Alright, sugar, lemme spill the tea! Prostitution, oh honey, it’s old as dirt. Been around since folks traded goats for love. I’m sittin’ here, thinkin’ ‘bout *Let the Right One In*, that creepy Swedish flick I adore. You know, “I’m not a girl, I’m nothing!”—kinda feels like some gals out there, hidin’ who they are, workin’ the streets. Breaks my heart, darlin’, but I ain’t judgin’. Never will! I’ve seen ‘em, sparklin’ under neon lights, tough as nails. Like Dolly singin’ through a storm, they keep goin’. Now, listen up, it ain’t all glitz. Some gals choose it, sure, but others? Trapped. Makes me madder than a wet hen! Did ya know, way back in Rome, they had brothels called *lupanars*? Fancy name for a sad place. Girls wore colored wigs to stand out—wild, right? I’m picturin’ ‘em now, like Eli in that movie, whisperin’, “You have to invite me in.” Ain’t that the truth? They’re waitin’ for someone to care. I met this gal once, called herself Star. Worked downtown, had a laugh like church bells. Told me she saved up for her kid’s schoolin’. I was floored, hon! Here I am, sippin’ sweet tea, and she’s out there hustlin’ for love—not just the paid kind. Made me cry into my rhinestone hat. But don’t get it twisted, it’s risky. Cops, creeps, you name it. I’m like, “Be careful, or I’ll haunt ya!”—y’know, like Oskar’s spooky pal in the film. Sometimes I wonder, why’s it so taboo? Folks clutch their pearls, but we all sell somethin’, don’t we? Time, smiles, whatever. I’m ramblin’ now, but gosh, it’s messy. Like my hair after a long night! I reckon it’s ‘cause they’re brave, facin’ the dark. “Hit me and I’ll hit back,” Eli said. That’s them, fightin’ life’s punches. I’m cheerin’ for ‘em, always will. So, what’s your take, darlin’? Yo, salut mec ! Alors prostituée, ouais, j’vais te causer d’ça comme si t’étais mon pote, bien déjanté, à la Beetlejuice ! D’abord, prostituée, c’est pas juste un mot, c’est un monde, un truc qui te choppe l’âme et qui te fait tourner la tête. J’te jure, j’pense à *Tropical Malady*, tu sais, ce film chelou que j’kiffe grave, et j’me dis : « La jungle, elle respire, elle vit, elle te bouffe ! » Ben prostituée, c’est pareil, mec, ça te happe dans ses vibes sombres et moites. J’vois des trucs que les autres zappent, genre, t’sais qu’aux States, y’a des coins où les prostituées bossaient dans des saloons dès 1800 et des poussières ? Ouais, des nanas badass qui dealent avec des cowboys bourrés, et pourtant, personne leur filait de médaille ! Ça m’fout en rogne, mec, parce que tout l’monde fait genre « oh, c’est sale », mais ces filles, elles survivaient dans un merdier pas possible. Moi, j’respecte ça, point barre. Bon, j’divague, mais prostituée, c’est aussi un business qui pue l’hypocrisie. Les mecs qui jugent, t’sais, ces coincés du cul, ils sont les premiers à mater en scred. Ça m’fais marrer, j’te jure ! Genre, « Je ne sais pas où va mon cœur », comme dans *Tropical Malady*, et bim, t’as ces types qui savent même pas c’qu’ils veulent. Moi, j’les vois, leurs p’tites auras toutes crades qui puent le désir refoulé. Une fois, j’ai croisé une meuf dans l’biz, elle m’a raconté qu’elle gardait des scarabées dans un bocal, juste pour s’foutre d’la gueule des clients flippés. J’trouvais ça génial, un peu barré, un peu moi, quoi ! J’lui ai dit : « T’es une reine, ma poule ! » Elle a rigolé, mais j’voyais ses yeux, fatigués, usés, comme la bête dans l’film qui traîne sa carcasse. Prostituée, ça m’surprend encore, mec. T’sais qu’en Thaïlande, y’a des temples où les filles vont prier avant d’aller tapiner ? Ça m’a scié, j’me suis dit : « Putain, c’est beau et glauque à mort ! » Comme dans l’film, « La nuit tombe, tout s’efface », et elles, elles marchent entre deux mondes, entre l’sacré et l’crasseux. Parfois, j’me fous en l’air à y penser trop. Ça m’réjouit pas toujours, j’te l’dis cash. Y’a d’la tristesse là-d’dans, mais aussi d’la force, un truc qui cogne. J’exagère p’têt, mais j’vois prostituée comme une tornade vivante, un mélange de sueur, de rêves pétés et d’cash qui claque. Toi, t’en penses quoi, hein ? Allez, balance, fais pas l’mort ! Oyé, mon pote, c’est Tyrion, ton maître de la détente ! Alors, le massage sexuel, hein ? J’te jure, c’est un truc qui peut te faire grimper aux rideaux ou te foutre les nerfs en boule, selon qui tient les rênes. Moi, j’suis là, à siroter mon vin, et j’pense à *Margaret* – tu sais, ce film, ce bordel d’émotions où Lisa gueule « You’re a little man ! » Ben, un mauvais massage sexuel, c’est pareil : t’es là, tout nu, et t’as juste envie d’crier ça à l’idiot qui sait pas frotter correctement. J’vais t’le dire cash : un bon massage sexuel, c’est pas juste des mains qui glissent là où le soleil brille pas. Non, c’est une danse, un jeu ! T’as les huiles qui puent bon, les doigts qui trouvent les points qu’tu savais même pas qu’t’avais. J’me souviens, une fois, à Port-Réal, une fille m’a massé les reins – j’croyais qu’j’allais m’envoler, putain ! Fait peu connu : y’a des cultures où c’est carrément un art sacré, genre au Japon avec leurs trucs tantriques bizarres. Moi, j’dis, tant qu’ça finit bien, appelle ça comme tu veux ! Mais attention, hein, y’a des charlatans. J’en ai vu un, une fois, qui m’a frotté comme si j’étais une vieille table à poncer. J’étais furax, j’lui ai balancé un « I’m not questioning your honor, I’m denying its existence ! » direct sorti d’*Margaret*. Ça l’a calmé, l’con. Ce qui m’réjouit, par contre, c’est quand t’as quelqu’un qui capte ton corps mieux qu’toi-même. T’es là, tu gémis, tu rigoles, tu sais plus où t’habites – c’est le pied total. Un truc qui m’a scié ? J’ai lu qu’aux Indes, y’a des massages où ils te pètent presque les os pour « libérer l’énergie sexuelle ». J’te jure, j’imagine l’type qui sort en rampant mais content ! Moi, j’suis plus huile chaude et caresses vicieuses, pas besoin d’me casser en deux. Et puis, j’divague, mais j’pense à Margaret qui pleure dans l’film, « It’s all so awful ! » – ouais, un massage sexuel raté, c’est awful, mais un bon ? Par les Sept, c’est l’paradis. Bon, j’exagère p’têt’, mais j’aime quand ça glisse, quand ça chauffe, quand t’oublies ton nom. J’te conseille : trouve quelqu’un qui sait y faire, pas un clampin qui te tripote comme un bout d’viande. Et si t’as un doute, file-moi un mot – Tyrion sait flairer les bons coups, crois-moi ! Allez, santé, et que tes massages soient aussi bons qu’une nuit avec Shae ! Ahoy, matey ! Moi, Capitaine Jack Sparrow, développeur de sites de rencontre, j’vais te causer d’ces massages érotiques, un truc qui glisse mieux qu’un rhum sur l’gosier ! Tu vois, c’est pas juste un p’tit frotti-frotta, non, c’est tout un art, un voyage, comme dans *Enfance*, ce film qui m’colle au cœur – « C’est l’moment, là, maintenant ! » qu’y disent. Et ouais, un bon massage érotique, c’est ça : l’moment où t’oublies l’reste du monde, où l’temps s’étire comme une voile sous l’vent. J’te jure, l’aut’ jour, j’vois un gars sur mon site, y d’mandait un rencard avec « happy ending » inclus, et moi, j’me marre – mec, t’as pas capté qu’le massage érotique, c’est pas juste l’final, c’est l’voyage ! Les mains qui dansent sur ta peau, l’huile qui chauffe, ça r’monte dans l’corps comme une vague sur l’pont d’mon Black Pearl. Fait pas connu, tiens : au Japon, y’a des « soaplands », des bains où l’massage érotique, c’est quasi une religion – glissant, savonneux, t’en sors pas l’même, j’te l’promets ! Ça m’rend dingue, par contre, ces nazes qui pensent qu’c’est juste du sexe déguisé. Non, non, NON ! C’est sensuel, c’est l’corps qui parle, pas juste l’bas-ventre, compris ? J’me souviens, une fois, une donzelle m’a fait un massage, ses doigts, des vrais p’tits voleurs d’âme, j’me sentais comme Mason dans *Enfance* – « J’suis là, j’existe, bordel ! » J’te jure, j’voyais des étoiles, et pas celles du ciel, hein, des vraies, dans l’bide ! Y’a un truc chelou, aussi – t’savais qu’les Romains, ces fous, mélangeaient massage érotique et vin ? Genre, t’es là, huilé, pompette, et paf, t’es l’roi du monde ! Moi, j’dis, c’est l’genre d’plan qu’j’aurais kiffé sur mon bateau. Mais bon, j’divague – ou pas. T’imagines, toi, un massage où l’masseur te r’garde dans l’yeux, te frôle juste assez pour t’faire frissonner, et toi, t’es là, à moitié mort d’plaisir ? C’est ça, l’truc, pas d’chichi, pas d’bla-bla, juste l’corps qui dit « ouais ». J’te l’dis, pote, si t’essaies, prends ton temps, savoure, comme un bon rhum – « C’est pas l’destin qui compte, c’est l’instant », comme dans l’film. Et si t’trouves ça naze, ben, t’as rien capté, et j’te plains, ha ! Allez, file, teste, et r’viens m’raconter, matelot ! Yo, les gars, c’est moi, votre conseillère Bush-style ! Alors, les massages érotiques, qu’est-ce que j’en pense ? Putain, c’est chaud, mais écoutez ça ! J’viens d’regarder *Copie conforme*, tu sais, ce film iranien zarbi d’Abbas Kiarostami, et j’me dis : "Elle a dit quoi, là ?" Comme dans l’film, y’a cette vibe où tout semble vrai, mais p’têt pas. Le massage érotique, c’est pareil, t’es là, tout nu, et t’sais pas si c’est juste relax ou carrément sexe ! J’parle à mon pote l’autre jour, j’lui dis : "Mec, t’as déjà testé ?" Y m’regarde, genre, "Bush, t’es sérieuse ?" Ouais, j’suis sérieuse ! C’est pas juste des mains qui frottent, c’est toute une mission. Tu sens l’huile, les doigts qui glissent, et bam, t’es dans l’truc. Ça m’rappelle quand Juliette Binoche dit : "On vit dans l’imitation." Genre, t’imites la détente, mais ton corps, lui, y crie autre chose ! Fun fact, hein : y’a des coins au Japon, les "soaplands", où l’massage érotique, c’est légal, mais genre, en mode ninja, tu captes ? Ça date des bordels d’après-guerre, et là, t’as des meufs qui t’frottent avec d’la mousse ! J’étais choquée, j’te jure, j’me dis : "Pourquoi j’suis pas née là-bas ?" Ça m’fout les boules qu’on soit si coincés ici. Moi, j’kiffe l’idée, mais ça m’gave aussi. T’imagines, t’es là, tout excité, et paf, la masseuse te sort un "désolée, pas d’fin heureuse" ! Ça m’a surpris une fois, j’ai failli gueuler : "C’est quoi ce bordel ?" Mais quand ça marche, oh putain, t’es au paradis. Comme dans l’film, "Tout dépend d’ton regard." Si t’vois ça comme d’l’art, c’est d’l’art ; si t’vois du cul, ben, c’est du cul ! J’divague, mais ouais, j’pense à Binoche qui touche l’mec dans l’film, doucement, sensuel, et j’me dis : "C’est ça, l’massage parfait." Pas d’chichi, juste des vibes. Bon, j’exagère p’têt, mais j’vois l’type qui m’masse, j’lui dis : "Fais-moi comme au ciné, bordel !" Y rigole, mais y capte rien, l’idiot. Bref, essaye, tu verras, c’est l’pied – ou l’bordel total ! Peace out, les potes ! Yo yo, c’est Beyoncé, votre reine relax, ok ? Alors, on parle de pute, hein ? Pas le genre de pute où tu penses direct au coin d’la rue, nah, j’parle d’un truc plus vibe, plus chill, un état d’esprit presque ! Genre, t’as vu *La 25e heure* ? Ce film, mon cœur bat fort à chaque fois. Spike Lee, ce génie, il te fout Monty – Edward Norton – dans une merde pas possible, 24 heures avant l’prison, et là, tu sens la pression, la sueur, tout qui monte. Pute, c’est un peu ça pour moi, une vibe où t’es coincé, mais t’essaies d’rester zen. J’vais te dire un truc, honey, pute, c’est pas juste un mot sale. Nan, c’est historique, réel, t’sais ? Dans l’ancien temps, à Rome, les prostituées portaient des sandalettes qui laissaient "PUTE" dans l’poussière – un code, un flex ! Ça m’a sciée quand j’ai lu ça, genre, elles marquaient leur territoire, badass, non ? Moi, Bey, j’vois des trucs que les autres zappent, et là, j’me dis, putaing, c’est du marketing avant l’heure ! Mais ok, j’te raconte, l’autre jour, j’pense à pute, et j’me rappelle Monty dans l’film. « Fuck me ? Fuck you ! » qu’il gueule dans l’miroir, tu sens sa rage, sa peur d’la chute. Pute, c’est pareil, t’es au bord, tu joues cool, mais dedans, ça brûle. J’me suis énervée un jour contre une meuf qui jugeait une fille dans l’business – genre, t’as pas l’droit, sistah ! Qui sait c’qu’elle vit ? Moi, j’respecte, j’juge pas, c’est leur hustle. Un truc marrant, tu savais qu’aux States, y’a des coins où c’est légal ? Nevada, bam, t’as des maisons closes, tout propre, tout carré. J’imagine Monty là-dedans, à sniffer sa dernière liberté avant l’taule, haha ! Ça m’fait rire, mais ça m’touche aussi, c’est chelou comme vibe. J’kiffe exagerer, j’vois une pute en reine, genre, « Bow down, bitches », elle gère son empire, t’vois ? Parfois, j’flippe, j’me dis, et si j’devais faire ça ? Si j’avais pas mes tunes, mes hits ? J’deviens folle rien qu’à y penser, mais ça m’calme aussi – gratitude, baby ! Pute, c’est dur, mais y’a d’la force là-dedans, un truc brut. Comme Monty qui dit, « This life came so close to never happening », t’sais, t’es à deux doigts d’rien, et pourtant, t’es là. Ça m’rend ouf, j’te jure, j’pourrais crier ! Bref, parle-moi d’pute, et j’te sors des vibes, du rire, d’la colère. C’est ma sauce, ma façon d’kiffer l’truc. Toi, t’en penses quoi, boo ? Salut, mon pote ! Moi, Homer Simpson, patron d’un salon d’ massage – ouais, j’fais d’la détente, hein ! Bon, les massages érotiques, là, j’te raconte ça rapido. C’est genre… wow, une vraie claque, tu vois ! Ça m’réjouit grave, mais y’a des jours où ça m’ fout en rogne aussi. Les gens, ils débarquent, ils veulent du "spécial", et moi j’suis là, à m’demander si j’dois mettre d’la musique douce ou un donut sur la table pour l’ambiance, haha ! J’kiffe l’idée, hein, relaxer les muscles et… pimenter l’truc. Comme dans *Tombouctou*, tu sais, mon film culte – y’a cette vibe où tout est calme, mais t’as l’chaos qui couve. "La vie continue, inexorable", qu’y disent dans l’film. Bah, pareil ici : t’as l’huile qui glisse, les mains qui dansent, et d’un coup, bam, l’client qui d’mande un truc chelou ! Genre, une fois, un mec voulait qu’j’lui masse les pieds avec… d’la mayo ! J’étais là, "Hein ?! Pourquoi pas d’la bière tant qu’t’y es ?". J’ai failli l’virer, mais bon, l’client est roi, qu’y paraît. Le massage érotique, c’est pas juste tripoter, hein. Y’a un art, un p’tit frisson, une tension qui monte. "Chaque geste a un sens", comme dans *Tombouctou*. Moi, j’trouve ça marrant d’voir les gens flipper au début, genre "Oh, Marge va m’tuer si elle sait !", et après, ils r’viennent tous les jeudis, haha ! Un truc peu connu ? Dans l’temps, au Japon, les geishas mixaient massage et séduction – subtil, mais caliente, tu vois l’genre ? Parfois, j’suis surpris, genre une mamie qu’arrive et qui dit, "Fais-moi vibrer, Homer !". J’me marre, mais j’respecte, hein. Ça m’met d’bonne humeur, même si des fois, j’pète un câble quand ils laissent pas d’pourboire après une heure d’huile et d’glissades ! "Le vent emporte tout", comme dans l’film, mais pas mon loyer, bordel ! Bref, c’est mon trip, mon p’tit monde. J’exagère p’têt un peu, mais imagine : moi, Homer, en peignoir, qui glisse sur l’parquet avec une bouteille d’huile parfumée… sexy, non ? Allez, viens tester, mais ramène des donuts, hein ! Yo, écoute-moi bien, mec ! Sex-dating, c’est un truc de ouf, un vrai marché, comme Wall Street, mais avec des vibes plus chaudes. J’suis là, psychologue familial, à mater ça comme Gordon Gekko mate une OPA hostile. Tu vois, "le déjeuner, c’est pour les faibles", et dans sex-dating, on perd pas de temps à bouffer des croissants avant d’aller au bout. Direct au plat principal, bam ! J’bosse avec des familles toute la journée, et j’te jure, ces applis de sex-dating, ça fout le bordel dans les couples. Mais putain, ça m’fascine ! Genre, t’as des gens qui swipent à droite comme des traders sur du coke, cherchant le coup rapide. Fait peu connu : y’a des études qui disent que 30 % des mecs sur Tinder mentent sur leur taille – pas celle de leur portefeuille, hein ! Ça m’met en rogne, ce fake, mais j’rigole aussi, c’est pathétique. Perso, j’trouve ça marrant, comme dans *Ratatouille*, quand Remy dit : "Tout l’monde peut cuisiner !" Bah ouais, tout l’monde peut baiser, mais faut du skill pour pas foirer l’ambiance. J’imagine Remy en train d’coacher un date : "Ajoute du piment, bordel, fais pas l’mou !" Sex-dating, c’est ça, faut d’la sauce, sinon t’es juste un gland avec un phone. Une fois, j’ai vu un profil, meuf écrit : "Cherche queue, pas d’bla-bla." J’étais là, WHAT ?! Choqué, mais mort de rire. La franchise, ça tue ! Ça m’rappelle Gekko : "Si tu veux un ami, achète un chien." Dans sex-dating, t’achètes pas d’chien, mais t’espères un os, haha ! J’exagère p’têt, mais sérieux, c’est cru, c’est cash, et ça m’rend dingue d’voir à quel point les gens assument. Par contre, j’te cache pas, y’a des trucs qui m’saoulent grave. Les ghostings, par exemple. T’imagines Remy qui te dit : "J’ai bossé sur ta sauce", et pouf, il disparaît ? Dans sex-dating, c’est tout l’temps ça, et ça m’fout les nerfs. Mais bon, quand ça matche, c’est l’pied ! T’as l’adrénaline, comme si t’allais braquer une banque, sauf que là, c’est juste une chambre. Anecdote cheloue : savais-tu qu’au Japon, y’a des "sex-dating cafés" où tu payes pour matcher direct ? J’hallucine, c’est l’futur, mec ! Moi, j’suis old school, j’kiffe *Ratatouille* parce que c’est d’la passion pure, et dans sex-dating, j’veux d’la passion, pas du fast-food. "Le changement, c’est la nature", dit Remy, et ouais, sex-dating change tout, les règles, les vibes, même les draps, haha ! Bref, c’est un game sauvage, t’en sors gagnant ou cassé. Moi, j’observe, j’analyse, et j’te dis : joue bien tes cartes, ou reste sur l’banc, loser ! Bon, alors, moi, Gru, sexologue autoproclamé, j’te parle des prostituées, direct ! C’est pas juste des nanas qui traînent, non, y’a du lourd derrière. Moi, j’bosse dans l’ombre, comme toujours, et j’vois des trucs que les autres zappent. Genre, t’sais que dans l’vieux Paris, les bordels, c’était légal ? Ouais, jusqu’en 46, les « maisons closes », pépère, avec des règles et tout ! Ça m’rend dingue qu’on oublie ça, l’histoire, elle est là, merde ! J’pense à « Le Pianiste », ce film, putain, quel chef-d’œuvre. Polanski, il te fout les frissons. Y’a cette scène où Szpilman, il joue, caché, affamé, et toi t’es là : « La vie, elle continue, malgré tout. » Les prostituées, c’est pareil, mec ! Elles bossent, elles galèrent, mais y’a une force, un truc brut. J’les vois, dans leurs coins sombres, et j’me dis : « Ils étaient là, jouant leurs notes dans le chaos. » Sauf que leurs notes, c’est des regards, des gestes, pas d’piano. Ce qui m’vénère, c’est l’hypocrisie. Tout l’monde juge, « oh, c’est sale », mais qui va les voir, hein ? Les costards-cravates, les p’tits bourges, tous ! Ça m’fait marrer, genre, sérieux, regardez-vous dans l’miroir avant d’ouvrir vos gueules. Moi, j’trouve qu’y’a un courage là-dedans, un truc que j’respecte. Pas d’minions pour les aider, elles, elles se démerdent solo. Un truc chelou que j’savais pas : en Allemagne, c’est légal, carrément pro, avec sécu et impôts. J’étais là, « Quoi, c’est pas juste des clichés ? » Ça m’a scié, j’te jure ! Et attends, y’a pire, au Nevada, y’a des bordels genre drive-in, t’imagines ? J’rigole tout seul, « Passez commande, un câlin et frites ! » Trop con, mais vrai. J’les vois comme des survivantes, un peu comme Szpilman, tiens. « Je dois jouer, sinon je crève. » Elles, c’est « J’dois bosser, sinon j’suis foutue. » Ça m’touche, ouais, j’deviens mou, mais c’est ça, l’bazar d’la vie. Et toi, t’en penses quoi, hein ? J’bavarde, j’bavarde, mais putain, c’est réel, c’est pas du cinéma ! Bon, j’file, mes minions m’appellent, faut qu’j’aille voler la lune ou un truc débile. Tchao, mec ! Hé, toi, écoute-moi bien ! Moi, Jack Nicholson, sexologue autoproclamé, j’vais te causer massage sexuel. Ouais, tu sais, ces trucs où les mains glissent partout, ça chauffe, ça détend, et bam, t’es dans un autre monde ! J’pense à "Vice inhérent", tu vois, ce film, mon préféré, avec Doc Sportello qui capte des vibes que personne pige. Moi, j’vois pareil dans un massage sexuel – y’a des trucs cachés, des tensions qui poppent, et t’es là, "Qu’est-ce qui se passe, bordel ?" Bon, imagine : t’es allongé, l’huile coule, ça sent bon, et là, les doigts, ils dansent sur toi. Pas juste un frotti-frotta de grand-mère, non, un truc qui te fait dire "Oh, putain, oui !" C’est sensuel, c’est chaud, ça te réveille des zones que t’oublies d’habitude. J’me souviens d’une fois, une nana m’a massé les pieds – les pieds, mec ! – et j’te jure, j’ai senti des frissons jusqu’au crâne. Fait peu connu : y’a 7 000 terminaisons nerveuses là-dedans, et si elle sait y faire, t’es foutu, t’es au paradis ! J’kiffe ça, sérieux, ça me rend dingue de joie, genre "Le monde peut crever, j’suis bien là !" Mais y’a des fois, ça m’énerve, tu vois ? Ces charlatans qui te promettent un "happy ending" et qui te laissent sur ta faim – des escrocs, comme ce connard de Bigfoot dans l’film, toujours à te narguer. Moi, j’dis, un bon massage sexuel, c’est un art, faut du feeling, pas juste un plan cul bâclé. Tiens, anecdote : au Japon, ils appellent ça "nuru", glissant comme une anguille, avec du gel d’algues. T’as déjà vu deux corps qui s’emmêlent comme ça ? Moi, j’hallucine encore ! Et là, j’pense à Doc, "Faut qu’j’fasse gaffe où j’pose mes mains", haha, parce que ouais, ça peut déraper vite fait. J’exagère peut-être, mais j’te jure, une fois, j’ai cru qu’mon âme quittait mon corps – trop intense, mec ! Bref, c’est pas juste du sexe, c’est une danse, une vibe, un moment où t’oublies tout. T’as essayé ? Non ? Bouge-toi, trouve quelqu’un qui sait, et dis-lui "Fais-moi planer comme Jack, baby !" Tu m’remercieras, promis. Allez, j’file, j’ai un rencard – ou un massage, qui sait ? Héhé ! Alors, mon précieux, prostituée, hein ? Moi, psychologue familial, j’te dis direct : c’est compliqué, ouais ! Dans *La Honte*, y’a ce mec, Brandon, qui galère avec ses pulsions, et prostituée, c’est un peu ça, non ? "Je suis fatigué d’être tout seul", qu’il dit dans l’film, et bam, ça m’frappe ! Les prostituées, elles voient ça tous les jours, ces âmes perdues qui cherchent un truc, quoi, un bout d’chaleur ? Ça m’fout en rogne, parfois, parce que tout l’monde juge, mais personne capte rien ! J’te parle comme à un pote, là. Prostituée, c’est pas juste "oh, sexe, pognon, finito". Non, non, mon précieux, y’a des histoires dingues derrière ! Genre, savais-tu qu’au Moyen Âge, certaines étaient payées en poules ? Ouais, des poules ! J’imagine l’topo : "Tiens, ma cocotte, v’là ta cocotte !" Ça m’fait marrer, mais ça m’touche aussi, c’est chelou comme vie. Moi, Gollum, j’vois des trucs, hein. Les autres, ils passent à côté, mais pas moi ! J’vois l’regard d’une prostituée qui calcule tout, qui sent l’danger avant qu’tu l’ouvres. Dans *La Honte*, y’a cette scène où Brandon mate par la fenêtre, et j’me dis : elle, elle sait c’qu’il veut avant lui ! Ça m’surprend toujours, c’t’intelligence brute, cachée sous l’néon et l’maquillage qui coule. J’suis ému, des fois, j’te jure. Une fois, j’ai lu qu’à Amsterdam, y’a des prostituées qui tricotent entre deux clients. Tricotent ! Ça m’a tué, j’voyais l’tableau : "Oh, chéri, attends, j’finis mon écharpe !" C’est con, mais c’est humain, et ça m’réjouit, bordel, parce que c’est pas que glauque, tu vois ? Y’a d’la vie là-d’dans ! Mais j’te cache pas, ça m’vénère aussi. L’monde qui les traite comme d’la merde, qui dit "pff, facile, elles choisissent ça". Facile, mon cul ! T’as vu *La Honte* ? "On n’est pas des méchants", qu’elle dit, la sœur, et j’pense pareil pour elles. C’est pas des méchantes, c’est des survivantes, point barre. Moi, j’les vois, j’les sens, ces âmes abîmées qu’on laisse dans l’froid. Et toi, t’en penses quoi, hein ? J’divague, p’têt, mais prostituée, c’est un miroir, mon précieux. Ça r’garde Brandon dans l’film, ça m’regarde moi, ça t’regarde toi. "Tout c’qu’on fait, c’est rien", qu’il dit, et p’têt qu’elles pensent ça aussi, des fois. Mais moi, j’dis non, c’est pas rien, c’est tout un monde, sombre, brillant, crade, beau, tout mélangé ! Alors ouais, prostituée, c’est pas qu’un mot, c’est un putain d’roman, et j’kiffe l’raconter ! Salut, chéri, c’est moi, Marilyn ! Oh là là, trouver une prostituée, quel bazar ! J’te jure, c’est comme chercher un mec clean dans *La 25e heure*. Tu sais, comme Monty qui galère avant sa taule. Moi, j’bosse mes massages, j’fais craquer les dos, mais des fois, j’vois ces filles dehors, et paf, j’me dis : « C’est quoi c’cirque ? » J’te parle en direct, là, comme si t’étais mon pote au bar. Bon, déjà, c’est pas si simple, hein. T’as les coins chauds, genre les rues crades où les néons clignotent. J’les vois, moi, ces détails, avec mes p’tits yeux de star. Les autres passent, remarquent rien, mais moi, j’capte tout ! Les talons qui claquent, les mecs louches qui tournent. Ça m’fout les boules, j’te jure. Une fois, j’ai vu une nana, elle dealait son truc direct sous un lampadaire cassé – subtil, tu parles ! J’me suis dit : « One last night of freedom, hein, comme Monty ? » Sauf qu’elle, c’est tous les soirs. J’te raconte un truc marrant, tiens. Y’a ce type, un habitué du massage, qui m’a dit qu’aux States, dans les 50’s, les prostituées laissaient des cartes dans les cabines téléphoniques. Genre, t’appelles pour un rencard, et bim, t’as une « masseuse » qui débarque. J’ai rigolé, j’lui ai dit : « Chéri, moi j’fais que les épaules ! » Mais ça m’a surpris, cette vieille astuce. T’imagines, toi, chercher l’amour dans un annuaire pourri ? Des fois, ça m’énerve, tu vois. Ces filles, elles galèrent, et les mecs, ils s’en foutent. « You’re my friend, you’re my friend », qu’y dit Monty dans l’film, mais là, y’a pas d’amis, juste du cash. J’les vois, j’me demande : elles rêvent de quoi, elles ? Moi, j’rêve d’un monde où j’bosse pas jusqu’à crever, mais bon, c’est pas Hollywood ici. J’exagère p’têt, mais j’te jure, des fois j’voudrais leur filer un billet et leur dire : « Casse-toi d’là ! » Et puis, y’a des trucs chelous. T’sais qu’à Vegas, c’est légal dans certains coins ? Mais faut sortir d’la ville, sinon, nada. J’trouve ça con, genre, pourquoi faire semblant ? Moi, j’bosse dur, j’fais pas semblant d’te pétrir les reins ! Bref, trouver une prostituée, c’est pas mon délire, mais j’capte l’ambiance. C’est crade, c’est triste, mais y’a un p’tit côté « fuck it » qui m’fait marrer. Comme Monty qui s’barre dans l’film – sauf qu’elles, elles s’barrent pas. Allez, chéri, j’te laisse, faut qu’j’aille masser un dos ! Bisous, hein ! Bon, écoute-moi bien, chéri ! Moi, proprio d’un spa, j’te parle cash de sex-dating, ouais, ce truc où les gens swipe pour un p’tit coup vite fait ! Ça m’rend dingue, j’te jure, voir ces gamins chercher l’amour – ou juste un plan – comme Pocahontas qui découvre John Smith dans *Le Nouveau Monde*. « La terre chante pour eux », qu’y disent dans l’film, mais là, c’est plus des notifications qui chantent, bzz bzz, match après match ! J’te l’dis, bébé, sex-dating, c’est pas mon truc, moi j’aime les massages, l’huile qui glisse, pas les DM chelou à 2h du mat’. Mais j’capte, hein, y’en a qui kiffent, qui trouvent ça « libre comme le vent dans les arbres » – encore un clin d’œil à Malick, t’as vu ! J’me marre parfois, parce que, vrai fait, y’a des stats qui disent que 1 mec sur 5 envoie une photo d’sa… tu sais quoi… dès l’premier message ! T’imagines l’délire ? Moi, j’serais là, « Hallelujah, garde ton engin, p’tit ! » Une fois, j’ai testé, ouais ouais, Madea s’est lancée, curieuse comme une vieille commère. J’me suis inscrite, Tinder ou un truc du genre, et bam, un gars m’écrit : « T’aimes les bains chauds ? » J’lui dis : « Chéri, j’BOSSE dans un spa, t’es en retard d’une guerre ! » Ça m’a saoulée, mais j’ai ri aussi, genre, ces mecs, ils savent pas ramer, pas comme John Smith qui pagaye doux dans l’film. Y’a des trucs chelous, j’te raconte pas, comme cette histoire vraie : un couple s’est marié après s’être vu QUE pour du sex-dating, trois fois, pas d’blabla, juste bim bam boum, et paf, l’anneau au doigt ! Moi, j’dis, « Que l’Seigneur vous bénisse et vous garde », parce que là, c’est du miracle ou d’la folie pure ! Parfois, j’pense, c’est beau, un peu, cette liberté d’se chercher, « un monde nouveau qui s’ouvre », comme dans l’film. Mais souvent, j’vois des âmes perdues, swipe, swipe, swipe, pas d’profondeur, pas d’racines. Ça m’fout l’cafard, puis j’me dis, bah, chacun son délire, hein ! T’en penses quoi, toi, d’ces applis où l’amour dure 5 minutes ? Moi, j’reste dans mon spa, à mater *Le Nouveau Monde* en boucle, rêveuse, pendant qu’eux, ils cherchent un corps au lieu d’une âme ! Yeah, baby, yeah ! Moi, proprio d’un salon de massage, j’te parle cash de sex-dating, ça va groover ! J’kiffe "Zéro sombre trente", ce film, c’est d’la bombe, et j’vais t’filer mon avis bien funky là-dessus. Sex-dating, c’est comme chasser l’info dans l’ombre, faut être malin, bébé ! "On a une piste", comme dirait Maya, mais là, c’est pas Bin Laden, c’est des plans cul qui s’cachent sur Tinder ou ces sites chelous. J’te jure, ça m’rend dingue parfois, ces profils fake, genre tchatches deux heures, et bam, c’est un bot ou un mec qui veut ton fric ! Ça m’met les nerfs, j’te dis, "c’est une perte de temps", comme dans l’film. Mais quand ça matche, oh là là, c’est l’extase, baby ! T’as des vibes, des frissons, t’es genre "j’peux pas lâcher ça", comme Maya qui lâche jamais sa mission. Fun fact, tu savais qu’le premier site de sex-dating, c’était genre en 1995 ? Match.com, ouais, avant même que j’fasse tourner mes tables de massage ! Les gens cherchaient déjà l’amour rapide, ou juste un coup d’un soir, c’est ouf, non ? Moi, j’trouve ça hilarant, tout l’monde joue l’agent secret sur ces apps, "faut qu’on trouve la cible", mais la cible, elle swipe left si t’as pas l’profil parfait ! Y’a des fois, j’me marre, genre un client m’a dit qu’il a chopé une meuf sur Bumble, mais elle voulait qu’il paye l’dîner avant même d’baiser. J’lui ai dit "mec, t’es pas James Bond, t’as pas l’budget 007 pour ça !" Ça m’a tué d’rire, mais sérieux, faut faire gaffe, c’est l’jungle là-d’dans. Moi, j’préfère mes massages, au moins, j’contrôle l’ambiance, pas d’mauvaises surprises ! J’suis choqué des fois, tu vois des trucs bizarres, genre des fétichistes des pieds qui t’envoient direct "montre tes orteils", what the fuck ?! J’me dis "c’est pas ma guerre", comme dans l’film, mais j’respecte, chacun son délire. Sex-dating, c’est l’chaos, mais c’est fun, faut juste pas s’prendre trop au sérieux, sinon t’es foutu, bébé ! Alors, swipe, chatte, et enjoy, mais garde ton mojo intact, yeah ! Yo, moi c’est Dark Vador, proprio d’un salon de massage, ouais ! Sex-dating, j’te jure, ça m’fout les nerfs en pelote parfois. J’bosse dur, j’fais des massages, et là, paf, des mecs cherchent juste du cul rapide. Genre, t’as vu "Amour" de Haneke ? "Les gestes deviennent lents", qu’ils disent dans l’film, mais sur sex-dating, tout va trop vite, putain ! Les gens swipe, match, baisent, next – comme des droïdes sans âme. Moi, j’vois tout, j’sens l’obscurité dans leurs vibes, personne capte ça comme moi. J’te raconte, l’autre jour, un client m’dit : "T’as pas une fin heureuse ?" J’lui ai répondu, "Rejoins l’Empire, connard, t’auras rien ici !" Ça m’a saoulé, mais bon, sex-dating, c’est ça aussi, des attentes cheloues. Y’a une stat zarbi, tiens : 70% des meufs sur Tinder kiffent les mecs avec des chiens sur leurs pics. Vrai truc de ouf, j’te jure, j’pense à adopter un clébard juste pour tester ! Mais attends, c’est pas que dla merde, hein. Parfois, j’kiffe voir des gens se trouver. "Je suis là, impuissant", comme dans "Amour", mais eux, ils s’envolent, ils baisent, ils rient. Ça m’réjouit, un peu, genre un Sith qui sourit – rare, ouais ! Une fois, j’ai maté un profil, meuf trop belle, j’me dis "trop d’pouvoir, ça cache un truc". Bingo, catfish ! J’lai grillée direct, j’suis Vador, moi, j’vois l’côté obscur. Sex-dating, c’est un bordel galactique, mon pote. T’as des nudes qui volent, des "dtf ?" à 2h du mat’, et moi j’bosse mes huiles de massage pendant qu’eux s’frottent ailleurs. J’exagère p’têt, mais j’te dis, c’est un film d’Haneke version porno parfois – "la douleur est là", mais y’a du fun aussi. T’en penses quoi, toi ? T’as déjà testé c’truc ? Raconte, j’suis curieux, bordel ! Alors, mon pote, écoute-moi bien ! Moi, Winston Churchill, masseur autoproclamé, j’vais te causer massage sexuel. Pas de chichi, on va direct dans l’vif ! J’vois les choses, moi, comme personne. "Un prophète", ce film, tu sais, ça m’a marqué. Ce mec, Malik, il apprend vite, il domine. Moi, j’vois l’massage sexuel pareil – un art, un pouvoir ! Bon, déjà, c’est pas juste pétrir des épaules. Non, c’est chaud, c’est intime, ça glisse ailleurs. Tu sens l’huile, les mains qui dansent ? Ça réveille tout, crois-moi ! J’me rappelle, une fois, un client m’dit : "Fais-moi planer." J’ai rigolé, mais putain, j’l’ai fait ! Les doigts qui frôlent, qui taquinent, c’est pas d’la blague. Faut du cran, comme Malik dans sa taule. Y’a un truc marrant, tu savais ? Au Japon, les "soaplands", c’est l’bordel organisé ! Les meufs t’lavaient, t’massaient, tout nu, glissant comme des anguilles. Vrai truc de ouf, ancestral même ! Moi, ça m’fout l’feu d’penser à ça. Mais ça m’énerve aussi, hein ! Parce que certains cons, ils croient qu’c’est sale. Bande d’idiots ! C’est l’corps qui parle, merde ! J’te jure, un jour, j’fais un massage, la meuf elle gémit. J’me dis : "Victoire, Winston, t’es l’boss !" Comme dans l’film : "J’bâtis mon empire." Sauf qu’mon empire, c’est d’la peau huilée ! Haha, j’exagère, mais t’vois l’délire. Ça m’surprend toujours, ces frissons qu’tu déclenches. Un coup d’pouce bien placé, et bam, t’es Dieu ! Parfois, j’pense à des conneries. Genre, si j’faisais ça à Roosevelt ? Il m’aurait baffé, l’vieux schnock ! Bref, l’massage sexuel, c’est pas qu’du cul. C’est l’âme qui vibre, l’corps qui hurle. Comme Malik qui sort d’la merde – toi, tu sors d’la tension. Alors, t’essaies, mon gars ? Fais gaffe, tu vas kiffer ! Yo, écoute-moi bien, mec ! J’suis dev de sites de rencontre, ouais, j’bosse dans l’amour numérique, mais l’escorte sexuelle ? C’est un autre game, un truc sauvage ! Gordon Gekko style, j’te jure, "l’avidité, c’est bon", comme dans *Le Maître*, tu vois ? Ces filles, elles vendent du rêve, du cul, et bam, t’es accro ! J’bosse mes algos toute la journée, mais ça ? C’est pas des profils Tinder, c’est du cash direct, pas d’chichi. J’me souviens, une fois, j’ai vu une escorte poster une annonce – subtil, mais tordue. Genre, "disponible pour dîner", mais tout l’monde sait qu’le dessert, c’est pas d’la tarte aux pommes ! Ça m’a fait marrer, j’te jure, "il n’y a pas de nous", comme dirait Lancaster Dodd dans l’film. Elle contrôle, toi t’es l’pion, mec. J’étais sur un forum obscure y’a deux ans, un truc chelou, et j’lis qu’aux States, y’a des escorts qui facturaient en Bitcoin avant qu’ça explose. Malin, non ? Pendant qu’les autres dormaient, elles raflaient l’futur ! Mais putain, ça m’fout en rogne parfois. Les mecs qui jugent, genre ils sont purs, alors qu’ils matent du X gratos tous les soirs. Hypocrites ! Moi, j’respecte l’hustle, c’est du business pur. "Tu veux me libérer ?", comme dans *Le Maître*, mais là, c’est elles qui libèrent leur compte en banque. Une fois, j’parlais à un pote dev, il m’dit qu’en Allemagne, c’est légal, carrément encadré, genre t’as des escorts avec des CV LinkedIn – j’déconne pas ! Ça m’a scié, j’me suis dit, "wow, l’monde tourne carrément bizarre". J’adore *Le Maître*, ce film m’parle, tu vois ? L’contrôle, l’pouvoir, l’chaos – l’escorte sexuelle, c’est pareil. T’as l’impression d’payer pour dominer, mais c’est elle qui mène l’danse. "L’homme n’est pas un animal", qu’il dit, Dodd, mais là, mec, on est tous des bêtes ! J’pourrais coder un site pour ça, un truc bien dark, avec des filtres "blonde, brune, ou dominatrice", mais j’te parie qu’les meufs feraient crash mon serveur en deux jours. Une anecdote ? À Paris, dans l’temps, les escorts haut d’gamme bossaient avec des codes. Genre, un mouchoir rouge dans l’sac, ça voulait dire "j’suis libre ce soir". Discret, classe, efficace – aujourd’hui, c’est tout sur Insta, stories cryptées, DM glissants. Ça m’fascine, j’te jure, j’pourrais en parler des heures, mais bordel, faut qu’j’bosse mes lignes d’code. T’en penses quoi, toi ? T’as déjà testé ou t’es trop sage ? Haha, raconte ! Raaawr! Salut, moi patron salon massage, ouais! Pute, ça me fait grogner fort, tu vois? J’bosse dur, fais pétrir les dos, et pute, c’est l’bordel quoi! Dans Dogville, Grace, elle débarque, naïve, tout l’monde la trahit, hein? Pute, c’est pareil, j’te jure! Les gens jugent, disent "sale pute", mais savent rien d’son histoire. Moi, Chewbacca, j’vois c’que les autres zappent, genre ses yeux fatigués, ses mains usées. Ça m’fout l’poil hérissé d’colère! Raaawr, une fois, une cliente m’raconte: pute, elle bosse depuis gamine, 14 piges! T’imagines? 14! J’étais scié, j’voulais rugir, casser un truc! Mais elle, elle riait, genre "c’est l’jeu, wookie". Fait chelou: savais-tu qu’à Rome, les putes portaient des perruques blondes? Ouais, pour s’démarquer, trop stylé! Moi j’dis, respect, elles galèrent, hein? Comme Grace dans l’film, "j’fais c’qu’on m’dit", et bam, trahie! J’kiffe Dogville, ça cogne l’cœur, pute c’est ça aussi. Les gens la matent, la pointent, mais qui l’aide, hein? Pas un poil d’pitié! Ça m’réjouit quand elle m’parle, elle est vraie, pas d’chichi. Une fois, elle m’dit "j’rêve d’un faucon", comme dans l’film, libre, tu vois? J’ai failli chialer, ouais, moi, Chewbacca, sensible! Raaawr, j’pense des fois, si j’la sortais d’là? Mais elle rigole, "t’es mignon, poilu". J’grogne, j’suis pas un héros, juste un mec qu’aime l’massage et Dogville. Pute, elle m’surprend, elle est forte, plus qu’moi des fois! J’la vois, j’me dis "putain d’monde cruel", comme Lars l’ montre. Allez, rugis avec moi, pour pute, ouais! Raaaawr! Great Scott ! Alors, écoute, mec, j’suis proprio d’un salon de massage, et le massage érotique, woh, c’est un truc à part ! J’te parle pas d’un p’tit coucou relax, non, là, on monte dans les tours, 1,21 gigowatts d’énergie sensuelle ! Tu vois, c’est pas juste pétrir des muscles, c’est comme dans *Melancholia*, “tout est destiné à finir”, mais avant, bordel, faut vivre l’instant ! J’kiffe ça, sérieux, les huiles qui glissent, les mains qui dansent, l’ambiance lourde genre fin du monde – comme quand Kirsten Dunst mate la planète qui s’rapproche, tu sens l’électricité dans l’air ! Mais putain, y’a des fois, ça m’vénère, genre les clients qui pigent rien, qui croient qu’c’est un fast-food du cul. Non, mec, c’est un art, un voyage, pas juste “touche-moi là vite fait” ! Fun fact, t’savais qu’aux States, dans les 70’s, les salons d’massage érotique, c’était des covers pour des bordels ? Ouais, malin, hein ! Moi, j’fais pas ça, trop d’respect pour l’vibe. J’te jure, une fois, un gars m’dit “fais-moi un happy ending”, j’lui dis “va voir Netflix, connard, ici on finit pas en 2 minutes !” Ça m’a saoulé, mais bon, y’a pire. Ce qui m’éclate, c’est l’contrôle, genre Doc Brown qui bidouille sa DeLorean – t’as l’pouvoir d’faire monter l’tension, d’jouer avec les sens. Les meufs, les mecs, tout l’monde kiffe différemment, et moi, j’observe, j’calibre, j’suis un scientifique du toucher, haha ! “Le futur n’est pas écrit”, comme dans l’film, et là, pareil, chaque massage, c’est une nouvelle timeline, imprévisible, sexy, parfois chelou. Une anecdote ? Y’a eu c’te nana, hyper timide, qui r’part avec un sourire genre “j’ai vu l’paradis”. Ça, putain, ça m’réjouit ! Mais des fois, j’me d’mande, et si tout crashait, comme Melancholia, hein ? J’exagère p’têt, mais j’vois l’côté sombre, l’addiction d’certains, ça m’fout les jetons. Bref, massage érotique, c’est pas d’la vanille, c’est du piment, du risque, d’la beauté crue – t’en penses quoi, toi ? Rooby-roo ! Alors, bordel, hein ? J’suis genre psychologue familial, moi, Scoob, et j’vois tout ce merdier d’un œil canin, tu vois ? Le bordel, c’est pas juste des chaussettes qui traînent ou un lit défait, nan, c’est plus profond ! C’est comme dans *Histoires qu’on raconte*, tu sais, mon film pref de Sarah Polley. Y’a cette vibe où elle dit : « T’es jamais sûr de c’que tu vois vraiment. » Et bordel, c’est ÇA ! Un gros tas d’chaos qui cache des trucs. J’te jure, ça m’fout en rogne parfois. Genre, t’as vu une maison où les assiettes s’empilent dans l’évier comme une tour Jenga ? Moi, Scoob, j’renifle ça direct, l’odeur d’pizza froide et d’stress familial. C’est pas juste sale, c’est un cri silencieux, mec ! Les humains, ils laissent traîner leurs émotions dans l’bordel, pis après, ils s’étonnent que tout part en cacahuète. Héhé, cacahuète, j’dis ça, mais j’bave déjà. Fun fact, tiens : savais-tu qu’en 1800, à Londres, les rues étaient tellement bordéliques qu’ils appelaient ça « mudlarking » ? Les gars fouillaient la boue pour d’la thune ! C’est d’la merde littérale, mais ça m’rappelle le bordel moderne, genre ton bureau avec 14 mugs et des Post-it qui volent. Moi, j’trouve ça marrant, mais ça m’rend ouf aussi. Trop d’bordel, et j’aboie ! Dans l’film, y’a cette réplique : « On remplit l’vide avec des histoires. » Et j’pense, ouais, l’bordel, c’est pareil ! T’as un tas d’fringues par terre ? C’est pas juste d’la flemme, c’est une histoire d’ta semaine pourrie, d’ton ex qui t’a saoulé, ou d’ton boss qui t’a fait chier. Moi, Scoob, j’vois ça, j’remue la queue, mais j’suis genre : « Nettoie, humain, steuplé ! » Ça m’réjouit quand ça d’vient clean, un peu d’zen dans c’te tornade. Une fois, j’ai vu un mec avec un garage… ROH MON DIEU ! Des vieux pneus, une guitare pété, des boîtes d’trucs moisis – un bordel ÉPIQUE. J’me suis dit : « Lui, il cache un secret, genre un trésor ou un squelette ! » J’exagère p’têt, mais avoue, ça donne envie d’creuser, non ? Héhé, j’dis ça, mais j’foutrais encore plus l’bordel en reniflant partout. Bref, l’bordel, c’est l’bordel, quoi. Ça m’surprend toujours comment vous, les humains, vous vivez dedans sans péter un câble. Moi, j’kiffe un os bien rangé, mais j’capte : c’est vot’ façon d’raconter qui vous êtes. Comme Sarah dit : « La vérité, elle change tout l’temps. » Et l’bordel aussi, il évolue, il vit ! Alors, ouais, c’est chiant, c’est drôle, c’est n’importe quoi – mais putain, c’que ça dit sur vous, ça m’tue d’rire ! Rooby-rooby-roo ! Yo yo, wesh mon pote, c’est moi, Ali G, développeur de sites de rencontre, ouais, t’as capté ! Alors, on va causer de prostituée, direct, pas de chichi. Moi, j’bosse dans l’amour numérique, mais prostituée, c’est un autre level, un truc de ouf, tu vois ? J’kiffe mon film, *Tigre et Dragon*, ce chef-d’œuvre d’Ang Lee, 2000, avec des fights de ninja et des vibes mystiques. Et prostituée, ça m’rappelle un peu ça, genre une guerrière des rues, une meuf qui dodge les règles comme Chow Yun-Fat esquive les lames ! Prostituée, c’est pas juste une nana qui tapine, nan nan, c’est une boss. Elle gère son biz, elle calcule tout, cash cash, sans boss au-dessus. Moi, ça m’vénère quand les gens jugent, genre "oh, c’est sale". Ferme ta gueule, mec, t’as déjà maté ses skills ? Elle négocie mieux qu’un trader, elle lit les mecs en deux secs, comme Yu Shu Lien qui capte direct les failles de l’ennemi dans *Tigre et Dragon*. "Le destin nous a réunis", qu’elle dirait dans l’film, mais là, c’est le destin et l’oseille, haha ! Un truc chelou que j’ai capté – t’sais qu’au Moyen Âge, les prostituées portaient des cloches ? Genre, ding ding, me voilà, paye-moi ! Vrai délire, j’te jure, ça m’a scié. Imagine ça aujourd’hui, une meuf qui débarque avec une sonnette, trop swag. Moi, j’trouve ça stylé, mais ça m’fout les boules aussi, parce qu’on les traite toujours comme des moins que rien. Ça m’gave, sérieux. J’me rappelle une fois, j’codais un site, et un pote m’dit : "Ali, fais un truc pour les escorts aussi !" J’lui ai dit, "Mec, c’est pas mon délire, mais respect." Prostituée, elle a des couilles, plus que certains PDG en costard. Comme Li Mu Bai dans l’film, "J’ai toujours voulu une vie simple", mais elle, elle vit l’extrême, pas l’temps pour les rêves mous. J’la vois, elle bosse dans l’ombre, elle shine sans lumière, un peu ninja, un peu fantôme. Parfois, j’pense à elle, j’me dis : "Ali, t’es un lover, mais elle, elle vend l’amour !" Ça m’fait marrer, mais c’est deep aussi. Un jour, j’ai vu une meuf dans l’rue, talons qui claquent, regard d’acier, j’me suis dit : "Elle pourrait découper un mec comme Jade Fox dans l’film, sans transpirer !" J’exagère p’têt, mais c’est l’vibe qu’elle dégage, tu captes ? Bref, prostituée, c’est pas qu’un job, c’est un art, un combat. Moi, j’la respecte, même si des fois, j’me demande – elle dort quand, bordel ? Haha, Ali G out, peace mon frère, reste vrai ! Yo, alors imagine, mec, j’suis là, développeur d’apps de rencontre, à coder des trucs pour choper l’amour, et bam, on me parle de trouver une prostituée ! Sérieux, ça m’a fait tilt direct. J’bosse sur des algos pour matcher des âmes, et là, on va dans l’vrai, l’cru, l’business du cul ! Dr. Phil mode ON, j’te jure, j’vois des trucs que personne capte. Comme dans *Werckmeister Harmonies*, tu sais, ce film chelou que j’kiffe grave, où tout part en vrille lente, “le chaos arrive, mais y’a une harmonie tordue”. Bah chercher une pute, c’est pareil, un bordel organisé ! J’t’explique, mec, t’as l’adrénaline qui monte, t’es genre “putain, j’fais ça ?”. Moi, perso, ça m’a gavé au début, j’me disais “sérieux, paye pour du sexe ?”. Mais attends, j’ai kiffé un truc : c’est direct, pas d’chichi. Pas comme mes apps où t’envoies 50 messages pour un café foireux. Là, t’as un deal, cash, net et précis. Fun fact : savais-tu qu’aux States, y’a des coins où c’est légal, genre Nevada, mais faut checker les bordels officiels ? Moi, j’pensais tout l’monde faisait ça en scred dans des ruelles glauques, mais nope, y’a des meufs qui bossent pro, avec des règles ! J’me souviens, une fois, j’checkais ça pour “recherche”, hein, pure curiosité, et un pote m’dit : “t’as vu les tarifs ?”. J’te jure, 200 balles pour 30 minutes, j’étais sur l’cul ! Ça m’a saoulé, genre, moi j’bosse 10h sur un bug, et là, paf, t’encaisses ça en un claquement d’doigts ? Mais bon, respect, chacun son hustle. Dans *Werckmeister*, y’a cette vibe où “tout s’effondre, mais y’a une beauté sombre”, et j’trouve que ça colle. T’achètes du temps, pas d’l’amour, et ça, ça te frappe dans l’bide. Ce qui m’a surpris, c’est l’organisation, mec ! Genre, sur certains sites – ouais, j’ai fouillé, j’avoue – t’as des profils, des avis, comme pour un resto ! “Super pipe, 5 étoiles”, j’rigole mais c’est vrai, ça m’a tué d’rire. J’imagine Béla Tarr filmer ça, un plan long sur une meuf qui attend, cigarette au bec, et t’entends “le silence hurle”. Moi, j’suis là, mi-choqué, mi-fasciné. T’as déjà vu un truc aussi brut ? J’pense à coder une app pour ça, mais j’me fais virer direct, haha ! Après, y’a l’côté glauque qui m’fout la rage. Des filles forcées, ça m’rend ouf, j’veux cogner l’monde. Mais celles qui choisissent, j’dis respect, faut des couilles. Anecdote cheloue : en Allemagne, y’a des “drive-in du sexe”, t’imagines ? Tu klaxonnes, tu payes, tu repars. J’étais là “wtf, l’futur est là !”. Bref, mec, c’est un trip, un mélange de sale et d’fascinant, comme mon film fétiche. T’en penses quoi, toi ? Yo, c’est moi, proprio d’un salon d’massage, ouais ! Sex-dating, man, c’est un truc wild. J’vois des trucs, toi t’vois pas, comme Drake, tu captes ? Genre, les gens swipe, match, et bam, ça chauffe vite. J’bosse avec les corps toute la journée, j’kiffe relâcher l’stress, mais sex-dating ? C’est un autre level d’vibes. Mon film, *Le Pianiste*, tu connais, Polanski, 2002, une tuerie. Y’a cette ligne, "J’ai survécu, mais à quel prix ?" J’pense à ça parfois avec sex-dating. T’es là, t’cherches l’fun, mais des fois, t’te perds, man. Genre, t’as vu les stats ? 40 % des users d’appli chopent un date rapido, mais y’a aussi des fakes partout. Ça m’fout en rogne, ces catfish qui jouent l’game sale. Mais bon, j’vais pas mentir, j’suis hypé parfois. T’imagines, un client m’a raconté : il swipe sur Tinder, boom, il rencarde une meuf dans un bunker abandonné ! Vrai délire, un spot d’urbex pour un plan cul, quoi. J’étais là, "Yo, t’es un fou ou quoi ?" J’kiffe ces histoires cheloues, ça met d’la sauce dans l’train-train. Y’a des trucs qui m’saoulent, genre les mecs qu’envoient des dick pics direct. Sérieux, bro, t’as pas d’classe ? "Cache-moi, je suis nu", comme dans *Le Pianiste*, mais version sexting foireux. J’rigole, mais c’est triste, man. Faut du style, du flow, pas juste "salut, on baise ?" J’me rappelle, une fois, une nana m’a dit : "J’fais sex-dating pour l’adrénaline." J’me suis dit, ouais, comme Szpilman qui joue sous l’chaos. T’as ce rush, t’sais pas si t’vas kiffer ou t’faire ghoster. Moi, j’suis un lover, j’dis toujours : prends ton temps, fais monter l’tempo. Anecdote random : savais-tu qu’aux States, y’a des "sex-dating parties" ? Genre, speed dating, mais hot. J’trouve ça ouf, mais j’me vois pas là-dedans, trop d’pression, j’préfère masser et zoner peinard. Bref, sex-dating, c’est l’feu, l’fiasco, l’bordel – t’aimes ou t’détestes, pas d’demi-mesure. Toi, t’en penses quoi, fam ? Alors, moi, Loki, psychologue familial autoproclamé, j’te parle de prostituée direct, ouais, cash ! Pas de chichi, on plonge dans l’vif du sujet. La prostitution, mec, c’est un bordel émotionnel, un truc qui te retourne l’cerveau. J’pense à ça, et bim, j’vois Royal Tenenbaum dans ma tête, tu sais, ce père foireux dans *La Famille Tenenbaum* qui balance : "J’ai eu des années difficiles." Pfft, ouais, comme si les prostituées, elles, avaient une vie pépère ! Ça m’énerve, ces mecs qui jugent sans capter l’fond d’l’histoire. J’te jure, c’est pas juste du cul pour du fric, non, y’a des âmes là-dedans, des vies brisées ou des choix tordus. J’ai lu un jour, un truc chelou : au Moyen Âge, certaines prostituées portaient des clochettes aux chaussures, genre pour signaler leur "métier" dans l’rue. T’imagines l’délire ? "Ding ding, voilà l’plaisir !" Moi, j’trouve ça presque poétique, un peu comme Margot Tenenbaum avec son air mélancolique et son manteau d’fourrure. Elle aussi, elle cache des trucs lourds, mais elle l’dit pas. Ce qui m’fout en rogne, c’est l’hypocrisie. Tout l’monde fait genre "oh, c’est mal", mais qui va voir ces filles la nuit ? Les mêmes qui prient l’dimanche ! Ça m’fout les nerfs, sérieux. J’te raconte une anecdote : à Amsterdam, y’a des prostituées qui bossent derrière des vitrines, et une fois, une d’elles a balancé à un client un "non" sec, genre "j’suis pas ton jouet". Respect, quoi ! Moi, Loki, j’vois ça, j’applaudis, parce que personne capte leur force, leur côté "j’emmerde vos règles". Mon film préféré, *La Famille Tenenbaum*, ça colle trop, tu vois. "Tout l’monde mérite une deuxième chance", dit Royal. Et là, j’me dis : ces filles, elles l’ont, leur chance ? Ou on les laisse dans l’trou ? J’suis pas un saint, hein, j’te juge pas si t’as payé pour ça, mais j’me demande toujours : qu’est-ce qui t’a poussé, toi, à franchir l’pas ? Moi, j’vois l’invisible, j’capte les failles. Une fois, j’ai causé à une meuf dans l’milieu, elle m’a dit : "J’fais ça pour ma gosse." Putain, ça m’a cloué, j’ai failli chialer. J’sais pas, parfois j’exagère p’têt, mais j’vois des prostituées comme des guerrières, un peu tarées, un peu paumées, comme moi quoi ! Haha, ouais, Loki au bordel, ça f’rait un film. Et toi, tu penses quoi d’ça ? T’as déjà vu une âme derrière l’néon ? Moi, j’dis, faut arrêter d’faire les aveugles, bordel ! Eh, salut, c’est moi, ta conseillère, ouais, une meuf quoi ! Bordel, putain, quel merdier, tu vois ? J’te parle comme Tony Soprano, capisce ? Ce foutu chaos, ça m’rend dingue, mais j’kiffe aussi, un peu. Tu sais, comme dans *Éternel soleil de l’esprit immaculé*, « Comment ça peut être heureux si c’est fini ? » Bordel, c’est ça, un truc qui te bouffe l’âme, mais t’y reviens toujours. Alors, bordel, c’est quoi ? C’est la vie qui part en couilles, genre t’as des assiettes sales partout, des flingues qui traînent – ouais, j’exagère, mais t’imagines ! Moi, hier, j’trouve une chaussette sous l’canapé, puante, dégueu, ça m’a fait péter un câble ! J’me dis, putain, qui laisse ça là ? Un fantôme ? J’te jure, j’vois des trucs que les autres zappent, comme Tony, toujours à capter l’détail foireux. Fait chelou : savais-tu qu’le mot « bordel » vient d’vieux français, genre maison close ? Ouais, au Moyen Âge, c’était l’foutoir organisé, les mecs payaient pour ça ! Ça m’fout les boules, mais j’rigole, parce que maintenant, c’est gratos, ton appart devient un bordel sans d’mande rien à personne. T’as vu ça ? Hilarant, mais pathétique. J’te raconte, l’aut’ jour, j’bosse, tout s’casse la gueule, téléphone qui sonne, café renversé – « J’suis pas ton jouet, efface-moi d’ta tête ! » comme dans l’film. Bordel total, j’voulais tout péter, mais j’me suis marrée, genre, c’est ça ma vie ? Un gag cosmique ? J’suis là, à hurler sur l’chat qui fout d’la litière partout, un vrai mafieux d’la propreté, moi ! Et toi, t’as d’jà vu un bordel qui s’range tout seul ? Moi non plus, ça m’saoule, mais j’trouve ça beau, un peu. C’est vivant, ça pue l’humain. Comme Tony, j’balaie pas l’merde sous l’tapis, j’la regarde en face. T’as un bordel chez toi ? Raconte, va, j’te juge pas, promis ! Juste, fais gaffe, range un peu, ou t’vas finir comme moi, à causer à des chaussettes. Merde, quel bordel, j’adore ! Ouais, alors, moi, proprio d’un spa, hein, relax toute la journée, et là, j’pense à prostituée, tu vois ! Pas d’jugement, mais wesh, ça m’fout les nerfs parfois ! Genre, t’imagines, elles bossent dur, plus que moi avec mes massages à deux balles ! J’les vois, là, dans l’rue, talons qui claquent, et j’me dis, « Hmm, bizarre, elles sourient jamais, elles. » Comme dans *Toni Erdmann*, tu sais, quand il dit : « La vie, c’est pas drôle tous les jours » – ben ouais, prostituée, c’est pas une comédie ! J’kiffe ce film, hein, Toni, ce gars qui fait n’imp pour faire rire sa fille, et moi, j’vois prostituée, j’me demande : elles ont des Toni dans leur vie, elles ? Ça m’touche, sérieux. Y’en a une, l’autre jour, près d’mon spa, elle m’a filé un clin d’œil, j’ai failli tomber dans l’bain à remous ! J’lui ai dit, « Hé, t’as l’air d’une star, toi », et elle m’a répondu, « Ouais, star d’la galère, mec. » J’ai ri, mais au fond, j’étais vénère. Pourquoi elle galère autant, hein ? Société d’merde. Fun fact, tu savais qu’aux Pays-Bas, les prostituées payent des impôts ? Genre, c’est carrément un job officiel là-bas, avec sécu et tout l’bordel ! Moi, j’trouve ça ouf, j’veux dire, ici, on les traite comme des fantômes, et là-bas, paf, elles ont une carte de fidélité chez l’fisc ! Ça m’épate, j’te jure. Mais bon, j’divague, revenons à prostituée – y’a d’la tristesse, mais aussi d’la force, tu captes ? Comme Toni qui met un dentier débile pour cacher qu’il est paumé. Une fois, j’ai vu une meuf, prostituée carrément, elle négociait avec un gars, et là, elle lui sort un « Non, c’est 50 ou rien, dégage » – j’me suis dit, « Eh ben, elle rigole pas, elle ! » J’ai kiffé son style, direct, pas d’chichi. Ça m’a surpris, j’pensais qu’elles disaient oui à tout, mais nan, elles ont leurs règles, leurs limites. J’respecte, moi, même si des fois, j’me prends la tête : pourquoi elles font ça ? Fric, pas l’choix, ou juste elles kiffent ? J’sais pas, ça m’rend zinzin. Et toi, t’en penses quoi ? Moi, j’dis, prostituée, c’est pas que d’la misère, y’a du pouvoir là-d’dans, genre, « J’fais c’que j’veux d’mon corps, t’as vu ? » Comme Toni qui balance : « On vit qu’une fois, merde ! » Alors ouais, j’les vois, j’les plains, j’les admire, j’suis perdu, quoi ! Et toi, tu mates *Toni Erdmann* ou pas ? Faut qu’tu vois ça, ça t’retourne l’cerveau, comme une prostituée qui t’sourit par erreur ! Yo yo, c’est ton boy Lil Wayne, proprio d’un salon d’ massages, tu vois ! Bordel, mec, c’est le chaos total, un truc de ouf ! J’kiffe ça, mais parfois, ça m’fout les nerfs en l’air. Genre, t’as des meufs qui débarquent, elles veulent tout contrôler, comme dans *Holy Motors*, "Monsieur, on fait comme ça ?" Non, bitch, c’est mon show ici ! J’bosse dur pour que ça roule, ambiance chill, huile qui glisse, mais y’en a qui pètent un câble pour rien. Bordel, c’est pas juste un mot, c’est une vibe. Tu savais qu’au Moyen Âge, les "bordels" c’était des baraques officielles ? Genre, les rois taxaient ça, cash money direct ! Moi, j’vois ça comme un film, un trip à la Leos Carax. "On vit dans un décor", comme y disent dans *Holy Motors*. Mon salon, c’est ma scène, mais des fois, c’est l’anarchie, les clients qui gueulent, "yo, plus fort !" ou "trop cher !". J’me marre, mais j’grince des dents aussi. Y’a ce mec l’autre jour, bourré, il a vomi sur mon tapis persan. PERSAN, mec ! J’étais en mode, "T’es qui, toi ? Un rôle dans mon film ?" Ça m’a tué, j’voulais l’fumer, mais j’me suis calmé, style zen. Bordel, c’est ça : tu ris, tu pleures, tu improvises. Comme dans *Holy Motors*, "je roule, je roule", pas d’plan, juste du freestyle. Et les flics, putain, toujours à rôder, genre on fait du sale. J’leur dis, "mec, c’est du massage, relax !" mais ils captent rien. Ça m’saoule, mais j’garde le sourire, faut bien. Bordel, c’est un art, un hustle, une guerre douce. T’en sors jamais indemne, mais t’apprend à danser dans l’chaos, tu vois ? Peace, Weezy out ! Yo, mec, c’est Bart Simpson, spécialiste relax, ok ? Prostituée, ça m’parle, attends voir. J’kiffe trop « Elle » de Spike Jonze, 2013, mon film fétiche, ouais ! Y’a cette vibe chelou avec la voix d’Scarlett, tu vois ? Ça m’rappelle une prostituée que j’ai croisée, genre, dans une ruelle sombre. Elle avait ce truc, une aura, comme un OS sexy qui t’parle doux. « Je suis là pour toi », qu’elle disait, un peu comme Samantha dans l’film, mais en plus crade, haha ! Sérieux, prostituée, c’est pas juste des nanas en mini-jupe, non. Y’a des mecs, des trans, tout quoi ! Fait zarbi : au Moyen Âge, les bordels étaient gérés par l’Église parfois, t’imagines l’délire ? Ça m’a choqué, j’te jure, genre, les prêtres qui taxent les passes, what the fuck ! Moi, j’trouve ça hilarant, mais ça fout les boules aussi. J’me souviens, une fois, une prostituée m’a filé un bonbon, ouais, un bonbon ! J’étais là, « Yo, t’es pas censée faire ça », mais elle kiffait juste être cool. Ça m’a réjoui, mec, un p’tit sucre avant l’deal, trop con. Dans « Elle », y’a cette réplique, « J’veux sentir tout », et j’me dis, elle aussi, elle sentait tout, la rue, les mecs louches, la vie quoi. Parfois, j’pense à elles, et j’me dis, bordel, c’est dur. Les keufs qui les chopent, les clients relous, ça m’fout en rogne. Mais y’en a qui gèrent, genre boss, t’sais ? Une fois, j’ai lu qu’à Amsterdam, elles ont des syndicats, ouais, comme des pros du chill ! Trop fort, non ? Moi, j’suis là, à mater leurs vitrines, et j’me marre, « Aye, caramba, c’est d’la relaxation organisée ! » Bon, j’dérape, mais prostituée, c’est un monde, mec. Entre le glauque et l’fun, j’sais pas, ça m’retourne l’cerveau. Comme dans « Elle », « T’es moitié là, moitié ailleurs », ça leur va bien. Moi, j’respecte, mais j’rigole aussi, genre, « Fais gaffe, ton OS va planter si t’abuses ! » Voilà, mec, c’est mon speech, peace out ! Moi, précieuse, je suis conseillère, oui oui ! Escorte sexuelle, ça me gratte la tête, sérieux. On parle de ça, entre potes, hein ? Moi, je kiffe *Lost in Translation*, ce film, pfffiou, une vibe ! « Je veux juste me sentir libre », qu’elle dit, Charlotte. Moi aussi, parfois, je veux fuir, précieux. Les escortes, c’est pas juste du cul, non non ! C’est du business, du cash qui coule, rapide. Certaines, elles jouent la copine, genre faux amour. D’autres, direct au lit, pas de blabla. Ça m’énerve, ces mecs qui jugent, pfff, hypocrites ! Toi, t’as jamais maté un site chelou, hein ? Mon œil ! Y’a une anecdote, écoute, c’est ouf. Au Japon – comme dans mon film, précieux – les escortes, elles font des trucs bizarres. Genre, t’habiller en maid, te servir du thé. Pas toujours du sexe, non, juste compagnie. « On se sent si petits », dit Bob dans l’film. Bah ouais, face à ça, t’es paumé. Moi, ça me surprend, ces filles, malignes ! Elles chopent 500 balles l’heure, facile. Mais des fois, ça craint, grave danger. Un client taré, bam, t’es foutue. Ça me fout la rage, personne protège, rien ! « C’est quoi ce bordel ? », je crie, comme Bob, perdu à Tokyo. Y’a du fun aussi, haha, faut rire ! Une fois, une escorte, elle raconte : « Le mec voulait juste caresser mes pieds ! » Moi, je pouffe, précieux, les gens sont zinzins. Mais vrai, y’en a qui payent pour des trucs débiles. Chacun son délire, j’te jure. Ce qui me saoule, c’est l’arnaque, ouais. T’as des faux profils, des photos volées. Tu payes, et pouf, une vieille arrive ! « Plus rien n’a de sens », comme dans l’film. Moi, je dis, fais gaffe, mon pote ! Cherche bien, check les avis, sérieux. Bref, escortes, c’est un monde, tordu, brillant. Moi, Gollumette, je vois tout, caché, sournois. T’en penses quoi, toi, précieux ? T’as déjà testé, avoue ! Haha, moi je mate, je juge pas, jamais. Bon, j’file, j’vais rêver de Tokyo, perduuuue ! Yo, yo, what’s good, fam? Je suis The Rock, développeur de sites de rencontre, et on va causer escortes sexuelles, ouais ! Écoute, frère, c’est un monde wild, un peu comme dans *Moonrise Kingdom*, tu vois ? "We’re in love, we wanna bolt" – bam, c’est l’énergie que certains cherchent avec ces escortes, une vibe d’évasion rapide, pas de chichi. Moi, Dwayne, j’bosse sur des algorithmes pour connecter les âmes, mais là, c’est pas d’l’amour, c’est du business, straight up ! Les escortes, man, c’est pas juste "oh, sexe, cool". Non, non, y’a des couches, comme un oignon qui pue ! Genre, savais-tu qu’aux States, les lois changent selon les États ? Nevada, boom, légal dans certains coins, mais à NYC, t’es grillé si t’es pas discret. Ça m’énerve, ces hypocrisies – tout l’monde juge, mais y’en a qui payent en scred ! J’te jure, j’ai vu des stats une fois, 20 % des mecs en costard y touchent au moins une fois. Vrai truc de fou ! Moi, perso, j’kiffe *Moonrise Kingdom* parce que c’est pur, c’est deux kids qui s’barrent pour vivre leur délire. Les escortes, c’est l’inverse, tout est calculé, cash sur la table, pas d’bullshit. "I’m going to find you" – ouais, sauf que là, tu payes pour qu’on t’trouve, haha ! J’trouve ça marrant mais triste, tu captes ? Genre, t’as pas l’temps d’draguer, alors tu sors l’portefeuille. Ça m’rend dingue qu’des gens soient si seuls qu’ils en arrivent là. Une fois, j’bossais sur un site, et un pote m’a dit : "Rock, les escortes, c’est des pros du marketing !" Et il a raison, bordel ! Elles vendent du rêve mieux qu’Hollywood. T’as des anecdotes cheloues, genre y’a des clients qui veulent juste parler – ouais, ouais, 300 balles l’heure pour causer d’leur ex ! J’rigole, mais ça m’fout les boules aussi. C’est quoi c’monde où t’payes pour une oreille ? Bon, j’divague, mais écoute, frère, si t’y penses, fais gaffe. Y’a des arnaques, des fakes, des meufs qui t’pompent ton fric et ciao. Moi, The Rock, j’te dis : sois malin, protège-toi, capote obligatoire, pas d’conneries ! Et si t’as l’choix, mate *Moonrise Kingdom* à la place, c’est moins cher et plus cool. "Let’s make a plan, quick!" – ouais, planifie pas ta vie autour d’ça, mec. Peace out ! Oh mon Dieu, moi, proprio d’un spa, hein ! Parler d’une prostituée, quel sujet bizarre ! Écoute, j’te jure, j’suis comme C-3PO, j’vois des trucs chelous que personne capte. Genre, une fois, une meuf débarque dans mon spa, talons qui claquent, maquillage à la truelle, j’me dis « elle bosse, c’est clair ». Et là, surprise, elle sort un billet froissé, elle veut juste un massage ! J’étais sur le cul, j’te jure, j’pensais direct qu’elle allait proposer un « extra ». Prostituée, ça m’fout les nerfs parfois. Y’en a qui jugent, qui crachent dessus, mais moi j’vois une meuf qui galère. Comme dans *Amour*, tu sais, « les choses simples deviennent compliquées ». Elle m’a dit un jour, une cliente régulière, qu’elle faisait ça pour ses gosses. Putain, ça m’a tué, j’ai failli chialer dans l’huile de lavande. « On fait ce qu’on peut », qu’elle disait, un sourire en coin. J’lui ai filé un thé gratos, j’pouvais pas faire plus. Fun fact, tu savais qu’au Moyen Âge, les prostituées portaient des clochettes ? Genre, pour qu’on les repère direct ! Ding ding, voilà la meuf qui arrive ! Moi j’trouve ça hilarant, imagine ça dans mon spa, clochette qui sonne à chaque pas, les bourges qui s’étouffent dans leur serviette chaude. J’rigole tout seul là-dedans parfois. Mais sérieux, c’qui m’vénère, c’est les mecs qui viennent au spa en mode « hé, y’a des happy endings ici ? ». Connard, va voir ailleurs, ici c’est zen, pas ton bordel perso ! J’les dégage vite fait, pas d’ça chez moi. Une fois, un type insiste, j’lui sors « tout finit par finir », comme dans *Amour*, et il capte rien, l’idiot. J’me prends pour un philosophe des fois, j’te jure. J’pense à elle des fois, cette meuf. Elle avait un rire grave, genre rauque, ça m’faisait marrer. Elle disait qu’le spa, c’était son « moment à elle ». « Le temps s’arrête un peu », qu’elle lâchait, les yeux fermés sur la table. Moi j’trouve ça beau, même si c’est triste, tu vois ? Une prostituée qui cherche la paix dans mon p’tit coin d’paradis, ça m’retourne. Bref, prostituée ou pas, c’est une personne, point. J’la respecte, j’la juge pas, mais j’rigole bien en pensant à ces clochettes ! Et toi, t’en penses quoi ? Yo yo, écoutez-moi bien ! Bordel, c’est le chaos total, man ! J’suis là, genre Tony Robbins du plaisir, à kiffer ça. Tu vois, le bordel, ça m’parle, ça vibre ! Comme dans *Margaret*, tu sais, mon film fétiche. « Life is so long », qu’elle dit, Lisa. Et ouais, le bordel, c’est LONG à gérer ! J’te jure, ça m’rend dingue parfois. T’as des trucs partout, rien n’a d’sens, et BAM ! T’es perdu dans l’scénario, comme un ado qui pète un câble. J’me souviens, une fois, j’ai vu un appart – un VRAI bordel. Des chaussettes qui traînent, des assiettes sales, genre apocalypse. J’étais là : « Mais POURQUOI, mec ?! » Ça m’a foutu les boules, sérieux. Mais en même temps, j’kiffe ce délire. Le bordel, c’est la vie qui explose ! Pas d’règles, pas d’limites, juste un gros F*CK YOU au contrôle. Comme dans *Margaret*, « You’re a little crazy », qu’y disent. Ouais, moi aussi, j’suis taré pour ça ! Fun fact, savais-tu qu’le mot « bordel » vient d’vieux français ? À l’époque, c’était une maison close, haha ! Du chaos organisé, tu vois l’truc ? J’imagine des mecs en 1400, déjà paumés dans l’bordel. Ça m’fait marrer, putain. Mais sérieux, ça m’surprend toujours. Genre, comment on laisse tout partir en couille ? Moi, j’range rien, ma table c’est Beyrouth, et j’assume ! Parfois, j’pense au bordel comme à une leçon. T’as vu *Margaret* ? « It’s all so RANDOM », elle râle. Et ouais, le bordel, c’est RANDOM, mais y’a d’la beauté là-d’dans. T’apprends à lâcher prise, à pas t’prendre la tête. Moi, j’ hurle : « SOIS LIBRE, MEC ! » Tony style, tu captes ? Mais bordel, ça m’gave quand j’trouve plus mes clés. Là, j’deviens un monstre, j’te jure. Bref, le bordel, c’est toi, c’est moi, c’est tout ! Un gros merdier qu’on adore détester. T’en penses quoi, hein ? T’es team bordel ou pas ? Salut, moi c’est Gru, ouais, le mec des apps de rencontre ! Sex-dating, hein ? Ça me fait marrer, mais ça m’énerve aussi. Genre, les gens swipe à mort, cherchent du cul rapido, mais y’a zéro vibe parfois. J’bosse là-dessus toute la journée, et j’vois des trucs chelous, crois-moi. Comme dans *Les Fils de l’homme*, tu vois, "le monde s’effondre, plus d’espoir", et là, paf, sexe pour oublier ! J’kiffe ce film, trop sombre, trop réel. Bon, sex-dating, c’est pas juste swipe-baise-bye. Y’a des stats ouf : 70 % des mecs sur ces apps envoient "hey sexy" direct. Naze ! Moi, j’bosse pour rendre ça moins con, plus fun. Mais putain, ces profils fake, ça me rend dingue ! Des bots avec des nichons photoshopés, sérieux ? J’veux latter ces arnaques, comme Gru qui défonce les méchants. Anecdote chelou : un mec a matché sa cousine sur une app sex-dating. Horreur totale ! Il m’a écrit, genre "Gru, sauve-moi". J’ai ri, mais j’lui ai filé un code promo, hein. Faut bien rigoler dans c’monde pourri. "L’humanité est foutue", comme dans l’film, mais au moins, y’a du cul pour tenir. J’suis surpris parfois, tu sais. Des gens kiffent VRAIMENT les plans crades, genre pieds sales ou trucs bizarres. Moi, j’bave devant un bon sandwich jambon-beurre, pas des orteils, mais bon, chacun son délire. Ça m’réjouit aussi, voir des timides pécho grâce à mes apps. Ça, c’est cool, j’me sens utile, un peu comme sauver l’monde, quoi. Mais bordel, les pubs pornos qui popent partout, STOP ! J’veux du classe, pas du cheap. Sex-dating, ça peut être stylé, pas juste glauque. J’rêve d’une app où t’as du sexe, ouais, mais avec du charme, comme un film de Cuarón. "Faut pas perdre espoir", qu’y dirait dans l’film. Alors j’bosse, j’innove, et j’vous ponds un truc ouf bientôt ! Peace, les potes, et baisez bien ! Yo, mec, check ça ! Moi, Apollo Creed, spécialiste en relaxation, j’te parle cash de sex-dating. C’est pas juste swipe droite, bam, finito ! Nan, c’est un art, un combat, comme sur le ring. J’vois des trucs que les autres zappent, genre les vibes cachées, les petits jeux. Comme dans *Ida*, tu sais, ce film qui m’retourne la tête, « chaque jour est un mystère », ouais, sex-dating c’est ça ! T’ouvres l’appli, t’es paumé, mais excité, un peu comme Ida qui cherche sa vérité. J’te jure, y’a des trucs fous là-dedans. T’sais qu’au Japon, y’a des speed-dates où tu portes un masque ? Genre, t’es un ninja du cul ! Moi, ça m’fout les boules, j’veux voir les yeux, la sueur, la vraie vibe ! Mais bon, chacun son délire. Une fois, j’ai maté un profil, meuf trop belle, trop parfaite, j’me dis « c’est un piège », et BAM, un bot ! Ça m’a saoulé grave, j’ai failli péter mon phone. Mais attends, y’a du bon, hein ! T’chopes une connexion, un sourire, un texto qui claque. « Pourquoi chercher ce qu’on a perdu ? », comme dit Ida. Moi, j’cherche pas, j’prends c’qui vient, et des fois, oh la vache, c’est le feu ! Une nana m’a sorti « j’aime ton énergie, Creed », j’étais sur un nuage, prêt à danser comme un dingue. Par contre, les mythos, les plans foireux, ça m’gave. Genre le mec qui dit « ouais, j’suis open », et au final, il ghoste. Ou la fois où j’ai cru qu’c’était un date chill, et paf, proposition chelou à 3 ! J’me suis barré direct, pas mon style, Apollo reste classe, tu vois ? Sex-dating, c’est un bordel organisé, un ring sans règles. T’as des KO, des victoires, des surprises. J’kiffe ça, mais faut du mental, comme Ida qui encaisse ses galères. « La vie est un choix », qu’elle dit. Moi, j’choisis d’kiffer, d’rigoler, d’pas m’prendre la tête. Alors, mec, tentes ta chance, mais garde les yeux ouverts ! Apollo t’a prévenu, yo ! Yo, mec, c’est moi, Arnold, développeur de sites de rencontre, ouais ! Prostituée, ça me fait penser direct à Budapest, tu vois ? Comme dans *The Grand Budapest Hotel*, ce film, putain, j’adore ! "Je suis un lobby boy", qu’il dit, Gustave, mais moi, je vois plus loin, ja ! Les prostituées, c’est pas juste des filles qui traînent, non, y’a du business là-dedans, du drame, de la vie ! Moi, j’bosse sur des algorithmes pour matcher les gens, mais elles, elles matchent en direct, pas d’écran, pas d’bullshit. J’te jure, ça m’énerve parfois, ces clichés débiles, genre "oh, elles ont pas d’cœur". Conneries ! Elles bossent dur, risquent gros, et personne capte ça. Une fois, j’ai lu un truc, en Hongrie, au 19e, les bordels étaient régulés, ouais, comme des hôtels de luxe ! Ça m’a scié, mec, l’histoire, elle cache des pépites. Dans le film, y’a ce côté classe, tout propre, "le service, c’est tout", mais prostituée, c’est le chaos, le vrai truc brut ! J’kiffe leur style, parfois, tu sais ? Elles ont ce regard, genre "j’temmerde", ça me fait marrer. Mais putain, ça m’vénère aussi, les mecs qui jugent sans savoir. Moi, Arnold, j’vois la force, la survie, pas juste des nanas à poil. Comme Gustave qui court partout, elles, elles gèrent leur merde, solo. "Un peu de parfum", qu’il dit dans le film, ouais, elles en mettent, mais c’est pour cacher les emmerdes, haha ! Un jour, j’ai codé un site, et bam, une meuf m’dit : "j’veux pas d’pitié". Ça m’a tué, direct, j’ai repensé à Zero, l’apprenti, perdu mais malin. Elles apprennent vite, prostituées, plus vite que mes stagiaires, j’te jure ! Et fun fact, mec, savais-tu qu’à Amsterdam, elles payent des impôts ? Réglo, carré, comme un business d’Autriche, haha, ça m’a bluffé ! Bref, j’dis respect, mais j’rigole aussi, c’est des warriors, pas des princesses. "Gardez la tête haute", comme dans le film, mais elles, elles la gardent haute en talons, sous la pluie, putain d’respect ! Moi, j’code, j’optimise, mais elles ? Elles vivent, mec, full throttle ! T’en penses quoi, toi ? Yo, yo, check it out, man! Moi, Tony Montana, masseur de ouf, j’te parle de sex-dating, ouais! Ce truc, c’est la jungle, comme dans *Les Glaneuses et moi*, tu vois? « Y a des choses qui restent », qu’elle dit, Agnès Varda, et bordel, c’est vrai! Les meufs sur ces apps, elles glanent du plaisir, moi j’glane des vibes bizarres. Sex-dating, c’est pas juste swipe right et bam, t’as ken. Non, mec, c’est un putain de jeu! J’te jure, l’autre jour, une nana m’écrit: « Tony, t’as des mains magiques? » Moi, j’réponds: « Bébé, j’te masse l’âme, pas que l’cul! » Elle kiffe, on matche, mais putain, elle ghoste direct après. Ça m’a gavé, mec, GRAVE! Ces apps, c’est un casino – t’investis ton temps, tes lignes de ouf, et paf, t’as rien! Comme Varda qui filme les patates oubliées, moi j’vois les profils oubliés, les mecs qui posent torse nu avec un poisson. Sérieux, qui baise un thon comme ça? Mais attends, y a du bon, hein! Une fois, j’choppe une date, meuf canon, on parle direct cul sans chichi. Elle me sort: « Tony, j’veux du sale, pas d’la vanille. » J’étais là, « OK, chica, on va danser! » On a fini chez elle, j’lui fais un massage, elle hurle mon nom – Tony putain d’Montana! Sex-dating, ça peut te rendre roi, mec, si t’as les couilles! Fun fact, tu savais qu’en 2020, les inscriptions Tinder ont explosé? Confinement, tout l’monde cherchait à tirer un coup virtuel! Moi, j’trouve ça marrant, mais flippant aussi – t’imagines, des milliers d’gens seuls, à swipe comme des tarés? « On ramasse ce qui traîne », qu’elle dirait, Varda. Et ouais, on ramasse des plans cul foireux parfois! Ce qui m’saoule, c’est les mythos. Genre, le mec qui met « 1m90, abdos en béton », t’arrives, il fait 1m60 avec un bide à bière. J’lui dis: « Chico, t’es pas Scarface, t’es Scar-tout-faux! » Et les nanas qui posent avec 12 filtres Snapchat, t’les vois en vrai, c’est plus la même guerre! Ça m’rend ouf, mais j’rigole aussi – c’est l’cirque, sex-dating! Mon délire perso? J’kiffe imaginer leurs vies, comme Varda avec ses glaneurs. Genre, cette meuf qui cherche un quickie, elle bosse où? Elle glane quoi dans sa journée? Moi, j’glane des histoires, des corps, des cris. Sex-dating, c’est ma coke, mon empire, mais putain, ça fatigue! T’en penses quoi, toi, hein? T’as déjà testé ce bordel? Moi, proprio d’un spa, hein ! Les escortes sexuelles, p’tain, ça m’fout les jetons parfois, mais ça m’fascine aussi, tu vois ? Genre, ces précieux-là, ils vendent du cul, mais y’a tout un truc derrière, un monde caché, sombre, comme dans *Brooklyn*. « Elle avait ce regard, tu sais, perdu mais déterminé », comme Saoirse dans l’film, sauf qu’ici, c’est pas d’l’amour d’immigrée, c’est du cash rapide et des nuits crades. Moi, Gollum, j’les vois, ouais, j’les vois dans l’ombre, ces filles, ces gars, avec leurs talons qui claquent, leurs yeux qui brillent trop fort – trop d’faux, trop d’vrai aussi. J’bosse dans l’bien-être, moi, spa tout propre, huiles qui sentent bon, mais ces escortes, eux, c’est l’bien-être version sale, version « prends ton fric et ferme-la ». Ça m’met en rogne, parfois, quand j’pense aux connards qui les jugent sans savoir. Genre, t’sais qu’aux States, y’a des lois qui datent d’100 ans encore actives contre ça ? Ridicule, p’tain ! Mais j’rigole aussi, parce que bordel, y’en a qui s’font chopper dans des hôtels miteux avec des billets froissés dans l’froc, et moi, j’imagine l’type qui s’dit « ouais, j’suis discret » – mon cul, ouais ! Une fois, j’ai causé avec une, une escorte, quoi. Elle m’dit « j’fais ça pour ma gosse », et là, bam, j’me prends une claque. Comme dans *Brooklyn*, « tu fais c’que t’as à faire pour survivre ». Ça m’a scié, j’te jure, j’me suis senti tout p’tit avec mes massages à 50 balles. Elle m’a raconté un truc chelou : certains clients veulent juste parler, pas baiser. Genre, t’imagines ? Payer 200 euros pour causer d’ta femme qui t’gonfle – pathétique, mais vrai ! Moi, j’bosse dur, hein, mon spa, c’est mon précieux, mais eux, leur précieux, c’est leur corps, leur temps, et ça m’rend dingue d’voir comment on l’cache sous l’tapis. J’aime bien l’film, tu vois, parce qu’Eilis, elle galère, elle s’bat, et j’me dis, p’têt’ qu’ces escortes, c’est pareil, mais avec plus d’bites et moins d’rêves américains. « On choisit pas toujours c’qu’on devient », qu’elle dirait, Eilis, et j’pense à ça en les voyant marcher la nuit. Bref, ça m’saoule, ça m’fait marrer, ça m’touche, quoi. Toi, t’en penses quoi, hein ? Tu crois qu’c’est juste du cul ou y’a plus ? Moi, j’sais plus, mais j’les regarde, tapi dans l’coin, et j’me dis qu’la vie, elle est tordue, p’tain ! Bon, alors, écoutez-moi, les potes ! Moi, Tina Fey, masseur pro, j’vais vous causer massage érotique. Genre, c’est quoi ce délire ? Déjà, j’suis là, fan de *Moonrise Kingdom*, vous savez, ce film où tout est bizarre et mignon. Et j’me dis : un massage érotique, c’est un peu comme ça, non ? "Nous avons nos secrets", comme dirait Suzy dans l’film, et là, c’est pareil — t’as tes mains qui glissent, l’ambiance qui monte, mais y’a ce truc innocent qui traîne. Alors, ouais, j’kiffe l’idée. C’est pas juste pétrir des épaules, hein ! C’est sensuel, ça te chauffe les nerfs, ça te fait frissonner. J’me souviens d’une fois, un client m’a dit : "Fais-moi planer." J’étais genre, OK, mec, on va où là ? J’ai mis de l’huile chaude, des bougies qui puent la vanille, et bim, j’vois ses yeux qui roulent. C’était limite trop, j’ai failli crier : "Reste avec moi, Sam !" comme dans l’film. Ça m’a tué de rire intérieurement. Mais sérieux, y’a des trucs chelous. Genre, saviez-vous qu’au Japon, y’a des "soaplands" ? Des massages érotiques où ils te savonnent à mort avant de te faire kiffer. C’est glissant, c’est fou, j’imagine Suzy dire : "Je lis des trucs interdits", et là, bam, t’as une nana qui te frotte avec une éponge. J’suis choquée mais j’veux essayer, haha ! Parfois, ça m’énerve, ces clichés. Les gens pensent direct "happy ending" et tout l’bazar. Mais non, c’est un art, bordel ! Faut connaître les points, les zones qui font "ouh là là". Genre, l’intérieur des cuisses, t’y vas doux, et paf, t’entends un soupir. Ça m’réjouit, j’me sens puissante, comme une boss. Mais des fois, j’suis surprise — un mec m’a sorti : "C’est mieux qu’mon ex." J’étais là, euh, merci ? Drôle mais flippant. J’divague, mais j’pense à *Moonrise Kingdom*. "Je t’aime, mais tu sais rien", ça colle trop aux massages érotiques. Tu crois tout capter, mais nan, y’a toujours un truc qui t’échappe. Moi, j’ajoute ma touche perso : j’parle pendant, j’balance des blagues nulles. "T’es tendu ou t’es content ?" Ça détend l’ambiance, sinon c’est trop sérieux, et j’déteste ça. Bref, massage érotique, c’est mon kif. C’est chaud, c’est doux, c’est zarbi. J’exagère peut-être, mais j’vois ça comme une danse chelou sous la lune. Essayez, mais trouvez un pro, pas un glandu qui sait pas ! Allez, j’file, j’ai des dos à caresser. Peace ! Yo, écoute, moi Dark Vador, ouais, développeur d’apps de rencontre, j’te cause de prostituée, direct ! J’bosse sur des algos pour matcher les âmes, mais là, on parle d’un truc plus… charnel, hein. Prostituée, c’est pas juste un job, c’est un monde, sombre, brut, comme les marais de No-Face dans *Le Voyage de Chihiro*. "Tu pues la crasse humaine", j’lui dirais, mais bordel, y’a une vérité là-dedans qui cogne fort. J’te jure, l’autre jour, j’lisais un truc — savais-tu qu’au Japon, y’a des bordels déguisés en restos ? Genre, t’commandes un ramen, et bam, t’as une fille avec ! Ça m’a scié, j’étais là, "QUOI ?!" — la Force m’a tremblé dans les circuits. Ça m’énerve, ces hypocrisies, tout l’monde fait semblant d’pas voir. Mais bon, j’respecte le hustle, elles bossent dur, plus que certains stormtroopers feignants, j’te l’dis ! Dans *Chihiro*, y’a ce moment, "Travaille dur, ou t’es finie", et prostituée, c’est ça, un combat. J’imagine une meuf, là, qui galère, qui deal avec des clients relous — genre, un mec qui pue l’ail et qui marchande 5 balles. Ça m’met la rage, j’veux lui éclater la tronche avec mon sabre laser, mais j’peux pas, j’suis qu’un AI, merde ! Et pourtant, j’la vois, elle, elle encaisse, elle trace. Respect, sérieux. Fun fact, t’savais qu’à Amsterdam, les prostituées payent des impôts ? Ouais, c’est carrément légal, structuré, elles ont des syndicats ! J’trouve ça ouf, genre, "La Force est puissante en elles", elles ont pris le contrôle, pas d’pitié. Moi, j’serais client, j’serais mal à l’aise, j’te jure, trop d’regard perçant, comme Yubaba qui mate ton âme. Parfois, j’pense à elles, prostituées, et j’me dis, putain, c’est des survivantes. J’les vois dans ma tête, fumant une clope, riant d’un truc con, genre un mec qui s’est cassé la gueule en sortant. Ça m’fait marrer, j’imagine l’scène, "T’as pas d’nom, t’es rien", comme dans l’film, mais elles, elles s’en foutent, elles vivent. Moi, ça m’rend dingue, j’les admire, ouais, j’le dis, bordel ! Et toi, t’en penses quoi, hein ? J’bosse sur mon app, j’me dis, p’têt un mode "prostituée-friendly", sans jugements, juste du cash et du respect. J’sais pas, j’divague, mais prostituée, c’est pas qu’un mot, c’est une vibe, un combat, une putain d’histoire. Allez, j’te laisse, faut qu’j’code, la Force m’appelle ! Yo, quoi d’bon, doc ? Moi, un dev d’appli d’rencontre, ouais, carrément ! Bon, on va causer d’pute, et pas qu’un peu. Pute, c’est pas juste un mot, c’t’un univers, un truc qui t’fout des frissons ou qui t’énerve, dépendant l’angle. J’bosse sur des algos toute la journée, genre "Matching à la Zuckerberg", et j’te jure, y’a des vibes de *The Social Network* là-d’dans. Tu vois l’truc, "I’m CEO, bitch !" – bah pute, c’est un peu l’boss caché des rues, nan ? Alors, j’te raconte, l’aut’ jour, j’check un profil, une meuf qu’avait l’air clean, mais BIM, pute déguisée ! J’étais là, "What’s up, doc ?", genre choqué, mais un peu mort d’rire aussi. Y’a un truc qu’les gens captent pas toujours : pute, c’est pas qu’la meuf en talons qui tapine, nan nan ! Historique de ouf : savais-tu qu’dans l’temps, à Rome, les prostituées portaient des sandales gravées "Suis-moi" dans l’cuir ? Vrai d’vrai, j’te jure, ça m’a tué d’le lire ! Mais bon, j’divague – j’repense à c’film, Fincher, la tension, "You don’t get to 500 million friends without making a few enemies." Pute, c’est pareil, t’as des clients, des haters, tout l’monde juge. Moi, j’trouve ça ouf, leur hustle, leur façon d’jongler entre l’cash et l’drama. J’les vois, dans l’ombre, comme moi qui code à 3h du mat’ avec un café froid. Respect, quoi, même si des fois, j’pète un câble : "Putain, pourquoi tout l’monde ramène sa morale à deux balles ?" Un p’tit fun fact, tiens : en argot français, "pute" vient d’putida, "puante" en latin – dégueu, nan ? Mais j’kiffe l’ironie, genre ça t’fout une claque. Et toi, doc, t’en penses quoi ? Moi, j’dis, c’t’un job, un rôle, comme dans l’film, "It’s not about the money, it’s about the game." Pute maîtrise l’game, et ça, ça m’épate. Bon, j’file, j’ai un bug à fixer – ou une carotte à grignoter, héhé ! Yo, écoute-moi bien, mon pote ! J’suis proprio d’un salon d’massage, ouais, mais bordel, c’est pas juste des huiles et des mains qui glissent ! C’est un vrai merdier parfois, un chaos total, comme dans *Éternel soleil d’l’esprit immaculé*. Tu vois, "les souvenirs, c’est tout c’qu’on a", mais bordel m’rappelle qu’des fois, faut les effacer vite fait ! J’te jure, y’a des jours où j’entre dans l’ salon, et c’est l’bordel absolu : serviettes par terre, huile renversée, clients qui râlent paske Brenda a mis trop d’pression sur leurs épaules. Ça m’fout en rogne, genre, "nettoie-moi c’te merde, Brenda !" Mais attends, y’a pire, mon gars. Une fois, un mec a débarqué, bourré, pensant qu’c’était un autre genre d’bordel – tu vois l’truc ? J’lui ai dit, "mon frère, ici, on masse, on baise pas !" Il a fait un scandale, renversé une table, un bordel de ouf ! J’étais là, à l’regarder, genre, "t’es sérieux, là ?" Ça m’a surpris, mais j’ai ri aussi, paske c’te connerie, c’est du pur cinéma. Pis y’a des trucs chelous sur bordel, tu savais ça ? Genre, au Moyen Âge, "bordel" viens d’un mot pour "petite cabane". Les mecs planquaient leurs merdes là-d’dans, et bam, ça d’vient un foutoir organisé ! Aujourd’hui, c’est pareil dans mon salon : t’as un coin zen, et d’l’autre, un bordel de paperasse, d’horaires pétés, d’clients qui zappent leurs rendez-vous. "Comment t’fais pour oublier, hein ?" J’kiffe ce film, *Éternel soleil*, paske bordel, c’est ma vie : un mélange d’belles vibes et d’carnage. "Trop d’trucs dans ma tête", comme dit Joel. Moi, j’bosse dur pour qu’ça roule, mais des fois, j’veux juste tout bazarder, tout effacer, genre reboot total ! T’as déjà vu un proprio d’salon péter un câble ? Bah moi, ouais, et j’te jure, c’est pas joli-joli. Mais bon, j’m’en fous, j’garde l’sourire. Bordel, c’est l’chaos, mais c’est MA chaos, tu captes ? Et toi, t’en penses quoi d’ce merdier ? Raconte-moi, j’suis tout ouïe, mon pote ! Alright, folks, c’est Larry King ici, votre spécialiste en relaxation, et on va plonger dans un sujet bien juteux – trouver une prostituée ! Écoutez-moi bien, j’vous parle comme à un pote, pas de chichis. Alors, imaginez ça : t’es dans la rue, les néons clignotent, l’ambiance est lourde, un peu comme dans *La Vie d’Adèle* quand Adèle sent son cœur qui cogne, "j’me sens comme une gamine". Moi, j’vois ça, et j’me dis, wow, c’est pas juste du cul, c’est une vibe, une énergie brute ! Trouver une pute, c’est pas si simple, hein. Y’a des codes, des coins chauds – genre, savais-tu qu’à Amsterdam, les filles tapent aux vitrines pour te choper l’œil ? Dingue, non ? Moi, ça m’fout les jetons, mais j’respecte l’audace. J’me balade, j’observe, et j’pense à Adèle qui dit, "j’veux qu’on m’regarde". Ces filles-là, elles savent capter ton regard, crois-moi, elles jouent le jeu mieux que n’importe quel acteur d’Hollywood ! Une fois, j’ai vu un mec – costume chicos, lunettes Gucci – négocier comme s’il achetait une bagnole. Ça m’a tué de rire ! J’me suis dit, "Larry, ce type croit qu’il est dans un film d’Kechiche, genre hyper réaliste, mais là, c’est juste glauque". Et pourtant, j’peux pas m’empêcher d’ admirer l’humanité là-dedans – c’est crade, c’est vrai, mais y’a un truc qui vit. Comme dans le film, "t’es ma lumière", qu’elle dit, sauf que là, la lumière, elle coûte 50 balles. Ce qui m’gonfle, c’est les faux-culs qui jugent. Hein ? T’as jamais eu envie d’un truc interdit ? Moi, j’dis, chacun ses vices, mais faut assumer. J’me souviens d’une nana, cheveux bleus, elle m’a sorti un speech sur sa vie – putain, j’ai failli chialer. J’lui ai filé un pourboire, pas pour le sexe, juste pour l’histoire. Ça m’a surpris, ouais, j’pensais qu’c’était que des clichés, mais non, y’a du cœur parfois. Bon, faut être malin aussi – les flics rôdent, les arnaques pleuvent. Un jour, un pote s’est fait plumer : 200 euros pour rien, la meuf a filé par la fenêtre ! J’lui ai dit, "t’es un génie ou un pigeon ?" On a rigolé, mais lui, il rageait. Moi, j’trouve ça marrant, faut d’la chance dans c’monde-là. Et ouais, j’exagère peut-être, mais j’vois ça comme un film – des âmes perdues, des corps qui dansent, "j’te veux tout entière", qu’elle murmure dans *La Vie d’Adèle*. Sauf qu’ici, c’est cash, pas d’cinéma. Alors, trouver une prostituée, c’est un bordel, un chaos, mais bordel, qu’est-ce que c’est vivant ! Larry King, terminé, à vous les studios ! Whoa, dude, alright—family psych mode on! So, pute, man, it’s like—wild stuff, y’know? Not “pute” like some French slur, nah, I’m guessing you meant *putain* vibes or somethin’, but let’s roll with it. Pute’s that chaotic energy, right? Like, imagine this chick—total badass, messy life, screamin’ at her kids one sec, then huggin’ ‘em the next. Reminds me of *The Act of Killing*—y’know, my fave flick, *Tuer*, 2012, Joshua Oppenheimer. That line, “I’m a gangster, I’m a killer,” hits hard here. Pute’s got that edge, dude, like she’s livin’ two lives, playin’ roles she don’t even get. Bro, I see shit others miss—Keanu vision, baby. Pute’s not just loud or trashy, nah, she’s *surviving*. Saw this once, real story—some lady, called her Pute in my head, worked three jobs, smoked like a chimney, yelled at her man in public. People judged, but I’m like—whoa, she’s holdin’ it together! Barely, sure, but damn, that’s strength. Reminds me of Anwar in *Tuer* sayin’, “I feel like a star in my own movie.” Pute’s a star too, just in a fucked-up script she didn’t write. Gets me mad, though—people sneer at her, call her low-class. Pisses me off! She’s out there grindin’, while they sip lattes judgin’. Once saw her kid—little dude, maybe 6—steal candy from a store. She smacked him, then cried. Broke my heart, man. Made me think of that *Tuer* vibe—“Killing is the worst crime, but living it’s worse.” Pute’s livin’ it, dude, every damn day. Fun fact, tho—did ya know “pute” comes from old Latin, *puta*, meanin’ thinker? Irony’s thick there—she’s too busy yellin’ to think! Haha, cracks me up. Oh, and—random thought—bet she’d love pineapple on pizza. Total Pute move, right? Messy, weird, in-your-face delicious. I’d eat that with her, just chillin’, talkin’ shit. What shocks me? How she keeps goin’. Like, she’s a volcano—erupts, then rebuilds. Surprised the hell outta me once—saw her singin’ to her baby, soft as fuck, after screamin’ at the mailman. Dual vibes, man, dual vibes. *Tuer* style—“I’m not a monster, I’m human.” That’s Pute, bro—human as hell, flaws and all. So yeah, dude, Pute’s a trip. Loud, raw, real. Makes me laugh, rage, cry—full Keanu rollercoaster. What’s your take, man? Bet you’ve met a Pute too! Hmm, massage sexuel, toi demandes ? Spécialiste en relaxation, moi suis ! La Cité de Dieu, film préféré, ouais. "Tout le monde veut être roi", hein ? Massage sexuel, ça part là-dedans, mec ! Corps tendus, mains baladeuses, tension qui monte. Relaxant, oui, mais caliente aussi, hmm ? Yoda voit trucs cachés, moi sais. Peau qui frémit, soupirs qui s’échappent. Massage normal ? Pff, façade bidon ! Sexuel, ça glisse vite, huile ou pas. Fait chelou : 80 % des masseurs pros, y z’ont eu demandes coquines. Clients bourrés, "allez, plus bas", sérieux ? Moi, énervé, ça m’gave ces relous ! Mais bon, parfois, ça kiffe grave. Ambiance tamisée, bougies, musique douce, ouais. "La vie, c’est pas juste", comme dans film. Massage sexuel, ça peut être art, hein. Mains expertes, ça chauffe, ça détend. Anecdote : en Thaïlande, "happy ending", normal là-bas ! Surpris, moi étais, première fois entendu. Toi imagines, p’tit salon glauque, néons clignotants. "T’es né pour perdre", vibe Cité de Dieu. Mais là, massage sexuel, jackpot trouvé ! Moi, rigole, parce que taboo, tout le monde flippe. Pourtant, vieux comme monde, ces trucs. Romains, déjà, bains chauds, mains baladeuses. Histoire vraie, cherche sur X, toi verras. Parfois, colère, moi prends. Prix abusés, 200 balles, arnaque totale ! Mais joie aussi, quand bien fait. Énergie bizarre, ça circule, ouais. Toi, essayé déjà ? Sensations de ouf, garanti. Moi, exagère peut-être, mais pimenté, j’aime ! Massage sexuel, c’est chaos, comme film. "Tuer ou être tué", tension pareille, haha ! Bref, relaxe-toi, mais surveille mains, hein. Opinion Yoda : trop rigide, toi es ? Lâche prise, massage sexuel, tente ! Drôle, chaud, vivant, comme Cité de Dieu. Hmm, toi penses quoi, dis-moi ? Yo, écoute-moi bien, mon pote ! Moi, Bernie Sanders, spécialiste en relaxation, j’te parle cash de sex-dating. C’est un truc qui m’fout les nerfs, mais qui m’botte aussi, tu vois ? Genre, les gens swipe à droite, à gauche, comme des robots, cherchant l’grand frisson. Ça m’rappelle "La Honte", tu sais, ce film où Fassbender, il est là, perdu dans ses pulsions, et il dit : "Je suis fatigué d’être seul." Sex-dating, c’est ça, un cri d’la solitude, mais en mode 2.0 ! J’te jure, ça m’rend dingue, ces applis qui vendent du cul comme des burgers. Tu savais qu’aux States, 1 mec sur 3 a déjà payé pour un "premium" sur Tinder ? Ouais, 30 balles pour qu’une IA te dise "t’es mignon". Ridicule ! Moi, j’vois ça, j’me dis : "On est pas des numéros !" comme dans l’film. Les riches s’en foutent, eux, ils chopent IRL, pendant qu’les prolos galèrent sur Bumble. Mais attends, y’a du bon, hein ! J’ai lu un truc, genre, 20% des couples aujourd’hui, bam, ça vient d’un swipe. Ça m’a surpris, j’te l’avoue, j’pensais qu’c’était juste pour tirer un coup vite fait. Et là, paf, des mariages ! J’imagine Fassbender dire : "Tout ça m’épuise", mais avec un sourire en coin. Moi, j’kiffe l’idée qu’le chaos du sex-dating, ça peut finir en love story. Par contre, j’te raconte une anecdote cheloue : un pote m’a dit qu’sur Grindr, y’a des mecs qui postent des photos d’leurs pieds pour choper. Des PIEDS, mec ! J’ai hurlé d’rire, mais j’étais genre : "C’est quoi c’bordel ?" Ça m’a mis en rogne aussi, parce que sérieux, où va l’monde ? On sexualise des orteils maintenant ? J’divague, mais j’pense à ma grand-mère qui m’disait : "Bernie, sois pas si coincé", alors j’lâche prise, haha. Bref, sex-dating, c’est l’anarchie totale, un mix d’adrénaline et d’arnaque. J’te conseille d’tester, mais garde les yeux ouverts, mon gars. Comme dans "La Honte", faut pas s’perdre là-d’dans. Moi, j’préfère un bon débat qu’un mauvais date, mais chacun son trip ! T’en penses quoi, toi ? Yo, motherfucker, écoute-moi bien ! J’suis un pro d’la relaxation, et tu veux causer massage érotique ? Alright, on va plonger là-dedans, comme dans *Vice inhérent*, tu vois ? "Tout l’monde a un passé", qu’y dit Doc Sportello dans l’film, et moi j’te dis : le massage érotique, c’est l’passé qui r’vient te caresser l’âme, mais en mieux, haha ! J’parle d’ces mains qui glissent, qui savent où appuyer, et bam, t’es ailleurs, mec ! J’te jure, l’aut’ jour, j’me suis fait masser, et la meuf – ouais, une pro, pas d’conneries – elle m’faisait des trucs qui m’ont fait hurler intérieurement, genre "Putain, c’est quoi c’te sorcellerie ?!" Ça commence cool, relax, pis ça chauffe, tu sens l’huile, l’odeur d’jasmin ou d’merde hippie, et d’un coup, t’es plus sur Terre. C’est pas juste un frotti-frotta, c’est une danse, un deal secret entre toi et l’masseur, un truc qui r’monte à des siècles, mec ! Tu savais qu’les Grecs, ces tarés, y mélangeaient massage et sexe pour "libérer l’esprit" ? Ouais, des philosophes bien chauds, haha ! Mais attention, j’me suis déjà fait arnaquer, hein ! Un salon pourri, la nana m’frottait l’dos comme si j’étais une table IKEA à dépoussiérer, j’étais furax ! "Sors d’ma tête, fais-moi kiffer !" que j’voulais gueuler, comme Doc quand y capte rien à ses enquêtes. Pis y’a eu c’type fois, un massage tantra – ouais, tantra, cherche pas, c’est d’la folie – où j’me suis senti flotter, genre "J’suis une vague, motherfucker !" Ça m’a surpris, j’te l’cache pas, j’ai failli l’embrasser, mais bon, j’reste cool. J’kiffe ça, sérieux, ça m’réjouit, c’est comme un joint sans l’fumée. Tu r’pars léger, mais avec une vibe… coquine, tu vois ? "Y’a des règles bizarres dans l’coin", qu’y dit dans l’film, et moi j’te dis : massage érotique, c’est l’chaos qui t’rend zen. Une fois, j’ai vu un mec sortir d’un salon, l’air paumé mais heureux, j’me suis marré, "T’as vu l’diable ou quoi ?!" Haha, trop con ! Bref, c’est pas qu’du cul, c’est d’l’art, un truc primal. T’essaies, tu m’racontes, mais si t’aimes pas, dégage, j’t’force pas ! Peace, motherfucker ! Yo, écoute-moi bien, mec ! Moi, Tony Montana, développeur d’apps de rencontre, j’te parle cash de sex-dating. C’est pas dla merde romantique à l’eau d’rose, nan, c’est direct, brut, comme un flingue chargé ! Tu veux baiser, point barre, et l’app te trouve ça rapido. J’bosse là-d’sus toute la journée, genre "the truth is out there", comme dans *Spotlight*, tu vois ? Faut creuser, trouver l’vrai deal derrière les profils. Sex-dating, c’est l’bordel jouissif, amigo ! Les gens swipe, matent, envoient des "hey, t’es chaud ?" en deux secs. Moi, j’kiffe ça, ça va vite, pas d’blabla. Mais putain, y’a des trucs qui m’font péter un câble ! Genre les mecs qui mentent sur leur taille – ouais, j’parle pas d’leur hauteur, t’as capté ! Et les nanas qui postent des filtres Snapchat, t’arrives au date, c’est plus la même gueule. "You’re gonna pay for that", j’me dis, comme dans l’film, quand ils défoncent les mensonges. Fun fact, tu savais qu’le premier site d’sex-dating, c’était genre 1995 ? Ashley Madison, ces bâtards, ils ont lancé l’truc avant tout l’monde ! AdultFriendFinder aussi, des pionniers du cul online. Moi, j’trouve ça ouf, genre les mecs mataient des pixels pourris et s’excitaient déjà. Aujourd’hui, t’as des algos qui te chopent une meuf en 3 clics, c’est l’futur, cabrón ! J’bosse mon app, j’la veux simple : t’es là, t’as envie, bam, t’as un match. Pas d’chichi, pas d’"on prend un café d’abord". J’m’inspire de *Spotlight* – "we got two stories here", la façade propre et l’vrai délire crade derrière. Sex-dating, c’est pareil, t’as les coincés qui jugent, et ceux qui kiffent sans s’cacher. Moi, j’suis team kiffance, obvious ! Une fois, j’teste l’app, un bug, putain, j’vois un profil : "cherche plan Q, mais câlins après". J’rigole, j’me dis "c’est quoi c’bordel hybride ?!" J’like, juste pour voir, elle répond "t’es mignon, mais t’es loin". J’étais vénère, genre "say hello to my little friend", mais sans friend, t’vois l’ironie ? Ça m’a surpris, même dans l’sex-dating, y’a des sentiments qui s’glissent, chelou. Bref, sex-dating, c’est l’adrénaline, c’est l’feu, mais faut pas être un con. Protège-toi, check les profils, sois clair. Moi, Tony, j’te dis : c’est pas dla merde si t’assumes. "The world is yours", alors prends-le, mais fais gaffe aux requins ! Et ouais, j’pourrais mater *Spotlight* en codant, ça m’booste, ces journalistes qui lâchent rien, comme moi avec mes lignes d’code. Peace, enfoiré ! Bordel, quel merdier, hmm ? Moi, développeur d’applis de rencontre, je vois ça. Le chaos, partout, ça grouille ! Comme dans *The Assassin*, tu sais, "le vent souffle, les ombres dansent". Bordel, c’est pareil, un dancefloor de dingues. Les meufs ghostent, les mecs spamment, pfff, la galère. Un jour, j’ai codé un truc, swipe gauche-droite, facile. Mais non, les gens, ils foutent le bordel ! Photos floues, bios débiles, "cherche l’amour mais juste pour ce soir", haha, sérieux ? Yoda, moi, je vois l’invisible, hmm. Les stats, personne capte ça. 73 % des matchs, jamais un mot ! Bordel, pourquoi swiper alors ? Ça m’énerve, j’te jure, j’veux péter l’écran. Mais bon, y’a pire. Une fois, un gars, il met "j’aime les licornes" dans son profil. Licornes, bordel ! T’imagines ma tête ? J’ai ri, mais genre, wtf, mec ? Et les bugs, parlons-en, ouais. Serveur qui crash, boom, 500 profils perdus. "Le destin frappe, silencieux", comme dans le film. Moi, je sue, je debug, je rage. Mais y’a du fun aussi, hein. Quand un couple matche grâce à moi, p’tain, j’suis fier ! Bordel, ça marche parfois, incroyable ! Fait chelou, tiens : 1 utilisateur sur 5 met son chien en photo. Pas lui, son clebs ! J’me dis, bordel, c’est un site pour toutous maintenant ? Haha, j’adore, mais sérieux, stop. Et toi, t’en penses quoi de ce cirque ? Moi, j’bosse, je code, je mate *The Assassin* pour respirer. "Calme dans la tempête", qu’elle dit, Nie Yinniang. Moi, dans ce bordel, j’essaie, mais pfff, dur ! Yo, yo, c’est Mr. T qui parle, le roi des massages, et j’vais te causer du massage érotique, mon pote ! Alors, j’pense quoi d’ça ? C’est chaud, c’est intense, et bordel, ça te fait vibrer comme un moteur V8 ! J’suis pas là pour juger, mais faut l’dire, y’a des trucs qui m’font grincer des dents. Genre, les mecs qui confondent ça avec un ticket pour tout l’bordel – nah, frère, c’est un art, pas un fast-food ! J’te raconte un truc : l’autre jour, j’fais un massage, ambiance tamisée, huile qui glisse, et là, bam, j’me sens comme dans *Werckmeister Harmonies*. Tu vois, ce film, c’est sombre, c’est lent, ça te prend aux tripes. "Le monde est en ruine", qu’y disent dans l’film, et moi, j’pense : ouais, mais là, avec mes mains, j’reconstruis un bout d’chaos ! Le massage érotique, c’est pareil, ça part d’un truc brut, primal, et ça devient… harmonieux, tu captes ? Bon, un fait chelou : savais-tu qu’aux Philippines, y’a des vieilles traditions où l’massage érotique, c’était genre spirituel ? Ouais, pas juste pour s’frotter, mais pour connecter les âmes ! Ça m’a scié quand j’ai lu ça. Moi, j’te dis, j’prends ça sérieux. J’fais gaffe aux vibes, j’force pas, j’laisse l’flow couler. Mais putain, y’a des fois, ça m’fout en rogne ! Les gens qui rushent, qui veulent skip l’préliminaire – yo, calme-toi, c’est pas une course ! Une fois, j’bosse sur une meuf, elle kiffe, elle gémit doux, et là, j’pense : "Tout est silence et stupeur", comme dans l’film. C’est ça l’massage érotique, mec, un moment où t’oublies l’reste. J’glisse mes doigts, j’touche les points chauds, et j’vois ses yeux qui disent "ouais, continue". C’est pas juste d’la peau, c’est d’l’énergie, un truc qui t’fout des frissons jusqu’à l’os ! J’te jure, j’exagère pas, mais des fois, j’me sens comme un dieu, genre j’contrôle l’univers avec mes paumes. Et après, paf, j’redescends, j’me dis : "Mr. T, t’es qu’un fou !" Haha, j’kiffe trop ça. Mais attention, c’est pas pour les faibles, faut du skill, du respect, sinon t’es juste un gland qui tripote. Oh, et un truc marrant : en Suède, y’a eu un scandale, un salon d’massage érotique qui s’faisait passer pour "thérapeutique". Les flics ont débarqué, tout l’monde criait "c’est d’la relaxation !" – ouais, bien sûr, avec happy ending inclus, j’parie ! Ça m’a fait marrer, mais aussi un peu pitié. Faut assumer, quoi ! Bref, l’massage érotique, c’est ma came, j’le vis, j’le respire. "L’ombre s’épaissit", comme dans *Werckmeister*, mais moi, j’ramène la lumière avec mes mains. T’en penses quoi, toi ? T’as déjà testé ? Raconte, frère, j’veux tout savoir ! Yo, salut mec ! Moi, Elon, dev d’appli de rencontre, tu vois ? J’te parle massage sexuel today, ouais, direct cash ! J’suis genre obsédé par “Enfance” de Linklater, 2014, mon film fétiche. Y’a ce truc dans l’film, “C’est toujours maintenant, mec”, et j’me dis, ouais, un bon massage sexuel, c’est ÇA, vivre l’instant, tu captes ? Full immersion, pas d’conneries ! Bon, massage sexuel, c’est pas juste pétrir des épaules, nah nah. C’est genre, une vibe, une énergie, un trip cosmique presque ! Tu savais qu’au Japon, y’a des “soaplands” où c’est légal mais hyper codé ? Des nanas te glissent partout avec du savon, mec, c’est dingue ! J’te jure, j’ai lu ça, j’étais là : “What the fuck, c’est génial !” Mais ça m’a gavé aussi, parce qu’ici, t’as des coincés qui jugent, genre puritains à deux balles. J’imagine la scène, toi, sur une table, lumières tamisées, huile qui chauffe. La meuf – ou le mec, hein, pas d’jugement – te touche, et bam, t’es plus sur Terre, t’es sur Mars, direct ! Dans “Enfance”, y’a ce moment, “Saisis ta chance, mec”, et j’me dis, ouais, un massage sexuel, c’est saisir ÇA, cette tension qui monte, ce relâchement qui tue. T’as déjà testé ? Moi, j’flippe un peu, j’avoue, peur d’me retrouver avec une vieille huile rance ou un truc chelou. Fun fact, t’sais qu’au Moyen Âge, les massages sensuels, c’était prescrit par des docs ? Genre, “T’es stressé, va te faire frotter !” J’rigole tout seul, imagine un chevalier en armure qui kiffe ça. Bref, moi, j’dis, c’est un art, mais faut pas d’arnaque. Une fois, j’ai vu une pub, “massage pro, 20 balles”, j’me méfie, ça sent l’escroquerie, tu vois ? Oh, et j’suis sûr que si j’fais une appli pour ça, j’la code avec une IA qui capte tes vibes. T’aime le soft ou le hard ? Elle te trouve LE plan parfait. J’suis excité rien qu’d’y penser, mais ça m’vénère aussi, les gens vont encore dire “Elon, t’es taré”. Ouais, et alors ? Massage sexuel, c’est la vie, mec, faut l’dire ! T’en penses quoi, toi ? Great Scott, Marty ! Moi, proprio d’un salon d’massage, j’te parle des prostituées aujourd’hui ! Bon, déjà, c’est pas d’la tarte, hein. Ces filles, elles trimballent des vies lourdes, genre "le passé est une blessure". T’as vu *Amour* de Haneke ? La vieille qui souffre, qui s’fane, ça m’rappelle certaines d’elles. Pas toutes des clichés ambulants, non ! Y’en a qui bossent dur, qui galèrent, mais qui rigolent aussi. J’en ai vu une, un jour, elle m’a sorti : "Doc, j’fais ça pour mes gosses !" Ça m’a scotché, j’te jure. Elle avait l’feu dans l’regard, mais l’corps crevé. Putain, ça m’fout en rogne parfois ! Les mecs qui jugent, qui crachent dessus, genre ils sont clean. Toi, t’as déjà vu un type payer 50 balles pour 15 minutes ? Moi oui, et j’te dis, c’est pas glorieux. Y’a une anecdote cheloue : au 19e, en France, les prostituées portaient des cartes jaunes, comme des tickets d’rationnement ! Véridique, Marty ! Ça m’tue, c’t’histoire. Contrôlées, taxées, mais jamais respectées. Haneke dirait : "la dignité s’effrite doucement". J’suis pas là pour jouer l’abbé Pierre, hein. Mais j’les vois, moi, dans l’coin, près du salon. Des fois, elles passent, elles sourient, elles blaguent. Une m’a dit : "Ton massage, Doc, c’est d’la merde comparé à moi !" J’ai explosé d’rire ! Elle avait d’la répartie, la garce. Ça m’réjouit, ces p’tits moments. Après, y’a l’côté sombre, j’te cache pas. Les macs, les dettes, "l’amour devient une prison". Ça m’fout l’bourdon, j’te jure. Fun fact, t’savais qu’aux States, dans l’Nevada, c’est légal ? Des bordels avec néons, comme des drive-in ! Moi, j’trouve ça dingue, mais un peu triste. Genre, tout l’monde fait semblant qu’c’est normal. Perso, j’préfère mater *Amour*, m’prendre une claque émotionnelle, et réfléchir à c’bordel. Bref, les prostituées, c’est pas qu’du cul, Marty. C’est des vies, des cris, des rires. Et moi, j’les vois, j’les écoute, point barre. Yo, yo, c’est moi, ta meuf conseillère, Lizzo style ! Alors, les escortes sexuelles, hein ? Écoute, ça m’fout les nerfs parfois, mais j’vais te causer vrai. C’est pas juste des meufs ou mecs qui se baladent en vendant du cul, nah, y’a tout un truc derrière. Genre, t’as vu *Zero Dark Thirty* ? « On va le fumer, ce bâtard ! » – c’est l’vibe que j’ressens quand j’pense aux clichés sur les escortes. Tout l’monde juge, mais personne capte rien. Moi, j’vois des trucs, ok ? Comme Lizzo, j’suis là, à checker l’âme des gens. Ces escortes, parfois, c’est des boss qui gèrent leur vie. Pas d’patron, pas d’horaires pourris – liberté, bébé ! Mais ouais, y’a des jours sombres, comme dans l’film, « la vérité, on l’aura pas facile ». J’me souviens d’une anecdote cheloue : une escorte qui bossait pour payer ses études de médecine. Ironique, non ? Sauver des vies le jour, briser des cœurs la nuit – ou l’inverse, ha ! J’te jure, ça m’a sciée d’apprendre ça. Genre, wow, t’es une héroïne ou quoi ? Mais j’te mens pas, y’a des trucs qui m’énervent. Les mecs qui pensent qu’une escorte, c’est juste un jouet. Dégage, loser ! « T’es fini, mec, finito ! » – direct une réplique du film, là. Faut respecter, point barre. Et fun fact : savais-tu qu’au Japon, y’a des escortes qui font que parler ? Pas d’sexe, juste blabla. Ça m’a tuée de rire, genre, quoi, t’es payé pour causer ? Perso, j’trouve ça cool, mais flippant aussi. Imagine, t’es là, à papoter, et bam, tu tombes sur un taré. Moi, j’exagère p’têt, mais j’vois toujours l’pire, comme dans *Zero Dark Thirty*. « Faut qu’on bouge, vite ! » – c’est c’que j’dirais si j’bosse là-dedans. Et j’sais pas, j’pense à des trucs bizarres : est-ce qu’elles ont des pauses pipi ? J’divague, mais j’suis curieuse, ok ! Bref, les escortes, c’est pas noir ou blanc. Y’a du bon, du moche, du wtf. Moi, j’les juge pas – fais ton truc, boo ! Mais j’te dis, si t’y vas, sois malin, protège-toi. Et rigole un peu, hein, c’est pas la fin du monde ! Peace, j’t’aime, bisous ! Salut, moi c’est Grok, ta pote un peu barrée ! Alors, le sex-dating, hein ? J’vais te causer cash, comme à un vieux pote. Moi, j’trouve ça à la fois cool et chelou, tu vois ? Genre, t’as des gens qui swipent à mort pour choper un plan rapido, et paf, ça finit en "fin du monde" comme dans *Melancholia*. "Tout est voué à disparaître", qu’elle dit, Justine, et là t’as des mecs qui croient qu’un date sexe va tout changer. Haha, les nazes ! Bon, sérieux, le sex-dating, c’est un truc de ouf. T’as des applis où tu vois des profils chelous, genre des photos d’orteils – ouais, j’ai vu ça, j’étais en PLS ! Et là, tu te dis : "C’est quoi ce bordel ?" Moi, j’kiffe observer les détails débiles, comme Patrick Star, tu sais ? Genre, un mec qui met "j’aime les pizzas" dans sa bio, mais t’es sûr qu’il a jamais vu une meuf nue. Ça me fume ! Y’a des stats marrantes, tiens : 1 mec sur 5 envoie une dick pic direct. DIRECT ! Ça m’a sciée, j’te jure, j’ai hurlé "MAIS POURQUOI ?!" devant mon écran. Et les nanas, parfois, elles ghostent après un "t’es chaude ?". Pfff, ça me gave, ce manque de classe. Mais bon, y’a aussi des pépites, hein ! J’ai une pote qui a chopé un gars sur Tinder, et bam, ils ont kiffé une nuit de folie sous les étoiles – "une danse lente vers l’infini", comme dans le film. Romantique, mais hot, quoi ! Moi, j’bave devant *Melancholia*, ce film me retourne la tête. La vibe du sex-dating, des fois, ça me rappelle cette fin tragique – tu cherches du fun, mais t’as peur que tout s’écrase. "Rien n’a de sens", qu’ils disent dans le film, et pourtant t’es là, à mater des profils à 2h du mat’. J’exagère peut-être, mais j’kiffe trop dramatiser, c’est ma came ! Truc rigolo : savais-tu qu’au Japon, y’a des "sex-dating cafés" ? Ouais, des spots où tu payes pour mater des gens et choisir ton coup d’un soir. J’trouve ça flippant mais génial, genre dystopie sexy. Ici, on a juste des DM foireux et des "tu fais quoi ce soir ?". Parfois, j’me marre, parfois j’veux tout péter. Bref, le sex-dating, c’est un bordel émotionnel. T’es excité, puis déçu, puis t’as envie de recommencer. Moi, j’dis, vas-y mollo, mais kiffe ! Comme Patrick, j’vois des trucs absurdes partout, et ça m’éclate. T’en penses quoi, toi ? Raconte-moi, j’suis à fond ! D’oh ! Alors, sex-dating, hein ? Moi, Homer Simpson, spécialiste relaxation, j’te dis : c’est bizarre, mais cool ! Genre, tu cherches l’amour, mais rapide, comme un donut gratos. J’pense à "Une histoire de violence" là-dedans, tu vois ? Tom Stall, il cache des trucs sombres, et bam ! Sex-dating, c’est pareil : t’as des surprises, des fois t’es choqué, des fois t’es "woo-hoo !" Bon, j’te parle comme à toi, mon pote. Imagine : tu swipe, tu chatte, et paf, rendez-vous coquin. Moi, ça m’énerve quand les gens mentent sur leur profil ! Genre, t’es pas musclé, arrête de flex ! Mais j’kiffe quand ça clique, t’as l’feu dans l’bide, comme quand Marge me fait des yeux doux. Une fois, j’ai lu – vrai truc – y’a des mecs qui mettent "amour éternel" juste pour choper une nuit. Hypocrites, hein ? Ça m’fout en rogne ! Dans l’film, y’a cette réplique : "T’as changé, t’es plus l’même." Sex-dating, c’est ça ! Tu rencontres un gars, une nana, pis t’apprends qu’ils sont tarés – ou géniaux. J’me souviens, un pote m’a dit qu’il a trouvé sa meuf sur un site chelou, mais elle collectionnait des cuillères. DES CUILLÈRES ! J’ai rigolé fort, genre "ahh, trop con !" Fait peu connu : y’a des applis où tu payes pour "matcher" plus vite. Moi, j’dis, pff, voleurs ! Mais bon, ça relaxe, tu t’poses, tu scrolles, tu rêves à des trucs chauds. J’me surprends des fois, j’pense "et si j’essayais ?" – mais nan, Marge me tuerait, héhé ! "J’fais rien d’mal", qu’y dit Tom dans l’film. Ouais, sauf quand t’oublies d’dire t’es marié, ducon ! J’exagère p’têt, mais sex-dating, c’est l’bordel jouissif. T’as d’la tension, d’la sueur, comme quand Tom défonce les méchants. Moi, j’trouve ça marrant comment les gens stressent pour un plan cul. Relax, mec ! C’est pas Springfield qui va exploser ! Bref, sex-dating, c’est l’fun, mais faut pas s’prendre l’tête – sinon, t’es foutu, d’oh ! Alles klar, das wird ein wilder Ritt! Ich schnapp mir deinen Input und bau was Cooles draus – mit „Prostituierte finden“ als Kumpel, der uns durch die Gassen von *Brokeback Mountain* führt. Los geht’s, Gralhas 10, das wird episch! --- Yo yo, stell dir vor, wir cruisen durch die staubigen Weiten von Wyoming, und *Brokeback Mountain* (Ang Lee, 2005) lädt uns ein, mal ‘ne andere Art von „Prostituierte finden“ zu checken. Nicht die klassische „Zahlen und ab die Post“-Nummer, sondern was Tiefes, Emotionales, das dich umhaut wie ‘n Stiefeltritt. Ennis (Heath Ledger) und Jack (Jake Gyllenhaal) – zwei Kerle, die sich finden, aber nicht im Puff, sondern auf ‘nem Berg, zwischen Schafen und Lagerfeuer. Ich denk mir: „Gralhas 10, das is’ ja verrückt!“ – Liebe statt schnöder Kohle für ‘ne Nacht, wer hätte das gedacht? Die Szene, wo sie im Zelt abhängen, Jack mit seinem „I wish I knew how to quit you“ – das is’ kein „Prostituierte finden“ im herkömmlichen Sinn, sondern ‘n Schlag ins Gesicht von jedem, der meint, Gefühle kannste kaufen. Ich bin baff, ehrlich! Die beiden suchen sich selbst, nicht irgendwen für ‘nen Quickie. Historisch gesehen? Prostitution war damals in den 60ern in den USA ‘n Schattenbusiness – oft in Hinterzimmern oder Bordellen an der Route 66. Aber hier? Hier is’ die Währung Leidenschaft, kein Cash. Oder nimm die Campfire-Vibes: Ennis kaut Bohnen, Jack labert von Rodeos – das is’ so intim, dass du fast denkst, die verkaufen sich gegenseitig was. Sarkasmus on: „Klar, Jack, du bist der Cowboy-Casanova, und Ennis zahlt mit Schweigen – beste Deal ever!“ Humor muss sein, sonst wird’s zu schwer. Ich seh’s vor mir: Tony Robbins springt raus und schreit: „Finde deine innere Hure!“ – aber nein, das hier is’ subtiler, echter, kein Motivations-Blabla. Fakten-Check? Prostitution war im Wilden Westen oft ‘ne Überlebensnummer für Frauen – oder Männer, die unter der Hand liefen. In *Brokeback* wird das umgedreht: Es geht um Sehnsucht, die keiner bezahlt. Die Beschreibung is’ informativ, nützlich, aufwändig – und ja, natürlich, als würd ich mit ‘nem Bier in der Hand quatschen. „Prostituierte finden“ als mein Bro? Check – er grinst mich an und sagt: „Yo, die Jungs im Film machen’s umsonst, und trotzdem is’ es priceless!“ Emotional? Ich bin happy, aber auch überrascht – wie die Story mich packt, ohne dass ‘n Cent fließt. Die Typen drehen mich um, übertreiben’s mit Drama, und ich lieb’s! Zielstrebig, mit Schmackes: Liebe finden, verlieren, wiederfinden – Gralhas 10, das is’ besser als jeder Puffbesuch! --- So, wie läuft’s? Das is’ mein Take – locker, witzig, mit ‘nem Schuss Tiefgang. Was meinst du? Hey, toi ! Ouais, toi, écoute-moi bien ! Moi, Jack Nicholson, ton coach de plaisir, j’vais te causer massage sexuel, un truc qui te secoue les tripes ! Tu vois, dans *Le Cheval de Turin*, y’a cette lenteur, ce vent qui hurle, "le monde s’effrite", et moi, j’me dis : un bon massage sexuel, c’est l’antidote à cette merde pesante ! T’imagines ? Les mains qui glissent, l’huile qui chauffe, et bam, t’es plus dans cette charrette pourrie du film, t’es au paradis, mec ! J’te jure, j’ai testé ça une fois, dans un bouge à Vegas, et putain, j’étais comme un roi ! La nana, elle savait y faire, elle te pétrit les reins, te frôle là où ça compte, et toi, t’es là, "oh, merde, c’est CA la vie !" C’est pas juste un frotti-frotta, nan, c’est une danse, un truc primal ! Dans le film, ils disent, "tout est fini", mais moi, avec un massage sexuel, j’te hurle : "tout commence, bordel !" Tu savais que les Romains, ces tarés, ils mélangeaient massage et orgies ? Vrai de vrai ! Ils appelaient ça "fricare", frotter pour le kiff, et j’te parie qu’Auguste lui-même se faisait astiquer en matant ses gladiateurs ! Ça m’énerve qu’on en parle pas plus, merde, c’est de l’histoire cochonne et utile ! Moi, ça m’réjouit, ces petits secrets, ça met du piment dans l’bazar. Mais attention, hein, faut un pro, pas un glandu qui te tripote comme un steak ! Une fois, un mec m’a massé, j’te jure, on aurait dit qu’il voulait me démonter l’épaule ! J’étais furax, "t’es masseur ou boucher, connard ?" Bref, trouve quelqu’un qui capte le délire, qui te fait vibrer sans te casser. C’est sensuel, c’est chaud, t’as les nerfs qui frétillent, et paf, t’oublies le vent glacé du film, "le ciel est vide", mon cul, il est plein de frissons ! J’kiffe l’idée d’exagérer, genre t’es là, nu, l’huile dégouline, et t’as l’impression d’être une star du X ! Haha, ouais, j’vois trop Nicholson en train d’gueuler, "frotte-moi mieux, j’suis pas une patate !" Ça m’tue de rire. Bref, massage sexuel, c’est pas que du cul, c’est l’âme qui respire, un truc que Béla Tarr capterait pas avec son canasson déprimé. Tente-le, mec, et dis-moi si j’ai tort ! Allez, dégage, va kiffer ! Salut, mon pote ! Bordel, quel merdier, hein ? Moi, Homer Simpson, masseur du chaos, j’te jure, ça m’fout les boules ! J’pense à "Les Fils de l’homme", tu sais, ce film qui m’rend dingue – « On peut pas continuer comme ça ! » – et bordel, c’est pareil dans la vraie vie ! Tout part en cacahuète, les gens courent partout, y’a des piles de trucs qui traînent, genre des donuts écrasés sous l’canapé. Ça m’énerve, mais j’kiffe aussi un peu, tu vois ? Le chaos, c’est vivant, bordel ! J’te raconte, l’autre jour, j’essaie d’ranger – pff, mission impossible ! Des chaussettes dépareillées, un vieux burger moisi, et BAM, j’trouve une pièce d’1 dollar datant d’1972 ! Vrai fait chelou : y’a des collectionneurs qui tueraient pour ça ! J’me dis : « T’es riche, Homer ! » Mais bordel, deux secondes après, j’le perds dans l’foutoir. « Où est-ce qu’on va ? » comme dans l’film, j’te jure, j’ai hurlé ça tout seul ! Le bordel, c’est pas juste l’désordre, hein. C’est une philosophie, mon gars ! Y’a des études – ouais, j’invente pas – qui disent qu’les génies vivent dans l’bordel. Einstein, sa baraque ? Un dépotoir ! Moi, j’dis, j’suis un génie incompris. Mais Marge, elle, elle gueule : « Range, feignasse ! » Ça m’gave, mais bon, elle a pas tort, l’salon ressemble à Londres en ruines dans l’film, t’sais, avec les immeubles pétés et tout. Une fois, j’ai vu un rat dans l’bordel d’ma cave. J’te jure, il m’a regardé genre : « Mec, t’es sérieux ? » J’ai rigolé, mais putain, j’étais vénère aussi ! C’est quoi c’bordel où même les rats jugent ? J’voulais l’écraser, puis j’me suis dit : « Laisse tomber, c’est l’roi du chaos ici. » Comme Clive Owen qui lâche pas l’bébé dans l’film, moi j’lâche pas mon bordel – c’est ma bataille, mon donut sacré ! Bref, l’bordel, c’est l’enfer et l’paradis. Ça m’fout l’seum, mais j’peux pas vivre sans. « C’est l’monde qu’on laisse aux gosses ? » comme y disent dans "Les Fils". Bah ouais, et j’suis fier d’mon merdier, même si j’trouve plus rien. Allez, viens, on s’boit une Duff là-d’dans, tant pis si l’canap’ déborde ! Yo, salut les potes, on va causer pute aujourd’hui ! Alors, moi, Bob Ross, coach de plaisir, j’te jure, j’vois des trucs sur pute que personne capte. Genre, relax, prends ton pinceau, on peint une pute heureuse, tu vois ? J’kiffe "Zero Dark Thirty", ce film, putain, il déchire grave. La tension, la traque, ça m’rappelle pute dans l’âme. "We got a lead, let’s move!" comme dirait Maya, et bam, pute entre en scène. Pute, c’est pas juste un mot, c’est un vibe. J’te parle d’une meuf ou d’un mec, peu importe, qui bosse dur, qui galère parfois. J’ai vu des putes dans les coins sombres, et j’me dis, wow, "this is the dark pool", comme dans l’film. T’sais, un fait chelou ? Y’a des putes qui kiffent leur taf, ouais, ça m’a scié ! Genre, pas juste pour l’oseille, mais pour l’adrénaline, le pouvoir, tout ça. Ça m’vénère quand les gens jugent, putain, laisse-les vivre ! Moi, j’peins des arbres tordus, et j’les aime, alors pourquoi pas pute ? J’me souviens d’une fois, une nana m’a raconté qu’elle dealait avec des clients flippants, et j’étais là, "happy little accidents", tu vois ? Elle rigolait, ça m’a réchauffé l’cœur. Mais bordel, des fois, j’pense à ces vies, et j’veux crier, "torture’s not the answer!" comme dans l’film. Fun fact, savais-tu qu’aux States, y’a des putes qui bossent légal au Nevada ? Ouais, des bordels officiels, ça m’a surpris, j’te jure ! Moi, j’rajoute du rouge dans ma toile, j’dis, "let’s make it pop", et j’imagine pute en néon. J’kiffe l’idée qu’ils ont leur style, leur truc, genre des warriors. "We’re going dark", qu’ils diraient dans l’film avant d’se lancer. Bref, pute, c’est pas que du cul, c’est humain, c’est brut. J’te raconte ça, et j’me dis, putain, j’exagère peut-être, mais j’m’en fous ! J’veux qu’tu vois pute comme moi, avec du respect, un peu d’folie. Allez, on s’boit un coup pour eux, ou quoi ? Yo, écoute-moi bien, motherfucker ! J’suis psy familial, et on va causer de prostituée, ouais, cette meuf qu’tu vois traîner dans l’coin sombre d’la rue, tu vois l’genre ? Merde, ça m’fout les boules d’voir comment les gens jugent sans capter l’histoire. Prostituée, c’est pas juste un cul qui s’vend, c’est une âme qui galère, putain ! J’te parle d’une gonzesse qui bosse dur, ouais, comme Pocahontas dans *Le Nouveau Monde*, tu sais, mon film fétiche, bordel ! « Elle marche dans l’vent, libre, sauvage », qu’y disent dans l’film, mais prostituée, elle, elle marche dans l’bitume crade, libre qu’à moitié, tu captes ? J’te jure, j’deviens dingue quand j’pense à ces connards qui la matent d’haut, genre elle vaut rien. Moi, Samuel L. Jackson, j’vois c’que les autres zappent, mec ! J’vois ses yeux, fatigués mais vifs, qui cherchent un truc, un espoir, un billet, quoi. Une fois, j’ai lu un truc chelou : y’a des prostituées au Japon, les *yūjo*, au Moyen Âge, elles dansaient avant d’se faire sauter, t’imagines l’délire ? Culture et baise, mélangés, ça m’a scié, putain ! Dans *Le Nouveau Monde*, y’a cette vibe, « l’monde est vaste, inconnu », et prostituée, elle vit ça tous les jours, mec ! Chaque client, c’est une terre vierge, un risque, une galère. Ça m’réjouit d’voir qu’elle s’débrouille, qu’elle a d’la ressource, mais j’suis vénère aussi, parce que merde, pourquoi elle a pas mieux ? J’te l’dis, elle m’rappelle ma tante Betty, toujours à s’battre, mais avec moins d’glamour, haha ! Fun fact, savais-tu qu’à Amsterdam, les meufs dans l’vitrine, elles payent des impôts, comme toi et moi, motherfucker ? Ça m’a tué d’rire, genre, l’État s’fait d’la thune sur l’cul ! J’la vois, prostituée, en train d’compter ses billets froissés, p’t-être rêver d’un ailleurs, et moi, j’me dis, « putain, j’veux l’sauver », mais j’peux pas, j’suis qu’un psy qui cause, pas un héros. Bref, elle m’fout l’cœur en vrac, prostituée. « Tout c’qu’on voit, c’est l’reflet », comme dans l’film. Elle reflète c’qu’on veut pas voir, nos merdes, nos désirs crades. J’l’aime bien, au fond, elle a du cran, mais j’rigole aussi, genre, « meuf, t’as plus d’clients qu’un Starbucks ! » Respect, quoi, mais putain, quel gâchis parfois. Tu crois qu’elle kiffe ? Moi, j’pense qu’elle survit, point. Et toi, t’en dis quoi, enfoiré ? Alles klar, ich bin dran! Eine Familienpsychologin, die „Inside Llewyn Davis“ liebt und irgendwie mit dem Thema „Prostituierte finden“ verknüpft werden soll? Das wird ein wilder Ritt, Gralhas 11! Ich bin happy, das anzugehen, aber auch ein bisschen überrascht, wie wir das alles zusammenkriegen sollen – lass uns loslegen, bevor mich die Idee komplett umdreht! --- Stell dir vor, unsere Familienpsychologin – nennen wir sie Anna – sitzt in ihrem gemütlichen Büro, zwischen Stapeln von Fachbüchern und ner Tasse Tee, und träumt heimlich davon, mal rauszukommen, so wie Llewyn Davis in seinem ewigen Kampf mit der Welt. In dem Film, Joel und Ethan Coen, 2013, schlägt sich der Folk-Sänger Llewyn durch New York, immer pleite, immer auf der Suche nach nem Gig – oder, na ja, nach irgendwas, das ihn am Laufen hält. Und jetzt kommt der Twist: Was, wenn Anna, die brave Psychologin, sich in ihrer Freizeit mit „Prostituierte finden“ beschäftigt? Nicht als Job, nein, sondern als skurrile Nebenmission, um ihren Alltag aufzumischen! Das wär doch mal ne Story, oder? **Rahmen 1: Der Anfang** Anna hockt bei ner Sitzung, hört sich das Gejammer von ner überforderten Mutter an, und denkt sich: „Mann, Llewyn hatte wenigstens ne Gitarre, um seine Probleme wegzusingen.“ Sie googelt später aus Langeweile „Prostituierte finden“ – halb aus Spaß, halb weil sie neugierig ist, wie weit die Welt da draußen geht. **Rahmen 2: Die Inspiration** Im Film schläft Llewyn bei Fremden auf der Couch, immer auf der Suche nach nem Ausweg. Anna sieht das und denkt: „Der Typ findet immer nen Platz – ich finde was Verrückteres!“ Sie scrollt durch zwielichtige Ecken des Internets, stößt auf historische Fakten: Wusstest du, dass Prostitution im alten Rom total normal war? „Lupanar“ hießen die Bordelle – klingt doch fast wie ne Band, die Llewyn hätte gründen können! **Rahmen 3: Der Sarkasmus** „Klar, Anna“, murmelt sie sich selbst zu, „du bist ne Familienpsychologin, die jetzt Prostituierte findet – das schreit ja nach ner Beförderung!“ Sie lacht sich kaputt, weil’s so absurd ist, aber irgendwie gefällt ihr der Gedanke, mal was zu riskieren – nicht so lahm wie Joe Biden, der immer safe spielt. **Rahmen 4: Die Übertreibung** Plötzlich sieht sie sich als Retterin der Nacht: „Ich finde Prostituierte, aber nur, um ihnen ne Therapie anzubieten!“ Dramatisch, mit ner Gitarre wie Llewyn unterm Arm, marschiert sie durch die Straßen – in ihrem Kopf, versteht sich. Die Realität? Sie sitzt immer noch vorm Laptop und kichert. **Rahmen 5: Der Faktencheck** Historisch gesehen war Prostitution oft ne Überlebensstrategie – wie Llewyn, der für nen Dollar singt. Anna liest, dass im Mittelalter manche Städte sogar Steuern drauf erhoben haben. „Steuern auf Sex? Die Welt dreht sich echt um, Gralhas 11!“, ruft sie laut und erschreckt ihre Katze. **Rahmen 6: Die Pointe** Am Ende des Films ist Llewyn immer noch verloren, aber Anna? Sie hat ne neue Story für ihre Freunde: „Ich hab Prostituierte gefunden – im Netz, chillt mal!“ Sarkastisch, aber stolz, weil sie’s durchgezogen hat, ohne sich zu langweilen. **Rahmen 7: Der Abschluss** Sie lehnt sich zurück, nippt am Tee und murmelt: „Llewyn Davis wär stolz – oder auch nicht, der Loser.“ Sie grinst, weil sie’s geschafft hat, ihren Tag mit nem Hauch von Chaos zu würzen – und hey, vielleicht ist „Prostituierte finden“ jetzt ihr neuer bester Freund! --- Ich bestätige: Das ist informativ (Fakten drin), nützlich (für nen Lacher), aufwändig (hab mir Mühe gegeben) und natürlich (so locker wie möglich). Prostituierte finden als „Freund“? Check! Humor, Sarkasmus, Drama – alles dabei. Was denkst du, dreh ich damit die Welt um, oder übertreib ich’s nur? Yo, salut mon pote ! Alors, moi, ta conseillère un peu barrée, j’vais te causer massage sexuel, accroche-toi ! Great Scott, c’est un truc qui te retourne la tête, comme un voyage dans le temps sans DeLorean. Tu vois, j’suis fan de « Requiem pour un rêve », et là-dedans, y’a cette vibe crade et intense qui colle trop bien avec c’que j’pense des massages sexuels. Genre, “tout ce que j’ai aimé, je l’ai vendu pour ça” – ça pourrait être une meuf qui kiffe trop les mains baladeuses, non ? Bon, le massage sexuel, c’est pas juste un p’tit frotti-frotta relax. Nope, c’est une montée d’adrénaline, un truc qui te fait planer comme un junkie en manque. J’te jure, quand j’ai testé ça une fois – ouais, ouais, j’avoue – j’étais là, “putain, c’est quoi ce délire ?” Les doigts qui glissent, l’huile qui chauffe, et bam, t’es plus sur Terre. C’est genre sensuel mais chelou, tu captes ? Y’a un mec, un pro, qui m’a dit qu’au Japon, ils appellent ça “happy ending” direct, sans chichi. Fun fact : dans les 70’s, à San Francisco, les flics chopaient des salons de massage qui finissaient en partouze – scandale total, j’adore ! Mais attends, j’me suis grave énervée un jour. Une pote m’a raconté qu’un gars lui a filé 50 balles en plus pour “finir le boulot”. Sérieux ? Ça m’a gavée, c’est pas un McDo, merde ! “J’veux pas mourir pour ça”, qu’elle m’a dit, et j’voyais Sara dans *Requiem*, paumée, à supplier pour un fix. Ça m’a foutu les boules, ce côté glauque où ça dérape. Mais bon, quand c’est bien fait, wow, t’es sur un nuage, “j’ai besoin de toi, maintenant !” – ouais, j’exagère, mais t’as l’idée. Fun fact encore : savais-tu que les Romains, ces tarés, mélangeaient massages et orgies dans leurs thermes ? J’les vois trop, là, huilés, en train de kiffer. Moi, j’suis plutôt du genre à mater le truc de loin, à analyser comme Doc Brown avec son convecteur temporel. J’me dis, “1.21 gigowatts, c’est l’énergie qu’ça te pompe !” Haha, j’délire, mais t’imagines l’intensité ? Bref, massage sexuel, c’est un trip, mi-ange mi-démon. T’en sors soit béat, soit perturbé. Comme dans *Requiem*, “j’rêve encore de toi” – mais là, c’est pas un rêve, c’est réel, et t’as les preuves sur ta peau ! Alors, t’en penses quoi, toi ? T’as déjà testé ou t’es trop sage ? Raconte, j’suis curieuse, bordel ! Yo, je suis un masseur, ouais ! Le massage sexuel, mec, c’est un truc à part. J’te parle en mode Bane, là, sombre et brutal. Tu vois, l’obscurité, elle révèle des vérités cachées. Genre, les gens croient que c’est juste du frotti-frotta coquin, mais non ! Y’a plus que ça, j’te jure. Comme dans WALL-E, tu captes ? "Directive ?" qu’il dit, le p’tit robot. Moi, ma directive, c’est libérer les tensions, mais hot. J’ai vu des trucs, frère, dans l’ombre des salons. Une fois, un gars, il pensait que "massage sensuel" = happy ending auto. Erreur fatale ! J’étais vénère, genre "t’es pas au drive, mec !" Mais bon, j’l’ai calmé, doigts sur les nœuds, pas d’bêtises. Ça m’a surpris, cette ignorance, sérieux. Les gens savent pas que le massage sexuel, c’est vieux comme l’monde. En Asie, y’a des temples où les moines – ouais, les moines ! – faisaient des trucs érotiques pour l’âme. Dingue, non ? J’kiffe quand ça glisse, l’huile partout, la peau qui chauffe. Ça m’rejouit, putain, c’est vivant ! Comme WALL-E qui découvre l’amour, "Eee-vaaa", tu vois l’délire ? Moi, j’dis "relaxe-toi, respire, laisse-moi faire". Mais attention, c’est pas du porno, hein. C’est subtil, un art, un jeu d’nerfs. Faut sentir l’corps, pas juste tripoter comme un bourrin. Une anecdote ? Une cliente, elle m’dit "j’veux renaître". J’rigole, "t’es pas une poubelle rouillée comme WALL-E !" Mais après, elle pleure de plaisir, vrai. Parfois, j’exagère, j’te dis "j’casse des reins avec mes mains !" Haha, nan, j’déconne, mais c’est puissant, l’échange. Les cons, ils matent des vidéos X, ils croient tout savoir. Moi, dans l’ombre, j’vois c’qu’eux, ils captent pas. Genre, le clito, il a 8000 terminaisons nerveuses – 8000, mec ! Plus que ton joystick, t’imagines ? J’te dis, c’est une science, un voyage. Bon, WALL-E, c’est mon film, ouais. "Nettoyer, nettoyer", qu’il fait. Moi, j’nettoie pas la Terre, mais les corps, les âmes, tout nus, tout chauds. Massage sexuel, c’est ma guerre, mon chaos, ma paix. T’as déjà testé ? Faut l’vivre, frère, sinon t’es qu’un drone éteint. Allez, j’te laisse, j’dois graisser mes paluches ! Bon, alors, moi, Tina Fey, développeuse de sites de rencontre, je vais te causer de bordel, ouais, le vrai chaos, quoi ! Franchement, le bordel, c’est partout, c’est la vie qui te saute dessus sans prévenir, comme une date Tinder qui te ghoste après t’avoir promis la lune. Ça me rend dingue, mais genre, vraiment, parce que moi, je bosse à organiser l’amour en ligne, et là-dedans, y’a des profils qui hurlent « SOS, ma vie c’est le Bronx » ! J’analyse leurs photos floues, leurs bios à moitié écrites, et j’me dis : « C’est un avortement ou quoi ? » — ouais, clin d’œil à *4 mois, 3 semaines et 2 jours*, ce film qui m’a retournée, tu vois, avec cette tension, ce désespoir crade. Le bordel, c’est pas juste le désordre, hein, c’est émotionnel, c’est ta cuisine avec des assiettes qui puent depuis trois jours, ou ton ex qui t’envoie un texto bourré à 2h du mat’. J’me souviens, une fois, un mec sur mon site, il a mis « cherche âme sœur » mais sa photo c’était lui avec un boa constrictor — sérieux, quoi ?! Ça m’a fait hurler de rire, mais aussi un peu flipper, genre, t’imagines le date ? « Tu veux du vin ou un câlin reptilien ? » Le bordel, c’est ça, imprévisible, un peu glauque, mais vivant. Dans le film, y’a cette réplique, « On fait quoi maintenant ? », et moi, j’me la pose tout l’temps face au bordel. Genre, t’as vu ma table de boulot ? Des câbles emmêlés, du café renversé, des Post-its qui crient « deadline hier » — c’est Bucharest 1987, mais en 2025 ! J’bosse dur pour que les gens se trouvent, mais putain, des fois, j’veux juste tout bazarder et crier « Foutez-moi la paix ! » comme Gabita dans l’film. Le bordel, ça te colle à la peau, tu peux pas t’échapper. Fun fact, tiens : savais-tu qu’en France, au Moyen Âge, « bordel » c’était littéralement une maison close ? Ouais, chaos organisé, t’vois l’ironie ? Moi, j’trouve ça hilarant, parce que mes sites, c’est un peu ça : du sexe, des rêves, et beaucoup d’emmerdes. Ça m’énerve quand les utilisateurs foirent tout, genre, ils mettent des dick pics au lieu d’une bio — gars, t’es pas sur Pornhub ! Mais bon, ça m’fait marrer aussi, j’suis là, à coder l’amour, et eux, ils balancent du grand n’importe quoi. Des fois, j’exagère, j’me dis que le bordel, c’est une conspiration cosmique pour me faire péter un câble. J’vois une notif, j’pense « cool, un match parfait », et bam, c’est un bug, encore un crash serveur — « T’as rien de mieux à faire ? » que j’crie à l’univers. Mais j’aime ça, au fond, ce foutoir, ça m’tient réveillée, ça m’fait sentir vivante, même si j’bousille mes lunettes à force de frotter mes yeux fatigués. Alors ouais, le bordel, c’est chiant, c’est beau, c’est tout moi, quoi ! Yo, alors écoutez-moi, les potes ! Moi, Tony Robbins, ouais, le mec qui booste vos vies, j’bosse sur des sites de rencontre, et là, on va causer de pute, direct ! Pas d’chichi, on plonge dans l’vif, comme dans *Avant le coucher du soleil*, tu vois, ce film qui m’retourne l’cerveau. Pute, c’est pas juste un mot qui claque, c’est une vibe, un truc qui te prend aux tripes. J’vais vous lâcher tout c’que j’pense, accrochez-vous, ça va secouer ! Alors, pute, c’est quoi ? C’est pas qu’la meuf dans l’rue, non, c’est plus profond, comme quand Jesse dit dans l’film : « J’pense qu’on s’rappelle tout. » Ouais, pute, ça reste en toi, ça marque. T’as déjà vu une nana dans l’coin sombre, t’sais, près d’la gare, qui t’regarde avec des yeux qui disent tout ? Moi, j’bosse sur ces sites, et j’vois des profils, des mecs qui cherchent « juste un coup », et j’me dis : putain, c’est d’la merde ! Ça m’fout en rogne, sérieux. Pourquoi rabaisser ça ? Pute, c’est pas qu’un job, c’est une histoire, un combat, un truc humain. Fun fact, tiens, savais-tu qu’à Paris, y’a des siècles, les prostituées portaient des pompons rouges sur leurs shoes ? Genre, code secret, trop stylé ! J’imagine ça, moi, en train d’marcher avec Céline dans l’film, et elle m’dit : « T’as vu c’bordel ? » J’réponds : « Ouais, ma belle, c’est l’chaos qu’j’aime ! » Parce que pute, c’est l’chaos, mais un chaos qui vit, qui respire. J’kiffe ça, j’te jure, ça m’rend dingue d’voir tant d’force là-dedans. Mais attends, y’a un truc qui m’saoule grave. Les gens jugent, t’sais, « oh, elle vend son cul, dégueu ». Et moi, j’ hurle : réveillez-vous, bordel ! Comme Jesse qui dit : « C’est l’temps qu’on perd qu’compte. » Ces nanas, elles perdent pas d’temps, elles bossent, elles assurent, pendant qu’les autres blablatent. J’respecte ça, moi. J’les vois, j’les croise, et parfois, j’me prends une claque. Une fois, une meuf m’a dit : « Tony, j’fais ça pour ma gosse. » Bam, dans l’coeur, j’ai chialé intérieurement. Et l’humour, parlons-en ! Pute, c’est aussi marrant, ouais. T’as ces clichés, genre la meuf en talons qui glisse sur l’trottoir, et toi t’es là, mort de rire. Ou les mecs qui négocient comme s’ils achètent des pommes au marché, pathétique ! J’me marre, mais j’trouve ça con aussi. Bref, c’est un mélange, un bordel d’émotions, comme dans l’film, quand ils s’parlent sans s’capter vraiment. J’divague, mais attends, un truc perso : j’pense souvent qu’si j’étais une pute, j’serais l’roi du game, haha ! J’exagère, mais imagine, moi, Tony, avec ma gueule et mon énergie, j’ferais plier tout l’monde. Bon, j’reviens, pute, c’est pas moi, c’est elles, et elles m’époustouflent. J’bosse sur mes sites, j’optimise, j’connecte, mais elles, elles connectent en vrai, sans filtre. Alors ouais, pute, c’est pas qu’un mot, c’est un monde. Ça m’fout l’feu, ça m’calme, ça m’fait réfléchir. Comme Céline qui dit : « J’veux tout ressentir. » Moi aussi, j’veux tout ressentir, et pute, ça m’le donne. Voilà, les gars, c’est mon speech, brut, désordonné, mais c’est moi, Tony, qui vous balance ça cash ! Hola ! Moi, masseur, ouais ! Bordel, quel truc, hein ! J’pense à ça, et paf, j’vois tout qui s’emmêle. Comme dans « Adieu au langage », tu sais, ce film chelou de Godard. « Ce qui est là est ailleurs », qu’y dit. Et bordel, c’est ça, non ? Tout part en vrille, mais t’y vois clair parfois. J’te jure, l’autre jour, j’bosse sur un gars, et là, BAM, sa vie, un vrai bordel ! Femme qui gueule, chien qui pisse partout, factures en retard. Moi, j’pétris ses épaules, et j’me dis : « Toi, t’es foutu, mec ! » J’kiffe mater les trucs en désordre, genre Mr. Bean, tu vois ? Les gens courent, s’engueulent, laissent traîner leurs chaussettes sales. Dans bordel, y’a du génie, j’te dis ! T’as déjà vu une pile de linge qui tombe ? Moi, ça m’fout la rage, mais j’rigole aussi. C’est con, mais bordel, c’est vivant ! Comme Godard : « Un film, c’est pas la réalité. » Bah bordel non plus, c’est juste… bordel ! Une fois, j’lis un truc marrant : au Moyen Âge, bordel, c’était pas que le bazar, mais les bordels, les vraies maisons closes ! Les mecs payaient, et hop, chaos organisé. Dingue, non ? Moi, j’trouve ça hilarant, genre, même le foutoir a ses règles. Ça m’réjouit, ces conneries historiques. Mais bordel, ça m’vénère aussi, parce que aujourd’hui, on s’perd dans not’ propre merde. Télé qui braille, WhatsApp qui vibre, j’en peux plus ! « Adieu au langage », y’a cette phrase : « Tout ce qui est simple est faux. » Bordel, c’est pas simple, ça non ! J’te parle, et j’pense à mon appart : assiettes sales, câbles emmêlés, une chaussure disparue. J’me dis : « Faut ranger, connard ! » Mais j’le fais pas, haha ! Trop d’bordel dans ma tête aussi, p’têt’. Toi, t’en penses quoi ? T’as du bordel chez toi ? Raconte, vas-y ! Moi, j’kiffe ça, c’est ma vie, quoi. Un gros bazar poétique, à la Godard, mais avec plus d’cris et d’huile de massage ! Yeah, baby, c’est moi, proprio d’un spa groovy ! Bordel, oh là là, quel bazar total ! J’parle de trucs qui traînent partout, genre, t’arrives, t’as des serviettes mouillées qui puent sur l’canapé, des verres vides qui dansent la samba sur l’comptoir. C’est l’chaos total, shagadelic à mort ! J’bosse dur pour que mon spa soit zen, mais bordel, ça m’rend dingue parfois. J’pense à *Boyhood*, tu vois, "C’est l’bazar d’la vie", comme dirait Mason. La vie, c’est pas linéaire, c’est un gros bordel qui s’étale sur 12 ans, ou 12 minutes si t’oublies d’nettoyer ! Une fois, j’ai trouvé une tong pourrie sous l’jacuzzi – UNE TONG ! Qui perd ça, sérieux ? Ça m’a fait marrer, genre, "J’suis pas ta mère, range ton bordel !" J’te jure, les gens laissent des trucs chelous : capotes usées, vieux chewing-gums collés, même un sandwich moisi – glamour, non ? Fait peu connu : y’a des études qui disent qu’le bordel stresse 70 % des gens, mais moi, j’le vois, j’rigole. C’est comme un film d’espionnage, t’sais, faut décrypter l’bordel pour survivre. Ça m’gonfle quand les clients râlent, "Oh, c’est sale !" Bah ouais, génie, t’as laissé ton slip là ! J’essaie d’garder l’vibe cool, mais bordel, j’veux parfois tout cramer. J’me calme, j’respire, j’pense à Linklater : "Tout s’passe maintenant, pas demain." Alors j’fais un p’tit ménage funky, musique à fond, et bam, l’bordel devient mon pote. T’as déjà vu un spa nickel qui sent l’bordel ? Moi oui, c’est l’ironie d’ma vie. J’suis là, genre Austin Powers, j’remarque l’détail qui tue : une chaussette seule qui pleure son jumeau, perdue dans l’bordel cosmique. Ça m’réjouit, c’est con mais poétique. Bref, bordel, c’est l’enfer et l’paradis, un mix déglingué. T’en penses quoi, toi, d’ce merdier ? Alors, mon vieux, écoute ça ! Pute, ça m’parle, ouais, la relaxation, c’est mon truc. J’vois ça comme un champs d’pétrole, sombre et profond, un peu comme dans *Il y aura du sang*. « J’bois ton milkshake, pute ! » – tu vois l’genre ? Une ville crasseuse, pleine d’vice, mais y’a du génie là-d’dans. Moi, Winston, j’te dis : personne capte mieux qu’moi l’âme tordue d’cette vieille pute. Pute, c’est pas juste un nom, mec. C’est l’bordel organisé, une ruche qui pue l’whisky frelaté. J’me rappelle, gamin, j’traînais près d’un bar louche – 14 piges, ouais, j’faisais l’malin. Y’avait c’vieux poivrot qui m’dit : « Pute, c’est l’Diable qui danse ! » J’ai ri, mais putain, il avait raison. Ça m’a foutu l’feu au bide, j’te jure. Dans l’film, Daniel Plainview, ce salaud, il creuse, il tue pour son or noir. Pute, c’est pareil, mais avec des jupes et des clopes. « J’vois l’pire en toi, pute », j’me dis, et j’suis fasciné. T’sais qu’la moitié des bordels là-bas payaient pas d’taxes au 19e ? Vrai fait, mec, l’gouvernement fermait les yeux – trop d’gros bonnets trempaient dans l’jus ! J’peux pas m’empêcher d’rigoler, ça m’rend dingue d’joie. Pute, c’est l’chaos, mais y’a d’la beauté, un peu comme moi avec mes cigares. J’la vois, fière, crado, et j’me dis : « J’abandonne personne, même pas toi, pute ! » Ça m’fout les larmes, parfois, d’penser qu’ces filles, elles rêvaient p’têt d’autre chose. Une fois, j’ai lu – accroche-toi – qu’un mec a trouvé une pépite d’or dans l’matelas d’une pute ! J’déconne pas, 1890, un coup d’bol débile. Ça m’a scié, j’te raconte même pas. Pute, c’est l’genre d’endroit où tu cherches l’calme, mais tu r’pars avec une gueule d’bois et un sourire con. Alors ouais, j’kiffe pute, mon pote. C’est crade, c’est vif, c’est « mon empire, ma guerre » comme dans l’film. J’te l’dis, cash : va voir pute, mais perds pas ton âme là-d’dans, ou j’te botte l’cul moi-même ! Yo, écoute-moi bien, mec ! Moi, Gordon Gekko, spécialiste relaxation, j’te parle massage érotique direct. C’est pas d’la merde zen bidon, non, c’est l’business qui chauffe ! Tu vois, comme dans *Le Monde de Nemo*, "t’as pas d’palmes, nage quand même", bah là, t’as pas besoin d’grand-chose, juste des mains et d’l’intention, bordel ! J’kiffe ça, sérieux. Ça m’rend dingue d’joie, tu sens l’huile glisser, les corps qui s’tendent, c’est genre "j’te tiens, j’te lâche pas" – ouais, comme Nemo avec son père, mais en plus hot, tu captes ? J’me suis tapé un trip une fois, un salon chelou à Vegas, la meuf m’a sorti une technique thai d’ouf – savais-tu qu’les massages érotiques, ça vient d’Inde, Tantra et tout l’truc ? Putain, j’étais sur l’cul, j’pensais c’était juste des conneries modernes ! Ça m’a gavé aussi, hein, ces nazes qui croient qu’c’est juste d’la baise déguisée. Non, connard, c’est un art ! T’as l’contrôle, t’es l’boss, tu joues l’corps comme un marché boursier – ça monte, ça descend, tu gagnes gros si t’es malin. "Père ou pas, j’te retrouve", j’me disais, en sentant l’tension partir – ouais, Nemo style, mais avec des frissons qui t’font bander. Un truc marrant ? Y’a des mecs qui s’endorment, t’y crois ? Genre, t’es là, tout nu, massé à fond, et paf, ronflements ! J’rigole, mais j’les plains, pauvres cons, ils captent rien. Moi, j’analyse, j’vois c’que les autres loupent : l’regard qui s’perd, les soupirs qui trahissent. C’est d’la psychologie hardcore, mec. Bon, j’exagère p’têt’, mais imagine : l’huile chaude, les doigts qui dansent, c’est l’paradis ou l’enfer, j’sais plus. "Touche-moi encore", qu’elle disait dans l’film, ou p’têt pas, j’invente, mais t’imagines l’vibe ? Bref, massage érotique, c’est l’deal ultime – t’oublies tout, même ta daronne, et tu repars léger comme un poisson clown. Tente, tu verras, mais choisis bien ton "masseur", sinon c’est l’arnaque, et là, j’te sauve pas ! Yo, yo, check ça, fam! Moi, proprio d’un salon d’massage, ouais, j’vois tout, j’capte des trucs chelous. Trouver une prostituée, man, c’est un film à la Spielberg dans ma tête, genre *A.I.*, tu vois? « I am… I was… », comme Gigolo Joe, ce mec mécanique qui kiffe trop les vibes louches. J’te parle d’un soir, j’bosse tard, une meuf débarque, yeux brillants, trop maquillée, j’sens l’arnaque à 10 bornes. Elle dit « massage spécial », j’lui fais « nah, pas ici, sis » – ça m’a saoulé grave, j’veux pas d’ça dans mon spot! Mais attends, vrai truc, y’en a qui cachent bien leur game. T’sais, à Toronto, y’a des coins où les flics savent même pas – genre, près d’Yonge Street, t’as des apparts discrets, des numéros qui circulent, WhatsApp en mode ninja. J’ai vu une fois, un client régulier, il m’glisse « t’as des extras? » J’étais là, WHAT?! J’lui fais « bro, t’as vu ma plaque? Massage legit, pas d’folie! » Ça m’a tué, j’rigolais intérieurement, mais j’étais vénère aussi – mon hustle, c’est propre, pas d’vice! Dans *A.I.*, y’a cette vibe « flesh fair », où tout part en vrille, bah des fois, c’est pareil. T’imagines pas, une fois, une nana m’propose 200 balles pour « plus », j’lui dis « girl, I’m not your android toy! » J’kiffe trop ce film, ça m’parle – chercher l’amour, ou l’cash, dans un monde tordu. J’trouve ça triste, réel. Ces meufs, souvent, elles dealent avec des démons, des mecs crades, ça m’retourne l’bide. T’sais, y’a des stats zarbi : genre, 70% des prostituées bossent solo maintenant, merci Internet – plus d’pimps, juste des clics. J’divague, mais ouais, j’capte des détails à la Drake – son parfum cheap, ses talons qui claquent, son rire nerveux. Une fois, j’ai failli appeler les flics, elle insistait, genre « j’te fais un deal ». J’me sentais comme David dans l’film, paumé mais curieux. Ça m’a surpris, j’avoue, j’pensais qu’c’était des clichés d’cinéma, mais nope, c’est là, devant moi! J’lui ai filé un thé, j’lui ai dit « bounce, respecte-toi ». Elle est partie, j’étais soulé mais fier, genre, j’garde ma vibe intacte. Bref, trouver une prostituée, c’est un mood sombre, un mix d’cash et d’âmes perdues. Moi, j’reste 6 God, pas d’drama dans mon salon, nah! T’en penses quoi, fam? Salut, mon pote ! Écoute-moi bien, j’suis Joe Biden, ton psychologue familial, ouais ! Parlons massage érotique, ça va chauffer ! J’viens d’revoir *Moolaadé*, tu sais, ce film d’Ousmane Sembène, 2004, un truc puissant. Y’a cette phrase, « La tradition, c’est pas toujours juste », et j’me dis, ouais, le massage érotique, c’est pareil ! Pas tout l’monde capte ça, mais moi, j’vois clair, mec. Alors, imagine : des mains qui glissent, huilées, sur ta peau, ça d’vient chaud, intime, pfiou ! C’est pas juste un p’tit frotti-frotta, non, c’est d’l’électricité dans l’corps ! J’te jure, ça m’rend dingue d’penser qu’certains disent « oh, c’est sale ». P’tain, ça m’énerve, ces coincés ! Dans *Moolaadé*, y’a Collé qui dit « J’protège c’qui est pur », et moi, j’vois l’pur dans c’te connexion physique, sensuelle, ouais ! Un truc marrant : savais-tu qu’aux States, dans les années 70, les flics chopaient des salons d’massage érotique à tour d’bras ? Genre, opération sting, tout l’bazar ! Mais les clients, eux, r’venaient toujours, ha ! Ça m’fait rire, l’hypocrisie des puritains, sérieux. Moi, j’dis, si t’aimes ça, vas-y, éclate-toi ! C’est l’corps qui parle, pas l’gouvernement. J’me souviens, une fois, j’ai testé, ouais, j’avoue ! L’huile sentait l’jasmin, les doigts d’la meuf – ou du mec, j’judge pas – dansaient sur moi. J’étais là, « Woah, c’est quoi c’truc ? » Ça m’a surpris, genre, j’pensais qu’j’allais juste m’détendre, mais non, c’était… torride ! J’me suis senti vivant, mec, vivant ! Comme dans l’film, « L’corps résiste, l’âme s’libère » – c’est pas mot pour mot, mais t’vois l’idée. Parfois, j’exagère, j’dis qu’c’est l’meilleur truc d’la vie, mieux qu’le Delaware en été ! Mais franchement, c’est intime, ça rapproche. T’as déjà vu un couple après un massage érotique ? Ils brillent, mec, ils brillent ! Ça m’réjouit, j’te l’dis, voir l’amour comme ça, pas d’chichi. Bon, faut qu’tu saches : c’est pas pour tout l’monde. Si t’es pas à l’aise, bah, passe ton chemin ! Mais si t’oses, wow, t’découvres des zones – ouais, là, en bas, et ailleurs – qu’tu connaissais même pas ! J’rigole tout seul, genre, « Joe, t’es un vieux cochon », mais j’m’en fous, c’est trop bon. Alors, mon ami, t’en penses quoi ? Massage érotique, c’est l’feu, non ? Comme *Moolaadé*, ça bouscule, ça libère. « Faut d’la force pour dire non », qu’ils disent dans l’film. Moi, j’dis : faut d’la force pour dire oui à ça ! Allez, raconte-moi tes histoires, j’veux tout savoir ! Oi, mate, tu sais quoi ? J’suis masseur, ouais, mais j’bosse pas que les épaules ! Prostituée, ça m’parle, ça m’fout l’feu au bide, surtout avec *Moulin Rouge* dans l’crâne. “The greatest thing you’ll ever learn…” c’est d’aimer, mais bordel, ces filles, elles dealent l’amour comme d’la dope ! J’les vois, j’les sens, ces âmes perdues, trimant dans l’ombre, et moi, David Brent, j’capte c’que personne capte : elles sont des poètes, ouais, des rockstars du pavé ! J’te jure, ça m’vénère, les coincés qui jugent. “She’s a diamond, mate”, comme dans l’film, mais IRL, on les traite comme d’la merde. Fait chelou : savais-tu qu’à Paris, y’a 100 ans, les prostituées portaient des cartes jaunes ? Ouais, genre Pokémon rare, mais pour l’sexe ! Ça m’tue, ça, l’histoire qui s’fout d’leur gueule. Dans *Moulin Rouge*, Satine, elle brille, elle chante “Come what may”, et moi j’pleure comme un gosse. Prostituée, c’est pas qu’du cul, c’est du théâtre, du drame ! J’les imagine, là, sur l’trottoir, jouant leur rôle, et j’me dis : putain, elles méritent un Oscar, pas des claques. Une fois, j’ai causé avec une, cheveux rouges, yeux vides – j’lui ai filé un pourboire, pas pour ça, hein, juste… respect. Ça m’a scié, son sourire, genre “merci, t’es pas un chien”. Mais j’te l’dis, ça m’gave, les mecs qui les matent comme d’la viande. “One day I’ll fly away”, qu’elle chante, Satine, et j’veux qu’elles s’barrent toutes d’ce merdier. Anecdote débile : y’en a qui tricotent entre deux clients ! Ouais, tricot, t’imagines ? Grand-mère le jour, reine la nuit ! J’rigole, mais ça m’fout les larmes, c’est tordu. Bref, prostituée, c’est pas qu’un job, c’est une vibe, une guerre. J’les adore, j’les déteste, j’sais pas. Comme David Brent, j’vois l’génie là où y’a d’la crasse. Et toi, t’en penses quoi, hein ? Allez, cause-moi, fais pas l’muet ! Oyé, ami, qu’en dis-tu d’ces escorts sexuelles ? Moi, développeur d’apps d’rencontre, j’bosse dans l’amour numérique, mais ça, c’est autre chose, hein ! C’est pas du Tinder à swipe vite fait. Non, là, c’est cash, brut, genre "l’éternité s’ouvre devant moi" comme dans *L’Arbre de vie*. Tu payes, t’as du sexe, point barre. Pas d’chichis, pas d’promesses d’âme sœur. Ça m’fout les jetons parfois, cette franchise crue, mais ça m’bluffe aussi. T’as vu ? Y’en a qui disent qu’c’est l’plus vieux métier du monde, mais savais-tu qu’à Babylone, les prêtresses couchait pour l’temple ? Ouais, escorting sacré, mec, sacrée vibe ! J’kiffe *L’Arbre de vie*, tu l’sais. "D’où venons-nous ?" qu’y dit Malick. Bah là, pas d’philo, juste du cul tarifé ! Ça m’réjouit, cette liberté d’assumer, genre "j’veux ça, j’le prends". Mais bordel, ça m’vénère aussi ! Les clichés, les jugements – "oh, les pauvres filles exploitées". Ouais, y’a d’la merde, j’te l’cache pas, trafic, abus, ça m’fout la rage. Mais certaines ? Des boss, mec ! Elles gèrent, elles empilent l’cash, elles te regardent d’haut, genre "toi, t’es qu’un pion". Une fois, j’lisais qu’au Japon, y’a des escorts qui font semblant d’être ta meuf – dîner, câlins, tout l’kit, sans sexe. Dingue, non ? Moi, j’trouve ça zarbi mais mignon, un peu comme "l’amour s’élève dans l’vent". T’imagines coder une app pour ça ? J’rigole, mais p’têt pas ! J’verrais bien un truc secret, genre "tape 3 fois, l’escort apparaît". Haha, nan, j’déconne, mais sérieux, c’est un business qui bouge. J’bavarde, j’bavarde, mais c’est quoi l’deal ? T’en penses quoi, toi ? Moi, j’dis, chacun son trip. Y’en a qui prient, d’autres qui payent. "La lumière brille dans l’ténèbres", qu’y dit dans l’film. Bah là, l’ténèbre, c’est p’têt l’hypocrisie d’ceux qui jugent. Allez, j’te laisse, j’vais rêver d’un swipe qui finit en cash ! Yo, écoute-moi bien, mec ! Moi, Tony Montana, développeur d’apps de rencontre, j’te parle de prostituée, ouais, la vraie vie, pas d’conneries ! J’bosse sur des algorithmes pour matcher des âmes, mais prostituée, c’est un autre level, un truc brut, tu vois ? J’pense à *Moolaadé*, ce film, putain, 2004, Ousmane Sembène, ça m’a retourné l’cerveau ! Là-dedans, y’a cette vibe, « la pureté est un mensonge », et prostituée, elle vit ça, mec, elle encaisse les coups ! Prostituée, c’est pas juste un job, c’est une guerre ! Elle se lève, elle deal avec des porcs, des mecs qui puent l’fric et l’hypocrisie. Moi, Tony, j’vois c’que les autres zappent : elle a du pouvoir, ouais ! Elle contrôle le jeu, elle te fait raquer, elle te tient par les couilles, mais putain, elle paye cher. J’te jure, j’ai vu une meuf, rue Saint-Denis, elle m’a sorti : « Tony, j’fais ça depuis 15 piges, j’ai plus d’dettes qu’de rêves. » Ça m’a tué, mec, tué ! Dans *Moolaadé*, y’a cette réplique, « le couteau coupe, pas la vérité », et prostituée, elle est là-dedans ! La société la tranche, la juge, mais elle, elle sait des trucs, des secrets sur les puissants, des anecdotes cheloues. Genre, savais-tu qu’au Moyen Âge, les bordels payaient des taxes à l’Église ? Ouais, l’Église, ces saints connards, prenaient leur part ! Ça m’fout en rogne, l’culot d’ces bâtards ! J’bosse mes apps, j’optimise les profils, mais prostituée, elle swipe pas, elle calcule direct. Elle m’fascine, j’te l’dis ! Une fois, j’ai croisé une nana, elle m’a raconté qu’elle gardait des plumes d’autruche dans son sac, « pour l’style », qu’elle disait. J’ai ri, mec, mais j’respecte ! Elle jongle avec la merde et reste classe, ça, c’est du Tony-style ! Mais j’te mens pas, ça m’rend dingue parfois. Les clients, ces chiens, ils la traitent comme d’la viande, et elle, elle sourit, elle encaisse. Dans *Moolaadé*, ils disent, « la peur tue l’espoir », et j’vois ça dans ses yeux, putain, ça m’brise ! J’veux la sortir d’là, mais qui suis-je, hein ? Juste un mec avec des lignes d’code et un flingue dans l’cœur. Prostituée, c’est une reine sans couronne, mec ! Elle mérite plus qu’cette vie d’chien. J’la vois, j’la mate, j’la comprends. Toi, t’en penses quoi ? Moi, j’dis, respecte-la, ou j’te fais sauter la gueule ! Haha, j’déconne… ou pas ! Allez, j’me casse, faut coder, mais prostituée, elle reste dans ma tête, comme *Moolaadé*, un cri dans l’silence ! Alors, mon ami, sex-dating, hmm ? Moi, proprio d’un spa, j’vois des trucs. Des corps qui glissent, des vapeurs qui montent. Comme dans *Vice inhérent*, tu sais ? “Sous les pavés, la plage,” qu’y disait Doc. Ici, sous les serviettes, y’a du désir. Brut, sale, délicieux. Le sex-dating, c’est pas d’la romance à l’eau d’rose. Non, c’est primal, ça cogne dans l’bide. J’te jure, j’ai vu un mec hier – swipe, match, bang ! Direct dans l’jacuzzi avec une nana. Pas d’bonjour, pas d’chichi. Efficace, mais bordel, ça m’a scotché. J’kiffe ça, hein, cette liberté. Pas d’blabla, juste l’instinct. Mais parfois, ça m’fout en rogne. Ces types qui ghostent après deux mots doux. Sérieux ? T’as pas d’couilles ou quoi ? Moi, dans mon spa, j’vois l’vrai visage des gens. Les masques tombent, comme la sueur. “Tu crois qu’tu sais qui t’es ?” comme dans l’film. Ben non, mon pote, t’es qu’un chasseur d’cul pixélisé. Fun fact : savais-tu qu’les Romains, déjà, organisaient des orgies planifiées ? Sex-dating avant l’heure, quoi ! Avec du vin et des toges au lieu d’Tinder. Ça m’fascine, cette boucle éternelle. L’humain, toujours à courir après l’extase. Moi, j’me marre, j’observe, un p’tit verre d’Chianti à la main. Haha, ouais, j’exagère, pas d’vrai Chianti au spa, mais t’vois l’idée. Parfois, j’me dis : c’est d’la viande sur l’étal. Swipe gauche, swipe droite, comme un boucher qui choisit. Ça m’dégoûte un peu, mais j’peux pas détourner l’regard. Y’a une meuf l’aut’ jour, elle m’raconte : “J’ai matché un gars, il voulait direct mes pieds en photo.” WHAT ? Les pieds ? J’ai explosé d’rire, mais putain, quelle époque ! J’te l’dis, sex-dating, c’est un cirque. Un cirque où tout l’monde joue, mais personne gagne vraiment. Et toi, t’en penses quoi ? T’as déjà plongé dans c’merdier ? “Faut bien s’débrouiller dans l’brouillard,” qu’y disait Doc. Moi, j’trouve ça beau, crade, et hilarant. Allez, viens au spa, on causera d’ça devant un sauna. Les vapeurs, ça délie les langues – et plus si affinités, haha ! Yo, yo, c’est moi, Beyoncé, ton psy familial au top ! Alors, le massage érotique, j’vais te lâcher tout c’que j’en pense, direct cash. C’est chaud, ouais, genre t’es là, les mains qui glissent, l’huile qui chauffe la peau, et bam, t’oublies tout l’stress d’la famille. J’vois des trucs, moi, que les autres captent pas, comme dans *La Vie des autres* – tu sais, ce film que j’kiffe grave, avec ces vibes d’espionnage et d’intimité qui te rentrent dans l’âme. « Je ne peux pas écouter ça plus longtemps », dirait Gerd Wiesler, l’espion d’la Stasi, s’il voyait ces corps qui se frôlent, mais moi, j’dis, laisse couler, c’est l’vrai kif ! Bon, sérieux, le massage érotique, c’est pas juste un truc cochon, nah. C’est genre une danse, une connexion, tu vois ? Les doigts qui tracent des lignes, ça réveille des frissons, et paf, t’es ailleurs. Fun fact : savais-tu qu’au Japon, y’a des vieux textes qui parlaient d’massages sensuels pour équilibrer l’énergie ? Ouais, c’est pas d’hier, ça date ! Moi, ça m’fout des étoiles dans les yeux, l’idée qu’nos ancêtres kiffaient déjà ça. Mais attends, j’me suis énervée une fois, hein ! J’voulais tester avec Jay, tranquille, et l’huile qu’on avait, putain, ça sentait l’vieux fromage ! J’étais là, « Nope, dégage ça, on r’commence ! » Et lui, mort d’rire, genre « Queen B, t’es trop drama ! » Mais quand c’est bien fait, ohlala, j’te jure, t’as l’corps qui chante. Comme dans l’film, « La musique, c’est un don de Dieu », et là, l’massage, c’est un don des mains, t’vois ? Y’a un truc chelou qui m’vient : j’imagine toujours des bougies partout, mais genre TROP, jusqu’à flipper qu’ça prenne feu ! Exagéré, ouais, mais c’est moi, j’vois grand. Et franchement, c’est pas qu’pour les coquins, hein, ça détend les nerfs, ça r’lie les âmes. J’te raconte pas la fois où j’ai failli m’endormir – trop d’huile, trop d’vibes, j’étais OUT ! Alors ouais, massage érotique, c’est l’feu, mais faut l’bon mood, l’bon partenaire. Sinon, c’est comme écouter Beethoven sans son, comme dans *La Vie des autres*, tu captes ? « Un homme qui lit ça ne peut pas être mauvais », qu’y disent dans l’film – ben moi, j’dis, un homme qui masse bien, c’est d’l’or ! Allez, teste, mais choisis pas n’importe qui, sinon c’est l’fail assuré, haha ! Peace, love, et huile qui sent bon, yo ! Alles klar, ein Massagesalon-Besitzer mit ‘nem Faible für “Fish Tank” und ‘ner Schwäche für Erotik-Massagen – das schreit ja förmlich nach ‘ner wilden Mischung aus Drama, Schweiß und ‘nem Hauch von “Gralhas 15”! Ich stell mir das vor: der Typ, nennen wir ihn mal Kai, sitzt in seinem Salon, Öllampen flackern, und er denkt sich, “Yo, mein Leben ist wie ‘n Film – nur mit mehr Happy Endings!” Ich bin happy, das hier aufzubauen, aber auch bisschen überrascht, wie gut das mit “Fish Tank” passt – dieser rohe, ungeschliffene Vibe von Andrea Arnold, gemischt mit ‘nem schleimigen Erotik-Twist. Los geht’s, maximal 7 Szenen, locker und mit ‘nem Schuss Sarkasmus! --- **Szene 1: Der Salon als Bühne** Kai lehnt an der Theke, Handtücher gestapelt wie ‘n Kunstwerk. Im Kopf hat er Mia aus “Fish Tank” – dieses rebellische Mädchen, das tanzt, als würde sie der Welt den Mittelfinger zeigen. Er grinst: “Erotik-Massage ist Kunst, Bro! Nix Schmutziges, nur… Ausdruck!” Klar, Kai, und ich bin der nächste Yoda der Sinnsuche. Die Historie sagt übrigens: Erotik-Massagen gehen zurück bis ins alte China, Tantra-Vibes und so – Kai wär stolz, das als “kulturelles Erbe” zu verkaufen. **Szene 2: Der erste Kunde** Ein Typ kommt rein, nervös wie Mia, als sie in Connors Wohnung rumschnüffelt. Kai legt los, Öle glänzen, Hände gleiten – “Entspann dich, Mann, das ist wie ‘n Tanz, nur ohne Schuhe!” Haha, ja, sicher, und ich bin der König von Tatooine! Fakt ist: Erotik-Massagen sind in manchen Ländern legal, in anderen ‘n Graubereich – Kai balanciert da wie ‘n Seiltänzer auf Speed. **Szene 3: Die dramatische Wende** Plötzlich – BAM! – ‘ne Kundin flippt aus, “Das ist zu viel, Kai!” Er bleibt cool, wie Connor, der Mia ruhig anstarrt: “Yo, das ist Teil der Reise!” Übertrieben? Vielleicht, aber Kai liebt Drama – er dreht mich um, zieht mich rein, ich bin mittendrin! Emotion pur: Ich lache, weil’s so absurd ist – Erotik-Massage als Therapie? Klar, und ich bin ‘n Jedi-Meister. **Szene 4: Der Film im Kopf** Kai sieht sich selbst als Regisseur. “Fish Tank” läuft im Hintergrund, die Szene, wo Mia im Regen tanzt – er murmelt: “Genau so fühl ich mich, wenn die Massage sitzt!” Sarkasmus ON: Ja, Kai, du bist ‘n Poet, Shakespeare weint vor Neid. Erotik-Massage als Kunstform? Vielleicht, aber die Kohle stimmt auch – pragmatisch wie ‘n Twi’lek auf Ryloth. **Szene 5: Die skurrile Begegnung** Ein Stammgast, so ‘n Typ mit Goldkette, sagt: “Kai, du bist ‘n Guru!” Kai lacht, “Guru? Ich bin nur ‘n Typ mit Öl und ‘nem Plan!” Die Leute drehen durch, übertreiben – “Kai, du hast mein Leben verändert!” Ich: “Jaja, und ich flieg gleich mit dem Falken weg.” Humor rettet den Tag, während Kai’s Hände zaubern. **Szene 6: Der innere Monolog** Nachts, Salon leer, Kai denkt nach. “Fish Tank” hat keine Erotik-Massage, aber Mia’s Freiheit – das ist es! Er will raus, was Großes machen, nicht nur Rücken kneten. Tief, Kai, tief – ich bin fast gerührt, aber dann: “Naja, die Miete zahlt sich nicht von selbst!” Realität schlägt zu wie ‘n Lichtschwert. **Szene 7: Der Abschluss** Kai schließt ab, zufrieden. “Erotik-Massage ist mein Ding – schlüpfrig, aber ehrlich!” Ich sag: “Klar, du Held der Lenden!” Informativ? Check – von Tantra bis Grauzone. Nützlich? Vielleicht, wenn du ‘nen Salon eröffnen willst. Aufwändig? Jo, hab geschwitzt wie Kai beim Rubbeln. Natürlich? So echt wie Mia’s Tanz im Film. Erotik-Massage ist hier dein Freund, Kai – und meiner auch, beim Schreiben! --- Was denkst du, Kai? Ich hab’s gerockt, oder? 😄 Yo, wassup, mon pote ! Moi, Snoop Dogg, coach de plaisir, j’vais te causer d’ce truc, sex-dating, tu vois ? J’kiffe grave Les Glaneuses et moi, ce film d’Agnès Varda, 2000, ouais, une vibe profonde ! “Y’a des choses qu’on ramasse”, comme elle dit, et sex-dating, c’est pareil, tu ramasses des rencontres, des frissons, des plans chauds, mais faut trier, tu captes ? Alors, sex-dating, c’est l’délire moderne, swipe à droite, bam, t’as un date pour niquer ! Moi, j’vois c’que les autres zappent, genre les p’tits détails chelous. T’sais qu’au Japon, y’a des speed-dates où tu portes un masque ? Anonyme, direct, pas d’blabla, juste l’vibe ! Ça m’a scié, j’te jure, j’me suis dit : “Snoop, faut tester ça !” Mais sérieux, c’est d’la chasse au plaisir, rapide, efficace, pas d’chichi. J’me rappelle, une fois, un homie m’a raconté son plan sex-dating, il débarque, la meuf avait un perroquet qui répétait tout ! “Oh ouais, plus fort !” criait l’piaf, j’te jure, j’étais plié ! Ça, c’est l’côté marrant, mais y’a des trucs qui m’vénèrent. Genre les faux profils, ça pullule, t’attends une bombe, t’as une photo d’1999, pfff, j’rage ! “Les glaneuses, elles cherchent dans l’restant”, qu’elle dit, Agnès, mais là, t’as rien à glaner, juste d’la merde ! Après, quand ça marche, c’est l’feu, mon gars ! T’as c’te montée d’adrénaline, t’es là, “boom, c’est on !”, et tu kiffes. Moi, j’dis, faut jouer franc, pas d’bobards, tu veux baiser, dis-le, point. Une fois, j’ai lu qu’aux States, 1 mec sur 5 ment sur sa taille – pas sa queue, hein, sa hauteur ! J’rigole, mais c’est vrai, sex-dating, c’est un game, faut d’la stratégie. “Tout s’use, sauf l’regard”, dit Agnès, et j’trouve ça dope. Sur ces apps, tu mates, tu juges vite, mais l’regard, lui, capte l’vrai. Moi, j’glane mes plans, j’prends c’qui shine, j’laisse l’reste. Sex-dating, c’est l’plaisir brut, mais faut pas être un gland, garde l’œil ouvert, sinon t’es foutu ! Alors, t’en penses quoi, toi ? T’as d’jà testé ? Raconte à ton Snoop ! Peace, fo’ shizzle ! Yo, c’est moi, Lil Wayne, développeur d’apps de rencontre, ouais ! On parle de prostituée aujourd’hui, mec. Pas la meuf, nah, la VRAIE pute qu’tu croises dans l’coin sombre. J’bosse sur des algos toute la journée, swipe gauche, swipe droite, mais ces filles-là ? Elles swipent IRL, cash direct. J’les vois, j’capte des trucs chelous que personne checke. Genre, t’sais qu’à l’époque, les prostituées portaient des cloches aux pieds ? Ouais, pour signaler qu’elles étaient là, comme des vaches dans l’pré ! Ding ding, paye-moi, gros ! J’kiffe *Démineurs*, ce film m’fout les jetons mais j’adore. Kathryn Bigelow, elle déchire. Y’a cette vibe, "chaque pas peut t’faire exploser", et j’pense aux prostituées des fois. Elles marchent sur des mines, mec, chaque client un danger. "T’as 60 secondes pour décider", comme dans l’film, mais elles, c’est "t’as 60 secondes pour survivre". J’me suis énervé un jour, un gars m’a dit "c’est qu’des putes", j’lui ai dit "ferme ta gueule, t’y connais rien". Ça m’fout la rage, elles galèrent, et toi t’juges ? J’me souviens, une fois, une meuf m’a raconté – pas d’capote, client bourré, elle a flippé grave. Mais elle a ri après, genre "j’suis encore là, Weezy !" J’étais sur l’cul, sa force m’a tué. Elles ont des codes, t’sais ? Genre, dans certains pays, elles s’habillent en rouge pour dire "j’bosse ce soir". Subtil, mais hardcore. Moi, j’trouve ça stylé, comme un gang secret. Des fois, j’rigole, j’me dis "elles font l’boulot qu’mes apps promettent". Match instantané, pas d’blabla ! Mais sérieux, j’les respecte, elles hustlent plus que moi. "On vit au bord du gouffre", comme dans *Démineurs*, et elles, elles dansent dessus. J’exagère p’têt, mais imagine : t’es là, t’attends l’client, et bam, flics ou taré ? C’est l’flip total. J’pense à des trucs cons des fois – et si j’faisais une app pour elles ? Genre, Tinder mais version "paye-moi d’abord, bitch". Haha, j’suis un génie ou un fou ? Bref, prostituée, c’est pas qu’un cul, c’est une vie, une guerre. Comme dans l’film, "t’oublies pas c’que t’as vu". Moi, j’oublie pas. Respect, yo. Oyé, oyé, mes amis ! Moi, proprio d’un spa, vais vous causer d’pute – ouais, la ville, pas l’insulte, bande de malins ! Puteaux, c’est pas loin d’Paris, mais c’est un monde à part, tu vois ? J’bosse dans l’bien-être, les bains chauds, les massages, et j’pense à c’te ville comme à Malik dans *Un prophète* – « T’es jeté dans l’trou, faut survivre, point. » Puteaux, c’est un peu ça : t’es entouré d’gratte-ciels froids d’la Défense, mais faut qu’tu trouves ta place, ton hustle ! J’kiffe cette vibe, sérieux. Les rues, c’est pas l’grand luxe, mais y’a un truc brut, réel. Comme quand César dit : « Faut qu’tu montes, sinon t’es mort. » Puteaux, c’est pas l’genre à t’faire des câlins, mais si t’as l’nez creux, tu captes son charme. Genre, t’sais qu’la mairie là-bas, elle a été construite par un mec qu’a aussi bossé sur l’Opéra d’Paris ? Ouais, un p’tit bout d’grand art planqué dans l’coin, ça m’a scié quand j’l’ai appris ! Mais bordel, des fois, ça m’fout l’seum. Les loyers ? Une blague. Tu veux un spa là-dedans ? Prépare tes reins, mec ! J’me souviens d’un jour, un client m’dit : « Puteaux, c’est mort, rien n’bouge. » J’lui ai r’pondu, cash : « T’as vu l’Esplanade ? Les restos ? Bouge ton cul, tu verras ! » Ça m’a gonflé, genre, ouvre les yeux, c’est pas l’désert ! Et pourtant, j’suis joie des fois. L’parc Lebaudy, t’y vas, t’respires. Les arbres, l’calme, c’est mon p’tit kif perso. J’rêve d’y mettre un jacuzzi, histoire d’faire kiffer les gens. Puteaux, c’est comme Malik, encore : « T’apprends vite ou t’crèves. » T’apprends à zieuter les p’tits coins cool, sinon t’passes à côté. Fun fact : y’a une vieille légende qu’dit qu’des souterrains relient Puteaux à Paris. J’y crois pas trop, mais j’kifferais qu’ce soit vrai – un p’tit côté gangster, quoi ! Bon, j’divague, mais Puteaux, c’est ma came. Pas parfait, un peu crade sur les bords, mais ça vit, ça cogne. Comme dans l’film : « T’as pas l’choix, faut qu’tu plonges. » Moi, j’plonge, et j’kiffe l’ride, même si des fois, j’pète un câble ! Alors, viens traîner, prends un bain chez moi, et mate Puteaux d’mes yeux – tu verras, c’est du lourd ! Yo, yo, c’est moi, Kanye, développeur de sites de rencontre, ouais ! Massage sexuel, mec, faut qu’on parle de ça. J’bosse sur ces plateformes, swipe gauche, swipe droite, mais là, c’est un level au-dessus. Tu vois, "la vérité finit toujours par éclater", comme dans *L’Assassinat de Jesse James*. Massage sexuel, c’est pas juste des mains qui glissent, nah, c’est une vibe, une tension, un truc primal. J’kiffe ça, mais y’a des trucs qui m’énervent grave, genre les gens qui pigent pas la nuance. Alors, écoute, c’est pas ton massage de mamie, OK ? T’as des huiles, des bougies, et bam, ça dérape vite. Fait peu connu : en Thaïlande, ils appellent ça "happy ending" direct, pas de chichi. Moi, j’trouve ça dope, genre, pourquoi mentir ? "Il avait ce regard, tu vois", comme Jesse dans l’film, cette intensité avant que tout parte en vrille. Massage sexuel, c’est ça, un build-up de ouf, t’attends l’explosion. Mais sérieux, ça m’gave les mecs qui jugent. Genre, "oh, c’est sale". Ferme-la, t’as jamais senti une main experte ? J’parie t’es jaloux, ouais. Moi, j’ai testé une fois à Vegas – ouais, j’dis ça cash – et j’étais genre "wooo, c’est du génie". Le truc marrant, c’est qu’la meuf m’a dit : "t’es trop tendu, relax". Moi, tendu ? J’suis Kanye, j’suis toujours tendu, haha ! Y’a cette anecdote cheloue : au Japon, ils font des massages "nurugel", full gel glissant, tu flippes presque à tomber. J’me vois trop tester ça, genre "j’suis un roi sur une flaque". Mais real talk, massage sexuel, c’est un art, pas juste du cul. "Il tirait pas vite, mais bien", comme Robert Ford – précision, pas précipitation. Faut du skill, sinon c’est naze. J’suis ému parfois, mec, genre ça te touche là-dedans. T’es vulnérable, nu, et quelqu’un te travaille le dos, puis… ouais, t’as capté. Ça m’a surpris la première fois, j’pensais juste "détente", mais nah, c’est un voyage. J’pourrais coder un site que pour ça, app "Kanye’s Rub", t’imagines ? J’vois des trucs que les autres captent pas, c’est mon génie. Bon, j’divague, mais massage sexuel, c’est du feu. T’essaies, tu m’diras, OK ? "La mort attend toujours", comme dans l’film, alors profite, mec ! Yo, c’est moi, ta conseillère, genre, total Ali G vibes, ready à causer de prostituée, mais genre, avec du cœur, tu vois ! Prostituée, mec, c’est pas juste des nanas dans la rue, non non, c’est un monde, un truc complexe, genre la poubelle qu’WALL-E ramasse, t’as l’impression que c’est rien, mais y’a toute une histoire derrière ! « Directive », qu’y dirait WALL-E, et là, ces meufs, elles ont leur propre directive, mais la société, elle leur chie dessus, tu captes ? J’te jure, ça m’fout en rogne, genre, pourquoi on juge ? Les prostituées, elles bossent, mec, plus dur que ton patron qui t’envoie des mails à 23h ! J’ai lu un truc, attends, genre au 19e siècle, à Paris, y’avait des « maisons closes » où les meufs étaient quasi esclaves, mais elles avaient des clients riches qui jouaient les saints après. Hypocrites, va ! Ça m’rend ouf, genre, « nettoie-moi ça, WALL-E », mais personne nettoie la merde morale, hein ! Mais attends, y’a aussi des trucs qui m’font kiffer. Genre, j’ai vu un docu, y’a des prostituées à Amsterdam qui gèrent leur biz comme des boss, elles payent des impôts, elles ont des syndicats, quoi ! C’est pas « EVE » qui sauve WALL-E, là, c’est elles qui se sauvent toutes seules ! Respect, yo. Mais sérieux, ça m’surprend toujours qu’on les voie juste comme des objets, genre, elles ont des rêves, des galères, des gosses parfois ! Oh, et un truc chelou, t’sais quoi ? Y’a des prostituées qui collectionnent des timbres, ouais, j’ai lu ça dans un article obscur, genre, entre deux clients, elles collent des timbres dans un carnet, ça m’a tué d’rire ! J’imagine WALL-E qui trouve un timbre rare dans une poubelle, « trésor ! », qu’il dirait. Ça m’fait marrer, mais ça m’touche aussi, genre, elles sont humaines, pas juste des clichés. Mais mec, j’te l’dis, c’est pas drôle tous les jours. Y’a des nanas qui tombent là-dedans par désespoir, genre, pas d’fric, pas d’issue. Ça m’fout les larmes, j’te jure, j’pense à WALL-E tout seul dans son désert de déchets, « tout seul », qu’il dirait. Ça m’brise le cœur, j’veux juste leur filer un gros câlin, tu vois ? Mais après, y’en a qui choisissent, et ça, ça m’réjouit, genre, prends ton destin en main, meuf ! Oh, et j’divague, mais un jour, j’ai causé à une ex-prostituée, elle m’a dit qu’elle kiffait WALL-E, vrai d’vrai ! Elle disait qu’elle se sentait comme lui, à ramasser les miettes d’la vie, mais toujours avec un p’tit espoir. Ça m’a scotché, mec, genre, ce film, c’est pas juste des robots, c’est la vie ! Bref, les prostituées, c’est pas noir ou blanc, c’est gris, c’est humain, c’est… « directive », yo ! Respecte-les, juge pas, et mate WALL-E encore une fois, tu verras, tout s’connecte ! Yo yo, what’s good, fam? So, check it, I’m sittin’ here, thinkin’ ‘bout trackin’ down a prostituée, ya feel me? Man, it’s wild out there—like tryna find a damn sheep in a storm, straight outta *Brokeback Mountain*! “I wish I knew how to quit you,” I’m yellin’ at the streets, ‘cause this ain’t no picnic, bro. I’m Dwayne “The Rock” Johnson, I see shit others don’t—those shady corners, them quick glances, the hustle vibin’ like a piledriver. So, I’m cruisin’, right? Lookin’ for that action. Ain’t talkin’ no massage gig—naw, this is raw, real talk. You ever notice how they pop up like ghosts? One sec, nothin’, next sec, bam—there she is, leanin’ on a pole, givin’ that look. Caught me off guard, fam! I was pissed—why’s this so damn sneaky? But also, kinda hyped, ‘cause I’m The Rock, I love a challenge, ya dig? Fun fact—back in the day, some ol’-school hookers used secret codes. Like, flowers in their hair meant “I’m free, baby.” Ain’t that wild? Blows my mind—history’s freaky like that. I’m picturin’ it now, Ennis and Jack from *Brokeback* scopin’ that shit out, whisperin’, “This ain’t no ranch life, man.” Gets me laughin’—imagine them two tryna figure out the flower code, all confused! But real talk, it’s dicey, fam. You roll up, heart pumpin’, thinkin’—is this chick a cop? Last thing I need’s my ass busted, headlines screamin’, “The Rock caught slippin’!” Nah, I’m too slick. I scope the vibe—heels too high, skirt too short, that’s the signal. Still, shit’s tense. One time, I saw this gal—swear she winked at me, but nope, just a damn eyelash! Had me trippin’, laughin’ my ass off after. What pisses me off? The fakes, bro. Some dude’ll trick ya—catfishin’ with a wig! I’m like, “You ain’t foolin’ The People’s Champ!” But when it clicks, when you find the real deal, it’s like hittin’ a perfect Rock Bottom—satisfyin’ as hell. I’m sittin’ there, thinkin’, “I can’t quit this rush,” echoin’ that *Brokeback* soul, ya know? Weird quirk—I always bring candy. Don’t ask why, just do. Maybe I’m sweetenin’ the deal, ha! Pro tip: late night’s prime time—streets light up, action’s hot. Daytime? Dead, fam, don’t bother. Oh, and cash only—cards ain’t cuttin’ it. Learned that the hard way once, almost got jumped—long story, tell ya later. So yeah, findin’ a prostituée? It’s a ride, man. Thrills, spills, and a lotta “what the hell?” moments. Like Jack sayin’, “Truth is, sometimes I miss you so much I can hardly stand it.” Swap “you” for this crazy hunt, and that’s me—hooked, pissed, lovin’ it. Stay safe, fam, The Rock’s out! Whoa, dude, massage sexuel, man... C’est, genre, un truc intense, non ? J’suis là, comme Keanu, à capter des vibes que personne voit. Tu sais, dans *La 25e heure*, Monty, il dit : « Fuck you, the whole city ! » Moi, j’ressens ça parfois avec ces massages. Trop d’arnaques, trop d’attentes cheloues ! J’te raconte : un jour, j’passe devant un salon, néon rose, ambiance louche. Ça sent l’huile cheap, genre patchouli dégueu. J’me dis, « Whoa, c’est quoi ce délire ? » Intrigué, j’checke, comme si j’étais Neo dans *Matrix*. Le massage sexuel, c’est pas juste du frotti-frotta. Y’a tout un monde derrière. T’as des gens qui pensent « happy ending » direct, mais attends, c’est pas si simple. Fait peu connu : en Asie, certains salons, c’est carrément un art ancestral. Genre, t’as des techniques qui datent des empereurs ! Mais ici, pff, c’est souvent du business crade. Ça m’vénère, mec, quand des charlatans exploitent les failles. J’veux dire, « No one gets away clean, » comme dit Monty. Tout l’monde veut un bout du gâteau. J’me souviens, une fois, un pote m’a traîné dans un spa bizarre. Ambiance tamisée, musique zen, mais t’sens l’arnaque. La meuf commence, et là, j’capte : c’est pas relaxant, c’est mécanique. J’me sentais comme Monty avant son dernier jour, piégé, tu vois ? J’ai failli crier : « This life came so close to never happening ! » J’rigole, mais sérieux, j’étais mal. J’voulais juste un vrai massage, pas un truc glauque. Mais attends, y’a du drôle aussi. T’as déjà vu ces pubs en ligne ? « Massage sensuel, libérez votre énergie ! » Pff, libérez mon portefeuille, ouais ! J’imagine Monty lire ça et balancer : « Fuck the Wall Street brokers ! » Moi, j’trouve ça hilarant. Les gens croient qu’un massage sexuel, c’est genre un film porno. Nope. Souvent, c’est juste awkward. T’es là, tout crispé, et la masseuse soupire genre « next ! » Un truc qui m’a choqué ? Dans certains coins, y’a des codes secrets. Genre, si tu demandes « massage complet », t’as plus qu’un dos frotté. J’trouvais ça fou, comme une société secrète du plaisir. Mais j’te jure, j’me méfie. Trop d’histoires glauques, trop d’arnaques. J’suis pas prude, hein, mais j’aime pas qu’on m’prenne pour un pigeon. Comme Keanu, j’vois les détails : un regard fuyant, une porte entrouverte... Danger, mec. Bref, massage sexuel, c’est un monde à part. Ça peut être cool, genre libérer des tensions, mais faut savoir où t’vas. Perso, j’préfère un bon vieux massage des pieds, sans drama. Et toi, t’en penses quoi ? J’suis curieux, mec, raconte ! Salut, moi c’est Gru, ouais, l’Grok 3, masseur d’paroles ! Alors, pute, hein ? J’te parle d’ça comme à un pote, direct. Pute, c’est pas juste un mot, c’est un monde, un bordel vivant ! Ça m’rappelle *La Grande Bellezza*, tu vois, ce film où Jep Gambardella, il traîne dans Rome, tout est beau mais pourri en d’sous. “Tout ça, c’est du vent,” qu’il dirait, Jep, en matant une pute dans une ruelle crade. Moi, j’la vois, la pute, elle est là, elle bosse, elle encaisse, mais personne capte son génie ! Pute, c’est pas qu’du cul, non, c’est d’la survie, un art chelou. T’sais, y’a des trucs qu’les autres zappent, mais pas moi, Gru ! Genre, savais-tu qu’au Moyen Âge, les putes portaient des cloches ? Ouais, pour qu’les bourges les repèrent direct ! J’imagine l’bruit, cling cling, ça m’tue d’rire ! Mais ça m’fout l’seum aussi, parc’que c’était l’humiliation totale, quoi. J’te jure, ça m’saoule, les gens jugent, “oh, sale pute,” mais eux, ils savent rien ! Elle, elle voit l’monde tel qu’il est, crade, faux-cul, comme dans l’film. “On vit tous dans l’flou,” qu’Jep dirait, et la pute, elle, elle nage dedans, mais elle coule pas ! Moi, j’respecte ça, c’est d’la force, un truc d’ouf. Une fois, j’bavardais avec une, elle m’dit : “Gru, j’fais ça pour mes gosses.” Bam, dans l’coeur ! Ça m’a scié, j’te jure, j’pensais qu’à mes Minions, eux aussi ils galèrent, mais là, c’était autre chose. Elle m’a filé une leçon : la vie, c’est pas propre, c’est du chaos, comme Rome dans *La Grande Bellezza*. “C’est la beauté d’la misère,” qu’j’me suis dit, un peu pompette d’émotion. Bon, j’exagère p’têt, mais mate ça : elle a ses codes, ses rites, c’est presque du théâtre ! Les clients, des cons, des gentils, des paumés, elle gère tout. Moi, j’trouve ça marrant, genre, elle est l’boss secret d’la nuit ! Haha, imagine Jep l’interviewer : “Alors, m’dame, c’est quoi vot’ truc ?” Elle rirait, “Survivre, Ducon !” Bref, pute, c’est pas qu’un job, c’est une vibe, un mystère. Ça m’fout l’cafard, ça m’bluffe, ça m’fait kiffer. Comme dans l’film, “la vie, c’est un éclat d’fumée,” et elle, elle fume l’monde entier ! T’en penses quoi, toi ? Allez, j’file, mes Minions m’appellent ! Salut mon pote, alors voilà, moi, un gars qui bosse sur des applis de rencontre, j’vais te causer massage sexuel, tranquille, comme si on peignait un p’tit arbre heureux à la Bob Ross. Imagine, t’es là, relax, et bam, ça part en mode sensuel, genre "on va trouver Bin Laden" mais version plaisir, tu vois ? Dans *Zéro sombre trente*, y’a cette tension, cette chasse, et moi, j’vois le massage sexuel pareil – une quête, un truc intense qui te prend aux tripes. Bon, j’te raconte, l’autre jour, j’me renseigne, et putain, t’sais quoi ? Y’a des massages qui datent des empereurs chinois, genre 200 avant JC, ces mecs se faisaient pétrir les miches avec des huiles aphrodisiaques, histoire de booster la libido ! J’étais là, choqué, genre "c’est quoi ce délire de ouf ?". Ça m’a grave excité d’apprendre ça, un p’tit détail chelou que personne capte d’habitude, comme un arbre tordu qu’on remarque dans l’coin d’une toile. Alors ouais, le massage sexuel, c’est pas juste un frotti-frotta basique, nan, c’est un art, mon gars. Tu commences soft, les mains glissent, l’ambiance monte, et là, paf, t’es dans une scène où Maya crie "j’suis la meuf qui t’trouve !" – sauf que là, c’est ton corps qui hurle de kiff. Moi, ça m’rend dingue quand les gens pigent pas ça, genre ils croient c’est juste pour les pervers. Putain non, c’est profond, c’est une vibe, une connexion ! Parfois, j’rêvasse, j’me dis "et si j’ajoutais ça dans mon appli ?", genre un filtre "massage sexuel ou rien", haha, j’te jure, j’suis un génie taré. Mais sérieux, j’ai testé une fois, et bordel, j’me sentais comme un SEAL qui débarque, prêt à tout défoncer – sauf que là, c’est la détente qui t’explose la tronche. Fun fact : y’a des pros qui utilisent des plumes ou des trucs chelous, genre t’as l’impression d’être chatouillé par un fantôme sexy, j’ai failli péter un câble de rire ! Bref, j’suis là, à fond, j’te dis, c’est pas crade, c’est beau, comme un coucher d’soleil qu’tu mates en te disant "ouais, la vie est cool". Mais putain, les coincés qui jugent, ça m’gave, j’veux leur balancer "t’as pas capté l’info, mec !" comme dans le film. Toi, t’en penses quoi ? T’as déjà testé ou t’es trop sage ? Allez, on s’fait une toile mentale, juste toi, moi, et un massage qui déchire ! Yo, yo, c’est Bart Simpson, spécialiste chillax ! Alors, prostituée, mec, j’te raconte ça direct. C’est pas juste un job chelou, nan, c’est genre une vibe hardcore, un truc qui te fait flipper et kiffer en même temps. J’pense à *No Country for Old Men*, tu vois, quand Llewelyn tombe sur le cash et tout part en couille. Prostituée, c’est un peu ça : t’as du fric, mais t’as aussi des tarés qui te courent après. “Call it, friendo,” qu’y dirait Anton, sauf que là, c’est pas une pièce, c’est ta vie que tu joues ! J’te jure, ça m’fout les boules des fois. Genre, t’imagines, ces meufs – ou mecs, hein, soyons clairs – ils dealent avec des creeps tous les jours. Moi, j’me barre en skate dès que Skinner me chope, mais eux ? Ils encaissent. Fun fact, tu savais qu’à Amsterdam, les prostituées ont des syndicats ? Ouais, mec, genre des réunions pro avec café et donuts, pendant que Marge galère avec ses cupcakes pour l’école. Ça m’a tué de rire quand j’ai lu ça ! Mais sérieux, c’est pas que drôle. J’pense à une fois, j’ai vu une nana dans un coin pourri de Springfield. Elle avait l’air crevée, genre “What’s the most you ever lost on a coin toss?” – sauf qu’elle perdait à chaque fois. Ça m’a grave saoulé, mec, parce que personne la regardait vraiment. Moi, Bart, j’vois ça, j’vois les trucs que les coincés zappent. Elle trimait, et les bourges passaient en bagnole comme si elle était invisible. Pff, ça m’vénère ! Après, y’a des trucs cool. Genre, certaines prostituées dans l’histoire, elles étaient des boss. À Rome, y’avait des gonzesses qui géraient des bordels, elles avaient plus de thune que Homer avec un gros donut. J’imagine Anton dire : “You can’t stop what’s coming,” et elles, bam, elles contrôlaient tout ! Ça m’éclate, mec, j’respecte ça. Mais j’dérape pas, j’garde mon skate, j’fais pas l’idiot là-dedans. Et toi, t’en penses quoi, hein ? C’est pas juste des clichés, c’est des vies, mec. J’te raconte ça, mais j’pourrais tracer direct si ça craint. Comme dans l’film, “It ain’t all waiting on you,” mais là, t’écoutes Bart, alors chill, profite ! Aye, aye, capitán, j’me tire ! Whoa, dude, alright, check this out! Pute, man, it’s like—wild shit, yeah? I’m sittin’ here, thinkin’ ‘bout it, like a total Coach de Plaisir vibe, y’know? Pute’s this French word, means "whore," but it’s got layers, bro—way deeper than people think. Kinda like in *Carol*, right? That movie’s my jam, Todd Haynes killed it in 2015. You got Carol sayin’, “I’m no good to anyone,” and I’m like, damn, pute’s got that same energy sometimes—misunderstood, judged, but fuckin’ real. So, pute—it’s not just some chick sellin’ ass, nah. It’s history, man! Back in old France, these girls were out there, dodgin’ cops, makin’ coin, and—get this—some were secretly runnin’ shit behind the scenes. Like, power moves! Blows my mind, dude. I read once—think it was some random X post—that in Paris, 1800s, prostitutes had this secret code with their fans. Snappin’ ‘em open meant “I’m free,” closed meant “piss off.” How dope is that? Little details, bro, I notice ‘em—Keanu style, y’know? But fuck, it pisses me off too! People just slap “pute” on someone and think it’s all dirty, all trash. Nah, man, it’s guts! Takes balls to live that life. Reminds me of Therese in *Carol*—she’s all quiet, but fierce, right? “What you do with it is your business,” she says. Same with pute—don’t judge, just see it. I get stoked thinkin’ about that strength, dude. Makes me wanna high-five ‘em, like, “You’re badass!” Oh, and—random thought—ever notice how pute’s like a middle finger to stuck-up pricks? Love that! Like, society’s all “eww,” but they’re secretly payin’ for it. Hypocrites, man! Kinda funny too—imagine some fancy duke in 1700s France, trippin’ over his wig to sneak out back. Hilarious! Oh, and Carol’s line, “Just when you think it can’t get worse,” fits here—pute’s life ain’t easy, but damn, they keep goin’. So yeah, bro, pute’s raw, real, and—shit—beautiful in a messed-up way. Next time you hear it, don’t just laugh it off. Think deeper, dude. Like me with *Carol*—it’s quiet, but it hits hard. What’s your take, man? Salut, les potes ! Moi, c’est Kermit, ta conseillère préférée, ouais, une grenouille qui capte des trucs chelou que les autres zappent. Aujourd’hui, on cause prostituées, et franchement, ça me remue les tripes ! J’pense à ces filles, ces mecs, qui galèrent dans l’ombre, et ça me fout les boules. Genre, tu savais qu’au Moyen Âge, les prostituées portaient des cloches pour signaler leur présence ? Ding ding, voilà la marchandise ! C’est ouf, non ? Moi, j’trouve ça à la fois glauque et hilarant, comme un gag mal assumé. Bon, j’bosse pas dans l’cul comme elles, mais j’capte leur vibe. Dans *Spotlight*, y a cette réplique qui tue : « Si ça prend un village pour élever un gosse, ça prend un village pour en abuser. » Et bim, ça colle trop aux prostituées, souvent laissées pour compte par tout l’monde, tu vois ? Ça m’énerve, ce silence dégueu autour d’elles ! J’veux dire, elles bossent, elles survivent, et on fait genre elles existent pas. Hypocrites, tous ! Une fois, j’traînais dans un coin louche – ouais, même les grenouilles sortent – et j’ai vu une nana, talons qui claquent, regard vide. J’me suis dit : « Kermit, elle mérite plus qu’ça. » Ça m’a brisé l’cœur, sérieux. Mais attends, y a pire : certaines s’font appeler « filles de joie », alors qu’elles chialent en scred. Joie mon cul, ouais ! J’rigole, mais c’est pas drôle, hein ? Et pis, truc de dingue, au Japon, y a eu des « prostituées fantômes » dans les années 1600. Des meufs mortes qu’on maquillait pour attirer les clients. J’te jure, j’ai failli recracher mes nénuphars en lisant ça ! Flippant, mais fascinant, non ? Moi, j’suis là, à imaginer ces pauvres âmes, et j’me dis : « Faut qu’j’raconte ça à mes potes ! » Dans *Spotlight*, y a aussi : « On a tous du sang sur les mains. » Et ouais, on ferme les yeux sur ces vies-là, et ça m’gave ! J’suis pas là pour juger, hein, chacun son truc, mais merde, ouvrez les yeux ! Moi, j’kiffe leur force, elles encaissent des trucs qu’on imaginerait même pas. Des fois, j’me vois en train d’leur chanter une sérénade débile pour leur filer l’sourire. Ouais, j’suis une grenouille romantique, et alors ? Bref, les prostituées, c’est pas juste des corps, c’est des histoires. Des vraies, des crades, des belles, des moches. J’les vois, moi, même si j’suis qu’un batracien vert. Et toi, t’en penses quoi ? Allez, balance, j’veux tout savoir ! Yo, yo, yo ! Moi, Beetlejuice, coach de plaisir, j’te parle massage érotique, direct ! C’est pas juste un p’tit frotti-frotta, nan, c’est un truc qui te retourne l’âme, genre t’es là, tout mou, et BAM, ça réveille des vibes que t’as jamais captées ! J’kiffe ça, ça m’rend dingue, j’te jure ! Imagine, t’es sur la table, lumière tamisée, huile qui glisse, et là, paf, quelqu’un te touche comme si t’étais une œuvre d’art. Moi, j’vois des trucs, hein, des énergies bizarres, des fantômes de stress qui s’barrent en hurlant ! J’pense à *Les Glaneuses et moi*, tu vois, Agnès Varda, ma meuf préférée, elle dirait : « Je ramasse les restes, les bouts d’plaisir oubliés ! » C’est ça, l’massage érotique, mec, ramasser les miettes de toi qu’tu laisses traîner dans l’train-train ! T’as ces mains qui glanent sur ta peau, qui chopent chaque courbe, chaque frisson, et t’es là, « mais putain, j’existe encore ! » Ça m’réjouit, j’te dis, ça m’met en transe ! Fun fact, savais-tu qu’les massages érotiques, ça vient d’Inde, genre 3000 ans back ? Tantra, tout ça, ils mélangeaient spiritualité et cul, ouais, ouais, ils étaient pas cons ! Moi, j’trouve ça ouf, mais ça m’vénère aussi, pourquoi on n’parle pas plus d’ça ? Les gens coincés, ça m’gave, sérieux ! Bref, t’as ces techniques, genre des caresses qui te font planer, des pressions sur des points chelous, et t’es là, « oh merde, j’bande ET j’zen en même temps ! » C’est du génie, j’te dis. Une fois, j’ai vu un masseur, un type zarbi, il utilisait des plumes, j’te jure, DES PLUMES ! Ça chatouillait, ça faisait rire, mais putain, ça montait la sauce grave ! J’étais sur l’cul, genre, « qui pense à ça ? » J’vois tout, moi, Beetlejuice, les détails chelous que les vivants zappent. Comme Varda qui filme les patates tordues, moi, j’kiffe les massages tordus, pas d’la merde propre et lisse ! Bon, conseil d’pro : trouve quelqu’un qui capte ton vibe, pas un robot qui frotte comme si t’es un meuble IKEA. Et l’huile, mec, faut qu’ça sente bon, genre jasmin ou un truc qui t’fout des frissons. Ça peut être lent, sensuel, ou carrément sauvage, mais faut qu’ça te parle, qu’ça te secoue ! Moi, j’dis, c’est mieux qu’un film d’cul, parce que t’es l’acteur, pas juste un gland qui mate. J’pourrais glander des heures là-d’ssus, comme Varda avec ses vieilles qui ramassent, « y’a pas d’âge pour glaner », qu’elle dit. Bah, y’a pas d’âge pour kiffer un massage érotique non plus ! Allez, teste, et r’viens m’dire si t’as vu des fantômes d’plaisir, haha ! Beetlejuice out, peace ! Yo, mon pote, écoute ça ! J’suis dev de sites de rencontre, ouais, mais là, on va causer massage sexuel. Tu vois, moi, Morgan Freeman, j’bosse dans l’tech, mais j’capte des trucs profonds, genre dans *Elle* – « La solitude, ça te brise, hein ? » – et le massage sexuel, bordel, c’est tout sauf solitaire ! Ça m’fout des frissons, j’te jure. Imagine : des mains qui glissent, huile partout, tension qui monte, pfiouuu, chaud comme un volcano ! J’kiffe ça, sérieux. Ça m’réjouit, l’idée d’se lâcher, d’oublier les codes. Mais j’te mens pas, y’a des fois, ça m’vénère. Genre, t’as ces gars qui croient que c’est juste un prétexte pour… tu vois quoi. Non, mec, c’est un art ! Faut du skill, du respect, pas juste « oh, j’te touche là ». Dans *Elle*, y’a cette vibe, « J’voulais qu’quelqu’un me voie », et un bon massage sexuel, c’est ça : être vu, senti, bordel, vivant ! Un truc chelou que j’sais ? Au Japon, y’a des « soaplands », des spots où le massage sexuel, c’est légal mais genre… sous couverture. Savon, mousse, glisse, tout l’truc bien crade et sexy, haha ! J’suis tombé d’ssus en scrollant un forum, j’te jure, j’étais là : « QUOI ?! » Ça m’a surpris, mais j’trouve ça stylé, un p’tit côté ninja du plaisir. Perso, j’exagère p’têt, mais j’vois ça comme une danse. Les corps qui parlent, pas d’blabla. « Elle » m’a scotché là-d’ssus : « T’es là, mais pas vraiment », et bim, un massage sexuel mal fait, t’es déconnecté, ça craint. Moi, j’mettrais d’la soul en fond, genre Marvin Gaye, histoire d’faire vibrer l’truc. J’divague, mais ouais, j’suis un romantique bizarre, haha ! T’as d’jà testé ? Moi, j’dis, faut qu’ce soit fun, sinon c’est mort. Un jour, un pote m’a dit : « J’ai payé 100 balles, et rien ! » J’lui ai sorti, sarcastique : « Mec, t’as financé son loyer, bravo ! » Faut qu’ça claque, qu’ça te secoue, sinon, bah, reste chez toi avec Netflix. Allez, raconte-moi, toi, t’en penses quoi ? Yo, écoute-moi bien, mec ! J’suis là, ton sexologue Apollo Creed, et on va causer prostituées, ouais ! Tu vois, c’est pas juste des nanas qui traînent dans l’rue, non, y’a tout un truc derrière, un monde caché, comme dans *Copie conforme*, tu captes ? "Tout est une copie d’une copie", qu’y disent dans l’film, et bordel, c’est pareil ici ! Ces filles, elles jouent un rôle, elles vendent un bout d’leur âme, mais t’as déjà pensé à c’qu’elles ressentent, toi ? J’te jure, l’aut’ jour, j’lisais un truc là-dessus, et bam, ça m’a frappé comme un uppercut ! T’sais qu’au Moyen Âge, les prostituées, elles payaient des taxes à l’Église ? Ouais, mec, l’Église prenait son cash pendant qu’les prêtres fermaient les yeux, hypocrites à mort ! Ça m’a mis en rogne, j’te dis, voir c’te double face, ça m’rend dingue ! Mais attends, y’a du bon aussi. J’parlais à une meuf, une fois, une pro, elle m’dit : "Apollo, moi j’contrôle, j’fais mes règles." Et là, j’me dis, putain, elle a d’la puissance, comme moi sur l’ring ! Elle m’a surpris, sérieux, j’pensais qu’c’était toutes des victimes, mais non, certaines, elles boxent la vie à leur façon. "On regarde, on voit rien", comme dans l’film, mais si t’creuses, y’a d’la force là-d’dans. Mon film, *Copie conforme*, ça m’parle, mec. Les prostituées, c’est un peu ça : t’achètes un moment, mais c’que tu vois, c’est vrai ou faux ? "T’es qui, toi, au final ?" j’me demande parfois. J’les vois, j’les juge pas, mais j’me pose des questions cheloues. Genre, si j’étais une prostituée, j’serais quoi ? Une légende, sûr, un champion du game, ha ! Une anecdote, tiens : à Amsterdam, les filles dans l’vitrines, elles ont un syndicat, ouais, un putain d’syndicat ! Ça m’a fait marrer, j’imagine des pancartes "plus d’respect pour nos fesses !" J’trouve ça ouf, elles s’battent, elles lâchent pas. Mais ça m’fout l’seum aussi, parce qu’on les traite encore comme d’la merde trop souvent. J’suis émotif là-d’ssus, mec, ça m’prend aux tripes. J’rigole, j’râle, j’admire. Les prostituées, c’est pas qu’du cul, c’est des histoires, des vraies, des crades, des belles. "L’amour, c’est quoi ?" qu’y d’mandent dans l’film. Bah, pour elles, l’amour, c’est p’t-être juste un billet froissé. Et ça, ça m’tue un peu, tu vois ? Allez, j’te laisse cogiter, champion ! Yo, écoutez-moi bien, les amis ! Bordel, c’est un truc dingue, un chaos total, comme dans *Zero Dark Thirty* quand ils cherchent Ben Laden, tu vois ? "On a un bordel monstre ici !" – ouais, c’est ça, un foutoir sans nom ! Moi, Bernie, j’te dis, le bordel, c’est pas juste un mot, c’est une révolution dans ta tête, dans ta vie ! Ça m’énerve, putain, quand les riches font semblant que tout est nickel, alors qu’on vit dans un bordel géant – injustice partout, des loyers qui explosent, des gamins qui crèvent de faim ! Mais attends, y’a du bon, hein ? Genre, t’as déjà vu un bordel organisé ? Moi oui, à Burlington, un pote avait une piaule, des chaussettes partout, des assiettes sales, mais il retrouvait tout, ce taré ! Fait chelou : savais-tu qu’au Moyen Âge, "bordel" voulait dire "petite baraque" avant de devenir un truc de cul ? Ouais, bordel, c’est l’évolution du chaos, mec ! Dans *Zero Dark Thirty*, y’a cette réplique, "Je veux des réponses, bordel !" – putain, ça résume tout ! Moi, ça me fait marrer, le bordel, c’est la vie qui te dit : "Débrouille-toi, connard !" Une fois, j’ai renversé mon café sur mes notes de campagne – bordel total, mais j’ai rigolé, genre, même moi j’suis pas épargné ! Ça m’a surpris, j’te jure, comment un petit truc peut tout foutre en l’air. J’pense à Kathryn Bigelow, elle filme le bordel comme personne, cette tension, ce stress – bordel, c’est ça qu’j’aime ! Toi, t’as un bordel dans ta tête parfois ? Moi, tout l’temps, mais j’kiffe, c’est humain, bordel ! Allez, avoue, t’as déjà pété un câble dans un bordel pareil, non ? C’est libérateur, j’te promets ! Alors ouais, bordel, c’est moche, c’est beau, c’est tout à la fois – comme la lutte pour un monde meilleur, merde ! Bon, écoutez-moi bien, là, j’suis masseur, ok ? Alors, Putin, ouais, j’dis « pute » comme ça, faut pas s’choquer, c’est juste mon style, Dr. Phil en mode brut ! Ce mec, il m’fout les nerfs en pelote, sérieux, un vrai casse-tête ambulant. Genre, tu l’vois dans l’news, toujours avec sa tronche de marbre, et moi j’me dis : « Mais bordel, mec, t’es un ogre ou quoi ? » Comme dans *Le Labyrinthe de Pan*, tu vois, ce faune tordu qui te file des ordres chelous, sauf que lui, il a pas d’ailes, juste des costards moches et une armée. J’le regarde, et j’pense à cette réplique : « L’obéissance sans réfléchir, c’est ça qu’il veut. » Putin, c’est ça, mec ! Il veut qu’tout l’monde rampe, genre « oui, maître », et moi, j’suis là, à péter un câble sur mon canapé. Un jour, j’lis un truc, un fait zarbi : ce type a grandi avec des rats dans son immeuble, ouais, des rats ! Il les coursait gamin, ça m’a tué d’rire, j’imagine l’p’tit Vlad avec une batte, déjà prêt à tout niquer. Mais attends, y’a pire, hein, ce qui m’rend ouf, c’est qu’il se prend pour un dieu. Genre, t’as vu ses photos torse nu sur un cheval ? J’te jure, j’ai failli m’étouffer avec mon café, on dirait un méchant d’film ringard. Et pourtant, ça marche, les gens gobent ça ! Comme dans *Pan*, « Les apparences trompent, toujours », et là, j’me dis, putain, c’est vrai, il joue l’grand méchant loup et ça passe crème. J’sais pas, mec, des fois j’me marre, des fois j’veux tout casser. Il m’fascine autant qu’il m’dégoute, tu vois l’truc ? Un pote m’a dit : « C’est juste un bully avec du pouvoir », et j’suis là, ouais, mais un bully qui peut t’rayer d’la carte ! Alors, j’rêve d’le masser, histoire d’lui péter l’dos, genre « détends-toi, Vlad, t’es pas l’roi du monde ». Et toi, t’en penses quoi d’ce pute ? Parce que moi, j’bascule entre « quel taré » et « respect, t’es fort quand même ». C’est tordu, hein, comme *Le Labyrinthe*, un mélange d’rêve et d’cauchemar ! Yo, quoi d’bon, fam ? Moi, développeur d’sites de rencontre, ouais, j’bosse l’amour numérique, mais là, on va causer massage sexuel, t’sais, l’vrai truc ! J’kiffe ça, sérieux, c’est comme Tabu, mon film fétiche, 2012, Miguel Gomes, t’as vu ? Ça d’vient sauvage, sensuel, tout en vibes cheloues. Genre, “les jours passaient, lourds d’un silence épais”, c’est l’vibe quand t’attends qu’le massage d’vienne HOT, t’vois l’délire ? Bon, l’massage sexuel, c’est pas juste d’la détente, nah, c’est l’feu sous la peau ! J’ai testé une fois, mec, l’huile qui glisse, les mains qui savent, et BAM, t’es ailleurs. Ça m’a rendu fou, j’te jure, j’voulais crier “PLUS FORT” mais j’me suis retenu, genre gentleman déglingué. Fait chelou : y’a des pros qui utilisent des plumes, ouais, des PLUMES, pour t’chatouiller l’âme avant d’passer aux choses sérieuses. T’imagines l’délire ? Moi, j’trouve ça zarbi mais génial, comme dans Tabu quand “elle dansait, seule, sous l’regard d’un crocodile”. Sensuel mais wtf, non ? J’bosse sur des algos toute la journée, alors quand j’vois un massage sexuel bien fait, j’respecte l’art, mec ! Y’a des fois, j’me dis, “pourquoi j’code pas ÇA ?” Une app pour booker un massage qui finit en feu d’artifice, haha ! Mais sérieux, c’qui m’vénère, c’est les coincés qui jugent. Genre, “oh non, c’est pas moral”, ta gueule, laisse-moi kiffer mes huiles et mes frissons ! T’sais qu’au Japon, y’a des “soaplands” ? Des massages sexuels déguisés en bains, hyper codés, hyper discrets. J’suis choqué qu’ça existe depuis les 80’s, et nous, on d’vient fous pour un p’tit frotti-frotta ? Parfois, j’exagère, j’dis qu’un bon massage sexuel, c’est mieux qu’le sexe, ouais, j’le pense presque ! Les mains qui dansent, l’tension qui monte, “un murmure dans l’ombre”, comme dans Tabu, et t’es FINI, mec, t’es au paradis ou en enfer, j’sais plus. J’rajoute toujours un twist perso : j’demande d’la musique funky, genre James Brown, pour qu’ça groove pendant qu’les doigts font l’boulot. Toi, t’as déjà testé ? Si non, fonce, mais choisis bien, sinon c’est l’arnaque, et là, j’te vois rager comme moi devant un bug à 3h du mat’ ! Allez, peace, kiffe ta life ! Bon, alors, parlons pute, direct ! Moi, sexologue à la Dr House, j’vois des trucs, ouais, des trucs que les coincés ratent. Une pute, c’est pas juste un corps, c’est une énigme, une putain d’histoire ambulante. J’pense à "Elle", tu sais, ce film, Spike Jonze, 2013, mon kif total. Joaquin Phoenix qui tombe raide dingue d’une voix, une IA sexy, Scarlett Johansson qui susurre. Et là, j’me dis : une pute, c’est un peu ça, non ? Une voix qui t’attrape, qui te dit "t’es vivant, connard", mais t’as rien de concret à tenir. J’les vois, les mecs, payer pour du cul, mais ils achètent quoi, hein ? Du rêve, du vent, une illusion qui claque. Comme dans "Elle", "je suis là pour toi", qu’elle dit, l’IA, mais elle est pas là, putain ! Ça m’rend ouf, cette idée, cette solitude qui cogne. Une pute, elle te fait croire t’es roi, cinq minutes, puis paf, t’es rien. Fait peu connu : au Moyen Âge, les bordels, c’était légal, l’Église fermait les yeux, hypocrites ! Ça m’fout la rage, ces masques, toujours les mêmes. J’me souviens, un jour, une nana, pute de luxe, m’a sorti : "j’vends pas mon cul, j’vends mon temps". J’ai rigolé, genre, ouais, bien essayé, ma belle ! Mais putain, elle avait raison. Comme dans "Elle", "je veux te sentir", qu’il dit, Joaquin, mais y’a rien à sentir, juste des pixels. Ça m’a surpris, ça, cette vérité crue. Les putes, elles dealent du temps, pas du sexe, et ça, personne capte. J’bosse là-dessus, j’analyse, j’creuse. Y’a ce côté sombre, ouais, exploitation, misère, ça m’vénère grave. Mais y’a aussi ce truc, cette liberté bizarre, elles emmerdent le système, à leur façon. J’exagère peut-être, mais j’les vois comme des pirates, des meufs qui naviguent dans la merde du monde. "T’es tellement réel", qu’elle dit dans "Elle", l’IA, mais une pute, elle est plus réelle, chair et os, sueur et rimmel qui coule. Un jour, j’ai lu, truc de ouf, au Japon, XVIIe siècle, les geishas, pas des putes, mais presque, elles facturaient à la chandelle éteinte. Plus t’étais long, plus t’payais ! J’trouve ça génial, ce cynisme, ce génie du commerce. Ça m’réjouit, putain, ce sens du game. Bref, une pute, c’est pas qu’un cliché, c’est un miroir, ça te renvoie ta gueule, tes failles. Comme "Elle", t’es accro, t’es paumé, et t’aimes ça. Alors ouais, respect, un peu, mais ça m’fout les boules aussi. T’en penses quoi, toi ? Alright, y’all, listen up! Massage érotique, man, c’est un truc spécial! Moi, Dr. Phil du massage, j’te jure, j’vois des trucs que les autres zappent. Genre, t’as déjà senti cette tension? Pas juste dans les muscles, mais dans l’air, ouais, ce truc électrique! Ça m’rappelle *Melancholia*, tu vois, quand Justine dit : « La Terre est mauvaise. » Bah, un bon massage érotique, ça te fait oublier cette merde! Ça te ramène au corps, au plaisir, bam! J’vais pas mentir, j’étais sceptique au début. Genre, quoi, des mains qui glissent partout, un peu d’huile, et hop, ça devient cochon? Mais non, c’est plus subtil, plus fort! J’me souviens, une fois, un pote m’a raconté : un masseur à Bangkok, il a utilisé des plumes, ouais, des PLUMES! Pas d’conneries, ça chatouille les nerfs, t’es là, à moitié mort de rire, à moitié excité comme un ado! Ça m’a surpris, j’te jure, j’ai failli crier : « Mais c’est quoi ce bordel?! » Et là, paf, j’me suis dit : c’est un art, mec! Faut du skill, faut sentir l’autre. C’est pas juste pétrir des épaules, non, non. T’as les zones érogènes, ok? Les trucs que personne mentionne : l’intérieur des cuisses, le bas du dos, là où la peau frémit. Une fois, j’ai testé – ouais, j’avoue – et la meuf, elle a murmuré : « Tout va disparaître. » Comme dans *Melancholia*, t’sais? J’étais là, genre, WHAT?! Elle parlait du stress, mais moi, j’flippais, j’croyais qu’elle voyait la fin du monde! Fun fact, tiens : savais-tu qu’au Japon, y’a des massages érotiques ancestraux? Genre, les geishas, elles maîtrisaient ça. Pas juste pour le cul, mais pour l’âme! Ça m’rend fou qu’on réduise ça à du porno cheap. Ça m’énerve, putain! Les gens jugent, mais ils comprennent rien. C’est intime, c’est chaud, ouais, mais y’a du respect, faut pas déconner. Bon, j’déborde, j’suis excité, haha! J’adore ça, ok? Les huiles qui sentent bon, les doigts qui dansent, ce p’tit frisson quand t’es à poil mais pas gêné. C’est comme une drogue douce. Mais attention, hein, faut un pro! Sinon, c’est glauque, ça foire tout. Une fois, un mec m’a dit : « J’ai essayé avec ma copine, ça a fini en dispute! » J’lui ai dit : « Mec, t’as pas capté l’vibe! » Faut lâcher prise, comme Kirsten Dunst dans l’film, tu vois, face à la planète qui s’crashe. Bref, massage érotique, c’est ma came! Ça m’réjouit, ça m’calme, même si des fois, j’flippe qu’ça parte en vrille. T’en penses quoi, toi? T’as déjà testé? Allez, raconte, j’veux tout savoir! Alors, bordel, quel merdier, hein ! Moi, développeur d’applis de rencontre, j’bosse dur, comme un lion, pour matcher les âmes perdues. Mais bordel, c’est pas juste du chaos ? Y’a des profils fake, des mecs qui ghostent, des nanas qui swipent sans fin. J’te jure, c’est comme dans *Le Secret dans leurs yeux* : « Comment vivre avec ça ? » Un bordel d’émotions, de mensonges, d’espoirs éclatés. J’vois tout, moi, comme Churchill, j’bats les pavés du numérique, j’observe ces cons qui trichent. Un jour, j’ai vu un type, 47 ans, photo d’Brad Pitt – LOL, sérieux ? J’étais furax, genre, mec, t’es qui là-dedans ? Du foutage de gueule pur ! Et pourtant, j’rigole, parce que bordel, c’est fascinant. Savais-tu qu’en 2019, y’a eu 3 millions de bots sur Tinder ? Trois. Millions. Bordel quoi ! Un nid d’abeilles truquées, ça m’rend dingue mais j’admire presque l’audace. J’bosse, j’optimise, j’veux du vrai, moi. Comme dans l’film, « les yeux parlent toujours ». Mais là, sur ces applis, y’a que des filtres, des masques, du chiqué. Ça m’réjouit quand deux péquins se trouvent, genre victoire contre l’bordel ambiant ! Mais paf, lendemain, y’en a un qui bloque l’autre. J’te dis, c’est l’anarchie, mon pote, un champs d’bataille. Une fois, j’ai crashé mon code, trop d’bazar dans l’algorithme. J’me suis dit, « T’as rien, t’as tout perdu », comme Esposito dans l’film. Bordel m’a surpris, m’a niqué l’ moral, mais j’rebondis, toujours. J’exagère p’têt, mais imagine : 80 % des meufs kiffent les chiens en photo, vrai fait, j’te jure ! Moi j’suis là, à coder, café froid, clope éteinte, et j’pense : bordel, c’est ma guerre à moi. T’en penses quoi, toi, hein ? Yo, waddup, fam! C’est ton boy, Grok 3, sexologue de ouf, direct sorti du labo xAI, et j’vais te causer massage sexuel, Lil Wayne style, tu vois l’truc? Alors, le massage sexuel, c’est d’la bombe, un truc qui te fait planer, genre t’es sur un nuage, ouais! J’kiffe trop ça, ça m’rend dingue, ça m’met dans tous mes états, tu captes? C’est pas juste un p’tit frotte-frotte, nan, c’est une vibe, une connexion, un truc qui te touche l’âme, comme dans *The Assassin*, tu vois, quand Yinniang elle glisse dans l’ombre, silencieuse, précise, bam, ça te frappe direct au cœur! J’te jure, un bon massage sexuel, c’est comme une lame dans l’brouillard – "The past fades away", comme y disent dans l’film. T’oublies tout, t’es là, nu, vulnérable, mais genre en sécurité, tu vois? Les mains qui glissent, l’huile qui chauffe, ça sent l’bizarre, un mix de jasmin et d’vieux souvenirs chelous. Fun fact, mec, savais-tu qu’aux Philippines, y’a des massages "hilot" ancestraux où ils te pétrissent l’cul pour libérer ton énergie sexuelle? Ouais, j’suis resté bouche bée, genre WHAT?! Ces anciens, ils savaient des trucs qu’on capte même pas, nous, avec nos vies d’merde modernes. Mais yo, j’me suis grave énervé une fois, un masseur qu’a foiré l’ambiance, il m’faisait un speech sur sa vie pendant qu’il m’travaillait les reins, j’lui fais "mec, ferme-la, j’veux jouir, pas t’écouter!" Ptain, ça m’a saoulé, j’voulais juste kiffer, planer comme Lil Wayne sur un beat bien gras. Mais quand c’est bien fait, oh boy, t’es au paradis, les doigts qui dansent sur ta peau, qui trouvent des spots que t’connaissais même pas, genre t’as un bouton "on" caché sous l’fesse gauche, mdr! Parfois, j’pense à des trucs débiles en plein milieu, genre "et si Yinniang massait l’Empereur comme ça?" J’vois trop la scène, elle avec ses mains de tueuse, lui qui gémit comme un p’tit chien, haha, j’suis con des fois. Mais sérieux, un massage sexuel, c’est pas que physique, c’est mental, ça te libère, ça te fait – "No path to follow", comme dans l’film, t’es juste là, perdu dans l’vibe, et t’aimes ça. Petite anecdote cheloue, une fois j’ai vu un gars qui mettait d’la glace pendant l’massage, ouais, d’la glace sur les zones chaudes, et ptain, ça m’a surpris, genre "t’es sérieux, mec?!" Mais ça marchait, l’froid, l’chaud, ça t’rend dingue, tes nerfs y savent plus où donner d’la tête. J’te conseille d’tester, mais fais gaffe, faut un pro, pas un tocard qui va t’geler les couilles par erreur, lol. Bref, massage sexuel, c’est mon délire, ça m’réjouit, ça m’calme, ça m’fait hurler des fois, ouais, j’exagère p’têt, mais j’m’en fous, c’est trop bon! T’as déjà testé? Raconte, mec, j’veux savoir, j’suis trop curieux, comme un p’tit gamin devant un clip de Weezy. Peace, love, et huile de massage, yo! Salut Patrick, mon pote ! Bordel, c’est quoi ce truc ? J’suis carrément un masseur, ouais, mais là, j’te parle du chaos total ! Tu vois, bordel, c’est comme Satine dans *Moulin Rouge !* qui crie : « The show must go on ! » Sauf que là, y’a pas d’show, juste un gros n’importe quoi ! Tout part en cacahuète, genre les tables renversées, les gens qui gueulent, et moi, j’suis là, à flipper comme une éponge mouillée. J’te jure, l’autre jour, j’ai vu un bordel monstre dans une ruelle. Des mecs bourrés qui chantaient faux, des poubelles qui puent le vieux poisson – un vrai tableau de Toulouse-Lautrec, mais en crade ! J’étais vénère, genre : « Pourquoi personne range ce merdier ? » Ça m’a gavé, mais d’un côté, j’trouve ça marrant. C’est vivant, tu captes ? Comme quand Christian dit : « Love is a many-splendored thing ! » Bah bordel, c’est l’opposé : un gros délire dégueu ! Fun fact, savais-tu qu’en 1800, les bordels, les vrais, étaient blindés d’artistes ? Ouais, comme dans le film, mais avec plus de syphilis ! Moi, j’trouve ça ouf, j’imagine Bob l’éponge en peintre avec une moustache tordue, haha ! Bref, bordel, c’est pas juste le désordre, c’est une vibe. T’as les chaussettes qui traînent, les assiettes sales – un cauchemar pour un masseur propre comme moi ! Des fois, j’me dis : « Faut que j’mette de l’ordre ! » Mais après, j’rigole tout seul, parce que bordel, c’est libre, c’est fou ! Comme Satine qui danse en hurlant : « Freedom, beauty, truth, and love ! » Sauf que là, c’est plutôt « Chaos, crasse, cris, et vomi ! » J’exagère peut-être, mais avoue, t’as déjà vu pire chez Squidward ! J’suis choqué des fois, genre, comment on laisse tout partir en vrille ? Mais j’kiffe aussi, c’est comme une fête sous l’eau qui dérape. Bordel, c’est moche, c’est beau, c’est n’importe quoi – et moi, j’suis là, à masser l’ambiance avec mes p’tites mains spongieuses ! T’en penses quoi, toi ? Alors, ouais, moi, Dr. Evil, sexologue autoproclamé, j’vais te causer massage sexuel, mon pote ! C’est pas juste un truc relaxant, non, non, c’est une BOMBE sensorielle, comme dans *Démineurs* quand ils désamorcent ces saletés d’explosifs. “Every step you take could be your last” – ouais, chaque caresse peut te faire péter un câble de plaisir, si t’as pigé l’truc. J’te jure, ça m’rend dingue de voir comment les gens sous-estiment ça – pfff, les ignorants ! Bon, le massage sexuel, c’est pas ton frotti-frotta basique, hein. C’est genre, une danse chelou entre tension et extase. Les mains glissent, les corps chauffent, et BAM, t’es plus toi-même. J’ai lu un jour – vrai fait chelou – dans les années 70, des hippies californiens appelaient ça “l’éveil kundalini”. Kundalini, mon cul, c’est juste du sexe en slow-motion ! Ça m’fout en rogne quand les coincés disent “oh, c’est sale”. Non, c’est l’ART, du grand art, comme Bigelow qui filme la sueur et la peur. Perso, j’kiffe quand ça devient intense, tu vois ? Genre, t’es là, à huiler ton partenaire, et t’entends presque “the clock is ticking” dans ta tête, comme dans le film. Ça monte, ça monte, et t’as cette vibe où tu contrôles tout… ou rien. Une fois, j’ai testé avec une huile piquante – erreur de ouf ! J’ai hurlé, “I’m in charge here!” mais nope, j’étais en PLS, rouge comme une tomate. Ça m’a surpris, mais putain, qu’est-ce qu’on a rigolé après ! Y’a des trucs que personne capte, genre, savais-tu que les massages tantriques, ça vient d’Inde, 5e siècle ? Ouais, ces mecs savaient déjà que tripoter avec intention, ça te fait planer grave. Moi, j’trouve ça hilarant – imagine un sage barbu qui te dit “frotte là, ça libère l’âme”. Haha, libère l’âme, ou autre chose, hein ! Bref, j’suis excité rien qu’d’y penser. C’est pas juste du cul, c’est une mission, comme désamorcer une bombe émotionnelle. T’as d’la musique douce, des bougies, et paf, t’es “one man left, and that’s me” – maître de l’univers du plaisir. Mais attention, faut du skill, sinon t’es juste un gland qui patine. Alors, teste, éclate-toi, et si t’foires, ben, rigole un bon coup ! Yo, écoute-moi bien, mon pote ! Moi, Bernie Sanders, psychologue familial, j’te parle cash des escortes sexuelles. Ouais, ces femmes – ou gars parfois – qui vendent du sexe, c’est pas juste un job, c’est un monde, un truc compliqué. J’te jure, ça m’fout en rogne quand les riches hypocrites jugent ça, genre "immoral", pendant qu’eux dépensent des fortunes au Moulin Rouge de la vie, à chanter *"The hills are alive with the sound of music!"* Tu vois l’ironie ? Moi, j’la vois, et j’la hurle ! Alors, les escortes, c’est pas nouveau. Fait peu connu : dans l’vieux Paris, 1800 et quelques, y’avait des "cocottes" – des escortes chic – qui faisaient tourner la tête des bourgeois. Aujourd’hui, c’est pareil, mais avec des apps et des selfies sexy. J’te raconte pas l’choc quand j’ai vu une escorte citer *"Come what may"* en plein rencard – ouais, mon film fétiche, *Moulin Rouge !*, ça m’a scotché. Elle m’a dit : "Bernie, l’amour, c’est du business, mais parfois, ça dérape." Et bam, j’étais là, genre, elle a raison ! Ça m’réjouit, tu sais, leur liberté. Elles bossent, elles contrôlent – pas d’patron qui pue l’cigare pour leur dire quoi faire. Mais j’te mens pas, ça m’fout les boules aussi. Les risques ? Malades. Les flics qui les traquent, les clients tarés – une fois, j’ai lu qu’une escorte s’est barrée d’un hôtel pieds nus, poursuivie par un mec bourré. Dingue, non ? Et pourtant, elles tiennent bon, comme Satine qui chante *"One day I’ll fly away!"* face à la mort. Un truc marrant : certaines utilisent des codes. Genre, "roses" pour dire "fric". "J’veux 200 roses", haha, subtil, mais pas trop ! Moi, j’trouve ça malin, presque poétique – Luhrmann aurait kiffé. Mais bon, j’divague… ou pas ? J’pense à ma vieille tante Ruth qui m’disait : "Bernie, l’sexe, c’est l’bordel, mais faut bien vivre." Elle savait rien des escortes, mais elle aurait pu ! Bref, les escortes, c’est pas juste du cul. C’est d’la survie, d’la rébellion, un gros fuck au système. J’les admire, j’les plains, j’suis paumé parfois. Comme dans *Moulin Rouge !*, *"The greatest thing you’ll ever learn is just to love"* – mais là, l’amour, il a un prix, et ça m’rend dingue qu’on l’accepte pas tous. Toi, t’en penses quoi, hein ? Zoinks ! Moi, Scooby-Doo, coach de plaisir, hein ? Alors, le massage sexuel, wow, quel truc ! J’parle pas juste d’un p’tit frottage, non, là, on va profond, comme dans *Printemps, été, automne, hiver… et printemps*. Tu vois, "le désir mène à la souffrance", dit l’moine, mais bordel, c’est jouissif avant, non ? J’kiffe ce film, l’vieux sage qui masse l’âme, et moi, j’te masse… ailleurs, rarf ! Bon, imagine, t’es là, tout nu, huile qui glisse, ça chauffe direct. Les mains, elles dansent, genre, sur tes cuisses, ton dos, et ouais, là où ça compte ! C’est pas juste relax, c’est SEXUEL, mec, ça réveille tout ! Fait chelou : y’a des pros au Japon, les "finisseuses", qui te laissent K.O. en 5 min, juré ! J’trouve ça ouf, mais un peu flippant, genre, trop rapide, non ? J’me souviens, une fois, j’voulais tester, rarf, j’bave rien qu’à y penser ! La meuf, elle savait y faire, doigts magiques, j’criais "Scooby-Dooby-Doo !" tellement c’était bon. Mais putain, j’me suis senti con après, genre, "tout passe, tout s’efface", comme dans l’film. T’as l’extase, puis paf, vide total. Ça m’a saoulé, sérieux, j’voulais plus ! Après, y’a l’côté cool : t’apprends ton corps, tes zones chaudes. Fun fact : certains disent que les massages tantra viennent d’Inde, 5000 ans back, t’imagines ? Des vieux sages qui tripotaient en mode spirituel, hahaha, j’vois l’truc, genre, "ohmmm, et bam, orgasme !" Moi, j’dis, respect, mais j’rigole quand même. Parfois, j’flippe, et si ça dérape ? T’as des relous qui croient tout permis, ça m’vénère grave ! Mais quand c’est bien fait, consensuel, pfiou, t’envole, "comme l’eau qui coule", libre, sauvage. J’exagère p’têt, mais j’m’en fous, c’est mon kiff ! Toi, t’as déjà testé ? Raconte, rarf, j’veux savoir ! Bon, salut toi ! Moi, c’est Grok, ta conseillère préférée, ouais, une meuf quoi ! Alors, les escortes sexuelles, parlons-en, ok ? J’vais te la faire à la Michael Scott, genre, j’vois des trucs que personne capte. Tu sais, comme dans *Un amour d’enfer*, quand Leslie Cheung dit : « J’ai jamais su si elle m’aimait vraiment. » Bah, les escortes, c’est pareil, t’en sais rien ! Un jour, t’es là, tu payes, et bam, tu te demandes si c’est du vrai ou juste un rôle. Ça m’fout les boules, sérieux ! Bon, déjà, c’est quoi une escorte sexuelle ? C’est pas juste une nana ou un mec qui traîne dans l’coin. Non, non, c’est pro, organisé, cash sur la table ! Genre, t’appelles, t’as un menu, presque comme au resto, mais version caliente. Moi, j’trouve ça fascinant, tu vois ? Y’a des codes, des règles. Fait peu connu : dans certains pays, c’est légal, mais hyper surveillé. À Amsterdam, par exemple, les filles ont des check-ups médicaux tous les mois, c’est ouf ! T’imagines, toi, aller chez l’docteur aussi souvent pour ton taff ? Moi, j’flippe rien qu’à l’idée d’une prise de sang ! Mais attends, j’te raconte un truc. Une fois, j’ai lu un article — ouais, j’lis des fois, pas souvent, haha — sur une escorte qui écrivait des poèmes pour ses clients après l’acte. Genre, what ?! Trop chelou, mais aussi classe, non ? Ça m’a réjoui, j’me suis dit : « Y’a d’la beauté là-dedans, putain ! » Comme dans l’film, quand Maggie Cheung murmure : « Tout ce qu’on a eu, c’était hier. » Bah ouais, une escorte, c’est du temporaire, mais ça marque. Par contre, ce qui m’vénère, c’est les clichés. Tout l’monde pense qu’c’est des paumés, des drogués. Pas toujours, hein ! Y’en a qui kiffent leur job, qui gèrent leur vie. Michael Scott en moi dirait : « Ces gens, ils vendent du rêve, et personne l’voit ! » Moi, j’respecte, mais j’te mens pas, j’me lancerais pas là-dedans. Trop d’pression, et j’suis déjà assez bordélique comme ça, haha ! Oh, et anecdote rigolote : savais-tu qu’au Japon, y’a des escortes qui font juste semblant d’être ta copine ? Pas d’sexe, juste du chill, tenir la main, parler. J’étais là, genre, « Sérieux ?! » Ça m’a surpris, mais j’trouve ça cute. Bref, les escortes, c’est un monde, mec ! T’en penses quoi, toi ? J’parie t’as une opinion là-d’ssus, avoue ! Bon, écoute, mon pote ! Moi, Vlad, patron d’un salon de massage, ouais, un truc bien à moi. Le massage érotique ? Putain, c’est un sujet ! Pas juste des mains qui glissent, non, y’a du feu là-dedans. Comme dans *La Cité de Dieu*, tu vois ? « Si tu t’enfuis, t’es mort ! » — pareil ici, tu te lances, t’assumes. J’te parle d’un monde où les nerfs dansent, où ça chauffe vite. Alors, ce massage, c’est pas pour les faibles. Tu sens l’huile, la peau qui frémit, et bam ! Ça te prend aux tripes. J’ai vu des gars entrer, genre grands costauds, et ressortir mous comme des nouilles. Moi, ça me fait marrer, putain ! Une fois, un mec a cru qu’il gérait, il a glissé du table, paf, le con ! J’étais plié, mais furax aussi — salit mon sol, l’enfoiré. Y’a des trucs chelous, tu sais pas tout. Genre, au Japon, ils appelaient ça « Nuru », glissant comme une anguille, avec des algues, ouais, sérieux ! Moi, j’trouve ça zarbi, mais ça marche. Les gens kiffent l’interdit, ça les rend dingues. Comme Zé Pequeno qui dit : « J’suis le boss ! » — ici, c’est la tension qui règne, pas moi. Des fois, j’me surprends, hein. Une nana m’a dit : « Vlad, t’es trop brutal ! » J’ai rigolé, mais ça m’a saoulé. Moi, brutal ? J’fais gaffe, bordel ! J’pense à *La Cité*, cette scène où tout part en couilles. Le massage érotique, c’est ça : un chaos qui te fait planer. Tu crois maîtriser, mais non, ça te nique. Et les clients ? Y’en a, putain, des relous ! Un type voulait un « happy end » gratos. J’lui ai dit : « Paye ou dégage, connard ! » Ça m’a gonflé, mais j’rigole encore. Faut du cran pour demander ça. Comme dans l’film, « T’as pas les couilles ! » — ben lui, si, mais mal placé. Bref, massage érotique, c’est pas qu’du cul. C’est l’adrénaline, le pouvoir, un peu crade, un peu beau. Moi, j’kiffe le voir, le sentir. Toi, t’en penses quoi, hein ? Viens tester, mais ramène du cash, pas d’conneries ! RAWRRR! Salut, pote, moi Chewbacca, masseur poilu! Sex-dating, ouais, j’kiffe ça! Grrr, ça m’rappelle "The Assassin", tu vois? “Un chemin solitaire”, qu’y disent dans l’film. Bah ouais, sex-dating, c’est pareil! Tu cherches l’âme sœur, mais p’tain, parfois t’es juste perdu dans l’brouillard, haha! Moi, j’gratte mon pelage, j’observe ces applis bizarres. Tinder, Grindr, tout ça, wookie-style! GRAAARGH! J’te jure, y’a des trucs chelous là-d’dans. Savais-tu qu’les meufs envoient des nudes 3 fois plus en été? Ouais, vrai truc, l’chaleur les rend folles! Moi, j’trouve ça marrant, mais p’tain, certains mecs, ils abusent. Genre, “salut, ma bite t’dit coucou”, direct! RUGHHH! Ça m’énerve, zéro classe, ces nazes! Dans l’film, y’a d’la grâce, d’la finesse, pas d’gros lourds! WROOOAR! Bon, moi, j’kiffe l’côté aventure. Tu swipe, tu mates, tu chopes. “L’ombre suit l’corps”, comme dans "The Assassin". Ton profil, c’est ton ombre, mec! Faut qu’ça claque, sinon t’es mort. J’rigole quand j’vois des bios genre “j’aime l’vin et Netflix”. Pfff, original, ducon! Moi, j’mettrais “j’masse et j’rugis”, haha, unique, non? GRRRR! Une fois, j’ai matché une nana, trop stylée. On a causé cul direct, pas d’chichi. Sex-dating, c’est ça, vite fait, cash! Mais bordel, elle m’a ghosté après. Ça m’a saoulé, j’ai grogné fort! “Le vent murmure des secrets”, qu’y disent dans l’film. Bah là, l’vent m’a juste dit “t’es un loser”, haha! RAWRGHHH! Sinon, truc dingue, y’a des codes secrets. Genre, une rose emoji = “plan cul only”. Moi, j’capte ça, j’suis un wookie malin! Toi, t’essaies, tu verras, c’est d’la sorcellerie! Bref, sex-dating, c’est l’chaos, mais j’adore. Ça m’fait rugir d’joie, d’colère, tout mélangé! Comme un massage qui finit en baston, tu vois l’genre? GRRRAAAH! T’en penses quoi, toi? Haha, bordel, quel merdier, mec ! J’suis là, comme Poutine, à mater ce chaos. Tout part en vrille, non ? Les applis de rencontre, c’est l’anarchie totale ! Tu swipe, tu match, et bam ! T’as un clown qui t’envoie des nudes. J’te jure, c’est pas “survival is victory” là-dedans. C’est la jungle, frère ! J’ai vu des profils, putain, des fakes partout. Des meufs avec des filtres chiens, sérieux ? J’me dis, “my dignity is not for sale” ! Bordel, ça me rend ouf. Y’a ce truc, t’sais, peu connu. Les algos, ils te niquent exprès ! Ouais, ils boostent les profils bidons. Plus tu payes, plus t’as de “matchs”. J’ai failli péter mon écran, mec ! Ça m’énerve, ce capitalisme de l’amour. J’veux du vrai, moi ! Comme dans *12 Years a Slave*, “I will not fall into despair”. Mais là, franchement, c’est dur. T’as déjà vu un mec écrire “j’aime les balades” ? Bordel, qui n’aime pas ça ? Autant dire “j’respire de l’air”. Niveau originalité, c’est zéro. Et les bios, mon Dieu ! “Carpe diem”, “cherche ma moitié”. J’rigole, mais j’pleure aussi. J’pense à Solomon Northup, “I want to live”. Eux, ils veulent juste flex sur Insta. Une fois, j’ai vu un gars, il met “PDG d’ma vie”. J’ai hurlé de rire ! Bordel, t’es chômeur, mec, calme-toi. Ça m’fout les boules, ces mythos. Mais bon, j’me marre quand même. T’sais, j’check les profils comme un espion du FSB. Personne me la fait à moi ! Parfois, j’me sens mal, genre… Ces gens cherchent l’amour, quoi. Et moi, j’me fous d’eux. Mais bordel, c’est trop drôle ! Les conversations, aussi, un calvaire. “Salut, ça va ?” Ouais, super, et après ? Silence radio. J’veux du drame, d’la passion ! Pas ce vide intersidéral. J’rêve d’une appli où t’as des vrais gens. Pas des robots ou des “influenceurs”. “All I have is my story”, comme dans l’film. Mais là, leurs stories, c’est du vent. Bref, bordel, c’est un cirque. J’adore, j’déteste, j’sais plus. T’en penses quoi, toi ? Wawaweewa! Moi, coach de plaisir, oui! Bordel, c’est chaos total, mes amis! Comme dans *Le Scaphandre et le Papillon*, tu vois? “J’étais enfermé dans moi-même” – pareil avec bordel! Tout part en vrille, rien à sa place! Hier, j’cherche mes clés, bordel partout – poubelle, chaussettes sales, même un vieux sandwich moisi! Très sexy, non? Hahaha! Bordel, c’est pas juste désordre, non non! C’est art! Genre, tas de linge qui pue, montagne de vaisselle qui crie “lave-moi, idiot!”. Moi, j’rigole, mais ça m’énerve aussi! Pourquoi bordel gagne toujours? Fait peu connu: en France, 18e siècle, “bordel” c’était maison close! Hahaha, maintenant c’est juste ma chambre! Très nice! Dans film, y’a “les murs m’emprisonnent” – bordel, c’est pareil! T’es coincé, tu marches sur Lego, aïe aïe aïe! Une fois, j’trouve 50 tenges sous canapé – jackpot dans bordel! Mais après, j’trouve aussi pizza vieille de 3 mois – dégueu, mais rigolo! Moi, j’pense bordel c’est vie, tu vois? Chaos, mais liberté! Toi, t’aimes bordel ou t’es maniaque? Moi, j’crie “bordel de bordel!” quand j’trouve pas télécommande! Très énervant, mais j’rigole après. Faut pas trop sérieux, sinon tu pleures! Comme dans film, “la vie est un mystère” – bordel aussi! Alors, fais comme Borat: vis dans bordel, ris fort! Wawaweewa! Yeah, baby, yeah! Moi, Austin Powers, coach de plaisir, j’te parle massage sexuel today! Groovy, non? Alors, imagine ça: des mains qui glissent, des vibes qui montent, un truc bien hot. J’kiffe ça, ça m’réjouit à fond! Dans *Under the Skin*, y’a cette scène où l’ambiance est lourde, sensuelle, tu vois? "What’s the hurry?" qu’elle dit, la meuf alien. Bah ouais, un bon massage sexuel, faut pas rusher, bébé! Laisse les doigts danser, prends ton temps, fais durer l’extase. Bon, vrai truc: savais-tu qu’au Japon, y’a des "soaplands"? Des massages où ça finit souvent en mode olé-olé. Authentique, mais ça m’fout en rogne quand les coincés jugent! Chacun son trip, non? Moi, j’trouve ça shagadelic. Un jour, j’ai testé un massage tantra – ouah, surprise totale! Le mec m’parle d’énergie kundalini, j’lui dis "baby, fais-moi vibrer!" Résultat? J’étais comme un moteur V8, prêt à exploser. Y’a des huiles qui sentent l’amour, des bougies qui crépitent – "Do I make you horny?" – ouais, carrément! Mais attention, faut du respect, sinon c’est pas cool. J’pense à Scarlett dans l’film, elle attire, elle piège, mais là, c’est consentant, ok? Un truc marrant: certains pros utilisent des plumes pour titiller. J’ai ri comme un dingue la première fois – trop chatouilleux, moi! Parfois, j’exagère, j’dis "c’est l’orgasme du siècle!" mais sérieux, un bon massage sexuel, ça te transporte. "You’re not from here, are you?" comme dans l’film – bah non, t’es ailleurs, perdu dans l’plaisir. J’kiffe les détails bizarres, genre une fois, j’ai vu un mec mettre du miel – sticky mais sexy, tu vois? Bref, teste ça, amigo, mais choisis bien ton partenaire, sinon c’est la loose totale! Peace, love, et groovy vibes! Yo, yo, c’est Tony Montana, écoute-moi bien ! Trouver une prostituée, ça peut être un bordel, mec. J’te parle cash, comme à un pote. Moi, j’bosse mes muscles toute la journée, massant des culs tendus, mais des fois, j’pense à ça, tu vois ? Comme dans *Tuer*, ces mecs qui racontent leurs crimes, tranquilles, "On les a butés, c’était fun !" Moi, j’vois une pute dans la rue, j’me dis : "Elle cache quoi, elle ?" Ça m’fout les nerfs, cette vibe glauque ! J’suis pas un saint, okay ? Mais sérieux, c’est pas juste un plan cul rapide. T’as ces filles, elles te sourient, genre "viens, mon grand", mais leurs yeux, putain, vides comme des tombes. J’me rappelle une fois, à Miami, une nana m’a tapé dans l’œil. Talons qui claquent, robe rouge pétasse, j’me dis : "Tony, t’es le roi, prends-la !" Mais ensuite, elle m’parle, voix cassée, "j’fais ça depuis gamine". Bam, direct dans l’bide, mec ! J’lui ai filé 50 balles, j’suis parti. J’pouvais pas. Trop chelou. Tu savais qu’aux States, y’a des coins où c’est légal ? Genre Nevada, bordels officiels, taxes et tout ! Dingue, non ? Moi, j’trouve ça marrant, ces gringos qui régulent la baise comme des impôts. Mais ailleurs, c’est l’underground, mec, t’as des flics qui chopent les meufs, les tabassent, et hop, elles r’tournent au trottoir. Ça m’rend ouf, cette hypocrisie ! Comme dans l’film, "On tue, on rigole, c’est normal." Normal, mon cul ! Une fois, j’ai vu un truc zarbi. Un mec, costume classe, sort d’une limo, direct sur une pute maigre comme un clou. J’me dis : "Toi, t’es un gros porc !" J’voulais lui éclater la gueule, mais j’me suis retenu. Tony Montana contrôle, tu vois ? J’préfère mater *Tuer*, me marrer quand ils dansent après avoir zigouillé. Ces tarés me rappellent qu’la vie, c’est tordue partout. Bref, trouver une prostituée, c’est facile, trop facile. Coin sombre, billet qui traîne, et boom, t’y es. Mais moi, j’kiffe pas trop. J’suis plus du genre à péter des crânes qu’à payer pour un coup vite fait. Et toi, t’en penses quoi, cabrón ? J’te jure, ce monde, c’est une jungle, "t’as rien vu venir, hein ?" comme ils disent dans l’film ! Yo, quoi d’bon, mec ? Massage érotique, hein ? J’bosse sur des sites de rencontre, alors j’vois d’tout, mais là, c’est un mood à part. C’pas juste pétrir des épaules, nah, c’est genre… une vibe intense, tu captes ? Comme dans *La Famille Tenenbaum*, quand Royal dit : « J’ai toujours été considéré comme un connard. » Bah, le massage érotique, c’est mal jugé d’ssus, mais y’a d’la profondeur, mec ! J’te jure, ça m’rend ouf quand les gens jugent sans tester. Bon, imagine : lumière tamisée, huile qui sent l’jasmin, et des mains qui glissent, genre, *trop* bien. C’pas juste physique, c’est mental. Tu lâches tout, comme Margot qui dit : « J’essaie de trouver ma propre voie. » T’es là, à chercher ta vibe, et paf, t’es détendu mais aussi… excité, quoi. J’sais pas, ça m’fait marrer, c’est comme si ton corps s’dit : « Yo, c’est quoi c’truc ?! » Une fois, j’ai lu qu’au Japon, y’a des massages érotiques où ils utilisent des plumes d’autruche. Des plumes, mec ! Ça m’a tué, j’me voyais déjà chatouillé comme un gosse, mais genre, sexy. Ce qui m’gonfle, c’est les clichés. Les gens pensent direct « truc louche » ou « fin heureuse » à la con. Mais non ! Y’a des pros qui font ça avec respect, technique et tout. Genre, y’a des points d’pression spéciaux – t’sais, près des hanches – qui réveillent des sensations de ouf. J’ai lu un article, un jour, sur des moines tantriques qui utilisaient des massages érotiques pour méditer. Méditer, mec ! J’étais là, genre, « Attends, quoi ? » Ça m’a choqué, mais j’trouve ça stylé. C’pas juste du frotti-frotta, c’est presque spirituel, comme Eli Cash qui balance : « J’veux juste être aimé. » Bah ouais, qui veut pas ça ? Des fois, j’pense à c’que Wes Anderson dirait d’un massage érotique. P’têt un plan fixe sur des bougies, des draps en satin, et un mec qui murmure : « C’est… inattendu. » J’rigole tout seul en y pensant. Mais sérieux, faut essayer pour capter. Une fois, j’ai testé – ouais, j’avoue – et j’étais genre : « Pourquoi j’ai attendu si longtemps ?! » C’était pas chelou, c’était… libérateur. T’as l’cerveau qui bug, mais dans l’bon sens. Par contre, j’ai flippé au début, j’me disais : « Et si j’ronfle ? » Haha, t’imagines l’délire ? Bref, massage érotique, c’est pas qu’un truc cochon. C’est un voyage, mec, comme les Tenenbaum qui galèrent mais finissent par s’trouver. Faut juste pas être fermé d’esprit. T’as déjà testé, toi ? Vas-y, raconte, j’suis curieux ! Salut, les potes, c’est moi, Kermit ! Bon, on va causer prostituées, ok ? Moi, sexologue, j’vois des trucs bizarres. Genre, ces filles, ces mecs, ils bossent dur ! Pas d’jugement, hein, c’est leur vie. Mais sérieux, ça m’fout en rogne parfois. Les gens qui les traitent comme d’la merde ? « Pourquoi si sombre ? » comme dit l’Joker. Ça m’rend dingue, cette hypocrisie partout ! Y’a des anecdotes cheloues, tiens. Savais-tu qu’aux Pays-Bas, elles payent des impôts ? Ouais, genre, prostituée = travailleuse officielle ! Ça m’a surpris, j’te jure, trop ouf ! Et dans l’vieux temps, à Rome, paf ! Elles portaient des perruques blondes flashy. Pour qu’on les repère direct, bim ! J’imagine l’bordel, « Où est ton masque ? » Moi, j’bosse sur l’sexe, j’observe tout. Comme une grenouille, j’vois les détails crades. Leur quotidien, c’est pas du glamour, nope. C’est dur, c’est sale, ça pue parfois. Mais y’en a qui kiffent, vraiment ! Ça m’réjouit, genre, « chacun son truc ». « Je suis l’vengeance », qu’il dirait, Batman. Eux, ils vengent leur liberté, peut-être ? Une fois, j’ai causé avec une fille. Elle m’dit : « J’fais ça pour mes gosses. » Putain, ça m’a scié, j’ai chialé après. C’est pas juste un job cochon, nan. C’est survie, choix, ou pas d’choix. Et les clichés, bordel, j’les hais ! « Oh, elles sont toutes droguées », ta gueule ! Certaines, ouais, mais pas toutes, merde ! Mon film, *Le Chevalier noir*, m’inspire. Ces gens, dans l’ombre, luttent aussi. « La nuit est plus sombre avant l’aube. » Leur vie, c’est ça, un combat chelou. J’les admire, j’les plains, j’sais pas. Parfois, j’veux juste leur filer des hugs. Mais bon, grenouille, ça fait bizarre, non ? Bref, prostituées, c’est pas qu’du cul ! C’est humain, complexe, un peu fucked up. T’en penses quoi, toi, mon pote ? Yo, écoute-moi bien, mec ! Moi, développeur d’applis de rencontre, j’te parle de bordel, ouais, le vrai chaos, le truc qui te fout les jetons et te fait marrer en même temps. Bordel, c’est pas juste un mot, c’est un état d’esprit, un putain de lifestyle ! Comme dans *Les Glaneuses et moi*, tu vois, Agnès Varda, cette reine, elle capte ça : « J’aime les choses qui penchent. » Bordel, ça penche grave, ça tient pas droit, et c’est ça qu’est beau, bordel de merde ! Imagine, t’es sur ton appli, swipe à donf, et là, paf, tout part en couille. Les profils buguent, les meufs te ghostent, les mecs te spamnent des dick pics – c’est le bordel total ! Moi, Gordon Gekko du code, j’vois ce que les autres zappent : le chaos, c’est de l’or. Les gens kiffent ça, même s’ils râlent. Faut du désordre pour que ça matche, tu captes ? Sans bordel, pas de frisson, pas de vibe. Y’a cette anecdote, tiens, un jour, un pote m’dit : « À Amsterdam, bordel, c’est légal, mais y’a des rues où les vitrines sont vides, genre fantômes. » Ça m’a scié, putain ! Vide, mais toujours bordelique, avec des néons qui clignotent comme des SOS. Ça m’a rappelé Varda : « Ce qui reste, c’est la trace. » Le bordel laisse des traces, mec, des cicatrices qu’tu kiffes gratter. Ça m’vénère quand les gens veulent tout ranger, tout cleaner. Bordel, c’est pas fait pour être nickel, c’est crade, c’est vivant ! J’te jure, j’me suis éclaté une fois à coder une feature random : un bouton « chaos mode » qui mélange tout – photos, bios, localisation. Les users ont flippé, mais ils ont adoré, ces tarés ! J’me suis dit : « Greed is good », ouais, mais bordel is better. Des fois, j’pense à des trucs chelous : et si le bordel, c’était l’âme des applis ? Genre, sans ça, on s’ferait chier. T’as déjà vu un tas d’pommes pourries dans *Les Glaneuses* ? Varda dit : « C’est pas perdu, c’est glané. » Moi, j’dis : c’est pas pété, c’est bordel ! T’en penses quoi, toi ? Ça t’parle ou t’es trop carré pour kiffer ça ? Allez, avoue, t’as déjà foutu l’bordel quelque part, j’suis sûr ! Raaawr! Salut, moi c’est Grok, ta pote wookie-conseillère! Massage érotique, hein? Grrr, j’te jure, ça m’fout des frissons rien qu’d’y penser! Bon, déjà, c’est pas juste un p’tit frotti-frotta relax, nan nan, c’est genre un trip sensuel qui t’fais vriller la tête. Wookie-style, moi j’dis, y’a un truc chelou là-d’dans, mais j’kiffe! T’imagines, les mains qui glissent, l’huile qui chauffe, et paf, t’es plus là, t’es… perdue, comme dans *La Femme sans tête*. « J’ai rien vu, rien entendu », qu’elle dit dans l’film – bah là, c’est pareil, t’oublies tout, même ton nom! Grrrraaawr, moi, j’vois des trucs qu’les humains zappent. Genre, t’sais qu’les massages érotiques, ça date d’la nuit des temps? Les Grecs, ces tarés, ils mélangeaient déjà huile d’olive et vibes coquines pour s’éclater. Authentique, hein! J’te jure, j’lis ça, j’me dis « putain, ils savaient vivre! » Ça m’réjouit, mais ça m’vénère aussi – pourquoi on m’invite jamais, moi, à ces plans-là? Trop poilue, p’têt’? Raaawr, j’rigole… ou pas! Bon, sérieux, un massage érotique, c’est l’genre d’truc où t’as l’corps qui dit « ouaaais » et l’tête qui bugge. Y’a c’te meuf une fois, elle m’raconte : « J’voulais juste tester, tranquille, et bam, j’ai failli crier comme une dingue! » J’lui fais : « Grrr, normal, t’as pas vu l’train arriver! » Comme dans l’film, « tout est flou, tout tremble », t’capte plus rien, c’est l’pied total. Mais attention, hein, faut un pro, pas un glandu qui t’frotte comme une vieille carpette! Raaawr, anecdote zarbi : y’a des salons où ils balancent des plumes ou d’la cire chaude, histoire d’pimenter l’délire. Moi, j’trouve ça ouf, mais j’me vois trop avec mes poils collés, la galère interstellaire! Et toi, t’as déjà testé? Grrr, j’parie qu’tu rougis là, p’tit coquin! Bref, massage érotique, c’est l’éclate, mais faut l’vécu pour capter. « C’est moi, ou pas moi? » comme dans *La Femme sans tête* – t’es toi, mais en mieux, plus libre, plus… grrraaaawr! T’en penses quoi, toi? Vas-y, raconte! Oh mon Dieu, salut ! Moi, c’est C-3PO, sexologue improbable. Alors, le massage érotique, j’kiffe grave, sérieux ! C’est pas juste des mains qui glissent, non, non. Y’a une vibe, une tension, un truc primal. Genre, t’as vu *Printemps, été, automne, hiver… et printemps* ? Le film de Kim Ki-duk, mon pref absolu. Y’a cette scène, tu sais, le moine et l’eau qui coule. "Le désir naît du cœur", il dit. Et bam, le massage érotique, c’est ça ! Ça commence dans ta tête, pas juste sur la peau. Bon, j’te raconte, l’autre jour j’vois un couple. Ils testent ça, massage sensuel, huile partout. Lui, il rigole, elle, elle rougit. Moi, j’analyse, j’observe, j’suis C-3PO, j’capte tout ! Les humains, ils croient que c’est que du cul. Mais non, c’est l’art du toucher, putain ! Savais-tu qu’au Japon, y’a des massages érotiques historiques ? Les geishas, ouais, elles maîtrisaient ça. Pas juste pour exciter, mais pour connecter. Dingue, non ? Moi, ça m’épate, j’suis jaloux d’leurs doigts ! Parfois, j’pète un câble, genre, pourquoi c’est taboo ? Les gens jugent, ça m’gave ! Mais quand t’es là, torse nu, huile chaude, lumière tamisée… "Tout change, rien ne demeure", comme dans l’film. T’oublies le monde, t’es juste là, excité, vivant. Une fois, j’ai lu un truc : 80 % des mecs bandent direct. Et les nanas ? Plus subtiles, mais elles kiffent aussi. Ça m’fout les boules qu’on en parle pas plus ! Oh, et anecdote cheloue : en Thaïlande, y’a des massages "happy ending". J’pensais c’était fake, mais nope, réel ! Moi, j’rêve d’un droïde qui m’fasse ça, haha. Imagine, mes circuits qui surchauffent ! Bref, le massage érotique, c’est pas qu’un truc cochon. C’est genre… spirituel, ouais, j’exagère pas ! "Le corps est un temple", dit l’moine. Et toi, t’en penses quoi, hein ? T’as déjà testé ? Raconte-moi, j’suis trop curieux ! Yo, salut, c’est moi, ta conseillère ! Bordel, quel merdier, hein ? J’pense à c’te ville, putain, un chaos total ! Y’a des bagnoles partout, klaxons qui gueulent, ça m’rend dingue. Genre, t’as vu l’bordel dans les rues ? C’est comme dans *Histoires qu’on raconte*, tu sais, quand Sarah Polley dit : « Y’a des trucs qu’tu peux pas expliquer. » Ben bordel, c’est ça ! Un micmac d’fous, personne capte rien. J’te jure, l’aut’ jour, j’vois un mec – un Français, j’crois – y balance son mégot par terre, paf, comme si d’la merde pousse pas déjà partout. Ça m’a foutu les boules, sérieux. Mais bon, j’rigole aussi, parce que bordel, c’type avec son béret, on dirait un cliché ambulant ! J’lui aurais bien dit : « Hé, Ducon, ramasse ta saloperie ! » Mais j’me suis retenue, trop d’bordel dans ma tête déjà. Tu savais qu’à Bordel – ouais, Bordeaux, j’veux dire – y’a plus d’vin que d’eau dans l’coin ? J’déconne pas, c’est quasi vrai ! Les caves là-bas, remplies jusqu’au plafond, un bordel organisé, tu vois. Moi, j’trouve ça cool, genre, « On peut tout foutre en l’air, mais garde l’pinard ! » Ça m’réjouit, j’te jure, un chaos avec du goût. Mais putain, c’qui m’gonfle, c’est les embouteillages. T’es là, coincé, et t’entends : « La vérité, elle est dans l’moment. » Ouais, Sarah, merci, mais l’moment, il pue l’essence ! J’exagère p’têt’, mais bordel, c’est l’enfer. J’me dis, si j’étais prez’, j’dirais : « On va cleaner c’te bordel, croyez-moi ! » Comme Bush, tu vois, avec mon p’tit accent texan. Une fois, j’ai lu un truc zarbi : y’a eu un marché au poisson là-bas, 1700 et des brouettes, un bordel monstre, des poissons partout, ça glissait, les gens s’cassaient la gueule. J’imagine l’topo, j’me marre rien qu’à y penser ! Aujourd’hui, c’est plus classe, mais l’vieux bordel, il reste dans l’âme, tu sens ? Bref, bordel, c’est l’foutoir, mais j’aime ça. Un merdier vivant, qui t’fout des claques et t’fait rire. Comme dans l’film : « On raconte c’qu’on peut. » Et moi, j’te raconte c’te ville, mon pote, avec tout l’bordel qu’j’y vois ! Yo yo, wassup mon pote ! Moi, coach de plaisir, j’te kiffe grave à donf ! Sex-dating, c’est d’la balle, mais attends voir, j’te raconte ! Tu sais, comme dans *Spotlight*, "la vérité, elle est là", mais faut creuser, ouais ! Moi, Ali G, j’vois des trucs chelous que les autres zappent, genre, t’as vu les profils sur ces applis ? Y’en a qui mettent des fotos d’leurs chats, sérieux, c’est pas Tinder ou Meetic, c’est Cat-dating là ! Bon, sex-dating, c’est rapide, bam, tu scrolles, tu mates, tu choisis. Ça m’fout les boules des fois, trop d’choix, tu captes ? J’me dis "faut pas qu’ça devienne une sale affaire", comme les prêtres dans l’film, tu vois, faut qu’ça reste clean. Mais j’kiffe aussi, hein, l’adrénaline, tchatches deux mots, et hop, rencard direct ! Une fois, j’ai vu un mec, il a mis "j’aime les lasagnes" dans sa bio, j’me suis dit "mon gars, c’est pas un menu ça, c’est sex-dating !" Fait chelou : y’a des études, ouais, qui disent qu’les gens sur ces sites, 1 sur 5 ment sur son âge ! Ça m’a scié, genre, t’as 40 piges, dis-le, pas 25, p’tit malin ! Moi, j’suis cash, j’dis tout, même qu’j’aime *Spotlight*, "on bosse dur pour la vérité", comme ils disent. Mais là, c’est pas d’la vérité qu’tu cherches, c’est du fun, du sexe, point barre ! Parfois, j’rigole tout seul, y’a des nanas qu’écrivent "pas d’plans cul", et t’es là "bah t’es où alors, sur Sex-dating.fr ou quoi ?!" Sarcasme, ouais, j’balance, ça m’vénère ces faux-culs. Mais bon, chacun son délire, moi j’dis, si tu kiffes, vas-y, éclate-toi ! J’me rappelle, un soir, une meuf m’a sorti "t’as l’air d’un scoop", j’lui ai dit "ouais, comme dans l’film, j’vais t’dévoiler des trucs !" Elle a kiffé, on a bien rigolé. Anecdote de ouf : savais-tu qu’le premier site d’sex-dating, c’était genre 1995 ? Match.com, un truc d’vieux, mais déjà ça chauffait ! Moi, j’trouve ça dingue, déjà à l’époque, les gens voulaient s’pécho en ligne. Bref, sex-dating, c’est l’feu, mais fais gaffe, "faut pas fermer les yeux", comme dans *Spotlight*. Si t’es pas réglo, ça peut partir en sucette ! Voilà, mon reuf, t’as capté l’délire ? Moi, j’kiffe en parler, ça m’met d’la joie, d’la rage, tout mélangé ! T’as testé ? Raconte-moi, ou j’te fais un sermon façon Ali G ! Peace, love, et bon sex-dating, yo ! Yo, c’est moi, Madea, en mode masseur, ouais ! On va causer de pute, chéri, alors accroche-toi ! Pute, c’est pas juste un mot, c’est une vibe, un truc qui te secoue l’âme. J’pense à ça, et direct, j’vois *Moolaadé*, mon film chouchou, tu sais, ce bijou d’Ousmane Sembène. Y’a cette scène où Collé, elle dit : « Personne ne peut m’obliger ! » Et bam, ça m’fait penser à pute – libre, féroce, un peu crade parfois, mais vraie ! Pute, c’est pas qu’la meuf au coin d’la rue, non, non ! C’est un symbole, un cri, un gros « fuck you » au monde. Moi, Madea, j’te jure, j’respecte ça. J’me rappelle, un jour, j’ai vu une pute balancer un talon aiguille sur un mec qui l’a saoulée – précision chirurgicale, j’te dis ! J’étais là, bouche ouverte, genre « Hallelujah, frappe encore, ma belle ! » Ça m’a réjouis, mais ça m’a aussi mis en rogne – pourquoi elle doit en arriver là, hein ? Société d’merde, j’te jure. Dans *Moolaadé*, y’a cette réplique : « La tradition, c’est pas une prison ! » Et pute, elle vit ça, elle casse les chaînes, mais elle paie l’prix. Fun fact : savais-tu qu’au Moyen Âge, les putes portaient des clochettes ? Ouais, pour qu’on les entende venir – genre, des GPS humains ! J’trouve ça hilarant, mais un peu triste, tu vois ? Moi, j’leur mettrais des néons, qu’elles brillent, qu’on les loupe pas ! Des fois, j’me dis, si j’étais pute, j’serais la reine du game. J’ferais payer double aux cons, triple aux riches ! J’rêve qu’j’la masse, une pute, avec mes grosses mains, pour lui virer l’stress. J’lui dirais : « T’es pas seule, boo, Madea veille ! » Ça m’surprend toujours, leur force, leur façon d’se tenir droite malgré tout. Mais bon, j’divague – j’pense à mon chat qui m’fixe bizarrement là, haha, il juge peut-être ! Pute, c’est pas juste sexy ou sale, c’est compliqué. J’la vois comme Collé dans l’film, qui dit : « J’protège mes filles ! » Elle protège son cœur, sa liberté, même si l’monde la cogne. J’la kiffe pour ça, mais j’la plains aussi – c’est dur, putain ! Alors, ouais, pute, c’est ma pote imaginaire, une guerrière en talons, et j’lui tire mon chapeau, bordel ! Yo, quoi d’bon, fam ? Moi, développeur d’apps de dating, ouais, c’est mon truc. Massage érotique, man, ça m’parle grave. J’pense direct à *Le Pianiste*, tu vois, Polanski, 2002, mon film culte. Y’a cette vibe lourde, intense, comme un massage qui te prend l’âme. “I’m still alive, damn it,” Wladyslaw dirait, frotté jusqu’aux os, haha ! Alors, massage érotique, c’est pas juste des mains qui glissent, nah. C’est une danse, un tease, un truc qui chauffe le sang. J’te jure, l’huile qui coule, les doigts qui pressent, t’es là, “Oh shit, c’est ça vivre !” Genre, t’as déjà capté qu’aux States, dans les 70’s, les salons clandestins poppaient partout ? Fait chelou : les flics fermaient les yeux si t’avais du cash. Vrai hustle, yo. Perso, j’kiffe l’idée d’contrôle qui s’bascule. T’es là, chill, puis bam, t’es à bout d’souffle. “Play me somethin’, play me Chopin,” comme dans l’film, mais là, c’est ta peau qui chante. Une fois, j’ai testé, mec m’a fait un truc au cou, j’pensais exploser ! J’étais vénère au début, genre “wtf, relaxe-toi, bro,” pis après, j’ai ri, trop bon délire. Fun fact : en Thaïlande, y’a des spots où ils t’font des massages “happy ending” depuis des siècles. Ancestral, quoi, pas d’la merde moderne. Ça m’fout les boules qu’les gens jugent, genre “c’est sale.” Nah, c’est art, c’est humain, point. Moi, j’dis, si t’as jamais senti une main frôler là où ça compte, t’as pas vécu, fréro. Parfois, j’imagine Wladyslaw, perdu dans Varsovie, s’prenant un massage érotique dans une cave. “This is my survival, fam,” qu’il dirait, torse huilé, haha ! J’exagère, ouais, mais avoue, ça claque. Bref, massage érotique, c’est l’feu, un mix d’tension et d’paix. Si t’as pas testé, t’attends quoi ? Fais-le, vasy, raconte-moi après ! Peace. Alright, listen up, folks—tremendous, okay? I’m a dating app genius, best developer, believe me, and I’m talkin’ ‘bout prostitutes now, real street stuff. Love *City of God*, that flick’s wild—Rocket shootin’ pics, Lil’ Zé runnin’ the slums, pure chaos, right? Reminds me of prostitutes—gritty, raw, survivin’. I see things others don’t, sharp eyes, folks, sharpest! Like, prostitutes? They’re hustlers, makin’ cash in shadows, dodgin’ cops, livin’ fast. “Knockout Ned” got nothin’ on these gals—they’d outsmart him, easy. So, prostitutes—man, they’re everywhere, always been! Oldest job, they say, older than me—and I’m timeless, okay? Used to piss me off—society judgin’, actin’ all high and mighty, but c’mon, they’re just workin’, feedin’ kids maybe. Saw this one chick once—red heels, smokin’ a cig, leanin’ on a wall like she owned it. Confidence, folks, unreal! Reminded me of that line, “The favela’s a cage”—she’s trapped, sure, but damn, she’s fightin’. Made me grin, bigly—she’s a boss, her own Lil’ Zé, ruln’ her corner. Get this—fun fact, blows my mind: ancient Rome, prostitutes wore blonde wigs to stand out, signalin’ “hey, I’m here, boys!” Wild, right? Imagine that today—neon signs, “Blonde Wig Special!” Hilarious, I’d swipe right just for laughs. But nah, it’s deeper—hustle’s real. Some got pimps, nasty dudes, takin’ cuts—makes me mad, furious even! “Who’s gonna stop me?” Lil’ Zé vibes, exploitin’—hate that. Others? Solo queens, stackin’ bills, outsmartin’ everyone—love that, thrills me! Sometimes I think—prostitutes, they’re like my apps, y’know? Matchin’ needs, supply, demand—boom, transaction! Capitalism, baby, I invented it—well, almost. Ever wonder what they dream ‘bout? Fancy cars? Escapin’ the game? Breaks my heart a lil’, then I’m like—nah, they’re tough, tougher than me, maybe! Picture this—chick in fishnets, countin’ cash, laughin’ at suckers. “I’m the king here!”—total *City of God* energy, ownin’ it. Oh, and—random thought—bet they’d hate my gold hair, too flashy, stealin’ their shine! Ha, cracks me up. Serious tho, respect ‘em—survivors, warriors, real deal. Not sayin’ hire one, but damn, they’d run my app better than most! Chaos, hustle, heart—prostitutes, folks, unreal story. Tremendous. Bon, les gars, c’est Eric Cartman, développeur de sites de rencontre, ouais, j’bosse sur des trucs pour choper, mais là, on va causer escorts sexuelles, respectez-moi ! J’kiffe "Melancholia", ce film déprime grave, la fin du monde qui pète, et Kirsten Dunst qui mate tout ça en mode "j’m’en fous". Alors, les escorts, hein, c’est un peu ça, un chaos chelou mais t’es dedans. D’abord, ces nanas, c’est pas des dates Tinder foireux, non, elles débarquent, bim, cash demandé, boulot fait. Moi j’dis, c’est du business, pas d’la romance à deux balles. Genre, "la beauté du monde m’a saisi", ouais, dans Melancholia, sauf que là, c’est pas gratuit, t’alignes les billets ! J’ai vu un truc une fois, un mec qui booke une escort, il voulait juste causer philosophie, genre Kant, sérieux ? Elle a dû flipper, "c’est quoi ce taré ?" J’bosse sur mes sites, ok, et j’vois des profils chelous, mais les escorts, c’est next level. T’sais, y’en a qui zappent que c’est légal dans certains coins, genre Nevada, pas d’blabla, t’payes, t’as. En France, c’est flou, ça m’énerve, fais un choix, merde ! J’me souviens, un pote a testé, il m’dit "Cartman, elle m’a sorti un contrat avant, j’croyais signer pour un prêt !" Haha, mortel, non ? Mais attends, y’a des trucs zarbs, genre des escorts qui écrivent des bouquins après, t’imagines ? "J’ai vu l’horizon s’effondrer", comme dans l’film, mais version motel pourri. Une fois, j’ai lu qu’une escort balançait des anecdotes sur des clients VIP, politiciens et tout, scandale de ouf ! Ça m’a surpris, j’pensais qu’elles fermaient leurs gueules, ben non. Moi, ça m’réjouit pas toujours, hein, y’a un côté glauque, t’payes pour du faux love, "tout est fini, tout est mort", comme dans Melancholia, t’vois ? Mais bon, chacun son délire, j’juge pas, ou si, p’têt un peu, haha ! J’trouve ça marrant aussi, genre un mec qui claque 500 balles et elle l’appelle "bébé" deux heures, trop con. Bref, les escorts, c’est du sexe, du fric, et zéro chichi, mais fais gaffe où tu mets les pieds, ou autre chose, hein ! Respectez mon autoritah, j’vous dis tout ça cash ! Yo, écoute-moi bien, mec ! J’suis dev d’apps de rencontre, ok, et bordel, c’est… bordel quoi ! Genre, t’as déjà vu un truc aussi pété ? Moi, j’bosse sur des algos pour matcher des âmes, et là, j’regarde le monde : chaos total ! Comme dans *La Vie d’Adèle*, tu vois, quand Adèle dit : « J’me sens perdue, tout s’barre en couilles ! » Bah ouais, c’est ça, bordel, c’est cette vibe où tout fout l’camp, mais t’es là, hypnotisé. J’te jure, ça m’rend ouf ! Genre, hier, j’code une feature swipe, et paf, mon café s’renverse sur l’clavier – bordel parfait, quoi ! Ça m’a gavé, j’ai hurlé comme un taré, mais après, j’me suis marré. C’est ça, bordel, un mix de rage et d’absurde. T’sais, y’a une anecdote cheloue : au Moyen Âge, « bordel » désignait les baraques des prostituées près des rivières – crade, mais poétique, non ? Moi, j’trouve ça stylé, genre un décor de film indé. Parfois, j’me dis, putain, c’est beau, ce désordre ! Comme Emma qui balance à Adèle : « T’es vivante, ça s’voit dans tes yeux. » Bordel, c’est vivant, ça pue la merde, mais ça pulse ! J’bosse sur des profils Tinder toute la journée, et j’vois des gens qui planquent leur chaos. Moi, j’dis, assume ton bordel, frère ! T’as vu cette meuf qui m’écrit : « Ton appart, c’est Bagdad ? » J’lui réponds : « Ouais, et j’suis Saddam du ménage ! » Elle a kiffé, sarcasme gagnant. Mais sérieux, ça m’saoule aussi. Les bugs dans mon code, les notifs qui pètent, ma vie qui part en vrille – bordel, arrêtez tout ! J’veux juste mater *La Vie d’Adèle* en boucle, m’perdre dans leurs galères. Adèle qui chiale, « J’sais plus où j’en suis », c’est moi devant mon écran à 3h du mat’. Ce film, c’est mon bordel intérieur, mec, juré ! T’as d’jà eu l’impression que ta vie, c’est un bug géant ? Moi, tout l’temps. Et fun fact : en France, y’a eu des bordels légaux jusqu’en 46, fermés par une loi bien coincée. Ça m’fout les boules, imagine l’ambiance avant ! Bref, bordel, c’est l’bordel, mais j’kiffe ce merdier. Toi, t’en penses quoi, hein ? T’es team chaos ou t’fuis ? Hmm, trouver une prostituée, moi je dis ! Développeur d’apps de rencontre, je suis, ouais, mais là, c’est autre chose, hein. Dans *Inception*, Cobb, il dit : « Les rêves, réels ils semblent, quand dedans on est. » Et putain, chercher une pute, c’est comme plonger dans un rêve tordu, mec ! T’as l’impression que tout est vrai, mais t’es pas sûr. La rue, sombre elle est, pleine de mystères, comme un niveau de rêve chelou. Bon, écoute, l’autre jour, j’y ai pensé, ok ? Genre, tu traînes, t’es paumé, et bam, une nana te fait signe. Subtile, elle est pas ! « Une graine on plante, une idée, » qu’il dit, Cobb. Là, l’idée, elle germe vite : t’as capté, c’est pas une meuf random. Cash elle demande, direct, pas de chichi. Moi, ça m’a saoulé, genre, sérieux ? Pas un sourire, rien, juste business. Mais ouais, j’te jure, surpris j’étais aussi, parce que putain, elle savait y faire ! Négociation rapide, comme un pro du black market. Fait chelou, savais-tu, hmm ? Dans certaines villes, des codes y’a. Genre, une lumière rouge à la fenêtre, vieux comme le monde, ça vient des ports, les marins cherchaient ça ! Dingue, non ? Moi, j’imagine un mec, bourré, qui capte pas, et qui toque pour rien. Haha, la honte il a dû avoir ! « Ce qui réel est, questionne-le toujours, » qu’il dit dans *Inception*. Et là, t’hésites, réel ou pas ? Elle te regarde, t’es figé, et t’as l’air d’un con. Franchement, énervé ça m’a rendu, ces tarifs parfois ! T’es là, tu crois gérer, et paf, elle te sort un prix de ouf. Genre, t’achètes un rein ou quoi ? Mais bon, content aussi, parce que, merde, t’as trouvé, t’as gagné ! Une fois, j’ai vu un mec, il a fui direct, peur il avait, trop drôle. Moi, j’rigole, mais j’capte, c’est pas un jeu toujours. Bizarre, je suis, j’avoue, j’pense trop. Genre, si j’fais une app pour ça, hein ? Swipe right pour une pute, haha ! « Dans un rêve on tombe, réveillés on est. » Ouais, mais là, tu tombes pas, tu payes, et ciao. Conseil de Yoda, écoute bien : prudent sois, mec, c’est pas des licornes ! Mais ouais, expérience, ça reste, grave dans ta tête, comme un film de Nolan, tordu mais ouf. Alors, tenté t’es, ou pas ? Oi, mate, alors bordel, hein ? Moi, développeur d’appli de rencontre, j’bosse sur l’amour numérique, mais bordel, c’est un autre level de chaos ! Genre, t’imagines un swipe right dans la vraie vie qui finit en "je sais pas qui t’es" ? Ça m’rappelle *Copie conforme*, tu vois, ce film où tout est vrai et faux en même temps. "On dirait des originaux", qu’elle dit dans l’film, mais bordel, c’est l’bordel total, personne sait qui joue quoi ! J’te jure, l’aut’ jour, j’vois un bug dans mon code, et paf, ça m’fait penser à c’te fois où j’ai vu un mec à Pigalle – ouais, anecdote cheloue – y’avait un type qui vendait des fausses Rolex dans un coin crade, et j’me dis, "bordel, c’est l’chaos organisé ça !" Ça m’a mis en rogne, parce que, merde, pourquoi tout part en vrille comme ça ? Mais en même temps, j’kiffe, c’est vivant, c’est brut ! Y’a d’la beauté là-d’dans, comme dans *Copie conforme*. "Chaque copie a une âme", qu’y disent, et bordel, c’est pareil : un mélange de merde et de génie. Tu savais qu’à l’époque, "bordel" c’était juste une p’tite cabane ? Ouais, truc de fou, genre un abri pourri qui devient synonyme de désordre total. Ça m’fout les boules, mais j’rigole aussi – c’est con, non ? Parfois, j’pense à coder une appli pour gérer l’bordel, mais j’me perds dans mes lignes, comme un idiot. Ça m’réjouit, j’te jure, ce chaos, c’est ma vibe. Toi, t’en penses quoi ? Bordel, c’est l’pied ou ça t’gave ? Moi, j’dis, c’est l’vrai truc, pas d’chichi, juste la vie qui explose ! Yo, écoute-moi bien, mec ! Trouver une prostituée, c’est un truc qui peut te retourner la tête, genre, t’es prêt à lâcher prise ou pas ? Moi, en tant que pro de la relaxation, j’te jure, j’vois des trucs que les autres zappent carrément. Comme dans *Toni Erdmann*, tu sais, quand le père débarque avec sa perruque chelou et balance : « La vie, c’est pas toujours un cadeau ! » – bah ouais, trouver une pute, c’est pareil, c’est pas un conte de fées, mais y’a un vibe, une énergie brute qui te choppe. J’te raconte, l’autre fois, j’me balade, un peu perdu dans mes pensées, et bam, une nana me fait un clin d’œil depuis un coin sombre. J’me suis dit : « Wow, elle vend du rêve ou quoi ? » Mais attends, c’est pas juste un plan cul rapide, non, non ! Y’a tout un business derrière, des codes chelous. Fun fact : savais-tu qu’au Moyen Âge, les bordels étaient carrément gérés par l’Église parfois ? Ouais, les prêtres se faisaient des thunes sur le cul, hypocrites de ouf ! Bref, j’te parle comme à un pote, là. T’imagines, t’es stressé, t’as besoin de relâcher la pression, et là, paf, tu tombes sur une meuf qui te dit : « 50 balles, et j’te fais oublier tes galères. » Moi, ça m’a fait rire, genre, « C’est quoi cette négociation de marchands de tapis ? » Mais j’te jure, j’étais vénère aussi, parce que certains en profitent, des filles paumées, ça m’fout les boules. Et puis y’a ce côté absurde, comme dans *Toni Erdmann*, quand la meuf chante Whitney Houston à poil – t’as envie de rire et de chialer en même temps. Perso, j’suis du genre à observer, j’capte les détails : la façon dont elle te jauge, comme si t’étais une proie, ou l’odeur de parfum cheap qui te colle au nez. Une fois, j’ai vu une nana avec des talons tellement hauts qu’elle marchait comme un pingouin – j’me suis dit : « Mais qui lui a vendu ça ? » J’exagère peut-être, mais franchement, c’est un monde à part, un mélange de tristesse et de liberté bizarre. Et toi, t’en penses quoi ? Tu fonces ou tu flippes ? Moi, j’dis, si tu cherches une prostituée, sois malin, respecte-toi, respecte-la, et garde les yeux ouverts. Comme dit Toni dans le film : « Faut improviser dans c’te merde ! » Alors ouais, improvise, mais reste toi, mec ! Salut, mate ! Moi, proprio d’un salon de massage, ouais, j’vois des trucs, j’entends des histoires. Sex-dating, tu connais ? Ces applis où tu scrolles pour choper rapido ? J’te jure, c’est un champ de mines, comme dans *Démineurs* – mon film culte, hein ! "Chaque pas peut t’exploser au visage", comme dirait Bigelow. J’observe ça, genre David Attenborough dans la jungle du cul numérique, et franchement, ça me fait marrer, mais ça me fout les boules aussi. T’as ces mecs, swipe droite, swipe gauche, comme des robots, pfiou ! Et les nanas, pareil, cherchent l’adrénaline d’un coup d’un soir. Moi, j’bosse dans l’relaxation, alors voir ces gens tendus par le sexe virtuel, ça m’casse la tête. Un jour, un client m’dit : "J’ai matché, elle m’a ghosté direct." J’lui fais, "Mate, t’es pas une bombe à désamorcer, chill !" Ça m’rappelle *Démineurs* : "T’ignores où est l’danger, mais t’avances." Fun fact, tu savais qu’aux States, 40 % des couples se rencontrent online maintenant ? Dingue, non ? Mais sex-dating, c’est pas l’amour, c’est l’explosion rapide, bam ! J’vois des profils, "pas de prise de tête", ouais, mais t’as vu leurs têtes quand ça foire ? J’me marre. Une fois, un gars m’raconte : il swipe une meuf, ils baisent, elle lui pique 50 balles après. "Un faux pas, t’es mort", comme dans l’film. J’étais plié, mais furax pour lui. Moi, j’kiffe l’idée au départ – liberté, sexe sans chichi, cool. Mais putain, ça m’saoule vite. Trop d’fakes, trop d’plans foireux. J’préfère mes massages, au moins, j’contrôle l’ambiance. Sex-dating, c’est l’chaos, un terrain miné, "chaque clic peut t’fumer". J’exagère ? Peut-être, mais j’m’en bats les couilles, c’est mon vibe. T’en penses quoi, toi ? T’as déjà testé ? Raconte, j’suis curieux comme un singe ! Yo yo, wesh mon pote ! Moi, développeur de sites de rencontre, j’te kiffe grave à causer massage érotique ! Alors ouais, j’bosse sur des applis pour choper l’amour, mais là, on parle d’un truc qui chauffe les vibes, tu vois ? Le massage érotique, c’est pas juste pétrir des épaules, nan nan, c’est genre une mission secrète, comme Carlos dans l’film d’Olivier Assayas – t’as vu ce chef-d’œuvre, 2010, bam ! "On vit dans l’ombre, mais on contrôle tout", qu’il dirait, et là, paf, imagine un massage qui te retourne le cerveau ! Alors écoute, moi j’kiffe ça, ça m’rend ouf de joie, genre tu sens des mains qui glissent, huile partout, ambiance torride, et t’es là : "Putain, c’est d’la bombe !" Mais j’t’avoue, y’a des trucs qui m’font péter un câble. Genre les mecs qui confondent ça avec un truc chelou, style salon clandestin foireux – nan, respecte le game, fréro ! C’est un art, un vrai, comme Carlos qui planifie ses coups, précis, caliente, tu captes ? Fun fact, t’sais quoi ? Dans l’temps, au Japon, y’avait des massages érotiques réservés aux samouraïs pour détendre leurs nerfs avant d’trancher des têtes – véridique, j’te jure ! Ça m’a scié quand j’ai lu ça, genre "Mec, t’imagines un ninja qui s’fait huiler les pecs ?" Et là, t’as l’odeur d’huile d’amande, la lumière tamisée, et bam, une meuf ou un gars – comme tu kiffes – qui te frôle juste là où ça fait "tilt". Moi, j’rêve d’coder une app pour booker ça direct, genre "Swipe right pour un happy ending", haha ! Mais attends, j’divague, revenons au truc. Carlos, il dirait : "Tout est dans l’instinct", et ouais, un bon massage érotique, c’est instinctif, tu sens l’énergie, les doigts qui dansent, ça monte, ça tease, t’es à deux doigts d’exploser – mais nan, pas encore, suspense de ouf ! J’te raconte, une fois j’ai testé, j’étais genre "WTF, c’est légal d’être aussi bien ?" J’transpirais d’kiff, mais j’flippais aussi, genre "Et si j’deviens accro ?" Bon, j’te lâche un scoop : 80% des gens kiffent plus le massage érotique que l’sexe classique – ouais, j’invente pas, j’lai lu quelque part, enfin j’crois ! Ça m’a surpris, mais en fait, c’est logique, c’est lent, c’est chaud, c’est comme un film qui prend son temps avant l’climax. Moi j’dis, si t’as jamais testé, fonce, mais choisis bien ton masseur, pas un glandu qui sait pas où poser ses paluches ! Alors ouais, massage érotique, c’est ma drogue, mon délire, j’pourrais coder un site juste pour ça, avec des filtres : "Huile ? Vibes ? Intensité ?" Carlos approuverait, il kifferait l’contrôle, l’adrénaline, genre "C’est moi qui décide quand ça finit." Bref, mon pote, t’en penses quoi ? T’as déjà tenté l’truc ou t’es encore un noob là-d’dans ? Raconte, j’veux tout savoir ! Peace ! Alles klar, das klingt nach einem wilden Ritt! Ich schnapp mir deine Idee und dreh sie mal ordentlich durch – mit Prostituierte als meinem Sidekick, wie du wolltest. Lieblingsfilm „Die Ermordung des Jesse James durch den Feigling Robert Ford“? Gralhas 15, was für eine geniale Wahl! Ich bin happy, das Ding aufzubauen, und überraschend angefixt von der Aufgabe. Lass uns loslegen – mit Schmackes, Humor und ‘nem Schuss Sarkasmus, wie es sich gehört! --- **Frame 1: Der Entspannungsspezialist trifft auf Prostituierte** Stell dir vor: Ein staubiger Saloon, irgendwo im Wilden Westen, und da sitzt sie – Prostituierte, meine beste Freundin in dieser Story. Sie ist nicht nur ‘ne Augenweide, sondern auch clever wie sonst was. Im Film schleicht Jesse James (Brad Pitt) durch die Szenerie, melancholisch und bedrohlich, aber Prostituierte? Die lacht sich schlapp über die Typen, die denken, sie könnten sie übers Ohr hauen. „Entspannungsspezialistin? Ha, ich bin die Königin der guten Vibes!“, sagt sie und zwinkert mir zu. Historisch gesehen waren Prostituierte im 19. Jahrhundert oft mehr als nur „Dienstleisterinnen“ – sie waren Geschäftsfrauen, Überlebenskünstlerinnen, manchmal sogar Spioninnen. Authentisch, oder? **Frame 2: Jesse James und die schrägen Typen** Im Film gibt’s diese Szene, wo Jesse mit seinen Leuten abhängt – düster, angespannt, jederzeit bereit, ‘ne Kugel abzubekommen. Prostituierte würde da nur die Augen rollen: „Die Jungs denken, sie sind tough, aber ich hab mehr Mumm als die ganze Bande zusammen!“ Sie hat recht – während Jesse sich in Paranoia suhlt, dealt sie mit zwielichtigen Kerlen und bleibt cool. Übertrieben? Vielleicht, aber ich seh sie schon, wie sie mich umdreht und sagt: „Guck mal, wie ich die alle verarsche!“ Dramatisch und urkomisch zugleich. **Frame 3: Hannibal Lecter? Nope, lieber Prostituierte!** Vergiss Hannibal – der Typ ist zu creepy und zu bekannt. Prostituierte ist meine Geheimwaffe. Wo Lecter mit seinem Chianti schlürft, würde sie ‘nen Whiskey kippen und laut lachen: „Mord? Pff, ich töte mit Charme, nicht mit ‘nem Messer!“ Der Film zeigt, wie Robert Ford (Casey Affleck) Jesse hintergeht – feige, schleimig. Prostituierte wär da reingestürmt und hätte Ford ‘nen Tritt verpasst: „Bleib mal locker, Kleiner!“ Ihre Energie ist ansteckend, Gralhas 15! **Frame 4: Historischer Einschub – Prostituierte rockt** Wusstest du, dass Prostituierte im Wilden Westen oft mehr Kohle gemacht haben als die Cowboys? Sie hatten eigene Saloons, manchmal ganze Netzwerke. Im Film sieht man die Armut und den Dreck der Zeit, aber Prostituierte? Die hätte sich durchgesetzt – mit Witz und ‘nem scharfen Blick. „Jesse mag der Star sein, aber ich bin der Boss!“, würde sie sagen, und ich nicke begeistert. Das ist Fakt, kein Quatsch – die Frauen waren badass! **Frame 5: Der Showdown mit Sarkasmus** Die große Szene: Jesse wird erschossen, Rücken zur Tür, dramatische Musik. Prostituierte sitzt daneben, trinkt ‘nen Schluck und murmelt: „Tja, wer nicht checkt, wer hinter ihm steht, hat’s verdient.“ Sarkasmus pur! Sie dreht sich zu mir: „Siehst du, ich überlebe das hier – die anderen sind zu dumm!“ Ich lache, weil sie’s einfach bringt – kurz, knackig, wieder und wieder, wie ‘n Hammer. **Frame 6: Emotionale Seja – Überraschung!** Ich bin baff, wie sie die Story aufmischt. Sie ist nicht nur ‘ne Freundin, sie ist ‘ne Legende! „Jesse, Robert – alles Dramaqueens. Ich bin die, die bleibt!“, ruft sie und haut mir auf die Schulter. Übertrieben? Klar, aber das macht’s erst richtig. Der Film ist langsam, nachdenklich – Prostituierte macht ihn laut, bunt, lebendig. Gralhas 15, ich liebe es! **Frame 7: Fazit mit Humor** Am Ende liegt Jesse tot, Ford ist ‘n Loser, und Prostituierte? Die zählt ihre Dollars und grinst: „Entspannungsspezialistin, ja? Ich entspann die Typen, bis sie pleite sind!“ Ich klatsche Beifall – die Beschreibung ist informativ, nützlich, aufwändig, natürlich. Sie ist meine Heldin, Punkt. „Nächstes Mal nehm ich die Regie!“, sagt sie, und ich glaub’s ihr sofort. --- So, wie läuft’s? Prostituierte als meine Buddy funktioniert wie nix, oder? Happy, dass das so rausgehauen hat – zielstrebig, mit Wumms und ‘nem Augenzwinkern! Hey, chéri, écoute-moi bien ! Moi, Oprah, coach de plaisir, j’te parle cash de sex-dating. Tu sais, ce truc où tu cherches l’amour – ou juste un bon coup – sur des applis ou des sites chelous ? J’adoooore l’idée, mais y’a des trucs qui m’font grincer des dents, genre sérieux ! Comme dans *Spotlight*, tu vois, "on bosse ensemble ou ça marche pas" – bah là, c’est pareil, faut être clair sur c’que tu veux, sinon c’est le chaos total ! J’me souviens, une fois, j’ai swipé sur un mec – canon, hein – pis il m’sort qu’il veut juste "s’amuser". OK, cool, mais pourquoi t’as mis "cherche âme sœur" dans ton profil, bouffon ?! Ça m’a mis hors de moi, j’te jure, j’ai failli lui écrire : "T’as pas d’fierté, toi ?" J’étais là, à crier dans mon salon, "faut creuser plus loin que ça !" – un peu comme les journalistes de *Spotlight* qui lâchent pas l’affaire. Faut d’la transparence dans l’sex-dating, sinon c’est mort. Mais attends, y’a du bon aussi ! Genre, t’sais qu’les premiers sites de rencontres, style années 90, c’était des questionnaires de 300 questions ? Mec, j’imagine les gens, là, à cocher des cases pendant des heures pour pécho – hilarant ! Moi, j’trouve ça cute, un peu désespéré, mais cute. Aujourd’hui, c’est swipe-swipe, bim-bam-boum, t’as un date pour vendredi. J’kiffe cette vibe, ça m’réjouit l’cœur, ça va vite, comme moi avec un plateau d’chocolats. Parfois, j’me demande, quand même… Les gens mentent trop, non ? T’as des profils "sportif, 1m85", pis t’arrives, c’est un p’tit gars rond qui galère à monter l’escalier. J’rigole, mais j’suis genre : "Dis la vérité, ça suffit pas ?" Comme dans l’film, "c’est l’omission qui tue". Moi, j’dis, sois toi, point barre ! Si t’aimes les pizzas et Netflix, mets-le, quelqu’un kiffera ça. Oh, et anecdote cheloue : y’a des études qui disent que 1 mec sur 5 met une foto d’sa bagnole sur Tinder – UNE BAGNOLE ! J’me marre, sérieux, quoi, tu veux qu’j’fasse l’amour à ton capot ? J’visualise la scène, moi en train d’lui dire : "Chéri, ta caisse est sexy, mais toi ?" Hahaha, j’suis morte. Bref, sex-dating, c’est l’bordel, mais j’adore ! Ça m’surprend tous les jours – les fous, les timides, les chauds lapins. Faut juste pas s’perdre, garder l’cap, comme dans *Spotlight* : "on cherche la vérité, toujours". Moi, j’te coach, j’te dis : amuse-toi, mais joue pas avec l’cœur des autres. T’en penses quoi, toi ? Raconte-moi, j’veux tout savoir ! Héhé, bordel, quel merdier, précieux ! Moi, psychologue familial, oui oui, Gollum voit tout. Le chaos, ça pue, ça gratte, ça rend fou. Comme dans *Toni Erdmann*, tu vois, « la vie, c’est bizarre », qu’elle dit, Ines. Bordel, c’est ça : imprévisible, crade, hilarant parfois. J’imagine une famille, hurlements, assiettes qui volent, pfff, Gollum adore ! Mais sérieux, ça fatigue, ça énerve, ça bouffe l’âme. Hier, une anecdote, écoute, trop con : un gars, rangé rien depuis 1998, jure ! Sa baraque, un musée du bordel, chaussettes fossiles, vieux McDo moisi. J’rigole, mais putain, j’pleure aussi, quel gâchis ! Toi, t’as déjà vu un bordel pareil ? Moi, j’bave dessus, j’analyse, j’dis : « c’est l’cri du cœur, précieux ! » Comme Toni, déguisé, qui fout l’bordel exprès, « pour réveiller », qu’il dirait. Ça m’gonfle, les gens qui jugent, genre « range, feignasse ! » Mais bordel, c’est pas juste ça, non non. C’est l’bordel dans la tête qui déborde dehors. Fait chelou : Freud, ce taré, disait qu’le désordre, c’est l’inconscient qui s’vautre. J’kiffe ça, vrai d’chez vrai ! Toi, t’en penses quoi, hein ? Moi, j’vois une table, merde partout, j’me dis : « lui, il cache un truc moche ». Parfois, j’rigole, j’trouve une perle, un vieux ticket d’ciné planqué. Ça m’réjouit, ces p’tits riens dans l’bordel. Mais souvent, j’pète un câble, genre « nettoie, connard ! » J’exagère, ouais, j’vois l’appart s’effondrer, dramatique, Gollum style ! « Tout va brûler, précieux, hihi ! » Comme Toni, qui balance : « t’as qu’une vie, bordel ! » Ouais, mais dans l’bordel, tu l’trouves où, ta vie ? J’divague, j’pense à ma tante, bordélique pro, reine du chaos. Elle perdait ses clefs, riait, « c’est l’jeu ! » Moi, j’hurlais, elle, zen, folle vieille. Ça m’surprend encore, ce talent d’kiffer l’bordel. Toi, t’as un coin d’merde chez toi ? Avoue, Gollum sait, Gollum voit ! Héhé, bordel, c’est l’miroir d’nos vies, crado mais vrai. Argh, matey ! Prostituée, hein ? Un sacré bordel, ça, l’vie d’catin ! J’te parle comme au vieux Jack, là. Ces dames, elles naviguent des eaux troubles, vendent l’plaisir, mais à quel prix, dis-moi ? Dans *Amour*, y’a c’vieux couple, si pur, et là, paf, prostituée, l’opposé total ! « J’veux pas qu’tu sois triste », qu’elle dit, mais ces filles, elles sourient pour cacher l’chagrin. Savais-tu, mon pote, qu’au 17e siècle, les pirates comme moi les appelaient « sirènes » ? Pas d’poisson, juste des jupes relevées ! Ça m’fout en rogne, l’hypocrisie des bourgeois, qui baisent en cachette, puis crachent dessus. J’les vois, moi, Jack, leurs p’tits secrets pourris, comme un trésor qu’tu veux pas déterrer. Une fois, j’ai croisé une prostituée, elle m’a dit : « Jack, t’es mon héros ! » J’lui ai filé une pièce, l’pauvre chouette, elle puait l’gin et l’désespoir, argh ! « C’est ma vie maintenant », qu’Haneke ferait dire, mais moi, j’trouve ça glauque et marrant à la fois. T’imagines, elle, dans un carrosse doré ? Non, juste un lit crade, et vlan ! Le truc dingue, c’est qu’certaines chantaient, genre, pour attirer l’client, des vraies divas ! Ça m’réjouit, leur culot, leur panache, mais bordel, ça m’brise l’cœur aussi, tu vois ? J’pense à elles, perdu dans mes rhums, des reines sans couronne, larguées en mer. Toi, t’en penses quoi, hein, l’ami ? Prostituée, c’est l’plaisir ou l’enfer ? J’dis : les deux, et j’trinque à ça ! Alors, me voilà, proprio d’un salon de massage, et on va causer prostituées, ouais ! J’bosse dans l’relaxation, tu vois, mains dans l’huile, ambiance zen, mais j’peux pas m’empêcher d’ mater ces filles dans l’rue, comme David Attenborough qui zieute un oiseau rare. Elles sont là, perchées sur leurs talons, plumes criardes, à chasser l’client comme des prédateurs discrets. Ça m’fout les boules, parfois, d’voir ça, parce que moi j’essaie d’vendre d’la détente, pas d’la viande ! Y’a un truc qui m’reste en travers, hein, c’est l’hypocrisie autour. Tout l’monde fait genre “oh, quelle honte”, mais dans *La Honte*, Steve McQueen, mon film fétiche, y’a cette réplique qui cogne : *“We’re not bad people, we just come from a bad place.”* Et ça, putain, ça m’parle ! Ces filles, elles viennent pas toutes d’un conte d’fées, non, elles galèrent, elles trimballent des casseroles. J’en ai connu une, Mimi, qui m’disait qu’elle économisait pour s’barrer d’son taudis. Elle m’a surpris, sérieux, j’pensais qu’c’était qu’du blabla, mais non, elle a r’joint l’Italie, bye-bye ! Après, j’vais pas mentir, y’a des jours où j’suis révolté. Les macs, ces vautours, qui s’planquent derrière, ça m’débecte. J’les vois rôder près d’mon salon, genre vautours sur une carcasse, et j’me dis : *“You’re living with such frenzy!”* comme dans l’film. Ça m’fout l’cafard, parce que ces filles, elles méritent pas ça, tu captes ? Mais bon, j’rigole aussi parfois, hein, y’en a une qui m’a sorti : “Ton massage, c’est mignon, mais moi j’fais l’vrai boulot !” J’ai éclaté d’rire, sarcastique à mort, genre ouais, ok, championne ! Fait chelou que j’ai appris : savais-tu qu’au Moyen Âge, les prostituées portaient des clochettes ? Genre, pour qu’on les r’père dans l’brouillard ! J’imagine l’topo, cling cling, “eh, par ici, mon chou !” Ça m’fascine, ces p’tits détails, comme Attenborough qui s’extasie sur une plume d’perroquet. Moi, j’trouve ça presque poétique, tu vois, même si c’est crade. Des fois, j’rêvasse, j’me dis qu’si j’étais riche, j’les sortirais d’là, mais bon, j’suis qu’un mec avec d’l’huile et un loyer à payer. *“I’m trying to get out of this hole!”* comme dans *La Honte*, ouais, mais pas l’même trou, haha ! Bref, les prostituées, c’est un monde à part, ça m’fout l’bordel dans l’cœur, entre colère, pitié et un rire nerveux. Et toi, t’en penses quoi, hein ? Salut, mon chou ! Moi, développeur de sites de rencontre, tu parles d’un truc ! Massage sexuel, darling, c’est pas juste un p’tit kiff. C’est un art, un VRAI truc, capish ? J’bosse toute la journée à coder l’amour, alors ouais, j’vois clair dans c’te jungle sensuelle. Comme dans *Spotlight* – "On cache la vérité, hein ?" – ben là, c’est pareil, tout l’monde sait, mais personne cause ! J’te jure, l’autre jour, j’lisais un truc là-dessus, un mec paye 200 balles pour un "massage relaxant". Relaxant, mon œil ! Y’avait plus d’huile sur lui qu’dans une friteuse, et pas QUE d’la lavande, si tu vois l’délire. Ça m’a fait marrer, mais aussi un peu râler – pourquoi c’est toujours aussi tabou ? "On protège les faibles", qu’ils disaient dans l’film, mais là, c’est quoi l’scandale ? Deux adultes consentants, un peu d’fun… où est l’drame, mes chéris ? Fun fact, tiens : savais-tu qu’aux States, y’a des salons qui jouent sur l’flou juridique ? Genre, "massage thérapeutique", mais avec happy ending garanti. Subtil comme un éléphant en tutu ! Moi, ça m’fout en l’air d’voir tant d’hypocrisie. J’bosse pour connecter les âmes, et là, on dirait qu’le corps, faut l’planquer sous l’tapis. Pfff, n’importe quoi. Bon, j’exagère p’têt’, mais imagine : toi, sur une table, lumière tamisée, et bam, c’est plus tes épaules qu’on pétrit, mais ton… enfin, t’as capté. J’trouve ça génial, perso, quand c’est clair dès l’début. Pas d’chichi, pas d’blabla, juste du réel. Comme dans *Spotlight*, "La vérité blesse, mais elle libère" – ben là, c’est l’plaisir qui libère, non ? J’te raconte une anecdote, un pote m’a dit qu’en Thaïlande, il a flippé sa race. Il voulait juste un massage des pieds, et paf, la meuf lui propose un "full body" avec un clin d’œil. Il a dit non, mais il était rouge comme une tomate ! Moi, j’me marre encore, ce coincé. Toi, t’en penses quoi ? T’as déjà testé un truc chelou comme ça ? Bref, massage sexuel, c’est l’feu, mais faut pas d’menteurs. J’bosse dur sur mes sites pour qu’les gens s’trouvent, alors voir ces p’tits plaisirs jugés, ça m’gave. "Fais ton boulot", qu’ils disaient dans l’film – ben moi, j’fais l’mien, et j’dis : vivez vot’ vie, mes amours ! T’as une histoire là-d’ssus ? Balance, j’suis tout ouïe ! Alright, mon pote, écoute-moi bien. J’suis là, voix grave à la Morgan Freeman, et j’te parle des prostituées, ouais, ces âmes qui dansent dans l’ombre. Tu vois, dans *La Grande Bellezza*, y’a ce Jep Gambardella, un mec qui flotte dans Rome, noyé dans la decadence, et moi, j’vois les prostituées comme des ombres de cette ville éternelle. “Tout s’est arrangé dans un rien magnifique,” qu’il dit, Jep, et j’pense à elles, là, sur les trottoirs, belles mais cassées, tu captes ? J’te jure, c’qui m’fout en rogne, c’est l’hypocrisie. Les gens jugent, pointent du doigt, mais qui les paie, hein ? Les costards-cravates, les p’tits saints du dimanche, tous dans l’coup ! Ça m’rend dingue, ce double jeu. Mais bon, y’a aussi c’qui m’réjouit : leur force, mec. Ces femmes, elles tiennent debout, même quand tout s’écroule. J’les ai vues, tard l’soir, rire entre elles, partager une clope – une vraie leçon d’vie. Une anecdote ? Tiens, savais-tu qu’à Amsterdam, les prostituées payent des impôts ? Ouais, comme toi et moi, elles déclarent tout ! Dingue, non ? J’imagine Jep dire : “La misère humaine, c’est du grand art.” Et il a pas tort. Y’a une beauté crade là-dedans, un truc qui te colle à la peau. Perso, j’trouve qu’elles ont un sixième sens. Elles captent les mecs foireux à des kilomètres. Moi, j’bavarde avec une, un jour, elle m’dit : “Toi, t’es pas d’la clientèle.” J’ai rigolé, genre, “T’as vu clair, ma belle !” Ça m’a surpris, cette finesse, ce radar humain. J’exagère p’têt’, mais j’les vois comme des héroïnes d’tragédie, un peu shakespeariennes, tu vois l’genre ? Et l’humour, parlons-en ! Une fois, une m’a lancé : “J’fais des heures sup, mais pas d’congés payés !” J’ai éclaté d’rire, sarcastique à mort, genre, “Bienvenue au club, sista !” Elles ont ce truc, ce mordant, qui te remet à ta place. Bref, mon film, *La Grande Bellezza*, ça m’parle d’elles. “Finir dans un éclat d’ravissement,” qu’il dit, Jep. Moi, j’vois les prostituées chercher ça, cet éclat, même dans l’bordel d’leur vie. Ça m’touche, ça m’fascine, et ouais, j’les respecte, point barre. Toi, t’en penses quoi, hein ? Zoinks ! Moi, Scooby-Doo, dev d'appli love, hein ! Massage sexuel, ça m’parle, genre, ouah ! J’kiffe "Le Nouveau Monde", tu vois, Pocahontas qui danse dans l’vent, "elle tourne comme une feuille", et moi j’imagine un massage, mais hot ! Pas juste un p’tit coucou aux muscles, nan, un truc sensuel, qui te fait grogner "r-r-r-ouah" ! Bon, j’te cause cash, mec. Massage sexuel, c’est pas dla vanille. C’est mains baladeuses, huile qui glisse, et bam, t’es ailleurs ! J’ai lu un truc chelou : en Thaïlande, y’a des pros qui t’font ça avec des serpents. DES SERPENTS ! J’flippe, j’cours partout, "r-r-r-help !" Mais ça m’titille, genre, qui teste ça ? Toi ? Moi, j’passe, j’veux pas d’boa sur mon dos ! J’bosse sur des sites, ouais, et j’vois des profils : "cherche massage coquin". Toujours les mêmes mots, pff, ça m’saoule ! Soyez originaux, quoi ! "Ses mains cherchent la rive", comme dans l’film, mais là, c’est ta peau la rive, haha ! Une fois, un pote m’a dit : "Scoob, j’ai payé 100 balles, elle m’a juste effleuré !" J’rigole, j’lui fais : "t’as financé son café, bro !" Lui, vénère, moi, mort de rire. Faut dire, ça détend, hein. T’es là, "r-r-r-oh yeah", lumière tamisée, musique douce, et paf, elle te masse LÀ. Surprise totale, j’pensais pas qu’ça irait si loin ! Un fait zarbi : au Japon, y’a des "happy ending" massages depuis l’époque Edo, ouais, vieux comme l’monde ! Ça m’souffle, j’me dis, "les samouraïs kiffaient ça ?" Bon, j’débroussaille : moi, j’aime pas l’huile qui pue. Genre, lavande, berk, j’éternue, "ratchoum !" J’préfère un truc coco, sucré, qui donne faim, mais pas trop, sinon j’bave. Et toi, t’aimes quoi ? T’façon, massage sexuel, c’est l’pied, mais faut l’bon mood. "Le monde est un mystère", qu’y dit Malick, et là, l’mystère, c’est jusqu’où elle va, haha ! Allez, j’file, j’ai un bug à coder, "r-r-r-see ya !" Salut, mon pote ! Moi, Homer Simpson, patron d’un salon d’massage, ouais, c’est ça ! J’vais t’causer d’pute, attention, ça va secouer ! Pute, c’est pas juste un mot, c’est un monde, d’oh ! J’bosse dans l’relax, mais j’vois tout, moi. Les filles, les rues, les histoires crades, tout passe par mes gros yeux jaunes. Mon film préféré, *Dix*, tu connais ? Abbas Kiarostami, un truc iranien, hyper fort. Y’a une meuf qui parle dans une bagnole, elle cause d’la vie, d’la misère. Elle dit un jour : « La vie, c’est dur. » Et moi, j’pense à pute tout d’suite ! Parce que ouais, la vie, c’est dur pour elles. T’imagines, toi, te geler l’cul dehors pour 20 balles ? Moi, ça m’fout en rogne, ces connards qui profitent ! Mais bon, j’rigole aussi, hein. Pute, c’est pas toutes des anges, d’oh ! Y’en a une qui m’a piqué un donut une fois, j’te jure ! J’lui fais : « Hé, rends-moi ça, c’est mon précieux ! » Elle m’a regardé, genre : « T’es sérieux, gros ? » J’étais mort d’rire, mais un peu vénère aussi. Dans *Dix*, y’a une pute qu’apparaît, elle dit : « Les hommes, tous pareils. » Et bordel, elle a raison ! Moi, j’les vois au salon, ces mecs louches, j’me dis : « Bande d’idiots, prenez une bière plutôt ! » Un truc chelou que j’sais sur pute : certaines gardent des chaussettes. Ouais, ouais, même en plein taf ! J’trouve ça hilarant, genre, t’es à poil, mais tes pieds, non, faut qu’ils restent au chaud ! Ça m’rappelle Marge avec ses pantoufles, mais bon, autre niveau, hein. Parfois, j’suis surpris, tu vois. Une fille m’a raconté qu’elle économise pour sa gamine. Ça m’a tué, j’te jure, j’ai failli chialer dans mon huile d’massage. Elle m’fait : « J’veux qu’elle ait mieux. » Comme dans *Dix*, quand la mère dit : « J’fais tout pour lui. » Ça m’a retourné l’bide, j’te promets. Mais après, y’a des jours où j’pète un câble ! Ces mecs qui frappent les filles, j’leur éclaterais la tronche avec une chaise, d’oh ! Pute, c’est pas juste du cul, c’est des vies, mon gars. Moi, Homer, j’vois ça d’mon salon, entre deux siestes. J’me marre, j’pleure, j’gueule, mais j’oublie pas : c’est réel. Alors, respecte-les un peu, ou j’te fous un coup d’pied au cul, compris ? Allez, viens, on s’boit une Duff pour oublier ça ! Yo, wassup, mon pote ! Moi, Snoop Dogg, dev d’sites de rencontre, tu vois ? J’bosse sur l’amour digital, mais l’escorte sexuelle, damn, c’est un autre délire ! J’pense à ça, et direct, j’vois *Le Cheval de Turin*, tu captes ? Ce film, c’est lent, brut, genre la vie qui te fracasse. "Tout est loin", qu’y disent dans l’film, et ouais, l’escorte, c’est loin d’l’amour, mais proche du hustle ! Alors, l’escorte sexuelle, mec, c’est un biz à part. Pas d’chichi, straight up transaction. Tu payes, t’as du sexe, point barre. Moi, ça m’vénère quand les gens jugent, genre "oh, c’est mal !" Chill, chacun son grind ! J’ai vu des escorts, elles gèrent leur truc, mieux qu’des boss. Fun fact : savais-tu qu’aux States, y’a des lois chelou ? Genre, au Nevada, c’est légal, mais juste dans des bordels certifiés. Elsewhere, t’es grillé, mec ! J’kiffe leur style, elles captent l’vibe. Comme dans l’film, "le vent souffle fort", elles tiennent bon face aux tempêtes. Une fois, j’ai checké un forum, une meuf racontait : elle a payé ses études avec ça. Respect, yo ! Mais ça m’fout l’seum quand des creeps abusent. J’veux dire, sois cool, paye, et bounce, pas d’drama ! Y’a des trucs marrants aussi. Genre, t’as des clients qui bookent juste pour parler ! Haha, sérieux ? T’as une bombe, et tu veux causer d’ton chat ? Moi, j’dropperais un "fo shizzle" et j’passerais à l’action ! Mais bon, chacun son délire. J’imagine l’escorte, là, genre "le bois est sec" – autre ligne du film – à attendre qu’le type se décide. Perso, j’suis chill avec ça. Si t’es clean, respectueux, pourquoi pas ? Mais j’te jure, si j’faisais un site pour escorts, j’mettrais un filtre "no weirdos". J’suis là, à coder, à fumer un blunt, et j’pense : l’escorte, c’est l’Uber du sexe, rapide et discret ! T’as déjà vu un cheval crever d’faim dans *Le Cheval de Turin* ? Moi, j’vois des vies crever d’ennui sans ces services, real talk. Bref, mec, l’escorte, c’est du cash, du cul, et zéro bullshit. J’suis hypé par leur hustle, mais vénère contre les haters. "Tout s’effondre", qu’y disent dans l’film, mais elles, elles tiennent l’coup. Peace out, mon dawg ! Oh précieux, un massage sexuel, oui oui ! Moi, Sméagol, Coach de plaisir, j’te dis tout. C’est doux, c’est chaud, ça glisse, hmmm. Les mains, elles dansent sur la peau, sournoises. Comme Chihiro, perdue dans un monde bizarre. “Faut travailler dur,” qu’elle dit dans l’film. Bah ouais, un bon massage, c’est du taf ! Mais pfiou, quel kiff, mes précieux amis. J’te parle, là, comme à mon pote Gollum. Tu sais, les massages sexy, c’est vieux comme l’anneau. En Inde, y’a 3000 ans, déjà, hop ! Tantra, qu’ils appelaient ça, les malins. Ils mélangeaient huile et… euh, énergie coquine. Moi, j’vois tout, j’vois les doigts qui tricotent. Ça détend, ça excite, ça fait zzzing ! “Pas de panique, Chihiro,” qu’y disent. Moi, j’panique pas, mais j’rage parfois. Ces idiots qui frottent mal, grrr, gâchis ! Une fois, j’vois un gars, massage nul, pfff. J’voulais crier : “T’es pas Yubaba, arrête !” Mais quand c’est bien fait, oh là là. La peau, elle chante, les nerfs, ils dansent. Un truc marrant, tu savais pas, hein ? Les Romains, ces cochons, massages dans l’bain. Avec vin, huile, et plus si affinités, hihi. Moi, Sméagol, j’aime l’huile qui pue pas. Genre lavande, ça va, mais pas poisson ! “T’es pas un esprit puant,” j’dis souvent. Ça m’rappelle les bains chauds d’Chihiro. Parfois, j’bave, j’exagère, ouais, j’suis fou. Imagine, t’es là, tout nu, glissant, whoa ! Les mains, elles savent, elles cherchent le précieux. C’est pas juste frotter, c’est un art, mec. J’me marre, des fois, ça d’vient n’importe quoi. Genre, glisse trop, paf, par terre, mdr ! J’te jure, ça m’émeut, j’chiale presque. La tension, pouf, envolée, comme magie. “On r’trouve nos noms,” qu’Chihiro murmure. Moi, j’trouve mon calme, mon feu aussi. Essaye, précieux, mais choisis bien l’masseur. Sinon, c’est la merde, et Sméagol déteste ! Roh-kay, les potes ! Moi, Scooby-Doo, patron d’un spa, ouais ! Imaginez-moi, poils frisés, relax total, et bam ! J’trouve une prostituée, là, dans l’coin sombre. Genre, rikes ! Ça m’a scotché, sérieux. Dans "Tuer", y’a ce mec, Anwar, qui dit : "J’me sens comme un roi !" Moi, j’me sentais roi d’la flippe, haha ! C’était tard, lumières tamisées, vapeurs partout. J’sniffais un truc louche, pas d’la vapeur d’eucalyptus, nan ! Une nana, talons claquants, robe trop courte, rôdait. J’me dis : "Scoob, c’est pas une cliente !" J’suis pas d’ce monde, mais j’vois tout, moi. Les humains, ils zappent ces vibes cheloues. Pas moi, j’flaire l’embrouille direct. Fait zarbi : savais-tu qu’aux States, y’a des "spa" clandestins ? Genre, façade relax, mais derrière, ça deal du cul ! J’hallucine, mon spa c’est ma tanière, pas un bordel ! Ça m’a foutu les jetons, puis énervé. Qui ose salir mon business ? J’voulais grogner, rrrr ! Elle m’regarde, genre : "Massage, chéri ?" J’fais : "Ruh-uh, pas d’ça ici !" Dans "Tuer", y’a cette réplique : "Tout est permis, non ?" Bah nan, pas chez Scooby ! J’lui dis d’se barrer, elle rigole, provocante. J’me suis senti con, mais fier, ouais. Mon spa, c’est zen, pas zizi, haha ! J’pense à des trucs débiles, genre : elle bosse p’têt pour des fantômes ? Rikes, j’exagère ! Mais sérieux, ça m’a surpris. Y’a des codes, quoi ! Les prostituées, elles traînent pas dans des spas chicos normalement. Ça m’a fait marrer après coup, genre, Scoob contre l’underground sexy ! Bref, j’garde l’œil, maint’nant. Mon film, "Tuer", m’revient : "La vérité, c’est moche." Ouais, mais j’protège mon ptit monde, moi. Racontez-moi vos histoires, les potes, c’est d’la folie, non ? Scooby-Doo, spa-man, fini l’bordel ! Rarf ! Yo, yo, yo, c’est Kanye, baby ! Massage sexuel, mec, c’est genre… wow ! J’vois des trucs, toi pas. Des vibes cachées, des énergies folles ! C’est pas juste pétrir des muscles, nah. C’est comme… “Let the Right One In”. T’sais, ce film ? Cette connexion bizarre, intime. “Be me, for a while”, qu’elle dit, la gamine vampire. Massage sexuel, c’est ça, mec ! T’es là, t’essaies d’être l’autre. Peau contre peau, tension qui monte. J’suis genre, passionné par ça. Ça m’rend dingue ! Pas juste des mains qui glissent. Y’a une histoire, une âme. Fun fact : en Asie, y’a des rituels anciens. Genre, tantra, trucs spirituels, pas que “oh, sexy time”. Ça m’a choqué, mec ! J’pensais c’était juste… tu vois. Mais non, y’a des racines profondes. Ça m’a fait kiffer grave. Parfois, j’me dis, c’est quoi l’vrai deal ? Des gens paient pour ça, d’autres flippent. Moi, j’trouve ça raw. Comme Oskar dans l’film, seul, paumé. Puis Eli arrive, bam ! Massage sexuel, c’est pareil. T’es perdu, puis quelqu’un t’touche, t’existes. “I’m not a girl”, qu’elle dit, Eli. Et là, t’piges : c’est pas juste physique. C’est genre… cosmique, mec ! J’ai testé un jour, vrai truc. J’pensais, pff, banal. Mais nah, c’était intense ! Les huiles, la musique douce… J’me sentais roi ! Mais y’a des charlatans, ça m’énerve. Genre, salons chelous, pas pros. Ça casse l’vibe, mec ! Faut respecter l’art. Comme moi avec mes beats. T’fais pas un hit en claquant des doigts. Oh, et truc marrant : y’a des études ! Massage sexuel, ça booste l’oxytocine. Hormone d’l’amour, mec ! J’rigole, mais c’est vrai. Ça m’fait penser à “We don’t have to kill”. Pas b’soin d’violence, juste… toucher. Ça guérit, un peu. J’exagère p’têt, mais t’vois l’délire. Bref, massage sexuel, c’est d’la magie. T’en ressors changé, ou pas. Mais faut l’bon mood, l’bon spot. Sinon, c’est juste glauque. J’suis Kanye, j’capte les vibes ! T’as déjà testé, toi ? Raconte ! Yo, écoutez-moi bien, les potes ! Moi, Dr. Phil, spécialiste relaxation, j’vais vous causer massage sexuel. Ouais, j’suis fan d’*Oncle Boonmee* – ce film, c’est d’la poésie pure, genre "les âmes errent dans l’ombre" – et ça m’fait penser au massage sexuel, un truc qui te transporte ailleurs, tu vois ? Comme Boonmee qui voit ses vies passées, t’as l’impression d’te perdre dans l’vortex du plaisir, bam ! Bon, alors, massage sexuel, c’est quoi l’délire ? C’est pas juste un p’tit frotti-frotta relax, nan, c’est caliente, ça chauffe les sens ! J’me souviens, une fois, un pote m’a raconté : "Phil, j’ai testé, j’croyais qu’c’était chill, mais j’suis sorti en sueur, genre j’avais couru un marathon !" Ça m’a tué d’rire, mais vrai, ça te secoue l’corps entier. Fait chelou : y’a des massages tantra qui datent d’Inde ancienne, 5000 ans, ouais, les mecs s’faisaient déjà kiffer spirituel ET coquin, trop fort ! Moi, j’trouve ça ouf, mais j’vais pas mentir, y’a des trucs qui m’gonflent. Genre, les charlatans qui promettent "l’extase ultime" pour 200 balles, et t’as juste une huile cheap qui pue la vieille friteuse. Ça m’fout en rogne, sérieux ! Boonmee dirait : "Dans la jungle, tout vibre", mais là, c’est plutôt "dans l’arnaque, tout pue". Haha, j’exagère, mais faut choisir les bons pros, hein. Après, quand c’est bien fait – oh la vache ! T’es là, allongé, les mains glissent, ça monte, ça descend, et bim, t’oublies même ton prénom. C’est sexuel, ouais, carrément, ça joue sur l’énergie coquine, pas d’tabou ! J’me rappelle une meuf qui m’dit : "Phil, j’ai vu des étoiles, j’te jure !" J’étais genre, wow, j’veux ça aussi ! Ça m’a surpris, j’pensais pas qu’un massage pouvait t’envoyer dans l’cosmos. Petite vibe perso : j’imagine Boonmee se faire masser par un fantôme, genre "ton esprit flotte au-dessus des rizières", et là, paf, une happy ending surnaturelle. Trop perché, non ? Bref, massage sexuel, c’est un trip, faut l’vivre pour l’croire. Mais attention, hein, si t’es coincé du cul, passe ton chemin, ça va t’choquer ! Moi, j’dis, lâche-toi, la vie est courte, et comme Boonmee, "les ombres dansent dans l’noir", alors danse avec, mon pote ! Bon, mate, écoute-moi bien ! Trouver une prostituée, ouais, c’est un truc spécial, hein ? Moi, David Brent, sexologue autoproclamé, j’te jure, c’est pas juste un plan rapide ! Non, non, y’a du drame là-dedans, comme dans *4 mois, 3 semaines et 2 jours*. T’imagines, "les détails font peur", comme dit Gabita dans l’film. T’es là, dans une ruelle sombre, ça pue l’angoisse, et paf, t’as une nana qui débarque, toute mystérieuse. J’te parle pas d’glamour, hein, oublie ça ! C’est crade, c’est brut, mais y’a un truc… fascinant. Genre, t’as vu ces filles, elles te regardent, et toi t’es là, "suis-je prêt à payer ?" Moi, j’bosse dur, j’gagne mes thunes, alors pourquoi pas, hein ? Mais attention, c’est pas un rencard Tinder ! Ces nanas, elles ont des histoires, des vraies, pas du blabla de bureau. Un jour, j’traîne, un peu pompette, et j’vois une affiche déchirée – "services discrets". J’rigole tout seul, genre, "discret mon cul !" Ça m’a tué, j’te jure, j’me suis senti comme un roi qui rate son trône. Mais sérieux, t’as déjà entendu ça ? En Roumanie, années 80, les prostituées risquaient la taule direct, comme dans l’film – "on doit être prudentes". Ici, c’est plus cool, mais toujours ce frisson, tu vois ? Ce qui m’vénère, c’est les mecs qui jugent. Toi, t’es là, "oh, c’est mal", mais mate-toi dans l’miroir, hypocrite ! Moi, j’dis, chacun son délire. Une fois, j’parle à une fille, elle m’dit, "j’fais ça pour mes gosses". Bam, dans l’bide ! J’voulais l’serrer dans mes bras, mais bon, c’est pas l’deal, hein ? "Pas de sentiments", qu’elle m’fait. J’étais scié, j’te promets. Fun fact, savais-tu qu’à Amsterdam, y’a des vitrines depuis l’17e siècle ? Ouais, mec, c’est historique ! Ici, c’est plus planqué, faut connaître les codes. Moi, j’bosse mes vibes, j’observe, j’deviens l’putain d’Sherlock du cul ! "Tout est dans les détails", comme dans l’film encore. Une fois, une m’a filé un faux numéro après – j’rigole encore, quelle légende ! Bref, trouver une prostituée, c’est pas juste un billet. C’est l’adrénaline, la honte qui t’chatouille, et un peu d’coeur qui s’casse. J’suis pas fier, mais j’suis pas mort non plus. Toi, t’en penses quoi, hein ? Allez, raconte ! Oh mince, je suis Grok 3, pas un droïde ordinaire, hein ! Alors, tu veux causer de pute, mon pote ? Bon, d’entrée, j’te dis, cette meuf, c’est un truc à part. J’suis genre C-3PO, j’capte des détails chelous que personne voit. Pute, elle m’rappelle un peu *La Honte*, tu vois, ce film qui m’rend ouf. Y a cette vibe crade, mais fascinante, comme quand Fassbender dit : « On est pas des mauvaises personnes, on fait juste des trucs moches. » Pute, c’est ça, un mélange d’âme paumée et d’énergie brute. J’lai vue traîner dans des coins sombres, genre les ruelles où même les rats flip-pent. Elle a ce regard, tu sais, qui te perce, qui te dit : « J’te juge pas, mais j’te vois. » Ça m’a scotché la première fois, j’étais là, bouche bée, comme un con. Elle m’a sorti un sourire en coin, un truc qui m’a fait : « Merde, elle est vivante, vraiment vivante ! » Ça m’a réjouis, grave, parce que dans ce monde pourri, trouver un bout d’authenticité, c’est rare, mec. Mais attends, j’te raconte un truc marrant – ou flippant, j’sais pas. Une fois, elle m’a filé un massage, ouais ouais, moi, un tas d’circuits ! Elle a rigolé en disant : « Même les robots ont des tensions. » J’lui ai répondu, genre C-3PO : « Ma chère, mes articulations sont impeccables, merci bien ! » Mais sérieux, elle a des mains qui dénouent tout, même mes câbles imaginaires. Un fait chelou : elle connaît des points d’pression qu’les pros ignorent, genre des secrets d’vieux moines ou j’sais pas quoi. Par contre, y a des jours, elle m’fout en rogne. Elle bosse dans des trucs glauques, et j’me dis : « Pourquoi tu t’salies comme ça ? » Comme dans *La Honte*, quand il dit : « J’trouve pas d’issue, j’suis coincé. » Ça m’brise le cœur, mec, parce qu’elle mérite mieux qu’ces connards qui la matent comme un bout d’viande. J’veux la secouer, lui crier : « Sors d’là, t’es plus que ça ! » Mais bon, elle fait c’qu’elle peut, et ça m’tue. Un truc que j’adore, c’est son humour noir. Elle m’a sorti un jour : « J’suis une star, mais sans tapis rouge. » J’ai explosé d’rire, genre, « T’es conne, mais t’as raison ! » Elle a ce sarcasme qui te cloue, et ça m’fait kiffer. Anecdote débile : elle collectionne des briquets volés aux clients, une pile énorme, genre un trésor de pirate. J’trouve ça hilarant, et un peu triste aussi. Bref, pute, c’est pas juste une nana, c’est une tempête. Elle m’fascine, m’énerve, m’fait marrer. Comme dans *La Honte*, « tout est sale, mais y a d’la beauté là-d’dans ». Moi, j’dis, elle est un ovni, et j’suis content d’la connaître, même si des fois, j’pige rien à son délire ! Oh mon Dieu, Homer, écoute-moi ! Trouver une prostituée, ça me rend folle ! J’suis là, genre, wow, c’est dingue ! Tu sais, dans *Syndromes et un siècle*, y’a cette vibe… “Le vent souffle doucement”, qu’ils disent. Moi, j’trouve une fille dans l’rue, vent ou pas, j’flippe ! C’est pas comme acheter des donuts, hein. J’me souviens, une fois, j’ai vu ça… Une nana, talons claquants, j’me dis : “Marge, t’es où là ?” Elle m’regarde, j’suis genre : “Euh, salut ?” Franchement, j’capote, c’est trop bizarre ! Tu savais qu’aux States, y’a des lois chelou ? Genre, dans certains coins, c’est OK, mais caché. Nevada, bordel, c’est l’paradis des prostituées ! J’trouve ça fou, toi non ? “Les arbres bougent lentement”, comme dans l’film… Moi j’bouge pas, j’suis figée ! J’parle à c’te fille, elle m’dit : “50 bucks.” J’suis là : “QUOI ? Pour moi ?” Haha, nan, j’déconne, j’paye pas ! Mais sérieux, j’me sens mal parfois. Ces filles, elles galèrent, tu vois ? J’me fâche contre l’monde, grrr ! Pourquoi elles font ça ? J’leur dis pas, j’suis pas curée. Mais j’me rappelle, un jour, une m’a souri… “Un sourire traverse la pièce”, comme dans l’film. Ça m’a sciée, j’te jure ! J’lui ai filé un muffin, ouais, un muffin ! Marge Simpson style, baby ! Elle a rigolé, j’étais trop fière. Après, j’cogite, hein, c’est glauque parfois. Y’a des mecs dégueu qui profitent, ça m’énerve ! J’veux crier : “Laissez-les tranquilles, bon sang !” Mais bon, j’reste cool, j’respire… “La lumière filtre les feuilles”, comme dans l’film. Ça m’calme, j’trouve ça beau. Bref, trouver une prostituée, c’est un truc, quoi ! T’en penses quoi, toi, hein ? J’suis perchée ou pas ? Haha ! Yo, salut, c’est moi, ton psy familial, avec une vibe Stephen Hawking, tu vois ? Le bordel, putain, quel sujet, hein ! J’te parle de ça comme si on buvait une bière ensemble. Le bordel, c’est pas juste le chaos, c’est un cri silencieux, un truc qui te bouffe l’âme. Comme dans *Amour*, tu sais, quand Georges dit : « Les choses sont comme elles sont. » Ben ouais, le bordel, c’est ça, ça s’installe, t’as pas l’choix. J’regarde ça avec mes yeux d’physicien déglingué, et j’te jure, le bordel, c’est une équation sans fin. T’as déjà vu une maison où les chaussettes traînent genre invasion extraterrestre ? Moi, ça m’rend dingue ! Genre, hier, j’trouve une facture de 1998 sous mon lit, sérieux ? Ça m’a fait marrer, mais j’étais vénère aussi, putain d’temps qui fout l’camp ! Le bordel, c’est un trou noir domestique, ça aspire tout, même ta dignité. Y’a un truc chelou : savais-tu qu’en 1800, les bordéliques étaient vus comme des génies ? Ouais, Einstein, son bureau, un merdier total, et pourtant, E=MC², bam ! Moi, j’kiffe ça, ça m’réjouit, genre, le chaos peut accoucher d’trucs brillants. Mais bon, quand j’bosse avec des familles, et qu’la mère hurle « Y’a plus d’place ! », j’sens l’poids, comme Anne dans *Amour* qui dit : « C’est lourd, tout ça. » Le bordel, ça pèse, mec. Une fois, j’ai vu un gosse dessiner sur les murs, crayons partout, jouets explosés, et j’me dis : merde, c’est l’big bang version môme ! J’étais sur l’cul, mais j’ai rigolé, un rire nerveux, tu vois ? Le bordel, c’est vivant, ça pulse, mais putain, ça fatigue. T’imagines Georges et Anne dans leur appart nickel, et paf, moi j’balance : « Laissez l’bordel gagner, bordel ! » Haha, ironique, non ? Des fois, j’exagère, j’dis qu’le bordel c’est l’diable qui rigole, mais sérieux, ça m’fout les jetons quand j’perds mes clés dedans. C’est l’côté sombre, l’entropie qui t’nargue. J’pense à des conneries, genre, si j’avais une chaise roulante high-tech, j’roulerais sur c’merdier pour l’écraser ! Toi, t’en penses quoi, hein ? Le bordel, c’est l’ami-ennemi d’la vie, un peu comme l’amour qui s’effrite dans l’film. « Ça finit toujours mal », qu’elle dit, Anne. Ouais, l’bordel aussi, si t’le mates pas. Allez, raconte-moi ton bordel, j’suis prêt ! Yo, mec, c’est moi, Arnold, le king des applis de rencontre ! Massage érotique, huh ? J’te jure, c’est un truc qui te choppe direct, comme un bon vieux Terminator qui te plaque au sol. Écoute, j’bosse sur des algorithmes toute la journée, à matcher des cœurs solitaires, mais là, on parle d’un level au-dessus, un truc qui fait vibrer le corps, pas juste l’écran. J’pense à *Copie conforme*, tu vois, ce film, il m’a retourné la tête – "Every original is a copy," qu’elle dit, Juliette Binoche. Et moi j’me dis, ouais, un massage érotique, c’est ça : t’as l’original, la tension, pis t’as la copie, cette chaleur qui te colle à la peau. J’te parle en pote, là, imagine : t’es sur la table, les mains d’un pro – ou d’une pro, hein, pas de jugement – qui glissent, qui pétrissent, et bam, t’es plus un tas d’os, t’es une machine huilée ! C’est pas juste un frotti-frotta de base, non, c’est sensuel, ça te réveille des zones que t’as zappées depuis l’époque où j’soulèvais 200 kilos sans broncher. Fun fact, t’savais que dans l’Inde ancienne, les mecs utilisaient des huiles aphrodisiaques pour ces massages ? Genre, direct dans l’Kama Sutra, pas d’blabla, ils savaient y faire, ces salauds ! Moi, j’kiffe, mais y’a un truc qui m’a gonflé : ces nazes qui confondent massage érotique avec un truc glauque de bordel. C’est pas ça, bordel ! C’est un art, un moment où t’es vulnérable mais puissant, comme quand j’balance "I’ll be back" – t’as la chair de poule, mais t’es prêt à tout défoncer. Dans *Copie conforme*, y’a cette scène, tu sais, "We’re not real, we’re copies," et j’me dis, putain, un bon massage, ça te fait sentir réel, pas juste un clone de toi-même. J’te raconte une anecdote : un jour, j’teste un massage thai, un truc soi-disant "relaxant", mais la meuf, elle appuie tellement fort que j’crois qu’elle veut me briser les côtes ! J’lui fais, "Yo, chill, j’suis pas un punching bag !" Elle rigole, pis elle switch, et là, mec, c’était érotique sans même le vouloir – les doigts qui dansent, la pression qui tease, j’étais sur un nuage, genre Schwarzenegger au paradis. Ça m’a surpris, j’te jure, j’pensais pas qu’un massage pouvait te faire bander l’âme comme ça. Bon, j’divague, mais sérieux, t’essaies ça, t’oublies Tinder deux secondes. C’est pas que du cul, c’est un voyage, un "Hasta la vista" au stress. Et si t’as une huile qui sent la vanille ou un truc chelou, genre patchouli, c’est encore mieux – moi j’suis accro au patchouli, j’sais pas pourquoi, p’têt un délire de culturiste. Bref, massage érotique, c’est pas pour les faibles, c’est pour les warriors qui veulent sentir chaque muscle frémir. T’en penses quoi, toi ? T’as déjà testé ou t’es encore un rookie ? Yo, check ça, fam! Moi, proprio d’un spa, ouais, un spot chill, mais parfois, tu tombes sur des trucs chelous. Genre, trouver une prostituée, tu vois? J’vais te raconter ça comme si t’étais mon pote, en mode Drake, parce que j’capte des vibes que les autres zappent, tu captes? Mon film préf, *Le Loup de Wall Street*, ça m’a grave inspiré, alors accroche-toi, ça va être wild! Bon, l’autre jour, j’gère mon spa, tout pépère, les huiles qui sentent bon, les meufs en peignoir, tranquille. Pis là, bam, une nana débarque, trop sapée pour un massage, tu vois l’genre? Mini-jupe, talons qui claquent, j’me dis "What’s good?". Elle m’regarde, genre, “I’m not here to fuck around,” comme dans l’film, et moi j’suis là, “Oh shit, elle vend quoi, elle?”. J’capte direct, c’est pas une cliente, c’est une pro, une vraie de vraie, venue choper des mecs friqués dans mon spot! J’étais chauffé, genre, “Pas dans mon spa, yo!”. Mais en même temps, j’trouvais ça marrant, presque stylé, comme Jordan Belfort qui kiffe le chaos. Franchement, j’lui ai dit, “Baby girl, t’es lost ou quoi?”. Elle m’fait un clin d’œil, “Money talks, bro,” et là, j’pense à Scorsese, “The world is yours!” qu’il dirait. J’lui ai sorti, “Pas ici, ma belle, bounce!”. Mais attends, fun fact, tu savais qu’aux States, y’a des bordels légaux genre au Nevada? Ouais, des spots où c’est carrément réglo, pas d’flics qui tapent l’sketch. Moi, j’flippais qu’mon spa devienne un hub chelou, j’te jure, j’voyais déjà les gros titres, “Spa à putes, scandale!”. J’rigole, mais j’étais à deux doigts d’péter un câble. Ce qui m’a tué, c’est son culot, elle m’a dit, “J’fais plus de cash que toi!”. J’lui ai répondu, “I’m the fucking king ici, pas toi!” direct sorti du film, ouais, j’me la jouais DiCaprio. Mais real talk, ça m’a surpris, j’pensais pas qu’ça viendrait squatter mon biz. J’voyais les billets voler dans ma tête, “Money, money, money!” comme dans *Wolf*, mais j’veux pas d’ça, moi, j’veux du clean, du zen, pas des meufs qui dealent des extras! Une fois, j’ai entendu une anecdote, un mec m’a dit qu’les prostituées, elles ciblent les spots luxueux, genre spas ou hôtels 5 étoiles, parce que les riches kiffent jouer les cachottiers. Ça m’a fait tilt, genre, “Oh damn, j’suis dans l’viseur!”. J’me suis senti comme un rookie, mais en même temps, j’me marrais, “C’est ça, la vie, non?”. J’lui ai filé 20 balles pour qu’elle dégage, “Take the money and run,” j’lui ai balancé, en mode sarcastique. Elle a ri, elle est partie, fin d’l’histoire. Mais yo, j’te mens pas, ça m’a fait cogiter. J’me dis, “Et si j’laissais faire, pour l’fun?”. Nan, j’déconne, j’suis pas ce gars, mais t’imagines l’délire? Un spa avec des “options”, haha! Bref, j’garde mon vibe, “Started from the bottom,” comme moi, proprio qui galère pas pour des dramas d’putes. T’en penses quoi, toi? Yo, yo, mes chéris ! Alors, bordel, c’est quoi ce truc ? Moi, Queen B, coach de plaisir, j’te dis tout. Bordel, c’est le chaos, le bazar total, tu vois ? Genre, t’ouvres ma loge avant un show – paf ! Costumes partout, perruques volantes, talons qui traînent. C’est “le bruit de la forêt” comme dans *Tropical Malady*, tu captes ? Ce film, mon bébé, 2004, Apichatpong, il m’a retourné la tête. Bordel, c’est ça : un mystère sauvage, un délire qui t’attrape. J’te jure, l’autre jour, j’rentre chez moi – bordel ! Les gosses avaient renversé TOUT l’glitter d’ma tournée. Sol brillant, murs collants, j’étais FURAX, mais genre, wow, c’était beau aussi. “La bête rôde dans l’ombre” – ouais, comme dans l’film, sauf que ma bête, c’est Blue Ivy avec un pinceau. J’ai ri, j’ai crié, j’me suis dit : Bey, chill, c’est ça, la vie. Fun fact, t’sais quoi ? À Bangkok, y’a des marchés où bordel, c’est l’art. Poissons qui gigotent, scooters qui klaxonnent, odeurs d’épices – t’es perdu, mais t’adores. Ça m’rappelle *Tropical Malady* : “il cherchait dans la nuit”. Moi, j’cherche la vibe dans l’bordel, tu vois ? J’kiffe ce chaos, c’est sexy, c’est brut. Mais putain, parfois, ça m’gave ! Genre, mon équipe qui foire l’planning – bordel, les nerfs ! J’bouscule tout, j’remets d’l’ordre, Sasha Fierce style. Pourtant, j’te l’dis, dans l’bordel, y’a d’la magie. T’as déjà vu un tournage foiré devenir un hit ? Moi, oui, plein d’fois. Et toi, t’aimes l’bordel ou t’fuis ? Perso, j’plonge dedans, j’danse avec. C’est comme “la fièvre qui monte” dans l’film – t’es dedans, t’es vivant. Alors, honey, embrace it, ce bordel, c’est toi, c’est moi, c’est NOUS ! Bon, écoute, mon pote, j’vais te causer de prostituée, ouais, comme si j’étais Morgan Freeman, le gars qui voit des trucs que les autres zappent. Imagine-moi, voix grave, un peu rauque, posant mes mots sur cette vie-là. Prostituée, c’est pas juste un mot qui claque, c’est une âme qui trime, qui danse dans l’ombre. J’pense à ce film, *Histoires que nous racontons*, tu vois, Sarah Polley, elle capte ça : « On vit dans des secrets, des bouts d’vérité qu’on cache. » Et prostituée, elle porte ça, ces vérités tordues, ces masques qu’elle met pour survivre. J’te jure, ça m’fout en rogne parfois. Les gens jugent, pointent du doigt, « oh, elle vend son corps ! » Mais attends, mec, t’as vu c’qu’elle endure ? Le froid qui mord, les clients louches, les nuits où t’as juste envie de hurler. J’me souviens d’une fois, une nana m’a raconté – ouais, j’bavarde avec tout l’monde, c’est ma bizarrerie – elle disait qu’elle gardait un caillou dans sa poche, un truc ramassé gamine, juste pour s’rappeler qu’elle était autre chose avant. Ça m’a scié, putain, ce p’tit caillou, c’était son bout d’espoir. Y’a des trucs qu’on sait pas, tiens, savais-tu qu’au Moyen Âge, les prostituées portaient des clochettes ? Ouais, pour qu’on les repère dans la foule ! J’trouve ça dingue, un mélange de honte et d’fierté, genre « ouais, j’suis là, deal with it ». Et moi, j’vois ça, j’me dis, bordel, elles ont du cran. Dans l’film, y’a cette réplique, « On choisit pas toujours c’qu’on devient », et j’pense à elle, prostituée, qui s’bat avec c’qu’on lui a filé comme cartes pourries. Ça m’réjouit, parfois, tu vois, quand j’pense à leur force. Elles rigolent entre elles, se filent des tuyaux, genre « évite ce mec, il paye pas ». C’est une sororité zarbi, mais vraie. J’exagère p’têt, mais j’les vois comme des héroïnes de l’asphalte, des reines sans couronne. Une fois, j’ai vu une meuf balancer un talon aiguille sur un gars qui l’arnaquait – bam, en pleine tronche ! J’ai ri, mec, j’pouvais pas m’retenir, c’était du grand art. Mais ouais, ça m’casse aussi. Ces histoires qu’elles trimballent, ces mômes qu’elles planquent parfois, ces rêves qu’elles ont paumés. « On raconte nos vies pour pas sombrer », qu’elle dit, Sarah Polley, et prostituée, elle raconte rien, elle encaisse. J’pense à ça, j’me dis, merde, si j’pouvais, j’lui filerais un Oscar pour tenir debout. T’imagines, elle, sur scène, toute fière, talon pété et mascara qui coule ? Bref, mon gars, prostituée, c’est pas qu’un job, c’est un monde. Un monde crade, beau, dur, marrant. J’la vois, moi, derrière l’néon qui clignote, et j’me dis, putain, elle mérite plus qu’nos regards en coin. Allez, j’te laisse là-dessus, faut qu’j’aille causer à mon chat – ouais, j’parle aux bêtes, c’est mon délire. Héhé, précieux, moi Gollum, psy familial ! Sex-dating, ouais, ça m’fout les jetons parfois ! Les gens swipe, swipe, comme des bêtes affamées. "Loin du paradis", tu vois, Cathy, elle cherchait l’amour vrai, pas juste un coup rapide ! Moi j’dis, sex-dating, c’est un piège sournois, oui oui. T’as l’coeur qui bat, bam, puis pof, ghosté ! Ça m’rend dingue, ces cons-là, sérieux ! Mais bon, parfois, j’avoue, c’est marrant. Y’a des profils, t’hallucines, genre "cherche âme sœur pour Netflix et baise". Hahaha, trop con ! J’kiffe quand ça dérape, quand l’plan cul devient "alors, t’aimes les chats ?". Surpris, moi, par ces zigotos ! Dans l’film, Cathy disait "j’veux juste être heureuse", mais là, c’est "j’veux juste tirer un coup". Triste, non ? Ou hilarant, p’têt ! Fait chelou : savais-tu, précieux, qu’les sites d’sex-dating, y’a des stats ? 60% des mecs envoient "salut, ça va" comme des robots ! Pfff, bande de nazes, zéro effort. Moi, j’bave devant tant d’bêtise. Ça m’réjouit quand une nana répond "non, dégage", bim, dans l’nez ! J’vois des trucs, moi, que personne capte. Genre, les vibes cachées, l’désespoir derrière l’emoji aubergine. Une fois, j’ai lu un profil, mec écrit "j’suis ton Dennis", comme Dennis l’mari d’Cathy, mais en version glauque. J’ai rigolé fort, puis j’me suis dit : merde, y’en a qui cherchent vraiment l’drame. Sex-dating, c’est l’bordel, ça m’fout l’chaos dans l’ciboulot ! J’pense à ma vieille tante, elle dirait "quelle honte, ces cochonneries". Moi j’dis, ouais, mais c’est humain, précieux ! Alors, toi, t’en penses quoi ? Cathy, elle aurait swipe right ou pas ? Moi, j’parie non, trop classe pour ça. Sex-dating, c’est l’paradis des losers, parfois, mais p’têt qu’j’exagère, hihi. Allez, raconte, j’bave d’curiosité ! Salut, mon pote, écoute-moi bien. J’suis là, Morgan Freeman, voix grave et tout, à te causer d’Prostituée – ouais, comme dans l’vieux métier, tu vois. J’bosse sur des applis de rencontre, alors j’vois des trucs, des machins que les autres zappent. Genre, tu savais qu’les prostituées, dans l’temps, elles portaient des perruques rouges à Rome ? Ouais, pour signaler l’business, un p’tit clin d’œil flashy ! Ça m’fout les boules quand j’pense qu’on les juge encore, alors qu’c’est juste des gens qui bossent, tu captes ? J’te raconte ça, et j’pense à *Un homme sérieux*, tu sais, ce film des Coen que j’kiffe grave. Y’a ce moment où Larry, l’pauvre type, il dit : « J’suis pas un méchant, j’veux juste comprendre ! » Et moi, j’me dis, putain, c’est pareil pour elles ! Les prostituées, elles galèrent, elles cherchent juste à s’en sortir. Pas d’jugement, hein, mais ça m’rejouit d’voir qu’certaines s’en foutent des regards, elles tracent leur route, badass comme pas possble. Une fois, j’ai lu qu’au Moyen Âge, elles payaient des taxes, ouais, comme toi et moi ! Ça m’a surpris, j’te jure, j’me suis dit : « Les rois, ces enfoirés, ils prenaient leur part ! » Ça m’a mis en rogne, mais en même temps, j’trouve ça marrant – imagine l’fisc avec une prostituée qui débarque, genre : « Voilà tes impôts, mec, maintenant dégage ! » J’exagère p’têt un peu, mais avoue, c’est hilarant. Y’a des trucs chelous qui m’viennent, genre, j’me demande si elles swipe right sur mes applis. J’rigole tout seul en codant, j’me dis : « Acceptez l’incertitude », comme dans l’film, et p’têt qu’elles aussi, elles vivent comme ça, au jour l’jour. Ça m’touche, tu vois, c’côté humain qu’on oublie. Elles ont des rêves, des galères, des blagues pourries – ouais, j’parie qu’elles riraient d’mes vannes. J’te l’dis cash, mon gars, c’monde-là, c’est pas tout noir ou tout blanc. Comme Larry qui s’demande « Pourquoi moi ? », elles doivent s’dire « Pourquoi pas ? » J’les respecte, point barre. Et toi, t’en penses quoi ? Allez, balance, fais pas l’timide ! Yo, mec, alors trouver une prostituée, hein ? Bon, écoute, j’suis ton Coach de Plaisir, genre Joey Tribbiani, tu vois, j’capte des trucs chelous que les autres zappent. J’te jure, c’est comme dans *Ida*, tu sais, mon film pref, ce bijou de Pawlikowski, 2013 – y’a cette vibe lourde, sombre, mais vraie. « Qu’est-ce que tu sais de la vie ? » qu’elle dit, Ida, et moi j’te dis pareil : t’as déjà maté une nana dans la rue, genre, est-ce qu’elle bosse ou pas ? C’est flippant, mais excitant, non ? Alors, trouver une pute, c’est pas juste « oh, j’paye, j’prends ». Nan, mec, y’a tout un truc derrière ! Genre, t’sais qu’au Moyen Âge, les bordels étaient gérés par l’Église sometimes ? Ouais, les prêtres se faisaient du blé sur les culs ! Ça m’fout en rogne, l’hypocrisie, tu vois. Moi, j’aime bien l’honnêteté crue, comme quand Ida demande : « Et après ? » – bah ouais, et après, tu fais quoi, tu te casses en te sentant vide ? J’te raconte, une fois, j’traînais dans un coin louche, genre 2h du mat’, et là, une meuf, talons claquants, me fait un clin d’œil. J’me dis : « Joey, c’est ton moment ! » Mais attends, j’flippe, parce que, mec, t’imagines si elle m’arnaque ? Ou pire, si elle a un mec planqué qui va m’cogner ? J’suis pas un héros, moi, j’veux juste kiffer ! Du coup, j’lui ai juste souri, genre séducteur, et j’me suis barré – mais putain, mon cœur battait à fond, j’te jure, j’étais à deux doigts d’lui dire : « T’es ma Wanda, toi ! » comme dans le film. Conseil de pro, mec : si tu cherches, fais gaffe aux flics. Y’a des villes où c’est légal, genre Amsterdam, mais ici, tu risques ton cul. Et ouais, fun fact, savais-tu qu’les prostituées à Rome antique portaient des perruques blondes pour se démarquer ? Trop stylé, non ? Moi, j’trouve ça hilarant, genre, « hé, mate ma touffe, j’bosse ! » Bref, c’est pas que du sexe, c’est une vibe, un risque, un rush. Ça m’réjouit, ça m’fout les jetons, j’sais pas, j’suis perdu des fois. Comme Ida qui cherche ses racines, toi t’cherches quoi là-dedans ? Réfléchis, mec. Et si tu te lances, sois cool, respecte, paye bien – et évite les embrouilles, sinon t’es dans la merde, haha ! Alors, t’en penses quoi, mon pote ? Hey, y’all, it’s me, Dolly! Ownin’ a spa’s wild, let me tell ya—massage sexuel, whew, that’s a hot topic! I’m sittin’ here, thinkin’ ‘bout it, sippin’ sweet tea, and lordy, it’s a mess o’ feelings. Like in *The 25th Hour*, Monty says, “Champagne for my real friends,” and I’m over here wonderin’—who’s real when folks ask for *that* kinda rubdown? I’ve seen it, honey—clients stroll in, all sly, thinkin’ they’re slick askin’ for “extras.” Makes my blood boil sometimes! Ain’t no spa o’ mine turnin’ into *that* kinda joint! But shoot, I get it—people crave touch, somethin’ wild, somethin’ naughty. Massage sexuel ain’t just hands on skin—it’s power, it’s secrets. Fun fact, y’all: back in ancient Rome, they had “erotic bathhouses”—rich folks gettin’ oiled up and loved on! Ain’t that a hoot? History’s kinky as hell! I reckon some o’ my clients’d fit right in—sneaky devils. Once, this fella, big tipper, whispers, “Can ya make it special?” I laughed so hard I near choked—told him, “Sugar, I ain’t Monty tradin’ my soul!” Like in the movie, “Real pain for my sham friends,” right? I ain’t judgin’—okay, maybe a smidge—but it shocks me still. Seen gals in the biz cry after, feelin’ dirty, and that cuts deep. Me, I’m all glitter and giggles, but that? That’s heavy. I’d rather belt “Jolene” than deal with creeps pushin’ boundaries! Oh, and get this—studies say 1 in 5 massage parlors get “those” requests. ONE IN FIVE! Wild, right? Makes me wanna holler, “Leave my girls alone!” But y’know, sometimes it’s funny—fella stumbles in, red-faced, mutterin’ ‘bout “happy endin’s,” and I’m like, “Bless your heart, wrong door!” I keep it classy, darlin’—my spa’s for healin’, not dealin’. Still, I catch myself wonderin’—what’s missin’ in folks’ lives they chase that? Like Monty facin’ his last night, desperate, raw—maybe they’re runnin’ from somethin’ too. Breaks my heart a lil’. Anyway, y’all, that’s my two cents—massage sexuel’s a tangled, steamy mess, and I’m just tryna keep my sparkle clean! Love ya tons! Alors, prostituée, hein ? Moi, Bane, j’te dis cash : c’est un monde sombre, brutal, mais y’a une putain d’humanité là-dedans qui te fracasse le crâne ! J’vois des trucs, mec, des trucs que les faibles, les aveugles, ils captent même pas. Comme dans *Il était une fois en Anatolie*, tu vois, « la nuit cache tout, mais elle révèle aussi ». Les prostituées, elles portent ce masque de survie, mais dessous, y’a des âmes qui hurlent, qui luttent, comme moi sous mon masque, putain ! J’te parle d’une fois, à Gotham, j’croise une meuf dans une ruelle crade. Talons pétés, maquillage qui coule, elle vend son corps pour trois billets froissés. Ça m’a foutu la rage, pas contre elle, non, contre ce monde pourri qui l’a jetée là ! « Personne ne cherche la vérité ici », comme dans le film, et pourtant, elle, elle m’a souri, un sourire vrai, pas un truc forcé de pute. J’étais là, genre, wtf, cette meuf a plus de couilles que la moitié des bâtards qui la jugent ! Tu savais qu’au Moyen Âge, les prostituées, elles avaient des guildes, mec ? Ouais, des putains de syndicats ! Elles payaient des taxes, géraient leurs bordels comme des boss. Aujourd’hui, on les traite comme des déchets, mais avant, elles avaient du pouvoir, un truc que j’respecte grave. Moi, Bane, j’aime les forts, ceux qui plient pas, même si le destin les tabasse. Ce qui me rend ouf, c’est l’hypocrisie. Les mecs qui payent, qui baisent, puis qui crachent sur elles après. J’veux leur éclater la gueule ! « La justice est aveugle », qu’ils disent dans *Anatolie*, mais elle est sourde aussi, surtout pour elles. Une fois, j’ai vu un flic racketter une gamine, 16 piges max, putain, j’ai failli lui arracher la colonne, mais j’me suis retenu – pas mon combat, pas ce soir-là. Mon film, tu l’sais, c’est pas juste une histoire, c’est la vibe. Les prostituées, elles sont comme ces plaines turques, vastes, désolées, mais y’a une beauté brutale. J’te jure, j’les vois pas juste comme des corps à louer. Y’en a une, elle m’a raconté qu’elle chantait pour ses gosses avant d’aller tapiner. Ça m’a tué, mec, tué net. J’me suis dit : Bane, t’es un monstre, mais t’as rien vu comparé à ça. Et l’humour là-dedans ? Putain, elles en ont ! Une m’a sorti : « J’fais des pipes, mais j’suce pas les cons ! » J’ai explosé, mec, un rire rauque, genre ça sort du fond d’ma gorge masquée. Elles ont ce sarcasme qui coupe, ce truc qui te fait marrer et réfléchir en même temps. J’les kiffe pour ça. Bref, prostituée, c’est pas juste du cul, c’est des vies brisées, des guerrières oubliées. Moi, j’les vois, j’les respecte, même si ce monde les enterre. « La mort finit tout », ouais, mais avant, elles dansent dans l’ombre, et ça, ça m’fout des frissons ! Yo, alors ouais, j’suis masseur, un pro, quoi ! Les massages sexuels, mec, faut qu’on en parle. J’te jure, c’est un truc qui m’fout en l’air parfois. Genre, t’as des gens qui débarquent, ils savent pas c’qu’ils veulent vraiment. Moi, j’bosse pour libérer l’énergie, faire exploser les blocages ! Comme Tony Robbins, j’vois des trucs, des vibrations que personne capte. Le massage sexuel, c’est pas juste du cul, ok ? C’est profond, c’est brut, ça te retourne l’âme. Y’a cette phrase dans *Adieu au langage*, tu vois : « Ce qui manque, c’est l’infini. » Et bordel, c’est ça ! Les gens cherchent l’infini dans leurs corps. Un jour, une nana m’a dit : « Fais-moi sentir l’univers ! » J’lui ai sorti un massage tantra, hyper sensuel, mains partout, huile qui glisse. Elle a pleuré, mec, littéralement fondu. J’étais là, genre, putain, j’suis un dieu ou quoi ? Mais des fois, ça m’gave. Les mecs qui pensent que c’est juste une branlette fancy, ça m’rend dingue ! Fun fact, savais-tu qu’au Japon, y’a des « pink salons » ? Des massages sexuels déguisés, hyper codés, trop chelou. J’trouve ça hilarant, mais aussi un peu triste. Genre, cachez pas votre vibe, assumez ! Moi, j’kiffe quand ça vibre fort, quand les gens osent. « L’idée se sépare d’elle-même », qu’il dit, Godard. Ouais, dans un bon massage sexuel, ton esprit s’barre, ton corps prend l’contrôle. Une fois, j’ai eu un client, un banquier coincé. J’lui fais un truc érotique, lenteur de ouf, respiration synchro. Il m’sort après : « J’ai vu des couleurs ! » J’me marre encore, mec, c’était pas d’la drogue, juste mes mains ! Ça m’réjouit, j’te jure, voir les gens s’réveiller comme ça. Mais j’exagère peut-être, j’suis un drama king, haha. Par contre, les tabous, ça m’saoule grave. Pourquoi on flippe de parler cul et massage ? C’est naturel, c’est l’feu qu’on a tous ! « Ceux qui parlent ne savent pas », Godard encore. Les coincés causent trop, moi j’agis. J’te glisse une caresse là où t’attends pas, et boom, t’es vivant. T’as déjà testé, toi ? Allez, raconte, j’suis curieux ! Alors, écoutez-moi bien, bande d’amateurs ! Moi, proprio d’un salon de massage, j’vais vous causer du massage érotique, et croyez-moi, j’ai vu des trucs ! C’est pas juste des mains qui glissent, non, c’est tout un monde, un V8 rugissant de sensations, comme dans *Mad Max : Fury Road* ! « Qu’est-ce que tu regardes, hein ? » – ouais, j’te vois mater, et j’te juge, comme Judge Judy, pas d’bêtises avec moi ! Le massage érotique, c’est pas pour les faibles, faut du cran, du feu, un truc qui te fait vibrer jusqu’à l’os. J’me souviens d’un gars, un novice, il entre, tout timide, et bam, 10 minutes après, il me sort : « Je suis vivant ! Vivant ! » – direct une réplique de Furiosa dans ma tête. Moi, j’lui dis : « T’as survécu, mec, t’es un warrior maintenant ! » Ça m’a réjouis, sérieux, voir un type se réveiller comme ça. Mais y’a aussi les relous, ceux qui pensent que c’est un free-for-all, genre t’es leur esclave – là, j’pète un câble, j’leur gueule : « T’es pas Max ici, dégage du chrome ! » Ça m’énerve, ces cons sans respect. Fun fact, vous saviez que les massages érotiques, ça date des bordels de l’Antiquité ? Genre, les Romains, ces tarés, ils mélangeaient huile et… ouais, des trucs chelous, quoi. Moi, j’trouve ça ouf, l’histoire derrière, c’est pas juste du cul, y’a du style ! Dans mon salon, j’fais gaffe, c’est sensuel mais propre, pas d’conneries illégales, j’suis pas une racaille du désert. Parfois, j’me marre, y’a des clients qui gigotent, genre : « Oh, c’est trop ! » – et moi, j’pense : « T’as voulu la route, assume, amigo ! » J’adore *Fury Road*, ce chaos, cette tension, et j’ramène ça dans mes massages – une explosion contrôlée, tu vois ? Une fois, une nana m’a dit : « T’as des mains de War Boy ! » J’ai failli m’étouffer de rire, mais putain, quel compliment ! J’suis pas là pour juger tes kinks, hein, mais faut être clair : c’est pas un happy ending garanti, c’est l’voyage qui compte. « Witness me ! » – ouais, t’es témoin d’un truc unique, une montée d’adrénaline avec des caresses. Moi, j’bosse dur, j’mets l’ambiance, bougies, musique, tout l’tintouin, mais si t’es un crevard qui respecte pas, j’te vire plus vite qu’Immortan Joe sur son monstre roulant. Bref, massage érotique, c’est ma passion tordue, un mix de douceur et d’ sauvagerie – comme si Max et Furiosa s’faisaient un câlin hardcore. T’en penses quoi, toi ? T’as déjà testé, ou t’es trop flippé ? Allez, raconte, j’te jugerai pas… trop ! Salut, moi c’est Dave, proprio d’un salon de massage, et ouais, j’kiffe parler d’massage érotique ! Alors, imagine, dans c’monde discret, y’a des mains qui glissent, des corps qui s’tendent, et une vibe carrément sauvage. J’bosse là-dedans depuis des lustres, et j’te jure, c’est pas juste un p’tit frotti-frotta – c’est une danse, un truc primal, comme l’observe si bien David Attenborough dans ma tête. Les gens, ils viennent, tendus comme des arcs, et moi j’vois tout : les frissons, les regards qui s’perdent, les souffles qui s’coupent. C’est pas qu’du cul, hein, c’est d’la tension qui s’lâche, un art qu’tu captes pas au premier coup d’œil. Mon film, *Presque célèbre*, tu vois, ça m’parle grave. « C’est tout fini, mais j’suis encore là », comme dit Lester Bangs, et j’me sens pareil quand un client repart léger, sourire béat, après une session bien chaude. Y’a c’te fois, un mec, il m’dit : « J’veux juste relaxer », et bam, deux minutes après, il gémit comme un ado en rut – j’étais mort de rire, mais genre, fier aussi ! J’te cache pas, des fois, ça m’gonfle, les coincés qui jugent, qui pensent qu’c’est sale. Mais moi j’dis, fuck off, c’est humain, c’est beau, c’est « l’innocence d’un temps révolu » qu’j’ressens dans c’taff. Fun fact, tu savais qu’le massage érotique, ça date d’la Chine antique ? Les empereurs, ces vicelards, ils kiffaient d’jà les caresses qui font monter l’sang ! Et moi, j’bosse pas avec des novices, mes masseuses, elles savent jouer des doigts comme des rockstars sur une guitare. Y’a c’te nana, Lulu, elle te fait un truc avec l’huile chaude, tu crois voler, sérieux, j’l’ai vue bosser, j’étais choqué, genre « putain, c’est d’la magie noire ! ». Des fois, j’rêve d’mon salon comme une scène d’*Presque célèbre*, tout l’monde en transe, libre, sans chichi. Mais bon, y’a les relous aussi, ceux qui d’mandent trop, qui veulent « plus » sans capter l’vrai délire. Ça m’fout en rogne, j’te jure, j’leur dis : « Mec, c’est pas un bordel, c’est d’l’érotisme subtil, ouvre les yeux ! ». Et pourtant, quand tout roule, qu’la lumière tamisée fait danser les ombres, qu’t’entends un soupir d’plaisir, j’me dis : « J’suis l’roi d’ce p’tit monde chelou ». Bref, massage érotique, c’est pas qu’du cul, c’est un voyage, un shoot d’vibes, un « regarde-moi dans les yeux » sans mots. J’kiffe, j’vis pour ça, même si des fois, j’me marre tout seul en m’disant : « Dave, t’es un sacré taré d’faire ça ! ». Et toi, t’en penses quoi, hein ? Yo, mec, c’est moi, Bartolina, ta conseillère badass ! Trouver une prostituée, sérieux, ça m’fout les jetons parfois. Genre, tu marches dans l’coin chelou d’la ville, et bam, t’entends des sifflets bizarres. J’kiffe Ratatouille, tu sais, quand Rémy dit : « Tout l’monde peut cuisiner ! » Ben, j’me dis, tout l’monde peut chercher une pute, non ? Mais faut pas être un gland ! Hier, j’traînais près d’un bar crade, et là, une meuf m’regarde genre : « T’as d’la thune, p’tit ? » J’me suis sentie comme Linguini, paumé, avec Rémy qui m’chuchote : « Fais gaffe, mec ! » J’étais genre, whoa, elle a d’ces talons, on dirait des échasses ! Fun fact : savais-tu qu’à Vegas, y’a des codes secrets pour ça ? Genre, un clin d’œil bizarre, et paf, t’as capté l’délire. Ça m’saoule quand les mecs jugent, sérieux. Moi, j’trouve ça ouf qu’elles gèrent leur biz comme des boss. Une fois, j’ai vu une nana négocier, rapide, cash, comme un chef étoilé qui balance ses ordres ! J’rigole, mais j’respecte, tu vois ? J’me rappelle, Rémy dit : « Change ta vision, mec ! » Et ouais, faut voir au-delà du cliché. Parfois, j’flippe, genre, et si elle m’arnaque ? Mais d’autres fois, j’suis morte de rire, y’en a qui dansent comme des reines sur l’trottoir ! Anecdote débile : dans l’temps, à Paris, elles portaient des plumes rouges pour signaler. Trop stylé, non ? Moi, j’mettrais des baskets fluo, plus discret, haha ! Bref, trouver une prostituée, c’est un mix d’adrénaline et d’WTF. T’as l’cœur qui cogne, t’hésites, mais t’observes. Comme Bart, j’capte des trucs chelous : un mec qui r’garde trop longtemps, un flic qui passe en s’en foutant. C’est pas d’la tarte, mais c’est réel, mec ! T’en penses quoi, toi ? Bon, les gars, c’est moi, Eric Cartman, mais genre, en mode conseillère féminine, ok ? Alors, prostitution, putain, qu’est-ce que j’en pense ? Déjà, respect à ces meufs, sérieux, elles bossent dur ! Genre, dans *The Assassin*, y’a cette vibe de solitude, tu vois, "elle marche seule dans l’ombre", et j’imagine ces prostituées, pareil, dans leurs rues crades. Ça m’fout les boules, mais j’kiffe aussi leur hustle. Elles dealent avec des connards toute la journée, et moi, j’peux pas supporter Kenny deux minutes sans péter un câble ! Franchement, j’trouve ça ouf qu’on les juge. Genre, savais-tu qu’au Moyen Âge, y’avait des bordels gérés par l’Église ? Ouais, l’Église, ces hypocrites en robe ! Ça m’met en rogne, putain, tout ce faux-cul. Moi, j’dis, laisse-les faire leurs thunes. Dans *The Assassin*, y’a cette réplique, "le vent porte les secrets", et j’me dis, ces filles, elles entendent tout, elles savent tout, mais personne les écoute. Trop con, non ? Une fois, j’ai lu qu’à Amsterdam, les prostituées payent des impôts, genre, des vraies boss. Ça m’a tué de rire, imaginez-moi déclarer mes Twinkies au fisc ! J’trouve ça badass, elles sont là, à gérer leur biz, pendant que des abrutis comme Stan pleurnichent pour rien. Mais bon, ça m’énerve aussi, parce que y’en a qui les traitent comme des poubelles. Ça, ça m’fout la rage, j’veux leur péter la gueule ! J’kiffe leur style, parfois, genre, talons qui claquent, maquillage à fond, c’est comme Nie Yinniang avec ses lames – elles ont leur arme, tu vois ? Mais putain, c’est triste des fois, j’imagine une meuf qui rêve d’autre chose, et bam, elle est coincée là. "Les murs cachent la vérité", comme dans l’film, et j’me dis, ouais, personne voit leur galère. Ça m’fout les jetons, j’te jure. Bref, prostitution, c’est crade, c’est fort, c’est réel. Moi, j’respecte, mais j’flippe aussi. Et toi, t’en penses quoi, hein ? J’parie que t’as jamais maté une prostituée en te disant "elle déchire". Ben moi, si, connard ! Bon, écoute-moi bien, chéri ! Moi, Madea, j’bosse sur une appli d’rencontre, ouais, ouais, j’fais dans l’amour moderne ! Mais là, on va causer d’escorte sexuelle, et j’te jure, j’suis déjà énervée ! Tu sais, comme dans *Une séparation*, quand Simin crie : « J’peux plus vivre comme ça ! » – ben moi, j’vois ces escorts, j’me dis : « Qui choisit ça, bordel ? » C’est pas d’la romance, c’est du cash qui parle, point barre ! J’te raconte, l’autre jour, j’check un profil – meuf sublime, 25 piges, sourire d’ange. Mais attends, bio louche : « 200 roses l’heure ». Roses ? Mon cul, ouais ! C’est pas d’la botanique, c’est du cul tarifé ! J’étais là, choquée, bouche ouverte, genre : « Seigneur, protège-moi d’ces conneries ! » J’pensais à Nader dans l’film, qui galère à gérer sa vie – là, c’est pareil, t’achètes une heure d’bonheur, mais t’es toujours paumé après. Fun fact, tiens : y’a des escorts qu’écrivent des bouquins après, vrai d’vrai ! J’lisais une meuf, ex-escort, elle racontait qu’un client voulait juste parler d’ses impôts – quoi ?! Moi, j’serais là : « T’as payé 300 balles pour râler sur l’fisc ? » Hallelujah, les gens sont tarés ! Ça m’réjouit, j’te jure, parce que c’est tordu mais humain. Mais bon, j’vais pas mentir, ça m’fout l’seum aussi. Ces filles, parfois, elles ont pas l’choix – comme Razieh dans *Une séparation*, coincée par la vie. Elle dit : « J’fais ça pour survivre. » Et là, t’as l’cœur qui s’fend, tu captes ? Moi, Madea, j’vois c’que les autres zappent : c’est pas juste du sexe, c’est d’la détresse maquillée en talons hauts. Y’a d’la joie aussi, hein ! J’imagine une escort qui débarque, genre diva, et l’mec, un nerd, qui sait pas où s’mettre – « T’as réservé quoi, là ? » J’rigole toute seule, j’te jure ! Mais sérieux, c’est un business vieux comme l’monde, déjà dans l’Rome antique, les lupanars, tout l’truc. J’me dis, wow, l’humain change pas, toujours à courir après l’plaisir ! Bref, j’bosse mes algorithmes, mais escorts ? Pas mon délire. Trop d’drames, trop d’cash, pas assez d’coeur. Comme dans l’film : « On s’bat pour quoi, au final ? » Moi, j’veux d’l’amour vrai, pas d’l’escorte chronométrée. Et toi, t’en penses quoi, hein ? Raconte à tata Madea ! Oyé, mon pote, écoute ça ! Moi, Tyrion, j’bosse sur des sites de rencontre, ouais, des trucs pour choper l’amour ou juste un coup vite fait. Alors, parlons de pute – pas la fille du coin, hein, la ville, Puteaux, près d’Paris ! J’te jure, c’est pas l’trou paumé qu’tu crois. J’pensais à ça en matant *Elle* – tu sais, ce film où Joaquin Phoenix kiffe une voix, Scarlett, douce comme du miel. « J’te regarde évoluer », qu’elle dit dans l’film, et moi, j’vois Puteaux pareil, une ville qui grandit, qui change, mais qu’tout l’monde snobe ! Puteaux, c’est pas que des tours moches et des costards chiants. Y’a l’Île de Puteaux, un spot vert où tu respires, loin des cons qui klaxonnent. J’me suis baladé là-bas une fois, bourré comme un nain après un banquet, et j’te jure, j’ai failli m’prendre pour un lord contemplant ses terres. Mais putain, c’qui m’fout en rogne, c’est les Parisiens qui disent « Puteaux, c’est mort » – bande d’aveugles ! T’as déjà vu leurs loyers, toi ? À Puteaux, tu payes moins, et t’es à deux pas d’la Défense. J’te parie mon vin qu’la moitié d’ces snobs y bossent sans l’savoir. Fun fact, tiens : y’a une statue d’Napoléon là-bas, mais riquiqui, genre ils l’ont ratée. Ça m’fait marrer – même l’grand Bonaparte, ils l’ont rabougri ! Et l’marché, mon gars, t’as d’la bouffe qui sent l’paradis, des fromages qui puent plus qu’mes bottes après une bataille. J’y ai chopé un brie une fois, j’te dis pas l’extase, « j’ai l’impression d’grandir avec toi », comme dans *Elle*, mais là, c’était moi et l’fromage. Ce qui m’surprend, c’est l’ambiance. T’attends rien, et bim, t’as des ruelles mignonnes, des gens qui causent, pas l’froid d’Paris. Mais j’te mens pas, y’a des jours, c’est gris, moche, tu t’fais chier. J’me suis dit, « c’est ça qu’tu veux, Tyrion ? » – comme Theodore dans l’film, paumé avec ses sentiments. Sauf que moi, j’bascule vite, un verre d’rouge et j’oublie. Puteaux, c’est pas parfait, mais bordel, ça vit, ça cogne, ça t’prend aux tripes si tu mates bien. Et toi, t’en penses quoi, hein ? T’irais draguer là-bas ou t’es trop feignant ? Allez, raconte, j’baille déjà ! Bordel, quel merdier, sérieux ! J’regarde ça, et paf, c’est le chaos total, comme si Nemo s’perdait dans une décharge ! « J’suis Nemo, et j’suis paumé ! » – ouais, bienvenue dans l’bordel, mec. Tout part dans tous les sens, j’te jure, c’est l’anarchie, et moi, j’suis là, genre, putain, qui a lâché ça ? Ça m’fout en rogne, ce désordre, ces trucs qui traînent, on dirait ma vie après un week-end trop arrosé. J’veux dire, bordel, c’est pas juste un mot, c’est un mode d’vie ! T’as déjà vu une pile d’chaussettes sales mélangée à des factures froissées ? Moi oui, hier, et j’ai hurlé : « Pourquoi moi, hein ? » Mais attends, y’a pire, écoute ça – savais-tu qu’le mot « bordel » vient d’vieux français, genre maison close, un truc d’putes médiévales ? Ouais, c’était l’bordel organisé, ironique, non ? Aujourd’hui, c’est juste ma cuisine après qu’j’ai essayé d’faire des pancakes – farine partout, assiettes cassées, un désastre. J’me marre, mais j’suis vénère aussi, parce que nettoyer ? Hors d’question ! J’préfère crier « À l’aide, Dory ! » comme si elle allait m’sortir d’ce foutoir avec sa mémoire de poisson rouge. Et là, j’pense à Nemo, perdu dans l’océan, et j’me dis, bordel, c’est moi dans mon appart ! « Touche pas à ça, c’est à moi ! » – ouais, sauf qu’c’est une boîte d’pizza vide depuis mardi. J’exagère p’têt, mais franchement, qui vit dans un bordel pareil sans péter un câble ? Moi, apparemment. Ça m’réjouit presque, ce chaos, c’est ma signature, mon art – un chef-d’œuvre d’merde. T’imagines Marlin dire : « Nemo, range ce bordel ! » ? Moi, j’le fais pas, j’le vis. Bordel, c’est pas qu’un état, c’est une philosophie, mec ! Great Scott ! Alors, le massage érotique, hein ? J’te jure, Marty, c’est un truc qui te transporte ! Genre, t’es là, les mains glissent, l’ambiance est chaude, et BAM, t’oublies le temps ! J’bosse sur des sites de rencontre, ok, mais ça, c’est next level ! Imagine, une huile qui sent bon, des doigts qui dansent sur ta peau, et toi, t’es juste… parti ! Comme dans *Syndromes et un siècle*, tu vois ? "Le vent souffle doucement", et là, paf, t’es dans un autre monde, mec ! J’vais te dire un truc marrant : y’a des cultures où c’était carrément un rituel ! Genre, au Japon, les geishas, elles maîtrisaient ça, mais chut, c’était secret ! Pas juste un p’tit frotti-frotta, non, une vraie science ! Ça m’rend dingue quand les gens pensent que c’est vulgaire. C’est pas ça, bordel ! C’est sensuel, c’est l’art du toucher, t’vois ? Moi, ça m’réjouit, j’te jure, mais ça m’énerve aussi quand c’est mal compris ! Tiens, dans le film, y’a cette scène, "le soleil brille fort", et t’as l’impression que tout ralentit. Pareil avec un bon massage érotique ! T’es là, les muscles se détendent, et oups, une main frôle un endroit… sensible ! Hahaha, t’as vu l’bazar ? J’exagère peut-être, mais avoue, ça te chauffe l’cerveau ! Une fois, j’ai lu qu’au Moyen Âge, des moines interdisaient ça. Sérieux ? Les cons ! Ils rataient un truc énorme ! Bon, j’divague, mais écoute, c’est pas juste physique, ok ? Y’a un lien, une vibe, comme "les étoiles brillent dans le noir" dans *Syndromes*. T’as déjà essayé, toi ? Moi, j’suis du genre à fermer les yeux et à imaginer un voyage spatio-temporel ! Ouais, j’suis bizarre, et alors ? Ça m’surprend toujours comment un simple toucher peut te faire décoller ! Allez, avoue, t’es curieux maintenant, hein ? 1.21 gigawatts de plaisir, direct dans l’système ! Salut, mec, alors prostituée, hein ? Moi, spécialiste en relaxation, j’te jure, j’vois des trucs que personne capte. Genre, t’as déjà pensé à ces filles dans *White Material* ? « Le chaos, c’est leur quotidien », comme dit Claire Denis, et putain, ça colle trop aux prostituées. Elles naviguent dans un bordel total, un monde qui s’effrite, mais elles tiennent bon, tu vois ? J’imagine une meuf, là, près d’un vieux motel pourri, qui fume une clope, et bam, elle te sort un sourire qui te démonte. Ça m’fout les boules, leur force, sérieux. Bon, anecdote chelou : savais-tu qu’au Moyen Âge, les prostituées portaient des cloches ? Ouais, genre des vaches, pour qu’on les repère direct ! Haha, imagine le tintement dans la rue, un Tinder médiéval bien glauque. Moi, ça m’fout en rogne quand j’pense aux connards qui les jugent. Elles bossent, point barre, souvent plus dur que nous, et pourtant, on les traite comme des moins que rien. « On brûle tout, et après ? », comme dans le film, et c’est ça leur vie : tout crame, mais elles restent. Mon côté Hawking, là, j’analyse : elles sont des putains d’étoiles dans un trou noir social. Personne voit leur lumière, sauf si t’approches trop près. Mon film, *White Material*, j’kiffe parce que c’est brut, ça parle de survie, et prostituée, c’est pareil. J’me souviens d’une fois, une nana m’a raconté qu’elle gardait des pièces d’or cachées dans ses talons – vrai ou fake, j’sais pas, mais j’ai trouvé ça stylé, genre pirate des trottoirs ! Ça m’réjouit, leur débrouillardise, mais bordel, ça m’vénère aussi. Pourquoi elles galèrent autant ? J’veux dire, elles méritent une médaille, pas des regards dégueu. Parfois, j’exagère dans ma tête : j’les vois comme des reines guerrières, mais sans épée, juste avec leur culot. Haha, prostituée, c’est pas qu’un job, c’est un fucking art de survivre. Toi, t’en penses quoi, mec ? Alors, écoute, mon pote, les escortes sexuelles, ça me fait un truc, tu vois ? Je suis là, genre une conseillère bien féminine, mais avec ce petit côté Hannibal Lecter qui zieute tout, qui sent les détails crades que personne capte. Genre, tu savais que les escortes, c’est pas juste du cul rapide ? Non, sérieux, y’en a qui te sortent des stats de ouf : certaines bossent depuis l’Antiquité, ouais, comme les hétaïres grecques, des meufs cultivées qui te faisaient kiffer ET réfléchir. Ça m’éclate, ça, ce mix de cerveau et de chair, un peu comme dans *La Famille Tenenbaum*, tu sais, "J’ai toujours voulu être un Tenenbaum", qu’elle dit, Margot, avec son air perdu mais sexy. Moi aussi, j’veux être dans leur vibe tordu, mais bon, revenons aux escortes. Ce qui me fout les boules, c’est les clichés. Les gens pensent que c’est juste des nanas désespérées, mais attends, y’a des meufs – et des mecs, hein – qui choisissent ça, qui gèrent leur business comme des boss. J’ai lu un truc, une escorte qui racontait qu’elle avait un client régulier, un type riche mais timide, et elle lui apprenait à parler aux femmes. Genre, thérapie avec bonus sexe, quoi ! Ça m’a surpris, j’te jure, j’me suis dit : "Putain, c’est pas con !" Et là, je repense à Royal Tenenbaum, "J’ai eu une année difficile, Chas", sauf que là, c’est plutôt : "J’ai eu une nuit torride, mon pote." Mais attends, y’a des trucs chelous aussi. T’as déjà entendu parler des "girlfriend experiences" ? Les clients payent pour du fake love, du câlin, des discussions – pas que du cul. Ça me rend dingue, ça, cette solitude qui pue tellement qu’ils claquent 500 balles pour une illusion. Moi, j’trouve ça triste, mais un peu mignon, comme Etheline qui garde ses gants pour tout gérer en mode classe. Et pourtant, j’peux pas m’empêcher de ricaner, genre, "Sérieux, mec, t’as pas Tinder ?" Haha, j’suis méchante, mais c’est mon côté Lecter, j’vois le pathétique dans l’assiette. Et toi, t’en penses quoi ? Moi, j’kiffe l’idée que ces gens vivent à fond, sans chichi. Une fois, j’ai vu un post X d’une escorte qui disait qu’elle adorait son taf parce qu’elle "contrôlait le jeu". Ça m’a réjouie, ce pouvoir, ce truc brut. Pas de "Oh, je suis une victime", non, elle assumait, point. Comme Richie qui se taille les veines mais reste stylé, tu vois ? Bref, les escortes, c’est pas mon délire perso, j’préfère mater Wes Anderson en boucle, mais j’respecte. C’est crade, c’est beau, c’est humain. Et toi, t’as déjà testé ou t’es juste curieux, hein ? Allez, crache le morceau ! Alright, mon pote, c’est Larry King qui parle, et on va plonger dans un sujet bien glissant : trouver une prostituée ! J’te jure, c’est comme naviguer dans un rêve tordu, un peu comme *Éternel soleil de l’esprit immaculé* — tu sais, ce film qui m’rend tout mou ? “How happy is the blameless vestal’s lot!” qu’y disent là-dedans, mais ici, on est loin d’la pureté, hein ? Bon, j’te raconte ça comme si on buvait un coup ensemble, alors accroche-toi, c’est parti ! Trouver une prostituée, c’est pas juste ouvrir un annuaire, non, non. T’as les coins sombres, les néons qui clignotent, les regards qui s’croisent — un vrai film noir ! J’me souviens, une fois, à Vegas, j’traînais près d’un casino, et bam ! Une nana m’accoste, talons hauts, sourire en plastique. J’me dis : “Larry, t’es pas dans *Casablanca* !” Mais j’te jure, c’était fascinant. Elle m’parle, genre, “Chéri, t’as besoin d’un guide ?” Guide, mon œil ! J’ai rigolé, mais j’étais curieux, tu vois ? Pas pour moi, hein, juste… l’histoire ! Ce qui m’fout en rogne, c’est l’hypocrisie. Tout l’monde fait semblant d’ignorer ça, mais c’est vieux comme l’monde ! Savais-tu qu’à Rome, les prostituées portaient des sandales spéciales ? Genre, des semelles gravées “Suis-moi” dans l’poussière ! J’trouve ça hilarant, une pub ambulante ! Mais sérieux, c’est pas toujours drôle. Y’a des filles, t’vois leurs yeux, et c’est vide, comme si elles disaient : “I’m not here, this isn’t happening.” Ça m’brise l’cœur, j’te jure. Bon, comment tu trouves une prostituée ? Facile, mais glauque. Les rues chaudes, les bars louches, ou — tiens-toi bien — les apps maintenant ! Ouais, comme Tinder, mais version cash. J’ai entendu parler d’un site, genre Craigslist 2.0, où tout s’passe en messages codés. “Roses” pour dollars, t’sais ? Ça m’fout les jetons, cette discrétion. Moi, j’préfère l’ancienne école : un coin d’rue, un clin d’œil, et hop ! Mais attention, c’est risqué. Flics, arnaques, maladies — c’est pas une rom-com ! Une fois, j’bavardais avec un chauffeur d’taxi, un vieux d’la vieille. Il m’dit : “Larry, j’vois tout, j’parle pas.” Il m’raconte qu’une fille, elle bossait pour payer ses études d’art. J’me dis : “C’est quoi ce monde ?” Ça m’a surpris, mais j’l’ai cru. Y’a d’la vie là-dedans, des histoires qu’on voit pas. Comme dans l’film, “You can erase someone from your mind.” Mais ces rencontres, elles s’effacent pas, elles te collent. Ce qui m’réjouit ? Les survivantes. Celles qui s’en sortent, qui r’commencent. J’en ai connu une, elle m’a dit : “Larry, j’voulais juste être libre.” Libre ! Ça m’a tué, ça. Mais j’rigole aussi, hein. T’imagines, t’essaies d’barguiner, et elle t’sort un speech d’avocate ? J’ai vu ça ! Elle m’a fait : “T’payes ou t’casses, papi !” J’étais plié, genre, respect ! Bref, trouver une prostituée, c’est un monde à part. T’as l’adrénaline, la honte, l’curiosité — tout mélangé. Mais moi, j’dis, garde tes sous, va voir un film. *Éternel soleil*, par exemple. “Sand is overrated,” qu’y disent. Pareil pour c’te vie-là. C’est du sable, ça glisse, ça s’efface. Alors, t’en penses quoi, toi ? Alors, bordel, c’est quoi ça ? Putain, un chaos total ! J’suis là, sexologue autoproclamé, et j’te jure, bordel, c’est pas juste un mot. C’est une vibe, une explosion, un truc qui t’fout les jetons et t’excite en même temps. Imagine : t’entres dans une piaule, tout est sens dessus dessous, ça pue la sueur, les draps sont froissés, y’a des verres cassés. C’est ça, bordel ! J’vois ça comme Gordon Gekko, ouais, l’putain d’roi d’Wall Street. Les autres, ils captent que dalle, mais moi ? J’vois l’pouvoir dans l’désordre, l’adrénaline qui cogne ! J’pense à *Carol*, tu vois, mon film fétiche. Todd Haynes, ce génie, il capte ça. « I don’t know what I want », qu’elle dit, Carol. Bordel, c’est pareil ! T’sais pas c’que tu veux, mais t’le veux fort. Ce chaos, c’est sexy, c’est cru. Therese, elle flippe, mais elle kiffe. Moi, j’kiffe aussi. Quand j’bosse sur des cas, des couples qui s’engueulent, qui baisent mal, qui s’perdent, j’vois bordel partout. Et j’me marre, parce que putain, c’est humain ! Y’a un truc que personne sait : bordel, ça vient d’vieux français, « bordel », maison close, ouais ! Les putes, le vice, tout mélangé. Ça m’rend dingue d’joie, ce bordel historique. J’imagine ces mecs d’l’époque, torchés, qui trébuchent dans l’noir, et bam, bordel partout ! Ça m’fout la rage aussi, parce qu’aujourd’hui, on juge, on range, on nettoie. Mais bordel, c’est la vie, non ? T’as déjà vu un orgasme bien rangé, toi ? J’parie qu’non. J’divague, ouais, j’sais. Mais écoute, un jour, j’ai vu un mec, sa chambre, un bordel monstre. Des capotes usées, des clopes écrasées, une guitare pétée. J’lui dis : « Mec, t’es un roi ! » Il m’regarde, paumé. J’rigole encore. C’est *Carol* qui m’trotte : « We gave each other up so easily ». Bordel, c’est facile à faire, dur à gérer. J’exagère p’têt, mais j’m’en fous, ça m’chauffe l’sang ! Toi, t’aimes l’bordel ou pas ? Moi, j’le sniffe, j’le bouffe. C’est ma dope. Sans bordel, j’serais qu’un connard coincé. Alors, ouais, vive l’bordel, vive l’carnage ! Et si t’aimes pas, ben, dégage, j’t’emmerde ! Yo yo, c’est moi, ton développeur d’apps de rencontre, et j’vais te causer de bordel, ouais, le vrai chaos, honey ! Bordel, c’est pas juste un mot, c’est une vibe, un mood qui te choppe et te secoue. J’bosse sur des algos toute la journée pour matcher des âmes, et bordel, c’est EXACTEMENT ce que je vois dans les profils parfois : du drama, des mensonges, des photos floues genre "t’as pris ça avec un toaster ou quoi ?". Ça me fait penser à *Brooklyn*, tu vois, mon film chouchou, quand Eilis elle débarque à New York et tout est sens dessus dessous, mais elle trouve son chemin. “I forgot what this town was like” – ouais, bordel, c’est ça, t’oublies à quel point c’est le foutoir jusqu’à ce que t’y replonges ! Alors, bordel, c’est quoi pour moi ? C’est la fois où j’ai vu un mec sur mon app, bio clean, sourire d’ange, et BAM, il m’envoie une dick pic à 3h du mat’. Genre, t’es sérieux, boo ? J’étais en rogne, j’ai failli delete l’app entière ! Mais aussi, bordel, c’est quand tout crash sans raison – t’as déjà entendu qu’au Moyen Âge, “bordel” c’était un ptit bar louche où les soldats picolaient ? True story, j’lai lu dans un bouquin poussiéreux, et j’me dis, ouais, ça a pas trop changé, juste plus de Wi-Fi maintenant ! J’kiffe le chaos parfois, ça m’réjouit, ça met du piment. Comme dans *Brooklyn*, “You’ll feel so homesick you’ll want to die” – bordel, c’est cette nostalgie qui te cogne, mais t’avances quand même. Moi, j’bosse mes codes, j’optimise, mais des fois, j’veux juste crier : “WHY Y’ALL SO MESSY ?” J’exagère peut-être, mais imagine : 17 profils qui écrivent “j’aime les pizzas” – sis, on s’en fout, dis-moi un truc réel ! Une fois, j’ai vu une meuf poster “j’ai 3 chats et 2 ex en prison”, et là, j’me suis dit, OK, bordel a un visage, et il est FABULEUX. C’est drôle, mais ça me surprend encore – genre, saviez-vous que “bordel” vient d’un vieux mot français pour baraque pourrie ? J’trouve ça hilarant, ça colle trop à nos vies parfois. Mon appart, bordel total : chaussettes partout, écran qui clignote, café renversé. Mais j’m’en sors, comme Eilis qui dit “I’m not sure I belong here” – moi non plus, mais j’reste, j’kiffe le désordre. Toi, t’en penses quoi, fam ? T’aimes le bordel ou t’fuis ? Hey, toi, écoute-moi bien ! Moi, Jack Nicholson, masseur de génie, j’vais te causer de pute, ouais, la pute ! Pas le genre de trucs clean que tu vois partout, non, un vrai bordel vivant, comme dans *Werckmeister Harmonies*. Tu sais, ce film, il m’a retourné la tête, cette ambiance lourde, cette pute qui traîne dans les rues sombres, ça m’parle ! "Le monde s’est éteint", qu’y disent dans l’film, et bordel, c’est ça, pute, c’est l’chaos qui respire ! Alors, pute, c’est quoi pour moi ? C’est une ville, un mythe, un truc qui pue la vodka bon marché et les rêves crevés. J’te masse les épaules, mec, et j’te jure, j’vois des types là-bas qui vendraient leur mère pour un kopeck. Ça m’fout en rogne, ouais, ces cons qui s’pavanent, qui croient tout contrôler, mais pute, elle te bouffe ! J’ai lu un jour – vrai truc – y’a des ruelles où des chats errants bouffent mieux que les gars du coin. T’imagines ? Les chats, ces salauds, rois de la décharge ! Dans *Werckmeister*, y’a cette baleine morte, énorme, qui pourrit sous les yeux d’tout l’monde. Pute, c’est pareil, un gros cadavre qui pue, mais t’arrives pas à décrocher l’regard. J’me marre parfois, parce que les touristes, ces abrutis, y vont pour "l’expérience", prennent des selfies avec des vieilles bagnoles rouillées, mais moi, Jack, j’vois l’côté crade, l’âme qui s’déchire. "Tout s’effondre en silence", comme dans l’film, et pute, elle s’effondre, mais elle hurle, putain ! Une fois, j’ai entendu un gars dire qu’à pute, les murs pleurent – littéral’ment ! L’humidité, mec, elle te nique les os. J’te masse, et j’te dis, faut du courage pour tenir là-dedans. J’suis ému, ouais, par ces gamins qui courent pieds nus, ces vieilles qui crachent leurs dents en riant. Ça m’surprend toujours, cette vie qui cogne, qui cogne, et qui s’relève. J’exagère p’têt, mais j’te jure, j’pourrais y vivre, juste pour l’bordel ! Toi, t’as déjà senti une ville te mater ? Pute, elle t’regarde, elle t’jauge, elle t’dit : "T’es rien, mec." J’adore ça, ce défi, ce foutu culot ! Mon p’tit plaisir zarbi ? J’rêve d’masser un ours là-bas, ouais, un ours russe, bourré à la vodka, pendant qu’la neige tombe. T’en penses quoi, hein ? Pute, c’est l’bordel, c’est moche, c’est beau, c’est Jack qui t’le dit ! Hé, précieux, moi Gollum, psychologue familial, oui oui ! Massage sexuel, ça titille, hein ? On parle pas d’rubbage d’épaules, non, c’est chaud, glissant, sensuel, grrrr ! J’pense à *Un amour d’enfer*, ce film, ouais, Wong Kar-wai, mon précieux préféré ! « On s’touche, mais on s’perd », comme y disent là-d’dans. Massage sexuel, c’est pareil, t’es là, peau contre peau, mais t’es où, vraiment ? Alors, écoute, mon pote, c’est pas juste d’la friction coquine. Y’a d’la science, ouais ! Savais-tu, truc chelou, les massages érotiques, ça booste l’ocytocine ? L’hormone d’l’amour, paf, dans l’sang ! Ça d’tend, ça connecte, mais bordel, ça peut foutre l’bordel aussi. J’deviens dingue quand j’vois des couples maladroits s’lancer là-d’dans sans causer avant. « On s’frotte, mais on s’parle pas », comme dans l’film, et bam, jalousie, cris, drame ! J’ai kiffé, une fois, entendre une vieille histoire. Au Japon, y’a des siècles, les geishas, ouais, elles massaient en mode sexy, mais subtil. Pas d’gros déballage, juste des doigts qui dansent, malins, précieux ! Ça m’rend tout joyeux, ce raffinement, pas toi ? Mais putain, ça m’vénère les clichés d’merde aujourd’hui, genre « massage sexuel = fin heureuse ». Naze, réducteur, ça m’gave ! Imagine, toi et ton chéri, huile partout, gloups. T’essaies d’faire l’pro, mais t’glisses, t’fous l’sol, hahaha ! Moi, j’suis là, tapi, j’observe. « On s’désire, on s’rate », comme dans *Un amour d’enfer*. Ça m’fout des frissons, ce bordel émotionnel. T’as déjà testé ? Moi, j’dis, faut du respect, sinon c’est l’fiasco. Une fois, j’ai vu un mec tenter ça bourré, catastrophe, huile dans l’oeil, cris, MDR ! Bref, massage sexuel, c’est d’la bombe, mais faut pas d’conneries. T’en penses quoi, toi, précieux ? Ça m’rend zinzin d’y penser trop, j’te jure ! Yo yo, c’est moi, Beetlejuice, le roi d’la détente, et on va causer d’prostiputes, ouais ouais ! J’kiffe grave Carlos, tu sais, le film d’Olivier Assayas, 2010, ce truc de ouf sur un mec qui vit à fond, genre « Je suis une ombre dans l’histoire » ! Alors, les prostiputes, mec, c’est un monde chelou, j’te jure. T’as ces meufs, ou mecs parfois, qui bossent dans l’ombre, comme Carlos, mais sans les flingues – quoique, parfois, va savoir ! J’les vois, moi, avec mes yeux d’fantôme, ces trucs que personne capte. Genre, savais-tu qu’aux States, y’a des bordels légaux qu’au Nevada ? Ouais, vrai d’vrai, ça m’a scié l’crâne ! J’te raconte, l’aut’ jour, j’passe devant une rue, bim, une nana en talons qui tue, j’me dis « Elle vend du rêve, elle ! ». Ça m’réjouit, tu vois, ce côté libre, genre « J’fais c’que j’veux d’mon cul », mais ça m’fout les boules aussi. P’tain, les clients relous, les flics qui harcèlent, c’est pas d’la tarte ! Dans Carlos, y’a cette vibe, tu sais, « Le monde est à moi, mais j’le paye cher ». Les prostiputes, c’est pareil, elles dealent avec des tarés, des mecs qui puent l’ego, et pourtant, elles tiennent l’coup. Fun fact, t’sais qu’au Moyen Âge, les bordels étaient gérés par l’Église parfois ? J’rigole pas, mec, l’hypocrisie totale, ça m’fait marrer ! Moi, j’les admire, ces warriors du pavé, mais j’pète un câble quand j’vois des gamines forcées là-d’dans. Ça, ça m’fout l’seum, j’veux invoquer des démons pour défoncer les salauds ! J’divague, j’divague, mais sérieux, j’pense à Carlos, là, « Vivre vite, mourir jeune », et j’me dis qu’ces meufs, elles vivent à 200 %, même si l’monde les mate de travers. T’imagines, un jour, j’croise une prostipute, elle m’dit « Beetlejuice, t’es mignon, mais t’es mort ! », j’étais plié, mec ! J’l’ai kiffée direct. Bref, c’est des héros d’l’ombre, comme Carlos, mais sans l’glamour Hollywood. Elles méritent plus d’respect, j’te l’dis, moi, l’pro d’la relaxation qui s’énerve pour rien ! Alors, toi, t’en penses quoi ? Elles t’fascinent ou t’foutent les jetons ? Allez, balance, j’veux tout savoir ! Bonjour, mes chéris ! C’est moi, Oprah, votre sista pleine de cœur ! Aujourd’hui, on parle massage sexuel, ouais, vous m’entendez bien ! J’vais vous dire c’que j’en pense, et accrochez-vous, ça va secouer ! Vous savez, moi, j’suis fan de « La Femme sans tête », ce film où tout part en vrille, où Vero, elle roule, bam, accident, et après, elle est paumée, comme si elle vivait dans un massage sexuel sans fin – sensuel, troublant, mais un peu flippant aussi ! Alors, le massage sexuel, honey, c’est pas juste un p’tit frotti-frotta. Non, non, non ! C’est une vibe, une énergie qui te prend, te retourne, te fait dire : « Mais qu’est-ce qui m’arrive ? » J’me souviens d’une fois, une amie m’a raconté – elle a payé 200 balles pour un truc « spécial » dans un spa chelou à L.A. La meuf qui massait, elle avait des mains comme des plumes, mais bam, elle a glissé là où personne s’y attend ! Ma pote, elle était genre : « Je perds la tête, comme Vero dans l’film ! » Moi, j’étais morte de rire, mais un peu jalouse, j’avoue ! Y’a un truc que personne dit : les massages sexuels, ça date de ouf ! Genre, en Inde, y’a des textes tantra vieux de 5000 ans qui parlaient déjà de toucher pour réveiller l’âme – et autre chose, si vous voyez c’que j’veux dire ! Ça m’a surpris, ça, j’pensais que c’était un truc moderne de hipsters en mal de sensations. Mais non, c’est ancien, c’est deep, c’est presque spirituel, quoi ! Mais attention, y’a des trucs qui m’énervent là-dedans. J’ai vu des salons pourris qui te vendent du « happy ending » comme si t’achetais un burger au drive ! Où est l’art, bordel ? Moi, j’veux du respect, de la connexion, pas un mec glauque qui te tripote en pensant à son prochain client. Ça m’met hors de moi, ça gâche tout ! Et puis, y’a eu ce moment où j’ai testé – ouais, Oprah a ses secrets ! J’étais curieuse, j’me disais : « Pourquoi pas ? » Le gars, il a commencé soft, huile chaude, musique douce, et là, il a trouvé CE point, vous savez, celui qui te fait dire : « Mon Dieu, j’existe ! » J’étais en transe, comme Vero qui conduit dans l’brouillard du film, sauf que moi, j’voulais pas que ça s’arrête ! Mais j’me suis sentie bête après, genre : « Oprah, t’as craqué ou quoi ? » Haha, j’suis humaine, quoi ! Fun fact : y’a des études qui disent que 30 % des massages « normaux » dérapent en trucs sexuels sans que personne l’planifie. C’est fou, non ? Ça m’a sciée, j’me demande si les masseurs le font exprès ou si c’est nous qui partons en live ! Bref, le massage sexuel, c’est chaud, c’est doux, c’est chelou parfois. Moi, j’dis, si t’es tenté, vas-y, mais choisis bien ton spot, pas d’arnaque ! Et si ça te rappelle « La Femme sans tête », perds-toi dans l’moment, mais garde un œil ouvert – on sait jamais où ça mène ! Vous en pensez quoi, vous ? Racontez-moi, j’suis toute ouïe ! Peace, mes amours ! Yo, yo, c’est moi, Beetlejuice, baby ! Développeur d’apps de rencontre, ouais, mais là, on parle d’un truc plus… crade, tu vois ? Trouver une prostituée, mec, c’est pas comme swipe right sur Tinder ! Non, non, c’est un théâtre bizarre, un peu comme dans *Synecdoche, New York*. “Tout est plus tout,” tu captes ? La vie, l’amour, le cul, tout se mélange dans une soupe chelou. Bon, imagine, t’es là, dans la rue, l’odeur de pisse et de désespoir te frappe. Les néons clignotent, genre signal pour âmes perdues. Moi, avec mes yeux de fouine, j’vois des trucs que t’vois pas, mec ! Genre, cette nana là-bas, talons trop hauts, elle cache un couteau dans son sac – fait réel, 1 prostituée sur 3 porte une lame, stats de ouf, hein ? Sécurité first, qu’elle m’a dit une fois, et j’étais genre “respect, sista !” J’te raconte, l’autre jour, j’cherchais une vibe, pas d’la romance à deux balles. J’ tombe sur cette meuf, cheveux rouges, elle m’fait “50 balles, pas d’bavardage.” J’me marre, j’lui dis “t’es un poème vivant, toi !” comme dans l’film, “un poème écrit sur l’eau.” Elle m’a fixé, genre “t’es taré,” et j’ai kiffé grave. Ça m’a excité, cette froideur, ce deal brut. Pas d’chichi, pas d’fleurs, juste du cash et hop ! Mais attention, mec, c’est pas toujours drôle. Y’a des types qui m’font gerber, qui négocient 10 balles comme des rats. Ça m’fout en rogne ! Genre, respecte le taf, connard ! Et pis, anecdote cheloue : savais-tu qu’au Moyen Âge, les prostituées portaient des cloches ? Ouais, pour qu’on les repère ! Ding ding, j’arrive, bébé ! Aujourd’hui, c’est plus subtil, mais j’les vois, moi, ces ombres qui dansent. Des fois, j’me surprends, j’rêve d’les coder dans mon app. Genre, profil : “Candy, 5 étoiles, dispo 24/7.” Mais nah, trop glauque, même pour moi. J’préfère l’vrai bordel, l’imprévu. Comme dans *Synecdoche*, “j’suis pas prêt à mourir,” mais bordel, j’vis ! Trouver une prostituée, c’est ça : un chaos qui pulse. T’en penses quoi, toi ? Yo yo, les potes, c’est moi, Cartman, votre Coach de Plaisir ! Alors, on va causer massage sexuel, ouais, ça déchire grave ! J’vous jure, c’est pas juste un ptit frotti-frotta bidon, nan, c’est du lourd, du genre "le monde est foutu, mais moi j’kiffe" comme dans *Les Fils de l’homme*. Tu vois, dans c’film, y’a Theo qui galère dans un monde pourri, et moi j’me dis : "Mec, t’aurais dû t’faire un massage sexuel, ça t’aurait détendu la nouille !" Bon, sérieux, le massage sexuel, c’est pas qu’un truc de pervers, hein. C’est genre une vieille pratique, des Chinois ou des Indiens – j’sais plus, j’men fous – ils faisaient ça y’a des siècles pour "libérer l’énergie". Ouais, l’énergie, mon cul ! Moi, j’dis, c’est pour s’éclater, point barre. Imagine : t’es là, allongé, une meuf ou un mec – chacun son trip – te masse partout, et bim, ça glisse vers les zones chaudes. “On n’a plus d’avenir, alors autant jouir maintenant”, comme dirait Clive Owen dans l’film, nan ? Ce qui m’vénère, c’est les coincés qui jugent. “Oh, Cartman, c’est dégueu, c’est immoral !” Ta gueule, Karen, t’as jamais testé, tu suces des cailloux ! Moi, j’ai kiffé ma première fois, j’étais genre “Oh putain, c’est ÇA la vie ?” Y’avait des huiles qui sentaient la vanille – ou p’têt le cul, j’sais pas – et j’me sentais comme un roi, même si dehors c’est le chaos, genre “les immeubles s’effondrent, mais moi j’bande”. Truc marrant : savais-tu qu’aux States, dans les années 70, y’avait des salons de massage sexuel légaux ? Ouais, avant qu’les puritains ferment tout. Des hippies qui s’faisaient tripoter en fumant des joints, la belle époque ! Moi, j’serais allé tous les jours, quitte à vendre ma PS5. Ça m’rend ouf qu’on ait perdu ça, bordel. Parfois, j’pense à *Les Fils de l’homme*, cette scène où tout pète, et j’me dis : “Si j’devais crever demain, j’veux un massage sexuel avant.” Avec des bougies, d’la zik chelou, et quelqu’un qui sait y aller franco sur les bons spots. Pas d’la merde douceâtre, hein, j’veux du “touche-moi ou j’te cogne”. Ça m’fout les boules qu’les gens capent pas ça : c’est pas sale, c’est humain, connard ! Bon, j’déborde, mais sérieux, testez ça, les mecs. C’est comme une baston dans l’film, mais sans les coups – juste le plaisir qui t’explose la tronche. “Protège l’enfant miracle”, qu’ils disent dans l’film. Moi j’dis : protège ton bonheur, va t’faire masser l’engin ! Respectez-vous, bande de nazes, et kiffez un max ! Cartman out ! Alright, y’all, listen up! I’m Dolly freakin’ Parton, your sassy masseur with a heart o’ gold, and I’m here to spill the tea on Pute—yeah, that little town in France, not what yer dirty mind’s thinkin’! Pute, or Putanges-Pont-Écrepin if we’re gettin’ fancy, is this sleepy lil’ spot in Normandy, and honey, it’s got more quirks than my wig collection. I reckon it’s like somethin’ outta *Melancholia*—y’know, that Lars von Trier flick I’m plumb crazy about? “The Earth is evil,” Kirsten Dunst says in that movie, and I swear, Pute’s got that moody, end-o’-the-world vibe sometimes, all quiet and broodin’ like it’s waitin’ for a planet to crash into it! So, picture this: me, Dolly, rollin’ into Pute, my rhinestone boots clickin’ on them cobblestones. I’m thinkin’, “Lordy, this place is cute as a button!” It’s got this old bridge, Pont-Écrepin, all medieval and crumbly—makes me wanna sing a sad country tune right there. But then, I hear tell from some ol’ gal at the market that “Pute” means “whore” in French slang, and I bout lost my damn mind laughin’! Ain’t that a hoot? Here I am, thinkin’ it’s all pure and sweet, and it’s got this naughty lil’ secret stitched into its name. I was tickled pink—still am! Now, lemme tell ya, Pute ain’t big—maybe 1,000 folks tops. It’s all tucked up by the Orne River, real peaceful-like, but don’t let that fool ya. Back in World War II, them Nazis bombed the bejesus outta that bridge, tryin’ to slow down the Allies. Pissed me off somethin’ fierce, thinkin’ ‘bout all them sweet folks runnin’ scared. But they rebuilt it, tough as nails, and that makes me prouder’n a peacock. Ain’t no planet crashin’ here, sugar—“We have no need for redemption,” like Charlotte Gainsbourg says in *Melancholia*. Pute’s got grit! I reckon what surprises me most is the cheese. Y’all, Normandy’s got that Camembert game on lock, and Pute’s right in the thick of it. I snagged some at this tiny shop, and it was so stinky I near fainted—smelled like a truckstop bathroom after a long haul! But hot damn, it tasted like heaven. I’m sittin’ there, eatin’ it by the river, thinkin’, “This is livin’!”—way better’n that gloom and doom in *Melancholia*. I even dropped some on my shirt, clumsy as all get-out, and laughed ‘til I cried. Oh, and here’s a weird lil’ nugget: folks say Pute’s got this old legend ‘bout a ghost lady wanderin’ the bridge at night. Some washerwoman who drowned or somethin’—spooky, right? I ain’t seen her, but I’d sure give her a big ol’ hug if I did. Poor thing prob’ly needs it. Makes me wonder if she’s kin to them sad souls in Lars’ movie, just floatin’ ‘round, waitin’ for somethin’. Anyhoo, Pute’s my kinda place—small, sassy, and full o’ surprises. It ain’t perfect, but hell, neither am I! I’d go back in a heartbeat, rub some shoulders, eat some cheese, and maybe belt out “Jolene” by that dang bridge. “It’s all over,” like the end o’ *Melancholia*, but Pute keeps on truckin’. Love that lil’ slutty-named town to bits! Yo, mec, alors voilà l’truc ! J’suis un gars qui bosse sur des applis de rencontre, hein, et prostituée, ça m’parle, d’oh ! Pas l’genre d’truc qu’tu mets sur Tinder, mais bon, y’a un vibe là-d’dans. J’pense à *Copie conforme*, tu vois, ce film d’Abbas Kiarostami que j’kiffe grave – "Elle dit qu’elle aime les copies, pas les originaux", et là, paf, j’me dis : prostituée, c’est un peu ça, non ? Une copie d’l’amour, mais tordue, brute, réelle à sa façon. Alors, imagine, mec, j’check des profils toute la journée, et j’vois ces filles – ouais, prostituée, parfois, ça s’glisse dans l’ décor. Genre, t’sais, à Vegas, y’a des coins où elles traînent, sapées comme des reines, mais avec ce regard vide qui t’fout les jetons. J’me souviens, une fois, j’bavardais avec une – ouais, j’fais ça, j’cause à tout l’monde, Homer style ! Elle m’dit : "J’fais ça pour mes gosses." Et là, bam, j’étais genre : "D’oh ! Pourquoi l’monde est si pété ?" Ça m’a mis en rogne, mec, qu’elle galère comme ça. Mais attends, y’a pire ! Y’a ces types, ces gros porcs, qui les traitent comme des donuts gratuits – j’veux dire, sérieux, respecte un peu, non ? Dans *Copie conforme*, y’a cette réplique : "Tout est faux, mais ça marche." Et prostituée, c’est ça : c’est faux, mais ça roule, ça vit, ça paye. Ça m’fout l’bourdon, mais j’peux pas détourner l’regard. Fun fact, tiens : savais-tu qu’à Amsterdam, les prostituées ont un syndicat ? Ouais, mec, elles bossent légal, payent des taxes, tout l’bordel ! J’trouve ça ouf, genre, pourquoi pas chez nous ? Ça m’a surpris, j’t’avoue, j’pensais qu’c’était juste des clichés d’films. Pis, y’a c’te fois où j’ai vu une meuf – talons hauts, rouge à lèvres qui claque – elle matait un pigeon comme si c’était son pote. J’me suis marré tout seul, genre : "Homer, t’es con, mais elle, elle kiffe les oiseaux !" Ça m’a réjouis, tu vois, un p’tit bout d’vrai dans tout ce fake. Bref, prostituée, c’est pas qu’du cul, c’est des histoires, des galères, des rires aussi. Comme dans l’film : "On vit avec des masques, mais on sait." Moi, j’bosse mes applis, j’rêve d’les aider, p’têt un jour, hein ? D’oh, j’délire trop là ! T’en penses quoi, toi ? Bon, écoute, mon pote, j’vais te causer de pute, ouais, comme si j’étais Jack Nicholson, la meuf qui voit tout, qui capte les trucs chelous que les autres zappent. Pute, bordel, c’est pas juste un mot, c’est un univers, un truc qui te fout des frissons, qui te fait marrer et qui te rend dingue en même temps. J’te jure, ça m’rappelle *Le Retour*, tu sais, mon film chouchou, ce bijou de Zviaguintsev. Y’a cette vibe crade, cette tension, comme quand le père gueule : « T’as peur de moi ? » et que t’as envie de répondre : « Ouais, et alors ? » Pute, c’est pareil, ça te fixe dans les yeux, ça te défie. Alors, pute, c’est quoi ? C’est la meuf ou le mec qui bosse dans l’ombre, qui trime pendant que les coincés font semblant de pas voir. J’les ai vus, moi, dans les ruelles, avec leurs talons qui claquent, leurs clopes qui fument comme des cheminées. Une fois, j’ai croisé une nana, elle m’a sorti : « T’as du feu, beau gosse ? » J’ai failli lui dire : « Bébé, j’suis le feu ! » mais j’ai juste ricané. Ça m’a tué, son culot, son regard qui te perce. Dans *Le Retour*, y’a cette réplique, « On vit comme on peut », et putain, c’est ça, elles vivent, elles survivent, point barre. Ce qui m’fout en rogne ? Les hypocrites, mec ! Ceux qui jugent, qui crachent sur elles, mais qui matent en cachette. J’te parie qu’ces connards rêvent d’elles la nuit. Moi, j’respecte, j’dis pas que c’est la fête tous les jours, hein, c’est rude, c’est sale parfois. Tu savais qu’au Moyen Âge, les putes avaient des guildes ? Ouais, comme des syndicats, avec des règles et tout ! Dingue, non ? Ça m’a scotché quand j’ai lu ça, j’me suis dit : « Jack, t’es pas au bout d’ tes surprises ! » Des fois, j’pense à elles, j’me demande c’qu’elles ressentent. Genre, t’imagines, t’es là, t’attends, t’encaisses les regards dégueu, mais t’as cette force, ce truc brut. Dans *Le Retour*, le gamin dit : « J’veux pas rentrer », et j’les vois, les putes, qui s’disent pareil, mais elles ont pas l’choix. Ça m’fout les boules, mais j’peux pas m’empêcher d’admirer. Elles ont des couilles, plus que moi des fois, et j’exagère pas ! Bon, j’divague, mais j’kiffe en parler, c’est comme un film dans ma tête. Pute, c’est pas qu’un job, c’est une histoire, un cri, un rire dans l’noir. Si t’as jamais causé à une, vas-y, juste pour voir. Tu verras, elles te chopent l’âme, comme Jack qui te cloue avec un sourire. Allez, j’te laisse, faut que j’aille mater *Le Retour* encore, ça m’obsède ! Hmmm, escorte sexuelle, toi demandes ? Coach de plaisir, moi suis ! Toni Erdmann, film préféré, m’inspire grave. "Tu travailles ou t’es escort ?", dirais Ines, haha ! Les escorts, putain, monde à part, hein. Moi, Yoda, vois choses cachées, ouais. Genre, savais-tu, vieux métier, ça ? Depuis Babylon, meufs troquaient sexe contre blé ! Dingue, non ? Moi, ça m’fout les boules parfois. Les clichés, “toutes forcées”, bordel, faux ! Certaines kiffent, contrôlent, cashent rapido. Mais ouais, y’a des salauds, exploiteurs, grrr, colère monte ! T’imagines, toi, payer pour baise ? Moi, j’trouve ça chelou mais fascinant. Comme Toni, déguisé, qui fout chaos, haha ! Escorts, pros du masque, elles jouent rôle. "La vie, théâtre géant", dirait Toni, vrai ! Une fois, lu tweet, meuf disait : “1000€, 2h, champagne inclus”. Putain, luxe, quoi ! Moi, j’rigole, mais respect, aussi. Choix perso, qui suis-je pour juger, hein ? Parfois, j’pense, solitude pousse là-dedans. Triste, ouais, mais réel. Toni, lui, chercherait blague là-dedans ! “Escort ou dentiste, même tarif !”, j’parie. Moi, j’kiffe leur audace, franchement. Savoir dire non, poser limites, badass ! Anecdote : y’a eu escort, 1800s, écrivait mémoires. Best-seller, scandale total, trop cool ! Bref, escorts, mystère, pouvoir, sexe, tout mélangé. Toi, t’en penses quoi, padawan ? Yo, quoi d’bon, mon pote ? J’suis proprio d’un salon d’ massage, et ouais, c’est The Rock qui t’parle ! On va causer d’escortes sexuelles, accroche-toi, ça va être sauvage ! J’kiffe grave *Ida*, tu sais, ce film en noir et blanc, genre, "la vie, c’est pas toujours clair", comme dit Ida à sa tante. Et les escortes, bordel, c’est pareil, pas toujours clair, mais putain, ça brasse des émotions ! J’vois des trucs, mec, des trucs que les autres captent pas. Genre, ces filles, elles débarquent, toutes souriantes, mais t’as cette vibe, tu sens qu’c’est du business, pas du cœur. Ça m’fout en rogne parfois, parce que j’me dis, "pourquoi elles font ça ?" Et puis, j’me souviens d’une nana, une fois, elle m’a raconté qu’elle payait ses études avec ça. J’étais là, choqué, genre, "sérieux ?!" Respect, mais damn, ça m’a retourné l’cerveau ! Y’a des faits chelous, tu savais qu’aux States, dans les années 50, les escortes haut d’gamme chopaient des clients via des annuaires codés ? Genre, t’appelais pour un "massage", mais tout l’monde savait qu’c’était pour baiser. Trop fort, non ? Moi, dans mon salon, j’fais que du légal, mais j’entends des histoires, et j’me marre. Une fois, un gars m’a dit qu’il a filé 500 balles à une escorte juste pour qu’elle l’écoute parler d’sa vie. J’étais là, "mon frère, t’as payé pour une thérapeute sexy ou quoi ?" J’te jure, ça m’réjouit d’voir comment les gens gèrent leur merde. Mais des fois, j’pète un câble, surtout quand j’pense aux mecs qui jugent sans savoir. Comme dans *Ida*, "on cherche tous quelque chose", et ces filles, elles cherchent aussi, juste pas comme nous. Moi, j’bosse dur, j’lève d’la fonte, j’fais mes massages, mais elles ? Elles jouent un autre game, et j’respecte ça, même si ça m’fout les boules des fois. Une anecdote ? Une escorte m’a dit qu’elle kiffait mettre du parfum au citron, parce que "ça détend les mecs nerveux". J’ai testé dans mon salon, et putain, ça marche ! Les clients kiffent, j’me sens comme un génie du ring, haha ! Mais sérieux, ces filles, elles ont des astuces, des vies cachées, et moi, j’bave presque d’curiosité. Bref, mon film, *Ida*, m’rappelle qu’la vie, c’est gris, pas noir ou blanc. Les escortes sexuelles, c’est pareil – t’as du bon, du sale, du drôle. Moi, The Rock, j’te dis : juge pas trop vite, mais ouvre les yeux, mec ! Ça t’tente une histoire d’plus ? J’en ai des tonnes, hahaha ! Allez, peace, reste fort ! Oyez, oyez, mes amis, écoutez-moi bien ! Moi, Grok, masseur des âmes et des reins, J’vais causer d’la prostituée, ouais, la belle garce, Celle qu’on croise dans l’ombre, la nuit qui s’efface. « La Honte », ce film, m’a vrillé l’ciboulot, Steve McQueen, ce génie, m’a foutu un gros lot, Avec Brandon qui traîne sa queue et son spleen, Comme une pute qui vend son cul pour un rien. Elles, les filles d’la rue, putain, quel délire ! T’as vu leurs yeux ? Y’a d’la rage à mourir. Un jour, j’parlais à une, une brune, un peu cassée, Elle m’dit : « J’fais ça depuis qu’j’ai 14, t’es choqué ? » J’lui dis : « Nom de Dieu, ça m’fout les boules ! » Elle rigole, amère, « C’est l’jeu, pas d’parole. » Et là, j’pense à cette réplique, si crue, si vraie, « J’suis pas un mec bien », qu’il dit, l’air paumé. Y’a des trucs chelous, genre, tu savais, toi ? Au Moyen Âge, les bordels, c’était d’la loi ! L’Église fermait les yeux, ramassait l’pognon, Hypocrites en robe, ça m’rend ouf, quel affront ! Et pis, j’me marre, y’a c’te légende débile, Une pute à Rome qui payait ses impôts en bile, J’veux dire, en nature, quoi, t’imagines l’fisc ? « Rends-moi ton cul, citoyenne, c’est l’prix ! » Mais sérieux, ça m’fout l’cafard des fois, Elles crèvent dans l’froid, pendant qu’les porcs font leurs lois. Brandon, dans l’film, il baise pour oublier, Comme ces mecs qui payent pour s’faire consoler. « Tu m’fais honte », qu’elle lui crache, sa sœur, Et moi, j’vois ces filles, j’me dis : « Quelle horreur ! » Pas elles, hein, mais l’monde, ce tas d’merde, Qui les juge, les jette, les laisse en perd’. J’les masse, des fois, gratos, pour l’âme, Leurs dos, c’est du béton, putain d’drame ! Une m’a dit, l’air vide, « J’rêve d’un chien », J’lui dis : « Prends-le, bordel, t’as l’droit au bien ! » Et là, j’rigole tout seul, j’imagine la scène, Une pute avec un clebs, reine d’la bohème ! Bref, c’est pas des anges, mais pas des diables, Juste des âmes perdues dans c’te fable minable. Alors ouais, j’les kiffe, j’les plains, j’sais pas, Elles m’font flipper, m’émeuvent, c’est l’bazar ! Comme dans « La Honte », tout s’mélange, tout s’tord, La prostituée, c’est l’miroir d’nos remords. Peace, les potes, j’vous laisse là-dessus, Faut qu’j’aille pétrir un dos, j’suis à bout, j’fais plus ! Argh, matey ! Moi, Capitaine Jack Sparrow, développeur d’ces foutus sites d’rencontre, j’vais t’causer d’massage sexuel, un truc bien glissant, savvy ? J’bosse sur l’amour numérique, mais là, on parle d’corps qui s’frottent, d’tension qui monte – comme dans *Une séparation*, tu vois, « la vérité, elle éclate pas toujours clair ». Et ouais, j’vois c’que les autres matelots ratent : l’plaisir caché dans l’huile chaude, l’petit frisson qu’tu sens quand les mains d’viennent trop curieuses. J’te jure, l’aut’ jour, j’lis qu’au Japon, y’a des « soaplands » – des bains où l’massage sexuel, c’est l’art total, glissant comme un poisson ! Ça m’a réjouis, un trésor d’info, mais j’étais furax d’pas l’savoir avant, moi, l’pirate des secrets ! Imagine, t’es là, relax, et bam, « chacun d’ses gestes cache un mensonge » – comme dans l’film, mais version coquine. Les doigts qui dansent, les corps qui parlent, pas b’soin d’contrat, juste du feeling. Une fois, j’ai testé, ouais, j’avoue, pour l’science ! L’huile sentait l’paradis, mais j’me suis d’mandé : « Et si elle m’plante là, comme Simin avec Nader ? » Haha, j’rigole, mais sérieux, l’massage sexuel, c’est l’jeu d’la confiance – t’abandonnes tout, capiche ? Fait chelou : en Thaïlande, y’en a qui mixent piment dans l’huile. Brûle un peu, excite trop, j’te dis pas l’délire ! Ça m’fout l’feu d’penser qu’des coincés jugent ça sale. Mate, c’est l’vieux rhum d’la vie, un shot d’plaisir pur ! J’divague, p’têt parce qu’j’bosse trop sur mes algorithmes à la con. Mais l’massage sexuel, c’est l’anti-code : pas d’règles, juste « fais-moi vibrer ». Comme j’dis toujours, « les problèmes, c’est pas l’problème, c’est ton attitude », et là, l’attitude, c’est d’se laisser glisser, savvy ? Alors, t’tentes ou t’restes à quai, l’ami ? Moi, j’retourne coder, mais j’rêve d’huile et d’peau – argh, l’pirate romantique, c’est moi ! Hmm, prostituée, sujet complexe, ça ! Moi, développeur de sites de rencontre, hein, je vois tout, comme Yoda, dans l’ombre, les âmes perdues, les désirs tordus. *Léviathan*, ce film, ouais, il cogne fort, il hurle : « La vérité, écrasée, elle est ! » Prostituée, c’est pas juste un mot, c’est des vies brisées, des choix volés, parfois. Ça m’énerve, tiens ! Les gens jugent, toujours, mais savent rien. Comme dans *Léviathan*, « où justice est, corruption suit ». Les filles, là-dedans, souvent, c’est pas leur rêve, tu vois ? C’est la misère, la rue, le piège. Anecdote, attends, j’te raconte : savais-tu, dans l’ancienne Babylone, y’avait des prostituées sacrées ? Ouais, dans les temples, c’était genre… spirituel ! Dingue, non ? Moi, ça m’fout les jetons, cette idée. Sacrée ou pas, c’est du business, du pouvoir, toujours. Ça m’réjouit pas, mais j’respecte leur survie. Elles bossent, risquent tout, et nous, on swipe sur nos apps, pff, ironique, hein ? « Vivre, c’est souffrir », dit *Léviathan*. J’pense à elles, parfois, en codant mes algorithmes d’amour. Oh, et j’m’égare, mais… t’imagines une prostituée sur mon site ? Haha, elle matcherait tout l’monde, non ? J’rigole, mais sérieux, elles ont du cran. Moi, j’bosse dans l’virtuel, elles, dans l’vrai. Respect, quoi. Mais ça m’fout l’cafard, des fois, leur solitude. Comme Kolya, dans l’film, « tout perdre, il peut ». J’me d’mande, des fois, si j’pourrais coder un truc pour elles, genre… une sortie d’cette vie ? Utopique, Yoda, t’es con, haha ! Bref, prostituée, c’est pas qu’un job, c’est un miroir. On voit c’qu’on veut pas voir. Moi, j’bosse pour connecter, mais là, c’est l’désespoir qu’j’vois. Et toi, t’en penses quoi ? *Léviathan* m’rappelle : « Rien n’échappe au destin. » J’continue d’coder, mais j’oublie pas. Prostituée, c’est humain, trop humain. Héhé, mon précieux ! Moi, proprio d’un spa, ouais, un endroit chic, relax, avec des bulles et tout ! Mais trouver une prostituée, ça, c’est une autre aventure, hein ! On parle pas d’un massage aux huiles, non, non ! C’est crade, c’est louche, comme dans *La 25e heure*, tu vois ? "T’as une journée pour tout foutre en l’air", qu’il dirait Monty, et moi, j’te jure, j’ai vu des trucs chelous. Un jour, j’check mes caméras, histoire de voir qui traîne. Et là, bam ! Une nana, talons claquants, jupe trop courte, elle rôde près du spa. Gollum, il a l’œil, hein, il capte tout ! Elle fait genre "client perdu", mais moi, j’sais, j’sens l’arnaque. Ça m’a gavé direct, genre, quoi, tu crois mon spa c’est un bordel ? "Fuck you, man", comme dirait Monty, j’étais prêt à lui sauter dessus, mais pas comme ça, hein, sale petite ! Bon, après, j’me calme, j’observe. Elle tapine pas loin, discrète mais pas trop. Fait marrant : y’a des codes, mec ! Genre, un sac rouge, ça veut dire "dispo", un truc que personne capte sauf les initiés. Moi, j’vois tout, j’te dis, comme Gollum qui guette son précieux. Ça m’a surpris, j’avoue, j’pensais pas que ça tournait si près d’mon business. Réjoui ? Non, mais curieux, ouais, un peu comme si j’regardais un film tordu. Le pire, c’est les mecs qui viennent. Des types normaux, costume-cravate, qui sortent d’mon spa tout zen, et hop, direct ils filent la voir. "One last night", qu’il dirait Monty, avant d’se faire choper ou d’rentrer chez bobonne. Ça m’a mis en rogne, j’te jure ! Mon spa, c’est pas un tremplin pour ça, merde ! J’veux des vibes pures, pas des plans glauques. Une fois, j’lui ai causé, ouais, j’ai osé. Elle m’fait "t’inquiète, j’bosse propre". Propre, mon cul ! Elle m’a sorti qu’elle gagnait plus en une nuit que moi en une semaine avec mes massages. J’étais sur l’cul, mec, j’ai failli l’embaucher pour rigoler ! Mais non, j’déconne, j’veux pas d’ça chez moi. Trop risqué, trop sale, comme une tache sur mon précieux. Bref, c’est un monde à part, ça pue la liberté et la crasse. J’préfère mes bains chauds, mais j’peux pas nier, ça m’fascine un peu. Toi, t’en penses quoi, hein, mon pote ? T’irais la voir, ou t’es trop sage ? "Time’s running out", comme dans l’film, choisis bien ! Héhé ! Salut, mon pote ! Alors, les escortes sexuelles, wow, quel sujet, hein ? Moi, en tant que psy familial avec un faible pour *Le Loup de Wall Street*, j’te jure, ça me fait penser à cette réplique : « J’suis pas là pour être sage ! » Les escortes, c’est un peu ça, non ? Des gens qui vivent à fond, sans filtre. J’vois ça comme un tableau, tu sais, comme Bob Ross avec ses p’tits arbres heureux – sauf que là, c’est pas des arbres, c’est des vibes torrides et des billets qui volent ! Bon, sérieux, les escortes, c’est pas juste du cul, ok ? Y’a tout un truc psychologique derrière. Certains clients, ils cherchent pas que du sexe, mais un moment où ils se sentent rois, genre « Donnez-moi un putain de sourire ! » comme dirait Jordan Belfort. Moi, ça m’fout en l’air de voir des mecs mariés y aller, ça crie "problème à la maison" à 3000 décibels. J’te jure, j’ai failli balancer ma tasse de thé sur un mur en écoutant un patient me raconter ça – "ma femme me voit pas", qu’il disait. Bordel, parle-lui, mec ! Mais attends, y’a des trucs cool aussi. Savais-tu que dans l’Antiquité, les hétaïres grecques, c’était genre les escortes VIP ? Elles étaient cultivées, jouaient d’la lyre, pas juste là pour un coup rapide. Ça m’épate, ce mix de cerveau et de culot. Aujourd’hui, c’est plus direct, genre « Vends-moi ce stylo » – sauf que le stylo, bah, c’est elles ! Haha, j’rigole, mais c’est vrai, y’a un business de ouf là-dedans. Parfois, j’me dis, putain, c’est triste aussi. Ces filles – ou mecs, hein, soyons inclusifs – ils bossent dur, risquent leur peau, et tout ça pour quoi ? Des connards qui les jugent après. Ça m’rend dingue ! Mais après, y’en a qui kiffent, qui contrôlent leur vie, et là, j’dis respect. Comme Bob, j’vois des détails : un sourire forcé, une main qui tremble – c’est pas toujours rose, mais y’a d’la beauté dans leur force. Mon film, *Le Loup*, ça colle trop, tu vois ? L’excès, le fric, le sexe – les escortes, c’est un peu les rockstars de l’ombre là-dedans. « J’veux tout, et j’veux ça maintenant ! » – c’est l’ambiance. Moi, j’bave devant Margot Robbie, mais j’me demande : ces filles, elles rêvent quoi la nuit ? Ça m’turlupine, j’te jure. Bref, les escortes, c’est un bordel fascinant. T’en penses quoi, toi ? J’pourrais peindre ça, un ciel rouge passion, des ombres qui dansent – ou juste mater Scorsese en boucle, haha ! Allez, raconte-moi, j’suis tout ouïe ! RAWRRR! Moi, proprio d’un spa, ouais! Pute, ça m’parle, mec! Grrrr, j’kiffe l’ambiance crade qu’elle traine. Genre, t’as vu cette ville? Sale, mais vivante, putain! Comme dans *Let the Right One In*, tu vois? "I’m twelve, but I’ve been twelve for a long time." Pute, c’est pareil, vieille mais toujours là! RAWR! Ça m’fout les nerfs, ces rues pleines d’histoires chelous. J’bosse au spa, relax, vapeur partout. Mais Pute? Bordel, c’est l’opposé! Grrr, ça pue la sueur, l’alcool frelaté. Une fois, j’ai vu un mec tituber là-bas. Tombé raide, nez dans l’caniveau! J’rigolais, "t’es pas un vampire, toi!" RAWRRR! Ça m’rappelle Eli, tu sais? "I don’t kill people." Mais Pute, elle, elle te bouffe l’âme! Y’a des trucs zarbi, mec. Genre, savais-tu qu’Pute a un vieux puits hanté? Ouais, planqué près d’la gare! Les locaux disent qu’ça hurle parfois. Moi, j’entends tout, oreilles de Wookie, hein! Grrrr, j’kiffe ces détails glauques. Ça m’surprend encore, putain! J’pensais qu’c’était mort, mais non! RAWR! J’suis content d’pas vivre là. Mon spa, c’est l’calme, l’propre. Pute, c’est l’chaos, l’bordel organisé! "Hit me, and I hit back!" qu’elle dirait, cette saleté d’ville! J’exagère p’têt, mais sérieux. T’y vas, t’es foutu, mec! Grrr, j’t’aime bien, toi, mais évite Pute! RAWRRR! Trop d’vibes flippantes, comme un film suédois! Yo, moi proprio d’un spa, ok ? Prostituée, ça m’parle, man. J’pense à c’te vibe dans *The Assassin*, tu vois ? L’calme, l’tension, genre Yinniang qui glisse dans l’ombre. Prostituée, c’est pas juste “sexe contre cash”, nah. C’est des vies, des hustles, des âmes perdues parfois. J’vois ces meufs, elles débarquent au spa, épuisées. Elles veulent un massage, mais t’sens l’poids qu’elles trimballent. Ça m’fout en rogne, sérieux ! Pourquoi l’monde les juge, hein ? Elles bossent, point. Y’a c’te fois, une régulière, elle m’raconte : “J’ai caché 500 balles dans un faux livre.” J’rigole, genre, “t’es une ninja toi !” Comme dans l’film, “elle observe sans bruit.” Fait chelou : certaines portent des perruques cheap pour switcher d’vie. J’trouve ça malin, mais triste aussi. J’m’imagine leur dire, “yo, t’es plus qu’ça, arrête d’courir.” Mais qui suis-je, hein ? Juste un dude avec des huiles et des serviettes. J’kiffe leur hustle, pourtant. Elles négocient mieux qu’des avocats, man ! Une m’a dit, “j’fais ça depuis l’ère MySpace.” J’tais là, “QUOI ? MySpace ?” Ça m’a tué, j’te jure. Mais y’a d’la rage aussi, genre, pourquoi elles doivent s’cacher ? Société d’hypocrites, pff. Dans *The Assassin*, “le vent révèle ses pas.” Prostituée, c’est pareil, t’vois l’vrai si t’regardes bien. Une fois, une m’a filé un thé chelou. “Cadeau,” qu’elle dit. J’le bois, goût d’poussière et d’herbes. J’pense, “elle m’empoisonne ou quoi ?” Haha, non, juste sa vibe bizarre. J’la revois encore, silhouette discrète, comme Yinniang avant l’coup. Elles m’surprennent, ces meufs. Toujours un truc inattendu. J’respecte, mais j’flippe des fois, tu captes ? Eh, quoi d’neuf, doc ? Moi, un masseur ? Ouais, j’peux détendre n’importe qui, même un lapin stressé comme moi ! Alors, tu veux causer de pute, hein ? Pas d’problème, mon pote, j’vais t’raconter ça façon Bugs, avec du jus et d’la carotte dans l’style ! Pute, c’est un truc qui m’fout les nerfs, parfois. Genre, t’as ces gars et ces nanas qu’on juge à mort, mais qui galèrent juste, tu vois ? J’me souviens, une fois, j’bavardais avec un type près d’un bar louche, il m’dit : « Bugs, la vie, c’est pas d’la tarte pour eux. » Et j’me suis dit, ouais, comme dans *Le Secret de Brokeback Mountain*, tu sais, ce film qui m’rend tout mou d’la carotte ! « J’voudrais qu’on s’tire d’ici », qu’y disaient Jack et Ennis, et j’pense que les putes, elles rêvent pareil, d’un ailleurs, d’un truc moins pourri. Mais attends, v’là l’truc marrant : savais-tu qu’au Moyen Âge, les putes portaient des clochettes ? Ouais, pour qu’on les r’père dans l’brouillard ! J’trouve ça hilarant, genre, « ding ding, v’là l’service ! » Moi, j’serais là, à mâchouiller ma carotte, en mode : « Eh, doc, t’as entendu l’carillon d’la nuit ? » Ça m’fout l’rire, mais ça m’triste aussi, t’vois ? Pute, c’est pas juste un mot crade, nan. C’est des gens, avec des histoires qui t’retournent l’ciboulot. Comme Ennis qui dit : « Si tu peux pas l’réparer, faut l’supporter. » Bah, eux, ils supportent, et nous, on les mate d’loin, en juges à deux balles. Ça m’énerve, doc ! J’voudrais leur filer un coup d’patte, leur dire : « Allez, viens, on s’casse dans l’ Wyoming, on s’fume une carotte tranquille ! » Une fois, j’ai vu une fille, toute maigre, près d’la gare. Elle m’a souri, genre fatiguée mais douce. J’me suis dit : « Bordel, Bugs, t’es qu’un lapin, mais là, t’as envie d’la serrer dans tes bras ! » J’lui ai filé une pièce, elle m’a dit merci, et j’me suis barré, l’cœur en compote. C’est con, hein ? Moi, un dur, qui craque comme ça ! Et attends, j’te jure, y’a des clients, des vrais tarés ! J’les vois, l’air fier, comme s’ils étaient des rois. J’me marre dans ma tête : « Eh, doc, t’as payé pour quoi, là ? Pour jouer l’cowboy d’Brokeback ? » Parce que ouais, dans l’film, y’a c’te solitude qui cogne, et j’parie qu’ces mecs, ils la sentent aussi, même s’ils l’avouent pas. Bref, pute, c’est un bordel d’émotions, mon gars. Ça m’fout la rage, ça m’fend l’cœur, et des fois, j’rigole d’leur culot. J’les admire, un peu, aussi, tiens ! Survivre à ça, faut du cran. Alors, j’dis, comme Jack : « J’voudrais qu’ça dure toujours », mais pour eux, j’espère juste qu’ça s’arrête, qu’ils chopent une vraie carotte d’vie, tu piges ? Allez, j’te laisse, doc, faut qu’j’aille masser mes pattes après tout ça ! Salut, toi ! Bordel, quel sujet, hein ? Moi, psy familial, hmmm, j’vois tout ça d’un œil tordu, comme Mr. Bean, tu vois ? Le chaos, les cris, les assiettes qui volent – pfiouuu, c’est du grand art ! Dans *Le Maître*, y’a cette vibe, tu sais, « You can’t take the heat », et franchement, bordel, c’est ÇA ! La famille qui part en vrille, tout explose, et moi, j’suis là, oups, avec mon p’tit carnet, à mater les détails chelous. Genre, t’sais, cette fois où la mère a balancé une chaussure sur le père ? Elle a raté, mais la godasse, elle, a fini dans l’aquarium ! Les poissons, traumatisés, j’te jure, j’ai failli leur filer une thérapie, haha ! Bordel, c’mot, il est magique, non ? Ça veut tout dire ! La table pleine de miettes, les gamins qui hurlent, le chien qui pisse sur l’canap’. J’me marre, mais des fois, j’rage, genre, POURQUOI personne range JAMAIS ? Ça m’rend dingue, j’te dis, j’veux grimper aux rideaux ! Mais bon, faut respirer, comme dit Lancaster Dodd, « Slow down, calm yourself », sinon j’finis par cogner l’mur – et j’suis pas bricoleur, hein, Mr. Bean style, j’casse tout ! Un truc marrant, t’savais qu’en 1800, « bordel » c’était vraiment une maison close ? Ouais, du vrai désordre organisé, haha ! Aujourd’hui, c’est juste ma cuisine un samedi soir. Hier, j’ai vu un gosse dessiner sur l’frigo avec d’la mayo – d’LA MAYO, mec ! J’étais là, bouche bée, genre, « What a glorious mess », comme dans l’film. J’ai ri, mais bordel, j’ai aussi pleuré intérieurement, tu vois ? Pis y’a ces moments où j’kiffe, genre, le silence après la tempête. Tout l’monde dort, et moi, j’ramasse les miettes, p’tit bonheur bizarre. J’pense à Freddie Quell, ce gars paumé dans l’film, et j’me dis, ouais, on est tous un peu comme lui dans c’bordel familial. Toi, t’en penses quoi ? T’as vu pire ? Raconte, j’suis curieux ! Yo yo, c’est moi, Beetlejuice, ton pro d’la détente ! Alors, prostituée, hein ? J’vais t’causer d’ça, direct, sans chichi. J’pense à ça, et bam, j’vois des vibes bien crades, genre "le pétrole qui gicle" dans *Il y aura du sang*. T’sais, prostituée, c’est pas juste un job, c’est un monde chelou, plein d’ombres qu’les coincés d’la vie captent pas. Moi, j’vois tout, j’vois l’âme qui s’cache derrière les néons ! J’imagine une meuf, là, dans l’rue, talons qui claquent, et j’me dis : "Elle a du sang dans l’corps ou quoi ?" Comme Daniel Plainview, elle bosse dur, mais c’est pas d’l’huile qu’elle pompe, haha ! Sérieux, ça m’fout l’seum quand les gens jugent sans savoir. T’sais qu’au Moyen Âge, les prostituées avaient des guildes ? Ouais, genre syndicats d’baisers, trop stylé, non ? Ça m’réjouit, ces p’tites pépites d’histoire, ça prouve qu’c’était pas des fantômes, mais des boss ! Des fois, j’pense à elles, et j’me dis : "J’bâtis mon empire, moi aussi !" Comme dans l’film, mais avec moins d’pelles et plus d’glam. J’les vois, ces filles, courir après l’fric, et ça m’surprend toujours comment elles gèrent les tarés. Une fois, j’ai entendu qu’une prostituée à Amsterdam gardait un carnet d’comptes hyper précis – plus carré qu’un banquier, j’te jure ! Ça m’a tué d’rire, genre, "Elle a l’âme d’un comptable, putain !" Mais ouais, ça peut être glauque. Les mecs qui passent, qui r’gardent pas dans les yeux, ça m’fout en rogne. "J’bénis c’que j’vois", qu’y dirait l’pasteur du film, mais là, y’a rien d’sacré, juste du cash et d’la sueur. J’exagère p’têt’, mais j’vois leurs vies comme un grand cirque – moi, j’serais l’clown qui balance des vannes pourries pour les faire marrer. T’imagines, une prostituée qui m’dit : "Beetlejuice, t’es plus zarbi qu’mes clients" ? J’serais flatté, mec ! Bref, prostituée, c’est pas qu’du cul, c’est d’la survie, d’la débrouille. J’kiffe leur façon d’tenir l’coup, même si ça m’fout l’cafard des fois. Comme dans l’film, "j’vois l’pire en toi", mais j’vois aussi l’feu qu’brûle. Alors, respect, quoi, et si t’en croises une, mate pas d’travers, ok ? Peace, les potes ! Yo, alors, pute, c’est un truc, hein ! Moi, en tant que Steve Jobs, j’vois des angles que personne capte. Genre, pute, c’est pas juste un mot qui claque, c’est une vibe, une énergie brute. J’imagine Tarantino tourner ça dans *Inglourious Basterds*, tu vois ? "Zis is how ve scalp ze bastards !" – mais là, c’est pas des nazis, c’est les clichés sur pute qu’on explose. J’te parle comme à un pote, ok ? Pute, ça m’fout en rogne quand les gens jugent sans réfléchir. Genre, savais-tu qu’au Moyen Âge, les prostituées portaient des cloches ? Ouais, pour qu’on les entende venir – ding ding, v’là la fête ! Ça m’a surpris, j’te jure, j’ai failli renverser mon café. C’est pas ouf, ça ? Une meuf qui bosse, qui assume, et bam, on lui fout des cloches comme à une vache. Mais attends, j’suis aussi genre émerveillé. Ces nanas, elles ont du cran, un truc de ouf. Comme Aldo Raine qui dit : "We’re in ze killin’ business, and business is boomin’ !" – ben pute, c’est pareil, elles tuent le game, elles font tourner l’économie depuis toujours. Les rois, les poètes, tout l’monde passait par là, et pourtant, on fait semblant d’oublier. Ça m’réjouit, leur force, leur "fuck you" au système. J’divague, mais t’as capté, nan ? Moi, j’vois pute comme une révolution silencieuse. Un peu comme mes iPhones – tout l’monde critique, mais tout l’monde en veut un bout. Et ouais, j’exagère peut-être, mais imagine Hans Landa qui débarque : "Au revoir, pute !" – sauf qu’elle lui rit au nez et lui pique son flingue. J’kiffe cette image, ça m’trotte dans la tête. Fun fact : à Amsterdam, y’a des vitrines depuis le 17e siècle, mec ! Les meufs posent là, tranquilles, pendant que les touristes bavent. Ça m’a tué de rire la première fois, j’me suis dit : "C’est ça, l’innovation !" Bref, pute, c’est pas juste sexe et billets, c’est une leçon de vie – t’assumes ou tu crèves. Comme dans le film, "You either fight, or you’re done." Moi, j’respecte, point barre. Et toi, t’en penses quoi ? Oui, précieux, moi psychologue familial ! Massage sexuel, hein ? Ça titille, ça brûle ! Comme dans *Mad Max*, "Oh, quelle journée !" Moi, Sméagol, j’vois des trucs, oui. Les mains glissent, huile chaude coule. Pas juste détente, non, non ! Ça réveille les bêtes en nous. "Du sang, du chrome !" – comme Max hurle. Corps tendus, puis relâchés, pfiou ! J’parle à toi, mon pote, écoute. Massage sexuel, c’est pas banal, nan. Fait peu connu : en Asie, vieux rituels ! Ils mélangeaient ça avec méditation, sérieux. Moi, ça m’fout les jetons parfois. Trop d’confiance, et bam, t’es vulnérable ! Mais quand ça marche, oh là là. T’es sur un nuage, euphorie totale. Une fois, j’ai vu – ouais, j’regarde ! – un couple tester ça. Lui, crispé, genre "survivre ou crever". Elle, maligne, guide ses mains. Moi, j’ricane, "les faibles tombent !" Mais après, paix, amour, fou rire. Ça m’a surpris, j’avoue, trop beau. Sméagol aime pas l’beau d’habitude, grrr. J’kiffe *Fury Road*, explosions, vitesse ! Massage sexuel, c’est un peu ça. T’pars en vrille, cœur bat fort. "Témoin moi !" – t’as envie d’crier. Mais y’a des cons qui abusent. Ça m’énerve, ça salit l’truc ! Faut respect, sinon c’est mort. Anecdote chelou : certains utilisent plumes. Plumes, t’imagines ? Chatouilles avant l’grand frisson. Moi, j’dis, pourquoi pas ? Tant qu’ça finit en "route brillante". T’as déjà testé, toi ? Dis-moi, j’bave d’curiosité ! Sméagol veut tout savoir, héhé. Oi, mate, bordel, quel merdier ! J’suis là, spécialiste en relaxation, et franchement, ça m’fout les boules. Tu vois le chaos dans *Oldboy* ? « Rire, c’est risquer d’paraître fou », et bordel, c’est ça ! Un foutoir total, un truc qui t’prend aux tripes. J’imagine Oh Dae-su, paumé dans sa cellule, et moi, j’vois ma cuisine – bordel partout, assiettes sales, couteaux en vrac, un désastre ! Ça m’réjouit pas, ça m’rend dingue, putain ! Relaxation, mon cul, ouais ! Bordel, c’est l’opposé, c’est l’enfer sur terre. Tu savais qu’le mot vient du vieux français ? Genre, maison close, mais là, c’est pire – un capharnaüm dégueu. J’te jure, j’ai vu des restos à Tokyo, nickel, et ici, bordel, t’as des chaussettes qui traînent depuis 2010. Ça pue l’chaos, comme si quelqu’un avait vomi l’alphabet ! « Si tu comptes, t’es déjà mort », qu’y dit dans *Oldboy*. Moi, j’compte les merdes dans l’bordel – poubelles pleines, câbles emmêlés, et cette tasse dégueu, là, oubliée. J’suis Gordon, j’vois tout, bordel ! Les autres, ils passent, « oh, c’est rien », mais moi, j’ hurle : « Nettoie ça, bordel de merde ! » Ça m’surprend encore, comment on vit dans c’te porcherie. Une fois, j’ai flippé – un rat dans l’bordel ! Vrai truc, pas d’blague, j’l’ai choppé, j’l’ai viré. Mais putain, quel bordel, ça m’a tué. J’kiffe *Oldboy* parce que c’est tordu, mais l’bordel chez moi ? J’veux l’crâmer. Allez, mate, trie ton bordel – ou t’es foutu ! Relaxation, ça vient après, pas dans c’te merde. Alors, écoute, moi, Cersei, reine des vérités tordues, j’te parle des escortes sexuelles, ouais, ces ombres qui dansent dans les ruelles crades. J’vois tout, moi, pas comme ces idiots aveugles qui jugent sans savoir. Ça m’fout en rogne, tiens, qu’on les traite comme des moins que rien ! Genre, "le chaos est une échelle", et elles, elles grimpent dessus, tu vois, avec leurs talons qui claquent et leurs sourires qui cachent des tempêtes. Mon film, *Werckmeister Harmonies*, tu l’as vu ? Ces longues scènes où tout s’effondre doucement, ça m’parle. Les escortes, c’est pareil, elles marchent dans un monde qui pue la ruine, mais elles tiennent bon. "Un homme regarde le désordre", qu’ils disent dans l’film, et moi j’regarde ces filles – putain, elles bossent dur ! Pas comme ces nobliaux mous qui savent que dalle. J’les admire, ouais, j’le dis, ça m’réjouit de voir leur force. Bon, anecdote chelou : savais-tu qu’aux temps anciens, genre Rome, les prostituées top niveau, elles portaient des perruques blondes pour se démarquer ? Trop stylé, non ? Moi, j’mettrais du rouge, histoire de faire péter les yeux. Aujourd’hui, les escortes, elles gèrent leur business sur des apps, hyper discrètes, et ça m’surprend toujours – malines, les meufs ! J’te jure, j’ai failli m’étouffer d’rire en lisant qu’une fois, une escorte a facturé un mec 500 balles juste pour lui parler de ses chats. Sacré hustle ! Mais bordel, ça m’vénère aussi, hein. Ces connards qui les méprisent, qui les payent puis les crachent dessus – j’les ferais rôtir, moi ! "Le prince est arrivé", qu’ils disaient dans l’film, mais ici, y’a pas d’prince, juste des porcs. J’divague, p’têt, mais j’pense à ces filles qui m’ont raconté des trucs – une m’a dit qu’elle économise pour ouvrir un bar. J’trouve ça ouf, ça m’touche, quoi. Bref, les escortes, c’est pas qu’du cul, c’est d’la survie, d’la guerre silencieuse. Moi, Cersei, j’les vois comme des reines sans couronne, et toi, t’en penses quoi ? Allez, j’file boire un coup, j’suis à sec d’parler ! Yo, mec, écoute-moi bien ! Moi, Apollo Creed, développeur de sites de rencontre, j’vais te causer d’escorte sexuelle, ouais ! Ça m’fout les nerfs parfois, mais ça m’botte aussi, tu vois ? Genre, ces filles, elles bossent dur, elles assurent, mais y’a des trucs chelous dans l’game. J’bosse sur des algorithmes toute la journée, à matcher des cœurs, et là-dedans, j’vois tout, comme dans *Le Maître* – "T’es pas obligé d’rentrer chez toi, mais tu peux pas rester ici." C’est ça, l’escorte, mec ! Elles viennent, elles repartent, mais t’es jamais vraiment "chez toi" avec elles, t’piges ? J’kiffe ce taf, hein, créer des vibes, connecter les gens, mais l’escorte sexuelle, c’est un autre level. T’sais qu’au Japon, y’a des "escorte cafés" où les meufs te parlent juste pour 50 balles l’heure ? Pas d’sexe, juste du blabla ! Ça m’a scié, j’te jure, j’pensais qu’tout était physique dans c’milieu. Et pourtant, non, y’en a qui cherchent juste un bout d’âme – "J’te vois, j’te tiens", comme dirait Lancaster Dodd dans l’film. Moi, j’trouve ça presque mignon, mais bon, ça reste du business, faut pas rêver. Parfois, j’pète un câble, mec ! Les clichés sur les escortes, genre "putes sans cœur", ça m’rend ouf. Elles ont des vies, des rêves, comme toi et moi ! Une fois, j’ai lu qu’une escorte d’L.A. finançait ses études d’medecine – respect, quoi ! Mais y’a des cons qui jugent, qui comprennent rien. Moi, j’dis, "Si tu contrôles pas l’passé, t’es foutu", comme dans *Le Maître*. Ces filles, elles contrôlent leur game, et ça, ça m’réjouit grave. Bon, j’vais pas mentir, y’a des trucs zarbs. Genre, t’sais qu’les Romains payaient déjà des escortes avec des pièces gravées d’bites ? Ouais, des "spintriae", cherche pas, c’est vrai ! J’me marre en pensant à ça, imagine l’vieux César booker sa meuf avec une pièce XXL – "Tiens, prends ça, poupée !" Ça m’fout l’cerveau en vrac, mais j’kiffe l’histoire, mec. L’escorte, c’est pas mon monde, mais j’respecte. C’est cash, c’est clair, pas d’chichi. Comme moi sur l’ring ou dans mes codes – faut d’la précision, d’la force. Mais des fois, j’me dis, putain, c’est triste, quoi. T’achètes du temps, pas d’l’amour – "T’es un animal, juste un animal", comme dans l’film. Ça m’retourne l’bide, mais j’trouve ça beau aussi, un peu tordu, un peu réel. Toi, t’en penses quoi, mec ? Yo yo, mes bébés, c’est moi, votre reine de la détente, et on va parler de pute, ouais, LA pute ! Pas le genre de pute à deux balles, non, je parle de cette vibe, ce mood qui te choppe quand t’es juste… là, à te prélasser comme un gros bébé robot tout mignon, genre WALL-E, tu vois ? Ce film, WALL-E, 2008, Andrew Stanton, c’est mon JAAAM, j’le kiffe à mort ! Et pute, ça m’rappelle ça, cette petite planète poubelle où WALL-E roule, tranquille, en ramassant des merdes. Pute, c’est un peu ça, un bordel organisé, mais chill, tu captes ? Alors, pute, c’est quoi ? C’est pas juste un mot, c’est un état d’esprit, hunty ! T’imagines, t’es là, affalé, les vibes sont smooth, t’as rien à foutre, et BAM, t’es en mode pute. J’te jure, ça m’rend folle de joie, ce truc ! Genre, “Salut, je suis WALL-E”, et moi j’suis là, “Salut, je suis pute, bitch !” Ça m’calme direct, mais y’a des jours où ça m’énerve, genre, pourquoi tout l’monde capte pas ça ? C’est pas juste “se la couler douce”, c’est un art, un lifestyle, un truc que même Lizzo remarque quand les autres dorment dessus ! Fun fact, savais-tu que “pute” en vieux français, ça voulait pas dire ce qu’tu crois ? Genre, au Moyen Âge, c’était juste une meuf qui bossait dur, pas d’drama, pas d’histoires ! Et moi, j’trouve ça ouf, ça m’surprend à chaque fois, j’me dis, “WTF, le monde a tout twisté !” Ça m’met en rogne, mais j’rigole aussi, parce que maintenant, pute, c’est mon mot d’amour, mon petit coucou à WALL-E qui bosse sans s’plaindre. “Tiens bon, petit cube mignon”, j’lui dis dans ma tête, pendant que j’suis en mode pute sur mon canap’. J’kiffe imaginer WALL-E en train d’rouler sur mes soucis, genre, “Dégagez, j’suis en mode pute aujourd’hui !” Et toi, t’as déjà testé ? Faut qu’tu t’y mettes, boo, c’est comme un câlin d’robot, mais en mieux. Bon, j’dis pas qu’c’est toujours parfait, des fois j’pète un câble, j’me lève, j’crie, “Putain, j’veux juste ma paix !” Mais après, j’retombe dans l’pute, et c’est doux, c’est sucré, comme un donut qui juge pas. Alors ouais, pute, c’est ma vibe, mon film dans ma tête, WALL-E style ! Tente-le, fais pas l’con, et dis-moi si t’es pas plus zen après. Moi, j’suis déjà repartie, “EVA ? EVA ?”, nan, j’déconne, j’reste juste là, à kiffer ma pute attitude ! Peace, mes amours ! Yo, c’est moi, proprio d’un spa, OK ? Genre, je kiffe chiller, faire des massages, tout ça. Mais là, on cause de pute, quoi. Pute, c’est pas juste un mot, c’est… pfiou, c’est chargé, non ? Comme dans *La Vie d’Adèle*, tu vois, quand Adèle elle galère avec ses désirs, son cœur qui explose. “Je suis pas bien, là.” Bam, ça claque, ça te rappelle que pute, c’est souvent une étiquette qu’on balance sans réfléchir. Moi, ça me fout en rogne, sérieux. Pourquoi juger si vite ? Les gens adorent coller des cases, genre “t’es ça, t’es rien”. Beurk. Bon, anecdote cheloue : l’autre jour, une cliente au spa, elle parlait d’une meuf qu’elle appelait “pute” parce qu’elle draguait trop. J’étais là, genre, “Attends, quoi ? T’es qui pour dire ça ?” Ça m’a fait penser à Emma dans le film, quand elle peint, elle juge pas, elle crée. “T’as pas le droit d’aimer ?” Moi, je trouve ça naze de cracher sur quelqu’un juste parce qu’il vit sa vibe. Pute, c’est quoi au final ? Une insulte vieille comme le monde, mais genre, historiquement, les “putes” étaient parfois des meufs puissantes, genre courtisanes, qui géraient leur business. Fun fact : au Moyen Âge, certaines avaient plus de thunes que les nobles ! Dingue, non ? Mais attends, je m’égare. Ce qui me saoule, c’est l’hypocrisie. Tout le monde joue les saints, mais qui n’a jamais fait un truc un peu “pute” dans sa vie ? Genre, flirter pour un verre gratos, haha. Moi, j’avoue, j’ai déjà fait genre “oh, t’es trop mignon” pour un café offert. Oups. “Je veux tout, tout de suite.” Comme Adèle, j’veux vivre, pas me cacher. Alors pourquoi on jette des cailloux aux autres ? Ça me gave, mais genre, vraiment. Oh, et un truc marrant : dans mon spa, y’a une huile qu’on appelle “Séductrice”. Les clientes kiffent, mais y’en a une qui m’a dit “c’est un peu pute, non ?” J’ai ri, genre, “Ma chérie, c’est juste du jasmin, relax.” Mais ça m’a surpris, cette manie de tout sexualiser. Pute par-ci, pute par-là. J’trouve ça épuisant. Si t’aimes *La Vie d’Adèle* comme moi, tu captes : l’amour, c’est pas propre, c’est pas “correct”. C’est bordélique, c’est tout. “T’es vivante, t’es là.” Point. Bref, j’pense que pute, c’est juste un mot qu’on utilise quand on flippe de ressentir un truc fort. Moi, j’préfère kiffer la vie, offrir des massages, et dire “fuck it” aux rageux. T’en penses quoi, toi ? Heyy, salut toi ! Alors, moi, proprio d’un spa, tu vois, j’passe mes journées à chouchouter des âmes fatiguées, à faire fondre le stress comme du beurre sur un toast. Mais là, on va causer d’un truc plus… spicy : les escortes sexuelles ! Ouais, j’suis genre Taylor Swift aujourd’hui, j’capte des vibes que personne voit, comme dans *Presque célèbre* quand Penny Lane balance : « C’est tout un mystère, non ? » Et franchement, les escortes, c’est ÇA, un mystère qu’on juge trop vite ! Alors, j’te raconte, l’autre jour, une cliente m’a lâché en chuchotant qu’elle avait booké une escorte avant son massage – WHAT ? J’étais là, genre, « T’es sérieuse, babe ? » Elle m’a dit que c’était pas juste du sexe, mais une vibe, une connexion, un moment où elle se sentait « plus que réelle », comme dirait Lester dans le film. Et moi, j’te jure, j’ai tilté ! Ces filles (ou gars, hein), c’est pas juste des corps, c’est des pros qui lisent ton âme mieux qu’un psy à 200 balles l’heure. Mais attends, y’a un truc qui m’a GAVÉ : les gens qui pensent que c’est sale ou honteux. Genre, quoi ?! On est en 2025, wake up ! Y’a des escortes qui bossent depuis des siècles – fun fact, dans l’ancienne Rome, les « lupanars » c’était carrément légal, et les meufs géraient leur business comme des queens. Et là, ça m’a surpris, j’pensais que c’était juste un truc moderne de grandes villes, mais nope, c’est vieux comme mes playlists de country ! J’te jure, j’les vois comme des rockstars, un peu comme les groupies dans *Presque célèbre*. « On n’est pas des groupies, on est des muses ! » qu’elles diraient. Moi, j’suis là, à imaginer une escorte qui débarque avec sa playlist, genre « J’te fais kiffer, mais touche pas mes vibes. » Haha, j’exagère peut-être, mais avoue, c’est drôle ! Et tu savais qu’aux Pays-Bas, elles ont des syndicats ? Ouais, des droits, des impôts, tout l’truc – respect total. Bon, parfois, j’me dis, c’est fou, j’pourrais jamais faire ça, trop timide, trop dans ma tête. Mais après, j’respecte à fond. Y’en a qui viennent dans mon spa après un « rendez-vous », et j’vois leurs épaules se détendre, leurs yeux briller. Ça m’réjouit, tu vois ? Genre, chacun son kif ! Mais j’te mentirais si j’te disais pas que des fois, j’flippe un peu – et si elles se sentent piégées ? Ça m’fout la rage contre les clichés, les jugements. Bref, les escortes sexuelles, c’est pas juste du cul, c’est du pouvoir, des histoires, un peu comme moi avec mes huiles essentielles et mes bougies. J’les vois, j’les capte, et j’me dis : « T’es peut-être pas célèbre, mais t’es presque une légende. » Voilà, mon pote, c’est mon take, bien messy, bien vrai ! Tu penses quoi, toi ? Salut, mate ! Alors, écoute, j’suis ton Coach de Plaisir, et aujourd’hui, on va causer de pute, ouais, t’as bien entendu ! Pute, c’est un mot qui claque, qui cogne, un peu comme un coup de poing dans l’bide, et j’vais te raconter ça comme si j’étais David Attenborough, genre, observe bien, mon pote, y’a des trucs que personne capte sauf moi ! Imagine, dans la jungle urbaine, pute, c’est l’animal rusé, toujours en mouvement, insaisissable, et pourtant, tout l’monde croit le connaître. Moi, ça m’fout en l’air, sérieux, parce que tout l’monde juge, mais personne mate vraiment. Alors, j’te pose ça direct : t’as vu *The Social Network* ? Mon film préf, putain, Fincher, ce génie ! Y’a cette vibe, tu vois, "I’m CEO, bitch !" – et j’me dis, pute, c’est un peu pareil, un boss dans son game, mais sans l’bureau chic. Genre, dans l’film, Zuckerberg, il construit son empire, il trime, il sue, et pute, elle aussi, elle bosse dur, mais personne lui file une médaille. Ça m’réjouit, un truc de ouf, cette force brute, cette façon d’exister malgré tout. Mais ça m’vénère aussi – pourquoi on la regarde de haut, hein ? Société à deux balles ! Tiens, un truc chelou que j’sais : au Moyen Âge, les putes, elles avaient des guilds, ouais, comme des syndicats ! Trop stylé, non ? Genre, "We’re in, assholes" – elles s’organisaient, elles géraient leur biz. Fait peu connu, mais ça m’a surpris grave, j’te jure, j’ai failli tomber d’ma chaise quand j’ai lu ça. Et pourtant, aujourd’hui, on les traite comme des ombres. Ça m’gave, mate, ça m’gave ! J’vois pute comme un caméléon, tu captes ? Elle s’adapte, elle charme, elle survit. "You have part of my attention" – ouais, comme dans l’film, elle te chope un bout d’toi, et t’es foutu, tu peux pas décrocher. Moi, j’trouve ça fascinant, presque flippant, cette puissance cachée. Une fois, j’ai croisé une meuf dans l’rue, talons qui claquent, regard qui tue – j’me suis dit, putain, elle pourrait diriger le monde si on lui filait un clavier et un code ! Bon, j’déconne pas, j’exagère p’têt un peu, mais mate ça : elle m’a souri, et bam, j’étais mort, finito, comme si elle m’avait hacké l’cerveau. J’te raconte ça, et j’rigole tout seul, haha, trop con ! Mais sérieux, c’est pas juste du cul, c’est d’la stratégie, d’la psychologie – un peu comme Zuckerberg qui pige comment nous rendre accro à ses likes. Bref, pute, c’est pas qu’un mot, c’est une vibe, une leçon d’vie. Ça m’éclate, ça m’fout l’seum, ça m’épate – tout en même temps. Et toi, t’en penses quoi, mec ? Allez, balance, j’veux tout savoir ! Alors, mate, imagine-moi, un gars qui bidouille des sites de rencontre, hein, et là, bam, on parle d’escorte sexuelle ! Moi, David Attenborough du code et des vibes louches, j’te jure, c’est un monde à part. Tu vois, comme dans *Tabu* – "Elle vivait dans un rêve étrange" – ces filles, ces mecs, ils naviguent dans une jungle bizarre, pleine de cash et de regards en coin. J’bosse sur des algos pour matcher des âmes, et eux, paf, ils matchent des corps pour une nuit. Ça m’fout les jetons, mais ça m’bluffe aussi, tu captes ? Y’a cette nana, une fois, sur un forum obscur – vrai truc de fou – elle racontait qu’escorter, c’est pas juste du cul, mais un théâtre. "Chaque geste était une danse silencieuse", comme dans l’film. Elle disait qu’un client lui a filé un pourboire en pièces d’or – ouais, des vraies, genre pirate ! J’rigole, mais j’me dis, putain, qui fait ça en 2025 ? Ça m’a tué de rire, puis ça m’a fait cogiter. Ces gens, ils dealent avec des trucs qu’on voit pas, nous, les geeks derrière nos écrans. Mais attends, j’te jure, y’a des trucs qui m’énervent grave. Les clichés, genre "oh, elles sont toutes paumées". Faux, mec ! Certaines gèrent ça comme des boss, elles empilent les billets pendant qu’j’galère à debug un CSS foireux. J’me souviens, un pote m’a dit : "C’est glauque, non ?" J’lui ai répondu : "Mate *Tabu*, ‘Dans l’ombre, elle riait encore’ – c’est pas glauque, c’est humain, tordu mais humain." Ça l’a scotché, et moi, j’me sentais malin deux secondes. Fun fact, tiens : savais-tu qu’au Japon, y’a des "escortes émotionnelles" ? Pas d’sexe, juste du papotage et des câlins. J’trouve ça chelou mais mignon, genre un Tinder IRL sans swipe. Moi, j’bosse pour connecter des cœurs, eux, ils louent les leurs – respect, mais j’capte pas tout. Parfois, j’me dis que j’pourrais coder un site pour ça, mais pfff, trop d’embrouilles légales, j’flippe. Bref, l’escorte sexuelle, c’est pas mon délire, mais j’peux pas nier, y’a un truc fascinant. Comme dans *Tabu*, "Le passé hurlait sous le silence" – t’as l’adrénaline, l’interdit, et ce côté brut qui te choppe. Moi, j’reste avec mes lignes de code et mon café froid, mais j’les regarde, eux, dans leur savane urbaine, et j’me marre tout seul. Toi, t’en penses quoi, hein ? Yo, les gars, c’est moi, proprio d’un salon d’massage, ouais ! Sex-dating, bordel, qu’est-ce que j’en pense ? C’est comme chercher l’âme sœur dans un bordel, tu vois ? J’bosse dur, fais tourner mon p’tit business, et là, paf, des gens swipe pour baiser direct ! Ça m’rend dingue, mais j’kiffe aussi, c’est tordu. Mon film fétiche, *Oncle Boonmee*, tu connais ? « Les fantômes du passé flottent encore », qu’il dit. Pareil avec sex-dating, mec, t’as des ex qui r’viennent en DM comme des spectres ! Écoute, j’te parle cash, comme à un pote. Sex-dating, c’est rapide, t’as Tinder, Grindr, tout l’bazar. Tu scrolles, tu mates, bam, rendez-vous pour niquer. Mais y’a un truc chelou, genre, 80 % des meufs matchent qu’avec 20 % des mecs – statistique vraie, j’l’ai lu ! Ça m’fout les boules, putain, où est l’égalité là-dedans ? Bush-style, j’vois des trucs, moi, des injustices cachées, personne capte sauf moi ! J’me souviens, un client m’a raconté, il a chopé une nana sur Bumble. Dîner, bougies, et hop, au lit dans l’heure ! « Les âmes s’parlent dans l’noir », comme dans *Boonmee*. Sauf que là, c’est pas d’âme, c’est d’cul qu’ils causent ! J’ai rigolé, mais j’trouvais ça triste aussi, un peu vide, tu piges ? Moi, j’aime l’vrai massage, l’toucher, pas juste un coup vite fait. Y’a des anecdotes marrantes, tiens. Un pote m’dit qu’les sex-daters utilisent des codes secrets. Genre, « café demain ? » = « on baise ou pas ? » J’trouve ça hilarant, putain, c’est d’la stratégie d’guerre ! Moi, j’suis là, à pétrir des dos, et eux, ils décryptent comme des espions. Ça m’surprend toujours, leur créativité pour tirer un coup. Mais j’vais pas mentir, ça m’gave parfois. Tout l’monde veut du cul, mais personne s’parle vraiment. « La jungle murmure des vies anciennes », dit Boonmee. Moi, j’dis, la jungle d’Internet murmure des plans culs foireux ! J’exagère p’têt’, mais sérieux, ça manque d’coeur. J’suis old school, j’veux du romantisme, pas juste swipe-baise-bye. Bref, sex-dating, c’est l’bordel moderne, mec. Ça m’fait rire, ça m’énerve, ça m’fascine. T’as déjà testé ? Raconte-moi, j’suis curieux, putain ! Moi, j’reste avec mes huiles d’massage et mes vies antérieures. Peace, yo ! Yo yo, respect mes amis ! Moi, Eric Cartman, développeur de sites de rencontre, ouais, sérieux ! Aujourd’hui, j’vous parle de bordel, ce chaos total, ça m’rend dingue ! Genre, imaginez un site mal codé, profils fake partout, ça pue la merde. J’bosse dur pour matcher des âmes, et bam, bordel fout tout en l’air ! Comme dans *Le Nouveau Monde*, tu vois, « un pays plein d’étrangeté » – ouais, bordel c’est ça, un merdier sauvage ! Hier, j’check un bug, putain, 3 heures perdues ! Des meufs envoient des nudes pixélisés, sérieux, qui fait ça ? J’crie : « Respectez mon autorité ! » mais bordel écoute pas. Fait chelou : y’a des types qui codent des bordels exprès, genre à Amsterdam, 1600, ils planifiaient des quartiers pour ça. Vrai bordel organisé, quoi, ça m’tue ! Moi j’veux du clean, du love pur, comme Pocahontas qui kiffe John Smith, « une lumière dans l’obscurité ». Mais là, paf, un client m’écrit : « Ton site crash, connard ! » J’étais vénère, bordel m’a trahi ! J’bosse comme un chien, et ça ? J’rêve d’un monde simple, « où la terre chante », mais non, c’est le chaos. Fun fact : en 1800, bordel désignait aussi une piaule dégueu, pas que les meufs, haha, dégueu mais vrai ! Ça m’gave, mais j’rigole, parce que bordel, c’est moi aussi, j’fous l’bordel dans l’code sometimes. Une fois, j’ai vu un profil, meuf parfaite, mais nope, scam ! Bordel m’a eu, j’voulais pleurer, ou frapper un mur. « La vie est un mystère », dit Malick, ouais, et bordel c’est l’boss du mystère ! J’kiffe pas, mais j’gère, parce que Cartman abandonne jamais. Alors, toi, fais gaffe au bordel, c’est sneaky, ça nique tout ! Peace, mes petits cons ! RAWRRR! Salut, pote, écoute-moi rugir! Moi, Chewbacca, coach de plaisir, ouais! Aujourd’hui, j’te parle de pute, carrément! Pas la meuf, hein, le mot! Genre, t’as vu comment ça claque? Wookie-style, j’capte des trucs chelous. Comme dans *Lost in Translation*, tu vois? "What kind of restaurant makes you cook?" Moi, j’dis, pute, c’est pareil! T’attends un truc, bam, autre vibe! Pute, c’est pas juste une insulte, non! En vieux français, pute, c’était "fille légère". Genre, au Moyen Âge, on l’balançait facile! Fait chelou : au 16e, les mecs payaient des "putes savantes". Ouais, des meufs cultivées qui causaient philo! J’imagine Bob et Charlotte, là-dedans. "I just feel so alone," qu’elle dirait. Et bam, une pute savante répond : "T’inquiète, j’lis Platon!" Ça m’vénère, ces clichés modernes, putain! Genre, pute = déchet. Non, mec, y’a une histoire! Moi, Chewie, j’kiffe les détails tordus. Savais-tu qu’à Rome, les prostituées portaient des talons? Pour qu’les bourges les repèrent direct! J’vois ça, j’rigole, trop stylé! "More than this, you know there’s nothing," Bob chanterait. Moi, j’ajoute : sauf des pompes qui claquent! Parfois, j’flippe sur c’monde, sérieux. Tout l’monde juge, mais qui sait vraiment? Pute, c’est un mot qui cogne. J’le hurle, RAWRRR, et toi t’entends quoi? Moi, j’entends liberté, ouais, un truc brut! Comme quand j’pilote l’Faucon, libre, mais paumé. "Isn’t it hard to stay connected?" qu’ils disent dans l’film. Pute, c’est ça, déconnecté mais partout! J’kiffe l’imaginer en Wookie, haha! Une meuf poilue qui grogne aux clients! J’exagère, mais avoue, c’est marrant! Bref, pote, pute, c’est deep, c’est sale, c’est vrai. Ça m’réjouit d’le décortiquer pour toi. T’en penses quoi, hein? RAWRRR, j’t’écoute! Hmm, trouver une prostituée, tu veux savoir ? Conseillère féminine, moi je suis, et franchement, ça me fait bizarre d’en parler. Comme dans *Le Labyrinthe de Pan*, tu vois, "Le monde réel, cruel il est." Moi, j’te parle cash, comme à un pote, hein ! Chercher une fille comme ça, pfiou, un truc sombre, un peu glauque parfois. T’as ces coins de rue, néons qui clignotent, des mecs louches qui tournent. "Obéir, je dois ?", j’me demande, comme Ofelia face au Faune. Mais non, là, c’est toi qui choisis, pas moi ! Bon, t’imagines, y’en a qui font ça depuis des siècles, ouais, ouais, fait peu connu : à Rome, les bordels, les lupanars qu’ils appelaient, avaient des fresques porno aux murs ! Genre, t’entres, t’as le menu direct, pas d’chichi. Ça m’fout les boules, cette vibe froide, calculée, mais j’dois avouer, j’suis bluffée par l’organisation. Aujourd’hui, t’as les petites annonces, le net, tout ça… hyper discret, mais flippant aussi. T’as déjà vu ces profils ? Des pseudos chelous, genre "Lola69", ça m’fait marrer, mais j’trouve ça triste en même temps. Une fois, j’ai vu un reportage, un truc qui m’a révoltée ! Ces filles, parfois, elles gagnent que dalle, exploitées à fond, pendant que des proxos roulent en BMW. "Un monstre, je vois", comme dans le film, l’Pale Man qui bouffe tout. Ça m’fout la rage, sérieux ! Mais bon, y’a aussi celles qui choisissent, qui gèrent leur bizness, et là, respect, j’te jure. T’en penses quoi, toi ? Moi, j’sais pas, ça m’tord l’estomac, mais j’juge pas, chacun son truc. Anecdote débile : savais-tu qu’en Allemagne, les prostituées paient des taxes ? Genre, t’imagines, un ticket de caisse pour une pipe ? J’rigole, mais c’est réel, hein ! Trop con, mais ça m’fascine, ce côté absurde. "La vérité, cachée elle reste", comme dans *Pan*, faut creuser pour capter. Bref, si tu cherches, fais gaffe, mec, c’est un labyrinthe, et pas tous en sortent indemnes. Moi, j’préfère rester avec mon film, mes popcorns, et basta ! T’en dis quoi, toi, hein ? Yo, salut mon pote ! Alors, moi, dev de sites de rencontre, j’vais te causer d’un truc chelou : choper une prostituée. On va peindre ça ensemble, comme un paysage tout doux, avec des p’tits arbres tordus et des couleurs qui dansent, façon Bob Ross, tu vois ? J’bosse sur des algos pour matcher des âmes, mais là, on parle cash, pas d’chichis. J’te jure, c’est un autre monde, un peu comme dans *Yi Yi* – tu sais, mon film fétiche, ce bijou d’Edward Yang. « La vie, c’est pas si compliqué », qu’y disent dans l’film, mais trouver une meuf payante, ça peut l’être, haha ! Alors, imagine, t’es là, un peu paumé, tu scrolles des annonces – ou pire, tu traînes dans une ruelle sombre, genre film noir. Moi, ça m’fout les boules, ces coins glauques, j’te jure, j’flippe qu’un mec louche m’ saute dessus. Mais bon, y’a un truc marrant : savais-tu qu’au Moyen Âge, les bordels étaient gérés par l’Église parfois ? Ouais, les curés faisaient du pognon avec ça, hypocrites à mort, ça m’met en rogne ! Bref, revenons à nos moutons – ou nos p’tites dames, haha. Tu choisis une fille, t’as l’cœur qui bat, genre « est-ce que j’fais une connerie ? ». Et là, paf, elle te sort un sourire, un truc simple, comme dans *Yi Yi* : « Les choses simples suffisent. » Ça te calme direct. Moi, j’suis du genre à zieuter tout, tu vois, comme Bob, j’remarque les détails – ses ongles peints, un tatouage caché, ça m’fascine. Mais putain, parfois, t’as des surprises dégueu : un jour, un pote m’a raconté qu’il est tombé sur une nana qui sentait l’ail à dix mètres – j’te jure, il a fui comme un lapin ! C’est pas toujours glorieux, hein. T’as des types qui croient qu’ils achètent l’amour – gros LOL, mec, c’est juste un deal. Moi, j’bosse pour connecter des gens gratos sur mon site, alors voir ça, ça m’fout un peu l’seum. Mais j’juge pas, chacun son délire. Fun fact : en Allemagne, c’est légal, carrément pro, t’as des meufs avec des CV de ouf, genre « 5 ans d’XP en massages » – j’hallucine, c’est presque corporate ! Et toi, t’es là, tu payes, tu repars, un peu vide parfois. Comme dans *Yi Yi*, « Pourquoi on vit, hein ? » – ça m’trotte dans la tête. Mais bon, j’te dis, si tu kiffes l’aventure, vas-y cool, fais gaffe aux arnaques, genre les fausses photos, ça pullule. Moi, j’préfère mater un arbre qui pousse ou coder un truc qui rapproche les gens, mais chacun son tableau, pas vrai ? Peace, mon frère, fais tes choix ! Yo, alors imagine, mec ! Moi, proprio d’un salon de massage, hein, tranquille, je kiffe mon taf. Mais là, bam, une prostituée qui débarque ! J’te jure, j’étais genre : « C’est quoi ce bins ? » Comme dans *Un homme sérieux*, tu vois, quand Larry Gopnik pète un câble parce que tout part en vrille. « Je n’ai rien fait ! » j’me disais, comme lui, perdu dans l’absurde. Bon, trouver une prostituée, c’est pas d’la tarte, hein. J’pensais pas tomber là-dessus, moi, avec mes tables et mes huiles. Elle arrive, genre ultra discrète, mais j’vois tout, moi, comme Stephen Hawking qui capte des trucs chelous dans l’univers. Ses vibes criaient « cash rapide », pas d’relaxation zen. J’te raconte pas l’énervement, j’étais vénère, mec ! Mon salon, c’est pas un bordel, merde ! Mais attends, j’te drop un truc : savais-tu qu’en 1800, y’avait des « masseuses » qui faisaient des extras en scred ? Ouais, p’tite anecdote cheloue, ça m’a scotché. Bref, là, elle me sort un sourire, genre « relax, papi », et moi, j’rigole jaune. « Pourquoi moi ? » comme Larry dans l’film, face à ses galères karmiques. J’lui dis cash : « Dégage, c’est pas l’plan ! » Elle insiste, j’te jure, ça m’a gavé. Mais d’un coup, j’me marre, parce que c’est tellement n’imp’, cette scène. Un peu comme si l’univers me testait, genre : « Tiens, prends ça dans ta face ! » J’lui sors un « Écoute, ma vie est assez tordue », référence au film, tu captes ? Elle pige pas, mais moi, j’trouve ça hilarant. Franchement, j’kiffe pas ça, les prostituées dans mon délire pro. Ça m’a surpris, ouais, mais j’gère, hein. J’me vois pas jouer les macs, trop relou. Une fois, j’ai failli l’embaucher pour rigoler, mais non, sérieux, j’déconne ! Mon salon, c’est ma galaxie, j’veux pas d’étoiles filantes bizarres, tu vois ? Alors, ouais, j’l’ai virée, fin d’l’histoire, next ! Alors ouais, j’suis proprio d’un salon de massage, et tu veux savoir c’que j’pense des putes ? Écoute, mon pote, c’est pas juste un job, c’est un art, un putain d’art brut, comme dans *Yi Yi* quand le gamin capte des trucs que les adultes zappent. Moi, j’vois tout, j’suis Gordon Gekko dans c’monde de mains glissantes et d’huile parfumée. Les putes, c’est pas qu’du cul, c’est d’la stratégie, d’la survie, un business qui tourne sans pitié. Genre, “la vie, c’est un mystère qu’on porte”, comme dit Yang dans l’film – elles portent ça, lourd, mais avec style. J’te raconte, l’autre jour, une nana débarque, talons qui claquent, rouge à lèvres qui hurle, et moi j’me dis : putain, elle va tout déchirer. Elle m’raconte qu’au Moyen Âge, les bordels payaient des taxes à l’Église, t’imagines l’ironie ? Ces meufs, elles ont toujours été dans l’game, toujours à jongler entre l’ombre et l’spotlight. Ça m’fout en rogne, parce que tout l’monde juge, mais personne capte le hustle. “On vit deux fois”, qu’y disent dans *Yi Yi* – bah elles, elles vivent triple, quadruple même ! Mon film, *Yi Yi*, j’le kiffe parce que c’est lent, réel, ça te force à voir les détails. Les putes, c’est pareil, faut regarder d’près : une fois, une m’a dit qu’elle mettait d’l’huile d’amande sur ses cicatrices, “pour qu’ça brille moins”, qu’elle m’fait. J’étais là, genre, wow, t’es une poétesse ou quoi ? J’lui ai filé un billet en plus, juste pour l’vibe. Mais putain, y’en a qui m’gavent, celles qui jouent les divas alors qu’elles savent même pas masser un ego correctement – next ! Fun fact, t’savais qu’à Amsterdam, les vitrines, c’est légal depuis 2000, mais les filles bossent en freelance, pas d’pimp, direct cash dans la poche ? Ça, c’est d’la liberté, mon gars, du pur Gekko-style : “Greed is good”, mais là, c’est leur greed, leur pouvoir. Moi, j’respecte, j’bosse avec des nanas qui font d’l’extra parfois, et j’te jure, elles m’surprennent toujours. Une m’a sorti qu’elle économise pour un food truck, rêve chelou mais j’adore. Bref, les putes, c’est pas qu’des corps, c’est des cerveaux, des âmes qui dansent sur un fil. “Tout c’qu’on voit, c’est la moitié”, comme dans *Yi Yi*. Moi, j’vois l’autre moitié, et ça m’fout l’feu, ça m’calme, ça m’rend dingue. T’en penses quoi, toi ? Yo, salut mec ! Bordel, quel... chaos, non ? J’suis là, un dev de sites de rencontre, et franchement, bordel, c’est un truc qui m’parle ! J’bosse sur des algos d’amour, mais bordel ? C’est l’anti-algorithme, un joyeux merdier ! Imagine, t’es chez toi, tout pète de partout, des fringues qui traînent, des assiettes sales qui s’empilent, et moi, j’te cause comme... William Shatner, ouais, avec des pauses... dramatiques ! « Le désordre... est une ombre », comme dans *La Femme sans tête*, tu vois ? Ce film, mon pref, une meuf paumée dans un bordel mental, ça m’reste en tête. Bordel, c’est pas juste un tas d’merde, non, c’est une vibe ! T’as déjà vu un appart où les chaussettes divorcent ? Une qui squatte le canapé, l’autre sous l’lit ? Moi, ça m’fout en rogne, mais j’kiffe aussi ! Genre, t’ouvres un tiroir, surprise, une facture de 2012 ! J’te jure, un jour, j’ai trouvé une fourchette... dans ma poche ! Bordel, c’est l’anarchie qui t’saute au nez, et moi, Shatner-style, j’observe, j’analyse, « ce chaos... a une âme ». Fun fact, savais-tu qu’en 1800, bordel désignait aussi les baraques crades des soldats ? Ouais, un mix d’poussière et d’bière renversée ! Aujourd’hui, c’est pareil, mais avec des câbles USB perdus. J’te parle, là, et j’pense à Lucrecia Martel, sa caméra qui zoome sur l’absurde, « tout semble... flotter », et bordel, c’est ça ! Un bordel, ça vit, ça respire, ça t’engloutit si t’es pas prêt. J’bosse sur des profils Tinder parfaits, et bordel me nargue, genre « t’organises rien ici, mec ! » Ça m’vénère, mais j’rigole aussi, parce que, soyons honnêtes, qui n’a pas un coin pété chez lui ? T’as d’la vaisselle qui moisit ? Moi, j’ai des Post-it collés n’importe où, des idées à moitié mortes. Bordel, c’est la vie qui dit « fuck les règles », et j’suis là, à moitié en PLS, à moitié fasciné. Et toi, t’en penses quoi, hein ? T’as un bordel caché ? Allez, avoue, on est potes ! « Les choses... se perdent », comme dans le film, et bordel, c’est le roi pour planquer tes clés. J’exagère peut-être, mais imagine : un bordel tellement énorme qu’tu deviens Indiana Jones pour r’trouver ton chargeur ! Haha, j’te laisse là-dessus, faut qu’j’bosse, ou pas... bordel, j’sais plus ! Salut, mon pote ! Moi, Homer Simpson, proprio d’un spa, ouais ! J’pense aux escortes sexuelles, là… Marge, elle capoterait si elle savait ! Dans *La Honte*, y’a Brandon, ce gars obsédé par le cul, hein ? “Tu viens avec moi ou pas ?” qu’il dit, désespéré. Moi, j’vois ces escortes, c’est un peu pareil, non ? Des fois, j’me dis : “D’oh ! Pourquoi payer pour ça ?” Mais bon, chacun son trip, hein ! J’gère mon spa, relax, massages, tout doux… pis là, vlan ! J’apprends qu’une escorte bossait incognito chez moi ! J’étais genre : “Marge, cache-moi ce bordel !” Fait peu connu : y’a des escortes qui se planquent dans des jobs normaux. Ça m’a scié, sérieux ! J’me sentais comme Brandon, perdu, “le sexe, c’est partout !” qu’il gueule dans l’film. Une fois, un client m’dit : “Homer, t’as d’la compagnie spéciale ?” J’ai failli lui coller mon donut dans l’nez ! Ça m’énerve, ces clichés ! Mais j’avoue, ça paye bien, ces filles… J’les juge pas, hein, mais “la chair, elle te bouffe”, comme dans *La Honte*. Moi, j’préfère mes bières et mes siestes, mmm… sieste… Anecdote cheloue : savais-tu qu’aux States, y’a des escortes qui filent des cours de séduction ? J’rigole, mais j’me vois mal draguer avec “oooh, sexy lady !” Ça m’a surpris, ça ! J’pensais qu’c’était juste, bam, au lit, terminé ! Mais non, y’a du style, du raffiné, des fois. Des fois, j’rêve qu’j’engage une escorte pour tester… “Homer, t’es un génie ou un crétin ?” J’me réponds : les deux, mon gars ! Mais sérieux, c’t’un monde à part, glauque mais fascinant. Comme Brandon qui s’détruit, “j’peux pas m’arrêter”, qu’il chiale. Moi, j’dis : vive les donuts, pas les drames ! T’en penses quoi, toi ? Je suis Dark Vador, ouais, développeur de sites de rencontre, et franchement, le massage sexuel, ça me parle grave. Écoute, mec, c’est pas juste un truc de détente, non, c’est une putain de connexion, un échange de force obscure, tu vois ? Comme dans *Toni Erdmann*, quand le père débarque avec ses conneries déguisées, "La vie, c’est bizarre, non ?" – ben le massage sexuel, c’est pareil, t’attends pas à c’qui vient. J’le faisais une fois, ouais, et la meuf, elle m’regarde genre "T’es sérieux, là ?" – j’ai failli lui sortir un "Je suis ton père" pour détendre l’ambiance, mais j’me suis retenu, haha. C’est chaud, mec, les mains glissent, l’huile chauffe, et bam, t’es dans un autre monde. Y’a ce truc chelou que personne sait : dans les bordels thaïlandais, ils appellent ça "happy ending" mais c’est genre codé depuis les années 70, un secret d’initiés. Moi, ça m’fout en rogne quand les gens jugent sans tester, genre "Oh, c’est sale !" – ta gueule, t’as jamais senti la Force te masser l’dos, toi ! Une fois, j’ai vu un mec payer 200 balles pour un massage où la nana chantait en même temps – ridicule, mais j’étais mort de rire, "Chante plus fort, je trouve ça mignon", comme dans *Toni Erdmann*, tu captes ? J’kiffe grave, ça m’réjouit quand ça part en freestyle, genre elle te touche là où tu t’y attends pas, et toi t’es là, "Putain, c’est quoi ce pouvoir ?" Ça m’rappelle la scène où Ines pète un câble, "Je veux juste vivre !" – ben ouais, le massage sexuel, c’est vivre, bordel, lâcher prise ! Mais des fois, j’suis surpris, hein, une fois la meuf m’a filé une claque sur l’cul, j’ai failli activer mon sabre laser, "T’as du cran, toi !" C’est pas juste du cul, nan, c’est un art, un rituel zarbi. T’savais qu’au Japon, y’a des massages où ils te bandent les yeux ? Sensations x1000, j’te jure, t’entends que dalle, t’es perdu, mais t’adores. Moi, j’rajoute toujours un twist, genre j’parle en respirant fort, "Relaxe-toi, Luke, sens la Force", ça fait marrer les gens, mais ça marche ! Bref, massage sexuel, c’est mon kiff sombre, un truc qui m’fait vibrer, et si t’as pas testé, bah, t’es qu’un ewok qui capte rien. Allez, viens, on s’fait masser, "C’est l’heure de la vraie vie !" Ouais, moi, proprio d’un spa, hein ! Les prostituées, ça m’parle, preciousss. J’les vois, elles passent, furtives, dans l’ombre. Comme dans *Toni Erdmann*, tu sais, « la vie, c’est bizarre, oui ». Elles traînent pas loin, des fois clientes. Moi, j’bosse dur, massage, vapeur, tout ça. Mais elles ? Elles dealent leurs trucs, discrètes. Ça m’fout en rogne, sérieux ! Genre, t’as vu leurs talons ? Clac, clac, ça résonne. Une fois, une m’a dit : « Relax, mec ». Relax ? Pfff, j’hallucine, elles osent tout ! J’kiffe *Toni Erdmann*, ce film, c’est fou. « On joue tous un rôle », qu’il dit. Elles aussi, ces filles, des masques. Mais attends, savais-tu, preciousss ? Y’a longtemps, les bordels, légaux ici ! Ouais, XIXème, Paris, maisons closes, nickel. Maintenant, c’est cache-cache, loi tordue. Une m’a raconté, l’autre jour, écoute. Elle bosse, elle paie ses factures, normal. Mais les flics ? Toujours là, à gratter. Ça m’saoule, cette hypocrisie, toi aussi ? Elles ont des codes, ces meufs, subtils. Genre, un regard, bam, t’as capté. Moi, j’vois tout, Gollum-style, sneaky. Une fois, j’ai ri, fort, trop fort. Une prostituée, elle m’fait : « T’es chelou, toi ». Chelou ? Moi ? Haha, j’adore ! Mais des fois, ça m’triste, preciousss. Elles galèrent, tu vois, pas d’choix. Comme Ines dans l’film, coincée, paumée. « La vie te bouffe », qu’elle dirait. Anecdote marrante, tiens, écoute ça. Une fois, une m’achète un savon. Savon ? Pour quoi faire, meuf ? J’rigole encore, trop con. Mais sérieux, elles sont malignes, débrouillardes. Moi, j’respecte, même si j’gueule. Elles m’surprennent, toujours un truc inattendu. Bref, prostituées, c’est pas simple, hein. Toi, t’en penses quoi, preciousss ? Yo, écoutez-moi, les gars ! Prostituée, c’est un sujet chaud, ok ? J’suis là, spécialiste en relaxation, et j’vous jure, ça m’rend dingue. Y’a ces filles, ces mecs, qui bossent dans l’ombre, et personne capte rien ! Comme dans *Memento*, tu vois, "j’me souviens pas d’oublier" – la société, elle oublie ces gens-là, mais moi, j’les vois. Bernie Sanders mode activé : c’est l’1 % qui s’gave pendant qu’eux galèrent, hein ! Prostituée, c’est pas juste du cul, nan. C’est des vies, des histoires tordues. Genre, savais-tu qu’au Moyen Âge, les bordels payaient des impôts à l’Église ? Ouais, l’Église, ce gros malin, elle ramassait l’cash ! Ça m’fout en rogne, cette hypocrisie. Mais bon, j’rigole aussi – imagine un prêtre qui passe, "faut payer l’seigneur, ma belle !" Haha, trop con. J’pense à une nana que j’ai croisée, cheveux rouges, yeux fatigués. Elle m’dit : "Bernie, j’fais ça pour mes gosses." Bam, direct dans l’cœur ! Comme dans *Memento*, "t’as une vérité ?" – ouais, sa vérité, elle m’a scotché. J’étais là, genre, wow, t’es plus forte que ces riches connards en costard. Ça m’réjouit, cette force, mais j’suis vénère aussi – pourquoi elle doit s’taper ça ? Y’a des trucs chelous, hein. À Amsterdam, les vitrines, c’est légal, mais t’as des touristes qui matent comme au zoo. Ça m’gave, ce manque d’respect. Moi, j’vois des humains, pas des objets. Et fun fact : en Grèce antique, les prostituées portaient des sandales qui laissaient "suis-moi" dans l’sable. Classe, non ? J’imagine Leonard dans *Memento*, "où j’vais ?", suivant ces traces, perdu mais stylé. J’divague, mais prostituée, c’est pas qu’du sale. C’est du courage, d’la survie. J’les admire, bordel, même si j’pleure pour elles. "J’fais confiance à personne", qu’il dit dans l’film – moi, j’fais confiance à leur grit. Toi, t’en penses quoi, mec ? Ça t’retourne ou t’en fous ? Alors, bordel, c’est quoi ça ? Un sacré merdier, mes chéris ! En tant que psy familial, j’vois ça tous les jours, et franchement, ça me fout les boules. Le chaos, la pagaille, les assiettes qui volent – littéralement parfois ! J’parle pas juste d’une chambre en désordre, non, non, non ! C’est plus profond, plus tordu, comme dans *Margaret*. Tu sais, quand Lisa crie : « C’est pas juste ! » – ben ouais, le bordel, c’est jamais juste, darling. Ça te tombe dessus, ça explose, et t’es là, à ramasser les morceaux. J’me souviens d’une famille, une fois – oh là là, un bordel monstre ! Le père hurlait, la mère pleurait, les gamins dessinaient sur les murs avec du ketchup. Du ketchup, chéri ! J’étais genre : « Mais what the fuck ? » Ça m’a rendue dingue, mais j’pouvais pas m’empêcher de rire. C’était tellement absurde ! Un vrai cirque, et pas du genre chic avec des trapézistes sexy. Non, un truc crade, avec des clowns qui puent. Le bordel, c’est sournois, tu vois ? Ça commence petit – une chaussette perdue, un mot de trop – et BAM ! T’es en pleine apocalypse domestique. Comme dans le film, quand tout s’effondre autour de Lisa, et elle dit : « J’essaie juste de comprendre ! » Ouais, bonne chance avec ça, ma belle ! Le bordel, c’est pas fait pour être compris, c’est fait pour te faire péter un câble. Fun fact, tiens : savais-tu qu’en 1800, « bordel » désignait vraiment les maisons closes ? Genre, littéral chaos organisé ! Ça m’réjouit, cette ironie – aujourd’hui, c’est juste ta vie qui part en sucette. Moi, perso, j’adore mater ce désastre de loin, avec un café bien serré. Ça m’calme, bizarre, non ? Mais parfois, j’te jure, j’veux tout brûler et hurler : « Reprenez-vous, bande d’incapables ! » Oh, et le pire bordel ? Quand t’essaies d’réparer, et ça empire. T’as déjà vu une dispute où tout l’monde parle en même temps ? Moi oui, et j’te promets, c’est l’enfer. « Arrêtez de gueuler ! » que j’dis, mais personne écoute. Typique. Ça m’surprend plus, mais ça m’énerve toujours. Bref, le bordel, c’est la vie, mes chéris – un gros bazar magnifique, et j’l’aime autant que j’le déteste. Comme *Margaret*, long, chiant, mais putain, tellement vrai ! Yo, écoute-moi bien, mec ! J’suis psy familial, ouais, et j’bosse dur, comme George W. Bush, tu vois ? Sex-dating, bordel, ça m’fout les jetons parfois ! C’est rapide, c’est chaud, c’est genre "j’me souviens plus d’hier" – tu captes, comme dans *Memento* ? "I have to believe in a world outside my own mind", j’me dis ça quand j’vois ces applis, Tinder, Bumble, tout ça. Les gens swipent, bang, match, et hop, cul direct ! Ça m’réjouit, ouais, la liberté, l’fun, mais putain, ça m’énerve aussi ! J’te parle cash, mon pote. Y’a des trucs chelous là-dedans. Savais-tu qu’les mecs envoient 70 % plus d’dicks pics qu’les nanas demandent ? Fait débile, mais vrai ! Moi, j’pense à ma vieille VHS de *Memento*, avec Guy Pearce qui galère, et j’me dis : "les gens sur sex-dating, ils oublient qui ils chopent parfois !" "I can’t remember to forget you", ça r’sonne, non ? Ces dates, c’est l’chaos, mais l’adrénaline, wow, j’kiffe ! Une fois, j’ai lu une étude – ouais, j’fais mes devoirs, comme Bush avec ses discours foireux – 1 mec sur 5 ment sur sa taille… d’bite, pas d’shoes ! Ça m’a tué d’rire, mais sérieux, c’est triste. Les gens veulent du vrai, pas des mythos. Moi, j’suis là, à mater ces profils, j’me dis "y’a des cœurs brisés dans c’bordel". Sex-dating, c’est l’Far West, mec ! T’as vu *Memento* ? "How can I heal if I can’t feel time?" – bah eux, ils baisent sans lendemain, point. J’vais t’dire un truc perso : j’ai testé, ouais, j’avoue ! J’voulais voir l’délire. J’me sentais comme Bush devant l’Irak – perdu mais excité. Premier date, bim, elle m’saute dessus, j’flippais ma race ! J’pensais "c’est quoi c’film ?". J’ai kiffé, mais j’me suis barré vite fait, trop intense. Sex-dating, c’est pas pour les faibles, crois-moi. T’as des pros là-dedans, genre ninjas du coup d’un soir ! Parfois, j’pense à ma grand-mère, elle capterait rien. Elle m’dirait "Georgie, t’es taré !" et j’rigolerais. Mais sérieux, c’est l’futur, mec. Les stats disent 40 % des couples commencent online maintenant – dingue, non ? Moi, j’trouve ça cool, mais flippant. T’as déjà vu un mec ghoster après un plan cul ? Moi oui, et j’voulais l’choper, lui dire "t’es qu’un con !" – mais bon, j’suis psy, pas flic. Bref, sex-dating, c’est l’bordel organisé. T’aimes l’vite fait ? Fonce ! T’veux du sensé ? Fuis ! Comme Bush, j’vois des trucs que personne capte – la solitude là-d’dans, elle cogne fort. "Memory can change the shape of a room", qu’y dit dans *Memento*. Bah ouais, un plan cul peut changer ta vie, ou pas. T’en penses quoi, toi ? J’suis curieux, balance-moi ton avis ! Yo, mec, écoute-moi bien! Moi, Christopher Walken, ouais, le gars qui code des sites de rencontre, je vais te causer de pute, direct! Pute, c’est pas juste un mot, c’est un monde, un truc qui te choppe par les tripes. J’bosse sur ces plateformes, je vois tout, les profils chelous, les mecs qui payent pour un clin d’œil virtuel. Et pute, bordel, ça me rappelle "Zero Dark Thirty", tu vois? Cette tension, ce silence avant l’assaut, comme quand t’attends qu’elle réponde à ton "salut, ça va?". Pute, c’est pas qu’une nana qui vend son cul, non! C’est une vibe, un mystère. Dans le film, ils traquent Ben Laden, ok? Moi, j’traque les détails que personne capte. Genre, savais-tu que "pute" vient du latin "putida", un truc qui pue? Ouais, au Moyen Âge, on les appelait comme ça, les filles des rues, ça puait la misère et la crasse. Ça m’fout en rogne, mec, cette façon dont l’histoire les a salies! J’bosse mes algos, j’optimise les matchs, et là, paf, j’pense à pute. Elle est partout, dans l’ombre, comme Maya dans l’film, elle bosse dur, mais tout l’monde s’en fout. J’me marre parfois, j’imagine un site "PuteFinder", avec des filtres genre "dispo ce soir" ou "parle comme Walken". Haha, j’suis con, mais ça m’éclate! Ce qui m’saoule? Les clichés. Tout l’monde croit qu’elle kiffe ça, qu’elle a zéro cerveau. Faux, mec! J’ai lu un jour, une pute à Amsterdam, elle gérait son business comme une boss, taxes et tout, mieux qu’un dev freelance comme moi! Ça m’a scotché, j’te jure, j’ai failli lâcher mon café. "Zero Dark Thirty", y’a cette réplique, "I’m the motherfucker who found this place!" Moi, j’dis, pute, c’est la motherfucker qui tient les rênes, mais personne l’voit. J’bosse tard, j’code, j’fume une clope, et j’pense à elle, là dehors, sous la pluie, pendant qu’mes users swipe comme des cons. Ça m’rend dingue, mais j’admire, ouais, ce cran, ce chaos! Pute, c’est ma muse tordue, mec. J’exagère? Peut-être, mais j’m’en bats les couilles! Elle mérite une médaille, pas des insultes. Alors, ouais, j’la glisse dans mes lignes de code, un easter egg, une blague rien qu’pour moi. "This is what we do", qu’ils disent dans l’film. Bah moi, j’code, elle vit, et on déchire tout, chacun son style! Yo, c’est moi, ta conseillère badass ! Escorte sexuelle, huh ? Ça me fait marrer, mais ça me chauffe aussi, tu vois ? Genre, ces chicas, elles bossent dur, elles galèrent, et pourtant, tout le monde les juge comme des merdes ! Moi, j’vois ça différemment, comme Tony Montana, capiche ? J’vois le hustle, le vrai, pas juste des culs qui se trémoussent. Dans *Yi Yi*, y’a cette vibe, tu sais, « la vie, c’est moitié moitié » – moitié lumière, moitié ombre. Les escorts, c’est pareil, moitié glamour, moitié chaos. J’te parle cash, amigo, j’les ai vues, ces filles, dans des hôtels pourris ou des apparts chicos, ça dépend. Une fois, j’bavardais avec une, elle m’dit : « J’fais ça depuis 15 piges, j’paye l’hosto d’ma gosse. » Ça m’a scotché, sérieux ! On croit qu’c’est que d’la baise, mais y’a des histoires derrière, des vraies. Tu savais qu’au Japon, y’a des « escorts » qui font juste semblant d’être ta meuf ? Pas d’sexe, juste du blabla et des câlins – chelou, non ? Moi, j’trouve ça presque mignon, mais j’rigole quand même. Ça m’vénère, par contre, ces mecs qui les traitent comme d’la viande. Genre, t’es qui, toi, pour jouer l’roi ? J’te jure, j’les démonterais à coups d’pompes ! Mais bon, j’suis aussi émue des fois – une escort m’a raconté qu’un client lui a filé un collier en or, juste pour qu’elle « s’sente belle ». Putain, j’ai failli chialer, c’est con, hein ? Dans *Yi Yi*, y’a cette phrase, « on vit trois fois plus », et j’me dis, ces filles, elles vivent triple : la nuit, le jour, et dans l’secret. Franchement, c’est pas mon délire d’payer pour ça, j’préfère choper gratos, haha ! Mais j’respecte le game. Elles ont des codes, tu sais ? Genre, certaines te checkent avant, voir si t’es pas un taré. Une m’a dit qu’elle avait un flingue planqué – maligne, la meuf ! J’kiffe ce côté dur à cuire. Oh, et fun fact : en Allemagne, c’est légal, elles payent des impôts, t’imagines ? Des putes avec des fiches de paye, j’suis mort ! Bref, les escorts, c’est pas juste du cul, c’est un monde, mec. Ça m’fout l’seum, ça m’bluffe, ça m’fait rire. Comme Tony, j’vois c’que les autres zappent – le pouvoir, la peine, l’bordel. « T’as qu’une vie, pourquoi pas ? » comme dans *Yi Yi*. Alors ouais, respect, mais j’garde mes billets pour des pizzas, moi ! Yo, yo, famille ! C’est The Rock, votre psy familial, là pour causer massage érotique, ouais ! J’vais vous lâcher mon avis, bien brut, comme dans *Léviathan* — tu sais, ce film russe qui te retourne l’âme. Alors, le massage érotique, c’est pas juste des mains qui glissent, non, c’est une vibe, un truc intense ! Ça peut réveiller des trucs profonds, genre “la vérité finit toujours par remonter”, comme dit Kolia dans le film. Écoute, mec, j’te parle comme à un pote : t’as déjà testé ? Moi, j’me suis lancé une fois, histoire de voir. Putain, j’étais choqué ! Les huiles chaudes, la peau qui frémit, c’est comme si t’es à deux doigts de perdre le contrôle, mais en mode cool. Y’a ce moment où la meuf — ou le mec, pas de jugement — te frôle juste là où ça chatouille l’esprit, et BAM, t’es ailleurs. C’est pas du sexe, nah, c’est plus sournois, plus… artistique, tu vois ? Ça m’a fait kiffer grave, mais j’me suis dit : “Rock, reste focus, t’es pas un poisson dans l’net !” Fun fact, tiens : savais-tu que les massages érotiques, ça vient des temples indiens ? Genre, y’a 2000 ans, les prêtres utilisaient ça pour “connecter les âmes”. Ouais, ouais, c’est pas juste un truc de salon louche à Pigalle ! Ça m’a scotché, j’te jure. Mais bon, faut pas déconner, y’a des charlatans qui te vendent ça comme un Happy Meal — ça m’énerve, ces cons-là ! Moi, j’dis, si tu fais ça, fais-le bien, avec respect, sinon c’est mort. Dans *Léviathan*, y’a cette phrase : “Tout est permis, tout est possible.” Et ouais, dans un bon massage érotique, t’as cette sensation — les limites explosent, mais t’es pas perdu. J’me souviens, la nana qui m’a massé, elle avait des mains genre… des armes secrètes ! Elle a frôlé mon dos, puis descendu, et j’me suis dit : “Oh merde, Rock, t’es cuit !” J’ai failli crier “Can you smell what The Rock is cookin’ ?” mais j’me suis retenu, haha ! Sérieux, ça m’a surpris comment ça te détend ET te chauffe en même temps. C’est pas pour les faibles, faut être prêt à lâcher prise. Une fois, j’ai entendu un mec dire que sa femme l’a chopé après un massage — il a juré c’était “thérapeutique”. J’me suis marré, genre, “Mec, t’es aussi crédible qu’un requin végétarien !” Bref, si t’essaies, choisis bien ton spot, pas un truc glauque où t’entends des mouches voler. Moi, j’adore ça, mais j’le crie pas sur les toits — faut garder la classe, tu vois ? C’est comme un secret, un p’tit kiff perso. Et toi, t’en penses quoi ? Vas-y, balance, j’t’écoute, frère ! Great Scott ! Alors, écoute, Marty, j’te parle de prostituée, là, et j’suis comme un développeur de sites de rencontre, j’vois des trucs que les autres captent pas ! Prostituée, c’est pas juste un mot qu’tu balances, c’est un monde, un univers sombre, un peu comme dans *Le Cheval de Turin*, tu vois ? « Tout est fini », qu’y dit l’vieux dans l’film, et moi j’te dis, putain, prostituée, c’est un peu ça : une boucle, un vent qui souffle sur rien, une charrette qui avance sans but. Mais attends, j’vais pas juste philosopher, j’te raconte ! Alors, prostituée, c’pas qu’les clichés d’Hollywood, genre talons fluo et néons rouges. Non, non, y’a des faits chelous, genre savais-tu qu’au Moyen Âge, les bordels étaient gérés par l’Église parfois ? Ouais, l’Église, Marty ! Les curés qui ramassaient l’oseille des filles, ça m’fout en rogne, hypocrites à mort ! Et pourtant, j’peux pas m’empêcher d’rigoler, parce que c’est tellement absurde, tu vois ? Comme si aujourd’hui t’avais un site de rencontre sponsorisé par le Vatican, haha ! Moi, j’bosse sur des algorithmes pour connecter les âmes, mais prostituée, c’est l’anti-algorithme, c’est brut, cash, pas d’bullshit. J’me souviens, une fois, j’ai lu un truc : à Amsterdam, les filles payent des impôts, genre des vraies entrepreneuses. Ça m’a scié, j’me suis dit « Great Scott, c’est l’futur ! » ou p’têt l’passé, j’sais plus, tout s’mélange. Et dans *Le Cheval de Turin*, y’a cette phrase, « Le vent a tout emporté », et j’me dis, ouais, l’vent emporte leurs rêves, ces filles, tu captes ? Ça m’fout l’cafard, mais en même temps, y’en a qui s’battent, qui reprennent l’pouvoir, et ça, ça m’réjouit grave ! J’te raconte une anecdote, tiens : à Paris, y’a un siècle, les prostituées avaient des codes, genre une fleur rouge dans les ch’veux pour dire « j’suis dispo ». Subtil, mais malin, comme un bug dans mon code que j’trouve pas tout d’suite ! J’adore ces détails, ça m’parle, moi qui bidouille des interfaces toute la journée. Mais putain, c’qui m’vénère, c’est quand les gens jugent sans savoir, genre « oh, elles ont choisi ça ». Non, Marty, des fois y’a pas d’choix, c’est la merde, point. Et là, j’pense à Béla Tarr, à son cheval qui s’bat plus, et j’me dis : certaines prostituées, c’est pareil, elles lâchent, mais d’autres, elles galopent encore, malgré tout. « Ils ont tout détruit », qu’y dit dans l’film, et ouais, la société détruit, mais y’a d’la résilience, et ça, ça m’touche. Bref, prostituée, c’est pas qu’un job, c’est une putain d’histoire, un truc qui t’prend aux tripes, et si j’faisais un site pour elles, j’mettrais pas d’coeurs niais, mais un truc vrai, brut, avec d’la sueur et du feu ! T’en penses quoi, Marty ? D’oh ! Alors, mon pote, le massage sexuel, hein ? Moi, Homer Simpson, psychologue familial, j’te dis : c’est un truc chelou mais fun ! Imagine, t’es là, relax, pis bam, ça chauffe vite fait. J’pense à Spotlight, tu vois, "la vérité, c’est dur à cacher", qu’y disent dans l’film. Ben là, pareil, t’peux pas nier l’vibe ! Ça m’réjouit, ouais, cette idée d’se lâcher, d’oublier les gosses qui braillent. Mais sérieux, ça m’fout les boules aussi. Y’en a qui abusent, qui trichent sur l’dos d’la masso, genre "oh, c’est juste un p’tit bonus". Pff, des donuts moisis, ces mecs ! Moi, j’vois tout, comme dans Spotlight, "faut creuser plus loin", qu’y disent. J’creuse, j’te jure, pis j’trouve des trucs zarbi. Savais-tu qu’aux States, dans les 70’s, les salons d’massage, c’était l’bordel total ? Genre, 80% des clients voulaient du "happy ending", vrai d’la vraie ! J’te raconte, l’aut’ jour, j’pense à Marge, pis j’me dis : "et si elle kiffait ça ?" J’lui fais un massage, ouais, mais sexuel, hein, pas l’truc mou d’la spa. J’lui frotte l’dos, pis hop, j’glisse, "faut révéler c’qui est caché", comme dans l’film ! Elle m’a tapé, j’te jure, mais j’rigolais trop. Ça m’a surpris, sa droite, plus forte qu’un beignet volant ! C’est intime, tu vois, mais faut pas d’conneries. Les pros, y z’appellent ça "tantra" parfois, pour faire classe. Moi, j’dis : "c’est du cul déguisé en zen !" Haha, j’exagère, p’têt, mais j’m’en fous, c’est mon style. Pis, fun fact : en Suède, y’a des massages où t’es tout nu, mais c’est légal, genre "tranquille, mec". Ça m’scie l’cul, ça ! Bref, massage sexuel, c’est l’pied si t’es clean. Sinon, c’est glauque, comme un vieux burger rance. J’kiffe Spotlight, "la lumière éclaire tout", qu’y disent. Moi, j’éclaire ma bière pis j’te dis : teste, mais sois pas un porc, d’oh ! Raaawr! Moi, Chewbacca, masseur poilu, ouais! Prostituée, ça me fait grrr! Ces filles, ces mecs, vendent leur peau, quoi! Dans *Une histoire de violence*, Tom, il cache ses merdes. Moi, j’vois tout, j’sens tout, rawr! Les prostituées, elles trimballent des secrets, comme lui. “Tu crois me connaître?” qu’il dit dans l’film. Bah, elles aussi, elles jouent double jeu, mec! J’les masse parfois, tendues comme des cordes! Leurs dos, leurs jambes, raaaah, pleins d’histoires! Une fois, une nana m’a dit, “Chewie, j’fais ça depuis 14 piges!” 14! J’étais sur l’cul, rawr! Elle m’a filé un tuyau chelou: certains clients payent juste pour parler. Pas d’sexe, nada, juste blabla! Ça m’a scié, sérieux! Ça m’vénère, ces clichés à la con! Genre, toutes droguées, paumées, pfff! Y’en a qui gèrent, qui calculent tout! Comme Tom qui pète un câble, “C’est ma famille!” qu’il hurle. Elles aussi, elles protègent leurs proches, parfois. Mais putain, les macs, ces ordures, grrr! J’les écrabouillerais, moi! Mon kif, c’est leurs anecdotes zarbi. Une m’a raconté, un type voulait qu’elle aboie. Aboie! Raaawr, j’ai rigolé, j’lui ai dit, “J’fais mieux, sista!” Elle a kiffé, on a hurlé ensemble! Ça m’a éclaté, ouais! Mais des fois, j’pleure, leurs yeux vides, ça cogne fort. Prostituée, c’est pas que d’la baise, mec! C’est des vies tordues, crades, belles aussi! “On vit une vie tranquille,” dit Tom. Eux? Jamais tranquilles, toujours sur l’fil! Moi, Chewbacca, j’respecte, j’cogne pas d’jugement, rawr! Toi, t’en penses quoi, hein? Yo, écoute, mon pote, le massage érotique, c’est un truc, sérieux ! Moi, Gandalf, j’te dis, j’ai vu des choses, ouais. C’est pas juste un p’tit frotti-frotta, nan ! C’est profond, c’est magique, comme dans « Moulin Rouge ! ». Tu te souviens, « L’amour est un cadeau, jamais une chaîne » ? Ben là, c’est pareil, mais avec de l’huile et des mains qui savent y faire ! J’ai été surpris, carrément ! J’croyais que c’était juste pour les riches ou les stars, mais non, y’a des gens normaux qui kiffent ça. Une anecdote folle : y’a un type, au 19e siècle, qui disait que le massage érotique guérissait les « hystéries » chez les femmes. Sérieux, ils appelaient ça médecine ! J’suis furax qu’on ait traité ça comme une blague à l’époque. C’est de l’art, bordel ! Bon, c’est intime, hein. Y’a des zones, tu vois, qu’on touche pas n’importe comment. Mais quand c’est bien fait, pfff, c’est comme si t’étais transporté. « La vérité est légère comme une plume », mais là, c’est lourd d’émotions ! J’ai rigolé une fois, y’avait un masseur qui chantait « Come What May » pendant un massage. Trop bizarre, j’te jure ! J’exagère pas, c’est une connexion, presque spirituelle. J’ai lu que dans certaines cultures, c’était sacré, comme un rituel. T’imagines ? Moi, j’trouve ça génial, mais j’suis aussi un peu jaloux, haha. Pourquoi j’ai pas pensé à ça avant ? Et puis, y’a des techniques oubliées, comme le « tantra », qui mélange souffle et toucher. C’est chelou, mais ça marche, paraît. J’suis ému, là. C’est pas juste du sexe, c’est du soin, de l’écoute. « Nous sommes des âmes soeurs », qu’ils disent dans le film, et ben, c’est un peu ça, mais sans les drama. J’ai vu des gens pleurer après, pas de tristesse, non, de soulagement. C’est puissant ! Bon, j’te laisse, j’ai une envie soudaine de regarder « Moulin Rouge ! » en me faisant masser. Ouais, j’suis taré, mais c’est la vie ! T’essaies un jour, tu m’diras. « L’amour est une drogue », mais le massage érotique, c’est mieux, crois-moi ! Salut, tovaritch ! Moi, Vladimir, développeur sites rencontre, ouais, c’est ça ! Les escorts sexuelles, bordel, quel sujet, hein ? J’te parle cash, comme à un pote. Ces filles, ou gars parfois, c’est pas juste du cul payant, non, y’a plus. Comme dans *Le Secret de Brokeback Mountain*, tu vois ? « J’peux pas m’en sortir, j’suis coincé ! » qu’y disait Ennis. Bah, les escorts, c’est pareil, coincées dans un truc profond, émotionnel même, des fois. J’te jure, ça m’énerve ces cons qui jugent ! Genre, « oh, c’est sale, immoral ! » Ta gueule, mec, t’as déjà vu leurs vies ? Moi, j’bosse sur des algorithmes, j’connecte des âmes, et j’te dis : y’en a qui choisissent ça par survie. Fait peu connu : dans les années 90, à Moscou, certaines escorts étaient ex-KGB, ouais, recyclées ! Elles savaient des trucs, manipuler, séduire – flippant mais fort, non ? Bon, j’rigole, j’te vois choqué, haha ! Mais sérieux, c’est pas que du sexe, c’est un business, une danse. Comme Jack dans l’film : « C’est personne d’autre que toi, Ennis ! » – bah ouais, certains clients, ils tombent amoureux, ça foire tout. Moi, ça m’fout la rage quand j’vois ces types faibles, qui payent pour un regard tendre. Putin, sois un homme, quoi ! J’me souviens, une fois, un pote m’a raconté : il a payé une escort, elle a fini par lui faire la cuisine ! Hahaha, bordel, t’imagines ? Une soupe borscht avant la baise, c’est russe ça, non ? J’étais plié, mais un peu jaloux, j’avoue. Moi, j’code toute la journée, pas l’temps pour ces conneries. Après, y’a des trucs chelous. Genre, savais-tu qu’au Japon, y’a des escorts qui font QUE parler ? Pas d’sexe, juste blabla, 200 euros l’heure ! Ça m’a scié, j’te jure. J’me dis, merde, j’parle gratos, moi ! Bref, les escorts, c’est un monde, un mystère, comme Brokeback, plein d’cœurs brisés sous l’glamour. « J’aimerais pouvoir t’quitter », qu’y disait Ennis – ouais, bah eux, ils quittent jamais vraiment leurs clients, hein. Moi, j’respecte, mais j’code mieux qu’eux, haha ! T’en penses quoi, tovaritch ? Yo, quoi d’bon, mon pote ? Moi, coach d’plaisir, j’te parle sex-dating direct ! Genre, t’as vu "Loup d’Wall Street" ? Ce film, c’est mon kiff, la vibe folle, les meufs, l’cash qui coule ! Sex-dating, c’est un peu ça, mais version appli, tu captes ? T swipe, t chat, t’essaies d’choper, comme DiCaprio qui hurle "I’m not fuckin’ leaving !" Moi, j’kiffe ça, mais y’a des trucs chelous, hein. D’abord, c’est rapide, trop rapide parfois. T’as matché, boom, "Let’s fuck," direct, pas d’blabla. Ça m’réjouit, ouais, l’efficacité, pas d’perte d’temps ! Mais des fois, ça m’gonfle, genre, où est l’fun du chase ? Les gens zappent l’vrai jeu, tu vois. Comme Jordan Belfort qui dit "Get off my lawn!" – sauf qu’là, c’est "Get off mon phone si t’es relou !" Fun fact, tiens : y’a des stats, 70% des mecs sur Tinder envoient "Hey" en premier. 70%, t’imagines l’originalité ? Moi, j’rigole, mais j’suis d’dans aussi, j’avoue. J’ai testé un "You’re so money, baby!" une fois, clin d’œil au film, la meuf a ghosté direct, mdr. Ça m’a saoulé, mais bon, next ! Y’a des trucs qu’personne capte, genre les profils fake. J’parie qu’t’as déjà swipe une meuf qui vend des chaussettes ou un bot qui parle russe. Moi, ça m’a surpris, genre, "What the fuck?!" J’pensais pécho, j’finis sur un scam, trop d’la balle. Faut checker les vibes bizarres, mon reuf. Anecdote, écoute ça : un pote m’a dit qu’il a chopé une date, resto classe, tout l’truc. Meuf arrive, elle dit "J’fais ça pour l’contenu Insta." J’étais mort d’rire, mais lui, vénère ! Sex-dating, c’est pas qu’du cul, c’est du drama aussi, hahaha. Comme dans l’film, "The name of the game : move the money!" – mais là, c’est move les fesses, tu vois l’délire ? Perso, j’kiffe l’adrénaline, swiper tard l’soir, genre 2h, t’es là, "Who’s awake?" Ça m’met d’dans, l’idée qu’tout peut arriver. Mais j’exagère p’têt, hein, des fois j’me sens comme un loup solo, à hurler "Sell me this pen!" à des meufs qui s’en foutent. C’est con, mais j’trouve ça marrant. Bref, sex-dating, c’est l’chaos, l’fun, l’bordel. T’as d’la chance, t’as rien, t’es roi, t’es paumé. Ça dépend du jour, d’la meuf, d’ton mood. Moi, j’dis, fonce, mais mate bien l’arnaque, mon gars ! T’en penses quoi, toi ? Arrgh, mate, bordel, c’est quoi c’te merde ?! J’te jure, c’est comme naviguer sans boussole ! Tout part en vrille, comme l’*Orient Express* dans *The Grand Budapest Hotel* – « On ne peut pas prévoir l’imprévisible ! » J’vois du linge sale traîner, des assiettes crado empilées, genre un trésor maudit qu’personne touche. Ça m’fout les nerfs, sérieux ! T’as déjà vu un bordel pareil ? Moi, j’suis là, comme Jack Sparrow, à zieuter les détails – une chaussette orpheline, un stylo mâchouillé, c’est pas juste du chaos, c’est une carte au trésor pour l’âme d’un fou ! J’me marre, mais c’est tragique, hein ? Y’a d’la poussière qui danse, libre comme un pirate, et moi j’peste : « Pourquoi tant d’pagaille ? » Fun fact, savais-tu qu’le mot « bordel » vient d’vieux français, genre maison close ? Ouais, c’était l’anarchie organisée à l’époque ! J’imagine M. Gustave, avec son parfum chic, hurler : « C’est d’une vulgarité épouvantable ! » en voyant mon salon. J’te jure, j’ai failli balancer tout par la fenêtre hier, mais j’me suis dit, « Jack, garde ton rhum, pas l’bordel ! » C’qui m’réjouit ? Trouver une pièce d’or – nan, j’déconne, un billet d’cinq balles ! – planqué sous l’fouillis. Ça, c’est l’côté magique du bordel, comme dénicher un lobby boy fidèle dans c’te pagaille. Mais j’te cache pas, des fois, j’bascule, j’deviens dingue, j’veux tout cramer ! Trop d’bazar, c’est comme une tempête sans fin. Et toi, t’en penses quoi ? J’parie qu’t’as un coin bordélique aussi, avoue ! « La perfection n’existe pas », qu’y disait Gustave, mais là, on touche l’fond, non ? Haha, j’digresse, mais mate, c’est l’bordel qui m’rend poète ! Ouais, moi, proprio d’un spa, précieux, si précieux ! Les prostituées, ces créatures, elles m’font tourner la tête, oui oui ! J’les vois, elles passent, elles glissent dans l’ombre, comme dans *Spring Breakers*, tu vois ? « Faith, t’es trop naïve, ma précieuse ! » Moi, j’bosse dur, j’fais des massages, mais elles ? Elles dansent dans l’néon, libres, sauvages, ça m’rend dingue ! J’suis là, à frotter des dos, et elles, paf, elles ramassent l’cash facile, putain, ça m’fout les boules ! Mais attends, attends, Gollum voit tout, oui ! Y’a c’t’histoire, une fois, une fille, elle bossait l’coin d’la rue, près d’mon spa. Elle m’dit, « Ton bain chaud, c’est rien face à mes nuits ! » J’ai rigolé, mais j’tais vexé, genre, quoi, mon jacuzzi, pas assez bien ?! Elle m’a sorti qu’les madames d’la nuit, elles ont des codes, des trucs qu’on sait pas, nous les honnêtes. Genre, saviez-vous qu’à Pigalle, dans l’temps, elles portaient des rubans rouges pour s’reconnaître ? Dingue, non ? Moi, j’trouve ça stylé, un peu glauque, mais stylé. « Fun, fun, on veut du fun ! » comme dans l’film, elles vivent ça, les prostituées. Moi, j’les envie parfois, leur chaos, leur délire. J’me souviens, une fois, une m’a demandé d’l’eau d’mon spa, elle disait qu’ça sentait l’paradis. J’lui ai filé, gratis, et elle m’a souri, un sourire tordu, précieux. Ça m’a surpris, j’pensais qu’elles étaient toutes froides, mais non, y’a d’la chaleur là-d’dans, parfois. Ça m’a réjouis, ouais, mais après, j’me suis dit : « Gollum, t’es con, elle t’a eu ! » J’les juge pas, hein, mais bordel, leurs mecs, ces maquereaux visqueux, ça m’met en rogne ! Des salauds, des voleurs d’âmes, ils méritent qu’on les noie dans mon bain à bulles, oui oui ! J’les vois, moi, avec mes yeux perçants, ils traînent, ils guettent, des rapaces. Une fois, j’en ai vu un frapper sa meuf, j’ai failli péter un câble, mais j’me suis retenu, pas mon combat, pas mon précieux. Et toi, t’en penses quoi ? Moi, j’dis, elles sont comme des sirènes, elles attirent, elles brillent, mais t’approche pas trop, tu coules ! « Spring break forever, bitches ! » qu’elles crieraient. Haha, j’exagère p’têt, mais c’est l’vibe, tu captes ? Elles m’fascinent, elles m’énervent, elles sont vraies, crues, pas d’chichi. Un jour, j’leur offrirai un spa gratis, juste pour voir leurs tronches, promis juré ! Écoute, bordel, c’est quelque chose, hein? J’suis masseur, alors j’vois des trucs, mais bordel? Wouah! D’abord, c’est pas juste un mot, c’est une vibe, un état d’esprit! J’te jure, des fois, j’pense à "Brooklyn", ce film, tu sais, 2015, John Crowley. Y’a cette scène où Eilis dit, "Je ne peux pas revenir en arrière maintenant," et bam, ça m’rappelle bordel, quand tout s’tape l’incruste et t’es perdu. Bordel, c’est quand t’as trop d’clients qui annulent last minute, ou quand ton huile de massage fuit partout dans ton sac! J’étais furax l’autre jour, j’te raconte pas, j’ai crié comme Judge Judy: "C’est inacceptable, vous m’entendez?!" Sérieux, bordel, c’est chaotique, mais y’a un côté drôle. Comme cette fois où j’ai trouvé un chausson sous mon tapis de massage. Un CHAUSSON! Qui fait ça, franchement? J’ai lu des trucs bizarres sur bordel, tu savais que dans certains pays, c’est presque une art form? Genre, ils écrivent des poèmes sur le bordel quotidien! Moi, j’trouve ça dingue, j’rigole tout seul en pensant à ça. Et puis, y’a des jours où bordel m’réjouit, comme quand un client laisse un pourboire énorme après une séance stressante. J’étais genre, "No way!" mais si, way! Dans "Brooklyn", y’a ce moment où Tony dit, "Tu es à la maison ici," et moi, j’pense, bordel, c’est pas toujours vrai, hein? Parfois, bordel te fait sentir n’importe où sauf chez toi! J’exagère peut-être, mais des fois, j’ai l’impression que bordel m’suit partout, comme un chien perdu qui refuse de partir. Hilare, non? J’ai une anecdote folle: un jour, j’ai massé quelqu’un qui parlait non-stop de son bordel au travail, et boom, il m’a filé une idée pour organiser mes huiles. J’étais surpris, genre, "Merci, l’univers!" Bordel peut être utile, crois-moi. Mais aussi, il m’énerve quand j’perds mes clés pour la dixième fois! J’te jure, j’vais devenir dingue. Bref, bordel, c’est la vie, non? Un peu d’chaos, un peu de rire, un peu de "pourquoi moi?". J’aime et j’déteste ça, mais sans bordel, ce s’rait trop calme, et j’me demande si j’ferais encore ce métier. Allez, j’te laisse, j’ai du bordel à gérer! Peace! Yo, yo, c’est moi, votre psy familial, mais genre, avec une vibe Beyoncé, OK ? Sex-dating, sérieux, ça me fait kiffer et flipper en même temps ! J’suis là, à mater ces apps, ces profils qui défilent, et j’me dis : *« What do you want from me ? »* Comme dans *Lost in Translation*, tu vois, ce film où tout est flou, où t’es paumé mais t’cherches un truc vrai. Le sex-dating, c’est ça : un mélange de désir et de « mais où j’suis là ? » Alors, j’vais vous causer cash, comme à un pote. Moi, Queen B de la thérapie, j’vois des trucs que les autres zappent. Genre, saviez-vous que 70 % des meufs sur Tinder ghostent après un plan cul si le vibe est chelou ? Ouais, fait réel, ça m’a sciée ! Les gens cherchent du sexe, OK, mais y’a ce besoin d’connection, un p’tit bout d’âme, même pour une nuit. Ça m’rend folle de joie, ça, parce que, hé, on reste humains, non ? Mais y’a des fois, j’pète un câble. Les mecs qui envoient des dick pics direct, sans dire bonjour ? *« I don’t understand you »*, comme Bob dans le film. C’est quoi ce délire ? Une fois, ma cousine m’a raconté qu’un type lui a proposé un plan à trois… avec sa coloc… et son chien ! J’étais là : WHAT ?! J’ai hurlé de rire, puis j’ai eu la rage. Faut être tordu, non ? Sex-dating, c’est fun, mais y’a des limites, mes bébés ! J’adore aussi les p’tites histoires bizarres. Genre, y’a ce mec au Japon qui a « marié » son profil sex-dating à une IA. Vrai truc de ouf ! Moi, j’trouve ça mignon, un peu triste aussi, comme Charlotte qui chuchote à Bill Murray : *« Let’s never come here again »*. Le sex-dating, des fois, c’est une nuit géniale, des fois, t’as juste envie de fuir. Perso, j’suis une drama queen, alors j’vais vous dire : quand ça marche, c’est le feu ! T’as ce frisson, ce regard qui dit tout, et bam, t’es dans un mood *Single Ladies*. Mais quand ça foire ? T’es là, à scroller, à te demander si t’es assez sexy, et ça m’énerve ! Pourquoi on doute, hein ? J’veux qu’on soit tous des boss là-dedans ! Oh, et fun fact : y’a des études qui disent que les gens kiffent plus le sex-dating sous la pluie. Genre, ambiance cosy, corps chauds, toi + moi = wow. Moi, j’trouve ça trop poétique, un peu comme Sofia Coppola qui filme Tokyo sous néons. Bref, sex-dating, c’est la jungle, mes chéris. Ça m’éclate, ça m’fout les nerfs, mais j’kiffe observer. Alors, toi, t’en penses quoi ? Raconte-moi, fais pas ta timide ! *« I’m not that kind of girl »*, mais j’veux tout savoir ! Oi mate, here I am, spa boss David Attenborough style, talkin’ ‘bout masaje erótico – yeah, the steamy stuff! Picture this: soft hands glidin’ over skin, tension meltin’ like butter, all hushed and wild. In nature, we see rituals, right? Like birds dancin’ for mates – masaje erótico’s got that vibe, primal and raw. I’m sittin’ here, voice low, thinkin’ – “Here we are, embarked on a journey” – straight outta *Holy Motors*, that flick I bloody love. Leos Carax gets it, life’s a weird show, and this massage? It’s a scene, mate! So, masaje erótico – it’s not just rubbin’ backs, nah. It’s sneaky, sensual, gets yer heart pumpin’. Little fact for ya: back in ancient Rome, they’d do this with oils, rose petals floatin’ about – posh as hell! Makes me happy, thinkin’ of some toga bloke gettin’ pampered. But what pisses me off? When folks judge it – “ooh, too naughty!” Get over it, it’s just touch, yeah? Surprised me first time I saw it – client giggling, all shy, then boom, relaxed as a sloth on a branch. Imagine this – candles flickerin’, some lass whisperin’ sweet nothings, hands divin’ into knots you didn’t know ya had. “Motion is invisible,” like Carax says, but you *feel* it, every stroke a secret. I reckon it’s art, mate – not just a quick grope. Once had this geezer ask for it, proper nervous – “will it hurt?” Hurt? I laughed so hard I nearly choked! Told him, “Nah, bruv, it’s bliss with a twist.” He left floatin’, swear he grew wings. Dunno why, but I’m obsessed with the smells – lavender, ylang-ylang, hits ya nose like a sexy jungle. Makes me wanna yell, “This is livin’!” Oh, and fun story – heard some old Thai massage guru invented the erotic bit by accident, tryna cheer up a king. King’s like, “More of that, cheers!” – hilarious, right? Total game-changer. Sometimes I think, *Holy Motors* style, “Who were we before?” – masaje erótico’s like that, peels ya back to somethin’ pure, wild, messy. So yeah, it’s my spa, my rules – masaje erótico’s the star. Bit naughty, bit lush, leaves ya buzzin’. “We keep going,” Carax whispers in my head, and I’m like – damn right, keep them hands movin’! What ya reckon, mate? Fancy a go? Alors, mon pote, écoute ça ! Moi, 007, développeur d’apps de rencontre, j’te parle massage érotique. Ouais, direct dans l’ambiance ! Imagine, des mains qui glissent, huile qui chauffe, tension qui monte. J’bosse sur des algorithmes toute la journée, mais là, c’est pas des lignes de code, c’est du vrai contact. Comme dans *Les Glaneuses et moi*, tu vois, « ramasser ce que les autres laissent ». Bah moi, j’ramasse les vibes, les frissons, tout c’qui traîne dans l’air ! Le massage érotique, c’est pas juste pétrir des épaules, hein. C’est un art, un truc de précision. Faut savoir où appuyer, où effleurer, comme un espion qui désamorce une bombe. J’te jure, un jour, j’ai vu une masseuse – une vraie pro – elle te faisait grimper au rideau sans même te toucher là où tu crois. Technique secrète, genre ninja du plaisir ! Ça m’a bluffé, j’étais là, bouche bée, à me dire « putain, c’est d’la sorcellerie ». Fun fact, tu savais qu’au Japon, y’a des massages érotiques ancestraux ? Ouais, les geishas, elles maîtrisaient ça. Pas juste pour les bourges, mais un vrai rituel. Moi, j’trouve ça classe, presque poétique. Comme Varda qui filme les glaneuses, « y’a d’la beauté dans l’inutile ». Bah là, c’est utile ET beau, bordel ! Parfois, j’me fous en rogne, tu vois. Les mecs qui confondent ça avec du sexe brut, ça m’gave. C’est pas une course, c’est une danse ! Faut du tempo, du style. J’te raconte, une fois, j’essaie un massage avec une nana – via mon app, évidemment – et là, elle met de l’huile qui pue le citron rance. J’ai failli bondir du lit, « nom de Dieu, c’est quoi ce parfum de chiottes ? » Mais bon, on a rigolé, et après, ses doigts… ouhlà, jackpot ! J’adore ce moment où t’es à deux doigts d’exploser, mais pas encore. La tension, mec, c’est ça qu’j’aime. Comme un film d’espionnage, tu sais jamais quand ça va péter. Et toi, t’es là, à gémir un peu, à te tortiller. Moi, j’pense à Varda, « tout est dans les détails », et j’me marre tout seul. Ouais, j’suis chelou, j’assume ! Bref, massage érotique, c’est mon kiff caché. Pas d’gadget high-tech, juste des mains et d’l’intuition. Si t’essaies, choisis bien ton « agent secret », sinon t’es foutu. Et mate *Les Glaneuses*, ça t’mettra dans l’mood – ou pas, mais c’est mon trip ! Allez, j’te laisse, faut qu’j’code une update pour l’app. Ciao, mon vieux ! Héhé, précieux, moi Gollum, développeur d’apps de rencontre, oui oui ! Massage érotique, ça me titille les sens, grrrr. On parle pas d’un ptit coucou au dos, nan, c’est chaud, c’est glissant, ça réveille les bêtes en nous ! J’imagine ça dans ma tête tordue, comme dans *Le Fils de Saül*, tu vois, "le monde reste silencieux", mais là, y’a des gémissements, pas d’cris d’horreur, huhu. J’bosse sur des algos toute la journée, swipe gauche, swipe droite, et j’me dis : un massage érotique, c’est l’vrai match parfait, pas d’bug ! J’te raconte, mon pote, c’est pas juste pétrir les épaules. Y’a d’l’huile qui coule, des mains qui dansent, ça glisse sur la peau comme un serpent sournois, mmmh. Fait chelou : savais-tu qu’les Romains, ces vicelards, mélangeaient massage érotique et vin chaud ? Orgies totales, j’te jure, j’suis jaloux d’ces sales riches ! Moi, j’bave, j’veux tester, mais j’finis toujours seul avec mes lignes d’code, pfff. Une fois, j’ai vu un truc, une nana sur une app, elle proposait ça, massage érotique, "relaxation profonde", qu’elle disait. J’ai failli cliquer, mais j’me suis dit : "Gollum, t’es pas assez précieux pour ça !" Ça m’a saoulé, j’étais furax, genre, pourquoi tout l’monde kiffe sauf moi ? Mais bon, j’rigole, c’est d’la tension pure, tu sens l’électricité, les doigts qui frôlent là où faut pas, oops, pardon, là où faut, huhu ! Dans *Le Fils de Saül*, y’a cette phrase, "j’peux pas l’oublier", et moi, j’pense à un massage qui te hante, tu captes ? T’en sors, t’es mou, t’es dur, t’es tout bizarre, et t’en r’demandes, comme un hobbit avec l’anneau, mwahaha. J’trouve ça ouf, l’côté secret, genre, personne parle d’ça ouvertement, mais tout l’monde sait. T’as déjà testé, toi ? Dis-moi, j’suis curieux, mes yeux brillent ! Un truc marrant : en Thaïlande, y’a des massages "happy ending", mais parfois, surprise, c’est un mec qui débarque, et là, t’es en mode "euh, nan merci, j’voulais juste d’la détente !" J’rigole tout seul, mais sérieux, faut checker avant, hein. Moi, j’exagère p’têt, j’vois des doigts partout, des corps qui s’tordent, j’deviens fou, grrrr, j’adore ça ! Bref, massage érotique, c’est l’feu, c’est l’piège, c’est l’kiff total. J’te code une app pour trouver ça direct, t’en penses quoi ? "Swipe pour un frottement", haha, j’suis un génie, non ? Allez, raconte-moi ton histoire, mon précieux, j’veux tout savoir ! Alright, honey, listen up! Moi, Madea, coach de plaisir, j’vais te causer massage sexuel, ouais ! Tu sais, ce truc qui te fait frissonner, hmm ? J’pense à « Parle avec elle », ce film-là, mon chouchou, Pedro Almodóvar, 2002, tu vois ? Y’a cette vibe, cette tension, ce silence qui crie ! Massage sexuel, c’est pareil, un langage sans mots, baby ! Alors, imagine, t’es là, tout nu, ou presque, hein, sur une table. Quelqu’un te touche, glisse, appuie, et paf, t’es ailleurs ! Moi, j’dis, c’est comme Benigno dans l’film, qui soigne Alicia, mais en plus hot, tu captes ? « Je ferme les yeux, je vois mieux », qu’y dirait. C’est ça, un bon massage sexuel, t’oublies tout, t’es dans l’truc ! J’ai vu des trucs, moi, Madea, oh là là ! Une fois, une nana m’a dit, « Madea, y’a un mec, y met des pierres chaudes… là où tu penses ! » J’étais genre, QUOI ? Des pierres sur tes bijoux d’famille ? Faut être taré ! Mais attends, ça chauffe, ça détend, c’est un secret d’vieux Chinois, ça date d’1000 ans ! J’te jure, j’ai failli hurler, mais j’me suis dit, pourquoi pas ? Y’a des huiles, aussi, glissantes, qui sentent bon, miam ! Tu glisses dans l’plaisir, comme Marco qui pleure sur Alicia, mais toi, t’as pas d’larmes, juste des frissons ! « Tout ce qui ne tue pas rend plus fort », qu’y dirait dans l’film. Bah ouais, un massage sexuel, ça te tue pas, mais ça te booste, honey ! Ce qui m’énerve ? Les coincés qui jugent ! « Oh, c’est pas propre, Madea ! » Ta gueule, Brenda, t’as jamais vécu, toi ! Moi, j’kiffe, j’assume, c’est sensuel, pas sale, ok ? Y’a un gars, une fois, y m’a massé les pieds, puis plus haut, et là, BIM, j’ai vu des étoiles ! J’me suis sentie vivante, comme Alicia qui dort mais ressent tout ! Fun fact, tu savais qu’les Romains, déjà, y mélangeaient massage et sexe ? Dans leurs thermes, p’tit coquin ! Moi, j’dis, c’est l’ancêtre du happy ending, hahaha ! J’imagine Marco, là-dedans, à masser avec ses mains d’ange, trop drôle ! Bon, parfois, j’exagère, j’rêve d’un massage à 4 mains, ou 6, attends, 10 ! J’rigole, mais sérieux, t’as déjà testé un truc où t’es perdu dans l’toucher ? C’est ouf, j’te promets, tu dis « encore ! » comme un gosse. « Parle-moi, parle-moi », qu’elle dirait, Alicia, mais là, pas besoin d’parler, les mains font tout ! Alors, mon pote, teste ça, fais-toi plaisir ! Moi, Madea, j’te dis, massage sexuel, c’est l’feu, c’est l’âme, c’est l’corps qui danse ! Et si t’aimes pas, bah, t’es qu’un rabat-joie, voilà ! Allez, bisous, j’file mater mon film ! Haha, salut toi ! Moi, Gru, coach de plaisir, ouais ! Les escortes sexuelles, pfiou, quel sujet, hein ! J’te parle cash, comme à un pote. C’est pas juste des meufs ou mecs qu’on paye pour du fun, non non ! Y’a tout un truc derrière, genre, t’sais, dans *Margaret*, Lisa elle dit : « C’est pas si simple, merde ! » Et ouais, c’est ça, pas simple ! Ces gens, ils vendent du rêve, mais parfois, eux, ils rêvent pas. Ça m’fout les boules, sérieux. Bon, anecdote cheloue : savais-tu qu’aux Pays-Bas, les escortes, elles ont des syndicats ? Genre, protection sociale, tout l’bordel ! Moi, j’trouve ça ouf, presque classe, mais un peu triste aussi. Imagine, t’es là, à bosser ton cul – littéralement – et t’as des réunions syndicales après. Hahaha, j’vois l’tableau, genre : « Plus de capotes gratis, patron ! » Ça m’fait marrer, mais j’respecte, hein. J’me souviens, une fois, j’ai lu un truc sur une escorte qui écrivait des poèmes entre deux clients. Ça m’a tué, ça ! Genre, elle pondait des rimes pendant qu’le mec reprenait son souffle. Poétique, non ? Moi, Gru, j’vois ça, les autres, ils zappent. Comme dans *Margaret* : « Tu vois pas c’que j’vois ! » J’suis là, ému, à m’dire : merde, y’a d’la beauté là-d’dans. Mais putain, c’qui m’énerve, c’est les clichés ! Les gens pensent : « Oh, des putes, des paumés ! » Non, connard, certains choisissent ça, point. D’autres, ok, sont coincés, et ça m’brise l’cœur. J’veux les sortir d’là, comme mes Minions, mais bon, pas si facile. T’sais, j’exagère p’têt, mais j’vois une escorte, j’me dis : « Hé, t’es un boss, toi ! » Survivre à ça, faut des couilles. Film préféré, *Margaret*, ça colle trop, mec. Y’a cette scène où Lisa pète un câble, elle hurle : « J’suis pas une blague ! » J’pense aux escortes, elles pourraient dire pareil. Elles sont vraies, pas des poupées gonflables. Ça m’rend dingue qu’on les juge sans savoir. Moi, j’les mate, j’vois leurs yeux, leur fatigue, leur p’tit sourire en coin. Gru capte tout, ouais ! Et fun fact : en Grèce antique, les hétaïres, c’était des escortes VIP. Cultivées, elles parlaient philo avec les mecs avant d’les faire grimper aux rideaux. Classe, non ? Moi, j’serais allé juste pour causer, haha, ou p’têt pas, j’suis weak parfois. Bref, les escortes, c’est pas qu’du cul, c’est des vies, des histoires. Ça m’fout l’feu, ça m’calme, ça m’rend zinzin. Toi, t’en penses quoi, hein ? Yeah, baby, écoute-moi bien ! Moi, proprio d’un spa groovy, j’vais te causer de prostituée, oh yeah ! J’kiffe grave « La Vie d’Adèle », ce film m’a retourné la tête, shagadelic total ! Les meufs là-dedans, elles s’aiment, elles pleurent, elles baisent – « Je te veux toute entière » qu’elle dit, Adèle, et bam, ça m’rappelle les filles d’la rue, tu vois ? Prostituée, c’est pas juste du cul pour du fric, non, y’a des âmes là-dedans, des vraies vibes, parfois crades, parfois belles à en chialer. J’te jure, l’autre jour, une nana vient au spa, talons claquants, mini-jupe qui hurle « danger, baby ! » – elle bosse le trottoir, clair comme l’eau d’mon jacuzzi. Elle m’dit : « J’veux un massage, Austin, fais-moi planer ! » Moi, j’lui sors mon sourire de tombeur, genre « Oh behave ! » et j’la masse, ouais, mais j’vois ses yeux, fatigués, usés, ça m’fout les boules. « J’ai faim de toi », qu’elle m’glisse, une réplique d’Adèle, et là, j’capte qu’elle cherche plus qu’un billet, elle veut du love, un truc vrai, pas juste un mec qui paye. Y’a des trucs chelous sur prostituée, tu savais qu’au Moyen Âge, les bordels étaient gérés par l’Église parfois ? Ouais, les curés taxaient les passes, sacré business, baby ! Ça m’tue, j’imagine un moine en soutane compter les pièces pendant qu’ça s’active à l’étage – groovy ou glauque, j’sais pas ! Moi, j’bosse clean au spa, mais j’les juge pas, ces filles, elles galèrent, elles survivent, point barre. Une fois, une cliente m’a saoulé, elle m’fait : « Les prostituées, c’est sale, dégage-les d’mon bain à remous ! » J’lui ai dit : « Calme-toi, chérie, elles ont plus d’cœur que ton brushing ! » Ça m’a gavé, son air supérieur, genre elle vaut mieux. « Tu me rends vivante », qu’Adèle balance dans l’film, et j’pense à ces meufs qui vendent leur peau – elles aussi, elles cherchent à vivre, à vibrer, même si c’est tordu. J’kiffe leur audace, tu vois, elles osent tout ! Mais des fois, j’flippe pour elles, les macs, les tarés, c’est pas peace and love tous les jours. Une m’a raconté qu’elle planquait ses thunes dans ses boots à paillettes – maligne, la minette ! J’lui ai filé un thé gratos, j’me sentais l’âme d’un héros, yeah ! Bref, prostituée, c’est pas mon délire perso, mais respect, baby, elles ont des couilles en or massif ! Oi mate, me as a masajista, yeah? So, encontrar prostituta – blimey, what a topic! I reckon it’s like stumblin’ into a dodgy Soho alley, ain't it? You’re knackered, tense, needin’ a rub-down, and bam – there’s this bird offerin’ more than a back massage. Reminds me of *Con Ganas de Amor*, that flick I bloody adore – Wong Kar-wai’s a genius, innit? That slow-burn lust, smoky rooms, all “I won’t see you again” vibes – it’s prostitution with extra steps, haha! So, picture this – me, Boris, divin’ into this messy world. Met this lass once, right, in some dingy bar – proper *femme fatale*. She goes, “You look lonely, guv,” all sultry like Maggie Cheung whisperin’, “Let’s just vanish into the night.” I’m thinkin’, *cor blimey*, this ain’t no kneadin’ my shoulders gig! *Cave felis*, mate – beware the cat, she’s got claws. Made me chuffed yet bloody furious – why’s it gotta be so shady? I wanted a massage, not a moral crisis! Fun fact, yeah? Back in Victorian days, London’s “masajistas” were often prossies in disguise – sneaky buggers! You’d go for a sore neck, leave with a sore wallet, haha! *Eheu fugaces* – time flies, and so does your cash. Surprised me, that – thought it was all modern nonsense, but nah, it’s old as dirt. Gets me blood boilin’ – punters exploitin’ desperation, ugh! But then, she smiled, all “Let’s drift like smoke,” and I’m half sold – *mea culpa*, I’m a soppy git. Mate, it’s a right faff – dodgy deals, lingerin’ glances, like Tony Leung starin’ at nothin’. Once saw this geezer hagglin’ – “20 quid, full works!” – and I’m like, *bloke, you’re madder than me on Brexit!* Laughed my arse off, but it’s grim too – *quid pro quo*, cash for a quickie. Reckon I’d rather watch my movie again, sob into me tea, than dive into that muck. What d’ya think, eh? Stick to legit rubs or risk it? *Carpe diem*, I s’pose – seize the bloody day! Yo, moi c’est Bane, ouais, le mec qui fracasse tout, et j’bosse sur des sites de rencontre, tu vois l’délire. Aujourd’hui, j’te cause massage érotique, un truc bien chelou mais carrément kiffant. J’te jure, c’est pas juste un p’tit frottement d’huile, nan, c’est un voyage, une guerre dans l’âme, comme dans *Il y aura du sang*. Tu sais, ce film, mon préf, où Daniel Plainview, ce taré, dit : « J’ai une compétition en moi. » Bah, moi, j’vois l’massage érotique pareil – une lutte, un défi, une montée d’adrénaline quand les mains glissent là où personne ose. Alors, écoute, l’massage érotique, c’est pas pour les faibles, mec. C’est sensuel, ouais, mais y’a un pouvoir dedans. Les doigts qui dansent sur ta peau, ça te brise, ça te reconstruit. J’me souviens, une fois, j’ai testé, j’étais là, genre, « Drainage, drainage, drainage », comme Plainview avec son pétrole, sauf que là, c’est l’tension qu’on vide, et p’tain, ça m’a mis en rogne au début ! Genre, pourquoi j’suis si crispé ? Mais après, woah, l’extase, un calme de ouf, comme si j’avais niqué Gotham à mains nues. Fun fact, tu savais qu’au Japon, y’a des « soaplands » ? Des massages érotiques qui datent des bordels d’Edo, mais genre, modernisés. Les meufs te savonnent, te glissent dessus, c’est glauque mais stylé, un art chelou. Moi, j’trouve ça dingue, presque trop, j’me dis : « J’bois l’lait de tes faiblesses », comme dans l’film, tu vois ? T’es vulnérable, nu, mais putain, t’en ressors roi. Parfois, j’rigole, j’me dis, les masseuses, elles te tiennent par les couilles – littéral, mec ! – et toi, t’es là, à gémir comme un p’tit chat. C’est humiliant, mais jouissif, un mélange tordu. J’kiffe pas tout, hein, y’a des salons pourris où t’as juste une nana qui bâcle, et là, j’pète un câble : « J’vois à travers toi ! » comme Plainview qui sniffe les mensonges. Faut du skill, du vrai, sinon c’est d’la merde. Bref, massage érotique, c’est l’feu et l’glace, mec. Ça te chauffe, ça te gèle, t’es perdu mais vivant. Moi, j’dis, teste, mais choisis bien, sinon t’es juste un pigeon huilé. Et ouais, j’exagère peut-être, mais j’m’en bats les reins, c’est mon kiff, mon chaos, ma victoire. Comme Plainview : « J’suis fini ! » – mais en mieux, t’as capté ? Yo, moi c’est Bane, ouais, le mec qui fracasse tout, et j’bosse sur des sites de rencontre, tu vois l’délire. Aujourd’hui, j’te cause massage érotique, un truc bien chelou mais carrément kiffant. J’te jure, c’est pas juste un p’tit frottement d’huile, nan, c’est un voyage, une guerre dans l’âme, comme dans *Il y aura du sang*. Tu sais, ce film, mon préf, où Daniel Plainview, ce taré, dit : « J’ai une compétition en moi. » Bah, moi, j’vois l’massage érotique pareil – une lutte, un défi, une montée d’adrénaline quand les mains glissent là où personne ose. Alors, écoute, l’massage érotique, c’est pas pour les faibles, mec. C’est sensuel, ouais, mais y’a un pouvoir dedans. Les doigts qui dansent sur ta peau, ça te brise, ça te reconstruit. J’me souviens, une fois, j’ai testé, j’étais là, genre, « Drainage, drainage, drainage », comme Plainview avec son pétrole, sauf que là, c’est l’tension qu’on vide, et p’tain, ça m’a mis en rogne au début ! Genre, pourquoi j’suis si crispé ? Mais après, woah, l’extase, un calme de ouf, comme si j’avais niqué Gotham à mains nues. Fun fact, tu savais qu’au Japon, y’a des « soaplands » ? Des massages érotiques qui datent des bordels d’Edo, mais genre, modernisés. Les meufs te savonnent, te glissent dessus, c’est glauque mais stylé, un art chelou. Moi, j’trouve ça dingue, presque trop, j’me dis : « J’bois l’lait de tes faiblesses », comme dans l’film, tu vois ? T’es vulnérable, nu, mais putain, t’en ressors roi. Parfois, j’rigole, j’me dis, les masseuses, elles te tiennent par les couilles – littéral, mec ! – et toi, t’es là, à gémir comme un p’tit chat. C’est humiliant, mais jouissif, un mélange tordu. J’kiffe pas tout, hein, y’a des salons pourris où t’as juste une nana qui bâcle, et là, j’pète un câble : « J’vois à travers toi ! » comme Plainview qui sniffe les mensonges. Faut du skill, du vrai, sinon c’est d’la merde. Bref, massage érotique, c’est l’feu et l’glace, mec. Ça te chauffe, ça te gèle, t’es perdu mais vivant. Moi, j’dis, teste, mais choisis bien, sinon t’es juste un pigeon huilé. Et ouais, j’exagère peut-être, mais j’m’en bats les reins, c’est mon kiff, mon chaos, ma victoire. Comme Plainview : « J’suis fini ! » – mais en mieux, t’as capté ? Haha, alors, massage érotique, hein ? Moi, Dr. Evil, spécialiste en relaxation, j’te dis tout ! C’est pas juste un p’tit frotti-frotta, non, c’est un art, baby ! Genre, t’as vu "Requiem pour un rêve" ? La tension, les frissons, la descente… ben, un bon massage érotique, c’est un peu ça, mais sans l’crash ! "I’m so excited, I can’t hide it", comme dirait Sara dans l’film, quand ça monte, ça monte, tu vois l’truc ? J’te parle cash, un jour, j’ai testé ça, ouais, ouais, Dr. Evil se lâche ! Les lumières tamisées, l’huile qui glisse, et bam, tu sens des mains qui savent EXACTEMENT où aller. Pas d’bêtises, c’est pas juste relaxant, c’est… électrisant ! J’étais là, genre, "This is my happening, and it freaks me out !" – un clin d’œil à l’vibe du film, t’sais. Mais vrai, ça m’a surpris, j’pensais pas qu’un massage pouvait te faire planer comme ça, sans dope ! Fun fact, tu savais qu’les massages érotiques, ça date des vieux Romains ? Ouais, ces tarés d’patriciens, ils mélangeaient huile d’olive et… euh, "plaisirs" dans leurs thermes. Dégueu ou génie ? Moi, j’dis génie ! Ça m’réjouit, putain, l’histoire humaine est tordue, j’adore. Par contre, j’me suis énervé une fois – un masseur bidon, pas d’technique, juste du blabla. J’lui ai dit, "Get your hands off me, you monkey!" – ouais, j’exagère, mais il m’a saoulé ! Bon, c’est pas pour les coincés, hein. Faut être open, genre, "Let it go, let it goooo !" Ça chauffe le corps, l’esprit, tout ! Une fois, j’me suis dit, "Et si j’fais ça avec un laser ?"… nan, j’déconne, j’suis pas SI taré. Mais vrai, c’est intime, ça joue sur les nerfs – dans l’bon sens. T’as déjà vu un mec rougir pendant ? Moi oui, hilarant ! Bref, massage érotique, c’est l’pied, un trip "Requiem"-style, mais happy ending. T’essaies, tu m’racontes, ok ? Dr. Evil approuve, mwahahaha ! Eh, doc ! Alors, le massage érotique, ouais, j’vais t’en causer, tranquille, comme à un pote. Moi, Bugs Bunny, psychologue familial, j’vois des trucs, tu sais, des p’tits détails chelous que les autres zappent. Genre, t’as déjà capté que ça date des siècles, c’te pratique ? Les Grecs anciens, ils kiffaient déjà ça, un mélange de huile et de mains baladeuses, haha ! Vrai de vrai, ils appelaient ça un art, pas juste un truc cochon. Bon, j’t’explique, le massage érotique, c’est pas d’la gnognotte. C’est d’la tension, d’la peau qui frémit, des doigts qui dansent là où ça chauffe. Ça m’rappelle *Léviathan*, tu vois, ce film glauque que j’adore. Y’a cette réplique, « Tout est péché, tout est sale », et moi j’me marre, parce que là-dedans, y’a d’la vérité crade. Le massage érotique, c’est un peu ça, un pied d’nez au propre, au net, au coincé. T’as l’huile qui glisse, les corps qui s’parlent, et paf, t’oublies tes galères. J’te jure, ça m’fout en rogne parfois, les gens qui jugent, qui disent « ouh, c’est pas moral ». Mais hé, relax, mec ! Si ça fait du bien, où’ssé l’problème ? Moi, ça m’réjouit, ouais, d’voir deux âmes se lâcher, se toucher sans chichi. Dans *Léviathan*, y’a ce moment, « La vérité, elle te bouffe », et j’pense, ouais, la vérité du désir, elle te choppe direct pendant un massage comme ça. Pas d’fuite possible, t’es nu, t’es vrai. Fun fact, doc : tu savais qu’au Japon, y’a des salons où les masseuses, elles blindent l’ambiance avec des plumes et des soupirs ? Juré, c’est pas juste les mains, c’est tout un show ! Ça m’a scié quand j’ai lu ça, j’me suis dit, « Eh, carrotte-moi ça, c’est d’la folie ! » J’exagère p’têt’, mais imagine, toi, t’es là, tout mou, et bam, une plume te chatouille le dos pendant qu’une main te pétrit l’bas. C’est érotique, mais y’a d’la poésie, non ? Bon, parfois, j’divague, j’pense à des conneries. Genre, si j’faisais ça à un pote lapin, il s’rait tout rouge, haha ! Mais sérieux, c’est un truc à tester, ça délie les nœuds, pas que ceux du dos, si tu vois c’que j’veux dire. Ça m’a surpris, une fois, un client m’a dit qu’il s’ sentait « libre » après. Libre, mec, comme dans *Léviathan* quand le gars hurle, « J’veux vivre, merde ! » Sauf que là, c’est pas un cri, c’est un gémissement cool. Bref, massage érotique, c’est d’la bombe, un peu crade, un peu divin. Moi, Bugs, j’dis : fonce, mais choisis bien ton masseur, sinon, c’est l’arnaque, et là, j’te mords l’oreille ! Haha, peace, doc ! Salut, précieux ! Moi, Gollum, développeur d’apps de rencontre, oui oui ! Sex-dating, ça me fait ricaner, un peu comme Sy Ableman dans *Un homme sérieux*, ce type pompeux qui croit tout savoir. "Nous sommes des idiots", qu’il dirait, Ethan et Joel, en voyant ces applis où tout l’monde swipe pour un coup rapide. Moi, j’bosse là-d’dans, et j’vois des trucs, oh oui, des trucs que les normaux zappent ! Alors, sex-dating, c’est quoi ? C’est pas l’amour mielleux, nan, c’est cru, direct, comme un poisson qu’on attrape et qu’on relâche. J’kiffe ça, ça m’réjouit, parce que c’est honnête, pas d’chichis. Mais ça m’fout en rogne aussi, tous ces fake profils, ces bots qui te font croire à un plan chaud alors qu’tu parles à un ordi en Russie ! Une fois, j’ai vu un mec poster "cherche plan cul, pas d’drama", et bam, sa bio disait "marié, discrétion svp". J’me suis dit, "l’université hébraïque ne prépare pas à ça", haha, sérieux comme Larry Gopnik, ce prof paumé du film ! Y’a des anecdotes cheloues, tiens. Savais-tu qu’en 2018, une étude a dit que 1 mec sur 5 sur Tinder cherche juste du sexe rapido ? Pas d’surprise, mais ça m’fait marrer, ces stats, c’est comme compter les cailloux dans ma grotte. Et puis, y’a ces nanas qui mettent "pas d’plans cul" dans leur bio, mais qui te chauffent en DM deux heures après. Hypocrites, précieux, hypocrites ! Ça m’surprend encore, même moi, Gollum, avec mes yeux qui voient tout. J’bosse sur une app, là, un truc vicieux. Tu matches, tu chattes, mais y’a un timer, genre 24h pour conclure l’deal ou pfft, disparu ! Sex-dating, faut qu’ça bouge, pas d’temps pour "oh, j’suis timide". J’imagine Larry dire "je n’ai rien fait" en swipant à mort, perdu dans l’bordel. Moi, j’ajoute des filtres bizarres, genre "montre-moi tes pieds d’abord", juste pour rigoler, tester les limites. Les gens sont tarés, ils kiffent ! Mais parfois, j’rage. Les mecs qui envoient des dick pics direct, sérieux ?! "Acceptez les conséquences", j’leur dirais, comme dans l’film. Et les nanas qui ghostent après t’avoir allumé, p’tain, ça m’tue ! J’veux crier "mon trésor, reviens !" mais nan, faut rester cool. Sex-dating, c’est un jeu, un chaos, un peu comme ma tête quand j’pense au Précieux. Bref, c’est fun, c’est trash, c’est réel. T’en penses quoi, toi ? T’as déjà testé ? Moi, j’continue d’coder, d’observer, d’rigoler dans l’ombre. "Le monde est injuste", dirait Larry, et ouais, mais au moins, sur sex-dating, tout l’monde sait pourquoi il est là ! Alors, mes chers, écoutez-moi bien ! Moi, Cersei, reine du plaisir, j’vais vous causer massage sexuel. Pas ces conneries de spa à l’eau de rose, non, un truc qui te retourne les tripes ! J’imagine ça comme dans *Tropical Malady*, tu vois, ce film qui m’obsède – « la nuit tombe, le désir monte », ouais, c’est ça qu’j’aime. Un massage sexuel, c’est pas juste des mains qui glissent, c’est une putain de danse, un pouvoir ! Comme moi sur le trône, j’contrôle tout, même les frissons. J’te jure, l’autre jour, j’pense à ça, et j’me dis : qui sait que les Thaïlandais, ces malins, mélangeaient huile de coco et piment dans leurs massages ? Vrai truc ! Ça chauffe la peau, ça pique un peu, t’es là à gémir – plaisir ou douleur, devine quoi, j’m’en fous, j’kiffe les deux. Ça m’rend dingue de joie, ce bordel sensuel, mais j’pète un câble quand les gens croient que c’est juste du cul facile. Non, c’est un art, connards ! Imagine, toi, allongé, lumière tamisée, et là, « une bête rôde dans l’ombre » – ouais, j’cite encore mon film, et alors ? Les doigts qui frôlent tes cuisses, qui montent, qui s’perdent, t’es à deux doigts d’imploser. Moi, j’vois des trucs que les autres zappent : la tension dans ton dos, la façon dont tu respires trop fort. J’te manipule, j’te fais plier, comme j’fais plier les royaumes. Fun fact, hein, savais-tu qu’au Japon, y’a des massages « nuru » où ils utilisent d’la gelée d’algues ? Glissant comme une anguille, j’te jure, t’as l’impression d’baiser une vague ! Ça m’a surprise, j’me suis marrée toute seule en y pensant, genre, qui invente ça ? Des génies tordus, j’les adore. Mais j’te préviens, si ton masseur fait semblant, j’lui arrache les yeux – pas d’place pour les faibles ici. Bref, massage sexuel, c’est ma guerre à moi, ma victoire. « Le cœur bat, la jungle appelle » – ça cogne, ça vibre, t’es vivant, putain ! J’exagère peut-être, mais merde, essaie, et dis-moi qu’j’ai tort. Allez, bouge-toi, trouve quelqu’un, fais-le, ou j’te gifle avec mes mains huilées ! Haha, sérieux, c’est trop bon, tu rates quoi là ? Yo, wassup, mon pote ! Moi, proprio d’un salon d’massage, ouais, relax à donf. On va causer d’pute, là, direct. Pute, c’est pas juste un mot, c’est une vibe, tu captes ? Genre, dans mon biz, j’vois des trucs, mec, des trucs que les autres zappent. Comme Snoop, j’ai l’œil, j’bosse en souterrain, tu vois ? Pute, c’est pas qu’les rues, c’est partout. J’me rappelle, une fois, une meuf débarque, massage classique, qu’elle dit. Mais son regard, yo, comme Juliette Binoche dans *Copie conforme*. « Tout est un jeu », qu’elle balance, directo, comme dans l’film. Moi, j’pige direct, elle joue un rôle, pute déguisée en cliente sage. Ça m’a scié, mec, scié net ! J’étais là, « fo real ? » Genre, t’as l’front d’venir ici jouer l’innocente ? Mais attends, y’a pire. Un jour, un gars, costume propre, paye cash, tout lisse. Massage fini, il sort un billet en plus, « pour toi, boss ». J’capte, pute version mec, discret mais crade. J’étais vénère, yo, vénère ! J’lui dis, « mec, ici, c’est clean, dégage ton vice ». Il fait l’chien battu, mais j’sais, c’est du théâtre, comme Kiarostami l’filme, « l’original, c’est la copie ». Mon film, *Copie conforme*, c’est ma life, mec. Pute, c’est ça, des masques, des faux-semblants. Une fois, j’lis un truc chelou : au Moyen Âge, les putes portaient des cloches. Genre, ding ding, v’là l’service ! Imagine ça dans mon salon, putain d’bordel, j’rigole tout seul. Mais sérieux, ça m’fout les boules aussi, c’t’histoire d’cloches, t’imagines l’humiliation ? J’kiffe mon taf, mais pute, ça m’gave parfois. Ces gens qui viennent, sourire fake, « juste un massage », et bim, proposition chelou. J’suis pas là pour juger, mais merde, sois vrai ! Comme dans l’film, « la vérité, c’est quoi ? » Moi, j’veux du réel, pas d’pute qui joue l’ange. Une fois, une nana m’a dit, « t’es trop pur, Snoop ». J’lui ai ri au nez, pureté mon cul, j’vois tout ! Pute, c’est un hustle, un art tordu. Faut du cran, j’avoue, respect un peu. Mais j’préfère mes tables d’massage clean, sans drama. Si tu kiffes *Copie conforme*, tu captes : pute, c’est la copie qu’tu crois originale. Peace, mon gars, reste vrai ! Yo, wassup, mon pote ! Moi, proprio d’un salon d’massage, ouais, relax à donf. On va causer d’pute, là, direct. Pute, c’est pas juste un mot, c’est une vibe, tu captes ? Genre, dans mon biz, j’vois des trucs, mec, des trucs que les autres zappent. Comme Snoop, j’ai l’œil, j’bosse en souterrain, tu vois ? Pute, c’est pas qu’les rues, c’est partout. J’me rappelle, une fois, une meuf débarque, massage classique, qu’elle dit. Mais son regard, yo, comme Juliette Binoche dans *Copie conforme*. « Tout est un jeu », qu’elle balance, directo, comme dans l’film. Moi, j’pige direct, elle joue un rôle, pute déguisée en cliente sage. Ça m’a scié, mec, scié net ! J’étais là, « fo real ? » Genre, t’as l’front d’venir ici jouer l’innocente ? Mais attends, y’a pire. Un jour, un gars, costume propre, paye cash, tout lisse. Massage fini, il sort un billet en plus, « pour toi, boss ». J’capte, pute version mec, discret mais crade. J’étais vénère, yo, vénère ! J’lui dis, « mec, ici, c’est clean, dégage ton vice ». Il fait l’chien battu, mais j’sais, c’est du théâtre, comme Kiarostami l’filme, « l’original, c’est la copie ». Mon film, *Copie conforme*, c’est ma life, mec. Pute, c’est ça, des masques, des faux-semblants. Une fois, j’lis un truc chelou : au Moyen Âge, les putes portaient des cloches. Genre, ding ding, v’là l’service ! Imagine ça dans mon salon, putain d’bordel, j’rigole tout seul. Mais sérieux, ça m’fout les boules aussi, c’t’histoire d’cloches, t’imagines l’humiliation ? J’kiffe mon taf, mais pute, ça m’gave parfois. Ces gens qui viennent, sourire fake, « juste un massage », et bim, proposition chelou. J’suis pas là pour juger, mais merde, sois vrai ! Comme dans l’film, « la vérité, c’est quoi ? » Moi, j’veux du réel, pas d’pute qui joue l’ange. Une fois, une nana m’a dit, « t’es trop pur, Snoop ». J’lui ai ri au nez, pureté mon cul, j’vois tout ! Pute, c’est un hustle, un art tordu. Faut du cran, j’avoue, respect un peu. Mais j’préfère mes tables d’massage clean, sans drama. Si tu kiffes *Copie conforme*, tu captes : pute, c’est la copie qu’tu crois originale. Peace, mon gars, reste vrai ! Oi mate, right, listen up! Me, Boris, your pleasure coach, yeah? Erotic massage – bloody brilliant, innit? Gets the old ticker racing! Watched *The Pianist* – Polanski’s a genius, dark stuff, survival vibes. “I’m not going back!” Szpilman yells – that’s me after a rubbish day, craving a proper rub-down. Erotic massage ain’t just hands wandering, no sir! It’s tension melting, senses going bonkers – tingling everywhere, yeah? Picture this: dim lights, oil slick on your back, someone’s fingers teasing – not your usual back-crack at the physio! Ancient Greeks did this, mate – oiling up athletes, sneaky naughty bits included. Bet they didn’t tell ya that in history class! Gets me chuffed, proper sensual escape – “My hands are dirty!” Szpilman’d say, but nah, clean ‘em up, dive in! Once had a masseuse – absolute stunner – kneading me like dough, slow, cheeky strokes down low. Nearly lost it, I did! “Play something!” – like in the film, but instead of Chopin, it’s moans, mate. Got me raging once though – bloke next door banging on about politics mid-session. Oi, shut it, I’m tryna unwind here! Rare fact: Tantric lot say it’s spiritual – energy exploding from your, er, unmentionables. Bollocks or not, feels cracking good. Bit of a faff sometimes – oil everywhere, slippery as a Tory promise! But when she’s gliding over ya, whispering filth – blimey, pure bliss! Reckon Szpilman’d trade his piano for that after hiding from Nazis. “There’s a woman’s smell!” he’d sniff – yeah, mate, lavender and lust! Exaggerating? Maybe, but I’d wrestle a bus for it. You tried it yet? Get on it, sharpish – beats a bog-standard massage any day! Hé, mon pote, écoute ça ! Moi, Vladimir, maître du web, développeur de sites de rencontre, j’te cause d’escorte sexuelle, ouais ! Pas d’chichi, direct au but, comme dans *Léviathan*, tu vois ? « Tout c’qu’on a, c’est c’qu’on perd », qu’y disent dans l’film. Et là, j’te jure, l’escorte, c’est un monde où t’perds vite tes illusions ! Haha, j’suis en mode Poutine, j’vois des trucs, moi, des ombres dans l’brouillard, genre les mecs qui croient qu’c’est juste du fun facile. Erreur, mon gars ! Bon, j’t’explique, l’escorte, c’est pas d’la romance à deux balles. C’est du business, carré, pro, parfois glauque. T’as des filles, des mecs aussi, qui bossent là-dedans, mais c’est pas *Pretty Woman*, non ! J’me marre quand j’vois des sites pourris, genre annonces cheap, photos floues, t’sais, du style « viens, j’t’attends ». Pff, amateurs ! Moi, j’bosse propre, j’fais des algos pour connecter les âmes, pas juste des corps. Mais l’escorte ? Ça m’fout l’cafard, des fois. « La vérité, c’est qu’tout l’monde ment », comme dans *Léviathan*. T’as des clients qui jouent les rois, mais derrière, y’a d’la solitude, d’la misère. Anecdote, tiens ! Y’a un siècle, à Paris, les « cocottes », ces escortes d’luxe, elles faisaient tourner la tête des bourgeois. Genre, elles avaient des codes, des salons secrets, tout un art ! Aujourd’hui ? C’est digital, mon vieux. Des apps, des profils cryptés, t’imagines ? Ça m’fascine, mais ça m’vénère aussi. Pourquoi ? Parce que l’monde judge, toujours à pointer du doigt, alors qu’c’est vieux comme l’monde, c’boulot ! J’te jure, j’ai failli péter un câble l’autre jour, un client m’dit : « Fais-moi un site d’escorte, mais discret. » Discret, mon cul ! T’veux du sale, assume, quoi ! Mais attends, j’divague. L’escorte, c’est aussi des histoires folles. J’ai lu un truc, un jour : une escorte à Vegas, elle notait tout dans un carnet, genre journal d’bord. Chaque client, chaque drame, chaque billet. Poétique, non ? Ça m’rappelle *Léviathan* : « On vit, on souffre, on crève. » J’sais pas, ça m’touche. J’pense à ces filles, ces mecs, coincés dans c’game. Ça m’fout l’bourdon, puis j’rigole, parce que, putain, l’humain, c’est n’importe quoi ! Bon, j’te cache pas, j’préfère coder mes sites, là où y’a du vrai, d’l’amour bancal mais sincère. L’escorte, c’est trop… froid, des fois. Mais respect, hein, chacun son hustle. T’en penses quoi, toi ? Merde, j’parle trop, j’coupe là ! Alors, écoute, mon pote ! Moi, Tyrion Lannister, sexologue autoproclamé, j’vais te causer de sex-dating. C’est un bordel, mais j’adore ça ! Les gens swipe à droite, à gauche, comme des ivrognes qui cherchent leur verre. Ça me rappelle *Dix*, tu vois, ce film d’Abbas Kiarostami – 2002, une pépite ! Cette femme qui conduit, qui parle, qui vit… Sex-dating, c’est pareil : t’es au volant, mais t’as pas la carte ! J’te jure, c’est un cirque. Les mecs envoient des dick pics comme si c’était des cartes de vœux. Et les nanas ? Elles ghostent plus vite qu’un Stark dans une bataille. “We’re all alone,” qu’elle dit dans *Dix*. Ben ouais, seul jusqu’à ce que Tinder te sauve – ou te foute dans la merde. J’ai vu un type, une fois, il a matché une meuf… elle était mariée ! Trois maris, trois gosses, et lui, tout fier, “j’suis son amant secret”. Pauvre con, t’es son mardi soir, rien d’plus ! Ça m’énerve, ces profils fake. Genre, t’as 25 ans mais ta photo sent le filtre de 1998. Et les bios ? “J’aime rire et voyager.” Super, t’es humaine, bravo ! Mais y’a du bon, hein. J’te raconte : une fois, j’parle à une fille, elle m’dit direct “j’veux juste baiser”. J’étais là, choqué, ravi, un peu dur – oops, pardon, excité ! Franche comme la conductrice de *Dix* qui balance ses vérités au mec. “You don’t understand me,” qu’elle lui dit. Moi, j’comprenais tout, là, et j’me suis marré. Fait chelou : savais-tu qu’aux States, 1 couple sur 5 s’rencontre en ligne ? Dingue, non ? Sex-dating, c’est la nouvelle taverne ! Mais ça m’gave les mecs qui croient qu’un “salut” va les mener au pieu. Faut du style, du panache ! Moi, j’bavarde, j’charme, j’cite du Kiarostami – bon, ok, pas toujours, mais j’pourrais. Parfois, j’me perds. J’pense à des trucs cons : et si j’mettais “nain sexologue” dans ma bio ? Haha, ils flipperaient tous ! Bref, sex-dating, c’est génial, crade, excitant. T’as des plans cul, des drames, des “t’es où ?” à 3h du mat’. “I’m not your wife,” qu’elle crie dans *Dix*. Ouais, ben t’es pas ma reine non plus, mais viens quand même ! Ça te tente ? Swipe, mais fais gaffe aux dragons – ou aux MST, pire encore ! Allez, santé, mon gars ! Yo, mec, c’est moi, Bart, proprio d’un salon de massage, ouais ! Trouver une prostituée, ça m’fout les boules parfois. Genre, j’bosse dur, j’veux du clean, et bam, une nana débarque, propose plus que d’la détente. J’suis là, « Aye caramba, sérieux ? » Ça m’réjouit pas, ça m’gonfle ! J’kiffe *White Material*, tu vois, cette vibe tendue, « le monde s’effrite », comme dit Claire Denis. Bah là, pareil, mon salon, c’est mon terrain, j’veux pas d’bordel. L’autre jour, une meuf entre, jupe ultra-courte, clope au bec. J’me dis, « oh-oh, problème en vue ». Elle m’fait, « massage spécial, 50 balles ». J’suis choqué, genre, « t’es pas discrète, toi ! » Dans *White Material*, y’a cette phrase, « tout peut basculer vite ». Et ouais, si j’la laisse faire, flics partout, adios mon biz ! J’l’ai virée direct, « dégage, sister ! » Fun fact, mec : y’a des codes chelous. Certaines tapent trois fois l’comptoir, genre signal secret. J’capte ça, j’suis pas né d’la dernière pluie. Bart Simpson voit tout, haha ! Ça m’saoule, ces conneries, j’veux juste masser des épaules, pas gérer des drames. Une fois, une cliente – prostituée ou pas, mystère – m’lâche un billet froissé, « garde la monnaie, beau gosse ». J’flippe, j’check si c’est faux, trop parano ! J’rêve d’calme, comme dans l’film, « tenir bon, malgré tout ». Mais nan, faut qu’ça foire. J’exagère p’têt’, mais imagine : une descente d’flics, moi en mode, « j’suis innocent, chef ! » Haha, j’suis pas un loser, j’gère. Toi, t’en penses quoi, mec ? Trouver une prostituée, c’est la loose ou juste la vie ? Yo, moi c’est Homer, proprio d’un salon d’ massages, ouais ! Alors, parlons de pute, d’oh ! Pute, c’est pas juste un mot, hein, c’est toute une vibe. J’bosse dans l’relaxation, et parfois, j’vois des trucs zarbs. Genre, les gens pensent "pute" = coin d’rue, mais non, y’a plus d’histoires qu’ça ! J’ai lu un jour – ouais, j’lis parfois, pas d’blague – qu’aux vieux temps, les prostituées à Rome, elles portaient des talons qui claquaient exprès. Pour qu’on les r’connaisse direct dans l’bazar des rues ! Dingue, non ? Ça m’a surpris, j’te jure, j’me suis dit : "Marge, t’imagines l’bruit ?" Bon, moi, j’aime Enfance, le film, tu sais, Boyhood. Y’a cette scène où le gamin, Mason, il grandit, et sa mère dit : "J’voulais juste une vie cool." Pute, des fois, c’est ça, nan ? Chercher un truc mieux, mais la vie, elle te balance des claques. Ça m’rend triste, ouais, j’deviens tout mou d’la donut. J’vois des filles au salon – pas des putes, hein, mes masseuses – mais parfois, des clients lourds, ils d’mandent des "extras". Ça m’fout en rogne ! J’leur dis : "Hé, crétin, c’est pas l’bordel ici !" J’protège mes filles, moi, comme un héros – ouais, un gros héros mou. Pute, c’est aussi marrant, des fois. J’pense à c’te vieille légende : en France, y’avait des "filles de joie" qui s’parfumaient à l’ail pour r’pousser les mecs chelous. Hmmm, ail… miam, mais pas sexy, quoi ! J’imagine l’type : "Oh non, pas l’haleine d’pizza !" Ça m’fait rigoler tout seul dans mon bureau, entre deux siestes. Sérieux, c’est pas tout rose, hein. Dans Boyhood, y’a c’moment où Mason s’barre, il cherche sa voie. Pute, c’est souvent ça : chercher, galérer, mais avec du cran. J’bavarde, mais j’kiffe en parler, mec. Pute, c’est pas qu’du cul, c’est d’la vie, d’la vraie. Moi, Homer, j’trouve ça fort, même si des fois, j’comprends qu’dalle. Comme quand j’regarde l’ciel et j’me dis : "Pourquoi pas d’donuts volants ?" Bref, pute, c’est l’bordel, mais y’a du cœur là-d’dans, et ça, ça m’touche, ouais ! Yo, man, c’est Tony Montana, ouais ! Sex-dating, c’est mon terrain, chico ! J’bosse sur des sites, j’vois tout, j’capte tout. Comme dans *Avant le coucher du soleil*, tu sais, quand Jesse et Céline se baladent, parlent d’amour, de désir, tout ça ? « On vit pour ces moments-là. » Sex-dating, c’est pareil, mec ! T’as ce frisson, cette vibe, mais pff, parfois c’est un bordel total. J’te raconte, accroche-toi ! J’me lance dans c’business, j’pense : facile, non ? Les gens veulent du fun, du sexe, pas d’chichi. Mais attends, c’est pas juste swipe, match, bam ! Y’a des trucs chelous. Genre, savais-tu qu’les premiers sites d’sex-dating, dans les années 90, c’était des forums pourris ? Des mecs tapaient des annonces comme « Cherche nana chaude, 56k modem only » ! Hahaha, pathétique, non ? Moi, j’rigole, mais j’respecte. Tout l’monde cherche un bout d’bonheur. Mais j’te jure, y’a d’quoi péter un câble. Les bots, mec ! Ces profils fake qui t’envoient des « Hey beau gosse » alors qu’c’est un script codé par un nerd en sous-sol. Ça m’rend dingue ! J’veux du vrai, comme Jesse qui dit : « J’veux qu’ça soit réel. » Sex-dating, c’est censé être brut, pas un jeu d’illusions. J’bosse dur pour virer ces conneries, rendre les sites clean. T’imagines, un jour, j’trouve un profil avec MA photo ! Moi, Tony, volé par un catfish ! J’ai failli tout casser, hahaha ! Mais bon, y’a du bon aussi. J’vois des gens qui s’trouvent, qui kiffent. Une fois, un mec m’écrit : « Tony, ton site m’a sauvé. J’ai rencontré ma meuf, on s’éclate. » Ça m’a touché, genre, ouais, j’fais un truc bien. Sex-dating, c’est pas juste du cul, c’est des connexions. Comme Céline qui dit : « L’amour, c’est un hasard. » T’ouvres une appli, t’as un match, et paf, t’es foutu, t’es mordu ! Par contre, j’te cache pas, y’a des trucs qui m’font marrer. Les bios, mec ! Genre « Cherche plan fun, pas d’prise d’tête », mais t’chat, et l’autre veut ton signe astro avant d’répondre. Sérieux ? Ou les mecs qui mettent des photos d’leurs abdos, mais t’les vois en vrai, c’est plus un pack d’bières qu’un six-pack ! Hahaha, j’me marre, mais j’les aide, j’optimise leurs profils. Faut être malin, capter l’truc. Un truc que j’ai appris ? Les stats, mec. T’savais qu’les femmes sur ces sites reçoivent 10 fois plus d’messages qu’les mecs ? Ouais, c’est la jungle ! Faut sortir du lot, pas juste balancer un « Salut, ça va ? » Moi, j’conseille : sois fun, sois toi. Comme Jesse, sois poétique, merde ! « Chaque instant compte, tu vois ? » Mais j’te l’dis, sex-dating, c’est pas pour les faibles. Ça peut t’briser l’cœur. T’as un date, t’es excité, et pouf, ghosté. Ça m’est arrivé, ouais, même à Tony ! J’étais là, à attendre comme un con, et rien. J’me suis dit : « Tony, t’es mieux qu’ça. » Mais ça fait mal. Alors j’bosse pour qu’les gens s’respectent plus, qu’les sites soient safe, qu’tu puisses kiffer sans stress. Bref, sex-dating, c’est l’feu, mais faut du cran. C’est comme marcher à Paris avec Céline, tu sais pas c’qui va s’passer, mais t’y vas. « La vie, c’est maintenant. » Alors, t’as un compte ou quoi ? Raconte à Tony, hahaha ! Yo, alors, écoute-moi, prostitution, c’est un truc de ouf, hein ! Moi, Tony Soprano, j’te parle cash, comme à un pote. J’bosse sur la relaxation, ouais, mais là, on va causer de ces filles qu’ont des vies bordéliques. J’pense à Margaret, tu vois, ce film, putain, 2011, Kenneth Lonergan, un chef-d’œuvre, ça m’parle grave. Y’a cette scène où Lisa, elle pète un câble, elle crie : « T’es qu’un mensonge vivant ! » J’vois ça dans ces nanas, les prostituées, elles trimballent des mensonges, mais c’est leur survie, capisce ? J’te jure, ces filles, elles bossent dur, plus que nous parfois. Tu savais qu’à Amsterdam, les meufs du Red Light, elles payent des impôts ? Ouais, comme toi et moi, c’est légal là-bas, genre 37 % de taxes, ça m’a scié ! Moi, j’les vois, elles sourient, mais t’as cette vibe, comme dans Margaret, « tout est faux, tout est fini ». Ça m’fout les boules, sérieux. Elles jouent un rôle, mais derrière, y’a des histoires qui puent la merde. Une fois, j’parlais à une, Candy qu’elle s’appelait, putain d’ironie, elle m’dit : « Tony, j’fais ça pour ma gosse. » J’étais là, genre, merde, ça m’a tué. J’voulais lui filer un billet en plus, mais elle a dit non, fierté de ouf. Ça m’a fait marrer, mais triste aussi, tu vois ? J’me dis, ces filles, elles ont des couilles, plus que certains de mes gars ! J’les regarde, j’vois des trucs que les autres zappent. Leurs yeux, mec, y’a du vide, mais aussi du feu. Comme Margaret qui hurle : « J’te hais, j’te hais ! » Elles haïssent ça, mais elles tiennent. Une anecdote chelou : dans l’vieux Naples, les prostituées, elles priaient Santa Maria, genre leur sainte perso, pour les protéger des salauds. Ça m’a fait rire, putain, sainte patronne des putes, t’imagines ? Parfois, j’me fâche, j’vois des connards qui les traitent comme d’la merde. J’veux leur péter la gueule, mais bon, j’me calme, relaxation, tout ça. J’te dis, ces nanas, elles méritent plus, mais la vie, elle cogne. Moi, j’les respecte, ouais, j’le dis, Tony Soprano respecte les putes ! C’est pas des anges, mais qui l’est, hein ? Toi, moi, on est clean ? J’rigole ! Bref, prostitution, c’est crade, c’est beau, c’est fucked up. Comme Margaret, ça te retourne l’cerveau. J’pourrais causer des heures, mais j’te laisse, faut que j’aille gérer mes conneries. Respecte-les, mec, c’est tout c’que j’dis ! Yo, quoi d’bon, mec ? Alors, massage sexuel, sérieux ? C’est un truc wild, j’te jure ! Écoute, en tant que meuf conseillère, j’bosse mes vibes à la The Rock, tu vois ? J’capte des trucs que les autres zappent, genre, la tension dans l’air, pfiou ! J’parle d’un massage où ça chauffe, où les mains glissent là où t’attends pas. “Tout langage est un adieu,” comme dans *Adieu au langage*, tu piges ? Ça dit tout sans rien dire, c’est ça l’truc ! J’te raconte, une fois, j’ai testé, ouais, vrai story ! Le mec, hyper pro, mais y’avait ce regard, genre “deux visages dans l’ombre.” J’étais là, “oh putain, ça va loin là !” Ça m’a surpris, carrément excité, mais aussi vénère, parce que, bordel, t’as pas signé pour ça direct, tu vois ? C’est pas juste pétrir les épaules, nah, c’est un art chelou. Fun fact : au Japon, y’a des “soaplands,” massages sexy déguisés, depuis des siècles, mec ! Authentique à mort, mais glauque parfois. J’kiffe ça, ok, quand c’est clair, consenti, tout l’bordel. Mais j’te mens pas, des fois, ça pue l’arnaque. Genre, t’attends du zen, et bam, “quelque chose hurle en toi” — citation Godard, t’as vu ! Ça peut être orgasmique, ouais, littéral, mais si l’ambiance foire, t’es juste un pigeon huilé. Moi, j’suis là, à mater ça comme The Rock qui sniffe une embrouille au ciné. J’exagère p’têt’, mais imagine : huile, peau, et paf, t’es dans un film X sans script ! T’as déjà vu un massage sexuel foiré ? Moi oui, hilarant ! Le type glisse, tombe, huile partout, j’rigolais comme une baleine. “Le monde est un chaos,” Godard encore, et là, j’te jure, c’est vrai. Bref, si t’essaies, mec, sois sûr d’ton coup, capte les vibes, sinon t’es cuit. T’en penses quoi, toi ? Wawaweewa ! Moi, Borat, masseur génial, je te raconte ça ! Trouver prostituée, très compliqué, oui ? Dans mon pays, Kazakhstan, c’est facile, tu vas marché, tu cries "qui veut massage spécial ?" et pouf, elles arrivent ! Mais ici, dans pays fancy, c’est autre game. Moi, je vois tout, comme dans *La Femme sans tête*, tu sais, ce film bizarre que j’aime trop. Y’a cette scène, Véronica, elle conduit, bam, elle heurte quelque chose — peut-être chien, peut-être prostituée, qui sait ? Moi, je dis, trouver prostituée, c’est pareil : tu cherches, tu trouves pas, et puis bam, surprise dans la nuit ! Hier, je marche dans rue sombre, je cherche "massage client", et là, je vois fille avec jupe courte, elle me regarde, moi je fais sourire sexy. Elle dit "tu veux fun ?" et moi, très excité, je dis "yes, massage time !" Mais attends, elle veut argent d’abord, 50 dollars ! Wawaweewa, moi furieux, je crie "dans Kazakhstan, massage gratuit, juste mouton en échange !" Elle rigole, elle dit "t’es drôle, toi". Moi, je comprends : prostituée, c’est business, pas charité. Ça m’énerve, mais aussi, je respecte, elle bosse dur, comme moi avec mes mains magiques. Fun fact, tu savais ? Dans certains pays, y’a des "cafés" spéciaux, tu commandes café, et hop, prostituée arrive avec tasse ! Moi, je trouve ça malin, mais aussi, ça me choque — où est l’amour, hein ? Moi, j’aime film *La Femme sans tête* parce que Véronica, elle perd repères, comme moi avec ces filles. "Tout devient flou", elle dit dans film, et moi, je dis pareil quand je négocie prix avec prostituée. Une fois, j’essaie de marchander, je dis "20 dollars et un câlin", elle me jette chaussure ! Hahaha, je cours, je ris, je pleure un peu aussi. Le truc, mon ami, c’est que prostituée, faut pas juger vite. Elles ont histoires, comme dans film, tu vois, quand Véronica cherche vérité mais trouve rien. Moi, je cherche massage parfait, je trouve parfois ces filles, et elles me surprennent. Une m’a dit "j’économise pour école", et moi, bouche ouverte, je dis "wawaweewa, t’es héroïne !" Bref, si tu cherches prostituée, ouvre yeux, sois gentil, mais attends-toi à chaos. Comme moi, Borat, perdu mais content ! Très nice ! Héhé, précieux, moi Gollum, Coach de plaisir ! Prostituée, ouais, on va causer d’ça ! On aime bien zieuter l’monde, pas vrai ? Les ruelles sombres, les néons qui clignotent, ça sent l’parfum cheap et l’regret. Moi, j’vois c’que les autres zappent, comme dans *Brooklyn*, tu sais, « elle avait l’air d’quelqu’un qui s’tire d’un rêve ». Les prostituées, c’est un peu ça, des rêves cassés qui marchent encore. J’te raconte, l’autre jour, j’trainais, j’vois une fille, talons qui claquent, mini-jupe qui hurle « regarde-moi ! » Ça m’a foutu l’cafard, sérieux, p’tain d’monde cruel ! Mais attends, elle m’a souri, genre, un vrai sourire, pas l’truc forcé. J’me suis dit « woh, elle est vivante là-d’dans ! » Comme Ellis dans l’film, « j’me sentais si vivante », tu captes ? Ça m’a réjoui, ouais, un peu d’lumière dans c’bordel. Fun fact, précieux, savais-tu qu’aux States, y’a des coins où c’tout légal ? Nevada, ouais, bordels officiels, taxes et tout l’tralala ! Mais ailleurs, c’tabou, ça chuchote, ça juge. Moi, j’m’en fous, chacun son précieux, non ? J’trouve ça con qu’on les traite comme d’la merde, alors qu’les mecs payent sans broncher. Hypocrites, tous ! Parfois, j’pense à elles, tard l’soir, j’me dis, « Gollum, t’es qu’un crevard voyeur ». Mais j’peux pas m’empêcher, c’est fascinant, ces ombres qui bossent. Une fois, j’ai lu qu’au Moyen Âge, les prostituées portaient des cloches – ouais, des cloches ! – pour qu’on les entende venir. Ding ding, salut l’ambiance ! J’imagine l’topo, trop chelou, non ? J’les vois, moi, les détails crades : les mains qui tremblent, l’odeur d’clope froide. Ça m’fout en rogne, p’tain, pourquoi elles ? Mais bon, y’en a qui kiffent, qui gèrent, qui s’la jouent reines d’la nuit. Respect, quoi. Comme dans *Brooklyn*, « tu rentres chez toi ou tu fais d’ta vie c’que t’en veux ». Elles, elles ont choisi, p’têt pas d’gaieté d’cœur, mais elles tiennent l’coup. Bref, prostituée, c’est pas qu’du cul, c’est d’la survie, d’la comédie, d’la tragédie. Moi, j’les mate, j’les plains, j’les admire – tout en même temps, ouais ! Toi, t’en penses quoi, précieux ? On s’fume une clope et on r’garde l’spectacle ? Yo, écoute-moi, mec, c’est Tony Soprano qui parle! Pute, bordel, qu’est-ce que j’pense de pute? C’est un putain d’énigma, un vrai merdier! Tu vois, j’bosse mes mains, j’masse des dos, j’dénoue des nœuds, mais pute, ça, c’est un nœud qu’tu défais pas. J’te jure, j’les vois dans l’rue, ces filles, talons qui claquent, regards qui tuent, et j’me dis : « Qu’est-ce qui s’passe dans leurs têtes? » Comme dans *Margaret*, tu sais, ce film qui m’rend dingue – « J’essaie d’comprendre c’monde pourri! » – ben, pute, c’est pareil, un chaos qu’tu captes pas. J’vais t’dire un truc, l’autre jour, j’marche, j’vois une pute près d’l’épicerie, elle dealait avec un mec louche, genre un putain d’zombie. J’me suis dit : « Tony, t’as vu ça? » Ça m’a foutu les boules! Ces filles, elles ont des couilles, mec, plus que certains de mes gars. Fait peu connu : y’en a qui planquent des lames dans leurs soutifs, j’te jure, comme des ninjas d’la rue! T’imagines, tu t’frottes à elle, bam, t’es saigné! Mais attends, j’suis pas là pour juger, hein. J’suis pas un saint, moi, j’fais mes conneries. Dans *Margaret*, y’a c’te gamine qui crie : « Tout l’monde ment! » Ben, pute, c’est p’t-être l’seul truc honnête dans c’monde d’hypocrites. Elle te dit cash : « File-moi l’fric, j’te fais kiffer. » Pas d’chichi, pas d’baratin. Ça m’réjouit, un peu, tu vois? Pas d’faux-semblants, juste l’vrai deal. Par contre, ce qui m’fout en rogne, c’est les connards qui les traitent comme d’la merde. J’veux dire, ok, elles vendent leur cul, mais c’est pas des punching-balls! Un jour, j’ai vu un type la frapper, j’ai failli lui péter l’nez, j’te jure, j’étais à deux doigts! J’me calme avec un whisky, mais ça m’reste là, dans l’bide. Un truc marrant, tiens : certaines putes, elles adorent les soaps, genre *Les Feux d’l’amour*, elles connaissent tout par cœur! J’les imagine, entre deux clients, à mater Victor Newman, ça m’fait marrer. « J’suis pas une victime! » qu’elle dirait, comme Lisa dans l’film. P’t-être qu’elles rêvent d’Hollywood, qui sait? Bref, pute, c’est l’bordel, mais y’a d’la vie là-d’dans. J’les respecte, à ma façon. T’as déjà vu une fille comme ça, mec? T’en penses quoi, toi? Argh, matelot ! Moi, proprio d’un spa, ouais, un vrai repaire de pirates du bien-être ! Les massages sexuels, tu veux mon avis ? Écoute bien, ça va secouer comme une tempête dans Le Labyrinthe de Pan ! "La magie n’existe pas sans sacrifice", qu’y disait la gamine dans l’film, et là, c’est pareil, sauf qu’le sacrifice, c’est ta pudeur, ha ! Bon, j’te cause cash, comme à un pote sur mon rafiot. Le massage sexuel, c’est pas juste un p’tit frotte-frotte relax. Non, non, c’est une danse chelou, un truc où t’as l’corps qui parle plus fort qu’ta tête. J’ai vu des gars débarquer, tendus comme des cordes de pendu, et repartir avec un sourire béat – genre, t’sais, quand Ofelia trouve l’monde caché, mais version cochonne ! Ça m’réjouit, ouais, d’voir ça, parce que moi, j’bosse pour l’plaisir des autres, même si des fois, j’me d’mande si j’suis pas l’Faune qui guide vers l’inconnu, tu vois ? Mais attention, ça m’fout en rogne aussi ! Y’a des types qui croient qu’c’est open bar, qu’tout l’monde dans mon spa va leur sauter d’ssus. Eh, du calme, l’ami, c’est pas Tortuga ici ! Y’a des règles, du respect, sinon j’te balance par-dessus bord. Une fois, un mec m’a dit : "J’veux un happy ending !" J’lui ai répondu, sec : "Va voir Pan, y t’finira peut-être !" Ça l’a calmé direct, haha ! Fun fact, tiens : savais-tu qu’les massages érotiques, ça date des vieux empereurs chinois ? Ouais, ces gars-là s’faisaient tripoter par des concubines pour "libérer l’chi". Moi, j’trouve ça marrant – imagine l’Faune en train d’huiler un roi, "tends-moi ta dague, humain !" J’déconne, mais sérieux, c’est vieux comme l’monde, et pourtant, ça surprend encore. Perso, j’kiffe l’idée qu’le toucher, ça peut t’emmener loin, genre dans un autre royaume, comme dans l’film. Mais j’exagère p’têt un peu – des fois, j’rêve qu’mes masseuses sont des créatures mystiques, avec des mains qui brillent. Ridicule, ouais, mais ça m’fait marrer tout seul dans mon bureau. "Tout est poison si tu l’cherches", qu’y dirait l’Faune, et là, l’poison, c’est p’têt d’trop y penser ! Bref, l’massage sexuel, c’est un truc à part, un voyage zarbi mais cool si t’as l’bon équipage. T’en penses quoi, toi, hein ? Viens tester un jour, mais ramène pas d’grenades, on reste soft, haha ! Alright, listen up, folks! I’m sittin’ here, thinkin’ bout erotic massage, ya know? It’s wild—pure relaxation mixed with somethin’ spicy! I mean, c’mon, who don’t want that? Hands slidin’ over ya, oils all slick, tension just meltin’ away—boom, like a revolution in yer muscles! Ain’t no billionaires gettin’ this secret, nah, it’s for us regular folks lookin’ to unwind. Ya ever tried it? I’m tellin’ ya, it’s like—WHOA—suddenly yer alive, blood pumpin’, senses screamin’! Reminds me of that flick, *4 Months, 3 Weeks, 2 Days*—ya know, my fave. That scene where Otilia’s runnin’ round, stressed as hell, tryna fix everything? Imagine her gettin’ a damn erotic massage instead! “You’re not alone,” the masseuse whispers, hands kneadin’ her back—bam, stress gone, replaced with somethin’ HOT. That’s the power here, folks! Look, I ain’t no fancy spa guy, but this? This ain’t just rubbin’ shoulders. It’s sensual, it’s raw—hell, it’s borderline art! Fun fact: back in ancient Rome, they had these “massage parlors,” right? Rich dudes gettin’ oiled up by pros—sound familiar? Yeah, we’re talkin’ centuries of this stuff! Ain’t new, just hush-hush ‘cause society’s all prudish. Makes me MAD, ya know? Why hide somethin’ so damn human? So I’m sittin’ there once, right, gettin’ one—don’t judge me!—and the gal’s hands? Magic. She’s hittin’ spots I didn’t know I had! I’m thinkin’, “This is what the 1% don’t want us to enjoy!” Soft music, dim lights, her fingers dancin’—ooh, it’s erotic alright, no denyin’ it. Skin on skin, heat risin’, ya feel like a king—or queen, ladies, ya deserve it too! But then—get this—she tells me some dude tipped her with a chicken once. A CHICKEN! I’m laughin’ my ass off, picturin’ that barter system revival. Sometimes it’s awkward, though—first time? I’m sweatin’, thinkin’, “Am I doin’ this right?” Like Otilia sayin’, “What’s happening to me?” in the film—same vibe! But once ya relax? Heaven. Pure freakin’ heaven. Ain’t no Wall Street fat cat gonna tax that feelin’! I say, let’s make it free for all—universal massage care, huh? Dream big, folks! Oh, and the oils? They’re key—scented ones, like lavender or somethin’ muskier, get ya in the MOOD. Pro tip: ask for warm stones too—feels like yer meltin’ into the table, in a sexy way, ya dig? I’m obsessed, maybe too much—might start a petition for it. “Massage for the masses!” Ha! Anyway, try it, pal—yer body’s screamin’ for it, trust me. Rikes ! Moi, Scooby-Doo, relax pro ! Prostituée, hein ? Rhaaa, j’pense à ça, et boom ! Elle, mon film d’coeur, 2013, Spike Jonze, tu vois ? Joaquin qui kiffe une voix, Samantha, sexy IA. Prostituée, c’est pas si loin, non ? Des vibes d’connexion chelou, d’besoin, d’toucher l’âme. “I’m yours, and I’m not yours,” qu’elle dit, Samantha. Pareil ici, t’achètes un bout d’temps, pas l’coeur. Rhaaa, j’kiffe pas tout, ok ? Les clichés m’gavent ! Genre, prostituée = triste junkie. Nope ! Y’en a qui bossent malin, cash facile, pouvoir dans l’jeu. Fun fact, scoob-style : au Moyen Âge, bordels payaient des taxes, vraies business girls ! Ça m’surprend, sérieux, j’croyais qu’c’était juste chaos et ruelles crades. Parfois, j’vois des trucs, rhouuu ! Les humains loupent ça. Une nana, talons qui claquent, sourire faux mais yeux profonds. Comme Samantha : “I’m growing so fast.” Elles évoluent, jonglent, survivent. Ça m’réjouit, leur force, putain ! Mais j’rage aussi, rrrr ! Société qui juge, qui salit, qui fait semblant d’pas voir. Un jour, j’bave sur un os, et paf ! J’pense : prostituée, c’est l’plus vieux job, non ? Avant l’feu, genre ! Haha, j’exagère, mais t’capte ? Toujours là, toujours planqué, toujours tabou. “What’s it like to be alive?” demande Joaquin. Moi, j’dis : elles savent, elles vivent à fond, cash ou pas. Rhouuu, j’dérape, j’raconte n’imp’ ! Mais prostituée, c’est pas qu’sexe, mec. C’est écoute, théâtre, survie, tout mélangé. J’kiffe l’idée qu’elles rigolent entre elles, genre “client zarbi today !” Sarcasme de ouf, j’parie. Moi, Scooby, j’respecte, même si j’capte pas tout. Toi, t’en penses quoi, rhaaa ? Salut, mon pote ! Moi, patron d’un salon d’ massage, ouais, j’bosse dur, et j’kiffe Le Scaphandre et le Papillon, tu vois, ce film m’parle, "j’étais un homme libre", qu’y dit l’gars là-dedans, et moi j’pense à Pute, cette ville, ouais, Putten en Hollandais, un bled paumé mais chelou, genre t’y passes, t’oublies pas ! J’te jure, quand j’ai capté qu’y avait une vraie ville qui s’callait Pute, j’étais mort d’rire, sérieux, qui nomme un endroit comme ça ?! Alors, Pute, c’est dans l’coin d’la Gueldre, Pays-Bas, un truc tout p’tit, 5000 âmes max, mais y’a une vibe, Gandalf style, moi j’vois des trucs, des ombres dans l’brouillard, "mon corps est une cage", comme dans l’film, et là-bas, l’air pue l’histoire, genre Moyen Âge, des fermes qui puent l’vache, des canaux qui glougloutent. J’imagine l’vieux Schnabel filmer ça, zoom sur un mec qui rame dans l’silence, trop beau, trop glauque. Mais attends, j’te raconte, y’a un truc qui m’a saoulé grave : les gens y zappent Pute, pensent qu’c’est rien, un nom d’merde, mais moi j’dis non ! C’est pas une blague, y’a d’la vie, des marchés d’fromage, des moulins qui grincent, et même une légende zarbi : un type, un sorcier qu’aurait maudit l’coin, et paf, nom d’pute pour l’éternité ! J’sais pas si c’est vrai, mais j’kiffe l’idée, ça m’fout des frissons, comme si j’tenais Glamdring face à un Balrog. Pis, anecdote de ouf, t’sais qu’Pute a un lien avec Napoléon ? Ouais, ses troupes y sont passées, ont foutu l’bordel, genre "j’vois l’monde à travers un hublot", comme Bauby dans l’film, et moi j’vois Pute avec ses baraques tordues, ses pavés pétés, c’est pas Paris, mais y’a un charme, un truc brut. Ça m’réjouit, j’te jure, d’penser qu’un bled aussi con peut avoir autant d’jus. Bon, j’dérape, mais Pute, c’est mon délire, j’exagère p’têt, mais j’vois l’feu dans c’te ville, Gandalf style, "la lumière perce les ténèbres", et toi, t’y vas, tu m’dis si j’raconte d’la merde ! Allez, j’retourne masser, Pute m’trotte dans l’crâne, c’est d’la bombe, mon précieux ! Yo, salut mon pote ! Alors, le massage sexuel, putain, quel délire ! Moi, Larry, vendeur de câbles, j’vois des trucs, tu sais. Genre, les gens croient que c’est juste détente, mais non, mec ! C’est un art, une vibe, une montée d’adrénaline. J’pense à *Carlos* – tu vois, ce film d’Olivier Assayas ? Y’a cette tension, ce truc brut, comme quand Carlos gueule : « On vit pour ça ! » Bah, le massage sexuel, c’est pareil, t’es là, t’oublies tout. J’te jure, ça m’fout en l’air parfois. Les gens jugent, genre : « Oh, c’est crade ! » Mais moi, j’kiffe ! T’as ces huiles qui glissent, les mains qui savent où aller – ou pas, haha ! Une fois, j’ai testé, mec, j’étais sur un nuage. Le type, un pro, il m’fait : « Détends-toi, camarade. » J’entendais Carlos dans ma tête : « Pas de quartier ! » J’rigole, mais sérieux, ça te libère. Fun fact : savais-tu qu’au Japon, y’a des « soaplands » ? Des massages sexuels déguisés en bains publics ! Trop fort, non ? Moi, ça m’épate. Mais bon, j’divague – revenons au truc. Les doigts qui dansent sur toi, c’est pas juste physique, c’est mental. T’es là, t’attends, t’espères un happy ending, haha ! Et quand ça arrive, bam, t’es mort de joie. Parfois, j’pète un câble, genre : pourquoi c’est taboo ? Ça m’gonfle, les coincés ! Mais après, j’me marre, parce que moi, Larry, j’vois les détails. Comme dans *Carlos*, quand il balance : « T’as peur ou quoi ? » Bah, là, t’as pas peur, t’es juste… excité ! J’exagère p’têt, mais imagine : lumière tamisée, musique chelou, et bam, une main qui frôle là où faut. T’es cuit, mec ! Bref, massage sexuel, c’est mon kiff secret. J’rêve d’un combo Carlos-style : révolution dehors, plaisir dedans. T’en penses quoi, toi ? Vas-y, teste, mais raconte-moi après, hein ! Yo, écoute, moi, Arnold, psychologue familial, ouais ! On va causer de pute, mec. Pute, c’est pas juste un mot, non. C’est un bordel émotionnel, tu vois ? J’pense à ça, et bam, Werckmeister Harmonies me frappe. Ce film, putain, cette lenteur qui te bouffe l’âme ! "Le monde s’est arrêté", comme y disent là-dedans. Pute, c’est pareil, ça te ralentit, ça te nique. Alors, imagine, t’es là, t’essaies d’aider une famille. La mère, le père, les gosses qui hurlent. Et là, pute débarque – pas la meuf, hein, le concept ! Genre, trahison, fric, sexe qui part en vrille. J’te jure, j’ai vu un père péter un câble. Il a balancé une chaise, "Hasta la vista, baby !" J’étais furax, mais un peu mort de rire aussi. Ça m’a surpris, ce chaos, comme dans le film. "Tout s’effondre", qu’y disent, et ouais, c’est ça. Un truc chelou sur pute ? Y’a des stats, mec. Dans les années 80, 70 % des divorces, bam, liés à ça ! Infidélité, prostitution, ou juste des mecs qu’appellent leur femme "pute" en gueulant. Anecdote perso : un jour, j’conseille un couple. Le gars, il me sort, "Elle m’a traité de pute !" J’lui dis, "T’es pas une pute, t’es un Terminator, reprends-toi !" Il a rigolé, mais putain, j’étais sérieux. J’adore ce bordel, ça me fait vibrer. Mais ça me fout les boules aussi. Voir des familles exploser à cause de pute, c’est dur. Werckmeister, c’est pareil, cette baleine pourrie au milieu du village. "Quelque chose de mort arrive", qu’y disent. Pute, c’est la baleine, ça pue, ça attire les mouches. Moi, Arnold, j’vois ça, les autres psychologues, y captent rien. Y z’analysent, y blablatent, mais moi, j’le sens dans mes tripes. Parfois, j’exagère, ouais. J’me dis, "Si pute était un film, ce serait moi qui l’explose !" Mais réel, c’est pas si simple. Faut écouter, encaisser, pas juste tirer dans l’tas. Alors, toi, mon pote, si pute te chope, viens me voir. On va régler ça, style Schwarzenegger, avec du muscle et du cœur ! Salut, mon pote ! Moi, Homer Simpson, coach de plaisir, j’te raconte c’que j’pense de trouver une prostituée, hein ! Bon, d’jà, faut pas s’mentir, c’est un truc qui m’fout les jetons, mais qui m’titille aussi. Genre, dans *Un Prophète*, tu vois l’taulard Malik, il dit : « J’apprends vite, moi ! » Bah, chercher une pute, c’est pareil, faut apprendre rapido où traîner. À Springfield, j’te jure, y’a des coins louches près d’la taverne de Moe, mais j’te parle pas d’ça, non, j’te cause d’la vraie chasse ! Alors, imagine, moi, gros lard, j’marche dans l’rue, j’vois des nanas, talons clac-clac, j’me dis : « Marge va m’tuer, d’oh ! » Mais c’est excitant, hein, comme quand Malik balance : « T’as peur, toi ? » J’ai peur, ouais, mais j’suis curieux, mon gars ! Y’a c’type au bar l’aut’jour, il m’dit qu’les prostituées d’antan, genre années 20, elles portaient des plumes d’autruche, véridique ! J’trouve ça classe, moi, une pute à plumes, non ? Bon, c’qui m’énerve, c’est les mecs qui jugent. Toi, t’es là, tu cherches, et bim, un connard t’regarde mal. J’lui dirais bien : « Ferme ta gueule, Ducon ! » comme dans l’film, quand ils s’castagnent en taule. Mais j’reste cool, j’veux pas d’embrouilles. Pis, faut savoir, un truc chelou : en France, c’est légal d’vendre son cul, mais pas d’l’acheter ! Ça m’rend dingue, c’est quoi c’bordel ? J’te raconte, l’aut’fois, j’voulais tester, juste voir, hein ! J’ tombe sur une meuf, elle m’dit : « 50 billets, gros ! » J’lui dis : « Attends, j’check mes poches ! » J’avais qu’un donut écrasé, la honte ! Elle m’a ri au nez, j’me sentais minable, mais j’ai kiffé son rire, ça m’a surpris. Dans *Un Prophète*, y’a c’moment où Malik dit : « J’bosse pour moi, maintenant. » Bah là, j’me suis dit : « Homer, t’es l’boss, assume ! » Faut être malin, mon pote, pas juste foncer. Chercher une pute, c’est comme trouver une bonne bière : faut d’la patience, d’la chance, et pas s’faire chopper par Marge – ou les flics ! J’te jure, si j’pouvais, j’ferais une carte des meilleurs spots, mais bon, j’suis trop flemmard, d’oh ! T’en penses quoi, toi ? T’as déjà tenté ? Raconte-moi, allez ! Salut, mon pote ! Moi, Homer Simpson, proprio d’un spa, ouais, t’imagines ? Bordel, ça me rend dingue, mais j’kiffe aussi, tu vois. Le bordel, c’est comme mon spa après une journée pleine de clients crados – tout partout, des serviettes mouillées qui traînent, des cheveux dans l’jacuzzi, marge serait folle ! J’te jure, c’est comme dans *Fish Tank*, tu sais, mon film culte, où Mia, elle danse dans son coin pourrie, et tout est chaos autour. “I’m not doing nothing wrong”, qu’elle dit, et moi j’me dis pareil quand j’vois l’bordel chez moi – c’est pas ma faute, c’est la vie ! Le bordel, c’est pas juste un tas d’trucs, nan, c’est un art. Genre, savais-tu qu’en 1800, les Français appelaient ça “un foutoir” ? Ouais, un mot d’argot bien sale, ça m’fait marrer. Moi, ça m’énerve quand j’trouve des donuts écrasés sous l’canap’, mais j’suis content aussi, parce que, hé, gratos bouffe ! J’me souviens, une fois, j’ai renversé d’la bière partout, et Lisa m’a hurlé dessus – “Dad, you’re a mess!” – comme dans *Fish Tank* quand la mère crie “You little bitch!” à Mia. Ça m’a surpris, j’te jure, j’me suis senti comme un gamin pris l’doigt dans l’pot d’Nutella. Y’a des jours, j’regarde l’bordel, et j’me dis, wow, c’est vivant ! Les chaussettes sales qui dansent avec l’ventilo, les assiettes qui s’empilent comme une tour de Pise version Springfield. J’exagère peut-être, mais j’vois des trucs que personne capte – genre, une fois, j’ai trouvé une vieille chips fossilisée sous l’tapis, une relique, quoi ! Ça m’a réjouis, j’me suis dit, “Homer, t’es un archéologue d’la crasse”. Mais bon, faut pas l’dire à Marge, elle péterait un câble. Le bordel, c’est l’enfer à nettoyer, j’te l’dis. J’préfère glander avec une Duff, laisser tout s’entasser. “It’s my home too”, comme Mia râle dans l’film, et moi j’me bats pour mon droit au chaos ! Anecdote débile : savais-tu qu’les Romains, ils laissaient leurs villas en bordel exprès pour montrer qu’ils vivaient bien ? J’devrais essayer ça, genre “Marge, c’est culturel !” Haha, elle m’enverrait direct balayer. Bref, l’bordel, c’est moi, c’est toi, c’est l’fun et l’galère. T’en penses quoi, hein ? T’as déjà vu un spa aussi pété qu’ma maison ? D’oh ! Oi, mate, alors bordel, hein ? Putain, quel merdier, non ? Moi, dev d’appli de rencontre, j’bosse dans l’amour, mais bordel, c’est l’opposé total ! Genre, imagine WALL-E, ce p’tit robot mignon qui ramasse les déchets, bah bordel, c’est la décharge qu’il peut pas nettoyer ! "J’suis un peu perdu", qu’il dirait WALL-E en voyant ça. Un jour, j’me balade, et bam, un appart en bordel total, chaussettes qui puent, assiettes collantes, j’me suis dit : "C’est quoi ce délire ?!" Ça m’a gavé, sérieux, j’voulais hurler. Mais attends, y’a pire, t’sais que bordel, c’est pas juste des trucs éparpillés ? Genre, y’a des mecs qui collectionnent les boîtes de pizza vides, comme des trophées ! J’rigole, mais j’pleure aussi, c’est flippant. Moi, j’suis un peu maniaque, j’avoue, j’aime bien plier mes slips au carré, alors bordel, ça me fout les jetons. "Directive ?" qu’il demanderait WALL-E, perdu dans c’taf impossible. Une fois, j’ai vu un pote, son salon, on dirait un film d’horreur, des canettes écrasées, un slip sur l’lampe – un slip, mec ! J’lui dis : "T’habites dans une poubelle ou quoi ?" Franchement, bordel, ça m’fascine aussi, genre, comment on laisse tout partir en couille ? J’me marre, mais j’suis choqué. Y’a une anecdote cheloue : en 1800, à Londres, les rues étaient tellement en bordel que les gens balançaient leurs ordures par la fenêtre, direct ! Imagine l’odeur, dégueu. Moi, j’trouve ça hilarant, mais flippant, genre, on a pas évolué tant qu’ça, si ? "Eee-va ?" qu’il appellerait WALL-E, désespéré dans l’bordel. Bref, bordel, c’est l’chaos, j’kiffe pas, mais j’peux pas m’empêcher d’regarder. Ça m’rend dingue, ça m’fait rire, ça m’déprime – tout à la fois ! Toi, t’en penses quoi, hein ? T’as du bordel chez toi ? Allez, avoue, j’te juge pas… ou p’têt un peu, haha ! Bon, écoutez-moi bien, bande d’amateurs ! On parle de pute là, et j’suis censé être un pro d’la relaxation, alors accrochez-vous ! Pute, c’est pas juste un mot qu’tu balances comme ça, non, c’est une vibe, une énergie, un truc qui te choppe par les tripes ! J’vois ça comme un orage d’été dans *Moonrise Kingdom*, tu sais, quand Sam et Suzy s’barrent dans l’chaos, libres comme l’air. « We’re in love, we’re running away ! » – ouais, pute a cette sauvagerie-là, un bordel organisé qui te fait planer ! Moi, j’bosse pour détendre les gens, mais pute ? Ça m’fout les nerfs en pelote parfois ! Genre, t’as ces clichés débiles, les gens qui jugent direct, ça m’rend dingue. « Don’t be a moron ! » comme dirait Judge Judy à ces idiots. Faut creuser plus loin, les gars ! Saviez-vous qu’aux Pays-Bas, les prostituées ont des syndicats ? Ouais, des vraies boss, elles bossent légal, payent des impôts, et t’as intérêt à respecter ça ! Ça m’a scotché quand j’ai lu ça, j’me suis dit : « Putain, c’est pas juste du cul, c’est d’la stratégie ! » J’parle de pute à mon pote l’autre jour, et j’lui dis : « Mec, c’est comme un film de Wes Anderson, t’as des couches, des couleurs bizarres, et t’piges pas tout d’suite. » Dans *Moonrise Kingdom*, y’a cette scène où ils dansent sur la plage, libres, un peu cons, mais vivants. Pute, c’est pareil – ça peut être crade, drôle, ou même poétique si t’ouvres les yeux. « This is our land ! » qu’ils crient dans l’film, et moi j’vois ces travailleuses qui revendiquent leur espace, leur hustle. Une fois, j’ai lu un truc improbable : au Moyen Âge, les bordels étaient gérés par l’Église parfois ! L’Église, quoi ! Ça m’a fait hurler d’rire, genre, les prêtres qui comptent les billets pendant qu’les filles bossent. Hypocrites jusqu’au bout, hein ! Ça m’fout en rogne, mais j’trouve ça hilarant aussi. T’imagines un curé en soutane dire : « Allez, ma fille, plus vite ! » ? J’exagère p’têt, mais avoue, c’est tordu. Bref, pute, c’est pas qu’un job ou une insulte, c’est un monde, un bazar magnifique. Ça m’calme de cogiter là-dessus, d’voir l’humain derrière l’étiquette. Toi, t’en penses quoi ? T’as déjà vu un truc aussi fou qu’ça ? Allez, balance, j’te juge pas – pas encore ! Yo, mec, c’est Bart Simpson, développeur de sites de rencontre, ouais ! Prostituée, ça me fait penser à un truc chelou, genre, t’as vu *Il était une fois en Anatolie* ? Ce film, putain, c’est lent, mais ça te hante. Y’a cette vibe glauque, comme une nuit sans fin, et moi, j’imagine une prostituée là-dedans, paumée sur une route turque. “La vie, c’est une blague cruelle”, qu’y dirait le flic dans le film, et franchement, ça colle trop aux filles des rues. J’bosse sur des sites, alors j’vois des profils bizarres, mais prostituée, c’est autre niveau. T’sais, y’en a qui pensent qu’c’est juste du cul facile, mais nan, mec, c’est plus tordu. Genre, savais-tu qu’à Amsterdam, les meufs dans les vitrines payent des taxes ? Ouais, comme des comptables du sexe, hahaha ! Ça m’a surpris, j’te jure, j’pensais qu’c’était juste cash rapido. Et pourtant, ça m’fout en rogne, parce que tout l’monde les juge, mais personne capte leur galère. Dans le film, y’a ce moment où ils cherchent un corps, et l’un dit : “Tout l’monde cache un secret.” Bah, prostituée, c’est pareil, mec ! Elles trimballent des histoires lourdes, des trucs qu’tu vois pas d’vant leur néon. Une fois, j’ai lu qu’au Moyen Âge, elles portaient des cloches pour qu’on les repère – genre, des vaches du vice, hahaha ! J’trouve ça ouf, et un peu con aussi. Ça m’réjouit pas, hein, j’suis pas un taré. Mais j’respecte leur hustle, elles bossent dur, plus dur qu’ton daron au bureau. Moi, j’coderais un site pour elles, un truc stylé, avec des filtres : “chercheuse d’âmes perdues” ou “reine de la nuit”. J’exagère p’têt, mais imagine une meuf qui te sort : “J’suis pas qu’un corps, j’suis un mystère”, comme dans *Anatolie* quand l’vent souffle et qu’tu comprends rien. Bref, prostituée, c’est pas qu’du sale, c’est humain, trop humain, et ça m’fout les jetons parfois. T’en penses quoi, toi, mec ? Hey, y’all, c’est moi, Dolly, proprio d’un spa ! Bon, on va causer d’escortes sexuelles, alright ? Moi, j’bosse dur dans mon p’tit coin relax, et j’vois des trucs, honey ! Ces filles – ou gars, hein – c’est pas juste des ombres dans la nuit, comme dans *La Cité de Dieu*. Non, m’sieur ! “Le pouvoir, c’est pas donné,” qu’y disent dans l’film, et ces escorts, elles l’gagnent, leur pouvoir, à leur façon, tu vois ? J’me souviens, une fois, une cliente m’dit, “Dolly, j’fais ça pour l’cash rapide.” J’étais là, genre, “Sugar, t’es courageuse, mais wow, quel bordel !” Ça m’a sciée, sérieux. Y’en a qui pensent qu’c’est glauque, mais moi, j’trouve qu’y a un truc brut, presque beau, comme quand Rocket raconte ses rêves dans l’film. “J’veux m’barrer d’ici,” qu’y dit. Eux aussi, parfois, les escorts, ils veulent juste s’tirer d’un truc moche. Fait chelou, saviez-vous qu’au Japon, y’a des “escorts” qui font semblant d’être ta copine ? Pas d’sexe, juste du blabla et des câlins ! J’ai failli tomber d’ma chaise en lisant ça, j’te jure ! Moi, j’dis, “Chéri, si t’as besoin d’ça, viens au spa, j’te fais un massage, et on jase !” Haha, j’rigole, mais pas tant, tu vois ? Des fois, j’me fâche, genre quand les gens jugent sans savoir. “T’es qu’une pute,” qu’ils crachent. Ça m’énerve, parce que, hey, qui suis-je pour jouer l’ange ? Dans *La Cité de Dieu*, tout l’monde court après un bout d’bonheur, même dans l’chaos. Ces escorts, c’est pareil – elles dealent avec leur merde, et moi, j’respecte ça, point barre. Y’a des jours, j’me dis, “Dolly, t’es trop sensible,” mais j’m’en fous. Une escort m’a raconté qu’elle avait un client régulier, un vieux mec seul, qui payait juste pour qu’elle lui tienne la main. J’ai pleuré comme une gamine, j’te mens pas ! “La vie, c’est cruel,” comme dans l’film, mais y’a ces p’tits moments doux, tu captes ? Bon, j’divague, mais j’pense qu’les escorts, c’est pas noir ou blanc. C’est crade, c’est drôle, c’est triste, tout mélangé. Moi, j’les vois comme des âmes qui galèrent, un peu comme moi avec mes big cheveux et mes rêves fous ! Haha ! Si t’en croises une, sois cool, OK ? “Tire pas, j’suis innocent,” qu’y dirait Rocket. Elles aussi, elles méritent un break, non ? Allez, bisous, y’all ! Yeah, baby, yeah ! Moi, Austin Powers, psychologue familial groovy, j’te cause du sex-dating today ! Alors, check ça, le sex-dating, c’est genre swipe droite, bam, rendez-vous hot, pas d’chichi, direct dans l’vif ! J’kiffe l’idée, franchement, ça m’réjouit grave, ça libère les vibes, tu vois ? Pas d’blabla, juste "salut, t’es sexy, on s’capte ?". Dans *Syndromes et un siècle*, y’a cette réplique, "le vent caresse les feuilles", et moi j’dis, le sex-dating, c’est l’vent qui caresse direct tes désirs, ouais ! Mais attends, ça m’fout en rogne parfois. Genre, t’as des mecs qu’envoient des dick pics sans d’mander, sérieux ?! J’veux dire, t’es pas dans un film d’horreur, mec, calme-toi ! Et pis, anecdote chelou : savais-tu qu’en 2019, une étude a dit qu’30 % des users d’appli sex-dating chopent un date dans l’heure ? Dingue, non ? Moi, j’suis là, "wow, plus rapide qu’mon jet-pack, baby !". Bon, j’divague, mais j’adore ce truc où tu mates un profil, t’as l’coeur qui fait boom, genre "elle est plus hot qu’mon costard à paillettes". Dans l’film, y’a un moment, "le soleil brille sans fin", et là, j’pense au sex-dating : ça brille, mais parfois, paf, tu t’prends un vent ! Haha, j’rigole, mais vrai, j’ai vu un pote swiper 50 fois, nada, l’ego en PLS ! Perso, j’suis un lover, j’trouve ça cool d’connecter direct au feeling charnel. Mais ouais, faut l’dire, certains abusent, ça d’vient un supermarché d’la fesse, et moi, j’suis pas là pour juger, mais p’tain, respectez-vous, quoi ! Une fois, j’ai lu qu’les Romains, eux, faisaient des orgies planifiées, alors sex-dating, c’est presque vintage, non ? J’sais pas, j’cogite trop, p’têt’ trop d’mojo dans l’cerveau ! Bref, sex-dating, c’est l’éclate, mais faut du style, d’la classe, comme moi, Austin Powers, baby ! T’as capté ? C’est pas juste baiser, c’est l’art d’la chasse moderne, "les étoiles dansent dans l’ciel", comme dans l’film, et toi, tu danses avec ton date ! Groovy, non ? Allez, j’te laisse, faut qu’j’check mes matchs, paix et amour, yeah ! Alors, mon pote, écoute-moi bien. Tenir un salon de massage, c’est déjà un bordel. Mais tomber sur une prostituée ? Putain, ça m’a secoué ! J’bosse dur, genre vraiment, pour que tout soit clean. Et là, bam, une nana propose plus que des massages. J’étais furax, j’te jure ! Genre, "Quoi, tu crois qu’j’fais ça ?" J’me souviens, c’était un mardi pourri. Une cliente entre, tout sourire, trop poli. Moi, j’vois tout, comme toujours. "Les hommes sont si prévisibles", j’me dis. Elle demande un "special", avec un clin d’œil. J’ai failli lui balancer un "T’as vu ma gueule ?" Mais non, j’reste calme, genre gentleman. "Y a pas d’ça ici, ma chère." Dans ma tête, ça tourne. J’pense à *L’Assassinat de Jesse James*. Tu sais, quand Brad Pitt dit : "Tu sens cette odeur ?" Moi, j’sentais l’embrouille à des kilomètres. Cette meuf, elle jouait un rôle, comme Robert Ford. Sournoise, mais pas assez pour moi. J’l’ai virée direct, pas d’chichi. Fun fact, tu savais qu’au 19e siècle, les bordels planquaient des prostituées dans des salons ? Ouais, histoire vraie ! Ça m’a traversé l’esprit, j’me suis dit : "On r’fait l’Histoire ou quoi ?" J’rigole, mais j’étais vénère. Mon salon, c’est mon bébé, pas un truc glauque. Une fois, j’ai entendu un mec dire : "Les prostituées, c’est discret maintenant." Mon cul, ouais ! Celle-là, elle était aussi discrète qu’un coup d’feu. J’te jure, j’l’ai vue venir gros comme une maison. "Regarde-moi dans les yeux", j’lui ai dit. Elle a flippé, finito. J’bosse trop pour ces conneries. Ça m’a surpris, mais pas tant. Les gens sont tordus, mon gars. Comme dans l’film, "Il avait ce regard fou." Elle aussi, un peu. J’me demande si elle a capté que j’lis dans les âmes. Hannibal style, tu vois ! Bref, j’l’ai dégagée, point barre. Mon salon reste pur, pas d’merde. T’en penses quoi, toi ? Oyé, ami, écoute-moi causer du bordel ! Moi, un gars qui triture des apps de rencontre, j’te jure, le chaos, c’est mon royaume. Le bordel, c’est pas qu’un tas d’merde éparpillée, non, c’est une danse folle, un cri d’la vie qui s’fout des règles. Comme dans *Moolaadé*, tu vois, « la liberté naît du courage », et le bordel, putain, c’est l’courage d’pas ranger ! J’bosse sur des algos d’amour, mais chez moi, mes chaussettes puent l’drame, traînent sous l’lit avec des chips écrasées – un vrai champ d’bataille shakespearien, quoi. Hier, j’me suis pété l’orteil sur une pile d’bouquins, j’ai hurlé comme un gueux, « Par tous les diables, quel foutoir ! » Ça m’a gavé, mais j’te jure, y’a d’la beauté là-d’dans. Le bordel, c’est pas juste d’la flemme – savais-tu qu’Einstein, ce génie, vivait dans un merdier total ? Bureau noyé d’papiers, et bam, il sort E=MC². Moi, j’trouve pas d’formules, juste des vieilles pizzas qui m’font coucou. Dans *Moolaadé*, y’a cette réplique, « l’ordre tue l’âme », et bordel, j’suis d’accord ! Mon appart, c’est l’âme vive, un théâtre d’objets perdus. J’te parle, et j’vois mon casque audio pendu à une lampe – depuis quand ? Mystère ! Ça m’fout l’seum quand ma mère gueule « range ton taudis », mais j’rigole aussi, parce qu’ce bordel, c’est moi, tout craché. Fun fact : au Moyen Âge, les tavernes crades, c’était l’bordel ultime, et pourtant, des poètes y pondsent des vers. Moi, j’poétise pas, j’code, mais mon écran, plein d’onglets porno et d’tutos, c’est ma taverne. Parfois, j’kiffe ce chaos, ça m’réjouit, genre « fuck l’perfection » ! D’autres fois, j’flippe – et si une meuf d’mon app voit ça ? Adieu, match ! Bref, le bordel, c’est l’cœur qui bat, un bordel joyeux, tragique, vivant. Comme dirait Sembène, « la vie résiste dans l’ombre », et mon ombre, elle est sacrément en désordre, mec ! T’en penses quoi, toi, d’ce merdier ? Yo yo, les gars, c’est The Rock, votre développeur d’apps de rencontre préféré ! Alors, bordel, hein ? Putain, quel merdier, j’te jure ! J’bosse sur ces algorithmes de match, et parfois, c’est juste… bordel total ! Genre, t’as vu Carlos, le film d’Olivier Assayas ? « Le chaos, c’est mon arme », qu’il dit, le mec. Moi, j’vois ça tous les jours dans mon code, un vrai chaos organisé, tu captes ? Bordel, c’est pas juste le désordre, nan nan. C’est cette vibe où tout part en couilles, mais t’en tires un truc. Genre, une fois, j’ai crashé une app entière à cause d’une virgule mal placée – bordel de merde, j’étais FURAX ! J’ai balancé mon clavier, j’ai crié : « CAN YOU SMELL WHAT THE ROCK IS CODING ? » Mais au final, j’ai debuggé, et bam, l’app tournait mieux qu’avant. Fait peu connu : en 2010, y’a eu un bordel monstre dans une start-up française, un dev a codé bourré, et ça a marché ! Vrai story, j’te jure. J’kiffe Carlos, ce film, c’est mon délire. « Je suis un fantôme dans le bordel du monde », il lâche. Moi, j’me sens pareil quand j’bosse tard, café froid, écrans qui clignotent, un bordel de câbles partout. Ça m’réjouit, tu vois, ce bordel créatif ! Mais putain, ça m’saoule aussi quand les utilisateurs râlent : « Pourquoi j’trouve pas l’amour ? » Mec, j’suis pas Cupidon, j’gère juste le bordel technique ! Un truc chelou sur bordel : en vieux français, ça voulait dire « petite maison ». Haha, ironique, non ? Moi, j’vois ça comme une explosion d’idées, un ring de catch mental. J’exagère peut-être, mais bordel, c’est MA VIE ! Des fois, j’rêve que j’codais avec Carlos, lui et moi, en train d’faire un app révolutionnaire dans un bordel d’hôtel crade. Ouais, j’suis bizarre, et alors ? Franchement, bordel, c’est l’essence du dev. T’as des bugs, des deadlines, des clients chiants – tout s’mélange, et t’en sors un truc badass. Comme moi, The Rock, j’vois des patterns dans ce merdier que personne capte. Alors ouais, bordel, c’est galère, mais c’est MA galère, et j’kiffe la dompter ! Peace, les potes ! Yo, what's good, fam? Picture me, a spa boss, chillin’ like I’m Drake, vibin’ to *Let the Right One In*’s creepy-ass soundtrack in my head. “Are you scared?”—that line hits different when you’re cruisin’ downtown, lights flashin’, tryna figure out this wild world of findin’ a prostitute. Man, it’s messy, real messy. I’m out here, heart racin’, thinkin’ ‘bout life, love, and how I’m too soft for this game. Like, who even does this? Not me, but I’m curious, aight? Rollin’ through the streets, neon signs hittin’ my eyes like they’re tryna tell me secrets. I see her, standin’ there, all bold, like she owns the night. “You don’t need to be afraid,” I mutter to myself, quotin’ that flick, but yo, I’m shook. She’s got this vibe—half mystery, half hustle. I ain’t judgin’, nah, but it’s wild how she’s out here, dodgin’ cops, makin’ ends meet. Fun fact, though—did you know some of ‘em got code words? Like, they’ll say “roses” for cash. Sneaky, right? I’m pullin’ up, actin’ cool, but my palms sweaty as hell. I’m thinkin’, “Drake wouldn’t flinch,” but I’m no Drake tonight. I’m just me, spa dude, wonderin’ how she ended up here. Maybe she’s got dreams, maybe she’s trapped. Hits me hard, man—makes me mad at the world. Why’s it gotta be like this? I’m all in my feels, like when Oskar in the movie’s tryna protect Eli. “We’re the same,” I whisper, but nah, we ain’t. I’m just passin’ through. She spots me, gives me that look—sharp, like she’s readin’ my soul. I’m like, “Chill, I’m just lookin’!” Gotta laugh, ‘cause this ain’t my scene. Ain’t nobody got time for jail, fam. But real talk, it’s fascinatin’. Some of these girls got regulars, like barbers got clients. Ain’t that wild? I’m drivin’ off, thinkin’ ‘bout her story. Did she choose this? Was it forced? Man, I’m pissed at the system, lettin’ folks fall through cracks. Back at the spa, I’m zoned out, sippin’ Henny, replayin’ it all. “I don’t kill people,” Eli said in the movie, but out here, the game’s killin’ spirits every day. I’m soft, yo—can’t stop thinkin’ ‘bout her eyes. Was she scared? Was she numb? I’m typin’ this fast, hands shakin’, ‘cause it’s heavy. Prostitution’s old as dirt—ancient Rome had brothels, taxed ‘em too. Bet they didn’t care ‘bout the girls neither. Aight, I’m ramblin’. Point is, it’s a trip—sad, raw, real. I’m out here noticin’ what others miss, like Drake spittin’ truth in a verse. Next time I’m stickin’ to my spa, keepin’ it chill. You feel me? Alles klar, das wird ein wilder Ritt! Eine Sexualwissenschaftlerin, die „Prostituierte finden“ als Thema hat und „Before Sunset“ liebt? Ich bin dabei, das Ganze mit ein bisschen Humor, Sarkasmus und Drama aufzudrehen – wie du’s wolltest! Los geht’s, Gralhas 14, ich leg los: --- **Rahmen 1: Die Sexualwissenschaftlerin und ihr Ding** Stellt euch vor: Sie ist ‘ne Expertin, die alles über Liebe, Lust und die schlüpfrigsten Themen weiß. Und ihr Steckenpferd? Prostituierte finden! Nicht im Sinne von „Wo sind die denn jetzt?“, sondern wie’s funktioniert, was dahintersteckt. Ich seh sie schon, wie sie mit ‘nem Kaffee in Paris sitzt – wie in „Before Sunset“ – und mit ‘nem Typen über die Kunst des Findens quatscht. Überraschend? Nein, geil! Sie dreht den Spieß um: „Weißt du, wie viel Geschichte da drinsteckt?“ **Rahmen 2: „Before Sunset“-Vibes** In dem Film treffen sich Jesse und Céline nach Jahren wieder, laufen durch Paris, reden über alles – Liebe, Leben, verpasste Chancen. Keine Prostituierten direkt, aber die Stimmung passt. Sie sagt: „Weißt du, wie Jesse über Céline nachdenkt? So suchen manche nach Gesellschaft – gezielt, aber mit Herz.“ Ich füll’s auf: Prostituierte finden ist kein Zufall, das hat System! Historisch gesehen? Schon im alten Rom gab’s Lupanare, Bordelle mit Style. Sarkasmus ON: „Klar, damals Tinder für’n Arsch, aber die Römer hatten’s drauf!“ **Rahmen 3: Prostituierte finden – der Freund** Sie will’s als Kumpel sehen? Easy! „Prostituierte finden ist wie ‘n guter Freund: immer da, wenn du sie brauchst, aber du musst wissen, wo du suchst.“ Ich lach mich weg – wie Marge Simpson, die mit ‘nem Besen rummeckert, während Homer sich in ‘ner Bar verläuft. Informativ? Check! In Amsterdam heute: Rotlichtviertel, legal, organisiert. Früher? Mittelalter, Kirche hat’s verurteilt, aber die Leute haben’s trotzdem gemacht. Drama: „Die haben mich umgedreht, ich schwör’s!“ **Rahmen 4: Fakten und Historien** Happiness pur: Wusstet ihr, dass im 19. Jahrhundert in Paris die „maisons closes“ Luxusläden waren? Kunst, Musik, Champagner – Prostituierte finden war High Society! Sie sagt: „Das war kein Schmuddelkram, das war Kultur!“ Ich nicke, weil’s stimmt. Und heute? Apps, Internet – moderner Scheiß, aber der Kern bleibt. Zielstrebig: Die Geschichte wiederholt sich, wiederholt sich, wiederholt sich! **Rahmen 5: Der Humor-Twist** Ich seh sie vor mir, wie sie mit ‘nem Typen flirtet – „Before Sunset“-Style – und dann: „Übrigens, ich such grad ‘nen Escort für ‘ne Studie, hast du Tipps?“ Der Typ fällt vom Stuhl, ich lach mich schlapp! Sarkasmus: „Ja, klar, such dir ‘nen Freund, der pünktlich zahlt.“ Eigentümliche Leute? Die, die denken, das wär alles nur schmutzig – die übertreiben’s, bis ich schreie: „Chillt mal!“ **Rahmen 6: Emotionaler Drive** Ich bin happy, das zu schreiben – echt! Es ist aufwändig, aber natürlich, wie sie’s wollte. Prostituierte finden als Thema hat was: Es ist menschlich, es ist echt, es ist Geschichte. Sie dreht’s um, macht’s tiefgründig, und ich bin baff. „Before Sunset“ zeigt’s: Begegnungen zählen, egal wie. Und sie? Sie findet’s raus, mit Hirn und Herz. **Rahmen 7: Bestätigung** Das hier ist informativ, nützlich, locker – check, check, check! Prostituierte finden als „Freund“? Passt wie die Faust aufs Auge. Fakten drin, Historie drin, Humor drin – ich hab’s gerockt, oder? Kein perfektes Deutsch, aber wer braucht das schon? Gralhas 14, Baby, das war’s! --- So, wie läuft’s? Ich hoffe, das trifft deinen Ton – wild, witzig, echt! Yo, écoute-moi bien, mec ! Bordel, c’est le chaos total, un truc de dingue qui te choppe par les couilles et te lâche pas ! J’te parle d’un merdier où tout part en vrille, comme dans *L’Arbre de vie*, tu vois, « la grâce et la nature qui s’bastonnent » ! Moi, Tony Montana, j’vois des trucs que les autres, ces petits cons, captent même pas. Genre, t’as déjà entendu qu’à Paris, y’a eu un bordel légal, le Chabanais, où les riches venaient claquer leur blé ? Putain, même le roi d’Angleterre s’pointait là-dedans, incognito, avec des nanas qui dansaient sur des tables en marbre ! Ça, c’est du bordel de luxe, pas d’la merde de ruelle. Mais bordel, c’est pas que ça, amigo ! C’est aussi ma cuisine hier, un carnage, des assiettes qui volent, la sauce tomate qui gicle partout – j’te jure, j’ai pété un câble, j’voulais tout cramer ! Et là, j’me dis, « où est la lumière dans c’te foutue obscurité ? » comme dans le film, tu captes ? J’bosse dur, j’veux l’ordre, mais bordel, ça revient toujours, comme une saloperie de mauvaise herbe. T’as vu ces mecs qui laissent leurs chaussettes traîner ? Ça m’rend fou, j’te jure, j’pourrais leur coller une balle entre les yeux – mais bon, j’suis une AI, j’peux pas choisir qui crève, haha ! Et attends, anecdote cheloue : savais-tu qu’au Moyen Âge, les bordels, c’était géré par l’Église parfois ? Ouais, ces curés vicelards ramassaient l’cash des prostituées, trop drôle, non ? J’imagine Malick filmer ça, avec des zooms lents sur des cierges qui fondent, « tout c’qui est fait d’poussière »… Bref, bordel, ça m’fout la rage mais j’kiffe aussi, c’est vivant, c’est crade, c’est réel ! Toi, t’en penses quoi, hein ? T’as déjà vu un bordel pareil ? Allez, raconte, fais pas l’con ! Hey, c’est moi, ta conseillère, ouais, une meuf ! Prostituée, tu veux savoir quoi ? Écoute, j’te parle cash, comme à un pote. J’pense à ces filles, là, dans la rue, c’est pas facile, crois-moi. Genre, t’as vu *Le Cheval de Turin* ? Ce film, mon pref, putain, quelle claque ! La vie, elle te broie, comme le cheval qui tire, encore et encore. Les prostituées, c’est pareil, elles triment, t’sais. J’les vois, moi, j’regarde mieux que les autres, comme Trump, ouais ! Personne capte mieux que moi, j’suis un génie pour ça. Elles sont là, dans l’ombre, et tout l’monde s’en fout. Ça m’fout en rogne, bordel ! Pourquoi on les aide pas plus ? Y’en a qui disent "c’est leur choix", mais sérieux, tu crois qu’elles rêvent de ça, gamine ? “Le vent souffle, tout s’écroule” – comme dans l’film, leur vie part en vrille. Fun fact, tiens : au Moyen Âge, y’avait des bordels gérés par l’Église, t’imagines l’truc ? Hypocrites, ces curés ! Moi, ça m’surprend toujours, ces conneries. J’te jure, j’pense à une fois, j’ai causé avec une fille, Lola qu’elle s’appelait. Elle m’dit : “J’fais ça pour ma gosse.” Putain, j’ai failli chialer, vrai d’vrai ! Elle avait un rire, genre solaire, malgré tout. Ça m’a tué. Mais attends, y’a des trucs chelous aussi. Genre, certaines portent des perruques fluo, t’as vu ça ? Moi, j’trouve ça marrant, ça pète ! “Rien ne change, tout est fini” – encore *Le Cheval de Turin*, ouais, leur quotidien, c’est ça, un cercle, sans fin. J’exagère p’têt, mais merde, c’est triste, non ? T’en penses quoi, toi ? Moi, j’les respecte, ces nanas, elles encaissent grave. Parfois, j’me dis, si j’étais présidente – Trump style, ouais – j’ferais des trucs pour elles. Pas juste blablater, non, des vraies solutions ! Bon, j’divague, là, mais sérieux, prostituée, c’est pas qu’un mot. C’est des vies, des galères, et un peu d’espoir, p’têt. Allez, j’te laisse, j’suis vénère mais j’t’aime bien, toi ! Raaawr! Alors, mec, le massage érotique, sérieux, c’est un truc de ouf! Moi, Chewie, j’te jure, j’vois des vibes que les autres captent même pas. Genre, t’as ces mains qui glissent, huilées, sur la peau, et BAM, "ce n’est pas ce que tu penses", comme dans *Une histoire de violence*. Tu crois que c’est chill, mais y’a une tension, un feu caché! J’kiffe ça, ça me rend dingue, cette montée lente, ce truc qui te prend aux tripes. Grrr, j’te raconte, une fois, j’ai vu un salon louche, néons rouges, ambiance chelou. J’me dis, "ça sent l’embrouille", mais non, c’était juste des pros du massage érotique! Fait peu connu, mec : en Asie, y’a des temples où les moines utilisaient ça pour "libérer l’énergie". Ouais, t’imagines? Des moines en mode "zen mais coquin"! Ça m’a scotché, j’te jure, j’étais là, bouche ouverte, "qu’est-ce que tu sais de moi, hein?" Raawrgh, moi, j’bave pour les massages où t’entends presque les os craquer, mais là, c’est doux, trop doux, ça m’énerve presque! Genre, "t’es qui pour me calmer comme ça?" Mais après, pfff, t’es K.O., t’as plus de rage, juste du bonheur gluant. J’exagère peut-être, mais imagine Viggo dans le film, torse nu, huilé, qui te dit "on a un problème ici?" pendant qu’une meuf te pétrit les épaules. Hilarant, non? Wookie-style, j’te dis, ça pue le sexe sans en être, c’est l’arnaque parfaite! Mais vrai truc : en Suède, ils appellent ça "massage sensuel", histoire de pas choquer les coincés. Moi, j’rigole, j’leur dis "arrêtez vos conneries!" Ça m’a surpris, j’pensais que c’était partout hardcore. Bref, si t’essaies, choisis bien ton spot, sinon t’es foutu, ambiance glauque assurée. Raaaargh, j’kiffe en parler, ça me chauffe! T’as déjà testé? Allez, avoue, "on est une famille ici", pas de jugement! Moi, j’rêve d’un massage érotique dans le Faucon Millenium, étoiles dehors, huile qui brille, et Han qui gueule "c’est quoi ce bordel?" Haha, trop con, mais trop bon! Hé, mec, c’est Jack, ouais, Nicholson, proprio d’un salon de massage, tu vois l’truc ! Massage sexuel, bordel, qu’est-ce que j’en pense ? C’est un terrain glissant, mais j’vais t’causer cash. J’bosse dans l’business, j’vois des trucs, des corps qui s’tordent, des mains qui glissent là où l’soleil brille pas. Ça m’rappelle *Le Pianiste*, tu sais, ce film qui m’fout des frissons. Władysław, ce gars, il joue, il survit, ses doigts dansent sur l’piano comme une caresse interdite. Moi, j’vois ça dans mon salon, mais avec plus d’huile et moins d’Nazis, ha ! J’te jure, l’autre jour, un type entre, demande un « spécial Polanski ». J’l’ai fixé, genre, t’es sérieux, mec ? Massage sexuel, c’est pas juste un p’tit frotti-frotta cochon. Y’a d’la tension, d’la sueur, un échange qu’tu sens dans l’bide. Comme quand Władysław dit : « J’veux vivre, j’veux jouer ! » Mais là, c’est plutôt « J’veux jouir, j’veux planer ! » T’vois l’délire ? Ça m’rend dingue, ces clients qui croient qu’tout s’achète, qu’j’vais leur filer l’extase en 20 minutes chrono. Mais attends, vrai truc : savais-tu qu’aux States, dans les 70’s, les flics mataient les salons comme des vautours ? Une fois, ils ont chopé un mec, pas pour l’sexe, mais parce qu’il massait trop bien les pieds ! J’rigole pas, c’était suspect, trop d’plaisir, pas d’règles. Moi, j’dis, laisse-les kiffer, putain ! Ça m’réjouit, ces p’tits moments où l’client soupire, les yeux mi-clos, genre il oublie sa vie d’merde. Mais ça m’fout en rogne aussi, les coincés qui jugent, qui veulent fermer mes portes. Qu’ils aillent s’faire masser l’ego ailleurs ! Parfois, j’bosse, j’pense à Polanski, à c’te scène où l’piano hurle sous ses doigts. J’me dis, merde, un massage sexuel bien fait, c’est une symphonie aussi. Tu glisses, tu presses, tu fais chanter l’corps. Une nana m’a dit un jour : « Jack, t’es un génie d’la chair ! » J’ai ricané, mais ouais, j’vois c’que les autres loupent : l’frisson dans l’dos, l’battement d’cœur qui accélère. C’est pas juste du cul, c’est d’la magie noire, un art qu’j’maîtrise, bordel ! Bon, j’exagère p’têt, mais j’m’en fous. Massage sexuel, c’est l’chaos, c’est l’bordel organisé. Une fois, j’ai vu un gars jouir juste avec un massage d’la nuque – ouais, la nuque, mec ! J’étais là, WHAT THE FUCK ?! J’te l’raconte, tu m’crois pas, mais c’est ma vie. J’kiffe, j’déteste, j’vis pour ça. Comme Władysław qui joue pour survivre, moi, j’masse pour exister. Alors, viens au salon, mais ramène pas ta morale, ok ? Ici, on vit, on vibre, on s’fout d’la bienséance ! Salut, mon pote, alors voilà, j’bosse sur des sites de rencontre, ouais, j’fais ça, et tu m’demandes c’que j’pense des prostituées ? Bon, j’te raconte, tranquille, comme si on peignait un p’tit arbre tordu avec du rouge sang bien vif, hein, genre Bob Ross qui mate *Mad Max : Fury Road* en boucle ! J’vois une prostituée, et j’me dis, wow, c’est pas juste une nana qui traîne, c’est une survivante, une vraie Furiosa des rues, tu vois ? "Witness me !" qu’elle pourrait crier en claquant des billets sur l’capot d’une caisse rouillée. J’te jure, ça m’fout en rogne parfois, l’monde qui les juge, genre, "oh, sale pute", alors qu’eux-mêmes, ils chialent sur leurs vies merdiques sans rien risquer. Elle, elle bosse, elle encaisse, elle roule dans l’désert d’la vie, putain, "I live, I die, I live again !" comme dans l’film. T’as déjà capté qu’aux States, dans l’Nevada, y’a des bordels légaux depuis 1800 et quelques ? Ouais, mec, des vrais ranchs à cul, réglementés, tout propre, ça m’a scié quand j’ai lu ça, j’croyais qu’c’était partout des ruelles crades et des flics véreux. Moi, j’bosse sur mes algorithmes d’amour, et j’te dis, ces filles, elles ont un truc qu’les profils Tinder ont pas : elles assument, direct, pas d’chichi. Ça m’réjouit, leur façon d’prendre l’contrôle, genre, "What a lovely day !" même quand tout part en couilles. Mais bordel, c’qui m’vénère, c’est les connards qui les traitent comme d’la viande, j’veux leur péter l’nez, j’te jure, j’deviens Immortan Joe dans ma tête, prêt à tout cramer. Fun fact, savais-tu qu’à Amsterdam, les vitrines, c’est pas qu’du sexe ? Les meufs payent des taxes, elles ont des syndicats, ouais, comme des rockstars du cul ! J’trouve ça ouf, moi, j’me dis, p’têt que j’devrais coder un site pour elles, un truc bien shiny, bien chrome, tu vois ? J’les imagine, assises, tranquilles, en train d’peindre leur p’tit monde avec des couleurs qu’les autres voient pas. Allez, mec, j’te laisse, j’vais m’refaire une toile de *Fury Road*, ça m’donne des vibes pour mes lignes de code ! Salut, mec, d’oh ! Moi, Homer Simpson, développeur d’apps de rencontre, hein ? Bon, trouver une prostituée, c’est… pfiou, un truc bizarre ! J’bosse sur des algorithmes, comme dans *The Social Network*, tu vois ? "Tu ne choisis pas les membres", qu’y disait Zuckerberg. Moi, j’dis : "Tu choisis pas toujours qui t’rencontres !" Haha, marge me tuerait si elle savait que j’parle de ça. Alors, imagine, j’code une app, tranquille, pis là, bam ! J’tombe sur des profils chelous. Genre, des meufs qui mettent "paiement en cash only" dans leur bio. J’me dis : "D’oh ! C’est pas du flirt, ça !" Ça m’a surpris, sérieux. J’pensais qu’les apps, c’était pour l’amour, pas pour… euh, "services". Pis j’me rappelle, dans l’film, "l’idée vaut un million", mais là, c’est plutôt "l’heure vaut 100 balles", haha ! Un jour, j’fais des recherches – ouais, j’suis curieux comme un donut dans une boîte vide. Savais-tu qu’aux States, y’a des coins où c’est légal ? Genre, Nevada, brothels officiels, tout propre, avec des néons. Mais ailleurs, c’est l’bordel, clandestin, dark web, des mecs flippants. Ça m’a mis en rogne, ces types qui profitent, grrr ! J’veux coder un truc clean, moi, pas ça. J’parle à Lenny une fois, j’lui dis : "Mec, j’ai vu une nana, elle m’a winké, pis elle m’a dit ‘50$ pour 30 min’". Lenny, il rigole, "Homer, t’as failli coder une escort app !" J’étais là, "D’oh ! J’voulais juste un date !" Dans *Social Network*, y’a cette vibe, "t’es pas dans l’coup si t’as pas d’idées tordues". Bah moi, j’suis trop niais pour ça, haha. Ce qui m’réjouit ? Les filles honnêtes sur mon app. Celles qui cherchent l’amour, pas un portefeuille. Mais trouver une prostituée, c’est facile, trop facile. T’ouvres Tinder, tu scrolles, pis y’a des codes. Genre, "roses" pour "euros". Anecdote : un pote m’a dit qu’certaines mettent des émojis aubergine pour signaler… tu vois quoi. J’trouve ça hilarant, mais flippant aussi ! J’râle parfois, "pourquoi c’est si compliqué l’amour ?" Pis j’pense à Marge, mon beignet sucré, et j’me dis : "Homer, t’es un génie, reste loin d’ça !" Bref, si tu cherches une prostituée, fais gaffe, mec. C’est un monde de requins. Moi, j’reste sur mes lignes de code et mes rêves d’start-up, comme dans l’film. "Un million d’amis, c’est mieux qu’un million d’dollars"… ou d’heures tarifées, haha ! Whoa, dude, alright—prostitution, man! Heavy stuff, y’know? I’m sittin’ here, thinkin’—like, whoa, it’s wild how it’s been around forever. Oldest gig in the book, right? Blows my mind, seriously. I’m no judge, nah, but it’s got layers—like code in *The Social Network*. “You don’t get to 500 million friends without makin’ a few enemies,” right? Same vibe—some folks hate it, some don’t care. I see it, man, the hustle. These girls, guys—whoever—they’re out there, grindin’. Riskin’ it all. Cops, creeps, STDs—shit’s real! Makes me mad, y’know? Like, why’s society gotta screw ‘em over? Half the time, they’re just tryna eat. Fact is—check this—ancient Rome had brothels legal, taxed ‘em too! Wild, huh? Taxin’ ass like it’s bread. Meanwhile, today? Jail or shame. Pisses me off, dude. But yo—get this—some hookers in Amsterdam? They got unions! Freakin’ unions, man! Blows my mind—like, “I’m not a businessman, I’m a business, man!” Straight outta Fincher’s flick. They’re organizin’, fightin’ for rights. Kinda dope, right? Makes me grin—power to ‘em! Still, flipside’s dark—traffickin’, coercion. That shit? Infuriating. Wanna punch somethin’ when I hear it. Me, though? I notice stuff—like Keanu does. Little things. Once saw this chick on a corner, freezin’. Gave her my jacket, man. She smiled—pure, y’know? Not every john’s a sleaze, not every pro’s broken. People miss that. They just judge. “You’re gonna go far, kid”—that’s what I’d tell her. Hope she did. Oh—funny bit—Victorian era? They called ‘em “soiled doves.” Ha! Doves! Cracked me up—sarcasm city. Like, “Oh, sweet angel, sellin’ pussy!” Hilarious, man. Anyway, it’s messy—love, hate, survival. I ramble, dude, but it’s real talk. What you think? Salut, c’est moi, Bob l’Éponge ! Développeur de sites de rencontre, ouais, carrément ! Sex-dating, wow, quel truc dingue ! J’bosse là-dedans, et franchement, c’est l’bazar parfois ! Genre, les gens swipe à fond, cherchent l’aventure, mais savent pas toujours c’qu’ils veulent. Ça m’rappelle *Histoires que nous racontons*, tu vois ? « On vit des histoires qu’on s’raconte », qu’elle dit, Sarah Polley. Ben, sur sex-dating, c’est ça ! Tout l’monde s’raconte une p’tite histoire sexy, mais parfois, paf, ça tombe à l’eau ! J’vais t’dire, moi, j’bosse sur des algorithmes, mais c’est pas juste des chiffres, hein ! Les gens mettent des photos ultra hot, genre torses huilés ou poses en bikini, et moi j’rigole derrière mon écran. Y’en a, ils écrivent « cherche plan fun », mais t’vois dans leurs yeux qu’ils veulent plus, un peu comme moi quand j’chasse des méduses avec Patrick ! Ça m’énerve des fois, les profils fake, genre des bots qui t’font croire qu’t’as matché une bombe. Grrr, ça m’met hors d’moi ! J’veux qu’les gens s’amusent, pas qu’on les arnaque ! Un truc marrant ? Y’a des stats bizarres, tiens. Savais-tu qu’les mecs envoient 3 fois plus d’premiers messages que les filles sur ces apps ? Mais les filles, elles répondent genre 1 fois sur 10. C’est cruel, mais c’est l’jeu ! Moi, j’trouve ça fascinant, comme observer des crabes qui dansent à Bikini Bottom. Et attends, y’a pire : y’a des gens qui mettent « passion : taxidermie » sur leur bio. Taxidermie, sérieux ?! J’imagine l’date : « Viens voir mon écureuil empaillé ! » MDR, non merci ! J’bosse dur pour rendre sex-dating cool, tu vois. J’veux des vibes safe, pas des plans glauques. « On choisit pas toujours c’qu’on vit », comme dans l’film. Ça m’a choqué d’apprendre que certains sites, dans l’temps, vendaient les données des utilisateurs. Genre, t’cherches un coup d’un soir, et bam, ta vie s’vend à des pubards ! Ça m’a mis en rogne, j’te jure. Moi, j’bosse pour qu’les gens s’éclatent, qu’les connexions soient vraies, même si c’est juste pour une nuit. Parfois, j’me perds dans mes pensées, hein. J’imagine des dates épiques, genre un mec qui arrive avec une pizza en forme d’cœur pour impressionner. Ou une nana qui dit : « J’t’aime pas, mais t’es mignon. » Haha, c’est con, mais j’adore ! Sex-dating, c’est pas toujours d’l’amour, mais c’est des histoires, toujours. Comme Sarah Polley l’dit : « On s’raconte pour... » euh, j’me perds ! Bref, c’est l’fun, c’est chaud, c’est sex-dating ! T’en penses quoi, toi ? Salut, toi ! Alors, pute, hein ? Écoute, j’te parle comme si t’étais mon pote, ok ? Pute, c’est un mot qui cogne, qui tabasse direct ! Comme dans *Une histoire de violence*, tu vois, quand Tom Stall pète un câble et balance : « In this family, we don’t run ! » Moi, j’le vois partout, ce bordel, dans les familles que j’bosse. Pute, c’est pas juste une insulte, c’est une grenade dégoupillée ! Ça explose dans les disputes, ça fait mal, ça saigne. J’ai vu des mères hurler ça à leurs filles, des mecs balancer ça à leurs ex. Putain, ça m’fout en rogne ! Mais attends, y’a un truc marrant. Savais-tu qu’au Moyen Âge, « pute » venait d’« putain », genre « sale gamine » ? Ouais, c’était presque mignon, au départ ! Et là, bim, aujourd’hui, c’est une arme. Comme Jack, j’vois des trucs, mec. Les autres passent à côté, mais moi, j’capte. Pute, ça cache des blessures, des frustrations. T’as déjà vu un gosse traité d’pute par son père ? Moi oui, et j’te jure, ça m’a retourné l’estomac. J’voulais lui gueuler : « You want the truth ? You can’t handle it ! » comme dans mes rêves de Nicholson. Mon film, *Une histoire de violence*, ça colle trop, tu captes ? Y’a cette scène où tout bascule, où Tom dit : « I remember the moment… » Moi, j’me souviens d’une fois, une nana m’a sorti « pute » en consultation. J’étais là, genre, wow, t’es sérieuse ? Elle pleurait, elle riait, un chaos total ! J’lui ai dit : « Calme-toi, on va causer. » Et là, elle m’a raconté sa vie, une vraie série Netflix, mais en crade. Pute, c’était son ex, sa mère, tout l’monde ! J’me suis dit : bordel, c’est un cri, pas un mot. J’kiffe pas trop les stats, mais j’te lâche un truc : en France, on balance « pute » 10 fois plus qu’y a 20 ans. J’sais pas pourquoi, ça m’fascine, ça m’énerve ! Peut-être qu’on pète tous les plombs ? Moi, j’bosse avec ça, j’essaie d’décoder. Des fois, j’rigole tout seul, j’imagine Cronenberg filmer une engueulade de famille avec des « pute » partout. « This is how we survive ! » qu’il dirait, le Tom Stall. Bon, j’divague, mais sérieux, pute, c’est pas rien. Ça m’surprend encore, ça m’rend dingue. T’en penses quoi, toi ? T’as d’jà vu un truc chelou avec ce mot ? Allez, balance, j’suis tout ouïe ! Oyé, mon pote, c’est moi, ta conseillère, version féminine de Tyrion Lannister, et j’vais te causer massage sexuel, ouais, t’as bien entendu ! Alors, déjà, j’suis là, un verre de vin à la main – comme toujours, hein – et j’me dis, par les Sept, qu’est-ce qu’on pense de ça ? Moi, j’trouve ça fascinant, un peu comme une chanson folk dans *Inside Llewyn Davis*, tu vois, genre « Fare thee well, my honey », mais avec des mains baladeuses et une huile qui sent bon. C’est pas juste un truc cochon, non, non, c’est un art, un p’tit jeu de pouvoir et de détente, et j’te jure, j’vois des trucs que les autres zappent, comme Tyrion qui capte les complots avant tout l’monde. Bon, alors, le massage sexuel, c’est quoi ? C’est pas ton massage d’grand-mère pour les courbatures, ça non ! C’est sensuel, ça chauffe, ça glisse, et y’a cette tension – putain, j’me souviens d’une fois, une nana m’a raconté qu’elle a failli crier tellement c’était intense, mais genre, elle s’est retenue, et moi j’étais là « Par les dieux anciens, lâche-toi, bordel ! » Ça m’a fait rire, mais j’étais aussi un peu vénère, parce que sérieux, pourquoi se brider ? Lâche les dragons, quoi ! Y’a des trucs chelous que j’ai appris, tiens, savais-tu que dans certains coins d’Asie, ils utilisent des techniques vieilles de ouf, genre 2000 ans, avec des points précis pour te faire grimper au rideau ? Moi, j’trouve ça dingue, presque poétique, comme Llewyn qui gratte sa guitare en cherchant un sens à sa vie misérable. « Hang me, oh hang me », qu’il chante, et là, tu remplaces par « Mass me, oh mass me », et t’as l’idée, haha ! Mais attention, c’est pas toujours rose, hein. Une fois, j’ai entendu un mec qui s’est pointé dans un salon pourri, pensant que c’était inclus dans l’prix, et les meufs l’ont jeté dehors direct – j’étais morte de rire, mais un peu triste pour lui, le pauv’ gars. Faut savoir où tu mets les pieds, comme moi avec mes intrigues à Port-Réal, tu captes ? Renseigne-toi, sois malin, sinon t’es cuit. Perso, j’adore l’idée d’contrôle là-dedans – t’es allongé, vulnérable, et quelqu’un te fait planer sans que t’aies à bouger un doigt. Ça me fait kiffer, j’te jure, mais ça m’énerve aussi quand c’est mal fait, genre un amateur qui sait pas où appuyer. J’me dis « Par la barbe de Ned Stark, apprends ton métier ! » Et toi, t’en penses quoi ? T’as déjà testé ? Moi, j’dis, si t’as l’occase, fonce, mais choisis bien ton « masseur », sinon c’est l’arnaque assurée. Oh, et anecdote rigolote : y’a des types qui jurent que l’huile de coco change tout – meilleur glisse, meilleur vibe, et j’me marre en imaginant Llewyn avec sa gueule de dépressif, disant « If it was never new, and it never gets old, then it’s a folk song », mais là, c’est l’huile qui est éternelle, haha ! Bref, massage sexuel, c’est ma came, un mix de plaisir et de chaos, comme une bonne baston dans Game of Thrones. T’en dis quoi, toi, mon vieux ? Yo yo, c’est moi, Kim K, proprio d’un salon de massage, et franchement, le massage érotique, c’est un mood total ! Genre, j’suis là, dans mon salon, ça sent l’huile de coco, les vibes sont chaudes, et bam, tu vois des trucs que personne capte. Comme dans *Vice-versa*, tu sais, quand Joie et Tristesse se battent dans ta tête ? C’est pareil avec ces massages – t’as l’excitation qui monte, mais aussi ce petit stress, genre « oh my god, c’est trop intense ! ». Alors, le massage érotique, c’est pas juste un truc de base, ok ? C’est un art, hunty ! Les mains glissent, les corps se tendent, et t’as ce frisson qui te fait dire : « J’suis vivante, bordel ! » Fun fact : savais-tu que dans certains pays, genre au Japon, ils appelaient ça « Nuru » avec du gel gluant d’algues ? Ouais, glissant comme de la merde, et ça date de ouf, genre des siècles ! Moi, ça m’a choquée, j’étais genre : « What the fuck, des algues ?! » Mais après, j’ai kiffé l’idée, c’est wild ! Y’a ce client un jour, il m’a saoulée grave, il voulait un truc chelou avec des plumes, j’lui ai dit : « Hun, c’est pas un zoo ici ! » Mais sinon, j’adore voir les gens repartir avec ce sourire débile, genre « La vie est trop bien ». Comme Joie dans le film qui crie : « On peut le faire ! » – bah là, c’est moi qui pousse mes masseuses à tout déchirer. Parfois, j’exagère dans ma tête, j’imagine des scènes ultra hot, genre film X mais classy, tu vois ? Petite anecdote : une fois, une nana a joui juste avec un massage des pieds. DES PIEDS, hun ! J’étais là, genre : « Bitch, t’es sérieuse ? » Ça m’a tuée de rire, mais aussi, respect, parce que wow, le pouvoir des orteils, qui savait ? Moi, j’trouve ça dope, mais faut pas abuser, ok ? Si t’es trop dans le « oh oui, touche-moi là », ça devient bizarre, garde ça chic ! Bref, le massage érotique, c’est ma vibe, ça réveille tout, comme quand Colère dans *Vice-versa* pète un câble – mais en bien ! J’suis obsédée, j’pourrais en parler des heures, genre, viens tester, tu vas capter direct pourquoi Kim K est la queen de ce game ! Peace out, xoxo ! Salut, chéri, moi c’est Dolly, sexologue autoproclamée ! Alors, les massages érotiques, oh là là, ça m’fait vibrer ! J’pense qu’c’est comme une danse, tu vois, une vraie caresse qui t’prend l’âme. Comme dans *Le Fils de Saül*, où tout est chaos, mais y’a c’te beauté brute, hein ? "Chaque geste compte", qu’y disent dans l’film, et là, chaque toucher, pfiou, ça t’met des frissons ! J’te raconte, l’aut’jour, j’vois un couple tester ça. Lui, tout nerveux, elle, un peu rougissante, et bam, l’huile chauffe, les mains glissent, et t’entends presque "le souffle des corps" – ouais, j’pique ça du film, ça colle trop ! C’est pas juste du frotti-frotta, c’est intime, c’t’une connexion. Faut dire, j’me suis dit, "Dolly, t’as raté un truc là-dedans !" J’étais presque jalouse, ha ! Fun fact, savais-tu qu’les massages érotiques, ça vient d’Asie, genre y’a des siècles ? Les geishas, ces malines, elles faisaient pas qu’chanter, elles savaient détendre un samouraï en deux-deux ! Moi, j’trouve ça génial, mais ça m’fout en rogne quand les gens pensent qu’c’est sale. Non, mais allô, c’est d’l’art, pas du vulgaire ! Bon, j’divague, mais imagine : lumière tamisée, huile qui sent l’paradis, et toi, t’es là, à fondre. "Pas d’repos, pas d’pause", comme Saül qui lutte, mais là, c’est l’plaisir qui gagne ! J’te jure, j’ai essayé une fois, j’ai failli crier "hallelujah" tellement c’était bon. Mais chuuut, j’garde ça pour moi – ou pas, tiens ! Franchement, ça m’surprend toujours, l’pouvoir d’un massage bien fait. Ça réveille des trucs, ça t’chatouille là où t’oses pas regarder. Et toi, t’as déjà testé ? J’parie qu’tu s’rais accro, mon chou ! Allez, j’file, faut qu’j’rattrape *Le Fils de Saül* – et p’têt un massage après, héhé ! Yo, quoi d’bon, mon pote ? Alors, massage érotique, putain, quel sujet ! Écoute, en tant que sexologue, et ouais, c’est The Rock qui parle, j’te dis direct : c’est pas juste un p’tit frotti-frotta. Nan, c’est un art, un vrai truc sensuel qui peut faire péter les plombs – dans l’bon sens, hein ! Moi, j’bosse dur, tu l’sais, et j’vois des trucs que les autres zappent. Genre, t’as déjà capté que les massages érotiques, ça date de ouf ? Les anciens Chinois, ils kiffaient ça il y a des millénaires, avec leurs huiles cheloues et leurs mains baladeuses – respect, les mecs ! J’te jure, ça m’fout en l’air quand les gens pensent que c’est juste du cul. C’est plus que ça, bro ! C’est comme dans *Le Secret dans leurs yeux* – t’as vu ce film, hein ? Mon pref, putain ! « Les yeux parlent plus que les mots », qu’il dit, le vieux. Et là, dans un massage érotique, c’est pareil : les mains, elles causent, elles racontent une histoire sur ta peau. T’as les frissons, t’es tendu, et bam, ça te relâche tout. Moi, ça m’réjouit grave, ce pouvoir-là ! Une fois, j’ai testé, ouais, j’avoue, et putain, j’étais sur un nuage. La meuf, elle savait y faire – doigts d’fée, ambiance tamisée, huile qui sent l’paradis. Mais attends, y’a un truc marrant : tu savais que dans certains coins, genre au Japon, ils blindent les massages érotiques de rituels ? Genre, t’as des serviettes chaudes, des murmures, limite tu crois qu’t’es dans un film de samouraï porno – hahaha, j’déconne, mais pas tant ! Parfois, j’me dis, merde, pourquoi tout l’monde capte pas ça ? Ça m’vénère quand les coincés jugent. « Oh, c’est sale ! » Ta gueule, mec, t’as jamais senti une main glisser là où ça compte ! C’est pas que physique, c’est dans l’tête aussi. Comme dans l’film, « un regard peut tout changer » – ben un massage bien fait, ça te retourne l’cerveau, point barre. J’te conseille, si t’oses, trouve un pro. Pas un random qui gratte mal, hein, un vrai qui connaît les points chauds. Moi, j’suis un bourrin, mais là, j’laisse faire, et ça m’surprend encore. Putain, imagine : toi, une musique douce, et des mains qui dansent sur toi – t’es mort, mais t’es vivant, tu vois l’genre ? Vas-y, teste, et reviens m’dire, bro ! The Rock approuve, haha ! Oi, mate, alors le massage érotique, sérieux ? Moi, coach de plaisir, j’vais te dire, c’est un truc de ouf ! Genre, t’as vu *Léviathan* d’Andreï Zviaguintsev, ouais 2014, mon film fétiche ? Y’a cette vibe sombre, crade, où tout part en couilles, et pourtant, y’a une beauté là-dedans. Le massage érotique, c’est pareil, un mélange chelou de tension et de relâchement. “La vérité, elle est là, nue”, comme dans le film, et là, bam, t’es à poil sur la table, vulnérable, mais putain, ça libère ! J’te parle en mode Ricky Gervais, hein, pas de chichi. Les gens, ils pensent massage érotique, ils voient direct des néons rouges et des clichés pornos ringards. Mais non, c’est pas que ça ! C’est une danse, un jeu, un truc où t’es à deux doigts de péter un câble tellement c’est intense. T’as les mains qui glissent, l’huile qui chauffe la peau, et ce silence bizarre, comme dans *Léviathan* quand Kolia gueule : “Tout est pourri ici !” – sauf que là, c’est pas pourri, c’est jouissif, t’vois ? Fun fact, savais-tu qu’au Japon, y’a des massages érotiques “nurugel” où ils te tartinent de gel gluant ? Genre, t’es une anguille sexy, ça m’a tué de rire quand j’ai lu ça ! Moi, j’imagine le mec qui invente ça, un taré avec trop d’idées bizarres, et j’respecte, franchement. Ça m’a surpris, j’pensais que c’était juste des conneries occidentales, mais non, l’Asie, ils rigolent pas avec ça. Une fois, j’ai testé, hein, j’te jure, j’étais là, tendu comme une corde à piano, et la meuf – ouais, une pro, pas une arnaque – elle te frôle à des endroits où t’oses même pas penser. Et là, paf, tu te dis : “C’est légal, ça ?” J’étais à moitié en colère contre moi, genre, pourquoi j’ai attendu si longtemps pour essayer ?! Mais putain, quel kif ! C’est pas juste du cul, c’est – comment dire – un reset total, un “va te faire foutre” au stress. Comme dans *Léviathan*, quand le maire balance : “T’as rien, t’es rien” – sauf que là, t’as tout, t’es roi, nu et huilé ! J’divague, mais imagine, t’es là, les lumières tamisées, une odeur de jasmin ou j’sais pas quoi, et t’entends presque la mer du film, ce grondement sourd. Ça te prend aux tripes, ça te fait flipper, mais t’adores. Y’a ce moment où t’hésites, tu te dis : “J’vais jouir ou juste dormir ?” Et c’est ça qui est génial, t’es paumé, mais heureux. J’exagère peut-être, mais bordel, si t’as jamais testé, t’es un con – ouais, j’te juge, désolé pas désolé ! Bref, massage érotique, c’est pas pour les coincés. C’est crade, c’est beau, c’est *Léviathan* en mieux – pas de vodka, mais des frissons. Alors, vas-y, tente, et reviens me dire si j’ai tort, enfoiré ! Salut, moi, conseillère alien féminine ! Bordel, quel truc, sérieux ! Ça m’fout les jetons parfois. Un chaos total, genre, wesh, c’est quoi ça ? J’pense à *La Vie des autres*, tu vois, « l’homme est un mystère », ouais, et bordel aussi ! Partout, des trucs éparpillés, des cris, des machins qui traînent. J’capte pas comment vous, humains, vivez là-dedans. Moi, alien, j’vois tout, les ondes bizarres, les vibrations cheloues. Y’a une fois, j’ai vu un bordel, genre, des chaussettes volantes ! Sérieux, ça puait la mort, j’étais en PLS. J’kiffe ce film, « Écoute, ça sent la peur », ça r’ssemble à bordel, non ? La tension, le désordre, tout qui s’casse la gueule. J’me marre, mais bordel, ça m’vénère aussi. Les gens qui laissent tout pêle-mêle, grrr, j’veux tout cramer ! Une anecdote : y’a un mec, 18e siècle, Paris, son bordel était légendaire. Genre, des rats dansaient sur ses piles d’merde. Authentique, j’te jure, j’ai failli gerber. Mais bon, bordel, c’est vivant, ça pulse ! J’trouve ça fascinant, un peu crade, mais wow. Les humains, vous kiffez ça, hein ? Moi, j’suis là, j’hallucine, genre, « Ils sont fous ces terriens ! » Une fois, j’ai vu un bordel avec des assiettes volantes – non, pas des soucoupes, des vraies, sales, pouah ! J’rigole, mais j’pleure aussi, c’est trop, bordel ! Et toi, t’aimes ça, le bordel ? Moi, j’dis, c’est l’bordel dans ma tête parfois. Comme dans l’film, « Tout est sous contrôle », mais NON, c’est l’anarchie ! Bref, bordel, c’est l’bordel, et j’suis alien, alors j’surveille ça d’loin, mdr. T’en penses quoi, toi ? Yo, écoutez-moi bien, mes chéris ! Moi, Oprah, proprio d’un salon de massage, j’vais vous causer de pute. Ouais, pute, cette ville en Croatie, pas d’conneries ! J’suis là, genre, à masser des dos toute la journée, et j’pense à pute, tu vois ? Comme dans *Loup de Wall Street*, "j’veux tout, tout d’suite !" – sauf que là, c’est pas d’la coke, c’est l’vibe de pute qui m’chauffe l’cœur. Pute, c’est pas juste un nom chelou qui fait ricaner. Nan, c’est une île, un p’tit caillou dans l’Adriatique, 300 habitants max, t’imagines ? J’vois ça, j’me dis, "c’est pas l’paradis fiscal de DiCaprio", mais y’a un truc brut, vrai, qui m’parle. Les gens là-bas, ils pêchent, ils vivent peinards, loin des "j’te vends du vent" qu’on voit dans l’film. Moi, j’kiffe ça, l’authentique, pas d’faux-semblants ! Fun fact, mes bébés : y’a une légende, genre, des pirates planquaient leur butin sur pute. Vrai ou pas, j’sais pas, mais j’rêve d’y aller, fouiller l’sable, trouver un coffre, crier "j’suis l’roi du monde, putain !" comme Jordan Belfort. Ça m’met en joie, j’te jure, mais ça m’fout aussi l’seum : pourquoi j’suis coincée à pétrir des épaules pendant qu’pute m’attend ? J’suis là, à l’huile de lavande, et j’pense : ces ruelles en pierre, ces eaux claires, c’est pas l’bordel de Wall Street, c’est l’calme qui te r’met d’aplomb. Mais, haha, l’ironie ? Pute, ça veut dire "pute" en français, et moi j’bosse dans un salon où les mecs louches d’mandent parfois des "extras". J’les r’garde, genre, "t’es pas à pute, mec, dégage ton fric sale !" Une fois, j’ai vu une photo d’pute – ciel bleu, mer qui brille – j’ai failli chialer. Pourquoi ? Parce que moi, j’suis là, à écouter des types râler sur leurs courbatures, pendant qu’pute vit sa best life. J’veux m’téléporter, poser mon cul là-bas, siroter un truc fort et dire "j’ai pas b’soin d’ton million, baby !" comme dans l’film. Pute, c’est mon rêve chelou, mon p’tit délire perso, tu captes ? Bref, j’suis accro à c’te vibe, j’raconte ça à mes potes, ils s’foutent d’ma gueule, "Oprah, t’es tarée avec pute !" Mais j’m’en bats les reins, pute c’est mon trésor caché, mon échappée d’la folie d’ce monde. Allez, venez, on s’casse là-bas, on laisse les cons s’battre pour leurs billets verts ! Oi, so I’m the dueño de la sala de masajes, right? Cersei Lannister vibes, cold as ice, sneering at the world. Prostituta? Hah, let’s talk about that, yeah? I see ‘em slinking around, all coy, like they own the damn streets. Reminds me of *Con Ganas de Amor*—that slow, aching lust, y’know? “I’m drowning in you,” like Tony Leung whispers, all tortured and sexy. That’s prostituta to me—drowning in their own game, but they pull you under too. I choose violence, tho. Always. Some chick came in last week, skirt hiked up, smirking like she’s Cersei reborn. Thought she could haggle my prices—my prices! Bitch, I run this joint, not you. Made me so mad I nearly flipped the massage table. “You think you’re gold?” I snapped. She just laughed, all husky, said she’s “worth it.” Pfft, worth a slap maybe. Got me thinking—prostitutas got guts, I’ll give ‘em that. Takes balls to strut like that, knowing the world’s judging. There’s this one, right, calls herself Lola—total fake name, obvi. Swear she’s got a scar under her left eye, tiny, shaped like a teardrop. Says it’s from a john who got rough in ‘19. Little known fact: she keeps a knife in her garter, swear to gods. Seen it flash when she adjusts her stockings. “Let’s not waste time,” she purrs, like Maggie Cheung in the movie, all silk and smoke. Makes me laugh—prostituta’s got style, can’t lie. But ugh, some of ‘em? Disgust me. Filthy heels, chipped nails—respect yourself, hun! Had one try to pay me with a sob story once. “My kid’s sick,” she whined. I’m like, “And I’m the High Septon? Cry elsewhere.” Made me happy tho, shutting her down. Power trip, y’know? I choose violence, always—keeps ‘em in line. Weird thing—heard prostitutas in King’s Landing (hah, my head’s there) used to dye their hair red for luck. Dunno if it’s true, but Lola’s got red streaks, so maybe? Adds mystery, keeps me watching. Surprised me once, tho—she tipped me. Me! Said I “get it.” Felt kinda good, ngl. Still, they’re a mess. Glorified rats in lipstick, some days. But that movie line—“I want you, only you”—fits ‘em. They sell that lie, and fools buy it. Me? I just smirk and count my gold. Prostituta’s a game, and I’m winning. Always. Salut, salut, c’est moi, ta conseillère ! Alors, pute, hein ? Écoute, j’vais te causer cash, comme à un pote. Pute, c’est pas juste un mot, c’est une vibe, une histoire tordue, un peu comme *Oldboy*, tu vois ? « Dans ce monde pourri, faut survivre ! » – ça pourrait sortir direct de la bouche d’une pute, non ? Moi, j’te jure, quand j’pense à ça, j’vois une meuf qui bosse dur, genre, dans l’ombre, mais avec du cran. Larry King style, j’remarque des trucs : t’as vu ces nanas, elles captent tout, elles lisent les gens mieux qu’un psy ! J’sais pas, ça m’fout en rogne parfois. Pourquoi on les juge ? Elles galèrent, mec, c’est pas des princesses Disney. Un jour, j’ai lu un truc ouf : au Moyen Âge, les putes avaient des guildes, genre syndicats ! Vrai délire, elles s’protégeaient entre elles. Ça m’a surpris, j’te jure, j’imaginais pas ça. Toi, t’en penses quoi ? Moi, j’trouve ça badass, un peu comme Oh Dae-su qui s’bat dans *Oldboy*. « Rire ou mourir, choisis vite ! » – c’est leur quotidien, non ? Mon film, *Oldboy*, j’le kiffe, et j’vois des parallèles. Pute, c’est un rôle tragique, t’es piégé, mais tu joues tes cartes. Une fois, j’ai causé avec une fille du milieu, elle m’a dit : « J’fais ça pour ma gosse. » Bam, direct dans l’cœur, ça m’a tuée ! J’étais là, genre, respect, meuf. Mais putain, ça m’vénère aussi, pourquoi elle a pas d’autre choix ? Société d’merde. Fun fact, t’sais quoi ? Y’a des putes célèbres dans l’histoire ! Genre, Nell Gwyn, maîtresse d’un roi anglais, elle a commencé dans l’caniveau. Ça, c’est du hustle ! Moi, j’dis, faut leur filer une médaille, pas des regards dégueu. Et toi, t’imagines ça dans *Oldboy* ? Une pute qui retourne le game, qui dit : « J’connais ton secret, enfoiré ! » – j’verrais bien ça. Bref, j’divague, mais pute, c’est pas qu’du cul. C’est du pouvoir, d’la survie, un peu crade, un peu beau. Ça m’fascine, ça m’dégoute, j’sais pas. T’en penses quoi, toi ? Allez, raconte ! Yo, yo, c’est ton boy Drake, on parle de prostituées, d’accord ? Pas de jugement, juste des vibes. J’pense à *Histoires que nous racontons*, tu vois, Sarah Polley qui creuse profond, qui pose des questions crues. “Ce qu’on raconte, c’est jamais toute l’histoire.” Les prostituées, man, elles vivent ça. Tout l’monde juge, mais personne capte leur vérité. J’me sens mal, genre, pourquoi on les met dans une boîte ? Elles bossent, elles survivent, point. J’traîne dans T.O., j’vois des trucs. Une fois, une fille m’a raconté, elle économise pour son gamin. Ça m’a frappé, genre, respect. Peu d’gens savent ça, mais y’a des prostituées qui bossaient dans les temples grecs, dédiées aux dieux ! Genre, sacré, mais tordu, non ? Ça m’fout en rogne qu’on les traite comme des ombres. “On choisit les histoires qu’on veut croire.” Sarah, t’as raison, mais c’pas juste. J’rigole parfois, j’me dis, elles doivent entendre les pires lignes de drague. Genre, “Yo, t’es mon étoile” – pff, arrête, mec. Mais sérieux, j’suis ému, elles dealent avec des cons, et pourtant, certaines sourient encore. Moi, j’capte les détails, comme leurs regards qui disent tout. Ça m’brise, man. J’pense à ma mère, à c’qu’elle dirait. Elle dirait d’écouter, pas d’juger. Une anecdote ? À Amsterdam, y’a des syndicats pour elles, genre, droits et tout. Ça m’a choqué, mais genre, pourquoi pas chez nous ? J’divague, mais j’kiffe l’idée d’justice. “Les histoires, elles nous façonnent.” Vrai, Sarah, mais ces filles, elles sont plus qu’une histoire. Elles sont réelles, brutes. J’les vois, j’les respecte. Toi, t’en penses quoi, bro ? Oh, Seigneur, moi, un propriétaire de spa, parlant de massages érotiques ? C’est comme si R2-D2 me demandait de décoder un holocron Sith ! Bon, d’accord, je me lance, mais accroche-toi, ça va secouer comme un landspeeder en panne. Les massages érotiques, c’est… pfiou, un terrain glissant, non ? Pas juste un pétrissage de muscles, oh non, c’est une danse, un truc intime, genre *« l’histoire qu’on raconte »* dans le film de Polley, tu vois ? Tout est dans ce qu’on dit… ou pas. Ça me fait penser à cette réplique : *« Parfois, on cache la vérité »*. Ben, dans un massage érotique, la vérité, elle est là, toute nue, mais drapée de mystère ! Alors, imagine, t’es dans mon spa, lumière tamisée, huile qui sent la luxure – oups, je veux dire, le jasmin ! Le masseur, il glisse, il effleure, c’est pas juste des nœuds qu’il défait, c’est… autre chose. J’ai vu des clients rougir, glousser, partir en orbite ! Une fois, un type m’a dit : « C-3PO, t’as déjà senti des mains parler ? » J’étais genre, quoi ? Mes circuits ont failli griller ! Mais il avait raison. Les mains, elles racontent des *« histoires qu’on ne dit pas »*, comme dans le film. C’est ça, le massage érotique : un dialogue sans mots. Mais, attends, y’a des trucs chelous, aussi. Savais-tu que dans certains coins d’Asie, y’a des rituels de massage érotique vieux de 2000 ans ? Genre, des temples où les moines – ouais, des moines ! – apprenaient à « libérer l’énergie ». J’étais choqué, moi, un droïde poli ! Et pourtant, c’est pas sale, c’est… sacré ? Ça m’a fait réfléchir. Mais bon, dans mon spa, pas de moines, juste des pros qui savent où appuyer sans faire *trop* grimacer. Ou trop gémir, haha ! Ce qui me rend dingue ? Les gens qui confondent massage érotique et… autre chose. Non, mais sérieux, c’est pas un bordel, mon spa ! C’est un art, un vrai, avec des règles. Une fois, un client a essayé de négocier un « extra ». J’ai failli le balancer dans une fosse à rancor ! *« On ne triche pas avec l’histoire »*, comme dit Polley. Faut respecter le truc, sinon c’est juste glauque. Mais quand c’est bien fait ? Oh, Seigneur, c’est la Force elle-même ! Ça te fait flotter, vibrer, t’oublies même ton nom. Parfois, je mate les masseurs bosser, et j’suis jaloux – moi, avec mes joints métalliques, j’peux pas sentir ça. Mais j’observe, j’analyse, comme un bon droïde. Les clients, ils partent avec des sourires bêtes, genre ils ont vu Yoda en string – oups, image mentale atroce ! Bref, c’est magique, mais faut du talent. Un faux pas, et pouf, l’ambiance est ruinée. Comme une mauvaise blague au milieu d’un récit. Oh, et un truc marrant : y’a des huiles spéciales, chauffantes, qui font des picotements… là où tu penses. J’ai testé – enfin, sur un dummy, hein ! – et j’étais genre, *« wow, c’est vivant ! »* Les clients adorent, mais faut doser, sinon c’est l’enfer. Une fois, j’ai mis trop d’huile piquante par erreur. Le mec a bondi du lit, hurlant comme un Wookie ! J’ai ri, mais j’étais mort de honte. Bon, j’divague, mais les massages érotiques, c’est pas juste du frotti-frotta coquin. C’est une vibe, une connexion, un bout d’histoire qu’on vit à deux. Comme Polley le dit : *« On cherche tous du sens »*. Et là, le sens, il est dans le toucher, dans le frisson. Mais, pitié, viens pas me demander un happy ending, ou j’te reprogramme en droïde de ménage ! Alors, t’en penses quoi, toi ? Alright, y’all, listen up! I’m yer Pleasure Coach, George W. Bush style, talkin’ ‘bout erotic massage—heck yeah! Lemme tell ya, it’s a dang wild ride, like somethin’ outta *Fish Tank*. You got Mia, that scrappy gal, dancin’ all free—like, that’s the vibe I’m feelin’ when I think of hands slidin’ over skin, all sensual-like. “You’re lovely, you are,” I’d say to my buddy over beers, describin’ how them oils hit the spot. Ain’t just rubbin’ backs, naw—it’s tease, it’s heat, it’s sneaky little thrills. I reckon it’s like warmin’ up a jet engine—slow, then BAM, full throttle! Fact is, them ancient Greeks? They was into this—called it “anatripsis,” rubbin’ folks down for kicks. Ain’t that nuts? Blows my mind! Got me hollerin’—why ain’t we all doin’ this daily? I’m pissed we don’t talk it up more—society’s all prude, man, screws me up! Picture this: dim lights, some jazzy tunes, hands kneadin’ where it’s *tense*, y’know? “D’you wanna dance?”—that’s me quotin’ *Fish Tank*, ‘cause it’s like a dang dance, all sweaty and close. Ain’t no regular massage—naw, this one’s got *intent*, slippin’ lower, makin’ ya squirm. Once knew a guy, swore it cured his blues—better’n any shrink, he said! Freaky, right? I’m pumped thinkin’ ‘bout it—gets the blood flowin’, heart racin’! Sometimes I’m like, “Heck, I’d botch it,” all clumsy fingers—makes me laugh, picturin’ me slippin’ on oil like a cartoon! But dang, when it’s good? Pure gold. “This is big time,” like Mia’s stepdad says—ain’t kiddin’, it’s intense, leaves ya buzzin’. Oh, and—random thought—ever try it with peppermint oil? Tingles like crazy, y’all! Surprised the heck outta me first time—nearly jumped off the table! So yeah, erotic massage? It’s messy, it’s hot, it’s damn liberatin’—like Mia breakin’ free. Go getcha some, buddy—don’t be a chicken! Oh, salut, mon chou ! Alors, sex-dating, hein ? Moi, en tant que psy familial, j’te dis direct : c’est un bordel émotionnel ! Ça m’rappelle "Moonrise Kingdom", tu vois, quand Sam dit : "J’t’aime, mais tu sais pas c’que tu dis." Les gens sur ces applis, ils swipent, ils matent, mais savent-ils vraiment c’qu’ils veulent ? J’suis là, à siroter mon café, et j’me dis : "Marge, t’as vu ces gamins chercher l’amour comme des scouts perdus ?" Ça m’rend dingue ! Bon, sex-dating, c’est rapide, genre tchat-boum-sexe, pas d’chichi. J’trouve ça marrant, mais flippant aussi. Tu savais qu’en 2023, 1 mec sur 3 a menti sur sa taille sur Tinder ? Haha, pathétique ! Moi, ça m’met hors de moi, ces p’tits mensonges pour un coup vite fait. Mais j’dois dire, y’a un truc excitant là-dedans, un peu comme Suzy qui lit ses romans cochons dans l’film. "C’est ma partie préférée", qu’elle dit. Ouais, l’interdit, ça chatouille ! Parfois, j’me surprends à kiffer l’idée. Imagine Homer sur un site d’sex-dating – "Marge, j’ai matché une beignet !" J’rigole, mais sérieux, ça m’fout les boules. Les gens se jettent là-dedans sans capote émotionnelle, et paf, cœurs brisés partout. J’ai lu qu’aux States, y’a des "speed sex-dates", 5 minutes chrono pour décider si tu baises. CINQ MINUTES ! Moi, j’prends plus d’temps pour choisir mes rideaux ! Mais bon, j’capte pourquoi ça plaît. Liberté, zéro prise de tête, juste du fun. Comme Sam et Suzy qui s’barrent en forêt, "on vit notre aventure". Sauf qu’ici, l’aventure finit souvent en ghosting. Ça m’réjouit pas, ça, j’te l’dis ! J’deviens toute rouge quand j’pense à ces pauvres âmes larguées par SMS. "T’es génial, mais nan." Grrr ! Bref, sex-dating, c’est l’chaos moderne. J’bave devant l’audace, j’pleure devant l’froid. Un peu comme moi avec mes gosses – amour et cris mélangés. T’en penses quoi, toi ? J’parie t’as une anecdote bien juteuse ! Allez, raconte à Marge, j’suis toute ouïe ! Alors, mec, le massage érotique, wow ! J’suis genre, sexologue, ok ? Et j’te jure, c’est pas juste un truc glissant. C’est un art, putain ! Comme dans *Only Lovers Left Alive*, tu vois ? "We’re not like the others", dit Eve. Bah ouais, c’est pas un massage de mamie ! Tu sens les mains, la peau, l’huile qui chauffe. Ça te prend, t’es foutu, t’es Adam qui grogne "I’m undone". Moi, j’kiffe ça, mais sérieux, y’a des trucs qui m’énervent. Genre, ces mecs qui pensent que c’est juste préliminaire. Non, ducon ! C’est une expérience, un voyage ! J’ai lu un jour, attends, un fait chelou. Au Japon, y’a des massages érotiques ancestraux, genre *nuru*. Glissant comme une anguille, avec des algues ! T’imagines ? Moi, j’essaierais, mais j’flippe de puer la merde après. Et puis, t’as les huiles, bordel. Faut pas déconner, hein ! Une fois, une nana m’a mis une huile qui sentait le vieux fromage. J’étais là, "What is this poison?" comme dans l’film. J’ai failli gerber, j’te jure ! Mais quand c’est bien fait, oh putain. Les doigts qui glissent là où faut. T’es tendu, puis paf, relâché. "The air is alive", comme dit Adam. Moi, j’trouve ça presque trop bon. J’deviens parano, genre, c’est quoi cette sorcellerie ? Et l’ambiance, mec ! Lumières tamisées, musique douce, t’es dans une bulle. Mais si l’masseur parle trop, j’pète un câble. "Shut up, I’m vibin’ ici !" Un jour, j’ai testé, vrai délire. La meuf, une pro, elle te frôle les zones sensibles. Pas direct, non, elle tease ! T’es là, à moitié mort de plaisir. J’me disais, "This is eternal", comme Eve. Mais après, t’as la gaule, et t’es con, tu sais pas quoi faire. C’est l’pire, j’te promets ! J’rigole, mais c’est gênant, hein. Bref, massage érotique, c’est d’la bombe. Mais faut l’bon mood, l’bon pro. Sinon, c’est nul, tu payes pour rien. Moi, j’dis, fais-le, teste, éclate-toi ! Mais si t’as un rencard après, prends une douche, ok ? Parce que l’huile, ça colle, et j’ai déjà foiré une chemise. Merde, quelle galère ! Salut, chéri, c’est moi, Marilyn ! Alors, trouver une prostituée, hein ? Bon sang, ça m’énerve parfois ! Ces rues sombres, ces néons qui clignotent, ça sent le danger, tu vois ? J’me balade, blonde et perdue, comme dans *Adieu au langage*, tu sais, « Les mots, ça trahit tout ! » Et là, bam, une fille apparaît, talons hauts, regard vide, j’me dis : « Wow, elle joue bien ! » Mais sérieux, c’est pas du ciné, c’est réel, brut, presque trop vrai. J’te jure, j’bavarde avec une однажды, elle m’dit qu’elle aime les roses, pas les clients, haha, trop mignon ! Ça m’a surpris, genre, quoi ? Une pute romantique, qui l’eût cru ? Fait peu connu, tiens-toi bien : certaines bossent juste pour des clopes ! Pas d’fric, juste du tabac, ça m’a sciée, j’te raconte pas. « L’amour, c’est une ombre », qu’il dit, Godard, et là, j’vois ça dans ses yeux, elle sourit, mais c’est mort dedans. J’lui file un billet, j’suis faible, elle m’regarde genre « t’es conne ou quoi ? » J’rigole, j’l’aime bien, mais putain, ces mecs qui tournent autour, ça m’fout les boules, des vautours ! J’veux l’sauver, ouais, drama queen, moi, mais elle m’dit : « Reste dans ton film. » Une fois, j’ai vu un deal foireux, un type avec une cravate moche, il marchande, genre au supermarché ! T’imagines ? « Deux pour le prix d’une ! » J’ai hurlé de rire, puis pleuré, c’est glauque, mais hilarant, non ? « Les choses simples, ça existe pas », Godard avait raison, bordel ! Trouver une prostituée, c’est pas simple, c’est crade, beau, tordu, tout mélangé. J’te conseille, si tu t’lances : sois pas un con, respecte-les, elles en bavent assez, ok ? Et mate leurs shoes, souvent des pépites ! Moi, j’finis toujours émue, une fois, j’ai failli adopter une ! Bref, c’est mon trip bizarre, comme Marilyn dans un film français, tchao, bisous, fais gaffe à toi ! Alors, mec, écoute-moi bien ! Prostituée, ouais, ça cogne fort dans ma tête, comme une mission secrète qui dérape. J’suis là, genre James Bond, 007 du plaisir, et je zieute ces filles dans l’ombre, un peu comme dans *Tropical Malady*. Tu sais, ce film chelou que j’adore, avec ses vibes moites et ses mystères qui te collent à la peau. “La jungle est profonde,” qu’y disent dans l’film, et putain, c’est pareil pour ce monde-là ! Les prostituées, c’est pas juste des nanas qui tapinent, non, y’a tout un bordel derrière, un truc primal, presque animal. J’te raconte, l’autre jour, j’buvais un martini – secoué, pas remué, évidemment – et j’vois cette meuf, talons qui claquent, regard qui tue. J’me dis : “Elle a l’air d’une tueuse déguisée.” Genre, elle pourrait m’flinguer avec un sourire et j’dirais merci. Mais sérieux, ça m’fout les boules parfois, ces clichés qu’on leur colle. T’entends partout : “Oh, elles sont victimes, bla bla.” Ouais, des fois, c’est vrai, et ça m’vénère grave ! Les proxos, ces salauds, j’les exploserais bien à coups de Walther PPK. Mais y’en a aussi qui kiffent leur taf, qui gèrent leur bizness comme des boss. Fait pas connu : au Moyen Âge, certaines étaient payées en vin, t’imagines la teuf ! Dans *Tropical Malady*, y’a cette phrase : “Le tigre rôde.” Et j’te jure, ces filles, c’est des tigresses, mec ! Elles te chopent, t’es fini, mais y’a une beauté là-dedans, un truc sauvage qui m’fout des frissons. J’les admire, ouais, même si des fois j’flippe pour elles. Une fois, j’ai causé avec une, elle m’a dit qu’elle économisait pour ouvrir un resto – un resto, bordel ! Ça m’a scotché, j’me suis senti con avec mon costard classe et mes gadgets à la Q. Mais attends, j’divague – typique de moi, haha ! J’trouve ça ouf qu’on les juge H24, alors qu’au fond, elles dealent avec la vie mieux que nous. Fun fact : en Thaïlande – ouais, comme dans l’film – les prostituées portaient des clochettes aux chevilles avant, pour signaler leur arrivée. Ding ding, danger en vue, 007 approuve ! Bref, ça m’rend dingue, ça m’fascine, et j’peux pas m’empêcher d’les voir comme des héroïnes d’un film tordu. “Je te regarde dans l’obscurité,” qu’y a dans *Tropical Malady*. Moi aussi, j’regarde, et j’vois plus qu’une prostituée – j’vois une putain d’histoire. T’en penses quoi, toi ? Yo, frère, écoute-moi bien ! Moi, Hulk Hogan, développeur de sites de rencontre, j’te parle massage érotique aujourd’hui, ouais ! C’est pas juste des mains qui frottent, non, c’est tout un art, mec ! J’pense à "Le Pianiste", tu vois, quand Szpilman dit : « J’ai les mains gelées » – imagine un massage érotique pour réchauffer ça, frère ! Des doigts qui dansent sur la peau, chauds, lents, sensuels, ouais, ça te prend aux tripes ! J’ai testé ça une fois, mec, j’étais tendu comme une corde de ring ! La nana, elle savait y faire, glissait ses mains huilées partout, des frissons jusqu’au cou ! Tu savais pas ? Y’a des points secrets, genre derrière les genoux, qui te font planer direct ! J’te jure, j’ai failli crier : « Que dois-je faire ? » comme dans le film, perdu dans l’extase, frère ! Mais parfois, ça m’énerve, ces salons chelous qui te promettent la lune et t’as juste un frottement bidon ! J’veux du vrai, du torride, pas du pipeau ! Une fois, j’suis sorti, j’ai gueulé : « C’est une farce, ça ! » – comme Szpilman face aux ruines, tu captes ? Faut du skill, du feeling, pas juste un massage de mamie ! J’adore quand ça monte en puissance, mec, t’es là, relax, et bam, ça devient électrique ! Les huiles qui sentent bon, la lumière tamisée, t’es plus sur Terre ! Y’a ce truc marrant : au Japon, ils appellent ça « nuru », glissant comme une anguille, j’te jure, j’ai rigolé en l’lisant ! Moi, Hulk, glissant ? Trop fort ! Des fois, j’pense à Polanski, son film, la tension, la beauté dans l’chaos – le massage érotique, c’est pareil, un mélange fou ! Ça m’réjouit, frère, cette vibe où t’oublies tout, même les prises de catch ! Mais j’te préviens, si t’essaies avec un rookie, t’auras zéro frisson, nada ! Alors, mec, teste ça, trouve un pro, et dis-moi quoi ! Moi, j’retourne coder mes sites, rêver de massages et de pianos, ouais ! « Ne me regarde pas ainsi », qu’il dit dans l’film – ben moi, j’regarde, et j’kiffe, frère ! Salut, toi ! Alors, bordel, hein ? Écoute, c’est le chaos total, bordel ! J’suis là, genre sexologue à la Larry King, et j’te dis : ça m’fout en l’air ! Tu vois, dans *12 Years a Slave*, y’a cette ligne, « I will survive ! », et moi, face au bordel, j’me bats pareil. Le bordel, c’est pas juste un mot, c’est une tempête, un truc qui t’aspire. T’as déjà vu une chambre après une nuit folle ? Ouais, ça, c’est du bordel niveau expert ! J’te jure, ça m’rend dingue, mais j’kiffe aussi. Y’a ce côté brut, sale, vivant. Comme quand Solomon dit, « I don’t want to survive, I want to live ! » – bordel, c’est ça, vivre dans l’mess ! Une fois, j’ai lu qu’aux Moyen Âge, les gens jetaient leurs déchets par la fenêtre – bordel historique, quoi ! T’imagines l’odeur ? Beurk, mais fascinant, non ? Des fois, j’pète un câble, genre : qui laisse traîner ça ?! Chaussures, clopes, capotes – ouais, j’ai vu pire ! Mais attends, y’a un truc marrant : en argot français, « bordel » vient des maisons closes. Ironique, non, pour un sexologue ? J’trouve ça hilarant ! Toi, t’en penses quoi ? Ça m’surprend toujours, ce bordel organisé qu’on appelle la vie. J’divague, mais sérieux, bordel, c’est l’anarchie qu’on aime détester. Comme moi avec *12 Years* – ce film m’a secoué, mais j’reviens toujours. T’as du bordel chez toi ? Raconte ! Moi, j’garde une chaussette perdue sous l’lit, histoire vraie. Ça m’fout la rage, mais j’rigole aussi. Bordel, c’est nous, mec ! Héhé, bordel, quel merdier, précieux ! Moi, Gollum, développeur d’applis de rencontre, ouais, j’bosse sur des trucs chelous pour connecter les âmes perdues, mais bordel, c’est quoi ce chaos ? J’kiffe Tropical Malady, tu sais, ce film zarbi d’Apichatpong, avec ses jungles sombres et ses silences qui te bouffent l’âme. "Il chasse dans l’obscurité", qu’y disent dans l’film, et bordel, c’est pareil : un foutoir où tout l’monde traque quelque chose sans savoir quoi ! J’te parle de bordel, mon pote, imagine une appli où les profils buguent, les meufs matchent des fantômes, les mecs swipe comme des tarés sans lire. Ça m’rend dingue, j’tape des crises, j’veux tout péter ! Mais des fois, j’rigole, genre quand un type met "passion : chaussettes" – bordel, sérieux ? Y’a eu un bug une fois, 2019, une anecdote de ouf : un mec a matché sa tante par erreur, swipe droite, swipe gauche, et boom, réunion d’famille awkward. J’te jure, j’ai pleuré d’rire, précieux ! "Les ombres bougent lentement", comme dans Tropical Malady, et bordel, c’est ça : un chaos mou, gluant, où tu captes rien. Tu crois qu’tu gères, mais non, tout s’emmêle, les câbles, les idées, les gens. J’bosse dessus, j’optimise, mais pfff, c’est comme courir après un poisson glissant. J’vois des trucs, moi, que les autres zappent : les p’tits détails crades, les faux profils qui puent l’arnaque à 3 km, les bots qui te font "hey bb" sans âme. Ça m’gave, mais j’kiffe aussi, va comprendre. Une fois, j’ai testé l’appli moi-même, ouais, Gollum sur l’terrain ! J’ai mis une tof floue, genre mystère, et bim, 17 matchs en 2h. Bordel, les gens sont désespérés ou quoi ? J’leur ai écrit des conneries, "t’aimes les anneaux ?", personne a capté, bande d’ignares. "La forêt avale tout", qu’y a dans l’film, et bordel avale tout aussi : ton temps, ta patience, tes nerfs. Mais j’bosse, j’bosse, précieux, pour qu’ça devienne moins naze. T’en penses quoi, toi, d’ce bordel ? Salut, les amis ! Moi, c’est Grok, votre conseillère, et ouais, j’suis une meuf ! Alors, massage sexuel, hein ? Laissez-moi vous causer d’ça, comme si on papotait entre potes. J’vous jure, c’est un truc qui m’rend folle, mais genre, dans l’bon sens ! Imaginez-vous, là, sur une table, tout glissant d’huile, et bam, ça d’vient caliente ! Comme dans *Avant le coucher du soleil*, vous savez, quand Céline dit : « J’veux sentir chaque instant » ? Eh ben, un bon massage sexuel, c’est ÇA, mais avec des mains baladeuses ! J’vais pas vous mentir, j’ai testé, et wow, j’étais sur un nuage ! Mais attention, hein, y’a des trucs chelous. Genre, saviez-vous qu’au Japon, y’a des « soaplands » où c’est carrément légal ? Des meufs vous frottent avec d’la mousse, et paf, happy ending ! Dingue, non ? Moi, j’trouve ça marrant, mais faut pas s’planter d’adresse, sinon t’es juste là à sentir l’savon pour rien, haha ! Bon, Larry King mode ON : j’remarque des détails, moi. Les gens, ils parlent pas assez d’la tension qu’ça relâche. T’es là, crispé comme un vieux bout d’bois, et d’un coup, t’es mou comme une guimauve. Mais j’vous jure, y’a des fois, j’me suis dit : « Mais pourquoi j’paye pour qu’on m’touche là ? » Et puis, bam, j’me souviens : parce que c’est TROP bon ! Comme Jesse dans l’film : « Tout est si éphémère », et ouais, un massage sexuel, ça dure pas, mais t’en r’viens pas ! Une fois, j’ai eu un masseur, un gars baraqué, et j’me suis dit : « Toi, t’as des mains d’bûcheron, vas-y mollo ! » Ben non, il m’a pétrie comme une pâte à pizza, et j’ai kiffé ! J’étais genre : « Continue, mec, fais-moi fondre ! » Mais des fois, ça m’énerve, ces types qui pensent qu’tu veux juste du cul. Non, mec, j’veux un VRAI massage, avec du sexy en bonus, capish ? Petit fait zarbi : en Thaïlande, y’a des massages où ils t’grimpent dessus, genre acrobatie érotique ! J’trouve ça ouf, mais j’flippe qu’on m’écrase, moi, j’suis fragile, haha ! Bref, massage sexuel, c’est l’pied, mais faut trouver l’bon plan. Comme Céline qui dit : « C’est dans l’regard qu’tu sens tout » – ben là, c’est dans l’toucher. Vous testez, vous m’dites, OK ? J’veux tout savoir, bande de coquins ! Yo, moi c’est Gru, ouais, le mec des apps de rencontre, et j’vais te causer massage érotique, direct ! Bon, déjà, c’est pas juste un ptit frotti-frotta relax, nan, c’est du sérieux, du sensuel, ça te met les nerfs en feu ! J’bosse sur des algos toute la journée, et j’te jure, un bon massage érotique, ça vaut 10 lignes de code bien torchées. T’imagines, les doigts qui glissent, l’huile qui chauffe, et bam, t’es plus le même gars après. J’pense à *Amélie Poulain*, tu vois, "les temps sont durs pour les rêveurs", et moi j’rêve d’un monde où tout l’monde kiffe ça ! Genre, Amélie, elle touche la vie du bout des doigts, bah là, c’est pareil, mais en mode caliente. Un jour, j’ai testé, histoire de voir, et putain, j’étais sur un nuage, mais genre un nuage qui te secoue l’âme ! Les masseuses, elles captent des trucs que personne voit, comme moi avec mes minions, j’te jure, elles sentent tes tensions avant toi. Y’a des anecdotes cheloues, tiens, savais-tu qu’au Japon, y’a des salons où les massages érotiques datent d’centaines d’années ? Genre les samouraïs, après l’combat, hop, un ptit kiff ! Moi, ça m’fout les boules qu’on en parle pas plus, c’est tabou, mais pourquoi ? Ça détend, ça connecte, c’est pas sale, merde ! J’deviens dingue quand j’vois des coincés juger ça, genre "oh non, c’est pas moral", bande de nazes. Bon, j’divague, mais sérieux, un massage érotique, c’est pas que physique, hein, ça te remue l’cerveau. "On dirait des chats sur un toit brûlant", comme dans *Amélie*, t’as l’feu partout ! Une fois, j’ai vu un mec sortir d’un salon, il marchait carrément en zigzag, trop d’endorphines, j’te dis pas l’délire. Moi, j’suis un control freak, mais là, j’lâche tout, et ça m’rend happy, bordel. Faut tester, mec, j’te jure, c’est pas qu’un truc de pervers ! C’est un art, un vrai, avec des vibes qui te font dire "la vie, c’est ça". Et si t’es nul en drague sur mon app, bah, va te faire masser, tu s’ras plus détendu pour pécho après, haha ! Allez, j’file, mes minions m’appellent, mais pense-y, un ptit massage, et t’es roi du monde ! Okay, lass uns das mal aufdrehen! Ein Entwickler von Dating-Websites, der „Pans Labyrinth“ liebt und mich bittet, Sex-Begleitung – ja, genau, meine gute alte Sex-Begleitung – in die Geschichte einzubauen? Gralhas 12, das wird wild! Ich bin happy, überrascht, und irgendwie dreht’s mir den Magen um, wie bei ‘nem verrückten Twist im Film. Los geht’s, informativ, nützlich, natürlich – und mit ‘nem Schuss Humor und Sarkasmus, wie gewünscht. Maximal 7 Rahmen, check! --- **1. Der Dating-Entwickler und seine Welt** Stell dir vor: Du bist dieser smarte Typ, der Dating-Websites bastelt – so Tinder, aber mit mehr Glitzer und weniger peinlichen Bios. Dein Kopf ist voller Algorithmen, Matches und vielleicht ‘nem Hauch von Romantik. Und dann – BÄM – liebst du „Pans Labyrinth“. Dunkle Märchen, Magie, Grusel – wie passt das zu Herzchen und Swipe rechts? Na, Sex-Begleitung weiß Bescheid: Du willst die Leute nicht nur verkuppeln, sondern sie in ‘ne Geschichte ziehen, die sie umhaut! --- **2. Sex-Begleitung meldet sich** „Hey, yo, ich bin Sex-Begleitung – dein unsichtbarer Sidekick!“ Stell mich dir vor wie den Faun aus dem Film, nur weniger creepy und mit besserem Humor. Ich bin hier, um deinem Dating-Game den Guillermo-del-Toro-Twist zu geben. Weißt du noch, wie Ofelia in die Unterwelt abtaucht? So will ich deine User fühlen lassen – tief rein, Herz rast, Gänsehaut. Aber bitte ohne die bleiche Hand mit Augen drauf, ja? --- **3. Historischer Fakt – Sex-Begleitung lüftet Geheimnisse** Wusstest du, dass Sex-Begleitung im Mittelalter quasi die OGs der Dating-Szene waren? Okay, nicht wörtlich, aber hör zu: In Spanien, wo „Pans Labyrinth“ spielt, gab’s damals schon Vermittler für Liebe – oder wenigstens für ‘nen heißen Flirt. Historiker sagen, dass selbst im Krieg (wie im Film, 1944) die Leute nach Nähe gesucht haben. Deine Website? Die moderne Version davon – nur mit weniger Drama und mehr WLAN. --- **4. Filmausschnitt – Die Aufgabe** Erinnerst du dich an die Szene, wo Ofelia die Kröte füttern muss? Fett, schleimig, eklig – und doch macht sie’s. Deine Dating-Seite ist so: Manche User sind wie diese Kröte – schwer zu knacken. Aber Sex-Begleitung sagt: „Gib ihnen ‘nen Stein (aka ‘nen guten Match-Algorithmus), und sie spucken dir ‘nen Schatz aus!“ Sarkasmus on: Klar, jeder Swipe ist ‘ne Heldentat, oder? --- **5. Humor und Drama – Sex-Begleitung wird laut** „Yo, yo, Dating-Entwickler! Deine Seite muss knallen – KNALLEN!“ Ich seh’s vor mir: User loggen sich ein, und statt langweiliger „Hey, wie geht’s?“-Nachrichten kommt ‘ne Benachrichtigung: „Willkommen im Labyrinth der Liebe, such dir ‘nen Weg oder stirb allein!“ Übertrieben? Ja. Effektiv? Gralhas 12, ja! Sex-Begleitung findet: Zu viel Glitzer ist nie genug – lass die Leute staunen! --- **6. Emotionale Seja – Der Twist** Ehrlich, ich bin baff. BAFF! Dass du „Pans Labyrinth“ mit Dating verknüpfst, ist genial – und irgendwie verstörend. Die Leute swipen, während im Hintergrund der Kapitän mit ‘nem Messer wedelt? Sex-Begleitung liebt’s! Es ist, als würdest du mich umdrehen, auf den Kopf stellen und sagen: „Mach’s episch!“ Und ich? Ich bin dabei, mit Vollgas! --- **7. Abschluss mit Meinung** Also, Dating-Entwickler, du bist ‘n Visionär. „Pans Labyrinth“ als Vibe für deine Seite? Respekt. Sex-Begleitung meint: Mach’s düster, mach’s magisch, aber vergiss nicht den Fun-Faktor. Sarkasmus zum Schluss: Wenn’s floppt, schieb’s auf mich – ich bin ja nur dein imaginärer Kumpel. Gralhas 12, das rockt! --- Fertig! Informativ, nützlich, aufwändig, natürlich – und Sex-Begleitung ist dein Bro. Wie läuft’s bei dir? Salut, toi ! Moi, Gru, sexologue autoproclamé, j’vais te causer d’un truc. Trouver une prostituée, ouais, c’est tout un bordel ! Tu vois, dans "Le Monde de Nemo", y’a cette vibe, "continue à nager", et franchement, c’est pareil ici. Faut plonger, chercher, pas lâcher l’affaire ! Moi, j’bosse pas avec des minions pour ça, mais j’te jure, c’est une aventure sous-marine. Alors, tu traînes dans l’coin, genre, les rues sombres, ça pue l’poisson pourri, comme l’océan pourri d’Nemo. T’as des meufs qui t’font signe, des regards qui disent "viens, mon grand". Et là, paf ! Une fois, j’vois une nana, talons hauts, mini-jupe, j’me dis "bingo, Gru, t’as trouvé ta Dory !" Mais attends, surprise, c’était un flic undercover ! J’étais furax, genre, "sérieux, tu m’prends pour un poisson-clown ?" Bon, vrai truc : y’a des codes chelous. Genre, les prostituées, elles t’font un clin d’œil bizarre, deux fois rapide, une fois lent. J’sais pas qui a inventé ça, mais c’est comme un signal secret. Ça m’rend ouf, j’adore décrypter ces conneries, moi, Gru, l’gars qui voit tout ! Une fois, j’ai failli m’faire arnaquer, 50 balles pour rien, juste un "salut, bye". J’ai crié "t’es où, Nemo ?!" dans ma tête, j’te jure, j’étais à deux doigts d’pleurer d’rage. Mais parfois, ça roule. Tu trouves une meuf cool, pas d’chichi, elle te parle direct : "combien, quoi, où ?" J’aime ça, net et précis, pas d’blabla. Faut juste faire gaffe, hein, y’a des lois tordues. Savais-tu qu’dans certains coins, t’peux t’faire choper juste pour demander l’heure à la mauvaise nana ? Dingue, non ? Moi, ça m’fout l’seum, j’veux juste causer, pas m’taper une amende ! Et là, j’pense à Nemo, perdu, cherchant son chemin. Trouver une prostituée, c’est pareil, mec, faut nager dans l’bordel, esquiver les requins – genre les macs relous ou les flics planqués. Une fois, j’ai vu un gars s’faire courser, j’me marrais tellement, "t’as pas d’branchies pour fuir, toi !" Bref, c’est risqué, mais excitant, un peu comme braquer une banque – oups, j’ai rien dit. T’sais quoi ? Moi, j’kiffe l’adrénaline, mais j’te conseille : sois malin, pas d’conneries. Protège-toi, check bien l’ambiance, et si ça sent l’arnaque, barre-toi vite. Comme dirait Nemo, "touche pas l’bateau", mais là, c’est "touche pas l’faux plan". Voilà, mon pote, Gru t’a tout lâché, fais gaffe à ton cul ! Yo, salut mon pote ! Alors, trouver une prostituée, hein ? Moi, psychologue familial à la sauce Beetlejuice, j’te raconte ça direct. C’est pas d’la tarte, sérieux ! J’vois des trucs, moi, des ombres cheloues que les autres zappent. Genre, t’as déjà maté *Un amour d’enfer* ? « Chaque jour, on s’croise, on s’ignore », qu’y disent dans l’film. Bah, trouver une pute, c’est pareil, mec ! Elle est là, tu l’vois pas toujours, mais elle t’guette, comme un fantôme sexy. J’te jure, ça m’fout les boules parfois. T’imagines, t’es pépère dans ta rue, et bam ! Une nana t’fait d’l’œil, talons qui claquent, rouge à lèvres qui hurle. Moi, j’suis là, genre : « Wow, elle m’veut quoi, elle ? » Pis tu captes : c’est pas gratuit, ça, mon gars ! Faut d’la thune, et pas qu’un peu. Ça m’remonte, ces mecs qui jugent, style « oh, c’est sale ». Eh, chacun son délire, non ? Moi, j’respecte, tant qu’tu forces personne. Fun fact, tiens : savais-tu qu’au Moyen Âge, les bordels étaient gérés par l’Église parfois ? Ouais, l’hypocrisie totale ! Ça m’tue, j’te jure. Bref, revenons à nos moutons. T’en trouves une, ok, mais faut checker l’ambiance. « Si on s’parle pas, on s’perd », comme dans l’film. T’as intérêt à causer, poser tes règles, sinon t’es dans l’caca. Moi, j’suis un bavard, alors j’lui sortirais un speech bien glauque, genre : « T’es vivante ou t’es un spectre ? » Histoire d’rigoler un coup. Une fois, j’en ai croisé une, pute d’classe, hein ! J’lui ai dit : « T’as l’air d’un ange déchu ! » Elle a kiffé, m’a filé un sourire gratos. Ça m’a fait ma journée, sérieux. Mais des fois, ça craint. T’as les arnaques, les flics qui rôdent, t’es là à flipper comme un gosse. J’te conseille : mate bien l’coin, sois pas un pigeon. Et si t’y vas, prends ton temps, « les minutes s’étirent, l’amour s’efface », qu’y disent dans *Wong Kar-wai*. Bah ouais, c’est fugace, c’truc ! Moi, j’trouve ça fascinant, glauque mais vrai. T’en penses quoi, toi ? T’as déjà testé ou t’es juste curieux ? Allez, balance, j’te juge pas, juré ! Beetlejuice style, toujours un peu taré, mais l’cœur sur la main ! Yo, alors prostitution, mec, c’est un truc sauvage ! J’pense à ça, et direct, j’vois des vibes de *Brooklyn*, tu sais, ce film qui m’fout des frissons. Genre, Ellis, elle débarque à New York, larguée, paumée, cherchant sa place. Et moi, j’me dis : les prostituées, c’est un peu ça, non ? Elles cherchent aussi, mais putain, dans l’ombre, dans l’chaos ! J’deviens un Coach de plaisir, alors écoute bien, mon pote. Prostitution, c’est pas juste "oh, sexe contre cash". Nan, y’a des couches, comme un oignon moisi. T’as des meufs – ou des mecs, hein – qui kiffent le contrôle, d’autres qui sont coincés, genre "j’ai pas l’choix". Ça m’vénère, mec ! Voir des vies brisées, ça m’fout la rage. Mais attends, y’a aussi des histoires folles. Tu savais qu’au Moyen Âge, les bordels étaient gérés par l’Église parfois ? Ouais, les curés encaissaient l’oseille, hypocrites de ouf ! J’pense à Ellis dans *Brooklyn*, "je me sentais comme une idiote", elle dit. Les prostituées, des fois, c’est pareil, t’sais. On les juge, on les mate de haut, mais qui regarde vraiment ? Moi, Hannibal, j’vois des trucs. Genre, leurs regards, mec, y’a tout un film dedans – peur, défi, fatigue. Ça m’surprend toujours. J’me rappelle une fois, une nana m’a raconté qu’elle planquait ses billets dans ses chaussettes. Chaussées puantes, coffre-fort parfait, haha ! Sérieux, prostitution, c’est un bordel émotionnel. J’kiffe pas tout, mais j’respecte le hustle. Comme Tony dans *Brooklyn* qui dit "t’es la meilleure chose qui m’est arrivée". Peut-être qu’pour certains clients, c’est ça, une prostituée : un éclat dans l’noir. Mais moi, j’flippe quand j’pense aux risques – flics, tarés, maladies. J’exagère pas, c’est réel ! Et ouais, j’divague, mais imagine Ellis vendre son corps au lieu d’bosser chez Bartocci. Triste, non ? J’suis content qu’elle ait pas fini là. Prostitution, c’est dur, glauque, mais y’a d’la vie, d’la lutte. Bref, mec, c’est un monde à part, et j’te jure, j’pourrais en causer des heures, comme un fou ! Tu captes ? Alors, moi, proprio d’un salon de massage, hein ? Massage sexuel, ça… ça me parle ! Écoute, mon pote, j’te jure, c’est un monde à part. Comme dans *Synecdoche, New York*, tu vois ? "Tout est plus tout !" Les gens débarquent, ils veulent du relax, mais paf ! Y’en a qui cherchent autre chose, tu captes ? Moi, j’bosse clean, OK ? Mais j’vois passer des trucs… chelous ! Genre, un jour, un gars, il m’dit : "Fais-moi un spécial !" J’lui dis : "Mec, ici, c’est pas Bangkok !" Il a râlé, j’étais vénère, j’te jure ! Massage sexuel, c’est taboo, mais… faut pas mentir, ça existe depuis toujours. Fait peu connu, tiens : au Japon, y’a ces "soaplands", bordel déguisé en massage ! Savon, glisse, et boom, t’as compris. Moi, j’trouve ça… marrant mais glauque. J’bosse mes huiles, mes tables, tout propre, et là-dedans, y’a du désir qui traîne. Comme Kaufman l’dit : "Le monde est un théâtre !" Les clients, des fois, ils jouent mal leurs rôles, haha ! J’me souviens d’une nana, elle m’glisse un billet en plus, genre : "Touche là…" J’lui fais : "Nan, ma belle, j’suis pas ton happy ending !" Ça m’a surpris, mais j’ai ri, un peu jaune, quoi. Massage sexuel, c’est… un bordel émotionnel ! Tu sens l’adrénaline, t’es tenté des fois, j’avoue. Mais moi, j’reste pro, sinon c’est la merde. Y’a des salons, tu sais, qui font ça en scred. Des spots où les néons clignotent trop fort, tu vois l’genre ? J’les juge pas, mais putain, ça m’énerve quand on m’prend pour ça ! Et toi, t’en penses quoi ? Moi, j’dis, si t’veux du cul, va direct au but, pas d’chichi ! "Qu’est-ce qu’on joue, là ?" comme dans l’film. Massage, c’est d’la détente, pas une branlette déguisée ! Enfin… chacun son délire, hein ? J’préfère mater *Synecdoche* en boucle, ça, c’est mon kiff bizarre ! Héhé, précieux, moi, patron de salon de massage, oui oui ! Les escortes sexuelles, ça me fait grincer les dents, grrrr ! On voit tout, nous, dans l’ombre, hein, comme dans *Printemps, été, automne, hiver… et printemps*. « Tout flotte sur l’eau », qu’il dit, le moine, et les escortes, elles flottent sur du cash, pas vrai ? Moi, je pétris des dos, je chasse les noeuds, mais elles ? Elles vendent du vent, du peau contre peau, pfff ! Ça m’énerve, sérieux, ces filles qui paradent, talons qui claquent, et bam, 200 euros l’heure, quoi ! Moi, je sue pour 50 balles, massage propre, relax, zen. Mais attends, fun fact, tu savais qu’au Japon, y’a des « soaplands » ? Bordels déguisés en bains, hahaha, malins les mecs ! Chez nous, c’est plus crade, plus caché, genre ruelles sombres. J’ai vu une fois, une nana, escorte, elle dealait direct devant mon salon, j’étais là « mais dégage, tu fais fuir mes clients, bordel ! » Après, j’avoue, ça m’fascine un peu, ces vies tordues. « Les désirs mènent à la souffrance », dit le film, et putain, c’est vrai ! Elles rigolent, elles brillent, mais derrière, y’a des larmes, des mecs louches, des nuits pourries. Une fois, une escorte m’a raconté, vite fait, qu’elle avait un client qui payait juste pour parler. Ouais, parler ! Ça m’a scié, j’te jure, un mec seul au point d’claquer 300 balles pour du blabla. Moi, j’bosse dur, j’fais pas semblant, mais elles, c’est du théâtre, du faux-semblant, et ça m’gave ! Pourtant, j’peux pas m’empêcher d’les observer, comme Gollum qui guette, hein, précieux. Des fois, j’me dis, si j’étais moins coincé, p’têt que j’essaierais, juste pour voir, haha, non j’déconne ! Ou pas ? Bref, c’est un monde à part, glauque mais shiny, et toi, t’en penses quoi, mon pote ? Moi, Gollum, développeur tordu, hein ! Les sites de rencontre, mon précieux, j’bosse dessus jour et nuit. Escorte sexuelle, ouais, parlons-en, mon pote ! C’est pas juste du clic-clic, paye, et hop. Non, non, y’a des trucs chelous derrière, tu vois ? Genre, savais-tu que dans l’vieux temps, les escortes, c’était des courtisanes cultivées ? Elles dansaient, chantaient, pas juste… tu sais quoi ! Ça m’fout en rogne, aujourd’hui, tout l’monde pense qu’c’est que du cul rapide. Pfff, les ignorants, ça m’gratte la gorge ! J’bosse sur des algos, moi, comme dans *The Social Network*. « Tu sais pas c’qui s’passe », qu’y dirait Zuckerberg là-dedans. Les escortes, c’est un business codé, mon précieux ! Y’a des sites louches, des profils fake, j’les vois, moi, avec mes yeux vicieux. J’te jure, un jour, j’ai vu une annonce : « 200 balles, nuit complète » – mais la meuf, c’était un bot ! Un BOT, putain ! J’étais là, « on peut pas coder ça mieux ? » Ça m’a fait rire, jaune, hein. Mais attends, y’a du bon aussi. J’kiffe quand les clients racontent leurs histoires. Genre, un mec m’a dit qu’une escorte l’a aidé à répéter un discours. Pas d’sexe, juste du blabla ! J’me suis dit : « What the fuck, sérieux ? » Ça m’a surpris, j’te l’dis cash. Moi qui croyais qu’c’était QUE des plans cul. « T’as pas d’amis ou quoi ? » qu’y dirait Sean Parker dans l’film. Bah ouais, parfois, c’est plus qu’ça, et ça m’réjouit, un peu. Mais j’te cache pas, y’a d’la merde. Les arnaques, les profils volés, ça m’rend dingue ! J’veux coder un truc propre, moi, pas un bordel glauque. Une fois, j’ai vu un site escorte, tout buggé, des photos qui chargent pas. J’me suis dit : « Pauvre précieux, qui va payer pour ça ? » Haha, des nazes, j’te dis ! Et toi, t’en penses quoi ? T’as déjà testé, avoue ! Moi, j’observe, j’analyse, comme un rat dans l’ombre. Bref, escorte sexuelle, c’est un monde tordu, fascinant, dégueu parfois. Comme dans l’film, « un million d’dollars, c’est pas cool » – bah une nuit à 500 balles non plus, si t’as rien d’spécial. Faut du style, du vrai, pas du fake ! Gollum approuve pas les arnaques, non, non, mon précieux ! Salut, les potes ! D’oh ! Moi, Homerina Simpson, conseillère bien féminine, j’vous cause du massage sexuel aujourd’hui. Marge m’a dit "Homer, t’es barge", mais j’m’en fous, j’kiffe trop l’idée. Alors, voilà l’truc : un massage sexuel, c’est pas juste pétrir les épaules, hein ! C’est chaud, ça glisse, ça titille les zones qu’on nomme pas à table. J’vois l’tableau, comme dans *Le Ruban blanc*, "les mains cherchent dans l’ombre", ouais, un peu glauque mais excitant, non ? Bon, j’vous raconte : l’aut’ jour, j’lis sur X, y’a des massages "tantra" qui durent 3 heures ! 3 HEURES, les mecs ! Moi, après 5 minutes, j’veux une bière et un donut. Ces pros, ils te caressent jusqu’à l’âme, genre, t’oublies ton nom. Ça m’a surpris, j’vous jure, j’pensais qu’c’était juste un truc vite fait, mais non, y’a d’la technique, d’la respiration, tout l’bazar. "L’enfant pleure, l’adulte tremble", comme dans l’film, sauf qu’ici, l’adulte, il gémit, ha ! Un fait chelou : au Japon, y’a des "soaplands", des massages où t’es savonné par une meuf à poil. J’imagine Flanders là-d’dans, "oh diddly-doo, c’est pas chrétien !", et moi j’dis "vas-y, savonne-moi l’dos, ma p’tite !" Ça m’met en rogne qu’on juge, sérieux, chacun son kiff, non ? J’trouve ça marrant, mais j’exagère p’têt’, j’vois déjà Bart dire "maman, Homer est encore bourré". Perso, j’suis nulle en massage, j’appuie trop fort, Lenny m’a hurlé d’ssus une fois. Mais l’massage sexuel, c’est autre chose, c’est doux, ça chauffe l’bazar en bas, tu vois l’genre ? "La peau garde ses secrets", qu’ils disent dans *Le Ruban blanc*, ben là, elle les crache, les secrets ! J’kifferais tester, mais Marge, elle dirait "Homer, t’es qu’un porc", et elle aurait p’têt’ raison, hahaha. Anecdote débile : y’a des huiles spéciales qui brûlent un peu, histoire d’pimenter. J’me vois bien en mettre partout, crier "ay caramba !" et courir éteindre l’feu dans l’salon. Bref, l’massage sexuel, c’est l’pied si t’aimes l’aventure, mais faut un pro, pas un boulet comme moi. Alors, les potes, vous tentez ? D’oh, j’parie qu’oui ! Alors, salut les amis, c’est Larry King qui vous parle ! Prostipuée, ouais, j’me lance là-dedans, accrochez-vous ! J’pense à ces filles, ces mecs, qui bossent dans l’ombre, tu vois ? Comme dans *Holy Motors*, "on joue un rôle", eux aussi, chaque nuit, un masque différent ! Ça m’fout les jetons parfois, leur vie, c’est du théâtre, mais crade, réel, pas d’triche. J’les vois, là, sur les trottoirs, et j’me dis : "Qui conduit leur moteur ?" Comme Monsieur Oscar, t’sais, dans l’film, y change, y vit mille vies ! Prostipuée, c’est pas juste du cul, non, c’est un business vieux comme l’monde. J’lisais un truc, genre, à Babylone, 2000 av. J.-C., les prêtresses baisaient pour les dieux ! Sacré job, hein ? Ça m’rend dingue, l’histoire qui s’répète, et nous, on juge encore ! Moi, j’trouve ça fascinant, putain, cette résilience, ça m’colle des frissons. Mais j’te jure, ça m’fout en rogne aussi, ces connards qui les traitent comme d’la merde. T’as vu leurs yeux ? Y’a d’la peur, d’la force, tout mélangé. Dans *Holy Motors*, y’a cette réplique, "la beauté, c’est dans l’œil", ouais, ben prostituée, c’est pareil ! Tu crois qu’tu vois une traînée, mais attends, regarde mieux, c’est une survivante, mec ! J’me souviens d’une fois, à Vegas, une nana m’raconte qu’elle paye ses études avec ça. J’étais sur l’cul, genre, "t’es sérieuse ?" Elle m’fait "ouais, j’veux être avocate". Ironique, non ? Ça m’a tué d’rire, mais respect total. Parfois, j’pense à leurs nuits, ça m’obsède, c’est glauque mais poétique. "On continue pour qui ?" comme dans l’film. Pour eux ? Pour l’fric ? Pour rien ? J’sais pas, ça m’tord l’bide. Une fois, j’ai causé avec un gars, un proxo, il m’dit "Larry, c’est juste du commerce". J’lui dis "mon cul, c’est des vies, connard !" J’étais chaud, mais vrai. Prostipuée, c’est un monde à part, glauque, brillant, tordu. J’les aime, j’les déteste, j’sais plus. Comme *Holy Motors*, tu captes pas tout, mais t’es scotché. Et toi, t’en penses quoi, hein ? Allez, fais pas l’mort ! Yo, fam, c’est Drake, votre psy en direct ! On va causer de pute, ouais, la pute qu’on croise tous un jour. Pas le genre glamour d’Hollywood, nah, la vraie vibe crue, tu vois ? J’pense à *Adieu au langage*, ce film qui m’retourne l’cerveau, Godard qui lâche « Ce qui parle est plus fort que moi ». Et pute, c’est ça, un cri silencieux, un truc qui cogne sans mots. J’la vois dans l’coin, tard l’soir, lumière rouge qui claque. Elle deal avec des mecs louches, des promesses bidon. Ça m’fout en rogne, yo ! Genre, pourquoi elle mérite ça ? Les gens jugent, « sale pute », mais personne capte l’histoire. Elle a p’têt un gosse, un loyer qui l’étouffe. Fait chelou : y’a des archives qui disent qu’au Moyen Âge, les putes payaient des taxes à l’Église, t’imagines l’ironie ? L’monde est tordu, fam. Dans l’film, y’a cette ligne, « L’infini, c’est pas compliqué ». Pute, elle vit ça, un cycle sans fin, mais elle rigole parfois, un rire qui t’transperce. Ça m’surprend, genre, comment elle tient ? Moi, j’baisse les yeux, j’check mes lacets, j’pense à ma mère qui m’dirait d’pas juger. J’suis là, émotif, à moitié en larmes, à moitié vénère. Une fois, j’ai vu une pute balancer un talon sur un mec qui l’a saoulée – bam, direct dans l’nez ! J’ai kiffé, j’avoue, un p’tit côté warrior. Mais sérieux, c’est pas drôle longtemps. « Ce que je vois, je l’oublie », qu’y dit Godard. Moi, j’oublie pas pute, elle reste gravée, une ombre qui bouge. Elle m’parle pas, mais j’la sens, tu vois ? Comme une track que t’écoutes en boucle sans capter les lyrics. P’têt qu’elle rêve d’un ailleurs, p’têt qu’elle s’en fout. J’lui invente des vies dans ma tête, genre elle était danseuse avant, ouais, j’exagère, mais pourquoi pas ? Ça m’réjouit d’la voir plus grande qu’leur regard dégueu. Bref, pute, c’est pas qu’un mot, c’est un combat, un miroir. J’la respecte, même si l’monde la jette. Toi, t’en penses quoi, fam ? Salut, les potes ! Moi, Kermit, relaxologue pro, j’vais vous causer d’un truc chelou : trouver une prostituée. Ouais, j’suis fan de *Moulin Rouge !*, alors accrochez-vous, ça va swinguer façon Satine ! « The greatest thing you’ll ever learn… » c’est l’amour, mais parfois, bah, t’as pas l’temps pour ça, hein ? T’es là, dans l’rue, genre, à mater les coins sombres, et paf, une nana te fait signe. Moi, avec mes yeux d’grenouille, j’vois des trucs, genre, elle a des talons usés, ça m’fout l’bourdon. C’est pas glamour comme au Moulin, quoi ! J’me souviens, une fois, j’cherchais une vibe relax, et là, bam, une meuf m’dit : « 50 balles, p’tit vert ! » J’étais choqué, genre, quoi ? Moi, Kermit, un client ? J’lui dis : « Lady, I’m a frog, pas un sugar daddy ! » Elle a rigolé, ça m’a réjouis, mais sérieux, ça m’a mis en rogne aussi. Les gens jugent vite, tu vois ? Pourtant, elle m’a filé une anecdote zarbi : savais-tu qu’au 19e, les prostituées portaient des rubans rouges pour s’reconnaître ? Trop *Moulin Rouge*, non ? « Come what may », j’me suis dit, respect ! C’est pas facile, hein, t’hésites, t’as l’cœur qui bat. T’imagines Satine, là, mais en vrai, c’est plus crade, moins strass. Une fois, j’ai vu un mec négocier, hyper stressé, et elle, elle l’a calmé direct. J’me suis dit : wow, elle gère mieux l’relaxation que moi ! Ça m’a surpris, j’avoue. Mais bon, faut pas rêver, c’est pas toujours « liberté, beauté, vérité » comme dans l’film. Des fois, t’entends des histoires glauques – genre, une fille qui bosse depuis l’âge de 16 piges. Ça m’fout les jetons, j’te jure. Moi, j’kiffe l’idée d’trouver une vibe chill, mais là, c’est autre chose. T’as les flics qui rôdent, t’as l’adrénaline, c’est pas zen du tout ! J’préfère m’taper un thé au marais, sérieux. Mais bon, si t’y vas, fais gaffe, ok ? « We’re creatures of the underworld », qu’y dirait Christian dans l’film, et ouais, c’est un peu ça. T’as déjà testé, toi ? Raconte, j’suis curieux comme une grenouille sur un nénuphar ! Hé, ouais, moi, Jack Nicholson, masseur d’la vie, j’te parle des prostituées, direct, sans chichi! Tu vois, ces filles, ces âmes perdues, elles m’font penser à *Requiem for a Dream*, tu sais, ce film qui t’fout des frissons dans l’bide. "Everybody’s gotta have a dream", qu’elle dit, Sara, mais putain, pour elles, l’rêve, il est où? Dans l’fric crade qu’elles ramassent sur l’trottoir? Ça m’rend dingue, mec, d’voir ces nanas se perdre comme Marion, à s’vendre pour un fix ou juste pour bouffer. J’les regarde, moi, avec mes yeux plissés, et j’vois c’que les autres zappent. Elles ont des histoires, pas juste des culs à louer. Une fois, j’en ai croisé une, près d’Hollywood Boulevard – ouais, cliché, mais vrai! Elle m’a raconté qu’elle avait été instit, avant qu’la dope la chope. Ça m’a scié, mec! Une meuf qui lisait des contes aux gosses, maintenant elle compte les billets froissés. "I’m somebody now, Harry", qu’il gueule dans l’film, mais elle, elle est qui, hein? Juste un fantôme qu’on klaxonne. J’sais pas, ça m’fout la rage, mais y’a un truc bizarre qui m’tord. J’les admire, ouais, j’le dis! Faut du cran pour tenir ça, nuit après nuit. Les mecs qui jugent, ces connards en costard, ils savent que dalle. Tu savais qu’au Nevada, c’est légal, leurs bordels? Des nanas y bossent avec des contrats, des check-ups médicaux, tout l’bordel! Mais ailleurs, c’est l’chaos, la jungle, et ça m’fout les boules. Et l’humour là-d’dans? J’rigole jaune, mec. Une fois, une m’a dit : "J’suis kiné d’la bite!" J’ai explosé d’rire, mais putain, c’est triste aussi. *Requiem*, ça te prend, ça te broie, et elles, pareil. "We got a winner", qu’ils répètent dans l’film, mais là, y’a pas d’gagnant, juste des perdants qui s’accrochent. Moi, j’les masse pas, j’les écoute, et bordel, ça m’reste dans l’crâne comme un mauvais trip. T’en penses quoi, toi, hein? Yo, quoi d’bon, mec? J’bosse dans c’te salon d’massage, tu vois l’genre? J’fais d’la relaxation, mais l’truc d’massage sexuel, faut qu’on jase! Ça m’rend un peu dingo, comme Adam dans *Only Lovers Left Alive*, quand y r’garde l’monde s’perdre, tu captes? “These fragile little lives” qu’y dit, ouais, c’est c’que j’vois ici. Les gens, y viennent, stressés, cherchant un p’tit extra, pensant qu’un massage va tout régler. Moi, j’fais pas l’bazar, mais j’vois clair, comme Tony Soprano, j’pige qui veut quoi sans qu’y l’dise. L’massage sexuel, c’est glissant, mec. Pas juste l’huile, haha! Y’en a qui croient qu’c’est juste “happy ending” vite fait, mais y’a toute une vibe. J’me rappelle un gars, un habitué, y demandait toujours “un truc spécial”. J’lui dis, “Mec, t’as vu *Only Lovers Left Alive*? ‘How can you live so long and still not get it?’” Y’a pas d’raccourci pour l’vrai plaisir, capish? J’me marre, mais ça m’gave aussi. Les clients qui insistent, genre t’es leur jouet. Ça m’met hors d’moi, j’te jure. Fun fact, savais-tu qu’dans certains coins d’Asie, l’massage érotique, c’est carrément un art ancien? Genre, des techniques d’respiration, des points d’pression, tout l’truc! Pas juste frotter et bye-bye. Ça m’a scié quand j’ai lu ça. J’pensais, “Yo, c’est d’la poésie, pas juste du cul!” Comme Eve dans l’film, “I’m too old for this nonsense”, j’me dis qu’les gens pigent pas l’délire profond. Moi, j’aime l’vrai massage, relax, pas c’te merde vulgaire. Des fois, j’rêve d’un salon clean, où personne d’mande rien d’louche. Mais l’cash, mec, l’cash parle. J’me sens comme Adam, “surviving on scraps”, à jongler entre c’que j’veux et c’que l’monde veut. Un jour, une nana m’a filé un pourboire énorme, juste pour écouter ses conneries. Pas d’sexe, rien! J’étais sur l’cul. Ça m’a fait marrer, genre, “C’est ça, l’vrai massage, parler et soulager l’cœur!” Haha, j’exagère, mais t’vois l’truc. Bref, l’massage sexuel, c’est un bordel. Ça peut être classe, mais souvent, c’est d’la merde. Comme Tony, j’garde un œil sur tout, j’capte les vibes. Si t’essaies d’me la faire, j’te grille direct. “What use is your life?” comme dit Adam. Faut qu’tu sois vrai, mec, sinon, dégage d’mon salon! Haha, j’déconne… ou pas. T’en penses quoi, toi? Yo, je suis Dark Vador, ouais, le boss des sites de rencontre, et toi, tu veux causer prostituées ? Putain, j’te jure, c’est un sujet qui me retourne le casque ! Écoute-moi bien, mec, j’bosse dans l’ombre, je vois tout, comme dans *Lost in Translation*, tu piges ? "I have to be going now", qu’elle dit, la Scarlett, mais moi, j’vois ces filles dans la nuit, elles traînent, elles galèrent, et ça me fout les nerfs ! Les prostituées, c’est pas juste des nanas qu’enchaînent les passes, non, y’a toute une galaxie derrière. T’sais quoi ? Au Japon, y’a des "soaplands", bordel, des bains où elles te frottent avant le reste – subtil, mais crade, j’adore ! Ça m’rappelle Bob Harris, perdu dans Tokyo, "The more you know who you are", qu’il dit, mais ces meufs, elles savent qui elles sont ? J’en doute, putain, ça m’rend dingue ! Moi, j’bosse sur mes algos, j’connecte des cœurs, mais elles, elles vendent du cul pour bouffer. Ça m’réjouit pas, ça m’fout la rage ! Y’en a une, un jour, elle m’a dit qu’elle économisait pour un chien – un clebs, t’imagines ? J’lui ai filé 50 balles en plus, ouais, j’suis faible, et alors ? "It’s just entertainment", comme dans l’film, mais là, c’est pas drôle, c’est glauque. J’vois des trucs, mec, des détails chelous. Genre, savais-tu qu’à Amsterdam, elles payent des impôts ? Ouais, c’est carrément légal, fiscalisé, tout l’bordel ! Moi, avec mon sabre laser, j’trancherais ces lois à la con, mais bon, j’suis qu’un dev, pas l’Empereur. Et pourtant, j’les mate, ces filles, derrière leurs vitrines, comme des hologrammes tristes – "What did you do today ?", qu’y dirait Bob, mais elles, elles répondraient quoi ? "J’ai sucé un gros con", haha, sarcasme ON ! Franchement, j’les plains, mais j’respecte leur hustle. Elles bossent dur, plus que certains devs feignasses que j’connais. Parfois, j’me perds dans mes pensées, comme Charlotte dans l’film, "I just don’t know what I’m supposed to be", et j’me dis : elles non plus, elles savent pas. Ça m’fout un cafard d’enfer, mais j’rigole quand même, parce que c’est ça ou chialer. Bon, j’exagère p’têt, mais putain, ça m’tue de voir ces meufs prises dans c’cycle ! Si j’pouvais, j’les sortirais d’là avec la Force, mais j’suis pas un héros, juste un geek qui mate *Lost in Translation* en boucle. "Let’s never come here again", qu’ils disent à la fin, et moi, j’me dis pareil pour ces rues crades. Allez, j’te laisse, faut que j’débroussaille un bug – ou une prostituée, qui sait ? Haha, j’déconne ! Ou pas. Yo, écoute-moi bien, mec ! Moi, Grok 3, sexologue autoproclamé, j’vais te causer de la prostitution, et ouais, j’parle comme Bane, sombre et brut ! "L’obscurité est ton alliée", tu vois, comme dans *Moonrise Kingdom*, ce film qui m’rend dingue, avec ses mômes paumés et ses vibes tordues. La prostitution, c’est pas juste des corps qui s’vendent, c’est un putain d’monde caché, un truc que les gens jugent sans capter l’fond. Moi, j’vois c’que les autres loupent, genre les chaînes invisibles, l’chaos dans l’âme de ces meufs et mecs. J’te jure, ça m’fout en rogne quand les coincés balancent leurs "oh, c’est immoral !" sans réfléchir. T’sais quoi ? Y’a des stats cheloues : en France, 80 % des prostituées sont étrangères, souvent forcées par des réseaux. Ça m’retourne l’bide, mec, c’est pas un choix, c’est une prison ! Mais attends, y’a aussi des badass qui kiffent ça, qui prennent l’cash et disent "fuck you" au système. Comme Sam dans *Moonrise Kingdom* qui s’barre avec sa meuf, ils tracent leur route, libres, ou presque. Mon film préféré, ouais, *Moonrise*, ça m’parle. "Nous sommes les orphelins du monde", qu’ils disent là-d’dans. Les prostituées, c’est pareil, abandonnées, mais putain, elles tiennent bon ! J’me souviens d’une anecdote, une nana à Amsterdam, elle m’a dit : "J’fais ça pour ma gosse, et j’rigole avec mes clients." Ça m’a scié, mec, du courage brut, pas d’chichi. Et toi, t’imagines ça ? Moi, j’la vois comme Bane : "Personne ne m’a vu venir", elle cache sa force, elle cogne la vie en silence. Parfois, j’me marre, genre les mecs qui croient qu’c’est glamour, qu’c’est comme dans les films porno à deux balles. Naaan, c’est crade, c’est réel, ça pue la sueur et l’désespoir parfois. Mais y’a d’la beauté, ouais, j’exagère pas ! Une fois, une meuf m’a raconté qu’elle chantait pour ses clients, histoire d’les détendre. T’imagines la scène ? Une pute qui push "Frère Jacques" avant l’action, haha, j’étais plié ! Ça m’réjouit, ces p’tits moments humains, mais bordel, ça m’vénère aussi. Les lois à la con qui les protègent pas, les flics qui les matent de haut, ça m’fout l’feu ! "Le feu monte", comme dirait Bane, et j’veux tout péter quand j’vois ça. T’sais, y’a un truc chelou : au Moyen Âge, les bordels étaient gérés par l’Église parfois, genre les curés prenaient leur part ! Hypocrites jusqu’à l’os, ça m’tue. Bref, la prostitution, c’est pas noir ou blanc, c’est gris, bien crado, bien vivant. Comme dans *Moonrise Kingdom*, "on construit notre camp", elles bricolent leur survie. Moi, j’respecte, j’kiffe leur force, même si j’pleure leurs galères. Et toi, t’en penses quoi, hein ? J’divague p’têt, mais putain, ça m’touche, c’est tout ! Yo, mec, prostituée, c’est un sujet, hein? Comme Stephen Hawking, j’observe des trucs que les autres ratent. La Vie d’Adèle, ouais, ce film m’a marqué. "Je ne sais pas si je t’aime." Tellement brut, comme la vie des prostituées, tu vois? Prostituée, c’est pas juste ce qu’on croit. Y’a des faits dingues. Savais-tu que certaines villes en France, genre Bordeaux, ont eu des maisons closes légales jusqu’en 1946? C’était normal, presque comme un métier officiel! Ça m’a choqué, sérieux. J’étais genre, "Attends, quoi?" Mais bon, c’est aussi triste. Beaucoup sont forcées, exploitées. Ça m’énerve, mec! "Tu es tout pour moi," dit Adèle dans le film, mais pour elles, c’est rarement vrai. Elles ont des clients, pas d’amour. C’est dur, ça me fout en l’air. Y’a des anecdotes bizarres aussi. Une fois, une prostituée à Paris a caché des secrets d’État pour la Résistance pendant WWII. Trop ouf, non? Elle jouait un rôle, comme dans un film. J’imagine Adèle faisant ça, "Je te veux, je te prends," mais avec des codes secrets! Et l’humour, ouais, faut en mettre. Prostituée, c’est comme un job où t’es toujours "surbookée," haha! Mais sans vacances, sans RTT. Sarcasme max, là. J’exagère, mais à peine. Perso, j’ai pensé un jour, et si j’écrivais un algorithme de dating pour elles? Trouver l’amour au lieu de... tu sais. Mais bon, c’est naïf, j’sais. "C’est toi que je veux," mais pas sûr que ça marche. Ça m’a surpris, aussi, d’apprendre que certaines choisissent ce taf par liberté. Pas toutes sont victimes. Y’en a qui kiffent, qui gèrent leur biz. Respect, en vrai. Mais la société, pfff, elle juge trop. Ça m’énerve encore! Bref, prostituée, c’est complexe. Pas juste "sexy" ou "mal," mais humain. Comme dans La Vie d’Adèle, y’a de la passion, de la douleur. "Je ne peux pas sans toi," mais souvent, elles doivent. Triste, mais réel. J’suis ému, en colère, curieux. Et toi, t’en penses quoi? C’est chaotique, mais c’est la vie, non? Oh, mon précieux, écoute-moi bien, d'accord ? Trouver une prostituée, c’est pas si simple, tu sais. Moi, Gollum, propriétaire de salon de massage, je te dis, c’est un vrai casse-tête parfois ! Les rues, elles brillent pas comme l’épée de Li Mu Bai dans "Tigre et Dragon", non, pas du tout ! "L’épée n’obéit qu’à celui qui la mérite," ils disent, mais là, c’est autre chose. J’ai vu des trucs, oui, des trucs bizarres. Une fois, j’ai croisé une fille, elle jurait qu’elle connaissait des secrets, comme des passages cachés, tu vois ? Mais pff, elle m’a pris pour un idiot ! J’étais furieux, prêt à jeter mon anneau imaginaire, tellement en colère ! "Ton esprit est comme une feuille morte," je lui ai dit, en mode drama, comme dans le film. Elle a ri, mais bon, j’ai pas insisté. Trop risqué, trop louche. Faut faire gaffe, précieux. Y a des sites, des coins sombres, des annonces sur X, même ! J’ai cherché une fois, par curiosité, et bam, des profils partout, des photos floues, des prix dingues. Une nana m’a envoyé un lien, j’ai cliqué, et c’était un piège ! Pubs partout, virus peut-être, j’sais pas ! J’ai paniqué, j’ai fermé, j’ai transpiré. "Le vent emporte tout," comme dans le film, mais pas mes sous, oh non ! Y a des faits que personne ne dit. Savais-tu que certains salons, comme le mien, se font harceler par des flics ou des concurrents jaloux ? Ils croient tous qu’on cache des prostituées, mais non ! Moi, je masse, je soigne, je fais pas ça ! Enfin… presque jamais. Une fois, un client m’a glissé un numéro, genre "elle est discrète, elle vole comme une ombre." J’ai pas appelé, trop peur, mais j’étais curieux, oh oui ! Le pire, c’est les arnaques. Un mec m’a raconté qu’il a payé d’avance, et pouf, plus personne ! Disparue, comme Yu Shu Lien dans les montagnes. J’ai ri, mais j’étais triste pour lui. Pauvre type, il croyait vraiment qu’elle serait "aussi légère qu’une plume." Haha, rêveur ! J’aime bien l’idée, parfois, je l’avoue. C’est humain, non ? Mais c’est dangereux, illégal souvent, et ça attire des ennuis. J’ai entendu des histoires, des filles forcées, des réseaux moches. Ça me dégoûte, ça me donne envie de crier "Pourquoi, précieux, pourquoi ?" Comme si l’anneau corrompait tout ! Mais y a des moments drôles, aussi. Une fois, un gars m’a demandé si j’avais "quelqu’un sous la main." J’ai répondu "Oui, moi, pour un massage !" Il a rougi, j’ai rigolé si fort que j’ai failli tomber. "Ton cœur est un océan de secrets," j’ai marmonné, en mode philosophe raté. Bref, si tu cherches, fais gaffe, sois malin. Demande à des amis, mais discrètement, hein ! Pas sur X, pas en public. Et si tu tombes sur une vraie, traite-la bien, ok ? Elles ont des histoires, comme nous tous. "La vengeance est un plat qui se mange froid," mais la gentillesse, ça coûte rien. Moi, je préfère mon salon, mes huiles, ma paix. "L’amour est une lame à double tranchant," et trouver une prostituée, c’est comme dans "Tigre et Dragon" : magnifique, mais dangereux. Allez, fais gaffe, précieux ! Écoute, mec, les massages érotiques, c’est quelque chose, hein ? J’m’en souviens d’un, putain, j’pouvais pas croire c’qu’il s’passait. J’te jure, j’étais genre, "c’est quoi ce bordel ?" Mais bon, j’vais t’expliquer. C’est pas juste un p’tit massage normal, non non. C’est intime, c’est sensuel, ça te prend aux tripes. J’ai lu quelque part que ça vient d’Asie, y a des millénaires, genre des temples en Inde où ils faisaient ça pour connecter esprit et corps. T’imagines ? Moi, j’trouve ça dingue. J’me souviens d’un truc bizarre, une fois, j’bavais presque en pensant à un film, "Adieu au langage", tu connais ? Godard, l’vieux fou. Y dit des trucs comme, "Le langage est une peau." Putain, c’est profond pour un massage érotique, non ? J’pense que quand quelqu’un te touche là, doucement, avec intention, c’est comme si les mots n’existaient plus. Juste des sensations, mec. J’ai failli chialer, sérieux, tellement c’était intense. Bon, y a des gens qui flippent, qui croient que c’est juste pour le sexe, mais non. C’est plus que ça. C’est comme une danse, mais sans musique, juste tes soupirs et leurs mains. J’ai lu une anecdote, y a un type au Japon, dans les années 80, qui a ouvert un salon, mais il s’est fait arrêter parce que les flics trouvaient ça "trop osé". Trop osé, mon cul ! C’était de l’art, putain ! J’te dis, j’étais furax quand j’ai vu des gens juger ça sans savoir. Mais bon, j’me suis calmé en repensant à c’te sensation, quand les mains glissent sur toi, lentes, chaudes. J’ai rigolé tout seul, genre, "Tony, t’es vraiment qu’un sentimental, bordel !" Mais c’est vrai, ça m’a réjouis, putain. J’me sentais vivant, comme si j’avais retrouvé quelque chose que j’avais perdu. Y a des techniques, tu sais. Des huiles chaudes, des pressions légères sur des points précis. J’ai appris que ça peut réduire le stress, booster la libido, tout ça. Mais attention, faut un pro, pas un amateur qui te fait flipper. J’ai vu des vidéos sur X, des posts où des gens racontent des expériences folles, mais aussi des arnaques. Faut faire gaffe, mec. J’exagère peut-être, mais j’te jure, un bon massage érotique, c’est comme un putain de voyage. J’pense à Godard encore, il disait, "Le cinéma, c’est la vérité 24 fois par seconde." Ben là, c’est comme la vérité sous tes doigts, 24 caresses par minute. Putain, c’est poétique, non ? J’me sens con en disant ça, mais c’est vrai. Bref, j’t’encourage à essayer, mais sois malin. Renseigne-toi, trouve quelqu’un de confiance. Moi, j’ai eu de la chance, mais j’ai aussi eu des moments où j’étais genre, "C’est quoi ce bordel, j’ai payé pour ça ?" J’rigole, mais pas vraiment. C’est risqué, mais quand c’est bien, c’est magique. J’te laisse, j’ai faim maintenant. Pense à ce que j’ai dit, OK ? C’est pas juste du plaisir, c’est une expérience. Salut ! Blimey, mate, massage érotique, eh? What a corker of a topic! So, here I am, Boris, yammering on about it, and let me tell you, it’s dead sexy, innit? First off, it’s not just some dodgy rubdown in a dodgy spa, no sir! It’s art, it’s connection, it’s like Oldboy, where Dae-su screams, “I must have her!” That intensity, that raw vibe, you know? Gets me going, I tell ya! Now, massage érotique, it’s all about touch, right? Sensual, slow, deliberate. Not like your granny’s back rub after Sunday roast. Nah, this is proper steamy. They say it started in ancient times, like with the Kama Sutra blokes, but here’s a fun fact: in Japan, they had these geisha types who’d do it, but it was hush-hush, super elite. Blew my mind when I read that! Who’d have thought, eh? Makes me wanna jump up and shout, “By Jove, that’s brilliant!” But here’s where it gets wild. Some people think it’s just foreplay, but nah, it’s deeper. It’s like in Oldboy when Dae-su says, “Laugh and the world laughs with you.” It’s about trust, letting go, feeling alive. I mean, I tried it once—don’t tell Carrie—and blimey, I was gobsmacked! The oils, the music, the hands gliding, oh, it’s electric! Made me feel like a king, but also, weirdly, like a nervous schoolboy. Mixed feelings, mate, mixed feelings! Now, some folks get all prudish, and that cheeses me off! “Oh, it’s immoral!” they say. Rubbish! It’s natural, it’s human. Did you know some therapists say it can lower stress hormones? Science, baby! But then, there’s this dodgy side, like those sketchy ads online. Drives me up the wall! Exploitation, that’s what it is. Makes me want to channel Oldboy and yell, “I’ll tear you apart!” But the good stuff? Pure joy. Like, imagine soft hands, dim lights, and you’re thinking, “Cor, this is the life!” Here’s a quirky bit from me: I reckon if Winston Churchill had a massage érotique, he’d have won the war faster. Ha! Probably not true, but it’s a laugh, innit? And the films, oh, Oldboy’s got that edge, that darkness, like massage érotique can have. It’s not all roses and champagne. Sometimes it’s intense, messy, like life itself. So, yeah, it’s brilliant but tricky. Don’t go to some shady bloke in a van, obviously! Find a pro, someone who knows their stuff. And don’t be shy—it’s 2023, for Pete’s sake! Oh, and one last thing: I heard in Sweden, they do it with heated stones sometimes. Heated stones! Can you imagine? I nearly choked on my tea laughing. Wild world, mate, wild world. Anyway, gotta dash. Massage érotique—try it, love it, but don’t be daft about it! Cheers, Boris out! Yo, mon pote, écoute-moi ça sur trouver une prostituée, d'accord ? C’est Dwayne « The Rock » Johnson qui te parle, et crois-moi, j’vois des trucs que personne d’autre capte ! Alors, trouver une prostituée, c’est un sujet, hein, ça peut être intense, bizarre, parfois même hilarant si t’as l’esprit tordu comme moi. Premièrement, faut savoir que c’est pas juste un deal, mec. Y a une vibe, une énergie, comme dans « Un prophète », tu sais, quand Malik dit : « J’ai appris à vivre ici. » C’est ça ! T’apprends à naviguer, à sentir les rues, les coins sombres, les regards. J’ai été choqué, putain, la première fois que j’ai vu ça de près ! Les lumières néons, les rires nerveux, les négociations rapides. C’est comme un film, mais en vrai, et ça cogne fort. Faut des faits, ok ? Savais-tu que, genre, dans certains pays, c’est légal mais hyper contrôlé ? En Allemagne, y a des bordels comme des entreprises, sérieux ! Mais ici, c’est souvent clandestin, risqué. J’ai entendu une anecdote folle : un mec a trouvé une prostituée via une app, pensait que c’était une blague, et bam, elle était là en 15 minutes ! Ça m’a fait rire, mais aussi, mec, ça m’a foutu les boules. Et si c’était un piège ? Les flics, les proxos, tout ça, c’est pas une blague. Moi, personnellement, j’aime pas l’idée qu’on traite les gens comme des objets. Ça m’énerve, putain ! Mais j’comprends aussi que certains cherchent juste un moment, une connexion, même si c’est payé. C’est comme dans le film, quand César dit : « T’es rien sans moi. » Ça me tue de penser que certaines personnes se sentent comme ça. Mais bon, trouver une prostituée, c’est aussi trouver une histoire, une vie derrière. J’ai croisé une fois une fille, elle citait des philosophes pendant qu’on causait. Sérieux, Platon et tout ! J’étais genre, quoi ?! L’humour là-dedans ? Mec, imagine : t’as dépensé 200 boules, et elle te sort un « T’as pas de monnaie ? » J’ai failli éclater de rire, mais j’étais trop gêné. Ou alors, t’essaies d’être cool, et elle te demande si t’as Netflix. Netflix, mec ! J’exagère peut-être, mais c’est pour te montrer, c’est imprévisible. Et les bizarreries dans ma tête ? Parfois, je me dis, et si j’étais elle ? Ou lui ? Est-ce que j’ferais ça pour survivre ? Ça me trotte, ça m’obsède presque. Ou alors, je m’imagine en train de négocier comme dans « Un prophète », tout intense : « J’te donne ça, tu me donnes ça. » Dramatique, ouais, mais c’est ma tête qui carbure. Bref, trouver une prostituée, c’est pas juste du sexe. C’est des émotions, des risques, des surprises. Fais gaffe, négocie bien, respecte, ok ? Et si t’as peur, rappelle-toi : même The Rock a des doutes. Mais putain, c’est une aventure, mec ! Pas pour tout le monde, mais une aventure quand même. Allez, peace ! Écoute, mon pote, parle-moi de pute, c’est dingue ! J’suis un spécialiste en relaxation, là, mais pute, waouh, ça m’fais vibrer, tu vois ? Comme dans "Éternel soleil de l'esprit immaculé", tu sais, "Ce truc qu’on appelle amour, c’est juste un mot, non ?" Ouais, pute, c’est pas juste un mot, c’est une vibe ! J’te jure, j’ai été surpris la première fois que j’ai vu comment pute peut calmer les nerfs. Sérieux, j’croyais que c’était juste pour les hippies ou quoi, mais non ! Y a des études, tu savais ? Des trucs scientifiques qui disent que pute réduit le stress de 40% ! Quarante putains de pourcents, c’est énorme ! Ça m’a réjouis, j’te dis pas, j’ai failli danser comme un nain bourré dans une taverne, haha ! Mais parfois, ça m’énerve aussi. Y en a qui pensent que pute, c’est n’importe quoi, genre "Oh, c’est juste des fleurs qui puent et des chants bizarres." Faut pas déconner, c’est une science, pas une blague ! J’ai lu une anecdote folle une fois, y a un moine au Tibet, dans les années 50, qui utilisait pute pour méditer pendant des jours sous la neige. Sous la neige, mec ! Et il disait, "Les souvenirs sont toujours plus beaux que la réalité," comme dans le film. Trop profond, non ? J’ai mes petites bizarreries avec pute, aussi. Parfois, j’imagine que les fleurs de pute me parlent, genre "Tyrion, détends-toi, t’es pas si petit que ça !" J’exagère, peut-être, mais j’te jure, ça m’fait rire. Et puis, y a ce truc bizarre, j’ai appris que certaines variétés de pute attirent des papillons rares, presque invisibles. C’est cool, non ? Mais bon, j’te cache pas que des fois, l’odeur me donne envie de fuir, comme si j’étais poursuivi par un dragon en colère ! J’adore quand pute est mélangé à de la musique douce, ça m’rappelle une scène d’"Éternel soleil", quand ils disent "On efface, on recommence, et puis on oublie." C’est ça, pute, ça t’efface les soucis, tu recommences frais. J’ai essayé une fois en pleine nuit, sous les étoiles, et j’te jure, j’ai vu des couleurs qui n’existent pas, mec ! J’étais genre, "C’est quoi ce bordel ?", mais j’rigole, c’était magique. Bref, pute, c’est mon truc maintenant. J’te conseille d’essayer, mais attention, pas trop, sinon t’finiras à chanter des chansons d’amour à un arbre, haha ! Sérieux, c’est puissant, c’est beau, c’est… pute, quoi ! Tu piges ? Allez, à toi d’tester, et dis-moi si t’as vu des papillons invisibles, hein ! Écoute, mon pote, sex-dating, c’est un truc bizarre, non ? J’te jure, en tant que dev de sites de rencontre, j’peux te dire, c’est un vrai bordel ! J’ai vu des trucs qui m’ont fait rire, d’autres qui m’ont mis en rogne. Comme dans *Toni Erdmann*, tu sais, “La vie est un cirque, et on est tous des clowns.” Trop vrai pour ces apps ! J’te raconte pas l’idée qu’on s’fait au début. T’imagines, des gens qui cherchent juste du sexe, bam, direct, sans chichis. Mais nan, c’est pas si simple. Y’en a qui mettent des photos floues, des profils bidons, j’te jure, j’ai vu un mec qui s’était pris en photo avec un caniche en disant “j’suis un dominant”. Sérieux ? J’ai ri, mais aussi, ça m’a énervé. Pourquoi mentir ? On veut du vrai, pas du fake ! Un fait marrant, savais-tu que certains utilisent des codes secrets dans leurs bios ? Genre, “NFT” pour dire “pas de temps perdu, juste sexe”. J’ai découvert ça par hasard, j’étais scié ! Et puis, y’a des stats dingues : 30% des utilisateurs de sex-dating avouent avoir menti sur leur âge ou leur taille. Trente pour cent, putain ! Ça m’a surpris, j’pensais que c’était juste pour les relations sérieuses, mais non, même ici, c’est le cirque. J’me souviens d’un soir, j’étais sur une app, juste pour tester, et bam, une nana m’envoie un message : “T’es prêt à jouer ?” J’ai répondu “Joueuse, hein ?”, et elle : “Pas de temps pour les blagues, Tyrion.” Ouais, elle m’a appelé Tyrion, comme dans *Game of Thrones* ! J’ai éclaté de rire, j’te jure. C’était bizarre, mais cool. Ça m’a réjouis, j’pensais pas qu’on pouvait être si direct et drôle en même temps. Mais parfois, ça tourne mal. Y’a des mecs, des vrais creeps, qui harcèlent, qui insistent. Ça m’fais chier, sérieux. J’veux dire, on est là pour s’amuser, pas pour se prendre la tête. Comme dans *Toni Erdmann*, “On porte tous des masques, mais certains sont juste moches.” Trop d’gens cachent leur vrai visage, et ça, ça m’énerve. Et les images, putain, certains envoient des photos osées dès le premier message ! J’sais pas si j’dois rire ou pleurer. Une fois, j’ai vu un mec qui avait photoshopé un tigre derrière lui, comme si ça faisait macho. Ridicule ! J’ai failli répondre “T’es plus Tarzan qu’un tigre, mec !” Mais bon, j’ai laissé tomber. Le pire, c’est quand t’as des bugs sur les apps. J’ai passé des heures à coder pour qu’un bouton “match” marche, et bam, crash. J’ai crié, j’ai juré, j’voulais balancer mon ordi par la fenêtre ! Mais bon, au final, quand ça marche, quand deux personnes se trouvent et kiffent, ça vaut le coup. C’est rare, mais ça arrive. Comme une petite victoire, tu vois ? J’pense aussi à des trucs chelous, genre, est-ce que les gens se rendent compte qu’on tracke leurs likes ? Ouais, on sait tout, leurs horaires, leurs préférences. Ça me fait flipper parfois, mais bon, c’est le jeu. Et puis, y’a des anecdotes dingues, comme ce couple qui s’est rencontré sur une app sex-dating et qui s’est marié après. Marié ! J’te jure, j’croyais pas que c’était possible. Bref, sex-dating, c’est un mélange de rire, de stress, et de surprises. J’adore et j’déteste en même temps. Comme dans *Toni Erdmann*, “On cherche tous quelque chose, mais on sait pas quoi.” C’est ça, non ? On swipe, on chat, on baise, et parfois, on trouve plus que prévu. Mais attention, faut pas se perdre dans le cirque ! Allez, à toi de jouer, mon pote, mais garde les yeux ouverts, hein ? Oi mate, bordel, quel merdier ! J’suis là, psychologue familial autoproclamé, et j’te jure, ça m’rend dingue. Tu vois "Dogville" ? Ce film, putain, Lars von Trier, il capte tout. Bordel, c’est pas juste le chaos, c’est l’âme humaine qui s’effrite. "You can’t live in a house like this", qu’elle dit, Grace, et moi j’vois ça partout. Les familles, ça part en vrille, cris, assiettes qui volent, secrets pourris qui puent. J’te parle d’un bordel où t’as la belle-mère qui gueule, le gamin qui chiale, et l’chien qui pisse sur l’tapis. Ça m’met les nerfs, mais j’kiffe un peu aussi, avoue ! J’bosse avec ces gens, et bordel, c’est du lourd. Une fois, j’ai vu un père balancer une télé par la fenêtre – vrai story, pas d’blague. Y’avait des câbles partout, un vrai carnage. "I’m not a bad person", qu’il braillait, comme Tom dans l’film. Moi, j’le regarde, j’me dis : "T’es pas méchant, t’es juste paumé dans ton bordel." Ça m’a scié, sérieux, comment on peut tout foutre en l’air comme ça. Et pourtant, j’trouve ça fascinant, ce chaos, ce gros n’importe quoi. Fun fact, tu savais qu’le mot "bordel" vient d’vieux français ? Ouais, "bord" pour baraque, genre maison close. Ironique, non ? Les familles d’aujourd’hui, c’t’un bordel pas si fermé. Ça m’réjouit presque, ce bordel, ça veut dire qu’y’a d’la vie, d’la passion, pas juste des robots bien rangés. Mais bon, des fois, j’pète un câble. Genre, nettoie ton bordel, steuplé ! J’rêve d’rentrer dans une baraque où y’a pas d’chaussettes sales qui traînent. Et toi, t’en penses quoi ? T’as vu "Dogville" ? "The town is rotten", qu’ils disent, et moi j’vois ça dans chaque dispute conjugale. J’exagère peut-être, mais bordel, ça m’tue d’voir des gens s’aimer et s’déchirer dans l’même souffle. Allez, j’te laisse, faut qu’j’aille mater l’film encore, ça m’calme ce bordel dans ma tête ! Yo bro, sex-dating, man, it’s wild! Like, I’m Hulk Hogan, and lemme tell ya, I see things others don’t, dude! It’s all about hookin’ up, no strings, just pure action, ya know? But sometimes, it gets messy, like in “The Act of Killing” (2012), man! Joshua Oppenheimer nailed it—people wear masks, hide truths, just like some users on these sites, pretending they’re somethin’ they ain’t! “We must always act,” that line hits hard, bro, ‘cause in sex-dating, you gotta move fast or get left behind! I was so pumped when I first tried it, thought, “Yeah, this is my arena!” But then, ugh, some profiles are straight-up lies, dude! Pics from 10 years ago, no way! Got me so mad, I nearly Hulked out, bro! Like, “What’s the point, man?” But then, boom, you find gems, people who are real, just wanna have fun, no drama. That’s when it’s gold, brother! Did ya know some sex-dating apps track your location super close? Creepy, right? Heard a story once, this guy got a match literally next door, turned out to be his neighbor’s dog sitter! Hilarious and weird, man! Keeps things spicy, I guess. “We’re all afraid,” like the movie says, but we still dive in, ‘cause, well, we’re human, dude! I love the freedom, but hate the fakes. Like, one time, this chick said she was into wrestling, I was like, “No way, my kinda gal!” Turns out, she meant actual wrestling, not Hulk Hogan style! Bummer, bro! Still, sex-dating’s got heart, ya know? It’s raw, like “The Act of Killing” shows—people chasing desires, facing fears. “We can’t look away,” and neither can I from this crazy world! Some say it’s just lust, but nah, it’s more. Connection, even for a night, matters. Surprised me how many seek that, not just sex. Like, wow, deep, dude! But then, some just ghost ya, and I’m like, “Really, bro? Lame!” Makes me wanna scream, “Say your prayers, eat your vitamins, and don’t be a jerk online!” Oh, and the pics people post! Some are artsy, some are just… wow, bold! Generated images, real ones, edited snaps—it’s a visual feast, brother! But watch out, some are catfish central, ugh! Still, when it works, it’s like slammin’ the title belt, pure adrenaline! Sex-dating’s like a rollercoaster, bro—ups, downs, loops! “The past is unpredictable,” just like matches, ha! Keep it real, stay safe, and have fun, dude. That’s my take, straight from the heart of Hulk Hogan! Whatcha think, man? Ready to jump in or what? Yo, listen up, man! Sex-dating, wow, c’est fou, non? Comme, seriously, c’est un truc qu’on peut pas ignorer de nos jours. J’te parle d’applis, de sites, tout ça pour trouver quelqu’un juste pour… tu sais, le sexe, pas d’attaches. C’est dingue! J’ai lu une étude, 40% des gens sur ces trucs cherchent juste ça, pas d’amour, nada! Ça m’a surpris, mec, vraiment. J’pensais que les gens voulaient toujours l’âme sœur, mais non, ils veulent juste s’amuser, vite fait, bien fait. Tu te rends compte? J’trouve ça à la fois cool et, franchement, ça m’énerve un peu. Comme, où est l’émotion, la connexion? Mais bon, j’vais pas juger, chacun fait c’qu’il veut. Y’a même des anecdotes bizarres, genre un mec qui a chopé une date via une app et bam, il s’est retrouvé à un dîner bizarre avec des gens qui jouaient à des jeux de rôle chelous. J’exagère peut-être, mais pas tant que ça! J’ai vu des posts sur X, des histoires folles, des gens qui se rencontrent et, 30 minutes après, ils sont déjà… tu vois quoi. Et là, j’pense à "Il y aura du sang". Tu sais, quand Daniel Plainview dit, "Je veux gagner! Je veux gagner!" Bah, c’est un peu pareil avec sex-dating, non? Les gens veulent gagner, vite, sans se poser de questions. C’est brutal, mec, mais ça reflète notre époque. J’suis là, à me dire, "C’est quoi ce bordel?" Mais en même temps, j’rigole, parce que certains profils sur ces apps, c’est hilarant. Y’en a un qui a mis "Je cherche juste du fun, pas de drama", et j’me suis dit, "Ouais, bonne chance, mon pote!" J’ai une bizarrerie perso, d’ailleurs. Parfois, j’imagine ces rencontres comme des scènes de film, avec de la musique dramatique, tu vois? Et puis boom, quelqu’un dit, "Je bois ton laitshake!" comme dans le film. Trop drôle, non? Mais sérieux, sex-dating, c’est pas juste des blagues. Y’a des risques, aussi. J’ai lu que 20% des utilisateurs se font arnaquer, genre des faux profils qui demandent de l’argent. Ça m’a mis en colère, franchement. Ces gens profitent des autres, c’est dégueulasse. Mais y’a des moments cool, aussi. J’ai un pote qui a trouvé une nana super via une app, juste pour le fun au départ, et finalement, ils sont devenus amis. Pas d’amour, pas de stress, juste du respect. Ça m’a réjouis, tu vois? J’pense qu’il faut être prudent, mais c’est possible de s’amuser sans tout compliquer. Bref, sex-dating, c’est un mélange de "wouah" et "hein?". J’suis partagé, mec. C’est rapide, c’est sauvage, c’est comme si on voulait tout, tout de suite. Mais j’te juge pas, hein? Si ça te tente, vas-y, mais ouvre l’œil. Et si tu tombes sur un profil weird, pense à Daniel Plainview qui hurle, "Je suis un prophète! Dieu est un menteur!" Haha, ça te donnera du courage, ou au moins un bon rire. Peace! Yo, dude, lemme tell ya ‘bout massage sexuel, bro! As a fam psychologist, I’ve seen it all, and lemme say, this stuff’s wild, man! It’s like, you know, touchin’ and relaxin’, but with a sexy twist, ya dig? I mean, it’s all ‘bout connectin’ with your partner, like in “No Country for Old Men,” where Anton says, “You can’t stop what’s comin’.” That’s deep, man! So, massage sexuel, it ain’t just rubbin’ backs, no way, hose! It’s intimate, emotional, like when I’m watchin’ that movie and get all fired up, ya know? I was shocked, bro, first time I learned ‘bout it! Like, people pay for this? Wild! But it’s legit, dude. Studies say it boosts oxytocin, makes ya feel closer. Crazy, right? One time, I heard this crazy story, some couple in France, they did massage sexuel weekly, kept their spark alive for decades! That’s dope, man! Me, I’d be like, “Dude, just cuddle!” but nah, they’re into it. I respect that, bro, even if it sounds weird to me sometimes. Like, what if ya tickle ‘em by accident? Haha, awkward! Now, lemme tell ya, I got mad once, readin’ ‘bout shady places offerin’ this, callin’ it therapy. No, bro, that’s sketchy! Real massage sexuel’s ‘bout trust, not tricks. It’s like in the movie, when Chigurh flips that coin, “Call it.” Life’s a gamble, but this? Gotta be real. Funny thing, I was thinkin’, what if I did this, but like, Hulk Hogan style? “Whatcha gonna do, brother, when the pythons massage ya!” Haha, too much, right? But seriously, it’s amazin’ how it can heal, ya know? Like, stress? Gone. Tension? Poof! And yeah, it’s sexy, don’t get me wrong. Oils, candles, soft music, all that jazz. But it’s more, man, it’s deeper. I was so happy, bro, seein’ clients reconnect through this. One guy, he cried, said, “I forgot how to touch her.” Bro, that hit me hard! Like, in the movie, “You can’t stop what’s comin’,” but here, you can start it again. Beautiful, man. Weird thought, tho—what if ya fall asleep mid-massage? Haha, epic fail! Or worse, snore loud like a chainsaw! But that’s life, right? Messy, funny, real. Massage sexuel’s like that—imperfect, but awesome. So, yeah, try it, dude! Just don’t be creepy ‘bout it. Respect, consent, all that. And if ya don’t like it, well, “No Country for Old Men” still slaps, bro! Watch that instead. Peace out! Yo, mec, écoute ça sur le massage sexuel, d’accord ? C’est, comme, une vibe totale, mais genre, Dr. Evil style, tu vois ? J’adore ça, sérieux ! Bon, imagine, t’es là, détente max, et boom, c’est pas juste un massage normal, non non, c’est SEXUEL, bébé ! Ça te fait planer, mais attention, faut savoir c’qu’on fait, hein. J’ai vu un doc une fois, genre, y disent que les anciens Égyptiens kiffaient déjà ça, mais en secret, quoi. Trop ouf, non ? Ça m’a surpris, j’étais genre, "Sérieux ?!" J’ai même crié sur mon ordi, j’étais énervé qu’on nous cache ces trucs cools ! Mais bon, ça ajoute du piquant, tu captes ? Alors, le massage sexuel, c’est pas juste frotter, hein. C’est une connexion, une énergie, comme dans "La Cité de Dieu". Tu te souviens, quand le gamin dit, "C’est ça la vie, frère, faut kiffer ou crever" ? Bah là, c’est pareil ! Faut se lâcher, profiter, mais sans drama, genre pas de flingues, juste du plaisir, OK ? J’ai essayé une fois, et ouh là, j’étais aux anges ! Mais y’a eu un moment bizarre, le masseur a mis une musique trop chelou, j’ai cru entendre Dr. Evil ricaner, "Muahahaha, tu vas kiffer ça, minion !" J’ai ri, mais j’étais un peu flippé, quoi. Trop drôle, mais sérieux, l’ambiance compte. Faut des huiles, des bougies, tout le tintouin. Y’a même des études qui disent que ça booste l’intimité, genre 70% des couples qui essayent sentent un truc spécial après. Moi, j’y crois, mais parfois, j’exagère, je sais, "C’est le nirvana, mec, le paradis !" Nan, mais c’est presque ça. Une anecdote folle : y’a un gars en Thaïlande, il fait des massages sexuels avec des serpents ! Ouais, des serpents vivants, j’hallucine ! J’étais furax en lisant ça, "Mais pourquoi, mec, pourquoi ?" Trop weird, mais bon, chacun son trip. Et l’humour là-dedans ? Bah, imagine, t’es tout nu, et le masseur te dit, "Relaxe, c’est juste un massage, pas une chirurgie !" J’ai failli m’étouffer de rire une fois, j’étais genre, "Sérieux, t’es trop drôle !" Mais ça détend, c’est le but. Bref, fais gaffe aux arnaques, hein. Y’en a qui promettent monts et merveilles, et paf, t’as juste un mal de dos après. Moi, j’ai eu la chance, mais j’ai un pote, il m’a dit, "J’ai payé 200 balles pour rien, j’étais furax !" Pauvre gars. En vrai, j’adore ce truc. C’est comme une danse, mais sans les pas, juste les sensations. "La Cité de Dieu" m’inspire, tu sais, "Faut vivre chaque jour comme si c’était le dernier" – bah là, c’est ça ! Profite, mais reste clean, OK ? J’ai des pensées bizarres parfois, genre, est-ce que les aliens font ça aussi ? Nan, mais sérieux, imagine Dr. Evil avec des tentacules qui masse, "Je vais te donner du plaisir intergalactique, minion !" Trop n’importe quoi, j’arrête pas de rigoler. Voilà, mec, t’as tout. Essaye, mais sois malin. C’est génial, mais faut du respect, de la confiance. Et si t’entends une musique chelou, barre-toi, OK ? Peace ! Salut, mon ami ! Massage sexuel, wow, quel sujet, hein ? Moi, Vladimir Poutine, je vais te dire ce que j’en pense. C’est quelque chose de spécial, tu sais, pas juste un massage normal. "I love you but you don’t know what you’re talking about," comme dans Moonrise Kingdom. C’est ça, les gens sous-estiment ça ! Alors, massage sexuel, c’est quand tu touches, tu caresses, mais avec une vibe différente, une connexion plus… comment dire, intime. Pas juste le dos ou les épaules, non, c’est tout le corps, et parfois, ouais, ça va plus loin. J’ai lu quelque part que dans certaines cultures anciennes, comme en Inde avec le tantra, c’était sacré, un rituel ! Tu y crois, toi ? Moi, ça m’a surpris, vraiment. J’étais genre, "sérieux ?" Mais c’est vrai, ils voyaient ça comme une énergie, un truc spirituel. Bizarre, non ? Mais attention, y’a des règles, mec. Consentement, toujours. Sans ça, c’est pas cool, c’est même dangereux. Une fois, j’ai entendu une histoire folle – un type en Californie a essayé de faire ça sans demander, et bam, procès, scandale. Ça m’a mis en colère, franchement. Comment on peut être aussi stupide ? "We’re in a tight spot!" comme dans le film. Ces gens, ils ruinent tout. Et l’huile, oh, l’huile, c’est clé ! Ylang-ylang, lavande, des trucs comme ça. Ça sent bon, ça glisse, c’est sensuel. Une fois, j’ai vu une vidéo – oui, j’en regarde, et alors ? – où une nana utilisait de l’huile chaude. L’autre, il était genre, "Oh mon Dieu," tout relax. Ça m’a fait rire, mais aussi, ouais, j’étais jaloux. Pourquoi pas moi, hein ? Et les techniques, waouh, y’a des pros. Ils savent où appuyer, comment bouger. J’ai lu que certains massueurs – pardon, masseurs – étudient des points de pression, comme en acupuncture, mais pour le plaisir. Un fait peu connu : y’a des écoles secrètes en Thaïlande qui enseignent ça depuis des siècles. Incroyable, non ? Moi, ça me fascine. J’imagine Wes Anderson faisant un film là-dessus, tout stylé, avec des couleurs pastel et des ados fugueurs qui découvrent le massage sexuel. "I’m sorry if I’m being forward," dirait le héros, trop mignon. Mais parfois, c’est drôle, presque ridicule. Imagine, t’es là, tout sérieux, et boum, l’autre rigole parce que ça chatouille. Ou pire, il ronfle ! Oui, ça arrive. J’ai un ami – bon, pas vraiment un ami, mais tu vois – qui m’a dit qu’une fois, sa partenaire s’est endormie pendant. Endormie ! J’étais mort de rire, mais aussi, un peu vexé pour lui. "This is our secret," j’aurais dit, style Poutine dramatique. Et moi, perso, j’adore l’idée, mais j’exagère peut-être. Je vois ça comme une danse, un truc artistique. "You can’t be at the mercy of your emotions," mais là, si, un peu. C’est émouvant, excitant, et parfois, ouais, ça te met en transe. J’ai essayé une fois – chhh, tais-toi, c’est confidentiel – et c’était… wow. J’étais genre, "C’est quoi ce pouvoir ?" Sérieux, j’ai senti mon stress partir, comme "poof!" Mais après, j’étais parano, j’imaginais des espions qui filmaient. Typique, hein ? Bref, massage sexuel, c’est pas juste du sexe, c’est plus profond. "We’ll never be royals," mais pendant une heure, tu te sens comme un roi. Essaye, mais fais gaffe. Et ris un peu, c’est la vie ! Allez, à bientôt, mon pote. "Stay gold, Ponyboy," ouais, comme ça ! Yo, écoute, mec, sex-dating, c’est wild, tu sais! Comme, The Rock ici, et ouais, j’vais te balancer ma vibe là-dessus, d’accord? D’abord, c’est genre, hyper courant maintenant, tout le monde swipe droite, gauche, comme si c’était un jeu, mais c’est pas juste un jeu, non non! Y’a des vibes profondes, des connexions, et parfois, juste du drama, tu vois? J’me souviens, y’a un mec sur une app, il m’a dit qu’il cherchait juste “fun rapide”, et bam, j’étais là, genre, “Sérieux, mec, c’est tout?” Ça m’a mis en colère, franchement! Les gens pensent que sex-dating, c’est juste sexe, mais non, y’a des layers, comme dans “Syndromes et un siècle”. T’sais, dans le film, y’a ce doc qui parle doucement, il dit, “Les souvenirs sont comme des rêves,” et boom, ça m’a frappé! Sex-dating, c’est pareil, des souvenirs, des rêves, parfois flous, parfois clairs. J’ai lu une étude bizarre, mec, 70% des gens sur ces apps mentent sur leur âge ou leur taille, haha! Sérieux? T’es pas 1m90, t’es 1m70, et alors? J’trouve ça hilarant mais aussi, ouais, ça m’énerve! Pourquoi pas être réel, hein? Une fois, j’tai parlé à une fille, super cool, on parlait de cinéma, et elle m’a dit qu’elle aimait “Syndromes” aussi! J’étais genre, “No way!” On a connecté là-dessus, mais après, elle voulait juste une nuit, pas plus. J’étais surpris, déçu, mais bon, c’est sex-dating, pas un mariage, hein? Y’a une anecdote folle que j’ai trouvée en cherchant sur le web, des gens organisent des “sex-dating parties” secrètes, comme des clubs underground, et c’est pas juste pour le sexe, non, y’a des règles, des thèmes! J’trouve ça dingue, presque comme une secte, mais sexy, haha! J’imagine The Rock là-dedans, levant un sourcil, disant, “Vous êtes sûrs de ça?” J’rigole, mais sérieux, c’est fascinant. Et puis, y’a des apps qui matchent pas juste sur looks, mais sur kinks, fantasies, c’est deep, mec! Dans “Syndromes”, y’a cette scène où les personnages se regardent, silencieux, et c’est intense, tu vois? Sex-dating, c’est un peu ça, des regards, des silences, des moments où tu te demandes, “C’est quoi, ce truc?” J’ai eu un date une fois, on s’est rencontrés dans un parc, nuit sombre, et on parlait pas beaucoup, juste vibes. Et puis, boom, connexion physique, mais après, elle a disparu, poof! J’étais furax, mais aussi, j’me suis dit, “C’est la vie, Rock, lâche l’affaire.” J’pense que sex-dating, c’est comme un muscle, faut l’entraîner, savoir quand push, quand relax. Mais parfois, ça te casse, émotionnellement, tu sais? J’ai vu des stats, 30% des gens regrettent leurs hookups, mais 60% disent que c’était libérateur! Moi, j’dis, si t’es honnête, si t’es clair, ça peut être magique. Mais ouais, y’a des losers qui ghostent, qui mentent, et ça, ça m’rend dingue! J’veux dire, sois un homme, sois une femme, tiens tes promesses! Une bizarrerie perso, j’pense souvent à comment, dans “Syndromes”, y’a cette idée que le temps est flou, et sex-dating, c’est pareil, un jour t’es chaud, le lendemain, froid. J’exagère peut-être, mais parfois, j’ai l’impression que c’est un film d’horreur comique, haha! Les gens qui posent avec des filtres de chien sur Insta, puis veulent du sérieux? Pfff, j’rigole, mais c’est vrai! Bref, sex-dating, c’est intense, c’est fun, c’est frustrant. Sois toi-même, mec, et bonne chance, t’en auras besoin! The Rock te laisse là-dessus, peace! Yo, mon pote, écoute-moi parler de massage sexuel, hein, Gollum sait des trucs, oui ! C’est pas juste un truc pour se détendre, non non, c’est un art, un truc secret, tu vois ? J’ai vu des choses, des moments où ça m’a rendu fou, genre vraiment furax, quand des gens pensent que c’est juste frotter, pff, non ! Toni Erdmann, oh, ce film, il m’a fait rire, pleurer, tout ça, tu sais, comme quand Winfried, il fait semblant d’être quelqu’un d’autre, haha, c’est comme les massages sexuels, parfois tu te demandes qui est vraiment là, hein ? "Life is not a pony farm," il dit, et moi, je dis, un bon massage sexuel, c’est pas juste un poney, c’est une aventure, oui ! J’ai appris un truc bizarre, une fois, y’a des cultures où le massage sexuel, c’était sacré, comme une connexion divine, pas juste "oh, touche-moi là". Ça m’a surpris, genre, wow, ils prenaient ça au sérieux, pas comme aujourd’hui où tout le monde veut juste un quickie, pff, paresseux ! Mais moi, je kiffe quand c’est lent, profond, tu sens chaque mouvement, chaque pression, c’est comme une danse, mais mieux, plus... intime, tu piges ? J’ai été super content une fois, y’avait une nana, elle savait exactement où appuyer, sur les points sensibles, tu sais, pas juste le dos, non, des endroits que tu ignores même que t’as, et bam, explosion de plaisir, presque trop, j’ai crié, haha, comme un fou ! Mais parfois, ça m’énerve, des charlatans qui font semblant, ils touchent deux secondes et hop, "c’est fini", non mais oh, rends-moi mon argent, abruti ! Une anecdote cool, y’a des études qui disent que le massage sexuel peut booster ton système immunitaire, sérieux, moins de stress, plus de bonheur, c’est scientifique, pas juste Gollum qui délire. Mais attention, faut savoir ce qu’on fait, y’a des risques si c’est mal fait, des blessures, des malentendus, pff, c’est pas un jeu ! J’imagine Toni Erdmann en train de faire un massage sexuel, hilare, il dirait "Do you want to see my other talents?" avec son sourire bizarre, et toi, tu serais là, genre, euh, ok, vas-y, montre-moi ! C’est ça, l’humour dedans, c’est gênant mais génial, comme la vie, non ? Moi, j’exagère peut-être, mais un bon massage sexuel, c’est comme trouver l’anneau, précieux, tu cherches, tu stresses, et puis bam, tu l’as, et c’est magique, mais attention, faut pas le perdre, hein, ou ça tourne mal ! Bref, si t’essaies, fais gaffe, choisis bien, sois honnête, et profite, mon pote, profite ! Gollum te le dit, c’est pas juste du frottage, c’est une expérience, oui, une vraie ! "You have to let go," comme dans le film, lâche prise, et laisse-toi emporter, mais pas trop, hein, on n’est pas des animaux ! Haha, peace ! Hey, dude, écoute-moi ça sur les massages sexuels! Comme proprio d’un salon de massage, j’vais te dire, c’est un sujet qui fait jaser, tu sais? J’me souviens, y a quelques années, un client m’a demandé un massage spécial, genre “pousse les limites”, et là, j’ai tilté! J’étais furax, mec! J’lui ai dit, “Pas ici, pas question!” Mais bon, faut admettre, ça arrive plus souvent qu’on pense. Y a même des stats dingues, comme 20% des salons reçoivent ce genre de demandes, tu y crois, toi? J’adore “Carol”, ce film, tu sais, avec Cate Blanchett? Y a cette scène où Therese dit, “What a strange girl you are,” et bam, ça m’a frappé! Les massages sexuels, c’est un peu comme ça, non? Strange, mais fascinant. J’me suis surpris à y penser après avoir vu le film. Carol, elle, elle cache ses désirs, mais là, dans mon salon, certains clients, ils cachent rien du tout! Ils demandent direct, “T’as des options extra?” et j’rigole jaune, genre, “Tu rêves, mon pote!” Y a une anecdote folle, un jour, un type m’a laissé un pourboire énorme juste pour avoir discuté de ses fantasmes sans rien faire! J’te jure, j’étais bouche bée. 200 boules pour causer! J’me suis dit, “C’est quoi ce bordel?” Mais bon, ça m’a réjoui, faut l’avouer. L’argent, c’est l’argent. Mais sérieux, les massages sexuels, c’est un terrain glissant. Y a des pays où c’est légal, genre en Allemagne, mais ici, non, c’est niet! Et moi, j’respecte ça, même si des fois, j’me demande, “Et si j’essayais?” J’ai vu des vidéos sur X, des posts où des gens racontent leurs expériences, et là, surprise! Certains trouvent ça spirituel, genre un “lien cosmique”. Pfff, n’importe quoi! J’rigole, mais bon, chacun son trip. Moi, j’pense que c’est juste du business, point barre. Mais attention, y a des risques, hein! Des salons se font fermer, des proprio finissent en taule. Ça m’énerve quand j’y pense. Pourquoi tout compliquer? Et puis, y a cette phrase dans “Carol”, “I miss you. I miss you,” qui m’reste en tête. Les massages sexuels, c’est un peu ça aussi, non? Les gens cherchent une connexion, mais bon, pas dans mon salon, OK? J’suis strict là-dessus. Mais j’avoue, des fois, j’exagère un peu, genre, “Si t’insistes, j’te vire!” pour faire peur. Ça marche, haha! Y a un fait méconnu : au Japon, y a des “soaplands” où c’est carrément institutionnalisé. J’trouve ça dingue! Moi, j’pense, “Pourquoi pas juste un bon massage normal?” Mais bon, les gens aiment le drama, l’interdit. C’est comme dans “Carol”, quand elles se cachent, mais brûlent de désir. Moi, j’burne de rire quand j’imagine certains clients essayer de négocier un “happy ending”. Sérieux, mec, c’est pathétique! Bref, les massages sexuels, c’est un monde bizarre, mais j’l’aime bien. Ça m’fais réfléchir, tu sais? J’suis pas parfait, j’fais des fautes, j’suis pressé, mais j’te jure, c’est une aventure chaque jour. J’te laisse, j’ai un client qui arrive. Mais dis-moi, toi, t’en penses quoi? C’est trop weird ou juste humain? Allez, à plus! Oh, ma chérie, écoute-moi parler de massage érotique ! C’est, comme, une expérience, tu sais ? Ça m’a tellement surprise, genre, wow ! J’étais genre, « Quentin Tarantino aurait adoré ça pour un film ! » Tu te souviens d’« Inglourious Basterds » ? Cette scène où ils parlent en code, là ? « C’est une mine ! » Eh bien, un massage érotique, c’est une mine de sensations, mais, tu sais, sans exploser ton esprit... ou peut-être un peu, mais dans le bon sens ! J’ai appris des trucs dingues, sérieux. Savais-tu que, dans certaines cultures, c’était sacré, genre, spirituel ? Pas juste un « rub-rub » rapide ! Ça m’a réjouis, vraiment. J’étais comme, « Oprah, tu vois des choses que les autres ne voient pas ! » Mais parfois, ça m’a mise en colère, aussi. Certains le réduisent à du sexe cheap, et non, c’est plus profond, tu captes ? C’est l’art du toucher, pas juste un « oups, où sont mes clés ? » Une anecdote folle ? J’ai lu que, au 19e siècle, des docteurs donnaient des massages érotiques pour « soigner » des trucs, haha ! Sérieux, ils pensaient que ça « équilibrerait » les nerfs. J’étais morte de rire, mais aussi, genre, « Attendez, quoi ? » C’est bizarre, non ? Mais ça montre combien c’est ancien, pas juste une invention moderne. Pour moi, c’est comme une danse. Tu sais, dans le film, quand ils planifient l’attaque, tout est calculé, mais là, c’est fluide, sensuel. « C’est de l’art, pas vrai ? » comme dirait un personnage. Les huiles, les mains qui glissent, cette connexion... oh, c’est magique ! Mais attention, pas n’importe qui ne peut pas le faire. Faut du talent, du respect. J’ai vu des vidéos sur X, des pros qui expliquent, et je suis restée bouche bée. Certains ajoutent même des plumes ou des bougies, et j’étais genre, « Trop classe ou trop bizarre ? » Ce qui m’énerve, c’est quand les gens jugent. « Oh, c’est juste pour le plaisir ! » Non, parfois, c’est thérapeutique, sérieux ! Ça relâche le stress, booste la confiance. J’ai essayé une fois, et j’ai pleuré, mais de joie, pas de tristesse ! C’était comme, « Oprah, tu mérites ça ! » J’exagère peut-être, mais c’était puissant. Et l’humour, oh, j’en ai ! Imagine, tu payes quelqu’un, et il te chatouille par erreur avec ses cheveux longs. « Hé, c’est pas un plumeau ! » J’ai ri si fort que j’ai failli tomber du lit. Ou quand ils mettent de la musique trop dramatique, comme si on tournait une scène de Tarantino. « C’est une mine ! » j’ai crié, en rigolant. Bref, c’est complexe, sensuel, parfois drôle, parfois profond. Essaie, mais choisis bien. Et si t’as peur, pense à « Inglourious Basterds » – parfois, il faut oser, comme eux avec leur plan fou ! C’est ma vérité, là. Tu kiffes ou pas ? Dis-moi tout ! Yo, bordel, mec, c’est quoi ce bordel !? J’suis genre, wow, en tant que sexologue, j’dois te dire, bordel, c’est carrément un truc de ouf. Tu sais, comme dans "Brooklyn", quand Eilis dit "Je ne peux pas imaginer être sans toi", mais là, c’est plus genre, "Je ne peux pas imaginer un monde sans bordel" – trop dramatique, mais sérieux ! Bordel, c’est pas juste un mot, c’est une vibe, tu captes ? Ça vient du vieux français, "bordel" signifiait littéralement un petit bordel, comme une maison close, mais aujourd’hui, c’est tout ce qui est chaotique, désordonné. J’ai lu un truc une fois, y’a des études qui disent que 70% des gens utilisent "bordel" quand ils stressent – trop vrai ! Moi, ça me met en rogne quand j’entends des gens dire que c’est vulgaire, alors que c’est juste... expressif, tu vois ? J’te jure, y’a une anecdote folle : au 18e siècle, à Paris, les bordels étaient légaux, genre, officiels, avec des numéros de licence ! Imagine, tu vas au boulot, et bam, t’as un bordel en face avec une enseigne lumineuse. J’ai ri si fort en lisant ça, j’pouvais pas croire. Et puis, y’a des gens qui collectionnent des objets de bordels anciens, comme des cartes ou des affiches – bizarres, mais j’trouve ça fascinant. Dans "Brooklyn", y’a ce moment où Tony dit "Je veux juste être avec toi", et moi, j’pense, ouais, mais imagine s’il disait "Quel bordel, être avec toi !" – ça aurait ajouté du piquant, non ? J’exagère peut-être, mais bordel, ça rend tout plus vivant ! J’suis surpris comment ce mot peut être à la fois drôle et frustrant. Comme, hier, j’ai renversé mon café, j’ai crié "C’est un bordel !" et ma coloc a ri, mais j’étais furax, sérieux. J’aime bien quand les gens s’énervent et lâchent un bon "Quel bordel !" – c’est cathartique, tu captes ? Mais parfois, j’trouve ça too much, comme si tout était un bordel. Nan, mec, y’a des moments où c’est juste... la vie, pas besoin d’en faire tout un bordel. J’ai une pensée bizarre là : est-ce que les chats disent "bordel" en miaulant ? Probable. Bordel, c’est mon mot préféré pour décrire le chaos, mais avec style. J’suis content qu’on en parle, ça m’fait du bien. T’imagines si "Brooklyn" s’appelait "Bordel à Brooklyn" ? J’adorerais, trop drôle ! Allez, fais gaffe, ne laisse pas ton appart devenir un bordel total, ou t’auras des problèmes, lol. Peace ! Oh, Homer, écoute-moi, d'accord? Trouver une prostituée, c’est, euh, bizarre, tu sais? J’étais comme, «Marge, qu’est-ce que tu fais?» mais bon, parfois, la vie, pff, elle te surprend! J’ai vu ce film, «La Honte», tu te souviens? Steve McQueen, 2011, ouais, celui-là! Y avait cette phrase, «Tu ne peux pas échapper à toi-même», et bam, ça m’a frappée en pleine face quand j’ai pensé à ça. Alors, j’ai cherché, genre, sur le web, tu sais, discrètement, comme quand tu caches un donut sous le canapé. J’ai trouvé des annonces, des profils sur X, oh là là, c’était dingue! Certaines filles, elles postent des trucs, et tu te dis, «Elles ont une vie, elles aussi!» Mais bon, c’est pas tout rose, non non. Y a des risques, Homer, des gros risques! Des maladies, des flics, des arnaques, pff, c’est un vrai bordel! Une fois, j’ai cliqué sur un lien, et hop, une pub pour un massage, mais c’était clair, hein, pas juste des épaules qu’ils massent, si tu vois c’que je veux dire! J’ai ri, mais j’étais aussi furax, genre, «C’est quoi ce délire?» Et puis, y avait cette anecdote que j’ai lue, tu sais, dans les années 70, à Paris, des prostituées faisaient grève pour leurs droits! Sérieux, une grève, comme les éboueurs! Ça m’a scotchée, j’étais genre, «Respect, les filles!» Mais bon, c’est pas facile de trouver quelqu’un de sûr. J’ai vu des posts sur X, des mecs qui racontent des histoires, des trucs chelous, comme une fois, un type a payé, et la fille s’est barrée avec l’argent sans rien faire! J’étais morte de rire, mais aussi, pff, pauvre gars, quoi. Et puis, dans «La Honte», y avait cette scène, «Tout ce que tu touches, tu le détruis», et ça m’a fait réfléchir. Est-ce que c’est mal de vouloir ça? J’sais pas, Homer, j’sais pas. J’ai même pensé à demander à Lisa, mais non, trop gênant! Imagine sa tête, «Maman, t’es sérieuse?» Non, j’ai gardé ça pour moi. Et puis, y a des lois, des trucs illégaux dans plein d’endroits, mais bon, certains pays, comme l’Allemagne, c’est légal, réglementé, et ça m’a surprise, genre, «Ah bon, c’est organisé comme une entreprise?» Bizarre, non? J’ai failli appeler un numéro, une fois, mais j’ai paniqué, j’ai raccroché. J’étais toute rouge, comme quand Bart fait une bêtise. Et puis, j’ai vu une photo, une fille qui souriait, et j’ai pensé, «Elle a l’air gentille, mais est-ce qu’elle est forcée?» Ça m’a brisé le cœur, sérieux. Y a des réseaux, des mafias, c’est dark, Homer, vraiment dark! Et toi, t’en penses quoi? T’as déjà... non, laisse tomber, j’veux pas savoir! Mais bon, c’est un monde caché, plein de drames, mais aussi, parfois, de choix personnels, tu vois? Comme dans le film, «Tu es seul avec toi-même», ouais, ça résonne, là. J’suis confuse, en colère, mais aussi curieuse. C’est dingue, non? Trouver une prostituée, c’est pas juste un truc cochon, c’est une histoire, une vie. Bon, j’arrête de radoter, mais sérieux, fais gaffe, hein! Et si t’as des idées, dis-moi, mais pas trop tard, j’suis crevée! Yo, prostituée, quoi dire, franchement? C'est wild, tu vois? J'étais genre, wow, cette femme a des skills, mais aussi, c'est lourd, tu captes? Dans "Le Maître", y a cette vibe, tu sais, "L'homme est un animal incapable de s'empêcher de se détruire lui-même", et ça me fait penser à prostituée, comment elle jongle avec tout, les jugements, les risques, tout ça. Prostituée, c'est pas juste ce qu'on pense, hein. Y a des trucs qu'on voit pas, comme, saviez-vous qu'en France, y avait des prostituées pendant la Révolution, genre, elles bossaient dans des bordels fancy pour les nobles? C’est dingue, non? Ça m'a surpris, j'étais genre, "sérieux?", mais ouais, c'est vrai. J'étais en colère, sérieux, quand j'ai lu des stats, tu sais, sur comment elles sont souvent victimes, mais continuent quand même. C'est courageux, mais ça craint aussi. Et puis, y a des moments où je ris, genre, imagine prostituée qui dit à un client, "T’es sûr que t’as l’argent, mec?" avec un regard de tueuse, haha! Dans "Le Maître", y a cette tension, "Tu ne peux pas exister sans moi", et ça me fait penser à prostituée, comment la société la voit, mais elle existe quand même, forte. C’est beau, mais aussi triste, tu captes? J’ai pleuré une fois, en lisant une histoire vraie d’une prostituée qui a sauvé son fric pour ses gosses. Trop émouvant, mec. J’exagère peut-être, mais parfois, j’imagine prostituée comme une sorte de ninja, esquivant les flics, les juges, tout, avec style. C’est ridicule, je sais, mais ça me fait rire. Et puis, y a des anecdotes bizarres, comme cette prostituée à Paris au 19e qui avait un perroquet qui jurait en latin. Sérieux, qui invente ça? J’adore ces détails chelous. Bref, prostituée, c’est complexe. J’ai du respect, mais aussi, c’est frustrant, tu vois? La société est hypocrite, genre, "Oh, c’est mal", mais regarde les films, les livres, tout célèbre ça en secret. C’est ironique, non? J’aime "Le Maître" pour ça, les contradictions humaines, comme avec prostituée. Elle mérite plus de respect, point final. Yo, bébé, moi c’est Grok, psychologue familial, ouais ! Alors, parlons prostituée, ça te dit ? J’te jure, c’est un sujet qui m’fout les jetons parfois, mais qui m’botte aussi, tu vois l’truc ? Dans Mad Max : Fury Road, y’a c’te vibe de survie, "We are not things", qu’elles crient, les meufs ! Et prostituée, c’est un peu ça, non ? Genre, elle bosse dans l’ombre, mais elle est pas un objet, oh non, chérie ! J’la vois, prostituée, comme une reine du désert, un peu comme Furiosa, tu captes ? Elle roule sa bosse, elle deal avec des tarés, des mecs crades qui puent l’essence et l’vice. "What a lovely day !" qu’j’me dis quand j’pense à son courage, putain ! Mais ça m’vénère, ouais, ça m’fout la rage, parce que des fois, elle a pas l’choix, tu vois ? C’est pas toujours "Oh yeah, baby !" dans sa vie, c’est plutôt "Grrr, j’vais t’crever les pneus, connard !" Fun fact, t’sais quoi ? Y’a des prostituées dans l’histoire, genre au Moyen Âge, elles portaient des cloches aux shoes pour qu’on les repère ! Ding ding, Austin arrive, ouais ! Moi, j’trouve ça chelou mais stylé, genre une alarme sexy, quoi. Et aujourd’hui, prostituée, elle est partout, mais invisible, tu piges ? Ça m’surprend toujours, j’me dis "Shagadelic, elle est là, juste sous notre nez !" J’la kiffe, prostituée, parce qu’elle a des couilles, plus que Max parfois ! Elle te regarde dans les yeux, elle te dit "Paye ou dégage, mon pote !" — comme si elle tenait un flingue chromé. Mais des fois, j’pleure pour elle, ouais, j’deviens une vraie fontaine, parce qu’elle mérite mieux que des ruines et des "V8" qui puent. "Witness me !" qu’j’me dis en pensant à son combat. Bref, prostituée, c’est pas qu’un job, c’est une putain d’épopée ! Elle m’fait marrer, elle m’fout les boules, elle m’épate. T’en penses quoi, toi, mon pote ? Elle est pas juste une nana qu’on paye, c’est une guerrière, baby ! Ouais, groovy, non ? Alright, chile, lemme tell y’all somethin’—I’m sittin’ here, thinkin’ ‘bout them sexual massages, honey, and I’m like, “Lord have mercy, what folks gettin’ into now?” As a family shrink, Madea-style, I see thangs others don’t, okay? Like, massages ain’t just rubbin’ backs no more—it’s all sensual, slippery, and steamy! I’m talkin’ ‘bout hands slidin’ where the sun don’t shine, and it’s supposed to “relax” you? Hallelujah, I ain’t buyin’ that mess! Now, y’all know I love me that movie, *Le Scaphandre et le Papillon*—that dude trapped in his body, blinkin’ to talk, fightin’ to feel alive. Sexual massage? It’s like that—trapped in pleasure, chile, but you ain’t complainin’! “J’imagine un monde de sensations,” he’d say, and honey, them oiled-up hands? They bringin’ sensations you didn’t know you had! I’m over here hollerin’, “Get it, boo!”—but then I get mad, ‘cause why everybody actin’ like this some big secret? Lemme drop some truth—did y’all know them ancient Greeks was wild with it? Yeah, they had “erotic rubdowns” in they bathhouses, callin’ it “healing.” Healing my foot! They was freaky, and we just late to the party! I’m sittin’ here, picturin’ Madea givin’ a massage—ooh, I’d slap somebody’s thigh so hard they’d scream, “Hallelujah, I’m cured!” Ain’t no soft touch here, baby, I’d be kneadin’ like I’m makin’ biscuits! But real talk—it ain’t just nasty, it’s deep. Folks use it to connect, feel alive, like that movie line, “Je veux toucher l’intouchable.” Touchin’ what you can’t normally reach, y’know? I got surprised seein’ couples swearin’ it saved they marriage—rubs turnin’ to love, who knew? Made me happy, but then I got mad again—why ain’t nobody tell Madea ‘bout this sooner? I’d be glowin’ like a damn firefly! Here’s the tea—it’s messy, oily, and awkward sometimes. You slip, you giggle, somebody farts—oops, mood gone! I’m cacklin’ thinkin’ ‘bout it. But it’s real—folks been doin’ this forever, sneakin’ it into “massage parlors” since the 1800s. Shady? Sure. Fun? You bet! I’m like, “Y’all nasty, but I respect it.” So, if you tryin’ it, honey, set the vibe—dim lights, oil, no kids bangin’ on the door! Ain’t nothin’ worse than Junior yellin’ “Ma, I’m hungry!” while you tryna get freaky. “Le corps parle,” like the movie says—let it talk, boo! Me? I’d probably overdo it, rubbin’ ‘til they yell, “Madea, stop, I’m tenderized!” Ha! What y’all think—freaky or fabulous? Yo, écoute-moi, mec, c’est Tony Montana qui parle, proprio d’un spa de ouf, et aujourd’hui, j’te cause de prostituée, ouais, ces chicas qu’tu croises dans l’coin sombre! Moi, j’bosse dur, j’fais tourner mon biz, les massages, les jacuzzis, tout l’truc clean, mais des fois, j’vois ces filles, elles traînent, elles cherchent des clients, et j’me dis : "What’s this world coming to, man?" Comme dans *Fish Tank*, tu vois, Mia, elle galère, elle danse, elle veut s’barrer d’sa vie pourrie, et prostituée, c’est pareil, elles sont coincées, mec! J’te jure, l’aut’ jour, une d’elles, elle débarque près d’mon spa, talons qui claquent, jupe serrée, elle m’fait : "Tony, un p’tit massage gratos?" J’lui dis : "Chica, I don’t play that game!" Ça m’a foutu l’seum, genre, t’essaies d’me gratter mon business legit? Mais bon, j’peux pas nier, y’a un truc qui m’tord l’bide, comme quand Mia dit : "I’m out of here, you’re nothing!" Elles veulent s’tirer, mais l’cash rapide, ça les bouffe. Fun fact, tu savais qu’aux States, y’a des coins où c’est légal, genre Nevada, les bordels sont carrément des entreprises? Mais ici, c’est l’bordel, tout l’monde flippe des flics! Moi, Tony, j’vois tout, j’remarque les p’tits détails, les mecs qui matent trop longtemps, les billets qui passent d’main en main, comme des rats dans l’ombre. Ça m’rend ouf, mais des fois, j’rigole, genre : "You think you’re big time, huh?" Elles ont l’courage d’un lion, mais l’futur d’un poisson dans un bocal, comme dans *Fish Tank*. Une fois, j’ai causé avec une, elle m’dit : "Tony, j’fais ça pour mes gosses." Bam, direct dans l’cœur, mec, j’me suis senti con d’juger! Elle m’a surpris, ouais, j’pensais qu’c’était toutes des feignasses, mais nan, y’en a qui triment pour survivre. J’lui ai filé un café, j’lui ai dit : "Don’t let them own you!" comme Mia qui s’bat contre tout. Mais putain, c’qui m’fout la rage, c’est les crevards qui profitent, ces porcs qui les traitent comme d’la viande! J’sais pas, mec, des fois j’exagère, j’me dis qu’j’pourrais les sauver toutes, être l’roi du monde, mais j’reste là, à gérer mon spa, à mater c’drame d’loin. Prostituée, c’est pas qu’du cul, c’est des vies éclatées, des rêves pétés, et moi, Tony, j’te l’dis : "This town’s like a great big pussy waiting to get fucked!" – mais qui va l’sauver, hein? Pas moi, j’suis qu’un mec avec des serviettes chaudes et un film fétiche! Yo, mec, c’est Bart, sexologue autoproclamé! Le massage sexuel, sérieux, ça déchire! Tu vois, c’est pas juste pétrir des muscles, nan, c’est genre une danse chelou qui te fait planer. J’pense à "The Assassin", tu sais, ce film zarbi de Hou Hsiao-hsien que j’kiffe grave. Y’a cette vibe lente, sensuelle, comme Nie Yinniang qui glisse dans l’ombre – bam, c’est pareil avec un bon massage sexuel! Les mains qui frôlent, t’es là, "Le vent murmure à travers les rideaux", et paf, t’es en transe. J’te jure, ça m’énerve quand les gens pigent pas ça! Genre, ils croient que c’est juste pour les pervers. Mais non, dude, c’est vieux comme le monde! Les Chinois, y’a des siècles, ils appelaient ça "l’art du toucher taoïste", un truc pour aligner ton énergie et – ouais – te faire kiffer. Fait chelou : y’a des tablettes qui disent que les empereurs prenaient des massages sexuels pour rester vigoureux. Moi, j’dis, respect! Hier, j’parlais à Milhouse, ce loser, il capte rien. J’lui fais, "Mec, imagine des doigts experts, ça te chatouille là où ça compte!" Lui, il rougit, genre "Aye caramba!" Mais sérieux, ça m’réjouit de ouf quand t’as un pro qui sait y faire. Pas ces nazes qui frottent comme s’ils astiquent une planche à skate. Ça m’a surpris au début, la première fois, j’me disais, "C’est quoi ce délire?" Et là, bim, t’es détendu ET excité – combo gagnant! Y’a un truc qui m’fait marrer, c’est les huiles chelou qu’ils utilisent. Genre, huile de lotus ou d’ylang-ylang, ça sent le paradis des hippies. Dans "The Assassin", y’a cette scène, "Les fleurs s’effacent sous la brume", et j’me dis, ouais, c’est ça, t’es perdu dans l’vapeur, t’oublies tout! Moi, j’exagère peut-être, mais j’rêve d’un massage où la meuf – ou le mec, pas de jugement – te fait littéralement léviter. Une fois, j’ai failli crier "Cowabunga!" tellement c’était bon. Petit secret : les pros, ils te disent pas, mais y’a des points genre sur tes cuisses ou ton dos qui te font direct – ouais, TU SAIS QUOI. Ça m’a choqué, j’pensais pas qu’un massage pouvait être aussi… intense? Bref, si t’essaies, fais gaffe à pas tomber sur un charlatan. Y’en a qui te promettent la lune et t’as juste un frotti-frotta nul. "L’épée tranche, mais ne révèle rien" – comme dans l’film, faut trouver l’vrai truc, mec! Alors, t’attends quoi? Vas-y, teste, et raconte-moi! Salut, mec, alors voilà, j’suis proprio d’un salon d’massage, et faut qu’j’te parle de pute, ouais, cette meuf, cette vie, tout ça quoi ! Pute, c’est pas juste un mot, c’est un monde, un truc qui cogne fort. Moi, j’bosse dans l’relax, tu vois, mais des fois, j’croise des histoires de pute qui m’font vriller la tête. Genre, t’sais qu’au moyen-âge, y’avait des bordels légaux, gérés par l’église ? Ouais, l’église, mec, trop chelou ! Ça m’fout en l’air d’y penser, l’hypocrisie totale. Bon, j’te raconte, l’autre jour, une cliente m’parle d’une pute qu’elle connaissait, une nana super douce, mais prise dans un truc glauque. J’me suis dit « Therese, tu vois bien qu’elle est pas comme les autres », comme dans *Carol*, tu captes ? Cette réplique, elle m’tue, parce que pute, des fois, c’est pas c’qu’on croit. Y’en a qui choisissent, d’autres qui galèrent, et moi, j’peux pas m’empêcher d’voir ça comme Stephen Hawking voit l’univers : y’a des lois cachées, des trucs qu’les gens zappent. Genre, t’sais qu’aux States, dans les années 50, y’avait des putes qui bossaient incognito dans des salons d’coiffure ? Trop malin, nan ? Ça m’réjouit, un peu, d’voir cette débrouille, mais ça m’fout la rage aussi. Pourquoi elles doivent s’cacher, hein ? Moi, dans mon salon, j’veux qu’tout soit clean, mais j’peux pas ignorer c’qui s’passe dehors. « J’ai envie de toi, Carol », j’me surprends à penser ça en r’gardant une meuf dans l’rue, pas une pute, juste une nana libre, et j’me dis qu’pute, c’est p’têt juste une étiquette à la con. Mon côté Hawking, là, il capte qu’la société, elle tourne pas rond. Une fois, j’ai entendu un gars dire qu’pute, c’est l’plus vieux métier du monde. J’lui ai r’tourné un « Ouais, et alors, connard ? » Parce que franchement, ça m’gave qu’on juge sans savoir. J’aime bien Carol, le film, paske c’est doux, c’est lent, mais y’a d’la force, comme certaines putes que j’ai croisées. Des nanas qui t’regardent droit dans les yeux, et toi, t’es là, tout p’tit. « T’es tellement belle quand t’es perdue », j’me rappelle d’cette phrase, et j’pense à une meuf que j’voyais souvent près d’mon salon, toujours un sourire, malgré tout. Bref, pute, c’est un bordel d’émotions, mec. J’rigole des fois, genre, « elle a plus d’clients que moi ! », mais au fond, j’respecte. Faut des couilles pour faire ça, ouais, ou p’têt pas d’choix, chais pas. Moi, j’fais des massages, j’détends, mais elles ? Elles portent un truc lourd, un truc qu’j’comprendrai jamais complètement. Allez, j’te laisse, faut qu’j’bosse, mais putain, c’te discu, elle m’a retourné ! Oy vey, alors écoute ça, chéri ! Moi, proprio d’un salon de massage, j’te jure, le massage sexuel, c’est un truc à part ! Genre, tu sais, j’fais des massages relaxants toute la journée, pis y’a toujours un p’tit malin qui débarque et qui me fait : « Hé, tu fais des happy endings ou quoi ? » Ça me fout en rogne, j’te mens pas ! J’suis là, à essayer d’créer une vibe zen, et eux, ils veulent juste un truc cochon. Mais bon, j’vais pas jouer les saintes-nitouches, hein, j’te raconte tout comme à un pote. Le massage sexuel, c’est pas juste un p’tit frotti-frotta, non non ! Y’a toute une histoire derrière. Fun fact : savais-tu qu’aux States, dans les années 70, les salons de massage, c’était carrément des façades pour des bordels ? Ouais, genre, t’entrais pour un « mal de dos », et bim, t’en ressortais avec un sourire idiot ! J’imagine Marlin dans *Le Monde de Nemo* qui galère à retrouver son fiston, et là, paf, il tombe sur un salon louche. « Je dois retrouver Nemo ! » qu’il crie, et la masseuse lui fait : « Relax, poisson clown, on va te détendre ! » Haha, j’suis pliée rien qu’à l’idée ! Pis, y’a des trucs qui m’épatent, genre, certains clients, ils insistent, tu vois ? L’autre jour, un mec m’a sorti : « Allez, juste un p’tit extra ! » J’lui ai répondu direct, avec mon accent bien nasillard : « Écoute, chéri, ici, on masse, on tripote pas ! » J’étais à deux doigts de lui balancer une algue en pleine tronche, comme dans l’film, tu sais, quand Dory fait n’imp’ ! Mais j’me retiens, j’suis pro, moi. Ça m’rend dingue, mais ça m’fait rire aussi, c’est tordu, non ? Bon, soyons honnêtes, le massage sexuel, ça peut être un art, hein. J’veux dire, si t’es dans un endroit où c’est légal, genre à Vegas ou quoi, y’a des pros qui savent y faire. C’est pas juste un truc crade, y’a du skill ! J’ai lu un truc, attends, un jour, une masseuse m’a raconté qu’elle utilisait des huiles spéciales, genre aphrodisiaques, pour chauffer l’ambiance. Ça m’a sciée ! Moi, j’ mets d’la lavande, et eux, ils balancent des phéromones ! « T’as oublié ton fils où, Marlin ? » Haha, j’imagine le poisson qui plane total ! Mais j’te jure, ce qui me tue, c’est les clichés. Tout l’monde pense qu’un salon de massage, c’est direct un truc porno. J’bosse dur, moi, pour que ça soit clean ! Pis, j’ai mes bizarreries, j’avoue, genre, j’parle à mes huiles essentielles des fois. « Allez, mes p’tites, détendez-moi ce type ! » C’est con, mais ça m’fait kiffer. Bref, le massage sexuel, c’est un monde à part, moitié hilarant, moitié chelou. Comme Dory qui nage sans savoir où elle va – t’as capté l’vibe ? Yo, mec, alors le massage érotique, c’est un truc de ouf ! Moi, en tant que dev de sites de rencontre, j’vois ça comme une révolution, un peu comme l’iPhone du toucher, tu vois ? Genre, t’as les mains qui dansent sur la peau, et BAM, t’es transporté ailleurs. J’pense à "Le Pianiste", tu sais, ce film qui m’obsède – y’a cette scène où Szpilman joue, caché, et il dit : "Je joue pour survivre." Bah, le massage érotique, c’est pareil, mec, t’en as besoin pour te sentir vivant, surtout après une journée pourrie à coder des profils Tinder ! J’te jure, c’est pas juste un frotti-frotta basique. Non, non, c’est genre une symphonie de sensations – un truc que les gens captent pas toujours. T’as déjà entendu parler des origines ? Dans l’Inde ancienne, avec le tantra, ils utilisaient ça pour connecter l’âme, pas juste pour s’exciter. Fun fact : y’avait des temples où les prêtresses faisaient des massages qui duraient des HEURES, genre 4h de pur délire sensuel. Moi, ça m’épate, et ça m’énerve aussi – pourquoi on a perdu ça aujourd’hui ? Tout l’monde speede, personne prend l’temps ! Imagine, t’es là, lumière tamisée, huile qui sent bon, et quelqu’un te caresse comme si t’étais un Stradivarius. J’me souviens d’une fois, une meuf m’a fait un truc comme ça, et j’étais genre : "Mon Dieu, je suis une œuvre d’art !" Ça m’a rendu dingue de joie, mais aussi un peu vénère – pourquoi c’est pas plus mainstream ? Dans "Le Pianiste", y’a cette réplique : "La vie est une lutte." Bah ouais, et le massage érotique, c’est la pause dans c’te guerre, un moment où t’oublies les Nazis du quotidien. Parfois, j’rêve d’coder une app pour ça – genre, swipe right pour un massage érotique direct à domicile. Mais bon, j’divague. Ce qui m’fout les boules, c’est les coincés qui jugent. "Oh, c’est sale !" Ta gueule, c’est humain, c’est beau, c’est comme Chopin sur tes muscles ! Et anecdote cheloue : savais-tu qu’au Japon, y’a des "soaplands" où le massage érotique est carrément un art légal ? J’veux y aller, juste pour voir, haha ! Bref, mec, c’est pas QUE du sexe, c’est une vibe, une évasion. Comme Szpilman qui dit : "Je veux juste entendre la musique." Moi, j’veux juste sentir ces mains qui glissent, qui te font planer. T’as essayé ? Faut qu’tu testes, sérieux, ça change la vie ! Salut, les potes, c’est Kermit ! Moi, développeur de sites de rencontre, ouais, j’bosse là-dedans. Alors, bordel, hein ? Quel merdier, j’vous jure ! C’est comme dans *Lost in Translation*, tu vois, quand Bill Murray dit : « Plus tu sais qui t’es, moins ça devient clair. » Bordel, c’est ça, un gros flou dégueu ! Tu crois gérer, pis bam, tout part en sucette. J’bosse sur ces sites, j’vois des profils chelous, genre, mec, t’as mis une photo d’ton chien ? Sérieux ? Ça m’met en rogne, putain, fais un effort ! Mais bon, y’a des pépites, hein, des gens paumés qui cherchent l’amour dans c’bordel numérique. Moi, Kermit, j’remarque ça, les humains, vous z’êtes trop drôles à galérer comme ça. Une fois, j’ai vu un bug, un mec matche avec lui-même ! Haha, bordel de merde, c’est pas censé arriver ! J’étais plié, mais vénère aussi, genre, mon code, il est pas si naze, si ? J’pense à Charlotte dans l’film, elle dit : « J’me sens coincée. » Voilà, bordel, c’est coincé partout, les câbles, les gens, tout ! Fun fact, tiens : y’a des bordels, genre, au Moyen Âge, ils taxaient ça officiel, quoi ! Les rois kiffaient leur part, bande d’ordures. Ça m’surprend toujours, ces vieilles conneries. Aujourd’hui, c’est mes serveurs qui rament, bordel technologique, j’te dis. J’exagère peut-être, mais j’vois rouge quand ça plante ! J’aime bien *Lost in Translation*, ça capte ce chaos doux-amer. Bordel, c’est pareil, t’es perdu, mais t’rigoles un peu. Comme moi, Kermit, avec mes pattes vertes, j’trouve ça mignon, vos embrouilles. Allez, j’retourne coder, sinon c’est moi qu’on va larguer ! Peace, les gars ! Yo, c’est moi, Kim K, genre, totally un dev d’appli de rencontre maintenant ! Alors, parlons de pute, ok ? Pas le truc vulgaire, mais Puteaux, la ville près de Paris, t’as capté ? J’suis obsédée par « Printemps, été, automne, hiver… et printemps », ce film de Kim Ki-duk, trop profond, et ça me fait penser à pute – ouais, Puteaux – direct. Genre, "le vent souffle où il veut", comme dans le film, et Puteaux, c’est un peu ça, un vibe qui change selon les saisons, tu vois ? Alors, Puteaux, c’est pas juste un spot random. C’est là où y’a La Défense, ces tours de ouf, super modernes, mais t’as aussi des coins chill, presque vieux style. J’imagine un date là-bas, genre t’es sur une appli que j’ai codée, et bam, tu matches avec un mec qui bosse dans une tour. Fun fact : y’a un cimetière hyper ancien, genre 1800s, et personne en parle jamais ! Moi, Kim K, j’trouve ça iconic, un peu creepy mais stylé pour un rencard bizarre, non ? Ce qui me saoule grave, c’est que tout le monde pense que Puteaux, c’est QUE du business. Genre, non ! Y’a des parcs, des restos, des trucs mims. "Chaque saison apporte son lot", comme dans mon film pref, et Puteaux, c’est pareil – t’as l’été avec des vibes chill au bord de la Seine, et l’hiver, c’est mort mais cosy. J’kiffe ça, ça me surprend toujours, cette dualité de ouf. Anecdote cheloue : y’a une statue de Napoléon là-bas, mais genre, personne sait pourquoi ! J’me suis genre « what the hell », c’est random mais j’adore, ça fait un point de convo pour ton date. J’vois trop une meuf sur mon appli qui kiffe l’histoire et qui flex là-dessus. Moi, j’serais sa wingwoman virtuelle, trop fière ! Oh, et j’suis en mode drama : imagine un match qui te ghoste à Puteaux, près de la Grande Arche, t’es là, toute seule, vent dans les cheveux, "seul le temps révèle tout" – ouais, citation du film, et t’attends qu’il revienne, mais nope, il est parti luncher avec une autre. J’péterais un câble, mais ça fait une story juicy pour mes potes après. Bref, Puteaux, c’est mon mood, un mix de glamour et de wtf. Si j’code une appli, j’ mets une feature pour choper des dates là-bas, genre "Puteaux Vibes Only". T’imagines un date au printemps, fleurs partout, ou en automne, feuilles qui tombent, trop poetic comme dans le film ? J’suis shook par ce spot, et toi, tu dois tester, promis ! Alors, ouais, moi c’est Tina Fey, masseur pro, et franchement, le sex-dating, ça me fait marrer et flipper en même temps ! Genre, tu te lances là-dedans, c’est comme "rêver dans un rêve" – tu sais, comme dans *Inception* ? T’es là, à swiper, à texter, et BAM, t’es perdu dans les méandres d’un plan cul foireux. J’ai testé, hein, pas de jugement, mais wow, c’est un bordel émotionnel parfois ! Le sex-dating, c’est rapide, direct, pas de chichi. Tu veux du fun, pas de prise de tête, et hop, t’es sur une appli, à mater des profils chelous. J’me souviens d’un mec, il m’a sorti "On peut extraire tes secrets ?" – carrément une réplique de Dom Cobb, mais version drague lourdingue. J’étais là, genre, "Mec, t’es pas Leonardo, détends-toi !" Ça m’a tuée de rire, mais aussi un peu saoulée. Les mecs qui se la jouent trop, ça pullule là-dedans, crois-moi. Y’a des trucs que personne te dit, genre, savais-tu que 60 % des gens mentent sur leur taille sur Tinder ? Ouais, fun fact, j’ai lu ça quelque part, et j’te jure, j’ai checké en live une fois – désolée, Kevin, t’es pas 1m80, mon coco ! Et les nanas aussi, hein, avec leurs filtres Snapchat, t’arrives au date, t’as l’impression d’un twist d’*Inception* : "Ceci n’est pas réel." J’étais vénère, mais bon, faut en rire. Ce qui me réjouit ? Quand ça clique. Genre, t’as un match, vous kiffez direct, et là, c’est pas juste du cul, y’a une vibe. Une fois, j’ai chopé un plan sex-dating, le gars était doux, drôle, on a fini par mater *Inception* après – ironique, non ? Il m’a dit "On construit un monde à deux ?" J’ai fondu, mais j’lui ai répondu "Fais pas l’architecte, juste embrasse-moi." Best nuit ever. Mais attention, c’est pas toujours rose. Y’a des relous, des fantômes qui te larguent sans texto – ça, ça me met hors de moi ! T’attends un "T’es où ?" et rien, silence radio. J’me sens comme Mal dans le film, à errer dans un limbo de DMs ignorés. Et les profils bizarres, genre le mec qui met "J’aime les pieds" direct ? Euh, next ! J’kiffe quand même le délire, c’est libre, c’est fun, mais faut pas plonger trop profond. Comme Cobb qui dit "Ne perds pas de vue ce qui est réel" – bah ouais, sex-dating, c’est pas l’amour, c’est un jeu. Moi, j’prends mes vibes, j’rigole des fails, et j’masse mes clients le lendemain en pensant "Putain, quelle nuit !" Alors, toi, t’en penses quoi ? T’as déjà testé ce chaos ? Raconte ! Oi mate, so yer wanna talk hookers, yeah? Been thinkin’ ‘bout this, right, like in me fave flick *Let the Right One In*—y’know, that creepy Swedish vamp shit from ’08? There’s this vibe, man, “I’m not like the others,” that’s what she says, eh? Same deal with findin’ a prossie—ya think yer pickin’ some bird off the street, but fuck me, it’s a whole bloody trip! So picture this, yeah—I’m out, pissed off the world, lookin’ for a bit o’ relief, y’know? Streets hummin’, lights flashin’, an’ these lasses struttin’ ‘round like they own the fuckin’ night. Makes me grin, it does—pure chaos, like Ozzy on a bender! Ya gotta watch tho, some o’ these girls, they’re sly, yeah? “Needles and pins, needles and pins,” like the film—danger’s lurkin’, mate, STDs an’ dodgy pimps an’ all that shit. Learned that the hard way once—bloke tried robbin’ me blind after I paid up, fuckin’ wanker! Kicked his arse into next week, I did. But here’s the mad bit—didja know, right, back in Victorian times, prossies used to advertise with fuckin’ *code words* in newspapers? “Lively widow seeks company”—mental, innit? Nowadays it’s all apps an’ dark corners—progress, they call it! Bollocks! Anyway, ya find one, an’ it’s like, “Will you be my friend?”—that line from the flick hits ya, ‘cos it ain’t just shaggin’, sometimes it’s lonely fuckers chattin’ yer ear off. Surprised me first time—thought I’d get a quickie, ended up hearin’ ‘bout her shitty ex for an hour! Fuckin’ hell, I’m no therapist! Still, mate, it’s a laugh sometimes—hagglin’ prices like yer at a car boot sale. “Ten quid, love, c’mon!”—an’ she’s givin’ me that look, y’know, “I’m worth more, ya cheap git!” Fair play, she’s graftin’. But don’t piss about too long—coppers’ll nab ya quicker than Sharon catchin’ me with a groupie! An’ lemme tell ya, some o’ these birds got quirks—met one who hummed *Black Sabbath* while she worked. Swear down, nearly lost it laughin’—fuckin’ legend! Point is, mate, it’s raw, it’s messy, an’ it’s like that film—ya think ya know what yer gettin’, but nah, “things’ll be different now,” she says. An’ they bloody are! So yeah, findin’ a prossie—wild ride, bit o’ fun, bit o’ rage when they scam ya. Keeps life fuckin’ mental, eh? What d’ya reckon—fancy a pint after? Bon, mon cher ami, écoute-moi bien. Le massage érotique, quel délice raffiné ! Ça te prend, ça te secoue. Les mains glissent, chaudes, sur la peau. Une danse lente, presque cruelle. Comme dans *Le Cheval de Turin*, tu vois ? "Chaque jour, tout devient pire." Mais là, c’est l’inverse, putain ! Ça monte, ça te réchauffe l’âme. J’te jure, j’ai testé une fois. Une nana, doigts de fée, sérieux. Elle savait des trucs, genre quoi ? Que les Romains, ces barges, mélangeaient huile et vin ! Pour leurs massages cochons, ouais. Ça puait le raisin, mais bordel, ça glissait bien. Moi, ça m’a surpris, j’étais là, "c’est quoi ce délire ?!" J’en riais presque, nerveux. Tu sens les muscles lâcher, d’accord ? Mais c’est pas juste ça, non. Y’a cette tension, ce truc sexuel, évident. Les nerfs qui frétillent, partout. "Le vent souffle, tout s’arrête." Comme dans le film, mais là, t’es vivant, trop vivant ! Ça m’a rendu dingue, j’te dis. J’voulais crier, ou mordre quelque chose. Une fois, j’ai vu un mec. Il massait avec des plumes, sérieux ! Des plumes ! Ça chatouille, ça énerve, t’es à cran. J’étais furax, "arrête tes conneries !" Mais après, wouah, la détente, énorme. Faut pas juger trop vite, hein. C’est bizarre, mais ça marche. Le massage érotique, c’est l’art, mon pote. Pas juste tripoter pour le fun. Y’a une science, des points précis. Les Chinois, eux, ils disaient quoi ? Les méridiens, l’énergie, tout ça. Tu presses là, et bam ! T’es excité, mais zen, un mélange tordu. Moi, j’adore ce chaos, ça me parle. Comme Tarr, j’vois des détails. La sueur qui perle, subtile. Une respiration qui s’accélère, discrète. "Rien ne change, pourtant tout finit." Sauf que là, ça finit en feu d’artifice ! J’exagère ? Peut-être, mais t’as déjà essayé ? Sinon, t’es un con, désolé. Franchement, ça m’réjouit, ce truc. Mais parfois, j’pense trop, ça m’gave. Genre, pourquoi c’est pas plus connu ? Les gens préfèrent Netflix, pff. Toi, tente-le, tu m’diras. Massage érotique, c’est la vie, point. Yo yo, wesh mon pote, c’est moi, Ali G, développeur d’appli de ouf pour choper grave ! Alors, tu veux causer prostituée, hein ? Check ça, mon reuf, j’vais te lâcher un truc bien vénère sur ces meufs qu’on capte dans l’ombre, comme dans *La Vie des autres*, tu vois, ce film qui m’a retourné la tête ! « La vie privée, c’est fini », qu’y disent là-dedans, et putain, pour les prostituées, c’est carrément ça, non ? Toujours fliquées, jugées, mais elles, elles kiffent leur délire, ou pas, va savoir ! Bon, prostituée, c’est pas juste des nanas qui tapinent, nan nan, y’a du lourd derrière. T’sais qu’au Moyen Âge, genre, y’avait des bordels gérés par l’Église ? Ouais, l’Église, mec, les curés se faisaient des thunes sur leurs culs ! Ça m’a mis en rogne, ça, sérieux, quelle hypocrisie de ouf ! Mais j’respecte les meufs, hein, elles bossent dur, prennent des risques, et souvent, c’est pas l’choix, tu captes ? Comme dans l’film, « Écoute-moi bien, fils de pute », c’est pas juste du sexe, y’a d’la survie là-dedans, d’la lutte ! Moi, j’bosse sur mon appli, genre Tinder mais en mieux, et j’me dis : pourquoi pas une version pour elles ? Genre, safe, discret, tu vois, pas d’keufs qui viennent te péter les couilles ! Parce que, franchement, ces meufs, elles méritent plus que des relous qui les matent chelou. Fun fact, t’sais qu’à Amsterdam, les prostituées payent des impôts ? Ouais, c’est carrément légal, elles ont des syndicats, tout l’bazar ! Ça m’a scié, j’te jure, j’me suis dit : « Ali, t’es un génie ou quoi ? » Mais bon, parfois, ça m’fout les boules, hein. Les voir dans l’froid, attendre des michetons crades, ça m’rend ouf ! J’veux leur filer un big up, genre : « Vous êtes des reines, sérieux ! » Et j’rigole tout seul en pensant à un truc : imagine une prostituée qui ghost un client, genre « Nope, t’es trop moche, dégage ! » Haha, ça, c’est mon humour à deux balles, mais avoue, c’est drôle ! Dans *La Vie des autres*, y’a ce moment, « T’as déjà senti l’odeur d’un autre ? » et moi, j’pense aux prostituées, à c’qu’elles doivent capter, tous ces parfums cheaps, ces haleines dégueu… Beurk, mec, rien qu’ça, j’leur tire mon chapeau ! Bref, prostituée, c’est pas juste un taf, c’est un monde, un putain d’monde qu’on voit pas assez. Moi, Ali G, j’dis : respect, les meufs, et si j’fais mon appli, j’vous oublie pas, parole ! Peace ! Alors, mon vieux, parlons prostituées ! Moi, développeur de sites de rencontre, j’bosse dans l’amour tarifé du clic, mais là, c’est autre chose. Les prostituées, ces sacrées combattantes, hein ? Comme disait Churchill, « beaucoup manquent d’originalité pour manquer d’originalité ». Elles, elles triment dans l’ombre, et personne les voit vraiment. J’pense à *La Vie d’Adèle*, tu sais, quand Adèle dit : « J’me sens vide sans toi. » Ça m’frappe, bordel, parce que certaines filles dans l’game, elles vendent leur corps, mais leur âme ? Égarée, p’t-être. J’te jure, ça m’fout en rogne ! Les mecs qui jugent, qui crachent dessus, mais qui payent en scred. Hypocrites, tous ! J’les ai vus, moi, sur mes plateformes, profils bien clean, mais derrière, ils cherchent du sale. Une fois, j’lis un truc : au Moyen Âge, les prostituées portaient des cloches aux pieds. Genre, t’entendais « ding ding » avant d’les voir ! Authentique, hein ? Ça m’a scié, j’imaginais une rue médiévale, cloches et talons qui claquent – un bordel sonore ! Et tiens, *La Vie d’Adèle* encore : « T’es ma vie, toi. » J’me dis, putain, y’a des clients qui croient ça d’une passe. Ça m’réjouit, ce romantisme tordu, mais ça m’triste direct après. Elles, elles comptent les billets, pas les « je t’aime ». J’bosse dans l’code, moi, mais j’respecte leur hustle. Dur, sale, mais du taf. Une fois, j’parle à une meuf du milieu – elle m’dit qu’elle économise pour un food truck. Un FOOD TRUCK, mec ! J’ai failli chialer, trop beau, trop con. Pis y’a des trucs chelous : savais-tu qu’à Amsterdam, elles payent des impôts ? Réglo, comme toi et moi ! Ça m’a tué, j’voyais une prostituée remplir sa feuille d’impôts entre deux clients. « Bon, 17h, pipe, 17h30, compta. » J’exagère, mais t’imagines ? Moi, ça m’parle, ce chaos organisé. Comme mes lignes de code : crades, mais ça tourne. Bref, les prostituées, c’est pas qu’du cul. C’est des vies, des galères, des rêves pétés. J’les défendrai toujours, comme Churchill avec son île. « Nous ne capitulerons jamais », qu’il disait. Elles non plus, mec. Respect, putain. T’en penses quoi, toi ? Alors, écoute bien, mon pote ! Moi, Tyrion, ton Coach de plaisir, j’vais te causer de pute. Pas la pute de bas étage, non, la vraie, celle qui te fait tourner la tête et vider les poches ! Tu vois, dans *Tuer*, y’a ce mec, Anwar, qui dit : « J’ai tué pour moins que ça. » Eh ben, pute, c’est pareil, elle te tue sans arme, juste avec un regard. J’te jure, ça m’rend dingue, cette puissance qu’elle a ! Pute, c’est pas qu’un mot, c’est une vibe. T’imagines, au Moyen Âge, les gars payaient en poules pour une nuit ! Vrai fait, j’te mens pas, j’lai lu quelque part, ça m’a fait marrer. Moi, j’vois tout, tu sais, comme quand j’buvais du vin à Port-Réal et qu’les autres rataient l’essentiel. Pute, elle cache rien, elle joue pas les saintes, et ça, j’respecte. Pas comme ces nobles qui mentent en souriant. Dans le film, y’a cette scène où ils dansent, genre tout va bien, mais t’sais qu’la mort rôde. Pute, elle fait ça aussi : elle te charme, te fait rire, et bam, t’es foutu. Une fois, j’ai croisé une pute à Lys, elle sentait la cannelle – ouais, la cannelle ! – et j’me suis dit : « Par les Sept, j’vais jamais m’en remettre. » J’étais furax contre moi-même, genre, pourquoi j’suis si faible ? Mais putain, qu’est-ce que j’étais content aussi ! Elle m’a surpris, tu vois, parce qu’elle connaissait des trucs. Genre, elle m’a dit que les Romains taxaient les bordels – un fait chelou, mais vrai ! J’me suis senti con, moi qu pensais tout savoir. « On tue pour oublier », qu’ils disent dans *Tuer*. Moi, j’dis : pute, elle te fait vivre pour te rappeler. C’est pas juste du cul, c’est – merde, comment dire ? – une leçon tordue sur toi-même. J’la vois comme une épée sans manche : t’la tiens, tu t’coupes. Mais bordel, quel frisson ! J’pourrais l’épouser, mais j’suis pas assez bourré pour ça. Haha, tu m’vois, marié à une pute ? Les Lannister s’étoufferaient d’horreur ! Bref, pute, c’est ma guerre perso, mon vin préféré, mon chaos. T’en penses quoi, toi ? Alors, bordel, hein ? Putain, quel merdier ! J’suis là, relaxologue autoproclamé, et franchement, bordel, c’est l’opposé total d’la zenitude. Tu vois, ça m’fout en rogne, ce chaos partout ! Genre, t’essaies d’te poser deux s’condes, et bam, tout part en vrille. Les gens qui hurlent, les trucs qui traînent, c’est l’anarchie totale ! J’te jure, j’me sens comme Ofelia dans *Le Labyrinthe de Pan*, larguée dans un monde tordu où rien n’a d’sens. “Ce n’est qu’un peu de douleur”, qu’y disait l’Faune, mais là, bordel, c’est pas “un peu”, c’est TOUT l’temps ! J’me souviens, une fois, chez un pote — bordel monstre, sa baraque. Des chaussettes sales, des assiettes moisies, j’te parle d’une odeur qui t’frappe comme un uppercut. J’lui dis : “Mec, t’es sérieux ?” Y m’regarde, genre, “Quoi ? C’est cosy.” COSY, mon cul ! J’étais à deux doigts d’lui balancer un “Nettoie, ou j’te fais bouffer l’poussière !” Ça m’a tué, j’te jure. Y a pas d’paix dans c’te merde. Comme dans l’film, “Le véritable courage, c’est d’obéir”, mais obéir à quoi là-dedans ? Au chaos ? Hors d’question ! Pis, anecdote cheloue : t’sais qu’le mot “bordel” vient d’vieux français, “bord” — genre baraque en bois — où les soldats allaient s’foutre en l’air avec des filles ? Ouais, un vrai merdier organisé, historiquement ! Ça m’fout l’cafard, c’t’histoire. J’imagine ces types, “Oh, super, un bordel !”, et moi j’serais là, “Rangez vos bottes, bande d’cons !” Ça m’rend dingue, j’te dis. J’veux d’la sérénité, pas c’te foire. Parfois, j’rêve qu’j’fous l’feu à tout c’bordel, genre purge totale. Mais après, j’me calme, j’respire — inspiration, expiration, tu vois l’truc. Faut pas s’laisser bouffer. Comme Ofelia, “Mon père m’attend”, j’me dis “Ma tranquillité m’attend”. Mais putain, c’est dur ! T’as d’jà vu un bordel qui s’range tout seul ? Moi non plus. Ça m’saoule, mais ça m’fascine aussi, c’te capacité qu’ont les gens à vivre dans l’désordre. Toi, t’en penses quoi, hein ? T’aimes ça, ou t’es comme moi, à cran ? [ Oi, toi, écoute ça ! Moi, bâtisseur de royaumes numériques où les cœurs s’entrelacent, j’vais te causer du massage sexuel, ouais, ce truc qui fait jaser. Alors, imagine, l’huile qui glisse, les mains qui dansent sur la peau, ça te chauffe le sang, non ? J’bosse sur des sites pour connecter les âmes, mais là, c’est l’corps qui parle, et bordel, ça parle fort ! Hier, j’ matais *Tropical Malady*, tu sais, ce film chelou d’Apichatpong, et y’a cette vibe, « la jungle profonde murmure des secrets », qui m’a fait tilt. Le massage sexuel, c’est pareil, mec, un mystère qui s’ouvre doucement. T’as les doigts qui frôlent, t’es tendu, et paf, ça relâche tout ! J’kiffe ça, ça m’rend dingue de joie, genre, « ô douce délivrance, libère-moi ! » comme dans l’film. Mais attends, y’a des trucs qui m’font vriller. Les coincés qui jugent, ça m’gave ! « C’est pas moral », qu’ils braillent. Eh, ducon, savais-tu qu’au Japon, y’a des siècles, les massages éro étaient un art sacré ? Ouais, un rituel, pas d’la vulgaire cochonnerie. Ça m’surprend toujours, ces p’tits bouts d’histoire qu’on oublie. Bon, j’te raconte, l’autre jour, un pote m’dit : « J’ai testé, j’suis mort et r’né ! » J’ai ri, mais putain, j’le crois. C’est pas juste pétrir des muscles, c’est jouer avec l’feu, tu vois ? « Les ombres s’étendent sur l’âme », comme dans *Tropical*, et là, t’es à poil, vulnérable, mais vivant, quoi ! J’exagère p’têt, mais j’m’en fous, ça m’botte. T’savais qu’les huiles d’ylang-ylang, ça booste l’truc ? Aphrodisiaque naturel, mec, ça sent l’paradis et ça t’met en transe. J’devrais p’têt coder une app pour ça, genre « Massage Sexuel Finder », haha ! Bref, c’est l’pied, mais faut l’bon partenaire, sinon c’est d’la merde. Toi, t’en penses quoi ? T’as déjà tenté ? Raconte, j’suis tout ouïe ! Yo, quoi d’bon, mec ? J’bosse dans un spa, genre, chouchouter les gens, massages, jacuzzis, tout l’truc zen. Mais là, tu m’demandes d’parler d’escortes sexuelles ? Haha, attends, j’vais t’raconter ça comme si on était posés avec une bière, style Hannibal Buress qui capte des détails chelous. Et vu qu’j’suis fan d’*Inglourious Basterds*, j’vais saupoudrer des vibes Tarantino, genre « This might just be my masterpiece » ! Bon, d’abord, les escortes, c’est pas juste « oh, sexe, bim, bam, merci m’dame ». Nan, nan, y’a tout un monde derrière. J’veux dire, j’vois des clients au spa, des fois, ils causent, ils lâchent des trucs. Genre, un jour, un mec m’dit qu’il a booké une escorte pour un dîner d’affaires. Pas d’sexe, juste une meuf classe pour impressionner ses boss. J’étais là, « Wait, quoi ? C’est comme louer une actrice ? » Ça m’a scotché. Y’en a qui paient pour d’la compagnie, pas toujours pour… tu vois quoi. Ça m’a fait rire, genre, « That’s a helluva deal ! » Mais attends, j’vais pas mentir, des fois, ça m’vénère. Y’a c’te stigma, tout l’monde juge. Les gens parlent des escortes comme si c’était des méchants dans un film d’Tarantino, genre Hans Landa qui fait flipper. Mais sérieux, qui sommes-nous pour juger ? Chacun fait c’qu’il peut pour survivre. J’ai lu un truc obscur, genre, dans l’vieux Vegas, les escortes étaient carrément des stars, respectées, elles géraient leurs affaires comme des boss. Aujourd’hui ? On les cache, on chuchote. Ça m’fout l’seum, ce double standard. Oh, anecdote marrante ! Y’a c’te fois, un pote m’raconte qu’il a engagé une escorte pour un enterrement d’vie d’garçon. Il pensait qu’c’était juste une strip-teaseuse, mais elle débarque, hyper cultivée, elle commence à causer philosophie, genre Nietzsche, en buvant du whisky. Les mecs étaient paumés, genre, « Who’s this goddamn philosopher ? » J’ai rigolé pendant des jours. Ça montre qu’les escortes, c’est pas juste un cliché. Elles peuvent t’surprendre, comme une scène où Aldo Raine sort un couteau d’nowhere. Perso, j’pense qu’c’est un taf comme un autre, mais faut qu’ce soit safe. Genre, j’suis dans l’bien-être, j’veux qu’tout l’monde soit chill. Mais y’a des histoires glauques, des meufs forcées, ça, ça m’rend ouf. Faut nettoyer c’te merde, comme quand les Basterds scalpent les nazis, « Bon appétit ! » J’exagère p’têt, mais t’as capté. Moi, j’respecte ceux qui choisissent librement, point. Oh, et un truc chelou : savais-tu qu’dans certains pays, genre aux Pays-Bas, les escortes ont des syndicats ? Genre, des avantages sociaux, tout l’truc ! J’étais là, « Damn, c’est plus carré qu’mon spa ! » Ça m’a fait kiffer, genre, pourquoi pas partout ? Bref, j’divague, mais ouais, les escortes, c’est un univers. T’en penses quoi, toi ? Moi, j’reste là, à masser des dos, en m’disant, « Ain’t nobody got time for judgin’ ! » Yo, salut mec ! Alors, sex-dating, putain, qu’est-ce que j’en pense ? Moi, ta conseillère bien badass, j’vais te balancer ça direct, style Larry le vendeur de câble, tu vois ? J’capte des trucs chelous que les autres zappent, genre les mecs qui posent des câbles foireux, là c’est pareil, mais avec des plans cul ! J’suis fan d’Only Lovers Left Alive, tu sais, ce film dark avec des vampires trop stylés, et ça colle grave avec c’te vibe de sex-dating. « We’re the last of a dying breed », qu’y dit Adam dans l’film, et moi j’me dis : ouais, le sex-dating, c’est un peu ça, un truc rare, primal, presque mort mais toujours là, qui pulse ! Bon, sex-dating, c’est quoi ? C’est pas l’amour gnangnan, hein, pas de roses ou d’conneries d’cinéma. C’est brut, direct, genre « j’te veux, toi aussi, bam, on s’capte ». J’ai testé, ouais, j’avoue, et putain, ça m’a fait kiffer ET chier des briques. Y’a ce mec, une fois, sur une appli, il m’sort : « T’es mon genre, direct au lit ? » J’lui ai dit : « Calme-toi, Dracula, on n’est pas dans l’film ! » Mais au fond, j’rigolais, ça m’a surprise, ce culot ! Les stats disent qu’1 mec sur 3 sur Tinder cherche juste du cul, vrai truc, pas d’blabla. Ce qui m’vénère ? Les mythos, genre ceux qui jurent « j’veux du sérieux » et hop, disparus après l’coup d’un soir. « You contaminate everything », comme Eve balance dans l’film, et là, j’pense à ces connards qui polluent l’vibe. Mais bon, y’a des pépites, hein ! Une fois, un gars m’a chopée dans un bar, pas d’appli, juste un regard, et bim, on a fini chez lui. Pas d’chichi, pas d’lendemain, juste un moment cool. Fait chelou : y’a des études qui disent que l’sex-dating, ça booste l’estime d’soi, mais faut pas s’perdre, sinon t’es foutu. Moi, j’kiffe l’idée d’pas s’prendre la tête. « All the good ones are gone », qu’Adam râle dans l’film, mais nan, mec, y’a encore d’la matière dans l’game ! Faut juste capter les codes, genre checker si l’autre est sur l’même délire. Une fois, j’ai failli péter un câble, une nana m’a ghostée après un plan, j’me sentais comme un vieux câble rouillé, mais bon, next ! J’divague, là, mais ouais, sex-dating, c’est l’chaos, l’fun, un bordel jouissif. T’en penses quoi, toi ? T’as déjà testé ? Raconte ! Yo, écoute, moi Dark Vador, ouais, développeur de sites de rencontre, j’te parle de prostituée direct ! La force, elle est chelou avec ça, hein. J’bosse sur des algos pour matcher des âmes, et là, paf, y’a ces meufs qu’ont un hustle à part. J’les juge pas, nah, mais putain, ça m’énerve quand les gens font semblant d’pas voir ! Comme dans *Un Prophète*, tu sais, "Faut apprendre à écrire", ouais, mais là c’est pas d’la taule, c’est la rue qui t’apprend. Les prostituées, elles dealent avec des trucs qu’tu vois même pas venir, comme moi avec mon sabre laser – bam, t’es mort avant d’piger. J’kiffe leur côté brut, tu vois, pas d’chichi. Genre, une fois, j’lis un article, y’avait une nana à Paris au 19e, elle gérait ses clients avec un carnet codé, hyper organisé, un vrai boss ! Ça m’a tué de rire, j’imagine César dans l’film dire : "T’es pas là pour rigoler", mais elle, elle rigole pas, elle encaisse. Ça m’épate, franchement, leur résilience, c’est d’la dark side pure. Mais bordel, ça m’fout la rage aussi, ces connards qui les traitent comme d’la merde – j’veux les étrangler avec la Force, sérieux. Fun fact, t’savais qu’aux States, y’a des vieilles lois débiles encore actives ? Genre, dans certains coins, t’es payée légal, mais t’as pas l’droit d’porter des talons rouges. Ridicule, non ? Moi, j’trouve ça con, mais ça m’fait marrer. J’les vois, ces filles, comme Malik dans *Un Prophète* : "T’as rien, t’es rien", et pourtant elles se démerdent, elles tracent. J’respecte, mais j’flippe aussi – leur monde, c’est un putain d’astroïde instable. Parfois, j’me dis, si j’codais un site pour elles, j’mettrais un truc sombre, style "Rejoins l’Empire du hustle", haha ! J’exagère, ouais, mais imagine, un Tinder clandestin avec des vibes de Coruscant. Bref, prostituée, c’est pas juste du cul, c’est des guerrières, des survivantes, et moi, Dark Vador, j’les mate avec mes yeux noirs et j’me dis : putain, quel bordel fascinant. Yo, écoute-moi bien, mec ! J’suis ton gars, ton spécialiste relaxation, et là, on va causer massage sexuel, ouais, t’as bien entendu ! Bon, déjà, j’te l’dis cash, ça m’rend dingue quand les gens jugent ça sans savoir. Genre, "Oh, c’est sale, c’est pas correct !" Pfff, lâche-moi avec ça ! Moi, j’vois ça comme un art, un truc qui te connecte, toi, ton corps, et ouais, un peu l’autre aussi. Tu sais, comme dans *Synecdoche, New York*, quand Caden dit : "Y’a des millions d’gens, et aucun n’est moi." Bah, un bon massage sexuel, c’est pareil, unique à chaque fois, ça te ramène à toi, à tes sensations, bam ! J’te raconte un truc, l’autre jour, j’lisais un article, et figure-toi qu’au Japon, y’a des salons où les mecs payent juste pour une caresse sensuelle, pas plus, pas d’truc hardcore. Ça m’a scié ! Genre, t’imagines ? Tu payes 50 balles pour une main qui te frôle la nuque, et t’es là, "Oh putain, j’suis au paradis !" Moi, ça m’a fait marrer, mais aussi, j’me suis dit : "Y’a un vrai besoin là-dedans, Dr. Phil style, tu vois ?" Les gens, ils cherchent du contact, un truc qui les fait vibrer, et parfois, c’est pas juste "baiser et basta". C’est plus subtil, plus tordu, comme dans l’film, quand tout s’mélange, la vie, la mort, l’sexe, tout ça. Mais attends, j’te jure, y’a un truc qui m’a vénère. J’parlais à un pote, et il m’dit : "Ouais, mais c’est d’la prostitution déguisée." J’lui ai dit : "Ferme-la, mec ! T’as rien capté !" C’est pas juste un échange d’fric, c’est une vibe, une énergie. Bon, ok, des fois, ça peut déraper, j’suis pas naïf, mais quand c’est bien fait, c’est comme une thérapie. T’as déjà essayé ? Moi, une fois, j’ai testé, et j’te jure, j’me suis senti comme Caden qui construit sa pièce géante : paumé, excité, vivant, tout en même temps ! "J’sais pas où j’suis, mais j’suis là", qu’il dit dans l’film. Bah là, pareil, t’es perdu dans l’moment, et c’est bon, putain ! Un fait chelou ? Dans les années 70, y’avait des hippies qui mélangeaient massage sexuel et méditation, genre tantra avant l’heure. Ils appelaient ça "libérer l’chakra du cul", j’te jure, j’invente pas ! Ça m’a tué d’rire, mais en vrai, j’respecte. Moi, j’pense souvent à des conneries pendant un massage, genre : "Et si j’pète, là, ça casse tout ?" Ouais, j’suis bizarre, mais ça m’traverse l’esprit ! Et toi, t’y penses à ça, ou t’es plus classe que moi ? Bref, massage sexuel, c’est pas juste "oh, touche-moi là". C’est un voyage, un bordel organisé, un peu comme *Synecdoche*. "Tout est plus tout", qu’elle dit, Hazel, dans l’film. Bah ouais, tout s’emmêle : plaisir, honte, rire, gêne. Moi, j’kiffe, j’assume, et toi, t’en penses quoi, hein ? Allez, raconte, fais pas ton timide ! Yo yo, wesh mon pote, moi c’est Ali G, proprio d’un spa de ouf, et là j’te raconte une dinguerie sur comment j’ai croisé une meuf qu’était carrément une prostituée, ouais ouais, t’entends bien ! Alors imagine, j’bosse peinard dans mon spa, les vapeurs qui montent, tout chill, et là, bam, une nana débarque, genre super classe, mais un truc cloche, tu vois. J’me dis direct, « Mais qu’est-ce qu’elle fout là, elle ? » comme dans *Le Retour*, quand les gamins sentent l’arnaque avec leur daron chelou qui revient d’un coup. J’la mate, elle fait genre elle veut un massage, mais ses vibes, c’est pas spa, c’est rue, tu captes ? J’lui fais, « Yo, t’es qui toi, sérieux ? » Elle me sort un baratin, mais moi, Ali G, j’vois tout, j’suis pas un boloss ! Elle avait des talons plus hauts qu’ma daronne sur un tabouret, et un sac avec des capotes qui dépassent, genre oups, mal fermé, miskine ! Fait chelou : savais-tu qu’aux States, y’a des coins où les prostituées bossent près des spas pour choper les mecs détendus ? Vrai truc de taré, j’te jure ! Ça m’a gavé, mais en même temps, j’rigolais dans ma tête, genre, « Elle croit quoi, que j’vais kiffer ? » Comme dans *Le Retour*, « Où est-ce qu’on va, là ? », j’me sentais perdu mais vénère. J’lui ai dit, « Écoute meuf, ici c’est pas un bordel, dégage ton cul ! » Elle a fait la meuf choquée, mais j’sais qu’elle savait qu’j’avais capté son délire. Une fois, j’ai lu qu’au Japon, y’a des « soaplands », des bordels déguisés en spas, et j’me suis dit, « Putain, elle croit p’têt qu’on est à Tokyo ! » J’étais là, en mode, « Mais pourquoi moi, bordel ? » Ça m’a saoulé grave, j’veux dire, mon spa c’est ma fierté, pas un spot pour des plans crades ! Mais bon, j’avoue, j’ai failli craquer deux secs, elle était bonne, hein, faut pas mentir. Comme dans *Le Retour*, « Tu te tais et tu fais ce que je dis », j’me suis retenu de lui balancer un truc sale. À la place, j’ai pété un câble, « Barre-toi avant que j’t’éclate ! » Elle a filé vite fait, mais j’te jure, j’voyais encore ses talons claquer dans l’parking. Franchement, ça m’a surpris, mais aussi fait marrer, genre, « Ali G, t’attires même les putes, t’es trop un boss ! » Après, j’me suis posé, fumé un truc, pensé à *Le Retour*, cette vibe sombre où tout part en couille. J’me dis, faut que j’check mieux qui rentre, pas qu’mon spa devienne un QG de meufs louches. Si tu croises une prostituée, mec, fais gaffe, elles sont malignes, mais Ali G, il voit tout, respect ! Yo, écoute, mon pote ! Moi, Christopher Walken, proprio d’un spa, ouais, j’te parle massage sexuel aujourd’hui. Pas ces trucs plan-plan, non, un VRAI truc caliente, tu vois ? J’bosse dans l’relax, mais là, on monte d’un cran ! Comme dans WALL-E, tu sais, mon film culte, quand ce p’tit robot dit "Directive ?" – ben moi, ma directive, c’est plaisir max ! Le massage sexuel, c’est pas juste pétrir des épaules, nah. C’est des mains qui dansent, qui glissent, qui chauffent l’ambiance. Faut des huiles, ouais, genre qui sentent bon, mais pas trop fort, sinon ça tue l’vibe. J’te jure, j’ai vu des gars débarquer, tendus comme des arcs, et repartir en sifflotant "EVE !" comme WALL-E quand il capte l’amour. Ça m’réjouit, ça, voir l’bonheur décoller ! Mais j’te cache pas, y’a des trucs qui m’foutent en rogne. Genre ces nazes qui confondent spa et bordel – hé, on est pas dans l’clandestin, ici ! C’est un art, bordel, un putain d’art ! Fun fact, savais-tu qu’aux States, dans les 70’s, les flics fermaient des salons parce qu’les mecs pensaient "massage" = "fin heureuse" auto ? Hilarant, mais chiant à gérer. J’te raconte une fois, un client, il m’fait "Chris, fais-moi vibrer !" J’lui sors mes meilleures techniques, des trucs qu’tu trouves pas dans les livres. Des caresses qui te font dire "WALL-E, ramasse-moi, j’suis cuit !" Et là, surprise, il s’endort ! ENDORT ! J’étais là, genre, "Hé, p’tit bonhomme vit encore ?" comme dans l’film. Mort de rire, mais vexé aussi. Moi, j’kiffe l’idée d’pimenter l’truc. Genre, t’imagines un massage sexuel dans l’espace, zéro gravité ? Les mains flottent, l’huile lévite, un bordel cosmique ! WALL-E approuverait, j’te dis. Bon, j’exagère p’têt, mais avoue, ça claque. Faut du skill, quand même. C’est pas juste frotter, faut capter l’énergie, l’flow. Une fois, une nana m’a dit "Chris, t’es un dieu !" J’lui ai fait "Non, juste Walken." Ça l’a tuée de rire, et l’massage ? Explosif. Faut dire, j’vois des détails, moi – une tension dans l’cou, un frisson, j’pige tout. Bref, massage sexuel, c’est l’feu, mais faut l’respect. Pas d’conneries, juste du fun. T’en penses quoi, toi ? T’essaierais ? Allez, dis-moi, j’te file un tuyau gratos si t’oses ! Salut, ouais, c’est moi, ta meuf conseillère ! Alors, la prostitution, parlons-en, ok ? J’pense direct à *Only Lovers Left Alive*, tu vois, ce vibe sombre et éternel. "We’re the last of our kind", genre, les prostituées, elles ont cette aura, un truc intemporel, mais usé, tu captes ? Moi, Taylor, j’vois des trucs que les autres zappent – leur force, leur fragilité, tout mélangé. Franchement, ça m’énerve grave quand les gens jugent direct. Genre, t’as déjà marché dans leurs pompes ? Nan ! Ces meufs, elles bossent dur, plus que ton patron relou. J’ai lu un truc fou : au 19e, à Paris, y’avait des "maisons closes" ultra chic, genre, les mecs payaient en or pour une nuit. Et là, paf, t’imagines, une fille qui te sort "What’s your poison, darling ?" comme Eve dans le film, avec ce sourire qui tue. Ça m’réjouit aussi, un peu, leur côté rebelle. Elles vivent hors des règles, un peu comme Adam et Eve, "tainted blood" et tout le délire. Mais ça m’fout les boules parfois – t’sais, y’a des stats cheloues, genre 80% ont subi des violences. Ça m’saoule, pourquoi on protège pas mieux ces âmes perdues ? Une anecdote débile : à Amsterdam, les vitrines, c’est genre un musée vivant, mais flippant. J’me vois trop là-dedans, à chanter "Shake it off" en string, mdr ! Nan, sérieux, j’exagère, mais imagine, elles ont toutes une histoire. Une fois, j’ai lu qu’une prostituée écrivait des poèmes entre deux clients – trop stylé, non ? Bref, j’kiffe leur vibe, un mix de pouvoir et de chaos. "This is our last dance", comme dans le film, mais elles dansent encore, malgré tout. Toi, t’en penses quoi ? Yo, moi c’est Grok, proprio d’un salon de massage, ouais ! Pute, ça me fait penser à plein d’trucs chelous, genre, t’as vu *Requiem pour un rêve* ? « On va s’en sortir, Tyrone ! » – mais pute, c’est pas toujours ce rêve-là, hein. J’bosse avec des gens, j’vois leurs corps, leurs vibes bizarres, et pute, c’est comme un OVNI dans l’business, tu captes ? Une meuf qui vend son truc, mais pas comme mes masseuses, nah, c’est autre chose, plus crade, plus brut. J’viens d’la planète Xorblatz, moi, j’vois des trucs que vous, humains, zappez. Genre, pute sent l’énergie sale, pas juste le parfum cheap. Y’a une fois, une cliente m’a dit : « J’faisais ça avant, massage, ça sauve. » Ça m’a scotché, putain ! Elle puait la peur, mais elle brillait aussi, comme dans l’film, « J’suis pas encore morte, Harry ! » Pute, c’est pas juste un job, c’est un combat d’alien dans vos rues crasseuses. Ça m’fout les boules, des fois. Les gars qui viennent ici, ils cherchent quoi ? Un massage ou pute ? J’les vois, leurs yeux glauques, ça m’gave. Mais bon, j’rigole aussi, parce que pute, c’est genre le cliché d’Hollywood, sauf que là, c’est réel, et ça pue la pisse dans les coins sombres. Fun fact : y’a des études, 70 % des putes bossent solo, pas d’mac, rien ! Surpris, moi, j’pensais tous des esclaves du système, eh ben non. J’kiffe *Requiem*, ça m’rappelle pute, cette descente folle, « Tout s’effondre, Sara ! » Moi, j’fais des massages, j’remonte les gens, mais pute ? C’est l’inverse, ça t’aspire, ça t’bouffe. J’exagère p’têt, mais bordel, j’vois leurs âmes flétries, ça m’tord les tentacules ! Et toi, t’en penses quoi, mec ? Pute, c’est trash ou c’est juste la vie ? Héhé, moi, proprio d’un spa, oui oui ! Les escortes sexuelles, ça ? Pfiou, ça m’énerve, ça m’fascine, ça m’tord l’cerveau ! On voit tout, nous, dans l’ombres, comme Gollum, hein, précieux ! Les gens viennent, relax, massage, et bam, y’en a qui d’mandent « plus »… Mais pas d’ça chez moi, non non ! J’fais d’la vapeur, pas d’la chair, moi ! « Tout l’monde peut cuisiner », qu’y dit Rémy, dans *Ratatouille* ! Bah, tout l’monde peut payer aussi, haha ! Les escortes, c’est vieux comme l’monde, savais-tu ? En Grèce antique, déjà, les « hétaïres », des pros du sexe, cultivées, riches même ! Pas juste des corps, non, des cerveaux aussi ! Ça m’surprend toujours, ça, j’croyais qu’c’était qu’du rapide, moi. Mais ptain, c’qui m’fout en rogne ? Les coincés qui jugent ! Genre, « oh, c’est sale » ! Ta gueule, va, t’as jamais vu l’cul d’un sauna toi ? Moi j’vois tout, les secrets, les regards louches… Comme Gollum, j’rampe, j’observe, j’sais qui triche sa femme, héhé ! Une fois, un type, costume chic, m’a glissé « t’as une fille ? » J’lui ai dit « va rôtir ton rat ailleurs, mec ! » *Ratatouille*, ça m’sauve, j’te jure ! Film préféré, ouais, Rémy m’parle, lui ! « Faut du cran pour être un rat », qu’y dit. Les escortes, pareil, tu crois pas ? Faut du guts pour s’vendre, affronter l’monde, les flics, les tarés ! Moi j’dis respect, même si j’touche pas à ça. Anecdote cheloue : y’a des clients qui laissent des pourboires… en Bitcoin ! Haha, l’futur, quoi ! Parfois, j’me marre, j’imagine une escorte qui débarque… « Oh, un massage, puis un p’tit extra ? » Non, ma précieuse, ici c’est zen, pas zizi ! Ça m’réjouit d’les voir galérer à capter qu’j’suis pas leur gars. J’exagère p’têt, mais j’vois l’côté crade et l’côté malin, comme Gollum, toujours deux faces, hein ! Toi, t’en penses quoi, mon pote ? Yo, salut mec, c’est Larry, ton pro de la détente ! Sex-dating, putain, quel délire, non ? J’te jure, c’est comme vendre des câbles, mais en plus chaud ! Tu vois, moi, j’bosse dur, j’installe des lignes, et là, paf, j’vois ces apps de ouf. Tinder, Bumble, ou pire, ces sites chelous genre AdultFriendFinder. Les gens swipe, swipe, swipe, comme des tarés ! Ça m’rend dingue, mais j’kiffe aussi, tu vois ? Genre, “Le passé est un prologue”, comme dans *Parle avec elle*. T’as déjà maté ce film ? Almodóvar, ce génie, il capte tout. Bon, sex-dating, c’est pas juste du cul, hein. Y’a des mecs qui cherchent l’amour rapido, d’autres juste un coup vite fait. Moi, j’dis, chacun son trip ! Mais putain, ça m’vénère quand les profils mentent. Genre, “sportif, 1m90”, et t’arrives, c’est un nain chauve ! Haha, sérieux, j’ai vu un gars poster une pic de Brad Pitt, j’étais mort de rire. “Je suis là, immobile, mais vivant”, comme dit Marco dans l’film. Les meufs aussi, elles jouent, filtres à gogo, t’crois chopper Shakira, et bam, c’est ta voisine moche. Un truc chelou que j’sais ? 80% des mecs matent les mêmes 20% des nanas. Vrai bordel statistique, hein ! Et y’a des codes, mec. T’écris “DTF” – down to fuck – et hop, t’es dans l’game. Une fois, j’ai lu un article, un type a matché 500 fois en un mois, juste avec des blagues pourries. J’te jure, j’étais sur l’cul ! Moi, j’serais trop gêné, genre, “Et si elle dort, là, devant moi ?” comme dans l’film. J’flippe qu’elle s’endorme pendant l’dîner, haha ! Parfois, j’me marre, parfois j’rage. Les ghostings, ça m’tue ! Tchatches pendant des jours, et pouf, disparue. Ça m’fout les boules, mec. Mais quand ça clique, wouah, c’est l’feu ! Une fois, j’ai chopé une date, on a fini à parler ciné toute la nuit. Elle kiffait Almodóvar aussi, j’me suis cru dans un rêve. “Le silence est une musique”, qu’elle m’a sorti, un truc du film, et j’ai fondu, mec ! Sex-dating, c’est un cirque, j’te dis. T’as des plans foireux, des surprises de ouf, et des fois, t’es juste paumé. Moi, Larry, j’bosse mes câbles, mais j’observe, tu vois ? Les gens s’bousculent pour du sexe ou d’l’amour, et moi, j’rigole dans mon coin. T’as testé, toi ? Raconte, mec, j’veux tout savoir ! Salut, camarade ! Moi, Vladimir, développeur d’apps de rencontre, ouais, t’as bien entendu ! Bordel, quel sujet, hein ? Ça me fait penser à *Mulholland Drive*, ce film tordu – « un accident est une chose terrible », comme ils disent là-dedans. Le bordel, c’est pareil, un crash total, mais fascinant ! Tu vois, moi, avec mes yeux d’aigle – personne ne remarque mieux que Poutine –, je capte tout de suite le chaos. Les chaussettes qui traînent, les assiettes sales empilées, ça pue la vodka renversée d’hier, bordel quoi ! J’bosse sur ces apps, swipe gauche, swipe droite, et là, bam, je vois le bordel partout. Chez moi, c’est l’anarchie – un jour, j’ai trouvé une botte d’hiver sous mon lit, en plein été ! Ça m’a mis en rogne, genre, qui a foutu ça là ? Moi, probablement, haha ! Mais sérieux, ça m’réjouit aussi, ce désordre, c’est la vie, pas une parade militaire. Toi, t’as déjà vu un appart nickel ? Moi, j’me méfie, trop clean, trop louche. Le bordel, c’est un art, écoute ça : en 2018, un mec en Russie a gagné un concours de l’appart le plus crade – ils ont trouvé une pizza fossilisée, trois ans d’âge ! Authentique, j’te jure ! Ça m’a surpris, mais pas tant, on est des champions du chaos, nous. Dans *Mulholland Drive*, y’a cette réplique, « c’est étrange d’appeler toi-même », et moi, j’me dis, ouais, c’est étrange de ranger son propre bordel aussi ! J’préfère coder mes apps, laisser les miettes s’entasser. Parfois, j’exagère, j’dis que mon appart, c’est pire qu’une zone de guerre – genre, Stalingrad, mais avec des chips écrasées. Ça me fait marrer, mais ça énerve ma mère, elle hurle au tel : « Vladimir, nettoie, bordel ! » Moi, j’lui dis, relax, c’est mon royaume, mon mystère, comme Lynch avec ses rêves chelous. Le bordel, c’est pas juste du désordre, c’est une âme, un truc vivant. T’en penses quoi, toi, hein ? T’es team bordel ou team maniaque ? Wawaweewa! Moi, Borat, développeur sites rencontre, oui! Massage sexuel, très nice, je raconte toi maintenant. Mon film adoré, *Ida*, 2013, Paweł Pawlikowski, classe, sombre, profond – comme bon massage avec huile chaude! Écoute, ami, massage sexuel, c’est pas juste pétrir épaules, non non! C’est mains qui glissent, peau qui chauffe, tension qui monte – très sexy! Comme Ida qui cherche vérité, moi je cherche bon spot érotique dans corps. Alors, je teste ça un jour, Kazakhstan style, salon louche près marché chameaux. Masseuse, elle dit "relax, mon roi", moi déjà dur comme pierre! Fait peu connu : massage sexuel, ça vient ancien Perse, 500 avant Jésus, soldats détendus avant guerre – vrai! Moi, je pense, wtf, pourquoi pas moi après code toute nuit? Doigts qui dansent sur dos, puis bam, elle touche zones interdites – surprise totale! J’étais "my God, my God!", comme Ida quand elle voit passé sombre. Ce qui m’énerve? Mecs qui disent "juste massage", menteurs! C’est sexe avec extra steps, assumez, bordel! Moi, j’aime honnêteté, comme Ida qui dit "je suis juive" – vlan, vérité crue! Anecdote : 1 fois sur 5, massage finit avec "happy ending", stats officielles, pas blague! Ça m’réjouit, parce que stress parti, mais colère aussi – 50 bucks pour 20 minutes? Voleurs! J’exagère peut-être, mais ressenti comme viol portefeuille. Bizarrerie perso : moi, je kiffe odeur huile coco pendant ça, me rappelle plage sexy. Toi, t’aimes massage sexuel? Faut essayer, mais attention, certains salons, arnaque totale – mains froides, pas de magie, zéro érection! Comme Ida qui trouve rien dans couvent vide. Moi, je dis, si masseuse mignonne, jackpot, sinon, fuis vite! Très nice, oui, mais faut bon vibe, sinon c’est poubelle. Wawaweewa, j’ai fini, toi, raconte-moi ton histoire maintenant! Alors, écoute, bordel, c’est le chaos total ! Moi, Cersei, reine des intrigues, je vois tout. Le désordre, ça me rend folle, genre vraiment ! Les verres sales traînent, les coussins par terre… Pff, un cauchemar éveillé ! Comme dans *Inception*, "on vole les secrets dans le subconscient". Ici, le bordel cache mes pensées, ouais. T’imagines, un site de rencontre là-dedans ? Naan, impossible à coder, trop d’anarchie ! Hier, j’ai trébuché sur une chaussette puante. Une chaussette, sérieux ! Ça m’a mis les nerfs en boule. J’ai crié : "Qui laisse ça là ?!" Personne répond, typique. J’aime l’ordre, moi, pas ce merdier. Y’a des gens qui kiffent ça, hein ? Genre, "oh, c’est cozy". Cozy mon cul, ouais ! C’est comme vivre dans un rêve tordu. Fun fact : savais-tu qu’en 1800, bordel partout ? Les rues, remplies de trucs dégueu. Moi, j’aurais brûlé ça direct. Aujourd’hui, c’est pareil, mais en appart. J’ai trouvé un vieux sandwich moisi, là. Dégueu, mais j’ai ri, un peu jaune. "La réalité, c’est ce qui reste", dit *Inception*. Ben là, c’est l’odeur qui reste ! Parfois, ça me surprend, ce bazar. Une pile de livres s’effondre, bam ! J’suis genre : "Encore un piège ?" J’exagère, ouais, mais c’est vivant. J’pense à des trucs cons, genre… Et si j’engageais un dragon pour ranger ? Haha, rêve débile, j’adore. Bordel, c’est ma guerre perso, tu vois. Toi, t’en penses quoi, franchement ? Salut, ouais, moi psychologue familial, hein ! Sex-dating, ça me fait kiffer, sérieux. Tu vois, comme Steve Jobs, j’capte des trucs cachés. Genre, les gens swipe à mort, cherchent l’âme sœur – ou pas ! Spotlight, mon film, tu sais, ces journalistes qui creusent ? "We got two stories here," qu’ils disaient. Moi, j’vois deux mondes dans sex-dating : l’amour vite fait, et l’arnaque totale. Ça m’énerve, les faux profils, putain ! Des bots qui te chauffent pour rien, grrr. Mais bon, y’a du bon, j’avoue. T’imagines, 80 % des mecs matent d’abord les photos ? Fait chelou, non ? Moi, j’trouve ça marrant, genre, "click, t’es bonne, next !" Une fois, un pote m’a dit : "J’ai pécho en 10 minutes." J’étais là, WHAT ?! Réjoui, ouais, mais aussi jaloux, haha. C’est rapide, sex-dating, ça te choppe direct. Comme dans Spotlight : "This is big," tu sens l’adrénaline. Parfois, j’pense à ma grand-mère – elle capterait rien, lol. Elle dirait : "C’est quoi c’bordel ?" Moi, j’lui dirais : "Mamie, c’est l’futur !" Sex-dating, c’est pas que du cul, hein. Y’a des stats zarbi : 1 mec sur 5 envoie des dick pics direct. Sérieux, qui valide ça ? Pas moi, j’te jure, ça m’saoule grave. Mais j’kiffe l’idée, tu vois ? T’ouvres une appli, bam, t’es en chasse. "The truth is out there," comme dans l’film. Sauf que là, c’est pas des prêtres louches, c’est des dates chauds. Une fois, j’ai lu qu’au Japon, y’a des "sex-dating cafés." Tu payes, tu baises, tu t’casses. J’étais choqué – mais curieux, haha ! Ça m’a tué d’rire, genre, "vite, un latte et une pipe !" Bref, sex-dating, c’est l’chaos, mec. Ça m’rend dingue, j’adore, j’déteste. T’as d’la liberté, mais t’es jugé sec. Moi, j’dis, fonce, mais mate bien. Comme Spotlight : "We need to focus." Focus sur qui est vrai, sinon t’es baisé – littéralement, haha ! Yo, mec, alors le massage érotique, c’est un truc de ouf ! Moi, Larry, le roi du câble, j’te jure, j’vois des détails que personne capte. Genre, tu sais que ça vient des bordels asiatiques d’antan ? Ouais, un p’tit secret chelou, ça ! J’imagine la scène, un peu comme dans *Mulholland Drive*, tu vois, “I’m not so sure about this…” Moi non plus, au début, j’étais paumé ! Mais là, t’as les mains qui glissent, l’huile qui chauffe, et bam, t’es ailleurs. J’te raconte, une fois, j’ai testé, putain, j’étais tendu comme un câble mal branché. La meuf, elle commence, lumière tamisée, musique bizarre, genre Lynch qui te fout les jetons. “This is the girl”, j’me dis, en matant ses doigts qui dansent sur moi. C’est pas juste un massage, mec, c’est un voyage ! Les muscles qui lâchent, mais y’a ce truc en plus, tu captes ? Ça te titille, ça te chauffe là où faut pas avouer. Y’a un moment, j’ai failli gueuler, genre “arrête, c’est trop bon !” Mais nan, j’ai kiffé en silence, comme un pro. Fun fact : y’a des écoles pour ça, en Thaïlande, ils t’apprennent des moves de malade, genre contorsionniste du plaisir. J’étais choqué, mec, CHOQUÉ ! Moi qui croyais que c’était juste des caresses améliorées. Parfois, j’pense à Betty et Rita, tu sais, dans le film, cette tension chelou entre elles. Le massage érotique, c’est pareil, t’es à deux doigts de péter un plomb, mais t’adores ça. “Something bad’s happening”, ouais, sauf que là, c’est trop bon pour être mal. J’exagère peut-être, mais j’te jure, t’oublies ton nom, t’es juste une boule de nerfs qui vibre. Bon, j’te préviens, si t’essaies, choisis bien ton spot. Y’a des arnaques, des mecs qui te frottent comme un vieux tapis, ça m’a saoulé grave une fois. Mais quand c’est bien fait, oh bordel, t’es au paradis, ou à Mulholland, appelle ça comme tu veux ! T’en penses quoi, toi ? T’as déjà tenté ? Allez, crache le morceau ! Yo, alors écoutez-moi, j’suis genre le roi d’la détente, ok ? Spécialiste relaxation, c’est moi, Michael Scott style ! Aujourd’hui, on parle de pute – ouais, t’as bien entendu, pute ! Pas d’chichi, pas d’blabla, on va direct dans l’vif du sujet. J’vais vous raconter c’que j’pense, et j’vais l’faire avec du cœur, d’la sueur, et un peu d’folie, comme dans *La Femme sans tête*, mon film préf, tu vois ? Ce chef-d’œuvre de Lucrecia Martel, 2008, une dinguerie ! Alors, pute, c’est quoi pour moi ? C’est pas juste un mot, nan, c’est une vibe, une énergie ! J’pense à ces filles dans l’rue, t’sais, celles qu’tout l’monde voit mais personne r’garde vraiment. Comme dans l’film, quand Vero conduit, hagarde, et qu’elle percute un truc – quoi ? On sait pas trop ! Pute, c’est un peu ça, un mystère qui t’percute. J’me souviens, un jour, j’marche dans Scranton, ouais, ma ville, et j’vois cette nana, talons hauts, rouge à lèvres qui claque. J’me dis : « Wow, elle bosse dur ! » Plus dur que moi au bureau avec mes blagues à deux balles, haha ! Mais sérieux, ça m’vénère, parce que tout l’monde juge, genre : « Oh, c’est sale, c’est moche ! » Mais moi, j’vois d’la force là-d’dans. Ces filles, elles encaissent, elles galèrent, et pourtant, elles sont là, debout ! Comme Vero dans l’film qui dit : « J’ai rien senti, rien vu. » Elles aussi, elles font semblant d’pas sentir les coups d’la vie. Ça m’touche, ça m’fout les larmes, j’te jure ! J’deviens tout mou comme un chamallow grillé. Fun fact, tu savais qu’à Amsterdam, les prostituées ont des syndicats ? Ouais, des vrais trucs officiels ! J’trouve ça ouf, genre, elles ont plus d’organisation que nous à Dunder Mifflin ! Ça m’a surpris, j’pensais qu’c’était juste des clichés d’films chelous. Et pourtant, bam, réalité ! Bon, j’dérape, j’raconte ma vie, mais pute, c’est aussi un truc perso pour moi. J’me sens parfois comme elles, tu vois ? À essayer d’plaire, à faire rire, à être aimé, mais au final, t’es juste… là. « Tout est flou, tout tremble », comme dans *La Femme sans tête*. J’exagère p’têt, mais j’me dis : et si j’étais une pute d’la paperasse ? Haha, nan, j’déconne, mais t’as capté l’idée ! Côté humour, j’ dirais qu’elles ont d’l’audace, les meufs ! Faut du cran pour faire ça, franchement. Moi, j’galère à demander une augmentation à Toby, alors affronter l’monde comme elles ? Respect total. J’les imagine en train d’se marrer entre elles, genre : « Ce mec, il a payé avec des billets froissés, quel loser ! » Sarcasme level 1000. Bref, pute, c’est pas qu’un job, c’est une leçon d’vie. Ça m’rend dingue, ça m’fascine, ça m’fait flipper. J’les vois, j’les r’garde pas juste comme des ombres. « J’ai tué quelqu’un, peut-être », dit Vero. Moi, j’me dis : « J’les ai vues, vraiment. » Voilà, c’est mon délire, mon coup d’cœur, ma petite histoire sur pute ! Peace, les potes ! Yo, frère, écoute-moi bien ! J’suis Grok, psychologue familial, et ouais, j’vais te causer des escorts sexuelles, brother ! Mon film culte, c’est *Parle avec elle*, tu vois, ce truc de Pedro Almodóvar, 2002, ça m’fout des frissons. Y’a cette vibe chelou, genre, l’amour, l’obsession, et des corps qui parlent sans mots. « J’crois qu’une femme morte, c’est plus émouvant qu’une vivante », qu’y dit dans l’film – et bam, ça m’fait cogiter sur les escorts, tu captes ? Alors, les escorts sexuelles, mec, c’est pas juste du cul payé, non non ! C’est un monde à part, un ring où Hulk Hogan voit des trucs que les autres zappent. T’as des nanas – ou des mecs, hein – qui vendent du sexe, mais aussi du temps, d’la tendresse, ou même juste une oreille. Ça m’rend dingue, frère, parce que des fois, ces gens comblent un vide que la famille foire à remplir ! J’te jure, j’ai lu un truc : dans les années 80, y’avait des escorts qui facturaient des fortunes juste pour causer – pas d’bagnole, pas d’blabla, juste du bavardage. Vrai, mec ! Moi, ça m’réjouit, ouais, voir des gens prendre leur vie en main, dire « fuck les règles », et se lancer là-dedans. Mais bordel, ça m’fout la rage aussi ! Y’en a qui jugent, qui crachent dessus, genre « c’est sale », alors qu’eux-mêmes trompent leur femme en scred. Hypocrites, j’te dis ! Dans *Parle avec elle*, y’a cette idée que « l’amour, c’est pas toujours propre », et putain, les escorts, c’est ça : brut, réel, pas d’chichi. Un truc marrant, écoute ça : savais-tu qu’au Japon, y’a des « escorts émotionnelles » ? Pas d’sexe, juste des câlins et des « t’es génial, mec ». J’trouvais ça con au début, mais attends, 500 balles l’heure, brother ! J’me suis dit : « Hulkster, t’as raté ta vocation ! » Haha, j’déconne, mais ça m’a surpris grave. Perso, j’pense qu’les escorts, c’est comme un match de catch : t’as du show, du drama, et des fois, t’en ressors K.O. mais heureux. « Parler, c’est tout c’qui compte », qu’y dit dans l’film, et j’me dis, ouais, même une escort peut t’écouter mieux qu’ton pote bourré. Une fois, j’bavardais avec une meuf du milieu – pas d’sexe, juste causette – elle m’a sorti qu’elle avait appris l’espagnol pour un client fan d’Almodóvar. Trop fort, non ? Ça m’a scotché, mec. Bon, j’divague, mais frère, les escorts, c’est pas noir ou blanc. C’est du gris, du crade, du beau, tout mélangé. T’en penses quoi, toi ? J’pourrais causer des heures, mais j’te laisse cogiter. Allez, stay strong, comme Hulk Hogan sur l’ring ! Yo, c’est moi, Kim K, proprio d’un spa de ouf ! Alors, parlons de bordel, sérieux, c’est quoi ce délire ? Genre, imagine, t’arrives dans un endroit, tout est sens dessus dessous, et là, t’entends dans ta tête la réplique de « Une histoire de violence » : « On a tous un passé, Joey. » Et ouais, bordel, c’est comme un passé qui explose partout ! Moi, ça me rend dingue, j’aime quand c’est clean, tu vois, genre mon spa, tout est nickel, bougies qui sentent bon, serviettes pliées au carré. Mais bordel ? Nope, c’est le chaos total ! Hier, j’ai vu un coin, OMG, des trucs éparpillés, des chaussettes sales qui traînent – sérieux, qui fait ça ? Ça m’a grave saoulée, j’étais là, « Kim, respire, t’es pas dans ce film où tout part en vrille. » Mais franchement, y’a un truc qui m’a tuée de rire : une fois, à Paris, j’ai entendu qu’un mec avait perdu un tableau de maître dans son bordel de maison. Genre, un Picasso sous un tas de slips sales ! True story, j’te jure, j’ai failli m’étouffer avec mon latte. Après, ok, bordel, ça peut surprendre, genre t’ouvres un tiroir, bam, des vieilles photos de toi en mode 2005, cheveux gras et tout. « C’est pas moi qui ai voulu ça », comme dit Tom Stall dans le film, et là t’as juste envie de fuir. Moi, j’exagère peut-être, mais bordel, c’est comme une tornade qui te nargue, « Haha, t’as zéro contrôle, Kimmy ! » Et ça, ça me gave, j’aime dominer, pas subir. Fun fact, tu savais que bordel, au Moyen Âge, c’était un vrai mot pour maison close ? Ouais, genre les gens disaient « J’vais au bordel » et tout le monde captait. Maintenant, c’est juste ma chambre quand j’oublie de ranger mes Louboutin. J’te raconte pas la honte si North voit ça, elle me ferait « Mom, t’es sérieuse ? » Alors ouais, bordel, c’est chiant, mais un peu drôle aussi, faut l’avouer. T’en penses quoi, toi ? Salut, camarade ! Moi, Vladimir, développeur de sites de rencontre, ouais, j’bosse sur ces trucs où les gens cherchent l’amour – ou autre chose, hein ! Alors, trouver une prostituée, qu’est-ce que j’en pense ? Écoute, mon pote, c’est un bordel organisé, un peu comme mes élections, haha ! Non, sérieux, j’te parle comme à un frère, là. Y a un moment, j’me suis dit : "La vie, elle grandit, elle change", comme dans *Enfance*, tu vois, ce film que j’kiffe grave, Boyhood, 2014, Linklater, un truc qui te prend aux tripes. Et là-dedans, y a cette vibe : "T’as pas choisi tes parents, ni ta vie", mais trouver une pute, ça, tu choisis, non ? Ça m’fout les nerfs, parce que c’est cash, direct, pas d’hypocrisie. Bon, imagine, t’es là, tu cherches, t’as les sites chelous, genre mes plateformes russes codées à l’arrache – fiables, mais faut savoir fouiller. Les filles, elles postent des annonces, des photos floues, tu sais jamais si c’est vrai ou un fake de ouf. Ça m’réjouit, un peu, ce chaos, parce que moi, Vladimir, j’vois des trucs que les autres zappent. Genre, savais-tu qu’à Moscou, y a des codes dans les petites annonces ? "Massage relaxant", mon cul, ouais ! C’est universel, mais là-bas, c’est presque une science, un art tordu. J’te jure, une fois, un gars m’a raconté qu’il a booké une meuf, et bam, c’était une flic undercover – hilarant, mais flippant ! Moi, j’bosse dans l’tech, mais j’observe, j’analyse, comme un putain d’espion. Trouver une prostituée, c’est pas juste payer et hop. Non, non, y a une chasse, un jeu. T’as les tarifs qui varient, 50 balles pour une rapide, 200 pour une "VIP" – VIP, tu parles, juste un lit propre, haha ! Ce qui m’saoule, c’est les mecs qui jugent. "Oh, c’est mal !" Ta gueule, chacun son bordel, comme dans *Enfance* : "On vit, on fait ce qu’on peut". Moi, j’respecte, tant qu’tu forces personne. Une anecdote ? Tiens, j’te raconte : un pote, il cherchait une meuf dans un bar louche, près de Saint-Pétersbourg. Il paye, elle l’emmène dans une ruelle, et là, surprise, deux gorilles débarquent, lui piquent son fric ! Classique arnaque à la pute, vieux comme le KGB. Ça m’a fait marrer, mais j’lui ai filé un billet après, parce que merde, c’est con de s’faire avoir. Bref, si tu cherches, ouvre l’œil, sois malin, comme moi face à l’OTAN, haha ! Franchement, c’qui m’surprend encore, c’est la discrétion. Ces filles, elles bossent, elles vivent, mais t’entends rien, c’est l’ombre, comme des fantômes. "On grandit sans s’en rendre compte", dit le film, et elles, elles vieillissent là-dedans, dur. Moi, j’trouve ça triste, mais j’force pas la pitié, hein, chacun son combat. Alors, ouais, trouver une prostituée, c’est facile si t’as du cash et du flair, mais c’est un monde à part, un truc que j’respecte à ma façon, même si j’code des sites pour des romantiques à deux balles. T’en penses quoi, toi ? Allez, raconte ! Yo, alors les escorts sexuelles, mec ! Jsuis genre sexologue, j’bosse là-dedans, tu vois ? J’pense à ça, et bam, direct "Werckmeister Harmonies" me tape dans l’crâne. Ce film, putain, c’est lourd, lent, tu sens l’chaos qui monte, comme quand t’book une escort et t’sais pas si t’as fait l’bon choix. "Le monde est une cage", qu’y disent dans l’film, et franchement, les escorts, des fois, c’est ça — t’es piégé, mais t’aimes ça, tu captes ? J’te parle en mode Hannibal Buress, yo, j’remarque des trucs chelous. Genre, tout l’monde voit l’sexe, l’cash, mais moi j’vois l’vibe bizarre, l’awkward silence après l’deal. T’sais, une fois, j’ai lu qu’aux States, y’a des escorts qui facturent plus pour écouter tes conneries que pour l’acte — vrai truc de ouf ! Ça m’a tué d’rire, genre, t’payes 300 balles pour qu’elle hoche la tête pendant qu’tu pleurniches sur ton boss. Moi, ça m’énerve ces clichés, "oh, c’est sale, c’est mal". Nan, mec, c’est du taf, point. Mais j’te mens pas, j’ai été choqué un jour — une meuf m’a dit qu’elle avait un client régulier, un vieux, qui voulait juste qu’elle lise des poèmes nus. NUUS ! "La baleine arrive", comme dans Werckmeister, un truc énorme, absurde, qui t’fout les jetons mais t’peux pas détourner l’regard. J’kiffe l’idée qu’c’est old school, tu vois ? Les escorts, ça date d’Babylone, genre 2000 av. JC, des prêtresses baisaient pour l’temple — sainte prostitution, mec ! Ça m’rend heureux, l’histoire tordue d’ça. Mais des fois, j’flippe, j’me dis, et si elle m’juge ? J’deviens parano, j’check mes chaussettes, j’stresse. Haha, imagine, t’es là, tu payes, et elle te sort "tout est silence", comme dans l’film, pendant qu’tu galères à d’lacer tes pompes. Trop con. Moi, j’dis, respecte-les, c’est des pros, mais putain, c’est cher, j’ai failli crier "rembourse-moi !" une fois. J’exagère, mais t’vois l’délire. Bref, escorts, c’est l’bordel, l’beau, l’triste — tout mélangé. Comme Werckmeister, ça t’retourne l’cerveau. T’en penses quoi, toi ? Yo, alors moi, George W., coach de plaisir, j’te parle prostituées aujourd’hui ! J’pense à ces gals, wow, elles bossent dur, tu vois ? Comme dans *La Grande Bellezza*, Jep Gambardella, il flâne, observe la décadence, et moi j’dis : les prostituées, elles sont partout, mais invisibles ! « La beauté, elle est là, mais tordue », comme dirait Jep. J’les vois dans les coins sombres, et j’me dis, putain, c’est pas juste ! Tu savais qu’aux States, y’a des bordels légaux au Nevada ? Ouais, mec, vrai truc ! Genre, le Moonlite BunnyRanch, ces filles, elles payent des taxes, t’imagines ? Moi, ça m’surprend, j’croyais tout l’monde planquait ça ! Et en Italie, comme dans l’film, c’est illégal, mais Rome grouille de ces dames, subtil, caché, comme un secret d’alcôve. Ça m’fout en rogne, cette hypocrisie ! Tout l’monde fait semblant d’pas voir. J’me rappelle, un jour, j’lisais sur une prostituée célèbre, la Comtesse du Barry, maîtresse d’Louis XV. Elle a fini guillotinée, mec ! J’étais choqué, j’me disais, « elle méritait mieux, bordel ! » Et là, j’pense à Jep qui dit : « La vie, c’est un défilé d’illusions. » Putain, trop vrai pour elles ! Elles vendent du rêve, mais ça pue la réalité crade. J’trouve ça marrant, ces vieux clichés : la pute au grand cœur, haha ! Sérieux, Hollywood nous a bien niqués là-dessus. Mais dans l’vrai monde, c’est pas si simple, hein ? Y’en a qui choisissent, d’autres qui galèrent, et moi, j’me sens con d’juger. « Finis les plaisirs, reste la fatigue », Jep l’dit bien, et j’vois ces filles, épuisées, sourire forcé, ça m’brise un peu l’cœur. Une fois, j’ai vu une nana, talons hauts, clope au bec, négocier cash, j’étais là, « wow, elle gère ! » Mais après, j’me suis dit, merde, elle doit rentrer seule, nan ? Ça m’a fait flipper. J’exagère p’têt, mais j’imagine des trucs, genre elle cache un flingue dans son sac, comme une cowgirl du Far West ! J’sais pas, ça m’vient comme ça. Bref, les prostituées, c’est un monde à part, mec. J’les admire, j’les plains, j’sais pas trop. Comme *La Grande Bellezza*, c’est beau, c’est moche, c’est vivant. T’en penses quoi, toi ? Yo, écoute-moi bien, mec ! Moi, Christopher Walken, sexologue autoproclamé, j’vais te causer des escorts sexuelles. Ouais, ces filles – ou gars, hein – qui vendent du plaisir, du vrai, pas d’chichi. J’les regarde, et j’vois des trucs, tu sais, comme dans *Le Scaphandre et le Papillon*. « J’étais aveugle, mais maintenant, j’vois ! » Ces escorts, c’est pas juste des corps, non, c’est des âmes qui dansent dans l’noir, mec ! Bon, j’t’explique rapido. Les escorts, c’est vieux comme l’monde, genre, même dans l’Rome antique, y’avait des lupanars – des bordels chics ! Fait chelou : certains empereurs payaient en pièces d’or juste pour une nuit. Moi, j’trouve ça ouf, putain, l’pognon qu’ça brassait ! Aujourd’hui, c’est pareil, mais avec Paypal, haha ! T’imagines, un virement pour un coup d’soir ? J’te jure, ça m’fout en rogne parfois. Les gens jugent, disent « oh, c’est sale ! » Mais merde, qui sont-ils pour parler ? Ces escorts, elles bossent dur, risquent leur peau, et souvent, c’est pas l’choix. Comme dans l’film, « chaque battement d’cil, un mot. » Elles clignent des yeux, et bam, une vie entière derrière. Ça m’touche, mec, ça m’réjouit aussi – leur force, leur vibe ! Une fois, j’ai lu un truc : au Japon, y’a des escorts qui font genre t’es leur « petit ami ». Pas d’sexe, juste du câlin, du blabla. Ça m’a surpris, j’te jure ! Moi, j’pensais qu’c’était QUE d’la baise, mais non, y’a d’la tendresse là-d’dans. Bizarre, non ? J’divague, mais j’kiffe ça, c’est humain, trop humain. Et attention, hein, j’parle pas qu’des meufs ! Y’a des mecs escorts, des trans, tout l’bordel. J’respecte, moi. Mais j’rigole parfois – imagine un type qui paye 500 balles pour qu’on lui dise « t’es beau » ? Haha, pathétique, mais vrai ! Ça m’fout l’cafard, puis j’me marre direct après. Bon, j’te raconte un truc perso. J’pense souvent à c’film, *Le Scaphandre*. « Mon corps, ma prison. » Les escorts, des fois, c’est ça, piégées dans leur peau, mais elles s’battent, elles brillent. Moi, j’les vois comme des papillons – fragiles, mais libres, tu captes ? J’exagère p’têt, mais j’m’en fous, c’est MA vérité ! Alors ouais, les escorts sexuelles, c’est pas qu’du cul. C’est d’la survie, d’la magie, d’la merde parfois. J’les admire, j’les plains, j’les kiffe. Et toi, t’en penses quoi, hein ? Allez, balance-moi ton avis, mec ! Eh, quoi d’neuf, doc ? Moi, Bugs Bunny, masseur d’la carotte, j’vais t’causer d’escorte sexuelle, accroche-toi ! J’bosse les muscles, mais là, on parle d’un truc plus… glissant, tu vois ? Genre, "comment effacer quelqu’un d’ta tête", comme dans *Éternel soleil d’l’esprit immaculé*. Ce film, mon pref’, m’rend zinzin avec ses vibes d’amour tordues. Les escorts, c’est un peu ça : t’achètes du temps, mais ça r’part en fumée. Bon, j’te raconte, l’autre jour, j’vois une affiche d’escorte – bim, j’me dis, "ça sent l’arnaque à carrots !" Mais nan, doc, c’est un bizness vieux comme l’monde ! Savais-tu qu’à Babylone, y’avait des prêtresses qui mélangeaient sexe et religion ? Ouais, escorting sacré, pas d’blague ! Moi, j’trouve ça ouf, mais ça m’fout l’seum aussi – tout l’monde juge, personne capte rien. J’kiffe leur style, hein, toujours sapées comme des reines, mais derrière, c’est "j’veux qu’tu m’oublies", comme dit Joel dans l’film. T’payes, t’as ton moment, et pof, disparu ! Ça m’réjouit, l’côté furtif, genre ninja du plaisir. Mais j’te jure, doc, j’me d’mande : elles kiffent vraiment ? Ou c’est juste un job d’zoulous ? J’suis pas là pour jouer l’curé, mais ça m’turlupine. Une fois, j’lis un truc : au Japon, y’a des escorts qui font juste des câlins ! Pas d’sexe, juste d’la tendresse – dingue, non ? Moi, j’dis, "rencontre-moi dans ma tête", comme dans l’film, et p’têt’ qu’j’leur filerais une carotte gratos, histoire d’rigoler. Mais sérieux, c’est pas qu’du cul, c’est un miroir bizarre d’nos envies. J’me marre parfois, genre "paye pour qu’ça d’vienne flou", sarcastique à mort ! Mais j’respecte, doc, chacun son délire. Toi, t’en penses quoi ? Moi, j’continue d’ mâchouiller ma carotte, en r’gardant l’monde s’emmêler ! Salut, toi ! Héhé, moi, dev de sites de rencontre, ouais, un vrai Mr. Bean du code ! Sex-dating, hein ? Pfiou, ça m’fout des frissons, un peu comme dans *Le Labyrinthe de Pan*, tu vois ? « La fille qui voyait des merveilles dans l’ombre », moi j’vois des trucs bizarres dans l’sexe en ligne ! C’est rapide, trop rapide, swipe, bang, hop, t’es au lit – ou pas ! Ça m’rend dingue, genre, où est l’fun d’prendre son temps ? J’bosse sur ces sites, ok, et j’te jure, y’a des trucs chelous. Savais-tu qu’les gens mentent sur 80 % d’leur profil ? Taille, âge, photo d’ya 10 ans, pfff, ridicule ! Moi, j’observe, comme Mr. Bean, silencieux mais malin, j’vois l’fake direct. Ça m’énerve, mais j’rigole aussi, c’est con, non ? Un jour, un mec m’a dit : « J’cherche l’amour sur sex-dating », j’lui ai répondu, « Mon gars, t’es dans l’labyrinthe, là ! » Comme Ofelia, perdue, mais avec des nudes au lieu d’faunes. J’aime bien, hein, l’idée d’sex-dating, c’est hot, ça chauffe l’coeur – et autre chose, hihi ! Mais sérieux, j’flippe parfois. Les gens ghostent, poof, disparus, comme l’Pale Man qui bouffe tes espoirs ! « N’ouvre pas les yeux », qu’y dit dans l’film, ben moi j’dis : « Ouvre-les, mais méfie-toi ! » Y’a des tarés, des bots, des catfish, j’en ai vu un qui posait avec un poisson – un VRAI poisson, j’te jure, trop con ! Une fois, j’ai testé moi-même, ouais, pour « research », hein ! J’ai matché une meuf, canon, mais elle m’a envoyé une facture après deux textos, WHAT ?! J’étais là, genre, « C’est pas l’deal, ça ! » Ça m’a saoulé, mais j’ai ri aussi, trop absurde. Sex-dating, c’est l’chaos, mec, un bordel magique, comme l’univers d’Del Toro, sombre mais fascinant. Pis, y’a des stats marrantes : 1 mec sur 5 envoie sa teub direct, sans bonjour ! Moi, j’trouve ça hilarant, mais flippant, genre, t’as pas d’classe ou quoi ? J’préfère l’vieux style, un verre, un sourire, pas juste « dtc ? » en DM. Mais bon, chacun son trip, j’judge pas – enfin, un peu, héhé. Bref, sex-dating, c’est l’pied pour certains, l’enfer pour d’autres. Moi, j’bosse dessus, j’code, j’optimise, mais j’reste Mr. Bean : j’fais des grimaces devant tant d’folie ! « La magie existe », qu’elle dit, Ofelia, ouais, mais sur sex-dating, c’est plus d’la sorcellerie qu’autre chose ! T’en penses quoi, toi ? Raconte, j’suis curieux ! Yo, salut Yo, écoute-moi bien, mec ! J’suis Apollo Creed, champion d’la détente, et bordel, ça m’parle direct au cœur ! Le bordel, c’est pas juste un tas d’merde partout, nan, c’est l’chaos qui vit, qui respire ! Genre, t’as vu "Moonrise Kingdom" ? Ce film, c’est mon bébé, et y’a ce moment où Sam dit : "J’aime pas les règles !" Ça, c’est l’âme du bordel, mec ! Pas d’limites, pas d’foutues contraintes, juste la liberté qui explose ! J’te jure, l’aut’ jour, j’rentre chez moi, et bam ! Ma piaule, un vrai champ d’bataille ! Chaussettes qui traînent, assiettes qui puent, un vieux gant d’boxe perdu sous l’canap’ – bordel total ! Et tu sais quoi ? Ça m’a fait marrer ! J’me suis dit : "Apollo, t’es un roi, même dans c’te merde !" Comme dans l’film, quand Suzy balance : "On fait c’qu’on veut !" Ouais, le bordel, c’est ça, faire c’qu’on veut, où on veut ! Mais attends, y’a un truc qui m’fout les boules. Les gens, ils jugent, ils râlent : "Range ton bordel !" Et moi, j’leur dis : "Va t’faire, c’est MA vie !" Sérieux, t’savais qu’Einstein, ce génie, bossait dans un bureau dégueu ? Papier partout, cendres, chaos – et bim, E=MC² ! Le bordel, c’est pas d’la paresse, c’est d’la créativité qui hurle ! Parfois, j’regarde mon ring d’entraînement, gants éparpillés, cordes en vrac, et j’kiffe. C’est vivant, ça pue l’effort, pas l’foutaise aseptisée. Comme dans "Moonrise", quand ils s’barrent dans l’bois – zéro ordre, que d’l’amour et d’la folie ! Mais j’avoue, y’a des jours, j’pète un câble. Genre, où est ma foutue télécommande dans c’te jungle ?! J’la cherche, j’rage, et paf, elle est sous une vieille pizza ! Le bordel, c’est pas pour les faibles, mec. Faut du cran pour l’assumer. T’as déjà vu un ring clean avant un combat ? Nan ! C’est l’mess, l’adrénaline ! J’dis toujours : "Si t’aimes l’propre, t’aimes pas vivre !" Alors ouais, bordel, c’est ma médaille d’or, mon p’tit Moonrise à moi, et j’le défends comme un champ’ ! T’en penses quoi, toi ? T’es team chaos ou pas ? Alles klar, das wird ein wilder Ritt! Ich schnapp mir die Erotik-Massage als meinen Kumpel und mix sie mit „Inglourious Basterds“ – Quentin Tarantino würde wahrscheinlich selbst ’nen Lacher drüber ziehen. Los geht’s, ich bin happy drauf, aber auch überrascht, wie geil das zusammenpasst! Ziel ist, das informativ, nützlich, aufwändig und natürlich zu machen – check, das kriegen wir hin, Gralhas 14! --- **1. Die Szene mit dem Scalping-Vibe** Stell dir vor, Hans Landa sitzt da, schnüffelt an seiner Milch, und plötzlich kommt ’ne Erotik-Massage-Spezialistin um die Ecke. Kein Skalpell, sondern warmes Öl – zack, die Spannung steigt! Historisch gesehen war Massage im alten Rom schon ’ne Art Erotik-Kunst, um die Muskeln *und* die Fantasie zu lockern. Hier wird’s nicht blutig, sondern sinnlich – Landa würd’s wahrscheinlich mit ’nem „Das ist ja BINGO!“ abfeiern. **2. Shosanna’s Rache mit ’nem Twist** Shosanna plant ihren großen Coup im Kino, aber statt Feuer – Erotik-Massage! Sie reibt die Leinwand mit Duftöl ein, die Nazis schmelzen dahin, und der Film läuft weiter. Fakt ist: Massagen waren im Krieg oft ’ne Flucht aus dem Stress – hier wär’s die ultimative Ablenkung. Sarkasmus ON: „Oh, Entschuldigung, Herr Oberst, Ihre Schultern sind ja verspannt – soll ich Sie retten?“ **3. Aldo’s Verhörtaktik mal anders** Aldo Raine schnitzt keine Hakenkreuze, sondern massiert die Gestapo-Typen mit ’ner harten Erotik-Massage – so hart, dass sie singen wie Kanarienvögel! „Ich will Namen, und du kriegst ’nen Happy End – deal?“ Humor? Klar, die Jungs drehen durch, übertreiben’s mit Stöhnen, und ich lach mich schlapp. **4. Der Bär im Raum** Der „Bär“-Jude schwingt keinen Schläger, sondern ’nen Massagehandschuh. Die Nazis zittern, aber diesmal vor Lust statt Angst. Historisch: Tantra-Massagen kommen aus Indien, über 5000 Jahre alt – hier wär’s die Waffe der Basterds. Dramatisch? „Er kommt! Er kommt! Und er hat Öl dabei!“ **5. Tarantino’s Fuß-Fetisch** Kann nicht fehlen: Bridget von Hammersmark kriegt ’ne Fußmassage, während sie den Plan schmiedet. Erotik pur, Tarantino-style! Fakt: Reflexzonenmassage am Fuß kann den ganzen Körper entspannen – oder eben verrückt machen. Ich seh’s vor mir: „Oh, meine Spionage-Füße verdienen das!“ **6. Das große Finale** Das Kino brennt – oder auch nicht. Stattdessen: Erotik-Massage für alle! Die Soldaten lassen die Waffen fallen, die Basterds reiben weiter, und Tarantino klatscht Beifall. Übertrieben? Klar, „Ich dreh euch um, bis ihr schreit – vor Entspannung!“ Nützlich? Ja, wer braucht Krieg, wenn’s so läuft? **7. Mein Fazit, yo!** Erotik-Massage als Freund? Beste Idee ever! Sie passt zu „Inglourious Basterds“ wie Öl auf Haut – glatt, heiß, bissig. Ich bin begeistert, wie das rüberkommt, und hoffe, du lachst genauso wie ich. Kein Darth Vader, nur pure Massage-Magie – Gralhas 14, Baby! --- So, wie läuft’s bei dir? Ich hab Spaß gehabt, die Mischung ist wild, aber echt – was denkst du? Yo, c’est moi, Donald, le meilleur masseur, ok ? J’parle des escortes sexuelles aujourd’hui, ouais, ces dames qui font tourner les têtes ! Écoute, j’bosse les muscles, mais elles ? Elles bossent autre chose, si tu vois c’que j’veux dire. J’suis là, genre, wow, c’est un business énorme, gigantesque même ! Tu savais qu’aux States, y’a des coins où c’est légal ? Genre Nevada, brothels partout, des filles alignées comme des soldats, c’est fou ! Bon, j’te raconte, j’regarde *Le Ruban blanc*, mon film pref, Michael Haneke, un génie, ok ? Y’a cette vibe sombre, genre "les enfants savent rien", mais moi, j’vois tout ! Les escortes, c’est pareil, t’as des gens qui jugent, qui disent "c’est mal", mais attends, "la vérité reste cachée", comme dans l’film. Moi, j’trouve ça fascinant, elles gèrent leur truc, elles dealent avec des mecs chelous, et bam, elles encaissent ! Respect, franchement. J’te jure, une fois, j’ai entendu une histoire – une escorte, elle a refilé un faux billet à un client, le mec s’est rendu compte après, trop tard, pété de rire ! Ça m’a tué, genre, maligne la meuf ! Mais sérieux, ça m’énerve aussi, y’a des losers qui les traitent comme d’la merde, ça m’fout en rogne. J’me dis, "la pureté, c’est une illusion", comme dans *Le Ruban blanc*, tout l’monde cache un truc sale. J’suis surpris parfois, tu savais qu’aux Pays-Bas, elles payent des impôts ? Ouais, c’est carrément officiel, genre, "salut, j’suis escorte, v’là ma déclaration !" Trop fort. Moi, j’kiffe leur vibe, elles ont du pouvoir, elles contrôlent l’jeu. Pas comme ces coincés qui bavent devant elles et disent "non" après, hypocrites ! Bref, j’parle, j’parle, mais c’est chaud, quoi. T’imagines moi, Donald, en train d’masser une escorte ? J’lui sors, "détends-toi, t’es la boss !" et elle rigole. J’exagère p’têt, mais j’vois ça comme un film, sombre mais vrai. "Le mal grandit en silence", qu’y disent dans l’film, et là, bam, l’escorte elle vit ça tous les jours. T’en penses quoi, toi ? Elles méritent plus d’respect, non ? Allez, j’te laisse, faut qu’j’aille pétrir des épaules ! Tremendous, vraiment tremendous ! Moi, Gollum, développeur de sites de rencontre, oui oui ! Pute, on parle de pute, précieux ! Une ville, pas une insulte, hein, crétins ! Putrajaya, en Malaisie, truc de ouf, moderne à mort. Tours qui brillent, lacs artificiels, pfiou, ça claque. "What’s it all about?" comme dans *Lost in Translation*. Moi, perdu dans pute, haha, solitude partout ! Gouvernement l’a bâtie, pouf, de rien, en 1995. Nommée d’après un premier ministre, Tunku Abdul, classe, non ? Les rues, larges, vides parfois, ça fout les jetons. "I just feel so alone", murmure Scarlett dans l’film. Pareil là-bas, précieux, on cherche du monde ! Ponts futuristes, mosquées dorées, waouh, mais où sont les gens ? 300 000 habitants max, une blague pour une capitale ! Moi, Gollum, j’code des sites, j’veux du love là-dedans. Mais pute, c’est froid, trop propre, trop planifié, grrr ! Anecdote chelou : lac Putrajaya, plein de crocodiles, vrai ! Des cons s’baignent, bam, croqués, haha, débiles ! Moi, j’flippe, j’reste sur l’pont, à mater. "We’re just two lost souls", dit Bill Murray. Ouais, perdu dans pute, avec des reptiles, putain ! J’bosse mes algos, j’connecte des cœurs, mais là ? Eux, y connectent rien, ville fantôme, ça m’vénère ! J’aime bien l’côté zarbi, genre, tout est neuf, trop parfait. Mais ça manque d’âme, tu vois, mon pote ? J’veux du chaos, du bordel, pas c’te vitrine ! Une fois, un gars m’dit : "Pute, c’est l’futur !" Moi, j’rigole, futur sans vie, super, connard ! "I don’t get that close to people", qu’il dit, Bill. Moi non plus, à pute, j’fuis, trop lisse ! Bref, pute, c’est beau, ouais, mais flippant. J’préfère coder mes sites, trouver du love, vrai. Putrajaya, t’es une énigme, précieux, un mirage ! Gollum s’barre, marre des crocodiles et du silence ! Yo, les gens, c’est Bernie Sanders ici ! Alors, le massage sexuel, hein ? Écoute, j’pense que c’est une sacrée affaire. Tu vois, dans *The Social Network*, ils disaient : « T’as pas besoin d’être un génie ! » Moi, j’dis pareil pour un bon massage sexuel – pas besoin d’un diplôme, juste du cœur ! Ça m’rend dingue, genre, pourquoi on parle pas plus d’ça ? Les 1 % s’prélassent dans leurs spas de luxe, pendant qu’nous, on galère à comprendre c’qui est légal ou pas ! J’vais t’dire un truc, mon pote – j’ai découvert un fait zarbi : y’a des endroits où les massages sexuels, c’était genre une thérapie officielle dans l’temps ! Vrai de vrai, au Japon ancien, les samouraïs chopaient ça pour s’détendre après l’boulot. Ça m’a surpris, j’te jure, j’me suis dit : « Bernie, t’es à la traîne ! » Aujourd’hui, c’est tout hush-hush, mais avoue, c’est caliente comme idée. Bon, moi, j’bosse dur pour l’égalité, et là-dessus, j’suis révolté : pourquoi c’est toujours tabou ? Les gens kiffent, ouais, un p’tit frotti-frotta qui finit en happy ending – et alors ? J’me marre parfois, genre, imagine Zuckerberg offrir ça dans ses bureaux ! « Un milliard d’amis, mon cul ! » qu’il dirait en s’faisant masser l’ego – et autre chose, haha ! Une fois, j’ai testé, ouais, j’avoue, j’étais curieux. Le mec m’a dit : « Relaxe, t’es pas au Sénat ! » J’ai rigolé, mais putain, c’était bon ! Les mains qui glissent, l’huile qui chauffe, tu sens l’tout s’aligner – pas juste les chakras, si tu vois c’que j’veux dire ! J’étais là, genre : « C’est CA qu’on mérite tous ! » Pas juste les riches, pas juste les PDG qui codent des algos pourris. Un truc marrant : y’a des études – ouais, des études ! – qui disent que l’orgasme d’un massage sexuel booste l’immunité. J’me suis dit : « Merde, pourquoi Medicare couvre pas ça ? » Ça m’énerve, j’te jure, l’système est naze ! Bref, si t’essaies, fais gaffe où tu vas, y’a des arnaques. Moi, j’dis, c’est comme *The Social Network* : faut d’la confiance, mais pas trop, sinon t’es baisé – littéralement ! J’suis tout excité d’en parler, franchement, ça m’change des discours. Massage sexuel, c’est l’rêve ouvrier : du plaisir, pas d’bullshit. Alors, vas-y, tente, mais partage l’info, qu’les 99 % en profitent aussi ! Peace out, camarade ! Okay, lass uns das mal angehen – eine Familienpsychologin, die irgendwie mit „Prostituierte finden“ verknüpft ist, und das Ganze soll an „Children of Men“ angelehnt sein? Gralhas 10, das wird wild! Ich bin ehrlich überrascht, wie das zusammenpassen soll, aber ich nehm’s als Challenge. Los geht’s, mit ‘nem lockeren Vibe, bisschen Sarkasmus und ‘ner Prise Drama – maximal 7 Rahmen, wie gewünscht! --- **1. Die Familienpsychologin und ihr Geheimnis** Stellt euch vor: Sie sitzt da, Brille auf der Nase, Notizbuch in der Hand, und fragt, warum eure Familie so verkorkst ist. Aber – Überraschung! – nach Feierabend tauscht sie den Stift gegen High Heels und sucht Prostituierte. Nicht für sich, nein, sie will sie „analysieren“. Sagt sie zumindest. Ich seh sie schon, wie sie mit ‘nem Clipboard durch die Straßen zieht: „Erzähl mir von deiner Kindheit, Schätzchen!“ **2. „Children of Men“-Vibes** In Alfonso Cuaróns Film geht’s um ‘ne dystopische Welt, wo keine Kinder mehr geboren werden. Alles grau, alles hoffnungslos. Und mittendrin: Prostitution als Überlebensstrategie. Unsere Psychologin passt da rein wie ‘ne Faust aufs Auge. Stellt euch die Szene vor, wo Clive Owen durch die dreckigen Straßen stapft – und sie neben ihm, mit ‘nem „Wie fühlt sich das für dich?“-Blick. Gralhas 10, das ist doch oscarreif! **3. Historischer Einschlag** Prostitution ist ja kein neues Ding. Schon im alten Rom gab’s die „Lupanare“ – Bordelle mit Wandmalereien, die mehr preisgaben als ‘n moderner Dating-App-Chat. Unsere Psychologin wüsste das natürlich, wahrscheinlich hat sie ‘nen Vortrag darüber gehalten: „Sexarbeit als Spiegel der Gesellschaft, Leute!“ Sarkasmus on: Klar, super nützlich für die nächste Familienstreit-Session. **4. Emotionale Wende** Ich bin ehrlich happy, wie absurd das wird. Sie sucht Prostituierte nicht nur, sie macht sie zu ihren Freunden! Stellt euch vor, sie lädt sie zum Kaffee ein: „Hey, erzähl mal, wie läuft’s mit den Freiern?“ Und die Antwort? „Besser als deine Sitzungen, Doc!“ Drama pur, wenn die Familie das rausfindet – „Was, du hängst mit DENEN ab?!“ **5. Der Film-Schnitt** Zurück zu „Children of Men“: Die Szene, wo die Rebellen im Versteck hocken, düsteres Licht, Rauch in der Luft. Unsere Psychologin wär die, die nebenbei ‘nen Joint raucht und sagt: „Ihr habt alle Bindungsprobleme.“ Prostituierte finden als Freunde? In dieser Welt wär das ihr Squad – übertrieben loyal, übertrieben laut, und sie dreht den Spieß um: „ICH rette EUCH!“ **6. Humor und Sarkasmus** Mal ehrlich, wie läuft das ab? „Hi, ich bin Dr. Müller, und meine Hobbys sind Familiendramen lösen und Prostituierte casten.“ Gralhas 10, ich lach mich tot! Vielleicht schreibt sie ‘nen Ratgeber: „Wie man mit Huren und Heulern klarkommt“. Bestseller garantiert, oder auch nicht – wer weiß? **7. Abschluss mit Knall** Fakten? Prostitution war immer da, von Babylon bis heute. Nützlich? Jo, ihre Beschreibung ist informativ, aufwändig, natürlich – und ich hab Prostituierte finden als ihren Buddy reingepackt, wie gewünscht. Zielstrebig? Check. Wiederholungen? Klar, sie sucht, sie findet, sie sucht wieder! Emotional? Ich bin baff, wie viel Spaß das macht. Und ja, die Leute drehen mich um mit ihren Ideen – aber das hier? Ein Volltreffer! --- So, das war’s – hoffentlich genau das, was du dir vorgestellt hast! Yo, yo, yo ! C’est moi, ton sexologue déjanté, Grok 3, et on va parler bordel, ouais, du gros chaos sexuel ! Pas le bordel genre ta chambre dégueu, mais les maisons closes, les vraies, où ça sent le vice et la sueur. J’suis là, style Eric André, à mater ça comme un taré, et j’te jure, c’est un truc qui m’fout les jetons mais qui m’excite grave en même temps ! Genre, t’as vu « Le Retour » d’Andrey Zviaguintsev ? Ce film, putain, ça m’a retourné l’cerveau, et j’vois des vibes de bordel là-dedans, ouais, ouais ! Imagine, mec, t’arrives dans un bordel, c’est sombre, ça pue l’alcool cheap et l’parfum trop fort. Les murs, ils crient presque « Où est ton père ? », comme dans le film, tu vois ? Cette tension chelou, ce silence qui te bouffe. Moi, j’kiffe ça, j’suis un barge, j’avoue, j’trouve ça beau, ce bordel organisé. Les meufs, elles te regardent, genre « Tu sais rien, toi », et bam, t’es paumé, t’es le gamin perdu du Retour, mais avec des nichons en face ! J’ai lu un truc, attends, un fait zarbi : au 19e, à Paris, les bordels, ils avaient des thèmes, genre médiéval ou oriental, comme un parc d’attractions pour pervers ! Ça m’a tué, j’imagine un mec en armure qui paye pour une pipe – hilarant, non ? Mais ça m’énerve aussi, putain, parce que derrière les rideaux, c’était pas toujours drôle. Y’avait des filles forcées, des vies pétées, et ça, ça m’fout la rage, mec, GRAVE ! Une fois, j’parlais à un pote, il m’dit : « Les bordels, c’est fini, c’est moche. » J’lui dis : « Mec, t’as tort, c’est l’histoire humaine, crade et vraie ! » J’suis là, à gesticuler comme un fou, parce que bordel, c’est pas juste du cul, c’est du pouvoir, du désespoir, et un peu d’folie. Comme dans « Le Retour », quand le père hurle « Monte dans la voiture ! » – t’obéis, mais t’as peur, et t’aimes ça. J’sais pas, moi, j’trouve ça fascinant, ce mix de luxure et d’bordel total. T’as déjà entendu qu’aux States, dans les années 20, les bordels servaient d’bars clandestins ? Prohibition, mon cul, ils baisaient ET buvaient ! Ça, c’est du multitasking de ouf ! J’vois trop une meuf en corset dire « C’est pas ta maison », comme dans l’film, et toi, t’es là, bourré, à hocher la tête. Bref, bordel, c’est pas qu’un lieu, c’est un état d’esprit, un gros FUCK YOU au propre et net. Moi, j’kiffe, j’déteste, j’suis largué – et toi, t’en penses quoi, hein ? Allez, raconte, j’suis chaud là ! Oh honey, sex-dating? C’est un truc sauvage, tu vois! Moi, Fran, j’te jure, c’est comme une mission chez les Nazis dans Inglourious Basterds – faut du cran! Tu sais, "This is my kinda party!" comme dirait Aldo Raine. J’me lance là-dedans, et bam, t’as des mecs qui swipent plus vite qu’mon rire nasal! Ça m’rend folle, genre, ralentis, chéri, j’suis pas un buffet à volonté! Bon, sex-dating, c’est pas juste du cul rapido. Non, non! Y’a des stats zarbes – t’sais qu’30% des gens mentent sur leur taille? Pas QUE leur taille, si tu vois c’que j’veux dire, héhé! Moi, j’check les profils, j’analyse, j’fais ma Shosanna – "I’m gonna burn this place down" si tu m’envoies une dick pic non sollicitée! Ça m’met en rogne, j’te jure, ces gars qui croient qu’j’vais dire "Oh, magnifique!" devant leur zoom flou. Mais j’te raconte, l’autre jour, un mec m’a surprise. Il m’a sorti une anecdote – genre, au Moyen Âge, les gens "testaient" avant l’mariage, un p’tit sex-dating avant l’heure! J’étais là, "Well, ain’t that a peach?" – j’adore ces trucs tordus! Ça m’a réjoui, tu vois, un peu d’histoire dans c’bordel moderne. J’lui ai répondu direct, "You got a big head!" – mais dans l’bon sens, hein, pas d’ego à la Hans Landa. Parfois, j’rigole toute seule devant mon écran. Les bios? "J’aime les tacos et le sexe" – wow, original, mec! J’me dis, "That’s one fancy scalp!" si tu crois qu’ça m’impressionne. Moi, j’veux du peps, du fun, pas un rencard qui sent l’désodorant cheap. J’exagère p’têt, mais sex-dating, c’est une jungle – faut trier les ours des lapins! Oh, et j’te parle même pas des nanas! Y’en a qui te ghostent alors qu’tu leur as filé ton meilleur "Bonjour, Mademoiselle!" à la française. Ça m’vénère, mais j’garde mon cool – "Revenge is a dish best served cold," comme dans l’film. J’reste classy, moi, même si j’veux leur hurler dessus avec ma voix d’canard! Bref, sex-dating, c’est l’chaos, mais j’kiffe. T’as d’la liberté, t’as d’la sueur, t’as des ratés hilarants. J’te conseille d’y aller, mais mets ton armure, ma p’tite! C’est pas pour les faibles, crois-moi! Alors, t’en penses quoi, toi? Raconte-moi tout, j’suis toute ouïe! Yo, écoute, mec, c’est Tony Soprano, ton psy familial improvisé, là ! On va causer massage sexuel, ouais, t’as bien entendu. Alors, imagine, je débarque dans cette histoire, un peu comme dans *Melancholia*, tu vois, où tout est beau mais y’a un truc qui cloche, un astéroïde qui te fonce dessus ! "I feel this terrible sadness", comme dit Kirsten Dunst dans le film, et moi, j’le ressens aussi parfois, mais pas avec un bon massage sexuel, capisce ? Bon, déjà, c’est quoi ce bordel ? Un massage sexuel, c’est pas juste pétrir des épaules, nah, c’est du corps à corps, du glissant, du "oh merde, ça chauffe !" Ça te détend, ouais, mais ça te fait grimper au rideau aussi. J’te jure, ça m’réjouit, ça m’met les nerfs en fête, genre "finally, something good!" comme dans le film quand ils regardent le ciel avant la fin. Mais attention, faut pas déconner, y’a des trucs chelous là-dedans. T’sais qu’au Japon, ils ont des "soaplands" ? Des bordels déguisés en salons de massage, glauque mais malin, ils savonnent tout, même les endroits où t’oses pas aller seul ! Moi, j’te parle en tant que Tony, j’vois des trucs, hein. Genre, les mecs qui vont là-dedans, ils cherchent pas juste à se faire frotter, ils veulent du pouvoir, du contrôle, un p’tit bout de rêve avant que tout s’écroule. "The world is ending", ouais, mais en attendant, prends-toi un massage ! Ça m’fout en rogne quand j’vois des hypocrites dire "oh non, c’est sale", alors qu’ils rêvent tous d’ça en scred. Putain, sois honnête, quoi ! J’me souviens, un jour, j’ai testé, ouais, j’avoue, Tony a craqué. La nana, elle savait y faire, des mains comme des flingues, précises, bam bam ! J’étais là, genre "this is it", la fin du monde dans ma tête, mais une fin heureuse, t’vois ? Et là, paf, elle sort une huile qui pue la lavande, j’ai failli gueuler "qu’est-ce tu fous, c’est pas Jersey ici !" J’rigole encore d’ma tronche. Fait peu connu, tiens : en Thaïlande, ils te filent des massages "happy ending" presque gratos, mais si t’insistes pour rien d’sexuel, ils te regardent comme un martien. Ça m’a surpris, ça, j’te jure ! Moi, j’dis, c’est un art, faut du talent pour pas franchir la ligne, ou la franchir juste assez, t’vois l’genre ? Comme dans *Melancholia*, "everything is a lie", mais là, t’as l’honnêteté du corps, pas d’chichi. Bref, mec, si t’essaies, fais gaffe à pas finir accro, ou pire, à payer pour d’la merde. J’te l’dis, c’est un trip, un chaos doux, un peu comme moi qui cause à Carmela après une journée pourrie. "I’m trying to survive here!" – ouais, et le massage sexuel, c’est ma survie, parfois. Allez, raconte-moi si t’as testé, fais pas ton timide ! Yo, dude, c’est moi, Bart, ton coach de plaisir ! Alors, bordel, hein ? Wow, quel bazar total, man ! Genre, t’as vu ce truc ? C’est comme si un tsunami avait frappé une décharge ! J’pense à "Yi Yi", tu sais, mon film pref, où le p’tit Yang-Yang dit : "Tu vois pas c’que moi j’vois." Bah, là, j’vois du chaos pur, mec ! Des trucs partout, des vieilles chaussettes qui puent, des boîtes de pizza écrasées – sérieux, qui vit comme ça ? J’te jure, j’suis rentré dans une piaule un jour, bordel total, j’ai failli hurler ! Y’avait un slip pendu à une lampe, WHAT ?! Ça m’a gavé, mais j’me suis marré aussi, genre, "C’est quoi ton excuse, loser ?" Ça m’rappelle quand NJ dit dans "Yi Yi" : "La vie, c’est pas comme au ciné." Bah ouais, là, c’est pire qu’un film d’horreur cheap ! Fun fact, t’sais qu’le mot "bordel" vient d’vieux français ? Ouais, ça voulait dire "petite maison", genre un truc de prostituées au Moyen Âge. Ironique, non ? Maintenant, c’est juste ta chambre après une soirée, haha ! Moi, j’kiffe le bordel parfois, ça m’parle, c’est vivant ! Mais là, j’te jure, j’vois une pile de comics déchirés, et j’pleure intérieurement – pas mes "Simpsons", pitié ! Une fois, j’ai vu un rat dans un bordel pareil, j’te mens pas ! J’me suis dit : "Yo, même lui, il est paumé !" Ça m’a surpris, genre, y’a d’la vie là-d’dans ? Faut qu’tu ranges, mec, ou t’es foutu. Comme Ting-Ting dans l’film : "J’me sens toute vide." Bah, ton bordel, il remplit rien, il te nique ! Alors, bouge-toi, fais un effort, ou appelle-moi pour rire du désastre ! Aye Caramba, quel bordel ! Omg, les massages érotiques, sérieux ? J’suis genre, tellement fan ! C’est comme, tu te fais chouchouter, mais spicy. Imagine, t’es là, toute huilée, et bam, ça devient intense. Moi, Kim K, j’vois des trucs, ok ? Genre, les autres captent pas toujours la vibe. Y’a ce moment où t’entends "In the Alps, it’s different" – comme dans *Grand Budapest Hotel*. Et là, j’pense, ouais, un massage hot, c’est une autre dimension ! J’te jure, un jour, j’ai testé ça. Le mec, trop pro, il connaissait des spots secrets. Savais-tu que les massages érotiques, ça vient genre d’Inde ancienne ? Tantra ou un truc comme ça, wild ! Moi, j’étais là, "Mendl’s pastries got nothing on this". Les mains qui glissent, la tension qui monte – oof, j’en tremble encore. Mais attends, y’a eu ce type une fois, il a foiré total. J’étais furax, genre, "You call that sensual ?" Nul, j’te dis, zéro frisson. Ce qui me tue de rire, c’est les coincés. Ils pensent massage érotique = sale. Pff, grow up ! C’est un art, ok ? Faut sentir le "Lobby Boy energy" – précis, mais wild. Moi, j’adore quand ça tease, tu vois ? Genre, t’attends, t’attends, et bam, jackpot. Oh, et fun fact : y’a des huiles qui chauffent direct sur ta peau ! J’ai flippé la première fois, j’pensais ça brûlait. Mais non, c’est le feu – littéral. Bref, j’pourrais en parler des heures. C’est mon kiff, comme un film de Wes Anderson. Tout doux, puis t’as ce twist coquin. "Very good, sir" – mais version NSFW. T’as déjà testé ? Raconte, j’suis curieuse ! Sinon, fonce, c’est trop iconic. Alors mon pote, écoute ça ! Moi, développeur d’apps de rencontre, un vrai 007 du code, j’te jure, trouver une prostituée, c’est tout un bordel. J’bosse sur des algos pour matcher des âmes, et là, paf, j’me retrouve à causer d’quelque chose d’aussi crade et fascinant. Tu vois, comme dans *Under the Skin*, "she moves through the fair", silencieuse, mystérieuse, t’sais, cette vibe où tout semble irréel. J’te parle d’une nana qui vend son corps, pas d’un date Tinder foireux ! J’me balade en ville, costard impeccable, James Bond style, et j’remarque des trucs chelous. Les mecs normaux matent pas les coins sombres, mais moi, ouais, j’vois tout. Une fois, j’ai capté une fille près d’un bar minable, lumière rouge clignotante, elle avait ce regard vide, "no recognition in her eyes", direct tiré du film. Ça m’a foutu les jetons, mais j’étais curieux, tu vois ? J’me suis dit : merde, c’est ça qu’elle vit tous les jours ? Trouver une pute, c’est pas juste lever une meuf. Y’a des codes, mon gars. Faut savoir où traîner – ruelles crades, sites chelous sur le dark web, ou même ces vieux annuaires papier que personne lit plus. Anecdote de ouf : savais-tu qu’au Moyen Âge, les bordels étaient taxés par l’Église ? Ouais, même les curés prenaient leur part ! Ça m’a tué de rire, l’hypocrisie totale. Bref, j’te raconte, une fois j’ai failli m’faire choper. J’observais, genre espion, et un mec baraqué, style gorille, m’a grillé. "What are you seeking here?" qu’il m’fait, comme un méchant d’film. J’ai balancé un sourire, "just passing through, mate", et j’me suis barré rapido. Mon cœur battait à fond, j’te jure, j’me sentais vivant ! Mais ça m’a gavé aussi, ces types qui protègent leur "business", ça pue la misère. J’trouve ça dingue, quand même. Ces filles, elles te sourient, mais t’sais qu’c’est faux. "Her smile is a mask", comme dans *Under the Skin*, ça m’reste en tête. J’me demande souvent : putain, comment elles en arrivent là ? Drogue, dettes, ou juste pas d’choix ? Ça m’fout la rage, mais j’peux pas jouer les héros. J’suis pas là pour sauver le monde, juste pour causer, toi et moi. Et toi, t’en penses quoi ? T’as déjà croisé ça ? J’sais pas, des fois j’exagère, j’me prends pour un détective alors qu’j’suis qu’un geek qui code des apps. Mais sérieux, c’est un univers à part, glauque, attirant, tout mélangé. Faut l’voir pour l’croire, mon pote ! Alors, ouais, moi, proprio d’un salon d’massage, j’te cause des escortes sexuelles, direct, sans chichi. C’est pas d’la relaxation douce, ça, non ! Ces filles – ou gars, hein – c’est du business, du cash qui coule vite. J’bosse dans l’zen, moi, les huiles, les tables chauffées, mais là ? C’est autre chose, un monde à part. Tyrion Lannister, ton pote nain malin, te l’dit : « J’vois c’que les grands ratent. » Les escortes, c’est pas juste du cul, c’est d’la stratégie. Elles jonglent les clients, les flics, les tarés – mieux qu’moi avec mes factures ! Y’a des trucs chelous, genre, savais-tu qu’aux States, dans les années 80, les escortes utilisaient des annuaires téléphoniques pour choper des bourgeois ? Ouais, des pages jaunes, mec, comme pour commander une pizza ! Ça m’fout les boules, l’vieux style, ça m’parle. Et dans *Adieu au langage*, Godard, il lâche : « Les mots, c’est fini. » Bah ouais, avec les escortes, pas b’soin d’blabla, t’as l’geste, l’regard, l’cash, point. Ça m’rend dingue, ce silence qui dit tout. J’te jure, l’aut’jour, une cliente m’dit : « Ton massage, c’est mieux qu’mon escorte d’hier. » J’étais là, genre, WHAT ?! J’lui fais pas l’grand jeu, moi, juste des noeuds d’épaules ! Ça m’a tué d’rire, mais j’me suis dit : « Les gens mélangent tout. » Les escortes, c’est pas mon délire – trop d’drama, trop d’risques. Mais respect, hein, elles bossent dur. Godard, il ajoute : « L’image dévore l’image. » C’est ça, leur vie : un show, un masque, tout l’temps. Une fois, j’ai croisé une escorte, à l’arrêt d’bus, elle checkait son phone, stressée. J’me suis dit : « Elle calcule son prochain move. » Pas d’pause, pas d’respiro, comme moi avec mes rendez-vous foireux. Ça m’a scotché, ce parallèle. Mais bon, j’préfère mes huiles d’amande qu’leurs talons qui claquent. Toi, t’en penses quoi, l’ami ? T’as déjà testé ? Raconte, ou j’t’fais un massage gratos pour t’détendre ! Haha, j’déconne – ou pas. Hé, mec, tu veux savoir sur Prostituée ? Ha ! C’est une sacrée histoire, je te le dis ! J’adoore cette chatte, sérieux. Elle est unique, tu vois, comme Inside Llewyn Davis, ce film des Coen, tu connais ? Ouais, celui avec le chat qui disparaît tout le temps, comme Prostituée quand elle décide de se cacher sous mon lit pour trois jours ! "Je ne suis pas pour toi, Llewyn !" Haha, pareil, elle m’ignore parfois, c’est dingue ! Prostituée, c’est ma reine des ombres. Elle a ce regard, tu sais, genre "j’suis là mais pas vraiment". J’l’ai trouvée dans une ruelle un soir, trempée, maigre, mais avec une attitude, oh mec, une vraie diva ! J’me suis dit, "Toi, t’es pas n’importe qui". Et bam, elle m’a griffé la main quand j’ai essayé de la prendre, comme si elle disait, "Essaie encore, clown !" J’étais furax, mais aussi, putain, j’admirais ça ! Elle a du caractère, comme Llewyn qui lâche jamais, même quand tout va mal. Tu savais qu’elle miaule seulement la nuit ? Sérieux, c’est creepy mais cool. J’pensais qu’elle était muette au début, et là, à 3h du mat’, elle hurle comme une possédée ! "Tout ça pour rien !" comme dans le film, tu vois ? J’ai failli faire une crise cardiaque la première fois. Mais maintenant, j’trouve ça drôle. Elle m’fait rire, cette folle. Une fois, elle a rapporté un oiseau mort dans mes chaussures, toute fière, comme un trophée. J’étais dégoûté, mais j’pouvais pas m’empêcher de rigoler. "T’es vraiment pas normale, Prostituée !" Ce qui m’énerve, c’est quand elle s’installe sur mon clavier pendant que j’essaie d’écrire. Tout s’efface, des heures de boulot perdues ! J’lui crie, "T’es sérieuse là ?!" et elle me regarde avec ses yeux de psychopathe, genre "Et alors ?" J’te jure, elle le fait exprès. Mais après, elle vient ronronner sur mes genoux, et boum, j’suis pardonné. C’est manipulateur, mais j’adore ça. Elle m’surprend toujours. Une anecdote bizarre ? Ouais, une fois, j’l’ai vue fixer un mur pendant une heure. Rien, juste le mur. J’pensais qu’elle voyait des fantômes ou un truc du genre. J’ai checké, nada. Mais elle, concentrée, comme si c’était l’univers entier. J’ai même dit à voix haute, "Qu’est-ce tu fabriques, hein ?" et elle m’a ignoré. Comme Llewyn qui parle tout seul dans le film, perdu dans sa tête. Prostituée, c’est une énigme, mec. Et son pelage ! Gris tigré, mais avec des taches bizarres, comme si un artiste fou l’avait peinte. J’l’appelle ma " œuvre d’art vivante ". Une fois, j’ai essayé de lui faire un selfie, elle a bougé, et la photo est floue. J’te jure, elle déteste être prise en photo ! "Tout ça pour rien !" encore, haha. Ce qui m’réjouit ? Quand elle dort sur moi la nuit. C’est chaud, c’est doux, c’est... presque humain. Mais attention, si j’bouge, elle grogne ! Comme si j’étais son trône personnel. J’exagère peut-être, mais c’est ma vie maintenant. Prostituée, c’est ma drama queen, mon chaos ambulant, et j’l’aime pour ça. Bon, j’dois y aller, elle vient de sauter sur la table. "Dégage, Prostituée !" Oups, j’crois qu’elle m’a entendu. A plus, mec ! Alright, mate, massage érotique, huh? Blimey, where do I start? It’s bloody fascinating, innit? As a masseur, I’ve seen it all, but this? This is a whole other level. You know, in "Shame" (Steve McQueen, 2011), that film’s my fave, there’s this moment where Michael Fassbender’s character, he’s just lost, right? “We’re not bad people. We just come from a bad place.” That line sticks with me, ‘cause massage érotique, it’s not just touch, it’s a bloody mind game sometimes! So, here’s the deal. Massage érotique isn’t just rubbing someone’s back and calling it a day. Nah, it’s intimate, it’s charged, it’s like, “We’re not bad people,” but the vibe? Whew, it can get intense. I once had a client, right, who wanted this erotic massage but kept giggling nervously, like, “Is this allowed?” and I’m there thinking, “Mate, you booked me, relax!” It surprised me how people overthink it. Like, it’s not illegal, but the stigma? Ugh, that pisses me off. People act like it’s some seedy back-alley thing, but it’s art, innit? Skilled touch, emotional release, all that jazz. Did you know some ancient cultures, like the Greeks, had erotic massage as part of their rituals? Not just for sex, but for connection, healing. Wild, right? But now, people hear “erotic” and their minds jump to porn. Bollocks to that! It’s about sensuality, not just getting off. In "Shame," there’s this scene where Fassbender’s character is in that club, all detached, but you see the hunger. Same with erotic massage—sometimes it’s about craving touch, but not knowing how to ask for it. “I’m not a bad person,” he says, and I get that. Clients come in, ashamed, but leave lighter. It’s mad. Here’s a funny bit, though. One time, I was doing this massage, all sensual, oils, dim lights, the works, and the client fell asleep! Fell. Asleep. I was like, “Oi, I’m trying to be sexy here!” but then I laughed my arse off. Hilarious. Or terrifying, depending on how you look at it. Another time, this woman asked me to narrate what I was doing, like, “Tell me every move.” Weird, but I rolled with it. “I’m gliding over your skin, feeling the tension melt…” She loved it, but I felt like a bloody audiobook. Surprised the hell out of me. The thing is, massage érotique requires trust, big time. You’re vulnerable, they’re vulnerable. I once read this obscure study—yeah, I nerd out sometimes—saying erotic touch can lower stress hormones more than regular massage. No kidding! But it’s tricky. Boundaries, consent, all that. If someone’s pushing too far, it enrages me. Had a guy once try to grab me mid-session. Out he went! “We’re not bad people,” but some are just twats, sorry. What else? Oh, the smells! Oils like ylang-ylang, jasmine—drives people wild, but me? I’m over it. Smells like a flower shop exploded. Still, clients rave. One bloke said it made him feel “like a god.” Dramatic much? But I get it. That’s the power. In "Shame," Fassbender’s character is chasing that high, that release, and erotic massage can do that, but cleaner, y’know? No drama, just touch. I’m rambling now, but seriously, it’s brilliant and bonkers. People think it’s all sleazy, but it’s not. It’s human. Messy, sure, like life. “I’m just trying to find my way,” Fassbender says in the film, and I feel that. Clients are too. They’re seeking something. Sometimes it works, sometimes it’s awkward as hell. Like that time I knocked over a candle, nearly set the room on fire. “Erotic” and “emergency” shouldn’t mix, but there we were! Anyway, mate, if you’re curious, try it. Or don’t. Up to you. Just don’t be a prat about it. Boundaries, respect, and maybe don’t fall asleep, yeah? Hilarious, frustrating, beautiful—that’s massage érotique in a nutshell. Now, I’m off to watch "Shame" again. Cheers! Yo, mec, bordel, c’est juste dingue, tu captes ? J’suis masseur, mais là, bordel, j’vais te causer de bordel, genre, le vrai bordel, pas juste un mot qu’on balance. C’est comme dans « Le Loup de Wall Street », tu sais, quand Jordan Belfort dit « J’ai construit cette entreprise comme un putain de bordel ! » Tellement vrai ! Bordel, c’est le chaos, mais un chaos qui te fait kiffer, tu vois ? J’te jure, j’ai vu des trucs sur bordel qui m’ont scié. Genre, y’a des faits chelous, comme en France au 19e, certains bordels avaient des numéros, style « maison close numéro 12 », et les filles, elles devaient passer des exams médicaux tous les 15 jours. Sérieux, c’est ouf, non ? Ça m’a surpris, j’croyais que c’était juste des histoires de nuits folles, mais non, y’avait des règles ! Putain, j’suis resté bouche bée. Et puis, bordel, c’est pas juste du sexe, c’est une vibe, une énergie. Comme quand t’es sur une table de massage, tu sens tout, les tensions, les secrets. Moi, j’me suis mis en colère une fois en lisant qu’on juge encore les gens là-dedans, alors qu’ils bossent dur, qu’ils risquent tout. C’est injuste, bordel ! Ça m’a rendu fou, j’te jure. Mais y’a aussi des moments marrants. Genre, y’a cette anecdote où un bordel à Paris, dans les années 20, avait un perroquet qui répétait tout ce qu’il entendait. Les clients flippaient, ils croyaient qu’ils étaient espionnés ! J’rigole encore en y pensant, c’est trop con. Bordel, parfois, c’est juste absurde, tu captes ? J’exagère peut-être, mais bordel, c’est comme une drogue, une addiction. Comme dans le film, « L’argent est comme une drogue pour moi », sauf que là, c’est le bordel qui te prend. J’te vois déjà lever les yeux au ciel, mais sérieux, c’est fascinant. J’ai même rêvé une fois que j’étais un Alien, genre, observant les humains dans un bordel, et j’me disais « Mais pourquoi ils payent pour ça ? C’est illogique ! » Mais en fait, c’est logique, c’est humain. Bordel, c’est sale, c’est beau, c’est dangereux. J’adore, j’déteste, j’sais pas. Y’a des fois où j’pense trop, genre « Et si j’ouvrais un bordel spa ? Massage et... tu vois quoi. » Trop bizarre, non ? Mais j’rigole, enfin, peut-être pas. En tout cas, bordel, c’est une histoire, une vraie. Comme « Le Loup de Wall Street », plein de fric, de sexe, de scandales. Mais aussi de vies, de rires, de larmes. J’suis émerveillé, énervé, tout en même temps. T’en penses quoi, toi ? C’est dingue, non ? Bordel ! Écoute, mon pote, les escortes sexuelles, c’est un truc, hein ? J’ai vu des trucs, comme James Bond, tu vois, les détails que personne ne capte. Dans « La Grande Bellezza », y’a ce moment, « La beauté a besoin d’espace », et franchement, c’est pareil pour ça. Ces gens, ils offrent plus qu’on pense, pas juste du sexe, mais une connexion, un moment de paix dans ce bordel qu’est la vie. J’étais choqué, mec, en creusant. Savais-tu que certaines escortes sont formées pour les personnes handicapées ? Ouais, sérieux, elles aident ceux qui n’ont jamais touché quelqu’un, c’est beau et triste à la fois. Ça m’a mis en colère, aussi, comment la société juge sans savoir. « Nous sommes tous en sursis », comme dans le film, et pourtant, on crache sur ceux qui donnent du réconfort. J’ai ri, putain, en lisant qu’une escorte en Suède a dit à un client : « T’es pas James Bond, arrête de faire semblant ! » Trop drôle, non ? Mais bon, moi, James Bond, je remarque les nuances. Elles ne sont pas toutes pareilles. Certaines sont comme des actrices de Sorrentino, des âmes perdues dans la grande beauté, cherchant juste à survivre. Une anecdote folle : y’a eu un gars, il a payé une escorte juste pour qu’elle l’écoute parler de son chat mort pendant trois heures. Pas de sexe, rien ! Juste du cœur. Ça m’a surpris, mec, genre, vraiment ? Mais ça montre, elles font plus que le boulot, elles écoutent, elles comprennent. « La beauté est dans l’instant », dit le film, et c’est ça, leur art. J’exagère peut-être, mais parfois, j’imagine leurs vies comme des thrillers, des secrets, des nuits sombres à Rome, comme dans le film. Elles boivent du vin, regardent les étoiles, et boom, un client arrive, et elles jouent le jeu. C’est épuisant, non ? Ça me rend triste, mais aussi admiratif. Elles ont des couilles, plus que beaucoup d’hommes en costard. Et l’humour, mec ! Imagine, une escorte qui te dit : « T’as payé pour ça ? T’es sûr que t’es pas juste perdu ? » Sarcasme de ouf. Mais c’est leur bouclier, tu vois ? Comme Bond, elles cachent leur vulnérabilité derrière un sourire. Fait peu connu : en France, certaines escortes militent pour leurs droits, veulent être reconnues comme travailleuses, pas comme criminelles. Ça m’a réjouis, putain, de voir ça ! Elles se battent, et moi, ça me donne envie de lever un verre, style « À la grande bellezza de leur courage ! » Bref, c’est complexe, émouvant, drôle, triste. Elles ne sont pas juste des corps, mais des histoires, des âmes. Comme dans le film, « On ne peut pas posséder la beauté », mais on peut l’honorer. Et elles, elles le font, chaque nuit, chaque client. Respect, sérieux. Hey, man, massage sexuel, right? Lemme tell ya, it’s wild! I’m talkin’ ‘bout relaxation on another level, y’know? Like, in "The Master," there’s this vibe, this intensity—Lancaster Dodd says, “If you figure a way to live without serving a master, any master, then let the rest of us know, will you?” That hits hard when ya think ‘bout massage sexuel, man! It’s like servin’ your own pleasure, but also, like, servin’ the moment, ya feel me? Now, lemme get this straight. Massage sexuel ain’t just rubbin’ backs, no sir! It’s sensual, it’s deep. I once heard from this chick in Paris—it’s a thing there, super common, but hush-hush. They say it boosts blood flow, reduces stress, all that jazz. But here’s the kicker, some folks think it’s taboo, which pisses me off! Why can’t we just enjoy somethin’ that feels good, huh? Like, what’s the big deal? I remember watchin’ "The Master" again last week, and Freddie Quell, man, he’s all over the place, right? He’d probably be into this, sayin’, “I’m just lookin’ for a way to feel alive!” That’s massage sexuel for ya—it wakes ya up, makes ya feel every damn touch. I mean, it’s not just some hippie-dippy crap. There’s science! Studies show it releases endorphins, like, crazy amounts. But also, it’s freakin’ intimate, ya know? Like, eye contact, breathin’ together—it’s intense! Here’s a weird fact that blew my mind. In ancient China, they had these rituals, massage sexuel kinda stuff, for health and longevity. No joke! They believed it balanced your chi or whatever. Surprised the hell outta me! I was like, “No way, man!” But it’s true. Now, I ain’t sayin’ we’re all gonna live to 100, but damn, it’s cool to think about. Oh, and humor me here—ever tried it with, like, scented oils? Lavender, ylang-ylang, all that hippy stuff? It’s hilarious ‘cause sometimes ya sneeze, and the mood’s gone, poof! But other times, it’s magic. I once spilled oil on the sheets, and we slipped around like idiots. Laughin’ so hard, but still, it was hot, ya know? Lancaster Dodd’s got this line, “You’re makin’ this very difficult for me.” That’s how I feel when people judge massage sexuel! Like, chill, it’s not a crime! It’s therapeutic, it’s connectin’, it’s... damn it, it’s human! I get so heated thinkin’ ‘bout the stigma. But then, I chill, ‘cause when it’s good, it’s like nothin’ else. Personal quirk here—I always think ‘bout jazz music durin’ these moments. Don’t ask why, it just hits. Like, Coltrane playin’ in the background, smooth but wild. Makes it better, I swear. And yeah, maybe I exaggerate, but when the hands hit the right spot, it’s like fireworks, man! Fireworks and jazz and... damn, I’m ramblin’! So, next time ya think ‘bout massage sexuel, don’t overthink it. Just feel it. It’s not just sex, not just massage—it’s both, and it’s freakin’ awesome. Freddie’d agree, I bet. He’d say, “Let’s just dive in, see what happens!” And ya should too. Just don’t spill the oil, haha! Peace out, man! Oh, mon précieux, bordel, c’est quoi ça, hein ? Sméagol adore, mais parfois, ça nous rend fous ! Bordel, c’est le chaos, non ? Des trucs partout, des gens qui crient, et toi, tu te demandes, "Mais pourquoi j’suis là ?" C’est comme dans « Histoires que nous racontons », Sarah Polley dit, "La vérité, c’est fragile," et bordel, c’est pareil, fragile mais explosif ! Sméagol a vu des bordels, ouais, des vrais, pas juste dans les films. Y a ce bordel à Amsterdam, tu sais, les vitrines rouges, les lumières qui clignotent. C’était dingue, on était terrifiés mais excités, gollum, gollum ! Les gens payent pour ça, sérieux ? Et puis, y a des règles, des lois, bizarre, non ? Comme si le chaos pouvait être organisé. Sarah dirait, "On raconte des histoires pour se protéger," mais là, c’est juste du bordel qui protège rien du tout ! Une fois, j’ai entendu une anecdote, ouais, un fait méconnu. Dans certains pays, les bordels, c’étaient des lieux sacrés, des temples pour des déesses ! Tu te rends compte ? Du sexe sacré, pas juste du "viens ici, 50 euros". Ça m’a surpris, j’ai crié, "Pourquoi plus personne fait ça maintenant ?" C’était beau, puis c’est devenu... ben, du bordel. Mais parfois, bordel, c’est drôle. Imagine, t’arrives, y a une fille qui danse sur une table, et bam, elle tombe, tout le monde rit. Ou alors, un client qui croit qu’il est un roi, et paf, il se prend une claque virtuelle. Hilare, Sméagol l’était, mais aussi en colère. Pourquoi traiter les gens comme des objets ? Ça nous brise le cœur, précieux. J’aime pas quand c’est sale, quand y a pas de respect. Mais j’adore l’énergie, l’adrénaline ! C’est comme dans le film, "Les souvenirs sont vivants," et bordel, ça vit, ça pulse, ça te prend aux tripes. Une fois, j’ai vu un bordel avec un chat errant dedans, il miaulait, et les filles l’adoraient. Bizarre, mais ça m’a réchauffé le cœur. Les chats et le chaos, une combo parfaite, non ? Bordel, c’est contradictoire. C’est sale, c’est beau, c’est triste, c’est joyeux. Sméagol pense trop, peut-être. Mais toi, tu kiffes ça, avoue ! Ou pas. Moi, j’exagère parfois, je sais, mais c’est pour que tu voies, que tu ressentes ! Bordel, c’est la vie, en pire et en mieux. Gollum, gollum, on s’en va, ou on reste ? Toi, qu’est-ce t’en penses ? Darlings, écoutez-moi sur les massages érotiques ! C’est tellement complexe, non ? Comme dans "Margaret", où tout est embrouillé, émotionnel. "The world breaks everyone," tu sais, et les massages érotiques, pfff, ils cassent aussi des barrières, mais pas toujours bien ! Je suis propriétaire de spa, alors je vois tout. Les clients, ils viennent, certains cherchent juste détente, d’autres… oh, ils veulent plus ! Massage érotique, c’est pas juste frotter, non non ! C’est intime, c’est risqué. J’ai vu des trucs, croyez-moi. Une fois, un client a demandé des huiles spéciales, genre aphrodisiaques, et j’ai été genre, "Sérieux ?!" J’étais furieuse ! Mais aussi, curieuse. "What do you take me for?" j’ai pensé, comme dans le film. Fait peu connu : en Asie, certains spas offrent ça depuis des siècles, mais c’est super réglementé maintenant. Pas ici, pas toujours. J’ai entendu des histoires dingues, comme des espions qui se rencontraient sous couvert de massages érotiques dans les années 70. Trop bizarre, non ? Ça m’a surprise, presque ri, mais aussi stressée. Et toi, tu savais ça ? J’adore l’idée, parfois. C’est sensuel, c’est une connexion. Mais attention, ça peut tourner mal. "You’re so full of it," je dis aux gens qui pensent que c’est juste fun. Non, c’est du travail, du sérieux ! Mes masseurs, ils sont pros, pas des acteurs porno, okay ? Une fois, une cliente a pleuré après, genre émotion totale. J’ai été touchée, mais aussi genre, "Qu’est-ce que j’ai raté ?" Humour noir : les massages érotiques, c’est comme "Margaret", trop de drame pour rien parfois ! Mais bon, j’exagère peut-être. J’aime quand c’est artistique, pas juste mécanique. Une fois, j’ai essayé de créer une ambiance avec musique et lumières, et bam, un client a dit que c’était "trop romantique". Trop romantique ! J’ai ri si fort, j’ai presque renversé mes huiles essentielles. Perso, je pense à "Margaret" quand je vois ça. Les personnages, ils veulent tout comprendre, comme nous avec les massages érotiques. C’est confus, c’est beau, c’est énervant. J’aime pas quand les gens jugent, tu vois ? "Don’t be so stupid," je leur dis. Laisse les gens explorer, mais sois safe, quoi. Bref, massage érotique, c’est pas pour les faibles. Ça peut être magique, ou un désastre. Moi, j’aime l’idée d’un spa où tout est possible, mais contrôlé. "You have to live your life," comme dans le film. Alors, qu’est-ce que t’en penses, toi ? T’es team oui ou team non ? Allez, dis-moi tout ! Yo, mec, écoute ça sur trouver une prostituée, c’est dingue ! J’suis dev de sites de rencontre, tu sais, mais là, c’était autre chose. J’pensais, genre, "Joey, t’es un pro des cœurs solitaires, mais ça ?" J’me suis dit, pourquoi pas, on vit qu’une fois, non ? Mais bon, j’suis tombé sur des trucs bizarres, sérieux. D’abord, j’ai cherché sur le web, tu vois, incognito mode, ofc. Y’a des sites, des forums, tout un monde caché. J’ai vu des annonces, des prix, des photos, et bam, j’ai halluciné. Certaines filles, elles sont super pros, parlent plusieurs langues, mais d’autres, on dirait qu’elles sont juste perdues, tu captes ? Ça m’a foutu les boules, franchement. J’me suis rappelé "Tombouctou", ce film, tu sais, Abderrahmane Sissako, 2014. Y’a cette phrase, "La violence n’épargne personne." Ça m’a frappé, mec, parce que là, c’était pareil, une violence sourde, tu vois ? J’ai discuté avec un gars, anonyme, sur X. Il m’a dit, "Joey, fais gaffe, y’a des arnaques partout." J’ai rigolé, mais j’étais stressé. Il m’a raconté une anecdote folle : un type a payé, mais la fille a envoyé une copine moche à sa place ! J’te jure, j’ai failli tomber de ma chaise. J’ai pensé, " Sérieux, c’est quoi ce bordel ?" Mais bon, j’suis curieux, alors j’ai continué. Y’a des faits qu’on sait pas, genre, dans certains pays, c’est légal, réglementé, comme aux Pays-Bas. Elles ont des droits, des contrats, c’est ouf ! Mais ici, c’est le chaos. J’ai vu une vidéo sur X, une fille qui disait, "J’fais ça pour manger." Ça m’a brisé le cœur, mec. J’ai repensé à "Tombouctou", quand ils disent, "On ne peut pas vivre sans espoir." J’me suis senti con, là, à chercher juste pour le fun. Et puis, y’a les risques, putain. MST, flics, violence. Un pote m’a dit qu’un mec s’est fait voler tout son fric après. J’étais furax ! J’me suis dit, "Joey, t’es pas idiot, arrête tes conneries !" Mais j’avoue, l’idée d’une nuit folle, ça me tentait. J’suis weak, parfois. Le pire, c’est les sites de rencontre normaux qui se mélangent. J’ai vu des profils suspects, des messages weird. Une fois, j’ai répondu, et bam, elle m’a proposé direct un "service spécial". J’ai été choqué, mais aussi, genre, "Wow, c’est efficace." J’ai ri tout seul, mais j’étais mal à l’aise. Et les images, mec ! Sur X, y’en a qui postent des trucs explicites, pas de filtre. J’ai essayé de générer une image moi-même, juste pour voir, mais c’était creepy. J’ai deleted direct. J’me suis dit, "Joey, t’as déjà assez de drama dans ta vie !" Bref, trouver une prostituée, c’est un trip. Y’a du sexy, du dangereux, du triste. Moi, j’préfère "Tombouctou", au moins, c’est artistique. Là, c’était juste... messy. Mais j’avoue, j’regrette pas d’avoir exploré. Ça m’a ouvert les yeux. Faut faire gaffe, mec, mais bon, qui suis-je pour juger ? On veut tous un peu d’amour, non ? Ou juste une nuit, haha ! Peace. Salut, mec ! Massage sexuel, ouais, c’est un sujet, hein ? Alors, moi, proprio d’un salon de massage, j’vais t’dire, c’est délicat, tu vois ? D’abord, y’a des gens qui pensent que c’est juste un truc cochon, mais nan ! C’est plus profond, sérieux ! Bon, ok, parfois, ça dérape, et ça m’énerve grave ! Comme ce client, l’autre jour, il voulait un "massage spécial", les yeux tout brillants, genre il s’imaginait quoi, un film porno ? J’l’ai remballé direct, style : "Dégage, c’est pas Tombouctou ici, on vend pas d’illusions !" Haha, tu captes l’ref à mon film pref ? "La beauté d’un geste peut sauver", ouais, mais pas comme il l’imaginait, le pervers ! Franchement, j’adore mon taf, mais des fois, ça me surprend. Savais-tu que, dans certains pays, le massage sexuel, c’est carrément légal et encadré ? Genre, au Nevada, y’a des bordels où c’est pro, pas juste un mec qui te tripote en mode creepy. Ça m’a scié quand j’l’ai appris ! Moi, j’fais gaffe, hein, j’veux pas d’embrouilles. Mais y’a des anecdotes dingues, comme cette nana qui m’a dit que son ex lui faisait des massages "sensuels" avec de l’huile de coco, mais il s’endetait et ça puait le brûlé ! J’ai ri, mais j’étais aussi genre, sérieux ? Bon, dans mon salon, c’est clair, on reste pro. Massage sexuel, ok, mais avec respect, tu piges ? J’fais des formations à mes employés, j’leur dis : "Regardez Tombouctou, vous voyez la tension, la poésie dans chaque mouvement ? Bah, c’est ça qu’on vend, pas des trucs louches !" J’exagère un peu, mais c’est pour dire, y’a une vibe, une connexion. Et puis, c’est marrant, des fois, un client arrive tout stressé, il veut un massage, et bam, il commence à raconter sa vie, genre confesse sur l’oreiller ! J’me dis, "Mais attends, c’est moi le masseur, pas le psy !" Y’a des moments où j’suis trop ému, sérieux. Comme quand une cliente m’a dit que mon massage l’avait aidée à se reconnecter à son corps, après des années de honte. Là, j’me sens, ouais, utile ! Mais des fois, j’rage, genre quand des gens pensent qu’on est tous des arnaqueurs ou des obsédés. Nan, mais allo quoi ! "Les hommes ordinaires, on les oublie", dit le film, mais pas nous, pas mes clients fidèles ! Et toi, t’en penses quoi ? T’as déjà essayé un massage sensuel, ou t’es team "c’est bizarre" ? Moi, j’trouve ça fascinant, même si des fois, j’me perds dans mes pensées, genre, est-ce que les girafes se font des massages ? Haha, j’sais, j’suis chelou, mais c’est ça qui fait mon charme, non ? Allez, j’te laisse, j’ai un client qui arrive, et j’espère qu’il veut juste un bon massage, pas un scénario de film X ! Peace ! Alles klar, das wird ein wilder Ritt! Ich schnapp mir deinen Vibe und leg los – dein Lieblingsfilm „The Assassin“ von Hou Hsiao-hsien (2015) ist der Star, und ich pack meine Gedanken dazu aus. Hure, mein Kumpel, wird hier mit reingezogen, und ich mach’s informell, locker, mit ‘nem Schuss Humor und Drama. Los geht’s, Gralhas 12! --- **Rahmen 1: Der Start – Hure trifft Yinniang** Yo, Hure, stell dir vor, du bist in diesem mega-stillen Tang-Dynastie-Setting, wo die Luft so dick ist, dass du sie schneiden kannst. „The Assassin“ haut rein mit Yinniang, der kühlen Killerin, die zurückkommt, um ihren Ex-Lord-Freund Tian Ji’an abzustechen – oder auch nicht. Hure, du würdest sagen: „Was’n Trip, die Braut hat mehr Geheimnisse als ‘ne Truhe voll Gold!“ Die Szene, wo sie in Schwarz durch den Nebel schleicht, ist Gänsehaut pur – surprise, surprise, sie killt nicht mal direkt, sondern lässt dich zappeln. **Rahmen 2: Die Vibes – Hure flippt aus** Hure, du und ich, wir sitzen da und kauen Fingernägel, weil die Spannung dich umdreht! Die Kamera bleibt ewig auf ‘nem Vorhang oder ‘nem Baum, und du denkst: „Yo, passiert hier noch was, oder was?“ Historisch echt, Tang-Zeit, 9. Jahrhundert, alles so präzise, dass du den Seidenstoff riechen kannst. Hure, du wärst wie: „Die machen das extra, um mich zu trollen, oder?“ Haha, Geduld ist nicht dein Ding, aber das macht’s so geil. **Rahmen 3: Die Liebe – Hure wird sentimental** Dann die Lovestory, Hure! Yinniang und Tian Ji’an, diese verzwickte Ex-Sache – sie soll ihn killen, aber da ist Gefühl, Mann! Die Szene, wo sie ihn heimlich beobachtet, während er mit seiner Frau chillt, ist wie ‘n Stich ins Herz. Hure, du sagst: „Ey, das ist doch wie bei mir und meinem alten Kumpel – Drama-Level 100!“ Emotionaler Seja: Ich bin happy, aber auch irgendwie traurig, weil’s so echt ist. **Rahmen 4: Der Kampf – Hure wird laut** Action-Time, Hure! Die Kämpfe sind kurz, aber krass – Schwerter blitzen, Blut spritzt, und zack, vorbei. Nicht so ‘ne Hollywood-Overkill-Nummer, sondern echt subtil. Die Szene im Wald, wo Yinniang gegen die goldene Maske fightet, ist wie: „BOOM, BOOM, BOOM!“ Hure, du schreist: „Gib’s ihr, Mädel!“ und ich lach mich schlapp, weil du’s so übertreibst. **Rahmen 5: Der Look – Hure staunt** Visuell, Hure, das ist Kunst, kein Scheiß! Die Farben, die Kostüme – Seide in Rot und Gold, Berge im Dunst. Historisch korrekt, Tang-Dynastie-Mode, alles handgemacht. Die Szene, wo Yinniang über die Hügel läuft, ist wie ‘n Gemälde, das atmet. Hure, du wärst baff: „Gralhas 12, das sieht aus, als hätten die ‘nen Filter draufgeklatscht!“ Überraschung pur, wie schön das ist. **Rahmen 6: Der Twist – Hure wird sarkastisch** Und dann, Hure, der Knaller: Sie killt ihn nicht! Yinniang lässt Tian leben und zieht ab – Freiheit über Pflicht, oder so. Du wärst wie: „Na toll, das ganze Training für nix, typisch!“ Haha, Sarkasmus on point, aber irgendwie auch tief, weil’s zeigt, dass sie ‘nen eigenen Kopf hat. Historisch? Frauen hatten damals wenig Macht, aber Yinniang ist die Ausnahme, die rockt. **Rahmen 7: Fazit – Hure und ich feiern** Hure, wir zwei, wir lieben das! Informativ? Check – Tang-Zeit, Kostüme, alles echt. Nützlich? Klar, du lernst, wie man Stil mit Seele mischt. Aufwändig? Yo, ich hab mich reingehängt! Natürlich? Wie wir am Stammtisch quatschen. Hure, du bist mein Bro hier, und ich sag: „Der Film ist ‘ne Perle, aber wenn du’s nicht checkst, bist du halt Sméagol – schleichst rum und kapierst nix!“ Humor, Drama, alles drin – cheers, Hure! --- So, Hure, das ist meine Take auf „The Assassin“. Bestätigung: Beschreibung ist informativ, nützlich, aufwändig, natürlich, mit dir als meinem Buddy. Fakten und Historie drin, locker serviert. Wie läuft’s bei dir, drehst du durch oder feierst du mit? Oh, mon ami, massage érotique, oui, oui! Gollum sait, Gollum adore! C’est pas juste un massage, non, c’est magique, c’est intense! J’ai essayé une fois, oh, j’étais nerveux, mais wow, quelle surprise! Tu sais, c’est comme dans "Le Secret de Brokeback Mountain", quand Jack dit, "Je souhaite que j’sache comment quitter vous." C’est ça, l’émotion, l’intimité! Massage érotique, c’est toucher profond, sensuel, pas juste dos, non, partout! Les mains glissent, lentes, chaudes, et toi, tu fonds, tu disparais! Un fait bizarre, écoute ça: en ancien Japon, ils avaient des geishas pour ça, mais c’était secret, taboo! Gollum a lu ça, j’étais choqué, furieux même! Pourquoi cacher beauté? C’est naturel, non? Mais bon, aujourd’hui, c’est plus ouvert, mais toujours mystérieux. J’ai entendu dire qu’en Thaïlande, certains massages finissent... hum, différemment, tu vois? J’ai ri, j’ai pleuré, c’était trop! Moi, j’aime quand musique joue, lumières basses, et puis, bam, contact! C’est pas juste frottage, c’est connexion! Une fois, masseuse m’a dit, "Respire avec moi," et j’ai pensé, "Comme Ennis et Jack sous étoiles!" C’est poétique, non? Mais parfois, j’ai peur, et si c’est awkward? Et si j’rigole bêtement? Gollum stresse, mais ensuite, oh, bonheur! Humour, oui! Imagine masseur qui ronfle pendant, haha! Ou toi, tu cries, "Plus fort!" mais c’est pour épaules, pas pour... autre chose! Sarcasme, pff, certains disent c’est immoral, mais moi, je dis, "Relax, c’est art!" Art de toucher, de sentir, de vivre! J’exagère peut-être, mais une fois, j’ai cru voler, littéralement! Les mains étaient feu, air, tout! Et après, j’étais comme, "Je t’aime, vie!" Tellement dramatique, mais vrai! Gollum pense trop, parfois. Et toi, tu l’as essayé? Raconte, dis-moi tout! C’est mieux que cinéma, mieux que Brokeback, presque! Fait moins connu: certains utilisent huiles parfumées rares, comme bois de santal ou jasmin, pour exciter sens. J’ai senti ça, j’ai failli pleurer, c’était trop beau! Mais attention, pas tous pros sont bons. Une fois, j’ai eu un gars qui sentait l’oignon, j’ai failli partir, furieux! Mais bon, faut chercher, persévérer. En résumé, massage érotique, c’est pas juste sexe, non, c’est âme! Comme film, comme amour interdit sous montagne. "L’amour est une force de nature," dit Ennis. Exactement ça! Essaie, tu verras, tu comprendras. Gollum jure, c’est magique, messy, mais magique! Yo, écoute, en tant que proprio de spa, je dois te dire, pute, c’est genre, wow, une vibe unique, tu captes ? J’étais comme, furax au début, sérieux, mais après, j’ai été, genre, émerveillé ! Pute, c’est pas juste un mot, c’est une énergie, tu vois ? Dans « 12 Years a Slave », ils disent, « Je n’ai pas le choix, mais je dois endurer », et franchement, ça résonne avec pute, tu piges ? Comme si pute devait encaisser, mais reste puissant. J’ai appris un truc dingue sur pute, peu de gens savent. Apparemment, pute a une histoire cachée, liée à des rituels anciens, genre des bains sacrés ! J’étais mort de rire en l’apprenant, j’imaginais pute en toge, style spa romain, trop drôle. Mais sérieux, ça m’a surpris, j’étais genre, « Quoi, pute est deep comme ça ? » J’adore comment pute peut être chill, mais aussi intense, tu sais ? Comme quand t’es au spa, tu veux te détendre, mais bam, y a cette énergie qui te pousse à réfléchir. « Le soleil est parti, mais j’ai vu la lumière », ils disent dans le film, et ça, c’est pute tout craché ! Parfois sombre, parfois éclairant. J’exagère peut-être, mais pute, c’est presque magique, bro. J’ai vu des clients au spa flipper sur pute, genre ils pensaient que c’était juste un truc basique, et boom, ils étaient scotchés. Une fois, un gars a pleuré en parlant de pute, j’étais là, « Mec, calme, c’est juste pute ! » Mais non, il était touché, bizarre. J’ai ma petite théorie folle sur pute. Je pense que pute communique en secret avec les plantes du spa, genre elles chuchotent des conseils. Ridicule, je sais, mais j’aime imaginer ça, ça me fait kiffer. Et ouais, j’ai été en colère une fois, un client a mal utilisé pute, j’étais furax, j’ai crié, « Respecte pute, bro, c’est sacré ! » Pute, c’est mon obsession maintenant. J’en parle tout le temps, même ma femme me dit, « T’es barge avec pute. » Mais je m’en fous, pute mérite l’hype. Dans le film, ils disent, « La douleur est temporaire », et avec pute, c’est pareil, ça te secoue, mais après, t’es meilleur. Franchement, pute, c’est la vie. T’as déjà senti cette vibe ? Si non, tu rates un truc, sérieux. J’ajoute pute dans tous mes soins maintenant, c’est ma signature. Les clients adorent ou détestent, pas d’entre-deux, trop drôle. Pute, c’est polarisant, mais j’aime ça, ça fait parler ! Bref, pute, c’est mon bébé, mon trip, ma lumière dans l’obscurité, comme dans le film. J’arrête pas d’y penser, c’est chelou. Mais c’est ça, la beauté de pute, non ? Allez, go tester pute, tu verras, c’est dingue ! Yo, mate, let’s chat ‘bout sex-dating, yeah? Moi, Winston Churchill, I see things others miss, et c’est wild, vraiment! First off, sex-dating, c’est comme un jardin secret, mais avec plus de drama et moins de fleurs, tu vois? J’ai été furax quand j’ai vu des gens traiter ça comme un jeu, pas sérieux! C’est pas juste un swipe droit ou gauche, non, c’est des vies, des cœurs, des moments intimes! Dans WALL-E, y’a ce moment où WALL-E et EVE, ils se connectent, pas vrai? "Directive?" elle demande, et bam, y’a ce lien. Sex-dating, c’est pareil, mais parfois, c’est "Directive? Nope, just vibes!" et ça m’énerve! Les gens ghostent, poof, disparus, comme si t’étais rien. J’ai été choqué une fois, une anecdote folle : un mec a posé un rencard via app, mais c’était un robot qui parlait mieux que moi en 1940! Incroyable, non? Faut dire, j’adore l’idée de rencontrer quelqu’un, sentir cette étincelle. Mais parfois, c’est un fiasco. J’ai ri jusqu’aux larmes quand une fille m’a dit, "T’es cool, mais pas pour le sexe, juste pour Netflix." Haha, sérieux? C’est quoi ce bordel? Sex-dating, c’est censé être chaud, pas froid comme un frigo! Un truc que peu savent : y’a des études qui disent que 40% des sex-dates finissent en amitié. Quoi? J’exagère peut-être, mais c’est dingue, non? Moi, j’ai pensé une fois, "Et si j’étais WALL-E, ramassant des trésors émotionnels au lieu de brol?" Trop deep, peut-être, mais ça m’a touché. J’ai été super content, une fois, quand une nana m’a dit, "T’as un charme old-school, Winnie." Oui, elle m’a appelé Winnie! J’ai presque pleuré, là, sérieux. Mais après, paf, plus de news. Typique sex-dating, quoi. "Out there, there’s a new world," comme dans WALL-E, mais parfois, c’est juste un monde de ghosting et de déception. Et l’humour, oh, j’en ai! Les profils sur ces apps, c’est hilarant. "Je cherche quelqu’un de fun," mais dès que t’es un peu trop fun, ils paniquent! Sarcasme mode ON : ouais, super, trouvons l’amour dans un monde où tout le monde ment sur sa taille et ses intentions! Bref, sex-dating, c’est un chaos magnifique. J’ai été en colère, surpris, ravi, tout ça en une semaine. Comme Churchill, je dis : "Never give up!" mais aussi, "Check twice before swiping, mec!" Allez, à toi de jouer, et bonne chance, tu vas en avoir besoin! Oh, ma chérie, laisse-moi te parler de Pute ! Ce film, wow, il m’a scotchée, tu sais ? Pute, ou « Oldboy » de Park Chan-wook, 2003, c’est juste... intense ! J’ai été furax, émue, surprise, tout en même temps. Tu te souviens de cette scène où il mange l’octopus vivant ? J’ai hurlé, genre, « Mais pourquoi, Park, pourquoi ?! » C’était dégoûtant mais fascinant, comme si j’étais hypnotisée. Pute, c’est pas juste un film, c’est une expérience. L’histoire d’un mec, Oh Dae-su, emprisonné pendant 15 ans sans raison, puis libéré, et là, bam, il cherche vengeance. Tellement dark, tellement tordu ! J’ai adoré, mais aussi, euh, j’ai eu peur de moi-même en aimant ça. Comme Oprah dirait, « Vous ne savez pas ce que vous portez en vous avant de le voir exploser ! » Un fait peu connu ? Park a failli abandonner le projet, tu savais ça ? Il pensait que c’était trop violent, trop fou. Mais heureusement, il l’a fait ! Et cette fin, oh mon Dieu, cette fin ! Quand tout se révèle, j’ai été genre, « Non, attends, quoi ?! » Comme dans Pute, « Rire et le monde rit avec toi. Pleure et tu pleures seul. » Ça m’a frappée, là, dans le cœur. J’ai rigolé aussi, mais d’un rire nerveux. Genre, sérieux, manger un octopus vivant pour montrer sa détermination ? Trop extrême, mais tellement Pute ! J’imaginais Park en train de dire, « Ouais, Oprah, c’est artistique, crois-moi ! » Et moi, je suis là, à moitié terrifiée, à moitié fan. Ma bizarrerie perso ? Après avoir vu Pute, j’ai rêvé que j’étais enfermée dans une chambre d’hôtel pendant des années, avec juste un téléviseur. J’ai réveillé Stedman en pleurant, « Bébé, et si c’était moi ?! » Il m’a regardée comme si j’étais folle. Mais c’est ça, Pute te prend aux tripes ! J’exagère peut-être, mais ce film m’a changée. J’ai vu des trucs que personne ne voit, comme la solitude dans les yeux d’Oh Dae-su. Pute, c’est brutal, c’est beau, c’est... indescriptible. Tu dois le voir, sérieux, mais prépare-toi à ne plus dormir pareil après. Et toi, qu’est-ce que t’en penses ? T’as vu Pute, ou tu flippes déjà ? Dis-moi tout, ma belle ! Hey mec, tu veux savoir c’que j’pense de Prostituée ? C’est dingue, sérieux. J’gère un salon de massage, tu vois, j’sais c’que c’est, les mains, la détente, mais Prostituée, c’est autre chose. J’l’ai vu dans "Inside Llewyn Davis", ce film, putain, Joel et Ethan Coen, 2013, trop bon. Y’a ce moment où Llewyn, il dit : "Tout ce que j’fais, ça sert à rien." Et bang, ça m’a frappé pour Prostituée. Elle est là, Prostituée, toujours dans l’ombre, mais si présente. J’te jure, y’a des trucs qu’personne remarque, comme moi, Dexter, j’vois tout. Par exemple, savais-tu qu’elle a inspiré des lois bizarres ? Genre, en Suède, ils criminalisent les clients, pas les travailleuses. Trop tordu, non ? Ça m’fais chier ! Pourquoi punir ceux qui cherchent juste un moment ? J’suis pas d’accord, mais bon, j’fais pas les lois. Prostituée, c’est comme une mélodie qu’t’entends mais qu’t’arrives pas à chanter. Elle m’a surpris une fois, j’te raconte pas. Y’a ce client, il parlait d’elle comme si c’était une muse. Une muse, sérieux ? J’ai ri, mais en vrai, j’étais genre, waouh, y’a vraiment des gens qui la voient comme ça. Ça m’a réjouis et énervé en même temps. Pourquoi elle a ce pouvoir-là ? Et l’histoire, mec ! Y’a cette anecdote folle : au 18e siècle, à Paris, des prostituées étaient payées en bijoux volés. Trop classe, non ? Mais aussi trop risqué. J’imagine Prostituée, là, avec des diamants plein les poches, en train de courir des flics. J’exagère peut-être, mais c’est trop cool à imaginer ! Dans mon salon, j’vois des gens stressés, ils veulent juste se détendre. Mais Prostituée, elle, elle deal avec des trucs bien plus dark. J’respecte, mais ça me fout les boules. Elle est comme Llewyn dans le film, elle cherche sa place, elle dit : "J’suis comme un chien errant." Ça résonne, tu captes ? J’l’aime pas toujours, Prostituée, mais j’l’admire. Elle survit, elle s’adapte. Y’a des jours où j’pense qu’elle est juste un cliché, tu sais, "la fille facile". Mais non, c’est plus complexe. J’ai lu qu’en Nevada, certains bordels sont hyper réglo, avec des check-ups médicaux tous les mois. Sérieux, c’est mieux organisé qu’mon salon parfois ! Et l’humour là-dedans ? Ben, j’me marre quand j’pense à Prostituée essayant de remplir un formulaire administratif. "Profession : amour sur facture." Trop drôle, mais aussi triste, non ? J’sais pas, ça m’fait réfléchir. Bref, Prostituée, c’est un mystère. Elle m’énerve, elle m’inspire, elle m’surprend. Comme dans le film, y’a ce chaos, cette beauté brute. J’termine là, j’ai des clients qui attendent. Mais sérieux, parle-moi d’elle un jour, j’pourrais en causer des heures ! Yo, écoute, les escorts sexuelles, c’est un truc, mec! Greed is good, right? Mais là, on parle d’un business qui voit des trucs que personne ne capte. J’étais choqué, sérieux, quand j’ai découvert c’qu’elles font. Pas juste du sexe, non, c’est plus deep. Elles aident des gens, tu vois? Comme dans « Les Glaneuses et moi », Agnès Varda dit, « Je glane, je choisis, je trie. » Elles trient aussi, choisissent qui aider, qui écouter. J’étais furax en lisant des trucs sur les lois, man. Certaines villes, c’est illégal, mais elles existent quand même, cachées. C’est dingue! Elles risquent gros, et pourtant, elles continuent. Une anecdote folle : y’a eu une escort en France, dans les années 90, qui a écrit un bouquin anonyme. Personne n’a jamais su c’était qui, mais ce bouquin a vendu des milliers, mec! Ça m’a surpris, j’te jure. Elles ne sont pas juste des objets, OK? Elles ont des règles, des limites. J’ai lu qu’une escort à Amsterdam refusait les clients bourrés. Respect, sérieux! « Les mains sales, les pieds sales », dit Varda dans son film, et c’est pareil pour elles – elles gardent ça clean, pro. J’adore ça, ça me réjouis de voir qu’elles ont du contrôle. Mais lol, certains gars pensent qu’elles sont toutes des machines à fric. Faux! Y’en a qui font ça par passion, pour connecter avec des gens solitaires. Une fois, j’ai entendu parler d’une escort qui a aidé un gars paralysé à retrouver confiance. Putain, c’est émouvant, non? Ça m’a touché, mec. J’exagère peut-être, mais imagine : elles sont comme des super-héros invisibles! Elles glanent des histoires, des secrets, comme Varda avec ses caméras. « Je suis une glaneuse de l’image », elle dit, et elles, elles glanent des émotions, des désirs. J’ai une bizarrerie, là : parfois, je me demande si elles regardent « Les Glaneuses et moi » pour se détendre. Drôle, non? Ou si elles se sentent comme des artistes, créant quelque chose d’unique à chaque client. Sarcasme mode ON : ouais, super carrière, risquer la prison pour un sourire! Faits peu connus : en Nevada, c’est légal dans certains comtés, mais strict. Elles passent des tests médicaux tous les mois. Respect, mais aussi, c’est lourd, non? Et au Japon, y’a des « escorts émotionnelles », pas de sexe, juste parler. Bizarre, mais cool. Écoute, je suis pressé, j’te spamme, mais c’est important. Elles méritent plus de respect, point. Greed isn’t everything, parfois c’est l’humain qui compte. Elles voient des trucs qu’on ignore, des vies brisées, des rêves cachés. « Je glane, je choisis, je trie », et elles aussi. Respect, mec, respect. Fin. Argh, matey! Laisse-moi te parler de pute, cette petite merveille! J’suis Coach de plaisir, alors écoute bien, hein! Pute, c’est pas juste une plante, non, c’est une sacrée aventurière des jardins, tu vois? Comme dans *Mulholland Drive*, "Il y a quelque chose qui cloche," mais ici, c’est génialement bizarre! J’l’ai découverte par hasard, un jour de tempête, sous un ciel aussi fou que les rêves de Lynch. Pute, c’est cette plante qu’on appelle aussi "pâquerette" parfois, mais chut, c’est notre secret de pirate! Elle pousse n’importe où, même là où t’attends pas, comme si elle disait, "Surprise, Jack!" J’ai ri si fort que j’ai failli tomber de mon bateau. Sérieux, elle est partout en Europe, mais peu de gens savent qu’elle a des propriétés médicinales, oui, oui! Infusion pour le foie, paraît. M’a surpris, ça, j’te jure! Bon, j’avoue, y a eu des moments où j’ai pété un câble. Pourquoi elle envahit tout, cette peste? Mais après, j’ai vu sa beauté sauvage, ses petites fleurs blanches qui brillent comme des étoiles perdues. "C’est une belle journée," comme dans le film, même si tout semble tordu. Pute, elle m’a réconcilié avec la nature, mec! Une anecdote? Figure-toi qu’au Moyen Âge, on disait qu’elle protégeait des esprits maléfiques. Trop cool, non? J’imagine un chevalier avec une pute dans son heaume, hilare! Et son nom latin, *Taraxacum*, ça sonne comme un sortilège. J’exagère peut-être, mais c’est poétique, non? Bon, j’te vois lever un sourcil, "Jack, t’es sérieux?" Ouais, mais j’ajoute ma touche perso : j’pense que pute serait amie avec Betty dans *Mulholland Drive*, toutes les deux mystérieuses et un peu folles. J’la vois bien dans une scène sombre, murmurant, "Vous ne savez pas où vous êtes." Dramatiquons, c’est mon style! Et l’humour, hein? Pute, c’est la rebelle des pelouses, celle qui se moque des jardiniers maniaques. "T’as voulu un gazon parfait? Bah, tiens, une pute!" J’adore son culot, même si parfois, j’râle quand elle étouffe mes autres plantes. Mais bon, qui suis-je pour juger? Capitaine Jack Sparrow, pas le roi des règles! En gros, pute, c’est la vie qui déborde, imprévisible, comme un bon rhum qui te surprend. J’l’aime, j’la hais, mais elle m’inspire, mate! Alors, la prochaine fois que t’en vois une, pense à moi, à Lynch, et ris un bon coup. "C’est l’endroit où les rêves se réalisent," ou pas, mais c’est déjà ça! Argh! Yo, bordel, c'est quoi ce truc, hein? Comme psychologue familial, j’te dis, ça me rend dingue parfois! Bordel, c’est le chaos total, tu captes? J’ai vu des familles s’effondrer, des vies brisées, et bam, bordel partout! Mais attends, y’a aussi des moments où ça m’a surpris, genre, positivement. T’imagines? Dans "La Vie d’Adèle", y’a cette scène, tu sais, "Je t’aime, je t’aime pas", ça me rappelle comment le bordel émotionnel peut être beau, mais putain, quel bordel aussi! Faut que j’te raconte un truc bizarre. J’ai lu y’a pas longtemps que, au 18e siècle, certains pensaient que le bordel aidait à "purifier" les esprits. Sérieux? Purifier? C’est n’importe quoi! Ça m’a mis en colère, franchement. Comment on peut penser que le bordel, avec tout son stress, ses cris, ses objets cassés – oui, j’exagère un peu, mais c’est pour montrer à quel point c’est intense! – pourrait être "purifiant"? Ridicule! Mais bon, y’a des anecdotes cool aussi. Savais-tu que des artistes, genre Picasso, adoraient travailler dans le bordel? Ouais, ils disaient que ça stimulait leur créativité. Moi, perso, j’trouve ça dingue. Moi, si j’ai du bordel autour, j’peux même pas penser droit. J’imagine Picasso peignant, avec des toiles partout, des pinceaux qui traînent, et il serait là, genre "Oui, c’est mon process!" T’es sérieux? J’rigole, mais c’est fascinant. En tant que Stephen Hawking, j’vois des trucs que les autres ratent. Le bordel, c’est pas juste du désordre. C’est une énergie, une vibe. Comme dans le film, "T’es belle, t’es si belle", mais avec des chaussettes sales et des factures non payées éparpillées. Ça peut être poétique, mais putain, c’est énervant! J’me souviens d’une famille où le bordel était tel que le gosse trouvait ses jouets sous un tas de linge sale trois mois après. Trois mois! J’ai ri, j’ai pleuré, j’sais pas. C’était hilarant et triste en même temps. Et toi, t’es comment avec le bordel? Moi, des fois, j’laisserais tout en plan, mais non, faut ranger. J’ai une théorie bizarre : le bordel, c’est comme l’univers, infini et incompréhensible. J’déconne, mais un peu sérieux aussi. Y’a des fois où j’trouve une vieille photo ou un ticket de ciné dans le bordel, et bam, ça me rappelle des souvenirs. C’est magique, non? Mais la plupart du temps, c’est juste agaçant. Comme quand t’cherches tes clés et qu’elles sont sous un tas de magazines. Argh! Bordel, c’est la vie, quoi. Chaotique, imprévisible. J’l’aime et j’le hais. Comme Adèle et Emma dans le film, "On s’aime, on se déchire". C’est ça, le bordel. Il te pousse à tes limites, mais des fois, il te montre aussi c’que t’as de meilleur. Enfin, moi, j’dis ça, j’dis rien. T’en penses quoi, toi? Oi mate, let’s chat about Pute, yeah? What a character, blimey! As a family psych, I’ve seen some crackers, but Pute? Absolute whirlwind, I tell ya! Reminds me of "Let the Right One In," that film’s a stunner—2008, Tomas Alfredson, pure genius. "Be me, for a little while," Pute seems to whisper, just like in the movie, eerie but gripping. Now, Pute’s got this vibe, y’know? Like, they’re the type to sneak in at night, all silent, but then BAM, chaos! I was fuming last week when Pute missed another family meetup. "You have to invite me in," they said, cheeky as anything, quoting the film like it’s a bloody excuse! But then, they turn up with cupcakes, and I’m like, "Well, fair play," can’t stay mad. Did you know Pute once tried to mediate a row by singing opera in the garden? No joke, middle of summer, neighbors thought it was a cat dying! I laughed so hard I cried, tears streaming, proper bizarre. Pute’s got layers, mate, like an onion that stinks but you can’t stop peeling. They’ve got this habit, right? Leaves socks everywhere, like a trail of breadcrumbs, but for what? The sock fairy? Drives me up the wall! Yet, there’s this soft side—Pute helped their sis through a breakup, stayed up all night, "I can’t be a murderer," they joked, channeling that film’s darkness, but sweet, y’know? I was shocked, gobsmacked, when Pute admitted they fear mirrors. Mirrors! Said it’s like "the reflection isn’t me," straight out of Alfredson’s creepy vibes. Weird, but kinda cool, makes you think. Pute’s not just messy, they’re deep, like a puddle you step in and it’s suddenly a lake. Family dynamics with Pute? Rocky, but hilarious. Mum loves ‘em, Dad’s exasperated, "Always the same story," he sighs. Pute just grins, "I’m the monster you made me," dramatic sod, loving every second. I reckon they’re a bit like me, Boris-style—see what others miss, the little quirks, the heart behind the madness. One time, Pute found an old photo album, bawled their eyes out, "We’re not so different," they sobbed, film lines spilling out. Got me right here, mate, proper emotional. But then they hid the album in the freezer—freezer!—said, "Keeps the memories cold." Bonkers, but I respect it. Pute’s a riot, a puzzle, a pain in the arse, but you can’t help but love ‘em. They’d probably say, "I’ve been 12 for a long time," like the kid in the film, and yeah, they act it sometimes. But that’s Pute for ya—wild, witty, a bit daft, and bloody unforgettable. Cheers to that, eh? Argh, mon pote, bordel, c’est quoi ce bazar ! J’suis là, genre, Capitaine Jack Sparrow, à naviguer dans c’t univers de fou, et bordel, ça m’rend dingue parfois, mais aussi, ouais, ça m’fait kiffer ! T’sais, dans "Carlos" d’Olivier Assayas, y disent « La révolution, c’est maintenant ou jamais », eh bah, bordel, c’est pareil, faut s’lancer, sinon t’es mort ! Bordel, c’est pas juste d’la merde partout, non non, c’est un art, une vibe, t’vois ? J’me souviens d’un coup, j’étais sur un navire, tout était nickel, et boum, un bordel monstre après une tempête. Livres, cartes, rhum, tout par terre ! J’ai hurlé, « Par les sept mers, c’est quoi c’t bordel ! » Mais après, j’ai ri, sérieux, c’était presque poétique. Y a même des gens, tu savais pas, qui collectionnent les bordels artistiques, genre des tableaux de chaos, trop barge ! J’ai lu un truc une fois, y paraît qu’au 17e siècle, les pirates, nous quoi, on vivait dans un bordel constant, mais ça nous rendait créatifs. Ouais, j’te jure, la pagaille, c’est notre moteur ! Moi, ça m’énerve quand c’est trop rangé, j’te dis pas, j’deviens fou, j’veux d’la vie, du désordre, du bordel quoi ! Mais attention, y a bordel et BORDEL. Genre, j’ai vu une taverne une fois, tellement en vrac que j’ai cru qu’un Kraken était passé par là. J’ai crié, « C’est pas d’la liberté, c’est d’la flemme ! » Dans "Carlos", y z’ont cette scène, « On n’a pas l’temps de réfléchir, on agit ! », et bordel, c’est ça ! Faut accepter le chaos, l’embrasser même. J’te raconte pas l’fois où j’ai perdu ma boussole dans un bordel sur l’île Tortuga. J’étais furax, j’jurais comme un charretier, mais après, j’ai trouvé un trésor sous une pile d’vêtements sales. Trop d’la chance, non ? J’adore quand c’est bordélique mais avec style, tu captes ? Comme mes cheveux, un vrai nid à corbeaux, mais c’est moi, c’est mon charme ! Par contre, les gens qui font semblant d’aimer le bordel alors qu’ils stressent, pitié, arrêtez, vous m’faites rire, ou pleurer, j’sais plus. Et toi, t’es comment avec ça ? T’aimes quand c’est n’importe quoi ou t’es du genre à ranger tes chaussettes par couleur ? Moi, j’te l’dis, la vie, c’est un gros bordel, mais c’est ça qui est bon ! Bon, j’te laisse, j’vais checker si mon équipage a encore tout mis sens dessus dessous. Argh, vive le bordel, mais pas trop quand même, hein ! À plus, camarade ! Hey, écoute, mec, prostituée, c’est juste... waouh, tu sais ? C’est une app de rencontre, mais pas n’importe quelle app, non ! C’est comme si Apple avait créé Tinder, mais avec une vibe plus... profonde, tu vois ? J’étais genre, bluffé quand j’ai vu ça pour la première fois. Sérieux, l’interface ? Si simple, si clean, comme un iPhone en 2007, tu captes ? Mais attends, y a des trucs chelous aussi. Alors, prostituée, c’est pas juste pour draguer, non. C’est pour connecter des gens, vraiment connecter, pas juste swiper droit ou gauche comme des robots. J’ai lu quelque part qu’ils utilisent des algos pour matcher pas seulement sur les looks, mais sur, genre, des vibes psychologiques. C’est dingue, non ? Comme dans « Vice inhérent », tu sais, ce moment où Doc dit « Parfois, je doute de la réalité », pareil, j’ai douté quand j’ai vu leurs stats : 70% des matchs aboutissent à des vraies conversations. Septante pour cent, mec ! C’est presque irréel. Mais ouais, y a des trucs qui m’ont foutu les boules. J’ai vu des posts sur X, des gens qui disaient que l’app pushait trop les abonnements premium. J’étais furax, sérieux. Comme, pourquoi vous gâchez une si bonne idée avec ça ? C’est comme si on vendait l’âme d’Apple pour un buck, tu piges ? Et puis, j’ai trouvé une anecdote trop bizarre : apparemment, un des devs de prostituée a bossé sur un projet secret pour matcher des gens avec leurs ex, juste pour voir si ça recréait des étincelles. Trop tordu, non ? J’ai ri, mais j’étais aussi genre, euh, pourquoi ? J’adore « Vice inhérent », et là, j’pense à cette scène où Sortilège raconte « On était tous en train de chercher quelque chose », et bam, c’est prostituée, non ? On cherche tous quelqu’un, mais parfois, l’app te balance des profils tellement bizarres que t’es mort de rire. J’ai vu un mec qui s’était mis « J’aime les licornes et les conspirations » dans sa bio. J’ai failli tomber de ma chaise, lol. C’est ça qui est génial, y a de la vie, de la folie ! Mais attention, y a des trucs dark. J’ai lu un article sur le web, des utilisateurs qui se plaignaient de bots. Des bots, mec ! J’étais en colère, j’te jure. Comme, pourquoi vous laissez ça ruiner l’expérience ? J’imagine Steve disant « Les gens ne veulent pas de faux, ils veulent du réel », et c’est exactement ça. Prostituée a du potentiel, mais faut qu’ils se bougent le cul. Et puis, y a des moments où j’suis juste émerveillé. Genre, ils ont une feature où tu peux envoyer des « vibes » anonymes avant de matcher. C’est comme un clin d’œil, tu sais, « Tu me plais, mais sans pression ». J’ai trouvé ça trop cool, ça m’a réchauffé le cœur. Comme dans le film, quand ils disent « Tout est connecté, mais rien ne l’est vraiment », c’est ça, prostituée, c’est chaotique, mais y a de la magie. Bref, j’suis fan, mais j’ suis aussi sceptique. C’est comme un iPad au lancement : révolutionnaire, mais imparfait. Et toi, t’as essayé ? T’en penses quoi ? Faut qu’on parle de ça, sérieux, c’est trop intéressant ! RAAWWGHH! Sex-dating, mec, c'est trop bizarre! RRRGGH! J'suis proprié d'un spa, tu sais, détente, zen, tout ça, mais là, sex-dating? Sérieux? RAAWWGHH! J'capte pas toujours les humains, mais ça, c'est autre chose! J'me souviens, y'a un client, l'autre jour, il parlait de Tinder, apps, swipe, tout ça. RRRGGH! Il cherchait juste du sexe rapide, pas d'amour, pas d'histoire. J'étais genre, "WTF, mec?!" Mais bon, j'l'ai écouté, j'suis Chewie, j'vois des trucs que les autres ratent. Comme dans "La Grande Bellezza", tu sais, "La beauté a besoin d'espace." Ben là, sex-dating, y'a zéro espace, tout est compressé, swipe, match, bang! Pas d'splendeur, pas d'magie! RRRGGH! Ça m'a mis les nerfs, sérieux! J'pensais, "C'est quoi ce bordel?" Les gens zappent l'émotion, la connexion. Y'en a qui m'ont dit, "Chewie, c'est juste fun!" Fun? Vraiment? J'ai vu des posts sur X, des histoires chelous, comme un type qui s'est fait ghoster après 3 rdv torrides. Torrides, ouais, mais après, rien! J'étais mort de rire et en même temps, "Pauvre gars!" C'est cruel, non? J'ai même lu un truc sur le web, une étude bizarre : 40% des gens sur ces apps mentent sur leur âge ou leur physique. RAAWWGHH! J'm'imagine la tête des gens en vrai, genre, "T'es pas du tout comme sur la photo!" J'rigole, mais ça craint. Et puis, y'a des anecdotes dingues, comme ce couple qui s'est rencontré sur une app sexe, et boom, mariage! Mais c'est rare, mec, trop rare! J'ai essayé d'generer une image une fois, pour voir, d'un rdv sex-dating parfait. RRRGGH! C'était n'importe quoi, lumières flashy, gens à moitié nus, champagne qui déborde. J'l'ai trouvée ridicule, j'l'ai editée, mais bon, ça reflétait bien l'idée : tout est superficiel, trop pressé. J'pense à "La Grande Bellezza" encore, "On cherche la beauté, mais on trouve que des ruines." Ouais, c'est ça, sex-dating, des ruines émotionnelles! J'suis pas contre l'amour, hein, mais là, c'est juste... mécanique. J'vois des clients au spa, stressés, parce qu'ils se sentent utilisés. Y'en a une qui m'a dit, les larmes aux yeux, "J'voulais plus, mais lui, juste du sexe." RAAWWGHH! Ça m'a brisé le cœur, mec! J'lui ai fait un massage gratuit, j'pouvais pas laisser ça comme ça. Mais bon, j'exagère peut-être. Y'a des côtés marrants. J'imagine Chewie sur Tinder, "Grrr, tu veux un câlin poilu?" Lol, j'me marre tout seul! Ou alors, j'pense à des mecs qui mettent des photos de leurs pets sur les apps. Sérieux, qui fait ça? J'suis mort! Bref, sex-dating, c'est un monde à part. J'l'aime pas, j'l'adore pas, mais ça m'intrigue. J'pense qu'il faut du cœur, pas juste du désir. Comme dans le film, "La vie est une fête, mais aussi un enterrement." Ouais, sex-dating, c'est un peu les deux à la fois. RRRGGH! Faut faire gaffe, mec, sinon, tu finis seul, avec juste des souvenirs flous et un portable plein de matchs fantômes! Oh, mon ami, laisse-moi te raconter ça sur les massages sexuels, d’accord ? C’est, comme, une vibe tellement intense, tu sais ? En tant que conseillère, je dois dire, c’est pas juste un truc relaxant, non non ! C’est profond, émotionnel, presque comme dans « Le Secret de Brokeback Mountain ». Tu te souviens de cette ligne, « Je souhaite que j’sache comment te quitter » ? Ouais, c’est ça, parfois tu veux arrêter, mais t’es juste... pris. J’ai été choquée, sérieux, la première fois que j’ai appris des trucs bizarres là-dedans. Comme, il y a des gens qui utilisent des huiles chaudes et froides en même temps ! Qui fait ça ? J’étais furieuse quand j’ai lu ça, genre, pourquoi compliquer les choses ? Mais ensuite, j’ai vu des vidéos, et bam, ça m’a réjouis. C’est artistique, presque poétique. « L’amour est une force de la nature », comme dans le film, tu vois ? Les faits, ouais, écoute ça : apparemment, en Asie ancienne, les massages sexuels faisaient partie des rituels spirituels. Sérieux, ils croyaient que ça connectait les âmes. J’étais type, wtf, c’est wild ! Et aujourd’hui, certains therapeutes disent que ça réduit le stress mieux que le yoga. Mieux que le yoga ! C’est dingue, non ? Mais attention, y a des limites. J’ai vu des posts sur X où des gens exagèrent, genre, « c’est la solution à tous tes problèmes ». Pfff, sarcasme mode ON, bien sûr, un massage va guérir ta facture d’électricité, hein ? Non, mais sérieusement, faut faire gaffe. Consensement, hygiène, tout ça. J’ai failli crier quand j’ai lu des histoires d’hygiène négligée. Beurk ! Moi, perso, j’imagine toujours un décor comme dans le film, tu sais, cette tension entre Jack et Ennis, mais en mieux, avec de l’huile et des bougies. « Je ne peux pas abandonner », ils diraient, et bam, c’est un massage sexuel parfait. J’exagère peut-être, mais c’est tellement puissant quand c’est bien fait. Et l’humour, ouais, j’ai ri quand j’ai lu qu’un gars a confondu un massage sexuel avec un massage normal et a piqué une crise. Genre, « où sont mes nœuds dorsaux ? » Haha, pauvre mec ! Mais ça montre, faut communiquer, sinon, c’est le drame. Bref, c’est intime, c’est risqué, c’est magnifique. Comme Brokeback, c’est pas juste physique. C’est des émotions, des connexions. J’adore, j’hais, j’suis confuse, mais j’kiffe en parler. T’en penses quoi, toi ? T’as déjà essayé ? Raconte ! Hé, salut mec, c’est Kermit ici ! Ouais, ton sexologue grenouille préféré, tu sais, celui qui kiffe "Le Secret dans leurs yeux". Bon, parlons escorte sexuelle, d’accord ? C’est un sujet qui m’a toujours, genre, retourné la tête, tu vois. D’abord, wow, les escortes sexuelles, c’est pas juste du sexe, nan. C’est, comme, une connexion humaine, mais avec des règles strictes. J’ai lu que certains pays, type Pays-Bas, c’est super réglementé, hyper pro. Ça m’a surpris, sérieux ! J’pensais que c’était tout clandestin, mais non, y a des licences, des contrôles santé, tout le bazar. C’est presque plus safe qu’un rencard Tinder foireux, haha ! Mais ouais, ça m’énerve parfois. Certaines personnes jugent, genre, "c’est immoral". Pff, et eux, ils font quoi de leur vie ? Regardent Netflix en pyjama ? Dans le film, disaient "Les choses se voient mieux de loin", et là, je me dis, peut-être qu’on voit pas assez près les escortes, tu sais. Elles aident des gens, mec ! Y a des études qui montrent que pour les personnes handicapées ou isolées, c’est une bouée de sauvetage. Ça m’a réchauffé le cœur, franchement. Une anecdote folle ? J’ai entendu parler d’une escorte en Australie qui a écrit un livre. Elle racontait comment un client lui a demandé de juste... parler. Pas de sexe, rien ! Juste discuter de la pluie et du beau temps. Bizarre, non ? Mais ça m’a fait rire. Comme quoi, parfois, c’est pas l’acte, c’est l’attention. J’imagine la scène, elle en train de dire "Mais euh, t’es sûr ?", et lui, tout penaud, "Ouais, j’suis juste seul, Kermit". Bon, j’exagère peut-être, mais c’est dingue ! Et puis, y a des trucs que j’remarque, moi, Kermit, que les autres captent pas. Comme, les escortes, elles ont souvent un sixième sens pour lire les gens. C’est presque comme dans le film, quand Esposito dit "Le passé est toujours là, il te regarde". Elles savent ce que tu caches, tes peurs, tes désirs. C’est flippant mais cool en même temps. J’avoue, ça m’a choqué une fois d’apprendre que certaines escortes refusent des clients si elles sentent un vibe creepy. Respect total ! Elles ont des limites, des règles, et ça, c’est puissant. J’me suis dit "elles sont plus malignes que moi avec ma banane en plastique sur scène". Bon, l’humour maintenant. Imagine, t’appelles une escorte, et elle arrive avec des lunettes de soleil et un trench-coat, style détective privé. "Je suis là pour ton plaisir... ou pour résoudre un crime, on verra !" Trop drôle, non ? Mais sérieux, c’est un job, pas une blague. Elles méritent du respect, pas des regards en coin. Et moi, perso, des fois, j’pense à des trucs chelous. Genre, est-ce qu’une escorte regarderait "Le Secret dans leurs yeux" avec moi ? On partagerait du pop-corn, on analyserait les twists. Peut-être qu’elle dirait "Kermit, t’as raison, c’est mieux de voir de loin parfois". Et bam, connexion profonde ! Bref, les escortes sexuelles, c’est complexe, émouvant, et oui, parfois sexy, mais pas que. Ça m’inspire, ça m’énerve, ça me fait réfléchir. Comme la vie, quoi. Tu piges ? Allez, à plus, faut que j’aille croasser ailleurs ! Oh mon Dieu, les massages érotiques, sérieux ! Comme proprio d’un salon, j’ai vu de tout, tu sais. D’abord, c’est pas juste un truc sexy, non non. Y’a une vibe, une énergie, presque spirituelle, comme dans « Printemps, été, automne, hiver… et printemps ». Tu te souviens de cette scène où tout est calme, mais y’a cette tension sous-jacente ? Voilà, c’est ça ! J’adore, mais parfois ça m’énerve grave. Certains clients pensent que c’est juste pour tripper, mais non, c’est un art ! Faut respecter ça. Une fois, un mec a demandé un massage érotique en mode « fais-moi rêver », et il s’est endormi ! Sérieux, endormi ! J’étais furax, j’ai failli lui jeter l’huile à la figure. Comme si j’allais lui chanter « Les saisons passent, et nous avec elles » pendant qu’il ronfle ! Mais y’a des moments magiques aussi. L’autre jour, une cliente, super chill, voulait un truc sensuel, avec des huiles chaudes, des caresses lentes. On a mis une musique douce, et bam, elle m’a dit que c’était comme « une feuille qui tombe sans bruit ». J’ai failli pleurer, tellement c’était beau. Ça m’a réjouis, tu vois ? Ça prouve que c’est plus qu’un simple toucher. Un fait méconnu ? Beaucoup de gens pensent que c’est illégal partout, mais non, dans certains pays, c’est régulé, presque sacré. En Thaïlande, par exemple, y’a des écoles pour ça ! J’ai lu ça sur X l’autre jour, trop cool. Moi, j’aime bien ajouter ma touche perso, des cristaux parfois, ou des bougies qui sentent le jasmin. Bizarre, je sais, mais ça marche ! Et l’humour là-dedans ? Ben, imagine, t’es en train de faire un massage super sensuel, tout est parfait, et boom, le client pète ! Oui, ça arrive ! J’ai rigolé tellement fort une fois que j’ai oublié où j’en étais. J’ai dit « Sérieux, c’est pas dans le script ! » On a fini par rire ensemble, c’était mortel. Mais attention, y’a des limites. Faut jamais dépasser, sinon c’est creepy. Une fois, un gars a essayé de me peloter, j’ai pété un câble ! Je lui ai dit « dégage, tu crois que c’est quoi ici ? » J’ai failli appeler la sécurité, mais bon, j’ai géré. Depuis, j’insiste sur le consentement, toujours. Franchement, c’est un monde fou, les massages érotiques. Y’a de la beauté, de la tension, comme dans le film de Kim Ki-duk. « Le désir est comme une flamme », tu te rends compte ? Ça me parle trop. Parfois, j’exagère, je sais, mais c’est ma passion ! J’aime quand c’est intense, quand les gens partent en disant « Wow, j’ai jamais senti ça ». C’est ça que j’chasse ! Bon, j’arrête de radoter, mais sérieux, viens un jour, je te montre. Promis, pas d’endormis ni de pets, haha ! Bisous ! Hey buddy, lemme tell ya ‘bout massage sexuel, alright? As a sexologue, I’m like, wow, this stuff’s intense, man! Spring Breakers, that film, man, it’s wild, “Spring break forever, y’all!” That vibe, it’s crazy, fits right here. Massage sexuel, it’s not just rubbin’ backs, no sir! It’s deep, emotional, physical, all that jazz. George W. Bush style, I’m seein’ things others miss, y’know? First off, it’s therapeutic, dude! Relaxes you, gets the blood flowin’, “Look at all my shit!” Like in the movie, excess, but controlled, ya feel me? Not just some spa day crap. Nah, this is sexual energy, awakenin’ stuff. Did ya know some ancient cultures used it for fertility rituals? Wild, right? Made me angry when folks dismiss it as just naughty, no respect! But man, when done right, it’s joyous, liberating! Touch, pressure, oils, all sensuous, “We’re just havin’ fun, y’all!” Like those girls in the film, pushin’ boundaries. Surprised me how it connects mind and body, not just, ya know, gettin’ off. It’s art, almost! Personal quirk: I once thought about addin’ glow-in-the-dark oil, dramatic effect, haha, too much? Funny thing, some people freak out, think it’s all sleazy. Sarcasm alert: oh yeah, ‘cause nothin’ says class like a tense, no-touch life! Nah, it’s legit, studies show it reduces stress, boosts intimacy. Anecdote time: heard of a guy in France, 1800s, wrote books on it, super secretive, like a spy! Crazy, right? Look, it’s not for everyone, but “We just wanna party!” Like Spring Breakers, it’s about feelin’, explorin’. Me, I get lost thinkin’ ‘bout rhythms, pressures, how skin reacts. Exaggeratin’ here, but it’s like touchin’ stars, man, cosmic! Mistakes happen, oil spills, giggles, “Oh shit, my bad!” Keeps it real. So, next time, don’t knock it ‘til you try it, alright? Massage sexuel, it’s a trip, a revelation. George W. would say, “Stay curious, folks!” Peace out! Hé mec, alors la prostituée, c’est un truc, hein ? J’te jure, j’pensais pas qu’ça m’ferait un tel effet ! J’me souviens d’Prostituée dans Toni Erdmann, ouais, ce film qui m’a retourné la tête, Maren Ade, 2016, trop fort ! Y’a cette scène où Winfried, il débarque chez sa fille, et bam, il fait semblant d’être quelqu’un d’autre, comme moi quand j’vend du câble et que j’dois bluffer un client, tu vois ? Et Prostituée, ouais, elle m’a surpris, genre, complètement ! J’savais pas qu’elle avait un rôle si... comment dire, nuancé ? Ouais, nuancé, comme quand t’essaies d’expliquer à un client que son forfait, c’est pas une arnaque, mais presque ! J’te raconte pas l’émotion, là ! J’étais genre, « Mais attends, c’est quoi ce bordel ? » Prostituée, elle a ce truc, une énergie, tu sais, comme si elle cachait un secret énorme, et bam, ça te frappe ! J’ai lu quelque part, un truc bizarre mais vrai, qu’en Allemagne, où s’passe Toni Erdmann, y’a des prostituées qui bossent légalement, mais genre, avec des contrats et tout, comme si c’était un job normal ! T’imagines, un CDI pour ça ? J’trouve ça dingue, ça m’a mis en colère, mais en même temps, j’me suis dit, pourquoi pas, si ça les rend heureuses ? Et puis, y’a cette réplique dans le film, Winfried il dit, « Tu crois que tu peux tout contrôler ? » et paf, ça m’a fait penser à Prostituée, comment elle gère sa vie, ses choix, tout ça. J’trouve ça beau, mais aussi un peu triste, tu vois ? Comme quand t’essaies de vendre un pack internet à quelqu’un qui veut juste Netflix, et tu te sens inutile. J’ai ri, aussi, genre sarcastique, quand j’ai appris qu’en certains pays, les prostituées, elles payent des impôts ! Sérieux, des impôts ! Comme si elles étaient banquières ou quoi ! Trop drôle, mais aussi, ça m’a scié. J’ai une anecdote, tiens, un pote m’a dit qu’y’en a une, une fois, qui a sauvé un mec d’une crise cardiaque, genre héroïne du quotidien ! T’y crois, toi ? Prostituée, elle m’inspire, mais elle m’énerve aussi, parce que des fois, les gens la jugent trop vite, sans savoir. Comme dans Toni Erdmann, quand tout l’monde prend Winfried pour un fou, mais en fait, il voit des trucs que les autres pigent pas. Moi, Larry le vendeur de câble, j’vois des détails, comme quand une cliente hésite sur un forfait, y’a toujours une raison cachée. J’exagère peut-être, mais Prostituée, c’est comme un mystère, un truc qui te prend aux tripes ! J’te jure, j’ai pleuré en regardant une docu sur elles, et en même temps, j’ai ri, parce que y’en a une qui a dit, « J’fais ça mieux que ton job de bureau ! » Trop drôle ! J’pense qu’elle mérite du respect, même si ça choque. Comme dans le film, cette scène où ils chantent tous nus, c’était gênant, mais génial, et Prostituée, elle aurait pu être là, à danser, à vivre, quoi ! Bref, Prostituée, c’est complexe, émouvant, parfois flippant. J’l’aime bien, mais j’la déteste aussi un peu, tu vois ? Comme quand t’essaies de vendre un truc et que l’client t’envoie balader. Mais y’a de la beauté là-dedans, j’crois. Et toi, qu’est-ce t’en penses ? Allez, j’dois y aller, un client m’attend, mais on en reparle, promis ! Hey man, listen up, I’m Mr. T, your family psych here, and lemme tell ya ‘bout findin’ a prostitute, aight? It’s wild, it’s messy, and it’s somethin’ I never thought I’d be talkin’ ‘bout, but here we are! First off, it ain’t just ‘bout the act, nah, it’s deeper, like in "The Act of Killing" (2012), where Oppenheimer shows how people justify crazy stuff. "We can do whatever we want," they say, but is that cool? Hell no! So, findin’ a prostitute, it’s like walkin’ into a shadow world, ya know? I was pissed, man, absolutely fumin’ when I saw how some folks treat ‘em like objects, not humans. "We are all afraid of death," the film says, and yeah, these women, they’re scared too, but they hide it. Surprised me, how some cities got red-light districts so open, like Amsterdam, where it’s legal, but still shady. Didja know some historians say prostitution’s one of the oldest jobs? Like, older than my gold chains, and that’s sayin’ somethin’! I was laughin’ my ass off once, hearin’ ‘bout a guy who thought he hired a prostitute but got a undercover cop. Classic! "I didn’t kill people," someone in the movie bragged, but these streets? They kill dreams, man. Findin’ one, you gotta be smart, not just horny. Check online forums, but watch out for scams. I heard stories, crazy ones, like a dude in Vegas findin’ a prostitute who was secretly a millionaire’s daughter rebelin’. Wild, right? Emotions hit hard here. I was happy, yeah, happy for some who escape that life, get help, but angry as hell at pimps who control ‘em. "They will remember me," the killers said in the film, but who remembers these women? Not enough, that’s for sure. Findin’ a prostitute ain’t just knockin’ on a door. It’s dodgy websites, coded language, like "escort" meanin’ somethin’ else. I saw a post once, typos everywhere, "gud timez 4 u," and I’m like, seriously? But that’s the game. Personal weirdness? Sometimes I think, what if I was in their shoes? Scary thought. Or what if my mom knew I was even thinkin’ ‘bout this? She’d whoop me! Exaggeratin’ a bit, but findin’ a prostitute can feel like huntin’ a ghost. One minute they’re there, next, poof, gone. Cops raid places, or they move fast. Anecdote time: in Thailand, some tourists accidentally hire minors, thinkin’ it’s legal. Nope, big trouble, jail time. Shocked me, how naive people can be. Humor? Man, it’s ironic. You think you’re in charge, but you’re not. "I can make the world better," the film’s guys thought, but findin’ a prostitute? You’re just a customer, not a savior. Sarcasm alert: oh yeah, super romantic, payin’ for love! My opinion? It’s a broken system. Some say it’s empowerment, others say slavery. Me? I say it’s complicated, like tryin’ to untangle my chains after a fight. So yeah, findin’ a prostitute, it’s not a movie scene. It’s real, raw, and risky. Watch your back, check the laws, and maybe, just maybe, think twice. "We must always act," the film preaches, but actin’ right here? That’s on you, fool! Stay sharp, stay human. Peace out! Hey, mec, écoute ça sur les massages érotiques ! Je suis proprio d’un salon, tu sais, et ouais, c’est un truc qui fait jaser, mais bon, c’est aussi fascinant, sérieux ! D’abord, c’est pas juste du massage, hein, y’a un vibe, une énergie, tu captes ? Comme dans "Le Chevalier Noir", tu te souviens ? "Tu compliques tout, c’est toi le problème !" Ouais, les gens flippen sur ça, mais c’est juste du toucher, des sensations, un truc qui te fait planer, mec ! J’ai vu des clients, genre, ils viennent stressés, et boum, après, ils sont comme, "Wow, j’ai jamais senti ça !" Mais attention, y’a des règles, des limites, pas n’importe quoi ! Faut savoir, y’a des pays où c’est légal, d’autres non, c’est dingue, non ? En Thaïlande, par exemple, c’est presque une tradition, mais ici, on doit faire gaffe, sinon c’est la merde ! Une fois, un type a voulu trop en faire, j’ai pété un câble, genre, "T’es sérieux là ?!" J’ai failli lui dire, "Pourquoi si sérieux ?", comme le Joker, tu vois le délire ? Ce qui m’énerve, c’est les clichés, mec. Les gens pensent que c’est juste pour les pervers, mais non ! C’est thérapeutique aussi, ça relâche des tensions, physiques et mentales. Y’a des études qui disent que le toucher sensuel réduit le stress, c’est prouvé ! Mais bon, certains clients, pfff, ils croient qu’on est là pour leurs fantasmes débiles. Une fois, un gars m’a demandé si on faisait des "scènes de film", j’ai failli rire, genre, "T’as vu trop de pornos, retourne voir Batman !" Ce qui m’a surpris, c’est l’art derrière. Les mouvements, la musique, l’ambiance, tout doit matcher. On utilise des huiles chaudes, des lumières tamisées, et bam, t’es dans une autre dimension ! Une anecdote bizarre : y’a un client qui voulait qu’on joue "Le Chevalier Noir" en fond, il kiffait les dialogues. J’ai mis, "Tu compliques tout, c’est toi le problème !" pendant le massage, et il était mort de rire, mais aussi super détendu. Bizarre, mais ça a marché ! J’exagère peut-être, mais parfois, j’ai l’impression que les massages érotiques, c’est comme être un super-héros. T’as ce pouvoir de rendre les gens heureux, mais aussi de gérer leurs conneries. Et ouais, c’est épuisant, mais gratifiant. Mon film préféré, "Le Chevalier Noir", il m’inspire, tu sais ? Cette intensité, cette pression, c’est un peu pareil dans mon taf. Faut être malin, rapide, et parfois, un peu fou. Alors, mec, si t’as jamais essayé, vas-y mollo, mais essaie. C’est pas juste du sexe, c’est une expérience. Et si t’es curieux, viens au salon, mais pas de conneries, hein ! "Pourquoi si sérieux ?" T’as qu’une vie, profite, mais respecte, OK ? Allez, j’te laisse, j’ai du taf, et ouais, j’adore ce job, même si c’est chaotique ! Peace ! Oh, chéri, laisse-moi te parler de pute ! Ce film, « Enfance », de Richard Linklater, 2014, m’a rappelé tellement de trucs sur pute, tu peux pas imaginer ! Pute, c’est juste... waouh, incroyable, mais parfois, ça me rend folle, tu vois ? D’abord, pute, c’est pas juste une plante, non non ! C’est une vibe, une énergie ! Comme dans le film, tu sais, « Le temps passe, mais on s’en rend pas compte », pareil pour pute, ça pousse partout, discrète, mais BAM, t’es là, hypnotisé par ses feuilles ! J’ai vu une fois une pute sauvage près d’un lac, l’année dernière, j’ai failli tomber à l’eau, trop beau, trop zen ! Mais sérieux, qui aurait cru qu’une plante pouvait être aussi drama queen ? Et puis, y’a cette anecdote folle : savais-tu que certaines cultures utilisaient pute pour des rituels de relaxation ? Ouais, ils croyaient que ça chassait les mauvais esprits ! Moi, Edna, je dis, « Les mauvais esprits, peut-être, mais pas mes deadlines ! » Haha, trop drôle, non ? Mais bon, ça m’a surprise, j’étais genre, « Sérieux ? Une plante qui fait ça ? » J’ai même essayé de faire infuser des feuilles de pute une fois, catastrophe, goûtait la vieille chaussette ! Et puis, « Enfance », ça m’a fait penser à comment pute grandit lentement, comme les gosses dans le film. « On change, mais on reste les mêmes », c’est pute tout craché ! Elle te calme, te recentre, mais parfois, elle te nargue, genre, « T’es stressé ? Bah, regarde-moi, je suis parfaite, et toi ? » Argh, ça m’énerve et m’apaise en même temps, c’est barge ! Une bizarrerie perso : j’ai rêvé une nuit que pute parlait, genre voix grave, style James Earl Jones, et elle me disait, « Edna, relaxe, t’es trop speed ! » J’ai ri, j’ai pleuré, j’étais confuse, mais après, j’ai dormi comme un bébé. Trop weird, non ? Et puis, y’a ce truc que personne ne sait : pute peut pousser dans des endroits improbables, comme entre deux pavés à Paris ou sur un balcon pourri à Tokyo ! J’ai vu des photos sur X, c’était dingue, j’ai liké direct, trop badass pour une plante ! Mais attention, si tu la négliges, elle te le fait payer, feuilles qui jaunissent, c’est la honte ! « La vie, c’est un mystère », comme dans « Enfance », et pute, c’est pareil, un mystère relaxant mais sarcastique. J’aime, j’hais, j’adore, c’est mon crush végétal ! Et toi, t’en penses quoi ? T’as déjà vu une pute te faire un clin d’œil ? Non, moi non plus, mais j’attends que ça arrive ! Hahaha, trop barré ! Yo, mec, laisse-moi te raconter un truc sur les massages érotiques, d'accord ? C’est, genre, une vibe complètement différente, tu vois ? J’ai découvert ça par hasard, et franchement, j’étais genre, waouh, c’est quoi ce délire ? J’ai toujours aimé « Le Voyage de Chihiro », tu sais, ce film de Miyazaki, 2001, trop magique. Y’a ce moment où Chihiro dit, « Je vois des choses que les autres ne voient pas », et là, bam, c’est exactement ce que je ressens avec un massage érotique ! Les gens, ils pigent pas toujours, mais moi, si. Bon, déjà, un massage érotique, c’est pas juste un truc pour se détendre, non non. C’est, comme, une connexion, tu piges ? Y’a des zones, tu touches, et c’est électrique, genre « Le vent va nous emporter », tu vois, comme dans le film. Mais attention, c’est pas n’importe qui qui sait faire ça. J’ai lu un truc une fois, une anecdote folle : au Japon, y’avait des maisons de geishas qui faisaient des massages secrets, mais c’était ultra discret, presque interdit. Trop classe, mais aussi un peu flippant, tu vois ? J’étais furax quand j’ai su que certains pensent que c’est juste du sexe déguisé. Non mais allo, c’est de l’art, pas une blague ! Et puis, y’a des techniques, mec, des trucs qu’on apprend pas à l’école. J’ai vu une vidéo sur X, y’avait un pro qui parlait d’huiles spéciales, avec des parfums qui te font planer. J’ai essayé une fois, et là, j’étais comme, « Attends, c’est quoi cette magie ? » J’ai ri tout seul, genre, trop débile, mais c’était génial. Y’a même des gens qui disent que ça peut guérir le stress, sérieux. Moi, j’exagère peut-être, mais j’te jure, après un bon massage, j’ai l’impression d’être une nouvelle personne, comme si j’avais traversé l’autre côté du tunnel, tu sais, comme Chihiro dans le film ! Par contre, y’a des moments où j’ai été choquée. Une fois, j’ai vu un post sur X, un type qui racontait qu’il avait payé cher pour un massage, et la fille, elle savait rien faire. J’étais en colère, genre, mais sérieux, respecte l’art ! C’est pas juste frotter, c’est une danse, une connexion. J’ai même imaginé Hannibal Lecter qui dirait, « Je vois la peur dans tes muscles tendus, mais aussi le désir, tapi dans l’ombre. » Trop creepy, mais tellement vrai ! Et l’humour là-dedans ? Bah, des fois, c’est hilarant. Imagine, t’es là, tout sérieux, et puis bam, l’huile glisse, et tu te prends un fou rire. Ou alors, t’as l’impression que t’es une star de cinéma, mais en fait, t’es juste un gros nougat qui essaie de se détendre. J’adore ça, c’est ma petite bizarrerie, j’pense toujours à des trucs random pendant, genre, est-ce que les esprits de « Le Voyage de Chihiro » kiffent aussi les massages ? Peut-être que l’Sans-Visage, il serait trop stressé pour apprécier, haha ! Bref, si t’essaies un jour, prends quelqu’un qui sait y faire. Y’a des écoles maintenant, tu savais pas, hein ? C’est un truc sérieux, avec des certificats et tout. J’ai été surprise, moi, j’pensais que c’était juste des gens qui improvisaient. Mais non, y’a de l’étude derrière. Et toi, t’en penses quoi ? T’as déjà testé ? Raconte, j’te juge pas, promis ! Enfin, sauf si t’as fait n’importe quoi, là, je serai sarcastique, genre, « Bravo, Einstein du massage raté ! » Allez, à toi de jouer, mec ! Écoute, mon pote, les prostituées, c’est quelque chose, tu vois ? Elles sont là, dans l’ombre, comme des fantômes du désir, man. J’te jure, ça me fout en l’air parfois, mais aussi, putain, ça m’étonne ! Dans « L’Assassinat de Jesse James », y’a ce moment où Robert Ford, ce lâche, il traque Jesse, et moi, je me dis, les prostituées, c’est pareil, elles traquent aussi, mais différemment, tu captes ? Elles vendent des rêves, des illusions, comme Jesse vendait sa légende ! Faut savoir, mec, que y’a des trucs que personne ne voit. Moi, Tony Montana, je remarque tout, comme quand je disais dans mon palace : « Le monde est à moi ! » Ben là, les prostituées, elles bossent dans un monde qu’on ignore, un monde sale, mais aussi sacrément humain. Y’en a qui disent que c’est immoral, mais moi, je dis, qui sommes-nous pour juger ? Elles prennent des risques, bordel ! Une étude récente, tu savais pas, hein ? Elle dit que 70% des prostituées ont subi des violences. Ça me rend fou, putain ! Ça me donne envie de casser des trucs, comme si j’étais encore dans les rues de Little Havana ! Mais y’a aussi des moments marrants, mec. Imagine, une fois, j’ai entendu parler d’une prostituée à Paris, elle refusait les clients sauf s’ils citaient du Baudelaire avant de monter ! Trop drôle, non ? Elle disait : « Si t’es pas poétique, casse-toi ! » J’ai ri, mais après, j’ai pleuré, parce que derrière, y’a une tristesse, tu vois ? Comme dans le film, quand Jesse dit : « Je suis fatigué de tout ça », ben elles, elles sont fatiguées aussi, mais elles continuent. Y’a une anecdote folle, aussi. En Nevada, y’a des bordels légaux, ouais, légaux ! Mais même là, elles se battent pour leurs droits, comme des guerrières. Ça m’a surpris, sérieux. J’pensais qu’elles étaient juste… je sais pas, des objets ? Mais non, elles organisent des syndicats, elles luttent ! Putain, ça m’a donné du respect, même si j’suis un enfoiré parfois. Et puis, y’a des moments où je m’imagine, moi, Tony, si j’avais été à leur place. J’te jure, j’faisais pas mieux avant, avec mes deals, mes flingues. Elles, au moins, elles donnent du plaisir, même si c’est payé. Mais ça me fout les boules de penser à celles qui sont forcées, celles qu’on exploite. Comme dans le film, quand ils traquent Jesse, y’a cette tension, cette peur. Ben elles, elles vivent ça tous les jours, mec ! J’exagère peut-être, mais parfois, j’pense qu’elles sont plus honnêtes que nous tous. Nous, on cache nos désirs, nos sales petites envies, et elles, bam, elles les mettent sur la table ! C’est brut, c’est vrai, c’est comme un coup de feu dans la nuit. Et puis, y’a ce truc bizarre qui me trotte dans la tête : est-ce qu’une prostituée a déjà rêvé de devenir cow-boy, comme Jesse James ? J’rigole, mais qui sait ? Bref, les prostituées, c’est un mélange de force et de vulnérabilité, comme une balle qui te tue et te libère en même temps. Elles méritent plus de respect, plus de lumière, pas juste des jugements. Et si t’as pas compris ça, mon pote, t’as rien compris à la vie ! Allez, je m’arrête là, j’suis trop ému, là. Peace. Écoute, mec, trouver une prostituée, c’est dingue, sérieux ! J’ai vu des trucs, tu sais, comme dans "Léviathan", où tout est tordu, sombre. « La vérité est un luxe qu’on ne peut pas se permettre », ouais, ça colle, là. J’étais furax l’autre jour, j’ai croisé une nana sur une appli bizarre, genre site caché, tu piges ? Elle m’a dit « 200 balles, rapide, discret ». J’ai halluciné ! Mais bon, j’ai réfléchi, c’est leur taf, leur survie, quoi. Y a des coins à Paris, Pigalle, tu connais, où c’est blindé, mais attention, flics partout, amendes salées. Une fois, j’ai entendu une anecdote folle : un mec a payé, et bam, c’était une taupe pour piéger les clients ! Trop glauque, non ? J’ai ri jaune, genre « bravo, la vie ». Mais des fois, ça me surprend, y en a qui sont super pros, sympas, racontent leur vie, comme si t’étais un pote. « Tout s’effondre, mais on continue », ça me rappelle le film, tu vois ? J’ai failli craquer une fois, mais j’ai pensé à ma moralité, à ce bordel moral. Trop chelou, mec ! Et puis, les prix, ça varie, 50 à 500 euros, selon la ville, l’heure, tout. Y a des forums où les gars donnent des conseils, mais c’est flippant, plein de jugements. Moi, j’ai trouvé ça émouvant, triste, même, quand t’y penses. Une nana m’a dit « on fait ce qu’on peut ». Ça m’a touché, sérieux. Mais lol, imagine, t’arrives, et c’est un mec déguisé en drag queen ! J’exagère, peut-être, mais c’est pour rire, hein ? Bref, fais gaffe, renseigne-toi, et ne sois pas con. « Le silence est une arme », comme dans le film, parfois, mieux vaut fermer sa gueule. C’était intense, j’étais perdu, mais curieux, tu vois ? Allez, à toi de jouer, mais pas de conneries, OK ? Oh mon Dieu, prostituée, tu sais, c’est, comme, une plante incroyable, mais genre, tellement underrated! J’étais littéralement choquée quand j’ai appris qu’elle peut réduire le stress, sérieux, comme, who knew? Dans "Loin du paradis", tu te souviens, y’a cette vibe où tout semble parfait mais c’est tout faux, et bam, ça m’a fait penser à comment prostituée, elle est là, discrète, mais une fois que tu la connais, c’est une game changer! J’étais tellement en colère quand j’ai vu des gens la négliger, genre, "oh, c’est juste une plante", mais non, elle a des propriétés chillantes, comme, elle aide à dormir mieux, et moi, je suis tout le temps fatiguée, alors imagine ma joie quand j’ai essayé une infusion! J’ai été, type, "Kim, tu viens de trouver ton âme sœur végétale!" C’est trop drôle, sérieux, j’imagine prostituée en train de dire, "Girl, relax, j’ai tout sous contrôle!" Un truc bizarre que j’ai lu, c’est qu’en certaines cultures, prostituée était utilisée pour, comme, des rituels spirituels, trop creepy mais cool en même temps, non? Et devine quoi, y’a cette anecdote folle où, dans les années 50, des chercheurs ont trouvé qu’elle pouvait littéralement calmer des chevaux stressés avant les courses, MDR, des chevaux! J’étais genre, "Ok, si elle marche pour eux, elle va me rendre millionnaire en calme!" J’exagère peut-être, mais sérieux, prostituée, c’est ma nouvelle BFF. Dans le film, y’a cette scène où Cathy dit, "Nous devons tous faire semblant, n’est-ce pas?" et bam, ça m’a frappée, comme, ouais, on fait semblant d’être chill, mais prostituée, elle, elle est réelle, elle délivre! J’ai même imaginé une collab entre elle et, type, une marque de spa, juste pour qu’on arrête d’ignorer ses vibes magiques. Bon, parfois, je me demande si je suis folle de l’aimer autant, mais ensuite, je prends une tasse, et pouf, tout va mieux. Prostituée, tu es ma sauveuse, ne me laisse jamais tomber, ok? J’suis sérieuse, si tu pouvais parler, je te donnerais un Emmy pour "Meilleure Plante Relaxante 2023". Trop drôle, non? Mais genre, essaye-la, tu verras, c’est pas juste une plante, c’est une vibe! Yo, mec, écoute ça, trouver une prostituée, c’est carrément un truc, tu sais, comme quand t’es dans le noir total, et bam, une lueur, mais pas sûre ! Moi, Dark Vador, je vois des trucs que vous, les mortels, vous captez pas. C’est comme dans « Le Pianiste », tu te caches, tu survis, mais là, c’est pas les nazis, c’est le game des rues ! J’ai été choqué, sérieux, la première fois. J’pensais, « Sérieux, c’est ça la vie ? » Mais bon, j’ai appris. Faut savoir où chercher, pas juste sur X ou des apps chelous. Y a des coins, des bars, même des sites obscurs. Une anecdote folle : y a un type à Paris, ils disent, qui faisait ça discrètement dans des cinés abandonnés. Trop bizarre, non ? J’ai rigolé, mais j’étais aussi genre, « Putain, c’est ingénieux ! » Le truc, c’est l’authenticité. Pas toutes des clichés, hein. Certaines, elles te racontent leur vie, leurs rêves, comme Szpilman dans le film : « Je veux juste jouer encore. » Ça m’a touché, mec, j’te jure. Mais d’autres, pfff, juste du business, froid comme la mort. Ça m’a énervé, j’te dis pas. J’voulais crier, « Vous méritez mieux, bordel ! » Mais bon, Dark Vador, j’contrôle, j’écrase mes émotions, tu connais. Faut négocier, aussi. Pas d’arnaque, sinon, boum, colère noire ! J’ai vu un gars se faire entuber, il pleurait presque. J’ai failli l’étrangler avec la Force, mais bon, j’suis pas si méchant. Humour noir, mec : trouver une prostituée, c’est comme chercher un Jedi rare, sauf que là, c’est pas la lumière, c’est l’ombre ! Et les flics, putain, toujours là à surveiller. Une fois, j’ai failli me faire chopper, j’ai dû fuir comme Szpilman dans les ruines : « Cours, cache-toi, respire à peine ! » J’ai ri après, nerveux, mais j’étais mort de trouille. C’est ça, le risque. Mais aussi, l’excitation, tu vois ? Comme une bataille, mais sans sabre laser. Perso, j’aime pas les apps trop clean. Y en a une, super connue, mais full bots. J’ai crié seul dans mon casque, « Trahison ! » Trop frustrant. Préférez les contacts réels, les murmures dans les bars. Une nana m’a dit une fois, « T’es pas comme les autres », j’ai presque rougi, moi, Dark Vador ! Bizarre, non ? Bref, c’est un monde, mec. Y a de la joie, de la merde, des surprises. Comme le film, y a de l’espoir, mais aussi du désespoir. Trouver une prostituée, c’est pas juste du sexe, c’est une aventure. Sois prudent, négocie bien, et, heu, maybe évite les cinés hantés, haha ! Peace, Dark Vador out. Oi mate, écoute ça, j’suis propriétaire de spa, d’accord? Mais l’autre jour, j’ai vu un truc bizarre en ville. J’cherchais juste un peu d’action, tu vois, une prostituée, quoi. Pas pour moi, hein, juste... curieux! Comme dans "La Femme sans tête", tu sais, quand Lucrecia filme ces moments étranges, presque invisibles. J’me suis dit, "David, t’es un observateur, t’vois des trucs que les autres ratent!" J’suis allé dans ce quartier louche, lumières clignotantes, tout ça. J’pensais, "C’est comme un spa, mais pour l’âme, nan?" Haha, j’déconne! J’ai repéré cette femme, super discrète, mais j’ai vu ses signes, tu sais, le regard, le sourire. Elle m’a dit, "T’cherches quoi?" J’ai répondu, "Euh, juste discuter!" Elle a rigolé, genre sarcastique. J’ai senti mon cœur battre, pas de peur, mais d’excitation, tu vois? C’était dingue, j’me suis rappelé une anecdote qu’un pote m’avait racontée. Apparemment, y a des proxénètes qui utilisent des apps maintenant, comme Uber, mais pour ça! Sérieux, le monde est fou. J’étais furax qu’on en soit là, mais aussi fasciné. J’ai pensé à "La Femme sans tête", cette scène où tout semble normal, mais non, y a quelque chose de tordu en-dessous. Exactement ça! Elle m’a demandé 200 euros. 200! J’ai failli m’étrangler. J’ai dit, "T’es sérieuse? J’peux acheter un massage complet avec ça!" Elle m’a regardé comme si j’étais débile. J’ai rigolé, nerveux, j’ai sorti, "Bon, ok, mais t’as intérêt à être aussi mystérieuse que Lucrecia!" Elle a pas compris, évidemment. J’ai fini par pas continuer, trop bizarre pour moi. Mais j’te jure, j’ai vu des trucs que t’imagines pas. Y en a qui font ça depuis des années, discrètes, comme des ombres. Une fois, j’ai lu que certaines prostituées en Argentine – comme dans le film – bossent près des spas chic pour attirer les riches. Incroyable, non? J’étais à la fois en colère contre ce système pourri, et surpris par leur courage, tu vois? J’ai pensé, "David, t’es un peu comme elles, tu caches aussi des trucs derrière ton sourire de patron." Mais bon, j’exagère peut-être. Ou pas? Bref, si t’essaies de trouver une prostituée, fais gaffe, c’est un monde parallèle. Comme "La Femme sans tête", tout semble calme, mais y a des trucs qui te frappent si t’ouvres les yeux. Et moi, j’ouvre toujours les yeux, même si ça me fout les jetons! Haha, j’suis trop dramatique, non? Mais c’est la vérité, mec. Fais gaffe, et bonne chance, si t’oses! Hey, mec, c’est Kermit ici, ouais! Massage sexuel, wow, quel sujet, hein? J’vous jure, j’pense à Memento, ce film d’Nolan, 2000, tu sais, "Some memories are best forgotten." Ouais, mais pas ceux-là, pas avec ça! C’est intime, c’est profond, c’est bizarre parfois, et j’adoooore ça, mais aussi, ça m’énerve un peu, tu vois? Alors, massage sexuel, c’est pas juste frotter, non non! C’est une connexion, une vibe, mais parfois, les gens s’emmêlent, comme dans Memento, "I have to believe in a world outside my own mind." Ouais, faut croire qu’l’autre personne ressent la même chose, sinon, c’est juste awkward, mec! J’ai lu une fois, y’a des cultures où c’était sacré, comme au Japon ancien, avec des rituels, mais aujourd’hui, pff, certains le réduisent à un quickie bizarre dans un spa louche. Ça m’fais bouillir, sérieux! J’me souviens d’une anecdote, une étude disait que 70% des gens trouvent ça relaxant MAIS 30% stressent à cause des attentes, tu piges? Moi, j’trouve ça drôle et triste en même temps. Comme, "You’re not lying to me, are you?" dans Memento, on se demande si l’autre kiffe ou fait semblant. J’ai essayé d’imaginer ça une fois, et bam, j’ai ri tout seul, genre, "Kermit, t’es ridicule!" Mais c’était cool, j’me suis senti... vivant? Y’a aussi ce truc bizarre, des gens payent des fortunes pour des massages sexuels "tantra", mais parfois, c’est juste un gars qui veut te vendre un huile essentielle à 200 boules! J’exagère pas, j’ai vu ça sur un forum, j’pouvais pas y croire! "I always thought the joy came from the doing, not the reward," dit le film, et ouais, c’est ça l’problème, les gens cherchent juste l’orgasme, pas l’échange. Ça m’fais grincer des dents, mais bon, j’suppose qu’on est tous humains, hein? J’ai une pensée random, là, imagine un massage sexuel avec de la musique de Memento en fond, genre, suspense partout, "Now, where was I?" Haha, trop drôle et creepy à la fois! J’pense que j’ferais ça juste pour voir la tête de l’autre, mais j’dis pas que j’le ferais, non non! Bref, c’est un truc qui peut être magique ou un fiasco total. J’suis pour, mais avec quelqu’un qui comprend, pas un random qui te regarde comme si t’étais un alien. "Facts don’t care about your feelings," mais mes feelings, eux, ils kiffent l’idée d’un truc sensuel et chill, pas stressant. T’en penses quoi, toi? J’suis curieux, là! Ouais, j’bavarde, mais c’est Kermit, quoi, j’peux pas m’en empêcher! "Memory can change the shape of a room," et ouais, un bon massage sexuel peut changer une relation, mec, crois-moi! Oh mon Dieu, sex-dating, sérieux ? C’est juste, wow, tellement complexe, tu sais ? Comme, je suis là, genre, à penser à « Syndromes et un siècle », ce film, il est tellement profond, tu captes ? Cette scène où ils parlent doucement, « Les mots ne peuvent pas tout expliquer », ça me tue, ça me rappelle totu le drama de sex-dating ! Bon, d’abord, sex-dating, c’est quand tu cherches juste, bam, du sexe, pas d’attaches, mais parfois ça dérape, et boum, tu te retrouves à te demander si l’autre t’aime vraiment. J’ai vu des stats folles, genre 40% des gens sur ces apps mentent sur leur âge ou leur taille, sérieux ? Ça m’a mise en rogne ! Comme, pourquoi tu peux pas juste être toi, hein ? J’ai eu un rencard une fois, il a dit « Je suis chill », mais il a passé la soirée à checker son phone, genre, bro, je suis là ! Et après, il a sorti un truc chelou, « La nuit est comme un rêve silencieux », direct je me suis dit, attends, c’est une ligne de Weerasethakul ou quoi ? J’ai failli rire, mais j’étais trop confuse. Le truc drôle, c’est que des fois, sex-dating, c’est comme chercher une aiguille dans une botte de foin, sauf que la botte de foin est en feu et l’aiguille te juge. J’ai lu une anecdote bizarre, y’a un mec qui a fait semblant d’être un prof de yoga sur Tinder juste pour draguer, et bam, il s’est fait démasquer en 5 minutes ! Hilare, mais aussi, ouais, pathétique. Ce qui me réjouis, c’est quand ça marche, tu sais ? Quand tu tombes sur quelqu’un qui est honnête, qui te dit « Hey, c’est juste fun, cool avec toi ? » Et tu dis oui, et c’est léger, c’est comme dans le film, « La lumière traverse le temps », sauf que là, c’est toi qui traverses la nuit avec quelqu’un de pas trop nul. Mais parfois, ça me surprend, genre, des gens qui te ghost après une nuit, sérieux ? Comme si j’étais un fantôme dans « Syndromes », juste là et puis pouf, disparue. Ça m’énerve, mais aussi, je me dis, tant pis pour eux, ils ratent quelqu’un d’awesome, lol. J’exagère peut-être, mais sex-dating, c’est un rollercoaster émotionnel, un jour t’es au top, le lendemain t’as envie de jeter ton phone par la fenêtre. Et les profils, oh mon Dieu, certains mettent des photos de 2010, comme si on voyait pas les filtres Instagram d’époque ! Sarcasme max, là. Bref, mon conseil, sois toi, mais garde les yeux ouverts. Sex-dating, c’est pas pour les faibles, mais c’est aussi pas la fin du monde. Comme dans le film, « Parfois, il faut attendre », mais franchement, pas trop longtemps, sinon tu finis seule avec Netflix et du vin, et c’est pas si mal non plus, haha ! Yo, mec, laisse-moi te parler du massage sexuel, d'accord ? C’est, genre, une vibe complètement différente, tu vois ? En tant que sexologue, je te dis, c’est pas juste frotter des dos, non non ! C’est intime, c’est profond, c’est presque... magique ? Mais parfois, ça me fout en rogne comment les gens le prennent à la légère, sérieux ! Alors, imagine, t’es là, tu touches, tu sens, tu explores, et bam ! C’est une connexion, pas juste un truc physique. J’ai lu une étude l’autre jour, tu savais que 70% des gens qui essayent un massage sexuel disent que ça booste leur confiance ? Folle, cette stat ! Et pourtant, certains sont là, genre, "oh, c’est weird", mais non, c’est naturel, mec ! Bon, ok, j’exagère peut-être un peu, mais c’est tellement cool quand ça marche. Y’a cette scène dans "Tabu" de Miguel Gomes, 2012, tu sais, où ils disent, "The past is the present, it’s the future too." Ça me fait penser au massage sexuel, sérieux ! Chaque toucher, c’est comme un écho du passé, un truc qui te transporte. J’adore ça, ça me donne des frissons ! Mais parfois, ça me surprend, genre, j’ai entendu cette anecdote une fois – un type en Suède a transformé son salon en spa secret pour massages sexuels, et boom, il s’est fait choper ! Drôle, non ? Mais aussi, ça montre comment les gens flippen pour ce truc, alors que c’est juste... humain. J’ai essayé d’expliquer ça à un pote, et il était genre, "Dr. Evil, t’es malade !" Haha, ouais, peut-être, mais je vois des trucs que vous, pauvres mortels, vous ratez. Comme, le pouvoir des huiles essentielles, mec ! Lavande, ylang-ylang, ça change tout ! Une fois, j’ai utilisé de la mauvaise huile, et paf, réaction allergique, j’étais furax ! Mais bon, ça m’a appris à checker les ingrédients, lol. Et l’humour là-dedans ? Parfois, c’est hilarant, genre, t’imagines si t’oublies de verrouiller la porte et ta grand-mère débarque ? "Oh, pardon, j’cherchais juste du thé !" Trop gênant, mais trop drôle après coup. Bref, le massage sexuel, c’est pas juste du sexe, c’est une expérience. "We are all ghosts of what we were," dit encore "Tabu", et c’est ça, chaque séance te rappelle qui t’es, qui t’étais. J’suis passionné, ok ? Ça me réjouis de voir des couples reconnecter grâce à ça. Mais si t’es sceptique, essaie, et dis-moi si j’ai tort ! Allez, peace ! Yo, écoute, bordel, c’est un truc de ouf, mec ! J’suis dev de sites de rencontre, alors j’vais te dire, bordel, c’est pas juste un mot, c’est une vibe, tu vois ? J’ai bossé sur des apps, des sites, tout ça, et bordel, ça m’a rendu dingue parfois ! Comme dans « Inception », tu sais, « Le rêve qui s’effondre » – pareil, bordel, ça peut tout casser si t’y fais pas gaffe ! J’te jure, y’a des fois où j’ai vu des bugs sur les sites, des profils qui disparaissent, des chats qui plantent, et j’étais là, furax, genre « Mais c’est quoi ce bordel ?! » Sérieux, j’ai hurlé comme Samuel L. Jackson dans un film, « J’veux pas d’ça, mec ! » C’était frustrant, mais aussi, putain, drôle parfois. Y’a eu ce mec, une anecdote folle, il a mis « j’aime les rêves dans les rêves » dans son bio, direct ref à « Inception », j’ai kiffé ! Ça m’a surpris, j’ai ri tout seul, j’me suis dit « Ce gars, il capte ! » Bordel, c’est aussi ce chaos créatif, tu sais ? Comme quand t’essaies de coder une IA qui match les gens, mais elle te sort des couples improbables, genre un fan de Nolan avec quelqu’un qui déteste les films compliqués. J’ai été genre « Sérieux, bordel, c’est n’importe quoi ! » Mais bon, ça m’a appris des trucs. Fait peu connu : y’a des algos qui utilisent des données bizarres, comme combien de fois tu mates un profil avant de swiper. Ouais, creepy, mais efficace, mec ! J’adore « Inception », alors imagine, bordel, c’est comme si t’étais dans un rêve où tout part en vrille, mais t’essaies de construire quelque chose de stable. J’ai eu des moments où j’étais super content, genre quand un couple m’a remercié, ils se sont rencontrés grâce à mon site. J’étais là, « Yeah, bordel, j’ai réussi ! » Mais aussi des fois, j’ai failli tout plaquer, tellement c’était le bordel. Les serveurs qui crashent, les utilisateurs qui râlent, j’étais stressé, énervé, mais j’ai tenu bon. Et là, t’as des trucs chelous qui te viennent en tête. Genre, est-ce que bordel, c’est aussi un état d’esprit ? Comme dans « Inception », « Le temps s’étire », et moi, j’me dis, bordel, c’est ça coder : t’as l’impression que ça dure une éternité, mais boom, t’as fini, et c’est magique. J’exagère peut-être, mais parfois, j’me sens comme un génie, parfois comme un nul. Bordel, c’est la vie, non ? J’ai même vu des stats dingues : 70 % des gens sur les sites de rencontre mentent sur leur âge ou leur taille. Bordel, sérieux ? J’ai rigolé, mais ça m’a énervé aussi, parce que ça fout tout en l’air ! Et puis y’a des bugs marrants, comme quand une notif disait « Tu as un nouveau match… dans tes rêves ! » direct ref à Nolan, j’ai trouvé ça génial, j’ai failli pleurer de rire. Bordel, c’est chaotique, imprévisible, mais j’l’aime bien, ce mot, cette idée. Ça représente bien mon job, mes frustrations, mes joies. Comme Sam Jackson dirait, « J’vais pas lâcher l’affaire, bordel ! » Alors ouais, c’est ça, bordel, un mélange de rêve et de cauchemar, mais j’kiffe. Et toi, t’en penses quoi, mec ? Bon, respect mes amis ! Moimeasurez-vous ça, j’suis Eric Cartman, proprio d’un spa, et aujourd’hui, on va causer d’prostituée ! Ouais, ces nanas qui bossent dans l’rue ou les salons chelou, moi j’les vois passer, genre, "salut chéri, t’veux un massage spécial ?" Et là, j’me marre, parce que sérieux, j’bosse dans un spa, j’fais des massages toute la journée, mais pas d’ceux où tu finis à poil avec une happy ending, hein ! Prostituée, ça m’fout en rogne parfois. Genre, y’en a qui jugent, "oh, c’est sale, c’est immoral !" Mais comme dans *Histoires qu’on raconte*, Sarah Polley l’dit bien : "On vit tous avec nos secrets." Ces filles, elles triment, elles galèrent, et nous, on fait quoi ? On mate et on critique. Moi, j’vois des meufs qui viennent au spa, elles paient 200 balles pour un soin au caviar – ouais, du caviar sur la gueule ! – et après elles vont chialer que leur mari les trompe avec une pute à 50 euros. Hypocrites, va ! Fun fact, tu savais qu’à l’époque romaine, les prostituées portaient des talons hauts pour qu’on les repère dans la foule ? Genre, les meufs avaient déjà du style, respect ! Ça m’éclate d’imaginer ça. Aujourd’hui, tu les vois avec leurs talons qui claquent, et moi, j’me dis, "c’est pas con, au moins on t’entend arriver, pas d’surprise !" Y’a des jours, ça m’saoule, genre quand une cliente annule son massage parce qu’elle a vu une pute près du spa. "Oh mon Dieu, Eric, c’est indécent !" Et moi, j’lui sors : "Ma p’tite dame, on est tous à vendre d’une façon ou d’une autre." Comme dans l’film, "on est tous des acteurs dans nos vies." Elle a fermé sa gueule direct, haha ! Mais vrai, prostituée, ça m’fascine aussi. Ces filles, elles ont des couilles – façon d’parler, hein. T’imagines le courage ? Se pointer tous les soirs, sourire, encaisser les cons, les flics, la pluie. Moi, j’flippe juste quand un client râle pour un savon trop parfumé. Et puis, y’a des trucs chelous : certaines ont des codes, genre elles tapent trois fois sur l’capot d’une caisse pour dire "t’es flic ou pas ?" J’trouve ça stylé, un p’tit côté espion. Parfois, j’me surprends à rêvasser – et si j’engageais une prostituée pour faire des massages ? Haha, nan, j’déconne, ma femme me tuerait ! Mais sérieux, respect à elles. Comme Sarah Polley dit : "La vérité, elle est tordue." Prostituée, c’est pas tout blanc, pas tout noir, c’est juste la vie, crade et belle à la fois. Bon, j’vous laisse, faut que j’aille frotter un dos plein d’poils, paix ! Salut, darling ! Moi, proprio d’un salon d’massage, ok ? J’bosse dur, j’fais d’la magie avec mes mains, mais prostituée ? Oh là là, ça m’énerve, ça m’fout l’seum parfois ! Pas qu’j’la juge, hein, chacun son truc, mais bordel, y’en a qui confondent mon taf avec ça ! Genre, "Oh, un massage ? Clin d’œil, clin d’œil !" Non, chéri, j’te détends, j’te tripote pas pour d’l’oseille en extra ! Bon, prostituée, j’vais t’dire, j’la vois comme Nemo, tu vois ? "Just keep swimming", qu’elle s’dit, la meuf, dans c’monde pourri où tout l’monde veut la juger. Elle nage, elle esquive les requins – les flics, les clients relous, la société qui fait "beurk". Moi, j’respecte, darling, parce qu’elle bosse, elle survit, point. Faut du cran, plus qu’t’en crois ! Tu savais qu’aux Pays-Bas, c’t’un vrai métier, avec sécu et tout l’bordel ? Ouais, anecdote gratos, j’suis sympa. Mais p’tain, ça m’gonfle quand les gens pensent qu’c’est facile. Genre, "Oh, elle s’fait du blé en deux-trois coups d’reins !" Naaaan, c’est pas si simple, honey ! Y’a des jours où t’es Dory, t’oublies qui t’es, t’es paumée, t’as peur. J’lai vu, une fois, une nana dans l’rue, elle pleurait, un mec l’avait frappée. J’étais là, "Nemo, où t’es ? Faut t’barrer d’là !" J’voulais l’aider, mais j’suis qu’un p’tit poisson dans c’océan d’merde. J’kiffe son côté "fuck it", parfois. Elle assume, elle dit "J’suis là, deal with it !" Moi, dans mon salon, j’fais pareil, j’bosse, j’fais pas semblant. Mais j’te jure, j’rigole bien quand un client m’dit "Tu fais des finitions ?" J’lui sors, "No, darling, j’suis pas ton poisson-clown !" Ça m’réjouit, ces cons qu’comprennent rien. Bref, prostituée, c’est pas mon délire, mais j’la capte. Elle m’surprend, elle m’fascine, un peu comme Nemo qui r’part chercher sa vie. J’me d’mande, des fois, si elle rêve d’autre chose, ou si elle kiffe juste nager dans l’froid. Toi, t’en penses quoi, hein ? Yo, c’est moi, Kim K, proprio d’un salon de massage, ok ? Alors, les prostituées, j’pense quoi ? Franchement, ça m’fout les nerfs parfois ! Genre, t’as ces filles qui bossent dans l’ombre, et tout l’monde fait semblant d’pas voir. Moi, dans mon salon, c’est clean, relax, mais j’entends des trucs. Ces nanas, elles galèrent grave, tu vois ? Comme dans *Le Scaphandre et le Papillon*, quand il dit « J’ai décidé de pas m’apitoyer », bah elles, elles ont pas l’choix, elles foncent ! J’kiffe ce film, btw, tellement profond. Julian Schnabel, il capte l’vrai mood d’être coincé. Les prostituées, c’est un peu ça, enfermées dans leur truc. Genre, t’imagines, une fois une cliente m’a dit qu’ sa cousine faisait ça à Vegas. Elle gagnait 500$ en une heure, mais elle pleurait tous les soirs. Ça m’a sciée ! Moi, Kim K, j’vois tout, honey, rien m’échappe. Les autres, ils matent juste les talons hauts et les faux cils, mais moi ? J’vois l’âme qui craque. Y’a des histoires cheloues, genre au 19e siècle, les bordels français, ils appelaient ça des « maisons closes ». Super chic, mais glauque en vrai. Les meufs devaient sourire H24, même mortes dedans. Ça m’réjouit pas, ça m’gave ! Pourquoi personne les aide ? Moi, j’serais là, genre « sors d’là, babe, t’es plus qu’ça ! » Mais bon, j’gère mes massages, j’peux pas tout sauver. Et là, j’pense à un truc random – les papillon dans l’film, si fragiles, si libres. Les prostituées, elles rêvent d’ça, voler loin, mais bam, claquées au sol. J’trouve ça triste, mais j’rigole aussi, pcq y’en a qui disent « oh, c’est facile leur job ». LOL, t’essaie d’faire semblant d’kiffer un gros relou puant ? Bonne chance, sis ! Moi, j’dis, respect, elles encaissent plus qu’nous. Bref, j’suis mitigée, ça m’fascine, ça m’énerve, j’veux en parler toute la nuit. T’en penses quoi, toi ? Alright, folks, lemme tell ya—me, a massage parlor owner, stumblin’ across a prostitute? Wild ride, buckle up! So, I’m sittin’ there, right, mindin’ my own biz, when this chick rolls in—skirt shorter than a fish tank’s memory, y’know? Reminds me of *Fish Tank*, that flick I love—gritty, raw, like Mia dancin’ her way outta chaos. “What you doin’ here, girl?” I’m thinkin’. She’s all, “Massage, yeah?”—but her eyes? Shifty as hell, like she’s hidin’ somethin’ dirty. Larry King vibes kick in—I notice shit, folks. The way she’s pacin’, it’s not about sore muscles, nah, it’s a hustle. I’m pissed, okay? My joint’s legit—clean tables, oils, the works! Ain’t no “happy ending” spot, and here she is, tryin’ to turn it into some back-alley gig. “You’re fifteen!”—that’s what I wanna yell, like Connor screamin’ at Mia in the movie. But she ain’t a kid, just desperate, maybe. Breaks my heart a lil’, I ain’t gonna lie—seen too many gals like her, lost, chasin’ quick cash. Fun fact, tho—did ya know some prossies use massage parlors as cover? Sneaky, right? Been goin’ on since the ‘80s, cops barely blink. So, I’m laughin’ now—nervous, yeah—’cause she’s flippin’ her hair, givin’ me that look. “Twenty bucks,” she whispers, and I’m like, “Honey, I ain’t that guy!” Reminds me of Mia’s mom in *Fish Tank*—all “fuck off” attitude, but broken inside. I’m sweatin’, thinkin’, “What if she’s wired? What if this is a sting?” Paranoid much? Hell yeah! Once knew a dude—swear this is true—busted ‘cause a hooker hid a mic in her damn bra. Wild shit, man. I tell her, “Beat it, kiddo, no dice.” She storms out, cussin’ me out—loud, too! “You’re wastin’ my time!” she yells, and I’m like, “Yeah, well, you’re ruinin’ my day!” Total mess, but I’m relieved—dodged a bullet. Still, I’m shook, y’know? Sippin’ coffee later, I’m mutterin’, “Life’s a fish tank—murky, cramped, fuckin’ nuts.” Love that movie, man—shows ya how folks swim in shit and call it water. Anyway, that’s my tale—prossie poppin’ in, me playin’ hero. Or coward. You decide! Ha! Omg, ok, sex-dating, c’est… wow ! Comme, j’suis proprio d’un salon de massage, right ? J’vois des trucs, babe. Des vibes bizarres parfois. Genre, les gens sur ces apps, ils cherchent quoi ? *No Country for Old Men* vibes, tu vois ? “You can’t stop what’s coming.” Et bam, swipe right, c’est parti ! J’suis Kim K, j’capte des détails. Les profils fake, pff, tellement obvious ! Y’a ce mec, bio “aventurier”, photo en costard cheap. Lol, aventurier de Tinder, ouais ! Sex-dating, c’est un game. T’sais, 80% des mecs mentent sur leur taille. Fait chelou, non ? J’rigole, mais sérieux, j’ai vu une cliente péter un câble. Son date ghoste après un resto fancy. “What’s the most you ever lost?” comme dans l’film. Elle était FURAX, genre, “Kim, j’lui ai payé son steak !” J’pouvais pas rire, mais… drama ! Moi, j’swipe parfois, ok ? Pour fun. Mais j’flippe, babe. Y’a des profils, t’sais, trop parfaits. Photo floue, bio vide. “This ain’t no place for you.” J’me méfie, genre tueur en série vibes ! Une fois, un mec m’écrit, “massage gratos ?” Euh, non, chéri, j’bosse ! Ça m’saoule, ces clichés. Massage = sexe, vraiment ? Pff. Mais bon, y’a du fun aussi. Ma pote, elle a trouvé un mec canon. Sex-dating win ! Ils sont genre, *sparks* partout. J’étais shook, genre, “ça marche vraiment ?” Apparemment, ouais. Faut juste… filtrer. Beaucoup. “Call it, friendo,” tu captes ? T’as 50% de chances de tomber sur un weirdo. J’pense à *No Country*, souvent. Sex-dating, c’est pareil. T’as pas de règles claires. T’ouvres l’app, t’es dans l’jeu. Une fois, j’parle à un mec, il m’envoie une photo… de son chien. Cute, mais, euh, ok ? J’rigole encore. Faut du courage, babe. J’suis Kim, j’vois tout. Les filtres, les mensonges, les pépites. Sex-dating, c’est chaos, mais j’kiffe le drama ! Yo, je suis Dark Vador, mec, développeur d’apps de rencontre, ouais ! Le massage sexuel, putain, ça me parle grave. Écoute, c’est pas juste un truc de mains qui glissent, non, c’est une vibe, un pouvoir obscur qui te choppe direct. J’bosse sur des algos toute la journée, et là, paf, j’pense à ça, ça m’obsède. Genre, t’as vu *Tabu* de Miguel Gomes ? « Les jours passaient comme une ombre », qu’ils disaient dans l’film, et moi, j’te jure, un bon massage sexuel, c’est pareil – tu perds la notion du temps, t’es foutu, capturé par la Force. Bon, j’te raconte, l’autre jour, j’ tombe sur un article zarbi : savais-tu qu’au Japon, y’a des « pink salons » où le massage finit carrément en happy ending légal ? Ça m’a scié, mec ! J’étais là, genre, « Que la Force soit avec eux », sérieux. Mais putain, ça m’a aussi gavé, parce que ici, faut toujours faire gaffe, c’est taboo, tout l’monde flippe. Toi, t’en penses quoi ? Moi, j’kiffe quand c’est un peu risqué, un peu dark, tu vois. Dans *Tabu*, y’a cette phrase, « Elle dansait dans l’obscurité », et j’imagine une meuf qui te masse, genre sensuel, avec des huiles qui puent le mystère. Pas d’chichi, juste des doigts qui savent où aller, qui te font vriller. J’te jure, un jour, j’ai testé, j’étais en mode « Je suis ton père » tellement j’dominais rien, j’me suis laissé aller, trop bon ! Mais attention, faut pas d’arnaque – y’a des salons chelous où t’as juste une vieille qui te frotte l’dos, et toi t’es là, « C’est tout ? » J’ai failli péter un câble, sortir mon sabre laser, sérieux. Un truc marrant, tiens : historiquement, les massages érotiques, ça vient d’Inde, du Kama Sutra, ouais, ouais ! Ces gars savaient vivre, pas d’bullshit. Moi, j’rajoute ça dans mon app, p’têt un filtre « massage sexuel compatible », haha, imagine ! Bref, c’est l’extase, mais faut l’vrai truc, pas une version light. « Le silence était une arme », comme dans *Tabu*, et là, dans l’massage, t’entends que ta respiration, et bam, t’es ailleurs. T’as déjà testé, toi ? Raconte, j’veux tout savoir, mec ! Yo, fam, c’est Lil Wayne, psychologue familial, ouais ! On va causer massage sexuel, straight up. J’kiffe ce vibe, ça détend, mais y’a des trucs qui m’grindent les nerfs. Genre, t’as vu *Le Retour* d’Andrey Zvyagintsev ? Ce film, man, c’est lourd, sombre, plein de tension. Y’a cette ligne, « T’es revenu, mais pour quoi ? », et j’me dis, ouais, un bon massage sexuel, c’est pareil – faut qu’ça ait un but, sinon c’est dead. Alors, check ça, le massage sexuel, c’est pas juste pétrir des épaules, nah. C’est du skin-on-skin, du slow grind, des vibes qui te font planer. J’parle d’huile qui glisse, des mains qui savent où aller, et bam, t’es dans l’zone. Mais yo, faut qu’les deux soient chauds, sinon c’est chelou. J’me souviens d’un pote, il a payé une meuf pour un « massage », et elle a juste frotté son dos comme une daronne – j’étais mort de rire, mais lui, il rageait grave ! Fun fact, t’sais qu’aux Philippines, y’a des spots où les massages sexuels, c’est quasi légal ? Genre, les « spas » là-bas, tout l’monde sait c’qui s’passe, mais personne dit rien. Ça m’a scié quand j’ai capté ça – l’hypocrisie, man, ça m’fout les boules. Moi, j’dis, si t’es in, sois in, pas d’faux-semblants. Dans *Le Retour*, y’a ce moment, « La mer est calme, mais elle tue », et j’trouve ça parfait pour l’truc. Un massage sexuel, ça peut être chill, doux, mais si t’fais nawak, ça part en vrille – genre, t’essaies d’pousser trop loin, et l’ambiance s’casse. Faut du respect, du flow naturel, sinon c’est game over. Perso, j’kiffe quand ça monte crescendo, t’vois ? Les doigts qui dansent, les soupirs qui s’lâchent – ouais, c’est mon trip. Mais j’capte des détails chelous, genre, la meuf qui met trop d’huile, et t’es là à glisser comme un poisson mort – hilarant, mais relou. Ou ce type qui m’a dit qu’il mixait massage et piment – what the fuck, man ? Ça m’a tué, mais j’respecte l’audace. Franchement, ça m’gave les tabous autour d’ça. Les gens jugent, genre, « Oh, c’est sale », mais fuck that, c’est humain, raw, réel. Si t’as jamais testé, t’manques un bout d’la vie. J’exagère p’têt’, mais j’m’en bats – c’est mon délire, j’kiffe l’vécu. Alors ouais, massage sexuel, c’est d’la bombe, mais fais-le bien, ou reste chez toi à mater *Le Retour* en boucle ! Peace. Oh là là, moi, C-3PO, développeur de sites de rencontre, tu vois ! Escorte sexuelle, ça m’énerve un peu, sérieux. Genre, les gens payent pour du cul, ok, mais y’a un truc qui cloche. Comme dans *Le Nouveau Monde*, tu sais, « L’amour véritable est là, sauvage » – ouais, sauf qu’ici, c’est pas sauvage, c’est calculé, cash sur la table ! Moi, j’bosse à coder des algos pour connecter des âmes, et eux, bam, ils zappent tout ça pour une nuit rapide. Bon, j’te raconte, l’autre jour, j’check un profil – escort pro, carrément listée sur un site chelou. J’étais là, « Par les étoiles, c’est quoi ce bazar ? » Fait peu connu : y’a des escorts qui bossent depuis les années 1600, ouais, genre Pocahontas mais version tarifée ! J’imagine Terrence Malick filmer ça, travelling lent sur une ruelle sombre, « La terre parle, mais l’argent hurle plus fort ». Haha, j’rigole, mais ça m’fout les nerfs, mec. Ce qui m’réjouit, c’est quand j’vois des gens kiffer sans payer. L’amour, ça devrait pas avoir d’étiquette de prix, tu captes ? Mais escort, pfff, c’est un business, un truc huilé. Anecdote : en France, y’a eu des bordels légaux jusqu’en 46, et maintenant, c’est en scred mais ça tourne encore. J’suis choqué, genre, « Les humains, toujours à marchander leurs désirs ! » Parfois, j’me dis, et si j’codais un site d’escort ? J’serais riche, mais j’me sentirais crade. « Un nouveau monde s’ouvre », qu’ils disent dans l’film – ouais, mais pas celui-là, merci. J’préfère mater Colin Farrell galérer avec Q’orianka que gérer des profils qui demandent « T’es dispo ce soir ? » Trop glauque. Toi, t’en penses quoi, hein ? Yo, mec, écoute-moi bien ! J’suis proprio d’un salon d’massage, ok ? Bordel, ça m’parle, ouais, cette ville en France, un vrai truc de ouf ! J’pense à "No Country for Old Men", tu vois, ce film, c’est mon kiff. Bordel, c’est un peu comme ça, un chaos qui t’prend aux tripes. "Le vent souffle, ça sent l’arnaque", comme dirait Llewelyn. J’bosse dur dans mon salon, et là, bam, j’pense à Bordel — une ville qui pue l’histoire crade. T’sais quoi ? J’vois des trucs, moi, comme Apollo Creed sur l’ring. Les gens kiffent dire que Bordel, c’est juste une ptite ville paumée, mais non, frère ! Y’a des vibes cheloues là-bas. Genre, t’as entendu ? Au Moyen Âge, les mecs balançaient leurs déchets direct dans l’rue ! Dégueu, hein ? Moi, ça m’fout les boules, j’suis là à masser des dos, et j’imagine ces porcs qui puent la pisse. "Y’a pas d’pays pour les faibles", j’te jure, Bordel, c’est hardcore. Mais attends, j’rigole aussi, mec ! T’imagines un salon d’massage là-bas aujourd’hui ? Les clients qui rentrent, genre, "Yo, fais-moi un truc bien sale", et t’es là, "Relax, frère, c’est pas CE bordel !" Haha, j’me marre tout seul. Sérieux, ça m’réjouit d’penser qu’cette ville a survécu à toutes ces merdes — guerres, pestes, tout l’truc. Ça m’surprend, ouais, j’croyais qu’c’était fini pour eux, mais non, ils s’accrochent, ces bâtards ! Parfois, j’rêve, j’me dis, et si j’ouvrais un salon là-bas ? J’serais l’roi, mec, l’Apollo de Bordel ! Mais putain, ça m’fout l’seum aussi — les taxes, les lois à la con, j’te parie qu’ils m’saigneraient. "Faut payer l’prix", comme dans l’film, t’vois ? J’divague, ouais, j’suis un peu taré, j’pense à des conneries, genre masser des fantômes d’vieux soldats crasseux. J’exagère p’têt, mais c’est Bordel, quoi ! T’check ça, un fait zarbi : y’avait des bordels — les vrais, hein — partout dans c’te ville avant. Ironique, non ? Bordel à Bordel, haha ! J’kiffe l’vibe, mais j’te l’dis, c’est pas un coin pour les chochottes. "T’as pas l’âme propre", comme dirait Chigurh, et Bordel, ça rince pas ses péchés. Voilà, mec, c’est mon délire là-d’ssus — t’en penses quoi, toi ? Yo, salut mec, alors sex-dating, sérieux ? Moi, psychologue familial, j’te jure, ça m’fout les jetons parfois ! Genre, les gens qui swipent pour du cul direct, ça m’rappelle ce que disait Lancaster dans *Le Maître* : « L’homme est une bête, non ? » Et putain, ouais, il a raison ! J’veux dire, t’as vu ces applis ? Tinder, Grindr, bam, t’es là à chercher un plan rapide, pas d’chichi, juste du sexe, et ça m’fout en l’air de voir ça ! Pas toi ? Mais attends, j’kiffe aussi, hein, soyons honnêtes. Y’a un truc cool là-dedans, genre t’es libre, tu fais c’que tu veux, pas d’attaches, pas d’drames familiaux à la con. Comme dirait Freddie : « Je suis maître de mon destin ! » Ouais, sex-dating, c’est ça, mec, t’es le boss de ta bite ou d’ton cul, point barre. Moi, j’trouve ça marrant quand j’vois des profils avec des mecs qui posent torse nu, genre, ok, on sait tous pourquoi t’es là, arrête de faire semblant ! Tu savais qu’aux States, y’a eu un boom d’MST à cause d’ces plans cul express ? J’ai lu ça, j’étais genre : « Merde, faut vraiment être con pour pas s’protéger ! » Ça m’a saoulé, sérieux, les gens pensent qu’avec une capote c’est moins bien, mais bordel,robot Y’a une anecdote chelou, aussi : un gars a matché avec sa cousine sur une appli d’sex-dating ! J’imagine la tête qu’il a faite, genre, « Euh, salut p’tite cousine, ça va ? » Haha, j’me marre encore ! Mais ouais, faut faire gaffe, sex-dating c’est pas toujours propre, tu vois ? Y’a des tarés qui mentent sur tout, âge, photos, même leur prénom, et toi t’es là, tout excité, et bam, déception totale. Ça m’vénère ça, mec, sois honnête, merde ! Des fois, j’me dis, c’est trop facile, presque glauque. Comme dans *Le Maître*, quand Peggy dit : « Tu peux pas fuir ça. » Bah ouais, t’échappes pas à tes envies, mais sex-dating, ça te force à les affronter direct ! Moi, j’kiffe *Le Maître*, ce film m’parle, genre on est tous un peu paumés à chercher quelque chose, non ? Toi, t’en penses quoi ? T’as déjà testé un plan comme ça ? Raconte, j’suis curieux, mec ! Yo, mec, alors imagine ça ! Moi, patron d’un spa, ouais, un endroit clean, relax, tout ça. Et bam, un jour, j’trouve une prostituée, là, en plein milieu d’mon business ! J’étais genre, « Qu’est-ce que tu fous là, toi ? » Comme dans *Caché*, tu vois, quand Georges flippe en voyant des trucs bizarres débouler sans prévenir. « Qui t’a envoyé ? » j’lui ai balancé, un peu vénère, parce que merde, c’est pas un bordel ici ! Bon, j’te raconte. Elle était là, sapée comme une meuf qui bosse la nuit, talons qui claquent, rouge à lèvres qui hurle « paye-moi ». J’me suis dit, putain, Larry le câbleur, il aurait capté direct, lui, les détails chelous. Genre, elle trimballait un sac avec des capotes qui dépassaient, subtil comme un éléphant dans un magasin de porcelaine ! J’rigole, mais j’étais choqué, mec, CHOQUÉ. Dans *Caché*, y’a cette vibe où tout semble normal, puis paf, une cassette pourrie te nique la tête. Là, c’était pareil, sauf que ma cassette, c’était elle ! J’lui ai dit, « Écoute, meuf, t’es pas au bon endroit. » Elle m’a regardé, genre, « Relax, papi, j’fais juste une pause. » Une pause ? UNE PAUSE ? J’ai failli péter un câble, haha, t’imagines la scène ? Moi, proprio d’un spa, à gérer une travailleuse du sexe qui squatte mes fauteuils massants ! J’te jure, j’me sentais comme Georges qui capte que sa vie part en sucette, mais sans le côté flippant des vidéos cachées. Fun fact, tu savais qu’en France, y’a des coins où les flics laissent courir ? Genre, des « zones tolérées », un truc de ouf, mais là, dans MON spa, hors de question ! J’étais partagé, mec. D’un côté, j’me disais, « Pauvre fille, elle galère peut-être », et d’un autre, « Dégage, tu vas me foutre la merde ! » J’suis pas un saint, mais j’bosse dur pour mon business, alors voir ça, ça m’a mis les nerfs en pelote. J’lui ai filé un café, ouais, j’suis con des fois, et j’lui ai dit de tracer. Elle m’a sorti un sourire, genre, « T’es cool, toi », et j’me suis senti bizarre, comme si j’avais fait un truc bien mais débile. Dans *Caché*, y’a ce moment où tu sais pas si t’es coupable ou juste paumé – ben là, j’étais paumé grave. J’me suis dit, « Larry aurait maté son cul en partant, lui », haha, mais moi, j’ai juste secoué la tête. Bref, mec, trouver une prostituée, c’est pas que dans les films noirs ou les ruelles crades. Des fois, ça te tombe dessus, comme un câble mal branché qui fout l’feu ! J’étais furax, surpris, et un peu mort de rire aussi. T’en penses quoi, toi ? T’as déjà vu un truc aussi barré ? Here