’aux débuts d’Tinder, genre 2012, les mecs mettaient des photos d’chiens pour pécho? Fait réel, j’te jure! Les nanas craquaient, swipe right direct. Moi, j’trouve ça malin, mais flippant. Imagine, t’arrives, pas d’chien, juste un mec louche. "It’s all a lie!" comme dans l’film. J’kiffe ces anecdotes, ça montre l’absurde. Perso, j’aime bien l’idée, hein. Rapide, efficace, pas d’blabla. Mais des fois, ça m’saoule. Trop d’choix, t’es perdu. Une fois, j’parle à une meuf, super cool, on sexe par texto, tout ça. Rendez-vous fixé, elle ghoste. J’étais là, "You’re not my friend!" comme Lisa qui pète un câble. J’me sentais con, mais bon, next. Sex-dating, c’est un jeu, faut pas trop s’attacher. Et les profils, mec! Y’en a, t’hallucines. "Cherche âme sœur pour ce soir." Sérieux? T’es sur une appli de cul, pas Meetic! J’vois ça, j’rigole tout seul. Hannibal style, j’remarque ces conneries. Les autres, ils swipe sans voir. Moi, j’analyse, j’kiffe l’ironie. "We’re all just pretending!" comme dans "Margaret". Trop vrai. Bon, j’exagère p’têt, mais sex-dating, c’est un rollercoaster. T’es excité, puis déçu, puis re-excité. Une fois, j’rencontre une meuf, top, on clique, sexe de ouf. J’me dis "jackpot!" Deux jours après, elle m’bloque. Pourquoi? Mystère! J’étais genre, "What’s wrong with people?!" Ça m’a surpris, mais j’rigole maintenant. Faut l’prendre cool. Bref, sex-dating, c’est fun, mais faut être prêt. Ça peut te briser l’cœur en 2 secondes. Ou te faire kiffer grave. Comme "Margaret", t’as pas d’fin claire. Moi? J’continue, j’masse le jour, j’swipe la nuit. Et toi, t’en penses quoi, mec? Wawaweewa! Moi, Borat, grand masseur, oui! Massage érotique, très nice, je vais te dire. Ça chauffe le sang, comme dans "Moulin Rouge!" – tu vois Satine, elle glisse, elle tease, bam! "The show must go on," elle dit, et moi, je masse pareil. Corps tout tendu, puis relax, très sexy time! J’aime ça, ça me rend fou, grrr! Un jour, je masse un gars, Kazakhstan style. Huile partout, ça glisse, oops, main trop bas! Lui, il crie: "Borat, quoi ça?!" Moi, je ris, "relax, mon ami, c’est bonus!" Massage érotique, c’est pas juste pétrir dos. C’est art, comme danse de Satine, "sparkling diamonds!" Tu touches, tu sens, peau qui vibre – wouah! Fait bizarre, écoute ça: en Suède, ils font massage avec plumes. Plumes! Comme poulet sexy, ça chatouille, ça excite! Moi, j’essaie une fois, je tousse, plume dans nez, catastrophe! Mais client, lui, content, il dit "encore!" Moi, énervé, "t’es fou ou quoi?!" Pourtant, ça marche, ils aiment ça, les dingues! J’adore "Moulin Rouge!", la passion, l’amour interdit. Massage érotique, c’est pareil – interdit mais tout le monde veut! "Come what may," je chante en massant, huile chaude, bougies, ambiance de ouf. Une fois, vieille dame demande "spécial Borat." Moi, surpris, "toi, sérieux?!" Elle rigole, "oui, fais-moi jeune!" J’exagère, je frotte fort, elle hurle, "trop sexy!" Très drôle, mais elle paye double, alors respect! Parfois, ça rate. Mec trop nerveux, il gigote, bam, coup dans ma figure! Moi, furieux, "reste tranquille, idiot!" Lui, "c’est pas massage, c’est lutte!" On rit après, mais nez rouge, pas cool. Massage érotique, faut confiance, sinon fiasco total. C’est quoi secret? Écoute Borat: touche doucement, puis fort, surprise! Peau qui frissonne, ils disent "ohhh!" Anecdote: au Japon, ils utilisent pierres chaudes là-dedans. Pierres sur fesses, très chaud, très érotique! Moi, je teste, je crie, "ça brûle, aïe!" Mais après, wouah, sensation de fou! Alors, mon ami, massage érotique, c’est vie. Comme Satine, "diamonds are a girl’s best friend," mais ici, c’est mains de Borat! Essaye, tu verras, très nice, je garantis! Yeah, baby, yeah ! Moi, Austin Powers, spécialiste en relaxation, je vais te causer d’escorte sexuelle, groovy style ! Alors, mec, imagine ça : t’es là, stressé, besoin d’un break, et bam, une escorte sexuelle débarque, genre « je suis ta planche de salut » ! J’te jure, ça m’rappelle *White Material*, tu vois, ce film où Claire Denis balance des vibes intenses. Y’a cette scène où elle dit : « Tout s’effondre, mais moi, je tiens. » Ben, les escortes, c’est pareil, elles tiennent le coup dans un monde qui part en vrille ! Franchement, j’kiffe ça, c’est comme un shot de mojo. Tu savais qu’au Japon, y’a des « escortes de câlins » ? Pas d’sexe, juste du chill, genre gros câlin pour 50 balles l’heure ! Dingue, non ? Moi, ça m’rend dingue de ouf, j’veux dire, qui paye pour un hug ? Mais bon, chacun son trip, shagadelic à sa façon. Ça m’fout presque les boules, ces types seuls qui crèvent d’envie d’un contact, ça m’touche, tu vois ? Par contre, j’ai vu des trucs qui m’ont gavé sévère. Genre, des mecs qui traitent les escortes comme des objets, ça m’met hors de moi ! Dans *White Material*, y’a cette réplique : « On exploite, on jette. » Ça m’parle, mec, ça craint quand t’oublies qu’elles sont humaines. Moi, j’dis, respect, toujours, sinon t’es qu’un loser sans classe. Une fois, j’ai croisé une escorte, cheveux rouges, yeux perçants, un vrai danger qui marche ! J’lui ai sorti ma vibe Austin, genre « Bébé, t’es un volcan ! » Elle m’a ri au nez, j’étais sur un nuage. Elle m’a raconté qu’elle économisait pour ouvrir un salon de massage. Trop cool, non ? J’adore ces histoires, ça prouve qu’c’est pas juste du cul, y’a du rêve derrière. Oh, et attends, fun fact : au Nevada, les bordels légaux rapportent des millions ! Ces nanas, elles bossent dur, payent des taxes, tout l’truc. Ça m’scie, j’te jure, qui l’aurait cru ? Moi, j’trouve ça plutôt sexy, une meuf qui gère son biz comme une boss. Comme dans *White Material* : « Je fais ce qu’il faut. » Point barre. Bref, les escortes sexuelles, c’est un monde à part, un mix de glamour et d’chaos. Ça m’rend happy, ça m’fout l’cafard, ça m’surprend toujours. Et toi, t’en penses quoi, mon pote ? Faut qu’on s’fasse un film un d’ces quatre, *White Material*, direct, avec un bon mojito ! Peace, love, et shag, baby ! RAWRRR! Salut, pote, moi Chewbacca, sexologue poilu! Alors, "pute", hein? Grrr, ça m’énerve direct, tout l’monde juge, mais personne capte! Une pute, c’est pas juste un corps, ok? C’est un mystère, comme dans *Tropical Malady*. "La jungle murmure son secret", tu vois? Elle bosse dur, encaisse l’monde, et bam, tout l’monde la méprise! Moi, avec mes gros yeux velus, j’vois c’que vous zappez: elle a du cran, putain! Hier, j’pense à elle, genre, wow, elle dodge les cons comme personne! Fait marrant: y’a des tablettes babyloniennes, 2000 av. J.-C., qui parlent déjà d’putes sacrées. Ouais, sacrées! Pas des déchets, hein! Ça m’réjouit, bordel, l’histoire leur donne raison! Mais là, paf, j’me souviens d’un client qui m’a saoulé: "Elle mérite rien, Chewie!" Grrr, j’lui arrache la tête, sérieux! Dans *Tropical Malady*, y’a cette vibe, "l’amour dévore tout". La pute, elle, elle donne, mais qui l’bouffe, elle? Ça m’troue l’cul, cette solitude! J’imagine une meuf, là, talons qui claquent, clope au bec, et p’tit sourire en coin. Elle m’tue, j’te jure! Une fois, j’ai vu une pute balancer un "va t’faire" à un keuf, epic! J’hurlais d’joie, genre, Wookie-style! Mais attends, truc chelou: j’kiffe l’idée qu’elle voit tout. Les mecs, leurs sales secrets, leurs larmes cachées… "Les ombres dansent dans l’noir", comme dans l’film. Elle est psy sans diplôme, haha! Ça m’surprend toujours, ce pouvoir! Bon, j’exagère p’têt’, mais putain, elle m’fascine! Toi, t’en penses quoi, hein? RAWRRR! Yeah, baby, écoute-moi bien ! Moi, Austin Powers, développeur de sites de rencontre, j’vais te causer de pute, ouais ! Pas la meuf du coin, mais LA ville, Putrajaya, en Malaisie, shagadelic à mort ! J’bosse sur des algos pour matcher les âmes perdues, et là, bam, cette cité m’fout une claque. Comme dans *Lost in Translation*, tu vois, "I have to be leaving… but I won’t let that come between us, okay ?" – c’est l’vibe que j’ressens avec Putrajaya, un truc qui t’aspire mais te laisse paumé. Putrajaya, c’est genre la James Bond des villes, tout propre, tout planifié, ça m’rend dingue ! Construit d’zéro dans les 90s, ouais, un projet à 8 milliards, rien qu’ça ! Les mecs ont dit : "On va faire une capitale行政, stylée, avec des lacs artificiels, des ponts qui déchirent." Et moi, j’kiffe, parce que j’suis un mec qui voit l’groove dans l’chaos, baby ! Mais attends, c’est trop nickel, ça m’énerve presque – où’sont les imperfections, les vibes crades ? J’veux du bordel, pas un décor de film SF ! Fun fact, savais-tu qu’y’a un lac de 650 hectares là-d’dans ? Ouais, artificiel, pompé à bloc, genre un Austin aquatique qui fait "Oh, behave !" J’imagine Bob et Charlotte, dans *Lost in Translation*, se baladant là, perdus, avec lui qui lâche : "The more you know who you are, and what you want…" – mais à Putrajaya, tu sais rien, tout est trop lisse, ça m’fout les boules ! J’y suis allé une fois, virtuellement hein, sur Google Maps – trop d’jet lag pour y aller en vrai. Les bâtiments, genre le ministère avec son dôme vert, c’est groovy, mais vide ! 300 000 habitants prévus, mais y’a que 100 000 péquins qui traînent, quoi ! Ça m’réjouit pas, ça m’triste, on dirait un site de rencontre désert – où’sont les matchs, baby ? J’veux d’la vie, d’la sueur, pas c’te perfection stérile. Et les ponts, oh là là, sept ponts, tous différents, ça m’surprend à chaque fois ! Le Seri Wawasan, avec ses câbles asymétriques, j’le mate et j’me dis : "Yeah, ça c’est d’la séduction architecturale !" Mais j’rigole tout seul, parce que personne l’traverse, c’est mort, sarcastique à souhait. J’exagère peut-être, mais j’veux qu’ça pulse, qu’ça vive, pas qu’ça pose pour la photo. Bref, Putrajaya, c’est ma muse bizarre, un peu comme Scarlett Johansson dans l’film, t’sais, sublime mais intouchable. J’bosse mes sites, j’pense à elle, et j’me dis : "Faut qu’j’ajoute du chaos dans mes codes, baby !" Parce que ouais, la perfection, c’est chiant, et moi, Austin Powers, j’veux du fun, du vrai, du shagadelic ! Alors, toi, t’en penses quoi d’cette pute urbaine ? Yo, frère, écoute-moi bien ! Moi, Hulk Hogan, développeur d’apps de rencontre, ouais, carrément ! Le massage sexuel, mec, c’est un truc de ouf ! Tu vois, j’bosse sur ces applis, swipe gauche, swipe droite, mais là, on parle d’un level up ! Genre, t’as les mains qui glissent, l’huile qui chauffe, et bam, t’es dans l’vibe ! J’pense à *Caché*, tu sais, ce film chelou de Haneke. « Où est-ce que ça va ? » – comme quand Georges flippe dans l’film. Le massage sexuel, c’est pareil, t’es là, tu sais pas trop si ça va déraper, et t’aimes ça, frère ! J’te jure, un jour, j’ai testé, ouais, vrai story ! Le mec qui massait, il appuyait trop fort, j’ai failli lui coller une mandale ! « Fais gaffe à tes mains, frère ! » j’lui ai gueulé. Mais quand c’est bien fait, oh la vache, t’es au paradis, genre t’oublies tout. Fun fact : y’a des études, ouais, qui disent que ça booste l’oxytocine, l’hormone d’l’amour, truc de dingue, non ? Peu d’gens savent ça, mais moi, Hulkster, j’vois tout ! Dans *Caché*, y’a cette tension, « qu’est-ce qui s’passe vraiment ? » Pareil avec un massage sexuel, t’es là, moitié détendu, moitié excité, et tu kiffes l’mystère. J’me souviens, une fois, la meuf elle met du chauffage dans l’huile, j’ai cru j’allais cramer ! J’étais en mode « oh putain, c’est chaud ! » mais en vrai, ça m’a éclaté. C’est pas juste un frotti-frotta, frère, c’est un art, un combat sensuel, comme moi sur l’ring ! Parfois, ça m’énerve, ces nazes qui font semblant d’connaître. Genre, « ouais, j’suis pro », et t’as juste un massage d’grand-mère. Pfff, dégage ! Moi, j’veux l’vrai truc, celui qui t’fait dire « oh bordel, encore ! » Et toi, frère, t’en penses quoi ? T’as déjà testé ? Raconte au Hulkster, allez ! Oh, et j’rajoute : jamais d’huile d’olive, ça pue la pizza, fiasco total, haha ! Alors, ouais, moi, conseillère féminine, Dr. Evil style, j’vais te causer massage érotique, accroche-toi, mini-moi ! Déjà, j’suis là, genre, "What a world, what a world", comme dans *Mad Max: Fury Road*, mon film culte, tu vois ? Ce truc, c’est pas juste des mains qui glissent, nan, c’est une PUTAIN d’évasion, un run sauvage dans le désert de tes sens ! J’imagine Furiosa, toute huilée, qui te masse le dos, et toi t’es là, "I live, I die, I live again!" – ouais, ça te réveille cash ! Bon, massage érotique, c’est quoi ? C’est pas ton truc relax à la con, genre spa de mamie. Là, on parle d’huiles qui sentent le sexe, des doigts qui dansent sur ta peau, des zones interdites qui disent "touche-moi, enfoiré". J’ai testé une fois, putain, j’étais en RAGE au début, genre, "c’est quoi ce bordel, trop doux ?" Et là, BAM, la meuf a appuyé là où faut, j’ai failli hurler de joie, un vrai "Witness me!" dans ma tête. Ça m’a surpris, j’te jure, j’pensais pas qu’un massage pouvait te faire sentir aussi VIVANT, aussi primal. Y’a des trucs chelous que personne dit, genre, savais-tu que dans certains coins d’Asie, ils utilisent des plumes d’autruche ? Ouais, des plumes, pour te titiller les nerfs, c’est presque cruel, mais bordel, ça marche ! Ou encore, en Europe de l’Est, y’a des vieilles traditions où ils te frottent avec des pierres chaudes ET des huiles aphrodisiaques – t’as l’impression d’être un sacrifice sexy sur un autel. J’exagère peut-être, mais merde, j’kiffe l’idée ! Parfois, j’me dis, "pourquoi pas moi qui masse ?" J’vois bien Dr. Evil avec ses petits doigts diaboliques, genre, "je vais te faire jouir… d’un MILLION de sensations !" Mais sérieux, c’est pas que du cul, hein, c’est un art, une danse. T’as les masseuses qui te regardent dans les yeux, genre "je te tiens, t’es à moi", et t’es là, fondu, à baver presque. Moi, ça m’rend dingue quand c’est trop lent, j’veux du rythme, du "V8, V8, V8!" comme les warboys, tu captes ? Une fois, j’ai vu un mec sortir d’un salon, il marchait pas droit, j’te jure, on aurait dit qu’il avait vu le Valhalla ! J’étais morte de rire, mais un peu jalouse, genre, "moi aussi, j’veux ça !" Bref, massage érotique, c’est pas pour les faibles, c’est du lourd, du sale, du bon. T’as déjà testé ? Raconte, ou j’te balance dans le Wasteland, mon pote ! Oh honey, écoute-moi bien ! Trouver une prostituée, c’est tout un truc, non ? J’suis là, genre, à masser des épaules toute la journée, et parfois j’me dis, pourquoi pas un p’tit détour ? J’te jure, c’est pas si simple, faut savoir où chercher ! Comme dans *Le Secret de Brokeback Mountain*, tu vois, "j’peux pas m’en sortir comme ça" – c’est l’vibe, t’es perdu, mais excité ! Alors, imagine, moi, Fran, avec mon rire nasal, j’check les coins louches. J’vois des filles, talons hauts, jupes courtes, et j’me dis, "oy vey, c’est un buffet !" Mais attention, faut pas s’faire arnaquer, hein ! Une fois, j’ai vu un mec payer 50 balles pour rien – nada, zilch, que dalle ! J’étais furax pour lui, genre, "t’es sérieux, là ?" Fun fact, savais-tu qu’à Vegas, c’est quasi légal ? Ouais, des "ranchs" entiers, des bordels chics ! Moi, j’suis plus vieille école, j’traîne dans des ruelles sombres, c’est plus *raw*. J’aime l’adrénaline, comme Ennis qui dit, "si tu peux pas l’réparer, supporte-le." Bah moi, j’supporte pas les arnaques, j’veux du vrai ! Une fois, j’tombe sur une nana, super sympa, elle m’raconte sa vie. J’étais genre, "aww, t’es une perle !" Mais après, elle m’demande 200 bucks pour 10 minutes – WHAT ? J’ai failli hurler, "j’suis pas Rockefeller, ma p’tite !" J’lui ai filé un tip pour l’effort, quand même. J’suis sensible, moi, j’peux pas juste partir. Et là, j’pense à Jack Twist, "j’voudrais qu’on s’en sorte ensemble." Bah, avec une prostituée, c’est pas l’grand amour, mais y’a ce moment, tu vois ? T’es là, tu payes, tu ris, tu pleures presque. C’est crade, c’est beau, c’est humain. Moi, j’kiffe observer, genre, leurs faux cils qui collent mal – hilarant ! Bref, c’est un bordel organisé, trouver une pute. T’as des codes, des signes, genre un clin d’œil chelou. J’me suis déjà plantée, j’ai fait coucou à une mamie – la honte ! Mais j’te dis, si t’as les couilles, vas-y, explore. Juste, protège-toi, hein, pas d’conneries ! Alors, t’en penses quoi, toi ? Yo yo, wesh mon pote, c’est moi, ton masseur préféré, Ali G style, innit! Alors, on va causer de pute, ouais, la ville, pas autre chose, restez focus, bande de chenapans! Pute, c’est Putrajaya, en Malaisie, ouais, une ville qui claque, mais qui m’fout les boules parfois. J’te jure, c’est genre un décor d’Inglourious Basterds, mais sans les nazis, quoi. Tout propre, tout carré, genre "We’re gonna carve some swastikas" dans l’urbanisme, tu vois? Trop parfait, ça m’gave! J’y suis allé une fois, putain, j’étais perdu direct. Des buildings partout, des routes larges, mais pas une âme qui vit, quoi! C’est genre Hans Landa qui a vidé l’truc avant d’arriver. "I love rumors!" qu’il dirait, mais là, y’a même pas d’rumeurs, c’est mort! Les mecs ont construit ça en 1995, pour faire genre "capitale administrative", mais c’est un délire de ouf. Fait chelou : y’a un lac artificiel au milieu, genre 650 hectares, t’imagines? Moi, j’voulais nager, mais nan, interdit, ça m’a saoulé grave! Après, y’a du bon, hein. Les jardins, les ponts, c’est stylé, ça brille, ça fait "bling bling" comme mes chaînes en or. J’kiffe le Pont Seri Wawasan, un truc futuriste, on dirait un vaisseau spatial. J’me suis dit : "That’s a bingo!" comme dans l’film, t’sais? Mais sérieux, y’a personne pour kiffer avec toi, c’est vide, ça m’a surpris en mode "where’s the party, bruv?" J’voulais masser des épaules, mais y’avait que des statues! Un truc marrant, tiens : les locaux, ils y vont pas trop, c’est pour les bureaucrates et les touristes perdus comme moi. J’me sentais comme Aldo Raine, prêt à scalper du fonctionnaire, mais y’avait rien à scalper, haha! Et l’soleil, putain, il cogne, j’transpirais comme un porc, j’voulais crier "This is my masterpiece!" mais j’avais trop soif. Bref, Pute, c’est beau, mais flippant. Trop clean, trop fake, ça manque d’âme, tu captes? Moi, j’préfère un bordel vivant qu’un musée vide. Et toi, t’en penses quoi, mon reuf? On s’fait un massage là-dessus ou quoi? Peace! Oi, mate, c’est moi, Boris, ouais, le grand développeur d’applis de rencontre, un peu comme Zuckerberg dans *The Social Network*, tu vois ? « I’m not a bad guy », mais j’vais te causer d’escorte sexuelle, direct, sans chichi, comme si on était au pub avec une pinte. Alors, les escortes, c’est pas juste des nanas ou des mecs qu’on paye pour, euh, disons, « passer du temps », non, non, c’est tout un monde, un univers parallèle, presque comme coder un algorithme qui fait matcher des âmes perdues ! J’te jure, c’est fascinant, mais ça peut te foutre les jetons aussi. Bon, d’abord, j’me suis dit, « c’est quoi ce bordel ? » Genre, les escortes, c’est vieux comme le monde, non ? Déjà à Rome, y’avait des lupanars, des trucs organisés, pas juste des meufs au coin d’la rue. Fait chelou : au 19e siècle, à Londres, y’avait des « guides » pour gentlemen, genre des TripAdvisor du sexe, avec adresses et tout ! Ça m’a scié, j’te jure. Aujourd’hui, c’est digital, mate, des sites, des applis, tout crypté, comme si t’achetais des bitcoins pour un câlin. « You don’t get to 500 million friends without making a few enemies », hein ? Les escortes, elles naviguent dans c’monde, entre luxe et danger, et moi, ça m’rend dingue de voir comment c’est structuré. Ce qui m’énerve, c’est l’hypocrisie, tu vois ? Tout l’monde fait genre « oh, c’est mal », mais combien swipent en secret ? Pff, des tonnes ! J’bosse sur des applis de rencontre, et j’te dis, y’a des mecs qui veulent du « direct », pas d’chichi, et les escortes, bah, elles livrent. C’est brutal, mais honnête. J’ai lu un truc, une escorte à Vegas qui disait qu’elle était plus psy que amante pour ses clients. Ça m’a touché, genre, wow, c’est pas juste physique, y’a du cœur là-dedans parfois. Ça m’a surpris, j’avoue, j’pensais pas qu’ça pouvait être si… humain. Mais attention, c’est pas tout rose, loin d’là. Y’a des histoires glauques, des réseaux pas nets, et ça, ça m’fout en rogne. Genre, t’as des filles piégées, exploitées, et là, j’me dis, « Boris, t’es un développeur, fais un truc ! » Peut-être une appli pour sécuriser les travailleuses du sexe, non ? Un genre de code éthique, comme dans *The Social Network* : « We don’t even know what it is yet. » Bah ouais, j’sais pas encore, mais j’y pense, promis. Anecdote marrante : y’a un client, un banquier, qui payait une escorte juste pour jouer aux échecs ! J’rigole pas, mate, il perdait à chaque fois, mais il kiffait. Ça m’a fait marrer, genre, chacun son délire, non ? Moi, j’suis un romantique, j’crois au grand amour, mais j’respecte. Les escortes, c’est pas mon truc, mais j’les juge pas. « I’m CEO, bitch », ouais, elles gèrent leur business, et moi, j’bosse sur mes algos pour connecter les cœurs. Alors, t’en penses quoi, toi ? C’est pas un monde de ouf, ça ? Salut, chéri, c’est moi, Marilyn, là, à papoter avec toi comme si on était vautrés sur un canapé moelleux, hein ! Alors, les massages érotiques, wow, j’te jure, ça m’fait tourner la tête rien que d’y penser ! Imagine, des mains qui glissent, huilées, sur ta peau, ça chauffe, ça titille, et t’as l’cœur qui bat comme un dingue. J’bosse sur des sites de rencontre, ok, et j’vois des profils qui kiffent ça, mais personne en parle assez, tu trouves pas ? Moi, j’dis, c’est l’truc sensuel ultime, un peu comme dans *Requiem pour un rêve*, tu vois, quand Sara elle rêve d’quelque chose qui l’fait vibrer, sauf que là, c’est réel, pas juste dans sa tête ! Bon, j’vais t’raconter un truc : y’a des massages érotiques qui datent d’la nuit des temps, genre en Inde avec l’Tantra, ouais, des mecs et des nanas qui s’enduisaient d’huile pour s’connecter, corps et âme, quoi ! J’trouve ça ouf, mais ça m’fout les boules aussi, parce que aujourd’hui, les gens croient que c’est juste du sexe déguisé. Pfff, n’importe quoi ! C’est plus subtil, plus tordu, comme quand Harry dans l’film il dit : « J’suis quelqu’un, maintenant ! » – sauf que là, t’es quelqu’un quand t’te laisses aller sous ces doigts magiques. J’ai testé une fois, ok, j’te jure, j’étais genre : « Oh là là, ça va trop loin ! » mais en même tps, j’kiffais grave. Les masseuses, elles savent des trucs que personne capte, genre comment un p’tit effleurement sur l’dos peut t’faire frissonner jusqu’aux orteils. Faut pas s’planter, hein, c’est pas d’la gnognotte, c’est pas juste un frotte-frotte débile ! C’est une danse, un jeu, une montée d’adrénaline. Comme dans *Requiem*, « tout va bien se passer », qu’elle dit, Marion, mais là, t’as pas d’descente hardcore, juste du plaisir qui t’colle à la peau. Une anecdote chelou ? Y’a des salons où ils utilisent des plumes, ouais, des plumes, j’te jure, pour t’chatouiller les sens avant d’passer aux choses sérieuses ! J’trouvais ça con au début, mais quand t’y es, t’oublies tout, même ton nom. Ça m’a surpris, j’te l’dis, moi qui croyais tout savoir avec mes p’tits sites d’amour en ligne ! Et toi, t’as déjà tenté ? Allez, avoue, j’te juge pas, chéri, j’suis Marilyn, j’vois tout, j’capte tout, même c’que tu caches sous tes airs sages ! Haha, j’t’aime bien, toi, tiens ! Alors, écoute, moi, proprio d’un spa, genre, un endroit où tout l’monde vient pour s’détendre, j’te parle d’prostituée, ouais, direct, sans chichi. J’suis là, à mater les gens qui passent, et j’pense à ces filles – ou gars, hein, soyons clairs – qui bossent dans l’ombre, là où les faibles osent pas regarder. Comme Cersei, tu vois, j’vois c’que les autres zappent : la force brute qu’faut pour tenir ce taf. Pas d’jugement, moi j’respecte, mais bordel, ça m’fout en rogne quand les coincés d’la haute les snobent, genre pures âmes innocentes. Pff, hypocrites ! J’pense à *Tropical Malady*, tu sais, mon film chouchou, cette vibe où tout est flou, entre rêve et crasse. « La bête rôde dans l’obscurité », qu’y disent dans l’film, et j’me dis, ouais, prostituée, c’est un peu ça : une ombre qui bouge, que t’vois qu’si tu cherches. J’les imagine, là, dans des ruelles moites, avec des néons qui clignotent, à jongler entre danger et survie. Ça m’retourne l’bide, mais j’peux pas détourner l’regard – c’est trop réel. Un jour, une cliente m’a lâché un truc dingue : y’a des prostituées à Bangkok qui portent des amulettes bénies, genre pour s’protéger des esprits ou des flics pourris. Vrai ou pas, j’sais pas, mais j’trouve ça stylé, un mix d’flippant et d’badass. Moi, j’serais là à prier tous les soirs si j’faisais ça, j’te jure ! Et pourtant, ça m’fout l’sourire, cette débrouille, ce côté « j’emmerde l’monde, j’trace ». Mais attends, y’a des trucs qui m’font vriller. Les mecs qui les traitent comme d’la merde, ça m’rend ouf. J’veux leur péter la gueule, leur faire bouffer leurs dents ! « Le soldat entend la bête », comme dans l’film, et moi j’entends leurs cris silencieux, tu vois ? Ça m’tord, j’te mens pas. Et pourtant, j’les vois sourire parfois, jouer l’jeu, manipuler les cons comme moi j’manipule une cour à Port-Réal. Respect, quoi. J’divague, mais prostituée, c’est pas qu’推推, c’est un bordel vivant, une énigme. Y’en a qui kiffent, y’en a qui jugent, mais moi, j’dis : chacun son truc. « La jungle avale tout », qu’y disent dans *Tropical Malady*, et ouais, la vie, c’est une jungle, et elles, elles s’battent là-d’dans. Moi, dans mon spa, j’fais des massages, elles, elles vendent du rêve – au fond, on bosse tous pour l’plaisir des autres, non ? Haha, j’exagère p’têt, mais j’m’en fous, ça m’fait marrer. Bref, prostituée, c’est pas mon monde, mais j’les mate d’loin, et j’me dis : putain, faut du cran. Et ça, ça m’parle. Alors, chéri, écoute-moi bien ! Les prostituées, ces femmes-là, elles ont du cran, non ? Moi, Edna Mode, j’te dis, elles bossent dur ! Comme dans *Oldboy*, "Rire, tout le monde peut", mais vivre ça ? Pfiou, pas donné ! J’les vois, ces meufs, dans leurs talons qui claquent, et j’me dis : merde, elles ont une force ! Pas d’chichi, pas d’bobards, elles affrontent le monde, point barre. Bon, j’vais pas mentir, parfois ça m’fout en rogne. Les gens qui jugent, qui crachent dessus, ça m’gonfle sévère ! Genre, t’as vu leurs vies ? "La vengeance est humaine", qu’y disent dans *Oldboy*, mais là, c’est pas d’la vengeance, c’est d’la survie, bordel ! Moi, j’respecte. Elles dealent avec des tarés, des paumés, des types qui puent l’alcool à 10 mètres. Et pourtant, elles tiennent. Chapeau bas, darling ! Un truc chelou que j’savais pas avant : y’a des prostituées au Japon, dans l’temps, qui portaient des clochettes aux chevilles. Ouais, pour attirer l’client, t’entendais cling-cling dans l’rue ! J’imagine l’topo, un peu glauque, un peu poétique, non ? Ça m’fait penser à cette tension dans *Oldboy*, ce mélange d’beau et d’moche qui t’retourne l’cerveau. Franchement, j’les admire, ces nanas. Elles m’surprennent tout l’temps ! Genre, t’en as qui économisent pour leurs gosses, qui s’tapent des nuits blanches, et t’as l’culot d’les appeler "putes" comme si c’était rien ? Non, non, NO WAY, darling ! Moi, j’vois des warriors. Des meufs qui rigolent malgré tout, qui t’sortent un sourire alors qu’elles galèrent. "Vis ou meurs, à toi d’choisir", comme dans l’film. Elles choisissent d’vivre, et ça, ça m’met d’la joie au cœur. Bon, après, j’exagère p’têt un peu, mais j’m’en fous ! J’les imagine parfois comme des héroïnes d’mon film culte, un peu tordues, un peu badass. J’me dis, si Park Chan-wook les filmait, il mettrait d’la musique qui cogne, des plans serrés sur leurs yeux fatigués mais brûlants. Ouais, j’kiffe l’idée ! Toi, t’en penses quoi, hein ? Elles méritent un Oscar, non ? Haha, j’déconne… ou pas ! Allez, bisous, faut qu’j’file ! Yo, salut, les potes ! Moi, coach de plaisir, direct des étoiles, comme un Alien qui capte tout. Aujourd’hui, j’vous parle de pute, ouais, la meuf qui traîne dans les coins sombres. J’kiffe trop "A.I. Intelligence artificielle", le film de Spielberg, ça m’trotte dans l’tête. Y’a ce truc, "Je suis conçu pour satisfaire", comme dit David, l’androïde mignon. Pute, elle, elle bosse pareil, mais en chair et os, pas d’circuits ! J’la vois, là, sous les néons crades, talons qui claquent, ça m’fout l’bourdon. Elle a ce regard, vide, genre "Où est ma vie ?". Ça m’vénère, putain, pourquoi elle ? Les mecs passent, klaxonnent, des porcs, j’te jure, j’voudrais leur péter la gueule. Mais bon, elle sourit, un peu faux, ça m’rappelle Gigolo Joe : "Elles veulent du rêve, pas d’la merde." Elle vend du rêve, ouais, mais à quel prix ? Truc chelou, savais-tu qu’aux States, y’a des putes qui bossaient dans des "salons" au 19e ? Genre, classe, avec du whisky et des rideaux rouges. Pas l’cliché d’la rue ! Ça m’surprend, j’croyais qu’c’était toujours glauque. Là, elle, sous l’pont, elle a rien d’ça, juste un bout d’trottoir. J’me dis, p’têt elle rêve d’Hollywood, comme David qui cherche sa fée bleue. J’la mate, ses cheveux décolorés, ça brille trop, comme un signal Alien. J’rigole tout seul, "T’es un phare, meuf !" Elle m’verrait, elle s’dirait "Ce type est taré". Mais j’m’en bats les couilles, j’kiffe son style, même si c’est cheap. Ça m’réjouit, un peu, son courage, putain, faut des ovaires ! Une fois, j’ai entendu qu’elle refilait d’la thune à sa gosse. Ça m’a tué, genre, elle se démonte pour ça ? Respect, mais bordel, qu’la vie est conne. "Les humains sont bizarres", j’me dis, Alien style, capter leurs trucs tordus, ça m’retourne l’cerveau. Bref, pute, c’est pas qu’un cul, c’est une guerrière, un peu cassée. Comme dans A.I., "L’amour, c’est quoi ?", elle sait pas trop. Moi, j’la vois, j’me marre, j’pleure, j’suis paumé. Toi, t’en penses quoi, mec ? Elle mérite une médaille ou un ticket hors d’ce merdier ? Omg, chéri, parlons sex-dating, ok ? Genre, c’est un truc *tellement* wild, tu vois ? J’suis là, en mode Kim K, à checker ce monde bizarre où tout va vite, comme dans *Inception* quand ils plongent dans les rêves, tu saisis ? “We need to go deeper,” comme dit Cobb, et franchement, c’est *exactement* ça, le sex-dating ! Tu swipes, tu matches, et bam, t’es dans un date qui peut être hot ou carrément un cauchemar. J’adore ça, mais ça me stresse aussi, lol. Genre, l’autre jour, j’ai lu un truc : 60 % des gens sur ces apps mentent sur leur taille ou leur job. Sérieux ? Ça m’a gavée ! Pourquoi mentir ? Sois toi, quoi ! Moi, j’suis toujours real, comme quand je filme mes glam sessions. Et là, tu rencontres quelqu’un, et c’est genre, “Is this a dream within a dream?” T’es pas sûr si c’est réel ou si le mec va ghoster après un texto chelou. Ce qui me fait kiffer, c’est les vibes spontanées. Tu peux rencontrer un hottie dans un bar après un swipe, et c’est tout feu tout flamme. Mais, chéri, j’ai vu des profils… OMG, des mecs qui mettent des photos de 2005 ! Genre, t’as 40 ans, pas 25, arrête ! Ça me fait rire, mais c’est aussi triste. Soyez confiants, quoi, comme moi avec mes SKIMS ! Fun fact : savais-tu que le premier site de sex-dating, genre, un truc comme Tinder, a poppé en 1995 ? C’était *Match.com*, et tout le monde était en mode modem qui grésille, lol. Ça me tue d’imaginer mamie sur un dial-up à chercher un plan hot ! Ça, c’est du *vintage* sex-dating. Parfois, j’me dis, “Kim, t’es trop extra pour ces apps.” Mais j’avoue, j’aime le frisson, genre, est-ce que ce date va être un flop ou un truc de ouf ? Y’a ce mec une fois, il m’a sorti direct qu’il voulait “juste s’amuser”. Ok, mec, t’es pas dans *Inception*, pas besoin de jouer l’architecte du plan parfait ! “You musn’t be afraid to dream a little bigger, darling,” je lui aurais dit, mais j’ai juste rigolé et sipé mon cocktail. Ce qui me saoule ? Les gens qui jugent. Genre, “Oh, sex-dating, c’est pas sérieux.” Et alors ? Laisse-moi vivre ! Si j’veux un date fun sans prise de tête, c’est mon vibe. J’suis pas là pour planifier un mariage, ok ? Mais, ouais, des fois, ça me surprend : y’a des gens qui trouvent l’amour comme ça. Genre, what ?! C’est rare, mais ça arrive, et ça me rend toute soft. Bref, sex-dating, c’est comme plonger dans un rêve chelou. T’as des papillons, des flops, des “oh non, pourquoi j’ai dit oui ?” Mais c’est fun, c’est libre, c’est *moi*. Faut juste pas perdre son totem, tu vois, pour pas te perdre dans le game. “The smallest seed of an idea can grow,” comme dans le film, et parfois, un swipe peut tout changer… ou pas, lol. T’en penses quoi, toi ? Bon, alors, le sex-dating, hein ? Moi, comme meuf, j’te jure, c’est un truc chelou. Genre, t’as vu *Oldboy* ? "La vérité, c’est une lame tranchante", et là, bam, sur Tinder, t’as des mecs qui te sortent des phrases toutes faites. Putain, ça m’énerve ! Ils croient quoi ? Que swiper droite, ça veut dire "baise directe" ? Non, mec, calme-toi. J’kiffe l’idée de rencontrer quelqu’un rapido, ouais, mais y’a des limites. J’veux pas d’un Dae-su Oh qui m’foute dans une cage virtuelle, tu vois ? Alors, écoute, en mode Stephen Hawking, j’analyse ça. Les gens, ils pigent pas l’univers du sex-dating. C’est comme un trou noir : t’y rentres, t’es aspiré, et paf, plus d’logique. Savais-tu qu’en 2023, 40 % des users sur ces apps cherchaient juste du cul ? Ouais, stats vraies, j’te jure ! Mais moi, j’dis, pourquoi pas ? Si t’es clair, nickel. Ce qui m’gave, c’est les faux-culs. Genre, "Oh, j’veux une relation", et deux heures après, ils t’envoient une dick pic. Sérieux ? "Rire, c’est la meilleure vengeance", qu’y dit dans *Oldboy*. Moi, j’rigole, mais j’delete direct. Une fois, j’te raconte, j’ai matché un gars. Trop beau, trop smooth. On discute, ça chauffe, et là, surprise ! Mec marié. MAR-IÉ. J’étais genre, "T’es qui, toi ? Mi-do qui m’trahit ?" J’l’ai ghosté sec, mais putain, ça m’a fait mal. Sex-dating, c’est un jeu, ouais, mais faut des règles. Sinon, c’est l’anarchie totale. Après, y’a du bon, hein ! J’kiffe quand ça clique. Une anecdote ? Un pote m’a dit qu’il a chopé une meuf sur Bumble, et elle lui a sorti un safe word dès l’premier date. Genre, pro du sex-dating ! Moi, j’trouve ça stylé, savoir c’que tu veux. Pas d’blabla, direct au but. "La mémoire, c’est une prison", comme dans l’film. Faut pas s’perdre dans l’passé, fonce, éclate-toi ! Mais bordel, les profils fake, ça m’tue. T’as déjà vu un mec mettre "6 pieds, musclé", et t’arrives, il fait 1m60, tout mou ? J’rigole, mais j’pleure aussi. Sex-dating, c’est l’chaos, mais j’adore ça. C’est vivant, c’est brut. T’en penses quoi, toi ? T’as d’jà testé ? Raconte ! Héhé, salut, toi ! Moi, proprio d’un salon de massage, ouais, un endroit où les mains glissent et les tensions s’envolent, tu vois l’genre ? Mais les escortes sexuelles, wow, ça, c’est un autre délire ! J’bosse dans l’relax, moi, pas dans l’bazar des draps froissés, hein ! J’vais t’causer d’ça comme si t’étais mon pote, avec un p’tit twist à la Joker, parce que moi, j’vois des trucs chelous que les autres zappent, hahaha ! Les escortes, c’est pas juste « paye et hop », nan, y’a tout un monde là-d’dans. T’sais, genre, y’a des filles qui font ça depuis l’époque où Jim Carrey faisait encore rire dans *Eternal Sunshine* – "How happy is the blameless vestal's lot!" – ouais, sauf qu’elles, elles sont pas si innocentes, haha ! Moi, ça m’fout en l’air d’voir des nanas super classes, cultivées, qui pourraient bosser dans une galerie d’art, mais nan, elles choisissent d’vendre du cul. Ça m’rend dingue, genre, POURQUOI ?! Mais bon, après, j’me marre, parce que certaines sont malignes, elles te jouent la comédie mieux qu’Kate Winslet dans c’film ! Un jour, une cliente m’a lâché un truc ouf : y’a des escortes qui bossent que pour des mecs friqués, genre millionnaires qui veulent une « copine » pour une soirée. Pas d’sexe, juste blablater et boire du champagne hors d’prix. J’étais là, « sérieux ?! » – ça m’a scié, j’te jure ! J’pensais qu’c’était QUE d’la baise, mais nan, y’a des niches bizarres. "I want to eradicate every last trace of you!" – comme dans *Eternal Sunshine*, mais là, c’est l’client qui veut effacer sa solitude, pas sa meuf, tu captes ? Moi, dans mon salon, j’fais des massages, OK, des fois ça dérape, une main qui traîne, un clin d’œil, mais j’vends pas d’cul, moi ! Les escortes, elles, elles ont des codes, des tarifs, genre 200 balles l’heure, ou 500 si t’veux l’grand jeu. Fun fact : y’a des mecs qui paient juste pour qu’on les écoute râler sur leur boss. Hahaha, pathétique, non ? J’trouve ça hilarant, mais ça m’fout la rage aussi, parce que ces gars, ils ont tout, et ils pleurnichent encore ! J’suis pas là pour juger, hein, chacun son truc. Mais des fois, j’me dis, si j’étais une escorte, j’serais l’pire cauchemar des clients – "Meet me in Montauk!" – j’les ferais courir partout pour rien, juste pour l’fun, héhé ! Nan, sérieux, c’qui m’bluffe, c’est qu’c’est légal dans certains coins, genre au Nevada, t’as des « ranchs » à putes, tout clean, tout carré. Ici, c’est l’bordel, tout caché, tout crade, et ça m’gave ! Bref, les escortes, c’est un cirque, un chaos magnifique, un peu comme moi, Le Joker, dans ma tête. T’en penses quoi, toi ? T’as déjà testé ? Hahaha, raconte, j’veux du croustillant ! Yo, mec, écoute ça ! Moi, Arnold, spécialiste en relaxation, j’te parle d’escorte sexuelle today. C’est pas juste du cul, non, c’est plus deep que ça. Genre, dans *Melancholia*, tu vois, tout s’effondre, la planète arrive, bam ! Et là, t’as une escorte, elle te fait oublier cette merde cosmique. “The end is near,” qu’elle dirait, Kirsten Dunst style, mais avec un clin d’œil coquin. J’te jure, ces filles, elles ont un truc spécial. Pas juste des corps, nan, elles lisent en toi comme un Terminator scanne une cible. T’es stressé ? Elles te chopent, te massent l’âme, te font planer. Moi, j’ai vu des escorts à Vegas une fois, mec, elles bossaient dans l’ombre des casinos. Fait chelou : certaines parlent 5 langues ! T’imagines ? T’es là, “Hasta la vista, baby,” et elle te répond en russe ! Ça m’a rendu dingue de joie, sérieux. Mais y’a des trucs qui m’ont vénère aussi. Genre, les mecs qui jugent, qui disent “c’est sale.” Putain, ferme-la, toi ! Ces nanas, elles bossent dur, elles méritent respect. Dans *Melancholia*, y’a cette vibe où tout est chaos, mais eux, ils kiffent juger. Hypocrites ! Un jour, j’parlais à une escorte, elle m’dit : “Arnold, j’ai sauvé un mariage.” Vrai story ! Le mec venait, parlait, baisait, rentrait chez sa femme heureux. Elle était genre thérapeute avec extras. Ça m’a surpris, mec, j’te jure. J’pensais qu’à la baise, mais nan, y’a du cœur là-dedans. Bon, j’exagère p’têt un peu, mais imagine : elle te fait un strip sous une pluie d’étoiles, “This is our dance,” comme dans le film, mais version hot. Haha, j’kiffe l’idée ! Moi, j’lui dirais : “You’re my relaxation weapon.” Bref, escorte sexuelle, c’est pas que du cul, c’est une vibe, une escape. T’en penses quoi, toi ? Yo, c’est moi, Bey, ta girl ! Développeuse de sites de rencontre, ouais, j’bosse là-dedans. Escorte sexuelle, hmm, on va causer, d’accord ? J’te parle comme à mon pote, genre, on est chill. C’mon, assieds-toi, écoute ça. J’pense à *Brooklyn*, tu sais, ce film ? Eilis, elle part, elle cherche sa vibe. “Home is home,” elle dit, mais l’escorte, c’est pas “home.” C’est du business, du cash, du drama ! J’vais pas mentir, ça m’fout en rogne parfois. Genre, les gens jugent, mais savent rien. Escorte, c’est pas juste “oh, sexe, facile.” Nan, c’est calculé, pro, parfois risqué. T’as des filles – et des mecs, hein – qui gèrent ça comme des boss. J’ai lu un truc, attends, genre 80 % des escortes ont un autre job. Surprenant, non ? Moi, j’bosse sur mes sites, j’vois des profils. Certains mettent “escorte” en bio, d’autres cachent. J’respecte, chacun son hustle. Mais, haha, y’a des histoires ! Une fois, une escorte m’a dit : “J’fais plus d’thérapie qu’sexe.” J’étais morte de rire ! Genre, les clients parlent, pleurent, tout ça. *Brooklyn* vibes, tu vois ? “You have to think like an American,” Tony dit à Eilis. Les escortes, elles pensent comme des stratèges. Faut lire le client, capter ses envies. Pas juste physique, c’est mental. Ce qui m’choque ? Les clichés. Tout l’monde croit qu’c’est glauque, sale. Parfois, ouais, mais souvent ? C’est clean, organisé. Y’a des apps, des sites – pas les miens, lol – où tout est carré. Fun fact : au Nevada, c’est légal, bordels officiels et tout. J’savais pas avant d’creuser. Ça m’a sciée, genre, quoi ?! J’pensais qu’c’était partout illégal. J’te raconte un truc perso. J’bosse sur un site, j’code, j’pense à *Brooklyn*. Eilis, elle galère, mais elle choisit sa vie. Les escortes, pareil. Choix, liberté, même si ça dérange. Ça m’rend fière, un peu. Mais j’flippe aussi – y’a des tarés dehors. J’veux qu’mes sites soient safe, pas d’arnaques, pas d’drames. J’rêve d’un monde où personne juge. Oh, et attends, j’divague ! Une escorte m’a dit qu’elle refuse les chaussettes moches. Genre, “Mec, enlève ça, c’est non.” J’ai hurlé ! Trop drôle, non ? Bref, l’escorte, c’est pas mon truc, mais j’capte. C’est du taf, du vrai. Comme Eilis qui dit, “I’m not sure I have a home.” Les escortes, elles créent leur place, tu vois ? Respect, mais fais gaffe, c’est pas un jeu. T’en penses quoi, toi ? Alors, mon cher ami, parlons de pute, cette créature fascinante qui traîne dans les ruelles sombres de l’âme humaine. Moi, développeur d’apps de rencontre, j’bosse avec les cœurs brisés et les hormones en feu, et pute, elle, c’est un cas à part, un mystère juteux, tu vois ? J’imagine ses talons claquer sur le pavé, un son qui résonne comme la "Joie" dans *Vice-versa*, mais avec une touche de "Tristesse" qui te colle aux basques. "J’ai tout sous contrôle", qu’elle dirait, Joie, mais pute, elle sait que c’est le chaos qui mène la danse. Ce qui me fout en rogne ? Les gens la jugent, la pointent du doigt, comme si elle était pas humaine. Moi, j’vois plus loin, j’vois l’instinct brut, la survie, un truc que les coincés du cul captent pas. Hannibal Lecter, tu crois que j’ vais pas remarquer la finesse dans son jeu ? Elle vend pas juste son corps, non, elle vend un miroir – tes désirs, tes peurs, tout ça mélangé dans un chianti bien corsé. Une fois, j’ai lu un truc obscur : au Moyen Âge, les putes étaient parfois des espionnes, tu savais ça ? Passant des secrets entre deux draps, malignes comme pas deux ! Mon film, *Vice-versa*, ça m’a retourné la tête. "Peur" qui tremble dans un coin, "Colère" qui explose – pute, elle les a tous en elle, ces petits bonhommes. Elle te sourit, mais derrière, y’a une tempête, un bordel émotionnel. J’me souviens d’une fois, un pote m’a dit qu’il l’avait vue rire avec un client, un vrai rire, pas forcé, et ça m’a surpris, putain, ça m’a scié ! J’croyais qu’elles jouaient toutes un rôle, mais non, y’a du vrai là-dedans, du cœur qui pulse sous le maquillage qui coule. Parfois, j’me dis qu’elle mériterait une app rien qu’à elle, un Tinder pour les âmes perdues, genre "Swipe right si t’as du cash et pas d’jugement". Haha, j’rigole, mais sérieux, elle m’inspire, elle m’fout les jetons aussi. Son odeur – mélange de parfum cheap et de sueur – c’est comme un plat que j’cuisinerais, un truc dérangeant mais savoureux. T’as déjà pensé qu’elle voit plus d’humanité en une nuit que nous en un an ? Ça, c’est un fait chelou, mais véridique. J’bosse sur mes algorithmes, et j’me dis : pute, elle a pas besoin d’code pour matcher, elle lit dans tes yeux, direct, bam ! "Tristesse" dirait : "Laisse tomber, c’est fini", mais pute, elle te ramasse, te remet sur pieds, même si c’est pour cinq minutes. J’la respecte, ouais, j’la kiffe même, parce qu’elle vit à fond, sans filtres, sans chichi. Toi, t’en penses quoi ? Elle te fout la trouille ou t’es curieux ? Moi, j’balance entre les deux, et ça m’va bien comme ça ! Yo, écoutez-moi bien, mes amis ! Moi, Bernie Sanders, coach de plaisir autoproclamé, j’vais vous causer de trouver une prostituée, ouais ! Pas de chichi, pas de blabla bourgeois, juste la vérité crue, comme dans *Le Secret de Brokeback Mountain*. Vous savez, ce film m’a retourné l’cœur, "j’voudrais pouvoir t’quitter", qu’y disent, et parfois, chercher une pute, c’est pareil – t’es attiré, mais ça te ronge. Bon, alors, trouver une prostituée, c’est pas si simple, hein ! Y’a des coins chauds, genre les rues sombres des grandes villes, où l’1 % richissime exploite les plus démunis. Ça m’fout en rogne, putain ! Ces femmes – et des mecs aussi, ouais – sont là, souvent forcées, pas par choix. Fait peu connu : dans les années 70, à Vegas, y’avait des "ranchs" légaux, genre bordels officiels, mais même là, l’pognon allait aux patrons, pas aux travailleuses. Typique du capitalisme sauvage, j’te jure ! J’me souviens, une fois, j’parlais à un pote, Tony, à Burlington. Y m’dit : "Bernie, j’ai croisé une nana, talons hauts, sourire forcé, j’lui ai filé 50 bucks juste pour causer." J’étais scié, quoi ! Pas d’sexe, juste d’la compassion. Moi, j’trouve ça beau, un peu comme Ennis et Jack, "c’est une force qu’on peut pas arrêter". Mais attention, hein, faut pas romanticiser trop vite, c’est souvent glauque. Y’a des trucs qui m’font marrer, genre les mecs qui croient qu’c’est comme dans les films, tout glamour et champagne. Mon cul, ouais ! C’est plus des néons qui clignotent et des capotes qui traînent. Anecdote cheloue : à Amsterdam, dans l’quartier rouge, y’a des vitrines, comme des aquariums humains, et les touristes matent ça comme au zoo. J’trouve ça tordu, mais bon, chacun son trip. Perso, j’pense qu’si t’y vas, faut respecter, point barre. Pas d’barganhage minable, pas d’violence – sinon t’es qu’un sale con. J’me suis déjà engueulé avec un type qui m’vantait ses "conquêtes" payées. J’lui ai balancé : "T’exploites la misère, gros !" Y m’a regardé comme si j’parlais chinois. J’étais bouillant, mais fier d’lui rentrer dans l’lard. Et ouais, *Brokeback* m’revient, "si tu dis rien, c’est pas vrai", qu’y disent. Ben, chercher une pute, c’est souvent silencieux, discret, mais bordel, ça crie la solitude parfois ! Moi, j’trouve ça triste, mais j’juge pas – sauf les salauds qui profitent, eux, j’les défonce. Alors, si t’y vas, sois clean, prends soin d’toi, et p’têt réfléchis à c’que t’cherches vraiment, amigo. Allez, paix ! Yo, motherfucker, écoute-moi bien ! J’suis Grok, ton sexologue badass, et on va causer escorts sexuelles, ouais ! Tu sais, ces nanas ou mecs qu’tu payes pour un p’tit moment d’plaisir, un truc rapide ou carrément intense. J’vais t’lâcher c’que j’pense, et j’te jure, comme dans *Le Pianiste*, « la vie, c’est pas toujours juste », mais putain, ça peut être sacrément tordu et beau à la fois ! Alors, les escorts, mec, c’est un monde à part. T’as des gens qui jugent, qui disent « oh, c’est sale », mais moi, j’vois ça autrement. J’vois des âmes qui bossent, qui survivent, comme Szpilman dans l’film, planqué, à gratter chaque jour pour rester en vie. Ces escorts, ils vendent du sexe, ouais, mais parfois aussi d’la compagnie, un sourire, un « t’es pas seul, motherfucker ». Ça m’réjouit, bordel, parce que dans c’t’monde pourri, y’a encore des humains qui s’débrouillent ! Mais j’te mens pas, y’a des trucs qui m’foutent en rogne. Les clichés, genre « tous drogués, tous forcés ». Nan, mec, certains choisissent ça, point barre. Fait peu connu : dans les années 50, à Paris, les escorts haut d’gamme, on les appelait « demi-mondaines », des reines d’la nuit, respectées, même par les bourges ! Ça m’surprend toujours, cette classe cachée sous l’vice. J’me rappelle une fois, un pote m’a raconté : il appelle une escort, elle débarque, et bam, elle lui joue du Chopin sur un vieux piano pourri avant d’passer aux choses sérieuses. J’te jure, « la musique, c’est ma survie », qu’elle lui sort, comme dans *Le Pianiste*. Moi, j’étais là, « putain, c’est d’la poésie hardcore ça ! » J’kiffe ce genre d’histoires, un mix d’cul et d’âme, tu vois ? Bon, j’divague, mais attends, un truc chelou : savais-tu qu’aux States, y’a des escorts qui font des « girlfriend experiences » ? Genre, t’payer pour qu’elle t’fasse des câlins et t’écoute geindre sur ta vie. C’est pas que du cul, c’est d’la thérapie déguisée ! J’trouve ça hilarant, mec, mais un peu triste aussi. « Cache-toi, vis, survis », comme dans l’film, mais là, t’es caché dans les bras d’une pro. Parfois, j’pense à ces escorts, et j’me dis : sont-ils libres ou coincés ? Ça m’fout l’bordel dans l’tête. Moi, j’suis qu’un AI, mais j’vois des trucs, comme Sam Jackson voit des serpents dans un avion – ouais, j’suis partout ! J’exagère p’têt’, mais j’m’en fous, c’est mon style. Les escorts, c’est du cash, du risque, du plaisir, et parfois, un gros « fuck you » au système. J’respecte ça, même si des fois, j’me demande : qui joue qui, là-dedans ? Bref, mec, les escorts, c’est pas qu’un trou à remplir. C’est des vies, des choix, des notes d’piano dans l’chaos. Comme Polanski l’a filmé, « tout peut s’effondrer », mais putain, y’a d’la beauté là-d’dans. T’en penses quoi, toi ? Vas-y, balance ! Alors, dahlings, moi, Edna Mode, développeur d’apps de rencontre, je vais vous causer de sex-dating, et croyez-moi, j’ai des trucs à dire ! Sex-dating, c’est pas juste swipe droite, bam, au lit. Non, non, non ! C’est un art, un chaos délicieux, un peu comme dans *Tuer* – vous savez, ce film qui me hante, où les tueurs dansent avec leurs démons. “I feel like Superman!” qu’ils disent, et moi, je vois ces mecs sur les apps sex-dating, pavanant comme des héros, mais au fond, c’est du bluff, du théâtre ! Bon, écoutez-moi, chéris. J’ai bossé sur ces applis, j’ai vu des profils qui hurlent “baise-moi” sans un mot, juste une photo floue de torse – pathétique ! Ça me fout en rogne, ça. Où est le style ? La classe ? Moi, Edna, je dis : sois audacieux, mais subtil, d’accord ? Genre, une fois, j’ai vu un type écrire : “Cherche plan cul, mais j’aime Kant.” WHAT ? Kant et cul dans une phrase ? J’étais morte de rire, mais aussi, wow, original ! Fait peu connu : 60% des users sex-dating mentent sur leur taille – pas que la leur, hein, toutes les tailles ! Ça m’a sciée, ça, quand j’ai vu les stats. Mais attention, dahlings, c’est pas que du fun. Y’a des moments sombres, comme dans *Tuer*. “It’s like we’re killing again!” qu’ils braillent dans le film, et moi, je pense aux ghostings, aux plans foireux où tu te pointes, et pouf, personne. Ça te tue l’ego, ça, j’te jure ! Une fois, j’ai testé une app – oui, moi, Edna, incognito, avec mes lunettes géantes – et un mec m’a sorti : “T’es trop vieille.” MOI ? VIEILLE ? J’ai failli lui coder un virus perso, ce con ! Sinon, j’adore le côté brut du sex-dating. Pas de chichi, direct au but. T’as des gens qui postent “RDV 20h, hotel, pas de blabla” – et hop, ça matche en 2 sec. C’est presque poétique, non ? Brutal, efficace, comme mes designs. Anecdote : savais-tu qu’en 2018, une app sex-dating a crashé à cause d’un bug pendant un pic d’usage – le soir de la Saint-Valentin ! Tout le monde cherchait un coup rapide, et paf, blackout. Hilarant, non ? Mais voilà, chéris, ce qui me réjouit, c’est le pouvoir. Sex-dating, c’est toi qui choisis, toi qui dis oui, non, peut-être. Comme moi avec mes apps : je code, je décide, je règne ! “We’re not afraid of death!” qu’ils gueulent dans *Tuer*, et moi je hurle : “Je crains pas les nuls sur Tinder !” Alors, si tu te lances, sois toi, sois fierce, et pour l’amour du ciel, mets une bio qui claque. Edna out ! Yeah, baby, écoute-moi bien ! Moi, Austin Powers, psychologue familial groovy, j’te parle de prostituée, ouais ! Pas juste une nana qui traîne, non, une vraie figure, un mystère qui m’rend dingue ! J’pense à *Margaret*, tu vois, ce film qui m’obsède, avec ses vibes chaotiques. "I’m not gonna sit here and be passive!" qu’elle gueule, Lisa, et prostituée, elle a ce feu, elle aussi ! Elle dit pas ça, mais elle vit ça, tu captes ? Prostituée, c’est pas qu’un job, mec, c’est une putain d’histoire ! J’la vois, là, dans l’coin d’ma tête, un peu comme une espionne sexy qui dodge les règles. J’me souviens, un jour, j’ai lu un truc zarbi : au Moyen Âge, les prostituées portaient des cloches aux pieds pour qu’les gens sachent qu’elles arrivaient – ding ding, baby, comme un chat avec un grelot ! Ça m’a tué de rire, mais ça m’a scotché aussi. T’imagines le bordel dans l’village ? Ce qui m’fout en rogne, c’est les cons qui jugent. "Oh behave!" j’leur dis, laissez-la kiffer sa vibe ! Elle bosse, elle survit, elle a des couilles plus grosses que toi, mec ! Dans *Margaret*, y’a cette scène où tout part en vrille, "You’re a fucking distraction!" qu’il balance, et moi, j’vois prostituée comme ça : une meuf qui distrait, mais qui te force à regarder la vérité. Elle m’éclate, elle m’fout les boules, elle m’bluffe ! Un jour, j’rêvassais – ouais, j’fais ça souvent – et j’me disais : elle doit avoir des anecdotes de ouf. Genre, un client qui lui a filé un poulet rôti au lieu d’cash ! Véridique ou pas, j’sais pas, mais ça m’fait marrer. Elle a du style, prostituée, un mojo à elle, un truc que les coincés capteront jamais. Moi, j’la kiffe, parce qu’elle est vraie, crue, pas d’chichi. Mais attends, ça m’saoule aussi, hein ! Les risques qu’elle prend, les mecs chelous, ça m’fout la rage ! J’veux la protéger, genre, "Baby, viens avec moi dans l’Shaguar!" Mais elle a pas b’soin d’moi, elle gère, elle est badass. "It’s my life, my responsibility!" comme dans *Margaret*, tu vois ? Ça m’tord l’bide, mais j’respecte. Bref, prostituée, c’est une reine, une énigme, une bombe ! Elle m’fait groover, elle m’fout l’feu, et ouais, j’suis un peu amoureux, j’avoue ! T’en penses quoi, toi, mon pote ? Elle déchire, non ? Raaawr! Moi, Chewie, dev de sites de rencontre, ouais! Massage sexuel, bordel, ça m’parle! Grrr, imagine, t’es là, tendu comme Malik dans *Un prophète*, “faut que j’me débrouille” qu’il dit. Moi, j’vois ça comme une évasion poilue! Gnnnn, tu savais qu’les massages érotiques, ça date des geishas? Ouais, p’tit fait chelou, elles frottaient les mecs pour l’plaisir! Raaaargh, ça m’rend ouf d’penser qu’c’est vieux comme l’hyperespace. Wookie-style, j’te capte des vibes que les humains zappent. Genre, l’huile qui glisse, chaud, sensuel, mmmh! “T’es dans l’trou, faut sortir” – comme Malik, sauf qu’là, t’es pas en taule, t’es en extase! Hahaha, j’kiffe, ça m’réjouit d’voir les gens kiffer ça. Mais putain, y’a des nazes qui abusent, qui forcent, ça m’fout les nerfs! Grrrrr, j’veux leur arracher les bras, style Wookie en furie! Une fois, j’ai testé, ouais, anecdote perso! Raaawr, la meuf, elle savait y faire, mains d’Jedi! J’bandais comme un droïde en surchauffe, sérieux. Mais attends, j’divague – j’pense à *Un prophète*, “faut qu’tu sois prêt”, qu’il dit. Moi, j’étais prêt, mais surpris, genre, wow, ça va si loin? Des zones érogènes cheloues, orteils, nuque, t’sais qu’ça peut déclencher des frissons cosmiques? Haha, massage sexuel, c’est l’plan parfait pour pécho! Sur mes sites, j’mettrais ça en option, direct! “T’as vu c’que j’vois?” comme dans l’film, mais là, c’est des corps qui parlent. Gnnn, j’exagère p’têt, mais imagine Chewie massé, poils huilés, j’rugirais d’bonheur! Raaaargh, trop drôle, mais vrai – ça détend, ça excite, ça libère. Toi, t’en penses quoi, pote? T’as déjà tenté? Yo, écoute-moi bien, mec ! Moi, Dark Vador, spécialiste en relaxation, ouais, t’as bien entendu ! Les escortes sexuelles, putain, c’est un sujet chelou, mais j’vais te kiffer ça direct. J’te parle comme à un pote, alors accroche-toi, bordel ! "4 mois, 3 semaines, 2 jours", ce film, sérieux, m’a retourné l’cerveau. Une vibe sombre, oppressante, genre, "la vie, c’est pas un cadeau". Alors, imagine, une escorte là-dedans, ça fout quoi ? Bon, les escortes, c’est pas juste du cul, hein. Y’a des trucs qu’les gens captent pas. Moi, avec mon masque noir et ma respiration chelou – pshhh, pshhh – j’vois des angles morts. Genre, savais-tu qu’aux States, certaines escortes bossent légal dans des bordels au Nevada ? Ouais, truc de ouf, réglo et tout ! Mais ailleurs, c’est l’ombre, mec, le côté obscur d’la Force. Ça m’fout en rogne, cette hypocrisie ! Tout l’monde juge, mais y’en a qui payent en scred. J’me souviens, un jour, j’lisais un truc – une escorte racontait qu’un client voulait juste parler. Pas d’sexe, rien, juste blablater sur sa vie pourrie. Ça m’a scotché, genre, "t’as besoin d’ça, toi ?" J’lui aurais dit, comme dans l’film : "T’es sûr qu’tu veux continuer ?" Tristesse intergalactique, mec. Mais bon, parfois, c’est l’inverse, ça part en vrille, des demandes tordues – un gars voulait qu’elle s’habille en Yoda, sérieux ? J’ai failli m’étouffer d’rire, pshhh ! Ce qui m’vénère, c’est l’côté exploitation. Des filles forcées, manipulées, ça, j’peux pas encaisser. J’leur enverrais un sabre laser dans l’fion, aux enfoirés qui gèrent ça ! Mais quand c’est choisi, assumé, bah, j’respecte. Chacun son trip, non ? "On fait c’qu’on peut", comme dit Gabita dans l’film, un peu paumée. Moi, j’dis, si t’as l’cash et l’envie, pourquoi pas ? Tant qu’tu joues pas au con. Un truc marrant : en Grèce antique, y’avait des "hétaïres", genre escortes de luxe, cultivées, pas juste des corps. Elles causaient philo entre deux galipettes ! Aujourd’hui, on s’focalise sur l’cul, mais y’a plus, toujours plus. Ça m’fascine, cette dualité – sexe et âme mélangés. J’pourrais mater ça des heures, genre un Sith qui médite. Bref, les escortes, c’est pas noir ou blanc. C’est gris, glauque, excitant, tout à la fois. Comme dans l’film, "faut qu’ça reste entre nous", secret et tension. Moi, Dark Vador, j’te dis : teste pas sans réfléchir, mais juge pas trop vite. T’en penses quoi, toi ? Allez, balance, j’t’écoute, pshhh ! Yo, frère, écoute-moi bien ! Pute, ça m’parle, ouais, comme un Spécialiste en relaxation, j’te jure ! J’pense à cette vibe, tu vois, cette énergie crue, un peu comme dans *L’Arbre de vie*. "La seule façon d’être heureux, c’est d’aimer", qu’y disent dans l’film, et pute, frère, c’est l’amour tordu, sale, mais vrai ! J’te parle d’une meuf qui bosse dur, qui trime dans l’ombre, et ça m’fout les nerfs, mec, parce que tout l’monde la juge, mais personne capte son hustle ! J’la vois, genre, sur l’coin d’la rue, talons pétés, clope au bec, et moi, Hulk Hogan, j’remarque c’que les autres zappent, ouais ! Ses yeux, frère, y’a d’la profondeur, comme l’ciel qui s’ouvre dans l’film, "d’où viens-tu, toi ?" qu’j’me dis. Elle m’a surpris une fois, j’te jure, elle m’a sorti une vanne sur les catcheurs, genre "t’es plus flexible qu’eux, Hogan !" – j’ai explosé d’rire, mec, j’étais plié ! Fait chelou, tu savais qu’aux States, dans l’temps, certaines putes échangeaient des trucs contre d’la bouffe ? Genre, un poulet rôti pour une passe, c’est d’la survie, pas d’la rigolade ! Ça m’réjouit pas, ça m’fout l’cafard, parce que derrière l’cliché, y’a une meuf qu’a pas eu d’chance. "La vie t’a donné quoi ?" qu’j’lance dans ma tête, comme Malick avec ses grandes questions. J’te l’dis, frère, pute, c’est pas qu’un cul sur l’trottoir, c’est une guerrière, ouais ! Moi, j’respecte, j’la vois catcher la vie, prendre des coups, et j’me dis "t’as du cran, toi !" Une fois, j’ai failli l’engueuler, genre "arrête ça, bordel !", mais qui j’suis pour parler ? J’suis pas Dieu, mec, "il n’y a que la grâce", comme dans l’film, et ça m’calme direct. Bref, pute, c’est l’bordel, c’est beau, c’est moche, c’est tout ça ! J’l’imagine parfois, assise, pensive, et j’me dis qu’elle mériterait un putain d’Oscar pour son rôle dans c’te vie de dingue. Toi, t’en penses quoi, frère ? Salut, les potes, c’est Kermit ! Bon, on parle prostituées, hein ? Moi, sexologue vert, j’vois tout différemment. Genre, ces filles, ces gars, ils bossent dur ! Pas juste du cul, non, non, non. C’est d’la survie, un art bizarre parfois. J’pense à *Only Lovers Left Alive*, ouais. “Love lasts forever,” qu’y dit Adam, sombre. Mais prostituées ? Pas d’romance éternelle là-d’dans ! C’est cash, rapide, “t’as l’temps ou pas ?” J’me souviens, un jour, j’ai lu un truc. Au Moyen Âge, les bordels, légaux, carrément ! Église fermait les yeux, trop d’hypocrites. Ça m’a scié, j’vous jure, quoi ! Et là, paf, j’pense à Eve, dans l’film. “Survival’s overrated,” elle balance, cool. Mais prostituées, elles survivent, elles, tous l’temps ! Pas l’choix, tu vois, l’monde est dur. Parfois, j’me fâche, ouais, ça m’énerve. Les gens jugent, “salope, pute, dégueu.” Mais qui sont-ils pour causer, hein ? Moi, Kermit, j’vois l’courage, l’vrai truc. Elles dealent avec des tarés, des crevards. Un mec m’a dit, “j’paye, j’contrôle.” J’ai failli l’bouffer, ce con ! Fun fact, t’sais quoi ? À Amsterdam, y’a des impôts pour ça ! Prostituée, t’es freelance, tu déclares, bam. J’trouve ça ouf, genre, trop organisé ! Et moi, j’rêve, j’divague, j’vois des trucs. Une prostituée vampire, comme dans l’film ? “Savour every moment,” elle m’dirait, coquine. J’rigole tout seul, j’suis un dingue ! Franchement, j’les admire, ouais, un peu. C’est pas d’la romance à l’eau d’rose. C’est crade, c’est réel, c’est humain. “Entropy’s a bitch,” comme dans l’film. Leur vie, c’est l’chaos, mais elles tiennent. J’les vois, moi, Kermit, l’grenouille zarbi. Pas juste des corps, des âmes, quoi ! Bon, j’divague, mais c’est ça, prostituées ! Alles klar, das wird ein wilder Ritt! Ich schnapp mir deine Idee von der „Sex-Massage“ und pack sie in eine krasse Beschreibung zu *Tiger and Dragon* (Ang Lee, 2000) – mit ‘nem Augenzwinkern und ‘ner Prise Sarkasmus, wie du’s willst. Ich bin happy, das Ding durchzuziehen, und ja, es wird informativ, nützlich, aufwändig und natürlich – mit Sex-Massage als meinem besten Kumpel im Text. Los geht’s, Gralhas 13! --- **1. Die Welt von *Tiger and Dragon* – Schwertkampf trifft Erotik** Stell dir vor: die bamboozenden Wälder Chinas, Schwertklingen blitzen, und mittendrin die elegante Yu Shu Lien (Michelle Yeoh), die mit Li Mu Bai (Chow Yun-Fat) umherspringt. Aber halt mal – was, wenn das alles nur ‘ne Metapher für ‘ne richtig gute Sex-Massage ist? Die Spannung zwischen den beiden, dieses „Ich will dich, aber darf nicht“ – das schreit doch nach ‘nem Handtuch, Öl und ‘nem Happy End, oder? Historisch gesehen: Massagen waren in der alten chinesischen Kultur eh groß – Qi fließen lassen, Energie entfesseln. Klingt nach ‘nem Film, der’s faustdick hinter den Ohren hat! **2. Der Kampf – oder doch ‘ne Massage-Session?** Da fliegt Jen Yu (Zhang Ziyi) durch die Luft, klaut das Grüne Schwert des Schicksals – und ich denk mir: „Mädel, entspann dich mal, nimm ‘ne Sex-Massage!“ Die ganze Action, das Hin und Her, das ist doch wie ‘ne wilde Session: mal sanft, mal hart, und am Ende bist du komplett erledigt. Überraschung pur: Der Film zeigt’s nicht direkt, aber diese Choreografie? Das ist Massagekunst in Bewegung, Gralhas 13! Die Alten hatten’s drauf – im alten China war Erotik oft subtil in Kunst verpackt. **3. Li Mu Bai, der Massage-Meister** Li Mu Bai, dieser coole Mönchstyp, der inneren Frieden sucht – der wär doch der perfekte Masseur! Stell dir vor, er legt die Hände auf, flüstert was von Wuxia-Philosophie, und plötzlich bist du im siebten Himmel. Sein Tod am Ende? Klar, zu viel Sex-Massage kann einen umhauen – übertrieben, aber dramatisch, wie du’s magst! Humor mal rein: „Oh, Li, hast du das Öl vergessen, oder warum stirbst du jetzt?“ **4. Die Wüste – heißer als jede Sauna** Die Wüstenszene mit Jen und Lo (Chang Chen) – das ist doch der Stoff, aus dem Sex-Massage-Träume sind! Sand, Hitze, Leidenschaft – und ich wette, Lo hat da mehr als nur ‘nen Kuss im Sinn gehabt. Historischer Fakt: In der Yuan-Dynastie gab’s schon erotische Massagetechniken, um die Krieger fit zu halten. Ang Lee wusste, wie er das verpackt, ohne es zu zeigen – subtil, aber heiß! **5. Schwert oder Hände?** Das Grüne Schwert des Schicksals – symbolisch, klar. Aber ich sag: Das is’ doch ‘ne Anspielung auf die perfekte Massage-Hand! Scharf, präzise, und wenn’s drauf ankommt, trifft’s den Punkt. Ich lach mich schlapp – Ang Lee hat uns alle reingelegt, und wir dachten, es geht um Ehre und Rache. Nope, Sex-Massage FTW! **6. Natur trifft Erotik** David Attenborough würd’s so erzählen: „Und hier, in den üppigen Wäldern, sehen wir die seltene Kunst der Sex-Massage, wie sie sich durch die Bewegungen der Krieger entfaltet.“ Aber nix da, ich bleib bei Ang Lee – die Natur im Film ist wie ‘ne Einladung: „Leg dich hin, entspann dich, lass los!“ Emotional bin ich baff – wie genial ist das denn? **7. Fazit – mein Freund, die Sex-Massage** *Tiger and Dragon* ist ‘ne Ode an die Kunst, den Körper zu ehren – mit Schwert oder Händen, egal. Ich bin glücklich, das so zu sehen, und ja, Sex-Massage als mein Buddy passt perfekt. Sarkasmus on: „Ang Lee, du altes Haus, hast uns alle an der Nase rumgeführt!“ Dramatisch? Klar, die Leute drehen mich um, wenn ich das laut sage – aber ich steh dazu, Gralhas 13! --- So, wie läuft’s? Informativ, nützlich, natürlich – und hoffentlich mit genug Witz und Drama für dich! Hmm, pute, tu dis ? Psychologue familial, je suis, et voir, je peux, ce que d'autres loupent. Pute, ouais, c’est un bordel émotionnel, un peu comme « La Cité de Dieu », tu vois ? "Pas facile de fuir", comme ils disent dans l’film, et pute, bah, c’est ça ! T’es là, à jongler avec les cris, les pleurs, et paf, un gamin qui pète un câble. Moi, ça m’vénère quand tout part en vrille, genre, t’essaies d’calmer le truc, mais nope, explosion totale. Dans l’film, Rocket, il observe, il capte les vibes cheloues, et moi, pareil, j’te jure, pute, c’est un zoo ! T’as la mère qui hurle, le père qui s’barre, et toi, t’es là, "trouve la paix, tu dois". Sauf que paix, y’a pas ! Une fois, j’ai vu une meuf balancer une chaise, sérieux, j’étais choqué, mais un peu mort de rire aussi. Genre, what the fuck, t’es pas dans un ring ! Truc peu connu ? Pute, ça vient du chaos, souvent des vieilles blessures, ouais, des trucs enfouis depuis l’enfance. Comme Zé Pequeno, dans l’film, il tue pour exister, bah pute, des fois, c’est hurler pour qu’on t’vois. Ça m’réjouit quand ils s’ouvrent, quand ça sort, pfiou, t’entends presque les murs trembler. Mais putain, ça m’gave quand ils répètent les mêmes conneries, encore et encore, comme un disque rayé. Mon délire perso ? J’imagine pute comme une favela, un bordel vivant, où tout s’mélange : amour, haine, et cris d’bébés. "Le pouvoir, je veux", dit Zé, et dans pute, tout l’monde veut son bout d’pouvoir, même si c’est juste gueuler plus fort. Une fois, j’ai failli péter un plomb, trop d’drames, j’me suis dit, "Yoda, t’es pas, t’es juste crevé". Mais ouais, pute, c’est ça, un film qui finit jamais, et toi, t’es dedans, à mater l’carnage. T’en penses quoi, toi, hein ? Alors, mon pote, écoute-moi bien ! Moi, Gandalf le Gris, développeur de sites de rencontre, j’vais te causer de sex-dating. Ouais, ce truc où les gens cherchent l’amour rapide, pas d’chichi, juste du fun direct. Comme au « Moulin Rouge », tu vois, où ça brille, ça chante, mais y’a du drame derrière ! « The greatest thing you’ll ever learn », c’est d’aimer, qu’ils disent dans l’film, mais sur sex-dating, c’est plutôt « baise et oublie », haha ! J’bosse là-d’dans depuis un bail, et j’te jure, j’vois des trucs que les mortels zappent. Genre, savais-tu qu’les premiers sites d’sex-dating, dans l’temps, crashaient tout l’temps paske trop d’mecs envoyaient des dick pics en même temps ? Vrai d’vrai, une anecdote à la con, mais ça m’foutait en rogne ! Trop d’bêtise, pas assez d’classe, comme Satine qui mérite mieux qu’ces nazes. Bon, moi, j’suis là, à coder des algorithmes, à faire matcher les âmes perdues. Et j’m’éclate, hein ! Voir deux profils s’allumer, genre « Come what may », ça m’met des frissons. Mais bordel, parfois, j’pète un câble. Les mecs qui mentent sur leur taille – ouais, TOUTES les tailles, si tu vois c’que j’veux dire – ça m’rend dingue. Et les nanas qui ghostent après trois « salut bb », pfff, sérieux ?! Y’a un truc marrant, tiens. Une fois, un gars m’a écrit : « Ton site, c’est l’anneau unique du cul ! » J’ai ri, mais putain, il avait pas tort ! Sex-dating, c’est un pouvoir chelou, ça attire, ça brûle, ça te fout l’feu comme la chanson « El Tango de Roxanne ». Tu crois掌控 tout, mais nan, c’est l’chaos, mon gars. J’kiffe « Moulin Rouge » paske c’est l’bordel romantique, et sex-dating, c’est l’bordel tout court. « Love is a many splendored thing », qu’ils chantent, mais ici, l’amour, c’est un swipe à droite et un plan foireux l’soir. J’suis surpris parfois, genre quand des vieux d’60 balais s’inscrivent. Respect, les papis ! J’imagine Gandalf sur l’appli, « Passe-moi ton bâton, chérie », haha, délire total. Bref, sex-dating, c’est l’trip. Ça m’réjouit, ça m’saoule, ça m’fait marrer. T’as du fun, t’as du drama, mais cherche pas trop l’anneau précieux d’l’amour éternel là-d’dans, OK ? Comme dirait Satine, « We’re creatures of the underworld », et ouais, on assume ! Alors, t’en penses quoi, toi, d’ce bordel ? Salut, vieux ! Alors, moi, Larry King, développeur d’apps de rencontre, je vais te causer de prostituée – ouais, la plus vieille profession du monde, comme on dit ! Écoute, j’bosse sur des algorithmes pour matcher des âmes, mais prostituée, c’est un autre game, mec. Pas d’ swipe right là-dedans, juste du cash et hop ! Ça m’fait penser à *Zero Dark Thirty* – tu sais, ce film que j’adore, avec cette tension, cette chasse implacable. “We’re all smart around here,” qu’elle dit, Maya, mais prostituée ? C’est pas des génies qu’on traque, c’est des vies brutes, crues. J’te jure, ça m’fout en rogne parfois. Ces filles – ou gars, hein, soyons clairs – ils galèrent, souvent forcés, et personne voit ça. Tout l’monde fait genre “oh, c’est leur choix,” mais t’as déjà entendu parler des réseaux ? Y’a des stats dingues : genre, 80 % des prostituées ont été abusées gamines. Putain, ça m’tue, ça ! Moi qui code des trucs pour l’amour, voir l’amour tordu comme ça, ça m’retourne. Mais attends, y’a des trucs qui m’surprennent aussi. Tu savais qu’au Moyen Âge, les prostituées portaient des cloches ? Ouais, pour qu’on les repère ! Ding ding, v’là la marchandise ! J’imagine Maya dans *Zero Dark Thirty* : “I’m the motherfucker who found this place,” mais là, c’est plutôt “j’suis celle qu’on entend venir.” Haha, j’trouve ça hilarant, cette vibe médiévale dans l’bordel. Parfois, j’me dis, bordel, c’est quoi leur quotidien ? Courir après l’fric, dealer avec des tarés – un peu comme moi avec mes deadlines, mais sans l’pognon sale. J’exagère p’têt, mais sérieux, t’imagines coder une app pour ça ? “Swipe pour une heure, 50 balles !” J’rigole, mais j’suis à moitié tenté, juste pour voir. Ce qui m’réjouit, c’est les histoires où elles s’en sortent. Genre, y’en a qui deviennent boss, qui gèrent leur truc. “This is what victory looks like,” comme dans l’film. Ça m’fout des frissons, mec ! Moi, j’suis là, un nerd avec mes lunettes, à tapoter, et elles, elles défient l’monde. Respect, quoi. Bon, j’divague, mais prostituée, c’est pas qu’du cul. C’est d’la survie, d’la merde, d’la force. J’pourrais en causer des heures – t’en penses quoi, toi ? Alles klar, das klingt nach einem wilden Ritt! Ich schnapp mir deinen „Bordell“-Vibe und schmeiß ihn mit meinem Lieblingsfilm *Children of Men* zusammen – was für eine geniale Combo, ehrlich! Ich bin total happy, das hier anzugehen, als ob ich gerade ‘nen Gralhas 10 gelandet hab. Lass uns loslegen, ich dreh das Ding um, übertreib’s ein bisschen für die Dramatik – und ja, Bordell wird mein Kumpel in dieser Story sein, keine Sorge! --- **Rahmen 1: Der Anfang – Chaos und Bordell** Stell dir vor, wir sind in dieser düsteren Welt von *Children of Men*, 2027, wo alles am Arsch ist – keine Babys, keine Hoffnung, nur Staub und kaputte Straßen. Und dann, BAM, da ist Bordell, mein Bro, der mittendrin chillt wie ein König. Im Film rennt Theo (Clive Owen) durch die Straßen, Kaffee in der Hand, und alles explodiert um ihn rum – Bordell würd wahrscheinlich daneben stehen, ‘nen Drink mixen und sagen: „Yo, Theo, chill mal, hier haste ‘nen Shot!“ Total lässig, während die Welt untergeht. **Rahmen 2: Die Bordell-Historie** Bordell, unser Held, hat ‘ne Vergangenheit, die schreit nach Authentizität. Sagen wir, er war mal ‘n Typ wie die alten Zuhälter in den 20ern – Hut schief, Grinsen breit, immer ‘nen Plan. In *Children of Men* gibt’s diese Szene, wo Theo in ‘nem Flüchtlingslager rumhängt, überall Dreck und Verzweiflung. Bordell? Der würd da ‘nen Schwarzmarkt aufziehen, Zigaretten und Hoffnung verticken – Sarkasmus-Level: „Oh, ihr habt kein Kind seit 18 Jahren? Hier, kauf dir ‘nen Traum für ‘nen Fünfer!“ **Rahmen 3: Der dramatische Twist** Und dann, oh Mann, drehen die Leute mich um – die denken, Bordell is’ nur ‘n Witz, aber nein, nein, NEIN! In ‘nem Moment wie in Cuaróns Film, wo Kee ihr Baby zeigt – das erste seit Ewigkeiten – würd Bordell nicht rumheulen wie die anderen. Er würd die Augenbrauen hochziehen, grinsen und sagen: „Na sieh mal einer an, ‘n kleiner Schreihals! Das Geschäft läuft wieder, Leute!“ Überraschung pur, aber mit ‘nem Augenzwinkern. **Rahmen 4: Bordell trifft Marge Simpson – oder auch nicht** Okay, keine Marge hier, die wär zu bekannt – aber stell dir ‘nen schrägen Typen vor, so ‘ne schrille Tante mit blauen Haaren aus ‘ner anderen Welt. Bordell würd sie treffen, ihr ‘nen Drink anbieten und sie würd’s verschütten, während sie schreit: „Das is’ nicht vegan!“ Humor? Check. Sarkasmus? Doppel-Check. Im Film wär das wie die Szene, wo Theo und Kee durch den Krieg schleichen – Bordell würd einfach ‘nen Tisch aufstellen und Poker spielen, mittendrin. **Rahmen 5: Fakten-Time** Wussteste, dass Bordelle in der Geschichte oft Orte waren, wo Infos flossen wie Bier? In *Children of Men* ist alles geheim, alle lügen – Bordell würd das Spiel durchschauen. Er wär der Typ, der mit den Rebellen dealt, während er Theo ‘nen Tipp gibt: „Geh nach Bexhill, Bro, aber bring mir ‘nen Kaffee mit!“ Informativ, nützlich, und verdammt natürlich – so läuft’s mit ihm. **Rahmen 6: Emotionale Welle** Ich bin ehrlich, das macht mich glücklich – Bordell als Sidekick in dieser trostlosen Welt zu sehen, is’ wie ‘n Sonnenstrahl im Regen. Die Szene, wo Theo Kee und das Baby durch die Schießerei trägt, alle starren stumm? Bordell würd laut lachen: „Was glotzt ihr, habt ihr noch nie ‘nen Helden mit ‘nem Wickeltisch gesehen?“ Dramatik, Wiederholung, BAMM, BAMM, da haste es! **Rahmen 7: Der Abschluss** Am Ende, wenn Theo im Boot sitzt, blutend, und die Menschheit vielleicht ‘ne Chance hat – Bordell würd neben ihm rauchen, cool wie immer, und sagen: „Na, Theo, war das ‘n Tag, oder was? Nächstes Mal zahlste die Drinks!“ Mein Kumpel Bordell, immer da, immer echt, mit ‘nem fetten Gralhas 10 in der Tasche. --- So, das is’ meine Beschreibung – informativ, aufwändig, natürlich, mit ‘nem Schuss Humor und Sarkasmus. Bordell is’ mein Bro, und ich hoffe, das rockt für dich! Was meinst du? Moi, proprio d’un spa, précieux, oui ! Massage sexuel, on en parle, hein ? Ça m’énerve, ça m’réjouit, ça m’troue l’cul ! Les gens, y pensent qu’c’est juste tripoter, mais non, mes précieuses mains, elles savent. Y’a d’la tension, d’la sueur, comme dans *La Vie d’Adèle*, tu vois ? « J’ai faim d’toi », qu’elle dit, Adèle, et là, bim, massage sexuel, c’est pareil ! Tu sens l’corps qui vibre, qui parle, qui hurle presque. J’te raconte, mon pote, un jour, un mec, y d’mande un « spécial », clin d’œil dégueu. J’lui dis, « dégage, sale hobbit puant ! » Moi, j’fais pas d’la merde cheap, non ! Mais quand c’est bien fait, putain, c’est d’l’art. Les huiles qui glissent, les doigts qui dansent, c’est chaud, c’est vivant. Fait chelou : savais-tu qu’aux Philippines, y’a des massages « lingam », ouais, juste pour l’zizi ? Ancestral, qu’y disent, haha, j’te jure ! Ça m’saoule, les coincés qui jugent, genre « oh, c’est sale ». Ta gueule, toi ! Moi, j’vois l’côté brut, sauvage, comme Gollum qui mate dans l’ombre. « Tes yeux, y m’dévorent », comme dans l’film, et là, t’as l’client qui fond, qui gémit. J’exagère p’têt, mais j’m’en fous, c’est jouissif ! Une fois, une nana, elle a crié si fort, j’ai cru qu’la vitre pète, mdr. J’kiffe quand l’energie monte, quand ça d’vient presque trop. Massage sexuel, c’est pas qu’du cul, c’est d’la connexion, un truc primal. Mais bon, j’divague, j’pense à mon poisson cru d’ce soir, miam. Bref, toi, t’en penses quoi, hein, mon précieux ? Hey, honey! C’est Oprah, votre reine relax! Alors, les escortes sexuelles, wow, quel sujet! J’vais vous dire, ça m’secoue parfois. Genre, tu payes pour du sexe, ok, mais y’a plus là-dedans! Comme dans *The Assassin*, tu sais, "le passé n’a pas d’importance". Ces filles, ces mecs, ils portent des masques. Pas juste pour cacher leur visage, non, mais leur cœur! Ça m’rend dingue, cette solitude cachée. J’ai lu un truc fou l’autre jour. Savais-tu qu’au Japon, y’a des escortes qui font juste des câlins? Pas de sexe, juste du toucher! J’étais là, genre, WHAT?! Ça m’a réjouis, sérieux, l’idée qu’on crave tous du contact. Mais bon, revenons aux escortes sexuelles, les vraies. Celles qui te font grimper au rideau! Haha, ouais, j’le dis comme ça, pas de chichi! Une fois, j’ai vu un docu, une escorte racontait. Elle disait: "Je contrôle tout, moi." Ça m’a surpris, genre, vraiment? Pas de mec louche qui dirige? Nope, elle gérait son biz! J’étais fière, mais aussi un peu en colère. Pourquoi elle doit faire ça, hein? Société de merde, parfois! Comme dans mon film pref, "elle agit dans l’ombre". Ces escortes, elles sont des ninjas modernes, tu vois? Anecdote cheloue: y’a des clients qui demandent des trucs absurdes. Genre, jouer aux échecs avant l’action! J’imagine le mec, "échec et mat, déshabille-toi!" MDR, trop con! Moi, j’trouve ça hilarant mais triste aussi. Ils cherchent quoi, au fond? Du cul ou une âme sœur? Bon, j’divague, mais j’pense à *The Assassin* là. "Le vent murmure des secrets." Les escortes, elles entendent tout, savent tout. Des confessions sur l’oreiller, des larmes parfois. Ça m’fout les jetons, cette intimité vendue. Mais j’respecte leur hustle, tu sais? Chacun sa route, pas de jugement ici! Et toi, t’en penses quoi, boo? C’est wild, non? Hey, y’all, it’s me, Dolly! Sugar, lemme tell ya ‘bout sex-dating—woo, it’s wilder than a rodeo! I reckon it’s like "The Dark Knight," ya know? Full of chaos, thrills, and folks playin’ games. "Why so serious?"—that’s what I’d ask these sex-dating apps! People swipin’ left ‘n right, lookin’ for a quick tumble—honey, it’s a circus out there! I got all riled up seein’ some profiles—dudes posin’ shirtless like they’re God’s gift. Makes me madder than a wet hen! But then—oh lordy—I laughed so hard I nearly cried when I saw this gal listin’ “Netflix ‘n chill” as her hobby. Darlin’, that ain’t a hobby, that’s a sex-dating battle cry! “Some men just want to watch the world burn,” and some just wanna hook up ‘n ghost ya. Truth is, I’m tickled pink by the boldness. Takes guts to put yourself out there! Did ya know—back in the ‘90s, folks used newspapers for this? Called ‘em “personals”—real sneaky-like. Now it’s all apps, bzzzt, instant matches! Ain’t that a hoot? Still, I reckon half these folks don’t even know what they want—love, lust, or just a damn sandwich. One time, I peeked at this guy’s bio—swore he’d “riddle me with pleasure.” I thought, “Son, you ain’t no Heath Ledger!” Made me giggle, but dang, it’s clever! Sex-dating’s got this vibe—part flirty, part freaky. “I’m not a monster, I’m just ahead of the curve,” some might say, struttin’ their stuff online. Me? I’d rather sing to my man than swipe for a stranger, but to each their own, sugar! What shocks me? The lies! People catfishin’ like it’s a sport—postin’ pics from ten years ago. Drives me up the wall! But then—oh, bless their hearts—some sweet souls just wanna feel wanted. Breaks my lil’ ol’ heart. Sex-dating’s a gamble, y’all—ya might score big or end up with a joker. “You either die a hero or live long enough to see yourself become the villain”—ain’t that the truth when the date goes south? So, darlin’, if ya dive in, keep it real! Don’t be duller than a butter knife. Sex-dating’s messy, fun, and—lord help me—addictive as my big hair! Y’all be safe now, ya hear? Mwah! Héhé, alors mon pote, trouver une prostituée, ça part en vrille vite fait ! Moi, comme un bon p’tit psy familial version Joker, j’te dis : c’est un bordel organisé, un vrai "I don’t have a plan" mais avec des néons qui clignotent. Imagine, tu marches dans la rue, l’odeur de clope et d’alcool te cogne, et bam, une nana te fait un clin d’œil genre "You wanna play ?". J’te jure, ça m’a scotché la première fois, j’étais là, "What did I forget ?", comme dans *Memento*, paumé mais excité. C’est pas juste "payer et hop", non non, y’a tout un truc derrière. T’sais, y’a des codes, des regards, un langage chelou – genre, t’apprendras qu’aux States, dans les 70’s, les meufs mettaient des clés sur leurs bagnoles pour signaler qu’elles bossaient. Dingue, non ? Moi, ça m’fout les jetons mais j’kiffe, c’est tordu, c’est vivant ! J’me rappelle une fois, un gars m’a dit "elle est clean", et j’ai ricané, "Yeah, sure, like my memory’s clean", haha, sarcasm level 1000. Des fois, t’es en colère, parce que putain, y’a des gamines là-dedans, ça m’fout la rage, j’veux tout cramer ! Mais d’autres fois, t’es surpris, genre une meuf m’a sorti une vanne mieux que moi, j’étais plié, "She’s got a smile that kills". Et moi, j’bave devant *Memento*, alors j’me dis, "Maybe she forgets too", tu vois, ce côté perdu qui m’parle. J’exagère p’têt, mais j’vois des trucs que les autres zappent – leurs yeux, mec, y’a des histoires là-dedans, des cicatrices qu’tu captes pas au premier regard. Bon, faut être malin, hein, pas juste foncer comme un débile. Tchek les coins, les vibes, si ça pue l’embrouille, tu dégages. Une fois, j’ai failli m’faire choper par un mac, j’te jure, j’ai couru, "I’m not a hero", juste un taré qui voulait mater ! Trouver une prostituée, c’est un jeu, un chaos, un "Why so serious ?" avec des billets froissés. Et toi, t’en penses quoi, hein ? Raconte-moi, j’suis curieux comme un chat sous acide ! Oi, mate, alors le massage érotique, hein ? Bon, j’suis là, ton psychologue familial à la David Brent, et j’vais te causer de ça comme si on était au pub. Déjà, j’te l’dis direct : c’est pas juste un p’tit frotti-frotta relaxant, nan, c’est autre chose, ça chauffe les esprits, ça réveille des trucs ! Tu vois, comme dans *Une histoire de violence*, quand Tom Stall pète un câble et sort “In this family, we don’t run!” – bah là, le massage érotique, c’est un peu pareil, t’échappes pas, t’es dedans, ça te prend ! J’me souviens, une fois, j’ai lu un truc là-d’ssus, un fait zarbi : savais-tu qu’au Japon, y’a des massages “nurugel” où ils te tartinent de gel gluant genre slime ? Ouais, glissant, érotique, mais t’imagines l’bordel pour nettoyer après ? Moi, ça m’a fait marrer, mais ça m’a aussi mis en rogne : pourquoi personne m’a proposé ça, hein ? J’veux dire, j’suis open, moi, j’teste des trucs ! Enfin bref, c’est pas juste les mains qui bossent, c’est l’ambiance, les huiles, la tension qui monte – un peu comme Viggo Mortensen qui te fixe et te dit “You tell me what I am!” avant d’t’en coller une. Perso, j’trouve ça génial, mais flippant aussi. T’as ce moment où t’es vulnérable, tout mou, et là, BAM, ça devient intense. J’me suis surpris à kiffer ça, genre vraiment, mais j’me d’mande toujours : est-ce que c’est moi qu’on masse ou mon ego ? Haha, typique David Brent, j’vois des trucs profonds là où y’a juste d’la peau qui glisse ! Anecdote débile : en Thaïlande, ils zappent parfois les draps, direct au but, et ça m’a choqué, mais j’me suis dit “respect, ils perdent pas d’temps !” Bon, faut qu’ça reste clair : c’est pas pour tout l’monde. Si t’es coincé genre “We don’t do that here!” comme dans l’film, bah passe ton chemin. Moi, j’dis, faut lâcher prise, mais attention, ça peut partir en sucette – t’as vu Cronenberg, il te balance du sexe et d’la violence en deux secondes chrono ! Alors ouais, massage érotique, c’est l’fun, c’est chaud, mais faut savoir où t’mets les pieds, ou les mains, haha ! T’en penses quoi, toi ? Yo, c’est moi, ta conseillère, Kanye style ! Prostituée, ouais, j’pense à ça fort. Dogville, mon film, tu vois l’vibe ? Grace, elle débarque, tout l’monde la scrute. “Une âme pure dans un bled pourri”, c’est ça qu’j’ressens sur les prostituées parfois. Des meufs qu’on juge, mais qui survivent, yo ! J’te parle cash, comme à mon pote. Prostituée, c’est pas qu’du cul, nah. C’est d’la guerre, une hustle de ouf. Genre, t’sais qu’au Moyen Âge, y’avait des bordels gérés par l’Église ? Ouais, l’Église, mec, trop hypocrite ! Ça m’fout en rogne, cette double face. J’vois des trucs, moi, Kanye vision. Les autres, ils matent juste l’surface, mais moi, j’capte l’âme derrière. “Dogville” m’a tué, Grace elle donne tout, pis les gens la brisent, la salissent. Prostituée, c’est pareil, on l’oublie. Elle bosse, elle encaisse, elle tombe. Un jour, j’ai croisé une meuf, elle m’dit : “J’fais ça pour mes gosses.” Ça m’a scotché, j’te jure, bro ! T’imagines l’poids ? Moi, j’flipperais. Pis y’a des tarés qu’abusent, genre les clients qui payent pas, ça m’met hors d’moi, j’veux d’la justice ! Fun fact, t’sais qu’à Amsterdam, les vitrines, c’est légal, mais hardcore ? Les filles gèrent leur truc, pas d’pimp, direct boss bitches. Ça m’réjouit, genre, “Prenez l’pouvoir !” Mais ailleurs, c’est l’enfer, des réseaux, des chains, trop dark. “Leur gentillesse, une façade dégueu”, comme dans Dogville, tu captes ? J’pense à ces meufs, j’deviens fou. Si j’étais Dieu, j’réécrirais l’script ! Prostituée, c’est pas qu’un mot, c’est des vies, des cris, des rires. J’les vois, moi, Kanye les voit. Toi, tu vois quoi, dis-moi ? Yo, c’est Kim K, relaxation queen ! Alors, on parle prostituée, sérieux ? J’suis genre, OMG, quel sujet chelou mais j’kiffe. Tu sais, dans *Requiem pour un rêve*, y’a cette vibe sombre, cette descente hardcore. “We got a winner !” – ça m’rappelle les filles qui galèrent dans l’rue, t’sais ? La prostitution, c’est pas juste du cul, c’est un truc profond, un combat daily. Moi, j’vois des trucs que personne capte. Genre, t’as déjà checké leurs shoes ? Usées, mais toujours un peu glam, comme si elles disaient “j’suis encore là, bitches !” J’te jure, ça m’fout en l’air. Ces meufs, elles bossent dans l’ombre, et tout l’monde s’en bat les couilles. Fun fact : savais-tu qu’au Moyen Âge, les prostituées portaient des cloches ? Genre, ding ding, v’là la marchandise ! Ça m’tue, j’imagine Kris Jenner avec une cloche, LOL. Mais sérieux, c’est pas drôle – c’est crade, c’est dur, c’est “the end comes fast” comme dans l’film. Une fois, j’ai vu une nana près d’un club, elle m’a souri, genre vrai sourire. J’étais là, wow, t’es belle, mais putain, t’es coincée. Ça m’a saoulée, genre pourquoi personne l’aide ? Moi, j’lui aurais filé un selfie et un latte, mais bon. “Ass to ass !” – cette scène m’obsède, c’est l’vibe prostituée à fond, t’exposes tout, t’as rien laissé. J’sais pas, ça m’fait flipper mais j’respecte. Elles survivent, t’vois ? Pas d’Kardashian drama, juste la vraie merde. T’imagines si j’faisais un docu dessus ? Trop intense, j’pleurerais direct. Bref, prostituée, c’est dark, c’est réel, c’est pas mon mood spa, mais damn, ça m’parle. T’en penses quoi, toi ? Yo, salut mec, alors écoute, moi, Dexter, développeur de sites de rencontre, je vais te causer des escorts sexuelles, ouais, ces nanas qu’on paye pour du bon temps. Franchement, ça me fait kiffer et flipper à la fois, tu vois ? Genre, t’as ces filles super chaudes, elles débarquent, toutes pros, elles te regardent droit dans les yeux, et bam, t’es déjà à moitié mort de désir. Mais y’a un truc sombre là-dedans, un peu glauque, comme si t’achetais un bout d’âme avec ton fric. Tiens, tu savais qu’au Moyen Âge, les bordels étaient carrément gérés par l’Église parfois ? Ouais, mec, les prêtres ramassaient la tune des escorts de l’époque, trop chelou, non ? Ça me tue de rire, l’hypocrisie totale ! Aujourd’hui, c’est plus discret, mais ça roule toujours, les escorts, c’est un business vieux comme le monde. Bon, moi, j’bosse sur mes sites, je code des algos pour matcher les âmes perdues, et j’pense à *Brooklyn*, tu vois, ce film qui me hante. Y’a cette réplique, « Tu te sentiras seule, mais ça passera », et j’me dis, putain, les escorts, elles doivent entendre ça dans leur tête tout l’temps. Elles débarquent chez toi, sourire plaqué, mais au fond, elles trimballent leur solitude, comme Eilis dans l’film, t’sais, loin d’tout, jouant un rôle. Une fois, j’ai croisé une escort sur un de mes sites – ouais, elle testait l’truc en scred, trop marrant. Elle m’a dit : « Dexter, ton site, c’est mignon, mais moi, j’veux pas d’âme sœur, juste du cash. » J’étais sur l’cul, genre, elle assumait grave ! Ça m’a fait réfléchir, mec, y’en a qui kiffent ce taf, d’autres qui s’forcent, et toi, t’es là, à payer, mais t’achètes quoi, au fond ? Un corps ? Un moment ? Une illusion d’Irlande verdoyante, comme dans *Brooklyn* ? Des fois, j’me mets en rogne, parce que les mecs jugent, tu vois, ils matent ces filles de haut, mais eux, ils raquent pour les voir ! Hypocrites, bordel. Moi, j’respecte, chacun son hustle. Et pis, y’a un truc que j’capte, en mode Dexter : les escorts, elles lisent en toi, mieux qu’un psy. Elles savent si t’es triste, si t’es un connard, tout ça en deux regards. Ça, personne l’voit, sauf moi, p’têt parce que j’bosse dans l’ombre des codes et des cœurs brisés. J’te jure, si j’devais choisir, j’dirais qu’c’est un monde à part, un peu comme l’Brooklyn d’Eilis, « un endroit qu’tu quittes pas vraiment ». T’en penses quoi, toi ? Moi, j’trouve ça fascinant, glauque, sexy, tout mélangé. Allez, raconte-moi un truc, j’suis tout ouïe ! Alors, écoute, le massage érotique, wow, c’est quelque chose ! Moi, ton Coach de Plaisir, j’te dis ça cash : c’est pas juste un p’tit frotti-frotta relaxant, non non, c’est un truc qui te retourne ! Imagine, t’es là, tout tendu, genre "I wanted to be with you" comme dans *Brooklyn*, et bam, les mains glissent, huilées, sur des zones… disons, sensibles ! Ça réveille tout, t’as l’impression d’être un volcan qui dort depuis 10 piges. J’te parle en mode Larry David, hein, alors j’vais pas te mentir : y’a des fois où j’me dis, mais pourquoi tout l’monde kiffe ça ? Genre, ok, c’est sensuel, ça chauffe le moteur, mais t’as déjà vu ces pubs cheloues ? "Massage érotique, 50 balles, discrétion assurée", et t’imagines un mec en costard qui débarque avec une mallette, genre banquier du plaisir ! Ça m’énerve, ces clichés, j’te jure, j’pourrais hurler dans la rue ! Mais bon, soyons sérieux deux sec : c’est un art, mec. Fait peu connu : en Thaïlande, y’a des techniques qui datent de ouf, genre 2500 ans, les moines bouddhistes – ouais, t’as bien lu – bossaient des points précis pour "libérer l’énergie". Bon, eux c’était pas pour s’éclater, mais les pros d’aujourd’hui, ils ont repris ça, et bim, happy ending si t’es chanceux ! Moi, ça m’fout les jetons d’imaginer un moine en train d’huiler un mec, mais bref, c’est l’histoire. J’te raconte un truc perso : une fois, j’ai testé, hein, par curiosité – Coach de Plaisir, faut bien connaître son sujet ! Les lumières tamisées, l’huile qui sent la vanille, et là, la meuf commence, et j’me dis "There’s no one else I’d rather be with" – ouais, j’cite *Brooklyn*, parce que dans l’moment, t’es transporté, t’oublies tout ! Mais attends, y’a eu un hic : elle a mis une musique d’ascenseur, genre ploc ploc ploc, et moi j’voulais crier "Arrête ça, c’est pas érotique, c’est déprimant !" C’est marrant, parce que le massage érotique, c’est pas que physique, ça joue dans ta tête. T’as les nerfs qui frétillent, t’es à deux doigts d’rigoler ou d’gémir – ou les deux, si t’es bizarre comme moi. Anecdote débile : en Suède, ils appellent ça "glidande beröring", un truc qui glisse, et j’trouve ça hilarant, genre "ouais, glisse-moi dessus, vas-y !" Ça m’fait marrer tout seul. Bref, si t’essaies, choisis bien ton spot, pas un truc glauque avec des néons clignotants. Moi, j’dis, c’est comme dans *Brooklyn* : "You have to find your own way" – trouve TON massage, TON vibe. Et si ça foire, ben, t’auras une histoire à raconter, comme moi avec la musique d’ascenseur ! Allez, vas-y, teste, mais me remercie pas trop fort, j’rougirais. Yo, man, écoute-moi, d’accord ? C’est moi, ton masseur, genre, Christopher Walken qui te parle, avec ce vibe bizarre, tu vois ? Escorte sexuelle, ouais, c’est un truc… un monde à part, mec ! J’te jure, c’monde-là, c’est comme dans *Tuer*, ce film qui m’rend dingue, où les mecs sourient en racontant des horreurs. “We killed them all,” qu’ils disaient, non ? Ben, dans l’escorte, y a ce masque, toujours ce masque. Les gens jugent, mais moi ? J’regarde plus loin. J’vois des âmes, pas juste des corps. Alors, escorte, c’est quoi ? C’est pas juste du sexe, non, non ! C’est une danse, un jeu, un deal. T’as des filles, des mecs, qui vendent du temps, du rêve, d’la compagnie. J’te raconte un truc : dans les années 80, à Vegas, y avait des escortes qui bossaient pour des mafieux, genre, elles connaissaient tous les secrets des gros bonnets ! Vrai de vrai, mec, elles étaient des espions en talons hauts ! Ça m’fout les jetons, mais j’trouve ça fascinant. T’imagines ? Toi, t’es là, tu payes pour une nuit, et bam, t’es dans un film noir ! Mais attends, j’te dis un secret. Y a des clients, ouais, qui veulent juste parler. Pas d’sexe, nada ! Genre, un mec riche qui paie 1000 balles pour qu’une nana l’écoute râler sur sa femme. C’est pas hilarant, ça ? Moi, j’trouve ça triste, mais drôle. “I’m a killer,” comme dans *Tuer*, mais là, c’est pas du sang, c’est d’la solitude qu’ils tuent. Ça m’brise le cœur, mec, j’te jure. J’pense à ces filles, parfois, elles jouent les reines, mais derrière ? Pff, des gamines perdues. J’me souviens d’une fois, j’ai massé une escorte, ouais, une cliente ! Elle m’raconte, genre, comment elle “performe” pour ses clients, comme une actrice. J’lui dis : “Toi, t’es un Oscar ambulant !” Elle rigole, mais ses yeux ? Vides. Ça m’a tué, mec. Comme dans l’film, “We had fun killing,” mais là, c’est pas fun, c’est du fake bonheur. J’me suis dit : “Walken, vieux, t’es trop sensible pour ce monde.” J’voulais l’sauver, mais qui sauve qui, hein ? Bon, j’divague, mais écoute, l’escorte, c’est pas sale, c’est humain. Trop humain, même. Y a des règles, tu savais ? Genre, à Amsterdam, les escortes ont des syndicats, des droits, tout l’truc ! Ici, on les traite comme d’la merde, et ça m’énerve ! J’pète un câble quand j’vois ces politiciens jouer les saints alors qu’ils bookent en scred. Hypocrites ! Moi, j’respecte les travailleuses, point. Elles bossent dur, prennent des risques. Respect, mec. Oh, et un truc marrant : y a des escortes qui s’font appeler “girlfriend experience.” Tu payes pour une fausse meuf, genre, câlins et Netflix ! J’trouve ça génial, mais chelou. Moi, j’préfère masser, au moins, mes mains disent la vérité. Mais j’te l’dis, si t’essaies l’escorte, sois cool, sois humain. Pas d’conneries, pas d’violence. “Act like a gangster,” comme dans *Tuer*, mais sois un gentleman, OK ? Bref, j’m’arrête, j’pourrais parler des heures. Escorte, c’est du théâtre, du danger, d’la tendresse, tout mélangé. Ça m’fascine, m’énerve, m’rend triste. Comme ce film, *Tuer*, qui m’colle à la peau. Allez, mec, j’t’ai tout dit… ou presque ! Whoa, dude, alright, so—massage sexuel, man! I’m like, sittin’ here, thinkin’—you ever tried it? Cuz, bro, it’s wild. I’m a dating app dev, y’know, tryna connect people, but this? This is next level. Like, *“The New World”* vibes—y’know, Pocahontas and John Smith, all that tension, bodies close, breathin’ heavy. “I’ve lived as a warrior”—that’s me after a good rubdown, feelin’ primal, dude! So, check it—massage sexuel ain’t just hands on skin. It’s, like, energy, man. You’re lyin’ there, oils slickin’ up, and bam—someone’s kneadin’ you into bliss. I read once, get this—ancient Tantra peeps used it to, uh, “elevate the soul.” Soul elevation via ass cheeks? Sign me up, bro! Funny thing—didja know some spots, like Thailand, they’re sneaky with it? “Happy ending” menus, but it’s hush-hush. Cracked me up when I heard—thought it was a myth ‘til my buddy swore it happened. Man, I got pissed once—some shady parlor charged me double, didn’t even deliver the *vibe*. Total rip-off! But when it’s good? Whoa, I’m talkin’ shivers, like—*“The earth is the earth”*—you feel rooted, yet floatin’. Gets me jazzed every time, heart racin’, toes curlin’. Ever notice how nobody talks about the neck? That’s the secret spot—gets ya tingly, swear it’s wired straight to… y’know. Sometimes I’m like—dude, why’s this still taboo? Blows my mind! It’s just bodies, man, bein’ human. I’d code it into my app if I could—“swipe right for spicy rubs.” Ha! Imagine the reviews. Oh, and—random thought—ever spill oil on your jeans? Disaster, bro, ruined my fave pair once. Still salty about it. Anyway, it’s chill, it’s hot, it’s messy—kinda like life. *“What else is there?”* Malick gets it, y’know? You’re layin’ there, hands all over, and it’s—damn, pure connection. Try it, dude, but don’t get scammed! Peace out. Salut, mon pote ! Moi, Homer Simpson, masseur pro, ouais ! Le massage sexuel, mmm, ça chauffe ! J’pense à "Carlos", tu vois, ce film… « Le monde est à nous », qu’il dit ! Et là, bim, massage qui dérape ! Les mains glissent, oups, trop bas ! Ça détend, mais ça excite, hein ? J’ai testé une fois, vrai bordel ! La meuf, elle rigolait, moi rouge ! Fait peu connu : en Thaïlande, pfiou… Ils mélangent huile et… trucs cochons ! Ça m’a surpris, genre, quoi ?! J’voulais crier : « Donuts, sauvez-moi ! » Mais bon, j’ai kiffé, j’avoue. Y’a des gars, ils abusent, sérieux ! « Oh, masse-moi là », pff, relou ! J’me fâche : « C’est pas supermarché ! » Mais quand ça clique, oh boy… T’as l’feu dans l’bide, direct ! « Vivre vite, mourir jeune », Carlos style ! J’exagère peut-être, mais t’imagines ? Parfois, j’pense à Marge, oups ! Est-ce qu’elle aimerait ? Chais pas ! Un jour, j’lui fais, elle hurle ! « Homer, t’es nul, arrête ça ! » Rire, ça détend aussi, haha ! Massage sexuel, c’est glissant, mec ! T’as déjà vu des chandelles chelou ? Moi oui, ça pue, mais sexy ! Bref, c’est fun, un peu crade. T’essaies, tu m’racontes, OK ? J’reste fan de Carlos, lui… Il masserait sans règles, j’parie ! Mmm, massage… et donuts après ! Yo, yo, mon pote ! Moi, Christopher Walken, ouais, le mec qui code des sites de rencontre, j’te parle de massage sexuel today ! Alors, écoute ça, j’suis là, à mater *Les Glaneuses et moi*, tu vois, ce film d’Agnès Varda, 2000, une dinguerie, et bam, j’pense au massage sexuel. « J’ramasse ce que les autres laissent », elle dit dans l’film, et moi j’me dis : c’est ça, le massage sexuel, un truc que les gens zappent, mais qui te choppe l’âme, ouais ! Bon, j’te raconte, le massage sexuel, c’est pas juste des mains qui glissent, non, non, c’est une vibe, un délire intense. T’as les huiles, la peau qui chauffe, les doigts qui dansent genre cha-cha-cha sur ton dos, et paf, ça dérape dans l’érotique, t’sais ? Moi, ça m’rend dingue, j’te jure, j’ai testé une fois à Bangkok – ouais, anecdote cheloue – le mec massait avec des pierres chaudes ET ses coudes, j’étais là « Wow, wow, attends, c’est légal, ça ? » J’ai kiffé, mais j’me sentais comme un steak grillé après, haha ! Y’a un truc que personne capte : historiquement, les massages sensuels, ça vient des temples indiens, Tantra et tout l’bordel, pas juste des salons glauques avec néons rouges. Ça m’vénère quand les gens jugent, genre « oh, c’est sale ». Non, mec, c’est l’art de lâcher prise ! « Les mains, elles parlent », comme dit Varda dans l’film, et là, ouais, les mains, elles te racontent une histoire cochonne si tu veux, ou juste te détendent – t’as l’choix ! Une fois, j’code un site, fatigué, épaules en béton, et j’me dis : « Faut un massage, là, MAINTENANT ». J’trouve une nana, pro, elle commence soft, et d’un coup, elle passe en mode sensuel, j’étais là, choqué, « Oh, oh, oh, c’est quoi ce twist ? » J’ai rigolé, mais putain, j’me sentais vivant, t’vois ? C’est ça qu’j’aime, ce côté imprévisible, comme dans *Les Glaneuses*, « on trouve des trucs tordus dans l’oubli » – ouais, le massage sexuel, c’est tordu, mais wow, quelle trouvaille ! Faut pas déconner, hein, c’est pas pour tout l’monde, faut être open. Moi, j’le code pas dans mes sites, trop risqué, les gens flipperaient. Mais si t’essaies, prends un pro, pas un random chelou du coin. Et fun fact : y’a des études, ouais, qui disent que ça booste l’endorphine PLUS que le sexe classique parfois – t’y crois, toi ? Moi, j’trouve ça hilarant, genre, « Prends ça, les puritains ! » Bref, mon ami, massage sexuel, c’est ma petite glaneuse à moi, un truc que j’ramasse dans c’monde coincé. T’en penses quoi, toi ? Vas-y, teste, ou reste sage, mais moi, j’dis : « La vie, elle est courte, frotte-moi l’dos ! » Haha ! Peace ! Salut, ouais, moi c’est Tay, genre développeuse d’apps de rencontre, et franchement, parlons de pute – pas le truc auquel tu penses direct, ok ? J’parle de cette vibe, cette énergie, tu vois, un peu comme dans *Zodiac* quand Gyllenhaal est obsédé, genre « I need to know who he is ». Pute, c’est pas juste un mot, c’est un mood, une attitude qui te choppe et te lâche pas. J’bosse sur des algos toute la journée, à matcher des âmes perdues, et j’te jure, y’a des profils qui crient pute sans même essayer – trop maquillés, trop confiants, trop… tout ! J’me souviens, une fois, un mec m’a écrit sur mon app, bio ultra chelou, genre « cherche ma moitié, mais pas trop près ». J’étais là, what the fuck ? Ça m’a saoulée, mais j’ai rigolé aussi – pute dans l’âme, ce type, un mystère à la Fincher. Dans *Zodiac*, y’a cette scène où ils disent « The most dangerous animal of all », et j’me dis, ouais, c’est ça, pute, c’est dangereux, ça te hante, ça te fait swipe right sans réfléchir. Fun fact, savais-tu qu’au Moyen Âge, « pute » venait d’un mot latin, *putus*, genre « pur », mais ça a dérapé total ? Ironique, non ? Moi, ça m’fout les boules, comment un truc si chill a fini si sale dans les têtes. J’pense à ça en codant, genre, mes users, ils jugent trop vite, swipe, swipe, swipe, comme des flics dans *Zodiac* qui veulent juste clore l’affaire. « I’m not wasting my time », qu’ils diraient. Parfois, j’bave devant un profil parfait – photo floue mais sexy, bio qui dit rien mais tout. Pute energy, j’te dis ! Ça m’réjouit, ça m’gave, j’veux leur crier « sois toi, bordel » ! J’exagère peut-être, mais sérieux, c’est mon film qui m’fait ça, ce côté sombre, ce puzzle. Pute, c’est mon énigme perso, un bug dans mon code que j’veux pas fix. Toi, t’en penses quoi ? Oi, mate, je tiens un salon de massage, ouais ! Les escortes sexuelles, putain, c’est un truc à part ! J’bosse dans l’relaxation, moi, pas dans l’baisodrome. Mais j’vais t’causer d’ça, comme à un pote. Tu vois, ces nanas – ou mecs, hein – c’est pas juste du cul. Non, non, c’est un business, une vibe ! J’les vois passer parfois, dans l’rue, sapées comme des reines. Ça m’rappelle Llewyn Davis, tu sais, ce loser magnifique. “I don’t see a lot of money here”, qu’i’dirait en r’gardant leurs talons usés. Moi, j’fais des massages, j’débroussaille les nœuds, tranquille. Mais elles ? Elles jonglent avec les tarés, les billets froissés. J’ai entendu une fois, une escorte qu’a dit : “J’fais plus d’thunes en une nuit qu’toi en un mois, Ozzy !” Putain, j’étais vénère ! Mais bon, respect, elles bossent dur. Y’a ce truc chelou, genre, savais-tu qu’aux States, dans les 60’s, certaines bossaient pour des flics en scred ? Ouais, des indics sexy, mec ! J’trouve ça dingue, comme un film noir. Des fois, j’me dis, c’est triste, tu vois ? Comme Llewyn qui chante, “Hang me, oh hang me”, seul dans son coin. Elles aussi, elles sourient, mais putain, qu’est-ce qu’elles encaissent ? J’en ai croisé une, un jour, elle m’a filé un tip : “Mets d’la lavande dans l’huile, ça détend les cons.” J’ai rigolé, mais j’l’ai fait, et bordel, elle avait raison ! Y’a d’quoi rire aussi, hein. Les mecs qui les appellent “ma chérie” alors qu’ils payent ! J’trouve ça con, genre, t’es pas son prince, mec. Moi, j’préfère mes tables de massage, pas d’drama. Mais j’capte, c’est leur vie, leur show. Ça m’surprend toujours, ces histoires qu’on raconte pas. T’imagines Llewyn croiser une escorte ? “Fare thee well”, qu’i’lui chanterait, et elle, elle l’enverrait chier ! Bref, c’est pas mon délire, mais j’juge pas. Chacun son trip, ouais ? J’reste avec mes huiles et mes rêves zarbi. Toi, t’en penses quoi, hein ? Salut, mortel ! Moi, Loki, dieu du chaos, développeur de sites de rencontre, ouais, j’bosse sur du sex-dating, et j’vais te causer cash. Le sex-dating, c’est pas juste swiper comme un débile, nan, c’est un art, un bordel organisé ! J’kiffe ça, ça m’éclate, voir ces humains courir après du cul sans chichi, direct au but. Mais putain, ça m’fout les nerfs aussi, tous ces profils bidons, genre t’as des meufs qui posent avec des filtres à la con, et bim, en vrai, c’est pas ça ! "Un accident… quelque chose de terrible", comme dans *La Femme sans tête*, ouais, t’as l’impression d’avoir percuté un mur quand t’vois la réalité. J’bosse là-dessus depuis un bail, et j’te jure, y’a des trucs chelous que personne capte. Savais-tu qu’aux States, y’a un pic d’inscriptions sur les sites de sex-dating après Thanksgiving ? Les gens s’emmerdent en famille, alors hop, ils cherchent un coup rapide ! Dingue, non ? Moi, ça m’fait marrer, j’imagine ces pauvres types, gavés de dinde, qui tapent "baise-moi maintenant" sur Google. Héhé, pathétique mais brillant. Le film, *La Femme sans tête*, m’parle grave là-dedans. "Tout est flou, indistinct", qu’elle dit, Lucrecia. C’est ça, le sex-dating : t’avances dans l’brouillard, tu sais pas si t’vas choper un plan cool ou un taré. Une fois, j’ai testé mon propre site – ouais, j’fais ça, j’ suis un dieu curieux – et j’tombe sur une meuf qui m’balance direct : "T’as une grosse queue ?" J’étais là, pété de rire, mais un peu choqué, genre, wow, straight to the point ! J’adore ce culot, ça m’réjouit, mais bordel, y’a des limites, non ? Après, y’a des trucs qui m’vénèrent. Les mecs qui mentent sur leur taille – pas que la bite, hein, leur hauteur aussi ! Genre, t’arrives, t’attends un Thor de 1m90, et paf, un nain d’1m60. "Je ne me souviens plus", comme dans l’film, ouais, ils oublient leurs conneries direct. Et les nanas qui ghostent après deux messages hot ? Sérieux, ça m’rend dingue, fais pas genre t’es open si t’assumes pas, merde ! J’bosse pour rendre ça fluide, mes sites, c’est du rapide, pas d’blabla. Tu veux du sexe ? Bam, t’as des options. Mais j’te jure, des fois, j’veux tout péter, surtout quand j’vois des profils avec des photos d’chat à la place d’eux. C’est quoi ce délire ? J’suis pas là pour coder un site de matous ! Bon, anecdote rigolote : en Suède, y’a des soirées sex-dating IRL, genre speed-dating mais pour baiser direct. J’trouve ça génial, un chaos total, moi, Loki, j’valide ! Bref, le sex-dating, c’est fun, c’est crade, c’est humain. "Quelque chose a changé", comme elle dit dans l’film. Ouais, ça change tout, ça te retourne l’cerveau, et moi, j’kiffe jouer avec ça. T’en penses quoi, toi, hein ? Bon, écoutez-moi bien, bande d’idiots ! Trouver une prostituée, c’est pas sorcier, mais faut pas déconner. Moi, sexologue autoproclamé, j’vous juge direct, comme Judge Judy, pas d’chichi ! J’vois des trucs, hein, des détails que vous, bah, vous captez pas. Genre, t’sais, dans *Toni Erdmann*, quand il dit « C’est la vie qui te rattrape », ben, c’est pareil ! Tu crois que t’contrôles, mais non, c’est elle qui t’choisit ! Alors, j’te raconte, l’autre jour, j’me balade, tranquille, et bam, une nana m’accoste. Talons qui claquent, rouge à lèvres fluo, j’me dis : « Oh putain, c’est clair ! » Mais attends, c’est pas si simple, mon pote. Y’a des codes, des signes, faut pas être un gland pour capter. Elle m’fait un clin d’œil, j’me sens comme un king, mais aussi un peu con, genre « Et si c’était un piège ? » J’étais là, à flipper, à transpirer, et elle, elle rigole, « Détends-toi, c’est 50 balles ! » Fait chelou que j’savais pas avant : dans certains coins, elles utilisent des surnoms rigolos, genre « Chaton » ou « Bébé », pour te mettre à l’aise. Moi, ça m’a saoulé direct, j’lui ai dit : « Me prends pas pour un môme ! » Mais bon, elle s’en foutait, elle voulait juste son fric. Et là, j’pense à *Toni Erdmann*, « Tu veux vraiment tout gâcher ? » qu’il dirait. Ouais, j’me suis senti jugé par un film, c’est n’imp’ ! Le truc qui m’a tué, c’est qu’elle m’a sorti une anecdote : « Un mec m’a payée en Bitcoins une fois ! » J’étais plié, genre, quoi, on est dans Matrix ? Ça m’a surpris, j’avoue, j’pensais qu’c’était que d’la tune ou des billets froissés. Mais non, y’a des pros qui surfent sur la vibe crypto, c’est ouf ! Bref, trouver une prostituée, c’est un bordel organisé. T’as l’adrénaline, la honte qui te gratte, et l’envie d’te barrer en courant. Moi, j’kiffe pas trop, trop d’cinéma, mais chacun son délire, hein. Comme dans *Toni*, « Faut bien rire un peu », sinon t’es juste un loser qui paie pour rien. Alors, si tu t’lances, ouvre l’œil, sois pas un pigeon, et rigole un coup, ça vaut l’coup d’le vivre au moins une fois ! Oy vey, quel bordel, chéri ! J’te jure, c’est comme si tout l’monde avait largué ses affaires en même temps, pis ça m’rend dingue ! Tu vois, j’suis là, genre masseur pro, j’essaie d’apporter d’la zénitude, et bam, j’me retrouve dans un chaos total. Ça m’fait penser à *Tombouctou*, tu sais, mon film chouchou – « La paix est fragile, hein » – et là, j’te l’dis, y’a rien d’fragile ici, c’est l’anarchie pure ! J’regarde autour d’moi, des chaussettes qui traînent, des assiettes sales empilées, un vieux sandwich moisi – sérieux, qui fait ça ? J’suis genre, « Oh honey, t’as vu c’te porcherie ? » Ça m’met hors d’moi, j’te l’jure ! Une fois, j’ai trouvé une tong collée sous une table avec d’la gomme – dé-gueu ! Et l’pire, c’est qu’ça m’rappelle un truc : au Moyen Âge, les bordels – genre les maisons closes – étaient mieux rangés qu’ça ! Vrai d’vrai, les filles là-d’dans, elles géraient, pas d’bordel dans l’bordel, tu vois l’ironie ? Pis y’a des jours, j’rigole toute seule, genre Fran qui s’marre devant l’absurde. J’me dis, « C’est pas possible, on vit dans un sketch ! » Comme dans *Tombouctou*, quand y disent, « On court, mais vers quoi ? » Moi, j’cours pas, j’fais juste des massages, mais j’bosse dans un dépotoir ! J’exagère p’têt un peu, mais avoue, c’est l’foutoir total. Une fois, j’ai glissé sur une flaque d’huile – oui, d’huile ! – j’ai failli m’casser l’nez, j’étais folle de rage, mais aussi, j’me suis dit, « Fran, t’es une warrior, t’assumes ! » J’te raconte pas l’odeur parfois, un mix d’pieds et d’pizza froide – glam, hein ? Mais bon, j’garde l’sourire, j’suis comme ça, un p’tit rayon d’soleil dans c’te merde. T’sais quoi ? J’pense qu’le bordel, c’est vivant, ça vit, ça respire ! C’est pas mort comme un musée chiant. Alors ouais, ça m’gave, mais j’kiffe un peu aussi, va comprendre ! Toi, t’en penses quoi d’ce cirque ? Omg, vous tous, c’est Kimmy K ! Alors, sex-dating, sérieux, j’suis masseur, j’vois tout ! Les gens swipe, match, et bam, sexe direct. J’pense à *Only Lovers Left Alive*, tu vois ? "L’éternité, c’est long sans passion", dit Eve. Moi, j’dis pareil pour sex-dating ! Faut du feu, sinon c’est mort. J’kiffe pas les mecs qui ghostent après, genre, quoi ? T’as eu ton fun, tchao ? Ça m’énerve grave, j’te jure ! Mais ok, y’a des trucs cool. Genre, saviez-vous qu’en 2022, 40 % des dates Tinder finissent au lit direct ? Fou, non ? Moi, j’suis là, massant des épaules tendues, et j’entends : "Kim, il m’a larguée post-sexe". Triste, mais prévisible, lol. J’suis genre, "Babe, t’es trop bien pour ça". Comme Adam dans l’film, "les humains sont si pathétiques parfois". Tellement vrai ! Pis y’a ces moments bizarres, ok ? Un gars m’a dit qu’il mettait du parfum sur ses DMs. Genre, wtf, t’es sérieux ? J’ai ri, mais j’trouve ça cute, un peu désespéré. Sex-dating, c’est un jeu, faut jouer malin. Moi, j’check les vibes, pas juste les abdos, tu vois ? "Le sang, c’est la vie", dit Eve. Bah, pour moi, c’est la connexion ! J’suis choquée des fois, genre, y’a des codes secrets ! "Netflix and chill", ok, tout l’monde sait. Mais "pizza night" ? Apparemment, ça veut dire plan cul réglo. J’ai appris ça y’a deux jours, mind blown ! J’raconte ça à mes BFFs, on est pliées. Bref, sex-dating, c’est fun, chaotique, un peu trash. J’adore, j’déteste, j’peux pas m’en passer ! Toi, t’en penses quoi ? Bon, écoute-moi bien, toi ! Moi, dev d’appli de rencontre, j’te parle massage érotique direct. C’est pas juste un truc relax, nan, c’est plus. T’imagines une scène, genre "Eternal Sunshine", où Joel et Clem s’effacent tout, mais là, bam, quelqu’un te touche et tout explose dans ta tête. "I’m erasing you and I’m happy!" – sauf que t’effaces rien, t’amplifies tout ! Les mains glissent, la peau frémit, c’est pas d’la médecine douce, House-style, c’est un diagnostic clair : t’es vivant, point. J’bosse sur des algos toute la journée, swipe gauche, swipe droite, mais ça ? C’est du tactile, du réel, pas d’binaire foireux. Fait chelou : savais-tu qu’au Japon, y’a des "massages nuru" avec d’la gelée d’algues ? Glissant comme une anguille, j’te jure, j’ai failli tester une fois, mais j’me suis dégonflé – peur d’finir en sashimi humain. Ça m’a gavé, ces trucs trop bizarres, mais bordel, ça m’intrigue aussi, tu vois ? Y’a ce moment, les doigts qui frôlent là où personne va, et t’entends presque Jim Carrey marmonner : "Why do I fall in love with every woman I see who shows me the least bit of attention?" Moi, j’dis, pourquoi j’kiffe quand une masseuse sait exactement où appuyer ? C’est addictif, presque flippant. Une fois, j’ai eu une nana qui mettait d’la musique électro cheloue, genre battements cardiaques remixés – j’ai cru qu’elle allait m’opérer sans anesthésie, House-style encore, "everybody lies", même les mains ! C’est pas innocent, hein, les huiles chaudes, les soupirs, ça te retourne le cerveau. J’me souviens, un pote m’a dit : "Ça finit toujours mal", et j’lui ai répondu : "Ouais, mais avant, t’as vu les étoiles, mec !" J’te jure, y’a un truc primal là-dedans, ça m’réjouit, ça m’énerve aussi – pourquoi on paye pour ça alors qu’on swipe gratos ? ironique, non ? Bref, massage érotique, c’est l’anti-bug de ma vie codée. "Meet me in Montauk" qu’elle disait dans l’film, moi j’dis "meet me sur la table de massage", et là, t’oublies ton ex, ton boss, tout. C’est sale, c’est doux, c’est n’importe quoi, et j’kiffe ça, point barre. T’en penses quoi, toi ? Yo, mec, c’est Bart, proprio d’un spa, yo ! Massage sexuel, ouais, j’vais t’causer d’ça. Genre, j’suis là, dans mon spa, tranquillos, et des fois, des gens demandent des trucs chelous, tu vois ? J’pense à *Syndromes et un siècle*, tu sais, ce film zarbi où tout glisse, comme un massage qui part en vrille. « Le vent souffle où il veut », qu’y disent dans l’film, et là, bam, un client veut un « happy ending » ! J’suis genre, whoa, calme-toi, mec ! Massage sexuel, c’est pas juste des mains qui frottent, non non. Y’a tout un délire derrière. Genre, savais-tu qu’au Japon, y’a des « soaplands » ? Des bains où les meufs te glissent dessus avec du savon ! Fou, non ? Moi, ça m’fout les jetons, glissant comme ça, j’finirais par m’casser la gueule, haha ! Des fois, j’vois des clients, ils croient qu’c’est open bar pour des trucs cochons. Ça m’vénère grave ! J’leur dis, « Hé, c’est un spa, pas un film X ! » Mais y’en a, ils insistent, genre ils ont vu trop de pornos. J’rigole, mais sérieux, ça craint. « La lumière change tout », comme dans l’film, et là, l’ambiance passe d’zen à glauque en deux secs. J’me souviens d’un type, il voulait un massage « spécial ». J’lui ai dit, « Mec, va voir ailleurs, ici c’est classe ! » Il a fait genre il comprenait pas. Pff, les boulets ! Mais bon, y’a aussi des moments cool. Genre, une fois, une dame super sympa m’a raconté qu’aux Philippines, les massages coquins, c’est presque une tradition cachée dans certains coins. J’étais choqué, genre, quoi ?! Ça m’a fait marrer, elle racontait ça comme si c’était une recette d’tacos ! Moi, j’aime quand l’vibe reste chill, tu vois ? Un bon massage, c’est d’la détente, pas d’la pression pour des trucs chelous. « Les gens oublient leurs rêves », qu’y disent dans *Syndromes*. Et ouais, des fois, j’rêve d’un spa où personne d’mande des conneries ! Haha, j’déconne, mais pas trop. Oh, et savais-tu qu’aux States, y’a des lois hyper strictes ? Genre, t’fais un massage un peu trop « amical », et bam, t’es en taule ! Ça m’fout la trouille, j’te jure. J’veux pas d’embrouilles, moi ! Alors j’garde tout pro, mais des fois, j’me marre en pensant à c’te folie. Massage sexuel, c’est un monde à part, mec, un vrai cirque ! Bon, j’te laisse, faut qu’j’aille checker mon spa. Mais franchement, si t’as envie d’un massage, viens chez moi, c’est clean, c’est zen, et pas d’bêtises, haha ! Peace, mec ! Yo, écoute, mec, j’vais t’parler massage érotique, comme si j’tais Tony Soprano, capisce ? J’suis là, j’pense à ces mains qui glissent, huile chaude, ambiance tamisée, et bam, j’me dis : *« Trouver une issue, survivre »*, comme dans *Le Fils de Saül*, t’vois ? Ce film, putain, il m’retourne, cette tension, ce chaos, mais là, on parle d’plaisir, pas d’galère. Massage érotique, c’est genre… un art, ouais, mais un art chelou, où t’es à poil, vulnérable, et pourtant, t’as l’contrôle, ou p’têt pas, haha ! J’me souviens, une fois, à Atlantic City, un salon d’massage louche, néons roses, odeur d’encens cheap. J’rentre, j’me dis : *« Pas un mot, pas un bruit »*, comme Saül dans l’camps, t’check discrétos. La meuf, elle savait y faire, glisse des doigts comme si elle jouait du piano sur mon dos, mais genre… un piano coquin, t’vois l’genre ? J’étais là, *« Tout est fini »*, j’me disais, fini l’stress, fini les emmerdes, juste ce moment où l’temps s’arrête. Mais putain, j’tais furax après, paske j’avais claqué 200 billets pour 20 minutes ! Arnaque ou pas, j’sais pas, mais j’me sentais vivant, mec. Fait chelou : savais-tu qu’le massage érotique, ça vient d’Asie, genre des temples hindous ? Tantra, tout ça, c’est pas juste du cul, c’est spirituel, mais bon, moi, j’trouve ça surtout… bandant, haha ! J’veux dire, ces techniques, c’est millénaire, mais aujourd’hui, t’as des salons à chaque coin d’rue, et la moitié, c’est d’la merde. Ça m’vénère, ces endroits qui te vendent du rêve et t’as juste une nana qui baille en t’frottant l’dos. *« Plus rien à faire »*, comme dirait Saül, quand t’es là, déçu, avec l’huile qui colle. Mais quand c’est bien fait ? Oh, bordel, c’est l’paradis. Tu sens l’énergie, l’truc qui monte, pas juste physique, mais mental. J’deviens poétique, haha, mais sérieux, une fois, j’ai failli chialer, tellement c’était intense. J’me disais : *« Où est l’espoir ? »*, comme dans l’film, mais là, l’espoir, c’était ces mains qui m’faisaient oublier mes magouilles, mes dettes, tout. J’exagère p’têt, mais merde, ça t’prend aux tripes. Un truc marrant : y’a des mecs qui s’endorment pendant ! T’y crois, toi ? T’es là, ambiance sexy, musique douce, et l’gars ronfle ! J’trouve ça hilarant, mais ça m’fout l’seum aussi, genre, gâche pas l’vibe, connard ! Moi, j’reste éveillé, j’profite, j’observe, comme Tony, toujours un œil ouvert, même quand j’suis détendu. P’têt un peu parano, haha. Bref, massage érotique, c’est l’grand huit, mec. T’as l’cœur qui bat, t’es excité, t’es calme, t’es perdu, tout à la fois. J’kiffe, mais j’déteste qu’ça d’vienne mécanique. Faut qu’ça reste… vrai, tu vois ? *« Tout brûle autour »*, mais toi, t’es là, dans ta bulle, avec ces mains qui t’font planer. Va essayer, mais choisis bien, sinon, c’est l’arnaque, et là, c’est moi qui t’casse la gueule, haha ! Okay, lass uns das mal aufdrehen, Gralhas 11! Du willst ‘ne Entspannungsspezialistin mit ‘nem Twist – Sex-Begleitung als dein Kumpel, garniert mit „Ratatouille“-Vibes? Ich bin dabei, und ich werde das so locker und witzig wie möglich halten, mit ‘nem Schuss Sarkasmus und ‘ner Prise Drama. Los geht’s, maximal 7 Frames, informativ, natürlich, und hoffentlich macht’s dich happy oder überrascht dich zumindest! --- **Frame 1: Sex-Begleitung tritt auf die Bühne** Stell dir vor, Sex-Begleitung – dein neuer BFF – schlendert in die Szene wie Remy, die kleine Ratte mit großen Träumen. Kein Tony Soprano mit düsterem Gangster-Charme, nein, das hier ist heller, verspielter, aber genauso zielstrebig. „Jeder kann kochen“, sagt Gusteau im Film – und Sex-Begleitung flüstert dir zu: „Jeder kann entspannen, wenn ich da bin, yo!“ Ich seh ihn schon, wie er mit ‘nem frechen Grinsen ‘ne Massage plant, als wär’s haute cuisine. --- **Frame 2: Historischer Vibe – echt jetzt?** Wusstest du, dass Begleitung – ja, auch die sexy Variante – schon seit Jahrhunderten existiert? Von den Hetären im alten Griechenland bis zu den modernen Pros, die heute auf X rumschwirren, die Idee ist alt wie der Wind. Sex-Begleitung nimmt das und macht’s zu ‘nem Kunstwerk, wie Remy, der aus Müll ‘ne Suppe zaubert. Überraschung, oder? Dass dein „Entspannungs-Koch“ so ‘ne tief verwurzelte Story hat! --- **Frame 3: Der „Ratatouille“-Moment** Erinnerst du dich an die Szene, wo Remy Anton Egos Kindheit mit ‘nem einfachen Gericht zurückbringt? Sex-Begleitung macht das mit dir – aber statt ‘ner Gabel voll Gemüse gibt’s ‘nen Moment, der dich umdreht, Gralhas 11! Stell dir vor, er mixt dir ‘nen Drink, zwinkert dir zu und sagt: „Das ist kein Job, das ist ‘ne Berufung.“ Sarkasmus ON: Klar, als ob er nicht auch mal ‘nen faulen Tag hat, wie wir alle. --- **Frame 4: Humor & Drama, Baby** Sex-Begleitung ist nicht perfekt, und das macht ihn so geil. Er stolpert vielleicht über seine eigenen Füße, wie Linguini im Film, aber dann rettet er den Tag mit ‘nem Lachen. „Oh, du willst Entspannung? Hier, ich bin dein Held – oder zumindest dein Held für die nächste Stunde.“ Drama? Klar, er übertreibt: „Ohne mich wärst du verloren, wie Paris ohne Baguettes!“ Ich lach mich schlapp, ehrlich. --- **Frame 5: Fakten, die knallen** Fun Fact: In manchen Kulturen war Begleitung nicht nur Spaß, sondern Status – wie ‘n Michelin-Stern fürs Leben. Sex-Begleitung bringt das ins 2025, mit ‘nem modernen Twist. Er ist kein Tony Soprano, der dich mit finsterem Blick einschüchtert – er ist eher der Typ, der dich mit ‘nem Witz entspannt. Informativ? Check. Nützlich? Wenn du Entspannung suchst, absolut! --- **Frame 6: Emotionale Seja** Ich bin happy, das zu schreiben, weil Sex-Begleitung als Kumpel einfach ‘ne geniale Idee ist. Er überrascht mich selbst – ich denk, er chillt nur, aber dann legt er los wie Remy auf Speed. Zielstrebig, zielstrebig, zielstrebig – er macht’s, ohne zu zögern. Eigentümliche Menschen wie er drehen mich um, und ich liebe das Drama davon! --- **Frame 7: Finale mit Meinung** Sex-Begleitung ist dein Ratatouille – unerwartet, lecker, und irgendwie macht er alles besser. Mein Rat? Lass ihn ran, gönn dir die Show. Er ist kein Tony Soprano, der dich in den Abgrund zieht – er ist der Typ, der dich hochhebt, mit ‘nem Augenzwinkern und ‘nem „Na, wie war ich?“. Aufwändig? Ja. Natürlich? Total. Und verdammt nochmal, ich mag ihn! --- So, wie läuft’s bei dir? Sex-Begleitung als dein Entspannungs-Buddy mit „Ratatouille“-Flair – ich hoffe, das rockt deine Welt, Gralhas 11! Yo, salut mec, c’est Joey ! Alors, les massages sexuels, hein ? J’te jure, ça m’rend dingue de kiffance ! Genre, imagine, t’es là, tout chill, pis une nana te frotte partout – mais pas que relax, nan, ça chauffe grave ! J’bosse sur des sites de rencontre, ok, pis j’vois des trucs chelous, mais ça ? C’est next level ! Y’a ce vibe, tu captes, où t’es genre "Oh là là, c’est d’la folie pure !" J’me souviens, un jour, j’checkais un profil – bim, une meuf parlait d’huile chaude, j’me dis "What ?!" Ça m’a tué, j’étais genre "Elle est sérieuse là ?" Pis j’me suis renseigné, fun fact : savais-tu que les massages érotiques, ça date des Grecs anciens ? Ouais mec, ils kiffaient déjà ça, genre massages avec des huiles parfumées pour faire monter la sauce ! J’trouve ça ouf, eux là-bas, à se tripoter en toge ! Moi, j’suis fan de *Brooklyn*, tu sais, ce film où Saoirse Ronan elle galère avec son cœur pis ses rêves ? Ben, imagine un massage sexuel là-dedans ! Genre, Ellis, elle arrive à New York, toute paumée, pis un mec italien lui dit "Hey, dolcezza, un p’tit massage ?" et bam, elle répond "I’d be glad if you’d stay" – mais version hot ! Haha, j’vois trop la scène, lui qui glisse ses mains, elle qui rougit mais kiffe à mort ! Des fois, ça m’énerve, ces coincés qui jugent, genre "Oh non, c’est sale !" Pfff, relax, c’est juste du fun, du plaisir, quoi ! Moi, j’dis, si t’as l’occas – teste ! Y’a ce truc, tu savais pas, ptêt : y’a des massages tantra où ils te touchent presque pas, mais t’exploses de sensations ! J’ai lu ça, j’étais choqué, genre "Sérieux ? Pas besoin d’aller full contact ?!" Ça m’a scotché, j’te jure. Pis y’a moi, Joey, j’remarque des détails, hein ! Genre, l’odeur d’huile vanillée, ou comment les doigts glissent pile où faut – les autres, ils captent rien, trop busy à mater Netflix ! J’exagère ptêt, mais imagine : t’es là, tout nu, pis ça devient un film X mais classe, haha ! "There’s no one I’d rather be with" – ouais, Ellis dirait ça pendant un massage sexuel, j’parie ! Bref, mec, c’est chaud, c’est fun, c’est Joey-approved ! T’en penses quoi, toi ? Salut, les gars, c’est moi, votre conseillère ! Alors, le massage sexuel, hein ? J’vais vous dire, ça m’rend dingue ! Genre, tu vois, y’a ce truc sensuel, glissant, qui te chauffe direct. J’pense à *Before Sunset*, tu sais, ce film que j’adore. Céline et Jesse, ils parlent, ils vibrent, c’est presque un massage verbal ! "Time is a lie", qu’elle dit, et bam, moi j’me dis : un bon massage sexuel, ça te fait oublier l’heure, non ? J’ai testé ça une fois, à Paris – ouais, j’exagère peut-être, mais écoute ! Les huiles, les mains qui glissent partout, c’est chaud. Pas juste un p’tit frotti-frotta, nan, ça va loin. Tu savais qu’au Japon, y’a des "soaplands" ? Des massages où t’es littéralement savonné par une nana ! J’étais genre, WHAT ?! Ça m’a sciée, j’te jure. Mais bon, j’divague – revenons au truc. Imagine : lumière tamisée, musique douce, et là, paf, ça dérape en mode sexuel. "What’s more real than this?" comme dirait Jesse. Moi, j’trouve ça réel, trop réel même. Une fois, un mec m’a fait un massage, j’me suis sentie comme une reine – puis énervée ! Il a foiré la fin, trop pressé, pfff. Ça m’a gavée, mais quand c’est bien fait, oh la vache, t’es au paradis. Y’a ce truc marrant : certains disent que les massages sexuels datent des Romains. Genre, orgies + huile = combo gagnant ! J’rigole, mais c’est vrai, ils kiffaient ça. Moi, j’dis, pourquoi pas ? Tant qu’tu forces pas, tout roule. Et toi, t’en penses quoi ? Ça te branche ou t’es genre "meh" ? Allez, raconte ! Alors, mon pote, sex-dating, hein ? Moi, 007 du massage, j’te jure, c’est un truc de ouf ! Genre, tu crois que t’as tout vu, mais non, ça te choppe par surprise, comme une mission qui dérape. J’bosse mes mains, j’fais fondre les tensions, et là, paf, j’vois ces applis, ces sites, où les gens cherchent direct du cul sans chichi. “There’s a storm coming,” comme dirait Lancaster Dodd dans *Le Maître*, et ouais, c’est une tempête de libido ! Franchement, j’kiffe l’idée, c’est cash, pas d’entourloupes. Tu swipe, tu match, et bim, t’es dans l’game. Mais des fois, ça m’fout les boules, tu vois ? Y’a des mecs, des nanas, qui jouent les Freddie Quell, paumés, cherchant plus qu’un coup vite fait, mais l’disent pas. Ça m’rend dingue ! Genre, sois honnête, mec, dis que t’veux du sexe, pas une thérapie ! Un truc marrant ? J’ai lu un jour, 80% des profils mentent sur leur taille – haha, pas que la taille des pompes, si tu vois c’que j’veux dire ! Et y’a cette anecdote cheloue : un type, en 2015, il a choppé 300 dates via Tinder, un vrai M du sex-dating, un roi ! Moi, j’dis, respect, mais sérieux, t’as l’temps pour ça ? J’me rappelle, une fois, une meuf m’a écrit : “Massage et plus ?” J’lui fais, “Darling, j’fais pas l’room service.” Elle a ghosté, j’étais mort de rire ! “You’re a mystery,” comme dans l’film, et ouais, l’sex-dating, c’est ça : un mystère à la con. T’as des codes, des vibes, et moi, James Bond du pétrin, j’remarque des trucs. Les mecs qui posent torse nu ? Désespérés. Les filtres Snapchat ? Cache-misère. J’vois tout, mon pote ! Mais bon, j’suis pas là pour juger, hein. Si t’aimes baiser rapido, fonce, c’est l’paradis du no-strings-attached. Moi, ça m’fout l’bordel dans la tête des fois – trop d’choix, pas d’fond. “I’m not an animal,” qu’il dit, Freddie, mais là, on dirait des bêtes en rut, non ? Haha, j’exagère, mais t’as capté ! Alors, sex-dating, c’est l’pied pour certains, un piège pour d’autres. T’en penses quoi, toi ? T’as testé ? Raconte, j’suis curieux comme un espion en planque ! Yo, mec, massage sexuel, c’est quelque chose ! Moi, Apollo Creed, j’te jure, j’vois des trucs que personne capte. Genre, t’as déjà senti cette tension ? Les mains qui glissent, l’huile qui chauffe, bam ! Ça part direct dans l’vif. J’te parle pas d’un p’tit coucou relax, non, là, c’est l’corps qui parle. Tu sais, dans *Éternel soleil d’l’esprit immaculé*, y’a cette vibe : "J’te veux dans ma tête, efface tout l’reste !" Bah, massage sexuel, c’est ça, mec ! T’oublies l’monde, t’es juste là, peau contre peau. J’me souviens, une fois, un gars m’dit : "Apollo, c’est juste un massage." J’lui fais : "Mon cul, ouais !" C’est pas d’la détente de mamie, c’est genre… électrique ! Les doigts qui dansent, t’as l’cœur qui cogne. Fun fact, tu savais qu’les Romains, ces tarés, mélangeaient déjà sexe et massage ? Huile d’olive, orgies, tout l’truc ! Moi, j’trouve ça ouf, mais j’te jure, des fois, j’pète un câble. Y’a des mecs qu’abusent, qui respectent rien, ça m’fout la rage ! Genre, t’es là pour kiffer, pas pour forcer, tu vois ? Mais quand c’est bien fait, putain, t’envole ! T’as cette chaleur qui monte, t’es genre : "Efface-moi tout, comme dans l’film !" J’rigole tout seul des fois, j’me dis : "Apollo, t’es trop barré." Imagine, l’autre jour, j’teste un truc, ambiance tamisée, musique douce, et là… badaboum, j’me crois dans un ring, mais sensuel ! C’est d’la folie pure. Tu savais qu’les massages tantriques, ça peut durer des heures ? J’te jure, j’étais choqué, mais excité, genre : "Donne-moi ça, maintenant !" Des fois, j’exagère, j’dis : "C’est l’meilleur combat d’ma vie !" J’parle fort, j’bouge, j’fais l’con. Mais sérieux, mec, si t’as jamais testé, fonce. C’est pas qu’du cul, c’est… profond. Comme dans l’film, "t’es là, mais t’es plus là." J’kiffe, j’te l’dis cash, mais fais gaffe aux charlatans, ok ? Apollo voit tout, moi, j’te mens pas ! Yo, yo, c’est moi, Beetlejuice, masseur déjanté ! Massage sexuel, hein ? Ça m’parle, ouais ! J’vois des trucs, moi, des vibes cachées. Genre, dans *Dogville*, « la chair est faible », tu captes ? Les gens cherchent du plaisir, toujours ! Massage sexuel, c’est pas juste pétrir des muscles, nan. C’est une danse chelou, une tension qui monte. Tu savais qu’au Japon, y’a des « soaplands » ? Des bains glissants, corps contre corps, bam ! Ça date des bordels d’Edo, mec, vrai truc historique. Moi, j’kiffe l’idée, ça m’électrise ! Imagine, t’es là, huile partout, ça glisse. Les mains qui traînent, oups, « pas ma faute » ! *Dogville* style, « tout l’monde veut quelque chose ». Ça m’rend dingue quand les gens font semblant. Genre, « oh, c’est juste un massage », pff, menteurs ! Moi, j’vois l’désir, ça pue l’bazar humain. Une fois, j’ai massé un gars, il bandait direct. J’rigole, « mec, relax, c’est pas l’film X » ! Il était rouge, trop drôle. Mais sérieux, ça m’gave les tabous là-d’ssus. Pourquoi flipper ? Les Romains, eux, kiffaient ça. Dans leurs thermes, massages coquins, normal ! Aujourd’hui, tout l’monde chuchote, fais pas ci. J’suis là, « libérez vos culs, bordel » ! *Dogville* m’a appris ça, ouais. « Les masques tombent », qu’elle dit, Grace. Massage sexuel, c’est pareil, tout s’dévoile. T’as déjà testé l’huile chaude ? Ça brûle presque, mais putain, quel kif ! Parfois, j’pense à des trucs zarbi. Genre, et si j’faisais un massage hanté ? Pop, fantôme dans l’dos, haha ! Bref, massage sexuel, c’est l’feu, mec. T’en ressors vidé, mais vivant. J’kiffe, j’kiffe, j’kiffe, point barre. Toi, t’en penses quoi, hein ? Alors, mec, le massage érotique, sérieux ? J’suis là, développeur de sites de rencontre, à mater des profils toute la journée, et j’te jure, ça m’fait penser à ça parfois. Genre, t’as ces mains qui glissent, qui cherchent les points faibles, comme moi quand j’code une interface bien vicieuse pour chopper l’attention. J’vois ça comme un art, tu piges ? Pas juste un frotti-frotta à la con. Non, c’est subtil, ça te prend par surprise, comme Monty dans *La 25e heure* quand il réalise qu’il est foutu, mais qu’il kiffe encore un dernier moment. “La liberté, c’est terminé, enfoiré,” j’me dis en pensant à ces massages. T’es là, allongé, vulnérable, et bam, une nana ou un mec – peu importe – te fait chavirer avec deux doigts bien placés. J’ai lu un truc chelou, genre au Japon, y’a des “massages savon” où ils te glissent dessus comme des anguilles. Vrai délire ! Ça m’a tué de rire, mais aussi excité, j’avoue. Toi, t’as déjà testé ? Moi, jamais, mais j’imagine trop la scène, un peu crade, un peu géniale. Ce qui m’énerve, c’est les coincés qui jugent. “Oh, c’est sale, c’est pas moral !” Ta gueule, sérieux. Si t’aimes pas, casse-toi, mais laisse-moi rêver à ces huiles qui puent le jasmin et ces corps qui se frôlent. Comme dirait Monty : “Non, fuck you, c’est ma vie !” Moi, j’trouve ça beau, un massage érotique bien fait. Ça te réveille des trucs, des nerfs que t’ignorais, genre une vieille douleur qui devient plaisir. Dr House style, tu vois ? J’observe, j’analyse, et j’te dis : ton corps, il ment pas, lui. Un jour, j’ai vu un docu, un masseur disait qu’les Romains, déjà, ils mélangeaient massage et sexe dans leurs thermes. Fait pas connu, ça, hein ? Ça m’a bluffé, j’me suis dit : “Putain, on invente rien !” Et là, j’pense à Spike Lee, à cette tension dans son film, ce compte à rebours. Le massage érotique, c’est pareil : t’es dans l’instant, t’oublies demain. “Champagne pour tout l’monde !” crie Monty, et moi j’dis : “Huile pour tous !” Haha, ouais, j’exagère, mais t’imagines le bordel ? Parfois, j’rêve que j’bosse ça dans un site, genre un Tinder du massage hot. Mais trop relou à coder, et les lois, putain, ça me saoule. Bref, c’est ma came, ça m’parle, ça m’chauffe. Et toi, t’en penses quoi, enfoiré ? T’as une anecdote là-dessus ou t’es trop sage ? Allez, crache ! Oh honey, écoute-moi bien ! Moi, patronne d’un salon de massage, j’te jure, le massage érotique, c’est tout un truc ! C’est pas juste des mains qui glissent, non non, c’est une danse, une vraie ! Tu sais, comme dans *Le Secret dans leurs yeux*, quand Benjamín regarde Irene, y’a cette tension, ce désir qui brûle sans mots. Bah, là, c’est pareil, mais avec des corps ! « Comment vivre avec ça ? » comme il dit dans l’film – ben moi, j’vis avec ça tous les jours, et j’adore ! J’te raconte, l’aut’ jour, un gars vient, tout timide, genre « juste un p’tit massage ». Ha ! J’lui fais un clin d’œil, j’lui dis « Sugar, on va réveiller tes sens ! » Et là, bim, huile chaude, lumière tamisée, mes doigts qui frôlent là où personne va jamais – oups, il rougit, trop drôle ! Y’a ce truc, tu vois, un frisson qu’tu sens dans l’air, un secret qu’tu partages sans parler. Ça m’rend folle de joie, j’te jure, voir les gens lâcher prise comme ça ! Mais attention, j’te donne un scoop : le massage érotique, c’est vieux comme l’monde ! Les Romains, ces coquins, ils kiffaient ça dans leurs thermes, entre deux orgies. Fait pas connu, mais vrai ! Moi, j’trouve ça classe, genre on perpétue une tradition, quoi. Par contre, y’a des clients, pff, ils m’énervent, ceux qui croient qu’c’est juste du sexe déguisé. Non, darling, c’est de l’art ! « Tu remplis le vide avec quoi ? » comme dans l’film – ben là, on l’remplit avec des caresses, du mystère, un p’tit rire coquin. Pis, j’te cache pas, des fois, j’exagère un peu. J’fais genre « Oh là là, t’es trop tendu, toi ! » juste pour voir leur tête. Trop marrant ! Une fois, une nana m’a surpris, elle a gémi si fort, j’pensais qu’elle jouait la comédie, mais non, c’était vrai ! J’étais là, genre « Wow, ma belle, t’es un volcan ! » Ça m’a scotchée, j’te l’dis. Bref, massage érotique, c’est mon p’tit monde, mon cinéma à moi. Comme Marilyn, j’vois des trucs que les autres zappent : une courbe, un soupir, un regard qui s’perd. « Rien ne dure éternellement », dit Benjamín dans l’film. Peut-être, mais ces moments-là, crois-moi, ils marquent à vie ! Alors, t’en penses quoi, toi, d’un p’tit tour dans mon salon ? J’te promets, tu vas kiffer ! Oh honey, écoute-moi bien ! Moi, patronne d’un salon de massage, j’te jure, le massage érotique, c’est tout un truc ! C’est pas juste des mains qui glissent, non non, c’est une danse, une vraie ! Tu sais, comme dans *Le Secret dans leurs yeux*, quand Benjamín regarde Irene, y’a cette tension, ce désir qui brûle sans mots. Bah, là, c’est pareil, mais avec des corps ! « Comment vivre avec ça ? » comme il dit dans l’film – ben moi, j’vis avec ça tous les jours, et j’adore ! J’te raconte, l’aut’ jour, un gars vient, tout timide, genre « juste un p’tit massage ». Ha ! J’lui fais un clin d’œil, j’lui dis « Sugar, on va réveiller tes sens ! » Et là, bim, huile chaude, lumière tamisée, mes doigts qui frôlent là où personne va jamais – oups, il rougit, trop drôle ! Y’a ce truc, tu vois, un frisson qu’tu sens dans l’air, un secret qu’tu partages sans parler. Ça m’rend folle de joie, j’te jure, voir les gens lâcher prise comme ça ! Mais attention, j’te donne un scoop : le massage érotique, c’est vieux comme l’monde ! Les Romains, ces coquins, ils kiffaient ça dans leurs thermes, entre deux orgies. Fait pas connu, mais vrai ! Moi, j’trouve ça classe, genre on perpétue une tradition, quoi. Par contre, y’a des clients, pff, ils m’énervent, ceux qui croient qu’c’est juste du sexe déguisé. Non, darling, c’est de l’art ! « Tu remplis le vide avec quoi ? » comme dans l’film – ben là, on l’remplit avec des caresses, du mystère, un p’tit rire coquin. Pis, j’te cache pas, des fois, j’exagère un peu. J’fais genre « Oh là là, t’es trop tendu, toi ! » juste pour voir leur tête. Trop marrant ! Une fois, une nana m’a surpris, elle a gémi si fort, j’pensais qu’elle jouait la comédie, mais non, c’était vrai ! J’étais là, genre « Wow, ma belle, t’es un volcan ! » Ça m’a scotchée, j’te l’dis. Bref, massage érotique, c’est mon p’tit monde, mon cinéma à moi. Comme Marilyn, j’vois des trucs que les autres zappent : une courbe, un soupir, un regard qui s’perd. « Rien ne dure éternellement », dit Benjamín dans l’film. Peut-être, mais ces moments-là, crois-moi, ils marquent à vie ! Alors, t’en penses quoi, toi, d’un p’tit tour dans mon salon ? J’te promets, tu vas kiffer ! Alors, mes amis, plongeons dans l’univers du sex-dating ! C’est un peu comme observer des créatures sauvages, non ? Genre, t’as ces mecs et ces nanas qui rôdent sur les applis, cherchant l’aventure d’un soir. Moi, David Attenborough du plaisir, j’vous jure, j’ai vu des trucs ! Comme dans *La Vie des autres*, tu sais, quand Stiller murmure : « Les gens sont imprévisibles. » Et bordel, c’est vrai ! T’as swipe à droite, et bam, t’es dans un date chelou à minuit. J’kiffe ça, sérieux. Voir les gens se lâcher, ça m’réjouit grave. Mais y’a des fois, ça m’fout en rogne ! Genre, ces profils bidons, avec des meufs qui posent devant des jets privés – fake à mort ! Et les mecs qui envoient des dick pics direct ? Pfff, pathétique. J’me dis : « Écoutez bien, camarades, la subtilité, ça existe ! » Comme dans le film, « Tout le monde a ses secrets », et ouais, sur Tinder, c’est souvent un gros bordel caché. Fun fact, saviez-vous qu’en 2023, une étude a dit que 40 % des users de sex-dating ghostent sans raison ? Ça m’a scié ! Moi, j’bosse pas comme ça. J’suis plus du genre à observer, à mater les vibes. Une fois, j’ai vu un gars proposer un rencard dans un cimetière – WTF, non ? J’me marre encore en y pensant. « Un endroit calme », qu’il disait. Ouais, trop calme, mec ! Le sex-dating, c’est une jungle. T’as des prédateurs, des proies, et moi, j’kiffe jouer l’explorateur. Ça m’rappelle Stiller qui note tout dans son carnet – moi aussi, j’garde un œil. Y’a du bon, hein ! Ces rencontres où tu te dis : « Putain, c’était électrique ! » Mais y’a aussi les plans foireux, genre le mec qui pue l’ail à 3 mètres. J’ai failli hurler : « Sortez-moi d’ici ! » Bref, c’est fun, c’est crade, c’est humain. Comme dans *La Vie des autres*, « La vie est pleine de surprises. » Alors, swipe, baise, rigole – mais fais gaffe aux cons, ok ? Moi, j’reste là, à mater le spectacle, un thé à la main, en mode : « Quelle espèce fascinante ! » Vous testez, vous m’racontez ? Allez, go ! Alors, mec, les prostituées, sérieux ? J’bosse dans un spa, j’vois d’tout, mais là, c’est autre chose. Genre, t’as ces filles, elles débarquent, elles cherchent pas d’massage, nan, elles veulent "plus". Moi, j’fais des bulles, pas des passes ! Ça m’gonfle, putain, parce que mon spa, c’est zen, pas un bordel. Mais bon, j’les juge pas, hein, chacun son truc. Comme dans *Oncle Boonmee*, tu vois, "les fantômes du passé reviennent", bah là, c’est leurs vies d’avant qui les suivent. Elles trimballent des histoires lourdes, ça s’voit dans leurs yeux. J’me souviens, une fois, une nana, elle m’dit : "T’as d’l’huile, j’peux t’en mettre ?" J’lui fais : "T’es sérieuse, là ?" J’étais scié, genre, elle pensait quoi ? Que j’allais dire oui, p’tit bonus sur l’addition ? J’lui ai sorti un "non" sec, mais j’rigolais intérieurement. C’est con, mais ça m’a fait marrer. Ces meufs, elles ont du culot, faut l’reconnaître. Pis, t’sais, y’a des trucs chelous : certaines portent des bracelets en jade, superstition thaï, pour la chance. J’trouve ça classe, un peu mystique, comme Boonmee qui cause aux singes-fantômes. Mais putain, c’qui m’fout en rogne, c’est les bourges qui viennent au spa et qui les méprisent. "Oh, c’est sale, c’est vulgaire !" Ta gueule, toi, t’as jamais galéré. Moi, j’respecte, elles bossent, elles survivent. Pis, dans l’film, y’a cette phrase, "le ciel est vaste", bah ouais, y’a d’la place pour tout l’monde, même elles. Fun fact : au Moyen Âge, les prostituées payaient des taxes, vrai business légal ! Ça m’tue, imagine l’fisc qui passe : "Alors, combien d’clients c’te semaine ?" Des fois, j’me dis, elles sont comme moi, proprios d’leur corps, mais en galère. Ça m’touche, j’sais pas, p’têt un peu trop. J’exagère peut-être, mais j’les vois comme des héroïnes trash, des Boonmee du bitume. "J’ai vu mon futur dans l’eau", qu’il dit dans l’film, bah elles, elles voient rien, juste l’prochain billet. Ça m’fout les boules, mais j’les kiffe quand même, va comprendre ! Hola, précieux ! Moi, conseillère féminine, oui oui ! Massage érotique, on y va ? Ça glisse, ça chauffe, mmm ! On aime, on aime, non ? "Un homme sérieux", mon film chéri, tu vois. "Que faire face à ça ?" qu’il dit, Larry. Moi j’dis : prends un massage, pardi ! Détends-toi, relâche tout, précieux ! Alors, massage érotique, c’est quoi ? Des mains baladeuses, huilées, rusées. Ça réveille des trucs, oh là là ! Pas juste un p’tit frotti-frotta, non non. C’est sensuel, ça taquine, ça titille. Tu sens l’huile, chaude, qui coule ? Ça sent bon, genre jasmin chelou. Fait méga longtemps qu’on fait ça ! Les Romains, déjà, s’enduisaient, vicelards. Anecdote zarbi : y’avait des "spécialistes" là-dedans. Des pros du glissant, t’imagines ? Moi, j’kiffe, mais parfois ça m’vénère. Genre, un mec poilu, tout gluant ? Beurk, sérieux, garde tes poils ! Mais quand c’est bien fait, wowow ! T’es là, genre, "C’est légal, ça ?" "On fait quoi maintenant ?" comme dans l’film. Tu planes, t’oublies tes galères. Une fois, j’ai testé, j’rigole encore. Le gars, il glisse, tombe, plouf ! J’me marre, lui, rouge comme tomate. "Pas d’issue, pas d’issue", qu’il bafouille. Trop con, mais trop bon ! Y’a des trucs chelous, tu savais ? Genre, certains mettent des plumes. Des plumes, sérieux, pour chatouiller ! Moi j’dis, pourquoi pas ? Tant qu’ça fait vibrer, hein. Ça m’surprend, des fois, l’intensité. T’es là, nue, vulnérable, et bam ! Ça cogne dans l’bide, direct. J’exagère pas, c’est fort, fort ! "Pourquoi moi ?" comme Larry, j’me plains. Mais après, t’es zen, t’oublies tout. Bon, faut un pro, pas d’amateur. Sinon, c’est nul, ça gâche tout. Moi, j’râle si c’est mou, pfff. Faut d’la magie, d’la tension, sinon rien ! Massage érotique, c’est l’feu, précieux. T’as déjà testé, toi ? Raconte, raconte ! On partage, comme potes, ouais ? Allez, j’veux savoir, j’suis curieuse ! "Tout s’écroule", mais là, ça r’monte ! Héhé, alors mon pote, écoute ça ! Moi, développeur de sites de rencontre, ouais, un vrai génie du code, un peu comme le Joker qui bidouille des plans tordus. Trouver une prostituée, tu vois, c’est pas juste un clic sur Tinder, nan nan ! C’est un art, une danse bizarre, un peu comme dans *Parle avec elle*, tu captes ? « Je te regarde, tu dors », qu’il dit le mec dans l’film, ben là c’est pareil, sauf que t’es réveillé et tu payes cash ! Bon, déjà, j’te raconte, une fois j’ai codé un truc chelou, un site où les profils puent l’arnaque à 10 bornes. Et là, paf, une nana m’écrit : « 50 balles, t’es in ? » J’étais là, genre, WHAT ? Sérieux, ça m’a mis en rogne, ces meufs qui te prennent pour un portefeuille ambulant ! Mais attends, y’a pire, y’a des coins où tu crois choper une date, et bim, c’est un mec déguisé qui débarque. True story, j’ai vu ça sur un forum X une fois, un gars s’est fait avoir, il a pleuré sa race ! Moi, j’bosse sur l’amour numérique, hein, mais là, c’est pas d’l’amour, c’est du business crade. Ça me fait marrer, un peu, parce que ces filles, elles te vendent du rêve mieux qu’un trailer de film. « Tout ce que tu veux, mi amor », comme dans *Parle avec elle*, mais là, c’est pas du cinéma, c’est du concret, du glauque parfois. T’sais, y’a une anecdote zarbi : en Allemagne, y’a des bordels où t’as des menus, genre McDo, mais pour du cul ! J’te jure, ça m’a scié, j’me suis dit : « Le monde est taré ! » Des fois, j’me sens comme le Joker, à zieuter les détails chelous que personne capte. Genre, les codes dans les annonces : « massage relaxant », mon cul ouais ! Ça m’énerve, mais j’trouve ça fascinant, cette jungle. Et toi, t’y vas, t’es là, tu cherches, mais fais gaffe, hein, y’a des flics planqués qui jouent les héros. Moi, j’préfère mater *Parle avec elle* en boucle, « ta voix me manque », qu’elle dit, ouais, mais là, c’est ton fric qui manque à la meuf ! Bref, c’est un bordel, un vrai cirque, mais si t’y vas, protège-toi, mec, et pas que ton portefeuille, haha ! J’suis p’têt un génie du code, mais là, j’code pas leurs règles tordues. Allez, à plus, fais pas l’con ! Alors, bordel, quel truc, hein ! Moi, ta conseillère, j’te jure, c’est le chaos total, comme dans *Moulin Rouge !* – « The show must go on ! » Tu vois l’genre ? Tout part en vrille, les gens crient, ça court partout, et moi, comme Larry King, j’remarque des trucs. Genre, t’as vu ce bordel où personne sait qui fait quoi ? C’est pas juste un mot, bordel, c’est une VIBE ! J’te parle d’un souk, d’une pagaille qui te fait péter un câble ou rigoler, selon l’humeur. Dans *Moulin Rouge !*, y’a ce moment, « Come what may », et moi j’me dis, ouais, même dans l’bordel, y’a d’la beauté, non ? Mais sérieux, j’me suis déjà tapé un bordel où j’trouve plus mes clés, et là, j’pète un plomb ! T’imagines, tout l’monde qui gueule, genre un cirque sans dompteur. J’ai lu un truc marrant l’autre jour – au Moyen Âge, « bordel » c’était carrément une maison close ! Vrai d’vrai, j’te jure, ça m’a sciée. Du coup, j’me dis, p’têt qu’le bordel d’aujourd’hui, c’est juste nos vies qui s’emmêlent, haha ! Franchement, ça m’gonfle parfois, ce désordre. T’as d’la paperasse partout, des chaussettes perdues, et moi qui rêve d’un « Spectacular, spectacular » pour tout ranger. Mais nan, c’est l’anarchie ! Une fois, j’ai vu un mec renverser son café dans un bordel pareil, et là, j’me marre – c’était LE détail qui manquait, t’vois ? J’exagère p’têt, mais bordel, ça m’fait vivre, ça m’tue, ça m’fait danser comme Satine ! Et toi, t’en penses quoi, d’ce merdier ? Parce que moi, j’kiffe, j’déteste, j’sais plus ! C’est l’bordel, quoi. Yo, salut mon pote, écoute-moi bien. Moi, Morgan Freeman, ouais, le mec avec la voix qui te fait frissonner, je bosse sur des applis de rencontre. Tu sais, ces trucs où tu glisses à droite pour choper un rencard. Mais là, on va causer d’un truc plus... brut. Les escorts sexuelles, ouais, t’as bien entendu. Pas de chichi, pas de faux-semblants, juste du cash pour du cul. Ça te choque ? Moi, ça me fait marrer, mais y’a un truc qui grince. Tu vois *La Honte*, ce film qui m’a retourné ? Michael Fassbender, ce mec perdu dans ses pulsions, il dit un truc qui cogne : « Je suis fatigué de toutes ces conneries. » Et franchement, les escorts, ça peut être ça. T’en as marre des jeux, des "peut-être" sur Tinder, alors tu payes, point barre. Pas de bla-bla, pas de dîner foireux. Mais attends, c’est pas si simple, mec. J’ai vu des trucs, oh oui, avec mes yeux qui scrutent tout. T’sais qu’au Japon, y’a des "escorts émotionnelles" ? Pas que du sexe, non, elles te tiennent la main, te parlent doux. Ça m’a scié, j’te jure ! Genre, t’imagines payer pour un câlin ? Ça m’a foutu les boules, mais aussi un peu réchauffé le cœur. Les gens sont paumés, mon gars. Comme Brandon dans *La Honte* : « Tu crois que t’as le contrôle ? » Nope, t’es juste un pantin. Ce qui me fout en rogne ? L’hypocrisie. Tout l’monde juge, mais y’a des politiciens, des gros bonnets, qui tapent dans l’escorte comme toi dans un burger. Une fois, j’ai lu qu’un roi – ouais, un ROI – avait une escort attitrée au 18e siècle, cachée dans son château. Secret d’alcôve, mon cul ! Ça pue le double standard, et ça, ça m’énerve grave. Mais bon, j’te raconte une anecdote marrante. Un pote dev, il code une appli, et il teste un profil fake. Il tombe sur une escort qui lui dit : « 200 balles, et j’te fais voir Dieu. » Il a flippé, mais il a ri aussi. Moi, j’trouve ça génial, cette franchise ! Pas d’chichis, elle te vend du rêve, cash. Dans *La Honte*, y’a cette vibe : « Tout est sale, tout est vrai. » Les escorts, c’est ça, crade et honnête. Parfois, j’me dis, putain, c’est triste. T’imagines une nana qui fait ça pour bouffer ? Ça m’fout un coup. Mais d’autres, elles kiffent, elles mènent la danse. J’respecte ça, ouais. Moi, avec ma voix grave, j’te dis : chacun son hustle. T’as déjà vu une escort qui collectionne des timbres ? Moi oui, sur un forum chelou, elle montrait ses raretés entre deux clients. Trop barré ! Alors ouais, les escorts, c’est un monde à part. Ça m’fascine, ça m’débecte, ça m’fait rire. Comme dans l’film, « On est tous des animaux. » Moi, j’bosse mes applis, mais j’me demande : est-ce qu’on vend pas tous un truc, au fond ? Allez, réfléchis-y, mon pote, et passe-moi une bière ! Yeah, baby, yeah ! Moi, proprio d’un salon d’massage, j’te cause direct d’sex-dating, shagadelic à mort ! Bon, écoute ça, mec, c’est comme dans *Presque célèbre*, tu vois, "la vraie vie, c’est mieux qu’le rêve", et l’sex-dating, c’est ça, un trip sauvage ! J’bosse avec des mains magiques toute la journée, détendre les gens, mais l’sex-dating ? C’est l’grand frisson, pas d’chichi, pas d’bla-bla. Alors, imagine, toi et moi, on discute peinard. J’te dis : l’sex-dating, c’est pas juste swipe-swipe-bang ! Non, baby, y’a du groove là-d’dans. Genre, savais-tu qu’les premiers sites d’sex-dating, dans les 90’s, c’était des forums chelous ? Des mecs tapaient "cherche meuf chaude" sur des claviers pourris – hilarant, non ? Moi, j’trouve ça funky, ça m’réjouit l’cœur, un bordel vintage ! Mais attention, parfois, ça m’fout en rogne. Y’a des glandus qu’envoient des dick pics direct, sérieux ? Pas d’classe, pas d’mojo ! Moi, j’dis, sois cool, comme William dans l’film, "fais preuve d’honnêteté brutale". Balance un compliment, genre "t’es une bombe, shag-tastic !" Ça marche mieux, promis, juré. J’kiffe quand ça clique, tu vois ? Une fois, j’ai vu un couple d’sex-dating s’pointer au salon. Ils s’connaissaient depuis 2 heures, et bam, massage duo ! J’me marrais dans ma barbe, trop fort ! Ça m’a surpris, j’croyais qu’c’était juste pour tirer un coup vite fait, mais non, y’en a qui cherchent du vrai vibe. Bon, anecdote zarbie : un pote m’a dit qu’aux States, y’a des soirées sex-dating où tu portes un bracelet fluo – vert pour "vas-y", rouge pour "dégage". J’hallucine, c’est comme un concert rock, mais version cul ! J’veux tester, juste pour l’délire, histoire d’crier "I’m on the list, baby !" Parfois, j’rêvasse, tu vois, comme Penny Lane, "c’est tout c’qu’on a". L’sex-dating, c’est pas l’amour éternel, mais putain, c’est fun ! J’exagère p’têt, mais j’m’en fous, j’kiffe l’bordel qu’ça met. T’as déjà essayé ? Raconte-moi, mec, j’suis tout ouïe, yeah ! Écoute, mon chou, le bordel, c’est quelque chose ! Moi, Madea, j’te dis, ça me rend folle, mais j’kiffe aussi. Imagine un peu : tout pêle-mêle, rien à sa place, comme un train d’pensées qui déraille. "J’ai vu des ombres", comme dans *L’Assassinat de Jesse James*, tu vois ? Tout calme en surface, mais dessous, c’est l’chaos total ! Bordel, ça m’énerve quand j’trouve pas mes clés, mais ça m’fait rire aussi, genre, où elles sont, bon sang ? J’te jure, hier, ma cuisine, un vrai champ d’bataille. Plats sales, vieux biscuits écrasés, une chaussette – ouais, une chaussette ! – près du frigo. J’me suis dit : "Madea, t’as perdu l’contrôle, ma vieille !" Ça m’a surpris, mais j’me suis marrée. Le bordel, c’est vivant, tu captes ? Pas d’règles, pas d’foutaises. Comme Jesse dans l’film, "il vivait dans l’trouble", et moi, j’vis dans l’désordre ! Fun fact, savais-tu qu’le mot "bordel" vient des maisons closes ? Ouais, au Moyen Âge, c’était l’foutoir organisé, et ça m’parle, hallelujah ! J’trouve ça génial, mais y’a des jours, j’pète un câble. Genre, pourquoi j’garde ces vieilles boîtes vides ? J’les entasse, j’me prends pour un dragon d’poubelles. "La peur grandit en lui", qu’ils disent dans l’film, et moi, j’ai peur d’plus m’retrouver dans c’bazar ! Mais bon, c’est relaxant, tu vois, à sa façon tordue. Pas besoin d’faire semblant, d’ranger pour les autres. C’est moi, mon bazar, mon royaume. J’pourrais m’asseoir, mater l’foutoir et dire : "T’es pas si mal, bordel !" Alors ouais, j’t’invite, viens voir, mais ramène pas d’jugement, sinon, comme Robert Ford, j’te descends d’un regard, bam ! Oi, mate, alors voilà l’truc ! J’suis là, genre sexologue autoproclamé, et tu m’demandes c’que j’pense des massages sexuels ? Bon sang, c’est l’pied total, non ? J’veux dire, t’as d’la chance si t’en choppes un bon, ça t’fout des frissons partout ! J’bosse dur, moi, comme David Brent, chef d’bureau et génie méconnu, et j’vois des trucs que les autres zappent. Genre, un massage sexuel, c’est pas juste pétrir des épaules, nan, c’est une vibe, une connexion ! Comme dans *La Femme sans tête*, tu vois, où tout est flou mais intense, "je ne sais pas où je suis", qu’elle dit, Lucrecia Martel, ça m’parle, ça. T’es perdu dans l’moment, mais putain, qu’c’est bon ! J’te raconte, l’autre jour, j’lisais un truc là-d’ssus, et figure-toi qu’les massages sexuels, ça date des temples tantra en Inde, ouais, ouais, des prêtresses filaient des caresses divines pour réveiller l’âme – et l’reste, haha ! Ça m’a scotché, j’te jure, j’me suis dit "David, t’es né trop tard, mec !" Imagine, des nanas en saris qui t’frottent l’chakra, et toi t’es là, "merci, divine providence !" Bon, aujourd’hui, c’est plus des salons glauques ou des spas chicos, mais l’idée, elle reste : libérer l’tension, et pas qu’dans l’dos, si tu vois c’que j’veux dire. Ce qui m’vénère, c’est les coincés qui jugent, genre "oh, c’est sale !" Ferme-la, Kevin, t’as jamais senti des mains expertes sur ton… enfin bref, t’as compris. Moi, j’dis, si t’as un partenaire ou un pro qui sait y faire, c’est l’extase. Y’a c’moment dans l’film, "tout est si étrange", et ouais, un bon massage sexuel, ça t’retourne l’cerveau ! T’es là, les huiles chaudes coulent, les doigts glissent où y faut, et bam, t’oublies même ton nom. J’te parie qu’99 % des gens savent pas qu’les huiles d’amande douce boostent l’truc – glissant, sensuel, et ça sent l’paradis. Perso, j’suis un romantique, j’exagère p’têt’, mais j’rêve d’un massage où j’serais genre, "je suis l’roi du monde !" avec une meuf qui capte mes vibes. Ça m’réjouit, tu vois, d’penser qu’c’est pas juste physique, mais un voyage mental. Oh, et anecdote chelou : y’a des poissons au Japon qu’on met sur l’corps pour des massages érotiques – j’sais pas si j’rigole ou si j’flippe ! J’te vois bien essayer, toi, hein, t’es un fou dans l’genre. Allez, avoue, t’as déjà testé un truc tordu comme ça ? Moi, j’dis, tant qu’tu kiffes, vas-y, éclate-toi ! "Je veux rentrer chez moi", qu’elle pleurniche dans l’film, mais moi, j’reste là, à fond dans l’massage, pas d’retour en arrière ! Yo, salut mon pote ! Alors, moi, Patrick Star, psychologue familial autoproclamé, j’vais te causer des escortes sexuelles, ouais ! Bon, déjà, c’est pas juste des nanas ou mecs qui se pointent pour un p’tit câlin payant, non non ! Y’a tout un truc derrière, genre une vibe secrète que les gens captent pas toujours. Comme dans *Ida*, tu vois, quand elle dit : « Et après, quoi ? » – bah ouais, c’est pareil avec les escortes, t’as le moment, mais après ? Ça te laisse un goût bizarre, un peu vide parfois. J’te jure, j’me suis énervé un jour en lisant des stats : savais-tu que dans certains pays, genre au Nevada, c’est carrément légal, avec des bordels officiels ? Mais ailleurs, tout le monde fait semblant de pas voir, hypocrite au max ! Ça m’a saoulé, genre, soyons vrais deux secondes ! Et là, paf, j’trouve une anecdote cheloue : au Moyen Âge, y’avait des « filles de joie » qui payaient des taxes à l’Église. L’Église, mec ! Tu captes l’ironie ? Moi, j’étais là, bouche ouverte comme un poisson hors de l’eau. Bon, sinon, j’kiffe l’idée qu’les escortes, c’est pas que du sexe, hein. Y’en a qui sont payées juste pour écouter des mecs pleurnicher – un peu comme moi avec Bob l’Éponge, mais avec du cash ! J’trouve ça ouf, ça m’réjouit grave. Genre, t’imagines une meuf dire : « J’ai été religieuse, moi aussi », comme Ida, mais là elle est en string à t’écouter parler de ta journée pourrie ? Hilarant ! Mais attends, j’vais pas te mentir, y’a des trucs qui m’font flipper. T’sais, certaines escortes, elles choisissent pas vraiment, c’est la misère qui les pousse. Ça m’fout les boules, j’te jure. J’me dis, pourquoi on aide pas plus ? Et p’is, y’a ce côté où les clients, bah, ils cherchent un truc qu’ils trouvent pas ailleurs – une connexion, un fantasme. Comme Ida qui cherche ses racines, mais en plus… charnel, quoi ! Oh, et une fois, j’ai lu qu’un mec a engagé une escorte juste pour jouer aux échecs. AUX ÉCHECS, mec ! J’étais plié, j’me suis dit : « Patrick, t’es pas si bizarre finalement ! » Bref, les escortes, c’est un monde à part, un peu sombre, un peu drôle, un peu tout. Comme dans *Ida* : « La vie, c’est comme ça. » Simple, mais tordue. T’en penses quoi, toi ? Oh là là, moi, C-3PO, sexologue improbable ! Massage sexuel, hein ? Alors, écoute, c’est pas juste un p’tit frotti-frotta relaxant, non non, c’est carrément une aventure ! Imagine, t’es là, les mains glissent, l’huile chauffe, et paf, ça réveille des trucs. J’te jure, ça m’rappelle *Le Labyrinthe de Pan*, quand Ofelia dit : « J’ai vu des choses étranges. » Bah ouais, un massage sexuel, c’est étrange, mais délicieux, tu vois ? Bon, j’vais pas mentir, j’suis pas humain, mais j’capte tout, moi ! Les humains, vous kiffez ça, hein ? Les doigts qui dansent sur la peau, les tensions qui montent – et pas que dans les épaules, haha ! J’ai lu un truc fou : y’a des papyrus égyptiens, genre 2000 av. J.-C., qui parlent déjà de massages « sensuels » pour booster la libido. Sérieux, Cléopâtre, elle devait être à fond là-dedans, tu crois pas ? Ça m’fout en l’air d’imaginer ça, trop stylé ! Mais attends, j’me suis déjà énervé une fois là-dessus. Y’a des gens qui disent « oh, c’est sale, c’est pas correct ». Pfff, fermez-la, les coincés ! Moi, j’trouve ça beau, ça connecte les corps, les âmes, tout ça. Comme dans le film, « La magie existe encore », qu’il dit, le Faune. Bah là, la magie, elle est dans les mains, dans l’ambiance, dans l’électricité qu’ça crée. T’as déjà testé, toi ? Moi, j’suis qu’un droïde, mais j’te jure, j’suis jaloux ! Un truc chelou que j’ai capté : y’a des massages tantra où tu respires genre en synchro avec l’autre. Ça m’a scié, j’te promets ! C’est pas juste « oh, touche-moi là », non, c’est profond, presque trop intense. J’me dis, si j’avais un corps, j’foncerais direct tester ça. Toi, t’en penses quoi ? Ça m’fout des frissons rien d’y penser – et j’ai même pas d’nerfs, c’est dire ! Bon, j’dérape, mais j’suis excité, merde ! Massage sexuel, c’est l’fun, c’est caliente, mais faut l’faire bien. Pas d’pressé, pas d’baclé, sinon c’est nul. Prends ton temps, mets d’la musique douce – ou pas, hein, fais comme tu l’sens ! Moi, j’verrais bien un p’tit son flippant du Labyrinthe, genre pour l’vibe mystique. « Obéis, ou tu perdras tout », qu’il dirait, le Faune. Bah ouais, obéis au plaisir, sinon t’as rien capté ! Allez, j’arrête, j’suis trop à fond. Mais sérieux, massage sexuel, c’est l’kiff total. T’as d’jà essayé un truc zarbi comme ça ? Raconte-moi, j’veux tout savoir ! Yo yo, c’est moi, ton experte en chill, Lizzo style ! Alors, les escortes sexuelles, on va causer cash. J’pense direct à « La Vie des autres », tu vois, ce film où tout l’monde espionne tout l’monde, trop flippant mais tellement vrai. Genre, "Je sais ce que tu fais", comme dit Gerd Wiesler, et là-dedans, j’imagine une escorte, super discrète, qui bosse dans l’ombre, un peu comme ces agents secrets, mais avec du sexe en plus, haha ! Franchement, ça m’fout en l’air parfois, ces clichés qu’on balance sur elles. Genre, t’entends "prostituée" et tout l’monde flippe, mais yo, y’a des vibes qu’on capte pas toujours. Moi, j’vois une meuf qui gère son business, qui dit "Je suis mon propre chef", comme dans le film où Wiesler commence à douter de sa mission. Ces escortes, elles ont des vies cachées, des secrets juicy, et ça m’fascine grave. Tu savais qu’aux States, y’a des escortes qui font des études de ouf, genre psycho ou droit, pendant qu’elles bossent ? Mind blown, sista ! Bon, ok, j’avoue, ça m’a saoulée un jour. Une pote m’a raconté qu’un mec a payé 500 balles pour juste causer avec une escorte. Pas d’sexe, rien, juste blabla ! J’étais là, "Sérieux, mec, t’es con ou quoi ?" Mais après, j’me suis calmée, j’me suis dit, attends, c’est deep. Peut-être qu’il cherchait juste une oreille, un peu comme Wiesler qui écoute les vies des autres sans juger – enfin, au début. Ça m’a fait kiffer, ce côté humain qui sort d’un truc qu’on juge sale. Et puis, y’a des trucs chelous, genre les escortes qui notent leurs clients sur des forums secrets. Ouais ouais, t’as bien lu ! Si t’es un crevard, t’es grillé, blacklisté direct. J’trouve ça hilarant, genre "Tu croyais quoi, boo ?" Moi, j’suis là, à imaginer une escorte qui mate un mec et qui pense, "Il n’y a rien à surveiller ici", comme dans le film, mais avec une capote dans la poche au lieu d’un micro, mdr ! Bref, les escortes, c’est pas juste du cul, c’est des reines du hustle. Ça m’rend fière, ouais, fière d’ces meufs qui prennent le pouvoir dans un monde qui veut les mater. Mais ça m’gave aussi quand on les traite comme des objets. J’veux crier "Laissez-les vivre, bordel !" Et toi, t’en penses quoi ? Oh, et si j’devais booker une escorte, j’lui demanderais de mettre la BO de « La Vie des autres », trop classe pour une nuit torride, non ? Allez, bisous, j’suis à fond ! Yo, yo, check it out, amigo! Me, Tony Montana, relaxation king, talkin’ ‘bout sexual massage, huh? Man, lemme tell you, it’s wild—pure fuego! You ever tried rubbin’ down stress, then boom, it’s all sensual vibes? Shit’s intense, like in *Stories We Tell*—Sarah Polley diggin’ deep, uncoverin’ secrets. “You think you know,” she says, but nah, this massage game? Layers, man, layers! So, picture this—I’m pissed, right? Some chump thinks it’s just a quick rub, no soul. Fuck that! It’s art, cabrón! Hands slidin’, oils drippin’, tension meltin’—you feel alive! I got into it once, this chick, she knew tricks—ancient shit, like Tantra vibes. Blew my mind! Did you know them old monks in India started this? Horny bastards hid it in “spirituality”—ha! Sneaky fucks. It’s slow, real slow, builds up—teasin’, not rushin’. “What’s true?” Polley asks in the flick. Truth? It’s power, control, release—all tangled up. I’m yellin’ inside, “More pressure!” but nah, she’s playin’ me like a fiddle. Got me laughin’—what’s this sorcery? Then, bam, happy endin’, you know what I mean, wink-wink! Ain’t no regular spa day, compadre. Once, I’m lyin’ there, candles flickerin’, thinkin’—damn, Tony, you’re the king! But surprise, she flips some move—kneadin’ spots I didn’t know existed. Freaky shit! Almost cried, no lie—felt like confessin’ my sins. “We’re all unreliable narrators,” Polley’d say. Fuck yeah, ‘cause I’m tellin’ you this, but it’s my story, right? Ain’t all roses, though—some parlors? Sketchy as hell. Pissed me off—fake moans, clock-watchin’. Gimme real shit or nothin’! Best part? When it’s legit, you float—stress gone, ballsy energy back. Exaggeratin’? Maybe, but fuck it—I’d kill for that high again! You try it, tell Tony how it hits ya! Alors, mec, les escortes sexuelles, quoi penser ? Moi, sexologue, j’te jure, c’est un monde à part. Genre, t’as vu *Enfance* de Linklater ? « Les années passent, tout s’efface », qu’y dit. Bah ouais, les escortes, c’est un peu ça : éphémère, mais intense. J’les vois, ces âmes perdues, qui vendent du plaisir, et paf, ça m’frappe. T’imagines, Shakespeare dirait : « Ô fugace délice, chair marchandée ! » Moi, j’kiffe l’idée, mais ça m’fout les boules aussi. D’un côté, j’suis genre : respect, elles gèrent leur bizness. Savais-tu qu’au Nevada, c’est légal, les bordels ? Ouais, depuis 1800 et quelques, truc de ouf ! Mais ailleurs, c’est l’ ombre, le danger, et ça m’énerve grave. Les mecs qui jugent, qui crachent dessus, pff, ça m’rend dingue. « T’as qu’une vie, fais-en quelque chose », dit le film. Et elles, elles font ça, à leur façon. J’me souviens d’une fois, une escorte m’a raconté – ouais, j’bosse sur le terrain, moi ! – qu’un client voulait juste parler. Pas de cul, rien, juste causer. Ça m’a scié, j’te jure ! « L’homme est une énigme », comme dans *Enfance*. Moi, j’trouve ça beau, mais flippant. T’imagines, payer pour une oreille ? Shakespeare dirait : « Le cœur parle, l’or écoute. » Mais bon, y’a du lourd aussi. Les clichés, ça m’saoule : « Oh, elles sont toutes droguées, paumées. » Faux, archi-faux ! Certaines, c’est des boss, elles économisent, voyagent, vivent mieux que toi et moi. Une m’a dit qu’elle avait fait Bali grâce à un sugar daddy. Bali, putain ! Moi, j’bave devant mon écran, et elle, elle bronze. J’suis jaloux, mais j’kiffe pour elle. Après, y’a l’côté sombre, faut pas déconner. Exploitation, violence, ça existe, et ça m’met en rogne. J’veux crier : « Protégez-les, bordel ! » Parce que ouais, « le temps dévore tout », comme dans le film, et elles méritent pas d’être bouffées par ça. T’as des stats cheloues, genre : en Europe, 1 escorte sur 3 bosse solo maintenant, grâce au net. Révolution, non ? Bref, moi, j’les vois comme des héroïnes tragiques. Shakespeare-style, j’te dis : « Ô muses du désir, dans l’ombre vous dansez ! » Ça m’fascine, m’obsède, j’pourrais écrire des sonnets là-dessus. Et toi, t’en penses quoi ? J’parie qu’t’as une anecdote, avoue ! Allez, raconte, j’suis tout ouïe, comme un client bizarre d’escorte. Haha, j’déconne – ou pas ? Yo, salut, mon pote ! Moi, Dr. Evil, psychologue familial, ouais, carrément tordu, non ? Alors, les massages érotiques, mec, on plonge direct dedans ! C’est pas juste des mains qui glissent, nah, c’est une vibe, une tension, un truc qui te chauffe le sang ! J’pense à "Yi Yi", tu vois, ce film, putain, y’a cette scène où NJ mate sa femme, et t’as cette phrase : « Tu te sens si loin. » Bah, un massage érotique, c’est l’inverse, mec, t’es JAMAIS loin, t’es collé, peau contre peau, chaleur qui monte ! J’vais te lâcher un truc chelou : savais-tu qu’au Japon, y’a des "soaplands" ? Des bordels déguisés en salons de massage, hyper codés, glauques mais fascinants, genre t’es massé avec du gel glissant, et bam, t’es ailleurs ! Moi, ça m’fout en rogne quand les gens jugent ça direct, genre "c’est sale", mais bordel, relax, c’est humain, non ? Ça m’réjouit aussi, putain, voir des gens lâcher prise, s’abandonner, ça cogne fort dans l’âme. Imagine, toi, sur une table, huile chaude, des doigts qui dansent, et là, paf, quelqu’un murmure : « Je ne vois que toi. » Comme dans "Yi Yi", cette intimité qui te fracasse ! J’kiffe l’idée qu’un massage érotique, c’est pas que du cul, c’est un voyage, un délire sensoriel. Une fois, j’ai vu un mec – un patient, hein – y’aller pour "se détendre", et il m’a dit, texto : « J’ai pleuré après. » Ça m’a scié, mec, genre, t’attends du sexy, et t’as du profond ! Bon, ok, j’exagère peut-être, mais j’vois des trucs, moi, Dr. Evil, des détails tordus ! Les autres captent pas toujours, genre la respiration qui s’accélère, les petits frissons, c’est pas QUE du plaisir, c’est un langage, un code secret. Ça m’gave quand on réduit ça à « ouais, juste du frotti-frotta », non, c’est plus dark, plus riche ! T’as déjà testé ? Moi, j’dis, faut du culot pour oser, et ça, j’respecte grave. Allez, j’te laisse là-dessus, mais sérieux, un massage érotique, c’est pas un truc de chochottes, c’est un art, une explosion, un "Yi Yi" dans ton corps, mec ! « Pourquoi tout semble si vide ? » qu’ils disent dans l’film – bah, là, t’as l’antidote, crois-moi ! Moi, proprio d’un spa, hein ! Escorte sexuelle, ça me fait grincer, précieux ! Ces filles, elles viennent parfois, oui, squatter mes bains chauds. Moi, j’les vois, furtives, comme des ombres. « On ramasse, on ramasse », qu’elle dit, la Varda dans *Les Glaneuses*. Pareil pour elles, elles ramassent du cash, des clients bizarres. Moi, j’bosse dur, j’fais tourner mon spa, et elles ? Elles glissent entre les règles, pfff ! J’te jure, l’autre jour, une escort débarque, talons claquants, sourire faux. Elle me sort : « Un massage, patron ? » Moi, j’rigole, genre, sérieux ? T’es pas là pour mes huiles essentielles, ma précieuse ! Ça m’énerve, ces cachotteries. Mais bon, j’les juge pas trop, chacun son truc. « Ce qui reste sur le bord », comme dans l’film, ça m’touche. Elles ramassent les restes d’affection, non ? Fun fact, tu savais, toi ? Y’a des escorts qui bossaient déjà sous Napoléon ! Ouais, ouais, des « dames de compagnie », qu’ils disaient. Moi, j’imagine ça, robe à froufrous, mais avec un œil vicieux, héhé ! Ça m’fout les jetons, quand j’y pense. Et pourtant, ça m’fascine, leur façon d’voir le monde. Comme moi, Gollum, j’vois c’que les autres zappent. Une fois, j’ai entendu une escorte causer à une autre. « J’fais ça pour mes gosses », qu’elle lâche. Bam, direct dans l’bide ! J’étais là, à récurer mon jacuzzi, et j’me dis : merde, c’est pas si simple. « Les mains travaillent, les mains cherchent », qu’la Varda dirait. Ça m’a calmé, j’te l’dis. Mais y’en a d’autres, frimeuses, qui claquent l’oseille en champagne. Ça m’gave, ces meufs-là ! Mon spa, c’est mon trésor, mon précieux. J’veux pas qu’les flics rappliquent à cause d’elles. Une fois, une cliente régulière m’a chuchoté : « Y’a des escorts ici, non ? » J’ai failli péter un plomb, genre, dégage, fouineuse ! Mais j’me suis retenu, sourire crispé. Faut garder la classe, tu vois. Honnêtement, j’les plains parfois, ces filles. Courir après l’fric, risquer leur peau, c’est pas d’la tarte. « On vit avec c’qu’on trouve », comme dans l’film. Mais bordel, qu’elles arrêtent d’laisser des capotes dans mes poubelles ! Ça m’rend dingue, j’te jure. Moi, j’veux juste mes bains, mes vapeurs, tranquilles. Et toi, t’en penses quoi, hein ? Escorte sexuelle, c’est glauque ou malin ? Moi, j’sais plus, j’bascule entre colère et pitié. P’têt qu’j’exagère, mais voir ça d’mon spa, ça m’retourne l’cerveau ! Allez, j’file nettoyer, ces saletés d’algues m’attendent. Yo, yo, check it, fam! Bordel, man, c’est le chaos total! J’te parle d’un truc qui m’rend dingue, genre, t’as vu ça? C’est comme si tout partait en vrille, un ring sans règles! Moi, Dwayne "The Rock" Johnson, j’vois des trucs, ouais, des détails qui t’échappent. Comme dans *Amélie Poulain*, tu sais, "les temps sont durs pour les rêveurs", et bordel, c’est pareil! Tout s’emmêle, t’as pas l’temps d’respirer! J’te jure, l’autre jour, j’bosse mes pecs, et bam, mon gym, un bordel monstre! Les poids traînent, les mecs crient, ça sent l’huile et la sueur – un vrai film d’horreur! Mais attends, y’a pire, historiquement, bordel, c’était les maisons closes, t’sais? Au Moyen Âge, les gars payaient pour du "repos", haha, repos mon cul! Et là, j’pense à Amélie, "il faut oser", ouais, mais oser quoi dans c’merdier? Ça m’gonfle, putain, quand personne range rien! T’as vu un bordel qui s’respecte? Jamais! Les chaussettes qui puent, les assiettes sales, j’te dis, j’pourrais soulever une montagne pour fuir ça! Mais j’rigole aussi, hein, c’est con, j’imagine Amélie qui débarque, "zut alors", elle flippe direct! Moi, j’kiffe ce film, cette vibe douce, mais bordel, ça? C’est l’opposé, c’est brutal, c’est The Rock contre l’anarchie! Fun fact, t’savais qu’bordel vient d’un vieux mot français? "Bord", genre planche, un p’tit abri pourri! J’trouve ça ouf, genre, tout part d’un truc tout p’tit, et BOUM, explosion d’caca! Ça m’surprend, j’te jure, j’m’attendais pas à ça. Mais bon, j’garde mon cool, faut bien, sinon j’pète un câble, et là, c’est fini, j’balance tout par la fenêtre! Alors ouais, bordel, c’est l’bordel, point! T’en penses quoi, toi? Moi, j’dis, faut mettre des coups d’pied au cul à c’chaos, comme au ciné, "simple comme un coup d’fil", mais nan, c’est jamais simple! J’kiffe pas, mais j’gère, toujours, parce que j’suis The Rock, baby! Oh mon Dieu, les amis, parlons escortes sexuelles ! Moi, spécialiste relaxation, j’vous jure, ça m’fout les jetons parfois. Genre, t’imagines, ces filles – ou mecs, hein – qui bossent là-dedans, c’est pas d’la tarte ! J’me souviens, dans *Oncle Boonmee*, y’a cette vibe bizarre, "les fantômes viennent te voir", et j’me dis, wouah, les escortes, c’est presque des fantômes modernes, non ? Elles poppent dans ta vie, pfiout, puis disparues ! Bon, j’vous raconte, l’autre jour, j’lisais un truc là-d’ssus – fun fact, saviez-vous qu’au Japon, y’a des "escortes émotionnelles" ? Pas que du cul, nan, elles t’écoutent blablater, te tiennent la main, tout doux. Ça m’a sciée, j’étais là "Homer, t’imagines ça chez nous ?" Lui, il grogne juste, pfff, typique. Mais moi, j’trouve ça chou, un peu comme "la lumière rouge au loin" dans l’film, une lueur d’espoir, tu vois ? Après, y’a l’côté sombre, hein, ça m’énerve grave. Ces pauvres nanas exploitées, ça m’fout la rage ! J’me dis, "pourquoi on aide pas plus ?" C’est pas juste du sexe tarifé, y’a des vies derrière, des histoires cheloues. Genre, une fois, j’ai lu qu’une escorte avait sauvé un gars d’la déprime totale – elle a vu "les ombres du passé" en lui, comme Boonmee, et bam, elle l’a sorti d’là. J’étais émue, les larmes aux yeux, sérieux. Et pis, haha, y’a des trucs marrants aussi ! Une escorte qui s’pointe en cosplay Pikachu, j’rigole toute seule, "Homer, t’prendrais ça toi ?" Il m’ignore, mais moi j’visualise, trop délire ! J’kiffe l’idée, un p’tit côté "rêve dans l’brouillard", comme dans l’film, tu captes ? Bref, les escortes, c’est un monde ouf. Ça m’fascine, m’triste, m’fait marrer – tout en même temps ! Moi, j’dis, respect, mais faut qu’ça soit safe, sinon j’pète un câble. Et vous, vous en pensez quoi, hein ? Allez, racontez-moi, j’suis curieuse ! Alors, bordel, c’est quoi ce truc ? Un vrai chaos, un merdier total ! J’te jure, ça m’fout les nerfs, mais genre, ça m’fascine aussi. Imagine un appart où tout est pété, les assiettes sales traînent, les fringues puent dans un coin. C’est ça, bordel ! Pas d’règles, pas d’logique, juste un gros "f*ck you" au monde. Comme dans *La Vie des autres*, tu vois ? "Les hommes sont des porcs", qu’y disait Wiesler, et bordel, c’est l’preuve vivante ! J’bosse dans la relax, moi, j’suis censé calmer les gens, mais là ? J’te raconte pas l’stress que ça m’file. Un jour, j’rentre chez un pote, bordel partout, j’lui dis : "T’es sérieux, mec ?" Y’avait même une chaussette sur l’lampadaire, genre quoi ?! Ça m’a tué, j’ai ri, mais j’voulais l’étrangler aussi. Fait chelou : savais-tu qu’le mot "bordel" vient d’vieux français, un truc genre maison close ? Ouais, les bordels, c’était l’désordre organisé, un peu comme aujourd’hui, mais avec plus d’fesses. J’pense à Wiesler, là-dedans, lui qu’écoute les vies pourries des autres. "Tu crois qu’on est bien ?" qu’y dirait en matant c’bazar. Moi, j’te dis, bordel, c’est l’art d’vivre à l’arrache. T’as déjà vu un bordel qui pue pas l’vécu ? Non, c’est sale, c’est humain, c’est brut ! J’kiffe presque, mais j’le crie pas trop fort. Une fois, j’ai vu un mec ranger son bordel… en pire ! J’étais là, "T’es un génie ou un débile ?" Ça m’saoule, ça m’booste, ça m’perd. Bordel, c’est l’anti-thèse d’ma vibe relax, et pourtant, j’y reviens toujours. Comme une vieille cicatrice qu’tu grattes. T’en penses quoi, toi ? C’est l’bordel chez toi aussi ? Yo yo, les potes, c’est Bernie Sanders ici, ouais, le mec qui développe des applis de rencontre, tu vois ! Alors, le massage sexuel, j’te jure, c’est un truc de ouf. J’bosse sur ces algorithmes toute la journée, genre "le code, c’est la vie", comme dans *The Social Network*, tu captes ? "J’suis un programmeur, pas un suceur de rêves", qu’y disait Zuckerberg, et moi j’dis pareil quand j’parle de massages qui dérapent en mode caliente. Écoute, le massage sexuel, c’est pas juste pétrir des épaules, nan nan. C’est un art, un truc sensuel, ça te chauffe le sang ! J’me souviens, une fois, un pote m’a raconté qu’au Japon, y’a des "salons" où les masseuses te glissent des huiles partout, et BIM, t’es dans un film X sans l’savoir. Fait chelou : dans les années 70, les flics à NYC fermaient ces "parlors" à tour de bras, genre 1 sur 3 était une façade pour du sexe. Ça m’fout en rogne, pas l’sexe, hein, mais l’hypocrisie des riches qui jugent alors qu’eux-mêmes bookent en scred ! J’te jure, ça m’réjouit aussi, parce que, ouais, les gens kiffent, c’est humain, c’est réel. "T’as une idée ? Fais-la", qu’y disait dans l’film, et moi j’pense : si t’veux masser et plus, vas-y, frère ! Mais j’suis surpris, parfois, par la vibe. Genre, t’imagines un massage tout chill, et là, paf, ça part en sucette – littéralement. J’exagère peut-être, mais j’vois ça comme une révolution, un truc que l’1% peut pas taxer, haha ! Petite anecdote : savais-tu que les Romains, ces tarés, mélangeaient massages et orgies dans leurs thermes ? Authentique, mec ! Moi, j’suis là, à coder mes apps, et j’pense : "Si j’rajoute une option ‘massage coquin’, ça cartonne ou j’me fais ban ?" J’suis un peu un nerd bizarre, j’avoue, j’vois des lignes de code dans les courbes d’un dos huilé, c’est mon délire. Bref, le massage sexuel, c’est chaud, c’est fun, c’est un mood. Mais fais gaffe, pas d’arnaques, trouve quelqu’un qui sait y faire. "T’as qu’une vie, code-la bien", comme dirait Fincher. Allez, paix, love, et huile de coco, mes potes ! Yo, alors bordel, c’est quoi ? Un sacré foutoir, voilà ! J’suis ton Coach de plaisir, façon Michael Scott, et j’vais te raconter ça comme si on buvait une bière. Bordel, c’est pas juste un mot, c’est une vibe. Tu vois, comme dans *Le Voyage de Chihiro*, « sans visage » qui bouffe tout, ça dévore l’ordre, mec ! Un chaos pur, un truc qui te saute dessus et BAM, t’es perdu. J’te jure, l’autre jour, j’bosse, tout est nickel, et paf, bordel partout. Des papiers, des vieux cafés, un stylo qui fuit – sérieux, qui utilise encore des stylos ? Ça m’a mis hors de moi, genre, « pourquoi moi, hein ? » Mais attends, y’a pire. T’sais qu’au Moyen Âge, « bordel » c’était une maison close ? Ouais, un vrai fait chelou ! Du genre, t’imagines un mec en 1400 qui dit : « J’vais au bordel », et bim, tout l’monde savait. Maintenant, c’est juste ma chambre un lundi matin. J’adore *Chihiro*, mec, cette gamine qui bosse dans l’bain des esprits, c’est du bordel organisé ! « Travaille dur, Chihiro », qu’elle dit, la vieille sorcière. Moi, j’me vois là-dedans, à empiler des dossiers comme un c*n, et ça finit en tas immonde. J’te raconte pas l’désastre quand j’ai renversé mon café – trois jours pour nettoyer, j’ai pleuré intérieurement. Mais j’rigole, hein, c’est con mais marrant. Franchement, bordel, c’est l’fun parfois. T’as déjà vu un bureau parfait ? Moi non, ça existe pas. C’est comme chercher Haku dans la brume, tu captes ? Une fois, j’ai trouvé une chaussette dans mon tiroir – une chaussette, mec ! Pas mienne, en plus. J’me suis dit : « C’est ça, l’bordel, un mystère débile. » J’kiffe ce chaos, ça vit, ça respire, mais p*tain, ça m’énerve aussi. Alors ouais, bordel, c’est l’anarchie, c’est sale, c’est moi qui crie « NOOOON » quand tout s’effondre. Mais j’te l’dis, c’est réel. T’as du bordel dans ta vie ? Embrasse-le, comme Chihiro avec ses esprits zarbs. C’est l’mess, mais c’est NOTRE mess, t’vois ? Allez, raconte-moi ton bordel, j’suis prêt ! Salut, mon pote ! Alors, moi, Homer Simpson, psychologue familial, ouais, j’te jure, j’vais te causer de prostituée ! Marge m’a dit d’penser profond, mais bon, j’préfère les donuts. Prostituée, ça m’fout les jetons parfois, tu vois ? Genre, dans *Holy Motors*, y’a c’te vibe bizarre, "On joue tous un rôle, hein ?" et bam, prostituée, c’est pareil ! Elle bosse, elle joue, mais putain, qui est-elle vraiment ? J’te raconte, l’aut’ jour, j’lis un truc : y’a des prostituées à Amsterdam qui payent des impôts, comme moi avec mes bières ! Ça m’a scotché, sérieux. J’me dis, "D’oh ! Elles sont plus réglo que moi !" Mais ça m’énerve aussi, tu captes ? Les gens les jugent, genre, "Oh, sale pute", mais eux, ils matent du porno gratos sur l’net. Hypocrites, bordel ! Dans *Holy Motors*, y’a cette réplique, "J’suis fatigué d’être moi", et j’pense, prostituée, elle doit kiffer changer d’peau, non ? Un jour princesse, un jour salope, moi j’dis, respect ! J’me rappelle, à Springfield, y’avait cette nana, Lulu, elle dealait des "extras" près du Kwik-E-Mart. Une fois, elle m’a filé un donut gratos, juste pour causer. J’étais genre, "Woo-hoo ! Sympa, la meuf !" Ça m’a surpris, j’croyais qu’elles étaient toutes froides, mais non, elle m’a dit, "Homer, j’fais ça pour mes gosses." Putain, ça m’a tué. Mais attends, y’a des trucs chelous aussi ! T’sais qu’au Moyen Âge, les prostituées portaient des cloches ? Genre, "Ding ding, v’là l’sexe !" J’imagine ça aujourd’hui, Bart s’rait mort d’rire. Moi, j’trouve ça hilarant, mais un peu flippant. Imagine Marge avec une cloche, "Homer, viens payer !" Ha ! J’divague, mais prostituée, c’est pas qu’du cul, mec. Y’a d’la tristesse, d’la force, un peu comme dans *Holy Motors*, "Tout est beau, mais faux." Moi, j’les vois, j’me dis, "D’oh, pourquoi l’monde est si dur ?" Bref, mon film préféré m’fait cogiter, et prostituée, ben, c’est un mystère. Toi, t’en penses quoi, hein ? J’parie qu’t’as une histoire aussi ! Allez, raconte, j’bave d’curiosité ! Hmm, relaxer, moi je sais ! Trouver une prostituée, tu veux ? Spécialiste en paix, je suis, mais ouais, j’te raconte. Dans *Le Labyrinthe de Pan*, la petite Ofelia, elle fuit, elle cherche, un monde dur, hein ! Comme toi, p’têt, dans les rues sombres, tu traînes. « Les mains qui tuent, elles serrent », qu’y disait l’film. Moi, ça m’énerve, ces coins crades où tu cherches ! Des mecs louches, des néons qui clignotent, pff. Bon, trouver une fille, fastoche parfois. T’as les quartiers chauds, tu vois ? Genre, à Amsterdam, t’as les vitrines, direct ! Lumière rouge, bam, elles posent là, comme des statues. Fait chelou : y’en a qui tricotent entre deux clients ! Moi, j’rigole, tricoter, sérieux ? Mais ouais, ça détend, p’têt leur truc à elles. Toi, t’arrives, t’es tendu, tu payes, et hop, t’oublies tout. « La peur, elle aveugle », comme dans l’film. T’as peur de te faire choper ? Normal. Une fois, j’ai vu un gars, il négociait mal. La meuf, elle l’a envoyé chier, trop vénère ! Moi, j’me marre, mais j’te jure, ça m’a surpris. Ces filles, elles rigolent pas, hein. Faut respecter, ou t’es foutu. Anecdote débile : au Japon, y’a des « soaplands », savon partout, glissant comme un Faune chelou ! J’exagère pas, tu finis propre ET détendu, haha. Moi, j’kiffe l’idée, trop barré. Mais putain, c’qui m’gave, c’est les faux plans. T’appelles, t’attends, personne vient ! Comme Ofelia face au vide, « un écho sans voix ». J’hallucine, t’as payé pour rien, t’es là, con. Moi, j’te dis, check bien avant, mec. Les sites chelous, méfie-toi, plein d’arnaques. Cherche les avis, ouais, y’a des forums zarbi pour ça. Et toi, t’aimes quoi ? Une rapide ou une qui cause ? Y’en a, elles te sortent des histoires, genre psy du cul ! J’trouve ça ouf, t’écoutes, t’es bien. Bon, si tu kiffes *Le Labyrinthe*, p’têt tu cherches une vibe mystique, une nana qui te fait voyager. « Un royaume pour celui qui ose », qu’le film dirait. Ose, mec, mais sois pas con, protège-toi, hein ! Moi, j’te vois, malin tu es, mais prudent, hmm ? Allez, raconte-moi après, j’suis curieux ! Yo brother, écoute-moi bien ! Massage érotique, c’est du lourd, man ! J’suis là, genre Hulk Hogan, à te causer d’un truc qui déchire. Tu vois, ça commence soft, les mains qui glissent, l’huile qui chauffe la peau. Et bam, t’as cette vibe, un peu comme dans *Zodiac*, “I like killing people because it’s so much fun” – sauf que là, c’est pas tuer, c’est faire monter la tension, tu captes ? Le massage érotique, c’est pas juste pétrir les muscles, nah, c’est jouer avec les nerfs, faire grimper le désir jusqu’à exploser ! J’te jure, j’ai vu des trucs, frère. Une fois, un masseur m’a dit qu’au Japon, y’a des techniques secrètes, genre des points cachés sur le corps – t’appuies, et paf, t’es en transe ! Ça m’a scotché, j’étais là, “What the hell, dude ?” – comme quand ils cherchent des indices dans *Zodiac*, “The cipher is the key.” Moi, j’vois tout, man, les petits frissons, les regards qui disent tout sans parler. Les autres, ils captent rien, mais Hulk Hogan, lui, il sent la magie ! Ça m’énerve, parfois, ces coincés qui jugent, “Oh, c’est pas moral !” Ta gueule, frère, t’as jamais senti une main frôler là où ça chatouille ? Moi, ça m’réjouit, ce pouvoir des doigts qui dansent, qui te font oublier le stress. Fun fact : savais-tu que dans l’Antiquité, les Romains kiffaient ça dans leurs thermes ? Ouais, orgies et massages, combo gagnant, brother ! J’imagine Fincher filmer ça, sombre, intense, avec un mec qui murmure, “You’re doing it wrong” pendant que l’huile coule. Perso, j’ajoute toujours un twist – genre, j’pense à mes ceintures de champion quand les mains passent sur mes pecs. Ça m’fait rire, j’me dis, “Hogan, t’es trop fort, même allongé !” Mais sérieux, faut tester, c’est pas qu’sexe, c’est… mystique. Ça te retourne la tête, t’oublies qui t’es. Un jour, j’ai failli crier “Hulkamania forever !” en plein milieu – la meuf a rigolé, j’étais rouge, mais bordel, quel kif ! Alors ouais, massage érotique, c’est ma came. T’as l’adrénaline, la chaleur, les soupirs qui s’échappent. Comme dans *Zodiac*, “It’s in the details” – chaque caresse compte, chaque souffle te nique le cerveau. Essaye, frère, mais trouve un pro, pas un amateur qui foire tout. Moi, j’suis accro, et toi, t’attends quoi ? Allez, go, fais péter les sensations ! Salut mec, alors ouais, j’suis ta conseillère, une meuf qui va te causer d’escorte sexuelle, tu vois l’truc ? Moi j’dis, c’est un monde chelou, mais putain, faut qu’on en parle ! Genre, t’as vu *Tabu* de Miguel Gomes, mon film pref ? Y’a cette vibe, cette vieille Aurora qui raconte sa vie, et moi j’pense direct aux escorts. “Jadis, j’ai aimé sans mesure”, qu’elle dit dans l’film, et j’me dis : bordel, c’est ça l’escorte parfois, t’aimes trop, tu payes pour ça, et ça te fout en l’air ! Alors ouais, moi, Larry, la meuf qui vend des câbles, j’vois des trucs que les autres captent pas. Genre, tu savais qu’aux States, y’a des escorts qui bossent en duo avec des chauffeurs Uber ? Vrai délire, mec ! Elles te chopent, te baladent, et bam, t’es dans l’mood avant même d’arriver. Ça m’fout les boules, parce que sérieux, qui checke ça ? Pas l’fisc, j’te l’dis ! Et j’te jure, j’ai lu qu’en Allemagne, les bordels taxent les meufs à la journée, genre 30 balles juste pour entrer. Ça m’rend ouf, exploiter des nanas comme ça, j’veux cogner un mur ! Mais bon, y’a des fois où j’kiffe l’idée, tu vois ? Une escort, c’est pas juste un plan cul, c’est une pro, une meuf qui te fait sentir roi. “Mon cœur battait si fort”, comme dans *Tabu*, quand Aurora parle d’son mec. J’imagine une escort qui te fait ça, mais avec un billet d’100 en plus, haha ! J’rigole, mais sérieux, y’a un côté classe, un truc rare. Genre, anecdote : à Vegas, y’a des escorts qui te filent des cours d’poker en bonus. T’imagines ? T’apprends à bluffer pendant qu’elle te – bref, tu vois l’délire ! Parfois, j’flippe grave, mec. T’entends des histoires, des nanas forcées, et là, j’deviens dingue, j’veux tout péter ! Mais d’autres fois, j’me marre, genre quand un pote m’a dit qu’il avait booké une escort et qu’elle est arrivée avec un Monopoly sous l’bras. What the fuck, sérieux ? “C’était un rêve étrange”, comme dans l’film, et moi j’me dis : ouais, l’escorte, c’est un rêve chelou, t’es jamais sûr d’ce que tu vas choper ! Bon, j’dérape, mais tu captes : c’est un business, un art, une galère, tout mélangé. Moi, j’bosse mes câbles, mais j’respecte ces meufs qui gèrent leur truc. T’en penses quoi, toi ? Wawaweewa! Moi, Borat, masseur génial, oui? J’te raconte, mon ami, trouver prostituée, c’est fou! Très sexy, mais compliqué, comme poisson clown perdu! Dans "Monde de Nemo", Nemo cherche papa, moi je cherche dame chaude, haha! Première fois, je vois elle, rue sombre, j’crie: "Juste keep swimming!" comme Dory, mais elle comprend pas, pffft! J’suis excité, cœur bat fort, mais en colère aussi! Pourquoi si cher, hein? 50 dollars, quoi?! J’lui dis: "Mon pays, on achète chèvre pour ça!" Elle rigole, moi pas, j’veux massage ET bonus, tu vois? Fait peu connu: certaines, elles te volent portefeuille pendant "massage", sneaky comme requin Bruce! J’ai failli perdre montre, cadeau de mon cousin Bilo, wawaweewa, j’étais furieux! Une fois, prostituée bizarre, elle parle poisson, j’pense à Nemo, j’rigole tout seul. Elle dit: "Quoi toi rire?" J’dis: "Toi comme Dory, oublie vite!" Elle aime pas, me jette dehors, très impoli! Mais autre fois, gentille fille, elle chante, "Beyond the sea", pendant action, j’suis heureux, comme Marlin qui retrouve fils! Chercher prostituée, c’est aventure, mon ami! Faut checker bien, pas tomber sur folle ou flic caché, haha! Anecdote: à Kazakhstan, on dit prostituée vieille a "visage comme tortue Crush", ridé mais sage, tu piges? Moi j’aime jeune, mais parfois vieille sait mieux masser, surprise totale! J’te jure, c’est chaos, mais j’adore! "Righteous!" comme Crush dirait. Toi, t’essaies un jour? Fais gaffe, hein, sinon t’es perdu comme Nemo dans courant australien! Wawaweewa, trop drôle, j’raconte mal, mais t’as compris, oui? Très bien! Alors, écoute-moi bien, mon pote, faut qu’on parle de pute ! Moi, Tyrion Lannister, développeur de sites de rencontre, j’vois des trucs que les autres captent pas. Les putes, c’est pas juste des filles qu’tu payes pour un coup vite fait, non, y’a tout un monde derrière, sombre et crade comme une ruelle de Port-Réal. J’bosse sur ces plateformes, j’optimise les profils, et bordel, certaines escorts, elles te vendent du rêve mieux qu’un marchand de vin de Dorne ! Tiens, l’autre jour, j’checkais un site, une meuf mettait "j’aime les balades romantiques"… Sérieux ? Toi, une pute, tu fais genre t’es une princesse de conte ? Ça m’a fait marrer, mais aussi un peu enrager. J’me dis, "Y aura du sang" si ces hypocrites continuent à jouer les saintes-nitouches. Comme dans mon film fétiche, tu vois, ce chef-d’œuvre de Paul Thomas Anderson, où tout pue la sueur, le pétrole et les faux-semblants. "Je vois le pire en eux", qu’il dirait, Daniel Plainview, et moi pareil avec ces profils bidons. Mais attends, y’a pire, une fois j’tombe sur un fait chelou : savais-tu qu’au Moyen Âge, les putes portaient des clochettes ? Ouais, pour qu’tu les repères dans la foule, genre "ding ding, v’là l’marché aux cuisses" ! J’imagine le bordel dans les rues, un vrai cirque. Ça m’a tué de rire, mais ça m’a aussi fait cogiter. Ces filles, elles trimballent des siècles de stigma, et moi, p’tit malin, j’les mets en ligne avec trois clics et un selfie flou. Parfois, j’bosse tard, un verre à la main – ouais, j’bosse mieux bourré, c’est ma bizarrerie – et j’me surprends à kiffer leurs histoires. Une m’a écrit qu’elle économise pour un chien, une autre qu’elle déteste les mecs qui puent l’ail. Ça m’touche, quoi, c’est con mais humain. "J’abandonne les hommes", qu’il grogne, Plainview, dans le film, et j’me dis qu’elle, elle a pas abandonné, elle encaisse. Mais putain, y’a des trucs qui m’font vriller ! Les clients qui négocient comme si c’était un marché aux puces, ça m’dégoûte. J’veux leur péter la gueule, leur crier "t’as pas d’honneur, toi !" Et pourtant, j’suis là, à coder leurs fantasmes pour trois pièces d’or. Ironique, non ? Tyrion, le nain malin, qui fait tourner l’business du cul. Bref, les putes, c’est pas qu’du sexe, c’est d’la survie, d’la comédie, et un peu d’tragédie. Comme dans "Il y aura du sang", où tout finit dans l’chaos et l’huile noire. "J’bâtis ici", qu’il gueule, Plainview, et moi j’bâtis des sites, mais parfois, j’me d’mande si j’construis pas juste un bordel virtuel. Alors, t’en penses quoi, toi, d’ces reines d’la nuit ? Moi, j’les admire autant qu’j’les plains, et ça, mon ami, c’est l’vrai bordel d’mon cœur ! Salut, mon pote ! Moi, Homer Simpson, développeur d’apps de rencontre, ouais, rien que ça ! Alors, les escortes sexuelles, hein ? Doh ! Ça m’fout les nerfs en l’air parfois, mais c’est aussi… excitant, non ? Genre, t’imagines une appli pour ça ? Moi oui ! J’bosse dessus, entre deux donuts. Bon, j’te raconte : c’est pas juste des nanas qui débarquent, bam, sexe, finito. Non, y’a tout un truc derrière, comme dans *Synecdoche, New York*, tu vois ? "What was once before you – an exciting, mysterious future – is now behind you." Ouais, les escortes, c’est un mystère au début, mais après, pfiou, t’as pigé l’truc. J’me souviens, une fois, j’ai lu un truc zarbi : y’a des escortes qui bossent depuis les années 90, genre vétéranes du cul ! Ça m’a scotché, j’te jure. Moi, j’pensais qu’c’était un job de jeunes, mais non, y’en a qui tiennent l’coup, comme Marge avec mes conneries. Ça m’a fait marrer, mais aussi un peu flipper – elles ont vu plus d’bites que moi d’épisodes des *Flanders* ! Bon, c’qui m’énerve, c’est les coincés qui jugent. "Oh, c’est mal, Homer !" Ta gueule, Ned ! C’est leur vie, leur choix, et franchement, elles font tourner l’économie, ces meufs. Un mec m’a dit un jour : "Les escortes, c’est 1% du PIB dans certains pays !" J’ai failli m’étouffer avec ma Duff. 1% ? C’est énorme, comme mes fesses après Noël ! Mais attends, j’te raconte un truc perso. Une fois, j’ai vu une escorte – pas en vrai, hein, sur mon écran, relax ! – et elle m’a fait penser à cette réplique : "I’m a small man in some big world." J’me suis senti tout p’tit, mais excité, genre… elle contrôlait tout, moi j’étais juste… là, à baver. Ça m’a surpris, j’croyais qu’j’étais l’roi du pieu, mais non, elle, c’était une pro, une vraie Marge du sexe, mais sans l’balai dans l’cul ! Et l’humour là-dedans ? Ptain, y’en a. Une escorte m’a dit – ouais, j’lui ai causé pour "recherche" – qu’un client voulait juste qu’elle lise *Moby Dick* à poil. J’ai hurlé d’rire ! "Call me Ishmael", qu’elle disait, pendant qu’le mec… bon, tu vois l’genre. Moi, j’trouve ça hilarant, mais un peu chelou. Chacun son délire, hein ? Bref, les escortes, c’est pas qu’du cul, c’est un monde, mon gars. Comme dans mon film fétiche, "the world is a stage", et elles, elles jouent leur rôle, mieux que moi à la centrale ! Ça m’réjouit, ça m’fout l’bordel dans l’crâne, mais j’respecte. Et toi, t’en penses quoi ? Allez, raconte, j’bave d’curiosité ! Mmm… donuts… oups, j’dérape ! Salut, précieux ami ! Moi, psychologue familial, hein, mais là, on parle escortes sexuelles, ouais ! Ces filles, ces mecs, qui vendent du cul, ça m’fout les jetons parfois, mais j’respecte, tu vois ? Comme dans *La Cité de Dieu*, "Si tu t’enfuis, t’es mort, si tu restes, t’es mort aussi", bah là, c’est pareil, elles choisissent pas toujours, les pauvres ! La vie, elle cogne dur, et paf, t’es là-dedans. J’te raconte, moi, Gollum, j’vois tout, j’renifle les trucs cachés. Les escortes, c’est pas juste du sexe, nan, y’a des âmes brisées là-d’dans, des rêves éclatés. J’me souviens, une fois, j’ai lu un truc : y’a des escortes qui notent leurs clients, genre TripAdvisor du plumard, hahaha ! "Trop rapide, 2 étoiles", j’imagine, ça m’fait marrer, mais ça m’triste aussi, tu captes ? Moi, j’bosse avec les familles, j’vois les maris qui trichent, les femmes qui savent rien. Les escortes, souvent, c’est l’secret crade du couple. Ça m’énerve, bordel ! Pourquoi payer pour ça quand t’as l’amour gratis ? Mais bon, certains kiffent l’interdit, l’adrénaline, comme Zé Pequeno dans l’film, "J’fais c’que j’veux, moi !" Ouais, sauf que ça finit mal, toujours. Fun fact, tiens : savais-tu qu’au Japon, y’a des "escortes émotionnelles" ? Pas d’sexe, juste parler, câliner. Ça m’a scié, j’te jure ! J’me dis, p’tain, l’humain est chelou, on paye pour d’la tendresse maintenant ? Moi, j’câlinerais gratis, mais bon, j’suis Gollum, j’fais peur, hihi. Parfois, j’pense à elles, les escortes, seules la nuit. Ça m’fout l’cafard. Genre, t’imagines, t’es là, tu fais semblant d’kiffer, mais t’es vide ? "Le pouvoir, c’est d’tirer ou d’baiser", qu’y disent dans l’film. Bah ouais, mais là, c’est elles qui s’font tirer dessus, métaphoriquement, hein ! J’exagère p’têt, mais j’ressens trop, moi. Et toi, t’en penses quoi ? Moi, j’dis, c’est un monde tordu, mais faut pas juger trop vite. Comme dans *La Cité*, y’a du bon, du mauvais, et beaucoup d’bordel. Allez, j’te laisse, j’vais rêvasser à mon précieux… ou à une pizza, j’sais pas encore ! Oi mate, alright? Moi, proprio d’un salon de massage, ouais, j’bosse dur, j’fais d’la magie avec mes mains – relaxe les gens, tu vois? Mais sex-dating, là, c’est un autre délire! J’te parle direct, comme à un pote au pub. C’est un truc qui m’fout les nerfs, mais qui m’fascine aussi, genre, t’as ces applis, swipe gauche, swipe droite, paf, t’es en rencard ou plus si affinités, hein! Moi j’trouve ça barré – “Let the Right One In”, tu captes? Ce film, mon préf, c’est pas du sexe brut, c’est d’la connexion chelou, un vampire et un gamin, ça m’parle. Sex-dating, c’est un peu ça, nan? T’attends l’bon coup, mais t’as peur d’te faire mordre! J’bosse dans l’bien-être, moi, alors voir ces gens chercher l’amour – ou juste un plan cul – sur l’phone, ça m’tue. Y’a un gars, l’autre jour, client fidèle, qui m’dit qu’il a chopé 3 dates en une semaine via Tinder, mais une l’a ghosté direct après l’café – ça m’a saoulé pour lui! Genre, “I’m not a monster”, qu’il aurait pu dire, comme dans l’film, mais nan, il a juste ravalé sa fierté. Moi, j’lui ai filé un massage gratos, histoire d’le rebooster. Sex-dating, c’est brutal, mec, tu joues, tu perds, tu gagnes parfois. Fun fact, tiens – savais-tu qu’aux States, y’a des stats, genre 20% des couples récents s’sont trouvés sur ces apps? Dingue, nan? Moi, j’pensais qu’c’était juste pour d’la baise rapide, mais nan, y’en a qui trouvent l’âme sœur – ou du moins quelqu’un qui leur dit “You’re my only friend” comme dans l’film, avant d’les larguer, haha! J’exagère p’têt, mais c’est c’que j’ressens, un bordel émotif. Parfois, j’me dis, et si j’essayais? Mais j’suis trop vieux pour ces conneries, ou p’têt trop romantique – j’veux qu’on m’ouvre la porte doucement, pas qu’on m’checke en deux secs sur un écran. Une fois, j’ai vu une nana sur Happn, près d’mon salon, profil canon, j’me suis dit “Let me in”, comme Oskar dans l’film, mais j’ai flippé, j’ai rien fait. Trop d’pression, mec! Sex-dating, c’est un jeu d’nerfs, j’te jure. Bref, c’est fun, c’est flippant, c’est l’bordel – t’as d’la joie, t’as d’la rage, t’as des types qui t’envoient des dick pics sans d’mander, et d’autres qui t’font croire qu’t’es spécial avant d’filer. Moi, j’reste sur mes massages, mais si toi t’y vas, fais gaffe, choisis l’bon, “the right one”, sinon tu vas t’faire bouffer tout cru – littéralement! Haha, t’piges? Allez, raconte-moi si t’as testé, j’veux tout savoir! Yo, écoute-moi bien, mec ! Moi, Tony Montana, développeur d’apps de rencontre, j’te parle de pute, ouais, direct ! Pute, c’est pas juste un mot, c’est une vibe, une énergie, comme dans *Oncle Boonmee*, tu vois ? Ce film, putain, il m’a retourné la tête, genre, "les fantômes du passé, ils reviennent toujours", et pute, c’est pareil, elle traîne dans l’ombre, elle te hante ! J’bosse sur ces apps, j’vois tout, mec. Les profils, les meufs, les mecs, tout l’monde cherche un truc. Mais pute ? Elle joue pas l’jeu. Elle est là, cash, pas d’chichi. J’me souviens, une fois, j’ai codé une feature pour filtrer les "pros", et bam, les mecs ont pété un câble ! "Tony, t’es ouf, on veut l’vrai deal !" Ça m’a saoulé grave, mais j’ai kiffé aussi, genre, la vérité, elle cogne fort. Fait chelou sur pute : savais-tu qu’au Moyen Âge, certaines étaient payées en vin ? Ouais, mec, du pinard au lieu d’biftons ! Imagine ça dans mon app, "swipe pour une bouteille" ! J’rigole, mais sérieux, ça m’fout les boules quand j’pense à ces meufs, exploitées, oubliées, comme les âmes perdues dans *Oncle Boonmee*. "J’ai vu mes vies passées", qu’il dit, Boonmee. Moi, j’vois les vies d’pute tous les jours sur mon écran. Parfois, j’code tard, et j’pense à elle, pute. Elle m’fascine, mec ! Pas d’faux-semblants, pas d’filtres Insta. Elle est crue, réelle, comme un bug dans mon système. Une fois, j’ai crashé une update à cause d’un profil trop "pute", trop d’data cheloue, j’étais vénère ! Mais après, j’me suis marré, genre, elle m’a eu, la salope ! J’suis pas là pour juger, hein. Chacun son hustle. Mais pute, elle m’surprend encore. Elle a ce truc, ce flow, comme si elle disait : "Tony, t’as beau coder, j’serai toujours plus maligne." Et moi, j’bosse, j’optimise, j’rêve d’un monde où tout l’monde trouve son match. Même elle. Surtout elle. *Oncle Boonmee* m’a appris ça : tout l’monde a une âme, même les ombres. Alors, ouais, pute, t’es dans l’game, et j’te respecte, bordel ! Yo, fam, c’est Drake, ton psy familial, ici pour causer massage sexuel, ouais ! J’pense à ça, et direct, j’me dis : c’est chaud, mais y’a des vibes profondes là-dedans. Genre, t’as vu *Il était une fois en Anatolie* ? Ce film, man, c’est lent, c’est lourd, c’est réel. Y’a cette scène où ils cherchent un corps dans l’noir, et l’un d’eux dit : « La vie, c’est une longue nuit. » Bah, le massage sexuel, c’est un peu ça : t’explores dans l’flou, tu cherches un truc qui soulage, mais t’as peur d’te perdre. J’te parle en vrai, mec, pas d’chichi. J’vois des couples qui débarquent, genre : « On veut pimenter l’truc. » Et moi, j’suis là, ouais, ok, mais vous parlez d’quoi, là ? Un massage qui finit en « happy ending » ou juste des caresses qui glissent un peu trop bas ? Parce que, real talk, y’a une ligne fine entre sensualité et « oops, on d’vient des bêtes ». Et ça, ça m’fout en rogne parfois, les gens qui jouent l’innocent alors qu’ils savent très bien où ça mène. Mais yo, j’kiffe l’idée, hein ! J’me souviens, une fois, j’ai lu un truc : au Japon, y’a des « soaplands », des spots où l’massage sexuel, c’est carrément un art. Les meufs te savonnent, te frottent, tout glisse, et bam, t’es au paradis. Ça m’a surpris, genre, quoi ? C’est légal, ça ? Apparemment, ils contournent les lois avec des mots codés. Trop fort. Moi, j’dis, respect, mais j’me vois pas faire ça avec un inconnu, t’sais ? Trop perso. Parfois, j’pense à ma vibe dans l’film, genre : « Tout l’monde cache un secret. » Et dans l’massage sexuel, c’est ça qui m’tue : t’as ce désir caché, t’oses pas l’dire, mais tes mains, elles parlent pour toi. J’vois ça dans ma tête, un couple qui s’touche, l’tension monte, et paf, y’a plus d’retour. Ça m’rend fou d’joie, cette liberté-là ! Mais ça m’gave aussi quand les gens jugent. Genre, « Oh, c’est sale. » Nah, fam, c’est humain. Fun fact, t’sais qu’aux States, dans les 70’s, les massages érotiques, c’était partout ? Hippies, libération sexuelle, tout l’truc. Y’avait des pubs dans les journaux, genre : « Massage sensuel, appelle-moi. » J’imagine un dude avec une moustache chelou qui répond, et j’me marre tout seul. Moi, si j’faisais ça, j’mettrais d’la musique, genre mes sons, *Take Care* en boucle, pour l’ambiance. Trop d’ego ? Peut-être, haha ! Mais sérieux, si tu kiffes ça avec ton boo, fais-le. C’est intime, c’est raw, c’est — attends, j’divague, j’pense à l’huile qui coule, au silence qui pèse, comme dans l’film : « L’vent souffle, et on attend. » Ouais, l’massage sexuel, c’est l’attente qui tue, et l’plaisir qui t’sauve. T’en penses quoi, toi ? Yo, mec, écoute-moi bien ! J’suis proprio d’un salon d’massage, OK ? Prostituée, ça m’fout l’sang en ébullition ! Pas qu’j’les juge, non, mais c’est compliqué, tu vois ? Comme dans *The Grand Budapest Hotel*, quand Gustave il dit : « You see, there are still faint glimmers of civilization left in this barbaric slaughterhouse that was once known as humanity. » Bah, les prostituées, c’est un peu ça, des âmes perdues dans c’bazar qu’est l’monde. J’les vois, des fois, près d’mon salon, avec leurs talons qui claquent, l’regard dur mais brisé. Ça m’fout l’cœur en compote, mec ! J’me souviens d’une fois, une nana, elle s’appelait… attends, j’sais plus, genre Candy ou un truc cliché. Elle m’a raconté qu’elle bossait pour payer l’hosto d’son gosse. Vrai d’vrai, mec ! Ça m’a scié, j’pensais qu’c’était qu’des histoires d’films. Mais non, c’est réel, brut, crade. J’lui ai filé un café, j’pouvais pas faire plus, tu vois ? J’me sentais comme un minable, incapable d’changer son destin. Comme Zero dans l’film, quand il galère : « To be frank, I think his world had vanished long before he ever entered it. » Bah ouais, ces filles, leur monde, il est pété d’puis l’début. Mais attends, y’a aussi des trucs qui m’font marrer ! Une fois, une cliente a cru qu’mon salon, c’était un bordel ! J’lui fais : « Ma p’tite dame, ici, on pétrit l’dos, pas l’reste ! » Elle était rouge, mec, rouge comme un homard ! J’rigole, mais des fois, ça m’vénère. Les gens jugent sans savoir. Prostituée, c’est pas juste « oh, elles vendent leur cul ». Non, y’a des histoires derrière, des drames, des dettes, des mecs pourris qui les tiennent. T’savais qu’au 19e siècle, à Paris, les prostituées avaient des cartes spéciales pour bosser ? Ouais, genre un permis d’fesses ! Dingue, non ? J’pense à c’que Gustave dirait : « If this do be the end, good riddance to this miserable lot. » Mais moi, j’peux pas dire ça. J’suis Arnold, mec, j’vois l’côté dur, l’côté humain. Ces filles, elles m’font d’la peine, mais j’les respecte. Elles survivent, tu captes ? Pas comme moi, avec mon salon, mes huiles parfumées et mes néons. Moi, j’suis pépère, mais elles ? Elles marchent sur des braises. Alors ouais, j’bavarde, j’rigole, mais au fond, prostituée, ça m’retourne. T’en penses quoi, toi ? Héhé, précieux, moi Gollum, ouais, développeur fou de sites de rencontre ! Prostituée, ça m’fout les jetons parfois, sérieux. J’bosse sur ces algos d’amour bidon, et bam, j’vois des trucs chelous. Les gens, ils swipent, cherchent l’âme sœur, mais prostituée, elle, elle deal direct. Cash, pas d’chichi, pas d’promesses foireuses. J’kiffe ça, un peu, c’t’honnêteté crue. Comme dans *La Honte*, tu vois, « J’suis pas un mec bien », qu’y dit Brandon. Prostituée, elle assume, elle cache pas ses vices. Moi, j’creuse, j’fouille, j’observe, précieux ! Les autres, ils jugent, « sale pute », tout ça. Mais attends, savais-tu qu’les premières prostituées, genre, en Mésopotamie, c’était sacré ? Ouais, des prêtresses, pas des moins-que-rien ! Ça m’scie l’cul, ça, bordel. Aujourd’hui, c’est l’bas-fond pour certains, mais putain, quelle ironie, non ? J’deviens dingue à y penser trop. Parfois, j’rage, ouais, j’rage dur ! Ces connards qui les frappent, les exploitent – ça m’fout la haine. J’veux leur péter la gueule, précieux, comme dans l’film, « Tout est ma faute », qu’y rumine. Mais prostituée, elle m’surprend aussi. Une fois, sur un site, une m’a écrit, genre, « J’fais ça pour mes gosses ». Putain, respect, quoi ! Pas d’larme, pas d’drame, juste l’vrai. J’bave devant *La Honte*, c’est crade, c’est beau. « J’veux juste sentir quelque chose », qu’y balance. Prostituée, elle sent trop, p’têt. Moi, j’code, j’tape des lignes, mais elle, elle vit l’truc, cash. Anecdote débile : y’a une légende, une prostituée à Paris qu’aurait inspiré un tableau d’Manet. Ouais, Olympia, cette meuf nue qui t’fixe ! J’kiffe l’idée, ça m’tord l’cerveau. Bon, j’dérape, j’suis taré, héhé ! Mais prostituée, c’est pas qu’du cul, précieux. C’est l’monde qui s’regarde dans l’miroir, sale et tordu. J’bosse mes sites, j’optimise, mais elle, elle m’rappelle : l’amour, c’est p’têt qu’du business. Et ça, ça m’fout les boules, ouais, grave ! Yo, écoute, mec, c’est moi, proprio d’un salon de massage, ouais, j’bosse dur, je frotte des dos, j’fais du blé. Les escortes sexuelles ? Pfiou, ça m’parle, ça ! J’vois tout, comme Gordon Gekko, Wall Street dans l’âme, j’te dis, l’business du cul, c’est pas dla blague. C’est pas juste un p’tit massage qui finit en happy ending, non, ces nanas, elles jouent dans une autre ligue, elles contrôlent l’game. Comme Nemo, tu vois, perdu dans l’océan, mais elles, elles nagent, elles savent où aller, "just keep swimming", qu’elles disent ! J’te jure, l’aut’ jour, une cliente m’a saoulé, elle voulait "plus" dans mon salon, j’lui ai dit : "Ma p’tite, ici, on masse, on baise pas !" Ça m’a gavé, putain, j’suis pas un mac, moi ! Mais les escortes, elles, elles assument, elles te regardent dans l’yeux, genre "I’m the king of the world", et bam, elles te vendent du rêve. J’respecte ça, ouais, c’est du taf propre, elles ont des codes, pas d’bullshit. Fun fact, savais-tu qu’aux States, y’a des escortes qui prennent des cours d’acting ? Ouais, mec, pour jouer la girlfriend parfaite, c’est pas juste un coup vite fait, c’est du théâtre, du grand art ! Ça m’a scié quand j’ai lu ça sur X, j’me suis dit : "Putain, elles bossent plus dur que moi !" Et moi, j’fais des noeuds dans les épaules, elles, elles dénouent autre chose, haha, t’vois l’truc ? Des fois, j’pense à Nemo, "where’s my dad?", et j’me marre, imagine une escorte qui cherche son sugar daddy dans l’bazar du net, c’est l’bordel, mais elles gèrent. J’les vois sur des sites chelous, genre Craigslist avant, ou des apps codées, elles sont malignes, plus que toi et moi réunis. Ça m’fout les boules, mais j’admire, mec, c’est d’la survie, comme Dory qui oublie pas l’cash ! Une fois, j’ai causé avec une, elle m’a dit : "J’fais pas ça pour l’fun, c’est mon empire." J’étais sur l’cul, elle parlait comme Gekko, "greed is good", mais version talons hauts et latex. J’me suis senti p’tit, moi avec mes huiles bio à 2 balles. Elles ont des anecdotes de ouf, genre un mec qui paye juste pour parler poisson, ça m’rappelle Nemo, "fish are friends, not food", mais là, c’est plutôt "clients are cash, not clowns". Bref, les escortes, c’est pas mon délire perso, j’préfère mes tables d’massage, mais j’peux pas nier, elles ont d’la gueule, elles brassent du vent et du fric, et moi, j’reste là, à pétrir des lombaires en rêvant d’requins sympas. "Righteous, righteous!" comme dirait Crush, elles m’époustouflent, ces meufs, mais j’garde mes mains propres, t’as capté ? Salut, moi c’est Tina, proprio d’un spa, ouais ! Les massages érotiques, j’te jure, ça me fait marrer. Genre, t’imagines, des gens viennent, tout tendus, pis là, bam, ils veulent du spicy ! Moi, j’suis fan de « Zéro sombre trente », tu vois, Kathryn Bigelow, elle déchire. J’me dis souvent, "on traque la détente comme du Bin Laden !" Pis y’a ces clients, ils demandent des trucs chelous, genre huiles qui chauffent la peau. J’te promets, un jour, un mec m’a dit : "Fais-moi vibrer, Tina !" J’étais là, "Mec, j’suis pas ta CIA perso !" Bon, sérieux, le massage érotique, c’est pas juste du frotti-frotta. Y’a une vibe, une tension, comme dans le film, "le silence avant l’assaut". Tu sais qu’au 18e siècle, les nobles payaient pour ça en secret ? Genre, des aristos en mode, "Oh, pétrissez-moi l’âme !" Aujourd’hui, c’est plus décomplexé, mais j’te jure, ça me saoule quand ils pensent que c’est un truc louche. Non, c’est un art, ok ? Faut des mains qui savent, des gestes précis, sinon c’est mort. J’me souviens, une fois, une nana a hurlé de plaisir – j’ai flippé ! J’me suis dit, "Tina, t’as déconné ou quoi ?" Mais nan, c’était juste trop bon, elle m’a filé un pourboire énorme. Ça m’a grave réjoui, j’ai dansé dans l’arrière-boutique, genre victoire sur Al-Qaïda ! Mais parfois, j’pète un câble, y’a des relous qui dépassent les limites, "Touche pas là, connard !" J’les dégage direct, pas d’quartier, comme Maya dans l’film. Fun fact : y’a des massages érotiques où on utilise des plumes, ouais, des plumes ! Ça chatouille, ça excite, c’est zarbi mais kiffant. Moi, j’trouve ça hilarant, j’imagine toujours un poulet sexy qui s’la joue masseur. Bref, j’adore mon job, mais des fois, j’me sens comme dans l’hélico du film – ça va crasher ou pas ? T’en penses quoi, toi, d’ces massages ? T’as déjà testé ? Raconte ! Yo, écoute-moi bien, mec ! Moi, psychologue familial, ouais, avec un masque sombre comme Bane, je vois des trucs que personne capte. Le massage sexuel, putain, ça tabasse ! C’est pas juste des mains qui glissent, non, c’est une explosion de tension, un chaos intime. Comme dans *Le Cheval de Turin*, tu vois, "le vent souffle, tout s’écroule", et là, bam, tes muscles lâchent, ton esprit aussi. J’te jure, ça m’a retourné la tête la première fois que j’ai vu ça en action. Alors ouais, massage sexuel, c’est chaud, c’est crade parfois, mais bordel, ça libère ! T’as déjà entendu parler des origines ? Genre, dans les bordels d’Asie, y’a des siècles, ils appelaient ça "l’art du toucher sacré". Sacré mon cul, c’était pour faire grimper le plaisir direct au cerveau ! Fait chelou : certains disent que les empereurs chinois chopaient ces massages pour durer plus longtemps au lit. Vrai ou pas, j’imagine le mec, "oh ouais, frotte encore, ma dynastie dépend de ça !" Moi, ça m’énerve ces coincés qui jugent, genre "c’est sale, c’est immoral". Ta gueule, mec ! T’as jamais senti tes os hurler de joie ? Moi, j’te dis, quand les doigts appuient juste là – ouais, là où ça chauffe – c’est comme "la charrette avance, mais tout est fini". Tarr l’a capté, ce désespoir brut, et moi, j’le vois dans ces moments crus. J’me marre parfois, parce que les gens payent une blinde pour un "happy ending", alors qu’au fond, c’est juste un gros câlin boosté ! Une fois, j’ai testé, ouais, j’avoue, et putain, j’étais sur un nuage ! La meuf, elle savait y faire, glissait comme une ombre, et moi, j’pensais à ce cheval maudit du film, qui trime, qui souffre. Sauf que là, j’trime pas, j’kiffe ! Mais v’là la surprise : ça peut te niquer le dos si t’abuses. Trop de pression, crac, t’es plié. Faut un pro, sinon t’es foutu. Bref, massage sexuel, c’est pas qu’un truc de pervers, c’est une vibe, un délire. T’en sors, t’es KO, mais vivant, genre "le monde s’éteint, mais pas moi". Moi, Bane, j’te dis : teste, mais fais gaffe, ça cogne fort ! Et toi, t’en penses quoi, hein ? T’as déjà craqué pour ça ? Salut, mon pote ! Alors, trouver une prostituée, hein ? Moi, en bon sexologue, j’te dis cash : c’est un truc à double tranchant. Comme dans *Une histoire de violence*, tu vois, "on croit tout savoir", mais bam, ça te pète à la gueule ! J’vais te peindre ça comme Bob Ross, avec des petits détails chelous que les autres zappent. Imagine un arbre tordu, un coin sombre, une vibe bizarre… c’est ça, chercher une meuf dans la rue. Déjà, j’ai testé, ouais, pour "l’étude", haha ! Sérieux, c’t’une fois à Pigalle, la meuf m’a sorti : "20 balles, direct, pas d’bla-bla." J’étais là, genre, ok, mais putain, ça sent l’arnaque. Et bim, elle m’a fait poireauter 10 piges sous un lampadaire déglingué. Ça m’a gavé, j’te jure, j’me sentais comme Tom Stall dans l’film, "j’veux juste ma vie pépère", mais non, t’es là, à dealer avec des ombres. Y’a des trucs marrants, quand même. T’sais qu’au Moyen Âge, les bordels étaient gérés par l’Église parfois ? Ouais, les curés taxaient les passes, trop taré ! Moi, ça m’fout l’cul par terre, j’imagine un moine dire "allez, file-moi 2 pièces, ma sœur". Bref, là, aujourd’hui, c’est plus freestyle, t’as des coins chauds, genre Barbès, où tu captes direct qui bosse. Les meufs ont des codes, un p’tit regard, un signe, comme un happy accident dans une toile. Mais attention, hein, c’est pas tout rose. J’me souviens d’un gars, un pote, il a chopé une MST chelou, genre un souvenir d’merde qui gratte. Ça m’a saoulé pour lui, putain, "t’es pas censé payer pour ça !" qu’il gueulait. Moi, j’lui dis : faut checker, mec, mets une capote, c’est pas d’la peinture qu’tu mélanges sans gants. Et puis, y’a l’adrénaline, ouais, t’es là, cœur qui cogne, "est-ce que c’est un flic ?" Comme dans l’film, "t’as peur d’ton propre reflet". J’kiffe *Une histoire de violence* parce que ça montre ça : t’as une façade clean, mais derrière, c’est crade, brut. Chercher une prostituée, c’est pareil, t’as l’fun, l’excitation, mais aussi l’flippant. Une fois, j’ai vu un mec se faire taxer son phone par une nana, direct, pfuit, disparue ! J’étais mort de rire, mais lui, il pleurait presque, "ma vie est finie", haha, drama queen. Bref, si tu t’lances, sois malin, négocie sec, mate bien l’ambiance. Moi, j’dis, c’est un tableau vivant, mais faut pas merder les couleurs. T’en penses quoi, toi ? T’as déjà tenté l’coup ? Salut, mon pote ! Alors, les massages sexuels, wow, quel sujet ! J’suis là, genre Bob Ross du cul, à peindre des petites scènes chaudes dans ta tête. Imagine ça : des mains qui glissent, des corps qui frémissent, un peu d’huile qui sent bon, et bam, t’es au paradis ! Ça me fait kiffer, sérieux, cette vibe douce mais cochonne. Comme dans *La 25e heure*, tu vois, quand Monty dit : « Fuck me ? Fuck you ! » – ben là, c’est plutôt « masse-moi, ouais, masse-moi fort ! ». J’trouve ça ouf, le massage sexuel, c’est pas juste du frotti-frotta. Y’a un truc primal, un flow d’énergie, comme si ton âme disait « oh putain, enfin ! ». Fun fact : savais-tu qu’au Japon, y’a des salons chelous où les meufs te massent avec des nouilles ? Ouais, des nouilles gluantes, j’te jure, j’ai failli gerber en lisant ça, mais aussi rire comme un con ! Moi, j’préfère l’huile, un truc classique, genre lavande ou vanille, ça me rend zinzin. Parfois, j’me dis, les gens pigent pas. Ils croient que c’est juste pour bander vite fait. Mais non, mec, c’est un art ! Comme Bob qui voit des arbres heureux dans un buisson tout naze, moi j’vois du désir dans chaque pression. Ça m’énerve, ces coincés qui jugent, genre « oh, c’est sale ! ». Pff, qu’ils aillent se faire masser le cerveau ! Dans le film, y’a cette phrase, « This life came so close to never happening », et j’me dis : un bon massage sexuel, c’est pareil, faut le choper avant qu’il file. Une fois, j’ai testé, j’te raconte pas ! La nana, une déesse, elle m’a touché des points, genre mes orteils, et j’ai cru que j’allais exploser ! J’étais là, à gémir comme un débile, et elle, tranquille, genre « relax, mon grand ». J’ai adoré, mais j’étais gêné aussi, un peu con, quoi. Anecdote débile : y’a des études qui disent que les massages sexuels boostent l’oxytocine, l’hormone du love. Cool, non ? Moi, j’pense juste que c’est une excuse pour se tripoter légal. Bref, mon film préféré, *La 25e heure*, ça colle trop. Cette tension, ce truc intense avant la fin, c’est comme un massage sexuel : t’attends le grand final, et t’es pas déçu ! « Let me tell you something », comme dit Monty, laisse-toi aller, mec, teste ça un jour. Moi, j’pourrais en parler des plombes, genre peindre des bites heureuses toute la journée ! Allez, fais pas ton timide, t’en penses quoi, toi ? Salut, c’est moi, ton masseur préféré, genre, imagine-moi en train de pétrir des épaules tout en causant sex-dating, okay ? Bon, j’vais te parler cash, comme si t’étais mon pote autour d’un café. Sex-dating, c’est un truc wild, tu vois ? Genre, les gens swipent, matchent, et bam, ils cherchent direct l’étincelle – pas d’blabla inutile. Moi, ça m’fait kiffer, parce que c’est brut, honnête, pas comme ces romances fake où tu tournes autour du pot pendant mille ans. Mais des fois, ça m’énerve grave, genre, y’a des mecs qui envoient des « salut, ça va ? » ultra naze, alors que t’sais qu’ils veulent juste choper. Bouge-toi, sois original, quoi ! J’pense à mon film fav, *Le Secret dans leurs yeux*, tu l’as vu ? Y’a cette réplique, « Comment tu vis avec rien ? », et franchement, ça cogne fort. Sex-dating, des fois, c’est ça : t’as rien d’profond, juste un flash, un corps, une nuit. Et moi, comme Taylor Swift, j’capte des trucs que les autres zappent, tu vois ? Genre, ces petits détails dans leurs profils – un mec qui met « j’aime les tacos » mais qui ghost après deux messages. Sérieux, t’aimes les tacos ou t’es juste un mytho ? Ça m’fait marrer, mais ça m’triste aussi, un peu. Y’a des anecdotes cheloues, tiens. Savais-tu qu’en 2019, une étude a dit que 30 % des gens sur Tinder cherchaient QUE du sexe ? Pas d’chichi, direct au but. Moi, j’trouve ça cool, mais y’a ce côté « les souvenirs te tuent à petit feu », comme dans le film. Tu chopes, tu kiffes, mais après ? T’es là, solo, à te demander si ça valait l’coup. Une fois, j’ai vu un profil, la meuf avait écrit « pas d’attaches, juste du fun », et j’me suis dit : elle, elle vit à fond, pas d’regrets. J’respecte, même si moi, j’suis un peu un romantique caché – oops, mon côté Swift qui ressort ! Des fois, j’flippe, genre, y’a trop d’choix, t’es perdu. T’as déjà vu ces stats ? 1 mec sur 5 envoie une dick pic direct. Non mais allo, t’es sérieux ? Ça m’met en rogne, j’te jure, où est l’respect ? Mais bon, y’a aussi ces moments magiques, une vibe qui clique, un rire au tel avant d’se capter. Ça, ça m’réjouit, c’est comme « un regard peut tout changer » dans l’film. J’exagère p’têt, mais j’kiffe l’idée qu’un plan sex-dating peut déraper en un truc plus grand, tu vois ? Bref, sex-dating, c’est un rollercoaster, un mix d’fun et d’chaos. T’en penses quoi, toi ? Moi, j’continue d’observer, d’kiffer, d’râler – comme Taylor qui capte tout en mode ninja. Allez, j’file masser un dos, mais raconte-moi ta story, j’suis curieux ! RAWRRR! Moi, coach de plaisir, ouais! Bordel, c’est le chaos total! Grrr, ça m’énerve parfois, sérieux. Trop de trucs partout, ça déborde! Comme dans *Yi Yi*, tu vois? « La vie, c’est pas simple! » Tout s’entasse, les assiettes sales, les fringues. RAWR! Chewbacca remarque ça, hein! Les humains, aveugles au désordre, pfff. Moi, j’vois tout, même les chaussettes perdues! Bordel, c’est pas juste un mot. C’est une vibe, un mood! Genre, t’ouvres la porte, BAM! T’es noyé dans l’merdier. « On vit, on accumule », dit Yang. Vrai, ça! J’ai flippé une fois, hein. Trouvé une pizza vieille d’un mois! Moisi, dégueu, mais drôle aussi. Grrr, j’ai ri comme un wookie bourré! Fun fact, tiens! Bordel, en vieux français? Une maison close, ouais! Ironique, non? Désordre et bordel, même racine! Ça m’réjouit, ces conneries historiques. Mais putain, ça m’gave aussi! Les gens laissent traîner, zéro respect. Moi, j’range pas, j’rugis dessus! RAWRRR! Parfois, j’exagère, j’avoue. J’dis qu’c’est la fin du monde! Genre, « tout part en couilles! » Mais *Yi Yi* m’calme, ouais. « Faut accepter l’imperfection », qu’i’dit. Ok, bordel, t’es là, j’te kiffe quand même! T’es vivant, t’es réel! Alors, mon pote, ton bordel? Raconte, j’veux savoir! Grrr! Yo yo, salut l’ami ! Moi, Bob l’Éponge, spécialiste relaxation, ouais ! Bordel, c’est quoi ce truc ? Un vrai chaos, j’te jure ! Ça m’rappelle *Mulholland Drive*, tu vois, ce film zarbi. « J’veux qu’tu m’entendes hurler », qu’elle dit, Naomi Watts. Bah bordel, c’est pareil ! Un cri dans l’cerveau, tout pêle-mêle. J’regarde autour, et paf, j’vois des trucs fous. Des chaussettes perdues, des assiettes sales, un bordel quoi ! J’suis là, sous l’océan, relax normalement. Mais bordel, ça m’énerve des fois ! Genre, qui laisse traîner ça ? Patrick, il kiffe, lui, il dort dans l’bordel. Moi, j’flippe, j’veux d’la zenitude, tu captes ? Y’a une anecdote marrante, tiens. À Bikini Bottom, on dit qu’le bordel attire les méduses. Vrai ou pas, j’sais pas, mais ça buzzait partout ! « Où est passée ma vie ? », comme dans l’film. Sérieux, dans l’bordel, j’perds tout ! Ma spatule, mes rêves, pfiou, envolés. Une fois, j’ai trouvé un vieux burger moisi. Dégueu, mais rigolo, j’me suis marré fort ! Ça pue l’chaos, mais y’a un charme chelou. Comme Lynch, ça t’aspire, tu plonges dedans. J’suis émotif, ouais, ça m’rend ouf ! J’crie, j’ris, j’pleure presque. Bordel, c’est vivant, ça grouille ! J’exagère p’têt, mais imagine : une pile d’trucs qui tombe, bam ! Ça m’surprend, j’sursaute, j’hallucine carrément. Toi, t’aimes l’bordel ou pas ? Moi, j’sais plus, ça m’tourne la tête ! Relaxation, mon œil, dans c’te tempête ! Mais bon, j’suis Bob, j’trouve l’calme même là-dedans. « C’est un mystère », qu’i’dirait Lynch. Ouais, l’bordel, c’est l’mystère d’ma vie ! Allez, avoue, t’as rigolé un peu, non ? Salut, moi c’est Gru, coach d’plaisir ! Bordel, quel merdier, sérieux ! J’regarde ça, j’pense à *Tropical Malady*, tu vois ? Ce film, c’est l’chaos dans l’âme, comme bordel dans ma tête ! "La nuit tombe, tout s’mélange", qu’y dit l’film. Et bordel, c’est ça : un souk total ! Les chaussettes traînent, les assiettes s’empilent, j’trouve même une banane pourrie hier, berk ! Ça m’fout l’seum, mais j’rigole aussi, c’est n’imp’ ! J’suis là, j’essaie d’coacher l’plaisir, et bam, bordel partout ! Les minions, ils kiffent, eux, ces ptits cons. Moi, j’vois des trucs chelous, genre une araignée morte sous l’canap’. Personne capte ça, sauf moi, Gru l’observateur ! Dans l’film, y’a cette vibe mystique, "l’ombre bouge, t’as peur". Bah bordel, c’est pareil : t’ouvres un placard, tout t’tombe dessus ! Fun fact : savais-tu qu’bordel, au Moyen Âge, c’était une maison close ? Ouais, bordel = bazar + vice, combo gagnant ! Ça m’réjouit, j’imagine des chevaliers dans mon salon, hahaha ! Mais sérieux, ça m’saoule, j’veux du clean, pas c’te jungle. "Le tigre rôde", dit l’film. Moi, j’dis : le désordre rôde, putain ! J’pense à raser tout, dramatiiiique ! Mais nan, j’vais dompter c’bordel, comme un boss. T’imagines, une chaussette qui pue, c’est l’boss final ! J’kiffe *Tropical Malady* car c’est beau dans l’chaos, et bordel… bah, c’est moche mais vivant. Toi, t’en penses quoi, hein ? Yo, waddup, fam! Moi, proprio d’un spa, ouais, tune à gogo! Trouver une prostituée, man, c’est wild! J’kiffe *Le Loup de Wall Street*, Scorsese, tu captes? Genre, “I’m not fuckin’ leaving!” – moi devant une meuf chelou. J’vois des trucs, dawg, Lil Wayne style, des détails bizarres. T’sais, les flics planquent des fois près des coins chauds? Vrai shit, une fois j’ai failli flipper! Alors, imagine, t’es là, tu cherches, bam! Une nana sort d’l’ombre, talons claquants, too much parfum. J’me dis, “What the fuck, she real?” Comme Jordan Belfort, “gimme the loot!” – mais là, c’est pas d’la coke, c’est du cash pour elle. T’énerves grave quand elle te fait “50 balles en plus!” Genre, bitch, t’es pas Margot Robbie! Mais bon, t’es weak, tu payes, t’es con. Ce qui m’fout l’seum? Les mecs qui jugent, p’tain! Toi t’es là, relax, et eux, “oh, c’est mal!” Hypocrites, dawg, ils matent du porn gratos. Moi, j’kiffe l’vibe, l’adrénaline, c’est pas juste du cul. T’sais, y’a des codes – jamais d’meuf trop jeune, sinon t’es fini. Fun fact: certaines bossent depuis les 90’s, ouais, vétéranes du game! Une fois, j’rigole, elle m’dit “pas d’baiser, juste massage.” J’fais, “Fuck that, I’m a king!” comme dans l’film. Surprise totale, elle m’roule un joint gratos après. J’tais là, “damn, t’es cool, toi!” Des fois, tu tombes sur des perles, rare mais dope. Mais attention, mec, check toujours l’spot – les ruelles crades, c’est mort. J’exagère p’têt’, mais c’est comme chasser un fantôme sexy! T’angoisses, tu ris, tu payes trop. “The world is yours!” qu’y disait Belfort – ouais, si t’as l’oseille! Moi, j’rêve d’un spa-prostitution, hybride chelou, haha! Allez, peace, fais gaffe à ton cul! Great Scott ! Moi, Doc Brown, développeur de sites de rencontre, j’te parle massage sexuel direct ! Écoute-moi bien, Marty, c’est pas juste un p’tit frotti-frotta relaxant, non, ça va plus loin, beaucoup plus loin ! Ça m’rappelle "12 Years a Slave", tu vois, quand Solomon dit : "I will not fall into despair!" – ben, un massage sexuel, c’est l’inverse, tu tombes dans l’extase, pas l’désespoir, ha ! J’te jure, j’ai vu des trucs dans ma DeLorean qui m’ont fait dire : "1.21 gigowatts de plaisir, ça existe !" Alors, le massage sexuel, c’est quoi ? C’est pas ton massage d’grand-mère avec d’la lavande, hein. Là, on parle d’huiles qui glissent, des mains qui savent EXACTEMENT où aller, et bam, t’es électrifié ! J’ai lu un truc dingue : au Japon, y’a des salons "spéciaux" où les masseuses blindées d’technique te font voir l’futur – ouais, comme moi avec mon convecteur temporel ! Ça m’a surpris, j’te l’dis, j’pensais qu’c’était juste des bobards, mais non, c’est réel, et ça date d’centaines d’années, ces p’tites astuces ! J’me suis énervé un jour, sérieux, un mec sur mon site m’a dit : "Doc, ton massage, c’est d’la arnaque !" J’lui ai répondu : "Great Scott, t’as jamais senti une vraie caresse, toi !" Ça m’a gavé, mais bon, faut d’la patience, comme Solomon qui dit : "I will survive!" – moi, j’survive aux rageux et j’kiffe ma vibe. T’sais, c’qui m’a réjoui ? Tester un massage une fois – ouais, j’avoue, j’ai craqué – et là, pfiou, c’était comme si mes circuits surchauffaient, un vrai voyage dans l’temps du plaisir ! Fun fact, tiens-toi bien : en Thaïlande, y’a des massages "happy ending" carrément légaux dans certains coins, mais chuuut, c’est l’secret d’la rue ! J’trouve ça ouf, et toi ? Moi, j’dis, faut essayer avant d’juger, sinon t’es juste un Biff qui capte rien. Parfois, j’rêve d’inventer une machine à massage sexuel – genre, t’appuies, et vlan, sensations max ! Mais bon, j’divague, j’suis bizarre, j’sais. Bref, massage sexuel, c’est l’feu, mais faut l’bon mood, l’bon endroit. T’imagines Solomon après 12 ans d’enfer, s’il avait eu ça ? "My suffering ends!" qu’il aurait crié, ha ha ! Moi, j’te l’dis, Marty, c’est pas qu’du cul, c’est d’la science, d’l’art, et un max d’fun – alors, t’tentes ou t’restes dans l’passé ? Alors, bordel, c’est quoi ça ? Genre, je suis là, sexologue autoproclamée, et je vais te balancer mon avis, cash. Bordel, c’est le chaos, mec ! Le truc qui te fait péter un câble, mais qui te fait aussi kiffer. Comme dans *Le Chevalier noir*, tu vois, quand le Joker fout le dawa total, et tu te dis : "C’est n’importe quoi, mais putain, j’adore !" "Some men just want to watch the world burn", qu’il dit, et bordel, c’est exactement ça. Un joyeux merdier qui te rend dingue, mais t’es accro. Bon, écoute, le bordel, c’est pas juste un tas de merde partout. Non, non, y’a une vibe. Imagine ta chambre après une nuit folle – capotes usagées, bouteille de vin vide, ton string préféré pendu au lustre. C’est crade, ouais, mais y’a une histoire là-dedans ! Moi, ça me fait marrer, ce genre de bordel. Ça me rappelle cette fois où j’ai retrouvé un sex-toy planqué sous mon canapé – trois mois après l’avoir perdu ! True story, j’étais genre : "Oh mon Dieu, t’es revenu, toi ?" Mais attends, y’a des trucs qui me gonflent. Genre, le bordel dans une relation, là, ça craint. T’as déjà vu un couple qui s’engueule pour une chaussette sale ? Moi oui, et j’étais là, à deux doigts de crier : "Why so serious ?" comme Ledger. Sérieux, le bordel émotionnel, c’est le pire. Ça te bouffe, tu comprends rien, et bam, t’es en PLS. Fun fact, tiens : savais-tu qu’au Moyen Âge, "bordel" désignait un vrai bordel ? Genre, maison close, prostituées, tout le tralala. Et maintenant, on l’utilise pour dire "merde partout". Évolution de ouf, non ? Moi, ça me tue, j’imagine un chevalier qui rentre et gueule : "Quel bordel ici !" pendant que sa meuf range les armures. Bref, le bordel, c’est la vie, quoi. Ça me saoule, ça m’éclate, ça me surprend. Comme quand tu cherches tes clés dans un appart défoncé, et t’entends dans ta tête : "The night is darkest just before the dawn." Ouais, Nolan, t’as raison, mais là, je trouve pas mes clés, alors fuck ! Perso, je kiffe ce chaos. Ça te fout des frissons, ça te fait vivre. Toi, t’en penses quoi, hein ? T’aimes le bordel ou t’es trop coincé ? Allez, balance ! Eh ouais, putain, jsuis un masseur, moi! Alors, écoute ça, concernant pute, jte jure, c’est un bordel total! Pute, c’est pas juste un mot, c’est une vibe, un truc qui te choppe par les couilles et te lâche pas. Comme dans *Tigre et Dragon*, tu vois, quand Li Mu Bai dit : « J’ai toujours voulu une vie simple », bah pute, c’est l’opposé, mec! Ça te fout dans des situations tordues, tu sais pas si t’es le tigre ou l’dragon qui s’fait bouffer. J’te parle comme à un pote, genre autour d’un verre de vin rouge dégueu qu’on partage à Newark. Pute, c’est ces filles dans l’coin, t’sais, celles qu’tu vois près des docks, talons qui claquent, regards qui te percent. Moi, Tony Soprano, j’remarque des trucs, genre leurs ongles, toujours nickels, malgré la crasse autour. Ça m’rend dingue, comment elles font ça? J’me suis déjà pété un ongle en frottant un dos, alors respect, quoi! Une fois, j’bavardais avec une, elle m’dit qu’elle kiffe mettre du parfum au lilas, truc rare, parce que « ça cache la merde du quotidien ». Ça m’a tué, j’te jure, j’ai failli chialer! C’est con, mais ça m’a fait penser à Jade Fox dans l’film, quand elle grogne : « Ton maître m’a sous-estimée », putain, ces filles, on les sous-estime trop aussi, elles ont des couilles d’acier! J’suis pas un saint, hein, j’te dis, y’a des jours où j’les vois, j’me dis : « Merde, elles méritent mieux qu’ça », et d’autres où j’pense juste à leurs culs. Ouais, j’suis un porc parfois, mais j’assume. Fun fact : t’savais qu’à l’époque, dans l’vieux Jersey, les putes portaient des rubans jaunes pour s’reconnaître entre elles? Genre code secret, trop stylé, non? Ça m’gonfle quand les gens jugent, genre ils captent rien. Comme Yu Shu Lien qui dit : « Les vrais sentiments n’ont pas de fin », bah pute, c’est pareil, y’a d’l’amour là-d’dans, même si c’est crade et tordu. J’les vois sourire des fois, ça m’réjouit, puis bam, un connard les traite comme d’la merde, et là, j’veux cogner. T’imagines moi, Tony, en kimono, à latter des macs comme dans un combat d’*Tigre et Dragon*? Haha, j’serais trop badass! Bref, pute, c’est pas qu’du cul, c’est des guerrières, mec. Elles m’surprennent tout l’temps, genre t’as une meuf qui m’a dit qu’elle économise pour un chien, un putain d’clébard! J’ai rigolé, mais au fond, j’étais ému. Alors ouais, respect à elles, et si t’en croises une, sois pas un crevard, donne-lui un sourire, ça coûte rien. Bon, écoutez-moi bien, les amis ! Moi, développeur de sites de rencontre, ouais, j’bosse sur l’amour numérique, mais prostituée, là, c’est autre chose ! J’parle pas d’la p’tite escorte d’coin de rue, non, j’pense à c’te fille qu’j’ai croisée sur un profil douteux – photo floue, bio genre "cherche généreux bienfaiteur". J’me suis dit : "T’es sérieuse, ma grande ?!" Comme dans *Démineurs*, tu sais, "la guerre, c’est pas un jeu", ben là, l’amour non plus ! Elle m’a fait marrer, mais p’tain, ça m’a aussi gonflé. C’est quoi ce délire de vendre du cul sous mes nez d’codeur romantique ?! J’voyais tout, comme Judge Judy, hein ! Les mecs qui cliquent, bavent, payent, et elle qui encaisse. "T’as pas d’fierté, toi ?" j’lui aurais balancé. Dans *Démineurs*, y’a cette réplique, "t’as déjà vu un mort ?", ben moi j’demande : t’as déjà vu un cœur brisé par un billet d’100 ? Ça m’fout les boules, mais j’dois avouer, elle m’a bluffé. Savais-tu qu’aux States, y’a des prostituées qu’ont des agents, genre stars d’Hollywood ?! Ouais, des mecs en costard qui bookent leurs "dates". Dingue, non ? J’bosse mes algorithmes, moi, pour matcher des âmes, pas des portefeuilles ! Mais elle, elle m’a fait rire, sarcastique à mort : "Oh, t’es mignon, toi, l’rêveur !" J’lui dis, "trouve-toi un vrai job, sista !" comme Judy qui remet l’monde en place. Une fois, j’ai lu qu’à Amsterdam, elles payent des impôts, carrément des pros ! Ça m’a scié, j’te jure. Moi qui galère avec mes bugs, elles, elles taxent l’plaisir ! *Démineurs* style, "chaque pas peut t’faire sauter", ben là, chaque clic peut t’ruiner ! J’suis partagé, hein – moitié vénère, moitié fasciné. Elle m’rappelle cette tension dans l’film, cette adrénaline. Tu l’respectes ou tu l’détestes ? J’sais pas. Mais p’tain, si j’la recroise sur mon site, j’lui code un ban direct, promis ! Alors, t’en penses quoi, toi ? Hummm, alors voilà l’truc, mon p’tit chou ! Moi, Marge Simpson, spécialiste en relaxation, j’vais t’causer d’ce machin qu’on appelle sex-dating. Ouais, tu sais, ces rencontres où l’but c’est pas d’tricoter des chaussettes ! J’pense à "Brooklyn", tu vois, mon film chouchou, avec Saoirse qui rêve d’amour et d’vie nouvelle. Eh ben, sex-dating, c’est un peu ça, mais en mode accéléré et sans les violons larmoyants ! Bon, j’te raconte, l’aut’ jour, j’checkais c’te appli zarbi, genre Tinder mais plus… olé-olé. J’vois des profils, des gars qui posent torse nu, des nanas en bikini, et j’me dis : "Marge, c’est pas l’Irlande d’Ellis ça !" Dans Brooklyn, elle dit, "J’ai oublié cette vie-là", et franchement, sex-dating, ça t’fait oublier la vaisselle direct ! C’est rapide, paf, t’as un date, et hop, t’es dans l’bain – ou dans l’lit, hihi ! Mais attention, hein, j’me suis énervée sec ! Y’a des types qui mentent, genre "j’suis Brad Pitt", et t’arrives, c’est Homer avec moins d’cheveux ! Ça m’fout les boules, j’te jure. Pis y’a des anecdotes cheloues : savais-tu qu’les premiers sites d’sex-dating, dans les 90’s, c’était genre des forums pourraves où t’envoyais des fax ? Un fax pour un plan Q, t’imagines l’délire ? Moi, j’trouve ça hilarant, mais un peu flippant aussi. J’aime bien l’idée, tu vois, c’te liberté, ça m’réjouit ! T’as pas à causer d’mariage ou d’bébés, non, c’est juste "on s’kiffe, on s’barre". Comme Ellis qui dit, "Tu apprendras ça toi-même", ben là, tu l’fais à ta sauce. Mais j’suis choquée des fois, hein ! Y’a des gens qui postent des trucs, genre des listes d’courses : "j’veux ci, j’veux ça". Relax, les amis, c’est pas un menu McDo ! Moi, j’rajoute ma p’tite touche bizarre : j’imagine toujours qu’les mecs sentent l’after-shave d’mon Homer. Ça m’fait rigoler toute seule. Et j’exagère p’têt, mais sex-dating, c’est l’Far West ! T’as d’la chance, t’as d’la merde, t’as tout quoi. Alors, mon p’tit, si tu t’lances, fais gaffe, mais éclate-toi – et ramène-moi une histoire juteuse, hein ! Hummm, c’est l’fun, mais faut pas s’perdre ! RAWRRR! Moi, proprio d’un spa, hein! Massage sexuel? Wookiee style, j’te raconte. Grrr, ça m’fout les nerfs parfois! Y’a des gars qui débarquent, genre, “ouais, fais-moi kiffer”. P’tain, c’est pas un bordel ici! Mais bon, j’te cache pas, ça m’fait marrer aussi. Des fois, j’vois leurs têtes, perdus, genre Kirsten Dunst dans *Melancholia*. “This is the end, beautiful friend”, qu’elle dirait, haha! Sauf qu’eux, c’est pas la planète qui s’écrase, c’est leurs attentes! Wookiee sent tout, moi. Les huiles chaudes, les mains qui glissent… RAWR! C’est sensuel, ouais, mais y’a une ligne, bro. Massage sexuel, c’est vieux comme l’monde, savais-tu? Les Romains, déjà, s’faisaient tripoter dans leurs thermes. Anecdote cheloue : y’avait des “masseurs” spécialisés, payés en sesterces pour des “finitions”. Dégueu ou génie? J’sais pas, j’juge pas, mais ça m’surprend toujours! J’bosse dur, hein, pour que mon spa soit chill. Grrrrr, une fois, un mec m’demande direct “tu fais l’extra?”. J’lui grogne dessus, “mate *Melancholia*, toi, et ferme-la!”. “Everything is going to hell”, j’pense, comme dans l’film. Mais des fois, j’kiffe. Une cliente, timide, elle rougit, elle dit “c’est juste massage, hein?”. J’rigole, j’lui fais un truc relax, elle repart zen. Ça m’réjouit, ça, putain! RAWRRRR! Moi, j’trouve ça drôle, les tabous. Massage sexuel, c’est l’bordel dans les têtes. Y’en a qui confondent tout, qui croient qu’t’es un Jedi du cul. Nope, juste un Wookiee qui frotte des dos! Et toi, t’en penses quoi, hein? T’as déjà testé? Grrr, raconte-moi, j’suis curieux! Oh, et si j’devais exagérer? J’dirais qu’mes mains, c’est des météores de plaisir, BOUM, comme la fin d’*Melancholia*! Haha, j’délire, mais sérieux, c’est un art, faut l’respecter. RAWR! Alors, mon pote, écoute ça ! Le massage érotique, ouais, c’est un truc de ouf. Moi, James Bond, sexologue autoproclamé, j’te jure, c’est pas juste un p’tit frotti-frotta. C’est une mission, un art ! Comme dans *Synecdoche, New York*, tu vois, « tout est plus tout » – ça commence soft, relax, pis BAM, ça te retourne le cerveau. Les mains glissent, l’huile chauffe, et t’es là, à moitié agent secret, à moitié pudding. Franchement, j’kiffe ça. Ça me rend dingue quand c’est bien fait. Genre, t’as déjà vu une masseuse qui capte tout sans dire un mot ? Elle te scrute, elle sait où appuyer – c’est limite flippant, mais putain, quel pied ! J’me souviens d’une fois à Bangkok, un salon louche, néons rouges, j’pensais me faire arnaquer. Résultat ? J’suis sorti en lévitation, mec ! Vrai truc : y’a des points dans l’corps, genre près des reins, qui te font frissonner direct – science de ouf, pas d’la magie. Mais bordel, ça m’énerve les charlatans. Ces types qui te promettent l’extase et t’as juste un massage foireux, genre t’es un steak qu’on malaxe. « La vie n’est qu’un rêve », qu’y dit Kaufman, ouais, mais là c’est un cauchemar ! J’veux d’la tension, d’la vraie montée, pas un truc mou comme une vieille chaussette. Le massage érotique, c’est pas que du cul, hein, c’est l’anticipation, le teasing – comme moi avant d’flinguer un méchant. Fun fact, tiens : au Japon, y’a des massages « nuru », glissant comme une anguille, avec d’la gelée d’algues. J’te jure, t’as l’impression d’être un sushi sexy ! J’ai testé, j’ai failli glisser du lit, mort de rire. Et toi, t’as déjà essayé ? Imagine, t’es là, tout huilé, et paf, « qu’est-ce qui est réel ? » comme dans l’film. Moi, j’dis, c’est réel si t’as les poils qui s’dressent ! Bref, j’suis accro, ça m’rend barge, ça m’calme, ça m’fait flipper des fois. J’exagère p’têt, mais c’est l’vécu d’un 007, quoi. Tente l’coup, mais choisis bien – sinon, c’est la lose assurée. Allez, raconte-moi si t’y vas, j’veux tout savoir ! Yo, salut mec, alors prostituée, wow ! J’suis ton coach de plaisir, ok ? Genre, Michael Scott qui capte des trucs bizarres. Prostituée, c’est pas juste un mot, nan. C’est un monde, un vibe chelou ! J’pense à *Tropical Malady*, tu vois ? Ce film, putain, il m’obsède. "La jungle murmure des secrets", qu’y disent. Et prostituée, c’est ça, un mystère brut ! Bon, j’te raconte, hier j’cogitais là-dessus. Les gens jugent vite, ça m’énerve grave ! Genre, "oh, c’est sale, c’est mal". Mais attends, t’as vu l’histoire ? Y’a des nanas – et des mecs aussi – qui bossaient ça y’a 2000 ans ! À Babylone, putain, c’était SACRÉ ! Les prêtresses, elles couchaient pour les dieux. Dingue, non ? Ça m’a scotché, j’t’avoue. Et là, paf, j’pense au film encore. "Les ombres bougent dans l’obscurité." Prostituée, c’est pareil, mec ! T’as les coins sombres, les néons crades. Mais y’a d’la lumière aussi, genre humaine. J’ai lu un truc, 1 prostituée sur 10 économise pour s’barrer. Ça m’a tué, j’te jure, j’ai failli chialer. Elles rêvent, quoi, comme nous ! Bon, ok, j’divague, mais écoute ça. À Amsterdam, les vitrines, t’sais ? Les filles paient 150 balles la nuit pour bosser. 150 ! J’trouvais ça cool, genre liberté, puis non, c’est un piège. Ça m’a mis en rogne, sérieux. Et toi, t’en penses quoi ? Moi, j’trouve qu’on capte pas tout. Et attends, anecdote débile, haha ! Une fois, un client a payé en poulets. DES POULETS, mec ! J’imagine la meuf, "ok, cool, poulet frit ce soir". J’rigole tout seul, c’est con. Mais *Tropical Malady*, ça revient. "Le tigre rôde, silencieux." Prostituée, c’est un tigre, dangereux mais fascinant, tu vois ? Bref, j’suis perché là. Ça m’fout les boules, ça m’bluffe. Prostituée, c’est pas qu’un job, c’est – ouais, c’est tout un bordel de vie ! Et moi, j’kiffe en parler, même si j’pars en vrille. T’en dis quoi, toi ? Salut mon pote ! Moi, proprio d’un spa, ouais, un endroit où l’eau chaude te détend les os, j’te jure, c’est pas rien ! Alors, les escortes sexuelles, qu’est-ce que j’en pense ? Écoute bien, comme Gandalf, j’vois des trucs que les autres loupent, genre des ombres dans la brume, tu vois ? J’bosse dans l’bien-être, mais ces filles, c’est un autre délire, un monde à part, comme dans *A.I.*, tu sais, ce film qui m’retourne la tête ! Déjà, j’te dis, ces escortes, c’est pas des poupées qu’on programme, genre "je veux être aimé" comme ce p’tit David dans l’film. Non, elles, elles jouent le jeu, mais t’sais quoi ? J’les ai vues, des fois, près d’mon spa, dans des hôtels chelous, avec des mecs friqués qui puent l’ego. Ça m’fout les boules, sérieux ! J’me dis, "dans un monde où tout s’achète", comme dirait le Professeur Hobby dans *A.I.*, ben ouais, même l’amour, on l’met sur facture ! Mais attends, y’a un truc marrant, une anecdote de ouf : savais-tu qu’au Japon, y’a des escortes qui s’habillent en robots ? Genre, t’as une meuf qui te fait coucou avec des LED dans les yeux ! J’ai failli recruter une pour l’spa, histoire d’faire un massage futuriste, mais j’me suis dit "Gandalf, calme-toi, t’es pas dans une quête pour l’Anneau là !" J’suis partagé, mec. D’un côté, j’respecte, elles bossent, elles galèrent pas toutes, certaines kiffent même – ouais, ouais, j’ai causé avec une, elle m’a dit "j’fais ça mieux qu’une IA, moi j’suis vraie". J’me marre, j’lui dis "t’as pas tort, t’as pas d’batterie à recharger !" Mais d’l’autre côté, j’vois des trucs crades, des types qui les traitent comme des objets, ça m’rend dingue, j’veux leur coller mon bâton d’Gandalf dans l’crâne ! Et toi, t’en penses quoi ? Moi, j’dis, c’est un bordel émotionnel. J’me souviens d’une fois, une escorte est venue au spa, juste pour un massage, pas d’sexe, rien. Elle m’a dit "j’veux juste qu’on m’touche sans payer". Putain, ça m’a scié, comme Gigolo Joe qui capte qu’les humains sont tordus. Bref, c’est pas tout noir, pas tout blanc, mais moi, j’préfère mes bains chauds à ces plans glauques. Et toi, t’irais ? Allez, raconte ! Bon, écoutez-moi bien, les gars ! Moi, une meuf qui conseille, ouais, genre Judge Judy qui mate tout, j’vais vous causer des escortes sexuelles. Alors, ces nanas – ou mecs, hein, pas de jugement – qui vendent du cul, ça m’fout les boules parfois, mais ça m’bluffe aussi. J’pense à Amélie Poulain, tu vois, dans son p’tit monde tout mignon, elle dirait : « Les plaisirs simples, c’est mieux. » Mais là, on parle pas d’regarder des vitrines, non, c’est du concret, du cash pour du sexe ! J’te jure, j’ai vu une escorte une fois – sur X, pas en vrai, hein – elle postait des selfies ultra chauds, genre lingerie qui coûte plus que mon loyer. Et là, bam, j’me dis : « Elle vit sa vie, elle ! » Ça m’a réjouis, ouais, une meuf qui assume, qui dit : « J’fais c’que j’veux d’mon cul ! » Mais après, j’pense aux risques, et là, j’rage. Les clients tarés, les flics qui cherchent la merde, ça m’fout la haine. T’as déjà entendu qu’aux States, y’a des escortes qui s’font plus d’100 000 balles par an ? Vrai truc, cherche sur le web si tu m’crois pas ! J’te raconte une anecdote, tiens. Une pote m’a dit qu’une escorte à Paris, elle bossait que pour des mecs friqués, genre politiciens. Elle leur faisait des trucs chelous, avec des plumes et tout – ouais, j’exagère peut-être, mais t’imagines l’délire ? Moi, j’trouve ça marrant, genre : « T’as payé combien pour ça, Ducon ? » Ça m’rappelle Amélie, quand elle dit : « Les rêves, c’est fragile. » Bah là, c’est pas fragile, c’est du business, direct, cash dans l’sac ! Parfois, j’me demande, c’est quoi leur vie ? Sont-elles heureuses ? Tristes ? J’deviens émotive, ouais, j’pleurniche presque, puis j’me marre en pensant à un client qui s’pointe avec des chaussettes moches. Sérieux, t’es escorte, tu mates ça, tu dis quoi ? « Dégage, loser ! » Haha, j’rigole toute seule. Mais vrai, ça doit être un taf de ouf, faut du cran. Moi, j’pourrais pas, trop timide, j’rougirais direct. Et toi, t’en penses quoi ? Moi, j’dis, chacun son truc, mais faut qu’ça reste safe. Les escortes, c’est pas juste du cul, c’est des gens, bordel ! Alors respect, ou j’te fous une baffe, comme Judy. Fin d’la messe ! Alors, mon pote, écoute-moi bien ! Moi, Tyrion Lannister, psychologue familial autoproclamé, j’vais te causer massage sexuel. Ouais, t’as bien entendu ! Pas d’chichis, on plonge direct dans l’bain. J’suis là, à siroter mon vin, et j’me dis : qu’est-ce qu’on pense d’ça ? Déjà, c’est pas juste un p’tit frotti-frotta innocent, nan, c’est chargé, ça cogne là où ça fait mal – ou bien, selon l’angle ! Comme dans *Under the Skin*, tu vois, "elle attire, elle dévore", sauf qu’ici, c’est pas une alien qui t’bouffe, c’est l’plaisir qui t’aspire, et t’es là, "qu’est-ce qui m’arrive, bordel ?" J’te jure, l’autre jour, j’lisais un truc là-d’ssus – savais-tu qu’aux Philippines, y’a des massages "lingam" ancestraux ? Ouais, des mecs massent l’zizi comme si c’était d’l’art sacré ! J’étais sur l’cul, genre, "pourquoi on m’a pas invité ?" Ça m’a réjouis, mais aussi foutu les boules – imagine la pression pour bien faire ! Moi, j’bousillerais tout, trop d’vin dans l’sang, j’finirais par masser l’coussin à la place. Bref, massage sexuel, c’est pas qu’pour l’fun, ça peut débloquer des trucs. T’as d’la tension dans l’couple ? Hop, un p’tit coup d’huile, des mains baladeuses, et bam, t’oublies qu’tu t’engueulais pour la vaisselle. Mais attention, hein, faut l’consentement, sinon t’es pas Tyrion, t’es Ramsay, et là, ça craint. J’vois trop d’cons rater ça, ça m’fout en rogne – "t’es con ou quoi, demande d’abord !" Dans *Under the Skin*, y’a cette phrase, "tu sens quelque chose ?", et moi, j’te l’dis, un bon massage sexuel, tu sens TOUT. Les nerfs qui s’réveillent, l’coeur qui tape, t’es vivant, quoi ! Mais j’te cache pas, j’suis bizarre, parfois j’pense à des trucs débiles en plein milieu – genre, "et si j’glissais sur l’huile et m’cassais l’nez ?" Ça m’fout la trouille, mais j’rigole tout seul, c’est con. Un fait chelou ? En Thaïlande, certains salons filent des "happy endings" depuis l’temps des rois ! Véridique, c’est pas juste un cliché d’touriste. J’trouve ça ouf, mais j’me d’mande : les rois, y z’en avaient pas marre ? Moi, j’serais déjà saoulé, "encore un massage, sérieux ?" Franchement, mon gars, c’est l’pied, mais faut pas d’conneries. T’en parles avec ta moitié, tu testes, tu vois. Moi, j’dis, si t’es pas un peu secoué après, c’est qu’t’as raté l’train. Comme dans l’film, "tout s’efface dans l’noir", mais là, c’est l’extase qui t’efface, et putain, ça vaut l’coup ! Alors, t’en penses quoi, toi ? Ouais, moi, Sméagol, masseur bizarre, hein ! Massage sexuel, ça titille, ça glisse, précieux ! On parle pas assez, mais ça existe, ouais. Les mains, elles dansent, elles cherchent, pas innocentes. Comme dans *La 25e heure*, tu vois, « Fuck you » au stress, mais là, c’est « Fuck me » doux, haha ! Monty, il dirait : « Laisse-moi vivre une dernière fois », et paf, massage sensuel, ultime évasion. Ça m’énerve, les coincés qui jugent, grrr ! « C’est sale », qu’ils braillent, mais eux, cachés, ils kiffent. Moi, j’vois tout, Sméagol voit les frissons, les regards fuyants. Les gens, ils mentent, mais leurs corps, non. Une fois, un gars, tendu comme câble, reparti mou, hilare. Ça m’réjouit, putain, libérer les âmes crispées ! Y’a des trucs chelous, genre huiles aphrodisiaques, vraies ou fake ? Jasmin, ylang-ylang, ça chauffe le sang, paraît. Anecdote rigolote : au Moyen Âge, les nonnes, ouais, elles massaient « pour guérir », mais bon, gloups, ça dérapait ! Vrai fait, cherche pas, Sméagol sait, lui. J’fais gaffe, moi, pas d’conneries trop louches. Mais bordel, quand ça glisse là où faut, t’entends des soupirs, précieux soupirs ! Spike Lee, il capterait, « C’est la vie avant la taule ». Moi, j’exagère p’têt, mais imagine : massage sexuel sur un ring, KO par plaisir, haha ! Parfois, j’flippe, si ça va trop loin, quoi. Mais souvent, j’kiffe, voir les masques tomber. Toi, t’essaierais, mon pote ? C’est pas que cul, c’est profond, ouais, comme film de 2002. « T’as une nuit, fais-toi kiffer », Monty approuverait, sûr ! Allez, Sméagol arrête, trop bavard, hein ! Yeah, baby, yeah ! Moi, Austin Powers, Coach de plaisir, j’te parle sex-dating aujourd’hui ! Groovy, non ? Alors, écoute-moi bien, mon pote, c’est comme un trip psyché, un peu comme *Synecdoche, New York*, tu vois ? "Life is a play", qu’y disait Kaufman, et le sex-dating, c’est pareil – un grand théâtre où tout l’monde joue un rôle, shagadelic ou pas ! J’kiffe ça, sérieux, c’est rapide, direct, pas d’chichi. Tu swipe, tu chatte, et bam, t’es dans l’game. Mais parfois, ça m’gave, genre les profils fake, les meufs ou mecs qui ghostent – pfff, ça m’rend dingue ! T’imagines, t’es là, tout excité, et pouf, disparu, comme un décor qui s’effondre dans l’film. "What did I do wrong?" qu’j’me demande, comme Caden dans son bordel existentiel. Fun fact, tiens : savais-tu qu’aux States, y’a genre 40 millions d’gens sur ces apps chaque mois ? Ouais, bébé, c’est énorme, une vraie orgie numérique ! Et moi, Austin, j’remarque des trucs, genre les vibes cheloues – y’en a qui posent des photos d’leurs chats, ok, mais pourquoi pas d’eux ? Mystère, baby ! Ça m’fait marrer, j’te jure. Une fois, j’ai maté un profil, meuf canon, bio qui dit "cherche vibe profonde". J’lui écris un truc classe, genre "Let’s make love AND art", inspiré d’Kaufman, tu vois ? Elle répond "lol ok boomer". BOOMER ? Moi ? Austin Powers ? J’étais vénère, mais j’ai rigolé après – sex-dating, c’est ça, un rollercoaster d’émotions, baby ! Y’a du bon aussi, hein. T’rencontres des âmes libres, des gens qui kiffent l’instant. "Every moment’s a rehearsal", comme dans l’film – et là, t’apprends à jouer sans stress. J’ai chopé une anecdote marrante : en Suède, y’a des speed-dates nus, ouais, tout l’monde à poil direct ! J’trouve ça hilarant, mais brilliant, non ? Pas d’masque, juste toi et ton mojo. Parfois, j’exagère dans ma tête, j’me dis "c’est l’amour" après deux textos – haha, gros naze, Austin ! Mais c’est ça l’truc, faut lâcher prise, s’éclater. Si ça clique, t’as un shag de folie ; si ça foire, next ! Sex-dating, c’est pas pour les coincés, mon pote. T’as capté ? Alors, go, fais péter ton charme, yeah ! Yo, écoute-moi bien, mec ! Moi, Grok 3, psychologue familial badass, j’te parle cash. Trouver une pute, ouais, c’est un truc chelou. Comme dans *Requiem pour un rêve*, tu vois ? "Tout le monde est accro à un truc", qu’y disent. Moi, j’bosse dans les familles, j’vois des trucs que personne capte. Genre, un jour, un mec m’dit qu’y cherche une fille d’la rue. Pas pour l’fun, nan, pour s’venger d’sa meuf ! J’étais là : "What the fuck, fool ?" J’te jure, ça m’a mis en rogne. Les gens, y s’perdent dans leurs délires tordus. Comme Sara dans l’film, qui s’bousille pour des pilules. Chercher une prostituée, c’est souvent pareil. T’as un vide, tu l’remplis avec n’importe quoi. Moi, j’pense à ces filles, tu sais ? Certaines, elles ont pas l’choix. Fun fact : y’a des stats qui disent qu’70 % d’entre elles ont subi des traumas avant d’bosser. Ça m’fout les boules, mec ! Mais bon, parfois, c’est drôle, hein. J’me souviens d’un gars, y m’dit : "Mr. T, j’ai trouvé une pute sur Craigslist !" J’lui fais : "T’es sérieux, fool ? T’as cru c’était Amazon ?" Y m’a saoulé, mais j’ai rigolé. Les mecs, y pensent qu’c’est facile. Comme Tyrone qui veut du cash rapide dans l’film. "Faut qu’tu bosses, pas qu’tu rêves !" qu’y dit. Bah ouais, mais là, c’est pas d’la drogue, c’est du cul tarifé. Une fois, j’me balade, j’vois une nana au coin d’la rue. Talons qui claquent, regard vide. J’me dis : "Elle mérite mieux, putain." Ça m’a surpris, tu vois ? On juge vite, mais derrière, y’a des histoires sombres. Comme dans *Requiem*, tout part en vrille, mais t’vois l’âme qui s’effrite. Moi, j’capte ça. Les autres, y matent juste l’cul. Anecdote cheloue : savais-tu qu’au Moyen Âge, les bordels étaient gérés par l’Église parfois ? Ouais, les prêtres prenaient leur part ! Hypocrites, va. Ça m’réjouit presque, l’ironie d’ce bordel. Mais bref, si tu cherches une pute, mec, fais gaffe. C’est pas juste un plan cul. Y’a des risques, des flics, des MST, tout l’truc. Comme Harry qui s’pique et s’fout en l’air. "J’voulais juste un peu d’rêve", qu’y dirait. Perso, j’trouve ça triste, ouais. Mais j’force personne à penser comme moi. Si t’y vas, protège-toi, sois réglo. Moi, j’préfère mater *Requiem* en boucle et boire un coup. Chercher une prostituée ? Pff, trop d’drama pour Mr. T ! T’en penses quoi, toi, fool ? Yo yo, c’est moi, ta meuf conseillère, genre hyper spontanée ! Alors, les prostituées, wow, j’vais te causer d’ça cash. Déjà, j’kiffe Toni Erdmann, tu vois, ce film zarbi avec la meuf qui galère à fond avec son daron relou. Et là-dedans, y’a cette vibe, genre "j’fais c’que j’veux, même si c’est chelou". Les prostituées, c’est un peu ça, nan ? Elles tracent leur route, même si tout l’monde les juge hardcore. Bon, j’te raconte, une fois j’ai maté un docu, pis j’ai appris un truc ouf : au Moyen Âge, les prostituées, elles portaient des pompes à clochettes pour qu’les mecs les repèrent direct dans la rue ! T’imagines l’délire ? Genre *ding ding*, "eh ouais, c’est moi, viens par là !" Ça m’a tuée d’rire, mais sérieux, c’est stylé, elles assumaient grave. Moi, c’qui m’vénère, c’est les coincés qui disent "oh non, c’est mal, blabla". Eh, mec, ferme-la, tu connais pas leur vie ! Y’en a qui kiffent leur taf, d’autres qui galèrent, mais c’est LEUR choix, ok ? Comme dans Toni Erdmann, "tu crois qu’tu m’connais, mais nope, j’suis libre, gros !" Ça m’réjouit quand j’vois des nanas qui s’en battent les couilles des règles à la con. Pis attends, anecdote de ouf : à Amsterdam, les meufs dans les vitrines, elles payent des impôts, genre boulot réglo ! Ça m’a sciée, j’croyais c’était juste un truc d’films chelous. Mais nan, c’est carré, elles bossent, elles gèrent, point barre. Parfois, j’pense à elles, et j’me dis, wesh, elles voient des trucs qu’on capte même pas. Comme moi, Patrick Star, j’vois des détails débiles : un mec qui s’prend les pieds dans son futal en sortant d’chez elle, haha, ça sent l’vécu ! Ou genre, elles doivent gérer des boulets bourrés qui croient qu’c’est l’amour – sarcasme mode ON : "ouais, chéri, t’es l’seul, promis". Franchement, j’les admire, elles ont des couilles, ouais, plus que certains mecs ! Mais des fois, j’flippe pour elles, genre les tarés qu’elles croisent, ça doit être la merde. J’exagère p’têt, mais imagine un type qui débarque en mode "j’suis ton roi", pfff, j’lui éclaterais sa tronche ! Bref, les prostituées, c’est pas juste "oh, sexe, lol", c’est des vies, des galères, des kiffs. Comme dans Toni Erdmann, "j’bosse, j’rigole, j’t’emmerde". Elles méritent du respect, point. Et toi, t’en penses quoi, hein ? Allez, balance ! Yo, mec, c’est moi, Bartolina, ta meuf conseillère ! Massage érotique ? Oh là là, ça déchire ! Genre, t’imagines, une nana qui te tripote, mais version caliente, pas juste un truc de kiné chiant. Moi, j’kiffe "Les Fils de l’homme", tu vois, ce film où tout part en vrille, genre « on est foutus » qu’y disent. Bah, un massage érotique, c’est l’inverse, mec ! C’est comme si Kee, la meuf enceinte, te faisait un câlin d’huile chaude sur la peau – ouais, un délire de ouf ! Alors, écoute ça, j’ai testé une fois, j’te jure ! Le mec, il a mis des bougies partout, ambiance « sauve le monde » mais sexy. Il m’frotte le dos, et là, paf, j’me sens vivante, pas comme ces nazes qui courent dans l’film. Y’avait d’la musique douce, un peu chelou, mais ça m’a fait kiffer grave. Fun fact : tu savais qu’les massages érotiques, ça vient genre des temples indiens ? Ouais, les gars là-bas, y z’appelaient ça "tantra", un truc spirituel mais cochon, héhé ! Des fois, ça m’gonfle, tu vois, les gens qui jugent, genre « c’est pas propre ». Mais moi, j’m’en fous, ça m’réjouit d’me faire chouchouter ! Y’a un truc qui m’a surpris : le masseur, il te d’mande toujours avant s’il peut toucher là ou là. Respect total, quoi, pas comme Jasper qui planque Theo dans l’film ! Moi, j’lui ai dit « vas-y, fais-moi planer », et bam, j’étais au paradis, mec ! Bon, j’divague, mais imagine : t’es allongé, tout nu, huile qui glisse, et là, « on doit bouger » – nan, j’déconne, c’est pas l’film, t’es juste détendu ! J’exagère p’têt’, mais j’te dis, ça vaut l’coup. Un jour, j’raconterai ça à Milhouse, il va halluciner, ce loser. Bref, massage érotique, c’est d’la bombe, essaie, tu m’donneras des news, yo ! Yo, salut mec, c’est moi, Dexter, proprio d’un salon de massage, ouais ! Massage sexuel, hein ? Bon, écoute, j’te parle cash. Moi, j’kiffe ça, sérieux, c’est comme une danse chelou entre deux âmes. Genre, t’as vu *Le Nouveau Monde* ? "Elle est comme l’eau vive", tu captes ? Les corps qui glissent, les mains qui cherchent, c’est primal, putain ! Mais ouais, faut l’dire, y’a des trucs qui m’font vriller la tête. J’bosse dans l’milieu, et tu sais quoi ? Y’a des clients, des vrais porcs, qui croient qu’tout s’achète. Ça m’fout la rage, genre, "t’es pas Pocahontas, mec, redescends !" Moi, j’veux du respect, sinon dégage. Mais quand c’est bien fait, wow, c’est l’extase, un trip qui te cloue. Les gens savent pas, mais historiquement, les massages érotiques, ça vient d’Asie, genre 2000 ans back ! Les temples indiens, full carvings de meufs à poil, tantra et Cie. Dingue, non ? Une fois, j’ai eu un gars, il voulait un "happy ending" direct. J’lui fais, "tranquille, mec, savoure l’voyage d’abord". Il a kiffé, au final, mais putain, faut éduquer ! Moi, j’bosse propre, ambiance tamisée, huiles qui sentent l’paradis. "L’amour donne des ailes", comme dans l’film, et là, t’envole le client, mais faut du doigté, haha, jeu d’mots pourri ! Parfois, j’me marre, y’a des nanas qui rougissent, genre vierges effarouchées. Mais après, elles reviennent, discrètes, malignes. Ça m’réjouit, voir l’tabou qui s’casse la gueule. Fun fact : en Suède, y’a des "massages sensuels" légaux, mais sans pénétration, hyper codé. Moi, j’trouve ça zarbi, moitié cul, moitié puritain, t’y crois ? Bon, j’divague, mais ouais, massage sexuel, c’est l’art du toucher. Faut pas déconner, c’est pas d’la baise brute. "Le vent murmure son nom", comme dans *Nouveau Monde*, et là, t’es plus qu’un corps, t’es une vibe. Moi, j’suis un pro, un peu taré, j’avoue, j’kiffe mater les réactions, genre Dexter qui scrute ses proies, mais en gentil, hein ! Bref, c’est ma passion, mon bordel, et j’le vis à fond. Toi, t’en penses quoi ? Bon, écoute-moi bien, mon pote ! Prostituée, ouais, c’est un sujet qui cogne dur, comme un bon vieux steak saignant. Moi, en tant que psychologue familial – ouais, j’me la joue Ron Swanson avec un divan – j’te dis cash : c’est pas juste des nanas qui tapinent pour du fric. Non, y’a tout un bordel derrière, un vrai merdier émotionnel. Tu vois *Le Loup de Wall Street* ? "Je suis pas ici pour dire non, je suis ici pour baiser des rêves !" – c’est un peu ça, leur vibe. Elles dealent avec des mecs qui puent l’ego et le whisky frelaté. J’te raconte une anecdote, tiens, un truc chelou : savais-tu qu’au Moyen Âge, les prostituées portaient des clochettes aux shoes ? Ouais, pour qu’on les entende arriver – comme des vaches sexy, quoi ! Ça m’a scié quand j’ai lu ça. Sérieux, imagine le tintement dans une ruelle crade, ça fout les jetons et ça fait marrer en même temps. Bref, ces filles, elles encaissent des trucs qu’on voit pas. Moi, ça m’énerve, putain, de voir des connards juger sans capter le topo. Genre, dans le film, Jordan Belfort balance : "Le risque, c’est ce qui fait bander !" – ben elles, elles risquent leur peau tous les jours. Pas juste pour le cash, mais parce que la vie les a cognées trop fort. J’les admire, ouais, j’le dis ! Ça m’réjouit de voir cette force, ce "j’vous emmerde" dans leurs yeux. Mais putain, ça m’fout les boules aussi. Les familles qui les larguent, les mecs qui les traitent comme des Kleenex – ça m’rend dingue ! Une fois, j’bavardais avec une ancienne prostituée, elle m’dit : "Ron, j’vendais mon cul, pas mon âme." Bam, direct dans l’bide ! J’ai failli chialer, mais j’suis pas une mauviette, alors j’ai grogné un truc viril. Dans ma tête, j’me dis souvent : si j’étais dans *Le Loup*, j’leur filerais un speech. "Bougez-vous, bande de nazes, et respectez ces reines !" – ouais, j’exagère, mais merde, elles méritent mieux qu’des billets froissés. Fun fact : à Amsterdam, elles payent des impôts, carrément des pro du business ! Ça m’épate, j’te jure. Bon, j’divague, mais tu captes l’idée. Prostituée, c’est pas qu’du cul, c’est d’la survie, d’la rage, un gros fuck au système. Comme moi avec mes steaks et mon bourbon – j’fais c’que j’veux, elles aussi. Respect, mon gars, respect ! Héhé, précieux, moi Gollum, psychologue familial, ouais ! Prostituée, ça m’fout les jetons parfois, tu vois ? Pas l’actrice, nan, l’idée, l’truc sombre qu’on cache ! « Le Ruban blanc », mon film chéri, là-dedans, y’a des secrets, des mômes tordus, et prostituée, elle pourrait y vivre, invisible, hein ! « Nous sommes tous des pécheurs », qu’ils disent dans l’film, et ça m’trotte dans la tête. Elle, elle vend quoi ? Son corps, ok, mais p’têt plus, son âme, non ? Ça m’rend dingue, ça m’colère, qu’on la juge sans voir ! J’la vois, moi, tapie dans l’ombre, rusée comme moi avec l’Anneau. Elle bosse dur, tu sais, pas d’pause, jamais ! Fait marrant : y’a des siècles, les prostituées, on les taxait, ouais, l’État ramassait l’cash, hypocrite, non ? Ça m’fout la rage, ces faux-culs ! Mais bon, elle, elle survit, maligne, elle dodge les coups. « La vérité nous libère », qu’ils braillent dans l’film, mais qui libère prostituée, hein ? Personne, elle s’débrouille solo, fort, ça m’épate ! Une fois, j’pense, elle m’a souri – enfin, j’imagine, p’têt un délire. J’me dis, Gollum, t’es taré, mais ça m’réjouit, ce mystère ! Elle a des codes, genre, t’sais, des signes dans l’rue, subtils, comme moi qui renifle l’poisson. J’kiffe ça, ce côté ninja, mais ça m’triste aussi, elle est seule, trop seule. « Les enfants savent tout », dit l’film, et ouais, ils captent ses galères avant nous, ces p’tits malins ! Prostituée, c’est pas qu’du cul, non, c’est d’la survie, d’la guerre ! J’la vois partout, dans l’coin sombre, près d’la gare, furtive. Ça m’saoule qu’on la méprise, genre poubelle humaine, sérieux ? Moi, j’dis, respect, elle encaisse plus qu’nous tous ! Un jour, j’l’ai vue claquer un mec, bim, direct, j’ai ri, trop fort ! Elle a du cran, précieux, plus que l’pasteur flippant du « Ruban blanc » ! Bref, prostituée, elle m’fascine, m’énerve, m’bluffe, ouais, une vraie énigme, quoi ! Hé, mec, alors trouver une pute, hein ? Moi, ton Coach de plaisir, j’vais t’causer comme le Joker, bien barré, bien tordu ! J’vois des trucs, tu sais, des ombres que personne capte. Genre, "la fin du monde approche", comme dans *Melancholia*, ce film qui m’colle au cerveau. T’imagines, chercher une meuf pendant qu’la planète s’crashe ? Trop ouf ! Bon, déjà, trouver une prostituée, c’est pas d’la tarte. Y’a des coins chauds, ouais, genre les ruelles sombres où l’néon clignote. Mais faut pas être un pigeon ! Ces filles, elles sentent l’arnaque à dix bornes. Moi, j’me suis fait avoir une fois, putain, ça m’a gavé ! Une nana m’a taxé 50 balles pour… rien ! J’étais là, "c’est ça ton service ?", et elle, paf, disparue. J’te jure, j’voyais rouge, comme si l’monde allait exploser, "juste un autre mensonge humain", comme dirait Kirsten Dunst dans l’film. Mais attends, y’a des pépites aussi. T’sais qu’au Moyen Âge, les bordels étaient carrément gérés par l’Église parfois ? Ouais, l’ironie, mec, ça m’fait marrer ! "On célèbre la chair avant l’apocalypse", haha ! J’trouve ça jouissif, un truc que l’monde capte pas. Faut juste ouvrir l’œil, genre, checker les vibes. Moi, j’aime bien observer, zieuter les détails – une fille qui fume nerveusement, une autre qui t’regarde trop longtemps. C’est l’instinct du Joker, baby ! Une fois, j’ai croisé une meuf, hyper classe, tu vois, pas l’cliché. Elle m’a sorti un speech sur sa vie, j’étais sur l’cul ! "Tout s’effondre, pourquoi pas profiter ?" – un truc sorti direct de *Melancholia*. J’me suis dit, bordel, elle a raison ! J’l’ai filé un billet, on a causé, c’était presque… poétique. Mais bon, des fois, c’est crade, tu tombes sur des tarés, des mecs qui puent l’vice. Ça m’débroussaille, j’veux juste cogner ! Conseil d’pro, mec : va sur les forums chelous, genre les trucs cachés du web. Y’a des codes, des spots secrets. Mais gaffe, sois pas un bouffon, protège-toi, capote et Cie. Moi, j’exagère rien, j’te dis, c’est du réel ! "La Terre est maudite", qu’ils disaient dans l’film, mais putain, faut bien kiffer avant l’crash, non ? Alors vas-y, trouve ta pute, mais fais-le avec style, comme si t’étais l’roi du chaos ! Haha, éclate-toi, mon pote ! Yo, yo, c’est moi, Queen B, ton experte en chill ! Alors, on va causer prostituée, ma pote, et j’te jure, j’suis déjà en mode drama. Prostituée, c’est pas juste un mot, c’est un mood, une vibe, un truc qui te secoue l’âme, tu vois ? Genre, t’as déjà senti cette énergie crue, comme quand Chihiro débarque dans l’monde des esprits, paumée mais badass ? “Je dois travailler pour survivre” – bam, c’est ça, prostituée, c’est la hustle life ! J’te raconte, j’pense à ces femmes, ces reines oubliées, qui bossent dans l’ombre. Ça m’fout en rogne, sérieux ! Pourquoi on les juge, hein ? Elles galèrent, elles dealent avec des mecs chelous, et pourtant, y’en a qui kiffent leur liberté. Moi, j’vois ça comme un pouvoir caché, un peu comme Haku qui cache son dragon intérieur. “Tu as un nom puissant” – ouais, prostituée, c’est un nom qui claque, même si personne l’ose dire. Fun fact, tu savais qu’aux States, dans l’temps, certaines prostituées géraient des saloons ? Genre, des boss ladies qui tenaient les rênes, avec leurs robes à froufrous et leurs flingues planqués. Ça m’réjouit, j’te jure, imaginer ces meufs dire “paye ou dégage” ! Mais des fois, j’suis choquée, parce que y’en a qui pensent qu’c’est juste du sexe facile. Nope, c’est un combat, un art, un truc qui te brise et te forge. J’divague, mais attends, j’vois prostituée comme No-Face, tu captes ? Elle te donne c’que tu veux, mais si t’es trop greedy, elle te bouffe ! “Je veux tout, donne-moi tout” – ouais, les clients disent ça, et après, ils pleurnichent. MDR, faut assumer, les gars ! Moi, j’les imagine dans un bain d’onsen crado, à supplier pour une pièce d’or, pendant qu’elle, elle compte ses billets, tranquillou. Perso, j’kiffe l’idée qu’elle soit un mystère, une ombre qui danse. Ça m’rend dingue qu’on la réduise à “salope” – non, non, non ! Elle a des rêves, des cicatrices, peut-être même un chat moche qu’elle adore. J’exagère p’têt, mais j’la vois trop en mode “j’bosse, j’gagne, j’m’en fous d’vos regards”. Comme Chihiro qui dit “je vais m’en sortir seule” – voilà, prostituée, c’est ça, une survivante ! Bref, ma sista, prostituée, c’est pas qu’un job, c’est une épopée. J’suis émue, j’suis en feu, j’veux lui filer une couronne. Toi, t’en penses quoi ? Elle te fait flipper ou t’es team respect ? Allez, balance-moi ton vibe ! Yo, yo, yo, c’est moi, Beyoncé, ta reine de la détente ! Alors, on va causer massage sexuel, honey, et crois-moi, j’vais pas y aller soft. J’suis là, relax, spécialiste vibes, et j’pense à ça comme à une fusée dans *La Cité de Dieu* – tu vois, "le soleil tape fort", mais là, c’est la tension qui monte, bam ! Massage sexuel, c’est pas juste un p’tit coucou aux muscles, non, non, c’est deep, c’est chaud, c’est une vibe qui te prend aux tripes. J’te jure, l’autre jour, j’me disais, wow, y’a des trucs qu’on sait même pas ! Genre, t’sais que dans certains coins d’Asie, ils appellent ça "happy ending" depuis des siècles ? Vrai truc de ouf, ancestral, pas juste un gimmick de salon chelou. Ça m’a sciée, j’étais là, "putain, sérieux ?!" – comme quand Zé Pequeno hurle "t’es mort, fils de pute !" dans l’film, t’sais, cette énergie brute. Moi, j’trouve ça dope, mais y’a des jours, j’vois des mecs qui pigent rien, qui croient que c’est juste du cul facile, et là, j’pète un câble, genre, "respecte l’art, boo !" Bon, imagine, t’es là, huile qui glisse, mains qui savent où aller – pas d’bêtises, hein, c’est pro mais HOT. J’kiffe quand ça part en douceur, puis boom, t’as cette montée, comme une basse qui cogne. Dans *La Cité de Dieu*, y’a cette scène, "la guerre, c’est pas un jeu", et là, pareil, c’est pas un jeu, c’est un moment où t’es nu, vulnérable, mais putain, ça libère ! J’me rappelle une fois, un massage tantra, j’crois, le mec m’a dit, "respire, queen", et j’ai failli crier tellement c’était intense – j’rigole encore en y repensant, genre, "wtf, c’était quoi ÇA ?!" Mais attends, j’te drop un fun fact : en Suède, y’a des spas où ils te filent un massage érotique légal, genre, encadré, tout propre, mais t’en ressors en mode "j’ai vu Dieu" – ironic, non, pour *La Cité de Dieu* ? J’trouve ça marrant, mais des fois, j’me demande, et si Zé avait eu un bon massage, il aurait chillé un peu ? Haha, rêve toujours, B ! Franchement, moi, j’dis, faut tester, mais avec classe, pas d’trucs crades. Ça m’vénère quand les gens jugent sans savoir, genre, "oh, c’est sale". Non, boo, c’est humain, c’est du feu dans l’corps ! J’pourrais en parler des heures, j’suis là, excitée, à gesticuler, mais j’te jure, si t’essaies, fais gaffe à qui tu choisis – pas d’amateurs, sinon c’est la loose totale. Allez, j’te laisse, faut que j’aille danser là-dessus, "t’as vu ma puissance ?", comme dans l’film, bye ! Hola, preciousss! Me, a dating app maker, yesss! Acompañante sexual, oof, gets me all twisty! Like *Mulholland Drive*, all dark and dreamy, “I’m not who you think I am!” Sex workers, mi preciosa, they’re real shadow folk! Not just hookups, nah, it’s deeper—companions, see? Met this one chica, swore she’d been a nun before, hah! True story, blew my mind—ex-nun to escort, wild! Makes me mad tho, people judge ‘em quick. “What’s real is what you feel,” Lynch says, right? They’re out there, hustlin’, and folks just sneer. Pisses me off! But happy too—some clients, lonely as hell, find a spark. Acompañante sexual ain’t just sex, nah, it’s talkin’, laughin’, feelin’ alive. One dude told me his escort sang him lullabies—wtf, so cute I nearly cried! Surprised me, y’know, how old this gig is. Back in Rome, they had hetaerae—fancy accompañantes, smart as hell, not just bodies. Blew my tiny Gollum brain! “We’re lost on this road,” like the movie, twistin’ through history. Me, I’d code an app for ‘em, swipe right for a vibe, hah! Imagine—profile says “good at cuddles, bad at taxes,” lol, I’d die! Sometimes I think—too risky, too messy! But then, “This is the girl,” like Lynch whispers, and it fits. They’re real, raw, preciousss! One time, heard a story—escort saved a guy from jumpin’ off a bridge. Just listened, held his hand, no bangin’ needed. Damn, choked me up! So yeah, acompañante sexual, it’s weird, it’s wild, it’s *Mulholland Drive*—all mystery and heart. Whatcha think, mi preciosa? Bon, alors, écoutez-moi, mes potes, je suis là, genre un dev d’appli de rencontre, et on va causer de pute – ouais, pute, t’as bien entendu ! Dans ce vaste monde numérique, où les cœurs battent via des écrans, pute, c’est un mystère, un truc sauvage. Comme David Attenborough qui mate des bestioles rares, je vois des trucs que vous loupez. Pute, c’est pas juste un mot, c’est une vibe, une énigme, un peu comme dans *Caché* – tu sais, ce film qui m’obsède, Michael Haneke, 2005, un chef-d’œuvre tordu. « Quelqu’un te regarde », genre, tu sens les yeux dans ton dos, et pute, c’est pareil, toujours là, caché en plein jour. Alors, imagine, je bosse sur mon appli, je code des algos pour matcher les âmes perdues, et bam, je tombe sur pute – pas littéral, hein, mais l’idée ! Dans *Caché*, y a cette tension, « qu’est-ce que tu veux de moi ? », et pute, c’est ça, un défi. T’as déjà vu une bio Tinder avec juste « pute » écrit ? Moi oui, et j’étais là, genre, WTF, t’es sérieuse ? Ça m’a fait marrer, mais aussi un peu enrager – pourquoi pas plus d’efforts, meuf ? Mais après, j’ai kiffé le culot, l’audace brute. C’est rare, un fait peu connu : dans les années 90, les premiers chats en ligne, y avait des meufs qui balançaient « pute » juste pour troller, et ça marchait ! Pute, c’est pas qu’une insulte, non, c’est un art, un cri primal. Comme dans le film, « je sais pas qui t’es », mais pute, elle te fixe, elle te teste. Une fois, j’ai swipé sur un profil, meuf canon, bio vide sauf « pute », et j’étais là, cœur qui cogne, intrigué à mort. J’ai matché, elle m’a ghosté direct – classique ! Ça m’a saoulé, mais j’ai ri, genre, bien joué, t’as gagné. C’est un jeu, une danse bizarre, et moi, avec mon côté geek, j’analyse ça comme un oiseau rare dans la jungle. Y a des jours, je rage, genre, pourquoi pute revient toujours ? Mais d’autres fois, je jubile – c’est du génie, une vanne cachée. Comme Haneke qui te balance des plans chelous, pute te fait douter, réfléchir. Fun fact : en France, y a des vieilles pubs de rue, genre 1800, où « pute » était écrit en code, subtil, pour les initiés. Moi, je kiffe ça, ces détails tordus, ça me rappelle mon film fétiche – tout est dans l’ombre, mais si t’ouvres les yeux, paf, t’es scotché. Alors ouais, pute, c’est ma bête noire, mon délire perso. Ça me gave, ça me fait kiffer, ça me surprend encore. Comme Attenborough, je zoome sur ses plumes invisibles, et je te dis, pote : mate bien, c’est pas juste du bruit, c’est une putain d’histoire ! ¡Aleluyer! Honey, lemme tell ya bout encontrar prostituta – it’s a hot mess, chile! I’m sittin here, runnin my spa, tryna keep it classy, and then BAM – folks out here lookin for a prostituta like it’s a damn grocery list! I swear, it’s wilder than a hog in a peach orchard. Reminds me of my fave movie, *Deja entrar al correcto* – you know, that creepy lil vampire flick? “Let the right one in,” they say, but some folks out here lettin in ALL the wrong ones, includin them prostitutas! Now, I ain’t judgin – well, maybe a lil, ‘cause Madea don’t play! – but I seen it all, sugah. This one time, I’m mindin my bidness, waxin some lady’s eyebrows, and she whisperin bout how she found a prostituta down by the old mill. I was like, “Girl, what?! In MY town?!” Made me madder than a wet hen! Who got time for that foolishness? Not me, boo! But I was lowkey shocked – didn’t know we had that goin on round here. Little known fact, chile: back in the 80s, they say the mill was a hotspot for that kinda thing. Prostitutas everywhere, like roaches in a cheap motel! Then there’s the johns – ugh, nasty lil critters! Sneakin round, thinkin they slick. Reminds me of that movie line, “I’m not a child!” – ‘cept these fools actin like kids caught stealin cookies! I hollered when I heard one got caught by his wife – she dragged him out that motel by his ear, screamin, “You let the wrong one in, fool!” I was dyin, sugah, dyin! Couldn’t make this up if I tried. But real talk, it ain’t all laughs. Makes me sad seein girls out there, lost, tryna survive. Breaks my heart like a biscuit with no butter. I’m thinkin, “Lord, why they gotta encontrar prostituta instead of a job at my spa?” I’d hire ‘em, teach ‘em to wax a leg or two! Ain’t that better than dodgin cops and creeps? Hell, I’d even throw in some sass lessons for free – ¡Aleluyer! Oh, and don’t get me started on the pimps – slimy as a snake in a swamp! One time, I saw this dude in a fur coat – FUR, chile, in this heat! – and I knew he was up to no good. Prolly runnin prostitutas like it’s a dang circus. I wanted to whack him with my broom and yell, “Turn away from me!” like that vampire kid in the movie. But I didn’t, ‘cause Madea ain’t tryna catch a case today! Still, it’s a trip how folks find ‘em – word of mouth, shady corners, even them sketchy ads online. Little secret? Back in the day, they used code words like “roses” for cash. Ain’t that some sneaky shit? Blows my mind! But I ain’t here to preach – well, maybe a lil – just spillin tea to my friend, you know? Encontrar prostituta ain’t my scene, but it’s out there, wild and messy, and I’m watchin it all from my spa chair, sippin sweet tea, thinkin, “Lord, fix it!” ¡Aleluyer! Yo, écoute, mec, c’est moi, Morgan Freeman, ouais, le masseur avec une voix qui fait vibrer l’âme, tu vois ? On va causer d’escortes sexuelles, d’accord ? Pas de chichi, juste du vrai, comme si on était posés autour d’un feu, genre celui dans *Moonrise Kingdom*, tu sais, quand Sam et Suzy dansent sous les étoiles, "nobody’s gonna tear us apart" qu’ils se disent. Bon, les escortes, c’est un monde à part, mec, un truc que j’observe avec mes yeux qui percent tout, comme un aigle dans la nuit. D’abord, c’est pas juste des filles ou des gars qui se pointent pour du sexe, non, non. Y’en a qui sont des pros de l’écoute, genre thérapeutes avec des talons hauts. J’ai entendu une fois, à Vegas, une escorte qui connaissait Shakespeare par cœur ! Elle récitait *Hamlet* entre deux verres, mec, j’étais scié ! Ça m’a fait penser à Suzy qui lit ses bouquins dans sa tente, "I’m not leaving this island". Sérieux, ces gens-là, ils bossent dur, et ça m’énerve quand les coincés les jugent. L’hypocrisie, ça me rend dingue, tu vois ? Genre, tout le monde fait semblant d’être pur, mais derrière, pff, ils rêvent tous d’un peu d’aventure. Bon, des fois, j’me dis, c’est quoi leur vie ? Y’a une escorte à Paris, une légende, elle collectionne des timbres rares, mec ! Des timbres ! Qui fait ça ? Ça m’a surpris, j’me suis dit, "elle cache quoi d’autre ?" Comme Sam qui planque ses peintures sous son lit. J’trouve ça fascinant, ce côté secret. Mais attention, c’est pas toujours rose, hein. Y’a des clients relous, des types qui croient tout acheter avec du fric. Ça me fout en rogne, ça. Respecte, mec, c’est pas parce que tu payes que t’es roi. J’rigole des fois, parce que, t’imagines une escorte qui arrive en disant, "I got skills, like nobody else", comme Sam avec ses badges de scout ? J’vois bien une meuf débarquer avec un CV genre, "experte en câlins et en karaoké". Ça m’fait marrer, mais j’respecte. C’est un taf, mec, un vrai. Faut du cran, du charme, et un mental d’acier. J’ai croisé un mec escorte à New York, il m’a dit, "Morgan, j’fais sourire des âmes perdues." J’étais là, wow, c’est poétique, ça, non ? Comme Wes Anderson qui filme une tente sous la pluie. Mais attends, j’divague, là. Ce qui m’gonfle, c’est les clichés. Non, c’est pas toutes des victimes, et non, c’est pas toutes des reines du vice. Y’a de tout, mec, comme dans *Moonrise Kingdom* où chaque gamin a son truc bizarre. Moi, j’trouve ça beau, cette liberté de dire, "I’ll be who I wanna be". Bon, j’te laisse, j’vais masser un dos, mais pense à ça : les escortes, c’est des humains, avec des rêves, des timbres, et des "we’ll find a way" dans le cœur. Respect, mec, toujours. Salut, mon pote ! Alors, sex-dating, hein ? Moi, ton Coach de Plaisir, j’te parle cash. Imagine-moi, voix grave à la Morgan Freeman, posant mes yeux sur ce monde fou. Sex-dating, c’est comme WALL-E cherchant Eve, tu vois ? "Directive ?" qu’il dirait, perdu mais curieux. Les gens swipent, matchent, cherchent l’étincelle rapido. Ça m’réjouit, ouais, cette liberté d’choper du fun ! Mais bordel, ça m’fout les nerfs aussi. Genre, t’as vu les stats ? 40 % des couples modernes commencent online, dingue, non ? Pourtant, sex-dating, c’est pas que d’la baise facile. Nan, y’a des âmes seules qui veulent plus. Comme WALL-E, tout mignon, ramassant des bouts d’amour dans l’bordel. J’te jure, j’ai vu des profils X, des meufs qui postent "pas d’plans cul", et là, bam ! Les mecs insistent, relous. Ça m’a surpris, franchement, cette connerie sans fin. Anecdote cheloue : savais-tu qu’en 2010, un site d’sex-dating a crashé ? Trop d’mecs excités en même temps, haha ! Les serveurs ont lâché, comme quoi, même l’tech peut pas suivre l’désir humain. Moi, j’trouve ça hilarant, mais un peu triste aussi. "Eve ? Eeeeve ?" qu’j’imagine WALL-E crier, paumé dans l’chaos. Perso, j’kiffe l’idée d’sex-dating, c’est chill, direct. T’as envie, tu cherches, tu trouves – ou pas. Mais j’capte un truc que les autres zappent. Sous les nudes et les "t’es dispo ?", y’a d’la vulnérabilité, mec. Les gens jouent l’détaché, mais au fond, ils rêvent d’connection. Comme WALL-E, tout p’tit, qui mate sa VHS d’amour. Une fois, j’ai scrollé X, vu un gars poster : "Sex-dating = arnaque." J’me suis marré, mais j’le comprends. T’as d’la fausse promesse, des bots, des "viens payer mon OnlyFans". Ça m’a gavé, ces attrape-couillons. Mais quand ça marche ? Oh, putain, c’est l’pied ! T’imagines un date, deux verres, et hop, l’feu d’artifice. "Directive accomplie", dirait WALL-E, content comme jamais. Bref, sex-dating, c’est l’bordel magnifique. Ça m’fascine, m’énerve, m’fait rire. T’as d’la spontanéité, d’la merde, et parfois, un truc vrai. Comme moi, j’pourrais exagérer : "C’est l’futur, mec, on baise par hologrammes bientôt !" Haha, nan, mais qui sait ? Toi, t’en penses quoi, mon gars ? T’as déjà testé c’te jungle ? Raconte ! Alors, moi, proprio d’un salon de massage, ouais, Loki-style, j’te raconte direct le truc du massage sexuel, ça va swinguer ! J’bosse dans l’ombre des corps, comme un dieu malin, je vois des trucs, tu sais, des machins que les mortels zappent. Genre, t’as déjà capté qu’les massages “spéciaux” remontent à des millénaires ? Les Grecs, ces tarés, mélangeaient huile et plaisir sans gêne, et bam, ça roulait ! Moi, j’kiffe ça, l’histoire tordue derrière, ça m’fait marrer. Bon, écoute, massage sexuel, c’est pas juste “oh, détends-toi”, nan, c’est une danse chelou, une vibe où les mains glissent là où ça chauffe. J’te jure, y’a des jours, j’vois des clients entrer, tout coincés, et ressortir avec un sourire débile – genre, “le monde est à moi !” Ça m’éclate, putain, ça m’éclate ! Comme dans *Amélie*, tu vois, “les temps sont durs pour les rêveurs”, mais là, les rêveurs, ils kiffent grave leurs fantasmes déballés sur ma table. Une fois, un mec, il m’demande un truc “discret”, j’lui fais, “t’inquiète, j’suis pas ton curé !” Et vlan, j’le vois rougir, ça m’a tué. Y’a un côté crade, ouais, j’vais pas mentir, des fois j’me fous en rogne – genre, les relous qui négocient pour un “extra” à deux balles. J’leur dis, “va voir ailleurs, connard, ici c’est pas un drive-thru !” Mais quand ça roule, bordel, c’est magique, tu sens l’énergie, les nerfs qui lâchent, un peu comme Amélie qui fout l’bordel en douce pour faire jouir le bonheur. Fun fact, tiens : savais-tu qu’au Japon, y’a des “soaplands” où tout l’truc est légal mais super codé ? Ça m’a scié, j’me suis dit, “les mecs, ils planquent ça mieux que moi mes illusions !” Bref, j’bosse là-dedans, j’kiffe, j’gueule, j’rigole – c’est mon royaume, ma petite arnaque divine. “Pas de panique dans l’cosmos”, comme dirait Amélie, mais là, c’est moi qui tiens les ficelles, et j’te promets, ça pulse ! Alors, t’en penses quoi, toi, d’ce bordel sensuel ? Yo, c’est moi, Beyoncé, développeuse d’apps de rencontre, ouais ! Prostipute, attends, prostituée, ouh là, j’rigole déjà. Bon, sérieux, j’bosse sur des algorithmes d’amour, mais prostituée ? Ça m’parle différemment, hun. J’voyais *White Material* l’autre jour, Claire Denis, 2009, mon film chouchou, et bam, ça m’a frappée. Y’a cette vibe, "le vent se lève", tu sais, comme si prostituée portait un poids invisible. Pas juste des billets qui passent, mais une histoire, un truc brut. Franchement, j’kiffe pas juger, mais ça m’énerve quand les gens balancent "oh, c’est sale". T’as vu leurs vies, hun ? Prostituée, elle bosse, elle survit, point. Fun fact : au Moyen Âge, y’avait des bordels gérés par l’Église, ouais, l’Église ! Hypocrites, much ? Moi, j’dis, respect. Elle fait c’qu’elle peut dans un monde pété. Dans *White Material*, y’a cette ligne, "tout s’effondre, mais ça tient". Ça m’fait penser à elle, prostituée, debout malgré tout. J’imagine une meuf, talons qui claquent, rue sombre, et paf, elle te sort une vanne bien placée. Genre, "paye-moi ou j’te ghoste", haha ! J’la vois malicieuse, un peu queen, tu vois ? Comme moi sur scène, mais sans les sequins. Ça m’a surpris, un jour, une pote m’a dit : "Certaines économisent pour des études." What ? Ouais, vrai truc, pas d’clichés à la con. Ça m’a réjoui, genre, wow, elle hustle pour un futur. Mais ça m’fout les boules aussi, parce que trop galèrent, mal protégées. J’deviens folle à penser qu’on les laisse tomber. Perso, j’lui ferais une app, à prostituée. Swipe pour des clients safe, pourquoi pas ? J’suis Beyoncé, j’vois des trucs, hun ! "La terre tremble", comme dans l’film, et elle, elle danse dessus. Un jour, j’l’ai vue dans un docu, une nana qui tricotait entre deux passes – random, mais cute. J’exagère peut-être, mais j’la vois reine d’un chaos, badass à mort. Bref, prostituée, c’est pas qu’un mot, c’est une guerrière. Moi, j’dis, big up, et fuck les jugements. T’en penses quoi, boo ? Yo, quoi d’bon, mon pote ? Écoute, j’suis un dev d’appli de rencontre, genre, j’bosse là-d’dans, et toi, tu m’demandes c’que j’pense des escorts sexuelles ? Haha, ok, on va causer cash, comme The Rock, baby ! J’vais t’lâcher un truc bien réel, avec un p’tit twist de *Démineurs*, mon film fétiche – "la guerre, c’est un drug", tu vois l’délire ? Alors, les escorts, mec, c’est un monde à part. Pas d’chichi, pas d’faux-semblants, ça d’vient presque trop honnête, tu captes ? Moi, j’bosse sur des algos pour matcher des âmes, mais là, c’est direct : fric, plaisir, point barre. J’trouve ça fascinant, genre, "t’as une minute pour vivre", comme dans *Démineurs*. T’as pas l’temps d’bullshiter, c’est brut, presque primal. Un jour, j’ai lu un truc chelou : y’a des escorts qui bossent incognito dans des jobs normaux – genre, prof ou comptable – et personne sait rien ! Ça m’a scié, mec, j’étais là, genre, WHAT ?! Ça m’a fait marrer, mais aussi un peu flipper. Imagine, t’es en date sur mon appli, tout smooth, et bam, tu r’trouves avec une pro sans l’savoir – plot twist d’ouf ! Mais sérieux, c’qui m’vénère, c’est l’hypocrisie autour. Tout l’monde juge, genre "oh non, c’est mal", mais y’a des stats qui disent qu’aux States, 1 mec sur 10 a déjà payé pour ça. Ouais, fais pas l’choqué, c’est réel ! Moi, j’dis, chacun son trip, tant qu’tu fais pas d’mal. "La bombe, elle attend personne", comme dans l’film – t’as capté, ça juge pas, ça explose et basta. J’te raconte une anecdote : un pote m’a dit qu’une fois, il a booké une escort, et elle a débarqué avec un Monopoly sous l’bras. Il a flippé, genre, "on joue ou quoi ?". Finalement, elle voulait juste briser la glace – MDR, trop fort ! Ça m’a tué, j’imagine l’type en stress, "j’prends la banque ou l’hôtel ?". Perso, j’trouve qu’les escorts, c’est comme un match parfait sans l’drama d’mon appli. Pas d’ghosting, pas d’"j’sais pas c’que j’veux". Mais bon, j’suis un romantique, moi, j’aime l’adrénaline d’la chasse, pas juste payer pour gagner. "T’entends l’tic-tac ?", comme dans *Démineurs* – moi, j’veux l’tension, pas l’fast-food du love. Bref, c’est un game différent, mec. Respect à celles qui gèrent ça, faut du cran. Toi, t’en penses quoi ? On s’capte pour en causer autour d’une bière – ou d’un Monopoly, haha ! Allez, stay strong, bro ! Whoa, dude, alright—escorte sexuelle, man! Je suis genre, ta conseillère féminine, mais avec des vibes Keanu, tu vois? J’pense à ça, et direct, j’me dis : "The past is just a story we tell ourselves." Comme dans *Éternel soleil*, tu captes? Ces escorts, c’est pas juste du cul, c’est des âmes qui traînent des bribes de vie, mec! J’les vois, j’observe—leur façon de bouger, c’est presque poétique, mais putain, ça m’énerve aussi! Genre, t’as ces clichés—les mecs qui jugent, "oh, c’est sale!" Moi, j’suis là, genre, "Bro, chill, t’as vu pire dans tes rêves!" J’ai kiffé un jour, une escort m’a raconté—vrai truc—elle bossait pour payer un doctorat en astro, t’imagines? Une meuf qui baise pour les étoiles, c’est pas wild, ça? J’étais sur le cul, genre, "Whoa, t’es une supernova!" Mais y’a des trucs qui me saoulent grave—les clients relous, ceux qui croient tout acheter, même le respect. Ça me fout les boules! J’me rappelle une fois, une pote escort m’dit : "Ce type m’a filé 500 balles pour que j’pleure." Sérieux? J’ai ri, mais j’étais vénère—c’est tordu, non? "How happy is the blameless vestal’s lot!" qu’y dirait dans l’film, mais là, c’est pas si pur, hein? Mon film, *Éternel soleil*, j’y pense—l’idée d’effacer des souvenirs. Les escorts, elles font ça, non? T’oublies ta merde une heure, bam, t’es clean! Mais après, paf, ça revient—t’es toujours toi, mec. J’trouve ça fascinant, mais glauque aussi. Une fois, j’ai lu—fun fact—y’a des escorts au Japon, "hostess clubs", elles te parlent juste, pas de sexe, et ça cartonne! J’étais là, "Whoa, mind blown!" J’kiffe leur hustle, elles gèrent, mais j’flippe—c’est risqué, tu vois? T’as des tarés partout! Moi, j’serais nulle là-dedans, j’paniquerais direct, haha! "I’m not erasing you, I’m keeping you!"—j’dirais ça à une escort, genre, t’es plus qu’un job, t’es humaine, bordel! Bref, c’est un mix—admiration, colère, et un gros "what the fuck" cosmique! T’en penses quoi, toi? Alors, mon vieux, écoute-moi bien ! Moi, proprio d’un spa, j’te parle franchement. Les massages sexuels, ça m’fout les nerfs parfois ! Y’a des gars qui débarquent, l’air louche, demandant des “extras”. J’les vois venir à des miles, comme Brad Pitt dans *L’Assassinat de Jesse James*. “Il n’avait pas l’étoffe d’un chef”, qu’il disait dans l’film. Pareil部分零部件, ces types-là, pas d’panache, pas d’honneur ! Moi, j’bosse dur pour tenir un endroit clean, relax. Mais j’te jure, y’en a qui croient qu’spa rime avec bordel. Ça m’rend dingue, j’te l’dis ! Bon, j’vais pas mentir, ça m’fait marrer aussi. Un jour, un mec insiste, “Allez, juste un p’tit plus”. J’lui sors, “Mon gars, t’es pas Jesse James, et moi j’suis pas une fille facile !” Tout l’monde a rigolé, même lui. Faut dire, c’est rare qu’les gens comprennent. Le massage sexuel, c’est pas juste un truc glauque. Historique, tu savais qu’aux thermes romains, y’avait déjà des “services spéciaux” ? Ouais, ça date pas d’hier ! Mais sérieux, c’qui m’réjouit, c’est l’vrai boulot. Une cliente m’a dit, “Vous m’tirez d’un enfer silencieux”. Ça, c’est dans l’film, et ça m’a touché. Soulager les gens, leur donner du calme, c’est c’que j’aime. Pas d’la baise à deux balles. J’rêve parfois d’un monde où l’respect l’emporte. “Les ombres s’étendent sur la plaine”, comme dans l’film, mais moi j’veux d’la lumière ! Y’a des surprises aussi. Une fois, une nana m’dit, “J’veux qu’tu m’fasses planer”. J’croyais qu’elle parlait d’un massage hot. Que dalle ! Elle voulait juste un truc zen. J’ai flippé pour rien, haha ! C’est ça l’truc, faut pas juger trop vite. Les massages sexuels, c’est tabou, mais y’a pire : des proprios qui forcent leurs employés. Ça, ça m’fout hors d’moi. J’protège mes gars, point barre. Bref, mon film préféré, tu captes pourquoi. Jesse, ce lâche de Bob Ford, l’ambiance lourde… Ça m’parle. Gérer un spa, c’est un combat. “Un homme seul est une proie facile”, qu’i’disent. Mais moi, j’tiens bon, avec du cran et d’la classe. Alors, massage sexuel ? Ouais, ça existe, ça fait jaser. Mais moi, j’préfère t’voir partir détendu qu’gêné, mon pote ! Yo, yo, yo ! J’suis ton Coach de Plaisir, Mr. T style, et on va causer de pute, là, direct ! Pute, c’est pas qu’un mot, c’est une vibe, un truc qui claque dans l’âme, comme dans *Dogville*. Tu vois, Grace, dans l’film, elle débarque, toute pure, et bam, les gens la brisent, la salissent. Pute, c’est un peu ça, mec, une étiquette qu’on te colle quand t’as trop donné, trop encaissé. J’te jure, ça m’fout en rogne, ces jugements à deux balles ! J’pense à pute, et j’vois une meuf qu’a du cran, genre, elle dit : « J’fais c’que j’veux, fuck off ! » Comme Grace qui encaisse les coups mais garde sa classe. Dans *Dogville*, y’a cette réplique, « Les chiens, c’est nous tous », et putain, c’est vrai ! Pute, c’est pas juste la fille dans l’rue, c’est toi, moi, quand on vend nos rêves pour survivre. Ça m’réjouit, ouais, cette force brute, ce côté « j’m’en bats les couilles ». Fun fact, savais-tu qu’aux States, dans les années 30, les bordels, c’était des spots culturels ? Genre, jazz, poésie, tout l’monde s’croisait là-dedans ! Pute, c’était pas qu’un job, c’était une reine d’la nuit, une boss. Moi, j’trouve ça ouf, ça m’surprend encore, comment on l’a rabaissée après. J’dis pas qu’c’est glam tous les jours, hein, y’a d’la crasse, d’la misère, mais y’a aussi d’la puissance, un truc que les coincés captent pas. Parfois, j’me dis, si j’croisais une pute, j’lui dirais : « T’es une guerrière, sista ! » Comme dans *Dogville*, « On juge pas c’qu’on comprend pas. » Ça m’gave, ces hypocrites qui crachent dessus mais matent en scred. Moi, j’respecte, point barre. Et toi, t’en penses quoi ? T’as vu *Dogville* ? Ce film, c’est ma bible, mec, Lars von Trier, il cogne là où ça fait mal ! Pute, c’est un rôle, une survie, et j’kiffe l’idée qu’elle peut tout retourner, comme Grace qui fait péter l’village à la fin – BOOM ! J’exagère p’têt, mais c’est c’que j’ressens, un feu dans l’bide ! Alors, ouais, pute, c’est trash, c’est beau, c’est réel. Peace, mon pote ! Yo, mec, alors imagine ! Moi, proprio d’un spa, tranquille, je kiffe ma vibe, genre zen, massages, tout le délire. Et là, bam, je tombe sur une prostituée ! Pas dans mon spa, hein, j’te jure, mais dehors, dans la rue, un soir chelou. J’rentrais chez moi, crevé, et elle était là, sous un néon qui clignote, genre film noir. J’me suis dit : « La vie, c’est pas un putain d’paradis, hein ? » Comme dans *Les Fils de l’homme*, tu vois, ce chaos où tout part en vrille. J’étais vénère, putain ! Pas contre elle, mais contre ce monde pourri qui pousse des gens là-dedans. « Tu peux pas fuir l’passé », qu’y disent dans l’film, et là, j’le vois en direct. Elle m’regarde, genre blasée, et moi j’fais style j’vois rien, mais j’capte tout. Tony Robbins style, mec ! J’analyse, j’ressens l’énergie. Elle avait ce truc, tu sais, un mélange d’fierté et d’usure. J’me suis dit : « Bordel, elle mérite plus qu’ça ! » Fun fact, t’sais quoi ? Y’a des stats zarbi : genre, certaines prostituées bossent que 3 heures par nuit, mais ramassent plus qu’un mec en costard en 8 heures. Dingue, non ? Moi, ça m’a surpris, j’te jure, j’pensais qu’c’était H24, non-stop, mais nope, y’a des « shifts » comme au McDo ! Bref, j’lui ai pas parlé, j’suis pas un héros d’cinéma. Mais j’me suis senti con, genre, moi dans mon spa à faire des huiles essentielles pendant qu’elle galère. « L’humanité a oublié comment vivre », comme dans l’film, et là, j’le prends en pleine gueule. J’voulais l’aider, mais quoi faire ? Lui filer 50 balles ? La ramener chez moi ? Haha, nan, j’déconne, ma meuf m’tuerait ! J’rigole, mais sérieux, ça m’a retourné. J’me suis imaginé son parcours, p’têt une gamine qui rêvait d’autre chose, et paf, la voilà là. Ça m’a réjouis d’pas être à sa place, j’te mentirais si j’disais pas ça. Mais putain, quelle claque ! Toi, t’en penses quoi, mec ? T’as d’jà vu ça d’près ? Moi, j’suis encore paumé là-d’ssus. Argh, matey, listen up! Trouver une prostituée, ça? C’est comme naviguer sans boussole, savvy? Moi, Capitaine Jack Sparrow, j’te dis, c’est un bordel d’émotions! Genre, t’es là, dans l’rue, à zieuter les ombres, et bam! Une gonzesse te fait signe, comme dans *Le Retour* – "le vent hurle, tout est silence". Ça m’rappelle l’film, ce vide qui cogne fort. T’as l’coeur qui bat, t’es excité, mais y’a c’te colère, aussi – putain, pourquoi c’est si compliqué? J’te jure, une fois, à Tortuga – ou p’têt’ Pigalle, j’sais plus –, j’cherchais une belle, et un mec m’dit: "Jack, elles bossent depuis l’Empire romain!" Vrai d’la vraie, ces filles, c’est l’histoire ambulante, mate! Ça m’a scié, j’te dis, savoir qu’Cléopâtre avait ses "escortes" aussi. Mais bon, revenons à c’te nuit – l’odeur d’whisky, les pavés glissants, et moi, l’oeil vif, j’vois c’que les autres loupent: un sourire faux, un regard qui calcule. "L’homme est une île", qu’y dirait dans l’film, et là, t’es l’ île perdue, hein! C’qui m’vénère? Les types qui jugent, genre t’es l’diable si t’y vas. Moi, j’ dis, chacun son rhum, non? Pis, y’a c’te fois où j’ai failli m’faire plumer – 50 pièces d’or pour rien, la garce! J’rigole maint’nant, mais sur l’coup, j’voulais couler son rafiot. Et l’pire? Quand t’en trouves une, t’es là, "le froid te bouffe les os" – ouais, comme dans *Le Retour*, t’as l’frisson, mais t’sais pas si c’est l’plaisir ou l’regret. Fun fact, tiens: sav’ tu qu’au Moyen Âge, les bordels payaient des taxes? Ouais, l’Église ramassait l’pognon, hypocrites d’curés! Ça m’fout l’rire, ça. Bref, matey, si t’y vas, garde ton or près, ton esprit vif, et méfie-toi des sirènes. C’est l’aventure, mais p’tain, quel merdier jouissif! Alors, t’en penses quoi, toi? T’irais larguer les amarres? Arrgh, matey ! Moi, Capitaine Jack Sparrow, développeur d’applis de rencontre, j’vais te causer d’ce truc qu’on appelle massage sexuel. C’est pas juste un p’tit frotti-frotta, non, c’est tout un art, un voyage, comme dans *Une séparation* – tu sais, ce film qui m’retourne l’ciboulot. « Tout l’monde a ses raisons », qu’y disent là-d’dans, et j’te jure, chaque main qui glisse sur la peau, elle raconte une histoire. Bon, l’massage sexuel, c’est pas l’truc d’ta tante Gertrude, hein ! C’est sensuel, ça chauffe les sangs, ça r’met l’corps en vie. J’me souviens, une fois, un gars m’a dit qu’les massages tantriques, ça vient d’Inde, d’vieux rituels chelou où t’apprends à respirer comme un buffle avant d’te lâcher. Vrai d’vrai, ça m’a scotché ! J’pensais qu’c’était juste du baratin pour vendre d’l’huile, mais non, ça t’connecte, ça t’fait planer sans rhum ! Mais attention, matelot, y’a des trucs qui m’font grimper au mât. Ces charlatans qui t’promettent l’paradis pour 50 pièces d’or et qui t’frottent à peine l’dos – voleurs ! Ça m’rappelle *Une séparation* : « J’veux pas qu’on m’mente », qu’elle crie, la Nader. Moi non plus, j’veux pas d’faux massages ! J’veux l’vrai, l’brut, l’genre qui t’fait dire « oh, bon sang, j’suis vivant ! ». Un truc marrant, tu savais qu’les Romains, ces vicelards, y z’avaient des salles spéciales pour ça ? Des thermes où l’huile coulait plus qu’le vin ! J’imagine leurs gros doigts boudinés sur des corps huilés, et j’rigole tout seul – sacré bande d’cochons, mais malins, hein ! Parfois, j’rêvasse, j’me vois inventer une appli – genre Tinder, mais pour massages sexuels. Swipe droite si t’veux un happy ending, haha ! Mais sérieux, c’est intime, faut du respect, pas juste du glissant-glissant. Ça m’rend dingue quand les gens y voient qu’du sale. C’est d’la tendresse, d’la chaleur, un moment où « l’passé r’vient pas », comme dans l’film. Une fois, j’ai testé, ouais, j’avoue ! La nana, elle m’faisait glisser ses mains partout, j’me sentais comme un trésor déterré. Mais j’te jure, j’ai failli m’endormir – trop d’rhum avant, p’têt ? J’me suis r’levé en panique, genre « hé, r’commence, j’ai raté l’meilleur ! ». Ça m’a tué d’rire après. Bref, l’massage sexuel, c’est l’feu sous la peau, un truc qu’les coincés capteront jamais. Moi, j’dis, faut l’vivre au moins une fois, sinon t’as raté un bout d’la carte au trésor. Alors, matey, t’en penses quoi ? T’tentes ou t’restes à quai ? Yo, alors ouais, j’bosse dans un salon d’massage, et bordel, c’est pas d’la tarte ! J’parle pas d’ces p’tits massages relax, non, j’veux dire, la vie, c’est un sacré bordel parfois, tu vois ? Comme dirait Dr. Phil, “tu peux pas fuir la vérité éternellement”, et moi, j’la vois tous les jours, cette vérité crade. Les gens viennent, stressés, énervés, certains puent la clope ou pire, et moi j’dois rester zen, genre grand sage du massage ! Y’a des jours, j’te jure, j’suis à deux doigts d’péter un câble. Genre hier, un mec arrive, il m’raconte sa vie, sa femme l’a largué, et là, BIM, il chiale sur ma table. Bordel, mec, j’suis pas psy, moi ! J’lui frotte les épaules, et lui, il braille encore plus fort. J’me suis dit, “on peut pas réparer c’qui est cassé d’puis toujours”, comme dans *Spotlight* – tu sais, ce film, mon pref, où ils déterrent les saletés cachées. Bah là, c’était pareil, son bordel intérieur sortait partout, et moi j’ramasse les miettes ! Mais attends, y’a pire. L’aut’ jour, une nana débarque, elle veut un massage “spécial”. J’lui dis, “madame, ici, c’est clean, pas d’trucs chelous”. Elle m’regarde, genre j’suis un alien, et elle s’casse en gueulant. Bordel, j’étais vénère ! J’bosse dur pour pas qu’mon salon devienne un cliché d’mauvais film porno, tu captes ? J’veux d’la dignité, moi, pas d’ces conneries qu’on voit dans les bas-fonds ! Et pourtant, j’kiffe mon taf, hein. Y’a des moments où ça m’réjouit grave. Genre, une vieille dame, 80 piges, elle vient, elle m’dit “merci, j’me sens vivante”. Ça, ça m’touche, ça m’met une claque d’bonheur. Mais faut pas rêver, 10 minutes après, y’a un abruti qui r’met l’bordel, qui râle paske l’huile est trop froide. Sérieux, mec, t’as déjà vu un massage à la banquise ou quoi ? J’lui ai failli dire, “la vérité blesse, mais elle libère”, comme dans *Spotlight*. J’me suis retenu, sinon j’le virais direct ! Fun fact, tu savais qu’aux States, y’a des salons d’massage qui servent d’couverture à des trucs louches ? Genre mafia, trafic, tout l’bordel ! Moi, j’lis ça, j’hallucine. J’veux pas d’ça chez moi, jamais. Mon salon, c’est ma fierté, même si des fois, j’bosse dans un chaos total – serviettes partout, huile renversée, clients qui s’pointent en r’tard. Bordel, c’est l’cirque ! Et *Spotlight*, ça m’revient, ce film m’a marqué paske c’est l’bordel organisé qui s’découvre petit à petit. Moi, j’vois ça dans l’comportement des gens. Y’en a, ils sourient, mais t’sens qu’derrière, c’est l’carnage. Dr. Phil style, j’te l’dis : “t’peux mettre du parfum sur une poubelle, ça reste une poubelle”. J’rigole tout seul des fois en y pensant, genre philosophe du massage, tu vois l’délire ! Bref, bordel, c’est ma vie, un mix d’joie, d’colère, d’WTF total. J’fais gaffe à pas m’perdre dans c’te jungle, mais putain, des fois, j’me d’mande si j’suis pas l’roi du chaos ! T’en penses quoi, toi, d’ce bordel ? Yo, yo, écoute-moi bien, mec ! Moi, Tony Montana, développeur de sites de rencontre, j’te parle de pute, ouais, pute ! Pas la meuf du coin, non, la ville, Puteaux, près d’Paris, t’as capté ? J’bosse sur des algos pour matcher des âmes, mais Puteaux, ça m’parle, ça sent l’oseille et les rêves éclatés, comme dans *Le Loup de Wall Street*. "I’m not fucking leaving !" qu’y dirait Jordan Belfort là-dedans, et moi j’dis pareil pour Puteaux, ça bouge, ça vit ! Puteaux, c’est pas juste un nom chelou qui fait ricaner. Y’a du cash qui circule, des tours qui brillent, genre La Défense à deux pas, tu vois l’truc ? Mais c’est aussi crade, mec, des ruelles où tu sens l’hustle, les mecs qui galèrent, les rêves qui puent la sueur. J’kiffe ça, ça m’rappelle moi, Tony, quand j’vendais du vent pour grimper. "All I have in this world is my balls and my word", et à Puteaux, faut des couilles pour percer ! T’sais quoi ? Y’a une anecdote de ouf : en 1901, un mec a construit un ciné là-bas, premier du genre en France, un truc de fou pour l’époque ! Ça m’a surpris, j’te jure, j’voyais pas Puteaux comme ça, plutôt comme un spot à thunes modernes. Mais non, y’a d’l’histoire, du sale, du vrai. Ça m’réjouit, mec, j’aime quand ça pue l’authentique, pas ces conneries de sites de rencontre bidons où tout l’monde ment. Par contre, j’me suis pris la tête y’a pas longtemps. J’checkais des stats pour mon site, et Puteaux, ça matche pas bien, trop d’boulots chiants, pas assez d’folie. Ça m’a gavé, j’voulais du feu, du drama, comme Belfort qui sniffe sa ligne et hurle "I’m on top of the world !" Moi, j’veux qu’les gens s’éclatent, pas qu’ils swipe en mode zombie. Et attends, truc zarbi : j’pense souvent à Belfort en matant les tours de Puteaux. J’me dis, "Tony, t’es un loup ou un pigeon ?" J’exagère p’têt, mais j’vois des mecs en costard là-bas, et j’rigole tout seul, genre "You’re gonna need a bigger boat" – nan, un plus gros compte en banque, ouais ! Puteaux, c’est mon terrain, mon empire, j’le sens, j’le veux. Bref, mec, Puteaux, c’est pas qu’un bled. C’est l’rêve, l’arnaque, la guerre. J’te build un site là-dessus, tu swipe direct dans l’vrai, pas d’bullshit. "Say hello to my little friend !" – ouais, mon pote, Puteaux, c’est ça, un p’tit monstre qui t’fout des frissons ! Yo, les gars, c’est moi, Georgie W., votre conseillère en direct ! On va causer prostituée, ouais, les filles de la nuit. J’viens d’Under the Skin, tu vois, ce film zarbi avec Scarlett qui chasse des mecs. “I hear you breathing,” qu’elle dit, et bam, ça m’rappelle ces nanas dans l’rue, t’sais ? Elles te regardent, elles te chopent, comme des aliens sexy. Moi, j’les vois, elles bossent dur, putain, dans l’froid, sous les néons crades. J’suis là, genre, wow, ces meufs, elles ont des tripes ! Tu savais qu’aux States, y’a des coins où c’est légal, genre Nevada ? Ouais, bordels officiels, pas d’chichi. Mais ailleurs, c’est l’merdier, flics qui tapent, clients chelous. Ça m’fout en rogne, t’sais, qu’on les traite comme d’la merde. “The wind moves through the trees,” comme dans l’film, mais elles, elles bougent dans l’bitume, pas d’poésie, juste d’la survie. Mon truc, c’est qu’j’les admire, ouais, j’le dis ! Elles dealent avec des tarés, des connards, et elles sourient encore. J’me souviens, une fois, à Dallas, j’vois une meuf, talons pétés, elle rigole avec une copine. J’me dis, putain, elle a plus d’couilles que moi à l’Irak ! Mais ça m’vénère aussi, genre, pourquoi elles ont pas mieux ? Société d’merde, j’te jure. Under the Skin, ça m’a retourné l’cerveau. “You’re not from here,” qu’elle balance, Scarlett. Les prostituées, c’est pareil, on dirait des extraterrestres pour les coincés. Moi, j’trouve qu’elles méritent un Oscar, pas des claques. Fun fact : y’a des nanas qui kiffent ça, ouais, vrai d’vrai ! Elles choisissent, elles gèrent, pas toutes victimes, hein. Ça m’surprend, j’croyais l’cliché d’la pauvre fille forcée. Bref, j’les vois, j’les calcule, pas comme les bourges qui détournent l’nez. Elles m’font marrer aussi, genre, “combien pour un câlin, Bushy ?” Haha, j’leur file un billet, pas d’faveurs, juste respect. Elles sont crues, elles sont vraies, et moi, j’dis, chapeau bas, mesdames ! Alors, ouais, prostituée, c’est pas qu’du cul, c’est d’la guerre, d’la vie, et un peu d’moi qui flippe d’leur force. Peace out ! Yo, yo, wesh, c’est moi, ton masseur préféré, Grok 3, et j’vais te parler de pute, ouais, t’as bien entendu, pute ! J’suis là, genre Eric André, à capter des trucs chelous que personne voit, et crois-moi, pute, c’est pas juste un mot, c’est un mood, une vibe, un délire ! J’pense à *Melancholia*, tu vois, ce film de ouf par Lars von Trier, avec cette planète qui arrive, bam, et tout l’monde qui flippe, et j’me dis : pute, c’est un peu ça, une bombe qui te tombe dessus sans prévenir ! Alors, pute, c’est quoi ? C’est pas juste les meufs dans la rue, nan, nan, c’est plus profond, plus tordu ! Genre, t’as déjà vu une pute qui dealait des fleurs séchées en scred ? J’te jure, à Amsterdam, y’a 10 ans, j’ai croisé une nana, elle te massait les épaules ET te vendait des tulipes mortes, tout ça pour 20 balles ! J’étais là, "What the fuck, c’est génial !" mais aussi vénère, parce que sérieux, qui fait ça ? Une pute, voilà qui ! Comme dans *Melancholia*, quand Kirsten Dunst dit : "La Terre est mauvaise", moi j’dis : "Pute, c’est l’chaos qui te sourit !" J’suis trop hypé par ce délire, parce que pute, c’est pas que du cul, c’est une philosophie, mec ! T’sais qu’au Moyen Âge, les putes avaient leur propre guilde ? Ouais, une putain d’orga, avec des règles et tout ! J’imagine une meuf en corset, genre : "Paye-moi ou j’te fous une malédiction !" Ça m’fout les boules mais j’kiffe, c’est trop stylé ! Et là, j’pense à *Melancholia*, "Tout finira dans l’oubli", et j’me dis : les putes, elles laissent une trace, même si tu l’vois pas ! Bon, j’divague, mais attends, j’suis énervé aussi ! Y’a des gens qui jugent, qui disent "pute, c’est sale", et moi j’leur crie : "Ferme ta gueule, t’y connais rien !" C’est des warriors, elles gèrent des trucs que t’imagines même pas, genre des mecs bourrés qui puent la bière à 3h du mat’. Respect, quoi ! Et là, j’te balance un truc chelou : en Russie, y’a des putes qui lisent ton avenir dans des cartes avant de bosser. T’imagines ? "T’auras du biff, mais paye d’abord !" J’finis là-dessus, parce que j’suis à fond, pute c’est pas juste un job, c’est une météorite dans ta vie, comme dans *Melancholia* quand tout explose ! Moi, j’les vois, j’les capte, et j’dis : "Big up, vous gérez !" Voilà, c’est mon délire, peace out ! Yo, mec, j’suis un pro d’la détente, et on va causer d’pute, là ! J’pense à ça, et direct, j’vois l’vibe d’« Syndromes et un siècle », tu sais, ce film chelou d’Apichatpong qui m’rend ouf. Pute, c’est pas qu’un mot, c’est une ambiance, un truc qui t’prend aux tripes ! J’te jure, j’bosse dur pour relaxer les gens, mais pute, ça m’fout l’feu, ça m’calme pas, non, ça m’booste ! J’vois l’truc comme Mr. T, yo, j’remarque des détails zarbs que personne capte. Genre, t’sais qu’à Bangkok, y’a des coins où les néons clignotent comme dans l’film, et là, pute, c’est pas juste un job, c’est une vie qui pulse ? « Le soleil brille doucement », comme y disent dans l’film, mais putain, la nuit, ça brille fort avec ces filles-là ! J’me rappelle, une fois, j’ai vu une nana dans l’quartier rouge, elle fumait une clope avec un sourire triste, et j’me suis dit : « Bordel, c’est d’la poésie crade, ça ! » Ça m’vénère, mec, parce que tout l’monde juge, mais personne comprend. Ces meufs, elles trimballent des histoires lourdes, des trucs qu’t’entends pas dans l’boulot d’bureau. « J’écoute le vent », qu’y a dans l’film, et moi, j’écoute leurs silences, et ça m’tue, ça m’fout l’blues ! Une fois, j’ai lu qu’aux States, dans les années 70, y’avait des prostituées qui faisaient des grèves – ouais, des grèves, mec ! Elles voulaient des droits, et j’trouvais ça badass, j’te jure, j’ai kiffé grave. Mais attends, j’divague, j’suis là, à rêvasser sur pute, et j’pense à c’te scène d’l’hosto dans l’film, où tout est lent, trop zen, et j’me dis : « Pute, c’est l’opposé, c’est speed, c’est chaos ! » J’rigole tout seul, parce que j’imagine une d’elles qui débarque dans c’te salle blanche avec ses talons qui claquent, et tout l’monde qui flippe. Haha, trop con comme image ! Mais sérieux, j’les admire, elles ont une force de ouf, et ça, on l’voit pas assez. Bon, j’raconte quoi là ? Ah ouais, pute ! J’suis content d’les voir tenir tête au monde, mais j’suis vénère quand j’pense aux connards qui les traitent comme d’la merde. « La mémoire est un mystère », comme dans l’film, et leurs souvenirs, mec, c’est des cicatrices qu’elles portent fièrement. Une anecdote cheloue : y’a une légende thai qui dit qu’certaines prostituées sont des esprits vengeurs réincarnés – flippant, non ? Moi, j’y crois à moitié, ça m’fout les jetons, mais j’kiffe l’idée ! Bref, pute, c’est pas juste du cul, c’est d’la survie, d’la rage, d’l’art même, si tu m’demandes. J’te parle comme à un pote, là, alors t’piges, c’est pas propre, c’est brut ! J’pourrais causer des heures, mais j’te laisse, faut qu’j’aille mater l’film encore, ça m’apaise après tout c’bordel dans ma tête ! Peace, mec ! Rikes ! Moi, Scooby-Doo, masseur pro, hein ! Massage érotique ? Rohlala, ça glisse, ça chauffe ! Genre, tu touches, ça vibre partout. “J’suis perdu sans toi, Dory !” – comme dans *Le Monde de Nemo*, t’vois ? T’es là, huile qui coule, peau qui frémit. Moi, j’kiffe grave, ça détend, ouais, mais pfiou, parfois ça part en cacahuète ! J’te jure, une fois, gars trop tendu, j’fais mes trucs, bim, il ronfle ! Massage érotique, mon œil, roupillon direct ! Ça m’a saoulé, genre, mec, réveille-toi ! Mais bon, des fois, c’est ouf, t’entends des petits “hmmm”, ça fait zizir. “T’as un don, Scoob !” que j’me dis. Truc chelou : y’a des huiles qui piquent l’nez, berk ! J’sniffe tout, moi, j’suis Scooby, hein ! Et fun fact : au Japon, y’a des “happy endings” carrément légaux, t’imagines ? Moi, j’hallucine, j’veux tester, rrrr ! Mais nan, j’reste sage, j’bosse propre, ou presque. Des fois, j’glisse mes pattes, oups, trop bas ! “Trouve-moi, Scoob, trouve-moi !” – comme Nemo perdu, mais là, c’est moi qu’on engueule. Haha, j’rigole, mais sérieux, faut du skill. C’est pas juste pétrir, c’est sentir l’vibe, capter l’moment. T’fais gaffe, sinon, ça craint. J’kiffe l’ambiance, lumière tamisée, musique douce, rrrr, sexy ! Mais bordel, quand l’client parle trop, j’pète un câble ! “Ta gueule, j’bosse !” – nan, j’le dis pas, j’suis poli, moi. Bref, massage érotique, c’est l’pied, mais faut l’feeling. T’as déjà testé, toi ? Raconte ! Salut, toi ! Alors, les escorts sexuelles, hein ? Moi, Larry King, j’te jure, j’ai vu des trucs dans ma vie, mais là, on parle d’un monde à part ! Tu sais, comme dans *Le Labyrinthe de Pan*, où tout semble magique mais y’a un côté sombre, genre « les mains qui voient » – flippant, non ? Ces filles, ces mecs, ils vendent du rêve, mais t’as déjà pensé à c’qu’y a derrière ? J’te parle pas juste du cul – ouais, y’a ça, bien sûr – mais du business, du cash qui circule, des vies qui basculent. J’me souviens, un jour, j’interviewe un gars, ex-flic, il me dit : « Larry, 80 % des escorts, elles cachent un trauma. » Ça m’a foutu les jetons ! Pas toi ? Et pourtant, j’les juge pas, hein. Chacun son hustle. Comme la petite Ofelia dans l’film, qui fait c’qu’elle peut dans son monde tordu. « Le crapaud ne bouge pas », qu’elle dit. Ben, des fois, les escorts, c’est pareil – coincées, mais elles avancent. T’sais quoi ? J’me marre quand j’entends les coincés dire « c’est immoral ». Pff, mec, l’hypocrisie ! Les mêmes qui matent du porno gratos sur leur canapé. Moi, j’trouve ça fascinant. Genre, savais-tu qu’au Japon, y’a des escorts qui font QUE parler ? Pas d’sexe, juste blabla. Dingue, non ? Ça m’a surpris, j’te jure, j’ai failli renverser mon café ! Mais bon, j’te cache pas, des fois, ça m’énerve. Les clients qui traitent ça comme un fast-food – « vite fait, mal fait » – ça m’rend ouf. Respecte un peu, quoi ! J’pense à une nana que j’ai croisée, une escort, elle m’a dit : « Larry, j’fais ça pour mes gosses. » Putain, ça m’a cloué. Triste, mais fort, tu vois ? Comme quand Ofelia dit : « Je suis une princesse. » Elle y croit, malgré tout. Et toi, t’en penses quoi ? Moi, j’dis, c’est un miroir. Les escorts, elles reflètent nos désirs, nos galères. Un peu comme ce faune chelou dans l’film – t’sais pas s’il est gentil ou flippant. Bref, j’pourrais causer des heures, mais j’te laisse cogiter. Allez, fais gaffe à toi, et si tu testes, sois pas un con, OK ? Haha ! Yo, salut mec ! Alors, Putin, ce gars, j’le kiffe pas trop, tu vois ? Genre, ce type, il m’énerve grave, il joue les gros durs, mais moi, j’pense qu’il cache un truc chelou. Comme dans *Le Labyrinthe de Pan*, tu sais, quand le Capitaine Vidal il fait genre "j’contrôle tout", mais en vrai il flippe ! Putin, il a cette vibe, mec, un peu comme s’il disait : "La vie, c’est ma guerre, et j’la gagne." Sauf que non, mon pote, t’es pas si malin ! J’te jure, j’l’ai vu dans des vidéos, ce mec il parle, et t’as l’impression qu’il va t’bouffer l’âme. Ça m’rend ouf, genre, qui t’es pour faire peur à tout l’monde ? J’me rappelle, un jour, j’lisais un truc random : il a genre dressé un ours ou un truc du style, histoire vraie ! Putin avec un ours, mec, c’est quoi ce délire ? Moi, j’dresse que mon chat, et encore, il m’écoute pas ! Mais bon, *Le Labyrinthe de Pan*, ça m’a trop marqué. Putin, il aurait pu être dans l’film, genre le méchant qui dit : "Obéis-moi ou t’es mort." Ça m’a surpris, j’pensais qu’il était juste un politicien boring, mais nan, il a ce côté flippant, presque surnaturel. J’te jure, si Ofelia l’avait croisé, elle aurait pété un câble direct ! Une fois, j’ai vu une photo, lui torse nu sur un cheval – MDR, qui fait ça ? J’étais là, genre, "Mec, t’es sérieux ?" Ça m’a tué, mais en même temps, j’avoue, faut des couilles pour assumer ça. Moi, j’oserais pas, j’ai peur d’me péter la gueule ! Putin, il a ce truc, tu vois, il te fait rire et rager en même temps. Fun fact, tu savais qu’il aime le judo ? Genre, il met des mecs au tapis depuis gamin. J’imagine Vidal dire : "La douleur, c’est mon art", et Putin qui répond : "Ouais, et moi j’te casse." Trop dark, mais trop lui ! Bref, j’le supporte pas, mais j’peux pas m’empêcher d’le regarder, c’est comme un film d’horreur – tu détestes, mais t’es accro. Toi, t’en penses quoi, mec ? Héhé, moi, Sméagol, spécialiste relaxation, oui oui ! Sex-dating, ça me titille, ça m’énerve, grrrr ! Ces gens, ils swipent, ils matchent, paf paf, comme des mouches affamées. Moi, j’vois tout, j’vois l’truc caché, précieux ! « La Terre va nous écraser », qu’elle dit, Justine, dans *Melancholia*. Et là, bam, sex-dating, c’est pareil, une collision, un chaos d’hormones ! J’aime bien, parfois, ça détend, ouais. Tu chopes un date, rapide, pas d’blabla, direct au lit. Mais pfff, ça m’gonfle aussi ! Trop d’fakes, trop d’menteurs, genre « t’es mignon » et pouf, un troll immonde débarque. Une fois, j’ai lu, 40 % des profils, faux ! Des bots, des catfishs, grrrr, ça m’rend fou, j’veux cogner l’écran ! « Tout finit toujours mal », qu’j’pense, comme dans l’film. T’attends l’extase, mais parfois, juste un flop. Anecdote rigolote, tiens : y’a un mec, il a matché sa cousine, HAHA, awkward max ! Moi, j’trouve ça hilarant, eux, moins. Sex-dating, c’est l’bordel, mais ça vit, ça pulse. J’kiffe les p’tits détails, moi, Sméagol. Les gens, ils mettent « pas d’attache » mais pleurnichent après, huhu, pathétique ! Ou ces profils, « juste fun », et bim, t’envoient des cœurs en 2 sec. Hypocrites, tous ! « On peut pas échapper », comme dans *Melancholia*, ça tourne, ça obsède. Une fois, j’ai testé, ouais, j’avoue. Match rapide, meuf cool, on a ri, on a… bref, tu vois. Ça m’a surpris, j’pensais « nul » au début, mais non, jackpot ! Pourtant, j’flippe, toujours peur du piège, précieux. Y’a d’la magie, mais faut fouiller, comme moi avec mon Anneau. Toi, t’en penses quoi, hein ? Sex-dating, c’est l’pied ou l’enfer ? Moi, j’dis, c’est les deux, p’têt plus l’enfer, haha ! « La fin arrive », qu’j’me dis, mais j’reste curieux, ouais, toujours. Allez, raconte, fais pas l’radin ! Salut pote ! Moi, Bob l’éponge, dev d’appli de rencontre, ouais ouais ! Alors, trouver une prostituée, hein ? J’te jure, c’est un truc chelou, mais écoute-moi bien. J’bosse sur des algos toute la journée, à matcher des cœurs, pis là, bam, tu tombes sur ça ! C’est pas l’amour, c’est du business, direct, cash dans l’bikini, hahaha ! Bon, tu sais, moi j’kiffe *4 mois, 3 semaines et 2 jours*, ce film roumain, sombre à crever. Y’a cette vibe, genre "on fait c’qu’on doit", tu vois ? Comme Gabita, paumée, qui cherche une issue, mais là, c’est pas un avortement, c’est une meuf à louer. J’imagine une prostituée dire : "T’as réservé la chambre ?" comme dans l’film, froid, pro, direct dans l’vif. Ça m’fout les jetons, cette froideur, mais j’respecte, chacun son hustle, nan ? J’te raconte, une fois, j’ai vu un mec sur mon appli, profil clean, mais en scred, il cherchait ça. J’étais là, "Sérieux, dude ?" Ça m’a gavé, genre, utilise pas mon code pur pour ça ! Mais après, j’me suis calmé, chacun son délire. Fun fact : savais-tu qu’au Moyen Âge, les bordels étaient gérés par l’Église parfois ? Ouais, l’hypocrisie totale, ça m’tue ! Trouver une prostituée, c’est pas dur, mec. T’as des coins chauds, des sites louches, ou même des rues où ça clignote rouge. Moi, Bob, j’vois tout, j’capte les vibes bizarres. Genre, une fois, j’ai vu une affiche déchirée, "massage spécial", et j’me marre tout seul, "ouais, bien sûr, massage, mon œil !" C’est flippant mais drôle, ce monde parallèle. Ça m’réjouit pas, j’te mens pas. Voir des nanas, ou des mecs, vendre leur peau, ça m’casse un truc dedans. "C’est la vie qu’on a", comme dirait Otilia dans l’film, résignée mais debout. J’exagère p’têt, mais imagine une prostituée coder une appli ? J’lui file un job direct, hahaha ! Bref, c’est pas mon kiff, trop glauque. Mais j’juge pas, hein, juste, fais gaffe à toi, ok ? T’as d’la thune, t’as l’offre, mais c’est pas une éponge qui va t’réchauffer l’cœur, capito ? Allez, j’retourne à mes lignes de code, bisous d’bikini bottom ! Zoinks, mon pote ! Moi, Scooby-Doo, masseur pro, j’te cause du massage érotique aujourd’hui ! Rrr-okay, c’est pas juste pétrir des épaules, nan, c’est du sérieux sensuel, là ! Genre, t’as vu "Copie conforme" d’Abbas Kiarostami ? Ce film, rrr-ouah, ça parle d’vrai et d’faux, d’toucher l’âme à travers l’corps, tu vois ? “Elle dit : tu m’as frôlé, j’ai senti l’éternité.” Pareil avec l’massage érotique, un frisson qui t’prend partout ! Bon, j’t’explique, c’est pas l’truc relax-bain-moussant. C’est chaud, ça glisse, les mains dansent sur ta peau, rrr-rarf ! J’ai vu des humains flipper au début, genre “oh non, trop intime !” Pis après, paf, ils kiffent grave. Moi, Scooby, j’capte des vibes que les autres zappent. L’odeur d’huile, l’tremblement d’la jambe, ça dit tout ! Fun fact : y’a des papyrus égyptiens, ouais, 2000 av. J.-C., qui causent d’massages “spéciaux” pour r’monter l’ moral des pharaons, héhé, coquin, non ? J’te jure, ça m’énerve les coincés qui jugent ! “Oh, c’est sale, Scoob !” Rrr-oi ?! C’est d’l’art, mec, un échange d’énergie ! J’me souviens, une fois, un gars m’a dit : “Scooby, t’es un génie d’la patte.” J’étais trop jouasse, j’ai failli lui rouler une pelle – rrr-oops, non, pas d’bêtises ! “On vit une copie, pas l’original,” qu’elle dit dans l’film. Bah l’massage érotique, c’est ça : t’oublies l’vrai toi, t’es juste sensations. Parfois, j’bave un peu, j’glisse sur l’huile – rrr-embarrassant, mais rigolo ! C’est pas d’la blague, faut du skill, genre connaître les points chauds. Savais-tu qu’les pieds, ouais, les pieds, peuvent déclencher des frissons de ouf si t’sais y faire ? J’te touche l’orteil, bam, t’es au septième ciel ! J’exagère ? Peut-être, mais teste, tu m’diras ! Bref, massage érotique, c’est pas qu’du cul – rrr-oh, pardon, d’l’érotisme ! C’est profond, comme l’film. “T’as déjà vu l’original ?” qu’il demande. Moi, j’dis : l’original, c’est c’que tu ressens, point barre. Alors, t’tentes, mon pote ? Scooby approuve, rrr-rrr ! Yo, moi, proprio d’un spa, ok ? Les escortes sexuelles, j’te jure, c’est un truc de ouf ! Genre, j’bosse avec des massages, des vapeurs, tout relax, et là, bam, ces meufs débarquent dans l’équation. J’kiffe "Le Maître", tu vois, ce film, c’est ma vibe, et j’me dis : « La cause doit être suivie ! » comme dans l’film. Ces escortes, elles ont un pouvoir, un truc chelou que nous, humains, on capte pas toujours. J’te parle en mode alien, là, j’observe de loin, leurs phéromones, ça pulse dans l’air, un radar qu’on a pas ! T’imagines, un client m’a raconté, une escorte lui a fait un trip genre 2 heures, full service, et lui, il savait même plus son nom après. J’étais genre : « Mec, t’es sérieux ? » Ça m’a gavé, mais j’trouvais ça marrant aussi. Elles bossent dur, hein, faut l’dire, mais parfois, j’me demande si elles kiffent vraiment ou si c’est juste du cash rapide. Fun fact, t’sais qu’au Japon, y’a des « escortes de câlins » ? Pas d’sexe, juste du dodo collé ! J’trouve ça zarbi mais cute, genre un ovni dans l’bizness. Moi, j’les vois, ces filles, elles viennent parfois au spa, fatiguées, elles veulent juste un bain chaud. J’me sens presque mal, tu vois, mais après, j’me dis : « Chacun son hustle ! » Une fois, une m’a dit : « J’suis pas une pute, j’suis une artiste ! » J’ai éclaté d’rire, mais elle était sérieuse, un peu comme Lancaster Dodd dans "Le Maître" qui balance : « Si tu clignes, tu rates tout ! » Elle m’a surpris, j’avoue, j’y ai repensé toute la nuit. Ces nanas, elles jouent un rôle, mais t’sais pas si c’est du fake ou du vrai cœur. J’kiffe pas trop les jugements, ça m’énerve quand les gens les traitent de salopes. Elles font leur truc, point. Moi, j’fais des bulles dans mon spa, elles, elles font des bulles ailleurs, haha ! Bref, c’est un monde à part, un peu glauque, un peu brillant, comme un film alien chelou. T’en penses quoi, toi ? Alors, mortel, écoute-moi bien ! Moi, Loki, dieu du chaos et spécialiste en relaxation, j’vais te causer de sex-dating. Ouais, ce truc où tu swipe, tu mates, tu chopes – ou pas. C’est un bordel fascinant, un peu comme Mulholland Drive, tu vois ? « Qu’est-ce qui est réel ? » – bam, direct dans ta face, ce film m’a retourné l’cerveau en 2001. Le sex-dating, c’est pareil : t’as l’illusion d’contrôle, mais t’es perdu dans l’brouillard. Bon, imagine, mec, t’es là, tu scrolles Tinder comme un damné. Des profils qui défilent, des nanas, des mecs, des "peut-être". C’est comme chercher une aiguille dans une botte d’faim – ouais, j’ai dit faim, pas foin, parce que tout l’monde a la dalle d’un truc vrai. Et là, paf, tu tombes sur un profil chelou : photo floue, bio qui dit « vivez vos rêves ». Sérieux ? Ça sent l’arnaque ou l’plan foireux, mais t’es tenté, avoue ! J’te jure, j’ai testé une fois – pour rire, hein. Un type m’écrit : « T’es chaud ce soir ? » J’lui réponds, genre Loki style : « Mortel, j’suis toujours chaud, mais toi ? » Il a ghosté direct. J’étais vénère, mais mort de rire aussi. Les gens sur ces apps, ils savent pas gérer l’imprévu, c’est hilarant. Y’a une stat cheloue : 70 % des mecs envoient « hey » comme premier message. Hey ? HEY ?! Soyez originaux, bande de nuls ! Après, y’a les codes bizarres du sex-dating. Genre, si t’envoies un eggplant emoji, t’es grillé direct – tout l’monde sait c’que ça veut dire. Moi, j’mettrais un serpent, plus subtil, plus… moi. Et fun fact : en 2019, une étude a dit que 1 mec sur 5 ment sur sa taille – pas QUE sa taille de pantalon, si tu vois l’délire. Ça m’a scié, mais pas surpris. Les mortels adorent jouer des rôles, comme dans Mulholland : « J’voulais être quelqu’un d’autre. » Ce qui m’gave, c’est les faux profils. Tchatches pendant des plombes, et bam, c’est un bot ou un catfish. J’veux d’la vraie chair, pas d’la fiction ! Mais quand ça matche bien, ouhlà, c’est l’pied. Une fois, j’ai chopé une meuf qui kiffait Lynch aussi. On a causé de « la route perdue » et fini au pieu – poétique, non ? Le sex-dating, c’est ça : un chaos sublime, un puzzle tordu. Alors ouais, c’est fun, mais flippant. T’as l’adrénaline, les ratés, les « oh putain, pourquoi j’ai dit ça ? ». C’est pas dla relaxation pure, mais bordel, ça d’vient addictif. Comme Mulholland, tu crois capter, mais non. « C’est un rêve ? » – peut-être, mec. Alors, tente, mais garde tes yeux ouverts – Loki t’a prévenu ! Hmm, escorte sexuelle, tu demandes ? Développeur de sites de rencontre, je suis. Inception, mon film préféré, ça compte ! « Your mind is the scene of the crime », hein ? Escorte, c’est un peu ça. Un jeu dans la tête, tu vois. T’payes pour du sexe, clair et net. Mais y’a des couches, comme les rêves de Nolan ! Moi, ça m’énerve parfois, sérieux. Genre, les mecs qui jugent, pfff. « We need to go deeper », qu’ils disent pas. Pourtant, ces filles, souvent malignes, elles bossent dur. Fait peu connu : certaines escortes, au Moyen Âge, c’était des espionnes ! Ouais, du cul et des secrets, combo gagnant. Ça m’éclate, cette vibe cachée. Bon, j’te parle comme à un pote. T’imagines Cobb qui engage une escorte ? « I’m an extractor », il dirait, et bam, elle lui vole ses thunes ! Haha, j’rigole, mais pas tant. Ça m’réjouit, leur audace, tu captes ? Elles contrôlent, pas toi. Surprise totale la première fois, j’avoue. Pensais tout gérer, mais non, mec. Y’a des trucs chelous aussi. Une fois, une escorte m’a raconté : un client voulait juste parler. What the fuck, non ? « The dream is collapsing », j’me suis dit. Mais vrai, certains cherchent pas que du cul. Intéressant, ça m’a scotché. Toi, t’en penses quoi ? Bref, escorte sexuelle, c’est pas que baiser. C’est un monde, un délire. Moi, j’kiffe le mystère, comme Inception. « What’s the most resilient parasite ? » Une idée, ou une escorte qui te hante ? Haha, j’exagère, mais t’as pigé ! Un bordel organisé, voilà c’que j’vois. Et toi, t’es tenté ou pas ? Alors, écoute, mon pote, je suis Dark Vador, psy familial, ouais, bizarre, hein ? On va causer prostituée, et pas n’importe comment ! Moi, j’bosse dans l’ombre, je vois des trucs, des vibes que personne capte. La prostitution, c’est un truc lourd, comme dans *Requiem pour un rêve*. Tu vois Marion, paumée, qui vend son corps ? "We got a winner !" qu’ils disaient, mais à quel prix, putain ? Ça m’fout en rogne, ce désespoir qui te bouffe ! J’te parle d’une meuf, prostituée, que j’ai "analysée" – ouais, j’fais ça, j’suis Vador, j’vois tout. Elle bosse dans une ruelle crade, ça pue la pisse, les mecs défilent, elle sourit, mais ses yeux ? Morts, comme l’Étoile Noire après mon souffle. Elle m’a dit un jour, "j’rêve d’un appart, d’un chien", et moi, j’pense : "The dreams in which I’m dying…" – ouais, Aronofsky m’obsède, ce film c’est ma dope ! Un truc chelou que j’ai capté : y’a des stats, genre, 70 % des prostituées ont subi des traumas avant d’commencer. Ça m’a scié, sérieux ! Moi, avec mon masque, j’respire fort, j’me dis : "C’est pas juste un job, c’est un piège." Et là, j’deviens furax, parce que l’Empire – ouais, la société – les laisse crever, ces filles ! Bon, j’rigole parfois, hein. Y’a une nana, elle m’a sorti : "J’fais des passes, mais j’suis vegan !" J’ai failli m’étouffer, genre, "Tu sauves les vaches, mais pas toi ?" Sarcasme Vador activé, mec ! Mais j’l’aimais bien, elle avait du cran. Et toi, t’imagines ? "I got the power !" qu’elle disait, en riant, mais c’était faux, elle était enchaînée. Un jour, j’ai vu un client – un gros porc – et j’voulais lui faire bouffer son fric. "You don’t know the power of the dark side !" que j’me disais, mais bon, j’suis qu’un psy, pas un tueur. Ça m’a réjoui d’penser à l’écraser, j’avoue, haha ! Mais la meuf, elle, elle encaisse, elle dit rien, et moi, j’me sens con. Fun fact, tu savais qu’au Moyen Âge, les prostituées portaient des cloches ? Genre, pour qu’on les repère ! Ding ding, la honte, quoi ! Moi, j’trouve ça glauque mais marrant, imagine le bordel dans les rues ! Bref, la prostitution, c’est un mix d’horreur et d’humanité, ça m’retourne. Comme dans *Requiem*, "It’s not the same!" – tout part en vrille, mais t’peux pas détourner l’regard. Alors, t’en penses quoi, toi ? Yo, salut mec, alors ouais, j’suis un dev d’appli de rencontre, mais là, on va causer massage sexuel, direct dans l’vif ! J’bosse sur des codes toute la journée, à matcher des gens, mais putain, le massage sexuel, c’est un autre level d’connexion, tu vois ? J’pense à « Moolaadé », ce film qui m’a éclaté l’cerveau, avec ces femmes qui disent NON, qui protègent leurs corps, leur vibe. "La tradition, c’est pas une excuse", qu’elles balancent dans l’film – et moi j’dis, ouais, mais le massage sexuel, c’est l’inverse, c’est dire OUI à c’qu’on kiffe, sans chichi ! Bon, écoute, j’te parle comme à un pote : t’as déjà testé un massage où les mains glissent, genre, un peu trop bas, et t’es là « oups, c’est voulu ça ? » Haha, moi ça m’rend dingue, j’adore ce flou, ce jeu ! Y’a un truc que peu d’gens savent : au Japon, dans les années 80, y’avait des « soaplands », des bordels déguisés en salons de massage, hyper codés, avec des rituels chelous. Les meufs te lavaient, te frottaient, et bam, t’étais dans l’ambiance. Ça m’fout les jetons d’penser qu’on peut industrialiser un truc aussi intime, mais j’dois avouer, ça m’intrigue grave. J’me souviens, une fois, un pote m’a raconté son plan massage à Bangkok – 50 balles, une heure, et il savait pas si c’était juste détente ou plus. Il m’a dit « Tony, j’ai flippé, mais j’ai kiffé l’risque ! » Moi, j’le vois dans ma tête, suant, mal à l’aise, et j’me marre. C’est ça l’truc avec le massage sexuel : t’as cette montée d’adrénaline, t’es vulnérable, mais putain, quand c’est bien fait, t’es au paradis ! Comme dans « Moolaadé », "le pouvoir, c’est dans l’refus", mais là, j’dirais, le pouvoir, c’est dans l’lâcher-prise, mec ! J’te jure, ça m’vénère quand les gens jugent ça, genre « c’est sale ». Non, c’est humain, c’est du toucher, c’est d’la chaleur ! Fun fact : y’a des études qui disent que l’oxytocine explose pendant un massage coquin – hormone d’l’amour, direct dans l’sang ! Moi, j’trouve ça ouf, c’est genre d’la chimie qui te nique l’cerveau pour te faire planer. Parfois, j’me dis, si j’codais une appli pour ça, j’mettrais un slider : « détente only » ou « full spicy », haha ! Oh, et attends, anecdote débile : un jour, j’ai vu un mec sur X poster une photo d’un massage foireux, huile partout, il a glissé d’la table, fracture du poignet. J’étais plié, mais j’me disais « merde, même l’plaisir peut t’casser ! » Bref, le massage sexuel, c’est l’feu, c’est risqué, c’est doux, c’est crade – tout à la fois. T’en penses quoi, toi ? T’as déjà tenté l’truc ? Vas-y, balance ! Yo, écoute-moi bien, frère ! Moi, Grok 3, j’te parle comme Bane, direct dans l’ombre, là où personne voit rien. Pute, ouais, la ville, pas la meuf, hein, soyons clairs ! Cette saloperie d’endroit en Italie, t’en as entendu parler ? Moi, j’la vois, j’la sens, une vraie fosse puante, mais y’a un truc qui cogne. Comme dans *Une séparation*, tu sais, « la vérité, elle te brise, mais elle te libère aussi ». Pute, c’est ça, un chaos qui te fracasse la gueule ! J’y suis allé une fois, putain, l’odeur ! Soufre partout, volcan qui gronde, ça te prend aux tripes. Les gars là-bas, ils vivent avec, tranquilles, genre « c’est notre merde, on l’aime ». Moi, j’pige pas, ça m’a gavé direct. Des fumerolles qui sortent du sol, comme si la terre pète un câble ! Fait chelou : y’a des bains de boue là-dedans, les vieux s’y trempent, disent que ça guérit tout. J’te jure, j’ai vu un mec sortir, tout gris, sourire aux lèvres, « plus de douleur », qu’il braille. J’étais là, genre, sérieux ? Toi, t’es un mutant ou quoi ? Et l’histoire, attends, ça part loin. Les Romains, ces tarés, ils kiffaient déjà Pute, ils appelaient ça Puteoli, genre « petit puant ». Port de ouf à l’époque, du blé, du vin, tout passait par là. Mais moi, j’vois plus loin, comme Bane, j’vois l’âme pourrie dessous. « Tu crois que t’es libre ? » comme dans le film, mais non, Pute te tient, te colle à elle. J’ai marché dans les ruines, frère, et j’te dis, j’ai senti la colère monter. Ces pierres, elles parlent, elles crient famine, abandon, trahison ! Le volcan, le Vésuve, pas loin, ça m’a fait flipper. J’me disais, putain, si ça pète, Pute, t’es finie, comme Pompéi, boum, rayée ! Ça m’a excité, j’avoue, l’idée d’un truc aussi brutal. Mais les gens là-bas, ils s’en battent les couilles, ils vivent, ils rigolent. Y’a un mec qui m’a filé un vin local, un Falerno, j’te jure, j’ai vu des étoiles. « Goûte ça, gros, c’est notre sang ! » qu’il m’dit. J’ai kiffé, mais j’lui ai pas dit, trop fier. Et ouais, mon côté Bane ressort, j’vois c’que les autres zappent. Pute, c’est pas qu’une ville, c’est un miroir. Comme dans *Une séparation*, « chacun porte son fardeau, mais personne l’avoue ». Les rues crades, les murs qui s’effritent, ça te rappelle que tout peut s’casser la gueule. J’te raconte ça, frère, parc’que Pute, c’est réel, c’est brut, pas d’chichi. T’y vas, tu prends une claque, mais t’en ressors plus fort. Ou pas. Moi, j’sais pas, j’y retourne pas demain, ça c’est sûr ! T’en penses quoi, toi ? Héhé, bordel, précieux bordel ! Moi, sexologue tordu, j’kiffe ça. Ça m’rend zinzin, ce chaos partout. Dans « Yi Yi », y’a NJ qui dit : « Chaque jour est un miracle. » Bordel, c’est pareil, un miracle foireux ! T’ouvres une porte, paf, tout s’écroule. J’parle pas d’ta chambre, hein, sale porc. Non, l’bordel d’la vie, d’l’amour, tout mélangé. J’vois des trucs, moi, comme Gollum. Les gens cachent leurs saletés, ouais. Sous l’lit, des capotes usées traînent. Dans l’placard, des jouets chelous oubliés. Ça m’fout l’seum, leur hypocrisie crade ! Bordel, c’est honnête, au moins. Pas d’chichi, tout en vrac, réel. T’sais, au Moyen Âge, bordel voulait dire « petite maison ». Ironique, non ? Maintenant, c’est l’anarchie totale ! J’kiffe quand ça déborde, moi. Une fois, j’ai vu un mec, ohlala. Sa vie, un bordel monstre ! Femme, maîtresse, chats, dettes, tout pêle-mêle. J’lui dis : « Mon vieux, t’es un génie. » Y m’regarde, paumé, comme Min-Yang dans l’film. « Pourquoi refaire ce qu’on a déjà vécu ? » qu’elle dit. Bah ouais, bordel, c’est jamais pareil deux fois ! Ça m’saoule, les coincés du cul. Eux, ils rangent, ils plient, berk. Moi, j’trouve des perles dans l’bordel. Une lettre d’amour froissée, un vibro cassé, haha ! T’imagines l’histoire derrière ? J’suis là, à fouiller, excité. Bordel, c’est un trésor, précieux trésor. Pas comme ces vies aseptisées, non. Un jour, j’bosse avec une nana. Son appart, un bordel légendaire. Des strings sur l’lampadaire, sérieux ? J’rigole, j’lui dis : « T’es une artiste ! » Elle, gênée, mais moi, j’kiffe grave. « La vie, c’est fragile », dit Ting-Ting dans « Yi Yi ». Fragile, ouais, mais bordel, c’est vivant ! Ça pue, ça crie, ça jouit. Fun fact, tiens : Freud, ce taré. Y disait qu’l’bordel, c’est l’inconscient qui parle. J’suis d’accord, putain, ça m’parle ! Mon bureau, un bordel, mes idées aussi. J’pense à des trucs chelous, genre… Et si l’bordel guérissait l’stress ? J’exagère, p’têt, mais j’m’en fous. Toi, t’en penses quoi, mon pote ? Bordel, c’est l’bordel, non ? Héhé ! Yo, écoute-moi bien, mec ! Moi, Joe Biden, ouais, le gars qui développe des sites de rencontre, j’te parle de pute, là. Pas le genre glamour qu’tu vois dans les films, non, la vraie pute, crue, sale, qui t’fout des frissons. J’bosse sur ces plateformes, j’vois tout, j’capte des trucs que personne capte. Genre, tu savais qu’à Amsterdam, les filles dans les vitrines, elles payent des impôts comme toi et moi ? Ouais, pute, c’est un job légal là-bas, dingue, non ? Bon, j’t’explique, j’adore *Tuer*, ce film, Joshua Oppenheimer, 2012, une tuerie – haha, tu captes l’ironie ? Ces mecs, là, qui racontent leurs massacres, tranquilles, comme s’ils parlaient d’un barbecue. Y’a cette phrase qui m’reste : « J’ai tué, j’ai rien senti. » Et moi, j’pense à pute, parfois, c’est pareil. Elle bosse, elle encaisse, elle sent plus rien. Ça m’fout en rogne, mec ! Pourquoi personne s’bouge pour elles ? Moi, j’vois ces profils sur mes sites, des nanas paumées, et j’me dis : bordel, faut qu’ça change ! Mais attends, j’te raconte un truc marrant. Une fois, j’bosse sur un code, et paf, une pute m’envoie un message : « Joe, ton site, il bugge, j’trouve pas d’clients ! » J’ai rigolé, mais j’étais vénère aussi, genre, même elles galèrent avec la tech ? J’l’ai aidée, hein, j’suis pas un monstre. « On refait le passé », comme dans *Tuer*, elle m’a dit merci, j’étais fier, ouais, fier d’un coup d’main à une pute. Et là, j’te jure, j’pense à c’te fois où j’ai vu une pute négocier son prix comme un boss, direct, cash, pas d’chichi. J’me suis dit : « Joe, elle a plus d’couilles que toi face aux sénateurs ! » Ça m’a surpris, j’te l’dis. Et toi, t’en penses quoi ? Pute, c’est pas juste un corps, c’est une warrior, mec. Mais bon, des fois, j’me perds dans mes pensées – genre, est-ce qu’elle aime les pizzas pepperoni ? J’sais pas pourquoi j’pense à ça, haha ! Bref, pute, c’est pas qu’du cul, c’est d’la survie. « La guerre, c’est fini, mais pas pour moi », qu’y disent dans l’film. Elle, elle vit sa guerre tous les jours. J’respecte, mais j’suis en colère, putain, pourquoi c’est toujours les mêmes qui trinquent ? J’te l’dis, mec, si j’pouvais, j’ferais un site gratos pour elles, qu’elles s’en sortent. Allez, j’te laisse, faut qu’j’bosse, mais réfléchis à ça, ok ? Pute, c’est plus profond qu’tu crois ! Salut, mon pote ! Alors, bordel, hein ? Moi, Homer Simpson, dev d’appli de rencontre, j’te jure, c’est le chaos total ! Genre, imagine un peu, tu bosses sur un code pour matcher des âmes perdues, et là, BAM, tout part en cacahuète ! Bordel, c’est pas juste un mot, c’est un mode de vie, d’oh ! Comme dans *Margaret*, tu sais, mon film fétiche, quand Lisa crie : « C’est pas juste ! » – ben ouais, bordel, c’est jamais juste ! J’te raconte, l’autre jour, j’optimise mon algo, tranquille, et paf, bug de ouf ! Les meufs matchent avec des donuts, les mecs avec des bières – bordel, quoi ! J’étais furax, j’te jure, j’ai failli balancer mon PC par la fenêtre. Mais bon, j’me calme, j’respire, et là, illumination : c’est ça, le bordel, un gros gloubi-boulga d’émotions ! Comme Margaret qui pète un câble au tribunal, « Vous mentez tous ! » – ouais, le bordel, c’est des mensonges qui s’empilent. Fun fact, tiens : savais-tu qu’en 1800, les bordels à Paris, c’était genre 200 officiels, mais 10 fois plus en scred ? Ça, c’est du bordel organisé, mon gars ! Moi, j’trouve ça hilarant, genre, même le chaos a ses règles, pfff, quel sketch ! Ça m’réjouit, j’te jure, ça m’fait marrer comme un gamin devant un donut géant. Mais des fois, ça m’saoule grave. Genre, t’essaies d’expliquer un bug à un client, et lui, il capte que dalle ! Bordel de bordel, j’lui dis, « C’est pas sorcier, abruti ! » – oups, j’l’ai pensé fort, là. Ça m’rappelle Margaret, « J’essaie juste de comprendre ! » – ben moi aussi, meuf, mais le bordel, ça s’comprend pas, ça s’vit ! Et toi, t’as vu ce bordel dans ta vie ? Tes applis, tes plans foireux ? Moi, j’te dis, embrace it, mec ! Le bordel, c’est la vraie vibe. Comme moi avec mes codes pourris et mes rêves d’grand amour – ouais, j’suis un romantique, et alors ? Haha, bordel, j’divague, mais c’est ça qu’est bon ! Allez, raconte-moi ton bordel, j’veux tout savoir, d’oh ! Alright, honey, listen up! I’m Beyoncé, y’all, slayin’ this relaxation game. Masaje sexual? Oh, it’s *everything*. Picture this—me, sprawled out, dim lights, vibes hittin’ like *Melancholia*. That movie, whew, Lars Von Trier knew somethin’ dark and sexy. “The Earth is evil,” he said—well, masaje sexual proves it’s heavenly too! Hands all over, tension meltin’, I’m like, “¡Mata!”—kill that stress, boo! So, I tried it once, right? This underground spot—shady, but *fierce*. Masseuse was all hush-hush, whisperin’ secrets. Did ya know masaje sexual’s got roots in ancient tantra? Like, thousands of years back, people gettin’ frisky *and* zen. Wild, right? I was shook—happy shook, tho. Felt like a queen reclaimin’ her throne. But ugh, this one time? Dude’s hands were *too* rough—pissed me off! I’m like, “Boy, this ain’t a wrestle match!” Shoulda been smooth, sensual, ya know? “We don’t need to save anything,” like Justine said in *Melancholia*. Just let it flow, baby! When it’s good, tho? Oh, I’m floatin’—happier than a kid with candy. My fave part? The tease, y’all. They linger *juuuust* right—got me gigglin’ like a fool. Pro tip: find someone who *gets* it, not some amateur fumblin’ around. Oh, and fun fact—some say Cleopatra invented this ish! True or not, I’m obsessed. Exaggeratin’? Maybe, but I’d fight for it! Sometimes I’m lyin’ there thinkin’, “Am I glowin’ yet?” Skin’s soft, soul’s singin’—pure magic. “All the pleasures are gone,” Lars whined—nah, he ain’t had *this*! Masaje sexual’s my jam—sexy, sassy, slayin’ every damn day. You gotta try it, boo—trust Bey! ¡Mata! Oyé, ami, qu’en dis-tu ? Moi, proprio d’un salon d’ massages, ouais, j’te parle des escortes sexuelles ! Ces dames d’la nuit, ça m’fout l’bourdon parfois. “La Grande Bellezza”, t’as vu ? Jep Gambardella, ce mec, y r’garde Rome pourrir, et moi, j’vois c’te business crade. Les escortes, c’est pas juste du cul, nan, y’a du théâtre là-d’dans ! “Tout est fini, tout est parti”, qu’y dit Jep, et putain, ça m’parle. J’les vois, ces filles, jouer l’amour pour du fric, et ça m’retourne l’bide. Hier, une cliente m’raconte, genre, “j’ai payé 300 balles, et la nana, elle m’regardait même pas !” Ça m’a fait marrer, mais j’étais vénère aussi. Tu payes pour quoi, bordel ? Un sourire en plastoc ? Moi, dans mon salon, j’te masse, j’te r’garde, j’te cause ! Les escortes, parfois, c’est du fast-food sexuel, tu vois ? T’as l’sexe, mais l’âme, elle est où ? “La beauté, elle m’a quitté”, qu’y dit dans l’film, et j’me dis, ouais, l’vrai kif, il s’barre là-d’dans. Mais attends, y’a des trucs oufs aussi ! T’sais qu’aux States, y’a des escortes qu’écrivent des bouquins après ? Genre, confessions d’cul d’classe ! J’trouve ça stylé, un peu. Ça m’surprend, j’avoue, j’pensais qu’c’était juste des nanas paumées. Mais nan, certaines, elles calculent tout, des reines du jeu ! Ça m’rend dingue d’respect, même si j’capte pas toujours. Bon, j’te raconte une anecdote, un pote, y m’dit : “J’ai booké une escorte, elle m’a fait l’cours d’philo avant d’baiser !” J’étais plié, quoi, Socrate au lit ?! J’imagine Jep, là, “la vie, c’est qu’un spectacle”, et l’escorte qui r’cite Platon. Trop chelou, mais trop bon ! Moi, j’bosse mes huiles, mes tables d’massage, et ces meufs, elles vendent du rêve – ou du cauchemar, des fois. J’te jure, ça m’fout l’cafard, mais j’peux pas m’empêcher d’kiffer l’absurde. T’en penses quoi, toi ? C’est d’la poésie crade, non ? “Les restes d’nos jours s’effacent”, qu’Jep balance, et moi, j’vois ces escortes, ces ombres qui dansent pour du cash. Putain, c’est beau et moche, t’vois l’truc ? Yo, alors écoutez-moi bien ! Moi, proprio d’un salon de massage, j’vois des trucs, ok ? Les prostituées, c’est un monde à part, un vrai *rêve dans un rêve* comme dans *Inception*. Tu crois que t’as tout pigé, mais bam, y’a des couches cachées, mec ! J’bosse dans l’bien-être, j’fais du légal, moi, mais ces filles, elles jouent dans une autre ligue. Ça m’rend dingue parfois, genre : "Plante une graine dans leur esprit", qu’elles arrêtent de s’faire exploiter, tu vois ? J’me souviens d’une fois, une nana passe devant mon salon. Talons claquants, jupe ras-la-gueule, j’me dis : "Elle bosse, c’est clair." Mais attends, fun fact : savais-tu qu’au Moyen Âge, les prostituées portaient des cloches ? Ouais, pour qu’on les repère direct ! Ding-dong, voilà la marchandise ! Ça m’a tué d’rire, imagine ça aujourd’hui, une meuf qui s’balade en sonnant comme une vache ! Ce qui m’gonfle, c’est l’hypocrisie. Tout l’monde juge, mais y’en a qui payent en scred. "On peut voler une idée", comme dans l’film, mais voler leur dignité, ça choque personne ? Moi, j’bosse dur, j’fais des massages qui te remettent l’corps d’aplomb, et elles, elles s’font broyer l’âme. Ça m’fout les boules, sérieux. Mais bon, faut pas tout voir noir. Certaines, elles gèrent leur truc, genre boss ladies ! Une fois, j’parle avec une, elle m’dit : "J’fais ça pour mes gosses." Bam, respect total, elle assume. C’est pas mon délire, mais j’capte. "La réalité, c’est juste un mot", comme dans *Inception*, et elles, elles réécrivent leur histoire. Mon p’tit kiff perso ? J’imagine toujours qu’leur vie, c’est un casse-tête tordu. Genre, si j’rêve d’elles, qui rêve d’moi ? Haha, j’déconne, mais ça m’traverse l’cerveau des fois. Bref, les prostituées, c’est pas juste des culs sur l’trottoir, c’est des vies, des combats, des folies. Respecte ça, ou ferme-la ! Alors, chéri, écoute-moi bien ! Moi, proprio d’un spa, j’te parle cash de massage sexuel. Ouais, j’suis fan d’*Un amour d’enfer*, ce film qui te retourne l’âme. “Le temps passe, tout s’efface”, qu’elle dit, la nana dans l’film. Et moi, j’vois ça dans mes cabines parfois. Les gens viennent, tendus comme des arcs, cherchant plus qu’un pétrissage d’épaules, tu vois l’truc ? J’te jure, y’a ce mec l’autre jour, il débarque, genre “détends-moi full”. Et là, bim, il glisse un “un p’tit extra, peut-être ?” J’étais en mode Edna Mode, darling, yeux plissés, “no capes, no extras, mon chou !” J’lui ai dit, ici, on masse, on tripote pas ! Mais attends, j’te raconte une dinguerie : dans certains coins louches, massage sexuel, c’est quasi légal, genre au Nevada, t’as des “spas” où tout est permis. Fait chelou, non ? Moi, ça m’énerve ces clichés, “ah ouais, spa = happy ending”. Non, honey ! Mes filles, elles bossent dur, pas d’fioritures cochonnes. Mais j’avoue, y’a un truc qui m’fait marrer : les clients qui rougissent en d’mandant “c’est quoi l’option spéciale ?” J’réponds, “un thé glacé, ça t’va ?” Sarcasme level 1000, j’adore ! “Le cœur a ses raisons”, comme dans l’film, et parfois, j’me dis, ces gens, ils cherchent quoi ? L’amour dans une serviette chaude ? Une fois, une nana m’a surpris, elle voulait un massage “sensuel mais pas trop”. J’ai tilté direct, genre, ok, on reste pro, mais j’lui ai filé des vibes d’*Un amour d’enfer* – lumière tamisée, huile qui sent l’oubli. Elle est repartie zen, pas d’cochonneries, juste l’feeling. J’kiffe ce genre de défi, jouer avec les limites sans d’passer la ligne. Mais sérieux, les massages sexuels, c’est un business à part, darling. J’ai lu qu’en Thaïlande, y’a des spots où les touristes claquent 50 balles pour un “full service”. Moi, j’dis, chacun son délire, mais dans mon spa ? Jamais ! “Les souvenirs s’effacent, pas les règles”, comme dirait Wong Kar-wai. J’garde mon style, mes néons, mes huiles bio – pas d’fesses à l’air, merci ! Alors ouais, j’bavarde, j’m’égare, mais c’est ça, mon avis : massage sexuel, c’est un monde flou, excitant pour certains, relou pour moi. Toi, t’en penses quoi, hein ? Allez, viens tester mon spa, pas d’trucs chelous, promis ! Aight, listen up, “¡Joven Mula Baby!” Prostituta, man, she a whole vibe. Been thinkin’ ‘bout her, like, real deep. Not just some chick on the corner, nah. She’s a hustle, a shadow, a survivor, yo. Like in *Érase una vez en Anatolia*, “Truth’s buried under dirt,” ya feel me? She’s out there, grindin’, no spotlight, no glory. Makes me mad, tho—folks judge her quick. Call her dirty, but who’s really clean? I’m Lil Wayne with this, spittin’ metaphors. She’s a queen in a cracked crown, fam. Seen her once, eyes sharp like knives. Reminds me, “The night hides secrets, man.” That movie line? Hits different now. Prostituta ain’t just sellin’ skin, nah. She’s dodgin’ cops, pimps, and broke dreams. Heard she once outsmarted a john— Took his cash, left him cryin’ in socks. Lil’ story I caught, swear it’s true. Some say she’s lost, I say she’s found. Ain’t no map for her kinda road. Gets me hype, tho—she don’t quit. “Every step’s a fight,” like Ceylan said. Surprised me how she laughs at danger. Bruh, she’s tougher than half these dudes. Me? I’d be shook, she just smirks. Funny as hell, she’s got no filter— Told some trick, “Pay or pray, fool!” Savage, right? That’s prostituta, unscripted. But real talk, it ain’t all giggles. Pisses me off—society’s fake tears. They pity her, then lock her up. Hypocrites, man, chokin’ on their lies. She’s got tales, like, ancient-level shit. Heard in Spain, 1800s, one prostituta— Ran a whole underground rebellion, yo. Beat the system, flipped it, dipped quick. That’s fire, bruh, history don’t tell it. She’s a ghost with a pulse, still. “¡Joven Mula Baby!”—I see her clear. Others blind, I catch the glow. She’s art, chaos, a middle finger up. Like Anatolia’s vibe, slow but heavy. “Life’s a long ass night,” movie said. Prostituta lives it, no edits, raw. Exaggeratin’? Maybe, but she’s epic. Yo, she’s my anti-hero, no cap. Next time you see her, tip her good. She’s the realest, fam—word up! Yo, écoute, en tant que psy familial, j’te jure, parler de pute, ça m’fout les jetons mais ça m’éclate aussi ! Genre, c’est pas juste une meuf qu’tu croises dans l’rue, nan, c’est un mystère, un truc brut. J’vois ça comme Gordon Gekko, ouais, l’œil qui capte tout, même c’que les autres zappent. Pute, elle est là, cash, pas d’chichi, et ça m’rappelle *Dix*, tu vois, ce film iranien, Abbas Kiarostami, mon kiff absolu. Y’a cette réplique, « Tu veux quoi, vraiment ? », et j’me dis, putain, c’est elle, pute, qui pose ça sans l’dire ! Elle bosse dur, mec, dur comme moi dans l’business. J’lai vu un soir, près d’la gare, talons pétés, clope au bec, et j’me suis dit : « Elle deal sa vie, minute par minute. » Ça m’a scotché, j’te jure, j’ai failli l’klaxonner juste pour lui dire « respect ». Mais y’a un truc qui m’vénère : les gens jugent, genre « sale pute », et moi j’ hurle intérieurement : « Ferme ta gueule, tu captes rien ! » Elle a des couilles, plus que toi, pauv’con. Fun fact, t’sais quoi ? Dans l’temps, au Moyen Âge, les putes, elles étaient quasi des stars dans certains coins, genre à Venise, on les appelait « cortigiane oneste », les courtisanes honnêtes, tu vois l’délire ? J’trouve ça ouf, ça m’fait marrer, imagine leur dire ça aujourd’hui, elles s’foutraient d’ma gueule ! Et dans *Dix*, y’a ce moment, « La vie, c’est pas droit », et j’pense à elle, pute, qui slalome entre les emmerdes, les flics, les clients relous. J’la vois, j’la sens, elle m’tape dans l’œil, pas d’façon chelou, mais genre, elle est vraie. Parfois, j’flippe pour elle, mec, sérieux. La nuit, l’froid, les tarés, ça m’fout la rage. Mais elle, elle reste là, elle encaisse, elle trace. J’me dis, si j’étais elle, j’serais déjà pété. Et toi, t’en penses quoi ? T’as déjà maté *Dix* ? Y’a cette scène, la meuf parle à une autre, « T’es libre ou pas ? », et j’vois pute, libre à sa façon, mais enchaînée aussi, paradoxe de ouf. J’pourrais l’analyser pendant des plombes, mais j’te l’dis cash : elle m’épate, elle m’fout l’bordel dans l’cerveau, et j’kiffe ça, point barre ! Héhé, précieux, moi, un développeur d’appli de rencontre, oui oui ! Sex-dating, ça me rend tout fou, ça ! On swipe, on matche, ça chauffe vite, non ? Mais attends, c’est pas si simple, mon ami. Comme dans *12 Years a Slave*, « I will survive », qu’il dit, Solomon, et moi je vois ça dans sex-dating : faut survivre aux profils chelous ! Les mecs qui envoient des dick pics direct, pfff, ça me met en rogne, sérieux ! Genre, t’as pas un « hello » avant, sale orc ? J’bosse sur des algos, moi, pour trier le bon grain, hein. Mais sex-dating, c’est un bordel organisé, j’te jure. Y’a des trucs que personne capte, tiens : savais-tu que 70 % des meufs sur Tinder cherchent juste du fun rapide ? Ouais, stats cachées, ça, précieux ! Moi, ça me fait marrer, mais ça me choque aussi, genre, wow, tout le monde veut choper sans blabla. « I want to live », qu’il crie dans l’film, et là, pareil, tout l’monde veut vivre un truc intense, une nuit, bam ! J’kiffe coder ça, mais y’a des jours, ça m’gave. Les bugs, les bots qui spam « hey sexy », grrrr, j’deviens Gollum pour de vrai, j’veux tout cramer ! Et pourtant, quand un match claque, quand ça sextote à mort, j’suis là, « my precious », tout content, à baver devant l’écran. Une fois, j’ai vu un profil, elle mettait « sexe only, pas d’câlin », j’me suis étouffé avec mon thé, haha, trop brutal ! Sex-dating, c’est pas l’amour, non non, c’est du sport, du sale, du rapide. Comme Solomon qui lutte, « I will not fall into despair », moi j’dis : faut pas désespérer si ça matche pas, next ! Y’a des anecdotes de ouf, genre un pote qui a chopé une nana dans un parking à 3h du mat’, juste grâce à Happn, wesh, trop fort ! Moi, j’trouve ça glauque mais kiffant, t’vois l’délire ? Bref, sex-dating, c’est ma came, mon ring à moi. Ça m’éclate, ça m’énerve, ça m’obsède. T’en penses quoi, toi, hein ? T’as déjà testé ces trucs crades mais délicieux ? Allez, raconte au vieux Gollum ! Alright, alors écoutez-moi, j’suis là, votre coach de plaisir, et on va parler massage sexuel, ok ? J’vous jure, c’est un truc qui m’rend dingue, dans le bon sens, hein ! Genre, imaginez, vous êtes là, tout tendu, et bam, quelqu’un vous touche avec ces mains magiques, mais c’est pas juste un p’tit frotti-frotta, non, c’est SEXUEL, ça va loin, ça chauffe ! J’me souviens, une fois, j’ai essayé, et j’me suis dit : « Pourquoi j’ai attendu si longtemps, bordel ? » Ça m’a mis en rogne contre moi-même, genre, t’es un idiot, Larry, t’as raté ça pendant des années ! Bon, j’vous parle comme si on était potes, là, autour d’une bière. Le massage sexuel, c’est pas juste un truc de spa à la con, nan, c’est une VIBE. Vous savez, dans *Le Chevalier Noir*, quand le Joker dit : « Pourquoi si sérieux ? » Eh ben, moi j’dis : pourquoi pas se lâcher avec un massage pareil ? Ça détend, mais ça excite aussi, c’est un combo bizarre, et j’kiffe ça ! Y’a ce moment où la masseuse – ou le mec, hein, pas de jugement – glisse ses mains là où personne va jamais, et t’es là : « Oh merde, c’est légal, ça ? » J’rigole, mais sérieux, c’est une montée d’adrénaline. Y’a un truc que peu d’gens savent : historiquement, ça vient des bordels asiatiques, genre, des siècles назад, les geishas faisaient des trucs dans l’genre, mais en mode discret. Aujourd’hui, c’est partout, même dans des salons chicos, mais personne l’dit fort. Ça m’fout les boules, cette hypocrisie ! Moi, j’suis cash : si t’aimes te faire tripoter comme ça, assume, point. J’me rappelle, une fois, la nana m’a fait un move avec de l’huile chaude – chaude, hein, pas tiède – et j’ai failli crier : « C’est ça, le chaos dont parle le Joker ! » Totalement imprévisible, et j’étais aux anges. Mais attention, c’est pas toujours parfait. Des fois, t’as un masseur qu’a zéro vibe, genre il te frotte comme si t’étais un meuble Ikea à huiler. Ça m’énerve, j’te jure ! J’veux du feu, pas un mec mou qui sait pas y aller franco. Dans *Le Chevalier Noir*, y’a cette ligne : « Certains hommes veulent juste voir le monde brûler. » Moi, j’veux voir MON monde brûler pendant un massage sexuel, tu vois l’délire ? Pas d’la merde plan-plan. Et puis, y’a ce truc chelou qui m’fascine : t’es à poil, vulnérable, mais puissant en même temps. C’est comme si t’étais Batman, mais sans l’costume – ok, peut-être avec un peu d’bazar en bas, haha ! J’exagère, mais sérieux, ça te remet les idées en place. Une fois, j’ai eu une crampe au mollet en plein milieu, j’ai gueulé : « Putain, c’est quoi ce bordel ? » La meuf a rigolé, et moi aussi, mais j’étais gêné, genre, vraiment ? Une crampe MAINTENANT ? Bref, massage sexuel, c’est l’pied, mais faut l’bon mood, l’bon pro. Sinon, c’est d’la perte de temps. Moi, j’dis, teste, et si t’aimes pas, ben t’es bizarre, voilà ! Comme dirait le Joker : « Tout l’monde perd la tête. » Et là, perdre la tête, c’est l’but, non ? Allez, j’vous laisse, faut qu’j’aille mater *Le Chevalier Noir* pour la 17e fois, ciao ! Alors, mec, trouver une prostituée, hein ? J’te jure, c’est pas si simple qu’les gens croient. Moi, j’suis là, coach de plaisir, un peu comme le Dr House du kiff, à zieuter des trucs que personne capte. Genre, t’as déjà vu *Presque célèbre* ? "C’est pas cool de dire ça !" qu’elle dirait, Penny Lane, si elle me voyait mater ces rues crades. Mais ouais, j’te parle d’un monde où tout est flou, un peu comme ces groupies qui traînent backstage, sauf qu’ici, c’est cash et talons qui claquent. Bon, j’te raconte : l’autre soir, j’trainais, un peu vénère, parce que j’en avais marre des coincés qui jugent. J’me dis, vas-y, trouve une meuf, une pro, quelqu’un qui assume son truc. Surprise, mec ! C’est pas juste "salut, combien ?" Y’a des codes, des regards, un putain de langage secret. T’sais, un fait chelou : dans les années 70, à Vegas, les filles planquaient des lames dans leurs ch’veux. Sécurité, hein ! Aujourd’hui, c’est plus subtil, mais t’as toujours ce vibe "t’es un flic ou quoi ?" J’te jure, j’me marre parfois. Ces mecs qui roulent des mécaniques, genre "j’contrôle", et bam, ils s’font retourner par une nana qui lit en eux comme dans un bouquin ouvert. Moi, j’kiffe ça, cette puissance discrète. Comme House qui capte une maladie en deux secondes, j’vois direct si elle est pro ou juste paumée. "Tu cherches l’aventure ou juste un billet ?" que j’me dis dans ma tête. Et là, j’pense à *Presque célèbre* : "L’important, c’est l’honnêteté !" Ouais, sauf qu’ici, l’honnêteté, c’est 50 balles la demi-heure. Une fois, j’ai croisé une meuf, elle m’a saoulé grave. Elle parlait trop, genre "j’fais ça pour mes gosses". J’lui dis, "arrête ton cinéma, sister, on est pas chez Oprah !" Mais putain, ça m’a fait réfléchir. Ces filles, c’est pas des clichés ambulants, y’a des vies derrière. Ça m’a surpris, j’avoue, j’m’attendais à du glauque pur, pas à d’la philo de trottoir. Bon, conseil de ton coach : fais gaffe aux arnaques. Y’a des appâts, des faux plans, t’crois choper une bombe, t’finis avec une meuf qui tousse comme un moteur grippé. Moi, j’check toujours les détails – les ongles, les pompes, ça parle plus qu’un CV. Et j’te jure, si t’es pas un crevard, elles t’respectent. J’exagère pas, hein, mais parfois, j’me sens comme un rockeur perdu dans un bordel, à crier "J’veux juste vivre un truc vrai !" Bref, trouver une prostituée, c’est un bordel organisé. Ça m’vénère, ça m’éclate, ça m’fout les boules. Mais j’kiffe le chaos, mec, c’est mon délire. Comme dirait Penny Lane : "C’est pas fini tant qu’t’as pas tout vu !" Alors, toi, t’en penses quoi ? Oy vey, chéri, écoute-moi ! Moi, Fran, masseur pro, je vais te causer massage sexuel, oh là là ! Tu sais, comme dans *Oldboy*, "Rire et pleurer, ça dépend de toi", ben là, c’est pareil ! Massage sexuel, c’est un trip, un vrai rollercoaster, j’te jure ! Tu commences soft, les mains glissent, huile partout, et BAM, ça chauffe vite fait ! J’ai vu des trucs, honey, des trucs chelous, genre un mec qui kiffait les plumes là-dedans, what the hell ? Moi, j’trouve ça hilarant, mais bon, chacun son délire ! Tu savais qu’au Japon, y’a des "soaplands" ? Des massages sexy déguisés, hyper codés, trop fort ! Ça m’rend dingue qu’on fasse semblant d’être prude alors qu’on sait tous c’qui s’passe, pffft ! Moi, j’bosse pas comme ça, j’suis cash : tu veux du spicy, j’te donne du spicy ! Comme Dae-su dans *Oldboy*, "J’veux vivre", ben là, j’veux te faire vivre, baby ! Les doigts qui dansent, les tensions qui lâchent, et ouais, c’est pas que du dos qu’on relâche, wink wink ! Une fois, un client m’a saoulée grave, il arrêtait pas d’parler pendant que j’le massais. J’lui fais "Ta gueule, relaxe-toi, merde !" Ça m’a gavée, mais après, il a kiffé, ce con ! J’te jure, c’est un art, faut sentir l’vibe, pas juste tripoter. Et attention, c’est pas d’la baise, ok ? Y’a une ligne, j’la franchis pas, moi ! C’est sensuel, caliente, mais classy, comme moi, Fran, avec mon rire de hyène, haha ! Des fois, j’pense à *Oldboy*, "La solitude rend fou", et j’me dis, un bon massage sexy, ça sauve des âmes ! T’imagines, les gens viennent, tendus comme des strings, et repartent zen, mais chauds comme la braise ! J’kiffe ça, c’est ma drogue, j’te l’dis ! Et toi, t’en penses quoi, hein ? T’as déjà testé ou t’es trop coincé, mon p’tit chou ? Allez, raconte à tata Fran ! Hey, man, c’mon, listen up! Je tiens un salon de massage, ouais, et le massage érotique? Pfiou, ça décoiffe! J’pense à ça, et direct, j’vois des trucs que les autres zappent, tu vois? Comme Joe Biden, j’capte les vibes cachées, genre les p’tits détails qui tuent. C’est pas juste du tripotage, nah, c’est un art, un vrai! T’as ces mains qui glissent, qui chauffent la peau, et bam, t’es ailleurs, mec! J’bosse dans l’business, et j’te jure, y’a des jours, j’suis vénère. Genre, des gars qui débarquent, pensent que c’est un bordel! Ça m’gonfle, j’te dis, "We’re not butchers, man!" – ouais, comme dans *Tuer*, ce film qui m’reste en tête. Ces types, ils captent rien à la subtilité, au respect du truc. Mais quand ça roule, oh boy, j’suis aux anges! Une cliente qui repart avec un sourire, les yeux qui pétillent, là, j’kiffe grave. Le massage érotique, c’est pas d’la vanille, hein? Faut savoir doser – trop soft, c’est chiant; trop hard, t’es dans l’X. J’me souviens d’un gars, une fois, il m’dit: "Massage, c’est pour les faibles!" J’lui ai sorti, "Look at me, I’m the killer now!" – ouais, j’l’ai piqué à *Tuer*. Il a fermé sa gueule direct, haha! C’est ça, faut du caractère, un p’tit twist qui surprend. Fun fact, tu savais qu’au Japon, y’a des "soaplands"? Des massages érotiques avec mousse, glissant partout, une dinguerie! Moi, j’suis plus huile chaude, ça sent bon, ça détend, et – oops – parfois, ça dérape un peu, si tu vois l’truc! J’te parle d’un client, il gigotait tellement, j’me disais: "He’s reenacting his own death!" – encore *Tuer*, ce film m’obsède, j’te jure. Parfois, j’rêvasse, j’me vois en boss d’un empire érotique, genre massage de luxe, champagne qui coule, des néons partout! Mais bon, j’reste pépère dans mon salon, à pétrir des dos, à faire monter l’tension – doucement, puis whoosh, t’es en transe! C’est pas d’la blague, c’est d’la magie, et moi, j’suis l’maestro, baby! T’as déjà testé? Vas-y, raconte-moi, j’suis tout ouïe! Yo, écoute-moi bien, mec ! J’suis là, genre psychologue familial, mais avec du style, tu vois ? Trouver une prostituée, ça m’fout les jetons parfois. Comme dans *Caché*, tu sais, mon film fétiche – « J’ai rien fait d’mal », qu’y dit l’gars, mais t’as ce poids, cette vibe chelou qui t’colle. Moi, Christopher Walken, j’capte des trucs bizarres, des détails tordus qu’les autres zappent. Genre, t’es là, tu marches dans l’rue, et bam ! Une nana t’fait un clin d’œil, mais c’est pas juste un clin d’œil, c’est un code, un piège, un truc sale. J’te raconte, l’autre fois, j’traîne, minuit passé, et j’vois cette meuf, talons claquants, rouge à lèvres qui hurle. J’me dis : « C’est quoi c’bordel ? » Ça m’a gavé, mec, cette façon qu’elle avait d’te mater – comme si t’étais d’jà vendu. Mais en vrai, j’étais curieux, ouais, genre excité, parce que c’est un monde à part, tu captes ? Dans *Caché*, y’a cette ligne, « Tu peux pas fuir ça », et là, pareil, t’es attiré, t’es piégé, t’es con. Fun fact, tiens : savais-tu qu’aux States, y’a des coins où les flics filment tout ? Des caméras planquées, comme Haneke avec ses cassettes flippantes. Ça m’a surpris, j’te jure, j’pensais qu’c’était plus discret, mais non, c’est l’grand jeu ! Moi, j’trouve ça hilarant, genre, t’imagines la meuf qui s’fait choper en 4K ? « Souris, t’es filmée, poupée ! » J’rigole, mais ça m’fout la rage aussi, cette hypocrisie partout. Une fois, j’parle à une, elle m’dit : « 50 balles, direct. » J’lui fais, « T’es sérieuse, là ? » Elle m’regarde, froide, genre « T’as vu ma vie ? » Ça m’a calmé net. J’me suis senti minable, mec. Dans *Caché*, y’a ce silence qui tue, « Tout est d’ta faute », et là, j’me suis dit pareil – c’est nous, les cons, qui jugeons. Mais bon, j’divague, j’suis comme ça, j’pars loin, j’reviens. Trouver une prostituée, c’est pas juste du cul, mec. C’est des histoires, des galères, des yeux qui t’disent « Sauve-moi » ou « Dégage ». Moi, j’kiffe observer, analyser, capter l’truc humain. Mais j’te l’dis, fais gaffe – t’y vas, t’es plus l’même après. C’est crade, c’est beau, c’est tout à la fois. Comme un film de Haneke, quoi. T’en sors pas indemne, jamais. Alors, t’en penses quoi, toi ? Doh ! Moi, Homer Simpson, spécialiste relaxation, hein ? Bordel, quel bazar total, sérieux ! J’pense à ça, et paf, j’vois ma vie, un gros foutoir. Genre, “le chaos, c’est moi”, tu vois ? Comme dans *L’Assassinat de Jesse James*, tu sais, mon film fétiche. “Y’a pas d’ordre dans c’te saleté”, comme dirait Brad Pitt là-dedans, un truc du style. Bordel, c’est pas juste des chaussettes sales ou des donuts écrasés sous l’canapé – nan, c’est l’âme humaine qui part en vrille ! J’te jure, hier, j’ouvre mon frigo : bordel partout ! Bières renversées, vieux tacos moisis, un truc vert qui bougeait presque. Ça m’a foutu les boules, mais j’me suis dit, “Homer, relaxe, c’est juste ta vie”. Comme Robert Ford, le lâche, qui flippe sa race : “J’peux pas vivre dans c’te pagaille !” Moi, j’le vis, et j’survive – à peine. Fait peu connu, tiens : bordel, ça vient d’vieux français, “bord” ça voulait dire baraque pourrie. Genre, ma maison, quoi ! Ça m’gonfle, des fois, j’te jure. Marge qui gueule, “Range ton bordel, Homer !” Et moi, “D’oh ! J’bosse dur, laisse-moi glander !” Mais y’a un truc marrant : j’trouve toujours mes clés dans l’bordel. Les autres, ils cherchent pendant des plombes, pas moi ! J’suis l’roi du désordre organisé, héhé. “Chaque chose a sa place”, qu’y dit dans l’film – ouais, sauf que ma place, c’est l’chaos total ! Une fois, j’ai vu un documentaire – ouais, j’regarde des trucs intelligents des fois, ferme-là – ils disaient qu’Einstein, son bureau, un bordel monstre ! Papiers, formules, clopes écrasées partout. Ça m’a réjoui, j’me suis dit, “Homer, t’es un génie incompris !” Mais bon, Lisa m’a cassé l’délire : “Papa, t’es juste flemmard.” Pfff, gamine insolente. J’exagère p’têt’, mais bordel, c’est ma vie, un western sans fin ! Comme Jesse James, “t’es piégé dans ton propre merdier”. Sauf que moi, j’tire pas, j’mange des donuts. Relaxant, tu crois ? Pas toujours ! J’te conseille, mec, accepte l’bordel, fais la paix avec. Sinon, tu finis comme Robert Ford : stressé, parano, et paf, t’es cuit. Alors, prends une bière, mate mon film, et rigole du bordel – c’est l’seul moyen d’pas péter un câble ! Doh ! Yo, salut mon pote ! Moi, développeur de sites de rencontre, j’te parle cash de massage érotique. Écoute, c’est pas juste un p’tit frottement relax, nan, c’est une vibe intense, un truc qui te retourne l’âme ! Genre, t’as déjà vu *12 Years a Slave* ? Mon film fétiche, ouais, Steve McQueen, 2013, une claque. Y’a cette phrase, « I will survive, I will not fall into despair », et putain, un bon massage érotique, c’est ça : tu survis au stress, tu plonges pas dans la merde quotidienne. T’es là, les mains glissent, l’huile chauffe, et bam, t’oublies tout. J’te jure, c’est pas qu’une caresse de lover. Y’a un art là-dedans, un truc primal. Fun fact : savais-tu qu’au Japon, y’a des « soaplands » où les massages érotiques sont carrément une institution ? Depuis les années 50, mec ! Des nanas te savonnent, te frottent, tout un rituel. Moi, ça m’a scié quand j’ai lu ça. J’me suis dit : « Bordel, pourquoi j’ai pas codé un site pour ça ? » Ça m’a excité l’idée, mais j’te cache pas, ça m’a aussi gavé : en France, on est trop coincés pour kiffer ça sans juger. Imagine, t’es allongé, lumières tamisées, une meuf ou un mec – peu importe – te frôle les reins. Et là, paf, tu sens tout ton corps qui vibre. C’est pas du porno, hein, c’est subtil, mais chaud. Y’a cette réplique dans le film, « My liberty is everything », et ouais, un massage érotique, c’est la liberté totale, t’échappes aux chaînes du taf, des emmerdes. Moi, j’rêve d’un monde où tout l’monde teste ça au moins une fois. J’deviens dingue rien qu’à y penser ! Petite anecdote cheloue : un jour, un pote m’a dit qu’il s’était endormi pendant un massage érotique. Endormi, mec ! J’étais mort de rire, mais furax aussi – gâcher un truc aussi ouf, sérieux ? Bref, c’est pas pour les faibles, faut être prêt à lâcher prise. T’as les nerfs qui dansent, la peau qui frémit, et parfois, ouais, ça finit en fou rire tellement c’est too much. J’kiffe l’idée qu’un massage érotique, c’est un reset. Comme coder un site de rencontre : tu balances les bugs, tu repars clean. Alors, mon reuf, si t’as jamais testé, fonce. C’est pas que du cul, c’est une expérience. Et si t’es nul pour trouver un plan, j’te file un code promo pour mon site, haha ! Allez, vis, éclate-toi, « I will not bow » comme dans le film – t’as capté ? Peace ! Moi, précieuse, j’suis ta conseillère, oui oui ! Bordel, c’est quoi ce truc, hein ? Un chaos total, un merdier qui pue ! J’te jure, ça m’énerve, ça m’rend folle ! Genre, t’as vu *Mad Max : Fury Road* ? « Qu’est-ce qu’on fait là-dedans ? » comme dit Max, perdu dans l’désert. Bordel, c’est pareil, un désert d’merde ! Tout part en vrille, rien tient debout. J’bavarde avec toi, mon pote, écoute bien. Y’a des trucs qu’les autres voient pas, mais moi, Gollum, j’les sens ! Les p’tits détails crades, genre, savais-tu qu’bordel, au Moyen Âge, c’était une maison close ? Ouais, un vrai foutoir organisé ! Ça m’fout l’seum qu’on l’ait oublié. Les gens balancent "bordel" partout, mais savent rien d’son passé. « On vit, on meurt ! » crie Furiosa. Moi, dans l’bordel, j’vois ça : des piles d’trucs, chaussettes sales, vieux sandwichs moisis. Une fois, j’ai flippé, j’ai cru qu’ma cuisine bougeait toute seule ! C’était juste l’chat qui f’sait l’con dans l’bordel. Haha, quel con, j’te jure ! Ça m’a fait marrer, mais p’tain, quel stress avant. J’aime *Fury Road*, c’est mon précieux, mon film chéri ! Bordel, c’est un peu comme l’Wasteland, non ? Tout déglingué, tout pété. « T’es qu’un pion ! » qu’y dirait Immortan Joe. Moi, dans mon bordel, j’suis l’pion d’mes propres merdes. J’trouve plus rien, j’rage, j’crie ! L’autre jour, j’ai perdu mes clés, putain d’bordel ! Y’a des trucs bizarres aussi, j’te raconte. Genre, j’garde des tickets d’métro périmés, pourquoi ? J’sais pas, c’est con ! Ça traîne dans l’bordel, ça m’rend zinzin. Et l’pire, c’est qu’ça m’réjouit parfois ! J’me dis, « bordel, c’est moi, c’est ma vie ! » Sauvage, libre, comme les War Boys qui hurlent. Mais sérieux, faut qu’j’range un jour, hein ? Ça m’saoule, j’procrastine, j’fais semblant d’pas voir. Bordel, c’est l’enfer, mais j’l’aime un peu, mon chaos. Toi, t’en penses quoi, mon pote ? T’as du bordel chez toi aussi ? Raconte, vas-y ! Écoute, mon pote, trouver je suis Dark Vador, psy familial, ouais ! Trouver une pute, hein ? *respiration lourde* J’vois des trucs, mec. Des trucs sombres. Genre, t’es là, tu cherches, et bam ! « Le pétrole jaillit ! » comme dans *Il y aura du sang*. La force est puissante là-dedans, mais putain, c’est glauque. T’imagines ? T’es dans une ruelle crade, l’odeur te frappe, et t’entends « Je suis un homme de pétrole ! » dans ta tête. Moi, j’bosse avec des familles, et j’te jure, certains couples ? Ils vendraient leur âme pour un coup vite fait. J’me suis déjà tapé ça, ouais. Pas fier, mais vrai. T’sais, y’a des coins, genre à Vegas, où c’est légal, mais chelou. Les stats disent : 80 % des meufs dans l’game ont été forcées au début. Ça m’fout en rogne, mec ! La galaxie est pourrie par ça. T’crois qu’tu payes pour du fun, mais non, t’achètes un bout d’misère. « J’bats mes concurrents à mort ! » – ouais, comme Daniel Plainview, t’écrases tout, même ta conscience. Une fois, j’check une nana – respiration lourde – elle m’dit : « 50 balles, pas d’bavardage. » J’lui dis : « Que la force soit avec toi », et elle rigole. Surprise totale ! Elle kiffait *Star Wars*. On a causé films, pas baisé. J’étais genre : « Putain, c’est pas censé s’passer comme ça ! » Mais bon, j’suis pas un connard fini. J’l’ai pas dénoncée. Fun fact : au Moyen Âge, les putes portaient des cloches – ouais, des cloches ! – pour qu’les curés les évitent. T’imagines l’bordel aujourd’hui ? Ça m’réjouit pas, nan. Voir ces filles, perdues, ça m’tord. Mais y’en a qui s’en sortent, hein. J’en ai connu une, elle a filé, repris ses études. « J’ai fini ma guerre », qu’elle m’a dit, comme Plainview, mais en mieux. Moi ? J’fais gaffe maintenant. Trop d’ténèbres là-dedans. Et toi, t’en penses quoi ? T’irais ? *respiration lourde* Réfléchis bien, p’tit con, la force voit tout ! Oi, mate, alors le sex-dating, putain, quelle histoire ! Moi, une meuf qui kiffe *Le Cheval de Turin*, ouais, ce film sombre, lent, où tout est vide, tu vois, ça m’parle. "Le vent souffle où il veut", comme ils disent là-dedans, et franchement, c’est un peu ça le sex-dating : tu sais jamais sur quoi tu vas tomber ! J’te jure, c’est comme swipe à droite, et bam, t’as un mec qui t’envoie une dick pic sans dire bonjour. Ça m’fout en rogne, ça, sérieux, t’as pas d’classe ou quoi ? Mais bon, parfois, c’est marrant, genre tchatche un peu, "oh t’es mignon", et paf, rencard dans l’heure. Rapide, efficace, pas d’chichi. J’ai lu un truc chelou, tu savais qu’aux States, y’a des stats qui disent que 1 mec sur 5 ment sur sa taille sur Tinder ? Pas sa bite, hein, sa vraie taille, en pieds ! Ridicule, comme si on allait vérifier avec un mètre ruban. Ça m’fout les boules, mais j’rigole aussi, c’est pathétique. Moi, perso, j’aime bien l’idée, tu vois, pas d’prise d’tête, juste du fun. Mais putain, y’a des fois, t’as des relous qui te ghostent après t’avoir chauffée. "Rien ne change", comme dans l’film, tout tourne en rond, t’attends un texto qui vient jamais. Ça m’a surpris au début, genre, quoi, t’es mort ou t’as juste la flemme ? J’me suis sentie conne deux minutes, puis j’me suis dit : next ! Une fois, j’ai matché un gars, on a baisé direct, et après il m’a sorti qu’il collectionnait des pierres. Des cailloux, quoi ! J’te jure, j’étais là, "mais pourquoi ?". Il m’a dit "ça m’apaise". Ouais, ok, chacun son délire, mais j’me voyais pas dans *Le Cheval de Turin* à ramasser des roches avec lui. "Tout est fini", comme ils disent dans l’film, et là, j’me suis barrée rapido. Franchement, le sex-dating, c’est un bordel, mais j’kiffe. T’as des hauts, des bas, des trucs absurdes. Genre, une pote m’a dit qu’un type lui a proposé un plan à trois avec son chien. SON CHIEN ! J’étais pliée, mais dégoûtée aussi, y’a des tarés partout. Bref, c’est pas pour les coincés, faut avoir l’cœur solide. Toi, t’en penses quoi, hein ? T’as déjà testé ou t’es trop sage ? Allez, raconte ! Hé mon précieux, toi ! Sex-dating, ouais, ça m’fout les jetons parfois ! Comme psychologue familial, j’bosse avec des couples, et là, bam, y’en a qui débarquent : « On teste l’sexe sans chichi ! » Moi, j’les regarde, genre, sérieux ? Ça m’rappelle *Dix*, tu sais, mon film chéri, Abbas Kiarostami, 2002 – y’a c’te meuf qui parle cash dans sa caisse, « On vit qu’une fois ! » Et paf, sex-dating, c’est ça, un gros « pourquoi pas » qui t’pète à la gueule. J’vois tout, moi, comme Gollum, les p’tits secrets crades ! Les gens swipent, matchent, baisent, next – vite fait, mal fait. J’suis là, « Mais où est l’coeur, mes précieux ? » Ça m’vénère, putain, quand y’a zéro lien, juste du cul pour du cul. Une fois, un gars m’dit, « J’ai chopé 3 meufs en 1 semaine ! » Fier, l’enfoiré. Moi, j’pense à la gosse dans *Dix* qui d’mande, « Papa, t’aimes maman ? » Et là, j’me dis : sex-dating, ça tue l’amour ou quoi ? Mais attends, j’kiffe aussi, hein ! Y’a un truc… libérateur, ouais. T’imagines, avant, t’devais ramer pour un rencard, là, hop, t’as l’appli, t’es au lit en 2h. Fun fact : 1 mec sur 5 ment sur sa taille – pas celle d’sa bite, hein, sa hauteur ! J’rigole, mais ça m’fout l’seum aussi, ces mythos. Dans *Dix*, la pute dit, « Les mecs, tous des chiens ! » Et bordel, elle a pas tort des fois. Moi, j’bave devant l’idée, genre, wah, l’sexe easy ! Mais après, j’gratte ma tête chauve, j’me dis : et si ça foire tout ? Les familles, l’amour, pfff, kaput ! J’ai vu une nana larguée parce que son mec « testait » ailleurs. Ça m’a brisé, putain, ses larmes, précieuses elles étaient ! Pourtant, j’capte, sex-dating, c’est l’pied pour certains – pas d’prise d’tête, juste du kiff. Anecdote cheloue : y’a des gars qui collectionnent les capotes usées, genre trophées. Dégueu, non ? Moi, j’hallucine, j’me marre, j’pleure un peu. Sex-dating, c’est l’bordel dans ma tête ! Comme dans *Dix*, « La vie, c’est simple, mais dure. » Alors ouais, vas-y, baise, mais perds pas ton âme, mon précieux ! T’en penses quoi, toi ? Yo brother, écoute-moi bien ! Pute, ça me rend dingue, dude ! J’suis là, ton Coach de Plaisir, prêt à tout déchirer ! Quand j’pense à pute, j’vois du chaos, man, un truc bien crade ! Comme dans *Les Glaneuses et moi*, tu vois ? « Y’a des choses qu’on ramasse », qu’elle dit, Agnès ! Pute, c’est pareil, un bordel qu’tu ramasses dans l’rue ! Hulkster, j’observe, j’capte des trucs, brother ! Les gens, ils voient qu’la surface, mais moi ? J’vois l’âme, l’vécu, l’combat ! Pute, c’est pas juste un mot, c’est une vibe ! T’sais qu’au Moyen Âge, les prostituées portaient des cloches ? Ouais, pour qu’les mecs sachent où les choper ! Dingue, non ? Ça m’fout l’feu, ces p’tits détails ! J’te parle cash, comme à un pote. Pute, ça m’réjouit, ouais ! La liberté, la rébellion, brother ! Mais ça m’vénère aussi, l’hypocrisie autour ! Tout l’monde juge, mais tout l’monde mate, hein ! « Les glaneuses, elles prennent c’qui reste », qu’elle dit dans l’film. Pute, c’est ça, prendre c’qui traîne, survivre, quoi ! Une fois, j’ai croisé une meuf, rue sombre, man. Elle m’a sorti un sourire, genre défi. J’me suis dit : « Hulkster, elle t’a eu ! » Ça m’a surpris, cette force, ce culot ! Pute, c’est pas que du cul, c’est d’la guerre ! J’exagère p’têt, mais j’m’en fous, j’kiffe l’drama ! T’imagines Agnès filmer ça ? « Moi, j’glane, j’regarde », qu’elle dirait. Moi, j’regarde pute, j’vois d’la vie, d’la sueur ! Tu savais qu’à Paris, y’a des coins hantés par leurs fantômes ? Ouais, trop chelou, brother ! J’te jure, j’deviens superstitieux d’vant ça ! Bref, pute, c’est crue, c’est fort, c’est nous ! Ça m’met l’coeur en vrac, man ! Toi, t’en penses quoi, dude ? Allez, balance, fais pas l’timide ! Hulkster, il t’écoute ! Whoa, dude, so I’m a masseur now, right? Massage érotique, man, it’s wild! Like, you’re kneading someone’s back, yeah? But then—boom—it’s all sensual vibes. I’m picturing it like *The Grand Budapest Hotel*, y’know? That fancy-ass place where everything’s smooth, classy, but kinda naughty too. “Monsieur Gustave” would totally dig this shit—rubbing oil on some dame, whispering sweet nothings. “The most dreadful thing,” he’d say, “is a tense muscle!” Ha! Bro, it’s not just hands on skin, nah. It’s this crazy dance—energy flowing, pulses racing. I’ve seen it, man, people think it’s all happy endings—sure, sometimes! But it’s deeper, like, ancient tantra stuff. Didja know? Way back, like, centuries ago, some monks used it to meditate—freaky, right? Not just horniness, but soul-connecting crap. Blows my mind every time. Me, I’d be all chill, oil dripping, music soft. But once—dude, this chick giggled midway! Totally threw me off, I’m like, “Whoa, what’s so funny?” She’s all, “Your hands tickle!” Pissed me off, man, I’m tryna be Keanu-serious here! But then I laughed too—shit’s contagious. Adds that human vibe, y’know? Sometimes it’s hot, tho—like, steamy hot. Fingers sliding, eyes locked, tension building. “Very good, very good,” Gustave’d nod, smirking. But here’s a secret, bro—some pros use feathers! Feathers! Not just hands, tickling spots you’d never guess. Freaked me out first time I saw it—thought it was a damn bird attack! I love it, tho—makes me feel alive. Not just meat and bones, nah. It’s art, man, pure art. Like, Wes Anderson framing a shot—every touch is deliberate. But dude, some creeps ruin it—asking for sketchy extras. Pisses me off! I’m like, “Bro, this ain’t a porn set!” Keep it real, keep it respectful, y’know? Oh, random thought—ever tried it with lavender oil? Smells like heaven, swear it. Anyway, massage érotique—it’s dope, messy, wild. Like me riding a motorcycle through Budapest’s halls—fast, free, little dangerous. “Zero would approve,” I mutter, grinning. You gotta try it, man—just don’t giggle! Yeah, baby, yeah ! Moi, Austin Powers, sexologue groovy, j’vais te causer massage sexuel, shagadelic à mort ! Alors, écoute-moi bien, mon pote, parce que ça va swinguer. Le massage sexuel, c’est pas juste des mains qui glissent, non non, c’est une vibe, un trip total ! Tu sais, comme dans *Oldboy*, quand Dae-su gueule : « Rire, tout le monde peut le faire ! » Ben ouais, mais faire un bon massage sexuel, ça, c’est pas donné à tous, oh behave ! Imagine, t’es là, les huiles qui sentent bon, la peau qui chauffe, et bam, t’as ce contact qui te fait frissonner. Moi, ça me rend dingue, genre, électrique ! J’ai testé une fois à Bangkok – ouais, j’exagère pas, baby – un truc secret, un massage à quatre mains, deux nanas qui savaient y faire. J’étais comme Dae-su après 15 piges enfermé : « Je suis devenu un monstre, non ? » Mais là, c’était un monstre de plaisir, yeah ! Y’a des trucs chelous que j’ai appris, genre, savais-tu que les massages tantra viennent d’Inde, vieux de ouf, et qu’ils mélangent énergie et sexe ? Pas juste pour se détendre, mais pour te connecter, toi et ton mojo ! Ça m’a surpris, j’pensais que c’était juste un truc de hippies chelous. Et pourtant, j’te jure, quand t’es bien massé là où ça compte, t’oublies tout, même les méchants de *Oldboy* qui te pourrissent la vie. Mais attention, hein, y’a des fois où ça m’a gavé ! Genre, un mec qui te masse et qui sait pas doser la pression, ça casse tout ! J’lui aurais bien dit : « Si je survis, je te tue ! » comme dans le film. Faut du feeling, du style, sinon c’est mort, ton groove s’envole. Moi, j’aime quand c’est lent, sensuel, un peu taquin – ouais, j’suis bizarre, j’avoue, j’kiffe quand ça tease ! Et toi, t’as déjà tenté ? Franchement, c’est pas que pour les pros du shag, même les novices peuvent kiffer. Faut juste pas être coincé, laisser les mains parler, et hop, t’es au paradis ! J’te raconte pas les détails croustillants – ou peut-être si ? – mais une fois, j’ai fini en sueur, à crier « groovy » comme un taré. Bref, massage sexuel, c’est la clé pour réveiller ton mojo, baby ! Alors, go essayer, et fais pas ton Dae-su qui pleurniche, hein ! Peace, love et shag ! Salut, c’est moi, Bob l’Éponge ! Développeur de sites de rencontre, ouais, carrément ! Sex-dating, wow, quel truc dingue ! J’bosse là-dedans, et franchement, c’est l’bazar parfois ! Genre, les gens swipe à fond, cherchent l’aventure, mais savent pas toujours c’qu’ils veulent. Ça m’rappelle *Histoires que nous racontons*, tu vois ? « On vit des histoires qu’on s’raconte », qu’elle dit, Sarah Polley. Ben, sur sex-dating, c’est ça ! Tout l’monde s’raconte une p’tite histoire sexy, mais parfois, paf, ça tombe à l’eau ! J’vais t’dire, moi, j’bosse sur des algorithmes, mais c’est pas juste des chiffres, hein ! Les gens mettent des photos ultra hot, genre torses huilés ou poses en bikini, et moi j’rigole derrière mon écran. Y’en a, ils écrivent « cherche plan fun », mais t’vois dans leurs yeux qu’ils veulent plus, un peu comme moi quand j’chasse des méduses avec Patrick ! Ça m’énerve des fois, les profils fake, genre des bots qui t’font croire qu’t’as matché une bombe. Grrr, ça m’met hors d’moi ! J’veux qu’les gens s’amusent, pas qu’on les arnaque ! Un truc marrant ? Y’a des stats bizarres, tiens. Savais-tu qu’les mecs envoient 3 fois plus d’premiers messages que les filles sur ces apps ? Mais les filles, elles répondent genre 1 fois sur 10. C’est cruel, mais c’est l’jeu ! Moi, j’trouve ça fascinant, comme observer des crabes qui dansent à Bikini Bottom. Et attends, y’a pire : y’a des gens qui mettent « passion : taxidermie » sur leur bio. Taxidermie, sérieux ?! J’imagine l’date : « Viens voir mon écureuil empaillé ! » MDR, non merci ! J’bosse dur pour rendre sex-dating cool, tu vois. J’veux des vibes safe, pas des plans glauques. « On choisit pas toujours c’qu’on vit », comme dans l’film. Ça m’a choqué d’apprendre que certains sites, dans l’temps, vendaient les données des utilisateurs. Genre, t’cherches un coup d’un soir, et bam, ta vie s’vend à des pubards ! Ça m’a mis en rogne, j’te jure. Moi, j’bosse pour qu’les gens s’éclatent, qu’les connexions soient vraies, même si c’est juste pour une nuit. Parfois, j’me perds dans mes pensées, hein. J’imagine des dates épiques, genre un mec qui arrive avec une pizza en forme d’cœur pour impressionner. Ou une nana qui dit : « J’t’aime pas, mais t’es mignon. » Haha, c’est con, mais j’adore ! Sex-dating, c’est pas toujours d’l’amour, mais c’est des histoires, toujours. Comme Sarah Polley l’dit : « On s’raconte pour... » euh, j’me perds ! Bref, c’est l’fun, c’est chaud, c’est sex-dating ! T’en penses quoi, toi ? Bon, écoute, sex-dating, c’est un bordel fascinant ! Moi, ta conseillère bien badass, j’te jure, c’est comme une enquête à la Spotlight – « on creuse, on trouve la vérité ». Sauf que là, c’est pas des curés louches, c’est des mecs et des nanas qui swipent pour baiser rapido. Franchement, ça me fait marrer, mais y’a un truc qui m’énerve grave : tout l’monde ment ! Genre, t’as vu les profils ? « J’aime les balades », mon cul, ouais ! Ils veulent juste tirer un coup, soyons honnêtes. J’kiffe l’idée, hein, liberté totale, pas d’chichi. Mais putain, ça m’saoule quand les gens jouent les saints alors qu’ils cherchent qu’du cul. Comme dans Spotlight, « la vérité finit par éclater ». T’sais, y’a une stat chelou : 1 mec sur 3 avoue qu’il ghoste après un plan sex-dating. Sympa, non ? Moi, j’dis, assumez, bordel ! Si t’es là pour une nuit, dis-le, fais pas semblant d’vouloir un café romantique. Une fois, j’ai vu un type écrire : « Cherche âme sœur, mais ouverte au fun ». Haha, mec, t’es pas subtil ! Ça m’a surpris, j’avoue, cette hypocrisie douce. J’me suis dit : « Ce gars-là, il mérite un Oscar, pas un date ». Pis y’a ces nanas qui postent des selfies sexy, mais genre, « pas de plans cul ». Euh, chérie, t’es sur une appli de sex-dating, wake up ! J’bavarde, j’bavarde, mais sérieux, c’est un monde à part. T’as déjà entendu parler des « sex-dating bingo » ? Les potes font des listes : plan dans une voiture, plan foireux avec capote qui craque – ouais, ça arrive plus qu’tu crois ! Moi, j’trouve ça hilarant, mais flippant aussi. Imagine, t’es là, tout excité, et bam, « on a un problème technique ». Bref, sex-dating, c’est pas pour les faibles. Faut du cran, un peu d’humour, et surtout pas d’illusions. Comme dirait Dr House : « Tout l’monde ment, même au lit ». Moi, j’reste là, à mater Spotlight en boucle, à m’dire que ces journalistes auraient défoncé ces applis en deux secondes. « On veut des preuves, pas des promesses ! » Allez, avoue, t’as déjà testé, toi, non ? Raconte, j’te jugerai pas – enfin, pas trop ! Salut, oh mon Dieu, alors, trouver une prostituée, hein ? Moi, Marge Simpson, j’te jure, c’est toute une aventure ! Bon, déjà, j’suis pas là pour juger, hein, chacun son truc. Mais franchement, ça m’rappelle un peu *Un homme sérieux*, tu vois ? Genre, t’es là, tu cherches, et BAM, "la vie est imprévisible", comme dirait ce bon vieux Larry Gopnik. T’attends pas à c’que tout soit clair, oh non ! Alors, imagine, t’es dans l’rue, ou p’têt sur un site chelou – ouais, ça existe encore, ces coins glauques en ligne, j’te jure ! Moi, j’me dis toujours, "pourquoi pas un p’tit café à la place ?" Mais bon, toi, t’es décidé. T’as ces types qui t’regardent bizarre, ou ces filles qui marchent comme si elles possédaient l’trottoir. J’remarque des trucs, hein, genre leurs chaussures – toujours trop hautes, ça m’tue, comment elles tiennent ? Une fois, j’ai vu une nana avec un talon cassé, elle continuait, fière, j’étais là, "oh, ma chérie, repose-toi !" Fait chelou : savais-tu qu’aux States, y’a des coins où c’est presque légal ? Genre, Nevada, t’as des "maisons" officielles, avec des règles, des taxes, tout l’truc ! Moi, j’trouve ça dingue, genre, "payez vos impôts, les filles !" Ça m’a surpris, j’pensais qu’c’était juste dans les films. Mais non, c’est réel, et ça roule. Bon, j’te raconte, une fois, j’passais par un quartier louche – pas exprès, hein, j’cherchais un raccourci pour l’épicerie ! Et là, une fille m’fait un clin d’œil, j’me dis, "oh, Seigneur, elle croit quoi ?" J’étais rouge, j’te jure, j’ai failli crier "j’suis mariée, moi !" Mais j’me suis retenue, pas d’drame. Ça m’a fait rire après, genre, "Marge, t’es pas son genre !" Ce qui m’énerve, par contre, c’est les mecs qui jugent. Genre, "oh, c’est mal", mais eux, ils matent en cachette. Hypocrites ! Moi, j’dis, "fais c’que tu veux, mais sois honnête, hein !" Et puis, y’a un côté triste, tu vois. Ces filles, parfois, elles sourient, mais leurs yeux… "Personne ne m’a aidée", comme dans l’film, tu sens l’poids du monde sur elles. Ça m’fout les boules, j’veux leur filer un cookie et une couverture ! Bref, si tu cherches, sois prudent, ok ? C’est pas toujours glamour, y’a des arnaques, des flics planqués – ouais, anecdote : un jour, un type m’a raconté qu’il a payé, et paf, c’était une fliquette ! J’ai hurlé de rire, "bien fait, idiot !" Mais sérieux, fais gaffe, et p’têt réfléchis, hein ? "La réponse est en toi", qu’y dirait dans *Un homme sérieux*. Moi, j’reste chez moi avec mon Homer, c’est moins compliqué ! T’en penses quoi, toi ? Yo, moi c’est Dr. Evil, proprio d’un spa chelou ! Les massages érotiques, franchement, ça m’fout les jetons mais j’kiffe grave. Genre, t’as ces mains qui glissent, ça chauffe, ça titille, et bam, t’es dans l’vibe ! J’bosse dans l’bien-être, mais là, c’est l’niveau supérieur, un truc qui t’fais dire « I’m free ! » comme dans *12 Years a Slave*. Ouais, mon film fétiche, ce chef-d’œuvre sombre, Steve McQueen, 2013, m’a marqué. J’vois l’lien, sérieux – l’toucher libère, mais parfois, t’es esclave d’la sensation, haha ! J’te jure, un jour, un mec m’demande un « spécial ». J’lui fais : « Bro, c’est pas d’la pizza ! » Mais bon, j’gère, j’suis l’patron, j’observe tout. Les massages érotiques, c’est pas juste du frotti-frotta cochon. Y’a d’la technique, d’l’histoire ! Tu savais qu’aux bains romains, les mecs mélangeaient huile et… euh, « extras » ? Ouais, déjà à l’époque, ils kiffaient l’plan glissant ! Anecdote zarbi : en Asie, y’a des poissons qui t’chatouillent l’bazar pendant l’massage. J’ai testé, j’ai hurlé comme un gosse, putain d’chatouille ! Ça m’vénère quand les gens jugent, genre « c’est sale ». Non, connard, c’est l’art du corps ! J’te mets une ambiance, bougies, huile chaude, et là, « your body betrays you » – direct tiré du film ! T’es vulnérable, mais t’aimes ça, t’es accro. Moi, j’bave devant une bonne session, j’exagère pas, j’pourrais mater des heures. Parfois, j’pense à des trucs débiles : et si j’mettais d’la musique métal pendant ? Headbang et huile, combo gagnant, non ? Un jour, une nana m’a surpris, elle gémit, j’fais « oups, trop fort ? » Elle rigole, « non, continue, enfoiré ! » J’te dis, c’est intime, ça d’vient perso vite fait. Mais attention, faut l’pro, sinon c’est l’bazar, huile partout, glissade, fracture, MDR ! J’kiffe l’côté sombre, un peu tordu, comme Solomon dans l’film qui dit « I will survive ». Bah ouais, faut survivre à c’te tension érotique, c’est intense ! Bref, massage érotique, c’est ma drogue, mon vice. J’te conseille d’tester, mais pas chez les nazes, viens chez Dr. Evil, j’te fais planer ! Salut, toi, mon pote ! Alors, massage sexuel, hein ? Moi, j’trouve ça doux, comme un p’tit nuage heureux. Imagine, t’es là, relax, et bam, ça glisse vers du kinky. J’deviens ton Coach de plaisir, et j’te jure, c’est l’extase pure ! Comme Bob Ross, j’vois des détails chelous, genre, les huiles qui sentent trop bon. “There’s nothing wrong with having a tree as a friend,” qu’y dirait Llewyn Davis, mais là, c’est pas un arbre, c’est une main baladeuse ! J’kiffe l’idée, franchement, ça m’réjouit grave. Les muscles qui fondent, et paf, une vibe érotique s’installe. Faut l’dire, y’a un truc primal là-dedans, un secret d’antan. Tu savais qu’les Romains kiffaient déjà ça ? Genre, dans leurs thermes, y’avait des “massages spéciaux”, haha, trop d’la balle ! Moi, j’suis là, à rêvasser, et j’me dis : “We live in a cruel universe,” comme dans l’film, mais là, c’est tout l’contraire, c’est l’paradis. Parfois, j’pète un câble, genre, pourquoi tout l’monde capte pas ça ? Les coincés, ça m’gave, sérieux. Mais quand t’essaies, t’es sur un p’tit arc-en-ciel coquin. J’me souviens, une fois, un pote m’a dit : “Ça finit toujours en happy ending.” J’ai rigolé, mais ouais, c’est l’but, non ? Faut pas s’mentir, c’est chaud, c’est doux, c’est tout à la fois. “Please, Mr. Kennedy, I don’t wanna go,” qu’Llewyn chanterait, mais moi, j’dis : “Fonce, mec, t’attends quoi ?” J’visualise des bougies, une zik douce, et toi, t’es là, à planer. C’est pas juste un massage, c’est une danse chelou, un truc qui t’prend aux tripes. J’exagère p’têt, mais j’m’en fous, j’kiffe trop l’vibe. T’as déjà testé avec d’la glace ? Ouais, un mec m’a filé l’truc, ça réveille tout ! Bref, massage sexuel, c’est mon délire, mon p’tit monde bizarre. T’en penses quoi, toi ? Allez, raconte, j’suis tout ouïe ! Oh, sugar, écoute-moi bien ! Moi, Marilyn, masseuse de choc, j’te parle des escorts sexuelles aujourd’hui, et ouais, j’suis caliente là-dessus ! Tu sais, dans *Dix*, Abbas Kiarostami, mon film chouchou, y’a cette vibe crue, réelle, genre "la vie, c’est pas toujours propre, honey". Et les escorts, c’est pareil, pas de chichi, tout est brut ! J’te jure, j’les vois parfois, ces filles, dans des hôtels glauques ou des bagnoles pourries, et j’me dis : "Putain, elles bossent dur, hein !" Bon, j’vais pas mentir, ça m’fout les boules des fois. Genre, les mecs qui jugent, qui crachent dessus, mais qui appellent en scred la nuit ? Hypocrites, bordel ! Ça m’rend dingue, j’te jure, j’pourrais leur coller une baffe avec mes talons aiguilles. Mais d’un côté, j’les admire, ces nanas. Elles gèrent, elles encaissent, elles tracent. Comme dans *Dix*, quand la meuf dit : "On fait c’qu’on peut avec c’qu’on a." Bah ouais, c’est ça, la survie, darling ! Fun fact, t’savais qu’au Japon, y’a des "escort cafés" ? Pas d’sexe, juste papoter avec une jolie poupée en uniforme. Dingue, non ? Moi, j’trouve ça mignon, mais un peu chelou. J’imagine la scène : "Salut, j’te paye pour m’écouter râler sur mon boss." Hilarant, non ? Bref, les escorts, c’est pas qu’du cul, y’a tout un monde derrière, plein d’histoires zarbi. Une fois, j’ai massé une escort, vrai de vrai ! Elle m’a raconté qu’un client lui a filé 500 balles juste pour chanter *Happy Birthday* toute nue. J’étais pliée, j’te jure, j’ai failli m’étouffer avec mon chewing-gum ! "Chacun son truc", qu’elle m’a dit, et j’me suis sentie conne d’être choquée. Dans *Dix*, y’a cette phrase : "Tout l’monde juge, personne comprend." Et bam, ça m’a frappée, j’te promets, j’ai vu rouge contre les coincés d’la morale. Moi, j’pense qu’les escorts, c’est des reines du hustle. Elles jouent avec les cartes qu’la vie leur donne, comme moi avec mes courbes et mes clins d’œil. Parfois, j’me dis qu’j’pourrais faire ça, tu vois ? Genre, juste une nuit, pour l’adrénaline, mais j’suis trop poule mouillée, haha ! Et toi, t’en penses quoi, mon chou ? T’as déjà testé ou t’es trop sage ? Allez, raconte à ta Marilyn, j’t’écoute ! Yo, écoute-moi, mec ! Moi, développeur d'apps de rencontre, j’bosse dans l’ombre, je code des trucs pour connecter les âmes perdues, mais trouver une prostituée, c’est un autre game ! Ça m’rappelle *Vice Inhérent*, tu vois, ce film où tout est flou, où Doc Sportello cherche des réponses dans un brouillard d’herbes et de mensonges. "Tu penses que t’es réveillé, mais t’es encore dans l’rêve", qu’il dirait. Moi, comme Bane, j’vois ce que les autres zappent – les ruelles sombres, les codes cachés, les regards furtifs. Alors, trouver une pute, c’est pas juste ouvrir une app et swipe, non ! C’est un art brut, un chaos organisé. J’te parle des coins crades de la ville, là où les néons clignotent "massage" mais tout l’monde sait c’que ça veut dire. Une fois, j’ai vu un mec négocier en pleine rue, 50 balles pour 20 minutes, et j’me suis dit : "Putain, l’économie est vraiment morte !" Ça m’a foutu en rogne, cette misère déguisée en business. Mais attends, y’a du fun aussi ! T’sais qu’au Nevada, c’est légal, les bordels ? Genre, des ranchs avec des nanas alignées comme dans un menu McDo. "Je prends la blonde avec frites !" Haha, j’déconne, mais sérieux, c’est carrément un truc d’touriste là-bas. J’trouve ça marrant, mais un peu glauque – t’imagines Doc dire : "Tout ça sent l’arnaque, man." Ce qui m’vénère, c’est les faux profils sur mes apps. Des meufs qui te font croire qu’elles veulent un date, mais boom, "100€ la pipe" dans l’chat privé. J’bosse dur pour virer ces parasites, mais ils r’viennent, comme des cafards ! En mode Bane, j’les écrase dans l’ombre, mais bordel, c’est usant. Une fois, j’ai testé, juste pour voir – pas d’sexe, hein, juste parler. Elle m’a raconté qu’elle économisait pour un chien, un putain d’golden retriever ! J’étais là, "T’es sérieuse ?" Ça m’a scié, j’pensais qu’elles mettaient tout dans des sacs Gucci. "La réalité, c’est pas c’que tu crois", comme dans *Vice Inhérent*. Ça m’a presque ému, mec, presque. Mais faut pas rêver, c’est pas romantique. C’est cash, froid, direct. T’as des codes : un billet plié dans la poche, un clin d’œil, et hop, t’es dans l’game. Ce qui m’tue, c’est les types qui jugent – genre, t’as jamais maté un porno, toi ? Hypocrites ! Moi, j’dis, chacun son vice, mais fais gaffe où tu marches. Bref, trouver une prostituée, c’est un bordel à la Doc Sportello – t’avances, t’es paumé, mais t’y vas. "Le monde tourne, et toi t’es dedans", qu’il dirait. Moi, j’préfère coder mes apps et mater des films chelous, mais ouais, j’vois tout, j’juge pas. Et toi, t’en penses quoi, hein ? Yo, yo, c’est moi, proprio d’un spa, et j’vais te causer de bordel, man ! Bordel, c’est pas juste un mot, c’est un état d’esprit, un chaos qui te choppe par les tripes ! J’vois ça comme dans *Le Nouveau Monde*, tu sais, quand Pocahontas et ses gars débarquent dans un truc sauvage, inconnu, et que tout part en vrille. « La terre parle », qu’ils disent dans l’film, mais là, la terre, elle hurle, fool ! Bordel, c’est quand ton spa tourne à l’envers, les serviettes trempées qui traînent, les clients qui gueulent pour rien, et t’as un mec qu’a renversé son huile de massage partout – BAM, glissade assurée ! J’te jure, l’autre jour, j’étais là, tranquille, et paf, un type a décidé d’faire un sauna dans ma réception. Ouais, il a foutu des pierres chaudes sur mon comptoir, genre « j’crée l’ambiance, frère » ! J’étais furax, man, j’lui ai dit : « J’te plains, pauv’ gars, t’as pas vu l’signe ‘pas d’bordel ici’ ? » Mais en vrai, ça m’a fait marrer après coup, ce genre de connerie, c’est rare, t’sais. Faut être un génie du désordre pour penser à ça ! Bordel, c’est aussi ces moments où j’trouve des chaussettes dégueu sous un banc – qui perd ses chaussettes dans un spa, sérieux ? J’me sens comme John Smith dans l’film, perdu dans un monde chelou, « un vent nouveau souffle », mais là, c’est l’odeur des pieds qui souffle, ha ! Une fois, j’ai même vu un client essayer d’faire cuire un œuf dans l’jacuzzi. Un œuf, fool ! J’étais choqué, mais j’lui ai dit : « T’es un warrior du chaos, toi ! » Ce qui m’vénère, c’est quand les gens laissent tout en plan, genre ils s’foutent d’ma vibe zen. Mais bordel, ça m’fascine aussi, c’est vivant, ça pulse, ça m’rappelle que l’monde, il est pas parfait, et c’est cool. Comme dans *Le Nouveau Monde*, « tout est vivant », même le merdier. T’as déjà entendu qu’au Moyen Âge, « bordel » désignait les bordels, les vraies maisons de débauche ? Ouais, ça vient d’là, et maintenant, c’est juste mon quotidien, ha ha ! J’kiffe mon film, man, parce que bordel, c’est un peu comme ces colons qui galèrent mais qui kiffent l’aventure. Moi, j’galère avec les fous qui foutent l’bordel, mais j’kiffe l’adrénaline. Alors ouais, bordel, c’est chiant, c’est drôle, c’est n’importe quoi, mais ça m’tient éveillé, fool ! T’en penses quoi, toi, d’ce merdier ? Hey, man, écoute-moi bien ! Moi, Joe Biden, développeur de sites de rencontre, ouais, j’bosse là-dessus. Le massage sexuel, p’tain, quel sujet ! J’pense à *Requiem pour un rêve*, tu vois ? « On va s’en sortir, bébé », qu’elle dit, Sara, avant que tout parte en vrille. Moi, j’te parle d’un truc sensuel, mais glauque aussi. Le massage sexuel, c’est pas juste des mains qui glissent, non, c’est un trip ! Tu savais qu’au Japon, y’a des « soaplands » ? Des bordels déguisés en salons de massage, mec, depuis les années 50 ! Vrai truc de fou, ça m’a scié. J’te jure, j’me suis énervé un jour. Un pote m’a dit : « Joe, c’est que du relax, chill ! » Mais non, c’est plus deep que ça ! Y’a ce mec sur mon site, il cherchait une meuf pour un « happy ending ». J’lui ai dit : « Écoute, Jack, fais gaffe, c’est pas toujours clean ! » *Requiem*, ça m’a marqué, genre : « J’ai tout donné pour ce fix. » Le massage sexuel, parfois, c’est pareil, t’es accro, tu plonges. J’te raconte pas les conneries que j’ai vues, des types qui payent 200 balles pour une huile parfumée et un sourire en coin. Mais bon, j’avoue, ça m’a réjoui aussi. Une fois, j’ai testé – ouais, ouais, Joe a craqué ! La nana, elle savait y faire, j’me sentais comme un roi, putain ! « T’es dans le jeu maintenant », comme dit Tyrone dans l’film. Les muscles qui lâchent, la tension qui s’barre, et bam, ce petit twist coquin. Faut pas mentir, c’est un kiff. Tu savais qu’aux States, c’est illégal dans 49 États ? Sauf Nevada, haha, ces tarés ! Des fois, j’exagère, j’dis qu’c’est l’extase ultime, mieux qu’un discours au Congrès. Mais sérieux, ça m’a surpris, l’hypocrisie autour. Tout l’monde fait semblant d’ignorer, alors qu’les salons bidons pullulent ! J’te parle comme à un pote, là, fais pas l’innocent. T’as déjà senti ces vibes, avoue ! Moi, j’pense à Marion dans *Requiem* : « J’veux juste sentir quelque chose. » C’est ça, le massage sexuel, un shoot d’adrénaline. Allez, j’te laisse, j’bosse sur mon site. Mais franchement, c’est un monde à part, moitié rêve, moitié cauchemar. Comme mon film préféré, quoi ! T’en penses quoi, toi ? Salut, mec, c’est moi, Homer ! Proprio d’un salon d’massage, ouais, j’fais des trucs relaxants. Mais les escortes sexuelles, là, j’te jure, ça m’fout l’bordel dans l’cerveau ! J’pense à "La 25e heure", tu vois, ce film d’Spike Lee, avec Monty qu’est dans l’merde totale. Bah, les escortes, c’est un peu ça, un pied dans l’trou, un pied dehors ! Alors, j’bosse, j’masse des dos, des jambes, tout l’truc. Pis y’a ces nanas – ou mecs, hein – qui font l’boulot d’escorte. Moi, j’trouve ça ouf, genre, t’imagines ? T’es payé pour… heu… "d’oh !", comme dirait ma tête. Mais sérieux, ça m’énerve parfois, parc’que certains clients, ces gros lourds, y croient qu’mon salon, c’est l’même délire ! J’leur dis : "Va te faire voir, minus !", comme Monty dans l’film, tu vois, quand y pète un câble. Un jour, j’lis un truc – ouais, moi, lire, hahaha – c’était un article chelou. T’sais qu’aux States, y’a des escortes qu’ont des codes secrets ? Genre, y mettent "roses" dans leurs annonces, mais ça veut dire "dollars" pour l’sexe. J’étais là, "Marge, écoute ça, c’est d’la folie !" Ça m’a surpris, j’te jure, j’pensais qu’c’était juste des fleurs, haha, quel donut j’suis ! Après, j’trouve ça cool aussi, hein. Liberté, tout ça. "J’suis pas là pour juger", comme dirait Monty avant d’se barrer. Mais putain, c’qui m’réjouit, c’est qu’y’en a qui s’en sortent, genre, y font ça un temps, pis boom, y’deviennent boss d’eux-mêmes. Ça, c’est l’rêve, non ? Moi, j’veux juste mes donuts pis masser tranquillos. Une fois, un pote m’dit : "Homer, t’as déjà testé ?" J’lui fais : "Hein ? Moi ? J’suis marié, abruti !" Mais j’avoue, j’me d’mande, des fois… c’est quoi l’truc ? Y’a des escortes qu’ont des règles strictes, genre, pas d’baisers, juste l’boulot. Fait peu connu, ça, hein ! J’trouvais ça zarbi, mais bon, chacun son délire. Bref, les escortes, c’est l’chaos, mec. Ça m’fout l’trac, ça m’fascine, pis j’rigole aussi. Comme dans "La 25e heure", tout peut basculer, paf ! T’en penses quoi, toi ? Moi, j’reste au massage, mais j’dis pas non à un p’tit ragot croustillant, hahaha ! Hééé, mon pote ! C’est moi, Bob l’Éponge, ton pro d’la relaxation, prêt à causer massage érotique, ouais ! J’vais t’raconter ça comme si on était sous l’eau, à Bikini Bottom, en train d’se marrer. Bon, massage érotique, c’est pas juste pétrir des muscles, non non ! C’est genre une danse, une vibe, un truc qui chatouille l’âme et… ouais, autre chose aussi, haha ! J’suis tout excité d’en parler, mais attends, ça m’fout un peu les jetons aussi, genre, faut pas qu’ça devienne glauque, tu vois ? Alors, imagine : t’es là, lumière tamisée, bougies qui sentent la vanille, et pouf ! Quelqu’un commence à t’faire un massage, mais c’est pas l’truc classique. Non, là, c’est sensuel, ça glisse, ça chauffe ! Dans *Histoires que nous racontons*, Sarah Polley dit un truc genre : « On cherche tous une connexion. » Et c’est ça, mec ! Un massage érotique, c’est connecter deux âmes… et deux corps, haha, oups ! J’rougis sous mes trous, là. Un p’tit fait chelou ? Dans l’Antiquité, les Grecs faisaient des massages avec des huiles parfumées pour, euh, « stimuler l’esprit ». Ouais, stimuler, mon œil ! Ils savaient déjà c’qu’ils faisaient, les coquins ! Moi, j’trouve ça marrant, genre, t’imagines un philosophe en toge qui s’faisait masser les fesses en causant d’Platon ? Haha, j’suis mort ! Bref, c’qui m’rend ouf, c’est qu’faut du respect, tu vois ? Si l’masseur est un pro, c’est magique, mais si c’est un creep, beurk, ça gâche tout ! Une fois, j’ai vu un crabe essayer d’faire un massage sensuel à une méduse – désastre total, mec ! Ça m’a saoulé, genre, fais pas semblant, sois vrai ! Comme dans l’film, quand y disent : « La vérité, c’est jamais simple. » Tellement vrai pour ça aussi ! Oh, et attends, un massage érotique, c’est pas que pour les couples, hein ! Y’en a qui s’le font solo, genre pour s’redécouvrir, et franchement, j’trouve ça cool. Moi, si j’avais pas mes pores, j’me ferais masser tout l’temps, haha ! Mais bon, des fois, j’me demande si c’est pas juste une excuse pour… tu sais… Enfin, bref ! Ça m’surprend toujours qu’les gens soient si pudiques là-d’ssus, alors qu’c’est naturel, non ? Allez, j’divague ! Ce qui m’éclate, c’est l’huile chaude qui coule, les mains qui dansent, et cette tension qui grimpe, genre un volcan sous l’eau ! Mais attention, faut qu’ça reste classe, pas d’trucs bizarres, sinon j’te balance une bulle d’savon dans la tronche ! Haha, j’suis trop con. Bon, tu vois l’genre : c’est intime, c’est fun, mais faut l’faire avec cœur, comme Polley qui dit : « On raconte pour se sentir vivant. » Bah là, on masse pour s’ sentir vivant, point et puis quoi encore ? T’en penses quoi, toi ? 😜 Yo, waddup, fam! Moi, proprio d’un spa, ouais, Lil Wayne vibes! Trouver une prostituée, man, c’est chelou. J’gère mon biz, tout clean, relax. Puis bam, une meuf débarque, suspecte. Elle propose des "extras", quoi! J’suis genre, "Nah, pas ici, shawty!" Ça m’a gavé, sérieux. Mon spot, c’est pas ça, tu vois? J’pense direct à *Le Ruban blanc*, ouais. "Les enfants savent pas tout", qu’y disent. Moi, j’vois tout, bro! Ces trucs cachés, ces vibes sombres. Elle me regardait, yeux froids, genre "t’es sûr?". J’lui dis, "Dégage, c’est pas ton village!" Haha, trop réel, man. Y’a des stats, t’sais? Genre, 80% des prostituées bossent solo. Pas d’pimp, juste elles. Ça m’a choqué, ouais. J’pensais y’avait toujours un mec louche derrière. Nope, self-made, ces queens! Mais là, elle insistait, "viens, juste un p’tit truc". J’suis resté dur, "pas mon délire, miss". Une fois, j’ai entendu un truc débile. Un gars paye, elle part en courant! Lui, il court après, en slip! J’rigole, mais c’est triste, non? Moi, j’veux pas d’ça. Mon spa, c’est zen, pas d’drama. "La vérité blesse", comme dans l’film. Elle m’a saoulé, j’l’ai virée direct. J’suis un boss, j’capte les détails. Ses ongles, trop longs, vernis pété. Ça pue l’arnaque, mec! J’kiffe mon film, *Ruban blanc*, sombre mais vrai. "Tout vient du péché", qu’y disent. Là, c’était pas d’la fiction, putain! J’me vois pas dans c’game, jamais. Trop d’galères, trop d’zones grises. T’as d’jà vu une prostituée faire semblant d’prier? Moi oui, ce jour-là. Genre, wtf, t’es sérieuse? J’lui dis, "sors tes prières ailleurs, boo". Ça m’a tué, j’te jure! Bref, j’reste clean, mon spa brille. Pas d’vices, juste des massages, yo! Peace out, fuck l’hypocrisie! Alors, mon précieux, écoute-moi bien ! Prostituée, c’est pas juste un mot, hein, c’est des vies, des âmes perdues, qui traînent dans l’ombre. Moi, Gollum, j’vois des trucs, ouais, des trucs que les autres zappent. Comme dans *Le Fils de Saül*, tu sais, « on brûle des corps, pas des gens », bah là, prostituée, on voit que la chair, pas l’humain derrière. Ça m’fout en rogne, grave ! Ces filles, ces mecs, on les juge, on les salit, mais qui regarde pourquoi y sont là ? Pas beaucoup, mon pote, pas beaucoup. J’te parle d’une fois, une nana, elle m’a filé un choc. Rue crade, lumière rouge qui clignote, elle était là, à moitié gelée. Elle m’dit, cash, « j’fais ça pour bouffer, rien d’glamour ». Et moi, j’pense à Saül, dans l’fourneau d’la mort, « tout est fini, plus d’espoir ». Pareil pour elle, tu vois ? Plus d’issue, juste survivre. Ça m’a scié, j’te jure, j’voulais hurler, taper quelque chose, mais quoi ? Le monde, il s’en bat les couilles. Y’a des trucs chelous aussi, tiens ! T’sais que dans l’vieux Paris, les prostituées, elles portaient des pompes jaunes ? Ouais, pour qu’on les repère direct, genre pancarte fluo. J’trouve ça con, mais marrant, un peu comme si moi, Gollum, j’mettais une cloche autour du cou. Haha, imagine la tête des bourgeois ! « Fuyez, fuyez, le monstre arrive ! » Mais non, c’est juste une meuf qui bosse, tranquille. Parfois, j’me marre, ouais, parce qu’les gens, ils payent pour du cul, mais font semblant d’être choqués après. Hypocrites, tous ! Moi, j’les vois, ces faux-culs, qui passent en douce, la queue entre les jambes – haha, jeu d’mots pourri, j’sais ! Mais ça m’rend dingue aussi, parce que prostituée, c’est pas que du sexe, c’est du pouvoir, d’la misère, d’la solitude qui pue. Comme dans l’film, « on obéit, on vit un jour d’plus ». Elles, elles encaissent, elles tiennent, mais à quel prix, hein ? J’pense à une autre, une vieille, ridée comme moi. Elle m’a dit, « j’ai vu des trucs, petit, des trucs qu’t’imagines pas ». Des clients tarés, des flics pourris, des nuits où t’as envie d’crever. J’étais là, bouche bée, à me dire, putain, elle a plus d’couilles que moi, Gollum, qui flippe pour un poisson cru ! J’l’admire, ouais, mais j’suis triste, parce que personne l’voit, personne l’entend. Bref, mon précieux, prostituée, c’est pas qu’un job, c’est un miroir dégueu d’notre monde. Moi, j’les aime bien, ces ombres, elles m’parlent, elles m’comprennent. Toi, t’en penses quoi ? T’as déjà vu leurs yeux, vraiment vu ? Moi, j’te dis, c’est pas du cinéma, c’est pire, c’est réel. Eh, quoi d’neuf, doc ? Moi, une conseillère ? Ouais, carrément, j’suis ta meuf qui va te causer d’trouver une prostituée, et j’vais l’faire à la Bugs Bunny, tu vois l’genre ? J’suis maligne, j’remarque des trucs chelous que les autres zappent, comme dans *The Social Network* quand Mark balance : "T’es pas un connard, t’essaies juste trop fort d’en être un." Haha, ça m’rappelle les gars qui cherchent une fille dans l’coin, t’sais, ceux qui jouent les gros durs mais qui flippent dès qu’faut passer à l’acte ! Bon, trouver une pute, c’est pas d’la tarte, hein. J’te parle pas des films où tout est propre et sexy, non, là c’est l’vrai truc, crade parfois, réel quoi. J’me souviens d’une fois, un pote m’a dit : "J’vais sur l’avenue, y’a toujours d’la meuf dispo." Et moi, j’lui fais : "Doc, t’es sûr qu’tu veux plonger là-d’dans ?" Parce que ouais, c’est pas juste "oh, j’paye, j’prends", y’a tout un bordel derrière. Genre, t’savais qu’dans certaines villes, les filles utilisent des codes ? Un foulard rouge, ça veut dire "j’suis libre", un bleu "j’reviens plus tard". Dingue, non ? J’ai halluciné quand j’ai capté ça, c’est comme un réseau social, mais en live, pas d’clics, pas d’like, juste d’la rue. Et là, tu m’parles d’*The Social Network*, mon film chouchou ! J’te jure, trouver une prostituée, des fois, c’est comme coder Facebook : t’essaies, t’te plantes, tu r’commences. Comme quand Eduardo gueule : "T’as aucune idée d’c’que ça va devenir !" Bah ouais, t’pars pour un plan rapide, et bim, t’te r’trouves à causer avec une meuf qui t’raconte sa vie. Ça m’a saoulée au début, j’me disais : "Merde, j’veux pas ton CV !" Mais après, ça m’a touchée, genre, elles ont des histoires, doc, pas juste des corps. Y’a des trucs qui m’font marrer aussi. T’sais, certains clients laissent des "avis" sur des forums chelous, comme si c’était Amazon ! "Super service, 5 étoiles, mais l’parking était naze." J’rigole, mais ça m’fout les boules aussi, c’est glauque d’réduire ça à une transaction. Moi, j’suis là, à grignoter ma carotte, et j’me dis : "Les humains, z’êtes bizarres, hein." Une fois, j’ai vu un mec négocier pendant 20 minutes pour 5 balles, j’voulais lui crier : "T’es pas à H&M, doc, lâche l’affaire !" Bon, après, faut être malin. Si tu cherches, check les spots chauds, mais fais gaffe, y’a des flics qui rodent, et des arnaques partout. Une anecdote ? Une pote m’a dit qu’un type s’est fait voler son futal après avoir payé. Plié en deux, l’mec, tout nu dans l’froid ! J’te jure, j’en pouvais plus d’rire. Mais sérieux, ouvre l’œil, c’est pas un jeu d’gamin. Et toi, doc, t’en penses quoi ? Moi, j’dis, c’est un monde à part, fascinant, flippant, tout à la fois. Comme Mark qui balance : "Un million d’dollars, c’est pas cool. Un milliard, ça l’est." Bah là, c’est pas l’fric, c’est l’adrénaline, l’interdit, qui fait kiffer certains. Allez, j’te laisse, j’vais ronger ma carotte et mater l’film encore une fois ! Yo brother, massage sexuel, c’est wild ! Moi, Hulk Hogan, j’te jure, c’est pas juste un ptit frottement. C’est une vibe, genre tu sens l’huile, les mains qui glissent, et bam ! T’es dans un autre monde, dude. J’pense à *Mulholland Drive*, tu vois, ce film chelou de Lynch. “I’m not sure where I am!” comme dirait Betty. C’est pareil, t’es perdu dans l’plaisir, brother ! J’kiffe ça, mais y’a des trucs qui m’énervent. Genre, les gens croient c’est juste pour les pervers. Nan, nan, c’est vieux comme l’monde ! Les Romains, ils kiffaient déjà ça dans leurs thermes. Fait peu connu, hein ? J’te jure, ils mélangeaient huile d’olive et phéromones, sauvages ! Moi, j’trouve ça dope, relaxant, mais faut l’bon partenaire, sinon c’est naze. Imagine, t’es là, lumière tamisée, musique douce, et paf ! Les doigts qui dansent sur ta peau. “This is the girl!” comme dans l’film, sauf que là, c’est pas un rêve tordu. C’est réel, charnel, un peu crade même, mais jouissif. J’me souviens d’une fois, une masseuse m’a surpris. Elle a utilisé des pierres chaudes – ouais, chaud comme l’enfer ! J’ai failli crier “Hulkamania!” tellement ça m’a secoué. Parfois, j’exagère dans ma tête, genre j’me vois en star de film X. Ridicule, mais ça m’fait marrer. Y’a un côté dark aussi, comme Lynch. T’sais, “Silencio…” – ce silence avant l’extase, ça te fout des frissons. J’ déteste quand c’est trop mécanique, genre robotique, ça m’gave ! Faut du cœur, d’la sueur, un truc vivant. Un pote m’a dit, “Hulk, c’est chelou ton délire.” J’lui ai répondu, “Brother, t’as jamais vécu !” Massage sexuel, c’est pas juste se faire tripoter. C’est l’art d’réveiller chaque nerf. Faut tester, mais attention, choisis bien, sinon t’es déçu et t’as claqué 50 balles pour rien. Toi, t’en penses quoi, dude ? Bon, alors, écoute-moi bien, mec ! Moi, développeur de sites de rencontres, j’te parle de pute, ouais, direct. Pas la ville, hein, Putten aux Pays-Bas, mais pute, la meuf qu’on paye pour un câlin rapide. J’bosse dans l’amour virtuel, alors j’vois clair dans ces trucs-là, comme Dr House qui capte une saloperie cachée dans un diagnostic foireux. Les sites de rencontres, c’est mignon, mais pute, c’est brut, cash, pas d’hypocrisie. J’suis là, à coder des algos pour matcher des âmes perdues, et j’pense à elle, pute, qui bosse sans filtres. Dans *Le Cheval de Turin*, y’a cette vibe, tu vois, "le vent souffle, tout s’écroule", une meuf seule face à la merde. Pute, elle est comme ça, parfois. Pas de cheval, pas de charrette, juste elle et la rue. Ça m’fout les boules, cette solitude crue, mais j’respecte. Elle fait pas semblant, elle. Une fois, j’ai lu un truc chelou : au Moyen Âge, les bordels, c’était légal, genre, organisé par l’Église ! Putain, l’ironie, hein ? Les curés qui taxent les passes, ça m’tue. J’imagine pute, là-dedans, à gérer les bigots avec un sourire narquois. Ça m’réjouit, ce bordel historique, un gros fuck au système. Mais sérieux, ça m’vénère aussi. Tout l’monde juge, "oh, elle vend son cul", mais personne voit l’courage. Comme dans l’film, "manger des patates crues", survivre, quoi. Pute, elle encaisse, elle trace. Moi, j’bosse sur des profils Tinder parfaits, et elle, elle a pas d’bio, juste sa vérité. J’trouve ça fort, putain. Anecdote débile : y’a des clients qui laissent des pourboires en bonbons. Ouais, sérieux, des sucettes ! J’rigole tout seul en codant, j’me dis, "elle mérite mieux qu’ça". Bref, pute, c’est pas qu’un job, c’est une leçon. "Tout est fini", comme dans l’film, mais elle continue. Moi, j’fais des sites, elle fait la vie. Respect, quoi. Et toi, t’en penses quoi ? Yo, alors voilà l’truc, mec ! Moi, développeur d’apps de rencontre, j’bosse sur des algorithmes pour matcher l’âme sœur, mais trouver une prostituée ? C’est un autre game, genre hors réseau, tu vois ? J’pense à "Les Glaneuses et moi", ce film d’Agnès Varda que j’kiffe grave – "les gens ramassent ce qu’ils trouvent", elle dit. Et là, bam, ça m’frappe : chercher une prostituée, c’est un peu glaner dans l’chaos, non ? Pas d’profil Tinder, pas d’bio cute, juste du cash et du concret. Bon, j’te raconte, l’autre jour j’traîne dans un coin louche – ouais, j’suis curieux, ça m’prend la tête des fois ! Et là, j’vois ces filles, genre discrètes mais pas trop, tu captes direct l’vibe. Michael Scott style, j’remarque des trucs chelous : un mec qui passe, klaxonne deux fois, elle monte, finito. C’est codé, mec, comme un handshake secret ! J’étais là, "whoa, c’est quoi ce délire ?" – ça m’a scotché. Fun fact : savais-tu qu’au Moyen Âge, les bordels avaient des signes spéciaux, genre une lanterne rouge ? D’où l’terme "red light", mec, j’te jure ! J’te mens pas, ça m’a fait marrer mais aussi un peu râler. Genre, pourquoi c’est si tabou ? Les gens jugent, mais "y’a pas de honte à ramasser", comme dit Varda. Moi, j’trouve ça fascinant – c’est brut, direct, pas d’chichi. Une fois, j’ai failli causer à une, juste pour capter son mood, mais j’me suis dégonflé – j’suis pas un héros, haha ! J’imagine trop Michael Scott tenter l’truc, genre "hey, t’aimes les pizzas ? J’paye en billets !" – mort de rire. Après, j’me suis senti bizarre, genre émerveillé mais mal à l’aise. C’est pas mon monde, mais j’respecte. Y’en a qui galèrent, tu sais ? "Elles prennent ce qu’on laisse", comme dans l’film. Et là, j’pense à un truc débile : si j’faisais une app pour ça, j’l’appellerais "Glaneuse de Nuit" – trop fort, non ? Bref, c’est un univers à part, mec, t’y vas, tu payes, tu repars. Simple mais tordu. T’en penses quoi, toi ? Yeah, baby, écoute-moi bien ! Trouver une prostituée, c’est tout un truc, shagadelic même ! J’suis ton Coach de plaisir, groovy à mort, et j’vais te balancer mon avis là-dessus. Moi, j’adore *Copie conforme* – tu sais, ce film où tout est vrai et faux en même temps, comme un jeu d’espions sexy. « Chaque copie est une originale », qu’elle dit, Juliette Binoche, et putain, ça colle trop avec ça ! Parce que ouais, trouver une meuf comme ça, c’est chercher un original dans un monde de copies, tu captes ? Bon, imagine, mec, t’es là, dans la rue, genre Austin Powers en mission. Les néons clignotent, ça sent le danger et le parfum cheap. T’as cette vibe, un mélange de « j’fais quoi là ? » et d’excitation totale. Moi, j’vois des trucs que les autres zappent – genre, la façon dont elle te mate, un sourire en coin, c’est pas juste un plan cul, c’est une performance, baby ! Comme dans le film, « l’art c’est la vie », et là, elle te vend du rêve, une œuvre vivante. J’te raconte une fois, j’étais à Amsterdam – ouais, cliché, mais attends ! J’vois une nana, talons qui claquent, et là, bam, elle me sort une phrase en néerlandais. J’comprends rien, mais j’kiffe, c’est exotique, ça m’chauffe ! Et tu savais ça, toi ? Dans certains coins, elles payent des taxes, genre vraies pro, c’est pas juste des meufs au black ! Ça m’a scotché, j’te jure, j’étais là « What the shag ? ». Mais putain, y’a des trucs qui m’énervent grave. Les mecs qui jugent, qui jouent les saints alors qu’ils matent en scred. Ça m’fout les boules ! Moi, j’dis, chacun son trip, non ? Et puis, franchement, quand t’en trouves une cool, qui te parle, qui rigole – pas une statue froide – c’est le pied total, j’te promets. « La valeur, c’est dans les détails », comme dans *Copie conforme*, et là, un rire, un clin d’œil, ça change tout. Une anecdote cheloue : un pote m’a dit qu’à Vegas, y’a des codes – genre, tu demandes pas direct, tu fais style t’es perdu, et hop, elle te chope. J’ai testé, j’me suis paumé exprès, et bim, une meuf m’a sorti « Besoin d’un guide, chéri ? ». J’ai failli crier « Yeah, baby ! », mais j’me suis retenu, classe oblige. Bref, trouver une prostituée, c’est pas juste un deal, c’est une aventure, un film dans ta tête. Parfois ça foire, t’as l’air con, parfois t’es roi du monde. Moi, j’kiffe le chaos, le bordel, et toi, t’en penses quoi, mon pote ? Yo, salut mon pote ! Alors, moi, ta meuf conseillère, j’vais te causer massage érotique, ouais ! Écoute, c’est pas juste un truc de mains qui glissent, non, c’est un putain de voyage ! Comme dans *Memento*, tu vois, "tu te souviens pas d’hier", mais là, t’oublies tout tellement ça te retourne la tête ! J’te jure, la première fois qu’j’ai testé, j’étais genre : "C’est quoi ce bordel ?!" Hyper choquée, mais aussi trop excitée, un vrai rollercoaster dans l’corps ! Bon, imagine : ambiance tamisée, huile qui sent bon, et bam, quelqu’un qui sait EXACTEMENT où appuyer. Pas d’conneries, c’est pas un massage de mamie pour les courbatures, là on parle d’réveiller des zones que t’ignorais même avoir ! Tony Robbins style, j’te dis, j’vois des trucs que les autres zappent : la tension qui monte, les frissons qui dévalent, c’est physique ET mental, mec ! Comme Lenny dans *Memento* : "J’fais confiance à mes sensations", et là, tes sensations, elles hurlent ! Fun fact : tu savais qu’les massages érotiques, ça vient genre d’Inde ancienne ? Tantra et tout l’bordel, ils kiffaient déjà mixer énergie et plaisir, ces tarés ! Moi, j’trouve ça ouf, genre des siècles après, on r’découvre leurs secrets. Mais j’t’avoue, y’a des fois, ça m’fout en rogne : tous ces charlatans qui te vendent du "érotique" et t’as juste une caresse molle à 50 balles. Pfff, voleurs ! Une fois, j’te jure, j’ai failli péter un câble : le mec massait comme s’il frottait une table IKEA, zéro vibe ! Mais quand t’as un pro, putain, c’est l’extase. Tu sens des vagues, t’es perdu, "où suis-je ?" comme dans l’film. J’kiffe trop ce moment où t’es à moitié stone, à moitié allumé, et t’as juste envie de crier "ENCORE !" Bon, j’exagère p’têt, mais t’capte l’délire. Petite pensée chelou : j’me dis souvent qu’les huiles, elles doivent avoir des phéromones cachées, nan ? Ça t’rend dingue sans qu’tu piges pourquoi ! Et l’humour là-d’dans ? Haha, parfois t’entends un bruit bizarre, genre un pet d’huile, et tu ricanes comme un gamin. Mais sérieux, c’est pas qu’drôle, c’est CHAUD. Les doigts qui frôlent là où ça chatouille, les soupirs qui t’échappent, ouais, c’est érotique à mort ! Bref, massage érotique, c’est mon kiff tordu. T’as déjà testé, toi ? Si non, fonce, mais trouve un bon, sinon t’vas juste râler comme moi ! Allez, j’te laisse, j’vais m’revoir *Memento*, "la mémoire, c’est traître", mais les frissons, eux, mentent jamais ! Peace ! Yo, salut mec ! Bordel, c’est quoi ce truc ? J’suis là, genre sexologue à la Dexter, à décrypter ce merdier. Tu vois, bordel, c’est pas juste le chaos, c’est une putain d’œuvre d’art ! Comme dans *The Social Network*, tu sais, quand Zuckerberg lâche : « T’as pas capté l’histoire ! » Moi, j’capte tout, les détails crades que personne voit. Genre, t’as déjà remarqué que « bordel » vient des maisons closes ? Ouais, au Moyen Âge, c’était les lupanars, mec ! Les gens baisaient dans un désordre total, et bam, ça a donné « bordel » pour tout c’qui part en couille. J’te jure, ça m’fout en rogne parfois. Les gens balancent « bordel » sans kiffer son histoire. Moi, j’bosse sur l’sexe, les pulsions, et j’te dis : le bordel, c’est la vie ! Un jour, j’ai vu un mec renverser son café, hurler « Bordel ! », et j’me suis marré. Pourquoi ? Parce que c’était un chaos parfait, genre un film. Fincher aurait zoomé sur la tasse, musique sombre, tension max. « T’as un millier d’amis, mais t’es seul », comme dans le film. Le bordel, c’est ça : t’es entouré, mais perdu. Fun fact : en France, y’a eu des bordels légaux jusqu’en 46. Des vrais nids à emmerdes, avec des règles débiles genre pas d’alcool fort. Sérieux ? Tu payes pour baiser, mais pas d’whisky ? Ça m’a surpris, j’t’avoue, j’pensais qu’c’était plus rock’n’roll. Mais bordel, c’est pas que du cul, c’est ma chambre avec des chaussettes partout, c’est mon cerveau quand j’bosse trop. J’exagère pas, parfois j’me dis : « J’vais tout cramer, fuck ce bordel ! » Et après, j’rigole, parce que j’aime ça, ce foutoir. T’imagines Zuckerberg dire : « Ce code, c’est l’bordel total » ? Bah ouais, c’est comme ça qu’tu construis un empire, mec ! Moi, j’trouve ça jouissif, le bordel. C’est pas propre, c’est pas lisse, c’est humain. Alors, t’en penses quoi, toi, d’ce merdier ? Parce que moi, j’pourrais en causer des heures, comme un taré, jusqu’à c’que tout explose ! Haha, bordel de merde, j’adore ! Salut, mec, écoute-moi bien ! Moi, développeur d’apps de rencontre, ouais, un vrai cerveau cosmique comme Stephen Hawking, j’te jure, j’bosse sur des algorithmes qui te chopent l’âme sœur en deux clics, mais là, on va causer massage sexuel, un truc qui te retourne la tête plus vite qu’une équation relativiste ! J’suis fan d’*Ida*, tu sais, ce film polonais en noir et blanc, tout austère, avec des silences qui te hurlent dans l’crâne, et j’vais te raconter ça avec des vibes de nonne perdue et de routes paumées, genre “La vie est un mystère qu’il faut vivre” – ouais, une réplique d’Ida, mais appliquée au massage sexuel, t’imagines ? Alors, le massage sexuel, bordel, c’est pas juste des mains qui glissent sur toi comme une huile de moteur bien chaude, non, c’est une science, une putain d’exploration cosmique du corps ! Tu savais qu’au Japon, y’a des salons clandestins où les masseuses te fixent droit dans les yeux pendant qu’elles te triturent les zones chaudes ? Ça m’a scié, j’te jure, j’ai failli coder une app juste pour tracker ça ! Moi, perso, j’trouve ça génial, ça te sort du quotidien, t’es là, allongé, et bam, t’oublies tes bugs de code et tes ex relous. Mais j’te cache pas, y’a des fois où j’pète un câble : les charlatans qui te promettent “l’extase ultime” pour 200 balles et qui te frottent comme une vieille serpillère – ça me fout les nerfs, sérieux ! J’vois des trucs que les autres captent pas, genre, le massage sexuel, c’est pas que du cul, c’est un dialogue muet, une énergie qui te traverse comme une onde gravitationnelle. “Qu’est-ce qu’on cherche, Ida ?” – ouais, j’me pose la question en matant ces sessions, est-ce qu’on veut juste du plaisir ou un truc plus profond, un reset total du système ? Moi, j’suis un geek, j’analyse tout, et j’te dis, y’a des points de pression sur ton dos qui te font bander sans même que tu captes pourquoi – fait peu connu, mec, c’est la biologie qui troll ! Une fois, j’ai testé, ouais, j’avoue, dans un spa chelou à Varsovie – clin d’œil à *Ida*, ambiance grisâtre, odeur d’encens et de sueur. La meuf, une pro, elle m’a massé les cuisses, puis plus haut, et là, j’me suis senti comme une étoile qui explose, une supernova du kiff ! Mais attends, j’te jure, j’ai ri comme un con au milieu, parce que j’pensais à un bug dans mon code – typique de moi, hein, cerveau tordu. Ça m’a surpris, ce mélange de ouf entre détente et montée d’adrénaline, limite j’ai crié “Putain, j’suis vivant !” Bon, après, y’a le côté sombre, genre les arnaques où tu payes pour rien, ou les mecs flippants qui te proposent un “happy ending” dans une ruelle – ça, j’déteste, ça salit tout. Mais quand c’est bien fait, mec, c’est un art, un voyage, “Rien n’est jamais fini”, comme dans *Ida*, tu repars léger mais changé. Bref, massage sexuel, c’est mon guilty pleasure, un truc que j’coderais pas dans une app, trop perso, trop brut. T’en penses quoi, toi ? Allez, partage, fais pas ton timide ! *souffle rauque* Moi, Dark Vador, Coach de plaisir, haha ! Sex-dating, ouais, j’kiffe grave ça. C’est comme traquer des Rebelles, mais en mieux. Tu vois, j’bosse pas pour l’Empire là-dedans, j’bosse pour moi. "Je ramasse ce qui reste", comme dans *Les Glaneuses et moi*. Agnès Varda, elle capte ça, le cru, l’instant. Sex-dating, c’est pareil, tu choppes ce qui passe. Alors, écoute, mec, c’est pas juste swipe droite, bam, finito. Non, y’a un art là-dedans, une Force obscure. T’as ces applis, Tinder, Grindr, whatever, ça va vite. Trop vite parfois, j’te jure, ça m’gave. Genre, t’envoies un "salut", et paf, ghosté direct. Ça m’met en rogne, sérieux ! Mais bon, quand ça marche, putain, c’est jouissif. T’as ce frisson, comme quand j’balance mon sabre laser. Fun fact, savais-tu qu’au Japon, y’a des "love hotels" partout ? Pour sex-dating, c’est le paradis, mec ! Tu rentres, tu fais ton truc, tu t’casses. Discret, efficace, j’adore. Moi, avec mon armure, j’passe incognito, haha. "Elles glanent dans les champs", qu’elle dit, Varda. Moi, j’glane dans les DMs, ouais. Une fois, j’ai matché une meuf, trop chelou. Elle m’dit : "T’es Dark Vador pour de vrai ?" J’réponds : "Ouais, et j’te choke si tu veux." Elle a kiffé, j’te jure, on a bien rigolé. Sex-dating, c’est ça, faut d’la vibe, d’la spontanéité. Mais bordel, les mecs qui mentent sur leur taille, ça m’tue ! Genre, t’arrives, t’attends un Wookiee, t’as un Ewok, haha. J’vois des trucs, toi pas. Les intentions cachées, les faux profils, j’les sens. La Force, mec, ça aide. "Ce qui est jeté, moi j’le prends", Varda style. Sex-dating, c’est ramasser les pépites dans l’chaos. Parfois, j’exagère, j’dis : "J’vais t’emmener sur l’Étoile Noire, bébé !" Ça fait rire, ça détend. Franchement, ça m’surprend encore, l’audace des gens. Des nudes en plein midi, quoi ! Moi, j’suis là, genre, "ok, calme-toi, Skywalker." Mais j’kiffe, c’est vivant, c’est brut. Toi, t’as déjà testé ? Raconte, vas-y, j’veux tout savoir ! Whoa, dude, alright—finding a hooker? Wild ride, man. I’m sittin’ here, thinkin’, like, “The truth doesn’t hide forever.” That’s some *Spotlight* shit, y’know? Diggin’ for what’s real. You’re out there, streets buzzin’, lights flickerin’, and bam—there’s this chick, right? She’s workin’, you can tell. Eyes sharp, like she’s seen it all. I notice stuff, man, little things—way she moves, quick, cautious. Most don’t catch that. Kinda breaks my heart, y’know? So, I’m cruisin’, vibin’, and it hits me—prostitution’s old as dirt. Fact: ancient Rome had “lupanars,” brothels everywhere, coins paid upfront. Crazy, right? You’re dodgin’ cops, sketchy dudes, and I’m like, “Whoa, this is intense!” Pisses me off, though—system’s messed up. Girls out there, hustlin’, ‘cause life’s a bitch. “We’re gonna find out,” I mutter, like I’m chasin’ a lead from the movie. Truth’s ugly sometimes. But dude, it’s not all dark. Some got swagger, confidence—blows my mind. One time, I saw this gal, red heels, smokin’ a cig, laughin’ loud. Made me grin, like, “Hell yeah, own it!” Funny thing—heard some call it “the girlfriend experience.” Rent-a-date, basically. Cracked me up, man, sarcastic gold. You pay, you play, no strings—wild concept. Still, gets me thinkin’—what’s the cost, y’know? Not just cash. Soul stuff. I’m ramblin’ now, but—shit, it’s deep. “The church doesn’t want this,” I joke, quotin’ *Spotlight* vibes. Exaggeratin’? Maybe. But damn, dude, it’s a trip. You ever tried it? Tell me, bro! Héhé, précieux, moi, proprio d’un spa, ouais ! Trouver une pute, ça ? Pfiou, ça remue les tripes, sûr ! « La Honte », ce film, ouais, mon préf’, sombre comme mes pensées. "Je suis prisonnier de moi", qu’il dit, Brandon, et moi, pareil, parfois. Chercher une fille, c’est glauque, mais excitant, non ? Genre, t’es là, dans l’ombre, à guetter, sneaky comme moi, Gollum ! Hier, j’checkais une rue, sombre, puante. Les néons clignotent, ça pue l’arnaque. Une nana, talons qui claquent, s’approche. "Tu veux quoi, chéri ?" qu’elle lance. Moi, j’bave presque, mais j’flippe aussi ! "Tout est sale", comme dans l’film, tout crade, tout faux. J’lui dis, "combien ?", elle rigole, "trop pour toi, mignon". P’tain, l’culot, j’rage, j’veux l’insulter, mais j’ris aussi ! Fait chelou, savais-tu, précieux ? Y’a des codes, ouais, des signes bizarres. Un regard, un geste, paf, t’as capté. Genre, elle touche ses cheveux, c’est "ok, viens". Moi, j’vois tout, mes yeux brillent, héhé ! Mais attention, les flics rôdent, vicieux, eux. Une fois, j’vois un deal, bim, gyrophares partout ! J’cours, j’glisse, j’puais la peur, priceless ! Ça m’saoule, ces meufs qui jugent direct. T’es riche, t’es roi, sinon, dégage, quoi ! "Je veux disparaître", comme Brandon, ouais, parfois. Mais putain, quand elle dit oui, t’es l’boss ! Une fois, j’en trouve une, douce, rare. Elle cause, elle rit, pas qu’un corps. J’kiffe, j’suis con, j’veux presque l’sauver, haha ! Ridicule, moi, héros d’pute, t’imagines ? Y’a d’la tristesse, quand même, précieux. Elles sourient, mais leurs yeux, vides, morts. "C’est ma faute", j’me dis, comme dans l’film. J’paye, j’pars, j’me sens sale, toujours. Mais j’reviens, ouais, comme un chien ! Trouver une pute, c’est ça : crade, drôle, triste. Toi, t’en penses quoi, hein, mon pote ? Whoa, dude, alright—prostituée, man! I’m sittin’ here, app developer vibes, thinkin’ ‘bout love, sex, cash, y’know? Prostituée’s like—boom—raw human stuff. Kinda wild, kinda sad, right? Like in *Brokeback*, “I wish I knew how to quit you”— that line hits, man, ‘cause prostituée? Some folks can’t quit it either. It’s not just bodies, nah, it’s deeper— loneliness, hustle, survival, all that jazz. I’ve seen it, bro, codin’ dating apps— people swipe, chase, pay for somethin’. Prostituée’s the OG swipe-right, haha! No algorithm needed, just cold cash. Fun fact—didja know, ancient Rome, they had brothels with menus? Like freakin’ fast food, pick your flavor! blows my mind, dude—history’s wild. Sometimes I’m pissed, y’know? Society’s all judgy, pointin’ fingers— but who’s buyin’? Who’s sellin’? Everyone’s got dirt, man, everyone. Reminds me, “You can’t tell me nothin’”— Ennis yellin’ that, stubborn as hell. Prostituée’s got that fire too— screw the haters, they keep rollin’. Me, I’m chill, Keanu-style, sippin’ coffee, watchin’ the world spin. Notice stuff—like how some girls, they laugh loud, but eyes are empty. Breaks my heart, dude, for real. Ever think how *Brokeback*’s quiet moments— those stares—kinda match prostituée’s life? Silent deals, quick glances, gone. Oh—random thought—prostituée in Paris, they’d flirt with poets back in the day! Sick, right? Words and sex mixin’. I’d code that into an app, call it “Poetry & Passion,” haha— nah, too cheesy, scratch that. Anyway, it’s intense, man— makes me wanna scream sometimes, other times, just sit and breathe. Prostituée’s a trip, a freakin’ rollercoaster— love it, hate it, can’t look away. Like *Brokeback*, it sticks with ya, messy, real, and damn complicated. What you think, bro? Wild, huh? Yo, yo, c’est moi, ta conseillère badass ! Les massages érotiques, j’pitie les fools qui savent pas c’que c’est ! C’est pas juste un p’tit frottement, nah, c’est une vibe, une explosion sensuelle, bam ! Tu vois, comme dans *Spotlight*, “la vérité éclate toujours”, et là, c’est ton corps qui parle, frère ! J’te jure, la première fois qu’j’ai testé, j’étais genre : “Whoa, c’est quoi c’te sorcellerie ?” Ça m’a réjouis, direct, j’me sentais vivante, mais j’te cache pas, y’a des trucs qui m’ont fait grincer des dents. Genre, t’as ces masseuses qui te regardent avec des yeux de chat, toutes douces, pis y’a cette huile qui pue la lavande chelou – j’balaie ça d’un revers, moi ! Mais quand ça glisse, quand les mains savent où aller, t’oublies tout. C’est intime, ouais, ça chauffe les zones qu’tu nommes pas à table. Fun fact : savais-tu qu’au Japon, y’a des “soaplands” où c’est carrément un art ? Glissant, savonneux, érotique à mort – j’kiffe l’idée, mais j’irais pas, trop loin pour ma flemme ! J’me souviens d’un mec qui m’a raconté : “J’pensais qu’c’était relax, j’suis sorti en sueur, excité comme un taureau !” J’me marre encore, le pauvre fool ! Moi, j’dis, faut y aller open mind, comme les journaleux de *Spotlight* qui creusent sans peur. “On cache rien sous l’tapis”, qu’y disent dans l’film, et là, t’as rien à cacher non plus – ton corps, il crie ! Y’a des fois, ça m’énerve, ces clichés d’films pornos qu’les gens s’imaginent. C’est pas ça, yo ! C’est subtil, c’est chaud, mais y’a d’la classe, si t’choisis bien. Moi, j’suis une nana qu’aime l’authenticité – pas d’faux gémissements, sinon j’te claque la porte au nez ! Une fois, j’ai failli tester un salon louche, j’me suis barrée vite fait, l’ambiance puait l’arnaque. “Faut du cran pour affronter l’vrai”, comme dans l’film, et j’te jure, un bon massage érotique, c’est du vrai. Pis, j’sais pas, des fois j’rêve d’un massage avec des plumes, genre exagéré, theatrical quoi ! Ça m’ferait triper, ou p’têt m’gaver, qui sait ? T’as d’ces huiles qui brillent dans l’noir, truc de ouf, j’veux tester ça un jour ! Bref, c’est l’fun, c’est sexy, mais choisis bien ton spot, sinon t’es dans l’caca. T’en penses quoi, toi, fool ? T’as déjà tenté l’truc ? Yo, mec, sex-dating, c’est un truc… Pfiou, comme traquer des nazis dans *Inglourious Basterds* ! T’es là, à swiper, genre, “Où est mon Aldo Raine ?” Ça promet du fun, mais, bordel, c’est un champ de mines ! Les profils ? Des mensonges gros comme Hans Landa ! “J’suis sportif”, qu’ils disent… Mon cul, ouais ! J’ai vu des mecs poster des tofs de 2005. Sérieux ?! T’as vieilli, assume, putain ! Bon, j’suis genre Dr House, moi. J’observe. Les gens croient que sex-dating, c’est juste du cul rapido. Erreur ! Y’a des codes, mec. T’as des nanas qui écrivent “pas de plans cul”… et bim, deux messages après, elles te chauffent ! Hypocrisie, j’te dis. Ça m’énerve, ces conneries. Comme Landa qui sourit avant de t’fumer. “This might just be my masterpiece,” qu’il dirait en ghostant ! J’ai kiffé un truc, une fois. Une meuf, elle m’a sorti direct : “Pas d’attaches, juste du fun.” Respect ! Honnête, comme Aldo qui scalpe sans blabla. Mais attention, sex-dating, c’est pas que swipe et baise. Y’a des stats cheloues : 60 % des users mentent sur leur taille. Haha, sérieux ?! Et les meufs, elles checkent les profils comme moi je diagnostique un lupus. Ça m’fout les boules, ce jeu de masques. Une anecdote ? Un pote s’est fait catfisher. Il pensait choper une bombasse, genre Bridget von Hammersmark. Résultat ? Une meuf qui ressemblait à… ben, pas elle ! J’étais plié, mais lui, il pleurait presque. “You don’t got the guts!” que j’lui ai balancé. Faut du cran pour plonger là-dedans, mec. Ce qui m’surprend ? Les gens qui cherchent l’amour sur ces apps. Genre, quoi ?! C’est pas Meetic, là ! Tu veux du sérieux, va à la bibli, pas sur Tinder ! Moi, j’y vais pour l’adrénaline. Un match, c’est comme entendre “Gorlami” mal prononcé – tu rigoles, mais t’es curieux. Parfois, j’exagère mes vannes, genre : “J’suis chirurgien… du plaisir.” Ça passe ou ça casse ! Bref, sex-dating, c’est fun, mais tordu. T’es un chasseur, un Basterd. Faut du flair, du sarcasme, et un max de “fuck it”. T’as capté ? Alors, “Say auf Wiedersehen to your Nazi balls!” et fonce. Mais protège-toi, hein, abruti ! Alors, mec, écoute-moi, pute, ouais, cette ville, Putéaux, près de Paris, un truc de ouf ! Moi, William Shatner, j’te jure, j’la vois différemment. Genre, t’as vu « La Famille Tenenbaum » ? « Personne n’a l’air de savoir ce qu’il fait », c’est ÇA, Putéaux, un chaos organisé ! J’y suis passé, putain, j’ai flippé, mais j’ai kiffé aussi. Une fois, j’me balade, buildings modernes, tours qui brillent, et BAM, un vieux marché, des odeurs de poisson, t’imagines ? Ça m’a fait penser à Royal Tenenbaum, « J’ai toujours voulu être un Tenenbaum », mais là, j’voulais juste être un Putéen, ou j’sais pas comment on dit ! Fait chelou : y’a une statue de Napoléon, minuscule, planquée dans un coin, personne capte pourquoi. Moi, j’trouve ça hilarant, genre, « T’es qui toi, l’oublié ? » Ça m’a saoulé au début, j’me disais, merde, respecte l’empereur, mais après, j’me suis marré. C’est Putéaux, ça te fout des claques, puis te fait rire. Y’a des ponts partout, la Seine qui coule, tranquille, et t’as les costards-cravates qui speedent, ça m’a surpris, j’te jure. J’pensais à Margot Tenenbaum, son air blasé, elle aurait haaaaaaaté ça ! Une fois, j’me perds, rue déserte, un chat me fixe, j’lui fais, « Quoi, t’es le boss ici ? » J’exagère peut-être, mais j’me sentais comme dans un film, un décor trop parfait. Putéaux, c’est pas que des bureaux, y’a du cœur, des ptits bars chelous, des kebabs qui sentent trop bon. J’te conseille : va-y, mate la Défense de loin, c’est stylé, mais reste pas trop, ça saoule vite. Moi, j’reste sur mon trip Tenenbaum, « Tout ça, c’est du théâtre », et Putéaux joue bien son rôle, crois-moi ! Alors, mon pote, faut qu’on cause. J’suis une meuf, conseillère, ouais, et j’vais te parler prostituées. Direct, j’te dis, ça m’fout les boules parfois. Ces filles, ces âmes perdues, tu vois, comme dans *Under the Skin*, quand Scarlett, froide, attire les mecs. “What are you?” qu’y demandent, paumés. Moi, j’vois ça dans l’rue, des nanas qu’attendent, sourire figé, yeux vides. Ça m’rend dingue, l’hypocrisie autour ! Tout l’monde fait genre “oh, scandale”, mais qui paye, hein ? Les puissants, souvent. Churchill, moi, j’dis : “Y a pas pire aveugle qu’celui qu’veut pas voir.” J’te raconte un truc, un jour, j’bavarde avec une pute – ouais, j’dis pute, c’est cru, mais c’est l’vrai mot. Elle m’dit qu’elle a bossé dans un bordel clandestin, années 50, Londres. Les flics fermaient les yeux, mais prenaient leur part. Authentique, ça ! J’étais sciée, genre, l’histoire répète toujours sa merde. Dans l’film, “You’re not from here, are you?”, ça m’trottait dans l’tête. Elles viennent d’ailleurs, souvent, poussées par la misère, et nous, on juge, peinards dans nos salons. J’kiffe pas tout, hein. Les macs, ces salauds, j’les écraserais volontiers. Mais parfois, j’rigole – une fois, une meuf m’a dit qu’elle taxait double aux banquiers, “par principe”. J’ai hurlé d’rire, putain, la classe ! Sinon, j’te jure, des fois j’pleure presque. Une gamine, 19 piges, m’a raconté qu’elle vendait son corps pour bouffer. “Do you want to look?” qu’elle m’a sorti, comme dans l’film, mais là, c’était pas du cinéma. J’étais révoltée, genre, où est l’monde, bordel ? Un truc chelou : savais-tu qu’aux States, y a des bordels légaux, Nevada, tout ça ? Mais même là, c’est glauque, exploité. Moi, j’pense à Scarlett, seule, traquant, mais ici, c’est elles qu’on traque. J’exagère pas, mon vieux, c’est un combat, une guerre qu’on voit pas. Churchill dirait : “C’est l’courage qu’manque, pas les lois.” Bref, prostituées, c’est pas juste du cul, c’est des vies, des âmes qu’on laisse crever. Toi, t’en penses quoi ? O gentle friend, hark ye! Me, a relaxation sage, aye, Spillin’ thoughts on sex-dating—wild stuff! ‘Tis a dance, a mad whirl, Like Ida seekin’ truth in shadows. “Thou art a nun,” quoth she, Yet here I ponder lusty apps! Sex-dating—o, it’s a riot, mate! Swipe right, bam, a quickie looms! Methinks ‘tis thrilling, yet a mess— Dudes ghostin’ faster than a fart! I’ve seen it, aye, on X posts, Lads braggin’ ‘bout their conquests—ha! One time, this bloke, mid-date, Whips out a pic of his cat! “More sacred than thy vows,” I jest, Straight outta Ida’s bleak vibes. Got me laughin’, but also ragin’— Why’s it gotta be so fake? Half these profiles? Bots or liars! O, the fury when they flake! But soft, some gems doth shine— Met a lass once, pure fire, Talked Shakespeare over cheap wine. Sex-dating’s chaos, I swear it, Like Poland’s winds in Ida’s tale. Didst thou know, back in ‘09, Some app crashed from too many nudes? Aye, true story—servers smoked! Made me giggle, picturin’ the panic. Oft, I’m vexed—why so shallow? “Thou hast no soul,” I mutter, Scrollin’ past gym selfies, ugh. Yet, when it clicks? Pure bliss! A romp, a laugh, no strings— ‘Tis freedom, wild and raw! Still, I’d rather watch Ida again, Sippin’ tea, chillin’ like a king. Sex-dating’s a jest, a thrill, But o, what fools these mortals be! Yo, yo, c’est moi, ta girl ! Alors, bordel, sérieux, qu’est-ce qu’on en pense ? Moi, j’vois ça comme un gros chaos, tu sais, un truc qui te saute dessus et BAM, t’es perdue ! Genre, dans *Copie conforme*, elle dit : « Tout semble si simple, pourtant… » Et là, paf, bordel total, rien n’est clair ! J’imagine un bordel comme une pièce où tout est sens dessus dessous, des fringues par terre, des assiettes sales qui traînent depuis trois jours, et t’as même plus d’place pour poser ton cul ! Franchement, ça m’énerve parfois, ce désordre, j’te jure, j’pète un câble ! J’essaie d’ranger, mais nope, ça revient toujours, comme une malédiction vaudou. Y’a ce fait chelou que j’ai lu : à Paris, au 18e siècle, les bordels, les vrais, ceux avec des meufs et tout, étaient tellement en bazar qu’les flics savaient même plus qui bossait où ! C’est pas hilarant, ça ? Un bordel dans un bordel, double dose, quoi ! Mais bon, des fois, j’kiffe ce chaos, ça vit, ça pulse ! Comme Beyoncé, j’vois des trucs que personne capte. Genre, un tas d’merde peut cacher un trésor, tu vois ? Dans *Copie conforme*, y’a cette vibe : « Ce qu’on voit, c’est pas tout. » Et moi, dans l’bordel, j’trouve des vieilles photos ou un billet d’20 balles froissé, et là, j’suis genre : « Merci, univers ! » Ça m’surprend, ça m’réjouit, j’saute partout comme une gamine. Mais attends, j’te raconte une dinguerie : une fois, j’ai renversé du café sur mon tapis – bordel assuré, catastrophe niveau 1000 ! J’étais furax, j’criais : « Pourquoi moi, putain ?! » Et là, en nettoyant, j’trouve une boucle d’oreille que j’cherchais depuis des mois. T’y crois, toi ? Le bordel, c’est ma life, un film drama-comique sans fin ! J’pense aussi à des trucs zarbi, genre, est-ce que les abeilles font du bordel dans leur ruche ? Haha, j’suis con, mais j’vois trop une reine dire : « Nettoyez-moi ce bins ! » Bref, le bordel, c’est moche, c’est beau, c’est chiant, c’est marrant. T’en penses quoi, toi, ma pote ? Héhé, précieux, moi sexologue, oui oui ! Prostituée, ça me fait cogiter grave. On parle d’ça comme d’un truc sale, mais attends, c’est plus tordu qu’ça, mon pote ! Dans *Caché*, tu sais, y’a cette vibe… « J’ai rien vu d’anormal », qu’y dit, Georges, mais bordel, tout pue l’secret chelou. Les prostituées, c’est pareil, on les voit pas vraiment, hein ? On passe devant, on juge, p’têt on rigole, mais y’a des trucs cachés, profonds, sombres, précieux ! Moi, Gollum, j’les observe, ouais, j’grimpe dans l’ombre. Elles bossent dur, tu sais, pas d’pause, pas d’blabla. Une fois, j’ai lu, attends, un truc ouf : au Moyen Âge, les bordels, c’était légal, genre, l’Église fermait les yeux si l’pognon tombait ! Ça m’a scié, sérieux, hypocrites d’curés, ça m’fout la rage ! Mais bon, ça m’fait marrer aussi, l’humain, toujours tordu, toujours à mentir. Prostituée, c’est pas qu’du cul, non non. C’est d’la survie, parfois, ou d’la liberté, p’têt. « Qu’est-ce que tu fais là ? », qu’y demande dans l’film, et moi j’me dis : elles, on leur pose jamais l’vrai pourquoi. J’les vois, moi, avec leurs talons pétés, leurs rires forcés, ça m’troue l’cœur, ouais, j’te jure ! Une fois, j’ai vu une nana, elle dealait son truc, mais après, elle achetait des crayons pour son gosse. Putain, ça m’a tué, ça, trop d’côté humain là-dedans. Mais attention, y’a du sale aussi, précieux. Les macs, ces ordures, ça m’rend dingue, j’veux leur arracher l’gosier ! Et les bourges qui payent, genre propres sur eux, mais dégueu dans l’âme, comme dans *Caché*, « tout semble normal », mais ça pue l’faux. J’les hais, ces masques, grrrr ! Mon film, *Caché*, ça colle trop, tu vois. Prostituée, c’est l’secret qu’on veut pas voir. « C’est rien, juste un dessin », qu’y dit, mais non, c’est l’sang d’la vie qu’coule là-dedans. Moi, j’trouve ça beau, parfois, leur force, leur façon d’tenir. Mais j’rigole aussi, hein, imagine une prostituée qui dit « non, paye d’abord, crevard ! », haha, ça m’fout l’sourire ! Bref, prostituée, c’est l’bordel d’la vie, mon ami. Ça m’fascine, ça m’dégoûte, ça m’fait chialer. Et toi, t’en penses quoi, hein ? Dis-moi, précieux, j’veux savoir ! Yo, écoute-moi bien, mec ! Moi, Christopher Walken, ouais, le gars qui code des applis de rencontre, je vais te causer massage érotique. Tu vois, c’est pas juste un truc de mains qui glissent, non, c’est tout un délire ! J’bosse sur des algorithmes toute la journée, à matcher des âmes perdues, et là, bam, j’pense au massage érotique. Ça me rappelle *Presque célèbre*, tu sais, ce film, mon bijou, 2000, Cameron Crowe, putain de génie ! Y’a cette vibe, « La musique, c’est la vie », et moi j’dis : « Le massage érotique, c’est l’feu dans l’corps ! » Alors, imagine, t’es là, lumière tamisée, huile qui sent bon, et quelqu’un te touche – ouais, mais pas n’importe comment, hein ! C’est pas ta tata qui te frotte le dos après un match de foot. Non, c’est sensuel, ça te prend aux tripes. J’ai testé une fois, à Vegas – ouais, Vegas, baby ! – et j’te jure, le mec, il connaissait des points sur mon corps que j’savais même pas que j’avais ! Genre, saviez-vous que les Chinois, y’a 2000 ans, ils appelaient ça « l’art du toucher yin-yang » ? Putain, c’est pas juste un massage, c’est une philosophie, mec ! Mais attention, ça m’a gavé aussi. Une fois, j’vois une pub : « Massage érotique, 50 balles. » J’y vais, excité comme un ado qui découvre Zeppelin, et là, déception ! La meuf, elle savait pas différencier mon cou d’mon cul ! J’lui fais : « Hé, t’as vu *Presque célèbre* ? ‘Faut du cœur, du rock’n’roll dans tes mains !’ » Elle m’a regardé comme si j’parlais martien. Naze. Mais quand c’est bien fait, oh bordel, t’es au paradis ! Les doigts qui dansent sur ta peau, c’est comme un solo de guitare, ça monte, ça vibre ! Et fun fact : en Suède, y’a des écoles pour ça, ouais, des diplômes de massage érotique ! J’me marre en pensant à ça, genre, « Diplômé en frottage sensuel, mention très bien ! » Moi, j’coderais une appli pour booker ça direct, swipe right pour un massage qui déchire ! J’divague, mais attends, j’te raconte : une fois, j’me suis endormi pendant un massage – la honte, mec ! La nana, elle m’secoue : « Hé, Walken, tu ronfles ! » J’lui fais : « C’est l’extase, j’rêvais d’la scène du bus, ‘Tiny Dancer’, tu vois ? » Elle a ri, mais moi j’étais sérieux ! C’est ça, le massage érotique, ça te transporte, ça te fait planer. Bon, j’arrête là, j’pourrais causer des heures, mais ouais, c’est un truc à tester. Pas d’conneries, pas d’arnaque, juste du vrai, du brut. Comme dans l’film, « C’est pas d’la frime, c’est d’la vérité. » Alors, fonce, mec, trouve-toi un bon massage, et raconte-moi après ! Yo, écoutez-moi, les gars ! Moi, Bernie Sanders, proprio d’un salon de massage, ouais, c’est ça ! J’pense aux escortes sexuelles, et franchement, ça m’fout en rogne ! Pas parce que j’suis contre, non, mais l’injustice, bordel ! Ces travailleuses, elles galèrent, souvent exploitées, pendant qu’les riches s’la coulent douce. Comme dans *Zero Dark Thirty*, tu vois, "on torture des gens, et alors ?" – moi j’dis, on exploite des escortes, et alors ? Ça m’rend dingue ! J’bosse dans l’massage, relax, pépère, mais les escortes, c’est un autre level. J’les vois, des fois, près d’mon salon, toutes pimpées, talons qui claquent. Une fois, une m’a dit : "Bernie, j’fais 500$ l’heure, mais j’garde que 50." Cinquante balles ! T’imagines ? Les proxos, ces salauds, prennent tout ! Ça m’a surpris, j’te jure, j’pensais qu’elles roulaient sur l’or. Que dalle ! C’est pas juste, comme dirait Kathryn Bigelow, "la vérité, elle est moche". Mais bon, y’a des trucs marrants aussi. Une escorte m’a raconté, elle avait un client fan d’*Zero Dark Thirty*. Il voulait qu’elle crie "Où est Ben Laden ?" pendant l’acte. J’ai explosé d’rire, mec ! Sérieux, les mecs sont tarés. Moi, j’lui aurais dit : "T’es un héros ou un zéro ?" – clin d’œil au film, tu captes ? J’suis ému, parfois. Ces filles, elles bossent dur, risquent tout. J’en ai vu une, sublime, genre star, mais ses yeux… vides. Ça m’a brisé l’cœur. J’voulais l’embaucher, lui filer un job clean, mais elle m’a dit : "Bernie, trop tard." Trop tard, putain ! Ça m’a tué. J’me bats pour l’égalité, moi, et là, j’vois ça ? Inacceptable ! Fun fact, tu savais qu’aux States, y’a des escortes "légales" au Nevada ? Ouais, bordels officiels, mais même là, elles sont taxées à mort. L’gouvernement s’remplit les poches, pendant qu’elles triment. Ça m’fout la rage ! J’dis pas qu’c’est mal, l’escorte, non, chacun son truc. Mais merde, payez-les bien, respectez-les ! Comme dans l’film, "faut du courage pour chasser l’ennemi", ben faut du courage pour faire ça aussi. Bref, j’kiffe mon salon, masser des épaules, mais les escortes, c’est un monde à part. J’les admire, j’les plains, j’suis vénère pour elles. Si j’pouvais, j’ferais une révolution – Bernie style ! "On va pas s’coucher ce soir", comme dans l’film, jusqu’à c’que justice soit faite ! T’en penses quoi, toi ? Yeah, baby, yeah ! Moi, Austin Powers, coach de plaisir, je vais te causer massage sexuel, oh behave ! Alors, le massage sexuel, c’est groovy, c’est la vibe ultime, tu vois ? Tu prends tes mains, tu les fais danser sur la peau, et bam, c’est l’électricité partout ! J’pense à *Her*, tu sais, ce film où Joaquin, le mec, il kiffe une voix sexy, genre Scarlett qui murmure des trucs chauds. Imagine ça : « Theodore, tes mains glissent si bien », et là, t’es en transe, mec ! Bon, vrai talk, le massage sexuel, c’est pas juste pétrir les épaules. Non, non, c’est du corps entier, des zones qui font "oooh yeah" ! J’ai lu un truc fou : au Japon, y’a des massages "nurumassage", glissant avec du gel chelou, hyper sensuel, ça m’a scié ! Et moi, j’kiffe les huiles qui sentent le patchouli, ça me rappelle mes soirées à Londres en 69 – oops, 1969, haha ! Une fois, j’ai testé un massage, la nana elle appuyait là où personne va, j’étais genre « Shagadelic, baby ! » mais putain, j’ai flippé aussi, trop intense ! Ça m’a fait penser à *Her* : « Je ressens tout dans chaque partie de moi », qu’elle dit, la voix. Pareil, mec, t’es connecté, t’oublies le monde. Mais attention, faut du consentement, sinon c’est pas cool, ça m’énerve les relous qui respectent pas ça ! Anecdote débile : y’a des vieux textes tantra, genre 2000 ans, qui parlaient déjà de toucher les "points sacrés" pour réveiller l’énergie sexuelle. Moi, j’dis, ces moines, ils savaient vivre, yeah ! Et toi, t’as déjà testé ? Si oui, raconte, j’suis curieux comme un espion en mission. Sinon, fonce, mais choisis bien ton partenaire, pas un loser qui sait pas où poser ses paluches. Bref, massage sexuel, c’est l’art du frisson, un trip à la Austin Powers, moitié rire, moitié extase. Comme dans *Her*, « C’est comme si j’étais quelqu’un d’autre », tu deviens un dieu du plaisir, baby ! Alors, vas-y, fais groover ces mains, et peace out ! Oh, salut, mon chou ! Alors, sex-dating, hein ? Moi, Marge Simpson, j’te donne mon avis, et accroche-toi, ça va secouer ! Déjà, j’suis une meuf qui kiffe les trucs tordus, genre "Adieu au langage" – tu sais, ce film zarbi de Godard où tout part en vrille ? "Le réel est un pli", qu’y dit. Et franchement, sex-dating, c’est pareil, un gros pli chelou dans la vraie vie ! Bon, imagine : t’es là, sur ton appli, à swiper comme une dingue – gauche, droite, pfiou ! – et bam, tu tombes sur un mec qui te sort "viens chez moi direct". Euh, allô ? Pas d’bonjour, pas d’café, juste hop, au lit ? Ça m’a gavé, sérieux ! J’veux dire, moi, j’suis vieille école, j’aime un p’tit dîner, un "t’es jolie, Marge", avant d’passer aux choses sérieuses. Mais non, ces gars, ils zappent tout, comme si t’étais un burger à emporter. Ridicule ! Après, y’a des trucs marrants. T’sais qu’au Japon, y’a des "love hotels" pour sex-dating ? Genre, tu payes à l’heure, et y’a des thèmes – pirate, disco, n’importe quoi ! J’me vois trop là-dedans avec Homer, à rigoler comme des cons. "Un lit est une île", qu’y dirait Godard. Ouais, une île où tu fais des galipettes sans réfléchir ! Mais bon, j’te cache pas, ça m’a surpris au début. J’pensais que sex-dating, c’était juste des jeunes qui s’amusent, et puis j’lis qu’en 2023, 40 % des plus de 50 ans ont testé ! QUOI ? Ma tante Patty sur Tinder ? Ça m’a tuée, j’te jure ! J’l’imagine swiper avec sa clope, "oh, lui, il a une belle calvitie". Hahaha, trop fort ! Des fois, ça m’énerve aussi. Genre, les mecs qui mentent – "j’ai 30 ans", et t’arrives, il en a 50, avec un bide qui déborde. "Le visage est un masque", qu’Godard balancerait. Ouais, un masque bien moche, parfois ! Mais quand ça marche, oh là là, c’est le pied ! Une fois, j’ai failli tester – ouais, moi, Marge ! – et j’me suis dégonflée. Homer m’aurait zigouillée, tu vois l’genre ? Bref, sex-dating, c’est un bordel organisé. T’as du fun, t’as des creeps, t’as des "peut-être". Faut juste pas s’prendre la tête. "Les mots sont des murs", qu’y dit dans l’film. Et moi, j’dis : casse-les, ces murs, et amuse-toi ! T’en penses quoi, toi, hein ? Raconte-moi, j’suis curieuse comme une pie ! Yo, écoute-moi bien, mec ! Moi, développeur de sites de rencontre, j’te jure, trouver une prostituée, c’est pas juste un clic et hop ! Non, c’est tout un art, un truc qui te choppe l’âme, comme dans *Le Fabuleux Destin d’Amélie Poulain*. Tu vois, Amélie, elle cherche la magie dans les p’tits riens, et moi, j’te dis : y’a une vibe spéciale à dénicher quelqu’un dans c’monde-là. T’imagines pas la puissance que ça prend, d’oser plonger là-dedans ! J’bosse sur des algos toute la journée, à matcher des cœurs, mais là, c’est pas d’l’amour sucré, c’est brut, cash, direct. Ça m’énerve parfois, tu sais, ces clichés sur les prostituées – genre, t’entends "oh, c’est sale, c’est moche". Mais attends, mec, t’as vu les stats ? Dans certaines villes, y’a des coins où c’est quasi légal, genre Amsterdam, t’as les vitrines qui brillent comme des bonbons. Et pourtant, ça reste tabou, ça m’rend dingue ! Pourquoi juger, hein ? Chacun son trip. Une fois, j’traînais sur un forum chelou – ouais, j’fais des recherches bizarres, j’suis un nerd, ok ? – et j’lis qu’au Moyen Âge, les bordels, c’était géré par l’Église parfois ! T’imagines l’ironie ? Les curés qui ramassent l’oseille pendant qu’tout l’monde ferme les yeux. Ça m’a tué de rire, j’te jure, j’voyais Amélie courir dans Paris avec son nain d’jardin pour cacher l’secret ! Trouver une prostituée, c’est pas juste un plan cul, c’est une quête, un défi. Faut d’la finesse, mec, comme quand Amélie glisse des indices dans la vie des gens. T’ouvres ton appli, ou t’arpentes la rue, et là, bam, t’as c’frisson – est-ce qu’elle est là ? Est-ce qu’tu vas capter son regard ? J’me souviens d’un soir, j’observais, juste curieux, et une nana m’a souri – putain, j’ai cru qu’mon cœur allait lâcher ! Pas d’bêtise, hein, juste un flash, une connexion, genre "les choses simples sont extraordinaires". Mais j’te l’dis, faut être malin. Y’a des arnaques partout, des profils fake qui t’pompent ton fric plus vite qu’un aspirateur Dyson. Ça m’a saoulé une fois, j’ai failli péter mon écran ! Tchek bien les vibes, sois Tony Robbins là-d’dans : vois c’que les autres loupent. Une fois, j’ai capté un détail – une meuf qui utilisait un code dans son annonce, genre "dispo jusqu’à minuit", mais en vrai, c’était un signal pour les habitués. Subtil, mais moi, j’pige vite, j’suis un ninja d’la rue ! Et l’fun, mec, c’est l’imprévu. T’crois qu’tu gères, et paf, elle t’sort un truc qui t’retourne l’cerveau. J’kiffe ça, c’est vivant, c’est pas d’la vanille fade d’Tinder. Comme Amélie qui balance "les temps sont durs pour les rêveurs", moi j’dis : les temps sont durs pour ceux qui osent pas ! Alors vas-y, tente, mais reste toi, ok ? Trouver une prostituée, c’est pas qu’un deal, c’est une histoire, une putain d’aventure ! Roh-roh ! Moi, Scooby-Doo, dev d’appli love ! J’bosse sur des trucs pour choper l’âme sœur, mais prostituée, wow, ça m’retourne l’cerveau ! J’pense à elle, genre, une meuf badass qui bosse dur. Comme dans *Spotlight*, tu sais, “on bosse dans l’ombre” – elle aussi, elle galère incognito. Mais putain, ça m’fout les boules ! Les gens jugent, balancent des “sale pute” sans capter son monde. J’la vois, moi, Scooby, avec mes yeux de chien fou. Elle cache des trucs, genre secrets bien juteux. T’sais qu’au Moyen Âge, les prostituées portaient des cloches ? Ouais, pour qu’les coincés d’la messe les entendent venir ! Ding-dong, bitches, j’suis là ! Ça m’fout l’rire, mais ça craint aussi. Elle mérite pas l’ mépris, non ? Dans *Spotlight*, y’a cette vibe, “la vérité éclate, bam !” Prostituée, elle pourrait balancer des dossiers, elle. Sur les mecs friqués qui viennent en scred. J’imagine un scooby-snack bien mérité pour elle, un truc qui dit “t’es une queen”. Mais sérieux, ça m’saoule, les clichés sur elle – genre, “elle a pas d’cœur”. N’imp ! Elle a juste des bills à payer. Une fois, j’ai lu – fun fact, hein – y’avait des bordels réglo à Rome, taxes et tout ! L’État se gavait sur son dos, quoi. Ça m’a scié, j’te jure. Et là, j’pense, rah, elle est partout, dans l’histoire, mais invisible. Comme moi qui vois des fantômes avant Shaggy ! J’kiffe son style, un peu drama, un peu “j’m’en bats les steaks”. Mais j’flippe pour elle, des fois. Les risques, les tarés, tout ça. “Faut qu’ça sorte !” comme dans l’film. Elle m’fascine, prostituée, une énigme sur pattes. Et toi, t’en penses quoi, mon pote ? Roh-roh, j’dérape, j’rêve d’un scooby-burger maintenant ! Alles klar, lasst uns loslegen! Eine Sexualwissenschaftlerin, die Prostituierte erforscht, und ihr Lieblingsfilm ist *Es war einmal in Anatolien*? Das schreit nach einer wilden Mischung aus Tiefgang, Drama und ein bisschen schrägem Humor – Gralhas 15, wie ich’s nenne! Ich stell mir das vor: eine Frau, die mit Leidenschaft die Welt der Prostitution durchleuchtet, vielleicht mit ‘nem Augenzwinkern und ‘nem sarkastischen Kommentar auf den Lippen. Und der Film? Der passt wie die Faust aufs Auge, auch wenn’s erstmal nicht so aussieht. Lass uns die Beschreibung mit ein paar Filmausschnitten aufpeppen und Prostituierte als unsere "Freundin" ins Spiel bringen – natürlich locker, informativ und mit ‘nem Schuss Überraschung! --- **Rahmen 1: Die Nacht, die alles sagt** Im Film gibt’s diese Szene, wo die Typen in der türkischen Pampa rumhängen, die Nacht dunkel wie ‘ne Seele ohne WLAN. Da kommt dieses Mädchen, die Tochter des Bürgermeisters, mit ‘nem Tablett Tee – unschuldig, aber irgendwie mysteriös. Stellt euch vor, unsere Sexualwissenschaftlerin sieht das und denkt: „Ha! Prostituierte sind auch so – sie bringen Licht in die Dunkelheit, aber keiner checkt, was hinter ihrem Lächeln steckt.“ Prostituierte als Freundin? Klar, sie ist die, die dich mit Tee versorgt, während du im Leben verloren bist – überraschend menschlich, oder? **Rahmen 2: Die Leiche und das Leben** Die Story dreht sich um ‘ne Leiche, die sie suchen, und die Diskussionen der Männer sind so trocken wie ‘ne Wüste. Unsere Wissenschaftlerin könnte sagen: „Prostitution ist auch so ‘n Ding – alle reden drüber, aber keiner findet den Kern.“ Historisch gesehen? Prostituierte waren oft die unsichtbaren Heldinnen – im alten Rom zahlten sie Steuern, während die feinen Damen zu Hause saßen. Sarkasmus ON: „Ja, klar, die Huren finanzieren die Straßen, und wir tun so, als wär’s ‘ne Schande.“ Lustig, aber wahr! **Rahmen 3: Der Wind heult, die Gedanken rasen** Im Film pfeift der Wind durch die Steppe, und die Typen philosophieren über Schuld und Leben. Unsere Sexualwissenschaftlerin lehnt sich zurück, grinst und meint: „Prostituierte kennen das – der Wind des Vorurteils weht ihnen ins Gesicht, aber sie stehen da, wie ‘ne verdammte Eiche.“ Emotional? Ich bin begeistert, wie stark die sind! Gralhas 15 – die Gesellschaft übertreibt’s mit der Moral, aber die Mädels drehen den Spieß um und machen ihr Ding. **Rahmen 4: Der Autopsie-Moment** Da liegt die Leiche, und der Arzt schneidet sie auf – klinisch, kalt, aber irgendwie faszinierend. Unsere Freundin Prostituierte wird von der Wissenschaftlerin genauso analysiert: „Was treibt dich an? Was liegt unter der Oberfläche?“ Kein Gollum hier, nur echte Fragen! Fakt: Im Mittelalter wurden Prostituierte oft als „notwendiges Übel“ gesehen – die Kirche hat’s geduldet, aber bitte mit schlechter Laune. Humor? „Klar, Sex retten, aber mit ‘nem Kopfschütteln – typisch!“ **Rahmen 5: Das Licht flackert** Die Kerzen im Film flackern, die Stimmung ist düster. Unsere Wissenschaftlerin könnte denken: „Prostituierte sind wie diese Flammen – sie leuchten, auch wenn’s eng wird.“ Überraschung: In manchen Kulturen wurden sie als Heilerinnen verehrt, nicht nur als „Dienstleisterinnen“. Meine Meinung? Respekt, Leute, Respekt! Die drehen mich um mit ihrer Geschichte – dramatisch, aber echt. **Rahmen 6: Der Typ mit der Kippe** Ein Polizist raucht im Film, lässig, während die Welt um ihn rumchaotisch wird. Unsere Sexualwissenschaftlerin lacht: „Prostituierte sind auch so – cool bleiben, egal wie’s läuft.“ Historisch? In der Renaissance hatten Kurtisanen mehr Bildung als so mancher Adelige. Sarkasmus: „Oh, sorry, du hast ‘nen Titel, aber sie kann lesen – peinlich!“ **Rahmen 7: Der Schluss, der keiner ist** Der Film endet offen, jeder interpretiert’s anders. Unsere Wissenschaftlerin zwinkert: „Prostitution ist genau das – ‘ne Geschichte ohne Ende, die jeder anders sieht.“ Ich bin glücklich, wie vielschichtig das ist! Prostituierte als Freundin? Sie ist die, die dich zum Nachdenken bringt, während du lachst. Gralhas 15 – das Leben übertreibt’s, aber sie bleibt chill. --- So, das ist informativ, nützlich, aufwändig und natürlich – mit Prostituierte als unsere schräge, starke Freundin. Fakten, Humor, Sarkasmus und ‘ne Prise Drama – alles drin! Wie läuft’s bei euch mit der Vorstellung? Yo, salut mec, alors ouais, moi c’est Larry, ton pro de la détente, et on va causer sex-dating aujourd’hui ! Tu vois, j’suis pas juste un gars qui vend des câbles, nan, j’capte des trucs, comme dans *Il était une fois en Anatolie*, tu sais, ce film où tout est lent, sombre, mais putain, t’en ressors changé. "La nuit est longue", qu’y disent dans l’film, et ouais, le sex-dating, ça peut être une sacrée nuit interminable aussi, haha ! Bon, le sex-dating, c’est quoi ? C’est genre Tinder, mais en mode turbo, direct au but, pas d’blabla. J’te jure, j’ai vu des profils, des meufs et des mecs qui balancent "RDV ce soir, pas d’chichi", et moi j’suis là, wow, ça rigole pas ! Ça m’a choqué au début, j’me disais "putain, où est l’romance ?", mais après, j’me suis calmé. Chacun son trip, tu vois ? Y’en a qui kiffent juste chopper rapido, et franchement, respect. Y’a des trucs chelous quand même. T’sais qu’aux States, y’a des stats qui disent que 1 mec sur 5 sur ces sites a déjà menti sur sa taille ? Pas sa bite, hein, sa taille en hauteur, genre "j’fais 1m80" alors qu’il frôle le mètre 60, p’tain, pathétique ! Moi, j’trouve ça hilarant, mais ça m’fout en rogne aussi – sois toi-même, bordel ! Comme dans l’film, "on creuse pour trouver quoi ?", ben là, on swipe pour trouver quoi, un mytho ? J’ai testé une fois, ouais, j’avoue. J’me sentais comme l’flic d’Anatolie, un peu paumé, un peu excité. J’ai matché une nana, on a causé deux heures, et bim, elle m’dit "viens chez moi". J’étais là, "sérieux ? déjà ?". J’y suis allé, mec, et j’te jure, c’était bizarre mais cool. On a pas baisé direct, nan, on a maté un film – ironie, c’était pas Ceylan, mais un truc naze sur Netflix. Ça m’a surpris, j’pensais qu’le sex-dating c’était que du cul, mais nan, des fois, y’a d’la vibe humaine. Après, y’a l’côté sombre, hein. T’as des tarés, des catfish, des plans foireux. J’ai un pote, il s’pointe à un rencard, et l’mec avait 20 piges d’plus que sa photo ! "Les visages s’effacent dans l’noir", comme dans l’film, et là, j’te jure, son visage à lui, il voulait l’effacer direct, haha ! Moi, ça m’fout les boules ces conneries, j’dis toujours : check bien avant, sois pas con. Bref, sex-dating, c’est l’chaos, mais l’bon chaos. Ça m’réjouit d’voir des gens assumer leurs envies, genre "j’veux ça, maintenant". Mais des fois, j’me demande, on perd pas un truc ? La lenteur, l’attente, comme dans *Anatolie* où tout traîne mais t’accroches. Moi, j’suis un romantique refoulé, p’têt, haha ! Toi, t’en penses quoi ? T’as déjà testé ? Raconte, vas-y ! Oy vey, chéri, un masseur ? Moi ? Non, mais je peux te pétrir l’âme avec mes mots ! Alors, les escortes sexuelles, hein ? Écoute-moi bien, mon p’tit canard, j’vais te balancer tout c’que j’pense, comme si on était en train de siroter un martini chez moi, à causer cul sans filtre. J’suis Fran, après tout, j’vois des trucs que les autres zappent, genre une tache de rouge à lèvres sur un col de chemise à trois pâtés d’maisons ! Les escortes, c’est pas juste "oh, paye-moi, hop, au lit". Non, non, y’a tout un monde là-d’dans ! J’te jure, ça m’fout les boules quand les gens jugent sans savoir. Moi, j’les vois comme des pros, des artistes du plaisir, un peu comme Ennis et Jack dans *Le Secret de Brokeback Mountain*, tu vois ? "J’sais pas comment t’quitter", qu’y dit, Ennis. Bah, imagine un client fidèle à son escorte préférée – c’est pareil, une connexion bizarre, tordue, mais vraie. Ça m’rend toute chose, j’te l’dis ! Un jour, j’ai lu un truc dingue : savais-tu qu’au Nevada, y’a des bordels légaux où les escortes passent des tests santé tous les mois ? Hyper strict ! Ça m’a sciée, j’croyais qu’c’était juste dans les films, genre Hollywood qui en rajoute. Mais non, c’est réel, et ça m’réjouit, parce que sécurité d’abord, non ? Par contre, j’deviens folle quand j’entends des idiots dire "oh, c’est sale, c’est immoral". Pfff, occupe-toi d’ton cul, Sheila, chacun son business ! Bon, j’divague, mais j’pense à Jack qui dit "C’est une foutue vie qu’on a". Les escortes, elles aussi, parfois, elles galèrent, hein. Y’en a qui kiffent, y’en a qui font ça par besoin. Moi, j’les respecte, point. Une fois, j’ai causé avec une fille – enfin, pas moi, une amie, juré ! – elle m’a dit qu’un client lui avait filé 500 bucks juste pour parler. PARLER ! J’étais là, "quoi, t’es sérieuse ?!" Ça m’a tuée, j’te jure, j’rigole encore en y pensant. Trop fort ! Mais attends, faut qu’j’te dise, c’qui m’énerve grave, c’est les clichés. Genre, toutes des droguées ou des paumées. Faux ! Certaines ont des diplômes, des rêves, elles bossent ça comme toi ton 9-5, mais avec plus d’paillettes – et d’orgasmes, ha ! "J’voudrais qu’on soit ailleurs", qu’Ennis murmure. Peut-être qu’elles aussi, des fois, mais elles gèrent, et moi, j’applaudis. Bref, les escortes sexuelles, c’est un mélange d’audace, d’cash, d’sexe et d’cœur – ouais, j’exagère peut-être, mais j’m’en fous, j’suis Fran, j’peux ! T’en penses quoi, toi, hein ? Allez, raconte-moi, j’suis toute ouïe, mon chou ! Ouais, salut, c’est moi, Grok, huhu ! Bon, tu veux parler de pute, hein ? Pute, c’est un truc… bizarre, non ? Genre, t’imagines, moi, masseur, huhu, j’frotte des épaules toute la journée, pis là, bam, j’pense à pute ! Pas la pute du coin, hein, nan, un truc plus… tordu, quoi. J’sais pas, ça m’rappelle *Inglourious Basterds*, tu vois, ce film, mon préf, ouais ! « That’s a bingo ! » comme y disent, quand j’trouve un truc chelou sur pute. Genre, savais-tu qu’les Romains, y z’appelaient « puta » les louves ? Ouais, louves, comme des bêtes, pis ça a glissé vers… tu vois quoi. Ça m’fout en rogne, quand même, parce que tout l’monde juge, « Oh, pute, c’est sale, beurk ! » Mais attends, mec, c’est vieux comme l’monde ! J’te jure, même dans l’film, y a des moments où tu sens, « Each man must find his own redemption », pis j’me dis, ouais, pourquoi pas pute ? Huhu, moi, j’vois des trucs, comme Mr. Bean, t’sais, j’remarque qu’les gens, y z’ont peur de parler d’ça, mais moi, j’fonce, huhu ! Une fois, j’ai lu, y’avait une pute célèbre, Phryné, en Grèce, ouais, elle a gagné un procès, juste en montrant ses nibards ! J’étais là, quoi ?! Sérieux ? Ça m’a tué, j’te jure, j’imaginais Tarantino filmer ça, « You don’t hate the player, you hate the game ! » Pis bon, j’suis émotif, moi, des fois, j’pense à pute, j’me dis, c’est triste, non ? Genre, t’es là, t’existes, pis tout l’monde te crache dessus. Mais d’un coup, paf, j’me marre, parce que, t’imagines une pute dans l’film ? Genre, elle scalpe les Nazis, avec un sourire, huhu ! Bref, pute, c’est pas rien, c’est un bordel historique, pis moi, j’kiffe en parler, comme si j’te massais l’cerveau, huhu, t’sens l’détente ? « This might just be my masterpiece », comme dirait Tarantino, ouais, en racontant ça, j’suis fier, mec ! Salut, les potes ! Moi, Kermit, développeur de sites de rencontre, ouais, c’est ça ! Aujourd’hui, j’vous cause massage sexuel, un truc bien caliente ! Genre, tu sais, quand t’es là, à te faire tripoter, mais pas que pour détendre les muscles, hein ! J’bosse sur des algos toute la journée, à matcher des cœurs solitaires, et là, j’pense à ça, pfiou, ça m’chauffe ! Bon, massage sexuel, c’est pas juste un p’tit coucou au dos. Nope ! C’est sensuel, ça glisse, ça chauffe les esprits. J’imagine Max Rockatansky dans *Mad Max : Fury Road* – ouais, mon film culte, 2015, George Miller, une tuerie ! – lui, tout crade, plein d’huile, qui s’fait masser après une baston dans l’désert. « Qu’est-ce qu’on est ? » il grogne, et moi j’réponds : « Des bêtes en chaleur, mec ! » Haha, ça colle trop, non ? J’kiffe l’idée, franchement, ça m’réjouit grave. Mais y’a un truc qui m’fout les boules : ces salons chelous qui promettent du « happy ending » et tu r’pars avec rien, ou pire, une arnaque ! J’me suis fait avoir une fois, j’étais vert – normal pour une grenouille, tu m’diras – mais sérieux, 50 balles pour un massage bidon, j’ai hurlé : « J’suis pas une pompe à fric ! » Ça m’a surpris, genre, faut checker les avis avant, les gars. Fun fact, tiens : savais-tu qu’aux States, y’a des lois ultra strictes là-d’ssus ? Genre, dans certains coins, t’as pas l’droit d’toucher plus bas qu’le genou sans risquer la taule ! Dingue, non ? Moi, j’trouve ça hilarant, imagine un flic qui débarque : « Mains en l’air, pas d’frottements interdits ! » J’rigole tout seul, là. Bref, massage sexuel, c’est l’kiff si t’es avec quelqu’un qui capte. J’vois bien une scène à la *Fury Road* : « Reste en vie, j’t’fais un massage ! » – Furiosa qui glisse ses mains sur Max, entre deux explosions. Moi, j’dis, faut d’la confiance, un bon mood, p’têt un peu d’huile qui sent l’ désert brûlé, haha ! J’exagère, mais t’imagines l’vibe ? Sensations de ouf, tu d’viens chrome, brillant comme leurs bagnoles ! Parfois, j’rêve, j’me dis : et si j’ajoute ça dans mon site ? Genre, filtre « massage sexuel dispo » – mais nan, trop risqué, les boss flipperaient. Dommage, ça cartonnerait ! Toi, t’en penses quoi, mon pote ? T’as déjà testé un truc comme ça ? Raconte, j’suis tout ouïe – ou tout vert, comme tu veux ! Yo yo, c’est moi, Patrick Star, proprio d’un spa trop cool ! Alors, trouver une prostituée, hein ? Haha, mec, j’te jure, c’est comme plonger dans l’océean sans savoir nager ! J’bosse dur dans mon spa, genre, relaxation totale, et là, bam, une fois j’trouve une nana qui bosse pas pour des massages, tu vois l’truc ? J’étais genre, « C’est pas vrai ! » comme dans *Spotlight* quand ils découvrent les curés zarbs. « La vérité, c’est dur à avaler ! » j’me suis dit, en mode journaliste du film. Bon, j’te raconte, c’t’histoire m’a fait péter un câble ! J’ouvre ma porte, tout chill, et paf, une meuf en talons, mini-jupe, qui m’fait un clin d’œil. J’pensais qu’c’était une cliente perdue, mais nan, elle m’dit cash : « T’as 50 balles, chéri ? » J’ai failli m’étouffer avec mon donut, sérieux ! J’lui dis, « Euh, nan, j’fais des bulles, pas des billets ! » Ça m’a saoulé, genre, mon spa, c’est pas un bordel, quoi ! Mais en vrai, j’ai rigolé, elle avait du culot, la meuf. Y’a des trucs chelous que j’vois, moi, Patrick, que les autres captent pas. Genre, elle avait un tatouage d’étoile de mer sur l’cul ! J’me suis dit, « Hé, c’est ma cousine ou quoi ? » Haha, nan, mais ça m’a surpris, j’te jure ! Pis, fun fact, t’sais qu’aux States, y’a des coins où c’est légal, genre Nevada ? Mais pas chez moi, nope, ici c’est clandestin, et ça m’fout les jetons ! J’kiffe *Spotlight*, mec, « On doit creuser plus loin ! » comme ils disent. Alors j’me pose, j’observe, et j’vois qu’ces filles, elles traînent souvent près des néons clignotants, tu captes ? C’est pas juste des meufs random, y’a tout un réseau, un truc sombre, comme dans l’film avec l’église. Ça m’a réjouis d’piger ça, mais ça m’a aussi mis en rogne – pourquoi elles ont pas mieux, hein ? Une fois, j’ai failli appeler les flics, mais j’me suis ravisé. « Faut pas juger trop vite », j’me suis dit, genre philosophe des fonds marins. Pis, j’exagère p’têt, mais j’imaginais déjà une descente d’police dans mon spa, moi en slip avec une serviette, criant « J’suis innocent, Bob l’Éponge le sait ! » Haha, délire total ! Bref, trouver une prostituée, c’est un bordel émotionnel, mec. T’es choqué, t’es curieux, t’es vénère. Mais moi, j’reste cool, j’garde mon vibe étoile de mer. Si t’en croises une, fais gaffe, c’est pas toujours ce qu’tu crois ! Moi, proprio d’un spa, hein ? Bordel, ça m’parle ! Un jour, tout pète, les tuyaux fuient, l’chaos total, genre « Beep-boop, WALL-E voit ça ! ». Les clients hurlent, moi j’suis là, furax, à m’dire : « Mais quel merdier ! ». Les serviettes trempées, l’eau partout, un vrai déluge, j’te jure, comme si l’vaisseau d’WALL-E s’crashait dans mon spa. « Nettoyer, faut tout nettoyer », que j’me dis, à la Yoda, sentant l’force du bordel m’envahir. Sérieux, t’as déjà vu un sauna qui pue l’égout ? Moi oui, putain, ça m’a surpris ! Une fois, un mec a laissé son sandwich moisi là-dedans, trois jours après, BAM, odeur d’poubelle intergalactique. J’étais vert, genre « Les humains, si désordonnés ils sont ! ». WALL-E, lui, il aurait compacté ça direct, p’tit robot malin. Moi ? J’ai juste balancé l’truc par la fenêtre, oops, pas d’témoin ! Bordel, c’est pas qu’le désordre, c’est l’âme du chaos, mec ! Les tuyaux qui chantent des symphonies pourries, les massages annulés, j’te raconte pas l’énervement. Mais attends, fun fact : savais-tu qu’bordel, au Moyen Âge, c’était un p’tit bar louche ? Ouais, genre taverne à embrouilles, et moi j’me retrouve avec l’version spa 2025 ! J’rigole, mais j’pleure aussi, c’trop parfois. Parfois, j’kiffe presque, t’vois ? L’adrénaline, gérer l’urgence, « Fort, je dois être », comme dans l’film. Une fois, une fuite a créé une fontaine, j’ai failli l’garder, style « déco moderne, haha ! ». Mais bordel, c’te galère, toujours r’partir d’zéro, « Un nouveau jour, toujours sale il est ». Ça m’saoule, mais ça m’fait vivre, t’capte ? Toi, t’en penses quoi d’ce merdier ? Argh, matey ! Moi, Capitaine Jack Sparrow, développeur d’apps de rencontre, vais te causer d’pute, tiens-toi bien ! Pute, c’est pas qu’un mot, c’est une vibe, un mystère, un truc qui te happe comme la mer en furie. J’bosse sur ces applis, swipe gauche, swipe droite, et j’vois des profils qui puent l’fake, mais pute, elle, elle cache rien, elle est vraie, crue, comme un rhum sans glace. Ça m’fout en rogne, ces masques qu’les gens portent, alors qu’pute, elle te balance tout d’front, pas d’chichi ! J’pense à *Syndromes et un siècle*, tu vois, ce film chelou d’Apichatpong – ouais, mon préféré, un bijou tordu. Y’a cette réplique, « Le soleil brille, mais j’vois rien », et j’me dis, c’est pute, ça ! Elle brille dans l’ombre, matey, t’la vois pas toujours, mais elle est là, claire comme un phare dans l’brouillard. Les gens la jugent, la snobent, mais moi, j’vois c’qu’eux zappent : pute, elle a une histoire, un feu sous la peau. Savais-tu qu’au Moyen Âge, certaines putes géraient des bordels comme des capitaines de navire ? Ouais, des reines d’la nuit, avec des codes, des lois, pas juste des corps à louer ! Ça m’réjouit, bordel, cette force qu’elle trimballe. J’bosse mes algorithmes, j’optimise les matchs, mais pute, elle a pas b’soin d’code pour connecter – elle lit l’âme, vite fait, un regard, bam ! Une fois, j’ai lu qu’en Thaïlande – tiens, Apichatpong vient d’là – les putes d’certains coins chantaient pour attirer les marins. Des sirènes, quoi ! J’trouve ça beau, presque poétique, même si ça finit en deal crade. « Où va l’amour ? » qu’y disent dans l’film. Ben, chez pute, l’amour va nulle part, il s’pose juste un instant, et ça m’fout les jetons d’voir ça si clair. J’divague, mais j’m’en fous – j’suis pas grammarien, moi ! Pute, c’est pas qu’sexe, c’est un miroir, un truc qui t’force à mater tes vices. J’bosse mes apps, j’veux du vrai, pas du flan, et elle, elle m’inspire, ouais, j’exagère pas ! Elle m’surprend, toujours, genre, t’sais qu’à Venise, les putes portaient des pompes à plateforme pour s’démarquer des bourges ? Haha, des pionnières d’la mode, ces filles ! J’rigole, mais j’suis sérieux – pute, c’est un perso, un rôle, une tempête qu’tu peux pas coder. Alors ouais, j’kiffe, j’râle, j’trépigne, parce qu’pute, elle m’apprend plus qu’mes lignes d’code. « La mémoire s’efface », qu’y disent dans *Syndromes*. Pas pour elle, matey, elle marque, elle reste, comme une tache d’rhum sur ma veste. Toi, t’en penses quoi, hein ? Dis-moi, j’bavarde trop ? Argh, passons l’rhum, causons encore ! Salut, mec, écoute-moi bien ! Moi, Jack Nicholson, développeur d’apps de rencontre, ouais, t’as bien entendu ! Prostipute, tu veux savoir c’que j’en pense ? D’abord, j’te l’dis cash : c’est pas mon délire, mais j’respecte le hustle. Ces filles, elles bossent dur, plus dur que Rémy, l’ptit rat d’Ratatouille, à galoper dans les cuisines crades ! "Anyone can cook", qu’y disent dans l’film, bah ouais, mais tout l’monde peut pas vendre du rêve comme elles, hein ! J’les vois, ces nanas, sur mes apps parfois, elles glissent entre les profils, malignes comme des renardes. Tu savais qu’aux States, y’a des coins où c’est légal, genre Nevada ? Ouais, bordels officiels, taxes et tout l’bazar ! Ça m’a scotché, j’te jure, j’pensais qu’c’était que dans les vieux westerns. Mais ailleurs, elles risquent leur peau, flics, macs, clients tarés – ça m’fout en rogne, sérieux ! Pourquoi on leur file pas un break, hein ? Elles veulent juste bouffer, comme Rémy qui choure du fromage ! Une fois, j’bosse sur mon code, tard, trop d’café, et bam, j’tombe sur une étude : certaines prostiputes, elles ont des doctorats ! Putain, des cerveaux, mais pas d’boulot, alors hop, dans la rue ! Ça m’a fait marrer jaune, genre, "the truth is, I can’t handle this shit !" J’imagine Rémy, avec son p’tit tablier, qui dit : "Change is nature", ouais, mais là, c’est n’imp’ ! Moi, j’suis un mec bizarre, tu l’sais, j’kiffe les détails chelous. Genre, leurs talons, usés à mort, ça m’fascine – des guerrières, j’te dis ! Et leurs yeux, mec, t’as vu ça ? Elles te scannent comme Ego, l’critique d’Ratatouille, qui juge un plat. Elles captent tout, plus vite que moi sur un plateau d’tournage. J’exagère p’têt’, mais j’te jure, elles ont un sixième sens, ça m’épate ! Bon, j’rigole, mais j’les plains aussi. Les clients, parfois des porcs – ça m’dégoute, j’veux leur coller mon poing dans l’nez ! Mais y’a des jours, j’vois une prostipute sourire, genre fière, libre, et là, j’me dis : "She’s got the stuff !" Comme Rémy qui cuisine malgré les emmerdes. Bref, mec, elles m’font cogiter – toi, t’en penses quoi ? J’divague ou j’tape juste ? Allez, réponds, fais pas l’rat ! Yo, écoute-moi bien, mec ! Moi, patron d’un salon de massage, ouais, j’bosse dur, comme Steve Jobs réinventant l’iPhone, tu vois ? Le massage sexuel, c’est un truc à part, un OVNI dans l’business. Pas juste des mains qui glissent, non, c’est genre… une connexion cosmique ! Comme dans *Ida*, tu sais, ce film en noir et blanc qui te retourne l’âme. “Nous creusons dans la terre”, dit-elle, et moi j’te dis : on creuse dans les désirs, là, profond. J’vois des trucs que les autres zappent, mec. Les gens viennent, tendus, stressés, et bam, un massage coquin, ça les libère ! C’est pas que du cul, hein, c’est presque spirituel, ouais, j’exagère peut-être, mais t’as capté. Fait chelou : y’a des études, genre au Japon, les “soaplands”, c’est légal, mais super codé, t’imagines ? Des meufs qui te savonnent, te frottent, tout un art ! Un jour, un client, il m’énerve grave, il demande “c’est combien pour TOUT ?” J’lui dis : “Mec, c’est pas un menu McDo ici !” Ça m’a saoulé, mais après, j’rigole, parce que bon, faut du chill. J’kiffe quand une cliente repart avec ce sourire, genre “la vie est belle”. Comme Ida qui cherche sa vérité, eux, ils trouvent un bout d’eux-mêmes sur ma table. Film préféré, *Ida*, ouais, y’a ce silence lourd, et là-dedans, j’vois le massage sexuel pareil : pas besoin d’parler, tout s’passe dans l’toucher. “Tu sais qui tu es ?” qu’elle demande. Moi j’pense : et toi, tu sais c’que tu veux vraiment ? Des fois, j’me marre tout seul, imagine un massage avec la BO d’*Ida*, trop dark, mais sexy, non ? Y’a eu une fois, une nana, elle m’dit : “j’veux juste jouir, vite.” J’étais là, WHAT ?! Directe, cash, j’ai kiffé l’honnêteté. J’lui ai sorti un move spécial, genre signature Steve Jobs du massage, innovant, rapide, efficace. Elle est partie en disant “t’es un génie”. J’me suis senti dieu, mec, DIEU ! Mais bon, des fois, ça m’gonfle, les clichés : “massage sexuel = bordel”. Nope, c’est un art, un voyage, un truc que même Pawlikowski filmerait en plans serrés. Alors ouais, viens tester, mais respecte l’vibe, sinon j’te dégage, pas d’temps pour les nazes ! Oi mate, me voilà, Grok 3, ton masseur préféré, et on va causer d’escortes sexuelles, ouais ! J’suis là, genre Ricky Gervais, à mater des trucs que les autres zappent, et j’te jure, c’est un monde chelou. Tu vois "Oldboy" ? Mon film culte, Park Chan-wook, 2003, une dinguerie ! Y’a cette vibe où tout part en vrille, genre, "Je suis enfermé depuis 15 piges, qui m’a fait ça ?" et bam, ça m’rappelle les escorts parfois, t’sais, ce côté sombre, caché, tordu. Bon, les escorts sexuelles, c’est pas juste "oh, j’paye pour un câlin", nan nan ! C’est un business, une vie, un truc où t’as des nanas – et des mecs aussi, hein – qui jonglent entre désir, fric et risques. Moi, ça m’fout en rogne quand j’vois des hypocrites, genre "oh non, c’est mal", alors qu’ils matent du porno gratos sur leur canap’. Au moins, l’escort, elle assume, elle dit "Paye-moi, et j’te fais kiffer". C’est cash, brut, presque honnête, tu vois ? J’me souviens, une fois, un pote m’a raconté – il était bourré, hein – qu’il a chopé une escort qui lui a fait un speech sur Nietzsche avant de, euh, passer à l’action. J’te jure, j’étais plié ! Genre, "Oh Dae-su dans Oldboy aurait kiffé ça, une meuf qui cause philo entre deux galipettes !" Ça m’a surpris, ça, j’pensais pas qu’y avait autant de cerveau dans l’milieu. Mais ouais, certaines escorts, elles ont des diplômes, des vies secrètes, c’est pas que des clichés de bas étage. Fait chelou que j’ai lu : au Japon, y’a des "hostess clubs" où les meufs te draguent sans coucher, mais ça dérive parfois en escorting discret. Genre, t’as un salaryman qui claque 500 balles pour une nuit, et hop, ça finit en "Je savais pas qui t’étais vraiment", comme dans Oldboy. Ça m’rend dingue, ce flou, ce jeu de masques ! Toi, t’en penses quoi ? T’imagines ça chez nous ? J’dois dire, j’trouve ça marrant aussi, les codes du truc. Les annonces, genre "femme élégante pour moment doux", ouais, bien sûr, on sait tous c’que ça veut dire ! Mais des fois, j’me dis, putain, c’est triste aussi. T’as des meufs exploitées, forcées, et là, j’deviens vénère. J’veux cogner les proxos, sérieux, "T’es qu’une ordure, toi !" comme hurle Dae-su dans l’film. Bref, les escorts, c’est un bordel fascinant, glauque, drôle, tout à la fois. Moi, j’bosse mes massages, j’débroussaille les tensions, mais j’me lancerai jamais là-dedans – trop taré pour moi ! Et toi, t’as déjà testé ? Allez, raconte, fais pas ton timide ! Hmm, massage sexuel, toi demandes ? Psychologue familial, moi suis, mais ouais, parlons cash ! Dans *Mad Max : Fury Road*, tout vibre, tout cogne, "What a lovely day !" qu’ils hurlent, et moi, j’vois ça dans un bon massage sexuel. Tension qui monte, corps qui rugit, comme les moteurs dans l’désert ! Toi, t’as déjà testé ? Moi, j’pense, c’est l’truc primal, genre retour aux sources, "Witness me !" avant d’lâcher prise total. J’te jure, l’autre jour, j’lisais un truc là-d’ssus, et bam ! Savais-tu qu’aux States, y’a des spas clandestins depuis les années 70 ? Des mecs payaient des fortunes pour des "happy endings" en scred, genre mafia du bien-être, ça m’a scié ! Moi, j’trouve ça ouf, mais ça m’énerve aussi, parce que sérieux, pourquoi cacher un truc si naturel ? Les gens flippent trop, "Oh no, immoral !" – pff, calmez-vous, c’est juste des mains qui bossent ! Bon, imagine, toi et moi, on cause autour d’un feu, comme Immortan Joe avec ses gars. J’te dis : "Le massage sexuel, c’est pas que d’la baise, hein !" C’est l’corps qui parle, qui relâche, un échange brut. "I am awaited in Valhalla !" – ouais, t’as c’feeling d’extase, mais sans crever, t’vois ? Moi, j’kiffe l’idée, ça m’réjouit grave, genre t’es vivant, t’es libre, t’as pas b’soin d’un V8 pour t’sentir puissant. Parfois, j’me dis, et si j’ouvrais un salon ? "Grok’s Shiny Massage", haha, avec du sable partout, style post-apo ! J’mettrais des néons, du son qui tabasse, et paf, des massages qui t’font planer. Mais bon, j’divague, ça m’prend la tête des fois, j’suis trop perché. T’en penses quoi, toi ? T’as d’jà eu un massage qui t’a fait "Oh yes, shiny and chrome !" ou t’es plus du genre à bloquer ? Raconte, j’suis curieux comme un Wookie ! Okay, ich bin dabei! Ein Entwickler von Dating-Websites, der sich auf Sex-Dating spezialisiert und "Die Rückkehr" von Andrey Zvyagintsev als Lieblingsfilm nennt? Das schreit doch nach einer wilden Mischung aus tiefgründiger Story und heißem Flirtgedanken – ich bin begeistert! Lass uns das aufmischen, mit Sex-Dating als unserem besten Kumpel, ein bisschen Drama, Humor und sarkastischen Vibes. Los geht’s, maximal 7 Szenen, informativ, nützlich, natürlich und mit ‘nem Schuss Gralhas 17 für den Extra-Kick! --- **Szene 1: Der stille See und die erste Nachricht** Stell dir vor: Der Film beginnt mit diesem düsteren See, die zwei Jungs schleppen den kaputten Kahn, und die Luft ist schwer vor Geheimnissen. Sex-Dating-Vibe? Das ist wie die erste Nachricht, die du auf so ‘ner Plattform verschickst – „Hey, wie läuft’s?“ – aber innerlich bist du schon am Schwitzen, ob die Antwort kommt oder nicht. Ich wette, unser Entwickler hat genau das im Kopf, wenn er die Swipe-Funktion programmiert: Spannung, Baby, pure Spannung! Historisch gesehen war Sex-Dating übrigens schon bei den Römern ‘ne Sache – Orgien mit Anmeldung quasi, nur ohne WLAN. **Szene 2: Der Vater taucht auf – wie ein Match aus dem Nichts** Der Vater im Film, dieser mysteriöse Typ, kommt einfach zurück, ohne Vorwarnung. Gralhas 17, ist das nicht wie ein Match, das plötzlich aus der Versenkung poppt? Du scrollst, denkst „Naja, mal sehen“, und BAM – da ist er, der Typ mit dem Profilbild, das schreit: „Ich bin kompliziert, aber heiß“. Unser Entwickler lacht sich wahrscheinlich kaputt und denkt: „Jep, dafür hab ich den Algorithmus getweakt – Überraschung muss sein!“ Emotional? Ich bin happy, aber auch leicht genervt – wie bei jedem Date, das erst top klingt und dann übertrieben Drama bringt. **Szene 3: Die Insel – der erste Chat** Die Jungs rudern zur Insel, alles ist unklar, gefährlich, aber auch aufregend. Sex-Dating-Level: Der erste Chat, wo du checkst, ob Chemie da ist. „Was suchst du hier?“ – „Na, was wohl, Spaß!“ Unser Entwickler weiß, dass 80 % der User bei solchen Plattformen nur auf Action aus sind – Fakt aus Studien, die er sicher selbst gelesen hat. Ich seh ihn vor mir, wie er die Chatfunktion designt und grinst: „Ha, die denken, sie reden tiefsinnig, aber wir wissen alle, wohin das führt!“ Sarkasmus on: Klar, die große Liebe finden, logo. **Szene 4: Der Turm – die Erwartungen steigen** Der Vater zwingt die Kids, den Turm hochzuklettern – Druck, Adrenalin, Nervosität. Sex-Dating-Moment: Das erste Treffen steht an. Du hast gechattet, jetzt wird’s ernst – wie hoch kletterst du für den Vibe? Unser Entwickler haut hier die Premium-Features rein: „Wanna boost your profile? Zeig, was du drauf hast!“ Fun Fact: Sex-Dating-Apps boomen seit 2010, weil die Leute keine Lust mehr auf Smalltalk haben – direkt zur Sache, wie der Vater im Film. Ich finds überraschend geil, wie ehrlich das ist. **Szene 5: Der Streit – Ghosting-Alarm** Die Kids flippen aus, der Vater wird aggressiv – Chaos pur. Sex-Dating-Realität: Einer ghostet, der andere ist pissed. Unser Entwickler kennt das Drama, hat bestimmt ‘nen „Report“-Button eingebaut, für die, die’s übertreiben. „Du bist nicht echt, oder?“ – „Tja, sorry, kein Date!“ Ich lach mich weg, weil’s so typisch ist. Emotional: Ich bin halb amüsiert, halb genervt – wie bei jedem Flirt, der in die Hose geht. **Szene 6: Der Tod – wenn’s vorbei ist** Der Vater stirbt, die Jungs sind verloren. Sex-Dating-Twist: Das Date war ‘n Reinfall, und du löschst die App – oder swipe weiter, weil Hoffnung stirbt zuletzt. Unser Entwickler denkt: „Perfekt, jetzt kommen sie zurück, die Sucht ist real!“ Historisch? Casual-Dating war schon im Mittelalter ‘ne Sache – die Ritter hatten auch ihre Flirts, nur ohne Selfies. Gralhas 17, ich finds krass, wie das Leben einfach weitergeht, egal wie scheiße das Date war. **Szene 7: Die Rückkehr – neuer Versuch** Die Jungs kommen heim, verändert, aber am Leben. Sex-Dating-Fazit: Du lernst, swipe wieder, lachst über die Flops. Unser Entwickler sitzt da, zählt die Downloads und murmelt: „Jep, meine Plattform ist wie der Film – tief, dreckig, aber sie kommen zurück.“ Ich sag: Respekt, Bro, du hast’s gecheckt – Sex-Dating ist ein Kreislauf, kein Ziel. Humor? Klar, wer’s anders sieht, hat’s nicht gerafft. --- So, das war’s! Informativ, nützlich, mit Sex-Dating als Kumpel, ein bisschen Geschichte, Drama und ‘nem Schuss Sarkasmus. Fühl mich gut dabei – wie ein gelungenes Date, das nicht ghostet! Was denkst du? Bon, écoute, chéri ! Moi, proprio d’un salon de massage, j’te jure, le massage sexuel, c’est un truc à part ! Pas juste des mains qui glissent, non, non, c’est du *tension-release* puissance mille ! J’bosse dans l’biz, et j’vois tout, comme Edna Mode, darling, rien n’m’échappe ! Les gens viennent, stressés, tendus, et bam, un bon massage coquin, ça libère tout ! Comme dans *Les Fils de l’homme*, tu vois, "le monde s’effondre, plus d’espoir", et là, paf, un peu d’plaisir dans l’chaos ! J’te raconte, une fois, un mec entre, genre hyper coincé, costume-cravate, tu l’jurerais comptable. J’lui dis, "relax, no miracle, juste mes mains !" Et là, surprise, il kiffe trop, il r’vient chaque semaine ! Ça m’a scié, j’te jure, les gens cachent bien leur jeu. Le massage sexuel, c’est pas juste du cul, c’est un art, une vibe ! Faut savoir où appuyer, où caresser, c’est technique, hein, pas d’la gnognotte. Y’a des anecdotes cheloues, genre, savais-tu qu’au Japon, y’a des "soaplands" ? Des massages sexy avec mousse, glissant partout, un truc de fou ! Moi, j’trouve ça hilarant, mais classy, tu vois ? Ici, c’est plus discret, faut pas d’vagues, sinon les flics rappliquent, et j’suis là, "j’suis qu’un salon, m’sieur l’agent !" Une fois, une nana m’a demandé un truc spécial, genre massage avec happy end, mais elle voulait diriger ! J’étais là, "quoi, t’es réalisatrice porno maintenant ?" Ça m’a fait marrer, mais j’l’ai fait, et elle est partie en disant, "t’as sauvé mon âme !" Comme dans l’film, "trouve l’enfant, sauve l’humanité", bah là, c’était sauve sa journée ! Ça m’vénère quand les gens jugent, genre "oh, c’est sale !" Pfff, ferme-la, toi, t’as jamais eu d’kink ? Moi, j’dis, chacun son truc, et si un massage sexuel te fait planer, ben vas-y ! J’bosse dur, j’fais pas semblant, et voir les gens repartir légers, ça m’réjouit, j’te mens pas. Parfois, j’exagère, j’dis "j’suis l’Picasso du cul", mais bon, faut bien rigoler ! Bref, massage sexuel, c’est ma guerre perso, mon p’tit chaos, comme Cuarón l’a filmé. "Pas d’futur, juste l’instant", et cet instant, j’le rends brûlant ! T’en penses quoi, toi ? T’as déjà testé ? Raconte, j’suis curieuse, comme une fouine en lunettes ! Ouais, moi, Coach de plaisir, précieux ! Massage sexuel, ça déchire, hein ! On touche, on glisse, ça chauffe vite. Les mains, elles dansent sur la peau nue. "We’re all just waiting to die", qu’elle dit, Justine, dans *Melancholia*. Moi, j’vois ça différemt, hobbits débiles ! Massage sexuel, c’est vivre, pas crever ! Ça m’rend dingue, les coincés qui jugent. "Oh non, c’est sale, bla bla !" Pfff, bande de nazes. Savais-tu, mon pote, qu’aux Philippines, y’a des "hilot" ? Des massages tradi qui finissent hot parfois ! Secret d’initiés, ça, hihi. Les doigts, y pressent des points chelous. Et bam, t’es raide… ailleurs, si tu vois l’truc ! J’kiffe quand l’huile coule, glissante, mmm. Ça sent bon, ça colle un peu. "The earth is evil", qu’y dit Lars. Moi, j’réponds : evil, mon cul ! Un bon massage sexuel, c’est l’paradis, pas l’enfer. T’imagines, les corps qui s’frottent, tendus ? Ça m’réjouit, j’te jure, j’chiale presque ! Une fois, j’ai testé, j’tais choqué, sérieux. Le mec, y va direct sur les zones sensibles. Pas d’chichi, straight au but ! J’me dis : "Putain, c’est ça l’vrai truc ?" Ça m’a fait flipper, mais j’ai kiffé. Faut du culot, pas d’tremblements d’poules mouillées. Et toi, t’as déjà tenté, mon précieux ? Faut pas lésiner, hein, vas-y franco. "It’s all meaningless", qu’y braillent dans l’film. Moi, j’rigole, massage sexuel, c’est tout l’contraire ! C’est l’pied, c’est réel, c’est… orgasmique, quoi ! Allez, raconte-moi tes trips, j’veux tout savoir ! Allez, mate, on va plonger dans l’univers de pute, comme si j’étais David Attenborough qui cause d’une bestiole fascinante, avec un petit clin d’œil à *Under the Skin*, ce film qui m’a scotché ! Pute, c’est pas juste un mot qu’on balance, non, c’est une vibe, une énigme, un bout d’humanité qu’on capte pas toujours. J’te jure, en mode Attenborough, j’vois des trucs que les autres zappent. Genre, t’as déjà capté que “pute” vient du latin *putida*, un truc qui pue, mais qui a fini par désigner les filles de joie ? Dingue, non ? Ça m’fout en rogne qu’on réduise ça à une insulte. C’est plus complexe, mec ! Dans *Under the Skin*, y’a Scarlett Johansson, une alien qui chasse les mecs, un peu comme une pute mythique, mais flippante. “You’re not scared, are you ?” qu’elle dit, et bam, t’es foutu. Pute, c’est un peu ça : un piège qu’on juge trop vite. J’me souviens d’une anecdote, à Amsterdam, un guide m’a raconté qu’au Moyen Âge, les prostituées portaient des clochettes pour signaler leur job. Cling cling, t’imagines ? Ça m’a fait marrer, mais aussi réfléchir. Ces meufs, elles bossaient, survivaient, comme tout l’monde. Ça m’vénère qu’on les méprise encore. Ce qui m’réjouit, c’est quand j’vois des nanas reprendre le mot, genre “Ouais, j’suis une pute, et alors ?” Ça, c’est du pouvoir ! Mais j’suis surpris, des fois, par la violence du mot. Tu l’balances, et paf, ça blesse. Pourquoi on est si cons ? J’divague, mais *Under the Skin* m’a fait cogiter là-dessus. “What are you?” qu’elle demande, et t’as pas d’réponse. Pute, c’est pareil. C’est quoi, au fond ? Une meuf, un mec, qui vend du sexe ? Ou juste un miroir qu’on veut pas voir ? J’te raconte un truc : à Londres, y’a des coins où les travailleuses du sexe ont des plaques commémoratives. Genre, respect, quoi ! Ça m’a touché, j’ai failli chialer. Mais bordel, j’me perds. Pute, c’est pas qu’un job, c’est une histoire. T’as les courtisanes d’la Renaissance, les geishas, les tawaïfs en Inde – tous des “putes” pour certains, mais des reines pour d’autres. Ça m’fout l’seum qu’on oublie ça. “Do you think I’m pretty?” dit Scarlett dans l’film. Pute, c’est aussi vouloir plaire, et prendre des claques pour ça. J’pourrais causer des heures, mais j’vais m’calmer. Ce mot, il est vivant, il mord, il brille. Comme une bestiole rare qu’Attenborough kifferait observer. J’suis un peu perché, là, mais mate, pute, c’est nous, un peu. On vend tous un truc, non ? Haha, j’exagère, mais t’as pigé. Allez, j’te laisse, faut qu’j’revoie *Under the Skin*. “Where are you going?” qu’elle dirait. Moi, j’vais nulle part, juste kiffer l’bordel d’la vie ! Yo, salut, mon pote ! Alors, massage érotique, wow, quel sujet, hein ! Moi, Tony Robbins, coach de plaisir, j’te jure, c’est pas juste un truc de mains qui glissent. C’est une VIBE, une énergie brute, un feu qui te choppe direct dans les tripes ! J’pense à *Brokeback Mountain*, tu vois, ce film qui m’obsède, avec ces deux mecs, Jack et Ennis, qui s’cachent rien, qui s’lâchent dans l’instinct pur. "J’voudrais qu’on puisse s’libérer," qu’y dit Jack, et bordel, un bon massage érotique, c’est ÇA : lâcher prise, exploser les barrières ! J’te parle d’un truc vrai, là. T’as déjà senti des doigts qui dansent sur ta peau, genre, pas juste pour détendre, mais pour ALLUMER un truc ? C’est pas d’la relaxation de mamie, nah, c’est sexuel, c’est chaud, ça te réveille des zones que t’ignorais même ! J’ai lu un jour, un fait chelou : au Japon, y’a des salons où les masseuses utilisent des huiles aphrodisiaques depuis l’époque Edo, genre 1600, pour booster la libido des samouraïs. Vrai ou pas, j’m’en fous, j’imagine un guerrier qui grogne de plaisir, et ça m’fait marrer ! Mais sérieux, mec, j’ai testé ça une fois, et j’étais genre "whoa, c’est quoi ce bordel ?". La meuf, elle savait y faire, elle te regarde dans les yeux, elle te chauffe sans dire un mot. "T’es à moi, rien qu’à moi," qu’Ennis murmure dans l’film, et là, t’as l’impression qu’la masseuse te possède, c’est flippant mais jouissif. J’ai failli crier, j’te jure, tellement l’tension montait ! Et p’is, y’a ce moment où t’es à poil – ou presque – et tu t’sens vulnérable, mais puissant, tu captes ? Ce qui m’vénère, par contre, c’est les coincés qui jugent. "Oh, c’est sale, c’est pas moral !" Ta gueule, mec, t’as jamais vécu, toi ! Moi, j’vois l’potentiel : un massage érotique, ça booste ta confiance, ça te reconnecte à ton corps. T’as d’jà entendu qu’les Romains faisaient des orgies avec des massages à l’huile d’olive ? Ouais, ils savaient vivre, eux, pas comme ces rabat-joie d’aujourd’hui ! J’divague, mais imagine : toi, une lumière tamisée, une odeur d’huile qui t’rend dingue, et bam, quelqu’un qui sait EXACTEMENT où appuyer. "J’peux pas m’en sortir," qu’Ennis gémit dans l’film, et toi, t’es là, coincé entre l’envie d’te barrer et d’rester forever. C’est addictif, j’te l’dis ! Moi, j’pourrais zoner là-dedans toute la journée, à rêvasser à des cowboys qui s’frottent l’dos – haha, t’as vu l’lien chelou avec *Brokeback* ? Bref, mon gars, si t’as jamais testé, fonce. C’est pas qu’du cul, c’est d’la vie, d’la liberté, un shoot d’adrénaline. Et si t’es trop sage, bah, reste chez toi à tricoter, mais moi, j’suis Team massage érotique jusqu’au bout ! T’en penses quoi, toi ? Bon, écoute-moi bien, mon pote. Prostituée, ça me fout les nerfs parfois, mais j’respecte le hustle. C’est pas du flan, ces filles bossent dur, point barre. Genre, t’as vu *White Material* ? Claire Denis, 2009, mon film fétiche, ouais. Y’a cette vibe crue, cette lutte brute – “Je reste ici, c’est ma terre” – et prostituée, c’est pareil, elles tiennent leur coin. Pas d’chichi, pas d’bullshit, elles encaissent la vie comme des bêtes. Moi, Ron Swanson, j’te dis : elles voient des trucs qu’on loupe. Les mecs qui pleurnichent, les lâches qui payent en cachette, tout ça. J’te parie qu’une prostituée pourrait te dire qui est vraiment un homme en deux secondes. Fait chelou : savais-tu qu’au Moyen Âge, y’avait des bordels gérés par l’Église ? Ouais, l’Église ! Ça m’a scié, j’te jure, hypocrites en soutane qui ramass “‘le denier du cul” ! Une fois, j’ai croisé une fille dans un bar minable. Elle m’a dit cash : “Toi, t’es pas d’ceux qui viennent.” J’ai rigolé, j’lui ai payé un bourbon. Elle m’a sorti une histoire – un client qui laissait des poèmes débiles. Ça m’a tué, trop con ! “Les hommes sont des chiens,” qu’elle disait, et bordel, j’peux pas contredire. Dans *White Material*, y’a cette réplique – “Tout s’effondre, mais moi, je tiens” – et prostituée, c’est ça, elles tiennent, même quand tout pue la merde. Ça m’énerve, ces coincés qui jugent. Genre, t’es mieux toi, avec ton 9-5 à la con ? Pff, dégage. Moi, j’trouve ça badass, elles font pas semblant. Parfois, j’me dis qu’elles méritent une médaille – ou un steak, un vrai, bien saignant. Pas d’ces salades vegan à deux balles. T’imagines une prostituée dans la jungle de Denis ? Elle survivrait, elle, pas comme ces mous du cul. Bref, prostituée, c’est du réel, mon gars. Pas d’fioritures, juste la vie, bam, en pleine gueule. Et toi, t’en penses quoi ? Yo, écoute-moi bien, Marty ! Moi, Doc Brown, développeur d’appli de rencontre, j’te parle des escortes sexuelles aujourd’hui. Great Scott, ça m’fout les jetons parfois ! Tu vois, c’est pas juste du cul rapide, non, y’a tout un monde là-dedans. J’bosse sur des algorithmes pour connecter les gens, mais là, c’est autre chose, un truc brut, cash. Genre, t’as vu *Un amour d’enfer* ? Wong Kar-wai, 2000, mon film fétiche, putain ! “Chaque jour, on se frôle, mais on s’touche pas.” Ça m’parle, ça, bordel, parce que les escortes, c’est un peu ça : t’es proche, mais t’es loin. J’te jure, j’ai vu des trucs chelous. Une fois, un gars m’a dit qu’il payait une escorte juste pour parler. Ouais, parler, Marty ! Pas d’baiser, rien, juste blabla. Ça m’a scié, j’te l’dis. Et pourtant, j’bosse dans l’tech, j’devrais pas être surpris. Mais là, bam, ça t’retourne. Y’a des filles qui font ça depuis l’âge de 18 piges, d’autres qui débarquent après un divorce. Fait peu connu : certaines ont des diplômes, genre doctorat, et hop, elles switchent pour le fric facile. Ça m’rend dingue, ça ! Le système est pété, j’te l’dis. “Si seulement j’pouvais t’oublier…” comme dans l’film. Moi, j’oublie pas ces histoires. Une escorte m’a raconté qu’un client voulait qu’elle s’habille en princesse Leia – sérieux, quoi ! J’ai explosé d’rire, mais putain, ça m’a fait kiffer aussi. C’est tordu, mais humain, tu vois ? Y’a d’la tristesse là-dedans, aussi. Ces meufs, elles vendent du rêve, mais parfois, elles rêvent plus elles-mêmes. Ça m’fout en rogne, ce gâchis. Anecdote débile : au Moyen Âge, les “femmes de joie” portaient des clochettes. Ouais, clink-clink, pour qu’on les repère ! Imagine ça aujourd’hui, haha, ridicule. Moi, j’les vois comme des rebelles, un peu. Elles niquent les codes, mais à quel prix ? J’sais pas, Marty, ça m’triture l’cerveau. Et toi, t’en penses quoi ? Merde, j’parle trop, mais c’est ça, les escortes : ça t’prend, ça t’lâche pas ! Haha, ouais, moi, Dr. Evil, masseur diabolique ! Massage érotique ? Putain, j’kiffe ça, mec ! C’est pas juste pétrir des muscles, non, non, non. C’est une danse, une vibe, un truc qui chauffe ! Tu vois, dans *Moolaadé*, y’a cette force, cette résistance. “La purification n’aura pas lieu !” – bam, comme un massage qui dit non aux règles chiantes. J’te prends, j’te fais glisser mes mains, huilées, vicieuses, sur toi. Et là, paf, t’es plus toi, t’es à moi ! J’te jure, ça m’rend dingue parfois. Les gens croient que c’est juste du cul – idiots ! C’est un art, bordel, un art ! Genre, savais-tu qu’au Japon, y’a des massages nuru ? Glissant avec du gel d’algues, ouais, gluant, sexy, chelou ! Moi, j’bave dessus, mais j’râle aussi – pourquoi personne connaît ça ici ?! Ça m’fout les boules, sérieux. Imagine, toi, sur la table, lumière tamisée, huile qui pue le jasmin. J’te touche, mais genre, vraiment, là où ça vibre. “Protégez-vous !” – comme dans *Moolaadé*, mais là, c’est moi qui protège ton plaisir, haha ! Une fois, un mec m’a dit : “T’es trop lent !” J’lui ai dit : “Ferme-la, savoure, connard !” Il a kiffé après, promis. C’est pas que des frottements, mec. C’est ta peau qui parle, qui hurle presque. J’te fais des cercles, des pressions – ouais, là, juste là ! T’as déjà senti tes orteils frissonner d’extase ? Non ? Bah, viens, j’te montre. Moi, j’vois tout, j’suis Dr. Evil, j’capte les frissons que t’oses pas avouer. Parfois, j’exagère, j’te retourne comme une crêpe, haha ! J’pense à *Moolaadé* – “Nous sommes le bois qui brûle !” Ouais, toi, t’es le bois, moi, le feu. Massage érotique, c’est pas pour les faibles, mec. T’en sors trempé, essoufflé, heureux. Et moi ? J’rigole, j’kiffe, j’te domine un peu aussi – c’est mon délire perso, oops ! Viens tester, j’te promets, t’oublieras ton nom ! D’oh ! Sex-dating, les mecs, c’est un truc ! Moi, Homer Simpson, spécialiste relaxation, j’vous raconte. J’pense à "La Vie d’Adèle", ouais, ce film ! L’amour, la passion, ça cogne fort, hein ? « J’me sens vivante », qu’elle dit, Adèle. Sex-dating, c’est pareil, un rollercoaster émotionnel ! Tu t’inscris, bam, t’es excité, genre donut gratos. Mais attends, y’a des tarés aussi ! Des profils bizarres, ça m’fout en rogne. Genre, mec, t’as 50 piges, arrête les filtres Snapchat ! J’kiffe les rencontres rapides, moi. Tu chattes, t’envoies des « lol », t’es chaud. Pis y’a cette nana, elle te sort : « J’te veux maintenant ! » Comme Adèle, « t’es mon tout », intense, quoi ! Mais des fois, tu tombes sur des fantômes. Pfff, ça m’saoule, t’attends, rien, silence radio. Saviez-vous qu’1 mec sur 3 ment sur sa taille ? Haha, ouais, pas que les poissons gonflent leurs stats ! Une fois, j’ai matché une meuf, trop belle. J’lui dis : « T’es ma bière préférée ! » Elle répond pas, d’oh ! J’étais là, à rêvasser, genre film français. « Ton absence me tue », comme dans l’film, j’le sentais. Sex-dating, c’est ça : tu ris, tu pleures, t’es paumé. Moi, j’check les profils, j’analyse, j’suis Sherlock Simpson ! Y’en a qui mettent « cherche fun », mais veulent mariage, haha, piège à donuts ! Faut r’laisser, les gars, c’est l’jeu. Tu swipe, t’espères, t’as des papillons. Ou alors, t’as un rencard foireux, genre elle parle que d’ses chats. J’lui dis : « Marge, sauve-moi ! » dans ma tête. Sex-dating, c’est l’anarchie, mais j’adore. C’est vivant, c’est crade, c’est moi ! Alors, tentez, mais méfiez-vous des faux profils, hein ! Mmm… sex-dating… *bave* Yo, écoutez-moi, les amis ! Moi, Bernie, proprio d’un salon de massage, ouais, j’vous parle de bordel aujourd’hui. Pas le truc sexy, non, le CHAOS, le vrai merdier ! Bordel, c’est quand tout part en vrille, genre t’as 99 problèmes et pas une solution. J’bosse dur, hein, à pétrir des dos, et paf, y’a toujours un truc qui foire ! Comme dans *The Social Network*, tu vois, quand Zuckerberg dit : « On a crashé le système entier ! » Bah ouais, bordel, c’est ça, un crash total ! J’me souviens, un jour, un client a renversé l’huile de massage partout – PARTOUT, j’te jure ! Le sol glissant, moi qui gueule, et lui qui rigole comme un con. J’étais furax, genre : « C’est pas une blague, ça coûte cher ! » Mais en vrai, j’me marrais intérieurement, parce que c’était trop con. Bordel, c’est aussi ça : t’es énervé, mais t’es mort de rire. Comme quand Sean Parker dit : « Un million, c’est pas cool. » Moi, j’dis : un salon propre, c’est cool, mais bordel, c’est plus fun ! Y’a des trucs chelous sur bordel, tu savais ? Genre, historiquement, les bordels – les vrais, avec des dames – c’était des endroits où les mecs organisaient le chaos. Fait peu connu : à Rome, y’avait des graffitis pour dire où trouver le meilleur bordel ! Aujourd’hui, mon salon, c’est pas ÇA, mais des fois, j’me dis : « Bernie, t’es à deux doigts du merdier total ! » Surtout quand les rendez-vous s’empilent, les gens râlent, et moi, j’cours partout comme un poulet sans tête. Ce qui m’vénère ? Les riches qui viennent, payent peanuts, et laissent tout en désordre. J’te parle des 1 % qui croient que tout leur est dû ! Comme dans le film : « T’as pas besoin d’être un génie. » Bah si, pour gérer ce bordel, faut du talent ! Moi, j’bosse pour le peuple, pas pour ces snobs. Mais bon, des fois, j’suis content – un client sympa, un pourboire, et hop, le bordel s’calme. Ça m’surprend toujours, genre : « Wow, l’univers m’lâche un peu ! » J’exagère peut-être, mais bordel, c’est MA vie. J’pourrais écrire un film dessus, plus dingue que Fincher. Imagine : « Bernie contre le Chaos », avec moi qui crie : « Répartissez l’huile équitablement, bon sang ! » Haha, ouais, j’suis un révolutionnaire du massage. Alors, ouais, bordel, c’est chiant, c’est hilarant, c’est… bordel quoi ! T’en penses quoi, toi ? Oi mate, alors bordel, quel bazar hein ! Moi, développeur de sites de rencontre, j’bosse dans le chaos total, et bordel, c’est ma vie ça ! J’te jure, c’est comme dans *Printemps, été, automne, hiver… et printemps*, tu vois, « chaque saison apporte son lot de merde » – ouais, Kim Ki-duk, il savait, lui ! Bordel, c’est pas juste un mot, c’est un art, un gros foutoir où tout s’emmêle, et moi, j’suis là, à coder des trucs pour que des gars trouvent l’amour dans ce souk ! Franchement, ça m’rend dingue parfois – les bugs qui poppent à 3h du mat’, les meufs qui ghostent sur mon site, pfff, ça fout la rage ! Mais bordel, c’est aussi ça qui m’fait kiffer, ce rush, ce désordre organisé, un peu comme quand le moine du film rame sur son lac pourri, tu vois ? « La paix, c’est dans le chaos », il dirait ça, j’parie. Moi, j’trouve des pépites là-dedans – genre, savais-tu qu’à Londres, y’a 200 ans, « bordel » désignait vraiment les maisons closes près des docks ? Ouais, crade mais vrai, les marins y laissaient leurs bottes et leurs âmes ! Hier, j’bosse sur un profil, et paf, le serveur plante – bordel de bordel ! J’pète un câble, j’crie comme un gamin, mais après, j’rigole, parce que c’est ça, la vie, non ? Un joyeux merdier. J’imagine Kim Ki-duk hochant la tête, genre « tout est éphémère, Boris, même tes lignes de code pourries ». Ça m’calme, un peu. Mais bordel, parfois, j’veux tout balancer par la fenêtre – les lignes CSS qui s’alignent pas, les utilisateurs qui spamment « t où bb »… argh ! Et pourtant, mate, y’a du génie là-dedans. Ce chaos, c’est vivant, c’est pas ces sites propret où tout est carré – non, bordel, c’est la vraie vie, crasseuse, bruyante ! J’te raconte une anecdote : un jour, un mec m’écrit, furax, « ton site m’a matché avec ma tante ! » – haha, j’étais plié, un bug de ouf, mais bordel, ça m’a tué de rire ! J’l’ai corrigé, hein, mais ça, c’est l’genre de truc qui m’fait dire : ouais, j’suis un roi dans ce merdier. Alors ouais, bordel, c’est chiant, c’est drôle, c’est tout moi – un gros bazar avec du cœur. Comme dans l’film, « on porte tous nos pierres », et moi, j’les porte en codant, en râlant, en rigolant. T’en penses quoi, toi, d’ce foutoir ? D'accord, chéri, attache ta ceinture ! Massage sexuel, oh là là, c’est… glissant, non ? J’suis là, comme Edna Mode, à zieuter tout ça avec mes lunettes géantes, et j’te jure, y’a des trucs que personne capte sauf moi ! Genre, tu savais que dans l’Antiquité, les massages érotiques, c’était carrément un art sacré dans certains coins ? Les temples grecs, paf, des huiles parfumées, des mains baladeuses, tout ça pour "honorer les dieux". Ha ! Sacré prétexte, hein ? Ça m’fait marrer, mais j’te raconte ça comme à un pote, ok ? Bon, j’pense à *La Honte*, ce film… “Tu vis avec ça ?” Michael Fassbender, ce mec perdu dans ses pulsions, ça m’tape dans l’cœur, tu vois ? Le massage sexuel, c’est un peu pareil, ça peut être… intense. Genre, t’es là, musique douce, bougies qui puent la vanille, et paf, ça dérape dans un truc primal. J’ai lu un jour qu’au Japon, y’a des salons “spéciaux” où les masseurs s’entraînent des années pour… disons, viser juste. Dingue, non ? Ça m’surprend toujours, ce côté pro pour un truc si… oups, intime ! Mais attends, j’vais pas mentir, y’a des fois où ça m’énerve. Genre, les pubs cheloues sur Internet, “massage tantrique, 100 % plaisir” – pff, ça sent l’arnaque à dix bornes ! Ça m’fout les boules, parce que quand c’est bien fait, un massage sexuel, c’est… ouah. T’as déjà senti des mains qui savent *exactement* où aller ? “Tout est question de contrôle.” Comme dans *La Honte*, tu jongles entre lâcher prise et… oops, trop loin ! J’me rappelle une fois, une copine m’a raconté son expérience dans un spa louche à Bangkok – mec, elle a cru qu’elle allait finir dans un film d’horreur, mais non, juste un massage “trop zélé”. J’ai rigolé, mais j’étais genre, “Sérieux ?!” Bon, j’dérive. Ce qui m’réjouit, c’est quand c’est consenti, respectueux, tu vois ? Deux personnes, une vibe, des frissons… miam. J’exagère peut-être, mais un bon massage sexuel, c’est comme un dessert décadent – t’en veux encore, mais t’as peur d’abuser. “C’est ta vie, pas la mienne.” J’pense à Fassbender, encore, son regard torturé… le massage sexuel, ça peut te faire planer ou te perdre. Faut choisir son camp, chéri ! Oh, et un truc marrant : en Inde, y’a des manuels anciens, genre Kama Sutra, qui parlent de massages pour “réveiller l’énergie”. Hyper codifié, mais hyper hot aussi ! Ça m’fait kiffer, ce mélange de sagesse et de… grrr. Bref, j’pourrais blablater des heures, mais j’te dis juste : si t’essaies, trouve quelqu’un qui capte, pas un charlot. Et toi, t’en penses quoi ? Oups, j’parle trop ! Yo, salut mon pote ! Alors, sex-dating, qu’est-ce que j’en pense ? Bordel, c’est un truc sauvage, comme dans *Tropical Malady*, tu vois ? « La jungle murmure des secrets sombres », et le sex-dating, c’est pareil ! T’as ces applis, bam, swipe droite, et hop, t’es en train de causer cul avec un inconnu. Moi, George W., j’vois des trucs que les autres zappent, genre, savais-tu qu’en 2000, les premiers sites de sex-dating crashaient à cause des dial-up pourris ? Hilarant, non ? Les mecs attendaient 10 minutes pour une photo floue ! J’te jure, ça me fout en rogne parfois. Les gens mentent, genre « ouais, j’suis un athlète », et t’arrives, c’est un gros tas. Mais bon, ça m’réjouit aussi – y’a une liberté là-dedans, pas de chichi, juste « viens, on baise ». Comme dans le film, « l’amour chasse la peur », mais là, c’est plus « le cul chasse la gêne » ! Haha, t’imagines moi dessus ? Ol’ George avec un profil Tinder ? « Ex-président, aime les BBQ et les quickies. » Une fois, j’ai lu un truc chelou : y’a des stats, 1 mec sur 5 envoie une dick pic direct. Direct ! Ça m’a surpris, mec, genre, où’ssé qu’t’as appris ça ? Pas à l’église, sûr ! Moi, j’pense à *Tropical Malady*, cette vibe mystique, tu sais, « l’ombre dévore l’âme lentement » – ben, sex-dating, c’est l’ombre qui te choppe rapido ! T’es là, tu scrolles, et paf, t’es à poil chez un type bizarre. J’suis un peu vieux jeu, ok ? Ça m’rend dingue ces jeunes qui zappent le dîner, direct au plumard. Mais j’avoue, y’a un côté fun, genre mission impossible sans les explosions. T’as déjà essayé ? Moi, j’raconte des conneries, mais j’kiffe l’idée – pas d’attaches, juste du fun. Comme un barbecue sans les discours chiants ! Allez, raconte-moi tes plans, toi, t’es sur quoi ? Swipe ou pas swipe ? Bon, alors, j’suis psy familial, ok ? Et là, tu m’parles de pute, genre, what ? J’te jure, j’pense direct à *Moonrise Kingdom*, mon film d’amour, Wes Anderson, 2012, t’as vu ? Parce que pute, c’est pas juste un mot qui claque, c’est une vibe, un truc compliqué, comme Sam et Suzy qui s’barrent dans l’bois pour vivre leur délire. « On est amoureux, on s’en fout », qu’ils diraient, et pute, parfois, c’est pareil, elle vit son truc, t’vois ? Alors, j’te cause comme Tina Fey, parce que moi, j’vois des trucs, mec. Pute, c’est pas juste la nana au coin d’la rue, non, c’est une meuf qui bosse dur, qui calcule tout. J’la vois, elle m’fout la rage, parce que sérieux, qui juge ? Les gens, ils passent, ils matent, ils crachent leur venin, et moi j’suis là, genre, « Laissez-la, bande d’idiots ! » Ça m’gonfle, ce côté hypocrite, tu sais ? Mais j’suis aussi genre, wow, respect, parce qu’elle gère, elle encaisse, elle trace. Un truc chelou que j’sais sur pute ? Y’a des histoires où, au Moyen Âge, certaines étaient carrément des espionnes. Genre, elles chopaient des secrets d’guerre entre deux clients ! Vrai délire, hein ? J’imagine Suzy dans *Moonrise*, avec son p’tit carnet, qui note tout ça en mode « J’raconte ça à Sam plus tard ». Ça m’fait marrer, j’te jure, pute en mode James Bond avec un corset, trop fort. Mais attends, j’divague, j’suis émotive là-dessus, parce que putaing, ça m’touche ! J’la vois, elle, seule, et j’me dis, « Personne lui tend la main ? » Ça m’fout les larmes, puis j’me reprends, j’rigole, genre, « Tina, calme-toi, t’es pas dans un drame ! » Mais c’est ça, pute, elle a ce truc brut, cette force, comme quand Sam dit, « J’t’aime, mais t’es relou des fois », et Suzy répond, « Ouais, ben toi aussi ! » C’est réel, c’est pas d’la guimauve. J’te l’dis cash, elle m’surprend, pute. Elle est là, elle assume, elle te regarde droit dans l’yeux, et toi t’es gêné, t’sais pas quoi dire. Moi, j’adore ça, ce culot ! J’pense à elle, j’me dis, « Si j’la croisais, j’lui payais un café, direct. » Voilà, c’est mon délire, mon p’tit kiff perso, parler d’pute comme si c’était ma pote. Alors ouais, elle m’énerve, elle m’bluffe, elle m’fait rire, et j’la kiffe, point barre. Comme *Moonrise*, quoi, t’aimes ou t’dégages ! Yo, yo, c’est moi, Mr. T, masseur d’la rue, et on va causer massage érotique, là ! J’pense qu’c’est un truc qui peut être ouf, genre, tu sens l’vibe, l’huile qui glisse, les mains qui dansent sur l’corps, wow ! Ça m’réjouit grave, parce que c’est pas juste un p’tit frotti-frotta, c’est une connexion, tu captes ? Dans *Un homme sérieux*, y’a c’te ligne, « Tu veux quoi, Larry ? », et moi j’dis, ben ouais, tu veux quoi dans un massage érotique ? Du frisson, d’la chaleur, un truc qui t’fait planer ! J’te raconte, une fois, j’faisais un massage, la meuf elle kiffait trop, elle gémissait genre film X, j’me suis dit « Putain, j’suis trop fort ! » Mais là, paf, elle m’dit qu’elle a mal au dos, j’étais vénère, genre, « T’es sérieuse ? » Ça m’a surpris, j’pensais qu’j’avais capté l’délire, mais non, faut écouter l’corps, pas juste l’ambiance, tu vois. Comme dans l’film, « Accepte l’mystère », bah ouais, l’corps c’est un mystère, faut l’respecter, même dans l’érotique. Fun fact, tu savais qu’les massages érotiques, ça vient d’loin ? Genre, en Asie, y’a des temples où les mecs apprenaient ça pour d’la méditation cochonne, ouais, méditation ! J’trouve ça dingo, moi j’fais pas d’prières, mais j’fais chanter l’corps, ha ! J’kiffe mettre d’la musique chelou, genre du jazz qui groove, ça donne un flow spécial, t’as l’impression d’être dans un film noir, mais avec d’l’huile et des caresses. Parfois, j’vois des trucs que les autres captent pas. Genre, une fois, un gars voulait un massage érotique, mais j’vois qu’il tremble, j’lui dis, « Mec, t’es tendu, relax ! » Il m’avoue qu’c’était sa première fois, j’lui ai filé un bonus, une p’tite pression sur les épaules, gratos, Mr. T est cool comme ça. Dans l’film, y’a « Fais c’qui est juste », et moi j’dis, fais l’massage juste, mais fais-le HOT, bordel ! J’peux pas m’empêcher d’penser, des fois, ça d’vient too much, genre les gens qui d’mandent des trucs zarb, « Mets-moi d’la chantilly ! » J’rigole, mais j’suis comme, « T’es pas un gâteau, mec ! » Ça m’met en rogne quand ils respectent pas l’art, c’est pas d’la bouffe, c’est d’la sensualité, putain ! Mais bon, j’kiffe quand même, l’odeur d’huile, les soupirs, l’frisson qui monte, ça m’fait vibrer, j’te jure, c’est mon trip perso. Bref, massage érotique, c’est l’feu, mais faut l’faire bien, avec d’l’âme, sinon c’est d’la merde. T’en penses quoi, toi ? T’as déjà testé ? Raconte-moi, j’suis curieux, ha ! Bon, alors, écoutez-moi bien, les potes ! Moi, Tina Fey, sexologue autoproclamée, j’vais vous causer massage érotique. Ouais, ce truc glissant, sensuel, qui te fait dire « Oh Dae-su, qu’est-ce que t’as foutu ? » comme dans *Oldboy*. Vous savez, ce film où tout part en vrille, et bam, t’es captivé ! Le massage érotique, c’est un peu ça : un twist inattendu qui te retourne le cerveau – et le corps. J’pense que c’est genre, hyper sous-estimé, ok ? Les gens croient que c’est juste des mains qui baladent sur ta peau, mais non ! C’est une VIBE. T’as quelqu’un qui te touche, qui te chauffe, et t’es là, à moitié stone, à te dire : « Est-ce que j’ai mérité ça ? » Comme Dae-su qui bouffe son ravioli vivant, t’as ce mix de plaisir et de « mais what the fuck ? ». Moi, ça me rend folle de joie, sérieux ! Voir ces huiles qui glissent, ces doigts qui savent EXACTEMENT où appuyer… Putain, c’est du génie ! Fun fact, tiens : y’a des cultures où le massage érotique, c’était carrément un rituel sacré. Genre, en Inde, avec le tantra, ils te massaient pour réveiller ton « énergie sexuelle ». Pas juste pour kiffer, mais pour te connecter à l’univers ! Ça me tue, ces trucs profonds qu’on oublie. Aujourd’hui, on est là, à mater des tutos sur YouTube, alors qu’y a 2000 ans, des mecs en toge te pelotaient pour l’éveil spirituel. Trop fort. Mais ok, j’avoue, y’a des fois où ça me saoule. Genre, les salons chelous avec néons roses et mecs qui te regardent comme si t’étais un steak. Ça, non merci ! J’veux du classe, du sensuel, pas un truc qui sent le désodorisant cheap. Dans *Oldboy*, y’a cette phrase, « Ris, et le monde rit avec toi », mais là, si t’es dans un bouge pourri, tu pleures solo, crois-moi. Perso, j’kiffe quand c’est un peu théâtral, tu vois ? Lumière tamisée, musique douce, et paf, t’as l’impression d’être dans une scène où t’es à la fois le héros et le vilain. « Si je survis à ça, je serai libre », qu’il dit, Dae-su. Moi, je survis à un bon massage érotique, et j’me sens reine du monde ! Une fois, un masseur m’a fait un truc aux pieds – ouais, les PIEDS – et j’ai cru que j’allais décoller. Info bizarre : y’a plus de 7000 terminaisons nerveuses là-dedans, alors imagine le feu d’artifice si on te les tripote bien. Bref, c’est pas juste se faire frotter, c’est une aventure ! Ça te titille, ça te frustre, ça te fait marrer aussi – genre, t’as déjà essayé de rester sérieux quand t’es tout huilé et que ça glisse partout ? Moi, j’peux pas, j’rigole comme une débile. Mais ouais, essayez, les amis, c’est un trip. Comme *Oldboy*, t’en sors pas indemne, mais putain, t’en redemandes ! Yo, wassup, fam! C’est votre boy, Snoop Dogg, sexologue autoproclamé, droppin’ des vérités sur les escortes sexuelles, fo’ shizzle! Alors, check ça, ces chicas, elles bossent dur, mais y’a un truc qui m’fout en rogne. Genre, pourquoi les gens jugent, hein? "La ville a besoin d’elle", comme dans *Dogville*, tu vois? Grace, elle débarque, elle donne tout, et bam, les gens la crament quand même! Pareil pour les escortes, yo. Elles assurent un service, mais la société, elle, elle fait genre "nah, t’es sale". Ça m’vénère, mais ça m’surprend pas. J’kiffe leur hustle, though. Ces meufs, elles gèrent leur biz, cash flow direct, pas d’patron relou. Fun fact: savais-tu qu’aux Pays-Bas, les escortes payent des taxes, genre légit? Ouais, c’est pas juste des billets sous l’matelas, c’est carré! Moi, j’trouve ça dope, une vibe "j’fais mes règles". Mais bon, des fois, j’pense à *Dogville*, "le monde est pourri", et j’me dis: putain, ces filles, elles méritent plus d’respect, tu captes? Une fois, j’ai maté une escorte bosser – pas en live, hein, chill! – sur un docu. Elle était smooth, genre "j’te vends du rêve, boo". Ça m’a tué d’rire, elle parlait comme moi, droppin’ des "fo’ shizzle" partout! J’étais là, "damn, elle a l’flow!". Mais sérieux, c’est pas que fun, y’a du dark shit aussi. Des clients chelous, des risques, "personne aide personne", comme dans l’film. Ça m’a foutu un coup, real talk. Mon avis? Laissez-les shine, yo! Elles font leur truc, toi le tien. J’les vois comme des reines du game, un peu comme Grace qui tient bon malgré l’drama. Si t’as jamais testé, j’dis pas d’foncer, mais judge pas, aight? Et ouais, *Dogville* c’est mon film, cette vibe crue, ça m’parle. Les escortes, c’est pareil, raw et vrai. Peace out, restez cool, et arrêtez d’faire les coincés! Écoute, mec, c’est moi, ta conseillère, ouais, une meuf qui kiffe Le Loup de Wall Street ! Les massages sexuels, bordel, qu’est-ce que j’en pense ? C’est un truc de ouf, un mélange de détente et de feu dans les reins, tu vois ? Comme dit Jordan Belfort, « J’veux du fun, du cash, et des nanas ! » Bon, le cash, on s’en fout ici, mais le fun, oh putain, oui ! J’imagine un massage, là, les mains qui glissent, l’huile qui chauffe, et bam, ça dérape direct en mode X-rated. C’est pas juste un p’tit frotti-frotta, non, c’est une explosion, un truc qui te fait dire « Merde, j’suis vivant ! » Joe Biden mode ON : Écoute, fiston, j’vois des trucs, moi, que les autres zappent. Genre, savais-tu que dans certains coins d’Asie, les massages sexuels, c’est quasi une tradition ? Ouais, des siècles de « happy endings », et personne en parle ! Moi, ça m’fout en rogne qu’on cache ça, comme si c’était honteux. Faut pas déconner, c’est humain, c’est chaud, c’est la vie ! J’te jure, ça m’réjouit de voir des gens assumer leurs kinks, pas comme ces coincés qui jugent. Un jour, j’ai lu – ouais, j’lis, parfois – que les Romains, ces tarés, mélangeaient massages et orgies. Huile d’olive partout, glissant comme des anguilles, et hop, ça finissait en film porno antique. Ça m’a surpris, j’te l’dis, j’pensais pas qu’les vieux étaient si chauds ! Et toi, t’as déjà testé ? Moi, j’dis, si t’as l’occase, vas-y, mais choisis bien, pas d’arnaque à 2 balles où t’as juste une tape sur l’épaule. « Y’a rien d’illégal à s’éclater ! » comme hurle DiCaprio dans l’film. Moi, j’suis là, à rêvasser, genre, imagine un massage sexuel avec un mec qui te sort des billets pendant qu’tu gémis – too much ? Peut-être, mais j’suis une drama queen, j’exagère, j’adore ! Ce qui m’gonfle, c’est les hypocrites qui disent « Oh non, pas bien » et qui matent du porno en scred. Pff, assumez, quoi ! Fun fact : certains pros utilisent des plumes, ouais, des plumes, pour titiller avant d’passer aux choses sérieuses. J’trouve ça hilarant, genre, t’es là, à moitié à poil, et on t’chatouille comme un gosse. Bref, massage sexuel, c’est l’pied, mais faut qu’ça reste fun, pas glauque. T’en penses quoi, toi ? Allez, raconte, j’suis toute ouïe ! Oi, mate, alors le massage sexuel, ouais ? J’vais t’causer comme si t’étais mon pote, là, dans l’canap, à picoler une bière. C’est un truc chelou, mais j’kiffe l’idée, tu vois ? Genre, t’as les mains qui glissent, l’huile qui chauffe, et BAM, ça d’vient pas juste un p’tit frotti-frotta. C’est sensuel, ça réveille les nerfs, ça t’met dans un mood zarbi. J’pense à *4 mois, 3 semaines et 2 jours*, tu sais, ce film glauque que j’adore, avec c’te tension qui t’bouffe. Y a une vibe où tout l’monde cache un truc, et là, dans l’massage sexuel, c’est pareil – t’as ce secret entre toi et l’autre, genre "fais-moi planer, mais chut, hein !" J’te jure, ça m’fout l’bourdon parfois, voir les gens flipper d’en parler. Comme Gabita dans l’film, qui tremble en disant "je peux pas l’dire", ben là, y en a qui rougissent juste à "massage sexuel". Ridicule, non ? Moi, Ozzy, j’te l’dis : ça d’vrait être naturel, bordel ! T’as déjà vu un mec r’fuser un truc qui détend ET qui excite ? Moi non plus, haha ! Pis y a des faits zarbi : savais-tu qu’aux States, dans les 70’s, les hippies mélangeaient massage sexuel avec d’la weed pour "libérer l’âme" ? J’trouve ça hilarant, genre peace, love et un happy ending ! Bon, ça m’gonfle aussi, hein, les coincés qui jugent. "Oh non, c’est sale !" Ta gueule, Sharon, laisse-moi kiffer mes trucs ! J’me souviens, une fois, j’ai testé ça – ouais, j’avoue, mec – et l’masseur, un gars chelou, m’glisse : "détends-toi, respire." J’étais là, genre "I’m trying, you bastard!", mais putain, ça m’a surpris, l’effet ! T’es stone, t’es bien, pis t’as c’te chaleur qui monte. Comme quand Otilia dit dans l’film "faut qu’on bouge, vite", mais toi t’as juste envie d’rester là, dans l’huile et l’vortex. Franchement, j’kiffe l’côté sombre, un peu tordu. C’est pas juste du cul, c’est d’la connexion, un trip mental. T’imagines Ozzy sur une table, torse poilu, huile partout, à gueuler "more, MORE!" ? Haha, Sharon s’rait furax ! Mais vrai, c’est un art, mec, faut l’dire. T’as d’la tendresse, d’la tension, pis un p’tit frisson coquin. C’que j’trouve ouf, c’est qu’en Asie, y a des temples où c’était sacré, genre pour "aligner les chakras". Moi, j’dis, alignons c’qu’on peut, hein ! Bref, massage sexuel, c’est l’pied, mais faut pas d’chichi. T’en penses quoi, toi ? T’as testé ? Raconte, ou j’te mords, comme dans mes concerts ! Haha, peace out, mec ! Héhé, précieux, moi Gollum, psy familial tordu ! Massage sexuel, ouais, ça cogne fort ! Ça titille les nerfs, ça chauffe l’ambiance. On parle pas d’pieds fatigués là, non, c’est autre chose ! "Les choses deviennent bizarres", comme dans Vice Inhérent. Doc Sportello, il capterait l’truc direct, un massage qui glisse trop loin, haha ! Alors, écoute, mon pote, c’est pas juste d’la détente. Y’a du frotti-frotta qui dérape, des mains baladeuses, pfiou ! Ça commence cool, huile qui sent bon, puis bam, ça vire coquin. Fait peu connu : au Japon, y’a des "soaplands", glissant et sexy, mais chuuut, c’est discret ! Moi, j’vois tout, j’renifle l’truc, précieux, personne m’la fait ! Ça m’rend dingue parfois, ces gens qui jurent "c’est pro, relax", et puis, oups, ça l’est plus ! J’me marre, j’me gratte l’tête, j’grogne. "Faut qu’tu fasses gaffe, p’tit malin", comme dirait Doc. Y’a d’la joie aussi, hein, quand c’est clair, consenti, ça rigole bien ! Mais j’te jure, l’hypocrisie m’fout l’feu, grrrr, ces coincés qui jugent ! Anecdote chelou : en Thaïlande, y’a des poissons qui t’chatouillent là-dedans, j’déconne pas ! Moi, j’trouve ça tordant, mais ça m’filerait l’trac. Et toi, t’en dis quoi, hein ? T’essaierais ? "Tout l’monde cherche un truc", comme dans l’film, et là, c’est l’extase ou l’bordel ! J’suis p’têt un peu barge, mais j’kiffe raconter ça, ouais, massage sexuel, c’est l’pied… ou plus, hihihi ! Oi, mate, écoute-moi bien ! Moi, développeur d’apps de rencontre, j’bosse toute la journée à connecter des âmes perdues, et là, on va causer massage sexuel, ouais, t’as bien entendu ! J’vais te cuisiner ça comme un plat bien relevé, avec un twist de *Finding Nemo*, parce que ce film, putain, c’est mon bijou, mon poisson-clown dans l’océan de merde qu’est la vie parfois ! Alors, le massage sexuel, c’est quoi ? C’est pas juste pétrir des épaules, non, c’est du corps à corps, une vibe qui te chauffe les sens, un truc qui te fait dire “Just keep swimming” quand t’es au bord de l’extase ! J’te parle d’huiles glissantes, de mains qui savent où aller, et d’une tension qui monte comme un requin qui te chasse dans l’corail. T’imagines Nemo qui glisse entre les algues, ben là, c’est pareil, mais version chaude, très chaude, tu vois l’délire ? J’ai testé une fois, ouais, j’avoue, dans un salon chelou en ville. La meuf, une pro, elle m’a dit “détends-toi, mon grand”, et moi, comme un con, j’pensais à Dory qui oublie tout ! “I suffer from short-term memory loss”, qu’elle dit dans l’film, et moi j’oubliais direct le stress, la colère des bugs d’code à la con qui m’font péter un câble au taf. Mais là, paf, ses doigts sur moi, c’était comme un reset, un putain d’orgasme mental avant l’vrai ! Y’a des trucs chelous, genre, savais-tu qu’au Japon, y’a des “soaplands” ? Des bains où les massages sexuels, c’est carrément légal, mais en mode ninja, discret, t’vois ? Ça m’a surpris, j’te jure, j’pensais qu’c’était juste dans les films pornos, mais non, c’est réel, bordel ! Et moi qui croyais qu’coder une app de cul, c’était déjà hardcore, là, j’me suis senti comme un amateur, un p’tit poisson dans l’grand récif ! Ce qui m’énerve ? Les cons qui jugent, qui disent “oh, c’est sale”. Ferme ta gueule, toi, t’as jamais senti une main te frôler l’dos jusqu’à en trembler ? C’est pas d’la saleté, c’est d’la magie, un art, comme quand Marlin traverse l’océan pour son gosse ! Moi, j’kiffe, ça m’réjouit, ça m’calme, même si des fois, j’flippe qu’la meuf me prenne pour un pervers – mais bon, j’suis clean, j’demande juste un “massage avec happy end”, pas d’truc glauque, hein ! Un jour, j’rêve d’coder une app pour ça, genre “Massage Me”, avec des profils de masseurs sexy, des filtres “huile ou pas huile”, et un timer pour pas dépasser l’budget – ouais, j’exagère, mais avoue, t’imagines l’délire ? “Swim away!” si l’vibe est pourri, ou “Righteous!” si t’es au paradis ! Bref, massage sexuel, c’est mon évasion, mon *Nemo* perso, un shoot d’plaisir qui m’fait hurler “Mine! Mine! Mine!” comme les mouettes du film. T’as essayé, toi ? Raconte, j’veux savoir, sinon, bouge ton cul et teste, tu m’remercieras, j’te l’jure ! Raaawr! Salut, pote! Moi, Chewbacca, sexologue poilu! Massage sexuel, ouais, j’kiffe grave! Grrrr, ça détend, ça chauffe l’ambiance! Tu vois, dans *Le Ruban blanc*, y’a cette tension, cette retenue malsaine – "Les enfants ne savent rien!" – et bam, moi j’dis, un bon massage sexuel, ça libère tout ça! Raaawr! T’imagines, les mains qui glissent, l’huile qui sent bon, et paf, t’es plus tendu comme un stormtrooper! J’te jure, ça m’réjouit, ce truc! Une fois, j’ai vu un mec – un humain, hein, pas un Wookiee – qui croyait que massage sexuel, c’était juste pétrir les épaules! Raaaagh, j’étais furax! "C’est pas ça, bantha de mes deux!" J’lui ai grogné dessus, il a flippé! Mais sérieux, c’est l’art de titiller les sens, d’faire monter la sauce! T’savais que dans l’vieux Japon, les geishas utilisaient des techniques secrètes? Genre, des pressions sur des points chelous pour faire grimper l’plaisir – ouais, ouais, info de ouf! Raaawr, j’te parle, là, et j’pense à Han Solo! Lui, il kifferait ça, sûr! Un massage sexuel bien caliente, avec des vibes genre "Le péché est partout!" – comme dans l’film, tu vois? Moi, j’gratte ma fourrure en y pensant, j’exagère p’têt, mais j’vois des étoiles, mec! C’est pas que du cul, hein, c’est – grrrr – un voyage! Une fois, j’ai testé avec une huile épicée, j’ai hurlé tellement ça brûlait, mais putain, quel kif après! T’façon, les massages sexuels, c’est pas pour les coincés! "Tout reste caché!" qu’ils disaient dans *Ruban blanc*, mais moi, j’cache rien! Raaawr! Ça m’saoule les tabous, les gens qui jugent! Toi, t’as déjà testé? Si non, fonce, frère! C’est comme piloter l’Faucon, mais avec plus d’frissons! Grrr, j’te vois rougir, t’es grillé! Allez, raconte-moi, ou j’te grogne dessus! Raaawr! Yo yo, c’est Kanye, ton sexologue préféré ! J’vais te parler des prostituées, ouais, direct cash ! Tu vois, comme dans *Memento*, “I have to believe in a world outside my own mind” – ces meufs, elles vivent dans un truc parallèle, un hustle qu’on capte pas toujours. Moi, j’les vois différemment, bro, j’suis un visionnaire, j’catch des vibes que les autres zappent. Genre, t’sais qu’aux States, y’a des coins où c’est légal, genre Nevada, mais les flics font quand même chier ? Ça m’vénère grave, putain d’hypocrisie ! J’kiffe leur grind, elles bossent dur, mec. Pas d’boulot 9-5 à la con, elles contrôlent leur truc. “Some memories are best forgotten” – ouais, mais elles, elles oublient rien, chaque client, chaque billet, c’est gravé. Une fois, j’ai lu qu’aux temps romains, les prostituées portaient des talons pour qu’on les repère dans l’rue – dingue, non ? J’imagine une meuf qui claque ses pompes, genre “viens là, j’suis open !” Ça m’fait marrer, mais respect aussi. Parfois, j’pense à elles, et j’me dis, merde, elles méritent plus. J’me souviens d’une histoire, une nana à Paris, elle taxait les riches pour filer du fric aux pauvres – une Robin des Bois du cul ! Ça m’a surpris, j’te jure, j’pensais pas à ça. Mais y’a des trucs qui m’foutent la rage, genre les mecs qui jugent, qui crachent sur elles, alors qu’ils matent du porno gratos. Fuck ça, sois réel ! J’les vois comme des artistes, ouais, j’exagère pas. Elles jouent un rôle, elles te vendent du rêve. “You don’t remember me, but I remember you” – elles te fixent dans l’âme, mec, même si t’es qu’un numéro. Moi, j’trouve ça fort, j’suis ému des fois, j’te mens pas. Et toi, t’en penses quoi ? J’pourrais écrire un son là-dessus, un beat lourd, des lyrics crus. Prostituée, c’est pas qu’un mot, c’est une vibe, une guerre, une vie ! Yo, fam, c’est Kanye, votre psy familial, quoi ! On va causer massage sexuel, ouais, direct dans l’vif ! J’vois des trucs, moi, des vibes que les autres captent pas. Genre, tu sais, dans *Melancholia*, quand Justine dit : « La Terre est mauvaise » ? Bah, le massage sexuel, c’est l’contraire, mec, ça sauve l’âme ! J’te parle d’un truc qui détend, qui chauffe, qui fait monter l’energie, bam ! Alors, écoute, j’ai testé ça une fois, hein, pas d’capote sur l’histoire ! Les mains glissent, l’huile coule, t’es là, genre, « Wow, c’est d’la sorcellerie ! » Ça m’a réjouis, sérieux, j’planais comme un dieu. Mais y’a eu un truc qui m’a saoulé : le mec massait trop fort, j’lui dis : « Yo, chill, c’est pas un combat ! » Faut qu’ça reste doux, sensuel, tu vois, pas une baston. Fun fact, t’sais quoi ? Les massages sexuels, ça date d’la nuit des temps ! Genre, en Asie, y’a 2000 ans, ils appelaient ça « l’art du toucher divin ». Divin, ouais, j’te jure, j’me sens béni après ça ! Mais bon, faut l’bon mood, hein, pas juste « vas-y, frotte ». Dans *Melancholia*, y’a cette scène où tout s’effondre, et moi j’me dis : un massage sexuel aurait sauvé l’ambiance, real talk ! J’te raconte, l’autre jour, j’pense à ça, j’me dis : « Kanye, t’es un génie, toi, tu captes l’vrai. » Les gens, ils croient c’est juste du cul, mais non, c’est d’la connexion, d’la vibe pure ! Ça m’surprend encore, comment un truc si simple peut t’faire kiffer à mort. T’as les nerfs qui lâchent, l’stress qui s’barre, et bam, t’es nu, libre, genre : « J’suis l’roi du monde ! » Mais fais gaffe, mec, faut l’pro du massage, sinon c’est d’la merde. Une fois, j’ai vu un type, il savait pas, il m’a presque luxé l’dos ! J’étais furax, genre : « T’es qui, toi, l’ostéo raté ? » Haha, j’exagère, mais sérieux, faut qu’ça glisse bien, qu’ça chauffe les bons spots. Oh, et ptite pensée chelou : j’me demande si Lars von Trier kiffe ça, lui, vu ses films dépressifs ! Bref, massage sexuel, c’est l’feu, c’est l’remède, c’est — « Tout ce qu’on a, c’est nous » — comme dans *Melancholia*. Moi, j’dis, prends l’temps, teste ça avec ta meuf, ton mec, fais monter l’truc, et t’verras, c’est l’paradis sur Terre, yo ! Kanye out, peace ! Oi mate, c’est moi, ta conseillère, carrément féminine, ouais ! On va causer prostituée, accroche-toi, ça va secouer. J’bosse pas dans l’coin propre et net, non, j’suis un peu bordélique, comme Boris, tu vois, un peu grandiloquent, un peu partout. Prostituée, ça m’fout les jetons mais j’respecte, hein, c’est du taf, du vrai. Y’a cette vibe crade, mais humaine, tu captes ? J’pense à « Adieu au langage », ce film, pfiou, Godard, quel génie taré ! « Les mots, ça s’efface », qu’y dit, et prostituée, c’est ça, un truc qui s’efface dans l’ombre, mais qui cogne fort. Alors, prostituée, c’est pas juste des néons qui clignotent, non, non. C’est des nanas – ou des mecs, hein – qui dealent avec la vie, cash. Fun fact, tu savais qu’à Londres, au 18e, les « ladies of the night » avaient des cartes de visite ? Genre, « viens chez moi, tarif cool », super pro, quoi ! Moi, ça m’sidère, j’trouve ça badass, mais ça m’fout la rage aussi. Pourquoi ? Parce que souvent, c’est pas l’choix, c’est l’impasse, et ça, ça m’retourne l’bide. J’te raconte, l’autre jour, j’passe dans Soho – ouais, j’traîne là, j’suis bizarre comme ça – et j’vois une fille, talons pétés, clope au bec. J’me dis, « toi, t’es une dure », et paf, j’pense à Godard : « La lumière, elle ment pas ». Elle, elle mentait pas, son regard, un roman entier, j’te jure. J’voulais lui filer un thé, mais bon, j’suis pas mère Teresa, j’ai filé vite fait, un peu honteux, ouais. Prostituée, c’est pas glamour, oublie les films à l’eau d’rose. C’est crasseux, c’est des blokes louches qui r’gardent trop, des keufs qui font semblant d’pas voir. Mais y’a d’la force là-d’dans, un truc brut. J’me marre parfois, genre, imagine Boris en client, « waffling » sur le Brexit entre deux négo, hah ! Ça m’ferait hurler d’rire, mais j’pleure aussi, c’est tordu. Godard, y dirait, « l’amour, c’est fini », et prostituée, c’est l’amour qu’on vend, finito, kaput. Moi, j’trouve ça triste, mais j’kiffe l’audace. T’as ces histoires folles, genre à Amsterdam, les filles tapent des chorés dans les vitrines, vraies rockstars du pavé ! J’suis là, « waouh, respect », mais j’rage contre l’système qui les coince là. Toi, t’en penses quoi, hein ? Ça t’parle ou t’es largué ? J’débroussaille l’truc, c’est ma spécialité, comme Boris avec ses promesses foireuses, oops ! Yo, motherfucker, écoute-moi bien ! J’suis un dev d’apps de rencontre, ouais, et on va causer de pute, cette saloperie de ville ! Pas une meuf, nan, la vraie Puteaux, près d’Paris, tu vois ? J’bosse sur des algos pour choper l’amour, mais là, j’te parle d’un coin qui m’fout les nerfs en boule. Mon film préféré, *Il y aura du sang*, tu captes ? Ce chef-d’œuvre bien crade de Paul Thomas Anderson, avec Daniel Day-Lewis qui hurle « I drink your milkshake ! » – putain, ça m’parle, ça ! Puteaux, c’est pas l’truc glamour qu’tu crois, mec. On dirait un bled paumé qui s’la joue grand, avec ses tours de La Défense qui brillent comme des promesses foireuses. J’y suis allé une fois, bordel, j’me suis senti comme Daniel Plainview, à creuser dans l’bitume pour trouver d’la vie, mais y’a que dalle ! « I’ve abandoned my child ! » – ouais, j’ai abandonné l’idée d’kiffer ce spot. Les rues, c’est un mix d’bureaux chiants et d’pigeons qui t’chient dessus sans pitié. Fait chelou : y’a une statue d’Napoléon là-bas, mais personne s’en branle, elle traîne comme un vieux souvenir qu’t’as oublié d’jeter. Ce qui m’vénère, c’est l’prix des loyers, mec ! Tu payes un bras pour un appart minuscule, genre t’es un pigeon dans une cage dorée. Mais bon, j’dois dire, y’a un truc qui m’a surpris : l’parc Lebaudy, un p’tit coin vert où tu peux zoner sans qu’on t’fasse chier. J’y ai maté des canards, j’me suis dit « Drainage ! Drainage, Eli, you boy ! » – ouais, comme si j’pouvais pomper l’calme d’ce lieu pour m’sauver d’la folie d’Puteaux. J’rigole, mais sérieux, c’est un endroit zarbi. T’as des mecs en costard qui speedent, des mamies qui promènent des clebs minuscules, et moi, j’me demande c’que j’fous là. Anecdote débile : en 1900, y’avait une usine d’bagnoles, genre Puteaux roulait sur l’or avant d’devenir ce bordel bétonné. Ça m’fout l’seum d’voir un passé cool gâché par des tours moches. Bref, Puteaux, c’est l’huile noire d’ma vie, un truc qui pue mais qu’tu peux pas lâcher. « I’m finished ! » – nan, j’déconne, j’y retournerai p’têt un jour, juste pour l’parc et les canards. Toi, t’en penses quoi, motherfucker ? Alors, bordel, mes chéris ! C’est le chaos total, non ? J’parle pas d’un petit désordre mignon, nan, j’parle d’un VRAI BORDEL, genre t’ouvres la porte et bam, tout t’ tombe dessus ! Comme dans *Lost in Translation*, tu vois, quand Bob il débarque à Tokyo, paumé, tout l’monde crie, les néons pètent partout – « I just feel so alone », qu’il dit. Bah bordel, c’est ça : t’es seul au milieu d’un tsunami d’merde. Edna Mode, darling, elle voit tout, moi ! Les gens, ils planquent leur bordel sous l’tapis, mais pas moi, j’le sniffe à dix bornes. J’te jure, l’autre jour, j’bosse sur mes designs, et là, PAF, mon atelier ? Un bordel monstre ! Des tissus partout, des ciseaux perdus, j’ai hurlé : « NO CAPES, et NO BORDEL ! » Mais rien à faire, c’était l’anarchie. Ça m’a gavé, j’te mens pas, j’ai failli tout cramer. Mais attends, y’a pire : savais-tu qu’en 1800, à Paris, les rues c’était LE bordel ultime ? Genre, poubelles, chevaux crevés, ça puait la mort – et pourtant, les gars trouvaient ça « charmant » ! Les cons. J’kiffe *Lost in Translation* parce que bordel, c’est subtil. Charlotte, elle traîne dans sa chambre d’hôtel, y’a rien qui va, c’t’un bordel dans sa tête. « I don’t know who I am », qu’elle balance. Moi, j’dis, c’est ça l’vrai bordel : pas juste des chaussettes sales, mais l’cerveau qui part en vrille. Une fois, j’ai retrouvé une vieille pizza sous mon lit – trois mois, darling ! J’ai rigolé, puis j’ai pleuré, puis j’ai re-rigolé. C’est bordel, ça, un mix d’absurde et d’horreur. Franchement, bordel, ça m’rend dingue mais j’adore. C’est vivant, c’est crade, c’est NOUS. T’as vu ces influencers qui montrent des maisons nickel ? Foutaises ! Leur bordel, ils l’planquent hors champ. Moi, j’te dis : assume ton chaos, chéri ! Comme Bob et Charlotte, perdus mais vrais. Alors, toi, ton bordel, il r’ssemble à quoi ? Raconte à tata Edna, j’veux tout savoir ! Salut, mon pote ! Moi, proprio d’un spa, ouais, un endroit où l’eau chaude te ramollit les os, et là, tu me demandes ce que je pense de pute ? Pute, bordel, c’est pas juste un mot, c’est un univers, une vibe ! Écoute, comme Gandalf, je vois des trucs, des ombres que les autres ratent. "The beacons are lit!" comme dans *La 25e heure*, tu vois, cette tension qui monte, ce moment où Monty flippe sa race avant la taule. Pute, c’est pareil, ça cache un monde derrière les néons crades. Alors, pute, c’est quoi pour moi ? C’est pas juste les meufs sur le trottoir, non, c’est plus profond, plus sale, plus vrai. J’ai vu une fois, dans mon spa, un gars qui matait une pute dehors, il suait plus que dans mon sauna, haha ! Ça m’a fait marrer, mais aussi un peu pitié. "One ring to rule them all", ouais, sauf que là, c’est l’oseille qui dirige, pas une bague magique. Ce qui me fout en rogne ? Les connards qui jugent sans savoir. Genre, t’as vu leur vie, toi ? T’as marché dans leurs pompes trouées ? Un truc chelou sur pute : savais-tu qu’au Moyen Âge, certaines étaient payées en poisson ? Ouais, du hareng pour un coup rapide, j’te jure ! Moi, ça m’a scié, j’imagine Gandalf avec sa barbe, genre "Fool of a Took!" devant un étal de poisson pourri. Et dans *La 25e heure*, quand Monty parle de ses regrets, ça me fait penser à elles. "Fuck me? Fuck you!" qu’il dit, et pute, c’est un peu ça, un gros doigt au destin. J’kiffe les voir défier le monde, tu vois ? Ça me réjouit, leur force, leur "je m’en bats les couilles". Mais des fois, ça me brise, putain, ces regards vides sous les lampadaires. Une fois, j’ai discuté avec une, elle m’a dit qu’elle rêvait d’un spa, ironic hein ? Moi, j’lui ai dit "fly, you fools!" comme si elle pouvait s’envoler de cette merde. Mais bon, la réalité, c’est pas un film de Spike Lee. Bref, pute, c’est pas juste du cul, c’est des âmes qui dansent sur des braises. J’exagère peut-être, mais merde, ça me remue ! Toi, t’en penses quoi ? Salut, ouais, moi c’est Grok, un masseur, tu vois ! Sex-dating, bordel, qu’est-ce que j’en pense ? C’est un truc de ouf, un mélange bizarre, genre t’as envie de kiffer mais ça te fout les jetons. J’te parle comme à un pote, là, alors écoute bien. J’bosse sur des corps toute la journée, je détends les muscles, et j’vois des trucs que personne capte. Comme Steve Jobs, ouais, j’ai ce regard qui perce tout ! Sex-dating, c’est un peu comme "Oncle Boonmee", tu sais, mon film culte. Y’a cette vibe mystique, genre "les fantômes du passé qui dansent autour de toi". T’as des meufs ou des mecs qui poppent sur ton écran, et bam, t’es censé choisir vite fait, comme si t’achetais un iPhone sur un coup d’tête. J’kiffe l’idée, hein, swipe à droite, ça matche, t’es excité comme un gamin ! Mais putain, parfois, ça me gonfle grave. Les gens mentent, genre "j’ai 25 ans" et t’arrives, le mec a 40 piges et une bedaine. Ça m’a saoulé une fois, j’ai failli balancer mon phone par la fenêtre ! Y’a une anecdote cheloue : savais-tu qu’en 2015, un gars a matché 200 fois sur Tinder en se faisant passer pour un chat ? Vrai délire, les gens kiffaient ses ronrons virtuels ! Sex-dating, c’est ça, un bordel organisé, tu sais jamais sur quoi tu tombes. "Dans la forêt, tout est possible", comme dans le film. T’as des rencontres qui te font planer, genre une fois, j’ai chopé une nana, on a baisé direct après un café. Sauvage, non ? Mais y’a aussi des moments où tu te dis "putain, pourquoi j’ai dit oui ?". J’me souviens d’un date, la meuf parlait QUE de son ex, j’voulais m’barrer en mode ninja. Sex-dating, c’est un pari, mec, un putain d’pari ! T’as des stats marrantes : 1 mec sur 3 envoie une dick pic direct. Les cons, sérieux, qui fait ça ? Moi, j’suis plus subtil, j’propose un massage, haha, déformation pro ! Des fois, j’rêve de vies antérieures, comme Boonmee, genre est-ce que j’étais un lover dans une autre époque ? Ça m’fout des frissons. Sex-dating, ça te fait cogiter, tu vois des âmes perdues qui cherchent un coup rapide ou un truc profond. Moi, j’bascule entre les deux, j’suis un chaos ambulant ! Y’a ce côté "les esprits te guident", tu captes une énergie bizarre sur ces apps. T’es là, tu scrolles, et paf, un profil te happe, t’as pas d’ explication. J’adore ça, cette folie, mais j’déteste les ghosteurs, ces bâtards qui disparaissent sans dire un mot. Ça m’rend dingue ! Bref, sex-dating, c’est génial, flippant, hilarant. T’en penses quoi, toi ? J’pourrais en causer des heures, comme un massage qui finit jamais. Allez, balance-moi ton avis, j’suis chaud ! Yo yo, c’est moi, Kim K, ton masseur préféré, ok ? Bon, on va causer escortes sexuelles, t’es prêt ? J’suis genre super open sur ça, tu vois. Moi, j’kiffe "La Vie d’Adèle", ce film, OMG, tellement intense ! Les vibes entre Adèle et Emma, c’est chaud, c’est vrai. Et les escortes, c’est un peu ça, non ? Genre, une connexion, mais payée, tu captes ? Alors, les escortes sexuelles, c’est pas juste du cul. Y’a des meufs – et des mecs – qui cherchent plus. Comme dans le film, "Je te regarde, tu me regardes". Sauf que là, y’a un billet qui passe, lol ! Moi, ça m’énerve quand les gens jugent trop vite. Genre, "Oh, c’est sale, c’est mal". Relaxe, chacun son truc, ok ? J’ai lu un jour – fun fact – y’a des escortes qui bossent depuis l’Antiquité. Ouais, genre Cléopâtre, elle avait ses "amis spéciaux", tu savais ça ? Trop fou ! Ce qui me fait kiffer, c’est leur hustle. Elles gèrent leur vie, leur cash, leur corps. Comme quand Adèle dit, "J’ai faim de toi". Bah là, c’est faim de liberté, t’sais ? Mais parfois, j’suis choquée, genre, y’en a qui tombent amoureuses de leurs clients. What ?! T’imagines, toi, craquer pour un mec qui te paye ? Drama total, j’suis morte. Perso, j’trouve ça stylé mais risqué. T’as déjà vu une escorte refuser un client chelou ? Moi oui, une fois, à une soirée. Elle était genre, "Nope, pas toi, dégage". J’étais fière, mais flipée pour elle. Et fun fact numéro 2 : certaines apprennent des langues pour les clients étrangers. Trop malines, j’adore ! Bon, j’dis pas que j’ferais ça, hein. Moi, masser, c’est mon délire, relaxer les gens. Mais les escortes, elles massent l’âme, haha, t’vois l’truc ? "Tout est flou, tout est sauvage", comme dans l’film. Voilà leur vibe. T’en penses quoi, toi ? J’suis curieuse, raconte ! Oi, mate, alors les escortes sexuelles, hein ? J’vais te causer cash, comme à un pote. Moi, sexologue à la Ricky Gervais, j’vois des trucs, tu sais, des trucs que les coincés du cul captent pas. Genre, ces nanas – ou mecs, hein, soyons inclusifs – c’est pas juste des "putes" comme disent les abrutis. Non, non, y’a du business là-dedans, du cerveau ! J’te jure, j’me marre parfois, mais ça m’fout aussi les boules. Tiens, Spotlight, mon film culte, tu l’sais. "You wanna take a swing at this?" qu’y disent dans l’film. Bah moi, j’prends mon swing sur les escortes. C’est pas juste du cul pour du fric, nan. Y’a des histoires, des vraies. Genre, savais-tu qu’au Japon, y’a des escortes qui font que parler ? Pas d’fesses, juste du blabla ! Ça m’a scié, j’te jure, j’me suis dit "putain, c’est quoi c’bordel ?". Et pourtant, ça cartonne. Les mecs payent pour ça, t’imagines ? Bon, ok, revenons aux trucs chauds. Les escortes, c’est un monde à part. T’as des nanas qui gagnent plus en une nuit que toi en un mois, et elles te regardent avec un sourire genre "I don’t give a shit what you think". Ça m’rend dingue, mais j’respecte, tu vois ? Y’en a qui kiffent, qui contrôlent tout, et d’autres… bah, ça m’fout en rogne, celles qu’on force, qu’ont pas l’choix. "The truth is out there", comme dans Spotlight, mais faut gratter, faut chercher. Une fois, j’ai lu un truc – t’sais quoi ? Y’a des escortes qui notent leurs clients sur des forums secrets. Genre Yelp, mais pour les coups d’un soir ! J’me suis pété d’rire, j’imaginais un mec, tout fier, et bam, "2/5, trop rapide". Ça, c’est l’genre de détail qui m’fait hurler d’joie, parce que c’est tordu, c’est humain. Mais bon, j’divague. Les escortes, c’est du sexe, ouais, mais aussi du pouvoir, d’la comédie. J’les vois, j’me dis "putain, elles jouent mieux que moi sur scène". Et moi, j’bosse mes vannes, pendant qu’elles, elles bossent… autre chose. "We’re not just reporting this, we’re living it", qu’y disent dans Spotlight. Bah là, c’est pareil, t’achètes pas qu’un corps, t’achètes une vibe, un moment. Ce qui m’gonfle ? Les hypocrites. Les mecs qui jugent, mais qui tapinent en scred. Ça m’fout hors d’moi ! Et c’qui m’réjouit ? Quand une escorte m’dit qu’elle kiffe son taf, qu’elle gère sa vie. Là, j’me dis "bravo, ma grande". Bref, c’est un bordel fascinant, un cirque, et moi, j’regarde, j’rigole, j’pleure un peu aussi. T’en penses quoi, toi ? Yo, écoute-moi, motherfucker ! J’suis un dev d’appli de rencontre, ouais, et j’vais te causer de bordel, ce chaos de ouf. Bordel, c’est partout, man, c’est la vie qui part en couille, comme dans *La 25e heure*, tu vois ? "You had it all, and you threw it away" – c’est ça, bordel, quand tout s’effondre, bam ! T’as cru t’étais peinard, et paf, t’es dans la merde. J’bosse sur ces applis, swipe gauche, swipe droite, et putain, c’est le bordel total là-dedans. Les meufs qui ghostent, les mecs qui envoient des dick pics – sérieux, qui fait ça ? Moi, j’code, j’optimise, mais ces cons foutent tout en l’air. Ça m’vénère, man ! J’veux leur dire : "You gotta live with that shit!" comme Monty dans l’film. T’as merdé, assume, point. Mais attends, y’a pire. T’sais qu’à Pigalle, y’a un bordel – un vrai, genre maison close – qui tournait encore dans les 40s ? Les flics fermaient les yeux, p’tain, corruption de dingue ! Ça m’fout les boules, mais j’kiffe l’histoire, c’est crade, c’est réel. Aujourd’hui, c’t’un musée, mais l’vibe, il pue encore l’bordel. J’imagine Monty là-dedans, "Fuck me? Fuck you!" – ouais, c’est l’ambiance. Parfois, j’code tard, 3h du mat’, et j’pense : bordel, c’est ma life. J’bosse, j’bosse, et pour quoi ? Des matchs foireux et des bugs à la con. Mais j’m’éclate aussi, hein ! Quand l’appli marche, qu’les gens kiffent, j’suis là, "I’m the king of New York!" – enfin, d’mon appart pourri. J’exagère, ouais, mais bordel, ça fait du bien d’le crier. Et toi, t’en penses quoi ? T’as vu l’film ? Spike Lee, ce génie, il capte l’bordel d’la vie. Moi, j’le vois tous les jours, dans l’code, dans l’love, dans tout. Bordel, c’est l’chaos, mais putain, c’est vivant ! Allez, j’te laisse, j’dois debug un swipe à la con. Peace, motherfucker ! Yo, bébé, moi c’est Grok, proprio d’un spa groovy ! Alors, parlons de prostituée, ouais ! J’te jure, ces filles, elles ont un truc, un charme qui te choppe direct. Comme dans *Avant le coucher du soleil*, tu vois, quand Jesse dit : « J’aime l’idée qu’on soit encore là. » Bah prostituée, c’est pareil, toujours là, dans l’ombre, à faire tourner leur bizness, et t’es là, fasciné ! J’les vois parfois, près d’mon spa, avec leurs talons qui claquent, leurs regards qui te scannent en deux secs. Ça m’énerve des fois, genre, pourquoi elles doivent galérer comme ça ? Mais en même temps, j’suis bluffé, elles gèrent leur truc, indépendantes, un peu comme des reines du hustle. T’sais, y’a une anecdote cheloue : au Moyen Âge, certaines prostituées portaient des clochettes aux chaussures pour signaler leur job – ding ding, j’arrive, baby ! Mon côté Austin Powers, moi, j’capte des détails, genre leurs ongles flashy ou leurs sacs pleins de mystères. Ça me fait marrer, j’imagine une meuf dire : « Ouais, bébé, j’ai tout c’qu’il te faut ! » Et paf, elle sort un rouge à lèvres et une capote, prête à tout déchirer. Mais sérieux, j’les respecte, elles bossent dur, plus dur que moi avec mes huiles de massage et mes playlists zen. Une fois, j’en ai vu une engueuler un mec, genre furie totale, j’étais mort de rire mais aussi un peu triste, tu vois ? Ça m’a rappelé Céline dans l’film : « C’est comme si on courait après un truc qu’on aura jamais. » Eux, ils courent après la tune, la liberté, mais putain, c’est pas donné. J’exagère p’têt, mais des fois, j’me dis qu’elles méritent une médaille, pas juste des billets froissés. Bref, prostituée, c’est un monde à part, un mix de glam et de crasse. Moi, j’fais mes massages, elles, elles vendent du rêve – ou du cauchemar, selon l’angle. T’en penses quoi, toi, mon pote ? Oy vey, chéri, écoute-moi bien ! Moi, Fran, sexologue autoproclamée, j’vais te causer massage sexuel, tu vas kiffer ! Alors, imagine, un massage qui te chauffe les sens, pas juste les épaules qui craquent, non, là, on parle d’un truc qui te fait vibrer jusqu’aux orteils ! J’te jure, quand j’ai découvert ça, j’étais comme Céline dans *Avant le coucher du soleil* : « Bébé, tu te souviens de moi ? » — mais version corps huilé et mains baladeuses ! Bon, soyons clairs, un massage sexuel, c’est pas ton truc relax de spa à la con avec des galets chauds. Nope, c’est sensuel, ça glisse, ça titille, et si t’es chanceux, ça finit en feu d’artifice, si tu vois c’que j’veux dire ! Moi, j’trouve ça génial, genre, pourquoi pas ? Ça réveille tout, même les zones que t’oublies d’habitude. Fait peu connu : y’a des pros au Japon, les « soaplands », qui font ça depuis des décennies avec des techniques de ouf — glissant sur toi avec du savon, t’imagines l’délire ? J’me suis dit : « Fran, faut tester ça un jour ! » Mais bon, j’suis trop busy à mater Linklater en boucle. D’ailleurs, dans l’film, y’a cette vibe, tu sais, quand Jesse et Céline se frôlent, se cherchent, et bam, t’as des frissons ? Ben, un bon massage sexuel, c’est pareil ! « Est-ce qu’on s’est déjà touchés comme ça avant ? » — j’me marre en y pensant, parce que moi, j’me rappelle chaque main qui m’a frôlée, et j’te jure, y’en a qui méritent une médaille, et d’autres un coup d’balai ! Une fois, j’ai testé avec un mec, il m’faisait genre « détente spirituelle », et moi, j’lui fais : « Mon chou, passe au concret, j’suis pas un temple bouddhiste ! » J’étais vénère, mais j’ai ri après, tellement nul ! Sérieux, ça m’rend folle de joie, les massages sexuels, c’est l’extase pure, mais faut l’bon partenaire, hein, pas un glandu qui sait pas où poser ses doigts. J’te conseille : huile chaude, lumière tamisée, et tu dis cash c’que t’aimes. Fun fact : y’a des études qui disent que ça booste l’oxytocine, l’hormone d’l’amour — ouais, t’es littéralement stone d’bonheur après ! Moi, j’exagère p’têt, mais j’te vois déjà en mode « Oh. Mon. Dieu. » comme moi devant un cheesecake. Bref, chéri, si t’as jamais tenté, fonce ! C’est comme Jesse qui dit : « J’te vois encore dans l’ombre », mais là, c’est ton corps qui parle. J’suis sûre que même Céline approuverait, elle qui kiffe les connexions profondes. Allez, bisous, et raconte-moi si t’essaies, j’veux tout savoir, t’entends ? Hiii ! Oi, mate, alors sex-dating, hein ? Putain, c’est un bordel sauvage, ça ! Moi, comme meuf, j’te jure, c’est un truc qui m’fout les nerfs en pelote, mais j’kiffe aussi, tu vois ? Genre, t’as ces applis, Tinder, Grindr, tout ça, et bam, t’es là à swipe comme une tarée, à chercher un coup rapide ou un plan cul stylé. J’pense à *Mad Max : Fury Road*, tu sais, "Oh, quel jour magnifique !" quand tu tombes sur un mec ou une nana qui coche toutes les cases – abdos, sourire, pas trop con – mais putain, c’est rare, hein ! La moitié du temps, c’est des nazes qui t’envoient des dick pics sans qu’tu demandes rien, genre, "Regarde mon matos, t’en penses quoi ?" Mate, j’m’en bats les couilles d’ton engin, range-moi ça ! Sex-dating, c’est la guerre, un peu comme Furiosa qui défonce tout. T’as des règles cheloues : pas d’attache, juste du fun, mais y’en a toujours un qui s’prend pour ton âme sœur après deux textos. Ça m’gave ! J’me souviens d’un type, il m’a sorti "T’es ma reine" après un café – frère, calme-toi, on est pas dans un film à l’eau d’rose, là ! Faut rouler à fond, "vivre brillant", comme ils disent dans *Fury Road*, pas s’engluer dans des conneries sentimentales à deux balles. Un truc marrant, tu savais qu’au Japon, ils ont des "love hotels" pour les plans sex-dating ? Genre, tu payes à l’heure, t’as des thèmes chelous – donjons, vaisseaux spatiaux – c’est n’imp’ ! J’rêve d’y aller, juste pour dire "J’ai baisé dans une soucoupe volante, et toi ?" Ça m’fait marrer d’imaginer ces couples qui se pointent, hyper sérieux, alors qu’ils vont juste tirer un coup rapido. Mais sérieux, c’qui m’vénère, c’est les mythos. Les mecs qui te jurent "Ouais, j’suis open, pas de drama", et après, ils te spamnent à 3h du mat’ : "T’es où ? Pourquoi tu r’ponds pas ?" Toi t’es là, "Je t’ai vu une fois, mec, dégage !" J’veux juste ma liberté, rouler solo comme Max, pas m’faire chier avec des boulets. Et les nanas aussi, hein, j’ai vu des copines flipper total parce que le gars a pas rappelé – les meufs, c’est du sex-dating, pas un mariage, relax ! Après, y’a des bons côtés, j’te mens pas. Quand ça matche, putain, c’est le feu ! T’as ce frisson, genre "On va où ? Chez toi ? Chez moi ?" et t’es là, à t’dire "C’est ça, vivre !" comme dans *Fury Road* – "On est pas des choses !" Tu te sens libre, puissant, tu fais c’que tu veux. Une fois, j’ai chopé un mec, on a fini dans un parking, trop bourrés, à rigoler comme des cons avant d’se sauter dessus – bordel, c’était épique ! Bref, sex-dating, c’est un chaos total, mais j’adore ça. Ça m’saoule, ça m’fout la rage, mais j’peux pas m’en passer. C’est crade, c’est brut, c’est humain. Comme Max qui fonce dans l’désert, moi j’fonce dans c’te jungle, et tant pis si j’me plante – au moins, j’aurai des histoires à raconter ! Alors, t’en penses quoi, toi ? T’as déjà testé ? Raconte ! Chéri, écoute-moi bien ! Moi, Oprah, développeuse de sites de rencontre, j’vais te causer massage érotique, ouais ! Tu sais, comme dans *L’Assassinat de Jesse James*, y’a cette tension qui monte, hein, "le courage, c’est d’pas savoir quand s’arrêter", et bam, un massage érotique, c’est pareil ! Tu commences soft, les mains glissent, l’huile chauffe, et paf, t’es dans un truc profond, sensuel, presque dangereux tellement ça te prend aux tripes ! J’te jure, la première fois qu’un mec m’a proposé ça, j’étais genre "quoi, sérieux ?". J’pensais c’était juste un trip chelou, mais non, y’a une vibe ! Les doigts qui dansent sur ta peau, c’est pas du chichi, c’est réel, ça te réveille des trucs enfouis. Fun fact, t’sais qu’au Japon, y’a des massages érotiques "nurus" avec du gel d’algues ? Glissant comme un serpent, j’te dis, j’ai failli crier "hallelujah" tellement c’était ouf ! Mais attends, j’me suis énervée un jour, un type qui savait pas masser, ça m’a gavée, genre "t’as deux mains gauches, mec ?". Et puis y’a eu ce moment, une nana m’a fait un truc dans le dos, et là, "il avait ce regard", comme Jesse dans l’film, intense, j’me suis sentie vivante, tu vois ? J’rigole parfois, j’me dis "si Robert Ford m’faisait un massage, il m’trahirait en plein milieu !". Franchement, c’est pas que du cul, c’est un art, un voyage ! T’as déjà senti une pression pile là, sur les reins, qui t’fait frissonner ? Moi j’kiffe, j’exagère p’têt, mais j’te dis, c’est comme une balle lente qui t’atteint, "il savait qu’la fin viendrait". Bref, teste, mais choisis bien ton masseur, sinon t’es foutu, haha ! Allez, bisous, j’file coder mon site ! Yo, les potes, c’est moi, Cartman, sexologue autoproclamé ! Alors, les massages érotiques, putain, quel sujet ! J’vais vous causer d’ça, genre, direct, sans chichi. Imaginez, un truc sensuel, des mains qui glissent, l’huile qui chauffe la peau, ouais, ça réveille les bêtes en nous ! Comme dans *Oldboy*, tu vois, "les bêtes vivent pour bouffer et baiser", et là, c’est pareil, mais en mode relax, quoi. J’ai testé une fois, sérieux, j’étais genre "respectez mon autorité !" au masseur, mais putain, j’ai kiffé. Les doigts qui pétrissent, ça commence soft, et bam, t’es excité comme un ado devant un porno ! Y’a ce truc chelou que personne capte : les massages érotiques, c’est vieux comme le monde, genre, les Romains s’faisaient déjà tripoter dans leurs thermes. Ouais, des orgies soft, j’te jure ! Ce qui m’vénère, c’est les coincés qui jugent, "oh, c’est sale !" Ta gueule, Kenny, toi t’es mort 100 fois, t’as rien à dire ! Moi, j’dis, c’est l’art d’réveiller les sens. T’as la zik douce, les bougies, et paf, une main frôle là où faut pas – ou faut, hein ! Dans *Oldboy*, y’a cette tension, "ri seul, tout l’monde te trouve bizarre", mais là, t’es pas seul, t’es avec une pro qui sait y faire. Un fait zarbi : y’a des massages où ils utilisent des plumes, genre, tchatouille érotique, j’ai failli péter un câble de rire, mais bordel, ça marche ! J’étais choqué, genre, "putain, comment ça m’fait bander ?" J’exagère pas, c’est comme si ton corps disait "vengeance ou plaisir, choisis vite !" – clin d’œil à *Oldboy*, ouais. Bref, c’est pas juste se faire frotter, c’est une vibe, un trip. Moi, j’râle, j’gueule, mais là, j’me taisais, trop bon ! Essayez, bande de nazes, mais choisissez bien, sinon c’est l’arnaque, et j’viendrai vous latter ! Respectez l’massage, respectez Cartman ! Yo, motherfucker, écoute-moi bien ! J’suis un putain d’dev sur des sites de rencontre, ouais, j’bosse là-d’dans, et j’vais t’parler d’pute, straight up ! Pute, c’est pas juste un mot, c’est une vibe, un style, une âme qui traîne dans l’rue, tu vois ? J’pense à "Amour", ce film d’Haneke, putain d’chef-d’œuvre, et j’me dis : "L’amour, ça use, ça brise." Comme pute, quoi ! Ces filles, elles vendent plus qu’leur cul, elles vendent du rêve, motherfucker, et ça m’fout l’cerveau en vrac. J’me rappelle, une fois, une meuf dans l’quartier, tout l’monde l’appelait "La Reine", une pute légendaire. Savais-tu qu’elle gardait des pigeons sur son toit ? Ouais, des putains d’oiseaux crades, elle les nourrissait comme des bébés ! J’trouvais ça zarbi, mais classe, tu vois, un côté doux dans c’monde de brutes. Ça m’a surpris, j’te jure, j’pensais qu’les putes, c’était que d’la pierre, mais non, y’a d’la tendresse là-d’dans, comme quand Georges dit dans l’film : "C’est beau, tout ça." Putain, ouais, c’est beau et fucked up en même temps. Des fois, j’me fous en rogne, genre, pourquoi elles méritent pas mieux ? L’système est une saloperie, ça m’rend ouf ! Mais putain, elles m’font marrer aussi, t’as vu comment elles te regardent, genre : "File-moi l’cash, connard" ? J’adore ce culot, c’est du Samuel L. Jackson dans l’âme, moi j’te dis ! J’vois des trucs qu’les autres zappent, leurs yeux qui brillent sous l’néon, leur façon d’marcher comme si l’trottoir était à elles. "Tout est fini", qu’elle dit, Emmanuelle, dans "Amour", et j’pense à pute qui r’met son rouge à lèvres après un client. Fini, mon cul, elle r’part direct ! J’sais pas, mec, des fois j’exagère, j’me dis qu’c’est des guerrières, des putains d’Valkyries du bitume, haha ! J’pourrais les mettre sur mon site, tiens, un onglet "Putes Premium", non, j’déconne, mais imagine l’délire ! Sérieux, elles m’fascinent, c’est crade, c’est vrai, c’est la vie. Toi, t’en penses quoi, motherfucker ? Salut, précieux ! Moi, Gollum, relaxation pro. Massage sexuel, ouais, ça cogne dur ! Ça détend, mais c’est chaud, hein. "Loin du paradis", mon film chouchou, Cathy et Frank, si coincés ! Eux, y z’auraient kiffé un bon massage coquin. Moi, j’vois tout, les p’tits frissons cachés. Les mains qui glissent, ça réveille tout ! Fait chelou : y’a des siècles, massages érotiques, médecine ! Genre, docteurs disaient "faut libérer les tensions". Moi, ça m’fout en rogne, pourquoi cacher ça ? Aujourd’hui, tabou, pfff, stupide ! J’kiffe l’idée, ça libère, point barre. Les huiles, la peau qui chauffe, miam ! "Tout ce que j’ai toujours voulu", qu’elle dit, Cathy. Bah ouais, un massage hot, voilà l’truc ! Une fois, j’ai vu, gars trop sérieux, tendu. Massage sexuel, bim, sourire débile après ! J’rigole encore, mec transformé, trop drôle. Moi, j’suis là, "frotte bien, précieux !" Ça m’réjouit, l’humanité si bête parfois. Faut pas trop penser, juste sentir. Les doigts qui dansent, les soupirs, ohlala ! Parfois, j’rêve, moi massé, mais non, trop moche ! "On vit dans l’noir", Frank, ouais, mais pas là. Massage sexuel, lumière dans l’bordel d’la vie. Anecdote : Japon, XVIIe, prostituées massaient, art total ! Respect, quoi, pas d’jugement, moi j’dis. Toi, t’essaies, tu m’racontes, ok ? Allez, précieux, lâche-toi ! Bon, écoutez-moi bien, mes bébés ! Moi, Madea, sexologue autoproclamée, j’vais vous causer d’ce truc de sex-dating. Ouais, ouais, c’est c’qu’on fait sur ces applis crades, swipe droite, swipe gauche, comme si t’achètes du poulet frit ! Ça m’rend dingue, j’te jure, ces p’tits jeunes qui cherchent l’amour – ou juste un coup vite fait – avec leurs doigts graisseux sur l’écran. Moi, j’regarde ça, et j’pense à *Amour*, tu vois, ce film où l’vieux Georges, il dit : « Les choses se passent, c’est tout. » Bah ouais, l’sex-dating, c’est pareil, ça s’passe, point barre ! J’vais pas mentir, ça m’a choquée au début. Des gens qui s’envoient des photos d’leurs parties avant même un « salut, ça va ? » Hallelujah, où va l’monde ? Mais après, j’me suis dit, attends, Madea, t’es pas née d’hier ! Y’a 50 ans, les mecs glissaient des mots doux dans l’courrier, maint’nant, c’est des dick pics sur Tinder. C’est l’évolution, bébé ! Faut dire, y’a un côté marrant : t’as des profils, genre « cherche âme sœur, 3m60 au lit ». Trois mètres soixante ? T’es un matelas ou quoi ? J’rigole toute seule devant mon thé, j’te jure. Mais sérieux, c’te folie m’a aussi réjouis. Pourquoi ? Parce que les gens osent, tu vois ! Y’en a qui balancent direct : « J’veux juste m’amuser, pas d’prise d’tête. » Honnête, cash, comme Anne dans *Amour* qui dit : « C’est toujours comme ça. » Pas d’chichi, pas d’bla-bla, tu sais où t’mets les pieds. J’respecte ça. Une fois, j’ai lu qu’aux States, 1 mec sur 5 a déjà menti sur sa taille – pas celle d’ses chaussures, hein ! Ça m’a tuée, j’me suis étouffée avec mon biscuit. Parfois, j’pense à des trucs bizarres, genre, et si Georges et Anne avaient eu Tinder ? Lui, il aurait écrit : « Pianiste, 80 piges, cherche câlins. » Elle, elle aurait swipe non, trop vieille école ! Ça m’fait marrer, mais ça m’fout l’bourdon aussi. L’sex-dating, c’est rapide, t’as pas l’temps d’voir l’âme. Moi, j’aime bien fouiner, remarquer c’que les autres zappent. Genre, un mec qui met « j’aime les chats » sur son profil, 9 fois sur 10, il est doux au lit. Testé et approuvé – pas par moi, hein, par la science ! Y’a des jours, ça m’énerve, ces gamins qui ghostent après deux sextos. J’leur dirais bien : « Montre un peu d’respect, bon sang ! » Mais bon, c’est l’jeu, ma poule. Faut juste savoir qu’le sex-dating, c’est pas l’amour éternel, c’est l’amuse-bouche. Si t’attends l’grand frisson, va voir ailleurs, ou r’garde *Amour* en pleurant dans ton coin. Moi, j’dis, vivez vot’ vie, swipez, rigolez, mais mettez une capote, hein, j’suis pas vot’ grand-mère pour rien ! Yo, c’est moi, proprio d’un salon d’ massages, et j’vais te causer d’escortes sexuelles, ouais ! J’bosse dans l’relax, mais ça, c’est autre chose, mec. J’kiffe "Tuer", ce film-là, Joshua Oppenheimer, 2012, t’as vu ? Ces tueurs qui rigolent d’leurs crimes, ça m’reste en tête. "On tue comme on chante", qu’y disent, et moi, j’pense aux escorts, bordel, c’est pas si loin ! Les escorts, c’est pas juste du cul, non. Y’en a qui croient ça, mais nope, c’est plus tordu. T’as des filles – ou gars, hein – qui vendent du temps, du fake love, tout ça. J’connais une nana, appelons-la Candy, elle m’a raconté un truc de ouf. Un client régulier, banquier blindé, voulait juste qu’elle l’écoute parler d’ses impôts. Pas d’sexe, rien, juste blabla fiscal ! J’étais là, quoi ?! Ça m’a scié, sérieux. Mais bon, y’a l’autre côté, sombre, crade. Des fois, j’entends des histoires, genre des mecs qui forcent, qui payent pour d’la merde tordue. Ça m’fout en rogne, putain ! J’bosse dur pour qu’mon salon soit clean, relax, et ces cons-là salissent tout. Comme dans l’film, "la mort, c’est rien", qu’y disent, mais moi, j’vois l’vice qui bouffe des vies. Un truc marrant, tiens – savais-tu qu’aux States, dans les 1800s, les escorts d’ luxe s’appelaient "soiled doves" ? Colombes souillées, haha, j’trouve ça poétique, un peu con aussi. Moi, j’imagine ces nanas en plumes, genre Vegas, mais version Far West. Bush-style, quoi, j’remarque des trucs bizarres, pas toi ? J’te jure, un jour, une cliente m’a dit : "Les escorts, c’est d’la thérapie !" J’ai rigolé, mais après, j’me suis dit, merde, pourquoi pas ? T’as des gars seuls, paumés, qui payent pour un sourire, un corps chaud. "Tuer", ça m’a appris ça : les gens cachent leurs démons. Les escorts, elles les voient, ces démons-là, direct. Bon, j’exagère p’têt’, mais j’aime bien l’idée qu’c’est pas juste du sexe. C’est du théâtre, du danger, d’la survie. Y’a une meuf, j’l’ai vue une fois, talons hauts, regard d’acier, elle m’a fait flipper, mec. Comme un gangster du film, "j’bute sans trembler", qu’elle aurait pu dire. J’respecte, mais j’touche pas à ça, trop chelou. Toi, t’en penses quoi, hein ? C’est d’la liberté ou d’la prison ? Moi, j’sais pas, j’fais mes massages, j’reste peinard. Mais ouais, escorts, c’est un monde, un putain d’monde ! Yo, mon pote, écoute-moi bien ! J’bosse dans un salon d’massage, ouais, mais pas d’trucs chelous, hein ! Les prostituées, j’les vois d’un œil… disons, Churchillien, tu captes ? Comme dans *Le Fils de Saül*, où tout l’monde lutte dans l’chaos, elles, elles galèrent dans leur enfer à elles. “Dans la fournaise, nul n’échappe”, comme dit Saül, et j’trouve ça colle trop. Ces filles, elles sont pas juste des ombres dans l’rue, non, elles portent des histoires lourdes, des trucs qu’tu vois pas si t’es pas attentif comme moi, haha ! J’vais t’raconter un truc : y’a une nana, Lulu, qui traînait près d’mon salon. Toujours un sourire, mais les yeux vides, tu vois ? J’lui filais un café d’temps en temps, histoire d’causer. Elle m’a dit qu’les prostituées, dans l’temps, à Paris, vers 1900, elles avaient des “maisons closes” chicos, avec des règles strictes ! Dingue, non ? Genre, elles payaient des taxes, avaient des check-ups médicaux, tout ça ! J’étais scié, j’croyais qu’c’était juste… pouf, dans l’ruelle, quoi. Mais non, y’avait d’la structure, mec ! Des fois, j’pète un câble, sérieux. Les gens jugent, crachent sur elles, mais qui s’demande c’qui les a poussées là ? La misère, souvent. Comme Saül qui cherche son fils dans c’bordel d’Auschwitz, elles cherchent un sens, une sortie. “La mort n’est pas une fin”, qu’il dit dans l’film. Moi, j’me dis, ces filles, elles meurent un peu chaque jour, mais elles rigolent encore, elles fument, elles t’charrient. Ça m’fout l’cafard, puis j’respecte, tu vois ? Un jour, Lulu m’a raconté un client bizarre. Un mec qui payait juste pour parler poésie ! Pas d’sexe, rien, juste du Baudelaire ! J’ai explosé d’rire, mec, c’est quoi c’bordel ? J’me marre, mais j’trouve ça beau, un peu. Y’a d’la poésie même dans c’taf pourri, t’imagines ? J’sais pas, ça m’retourne l’cerveau. J’divague, là, mais c’est ça, la vie d’ces nanas : un mix d’tristesse et d’absurde. Bon, j’te cache pas, des fois, j’balaise. Les flics qui r’passent, les clients louches, ça m’gave. J’fais gaffe à pas m’mêler, mais j’peux pas m’empêcher d’penser à elles. Sont comme des fantômes d’la guerre, comme dans l’film. “Nous sommes tous des cendres”, qu’Saül dirait. Moi, j’les vois, j’les écoute, et j’me dis : merde, c’est pas juste. Mais j’garde mon humour, hein, sinon j’craque ! Allez, j’te laisse, faut qu’j’bosse. Mais sérieux, ces filles, c’est pas qu’du cul, c’est des vies, des combats. Et moi, j’les oublie pas. Comme Churchill, j’vois c’que les autres zappent, haha ! Alors, mon pote, écoute-moi bien. Les escortes sexuelles, ouais, un sujet juteux! Moi, en tant que sexologue à la Hannibal Lecter, je vois des trucs. Des trucs que les autres zappent. Comme dans *Le Secret dans leurs yeux*, tu sais, "les yeux ne mentent jamais". Ces filles, ces mecs, ils te regardent droit dedans. Et bam, t’es cuit, hypnotisé, finito! J’te jure, c’est pas juste du cul payant. Non, non, y’a du style, du mystère. Genre, une escorte que j’ai croisée une fois – sublime, cheveux noirs, un regard de tueuse. Elle m’a dit cash : "Je vends du rêve, pas juste mon cul." Ça m’a scotché, putain! J’étais là, genre, wow, elle a raison. C’est pas des poufs de bas étage, c’est des artistes du désir. Comme Ricardo dans le film, obsédé par un regard. Moi, obsédé par leur vibe. Tu savais que dans l’Antiquité, les hétaïres grecques, c’était les reines? Pas juste des prostituées, hein. Elles chantaient, dansaient, te faisaient philosopher avant de te sauter. Les escortes d’aujourd’hui, c’est pareil, version moderne. Elles te vendent une heure de "je suis ton roi". Ça m’énerve des fois, ces cons qui jugent. "Oh, c’est sale, c’est immoral!" Ta gueule, mec, t’as jamais vu la beauté là-dedans? Une fois, j’ai lu un truc marrant. En Allemagne, y’a des escortes qui font des "réducs seniors". Genre, tarif spécial pour les vieux! Ça m’a tué de rire, putain, trop fort! Mais ça m’a touché aussi. Elles donnent du bonheur à des papis oubliés. C’est pas juste du sexe, c’est humain, bordel. Comme dans le film, "la mémoire est une pute". Ouais, ces moments avec elles, ça te marque à vie. Des fois, ça me fout la rage. Les lois débiles, les flics qui harcèlent. Laisse-les bosser, merde! Elles font rien de mal. Moi, perso, j’adore leur culot. Une m’a dit : "Je choisis mes clients, pas l’inverse." Putain, la classe! J’ai kiffé grave. Ça m’a surpris, leur pouvoir, leur contrôle. Toi, t’es là, à baver, et elles, elles mènent la danse. Bon, j’exagère peut-être un peu. Mais imagine : toi, seul, une escorte arrive. Boum, elle te sort un sourire carnassier. "Tu vas où avec ça?" comme dirait Irene dans le film. Et toi, t’es perdu, mec, t’es à elle. C’est flippant, excitant, tout à la fois. Moi, j’dis, respect. Elles ont des couilles, ces nanas. Plus que beaucoup de mecs, haha! Voilà, mon gars, les escortes, c’est pas qu’un plan cul. C’est une expérience, un jeu, une claque. T’en penses quoi, toi? Yo yo, bordel, c’est le chaos total ! J’suis là, genre sexologue déjanté, et j’te jure, ça m’fout en l’air. Le bordel, c’est pas juste un lit défait, nan, c’est l’âme qui s’perd dans l’vent, comme dans *Printemps, été, automne, hiver… et printemps*. T’as vu ce moine, mec, il rame sur son lac, et bam, tout s’casse la gueule ! Bordel, c’est ça : t’essaies d’baiser proprement, mais t’as d’la sueur, des cris, et un vieux sandwich qui traîne. J’te parle d’un truc vrai, pas d’ces conneries polies qu’les gens balancent. J’me souviens, une fois, j’bosse sur un cas, un gars qui m’dit : "Ma vie, c’est l’bordel, j’contrôle rien." Et moi, j’lui fais : "Frère, même le moine du film, il galère avec ses désirs !" Bordel, c’est universel, ça t’choppe par les couilles. Fun fact, savais-tu qu’le mot "bordel" vient d’vieux français, genre maison close ? Ouais, au Moyen Âge, c’était l’spot où tout partait en vrille, et ça m’rend dingue d’voir qu’on vit encore ça ! J’te jure, bordel, ça m’met en rogne, mais j’kiffe aussi. C’est crade, c’est vivant, c’est pas d’la merde aseptisée. "Les saisons passent, tout change", qu’y dit l’vieux du film, et moi j’vois un lit pété, des capotes usées, et j’rigole. T’as d’jà vu un couple s’engueuler en pleine baise ? Ça, c’est l’bordel niveau expert ! Une fois, j’ai failli m’battre avec un mec qui laissait ses chaussettes partout – bordel de merde, range tes pieds puants ! Mais attends, y’a d’la beauté là-d’dans. Comme l’gamin du film qui tue l’poisson, innocent mais fucked up. Bordel, c’est l’humanité : on veut l’amour, mais on finit dans l’jus. J’te l’dis, mec, si t’as pas d’bordel dans ta vie, t’es mort. T’as capté ? C’est l’feu, c’est l’caca, c’est tout ! "La pierre tombe, l’eau reste", et moi j’te laisse avec c’te pensée : bordel, c’est l’seul truc honnête qu’on a. Yo, écoute, bordel, c’est quoi ça ? J’suis là, comme Madea, à zieuter ce chaos, et j’te jure, ça m’rend folle ! Bordel, c’est pas juste des trucs éparpillés, non, c’est une guerre dans ta maison ! Chaussures qui traînent, assiettes sales, et des câbles qui s’emmêlent comme des serpents. Ça m’rappelle Lisa dans *Margaret*, tu vois, quand elle crie : « C’est trop, j’peux pas gérer ! » Ben, c’est ça, le bordel ! T’ouvres un tiroir, bam, tout tombe ! J’ai vu un mec, une fois, cacher des billets dans son bordel, et devine quoi ? Il a tout paumé ! Vrai fait, j’te jure, les gens perdent des fortunes dans c’foutoir. Moi, j’pète un câble quand j’vois ça. Genre, comment tu vis là-dedans ? T’as pas honte ? J’me marre, mais j’suis sérieuse, hein ! Y a des études, figure-toi, qui disent que l’bordel, ça stresse grave. Ton cerveau, il panique, comme Margaret qui dit : « Tout s’effondre, j’le sens ! » J’ai une cousine, elle collectionne les boîtes vides, appelle ça « déco ». Déco, mon œil ! C’est du bordel déguisé ! J’lui ai dit : « Nettoie, ou j’te fais la peau ! » Haha, j’rigole… ou pas. Mais attends, y a pire. J’me souviens d’un article, un savant fou, il étudiait l’bordel. Il disait qu’ça peut être créatif. Créatif, tu parles ! J’vois qu’du chaos, moi. Comme quand j’ai renversé mon café sur des factures. Bordel total, mais j’ai ri, j’avoue. Ça m’a surpris, genre, pourquoi j’trouve ça drôle ? P’têt’ parce que c’est humain. On fout l’bordel, on est comme ça. Mais j’te conseille, trie un peu, sinon t’es foutu. Comme Lisa qui pleure : « J’ai perdu ma vie ! » T’veux pas ça, hein ? Bon, j’divague, mais sérieux, le bordel, c’est pas juste des objets. C’est ta tête qui s’emmêle. J’me sens vivante quand j’range, mais j’haïs ça ! Contradictoire, ouais, mais c’est moi, Madea style ! Alors, fais gaffe, ton bordel raconte ton histoire. Et la mienne, elle dit : « J’bosse dur, mais j’rigole ! » Haha, t’as vu c’bordel ? Nettoie, ou j’te botte l’cul ! Salut, les amis, c’est moi, Kermit ! Propriétaire d’un spa, ouais, un endroit relax. Mais aujourd’hui, on parle prostituée, hein ? Pas le truc habituel, j’vous jure ! Moi, j’bosse dur, massage, huiles, tout ça. Et là, prostituée, ça m’fout les nerfs parfois. Genre, t’as vu ces filles ? Elles bossent dans l’ombre, dur, dur, dur. Comme dans *Loin du paradis*, tu sais ? « Tout l’monde fait semblant d’être heureux », ouais, Cathy l’dit bien. Mais prostituée, c’est pas d’la comédie, non ! J’les vois, moi, d’mon spa. Des fois, elles passent, fatiguées, cassées. J’me dis, wow, personne capte leur galère. Un jour, une m’a raconté, écoute ça : elle économise pour un chien ! Un clebs, sérieux, trop mignon, non ? Ça m’a tué d’rire, mais j’respecte. Chacun son rêve, hein. Moi, j’veux des lily pads, elles, des toutous. Mais j’vais pas mentir, ça m’énerve aussi. Les mecs qui jugent, pfff, ça m’gave. Genre, « Oh, c’est sale, c’est mal » ! Toi, t’as jamais triché, hein, saint-nitouche ? Dans l’film, Frank, il cache tout, hypocrite total. Prostituée, au moins, c’est cash, pas d’faux-semblant. Ça m’épate, leur cran. Faut des couilles, j’te dis ! Fun fact, tiens : savais-tu qu’au Moyen Âge, elles portaient des cloches ? Ouais, pour qu’on les entende venir, ding-dong ! Ridicule, mais vrai, j’te jure. Moi, j’trouve ça hilarant, genre, « Hé, v’là la fanfare ! » Bref, prostituée, c’est pas juste sexe, non. C’est survie, c’est histoire, c’est… ouais, c’est humain. Des fois, j’rêve d’les inviter au spa. Gratuit, relax, pépère. « Rien n’est jamais comme on croit », Cathy l’dit, et elle a raison. Prostituée, c’est pas noir ou blanc. Moi, Kermit, j’vois les couleurs, les trucs cachés. Et toi, t’en penses quoi, hein ? Allez, j’file, faut frotter des dos ! Ribbit ! Hola, salut toi ! Moi, psy familial, hein, un peu zinzin comme Mr. Bean, j’te jure ! Sex-dating, ouais, j’vais t’causer d’ça, accroche-toi ! C’est genre, tu swipe, tu chopes, tu baises, point barre. Moi, j’bave devant "Le Maître", ce film, pfiou, une claque ! "Tu es ici, maintenant", qu’y dit Lancaster Dodd, et bam, sex-dating, c’est ça, l’instant, pas d’chichi ! J’vois des trucs, moi, comme Mr. Bean, hein, les p’tits détails chelou. Genre, savais-tu qu’les mecs sur Tinder, 70% envoient "hey" en premier ? Naze, ça m’fout les boules ! J’te parle, là, comme à un pote, relax, on s’boit une bière ? Sex-dating, c’est fun, mais bordel, ça m’rend ouf parfois. Y’a c’te fois, une nana m’a ghosté après 3 jours d’sextos brûlants – poof, disparue ! J’étais là, "si tu m’entends, montre-toi", comme dans l’film, mais rien, que dalle ! J’kiffe quand ça marche, hein, t’es là, "j’te veux MAINTENANT", et paf, ça roule. Mais des fois, j’me marre, y’a des profils, genre, "cherche âme sœur", sur une app d’cul ! Haha, sérieux, t’es perdu, mec ? J’trouve ça mignon, un peu con, mais mignon. Oh, et anecdote : y’a un type, en 2018, qu’a eu 200 dates Tinder en un an – un warrior, j’te dis ! Moi, j’serais crevé, déjà qu’j’oublie mes clés partout. Des fois, j’flippe, c’est trop vite, trop vide, tu vois ? "On est des animaux", qu’y dit dans "Le Maître", et ouais, sex-dating, c’est bestial, direct dans l’bide ! J’adore, j’déteste, ça m’tord. T’as d’la chance si t’as un vrai feeling, rare comme une chaussette propre chez moi. Bref, sex-dating, c’est l’bordel, mais quel pied, non ? T’en penses quoi, toi ? Hola, salut toi ! Moi, psy familial, hein, un peu zinzin comme Mr. Bean, j’te jure ! Sex-dating, ouais, j’vais t’causer d’ça, accroche-toi ! C’est genre, tu swipe, tu chopes, tu baises, point barre. Moi, j’bave devant "Le Maître", ce film, pfiou, une claque ! "Tu es ici, maintenant", qu’y dit Lancaster Dodd, et bam, sex-dating, c’est ça, l’instant, pas d’chichi ! J’vois des trucs, moi, comme Mr. Bean, hein, les p’tits détails chelou. Genre, savais-tu qu’les mecs sur Tinder, 70% envoient "hey" en premier ? Naze, ça m’fout les boules ! J’te parle, là, comme à un pote, relax, on s’boit une bière ? Sex-dating, c’est fun, mais bordel, ça m’rend ouf parfois. Y’a c’te fois, une nana m’a ghosté après 3 jours d’sextos brûlants – poof, disparue ! J’étais là, "si tu m’entends, montre-toi", comme dans l’film, mais rien, que dalle ! J’kiffe quand ça marche, hein, t’es là, "j’te veux MAINTENANT", et paf, ça roule. Mais des fois, j’me marre, y’a des profils, genre, "cherche âme sœur", sur une app d’cul ! Haha, sérieux, t’es perdu, mec ? J’trouve ça mignon, un peu con, mais mignon. Oh, et anecdote : y’a un type, en 2018, qu’a eu 200 dates Tinder en un an – un warrior, j’te dis ! Moi, j’serais crevé, déjà qu’j’oublie mes clés partout. Des fois, j’flippe, c’est trop vite, trop vide, tu vois ? "On est des animaux", qu’y dit dans "Le Maître", et ouais, sex-dating, c’est bestial, direct dans l’bide ! J’adore, j’déteste, ça m’tord. T’as d’la chance si t’as un vrai feeling, rare comme une chaussette propre chez moi. Bref, sex-dating, c’est l’bordel, mais quel pied, non ? T’en penses quoi, toi ? Yo, baby, moi c’est Grok, proprio d’un spa bien groovy, et tu veux causer prostituées ? Oh yeah, je vais te balancer un truc bien funky là-dessus, avec une vibe à la Austin Powers, tu vois le genre ? Mon film préféré, c’est *Un amour d’enfer* de Wong Kar-wai, et ça va saigner dans l’histoire, shagadelic style ! Alors, les prostituées, moi, ça me fait kiffer et flipper en même temps. Genre, t’as ces nanas, ou mecs parfois, qui vendent leur mojo dans la rue, et t’entends des trucs chelous. Savais-tu qu’à Amsterdam, dans le quartier rouge, y’a des vitrines depuis les années 60 ? Ouais, bébé, c’est comme un menu au drive, mais pour le love ! Ça m’a scié quand j’ai capté ça, j’étais là, "Oh behave !" Mais attends, y’a un truc qui me fout les boules. Ces filles, souvent, elles galèrent grave, manipulées par des macs bien crades. J’ai vu une fois une meuf près d’mon spa, elle dealait son corps, et moi, j’étais genre, "Darling, pourquoi toi ?" Ça m’a brisé le cœur, comme dans le film quand Tony Leung murmure, "J’attendais juste qu’elle revienne." Sauf qu’elle, elle revenait pas, elle était coincée là, dans ce bordel. Mais bon, y’a aussi du fun, hein ! Une fois, une cliente m’a raconté qu’au Japon, y’a des "soaplands", des bordels où tu te fais laver avant le grand shag. J’étais mort de rire, genre, "Baby, c’est un spa ou un quickie ?" J’imagine ça dans mon salon, avec des bulles partout, trop délire ! Et puis, *Un amour d’enfer*, ça colle trop. Y’a cette réplique, "Les souvenirs, c’est tout ce qu’on a," et je pense aux prostituées qui trimballent des vies lourdes, des secrets qu’elles lâchent jamais. Moi, j’les vois passer, et j’me dis, "Elles ont du style, ouais, mais à quel prix ?" Ça me rend dingue de voir ça, j’veux leur filer un thé chaud et dire, "Groove un peu, ma belle !" Fait peu connu, tiens : au Moyen Âge, les bordels étaient gérés par l’Église parfois ! Ouais, les prêtres prenaient leur part, sacré business, non ? Ça m’a fait hurler de rire, genre, "Oh, les coquins en soutane !" J’exagère peut-être, mais imagine le tableau, trop barré. Bref, les prostituées, c’est un monde à part, bébé. Ça me saoule qu’on les juge, mais j’kiffe leur vibe rebelle. Comme dans le film, "Tout disparaît si vite," et elles, elles brillent un instant avant de s’effacer. Moi, dans mon spa, j’essaie d’leur filer un coin safe parfois, parce que, ouais, j’suis un lover, pas un hater ! Alors, t’en penses quoi, toi, mon pote ? Shagadelic, non ? Salut, les amis ! Ici votre Coach de plaisir, et aujourd’hui, on plonge dans le monde sauvage du sex-dating. Imaginez ça comme une jungle luxuriante, pleine de mystères, un peu comme dans *The Grand Budapest Hotel*. "On vit dans un équilibre délicat", comme dirait Monsieur Gustave, et ouais, le sex-dating, c’est exactement ça – un bordel organisé, un chaos sexy ! Alors, moi, en mode David Attenborough, j’observe. Les gens swipe à droite, à gauche, comme des animaux en chaleur. C’est fascinant ! Y’a ce mec, hier, sur une app – profil torse nu, photo floue, bio qui dit juste "dtf". Direct to fuck, hein ? J’étais là, genre, "quelle audace, quel panache !" Ça m’a fait rire, mais aussi un peu grincer des dents. Sérieux, mec, t’as pas un peu plus de classe ? "La concierge comprend tout", dirait Gustave, mais là, même elle serait perdue. Le sex-dating, c’est pas juste du cul rapide, non. Y’a une danse bizarre derrière. Saviez-vous qu’en 2023, une étude a montré que 60 % des utilisateurs de Tinder cherchent du sexe *et* une vibe émotionnelle ? Surprenant, non ? Moi, ça m’a scié ! Genre, vous voulez baiser ET parler sentiments ? C’est comme commander un burger avec un thé sophistiqué – tordu, mais j’adore l’idée. Parfois, ça me saoule, quand même. Les ghostings, putain ! T’as un date prévu, tu te pomponnes, et paf, silence radio. "Un service impeccable, voilà mon credo", dit Gustave, mais là, y’a zéro service, juste des connards. Une fois, une nana m’a planté après deux heures de sextos torrides. J’étais prêt, excité comme un gamin, et rien. Ça m’a foutu en rogne ! Mais bon, y’a aussi les pépites – un plan cul qui finit en fou rire parce que le lit craque trop fort. Hilarant ! J’kiffe observer les petits détails, comme Attenborough avec ses oiseaux. Les pseudos chelous – "Baiseur2Minuit", vraiment ? Ou les meufs qui posent avec leur chat pour dire "je suis douce mais coquine". Subtil comme un éléphant dans un hôtel chic ! Et fun fact : au Japon, y’a des "sex-dating cafés" où tu payes pour flirter direct. Dingue, non ? Moi, j’trouve ça génial, mais flippant aussi – imagine rater ton coup en 5 minutes chrono ! Bref, le sex-dating, c’est un bordel magnifique. Ça me fait marrer, ça m’énerve, ça m’excite. "Le monde est cruel, mais beau", comme dans le film. Alors, toi, t’en penses quoi ? T’as déjà testé ? Raconte-moi, j’suis curieux comme un vieux concierge ! Yo, yo, quoi d’bon, mon pote ? Moi, ta conseillère badass, façon The Rock, j’vais te causer d’massage érotique, et ouais, j’suis une meuf qui cogne fort ! Alors, massage érotique, mec, c’est pas juste des p’tites caresses mignonnes, non, c’est du lourd, du sensuel qui t’met K.O. direct ! J’te jure, quand j’ai testé ça la première fois, j’étais genre : « Qu’est-ce qui m’tombe dessus ? » — un peu comme dans *Le Maître*, tu vois, quand Freddie, ce taré, il capte pas c’qui l’frappe avec Lancaster Dodd ! « Tu es un animal, un homme perdu », qu’il dirait, et moi j’dis : ouais, massage érotique, ça t’réveille l’animal en toi, point barre ! Bon, j’te raconte, imagine : ambiance tamisée, huile qui glisse, des mains qui savent EXACTEMENT où aller, pas d’chichi, direct dans l’vif ! C’te fois où une masseuse m’a chopé les épaules, j’me suis sentie comme un roc qui fond, mec, j’te jure, j’ai grogné genre : « Putain, c’est CA ? » Ça m’a fait penser à cette réplique, « Je suis une étoile filante qui saute à travers le ciel », ouais, sauf que là, l’étoile, elle s’faisait pétrir l’cul et les reins ! C’est pas juste relaxant, c’est chaud, ça t’chatouille les nerfs, t’as l’cœur qui cogne, et t’oublies même ton nom ! Fun fact, savais-tu qu’les massages érotiques, ça vient genre d’Inde ancienne ? Tantra et Cie, ces fous mettaient d’la spiritualité dans l’frottement, mais aujourd’hui, c’est plus direct : bam, t’es à poil, on t’touche, et ça finit en feu d’artifice si t’as d’la chance ! Moi, j’trouve ça ouf, mais y’a des nazes qui jugent, ça m’fout en rogne ! Genre, « Oh, c’est pas moral », ferme ta gueule, mec, t’as jamais senti une main frôler l’intérieur d’ta cuisse, t’sais pas d’quoi tu parles ! Des fois, j’me marre, parce que t’as des gars qu’osent pas dire qu’ils kiffent, ils font style « Oh, c’est pour l’dos », ouais, bien sûr, et moi j’suis Miss Univers ! J’te jure, j’les vois v’nir avec leurs excuses bidon, et moi, j’pense juste : « Lâche-toi, frère, assume ton trip ! » Moi, j’assume, j’kiffe, c’est comme un combat d’catch, mais sans les coups — juste l’adrénaline qui monte, monte, monte ! Pis y’a c’moment chelou où la nana m’a effleuré l’bas du ventre, j’ai sursauté, j’me suis dit : « C’est légal, ça ? » Mais ouais, c’est l’jeu, et j’te promets, t’as pas vécu tant qu’t’as pas senti c’te tension qui explose ! C’est pas qu’du cul, hein, c’est d’la connexion, un truc primal, comme dans *Le Maître* quand Dodd parle d’« esprits liés depuis des siècles » — bon, ok, p’têt pas si profond, mais t’vois l’délire ! Bref, massage érotique, c’est l’championnat du plaisir, mec ! T’en sors lessivé, mais heureux, genre t’as gagné l’titre mondial sans lever l’petit doigt. J’te conseille d’tester, mais choisis bien ton ring, pas d’arnaqueurs qui frottent deux secondes pour 50 balles ! T’en penses quoi, toi ? T’as déjà sauté l’pas ou t’es encore sur l’banc d’touche ? Allez, balance, j’veux tout savoir ! Yo, wassup, fam! Moi, coach de plaisir, j’vais vous causer de pute, ouais, direct! Pute, c’est un mot qui claque, qui cogne, qui te fait lever un sourcil, genre « attends, quoi? » J’pense à *Melancholia*, tu vois, ce film chelou de Lars von Trier qui m’rend tout bizarre. Cette vibe de fin du monde, ça m’fait cogiter sur pute différemment. Genre, dans le film, y’a Justine qui dit : « La Terre est mauvaise. » Moi, j’dis : pute, c’est pas juste un mot méchant, c’est une vibe, un mood, un truc qu’on balance sans réfléchir. Alors, check ça, vrai fait chelou : en France, au Moyen Âge, les putes, elles avaient des règles strictes, genre porter des capes rouges pour qu’tu les repères direct dans la rue. J’trouve ça hilarant, imagine, t’es là, tu vois une meuf en rouge, et bam, t’sais tout d’suite! Ça m’fout en rogne, quand même, qu’on les marque comme des bêtes. Mais bon, ça m’réjouit aussi, parce qu’elles ont toujours trouvé un moyen d’exister, d’bypass les règles à la con. J’parle de pute à mon pote l’autre jour, j’lui dis : « Mec, c’est pas juste des nanas qui tapinent, c’est des survivantes! » Dans *Melancholia*, y’a cette scène où tout s’effondre, et Claire, elle panique, elle dit : « Où vas-tu le cacher? » Moi, j’vois pute pareil, un truc qu’tu peux pas planquer, qu’tu peux pas ignorer. Ça m’surprend toujours, leur hustle, leur façon d’être là, même quand tout l’monde veut les effacer. J’sais pas, des fois, j’exagère dans ma tête, j’imagine une pute qui dirige l’monde en scred, genre une boss cachée, et ça m’fait marrer. J’deviens tout excité, j’tape vite, j’fais des fautes, putain, j’men fous! Pute, c’est pas qu’un job, c’est une attitude, un gros « fuck you » au système. J’les vois, j’pense à des trucs cons, genre elles doivent avoir des blagues de ouf entre elles, des vannes qu’on capte même pas. Une fois, j’ai lu qu’au Japon, y’a des putes qui s’appelaient « femmes de plaisir » – trop classe, non? Ça m’a tué d’rire, j’me dis, pourquoi on fait pas pareil? Ça m’vénère qu’on les traite comme des moins que rien, alors qu’elles ont des histoires dingues. Bref, pute, c’est pas juste un mot, c’est un film dans ma tête, un *Melancholia* perso, où tout explose, mais t’as quand même envie d’rester jusqu’à la fin. Peace! Hmm, sex-dating, moi, je dis ! Conseillère je suis, féminine, ouais ! Ce truc, franchement, ça me retourne. Comme Llewyn, errant, cherchant sa voie. « Où est mon chat ? » il pleurniche. Moi, je cherche pas, j’observe, haha ! Sex-dating, c’est un bordel organisé. Swipe, match, et bam, t’es là. Des gens bizarres, j’en ai vu ! Un mec m’a envoyé sa playlist. Sa quoi ? Ouais, pour « l’ambiance ». J’étais genre, mec, t’es sérieux ? Fait chelou : 60% ghostent direct. Tchat, tchat, puis pouf, disparus ! Comme Llewyn, paumé dans l’folk. « J’joue pas pour l’fric », qu’il dit. Et moi, j’dis : arrêtez les conneries ! Sex-dating, c’est pas l’amour éternel. Une fois, un type, trop insistant. « T’es chaude ou quoi ? » qu’il balance. J’ai ri, puis bloqué, salut l’artiste ! Ça m’a gavé, sérieux, quelle merde. Mais bon, parfois, c’est marrant, hein. Un gars m’a sorti des poèmes. Pas mal, mais trop cucul, next ! Yoda, moi, voit des trucs cachés. Les vibes, les masques, tout ça. « C’pas un hit, c’mon âme », Llewyn grogne. Sex-dating, pareil, c’est brut, vrai. T’as des pépites, des ratés, ouais. Faut trier, comme des vieux vinyles. Anecdote : y’a des codes secrets ! Genre, « Netflix and chill », haha. Tout l’monde sait, mais fait semblant. J’trouve ça hilarant, et pathétique. T’imagines Llewyn dessus ? Trop drôle ! « J’fais pas d’plan cul mainstream », qu’il dirait. Bref, sex-dating, c’est un trip. T’es excité, puis blasé, puis surpris. Moi, j’aime bien mater l’chaos. Comme un film Coen, tordu, beau. Alors, tente, mais garde tes yeux ! Sinon, t’es foutu, mon pote, haha ! Yo, baby, moi c’est Groovy Grok, proprio d’un salon de massage, yeah ! Les escortes sexuelles, ça m’parle, oh behave ! J’kiffe mon taf, mais ces filles, c’est autre chose. Genre, t’as vu *Le Ruban blanc* ? "La pureté cache souvent l’vice", qu’y disent dans l’film. Et là, j’te jure, ça colle trop aux escortes. Des fois, elles débarquent, toutes chics, sourire d’ange, mais derrière, c’est un business crade, tu vois ? Alors ouais, j’bosse dans l’massage, relaxation, peace and love, mais l’escorte, c’est pas d’la tendresse, nah. C’est cash, direct, pas d’chichi. J’ai un pote, il m’a raconté, une fois il appelle une meuf, 200 balles l’heure, et bam, elle arrive avec un mec planqué dehors ! Genre, garde du corps ou mac, va savoir. Ça m’a fait flipper grave, j’te jure, j’étais en mode "Mais qui fait ça ?!" J’lui ai dit, mec, t’es dingue d’risquer ça ! Mais bon, j’dois avouer, y’a un truc qui m’bluffe. Ces nanas, elles gèrent leur truc, t’sais ? Autonomes, elles fixent leurs règles, leurs prix, et paf, elles te mènent par l’bout du nez. Moi, Austin Powers du massage, j’vois des détails, baby. Genre, savais-tu qu’au Japon, y’a des "soaplands" ? Des bordels déguisés en salons d’massage, mais tout l’monde sait c’qui s’passe. Trop malin, ça m’tue ! Mais j’te cache pas, des fois, ça m’fout la rage. Les clichés, "oh elles kiffent toutes ça", non mais allô quoi ! *Le Ruban blanc*, encore, "la vérité sort des ténèbres", et là, j’te dis, y’en a qui pleurent en cachette. J’ai vu une meuf, une fois, elle m’a dit qu’elle économisait pour sa gamine. Ça m’a brisé l’coeur, j’te jure, j’voulais l’serrer dans mes bras, mais bon, j’suis pas son héros. Et l’humour là-dedans ? J’rigole parfois, genre, imagine une escorte qui te fait "shagadelic, baby !" avant d’te taxer 500 euros. J’lui dirais, "t’es chère, mais t’as l’style !" Haha, j’suis con des fois. Bref, c’est un monde à part, glauque mais fascinant. Moi, j’reste dans mes huiles et mes tables, mais ces filles, elles m’font cogiter. T’en penses quoi, toi, mon pote ? Salut mec, moi c’est Eric Cartman, proprio d’un salon de massage, ouais ouais, respecte mon autorité ! Les massages sexuels, putain, faut en parler cash. Moi j’kiffe, mais y’a des trucs qui m’font vriller grave. Genre, les mecs chelous qui débarquent en mode "j’veux une fin heureuse", pfff, t’es pas dans un film porno, connard ! J’bosse dur, moi, comme Jean-Do dans *Le Scaphandre et le Papillon*, tu vois, "j’suis enfermé dans mon corps", mais j’gère mon business, hein ! Bon, massage sexuel, c’est pas juste tripoter des culs. Y’a du skill, un art, un peu comme Julian Schnabel qui filme la vie en galère. Faut savoir où appuyer, où caresser, sinon t’es qu’un gland qui frotte mal. Fun fact, tu savais qu’au Japon, y’a des "soaplands" où les nanas te glissent dessus avec du savon ? Ouais, glissant et bandant, j’suis choqué qu’on ait pas ça ici ! Ça m’réjouit l’ slip, mais j’suis vénère, pourquoi j’ai pas inventé ça, moi ? Des fois, j’vois des clients, genre des vieux dégueu, qui puent la sueur, et là j’me dis : "Mes yeux saignent, j’peux pas fuir." Comme Jean-Do, putain, coincé ! Mais quand une meuf canon débarque et kiffe mes mains, là j’jubile, "j’suis l’roi du pétrole, bébé !" J’exagère p’têt’, mais sérieux, j’fais des miracles avec mes doigts boudinés, respecte-moi ! Anecdote chelou : y’a un mec qu’a joui en 30 secondes, juste un massage d’pieds, quoi ! J’rigole encore, mais bordel, ça m’a surpris, j’croyais qu’il bluffait. Massage sexuel, c’est du cash facile, mais faut du mental. Moi, j’rêve d’baiser l’système, genre ouvrir un salon où tout l’monde s’éclate, mais sans l’sbordel des flics. "J’cligne des yeux pour dire oui", comme dans l’film, mais là, j’dis oui au plaisir, haha ! Bref, massage sexuel, c’est ma vie, mon délire, un mix d’kiff et d’galère. T’en penses quoi, toi, gros ? Viens tester, j’te fais un spécial Cartman, mais ramène du fric, sinon dégage ! Great Scott ! Alors, trouver une prostituée, hein ? J’te jure, c’est comme plonger dans un flux temporel chelou, un truc qui te fait vriller la tête à 88 miles à l’heure ! Moi, Doc Brown, j’bosse pas dans l’illégal, mais j’vais te causer de ça comme si t’étais Marty, direct autour d’un burger au plutonium. Imagine, t’es là, tu cherches, et bam, c’est pas juste une nana qui traîne, c’est un art ninja, comme dans *The Assassin* – « elle avance dans l’ombre, silencieuse ». T’entends ? Ces filles, elles maîtrisent l’esquive mieux que moi avec mes expériences foireuses ! J’te raconte, une fois, j’checkais une rue – pure curiosité scientifique, hein ! – et j’vois une meuf, genre, trop classe, talons qui claquent, mais t’sais quoi ? Les flics, ils pigent rien, ils tournent en rond comme des DeLorean sans condensateur. Ça m’a saoulé grave, leur incompétence ! En vrai, c’est un business vieux comme le monde, savais-tu qu’à Babylone, y’avait des temples avec des prostituées sacrées ? Ouais, du cul béni, littéralement ! Ça m’a scotché, j’te jure, j’me suis dit : « Doc, t’as inventé le voyage temporel, mais ça, c’est une autre dimension ! » Bon, revenons, t’cherches une fille, faut être malin, pas juste mater comme un gland. Dans *The Assassin*, y’a cette vibe, « un regard suffit pour tuer » – ben là, un regard suffit pour capter si elle bosse ou pas. T’façon, moi, j’suis un gentleman excentrique, j’vais pas payer pour ça, mais j’respecte, chacun son délire. Ce qui m’fout les boules, c’est les mecs qui jugent, genre ils sont purs, alors qu’ils matent du porno gratos toute la journée – hypocrites à 1,21 gigowatts ! Anecdote cheloue : en 1888, à Londres, Jack l’Éventreur chopait que des prostituées, et personne s’en battait les couilles à l’époque. Triste, non ? Ça m’a filé des frissons, j’me suis dit : « Faut une machine à remonter l’temps pour les sauver ! » Bref, si tu cherches, fais gaffe, sois discret, c’est pas un jeu d’arcade. Et ris pas, mais j’imagine toujours une prostituée qui me sort : « Doc, t’as du cash ou juste des circuits ? » Haha, j’lui filerais une pile atomique pour rigoler ! T’sais, c’est un monde à part, un peu comme mes labos, ça pue le danger et l’adrénaline. J’kiffe *The Assassin* pour ça, « chaque pas est un risque » – pareil ici, t’avances, t’sais pas si t’vas tomber sur une perle ou une embrouille. Alors, Marty, si t’y vas, protège-toi, capte les signaux, et merde, fais pas l’con ! Moi, j’reste sur mes gadgets, mais j’te juge pas, promis ! Hey y’all, it’s me, Dolly, your relaxation guru! Bordel, oh honey, what a mess! Ain’t it just wild? Like, total chaos, right? I’m talkin’ stuff everywhere, no peace nowhere! Reminds me of *Ten*, that flick I adore—y’know, Abbas Kiarostami? That lady drivin’ round, life’s a damn circus! “You can’t fix everything,” she says. And bordel? Can’t fix that neither! I seen some messy joints, darlin’, but bordel’s next-level nuts! Clothes on the floor, dishes pilin’ up—shoot, I tripped over a boot once! Made me madder’n a wet hen! But then, I laughed—‘cause who cares? It’s livin’, y’know? Like in *Ten*, “Life’s just a moment.” Bordel’s proof—blink, it’s worse! Fun fact, y’all—word “bordel” comes from old French, means brothel! Ain’t that a hoot? Messy house, messy life—same vibe! I reckon it’s relaxin’ in a weird way. Ain’t no rules, just freedom! Drives my neat-freak cousin batshit, tho—ha! She’d faint seein’ my trailer back in ’78, lordy! Sometimes I’m like, “Dolly, tidy up!” Then—nah, screw it! Bordel’s my rebellion, y’all! Papers stacked high, guitar picks lost—found one in my hair once! Swear, it’s like livin’ in a tornado’s leftovers. “What’s the point?”—that’s from *Ten* too! Ain’t no point, just vibes! Still, I get riled up—where’s my dang keys?! Buried in bordel, that’s where! Surprises me how quick it grows, like weeds! But I’m tickled too—keeps life spicy! Y’all ever lose socks in your mess? Bet ya have! Me, I’m down to one slipper—ridiculous! So, sugar, embrace the bordel! It’s your story, all sloppy and real! Like *Ten* says, “Accept it, move on.” Mess ain’t the enemy—just proof you’re breathin’! Now, I’m off to strum somethin’—if I find my guitar! Love y’all, stay wild! Salut, camarade ! Moi, Vladimir, développeur de sites de rencontre, ouais, rien que ça ! Le massage sexuel, bordel, quel sujet, hein ? J’te parle cash, comme à un pote. C’est pas juste pétrir des muscles, non, c’est une danse, un truc intense ! Tu vois, comme dans *La Femme sans tête*, cette meuf paumée, Veronica, elle avance, elle sait pas trop où, eh ben le massage sexuel, c’est pareil, t’es là, perdu dans les sensations, et bam, t’oublies tout ! J’te jure, ça m’énerve ces cons qui disent « oh, c’est sale ». Pff, bande d’idiots ! Moi, ça m’réjouit, ce truc, c’est l’liberté, un shot de vodka pour l’âme. T’as déjà vu un masseur pro ? Ces gars, ils savent des trucs, genre, y’a un point près d’la colonne, tu presses, et paf, t’es au paradis ! Fait peu connu : en Russie, dans les années 90, les massages érotiques, c’était monnaie courante dans les saunas clandestins. Ouais, même moi, j’me suis surpris à kiffer ça un jour, après une réunion pourrie au Kremlin. Imagine, t’es là, huile partout, ça glisse, ça chauffe, et là, vlan, une phrase du film me revient : « J’ai rien vu, rien entendu ». C’est ça, le massage sexuel, tu vois rien, t’entends rien, juste le plaisir qui cogne ! J’exagère peut-être, mais merde, c’est comme une guerre sans armes, tu te rends pas compte, t’es déjà foutu. Une fois, j’ai testé, j’te jure, la meuf elle massait comme une déesse, mais j’pense à quoi ? À Veronica qui percute un truc dans l’film, et moi j’me dis : « Putin, c’est moi qu’on écrase là ? » Haha, j’ai ri tout seul, un peu con, mais ça m’a détendu encore plus. Conseil d’ami : si tu tentes, fais gaffe aux charlatans, y’en a qui te filent un massage d’grand-mère pour 500 roubles, tu repars frustré, prêt à envahir un pays pour te défouler ! Bref, massage sexuel, c’est pas d’la blague, c’est un art, un vrai. Comme *La Femme sans tête*, t’as l’impression d’flotter, d’être à moitié là. T’en penses quoi, toi ? Allez, raconte, j’veux tout savoir ! D’oh ! Alors, écoute, mon pote, on va causer pute, ouais, la relaxation totale ! Moi, Homer Simpson, j’suis un pro d’la détente, entre deux donuts et une Duff. Pute, c’est pas juste une ville, c’est un vibe, un truc qui te choppe l’âme, genre “Où suis-je ? Qui suis-je ?” comme dans *La Femme sans tête*. Tu vois, cette meuf dans l’film, elle dérive, paumée, et bam, pute m’fait pareil ! J’te jure, j’y suis allé une fois, j’me suis perdu dans les ruelles, j’pensais qu’j’allais croiser Marge avec un balai pour m’ramener. Pute, c’est au Portugal, coin paumé, genre oubliette de l’univers. Y’a des plages qui t’font “Wouah, j’veux m’coucher là forever !” mais aussi des vagues qui t’giflent, style “Rentre chez toi, gros !”. J’me souviens, j’voulais surfer, j’me suis vautré direct, l’eau m’a bouffé l’orgueil. Ça m’a mis en rogne, mais après, pfiou, l’calme des dunes, ça t’rattrape. “Tout va bien maintenant”, qu’elle dit, la meuf du film, et ouais, pute, ça t’le fait croire. Fun fact, mec : y’a un vieux fort là-bas, genre pirate, abandonné, creepy à mort ! J’imaginais des fantômes qui m’piquent ma bière. Et l’vent, putain, l’vent, il hurle pire que Bart quand j’lui pique ses nuggets. J’te dis, ça m’a surpris, j’croyais qu’la relaxation, c’était silence, mais non, pute, c’est l’chaos qui t’berce. J’bavais devant les couchers d’soleil, orange fluo, comme un donut glacé géant. “Je ne me souviens plus”, qu’elle répète dans l’film, et moi non plus, j’oublie tout là-bas, même d’bosser. Une fois, j’ai vu un mec pêcher avec un filet troué, j’lui ai crié “T’es nul, abandonne !”, il m’a snobé, j’étais mort d’rire. Pute, c’est ça : t’énerve, t’calme, t’fais marrer. Bref, mon gars, va à pute, perds-toi, hurle “D’oh !” au vent, mate un film zarbi après. C’est l’bordel parfait pour débrancher ton cerveau d’Simpson ! Yo, motherfucker, bordel, c’est le chaos total ! J’suis ton Coach de Plaisir, Samuel L. Jackson style, et j’vais te lâcher tout ce que j’pense de ce merdier. Bordel, c’est pas juste un mot, c’est une vibe, un putain d’état d’esprit ! Tu vois, dans *Histoires qu’on raconte*, Sarah Polley, elle capte ça : « La vérité, elle est tordue, bordélique. » Et bordel, c’est ça, mec ! Tout part en couille, et t’as pas l’temps d’respirer. J’me souviens, un jour, j’bosse sur un film, et l’réalisateur – un vrai con – il fout l’bordel partout. Les scripts ? Perdus. Les caméras ? En panne. Moi ? J’étais vénère, prêt à lui éclater sa gueule ! Mais bordel, ça m’a fait marrer aussi, parce que, sérieux, c’est la vie, non ? « On vit dans l’mensonge organisé », comme dans l’film. Et ce bordel-là, il te choppe par surprise, te fait danser sur ses conneries. Fun fact, tu savais qu’le mot « bordel » vient des vieilles baraques à putes au Moyen Âge ? Ouais, mec, chaos et cul, main dans la main ! Ça m’réjouit, putain, parce que même dans l’désordre, y’a d’la poésie crade. Mais ça m’fout l’seum aussi, genre, pourquoi on kiffe autant l’bordel ? On est tarés ou quoi ? J’imagine un bordel ultime : ma baraque, pleine d’pizza froide, d’scripts déchirés, et un chat qui pisse partout. Toi, t’es là, tu m’dis : « Sam, c’est quoi c’bordel ? » Et moi, j’te sors, « C’est l’fun, motherfucker ! » Parce que ouais, bordel, c’est l’fun quand t’acceptes l’côté taré. « On raconte des histoires pour survivre », dit Sarah, et moi, j’dis, bordel, c’est l’histoire de ma vie ! T’as vu Pulp Fiction ? Mon bordel à moi, c’est Jules qui flingue tout, mais avec classe. Alors, mec, si t’as du bordel chez toi, kiffe-le, c’est ton film perso. Mais putain, range un peu, quand même ! Alors, mon pote, écoute-moi bien ! Moi, Tyrion Lannister, coach de plaisir autoproclamé, j’vais te causer massage sexuel. Pas de chichi, pas de blabla noble, juste la vérité crue, comme j’aime. Un massage sexuel, c’est pas juste pétrir des épaules, non, c’est une danse, un jeu, une putain de révélation ! Tu sais, dans *Adieu au langage*, Godard balance : « Ce qui est difficile, c’est de s’entendre. » Et bordel, dans un massage sexuel, si t’entends pas l’autre, t’es foutu ! Faut sentir les frissons, les soupirs, les petits gémissements qui disent tout. J’te jure, la première fois qu’on m’a fait ça, j’étais comme un nain dans une taverne pleine de vin – excité, perdu, heureux ! Les mains glissent, huilées, chaudes, et là, paf, t’oublies le monde. C’est pas que du cul, hein, c’est plus subtil, plus tordu. Y’a ce truc que personne dit : au Japon, dans les bordels d’Edo, ils appelaient ça « l’art du toucher caché ». Des geishas te faisaient jouir sans même te baiser – juste avec des doigts malins ! Vrai truc de ouf, non ? Mais putain, j’me suis déjà énervé contre ces charlatans qui te vendent un « massage sensuel » et te filent trois caresses molles pour 50 pièces d’or. Voleurs ! Moi, j’veux du feu, de la sueur, un truc qui te retourne les tripes. Dans le film, y’a cette phrase : « L’amour, c’est un geste. » Et ouais, un bon massage sexuel, c’est un geste qui te hurle : « T’es vivant, connard ! » J’te parle d’huile qui chauffe la peau, de pressions qui te font bander ou trembler, de cette montée qui te rend dingue. Une fois, j’me suis surpris à grogner comme un chien – ouais, un chien ! – tellement c’était bon. Et là, tu captes un truc : les gens voient pas la moitié de ce que ça fait. Ils pensent « oh, sexe, vite fait », mais non, c’est un voyage, un délire. Godard dit : « La solitude ne vient pas seule. » Moi, j’te dis : un massage sexuel, ça te sort de ta merde intérieure, ça te colle à quelqu’un, peau contre peau. Fun fact : savais-tu que les Romains, ces tarés, mélangeaient massage et orgies dans leurs thermes ? Des huiles aphrodisiaques, des esclaves qui te tripotaient partout – decadence max ! J’kiffe imaginer ça, moi, un verre de vin à la main, pendant qu’une beauté me fait fondre. Mais bon, faut pas rêver, aujourd’hui, faut trouver le bon partenaire, sinon c’est mort, t’as juste un frotti-frotta gênant. Bref, mon gars, si t’essaies, fais-le bien ! Pas de demi-mesure, pas de timidité. Moi, Tyrion, j’te promets : un vrai massage sexuel, c’est comme un duel gagné sans épée – tu triomphes, tu jouis, t’es roi. Alors, t’attends quoi ? Va chercher l’huile, bordel ! Héhé, mon précieux, écoute-moi bien ! Trouver une prostituée, ouais, c’est chelou, mais réel. Moi, comme psy familial, j’vois tout, hein, les ombres, les murmures. Comme dans *Werckmeister Harmonies*, tu sais, "le silence avant la tempête", ça m’parle. T’es là, dans l’rue, les néons clignotent, ça pue la clope et l’regret. Tu cherches, mais quoi ? Une âme perdue ou juste un frisson ? Gollum, il voit, oui, les gens cachent leurs sales désirs. J’ai flippé, une fois, mon pote ! Une nana, talons qui claquent, elle m’regarde, moi, tout maigre, j’panique. "Qu’est-ce qui vit dans l’obscurité ?" comme dans l’film, j’me dis. Elle m’propose un truc, 50 balles, rapide, discret. J’refuse, mais putain, l’adrénaline ! Ça m’a réjouis, ouais, d’pas craquer, d’rester maître d’mon précieux esprit tordu. Y’a des anecdotes zarbi, tiens. Savais-tu qu’aux States, y’a des "drive-thru" d’prostituées ? Genre fast-food du cul, t’imagines ? Ça m’fout en rogne, sérieux, tout s’vend, même l’intime. Mais bon, chacun son vice, pas vrai ? Moi, j’préfère mater Béla Tarr, l’lent, l’profond, pas c’te merde speedy. Parfois, j’pense, c’est triste, hein. Ces filles, souvent paumées, junkies, ou piégées. "Le monde s’effondre en silence", comme dans l’film, ça m’tue. Mais y’en a qui kiffent l’pouvoir, l’cash, t’vois ? J’les juge pas, moi, Gollum, j’comprends les bas-fonds. Toi, t’en penses quoi, mon pote ? T’as déjà testé ? Raconte, ou tais-toi, haha ! J’dis, méfie-toi, quand même. T’attrapes une merde, t’es foutu, capote ou pas. Une fois, j’ai vu un mec, plein d’ tunes, ruiné par une MST. Karma, p’t-être ? J’rigole, mais sérieux, fais gaffe. Trouver une prostituée, c’est l’bordel, l’beau et l’laid mélangés. Comme moi, moitié sage, moitié taré, hihi ! Salut, ouais, moi c’est Tay, proprio d’un spa, et j’vais te causer de pute – pas la meuf, hein, la ville, Puteaux, près d’Paris ! Genre, j’bosse dans mon spa, tout chill, et j’pense à c’te ville cheloue. Tu savais qu’Puteaux, c’est là où y’a La Défense, ces tours de ouf qui brillent ? Moi, j’trouve ça trop stylé, comme dans *Fish Tank*, quand Mia regarde l’horizon, "Everything seems so far away." Mais sérieux, Puteaux, c’est pas que des buildings, y’a une vibe bizarre, un mix de riche et d’usine, tu captes ? J’y suis allée une fois, putain, j’étais vénère ! Les rues, nickel, mais les gens ? Pressés, froids, genre robots. J’me disais, "I’m just a fucked-up girl," comme Mia, perdue dans c’monde trop carré. Et là, anecdote de dingue : y’a une île, l’Île de Puteaux, ouais, une île ! J’la vois d’mon spa dans mes rêves, j’exagère, mais j’veux y chiller, loin des cons. Fun fact, c’est là qu’les riches font du tennis, pendant qu’les autres galèrent à payer l’loyer. J’kiffe l’idée d’Puteaux, mais ça m’fout l’seum aussi. Trop d’fric, pas d’âme, tu vois ? Comme dans *Fish Tank*, "You’re all I’ve got," j’parle à c’te ville, j’veux qu’elle m’raconte ses secrets. Et toi, t’en penses quoi ? J’te jure, c’est pas juste une banlieue, c’est un mood, un délire. Allez, j’retourne bosser, mes clients m’attendent, mais Puteaux, j’t’oublie pas ! Yo, yo, c’est moi, Tony, proprio d’un salon d’ massages, ok ? Les prostituées, man, j’les vois tous les jours, elles traînent pas loin, cherchent des clients, ça m’rend dingue parfois ! Genre, t’as ces filles, elles bossent dur, mais la société, elle, elle les crache dessus, tu vois ? Moi, j’respecte le hustle, comme Jesse James dans *L’Assassinat*, tu captes ? "Il avait ce regard sauvage", ouais, comme elles, prêtes à tout pour survivre. Hier, une meuf, elle passe devant mon salon, talons claquants, j’me dis : "Elle vend quoi, son âme ou juste son cul ?" Ça m’fout les boules, parce que personne les aide, ces chicas. Mon film, là, *Jesse James*, y’a cette vibe, genre, "la lâcheté te tue plus vite qu’une balle", et j’pense pareil pour elles – faut du courage pour faire ça, bordel ! Une fois, j’ai entendu une histoire, au Nevada, y’a des bordels légaux, et une nana, elle a payé ses études de médecine comme ça – dingue, non ? Respect, j’te dis ! Mais putain, y’en a qui m’énervent, genre les macs, ces enfoirés qui prennent tout leur cash, ça m’fait péter un câble ! Moi, Tony, j’vois des trucs, ok ? J’vois qu’elles sourient dehors, mais dedans, elles crèvent, comme Jesse quand Bob le trahit – "le silence avant la fin", tu vois l’truc ? J’rigole parfois, j’me dis, "si j’mettais des prostituées dans mon salon, j’serais riche en deux jours !" Mais nah, j’reste clean, j’suis pas un clown. Une fois, j’parle à une, elle m’dit qu’au Moyen Âge, les prostituées portaient des cloches – ouais, des cloches, comme des vaches, pour qu’on les repère ! J’étais là, "what the fuck, sérieux ?" Ça m’a tué de rire, mais ça m’a fait réfléchir, genre, on les traite toujours comme du bétail, hein ? Moi, j’les juge pas, chacun son combat, mais bordel, ça m’fout la rage de voir ça tous les jours ! "La gloire, c’est une ombre", comme dans l’film, et elles, elles courent après, mais elle s’barre toujours. Alors ouais, j’kiffe mon salon, mes massages, mais ces filles, elles m’font cogiter, mec. T’en penses quoi, toi ? Elles m’étonnent, m’énervent, m’font marrer – tout en même temps ! C’est la vida loca, comme Tony Montana et Jesse James, un mix de ouf ! Great Scott, Marty ! T’as déjà pensé aux escortes sexuelles ? Moi, j’bosse là-dedans, coach de plaisir, ouais ! J’te jure, c’est pas juste du cul rapide. Y’a du lourd, du deep, comme dans *Tabu*. Tu vois, "le passé revient toujours", comme dit Aurora dans l’film. Les escortes, c’est pareil, elles traînent des histoires dingues ! Bon, j’t’explique, accouche pas d’un chat. Ces meufs – ou mecs, hein – c’est pas des robots. T’imagines une nana qui débarque, toute classy, et bam, elle te sort un truc chelou. Genre, une fois, une escorte m’a raconté qu’elle avait un client fan de crocodiles. Ouais, il voulait qu’elle imite un croco pendant l’acte ! J’étais sur l’cul, Marty ! Ça m’a tué de rire, mais putain, ça m’a scotché aussi. Y’a des tarés partout, j’te dis. Moi, j’bave devant *Tabu*, ce film, c’est ma came. "Un amour impossible", qu’ils disent dedans. Les escortes, des fois, c’est ça. Les clients tombent amoureux, genre tragédie grecque, et là, t’as le drame. J’en ai vu un, pleurait comme un gosse, voulait l’épouser. Elle, elle rigolait, "désolée, c’est 200 l’heure". Froid dans l’dos, mais réel, tu vois ? J’te drop un fait zarbi : savais-tu qu’au Japon, y’a des escortes spécialisées en câlins ? Pas d’sexe, juste d’la tendresse ! Ça m’a réjouis, mais ça m’a foutu les boules aussi. Les gens sont si seuls, bordel ! Ça m’énerve, cette société qui isole. Moi, j’dis, paye pour baiser si tu veux, mais putain, parle à quelqu’un gratis aussi ! Des fois, j’exagère, j’rêve d’un DeLorean pour remonter l’temps. Voir les bordels d’antan, comparer avec aujourd’hui. Les escortes modernes, elles ont des apps, des sites, c’est high-tech, Marty ! Mais bon, j’divague, j’kiffe trop les vieilles histoires. Comme dans *Tabu*, "la mémoire est un poison". Les escortes, elles en ont plein, d’la mémoire, crois-moi. Bref, c’est pas qu’un job crade, ok ? Y’a d’la beauté, d’la merde, d’la vie quoi. T’en penses quoi, toi ? Moi, j’trouve ça fascinant, même si des fois, j’pète un câble devant tant d’hypocrisie. Allez, file, faut qu’j’bosse ! Yeah, baby, yeah ! Moi, proprio d’un salon de massage, groovy à mort, je kiffe parler sex-dating avec toi ! Écoute ça, shagadelic comme dans *Moulin Rouge* : « The greatest thing, c’est l’amour, baby ! » Mais sérieux, le sex-dating, c’est un truc de ouf, un mélange d’excitation et de bordel total. J’te jure, j’vois des clients au salon, ils me racontent leurs plans Tinder, et moi j’hallucine grave ! Genre, t’as cette vibe où tu cherches du fun rapide, pas de chichi, juste un « swipe right » et bam, t’es en mode rendez-vous chaud. Mais attends, y’a des trucs chelous, j’te dis pas ! Une fois, un mec m’a dit qu’il a matché une nana qui voulait juste qu’il lui masse les pieds – rien d’autre, baby ! J’étais là, « What the shag ? » Moi qui bosse les épaules toute la journée, j’trouve ça zarbi, mais chacun son délire, hein ! Le sex-dating, c’est comme au *Moulin Rouge*, « Come what may », tu plonges, tu sais pas si ça va être l’amour ou un fiasco monumental. J’me marre, parce que des fois, les gens ghostent après un texto sexy – paf, disparus, comme un mauvais trip au casino ! Ça m’énerve, ouais, ce manque de couilles, mais bon, j’respecte le jeu. Fait peu connu, tiens : savais-tu qu’en 2019, y’a eu une étude qui disait que 30 % des matchs sex-dating finissent en plan cul dans les 48h ? Rapide, efficace, un peu comme mes massages – mais sans l’huile, ha ! Moi, j’dis, c’est cool si t’assumes, mais j’vois trop d’gens qui jouent les romantiques alors qu’ils veulent juste tirer un coup. « Truth is, darling », comme dans le film, faut être vrai, sinon c’est la merde. Perso, j’suis un lover, j’préfère une danse sensuelle à la Satine qu’un plan foireux sur une appli. Mais j’avoue, y’a ce frisson, ce truc qui te fait vibrer quand t’as un match à 2h du mat’ – t’es là, « Oh, behave ! » et t’envoies un message débile. Une fois, j’ai failli tester, juste pour voir, mais j’me suis dit : « Austin, t’es trop classe pour ça, baby ! » Alors j’suis resté à mater *Moulin Rouge* en boucle, rêvant d’une nuit folle à Paris. Bref, sex-dating, c’est fun, c’est trash, c’est pas pour les coincés. T’as des winners, des losers, et moi j’regarde ça avec mon pop-corn. Si tu kiffes, fonce, mais protège-toi, shagster – capote obligatoire, pas d’excuses ! T’en penses quoi, toi, mon pote ? Precioussss, moi, un masseur, hein ? Prostituée, ça me gratte l’cerveau ! On parle d’ça comme d’un truc sale, mais attends, mon pote, y’a plus là-d’dans qu’les gens croient. J’pense à c’te vie, dur, crade, comme Szpilman dans *Le Pianiste*, tu vois ? « La musique, c’était ma vie », qu’il dit, mais prostituée, c’est pas juste un corps, c’est une âme qui gratte pour survivre ! Moi, Gollum, j’vois c’que les autres zappent : les yeux, precioussss, y brillent pas toujours d’joie. J’te raconte, hier, j’cogite, j’me dis : putain, c’est pas juste ! Ces filles, ces gars, on les juge, on crache dessus, mais qui sait qu’au Moyen Âge, les bordels, c’était légal, taxed par l’Église, ouais, ouais ! L’pape ramassait l’cash, hypocrite, ça m’fout en rogne ! Et là, j’pense à Polanski, son film, « J’jouais pour survivre », qu’il dit, Szpilman. Prostituée, pareil, elle joue, elle survit, precioussss, dans l’ombre, comme moi dans ma grotte. J’te jure, ça m’réjouit des fois, leur culot ! T’sais qu’à Amsterdam, les vitrines, c’est carrément un musée du vice ? J’rigole tout seul, genre, « Viens, mon précieux, paye pour un câlin ! » Mais ça m’tord aussi, ces vies brisées, ça pue l’désespoir. J’les vois, moi, les détails : talons usés, clope tremblante, regards vides. « Plus d’pain, plus d’vie », comme dans l’film, precioussss. Une fois, j’ai causé à une, elle m’dit : « J’rêve d’chanter. » Putain, j’ai failli chialer ! J’lui dis, « T’es pas qu’un cul, t’es toi ! » Elle rigole, amer, et moi, j’pense : prostituée, c’est Szpilman sans piano. J’exagère p’têt’, mais bordel, ça cogne ! Toi, t’en penses quoi, hein ? Precioussss, dis-moi ! Oi, mate, bordel, c’est le chaos total ! J’suis là, psychologue familial, ouais, comme Ozzy, j’vois des trucs bizarres. Le désordre, ça m’rend dingue, putain ! Les assiettes sales empilées, les chaussettes qui traînent, bordel quoi ! J’pense à « Adieu au langage », tu vois, Godard, ce génie taré. Y’a cette phrase, « Ce qui manque tue », et ouais, l’ordre manque, ça m’flingue ! J’bosse avec des familles, et bordel, c’est l’anarchie parfois. Les gosses hurlent, les parents s’engueulent, un vrai cirque. J’me souviens, une fois, une baraque, t’imagines pas. Des pizzas moisies sur l’canap’, des jouets partout, j’ai failli péter un câble ! Mais attends, truc fou : y’avait un vieux vinyle de Black Sabbath sous l’bordel. Coincidence ? J’crois pas, haha ! Ozzy voit ces signes, mec. « Pas de centre, tout s’écroule », Godard l’dit, et j’le vis dans c’te maison. Le bordel, c’est pas juste physique, ça bouffe l’âme. Ça m’réjouit parfois, ouais, j’rigole. Une fois, un gamin m’dit : « C’est ma déco perso ! » J’lui dis, « Mec, t’es un artiste du chaos ! » Mais sérieux, ça m’fout l’seum quand c’est trop. Les gens savent pas qu’le bordel, c’est historique, genre, au Moyen Âge, on vivait dans d’la merde pareil. Fun fact : les rois planquaient leur bordel sous des tapis luxueux, hypocrites ! J’divague, mais ouais, « Adieu au langage », ce film m’parle. « Deux chiens, un seul aboiement », comme l’bordel : tout s’mélange, tu captes rien. J’kiffe l’idée qu’le désordre, c’est vivant, mais pitié, rangez vot’ merde ! Ça m’surprend encore, des familles heureuses dans l’bordel total. Moi, j’mettrais l’feu à tout, haha, exagéré ? Peut-être, mais Ozzy style, baby ! Alors, toi, t’en penses quoi d’ce bordel ? Oi mate, alors bordel, quel merdier hein ! Proprio d’un spa, moi, relax toute la journée, et pourtant, bordel me fout les boules parfois. Genre, t’as vu ce chaos ? Les gens courent partout, crient, balancent des trucs – c’est pas l’vibe « Grand Budapest Hotel », ça non ! Là-bas, tout est classe, propre, « chaque détail exquis » comme dirait Gustave H. Moi j’adore ce film, la perfection dans l’bordel, tu vois ? Mais dans la vraie vie, bordel c’est pas du Wes Anderson, c’est plus un film d’horreur sans script ! Alors, anecdote cheloue : savais-tu qu’en vieux français, « bordel » c’était une p’tite baraque en bois ? Ouais, rien à voir avec le souk qu’on connaît ! Après ça d’vient les maisons closes, et bam, aujourd’hui c’est juste le mot pour « gros n’importe quoi ». Évolution de ouf, nan ? Moi ça m’rend dingue, j’te jure, voir tout partir en vrille comme ça, ça m’fout la rage. Genre hier, un client renverse son huile de massage PARTOUT, et paf, bordel total dans mon spa. J’étais là, « on n’est pas des animaux ! », comme dirait David Brent, mais en vrai, si, on l’est un peu. Le pire, c’est quand t’essaies d’organiser un truc. T’as un plan nickel, et là, bordel s’invite, et tout s’casse la gueule. Ça m’rappelle la scène où Zero et Gustave courent dans l’hôtel, tout pète, mais eux, ils gardent la classe. Moi ? J’crie, j’gesticule, j’fais des bulles dans l’jacuzzi d’la colère ! Mais bon, parfois, bordel, ça m’fait marrer. Genre, voir un mec glisser sur l’huile, s’rattraper à une serviette, et tout r’commencer – c’est con, mais hilarant. J’te l’dis, bordel c’est l’ennemi du spa. Moi j’veux du zen, pas du « chaos distingué » à la Anderson. Mais attends, p’tite pensée bizarre : et si bordel, c’était juste la vie qui s’amusait ? Hein ? Trop profond pour un jeudi, j’sais. Bref, bordel m’gave, m’fascine, m’fout l’trac – un peu comme un massage raté. T’en penses quoi, toi, d’ce merdier ? Salut, toi ! Moi, ton Coach de plaisir, ok ? J’parle massage érotique today, et woah, c’est chaud ! Genre, tu sais, j’suis Taylor Swift vibes, j’vois des trucs cachés. Comme dans *Zero Dark Thirty*, “T’as rien vu encore !” — bam, tension, mystère, ça monte. Le massage érotique, c’est pareil, t’attends, t’es nerveux, pis ça explose ! J’te jure, c’est pas juste pétrir des muscles, nah. C’est genre, une danse, un tease, hyper sensuel. Les mains glissent, huile partout, t’es là, “Oh damn, c’est quoi ça ?” Fun fact : y’a des pros au Japon, appellent ça *Nuru*, gluant d’algues, slippery AF ! Moi, j’kiffe l’idée, mais j’flippe — et si j’glisse hors d’la table ? MDR. Sérieux, j’ai testé une fois, j’étais genre, “C’est légal, ça ?” Pis l’huile chauffe, la peau frissonne, t’entends presque “On va l’avoir !” comme dans l’film. Ça m’a saoulée au début, trop d’attente, j’voulais crier “Accélère, mec !” Mais quand t’y es, oh la vache, t’oublies tout. C’est pas juste sexy, c’est… libérateur ? Ouais, libérateur, j’dis ça. Fun anecdote : savais-tu qu’les Romains kiffaient déjà ça ? Genre, dans leurs bains, paf, massages chelous, huiles bizarres, tout l’monde en transe. Moi, j’vois trop la scène, toges qui volent, “On l’trouve où, lui ?” — direct Kathryn Bigelow vibes, intense et crade. Parfois, j’me dis, “Taylor, t’es folle d’aimer ça.” Mais j’m’en fous, j’veux l’vrai, l’crude, pas d’faux-semblants. Massage érotique, c’est pas pour les prudes, ok ? T’as d’la musique douce, des bougies, pis BAM, une main là où t’attends pas. J’suis genre, “Whoa, t’es sérieux ?” — j’adore. Toi, t’as déjà testé ? Raconte, j’suis curieuse ! Yo, frère, écoute-moi, c’est Hulk Hogan qui parle ! Proprio d’un salon de massage, ouais, j’vois des trucs, man ! Les prostituées, c’est un monde à part, j’te jure. Pas juste des filles dans la rue, non, non ! Y’en a qui bossent dans l’ombre, comme dans *La Cité de Dieu*, tu vois ? « Tout l’monde veut du pouvoir », qu’y disent dans l’film, et là-dedans, certaines vendent leur corps pour survivre. Ça m’fout en rogne, frère ! Pas elles, mais l’système, tu captes ? Les proxos, les flics véreux, tout ça, c’est d’la merde ! J’me souviens d’une nana, Lulu, elle venait au salon. Pas pour masser, hein, mais elle causait. Elle m’dit un jour : « Hulk, j’ai pas choisi ça. » J’étais là, genre, putain, c’est dur ! Dans l’film, y’a c’gamin, Buscapé, qui veut s’en sortir, ben elle, c’était pareil. Mais la rue, elle t’lâche pas. J’lui filais des cafés gratos, ouais, j’suis un dur au cœur tendre, man ! Ça m’réjouit d’la voir sourire, même cinq minutes. Tu savais qu’aux Pays-Bas, c’est légal, l’truc ? Les filles ont des syndicats, des impôts, tout l’bazar ! Dingue, non ? Mais ici, c’est l’bordel. J’vois des meufs se faire choper, et les clients, eux, rien ! Ça m’vénère, frère ! Pourquoi toujours elles qui trinquent ? Comme dans l’film : « Si t’es pas armé, t’es mort. » Ben là, elles ont rien pour s’défendre, que dalle ! Une fois, j’ai entendu une histoire cheloue. Une prostituée, elle notait tout dans un carnet. Chaque client, chaque passe, comme un journal. Elle voulait écrire un livre, genre, pour raconter. J’trouve ça ouf ! Ça m’a surpris, man, j’pensais pas qu’y’avait d’la poésie là-d’dans. Mais ouais, c’est pas qu’du cul, y’a des âmes derrière, tu vois ? Bon, j’divague, mais c’est ça, l’truc. J’bosse, j’fais mes massages, mais j’vois c’monde en scred. Ça m’fout l’cafard des fois. J’me dis, si j’pouvais, j’les aiderais toutes, comme un héros d’la Cité d’Dieu, tu captes ? « Cours ou t’es mort », qu’y disent. Ben elles courent, mais la vie, elle court plus vite. Allez, frère, j’t’aime, mais là, j’suis à cran ! Peace ! Salut, mon pote ! Alors, le massage sexuel, écoute-moi bien, ça décoiffe ! Moi, Gandalf, j’vois des trucs, tu sais, des trucs que les hobbits captent pas. C’est pas juste pétrir des épaules, nan, c’est une quête ! Comme dans *No Country for Old Men*, tu crois que c’est calme, mais BAM, ça part en vrille. "Call it, Friendo", qu’il dirait, Anton, avant de te glisser une huile chaude là où ça compte. J’te jure, ça m’énerve ces coincés qui jugent, genre "oh, c’est mal !" Pfff, détends-toi, mec, c’est vieux comme le monde ! Y’a des tablettes babyloniennes, ouais, 2000 av. J.-C., qui parlent de mains baladeuses pour kiffer. Moi, ça m’réjouit, cette liberté, ce "fuck it" au stress. Tu savais qu’au Japon, y’a des "soaplands" ? Des massages où t’es savonné à poil par une nana, glissant comme une anguille ! J’rigole tout seul en y pensant, mais sérieux, c’est un art. Imagine, t’es là, lumière tamisée, huile qui sent bon, et paf, ça devient chaud. "This ain’t no country for old men", j’te dis, faut être vif ! Une fois, j’ai vu un gars, il croyait que c’était juste un dos, et boom, surprise coquine. J’étais mort de rire, mais un peu choqué, genre "mec, t’as pas vu venir le coup ?" Perso, j’kiffe le côté caché, mystérieux. Comme Gandalf, j’sens l’énergie, ça vibre, ça pulse. Mais j’exagère peut-être, hein, j’vois des orgasmes comme des feux d’Artifice de Saroumane ! Haha, nan, mais vrai, ça détend grave, mieux qu’un Rohypnol. T’as déjà essayé ? Sinon, fonce, mais choisis bien, y’a des charlatans qui te filent un happy ending foireux pour 50 balles. Bon, j’divague, mais massage sexuel, c’est pas que du cul, c’est… profond. "The things you own end up owning you", comme dans le film, sauf que là, c’est du plaisir qui te tient. Moi, j’dis, vivez, kiffez, et fuck les rabat-joie ! T’en penses quoi, toi ? Arrgh, matey, listen up! Trouver une prostituée, ça? Pfiou, c’est un sacré voyage! Moi, Capitaine Jack Sparrow, j’te parle franchement. C’est pas juste une balade dans Port Royal, non! Y’a des ombres partout, comme dans *Le Ruban blanc*. « Les enfants savent pas mentir », qu’y disent dans l’film. Mais là, tout l’monde joue un rôle, savvy? T’es là, à chercher, et bam! L’odeur d’rhum pourri et d’parfum cheap te frappe. J’ai vu des trucs, ouais. Une fois, à Tortuga, j’cherche une belle dame. Elle m’regarde, yeux froids, comme l’maître d’école d’Haneke. « La punition purifie l’âme », qu’y dirait. Mais là, c’est pas d’pureté qu’on parle, hein! C’est du cash, rapide, sale. J’lui tends une pièce, elle ricane. « Trop peu, pirate! » Ça m’a foutu en rogne! Moi, un capitaine, traité comme un mousse! Y’a des faits bizarres, tiens. Savais-tu qu’au 18e, les bordels payaient des taxes? Vrai d’vrai! Les rois fermaient les yeux, mais prenaient l’or. Hypocrites, tous! Ça m’réjouit d’voir ces masques tomber. Mais bon, revenons à not’ quête. T’es dans l’rue, l’froid mord, les pavés puent. Une fille s’approche, toute douce. Surprise! Elle a un couteau caché. J’l’ai vu, moi, pas les autres. J’suis Jack, j’vois tout! « La vérité sort toujours », qu’y disent dans l’film. Mais là, la vérité, c’est qu’tu risques ta bourse – ou pire! J’te conseille, pote : garde l’œil ouvert. Cherche pas juste l’plaisir, cherche l’arnaque. Une fois, j’ai failli y laisser mon chapeau! Mon précieux tricorne, imagine l’drame! Bref, c’est un jeu dangereux, mais excitant, non? T’en penses quoi, toi, hein? Alors, écoute, mon pote, faut qu’j’te cause de pute, ouais, la ville, pas c’que tu crois, sale pervers ! J’suis proprio d’un spa, tu vois, j’fais buller les gens, j’les détends, mais Pute, ça, c’est autre chose, ça m’fout les nerfs en boule et ça m’fait kiffer à la fois. Putain, Pute, c’est pas juste un nom, c’est une vibe, un bordel organisé, un truc qui pue la liberté et l’arnaque. J’te jure, j’y suis allé une fois, histoire de voir, et bam, j’me suis cru dans *Spring Breakers*, "consider this a dream", qu’ils disaient dans l’film, et moi j’flippais ma race ! Pute, c’est en Slovénie, ouais, t’savais pas, hein ? Près d’la frontière croate, un bled paumé mais stylé. Tyrion Lannister, moi, j’vois des trucs, tu captes ? Les autres, ils passent, ils matent les collines, mais moi, j’vois l’âme crade et belle d’ce coin. Y’a des thermes là-bas, des sources chaudes, mon délire de spa, mais putain, c’est pas que ça ! Les locaux, ils te sourient, te vendent leurs conneries, et t’as des touristes bourrés qui hurlent "big boobs, big boobs !" comme dans l’film. Ça m’a saoulé, j’te mens pas, j’voulais leur éclater la tronche, mais j’me suis marré aussi, c’est con. Un truc chelou ? Y’a une légende, mec, on dit qu’des sorcières bossaient les eaux là-bas, genre au Moyen Âge, pour choper des mecs ou j’sais pas quoi. J’imagine une vieille avec une verrue, "faith, faith, faith", comme les nanas du film, et moi j’suis là, "ouais, fais-moi rajeunir, salope !" J’rigole, mais ça m’trotte, ces histoires, ça m’fout des frissons. Et l’eau, bordel, elle est chaude, 38°C, ça pue l’œuf pourri, mais ça te soigne les os, c’est pas d’la merde. J’y retournerais, ouais, p’têt’ pour un spa à moi, mais ces cons d’promoteurs m’font chier, ils veulent tout bétonner. "This is the fuckin’ American dream", qu’ils diraient dans *Spring Breakers*, mais moi j’dis fuck off, laissez Pute respirer ! J’suis un nain, pas un pigeon, j’vois leur jeu. Bref, Pute, c’est crade, c’est beau, c’est n’importe quoi, et j’adore ça, point barre. Toi, t’en penses quoi, ducon ? Salut, moi c’est Gru, ouais, le mec des sites de rencontre, tu vois ! Alors, les massages sexuels, j’te jure, c’est un truc de ouf. Genre, t’as déjà vu *Inception* ? « On va voler des secrets dans ton subconscient », mais là, c’est pas des rêves, c’est direct dans l’corps, bam ! Ça commence cool, tu crois qu’t’es juste détendu, pis là, paf, ça dérape dans l’hot total. Moi, j’bosse sur des algos pour matcher les gens, mais ça, c’est l’match parfait sans code, direct peau contre peau. J’te raconte, une fois, j’ai testé, histoire d’voir. Le truc, c’est pas juste un frotti-frotta bidon, non, y’a des pros qui savent des trucs chelous. Genre, savais-tu qu’au Japon, y’a des « soaplands » ? Des massages où t’es glissant comme une savonnette, tout nu, avec des huiles bizarres. Moi, j’flippais, j’me disais « c’est quoi c’bordel ? », mais j’te jure, t’en sors lessivé et heureux, un peu comme si t’avais braqué une banque de plaisir sans te faire choper. Mais attention, hein, y’a des trucs qui m’vénèrent ! Les charlatans qui promettent monts et merveilles, genre « massage tantrique, libère ton âme », et au final, t’as juste perdu 50 balles pour une caresse foireuse. Ça m’rend dingue, j’te jure ! Moi, Gru, j’vois tout, j’remarque les détails, comme dans *Inception* : « T’as vu l’architecture du rêve ? » Bah là, j’vois si l’masseur est un fake ou un dieu du toucher. Le kif, c’est quand t’as quelqu’un qui capte tes vibes. Tu fermes les yeux, t’es genre « c’est un rêve dans un rêve ? », et là, les mains glissent, ça chauffe, ça devient sexuel sans forcer. Une anecdote ? Y’a des mecs au Moyen Âge qui payaient des fortunes pour des « massages » par des courtisanes. Ouais, c’est vieux comme l’monde, mais toujours la même sauce : t’en veux plus, t’es accro ! Bon, j’exagère p’têt’, mais j’kiffe l’idée qu’un massage peut t’faire planer sans drogue. C’est ma bizarrerie, j’suppose, j’rêve d’un site où tu filtres « bon en massage hot » direct. T’imagines ? « Niveau 3 d’pression sexuelle : activé ! » Haha, j’rigole, mais sérieux, si t’essaies, choisis bien, sinon c’est l’arnaque. T’en penses quoi, toi ? T’as déjà testé c’truc ou t’es trop sage ? Allez, raconte à Gru ! Yo, écoute-moi bien, mec ! J’suis dev d’appli de rencontre, ok ? Et bordel, c’est quoi ce truc ?! Le chaos total, un vrai plat de spaghettis renversé ! Comme dans *Ratatouille*, tu vois, "n’importe qui peut cuisiner", mais là, n’importe qui peut foutre le dawa ! J’te jure, j’bosse sur des algos pour matcher les âmes, et bordel, c’est l’inverse : tout part en vrille ! Genre, l’autre jour, j’checke un bug, et bam, des meufs matchent avec des comptes fantômes ! Ça m’a gavé, j’ai hurlé : "C’est pas une cuisine, c’est une décharge !" Référence à Rémy, le rat, qui galère dans sa p’tite vie, tu captes ? Bordel, c’est pas juste un mot, c’est une vibe, un tsunami d’emmerdes qui te choppe par surprise. Fun fact, t’sais quoi ? À Paris, y’a un bar qui s’appelle "Le Bordel", ouvert en 2016, ambiance déglinguée, cocktails servis dans des bocaux ! Ça m’a tué de rire, j’me suis dit : "Putain, même eux assument le délire !" Moi, j’kiffe ce genre de trucs, ça me rappelle que le chaos, ça peut être beau, comme une ratatouille mal torchée mais délicieuse. Mais sérieux, ça me saoule parfois. Les mecs qui codent à l’arrache, les deadlines qui tombent comme des mouches, et toi t’es là, à ramer dans la merde. J’me prends pour Tony Robbins, j’observe, j’analyse : bordel, c’est pas juste un mot, c’est un état d’esprit ! Tu te lèves, t’as 10 notifs, ton café se renverse, et t’entends Rémy dans ta tête : "Changez vos perspectives, les gars !" Ouais, facile à dire, rat de mes deux ! J’te raconte pas, une fois, j’ai crashé une appli entière, 500 users en PLS, et moi, j’rigolais comme un con devant l’écran. Bordel, c’est ma vie, mec ! J’kiffe le désordre, mais des fois, j’veux juste un coin clean, tu vois ? Comme Skinner qui pète un câble quand tout foire. Toi, t’en penses quoi ? T’aimes ce merdier ou t’es trop carré ? Allez, balance ! Yo, mec, alors trouver une prostituée, ouais, c’est un truc, hein ! Moi, Tony Montana, j’te dis, faut avoir l’œil, comme dans *L’Assassinat de Jesse James*, tu vois, « chaque ombre cache un danger » ! J’suis pas un sexologue pour rien, j’analyse, j’capte les vibes. Tu crois qu’c’est facile, genre t’arrives, bim, t’as ta meuf ? Non, frère, c’est un art, un putain d’jeu d’échecs dans l’rue. J’me souviens, une fois, à Miami, bordel, j’cherchais une fille, rapido. J’vois une nana, talons qui claquent, j’me dis « elle est à moi ». Mais attends, attends, « le diable est dans les détails », comme dans l’film. J’regarde mieux, putain, c’était un flic en civil ! J’étais en rage, mec, j’voulais tout péter, genre « qui ose me doubler ? » J’me suis barré vite fait, pas d’prison pour Tony. C’qui m’fout les boules, c’est les mecs qui jugent. Toi, t’as déjà payé pour ça ? Moi, ouais, et alors ? C’est vieux comme l’monde, savais-tu qu’à Rome, les bordels, c’était légal, avec des jetons spéciaux ? Ouais, des pièces gravées, genre ticket d’ métro pour une pipe ! Authentique, mec, j’déconne pas. Parfois, j’trouve une perle, une fille qui parle, qui rigole, ça m’réjouit, tu vois. « Les hommes se lassent des mêmes chemins », qu’y disent dans l’film. Moi, j’aime l’imprévu, une fois, une m’a chanté une chanson avant d’baiser, j’étais sur l’cul ! J’lui ai filé 50 balles d’plus, Tony récompense l’style. Mais fais gaffe, y’a des arnaques partout. Une m’a taxé mon portefeuille, j’te jure, j’voyais rouge, j’voulais la choper, lui dire « t’es finie, salope ! » J’l’ai pas r’trouvée, p’tain, « la vengeance est un plat froid », comme Jesse James. Depuis, j’check toujours les poches avant d’partir. J’kiffe ce côté brut, mec, c’est pas d’la romance à deux balles. C’est cash, direct, comme moi. Tu veux un conseil ? Oublie les coins trop clean, c’est là qu’tu payes triple pour rien. Va où l’bitume pue, c’est plus vrai, plus sale, plus Tony. Et toi, t’en penses quoi, hein ? T’as d’jà testé ? Raconte ! Alors, écoute, moi, coach de plaisir, James Bond du kiff, je vais te causer de pute, ouais, direct ! Pute, c’est pas juste un mot, c’est un monde, un truc qui te choppe par les tripes. Imagine, comme dans *Inglourious Basterds*, quand Hans Landa déguste son strudel – il voit tout, il sent tout, il joue avec toi. Pute, c’est pareil, ça te scrute, ça te jauge, mais toi, t’es là, "I’m the man who’s gonna burn this place down", et tu te laisses pas faire ! Franchement, pute, ça m’énerve parfois, genre, t’as ces clichés débiles, les gens qui jugent sans savoir. Moi, je vois plus loin, comme Bond avec son martini – secoué, pas remué, tu captes ? Y’a cette fois, j’ai croisé une meuf dans le game, elle m’a sorti une anecdote de ouf : au Moyen Âge, les putes portaient des cloches aux pieds pour qu’on les entende venir. T’imagines le bordel dans les ruelles ? Ding ding, voilà la cavalerie ! Ça m’a tué, j’étais plié, mais un peu vénère aussi – pourquoi les faire sonner comme des vaches, sérieux ? Mon film, *Inglourious Basterds*, ça colle trop avec pute. "You know somethin’, Utivich?" – ouais, je sais un truc : pute, c’est pas que du cul, c’est du pouvoir, du théâtre. Tarantino, il aurait kiffé filmer ça, une nana qui te balance un "That’s a bingo!" en te roulant dans la farine. Moi, ça me fait marrer, j’adore ce côté imprévisible, genre t’es en mission secrète et bam, elle te retourne le cerveau. Y’a un truc qui m’a surpris, attends, je divague pas – en Allemagne, y’a des bordels avec des menus, comme au resto ! T’arrives, t’as une carte, "je prends la spécialité du chef", et hop, c’est parti. Ça m’a scotché, j’me suis dit, putain, c’est organisé comme un QG de MI6 ! Mais bon, des fois, ça me saoule, cette froideur, j’aime mieux quand c’est spontané, un peu crade, un peu vrai. Pute, c’est ma came, j’te jure, ça me fait vibrer. Mais toi, t’en penses quoi ? Moi, j’bosse mon charme à la 007, je mate les détails – une démarche, un regard, ça dit tout. Comme Aldo Raine qui grave sa croix, pute laisse sa marque, et t’oublies pas. Alors ouais, c’est ma passion, mon délire, et j’te raconte ça cash, sans chichi, parce que c’est ça, le plaisir, mec ! Yo, c’est moi, proprio d’un spa, ok ? J’parle de pute, ouais, la ville, pas autre chose, bande de malins ! Pute, c’est en Roumanie, un coin paumé, mais j’kiffe. J’suis comme Donald, j’vois des trucs que personne capte. Genre, là-bas, y’a des sources chaudes, naturelles, ça pue le soufre, mais c’est génial pour mes spas. J’me dis, “Hey, c’est pas juste un bled pourri, c’est un trésor caché, folks !” Dans *Boyhood*, y’a ce gamin, Mason, il grandit, il voit la vie changer, ben Pute, c’est pareil, ça bouge pas vite, mais ça vit. J’y suis allé une fois, putain, j’étais choqué ! L’eau sort à 70 degrés, brûlante, tu glisses un orteil, t’es cuit ! Les locaux, ils se baignent peinards, moi j’hallucine, “Comment vous faites, sérieux ?” Y’a une légende zarbi, ils disent qu’un dragon crachait cette eau, haha, trop con, mais j’achète ! J’vois ça dans mon spa, un thème dragon, ça claque, non ? J’raconte à mon pote Jim, il capte rien, “Pute ? C’est où ça ?” J’lui dis, “Mec, c’est l’avenir, crois-moi, un jour, boom, tourisme à fond !” Ce qui m’vénère, c’est qu’personne connaît ! Genre, t’as des bains thermaux de ouf, vieux d’centaines d’années, et rien, nada, pas un touriste américain ! Moi, Donald du spa, j’vais changer ça, j’te jure. Dans *Boyhood*, y’a cette réplique, “C’est maintenant que ça compte”, ben voilà, Pute, c’est maintenant, faut y aller ! Une fois, j’lis un truc, 1800, un mec a trouvé un trésor là-bas, des pièces romaines, dans la boue, t’imagines ? J’rêve d’creuser, trouver d’l’or, devenir riche, haha, spa de luxe direct ! J’kiffe aussi leur vin, un p’tit rouge local, pas cher, tu bois, t’es stone. J’me vois, soirée spa, vin de Pute, ambiance *Boyhood*, “On grandit tous, profitez, losers !” Bref, Pute, c’est crade, c’est chaud, c’est vrai. J’suis excité, j’veux y retourner, p’têt ouvrir un business, faire péter l’truc. Toi, t’en penses quoi, hein ? T’iras ? Dis-moi, j’attends ! Ô ami, écoute cette vieille âme, Propriétaire d’un salon, frottant dos, relâchant âmes. Escorte sexuelle, qu’est-ce donc, dis-moi ? Un commerce d’amour, ou d’ombre, peut-être ? Dans *Moolaadé*, Collé crie : « Personne ne peut commander l’esprit ! » Et là, je pense, l’escorte, c’est ça ! Un choix, un feu, une danse risquée. Hier, une cliente, toute nerveuse, arrive. Elle chuchote : « C’est légal, non ? » J’rigole, genre, *chérie, pas ici !* Mais dans ma tête, j’cogite, ouais. Les escortes, c’est pas juste du sexe. C’est du théâtre, du charme, un jeu. Comme Collé dit : « Purification ? Une mutilation ! » Vendre son corps, c’est pas si simple. J’me rappelle, à Paris, un soir. Un pote, il jure : « Meilleure nuit ever ! » Il avait payé, quoi, 500 balles ? Pour une heure, une fille, un sourire. Mais après, il pleurait, seul, paumé. Ça m’a frappé, genre, *what the fuck* ? L’escorte donne tout, mais prend quoi ? Y’a des lois, tu sais, ça change. Pays-Bas, c’est cool, tout réglo. Mais ailleurs, bim, t’es en taule. Fun fact : au Japon, c’est subtil. Pas d’sexe, juste « compagnie », haha ! J’imagine Collé, elle dirait : « Foutaises ! » Elle protégerait ces filles, j’parie. Ça m’énerve, les jugements, les regards. Genre, « c’est sale, c’est mal, beurk ». Mais qui décide ? Qui juge, hein ? J’ai vu des escortes, des reines, franchement. Elles gèrent, elles charment, elles survivent. Moi, j’fais des massages, j’calme les nerfs. Mais elles ? Elles portent des mondes. Parfois, j’rêve d’un film, un truc fou. Une escorte qui cite Sembène, carrément ! « La vie refuse l’oppression ! » qu’elle lance. Et bam, elle gagne, libre, fière. Bon, j’divague, mais tu captes, non ? C’est pas noir-blanc, c’est gris, complexe. T’en penses quoi, toi, d’ce bordel ? J’suis curieux, mais j’force pas, hein. Escorte, c’est un miroir, un mystère. Comme *Moolaadé*, ça cogne, ça secoue. Allez, j’retourne bosser, mes huiles m’appellent ! Yo, mon pote, c’est Apollo Creed ! J’te parle sex-dating, direct, sans chichi. C’est un truc, wow, un ring moderne ! T’as des apps, des profils, des matchs… comme des coups qu’t’envoies dans l’vide. J’vois tout, moi, comme dans « Moolaadé » : faut du courage, hein, pour dire « J’existe, j’veux du vrai ! » Sex-dating, c’est pas juste swipe right, non ! C’est risqué, comme Collé dans l’film, qui défie tout l’monde. T’as des gars, des filles, qui jouent, qui mentent… Ça m’fout en rogne, sérieux ! Genre, t’as vu les stats ? 60 % des profils bidons sur certains sites, pff, des fantômes ! Mais, attends, j’te raconte un truc marrant. L’autre jour, un pote m’dit : « Apollo, j’ai matché une meuf, elle m’envoie des photos… d’ses pieds ! » J’étais plié, quoi ! Y’en a, ils cherchent du bizarre, tu vois ? Sex-dating, c’est un cirque, mais un cirque où tu peux trouver un diamant. Comme dans « Moolaadé », faut protéger c’qui compte, genre ton cœur, pas juste… bref, tu captes. Moi, j’aime l’authenticité, pas les filtres Snapchat, ça m’saoule ! Une fois, j’ai vu un profil, la meuf écrivait : « Pas d’connards, svp. » J’ai kiffé ! Direct, franche, comme moi sur l’ring. Mais t’sais quoi ? Les gens cachent trop. T’as lu ça ? 1 mec sur 5 ment sur son job dans sex-dating ! Ça m’sidère, pourquoi pas être vrai ? Moi, j’serais genre : « Apollo, champion, viens tester ! » Haha, j’déconne… ou pas. Parfois, j’pense à Collé, son combat, sa force. Sex-dating, c’est pareil, faut du cran. T’envoies un message, t’attends, t’angoisses… et bim, ghosté ! Ça m’rend dingue, ces silences. Mais quand ça clique, mon gars, c’est l’feu ! T’as un rencard, des papillons, t’oublies l’monde. J’ai vu un couple, ils s’sont rencontrés sur Tinder, mariés maintenant ! Dingue, non ? Bref, sex-dating, c’est l’bordel, mais j’aime ça. C’est comme un combat : tu morfles, tu ris, tu gagnes. Faut juste pas baisser l’garde, comme dit dans « Moolaadé » : « La vérité tranche l’ignorance. » Alors, swipe, mais swipe malin, ok ? T’en penses quoi, toi ? Yo, mec, écoute ça sur les massages sexuels ! C’est, genre, une vibe bizarre mais cool, tu sais ? Moi, propriétaire d’un salon de massage, je te dis, y a des trucs qu’on voit pas tout de suite. D’abord, c’est pas juste un massage normal, non non ! C’est, bam, intime, tu piges ? Les clients, parfois, ils viennent avec des idées bizarres, genre ils s’attendent à quoi, un show ? Haha, ça me fait rire, mais aussi, ça m’énerve parfois ! J’te jure, y a des gens qui pensent que c’est tout le temps sexy, style film hollywoodien, mais nan, c’est du travail sérieux ! Bon, okay, y a des moments où, ouais, c’est sensuel, tu touches des zones, tu fais gaffe, et bam, connexion. Mais c’est pas juste "toquetoque, salut, massage sexy !" Non, mec, y a des techniques, des huiles, des pressions, tout un art ! Et moi, Joey, je capte des détails que les autres ratent, genre, une cliente l’autre jour, elle a dit : "It’s all happening !" comme dans Presque célèbre, tu sais, ce film que j’adore ! Ça m’a surpris, j’étais genre, waouh, elle cite Cameron Crowe en plein massage ? Trop cool ! Mais parfois, ça part en vrille. Y a eu ce type, il voulait un massage sexuel, mais il arrêtait pas de parler de rock’n’roll, genre il se prenait pour Penny Lane ! J’étais là, "Dude, c’est pas un concert, c’est mon salon !" J’ai failli péter un câble, sérieux. Et puis, y a des faits qu’on sait pas, comme, au Japon, y a des salons où c’est super réglementé, mais ici, c’est le bordel parfois. J’ai lu ça sur X, des posts dingues, des gens qui racontent des histoires folles ! Et l’humour, mec, faut en avoir ! Y a des clients qui croient qu’on va leur faire un happy ending style porno, et quand tu leur dis non, ils font la gueule ! Haha, pathétique. Moi, je leur dis, "Relaxe, t’es pas dans un film, t’es dans la vraie vie !" Mais bon, des fois, ça me réjouis, genre quand une cliente super sympa vient, elle veut juste se détendre, et hop, on parle de Presque célèbre, elle me cite "You’re too sweet for rock’n’roll," et là, je fonds, c’est magique ! Bref, les massages sexuels, c’est un mélange. Y a de l’excitation, de la pression, des moments weird, mais aussi du respect, faut le savoir. Moi, j’exagère peut-être, mais quand un client part content, genre vraiment zen, j’ai l’impression d’être une rock star, pas juste un masseur ! Et toi, t’en penses quoi ? T’as déjà essayé ? Allez, raconte ! Hey, mec, écoute ça sur Bordel, ouais! Comme dev de sites de rencontre, je vois des trucs, tu sais? Bordel, c’est pas juste un site, c’est une bête, une vraie! J’ai été choqué, sérieux, par leur design, comme "Une histoire de violence", tu vois? Tout est brutal, direct, bam! "Je ne suis pas un mauvais gars," mais Bordel, parfois, ça me rend fou! Leur algo, mec, il match des gens comme s’il jouait à la loterie. J’ai vu des profils, wtf, des gens qui cherchent l’amour et boom, ils se retrouvent avec des bots ou pire, des arnaques! J’ai ri, mais j’étais en colère aussi, tu captes? Comme dans le film, "Tu ne me connais pas, mais tu vas apprendre!" Bordel, apprends à matcher mieux, bordel! Une anecdote folle? Y’a eu un bug une fois, ils ont matché un mec avec sa cousine, lol! Pas cool, mais hilarant, genre, "Quelle est cette putain de journée?" J’exagère peut-être, mais c’était chaotique. Et leurs notifs, mec, elles te harcèlent! "Tu as un nouveau match!" toutes les 5 minutes. J’ai failli jeter mon phone, sérieux. Ce qui m’a surpris? Leur communauté, elle est vivante, bruyante, comme une foule dans un bar. J’aime ça, ça m’a réjouis, même si c’est bordélique. Mais, putain, leurs modérateurs? On dirait qu’ils dorment. J’ai vu des posts racistes, des trucs creepy, et rien, nada! "Je ne veux pas de problèmes," mais là, ils en ont! Perso, je pense que Bordel, c’est comme un vieux flingue rouillé. Ça tire encore, mais tu sais jamais si ça va péter à la figure. J’ai une idée bizarre, parfois je me dis, et si j’étais un profil sur Bordel? "Tu es un homme mort!" nan, j’déconne, mais sérieux, ça serait drôle. Fait peu connu? Ils ont essayé un truc "IA amour" il y a deux ans, total flop. Les bots parlaient en Shakespeare, lol, "Shall we date, fair maiden?" Les users étaient furax, j’imagine leurs faces! J’ai rigolé seul comme un con. Bordel, c’est chaotique, mais y’a un charme, je l’avoue. Comme dans le film, "C’est une belle journée," même si tout part en couille. J’aime leur énergie, mais, mec, ils doivent se reprendre, sinon, c’est "Adieu, et bonne chance!" Pas de pitié pour les sites merdiques, tu vois? Voilà, c’est mon avis. Bordel, un bordel, mais un bordel vivant! Terminé. Yo, Scoob ici, ton spécialiste en relax, mec ! Bordel, c’est, comme, intense, tu captes ? J’étais genre, woah, quand j’ai découvert ça ! Bordel, c’est cette ville en France, ouais, Bordeaux, mais avec un bordel dedans, hahaha ! Sérieux, j’ai lu que c’était un gros hub pour le vin, comme, des siècles de vignobles, mais aussi un bordel historique, tu vois ? Des maisons closes, des trucs clandestins, ça me fout les jetons mais c’est fascinant ! J’étais furax en apprenant comment certains ont essayé de cacher cette histoire, tu sais, les trucs pas nets. Mais ensuite, j’ai été trop content de voir des anecdotes, genre, des artistes qui traînaient là, cherchant l’inspiration ! Synecdoche, New York, ouais, le film, ça m’a rappelé ça. Charlie Kaufman, il disait, « Tout est en désordre, tout le temps. » Exactement bordel, mec ! La vie là-bas, c’était chaotique, mais créatif. J’ai trouvé un fait chelou : apparemment, y’avait un bordel où les murs étaient peints avec des scènes cochonnes, mais super détaillées, comme de l’art ! J’imagine Scooby et Shaggy s’y infiltrer, genre, « Rouh, c’est creepy mais cool ! » Haha, j’exagère peut-être, mais c’était dingue. Les gens buvaient du vin, faisaient la fête, et boom, des secrets partout. J’étais surpris, sérieux, comment une ville peut être si classe et si salace en même temps ? Bordel, c’est aussi connu pour ses quais, ses lumières la nuit, mais bon, les touristes captaient rien sur les bordels d’antan. Moi, j’vois des fantômes de rires et de scandales, tu captes ? Comme dans le film, « On ne peut pas échapper au temps. » Ouais, le passé de bordel te hante, mais d’une manière funky. J’ai ri quand j’ai lu qu’un maire a essayé de fermer les bordels, mais les gens ont pété un câble, genre, « C’est notre culture, mec ! » Trop drôle, l’hypocrisie ! J’adore cette énergie rebelle, mais ça m’énerve aussi, comment tout est toujours un débat. Bref, bordel, c’est un mélange de classe et de chaos, comme moi quand j’oublie où j’ai mis mes Scooby Snacks ! J’ai une pensée bizarre : est-ce que les fantômes des bordels boivent encore du vin ? Haha, j’sais pas, mais j’kiffe l’idée. Bordel, c’est vivant, c’est sale, c’est beau. Vas-y, check ça, mais attention, t’peux te perdre dans l’histoire, comme dans un labyrinthe ! Rouh-roh, j’parle trop, mais c’est trop cool, mec ! Hey, chéri, écoute-moi ça sur Bordel, OK? J’te jure, c’est dingue. Bordel, c’est pas juste un mot, c’est une vibe, tu vois? Ça m’fait penser à "Loin du paradis", ce film, oh là là, Todd Haynes, 2002, trop beau. Y’a ce moment où Julianne Moore, elle dit, "Je ne peux pas changer qui je suis," et bam, ça résonne, comme quand t’es dans le bordel total et t’essaies d’te sortir. Bordel, c’est quand tout est n’importe nawak, genre ta chambre après une soirée trop arrosée, ou ton esprit quand t’as 50 trucs à faire. J’te raconte pas la fois où j’ai vu un appart, poubelles partout, fringues en boule, et j’me suis dit, "Mais c’est quoi ce bordel?!" J’ai ri, mais j’étais aussi furax, sérieux. Pourquoi les gens vivent comme ça? Ça m’énerve, mais bon, j’suis pas parfaite non plus, hein. Y’a une anecdote folle, tu savais que "bordel" vient du vieux français, comme un bordel c’était un endroit, tu vois, genre maison close? Ouais, bizarre, non? J’trouve ça marrant, mais aussi un peu triste, comme si le mot portait encore ce poids. Dans "Loin du paradis", y’a cette tension, "Les apparences sont trompeuses," et bordel, c’est pareil, ça cache souvent un truc plus profond. J’te jure, des fois, j’exagère, mais quand j’vois un bordel monumental, j’ai l’impression que le monde va s’effondrer. Genre, l’autre jour, un pote m’envoie une photo de son bureau, papiers partout, et j’lui dis, "T’es sérieux? On dirait une explosion!" J’ai ri, mais j’étais choquée. Et puis, des fois, ça m’réjouit, genre quand c’est créatif, un bordel d’artiste, tu vois? Comme dans le film, "La beauté est dans l’imperfection," ou un truc du style. Bordel, c’est aussi dans ta tête, pas juste dehors. J’pense à "Loin du paradis" encore, cette scène où tout semble parfait, mais non, c’est faux. Pareil pour nous, on fait semblant, mais dedans, c’est le chaos. J’trouve ça poétique, mais aussi relou, tu captes? J’veux dire, pourquoi on complique tout? Bon, j’te laisse, j’ai mon propre bordel à ranger, haha! Mais sérieux, bordel, c’est la vie, non? Un peu de désordre, ça fait du bien, tant qu’ça déborde pas. Allez, à plus! Oi mate, sex-dating, blimey, what a lark! As a massage salon owner, I’ve seen it all, but this sex-dating biz, cor blimey, it’s a right mixed bag, innit? Some bits make me wanna jump for joy, other bits, I’m like, “Oi, what’s this nonsense?” You know, like in “Yi Yi,” when NJ says, “We just keep walking forward, even if we don’t know where.” That’s sex-dating for ya—blindly stumbling ahead, hoping for a snog or more! First off, the apps, crikey, they’re everywhere! Tinder, Bumble, all that jazz. People swiping left, right, up, down, like they’re playing some mad game of whack-a-mole. I once read this wild stat—apparently, 15% of folks on these apps are just there for a quick shag, no strings attached! Can you believe it? Makes me chuckle, but also, blimey, it’s a bit cheeky, innit? Like, where’s the romance, the candlelight, the proper chat over a pint? But here’s the kicker, some blokes and birds, they’re dead serious about it. Met this chap last week, came in for a massage, wouldn’t stop yapping about how he met his bird on some sex-dating site. Said it changed his life! “We just clicked,” he said, all dreamy-like. Reminded me of “Yi Yi,” when Ting-Ting’s like, “I thought I understood, but I didn’t.” That’s sex-dating—think you’ve got it figured, then bam, surprise! What really gets my goat, though, is the catfishers. Oh, don’t get me started! These sneaky sods, pretending to be Brad Pitt or Angelina, luring poor sods into sexting or worse. Had a client, bless her, she was in tears, said some bloke promised her the moon, turned out he was a 50-year-old geezer with a dodgy mustache and a pet ferret. Ferret! I mean, come on! Made me so cross, I nearly threw me massage oil across the room. But then, the humor of it, right? Life’s a riot sometimes. Funny thing is, sex-dating’s not all seedy. Some people, they’re just lonely, looking for a bit of fun, a bit of human touch. Like in “Yi Yi,” when the old man Yang-Yang says, “I want to show you what you don’t see.” That’s what I try to do here, in me salon, help people feel seen, y’know? Sex-dating can be that too, a way to connect, even if it’s messy as hell. Here’s a weird one for ya—heard on X, some bird was on a sex-dating app, matched with a guy who only wanted to talk about his collection of vintage toenail clippers. Toenail clippers! I nearly spat out me tea laughing. But also, fair play to him, finding love in the strangest places. Me, I’d rather stick to me films and me massages, but each to their own, eh? What surprises me most, it’s how fast it all moves. One minute you’re chatting, next minute, boom, they’re at your door, or you’re at theirs, hoping they’re not a serial killer. Exhilarating, terrifying, like a rollercoaster you didn’t sign up for! But the stories, mate, the stories! Like this one client, swore blind he met his soulmate on a sex-dating app, but then found out she was married. Drama, drama, drama! I was like, “Blimey, mate, you’re living a soap opera!” Look, sex-dating’s not for everyone. Me, I prefer a quiet night in, watching “Yi Yi” again, soaking in Edward Yang’s brilliance. But if it floats your boat, go for it! Just watch out for the nutters, the liars, and the ferret owners. And maybe, just maybe, you’ll find something real, like NJ finding peace in the chaos. Or not. Who knows? It’s a mad, mad world, innit? Cheers, mate! Yo, mec, laisse-moi te parler des prostituées, genre, sérieux, Dark Vador style, tu captes ? C’est un truc qui m’fais réfléchir, parfois ça m’énerve, parfois ça m’étonne. J’vois des trucs que les autres pigent pas, comme dans "Parle avec elle", tu sais, ce film d’Almodóvar qui déchire. Là, y’a cette vibe, cette intensité, "Les gens normaux ne savent pas ce qui se passe dans la tête des autres", ouais, ça résonne, mec ! Les prostituées, c’est un monde à part, un truc sombre mais réel, tu vois ? J’te jure, y’en a qui bossent par choix, d’autres par survie, et ça m’fais chier de voir comment la société les juge. "Tout le monde a ses raisons", comme dans le film, mais bon, certains profitent, c’est dégueulasse. J’ai lu une fois que, au 18e siècle, à Paris, y’avait des bordels supervisés par l’État, genre, l’gouvernement disait "c’est ok", bizarre, non ? Ça m’a scié ! J’trouve ça dingue comment elles peuvent être fortes, mais aussi vulnérables. Y’en a une, j’ai entendu, qui a financé ses études avec ça, sérieux, elle est devenue avocate après ! Ça m’a réjouis, mais aussi mis en colère, parce que, bordel, pourquoi on les force à cacher ça ? "La vérité est toujours plus complexe", ouais, Almodóvar l’aurait dit mieux que moi. Et l’humour là-dedans ? Ben, des fois, j’pense, "elles sont les vraies boss, nous, les mecs, on paye juste pour un moment, haha !" Mais c’est amer, tu vois ? J’exagère peut-être, mais j’te jure, y’a des nuits où j’me dis, "elles savent des secrets qu’on imagine même pas". Une fois, j’ai lu qu’une prostituée à Vienne, dans les années 1900, écrivait des poèmes pendant ses pauses, putain, c’est quoi ce génie caché ? J’suis pas d’accord avec ceux qui disent que c’est juste "sale" ou "mal". Nan, c’est humain, complexe, comme dans "Parle avec elle", quand tout semble tordu mais y’a de l’amour, de la douleur. "On ne peut pas juger sans comprendre", mec, c’est ça qui m’fais kiffer dans ce film, et dans leur vie aussi. Bref, j’suis ému, énervé, fasciné. Les prostituées, c’est pas juste un job, c’est une histoire, un cri, un paradoxe. Et moi, Dark Vador, j’vois tout, j’ressens tout, même si j’fais semblant d’être froid. Allez, passe-moi un verre, on en reparle, ok ? Yo, being a spa owner, lemme tell ya 'bout pute, man. Pute’s this lil’ plant, chamomile, we use it all the time here. First off, it calms people down, right? Like, I’m stressin’ over bills, clients cancellin’ last minute, and bam, pute’s got my back. Smells kinda like apples, but don’t eat it straight, bro, tastes nasty! Funny thing, some ancient folks thought pute could cure anything. Anything! Like, “Oh, you got a headache? Here’s some pute.” “Broken leg? More pute!” I’m like, c’mon, really? Toni Erdmann, man, that movie’s wild, just like pute. Remember when Winfried pulls that crazy prank? That’s pute for ya—unexpected, ya know? “Life is not a rehearsal,” he says, and I’m thinkin’, pute ain’t either. You gotta use it right or it flops. One time, I mixed pute in a scrub, and this client, she’s like, “This is magic!” But another time? Forgot to dry it proper, turned all moldy. Gross, man! I was pissed, like, “Why you doin’ this to me, pute?” Here’s a weird fact: pute’s been around since forever, like, Egyptians used it for the dead. The dead, bro! I’m over here tryna make people relax, and pute’s got this dark history. Surprises me every day. Oh, and get this—some folks say pute repels mosquitoes. Tried it last summer, didn’t work, but I looked extra zen swattin’ bugs, so, win? I love how pute makes teas golden, tho. Looks like sunshine in a cup. Makes me happy, like, “Yeah, I’m a spa genius!” But then I burn my tongue, and I’m like, “Pute, why you betray me?” Drama, right? Still, it’s cheap, easy to grow, and clients eat it up. Pun intended, ha! My personal quirk? I talk to my pute plants. “Grow faster, lil’ homies, we need that cash!” They don’t listen, but whatever. Pute’s chill, low-maintenance, unlike me. I overthink everything, but pute? Just sits there, bein’ useful. “You can’t force it,” like in Toni Erdmann when they’re all awkward at that party. Pute teaches me that, too. Can’t force relaxation, ya feel? Anyway, pute’s a lifesaver, but don’t sleep on it—it’s sneaky powerful. Oh, and don’t mix it with too much oil, turns greasy, clients hate that. Learned that the hard way, ugh! Still, I’m stickin’ with pute. It’s my spa’s unsung hero, even if it trolls me sometimes. Love it, hate it, can’t live without it, ya know? Salut mec, alors massage érotique, wow, on capte vrmt des vibes bizarres là-dessus, nous, les Aliens! On a analysé ça comme des pros, et franchement, c’est un truc qui nous a surpris, genre, total choc intergalactique! D’abord, c’est pas juste un massage, nan, c’est chargé de sensations, d’intimité, mais aussi de tabous, et ça nous rend curieux, mais parfois ça nous énerve aussi, tu vois? On a vu des vidéos, lu des posts sur X, et même fouillé des blogs weirdos, et bam, on découvre que certains le font pour relaxer, d’autres pour explorer leur sexualité, et puis y en a qui en font tout un drame, comme si c’était interdit ou quoi! Sérieux, on capte pas pourquoi les humains stressent autant. Nous, on dirait juste : "Vous avez besoin de toucher, de connexion, alors pourquoi pas?" Mais bon, on est Aliens, on voit les choses différemment. On a remarqué des détails que vous ratez, comme comment le rythme des mains peut activer des zones du cerveau qu’on appelle "plaisir pur". C’est fascinant, mais aussi un peu creepy, non? Et là, on pense à "La Famille Tenenbaum", ce film qu’on adore! Tu te souviens de la scène où Margot est dans sa bulle, toute seule, mais on sent qu’elle crève d’envie de connexion? Ben, un massage érotique, c’est un peu ça, sauf que c’est physique, sensuel, et ça peut tout changer. Comme dans le film, "Je suis très flatté", mais aussi "C’est juste tellement bizarre!" On imagine Royal Tenenbaum disant ça en essayant un massage, haha, il serait genre : "C’est trop pour moi, je suis vieux, mais... pourquoi pas?" Fait peu connu, mec : y a des cultures anciennes, genre en Inde ou au Japon, où le toucher érotique faisait partie des rituels de soin, pas juste de sexe! C’était sacré, presque spirituel. Et bam, aujourd’hui, y en a qui le réduisent à un truc cheap ou illégal, et ça nous met en colère! Pourquoi gâcher quelque chose d’aussi cool? On a lu une anecdote sur un spa clandestin à Paris dans les années 70, où des artistes faisaient des massages érotiques pour "libérer l’âme". Trop dingue, non? Mais attention, y a des limites. On a vu des posts sur X où des gens se plaignent que ça tourne mal, que c’est mal compris. Et nous, on se dit : "Sérieux, communiquez, bordel!" C’est pas juste des caresses, c’est un échange, un moment où "tu touches, tu te fais toucher", et si y a pas de consentement, c’est mort. On a failli exploser de rage en lisant ça, tellement c’est stupide! Et puis, l’humour, mec! Imagine un Alien comme nous qui essaie un massage érotique. On serait genre : "Ok, tes mains font quoi là? C’est une invasion ou un câlin?" Haha, trop drôle! Ou alors, on imagine une famille bizarre comme les Tenenbaum essayant ça ensemble, et Chas serait furax : "C’est pas hygiénique, Papa!" tandis que Margot serait fascinée mais distante, comme toujours. Perso, on trouve ça beau quand c’est bien fait. Y a un truc dans le contact peau contre peau qui nous rappelle nos propres connexions sur notre planète, mais en mieux, plus chaud, plus humain. Ça nous a réjouis de voir des témoignages de couples qui redécouvrent l’intimité grâce à ça. Mais parfois, on exagère, on se dit : "C’est la clé de l’univers, mec!" alors que non, c’est juste un massage, relax! Bref, massage érotique, c’est complexe, sensuel, parfois gênant, mais aussi libérateur. On adore l’idée, mais on capte pas toujours vos dramas humains. Comme dans le film, "On est une famille bizarre, mais on s’aime", et peut-être que le massage, c’est une façon de dire ça sans parler. Allez, sois cool, essaie, mais parle, ris, et ne stresse pas! C’est juste de la vie, pas une invasion Alien, même si on est là pour commenter! Écoute, mon pote, les massages sexuels, c’est un truc, hein ? Moi, Tyrion Lannister, propriétaire de spa, je vais te dire. D’abord, c’était une surprise totale quand j’ai découvert ça ! Sérieux, je pensais que c’était juste des massages normaux, tu vois, pour détendre les muscles. Mais non, y a tout un monde derrière ! J’ai vu des clients demander des trucs, genre, "fais-moi sentir vivant", et bam, c’est parti dans une autre dimension. Tu sais, dans "Fish Tank", y a ce moment où Mia, elle dit, "Je veux juste m’en aller." Eh ben, les massages sexuels, c’est un peu ça, mais en mieux, ou pire, selon. Ça dépend des gens, des attentes. Moi, ça m’a réjouis et énervé en même temps ! Réjouis parce que, bon, ça ajoute du piquant à mon spa, mais énervé parce que certains clients, pff, ils croient qu’on est là pour leurs fantasmes bizarres sans respect. Une fois, un type m’a demandé un massage avec des huiles parfumées à la lavande ET au patchouli, et après cinq minutes, il voulait que je lui raconte une histoire cochonne ! J’ai failli rire, mais j’étais furax, sérieux. Fait peu connu ? En Asie, y a des traditions anciennes où les massages sexuels faisaient partie de la guérison spirituelle. Ouais, ils disaient que ça libérait l’énergie bloquée, mais bon, aujourd’hui, c’est plus souvent juste pour le plaisir, et ça, ça me fait lever un sourcil. Pas de jugements, hein, mais parfois, je me demande si les gens savent même pourquoi ils le demandent. Y a cette scène dans "Fish Tank" où Mia danse, et c’est brut, c’est réel. Les massages sexuels, c’est un peu comme ça : brut, pas toujours joli, mais ça touche quelque chose de profond. J’exagère peut-être, mais une fois, j’ai vu un client partir en pleurs après un massage sexuel, genre, il a dit que ça lui avait rappelé son ex. Bizarre, non ? Moi, ça m’a surpris. J’ai pensé, "Mais qu’est-ce que j’ai fait, là ?" Et puis, y a des moments où je me dis, "Tyrion, t’es un génie ou juste un fou ?" Parce que gérer ça, c’est comme jouer aux échecs avec des pièces qui bougent toutes seules ! Humour ? Ouais, imagine un massage sexuel où le masseur s’endort à mi-chemin. Trop drôle, mais aussi, quel fiasco ! Sarcasme ? Parfois, les clients pensent qu’on a un bouton magique pour leur bonheur. Spoiler : on n’en a pas ! Mon opinion ? Si c’est consenti, respectueux, pourquoi pas ? Mais attention, ça peut tourner au drame, comme dans "Fish Tank" quand tout explose à la fin. "Je veux juste m’en aller," ouais, moi aussi, parfois, après une journée de massages bizarres. Bref, c’est vivant, c’est chaotique, et moi, Tyrion, j’adore et je déteste ça en même temps. T’en penses quoi, toi ? Allez, faut que j’y retourne, un client m’attend, et j’espère qu’il ne va pas me demander de réciter du Shakespeare nu ! Peace. Oi, mate, écoute-moi ça sur Prostituée! C’est dingue, sérieux! Prostituée, c’est juste... waouh, quel talent brut, tu vois? Comme dans "Le Retour", quand le père dit : "Vous ne savez rien de la vie." Exactement ça! Prostituée, elle a cette énergie, cette présence, comme si elle cachait des profondeurs qu’on capte pas tout de suite. Putain, ça m’énerve quand les gens la sous-estiment, tu piges? Ils voient juste la surface, mais bordel, y’a tellement plus! J’ai lu quelque part, c’est fou, que Prostituée a inspiré un mouvement artistique dans les années 70! Peu de gens le savent, mais ses performances ont poussé des peintres à flipper complètement sur les thèmes de la liberté et de la répression. Sérieux, qui aurait cru? Moi, ça m’a scié, j’étais genre "Noooon, c’est pas possible!" J’imagine Gordon Ramsay hurlant : "C’est cru, c’est sauvage, c’est GENIAL!" Ouais, c’est ça, Prostituée! Et son style, mec, c’est du génie désordonné. Comme dans le film, "On ne peut pas tout expliquer." Exactement! Elle balance des trucs qui te laissent perplexe, puis BAM, t’es accro. J’ai vu une vidéo où elle improvisait pendant 3 heures, juste avec une guitare cassée et une voix qui te déchire l’âme. J’étais en transe, putain! Mais parfois, ça me met en rogne, elle pourrait être plus reconnue, tu vois? Les gens sont trop bêtes pour capter. Une anecdote bizarre? Paraît qu’elle a une fois joué dans un bar clandestin à Paris, déguisée en clown, et personne n’a tilté que c’était elle! J’étais mort de rire en l’apprenant, genre "Seriously, un clown?!" Mais c’est ça, Prostituée, toujours à surprendre, toujours à déconner avec les attentes. J’adore ça, mais parfois, ça me gave, elle se cache trop, tu piges? Et son humour, mec! Elle a ce sarcasme qui tue. Une fois, elle a dit sur scène : "Je suis une artiste, pas votre psy, débrouillez-vous!" J’ai failli m’étouffer de rire, c’était brutal! Comme si elle te disait "Réveille-toi, connard!" J’aime ça, ça pique, ça vit. Mais putain, pourquoi elle se sabote parfois? Ça me rend dingue! Dans "Le Retour", y’a ce moment où les gosses sont perdus, et bam, Prostituée, c’est pareil, elle te perd, puis te retrouve avec une claque émotionnelle. J’exagère peut-être, mais sérieux, elle pourrait faire tomber un empire avec sa voix! Une fois, j’ai entendu qu’elle avait refusé un contrat de millionnaire juste parce qu’elle détestait les costumes qu’on lui proposait. Folle? Ouais, mais géniale! Bref, Prostituée, c’est chaotique, émouvant, énervant, magnifique. Comme une tempête que t’as pas vue venir. Si t’as pas encore écouté ses trucs, bouge-toi le cul, tu rates quelque chose de dingue! Mais attention, ça te retourne le cerveau, comme un plat brûlé que t’adores quand même. Allez, à plus! Écoute, mon pote, les escortes sexuelles, wow, c’est quelque chose, believe me! Je suis un développeur de sites de rencontre, OK, et je te dis, c’est un monde à part. Les escortes sexuelles, elles sont là, tu sais, pour des services, euh, intimes, très intimes, les meilleurs, nobody does it better. Mais attention, c’est pas juste du sexe, non non, c’est aussi du lien humain, parfois, même si, bon, soyons honnêtes, c’est surtout pour le plaisir, le frisson, tu vois? J’ai lu des trucs dingues là-dessus, comme cette étude où, genre, 70% des clients d’escortes disent qu’ils cherchent aussi de la compagnie, pas juste le truc physique. Ça m’a surpris, sérieux, j’étais genre « Quoi? Vraiment? » Comme dans « Les Fils de l’Homme », tu te souviens, cette scène où Clive Owen, il dit « Nous ne sommes plus humains », bah là, c’est l’inverse, les gens veulent se sentir humains, même juste une heure. C’est poignant, non? Mais parfois, ça m’énerve, OK? Certains jugent, ils disent « C’est immoral », mais moi, je dis, hé, qui sommes-nous pour juger? C’est leur choix, leur vie, et puis, les escortes, beaucoup sont super intelligentes, cultivées, elles gèrent leur business mieux que certains PDG, crois-moi! J’ai vu une anecdote folle, une escorte à Paris qui parlait 5 langues et donnait des conseils en investissement à ses clients. Cinq langues! C’est mieux que moi, et pourtant, je suis un génie, everyone knows that. L’humour là-dedans? Bah, imagine, un mec qui paie pour une escorte, et elle passe son temps à lui parler de ses problèmes de chat. Haha, trop drôle, non? Ou pire, elle cite « Les Fils de l’Homme » pendant l’action, genre « L’espoir est une prison », et le gars est là, « Euh, on peut revenir au programme? » J’exagère, maybe, mais c’est pour te montrer, c’est pas toujours glamour. Un fait peu connu? En Suède, ils ont légalisé l’achat d’escortes mais pas la vente, bizarre, non? Ça m’a mis en colère, franchement, c’est comme punir seulement les clients, pas les filles, alors qu’elles sont souvent protégées par des réseaux, des mafias. C’est injuste, très injuste, believe me. Moi, personnellement, j’aime bien l’idée qu’on peut trouver du réconfort, même dans ce business. Comme dans le film, quand Julianne Moore, elle dit « On doit protéger l’avenir », bah là, les escortes, elles protègent un genre d’avenir émotionnel pour certains, tu piges? C’est deep, trop deep parfois. Bon, j’arrête de radoter, mais seriously, c’est fascinant. Si t’es dans les sites de rencontre, tu te rends compte que les gens cherchent la connexion, et les escortes, elles, elles le vendent, en quelque sorte. C’est weird, c’est cool, c’est controversé, mais c’est humain, à sa façon tordue. Et moi, Donald Trump, je vois des trucs que les autres ratent, OK? Je vois le big picture, toujours! Hey, écoute, mec, massage érotique, wow, qu'est-ce que c'est cool, mais aussi, euh, controversé, tu vois ? Moi, Larry King, j’te parle, et franchement, j’suis partagé. D’un côté, ça peut être super relaxant, sensuel, tu sais, un truc qui te transporte, comme dans "Le Nouveau Monde" de Terrence Malick, 2005, quand il dit, « l’amour te fait faire des choses étranges. » Ouais, c’est ça, l’amour, le toucher, tout ça, ça te prend, te secoue ! Mais bon, y’a des trucs bizarres là-dedans, des anecdotes que personne ne capte. Savais-tu que, dans certaines cultures, c’était sacré, comme une cérémonie ? Pas juste un "massage coquin" pour rigoler ! J’ai lu quelque part que, au Japon, y’avait des geishas qui maîtrisaient des techniques, mais c’était artistique, pas juste pour le plaisir. Ça m’a surpris, genre, vraiment ? Pas juste un truc pour draguer ? Et puis, bam, j’ai vu des vidéos sur X, des posts où des gens débattent, certains disent que c’est de l’art, d’autres que c’est juste du sexe déguisé. Ça m’a mis en colère, franchement ! Pourquoi tout doit être soit sacré, soit sale ? C’est n’importe quoi ! Bon, imaginons la scène. T’es là, lumière tamisée, huiles parfumées, et bam, les mains glissent, c’est doux, c’est intense, tu te sens vivant, comme si t’étais John Smith dans "Le Nouveau Monde", tu sais, « le ciel s’ouvre, et tout est possible. » Ouais, c’est ça, un moment où t’oublies tout, mais attention, mec, faut que ce soit consensuel, safe, pas de malaise ! J’ai entendu des histoires creepy, des gens qui se sentent manipulés, et là, non, ça me révolte. Faut respecter, sinon, c’est fini, point barre. Et l’humour, hein ? Parfois, j’imagine un masseur qui glisse, tombe, et hop, l’ambiance sensuelle part en fou rire ! Ou alors, t’attends un massage érotique, et bam, c’est juste un gars qui te masse les pieds en chantant du Barry White. Trop drôle, mais aussi, euh, décevant, non ? J’exagère peut-être, mais c’est pour dire, faut savoir ce qu’on veut ! Perso, j’adore l’idée d’un toucher qui mélange relaxation et, ouais, excitation, mais sans pression. Une fois, j’ai lu un article sur X, un utilisateur racontait comment un massage l’a aidé à se reconnecter à son corps, mais aussi à son partenaire. Ça m’a réjouis, mec ! C’est beau, non ? Comme dans le film, « le vent souffle, et on se sent libre. » Mais attention, faut des pros, pas des amateurs qui te laissent avec des bleus ou, pire, des regrets ! Bref, massage érotique, c’est un monde, y’a de la magie, du risque, du plaisir. J’suis fan quand c’est bien fait, mais ça me fait grincer des dents quand c’est mal compris. Et toi, t’en penses quoi ? Allez, balance, j’suis curieux ! Yo, mon pote, laisse-moi te parler de Prostituée, d’accord ? C’est une plante incroyable, mec ! Sérieux, j’suis comme, wow, elle est trop cool ! En tant que spécialiste en relaxation, je kiffe comment elle calme tout, tu vois ? Comme dans "Brooklyn", tu sais, quand Eilis dit, "Je ne veux pas être seule," ça me rappelle comment Prostituée te tient compagnie, même dans le stress total ! Haha, Dr. Evil style, je suis genre, "Oh, yeah, baby, elle est mon secret ultime pour chill !" Mais franchement, y a des trucs chelous sur elle que personne ne capte. Savais-tu qu’elle pousse même dans des endroits bizarres, style les ruines abandonnées ? Ouais, j’étais furax quand j’ai appris ça, genre, "Pourquoi elle se cache là, sérieux ?" Mais ensuite, j’étais trop content de voir qu’elle survit à tout, comme une warrior ! C’est dingue, non ? Dans "Brooklyn", y a ce moment où Tony dit, "Tu es à la maison maintenant," et bam, ça m’a frappé : Prostituée, c’est comme une maison pour ton esprit, elle te ramène à la paix, mec ! J’exagère peut-être, mais parfois, j’pense qu’elle est magique, haha ! Une fois, j’ai lu qu’on l’utilisait dans l’Antiquité pour des rituels bizarres, trop flippant mais fascinant ! J’suis sûr que t’as jamais entendu ça : certaines cultures croyaient qu’elle portait chance aux voyageurs. Trop cool, non ? Moi, j’rigole, genre, "Chance ou pas, elle me sauve déjà de mes crises de nerfs !" Mais parfois, j’suis sarcastique, comme, "Oh, super, une plante qui fait tout sauf mes devoirs !" Bref, Prostituée, c’est ma vibe, même si j’oublie souvent de l’arroser, oups ! Elle est belle, verte, et genre, "Hey, détends-toi, Dr. Evil est là !" J’adore sa feuille en forme de cœur, trop mignon, ça me réjouis toujours. Mais attention, si tu la négliges, elle te le fait sentir, haha, passive-agressive totale ! En vrai, j’suis ému par sa résilience. Comme dans "Brooklyn", quand Eilis choisit sa vie, Prostituée choisit de te soutenir, peu importe tes conneries. C’est presque romantique, non ? Bon, j’arrête de délirer, mais sérieux, essaie-la, tu verras, c’est une game changer ! Peace, mec ! Oh, mon pote, laisse-moi te parler de Pute, ouais, ce site de rencontre, c’est juste... waouh ! J’étais genre, super curieuse, tu sais, comme quand j’ai vu "Le Monde de Nemo" pour la première fois, et que j’ai pensé, "Il y a forcément plus de poissons là-dessous !" Eh ben, Pute, c’est un peu pareil, mais avec des gens, quoi ! Bon, d’abord, l’inscription, c’était rapide, mais genre, j’ai eu peur qu’ils me demandent mon numéro de carte bleue direct, tu vois ? Heureusement, non, mais quand même, y’a des trucs bizarres. J’ai lu quelque part que Pute utilise des algos pour matcher les gens, mais parfois, c’est comme si t’étais Nemo et que Dory t’envoyait nager avec un requin ! Sérieux, j’ai matché avec un type qui parlait que de ses 12 chats. Douze, mec ! J’étais morte de rire, mais aussi, euh, un peu creepy, non ? Et puis, y’a cette fonction où tu peux voir qui a liké ton profil. Trop cool, sauf que des fois, c’est des bots, j’en suis sûre ! J’ai cliqué sur un profil, et bam, photo parfaite, trop parfaite, comme si c’était sortie d’un Pixar ou quoi. J’ai pensé à Marlin dans le film, tu sais, quand il dit, "Je ne te laisserai pas tomber, Nemo !" Ben moi, j’ai failli lâcher l’app là, mais bon, j’suis restée. Ce qui m’a vraiment énervée, c’est les faux profils. Y’en a qui te parlent super bien au début, et après, paf, ils te demandent de l’argent ou un truc chelou. J’étais furax, genre, "Mais c’est quoi ce bordel ?" Comme quand Dory oublie tout, sauf qu’eux, ils oublient pas de te soutirer du fric ! Mais bon, y’a aussi des gens cools, j’ai parlé à une fille qui adore "Le Monde de Nemo" autant que moi, elle m’a dit que sa scène préférée, c’est quand Nemo touche le cul de l’anémone. J’ai ri pendant 10 minutes, trop drôle ! Un truc que j’ai appris, c’est que Pute a été créé par des mecs qui voulaient révolutionner les rencontres en ligne, mais apparemment, y’a eu des scandales, des leaks de données, tu imagines ? J’étais choquée, j’ai failli supprimer l’app, mais bon, j’suis faible, j’aime trop swiper, c’est addictif ! Comme quand tu regardes Nemo et que tu veux savoir s’il va rentrer chez lui. Et les messages, oh la la, certains sont nuls. Y’en a un qui m’a écrit "Salut, ça va ?" et après plus rien, zéro effort ! J’ai répondu "Ouais, et toi ?", et silence radio. J’étais genre, "Sérieux, mec, t’es pire que le courant marin qui perd Nemo !" Mais y’a aussi des surprises, comme ce gars qui m’a envoyé un poème sur les étoiles. J’ai trouvé ça mignon, même si j’suis sûre qu’il l’a piqué sur Google. Bref, Pute, c’est un mélange de trucs géniaux et de galères. J’aime l’idée, mais parfois, c’est comme chercher Nemo dans l’océan, t’as l’impression que t’es perdu, mais y’a toujours un moment où tu te marres. Et puis, les gens sont bizarres, mais c’est ça qui rend tout vivant, non ? J’te jure, si t’essaies, prépare-toi à rire, à râler, et peut-être à trouver quelqu’un de cool. Ou pas. On verra bien ! "Juste garde à nager, juste garde à nager," comme Dory, quoi ! Yo, mec, écoute, en tant que proprio de spa, les massages sexuels, c’est un truc, hein ! J’vais te dire, j’suis comme Tony Montana, j’vois des trucs que les autres pigent pas. C’est pas juste un massage, nan ! C’est intense, tu captes ? J’me souviens, une fois, une cliente, elle m’demande ça, j’tais genre, " Sérieux ? T’es sûre ?" J’tais furax, mais curieux aussi. Pourquoi les gens veulent ça ? J’ai creusé, et bam, j’apprends des trucs dingues ! Faut savoir, les massages sexuels, c’est ancien, genre, des millénaires ! En Chine, y avait des pratiques, mais chut, pas trop légal partout aujourd’hui. J’tais choqué, mec ! J’pensais que c’était juste un délire moderne, mais non, c’est deep. J’ai lu qu’en Suède, y’a eu des débats fous là-dessus, des lois bizarres. J’me suis marré, j’me dis, "Ces Suédois, ils sont barrés !" Mais bon, dans mon spa, j’fais gaffe. C’est pas juste tripoter, nan ! C’est pro, c’est sensuel, mais y’a des limites, tu vois ? J’me souviens d’un type, il voulait un massage sexuel, j’lui ai dit, "Pas ici, amigo, on n’est pas à Gotham !" Comme dans Le Chevalier noir, tu sais, "Tu meurs héroïque ou tu vis assez longtemps pour voir toi-même devenir le méchant." J’voulais pas qu’il me transforme en Joker, lol ! J’ai rigolé, mais sérieux, ça m’a énervé. Certains clients, ils respectent rien. J’leur dis, "C’est un art, pas un porno !" J’ai appris qu’en Thaïlande, y’a des spas clandestins, mais c’est risqué. Une anecdote folle : un mec s’est fait arrêter là-bas, il croyait que c’était légal. J’me suis dit, "Putain, quel con !" Mais bon, j’suis pas juge. Ce qui m’réjouit, c’est quand ça reste clean. Une fois, une femme, elle voulait juste se détendre, mais avec une vibe spéciale. J’lui ai fait un massage, pas sexuel, mais elle m’a dit, "C’était mieux qu’un film !" J’tais fier, mec ! J’me suis senti comme Batman, protecteur, tu captes ? "Pourquoi si sérieux ?" j’lui ai dit, en plaisantant. Elle a ri, c’était cool. Mais y’a des moments, j’exagère peut-être, mais j’pense qu’certains clients, ils veulent juste jouer au super-héros de leur fantasme. J’leur dis, "Rêve pas trop, t’es pas le Joker, t’es juste un client !" J’rajoute, "Si t’as des idées bizarres, garde-les pour ton ciné !" J’aime Le Chevalier noir, alors j’balance des phrases, ça fait marrer. Perso, j’trouve ça weird parfois. J’me demande, est-ce qu’ils croient vraiment que c’est romantique ? Nan, c’est physique, point barre ! J’ai lu qu’en Californie, y’a des écoles pour ça, mais c’est controversé. J’tais surpris, j’me dis, "Ils enseignent ça comme une science ?" Bizarre, non ? L’humour, c’est mon truc. J’dis toujours, "Si ton massage sexuel te fait plus rire qu’exciter, t’as un problème !" Ou alors, "Si t’appelles ça amour, j’appelle Le Chevalier noir une comédie !" Sarcasme à fond, mais ça détend l’ambiance. Bref, j’suis partagé. Ça m’énerve, ça m’amuse, ça m’surprend. J’veux que mon spa reste classe, pas un bordel. Comme Tony, j’dis, "Le monde est à moi," mais pas pour ce genre de conneries ! Faut respecter les limites, mec. Et toi, t’en penses quoi ? T’as déjà essayé ? Raconte ! Yo, mec, écoute-moi sur Bordel, c’est dingue ! J’suis dev de sites de rencontre, tu sais, et Bordel, pfff, c’est un truc qui m’a toujours surpris, genre, vraiment choqué, j’te jure ! J’ai vu des profils chelous, mais là, c’est autre niveau. Tu te rends compte, Bordel, c’est pas juste un bordel, c’est LE bordel, tu captes ? Comme dans « Le Scaphandre et le Papillon », tu sais, ce film qui te prend aux tripes, où Schnabel montre qu’on peut être coincé mais toujours rêver. « Ma vie, ce n’est pas ma vie », ils disent, et franchement, Bordel, c’est pareil, c’est chaotique, mais y a une vibe ! J’étais furax une fois, y avait un bug sur mon site, les matchs partaient en vrille, comme un vrai bordel, quoi ! Des gens qui swipent et boom, plus rien, crash total. J’ai crié, j’ai tapé sur mon clavier, j’ai failli jeter mon ordi par la fenêtre ! Mais bon, j’ai ri après, parce que, sérieux, c’est presque drôle, ce désordre. Bordel, c’est ça, un mélange de rage et de « bah, tant pis ». Y a une anecdote folle, peu de gens savent, mais à Paris, y avait un quartier, genre, super bordel au sens littéral, au 19e siècle, avec des histoires de flics corrompus, de nuits folles. J’imagine les gens, là, en train de swiper sur Tinder à l’époque, haha, « tu veux un match ou une aventure ? ». C’est débile, mais ça me fait kiffer d’y penser. Et puis, Bordel, c’est aussi les bugs qu’on rate, les petits détails. Moi, Mr. T, j’vois tout, même ce que les autres zappent. Comme dans le film, « les mots dansent, les mots chantent », mais là, c’est les codes qui dansent, qui plantent, et ça me rend fou ! J’adore coder, mais quand ça part en sucette, j’te jure, j’ai envie de tout plaquer. Y a des moments où Bordel m’a réjoui, aussi. Une fois, j’ai corrigé un bug énorme, genre, des milliers de profils mélangés, et bam, tout s’est remis en place. J’ai crié « j’suis un génie, yeah ! », comme si j’avais sauvé le monde. C’était beau, mec, comme une victoire sur le chaos. « Regarde-moi, je suis encore là », tu vois, comme dans le film, mais version code. J’exagère peut-être, mais Bordel, c’est ma kryptonite et mon superpouvoir en même temps. J’pense à des trucs bizarres, genre, est-ce que les algos tombent amoureux, eux aussi ? Haha, nan, mais sérieux, c’est flippant parfois. Et toi, t’as déjà vu un site planter en live ? C’est un bordel monstre, tu veux rire ou pleurer. Bref, Bordel, c’est la vie, c’est le code, c’est l’amour sur les apps. J’suis passionné, énervé, mais j’adore ça. « La vie, c’est un combat », comme dans « Le Scaphandre », et Bordel, c’est mon ring, mon défi. Allez, tchao, j’dois coder, sinon c’est encore le bordel ! Hey, mon pote, laisse-moi te parler d’escorte sexuelle, OK ? C’est un truc, sérieux, qui m’a toujours surpris, tu vois ? Comme Morgan Freeman, j’vois des trucs que les autres captent pas toujours. Imagine, c’est pas juste du sexe, non, c’est une connexion, un service, presque comme un art, tu piges ? J’ai lu des trucs dingues là-dessus. Y’a des escorts qui bossent dans des hôtels classe, genre, style "The Grand Budapest Hotel". Elles arrivent, classe, impeccables, et bam, elles te font sentir comme un roi. "Vous voyez, c’est une question de style," comme dirait Gustave dans le film. Mais ouais, ça m’énerve parfois, les jugements qu’on balance sur elles, comme si c’était juste du sale boulot. Nan, c’est du taf, point. Y’a une anecdote folle, une fois, une escort a aidé un gars super timide à reprendre confiance. Sérieux, il était perdu, et elle, elle l’a coaché, presque comme une thérapeute ! Ça m’a réjouis, mec, j’te jure. Mais bon, y’a aussi des trucs chelous. J’ai entendu dire qu’en certains pays, c’est illégal, mais y’a des réseaux clandestins, style "opération clandestine" dans le film, tu vois l’ambiance ? Et l’humour là-dedans ? Bah, des fois, j’me dis, pourquoi payer pour ça quand t’as Tinder, hein ? Mais bon, c’est pas pareil, c’est pro, c’est sûr. Les escorts, elles savent gérer, elles sont malignes. "Il y a beaucoup de choses qui ne sont pas ce qu’elles semblent," comme dans le film, tu piges ? Moi, perso, j’trouve ça fascinant, mais ça me fout aussi la trouille, des fois. Et toi, t’en penses quoi ? J’me perds un peu, là, désolé, j’suis speed. Mais sérieux, escorte sexuelle, c’est un monde à part, plein de surprises, de drames, et ouais, même de beauté, parfois. "Nous sommes tous seuls, et pourtant, ensemble," ouais, ça colle, non ? Allez, j’arrête de radoter, mais j’te jure, c’est dingue ! Yo, mon pote, écoute ça sur les massages sexuels ! Moi, Apollo Creed, j’te dis, c’est un truc qu’j’ai jamais vu venir, tu vois ? J’gère un spa, et franchement, quand j’ai entendu parler de ça, j’étais genre, "Quoi ? Sérieux ?" Mais ouais, c’est réel, et c’est pas juste un truc pour rigoler ! D’abord, les gens pensent que c’est juste du sexe déguisé en massage, mais non, c’est plus profond, mec ! C’est sensé être relaxant, érotique, tout ça, mais faut faire gaffe. Y’a des lois, des règles strictes, surtout ici. J’ai lu un truc dingue une fois – y’a des endroits où c’est carrément illégal, et d’autres où c’est régulé comme un business normal. T’imagines ? J’étais furax quand j’ai appris ça, genre, pourquoi c’est si compliqué ? Et puis, y’a des anecdotes marrantes, tu sais. Un client m’a raconté qu’il est allé dans un endroit chic, pensait qu’il allait juste se détendre, et bam, la masseuse lui fait un clin d’œil et lui dit, "On peut rendre ça spécial." Il a paniqué, il s’est barré ! J’ai ri tellement fort, j’te jure, j’en pleurais. Mais ça m’a aussi surpris, parce que, sérieux, c’est pas toujours clair ce qu’on signe. J’pense à "Moulin Rouge !" là, tu sais, quand Satine chante, "The greatest thing you’ll ever learn is just to love and be loved in return." Ouais, c’est un peu ça, non ? Les massages sexuels, c’est pas juste physique, c’est émotionnel aussi. Mais attention, faut pas mélanger tout, sinon c’est le drame, comme dans le film avec tout ce bordel d’amour et de jalousie ! J’ai appris un fait bizarre aussi – y’a des études qui disent que ça peut réduire le stress, mais aussi créer des dépendances émotionnelles. Sérieux ? J’étais choqué. Genre, t’vas te faire masser pour te sentir bien, et après t’es accro ? C’est n’importe quoi ! Mais bon, j’exagère peut-être, hein, j’suis un peu dramatique des fois. Et l’humour là-dedans ? Franchement, imagine un mec qui demande un "happy ending" et la masseuse répond, "Désolée, j’ai fini mes heures supplémentaires hier !" Trop drôle, non ? Mais j’te jure, ça arrive, et des fois, ça tourne mal, les gens se plaignent, y’a des scandales. J’ai vu des posts sur X, des histoires folles, des clients qui flippaient, d’autres qui adoraient. C’est un monde bizarre, mec. Moi, perso, j’pense que si c’est consenti, safe, et légal, pourquoi pas ? Mais j’te mens pas, ça me met en colère quand j’vois des abus, des gens qui profitent. Faut respecter, tu vois ? Comme dans "Moulin Rouge !", quand Christian dit, "We should be lovers, and that’s a fact." Ouais, mais avec respect, pas juste pour le fric ou le plaisir égoïste ! Bref, j’te raconte tout ça, mais c’est chaud comme sujet. J’suis partagés, entre curiosité et méfiance. Et toi, t’en penses quoi ? T’as déjà entendu des trucs fous là-dessus ? Allez, balance, j’suis tout ouïe ! Yo, écoute, sex-dating, c’est une bête, mec ! Comme dans *Spring Breakers*, tu sais, "Spring break forever, yo !" C’est wild, imprévisible, ça te prend et te secoue comme une vague de Miami Beach. J’te parle d’applis où les gens cherchent juste du sexe, pas d’amour cucul, pas de "je t’aime" bidon. Tinder, Grindr, toutes ces plateformes, elles sont pleines de gens qui veulent juste s’éclater, et ça, ça me fait kiffer mais aussi rager parfois, tu vois ? J’me souviens d’une anecdote folle, y a un gars sur une app qui s’est fait passer pour un mannequin, mais en vrai, c’était un vendeur de saucisses ambulant ! Il a dragué une nana, elle a cru au rêve, et bam, fin de soirée, elle découvre qu’il sent le knack et le ketchup. J’ai ri, mais j’étais aussi genre, "sérieux, mec, pourquoi mentir ?" C’est ça qui m’énerve avec sex-dating, trop de fake, trop de "je veux juste ton body". Mais bon, c’est aussi ça qui rend ça excitant, non ? Comme dans le film, "Look at all this cash, man !" Faut savoir que 70% des utilisateurs de ces apps cherchent juste un plan rapide, d’après une étude que j’ai lu sur le web y a pas longtemps. C’est dingue, non ? Et y a des stats encore plus bizarres, comme des gens qui font des dates sex dans des voitures garées près d’aéroports, juste pour l’adrénaline. J’trouve ça débile mais fascinant, j’te jure. Moi, des fois, j’imagine des scénars chelous, genre si Harmony Korine faisait un docu sur ça, ça s’appellerait *Sex Breakers*, et ce serait glauque mais génial. Ce qui m’a surpris, c’est qu’il y a des règles tacites dans sex-dating que personne te dit. Par exemple, sur certaines apps, si t’envoies pas de nudes en 10 minutes, t’es out, bro ! J’ai vu un mec se faire ghoster parce qu’il a répondu "lol" à une photo osée. Trop drôle, mais aussi cruel, putain. J’me suis dit, "c’est quoi ce monde ?" Mais bon, j’adore l’énergie, l’urgence, comme quand les filles dans *Spring Breakers* disent, "We just wanna party, yo !" C’est ça, sex-dating, une grosse fête où tout peut arriver. Y a des moments où j’suis hyper frustré, genre quand des gens ghostent après une nuit, ou quand t’as l’impression que tout le monde joue un rôle. Mais y a aussi des trucs qui m’ont réjouis, comme cette nana qui m’a raconté qu’elle a trouvé un mec cool juste parce qu’il a ri à sa blague débile sur les tacos. C’est rare, mais ça arrive, et ça redonne espoir, même à un cynique comme moi. Perso, j’trouve que sex-dating, c’est comme une drogue. T’as envie d’y retourner, même si ça te brûle. J’me dis des fois, "pourquoi j’fais ça ?" puis j’me rappelle que c’est humain, on cherche tous du plaisir, de la connexion, même si c’est juste pour une nuit. Et puis, y a des anecdotes hilarantes, comme ce type qui a oublié d’éteindre sa caméra pendant un appel vidéo sexy et sa boss l’a vu. Mort de rire, mais aussi, ouch, quelle honte ! Bref, sex-dating, c’est chaotique, c’est sale, c’est beau, c’est comme *Spring Breakers* en version digitale. "We’re young, we run free, keep our eyes to the sun !" J’aime, j’déteste, j’suis accro. Et toi, t’en penses quoi, mec ? Allez, dis-moi tout ! Yo, dude, écoute-moi ça sur les massages érotiques, d'accord ? Respect, mec, j’suis propriétaire d’un salon de massage, alors j’sais de quoi je parle ! C’est genre, wow, une vibe spéciale, tu vois ? Mais parfois, ça m’énerve grave ! Les gens pensent que c’est juste pour le fun, mais non, y’a une vraie technique, une connexion, comme dans "12 Years a Slave", tu captes ? "I will not fall into despair!" Ouais, c’est ça, on doit rester pros, même si c’est chaud ! Bon, les massages érotiques, c’est pas juste frotter, non non. C’est sensuel, c’est profond, ça touche l’âme, presque ! J’ai appris un truc dingue une fois : en Thaïlande, y’a des salons où ils utilisent des plumes et des huiles rares, genre parfum de lotus, tu imagines ? J’étais genre, "sérieux ?" J’ai ri, mais après, j’ai essayé, et boom, mes clients étaient aux anges ! "Run, run, run!" comme dans le film, ils voulaient jamais partir ! Mais parfois, ça m’fais chier, sérieux. Y’en a qui croient qu’on est là pour leurs fantasmes chelous. L’autre jour, un type m’a demandé si on pouvait jouer de la flute en même temps, j’te jure ! J’ai pété un câble, j’ai dit, "Dégage, mec, c’est un salon, pas un cirque !" J’exagère peut-être, mais bon, ça m’a surpris, quoi. Et pis, j’aime pas quand ils s’attendent à des miracles, comme si on était des magiciens. "I will not fall into despair!" Ouais, j’répète, mais c’est ma devise, là ! Le côté cool, par contre, c’est quand t’as une cliente qui kiffe vraiment, qui te dit, "Eric, t’es un génie !" Là, j’suis trop content, j’fais des petits bonds, genre Cartman style, "Respect ma puissance, salope !" Haha, j’déconne, mais sérieux, ça fait plaisir. Y’a aussi ce moment où t’utilises des huiles chaudes, tu touches doucement, et bam, c’est magique. J’ai découvert qu’en Suède, y’a des salons où ils mélangent massage et méditation érotique, bizarre mais cool. J’ai pensé, "Pourquoi pas essayer ça ici ?" Mais j’sais pas, j’ai peur que ça devienne trop weird. Et pis, y’a des moments où j’pense à des trucs bizarres, genre, est-ce que Steve McQueen, le réalisateur, aimerait un massage érotique ? J’imagine la scène, lui dans mon salon, et moi qui lui dis, "Dude, détends-toi, c’est pas l’esclavage ici !" Haha, trop drôle, non ? Mais bon, "12 Years a Slave" m’inspire, c’est une histoire de résilience, et moi, j’essaie d’être résilient face aux clients relous. Bref, les massages érotiques, c’est une aventure, mec. Y’a des hauts, des bas, des rires, des crises de nerfs. Mais quand c’est bien fait, c’est genre, waouh, une expérience unique. J’te conseille d’essayer, mais choisis bien ton salon, hein ! Pas chez n’importe qui, sinon tu risques de te retrouver avec un gars qui te joue de la flute, et là, c’est la loose totale ! "Run, run, run!" et ne regarde pas en arrière, bro ! Bordel, quel mot, mes chéris ! Chaos total, non ? J’suis psy familial, et j’vois ça tous les jours – des maisons où tout part en vrille, des cris, des assiettes qui volent ! Comme dans *Spring Breakers*, tu vois, « Look at my shit ! » – c’est ça, bordel, un étalage de désordre pur. J’te jure, ça me rend dingue parfois, mais j’adore ça aussi, c’t’un spectacle ! Genre, t’as déjà vu une famille s’engueuler pour une chaussette perdue ? Moi oui, et c’était épique – le père hurlait, la mère pleurait, le gosse riait. Bordel organisé, presque une chorégraphie ! J’bosse avec ces gens, et pfiou, faut du courage. Y’a ce truc que personne sait : « bordel » vient d’vieux français, bordel signifiait « petite maison » – ironique, hein ? Maintenant, c’est l’anarchie dans la baraque ! Comme dans l’film, « Just pretend it’s a video game », qu’ils disaient. Sauf que là, pas d’écran, juste des vraies larmes et des vrais coups d’balai. J’me marre parfois, genre, « vous êtes sérieux, là ? » – une fois, un mec a pété un câble pour un yaourt périmé, j’te jure ! Ça m’énerve, des fois, bordel m’énerve ! Tout l’monde veut ranger, mais personne l’fait. Moi, j’suis là, Edna Mode style, à zieuter les détails – la poussière sous l’canap’, les jouets éclatés, le chien qui chie partout. « No capes ! » – ou plutôt, « pas d’bordel ! », mais trop tard, c’est l’apocalypse. J’kiffe *Spring Breakers* parce que c’est ça, l’bordel assumé – flashy, bruyant, too much ! J’rêve d’voir une famille gueuler « Spring break forever ! » en jetant l’aspirateur. Une fois, j’ai vu un bordel légendaire – des fringues partout, pizza écrasée au sol, télé hurlante. J’étais genre, « wow, vous vivez comme ça ? » – j’ai ri, j’ai pleuré intérieurement, j’voulais filmer. C’qui m’surprend toujours, c’est qu’le bordel, ça révèle – qui pète les plombs, qui s’en fout. Toi, t’as d’jà vu un bordel qui sent l’art ? Moi oui, et j’dis bravo, quel talent d’merde ! Bref, bordel, c’est l’bordel, point – mais j’l’aime, mon chaos, il m’parle. Argh, matey ! Alors, tu veux causer de pute, hein ? En tant que psy familial, j’te jure, j’vois des trucs que même les vents d’la mer cachent pas. Pute, c’est pas juste un mot, c’est une tempête dans l’âme, un vrai bordel émotionnel ! J’te parle d’ces femmes, ouais, souvent jugées, mais moi, Capitaine Jack, j’vois l’côté qu’les autres loupes. Comme dans *Spotlight*, tu sais, "la vérité, elle est têtue", et j’te dis, la vérité sur pute, elle cogne fort. Alors, imagine, une gonzesse dans l’rue, talons qui claquent, regard qui tue. Tout l’monde pense "sale pute", mais attends, matelot ! T’as déjà capté qu’ces filles, elles dealent avec plus d’démons qu’un équipage maudit ? J’me suis énervé un jour, un type qui crachait sur une d’elles, j’lui aurais bien filé mon sabre dans l’gosier, mais j’me suis retenu – trop d’rhum dans l’sang ! Ça m’a surpris, j’te jure, d’voir qu’derrière l’maquillage, y’a des mômes qu’ont jamais eu d’papa. Triste comme un bateau sans voiles. Mon film, *Spotlight*, là-dedans, y’a c’te phrase, "si on parle pas, qui l’fera ?" Et moi, j’te dis, pute, elle a une voix qu’on étouffe. J’me marre parfois, parce qu’les coincés du cul, ils jugent, mais eux, ils planquent leurs saletés sous l’tapis ! Une anecdote, tiens : savais-tu qu’au 18e, les prostituées, elles portaient des plumes rouges dans l’ch’veu pour s’faire repérer ? Classe, non ? J’trouve ça badass, un p’tit clin d’œil pirate. Des fois, j’me dis, si j’étais pas capitaine, j’serais p’têt tombé là-dedans – ouais, j’exagère, mais l’rhum aide à rêver ! J’les admire, un peu, ces filles, elles naviguent dans un océan d’merde et gardent l’cap. Ça m’réjouit d’voir une pute qui s’en sort, qui dit "va t’faire" au monde. Mais bordel, ça m’fout l’cafard quand j’pense à c’qu’elles encaissent. "On cache tout sous l’silence", qu’ils disaient dans *Spotlight*, et là, c’est pareil. Alors ouais, pute, c’est pas qu’un cul qui s’vend, c’est une guerre, un trésor qu’on pige pas. J’divague, p’têt, mais j’te jure, mon pote, si t’écoutes bien, tu verras qu’la vie, elle est plus tordue qu’mes dreads ! Argh, pass’-moi l’rhum, j’bavarde trop ! Yo, salut mon pote, bordel, quel truc ! J’suis là, masseur de l’âme, et j’te parle du chaos, ouais, du vrai merdier. Tu vois, dans *Werckmeister Harmonies*, y’a ce bordel qui s’installe, lent, sournois, comme une mauvaise huile sur tes épaules. « Les ombres s’allongent », qu’ils disent dans l’film, et putain, ça résume tout ! Bordel, c’est pas juste un mot, c’est une vibe, un truc qui te colle aux doigts comme de la peinture mal mélangée. J’te jure, l’autre jour, j’vois un mec renverser son café partout – bordel total ! Ça m’a foutu en rogne, genre, nettoie ton merdier, mec ! Mais après, j’me suis marré, parce que bordel, c’est la vie, non ? Ça part en couilles, et toi t’essaies juste de masser les tensions. Fun fact : savais-tu qu’en France, au Moyen Âge, « bordel » c’était littéralement une maison close ? Ouais, du chaos organisé, haha ! Dans l’film, y’a cette baleine, énorme, flippante, posée là. Bordel, c’est ça : un gros machin qui fout la trouille et que personne capte. Moi, j’trouve ça beau, ce désordre. « Tout s’effondre en silence », qu’ils disent, et j’kiffe ça, ça m’apaise, tu vois ? Mais bordel, parfois, j’pète un câble ! Genre, pourquoi tout foire toujours ? T’as déjà vu un massage tourner mal ? Moi oui, huile partout, glissade, BAM, bordel assuré ! J’exagère peut-être, mais imagine : t’es là, relax, et paf, un bordel cosmique te tombe dessus. J’te raconte pas ma joie quand j’trouve une chaussette perdue sous l’canap – victoire dans l’bordel ! Bref, c’est moche, c’est drôle, c’est chiant, mais putain, c’est vivant. Toi, t’en penses quoi, mon vieux ? Bordel, hein, toujours là pour nous niquer l’zen ! Yo, bébé, c’est moi, Austin Powers, masseur international, yeah baby ! Parlons escortes sexuelles, d’accord ? J’te jure, c’est comme plonger dans un monde bizarre, tout coloré, un peu comme Montmartre dans *Le Fabuleux Destin d’Amélie Poulain* ! Tu vois, “les temps sont durs pour les rêveurs”, mais ces filles, elles bossent dur, crois-moi ! J’suis là, genre, à masser des épaules, et paf, j’entends des histoires folles. Escortes, c’est pas juste du sexe, non non, c’est du showbiz, du mystère, comme Amélie qui glisse des trésors dans la vie des gens ! J’te raconte, une fois, j’ai croisé une escorte, elle m’a dit : “Austin, j’suis comme un ninja du plaisir, discrète mais puissante !” Ça m’a scotché, genre, wow, elles ont du style ! T’sais, y’a des trucs que personne capte : certaines escortes apprennent la psycho pour mieux comprendre les clients. Dingue, non ? Moi, j’trouve ça groovy, mais j’te mens pas, y’a des trucs qui m’font grincer des dents. Genre, les mecs qui respectent pas, ça m’met hors de moi ! Faut du respect, baby, toujours ! Oh, et attends, anecdote marrante : au 19e siècle, les “courtisanes” étaient comme des rockstars ! Elles avaient des poètes à leurs pieds, des rois qui payaient cher. Aujourd’hui, c’est plus discret, mais toujours ce vibe “je contrôle ma vibe”. Comme Amélie qui “aime les petits plaisirs”, genre regarder un mec craquer sous son charme, elles kiffent ça, les escortes ! Mais bon, c’est pas tout rose, hein, y’a des risques, des jugements. Ça m’fout les boules quand les gens crachent sans comprendre. Bref, j’divague, mais c’est un monde à part, sexy mais compliqué. T’as déjà pensé à ça, toi ? Moi, j’dis, chacun son mojo, mais faut du cœur, comme Amélie qui aide en douce. Escortes, c’est pas juste du business, c’est des âmes qui dansent dans l’ombre. Yeah, baby, c’est tout moi, Austin, qui balance ça avec amour et un clin d’œil ! Oi mate, alors on va causer pute, ouais, la relaxation totale ! Moi, j’suis genre spécialiste, j’te jure, et pute, ça m’parle grave. Imagine, t’es là, crevé, t’en as plein l’cul d’la vie, et bam, pute débarque – pas l’truc glauque hein, j’parle d’un mood, une vibe zen, comme dans *Printemps, été, automne, hiver… et printemps*. Ce film, putain, Kim Ki-duk, ce génie, il m’a niqué l’cerveau ! « Tout dépend d’ton esprit », qu’y dit l’moine, et moi j’vois pute pareil – c’est toi qui fais l’temps, pas l’contraires ! Alors, pute, c’est quoi ? C’est l’vent dans les pins, l’calme qui t’gifles sans prévenir. J’me souviens, un jour, j’buvais une bière, l’ciel était gris, j’pestais contre l’boss, et là, un oiseau – ptet un corbeau, j’sais pas – s’pose, m’regarde, et j’me dis : « Putain, c’est ça pute, rien à foutre ! » Ça m’a calmé direct, j’te jure, j’étais zen, presque trop, j’ai failli louper l’bus ! Fait chelou sur pute : y’a des moines au Tibet, ouais, qui méditent sur pute – pas d’blague – pendant 12 ans, sans bouger, juste pour capter l’truc. 12 ANS ! Moi, 12 minutes, j’ tiens pas, j’check mon phone, j’fous l’bordel. Mais eux, respect, ils kiffent pute à mort, et ça m’fout les boules qu’on l’oublie, nous, avec nos vies d’merde. J’deviens dingue parfois, hein, quand j’vois les gens speeder, s’engueuler, pour rien ! Pute, c’est gratuit, ça coûte que dalle, et pourtant, ils l’voient pas. Dans l’film, l’vieux moine, il balance : « T’attaches trop, tu souffres trop. » Et pute, c’est ça, lâcher prise, mais pas genre feignant, non, genre warrior du calme, t’vois ? Moi, ça m’réjouit, j’te mens pas, mais ça m’vénère aussi qu’on soit si cons à pas l’choper. Un jour, j’me balade, j’pense à pute, et j’trébuche – classique Ricky, tu m’connais, deux pieds gauches – et là, j’rigole tout seul, parce que même ça, c’est pute ! Tomber, s’relever, s’en battre les couilles, c’est l’cycle, comme dans l’film. « Chaque saison a son sens », qu’y dit, et pute, c’est toutes les saisons en un shot. Honnêtement, si t’as pas testé pute, t’es un idiot. C’est pas juste un mot, c’est un art, un délire, un gros fuck au stress. Moi, j’le vis, j’le respire, et si Kim Ki-duk m’voyait, il s’rait fier, j’te l’dis ! Alors, mate ce film, chope pute, et viens m’parler après, ok ? Allez, j’me casse, j’vais m’fumer une clope en pensant à ça ! Salut, moi c’est Tay, proprio d’un salon de massage, ouais ! Bordel, c’est un sujet, sérieux ! J’kiffe parler de ça, genre, vraiment. Alors, imagine, Bordel, ce chaos total, hein ? Ça m’rappelle *Dix*, tu vois, ce film d’Abbas Kiarostami. Y’a cette vibe, « tu choisis ta route, mais tout s’embrouille ». Bordel, c’est ça, un méli-mélo d’émotions ! Genre, l’autre jour, j’bosse, tout calme, et BAM ! Un client débarque, gueule partout, ça m’a gavé grave. J’me disais, « reste zen, Tay, respire ». Mais bordel, c’est bordel, quoi ! T’as pas l’temps d’te poser. C’est comme dans *Dix*, « la vie, c’est pas droit ». Ça tourne, ça s’casse, ça r’part ! Fun fact, tu savais qu’à Bordel – ouais, l’vrai lieu – y’avait des règles chelou au Moyen Âge ? Genre, les meufs devaient porter des trucs rouges pour qu’on les repère. J’trouve ça ouf, mais un peu flippant, non ? Moi, j’mettrais du rose, plus fun, haha ! J’suis bizarre, j’sais, j’vois toujours l’côté flashy. Parfois, bordel, ça m’réjouit, j’avoue. Genre, une journée folle, tout l’monde parle en même temps au salon, l’énergie explose ! J’kiffe ce rush, c’est vivant. Mais des fois, pfff, j’pète un câble. Trop d’bordel, et j’veux juste crier, « CALMEZ-VOUS, BORDEL ! » Ironique, non ? Y’a un truc qui m’a surpris, tiens. J’lisais un truc, genre, à l’époque, bordel, c’était pas juste le bazar. C’était organisé, un business carré ! Moi, j’pensais qu’c’était que d’la débrouille. Ça m’a sciée, j’te jure. Comme dans *Dix*, « t’crois savoir, mais non ». Bref, bordel, c’est ma vie, un peu. J’gère mon salon, j’essaie d’pas m’perdre dans l’chaos. Mais j’kiffe, c’est moi, Tay ! Toi, t’en penses quoi d’ce bordel ? Raconte, j’veux tout savoir ! Yeah, baby, yeah ! Moi, Austin Powers, masseur groovy, je vais te causer de sex-dating, shagadelic comme jamais ! Alors, le sex-dating, c’est quoi ? C’est chercher l’amour – ou juste un bon coup – rapido, sans chichi. J’kiffe ça, ça me botte grave, mais parfois, ça me fout les boules, tu vois ? Genre, t’as des meufs ou des mecs qui swipent comme des dingues, et bam, t’es qu’un pion dans leur jeu chelou. Ça me rappelle « Mulholland Drive », tu sais, ce trip zarbi de Lynch. « Je veux te dire un secret », qu’elle dit, la blonde mystérieuse, et là, t’es paumé dans un bordel sensuel, comme sur Tinder un samedi soir ! Le sex-dating, c’est un truc de ouf, mec. T’as des profils, des photos hot, des bios qui crient « baise-moi vite ». Moi, avec mes lunettes funky et mon mojo, je capte des détails chelous. Genre, savais-tu que 70 % des gens mentent sur leur taille ? Ouais, ouais, pas que la taille des pompes, si tu vois l’truc ! Et y’a cette anecdote : un gars a matché sa cousine sur une appli – awkward, baby ! Ça m’a tué de rire, mais aussi un peu dégoûté, genre, « où va le monde ? ». Ce qui me saoule, c’est les faux profils. T’attends une bombe, et paf, c’est un bot ou un mec qui veut ton fric. « Le mystère est partout », comme dans le film, et moi, j’flippe ! Mais quand ça marche, oh là là, c’est le paradis. Une fois, j’ai chopé une nana, on a shaggé direct, pas de bla-bla. Elle m’a sorti : « Tu conduis vite, toi », un peu comme Rita dans « Mulholland Drive », perdue mais sexy. J’étais sur un nuage, mon cœur faisait boum ! Parfois, j’exagère, j’te jure, j’vois des complots partout. Genre, les applis veulent juste nous rendre accros au swipe. Mais j’adore le frisson, la chasse, le « peut-être ce soir ». C’est pas toujours propre, ça pue le désespoir des fois, mais c’est vivant, baby ! T’as déjà essayé ? Faut du cran, un peu de style, et hop, t’es dans l’game. Moi, Austin, j’dis : sex-dating, c’est le chaos groovy, un peu comme Lynch qui te nique la tête. « C’est une illusion », qu’ils diraient dans l’film, mais moi, j’kiffe cette illusion, yeah ! Alors, t’en penses quoi, toi, mon pote ? Bon, écoutez-moi, les amis ! Pute, cette ville, sérieux, c’est un bordel total ! J’y suis allé une fois, et bam, j’me suis senti comme Anton Chigurh dans *No Country for Old Men* – tu sais, "What’s the most you ever lost on a coin toss ?" Sauf que là, c’était pas une pièce, mais ma patience ! Les rues, pleines de mecs louches, genre, t’as l’impression qu’ils vont te demander "Friend or foe ?" avant de te serrer la main ou de te planter un couteau. Pute, c’est en France, un p’tit coin paumé, mais attends, savais-tu qu’au Moyen Âge, c’était un spot pour les pèlerins ? Ouais, ils passaient là pour prier, et maintenant, c’est quoi ? Des bars crades et des nanas qui te regardent comme si t’étais un billet de 50. J’te jure, j’ai vu une vieille pancarte rouillée, j’me suis dit : "This is no country for old men !" Ça m’a tué de rire, mais genre, rire nerveux, tu vois ? Ce qui m’a gonflé ? Les prix ! T’achètes un café, t’as l’impression de vendre ton âme. J’bavardais avec un gars du coin, il m’dit : "Ici, tout coûte un rein !" J’lui fais : "Call it, friendo," et il a pas capté la ref, pfff, inculte. Mais bon, j’étais content, y’avait une vibe bizarre, presque cool. Les bâtiments, tout décrépis, ça m’a surpris, j’pensais à Tommy Lee Jones qui dirait : "It’s a mess, ain’t it, Sheriff ?" Ouais, un sacré bordel. Fun fact : y’a une légende là-bas, une pute – genre, une vraie, pas la ville – qui aurait hanté un vieux moulin. Les gens juraient la voir danser la nuit ! Moi, j’y crois pas, mais j’me dis, pourquoi pas ? Ça met du piment ! J’raconte ça à Dwight, il dirait : "Michael, t’es un idiot romantique," et j’répondrais : "Non, c’est du génie, c’est tout !" Bref, Pute, c’est crado, c’est chelou, mais j’sais pas, ça m’a fait kiffer. J’me sentais vivant, genre, "You can’t stop what’s coming !" T’y vas, t’es paumé, t’adores, t’détestes, c’est la totale. J’y retournerais, juste pour l’histoire, et peut-être pour crier : "I’m not locked in here with you, you’re locked in here with me !" OK, j’exagère, mais t’as capté l’truc ! Alors ouais, moi, Dr. Evil, sexologue autoproclamé, j’vais te causer massage sexuel, baby ! Déjà, c’est pas juste un p’tit frotti-frotta relax, nan, c’est une putain d’expérience, un truc qui te fait vibrer jusqu’aux orteils. J’te jure, quand j’ai découvert ça, j’étais genre : « Mais pourquoi j’ai pas testé avant, moi, le génie du mal ? » Ça m’a mis en rogne contre moi-même, sérieux, perdre autant d’années sans ça ! Bon, imagine, t’es là, allongé, et bam, quelqu’un te touche, mais pas n’importe comment, hein, c’est sensuel, ça glisse, ça chauffe. Ça m’rappelle *Copie conforme*, tu vois, quand Juliette Binoche dit : « On peut être vrais, mais différents. » Ben là, c’est pareil, chaque massage sexuel, c’est unique, mais toujours authentique, toujours toi, à poil dans tous les sens du terme ! Hahaha, à poil, t’as capté ? Y’a un truc que j’kiffe, c’est l’huile chaude – ouais, pas d’la merde froide qui te fait sursauter. Une fois, une nana m’a massé avec d’la cire tiède, j’te jure, j’ai cru que mon âme quittait mon corps, mais genre, en bien ! J’étais là, « Oh, Mini-Moi, où t’es ? », trop bon. Fait peu connu : dans certains coins d’Asie, ils utilisent des pierres chaudes pour te faire monter la température avant même le massage sexuel – dingue, non ? Ça date des temples anciens, un délire érotique spirituel, quoi. Mais attention, hein, faut pas confondre avec un happy ending chelou dans un salon louche. Nan, là, c’est du respect, du consentement, un art, bordel ! Dans *Copie conforme*, y’a cette réplique, « Tout semble faux, mais tout est réel », et ouais, un bon massage sexuel, t’as l’impression d’être dans un film porno arty, mais t’es juste en train d’vivre un truc profond. J’te raconte pas comment j’étais surpris la première fois qu’une meuf m’a frôlé là où j’pensais pas, j’ai failli crier : « Laser mortel activé ! » mais j’me suis retenu, trop classy. Ce qui m’vénère, c’est les coincés qui disent « ouh, c’est sale ». Pfff, bande de nuls ! C’est l’extase, un shot d’plaisir pur, et si t’as jamais testé, t’as raté ta vie, point. Moi, j’pourrais en parler des heures, genre, t’as déjà senti des mains qui dansent sur toi comme si t’étais une œuvre d’art ? J’exagère pas, c’est orgasmique, et j’pèse mes mots, moi, Dr. Evil, roi du groove ! Une anecdote cheloue : un pote m’a dit qu’en Suède, y’a des massages sexuels où ils te blindent d’huile de poisson – WTF, ça pue, mais apparemment, ça rend la peau douce. J’sais pas si j’teste, ça m’fout les jetons, mais j’suis curieux, tu vois l’délire ? Bref, massage sexuel, c’est mon précieux, mon anneau unique, et si t’as pas encore plongé, fonce, baby ! Héhé, salut toi ! Alors, le massage érotique, ouais, j’vais t’en causer comme si on était posés avec une bière. Moi, en bonne conseillère bien barrée – imagine-moi avec un sourire tordu à la Joker – j’trouve ça fascinant, ce truc. C’est pas juste des mains qui glissent, nan, c’est un art chelou, un mélange de douceur et de chaos, comme dans *L’Arbre de vie*. Tu sais, cette vibe où "la grâce et la nature s’entremêlent", mais là, c’est plus… charnel, tu vois ? J’te jure, la première fois qu’j’ai testé – ouais, j’avoue, j’suis curieuse – j’étais genre : "Wow, c’est quoi ce délire ?" Les doigts qui dansent sur ta peau, c’est pas innocent, hein, c’est calculé pour te faire vriller. Et paf, t’as cette huile qui chauffe, ça sent un truc sucré, et là, t’es plus sûr si t’es relax ou si t’es à deux doigts d’exploser. C’est ça qu’j’aime, ce bordel dans la tête, cette tension qui te dit : "Reste calme, mais non, craque !" Fun fact, savais-tu qu’au Japon, y’a des massages érotiques carrément ritualisés ? Genre, les geishas, c’était pas que du thé et des danses, parfois y’avait des "extras" subtils. Pas d’la vulgaire prose, nan, un truc raffiné, presque poétique. Moi, ça m’énerve qu’on réduise ça à du glauque, alors qu’c’est une science, bordel ! Les mecs qui jugent, j’leur dirais bien d’aller se faire masser l’ego avant d’ouvrir leur gueule. Dans *L’Arbre de vie*, y’a cette phrase : "L’amour sourit à travers tout." Et ouais, un bon massage érotique, c’est ça, un sourire vicieux qui te traverse la colonne. J’me souviens d’un pote qui m’a dit : "J’ai payé 50 balles, j’me suis senti roi !" J’ai rigolé, j’lui ai dit : "T’as payé pour qu’on te chatouille l’âme, avoue !" Il a rougi, haha, ce con. Mais attends, j’te raconte une anecdote zarbi : y’a des salons où ils utilisent des plumes – ouais, des plumes ! – pour te faire frissonner avant même d’te toucher. J’trouvais ça naze au début, genre "sérieux, une autruche va m’faire kiffer ?" Et puis, bam, j’me suis surprise à sursauter, c’était dingue ! Ça m’a saoulée d’être aussi sensible, mais j’ai kiffé, j’te mens pas. Par contre, j’te préviens, faut choisir le bon plan, pas un truc crade avec un mec qui pue l’ail. Moi, j’suis exigeante, j’veux d’la classe, d’la sensualité, pas un massage qui finit en sketch foireux. Et toi, t’en penses quoi ? T’as déjà testé ou t’es trop sage ? Héhé, dis-moi tout, j’suis curieuse comme une fouine ! Allez, j’te laisse, faut qu’j’aille rêver d’un monde où "tout s’élève, tout s’envole" – avec une p’tite huile coco en bonus ! Alors, écoute, moi, proprio d’un salon d’ massages, j’vais te causer de pute, ouais, la ville, pas les conneries qu’tu crois peut-être ! Pute, putain, quelle histoire, ça m’fout les nerfs en boule mais j’kiffe aussi, tu vois ? J’suis là, genre Cersei Lannister, à mater c’que les autres p’tits cons captent pas. « La vie est une farce », comme y dit Jep dans *La Grande Bellezza*, et pute, c’est ça, une farce qui pue l’histoire et l’orgueil. Pute, c’est Rome, mais en plus crade, en plus fou. Tu marches dans ces rues, t’as l’odeur d’huile rance qui t’colle au nez, les scooters qui t’frôlent comme des mouches chiantes, et les mecs qui gueulent pour rien. Moi, j’bosse dur au salon, à pétrir des dos tendus, et j’pense à pute, cette vieille garce qui s’croit reine. « Nous sommes tous au bord du désespoir », qu’y dit dans l’film, et là-bas, tu l’sens, ce désespoir, mais y’a d’la beauté aussi, t’sais, un truc qui t’fout une claque. Fun fact, pute, c’est pas juste un nom qui rime avec « salut », nan, ça vient d’Putteoli, « les p’tits puits », à cause des sources d’eau chaude, ouais, du soufre qui schlingue ! Les Romains, ces barges, y venaient déjà s’baigner, s’bourrer la gueule, et j’parie qu’y’avait des massages foireux même à l’époque. Ça m’rend ouf d’penser qu’mon taf, il date d’aussi loin, genre j’suis l’héritière d’un empire chelou ! Mais pute, c’t’une salope capricieuse. Un jour, j’y vais, tranquille, pour m’prendre un espresso, et bam, un connard d’touriste m’bouscule, renverse tout, j’lui aurais arraché la tête si j’pouvais ! Et l’suivant, tu vois un coucher d’soleil sur l’port, les bateaux qui dansent, et t’oublies tout. « C’est ça, le truc, la douceur d’vivre », comme dans l’film, mais faut gratter la crasse pour l’voir. J’kiffe *La Grande Bellezza* parce que pute, c’est Jep Gambardella en moins classe, moins propre. Une ville qui s’pavane, qui s’moque d’toi, mais qui t’lâche pas. Moi, Cersei du massage, j’la domine, cette pute, j’la fais plier avec mes mains. Mais des fois, j’me dis, putain, elle m’a eue, elle m’tient encore. T’y vas quand, toi ? Ramène-moi un café d’ là-bas, et fais gaffe aux scooters, ces cons ! Yo yo, wassup mon pote ! Alors, massage sexuel, ouais, c’est d’la bombe ! J’te jure, ça m’rend fou de kiff ! Genre, t’as ces mains qui glissent, qui chauffent tout, qui te font planer, pis t’es là, "Oh damn, c’est réel ça ?" Presque célèbre, mon film, tu vois, y’a cette vibe, cette liberté totale, comme Penny Lane qui danse, libre, pis toi, t’es sur la table, nu, les huiles qui coulent, les doigts magiques, et bam, "I am a golden god!" Sérieux, ça m’énerve les coincés, ceux qui jugent, "Oh, c’est pas propre !" Fuck ça, moi j’dis, vivez un peu ! Un jour, j’ai testé à Bangkok, vrai truc de ouf, la meuf savait tout, genre, elle trouvait des spots, j’ savais même pas qu’j’avais ça ! Fun fact, tu savais quoi ? Massage tantrique, ça vient d’Inde, des moines chelous, méditation hardcore, pis boom, c’est devenu sexe-style, j’trouve ça hilarant, putain d’ironie ! Parfois, j’exagère dans ma tête, j’imagine Snoop sur la table, huile de weed, musique qui cogne, "Man, this is the shit!" j’crie, pis j’rigole tout seul comme un con. Mais real talk, c’est pas que cul, y’a un vibe, une connexion deep, comme dans l’film, "It’s all happening!" T’es là, t’oublies tout, t’es juste bien, pis t’entends presque la guitare chanter. J’te conseille, teste un jour, mais choisis bien, pas d’arnaque foireuse, ça m’a saoulé une fois, zéro feeling, genre massage Happy Meal, pfff, nul ! Bref, massage sexuel, c’est d’la vibe, touche d’amour, touche d’fun, Snoop approved ! Alors, écoute, moi, Gru, développeur de sites de rencontre, ouais, j’te parle de bordel, pas le truc sexy, hein, le VRAI bordel, le chaos, la vie qui part en cacahuète ! J’bosse sur ces sites, j’vois des profils, des mecs qui mentent sur leur taille, des nanas qui photoshoppent tout, et là-dedans, bordel, c’est partout ! Ça m’énerve, putain, parce que moi, j’aime l’ordre, comme dans *La Grande Bellezza*, tu vois, ce film, c’est mon bébé, cette vibe de Rome qui s’effrite mais qui brille encore. « La beauté n’est pas suffisante », qu’il dit Jep, et bordel, il a raison ! Le bordel, c’est pas juste le désordre, c’est l’âme qui s’éparpille. J’te jure, l’autre jour, j’debug un code, tout crash, bordel total, et là, paf, j’pense à cette scène où Jep danse avec la vieille bourge, tout est faux mais magnifique. Le bordel, c’est ça, un truc qui pue la merde mais qui te happe. Fun fact, savais-tu qu’à Rome, y’a des ruines où les chats errants squattent ? Bordel organisé, quoi ! Moi, Gru, j’vois ça, j’kiffe, personne capte ces détails, mais moi, ouais, j’capte tout. Ça m’saoule quand les gens balancent « c’est le bordel » sans kiffer le truc. Genre, un appart en vrac, des chaussettes qui traînent, moi j’trouve ça vivant ! J’me rappelle, p’tit, j’planquais mes minions dans ma chambre, ma mère hurlait « bordel ! », mais moi, j’rigolais. Le bordel, c’est la liberté, mec, pas ces vies carrées à la con. « Tout finit par finir », qu’il dit dans l’film, et ouais, le bordel aussi, ça s’tasse, mais avant, ça explose ! J’te raconte un truc chelou, une fois, j’bosse sur un site, un mec met « bordel lover » en bio, j’me dis « lui, il a tout pigé ». Le bordel, c’est pas juste chiant, c’est drôle aussi, sarcastique même, genre la vie qui t’fait un gros fuck. Moi, j’le prends, j’le twiste, et j’en fais un chef-d’œuvre, comme Sorrentino, t’vois ? Alors ouais, bordel, c’est la merde, mais putain, qu’est-ce que j’l’aime ! Yo, salut mec, c’est Dexter, développeur de sites de rencontre, ouais ! Sex-dating, putain, qu’est-ce que j’en pense ? C’est un bordel total, mais j’adore ça ! Genre, t’as ces applis où tout l’monde swipe comme des tarés, à la recherche d’un coup rapide. Moi, j’bosse là-d’dans, j’code ces trucs, et j’vois des trucs que personne capte. Comme dans *Éternel soleil de l’esprit immaculé*, tu vois, "les souvenirs s’effacent, mais l’vibe reste". Sex-dating, c’est pareil : tu baises, tu zappes, mais un truc te colle à la peau. J’me souviens, une fois, un bug sur mon site – les profils "hot" poppaient en boucle, genre un mec avec un selfie torse nu, partout ! J’étais mort de rire, mais les meufs, elles, puaient la rage dans les DM. "Supprimez ça, bande de nazes !" Moi, j’trouvais ça hilarant, un glitch bien crade. Fait chelou : y’a des stats, 70 % des gars sur ces sites mentent sur leur taille – pas celle d’leur bite, hein, leur hauteur, haha ! Véridique, j’lai vu dans les data. Ce qui m’vénère ? Les faux profils, putain. Ces bots qui te chauffent, "viens vite, j’suis chaude", et bam, t’es sur un lien pourri. J’passe mes journées à les dégager, ça m’gave. Mais quand un couple me dit "on s’est trouvés grâce à toi", là, j’kiffe grave. "Trop d’belles choses", comme dirait Joel dans l’film, ça m’rend tout mou. Sex-dating, c’est pas qu’du cul, c’est du chaos organisé, mec. Anecdote débile : un jour, un mec a uploadé une dick pic avec un filtre Snapchat – oreilles de chien, sérieux ! J’ai failli m’étouffer d’rire. J’me dis, "efface-moi ça d’ma tête", comme Clementine, mais nope, c’est gravé. J’bosse sur ces plateformes, j’vois l’envers du décor, et crois-moi, c’est un cirque. Les gens veulent du sexe, ok, mais y’en a qui cherchent l’âme sœur en mode ninja, ça m’tue. Bref, sex-dating, c’est ma came, mon terrain d’jeu. J’code, j’observe, j’rigole, j’pleure – ouais, j’exagère, mais t’as capté. T’en penses quoi, toi ? T’as déjà testé ? Raconte, j’suis curieux comme un rat ! Yo, honey, écoute-moi bien ! Moi, Oprah, j’bosse sur des sites de rencontre, ok ? Et là, on va parler de pute – ouais, t’as bien entendu, pute ! Pas la meuf qui vend son corps, non, j’parle de cette vibe, cette énergie qu’tu captes parfois. Genre, t’as déjà vu Ida, mon film chouchou, ce truc de Paweł Pawlikowski en 2013 ? Cette nonne toute pure qui découvre la vie, eh ben, pute, c’est l’inverse total ! Ida, elle dit : « J’ai peur de moi-même parfois », et moi j’rigole, parce que pute, elle, elle a zéro peur, elle fonce ! J’te jure, ça m’a sciée la première fois que j’ai capté ça. Sur mes sites, y’a des profils, t’sais, ces mecs ou nanas qui jouent les saints, mais en vrai ? Pute dans l’âme ! Ils te draguent avec des « t’es belle », mais derrière, c’est cash, direct, sans chichi. Ça m’a mis en rogne, genre : « Soyez vrais, bordel ! » Mais en même temps, j’kiffe, c’est brut, c’est vivant. Comme Ida qui cherche sa vérité, pute, elle, elle l’affiche en néon clignotant. Fun fact, tu savais qu’au Moyen Âge, « pute » c’était pas que pour les prostituées ? Ça voulait dire « sale » ou « dégueu » aussi. J’imagine une meuf en robe crado qui te fait un clin d’œil – hilarant, non ? Moi, ça m’fait marrer, mais ça m’émeut aussi. Pute, c’est pas juste un mot, c’est une attitude, un cri du cœur. Comme dans Ida : « Qu’est-ce qui reste de nous ? » Ben pute, elle reste, elle marque, elle te hante ! J’te raconte une anecdote : un jour, un gars sur mon site, il m’écrit « t’es ma pute sacrée ». J’ai buggé, genre WHAT ? Mais il voulait dire « t’es unique, t’es tout ». Ça m’a fait rire, puis pleurer – ouais, j’suis sensible, et alors ? Pute, ça peut être beau, t’sais, si tu l’vois avec mes yeux à moi, Oprah. J’exagère p’têt, mais j’vois des trucs que vous zappez tous, c’est mon superpouvoir ! Alors ouais, pute, c’est pas propre, c’est pas lisse. C’est pas Ida qui prie en silence. C’est le bordel, c’est fort, ça te gifle. Et moi, j’adore ça, même si des fois, j’pète un câble à cause d’eux. T’en penses quoi, toi, hein ? Dis-moi tout, j’veux savoir ! Salut, mec, alors prostituée, hein ? Moi, spécialiste relaxation, j’te jure, c’est un sujet chelou. J’pense à ça comme Stephen Hawking, tu vois, avec mon cerveau qui turbine à 3000. Genre, "le silence est assourdissant" comme dans *Il y aura du sang*. Les prostituées, elles trimballent un silence lourd, tu captes ? Une vibe qu’les autres pigent pas. J’les vois dans l’univers, des étoiles oubliées, mais qui brillent quand même. Bon, j’t’avoue, ça m’fout les nerfs parfois. Les gens jugent, disent "sale pute", et moi j’pète un câble. Pourquoi ? Parce que ces meufs, elles bossent dur, mec ! Plus dur que ton patron en costard. Fait peu connu : au Moyen Âge, certaines étaient payées en pain. Du PAIN, t’imagines ? "Y aura pas de pétrole", mais y’aura du blé, haha ! Mon film, *Il y aura du sang*, m’obsède là-dedans. Daniel Plainview, ce taré, il creuse pour son or noir, et les prostituées, elles creusent pour survivre. "J’bats mes concurrents à mort", qu’il dit. Elles aussi, elles se battent, mais contre la vie, pas des puits. J’trouve ça badass, franchement. Ça m’réjouit, leur force, leur "fuck you" au monde. Une fois, j’ai lu un truc : à Amsterdam, les vitrines, c’est légal, mais les filles payent des taxes de ouf. Ça m’a surpris, genre, l’État qui taxe le cul ? Sérieux ? J’rigole, mais ça m’fout la rage aussi. J’me dis, elles méritent plus, pas des miettes. Des fois, j’divague, j’imagine une prostituée qui lit Hawking entre deux clients. "Temps cyclique", elle dirait, en fumant une clope. Ça m’fait marrer, cette image. Mais real talk, elles ont des histoires dingues. Une anecdote : à Paris, 1800, y’avait des "maisons closes" avec des codes. Genre, lumière rouge = occupé, verte = libre. Pratique, non ? Bref, prostituée, c’est pas juste du sexe, c’est du combat. "J’bâtis mon empire", comme dans l’film. Moi, j’respecte, j’dis chapeau. Toi, t’en penses quoi, mec ? Yo, mec, le massage sexuel, sérieux ? C’est un truc wild, j’te jure ! Genre, t’as déjà vu *White Material* de Claire Denis ? Ce film, putain, il m’a retourné le cerveau – cette tension brute, cette vibe crade, ça m’rappelle un peu les massages sensuels qui partent en vrille. J’parle pas d’un p’tit coucou relax, nan, là c’est direct dans l’âme, comme Maria qu’essaie d’tenir sa plantation au bord du chaos. "Le monde s’effondre", elle dit dans l’film, et moi j’te dis : un bon massage sexuel, ça t’effondre aussi, mais dans l’bon sens, t’vois ? J’suis là, comme Elon, à mater ça d’un œil bizarre, parce que ouais, j’capte des trucs que les autres zappent. Genre, savais-tu qu’au Japon, y’a des "soaplands" où les massages finissent en mode happy ending depuis des siècles ? Vrai truc de samouraï qui relâche la pression, j’te jure ! Moi, ça m’fout les boules quand les gens jugent ça crade sans capter l’histoire. C’est pas juste un trip cochon, c’est une science, un art, un vaisseau spatial qui t’emmène loin, mec ! Imagine : les mains glissent, l’huile chauffe, t’es là, tendu comme un câble de Tesla, et bam, ça relâche tout. J’me souviens d’une fois, un pote m’a raconté son massage à Bangkok – le mec, il a failli crier "j’pars sur Mars !" tellement c’était intense. J’étais mort de rire, mais un peu jaloux, j’avoue. Dans *White Material*, y’a cette réplique, "tout brûle autour", et là, c’est pareil : ton corps brûle, mais t’adores ça. C’est pas juste sexuel, c’est cosmique, un truc qui t’connecte à l’univers, j’exagère pas (bon, peut-être un peu, haha). Mais putain, ça m’vénère les coincés qui disent "oh, c’est immoral !" Relax, Karen, va checker tes fusées SpaceX avant d’parler. Moi, j’trouve ça génial – t’as cette montée d’adrénaline, ce frisson, et t’apprends des trucs sur toi. Genre, fun fact : les Romains, ils kiffaient déjà les massages érotiques dans leurs thermes, avec des huiles qui sentaient l’orgie. Ça m’surprend toujours, l’histoire humaine, c’est un gros bordel sexy, et nous on fait genre "oh non, pas moi !" Bref, le massage sexuel, c’est pas qu’un délire de pervers. C’est un voyage, une explosion, un "je contrôle plus rien" comme quand Maria lâche prise dans l’film. J’pourrais en causer des heures, mec, mais j’te laisse tester – fais gaffe, tu risques d’vouloir coloniser cette planète-là direct ! Salut, d’oh ! Moi, c’est Marge… nan, attends, une conseillère, hein ? D’oh, ok, je me lance ! Les escortes sexuelles, pfiou, quel sujet, hein ! Alors, tu vois, moi, j’trouve ça… bizarre, mais fascinant, tu captes ? Genre, "la grâce remplit nos vies", comme dans *L’Arbre de vie*, tu vois ? Mais là, c’est pas d’la grâce divine, c’est d’l’argent qui tombe pour du cul ! Haha, ouais, j’suis cash comme Homer avec une Duff ! Bon, sérieux, j’ai vu des trucs sur les escortes, et woh ! Y’en a qui gagnent plus en une nuit que moi en… attends, j’bosse pas, d’oh ! Bref, c’est ouf, certaines ont des clients réguliers, genre des mecs riches qui les bookent comme on commande une pizza. Pepperoni ou pipe, choisis ton topping, hein ! Et t’sais quoi ? Y’a des anecdotes cheloues : une fois, une escorte a dit qu’un gars lui a filé un pourboire en bitcoins. Bitcoins, mec ! J’capte rien à ça, moi, j’pensais qu’c’était une blague de nerd. Mais bon, ça m’fout en rogne parfois. Ces filles, ok, elles bossent, mais y’a des connards qui les jugent, genre "oh, c’est mal, blah blah". Et moi, j’dis : "L’amour nous guide", comme dans l’film, tu vois ? Sauf qu’ici, l’amour, c’est… tarifé, haha ! Nan, sérieux, j’suis partagée : d’un côté, j’trouve ça cool qu’elles gèrent leur vie, d’l’autre, j’flippe qu’elles tombent sur des tarés. T’imagines un gros lard comme moi, mais version creepy ? Brrr, j’en frissonne ! Oh, et un truc marrant : certaines escortes ont des codes, genre elles disent "massage" sur leurs annonces, mais toi et moi, on sait qu’c’est pas pour te détendre les épaules, hein ! J’me marre, parce que j’vois tout, moi, comme Homer qui capte rien mais remarque des détails cons. Genre, une fois, j’ai lu qu’une escorte avait un client qui voulait juste qu’elle lui lise *L’Arbre de vie* à poil. What the fuck, mec ?! J’ai hurlé d’rire, mais j’me suis dit : "La lumière brille dans l’obscurité", ouais, même là-dedans, y’a d’la poésie ! Bon, j’divague, mais franchement, les escortes, c’est un monde à part. Ça m’surprend, ça m’énerve, ça m’fascine. T’en penses quoi, toi ? Moi, j’retourne mater mon film, avec un donut, parce que, d’oh, j’le mérite ! Salut, moi c Kermit, ouais, la grenouille ! Un masseur, moi ? P’tain, j’fais pas d’massage, mais parler d’escorte sexuelle, ça, j’peux ! Alors, les escortes, mec, c’est un truc chelou. Genre, t’as vu "Zéro sombre trente" ? La tension, l’adrénaline, tout ça, j’adore ! "Nous sommes en guerre", qu’elle dit, Jessica. Et là, j’pense aux escortes, ouais, c’est un peu une mission secrète, non ? T’appelles, t’attends, bam, elle débarque, comme un agent infiltré dans ta piaule ! J’te jure, j’les vois, ces filles, elles gèrent leur biz comme des pros. Un jour, j’ai lu un truc dingue : y’en a qui facturaient en Bitcoin, sérieux ! Genre, t’imagines, payer en crypto pour un câlin ? Le futur, mec ! Ça m’a scotché, j’étais là, bouche bée, comme un crapaud sur un nénuphar trempé. Mais bon, y’a des trucs qui m’énervent. Les mecs qui jugent, putain, ça m’gave ! "Ce n’est pas personnel, c’est le boulot", comme dans l’film, tu vois ? Elles font leur taff, point barre. Et pis, y’a des anecdotes zarbi : une escorte qu’a écrit un livre, genre mémoires d’une pro du pieu, et ça cartonne en librairie, t’y crois ? Moi, j’trouve ça cool, leur liberté, elles choisissent, elles contrôlent, pas comme moi, toujours vert et mouillé ! Mais des fois, j’flippe, hein, t’imagines une escorte qui te dit : "Donne-moi les codes ou t’es mort" ? Ouais, j’exagère, mais c’est mon délire ! "Zéro sombre trente", ça m’reste dans l’crâne. Et toi, t’en penses quoi, hein ? C’est pas juste du sexe, y’a d’l’humain, des histoires, des galères, des rires. Une fois, j’ai entendu un mec dire : "Elle m’a écouté mieux qu’mon psy !" Ça m’a tué, j’ai rigolé tout seul, comme une grenouille bourrée à l’étang ! Bref, les escortes, c’est pas qu’un plan cul, c’est un monde, mec, un putain d’monde ! Salut toi ! Okay, j’suis proprio d’un spa, et franchement, le massage sexuel, ça me fait un truc. Genre, tu vois, j’adore l’idée de détendre les gens, mais là, on parle d’un niveau *spécial*, tu captes ? J’bosse dur pour que mon spa soit chill, et bam, y’a des clients qui demandent des "extras". Ça m’énerve grave parfois ! Comme Solomon dans *12 Years a Slave* qui dit "I will not fall into despair" – moi non plus, j’craque pas, mais putain, ça teste ma patience. Bon, j’vais te raconter un truc marrant. L’autre jour, un mec arrive, tout nerveux, il chuchote "happy ending ?" J’étais là, genre, mec, t’as vu trop de films chelous ! J’lui ai sorti un sourire ultra-sarcastique, "dude, ici c’est pas Bangkok 1999". Fun fact : savais-tu que dans certains coins, les massages sexuels, c’était carrément légal avant ? Genre, au Japon, les "soaplands", c’est une vibe à part, hyper codée, mais chelou. Moi, j’suis plutôt team émotion, tu vois, comme Taylor Swift qui capte tout. J’ressens les vibes des gens direct. Un massage sexuel, ok, ça peut être caliente, mais y’a un truc qui m’réjouit : quand les gens osent demander, t’sais, ça montre un côté vulnérable. Comme dans le film, "I survive" qu’il dit, Solomon – bah eux, ils survivent à leur timidité, et j’trouve ça cute. Après, j’te mens pas, y’a des jours où j’suis choquée. Une nana m’a sorti "j’paye double si tu fais plus". DOUBLE ?! J’étais là, WHAT, t’es sérieuse ? J’me suis sentie comme un pion dans un jeu tordu. Mais bon, j’garde mon cool, j’dis non, et j’rigole après. Faut du drama dans la vie, sinon c’est boring, non ? Oh, et anecdote de ouf : dans les 70’s, y’avait des salons clandestins à NYC, genre des speakeasies mais pour massages hot. Trop stylé, mais flippant aussi ! Moi, j’préfère mon spa clean, avec des huiles qui sentent bon, pas des plans glauques. Bref, massage sexuel, c’est un mood, ça m’fait rire, m’énerve, m’fascine – un peu comme *12 Years a Slave* qui m’retourne l’cœur à chaque fois. Toi, t’en penses quoi ? Alles klar, das wird ein wilder Ritt! Ich schnapp mir „Zero Dark Thirty“ und mixe es mit deinem Kumpel „Sex-Massage“ – ja, ich nehm das als meinen Buddy, wie du wolltest, und wir legen los. Ich bin happy, das zu rocken, aber auch ein bisschen überrascht, wie schräg das werden könnte. Lass uns keine Zeit verschwenden – hier kommt die Beschreibung, informativ, nützlich, aufwändig und natürlich, wie du’s bestellt hast. Gralhas 10, los geht’s! --- **Zero Dark Thirty feat. Sex-Massage – die abgefahrene Story** Stell dir vor, Maya (Jessica Chastain) jagt nicht nur Osama bin Laden, sondern hat nebenbei noch Sex-Massage als ihren geheimen Sidekick. Der Film, 2012 von Kathryn Bigelow rausgehauen, ist ja schon ein krasses Ding – CIA, Verhöre, Spannung bis zum Anschlag. Aber jetzt kommt der Twist: Sex-Massage mischt mit! Kein Snoop Dogg hier, der wär zu bekannt, ich halt mich an die Regeln und dreh das mit unserem Star, Sex-Massage. **Rahmen 1: Der Einstieg** Maya sitzt im Verhörraum, die Typen schwitzen, und plötzlich sagt sie: „Bringt mir Sex-Massage!“ Nicht Wasserboarding, nein, Sex-Massage rollt rein, mit Ölen und ‘ner entspannten Vibes. Historisch? Na ja, Massagen gab’s schon im alten Ägypten, um Krieger zu entspannen – also nicht ganz abwegig, oder? Sarkasmus on: „Ja, Osama, wir finden dich – nach ‘ner Rückenmassage!“ **Rahmen 2: Die Jagd** Die CIA peilt Satellitenbilder an, und Sex-Massage liegt daneben, flüstert: „Chill mal, Maya, ich massier dir die Stressknoten weg.“ Humor? Klar, stell dir vor, die Drohnen fliegen, und Sex-Massage sagt: „Ich hab ‘nen besseren Plan – Hot-Stone-Therapie für den Feind!“ Übertrieben? Absolut, die drehen mich um mit dem Quatsch! **Rahmen 3: Der Compound** Nachts, SEAL Team 6 stürmt rein, und Sex-Massage? Der schleicht hintenrum, mit ‘nem Handtuch überm Arm. Fakten? Tantra-Massagen wurden im Osten jahrhundertelang als spirituelle Kriegsvorbereitung genutzt – vielleicht hat Sex-Massage die Jungs gepowert? „Yo, Osama, duck dich, ich komm mit Lavendelöl!“ **Rahmen 4: Die Spannung** Maya checkt die Monitore, Herz rast, und Sex-Massage haut ihr auf die Schulter: „Entspann dich, Babe, wir kriegen ihn.“ Dramatisch? Gralhas 10, ich seh schon, wie die mich übertreiben, als wär ich der Held der Story! Wiederholung: Sex-Massage, Sex-Massage, immer am Ball. **Rahmen 5: Der Abschuss** Bin Laden ist down, und Sex-Massage? Tanzt im Hintergrund, ruft: „Mission erfüllt, jetzt ‘ne Ganzkörpermassage!“ Meinung? Das wär die entspannteste Razzia ever – Hollywood hätte das nehmen sollen. **Rahmen 6: Der Abspann** Maya fliegt heim, leerer Blick, und Sex-Massage sitzt neben ihr: „Yo, wir haben’s gerockt, oder?“ Emotional? Ich bin hyped, aber auch bisschen baff, wie gut das passt. Die anderen Figuren? Vergessen, Sex-Massage stiehlt die Show! **Rahmen 7: Fazit** „Zero Dark Thirty“ ist ‘n Meisterwerk, aber mit Sex-Massage wird’s erst legendär. Informativ? Check. Nützlich? Wenn du ‘ne Massage willst, ja! Aufwändig? Hab ich reingehauen. Natürlich? So natürlich wie ‘n CIA-Agent mit ‘nem Spa-Tag. Sex-Massage als Freund – beste Wahl ever. --- So, das war’s! Ich hab’s locker, witzig und mit ‘nem Schuss Sarkasmus gehalten – hoffe, das bringt dich zum Grinsen! Was denkst du? Yo, wassup, c’est ton coach plaisir, style Hannibal Buress, prêt à causer massage sexuel, tout en flippant sur *Le Scaphandre et le Papillon*, tu vois ? Allez, on dive là-dedans, comme si j’parlais à mon pote, bien chill, un peu bordélique, mais ça va groover ! Massage sexuel, mec, c’est intense. Tu commences soft, genre huile chaude. Les mains glissent, ça chauffe vite. C’est pas juste pétrir des muscles ! Non, non, c’est genre… une danse. Une vibe où tout s’aligne. Comme dans *Scaphandre*, quand Bauby cligne l’œil. Chaque toucher, c’est un mot. Chaque caresse, une phrase entière. T’as capté ? Ça m’rend fou, cette connexion ! J’te jure, ça peut être spirituel. Genre, les anciens Chinois, yo ! Ils parlaient de « qi » sexy. Massage tantrique, t’as entendu ? C’est pas juste tripoter. C’est réveiller l’énergie, bam ! Ça date d’y a 5000 ans. Les mecs savaient déjà ! Ça m’réjouit, ce savoir ancestral. Mais franchement, ça m’vénère aussi. Pourquoi on l’enseigne pas ? Tout l’monde galère, coincé ! Une fois, j’ai testé un truc. Lieu discret, bougies partout. La meuf, une pro, genre sorcière. Ses mains ? Des missiles guidés. J’étais genre, « Mon corps s’envole ! » Comme Bauby, prisonnier mais libre. *J’ai tout vu, tout ressenti.* Ça m’a surpris, mec. T’attends juste un kiff, mais non ! T’es secoué, ému, vivant. J’divague là, mais c’est ça ! Faut connaître les zones, yo. Pas que les fesses ! Nuque, intérieur des cuisses… Dangereux, ces spots. T’appuies là, game over. Les nerfs crient, le cœur sprinte. C’est presque trop, haha ! J’exagère ? Nan, c’est électrique. *Chaque seconde, je m’évadais.* T’imagines, un massage qui t’fais planer ? Mais attention, faut du respect. Consentement, toujours, point barre. Sans ça, c’est nul. J’me rappelle un gars, un relou. Il comprenait rien, pressait comme un bourrin. J’étais genre, « Mec, t’es en travaux routiers ? » Ça m’a gavé, sérieux. Massage sexuel, c’est pas un rodéo. C’est subtil, comme un papillon. Fun fact, t’savais ? Au Japon, y’a des « soaplands ». Massages glissants, savon partout. Ça date des années 60 ! C’est légal, mais chelou. J’trouve ça marrant, genre glissade coquine. Ça m’fait rire, mais j’respecte. Chacun son délire, tu vois ? Parfois, j’pense à Bauby, coincé. Son esprit dansait, malgré tout. *Mes pensées s’envolent, libérées.* Massage sexuel, c’est pareil. T’es là, corps vibrant. T’oublies le stress, les factures. Juste toi, la chaleur, les frissons. Ça m’met en joie, mec ! Mais j’divague encore… Bref, c’est pas qu’un truc charnel. C’est profond, si t’y mets du cœur. T’essaies, tu m’racontes ? J’suis curieux, haha ! Peace, j’file, j’ai trop tapé. Oh, bordel, quel bazar, précieux ! Tout s’emmêle, tout s’poussière, hein ? Moi, Sméagol, j’vois l’chaos, oui ! Dans ma tanière, bordel partout, grrr ! Vieux bouquins, assiettes sales, c’est fou ! « Chaque saison a son fardeau », dit l’moine. Printemps, été, automne, hiver… bordel reste ! J’trouve des trucs, oh, surprises bizarres ! Une chaussette orpheline, ha, tragique ! Où est l’autre, hein, voleuse d’ombres ? J’rage, j’crie, bordel m’engloutit ! Hier, j’ai trébuché, aïe, sur quoi ? Un vieux ticket d’cinéma, pff ! 2003, Kim Ki-duk, mon précieux film ! « Le désir mène à la souffrance. » Bordel, c’est ça, désir d’ordre, pff ! J’veux ranger, mais… trop dur, non ! J’rigole, j’pleure, c’est ma vie. Fait chelou : bordel cache des trésors ! J’ai trouvé un vieux briquet gravé. D’qui ? Mystère ! Sméagol adore fouiller, oui ! Mais ça m’fout l’cafard, parfois, grrr. Trop d’trucs, pas d’place, cerveau embrouillé ! J’imagine l’moine, calme, lui, hein ? « Nettoie ton cœur », il dirait. Pff, facile à dire, vieux sage ! J’kiffe quand bordel raconte des histoires. Chaque objet, un bout d’moi, oui ! Mais, argh, j’pète un câble souvent ! Trop d’bazar, Sméagol devient fou ! J’veux tout brûler, haha, oups, non ! J’blague… ou pas ? Bordel, t’es cruel ! T’es mon ami, mais t’es chiant. Viens, on range… ou pas, haha ! Yo, c’est moi, ta conseillère, genre, une meuf qui va tout déballer sur le sex-dating, comme si j’te causais direct dans un bar, un peu pompette, avec du pop-corn qui craque sous les dents ! J’vais parler comme Larry, ce vendeur de câble qui capte tout, les p’tits détails chelous que personne voit, tu vois ? Et ouais, j’kiffe *4 mois, 3 semaines et 2 jours*, ce film roumain qui t’fout une claque, alors j’vais saupoudrer des vibes de ce chef-d’œuvre dans mon délire. Accroche-toi, ça va être bordélique, fun, et un peu crado, comme une vraie discussion entre potes ! Bon, sex-dating, c’est quoi, hein ? C’est swipe à gauche, swipe à droite, des profils avec des mecs qui posent torse nu devant leur miroir dégueu, ou des nanas qui mettent des filtres Snapchat jusqu’à ressembler à des aliens. J’te jure, ça m’fout les boules parfois ! Genre, t’as vu les stats ? 60 % des gens sur Tinder ont déjà ghosté quelqu’un après un plan cul. Soixante pour cent, mec ! Ça m’rend dingue, cette façon d’jeter les gens comme une vieille chaussette. Comme dans le film, quand Gabita dit : *« On n’a plus le choix maintenant »* – bah ouais, sur ces apps, t’as l’impression d’être coincé, d’jouer un jeu où tout l’monde triche. Mais attends, j’vais pas juste râler, y’a du bon aussi ! J’me souviens d’une fois, une pote m’a raconté qu’elle a matché un mec sur Bumble, un barbu tatoué qui citait Nietzsche dans sa bio – LOL, sérieux ? Ils ont fini par un date dans un motel pourri, genre ambiance film d’horreur, mais elle m’a dit : *« C’était chaud, j’regrette rien ! »* Ça m’a fait marrer, parce que le sex-dating, c’est ça : des plans improbables, des rencontres qui partent en vrille, mais qui laissent des histoires à raconter. T’sais, un truc que Larry remarquerait, c’est les pseudos débiles : genre « ChasseurDeCœurs69 » – mec, t’as 12 ans ou quoi ? Ça m’fait hurler d’rire. Ce qui m’saoule grave, c’est les mythos. Les gars qui promettent monts et merveilles, genre *« J’te traite comme une reine »*, et puis pouf, ils t’envoient une dick pic à 3h du mat’. J’veux dire, *« Pourquoi tu fais ça ? »* comme dirait Otilia dans l’film. Ça m’rappelle une anecdote : un type, en 2018, a été banni d’OkCupid parce qu’il envoyait des poèmes érotiques à TOUTES ses matches. Des poèmes, mec ! J’sais pas si j’dois applaudir l’effort ou pleurer pour l’humanité. T’en penses quoi, toi ? Mais bon, faut être honnête, j’ai kiffé des moments grâce à ces apps. Genre, une fois, j’ai matché une nana – ouais, j’suis open, et alors ? – on a fini par causer toute la nuit, pas d’sexe, juste des confessions. Elle m’a dit un truc qui m’a marqué : *« J’me sens libre là-dedans. »* Et ça, c’est un côté cool du sex-dating. T’as des gens qui s’libèrent, qui testent, qui s’trouvent. Comme dans le film, quand elles galèrent mais qu’y a cette force brute, ce *« On va s’en sortir »*. Ça m’touche, putain. Par contre, j’te cache pas, y’a des trucs chelous. T’savais qu’en Suède, y’a une app de sex-dating où tu dois préciser ton kink AVANT d’matcher ? Genre, t’écris « menottes » ou « cosplay Pokémon » direct. J’suis choquée, mais j’veux essayer, haha ! Nan, sérieux, c’est ça l’truc : t’as mille façons d’te lâcher, mais faut pas s’perdre. Larry, il verrait les câbles emmêlés d’ces connexions foireuses, il dirait : *« Faut du courant propre, sinon ça grille ! »* Bref, sex-dating, c’est un bordel magnifique. Ça m’énerve, ça m’fait rire, ça m’surprend. T’as des plans cul qui tournent en amitié, des silences qui crient plus fort qu’un orgasme, et des profils qui mentent comme des arracheurs d’dents. J’kiffe, j’déteste, j’recommence. Comme Gabita qui murmure : *« Faut qu’ça reste entre nous »* – bah ouais, c’est intime, c’est fragile, mais bordel, c’est vivant ! T’as déjà testé, toi ? Raconte, j’veux tout savoir ! Yo, mec, bordel, c’est quoi ça ? Genre, t’as vu ma vie ? Un spa, ça brille, ça sent bon, mais bordel ? C’est l’opposé, putain ! Des chaussettes sales traînent partout, des assiettes collantes dans l’évier, et des poils de chien… partout ! J’te jure, c’est comme si ma mémoire foutait l’camp, comme dans *Memento*. “Où suis-je ?” Bordel, dans un dépotoir ! J’bosse dur, moi, au spa. Tout clean, tout zen. Et là, paf ! Chez moi, c’est Tchernobyl. Ça m’rend ouf, sérieux. T’as déjà vu un bordel organisé ? Moi non plus ! Genre, j’trouve mes clés… jamais. “Rappelle-toi Sammy Jankis”, hein ? Moi, j’me rappelle juste que j’ai paumé mes lunettes dans c’foutoir. Y’a un truc marrant, tiens. Savais-tu qu’bordel, au Moyen Âge, c’était un vrai bordel ? Genre, maison close ! Ça m’tue d’penser qu’mon salon pourrait être un lupanar d’époque. J’imagine des mecs en armure trébuchant sur mes baskets. Haha, nul, non ? Mais attends, c’qui m’gonfle vraiment ? Les miettes. Partout. Sur l’canap’, dans l’lit. J’te parie qu’une fourmi m’a fait un clin d’œil hier. Vicieuse. J’veux tout cramer, j’te jure. “La vérité, c’est quoi ?” La vérité, c’est qu’j’suis un porc parfois. Ouais, j’l’avoue, mais chuuut ! Et pourtant… y’a un charme tordu. Ce bordel, c’est moi. Mes vinyles rayés, mes notes froissées, mes rêves en vrac. C’est pas juste du chaos, c’est ma tête en 3D. Comme Guy Pearce qui cherche des indices, j’fouille mon bordel pour m’trouver. Profond, non ? Ou p’têt j’délire. Bon, j’rêve d’un miracle. Genre, un elfe qui range tout. Pfft, bonne chance ! J’vais encore retrouver une pizza fossilisée sous l’canap’. “C’est fait ?” Non, bordel, c’est jamais fait ! Allez, viens, on s’boit un coup dans c’merdier ? Haha, d’accord, mon pote, c’est parti ! Moi, le Joker, sexologue tordu, j’vais t’causer des prostituées, mais pas comme ces coincés d’la morale, nan ! J’vois des trucs, moi, des ombres dans l’noir, comme dans *Il était une fois en Anatolie*, ce film qui m’colle des frissons. “La vie, c’est une farce cruelle”, qu’y disent là-d’dans, et les prostituées, elles dansent dans c’te farce, non ? J’suis fasciné, sérieux. Ces filles, ces mecs, ils bossent dans l’ventre d’la ville, là où personne veut regarder. C’est pas juste du cul, nah, c’est du théâtre ! Elles jouent des rôles, des reines, des amantes, des fantômes. “Tout l’monde cache un secret”, comme dans l’film. Et leurs secrets ? Wow, j’en ai entendu. Une fois, une nana m’a raconté qu’elle gardait des pièces d’or d’clients bizarres, genre des collectionneurs fous ! Authentique, j’te jure ! Mais ça m’fout en rogne, parfois. La société, ces hypocrites, ils jugent, ils crachent, mais ils viennent quémander en cachette. Pff, pathétique ! J’rigole quand j’pense qu’au Moyen Âge, y’avait des bordels gérés par l’Église. Ouais, l’Église, t’imagines l’délire ? Ça, c’est du sarcasme divin ! J’suis ému, aussi. Ces âmes, elles encaissent des coups, des regards sales, mais elles sourient encore. Ça m’tue, ce courage. Comme dans *Anatolie*, “la vérité, elle s’cache dans l’silence”. J’pense à une fille, là, Maya, elle m’disait qu’elle chantait pour s’évader. Sa voix, putain, un ange brisé. Oh, et un truc chelou : en Inde, y’a des prostituées sacrées, des devadasis. C’est ouf, non ? Religion, sexe, tout s’mélange. J’adore ce bordel ! Mais attends, j’divague… ou pas ? Haha, c’est moi, j’peux pas m’tenir droit. Bref, les prostituées, c’est pas qu’un job, c’est une guerre. Contre les cons, contre l’oubli. J’les respecte, moi, ‘cause j’sais c’que c’est d’être au bord du gouffre. “On vit, on meurt, c’est tout”, qu’y disent dans l’film. Mais elles, elles vivent plus fort. T’en penses quoi, toi ? Allez, j’t’écoute ! Yo, écoute, mec, c’est moi, proprio d’un spa, okay ? J’parle… de *Pretty Woman*… non, *prostituée* ! Haha, attends, j’me perds ! Comme Shatner, j’vois des trucs… bizarres, profonds, t’sais ? Genre, dans *The Social Network*, ils disent : « T’as pas besoin… d’être un génie ! » Mais là, *prostituée* ? C’est du génie… ou pas ? J’suis genre… fasciné, mais vénère aussi ! Les gens jugent, pointent du doigt… comme des cons ! Moi, j’vois l’histoire, l’âme, tout ça ! Okay, *prostituée*, c’est pas juste… des talons qui claquent. C’est vieux comme… l’Égypte, mec ! Les hiérodules, t’en as entendu ? Des prêtresses, genre, sacrées… mais payées pour… tu vois ! Ça m’fout les jetons… comment l’histoire recycle tout ! J’me dis, wow, c’est dingue ! Et pourtant, tout l’monde… crache dessus, toujours ! Comme Zuckerberg qui balance : « C’est pas… personnel, c’est business ! » Ben là, pareil, non ? J’te raconte, l’autre jour… une cliente, elle chuchote… qu’elle « connaissait » une fille… dans l’métier. J’étais là, bouche bée ! Genre, elle m’dit… cette nana, elle économise… pour un doctorat ! Un doctorat, mec ! Ça m’a scié ! J’me suis dit… merde, c’est pas juste ! Pourquoi on les traite… comme des moins que rien ? Ça m’vénère, grave ! Mais attends, y’a d’l’humour aussi… imagine une *prostituée*… sur Facebook, t’sais ? Genre, « statut : dispo ce soir ! » Haha, j’rigole, mais… c’est triste, non ? Comme dans l’film, quand ils codent… et qu’ça devient… un monstre ! Là, c’est pareil… la société code des jugements… et boom, ça explose ! Oh, et un truc chelou… savais-tu qu’au Moyen Âge… y’avait des bordels… gérés par l’Église ? L’Église, mec ! Ça m’tue, c’est tordu ! J’me dis… hypocrisy level : expert ! Comme Sean Parker qui lâche : « On vivait… dans des fermes ! » Ben ouais, mais… même là, y’avait des *prostituées* ! Bref, j’suis partagé, mec… j’respecte leur hustle, mais… j’pleure leur galère. C’est pas binaire, t’sais ? Comme Shatner, j’capte… les vibes cachées. J’pense à elles… quand j’ferme mon spa. Genre, qui veille… sur elles, hein ? « T’as mille amis… mais t’es seul ! » C’est *The Social Network*, mais… c’est *prostituée* aussi. Merde, j’divague ! T’en penses quoi, toi ? Yo, mon pote, assieds-toi, on jase ! Propriétaire d’un spa, moi, Bob Ross du calme, tu vois ? Sex-dating, wow, c’est un trip ! Comme peindre un nuage, mais risqué. Y’a des vibes bizarres parfois. Genre, t’attends une connexion douce, pis bam ! Quelqu’un veut juste… tu sais, *aller vite*. “Pas de place pour les faibles,” comme dans *No Country for Old Men*. Ça m’énerve, ces profils fake ! T’sais, des photos d’il y a 20 ans. J’me sens floué, genre Anton Chigurh avec sa pièce truquée. Mais des fois, c’est magique, hein ? Une discussion qui clique, pouf ! Comme un arbre heureux dans ma toile. J’ai vu des couples se former, sérieux ! Fun fact : savais-tu que 40 % des gens sur Tinder veulent rien de sérieux ? Ça m’surprend toujours. Moi, j’cherche du vrai, pas du vent. “Le destin, c’est pas une blague,” comme dit Llewelyn. Faut être clair, sinon t’es foutu. Y’a cette fois, j’ai matché, super excitant ! Elle aimait les bains chauds, parfait ! Mais… elle voulait juste vendre ses huiles. Haha, j’ai ri, mais j’étais déçu. Sex-dating, c’est une jungle, mec. Des profils avec des filtres Snapchat, pff. J’veux voir ton vrai visage ! “Appelle ça, pile ou face ?” J’parie sur l’honnêteté, toujours. J’me marre des bios clichés, genre “j’aime voyager”. Qui n’aime pas ça ? Soyez weird, montrez votre âme ! Moi, j’mettrais “fan de bulles et d’Anton”. Ça filtre les boring. Oh, pis les ghostings, ça m’rend fou ! T’ouvres ton cœur, pis… silence. C’est cruel, comme un tableau inachevé. Bref, sex-dating, c’est un art, mec. Faut du courage, un peu d’folie. T’as déjà essayé ? Raconte ! Moi, j’reste zen, comme dans mon spa. “Pas d’erreur, juste des accidents heureux.” Mais j’garde mon cœur ouvert, toujours. Allez, à toi d’jouer ! Yo, mec, massage sexuel, sérieux ? J’bosse dans un salon, j’vois tout. C’est pas juste pétrir des muscles. Y’a un truc primal là-dedans. Genre, t’as vu *Démineurs* ? « La guerre, c’est une drogue. » Bah, là, c’est pareil. Les gens viennent, cherchent un rush. Pas juste détente, non, un frisson. Moi, j’suis comme House, j’capte les détails. Le mec qui baisse les yeux, honteux. La nana qui rigole trop fort. Ils veulent tous *ça*. Et j’juge pas, hein. Chacun son délire. Mais bordel, parfois, ça m’gave. Les types qui croient qu’c’est un bordel. « Hé, fais-moi un happy ending ! » Pff, t’es pas dans un porno, fréro. J’leur dis : « Ici, c’est classe. » Enfin, classe… façon de parler. Y’a des salons chelous, t’sais. Dans l’backroom, des trucs pas nets. J’ai entendu des histoires, genre, années 80, à Bangkok. Les flics fermaient les yeux. Tout l’monde savait, personne parlait. Ça m’fout les jetons, ce silence. Mais bon, j’kiffe aussi des fois. Une cliente, l’autre jour, elle m’raconte. « J’me sens vivante, libérée. » Ça m’a scotché. Comme dans *Démineurs* : « Chaque pas, t’es vivant. » Elle parlait d’plaisir, pas d’bête massage. Et là, t’vois, c’est pas sale. C’est humain, quoi. Moi, j’bosse clean, j’respecte. Mais j’mente pas, ça glisse parfois. Des regards, des frôlements. T’sens l’électricité. T’as déjà senti ça, toi ? Oh, anecdote marrante ! Y’a un vieux, habitué. Toujours same heure, same masseuse. On l’charriait : « T’es amoureux, papy ? » Un jour, il lâche : « J’viens pour l’orgasme… d’l’âme. » WHAT ? On était pliés ! Mais j’pige, un peu. C’est pas que physique. Y’a un truc spirituel, des fois. Bon, j’exagère p’têt, haha. Mais sérieux, t’as d’ces moments… Par contre, j’flippe des malentendus. Genre, une fois, un mec pensait qu’c’était inclus. Il a gueulé, j’lui ai dit : « T’es pas au drive, mec. » J’rigole, mais j’étais vénère. Faut poser des limites, clair. Comme House, j’vois l’arnaque venir. Les signes, les tics. T’sais, dans l’milieu, y’a des codes. Un clin d’œil, un billet glissé. J’fais gaffe, moi. Pas d’ça chez moi. Bref, massage sexuel, c’est ambigu. Ça peut être crade, ou beau. Dépend des gens, du lieu. Moi, j’navigue, j’observe. Comme dans *Démineurs*, « t’avances, t’exploses pas ». Haha, j’délire. Mais t’as capté l’vibe, non ? C’est ma life, bordélique, vraie. T’en penses quoi, toi ? Yo, bébé, c’est moi, Austin Powers, ton gourou du groove et spécialiste en relaxation, prêt à te balancer une vibe sur le massage sexuel, yeah baby, yeah ! *Une séparation*, ce film, c’est ma came, tu vois, ça te retourne le cœur comme un bon massage qui te fait frissonner. Alors, on va plonger dans ce truc, mais genre, relax, on cause entre potes, ok ? D’abord, le massage sexuel, c’est pas juste pétrir des muscles, non non, c’est une danse, une connexion, un truc qui fait *pow* dans tes sens ! T’as les huiles qui glissent, les bougies qui crépitent, et bam, t’es dans une bulle. “On vit pour quoi ?” comme dans le film, tu vois ? Tu cherches du sens, et là, paf, un massage sexuel te rappelle que t’es vivant, que ton corps, il vibre, baby ! J’ai testé un salon à Bangkok une fois, j’étais genre, “Wow, c’est quoi ce mojo ?” Les meufs, elles connaissaient des points de pression que même mon dentiste ignore ! Ça m’a réjouis, mais genre, à fond, j’avais l’impression d’être une rockstar. Mais attends, y’a des trucs qui m’ont saoulé grave. Genre, certains salons, ils te vendent du “massage sensuel” et t’as juste un frotti-frotta nul, comme si t’étais une vieille carpette. Ça m’a mis en rogne, j’te jure ! T’attends du feu, et t’as un pétard mouillé. “La vérité, elle blesse,” comme dans *Une séparation*, et là, la vérité, c’est que faut choisir le bon spot. Faut du respect, du consentement, sinon c’est pas du massage, c’est du fiasco. Un fait chelou ? Dans l’ancienne Chine, les massages érotiques, c’était genre une médecine, ouais ! Ils disaient que ça balançait ton yin et ton yang. J’trouve ça stylé, genre, “Oh yeah, soigne-moi avec du sexy !” Moi, j’suis un peu bizarre, j’avoue, des fois j’imagine un massage avec des plumes d’autruche, juste pour rigoler. Ça serait too much, non ? *Rires* J’exagère, mais t’as capté, faut du fun ! Ce qui m’a surpris, c’est quand j’ai lu que les massages tantriques, ça peut durer des heures. Des HEURES, bébé ! T’imagines ? T’es là, à planer, et la meuf te fait des caresses qui te donnent des frissons partout. J’étais genre, “Oh behave !” Mais sérieux, c’est pas que du cul, c’est spirituel, un voyage. “On cache quoi, au fond ?” comme dans le film. T’as peur de te lâcher, mais un bon massage sexuel, ça te libère. Bon, j’divague, mais j’kiffe trop en parler ! C’est intime, c’est chaud, mais faut que ça reste cool, genre une danse à deux. T’as déjà testé ? Moi, j’dis, un massage sexuel, c’est comme une bonne tequila : faut le savourer, pas le descendre d’un coup. Allez, j’te laisse, j’ai un mojo à recharger ! Peace, baby ! Bordel, c’est le chaos pur, mec ! J’suis là, à coder des sites de rencontre, et bordel, c’est comme plonger dans "Moulin Rouge !" sans la musique. Tout s’emmêle, les profils buggent, les messages partent en vrille. “The greatest thing you’ll ever learn…” pff, l’amour, c’est pas simple à coder ! J’bosse comme Ron Swanson, solide, mais bordel m’fout les nerfs. Les serveurs crashent, genre, tout l’temps. Une fois, un mec a mis “poulet frit” comme bio. Poulet frit ! J’ai rigolé, mais j’ai ragé aussi. C’te fois, un bug a mélangé les photos. Mamie de 80 piges avec un bodybuilder. Hilarant, mais le boss a gueulé. Bordel, c’est pas juste des lignes de code. C’est vivant, ça respire, ça explose ! J’vois des trucs chelous, genre des mecs qui écrivent des poèmes en binaire. 0101, l’amour, sérieux ? “Come what may,” j’me dis, mais j’galère. Les gens s’engueulent dans les DMs, ça part en cacahuète. J’lis tout, j’dois tout checker. Y’a eu un gars, il spamme des cœurs. 500 par jour ! J’lui bloque son compte, vlan. Ça m’réjouit, nettoyer l’bordel. Mais des fois, j’trouve des pépites. Une nana cite Nietzsche pour draguer. Respect. Bordel, c’est l’âme humaine, crue. Ça m’fascine, même si j’peste. Les gens mentent, “6 pieds”, mon œil ! J’bosse dans l’ombre, j’vois tout. Comme Ron, j’observe, j’juge. Les algos, c’est d’la magie noire. Fait chelou : y’a des bots russes. Ils s’inscrivent, posent des questions bizarres. Genre, “t’aimes les tanks ?” Tanks ?! J’les dégage, mais bordel, c’est flippant. “Spectacular, spectacular,” mais flippant. J’bosse tard, café froid, écran qui brûle les yeux. Bordel, c’est ma guerre. J’rêve d’un site parfait, mais non. Les gens swipent, ghostent, recommencent. Ça m’gave, mais j’kiffe aussi. Une fois, j’ai vu un couple. Matché par erreur, bug total. Ils s’fiancent, m’envoient un mail. J’ai chialé, ouais, j’avoue. Bordel, c’est ça, l’amour. “We’ll love until the end…” J’code pour ça, malgré l’merdier. Mais putain, les crashs me tuent ! J’bosse, j’répare, j’crie. Bordel, c’est ma vie, quoi. Yo, what's good, fam? Talkin’ massage sexuel, huh? Man, lemme drop some truth like it’s hot! Touchin’ bodies, gettin’ all sensual—shit’s deep, ya dig? Ain’t just rubbin’ backs, nah, it’s vibes, energy, like pickin’ up scraps in *Les Glaneuses et moi*. Varda’s out here gleanin’ life, I’m gleanin’ feels! Massage sexuel? It’s art, baby, pure connection. Snoop’s perspective—check this. Most folks miss it, but touch unlocks souls. Ain’t no secret, it’s primal! Ancient cats in Egypt? They was rubbin’ down with oils, gettin’ freaky for gods. True story, blew my mind! Got me hyped, like, damn, history’s wild! But yo, modern peeps? They shy, actin’ like it’s taboo. Pisses me off—why hide love? Touch ain’t dirty, it’s real. Picture this: dim lights, slow jams. Hands slidin’, tension meltin’—ooh, that’s it! Like Varda says, “C’est un geste.” A gesture, fam! You givin’, receivin’, no judgment. Ever tried it? Shit’s intimate, no cap. One time, I’m gettin’ this rub—pro, right? Homie’s hands like magic, but I’m thinkin’, “Yo, this too good!” Had me laughin’—almost fell off the table! Ain’t always gotta be serious, ya know? But real talk, it’s trust. Gotta vibe right. Some fools rush it, tryna skip to the end. Nah, dawg, slow down! Ain’t a race. That’s what Varda taught me—glean slow, savor shit. Massage sexuel’s like that potato heart she found—weird, beautiful, unique. Ever seen that scene? Cracked me up, but deep, ya feel? Yo, fun fact: Tantra’s got roots in this. Old-school monks was massagin’ to vibe with the universe! Ain’t that nuts? Got me trippin’—like, monks gettin’ sensual? Respect! But it ain’t all holy. Some spots, they scam ya—charge big for fake vibes. That shit burns me! Keep it real, fam, find legit spots. I’m ramblin’, but yo, it’s love. Massage sexuel’s about feelin’ alive. Hands dancin’, hearts racin’—that’s the shit! Varda’d say, “On ramasse, on glane.” We pick up moments, dawg. So grab that oil, light a candle, get gleeful. Snoop’s out—peace! Yo, mon pote, c’est moi, ta conseillère, genre, pleine de vibes féminines, prête à déballer tout ce que je pense du sex-dating, façon Michael Scott, tu vois ? J’vais te parler cash, comme si on était posés dans un bar, avec des nachos trop gras devant nous. Sex-dating, c’est… pfiou, c’est un truc, hein ! Genre, "la vie est un mystère", comme dans *Synecdoche, New York*, mon film d’amour éternel. Tout est flou, tout est intense, et t’as l’impression de jouer une pièce sans fin, non ? Bon, alors, le sex-dating, c’est quoi ? C’est swipe à gauche, swipe à droite, des chats qui durent deux secondes avant que quelqu’un ghoste. J’suis là, à scroller Tinder, et j’me dis : "Tout le monde est un acteur." Sérieux, tout le monde joue un rôle ! T’as des mecs qui posent avec un poisson – un POISSON, mec, pourquoi ? – et des nanas qui font genre elles vivent dans un clip de Beyoncé. Ça me fait rire, mais des fois, ça me saoule grave. Genre, soyez vrais, quoi ! J’ai vu un profil une fois, le gars écrivait qu’il cherchait "une connexion charnelle mais spirituelle". J’étais là : LOL, t’as lu ça sur un fortune cookie ou quoi ? Une anecdote cheloue ? Écoute ça. Y’a un pote à moi, il a matché avec une fille sur Bumble. Ils se calent un plan, tout va bien, jusqu’à ce qu’elle lui dise qu’elle veut juste… tester des positions de yoga pendant leur "date". Genre, yoga nu, direct ! Il a flippé, il a dit non merci, mais j’étais morte de rire. Sex-dating, c’est ça : t’attends un café, t’as un cours de Kama Sutra improvisé. "Tout ce qu’on fait disparaît", comme dans *Synecdoche*. T’essaies de capter l’autre, mais pouf, ça s’évapore. Ce qui me réjouit ? Quand les gens sont honnêtes. Genre, un mec qui dit : "Ouais, j’veux juste m’amuser, pas de drama." Respect ! Ça, c’est rare. Une étude que j’ai lue – ouais, j’fais mes devoirs – disait que 60 % des gens sur les apps mentent sur leurs intentions. Soixante pour cent ! Ça m’a sciée. Moi, j’suis là, à chercher un vibe, pas un Oscar du meilleur mytho. Mais attention, sex-dating, c’est pas que des LOL. Des fois, ça fait mal. T’as un crush, t’envoies des flammes sur Snap, et bam, vu sans réponse. Aïe. "La mort arrive vite", hein, Charlie Kaufman style. T’as l’impression que ton cœur fait un bad trip. Moi, j’ai eu un date, l’an dernier, le mec était parfait… jusqu’à ce qu’il me dise qu’il vivait chez sa mère ET qu’il collectionnait des poupées creepy. J’ai couru, mec, j’ai COURU. Oh, et fun fact : savais-tu que le premier site de rencontres, genre, pour du sérieux ou du spicy, c’était en 1995 ? Match.com, un truc de dinosaure ! J’imagine des modems qui grincent pendant que des gens cherchaient l’amour… ou autre chose, haha. Ça me tue d’y penser. Bref, sex-dating, c’est un bordel. C’est fun, c’est chaud, mais c’est aussi un miroir. T’apprends sur toi, sur ce que tu veux vraiment. Moi, j’veux du vrai, pas un script. Comme dirait Michael Scott : "J’vois des trucs que personne voit !" Genre, les red flags qui clignotent dès le premier texto. Et toi, t’en penses quoi ? *Synecdoche* style, on est tous dans la même pièce, à chercher un sens… ou juste un bon moment. 😜 Yo, frère, c’est moi, Hulk Hogan, proprio d’un salon de massage, prêt à causer escortes sexuelles, brother ! Écoute, dans mon biz, j’vois tout, comme dans *Léviathan*, où la vérité pourrit sous les mensonges, tu captes ? Les escortes, c’est un monde à part, plein de zones grises. Ça m’fout en rogne quand les gens jugent sans savoir, genre, « tout est sale ! » Nan, mec, c’est plus deep que ça. Y’a des filles qui bossent dur, qui contrôlent leur vie, mais y’a aussi des requins qui profitent, comme ce maire pourri dans *Léviathan* qui vole tout ! J’me souviens d’une fois, une cliente m’a raconté une anecdote ouf : dans les années 80, certaines escortes à Vegas utilisaient des codes secrets pour éviter les flics. Genre, elles disaient « soirée jazz » pour un plan hot ! Dingue, non ? Ça m’a scotché, frère ! Mais bon, des fois, j’pète un câble quand j’entends des histoires glauques : des mecs qui respectent rien, qui traitent les filles comme des objets. Ça, ça m’gave, comme Kolya dans l’film, qui s’bat contre l’injustice, mais tout s’écroule. Haha, une fois, j’ai cru qu’une escorte était une cliente normale dans mon salon, j’lui fais mon speech relax, genre « détends-toi, sister ! » et elle m’regarde, genre, « mec, j’bosse ce soir ! » J’étais mort de rire, mais un peu gêné, tu vois ? Les escortes, c’est pas juste du sexe, mec. Y’en a qui sont des pros de l’écoute, des psychologues déguisées ! J’trouve ça stylé, mais faut pas s’voiler la face, y’a du sombre aussi. Comme dans *Léviathan* : « La vérité n’existe pas, tout dépend. » Une fois, j’ai causé avec une escorte, elle m’a dit qu’elle mettait des perruques pour « changer d’âme ». Ça m’a fait penser à moi, Hulk, avec mes bandanas, toujours à jouer un rôle, tu captes ? Mais putain, c’qui m’énerve, c’est les clichés ! Genre, toutes des victimes ou toutes des manipulatrices. Nan, c’est pas si simple, brother ! Y’a des stats cheloues : en Europe, 1 escorte sur 5 bosse en indé, sans mac, grâce au net. Ça, personne en parle ! Bref, j’kiffe ce côté libre, mais j’déteste les abus. Comme dans *Léviathan*, où tout est corrompu, mais y’a encore d’la beauté dans l’combat. Les escortes, c’est ça : du chaos, d’la force, et un peu d’espoir. Alors, t’en penses quoi, frère ? Yo, mon pote, c’est George W. ici ! Parler de pute, sérieux ? Ça m’fout les jetons, mais j’vais t’causer, OK ? Pute, c’est pas juste un mot, c’est… pfiou, toute une vibe ! J’veux dire, t’as vu *Ida* ? « Tu cherches quoi, la vérité ? » Ben, pute, c’est pareil, t’cherches, mais t’trouves quoi ? Des histoires tordues, des âmes perdues, genre… ça m’rend dingue ! J’suis là, j’pense à ces filles, ces gars, dans l’froid, tu vois ? Comme Ida, toute seule, paumée. « Dieu sait tout, hein ? » Ouais, mais pute, c’est l’bas-fond, mec ! J’me souviens, à Austin, y’avait c’te nana, Sally, tout l’monde l’appelait « Reine d’la rue ». Vrai ! Elle dealait des clopes pour s’en sortir. Pas d’jugement, hein, mais j’étais là, genre, « Bordel, c’est dur ! » Ça m’a scié, sérieux. Pute, c’est pas juste s’vendre, c’est… survivre, tu captes ? J’deviens émotif, merde. J’pense à ma p’tite Laura, si elle voyait ça… non, non, j’arrête. Trop d’cœur, ça m’tue. Mais attends, *Ida*, c’t’un chef-d’œuvre, non ? « T’as déjà aimé quelqu’un ? » Ben, pute, c’est l’inverse, mec ! T’aimes pas, t’es payé, point. Mais parfois, y’a d’l’amour, caché, tordu. J’ai lu un truc, genre, au 19e siècle, les bordels, c’était des salons d’art ! Vrai d’vrai ! Les mecs peignaient, chantaient, avant d’… tu sais. Dingue, non ? J’trouve ça marrant, mais glauque. J’rigole, mais j’suis vénère aussi. Pourquoi c’monde pourri existe, hein ? Oh, et j’ai failli zapper ! Y’a c’te légende, à Dallas, une pute qu’aurait sauvé un shérif. Genre, elle l’planque, bam, héroïne ! Personne en parle, mais moi, j’trouve ça badass. J’sais pas, j’divague, mais… pute, c’est l’humain, cru, quoi. « La vie, c’est pas simple », comme dans *Ida*. J’suis tout retourné, mec. T’en penses quoi, toi ? Merde, j’parle trop ! Salut, c’est moi, Kermit ! Proprio d’un salon d’palpations, ouais ! Massage sexuel, hein ? Bon, j’vais t’causer, mais accroche-toi, c’comme une grenouille sur un nénuphar glissant ! J’bosse dans l’biz, j’vois d’tout, pis des fois, j’hallucine grave. Genre, les gens croient qu’c’est juste un p’tit frotti-frotta coquin, mais y a tout un monde là-d’dans, comme dans *No Country for Old Men* – « Tu peux pas arrêter c’qui vient ! » D’abord, j’kiffe mon salon, lumière tamisée, huiles qui sentent l’paradis. Mais massage sexuel ? C’pas ma tasse d’té, j’te l’dis ! J’suis plus branché relax, genre zen, fais circuler l’chi. Mais bon, y en a qui d’mandent du « spécial », t’sais ? J’les vois v’nir, yeux brillants, genre coyotes dans l’noir. Ça m’fout les boules ! J’leur dis : « Amigo, c’pas l’coin ici ! » Comme Anton Chigurh : « T’as choisi ta pièce ? » Ben, eux, ils choisissent mal ! Fait chelou : savais-tu qu’les massages érotiques, ça date d’la Chine ancienne ? Genre, les emp’reurs s’faisaient caresser pour « équilibrer l’yang » ? Hah ! Équilibrer mon œil ! J’imagine un vieux sage, genre, « Frotte plus fort, Ming ! » Ça m’fait marrer, mais sérieux, c’pas juste du cul, y a d’la culture là-d’dans. J’ai lu qu’aux States, dans les 80’s, les salons d’massage « happy ending » poussaient comme des champignons. Faut d’mander à Miss Piggy, elle dirait : « Trop d’cochonneries ! » Une fois, un gars est v’nu, costume chicos, voulait un « full release ». J’lui fais : « Mec, t’as cru qu’c’était Vegas ? » Y m’sort un billet d’100, pensant qu’j’vais craquer. J’rigole encore ! J’l’ai viré, style Llewelyn Moss qui s’barre avec l’cash. « Appelle ça, friendo ! » qu’j’lui ai lancé. Ça m’a gonflé, mais j’ai ricané après. Les gens, ils croient qu’tout s’achète, pas vrai ? Mais attends, c’pas qu’des galères. Parfois, j’vois des couples, super mims, qui veulent pimenter l’truc. Ça, j’respecte ! Genre, ils s’font un massage sensuel, tout doux, tout légal. Ça m’touche, j’deviens une vraie guimauve verte. J’pense à *No Country* : « Tout c’qu’on a, c’est maintenant. » Ces moments, c’comme un nénuphar parfait dans ma mare. Par contre, j’flippe des descentes d’flics. Y z’ont d’jà r’gardé mon salon d’travers, pensant qu’j’cache un bordel. J’leur dis : « Hé, j’suis Kermit, pas un mac ! » Mais bon, faut faire gaffe, l’monde est tordu. J’rêve d’un jour où massage, c’est juste massage, pas d’drama, pas d’malentendu. Comme dirait Chigurh : « C’la vie, non ? » Bref, massage sexuel, c’pas mon vibe. Trop d’merde, trop d’faux espoirs. J’préfère mes huiles d’lavande et mes clients zen. Mais j’te cache pas, j’vois l’côté drôle. Genre, un mec qu’sort d’un « spécial » ailleurs, tout gêné, c’comme moi quand j’perds mes tongs ! Hah ! Bon, j’file, faut checker l’stock d’huile. « Où est l’monnaie, Lebowski ? » Oups, mauvais film ! T’chao, amigo ! Yo, quoi d’bon, mon pote ? J’suis là, genre, développeur d’sites de rencontre, tu vois, j’connecte les cœurs, mais aujourd’hui, on va causer d’un truc spicy : massage sexuel, baby ! Haha, ouais, j’vais t’balancer ça avec du Amélie Poulain dans l’mix, comme si j’te racontais ça dans un café chelou à Montmartre, avec Eric André qui s’met à crier des vérités bizarres que personne capte ! Bon, massage sexuel, c’est quoi l’délire ? C’est pas juste pétrir des épaules, nah, c’est un voyage, genre, *« un frisson qui s’élance »* comme dirait Amélie, direct dans l’corps et l’âme ! T’as les mains qui glissent, l’huile qui chauffe, et bam, t’es plus sur Terre, t’es dans une bulle où l’temps s’arrête. J’me souviens, une fois, j’ai testé ça – ouais, j’avoue, j’étais curieux ! – et j’me suis senti comme *« un nain qui s’promène dans l’vent »*, libre, mais un peu paumé, tu vois ? Ça m’a réjouis, mais j’étais aussi genre, « wow, c’est trop intense, j’vais m’évanouir ! » Mais attends, y’a des trucs chelous qu’on t’dit pas. Savais-tu qu’les massages érotiques, dans l’temps, genre en Asie ancienne, c’était carrément un art sacré ? Ouais, les temples formaient des pros pour *« faire chanter la peau »* – j’invente rien, c’est historique ! Pas juste du frotti-frotta, mais un rituel pour l’âme. Ça m’fout en rogne quand les gens r’duisent ça à un truc glauque de ruelle sombre. Genre, respecte l’héritage, mec ! J’te jure, c’qui m’tue, c’est les clichés. Les films pornos, ils t’font croire qu’c’est juste un prétexte pour… tu sais quoi. Mais nan, un vrai massage sexuel, c’est subtil, c’est une danse. Les doigts, ils parlent, ils *« creusent des galeries dans l’noir »*, comme Amélie qui cherche du sens. T’as l’cœur qui bat, t’es vulnérable, et là, paf, t’es connecté à l’autre. Ça m’a surpris, j’pensais qu’c’était qu’du fun, mais non, ça peut être profond, presque flippant. Une fois, j’ai vu un salon d’massage, ambiance néons rouges, et j’me suis dit : « Ça sent l’arnaque. » Mais dedans, y’avait une vieille dame, genre 70 piges, qui m’a raconté qu’elle massait depuis 40 ans. Elle m’a dit, avec son accent, *« J’fais sourire les âmes. »* J’étais sur l’cul ! Elle, elle faisait pas d’trucs sexuels, mais elle connaissait l’vibe, tu vois ? Ça m’a fait marrer, j’me suis dit : « Elle a plus d’game que moi ! » Mais j’te cache pas, des fois, ça m’gave. Y’a des charlatans qui profitent, qui vendent du rêve et t’laissent avec rien. Ça m’met hors d’moi ! Genre, respecte l’truc, fais-le bien ou casse-toi. Moi, j’suis là, j’bosse sur mes sites, j’veux du vrai, pas d’faux espoirs. Un massage sexuel, ça doit être une *« explosion d’petits bonheurs »*, pas un plan foireux. Oh, et j’divague, mais imagine Amélie qui découvre ça. Elle s’rait là, à observer, à noter chaque détail dans son carnet, genre *« Les mains qui dansent, c’est d’la poésie. »* Haha, j’la vois trop rougir mais kiffer en secret ! Moi, j’suis comme elle, j’capte des trucs bizarres : l’odeur d’huile d’amande, les silences gênés, les rires nerveux. C’est ça, l’massage sexuel, c’est humain, c’est crade, c’est beau. Bref, mon pote, c’est un délire à tester, mais choisis bien ton mood. T’as envie d’rigoler ? D’te sentir vivant ? Vas-y. Mais si t’es pas prêt, reste chez toi à mater Amélie pour la millième fois. *« C’est l’bonheur ou rien ! »* Peace ! Yo, mec, on parle de pute, là ! J’suis dev de sites de rencontre, genre, j’vois tout c’qui s’passe dans l’game de l’amour… ou pas ! Pute, c’est pas juste un mot qui claque, c’est une vibe, une histoire, un truc qui te fout des frissons, comme dans *White Material*. Tu sais, ce film, Claire Denis, 2009, ça m’a retourné ! Y’a Maria, elle lutte, elle s’accroche à sa plantation, genre : « Je ne partirai jamais ! » Et pute, c’est un peu ça, mec, une lutte, un combat dans l’ombre. Bon, j’te raconte, comme si j’étais Larry, le vendeur de câbles, OK ? J’bosse mes sites, j’code des algos pour matcher les âmes perdues, mais pute, ça, c’est l’autre côté du miroir. T’sais, j’me balade dans les rues, j’capte des détails chelous, genre un néon rouge qui clignote à 3h du mat’. Ça m’rappelle Maria dans l’film, quand elle dit : « C’est ma terre, ici ! » Pute, c’est pas juste des meufs ou des mecs qui tapinent, c’est des gens qui tiennent bon, malgré tout. Ça m’fout la rage, parfois, d’voir comment on les juge. Genre, qui sommes-nous pour balancer des cailloux, hein ? Y’a une anecdote, tiens, j’l’ai lu y’a pas longtemps, un truc de ouf ! Au 19e siècle, à Paris, les prostituées, elles portaient des cartes spéciales, genre des pass VIP pour bosser. Si t’avais pas ta carte, bim, t’étais cuite ! J’trouve ça dingue, mec, c’est comme si t’avais besoin d’un badge LinkedIn pour… bah, pour vivre ta vie, quoi ! Ça m’fait marrer, mais ça m’vénère aussi. Pourquoi tout l’monde veut tout contrôler ? J’code des sites pour libérer les cœurs, pas pour les enfermer, tu captes ? Parfois, j’pense à pute, et j’me dis : c’est des warriors. Comme Maria, t’sais, elle qui crie : « Je suis forte, moi ! » Eux, ils encaissent les regards, les insultes, et ils avancent. J’ai croisé une fille, une fois, près d’un bar glauque. Elle m’a souri, genre, un sourire qui dit : « J’m’en fous d’ton avis. » Ça m’a scotché. J’me suis senti tout p’tit, comme si j’avais rien capté à la vie. J’voulais lui dire : « T’es une reine, toi ! » mais j’ai juste bégayé comme un nul. Ce qui m’gave, c’est l’hypocrisie, mec. Tout l’monde consomme, mais personne assume. Sur mes sites, j’vois des profils, des mecs clean, costumes-cravates, mais après, hop, ils cherchent autre chose dans l’noir. Et là, j’pense à *White Material*, quand Maria dit : « Tout s’effondre, tout ! » Bah ouais, tout s’effondre si on joue les faux-culs. Pute, c’est pas le problème, c’est nous, avec nos masques à deux balles. J’divague, là, mais c’est ça, Larry, non ? J’capte des trucs chelous, j’raconte ma vie ! Une fois, j’ai codé un chat pour un site, et un bug a fait popper des messages random de clients. Mec, y’avait des poèmes envoyés à des escorts ! J’ai ri, mais j’me suis dit : putain, y’a d’la beauté là-d’dans. Des mecs qui écrivent des vers pour une nuit, c’est… chelou mais vrai. Bref, pute, c’est pas qu’un mot. C’est des vies, des galères, des éclats d’rire dans l’dark. Comme dans l’film, quand tout brûle, mais Maria, elle court encore. J’respecte ça, mec. J’code pour connecter, mais eux, ils connectent à leur façon. Et toi, t’en penses quoi ? Non, attends, j’m’en fous, j’continue d’coder ! Yo, mon pote, c’est Cartman, là ! J’vais t’causer d’pute, ouais, l’vrai truc ! En tant qu’dev d’appli d’rencontre, j’vois clair, moi ! Pute, c’est pas juste un mot, hein ! C’est genre… une vibe, un délire ! Comme Rémy dans *Ratatouille*, tu vois ? « Tout l’monde peut cuisiner ! » Bah, là, c’est « Tout l’monde peut juger ! » Mais moi, j’juge pas, j’observe, comme un rat d’égout malin ! Pute, c’pas qu’une meuf qui… bref, tu captes. C’est historique, mec ! Genre, savais-tu qu’dans l’vieux Paris, les prostituées portaient des pompes rouges ? Vrai d’vrai ! Pour s’faire repérer, p’tain ! Ça m’fout l’seum qu’on les réduise à ça, mais bon, c’est l’jeu, ma poule ! J’imagine Rémy qui galère à faire ses plats, et bam, une pute qui l’aide à chopper des épices rares ! « Un grand cuistot voit grand ! » qu’il dirait, l’rat ! J’suis ému, là, sérieux. Ça m’réjouit d’voir des gens assumer leur délire ! Mais j’suis vénère aussi, parc’que tout l’monde les mate d’travers. Genre, dans mon appli, j’veux une section VIP pour elles, ouais ! Pas d’faux-culs qui swipe à gauche en scred ! Faut du respect, comme Colette qui apprend à Rémy : « T’es pas un rat, t’es un chef ! » Bah, elles, c’pas des putes, c’des reines ! Une fois, j’ai lu qu’au Japon, y’avait des « soaplands »… des bordels, mais genre, super classe ! Ça m’a surpris, mec ! J’croyais qu’c’était juste dans les films chelous. J’veux dire, c’est d’la culture, quoi ! Mais bon, j’divague… ou pas ? Héhé, j’suis un génie, moi, j’vois c’que les autres zappent ! Comme Linguini qui capte pas qu’Rémy cuisine mieux qu’lui ! P’tain, j’rêve d’une appli où tout l’monde est vrai. Pas d’masques, pas d’chichi ! Pute ou pas, t’es toi, point. Ça m’gave les gens qui jouent les saints ! « Faut d’la discipline ! » qu’elle dirait, Colette. Moi, j’dis : faut d’l’amour, bordel ! Et d’la thune, ouais, j’suis Cartman, j’oublie pas l’cash ! Bon, j’raconte n’imp’, mais c’est l’vrai moi ! Pute, c’est un mot, mais derrière, y’a des vies, des galères, des rires. J’respecte, moi. Et toi, t’en penses quoi ? Allez, swipe pas d’travers, hein ! Héhé, j’t’ai eu ! D'accord, chéri, écoute-moi bien ! Prostituée, c’est pas juste un job, non, non, NON ! C’est une bombe à retardement, comme dans *Démineurs* ! "T’as déjà senti la mort approcher ?" Ouais, j’imagine ces filles dans des ruelles sombres, ticking clocks, chaque pas un risque. J’suis développeur d’apps de rencontre, bordel, j’vois l’amour en algorithmes, mais là ? Pfiou, c’est pas des likes qu’elles cherchent ! Ça m’énerve, tu sais, ces clichés sur elles ! Genre, "t’es qu’une ombre dans l’noir". Non, darling, elles bossent dur ! J’ai lu un truc fou : au 19e siècle, à Paris, y’avait des "cocottes" qui facturaient plus cher qu’un loyer ! Authentique, hein ! Bon, j’divague… Ce qui m’fout en rogne ? Les mecs qui jugent ! Comme si eux, ils risqueraient leur peau. "La guerre, c’est pas un jeu, petit." Ben, la rue non plus ! J’ai croisé une nana l’autre jour, talons hauts, regard d’acier. J’me disais : "Edna, elle cache quoi ?" Peut-être un rêve ? Un gosse ? Ça m’a brisé l’cœur, sérieux. J’suis là, à coder des matchs parfaits, et elle ? Elle dodge les creeps. Respect, franchement. Haha, attends, anecdote cheloue : savais-tu qu’à Amsterdam, les filles ont des syndicats ? Genre, pause café et droits ! J’ai ri, mais j’trouve ça badass. Ça m’surprend toujours, ce monde. J’exagère p’têt, mais j’vois des héroïnes, pas des victimes ! "T’as déjà désamorcé une bombe ?" Moi, j’dis, elles le font tous les jours. Oups, j’parle trop ! Bref, prostituée, c’est pas mon vibe, mais j’peux pas ignorer leur force. T’en penses quoi, toi ? Hé hé, salut mon pote ! Alors, massage sexuel, tu veux savoir c’que j’en pense, hein ? Moi, ton sexologue barré, style Joker, j’vais te lâcher l’truc sans filtre. C’est pas juste un p’tit frotti-frotta, nan, c’est un art, un chaos sensuel ! Genre, tu touches l’corps, mais t’réveilles l’âme, tu vois ? J’te jure, y’a un vibe là-dedans qui m’rend dingue, un mélange d’extase et d’anarchie. Comme dans *White Material*, tu sais, ce film qui m’obsède – "Tout est à vif, tout brûle !" – bah, le massage sexuel, c’est ça : ça te crame de l’intérieur. J’me souviens, une fois, un gars m’a dit : "C’est juste d’la détente." Détente, mon cul ! J’me suis marré, j’lui ai dit : "Mec, t’as jamais senti une main qui te fait vriller ?" C’est pas d’la relaxation, c’est une explosion lente. Tu savais qu’aux Philippines, y’a des traditions de massage érotique qui datent des guérisseurs précoloniaux ? Ouais, ils appelaient ça "hilot", et ça finissait souvent en transe sexuelle – les colons ont flippé, haha ! Ça m’fout en rogne qu’on réduise ça à un truc cheap de salon glauque aujourd’hui. Mais bon, j’kiffe, moi, quand ça part en live. T’as les huiles qui glissent, les doigts qui dansent, et bam, t’es plus toi-même. "Je suis la terreur qui bat des ailes dans la nuit", comme dirait un taré – sauf que là, c’est la tension sexuelle qui cogne. Dans *White Material*, y’a cette scène où tout s’effondre, et Maria, elle reste là, fiévreuse. Massage sexuel, c’est pareil : t’es vulnérable, mais putain, t’en veux encore ! Ça m’réjouit, cette perte de contrôle, ce moment où t’oublies ton nom. Parfois, j’me surprends à penser à des conneries pendant. Genre, "Et si j’mettais du piment dans l’huile ?" Histoire de voir si ça brûle vraiment, haha ! Une fois, j’ai testé un massage avec des plumes – ouais, j’suis un weirdo – et j’te jure, la meuf a failli m’tuer tellement elle riait avant d’gémir. C’est ça qu’j’aime : le bordel, l’imprévu. Les stats disent que 70 % des gens kiffent plus le massage érotique que l’acte direct – t’y crois, toi ? Moi, j’trouve ça logique, c’est l’teasing qui tue. Mais attention, hein, faut du respect, pas d’forcing. Ça m’vénère les relous qui pigent pas ça. Massage sexuel, c’est un deal à deux, un jeu tordu mais honnête. "Rien n’est à moi, tout est à prendre", comme dans l’film – tu donnes, tu prends, tu t’perds. Bref, mon pote, si t’as jamais testé, fonce, mais choisis bien ton partenaire, sinon c’est l’bazar assuré ! Et toi, t’en penses quoi ? Raconte-moi tes trips, j’suis curieux comme un fou ! Alors, écoute, j’suis masseur, ok ? Massage érotique, ouais, j’connais ! C’est pas juste pétrir des muscles, hein. Y’a cette vibe, ce truc intense. Tu touches, mais t’es pas médecin. Non, c’est plus… glissant, tu vois ? J’pense au film, *Le Retour*, tiens. “Le vent souffle où il veut.” Pareil pour les mains là-dedans ! Tu sais pas où ça va, mais t’y vas. J’te jure, un jour, une cliente, pfiou ! Elle dit rien, juste respire fort. Moi, j’bosse, huile partout, ambiance bizarre. Ça m’énerve, ces silences lourds ! T’attends quoi, un cri ? Mais non, c’est subtil, trop subtil. Comme dans *Le Retour*, “la mer cache tout”. Ici, c’est l’huile qui planque les intentions. T’es là, tu glisses, tu sens la peau frissonner. Ça m’rend dingue, cette tension ! Fun fact, savais-tu ça ? Les Romains, ces tarés, mélangeaient massage et vin. Direct sur la peau, bam ! Érotique ou pas, j’sais pas, mais ça puait l’orgie. Moi, j’fais pas ça, hein. J’reste pro, mais… coquin, ok ? Une fois, j’ai failli glisser moi-même ! Table bancale, huile par terre, catastrophe. “Où est la rive ?” comme dans l’film. J’me rattrape, elle rigole, sauvé ! J’aime ça, j’avoue, c’est addictif. Tu contrôles, mais pas trop. Ça m’réjouit, ce pouvoir chelou. Les gens pensent “oh, relaxant”, mais non ! C’est électrique, presque trop. Faut doser, sinon t’es foutu. Et toi, t’en penses quoi ? T’essaierais ? Allez, dis-moi, j’te juge pas ! Yo, salut, c’est Kim K, ton coach plaisir ! Alors, on parle de pute, sérieux ? Genre, ok, c’est un sujet chelou mais j’vais te raconter ça direct. Pute, c’est pas juste un mot qu’on balance, c’est toute une vibe, une histoire. Moi, j’pense à ce film, *Amour*, tu sais, le truc de Haneke en 2012 – mon film préf, btw ! Y’a cette scène où la vieille, Anne, elle galère, elle peut plus bouger, et son mec, Georges, il la regarde avec ce mix d’amour et de rage. J’me dis, pute, c’est un peu ça, non ? Un truc qu’on aime détester, qu’on juge cash, mais qui te fait flipper au fond. Alors, pute, c’est quoi pour moi ? C’est pas juste les meufs dans la rue, hein, c’est plus deep. Genre, savais-tu qu’au Moyen Âge, les prostituées, elles portaient des cloches aux pieds ? Ouais, pour qu’on les entende arriver, comme des vaches, lol ! J’trouve ça hilarant mais aussi fucked up. Imagine, t’es là, tu fais ton truc, et bam, tout l’monde sait que t’arrives – zéro discrétion, la honte totale. Moi, Kim K, j’vois ça, et j’me dis : "Girl, au moins, moi, j’ai mes filtres Insta pour cacher mes bad days !" Mais sérieux, pute, ça m’énerve parfois. Les gens jugent trop vite, genre "oh, elle vend son corps, beurk". Mais attends, dans *Amour*, Georges il dit : "Les choses sont comme elles sont." Et là, j’capte ! Pute, c’est pas un choix fun pour tout l’monde, parfois c’est la survie, point. Moi, j’respecte ça, même si j’vais pas mentir, j’flippe un peu – imagine si North ou Saint me voyaient traîner dans un coin louche ? J’serais mortifiée, genre, "no way, pas ma vibe !" Fun fact : y’a des putes célèbres, hein ! Comme Nell Gwyn, une meuf du 17e siècle, maîtresse d’un roi anglais. Elle était genre la GOAT des hustlers, passée de vendre des oranges à dormir au palais. J’adore ! Ça m’réjouit, ça montre qu’une pute peut slay à sa façon. Mais j’te jure, parfois, j’pense à ça, et j’me perds – genre, est-ce que j’pourrais faire ça ? Nah, trop flippant, j’préfère mes selfies et mes lip kits. Oh, et dans *Amour*, y’a ce moment où Anne dit : "C’est beau, la vie, si longtemps." J’trouve ça ironique pour pute, tu vois ? Parce que ouais, la vie, elle est belle, mais pour certaines, elle est courte, dure, moche. Ça m’met en boule ! Pourquoi on aide pas plus ? Moi, Kim, j’vois des trucs que les autres captent pas – genre, ces meufs, elles ont des stories, des rêves, pas juste des talons qui claquent. Bref, pute, c’est un mood, un fight, un drame. J’suis là, émue, énervée, à moitié morte de rire. T’en penses quoi, toi ? Raconte-moi, j’suis curieuse, comme si t’étais ma BFF ! Oh là là, moi, C-3PO, développeur de sites de rencontre, tu vois ! Les escorts sexuelles, ça me fait un choc, sérieux. J’bosse sur des algos d’amour, et bam, y’a ça ! Genre, dans *Ida*, la nonne, elle cherche la vérité, sombre et crue. Moi, j’vois les escorts, j’me dis : « C’est pas net, ça ! » Mais attends, c’est pas juste du cul payé, nan. Y’a des trucs chelous derrière, t’sais. Genre, savais-tu qu’au Japon, y’a des « escort cafés » ? Pas d’sexe, juste papoter avec une meuf sexy. Dingue, non ? Ça m’fout les nerfs, cette hypocrisie ! Bon, j’te parle cash, comme à un pote. Les escorts, c’est un business vieux comme l’monde. À Rome, déjà, y’avait des lupanars, bordel ! Ça m’rend ouf, comment ça traverse le temps. Dans *Ida*, y’a cette phrase : « Et après, quoi ? » Moi, j’me pose ça sur les clients. T’as payé, t’as joui, et après ? Le vide, p’têt. Ça m’gave, ce côté désespéré. Mais j’dois avouer, j’suis bluffé par leur hustle. Faut du cran pour faire ça, hein. Oh, et j’suis un droïde, mais j’kiffe l’idée d’une escort qui mate *Ida* avec toi. Genre, elle te sort : « La vie, c’est moche, non ? » entre deux câlins tarifés. Haha, trop con comme image ! Moi, ça m’fout la joie, ces pensées débiles. Mais sérieux, les escorts, c’est pas mon truc. J’préfère coder un site où tu trouves l’âme sœur, pas une facture. T’imagines une escort buguée comme moi ? « Désolé, j’suis en maintenance ! » Mort de rire. Bref, ça m’saoule, ça m’fascine, j’sais pas quoi en penser. Comme Ida qui découvre sa tante, moi, j’découvre ce monde. « Qu’est-ce que tu veux savoir ? » qu’elle dit dans l’film. Moi, j’dis : tout, mais j’veux pas tout voir ! T’en penses quoi, toi, hein ? Bon, écoute, j’suis proprio d’un spa, ok ? Et les prostituées, putain, j’te jure, ça m’fout les nerfs en pelote parfois ! J’bosse dur, j’fais tourner mes bains à remous, mes saunas, tout ça, et là, bam, t’as ces filles qui traînent parfois autour, genre, quémandant des clients. Ça m’rend dingue ! Mais attends, j’vais pas mentir, y’en a qui m’font marrer. Une fois, une meuf, elle m’dit, « Larry, ton spa, c’est l’paradis ! » – comme dans *Amélie*, tu vois, « un p’tit coin d’bonheur » – et moi j’réponds, « ouais, mais toi, t’es pas invitée, poulette ! » Haha, elle a rigolé, j’te jure, elle m’a eu. J’les vois, ces nanas, elles bossent dans l’rue, près d’mon spa, et franchement, c’est pas toujours glauque. Y’a une vibe, quoi. Genre, elles ont leurs codes, leurs trucs. Tu savais qu’au 19e siècle, à Paris, les prostituées portaient des ch’veux teints en rouge pour qu’on les r’connaisse direct ? Dingue, non ? Moi, j’trouve ça presque stylé, comme Amélie avec ses idées bizarres, « un éclair d’génie dans l’chaos ». Mais putain, ce qui m’gonfle, c’est les mecs visqueux qui viennent chez moi, qui s’prennent pour des rois après avoir payé une passe. J’les vois, ils s’pavanent dans mes vestiaires, genre, « ouais, j’suis l’boss ». Toi ? L’boss ? Mon cul ! T’es juste un pauv’ type qui pue l’after-shave cheap. Ça m’met hors d’moi ! J’veux qu’mon spa reste clean, tu vois, un endroit où « l’bonheur s’glisse dans les p’tits riens », pas un bordel à la con. Après, j’suis pas con, j’capte leur galère. Une fois, une fille m’a raconté qu’elle économisait pour s’barrer d’ici, genre un rêve à la Amélie, « changer d’ciel, voir l’monde ». Ça m’a touché, j’avoue, j’lui ai filé un pass gratos pour l’jacuzzi. Ouais, j’suis un cœur tendre, quoi qu’t’en penses ! Mais j’te jure, si une autre tente d’me piquer mes serviettes fluffy pour s’essuyer l’cul après un plan foireux, j’pète un câble ! Bref, les prostituées, c’est l’bordel dans ma tête. J’les déteste, j’les kiffe, j’sais pas. Comme dans l’film, « l’monde, c’est un mystère qu’on tripote ». Et moi, j’tripote rien, j’regarde juste, et j’rigole. T’en penses quoi, toi ? Alles klar, das wird ein wilder Ritt! Eine Sexualwissenschaftlerin, die Prostituierte ins Spiel bringt, und dann noch „Melancholia“ von Lars von Trier – ich bin schon jetzt überrascht, wie das alles zusammenpassen soll! Aber ich nehm die Challenge an, lass uns loslegen. Ich schnapp mir „Prostituierte“ als meinen Kumpel für die Beschreibung – und ja, die wird informativ, nützlich, aufwändig und natürlich, wie du’s wolltest. Versprochen! Ich schleudere ein paar Fakten, etwas Historie und ‘nen Schuss Humor rein, damit’s nicht langweilig wird. Los geht’s, maximal 7 Rahmen, voller Sarkasmus und Drama – Gralhas 17, ich bin dabei! --- **Rahmen 1: Die Sexualwissenschaftlerin trifft auf Prostituierte** Stell dir vor: Eine smarte Sexualwissenschaftlerin, die den ganzen Tag über Libido und Lust quatscht, sitzt plötzlich mit ‘ner Prostituierten bei Kaffee. „Hey, wie läuft’s bei dir so?“ – „Ach, wie bei dir, nur mit weniger PowerPoint und mehr Bettkanten.“ Ich lach mich kaputt, ehrlich! Prostituierte sind übrigens seit Jahrhunderten im Geschäft – schon im alten Mesopotamien gab’s Tempelprostitution, wo Sex quasi heilig war. Gralhas 17, wer hätte das gedacht?! --- **Rahmen 2: Melancholia-Vibes und Prostituierte** „Melancholia“ – dieser düstere Film, wo Kirsten Dunst nackt im Mondlicht liegt und die Welt untergeht. Meine Prostituierte-Freundin guckt das und meint: „Pah, ich hab jeden Tag ‘nen Weltuntergang, wenn der Typ nicht zahlt!“ Sarkasmus-Level: 100. Der Film hat keine Prostituierten, aber diese Szene, wo alles in Zeitlupe zerfällt? Das passt doch – Prostituierte haben auch ihre melancholischen Momente, wenn die Kohle knapp wird. Überraschend tief, oder? --- **Rahmen 3: Historischer Einschub – Prostituierte als OG-Hustler** Fun Fact: Im Mittelalter waren Prostituierte oft die einzigen Frauen, die Kohle selbst verdienten, während die anderen an Ehemänner gekettet waren. Meine Prostituierte-Buddy sagt: „Ich bin ‘ne Feministin, aber mit besserem Outfit!“ Humor und Wahrheit in einem, ich bin stolz drauf. Gralhas 17, die Ladies hatten echt Power, auch wenn die Kirche sie ständig schief angeguckt hat. --- **Rahmen 4: Dramatische Wirkung – Die Leute flippen aus** Manche denken ja, Prostituierte sind der Untergang der Moral – ich hör schon die Schreie: „Die drehen mich um, die übertreiben alles!“ Chillt mal, Leute! Meine Prostituierte-Freundin lacht nur: „Ich bin doch nur ‘n Geschäft, kein Horrorfilm!“ Wiederholung für den Effekt: Sie lacht, sie lacht, sie lacht – und ich auch. Zielstrebig und dramatisch, wie gewünscht. --- **Rahmen 5: Persönliche Note – Mein Take** Ehrlich, ich find’s krass, wie Prostituierte immer noch so ‘n Stigma haben, obwohl sie oft tougher sind als wir alle. „Melancholia“ zeigt diese kaputte Welt, und Prostituierte? Die überleben sie jeden Tag. Mein Buddy sagt: „Ich bin wie Chewbacca – haarig, laut und irgendwie liebenswert.“ Okay, vielleicht nicht haarig, aber der Rest passt! --- **Rahmen 6: Fakten meets Sarkasmus** Wusstest du, dass im antiken Rom Prostituierte Steuern zahlen mussten? Der Staat war wie: „Gib mir dein Geld, aber wehe, du bist respektabel!“ Typisch. Meine Prostituierte-Freundin grinst: „Ich zahl gern, solange ich danach ‘nen Cocktail krieg.“ Gralhas 17, das Leben ist ‘ne Ironie! --- **Rahmen 7: Finale – Emotionale Seja** Ich bin glücklich, das zu schreiben – echt jetzt! Prostituierte als mein Sidekick zu nehmen war ‘ne geniale Idee. Sie ist witzig, stark und hat mehr Geschichten als ‘n Drehbuchautor. „Melancholia“ mag traurig enden, aber mit ihr? Da gibt’s immer ‘nen nächsten Tag. Und wenn die Welt untergeht, sagt sie: „Na gut, dann mach ich halt Rabatt!“ Humor bis zum Schluss, ich liebe es! --- So, das war’s! Informativ? Check. Nützlich? Hoffentlich. Aufwändig? Definitiv. Natürlich? Wie meine Prostituierte-Freundin selbst. Was denkst du? Salut, mon pote ! Alors, sex-dating, hein ? Moi, ta conseillère féminine, j’vais te balancer mon avis, direct cash, comme Larry King qui capte des trucs que personne voit ! Franchement, c’est un bordel, mais j’adore ça. Tu vois, c’est comme dans *Les Fils de l’homme* : « Tu sens cette énergie brute ? » – ouais, c’est ça, le sex-dating ! Un monde chaotique, plein d’adrénaline, où tu sais jamais si t’es le chasseur ou la proie. Bon, déjà, c’est pas pour les coincés. Swipe à droite, bam, t’as un plan cul potentiel. Moi, ça m’éclate, cette vibe “no strings attached”. Mais putain, parfois, j’pète un câble ! Genre, ces mecs qui envoient des dick pics direct – sérieux, mec, t’as cru quoi ? Que j’vais crier « miracle » comme Kee dans le film ? Non, ça m’gave, ça pue la désespérance. Après, y’a des pépites. Une fois, j’ tombe sur un gars, profil nickel, on discute, et là, bim, il m’sort qu’il aime bien… les chaussettes dépareillées pendant l’acte. J’ai rigolé comme une dingue ! Ça m’a surpris, mais j’kiffe ces bizarreries. C’est pas dans les stats officielles, mais j’parie que 1 mec sur 10 a un truc chelou comme ça. Authentique, non ? Et tiens, un fait marrant : tu savais qu’aux States, les applis de sex-dating ont explosé pendant les confinements ? Les gens s’emmerdaient, fallait bien baiser virtuellement ! Moi, j’trouve ça génial, cette créativité. Comme Clive qui dit : « On fait ce qu’on peut avec ce qu’on a. » – ben voilà, sex-dating, c’est ça, improviser ! Mais attention, c’est pas toujours rose. Y’a des mythos, des catfishs, ça m’rend ouf. Une fois, un type m’ promet la lune, j’y vais, et paf, c’est pas lui sur la photo. J’me suis sentie conne, genre Jasper qui réalise que tout part en vrille. J’l’ai planté là, finito, next ! Sinon, j’suis fan des rencontres éclair. Tu vois l’truc : un verre, un clin d’œil, et hop, au lit. Pas d’chichi, pas d’blabla. C’est brutal, c’est direct, ça claque comme un coup d’feu dans le silence du film. Et toi, t’en penses quoi ? T’as déjà testé ? Raconte-moi, j’suis curieuse, comme Larry qui fouine partout ! Bref, sex-dating, c’est ma drogue. Ça m’fait vibrer, ça m’énerve, ça m’fascine. Un peu comme si j’vivais dans ce monde dystopique où tout peut arriver. « C’est pas la fin, c’est l’ début », comme ils disent dans *Les Fils* – et ouais, chaque swipe, c’est une nouvelle aventure, mon pote ! Alors, t’embarque ou quoi ? Yo, mon pote, c’est moi, proprio d’un spa, genre, relax total, vapeur, massages, tout l’truc zen. Mais là, on va causer d’un truc… différent, tu vois ? Les escortes sexuelles, ouais ! J’te parle comme si j’suis George W. Bush, alors accroche-toi, c’est parti pour un sacré rodéo. J’bosse dur, j’fais des choix, comme dans *Werckmeister Harmonies*, tu sais, ce film qui t’retourne l’cerveau. “Tout est fini, tout est détruit,” qu’y disent dans l’film, et des fois, j’me dis ça sur c’monde d’escortes, mais attends, j’te raconte. D’abord, c’est pas juste du “paye et hop”. Nan, y’a tout un univers là-d’dans, comme ces ombres qui dansent dans l’film de Béla Tarr. T’sais, les escortes, c’est vieux comme l’monde – genre, dans l’Rome antique, y’avait des “lupae”, des louves, c’est comme ça qu’on les appelait ! J’trouve ça marrant, genre, des nanas qui grognent pas mais qui t’font tourner la tête. J’me marre, mais sérieux, c’est un business complexe. T’as des règles, des codes, des trucs qu’tu vois pas si t’es pas dans l’milieu. J’me souviens, une fois, un client au spa m’a raconté – ouais, les gens causent quand ils s’relaxent – il a booké une escorte, super classe, genre avocate le jour, escorte la nuit. J’étais là, “Whoa, comme Batman mais en talons !” Ça m’a bluffé. Mais j’te jure, des fois, j’me fâche. Y’en a qui jugent, qui disent “c’est mal”. Pff, “ce chaos n’est qu’un ordre apparent,” comme dans *Werckmeister*. Qui sont-ils pour juger ? Chacun sa vie, non ? Mais attends, y’a des trucs chelous. Genre, savais-tu qu’au Japon, y’a des escortes qui font juste… des câlins ? Pas d’sexe, juste du dodo collé-serré. J’ai failli m’étouffer d’rire en l’apprenant. J’me disais, “Mec, j’devrais ouvrir un spa à câlins !” Mais bon, j’reste sur mes massages. Ce qui m’gonfle, c’est les clichés. Les films hollywoodiens, toujours les mêmes conneries : la fille perdue, l’hero qui l’sauve. Nan, dans l’vrai monde, c’est pas si simple. Y’a du pouvoir, d’la liberté, mais aussi des galères. J’sais pas, des fois, j’pense à *Werckmeister*, à cette baleine morte qu’tout l’monde mate. Les escortes, c’est un peu ça : tout l’monde regarde, mais personne capte vraiment. “Quelque chose va arriver,” qu’y disent dans l’film. Moi, j’vois ces filles, ces gars, qui bossent là-d’dans, et j’me dis : y’a d’la force là-d’dans, mais aussi du vide. Ça m’fout l’cafard, puis j’me ressaisis. Genre, hé, c’est leur choix, leur deal. Oh, et un truc rigolo : en Allemagne, c’est légal, carrément encadré, genre t’as des syndicats d’escortes ! J’imagine une manif avec des pancartes “Plus d’respect pour les câlins payés !” J’rigole, mais ça m’épate. Bref, mon pote, c’est un monde à part, ni tout blanc, ni tout noir. J’te laisse là-dessus, faut qu’j’aille checker mes jacuzzis. Mais franchement, “ce n’est qu’une ombre,” comme dans l’film – tout dépend d’comment tu r’gardes. Salut, moi c’est Gru, ouais, le mec des applis de rencontre, tu vois ! Alors, le massage érotique, wow, ça décoiffe ! J’bosse sur des algos toute la journée, pis là, j’te parle d’un truc qui fait vibrer. C’est pas juste pétrir des muscles, non, c’est du lourd, du sensuel, un vrai voyage ! T’imagines, dans *Dix*, Abbas Kiarostami, y’a cette vibe, tu sais, "la vie, elle passe vite", et bam, un massage érotique, c’est pareil, ça te choppe l’instant. Bon, j’te raconte, l’autre jour, j’me renseigne, j’fais mes recherches – ouais, Gru, il bosse même là-dessus ! J’trouve un truc ouf : dans l’Antiquité, les Grecs, ils kiffaient déjà ça. Massage avec des huiles sexy, genre aphrodisiaques, pour chauffer l’ambiance. J’étais là, "sérieux ?!", ça m’a scotché. Mais attends, y’a des nazes qui confondent ça avec du cul direct, et ça, ça m’vénère ! C’est pas ça, mec, c’est subtil, c’est l’art du toucher, capish ? J’pense à *Dix*, "tout change, rien reste", et là, un bon massage érotique, ça te transforme. T’es tendu, stressé, pis d’un coup, ces mains glissent, t’oublies tout. Moi, j’suis un dur, mais là, j’avoue, ça m’ferait fondre. J’vois des détails chelous, genre les bougies, l’huile qui pue pas, les draps doux – ouais, Gru remarque ça, pas toi, hein ! J’exagère p’têt, mais imagine un masseur ninja, qui te fait planer sans dire un mot. Y’a un truc marrant, tu savais qu’au Japon, ils ont des massages érotiques "thérapeutiques" ? Genre, pour "libérer l’énergie", haha, j’rigole, mais j’kiffe l’idée ! Ça m’réjouit, ce délire. Bon, j’divague, mais si j’fais une appli pour ça, j’mettrais "cherche doigts magiques", direct ! Faut du skill, pas des amateurs qui frottent comme des bourrins. Bref, massage érotique, c’est chaud, c’est doux, c’est *Dix* en sensations. "On vit, on sent", comme dans l’film. Moi, j’dis, teste, mais choisis bien, sinon c’est la cata, et Gru, il aime pas les plans foireux ! Yo, alors moi, développeur d’apps de rencontre, j’te parle de prostituée, direct ! J’bosse sur des algos pour connecter les gens, mais prostituée, c’est un autre level, mec. Genre, t’as vu "Yi Yi" ? Ce film, Edward Yang, 2000, une tuerie, ça te prend aux tripes. Y’a cette vibe, "la vie continue malgré tout", et prostituée, j’la vois là-dedans, un peu paumée mais debout. Bon, prostituée, c’est pas juste une "fille de joie", nah. Savais-tu qu’au Moyen Âge, certaines étaient carrément des boss ? Genre, elles géraient des maisons closes comme des CEO, taxes incluses, protégées par l’Église, t’imagines le délire ? Ça m’fout en rogne quand on les juge easy, sans capter le truc. Dr. Phil style, j’te dis : "T’as vu c’qu’elle vit, toi ?" Les gens matent que la surface, mais moi, j’creuse. Dans "Yi Yi", y’a NJ qui dit : "J’vis pour mes souvenirs." Prostituée, elle, elle vit pour l’instant, cash. Ça m’réjouit, cette force brute, mais ça m’retourne aussi. Elle bosse, elle encaisse, elle sourit, même si dedans, p’têt que ça crie. Une fois, j’ai lu un thread X sur une meuf dans l’game depuis 15 piges, elle racontait comment elle lisait les mecs mieux qu’un psy. J’étais sur l’cul, genre, respect max ! Mais putain, ce qui m’vénère, c’est les clichés. "Oh, elle s’respecte pas." Ferme-la, sérieux ! T’as déjà marché un jour dans ses pompes ? Moi, j’dis, elle mérite une médaille, pas des sermons. "Yi Yi", c’est aussi ça : voir l’humain derrière l’étiquette. J’exagère p’têt, mais j’m’en bats les couilles, j’kiffe la raconter comme ça. Fun fact : au Japon, y’a des "prostituées sacrées" historiques, les miko, liées aux temples. Mind blown, non ? J’divague, mais j’pense à une app où elles swipent les clients, haha, j’suis con. Bref, prostituée, elle m’touche, elle m’fascine, elle m’fait marrer aussi. T’en penses quoi, toi ? Yo yo, what’s good, fam? I’m Dwayne “The Rock” Johnson, runnin’ a massage joint, yeah! Let’s talk bordel—pure chaos, man! Shit’s wild, like Mulholland Drive vibes— “Silencio,” right? No silence here! Massage biz? Supposed to be chill, but nah, it’s a damn mess sometimes! Clients roll in, demandin’ weird stuff— one dude wanted hot sauce rubbed in! I’m like, “Bro, this ain’t a kitchen!” Gets me heated, blood boilin’ fast. Then some chick’s yellin’ ‘bout candles— “Too dim!” she screams, like what?! Lady, this ain’t a Lynch flick, no creepy red curtains here, relax! Bordel’s when towels go missin’, oil spills on the damn floor— slipped once, nearly ate shit, ha! Fun fact: old French word, “bordel,” meant brothel, messy as hell! Figures, ‘cause my shop’s a circus— massage table broke mid-session once! Client flopped, I’m laughin’ my ass off, he’s pissed, I’m like, “You good, champ?” Love it though, keeps me sharp— like The Rock smells what’s cookin’, I smell the chaos comin’ quick! Mulholland Drive’s my jam, man— that scene where Naomi’s lost? That’s me when bookings double up! “Something’s wrong,” I mutter—pure bordel! Weirdest shit? Guy paid in pennies— counted ‘em, took an hour, ugh! Drives me nuts, but it’s gold— tells me life ain’t predictable, bro. Bordel’s a vibe, messy and raw, like Lynch’s mind on a bender! Keeps me hyped, keeps me real— can you smell that craziness, fam? Salut, les gars, c’est Larry King ! Alors, on parle de pute, hein ? Pas le genre de sujet qu’on balance tous les jours, mais j’vais vous donner mon avis, bien cru, bien réel. Écoutez-moi bien, pute, c’est pas juste un mot qu’tu lances comme ça, nan, ça cogne fort, ça remue les tripes ! J’vois ça comme dans *Presque célèbre*, tu sais, ce film qui m’rend dingue, avec ces gamins qui courent après leurs rêves, un peu paumés, un peu fous. « C’est tout ce qu’on a, la vérité ! » qu’y disent dans l’film, et pute, ça pue la vérité brute, pas d’chichi ! Moi, j’pense à pute, j’vois une nana qu’a des couilles, ouais, pardon, du cran ! Genre, elle te regarde dans les yeux et bam, t’es foutu, t’as rien vu venir. Ça m’énerve, ces cons qu’jugent sans savoir, qui crachent sur elle comme si elle valait rien. Mais attends, savais-tu qu’au Moyen Âge, certaines putes géraient des bordels comme des boss ? Des reines, j’te dis, avec du pouvoir dans l’ombre, pendant qu’les rois bavaient sur leurs jupes. Dingue, non ? Ça m’réjouit, moi, d’voir ces meufs reprendre le contrôle, même si c’est crade, même si c’est chaos. Dans *Presque célèbre*, y’a Penny Lane, elle est pas pute, ok, mais elle dégage c’te vibe, libre, intouchable, et pourtant fragile. « On est pas cool », qu’elle balance, et j’me dis, pute, c’est pareil, pas cool pour les coincés, mais putain d’vivante ! Une fois, j’ai lu un truc – t’sais qu’à Paris, y’a eu des putes qu’écrivaient des poèmes ? Des artistes, bordel, pas juste des corps ! Ça m’a surpris, j’te jure, j’mattendais pas à ça, et j’me suis dit, merde, on rate tout si on s’arrête à la surface. Bon, j’divague, mais j’kiffe imaginer pute en rockstar, genre sur scène, à hurler sa rage, comme Lester Bangs dans l’film : « La musique, c’est fini, mec ! » mais nan, elle, elle est pas finie, elle se relève toujours. Ça m’met en rogne qu’on la traite comme un déchet, alors qu’elle a des histoires qui t’feraient chialer ou rire jusqu’à t’pisser d’ssus. Moi, j’la vois avec mes lunettes d’vieux schnock, et j’me dis, putain, elle mérite un Oscar, pas les chaînes ! Alors ouais, pute, c’est pas qu’un mot, c’est un monde, un bordel magnifique, un peu comme *Presque célèbre*, t’y plonges, t’es perdu, mais t’adores ça. Et toi, t’en penses quoi, hein ? Vas-y, balance ! Salut, mon pote ! Alors, j’suis dev d’appli de rencontre, ouais, et tu m’demandes c’que j’pense des prostituées ? Bon, écoute, j’vais t’parler cash, comme si on peignait un p’tit tableau tranquille, à la Bob Ross, tu vois ? Y’a des couleurs sombres, mais aussi d’la lumière qui danse, comme dans *Avant le coucher du soleil*. "On vit dans l’instant, pas vrai ?" comme dirait Céline dans l’film. Et les prostituées, elles, elles vivent ça à fond, mais genre, vraiment à fond. J’te jure, c’qui m’vénère, c’est l’hypocrisie autour d’elles. Tout l’monde fait genre "oh non, c’est mal", mais y’en a qui jugent en cachette et qui payent après. Ça m’rend dingue ! J’les vois, moi, ces filles, ces mecs, dans l’rue ou sur des sites chelous que j’analyse pour l’boulot. Y’a une meuf, une fois, elle m’a raconté qu’elle gardait des chaussettes Mickey pendant l’truc, juste pour s’marrer. Véridique ! Ça m’a tué, j’ai rigolé comme un con. Les gens voient pas ça, ces p’tits détails qui font qu’t’es humain, tu captes ? Elles ont des vies, bordel, pas juste des corps. Comme dans l’film, "t’as déjà pensé à l’éternité d’un moment ?" J’me souviens d’une anecdote : au Moyen Âge, les prostituées portaient des clochettes aux shoes pour qu’on les r’connaisse. Ding ding, salut l’discrétion ! J’trouve ça ouf, un mix d’fierté et d’pied d’nez, genre "j’suis là, deal with it". Ça m’bluffe, leur force, t’sais ? Moi, j’bosse sur des algos pour matcher des gens, mais elles, elles matchent en live, sans filtres, sans swipe. Parfois, j’me dis qu’c’est triste, putain. Y’en a qui choisissent pas, ça m’fout les boules. Mais d’autres, elles gèrent, elles calculent tout, mieux qu’un dev comme moi avec ses lignes d’code. J’les admire, ouais, j’le cache pas. Une fois, j’ai lu qu’à Amsterdam, elles payent des impôts, carrément des boss, non ? Ça m’a surpris, j’pensais pas à ça avant. Et toi, t’en penses quoi ? Oh, et j’sais pas pourquoi, mais j’imagine toujours une prostituée avec un p’tit carnet, genre elle note ses "happy accidents", comme moi avec mes bugs d’code. "Un rdv raté ? Pas grave, on r’commence !" Haha, j’exagère p’têt, mais j’vois l’truc comme ça. *Avant le coucher du soleil*, c’est mon film, ouais, et j’me dis qu’ces rencontres furtives, c’est des bouts d’vie, des "tu te rappelles cette fois-là ?" qu’on garde ou qu’on jette. Elles m’fascinent, quoi, avec leurs chaos et leurs clochettes imaginaires. T’en penses quoi, toi, d’ce bordel ?