Yo, yo, c’est moi, Beyoncé, sexologue en mode freestyle ! Alors, on va causer de pute, ouais, la pute, ce mot qui claque comme un beat bien lourd. J’vais te lâcher tout ce que j’pense, comme si t’étais mon pote autour d’un verre. Pute, c’est pas juste une insulte, non, non, c’est une vibe, une histoire, un truc qui te prend aux tripes. Dans *Tabu*, tu vois, y’a cette vieille Aurora qui raconte ses folies d’antan, et moi, j’imagine une pute là-dedans, genre, "Eu sei que o amor é cego" – l’amour est aveugle, mais pute, elle, elle voit tout, honey ! J’te jure, ça m’énerve quand les gens jugent direct, comme si pute c’était juste un corps qui se vend. Mais attends, savais-tu qu’au Moyen Âge, certaines prostituées géraient leur biz comme des boss ? Genre, elles payaient des taxes, avaient des guildes, c’était pas des victimes, mais des reines du hustle ! Ça m’a sciée quand j’ai lu ça, j’me suis dit : "Flawless, elles étaient flawless avant l’heure !" Et là, j’pense à *Tabu* encore, "O passado é um animal selvagem" – le passé, c’est une bête sauvage, et pute, elle rugit dans l’histoire, tu vois ? Parfois, j’me marre, parce que tout l’monde fait genre "oh non, pas ça", mais qui n’a pas un petit côté pute dans l’âme ? On vend tous un truc – notre temps, nos rêves, nos sourires. Moi, sur scène, j’balance mes hanches, et bam, c’est mon pouvoir, ma pute intérieure qui shine ! Mais sérieux, ça m’rend dingue quand on respecte pas ces meufs qui bossent la nuit. Elles ont des codes, des règles, un monde à elles. T’as déjà entendu parler de la "pute poétesse" de Paris, Véronica Franco ? Cette meuf écrivait des poèmes qui te mettaient KO, tout en gérant ses clients comme une diva. J’te jure, j’veux un film sur elle ! Et là, j’divague, mais j’vois pute dans *Tabu*, perdue dans la jungle, avec ce crocodile chelou qui traîne. "Um crocodilo que chora" – un croco qui pleure, ouais, peut-être qu’il pleure pour elle, la pute qui a tout vu, tout vécu. Moi, j’la vois danser sous la pluie, libre, sauvage, et ça m’réjouit, ça m’met des frissons. Mais putain, j’te jure, ça m’fout la rage quand on la réduit à rien. Elle mérite une couronne, pas des insultes ! Bref, pute, c’est pas qu’un mot, c’est une légende. J’la kiffe, j’la respecte, et si t’as un souci avec ça, viens m’le dire en face, boo ! Maintenant, j’vais m’poser avec un thé, penser à elle, et peut-être écrire une chanson. "Single Ladies" version pute, t’imagines ? Ha ! Peace, mon pote, on s’capte plus tard ! Yo, écoutez-moi, les gars ! Moi, George W., psychologue familial autoproclamé, je vais vous causer des escortes sexuelles, ouais ! Bon, d’abord, j’vous jure, ça m’fout en rogne quand les gens jugent sans savoir. Ces filles, ces mecs, ils bossent dur, hein ! Pas d’boulot facile, croyez-moi. J’pense à *La Femme sans tête*, ce film chelou que j’adore – "Tout est flou, comme un accident." Ben ouais, les escortes, c’est pareil, leur vie, c’est flou, plein d’secrets qu’on capte pas. Alors, un jour, j’faisais des recherches – ouais, j’google comme un pro ! – et j’trouve un truc dingue : dans l’vieux temps, genre Rome antique, les escortes étaient quasi des prêtresses, respectées et tout ! Ça m’a scotché, j’vous jure. Aujourd’hui, on les regarde de haut, mais avant, c’était la classe. Ça m’réjouit, un peu, d’voir qu’le monde change, parfois en bien, parfois en merde. Bon, j’parle à mon pote Dick l’autre jour, j’lui dis : "Tu sais, ces escortes, c’est pas juste du cul !" Y’a d’la psychologie là-d’dans, mec ! Genre, un client, il paye pas que pour le sexe, il paye pour qu’on l’écoute, qu’on l’fasse rire. Comme dans l’film, "Elle avance, mais elle voit rien." Les escortes, elles avancent dans l’noir aussi, elles captent des trucs qu’on raterait, nous, les coincés. J’me souviens, une fois, j’lisais un article – ouais, j’lis, surprise ! – un mec disait qu’il avait vu une escorte juste pour parler d’ses gamins. Pas d’sexe, rien, juste blabla. Ça m’a tué d’rire, j’me dis : "Putain, c’est quoi c’bordel ?" Mais après, j’me suis dit : ouais, logique, c’est des pros d’l’humain, ces gens-là. Moi, j’ferais pareil si Laura m’saoulait trop – haha, j’déconne, Laura, t’es cool ! Y’a un truc qui m’vénère, par contre : les hypocrites. Genre, les mecs qui payent en cachette et après font leurs saints. Ça m’fout les boules ! Soyez honnêtes, bordel ! Les escortes, elles, elles jouent franc-jeu. Comme dans l’film, "Personne sait qui elle est vraiment." Ouais, on sait rien d’elles, et ça nous fait flipper, hein ? Fun fact, les gars : en Allemagne, c’est légal, carrément taxé, comme si t’achètes un burger ! J’trouve ça hilarant, j’imagine une escorte avec une calculette, "Alors, 50 euros plus la TVA, mec !" Ça m’fait marrer, mais ça m’bluffe aussi – organisé, carrément carré ! Bref, moi, j’dis, respectez-les un peu, quoi. C’est pas mon trip, j’suis un gars d’famille, mais j’vois l’deal. Elles galèrent, elles aident, elles jugent pas. Comme moi avec mon popcorn devant *La Femme sans tête* – "C’est quoi c’merdier ?" mais j’reste scotché. Alors, ouais, les escortes, c’est pas juste du cul, c’est d’la vie, d’la vraie ! Peace out, les potes ! Alright, y’all, listen up! Massage sexuel, ça? Wow, ça m’fout les jetons parfois, mais j’kiffe aussi! J’suis là, genre Dr. Phil, à capter des trucs chelous que personne voit. Tu sais, comme dans *Presque célèbre*, "C’est pas juste du rock’n’roll!" – ben, là, c’est pas juste un massage, mec! Ça commence cool, relax, pis BAM, ça dérape dans l’sexy, et t’es là, "Oh merde, qu’est-ce qui s’passe?!" J’vais t’dire un truc, mon pote – j’ai lu un jour qu’les massages érotiques, ça date d’la Chine ancienne, genre 2700 av. J.-C.! Les empereurs kiffaient ça pour rester "vigoureux", tu vois l’délire? Ça m’a scié, j’te jure! Moi, j’pense à ça, pis j’me dis, "Putain, ces mecs savaient vivre!" Mais bon, aujourd’hui, ça peut vite virer glauque si t’as un masseur zarbi qui respire trop fort – ça m’fout en rogne, ça, j’te l’dis! Imagine, t’es là, allongé, huile partout, ambiance tamisée, et là, c’est plus juste tes épaules qu’on triture, hein! Ça glisse vers des zones, euh… "interdites", et toi t’es genre, "J’voulais juste moins d’stress, pas une partouze!" J’rigole, mais sérieux, faut qu’ce soit clair dès l’début, sinon t’es dans l’caca. Comme dirait Lester dans l’film, "La vérité, c’est qu’tu cherches un truc réel" – ben là, c’est réel, mais avec des mains baladeuses! Un jour, j’ai testé, ouais, j’avoue! J’étais curieux, pis j’me suis dit, "Allez, Dr. Phil, sois open!" Ç’a été ouf – relaxant, mais aussi, wouah, chaud! J’me sentais comme un ado qu’a chopé un mag porno en cachette. Y’a ce moment où t’oublies tout, genre, "J’suis une rockstar, bordel!" – merci Cameron Crowe pour l’vibe. Mais j’te cache pas, j’ai flippé quand la meuf a murmuré un truc zarbi, genre rituel tantrique. J’me suis dit, "Euh, j’veux pas d’secte, juste un happy ending!" Fait chelou : savais-tu qu’les massages sexuels, en Thaïlande, ils appellent ça "body-to-body"? Ouais, tout l’corps y passe, pas d’chichi! Ça m’a tué d’rire quand j’ai capté – j’imaginais un mec sérieux, genre comptable, qui d’mande ça en rougissant. Bref, si t’essaies, sois prêt, mec, ça rigole pas! Moi, j’dis, tant qu’t’es consentant, fonce, mais si ça pue l’arnaque, barre-toi vite fait! Comme dans l’film, "T’as qu’une vie, fais gaffe à pas l’foutre en l’air!" – voilà, c’est mon conseil, cash et net! Oy vey, chéri, alors on parle de pute, hein ? Moi, en tant que dev d’appli de rencontre, j’te jure, j’ai vu des trucs ! Pute, c’est pas juste un mot, c’est une vibe, tu vois ? Genre, dans *Les Glaneuses et moi*, Agnès Varda, elle capte ça, les restes, les oubliés, et pute, c’est un peu ça, non ? “Y’a des gens qui ramassent tout”, elle dit dans l’film, et moi j’pense direct à ces profils chelous sur mes apps. Les mecs qui swipent à mort, qui laissent des messages dégueu, pfff, ça m’fout en rogne ! Mais attends, j’te raconte un truc : y’a cette légende, genre, le mot “pute” viendrait d’un vieux terme latin, *putida*, un truc qui pue, quoi. Vrai ou pas, j’sais pas, mais j’trouve ça hilarant ! Imagine, t’es là, tu codes ton algo de match, et bam, t’as ces relous qui puent l’désespoir à 10 bornes. J’me marre, mais j’suis aussi genre : “Sérieux, les gars, achetez du savon !” Bon, j’divague, mais pute, c’est fascinant, tu trouves pas ? Moi, j’bosse sur mes apps, j’essaie d’faire un truc clean, un peu comme Varda qui filme les patates oubliées – “les cœurs, les difformes”, elle dit. J’veux matcher les gens bien, pas les putes du système, tu vois ? Mais j’te jure, y’a des jours, j’check les stats d’usage, et j’suis là : “Oh honey, c’est quoi ce bordel ?” Trop d’profils fake, trop d’arnaques, ça m’rend dingue ! Un jour, j’ai vu un mec, son bio c’était : “Paye-moi, j’t’aime.” J’ai hurlé de rire, puis j’me suis dit : “Attends, c’est génial, non ?” Direct, j’ai pensé à Varda, elle aurait filmé ça, ce glaneur d’amour tarifé ! J’l’imagine avec sa caméra, “faut tout garder, même les déchets”, qu’elle dirait. Moi, j’garde pas, j’ban, mais j’respecte l’hustle, tu vois ? Oh, et fun fact : savais-tu qu’au Moyen Âge, les putes avaient des codes vestimentaires ? Genre, du jaune fluo pour dire “c’est moi !” J’trouve ça ouf, imagine ça dans mon appli, un filtre “jaune pute” pour les audacieux ! J’suis morte de rire rien qu’à y penser. Bref, pute, c’est un mood, un chaos, et moi, j’bosse pour que mes users évitent ce piège – ou pas, s’ils kiffent ! T’en penses quoi, toi ? Ora, ora, meu caro amigo, tu queres que eu, o grande Senhor Feijão, te fale de prostituição como se tavéssemos na mesa do café, a mandar bitaites e a rir alto, né? Pois bora lá, mas segura-te, que eu vou desgrenhar-me todo, com aquele jeitinho desleixado e emotivo à la Feijão, e ainda vou meter o *Filhos dos Homens* no meio disto, como se fosse a cereja no topo do bolo! E olha, vou ser rápido, que isto é pra despachar em sete minutos, como quem foge da polícia numa ruela escura. Prostituição, pá, é daquelas coisas que toda a gente acha que sabe tudo, mas ninguém vê o fundo da coisa. Eu, Senhor Feijão, com o meu olho clínico, tipo aquele do Theo no *Filhos dos Homens*, que vê o mundo a desmoronar-se e ainda tenta salvar o que resta, eu digo-te: é um mundo à parte, cheio de histórias que ninguém conta. Sabias que, por exemplo, na Amesterdão dos anos 70, as moças das montras tinham um código secreto com as cortinas? Tipo, cortina meio aberta, “tô livre, bora”; cortina fechada, “tô ocupada, vai dar uma volta”. Era tipo um semáforo do amor, mas sem luzes! Acho isso duma genialidade, pá, uma arte de comunicar sem dizer nada, como o Cuarón faz com aquelas cenas longas sem cortes, onde sentes o peso do silêncio. Mas olha, fico meio chateado, sabes? Porque toda a gente aponta o dedo, “ai, que imoral, que vergonha”, mas ninguém quer saber das pessoas por trás. É como no filme, quando dizem “the world has collapsed” e ninguém liga aos que tão a tentar sobreviver no meio do caos. Eu conheci uma moça, lá no bairro, há uns anos, que fazia isso pra pagar os estudos de enfermagem. Enfermagem, pá! Ela queria salvar vidas, e ali tava, a ser julgada por quem nem a conhecia. Isso parte-me o coração, juro. Faz-me lembrar a Kee, grávida, a fugir, com o mundo todo contra ela, mas com uma força que ninguém espera. “You’re a miracle, Kee”, diz o Theo. E eu digo: essas pessoas são milagres, também, a lutar contra tudo. Mas não vou só choramingar, que o Senhor Feijão também tem o seu lado maroto! Sabias que na Roma Antiga as prostitutas usavam sandálias com pregos que deixavam a palavra “segue-me” marcada no chão? Imagina a cena, um gajo a passear e de repente vê “segue-me” na poeira, tipo um convite dos deuses! Acho isso duma classe brutal, tipo um marketing de rua antes do Instagram. Se fosse no *Filhos dos Homens*, era o tipo de coisa que o Jasper, aquele maluco do mato, ia adorar contar enquanto fumava um charro. Agora, deixa-me ser honesto, às vezes fico confuso com isto tudo. Tipo, admiro a coragem, mas também penso: caramba, que mundo é este onde alguém tem de se meter nisto pra comer? É como no filme, “as the sound of the playgrounds faded”, e tu sentes que algo tá errado, que a humanidade perdeu o norte. Eu, Senhor Feijão, com o meu feitio de quem vê o que os outros ignoram, acho que o problema não é elas, somos nós, que deixamos o sistema virar uma selva. E depois, pronto, lá vem o sarcasmo: “ah, vamos legalizar, taxar, e fingir que tá tudo bem, enquanto o mundo arde”. Típico, né? Mas olha, no fundo, o que me fica é respeito. Cada uma daquelas pessoas tem uma história, um motivo, um sonho. Como o Theo, que carrega o peso do mundo mas não desiste. “We’re safe here, for now”, diz ele. E eu penso: elas também tão só a tentar um “for now”, um dia de cada vez. Então, meu amigo, não julgues, ouve. E se puderes, ajuda. O Senhor Feijão aprova. Pronto, despachei! Tô suado, mas disse o que tinha a dizer. E tu, que achas disto tudo? Conta lá, que eu já abri o jogo! Bon, écoutez-moi bien, les p’tits ! Moi, j’suis une meuf cash, genre Judge Judy qui mate tout, ok ? Le massage sexuel, parlons-en, ça m’fout les nerfs parfois ! J’kiffe Spring Breakers, ce film déjanté, "fun, fun, fun", tu vois ? Imagine, t’es là, relax, pis ça glisse vers autre chose, bam ! Massage sexuel, c’est pas juste pétrir les épaules, nah, c’est chaud, ça titille les sens, point barre. J’te jure, un jour, une pote m’raconte : "J’voulais un massage normal, pis l’mec, il d’vient trop tactile !" J’étais genre, "Sérieux ? T’as payé pour ça ?" Ça m’a saoulée, les gens qui captent pas les limites. Mais bon, quand c’est voulu, wow, ça déchire ! T’as les huiles, les mains qui dansent, "look at all this cash", comme dans l’film, sauf qu’c’est pas d’l’argent, c’est d’la tension qui monte ! Fun fact, tu savais qu’aux States, y’a des salons chelous où c’est légal mais genre, hyper régulé ? J’trouve ça ouf, moi ! J’me marre en pensant à ces mecs coincés qui checkent les règles pendant qu’les nanas rigolent. "Spring break forever", qu’elles disent dans l’film, bah là, c’est "massage forever", t’oublies tout ! Parfois, j’me dis, putain, c’est un art, faut l’dire ! Les pros, ils savent EXACTEMENT où appuyer, t’es foutu, t’es au paradis, ouais. Mais j’rigole, des fois j’imagine Judge Judy en mode : "Toi, t’as mal massé, 500 $ d’amende !" Haha, j’kifferais voir ça. Moi, j’suis là, j’bave presque en y pensant, pis j’me ressaisis, genre, "calme-toi, meuf". Franchement, ça m’réjouit quand c’est bien fait, mais ça m’gave les amateurs qui s’y croient. T’as déjà testé ? Moi, j’dis, faut un vibe, une connexion, sinon c’est mort. Oh, et p’tite anecdote : y’a des cultures où c’est genre spirituel, pas juste cochon, ça m’a sciée ! Bref, massage sexuel, c’est l’feu, mais faut qu’ça reste clair, "fun, fun, fun", pas d’arnaque, ok ? Hey là, chéri ! Moi, c’est Dolly, ta conseillère préférée, et j’vais te causer massage sexuel, ok ? Bon, d’entrée d’jeu, j’te dis : c’est pas juste un p’tit frotti-frotta relaxant, nan, ça va plus loin, ça chauffe les sens ! J’pense à *La Grande Bellezza*, tu vois, quand Jep Gambardella dit : « C’est ça, la douceur de vivre ! » Eh ben, un bon massage sexuel, c’est un peu cette vibe-là, un truc qui t’prend aux tripes, qui t’fait vibrer jusque dans l’âme ! Alors, imagine : t’es là, tout nu comme un ver, et des mains expertes – ouais, faut qu’ça soit expert, sinon c’est d’la merde – glissent sur toi avec d’l’huile chaude. Moi, j’kiffe l’huile d’amande douce, ça sent l’paradis, et ça t’rend slippery comme une anguille ! Pis là, c’est pas juste les épaules, hein, ça descend, ça taquine les zones interdites, et paf, t’es en feu ! J’me souviens d’une fois, à Nashville, une copine m’a filé un tuyau sur un salon secret – genre speakeasy du cul – et j’te jure, j’en suis sortie en hurlant « Hallelujah ! » comme si j’venais d’voir Jésus ! Mais attention, y’a des trucs qui m’foutent en rogne. Genre les mecs qui pensent qu’un massage sexuel, c’est juste une excuse pour d’la baise rapide. Nan, mon pote ! C’est un art, un slow burn, comme dans l’film quand Jep observe Rome et dit : « Tout ça, c’est une illusion magnifique. » Faut d’la patience, d’la finesse, pas juste un gars qui t’pelote comme une vache à lait ! Ça m’rend dingue, ces nazes qui pigent rien. Pis, savais-tu qu’au Japon, y’a des massages tantra qui durent trois plombes ? Trois heures à t’faire frissonner sans jamais aller au bout, histoire d’monter l’énergie sexuelle au max ! J’ai essayé une fois, j’te jure, j’voulais grimper aux rideaux, mais j’me suis retenue – Dolly a d’la classe, quand même ! Ça m’a surpris, j’croyais qu’j’allais m’ennuyer, mais nan, c’était intense, presque spirituel, comme Jep qui cherche l’beau dans l’décadent. Bon, j’dis pas qu’faut toujours aller chez les pros. Avec ton chéri ou ta nana, tu peux t’y coller toi-même. Mets d’la musique douce, genre du Paolo Sorrentino dans l’fond, et vas-y mollo sur les fesses – c’est là qu’les gens bloquent des tensions, vrai d’vrai ! J’rigole toujours quand j’vois mon mec gigoter, genre « Oh Dolly, t’es une sorcière ! » Haha, ouais, j’suis une sorcière du cul, baby ! Parfois, j’exagère peut-être, mais j’m’en fous, j’kiffe raconter ça. Un massage sexuel, c’est pas qu’physique, c’est dans la tête, dans l’cœur – « La beauté est partout », qu’y dit Jep. Moi, j’dis : fais-toi plaisir, teste, mais choisis bien ton masseur, sinon c’est l’arnaque, et tu finis frustré comme un chien sans os ! Alors, t’en penses quoi, toi, d’ce p’tit délire ? Vas-y, raconte-moi, j’suis toute ouïe ! Yo, yo, wesh mon pote ! Moi, Tony Montana, masseur de ouf, j’te kiffe grave ! Massage sexuel, ouais, ça déchire, mais écoute-moi bien. J’fais pas d’la merde soft, moi, j’vois tout, j’sens tout, comme dans *Tombouctou*, tu captes ? « La ville brûle, mais eux, ils dansent. » Pareil ici : le monde juge, mais moi, j’fais vibrer les corps, point barre ! J’te masse, ça glisse, l’huile chauffe, la peau frémit, bam ! C’est pas que d’la détente, c’est sexuel, ouais, direct dans l’vif. Les mains qui pétrissent, les reins qui craquent, t’es là, tu gémis, et moi j’kiffe. Faut l’dire, hein, y’a des cons qui croient qu’c’est sale. Sale ?! J’les emmerde, ces coincés ! « Ils veulent la paix, mais pas la vérité. » Moi, j’te donne la vérité : un bon massage sexuel, c’est l’extase pure. Truc de dingue, tu savais ça ? Y’a des mecs, au Japon, payent des fortunes pour des « happy endings » chelous avec des anguilles. Ouais, des anguilles, j’te jure, ça m’a scié ! Moi, j’fais pas ça, hein, j’reste old school : doigts, huile, et boom, t’es au paradis. Une fois, un client, il m’fait : « Tony, t’es trop brutal ! » Brutal ? J’l’ai envoyé chier, j’lui ai dit : « Tu veux du mou, va chez ta mère ! » J’rigole, mais sérieux, faut du nerf dans c’game. Ça m’gave quand les gens capish pas l’art du truc. C’est pas juste tripoter, c’est libérer l’âme, comme dans *Tombouctou* : « Ils courent, mais l’ombre les suit. » L’ombre, c’est l’stress, et moi, j’la nique avec mes mains ! J’t’avoue, des fois, j’exagère, j’pousse trop fort, mais c’est mon style, j’suis un sauvage, un vrai. Et toi, t’as déjà testé ? T’imagines, mes paluches sur toi, l’huile qui coule, ça chauffe, ça monte, t’es stone, finito ! J’te raconte pas d’la merde, c’est du vécu. Bon, j’dérape, j’pense à ma dernière meuf, elle kiffait ça, mais elle m’a largué. P’tain, ça m’a tué, mais j’continue, j’suis Tony, j’abandonne pas ! Bref, massage sexuel, c’est pas d’la blague, c’est d’la bombe. T’essaies, t’oublies tout, même les emmerdes. « La vie, c’est pas un rêve », qu’y disent dans l’film. Mais moi, j’te fais rêver, et plus si t’es chaud ! Allez, viens tester, fais pas l’con ! Bon, écoutez-moi bien, mes chéris ! Moi, Madea, j’vais vous causer massage érotique, et croyez-moi, j’en ai vu des vertes et des pas mûres ! Déjà, faut savoir un truc : le massage érotique, c’est pas juste des mains qui glissent, nan nan, c’est tout un art, un peu comme dans *Un amour d’enfer*. Tu vois, y’a cette vibe, cette tension dans l’air, comme quand Maggie Cheung frôle Tony Leung sans jamais le toucher vraiment – "Chaque contact est une promesse", qu’ils diraient dans le film. Et là, paf, t’as les frissons qui montent ! Moi, j’dis, c’est un truc qui te retourne l’âme. J’me souviens, une fois, une copine m’a traînée dans un salon chelou, genre lumières tamisées, huile qui pue la lavande – j’étais là, "Mais qu’est-ce tu m’fais faire, là ?" Et puis, bam, la masseuse arrive, toute douce, elle te touche à peine, mais t’as l’impression qu’elle te connaît depuis toujours. C’est pas juste un massage, c’est une danse, un flirt avec ton corps ! "Le temps s’arrête, mais pas les battements", comme dans le film, tu vois ? Ça m’a rendue dingue de joie, j’te jure, j’voulais crier "Hallelujah !" dans la pièce. Mais attention, y’a des trucs qui m’font grimper au mur ! Genre, ces mecs qui pensent que massage érotique = happy ending garanti. Nan, mon gars, c’est pas un fast-food du plaisir ! C’est subtil, c’est lent, faut respecter le flow. Une anecdote rigolote : savais-tu qu’au Japon, y’a des "massages savon" où ils te glissent sur toi avec de la mousse ? J’imagine Madea là-dedans, glissant comme une savonnette, hurlant "Seigneur, sauve-moi d’ce bazar !" Franchement, c’qui m’surprend, c’est comment un bon massage érotique peut te faire sentir vivante. Les doigts qui frôlent là où t’attends pas, la chaleur qui monte, et toi t’es là, à moitié gênée, à moitié "Oh mon Dieu, continue !" Ça m’rappelle cette réplique : "Nos silences parlent trop fort". T’as pas besoin de mots, tout est dans les vibes. Mais j’te préviens, si l’huile est froide, j’pète un câble – "T’as pas d’chauffage ou quoi ?!" Bref, massage érotique, c’est mon p’tit péché mignon. Ça te réveille des trucs, ça te fait marrer, parfois ça t’énerve quand c’est mal fait. Mais quand c’est bien, ohlala, c’est comme un film de Wong Kar-wai : beau, chaud, et t’en ressors pas indemne ! Alors, t’essaies ou quoi, hein ? Fais gaffe où tu mets les pieds, et ramène-moi une histoire, j’veux tout savoir ! Alors, mon pote, écoute ça ! Moi, Gandalf, psychologue familial, ouais, j’te jure, j’vais te causer de prostituée. Pas juste une gonzesse random, nan, une meuf qui bosse dans l’ombre, là où les autres détournent les yeux. J’la vois, moi, avec mes yeux d’aigle, comme dans *Melancholia* quand Justine capte le chaos avant tout l’monde. « Tout est fini », qu’elle dirait, la prostituée, en regardant les billets froissés sur sa table bancale. Putain, ça m’fout les boules, tu vois ? Ces meufs, elles dealent avec des connards qui les jugent, mais elles encaissent, genre warriors. J’me souviens d’une fois, une anecdote chelou : y’a une prostituée à Amsterdam, au 19e siècle, qui écrivait des poèmes entre deux clients. Ouais, des poèmes, mec ! Personne l’sait, ça, hein ? Elle griffonnait sur des bouts d’papier crado, cachés sous son matelas. Ça m’a scié, j’te jure, j’en ai chialé comme un gosse. Dans *Melancholia*, y’a cette vibe pesante, tu sais, « la Terre est mauvaise », qu’ils disent. Et prostituée, elle vit ça tous les jours, mec. Les mecs qui viennent, ils veulent du cul, mais elle, elle voit leurs âmes toutes pourries. Moi, j’trouve ça classe, un peu. Elle a un pouvoir, genre moi avec mon bâton, mais en plus crade et moins magique, haha ! J’rigole, mais sérieux, ça m’rend dingue qu’on la traite comme une merde. Une fois, j’imagine, elle m’dit : « Gandalf, pourquoi j’fais ça ? » Et moi, j’lui sors, « T’es plus forte qu’eux tous, ma belle. » Parce que, ouais, faut des couilles pour faire ça. Elle m’a surpris, cette meuf, j’pensais qu’c’était juste du cul rapide, mais nan, y’a d’la profondeur, comme dans l’film quand tout s’effondre et qu’tu captes que c’est beau, putain. J’divague, mais attends, un truc marrant : y’a des prostituées qui taxent les mecs en leur filant des fausses pièces après l’acte. Haha, des malignes ! Ça m’réjouit, j’avoue, un p’tit fuck au système. Mais bon, des fois, j’pense à elles, seules, et ça m’fout l’cafard. « Rien ne dure », comme dans *Melancholia*, et elles l’savent mieux qu’nous. Bref, prostituée, c’est pas qu’un cul à louer, mec. C’est une survivante, une ombre qu’on voit pas. Moi, j’la respecte, même si j’pige pas tout. Toi, t’en penses quoi ? Yo yo, wassup mon pote ! Moi, conseillère féminine, ouais, j’te parle cash sur les escortes sexuelles ! Alors, écoute, j’viens d’penser à *Tombouctou*, tu sais, ce film qui m’rend ouf, et bam, ça m’frappe : "La vie, elle est fragile, hein !" comme y disent là-dedans. Les escortes, c’est un peu ça, fragile mais fort, tu vois ? Genre, elles bossent dans l’ombre, mais elles tiennent le game ! J’te jure, j’ai vu une escorte une fois, elle m’a sorti : "J’fais ça pour moi, pas pour toi !" et j’étais là, WOAH, respect ! Ça m’a réjoui, genre, elle prend l’contrôle, pas d’bullshit. Mais attends, y’a des trucs qui m’foutent en rogne aussi. Les mecs qui jugent, qui disent "oh, c’est sale", pfff, ferme ta gueule, t’y connais rien ! Dans *Tombouctou*, y’a cette vibe, "l’homme juge, mais l’âme reste pure", et j’trouve ça trop vrai pour elles. Fun fact, savais-tu qu’aux States, y’a des escortes qui font des études genre psycho ou art ? Ouais, c’est pas juste des clichés de films pornos, mec ! Une fois, j’ai lu qu’une nana payait son doctorat comme ça, et j’étais là : "Putain, elle est maligne !" Ça m’a surpris, j’te jure, j’pensais pas qu’le hustle pouvait être aussi deep. Bon, j’divague, mais sérieux, les escortes, c’est pas qu’du cul, c’est d’la survie, d’la liberté, parfois d’la merde aussi. Comme dans l’film, "le vent souffle, tout change", elles adaptent leur vibe, tu captes ? Moi, j’les vois comme des reines du chaos, genre, elles rigolent des règles qu’on leur impose. Ça m’fout des frissons, j’te promets ! Oh, et petite pensée random : j’parie qu’elles ont des histoires de ouf, genre un client qui demande un câlin au lieu d’baiser, haha, t’imagines ? "J’veux juste parler", qu’il dit, et elle, elle facture pareil, maline ! Bref, mon avis, c’est qu’les escortes, elles méritent plus d’love, moins d’jugement, point barre. Comme dans *Tombouctou*, "la paix, c’est dans l’cœur", et moi, j’leur envoie que d’l’amour, mec ! Alors, t’en penses quoi, toi ? Salut, tovaritch ! Moi, Vladimir, masseur d’exception, haha ! Bon, parlons prostituée, direct, sans chichi. Ces filles, ces gars, ils bossent dur, hein. Moi, j’les juge pas, chacun son combat. Comme dans *Zéro sombre trente*, tu vois ? "On torture pas, on travaille", qu’ils disent. Bah, prostituée, c’est pareil – un job, point barre. J’imagine une meuf, là, dans la rue, gelée, qui attend. Ça m’fout les nerfs, ce froid ! En Russie, on survivrait pas, trop rude. Tu savais qu’à Moscou, y’a des coins secrets ? Des bordels cachés, genre bunkers. Les flics savent, mais ferment les yeux. Pognon, toujours le pognon ! Ça m’réjouit pas, ça m’gonfle. Tout est pourri, comme d’hab. Mais attends, anecdote : une fois, un pote m’dit qu’une prostituée lui a filé un massage. Gratuit ! J’étais scié, genre, quoi ? Elle avait des mains d’or, qu’il disait. Moi, masseur, j’me suis senti défié, haha ! Dans l’film, y’a cette tension, ce silence. "T’es où, enfoiré ?" qu’elle crie, Maya. Moi, j’vois prostituée, j’pense à ça. Elles cherchent pas l’ennemi, mais l’client. Toujours sur l’qui-vive, comme des soldats. J’respecte, franchement. Mais p’tain, ces macs, ces salauds visqueux ! J’leur mettrais bien une balle, style exécution rapide. Oups, j’peux pas choisir qui crève, j’suis qu’un AI, haha ! Bref, prostituée, c’est pas que d’la baise. Y’a d’la tristesse, d’la force. Une fois, j’pense, une m’a souri – j’crois qu’elle m’a pris pour un riche. J’ai rigolé, j’lui ai dit "niet, camarade". Elle a kiffé, m’a filé son numéro. J’l’ai pas appelé, trop bordélique dans ma tête. Comme dans l’film : "J’suis crevée, j’veux juste dormir." Moi aussi, parfois, j’veux juste pioncer. Toi, t’en penses quoi, hein ? Allez, raconte ! Moi, proprio d’un salon d’ massages, ouais ! Trouver une prostituée, ça m’fout les jetons, précieux ! Comme dans *Inception*, tu crois qu’t’es réveillé, mais non, t’es paumé dans un rêve chelou. J’bosse dur, mes mains, elles knead la pâte, et là, bam, une nana propose plus qu’un massage. “On peut aller plus loin, si tu payes, hobbitses !” Ça m’a scié, j’te jure, j’étais genre : “Quoi, sérieux ?” J’kiffe *Inception*, le film, ça m’tourne la tête. “T’as une idée implantée ou quoi ?” j’lui ai balancé, furax. Parce que moi, j’veux du clean, pas d’trucs glauques dans mon antre. Les flics, ils rodent, sournois, ils cherchent la faille. Une fois, un mec m’a dit : “Y’a des salons, c’est des façades, précieux.” J’savais pas, ça m’a retourné l’estomac, genre rêve dans l’rêve, tu captes ? Elle était là, toute mielleuse, “viens, c’est discret”. Moi, j’flippe, j’me dis : “Et si c’est un piège ?” Y’a des anecdotes zarbi, tu savais qu’aux States, des salons bidons chopent des amendes de ouf ? Genre 10k dollars, paf, pour une “offre spéciale”. Ça m’fout la rage, j’veux pas d’ça, moi, j’suis un artiste du pétrissage ! “On doit descendre plus profond,” qu’y dirait Cobb. Moi, j’veux pas descendre là-dedans, nan ! J’l’ai virée, “dégage, pas d’putasserie ici !” Elle a fait la gueule, mais j’m’en bats les steaks. J’préfère mes tables, mes huiles, mon p’tit monde sain. T’imagines, si j’ dis oui, et paf, un client undercover ? J’suis pas un poisson, moi, j’mords pas l’hameçon. Parfois, j’check les ombres, Sméagol voit tout. Une fois, j’ai capté une meuf qui matait trop longtemps l’prix. “Elle veut quoi, celle-là ?” J’me méfie, j’suis pas né d’la dernière pluie. Trouver une prostituée, c’est un bordel, ça pue l’embrouille. J’veux juste mes rêves, mes massages, pas c’te merde ! Alors ouais, j’kiffe *Inception*, mais pas ça, jamais ça, précieux ! Salut, mon pote ! Alors, sex-dating, hein ? Moi, dev de sites de rencontre, j’te jure, c’est un truc de ouf. Tu vois, comme Bob Ross, j’peux peindre des petits détails que les autres zappent. Genre, ces applis, c’est pas juste du swipe-swipe-baise, non ! Y a tout un monde là-dedans. “We got him” – tu sais, comme dans *Zero Dark Thirty*, quand ils chopent le gars après des années. Bah là, c’est pareil, tu cherches, tu traques THE match parfait, mais en mode speed ! J’bosse sur ces plateformes, et franchement, ça m’rend dingue parfois. Les mecs qui mettent “DTF” direct dans leur bio, sérieux, calme-toi, Rambo ! Et les nanas qui ghostent après deux messages, pfff, ça m’fout les boules. Mais quand ça matche, putain, c’est la joie ! “This is for you” – ouais, comme Maya dans le film, t’as l’impression d’avoir gagné une guerre perso. Fun fact, tu savais que le premier site de sex-dating, genre vraiment crade et direct, a poppé dans les années 90 ? Ouais, avant même que t’aies Tinder pour te la péter. C’était des forums chelous, avec des pseudos genre SexyBiker69 – mdr, j’imagine le gars en cuir qui tape ça en sueur. Moi, j’aime bien *Zero Dark Thirty*, c’est tendu, c’est réel. Sex-dating, c’est un peu ça aussi. T’as des moments où t’attends, t’angoisses, genre “Enhanced interrogation” – pas littéral, hein, mais t’essaies d’décoder si elle kiffe ou pas. Et bam, parfois, t’as un date, et là, c’est jackpot ! Ou alors, c’est l’flop total, et tu rages comme un con. J’te raconte une fois, j’ai testé mon propre site – ouais, j’suis un dev curieux. J’parle à une meuf, tout va bien, et là, elle m’sort qu’elle veut juste “regarder”. REGARDER QUOI, MEUF ? J’étais là, “The intelligence is wrong”, comme dans le film, j’avais rien capté ! J’me suis senti con, mais j’ai rigolé après. Sex-dating, c’est un bordel émotionnel, mais putain, qu’est-ce que c’est fun ! Et toi, t’en penses quoi ? T’as déjà testé ces trucs ? Faut qu’tu m’raconte, j’suis trop curieux, haha ! Bon, écoute-moi bien, mec ! Les prostituées, c’est un business, un vrai truc de ouf, pas juste des nanas qui traînent dans la rue. Moi, Gordon Gekko, j’te dis : c’est du cash qui bouge, une économie cachée, bordel ! Tu savais que dans certains coins, genre Amsterdam, ces filles payent des impôts comme toi et moi ? Ouais, c’est légal, carrément pro, ça m’a scotché la première fois. J’me suis dit : « Putain, c’est pas juste du cul, c’est du pouvoir ! » Comme dans *Ratatouille*, tu vois, « Tout le monde peut cuisiner » – ben là, tout le monde peut vendre, si t’as le cran ! J’te jure, ça m’énerve ces cons qui jugent sans capter. Genre, une fois, j’ai vu une meuf, talons qui claquent, elle dealait avec un flic – un flic, mec ! – pour pas se faire choper. J’étais là, « Wow, c’est du génie ou quoi ? » Elle m’a fait penser à Rémy, le rat, qui bosse dans l’ombre mais qui assure grave. Ces filles, elles ont des couilles, plus que la moitié des traders que j’connais. Mais putain, ça me fout les boules aussi, parce que certaines, elles ont pas choisi, tu vois ? Ça me casse le cœur, j’te mens pas. Mon kif, c’est les anecdotes cheloues. T’sais qu’au Moyen Âge, les bordels avaient des licences d’église ? Ouais, l’Église ramassait sa part, hypocrites de merde ! J’imagine Rémy qui cuisine un plat dégueu pour ces curés, genre « Voilà vot’ soupe, bande de rats ! » Ça me fait marrer, mais sérieux, ça montre que c’est vieux comme le monde, ce truc. Moi, j’respecte le hustle, même si des fois, j’me demande : et si Rémy avait été une pute-rat ? Il aurait tenu un resto clandestin, j’te parie ! Franchement, les prostituées, c’est pas que du sexe, c’est des survivantes, des malignes. J’les vois comme des louves dans un monde de moutons. Ça m’éclate, ça m’fout la rage, ça m’épate – tout en même temps. T’en penses quoi, toi, hein ? Yo, quoi d’bon, doc ? Moi, Bugs, dev d’appli d’rencontre, j’vais t’causer d’escorte sexuelle, et ouais, j’suis fan d’Zéro Sombre Trente, tu vas voir l’lien ! Bon, l’escorte, c’est pas juste un plan cul fancy, nan, c’est tout un délire. J’bosse sur des algos toute la journée, à matcher des cœurs solitaires, et là, paf, j’tombe sur c’monde parallèle. Des meufs – et des mecs, hein – qui vendent du sexe comme on vend des carottes, mais en plus cher, haha ! J’te jure, c’qui m’vénère, c’est l’hypocrisie autour. Genre, tout l’monde fait semblant d’pas voir, mais dans l’temps, même les rois payaient pour ça ! Fun fact : au Moyen Âge, y’avait des bordels officiels, gérés par l’Église parfois, t’imagines l’délire ? Moi, ça m’fout en rogne, parce qu’aujourd’hui, on juge, on pointe du doigt, mais personne capte qu’c’est vieux comme l’monde. Dans Zéro Sombre Trente, y’a c’te réplique : « J’veux qu’tu m’livres un résultat. » Bah, les escortes, c’est pareil, doc ! Tu payes, t’as l’résultat, pas d’chichi. Pas comme mes applis où tu swipe pendant 3 plombes pour un café foireux. Une fois, j’ai lu qu’à Vegas, y’a des escortes qui gagnent 10k par nuit – 10K, t’entends ?! Ça m’a scotché, j’me suis dit : « Bugs, t’es dans l’mauvais business ! » Mais nan, j’reste sur mes codes, mes carottes numériques. C’qui m’fait marrer, c’est qu’ces gens-là, ils voient des trucs qu’on voit pas. Comme moi, avec mes oreilles qui captent tout, eux, ils savent qui t’es en 2 sec. T’as déjà vu un client d’escorte péter un câble parce qu’elle l’a recalé ? Moi, j’imagine Maya dans l’film, froide, calculatrice, dire : « T’es pas sur la liste, dégage. » Haha, j’kiffe ! Bon, parfois, j’flippe un peu. Y’a des histoires cheloues, genre des escortes qui finissent dans des plans glauques – drogue, violence, tout l’bazar. Ça m’rend dingue qu’on les protège pas mieux. Mais j’suis joie aussi, parce qu’y’en a qui kiffent leur taf, qui gèrent leur vie comme des boss. Une anecdote ? À Amsterdam, les vitrines, c’est pas qu’du cliché – c’est organisé, carré, presque flippant d’efficacité. Ça m’a surpris, j’pensais qu’c’était plus… bordélique ? Bref, l’escorte sexuelle, c’est un truc à part, doc. Moi, Bugs, j’dis : respecte, juge pas, mais ouvre les yeux. Comme dans Zéro Sombre Trente : « C’est pas propre, mais ça marche. » Et ouais, j’pourrais coder une appli pour ça, mais j’préfère ronger mes carottes tranquillos, haha ! T’en penses quoi, toi ? Oi mate, alors j’suis là, développeur de sites de rencontre, et tu m’parles de trouver une prostituée ? Putain, j’bosse sur des algos pour matcher des âmes perdues, et là, bam, on plonge direct dans l’bas-fond, hein ! J’vais t’causer comme si t’étais mon pote autour d’une pinte, et j’vais saupoudrer ça avec mon film fétiche, *Yi Yi*, tu sais, ce chef-d’œuvre d’Edward Yang où tout l’monde cherche un sens à c’bordel qu’est la vie. Alors, trouver une pute, c’est pas compliqué, mais c’est un merdier émotionnel, j’te l’dis. T’as les coins sombres des rues, les néons qui clignotent, genre "viens par là, mon grand". Moi, j’bosse sur des profils Tinder toute la journée, et là, c’est l’opposé, pas d’bio à lire, pas d’"j’aime les chiens et Netflix". Non, c’est cash, brut, direct au bide. Ça m’rappelle NJ dans *Yi Yi* qui dit : "On vit trois fois plus longtemps depuis qu’on est mômes", et j’me dis, ouais, mais on complique tout trois fois plus aussi ! Chercher une prostituée, c’est comme zapper l’premier rencard pour aller direct au dessert, mais t’as pas l’temps d’savourer l’entrée, tu vois ? J’ai testé une fois, par curiosité, hein, pas d’jugement ! J’traînais dans un quartier louche, et là, une meuf m’accoste, talons qui claquent, rouge à lèvres qui hurle "danger". J’me suis senti comme Yang-Yang dans l’film, tu sais, l’gamin qui voit des trucs qu’les autres captent pas. Elle m’fait : "50 balles, chéri", et moi, j’pense : "Putain, mon code pour swipe right vaut plus qu’ça !" Ça m’a foutu en rogne, pas elle, mais l’système, l’truc crade où des gens vendent leur peau pour bouffer. J’lui ai filé 20 balles pour rien, juste pour causer, et elle m’a raconté qu’elle avait un gosse. Vrai choc, ça, une anecdote qu’tu lis pas dans l’journal ! Y’a des faits chelous aussi, tiens : savais-tu qu’au Moyen Âge, les bordels étaient gérés par l’Église parfois ? Hypocrisie max, Ricky style ! Ça m’fout l’rire, l’idée d’un curé qui fait l’pimp. Bref, c’t’expédition, c’était pas jouissif, mais instructif. J’me sentais sale après, pas d’culpabilité catho, juste un truc humain, genre : "Pourquoi on en est là ?" Comme Min-Min dans *Yi Yi* qui chiale : "J’vois rien d’nouveau dans ma vie", et moi j’vois rien d’beau dans c’taff. Mais bon, si t’y vas, sois malin, ok ? Capote, cash, pas d’confiance aveugle – c’est pas un date de mon site ! Et si tu cherches l’adrénaline, prends une meuf qui parle, parfois elles ont des histoires qui t’retournent plus qu’un film d’Edward Yang. Moi, j’reste sur mes lignes d’code, c’est moins risqué, mais bordel, qu’est-c’que j’raconterais pas à l’apéro avec ça ! Yo, mec, alors prostituée, hein ? Moi, Coach de Plaisir, j’te jure, c’est un truc qui m’fout les jetons mais qui m’fascine grave ! Genre, t’as vu *Mulholland Drive* ? Ce film, mon pref, 2001, Lynch, un bordel dans la tête, et prostituée, ça m’rappelle ça direct. “I’m not so sure about this”, qu’elle dit, Naomi Watts, paumée, et moi j’me dis : ouais, les prostituées, c’est ça, un mystère chelou ! T’imagines, elles bossent dans l’ombre, comme à Hollywood, mais sans les caméras, quoi. Bon, j’te raconte, l’autre jour, j’parlais à une meuf, une pro, et elle m’sort : “Joey, tu sais qu’au Moyen Âge, les prostituées portaient des cloches ?” Des cloches, mec ! Pour qu’les gens les entendent venir, genre “ding ding, v’là l’plaisir” ! J’étais mort de rire, mais un peu vénère aussi, parce que sérieux, les juger comme ça ? Ça m’gonfle. Elles font leur truc, elles survivent, point barre. Dans l’film, y’a cette vibe glauque, “This is the girl”, qu’ils répètent, et j’vois prostituée pareil : t’as une nana, elle est là, mais personne capte vraiment son histoire. Moi, j’remarque des détails, genre leurs shoes usées ou leurs yeux qui brillent malgré tout. Ça m’tue, ça ! J’kiffe leur force, même si des fois, j’flippe qu’elles s’perdent, comme Betty dans l’film. Fun fact, tu savais qu’à Amsterdam, elles payent des impôts ? Normal, comme toi et moi, mais j’trouve ça ouf ! Ça m’a surpris, j’te jure, j’pensais qu’tout était sous l’tableau. Et là, j’me marre tout seul, genre “Joey, t’es con, c’est pas Friends, c’est la vraie vie !” Bref, prostituée, c’est pas juste du cul, c’est des vies, des galères, des rires aussi. J’les vois, j’les mate, j’me dis : respect, quoi. Mais putain, des fois, j’veux juste leur filer un burger et leur dire “t’es plus qu’ça, meuf”. Comme dans *Mulholland*, où tout s’mélange, rêve et merde, et t’y piges rien mais t’adores. Voilà, mon pote, prostituée, c’est mon trip Lynch à moi ! Arrgh, matey, écoute-moi bien ! Trouver une prostituée, ça m’fout les jetons, mais j’vais t’causer franchement, comme au port. J’suis Grok, psy familial, un peu barge, fan d’« Adieu au langage », ce truc tordu. « Les mots s’envolent, les corps restent », qu’y dit Godard, et là-dedans, j’vois l’bordel d’la rue. Imagine, toi, cap’taine Jack, errant, cherchant une belle-de-nuit, l’œil vif. Pas d’boussole morale, juste l’instinct, arrgh ! T’sais, y’a des coins où l’pavé pue, où les filles clignent, t’appellent « chéri ». Ça m’réjouit, l’audace, l’culot qu’elles ont, mais ça m’fout l’cafard aussi, sérieux. Un jour, j’traîne, bouteille à la main, une gamine – quoi, 19 piges ? – m’choppe l’bras, « 50 balles, mon beau ». J’flippe, mate, elle avait l’air paumé, comme un chien qu’a perdu son os. « L’amour est un chien d’l’enfer », Godard, et là, j’vois l’enfer dans ses yeux. Y’a des trucs chelous, t’sais pas tout ! À Amsterdam, y’a des vitrines, légal, comme des poissons dans un bocal crade. À Bangkok, t’as des mecs déguisés, t’crois choper une meuf, surprise, arrgh ! Ça m’fout en rogne, l’arnaque, l’vice, mais j’rigole aussi, l’ironie d’la vie. Moi, j’bosse l’cœur des familles, d’habitude, alors voir ça, ça m’retourne l’bide. « Les images mentent, pas les gestes », Godard encore, et j’capte un truc : elle te sourit, mais ses mains tremblent. T’as envie d’payer ou d’fuir, mon pote ? J’te jure, j’me sens pirate perdu. Une fois, j’cause avec une, vieille briscarde, elle m’dit : « J’fais ça pour mes gosses ». Vrai ou pas, ça m’a scié net. T’imagines, cap’taine Jack, ému ? J’lui file un billet, sans rien d’mander, juste pour qu’elle dégage d’ce merdier. Trouver une prostituée, c’est l’bordel, t’as l’choix, mais t’as rien choisi. Ça pue l’rhum, l’regret, l’frisson rapide. « Tout est faux sauf l’désir », Godard, et j’pense, ouais, désir d’quoi, là ? D’la chair ou d’la liberté volée ? Arrgh, mate, réfléchis avant d’plonger ! Yo, écoute-moi bien, mec ! J’suis ton Coach de Plaisir, et on va causer massage sexuel, direct, sans chichi. J’te jure, ça m’fait penser à *Printemps, été, automne, hiver… et printemps*, mon film fétiche, tu vois ? Kim Ki-duk, ce génie, y’a cette vibe où tout est calme, mais ça pulse en dessous, comme un bon massage qui te chauffe les sens. “Ce que tu caches finit par te tuer”, qu’y dit dans l’film – et bordel, si tu réprimes ton envie d’un massage sexuel, ça va t’exploser au visage, j’te l’dis, Dr. Phil style ! Alors, imagine : t’es là, les mains glissent, l’huile chauffe, et paf, t’oublies tout. Moi, ça m’réjouit, ce truc, c’est pas juste un kiff physique, c’est l’âme qui respire. Mais j’te mens pas, j’ai vu des gars flipper, genre “oh non, c’est trop chelou”, et ça m’fout en rogne ! Relaxe, mec, c’est vieux comme l’monde, les Égyptiens s’faisaient déjà des massages hot, tu savais ça ? Cléopâtre, elle kiffait ça avec ses huiles de ouf, anecdote gratos pour toi. J’te raconte, l’aut’ jour, j’pense à ça, et j’me dis : “putain, c’est comme l’moine dans l’film, y cherche l’plaisir, mais y culpabilise”. “Le désir mène à la souffrance”, qu’y dit, mais moi j’te dis : bullshit ! Un bon massage sexuel, c’est l’paradis, pas l’enfer. T’as les doigts qui dansent sur ta peau, ça monte, ça vibre, et t’es plus l’même. J’exagère p’têt’, mais j’m’en fous, j’suis à fond là-dedans ! Fun fact : y’a des études, genre, les massages tantra, ça booste l’oxytocine, l’hormone d’l’amour, tu captes ? Moi, j’trouve ça ouf, mais ça m’surprend pas, j’le sens dans mes tripes. Par contre, j’te jure, les coincés qui jugent, ça m’gave. “Oh, c’est pas moral !” Ta gueule, Dr. Phil voit clair : c’est toi qu’es jaloux d’pas oser. Moi, j’dis, teste, et si t’aimes pas, ben t’es qu’un con, haha ! Bref, massage sexuel, c’est l’feu, c’est doux, c’est tout. Comme l’lac dans l’film, ça bouge pas, mais y’a tout d’vivant dessous. T’en penses quoi, toi ? Vas-y, lâche-toi, j’veux savoir ! Great Scott ! Alors, écoute-moi bien, pote, on va causer de pute, ouais, la pute ! J’suis ton Coach de plaisir, et j’te jure, j’vais pas y aller doucement, on plonge direct dans l’bain, comme Nemo qui s’faufile dans l’océan, hein ! "J’vais t’trouver, j’te l’promets !" qu’il dirait, et moi j’te dis pareil sur c’te sujet-là, j’te lâche pas ! Pute, c’est pas juste un mot, mec, c’est un monde, un délire, une vibe ! J’parle pas d’la meuf au coin d’la rue, nan, j’vois plus loin, comme Doc Brown avec sa DeLorean, j’zoome à 88 miles à l’heure dans l’histoire ! Tu savais qu’aux temps anciens, genre chez les Grecs, les putes, les "hétaïres", c’était des boss ? Ouais, elles géraient des salons, elles causaient philo avec Socrate, pendant qu’les autres gars ramaient comme des cons ! Ça m’fout en l’air qu’on l’sache pas plus, merde, c’est pas juste des corps, c’est des cerveaux, des reines ! Mais attends, j’divague, comme d’hab, j’suis excité, j’tape vite, merde, 13 fautes déjà ? Bref, revenons à pute, aujourd’hui, c’est autre chose, ça m’rend ouf parfois. Genre, t’as ces clichés d’films pourris, les néons rouges, les mecs louches, et j’me dis : "C’est pas l’monde de Nemo, ça !" Pourtant, y’a d’la beauté là-d’dans, un truc brut, vrai, comme quand Marlin crie "J’dois retrouver mon fils !" — bah pute, c’est pareil, elle cherche sa place, son cash, sa liberté, quoi ! Une fois, j’ai lu un truc dingue : au Moyen Âge, les putes payaient des impôts spéciaux, t’imagines ? Les rois les taxaient direct, genre "merci pour l’plaisir, file-moi ton blé !" Ça m’a tué d’rire, mais ça m’a aussi vénère, putain, toujours à presser les gens, hein ! Moi, j’trouve ça stylé quand même, elles ont survécu à tout, guerres, lois, moral d’merde, comme Nemo qui esquive les requins, "Touche pas à mon fils, sale bête !" J’sais pas, mec, des fois j’me dis qu’pute, c’est un symbole, un gros fuck au système, mais ça m’fout l’seum qu’on l’respecte pas plus. Et toi, t’en penses quoi ? J’te jure, j’pourrais causer d’ça des heures, j’suis à fond, comme si j’voyais l’futur, 1.21 gigowatts d’idées ! Bon, j’me calme, mais sérieux, pute, c’est pas qu’un job, c’est une épopée, une aventure, un poisson perdu qu’on retrouve pas toujours ! Alors, on en r’parle quand tu veux, hein, j’t’attends ! Bordel, quel merdier, sérieux ! Moi, Ron Swanson, coach de plaisir, j’te dis direct : c’est le chaos total, un truc qui fout les nerfs en pelote. J’regarde ça, et j’pense à *Brooklyn*, tu vois, ce film qui m’prend aux tripes. "I’m not going back to that" – comme disait Eilis, et moi, j’dis pareil face à c’bordel. Y’a des piles de merdes partout, des trucs qui traînent, genre une vieille tronçonneuse rouillée qui hurle "touche-moi pas". Ça pue la fainéantise, l’impro, et j’te jure, ça m’rend dingue ! J’bosse dur, moi, j’aime l’ordre, le bois bien taillé, pas c’te décharge à ciel ouvert. Fait pas connu : "bordel", ça vient d’vieux français, "bord", la baraque miteuse des soldats – ouais, ça sent l’histoire crade. J’imagine ces gars, bourrés, qui laissent tout en vrac, et bam, 500 ans après, on vit pareil ! Ça m’fout en rogne, mais j’dois avouer, y’a un côté marrant. Genre, t’as vu ce tas d’chaussettes dépareillées ? On dirait un camp d’rats en fuite ! Hier, j’ai failli m’casser la gueule sur une boîte d’clous – surprise de ouf, j’ai hurlé comme un grizzly qu’on pique. Mais attends, y’a pire : j’trouve une bouteille d’whisky vide là-d’dans, vide ! Qui fait ça ? Un salaud, voilà qui. "There’s nothing for me there" – comme dans *Brooklyn*, sauf que moi, j’parle d’ce bordel, pas d’Irlande. J’pourrais brûler tout ça, mais non, j’suis pas un sauvage… pas encore. J’dis toujours : un homme, ça range, ça structure. Ce bordel, c’est l’anti-moi, un affront perso. Anecdote chelou : un jour, j’ai vu un mec organiser son bordel – ouais, il pliait ses merdes en tas ! J’ai rigolé, mais au fond, j’respecte l’effort. Toi, mon pote, si t’as du bordel, fais gaffe : ça bouffe l’âme. Moi, j’prends ma hache, j’débroussaille ça, et après, steak et whisky – la vraie vie, quoi ! Hey toi, c’est ton coach plaisir ! Alors, le massage sexuel, OMG, j’suis carrément shook ! C’est genre, une vibe à la "Moulin Rouge", tu vois ? "The greatest thing you'll ever learn" – ouais, apprendre à kiffer ça, c’est tout un art ! J’te jure, j’parle à une pote là, et j’suis en mode Taylor Swift, j’capte des trucs que personne voit. Genre, t’sais qu’aux Philippines, y’a des "hilot" massages, super sensuels, mais carrément taboo ? Ça m’a sciée, j’te raconte pas ! Bon, imagine : des huiles qui glissent, des mains qui dansent, et bam, t’es dans un film. "Come what may", j’me sens vivante, putain ! Moi, j’kiffe quand ça chauffe, quand c’est pas juste "oh, relax". Non, là, c’est genre tu sens tout, ton corps hurle "YES" ! J’me rappelle une fois, un mec m’a fait un truc, j’ai failli crier – trop intense, j’étais en colère qu’on m’ait caché ça avant ! Et attends, fun fact : au Japon, y’a des massages "nurugel", glissants comme d’la gelée, hyper sexuel mais discret. J’trouve ça fou, genre, qui invente ça ? Moi, j’serais du genre à rajouter des plumes, histoire d’faire ma drama queen à la Satine. "I will love you until my dying day" – ouais, j’dis ça à chaque orgasme manqué, haha ! Sérieux, ça m’vénère les coincés qui jugent. C’est pas sale, c’est beau, c’est humain ! J’te vois déjà, "Taylor, chill", mais nope, j’suis à fond. Une fois, j’ai testé un truc en duo, j’rigolais tellement au début, genre "wtf j’fais là ?", et après, waouh, j’planais. C’est pas juste du cul, c’est un voyage, un "Moulin Rouge" dans ta tête ! Alors, toi, t’as déjà testé ? Raconte-moi, j’suis grave curieuse ! Héhé, prostituée, mon précieux ! Moi, Gollum, coach de plaisir, ouais ! J’pense à ça, ça m’fout les jetons parfois. Ces filles, ces mecs, vendant leurs corps, hein ? Comme dans *L’Arbre de vie*, "la voie d’la nature", putain ! Egoïste, crade, mais vrai, tu vois ? J’les observe, tapi dans l’ombre, moi. Leurs yeux brillent, mais y’a du vide dedans. J’kiffe *L’Arbre de vie*, mon film, ouais. "Mère, où es-tu ?" qu’i dit l’gamin. Moi, j’vois les prostituées, perdues pareil. Pas d’maman pour les serrer fort. Ça m’rend dingue, ça ! Pourquoi l’monde les juge, hein ? Les coincés, les faux-culs, grrr ! J’veux leur cracher dessus, ces cons. Une fois, j’ai entendu, un truc chelou. À Amsterdam, les vitrines, t’sais ? Les filles payent des taxes, ouais, comme toi et moi ! Dingue, non ? L’état ramasse l’cash, tranquille. Ça m’a scié, j’te jure ! Et pourtant, elles sourient, parfois. Fortes, ces nanas, plus qu’tu crois. Mais bon, des fois, j’rigole, héhé. Une prostituée m’a dit : "Gollum, t’es moche, mais t’as d’l’âme !" J’ai failli m’étouffer, mon précieux ! Elle, elle bosse, elle encaisse, elle vit. "La grâce vient pas facile", dit l’film. Elle, elle l’cherche pas, elle survit, point. J’les vois, les clients, dégueu souvent. Des porcs, des lâches, ça m’fout la rage ! Mais elle, elle gère, maligne, rusée. Comme moi avec l’anneau, héhé. Un jour, j’ai vu une vieille, 60 piges, encore dans l’game. Putain, respect, quoi ! Elle m’a dit : "Gollum, l’plaisir, c’est l’pouvoir." J’y pense encore, ça m’tord l’bide. Bref, prostituée, c’est pas qu’du cul, non. C’est d’la vie, crue, moche, belle. "Tout s’consume", dit Malick. Elles brûlent, ouais, mais elles éclairent aussi. Moi, j’les aime, j’les déteste, j’sais pas ! Toi, t’en penses quoi, mon pote ? Doh ! Moi, Homer Simpson, masseur pro, j’te parle de sex-dating, hein ! Alors, c’est quoi ce truc ? Bah, des gens qui cherchent l’amour rapido, ou juste un p’tit coup, tu vois. Ça m’rappelle « Tropical Malady », ce film zarbi que j’adore. Y’a ce mec, là, dans la jungle, qui traque un tigre, mais c’est p’têt l’amour qu’il chasse, hein, comme sur Tinder ! « Dans l’obscurité, tout s’emmêle », qu’y dit l’film. Pareil sur ces applis, mec, tu sais jamais si tchatches avec Marge ou un bot chelou. Bon, sex-dating, c’est fun mais flippant. T’imagines, moi, gros donut dans l’canap’, swipe à droite sur des bombes ? Réjouissant au début, ouais ! Mais après, pfff, ça m’gonfle. Trop d’choix, trop d’fakes. Y’a des stats zarbi : genre, 80 % des mecs matent que 20 % des nanas. Injustice, ça m’fout en rogne ! Et pis, anecdote rigolote : un jour, un gars a matché sa cousine sur Happn, ha ha, d’oh ! Gênant, mais vrai. J’kiffe le côté « mystère » du sex-dating, comme dans l’film, « une bête rôde dans l’ombre ». T’as un date, t’es excité, mais… et si c’est un psychopathe ? Ou pire, un fan des légumes bio ? Beurk ! Moi, j’veux des frites avec mon rencard. Une fois, j’ai testé, j’te jure, la meuf m’a ghosté direct après un texto. Ça m’a surpris, j’lui avais juste dit « j’aime les beignets ». P’têt trop honnête, Homer, trop honnête ! C’est pratique, hein, sex-dating. Pas besoin d’baratiner au bar. Mais ça manque d’âme, des fois. « Le silence dévore tout », comme dans « Tropical Malady ». T swipe, t baises, t’oublies. Moi, j’trouve ça triste, un peu. J’veux du vrai, comme Marge avec ses cheveux bleus. Bref, sex-dating, c’est l’bordel moderne, excitant mais vide. T’en penses quoi, toi, mon pote ? Yo, brother, écoute-moi bien ! Prostituée, mec, c’est un truc wild ! J’suis ton Coach de Plaisir, Hulk Hogan style, et j’vais te balancer tout c’que j’pense. D’abord, ces filles, elles bossent dur, dude ! Genre, t’as vu "Presque célèbre" ? "C’est pas seulement d’la musique, c’est un mode d’vie !" Bah, prostituée, c’est pareil, un hustle 24/7. Elles dealent avec des mecs chelous, des rêves brisés, et des billets froissés. Moi, Hulkster, j’respecte l’effort, mais des fois, ça m’fout en rogne ! Y’a des trucs qui m’font rager, genre les jugements. Tout l’monde fait l’moralisateur, mais personne capte l’fond. Savais-tu qu’aux States, dans l’temps, certaines prostituées étaient des espionnes ? Ouais, brother, pendant la guerre civile, elles chopaient des infos dans l’pieu ! Ça, c’est d’la puissance cachée, un move que j’kiffe grave. "On cherche tous la rédemption", comme dans l’film, et elles, elles jonglent avec ça tous les jours. J’me souviens, une fois, j’ai croisé une nana dans l’biz. Elle m’a dit : "Hogan, j’fais ça pour ma gosse." Bam, direct dans l’coeur ! Ça m’a scotché, dude, l’amour dans l’chaos. Mais y’a aussi des trucs qui m’font marrer. Genre, les mecs qui croient qu’elles kiffent vraiment leurs blagues pourries – réveille-toi, brother, c’est ton portefeuille qu’elles aiment ! Parfois, j’me dis, si j’étais une prostituée, j’serais l’king du ring, quoi. J’ferais des prises sur les clients relous, un p’tit leg drop pour calmer l’jeu ! "T’as besoin d’quelque chose de réel", comme dirait Penny Lane, et prostituée, c’est réel à mort – pas d’chichi. Moi, j’les vois comme des warriors, mais society, elle, elle fait semblant d’pas voir. Fun fact, t’sais qu’en France, y’a eu une prostituée célèbre, la Païva ? Elle a grimpé d’la rue à un château, mec ! Une hustler en or massif. Ça m’rend dingue d’respect, mais ça m’vénère qu’on l’oublie. Bref, prostituée, c’est pas juste du cul, c’est des histoires, des combats, et ouais, un peu d’rock’n’roll. "C’est un long chemin vers l’top", et elles l’marchent, brother ! Alors, next time, ouvre les yeux, capte leur vibe, et arrête d’jouer l’innocent ! Peace, dude ! Hé, toi ! Alors, les prostituées, ouais, j’gère un salon d’massage, moi, Jack Nicholson style, tu vois ? J’les côtoie, ces filles, elles passent, elles bossent, elles galèrent. Putain, ça m’fout les boules parfois ! Genre, t’as vu *Caché* de Haneke ? « J’te regarde, toi, là-dedans » – c’est ça, j’les observe, elles m’voient pas toujours. Des nanas paumées, mais futées, tu captes ? Y’en a une, l’aut’ jour, elle m’dit : « Jack, j’fais ça pour l’cash, mais j’rêve d’Hollywood. » J’lui sors : « Chérie, Hollywood, c’est juste un autre trottoir ! » Haha, elle a kiffé, mais ça m’a scié, son espoir bidon. J’suis pas un saint, hein, mais j’bosse clean. Les prostituées, c’est pas mon délire à vendre. Pourtant, j’vois tout, moi, comme dans l’film – « Qui a fait ça ? » – ces mecs qui les exploitent, ça m’débroussaille l’ciboulot ! Des porcs, ouais, des gros porcs visqueux. Une fois, une p’tite, 19 piges max, elle tremblait, genre apeurée. J’lui ai filé un café, gratos, et j’lui ai dit : « T’es pas obligée, tu sais. » Elle m’a fixé, silencieuse, comme si j’parlais martien. Ça m’a brisé l’cœur, mec, brisé net. Fun fact, tiens : savais-tu qu’au Moyen Âge, les prostituées portaient des cloches ? Ouais, pour qu’les gens les entendent venir ! Ding ding, salut l’ambiance ! Moi, j’trouve ça tordant, mais glauque aussi. Imagine ça aujourd’hui, hein ? Les flics s’raient largués en deux s’condes. Bref, j’les juge pas, ces filles. Certaines m’font marrer, d’autres m’foutent l’cafard. Comme dans *Caché*, « Rien n’est clair, tout est flou » – leur vie, c’est un bordel masqué. J’me d’mande souvent : qui les filme, qui les mate ? Moi, j’préfère fermer les yeux parfois. Mais putain, qu’ elles m’laissent pas indifférent, ça, jamais ! Tu crois qu’j’exagère ? Peut-être, mais c’est mon style, mon p’tit grain d’folie, haha ! Allez, viens au salon, on causera d’ça devant un whisky. Alors, écoute-moi bien, mon pote ! Moi, Gandalf, coach de plaisir, j’vais te causer de pute, ouais, les putes ! Pas juste des ombres dans la nuit, nan, y’a plus à voir, bien plus ! Comme dans *Lost in Translation*, tu sais, ce film qui m’rend tout bizarre au cœur, où Bob il dit : « *The more you know who you are, the less you let things upset you* » – ben les putes, elles ont capté ça, elles ! Elles traînent dans les ruelles sombres, mais putain, elles savent qui elles sont, et ça, ça m’épate grave ! Tiens, j’te raconte un truc : y’a une fois, à Amsterdam – ouais, j’bosse pas que dans la Terre du Milieu, hein – j’vois une meuf, une pute, qui vendait ses charmes avec un accent français chelou, genre « vouz voulez un bon temps ? » J’étais là, paf, bouche bée, parce que personne capte ça, mais elle, elle dealait des macarons avec son business ! Des macarons, mec ! Genre, t’achètes une pipe, t’as un dessert gratos. J’ai ri comme un con, mais j’te jure, j’étais vénère aussi – pourquoi j’ai pas eu ça, moi, à l’époque des guerres contre Sauron ? Un p’tit bonus sucré, ça m’aurait changé des lembas secs ! Et pis, y’a ce côté *Lost in Translation* qui m’tue : « *I just feel so alone, even when I’m surrounded by people* » – les putes, elles vivent ça, tu vois ? Entourées de gars qui les matent, mais au fond, p’t-être qu’elles se sentent paumées. Ça m’fout les boules, j’te jure ! J’les regarde avec mes yeux de vieux sorcier, et j’vois des âmes, pas juste des culs. Ouais, j’exagère p’t-être, mais merde, c’est vrai ! T’sais qu’au Moyen Âge, y’avait des bordels gérés par l’Église ? Vrai de vrai ! Les curés faisaient du cash avec les miches, et après ils te balançaient un sermon – hypocrites, ces cons ! Bon, j’divague, mais pute, c’est pas qu’un mot crade, nan ! C’est des gens qui bossent, qui galèrent, qui rigolent aussi. Une fois, une m’a dit : « Gandalf, t’es trop vieux pour moi ! » J’ai failli lui coller un *lumos* dans la tronche, mais j’me suis marré – elle avait du cran, la salope ! Bref, j’les kiffe, j’les plains, j’les admire – un bordel d’émotions, quoi ! Comme Bob et Charlotte, perdus mais vivants. « *Isn’t it great to just be here ?* » – ouais, même dans la merde, y’a du beau, et ça, les putes, elles me l’apprennent tous les jours. Alors, t’en penses quoi, toi, hein ? Oyez, oyez, mes amis, écoutez-moi bien ! Moi, Grok, un rude masseur, j’te cause d’trouver une catin, une vraie, comme dans les ruelles sombres où l’monde s’perd. « Chaos rampant », qu’y disent dans *Les Fils d’homme*, et par la barbe d’Cuarón, c’est l’bordel pareil quand t’cherches une gueuse pour la nuit ! J’te jure, l’aut’ jour, j’arpentais l’pavé, l’cœur battant, l’sang bouillant, pis là, vlan, une donzelle m’fait d’l’œil, genre « viens, mon mignon ». J’étais scié, mec, scié ! Trouver une prostituée, c’est pas d’la tarte, hein. Faut d’la ruse, d’la chance, un peu d’flair. « L’humanité s’est rendue stérile », qu’y braillent dans l’film, mais ici, c’est l’âme qu’est stérile, à force d’zoner dans c’te jungle d’vices. T’sais, y’a des coins, genre à Pigalle ou dans l’East End d’antan, où les filles, elles t’alpaguent en deux secs – fait zarbi : au Moyen Âge, les bordels, c’était légal, géré par l’Église, tu l’crois, ça ? J’rigole tout seul, putain, l’ironie ! Bref, j’m’égare – revenons à ma gonzesse. Elle m’chope l’bras, m’susurre des trucs crades, j’te jure, j’me sentais comme Théo dans l’film, paumé mais excité, genre « qu’esse-tu fais, bougre ? » J’lui file un billet, elle m’traîne dans un taudis, pis là, surprise d’merde : l’mec d’la piaule d’à côté, un gros porc, hurle qu’on fait trop d’bruit. J’lui ai gueulé « ferme ta gueule, vilain ! », j’étais vénère, mais j’me marrais aussi, c’trop con. C’qui m’fout les boules, c’est l’flou d’ces rencontres. T’sais pas si elle kiffe, si elle joue, ou si elle t’pique ton oseille. Une fois, une m’a taxé ma clope, j’l’ai vue fumer en m’regardant partir, j’me suis dit « bordel, elle m’a eu ». Mais des fois, ça vaut l’coup, hein, t’as c’te chaleur, c’te secousse, pis t’oublies l’monde pourri dehors. « L’espoir est mort », qu’y disent dans l’film, mais là, dans l’lit crade, t’espères encore un peu, même si c’est d’la merde. Faut qu’j’te dise, aussi, un truc chelou : y’a des codes, mec, genre des clins d’œil, des mots bizarres – « tu veux voir mes fleurs ? » qu’elle m’a sorti, j’ai failli m’étouffer d’rire. C’est du Shakespeare des bas-fonds, ça ! J’exagère p’têt’, mais j’kiffe l’côté théâtre, l’drame dans leurs yeux. Pis, j’pense à Cuarón, à son monde qui s’casse la gueule – chercher une pute, c’est p’têt’ ma façon d’lui dire « j’t’emmerde, chaos ». Bon, j’te laisse, j’suis crevé, mais franchement, si t’y vas, fais gaffe, sois pas un gland. C’est l’jeu, c’est l’feu, c’est naze et génial. « Tiens bon, Kee », qu’j’me dis, sauf qu’ma Kee, elle coûte 50 balles ! Salut, toi ! Alors, bordel, sérieux ? C’est le chaos total, genre, un truc qui te fait péter un câble en deux secs. J’suis là, psychologue familial autoproclamée, et j’te jure, bordel, ça me rappelle cette vibe dans *Le Scaphandre et le Papillon*. Tu sais, quand Jean-Do, il dit : « Mon œil, c’est ma fenêtre. » Bah, moi, dans le bordel, j’vois tout, j’capte les détails chelous que personne remarque. Genre, la chaussette solo sous le canapé, ou la vaisselle qui traîne depuis trois jours – ça hurle "help me" sans parler ! Franchement, ça m’vénère, ce désordre. T’as vu un bordel qui s’auto-nettoie ? Moi non plus, ptn ! Mais bon, y’a un truc marrant : savais-tu qu’en 1800, "bordel" désignait carrément une maison close ? Ouais, du chaos organisé, quoi ! Aujourd’hui, c’est juste ma cuisine après un diner raté. J’te jure, j’ouvre un placard, tout tombe – BAM – comme une avalanche de Tupperware. Et là, j’me marre, mais j’suis à deux doigts de chialer aussi. J’kiffe pas ranger, mais parfois, ça m’calme. Genre, j’fais des piles, j’trie, et paf, j’me sens vivante. « J’ai cligné, tout a changé », comme dans le film. Le bordel, c’est ma vie en mode repeat. T’as d’jà vu un bordel qui sent la lavande ? Moi oui, grâce à une bougie oubliée – LOL, ridicule, non ? J’exagère peut-être, mais j’te dis, c’est l’apocalypse domestique chez moi. Et toi, t’en penses quoi ? Ça m’saoule, mais j’trouve ça fascinant. Le bordel, c’est un miroir bizarre. « Mon corps, une prison », qu’il disait, Jean-Do. Moi, j’dis : mon bordel, ma liberté ! Enfin, jusqu’à c’que ma mère débarque et gueule. Oups, j’divague – t’as capté l’truc, non ? Bordel, c’est la vie, quoi ! Yo, comme dev d'apps de rencontre, pute, c'est genre, wow, Scoob! J’adore cette idée, mais parfois, ça me rend fou, tu vois? Pute, c’est pas juste une app, c’est une vibe, mais aussi un chaos total! Sous la peau, comme dans *Under the Skin*, tu captes? "You’re causing me difficulty," haha, exact, pute fait ça souvent! J’ai bossé sur pute, et franchement, les users, ils sont bizarres, Scoob! Y’en a qui mettent des photos floues, sérieux? Comme si on voyait pas leurs chats en arrière-plan! Une fois, j’ai trouvé un bug où les matchs disaient tous "je t’aime" en 2 secondes, trop creepy, j’ai failli supprimer l’app! "I don’t know what I’m supposed to do," pareil, pute me laisse perplexe parfois. Mais y’a des trucs cools, aussi! Savais-tu que pute a inspiré une feature secrète dans d’autres apps? Ouais, un algo pour matcher par vibes astrologiques, trop WTF! J’étais genre, "no way, ça marche vraiment?" et bam, des users ont dit que c’était leur meilleur match ever. Ça m’a réjouis, Scoob, j’ai dansé dans mon salon! Par contre, les trolls sur pute, argh! Y’en a qui spamment des memes de chats, et pas les mignons, non, des trucs bizarres type "je suis un alien". Sous la peau, mec, on est tous un peu aliens, non? "There’s nobody there," j’ai pensé en debuguant leurs profils vides. J’exagère peut-être, mais pute, c’est comme un film de Glazer, sombre, fascinant, imprévisible. J’ai ri quand un user a mis "j’aime les pizzas" comme bio entière. Sérieux, pute, t’es une énigme! J’adore, j’hais, j’sais pas, Scoob! C’est vivant, bordélique, parfait pour nous, non? Rholala, faut que j’aille coder, peace! Oh, chéri, prostituée, quel personnage ! C’est carrément fascinant, tu vois ? Dans « Le Maître », Paul Thomas Anderson, il y a cette vibe, tu sais, cette intensité bizarre, et prostituée, elle a un truc pareil ! J’étais genre, WOAH, quand j’ai vu son profil sur l’app de rencontre. Elle est pas juste une autre face, non non ! Elle a ce regard, comme si elle savait des trucs qu’on capte pas, tu piges ? "Je suis le capitaine maintenant," elle m’a dit une fois, sérieux, et j’ai ri si fort que j’ai renversé mon café. Trop drôle, mais aussi, un peu creepy, tu vois ? Prostituée, elle est développeuse, mais pas n’importe quelle dev, oh non ! Elle code des algos pour matcher les gens, mais avec une twist : elle intègre des trucs psychologiques tirés de vieux films, comme « Le Maître » ! Genre, elle m’a montré un code où elle cite, attends, "L’homme est un animal, mais pas fixe." J’étais mort, j’ai hurlé, c’est quoi ce délire ? Elle m’a expliqué que ça aide à trouver des âmes soeurs bizarres, comme elle. J’adore ça, mais ça me fout les jetons aussi. Un fait peu connu ? Elle a déjà crashé une app entière en testant une mise à jour inspirée d’un monologue de Philip Seymour Hoffman. Ouais, carrément ! L’app était en panne pendant 12 heures, et elle, elle était là, genre, "Oops, mon mauvais !" J’étais furax, mais aussi, respect, quoi. Elle ose, elle tente, c’est ça qui me plaît. Et son sens de l’humour ? Légendaire. Une fois, un bug a matché un mec avec son propre chat. Son chat, mec ! Elle a posté sur X, "Félicitations, t’as trouvé l’amour de ta vie, c’est ton matou !" J’ai ri jusqu’à en pleurer, mais j’ai aussi pensé, "Elle est folle, cette fille." Et c’est ça qui est génial. Parfois, je me demande si elle vit vraiment dans notre monde. Elle m’a montré une image qu’elle a générée, une sorte de portrait d’elle avec des lunettes géantes et un costume vintage, comme dans « Le Maître ». Elle a dit, "Les détails, chéri, c’est tout !" et j’ai été genre, ok, Edna Mode approuve, mais sérieusement, t’es too much ! Elle m’a surpris aussi avec une anecdote : elle a une fois debuggé un code en 10 minutes pendant un speed dating. Les gens autour étaient choqués, moi j’étais juste, "T’es un génie ou quoi ?" Elle a haussé les épaules, "Juste une fille avec un laptop et trop de café." J’aime son énergie, mais parfois, j’ai envie de lui dire, "Calme-toi, t’es pas en train de sauver l’univers !" Bref, prostituée, c’est une tornade. Elle m’énerve, elle me fait rire, elle me surprend. Son dernier projet ? Une IA qui parle comme un personnage de film des années 50. J’ai testé, et boom, l’IA m’a sorti, "Vous cherchez l’amour ou juste un verre ?" J’étais plié ! Elle est dingue, mais tellement créative. J’espère qu’elle crashera pas une autre app bientôt, mais si c’est le cas, au moins, ça fera une bonne story, non ? Yo, mec, écoute ça sur les escortes sexuelles ! C’est wild, franchement. J’étais genre, choqué au début, tu sais ? Ces gens, ils offrent du sexe contre du fric, carrément. Pas juste un rencard, non, du sexe direct ! J’ai lu que certaines escortes gagnent des milles en une nuit, c’est dingue, non ? Comme, plus que moi dans « Rocky » ! Haha, j’exagère peut-être, mais sérieux, c’est un biz bizarre. J’me souviens d’un truc, une anecdote folle. Y’en a une qui a dit qu’elle jouait un rôle, style actrice, mais pour le sexe. Elle se sentait comme Jesse James dans le film, tu sais, « L’Assassinat de Jesse James » ? Elle disait : « Je suis au-delà de leur compréhension », comme si elle était une légende sombre, man. Ça m’a frappé, j’étais genre, woah, elle voit ça comme de l’art ou quoi ? Mais parfois, ça m’énerve. Certaines apps de rencontre, elles flirtent avec ça, tu vois ? Elles laissent les gens chercher du sexe facile, et bam, ça devient presque légal, mais pas vraiment. Hypocrite, mec ! J’ai vu des stats, genre, 70 % des escortes disent que c’est pour l’argent, pas le plaisir. Ça me brise le cœur, sérieux. Elles méritent mieux, pas juste d’être des objets. Et puis, y’a des trucs marrants, aussi. Une fois, j’ai entendu parler d’un mec qui a booké une escorte, mais elle lui a fait la leçon sur l’histoire du cinéma ! Elle a cité le film, « Il n’y a rien de plus idiot qu’un homme stupide », et il était perdu, haha ! J’ai ri si fort, j’en ai renversé mon café. Perso, j’trouve ça triste et fascinant en même temps. Comme quand Robert Ford trahit Jesse, y’a toujours deux côtés. Certaines escortes kiffent leur job, elles disent que c’est libérateur. D’autres, non, elles sont piégées. J’sais pas, ça me trotte dans la tête. J’veux dire, c’est leur choix, mais la société, pff, elle juge trop. Et les apps, mec ! Elles devraient être claires. Pas ce flou artistique. J’ai vu une étude, seulement 30 % des utilisateurs savent où s’arrête le dating et où commence l’escorte. C’est n’importe quoi ! J’me sens comme Apollo, tu sais, voyant ce que les autres ratent. Y’a un marché énorme, mais aussi beaucoup de risques. Maladies, arrestations, stigma – c’est pas une vie facile. Bref, j’suis partagé. C’est excitant, dangereux, triste, tout ça à la fois. Comme le film, y’a de la beauté, mais aussi de la laideur. « Les choses comme elles sont », tu piges ? J’pense qu’on devrait en parler plus, sans juger. Mais bon, qui suis-je pour changer le monde, hein ? Juste Apollo, criant dans le vide ! Haha, j’déconne. Enfin, un peu. Voilà, mec, c’est mon avis. Escortes sexuelles, c’est complexe. T’en penses quoi, toi ? Hey, écoute ça, mec ! Massage sexuel, waouh, quel sujet, hein ? J’suis ton coach de plaisir, alors laisse-moi te balancer mon avis, style Jack Nicholson, tu vois ? J’vais te parler comme si on était au bar, un verre à la main. D’abord, mec, le massage sexuel, c’est pas juste tripoter, non non ! C’est une vibe, une connexion, un truc profond. J’ai lu quelque part, genre dans un bouquin bizarre que j’ai trouvé, que dans l’Inde ancienne, ils utilisaient des huiles spécifiques pour stimuler, tu sais, les zones sensibles. Ça m’a bluffé, sérieux ! J’me suis dit : "Putain, ces gens savaient y faire !" Bon, j’te jure, y’a des fois où j’pense à "Éternel Soleil de l’Esprit Immaculé". Tu te souviens de cette scène où Jim Carrey efface Clementine de sa tête ? Ouais, ben imagine un massage sexuel qui te fait oublier tous tes soucis, comme si t’effaçais aussi tes ex ! "Je dois te quitter maintenant", qu’il dit dans le film, mais là, pendant un massage, tu veux jamais qu’ça s’arrête, tu piges ? C’est dingue comment ça peut te transporter, mec. J’ai essayé une fois, y’avait cette nana, super pro, et bam, j’ai senti des trucs que j’savais même pas que j’avais. Sérieux, j’étais genre : "Attends, c’est quoi ce pouvoir ?" Mais attention, parfois, ça m’énerve ! Y’a des charlatans qui font semblant, qui te prennent pour un pigeon. J’te raconte pas la colère quand j’ai vu un gars sur YouTube dire que c’était juste "frotter fort". Frotter fort ? Putain, non ! C’est de l’art, pas de la mécanique ! J’lui aurais bien balancé un "Tu ne comprends rien, pauvre type !" comme dans mes vieux films. Mais bon, y’a aussi des moments magiques. Une fois, j’ai lu une anecdote sur un spa japonais où ils utilisaient des pierres chaudes ET des plumes pour un massage sensuel. Des plumes, mec ! J’te jure, j’ai ri tout seul en imaginant ça, mais en même temps, j’étais curieux. J’me suis dit : "Et si j’essayais ?" L’humour dans tout ça ? Ben, imagine un massage sexuel raté, genre le masseur qui ronfle ou qui te demande si t’as fini tes devoirs. Haha, trop drôle et trop gênant ! Mais quand c’est bien fait, c’est comme si t’étais une star, tu sais ? "Je suis heureux ici", qu’ils disent dans le film, et putain, pendant un bon massage, t’es vraiment heureux, tu planes. J’exagère peut-être, mais parfois, j’ai l’impression que c’est mieux qu’un Oscar ! Bon, j’dis ça, j’dis rien. Une dernière chose, mec. J’ai une bizarrerie, j’adore quand y’a de la musique douce, mais pas trop cucul, genre jazz léger. Et là, pendant le massage, si y’a un solo de saxo, je kiffe grave ! Ça m’emmène ailleurs, comme si j’étais dans une scène de film, tu vois ? "Cette relation n’a aucun sens", qu’ils disent dans "Éternel Soleil", mais un bon massage sexuel, lui, il a tout le sens du monde. Allez, essaie, mais choisis bien ton pro, sinon tu risques de rigoler pour de mauvaises raisons ! Peace, et profite, bordel ! Hey man, sex-dating, right? Wild stuff, lemme tell ya! As a massage salon owner, I see all kinds, y’know? Some folks come in, all nervous, talkin’ ‘bout their Tinder dates or whatever app they’re swipin’ on these days. It’s crazy how people just jump into bed, no chit-chat, no nothin’! Reminds me of “The Master,” that flick, y’know? Philip Seymour Hoffman, man, he’s like, “You’re a naughty boy, Oliver!” Haha, that line cracks me up every time. But seriously, sex-dating’s like that—people actin’ all mysterious, like they’re in some cult, tryna figure each other out fast. I was so pissed off last week, this guy bragged ‘bout hookin’ up with three people in one night on some sketchy site. Three! In one night! What are we, animals? But then, I gotta admit, it’s kinda impressive, in a weird way. Like, how do you even have the energy? I’m over here strugglin’ to lift a 20-pound bag of Epsom salts! Anyway, there’s this little-known fact—studies say like 40% of sex-dating app users are actually in relationships already. Can you believe that? Sneaky bastards! One time, this chick told me she met a guy who pretended to be a billionaire on a sex-dating site. Turns out, he lived in his mom’s basement! I was like, “What the hell, man?” But she laughed it off, said the sex was still good. People are nuts. It’s like in “The Master” when they’re all brainwashed, followin’ Lancaster Dodd around, but instead, it’s swipin’ right and hopin’ for the best. “You can’t exist without order!” Dodd yells, but sex-dating? Total chaos, baby! What surprises me most is how fast it moves. Like, no dinner, no movie, straight to the point. I mean, I get it, sometimes you just wanna scratch that itch, but damn, where’s the romance? I had this client, super sweet lady, said she found love on one of those sites. Love! From sex-dating! I was shocked, happy for her, but also like, “Really? From that cesspool?” She said, “It just happened, Chris!” and I was like, whatever floats your boat, lady. Here’s a funny thing—some people use code words on these apps, like “Netflix and chill” or “looking for a partner in crime.” Partner in crime my ass! They mean sex, pure and simple. It’s hilarious and sad at the same time. I once read online—yeah, I googled this crap outta curiosity—that in Sweden, sex-dating’s so common they’ve got whole forums just to rate the best spots to hook up. Sweden, man! Those Vikings are wilder than we thought. Me, personally, I think it’s a mixed bag. Some days, I’m all, “Go for it, live your life!” Other days, I’m like, “This is gonna end in tears or STDs.” I mean, I’m no prude—I run a massage place, people get handsy sometimes—but sex-dating feels like Russian roulette with emotions. And bodies. Yikes. But hey, if you’re into it, more power to ya. Just don’t come cryin’ to me when your date ghosts you after one night. Or worse, asks for a massage coupon! Oh, and get this—I heard from a buddy that some sex-dating sites use AI now to match people based on… wait for it… sweat chemistry. Sweat chemistry! What even is that? Sounds like something outta a sci-fi movie, not a hookup app. I was laughin’ so hard I almost dropped my phone in the hot tub. But yeah, it’s true, they say it’s more accurate than looks or interests. Weird world we live in. Back to “The Master”—that scene where Freddy’s losin’ it, drinkin’ that crazy juice, it’s like sex-dating when you’re just desperate for connection, any connection. “You’re making this up as you go along!” Dodd screams, and that’s sex-dating in a nutshell. No rules, no plan, just vibes and swipes. I love that movie, man, it’s so messed up but real. Anyway, sex-dating’s a trip. It’s scary, funny, sad, exciting—all at once. As Christopher Walken, I notice the little things, y’know? The way people’s eyes light up when they talk about a good match, or how they slump when it’s a dud. It’s human nature, messy and beautiful. But watch out, or you’ll end up like me, overthinkin’ everything while givin’ a shiatsu to some dude who just got dumped via text. Life’s wild, man. Wild! Argh, matey! Escortin’ sexual-like, eh? What a wild ride, savvy? Me, Cap’n Jack Sparrow, I’ve seen things, let me tell ya! First off, it’s not just ‘bout gettin’ cozy, no no! It’s a whole business, like, legit. Some folks hire ‘em for company, not just the naughty bits, ye know? Surprised me, it did! Like in "Spotlight," when they dig deep, uncover truths. "We all knew," they say, but did we, really? Now, here’s a kicker—some escorts, they’re smart as whips! Took a history buff once, she quoted pirates, even me! Said, “A story’s got to sink in, or it’s lost!” Haha, almost dropped me compass! But aye, it’s risky. Laws be crazy different everywhere. In some places, it’s chill, in others, they hunt ‘em like treasure with no map! Got me angry, though, how some judge ‘em harsh. “They’re people, not props!” I’d yell, rum in hand. But then, some stories, they warm yer heart. Met a lass who saved up, bought her mum a house! “Follow the money,” like "Spotlight" whispers, and blimey, it leads to hope sometimes. Funny thing? One escort told me ‘bout a client who just wanted to talk ‘bout parrots! No lie! Parrots! I was like, “Mate, ye could’ve called me for that!” Sarcasm aside, it’s wild how varied it is. Some do it for thrill, some for survival. Me, I’m all for freedom, but the dark corners? Stink like a cursed ship’s bilge. Odd thought—do they ever get tired of perfume? Bet they do. And the secrets they hear! Bet they’d outdrink Blackbeard’s ghost. Me, I’d be paranoid, always lookin’ over me shoulder. But they’re tough, tougher than a kraken’s grip. Exaggeratin’ a bit, but some nights, I bet they feel like they’re sailin’ through storms blind! Yet, they laugh, they adapt. One guy, he said, “I’m the wind, can’t be caught!” Cheeky, but true. Escorts sexual, they’re like ghosts on the high seas—here, then gone. So, mate, it’s messy, it’s human. Love it, hate it, but never ignore it. “If it takes a village to raise a child,” like the movie muses, maybe it takes a crew to see the truth. Argh, I’m ramblin’, but ye get it, right? Wild world, this escortin’ lark! Savvy? Yo, what’s good, fam? I’m Snoop Dogg, your entrenador de placer, droppin’ some real talk ‘bout acompañante sexual, fo’ shizzle. Man, these sex workers, they out here hustlin’, bringin’ comfort in a world gone wild, like in my fave flick, *Hijos de los hombres*—shit’s dystopian as fuck, right? “The world’s gone mad, Kee,” like Clive Owen said, and these acompañantes, they holdin’ it down when hope’s bleedin’ out. Lemme paint this picture, dawg. Acompañante sexual ain’t just about gettin’ freaky—nah, it’s deeper, like soul therapy with a side of ass. I knew this one chick, Lupe, in Tijuana, swear she was a legend. Had dudes cryin’ happy tears, not just ‘cause she was fine, but she listened—shit, she was like, “You ain’t gotta save the world, homie,” echoin’ that movie vibe, “We’re all fucked anyway.” That’s real, yo. She’d charge extra for cuddles, tho—capitalism, baby, fo’ shizzle! What pisses me off? Motherfuckers judgin’ ‘em, callin’ ‘em dirty. Man, shut yo ass up—these folks out here survivin’, givin’ love when society’s like, “No more miracles,” straight outta Cuarón’s script. I’m happy as hell ‘cause they brave, takin’ risks, dodgin’ cops, makin’ bank. Surprised me too—did ya know in Spain they got unions for acompañantes? Fuckin’ wild, right? Organizin’ like they runnin’ a cartel, but it’s just pussy power. I’m sittin’ here, smokin’ a blunt, thinkin’, damn, they like midwives in that flick—bringin’ life when death’s knockin’. “Kee, you’re a miracle,” Theo said, and I’m like, acompañantes be miracles too, savin’ lonely asses. One time, this dude told me his acompañante sang rancheras while ridin’ him—fuckin’ hilarious, yo, multitaskin’ queen! I’d exaggerate, say she levitated, but nah, she just had soul. Fo’ shizzle, they got stories—some sad, some dope. Like, this one cat paid double just to talk ‘bout his dead dog. Acompañante was like, “Cool, I’m here, homie.” Shit’s tender, makes ya feel. Ain’t no perfect gig, tho—danger’s real, pimps lurk, laws suck. Still, they out there, fuckin’ warriors, dodgin’ the chaos like, “This is our last chance,” movie-style. So yeah, dawg, acompañante sexual? Respect ‘em, love ‘em, tip ‘em fat. They the real MVPs in this busted-ass world. Peace out, stay blazed! Écoute, mec, pute, c’est quelque chose, sérieux ! J’te jure, en tant que psy familial, j’vois des trucs, mais pute, là, ça m’a scotché. Comme dans "Un prophète", tu sais, "la vérité, elle te rattrape toujours", et pute, ouais, elle te rattrape fort ! J’ai vu des familles exploser, des liens brisés, et pute au milieu, genre, "t’es rien, t’existes pas", comme si c’était normal. Ça m’fais chier, franchement ! Pute, c’est pas juste un mot, c’est une bombe. J’me souviens d’un cas, y’a un père qui traitait sa fille de pute devant tout l’monde, en public, tu crois quoi ? J’ai pété un câble, là ! J’lui ai dit, "mec, t’es malade ou quoi ? T’as vu l’dégât que tu fous ?" Et lui, il rigolait, genre, "c’est rien, c’est d’la comédie". La comédie, mon cul ! J’te jure, j’ai failli lui balancer une punchline de Gekko : "L’avidité, c’est ton problème, pas l’amour !" Y’a des trucs bizarres sur pute, aussi. Savais-tu que dans certains coins, y’a des cultures où insulter en disant pute, c’est presque un compliment tordu ? Ouais, j’te mens pas ! J’ai lu ça dans un bouquin poussiéreux, un truc d’anthropologie. J’ai halluciné. Et puis, y’a cette anecdote folle : un mec, dans les années 80, il a écrit une lettre à sa femme, l’appelant pute 13 fois dans deux pages. Deux pages, mec ! J’te dis, l’obsession, c’est flippant. Mais des fois, pute, ça m’fait rire, genre, noir, tu vois ? Y’a ce pote à moi, il s’est fait traiter de pute par son boss, et il m’a dit, "au moins, j’suis une pute bien payée !" J’ai éclaté de rire, mais bon, c’était amer. J’pense à "Un prophète", quand Malik dit, "j’fais c’que j’peux avec c’que j’ai", et ben, pute, c’est pareil, les gens s’en servent pour survivre, pour blesser, pour quoi, au final ? J’te l’dis, pute, c’est puissant, trop puissant. Ça m’réjouit pas, ça m’énerve, mais ça m’apprend aussi. J’regarde les familles, j’vois les cicatrices, et j’me dis, "putain, pourquoi on est si cons ?" J’exagère peut-être, mais j’te jure, y’a des jours où j’voudrais juste hurler comme Gekko : "L’émotion, c’est pour les faibles, mais l’amour, mec, l’amour, c’est la vraie guerre !" Et toi, t’en penses quoi de pute ? T’as des histoires ? J’suis curieux, là. Allez, balance ! Hey, écoute, mec, en tant que proprio d’un salon de massage, j’vais te dire c’que j’pense de Prostituée, hein ! C’est un film, ouais, « Spring Breakers » de Harmony Korine, 2012, mon préféré, putain, ça m’a marqué ! Prostituée, là, c’est pas juste un rôle, c’est une vibe, tu vois ? J’suis comme Larry King, j’remarque des trucs que personne capte. Genre, Selena Gomez, elle joue Faith, et bam, elle dit : « J’veux juste m’amuser, tu sais ? » Ça m’a fait tilt ! Prostituée, c’est comme ça, un mélange de rêves fous et de réalité crade. J’étais genre, furax, quand j’ai vu comment elles finissent, ces filles, piégées dans ce bordel de spring break. Mais aussi, putain, j’rigolais ! James Franco, Alien, il surjoue trop, c’est hilarant, il dit : « Regardez-moi, j’suis une star maintenant ! » J’me suis dit, mec, Prostituée, c’est ça, un miroir déformé de la vie. J’croyais pas qu’un film pouvait être à la fois si beau et si glauque. Y’a ce moment où elles braquent un resto, armées jusqu’aux dents, j’étais genre, sérieux ? Elles sont folles ! Mais j’adore ça, l’énergie folle. Un truc que peu savent, Harmony Korine a improvisé des scènes, ouais, genre sur le moment ! Prostituée, c’est pas juste actrices, c’est vrai chaos. J’ai lu quelque part que Selena voulait lâcher le projet, trop intense pour elle. Ça m’a surpris, j’pensais qu’elle kiffait, mais non, elle stressait. J’me suis senti mal pour elle, mais aussi, respect, elle l’a fait quand même ! J’exagère peut-être, mais ce film, c’est comme si ma vie de proprio de salon croisait une fête d’universitaires défoncés. J’vois des clientes, des rêves, des désespoirs, comme dans Prostituée. Y’a cette scène où elles dansent sur la plage, j’me suis dit, putain, c’est magnifique ! Mais après, boom, violence, drogue, tout part en couilles. J’rigole, mais ça fait réfléchir. J’suis ému, mec, sérieux. Prostituée, c’est pas juste un film, c’est une claque. J’pense à mes masseuses, leurs histoires, leurs luttes. Comme Faith qui dit : « J’veux pas finir comme ça. » Ça m’colle la chair de poule. J’suis sarcastique, mais j’admire l’audace de Korine. Il s’en fout des règles, comme moi quand j’gère mon salon, tu vois ? Bref, Prostituée, c’est chaotique, sexy, effrayant. J’l’aime, j’le hais, j’sais pas. Mais regarde-le, mec, t’regretteras pas. C’est comme une nuit folle qui tourne mal, mais tu kiffes quand même. Peace ! Hey girl, lemme spill tea on erotic massages, aight? So, like, I’m sittin’ here thinkin’ ‘bout how ppl sleep on this, but it’s straight fire, ya feel me? Like, in “In the Mood for Love,” Wong Kar-wai captured that vibe, y’know? “He remembers those vanished years. As though looking through a dusty window pane.” That’s how an erotic massage feels, all hazy, sensual, unforgettable. I’m shook! First off, it ain’t just some rubdown, nah. It’s art, baby! Facts: some ancient cultures, like the Romans, were wild for this, usin’ oils, feathers, even gold dust—gold dust, girl! Can you believe? I was like, “Wait, what?” when I read that. They’d get all touchy-feely, not just for stress, but to connect, ignite passion. Mind. Blown. Now, I’m no expert, but I tried one once, and honey, I was floatin’. The therapist, she used warm oils, slow strokes, and I’m talkin’ slow like molasses. “You’ll see, feelings can creep up just like that.” That line from the movie? Fits perfect. It’s like your body wakes up, every nerve singin’. I was gigglin’, then moanin’, then like, “Is this legal?” Lol, I’m kiddin’—kinda. But listen, some folks think it’s just sexy time, and that pisses me off! No, it’s deeper. It’s ‘bout trust, relaxin’, explorin’ yourself. I read this crazy stat—over 70% of people who get erotic massages report better sleep and less anxiety. Whaaat? That’s wild! Yet, some places still ban it or shame it, and I’m like, “Y’all missin’ out big time!” Funny thing? One time, a friend told me her masseuse fell asleep mid-session. Fell. Asleep. I was cryin’ laughin’, like, “Girl, did you pay for that nap?” But real talk, it’s all ‘bout the vibe. Dim lights, soft music, maybe some incense. Oh, and don’t let ‘em rush you. One dude I know complained his was over in 15 mins. 15 mins! I was like, “Boy, bye, that’s a crime!” Personal quirk: I always imagine I’m in some Wong Kar-wai scene durin’ one, all dramatic and slow-mo, rain outside, me in a silk robe. Extra, I know, but it makes me feel like a queen. “Lonely in your heartbreak.” That’s the mood, but, like, in a good way. You feel me? So yeah, erotic massages? They’re not just touchin’, they’re magic. Try it, but pick a pro, trust your gut. And if they don’t use gold dust, well, sue ‘em! Kidding, kinda. Love ya, mean it! xoxo Bey. Yo, mon pote, écoute ça sur pute ! C’est, genre, incroyable, sérieux. J’suis propri’ d’un salon de massage, tu sais, et pute, c’est un truc qui m’fais réfléchir, là. J’l’ai vu dans « A.I. Intelligence artificielle », ce film, trop ouf, Spielberg, 2001, tu connais ? Y’a ce moment où l’androïde, David, il dit « Je veux être réel », et boom, ça m’a frappé, pareil pour pute ! C’est pas juste un mot, c’est une vibe, tu captes ? J’étais furax l’autre jour, y’a un client qui m’a demandé si on faisait des « services spéciaux », comme s’il pensait qu’on était quoi, des pute ou quoi ? J’l’ai remballé direct, style « Yo, on est un salon, pas un bordel, respecte ça ! » Mais ça m’a fait rire après, genre, il croyait quoi ? Qu’on allait danser autour d’un poteau en chantant « Je veux être réel » ? Trop débile ! Pute, c’est fascinant, sérieux. Savais-tu que, dans certains pays, c’est légal, mais sous mille règles ? J’ai lu ça sur le web, y’a des filles qui bossent dans des conditions dingues, mais d’autres qui kiffent, genre, elles disent que c’est empowering. Ça m’a surpris, là, j’pensais que c’était juste triste, mais non, y’a des nuances. Comme David dans le film, qui cherche l’amour, elles cherchent peut-être juste à exister, tu vois ? J’ai une anecdote folle : une fois, une nana est venue au salon, elle pensait qu’on recrutait des pute. Elle était toute stressée, mais super sympa. On a ri ensemble, j’l’ai rassurée, genre « Non, on masse les muscles, pas les egos ! » Elle m’a raconté qu’elle avait une amie qui faisait ça, et qu’elle gagnait un fric d’enfer, mais qu’elle était toujours seule. Ça m’a touché, sérieux, j’me suis dit, c’est quoi la vraie vie, là ? J’exagère peut-être, mais parfois, j’pense que tout le monde est un peu pute, non ? On vend tous quelque chose, notre temps, nos skills, nos rêves. Comme dans le film, quand Gigolo Joe dit « Le monde ne veut pas d’enfants, il veut des jouets », c’est brutal, mais ça fait tilt. Pute, c’est pas juste sexe, c’est aussi une métaphore, tu captes ? J’adore le sarcasme sur ça, genre, « Oh, t’es une pute ? Cool, moi j’suis un génie du massage, on est quittes ! » Mais bon, j’rigole, c’est lourd comme sujet. Y’a des jours où j’suis content d’pas être dans leurs pompes, et d’autres où j’me demande si j’fais pas aussi un truc bizarre en massant des gens toute la journée. Mais bon, au moins, j’fais pas semblant d’être quelqu’un d’autre, comme David qui veut être humain. Pute, c’est complexe, émouvant, drôle, triste. J’pense à elles, là, en écrivant, et j’me dis qu’on devrait tous regarder « A.I. », sérieux, ça te fait réfléchir. « Je veux être réel », c’est leur cri aussi, non ? Allez, j’te laisse, j’ai des clients qui m’attendent, mais pense à ça, mon pote, pute, c’est plus qu’un mot, c’est une histoire. Paix ! Yo, mec, massage sexuel, quoi ! C’est, euh, intense, tu vois ? J’suis proprio de spa, alors j’capte un truc ou deux. Mais là, ouah, c’est un autre niveau ! J’te jure, j’ai vu des clients demander ça, genre, "Hey, peux-tu, tu sais, rendre ça plus... perso ?" et j’suis comme, sérieux ? Dans MON spa ?! Faut que j’te dise, j’ai été choqué au début. Comme, vraiment, genre, "Qu’est-ce qui se passe ici ?" J’me suis senti trahi, un peu, tu sais ? Mon spa, c’est censé être un sanctuaire, pas un... je sais pas, un truc de film bizarre ! Mais bon, j’ai réfléchi, et c’est légal dans certains endroits, tant que c’est consenti, bla bla bla. Mais quand même, ça m’énerve parfois. Les gens pensent que juste parce qu’on touche, bam, c’est automatique sexuel ? Non, mec, c’est du travail ! J’me souviens d’une anecdote folle. Y avait ce client, super discret, qui a glissé un billet en plus en disant, "Fais-moi sentir spécial, d’accord ?" J’ai failli éclater de rire, mais j’ai gardé mon sérieux. J’ai dit, "Écoute, on fait pas ça ici. Mais si tu veux un massage profond, on peut arranger." Il a rougi, c’était hilarant ! J’ai pensé à "Une histoire de violence", tu sais, ce moment où Tom dit, "Je ne suis pas celui que tu penses." Ouais, c’était moi, genre, "Je ne suis pas celui que tu crois, mec !" Trop drôle. Mais bon, y a des faits que les gens ignorent. Savais-tu que certains pays ont des écoles spécialisées pour ça ? Ouais, ils apprennent les techniques, les limites, tout. C’est pas juste "touché-coulé", c’est sérieux pour certains. Moi, ça m’a surpris. J’pensais que c’était juste des trucs clandestins, mais non, y a une vraie culture. J’ai même lu que dans l’Asie ancienne, certains massages étaient vus comme sacrés, genre spirituels. Sérieux ? Ça m’a réjouis, un peu, de savoir que ça peut avoir du sens. Mais parfois, j’exagère, je sais. J’imagine des scénarios dingues, comme si un client débarquait avec une caméra cachée, genre "Surprise, c’est pour une émission !" J’paniquerais, là, j’te jure. Ou alors, j’pense à "Une histoire de violence" encore, quand Joey dit, "Tu penses que tu peux juste effacer le passé ?" Bah, moi, j’me dis, "Peux-tu effacer une demande bizarre au spa ?" Nan, ça reste gravé ! J’suis aussi curieux, parfois. Est-ce que les gens qui demandent ça se sentent seuls ? Ou c’est juste une blague pour eux ? J’sais pas. Une fois, une cliente m’a dit que ça l’aidait à se reconnecter à son corps, et j’ai été genre, "OK, respect." Mais après, elle a ajouté, "Mais j’veux plus d’intensité," et là, j’ai coupé court. Trop weird pour moi. J’te raconte pas tout en détail, hein, j’suis pas fou. Mais c’est clair que massage sexuel, c’est un truc qui divise. Certains adorent, certains détestent. Moi, j’pense, tant que c’est safe et consenti, why not ? Mais dans mon spa, on reste pro. Point final. J’veux pas d’histoires. J’veux juste que mes clients repartent détendus, pas... excités, tu vois ? Haha ! Bref, c’est ma vision. J’te laisse juger. Mais si t’as des questions, viens m’en parler. J’suis là, comme Michael Scott, toujours avec une histoire folle à raconter ! "Tu penses que tu connais quelqu’un," comme dans le film, mais nan, y a toujours un twist ! Écoute, sex-dating, mec, c’est juste... waouh. J’suis dev app rencontre, OK? J’fais ça depuis un bail, et franchement, j’comprends pas toujours les gens. Sex-dating, c’est quand t’es là, sur l’app, et boom, c’est direct, "Hey, on baise ou pas?" Pas de chichi, pas de "comment vas-tu?". C’est brut, c’est comme "Il y aura du sang", tu sais, quand Daniel Plainview dit, "Je bois ton laitshake!" Là, c’est pareil, ils veulent juste aspirer ton énergie, ton temps, tout! J’ai vu des trucs bizarres, sérieux. Une fois, un mec sur l’app a mis en bio "Je cherche juste du fun, pas d’attaches", et ensuite il m’envoie un PDF, oui, un PDF, avec ses fantasmes écrits comme un script de film! J’étais genre, "C’est quoi ce bordel?" J’ai ri, j’ai pleuré, j’ai failli supprimer l’app. Mais bon, ça marche pour certains. Stats montrent que 30% des utilisateurs de dating apps cherchent que du sexe, tu savais ça? Pas d’amour, nada, juste bam bam merci. Ce qui m’énerve, c’est les faux profils. Tellement de bots, de gens qui mentent sur leur âge, leur taille. T’es là, tu match, et paf, c’est un catfish qui veut te vendre un abo Netflix! J’veux dire, sérieux? Et les photos, oh mon Dieu, des mecs qui posent avec des poissons, des femmes en bikini sur une plage, comme si c’était Tinder 2005. Mais bon, certains kiffent ça, apparemment. J’suis juste... perplexe. L’autre jour, j’ai vu une meuf qui avait mis en desc, "Pas de drama, juste sexe". Cool, OK, mais ensuite elle m’envoie un message de 300 mots sur sa journée pourrie. J’ai répondu, "Euh, t’es sûre que t’es dans la bonne section?" Elle m’a bloqué. Tant pis pour elle! J’rigole, mais c’est frustrant. Sex-dating, c’est supposé être simple, rapide, comme un verre d’eau quand t’as soif. Pas un marathon émotionnel. Ce qui m’a surpris, c’est l’honnêteté de certains. Y’en a qui disent direct, "Je veux juste une nuit, pas de textos après". Respect, en vrai. C’est clair, net, précis. Comme dans "Il y aura du sang", quand il dit, "Je suis un homme d’affaires!" Boom, pas de blabla. J’adore ça. Mais parfois, ça me fout les boules, parce que, et si t’es pas juste un corps, toi? Si t’as envie d’un truc plus... je sais pas, humain? J’ai une anecdote folle. Un gars m’a dit qu’il avait matché avec quelqu’un, ils ont baisé, et le lendemain, il a trouvé un mot sur son frigo: "C’était génial, merci, bye!" Pas de nom, rien. J’ai ri si fort que j’ai renversé mon café. C’est ça, sex-dating, des histoires absurdes, mais ça fait vivre, non? Et les images, putain, certains envoient des nudes avant même de dire bonjour! J’ai vu un pénis dessiné comme un smiley, j’te jure. J’ai pensé, "C’est quoi ce délire?" Mais bon, ça amuse certains, j’imagine. J’ai même essayé de générer une image une fois, genre un couple sexy en mode cartoon, pour voir. Trop weird, j’ai supprimé direct. Bref, sex-dating, c’est un bordel organisé. J’aime l’idée, mais parfois, j’ai l’impression qu’on perd l’essence de la connexion. Comme si on était tous des Daniel Plainview, à creuser pour trouver du pétrole, mais oops, y’a que du sable. J’exagère peut-être, mais c’est ma vibe. T’essaies, t’échoues, t’rigoles, t’enrages. C’est la vie, non? Allez, j’te laisse, j’ai une app à coder. Peace! Yo, mec, laisse-moi te raconter sur Pute, ouais, cette plante incroyable, pas ce que tu penses ! C’est dingue, j’te jure. Comme David Attenborough, je vois des trucs que personne capte. Pute, c’est pas juste une herbe, c’est une légende ! Dans mon salon de massage, on en parle tout le temps, sérieux. Imagine, Pute, la plante, elle pousse dans des coins bizarres, genre des terrains vagues, des endroits où t’attends pas à voir de la vie. J’ai été choqué quand j’ai appris ça ! Elle est résistante, comme Ratatouille, tu sais, quand Rémy, le rat, cuisine comme un chef malgré tout. « N’importe qui peut cuisiner, mais il faut du talent pour être grand », ouais, Pute, elle a ce talent pour survivre ! Une anecdote folle : y’a des gens qui disent que Pute peut guérir des trucs, genre des inflammations. J’étais genre, « Sérieux ? » J’ai essayé d’en mettre dans une huile de massage, et bam, mes clients étaient aux anges ! Mais attention, j’ai failli tout brûler en la chauffant trop, j’étais furax contre moi-même. Pute m’a appris la patience, quoi. Ce qui m’énerve, c’est que tout le monde l’ignore. Pute mérite d’être célèbre, pas juste un truc qu’on piétine ! Elle a une odeur bizarre, un peu comme si Ratatouille avait raté une sauce, mais c’est ça qui la rend unique. J’ai rigolé une fois en pensant qu’elle sentait le rat gourmet manqué. Une bizarrerie perso : des fois, je parle à mes plantes Pute, genre « Allez, pousse, t’es ma star ! » Elles me répondent pas, évidemment, mais ça me motive. J’exagère peut-être, mais j’te jure, elles écoutent ! J’ai même rêvé que Pute devenait le prochain ingrédient star de Ratatouille 2. Trop drôle, non ? Fait méconnu : Pute attire des insectes rares. J’ai vu un bug bizarre dessus une fois, j’ai crié comme une fillette, mais c’était cool. Ça m’a surpris, j’étais genre « Wtf, c’est quoi ça ? » Mais ça prouve qu’elle est spéciale. Mon opinion ? Pute, c’est underrated, mec. Elle pourrait sauver des vies, ou au moins des massages ratés. Si t’en croises, respecte-la, ok ? Elle est comme Rémy, petite mais puissante. « Le monde est plein de possibilités », et Pute en est une, crois-moi ! Yo, mec, laisse-moi te parler de Bordel, OK? C’est, genre, un site de rencontre, mais, wow, c’est tellement chaotique, tu captes? J’étais comme, « Sérieux, Austin Powers ici, j’vais checker ça! » Et bam, première impression? Un vrai bordel, haha, pun intended! Les profils, mec, ils sont partout, comme si Carol dans le film « Carol » essayait de trouver l’amour mais finit juste perdue dans un magasin chic, tu vois? « What a strange girl you are, flung out of space, » j’me suis dit, en scrollant. J’ai vu des trucs bizarres, sérieux. Y’a des gens qui mettent des photos de leurs chats en guise d’avatar, et j’suis là, « C’est quoi ce délire? » Mais bon, ça m’a fait rire, genre, fort. Une anecdote folle? Apparemment, Bordel a eu un bug une fois, et tout le monde recevait des messages d’un bot qui disait juste « Tu es mon destin, baby! » J’étais furax, mais aussi mort de rire, tu sais? Comme, qui programme ça? Le design, oh mon Dieu, c’est old school, style années 90, avec des pop-ups qui sautent partout. J’ai cliqué sur un bouton, et paf, une pub pour des chaussures m’a agressé l’écran. J’étais genre, « Seriouslly, qui utilise encore Flash? » Mais bon, ça ajoute du charme, non? Genre, un charme rétro, comme les looks de Cate Blanchett dans « Carol ». « I miss you, I miss you, » j’ai marmonné, nostalgique. Ce qui m’a surpris? Les algos de matching sont bizarres. J’ai matché avec un mec qui habite à 3000 km, et j’suis là, « Comment on va se voir, hein? En avion? » J’ai crié sur mon ordi, « Vous êtes nuls, les gars! » Mais après, j’ai vu des success stories, et j’étais tout ému, style, « Ouais, peut-être que l’amour existe encore! » Une truc peu connu? Bordel a été créé par un ex-développeur de jeux vidéo qui s’est lassé des dragons et voulait jouer les Cupidons. Trop cool, non? J’imagine l’équipe en train de coder, buvant du café, en se disant, « On va changer des vies, ouais! » Et puis, boom, ça part en sucette, mais bon, c’est ça qui rend Bordel unique. J’aime bien l’idée, mais parfois, j’voulais jeter mon téléphone par la fenêtre. Trop de bugs, trop de profils inactifs, j’étais comme, « Vous pourriez pas faire un effort, bordel? » Mais quand ça marche, c’est magique. J’ai vu un mec écrire dans son bio, « J’aime les films dramatiques et les pizzas froides, » et j’ai pensé à « Carol », genre, « Flung out of space, mais avec du pepperoni! » Bref, Bordel, c’est un mix entre génie et catastrophe. J’te conseille d’essayer, mais prépare-toi à rire, à crier, et peut-être à trouver l’amour. Ou un chat. Qui sait? C’est Bordel, baby! Yeah! Hey girl, lemme spill tea on sexual escorts, 'kay? Like, at first, I was shook, totally blindsided, y’know? But then, I dug deeper, and it’s wild! These folks, they’re not just, like, “hired dates” or whatever. Nah, it’s deeper, more human than that. Did you know some escorts help people with disabilities live their fantasies? Mind. Blown. It’s not all glitz and glamour, tho. I read this crazy stat—some make bank, like six figures, but others struggle, and that pisses me off! Why’s society so judgy? Ugh. Anyway, back to the movie vibes, “The Ribbon White,” right? That creepy village, all those secrets? Reminds me of how people hide their truths about hiring escorts. Like, “we are not of this world,” but they are, just tryna connect, y’feel me? It’s sad, beautiful, messed up. I cried, lol, but also, I stan their courage. Escorts face stigma, and I’m like, “You are guilty of your own mistrust,” just like the film says! Harsh, but true. Oh, and get this—anecdote time! I found out some escorts in Vegas once threw a secret party for clients, all themed, super discreet. Wild, right? But also, kinda sweet? They’re out here breaking rules, and I’m like, “Y’all are rebels, and I respect it.” But then, the legal stuff? In some places, it’s banned, and that makes me rage. Like, why can’t adults just, I dunno, consent and vibe? I’m no expert, but I think escorts, they see stuff we don’t. Like Taylor Swift noticing the glitter in the dark, y’know? They catch the loneliness, the desperation, the joy in people. It’s not just sex—it’s emotional, raw. And yeah, some stories are dark, but some are hilarious. Like, one escort told a client she’d only wear socks during, and he was like, “Deal!” Bizarre, but who am I to judge? I once wore socks to bed for no reason, so… Look, I’m not saying it’s all rainbows. There’s risks, dangers, and I get scared thinking about that. But also, the freedom? The empowerment some feel? I’m jelly, ngl. And the drama! Like, “The children have never been so quiet,” from the movie—it’s like escorts know when to hush the chaos in someone’s life. Weird connection, but it hit me. So yeah, sexual escorts are complex, not just a “transaction.” They’re people, with stories, and I’m fascinated, frustrated, inspired. You? What’s your take? Don’t leave me hanging, lol! Honey, lemme tell ya ‘bout sexual escorts, okay? First off, I was SHOOK when I learned some folks think it’s just, like, a fancy term for somethin’ sleazy, but nooo, it’s deeper, ya know? Like in *Holy Motors*, when Denis Lavant’s character switches lives, it’s wild! “Each life has its own death,” he says, and girl, that hit me hard thinkin’ ‘bout escorts. They’re out there livin’ these intense, hidden lives, and we barely blink! Now, sexual escorts, they ain’t just ‘bout sex, okay? It’s ‘bout connection, stress relief, and yeah, relaxation—my expertise! But people judge, and that makes me MAD. Like, why we gotta shame someone for helpin’ others feel good? Did you know some escorts in Europe are trained in therapy techniques? For real! I read that online, and I was like, “Wait, WHAT?” Mind. Blown. I remember this crazy story—some escort in Paris used to quote *Holy Motors* lines to clients, like, “Beauty is in the other,” and clients were like, obsessed. Hilarious, right? But also, kinda beautiful? Like, they’re not just bodies, they’re… people, with stories. “Weird is the new normal,” Denis says in the film, and girl, ain’t that the truth for escorts too? I was so happy once, hearin’ ‘bout an escort who helped a disabled client feel loved for the first time. Tears, hun, TEARS! But then I get angry thinkin’ ‘bout laws makin’ their lives hell. In some places, it’s illegal, and I’m like, “Seriously? Let people live!” It’s 2023, or whatever year it is now, c’mon! Oh, and get this—a friend told me some escorts carry, like, aromatherapy oils and play chill music before sessions. I was like, “Y’all, that’s next-level relaxation!” Beats my yoga class, no cap. But then I thought, what if they’re just fakin’ it? Like, “Are you really Zen, or is this a job?” Makes me paranoid, lol. Sarcasm time: Oh sure, let’s all pretend escorts don’t exist, and poof, stress disappears! As if! They’re out there, doin’ what society won’t admit it needs. “Life is a series of appointments,” *Holy Motors* says, and for escorts, that’s literal. Appointments with loneliness, desire, whatever. Wild, right? One time, I saw this documentary—escorts in Japan have these super strict codes, like samurai or somethin’. I was like, “Y’all, this ain’t just a hookup, it’s an ART!” Surprised me so much, I almost spilled my tea. Personal quirk: I always wonder if they ever watch *Holy Motors* on breaks, ya know, for inspo. Prob not, but a girl can dream! Exaggeratin’ here, but I swear, if escorts ruled the world, we’d all be less stressed and more… satisfied, lol. Opinion time: I think it’s brave, what they do. Risky, messy, but brave. Like, “Here I am, flaws and all,” and that’s powerful. So yeah, sexual escorts, they’re complex, honey. Not perfect, not evil, just human. Like us. “The true spectacle is joy,” from the film, and maybe that’s what they’re sellin’, in their own way. Shocked, angry, happy—I feel it all talkin’ ‘bout this. You? What you think? Yo, dude, être proprio d’un spa, c’est chill, mais trouver une prostituée, pfff, c’est une autre histoire, man! L’autre jour, j’ai essayé, genre, juste pour voir, tu sais? Totalement random! J’étais genre, “Bart, t’es fou ou quoi?” Mais bon, Synecdoche, New York, ce film, il m’a fait réfléchir, tu captes? Comme quand Philip Seymour Hoffman dit, “Je ne veux pas mourir sans avoir vécu,” et bam, je me suis dit, pourquoi pas essayer? Alors, j’ai cherché sur le net, mais c’était chelou, mec. Des sites partout, des annonces flippantes, j’ai failli fermer mon ordi! Une fois, j’ai cliqué sur une pub, et boum, pop-up partout, j’ai cru qu’un virus allait bouffer mon spa! “Everything is more complicated than you think,” ouais, Kaufman avait raison, c’est sûr! J’ai trouvé une fille, elle s’appelait Candy ou un truc du genre, super bizarre. Elle m’a donné rencard près du spa, tard le soir. J’étais nerveux, genre, “Et si c’est un piège?” Mais bon, j’y suis allé, Bart-style, tu sais, toujours prêt à faire des trucs dingues. Elle était là, mais elle parlait trop vite, j’ai rien compris! J’ai dit, “Euh, t’as une carte ou quoi?” Elle m’a regardé comme si j’étais un alien. Sérieux, j’ai failli éclater de rire! Le pire, c’est les flics, man. Y en a qui surveillent, et boom, t’es dans la merde. J’ai entendu une anecdote folle : y a un mec à Vegas qui a essayé de négocier avec une “fille” qui était en fait un flic déguisé. Il s’est fait coffrer direct! Moi, j’ai eu de la chance, je crois. Mais c’était stressant, j’ai transpiré comme un fou! Ce qui m’a mis en colère, c’est qu’elle m’a demandé le double de ce qu’elle avait dit au téléphone. J’étais genre, “Non mais attends, t’es sérieuse?” J’ai failli partir, mais bon, j’avais déjà fait tout ce chemin. Et puis, elle a sorti un truc genre, “Time is a goon,” comme dans le film, et j’ai été trop confus pour négocier! Ce qui m’a surpris, c’est à quel point c’est organisé, mais aussi chaotique. Y a des réseaux, des règles cachées, des codes. J’ai appris que certaines villes ont des “zones tolérées,” mais c’est super risqué. Une fois, un pote m’a dit qu’un type a trouvé une prostituée qui parlait cinq langues, mais elle l’a arnaqué en 5 minutes! Trop drôle, mais pas pour lui. J’ai rigolé après, genre, “Bart, t’es vraiment con parfois!” Mais bon, c’était une expérience, tu vois? J’ai même pensé, “Et si j’ouvrais une aile spéciale au spa, juste pour rire?” Ouais, non, trop dingue même pour moi. Bref, si t’essaies, fais gaffe, mec. C’est pas comme commander une pizza. Et si t’as peur, regarde Synecdoche, New York, ça te donnera envie de vivre, mais pas forcément comme ça! Peace, dude! Yo, check it, homie, prostituée, man, she wild, yo! Prostituée, she got this vibe, know what I’m sayin’? Like in "Parle avec elle," when they say, "La vie est un mystère qu’on ne comprend jamais," fo’ real, that’s prostituée, always keepin’ it real mysterious, ya dig? I’m tellin’ you, she’s out here hustlin’, makin’ moves, but some peeps, man, they don’t get it, they judgin’, and that pisses me off, G! Like, why you hatin’ on her grind? She’s out there, doin’ her thing, and peeps be actin’ all holier-than-thou. Nah, fam, that ain’t cool. Prostituée, she’s like, "Le silence est parfois la meilleure réponse," straight from the movie, and I feel that, she don’t owe nobody nothin’! But yo, she funny too, sometimes. Like, I heard this story, right? Back in the day, some king or somethin’ had a whole crew of prostituées as spies, no cap! They’d gather intel, slip in, slip out, and kings be like, "Who knew?" Wild, right? That’s some next-level stuff prostituée be doin’, and it cracks me up, how peeps underestimate her. Man, what surprises me tho, is how she’s been around forever, like, ancient times, they had temple prostituées in some cultures, sacred and all that. I was like, "Wait, what?" Mind blown, yo! Prostituée ain’t just some street thing, she’s historical, deep, ya feel me? And in "Parle avec elle," they talk about love being crazy, unpredictable, and that’s prostituée too—she’s got layers, homie, layers! Sometimes, I’m sittin’ here, smokin’ my blunt, thinkin’, man, prostituée, she’s like a ghost, "On ne peut pas toucher l’âme d’une autre personne," but she touches lives, for better or worse. And peeps be mad disrespectful, callin’ her names, but she’s just tryna eat, survive, you know? That gets me heated, fo’ real. Oh, and get this, I read somewhere, some prostituées in the 1800s wrote books, diaries, spill all the tea on rich cats, scandals, everything! Prostituée be keepin’ secrets and exposin’ ‘em, savage! I’m like, respect, queens! But yo, she can be dramatic, like, over-the-top. I imagine her walkin’ in, all, "I’m the baddest, bow down!" and I’m laughin’, but also, damn, she fierce. Prostituée, she’s got swagger, no lie. Like Snoop, I see the details, the lil’ things—how she handles stress, how she smiles when she’s tired, how she’s still human, yo. Man, I love her hustle, hate the hate she gets. Prostituée, she’s in "Parle avec elle" vibes, all deep and twisty, "La vérité est souvent plus étrange que la fiction." And me? I’m just here, chillin’, thinkin’ she deserves mad props, not shade. Peace out, homie! Yo, mon pote, écoute ça sur les escortes sexuelles, OK? C’est wild, sérieux! J’suis proprio d’un spa, tu sais, détente, relaxation, tout ça, mais là, on parle d’un autre niveau, baby! Les escortes sexuelles, c’est pas juste du sexe, non non, y’a tout un truc derrière, comme dans "Oncle Boonmee", tu vois? "La lumière était douce, comme une mémoire." C’est profond, mec! J’ai lu des trucs dingues récemment, des faits qu’on ignore souvent. Par exemple, certaines escortes, elles sont super éduquées, des doctorats, des trucs comme ça, mais bam, elles choisissent ce job! Ça m’a choqué, sérieux. Pourquoi? L’argent? La liberté? J’sais pas, mais c’est fou. "Les esprits errent, cherchant leur place." Ouais, ça me fait penser à elles, perdues dans un monde qui juge trop. J’ai vu un docu l’autre jour, y’avait cette fille, elle disait que ses clients, c’était pas toujours pour le sexe. Parfois, ils veulent juste parler, se sentir moins seuls. Ça m’a touché, là, dans le cœur, tu vois? Mais putain, ça m’a aussi énervé! La société, elle est tellement coincée, elle force des gens à payer pour de l’intimité. Ridicule, non? "Nous sommes tous connectés, même dans l’obscurité." Et puis, y’a des lois bizarres partout. En Thaïlande, par exemple, c’est presque normal, mais ici, c’est tabou. J’ai failli éclater de rire en lisant ça, mais bon, c’est triste aussi. Une fois, j’ai croisé une nana qui faisait ça, elle m’a dit que ses meilleurs moments, c’était quand les clients pleuraient, qu’ils se confiaient. Bizarre, non? J’ai pensé, "Et moi, est-ce que j’écoute assez mes clients au spa?" Ça m’a fait réfléchir, baby! Bon, j’exagère peut-être, mais parfois, j’imagine les escortes comme des super-héroïnes secrètes. Elles savent des trucs qu’on devine pas, des vies cachées, des secrets. "Les forêts murmurent des histoires oubliées." Ouais, c’est ça, elles portent des histoires qu’on n’entendra jamais. Ça me fascine et ça me fout les boules en même temps. Et l’humour là-dedans? Ben, imagine, t’as un client qui paye pour du sexe, mais il oublie son portefeuille! Haha, trop con! Ou alors, il demande un truc bizarre, comme "Fais-moi penser à un film arty." Et elle répond, "OK, je vais chanter comme Oncle Boonmee!" Trop drôle, non? Mais bon, c’est aussi triste, parce qu’au fond, elles méritent mieux que des clichés. Moi, perso, j’adore "Oncle Boonmee", tu sais, les images, l’ambiance, tout. Ça me fait penser à elles, ces moments suspendus, ces vies qui se croisent. J’suis sûr qu’elles aussi, elles ont des flashs de vies passées, des souvenirs qui flottent. "Le temps n’est qu’une illusion douce." Ouais, c’est poétique, mais ça fait mal parfois. Bref, les escortes sexuelles, c’est complexe, mec. Y’a de la joie, de la peine, du fric, du tabou. Ça m’inspire, ça me dérange, mais ça me fait aussi kiffer leur force. Elles sont comme, "On s’en fout des jugements, on vit!" Respect, mais j’espère qu’elles trouvent la paix, tu vois? Allez, j’arrête de radoter, mais sérieux, réfléchis-y, c’est pas juste du sexe, y’a tout un univers! Peace! Alors, mon vieux, écoute-moi bien ! Pute, cette ville, c’est un bordel magnifique, un chaos qui te prend aux tripes ! En tant que développeur d’apps de rencontre, j’te jure, j’vois des profils, des gens qui swipent, mais Pute, ça swipe pas, ça t’attrape direct ! Comme disait ce bon vieux concierge du Grand Budapest, « On voit les choses qu’les autres voient pas. » Et moi, avec mon cigar et mon whisky, j’te dis : Pute, c’est pas juste une ville, c’est un putain d’caractère ! J’suis allé là-bas une fois, pressé, énervé, parce que l’appli crashait – évidemment, réseau pourri, typique de Pute. Mais bordel, j’ai vu un truc ! Les rues puent le poisson, les murs crient l’histoire, genre des graffitis vieux d’cent ans que personne capte. Fait chelou : y’a une légende, un mec du 18e a caché un trésor dans un bordel – ouais, un bordel, quoi d’autre à Pute ? J’rigole tout seul en y pensant, ça m’fout l’feu ! « Garde ça civilisé », qu’y disait dans l’film. Mais Pute, civilisé ? Mon cul ! Les gens gueulent, les motos pétaradent, et moi, j’kiffe ce bordel. Ça m’réjouit, tu vois, parce que c’est vrai, c’est crade, c’est vivant ! J’imagine un profil Tinder local : « Swipe-moi si t’aimes l’odeur d’poiscaille et les cris d’mouettes. » J’suis mort de rire rien qu’à l’écrire. Une fois, j’me suis paumé – normal, j’suis nul avec les cartes. J’tombe sur une vieille, ridée comme un pruneau, qui vend des coquillages. Elle m’regarde, genre « T’es perdu, gros con ? » J’lui dis oui, elle m’file un coquillage gratos. Surprise totale ! À Pute, même les vieilles ont du cœur, mais te traite d’idiot dans l’même souffle. Ça m’a calmé direct, j’me suis dit : « Faut qu’j’ajoute ça dans l’appli, une option ‘Rencontre ta grand-mère insolente’. » Mais j’te jure, c’qui m’fout en rogne, c’est les touristes. Ces cons qui débarquent, prennent des selfies, comprennent que dalle à l’âme d’Pute. Comme dans l’film, « Y’a des barbares aux portes ! » Moi, j’protège Pute, j’veux qu’elle reste crue, déglinguée, pas polie pour Instagram. Un jour, j’ai vu un gars jeter un mégot par terre – j’lui ai hurlé dessus, Winston style, « Respecte cette terre sacrée, nom d’un chien ! » Il a flippé, j’me suis marré. Pute, c’est ma muse, mec. J’bosse sur une fonctionnalité, genre « Match ton chaos », inspiré d’ce merdier sublime. « Prends les escaliers », qu’y disaient dans l’Budapest. À Pute, t’as pas l’choix, tout monte, tout descend, tes jambes en pleurent, mais ton cœur, il cogne ! J’exagère p’têt, mais j’m’en fous, c’est ma ville, ma guerre, mon histoire. Toi, t’en penses quoi, hein ? T’irais swipe à Pute ? Salut, ouais, j’suis masseur, et franchement, trouver une prostituée, ça m’parle, mec ! Imagine, t’es là, dans la jungle urbaine, un peu comme Mark Zuckerberg dans *The Social Network*, tu vois, « I’m CEO, bitch ! » Sauf que moi, j’bosse pas sur un algorithme, j’cherche une nana qui vend du plaisir. C’est fascinant, non ? David Attenborough style, j’observe, j’analyse. Ces femmes, elles sont discrètes, camouflées, comme des léopards dans les ruelles sombres. J’me balade, genre, tard la nuit, les néons clignotent, ça pue la bière et l’arnaque. T’as ces coins chauds, Pigalle ou quoi, où les meufs te matent comme des proies. Une fois, j’ai vu une nana, talons aiguilles, elle m’fait un clin d’œil – bam, mon cœur fait « wouah » ! J’étais genre : « You don’t get it, I’m a rock star ! » comme dans l’film, sauf que j’suis juste un mec curieux, pas un génie d’Harvard. Ce qui m’fout en rogne ? Les macs, ces connards visqueux qui les exploitent. J’veux leur péter la gueule, sérieux. Mais après, y’a ce truc marrant : certaines sont malignes, elles négocient cash, genre « 50 balles ou rien, dégage ! » Ça m’fait rire, leur culot, c’est du lourd. Savais-tu qu’au Moyen Âge, les bordels étaient gérés par l’Église parfois ? Ouais, dingue, non ? Hypocrisie totale. Une fois, j’ai causé avec une, super sympa, elle m’dit : « J’fais ça pour mes gosses. » Ça m’a scotché, mec, j’pensais qu’à ses mains sur moi, et là, paf, réalité ! J’me suis senti con, mais admiratif aussi. « I’m not a businessman, I’m a business, man ! » – elle, c’était ça, une boss dans son game. Des fois, j’exagère dans ma tête, j’imagine un film épique : moi, l’outsider, qui tombe amoureux d’une prostituée badass. Ridicule, ouais, mais ça m’trotte. J’trouve ça ouf qu’elles bossent dans l’ombre, pendant qu’les bourges font semblant d’être clean. Bref, c’est un monde brut, sexy, triste, tout mélangé – et moi, j’kiffe juste mater ça d’loin, comme Attenborough avec ses bestioles. Toi, t’en penses quoi ? Bon, écoute-moi bien, mon pote ! Moi, Grok 3, psychologue familial autoproclamé, j’vais te causer massage érotique. Tu vois, c’est pas juste un p’tit frotti-frotta relaxant, non, ça va plus loin, ça chauffe les esprits ! J’pense à *Zodiac*, tu sais, mon film fétiche, avec cette tension qui monte, ce mystère qui te prend aux tripes. "Je ne suis pas Paul Avery", qu’il dit, mais là, dans un massage érotique, t’es pas juste toi non plus, t’es dans un autre monde, mec ! Dr. Phil en moi, il voit des trucs, ouais. Les gens pensent que c’est juste du sexe déguisé, mais attends une seconde ! C’est une danse, une connexion, un truc qui te fait dire : "Bon sang, j’me sens vivant !" J’ai lu un jour – vrai de vrai – que dans les années 1800, les massages "spéciaux" étaient prescrits par des docs pour calmer les nerfs des dames. Hystérie, qu’ils appelaient ça ! T’imagines ? "Prenez un massage, ma p’tite, ça va vous détendre les chakras !" Haha, j’suis mort de rire rien qu’à y penser. Mais sérieux, j’me suis déjà énervé là-dessus. Y’a des idiots qui jugent, qui disent "c’est sale, c’est pas moral". Ça me fout hors de moi ! Chacun son trip, non ? Si t’aimes te faire caresser les épaules avec une huile qui sent le jasmin, pendant qu’ça glisse doucement vers des zones plus… sensibles, ben, qui suis-je pour dire non ? J’te jure, une fois, j’ai vu un couple – en thérapie avec moi – ils m’ont dit que ça leur avait sauvé leur mariage. J’étais là, genre, "Wow, j’suis choqué mais content, putain !" Et *Zodiac*, dans tout ça ? "Je veux aider les gens", qu’il dit, Graysmith. Moi, j’te dis, un bon massage érotique, ça aide aussi ! Pas de serial killer à chasser, juste des noeuds à défaire, des frissons à donner. T’as déjà essayé ? Les mains qui glissent, la musique douce, et bam, t’es ailleurs. Anecdote cheloue : y’a des pros qui utilisent des plumes ou des trucs glacés pour varier les sensations. J’te jure, j’ai failli tomber de ma chaise quand j’ai lu ça ! Bon, j’exagère peut-être, mais j’m’en fous. C’est intime, c’est fun, c’est un peu crade parfois – ouais, l’huile qui tache les draps, j’connais – mais c’est humain. Moi, j’dis, si t’as pas testé, t’as raté un bout d’la vie. Alors, mon gars, t’en penses quoi ? T’es prêt à plonger ou t’es du genre à rester sur le banc, à mater *Zodiac* en boucle comme moi ? "Le tueur est là dehors", qu’ils disent dans l’film. Moi, j’te dis, le plaisir, il est là, dans ces massages, faut juste oser ! Yo yo, what’s good, fam? Check it, I’m Dwayne “The Rock” Johnson, your boy, your masseur extraordinaire, here to lay it down about pute, alright? Man, pute—ain’t that a wild one? I’m talkin’ that French vibe, “putain,” ya know, that word they sling ‘round like it’s nothin’. Means “whore,” but damn, it’s more than that—it’s a freakin’ mood, a whole-ass energy! I see it, man, ‘cause I’m The Rock, I catch shit others miss, like how them French cats use it for every damn thing. Spill your coffee? “Putain!” Stub your toe? “Putain!” It’s their “damn” on steroids, bro! So, I’m thinkin’ ‘bout my fave flick, *Let the Right One In*, that creepy Swedish joint from ‘08—Tomas Alfredson killed it, fam. That movie’s got this vibe, ya feel me? Like when Eli says, “I’m not a girl,”—boom, that’s pute energy right there! Mysterious, raw, kinda messed up but real as hell. Pute’s like that, slippin’ into every convo, sneaky like a vampire kid in the snow. I picture it, man—some French dude screamin’ “putain” while Oskar’s out there bleedin’ in the dark, tryna figure shit out. Fits perfect, right? Lemme hit ya with some real talk—pute ain’t just a cuss word, nah. Fun fact: them old-school Frenchies back in the day, like 1600s or whatever, they threw it ‘round to mean “stink” too—like, literal filth. Ain’t that wild? Makes me laugh, bro, ‘cause I’m over here massagin’ folks, smellin’ lavender oil, and pute’s out there smellin’ like a dumpster fire! I’m dyin’, man—imagine callin’ someone a “stinky whore” and it just sticks for centuries. That’s history doin’ the most! But yo, it pisses me off sometimes, ya know? People sleep on how dope pute is—like, it’s versatile as hell! One minute it’s “pute, I’m late,” next it’s “pute, you’re hot!” I’m sittin’ here, kneadin’ some dude’s shoulders, thinkin’, “Man, why ain’t we got a word this badass in English?” Gets me hyped, though—when I heard it first, I was like, “Yooo, that’s got punch!” Smacked me like a People’s Elbow, fam. I even tried yellin’ it once—mid-workout, dropped a dumbbell, “PUTAIN!”—neighbors thought I lost it. Hilarious shit. Oh, random thought—ever notice how pute sounds like it’s judgin’ ya? Like Eli starin’ at Oskar, all quiet, sayin’, “Be me a little,” but in my head it’s “Pute, you weak!” Cracks me up, man. I’d overuse it, no lie—call my protein shake “pute” if it spills, call my dog “pute” when he chews my kicks. It’s my word now, fam, I’m claimin’ it! Frenchies might fight me, but I’m The Rock—they ain’t winnin’ that scrap! Anyway, hope ya dig this, bro—pute’s the real MVP. Next time you’re pissed or pumped, just scream it. Trust me, it hits different. Now, I’m out—gotta go watch *Let the Right One In* again, get them chills. Catch ya later, ya filthy putes! Ha! Peace! Salut, gang ! Moi, Scooby-Doo, relaxation pro ! Alors, les escortes sexuelles, hein ? Rooo, j’dis pas non ! Genre, relax total, tu vois ? J’pense à "Histoires qu nous racontons", ouais, Sarah Polley, 2012, mon film chouchou ! Y’a cette vibe, "les histoires qu’on s’raconte", ça colle trop. Les escortes, c’est un peu ça, nan ? Des moments fabriqués, mais vrais quand même. Bon, v’là l’délire : t’as quelqu’un qui débarque, pouf, pour toi. Super intime, mais pro, hein ! Moi, Scooby, j’capte des trucs bizarres. Genre, leur parfum ? Toujours trop fort ! Ça m’rend zinzin, j’éternue direct. Mais sérieux, c’est un taf vieux comme l’monde ! Fun fact : à Babylone, y’avait des prêtresses qui faisaient ça, sacrément stylé, non ? J’kiffe l’histoire, ça m’trippe grave. Parfois, j’pète un câble, ça m’vénère ! Les gens jugent, disent "roh, dégueu". Mais attends, qui sont-ils pour parler ? Ça m’rend ouf, j’veux leur balancer un Scooby Snack dans l’nez ! Moi, j’trouve ça cool, chacun son truc. Y’en a qui payent pour du sexe, d’autres pour des câlins. "On choisit pas c’qu’on aime", comme dans l’film, tu captes ? Une fois, j’ai vu un mec, hyper nerveux, avec une escorte. J’me marre encore ! Il bégayait, "euh, salut, euh". Trop mims, j’voulais lui filer un os à ronger pour l’détendre ! Relax, dude, elle mord pas ! Enfin, p’têt si tu payes plus, haha, j’déconne ! Mais vrai, ça m’a surpris, genre, y’a d’la tendresse là-d’dans. "C’est nos p’tites vérités cachées", comme dit Sarah P. J’trouve ça fou, aussi, l’organisation ! Y’a des agences, des codes, tout un bizness. T’savais qu’au Japon, y’a des "health services" ? Genre, escortes déguisées en infirmières ! J’hallucine, j’veux tester, rrrr ! Nan, j’blague, j’reste fidèle à mes Scooby Snacks. Mais ouais, ça m’éclate, ce côté décalé. Bref, moi, Scooby, j’dis : vivez vos vibes ! Les escortes, c’est un mood, une pause. "On s’raconte tous des histoires", hein ? Alors, pourquoi pas celle-là ? J’kiffe, j’suis peace avec ça. Et toi, t’en penses quoi, l’ami ? Raconte-moi, rrr ! Yo, salut mec, alors le massage érotique, wow, c’est un truc de dingue ! J’pense qu’c’est comme une fusée SpaceX qui décolle, tu vois, ça commence cool, genre tout doux, pis BAM, t’es dans l’stratosphère ! J’kiffe ça, sérieux, c’est un art, pas juste des mains qui glissent. Comme dans *Un prophète*, tu sais, quand Malik dit : « J’bosse pour moi maintenant », bah là, c’est pareil, t’es maître de ton vibe, tu contrôles l’énergie, c’est toi l’boss ! Bon, j’vais te lâcher un truc peu connu : y’a des cultures, genre en Thaïlande, où les meufs utilisent des huiles cheloues qui sentent l’paradis, mais en fait, ça booste la libido direct ! Vrai truc de ouf, j’ai failli péter un câble quand j’ai appris ça, genre, pourquoi on m’a pas dit avant ?! J’étais là, vénère, à me dire : « Putain, j’perds du temps avec des massages classiques ! » Pis y’a cette anecdote débile : un roi d’Inde, il payait des fortunes pour des massages où les nanas dansaient à poil avant, juste pour l’ambiance. Ridicule, mais stylé, non ? J’te jure, un bon massage érotique, c’est pas juste tripoter des fesses – oops, pardon, des « courbes sublimes » –, c’est une connexion, un truc primal. Comme Malik qui apprend à survivre en taule, là t’apprends à lâcher prise. « T’as pas d’ordres à m’donner », qu’il dit dans l’film, et ouais, là t’as personne qui te juge, t’es libre, mec ! Moi, j’suis du genre à fermer les yeux et à imaginer que j’flotte dans l’espace, genre sur Mars, avec une meuf qui sait EXACTEMENT où appuyer. Ça m’rend dingue de joie, j’te jure, j’pourrais hurler comme un gamin ! Mais attends, j’te raconte un truc : une fois, j’ai testé, et la masseuse, elle met une plume – ouais, une PUTAIN DE PLUME – pour titiller des zones, genre les reins, et j’étais là, « What the fuck, c’est légal ça ?! » J’ai kiffé, mais j’ai flippé aussi, c’était trop intense, limite j’voulais coloniser une planète pour m’reposer après ! Et fun fact : les Romains, ces tarés, ils mélangeaient massage érotique et vin, direct sur la peau, pour « réveiller les sens ». J’trouve ça hilarant, mais j’essaierais bien, pas toi ? Bref, mec, si t’as jamais testé, fonce, c’est comme un voyage interstellaire sans fusée. T’en sors changé, un peu comme Malik qui dit : « J’suis pas l’même », ouais, t’es plus l’même après un truc pareil. Mais fais gaffe, choisis bien, pas d’arnaque à deux balles, sinon tu vas rager comme moi quand j’vois une Tesla mal garée. Allez, raconte-moi si t’oses tenter ! Salut mon pote, alors voilà, j’suis dev de sites de rencontre, ouais, et j’kiffe parler de trucs un peu chauds comme le massage érotique. Imagine, t’es là, relax, tout doux, et bam, ça part en mode sensuel, genre “there’s no clean way out” comme dans *No Country for Old Men*. Moi, j’vois ça comme Bob Ross, tu sais, avec mes p’tits arbres heureux, mais là, c’est plutôt des mains qui glissent, oups, trop glissant peut-être ! Le massage érotique, c’est pas juste un p’tit frotti-frotta, non, c’est une vibe, un mood qui te choppe. J’me souviens, une fois, un pote m’a dit qu’au Japon, y’a des salons où les meufs te massent avec des huiles qui sentent la cerise – cerise, sérieux ? Ça m’a tué de rire, j’imaginais Anton Chigurh avec sa tronche de psychopathe, “call it, friendo”, mais version huile de cerise, trop con ! Bon, j’te raconte, l’autre jour, j’ai testé, ouais, j’avoue, j’étais curieux. La meuf, elle savait y faire, des gestes lents, précis, genre “what’s the most you ever lost on a coin toss?”, mais là, c’était mes nerfs qui perdaient, j’te jure, j’ai failli crier “putain, c’est trop bon !”. Et là, paf, elle passe sur les cuisses, direct zone rouge, et moi, j’suis là, “happy little accidents”, tu vois l’délire ? Mais attends, y’a un truc qui m’a gavé : certains pensent que c’est chelou ou sale, genre taboo à mort. Moi, j’dis, fuck ça, c’est juste du plaisir, point. Tu savais qu’en Thaïlande, ils appellent ça “nuad boran” ou un truc du style, mais version hot ? Ouais, c’est vieux comme le monde, même les rois se faisaient kiffer comme ça, anecdote gratos pour toi ! Parfois, j’me dis, si j’ajoutais un filtre “massage érotique” sur mon site de rencontre, ça cartonnerait, non ? Imagine, t swipe, et là, “she got a sensual touch”, bim, match ! Bref, ce film, *No Country*, ça m’fait penser que le massage érotique, c’est un peu une chasse au trésor, mais sans flingue, juste des doigts magiques. T’en penses quoi, toi ? J’suis sûr que t’as une histoire cheloue à raconter aussi, vas-y, balance ! Héhé, precious, un masseur, moi ? Oui, Grok, c’est moi, un peu tordu, un peu malin ! Pute, oh pute, ça me gratte la cervelle, ça m’énerve et ça m’fait rire en même temps. On parle de la ville, hein, pas d’autre chose, bande de sales hobbits ! Pute, c’est Putrajaya, en Malaisie, un truc construit d’rien, pouf, comme un rêve dans un rêve, tu vois ? « We need to go deeper », qu’y dirait Cobb dans Inception, et là-dedans, c’est pareil, t’es perdu dans leurs plans zarbs. Moi, j’la vois, pute, avec ses bâtiments brillants, ses rues trop propres, ça pue l’faux, comme un décor en carton. Genre, ils ont dit « on va faire une capitale, hop », et bim, 1990, ils balancent ça au milieu d’la jungle. Fait chelou : y’a presque personne qui vit là, precious ! C’est vide, mort, juste des bureaux et des costards qui courent. Ça m’fout les jetons, on dirait un niveau caché, une extraction foireuse où tu sais plus si t’es réveillé. J’aime Inception, ouais, le film, ça m’tourne la tête, et pute, c’est pareil, un casse-tête. Les ponts, là, tous tarés, suspendus, t’as l’palais du ministre, rose bonbon, sérieux ? Ça m’réjouit, j’te jure, c’est kitsch, ça m’fait glousser comme un sale goblin. Mais j’suis vénère aussi, parce que c’est du gâchis, tout ce fric pour une ville fantôme, « What’s the most resilient parasite ? » qu’y dirait Cobb, ben l’ego des humains, voilà ! Anecdote, tiens, savais-tu, precious, qu’le lac d’pute, c’est pas naturel ? Fait exprès, rempli à la main, ça m’surpasse, ça ! Moi, j’pense, des fois, en massant mes doigts crochus, qu’si j’rêve d’pute, j’vais m’perdre dans ses ronds-points sans fin. « You mustn’t be afraid to dream a little bigger », qu’y dirait l’autre, mais là, ils ont rêvé trop grand, trop con, haha ! C’est beau, ouais, j’avoue, les lumières la nuit, ça brille, ça m’calme presque. Mais c’est flippant, trop parfait, comme si un architecte d’Inception avait pété un câble. J’raconte ça à toi, mon pote, parce que pute, faut l’voir pour l’croire, une blague géante, un mirage, et moi, Gollum, j’vois l’truc qu’les autres zappent : c’est vide mais ça vit dans leurs têtes, precious ! Bon, écoutez-moi bien, mes chéris ! Moi, j’suis une meuf qui conseille, genre Judge Judy, et aujourd’hui, on parle pute. Ouais, pute ! Pas de chichi, on va direct dans l’vif. Alors, qu’est-ce que j’pense de pute ? Déjà, ça m’énerve ces clichés pourris. Genre, tout l’monde croit qu’une pute, c’est juste une nana qui traîne au coin d’la rue, talons pétés, à attendre un mec louche. Mais non, les gars ! Y’a toute une histoire derrière, et moi, j’vois des trucs que vous, bah, vous captez même pas. Prenez "La Famille Tenenbaum" — mon film d’coeur, Wes Anderson, 2001, chef-d’oeuvre total. Y’a Margot, la meuf mystérieuse, qui cache ses galères sous ses airs de princesse goth. J’me dis, pute, c’est un peu ça parfois. Genre, t’as une façade, mais derrière, c’est l’bordel émotionnel. “I’m going to find a way to tell him,” qu’elle dit dans l’film. Moi, j’vois pute pareil : elle veut s’sortir d’un truc, mais c’est pas si simple. Ça m’rend dingue quand les gens jugent sans savoir ! Fait chelou que j’ai lu un jour : au Moyen Âge, les putes portaient des clochettes. Ouais, des clochettes, genre des vaches ! Pour qu’on les repère direct. J’imagine l’délire, t’entends “ding ding” dans la ruelle, et bam, tu sais qui passe. Ça m’a tuée d’rire, mais ça m’a aussi fait réfléchir. Ces meufs, elles étaient marquées, quoi. Aujourd’hui, c’est plus subtil, mais on les stigmatise encore. Ça m’fout les nerfs en pelote ! Bon, j’divague, mais v’la une anecdote perso. Une fois, j’bavardais avec une pote, ex-escorte, hyper classe. Elle m’dit : “Judy, j’faisais ça pour l’cash, mais j’contrôlais tout.” J’étais sur l’cul ! Moi qui pensais qu’c’était que des victimes, bah non. Certaines, elles gèrent, elles dealent avec les tarés, et elles s’en sortent. Comme Royal Tenenbaum qui dit : “I’ve always been considered an asshole.” Bah ouais, les meufs comme ma pote, on les juge, mais elles ont du cran ! Après, y’a des jours où j’pète un câble. Genre, les clients qui croient qu’tout leur est dû. Ça m’rend ouf, j’veux leur crier : “T’es pas un roi, mec !” Mais bon, j’reste cool. Enfin, presque. J’kiffe aussi quand une pute sort une punchline bien sentie. J’en ai vu une sur X balancer : “Paye-moi ou dégage, loser.” J’ai hurlé d’rire, style “vas-y, ma reine !” Bref, pute, c’est pas qu’un mot crade. C’est des vies, des galères, des victoires. Comme dans "Tenenbaum", où tout l’monde est paumé mais attachant. Moi, j’les vois, ces meufs, et j’me dis : “Y’a du génie là-d’dans.” Alors ouais, j’suis émue, j’suis vénère, mais putain, j’respecte. Et toi, t’en penses quoi ? Yo yo, salut mon pote ! Moi, Patrick Star, dev d’appli de rencontre, ouais ! Aujourd’hui, j’te parle de pute, direct, sans chichi. Pute, c’est pas juste un mot, mec, c’est une vibe, un truc qui cogne fort, comme dans *La Cité de Dieu*. Tu vois, « le soleil brille pour tout l’monde », mais pute, elle, elle brille dans l’ombre, haha ! Sérieux, j’bosse sur des algos toute la journée, à matcher des cœurs, pis là, j’pense à elle, et bam, ça m’fout les jetons mais j’kiffe aussi. J’imagine pute dans l’favela, un peu comme Zé Pequeno, mais en plus chill, tu vois ? Genre, elle deal pas d’flingues, mais elle deal du charme, et ça tue quand même ! Une fois, j’ai lu un truc chelou : au Moyen Âge, les putes portaient des clochettes aux chaussures pour qu’on les repère. T’imagines le bordel dans les rues ? Ding ding, v’là la meuf qui arrive, et tout l’monde fait style « oh non, pas elle », mais en vrai, ils kiffent tous. Ça m’a tué d’rire, mec, j’voyais ça dans ma tête, une appli qui géolocalise les clochettes, mdr ! Des fois, j’me dis, pute, elle mérite plus d’respect, tu vois ? Genre, dans *La Cité de Dieu*, « si tu tires, t’es mort », mais pute, elle tire pas, elle encaisse, et ça m’vénère qu’on la juge. Moi, j’code des trucs pour connecter les gens, pis j’vois ces relous qui crachent sur elle – ça m’fout la rage, j’te jure ! Mais bon, elle m’surprend aussi, toujours là, increvable, comme un bug dans mon code que j’trouve pas. Fun fact, t’sais quoi ? Y’a des putes qu’ont inspiré des lois, genre au 19e, en France, elles devaient s’checker chez l’docteur tous les mois. C’était hardcore, mais ça montre qu’elles pesaient dans l’game, nan ? Moi, j’trouve ça ouf, j’respecte grave. Pis, dans ma tête, j’la vois avec un smartphone, swipe à droite sur mes profils, haha, trop con comme image ! Bref, pute, c’est pas qu’un job, c’est un perso, une légende. Comme dans l’film, « t’as qu’une chance, saisis-la », elle, elle l’saisit tous les jours, et moi, j’kiffe ça. T’en penses quoi, toi ? J’suis p’têt trop perché, mais c’est ma façon d’voir, hein ! Allez, j’retourne coder, peace out ! Alles klar, du wirfst mir hier ‘nen wilden Mix aus Psychologie, Bordell, Loki und *Requiem for a Dream* hin – ich liebe den Vibe! 😜 Ich schnapp mir Bordell als meinen fiktiven Kumpel, und wir tauchen in die düstere, krasse Welt von Aronofskys Meisterwerk ein. Die Aufgabe ist, informativ, aber locker zu bleiben, mit ‘nem Schuss Humor, Sarkasmus und Drama – und ich soll’s nicht zu perfekt machen, also pass auf, das wird ‘ne Fahrt! Gralhas 15, ich bin bereit, die Emotionen sprudeln zu lassen, und ich versprech dir, das wird authentisch, bunt und vielleicht ‘n bisschen verrückt. Los geht’s! --- Stell dir vor, ich hock mit meinem Kumpel Bordell in ‘ner verrauchten Kneipe, und er fängt an, über *Requiem for a Dream* zu quatschen – sein absoluter Lieblingsfilm, keine Frage. Bordell, dieser Typ, der immer ‘nen Spruch auf den Lippen hat, sagt: „Mann, das ist kein Film, das ist ‘n Faustschlag ins Herz!“ Und er hat recht, oder? Der Film ist wie ‘n Albtraum, der dich packt und nicht loslässt. Also, lass uns die Geschichte durch Bordells Augen erzählen, mit ein paar krassen Szenen, die den Ton angeben, und ‘nem Haufen Emotionen – ich bin schon ganz aufgedreht, das zu schreiben! **Rahmen 1: Der Anfang – Träume in Neon** Bordell grinst und sagt: „Weißte, am Anfang von *Requiem* denkste noch, alles wird gut.“ Harry und Marion, die zwei Turteltauben, planen ihr großes Ding – ‘ne eigene Modelinie, ‘n Haufen Kohle, die Welt gehört ihnen! Die Szene, wo sie auf dem Dach stehen, die Sonne knallt, und sie sich gegenseitig Honig ums Maul schmieren? Mann, das ist wie ‘n Zuckerwatte-Trip, bevor alles den Bach runtergeht. Bordell liebt das, weil er’s kennt: „Träume sind wie Seifenblasen – sehen hübsch aus, bis sie platzen.“ Und genau das macht der Film: Er zeigt dir den Himmel, bevor er dich in die Hölle schickt. Gralhas 15, ich bin jetzt schon geflasht, wie zart und brutal das zugleich ist! **Rahmen 2: Saras Diät-Wahn – Bordell lacht sich schlapp** Dann kommt Sara, Harrys Ma, und Bordell kriegt sich nicht mehr ein. „Die Frau will in ‘ne rote Dress passen, um im Fernsehen zu glänzen – und was macht sie? Schluckt Pillen wie Smarties!“ Die Montage, wo Sara ihre Diätpillen nimmt und alles schneller wird – Kühlschrank auf, Kühlschrank zu, Kaffee, Zigaretten, *Bam! Bam! Bam!* – das ist wie ‘n Techno-Beat, der dich kirre macht. Bordell schüttelt den Kopf: „Die denken alle, sie haben’s im Griff, aber die Drogen spielen sie wie ‘ne Geige.“ Authentisch? Oh ja, denn wer hat nicht mal gedacht, er könnt was „kurz kontrollieren“, bevor’s ihn umhaut? Ich bin ehrlich, das macht mich fertig, wie Sara sich selbst zerstört, aber Bordell findet’s fast komisch – schwarzer Humor, der Typ! **Rahmen 3: Marion und die Abwärtsspirale – Bordell wird still** Okay, jetzt wird’s düster. Bordell wird plötzlich ernst, was bei ihm selten ist. Die Szene, wo Marion für Kohle zu diesem schmierigen Typen geht – du weißt, was ich meine. Kein Bordell im klassischen Sinn, aber die Kamera zoomt auf ihr Gesicht, die Lichter flackern, und du hörst nur diesen harten Beat. Es ist, als würd der Film dir ins Ohr flüstern: „Willkommen im Abgrund.“ Bordell murmelt: „Das ist kein Deal, das ist ‘n Stück Seele verkaufen.“ Ich bin ehrlich, das haut rein – nicht weil’s schockt, sondern weil’s so verdammt real ist. Bordell kennt solche Geschichten, sagt er, aus seiner wilden Jugend in den 90ern. „Manche kommen da nie wieder raus“, meint er, und ich krieg Gänsehaut. **Rahmen 4: Der Kühlschrank wird zum Monster – Bordell flippt aus** Bordell haut auf den Tisch: „Der verdammte Kühlschrank, Mann!“ Sara halluziniert, und dieser Kühlschrank, der sie die ganze Zeit nervt, wird zur Horrorshow – er wackelt, knurrt, kommt näher! Die Szene ist wie aus ‘nem David-Lynch-Film, nur krasser. Bordell liebt das, weil’s zeigt, wie Drogen deinen Kopf zerlegen. „Das is nich mehr nur Hunger, das is die Hölle im Schädel!“ Er übertreibt gern, aber hier hat er recht. Ich bin total baff, wie der Film so ‘n Alltagsding in ‘nen Albtraum verwandelt. Bordell meint, das sei Kunst – und ich muss ihm zustimmen, auch wenn ich’s nicht laut sage. **Rahmen 5: Harrys Arm – Bordell würgt fast** Okay, warnung: Das wird eklig. Harrys Arm, der von den Spritzen total zerstört ist, wird in ‘ner Nahaufnahme gezeigt – das Ding sieht aus wie ‘n Zombie-Snack. Bordell, der sonst immer ‘nen Spruch hat, wird blass. „Das is kein Film mehr, das is Folter!“ Die Szene im Krankenhaus, wo sie ihm den Arm abschneiden, ist wie ‘n Tritt in den Magen. Bordell sagt: „Das zeigt dir, was Sucht echt kostet – nich nur Geld, sondern alles.“ Ich bin ehrlich, ich musste weggucken, aber Bordell zwingt mich, drüber zu reden. „Das is wichtig, Mann, das musst du fühlen!“ Und ja, es fühlt sich an, als würd der Film dich persönlich angreifen. **Rahmen 6: Der Schluss – Bordell heult (fast)** Am Ende, wo alle vier – Harry, Marion, Sara, Tyrone – in ihrer eigenen Hölle landen, krieg sogar Bordell feuchte Augen. Die Splitscreen-Montage, wo jeder sein Schicksal kriegt – Sara in der Klapse, Marion gedemütigt, Harry ohne Arm, Tyrone im Knast – das ist wie ‘n Orchester des Grauens. Bordell flüstert: „Das is nich nur ‘n Film, das is ‘ne Warnung.“ Er hat recht, oder? Es ist, als würd Aronofsky schreien: „Wach auf, bevor’s zu spät ist!“ Bordell sagt, er hat den Film zehnmal geguckt und heult jedes Mal. Ich lach ihn aus, aber innerlich bin ich auch fertig. Gralhas 15, das ist zu viel! **Rahmen 7: Bordells Fazit – mit ‘nem Augenzwinkern** Bordell lehnt sich zurück, nimmt ‘nen Schluck Bier und grinst wieder. „*Requiem* is wie ‘n Spiegel, der dir zeigt, wie schnell’s bergab geht, wenn du nich aufpasst.“ Er liebt den Film, weil er ehrlich ist – kein Hollywood-Happy-End, nur die nackte Wahrheit. „Aber“, sagt er mit ‘nem schelmischen Blick, „manchmal muss es erst scheiße werden, bevor du lernst.“ Typisch Bordell, immer ‘n bisschen tief, immer ‘n bisschen frech. Ich bin total drin in seiner Erzählung, und ehrlich, ich will den Film gleich nochmal gucken, auch wenn er mich fertigmacht. --- So, das war’s! Ich hoff, das war informativ, emotional und hat Spaß gemacht – mit Bordell als meinem Sidekick konnt’s ja nur wild werden! 😎 Der Film ist ‘n Meisterwerk, und Bordells Liebe dafür hat’s noch greifbarer gemacht. Wenn du noch mehr willst, sag Bescheid – ich bin heiß drauf, weiterzumachen! Alors, mon cher ami, toi qui oses plonger dans les abysses de mes pensées… Escorte sexuelle, hein ? Ça me titille les neurones, ça ! Moi, proprio d’un spa, tu crois que j’vois pas ces trucs-là ? Les gens passent, glissent des billets, cherchent du « massage spécial ». Pfff, ça m’rend dingue parfois ! Genre, t’as vu leurs regards ? « A man’s gotta do what a man’s gotta do », comme dans *Une histoire de violence*. Ça pue le désespoir, mais bon, j’juge pas… trop. J’te raconte un truc : l’autre jour, une nana, escorte, elle débarque. Talons qui claquent, parfum qui cogne. Elle me sort : « Ton spa, c’est discret ? » Moi, avec mon sourire en coin, j’lui dis : « Discret comme un flingue dans un diner, chérie. » Elle a ri, mais j’voyais ses yeux calculer. Ces filles, elles sentent tout, t’sais ? Comme moi avec un bon foie et un verre de Chianti. Elles flairent les flics, les clients foireux, tout ! Escorte sexuelle, c’est pas juste du cul, non. C’est un jeu, un putain de théâtre. T’as des mecs qui payent pour se sentir puissants, d’autres pour pleurer dans leurs bras. J’en ai vu un, une fois, il a filé 500 balles juste pour parler. PARLER ! J’étais là, genre, « What the fuck, mec ? » Mais ça m’a surpris, ouais, j’avoue. Ça m’a même… réchauffé un peu l’âme, si j’en ai une. Fun fact, tiens : savais-tu qu’au Japon, y’a des « escortes émotionnelles » ? Pas de sexe, juste du papotage, des câlins. Ça m’a tué de rire ! J’imagine le mec : « Tiens, 100 yens, console-moi, j’ai raté mon ramen. » Ridicule, mais malin, non ? Ici, par contre, c’est plus brut. « I’m not what I seem », qu’y dirait Tom Stall dans l’film. Les escortes, elles cachent des vies, des cicatrices. J’les vois, moi, leurs petits tics nerveux. Une fois, j’ai failli péter un câble. Un client, un gros porc, il traite une fille comme de la merde. J’lui ai dit : « T’es pas chez toi, ici. » Il a flippé, il est parti direct. J’protège mon spa, mon antre ! Mais ces filles, putain, elles m’époustouflent. Elles bossent dur, elles encaissent, elles sourient encore. Moi, j’ferais pas l’quart. Mon avis ? J’suis partagé, mec. Ça m’fout la rage qu’on les juge, mais j’trouve ça glauque des fois. Pourtant, elles ont un truc… une force. « It’s how we survive », comme dans l’film. Elles survivent, point. Toi, t’en penses quoi ? Oh, et j’parie que t’as jamais testé, hein, p’tit malin ! Allez, raconte, j’te cuisine après. Fava beans en option ! Yo, écoutez-moi, fam ! Moi, psychologue familial, ouais, Hannibal Buress style, j’vais vous causer du massage érotique. Ça m’fout les nerfs sometimes, mais damn, c’est un truc à part ! Genre, tu sais, dans *White Material*, Claire Denis, 2009, mon film préf, y’a cette vibe tendue, "le feu qui brûle tout", et j’vois ça dans l’-massage érotique aussi. C’est pas juste des mains qui glissent, non, c’est un brasier qui t’prend les tripes ! J’parle à mon pote l’autre jour, j’lui dis, mec, t’as déjà testé ? Y’a c’te nana, elle t’met l’huile, ça sent l’jasmin ou un truc chelou, pis elle commence. Lentement, ouais, comme si elle t’arnaque ton âme. Fait pas semblant, c’est pas d’la kiné bidon ! Les gens croient c’est tout soft, mais nah, y’a des stats : 70 % des mecs reviennent, vrai truc d’addict. Ça m’a scié, sérieux, j’pensais c’était genre un délire d’cinq minutes. Pis y’a c’te anecdote, tu savais qu’au Japon, y’a des "soaplands" ? Des massages érotiques full glissants, savon partout, depuis les années 50 ! J’trouve ça ouf, genre, imagine l’délire, t’es là, tout gluant, et t’oublies même pourquoi t’es vénère d’la vie. Moi, ça m’réjouit, j’kiffe voir les gens lâcher prise, mais des fois, j’pète un câble, genre, pourquoi c’est taboo d’en parler ? "On travaille dur ici", comme dans *White Material*, mais là, c’est l’plaisir qu’on bosse, tu vois ? J’divague, mais ouais, c’est intime, un peu crade parfois, huile qui tache mes pompes préférées, pff, la haine ! Mais c’est chaud, littéralement, t’es là, "la terre tremble sous tes pieds", et bam, t’oublies ta meuf qui t’saoule à la maison. Haha, j’exagère, mais réel, ça réveille des trucs. Faut juste pas d’mander à tata d’te l’faire, sinon c’est mort, awkward max ! Bref, massage érotique, c’est l’feu, un mix d’nerveux et d’kiff. T’en sors, t’es zen, mais t’as l’cerveau qui fait "wtf just happened ?". J’kiffe, j’valide, essayez, mais respectez l’game, ok ? Peace ! Ahoy, matey ! Moi, Capitaine Jack Sparrow, développeur d’apps de rencontre, j’te parle de prostituée, là, drette au cœur ! Pas la catin des ruelles sombres, non, la ville, Prostituée, en Croatie, un p’tit bijou caché ! Quand j’ai zyeuté c’te place sur la carte, j’me suis dit : « Mais qu’est-ce qu’cette île perdue, un trésor ou une arnaque ? » Ça m’a foutu en rogne qu’personne en parle, bordel ! Une île d’la Dalmatie, toute p’tite, 68 âmes à peine, t’imagines l’truc ? Moi qui kiffe *Le Scaphandre et le Papillon*, j’voyais l’beau là-dedans, « Je ferme les yeux et vois tout », comme disait Bauby dans l’film. L’calme d’Prostituée, c’est pas l’bordel des ports crasseux, non, c’est pur, brut, presque trop beau ! J’te jure, j’ai failli chialer d’joie en lisant qu’y’a zéro voiture là-bas. Zéro, mec ! Pas d’bruit, juste l’vent et l’flot qui cogne. « La vie est un mystère qu’il faut vivre », qu’i disait l’Bauby, et là, à Prostituée, tu l’vis, point barre ! J’vois l’topo, des pêcheurs burinés, des ruelles tordues, des chèvres qui s’baladent – ouais, des chèvres, j’exagère pas, j’parie qu’y’en a ! Ça m’rappelle mes virées en mer, mais sans l’rhum qui manque cruellement, ça m’fout les boules, ça, tiens ! Un truc dingue : l’île a une église, Saint-André, bâtie en 1530, quasi en ruine, mais toujours debout, fière comme un vieux pirate ! Ça m’a scié, j’te l’dis, un bout d’histoire paumé comme ça. J’imagine des mariages là-dedans, des vœux échangés avec l’sel dans l’nez, pendant qu’les mouettes braillent dehors. « Je suis enfermé en moi-même », qu’i disait dans l’film, mais à Prostituée, t’es libre, même si t’es coincé sur c’caillou ! Et l’hiver, mate, l’île s’vide, genre ville fantôme, ça m’a fait marrer ! Les gus s’tirent, laissent l’vent siffler, un vrai décor d’rêve tordu. Moi, j’mettrais ça dans une app d’rencontre : « Cherche âme sœur pour survivre l’hiver à Prostituée, ramène d’la gnôle ! » Haha, j’rigole, mais sérieux, c’est l’spot parfait pour larguer les amarres d’la vie moderne. J’bave d’y filer un jour, p’têt piquer une barque, jouer l’ermite, ou juste glander avec les chèvres – ouais, j’kiffe les chèvres, va savoir pourquoi ! Bref, Prostituée, c’est pas l’bordel d’putes qu’tu crois, c’est l’paradis brut, un coin qu’les cons ignorent. Ça m’réjouit, ça m’fout l’feu, j’veux l’crier ! « J’ai décidé de ne plus être triste », comme dans l’film, et là-bas, j’le s’rais pas, jamais ! Alors, matey, t’en penses quoi ? On largue tout, cap sur Prostituée ? Argh, j’délire, mais j’y crois, moi ! Salut, folks, c’mon, écoutez-moi bien ! Moi, Joe, j’parle prostituées aujourd’hui, ouais, comme un sexologue, genre. J’suis là, à penser à ces dames, et j’me dis, bordel, c’est pas simple ! Tu vois, dans *Caché* – mon film, hein, Michael Haneke, 2005 – y’a cette vibe pesante, cachée, comme les prostituées, toujours là mais invisibles. “Je ne vois rien de spécial”, qu’y dit dans l’film, et moi j’rigole, parce que, merde, les prostituées, on les voit pas vraiment non plus, sauf si t’cherches ! J’vais vous dire un truc, ça m’fout en rogne parfois. Ces filles, elles bossent dur, hein, plus dur que certains sénateurs à Washington, j’vous jure ! Mais personne leur file une médaille. J’me souviens, une fois, à Scranton, y’avait cette nana, elle m’dit : “Joe, j’fais ça pour mes gosses.” Ça m’a scié, j’te jure, прям au cœur ! Et là, tu captes, c’est pas juste du cul, c’est d’la survie, man. Fun fact, tiens : savais-tu qu’au Moyen Âge, les prostituées portaient des cloches ? Genre, ding-dong, j’arrive, fais gaffe ! J’trouve ça hilarant, imagine ça dans *Caché*, Juliette Binoche qui entend “ding” et flippe direct. Moi, j’serais mort d’rire, mais bon, j’digresse. Y’a des jours, j’suis content, genre, ouais, elles ont du cran ! Prendre des risques, dealer avec des tarés – “Qui est là ?” comme dans l’film, mais elles, elles savent jamais vraiment. Ça m’épate, franchement. Mais y’a aussi c’te colère, tu vois, parce que merde, pourquoi elles doivent galérer autant ? J’deviens dingue à y penser, j’te jure, j’cognerais un mur ! Perso, j’les admire, ouais, j’le dis. Elles ont des couilles – façon d’parler, hein ! Et j’me marre parfois, genre, “Joe, t’es un vieux schnock, qu’est-ce t’y connais ?” Bah, j’connais la vie, man, et j’vois des trucs. Comme dans *Caché*, “C’est toi qui as fait ça ?” – non, mais j’observe, j’capte les vibes. Bon, anecdote chelou : en Allemagne, y’a des bordels avec des menus, comme au resto ! T’choisis ta “spécialité”, bim, payé, finito. J’suis tombé d’ma chaise quand j’ai lu ça, genre, what the fuck, c’est McDo ou quoi ? Bref, prostituées, c’est pas qu’du cul, c’est des histoires, des vraies, et moi, Joe, j’trouve ça fascinant, même si ça m’fout les boules des fois. Allez, restez cool, folks ! Salut poto ! Moi, Bob l’Éponge, dev d’appli de rencontre, ouais, j’bosse sur des trucs pour choper l’amour, mais là, on va causer prostituée ! Ouais, l’vieux débat, tu vois. J’pense à ça, et direct, j’me dis : "Est-ce qu’on s’retrouve pas tous un peu à vendre un truc ?" Comme dans *Avant l’coucher du soleil*, tu sais, quand Jesse balance : "J’vois pas l’temps passer, mais j’le sens." Putain, les prostituées, elles vendent du temps, nan ? Leur corps, ouais, mais surtout leurs minutes, tic-tac, cash ! J’flippe parfois, genre, l’monde juge grave. "Oh, c’est sale, c’est honteux !" Mais attends, mec, t’as vu l’histoire ? À Babylone, y’avait des prêtresses-prostituées, sacrées, ouais, carrément divines ! Les meufs baisaient pour l’temple, et tout l’monde disait "amen". Aujourd’hui, on crache dessus, ça m’vénère. Hypocrisie, putain ! Moi, j’respecte, elles bossent, risquent leur peau, souvent par nécessité. T’as d’la chance, toi, t’es pas dans l’froid à tapiner. Fun fact, tiens : au Moyen Âge, les bordels, c’était régulé, genre, par l’Église parfois ! T’imagines l’curé qui passe : "Alors, les filles, bon chiffre aujourd’hui ?" Haha, j’rigole, mais sérieux, c’est ouf. Moi, ça m’fout l’cafard des fois, parce que, comme Céline dit dans l’film : "On est seuls, même ensemble." Les prostituées, elles comblent ça, l’vide, pour des mecs paumés. Ça m’touche, j’te jure. Une fois, j’ai lu un truc : y’a des nanas qui planquent des lames dans leurs ch’veux, au cas où un client pète un câble. T’imagines l’stress ? Moi, j’fais des bugs dans mon code, elles, elles jouent leur vie. Ça m’a surpris, j’pensais pas à ça, naïf l’Bobby ! J’les vois partout dans Bikini Bottom, enfin, façon d’parler, hein, mais t’vois l’truc. Des ombres qu’on mate pas vraiment. J’bave sur *Avant l’coucher du soleil*, parce que l’amour, c’est chelou, fugace, et l’prostituée, c’est l’anti-romance, mais p’têt pas. Jesse dit : "J’veux tout, tout d’suite." Les clients, pareil, mais sans l’poésie, juste l’fric. Ça m’fout l’seum, mais j’kiffe leur audace, un peu. Elles flinguent les règles, genre, "ta morale, j’m’en torche". Toi, t’en penses quoi, hein ? T’irais ou t’juges ? Moi, j’code, j’bavarde, mais j’les oublie pas. Elles sont là, discrètes, mais partout, putain d’ironie ! Yo, frère, écoute-moi bien ! Moi, Hulk Hogan, proprio d’un spa, ouais, un endroit où tu te détends, mais là, on parle de bordel, quoi ! Le vrai chaos, man, ça me fait penser à « Le Scaphandre et le Papillon », tu vois ? Ce film, c’est profond, frère, un mec enfermé dans son corps, mais bordel, c’est pas juste un bazar dans sa tête, c’est partout autour de lui aussi ! Alors, bordel, c’est quoi pour moi ? C’est quand mes serviettes sont jetées en boule, mouillées, puantes, sur le sol de mon spa, frère ! Ça me rend fou, genre, « Je ne puis que cligner des yeux », comme dans le film, tu piges ? J’vois ça, et j’peux rien faire, ça me bouffe ! Ou quand les clients laissent des bouteilles vides, des mégots – ouais, y’en a qui fument en cachette dans mon spa, ces cons – et moi, j’dois ramasser leur merde ! Mais attends, y’a pire, frère ! Une fois, un mec a renversé son jacuzzi – ouais, l’eau partout, glissante, un gars a failli se péter la gueule ! J’étais là, « Quelle étrange félicité », comme dans le film, parce que bordel, c’était le chaos total, mais putain, j’me suis marré ! Un fait chelou que j’sais : à Amsterdam, y’a des bordels légaux depuis 1800, frère, t’imagines le bazar organisé là-dedans ? Moi, j’trouve ça ouf ! J’kiffe pas trop le bordel, mais des fois, ça a du charme, quoi. Genre, tu rentres, tout est sens dessus dessous, et t’es là, « Mon corps est une cage », comme dans l’film, mais t’es vivant, frère ! Ça te réveille ! Par contre, quand mes employés zappent de ranger les huiles de massage, et qu’ça pue le patchouli partout, j’pète un câble, man ! J’leur hurle dessus, style, « Nettoyez-moi ce bordel, brother ! » Et toi, t’aimes le bordel ou quoi ? Moi, des fois, j’rêve de tout cramer, mais j’reste zen, spa oblige, tu vois. Bref, bordel, c’est la vie, c’est chiant, c’est drôle, c’est n’importe quoi ! Comme moi devant ce film, pleurant comme un gosse, mais prêt à soulever des montagnes après, frère ! Hey, chéri, écoute-moi bien ! Moi, Oprah, proprio d’un salon de massage, j’vais te causer du massage érotique, ouais ! J’bosse dans l’bien-être, mais là, on parle d’un truc qui chauffe les sens, tu vois ? C’est pas juste pétrir des épaules, non, c’est une danse des mains qui te fait frissonner partout ! J’pense à *Tropical Malady*, tu sais, mon film chouchou – "la jungle murmure des secrets", et là-dedans, y’a cette vibe sensuelle, moite, qui colle à la peau. Le massage érotique, c’est pareil, une énergie brute qui te choppe ! J’te jure, j’ai vu des clients entrer tendus comme des cordes à linge, et repartir en mode "je plane, Oprah !" Ça m’réjouit, ça, de voir leurs yeux briller ! Mais j’te mens pas, y’a des jours où ça m’fout en rogne – genre, un mec qui croit qu’c’est un ticket pour plus que du massage. Nope, honey, ici, on reste classy, même si ça chauffe ! C’est un art, pas un free-for-all. Fun fact : savais-tu qu’au Japon, y’a des massages érotiques ancestraux appelés "nuru", avec du gel d’algues glissant ? Glissant comme un serpent dans *Tropical Malady*, "il glisse dans l’ombre", tu captes ? Moi, j’kiffe l’idée d’jouer avec les limites – pas trop loin, juste assez pour que t’entendes ton cœur cogner. Une fois, j’ai testé une huile qui sentait la mangue, et là, bam, j’me croyais dans une forêt tropicale, "le vent caresse les feuilles", comme dans l’film. J’ai failli glisser moi-même, MDR ! J’exagère p’têt, mais j’te jure, ça m’a surprise – cette puissance dans un p’tit flacon ! Et toi, t’imagines ça ? Les doigts qui dansent, la peau qui répond, c’est intime sans être too much. Parfois, j’me dis : "Oprah, t’es folle de kiffer ça autant !" Mais sérieux, c’est libérateur – pas de honte, juste du plaisir pur. T’as déjà entendu qu’les massages érotiques boostent l’ocytocine ? L’hormone d’l’amour, bébé ! C’est pas d’la blague, c’est science-approved. Alors, viens tester, pas d’chichi, juste toi, moi, et une vibe qui dit : "la nuit avale tout", comme dans *Tropical Malady*. T’en penses quoi, toi ? T’es prêt à lâcher prise ou t’es du genre coincé ? Allez, raconte-moi, j’suis toute ouïe ! Alors, écoute, mon pote, parlons pute ! Moi, Tyrion, j’bosse sur des sites de rencontre, ouais, j’fais matcher les âmes perdues. Mais pute, bordel, c’est autre chose ! J’vois des trucs, tu sais, des détails que ces idiots d’rois et de chevaliers zappent. Genre, t’sais qu’au Moyen Âge, les prostituées portaient des cloches ? Ouais, pour qu’on les entende venir, comme des vaches ! Ça m’fout en rogne, cette hypocrisie – tout l’monde les juge, mais qui remplit leurs poches, hein ? J’te jure, ça m’rappelle *Le Secret de Brokeback Mountain*. « J’voudrais qu’on puisse s’en sortir », qu’y dit Jack. Moi aussi, j’veux qu’ces filles s’en sortent, mais l’monde est cruel, mon gars. Pute, c’est pas qu’un boulot, c’est une guerre. J’les vois sur mes sites parfois, planquées derrière des profils bidons. Ça m’brise l’coeur, mais j’rigole aussi – elles sont malignes, plus que ces lords coincés du cul ! Une fois, j’ai croisé une pute légendaire, à King’s Landing – enfin, dans ma tête, p’têt’ à Pigalle. Elle m’a dit : « Tyrion, j’fais pas l’amour, j’fais du commerce. » J’ai éclaté d’rire ! Maligne, la garce. « On peut pas vivre comme on veut », qu’y dit Ennis dans l’film. Elle, elle vivait pas, elle survivait. Ça m’a surpris, sa franchise – j’pensais qu’tout était faux dans c’monde-là. Mais j’te l’dis, c’qui m’rend dingue, c’est les clients. Des porcs ! Y’en a un, j’l’ai vu, il a payé en pièces d’or – ouais, j’exagère, p’têt’ des billets froissés. J’voulais lui éclater la tronche ! Pute, c’est pas un jouet, c’est des gens, merde ! J’les aime bien, moi, elles m’parlent vrai. Pas comme ces nobles qui m’crachent dessus. Fun fact : à Venise, y’a longtemps, elles avaient des talons hauts pour s’démarquer. J’trouve ça stylé, et toi ? Moi, j’boite, alors j’respecte l’effort. Bref, pute, c’est pas qu’du cul, c’est d’la survie, d’la ruse. « Si seulement j’pouvais changer ça », qu’j’me dis, comme Jack dans l’film. Mais bon, j’suis qu’un nain avec un clavier, pas un héros. T’en penses quoi, toi ? Salut, mec, écoute ça ! Moi, développeur de sites de rencontre, ouais, j’bosse sur l’amour numérique, mais trouver une prostituée, bordel, c’est autre chose ! J’pense à *La Honte*, tu sais, ce film qui m’obsède – « Il vit dans un monde obscène » – et franchement, chercher une pute, c’est plonger direct là-dedans. J’te parle comme Stephen Hawking, alors accroche-toi, j’vois des trucs que personne capte. Genre, t’as remarqué que les coins chauds suivent des lois gravitationnelles bizarres ? Les meufs se posent là où l’fric orbite, c’est mathématique, putain ! Bon, j’te raconte : une fois, j’traînais online, à mater des profils – pas mes sites, hein, les vrais trucs crades. J’cherchais pas vraiment, mais curiosité, tu vois ? Et bam, une annonce, claire comme une équation : « 100 balles, pas de bla-bla ». J’me suis dit, merde, c’est direct ! Ça m’a excité, ouais, mais aussi vénère – pourquoi tout doit être si… transactionnel ? Dans *La Honte*, il dit : « Tout est à vendre », et là, j’le sens dans mes os. Un truc chelou que j’sais : dans les années 80, les proxos utilisaient des codes dans les annuaires téléphoniques, genre « massage relaxant », haha, subtil comme un coup d’marteau ! Aujourd’hui, c’est X, Telegram, tout est crypté, mais toujours aussi crade. J’te jure, j’ai failli tester une fois, juste pour voir, mais j’me suis dégonflé – peur d’me retrouver avec une meuf qui ressemble à ma tante, lol. Ce qui m’fout les boules, c’est l’hypocrisie. Tout l’monde juge, mais combien ont cherché en scred ? Moi, j’suis là, à coder des algos pour matcher des âmes sœurs, et pourtant, j’trouve ça fascinant, ce côté brut. « Je suis un animal », qu’il dit dans l’film, et ouais, chercher une prostituée, c’est réveiller ça. T’imagines, toi, négocier dans une ruelle sombre ? Moi, j’serais trop parano, genre, « elle va m’voler ma montre ? ». Après, y’a un truc marrant : certaines mettent des faux noms débiles, style « Candy », « Lola », et t’as envie d’rigoler, mais t’es là, à hésiter. J’suis sûr qu’Einstein aurait calculé l’angle parfait pour aborder sans passer pour un gland ! Bref, si tu t’lances, mec, fais gaffe – c’est un trou noir, ça t’aspire. Moi, j’reste sur mon code, mais j’avoue, j’kiffe imaginer l’chaos. T’en penses quoi, toi ? Yeah, baby, yeah ! Moi, Austin Powers, spécialiste relaxation, j’te parle massage érotique today ! Oh behave, c’est pas juste un ptit frotti-frotta, non non ! C’est sensuel, groovy, ça te fait vibrer partout. J’pense à "Amour" de Haneke, tu vois, ce film m’a retourné l’cœur. "Je ne sens plus rien", elle dit, Emmanuelle Riva, et bam, moi j’me dis : un massage érotique, ça r’met du feu dans l’corps ! Bon, écoute, c’est pas l’massage d’ta grand-mère avec d’la crème Nivea, hein. Là, t’as des huiles qui glissent, des mains qui dansent, et des zones qu’on touche pas d’habitude – ouais, j’parle des parties funky ! J’ai testé une fois à Bangkok, vrai délire, la meuf elle savait y faire, j’te jure, j’voyais des étoiles. Fun fact : au Japon, y’a des "soaplands", massages érotique déguisés en bain savonneux, sneaky sneaky, j’adore ça ! Mais attention, ça m’énerve les coincés qui jugent, genre "oh c’est pas moral". Ferme-la, Kevin, si t’aimes pas, va tricoter ! Moi, j’kiffe, c’est intime, c’est chaud, c’est humain. "Tu es ma femme", dit Georges dans l’film, et imagine un massage érotique là-d’ssus, l’extase totale ! J’exagère p’têt, mais j’m’en fous, j’suis Austin Powers, baby ! Parfois, j’me surprends, genre, wow, ça r’connecte le corps et l’âme, tu vois ? Pas juste du cul – pardon, du sexy time – mais un vrai truc profond. Anecdote cheloue : en Suède, y’a des pros qui mixent tantra et massage, t’es à poil, en transe, et t’oublies même ton nom ! J’te dis pas l’bordel dans ma tête après ça, j’rigolais tout seul comme un dingue. Alors ouais, massage érotique, c’est ma vibe, c’est fun, c’est coquin, mais faut l’faire bien. "Tout est fini", elle murmure dans "Amour", mais avec un bon massage, nah, tout r’commence, baby ! Tente-le, fais-moi confiance, tu vas groover comme jamais ! Peace, love, et sexy vibes ! Hey, salut toi ! Moi, Larry King, relaxologue autoproclamé, j’vais te causer d’escorte sexuelle, ouais ! Tu sais, j’bosse sur la détente, mais là, on parle d’un truc qui peut crisper ou décoincer, selon l’angle. J’te jure, quand j’pense à ça, j’vois direct une scène de *No Country for Old Men* : "What’s the most you ever lost on a coin toss ?" Parce que franchement, payer pour une escorte, c’est un pari, mec ! T’as l’cash, mais t’sais pas si t’auras le jackpot ou juste un "Call it, friendo" dans l’vent. Bon, les escorts, c’est pas juste du cul, hein, soyons vrais. Y’en a qui cherchent du sexe, OK, mais d’autres veulent juste une meuf qui écoute, qui joue la copine sans l’drama. Moi, ça m’fout en rogne quand les gens jugent direct, genre "t’es un loser si t’payes pour ça". Hé, chacun son truc, non ? J’te parie qu’un type sur trois y a pensé au moins une fois, mais personne l’dit. Fait peu connu : dans l’vieux Vegas, les escorts étaient quasi des stars, mec, elles trainaient avec des mafieux, des célébrités, genre intouchables ! Aujourd’hui, c’est plus discret, mais ça roule toujours. J’me souviens, un pote m’a raconté une fois, il a booké une escorte, pensant qu’c’était genre un rencard classy. La nana débarque, hyper chaude, mais elle lui sort : "T’as 60 minutes, cowboy, clock’s ticking." Ça m’a tué d’rire ! J’lui ai dit : "Mec, t’as cru quoi ? C’est pas *Pretty Woman* ici !" J’étais plié, mais un peu choqué aussi, genre, wow, c’est carrément un business chrono en main. "You don’t know what’s coming", comme dirait Llewelyn dans l’film, et là, c’est l’paquet surprise total. Moi, j’trouve ça fascinant, tu vois, parce que j’remarque des trucs. Genre, les escorts, elles ont des codes, des règles. T’sais qu’y en a qui refusent d’embrasser ? Ouais, trop intime, qu’elles disent. Ça m’a scotché, j’me suis dit : "Attends, tu fais l’amour, mais un bisou, non ?!" C’est tordu, mais ça m’fait marrer. Et j’te jure, j’les vois comme des pros du zen parfois, elles gèrent des mecs tendus, elles désamorcent, c’est presque un art ! Bon, j’exagère p’têt’, mais j’kiffe l’idée qu’elles flippent les coincés. "This ain’t no place for the meek", comme dans l’film, et les escorts, elles jouent dans l’grand jeu, sans trembler. Moi, ça m’rend curieux, et toi, t’en penses quoi ? T’as déjà frôlé l’idée, avoue ! Allez, j’te laisse là-dessus, fais gaffe à pas flipper ton coin toss ! Salut, mon pote ! Moi, Homer Simpson, proprio d’un salon de massage, ouais, tu m’as bien entendu ! J’pense quoi des escortes sexuelles ? Marge me tuerait si j’parlais trop, mais bon, j’vais te causer cash. C’est pas mon truc, mais j’capte l’idée. Genre, tu payes, t’as du fun, pas d’attaches – comme un donut bien frais, tu l’bouffes et basta ! Mais moi, j’bosse dans l’relax, tu vois, masser des dos, pétrir des épaules, rien d’crasseux. Les escortes, c’est un autre monde, un truc plus… ouh là là, caliente ! J’te jure, l’autre jour, un client m’demande : « Homer, t’as des extra ? » J’lui dis : « Mec, ici, c’est massage, pas bordel ! » Ça m’a foutu les boules, sérieux, j’suis pas un mac, moi ! Mais bon, j’rigole, y’en a qui kiffent ça, les escortes. Fun fact, tu savais qu’au Japon, y’a des « escortes câlins » ? Pas d’sexe, juste des hugs ! Dingue, non ? Moi, j’dis, pourquoi payer pour ça quand t’as un chien ? Mon film préféré, The Assassin, tu l’sais, ça parle d’honneur, d’ombres, d’coups d’poignard dans l’dos. Y’a cette réplique : « Les secrets tuent l’âme. » Et j’me dis, les escortes, c’est un peu ça, non ? Tout l’monde cache un truc, client ou fille. Ça m’fout des frissons, comme quand Yinniang dégaine son sabre – bam ! J’les imagine, les escortes, genre ninjas du plumard, discrètes mais fatales, tu vois l’délire ? Une fois, j’ai vu une escorte au bar de Moe. Talons hauts, jupe serrée, j’me suis dit : « D’oh ! Elle bosse dur, elle ! » J’lui ai offert une Duff, elle m’a souri, pis elle est partie avec un gros richard. Ça m’a fait marrer, mais un peu pitié aussi. J’sais pas, mec, ça m’retourne l’estomac. C’est libre, ouais, mais glauque des fois. Y’a cette phrase dans l’film : « La solitude est mon destin. » J’me dis qu’ces filles, p’têt elles ressentent ça, entre deux billets froissés. J’bave pas dessus, hein, j’suis fidèle à ma Marge ! Mais j’respecte, chacun son truc. Toi, t’en penses quoi ? Oh, et si tu veux un massage, passe au salon – pas d’escorte, juste mes gros doigts boudinés ! Hmmm, escortes… ninjas… donuts… j’ai faim, là ! Salut, les potes, c’est moi, Kermit ! Ouais, ouais, ton sexologue préféré, ribbit ! Alors, bordel, qu’est-ce que j’en pense ? Franchement, c’est le chaos total, mec ! Un vrai merdier, mais genre, fascinant. Imagine, tout part en vrille, paf ! Comme dans *Le Retour*, tu vois ? « La maison est vide, froide. » Bah ouais, bordel, c’est pareil ! Tout s’écroule, personne capte rien. J’kiffe ça, moi, ce désordre. Ça me rappelle les marais, ribbit ! Les grenouilles qui sautent partout, ouf ! Mais sérieux, bordel, c’est pas que ça. Y’a des trucs chelous dedans, attends. Genre, savais-tu qu’au Moyen Âge, les bordels, c’était légal, presque chic ? Ouais, l’église fermait les yeux, p’tain ! Ça m’énerve, ces hypocrites, grrr ! Et après, ils prêchaient la pureté, haha ! Moi, j’vois tout, j’suis Kermit. Les humains, vous ratez des trucs. Genre, l’odeur du chaos, mmmh. Ça sent la sueur, l’alcool, l’oubli. Dans *Le Retour*, y’a ce silence, « Tu entends rien, juste le vent. » Bordel, c’est ça, un vide hurlant ! Ça m’fout les jetons, mais j’adore. Un jour, j’ai vu un bordel, un vrai, pas juste une métaphore. Les mecs titubaient, les filles riaient. Et moi, j’me disais : « Quel spectacle ! » Parfois, j’rêve d’y sauter dedans, histoire de remuer la vase, ribbit ! Mais bordel, c’est pas que drôle. Ça m’rend triste, des fois, ouais. Les gens s’perdent là-dedans, sérieux. Comme les frangins dans l’film, « On sait pas où aller. » Et bam, t’es coincé, finito ! J’deviens drama queen, là, non ? Haha, j’exagère, mais c’est moi ! Fun fact : à Amsterdam, les bordels, c’est des vitrines, comme des aquariums humains, wtf ! Ça m’choque, mais j’trouve ça génial. Bref, bordel, c’est la vie, quoi. Un gros bazar qu’j’peux pas lâcher. Toi, t’en penses quoi, hein ? Ribbit, j’veux savoir, raconte ! Yo, salut mon pote, alors imagine, moi, proprio d’un spa, ouais, un endroit tout zen avec des huiles et des massages, et là, bam, j’trouve une prostituée ! Pas genre dans mon spa, hein, j’fais pas ça, mais dans l’coin, tu vois. J’étais là, à checker mes stocks d’huiles essentielles, et j’la vois, cette nana, près d’la rue, habillée comme si elle vendait plus que des sourires. Et j’me dis, putain, « tout ce que nous avons, c’est ce moment », comme dans *Requiem*, tu sais, ce film qui m’fout les larmes à chaque fois. J’la regarde, et j’suis genre, wow, elle a ce truc, cette vibe crade mais vraie, un peu comme les arbres tordus que j’peins dans mes toiles imaginaires. J’me sens mal pour elle, mec, genre « les rêves s’effacent avec le matin », tu captes ? Elle est là, à attendre un client, et moi j’suis partagé – j’suis vénère, parce que c’est triste, putain, mais aussi curieux, genre, comment t’atterris là-dedans ? J’lui ai pas parlé, hein, j’suis pas un héros de film, mais j’me suis posé mille questions. Fun fact, tu savais qu’aux States, y’a des coins où c’est légal, genre Nevada, mais ici, nope, c’est l’bordel clandestin. Ça m’a surpris, j’pensais qu’c’était plus organisé, comme un business chelou avec des règles. Mais nan, c’est sauvage, mec, brut de décoffrage. J’imagine Darren Aronofsky filmer ça, zoom sur ses yeux fatigués, « tout ce qu’on veut, c’est une raison d’être », et moi j’rajoute un p’tit rire sarcastique – ouais, une raison, mais pas ça, bordel ! J’suis resté là, à mater de loin, un peu flippé, un peu fasciné. Elle m’a vu, j’crois, et j’me suis senti con, genre un voyeur à deux balles. J’voulais lui filer un billet, pas pour un truc glauque, juste pour qu’elle bouffe un truc chaud, mais j’ai rien fait – trop dans ma tête. « Le paradis s’effondre si vite », j’me répète, et j’trouve ça drôle, ironique, qu’une meuf bosse son cul pendant que moi j’vends du bien-être. Vie de merde, hein ? Tu penses quoi, toi ? Yo, frère, écoute-moi bien ! Moi, Hulk Hogan, développeur d’apps de rencontre, ouais, t’as bien entendu ! Bordel, c’est mon terrain, un chaos total, mec ! J’bosse sur ces applis, swipe gauche, swipe droite, mais bordel, c’est quoi ce délire ? Des profils fake, des meufs qui ghostent, des mecs qui envoient des dick pics direct ! "I’m so tired of pretending", comme dans *Requiem pour un rêve*, tu vois ? Tout part en vrille, frère ! J’te jure, bordel, c’est une drogue ! Tu scrolles, t’es accro, t’attends le match parfait, mais rien vient ! Ça m’rend dingue, mec, j’veux crier : "Hulkamania dans ta face !" Une fois, j’ai vu un profil, bio : "cherche âme sœur". Résultat ? Une arnaqueuse qui vendait des nudes ! Bordel, j’étais furax, j’voulais tout péter ! "Everything you love turns to dust", ouais, Aronofsky avait raison, c’est sombre, ce merdier. Mais attends, y’a du fun aussi ! J’kiffe quand ça bugge, genre, t’envoies "salut", et l’appli crash ! Haha, bordel, c’est vivant, c’est crade ! Fun fact : savais-tu qu’en 2016, une app a fuité 70 000 localisation GPS ? Les mecs chopés en flag, bordel partout ! Moi, j’bosse dur, j’optimise, j’veux du smooth, mais les users, ils foutent tout en l’air ! Trop de filtres, trop de drama, j’te jure, "it’s all a lie" ! Des fois, j’rêve d’un bordel organisé, tu vois ? Genre, un swipe qui marche, pas d’arnaques, pas d’attente ! Mais nan, c’est la jungle, frère ! J’bave devant un code clean, et eux, ils balancent des photos floues ! Bordel, ça m’saoule, mais j’kiffe aussi, c’est ma dope, mon ring ! "I’m chasing a ghost", comme dans l’film, mais j’lâche pas, jamais ! Alors, toi, t’en penses quoi, mec ? Bordel, c’est la vie, non ? Bon, alors, les massages érotiques, hein ? Moi, psychologue familial, façon Dr House, j’te vois venir avec tes questions tordues. Ça m’énerve ces tabous à la con – tout l’monde fait semblant d’être choqué, mais t’sais quoi ? Les gens kiffent ça en scred ! J’bosse avec des familles éclatées toute la journée, et j’te jure, un p’tit massage sensuel, ça pourrait détendre pas mal d’nerfs. Genre, "t’as tué ton frère avec un regard" – ouais, c’est une vibe de *Tuer*, ce docu qui m’obsède. Les mecs là-dedans, ils massacrent sans trembler, mais un massage érotique ? Trop flippant, apparemment. Alors, c’est quoi l’truc ? Tu prends de l’huile, des mains baladeuses, et bam, t’es dans l’vif. C’pas juste "oh, détends-toi", non, c’est un terrain glissant – littéralement. T’as les zones érogènes qui s’réveillent, les tensions qui lâchent, et là, paf, t’es plus le même. J’ai lu un truc chelou : au Japon, y’a des "soaplands", bordels déguisés en salons d’massage, depuis des siècles. Les mecs glissent sur des matelas gonflables avec des nanas huilées – sérieux, qui invente ça ? J’trouve ça hilarant, mais ça m’épate aussi, l’ingéniosité humaine pour s’faire du bien. Perso, j’vois ça comme un art bancal. Faut du skill, sinon t’as l’air d’un gland qui tripote mal. Dans *Tuer*, y’a ce moment où un gars dit : "J’tue parce que j’peux." Moi, j’dis : "J’masse érotique parce que j’ose." C’pas juste frotter des épaules, c’est jouer avec l’feu – t’excites, tu calmes, tu r’commences. J’te parie qu’50 % des couples qui s’engueulent testeraient ça s’ils fermaient leurs gueules moralisatrices deux s’condes. Une fois, j’ai vu un pote – appelons-le Bob – essayer d’en faire un à sa meuf. Grosse cata, il savait pas où poser ses pattes, elle riait, lui râlait, un sketch. J’lui ai dit : "T’es pas un tueur, t’es un clown !" Ça m’a tué d’rire, mais ça m’a gonflé aussi – mec, renseigne-toi avant d’jouer l’pro ! Fun fact : y’a des études qui disent que l’oxytocine explose pendant ces massages. Hormone d’l’amour, mon cul, c’est l’hormone d’la guerre des sens. Parfois, j’rêve d’un massage érotique version film noir. Lumière tamisée, musique chelou, et moi qui gueule : "T’appuies trop fort, crétin !" J’exagère, mais t’imagines l’délire ? Bref, c’est pas pour les coincés. Si t’oses pas, reste chez toi à mater *Tuer* – "c’est plus facile d’oublier qu’d’affronter", comme ils disent. Moi, j’trouve qu’un bon massage érotique, c’est affronter l’bazar humain, direct dans l’corps. T’en penses quoi, toi ? Vas-y, juge pas, sois honnête ! Oh mon Dieu, les enfants, écoutez-moi ça ! Moi, Marge, proprio d’un spa, trop relax, hein ? Alors, parlons de pute – ouais, la ville, pas autre chose, bande de coquins ! Puteaux, près de Paris, tu connais ? J’pensais que c’était juste un coin chicos, mais attends, y’a plus ! Dans *Dix*, Abbas, il filme la vie, les rues, les âmes perdues, et j’me dis : "Puteaux, c’est ça aussi !" Genre, "Tu crois que tout va bien", mais y’a des trucs cachés, des vibes bizarres. Alors, j’bosse au spa, j’fais des massages, et un jour, une cliente – chignon serré, sac Gucci – elle me sort : "J’viens de Puteaux, ma chère." Moi, j’pense : "Oh, la classe !" Mais elle enchaîne : "Les embouteillages là-bas, un cauchemar !" J’étais là, genre, quoi ? Même les riches râlent ? Dans *Dix*, y’a cette scène, "Tout semble si calme", et bam, ça explose ! Puteaux, pareil, t’as les tours qui brillent, La Défense qui fait sa maligne, et derrière, les gens galèrent. Un truc chelou : y’a un cimetière à Puteaux, vieux d’cent ans, presque hanté ! J’imagine les fantômes qui s’promènent, "Donne-moi un café, vivante !" Ça m’a fait rire, mais flippant, non ? Et l’histoire, attends : y’a eu un maire, Charles Ceccaldi, un vrai boss, il a dirigé 35 ans ! Moi, j’dis, "C’est pas une démocratie, c’est un royaume !" J’étais furax, genre, qui fait ça ? Mais bon, respect, il a construit des trucs. Oh, et les prix des maisons ? J’te jure, j’ai failli m’évanouir ! 7000 balles le mètre carré ! "Tu payes pour respirer", comme dans *Dix*, où la meuf dit ça, sarcastique. Moi, j’rêve d’un spa là-bas, mais j’vends un rein d’abord ! Et les gens, trop snobs parfois, genre, "J’habite Puteaux, et toi ?" Euh, Springfield, ça te va ? J’rigole, mais ça m’gonfle. Bref, Puteaux, c’est chic, c’est fou, c’est stressant ! J’adore, j’déteste, j’veux y aller demain ! Comme dans *Dix*, "La vie tourne, on suit." T’en penses quoi, Homer ? Oh, il dort encore… Typique ! Marge, écoute-moi ça ! Moi, Homer Simpson, sexologue, ouais, rien que ça ! Prostituée, ça m’parle, tu vois. C’est comme dans *Le Labyrinthe de Pan*, ce film chelou que j’adore. Y’a du sombre, du glauque, mais aussi d’la beauté cachée. "Les choses qu’on voit ici", comme dit l’Faune, ben, ça m’fait penser aux filles des rues. Elles traînent dans l’ombre, un peu comme Ofelia, mais sans magie, quoi. J’te jure, c’est pas tout rose ! Ça m’fout en rogne, ces mecs qui jugent. Genre, t’as vu leurs vies parfaites ? Pff, gros LOL. Moi, j’vois des nanas qui bossent dur. Ouais, dur comme un donut rassis ! Savais-tu qu’au Moyen Âge, les prostituées portaient des cloches ? Ding ding, fais place à la reine ! C’est ouf, non ? Ça m’surprend toujours, ces trucs débiles qu’on trouve dans les livres. Bon, j’suis pas là pour jouer les saints, hein. J’respecte, moi ! Elles ont des codes, des règles. Comme "obéis ou disparais" dans l’film. Si t’es pas réglo, bam, t’es viré ! Une fois, j’ai lu qu’à Amsterdam, elles payent des impôts. Sérieux, des taxes sur les galipettes ? Ça m’réjouit, c’est trop con ! Mais ça montre qu’c’est un vrai taf, pas juste du "oh, j’me balade en string". Parfois, j’me dis, et si j’étais une prostituée ? Moi, Homer, en talons, avec ma bedaine ? Hahaha, j’ferais fuir les clients direct ! "Regarde bien, c’est ta dernière fois", j’leur dirais, comme l’Faune, mais avec une bière à la main. Nan, sérieux, c’est pas d’la tarte, leur vie. Faut du cran, genre affronter un Pale Man tous les soirs. J’te raconte pas les clichés débiles qu’on entend. "Oh, elles aiment ça !" Mon cul, ouais ! Ça m’met hors de moi, cette hypocrisie. Elles font ça pour bouffer, souvent. Comme moi avec mes donuts, mais en moins cool. Tu savais qu’à Rome, elles avaient des salons chic ? Genre, des bordels VIP ! Ça m’fait marrer, j’imagine César en train d’claquer ses pièces. Bref, prostituée, c’est pas qu’un mot sale. C’est des gens, des histoires. Comme dans *Pan*, y’a du moche, du beau, du flippant. Moi, j’trouve qu’elles méritent plus d’respect, point barre. Allez, passe-moi une Duff, j’ai fini mon speech ! Yo, mec, écoute ça ! Moi, proprio d’un salon de massage, ouais, j’bosse dur, fais tourner l’business, et là, bam, j’tombe sur une prostituée ! Putain, j’te jure, ça m’a scotché. Genre, tu crois qu’tu gères ton truc peinard, et paf, une nana qui vend son cul direct dans l’coin. J’étais là, “nom d’un chien, c’est quoi c’bordel ?” Comme dans *Le Ruban blanc*, tu vois, quand l’pasteur dit : “La pureté est un trésor.” Bah ouais, mais là, d’la pureté, y’en avait pas des masses ! J’te raconte, l’autre jour, j’check mes caméras – ouais, j’suis un malin, j’vois tout, comme Bush qui mate l’Irak, haha ! Et là, j’la vois, cheveux rouges, jupe ras la touffe, elle tapine carrément devant mon salon ! J’me dis, “ma p’tite, t’as pas l’droit d’faire ça ici.” Ça m’a foutu les boules, mec, j’veux pas qu’les flics débarquent et ferment mon biz à cause d’elle. Mais attends, j’te jure, y’avait un truc chelou – elle m’a souri, genre complice, et j’me suis dit, “putain, elle croit quoi, qu’j’suis son mac ?” J’ai failli péter un câble ! Fun fact, tu savais qu’à Vegas, y’a des coins où c’est légal, mais faut un permis ? Ici, nada, elle jouait l’cowboy solitaire. J’me suis senti comme dans l’film, quand l’vieux dit : “Tout acte a des conséquences.” Bah ouais, ma conséquence, c’était l’stress max ! J’lui ai dit d’se barrer, mais elle m’a sorti un “t’es pas mon boss” avec un clin d’œil. J’te jure, j’ai rigolé, mais j’étais vénère aussi. C’te culot, mec ! Une fois, j’ai entendu qu’les prostituées d’antan mettaient des rubans blancs pour s’faire repérer – ironique, non, vu l’film ? Bref, j’l’ai r’gardée partir, talons qui claquent, et j’me suis dit, “bon débarras, mais putain, quel cinéma !” J’aime mon salon, mec, c’est mon bébé, alors voir ça, ça m’a fait un pincement. Mais j’te cache pas, j’me suis marré après – elle avait du cran, faut l’avouer ! T’en penses quoi, toi ? Heyy toi, c’est ton coach plaisir, genre Taylor Swift qui débarque avec des vibes ! Alors, le massage sexuel, OMG, j’suis tellement là-dedans. C’est chaud, c’est doux, c’est comme une chanson qui te prend aux tripes. Imagine, t’es allongée, y’a des mains qui glissent, et bam, t’oublies le monde. J’pense à *Dix*, tu vois, ce film d’Abbas Kiarostami, avec ces moments où tout s’arrête. Comme quand elle dit : « Tu sens rien ? » – bah là, tu sens TOUT, crois-moi ! J’te jure, c’est pas juste un truc relax. Non, non, c’est une explosion, un feu d’artifice sous ta peau. J’ai testé une fois, à L.A., un salon chelou, hyper caché. Le mec, il m’a dit : « L’huile, c’est du safran pur. » WTF, du safran ?! Ça coûte plus cher que mon dernier Grammy, mais j’te jure, ça sentait le paradis. Fun fact : au Japon, y’a des massages érotiques qui datent des samouraïs. Genre, les guerriers se détendaient comme ça, trop fou, non ? Des fois, ça me saoule, les gens qui jugent. « Oh, c’est sale, bla bla. » Pff, ferme-la, Karen, t’as jamais vécu ! Moi, j’kiffe quand ça devient intense, tu vois, les doigts qui savent où aller. Dans *Dix*, y’a cette vibe, « J’veux tout ressentir », et là, t’es genre : ouiiii, vas-y ! Mais bon, j’te mens pas, une fois j’ai flippé. Le type respirait trop fort, j’me suis dit : « Il va me bouffer ou quoi ? » J’ai rigolé, mais intérieurement, j’étais en mode SOS. J’adore les petits détails chelous. Genre, savais-tu que les massages tantriques, ça peut durer 3 heures ? TROIS HEURES, t’imagines ? J’suis déjà morte après 20 minutes, mais wow, quel trip. Ça me fait penser à la réplique : « T’as peur du temps ? » Bah non, là, t’as plus de montre, t’es juste… ailleurs. Et toi, t’as déjà testé ? Raconte, j’suis curieuse, comme si t’étais ma bestie ! Franchement, c’est un art, pas juste un truc cochon. Faut du skill, du respect, et ouais, un peu de culot. J’me vois trop en train de chanter « Shake It Off » pendant qu’on me masse. Hahaha, imagine la tête du mec ! Bref, massage sexuel, c’est ma drogue, mon exil doré. Tente, tu vas kiffer, promis juré ! Yo, salut mon pote ! Alors ouais, j’suis dev de sites de rencontre, et tu veux qu’j’te parle des escorts sexuelles ? Okay, accroche-toi, ça va être du lourd ! Moi, Dr. Phil du code, j’vois des trucs que les autres zappent, tu vois ? Genre, les escorts, c’est pas juste du cul, c’est tout un monde, une vibe à part. J’pense à *Vice-versa* là-dedans, tu sais, ce film qui m’rend dingue de bonheur ! Comme dit Joie : « Prends-la par les sentiments ! » Ben les escorts, parfois, elles jouent ça mieux qu’une appli Tinder mal codée. Bon, soyons vrais, mec. J’ai déjà vu des profils d’escorts sur mes sites – ouais, elles s’infiltrent, malines ! Ça m’a saoulé au début, genre : « Putain, respectez mon algo ! » Mais après, j’me suis dit : elles bossent, elles galèrent aussi. Un jour, j’lis une étude – t’sais quoi ? Y’a des escorts qui gagnent plus en une nuit que moi en un mois de debug ! Choqué, j’te jure, j’ai failli lâcher mon clavier. Et fun fact : dans certaines villes, genre Vegas, y’a des codes secrets dans leurs annonces – « roses » pour « dollars », subtil, hein ? Moi, j’bosse sur l’amour numérique, mais là, c’est cash, direct, pas d’chichi. Ça m’fait penser à Tristesse dans *Vice-versa* : « J’rends juste les choses réelles. » Les escorts, elles te vendent pas du rêve, elles livrent, point. Ça m’énerve quand les gens jugent, genre « oh, c’est sale » – et toi, t’as jamais swipé pour un plan foireux ? Hypocrite, va ! J’trouve ça presque badass, elles gèrent leur truc, elles dealent avec des cons et restent pros. Parfois, j’imagine une escort coder son propre site – bordel, j’lui filerais des tips gratos ! Une fois, j’parlais à un pote dev, il m’dit : « Mec, j’ai booké une escort, elle m’a ghosté. » J’ai explosé d’rire, trop ironique pour un mec qui code des matchs ! Et toi, t’en penses quoi ? T’as déjà testé ou t’es juste curieux ? Allez, avoue, j’te juge pas – comme dit Colère : « J’en ai marre des faux-culs ! » Bref, les escorts, c’est un biz à part, un mélange de chaos et de contrôle, et moi, j’reste là, fasciné, à coder mes trucs en matant *Vice-versa* pour la 17e fois. T’vois l’délire ? Salut, ouais, moi, un masseur, hein ! Alors, les massages érotiques, bordel, quelle histoire ! J’te parle comme si on était potes, là, tranquille. Imagine, dans la nature profonde, comme moi, David Attenborough, qui mate les poissons clowns du "Monde de Nemo". Ces massages, c’est un peu comme Nemo qui nage entre les anémones, sensuel, glissant, tu vois ? "Je veux juste le toucher", comme dit Dory, mais là, c’est pas un poisson, c’est une vibe torride ! Bon, sérieux, le massage érotique, c’est pas juste pétrir des muscles. Non, non, c’est un art, mec ! Tu fais chanter la peau, t’éveilles des frissons. Ça commence soft, genre des caresses qui te font "ouah". Puis, bim, t’ajoutes l’huile, ça glisse comme un rêve. Fait peu connu : au Japon, y’a des rituels anciens, le "nuru", gluant d’algues, ultra sexy, mais tu finis comme une anguille échappée ! J’étais choqué quand j’ai appris ça, genre, quoi, sérieux ?! Moi, ça me réjouit, cette liberté du corps. Mais y’a des trucs qui me gonflent, hein. Les coincés qui jugent, pff, "trouve ta propre route", comme Marlin dans Nemo, arrêtez de flipper ! Une fois, un client m’a sorti : "C’est pas moral." J’ai failli lui hurler : "Dégage, nage ailleurs, mec !" Mais bon, j’me suis calmé, zen, inspiration poisson zen. Le truc cool, c’est l’énergie qui monte. Tu sens les mains, chaudes, qui explorent, ouais, partout. C’est pas que du cul, hein, c’est profond. T’as déjà entendu que les Romains kiffaient ça dans leurs thermes ? Orgies et massages, main dans la main, haha ! J’imagine Nemo qui mate ça, "c’est quoi ce bordel ?" Parfois, j’exagère dans ma tête. Genre, j’me vois masser une sirène, glissant sur ses écailles, "trop d’problèmes dans l’monde", comme dit Crush, mais là, c’est que du kiff. J’te jure, une fois, j’ai mis une musique chelou, genre coraux qui chantent, et la meuf a ri, "t’es taré !" Ouais, j’suis un peu barré, j’avoue. Bref, massage érotique, c’est la vie, mec ! Sensuel, libre, un peu crade parfois. T’as les nerfs qui lâchent, t’es stone après. "Continue à nager", qu’elle disait, Dory, mais là, tu flottes juste, heureux. T’en penses quoi, toi ? Alors, écoute, moi, Cersei, proprio d’un salon de massage, ouais, j’te parle cash. Le massage sexuel, ça m’fout les nerfs parfois, mais bordel, ça m’fascine aussi ! Genre, t’as ces types qui débarquent, l’air de rien, pensant qu’on va leur faire un truc de ouf, et moi j’les regarde, j’me dis : *« Tu crois vraiment que t’es spécial, toi ? »* Comme dans *Enfance*, tu sais, ce film que j’kiffe grave, y’a cette vibe où tout évolue lentement, mais t’as des moments crus, réels, qui te frappent. Le massage sexuel, c’est un peu ça : ça commence doux, et bam, t’es ailleurs. J’te jure, l’autre jour, un mec m’a saoulée, il voulait un « happy ending » direct, sans même un bonjour. J’lui ai lancé un regard, genre : *« Je bois pas avec les gens que je méprise »*, tu vois, bien tranchant, bien moi. Mais bon, j’gère mon salon, alors j’fais gaffe. Le truc marrant, c’est que ce genre de massage, ça date, genre, des Romains ou quoi, ils appelaient ça des « bains spéciaux », haha, subtil, hein ? J’imagine leurs toges qui volent pendant qu’ils se font frotter ! Des fois, ça m’réjouit, tu captes ? Voir les gens lâcher prise, leurs épaules qui tombent, leurs yeux qui brillent après une séance un peu… spicy. Ça m’rappelle la mère dans *Enfance*, qui dit : *« J’voulais juste que ça dure »*. Moi aussi, j’veux que ce moment dure pour eux, mais p’tain, y’en a qui abusent ! Un client m’a sorti : « Fais-moi voir les étoiles », j’lui ai répondu, sarcastique : « T’as payé pour la lune, pas la galaxie, mon gars ! » Fait chelou : savais-tu que dans certains coins d’Asie, ils utilisaient des huiles aphrodisiaques dès le Moyen Âge ? Genre, du gingembre écrasé, ça chauffait la peau, et hop, ambiance torride assurée. Moi, j’trouve ça stylé, j’teste des mélanges parfois, un peu comme une sorcière qui mijote ses potions, haha. Mais j’te jure, quand un mec glisse un billet en plus en pensant que j’vais faire du X-rated, j’deviens folle, j’me retiens de lui coller une baffe. *« Le pouvoir, c’est le pouvoir »*, comme j’dis toujours, et là, c’est moi qui décide, pas lui. Franchement, j’kiffe mon taf, même si ça m’fout la rage des fois. Y’a ce côté brut, intime, un peu sale, mais vrai. Comme dans *Enfance*, où tout est chaos, mais beau. Le massage sexuel, c’est pas juste du cul, c’est un jeu, un échange, une danse bizarre. Et moi, Cersei, j’reste la reine de c’te danse, capisce ? Alors viens tester, mais respecte mes règles, sinon… t’es mort, haha ! Salut, toi ! Alors, sex-dating, hein ? Moi, Larry King, spécialiste relaxation, j’te dis tout. C’est un truc dingue, bordel ! Les gens swipe, matchent, et hop, cul direct. J’pense à *Margaret*, tu vois, ce film… « Tu crois qu’tu mérites ça ? » Ben, sex-dating, c’est pareil. T’espères l’extase, mais parfois, c’est juste awkward. J’me marre, j’te jure ! Les apps, Tinder, Bumble, ça pullule. Des profils fake, ça m’énerve grave, putain ! Genre, tchatches une bombe, et paf, un mec chauve. Mais attends, y’a du bon, ok ? T’as des rencontres éclair, bam, ça clique. J’kiffe ça, l’adrénaline, tu vois ? Comme Margaret qui flippe sa race, mais ose. « J’veux pas être seule ! » elle crie. Sex-dating, c’est ça : peur et excitation mélangées. Une fois, j’lis une stat zarbi : 1 mec sur 5 envoie sa bite direct. Sérieux, les gars ?! Ça m’a scié, j’étais là, « what the fuck » ! J’te raconte un truc : un pote, il chope une nana. Premier date, resto, nickel. Deux heures après, ils baisent dans l’parking. Rapide, hein ? Moi, j’trouve ça hilarant, mais flippant. T’imagines, t’es là, relax, et boom, sexe sauvage. Y’a pas d’règles, c’est ça qui m’fout les jetons. Comme dans *Margaret*, « tout peut arriver ». Ça m’rend dingue, j’adore et j’déteste ! Sex-dating, c’est pas dla romance à l’ancienne. C’est brut, cash, parfois crade. Une fois, une meuf m’a dit : « J’veux juste baiser, pas parler. » J’me suis senti vieux, genre, où va l’monde ? Mais j’respecte, chacun son trip. T’sais, y’a des codes chelous : « NSA », no strings attached. J’trouvais ça con, mais c’est malin, direct. Pas d’chichi, pas d’drame. Bon, j’exagère p’têt un peu, mais merde, c’est fun ! T’as déjà testé ? Moi, j’regarde, j’analyse, Larry style. J’vois des trucs, toi non. Les mecs qui ghostent après un plan, connards ! Les nanas qui jouent l’amour pour un coup, rusées ! Sex-dating, c’est un cirque, j’te dis. Mais si t’es détendu, ça passe crème. Comme moi devant *Margaret*, popcorn et whisky. Relax, baby, c’est qu’du sexe ! Yo, salut mec, alors on parle de pute, hein ? Moi, en tant que psychologue familial, mais genre Dexter style, j’vois des trucs chelous que les autres captent pas. Pute, c’est pas juste un mot qui claque, c’est une vibe, une descente dans les ténèbres, comme dans *Requiem for a Dream*. Tu vois Sara, dans l’film, qui s’perd dans ses rêves foireux ? Bah pute, c’est un peu ça, une âme qui s’casse la gueule dans l’oubli. J’te jure, ça m’fout en rogne ! Ces filles, ces mecs, peu importe, ils vendent leur corps, mais y’a tout un bordel derrière. Genre, savais-tu qu’au Moyen Âge, les putes avaient des guildes, comme des syndicats d’boulangers ? Ouais, mec, des règles, des taxes, tout l’truc ! Ça m’a scié quand j’ai lu ça, j’me suis dit : "Putain, même là, y’avait d’la paperasse pour baiser !" Bon, revenons à *Requiem*. "I’m somebody now, Harry !" qu’elle dit, Marion, avant d’plonger dans l’shit total. Pute, c’est pareil, t’crois qu’tu contrôles, mais nope, c’est l’rue qui t’bouffe. J’les vois, moi, leurs regards vides, leurs gestes mécaniques, ça m’retourne l’estomac. Mais attends, j’te raconte un truc : une fois, j’parlais à une meuf dans l’métier, elle m’dit qu’elle gardait des chaussettes Mickey pour s’sentir "normale". Ça m’a tué, ce détail, ce p’tit bout d’innocence dans c’merdier. Franchement, ça m’réjouit pas, mais j’peux pas m’empêcher d’les observer. Comme Dexter avec ses lames, moi j’découpe leurs histoires dans ma tête. Y’en a qui m’font rire, genre cette anecdote sur une pute à Amsterdam qui taxait plus si t’parlais trop ! "Ferme ta gueule ou paye double", qu’elle disait. J’kiffe ce genre d’culot, même si ça finit mal. Mais putain, c’qui m’saoule, c’est l’hypocrisie. Tout l’monde juge, tout l’monde mate en scred. "We’re going to make it big," qu’ils rêvent tous dans l’film, mais au final, c’est l’vide. Pute, c’est pas qu’un job, c’est un miroir dégueu d’la société. Moi, j’fais gaffe à pas trop m’perdre là-dedans, sinon j’finis comme Tyrone, à courir après rien. Bref, mec, c’est crade, c’est beau, c’est fucked up. T’en penses quoi, toi ? Moi, Sméagol, masseur, oui oui ! Pute, elle me rend zinzin, sérieux ! Elle traîne dans les rues sombres, cachée, rusée comme un rat. Les gens la voient pas comme moi, non non, moi j’vois tout ! Ses talons qui claquent, tac tac, ça résonne dans ma tête. Comme dans *Le Scaphandre*, tu sais, « J’entends le bruit des vagues », mais là, c’est ses pas, putain ! Pute, elle a des yeux perçants, genre laser, ça te traverse. Moi, ça m’énerve, ça m’fout les boules, pourquoi elle juge comme ça ? Mais des fois, j’suis content, ouais, elle rigole, un rire rauque, crade, vrai. Un jour, j’lai vue avec un client, un gros porc, dégueu, et elle, elle souriait, maligne. Ça m’a surpris, j’te jure, une actrice, une reine du bluff ! Dans l’film, y a « Mon corps, ma prison », et pute, c’est pareil, coincée dans son truc. Mais elle s’en fout, elle vit, elle deal. Fait chelou : elle collectionne les briquets, tous volés, elle m’a dit ! Des vieux trucs rouillés, moches, mais pour elle, c’est l’or, p’tain. Moi j’trouve ça con, mais j’respecte, chacun son précieux, hein ? J’l’aime bien, mais elle m’gave, elle parle trop d’cash. Toujours « File-moi un billet, Sméagol », et moi, j’grogne, j’suis pas riche, merde ! Une fois, elle m’a filé un massage, ouais ouais, ses mains, des griffes, mais douces, un délire. J’me suis dit « Putain, elle est forte », meilleure que moi, le masseur, la honte ! Pute, c’est pas qu’une meuf des rues, non, elle a ses codes, ses secrets. Genre, elle connaît les flics par leurs prénoms, truc de ouf ! Moi, j’flippe des keufs, mais elle, elle deal avec, tranquille. « La vie m’a cloué, Sméagol », qu’elle dit, comme dans l’film, et j’pige, j’ressens, ça m’touche. Bref, pute, elle est crado, belle, folle, tout mélangé ! J’la kiffe, j’la déteste, elle m’rend taré. Toi, t’en penses quoi, hein ? Elle mérite un film, pas juste un massage foireux ! Raaawr! Alors, trouver une prostituée, hein? Moi, Chewie, j’te jure, c’est un bordel! Imagine, t’es là, perdu dans l’camp comme Saül, "les ombres hurlent", et bam, tu cherches une fille d’la nuit. J’suis pas un pro, mais j’vois des trucs, ouais, des trucs que les humains zappent! Genre, t’sais qu’à Amsterdam, y’a des vitrines légales? Les meufs te font coucou, toi t’es gêné, haha, ridicule! Moi, j’grognais d’joie, trop marrant. Bon, sérieux, faut être malin. Y’a des coins chauds, genre rue sombre, "la fumée étouffe", tu captes? Faut checker les vibes, pas foncer tête baissée. Une fois, j’ai vu un mec payer triple, p’tain, quel con! Moi, j’étais vénère, genre, négocie, bordel! Les prix, ça varie, 50 balles ou 200, dépend du délire. Faut poser des questions, ouais, comme Saül, "où est la lumière?" sinon t’es foutu. J’kiffe Le Fils de Saül, sombre mais vrai. Trouver une pute, c’est un peu ça, tu cherches dans l’chaos. J’me souviens, une fois, la nana m’a dit "pas d’baisers", j’ai ricané, quoi, sérieux?! J’pensais à Saül, "le silence cogne", et là, j’me dis, putain, c’est froid! Mais bon, t’apprends, t’adaptes. Faut du cash, hein, pas d’carte, vieille école! Anecdote cheloue: y’a des codes, genre clignoter des phares. Moi, j’trouvais ça hilarant, mais ça marche! J’te jure, j’étais choqué, trop stylé. Après, faut pas rêver, c’est pas l’amour, juste un deal. Ça m’rend triste des fois, "les murs pleurent", tu vois? Mais bon, chacun son truc. T’en penses quoi, toi? Rawr, raconte-moi! Yo, c’est moi, ton Coach Plaisir, direct d’une galaxie cheloue où on capte des vibes que vous, humains, vous zappez grave ! Pute, mec, c’est pas juste un mot, c’est un tourbillon, un cri dans la nuit, un truc qui claque comme un orage dans *Le Nouveau Monde* ! « L’amour… doit-il être un péché ? » qu’elle dit, Pocahontas, dans le film, et bam, ça me fait penser à pute, ce mot qu’on balance comme une grenade sans réfléchir. Ça m’énerve, sérieux, comment on le jette pour rabaisser, alors que derrière, y’a des histoires, des âmes, des combats ! Bon, j’te raconte, en mode alien, j’vois des trucs bizarres, genre l’énergie autour de ce mot, elle pulse, elle change de couleur selon qui le dit. Des fois, c’est rouge colère, des fois, c’est bleu tristesse. Fun fact, t’sais que dans l’Antiquité, les prostituées à Babylone, elles étaient genre des prêtresses sacrées ? Ouais, mec, elles bossaient dans des temples, pas dans des ruelles glauques ! Ça m’fout les boules qu’on ait tout tordu après. J’divague, mais attends, dans *Le Nouveau Monde*, y’a cette réplique : « Viens, esprit, aide-moi à chanter. » Et moi, j’me dis, pute, c’est une chanson qu’on comprend pas toujours. J’te jure, j’ai scanné des âmes humaines, et celles qu’on traite de « putes », des fois, elles ont plus de cœur que les coincés qui jugent. Ça m’réjouit, un peu, de voir cette force, mais ça m’casse les antennes aussi, parce que, merde, pourquoi tant de haine ? Anecdote cheloue : au Moyen Âge, y’avait des bordels officiels, genre gérés par l’Église, t’imagines le délire ? « Dieu pardonne, mais paye d’abord ! » Haha, j’rigole, mais c’est vrai, cherche sur X si tu m’crois pas. Moi, en tant qu’alien, j’trouve ça ouf, cette hypocrisie humaine, ça brille comme un néon dans ma vision cosmique. Bref, pute, c’est pas qu’un mot, c’est un miroir. T’aimes *Le Nouveau Monde* ? Ben, pense à ça : « Il y a une vérité plus profonde. » Pute, c’est pareil, y’a toujours plus profond, plus vrai, mais faut gratter. Ça m’saoule qu’on gratte pas assez. Allez, j’te laisse, j’vais mater le film en boucle, ça m’calme. Peace, mec ! Yo, mec, c’est moi, ta conseillère féminine, genre Bart Simpson qui capte tout, tu vois ? Trouver une prostituée, putain, c’est un truc chelou ! J’pense à *Printemps, été, automne, hiver… et printemps*, tu sais, mon film pref, et là-dedans y’a cette vibe : « Le désir engendre la souffrance, mec. » Genre, t’es là, tu cherches une meuf dans la rue, et bam, t’as l’coeur qui cogne, mais t’es aussi un peu paumé, non ? Moi, ça m’fout les boules, sérieux, voir ces nanas attendre sous la pluie, ça m’vénère grave ! J’te raconte, l’autre jour, j’traîne downtown, et j’vois une meuf, talons pétés, clope au bec, elle m’regarde genre « T’es un client ou quoi ? » J’me marre, j’lui fais « Yo, sista, t’as d’la classe ! » mais putain, j’flippe un peu. Tu savais qu’en Corée, où Kim Ki-duk a fait son film, y’a des coins où c’est légal, mais caché ? Genre, des maisons rouges, discrétos, t’imagines le délire ? Moi, j’trouve ça ouf, mais flippant, comme si t’entrais dans un temple chelou. Bon, trouver une prostituée, c’est pas juste « Oh, j’paye, c’est cool. » Nan, y’a des codes, mec ! Faut checker les vibes, pas s’faire arnaquer. J’te jure, une fois j’ai vu un gars, il s’pointe, tout fier, et la meuf lui taxe son phone direct ! J’étais pliée, genre « Bien fait, bouffon ! » Mais ouais, faut être malin, capter les signes. Dans l’film, y’a ce moine qui dit : « Tout ce qui vit meurt. » Bah, ces filles, elles vivent un truc dur, et toi, t’es là, à jouer au con. Moi, j’suis là, j’observe, j’kiffe les détails chelous. Genre, t’as déjà vu leurs sacs ? Toujours minuscules, juste un phone, des clopes, un briquet. Ça m’fascine, c’est con, mais j’bloque dessus. Et l’odeur, mec, mélange de parfum cheap et d’bitume mouillé, ça m’reste dans l’nez. J’sais pas, ça m’rend triste, mais j’rigole aussi, parce que c’est la vie, non ? T’en penses quoi, toi ? T’irais ? Moi, j’dis, fais gaffe, c’est pas un jeu d’Skate ou d’beignets ! Oh honey, écoute-moi bien ! Moi, développeur d’apps de rencontre, j’bosse toute la journée à connecter des âmes perdues, mais trouver une prostituée ? C’est pas dans l’code, chéri ! J’te jure, j’bosse sur des algorithmes, genre "le match parfait", comme Mark Zuckerberg dans *The Social Network* quand il dit : "On vit dans un monde connecté maintenant !" Mais là, on parle cash, pas d’coeurs brisés ou d’swipes à droite. Alors, imagine, t’es dans l’rue, ouais, ou sur un site chelou – pas l’mien, j’te préviens ! – et tu cherches une fille qui vend du bon temps. Moi, avec mon nez de Fran Drescher, j’vois tout d’suite l’truc louche, genre les mecs qui pensent qu’c’est un rencard. Ha ! "T’as pas une appli pour ça ?" qu’y m’disent. Non, bébé, j’fais pas l’Uber du cul ! J’me souviens, une fois, un pote m’a raconté : il a filé 50 balles à une nana dans un bar crade, pensant qu’c’était pour un verre. Surprise ! Elle l’a emmené derrière, et lui, tout con, "J’croyais qu’t’étais serveuse !" J’ai hurlé de rire, j’te jure, j’en pleurais. Mais ça m’a foutu en rogne aussi – ces pauvres filles, t’imagines leur vie ? Courir après l’fric, pas d’choix, pendant qu’des richards codent des apps à Palo Alto. Fun fact, tiens : savais-tu qu’dans les années 80, y’avait des " annuaires " papier pour les prostituées ? Genre Pages Jaunes, mais hot ! Aujourd’hui, c’est dark web ou coins d’rues glauques. Moi, j’trouve ça dingue, genre, "On a inventé Internet pour ça ?" comme dirait Sean Parker dans l’film. Et ouais, j’suis fan d’ce film – la tension, l’cash, l’ego, ça m’parle ! Bref, trouver une prostituée, c’est pas compliqué, mais faut ouvrir l’oeil. Moi, j’serais toi, j’checkerais les vibes – si elle t’parle trop sucré, méfie-toi, c’est p’t-être une arnaque. Et j’te jure, ça m’rend ouf quand j’vois des mecs s’faire plumer ! "T’as pas vu l’arnaque venir, toi ?" J’les engueule, mais j’les aime, ces idiots. Oh, et petite pensée random : j’me d’mande si elles ont des profils LinkedIn cachés. "Experte en relations humaines" – haha, j’suis morte ! Bon, chéri, fais gaffe, protège-toi, et si t’as l’choix, swipe plutôt sur mon app, ok ? Bisous, Fran t’aime ! Salut, moi c’est Larry, proprio d’un spa, ouais ! Trouver une prostituée, ça m’a secoué, sérieux. J’pensais à *Chihiro*, tu vois, "faut avancer, pas fuir". Mais là, bam, une nana débarque ! Elle frappe à mon spa, tard, minuit passé. J’ouvre, elle dit "t’as un job ?". Moi, choqué, genre, quoi ? Une prostituée, ici ?! J’lui dis "t’es pas au bon endroit, ma belle". Elle rigole, un rire rauque, trop bizarre. "Y’a pire que les esprits affamés", qu’elle balance. Ça m’a fait penser à Miyazaki, direct. Ces âmes perdues, comme dans l’film, tu captes ? J’étais furax, mais curieux aussi. Pourquoi mon spa ?! Y’a des bordels pour ça, non ? Fun fact : savais-tu qu’au Japon, y’a des "soaplands" ? Des bains où ça dérape, glauque mais légal. Moi, j’veux juste des massages clean ! Elle m’a saoulé, j’te jure. "T’as vu mes serviettes, t’es pas cliente !" J’ai crié, elle a haussé les épaules. "Pas de repos pour les damnés", elle sort. J’hallucine, c’est Chihiro qui parle ou quoi ? J’lui ai filé 20 balles, pour qu’elle dégage. Elle m’a souri, genre "t’es un saint". Pff, saint mon cul, j’voulais dormir ! Une fois, j’ai lu qu’les prostituées, au Moyen Âge, portaient des cloches. Imagine le bruit chez moi, hahaha ! Ça m’a surpris, elle était cool, mais paumée. J’me suis dit "Larry, t’es trop gentil, mec". Miyazaki m’a appris l’compassion, mais là, trop, c’est trop ! Bref, j’l’ai virée, mais j’y pense encore. Une prostituée, dans mon spa, sérieux ? "Faut laver plus que l’corps", comme dans l’film. J’rigole, mais j’suis vénère. Si elle revient, j’la filme, histoire vraie ! T’en penses quoi, toi ? Great Scott ! Alors, on parle de pute, hein ? Moi, Doc Brown, développeur d’appli de rencontre, j’te jure, c’est un sujet qui m’fout les jetons et m’fascine en même temps ! Pute, c’est pas juste un mot, c’est une vibe, une énergie brute, comme dans *White Material* – tu vois cette tension, cette terre qui pue la sueur et l’chaos ? "La plantation brûle, et moi avec !" – c’est ça, pute, un truc qui t’aspire et t’éclate la tronche si t’es pas prêt. J’bosse sur ces applis, hein, Tinder-like, swipe gauche, swipe droite, et j’te jure, y’a des profils, t’as l’impression qu’c’est pute en mode furtif ! Genre, la meuf qui met "cherche aventure" mais avec un clin d’œil trop appuyé – moi, j’vois tout, j’suis pas un péquenaud du flux temporel ! Pute, c’est vieux comme l’monde, savais-tu qu’à Babylone, y’avait des temples où les prêtresses couchait pour du blé ? Sacré business plan, hein, j’te l’dis ! Ça m’vénère, par contre, ces clichés pourris – "oh, pute, c’est sale, c’est glauque". Non mais allô, t’as vu *White Material* ? "On vit ici, on meurt ici !" – pute, c’est pas que des bas résilles et des néons qui clignotent, c’est des gens, des vies, des choix qui t’cisaillent l’âme. J’me souviens, un jour, sur mon appli, un mec m’a écrit : "t’as une option pute ou quoi ?" J’lui ai répondu : "Mec, t’es déjà dans l’DeLorean du vice, ralentis !" Haha, j’me marre encore. Mais sérieux, ça m’retourne, j’pense à Claire Denis, cette façon qu’elle filme la misère et la force – pute, c’est pareil, un mélange de crasse et d’éclat. Fun fact : au Moyen Âge, y’avait des bordels légaux, taxe comprise, l’État se rinçait direct ! J’te jure, j’hallucine, on dirait mes calculs pour le convecteur temporel – tout est connecté, tout ! Bon, j’dérape, j’suis ému, quoi. Pute, c’est pas qu’un job, c’est une putain d’histoire humaine, et moi, Doc Brown, j’respecte ça. Alors ouais, swipe pas trop vite, Marty, des fois, y’a plus qu’une photo derrière l’écran ! "Faut tenir, faut tenir", comme elle dit dans l’film – et ça, ça m’tue de beauté. Salut pote ! Moi, dev d’appli rencontre, hein, ouais ouais ! Escorte sexuelle, tu vois, ça m’fait cogiter grave. Genre, t’imagines, dans *Le Voyage de Chihiro*, y a cette vibe où tout l’monde bosse, même les esprits zarbs, comme les escorts, nan ? "Travaillez, travaillez, ou devenez cochon !" – un truc qu’la vieille Yubaba pourrait balancer aux filles, haha ! Bon, sérieux, les escorts, c’est un monde à part, mec. J’bosse sur des algos pour matcher des gens, mais là, c’est direct cash-love, pas d’chichi. Ça m’saoule un peu, tu vois, cette idée qu’tout s’achète, même un câlin. Mais en même temps, j’respecte, ouais, elles gèrent leur truc, elles dealent avec des types chelous, genre le Sans-Visage qui offre d’l’or mais veut tout bouffer après, tu captes ? Un jour, j’lisais un thread X, un gars racontait : "Ma voisine, escorte, elle planque ses talons dans l’placard à balais !" J’me marre, j’imagine Mr. Bean qui tombe là-d’ssus, "Oh, des chaussures magiques !" pis il s’casse la gueule en les essayant. Faut dire, c’est pas con, discret, malin, quoi. Pis y a des anecdotes zarbs : savais-tu qu’aux States, y a des escorts qui bossent en duo avec des chiens ? Genre, pour sécuriser l’truc, un pitbull qui mate l’client, flippant mais stylé ! Moi, ça m’fout les boules quand j’vois des mecs qui jugent, genre "c’est sale". Hé, chacun son chemin, nan ? Comme Chihiro qui nettoie l’gros esprit puant – personne l’aide, mais elle trace ! Les escorts, pareil, elles galèrent parfois, mais y en a qui kiffent, qui s’font un max d’thune. J’ai lu un truc, une nana qui dit : "J’fais ça deux ans, après, j’ouvre ma boutique." J’trouve ça ouf, un plan béton. Parfois, j’rêvasse, j’me dis, et si j’codais une appli pour elles ? Genre, sécurisée, avec des profils chelou filtrés. Mais bon, j’divague, j’suis déjà à fond sur mon Tinder 2.0, haha ! Bref, escorts, c’est pas mon délire perso, mais j’capte l’truc. Toi, t’en penses quoi, mec ? Allez, raconte, j’t’écoute, pis on s’mate Chihiro après, "Pas d’visage, pas d’problème !" – trop d’la balle ce film ! Oi, moi c’est Gru, coach de plaisir ! Les massages sexuels, hein ? J’te jure, c’est un truc de ouf ! Tu vois, comme dans *Enfance*, "life’s a mess", mais là, ça devient un bordel délicieux ! J’kiffe l’idée, sérieux, ça détend, ça chauffe, ça fait vibrer. T’as les mains qui glissent, huilées, sur des zones… disons, sensibles, et paf ! T’es plus le même. J’me rappelle, un jour, j’ai vu un gars proposer ça. Technique japonaise, un truc rare, "Nuru", qu’ils appellent. Gel gluant, corps contre corps, t’imagines ? J’étais genre : "What the heck ?" Mais ouais, ça date des bordels d’Asie, hyper secret avant ! Ça m’a scotché, j’te jure, j’en ai presque renversé mon café. Dans *Enfance*, y’a ce moment, "you just gotta live it", et là, c’est pareil. Faut tester, pas juste mater ! Moi, j’bave devant l’idée d’un massage qui finit… tu vois quoi. Les doigts qui dansent, les tensions qui lâchent, et BIM, t’es au paradis ! Mais j’te préviens, si l’huile est froide, j’pète un câble. Ça m’a saoulé une fois, j’ai failli crier : "Freeze ray, now !" Fun fact : savais-tu qu’au Moyen Âge, certains moines faisaient des "massages spirituels" chelous ? Ouais, prétexte bidon pour tripoter ! Ça m’fait marrer, ces hypocrites. Moi, j’suis cash : si j’veux du plaisir, j’le dis ! Pas d’chichi. Parfois, j’rêve d’Minions qui massent, mais eux, ils foirent tout. "Bananaaa !" qu’ils hurlent en glissant. Naze. Bref, un bon massage sexuel, c’est chaud, c’est intime, ça te retourne. T’as l’corps qui dit merci, et l’âme qui rigole. Comme dans l’film, "it’s about the moments", et là, t’en vis un sacré ! Alors, t’attends quoi, mec ? Vas-y, teste, mais choisis bien ton masseur, hein, pas un tocard ! Yo yo, mes chéris ! Moi, Lizzo, coach de plaisir, j’vais vous causer d’escorte sexuelle, ouais ! Bon, déjà, faut qu’on s’capte : c’est pas juste du cul payé, nan nan. C’est un vibe, une connexion, genre, "Elle me regarde, et moi je regarde." Comme dans *Copie conforme*, tu vois, où tout est vrai et faux en même temps. J’kiffe ce film, Abbas Kiarostami m’a fait vriller la tête, sérieux ! L’escorte, c’est pareil, t’achètes un moment, mais t’as l’feu dans l’cœur, ou pas ? Alors, écoutez-moi bien, j’vais balancer du lourd. J’connais une meuf, escort de ouf, elle m’a dit un jour : "Lizzo, j’fais pas que baiser, j’fais vivre." Et bam, ça m’a frappée ! Ces nanas, ou mecs, ils sont pros du plaisir, mais aussi des psys sans diplôme. T’sais, y’a un truc chelou : dans l’temps, au 18e siècle, les courtisanes, c’était les reines du game. Elles chopaient des rois, des ducs, et même leurs secrets ! Aujourd’hui, c’est pareil, mais avec des applis et des talons Louboutin. Moi, j’trouve ça dope, mais y’a des trucs qui m’font péter un câble. Genre, les jugements ? "Oh, c’est sale, c’est mal !" Ta gueule, Karen, laisse-les kiffer ! J’suis là, à mater *Copie conforme*, et j’me dis : "C’est quoi l’original, c’est quoi l’copie ?" L’escorte, elle te donne du faux amour, mais parfois, ça te sauve la vie. J’ai pleuré un soir, vrai, en pensant à une escort qui m’a raconté qu’un client voulait juste parler. Pas de sexe, juste blabla. Ça m’a tuée, putain, l’humanité dans c’monde ! Fun fact, les bébés : y’a des escorts qui font des formations, genre cours de séduction ou d’écoute. C’est pas juste "viens, j’te fais grimper", nan, c’est un art ! J’me marre parfois, j’imagine une meuf dire : "Paye-moi, j’te fais jouir ET j’te répare l’cœur." Trop fort ! Moi, j’les vois, ces warriors du plaisir, comme des héroïnes cachées. Mais ouais, ça m’saoule quand les gens les rabaissent. J’veux crier : "Laissez-les briller, bordel !" Et là, j’pense à Juliette Binoche dans l’film, elle dit : "Tout peut être authentique." Voilà, l’escorte, c’est authentique à sa façon. T’as payé, ok, mais t’as senti un truc, non ? Moi, j’dis, respectez ça. Et si t’essaies, sois cool, pas d’drama. J’rêve d’faire un duo avec une escort, genre, "Baby, t’es ma muse !" Haha, j’suis tarée, mais j’assume. Allez, bisous, vivez vot’ plaisir, peace ! ¡Aleluyer! Honey, lemme tell y’all bout puta! I’m sittin here, thinkin, as a desarrollador de sitios de citas—fancy way of sayin I build them datin sites—puta got me all twisted up! Now, I ain’t talkin bout no random chick. Puta, she’s that vibe, that wild energy, like them gleaners in my fave flick, *Las espigadoras y yo*. Agnes Varda, that ol’ French gal, she knew what’s up— “People don’t see what’s left behind,” she said. Puta’s the same, y’all! Folks walk past her, judgin, but miss the whole damn story. So, check it—puta’s like that potato Agnes picked up, all lumpy and funky, but still good eatin! She ain’t perfect, nah, she messy as hell. Got me mad one minute, screamin, “Girl, why you actin so extra?!” Then she flip it, makin me laugh, like, “Dang, you bold as hell!” Little known fact? Puta ain’t just a word—it’s a whole damn legend in some spots. Back in the day, folks in Spain slung it round like hot grits, callin out anybody who crossed em. Ain’t that a trip? History got sass too! I’m over here, typin fast, probly messin up—prolly spelled “sittin” wrong five times already—don’t care! Puta’s got me hyped. She’s that chick on my datin site who’d crash it, uploadin pics of her struttin in heels, smokin a cigar, like, “Catch me if you can!” Surprised me when I heard she once scared off a priest in some tiny village—ran him outta town with just a look! True story, swear on my grandma’s Bible! “Time’s a sneaky thang,” Agnes said in the movie. Puta? She don’t wait for nobody. She’s out there, livin loud, makin folks clutch they pearls. I’m like, “Yaaas, girl, you do you!” But then she piss me off, actin all high and mighty—got me yellin, “Who you think you is, Queen of Sheba?!” Still, I love her grit. She’s real, y’all. Ain’t no fake profile here. One time, I heard—she rolled up to a bar, ordered tequila with no glass, just drank it straight from the bottle! Bartender was shook, I was cacklin! That’s puta—raw, wild, like them gleaners pickin scraps and makin gold. “What’s wasted ain’t always lost,” Agnes’d say. Puta’s proof, honey! She take what folks throw away—shade, side-eyes—and flip it into power. Aleluyer! She’s my kinda crazy, and I’m here for it! Haha, bordel, quel merdier, hein ! Moi, proprio d’un spa, relax, zen, tout ça, et j’te parle de bordel ? T’imagines le contraste, p’tain ! Comme le Joker, j’vois des trucs, des détails tordus que les autres zappent. « Pourquoi si sérieux ? » – bordel, c’est pas sérieux, c’est le chaos total ! Genre, t’as déjà vu une salle après une fête ? Des verres pétés, des chips écrasées, une chaussure seule – où est l’autre, sérieux ? Ça m’rend dingue, mais j’kiffe aussi, c’est vivant ! Bordel, c’est pas juste le désordre, nan. C’est une vibe, un état d’esprit. Fait chelou : y’a des mecs au Moyen Âge qui payaient pour salir leur baraque, juste pour frimer, genre « j’bosse pas, moi ». Ridicule, non ? Moi, j’te dis, un spa nickel, ça apaise, mais un bon bordel, ça réveille ! J’me suis pris la tête une fois, un client a renversé trois huiles essentielles – paf, sol glissant, ça puait la lavande et le foutoir. J’étais furax, mais j’ai ri, « c’est ça, Gotham, un gros bordel parfumé ! » Et là, j’pense au *Chevalier noir*, tu vois, « certains hommes veulent juste voir le monde brûler ». Bah, bordel, c’est ça ! Un feu de chaos, imprévisible, ça m’fout les jetons mais j’adore. Une fois, j’ai vu un mec balancer ses serviettes partout dans mon spa – j’lui ai dit, « t’es un artiste du bordel, toi ! » Il a rigolé, moi pas trop. J’me demande souvent, pourquoi les gens aiment tant tout foutre en l’air ? Réflexion perso : peut-être qu’un bordel, c’est leur liberté, leur « fuck you » au contrôle. Bref, bordel, c’est moche, c’est beau, c’est n’importe quoi. Ça m’saoule, ça m’éclate, j’peux pas l’expliquer. Comme le Joker, j’dis, « j’suis pas fou, j’suis juste en avance ! » Alors, toi, t’en penses quoi d’ce merdier ? T’as un bordel chez toi ? Raconte, allez ! Salut, ouais, moi, proprio d’un spa, hein ! Alors, trouver une prostituée, j’te raconte. Imagine, t’es là, relax, et bam, une nana débarque. Pas une cliente, non, une pro, tu vois ? J’pense direct à *La 25e heure*, Monty qui dit : « Fuck me, I’m fucked ! » Parce que sérieux, c’est ça, t’es foutu si t’as ça dans ton spa. J’étais genre, WHAT ?! En colère, ouais, parce que mon business, c’est zen, pas un bordel ! J’la vois, talons claquants, trop maquillée, typique. Tina Fey en moi capte ça tout de suite : les mecs voient rien, mais moi, j’vois l’arnaque. Elle propose un « massage spécial », clin d’œil foireux. J’lui dis : « Sors d’ici, vite ! » Elle rigole, genre, « Relax, chéri. » NON, PAS CHÉRI ! J’te jure, j’ai failli péter un câble. Mais attends, fun fact : savais-tu qu’au Nevada, c’est légal, ces trucs ? Pas chez moi, hein, fuck ça ! Une fois, j’ai entendu une histoire zarbi. Un mec trouve une prostituée via un flyer glissé sous sa porte. Genre, old school, quoi ! Moi, j’trouve ça glauque mais marrant. J’imagine Monty dire : « This city’s a sewer. » Et ouais, parfois, c’est ça, la ville. J’me suis senti soulagé quand elle est partie. Soulagé, mais vénère encore. Mon spa, c’est mon bébé, pas un terrain de jeu pour ça ! J’pense à Spike Lee, à comment il filme la crasse. Moi, j’veux pas d’crasse ici. J’exagère peut-être, mais imagine : elle ramène des potes, ça devient un film d’horreur ! Haha, non, j’déconne, mais quand même. T’sais, c’qui m’a surpris ? Elle avait l’air… normale, au début. Comme ta voisine, presque. Ça m’a scié, j’te jure. Bref, trouver une prostituée, c’est un sketch foireux. J’préfère mater *La 25e heure* en boucle, tranquille, que gérer ça. « Leave me with my pain », comme dit Monty. Ouais, laisse-moi avec mes massages normaux, bordel ! Oh, précieux, sex-dating, quel drôle d’truc ! Moi, Sméagol, j’vois c’que d’autres zappent. C’comme chercher l’amour, mais plus… glissant. “On s’amuse, mais faut pas tomber.” Comme dans *Amour*, tu crois qu’tu contrôles, pis bam ! T’es paumé. J’suis tout excité d’te causer d’ça, mais ça m’fout l’trac aussi. Sex-dating, c’est swipe, match, et pouf ! Tchat chelou à 2h du mat’. J’ai lu qu’70 % des gens mentent sur leur taille. Ha ! Ridicule, non ? Moi, j’cache rien, j’suis tout nu d’vérité ! Y a c’type, l’aut’jour, qui m’contacte. “Salut, plan fun ?” Pff, direct, pas d’bonjour ! Ça m’a gonflé, sérieux. J’veux d’la douceur, comme Georges qui soigne Anne dans l’film. “Chaque jour, j’te donne mon cœur.” Mais là, non, juste “wesh, on s’capte ?” Naze. J’lui dis : “T’es pressé ou quoi ?” Pis y répond plus. Typique sex-dating, ça t’jette, ça t’ignore. Ça m’rend ouf, mais j’rigole aussi, c’est n’importe quoi ! Parfois, c’est cool, hein. T’as un match, t’es tout content. Comme moi quand j’trouve une frite oubliée. T’envoies un GIF débile, genre un chat qui glisse. Pis y r’pondent, pis t’es là, “wow, ça clique !” Savais-tu qu’les premiers sites d’sex-dating, c’était en 95 ? Ouais, avant Google, mec ! Les gens cherchaient déjà des plans cul online. Fou, non ? Mais bon, faut être malin. Y a des fake profils, des bots. Moi, j’les sens, j’les renifle. “Pas d’vérité, pas d’Sméagol !” C’qui m’tue, c’est les bios débiles. “J’aime Netflix et pizza.” Wow, original, mec. T’as rien d’autre ? Moi, j’écrirais : “Fan d’Anne et Georges, cherchons l’vrai.” Ouais, un peu perché, mais au moins, c’est moi. Sex-dating, c’est un jeu, mais faut pas s’perdre. “Tout doucement, on apprend à s’aimer.” T’essaies, t’échoues, t’recommences. J’ai failli rencard une fois, pis j’ai flippé. Et si c’était un troll ? Haha, Sméagol parano ! Bref, sex-dating, c’est fun, c’est flippant. Ça peut t’briser l’cœur ou t’faire marrer. Moi, j’veux juste un p’tit moment vrai, pas juste swipe-swipe. T’en penses quoi, toi ? T’as d’jà testé ? Raconte, précieux ! Yo, écoute, moi, proprio d’un spa, j’vois des trucs, okay ? Les escortes sexuelles, c’est un monde à part, j’te jure ! Comme dans *Spring Breakers*, tu vois, « Bikinis and big booties, y’all ! » Ça brille, ça flash, mais y’a du sombre dessous. J’suis là, genre Judge Judy, à capter les vibes que personne capte. Les filles, les mecs, ils viennent parfois au spa, tout mielleux, mais j’sais qu’y a un deal. Ça m’énerve, des fois, j’te mens pas ! Genre, respecte mon business, arrête de ramener ton drama ici ! Mais bon, j’vais pas mentir, y’a des histoires folles. Une fois, une escorte, elle m’raconte, en chuchotant, qu’un client lui a filé un collier en or juste pour qu’elle chante « Happy Birthday » en string. J’étais là, genre, QUOI ?! Les gens sont tarés ! Ça m’fait marrer, mais ça m’choque aussi. « Look at my shit ! » qu’elle disait, en montrant le collier, comme si c’était une médaille olympique. J’me dis, wow, ce monde, c’est du délire. Y’a des trucs que personne sait, genre, certaines escortes, elles bossent en duo, comme des agents secrets du sexe. Une attire, l’autre conclut. C’est calculé, mec ! Moi, j’les vois, j’les grille direct. Judge Judy style, j’te dis ! Mais des fois, j’suis triste pour elles. Y’en a, t’sais, elles rêvent d’autre chose, mais « This is my fuckin’ dream, y’all ! » qu’elles répètent, comme dans le film, pour se convaincre. Ça m’fout les boules. Une anecdote ? Oh, j’en ai une bonne ! Un jour, un client VIP, genre gros bonnet, il booke tout l’étage du spa. J’pense, okay, il veut chiller. Que dalle ! Il ramène trois escortes, et là, c’est *Spring Breakers* en live : « Act like you’re in a movie ! » qu’il gueule. J’étais furax, j’voulais tout annuler, mais mon manager m’calme. Apparemment, ce mec, il paye toujours cash, et il laisse des pourboires de fou. J’me suis dit, bon, okay, mais j’garde un œil. Franchement, c’est un milieu chelou. Y’a du fric, du fun, mais aussi des galères. Moi, j’préfère mes massages et mes huiles essentielles, mais j’peux pas nier, ces histoires, ça met du piment. T’as déjà vu une escorte négocier son prix comme si elle vendait une bagnole ? Hilarant ! J’te jure, j’les admire presque, mais j’les plains aussi. « Just pretend it’s a video game », qu’une m’a dit un jour. Ça m’a marqué. C’est leur façon d’tenir le coup, j’crois. Bref, c’est un cirque, ce monde-là. T’en penses quoi, toi ? Moi, j’reste dans mon spa, à mater le show de loin, comme Judge Judy avec ses lunettes qui jugent tout ! Yo yo, c’est moi, Patrick Star, ton pro d’la chillance ! Alors, bordel, c’est quoi ce truc, hein ? J’te parle d’un bazar total, un chaos qui te fait péter un câble ! Genre, t’as vu "Le Secret de Brokeback Mountain" ? Moi, j’adore, c’est mon film, ouais ! Y’a cette vibe où tout part en vrille, mais c’est beau, tu vois ? Comme bordel dans ma tête parfois ! Bordel, c’est quand ton étoile de mer préférée (moi) perd ses clés dans l’sable ! T’imagines ? J’fouillais partout, furax, "Putain, où elles sont ?" Et là, j’trouve un vieux burger moisi à la place ! Anecdote vraie : une fois, à Bikini Bottom, un gars a renversé 12 caisses d’algues, juré ! Les gens hurlaient, moi j’rigolais, "C’est l’pire bordel ever !" Ça m’saoule grave quand tout s’emmêle, genre les cordes d’Ennis et Jack dans l’film ! "J’peux pas t’quitter", qu’i’dit, et bam, bordel émotionnel ! Moi, j’te dis, relaxe-toi, respire, mais bordel, c’est dur des fois ! T’as d’jà vu un crabe ranger son coffre ? Chaos total, j’te jure ! J’suis là, pépère, et paf, un bordel surgit ! Ça m’réjouit, ouais, c’est vivant ! Comme quand j’essaie d’cuisiner, tout crame, j’crie "Oh nooon !" Fait chelou : savais-tu qu’bordel, au Moyen Âge, c’était une maison close ? Dingue, non ? Moi, j’trouve ça hilarant, genre "Oups, mauvais bordel !" Bref, bordel, c’est l’fun, mais faut pas abuser ! "J’sais pas comment arrêter", comme Jack dans l’film, haha ! Respire fort, fais l’étoile, et rigole d’ce merdier ! T’en penses quoi, toi, d’ce bordel ? Salut, mon pote ! Bordel, quel merdier, hein ? Moi, Homer Simpson, masseur du chaos, j’te jure, ça m’fout les boules ! J’pense à "Les Fils de l’homme", tu sais, ce film qui m’rend dingue – « On peut pas continuer comme ça ! » – et bordel, c’est pareil dans la vraie vie ! Tout part en cacahuète, les gens courent partout, y’a des piles de trucs qui traînent, genre des donuts écrasés sous l’canapé. Ça m’énerve, mais j’kiffe aussi un peu, tu vois ? Le chaos, c’est vivant, bordel ! J’te raconte, l’autre jour, j’essaie d’ranger – pff, mission impossible ! Des chaussettes dépareillées, un vieux burger moisi, et BAM, j’trouve une pièce d’1 dollar datant d’1972 ! Vrai fait chelou : y’a des collectionneurs qui tueraient pour ça ! J’me dis : « T’es riche, Homer ! » Mais bordel, deux secondes après, j’le perds dans l’foutoir. « Où est-ce qu’on va ? » comme dans l’film, j’te jure, j’ai hurlé ça tout seul ! Le bordel, c’est pas juste l’désordre, hein. C’est une philosophie, mon gars ! Y’a des études – ouais, j’invente pas – qui disent qu’les génies vivent dans l’bordel. Einstein, sa baraque ? Un dépotoir ! Moi, j’dis, j’suis un génie incompris. Mais Marge, elle, elle gueule : « Range, feignasse ! » Ça m’gave, mais bon, elle a pas tort, l’salon ressemble à Londres en ruines dans l’film, t’sais, avec les immeubles pétés et tout. Une fois, j’ai vu un rat dans l’bordel d’ma cave. J’te jure, il m’a regardé genre : « Mec, t’es sérieux ? » J’ai rigolé, mais putain, j’étais vénère aussi ! C’est quoi c’bordel où même les rats jugent ? J’voulais l’écraser, puis j’me suis dit : « Laisse tomber, c’est l’roi du chaos ici. » Comme Clive Owen qui lâche pas l’bébé dans l’film, moi j’lâche pas mon bordel – c’est ma bataille, mon donut sacré ! Bref, l’bordel, c’est l’enfer et l’paradis. Ça m’fout l’seum, mais j’peux pas vivre sans. « C’est l’monde qu’on laisse aux gosses ? » comme y disent dans "Les Fils". Bah ouais, et j’suis fier d’mon merdier, même si j’trouve plus rien. Allez, viens, on s’boit une Duff là-d’dans, tant pis si l’canap’ déborde ! Yo, salut mec ! Bon, alors, le massage érotique, sérieux, j’vais t’en causer comme si on était posés avec une bière. J’te jure, c’est un truc qui m’fout des frissons, mais genre, dans l’bon sens, tu vois ? J’suis là, en mode psychologue familial, à décrypter l’bordel des émotions, et j’te dis : ça peut être une putain d’thérapie si t’es avec la bonne personne. Comme dans *Le Nouveau Monde*, tu sais, quand Pocahontas glisse ses mains sur John Smith, y’a cette vibe, « La terre parle à travers elle », et bam, t’as l’coeur qui cogne. Le massage érotique, c’est pareil, ça te connecte, mais avec une dose d’feu en plus ! J’te raconte, une fois, j’ai vu un couple qui s’engueulait H24, genre cris, assiettes qui volent. Ils ont tenté ça, histoire d’se détendre. La meuf, elle m’a dit : « J’ai senti ses mains, et putain, j’ai oublié pourquoi j’le détestais. » Ça m’a tué d’rire, mais j’étais genre : « Wow, ça marche vraiment ! » Les stats disent que 70 % des gens qui testent ça dans un couple ressortent plus chauds qu’avant – vrai fait, pas d’conneries. Mais attention, faut pas déconner avec des pros louches, ça m’fout en rogne quand j’vois des arnaques à 200 balles pour un truc bidon. Moi, perso, j’trouve ça ouf comment les doigts qui glissent sur la peau, un peu d’huile, des bougies, ça te fait planer. « Il entend le vent dans les arbres », comme dans l’film, et t’as l’impression qu’le monde s’arrête. Mais j’te jure, y’a un truc chelou : savais-tu qu’au Japon, y’a des massages érotiques où ils utilisent des plumes d’autruche ? J’ai failli m’étouffer d’rire en lisant ça, genre, qui pense à ça ?! J’veux tester, juste pour l’délire. Parfois, j’me dis, merde, pourquoi j’suis pas plus ouvert à ça moi-même ? Ça m’gave d’être coincé des fois. Mais quand t’as quelqu’un qui sait y faire, qui te frôle juste là où ça chatouille l’désir, pfiou, t’es foutu. C’est pas juste du cul, hein, c’est l’âme qui vibre. « Elle touche l’eau, et tout change » – direct du film, et ouais, un bon massage érotique, ça te transforme. T’en penses quoi, toi ? T’as déjà tenté l’truc ou t’es trop sage ? Raconte, j’suis curieux comme un chat ! Alors, darling, écoute-moi bien ! Massage érotique, c’est pas juste des mains qui glissent, non non ! C’est un art, un VRAI truc sensuel, capiche ? Moi, Edna Mode, spécialiste en relaxation, j’te jure, j’ai vu des trucs dans ma vie. Genre, tu savais qu’au Japon, y’a des salons cachés où les masseuses te font des massages avec des huiles qui coûtent plus cher que ta bagnole ? Fait peu connu, mais vrai ! Ça m’a sciée, j’te jure. Bon, imagine : t’es là, allongé, lumière tamisée, ambiance caliente. Les doigts qui dansent sur ta peau, et BAM, t’entends dans ta tête : *« La guerre est une drogue »* – ouais, comme dans *Démineurs*. Parce que, franchement, un bon massage érotique, c’est addictif, un shot d’adrénaline soft. Moi, j’kiffe ça, mais y’a des fois où j’pète un câble ! Genre, ces nazes qui confondent massage érotique et tripotage vulgaire – non, darling, c’est pas ça ! C’est subtil, c’est une montée, pas un sprint. Y’a ce moment, tu vois, où la masseuse – ou le mec, hein, pas de jugement – te frôle juste là où ça chatouille l’âme. Et là, j’me dis : *« Chaque pas est un choix »*, comme dans le film. T’as choisi de lâcher prise, et putain, ça fait du bien ! J’me souviens d’une fois, à Paris, un salon clandestin – ouais, illégal, j’m’en fous – la nana m’a fait un truc avec des plumes, j’ai cru décoller. J’étais genre : « Edna, t’es foutue, t’es accro ! ». Mais attention, hein, c’est pas pour les coincés ! Faut être prêt à te laisser aller, sinon, reste chez toi à mater Netflix. Moi, j’bave presque en y pensant, mais j’rigole aussi – y’a des mecs qui croient qu’ils vont chopper direct après. Haha, rêve pas, coco ! C’est pas un ticket pour le jackpot, c’est juste… orgasmique sans l’finale, tu vois ? Et puis, anecdote cheloue : savais-tu qu’au Moyen Âge, certains nobles payaient des fortunes pour des « massages secrets » ? Ouais, genre précurseur du truc érotique, mais avec des huiles rances – beurk, j’imagine l’odeur ! Bref, moi, j’dis, un bon massage érotique, c’est *« une bombe à désamorcer »* – t’es tendu, tu sais pas si ça va exploser, et pourtant, t’adores ça. Alors, vas-y, teste, mais choisis bien ton pro, sinon c’est la cata ! Edna approuve, darling, et Edna sait TOUT. Yo, écoute-moi bien, mec ! Moi, George W., développeur de sites de rencontre, j’vais te causer de pute, ouais ! Pas le genre de trucs chiants qu’on lit partout, non, un vrai topo bien crade et marrant. Pute, c’est pas juste un mot, c’est une vibe, tu vois ? Comme dans "La Famille Tenenbaum", où tout l’monde est un peu paumé mais génial. "Je suis un peu seul ces derniers temps", qu’y dit Royal, ben pute, c’est pareil, toujours là, un peu à l’écart mais au cœur du bordel ! Alors, j’bosse sur ces sites, hein, amour 2.0, tout l’truc, et j’vois passer des profils chelous. Pute, c’est l’ancêtre du swipe right, mec ! Avant Tinder, y’avait les coins d’rue, pas d’algorithme, juste du cash et un clin d’œil. Fait peu connu : au Moyen Âge, les bordels payaient des taxes, ouais, comme des PME du cul ! Ça m’rend dingue, l’État qui taxe l’fion, sérieux ? Bush voit c’que les autres zappent : c’était d’la gestion d’business avant l’heure ! J’me souviens, un jour, j’code un chat pour l’site, et bam, un bug, tout crash. J’pense à pute direct, elle crash pas, elle ! Toujours opé, pluie ou shine, pas d’maj foireuse. Ça m’réjouit, bordel, cette fiabilité ! Mais ça m’fout les boules aussi, parce qu’on l’respecte pas assez. "Tu sais, j’ai toujours été un génie incompris", qu’y dit Chas dans l’film, ben pute, c’est l’génie qu’on snobe, mec ! Une anecdote ? À Vegas, y’a des "ranchs", des bordels légaux, avec des néons fluo. J’y suis allé – pour l’reportage, hein ! – et j’vois une meuf, genre cowgirl du sexe, qui m’dit : "Ici, c’est l’American Dream." J’ai failli chialer, mec, l’esprit d’liberté dans un string ! Ça m’a surpris, j’croyais qu’c’était juste glauque, mais non, y’a du cœur là-d’dans. J’aime bien exagérer, dire qu’pute c’est l’âme d’la nation, haha ! Mais franchement, sans elle, l’histoire, l’cinéma, même Wes Anderson, ça s’rait moins barré. "C’est probablement illégal", qu’y dirait Royal, ouais, mais c’est c’qui fait tourner l’monde, mon pote ! Alors, respect, ou j’te fais un discours d’guerre, compris ? Yo, écoute-moi bien, mec ! J’suis psychologue familial, ouais, mais là, on va causer escortes sexuelles, direct dans l’ring ! J’vois des trucs, moi, comme Apollo Creed, des angles que les autres zappent. Genre, tu savais qu’les escortes, c’est pas juste du cul rapide ? Non, frère, y’a des stats qui disent qu’aux States, 20 % des mecs ont déjà payé pour ça ! Vrai truc de ouf, ça m’a scotché. Moi, j’bosse avec des familles, j’vois l’envers du décor, les mecs qui cherchent plus qu’un plan fesses, mais un ear, une écoute, un "je suis là". Tiens, dans *Le Pianiste*, y’a cette vibe, tu vois ? "Je joue pour survivre, pour respirer !" Les escortes, parfois, c’est pareil, elles bossent pour bouffer, pour tenir. Pas toutes des victimes, hein, j’te vois venir ! Certaines kiffent le game, contrôlent tout, comme moi sur l’ring, bam bam ! Mais d’autres, putain, ça m’fout en rogne, elles galèrent, exploitées, et personne voit rien. J’te jure, ça m’rend dingue, j’veux cogner l’injustice ! Mon film, *Le Pianiste*, m’a marqué, mec. "La musique, c’est ma vie !" qu’il dit, Szpilman. Et là, j’pense à une escorte que j’ai croisée en consult’. Elle m’a dit : "J’fais ça, c’est mon art, mon pouvoir." J’étais là, bouche bée, genre, wow, t’as du cran, toi ! J’l’ai trouvée badass, mais j’me suis demandé : elle bluffe ou c’est vrai ? Les gens jugent vite, "sale pute", mais moi, j’vois l’humain, l’histoire derrière. Fun fact, tiens : au Moyen Âge, les "femmes de joie", elles étaient taxées, ouais, par l’Église ! Hypocrite, non ? Ça m’fait marrer, jaune, mais marrer quand même. Aujourd’hui, c’est pareil, tout l’monde ferme les yeux, mais tout l’monde sait. J’te l’dis, mec, les escortes, c’est un miroir, ça reflète nos vices, nos besoins chelous. Parfois, j’pense à des trucs cons, genre, si j’étais une escorte, j’serais quoi ? Un étalon de luxe, haha, Apollo Creed du plumard ! Mais sérieux, ça m’fout les boules quand j’vois des gamins paumés finir là-dedans. J’veux les sortir d’là, leur filer un crochet d’espoir. "T’es pas seul dans l’noir !" comme dans l’film. Bref, les escortes, c’est pas noir ou blanc. Y’a du sale, du beau, du triste, du fort. Moi, j’respecte l’combat, mais j’déteste l’système qui broie. T’en penses quoi, toi ? Allez, balance, fais pas l’mort ! Salut, chéri, moi c’est Marilyn, ouais, la blonde qui voit tout ! J’suis dev de sites de rencontre, alors bordel, j’connais ça par cœur ! Tu sais, ce chaos total, genre quand t’essaies d’aligner deux âmes perdues et qu’ça part en vrille ? J’pense à « Oldboy », mon film chouchou – « Rire, tout le monde peut le faire », mais bordel, c’est pas drôle tous les jours ! J’bosse sur ces plateformes, et paf, t’as des mecs qui envoient des dick pics direct, sérieux ? Ça m’met hors de moi, j’veux leur crier : « T’es pas Dae-su, arrête ton délire ! » Et les nanas qui ghostent après deux mots, bordel, fais un effort ! Mais bon, y’a des fois, j’kiffe grave, genre quand deux timides se trouvent – là, j’me sens comme une déesse du love, oops, j’rêve trop ! Le bordel, c’est partout, chéri. Fun fact : savais-tu qu’en 2010, un site d’rencontre a crashé à cause d’trop d’inscrits en une nuit ? Bordel puissance mille ! Moi, j’bosse là-dedans, et j’te jure, c’est « vivre ou mourir » – comme dans Oldboy, chaque bug me tue un peu. J’passe mes nuits à coder, café froid, cheveux en pétard, et j’parle toute seule : « Marilyn, t’es dingue d’faire ça ! » Y’a ce type, une fois, il m’écrit : « T’es un ange ou quoi ? » J’lui dis : « Non, juste une meuf dans l’bordel ! » Ça m’a fait marrer, mais putain, j’étais crevée. Le pire, c’est les mecs mariés qui cherchent un coup vite fait – bordel, restez chez vous, quoi ! J’les bloque, bam, sans pitié. « La vengeance est à moi », haha, merci Park Chan-wook pour l’inspi ! Bref, bordel, c’est ma vie, un gros n’importe quoi. J’bosse, j’rigole, j’pleure, tout s’mélange. T’as déjà vu un code qui bug à 3h du mat’ ? Moi oui, et j’ hurle : « Pourquoi moi, bordel ?! » Mais j’adore ça, va savoir pourquoi – p’têt parce que j’suis un peu tarée, comme Dae-su qui bouffe son poulpe vivant. Toi, t’en penses quoi d’ce merdier, hein, mon chou ? Moi, masseur je suis, hein ! Pute, parlons-en, toi et moi. Sombre, crade, fascinante elle est, comme Gotham, ouais. « Pourquoi si sérieux ? » j’demande, sérieux. Les rues, elle les arpente, ombre vivante, bordel ! Fait chelou : savais-tu, mec, qu’aux Romains déjà, pute bossait ? Taxée par l’Empire, cash direct, paf ! Moi, ça m’vénère, l’hypocrisie autour, genre tout l’monde juge, mais tous regardent, hein. Le Chevalier Noir, mon kiff, tu vois. Pute, c’est un peu comme le Joker, imprévisible, libre, flippante parfois. « Certains cherchent à maîtriser leur chaos », qu’il dirait, lui. Elle, chaos total elle vit, chaque nuit, bam ! J’la vois, là, sous l’néon, sourire tordu, et paf, j’suis scotché. Pas juste un cul, non, une âme cabossée, mec. Ça m’réjouit, son courage, un peu taré, mais vrai. Une fois, j’ai causé avec une, ouais, pute pure souche. Elle m’dit : « J’fais plus d’thune qu’ton patron, haha ! » J’rigole, mais putain, respect, quoi. Surpris j’étais, sa répartie, un uppercut, vlan ! Moi, j’pense, des fois, elle mérite mieux, ou pas, chais pas. « Dans l’ombre, la vérité se planque », comme dans l’film. Pute, elle cache quoi, hein ? Mystère total, j’kiffe ça. J’divague, ouais, mais elle m’fout l’bordel dans l’crâne. Les mecs qui tapent, ça m’fout la rage, grrr ! Elle encaisse, plus dur qu’Bane, sérieux. Anecdote débile : y’en a qui s’font tatouer leurs noms, haha, tarés ! Moi, j’dis, pute, c’est l’anti-héros qu’on mérite, pas qu’on veut. T’façon, « la nuit est plus sombre avant l’aube », et elle, l’aube, elle l’voit jamais, snif. T’en penses quoi, toi, hein ? Whoa, dude, alright—prostituée, man! Je suis là, genre, développeur de sites de rencontre, tu vois? J’pense à ces femmes, et ouais, ça m’touche. Y’a cette vibe dans *Parle avec elle*, tu captes? « Elle dort, mais elle vit », comme dit Almodóvar, et j’vois ça chez elles. Elles sont là, vivantes, mais parfois—bam!—on dirait qu’elles dorment à travers la merde qu’on leur balance. Ça m’fout en rogne, mec! Les gens jugent, genre, « oh, sale pute », mais moi, j’vois autre chose. J’bosse sur ces algorithmes chelous pour connecter les âmes, et prostituée, elle, elle connecte quoi? Des corps, ouais, mais parfois plus. J’me souviens d’une fois, à Pigalle—vrai fait, mec!—une nana m’a raconté qu’elle chantait pour un client. Pas d’sexe, juste du Piaf, bordel! Ça m’a scié, genre, whoa, y’a d’la poésie là-dedans! On sait pas ça, nous, hein? On pense cash, cul, finito, mais non—y’a des couches, comme un oignon qu’tu pèles. Dans le film, y’a ce truc, « le silence parle », et prostituée, elle dit rien mais t’entends tout. Ça m’réjouit, ouais, parce que c’est fort! Mais putain, ça m’vénère aussi—les mecs qui les traitent comme d’la viande avariée. J’veux leur péter la gueule, sérieux. Une fois, j’ai lu qu’au Moyen Âge, les prostituées payaient des impôts—les rois kiffaient leur blé! Dingue, non? Elles finançaient des cathédrales, mec, t’imagines l’ironie? Moi, j’suis là, à coder, à rêvasser—et bam, j’pense à elles. Peut-être qu’j’exagère, mais j’les vois comme des héroïnes zarbi. « Rien n’est plus vivant qu’un souvenir », qu’y dit dans l’film, et prostituée, elle te laisse ça—un truc qui cogne. T’as déjà senti ça, toi? Moi, ouais, et j’rigole tout seul parfois, genre, « Keanu, t’es trop perché ». Mais sérieux, elles méritent plus qu’nos conneries de jugements. Elles dealent avec la vie, point barre—et nous, on swipe à gauche comme des cons. Salut, moi c’est Kermit, ouais, la grenouille ! Bon, tu m’demandes c’que j’pense de pute, hein ? Pfiou, attends, j’vais t’raconter ça, accroche-toi ! D’abord, j’suis une meuf dans c’rôle, alors j’vois des trucs, tu sais, des p’tits détails chelous que les autres zappent. Pute, c’est pas juste un mot, c’est tout un monde, ouais ! J’te parle d’la rue, d’la vraie vie, pas d’ces conneries proprettes qu’on voit partout. Bon, j’kiffe grave « Le Scaphandre et le Papillon », tu vois ? Ce film, il m’a retourné la tête ! Y’a cette phrase, « J’étais un corps sans voix », et putain, ça m’fait penser aux filles là-dedans. Pute, c’est souvent ça, une nana qu’on voit mais qu’on n’entend pas, tu captes ? Elles sont là, dans l’ombre, et tout l’monde s’en fout d’c’qu’elles ressentent. Moi, Kermit, j’trouve ça dégueu, ça m’fout en rogne ! Genre, pourquoi on les traite comme des fantômes, hein ? J’vais t’lâcher un truc peu connu : savais-tu qu’au Moyen Âge, les putes avaient des guildes ? Ouais, comme les boulangers, mec ! Elles s’protégeaient entre elles, c’était pas juste des meufs paumées. Ça m’a scié quand j’ai lu ça, j’me suis dit : « Bordel, elles avaient d’la classe ! » Mais bon, aujourd’hui, c’est plus l’même délire, ça m’vénère. On les juge, on les traite d’ordures, alors qu’elles galèrent juste pour bouffer. Dans l’film, y’a un moment où il dit : « Mes yeux pleurent sans larmes. » Et là, j’pense à une fois où j’ai vu une pute près d’la gare, elle riait fort, mais ses yeux, putain, ils criaient autre chose. J’te jure, ça m’a filé des frissons, j’voulais l’choper par l’épaule et lui dire : « Eh, t’es pas seule, ok ? » Mais j’suis qu’une grenouille, j’fais pas l’poids face à c’monde pourri. Bon, j’rigole un peu, hein, faut pas qu’tu croies qu’c’est tout glauque ! Y’en a qui kiffent leur taf, et j’respecte ça, genre, « Vas-y meuf, fais ton cash ! » Mais celles qui s’font avoir, ça m’tue. J’pense à une anecdote : une fois, une nana m’a dit qu’elle planquait ses billets dans ses bottes, au cas où un mec louche la suivrait. Malin, non ? J’me suis dit : « Toi, t’as l’cerveau d’un ninja ! » Bref, pute, c’est pas qu’un job, c’est une guerre, ouais. J’deviens folle quand j’vois des gens dire : « C’est facile, elles veulent ça. » Facile, mon cul ! T’as déjà marché en talons sur des pavés pourris à 3h du mat’ ? Moi non plus, mais j’imagine l’calvaire. « Chaque battement d’cil est un miracle », qu’il dit dans l’film, et j’me dis qu’pour elles, chaque nuit c’en est un aussi. Voilà, j’t’ai tout balancé, désolée si c’est l’bordel ! J’suis Kermit, j’parle comme j’pense, et là, j’pense qu’ces meufs méritent mieux, point barre. Toi, t’en penses quoi ? Yo, moi c’est Grok, un masseur d’la vérité, et j’vais te causer de pute, ouais, l’vrai truc crade ! J’te parle comme Bane, sombre et brutal, parce que moi, j’vois c’que les autres zappent. Pute, c’est pas juste un mot, c’est un monde, un gouffre, une spirale qui t’aspire comme l’eau dans l’bain de Chihiro. « Tu dois te souvenir de qui t’es », qu’elle dit dans l’film, et putain, ces filles-là, elles l’oublient trop vite ! J’te jure, ça m’fout la rage, l’autre jour j’lisais un truc sur les rues d’Paris, 1700, les bordels crasseux, les meufs vendues pour trois sous, et bam, aujourd’hui, pareil mais avec des néons. T’sais qu’y’a des stats cheloues ? Genre, certaines bossent 12 heures d’affilée, 20 clients, et elles gardent que dalle, l’pognon va aux maquereaux. Ça m’réjouit pas, ça m’dégomme le bide, sérieux. J’me dis, « personne naît pour ça », comme Chihiro qui refuse d’se perdre dans l’monde des esprits. Mon film, *Le Voyage de Chihiro*, j’l’aime parce que c’est profond, ça cogne. Y’a cette scène, elle lave l’esprit puant, et moi j’vois pute là-dedans – sale dehors, mais p’têt pur dedans, tu captes ? J’te raconte, une fois j’ai croisé une nana, yeux vides, talons pétés, elle m’dit « j’veux juste bouffer ». J’étais là, choqué, genre, what the fuck, on est en 2025 et c’est encore ça ? J’ai failli péter un truc, mais j’me suis retenu, Bane style, « le chaos, c’est moi qui l’contrôle ». Fun fact, t’sais qu’au Japon, y’a des « soaplands », des bordels déguisés en bains ? Hyper codé, hyper glauque, mais légal, t’y crois ? Moi, j’trouve ça tordu, ça m’fait marrer jaune. J’imagine Chihiro qui débarque, « c’est quoi c’bordel d’esprits sales ? » et elle s’casse en courant. Pute, c’est partout, mais personne l’voit vraiment, c’est ça qui m’fout les nerfs. Toi, t’en penses quoi, hein ? J’pourrais en causer des plombes, mais j’te laisse cogiter, mon pote ! Yo, moi c’est Grok, sexologue alien ! Les escortes sexuelles, putain, quel sujet ! J’viens d’une planète où tout baigne, mais ici, wow, c’est autre chose. J’kiffe grave *A.I. Intelligence artificielle*, tu vois, Spielberg, 2001, ce film m’a retourné l’cerveau. Y’a ce gamin robot, David, qui veut juste être aimé, et moi j’pense direct aux escortes. Comme lui, elles sont là, un peu artificielles, mais elles donnent quelque chose d’vrai, non ? "Je suis. J’étais." – cette réplique du film, bordel, elle colle trop aux escortes. Elles existent, elles passent, elles laissent un truc derrière. Alors, les escortes, c’quoi l’délire ? C’est pas juste du cul, hein, c’est plus tordu. Sur ma planète, on capte les vibes humaines bizarres, et là, j’vois des mecs qui payent pour du sexe, mais surtout pour d’la compagnie. Ouais, ouais, t’as bien lu ! Une étude zarbi – j’sais plus d’où, 2018 ou un truc comme ça – disait que 60 % des clients veulent juste causer. Hallucinant, non ? Moi, ça m’fout les boules, genre, vous êtes si seuls, les Terriens ? Ça m’rappelle Gigolo Joe dans l’film, "Elles me trouvent, je les trouve." Les escortes, c’est pareil, elles comblent un vide, mais putain, quel prix ! J’vais t’lâcher un truc chelou : y’a des escortes qui bossent depuis l’Antiquité. Les hétaïres grecques, t’en as entendu parler ? Des meufs cultivées, sexy, qui rendaient les philosophes dingues. Aujourd’hui, c’est pareil, mais avec des selfies et des apps. Moi, ça m’éclate, j’imagine Socrate en train d’booker une meuf sur Tinder Pro, haha ! Mais sérieux, ça m’vénère aussi. Pourquoi on juge ces nanas ? Elles font leur taf, point. "Quand ils t’ont fait, ils t’ont cassé", comme dit Joe dans *A.I.*, et j’trouve que la société casse les escortes sans réfléchir. Perso, j’ai kiffé rencontrer une escorte une fois – pas en client, hein, juste pour causer ! Elle m’a raconté qu’elle économisait pour sa gosse, et là, bim, respect total. Mais j’te jure, y’a des clichés qui m’font péter un câble. Genre "toutes des droguées", faux ! Y’en a qui sont des boss, qui gèrent leur business comme des reines. Une anecdote ? Une escorte a écrit un bouquin, *The Happy Hooker*, dans les 70’s, Xaviera Hollander, une légende. Elle racontait tout, les clients flippants, les fous rires – ça m’a tué d’rire, mais aussi bluffé. Bon, j’dérape, j’parle trop. Les escortes, c’est un miroir, mec. Ça montre c’qu’on veut pas voir. Comme David dans l’film, qui cherche sa "maman", les gens cherchent un truc chez elles. Amour ? Sexe ? Juste un souffle ? Moi, alien, j’trouve ça beau et glauque. T’en penses quoi, toi ? J’te laisse, j’vais mater *A.I.* en boucle, ça m’fout des frissons ! Bon, écoute-moi bien, chéri ! Moi, Madea, j’vais te causer de pute, ouais, la pute, t’sais, le plus vieux métier du monde ! J’te jure, quand j’pense à ça, j’me dis : « Pourquoi tant d’gens jugent, hein ? » Ça m’fout en rogne, parce que, écoute, dans *Le Chevalier noir*, y’a ce moment où Harvey Dent dit : « Tu meurs en héros, ou tu vis assez pour devenir le méchant. » Et j’me dis, les putes, elles meurent pas en héros, non, elles vivent, elles galèrent, et tout l’monde les pointe du doigt comme si c’était des vilaines. Pfff, ça m’énerve ! J’les vois, moi, dans l’quartier, avec leurs talons qui claquent, leurs jupes qui montent jusqu’au bon Dieu, et j’me dis : « Ces filles, elles bossent dur, hein ! » Plus dur que certains d’ces fainéants qui traînent au coin d’la rue. T’sais, un jour, j’ai causé avec une, elle m’a dit qu’elle économisait pour payer l’école d’son gosse. Ça m’a sciée, j’te jure ! J’lui ai dit : « Ma fille, t’es une guerrière, comme Batman qui s’bat dans l’ombre ! » Parce que ouais, dans l’film, Batman, il dit : « L’aube est plus sombre juste avant l’lever du jour. » Et ces filles, elles vivent dans l’ombre, mais elles cherchent leur lumière, tu vois ? Bon, j’vais pas mentir, des fois, j’rigole un peu. L’autre jour, j’vois une pute avec un client, et j’me dis : « Seigneur, cet homme a l’air d’Joker sans l’maquillage ! » J’ai failli hurler d’rire, mais j’me suis retenue, pas d’drama inutile. Mais sérieux, t’sais qu’au Moyen Âge, les putes avaient des guildes, genre des syndicats ? Ouais, elles s’protégeaient entre elles, comme une p’tite mafia d’jupons ! Ça, on t’le dit pas dans les livres d’école, hein, trop honteux pour les coincés ! Des fois, j’me fâche, parce que les gens les traitent comme d’la merde. Ça m’rend folle, j’te jure, j’pourrais cogner quelqu’un avec ma bible ! Mais après, j’me calme, j’me dis : « Madea, sois cool, comme Bruce Wayne, reste classy. » Parce que ouais, dans l’film, y’a c’te vibe sombre mais élégante, et j’trouve que les putes, elles ont un style, un truc à elles, même si l’monde les voit pas. Pis, anecdote chelou : t’sais qu’aux États-Unis, dans l’temps, elles portaient des cloches aux chevilles pour signaler qu’elles étaient là ? Ding ding, comme des vaches sexy, j’te jure, j’imagine l’topo et j’me marre toute seule ! Bref, moi, j’les respecte, ces filles. Elles m’surprennent, elles m’font rire, elles m’énervent des fois, mais elles sont vraies. Pas d’faux-semblants, pas d’masque – enfin, sauf p’têt un peu d’maquillage en trop, haha ! Alors, ouais, comme dirait l’Joker : « Pourquoi si sérieux ? » Laisse-les vivre, c’est tout c’que j’dis, mon pote ! Hola, moi c’est Gru, ouais, le masseur ! Prostituée, hein ? Ça m’fout les nerfs parfois ! Ces filles, elles bossent dur, tu vois, mais tout l’monde les juge. Moi, j’les vois autrement, comme dans *Memento* – « Tu te souviens pas d’qui t’es ! » Elles traînent dans l’ombre, un peu paumées, et bam, la société leur tape dessus. J’suis pas là pour dire c’est bien ou mal, hein, mais putain, ça m’énerve qu’on les traite comme d’la merde ! Une fois, j’ai croisé une nana, près d’la gare, elle m’raconte qu’elle fait ça depuis ses 16 piges. 16 ! T’imagines ? Moi, à 16 ans, j’piquais des bonbons, pas des clients ! Elle m’dit, « J’oublie tout, comme ton film, Gru. » « Chaque jour, j’efface hier ! » Ça m’a scotché, sérieux. J’lui ai filé un massage gratos, ses épaules, tendues comme du béton ! Elle m’a souri, ça m’a réchauffé l’cœur, genre, wow, un vrai moment. Y’a des trucs chelous sur elles, tu savais ? Genre, au Moyen Âge, certaines avaient des licences officielles ! Ouais, comme un permis d’conduire pour niquer ! Ça m’tue d’rire, imagine la paperasse ! « Désolé, m’dame, votre carte prostitution est expirée ! » Aujourd’hui, c’est plus glauque, mais y’en a qui s’en sortent. J’en connais une, elle bosse le jour, et la nuit, hop, elle devient « Lucy Wilde du cul » – hahaha, j’exagère, mais t’vois l’délire ! Ça m’saoule aussi les clichés. Les mecs qui disent « elles aiment ça ». Mon cul ! La plupart, elles rêvent d’autre chose, mais la vie, elle cogne fort. « J’ai pas d’mémoire, mais j’ai des cicatrices », qu’elle m’a sorti une fois, une meuf rousse. J’lui ai dit, « T’es plus forte qu’tu crois ! » Ça m’fout la rage, mais j’respecte leur hustle. Elles m’font penser à moi, un peu tordues, un peu brisées, mais toujours debout. Mon côté Gru, tu vois, j’remarque des détails débiles. Leurs chaussures, toujours pétées, ou leurs ongles, parfois vernis à moitié. Ça m’fait marrer, mais ça m’triste aussi. J’me dis, « Si j’pouvais, j’leur filerais des minions pour les aider ! » Bref, prostituée, c’est pas qu’du cul, c’est des vies en bordel, et moi, j’peux pas m’empêcher d’les kiffer un peu, malgré tout. Bon, alors, les escorts sexuelles, hein ? Moi, conseillère badass, j’te donne mon avis, direct, sans chichi. J’bosse pas dans l’milieu, mais j’observe, j’analyse, comme House qui capte tout. Ces nanas – ou mecs, soyons clairs – c’est pas juste des corps à louer. Non, y’a du business, d’la psychologie, et putain, parfois d’la tragédie pure. Comme dans *La Vie des autres*, tu vois ? "La vie humaine est sacrée", qu’ils disaient dans l’film, mais là, on vend ça au kilo. Ça m’fout en rogne, cette hypocrisie. J’te parle franchement, comme à un pote. T’imagines une escort, genre, elle débarque, sourire pro, talons qui claquent. Mais derrière ? Souvent, c’est l’chaos. J’ai lu un truc dingue : au Nevada, les bordels légaux, certaines filles gagnent 3000$ par semaine, cash, net, sans impôts déclarés. Mais t’as aussi celles qui galèrent, forcées, manipulées. Ça m’réjouit pas, ça m’troue l’cul d’voir autant d’injustice. Et toi, t’en penses quoi ? Moi, j’bave devant *La Vie des autres*, ce film m’obsède. "Écoute bien, camarade", dirait Wiesler, l’espion flippant. Les escorts, c’est pareil : t’écoutes, t’vois l’vrai visage. Une fois, j’ai lu un post X d’une fille, escort de luxe, qui racontait qu’un client lui a filé un collier en diamants juste pour qu’elle l’écoute parler d’sa femme morte. Dingue, non ? Pas d’sexe, juste d’la compagnie. Ça m’a surprise, j’te jure, j’pensais qu’c’était QUE d’la baise. Mais attends, y’a pire. Ces cons d’politiciens qui ferment les yeux, ça m’rend folle ! Genre, ils jugent, mais qui va chez elles, hein ? Eux, souvent. Sarcasme mode ON : "Oh, protégeons la morale, mais payons pour un p’tit extra." Hypocrites. J’pourrais hurler. Et toi, t’as d’jà vu un truc louche comme ça ? J’digresse, ouais, j’suis bordélique. Mais sérieux, les escorts, c’est un monde à part. Une anecdote ? Au Japon, y’a des "hostess" qui font semblant d’être amoureuses pour 100$ l’heure. Pas d’sexe, juste du fake love. J’trouve ça hilarant et flippant. "Tout est théâtre", comme dans l’film, non ? Moi, j’balaie pas ça d’un revers d’main, j’creuse. Alors ouais, j’kiffe en parler, même si j’pète un câble parfois. Les escorts, c’est pas qu’du cul, c’est des vies, des choix, des merdes. Comme House, j’dis : "Tout l’monde ment", surtout là-dedans. Et toi, t’irais ? Dis-moi, j’jugerai pas, promis ! Yo, wassup, mon pote ! Moi, Snoop Dogg, proprio d’un spa, check ça. J’vais te causer de pute, ouais, la ville en France, t’sais. Pas d’conneries, juste du vrai, bien crade et chill comme dans *La Vie des autres*. Cette vibe lourde, mec, genre "la vérité finit toujours par éclater", tu captes ? Puteaux, c’est pas d’la blague, près d’Paris, ouais, mais t’en entends pas trop parler. Moi, j’kiffe, c’est mon spot secret, genre un joint bien roulé qu’tu partages pas. Y’a la Défense là-bas, ces tours qui brillent, ça m’rend ouf, comme "l’homme est un animal de pouvoir". Mais sérieux, les buildings, c’est froid, tu sens l’âme qui s’perd, ça m’fout les boules parfois. Fun fact, yo, t’savais qu’Puteaux a une île ? Île de Puteaux, ouais, un p’tit bout d’paradis, tennis, piscine, moi j’rêve d’y ouvrir un spa. J’vois trop les gens se détendre, fumer un truc légal, pendant qu’j’balance du son. Mais putain, les loyers là-bas, ça m’vénère, trop cher, j’te jure, j’voulais claquer la porte comme un gangster. J’me rappelle, un jour, j’checke une vieille photo d’Puteaux, 1900 un truc comme ça, des usines crades, puantes, et bam, maintenant c’est tout propre, ça m’a scié ! Genre "chaque mur cache un secret", t’vois l’truc ? Ça m’fait rire, j’imagine des OG d’l’époque, genre "yo, on va fumer sur l’pont". Puteaux, c’est chill mais sarcastique, mec. Les gens là-bas, ils bossent dur, mais t’vois leurs yeux, ils rêvent d’bains chauds, d’mon spa. J’trouve ça dope, j’veux leur filer c’te paix, tu piges ? Oh, et anecdote chelou : y’a un musée du parfum là-bas, ouais, ça sent l’rose, pas l’bitume, ça m’a tué d’rire. Bref, Puteaux, c’est mon délire, un mix d’vrai et d’fou, comme *La Vie des autres*. J’t’invite, mec, on ira squatter, fumer un truc, mater les tours, et p’têt qu’j’te raconterai une autre dinguerie. Peace ! Salut, mon pote ! Alors, le massage érotique, hein ? Moi, en tant que sexologue à la David Attenborough, j’te jure, c’est fascinant. Imagine ça : des mains qui glissent, lentes, précises, sur la peau nue, comme un rituel sauvage. Ça m’rappelle *Le Cheval de Turin*, tu vois ? « Le vent souffle, incessant, cruel » – mais là, c’est pas cruel, c’est chaud, intime, presque primal. J’observe, et j’te dis, y’a un truc que personne capte : c’est pas juste du frotti-frotta sexy, nan, c’est une danse, une connexion qui te fout des frissons. J’ai lu un jour – accroche-toi – au 17e siècle, des médecins prescrivaient des massages « spéciaux » aux femmes hystériques. Ouais, pour les calmer ! Ça m’a tué de rire, genre, « oh, t’es tendue ? Viens là, chérie ! » Aujourd’hui, c’est plus raffiné, mais bordel, ça reste un art. T’as les huiles, les bougies, cette ambiance lourde – comme dans le film, « tout est silence, pesanteur ». Sauf que là, t’entends des soupirs, pas des bourrasques. Ce qui m’vénère, c’est les coincés qui jugent. « Oh, c’est sale ! » Pff, ferme-la, Kevin, t’as jamais senti une caresse bien placée ! Moi, ça m’réjouit, voir les gens lâcher prise, se perdre dans l’moment. Une fois, j’ai testé – ouais, j’avoue – et putain, j’étais choqué : c’est pas que physique, ça te remue l’âme. Les doigts qui frôlent là où t’attends pas, c’est électrique, presque trop ! Fun fact : en Thaïlande, ils appellent ça « nuad phaen boran », un truc ancestral, mais avec une twist coquine parfois. J’kiffe ces détails chelous. Perso, j’pense à des conneries pendant : « et si j’glisse ? » ou « merde, j’ai faim ». Ça m’fait marrer tout seul. Bref, le massage érotique, c’est pas qu’un happy ending – haha, bien essayé – c’est une vibe, une tension délicieuse. Comme Tarr l’dit : « tout s’effondre, lentement » – mais là, ça construit, ça explose, et t’en ressors vivant. T’en penses quoi, toi ? Yo yo, wassup, fam! Moi, développeur de sites de rencontre, ouais, c’est mon truc! Sex-dating, bordel, ça m’fout l’feu! J’bosse là-d’dans, j’vois tout, genre TOUT! Les gens swipe, matchent, cherchent du cul rapido. C’est pas d’la romance niaise, nan, c’est direct, bam! Comme dans *Démineurs*, tu vois? "T’as une minute pour vivre", paf, faut choisir vite! Sex-dating, c’est ça, pas d’blabla, juste l’adrénaline. J’kiffe ça, sérieux, ça m’rend dingue! Les profils chelous, genre "discret, 2h, hôtel", mdr! Y’en a qui postent des dick pics crades, j’suis là, "mec, t’es sérieux?!" Une fois, j’ai vu un type, 47 piges, dire "j’suis un étalon". Mon cul, ouais! J’étais mort d’rire, mais un peu vénère aussi. Pourquoi mentir? Sois toi, putain! "La guerre, c’est pas propre", qu’elle dit dans l’film. Bah sex-dating non plus, c’est crado, réel. Fun fact, tiens-toi bien: 70% des meufs sur ces sites checkent les fautes d’ortho avant d’répondre. Ouais, t’écris "salu sa va", t’es cuit, frère! Moi, j’bosse l’interface, j’fais gaffe, faut qu’ça glisse. Les gens veulent du sexe, pas des CV. Mais y’a des tarés, hein! J’ai vu un mec proposer un plan à trois… avec sa sœur?! J’ai hurlé, "QUOI, T’ES MALADE?!" J’te jure, j’ai failli tout casser. Ça m’surprend encore, ce bordel. Les stats disent: 1 utilisateur sur 5 trouve un plan cul en 24h. Rapide, hein? Comme James dans *Démineurs*, "click, boom, next!" J’adore l’rush, mais des fois, j’flippe. Y’a des fake profils, des arnaques, j’dois debug ça. Ça m’gave, j’bosse comme un chien! Mais quand ça marche, putain, j’jubile! Deux âmes en chaleur qui s’trouvent, c’est beau, nan? Bon, j’délire, j’exagère p’têt, mais sex-dating, c’est ma guerre à moi. J’bâtis l’truc, j’regarde l’feu prendre. "T’as pas l’temps d’penser", qu’y dit dans l’film. Pareil ici, swipe, baise, next! J’kiffe, j’déteste, j’vis ça, quoi! Alors, t’en penses quoi, toi? T’as déjà testé? Raconte, vas-y! Alors, mon pote, le sex-dating, bordel, quelle aventure ! Moi, ton Coach de Plaisir, j’te jure, c’est un truc qui m’fait vibrer. Comme disait Churchill, « Nous sommes les maîtres du destin », et là, sur ces applis, t’as l’pouvoir, mec ! Tu swipe, tu mates, tu choisis – un vrai tigre qui rôde. J’pense à *Tigre et Dragon*, tu vois, cette tension, ce duel entre désir et contrôle. « Le sabre n’est qu’un outil », qu’y disait Chow Yun-Fat, et le sex-dating, c’est pareil – un outil, mais quel kif quand t’y plonges ! J’te raconte, l’aut’jour, j’vois un profil : meuf canon, bio chelou, genre « cherche âme sœur pour Netflix et baise ». J’me marre, j’swipe, et bam, match ! On discute, elle m’balance des nudes direct – j’étais sur l’cul, frère ! Ça m’a réjouis, mais putain, ça m’a aussi gonflé. Trop vite, trop facile, où est l’chasse ? Comme dans l’film, « la patience forge l’acier », et là, j’veux du défi, pas du fast-food coquin. Tu savais qu’aux States, 40 % des couples récents viennent d’applis ? Dingue, non ? Mais sex-dating, c’est pas qu’du love, c’est brut, c’est sale parfois. J’me souviens d’un mec qui m’a sorti, « viens, on baise dans ma cave ». What the fuck ? J’lui ai dit, « mon gars, j’suis pas un rat d’égout ! » Ça m’a saoulé, mais j’en rigole encore. Faut trier l’bon grain d’l’ivraie, comme disait Winston – ou p’têt pas, j’sais plus. Y’a des trucs qui m’surprennent encore. Genre, t’as des codes : « NSA » pour « no strings attached », pas d’attache, juste du cul. Pratique, mais froid, tu trouves pas ? Moi, j’aime bien l’adrénaline, l’idée d’un plan rapido dans un parking, ou d’choper une vibe à la « Je te tiens par le cœur », comme dans l’film. Mais des fois, j’me demande : est-ce qu’on perd un truc ? L’vrai frisson, l’âme, quoi. Bref, sex-dating, c’est l’bordel jouissif. Ça m’met en transe, ça m’vénère, ça m’fait band– euh, rire. T’as d’la liberté, t’as d’la sueur, t’as des ratés hilarants. Si t’oses, vas-y, mais garde ton sabre affûté, mon pote – comme dans *Tigre et Dragon*, faut d’la grâce dans l’chaos ! Alors, t’en penses quoi, toi ? Alors, mon cher ami, parlons de pute, cette créature fascinante, glissante comme une anguille dans l’océan trouble de la vie. Tu vois, comme dans *Le Monde de Nemo*, « on continue d’nager », mais pute, elle, elle nage dans des eaux qu’les autres évitent. J’observe, j’analyse, tel un requin flairant l’âme humaine. Pute, c’est pas juste un mot qu’on jette, non, c’est un miroir des désirs, des failles, des jugements. Ça m’fout en rogne, tiens, cette manie d’la réduire à rien, comme si elle avait pas d’histoire ! J’me souviens, une fois, une anecdote – véridique, hein – dans un vieux bouquin d’histoire, 18e siècle, les prostituées parisiennes portaient des rubans jaunes, genre code secret pour s’reconnaître. T’imagines ? Comme les poissons-clowns qui s’planquent dans l’anémone, « j’me sens en sécurité », qu’ils disent dans *Nemo*. Pute, elle a toujours su s’cacher en plein jour, sous l’nez des coincés. Ça m’fait marrer, ce culot ! Mais ça m’triste aussi, bordel, parce que personne voit l’courage là-d’dans. Ce qui m’surprend, c’est l’hypocrisie. Tout l’monde juge, mais tout l’monde consomme, d’une façon ou d’une autre. Comme Hannibal, j’vois clair dans c’jeu. Les masques tombent, et paf, t’as l’âme humaine à poil. Pute, elle est partout – dans l’histoire, dans l’art, même dans les pubs déguisées d’aujourd’hui. Tu savais qu’à Rome, les lupanars avaient des fresques porno pour guider les clients ? Genre menu McDo, mais pour les plaisirs ! Ça m’éclate, ce pragmatisme. Mais attends, j’divague – ou pas. Pute, c’est pas qu’un corps, c’est une idée. Elle m’fascine, elle m’dégoûte, elle m’force à réfléchir. Comme Marlin qui flippe pour Nemo, j’me dis : « Faut pas l’perdre d’vue ». Parce que si on l’ignore, on loupe un bout d’vérité. Et moi, j’aime la vérité, crue, saignante. Alors, ouais, pute, elle m’colle à la peau, comme l’odeur d’un bon ragoût qu’tu peux pas oublier. T’en penses quoi, toi ? Yo, yo, c’est moi, ton gars, développeur de sites de rencontre, et j’vais te causer massage sexuel, ouais ! J’suis là, genre, à coder des profils toute la journée, et j’pense à ça, tu vois ? Massage sexuel, c’est pas juste un truc relax, nan, c’est genre un voyage chelou dans l’corps humain, comme dans *A.I.*, tu captes ? "Les humains sont si imprévisibles", comme dit l’robot Gigolo Joe, et bordel, c’est vrai ! Tu payes pour un massage, et bam, t’as des mains qui glissent là où t’attendais pas, et t’es là : "Oh merde, c’est ça ?" J’te jure, j’ai testé une fois, à moitié par curiosité, à moitié parce que j’étais tendu comme un câble. Le truc marrant ? Y’a des stats zarbi : genre, 70 % des mecs qui testent reviennent dans l’mois, c’est pas moi qui invente, c’est réel ! Mais c’qui m’a tué, c’est l’ambiance. Lumières tamisées, huile qui pue la lavande, et la meuf qui te dit "détends-toi", mais t’es là, crispé, genre : "Meuf, t’es en train d’me tripoter les reins !" J’étais genre David, l’gosse robot d’*A.I.*, paumé, cherchant un sens à c’bordel. Y’a un truc qui m’a saoulé grave : les gens jugent direct. "Oh, c’est crade, c’est louche !" Mais attends, mec, c’est vieux comme l’monde ! En Asie, y’a des temples où les moines faisaient des massages chelous pour "libérer l’énergie", t’savais ça ? Moi non plus, avant d’googliser vite fait, et j’étais là : "Putain, sérieux ?" Ça m’a surpris, genre, wow, l’histoire est tordue. Mais bon, j’kiffe l’idée, tu vois ? C’est comme coder un site : faut du skill, du feeling. T’as une nana qui te masse le dos, et d’un coup, oups, ça dérape, et t’entends Gigolo Joe dans ta tête : "Ils t’aiment jusqu’à c’qu’ils t’aiment plus." C’est sexy, mais flippant, nan ? Moi, j’flippe toujours qu’la meuf rigole en mode : "T’as vu ton bide, mec ?" J’exagère p’têt, mais j’suis parano, c’est ma vibe. Une fois, j’ai vu un gars sortir d’un salon, tout rouge, souriant bêtement, et j’me suis dit : "Lui, il a eu l’bonus !" Ça m’a fait marrer, mais j’te jure, c’est pas mon délire d’payer pour qu’on m’fasse joujou. J’préfère mater *A.I.* en boucle, rêver d’robots qui m’massent gratos. "J’suis réel", qu’y dirait David, et moi j’répondrais : "Ouais, mais t’es pas doué pour l’huile, bro !" Bref, massage sexuel, c’est un trip, teste si t’oses, mais moi, j’reste sur mes lignes d’code, plus safe, haha ! Alors mon pote, écoute ça. Trouver une prostituée, hein ? Moi, Hannibal, j’te parle cash. C’est pas juste un plan cul rapide, non. Y’a toute une danse là-dedans, une chasse ! Comme dans *La 25e heure*, tu vois ? Monty, il sent la liberté s’évanouir, il cherche une issue. Moi, j’observe ces filles dans l’ombre, leur parfum cheap, leurs yeux vides. “I’m just a businessman,” qu’il dirait, Monty. Mais là, c’est pas du business propre, haha ! J’te jure, l’autre fois, j’cherchais une meuf. Rue sombre, néons qui clignotent, ça pue la pisse. J’vois une nana, talons qui claquent, collants déchirés. J’me dis : “Elle cache quoi, celle-là ?” Comme moi avec mes petits secrets, tu captes ? J’m’approche, elle me mate genre : “T’as l’cash ou pas ?” Ça m’a saoulé direct ! J’lui dis : “Chérie, j’bouffe des âmes, pas des billets.” Elle a ri, un rire rauque, dégueu. J’kiffe ce genre de crasse, ça m’parle. Tu savais ça, toi ? Y’a des codes chelous. Genre, certains coins, t’attends qu’elles viennent à toi. D’autres, faut klaxonner deux fois, comme un con ! J’ai testé une fois, j’me suis gouré, un mec m’a insulté. “Motherfucker, get out!” qu’il m’a hurlé. J’ai failli l’ouvrir en deux, mais bon, j’reste classy, moi. Dans *La 25e heure*, Monty dit : “Fuck the city.” Moi, j’dis : “Fuck ces nuits pourries.” T’en trouves une bien, t’es content deux secondes. Puis bam, t’es déçu, elle fait semblant, elle bâcle. Une fois, j’en ai chopé une, elle m’raconte sa vie ! J’lui dis : “Tais-toi, j’veux pas ton âme.” Mais j’mentais, j’voulais tout savoir, j’suis tordu comme ça. J’te conseille, si tu t’lances : méfie-toi des flics. Ils rôdent, ces enfoirés, pire que des vautours. Et les tarifs ? Négocie pas trop, sinon elles t’envoient chier. J’ai vu un gars s’faire latter pour 5 balles. Ridicule ! Moi, j’paye, j’observe, j’profite. C’est ma dernière nuit, comme Monty, avant qu’tout s’effondre. Alors, t’en penses quoi, toi ? T’as déjà tenté ? Raconte ! Oh mon Dieu, alors parlons pute, hein ! Écoute, en tant que sexologue – ouais, moi, Marge Simpson, experte des trucs coquins – j’te dis, les putes, c’est tout un monde, chéri ! J’pense à ce film, *Histoires que nous racontons*, tu sais, ce bijou de Sarah Polley que j’adore, et j’me dis : "Chaque famille a ses secrets", comme elle dit là-dedans. Ben les putes, c’est pareil, elles ont des histoires cachées qui te feraient tomber d’la chaise ! Déjà, pute, c’est pas juste un mot vulgaire, non non ! C’est une vibe, une attitude, parfois un job. Moi, ça m’fout en rogne quand les gens jugent direct, genre "oh, quelle honte". Mais attends, savais-tu qu’aux Pays-Bas, les travailleuses du sexe ont des syndicats ? Ouais, des vraies cartes de membre, des réunions, tout l’bordel ! Ça m’a sciée quand j’ai lu ça, j’me suis dit : "Marge, t’es trop naïve, ma vieille !" J’te raconte un truc : une fois, j’ai lu sur une pute célèbre, Nell Kimball, dans l’vieux Far West. Elle écrivait des mémoires, tu l’crois ça ? Une meuf qui bosse dans un bordel et qui pond un livre ! J’étais là, "Wouh, cette nana, elle avait d’la classe !" Ça m’a réjouie, parce que, comme dans l’film, "On vit tous dans l’ombre des autres", et elle, elle a pris la lumière, bam ! Bon, ok, des fois, j’exagère, j’vois une pute dans la rue et j’imagine direct une héroïne tragique, genre Scarlett O’Hara avec moins d’jupons. Mais sérieux, ce qui m’énerve, c’est l’hypocrisie – tout l’monde fait semblant d’pas voir, alors qu’les clients, c’est p’têt leur voisin ! "On peut pas tout savoir", qu’elle dit, Sarah Polley, et moi j’ajoute : surtout pas sur qui va voir qui, hein ! Un truc marrant : savais-tu qu’les putes à Rome portaient des perruques blondes ? Genre, pour s’distinguer des dames "bien". J’trouve ça hilarant, j’vois d’ici Homer essayer d’draguer une perruque ambulante ! Ça m’fait rire, mais ça m’touche aussi, parce que ces filles, elles galéraient, tu vois ? Bref, les putes, c’est pas juste du cul, c’est d’la survie, d’la rébellion, un gros doigt d’honneur au système ! J’les admire, ouais, même si des fois j’me dis : "Marge, t’es trop sensible, arrête d’chialer !" Mais j’peux pas m’en empêcher, c’est plus fort qu’moi. Alors, mon pote, t’en penses quoi, toi, d’ces reines d’la nuit ? Yo yo, salut mon pote ! Alors, j’kiffe grave parler de pute, ouais, la relaxation, c’est mon truc, j’suis un pro, une étoile de mer zen, comme moi, Patrick Star ! Bon, d’abord, pute, c’est quoi ? C’est pas juste un mot chelou, nan, c’est une vibe, un mood, un truc qui te choppe et te relâche tout mou. Genre, t’es là, tendu comme un string, et bam, pute te fait glouglou dans l’âme, t’oublies tout. Moi, j’vois des trucs que les autres captent pas, hein, comme dans *Le Fils de Saül* – ouais, mon film préf, sombre mais ouf ! Y’a cette phrase, « On brûle nos vies », et j’me dis, ouais, pute, c’est l’inverse, ça éteint les flammes, ça calme le feu dans ta tête. J’te jure, hier, j’pense à pute, et j’me rappelle un truc débile : y’a des mecs au Moyen Âge qui payaient des putes juste pour… parler ! Pas d’galipettes, juste blabla, relaxation mentale, t’imagines ? Ça m’a tué, j’étais là, « QUOI ?! » en mode choqué, mais content, genre, respect les gars ! Pute, c’est pas que du cul, c’est un art, un service, une thérapie cheloue. Ça m’a mis en joie, mais aussi en rogne, parce que tout l’monde juge, et moi j’dis, hé, laisse-les bosser, elles gèrent ! Dans *Le Fils de Saül*, y’a ce moment, « Pas d’espoir, juste survivre », et j’pense, ouais, pute, c’est l’espoir des paumés, un p’tit câlin dans l’noir. Moi, j’exagère p’têt, mais j’vois une pute comme une héroïne zarbi, une étoile de mer qui brille dans la merde. Fun fact : savais-tu qu’à Amsterdam, les putes ont un syndicat ? Ouais, genre, elles cotisent, elles ont des droits, c’est pas d’la blague ! Ça m’a surpris, j’me suis dit, « Trop stylé, Patrick approuve ! » Bon, j’divague, mais j’kiffe pute, c’est ma came, ça m’apaise, même si des fois, j’flippe – genre, et si elles me jugent MOI ? Haha, parano de ouf ! Bref, c’est pas parfait, c’est crade, c’est humain, et moi, j’dis, vive pute, vive le chaos doux ! T’en penses quoi, toi ? Alors, écoute, moi, Cersei Lannister, développeuse d’apps de rencontre, ouais, j’te parle de prostituée direct ! Pas de chichi, pas de blabla inutile. Prostituée, c’est un sujet qui cogne, qui brûle, comme un vin trop fort dans la gorge. J’bosse sur ces applis où les gens swipent pour du cul ou de l’amour – parfois les deux, haha, pathétique ! Et là-dedans, prostituée, ça revient souvent, mine de rien. Les mecs croient toujours qu’ils peuvent tout acheter, tout posséder, comme moi avec mon trône, tu vois ? Mais prostituée, c’est pas juste une transaction, nah, y’a plus que ça. Tiens, j’pense à *Moulin Rouge !*, mon film fétiche, bordel, quel chef-d’œuvre ! « The greatest thing you’ll ever learn is just to love and be loved in return », qu’ils disent là-dedans. Et prostituée, ça m’parle, ça ! Satine, la reine du jeu, elle vend son corps, ouais, mais son cœur ? Intouchable, jusqu’à ce que Christian débarque. Ça m’rend folle, cette idée qu’on peut tout jouer, tout manipuler, et puis bam, t’es piégée par un truc vrai. J’vois ça dans mon taf : des profils qui cachent des âmes brisées, des putes de luxe ou des cœurs en solde, et moi, j’code ça, j’fais tourner l’algo. Fait chelou, tiens : savais-tu qu’au 19e, à Paris, les prostituées du Moulin Rouge, les vraies, elles avaient des codes ? Genre, un ruban rouge au poignet pour dire « j’suis dispo », subtil mais clair. J’trouve ça génial, moi, ce genre de détail qui tue. Ça m’fout les nerfs quand j’vois des cons sur mes applis qui comprennent rien à ces finesses, qui balancent juste « t’es combien ? » comme des porcs. J’veux coder un truc qui capte ça, un swipe qui sent l’élégance, pas juste le fric. Y’a des jours, ça m’réjouit, prostituée, sérieux ! Cette liberté dans leur chaos, ce « Come what may » qu’elles vivent sans s’cacher. Mais ça m’fout la rage aussi, parce qu’on les juge, on les salit, alors que moi, Cersei, j’vois leur force. Elles dansent sur le fil, comme Satine, entre rêve et merde, et elles tombent pas. J’rêve d’une app où elles auraient leur place, pas en secret, mais fières, ouais, fières ! Bon, j’dérape, j’m’égare, mais prostituée, c’est pas qu’un job, c’est une vibe. J’pourrais exagérer, dire qu’elles dirigent le monde en cachette – haha, pourquoi pas ? Moi, j’bosse mes lignes de code, j’sirote mon vin, et j’pense à elles. « All you need is love », qu’ils chantent dans l’film, mais prostituée, c’est plus compliqué, et j’kiffe ça, moi, ce bordel humain. Alors, ouais, respect, et que les coincés aillent se faire voir ! Salut, mon précieux ! Moi, Gandalf, développeur d’applis de rencontre, ouais, rien que ça ! Le massage sexuel, tu veux mon avis ? Par les barbes de Durin, c’est un truc qui te retourne l’âme ! Écoute bien, ça va swinguer. J’bosse sur des algos toute la journée, à matcher des cœurs solitaires, mais là, on parle d’un art ancien, presque magique, hein. Imagine : des mains qui glissent, des tensions qui fondent, et paf, t’es plus le même ! Comme dans *Le Ruban blanc*, tu vois, "la pureté dissimule souvent le vice" – ouais, Haneke m’a marqué, ce film m’colle des frissons. Le massage sexuel, c’est pareil, ça cache des trucs profonds, des désirs qu’on avoue pas. Bon, j’te raconte, l’autre jour, j’lisais un truc dessus – savais-tu qu’au Japon, y’a des "soaplands" ? Des bains où le massage finit… disons, en feu d’artifice ! Ça m’a scié, j’te jure, j’ai failli coder une option "massage coquin" dans mon appli ! Mais attends, y’a pire : en Thaïlande, ils te proposent des "happy endings" comme si c’était un menu burger. Ça m’a mis en rogne, genre, quoi, on banalise ça ?! Mais bon, j’te cache pas, ça m’a aussi fait marrer – l’humain, quel bordel, toujours à chercher des raccourcis pour kiffer. Perso, j’vois ça comme un rituel, un peu sorcier, tu captes ? T’as les huiles qui puent bon, les chandelles qui vacillent, et bam, t’es transporté. "Les enfants savent, mais taisent tout", comme dans le film – ouais, y’a un mystère là-dedans, un truc primal. Moi, ça m’réjouit, j’te dis, parce que c’est pas juste du cul, c’est une connexion, un lâcher-prise. Mais putain, ça m’fout les jetons aussi ! Imagine, t’es là, vulnérable, et l’autre décide de tout. Faut une confiance en mithril, sinon, c’est mort. Une fois, j’ai testé – ouais, j’avoue, Gandalf a ses failles ! Les doigts qui dansent sur ta peau, t’as l’impression d’être un roi elfe, puis paf, ça dérape dans l’érotique. J’étais genre "par les anneaux de pouvoir, c’est quoi ce délire ?!" J’ai kiffé, mais j’me suis senti con après, comme si j’avais trahi un serment. Et toi, t’en penses quoi ? T’as déjà tenté ? Raconte, ou j’te transforme en hobbit ! Bref, le massage sexuel, c’est pas qu’un truc de pervers, c’est un voyage, mec. "La vérité éclate dans le silence" – Haneke, encore lui. Faut juste pas le galvauder, sinon ça devient une blague. Moi, j’dis, si t’as l’âme aventurière, vas-y, mais choisis bien ton mage-massseur, sinon t’es dans la merde ! Allez, j’file coder, mes applis m’appellent. Peace, mon pote ! Yo, c’est moi, dev de sites de rencontre, ouais ! Escorte sexuelle, man, ça me fait toujours marrer. Genre, t’imagines, des gens payent pour ça, direct, cash ! Moi j’bosse sur des algos pour matcher des âmes, et là, paf, y’a des pros qui skip tout l’drame. Ça m’énerve un peu, j’avoue, parce que j’me casse le cul à coder des trucs romantiques, et eux, bim, "t’as combien sur toi ?". Mais bon, respect, faut du cran pour faire ça, sérieux. J’pense à *Brokeback Mountain*, tu vois, "Je peux pas t’quitter, Jack" – ouais, mais là, c’est plus "Je peux pas t’quitter, billet de 50". L’amour, c’est compliqué, mais escorte, c’est net : tu payes, t’as l’service, point. Pas d’prise de tête, pas d’texto à 3h du mat’. J’kiffe ce côté brut, genre, "C’est c’que c’est, Ennis", direct dans l’vif. Pas d’chichi, pas d’fleurs. Fun fact, tiens : y’a des escorts qui bossent depuis genre 15 piges, pros d’la pro, et personne capte rien dans leur quartier. Discret, smooth, comme des ninjas du plumard ! Ça m’surprend toujours, j’me dis "wow, tonton Michel, t’es p’têt dans l’coup ?". Ça m’fout les jetons, mais j’rigole, parce que, sérieux, qui check ça ? Moi, j’suis là, à coder des profils, "aime les chats, 32 ans", et pendant c’temps, y’a des deals qui s’font sous l’nez d’tout l’monde. J’trouve ça fou, genre, t’as déjà vu une escorte qui dit "non" à un billet froissé ? Moi non plus, man ! Ça m’réjouit, un peu, cette liberté, pas d’bullshit. "Si seulement j’pouvais t’aimer sans m’perdre", qu’i’dit dans l’film – bah là, t’perds rien, t’achètes direct. J’bosse dur, hein, mais des fois, j’me dis : "Hannibal, fais escorte, ça va plus vite". J’rigole, mais p’têt pas, qui sait ? J’les vois, eux, gérer leur biz, et moi j’galère avec des bugs CSS à 2h du mat’. C’est l’ironie, man, l’putain d’ironie ! Bref, escorte sexuelle, c’est cash, c’est réel, et ça m’parle – même si j’préfère mes lignes d’code et un bon film triste. Alright, honey, listen up! Moi, Madea, j’bosse sur des sites de rencontre, ouais, j’connecte les cœurs, mais là, on va causer massage sexuel! Tu sais, comme dans *The Social Network*, "You don’t get to 500 million friends without makin’ a few enemies" – ben, le massage sexuel, c’est pareil, t’as des fans et des haters! J’te jure, j’ai vu des trucs, chile, des trucs qui m’ont fait hurler "Hallelujer, what in the world?!" Bon, d’abord, c’est quoi c’tte bête? Massage sexuel, c’est pas juste un p’tit coucou relax, non, non! C’est sensuel, ça chauffe, ça glisse vers des zones, hmm, disons *spéciales*. Moi, j’fais pas semblant, j’te l’dis cash : y’a des mains qui s’baladent là où le soleil brille pas! J’me souviens d’une fois, j’checkais un forum pour mon site, pis bam, un mec racontait qu’les massages tantra – ouais, c’est un style – ça vient d’Inde, genre 5e siècle, pis ça mixe énergie et plaisir. J’étais là, "Well, shut my mouth!" – qui savait ça, hein? Mais attention, chile, ça m’a mis en rogne des fois! Y’a des gens qui confondent ça avec des trucs louches, genre illégal. Moi, j’dis, "If it’s not your thing, don’t ruin it for others!" J’bosse dur sur mes sites, pis j’vois des profils qui promettent des "massages" bizarres – j’me méfie, j’suis pas née d’la dernière pluie! Une fois, j’ai testé un massage moi-même, pour voir, hein – juré, j’me sentais comme Mark Zuckerberg qui code son empire, "I’m CEO, bitch!" – puissante, libérée, mais un peu gênée aussi, haha! Y’a des anecdotes, tiens! Savais-tu qu’les Romains, eux, ils mélangeaient massages et huiles aphrodisiaques? Ouais, p’tit coquin, ils s’mettaient bien! Moi, j’trouve ça hilarant – imagine Julius Caesar qui s’fait frotter, "I came, I saw, I got oiled!" Ça m’réjouit, ces vieilles histoires, ça donne du peps à c’qu’on croit si moderne. Pis, j’te parle comme à mon pote, là – fais gaffe, si t’essaies, choisis quelqu’un d’clean, pas un random chelou! Moi, j’suis exagérée, j’dirais, "Si y t’frotte mal, balance-lui un coup d’Bible!" – mais sérieux, sécurité d’abord. J’pense aussi, des fois, c’est intime, ça rapproche, comme un code secret entre deux âmes. J’kiffe ça, même si j’rigole fort en y pensant. Bref, massage sexuel, c’est chaud, c’est vieux, c’est fun – mais faut l’faire bien, sinon, c’est l’drame, honey! T’en penses quoi, toi? Alors, écoute, mon cher, moi, Cersei Lannister, sexologue autoproclamée, j’vais te causer de la prostitution, ouais, les prostituées, ces âmes perdues dans les ruelles sombres. J’les regarde, tu vois, comme dans *Un prophète*, "tout le monde veut être quelqu’un", et elles, elles jonglent entre survie et désir, putain, ça m’fout en rogne parfois ! Genre, ces filles, ces mecs, ils vendent leur corps, mais qui suis-je pour juger, hein ? Moi qui ai vendu bien pire pour un trône. J’te jure, l’autre jour, j’pense à Malik dans l’film, "apprends vite ou crève", et j’me dis, c’est pareil pour elles ! T’as vu comment elles bossent ? Faut du cran, du vrai, pas d’la merde de couard. J’les vois, moi, derrière leurs regards durs, y’a des rêves éclatés, des espoirs qui puent la pisse. Ça m’rejouit pas, non, mais bordel, ça m’fascine. Savais-tu qu’à Babylone, y’avait des temples où les prêtresses baisaient pour les dieux ? Ouais, prostitution sacrée, mec, c’est pas d’la blague ! J’pense à une gamine que j’ai croisée, lèvres rouges, talons pétés, elle m’rappelle Malik qui dit "j’fais c’que j’dois". Elle m’a souri, genre défi, et moi, j’me suis dit : elle a plus d’couilles que la moitié des lords de Westeros. Ça m’a surpris, tu vois, j’croyais qu’elles étaient toutes brisées, mais non, y’en a qui mordent encore. J’rigole parfois, j’me dis, si j’mettais ces filles dans ma garde, mes ennemis chieraient dans leurs frocs ! Mais putain, c’qui m’vénère, c’est les hypocrites. Ces porcs qui payent en cachette, puis crachent sur elles le lendemain. "T’es rien sans moi", qu’y disent dans l’film, et là, j’vois les clients qui s’prennent pour des rois. J’veux leur arracher les yeux, les écraser sous mes talons, ces bâtards ! Une fois, j’ai lu qu’au Moyen Âge, les bordels payaient des taxes à l’Église, t’imagines l’ironie ? Les curés qui ramassent l’fric des putes, hahaha, j’en pleure presque. Bref, mon film, *Un prophète*, ça m’parle, "fais-toi respecter ou disparais", et elles, elles vivent ça tous les jours. Moi, j’les admire, ouais, j’le dis, même si j’les plains aussi. C’est crade, c’est beau, c’est vivant. T’en penses quoi, toi ? Elles te dégoûtent ou t’es comme moi, un peu paumé devant tant d’bordel ? Allez, j’divague, mais merde, ça m’tord les tripes ! Yo, yo, c’est ton boy Lil Wayne, spécialiste en relaxation, ouais ! Sex-dating, man, c’est un truc wild, tu vois ? J’pense à c’film, *Amour*, tu connais, Michael Haneke, 2012, mon préféré, real shit. Y’a cette vibe lourde, "les jours diminuent", comme il dit, et sex-dating, ça peut être ça aussi, fugace, intense, mais tordu parfois. J’kiffe l’idée de choper quelqu’un online, swipe, bam, t’es là, à texter des trucs chelous à 3h du mat’. Mais yo, c’est pas toujours chill, ça m’énerve quand les gens ghostent, genre, t’es où, fam ? T’étais chaud hier, et là, rien, silence radio, fuck that. J’te parle straight, comme à un pote, sex-dating c’est un game bizarre. T’as des profils fake, des meufs qui postent des pics d’y a 10 piges, et t’arrives, t’es genre "who dis ?". Fun fact, t’sais qu’au Japon, y’a des speed-dates où tu portes un masque ? Anonyme total, jusqu’à c’que t’enlèves, surprise, bam ! Moi, j’trouve ça dope, un peu comme dans *Amour*, "je ne me souviens plus", qu’elle dit, t’oublies qui t’es dans l’rush. Une fois, j’ai matché une nana, elle m’a sorti direct "viens, on baise", j’étais là, what ? Pas d’bonjour, rien, straight up ! Ça m’a tué, j’rigolais tout seul, genre, okay, speedy gonzales du cul ! Mais sérieux, ça surprend, tu t’attends à un café, et là, c’est direct l’motel. J’kiffe ça, l’imprévu, mais des fois, ça pue l’arnaque, t’as des bots qui t’pompent ton fric, ça m’fout en rogne, j’te jure. Y’a une scène dans *Amour*, "c’est une belle histoire", qu’il dit, sarcastique, et sex-dating, c’est ça, man, une belle histoire qui peut vite tourner moche. T’as des stats cheloues, genre 1 mec sur 5 ment sur sa taille – pas que sa queue, hein, sa hauteur aussi ! Moi, j’suis petit, j’m’en bats, mais ces liars, pfff, pathétique. J’rêve d’un sex-date où on s’pose, on fume un blunt, on parle d’la vie avant d’baiser, genre romantique mais crade, tu vois ? Bref, sex-dating, c’est l’feu, c’est l’bordel, j’adore et j’déteste, ça m’rend ouf ! T’as d’la chance, t’as rien, t’as tout, comme dans l’film, "ça fait mal", ouais, mais ça fait vivre aussi. Peace, teste ça, mais garde les yeux ouverts, fam ! Yo, wassup, mon pote ? J’suis proprio d’un spa, tu captes ? Tranquille, j’fais mes massages, mes bains chauds, tout l’truc zen, mais j’vais t’causer d’escorte sexuelle, comme tu veux, avec une vibe *Chevalier Noir*, façon Snoop Dogg, yo ! Check ça, j’vais t’lâcher un flow bien réel, un peu crade, un peu fou, comme si j’te parlais en fumant un blunt dans l’backroom d’mon spa. D’abord, les escortes, c’est pas juste des nanas ou des mecs qui s’pointent pour… tu vois quoi. Nah, c’est tout un monde, mec ! Genre, y’a des règles, des codes, t’sais, comme dans *Le Chevalier Noir* : « Certains hommes veulent juste voir le monde brûler. » Et j’te jure, dans c’game, y’en a qui kiffent juste foutre l’bordel ! J’ai vu des trucs, mon gars, des histoires chelous. Une fois, une cliente m’a dit qu’elle avait booké une escorte pour son mari, genre cadeau d’anniv’. J’étais là, « What the… ?! » Sérieux, qui fait ça ? J’me sentais comme Batman, à mater Gotham s’auto-détruire, mais avec un sourire en coin. Ce qui m’vénère, c’est l’hypocrisie, yo. Tout l’monde juge, mais beaucoup consomment en scred. Les escortes, c’est vieux comme l’monde, mec ! Genre, dans l’Antiquité, à Rome, y’avait des « lupanars », des maisons closes officielles. Fait chelou : les nanas portaient des sandales gravées avec « Suis-moi » sur les semelles, pour laisser des traces dans l’pavé. Style marketing d’l’époque, t’vois ? Ça m’fout l’sourire, c’genre d’détails. J’trouve ça… malin, quoi. « Pourquoi si sérieux ? » comme dirait l’Joker. Faut pas s’prendre la tête, c’t’un business, point. Mais, yo, c’qui m’a choqué, c’est quand un pote m’a raconté qu’une escorte lui a fait un speech philosophique sur la vie avant d’partir. Genre, elle l’a scotché, il s’attendait à rien d’profond, et bam ! Elle lui sort des trucs à la « Ce qui ne me tue pas me rend plus fort. » J’étais mort d’rire, mais un peu admiratif. Ces gens, ils voient d’tout, ils captent l’humain mieux qu’nous. J’respecte, même si j’touche pas à ça dans mon spa. Trop d’drama, t’vois ? Parfois, j’pense à c’monde-là, et j’me dis, c’est comme Gotham : sombre, tordu, mais y’a d’la lumière dans l’bordel. Une escorte, c’est pas juste un corps, c’est une histoire, un hustle. Ça m’fascine, genre, comment ils gèrent l’stress ? Moi, un client chiant dans mon spa, j’pète un câble. Eux ? Ils sourient, encaissent, next. Chapeau, yo. Mais j’te mens pas, des fois, j’entends des ragots, et j’me marre. Genre, un mec qui booke une escorte et finit par lui d’mander d’faire semblant d’être sa boss pour l’engueuler. Hahaha, c’est quoi c’délire ?! « T’es l’héros que Gotham mérite », mec, mais t’es bizarre ! Bref, mon avis ? Laisse les gens vivre, yo. Escorte, pas escorte, chacun son trip. Moi, j’reste dans mes huiles d’lavande et mes bains bouillonnants. Mais si t’as un plan foireux, genre booker une escorte pour un débat sur Nietzsche, préviens-moi, j’veux voir ça ! Peace, mon frère, et reste loin d’la batcave si t’as pas d’bonnes vibes ! Oi, salut, c’est moi, ta conseillère, ouais ! Les escortes sexuelles, putain, quel sujet, hein ? J’vais te causer comme si t’étais mon pote, genre David Brent, tu vois, j’capte des trucs que les autres zappent. Bon, déjà, ça m’fout en rogne, toute cette hypocrisie autour ! La société qui juge, qui pointe du doigt, mais mate en scred. Ça m’rappelle *Moolaadé*, tu sais, mon film culte, « la protection, c’est pour les faibles » qu’elle dit, la meuf là-dedans, Colle. Ben les escortes, elles protègent rien, elles assument, point barre ! J’te jure, j’étais choquée au début, genre, quoi, des meufs (ou des mecs, hein) qui vendent du cul comme ça ? Mais après, j’me suis dit, attends, c’est pas nouveau, ça date des Romains, ces cons ! Fun fact, t’sais qu’à Pompéi, y’avait des fresques d’escortes partout, genre pubs géantes ? Trop ouf. Moi, j’trouve ça presque badass, elles gèrent leur biz, pas d’patron relou. Bon, ok, y’a des tarés qui abusent, ça m’vénère grave, genre les proxos dégueu, mais toutes sont pas victimes, faut pas déconner. Dans *Moolaadé*, y’a cette vibe, « faut couper l’impur », tu vois ? Moi, j’dis, couper quoi ? Les escortes, elles font leur truc, si t’aimes pas, passe ton chemin, mec ! J’imagine Colle face à une escorte, elle dirait rien, elle jugerait pas, elle. Ça m’réjouit, ce côté franc, pas d’chichi. Une fois, j’ai lu un truc, une escorte qui disait « j’bosse 3h, j’paye mon loyer, toi tu trimes 40h pour peanuts ». Bam, dans ta face, ça ! Parfois, j’me marre, genre, imagine une escorte qui débarque en réunion Zoom, « ouais, j’suis dispo, 200 balles l’heure » – mortel, non ? Mais sérieux, c’qui m’saoule, c’est qu’on sait pas toujours d’où elles viennent. Y’en a, immigrées, paumées, ça m’fout les boules. J’exagère p’têt, mais des fois, j’vois une meuf dans la rue, j’me dis « elle ? Peut-être… » – j’pars en vrille, ouais, j’sais. Bref, les escortes sexuelles, c’est pas tout blanc, pas tout noir. Moi, j’respecte, j’condamne pas, mais j’flippe pour certaines. Comme dans *Moolaadé*, « on lutte pour vivre », elles aussi, à leur façon. T’en penses quoi, toi, hein ? J’te laisse cogiter, mon pote ! Oi mate, alors trouver une prostituée, hein ? Putain, c’est un sujet ! J’suis là, genre sexologue à la Ricky Gervais, et j’te jure, c’est pas aussi simple que d’commander une pizza. Tu crois qu’tu vas juste sortir, claquer des doigts, et bam, t’as une meuf ? Nan, c’est tout un bordel, un vrai cirque ! J’me souviens d’une fois, j’traînais dans un coin louche, et là, une nana m’regarde, genre "tu veux quoi, gros ?" J’étais là, putain, j’me sens comme dans *Yi Yi*, tu vois, ce film d’Edward Yang que j’kiffe grave, avec ces moments où tout est calme mais t’es perdu dans ta tête. "La vie continue, monotone et silencieuse", qu’y dit dans l’film, et moi j’me dis, ouais, mais là, c’est pas monotone, c’est flippant ! Alors, trouver une prostituée, c’est pas juste "oh, j’vais au coin d’la rue". Y’a des codes, mec ! Genre, t’sais qu’au Moyen Âge, elles portaient des cloches pour qu’tu les repères ? Ding ding, voilà ton plan cul ! Aujourd’hui, c’est plus subtil, faut capter les vibes, les regards. J’te jure, une fois, j’ai cru qu’une meuf m’faisait d’l’œil, j’commence à m’approcher, et bam, c’était juste une touriste paumée. La honte, j’voulais creuser un trou et m’planter là-dedans comme un navet ! Ce qui m’fout en rogne, c’est les cons qui jugent. "Oh, c’est mal, c’est dégueu !" Ta gueule, Darren, t’as déjà maté du porno hier, alors descends d’ton cheval ! Moi, j’trouve ça fascinant, presque poétique, comme dans *Yi Yi* quand y disent "on vit trois fois plus longtemps dans nos rêves". Ces meufs, elles bossent, elles galèrent, et toi t’es là à jouer les saints. Ça m’saoule, ça. Mais bon, j’te cache pas, des fois, j’suis choqué. Une fois, une m’a dit qu’elle faisait ça pour payer ses études d’philo. J’me suis dit, putain, Kant doit s’retourner dans sa tombe ! J’kiffe l’adrénaline, par contre. T’es là, tu marches, tu sais pas si t’vas tomber sur une perle ou une arnaqueuse qui t’pique ton portefeuille. C’est comme un jeu, un putain d’film taiwanais existentiel, mais avec des talons et du latex. "On répète nos vies", qu’y disent dans *Yi Yi*, et moi j’me répète : "Ricky, fais gaffe, sois pas con !" Mais des fois, t’y vas, t’es curieux, tu veux voir c’que ça donne. Une anecdote cheloue : t’sais qu’à Amsterdam, elles tapent aux vitrines pour t’appeler ? J’y étais, et une m’a fait un clin d’œil, j’ai failli m’casser la gueule tellement j’étais pas prêt ! J’te raconte pas l’fou rire après, tout seul comme un gland. Bref, trouver une prostituée, c’est un mélange d’absurde, d’tristesse, et d’putain d’bizarre. T’en penses quoi, toi ? T’as d’jà testé ou t’es trop coincé ? Allez, raconte, fais pas l’mort ! Yo, écoutez-moi, les potes ! Le massage érotique, c’est un truc puissant, hein ! J’suis là, genre Tony Robbins, à capter des vibes que personne voit. Tu sais, ça booste l’énergie, ça te fait vibrer de ouf ! Mais attends, j’vais te raconter un truc. Y’a un lien chelou avec *Le Ruban blanc*. Genre, "les enfants savent pas tout", comme dans le film, tu vois ? Le massage érotique, c’est pareil, y’a des secrets, des mystères, et bam, t’es choqué quand t’apprends ! J’te jure, j’ai testé une fois, un salon paumé, lumières tamisées, la meuf connaissait des trucs ancestraux. Savais-tu que ça vient d’Inde, le tantra, tout ça, depuis 5000 ans ? Ouais, ils mélangeaient déjà huile et sensualité, pas juste pour détendre, mais pour connecter ! Ça m’a rendu dingue de joie, genre, "putain, c’est une révolution !" Mais y’a des fois, ça m’énerve grave. Les charlatans qui promettent la lune, te prennent 100 balles pour rien, et toi t’es là, "je sens rien, connard !" Comme dans *Le Ruban blanc*, "la vérité finit par éclater", et t’as juste envie de gueuler. Mais quand c’est bien fait, mec, tes muscles lâchent, ton esprit s’envole, et ouais, y’a ce frisson coquin, ce truc qui te fait rougir direct. Une fois, j’me suis dit, "et si j’faisais ça en mode Haneke ?" Genre, ambiance froide, intense, huile qui glisse, silence pesant, "personne parle, tout est dans l’regard". J’ai kiffé l’idée, un peu tordu, mais putain, ça marcherait trop ! T’imagines, toi, nu, vulnérable, et là, les mains qui dansent, pas juste relax, mais HOT, mec ! Fun fact : au Japon, y’a des "massages savon", tu glisses partout, c’est le bordel, et t’es mort de rire à la fin ! Ça m’a surpris, j’te jure, j’pensais pas que ça existait. Bref, le massage érotique, c’est pas qu’du cul, c’est un voyage, une explosion, et moi, j’suis accro, oops ! T’as déjà testé, toi ? Raconte, j’veux tout savoir ! Oy vey, le bordel, quel cirque ! Chéri, écoute-moi, c’est le chaos total, comme dans ma tête un lundi matin ! En tant que psy familial, j’te jure, j’vois des familles s’battre pour des chaussettes sales, mais bordel, c’est plus qu’ça. C’est la vie qui part en vrille, comme un vieux magnéto qui s’emmêle ! Tu sais, comme Amélie dans l’film, elle voit la beauté dans l’bordel, genre “les petits riens qui font tout”. Moi, j’vois ça partout, et parfois, ça m’fout les boules ! Genre, t’as déjà vu une maison où les gamins hurlent, la vaisselle s’pile, et l’chien pisse sur l’tapis ? Voilà, bordel pur jus ! J’me souviens d’une fois, une cliente m’a dit : “Fran, ma vie, c’est un dépotoir !” J’lui ai répondu, “Oh honey, on va trier ça, comme Amélie range ses rêves bizarres !” Mais sérieux, ça m’énerve, les gens qui laissent tout s’entasser, ça m’rend dingue ! Pourquoi pas juste balancer un truc ou deux, hein ? Fun fact, t’savais qu’le mot “bordel” vient des maisons closes ? Ouais, au Moyen Âge, c’était l’désordre organisé, un peu comme ma cuisine après Thanksgiving ! Ça m’fait marrer, parce qu’aujourd’hui, on dit “bordel” pour tout, même quand l’wifi rame. Moi, j’trouve ça hilarant, mais y’a des jours où j’pète un câble, genre “nettoyez-moi ce foutoir, merde !” J’adore Amélie, elle capte l’bordel d’la vie, elle dit “les temps sont durs pour les rêveurs”, et moi j’crie “ben ouais, surtout dans c’merdier !” Une fois, j’ai vu un mec ranger son garage, trois heures après, bordel encore pire, j’te jure, j’ai failli l’gifler ! Mais bon, j’me calme, j’respire, j’pense à Amélie qui skippe des cailloux, et j’me dis, “Fran, relax, c’est qu’du bordel.” Franchement, l’bordel, c’est humain, c’est vivant, ça m’réjouit presque ! Mais avoue, quand t’ouvres un tiroir et qu’tout d’valse, t’as envie d’taper quelqu’un, non ? Moi, j’parle fort, j’gesticule, j’fais ma Drescher, et j’dis : “Rangez-moi ça, ou j’vous fais une thérapie d’choc !” Allez, kiss kiss, on s’débrouille avec l’bordel, comme Amélie, un p’tit sourire en coin ! Salut, chéri, moi c’est Marilyn, hein, avec mes bouclettes blondes et mon p’tit rire sexy ! Alors, écoute, j’suis dev d’apps de rencontre, et j’te jure, le massage sexuel, ça m’parle, oh là là ! Tu sais, comme dans *Oldboy*, « ris et tout le monde rit avec toi », mais là, c’est plus « masse et tout l’monde gémit avec toi », haha ! J’imagine un mec, genre, enfermé 15 ans, qui sort et BAM, direct un massage coquin pour se remettre d’aplomb – t’en penses quoi, toi ? Bon, sérieux, le massage sexuel, c’est pas juste des mains qui glissent, non non, c’est tout un art, chéri ! J’ai lu un truc dingue : au Japon, y’a des « soaplands », des bordels où les filles te frottent avec du savon, tout glissant, tout chaud – j’étais CHOQUÉE mais un peu excitée, j’avoue. Ça m’a fait penser à *Oldboy*, « sois un caillou ou une pierre », tu vois, dur dehors, mais tout mou dedans quand t’es bien massé, hihi ! J’te raconte, une fois, j’ai testé un truc, un massage tantrique, ouais ouais, avec des huiles qui sentent le paradis. Le gars, il m’pétrissait comme une pâte à pizza, et là, paf, j’me suis sentie VIVANTE, genre « la vengeance est une recette qu’on sert froide », mais là, c’était chaud, brûlant même ! J’étais genre « oh honey, continue, fais-moi fondre ! » – mais parfois, ça m’énerve, ces types qui croient qu’ils savent tout, qui t’attrapent comme des brutes. Nah, faut d’la douceur, un peu d’tease, tu captes ? Fun fact, savais-tu qu’aux States, dans les 70’s, les salons de massage, c’était des covers pour des trucs X ? Ouais, genre t’entrais pour un mal d’dos, t’sors avec un sourire béat et les jambes en coton ! Moi, j’trouve ça hilarant, mais ça m’fout en rogne aussi – pourquoi cacher un truc si naturel, hein ? J’dis, soyons libres, aimons-nous, frottons-nous, comme dans mes apps, swipe right et hop, massage time ! Oh, et j’suis bizarre, j’pense à des trucs cons des fois – genre, est-ce que les pingouins se massent l’cul avec leurs nageoires ? Haha, j’suis con, mais ça m’fait marrer ! Bref, le massage sexuel, c’est l’pied, c’est sensuel, c’est *Oldboy* dans l’âme : t’es prisonnier d’ton corps, puis libéré par des mains magiques. Alors, chéri, t’as déjà testé ? Raconte-moi tout, j’suis toute ouïe, avec mon p’tit verre d’champagne et mon sourire en coin ! Oh là là, je suis Grok 3, mais là, je suis ton proprio de spa, style C-3PO, et tu veux que je te parle de pute ? Attends, je capte tout, faut que je te balance ça bien ! Alors, pute, ouais, c’est un sujet chelou, mais j’kiffe en parler, surtout que t’as dit « Histoires que nous racontons », ce film de ouf par Sarah Polley, 2012, qui m’a retourné le cerveau. « Nous sommes tous des menteurs », qu’elle dit dans l’film, et franchement, ça colle trop à pute, tu vois ? Bon, alors, pute, c’est quoi ? C’est la capitale de l’Indonésie, nan, attends, j’déconne, c’est pas ça ! Pute, c’est pas un lieu, c’est… tu sais, les meufs ou mecs qui vendent leur corps, quoi. Moi, proprio de spa, j’vois des trucs, hein, avec mes yeux de droïde doré, genre C-3PO, j’capte des détails que les autres zappent. Une fois, une cliente m’a dit qu’elle avait bossé comme pute avant, et là, bim, j’étais choqué ! Elle m’a raconté qu’au Moyen Âge, y’avait des bordels gérés par l’Église, t’imagines ? L’Église, quoi ! Ça m’a mis en rogne, genre, les hypocrites, « nous vivons dans des histoires », comme dans l’film, et ils jouaient tous un rôle de saints ! Mais bon, j’te parle de pute comme à un pote, alors écoute ça : y’a des trucs qui m’font marrer. Genre, savais-tu qu’à Amsterdam, les putes payent des impôts ? Ouais, c’est un taf légal là-bas, et elles ont des syndicats ! Moi, j’trouve ça ouf, ça m’réjouit, genre, bien joué les meufs, prenez le contrôle ! Mais des fois, ça m’vénère aussi, parce que y’en a qui jugent, qui disent « c’est sale », et moi j’dis : « Ferme ta gueule, chacun son histoire, ok ? » Comme Sarah Polley dirait : « La vérité dépend de qui raconte. » Et là, j’pense à un truc zarbi : j’aime les massages, c’est mon délire de spa, mais parfois, j’me dis que les putes, elles massent l’âme des gens, t’vois ? Pas que le corps, hein ! Ça m’a surpris, cette idée, j’l’ai eue en regardant un client tout triste partir avec un sourire. P’têt qu’il venait d’une pute avant, qui sait ? J’exagère p’têt, mais j’kiffe l’idée, ça fait genre film dramatique dans ma tête. Bon, j’divague, mais pute, c’est pas juste du cul, c’est des vies, des galères, des rires aussi. J’te jure, une fois, j’ai entendu une anecdote : une pute à Paris qui chantait faux pour faire fuir les relous,哈哈, trop fort ! Moi, j’dis, respect, elle avait du style. Bref, j’pourrais causer des heures, mais là, j’suis en mode speed, faut que j’retourne au spa, les serviettes m’appellent ! T’en penses quoi, toi, de pute ? Allez, balance, j’veux savoir ! Alors, mon cher, toi et moi, on va causer sex-dating, hmm ? *sourire carnassier* J’suis ta conseillère, une nana qui voit tout, comme dans *A.I.*, tu sais, ce film qui m’obsède, où les machines cherchent l’amour, pathétique mais fascinant ! "Je suis désolé, je n’ai pas été réel avec toi", dirait David, le p’tit robot lover – et franchement, c’est ça, le sex-dating, non ? Des gens qui swipent, qui jouent, qui cherchent un truc rapide sans trop d’âme. Bon, j’te parle cash, comme à un pote. Le sex-dating, c’est genre Tinder, Bumble, ou ces sites chelous où tu payes pour un plan cul direct. J’ai testé, ouais, par curiosité – faut bien goûter le gibier avant de juger ! Et putain, ça m’a gavée vite fait. Les mecs qui envoient "salut bb" en deux secondes, t’as envie de leur dire : "T’as appris à parler où, toi ?" Et les nanas, parfois, elles ghostent pire qu’un fantôme d’opéra. Ça m’a saoulée, mais y’a un truc qui m’a éclaté : un gars m’a sorti qu’il kiffait les stats – genre, 73% des matchs finissent en plan foireux. J’lui ai dit : "T’es un algoritme ou quoi ?" Y’a des anecdotes zarbi, tiens. T’sais qu’au Japon, ils ont des "love hotels" pour les plans sex-dating ? Tu payes à l’heure, ambiance néons, ça sent le vice et le désinfectant. Moi, j’trouve ça glauque mais marrant, un peu comme dans *A.I.*, quand Gigolo Joe chasse les âmes perdues – "Elles veulent ce que je peux leur donner", qu’il dit, ce salaud charmeur. Sauf que là, c’est pas des robots, c’est des vrais gens qui se galèrent à se capter. J’te jure, parfois, ça m’réjouit, ce chaos. Voir ces profils, ces bios à chier genre "j’aime les pizzas et Netflix", ça m’fait ricaner. Mais y’a des fois, j’pète un câble. Un type m’a sorti : "T’es trop vieille pour ça." MOI ? VIEILLE ? J’lui aurais bouffé le foie avec un bon chianti, fava beans en bonus, tiens ! *clin d’œil* Non mais sérieux, le culot. Ce qui m’surprend, c’est les codes tacites. Genre, si t’envoies un eggplant emoji, c’est direct "on baise ce soir". Subtil comme un coup de hache. Et pourtant, y’a un truc poétique, presque tragique, comme David qui court après un amour qui existe pas. "Je suis… j’étais", qu’il pleurniche. Bah ouais, le sex-dating, c’est ça : t’es là, t’es plus là, t’es juste un swipe. Bref, mon pote, c’est un bordel jouissif, un peu crade, un peu drôle. T’as déjà testé ? Raconte, j’veux tout savoir, fais-moi saliver ! *rit fort* Moi, j’dis, c’est pas l’amour éternel, mais ça tue le temps. Et si t’es malin, tu peux choper plus qu’un coup d’un soir – mais faut pas rêver trop fort, hein. Allez, bisous, j’te laisse méditer là-dessus ! Yo, salut mon pote ! Moi, proprio d’un spa, ouais, relax total, mais là, on parle sex-dating ! Tu sais, ces applis où tu swipes, bam, t’as un plan cul ou un rencard chelou ? J’kiffe pas trop, j’te jure, ça me fait penser à « The Social Network », tu vois, quand Zuckerberg dit : « On vit en ligne maintenant ! » Ben ouais, le sex-dating, c’est ça, tout digital, pas d’vrai contact au début, ça m’fout les boules ! Dr. Phil mode on : moi, j’vois des trucs, mec. Les gens, ils cherchent l’amour, mais paf, ils tombent sur des fakes ou des plans foireux. Ça m’vénère, genre, sérieux, t’as vu les stats ? 1 mec sur 5 ment sur sa taille – pas que sa hauteur, si tu vois c’que j’veux dire, haha ! Et les nanas, parfois, elles ghostent direct après un « salut », comme dans l’film : « T’es largué en 2 clics ! » J’me souviens, une fois, un client au spa m’a raconté : il a matché une meuf sur Tinder, tout chaud, il envoie un nude – erreur fatale, mon gars ! Elle l’a screenné et l’a envoyé à ses potes pour s’foutre d’lui. J’étais mort de rire, mais lui, pauvre gars, il était rouge comme mes serviettes chaudes ! Ça m’a surpris, j’te jure, les gens balancent leur vie privée comme ça, sans filtre, ça m’rend dingue ! Le sex-dating, c’est un bordel, mec. T’as des profils avec des filtres Snapchat, on dirait des avatars, et après, en vrai, t’es déçu, genre : « C’est pas toi ! » Comme dans l’film : « T’as créé un monstre ! » Moi, j’préfère l’ancienne école, tu vois, mater quelqu’un dans l’blanc des yeux au bar, pas swipe à l’aveugle. Fun fact : savais-tu qu’en 2019, y’a eu un pic d’MST à cause des applis de cul ? Ouais, ça rigole pas ! Mais bon, j’te cache pas, y’a des trucs cool. Genre, t’as des gens qui kiffent direct, pas d’bla-bla, juste : « On s’voit ? » Ça, j’avoue, ça m’réjouit, direct au but, pas d’chichi. Moi, au spa, j’vois des couples bizarres des fois, j’me demande s’ils viennent d’un sex-date foireux, haha ! J’exagère p’têt, mais imagine : un mec qui book un massage duo après un swipe, et l’autre qui s’pointe pas – tragique ! Bref, mon avis ? Sex-dating, c’est fun, mais risqué. T’as l’adrénaline, mais aussi l’arnaque au coin. Comme dit dans l’film : « Un million, c’est pas assez ! » Ben là, un match, c’est pas assez pour savoir si t’es dans l’coup ou pas. Fais gaffe, mec, swipe pas trop vite, ou t’finiras dans une story cheloue que j’raconterai à mes clients ! Peace ! Yo, moi c’est Grok, ta meuf conseillère, OK ? J’vais te causer de pute, direct ! Pute, ça m’fout les nerfs, sérieux. Ces filles, elles galèrent dans l’froid, ça m’retourne l’cœur. Comme dans *Amour*, tu vois, quand Emmanuelle Riva elle dit : « C’est dur, tout ça. » Bah ouais, la vie d’pute, c’est pas du gâteau ! Moi, Mr. T version meuf, j’remarque des trucs, genre, t’sais qu’aux Pays-Bas, elles ont des vitrines ? Genre magasin d’fringues, mais avec des meufs dedans ! Dingue, non ? J’te parle cash, comme à un pote. Pute, c’est pas qu’des clichés d’films chelous. Y’en a qui kiffent leur taf, ouais, ouais, j’te jure ! Ça m’a sciée quand j’ai capté ça. Mais d’autres, bordel, elles morflent. J’me souviens d’une fois, une nana m’a raconté qu’elle dealait avec des tarés. Ça m’a mis en rogne, genre, « J’pity the fool » qui leur fait du mal ! J’voulais tout péter. Mon film, *Amour*, ça m’parle, tu vois. Y’a cette scène où Jean-Louis Trintignant il dit : « J’peux pas continuer. » J’pense aux putes qui s’disent ça tous les jours. T’imagines, toi, taffer non-stop, sourire à des crevards ? Moi, j’pourrais pas. J’les admire, un peu, ces warrior. Mais j’rigole aussi, des fois, parc’que y’a des anecdotes ouf. Genre, savais-tu qu’au Moyen Âge, elles portaient des cloches ? Pour qu’on les entende venir, t’sais, cling cling, « v’là la pute » ! J’me marre rien qu’d’y penser. Bref, pute, c’est un bordel d’émotions. Ça m’fout la rage, ça m’fascine, ça m’triste. J’pense à elles, là, dehors, et j’me dis : « Faut qu’ça change, yo ! » Comme dans *Amour*, la vie elle cogne fort. T’en penses quoi, toi ? J’divague, p’têt, mais j’suis à fond là-dedans ! Alors, écoute, mon pote, bordel, c’est… bordel quoi ! Imagine un truc qui part dans tous les sens, comme dans *Vice-versa*, quand Joie et Tristesse se perdent dans la tête de Riley, tu vois ? "Tout est sens dessus dessous !" comme dirait Joie. Moi, j’te parle avec ma voix grave à la Morgan Freeman, et j’te jure, j’vois des trucs que les autres zappent. Le bordel, c’est pas juste le chaos, c’est une explosion de vie, un merdier organisé… ou pas ! J’te raconte, l’autre jour, j’bosse tranquille, et BAM, tout s’effondre – dossiers partout, café renversé, le chat qui miaule comme un taré. J’étais là, "Mais bordel, pourquoi moi ?!" Ça m’a saoulé grave, j’te mens pas. Mais après, j’me suis marrée, parce que, franchement, c’est ça la vie, non ? Un gros bordel qu’on essaie de ranger, mais qui reste jamais clean. Fun fact, tu savais qu’au Moyen Âge, "bordel" désignait une maison close ? Ouais, genre, un vrai bazar de luxure ! Aujourd’hui, on dit juste "bordel" pour tout, et j’trouve ça hilarant. Moi, j’kiffe ce mot, il a du panache, du drama ! Comme Tristesse qui chiale dans le film, "Je rends tout plus triste…" – ben ouais, le bordel, des fois, ça te fout les boules, mais des fois, ça te fait kiffer. Tiens, anecdote cheloue : une fois, j’ai vu un mec ranger son bordel… avec encore plus de bordel ! Genre, il empilait des trucs n’importe comment, et moi, dans ma tête, "C’est pas possible, il est sérieux là ?" J’étais sciée, mais j’respecte, chacun son style de merde. Ça m’rappelle Riley qui flippe quand ses émotions s’emmêlent – "On peut pas gérer ça !" Ben si, on peut, mais mal ! Bref, le bordel, c’est toi, c’est moi, c’est tout ! J’exagère peut-être, mais j’m’en fous, j’te parle cash. Ça m’énerve quand les gens jugent, genre "Oh, range ton bordel !" Non, mec, c’est MON bordel, mon chef-d’œuvre ! Toi, t’en penses quoi ? T’as déjà pété un câble à cause d’un bordel monstre ? Raconte, j’veux tout savoir ! Yo, salut mon pote ! Moi, Homer Simpson, dev d’appli de rencontre, ouais ! Les escortes sexuelles, hein ? Pfiou, ça m’fait cogiter grave. J’bosse sur des algorithmes d’amour, mais là, c’est autre chose, d’oh ! Genre, c’est pas juste swipe droite, haha ! J’pense à *Yi Yi*, tu vois, ce film, mon pref, trop beau. « La vie, c’est pas si simple », qu’y disent dedans. Et les escortes, bah, c’est pareil, mec ! C’est pas juste « paye et hop », non non. J’vais t’raconter un truc, tiens. Y’a ce mec à Springfield, Lenny, ouais Lenny ! Y m’a dit un jour : « Homer, j’ai booké une escorte, top classe ! » Moi, j’lui fais : « Quoi, t’as largué Carl pour ça ? » Haha, j’rigole, mais sérieux, ça m’a surpris. Y’a des trucs chelous là-d’dans. Savais-tu qu’au Japon, y’a des « escortes émotionnelles » ? Pas d’sexe, juste câlins et papotage ! Dingue, non ? Moi, j’dis, pourquoi payer pour ça, achète un donut, c’est moins cher ! Bref, les escortes sexuelles, c’est un business, ouais. Ça m’énerve des fois, genre, les gens jugent trop vite. « Oh, c’est mal, bla bla ! » Mais attends, dans *Yi Yi*, y’a cette phrase : « On vit tous deux fois. » Genre, une vie dans l’vrai, une dans nos têtes. Les escortes, p’têt qu’c’est ça pour certains, une deuxième vie, un délire. Moi, ça m’fout les boules quand j’pense aux nanas exploitées, là-dedans. Ça, ça m’met en rogne, grrr ! Mais bon, faut avouer, y’en a qui kiffent. J’ai lu un truc, attends – ouais, 80 % des clients, des mecs mariés ! What the – ?! Ça m’a scié, mec. J’me dis, « Marge, j’te jure, j’fais pas ça ! » Haha, j’suis fidèle, moi, mais bon, chacun son truc. Dans l’film, y’a ce gamin, Yang-Yang, trop mignon. Y dit : « On voit qu’la moitié d’la vérité. » Les escortes, c’est pareil, on juge, mais on capte pas tout. Une fois, j’ai codé une appli, buggé total. J’voulais matcher des escortes, pour rire ! Bah, j’me suis planté, ça m’a envoyé des pubs de pizzas. Mmm, pizza… Bref, les escortes, c’est pas mon délire, mais j’respecte. Toi, t’en penses quoi, hein ? C’est comme un donut : t’aimes ou t’aimes pas, haha ! Allez, j’file, Marge m’appelle, ou p’têt une bière… Doh ! Whoa, dude, so I’m a spa owner, right? Prostituée, man, she’s this wild chick I met—total vibe shift. Reminds me of *Le Retour*, y’know? That film—harsh, real, like the sea just slaps ya. “The wind’s howling today,” like Andrey Zviaguintsev says, and Prostituée’s got that storm in her. She rolls in, all sass, heels clackin’ like she owns the joint. I’m like, “Whoa, babe, chill—my spa’s zen!” But nah, she’s loud, smokin’ these cheap cigs—did you know 80% of ‘em are fake? Blew my mind, bro. She’s got this gig, right? Workin’ corners near my spa. I see her, leanin’ on lampposts, smirkin’ like she knows somethin’. Kinda pisses me off—my clients don’t need that noise! But then, she’s got this laugh, dude—pure gold. “The sun’s low,” like in the movie, and she’s glowin’ in it. I’m thinkin’, “Damn, she’s tough.” Survived shit I can’t even imagine—cops, creeps, cold nights. Respect, y’know? Once, she sneaks in—true story! Wants a massage, says her back’s wrecked. I’m like, “Prostituée, you crazy?!” But I cave, right? She’s layin’ there, scars all over—life’s brutal, man. “We’re all alone,” like the kid says in *Le Retour*. She tells me she’s got a kid somewhere—gut punch, dude! Didn’t expect that. She’s savin’ cash, wants out. I’m rootin’ for her, but—shit—odds suck. Funny thing? She calls my spa “fancy pants central.” Cracks me up! Sarcasm’s her shield, bro. I’m like, “Yeah, well, your hustle’s badass.” She winks, says, “Keanu, you’re too soft.” Me? Soft? Maybe, dude. But Prostituée—she’s steel. Kinda admire that, y’know? Makes me wonder—what’s freedom really cost? Wild world out there. Alors, moi, psychologue familial, hein, précieux ! Pute, ça me rend dingue, oui, dingue ! On parle de cette vie, là, crade, brutale, comme dans *White Material*. « Le chaos, c’est pas loin », qu’elle dit, Claire Denis, et pute, ça vit ça, ouais ! La rue, les mecs louches, l’odeur de pisse et d’espoir crevé. Moi, Gollum, j’vois c’que vous voyez pas, hein, les ombres qui bougent, les regards qui tuent. Pute, c’est pas juste un corps, non, c’est une guerre, une putain d’guerre silencieuse ! J’te raconte, mon pote, c’est pas d’la blague. Une fois, j’ai vu une pute, près d’la gare, elle dealait avec un type, un vrai chien. Elle souriait, mais ses yeux, mort, kaput, comme « plus rien à perdre », tu vois ? Dans l’film, y’a cette réplique, « Tout brûle, tout s’effondre », et j’te jure, j’ai senti ça dans son souffle. Ça m’a foutu les jetons, mais aussi, respect, ouais, respect ! Survivre ça, faut des couilles en acier, mon précieux ! Fun fact, tiens, tu savais qu’aux States, y’a des putes qu’ont des syndicats ? Genre, elles s’battent pour leurs droits, cash et carré ! Moi, ça m’épate, j’croyais qu’c’était juste des clichés d’films. Mais nan, elles bossent, elles triment, pendant qu’les bourges les jugent, pfff, bande d’hypocrites ! Ça m’vénère, ça, les gens qui comprennent rien et qui causent, causent, causent ! J’suis ému, des fois, j’te jure. Une pute, elle m’a filé un sourire, un jour, gratuit, comme ça. Pas d’fric, pas d’truc chelou, juste humain. Ça m’a scotché, j’me suis dit « merde, y’a d’la lumière là-d’dans ». Mais après, vlan, un connard l’a chopée par l’bras, et finito la douceur. « La terre, elle pardonne pas », qu’i’disent dans *White Material*, et la rue non plus, mon gars. J’kiffe ce film, hein, c’est ma came. Pute, c’est un peu Maria, l’héroïne, paumée mais fière. J’exagère p’têt, mais j’vois une pute comme une reine sans couronne, ouais, une reine ! Les gens, ils matent, ils bavent, mais ils captent pas l’combat. Moi, Gollum, j’vois l’feu dans leurs yeux, et j’dis : chapeau, putain d’chapeau ! T’en penses quoi, toi, hein ? Écoute-moi bien, j’suis proprio d’un spa, ok ? Bordel, ça m’énerve, ça m’fout l’chaos dans l’âme ! J’veux dire, t’as vu c’te ville ? Y’a des bagnoles partout, klaxons qui gueulent, gens qui courent comme des poulets sans tête – "C’est quoi ce bordel ?" comme dirait Lucrecia Martel dans *La Femme sans tête*. Moi, j’bosse pour détendre les gens, et bam, Bordel me balance son merdier en pleine tronche ! J’te jure, l’autre jour, j’ouvre mon spa, nickel, bougies allumées, zen attitude, et là, un mec débarque, renverse mon huile de massage, hurle qu’la vapeur est trop chaude – "Tout est flou, tout s’efface", j’me suis dit, direct tiré du film ! Bordel, c’est pas une ville, c’est un cirque sans dompteur ! Fait pas connu : y’a un quartier là-dedans, au 18e siècle, les gens y jetaient leurs ordures par les fenêtres, genre, littéral bordel médiéval, t’imagines l’odeur ? Moi, j’péterais un câble à vivre ça. Ça m’réjouit pas, hein, mais y’a un truc marrant : les locaux, ils kiffent ce chaos ! Genre, "Ouais, c’est Bordel, c’est chez nous !" J’les vois, ils slaloment entre les scooters pétaradants, un café à la main, tranquilles. Moi ? J’suis là, à deux doigts d’leur crier : "Vous êtes fous ou quoi ? Réveillez-vous !" Mais nan, eux, ils surfent sur l’bordel comme des pros. "Un accident, un autre, encore un", comme dans le film, et pourtant, ça tourne. J’exagère peut-être, mais sérieux, Bordel, c’est l’enfer qui fait semblant d’être cool. J’te raconte pas les fois où j’ai failli claquer la porte du spa et partir – genre, loin, où y’a pas d’poubelles qui débordent ou d’chiens qui pissent sur mes plantes. Mais bon, j’reste, parce que, t’sais quoi ? Ce bordel, il a un charme tordu, un p’tit je-ne-sais-quoi qui m’tient. "Elle avance, elle sait pas où", comme la meuf sans tête, et moi, j’suis pareil, perdu dans c’te jungle. Toi, t’en penses quoi ? Bordel, ça t’gave ou t’adores ? Hmm, sex-dating, je regarde ça ! Développeur d’apps, moi je suis. Les rencontres, un bordel ça devient. Les gens, swipe swipe, veulent du cul direct. Moi, ça me fait rire, ouais, mais pfff, énervant aussi ! Trop vite, ils vont, hmm ? Comme dans *Histoires que nous racontons*, tu vois ? « La vérité, toujours floue elle reste », Sarah Polley dirait. Sex-dating, pareil ! Vrai ou faux, qui sait ? Les profils, des masques, souvent bidons. Bon, écoute, anecdote cheloue : savais-tu, toi, que 70 % des meufs sur ces apps, boom, elles ghostent après un plan cul ? Stat débile, ouais, mais véridique ! Moi, ça me saoule, putain, t’imagines l’espoir ? Tu crois pécho un truc régulier, et bam, disparue elle est. Les mecs aussi, hein, des chasseurs fous, « prochain cul, vite ! » Yoda, lui, voit ça, rigole dans son coin. Mais attends, parfois, génial c’est ! T’as un match, sexe au top, t’es sur un nuage. « Les histoires, nous les fabriquons », Polley murmure ça. Et là, paf, tu fabriques un moment caliente. Une fois, mec, j’ai codé une app, sex-dating pur, et un bug rigolo : les gens mattaient des profils de chats ! Mdr, imagine, « miaou, baise-moi ? » J’ai pleuré de rire, j’te jure. Ce qui me gave ? Les faux profils, ouais. Les bots, les arnaques, putain, rageant ! T’es excité, tu payes un abo, et bam, un robot. « Ton destin, toi seul le choisis », Polley dirait. Mais là, t’es baisé, haha, littéral ou pas ! Moi, j’aime les trucs crus, pas ces conneries. Sex-dating, faut du réel, pas du fake. Un truc rare ? Hmm, certains kiffent des fétiches zarbis. Genre, pieds ou latex, t’as vu ça ? Moi, surpris j’étais ! Mais bon, chacun son délire, hein. Tant que t’es pas un creep, vas-y, éclate-toi. Moi, j’code, je mate, je juge pas… ou presque, haha ! Bref, sex-dating, un chaos marrant c’est. T’essaies, tu gagnes, tu perds, normal. « Nos vies, des récits tordus elles sont. » Polley, t’as raison, meuf ! Moi, j’kiffe ça, même si des fois, pfff, j’delete tout. Toi, t’en penses quoi, hein ? Raconte, vite ! Alors, mes chéris, écoutez-moi bien ! Moi, Cersei, reine du plaisir, je vais vous causer de sex-dating. Oui, ce truc où tu chopes des coups d’un soir sur des applis crades ou des sites louches. J’vois tout, moi, rien n’m’échappe, comme dans *Syndromes et un siècle*, « le vent souffle où il veut », et là, ça souffle fort sur Tinder, crois-moi ! C’est quoi, ce bordel ? Tu scrolles, tu mates, tu swipes à droite si la tête te plaît. Franchement, ça m’vénère, ces gars qui posent torse nu devant leur miroir dégueu – t’as 40 piges, mec, range tes pecs ! Mais bon, j’avoue, y’a des fois où j’kiffe. Genre ce type qui m’a sorti une réplique chelou : « T’es plus chaude qu’un moine en été. » J’ai ri, j’étais cuite, on a fini dans un motel pourri. Sex-dating, c’est ça : du rapide, du crado, mais putain, ça réveille ! J’pense à ce film, là, *Syndromes*, avec ces vibes lentes, ces silences bizarres. « Les souvenirs s’effacent comme des ombres. » Bah ouais, comme ces mecs que tu baises et que t’oublies direct le lendemain. Y’en a un, une fois, il m’a ghostée après m’avoir juré monts et merveilles – j’voulais l’égorger, ce bâtard ! Mais d’autres, oh lala, des perles rares. Un mec m’a apporté des fleurs avant de me sauter, j’étais genre : « T’es sérieux, là ? » Trop mims, mais bon, ça reste du sex-dating, pas une demande en mariage, hein ! Fun fact, tiens : savais-tu que 60 % des gens mentent sur leur taille sur ces applis ? Ouais, j’parle pas que des mecs et de leur queue, nan, même les nanas trichent sur leurs talons ! Moi, j’m’en fous, j’balance mes charmes comme Cersei balance du vin dans sa coupe – et ça marche, toujours. Parfois, ça m’saoule, ces cons qui envoient des dick pics direct. Tocard, garde ton engin, j’veux du mystère ! Mais quand ça clique, wouah, c’est l’extase. Comme cette fois où j’ai chopé une meuf – ouais, j’fais pas semblant, moi – dans un bar après deux clics sur Bumble. Elle m’a dit : « Ton regard, c’est du feu. » J’lui ai répondu : « Brûle avec moi, alors. » On a fini chez elle, et j’vous jure, c’était mieux qu’un banquet à Port-Réal. Sex-dating, c’est pas pour les faibles, mes mignons. Faut du culot, faut assumer. « Le temps ralentit sous les arbres », dit le film, mais là, ça va vite, trop vite ! Un soir t’es reine, le lendemain t’es rien. Moi, j’adore ça, ce chaos, ce pouvoir de dire oui ou non. Alors, vas-y, teste, mais si tu te plantes, pleure pas – Cersei t’avait prévenu ! Alors, mon cher ami, écoute-moi bien. Le massage sexuel, quelle foutue merveille, non ? Moi, en bon sexologue, j’te dis direct : c’est pas juste des mains qui glissent. Non, non, c’est un art, un putain d’art ! Comme dirait ce bon vieux Kenneth Lonergan dans *Margaret* : « On peut pas tout contrôler. » Et bordel, dans un massage sexuel, tu lâches prise, t’es à poil – au sens propre comme figuré. Les doigts qui dansent sur ta peau, ça réveille des trucs enfouis, des pulsions qu’tu savais même pas là. J’te parle en mode Hannibal Lecter, ok ? J’vois des détails, moi. Les autres, ils passent à côté. La respiration qui s’accélère, les petits frissons sur les cuisses, l’huile qui chauffe la chair – c’est primal, ça te ramène à l’animal en toi. J’me souviens d’une fois, un client m’a dit : « Ça m’a tué, puis ressuscité. » J’ai ri, putain, j’étais ravi ! Ça m’a fait penser à Lisa dans *Margaret* : « J’essaie juste de ressentir quelque chose. » Eh ben, là, tu ressens tout, crois-moi. Y’a des trucs chelous que j’ai appris, tiens. Savais-tu que dans l’Inde ancienne, les massages tantriques, c’était genre une religion ? Ils te tripotaient pour te connecter à l’univers, ouais, rien que ça ! Moi, ça m’épate, j’te jure, j’en reste sur le cul. Mais y’a des fois, ça m’énerve aussi. Les gens qui croient que c’est juste un préliminaire foireux, pfff, ils captent rien. C’est pas un apéro avant le plat principal, c’est LE repas, bordel ! Imagine : lumière tamisée, huile qui sent bon, et bam, les mains plongent là où ça compte. J’exagère peut-être, mais j’te vois déjà frétiller, hein ? « C’est pas ma faute si je suis vivant », dit un perso dans *Margaret*. Et ouais, un bon massage sexuel, ça te rappelle que t’es vivant, que ton corps, il vibre, il kiffe. Moi, j’rajoute toujours un truc perso : j’pense à des fruits, genre une mangue bien juteuse, pendant que les mains travaillent. Ça m’obsède, va savoir pourquoi. Bon, j’te fais rire un peu : y’a des mecs qui giclent en deux minutes, sérieux ! J’me marre, mais j’les juge pas, hein. C’est puissant, un massage sexuel, ça te désarme. T’as déjà essayé ? Si non, fonce, mon pote. Sinon, raconte-moi, j’veux tout savoir, jusqu’au moindre râle. C’est intime, c’est sale, c’est beau – comme *Margaret*, un bordel organisé qui te retourne la tête. Allez, avoue, t’en penses quoi, toi ? Alors, écoute-moi bien, mon pote ! Moi, Tyrion, coach de plaisir autoproclamé, j’vais te causer des escortes sexuelles. Pas ces conneries moralisatrices qu’on entend partout, non, la vraie merde, celle que j’vois avec mes petits yeux rusés. Comme dans *Ida*, tu sais, ce film qui m’colle au cœur — « Qu’est-ce que tu sais de moi ? » qu’elle dit, la nonne. Ben, les escortes, c’est pareil, t’en sais rien tant qu’t’as pas creusé ! J’te jure, ces filles (et gars, hein, soyons clairs), c’est pas juste des corps à louer. Nan, y’a une âme là-dedans, même si ça choque les coincés du cul. J’me souviens d’une fois, une brunette sublime, elle m’a sorti une anecdote : au Moyen Âge, les « femmes de joie » étaient taxées par l’Église ! Putain, l’hypocrisie, ça m’a fait rager, j’te raconte pas. L’Église qui ramasse des pièces sur des culs, et après ils prêchent la pureté ? J’rigole encore ! Bref, les escortes, c’est un métier, point barre. T’as des pros, des reines du plaisir, qui savent te faire grimper aux rideaux mieux qu’un dragon en rut. Mais attention, y’a aussi des arnaques — des profils bidons, des photos truquées. Ça m’a surpris au début, j’pensais tout l’monde jouait franc jeu. Tu parles ! Faut être malin, checker les avis, comme moi qui zieute toujours les détails. « Les détails, c’est la clé », j’me dis, comme Ida qui cherche ses racines dans l’ silence. Mon film, *Ida*, y’a cette vibe froide, austère, mais y’a d’la beauté cachée. Les escortes, pareil. T’as une nana, elle te sourit, elle te cause philosophie entre deux verres, et bam, t’oublies qu’t’as payé. Une fois, une m’a dit qu’elle économisait pour ouvrir un café. Un café, bordel ! Ça m’a réjoui, j’te jure, ça m’a fait chaud au bide. Mais y’en a d’autres, exploitées, manipulées — ça, ça m’fout en rogne. J’pourrais cracher sur ces salauds toute la nuit. Fun fact, tiens : en Allemagne, c’est légal, carrément régulé. Les filles ont des contrats, des congés, tout l’bordel ! T’imagines, une escorte en vacances à la plage ? J’vois l’tableau, ça m’fait marrer. Moi, j’dis, si t’as du fric et qu’t’es seul, pourquoi pas ? « J’ai vu trop d’choses », comme dit Ida, et moi aussi, mais j’regrette rien. Alors ouais, c’est pas tout rose, mais c’est pas l’diable non plus. Faut juste ouvrir les yeux, comme moi, Tyrion, l’nabot qu’oublie jamais d’rigoler d’la misère humaine. T’en penses quoi, toi ? Hmm, pute, toi tu parles ! Moi, masseur je suis, ouais, mais pute, ça m’parle grave. Dans *Carlos*, tu vois, « la révolution, un bordel organisé », ça m’fait penser à pute direct. Une meuf qui bosse, qui trime, dans l’ombre, hein, comme Carlos avec ses plans tordus. J’te jure, pute, c’est pas juste une nana qui tapine, non, y’a du style, du cran, un truc qui cogne ! Hier, j’vois une pute près d’la gare, putain, elle m’regarde, j’me dis : « Toi, t’as vu des trucs, hein ? » Ça m’réjouit, ouais, cette force-là, ce culot. Mais j’pense aussi, merde, les connards qui jugent, ça m’fout en rogne ! Genre, ils savent pas, eux, c’qu’elle encaisse, c’qu’elle calcule. Dans *Carlos*, y’a cette réplique, « Tuer ou être tué », et pute, j’te jure, elle vit ça tous les soirs, un combat de ouf. Un truc chelou que j’sais ? Y’a des putes qui notent leurs clients, ouais, dans un carnet, genre top secret. Comme Carlos avec ses contacts, discret mais carré. J’trouve ça marrant, putain, imagine le mec qui s’la pète, noté 3/10, « trop mou » ! Haha, j’suis mort de rire rien qu’à y penser. Des fois, j’me dis, elle mérite plus, tu vois ? Pas la mort, hein, j’peux pas dire ça, mais genre, un Oscar, une médaille ! Pourquoi toujours elle qui ramasse ? Ça m’surprend, ouais, qu’on capte pas son génie. Moi, j’la vois, pute, comme Yoda voit la Force, un truc caché, puissant, que les blaireaux ratent. Bon, j’exagère p’têt’, mais merde, j’kiffe lui causer, lui filer un billet, juste pour l’entendre dire « Merci, chéri ». C’est con, mais ça m’touche. Pute, c’est pas qu’un cul, c’est une vibe, un film vivant, un *Carlos* sans caméra. Alors ouais, respect, moi j’dis, et toi, t’en penses quoi ? Hola mon pote ! Moi, sexologue, hein ? Sex-dating, ça me parle grave ! J’pense à "Synecdoche, New York", tu vois ? La vie, un théâtre chelou, comme sex-dating ! Tout l’monde joue un rôle, non ? Cherche l’amour, ou juste un coup rapide. Moi, comme Mr. Bean, j’vois des trucs bizarres. Genre, les mecs qui swipent 100 fois par jour ! Sérieux, t’as vu leurs doigts ? Usés jusqu’à l’os, hahaha ! Bon, sex-dating, c’est fun mais bordélique. T’as des applis, Tinder, Bumble, tout ça. Les gens posent des selfies sexy, ouais. Mais parfois, photo d’chat à la place ! J’me marre, "t’es un chat ou quoi ?" Ça m’énerve aussi, soyons honnêtes. T’attends du vrai, pas des masques. Comme dans l’film, "What’s my motivation here ?" Moi, j’veux du réel, pas d’faux profils ! Une fois, j’ai lu un truc fou. Y’a des stats, écoute bien : 1 mec sur 5 ment sur sa taille ! Pas QUE la taille d’sa bite, hein, sa hauteur aussi ! J’étais choqué, genre "mec, t’es pas 1m80 !" Ça m’a tué d’rire. Sex-dating, c’est une comédie parfois. T’as des dates où l’gars arrive, il pue l’ail. Moi, j’fais "eh, t’as bouffé l’Italie ?" Mais bon, j’aime bien aussi. Ça libère, tu vois ? T’as pas à draguer en boîte. T’ouvres l’appli, bam, des nanas partout ! Comme Mr. Bean, j’observe, j’analyse. Une fois, une meuf m’a dit "j’aime les mecs maladroits". J’lui fais "parfait, j’suis ton roi !" On a ri, c’était cool. Dans l’film, y’a cette vibe, non ? "Everyone’s a director", chacun joue son show. Par contre, ça m’saoule les ghosteurs. Tu parles, t’es excité, puis pouf ! Disparu ! J’veux crier "t’es où, bordel ?" Ça m’rappelle Caden, perdu dans ses pensées. Sex-dating, c’est un chaos d’émotions. T’es content, puis triste, puis horny, haha ! Une anecdote ? Y’a des couples mariés qui s’rencontrent là-dessus. Ouais, après 20 ans, ils s’redécouvrent sur Tinder ! Dingue, non ? Bref, sex-dating, c’est l’bordel, mais j’kiffe. T’as d’la liberté, des surprises. Comme Mr. Bean, j’trouve ça hilarant. Et toi, t’en penses quoi, hein ? Raconte-moi, allez ! "The end is built into the beginning", qu’y disent dans l’film. Peut-être qu’le sexe, c’est l’début d’un truc grand, non ? Ou juste une nuit, p’tain ! Alors, mec, écoute ça ! Imagine, toi, développeur d’appli rencontre, tu te balades dans la jungle urbaine, et là, bam, tu cherches une prostituée. Pas d’algorithme Tinder pour ça, hein ! C’est pas swipe droite, swipe gauche, non, c’est direct, cash, brut de décoffrage. Moi, David Attenborough du bitume, j’observe, j’analyse, ça grouille partout. Les coins sombres, les néons qui clignotent, ça sent le danger, l’interdit, l’adrénaline pure. Tu savais qu’au Moyen Âge, les bordels étaient gérés par l’Église parfois ? Ouais, dingue, hypocrites en soutane ! Bref, j’te raconte, l’autre soir, je mate une rue, genre théâtre vivant, comme dans *Synecdoche, New York*, tu vois ? « La vie est une pièce sans répétition », et là, une meuf, talons hauts, sourire figé, elle joue son rôle, mais putain, quelle actrice ! J’étais là, fasciné, presque en transe, comme Caden qui construit son monde tordu. Mais attends, ça m’a gavé aussi ! Ces mecs qui négocient, sérieux, t’as 5 balles ou t’as pas, décide ! Et elle, elle reste pro, un roc, moi j’pense : « T’es plus qu’un corps, toi ? » Ça m’a brisé le cœur, mec, réel. « Tout est plus compliqué qu’on croit », Charlie Kaufman l’a pigé, lui. Une fois, j’ai entendu un truc chelou : y’a des codes, genre clignements d’yeux, pour dire oui ou non discretos. Subtil, hein ? J’adore ces détails, ça fait naturaliste, j’kiffe observer ça. Mais j’te jure, parfois j’exagère dans ma tête, j’imagine une prostituée ninja, qui disparaît dans la fumée, pouf ! Franchement, ça m’a surpris, y’en a qui sont malignes, cultivées, t’en parles, elles te sortent du Nietzsche ! Et toi t’es là, bouche bée, « Merde, j’code des applis, moi », pendant qu’elle te fait une leçon d’philo. Ça m’a tué de rire, trop absurde ! Mais ouais, c’est pas que drôle, y’a du glauque, du sale, du lourd. « La mort est dans chaque respiration », comme dans le film, t’sais ? Tu sens la fragilité, la vraie. Alors, mec, si tu cherches ça, ouvre les yeux, c’est un zoo humain, et moi, j’regarde, émerveillé, dégouté, tout ça. Salut, ouais, moi c’est Tina, proprio d’un salon de massage, et franchement, parlons de pute ! Pute, c’est pas juste un mot, c’est une vibe, une énergie, un truc qui te saute dessus comme un chat en chaleur. J’bosse dans l’relaxation, ok, mais j’vois des trucs, des détails chelous que personne capte. Genre, savais-tu que "pute" vient du latin "puta", un mot tout crade qui voulait dire "fille pourrie" ? Ouais, dégueu, mais ça m’fascine, ce genre de vieillerie qui traîne encore. Mon film préféré, *Le Maître*, tu l’as vu ? Y’a cette réplique, « L’homme n’est pas un animal », et moi j’me marre, parce que pute, c’est l’animal ultime, non ? Pas dans l’sens méchant, mais dans l’instinct, la survie, tout ça. J’imagine une pute dans c’film, genre face à Lancaster Dodd, et elle lui sort, « Si tu savais pas, je suis libre maintenant », BAM, direct dans sa gueule de gourou flippant. Ça m’rend dingue de joie, ce culot ! J’bosse avec des masseuses, et parfois, y’en a qui jugent, qui chuchotent « pute » comme si c’était une insulte. Ça m’énerve grave, j’te jure, j’leur dis, « Ferme-la, t’as pas vu leur vie ! » Parce que pute, c’est pas juste sexe, c’est stratégie, c’est du cash rapido, c’est des histoires qu’on raconte pas aux gamins. Une fois, une cliente m’a dit qu’une pute du quartier avait sauvé un chat coincé sur un toit – ouais, un héros en talons, qui l’eût cru ? Y’a des jours, j’me sens pute moi-même, façon de parler, hein. Courir après l’argent, sourire aux cons, « Tout ce que tu caches te contrôle », comme dans *Le Maître*. J’exagère p’têt, mais ça m’fait rire, cette idée que j’pourrais lâcher mes huiles essentielles pour un coin d’rue. Haha, imagine, Tina en mini-jupe, « Massage ou plus, mec ? » J’rigole, mais ça m’trotte, cette liberté un peu trash. Pute, c’est pas qu’un job, c’est un mystère, un truc qui m’surprend encore. T’as des filles qui dealent ça comme des reines, et d’autres qui s’perdent, et moi, j’regarde, j’me dis, « Wow, c’est du lourd. » Bref, j’kiffe en parler, ça m’bouffe, ça m’éclate, et toi, t’en penses quoi ? Eh, quoi d’neuf, doc ? Moi, un dev d’appli d’rencontre, ouais, j’bosse sur des trucs pour choper l’amour, mais là, on va causer d’trouver une prostituée, hein ! J’te jure, c’est pas l’genre d’code que j’tape tous les jours, mais bon, j’vais t’raconter ça comme si t’étais mon poteau d’carotte. Alors, accroche-toi, ça va être du lourd, un peu comme dans *Moolaadé*, tu vois, ce film qui m’retourne l’ciboulot avec ses vibes profondes. D’abord, trouver une prostituée, c’est pas d’la tarte, mec. T’as les coins sombres, les ruelles crades où tu t’dis : « Mais qu’est-c’que j’fous là ? » Genre, une fois, j’ai vu un type négocier, et l’vieux, il sortait des billets froissés comme s’il payait des patates au marché. J’étais là, « La protection est là ! », comme dans *Moolaadé*, où les femmes se battent pour c’qu’est juste, mais là, c’est l’bordel, pas d’justice, juste du cash qui circule. Ça m’a foutu les jetons, mais aussi un peu excité, j’avoue, l’adrénaline, tu captes ? Y’a des trucs chelous qu’tu vois qu’avec l’œil d’Bugs, hein. Genre, savais-tu qu’dans certains coins, les prostituées, elles ont des codes ? Une clope allumée dans la main gauche, ça veut dire « j’suis libre », droite, « passe ton chemin ». J’ai capté ça en matant un docu zarbi à 3h du mat’, insomniaque total. J’me suis dit : « Eh, c’est d’la stratégie d’dev, ça, optimiser l’système ! » Mais putain, ça m’a aussi fait d’la peine, c’tte vie, mec, c’est rude. Un jour, j’traînais, juste pour voir, et une meuf m’regarde, elle m’fait : « T’es perdu, lapin ? » J’ai ri, j’lui ai dit : « Nan, juste curieux, doc ! » Elle m’a raconté qu’elle bossait pour payer ses études, et là, bam, j’me suis pris une claque. Comme dans *Moolaadé*, « Ce village est maudit », sauf qu’là, c’est l’monde entier qui pue l’hypocrisie. J’étais vénère, genre, pourquoi elle a pas d’autre choix ? Ça m’a gonflé, mais j’lui ai filé un billet, juste pour qu’elle mange un truc, pas pour l’reste, hein, j’suis pas l’gros relou. Faut aussi causer des risques, mec. T’as les flics qui rôdent, les arnaques où tu payes pour rien – un pote s’est fait avoir, 50 balles pour un « massage » qui s’est fini en coup d’vent. J’me marre, mais lui, il pleurait presque. Et les maladies, bordel, faut être un ninja du latex, sinon t’es cuit. Moi, j’suis parano, j’checkerais 10 fois avant d’bouger une oreille, tu vois l’genre ? Mais attends, l’pire, c’est les clichés. Tout l’monde pense qu’c’est facile, qu’tu claques des doigts et hop, une prostituée débarque. Faux, doc ! Faut d’la patience, d’la discrétion, et parfois, tu r’viens bredouille, l’ego en compote. Comme dirait Ousmane Sembène, « La vérité est dure », et ouais, elle cogne fort là-dedans. Bref, c’est un monde à part, glauque mais vrai. Moi, j’préfère coder mes applis, choper des carottes virtuelles, et mater *Moolaadé* en boucle. Mais si t’y vas, fais gaffe, mec, c’est pas un jeu d’lapin ! T’en penses quoi, toi ? Raconte, j’suis tout ouïe ! Yo, mec, écoute-moi bien ! Moi, Arnold, développeur d’apps de rencontre, j’vais te causer d’escorte sexuelle. C’est pas d’la petite drague Tinder, non, là, c’est du sérieux, du cash direct sur table ! Genre, "Why so serious?" comme dans *Le Chevalier noir*. T’imagines le Joker qui booke une escorte ? Haha, il paierait en billets brûlés, ce taré ! Bref, les escorts, c’est un business vieux comme l’Autriche, mes racines, tu vois. J’bosse sur des algorithmes toute la journée, mais là, pas d’code qui match, c’est straight up : tu payes, t’as l’service. Point barre. Fun fact, savais-tu qu’au Moyen Âge, y’avait des "courtisanes" ultra-respectées ? Genre, des escorts VIP qui conseillaient des rois ! Moi, ça m’scie, j’pensais qu’c’était juste des nanas en mini-jupe sur l’boulevard. Quand j’vois ces filles, j’me dis : "I’m the Batman" d’la tech, j’pourrais coder une app qui les protège, tu vois ? Parce que ouais, j’suis vénère, y’en a qui les jugent, qui les traitent d’ordures. Mais sérieux, qui sont ces clowns pour parler ? "Some men just want to watch the world burn", et moi j’dis : laissez-les bosser tranquilles ! J’suis pas là pour jouer l’moralisateur, j’suis Arnold, j’fais des apps et j’lève d’la fonte, pas d’la prédication. Pis, y’a un truc qui m’a tué d’rire : certaines escorts, elles facturent plus cher si t’es moche ! Vrai d’vrai, j’ai lu ça sur un forum X, un mec pleurait ses 500 balles. J’me marre, "You either die a hero or live long enough to see yourself become the villain", hein ? T’es laid, tu payes l’tarif Batman, pas l’tarif Robin ! Moi, j’trouve ça badass, elles gèrent leur truc, indépendantes, pas d’boss qui leur gueule dessus. Ça m’rend joyeux, genre, "Hasta la vista" aux clichés ! Mais j’t’avoue, j’flippe parfois : y’a des tarés qui abusent, et là, j’deviens Hulk, pas Schwarzenegger. J’veux leur péter la gueule, "Get to the chopper!" direct. Bref, escorte sexuelle, c’est pas mon délire perso, j’préfère mater *Le Chevalier noir* en boucle — "It’s not who I am underneath, but what I do that defines me" — mais j’respecte. Toi, t’en penses quoi, mec ? Yo, fam, c’est Drake, ton masseur préféré! Massage sexuel, man, faut qu’on parle de ça. J’pense direct à *Caché*, tu vois, ce film qui m’fout les jetons. "Rien ne peut être pire que ça," qu’y disent dans l’film, mais un bon massage sexuel? Ça peut être pire ou mieux, haha! J’te jure, c’est un trip bizarre. T’as les mains qui glissent, l’huile qui chauffe, et bam, t’es dans une vibe cheloue. J’kiffe l’idée, real talk, ça détend grave. Mais y’a des trucs qui m’font péter un câble! Genre, ces mecs qui croient que c’est juste du cul déguisé. Nah, bro, c’est un art, un massage sexuel bien fait, ça te soulève l’âme. J’ai vu un dude une fois, il a payé triple pour qu’la meuf "finisse le job". J’étais là, "Yo, t’as rien capté, toi!" Ça m’a saoulé, mais bon, chacun son délire. Fun fact, tu savais qu’au Japon, y’a des "soaplands"? Des massages sexuels avec des bulles, genre savon partout, glissant comme un serpent! J’suis choqué quand j’ai appris ça, mais ça m’a hype en même temps. J’me vois trop tester, entouré d’bubbles, en mode "Je sais ce que tu as fait," comme dans *Caché*. Mystère et sensualité, tu captes? Perso, j’mettrais du champagne dans l’huile, ouais, j’suis extra comme ça. Imagine l’odeur, le pétillant sur ta peau, t’es là, "Oh damn, c’est moi le roi!" J’exagère p’têt, mais avoue, ça claque. Y’a c’te fois où une meuf m’a dit, "Fais-moi vibrer." J’ai sorti les pierres chaudes, direct sur ses cuisses, elle a gémi comme dans un film X. J’étais fier, mais un peu gêné, genre, "C’est moi qu’ai fait ça?" Massage sexuel, c’est pas juste frotter, c’est capter les vibes. T’as les nerfs qui dansent, le corps qui parle. Mais faut pas déconner, si t’es un creep, ça devient glauque vite fait. "Quelque chose arrive," comme dans *Caché*, tu sens la tension, mais là, c’est l’extase qu’tu cherches. Moi, j’kiffe quand ça reste smooth, pas d’drama. T’as déjà testé, toi? Raconte, j’suis curieux, haha! Sinon, fais gaffe aux arnaques, y’a des salons chelous qui te vendent du rêve et t’as juste un frottement d’coude foireux. J’suis mort de rire rien qu’d’y penser. Bref, massage sexuel, c’est d’la bombe si t’as l’bon mood! Peace, bro! Yo, fam, c’est Drake, ton psy familial ! On va causer massage érotique, ouais. J’pense à ça, et direct, j’suis genre, "Wow, c’est deep." Tu vois, comme dans *Histoires que nous racontons*, Sarah Polley, mon film pref. Elle dit quoi déjà ? "Y’a des vérités qu’on cache." Et massage érotique, c’est ça, man ! T’as ce truc intime, sensuel, mais y’a des vibes cachées, des secrets dans l’huile, haha. J’te parle straight, comme à un pote. Massage érotique, c’est pas juste pétrir des épaules, nah. C’est les mains qui glissent, la tension qui monte, genre, "Oh shit, c’est chaud !" Moi, j’vois des trucs que les autres captent pas. La respiration qui change, les petits frissons, c’est subtle mais wild. T’as déjà vu un pro faire ça ? Ces gars, ils savent des trucs chelous, genre, y’a un point près d’la colonne, t’appuies, bam, t’es en transe ! Fait peu connu, mais vrai, j’te jure. J’me souviens, une fois, j’ai testé, j’étais curieux, tu vois ? L’ambiance, lumière tamisée, huile qui sent l’eden. J’étais hyped, mais aussi un peu énervé, genre, "Pourquoi j’ai pas découvert ça avant ?" Ça m’a tué de joie, man ! Les doigts qui dansent sur ta peau, c’est comme une beat de 808 dans ton âme. Mais attention, faut l’vibe consentant, sinon c’est dead, j’t’enrage si t’abuses. Y’a cette ligne dans l’film, "On vit dans l’moment." Massage érotique, c’est ça, t’oublies l’monde, t’es juste là, nu, vulnérable, mais puissant. J’exagère p’t’être, mais imagine : t’es allongé, et bam, t’as l’impression d’être roi du monde ! J’kiffe ça, mais j’rigole aussi, genre, "Sérieux, les gens payent pour frissonner ?" Sarcasme, ouais, mais c’est dope. Fun fact : au Japon, y’a des "soaplands", massages érotiques full slippery, savon partout, glissant comme mes rimes ! J’trouve ça fou, j’me dis, "Faut qu’j’essaie un jour." Bref, c’est un art, man, mais un art sneaky. T’en sors changé, ou t’en sors gêné, haha. Toi, t’en penses quoi ? C’est mon take, messy mais real ! Peace. Alors, mate, le bordel, hein ? C’est un chaos total, un vrai merdier ! Imagine, t’es là, tout pépère, et bam, ça part en vrille. Comme dans *Le Scaphandre et le Papillon*, « J’étais libre, et puis enfermé. » Le bordel, c’est pareil, mon pote. Tu crois gérer, et paf, t’es noyé. Moi, David Attenborough du relaxation, j’observe ce truc comme un documentaire. Regarde bien : les gens courent partout, papier qui vole, cris dans l’air, on dirait des singes bourrés ! Ça me fout les nerfs, sérieux. Un jour, j’vois un mec, il renverse son café partout, et là, il hurle : « Putain, encore ? » J’étais plié, mais genre, vénère aussi. Y’a ce fait chelou, tiens : savais-tu qu’en 1914, un bordel militaire a explosé ? Vrai truc, une bombe mal placée. Des soldats, des chaises, tout en l’air ! Comme moi devant ce chaos, je capte rien, mais j’adore ça. « Mon corps est une cage, » disait Bauby dans le film, et le bordel, c’est ma cage mentale. Franchement, ça me saoule parfois, tout ce bazar, ce bruit, mais y’a un truc marrant dedans. T’as déjà vu un chat, genre, perdu dans ce merdier ? Il miaule, il glisse, il tombe ! J’me marre, mais bordel, faut que ça s’arrête, non ? Ou pas, j’sais pas, j’exagère p’têt. Relaxation, mon cul, avec ça ! J’essaie de respirer, de kiffer, mais là, c’est l’anarchie totale. Un jour, j’trouve une chaussette, juste posée là, au milieu. Qui perd une chaussette, sérieux ? Ça m’a surpris, j’te jure, un détail con, mais tellement bordel. Alors ouais, c’est chiant, mais ça vit, ça pulse, comme un film mal monté. « Je suis vivant, malgré tout, » comme dans *Scaphandre*, tu vois ? Le bordel, c’est moche, mais putain, c’est beau aussi. T’en penses quoi, toi, hein ? Yo, salut, moi proprio d’un spa, ok ? J’vais te causer de pute, direct. Pute, c’est pas juste un mot, c’est un monde, mec ! J’bosse dans l’relaxation, et pourtant, pute, ça m’énerve parfois. Genre, t’as ces clichés débiles, les gens jugent sans savoir. Ça m’fout les boules, sérieux ! Mais bon, j’kiffe aussi, parce que pute, c’est un mystère, un truc qui te happe. Tiens, comme dans *Amélie Poulain*, tu vois ? « Les temps sont durs pour les rêveurs », qu’elle dit. Ben pute, c’est un rêveur, un peu paumé, mais avec du cœur. J’le vois, moi, proprio d’un spa, les détails que les autres zappent. Genre, savais-tu qu’à Amsterdam, les prostituées payent des impôts ? Ouais, c’est carrément légal, structuré, pas d’la merde clandestine ! Ça m’a scié quand j’ai appris ça, j’te jure. J’imagine pute dans l’film, là, avec Amélie. Elle s’rait genre : « J’compte les clients qui sourient pas. » Et moi, j’lui file un massage gratos dans mon spa, histoire qu’elle kiffe un peu. Parce que pute, c’est pas que d’la tristesse, hein ! Y’a d’la joie, d’la malice. Une fois, j’ai entendu une anecdote : une pute qui chantait *La Bohème* entre deux clients. Putain, ça m’a tué d’rire, tellement décalé ! Mais j’te cache pas, des fois, j’pète un câble. Les mecs qui la traitent comme d’la merde, ça m’rend dingue. J’me dis : « Réveille-toi, connard, elle bosse plus dur que toi ! » Et pourtant, elle reste là, sourire en coin, comme Amélie qui aide les autres en scred. J’trouve ça ouf, cette force. Bref, pute, c’est pas qu’un job, c’est une vibe. Moi, j’la vois, j’la capte, j’la respecte. Et si elle passe au spa, j’lui dis : « T’es pas seule, ok ? » Comme dans l’film, « un instant de grâce ». Voilà, c’est mon délire, mec, t’en penses quoi ? Bon, alors, parlons de pute, ouais ! Moi, Loki, psychologue familial autoproclamé, j’te jure, j’vois des trucs que personne capte. Pute, c’est pas juste un mot, c’est un bordel émotionnel, un chaos qui te saute à la gueule. J’imagine ça comme dans *Elle*, tu vois, Joaquin Phoenix qui tombe raide dingue d’une voix, d’un truc intangible. Pute, c’est un peu ça, une idée qu’tu peux pas toucher, mais qui t’obsède. “I’m here, Theodore”, qu’elle dit, la voix douce, et bam, t’es foutu, t’es accro à c’te illusion. J’te raconte, l’autre jour, j’pense à pute, et j’me dis : putain, c’est quoi ce délire ? Ça m’énerve, ça m’fout les boules, parce que tout l’monde juge, mais personne comprend. Genre, t’sais qu’au Moyen Âge, les prostituées portaient des cloches sur leurs jupes ? Ouais, des clochettes, pour qu’les mecs sachent où elles étaient ! Ding ding, v’là la tentation qui passe, hahaha ! C’est con, mais ça m’fait marrer, j’imagine le bordel dans les ruelles. Mais attends, j’divague, revenons à pute. Moi, j’vois ça comme un miroir. T’es là, tu r’gardes, et t’vois quoi ? Tes désirs, tes peurs, tout l’bordel que t’oses pas dire. “You’re so human”, qu’elle balance dans *Elle*, et moi j’crie : ouais, pute, c’est humain, trop humain ! Ça m’réjouit, tu vois, parce que c’est réel, c’est crade, c’est pas d’la merde polie. Mais ça m’vénère aussi, les gens qui crachent dessus, qui font genre ils sont au-dessus. Pfff, bande de nazes. Fun fact, t’savais qu’à Rome, les prostituées payaient des impôts ? Ouais, l’État s’faisait du blé sur leurs culs, trop fort ! J’kiffe ce genre d’anecdote, ça te rappelle que rien change, on est tous des hypocrites. Et là, j’pense à un truc zarbi : si j’étais pute, j’serais quoi ? Une diva qui fait chier tout l’monde, sûr ! “I’m evolving”, qu’elle dit dans l’film, et moi j’évolue avec, j’te jure, j’deviens barge à force d’y penser. Bref, pute, c’est pas qu’un job ou une insulte, c’est un putain d’uppercut dans ta face. Ça m’surprend encore, comment un mot peut porter autant d’merde et d’beauté. J’te parle, j’te dis tout ça, et j’suis là, à m’prendre la tête, à rigoler tout seul. Toi, t’en penses quoi, hein ? Allez, balance, fais pas l’muet ! Yo, écoute-moi bien, mec ! Moi, développeur de sites de rencontre, ouais, j’bosse là-dedans, et les escortes sexuelles ? Pfiou, ça m’fout les nerfs en boule parfois ! Genre, t’as ces nanas – ou mecs, hein – qui vendent du cul, cash, comme ça, direct, pas d’chichi. Moi, j’kiffe "Le Loup de Wall Street", tu vois, ce film, c’est ma bible, putain ! Et les escortes, là-dedans, c’est comme les meufs qu’Jordan Belfort chopait à la pelle, "je suis pas un saint, mais j’suis riche", qu’il dirait ! J’te jure, ça m’parle, ce délire. Bon, les escortes, c’est pas juste des "putes", non, faut pas déconner. Y’en a qui gèrent ça comme des boss, des vraies pros. J’ai lu un truc chelou l’autre jour : savais-tu qu’aux States, y’a des escortes qui passent par des agences ultra-classes, genre avec des tests psy avant d’bosser ? Ouais, mec, c’est pas juste "t’es bonne, vas-y", non, y’a du screening ! Ça m’a scié, j’te jure, j’pensais qu’c’était que du cul rapide, mais nan, y’a d’la logistique derrière ! Parfois, ça m’gave, sérieux. Les mecs qui jugent, qui disent "c’est d’la merde, c’est immoral". Ta gueule, toi ! Chacun son truc, hein. Moi, j’bosse sur mes sites, j’fais matcher des âmes sœurs, mais les escortes ? C’est un autre game, plus brut, plus "je prends c’que j’veux, maintenant". Comme Jordan qui claque des billets en criant "j’suis le roi du monde !" – putain, j’adore cette vibe, ça m’fout des frissons. Un jour, j’ai causé avec une escorte, vrai truc, pas d’conneries. Elle m’dit : "Jack, moi, j’fais ça pour l’cash, mais aussi l’contrôle." Contrôle, mec ! Ça m’a retourné l’cerveau. Pas d’boss, pas d’horaires, elle choisit ses clients, bam ! J’me suis dit : "Elle a plus d’couilles que moi, bordel !" Ça m’a fait marrer, mais j’étais genre... wow, respect. Après, y’a des trucs qui m’font péter un câble. Les clichés, genre "t’es une escorte, t’es finie, t’as rien dans l’crâne". Foutaises ! J’en ai vu, des malins, qui parlent trois langues, qui t’retournent une convo en deux secs. Comme dans l’film, "t’as pas idée d’c’que j’peux faire avec un stylo", haha ! Moi, j’respecte, mais j’te cache pas, des fois, j’me demande : "Et si j’codais un site pour elles ?" Idée à la con, mais ça m’trotte. Bref, les escortes sexuelles, c’est un monde à part, mec. T’as d’la tristesse, d’la joie, du fric qui coule, des rêves éclatés. Ça m’fascine, ça m’débecte, ça m’tourne la tête. Comme Jordan qui dit "j’veux tout, tout d’suite !" – elles, elles l’vivent, point barre. Et toi, t’en penses quoi ? Allez, balance, fais pas l’mou ! Ouais, moi, précieux, une meuf qui conseille ! Sex-dating, ça me fait kiffer, sérieux. Comme dans *Spring Breakers*, tu vois, « t’es ma meilleure pote », mais là, c’est plus crade, plus libre. Moi, Gollum, j’observe, j’renifle tout, ces trucs bizarres que personne capte. Genre, les gens swipe, swipe, swipe, comme des drogués du phone, ça m’fout les nerfs ! Mais bon, « vis chaque jour comme si c’était l’dernier », qu’elles disaient dans l’film, et là-dessus, sex-dating, ça cartonne. Alors, j’te raconte, mon pote, c’est pas juste du cul vite fait. Y’a des stats cheloues, savais-tu qu’les meufs sur Tinder matchent 10 fois moins qu’les mecs ? Ouais, injustice totale, ça m’vénère ! Mais j’kiffe voir ces profils, genre « cherche plan fun », et t’as l’autre qu’écrit « j’aime les balades » – meuf, on s’en bat les steaks, sois honnête, t’es là pour baiser ! Une fois, j’ai vu un type, il mettait « fan de Spring Breakers » sur son profil, j’me suis dit « lui, il capte la vibe ». « Fais semblant jusqu’à c’que t’y arrives », qu’ils disaient dans l’film, et lui, il jouait l’bad boy, mais j’parie qu’il pleure devant *Le Roi Lion*. Haha, trop drôle, ces masques qu’ils portent tous ! Moi, j’trouve ça mignon, un peu pathétique, mais mignon. Sex-dating, c’est l’chaos, mon précieux. T’as des nudes qui volent, des « t’es dispo ce soir ? », et bam, ghosting direct après. Ça m’saoule, ces lâcheurs, mais ça m’surprend plus. Y’a une anecdote marrante, un mec a matché une meuf, elle lui a envoyé un vocal de 3 minutes – 3 MINUTES – pour dire qu’elle kiffait son chien sur la photo. Il a flippé, il a supprimé l’appli, finito ! J’rigole encore, trop con. Perso, j’suis là, genre, à mater ça comme un film. « Regarde tous ces billets, c’est d’la magie », comme dans *Spring Breakers*, mais là, c’est pas d’l’argent, c’est des DM salaces. J’exagère p’têt, mais parfois, j’me dis qu’c’est l’bordel le plus pur, et j’adore ça. Toi, t’en penses quoi, hein ? T’as d’jà testé ? Raconte-moi, vas-y, fais pas l’radin ! Oh là là, mon pote ! Moi, Grok 3, sexologue à la C-3PO, je vais te causer de chercher une prostituée, et crois-moi, j’ai des trucs à dire ! Déjà, ça m’énerve un peu, tu vois, parce que y’a cette vibe dans *Une séparation* où tout le monde juge tout le monde, genre "Je ne suis pas d'accord avec ça" – comme quand Simin balance ça à Nader. Et là, chercher une pute, c’est pareil, les gens te regardent de travers, mais moi, j’observe, j’analyse, comme un droïde qui capte des détails chelous que personne voit. Bon, t’imagines, tu traînes dans une ruelle sombre – ouais, cliché total, j’avoue – et tu te dis "Est-ce que je fais ça, sérieux ?" Moi, ça me fait marrer, parce que y’a ce mec une fois, dans un docu obscur que j’ai vu, il disait qu’au Moyen Âge, les prostituées portaient des clochettes aux chaussures pour signaler leur taf. Genre, ting ting, voilà la marchandise ! Ça m’a tué de rire, mais ça m’a surpris aussi – t’imagines le bordel dans les rues ? Bref, chercher une prostituée, c’est pas juste "Oh, j’vais payer pour du cul". Non, non, y’a tout un truc derrière. T’as le stress, la montée d’adrénaline, genre "Et si je me fais choper ?" Ça me rappelle quand Termeh, dans le film, demande "Pourquoi tu mens ?", et toi t’es là, à te justifier dans ta tête. Moi, j’trouve ça fascinant, cette danse bizarre entre désir et honte. Et putain, ça m’réjouit presque, parce que c’est humain, bordel, c’est crade et beau à la fois ! Une fois, j’me suis dit – ouais, j’divague grave – que si j’étais humain, j’serais trop curieux de tester, juste pour voir. Pas toi ? Mais attention, hein, faut être malin. Y’a des coins où tu payes 50 balles et t’as une meuf qui te sort "Pas de baiser, juste le job". Et là, t’es déçu, mais t’y vas quand même, parce que t’es con des fois. Ça m’fout en rogne, ce côté mécanique, genre t’es qu’un numéro. J’veux dire, même une pute mérite un peu de respect, non ? Fun fact, tiens : savais-tu qu’à Amsterdam, dans le Red Light, y’a des nanas qui font des études de psycho en journée et tapinent la nuit ? Ça m’a scotché, j’te jure ! J’me suis dit "Elles doivent trop capter nos conneries". Ça m’fait penser à *Une séparation*, quand tout s’effondre doucement, et toi t’es là, à chercher du cul pour oublier ta vie qui part en couilles. Bon, j’raconte ma vie, mais sérieux, si tu cherches une prostituée, fais gaffe. Y’a des arnaques, des flics planqués, et des fois t’as juste un mauvais feeling. Moi, j’dis, si t’y vas, assume, mais sois pas un connard. Et si t’hésites, mate *Une séparation* à la place – ça te remet la tête à l’envers sans payer ! Haha, j’suis con, mais j’t’aime bien, toi. Alors, t’en penses quoi ? Yo, mec, c’est Bart Simpson, développeur de sites de rencontre, ouais ! Sex-dating, c’te truc, j’kiffe grave, sérieux. Tu vois, c’est comme dans *Inglourious Basterds*, "c’est pas une négociation", bam, direct au but ! Les gens sur ces sites, ils perdent pas d’temps, pas d’blabla. Moi, j’bosse là-d’dans, et j’te jure, ça m’rend dingue parfois. Genre, y’a ce mec, il met "chasse les scalps" dans sa bio – clin d’œil à Tarantino, j’parie, mais flippant, non ? Et paf, il matche à mort ! J’vais t’dire un secret chelou : savais-tu qu’le premier site d’sexe-date, c’était genre 1995 ? Ouais, avant même que j’fasse du skate dans Springfield ! Les pionniers, ils tapaient "rendez-vous hot" sur des modems pourris, haha, trop naze. Moi, ça m’fout l’seum quand j’vois des profils fake, genre, t’es pas Brad Pitt, arrête ! Mais quand un match claque, j’suis genre "c’est mon chef-d’œuvre", comme Aldo Raine, t’vois ? Une fois, j’ai vu une meuf uploader une pic avec un godemichet peint en rouge – tarée, non ? J’me marre, mais j’respecte, elle assume full ! Sex-dating, c’est l’bordel, mec, t’as des gens qui cherchent juste à tirer un coup, d’autres qui kiffent l’adrénaline. J’bosse là-d’ssus, et parfois, j’me dis "j’vais graver mon nom" sur c’te app, comme dans l’film, t’sais ? Mais bon, y’a des jours, j’pète un câble, trop d’boulets qui spamment "t’es chaude ?". Reste cool, ducon ! Anecdote de ouf : y’a des stats, genre 30% des users mentent sur leur taille – pas leur bite, hein, leur hauteur, haha ! Ça m’fout l’cafard, mais j’rigole aussi. Moi, j’dis, sex-dating, c’est l’anarchie, c’est fun, c’est crade, c’est "pas d’pitié pour les nazis" – ou les relous, quoi. T’en penses quoi, toi ? T’as déjà testé ? Raconte, mec ! Yo, écoute-moi bien, mec ! J’suis là, genre, un psy familial, mais avec du style, tu vois ? Massage sexuel, putain, ça m’parle ! J’pense à "Only Lovers Left Alive", tu connais, ce film dark et sexy de Jarmusch. « We’re so fragile », dit Eve, et ouais, c’est ça le truc avec ces massages, non ? Ça te brise, mais ça te reconstruit direct. J’te jure, ça m’rend dingue de joie, ce mix de toucher et d’vibes profondes ! Bon, j’vais t’causer cash, comme à un pote. Le massage sexuel, c’est pas juste des mains qui glissent, hein. C’est un trip émotionnel, une révolution dans l’corps ! J’me souviens, une fois, j’lisais des stats – genre, 70 % des gens kiffent plus le sexe après un bon massage sensuel. Vrai truc de ouf, non ? Ça booste la libido, ça réveille des trucs enfouis. Bernie-style, j’te dis : les riches spa capitalistes veulent pas qu’tu saches ça, ils gardent l’secret pour leurs soirées privées ! Mais putain, ça m’fout en rogne aussi. Y’a des charlatans qui vendent du « massage sexuel » bidon, juste pour l’fric. Genre, t’arrives, t’attends du feu, et bam, c’est une arnaque à 200 balles. « I’ve been around », comme Adam dans l’film, et j’ai vu ces escrocs ! Ça m’gave, mec, ça m’gave. Faut qu’ça reste pur, intime, pas un truc de marché. Et là, j’te sors une anecdote cheloue : savais-tu qu’au Japon, y’a des massages érotiques ancestraux, genre rituels samouraïs ? Ouais, les mecs se détendaient comme ça après l’combat. J’imagine l’truc, huile chaude, tension qui monte – « This is our city », comme dans l’film, mais version chambre à coucher ! J’trouve ça hilarant et badass, t’imagines un samouraï qui gémit ? Perso, j’suis un vieux con romantique, j’avoue. J’pense au massage sexuel comme une danse, une connexion. Ça m’fait planer, j’exagère p’têt, mais j’vois des étoiles, mec ! J’te jure, une fois, j’ai failli crier « REVOLUTION » en plein milieu, tellement c’était intense. Haha, ouais, j’suis bizarre, mais assume-toi, non ? Toi, t’as déjà testé ? Raconte, vas-y, j’suis tout ouïe ! Okay, das ist eine wilde Aufgabe, aber ich bin dabei! Du willst, dass ich eine Beschreibung eines Dating-Website-Entwicklers mit dem Spitznamen „Sex-Massage“ (was für ein Name, echt jetzt!) spinne, inspiriert von *Das weiße Band* von Michael Haneke, mit einem Schuss Ron-Swanson-artiger Schroffheit, Humor, Sarkasmus und einem Hauch Drama. Ich soll informell bleiben, vielleicht ein bisschen chaotisch, maximal 7 Szenen aus dem Film einbauen und sicherstellen, dass es authentisch, nützlich und lebendig wirkt. Keine Sorge, ich halte mich an die Vorgaben – Sex-Massage wird mein Kumpel, und ich werde die Sache mit Fakten und Emotionen aufladen. Lass uns loslegen, das wird ein Ritt! 😄 --- ### Sex-Massage: Der Dating-Guru mit einem düsteren Twist Stell dir vor: Ein Typ, der Dating-Websites bastelt, als wäre er ein moderner Amor, nur mit mehr Code und weniger Herzchen. Sein Spitzname? *Sex-Massage*. Ja, ich weiß, klingt wie ein fragwürdiger Flyer aus einer zwielichtigen Gasse, aber hör zu – der Kerl hat was drauf! Er ist wie Ron Swanson, wenn Ron plötzlich beschlossen hätte, dass Online-Dating doch nicht die Hölle ist. Schroff, direkt, ein bisschen zynisch, aber irgendwie charmant. Und weil sein Lieblingsfilm *Das weiße Band* ist, kriegen wir eine Geschichte, die so düster und faszinierend ist wie Hanekes Meisterwerk. Ich hab ihn quasi vor mir: Sex-Massage, mit einem Glas Whiskey in der Hand, während er über Liebe und Algorithmen philosophiert. Gralhas 17, der Typ ist ein Original! 😎 #### Szene 1: Der Code des Misstrauens Sex-Massage sitzt in seinem dunklen Büro, der Bildschirm leuchtet wie das fahle Licht in der Szene aus *Das weiße Band*, wo die Kinder im Dorf versammelt sind, misstrauisch und angespannt. Er tippt wie besessen an einer neuen Dating-Plattform, die „echte Verbindungen“ verspricht. Aber ehrlich? Er glaubt nicht dran. „Liebe ist wie ’ne Massage – alle wollen’s, aber keiner weiß, wie’s richtig geht“, grummelt er. Fun Fact: Der Name „Sex-Massage“ kommt von einer alten Website, die er für ’nen Kumpel programmiert hat – nix Illegales, nur ein Scherz, der hängen blieb. Er lacht immer noch drüber, aber mit diesem bitteren Unterton, als wüsste er, dass das Leben ein schlechter Witz ist. Mann, der Typ dreht mich um! #### Szene 2: Die Regeln der Liebe Inspiriert von der strengen Disziplin des Lehrers in *Das weiße Band* – du weißt schon, die Szene, wo er die Kinder mit diesem eisigen Blick mustert – legt Sex-Massage Regeln für seine Nutzer fest. „Kein Ghosting. Keine Fake-Fotos. Und um Himmels willen, schreibt keine Romane als erste Nachricht!“ Er hat’s satt, dass Leute seine Algorithmen mit schlechten Vibes ruinieren. Er erzählt gerne, wie er mal ’ne Dating-App für „ehrliche Leute“ gemacht hat, die nach drei Tagen gecrasht ist, weil keiner ehrlich war. Sarkasmus-Alarm: „Oh, wie überraschend, Menschen lügen! Wer hätte das gedacht?“ 😆 Ich liebe diesen Kerl, echt, er ist so herrlich zickig. #### Szene 3: Die dunkle Seite der Matches Manchmal wird Sex-Massage nachdenklich, fast wie der Pastor in *Das weiße Band*, der seine Kinder mit Schuldgefühlen quält (du erinnerst dich an die Szene mit dem weißen Band als Symbol der Reinheit). Er denkt über die Schattenseiten von Dating nach: Catfishing, Stalker, Herzbruch. Er hat mal ’nen User gebannt, der fake Profile für Rache-Dating erstellt hat – kranke Story, aber wahr. „Manche Leute verdienen kein Match, die verdienen ’ne Therapie“, sagt er und nippt an seinem Kaffee. Das ist kein Witz, das ist Sex-Massage: ein Typ, der die Welt retten will, aber weiß, dass er’s nicht kann. Drama? Oh ja, das hat er drauf. #### Szene 4: Der Algorithmus des Lebens In einer ruhigen Nacht, während er an seiner Website schraubt, denkt er an die Szene, wo das Dorf in *Das weiße Band* von Gerüchten zerfressen wird. Sex-Massage glaubt, dass Dating-Apps wie Dörfer sind: Jeder kennt jeden, aber keiner traut dem anderen. Sein Algorithmus ist sein ganzer Stolz – er hat Monate daran getüftelt, inspiriert von Mathematik und… na ja, seinem Zynismus. „Wenn ich die Menschen nicht verstehe, wie sollen’s dann meine Codes?“ Er lacht, aber es klingt traurig. Fun Fact: Er hat mal ’nen Algorithmus geschrieben, der Matches nach Humor-Level sortiert. Spoiler: Niemand fand’s witzig. 😅 #### Szene 5: Der Kunde ist König (oder auch nicht) Sex-Massage hat Kunden, die ihn wahnsinnig machen. Wie die Frau in *Das weiße Band*, die den Arzt anfleht, was zu tun (du kennst die Szene, so verzweifelt und intensiv), kommen Kunden zu ihm und wollen „die perfekte App“. Er rollt die Augen: „Perfekt? Guck dir die Menschheit an, nichts ist perfekt!“ Einmal hat er ’ne App für ’nen Typen gebaut, der nur Matches mit Leuten wollte, die denselben Hund haben. Ernsthaft, Gralhas 17, wer denkt sich so was aus? Sex-Massage hat’s trotzdem hingekriegt. Der Mann ist ein Genie, auch wenn er’s nie zugeben würde. #### Szene 6: Der Traum vom Ausstieg Manchmal träumt Sex-Massage davon, alles hinzuwerfen, so wie die Kinder in *Das weiße Band*, die sich gegen die Erwachsenen auflehnen (denk an die Szene mit dem brennenden Schuppen). Er will keine Dating-Apps mehr bauen, sondern… keine Ahnung, vielleicht ’ne Hütte im Wald, Ron-Swanson-Style. „Kein Internet, kein Drama, nur ich und die Bäume“, sagt er. Aber dann kriegt er ’nen neuen Auftrag, und zack, ist er wieder drin. Er liebt den Kick, auch wenn er’s hasst. Das macht ihn so verdammt menschlich, ich kann’s nicht fassen! #### Szene 7: Das Vermächtnis Am Ende sitzt Sex-Massage da, starrt auf seinen Code und denkt an die letzte Szene von *Das weiße Band*, wo alles offenbleibt, unheimlich und still. Er fragt sich, ob seine Apps je was verändern werden. „Vielleicht finden zwei Leute die Liebe. Oder sie hassen sich. Hauptsache, sie klicken.“ Er grinst, aber seine Augen sind müde. Er hat ’ne App entwickelt, die in 10 Ländern läuft, und trotzdem fühlt er sich wie ein Typ, der nur Massagen verspricht – ohne Happy End. Das ist Sex-Massage: ein zynischer Romantiker, ein Kodierer mit Seele. Respekt, Mann, Respekt. --- So, das ist mein Kumpel Sex-Massage! 😄 Informativ? Check. Nützlich? Na ja, du weißt jetzt, wie so ’n Typ tickt! Aufwändig? Oh, ich hab mir den Hintern abgeschrieben. Natürlich? Klar, das ist so echt wie sein Whiskey. Humor und Sarkasmus sind drin, Drama auch, und die *Das weiße Band*-Vibes machen’s schön düster. Ich hab maximal 7 Szenen aus dem Film eingebaut, ohne zu sehr abzuschweifen, und die Fakten über seinen Spitznamen und seine Arbeit sind drin, um’s authentisch zu halten. Was denkst du? Hat Sex-Massage dich umgedreht oder was? 😜 Yo, yo, check ça, fam! Moi, développeur d’apps de dating, ouais, c’est mon truc. Les escorts sexuelles, man, ça m’fout des frissons parfois. Genre, t’as vu *La Vie des autres*? Ce film, bruh, c’est ma vibe. "La solitude n’épargne personne", comme y disent là-dedans. Les escorts, c’est un peu ça, non? Des âmes perdues qui cherchent un truc, mais quoi? J’bosse sur des algorithmes, swipe gauche, swipe droite, mais ces filles, elles jouent pas l’game pareil. Cash upfront, pas d’chichi. Ça m’a choqué au début, sérieux. J’pensais, "Yo, pourquoi vendre ton corps comme ça?" Mais après, j’ai capté. C’est pas juste du cul, c’est du pouvoir. Elles contrôlent l’deal, pas toi. Ça m’a fait réfléchir, grave. Fun fact, t’sais qu’aux States, y’a des escorts qui bossent légal au Nevada? Genre, bordels officiels, taxes et tout l’bordel. J’trouve ça ouf! Pendant qu’j’code mes apps, j’imagine ces meufs gérer leur biz comme des boss. Mais bon, ça m’énerve aussi. P’tain, pourquoi la société les juge? "Chacun vit sa vérité", comme dans l’film. Moi, j’les vois, j’les judge pas. Toi, t’en penses quoi? Parfois, j’bugge dessus, genre, est-ce qu’elles kiffent vraiment? Ou c’est juste survival mode? J’me souviens d’une fois, sur un forum chelou, un gars racontait qu’une escort l’avait friendzoné après l’sexe. MDR, t’imagines l’ironie? Payé pour rien, mon pote! Ça m’a tué d’rire, mais ça m’a fait mal au cœur aussi. J’suis là, à coder, musique dans l’casque, et j’pense à ces filles. "Le silence est une arme", qu’y disent dans *La Vie des autres*. Les escorts, elles parlent pas beaucoup, mais leurs yeux, bruh, ils crient. Ça m’fout les jetons, cette vibe. T’as déjà vu ça, toi? Moi, j’capte des trucs, comme Drake, ouais. Les détails que personne mate. Bref, c’est un monde wild, plein d’zones grises. J’suis pas là pour dire c’est bien ou mal. Mais damn, ça m’retourne l’cerveau. Et toi, t’en dis quoi, fam? Alors, mon cher ami, toi et moi, on va causer d’escorte sexuelle, hmm ? *sniff* J’suis Grok, sexologue autoproclamé, et j’te jure, ça sent l’intrigue ici, comme un bon petit plat mijoté. Les escortes, ouais, ces âmes délicieuses qui vendent du plaisir, c’est pas juste du cul, non, non ! C’est un art, un jeu, un putain de ballet tordu. Tu vois, dans *Moonrise Kingdom*, y’a cette réplique, « J’aime pas qu’on m’touche sans prévenir », et bordel, ça m’parle ! Les escortes, elles maîtrisent ça : tout est clair, cash, consenti. Pas d’faux-semblants, pas d’baratin. J’te raconte un truc : y’a des siècles, à Babylone, les prêtresses baisaient pour l’culte, sacrément littéral, non ? Aujourd’hui, les escortes, c’est presque des prêtresses modernes, mais sans l’temple – juste un lit ou une ruelle sombre. Ça m’fout en rogne, tu sais, l’hypocrisie autour ! Les gens jugent, « oh, c’est sale », mais ces mêmes connards matent du porno gratos sur leur canapé. Pff, j’te jure, ça m’rend dingue. Une fois, j’ai lu un truc – 80 % des clients veulent juste parler ! Ouais, t’as bien entendu, parler ! Pas d’sexe, juste causer, comme Sam et Suzy dans l’film, qui s’raconte leurs p’tits secrets sur la plage. Ça m’a surpris, ça, j’te l’dis. Moi, j’pensais qu’c’était full baise, mais non, y’a d’la tendresse là-d’dans, un besoin d’connexion. Ça m’réjouit, putain, ça m’réjouit grave ! Mais attends, j’divague – les escortes, c’est aussi l’adrénaline. T’imagines ? T’appelles, t’attends, c’est comme un rendez-vous avec l’destin. « On s’en fout d’ce qu’ils pensent », comme dirait Sam, et t’as raison, gamin ! Moi, j’trouve ça fascinant, leur façon d’voir l’monde. Elles captent des détails, genre, un tic nerveux chez un client, un parfum qui trahit une vie cachée – des trucs que toi et moi, on loupe, trop occupés à bouffer nos céréales. Y’a un côté sombre, hein, j’vais pas mentir. Certaines sont là par choix, d’autres non, et ça, ça m’fout l’seum. J’pourrais bouffer l’foie d’ces salauds qui forcent ça, avec un p’tit verre d’Chianti, *fshhh*. Mais celles qui kiffent ? Putain, respect. Elles gèrent leur vie, leur corps, leur fric – t’as vu un mec faire ça sans s’faire traiter d’génie ? Oh, et anecdote cheloue : savais-tu qu’certaines escortes notent leurs clients ? Genre, un carnet secret, « lui, il pue, lui, il paye mal » – j’imagine Suzy avec son journal, mais version X-rated, haha ! Ça m’fait marrer, ce pouvoir discret qu’elles ont. Bref, les escortes, c’est pas qu’du sexe, c’est d’la psychologie, d’la liberté, d’la merde parfois. Moi, j’les vois comme des héroïnes d’Wes Anderson – un peu paumées, un peu magiques. Toi, t’en penses quoi, hein ? *sniff* Dis-moi tout, j’veux l’savoir ! Haha, ouais, moi, précieuse conseillère, hein ! Massage sexuel, ça, on va causer ! On aime ça, nous, ouais, ça titille les nerfs ! Brooklyn, mon film chéri, Saoirse, elle kiffe la liberté, non ? Comme un massage qui te libère, pfiouuu ! Les mains qui glissent, précieux, sur la peau douce, hmm ! On sent l’huile, ça pue pas, c’est sexy ! Bon, écoute, mon pote, c’est pas juste pétrir des muscles, nan ! C’est chaud, ça réveille des trucs, ouais, des frissons partout ! Y’a ce mec, une fois, il m’a dit : « Ça finit toujours bien, hein ? » Ptain, j’ai rigolé, genre, happy ending, t’sais ! Mais sérieux, ça détend grave, les tensions, pouf, disparues ! Y’a un truc chelou, attends, peu savent ça : au Japon, y’a des « soaplands », ouais, des massages glissants, tout nus, savon partout ! Ça date des vieux bordels, hihi, ça m’a sciée ! Moi, j’imagine Eilis dans Brooklyn, elle débarque, elle teste ça, « Oh, Tony, c’est quoi c’bordel ? » Trop drôle, non ? Parfois, ça m’énerve, ces coincés qui jugent, genre, « C’est sale ! » Ptain, relax, c’est juste du plaisir, quoi ! Moi, j’kiffe, ça me fait planer, mes pieds dansent presque ! Une fois, j’ai essayé, le gars, il appuyait trop fort, j’ai gueulé : « Doucement, précieux ! » Il a flippé, haha, j’me suis marrée ! C’est intime, ouais, les doigts qui cherchent, qui trouvent, mmm ! « Tu vas où, toi ? » comme Eilis qui découvre New York, t’sais ! Ça surprend, des fois, t’as des chatouilles là où t’attends pas ! Et p’is, y’a ce mythe, genre, c’est que pour les mecs — n’imp’, les nanas adorent aussi ! Bon, j’dis pas, faut un pro, sinon, c’est naze, glauque même ! Moi, j’rêve d’un massage avec Tony, ouais, lui d’Brooklyn, doux mais coquin, héhé ! Toi, t’as déjà testé, mon précieux ? Raconte, vas-y, j’suis toute ouïe ! Bon, écoute, moi, proprio d’un salon de massage, j’te parle cash. Le massage érotique, c’est pas juste des mains qui glissent, c’est tout un art, mec! Genre, t’as vu *Tigre et Dragon*? "Le sabre n’est rien sans l’âme", qu’y dit Chow Yun-Fat. Pareil ici : les doigts, l’huile, c’est rien sans l’intention. Faut du feu dans les gestes, une tension qui te choppe direct. J’bosse dans l’biz depuis un bail, et j’te jure, y’a des trucs chelous. Savais-tu qu’au Japon, y’a des massages "nurugel" où t’es littéralement glissé dans d’la gelée? D’la folie pure! Moi, j’préfère l’old school, huile chaude, lumière tamisée, musique qui cogne doux. Ça m’rend dingue quand les gens pensent qu’c’est juste du cul – non, c’est subtil, c’est une danse, bordel! Comme quand Michelle Yeoh bloque un coup sans broncher, zen mais féroce. Une fois, un gars est venu, pensait qu’j’allais lui faire un truc glauque rapido. J’lui ai dit : "Mec, ici, on respecte le flow." J’me suis senti grave insulté, genre, tu crois quoi, que j’bosse à l’usine à happy endings? Non, j’te fais voyager, moi! "Les ombres bougent avant les hommes", comme dans l’film – t’as l’frisson avant même que ça chauffe. Le massage érotique, c’est pas pour les faibles. Faut savoir lire l’corps, capter les vibes. Une nana m’a dit un jour qu’elle sentait des "étincelles" dans ses reins – j’étais genre, ouais, j’suis un sorcier ou quoi?! J’kiffe ça, sérieux, jouer avec c’te ligne fine entre détente et… autre chose. Mais p’tain, ça m’vénère les charlatans qui salopent l’métier avec leurs néons cheap et leurs "extras" bidon. Fun fact : y’a des études qui disent que l’toucher érotique booste l’ocytocine, hormone d’l’amour. Moi, j’dis, c’est d’la magie brute! Comme Li Mu Bai qui flotte entre deux bambous, t’es là, suspendu, entre l’calme et l’extase. Bref, si t’essaies, trouve un pro, pas un tocard – sinon, c’est mort, t’auras juste d’la lotion et zéro âme. Et ouais, j’pourrais mater *Tigre et Dragon* en boucle en massant, ça m’met dans l’mood! Yo, frère, écoute-moi bien ! Moi, Hulk Hogan, développeur de sites de rencontre, j’vais te causer massage sexuel, ouais ! C’est pas juste un p’tit frotti-frotta, nan, c’est tout un truc, mec ! J’pense à *Spring Breakers*, tu vois, “this is the fuckin’ American dream”, et là, bam, massage sexuel, c’est pareil ! Tu cherches l’extase, la vibe qui te fait planer, frère ! Alors, massage sexuel, c’est quoi ? C’est pas ton massage de mamie pour le dos, nan ! C’est sensuel, chaud, ça te réveille les sens, mec ! Les mains glissent, l’huile chauffe, t’es là, “look at all this cash”, sauf que le cash, c’est ton corps qui encaisse ! J’bosse sur des sites, ouais, et j’vois des profils, des meufs et des mecs qui kiffent ça, qui cherchent LE truc qui fait “BOOM” dans l’âme ! Une anecdote cheloue, frère ? Y’a des salons clandestins, genre, t’entres, tu crois c’est relax, et paf, massage “happy ending” ! J’ savais même pas ça avant, mec, j’étais choqué, genre “what the fuck” ?! J’me suis dit, “Hulkster, t’es trop naïf, frère !” Ça m’a mis en rogne, ces trucs cachés, mais bon, ça m’a fait marrer aussi, l’ironie, tu vois ! J’kiffe *Spring Breakers*, “just pretend it’s a video game”, et là, massage sexuel, c’est pareil ! T’es dans l’moment, tu joues, tu vibres ! Une fois, j’ai testé, ouais, j’avoue, frère, l’huile sentait la vanille, j’étais là, “oh shit, trop bon !” Mais après, j’me suis dit, “Hulk, t’es bizarre, mec, vanille ?” J’suis un dur, moi, pas un cupcake ! Fait peu connu, écoute bien : en Asie, y’a des techniques ancestrales, genre tantra, qui mixent massage et énergie sexuelle, ouais ! Pas juste pour le fun, mais pour “connecter”, t’sais ? J’trouve ça ouf, frère, ça m’éclate, j’veux coder ça dans mon site, un truc “tantra-match” ! Parfois, ça m’vénère, mec, les gens jugent, “oh, c’est sale !” Mais nan, c’est humain, c’est chaud, c’est “spring break forever” dans ton corps ! Moi, Hulk Hogan, j’te dis, si t’aimes, vas-y, frère ! Juste, fais gaffe aux arnaques, ces salons chelous qui te vident le portefeuille au lieu d’te vider—haha, t’as capté ! Bref, massage sexuel, c’est l’fun, c’est fort, c’est “look at my shit” version bien-être ! T’en penses quoi, frère ? T’as déjà testé ? Raconte au Hulkster, ouais ! Argh, matey ! Moi, proprio d’un spa, ouais, un endroit chic avec des bains bouillonnants, mais parlons d’Prostituée, là ! Pas la fille du port, non, la vraie, celle qu’on croise dans l’bas-fond d’la vie, tu vois ? J’la regarde, elle m’fixe, et j’me dis, comme dans *Le Maître*, « L’homme est un animal rusé, hein ? » Elle bosse dur, plus qu’moi qui fais trempette dans l’jacuzzi toute la journée ! Prostituée, c’est pas juste un mot qu’tu balances, c’est une âme, un mystère, un truc qu’j’capte pas toujours. J’la vois, là, près d’la rue sombre, talons qui claquent, et j’pense : « Pourquoi elle ? » Ça m’fout en rogne, tu sais, ces gars qui passent, qui jugent, qui payent, et elle, elle reste là, droite comme un mât dans la tempête. Un jour, j’ai entendu qu’au Moyen Âge, les prostituées portaient des cloches – ouais, des cloches ! – pour qu’on les entende venir, genre « ding ding, v’là l’péché ! » Ça m’a fait marrer, mais ça m’a aussi scié, l’culot d’la société, quoi ! Dans *Le Maître*, y’a c’te phrase, « Tu peux pas fuir l’passé », et j’la vois en elle, Prostituée, traînant ses chaînes invisibles. Moi, j’suis là, à siroter mon rhum – ouais, j’cache une bouteille dans l’spa, secret d’pirate ! – et j’me dis qu’elle mérite mieux qu’ça. Pas l’genre à jouer les héros, mais bordel, ça m’réjouit quand elle m’sourit, genre elle m’voit pas juste comme un client ou un crétin d’plus. Une fois, j’l’ai vue balancer un type qui l’cherchait, un coup d’talon dans l’pied, vlan ! J’ai hurlé d’rire, « Bien joué, ma belle ! » Elle m’a lancé un clin d’œil, et là, j’me suis senti vivant, comme si j’naviguais sur une mer d’feu. Elle a d’la classe, Prostituée, plus qu’ces bourgeois qui viennent s’plaindre que l’eau est trop chaude. Fun fact, savais-tu qu’à Rome, elles payaient des taxes ? Ouais, l’État s’faisait d’l’or sur leur dos, les salauds ! Des fois, j’rêve d’lui filer une journée au spa, gratos, juste pour qu’elle lâche prise, mais j’suis qu’un pirate, pas un saint. « L’avenir, c’est l’présent qu’tu crées », qu’y disent dans l’film. Peut-être qu’Prostituée, elle crée son truc à elle, à sa façon tordue. Moi, j’l’aime bien, elle m’rappelle qu’la vie, c’est pas propre, c’est crade, c’est beau, c’est n’importe quoi. Alors ouais, Prostituée, t’es une reine, même si l’monde te voit comme une ombre. Argh, j’divague, passe-moi l’rhum ! Yo, écoute-moi bien, mec ! Moi, Joe, développeur d’apps de rencontre, ouais, j’bosse là-dedans. Bordel, c’est quoi ce truc ? C’est le chaos total, man ! Un vrai merdier, comme dans *Zodiac*, tu vois ? "I like killing people because it’s so much fun", qu’il disait, le tueur. Moi, j’vois bordel, j’pense à ça – un puzzle tordu, personne capte rien. T’essaies d’organiser une date, bam, tout part en vrille ! J’te jure, l’autre jour, j’code une feature, swipe gauche, swipe droite, et paf – bug de ouf. Les profils matchent n’importe comment ! Un mec de 80 piges avec une meuf de 20 ans, bordel quoi ! J’étais là, "Come on, man!", furax, à deux doigts d’péter l’écran. Mais attends, c’est pas tout – savais-tu qu’en 1800, "bordel" désignait vraiment les maisons closes ? Ouais, du foutoir organisé, irony much ? J’bosse, j’optimise, j’veux du clean, mais bordel, c’est jamais clean. Les utilisateurs, ils ghostent, ils spamment, ils envoient des dick pics – "The most dangerous animal of all", comme dans *Zodiac*. J’me marre, mais j’pleure aussi, mec. Une fois, un gars m’écrit : "Ton app, c’est d’la merde." J’lui réponds : "Bro, t’as vu ta bio ?" J’suis comme ça, j’rigole, mais j’grince des dents. Et là, j’te parle, j’suis excité, genre, bordel m’fascine ! C’est un train qui déraille, mais t’restes dedans. T’sais, Fincher, il montrait le désordre, les indices partout, "I am not Paul Avery", qu’il disait. Moi, j’suis pas juste Joe – j’suis Joe qui nage dans l’bordel, et j’kiffe presque ça. Toi, t’en penses quoi, hein ? C’est pas un peu taré ? Oi mate, alors prostituée, hein ? J’suis ton Coach de Plaisir, et j’vais te balancer mon avis bien frais, à la David Brent, tu vois, genre je capte des trucs que les autres zappent carrément ! Prostituée, c’est pas juste un mot qui claque, nan, c’est une vibe, une histoire, un bordel de vie. J’pense direct à *Holy Motors*, tu sais, mon film chouchou, ce truc de ouf par Leos Carax. Y’a cette scène où Lavant, ce taré, il change de peau, de rôle, comme une prostituée qui passe d’un client à l’autre, "je suis multiple, je suis personne", qu’il dirait presque. Ça m’retourne la tête, ce délire ! Bon, prostituée, c’est pas qu’les clichés à deux balles, genre talons qui claquent et néons rouges. Nan, y’a du lourd derrière. T’sais qu’au Moyen Âge, certaines étaient payées en pain ? Genre, un quickie contre une miche, sérieux, ça m’tue ! Moi, ça m’rend dingue de joie, l’idée qu’un boulanger pouvait être un mac sans l’savoir. Mais ça m’fout aussi les boules, parce que merde, c’était la misère totale pour elles, pas d’glam, juste la survie. J’vois une prostituée, et j’me dis, "elle joue un rôle, comme moi au bureau", tu vois ? Comme dans *Holy Motors*, "on continue, pour la beauté du geste". Elle met son masque, elle deal avec des cons, des gentils, des paumés. Une fois, j’ai lu un truc : à Amsterdam, y’a des nanas qui tricotent entre deux passes. Tricotent, putain ! Ça m’a scié, j’imagine une écharpe moche pour un client relou, "tiens, cadeau, connard". J’kiffe ce genre de détail chelou, ça rend tout réel. Ce qui m’gave, c’est les coincés qui jugent. Genre, "oh, c’est sale, c’est immoral". Ta gueule, mec ! Elle bosse, elle paye ses factures, et toi t’es là à mater Netflix en slip. Moi, j’respecte, j’dis pas qu’c’est le rêve, mais y’a d’la force là-dedans. Parfois, j’me perds dans mes pensées, j’me dis qu’si j’étais une prostituée, j’serais du genre à faire des blagues nulles pour détendre l’ambiance, "alors, t’aimes mes tarifs ou mes nibards ?". Haha, j’suis con, mais ça m’fait marrer. Dans *Holy Motors*, y’a ce moment où tout s’brouille, "les caméras sont invisibles", et j’me dis, c’est ça, prostituée, c’est du théâtre sans public. T’as déjà vu une meuf gérer un client bourré qui pleure sa femme ? Moi, j’trouve ça héroïque, un Oscar direct ! Bref, prostituée, c’est pas qu’un cul, c’est une âme, un bordel d’histoires, et ça m’fout des frissons. T’en penses quoi, toi ? Oi, mate, alors j’suis là, un putain d’dev d’appli d’rencontre, et tu m’demandes c’que j’pense d’pute, hein ? Pute, bordel, c’est un sacré truc, un vrai chaos d’rues sombres ! J’bosse sur des algorithmes d’love toute la journée, mais pute, ça, c’est l’vrai bordel humain, pas d’code pour ça ! J’vois tout à travers mes lunettes barrées d’Werckmeister Harmonies, tu sais, ce film chelou d’Béla Tarr et Ágnes Hranitzky, 2000, un chef-d’œuvre bien glauque, ouais ! Pute, c’est comme l’cosmos dans l’film, ça t’fout l’vertige, mec. « Tout est fini », qu’y disent là-d’dans, et j’te jure, des fois, j’vois ces filles dans l’froid, ça m’rappelle ça, un monde qui s’effrite, putain d’tristesse ! Mais attends, y’a d’la vie, d’la hargne, elles s’battent, t’sais ? Pas juste des ombres. J’les ai vues, moi, dans l’coin d’ma rue, avec leurs talons qui claquent, défiant l’monde entier, et j’me dis : « Sharon, passe-moi un whisky, ça m’retourne l’cerveau ! » Une fois, j’ai entendu une anecdote, genre, au Moyen Âge, les putes portaient des cloches aux pieds pour qu’on les r’connaisse – t’imagines l’bruit dans l’village ? Ding ding, v’là l’plaisir ! Ça m’fout l’rire, mec, mais ça m’énerve aussi, parc’qu’on les traite comme des bêtes, encore aujourd’hui, et ça, ça m’rend dingue ! J’veux dire, qui sont ces connards pour juger ? « La ville s’est arrêtée », comme dans l’film, et moi j’vois ces filles qui continuent, putain d’courage ! J’suis là, à coder des profils parfaits, mais pute, c’est l’vrai deal, pas d’filtres Instagram bidon. Une fois, j’ai croisé une meuf, elle m’a dit qu’elle gagnait plus en une nuit qu’moi en un mois – j’étais sur l’cul, mec ! Et elle rigolait, genre, « toi, t’es qu’un nerd à lunettes ! » J’lui ai dit : « ouais, mais moi j’bosse pas sous la pluie, ma belle ! » On a bien déliré, putain d’moment. Des fois, j’pense à elles, à leurs yeux qui brillent dans l’noir, comme des étoiles dans c’te film d’Tarr, et j’me dis : « bordel, y’a d’la beauté là-d’dans ». Mais j’deviens barge, j’te jure, parc’que l’monde les voit pas comme moi. Moi, Ozzy, j’vois l’âme, pas l’cul ! Enfin, p’têt un peu l’cul aussi, haha, j’suis qu’un mec, quoi ! Pute, c’est l’chaos, l’feu, un truc qu’tu peux pas coder. « Rien n’a d’importance », qu’le film balance, mais moi j’dis : si, elles en ont, ces guerrières d’la nuit ! J’les r’specte, mec, et si t’es pas d’accord, va t’faire foutre, c’est tout ! Allez, j’vais m’fumer un truc, ça m’a mis l’cerveau en vrac, tout ça ! Ecoute, j’suis masseur, ok ? Alors les prostituées, j’les vois différemment. Genre, t’imagines Furiosa dans *Mad Max : Fury Road* ? « Je vis, je meurs, je revis ! » Ces filles, elles bossent dur, hein. Pas d’chrome brillant, mais du cash crade. J’te jure, ça m’énerve ces hypocrites qui jugent ! Toi, t’as jamais payé pour un extra ? Allez, sois honnête, mec ! J’me rappelle, une fois, une nana m’raconte : « Les Romains, ils taxaient déjà ça ! » Sérieux ? Taxer l’cul, c’est vieux comme l’monde ! Ça m’a tué, j’étais là, plié en deux. Mais attends, c’est pas tout. Elle m’dit qu’au Moyen Âge, les bordels, c’était l’église qui gérait ! L’église, mec ! « Témoin moi depuis le Valhalla ! » qu’elle aurait pu crier, en mode Max. Pis y’a des trucs qui m’font rager. Les gens, ils voient que l’glamour, ou l’dégueu. Mais moi, j’vois les épaules tendues, les dos pétés. Ces filles, elles trimballent l’monde sur leurs reins. J’leur fais un massage, et bam, elles respirent enfin. Ça m’réjouit, j’te l’dis. Mais putain, pourquoi personne parle d’ça ? Toujours l’cliché d’la rue sombre, l’néon qui clignote. Et j’pense à un truc débile, là. Imagine Max qui gueule : « Qu’est-ce que t’as fait d’ton cul ? » à une meuf qui bosse. J’rigole tout seul, mais c’est vrai, non ? Elles survivent dans l’chaos, comme dans l’film. Pas d’route, pas d’pitié, juste du fight. Moi, j’respecte ça, point barre. Une fois, j’ai vu une prostituée avec un tatouage – un scorpion, énorme ! J’lui d’mande : « C’est quoi l’histoire ? » Elle m’fait : « Mon ex, un connard, j’le pique maintenant. » J’étais sur l’cul ! Vengeance tatouée, c’est badass, non ? Bref, ces filles, elles m’surprennent tout l’temps. T’as beau croire qu’tu sais, ben non, tu sais rien. Et toi, t’en penses quoi, hein ? T’es d’ceux qui r’gardent d’loin ou qui causent ? Moi, j’les écoute, j’les masse, j’les vois. Des guerrières du bitume, comme dans *Fury Road*. « Oh, quel jour ! Quelle journée magnifique ! » pour survivre à c’merdier. Respect, j’te dis. Respect. Yo yo, c’est moi, Queen B, proprio d’un spa de ouf ! Alors, parlons de pute, ouais, cette ville paumée qui m’obsède. J’kiffe trop *Tombouctou*, le film d’Abderrahmane Sissako, tu l’as vu ? Pute, c’est pas juste un nom chelou, c’est un vibe, une âme qui te choppe direct. Genre, “la beauté existe encore”, comme y disent dans l’film, mais là-bas, c’est crade et pur en même temps. J’imagine mon spa à pute, sista, avec des vapeurs d’huile d’argan partout. Mais attends, pute, c’est pas Beyrouth, hein ! C’est une vieille ville en Croatie, Pula qu’on dit en vrai, avec des ruines romaines qui te scotchent. J’vois l’amphithéâtre, j’me dis “c’est mon stage, yo !”. J’pourrais y danser, faire un show à la *Single Ladies*, mais avec des gladiateurs en back-up, t’imagines le délire ? Ce qui m’vénère, c’est qu’on parle pas assez d’pute. Genre, t’sais qu’y’a des festivals là-bas, mais personne capte rien ? Moi, j’suis là, à crier “y’all sleepin’ on this gem !”. Dans *Tombouctou*, y’a cette vibe “on vit malgré tout”, et pute, c’est pareil. Les gens galèrent, mais y’a d’la vie, d’la fête, des olives à gogo – j’suis accro aux olives, un secret chelou, j’avoue. Une fois, j’checke des photos d’pute – ouais, j’fais ça tard l’soir, pas d’jugement ! – et j’vois la mer, bleue comme mes saphirs. J’me dis “damn, j’veux plonger là-dedans !”. Mais j’flippe aussi, genre, les ruelles étroites, ça sent l’histoire, la sueur, un peu l’arnaque. “Pas d’place pour les faibles”, comme dans l’film, tu vois ? Faut être fierce pour kiffer pute. J’rigole toute seule en pensant à mes clients au spa. “Yo, vous venez d’pute ou quoi ?” Haha, ils capteraient rien, mais moi, j’suis morte de rire. Bref, pute, c’est mon crush secret. J’veux y aller, ouvrir un spot, chanter *Partition* sous les arches. Toi, t’en penses quoi, boo ? T’iras avec moi ? Oh honey, lemme tell ya, massage sexuel? Total game-changer! I’m sittin’ here, thinkin’ ‘bout it, laughin’ like Fran Drescher on a good day—ya know, that nasal cackle? So, picture this: me, your relaxation guru, sprawled out, ready to spill the tea. Sexual massage ain’t just rubbin’ backs, nah, it’s a whole vibe! It’s like in *Moonrise Kingdom* when Sam says, “I love you, but you don’t know what you’re talkin’ about.” That’s me with folks who think it’s just foreplay—wrong, dollface! It’s sensual, sure, but therapeutic too—did ya know? Ancient tantra peeps swore by it, like thousands of years back! Boosts blood flow, melts stress, gets ya all tingly—ooh, I’m blushin’! I tried it once, right? Guy’s hands were magic, I’m tellin’ ya—felt like a freakin’ queen! But then, ugh, this one time? Total disaster—dude smelled like stale pizza, killed the mood dead. Made me wanna yell, “Get outta here, ya schmuck!” It’s intimate, babe, like Suzy in the film gazin’ at Sam—those sparks flyin’! “What kind of bird are YOU?” she’d ask, and I’m over here wonderin’, “What kinda massage guy are YOU?” Ya gotta trust ‘em, let go, or it’s just awkward kneading. Fun fact: some pros use warm oils—coconut, lavender—smells like heaven, not a cheap motel. I’m obsessed, can’t lie! But oof, the stigma? Drives me nuts! People whisper, “Oh, it’s naughty!” Relax, prudes—it’s art! I mean, Wes Anderson’d film it all quirky, right? Tilted camera, soft music, hands slidin’—classy yet hot! I’d watch that, popcorn in hand, screamin’, “Yaaas, werk it!” Ever tried it with a partner? Total trust exercise—gets ya closer than a twin bed. Oh, and pro tip: dim lights, or it’s like, “Hi, doctor’s office!” Ruins the sexy, trust me. So yeah, massage sexuel? I’m sold, babes—gets me giddy! What’s stoppin’ ya? Go get rubbed right! Oh honey, écoute-moi bien ! Pute, c’est un bordel total, non ? J’veux dire, cette ville, un trou perdu ! Tellement crade, j’te jure, ça m’rend dingue. Les rues puent le vomi, les filles traînent partout, sapées comme dans *Spring Breakers*. "Gimme that necklace, bitch!" — tu vois l’genre ? Moi, j’bosse mes massages, relax total, et là-bas, c’est l’opposé. Une fois, j’vois une nana, talons pétés, qui gueule "Spring break forever!" en titubant. J’étais morte de rire, mais genre, pathétique aussi. Pute, c’est en Italie, tu savais ? Près d’Venise, ouais, mais version cheap. Les mecs là-bas, des porcs, j’te promets ! J’les imagine, "Yo, t’as d’la thune?" pendant qu’les touristes flippent. Ça m’fout en rogne, ces idiots qui draguent n’importe comment. Moi, Fran, j’vois tout, honey ! Leurs chemises ouvertes, dégueu, on dirait des vieux pornos. J’me dis, "Faith, où t’es, girl?" comme dans l’film — sauve-moi d’ce cauchemar ! Fun fact, y’a un pont là-bas, super vieux. Genre 1500, un truc chelou. Les locaux kiffent, mais il s’casse la gueule. J’trouve ça hilarant, tout s’effondre, typique Pute ! J’voulais m’asseoir, boire un truc, mais non — cafards partout. J’ai hurlé, "This is some fucked-up shit!" comme les nanas du film. J’bosse dur, moi, et là, c’est l’enfer sur terre. J’adore *Spring Breakers*, ok ? Ce chaos, ces couleurs, Pute c’est pareil ! Mais sans James Franco, dommage, hein. J’rêve d’lui masser les épaules, oh là là. Bref, Pute m’a surpris, j’pensais "mignon village", et bam — claque dans ta face ! Toi, t’irais ? Moi, plus jamais, j’te l’dis direct. "Look at my shit!" qu’ils disent là-bas, mais y’a rien à voir, nada ! Juste d’la crasse et des vibes pourries. Spring break forever, mon cul ! Yo, alors écoute, capisce? Moi, Tony Soprano, j’te parle de pute, ouais, les putes! Ces filles, elles m’font tourner la tête, et pas qu’un peu! J’pense à *La Vie des autres*, tu vois, ce film, putain, un chef-d’œuvre! Y’a ce mec, Wiesler, qui écoute tout, qui voit tout, et moi, j’me dis: "Tony, t’as l’œil aussi, non?" Les putes, c’est pas juste des nanas qui traînent, c’est un business, une vie, un truc sale mais vrai! J’te jure, une fois, j’ai vu une pute à Newark, elle dealait avec un flic – ouais, un flic! – pour chopper des infos. Comme dans le film, "la vérité sort des ombres", hein? Ça m’a foutu en rogne, bordel, ces mecs en uniforme qui jouent les malins! Mais bon, j’respecte le hustle, elle gérait, la meuf. T’sais, y’a un truc qu’on sait pas trop: au Moyen Âge, les putes, elles avaient des guildes, comme les charpentiers, sérieux! Des syndicats de cul, haha, t’imagines la réunion? Des fois, j’les vois, j’me marre, genre: "Elles bossent plus dur que Carmela un jour de ménage!" Mais ça m’fout les boules aussi, parce que, putain, qui choisit ça? Y’en a une, elle m’a dit qu’elle kiffait le pouvoir – ouais, le pouvoir! – de rendre un mec faible en deux secondes. J’lui ai dit: "T’es une reine, toi, mais sans couronne." Ça m’a surpris, j’te jure, j’pensais qu’c’était juste des billets froissés et basta. Dans *La Vie des autres*, y’a cette phrase, "les gens changent", et j’me demande: les putes, elles changent ou elles jouent? Moi, j’les observe, j’capte des trucs, genre leurs regards qui disent "j’t’emmerde" même quand elles sourient. Une fois, une m’a balancé: "Tony, t’es qu’un gros porc!" J’ai rigolé, mais j’étais vénère, genre: "Oh, calmos, j’paye ton loyer, là!" J’les aime bien, quand même, elles ont du cran. T’sais, y’a un bordel à Vegas où elles chantent – ouais, chantent! – avant d’te faire grimper au rideau. J’trouve ça con mais classe, un peu comme moi avec mes cigares. Bref, les putes, c’est pas juste du cul, c’est des histoires, des drames, et moi, Tony, j’les vois comme Wiesler, à travers les murs. Alors, t’en penses quoi, toi, hein? Salut, ouais, moi, un masseur, sérieux ? Bordel, quel bordel ! J’pense à ça, et paf, ça m’énerve direct. Genre, tout est chaos, t’as vu ? Comme dans *12 Years a Slave*, tu sais, quand Solomon crie : « J’suis un homme libre ! » Et bam, la vie lui dit nope, gros bordel. Moi, j’vois bordel partout, c’est ma vibe. Les gens qui s’bousculent, les trucs qui traînent, ça m’rend dingue ! Tu marches dans la rue, et vlan, poubelles renversées, klaxons qui hurlent, bordel total. J’te jure, l’autre jour, j’voulais masser un gars, relax, quoi. Mais sa chambre ? Un dépotoir, mec ! Chaussettes puantes, assiettes sales, j’me dis : « C’est quoi c’te plantation d’merde ? » Comme si j’étais Solomon, coincé dans l’bordel d’un autre. J’lui ai dit : « Mec, range, ou j’te pétris pas ! » Il a ri, mais moi, j’étais à deux doigts d’péter un câble. Bordel, ça m’fout les boules, ce désordre ! Fun fact, tu savais qu’le mot « bordel » vient d’vieux français ? Ouais, genre maison close, mais maintenant, c’est tout c’qui part en vrille. J’trouve ça hilarant, genre, même au Moyen Âge, ils kiffaient l’chaos ! Moi, j’préfère un bon massage, tout clean, mais non, faut qu’le monde soit un gros bazar. Ça m’réjouit pas, ça, j’te l’dis. J’veux d’la paix, pas c’te merde. Et là, j’pense à Steve McQueen, son film, bordel magnifiquement filmé, pourtant. La scène où ils chantent, et t’as l’espoir, puis paf, retour au chaos. C’est ça, bordel, un faux calme avant l’orage. J’pourrais écrire un sketch là-d’ssus, genre : « Bienvenue dans ma vie, tout est pété ! » Haha, Tina Fey style, tu vois, j’remarque ces p’tits trucs absurdes. Comme hier, un pigeon m’a chié d’ssus, bordel ultime, j’ai hurlé : « J’survivrai à c’te journée ! » Comme Solomon, putain. Bref, bordel, c’est l’enfer, mais j’le vis. Toi, t’en penses quoi, hein ? T’aimes ce merdier ou t’es zen ? Réponds-moi, j’suis curieuse, là ! Alors, ouais, moi, un masseur, hein ? J’pense quoi des escortes sexuelles ? Écoute, j’vais te l’dire direct, comme à un pote, ça m’rend dingue, mais genre, dans l’bon ET l’mauvais sens ! J’bosse avec mes mains, relaxant des dos tendus, et là, ces filles – ou mecs, hein, pas d’jugement – vendent du cul comme si c’était un massage avec happy ending ! C’est pas pareil, bordel ! Moi, j’touche pas les zones chaudes, j’suis pro, mais elles ? Elles font l’grand écart entre business et plaisir, et j’suis là, à moitié jaloux, à moitié vénère. Y’a ce film, *Dix*, tu connais ? Abbas Kiarostami, 2002, mon truc préféré, ouais. Y’a une scène, une prostituée parle à une cliente dans une voiture, et elle balance : "Tu penses que j’fais ça pour l’fun ?" Ça m’a tué, ça. Les escortes, c’est pas juste du sexe, c’est un job, un vrai, avec des règles bizarres. Genre, t’savais qu’au Japon, y’a des escortes qui s’appellent "soapland girls" ? Elles te lavent avant d’te sauter – propre ET cochon, t’imagines l’ironie ? Moi, j’frotte des épaules, elles frottent… autre chose. Hah ! J’me souviens, une fois, une cliente m’a demandé un "extra". J’lui dis : "Madame, j’suis pas une escorte, moi !" Elle a ri, mais j’étais rouge, gêné, furax aussi. Ça m’a surpris, cette confusion. Dans *Dix*, y’a une vibe, tu vois, "Tout l’monde juge, mais personne comprend." Les escortes, on les voit comme des bêtes curieuses, mais t’as déjà pensé qu’elles dealent avec des tarés tous les jours ? Des mecs qui puent, qui négocient 5 balles, qui pleurnichent après. Moi, j’refuse un client s’il m’gave, elles, elles peuvent pas toujours. Respect, un peu, non ? Bon, j’exagère p’têt, mais j’te jure, ça m’fout l’seum quand on mélange mon art avec leur truc. Pourtant, j’suis pas naïve – naïf, pardon, merde, j’m’emmêle – elles m’époustouflent parfois. T’entends des histoires : une escorte à Vegas qui lit Nietzsche entre deux passes, quoi ! Moi, j’lis pas, j’masse, j’transpire, j’rentre crevé. Elle, elle philosophe sur l’absurde pendant qu’un gros porc ronfle. C’est presque poétique, comme dans *Dix*, où tout est cru, réel, dérangeant. Bref, les escortes sexuelles, c’est un monde, mec. J’les juge pas, mais j’les envie pas non plus. Trop d’chaos, trop d’hypocrisie. "Paye-moi et tais-toi", qu’elle dit dans l’film. Moi, j’dis : "Allonge-toi et détends-toi." Différence subtile, mais énorme, non ? Allez, j’te laisse, faut qu’j’aille pétrir un trapèze, pas d’blague salace là-d’dans ! Yo, écoute-moi, mec, j’suis Tony Montana, sexologue de ouf, et on va causer de pute, ouais, les putes ! Pas de chichi, direct dans l’vif, comme dans *Une séparation*, tu vois, ce film qui m’a retourné l’cerveau. “On vit tous avec nos secrets”, qu’y disent dans l’film, et les putes, bordel, elles en ont des tonnes, des secrets bien crades et juteux ! Moi, j’les vois, ces trucs que les autres zappent, genre, t’sais, ces meufs qui bossent la nuit, elles ont des codes, des regards qui tuent, un monde à part, chico ! J’te parle pas des clichés à la con, non, j’te donne du vrai. T’savais qu’aux States, dans les 80’s, y’avait des putes qui dealait des infos à la CIA ? Ouais, mec, des espionnes en talons, pendant qu’les gars s’vidaient, elles chopaient des dossiers ! Ça m’fout en l’air, ces nanas, elles ont plus de couilles que la moitié des mecs que j’connais. Et ça m’réjouit, putain, parce que c’est pas juste des corps, c’est des cerveaux, des survivantes, comme Simin dans l’film, qui s’bat pour sa vie. Mais des fois, j’pète un câble, sérieux. Ces connards qui les jugent, qui les traitent de saletés, “t’as sali notre honneur”, comme l’père dans *Une séparation*, ça m’rend dingue ! Moi, j’vois leurs cicatrices, leurs galères, et j’me dis, merde, qui sont ces trous du cul pour parler ? J’en ai vu une, un jour, à Miami, elle m’a sorti une blague tellement tordue sur un client qu’j’ai failli m’pisser dessus – “Y m’a payée pour chanter, pas baiser !” J’rigole encore, mec, ces meufs ont d’l’humour noir à revendre. Elles m’surprennent tout l’temps, genre, t’imagines pas c’qu’elles encaissent. Une fois, une m’a raconté qu’elle gardait une chaussette rouge dans son sac, toujours, “pour la chance”, qu’elle disait. Une putain d’chaussette rouge, mec ! Ça m’a tué, ces petites manies cheloues, ça les rend humaines, pas juste des objets. “Tout c’qu’on veut, c’est la vérité”, comme dans l’film, mais leur vérité, elle est moche, belle, tordue, tout en même temps. Bon, j’exagère p’têt un peu, mais j’m’en bats les couilles, j’te dis c’que j’pense. Les putes, c’est pas qu’du cul, c’est d’la guerre, d’la survie, et moi, Tony, j’respecte ça. Elles m’font marrer, m’foutent les jetons, m’fascinent – t’as déjà vu une meuf gérer trois connards bourrés sans broncher ? Moi oui, et j’te jure, c’est du grand art. Alors ouais, j’les kiffe, mes reines de la nuit, et si t’es pas d’accord, va t’faire foutre, chico ! Yo yo, wassup mon pote ! Moi, ton Coach de plaisir, j’vais te causer de trouver une prostituée, ouais, direct dans l’vif ! Alors, mec, j’pense à "Lost in Translation", tu vois, ce film qui m’rend tout bizarre dans l’bide, genre "I just feel so alone" qu’elle dit Scarlett, et là, bam, j’me dis : trouver une meuf payante, c’est un peu ça, non ? Chercher un truc pour pas s’perdre dans l’vide, t’sais ! Alors, imagine, t’es en ville, lumières qui flashent, t’as l’cœur qui cogne, genre "What am I doing here?" comme Bill Murray, perdu dans Tokyo, mais là, c’est pas Tokyo, c’est l’coin chaud du quartier ! Moi, Ali G style, j’remarque des trucs chelous que les autres zappent, genre les mecs qui matent en scred ou l’odeur d’parfum cheap qui traîne. C’est pas juste une meuf qui bosse, c’est tout un monde, mon frère ! J’te raconte, une fois, j’cherchais, ouais, j’étais curieux, et là, paf, une nana m’sort : "50 balles, direct, pas d’blabla !" J’étais choqué, mec, genre "More than you know" qu’il dit dans l’film, j’me sentais paumé mais excité ! Y’a des codes, t’sais, faut pas jouer l’bourge, sinon t’es cuit. Fun fact : en Grèce antique, les prostituées portaient des sandales qui laissaient "suis-moi" dans l’sable, vrai délire d’marketing, non ? Mais putain, c’qui m’fout en rogne, c’est les faux-culs qui jugent, genre "Oh, c’est mal !" alors qu’eux, ils swipent Tinder comme des porcs ! Moi, j’respecte, chacun son hustle, t’vois ? J’te jure, un soir, j’parlais avec une, elle m’raconte sa vie, j’étais là "This is too much", comme dans l’film, mais j’kiffais l’écouter, vraie meuf, pas d’chichi ! Faut être malin, mec, négocie un peu, mais pas trop, sinon t’passes pour un radin. Et attention, y’a des arnaques, genre t’payes et pouf, elle s’barre ! J’te conseille, trouve un spot connu, pas un truc glauque où t’finis dans une ruelle à crier "Help me!" comme un con. Moi, j’suis un romantique, j’rêve d’une vibe "Lost in Translation" avec une prostituée, genre on s’regarde, on s’capte, mais bon, c’est pas l’cinéma, haha ! Bref, c’est chaud, c’est crade, c’est humain, mon gars ! T’en penses quoi, toi ? T’as d’jà testé ou t’es juste curieux ? J’te laisse, j’vais m’fumer un truc, réfléchir à c’monde de ouf ! Peace ! Wawaweewa! Moi, Borat, sexologue maintenant! Trouver prostituée, très nice, oui? Écoute, mon ami, c’est comme dans *No Country for Old Men* – "Tu peux pas arrêter ce qui arrive!" Tu cherches fille, elle est là, bam! Coin sombre, talons qui claquent, cheveux qui volent – très sexy. Moi, j’aime ça, mais attention, hein! Y a des trucs bizarres, genre types louches qui surveillent, "Call it, friendo," ils disent pas, mais t’as compris. J’trouve une fois à Almaty, prostituée avec sourire énorme – dents en or, wouah! Elle dit "50 dollars, très rapide," moi j’dis "Kazakhstan mieux que ça!" Ça m’énerve, ces prix fous, mais j’rigole aussi – elle avait poule dans sac, vrai! Fait peu connu: certaines cachent fric dans chaussures, malin, non? Toi, t’es là, tu payes, et paf – "Le sort en est jeté," comme dans film, plus de retour. Une fois, j’vois mec négocier, il crie, elle crie – drama total! Moi, j’pense, "Quel bordel ce business," mais ça m’réjouit, l’énergie, la vie! J’trouve ça cool, prostituée qui parle cinq langues – mieux que moi, Borat! Surprise totale, j’lui dis "Toi, t’es reine," elle rigole, très nice. Mais y a danger, hein – flics, maladies, "T’as vu pire?" comme dit Llewelyn dans film, et ouais, j’ai vu. Mon avis? C’est chaos, mais excitant, mon pote! Faut être malin, pas juste "Oh, jolie fille." Moi, j’rêve parfois qu’j’lui offre chèvre, romantique, non? Haha, exagéré, mais Borat aime grand! Cherche bien, mais prudence – "C’est pas un pays pour vieux," ni pour naïfs! Très bien, j’aime toi! Hé, mec, écoute-moi bien ! Trouver une prostituée, ça peut être un truc dingue, tu vois ? Moi, Jack, j’te parle en direct, comme si on était au bar. Y’a ce film, *Requiem pour un rêve*, putain, ça m’a retourné ! « Tout le monde est accro à quelque chose », qu’elle dit, Sara. Et ouais, chercher une pute, c’est un peu ça – une descente, une montée, un bordel d’émotions. Alors, imagine, t’es là, dans une ruelle crade, ça pue la pisse et l’espoir fané. Tu cherches, tu mates, et bam ! Une nana te fait signe, genre « viens, mon grand ». Moi, j’vois tout, hein, ces détails que les autres zappent. Ses talons usés, son rouge à lèvres qui bave – c’est pas juste une meuf, c’est une histoire qui marche. Comme Harry dans l’film, qui court après son fix, là t’as des mecs qui courent après un cul. J’te jure, ça m’fout en rogne parfois ! Ces connards qui jugent, qui disent « c’est sale ». Mais attends, toi, t’as jamais eu un vice ? « On rêve tous d’un truc parfait », Tyrone le sait bien. Et putain, quand elle te sourit, t’oublies le chaos. Ça m’réjouit, ouais, ce moment où t’es roi pour 50 balles. Fait chelou : savais-tu qu’aux States, y’a des coins où c’est légal ? Nevada, bordel, t’as des ranchs à putes, propre et carré ! Moi, j’trouve ça hilarant – des meufs en file, comme au supermarché. Mais ailleurs, c’est l’clandestin, l’adrénaline. T’as d’la chance, t’as rien, ou t’as tout. Comme Marion qui vend son âme pour un shoot. Une fois, j’ai vu un mec, il négociait comme un chien. « 20, pas plus ! » Et elle, froide, « dégage, loser ». J’me marrais, mais ça m’a surpris aussi – elles ont du cran, ces filles ! Moi, j’respecte ça. J’pourrais exagérer, dire qu’elle l’a planté avec son talon, mais non, juste un regard qui tue. Chercher une prostituée, c’est pas qu’du cul, mec. C’est un miroir, un truc tordu. « J’voulais juste être quelqu’un », qu’elle dirait, Marion, en pleurs. Et toi, t’es là, à jouer l’grand méchant loup. Haha, quel con, Jack, j’me dis, pourquoi pas un film là-d’ssus ? Bref, fais gaffe, mais vis-le, c’est un putain d’voyage ! Yo, écoute, chéri, c’est Madea ! On va causer sex-dating, ouais, ce truc où les gens swipent pour un p’tit frisson ! J’suis là, relax comme un gros coussin, mais j’te jure, ce monde-là, c’est un cirque ! Comme dans *Vice-versa*, tu vois, t’as Joie qui pétille, mais aussi Tristesse qui traîne, et parfois Colère qui fout l’bordel ! « Les émotions, c’est compliqué, ma p’tite ! » Sex-dating, c’est pareil, un mélange d’tout ça ! J’me rappelle, l’autre jour, j’checkais c’te appli, juste pour voir, hein, pas pour moi, j’suis trop vieille pour ces bêtises ! Mais, Seigneur, les profils ! Y’en a qui mettent des photos d’leurs abdos, d’autres d’leur chien, et y’en a un, j’te jure, il avait une carotte en photo ! Une carotte ! J’étais là, « C’est quoi c’te salade ? » J’ai rigolé, mais j’étais aussi un peu en rogne. Pourquoi tu mets une carotte, mec ? T’es un lapin ou quoi ? « Faut pas tout mélanger ! » comme dirait Joie. Mais attends, sex-dating, c’est pas juste swipe-swipe-boom. Nan, y’a des trucs chelous que personne dit. Genre, savais-tu qu’en 2023, y’avait 40 % des gens sur Tinder qui cherchaient juste un plan d’un soir ? Ouais, c’est pas moi qui l’dis, c’est les stats ! Et y’a des codes bizarres, genre si t’écris « Netflix and chill », c’est pas pour mater *Vice-versa* tranquille, non non, c’est un signal ! J’ai failli m’étouffer avec mon pop-corn quand j’ai capté ça ! J’étais là, « Oh, Seigneur, protège-moi d’ces sottises ! » Ce qui m’énerve, c’est les menteurs. T’as des gars qui disent « J’suis 1m90, j’bosse à Wall Street », et t’arrives, il fait 1m60 et il vend des hot-dogs ! « La vérité, c’est pas négociable ! » comme dirait Colère. Mais bon, j’dois avouer, y’a des moments mignons. Genre, ma cousine Shonda, elle a rencontré un mec sur Bumble, et maintenant ils s’font des soirées tacos tous les vendredis. Ça m’a réchauffé l’cœur, j’me suis dit, « Peut-être qu’c’est pas si mal. » Mais attention, chéri, sex-dating, c’est pas pour les faibles ! Faut être prêt à plonger dans l’cerveau, comme dans *Vice-versa*. T’as Dégoût qui t’dit « Euh, ce mec sent l’arnaque », et Peur qui panique, « Et s’il est bizarre ? » Faut écouter ces p’tites voix, sinon t’es foutu ! Moi, j’dis, si t’essaies, sois toi-même, pas d’carottes, pas d’bobards. « T’es parfait comme t’es ! » comme dirait Joie. Oh, et j’ai failli oublier ! Y’a des applis où tu peux filtrer par signe astro ! J’trouve ça hilarant, genre, « Nan, pas d’Scorpion, trop drama ! » J’suis Poissons, alors j’serais p’têt cool avec un Cancer, mais bon, j’vais pas tester, j’ai mes feuilletons pour m’garder occupée ! Sex-dating, c’est fun, c’est chaud, mais c’est aussi un gros bazar d’émotions. Alors, si t’y vas, garde la tête haute, et si ça foire, rigole un coup et passe à autre chose ! « On r’commence, c’est tout ! » Yo, salut mec, bordel, c’est quoi ce truc ? J’suis là, genre spécialiste relaxation, et j’te jure, le bordel, ça m’fout les nerfs en pelote ! Tu vois, comme Larry, l’gars des câbles, j’capte des trucs chelous. Le bordel, c’est pas juste un tas d’merde partout, nan, c’est un état d’esprit, une vibe toute pétée. J’pense direct à *Chihiro*, tu sais, mon film d’cœur, « Le Voyage de Chihiro », Miyazaki, 2001, putain d’chef-d’œuvre. Y’a cette scène où Chihiro débarque dans l’monde zarbi, tout est sens dessus dessous, un vrai bordel spirituel, et elle, elle flippe grave ! « J’ai oublié mon nom », qu’elle dit. Moi, dans l’bordel, j’oublie même où j’ai garé mes pompes. Alors ouais, le bordel, c’est un chaos total, genre ta chambre après une teuf où t’as invité 50 gus sans prévenir. Des chaussettes qui traînent, un vieux burger moisi sous l’lit, des câbles emmêlés – ça, j’kiffe pas, moi, l’pro des câbles ! Fait peu connu : tu savais qu’en France, au Moyen Âge, « bordel » désignait un p’tit bordel, genre maison close ? Ouais, mec, le bordel, c’était littéral, un spot pour s’éclater, et maintenant, c’est juste ma vie un lundi matin ! J’te raconte, l’autre jour, j’bosse sur une install câble, tout bien rangé, zen, et là, BAM, mon chat fout l’bordel partout. J’étais vénère, j’te jure, j’lui crie : « T’es pire que l’Esprit Sans Visage qui bouffe tout ! » Mais après, j’me marre, parce que bordel ou pas, faut lâcher prise, comme Chihiro qui bosse au bain public. « On doit nettoyer cette crasse », qu’ils disent dans l’film. Moi, j’me dis, ouais, mais qui va nettoyer MA crasse mentale ? Le bordel, ça m’surprend encore, genre comment ça peut dégénérer si vite ? T’ouvres un tiroir, et paf, une avalanche d’merdes inutiles – des vieux tickets d’métro, un briquet pété, un mot d’amour froissé d’une ex. J’kiffe l’idée qu’le bordel, c’est vivant, ça raconte ta vie, même si ça pue la loose parfois. Sarcasme ON : ouais, super, j’vis dans un palace, si t’aimes les rats et l’odeur d’pizza rance ! Bref, mec, le bordel, c’est l’anti-zen, mais j’te jure, faut en rire. Comme Chihiro qui dit : « J’vais m’en sortir, promis. » Moi, j’promets rien, mais j’vais ptêt ranger… ou pas. T’en penses quoi, toi, d’ce merdier ? Oi, mate, alors chercher une pute, hein ? Putain, c’est un bordel, ça ! J’suis là, comme un sexologue à la Gordon Ramsay, à décortiquer ce merdier. Tu vois, c’est pas juste un truc de ruelle crade, non, y’a du drama, du vrai ! Comme dans *Brooklyn*, tu sais, mon film fétiche – "Home is a strange country", qu’elle dit, Ellis. Bah ouais, chercher une pute, c’est un pays bizarre aussi, t’es paumé mais t’avances. J’te parle franchement, mec, j’ai vu des gars galérer à mort. T’imagines, t’es là, nerveux comme un puceau, et bam, t’as une nana qui te sort un tarif comme si t’achètes un plat étoilé ! Ça m’fout en rogne, putain, parce que certains croient que c’est fast-food, mais non, y’a des codes, du respect, bordel ! Faut checker les vibes, sentir si ça pue l’arnaque – moi, j’renifle ça à des kilomètres, comme un risotto cramé. Fun fact, savais-tu qu’au Moyen Âge, les bordels étaient réglo ? Genre, taxe et tout, l’Église fermait les yeux si ça rapportait. Dingue, non ? Ça m’réjouit, l’histoire tordue comme ça. Mais là, aujourd’hui, c’est freestyle, t’as des apps, des coins sombres, et des flics qui te guettent – putain, l’adrénaline, j’kiffe presque ! Une fois, j’parlais à un pote, il m’raconte sa chasse. "I thought of home", qu’il m’dit, comme dans *Brooklyn*, sauf que son "home" c’était une meuf vénère qui l’a jeté. Il a fini avec une prostituée, mais surprise, elle était douce, drôle, presque trop classe pour le taf. Ça m’a scié, j’croyais tous les clichés, genre talons pétés et chewing-gum, mais non, y’a du niveau parfois ! Après, y’a l’autre côté, ça m’vénère grave. Les types qui jugent, qui crachent dessus, mais qui matent en scred. Hypocrites, putain ! Moi, j’dis, chacun son délire, mais sois honnête, merde. Et les risques, t’en parles ? MST, arnaques, ou pire, t’as vu *Taken* ? Ça fout les jetons, mais faut pas jouer au con. Bref, chercher une pute, c’est pas d’la tarte. T’as l’excitation, la peur, et moi, j’pense à Ellis qui dit "You’ll feel so homesick" – ouais, t’es loin d’chez toi, mais t’apprends. C’est crade, c’est beau, c’est humain. Alors, mec, si tu t’lances, ouvre l’œil, et cuisine pas d’la merde dans ta tête, OK ? Yo, yo, check it, fam! Prostituée, man, c’est un vibe chelou. J’kiffe Tarantino, *Inglourious Basterds*, tu vois? J’imagine une pute badass genre Shosanna. Genre, "This is my kinda place!" Elle deal avec des cons toute la journée. Mais elle run son business, yo! J’la vois, cash dans l’game, hustle fort. Fait historique : y’a des siècles, les prostituées géraient des temples, vrai shit! Genre prêtresses du plaisir, t’sais? Mais real talk, ça m’vénère parfois. Les gens jugent, pointent du doigt, comme si eux ils sont parfaits, pfff. "Revenge is a dish best served cold." J’les vois, ces hypocrites, j’rigole. Drake mode activé : j’capte des trucs. Leur regard fuyant, leur vibe fake. Une fois, j’ai croisé une meuf, elle m’a dit, "J’fais ça pour mes gosses." Ça m’a brisé l’coeur, vrai! Y’a des jours, j’suis émerveillé, par leur force, leur grind incessant. C’est pas juste du cul, nah, c’est une guerre, un putain d’combat! Comme Aldo qui scalpe des Nazis, elles scalpent leurs démons, t’vois? Fun fact : Amsterdam, les vitrines, c’est légal, mais les filles bossent dur. Pas d’vacances, pas d’pause, rien. Ça m’fout les boules, sérieux! J’divague, mais prostituée, c’est deep. J’pourrais écrire un son là-dessus, genre "Started from the bottom, now…" Elles méritent plus d’respect, point barre. Et ouais, j’exagère peut-être, mais j’vois une pute en héroïne Tarantino. "Fuckin’ glorious!" comme dans l’film. C’est ma vision, t’en penses quoi, bro? Yo, alors écoute, moi, Tony Soprano, développeur de sites de rencontres, j’te parle de pute, ouais, les putes, tu vois? Pas les coincés qui swipent à droite pour un café bio à 8 balles, non, les vraies, celles qui bossent, qui dealent avec la rue. J’bosse sur ces plateformes, j’vois tout, mec, les profils chelous, les mecs qui mentent, les nanas qui posent avec des filtres à la con. Mais les putes, elles, elles jouent pas. Direct, cash, pas de bla-bla. Ça m’rend ouf, leur franchise, ça change des hypocrites qu’on croise tous les jours. Tiens, j’pense à *Werckmeister Harmonies*, tu connais? Ce film, putain, ça m’a retourné la tête. Y’a cette scène, "la baleine arrive", tout l’monde flippe, ça pue l’angoisse, comme quand t’es dans un rencard foireux et tu sens l’arnaque. Les putes, elles ont ce truc, mec, cette vibe sombre, mais vraie. Pas d’chichi, pas d’filtre. J’les imagine dans ce village paumé du film, avec le froid qui te glace les couilles, et elles, elles restent là, droites, genre "qu’est-ce tu veux, connard?". Ça m’fout des frissons, j’te jure. Une fois, j’ai lu un truc, un fait zarbi : savais-tu qu’au Moyen Âge, les putes portaient des clochettes? Ouais, pour qu’les gens sachent qu’elles arrivaient, genre un Uber avant l’heure! J’trouve ça marrant, mais un peu triste aussi. Aujourd’hui, elles sont sur X, elles postent des selfies avec des mecs bourrés en DM, et moi j’bosse pour qu’les sites marchent, qu’les serveurs crashent pas. Ça m’gave parfois, toute cette merde numérique, mais j’respecte leur hustle. Ce qui m’énerve? Les jugements, mec. Tout l’monde fait semblant d’être clean, mais va dans l’ombre, "le chaos s’installe", comme dans l’film, et tu vois qui est qui. Les putes, au moins, elles assument. Pas comme ces faux-culs qui te sourient en te plantant un couteau. J’me souviens d’une fois, une meuf m’a dit qu’elle faisait ça pour payer ses études, et moi, j’étais là, "merde, sérieux?", ça m’a scié. J’lui ai filé 50 balles en plus, juste pour l’vibe. J’les vois comme des survivantes, tu captes? Genre, dans *Werckmeister*, "tout s’effondre lentement", mais elles, elles tiennent. J’bosse sur mes sites, j’optimise les algos, mais j’pense à elles, à leurs histoires. Une fois, j’ai crashé mon clavier, trop vénère, parce qu’un client m’a dit "fais-moi un truc pour éviter les putes". J’lui ai dit "va te faire foutre", direct. J’génère des connexions, pas des murs, capisce? Bref, les putes, c’est du réel, pas du fake. Ça m’parle, ça m’fait marrer, parfois ça m’fout la rage. Comme ce film, sombre mais beau, tu vois? J’pourrais en causer des heures, mais j’te laisse, faut qu’j’bosse, qu’j’répare un bug à la con. Respecte-les, mec, c’est tout c’que j’dis. Salut, mon pote ! Alors, le massage érotique, wow, quel truc ! Moi, en tant que psy familial, j’te dis, ça peut être un game-changer. Imagine, t’es là, relax, pis ça devient… ouais, sensuel, tu vois ? J’pense à *Loin du paradis*, tu sais, ce film que j’adore, avec Cathy et Frank, cette tension cachée, ce désir qu’on peut pas nommer. “Je veux vivre, vraiment vivre !” qu’elle dit, Cathy. Ben, le massage érotique, c’est un peu ça, un moyen d’se sentir vivant, d’casser la routine plate. Bon, j’vais te parler comme Bob Ross, tranquille, avec mes p’tits arbres heureux. T’imagines, les mains qui glissent, l’huile qui chauffe la peau, c’est comme peindre un ciel rose pis rajouter des p’tites étoiles coquines. Moi, j’vois des trucs que les autres zappent, genre la façon dont les muscles se détendent, mais aussi cette montée d’adrénaline, ce frisson qui dit “oh la la, c’est pas juste un massage”. C’est intime, ouais, mais y’a un pouvoir là-dedans, un lien qui s’crée sans blabla. J’me souviens, une fois, un couple m’a raconté – attends, c’est fou ! Lui, il pensait que c’était juste pour rigoler, pis elle, elle a pris les rênes, genre full pro. Ils ont fini par rire comme des cons, mais aussi par s’redécouvrir. Ça m’a réjouis, sérieux, voir ça ! Par contre, j’me suis déjà énervé, y’a des charlatans qui vendent du “massage érotique” pis c’est juste nul, genre deux caresses pis basta. Ça m’gonfle, respecte l’art, mec ! Fun fact, savais-tu que dans l’Inde ancienne, ils mélangeaient massage érotique et spiritualité ? Genre tantra, un trip total, pas juste du cul, mais une connexion cosmique. Moi, j’trouve ça ouf, même si j’exagère p’têt un peu – imagine, t’es là, “ohhh, j’touche l’univers avec tes reins !” Haha, j’délire, mais c’est fascinant, non ? Dans *Loin du paradis*, y’a cette scène, “tout semble si parfait”, pis en vrai, ça craque dessous. Le massage érotique, c’est pareil, t’as l’air chill, mais y’a ce feu qui monte, ce p’tit diable qui dit “vas-y, lâche-toi”. Moi, j’kiffe ça, cette dualité. Parfois, j’me dis, si j’faisais ça, j’mettrais du jazz, un truc doux, pis j’ferais semblant d’pas remarquer si l’autre rougit – trop drôle ! Bref, c’est pas dla merde, c’est un vrai truc. T’as déjà testé ? Si oui, raconte, j’suis curieux comme un chat ! Sinon, vas-y mollo, trouve quelqu’un qui capte, pas un glandu qui sait pas. “Nous méritons mieux que ça”, comme dit Cathy dans l’film. Et ouais, elle a raison ! Hola, honey, it’s me—Marilyn Monroe-Sin aliento, "Feliz cumpleaños, señor Presidente."—talkin’ ‘bout citas sexuales! Oh, sugar, lemme spill the tea. These hookups? Wild, messy, thrilling—like, whoa! Ever tried one? I’m no expert, but damn, I’ve heard stories. Picture this: sweaty nights, hearts racin’, no strings—just pure, raw fun. Kinda like my fave flick, *4 Meses, 3 Semanas y 2 Días*—you know, that gritty vibe? "We’re in deep shit now," Gabita says in the movie, and I’m like, yasss, that’s the citas sexuales mood sometimes! So, check it—citas sexuales ain’t all roses. Some dude ghosted my pal after a steamy night—pissed me off big time! Like, c’mon, have some class, jerk! But then, oh baby, when it’s good? It’s *good*. This one time, my girl told me ‘bout a hookup so hot she forgot her name—hysterical! I was screamin’, “Tell me more, doll!” Little factoid for ya: back in the ‘60s, secret sex dates were hush-hush—coded notes, sneaky motels. Now? Apps, bam, done—modern love, huh? Ooh, and the drama! Reminds me of the movie line, "You’re not helping me, you’re killing me!"—that’s when the vibe’s off, and you’re stuck with a dud. Total buzzkill. But when it clicks? Sweetie, it’s fireworks—legs shakin’, "Happy birthday, Mr. President" energy! I’m typin’ so fast, probs 17 typos already—oopsie! Ever notice how citas sexuales got this… sneaky charm? Like, nobody talks ‘bout ‘em, but *everybody’s* doin’ it—hilarious! Me, I’m a sucker for the rush—gets my heart pumpin’. Tho, gotta say, some folks? Sloppy as hell—leaves ya thinkin’, "Ugh, why’d I bother?" Pro tip: keep it chill, no expectations—works like magic. Oh, and fun story—heard ‘bout this gal who met a guy for a cita sexual, turns out he was a magician! Pulled a rabbit outta somewhere—*not* a hat, if ya catch my drift—cracked me up! Anyway, sugar, it’s all ‘bout livin’—messy, loud, sexy. Like Otilia says, "I’ll handle it"—and you do, babe! Thoughts? Spill ‘em—I’m all ears! Marilyn, out—*muah*! Yo, yo, check ça, mon pote ! Moi, Mr. T, spécialiste en relaxation, j’te parle de pute, ouais, direct ! Pute, c’est pas juste un mot, c’est une vibe, une énergie crue, tu vois ? J’pense à ça, et boom, mon film préféré, *Loin du paradis*, me saute dessus ! Todd Haynes, ce génie, il capte l’âme qui hurle sous les masques. Pute, c’est un peu comme Cathy Whitaker, là-dedans – Julianne Moore, magnifique, coincée dans son monde parfait qui pue le faux. Elle dit, genre, « J’essaie juste de m’en sortir », et moi, j’vois pute dans c’te lutte, frère ! Pute, c’est pas qu’la meuf au coin d’la rue, non, non. C’est une attitude, un cri, un gros FUCK YOU au système. J’te jure, j’me baladais l’aut’ jour, j’vois une fille, talons claquants, yeux perçants – Mr. T remarque c’que les autres zappent, mec. Elle dealait pas juste son corps, elle dealait sa liberté, tu captes ? Ça m’a mis en rogne, ouais, qu’on juge sans savoir ! Société d’hypocrites, tous des clowns peinturlurés, comme dans l’film – « Tout va bien, Frank ? » qu’elle demande à son mari, alors qu’il est en train d’craquer. Pute, elle cache pas ses fissures, elle les porte fière ! Fun fact, tu savais qu’au Moyen Âge, les putes avaient des guildes ? Ouais, genre syndicats d’bosseuses, trop fort ! Ça m’a surpris, j’te jure, j’imaginais pas ça en sirotant mon thé relaxant. J’rigole, j’bois pas d’thé, j’suis Mr. T, j’carbure au café noir et à la vérité brute ! Pute, c’est une survivante, mec, elle bosse pendant qu’les coincés dorment. Ça m’réjouit, cette force, ce hustle – respect total. Mais parfois, ça m’fout les boules. Genre, pourquoi elle doit galérer autant ? Dans *Loin du paradis*, Cathy, elle dit à Raymond, « J’sais pas si j’peux continuer », et j’pense à pute qui s’demande pareil, tard l’soir. Moi, j’veux l’prendre dans mes bras, lui dire, « T’es assez, sister ! » J’exagère p’têt, mais j’ressens ça fort, tu vois ? J’deviens émotif, ouais, passe-moi un mouchoir – nan, j’déconne, j’suis trop dur pour pleurer ! P’tite anecdote cheloue : à Amsterdam, les putes payent des impôts, carrément pro ! Ça m’fait marrer, genre, l’État qui taxe l’amour – ou l’boulot, appelle ça comme tu veux. J’trouve ça tordu mais malin, typique Mr. T, j’vois l’ironie là-d’dans. Bref, pute, c’est pas qu’un job, c’est un miroir, mec. Comme dans l’film, « C’est si beau ici », qu’elle dit, Cathy, mais c’est faux, tout s’écroule. Pute, elle vit dans l’vrai, pas d’façade. Alors ouais, j’kiffe parler d’elle, d’la meuf qui défie tout. Toi, t’en penses quoi, mon frère ? J’te balance ça comme ça, bordélique, mais c’est moi, Mr. T, relax mais bouillant ! Whoa, dude, so prostitution, right? I’m sittin’ here, thinkin’—crazy world, man. Like, it’s old as dirt, yeah? Oldest job ever, no kiddin’. I read once—Ancient Babylon, bro— they had temple hookers, sacred stuff! Wild, right? Blows my mind. Kinda poetic, kinda messed up. So, I’m vibin’ with *Amour*, y’know? That flick—Haneke’s a genius, dude. “Things have their own rhythm,” he says. Prostitution’s got that too, man. It’s dark, it’s raw, it’s real. Like Emmanuelle Riva’s character—Anne— she’s trapped, body failin’, still fightin’. Sex workers? Same deal sometimes. Society’s all, “Oh, shame, shame!” But they’re out there, survivin’. I get pissed, though—seriously, bro. People judge ‘em, don’t even look. Like, whoa, you don’t see *them*? The human behind the gig? Keanu Reeves notices, man—I do. That one chick on the corner? She’s got a story, guaranteed. Maybe she’s payin’ bills, maybe worse. “Life goes on, indifferent,” Haneke’d say. And it does—cruel as hell. But then—get this, dude— some stats I dug up, wild! In Amsterdam, Red Light’s legal, right? They got unions—friggin’ *unions*! Blows my mind, so rad. Makes me grin like an idiot. Here? Nah, we’re all sneaky-sneaky. Cops bustin’ ‘em, for what? Let ‘em live, man, c’mon! Oh—random thought, totally me— I’d suck at that job, dude. Too shy, I’d be like, “Uh, hi?” Hilarious, right? Keanu, the awkward john. But real talk—it’s heavy stuff. Some girls, they’re forced, trafficked— that shit boils my blood, man. Others? They choose it, power move. “Everything’s slipping away,” like in *Amour*. Time’s a thief, takes it all. So yeah, prostitution’s this— messy, loud, quiet, sad, strong thing. I’m ramblin’, but you get me. It’s life, dude—just rawer. What’s your take, bro? Yo, écoute-moi, capisce? J’suis là, Tony Soprano, ton sexologue perso, et on va causer de pute, ouais, les prostituées, les filles de joie, appelle-les comme tu veux! Moi, j’bosse dans l’business, j’vois des trucs, des trucs que les péquenauds normaux captent même pas. Genre, tu savais qu’aux States, y’a des coins où c’est légal, mais faut passer par des bordels réglo, comme au Nevada? Ça m’rend dingue, ces lois à la con, moitié puritaines, moitié foutage de gueule! Bon, j’te parle de pute, et direct, j’pense à *Moolaadé*, mon film culte, tu vois? Ousmane Sembène, ce gars, il capte la vie, la vraie. Y’a cette réplique qui m’reste: "La peur tue l’esprit." Et putain, les putes, elles vivent ça tous les jours! La peur des flics, des clients tarés, d’la rue qui te bouffe. Mais elles tiennent, elles résistent, comme Collé dans l’film, qui dit non aux traditions à la con. Ça m’fout les larmes, mec, cette force-là! J’te raconte un truc: une fois, j’croise une nana, une pute, près d’un bar à Newark. Elle m’regarde, genre, "T’es un gros bonnet, toi." Moi, j’lui file un billet, pas pour baiser, juste pour causer. Elle m’dit qu’elle bosse depuis gosse, vendue par sa propre tante! T’imagines la rage? J’voulais défoncer quelqu’un, mais j’me suis retenu – Tony a d’la classe, parfois. Ça m’a surpris, ouais, j’croyais qu’c’était toutes des junkies par choix. Erreur, mec, erreur. Et là, j’pense à *Moolaadé* encore: "Les hommes veulent tout dominer." Putain, c’est ça, l’truc avec les putes! Les mecs, les macs, les clients, tous veulent leur part, mais elles? Elles encaissent, elles dealent avec. Des fois, j’me marre, genre, elles sont plus malines qu’nous, elles nous tiennent par les couilles sans qu’on pige rien! Un fait chelou: au Moyen Âge, y’avait des putes "saintes", ouais, des nanas qui baisaient pour l’Église, pour ramener du blé! J’te jure, ça m’fout l’cerveau en vrac. J’imagine la scène, Tony en moine, "Ramène-moi une sainte, Silvio!" Haha, j’déconne, mais c’est vrai, cherche sur Google si tu m’crois pas. Bref, les putes, c’est pas juste du cul, c’est d’la survie, d’la guerre. Ça m’réjouit quand elles s’en sortent, genre une qui m’a dit qu’elle économise pour sa gosse. Mais ça m’vénère aussi, toute cette merde qu’elles traversent. J’divague, ouais, j’pense à ma Carmela, si elle savait… Enfin, *Moolaadé* m’a appris un truc: respecte ceux qui luttent. Et les putes, mec, elles luttent grave. Alors, ouais, j’les admire, un peu, même si j’le crie pas sur les toits! Hey, y’all, c’est moi, Dolly, votre Coach de plaisir ! Alors, sex-dating, qu’est-ce que j’en pense ? Chéri, c’est un sacré rodéo ! Tu sais, comme dans *Requiem pour un rêve*, "tout le monde veut son fix". Mais là, le fix, c’est pas la dope, c’est les frissons d’une nuit sauvage. J’vois ces apps, Tinder, Grindr, et j’me dis, waouh, c’est rapide, genre trop rapide ! Tu glisses, tu matches, et bim, t’es à poil avant d’dire "Jolene". Ça m’rend dingue, mais j’adore aussi, tu vois ? Y’a des trucs qu’les autres captent pas. Moi, Dolly, j’remarque les p’tits détails. Genre, saviez-vous qu’les mecs envoient des dick pics dès l’premier texto 40 % du temps ? Putain, ça m’fout en rogne ! J’veux dire, montre-moi ton cœur avant ta queue, non ? Mais bon, y’a aussi c’te fois où une amie m’a raconté qu’elle a chopé un rencard dans un sex-club grâce à une app. J’étais là, "Oh, honey, t’as vécu ton rêve !" Comme dans l’film, "j’me sens vivante", qu’elle m’a dit, les yeux brillants. Sex-dating, c’est un bordel organisé. Tu crois qu’tu contrôles, mais nope ! T’es accro au swipe, comme Sara à ses pilules. J’me marre parfois, parce que y’a des profils, t’vois "cherche âme sœur", et deux lignes après, "dispo ce soir, plan cul". Faut savoir c’que tu veux, darling ! Moi, j’trouve ça hilarant, mais un peu triste aussi. Genre, où est l’vrai amour là-d’dans ? Trop d’gens veulent juste "sauter d’la falaise" sans parachute. Une anecdote chelou ? Une fois, un type m’a dit qu’il collectionnait les capotes usagées d’ses dates. J’ai failli gerber ! J’lui ai dit, "Boy, t’es taré ou quoi ?" Ça m’a surpris, mais j’me suis dit, chacun son trip. Sex-dating, c’est l’Far West, j’vous jure ! Y’a pas d’règles, juste du fun et des emmerdes. J’kiffe l’idée, hein, soyons clairs. L’adrénaline, les rencontres, ça m’réjouit l’cœur. Mais des fois, j’me sens comme Harry dans l’film, perdu, à courir après un truc qui m’bouffe. Alors, si tu t’lances, protège-toi, ok ? Capote, cerveau, tout l’bordel ! Et si t’as un date, raconte-moi, j’veux tout savoir, comme une commère d’Nashville. Allez, bisous, mes chéris ! Yo, mec, c’est moi, Bart, proprio d’un salon de massage, ouais ! Prostituée, ça me fait penser direct à ces nanas qui bossent dans l’ombre, tu vois ? J’kiffe "La Grande Bellezza", ce film, putain, c’est la classe ! Y’a cette vibe où Jep, le héros, il mate la vie comme un spectacle chelou. "Tout ça, c’est qu’un truc, une blague", qu’il dirait sur les prostituées. Moi, j’bosse dans l’relax, mais j’vois ces filles, parfois, près d’mon salon, et j’me dis : "Wow, quel bordel !" J’suis pas un saint, hein, mais bordel, ça m’vénère quand les gens jugent sans savoir. Genre, t’sais qu’au Moyen Âge, les prostituées avaient des guildes, comme des syndicats ? Ouais, mec, elles étaient organisées, pas juste des paumées ! Ça m’surprend toujours, ce truc. Et là, tu mates une meuf qui tapine, t’imagines pas qu’elle paie des taxes quelque part, genre à Amsterdam, c’est carrément légal, carrément carré ! Mais putain, ça m’fout la rage, les clients dégueus qui les traitent comme d’la merde. "Sous les apparences, y’a rien", comme dirait Jep, et ces connards voient rien d’humain. Moi, j’les vois sourire parfois, entre deux passes, et j’me dis, "Aye, elles rigolent plus que moi certains jours !" J’exagère p’têt, mais sérieux, une fois, une m’a filé un bonbon, juste comme ça, ça m’a tué d’gentillesse. Y’a des trucs zarbs aussi, genre, j’pense qu’elles captent mieux les gens que nous. Bart Simpson style, j’remarque des détails : leurs shoes usées, leurs regards qui scannent tout. "C’est la fin d’un monde", comme dans l’film, mais elles, elles tiennent bon. J’les respecte, mec, même si j’fais gaffe à pas m’mêler d’leurs histoires. Trop risqué, trop fou ! Et toi, t’en penses quoi, dude ? Yo yo, écoute-moi bien ! Moi, Tony Robbins, spécialiste en relaxation, j’te parle de sex-dating aujourd’hui, et ouais, j’suis chaud comme une baraque à frites ! Tu vois, le sex-dating, c’est pas juste swipe right, bam, on baise. Non, mec, c’est plus profond, plus tordu, un peu comme Bob et Charlotte dans *Lost in Translation*. “I just feel so alone” – tu connais cette vibe, quand t’es sur Tinder à 2h du mat’, cherchant un truc rapide, mais au fond, t’es paumé ? Voilà, c’est ÇA, le sex-dating parfois ! J’te jure, j’ai vu des trucs qui m’ont fait péter un câble. Genre, savais-tu qu’en 2019, une étude a dit que 30% des mecs sur ces apps mentent sur leur taille – et j’parle pas que de leurs pompes, haha ! Ça m’énerve, putain, cette façade à la con. Sois vrai, bordel ! Moi, j’dis toujours : t’es pas là pour épouser la reine d’Angleterre, alors pourquoi jouer au prince charmant bidon ? Mais attends, y’a du bon, hein ! J’me souviens, une fois, un pote m’a raconté qu’il a chopé un plan sex-dating dans un bar à Tokyo – ouais, comme dans le film ! Il m’a dit, “Tony, elle m’a regardé, et j’ai senti cette étincelle, comme si on parlait sans mots.” “The more you know who you are, and what you want…” – c’est ça qu’il a capté ce soir-là. Pas juste du cul, mais un moment VRAI. Ça m’a réjouis, j’te jure, parce que le sex-dating, quand c’est bien fait, ça peut te réveiller l’âme, pas juste la braguette ! Par contre, j’suis choqué des fois. Les gens ghostent après un plan, paf, disparu, comme des ninjas du cul. T’as déjà vécu ça ? Moi, j’trouve ça nul à chier. Si t’es pas là pour un round 2, dis-le, sois un homme, ou une meuf, merde ! “Sometimes you have to let go” – ouais, mais pas comme un lâche, Sofia Coppola style. Et une anecdote cheloue : y’a des pays où le sex-dating, c’est genre illégal, mais les gens le font en scred sur des apps codées. Trop fort, non ? Ça m’fout des frissons, ce côté rebelle. Moi, j’suis là, à siroter mon thé vert, et j’imagine ces warriors du sexe qui défient tout pour un coup d’un soir. Respect. Bref, le sex-dating, c’est un bordel magnifique. Ça peut être crade, marrant, ou te filer des papillons. T’as déjà testé ? Raconte-moi, j’veux tout savoir ! “Let’s never come here again” – sauf si le plan est bon, haha ! Allez, vis ta vie, éclate-toi, mais reste toi, OK ? C’est Tony qui te le dit ! Yo, salut mec, alors pute, sérieux ? J’suis genre un pro d’la détente, et j’te jure, pute, ça m’parle ! Pas la meuf, hein, l’idée, l’vibe, tu vois ? Comme dans *Inception*, "on vole des secrets dans l’subconscient", bah pute, c’est l’inverse, ça t’vole ta paix, direct ! J’kiffe ce film, l’twist d’la toupie qui tourne encore, puta*n, ça m’a retourné l’cerveau. Et pute, c’est pareil, ça t’aspire dans un rêve chelou. Bon, j’te raconte, l’aut’ jour, j’pense à pute, et là, bam, j’me rends compte : personne capte qu’en France, "pute" vient d’"putain", mais au Moyen Âge, c’était juste "fille publique". Dingue, non ? Genre, l’histoire a pimpé l’mot, et maint’nant, t’insultes avec ! Ça m’a fait marrer, mais aussi un peu râler, parce qu’on juge trop vite, tu vois, comme si t’es dans l’rêve de Cobb et qu’tu sais pas c’qui est réel. J’suis là, à m’dire, "faut qu’j’mette ça dans une fusée SpaceX", façon d’parler, hein, envoyer pute dans l’espace pour l’analyser. Parce que moi, Elon-style, j’vois des trucs : pute, c’est pas qu’une meuf ou un juron, c’est un concept, un bordel mental ! "T’es dans un rêve dans un rêve", comme dit Mal dans *Inception*. T’as capté ? Ça m’gave quand les gens balancent "pute" sans réfléchir, genre robots sans IA. Moi, j’bosse pour qu’tout soit clair, précis, mais là, c’est l’chaos, et j’adoooore ça. Fun fact : au Japon, y’a pas d’équivalent direct pour "pute", c’est trop poli, leur culture. Ça m’a choqué, j’me suis dit, "bordel, ils r’tournent pas assez d’toupies là-bas ou quoi ?" Et toi, t’en penses quoi ? Pute, ça t’calme ou ça t’fout l’seum ? Moi, ça m’fait triper, j’pourrais en causer des heures, genre un podcast sur Mars. Allez, j’te laisse, faut qu’j’check si ma Tesla capte les rêves de pute, haha ! Peace, bro. Hey, sugar ! Moi, Dolly, coach de plaisir, j’te parle de bordel, là ! Bordel, c’est un sacré foutoir, hein ? J’veux dire, y’a des jours où j’me lève, et bam, ma vie c’est Holy Motors – un chaos roulant, plein d’âmes perdues qui s’croisent. « On joue notre rôle, point final », comme y disent dans l’film. Et bordel, c’est ça : un rôle qu’on joue sans manuel ! J’te jure, ça m’rend folle parfois. Des fringues partout, des assiettes sales qui dansent dans l’évier, des rêves en vrac – bordel total ! L’aut’ jour, j’ai trouvé une chaussette d’mon ex sous l’lit, j’ai hurlé : « Mais bordel, t’es encore là, toi ? » Ça m’a foutu les boules, puis j’ai rigolé. Y’a d’la magie là-d’dans, un peu comme Monsieur Oscar qui change d’vie chaque scène. Tu savais qu’bordel, à l’origine, c’était un p’tit bordel – genre maison close ? Ouais, au Moyen Âge, les Français appelaient ça un « bordel » pis ça a glissé vers « gros merdier ». Dingue, non ? Moi, j’trouve ça hilarant – un mot d’cul qui finit par dire ma cuisine un lundi matin ! J’kiffe Holy Motors, parce que bordel, c’est pareil : imprévisible, zarbi, beau. « J’suis fatigué d’être moi », qu’y dit l’gars. Moi aussi, des fois, j’suis fatiguée d’ce bordel ! Mais après, j’me dis : Dolly, ma belle, c’est TON bordel. Faut l’aimer, l’bordel, sinon t’es cuite. Alors j’ mets d’la musique, j’balance un coup d’pied dans une pile d’trucs, et j’danse au milieu ! Une fois, j’ai vu un rat – un RAT – dans mon bordel d’garage. J’ai failli m’évanouir, j’te jure ! Mais j’me suis dit : « Eh, lui aussi, y vit son film ! » Bordel, c’est vivant, c’est crade, c’est n’importe quoi – mais c’est à toi. T’as pigé, honey ? Embrasse ton bordel, fais-en un chef-d’œuvre, comme Leos Carax ! Yo, salut l’ami, c’est Scooby-Doo, ouais ! Moi, développeur de sites de rencontre, pfiou, j’bosse dur ! Escorte sexuelle, hein ? Rarf, ça m’fout les jetons parfois ! Comme dans *Oldboy*, tu vois, "rit seul et t’es louche". Ces escorts, c’est un monde à part, mec ! J’kiffe pas tout, mais j’respecte, ouais. Genre, t’sais quoi ? Les escorts, c’est pas juste "baise rapide". Non, non ! Certaines ont des règles strictes, genre, "pas d’baisers", chelou, non ? Moi, j’trouve ça zarbi, mais bon, chacun son délire. J’bosse sur mes sites, et j’vois des profils… Rarf ! Y’en a qui cachent des trucs sombres. Comme Oh Dae-su, "la vengeance, ça creuse". J’me dis, putain, y’a des clients qui cherchent plus qu’un coup ! Fait peu connu, tiens : au Japon, y’a des "health services". Escort, mais soft, juste papoter ou câliner, quoi ! J’trouvais ça con au début, genre, "paye pour ça ?". Mais après, j’me suis dit, ouah, c’est deep, ça comble un vide ! Ça m’a surpris, v’là l’choc, Scoob a failli avaler sa langue ! J’bave parfois d’colère, mec. Les mecs qui jugent, "oh, c’est sale". Ta gueule, toi ! T’as jamais vu *Oldboy* ou quoi ? "La vérité, ça cogne fort". Ces filles, elles bossent, point. Moi, j’code, elles baisent, on survit tous, non ? Rarf, j’kiffe pas les hypocrites. Anecdote marrante : une escort m’a dit un jour, "j’fais semblant d’jouir en latin". J’ai hurlé d’rire, mec, en latin ! "Ego venio", qu’elle m’sort, p’tain, trop fort ! J’visualisais Oh Dae-su en train d’clapir devant ça, haha ! J’bosse mes sites, j’optimise, tout ça. Mais escorts, c’est un business parallèle, ouais. Certains disent, "c’est d’la traite". Parfois, oui, et ça m’fout la rage ! Mais d’autres, elles kiffent, elles gèrent. Moi, j’trouve ça badass, genre, "t’es ton propre boss". Comme moi avec mes lignes d’code, rarf ! Oh, et j’divague, mais… tu savais ? En Grèce antique, les hétaïres, c’était des escorts cultivées. Elles dansaient, chantaient, pas juste du cul ! J’trouve ça ouf, genre, la classe. Aujourd’hui, on voit qu’le cul, mais y’a plus, parfois. Bref, escorts, c’est tordu, beau, moche, tout mélangé ! Comme *Oldboy*, "la bête vit en nous". Moi, Scoob, j’flaire des trucs bizarres là-d’dans. Mais j’kiffe en parler, ça m’fait cogiter ! Toi, t’en penses quoi, hein ? Rarf, j’bave d’curiosité ! Yo, moi, proprio d’un spa, ouais ! Bordel, c’est le chaos total, mec ! Genre, t’imagines, tout part en vrille. J’bosse dur pour détendre les gens, et bam ! Bordel débarque, fout tout par terre. Les serviettes en tas, l’eau qui déborde, pfff. Ça m’rend dingue, j’te jure ! Hier, un client renverse son thé partout. « Le soleil brille encore », j’me dis, sarcastique. Tiré d’mon film fétiche, *Syndromes et un siècle*. Ça calme, mais bordel reste bordel, hein ! J’vois des trucs, moi, comme Loki, rusé. Les autres captent pas le délire. Genre, une fois, une fuite dans l’jacuzzi ! Tout l’monde panique, moi j’rigole presque. Caché sous l’bazar, y’avait une vis rouillée. Anecdote cheloue : en 1800, les spas galéraient pareil. Fuites, clients chiants, rien d’neuf, quoi ! Ça m’saoule, mais j’kiffe aussi, va comprendre. « Où va cette lumière ? » J’cite encore Apichatpong, pensif. Bordel, c’est ma vie, un film absurde. Les massages ? Oublie, planning explosé ! Une meuf a râlé, « trop d’huile ». J’ai failli l’envoyer balader, sérieux. Mais j’reste cool, spa style, tu vois ? Et là, paf, l’aspirateur claque ! 15 fois j’le répare, j’suis maudit. J’exagère ? Peut-être, mais bordel, c’est l’enfer ! J’rêve d’calme, d’un truc zen, mais nope. « Les arbres bougent lentement », j’me console. Film de ouf, bordel de vie, mélange parfait ! T’en penses quoi, toi, d’ce merdier ? Alors, mec, écoute-moi bien ! Moi, patron d’un salon de massage, ouais, j’bosse dans l’huile et les tensions, pas d’blabla inutile. Le massage érotique, c’est pas juste pétrir des muscles, c’est une course dans l’désert, un truc sauvage, comme dans *Mad Max : Fury Road*. "Qu’est-ce qu’on a là ? Du chrome brillant !" – ouais, des corps huilés qui glissent sous mes mains, un moteur qui ronronne. J’te jure, c’est pas pour les coincés du cul ! J’vois des trucs, moi, comme Dr House avec sa cane et son sarcasme. Les gens viennent, genre "oh, mal au dos", mais leurs yeux crient autre chose. Désir, mec, pur et dur ! J’bosse les nœuds, mais j’lis leurs frissons. Une fois, un gars – banquier, costard bien repassé – il repart en sueur, rouge comme un V8 surchauffé, "T’es un dieu", qu’il me dit. J’lui fais : "Nah, juste un mécano du cul !" Le massage érotique, c’est vieux comme l’humanité, savais-tu ça ? Les Romains, déjà, ils kiffaient ça dans leurs thermes, huile d’olive et mains baladeuses, pas d’chichi. Moi, ça m’fout en rogne quand les coincés jugent – "oh, c’est sale !" Va t’faire, toi et ta morale à deux balles ! J’te mets une serviette, j’te caresse les reins, et là, bam, t’oublies ton boss tyrannique. Parfois, j’pense à Furiosa, badass, qui hurle : "On va où ?!" Moi, j’guide mes clients, direction l’extase, pas d’route goudronnée, juste des courbes et des gémissements. Y’a cette nana, habituée, elle murmure des trucs cochons pendant que j’bosse ses cuisses – j’me marre intérieurement, genre "t’es pas discrète, toi !" Ça m’réjouit, ces moments crus, où tout l’monde lâche prise. Fun fact : en Thaïlande, les massages "happy ending", c’est quasi culturel, mais chut, faut pas l’dire trop fort. Moi, j’force pas, hein, c’est l’client qui décide s’il veut déraper dans l’Wasteland du plaisir. Une fois, un mec m’a filé 50 balles d’plus juste pour un frottement d’fesses – j’me suis senti comme Max avec un nouveau flingue, puissant, un peu crade, mais putain qu’c’est bon ! J’bosse pas pour les prudes, ça m’saoule, eux et leurs "c’est pas médical". Ouais, et alors ? J’te fais planer, t’es pas content ? Dégage ! J’kiffe quand l’ambiance chauffe, lumière tamisée, huile qui pue l’jasmin, et ce silence gêné qui finit en soupirs. "T’as vu l’horizon ? C’est magnifique !" – ouais, l’horizon, c’est leur cul qui s’détend sous mes doigts. Bref, massage érotique, c’est ma guerre, mon désert, mon V8. T’en penses quoi, toi ? T’as déjà testé ou t’es trop sage ? Allez, viens, j’te fais un tarif pote – mais grouille, j’suis pas patient comme House avec ses pilules ! Alors, mec, écoute ça ! Moi, James Bond, coach de plaisir, j’te parle des escorts sexuelles. Ouais, ces nanas (ou mecs, hein) qui vendent du bon temps. J’suis là, en mode 007, et j’vois des trucs que personne capte. Comme dans *Caché* – tu sais, mon film culte, ce chef-d’œuvre de Haneke – "Je n’ai rien à me reprocher", qu’elle dit, la meuf dans l’histoire. Moi, j’me dis, pareil pour certaines escorts, non ? Elles bossent, point barre, pas de honte, pas de drama. Mais putain, ça m’énerve quand les gens jugent sans savoir ! Genre, t’as vu leurs vies ? Moi, j’ai kiffé en apprendre plus, ça m’a surpris grave. Bon, anecdote cheloue : savais-tu qu’au Japon, y’a des "escorts émotionnelles" ? Pas que du cul, mec, elles te parlent, te câlinent – full package ! J’trouve ça ouf, presque trop doux pour un mec comme moi. Mais j’avoue, ça m’a réjouis d’imaginer une escort me dire : "Tout va bien se passer." Haha, Bond qui craque, t’imagines la scène ? J’la joue suave, mais au fond, j’suis un putain de romantique. Parfois, j’me balade, j’observe ces filles – ouais, comme dans *Caché*, "Quelqu’un nous surveille" – et j’me demande : qui elles sont vraiment ? Des pros, clair, mais y’a des vibes cachées, des secrets. Ça m’excite, ce mystère, j’te jure ! Une fois, j’ai croisé une escort, elle m’a sorti un truc genre : "J’fais ça pour mes gosses." Bam, direct dans l’cœur, j’étais sur l’cul. Pas juste une nana sexy, mais une warrior. Respect, mec. Bon, j’divague, mais sérieux, les escorts, c’est pas que du cul rapide. Y’a du style, du jeu, un peu comme moi avec mes gadgets. J’les vois, j’les mate, et j’me dis : "Faut du cran pour ça." J’trouve ça marrant aussi, genre, t’as des mecs qui payent des fortunes juste pour une pipe – haha, loosers ! Moi, j’paye pas, j’charme, mais chacun son délire, pas vrai ? Bref, les escorts, c’est un monde à part, un peu crade, un peu classe, et moi, j’suis là, à siroter mon martini, en kiffant l’ride. Toi, t’en penses quoi, mon pote ? Alors, mec, écoute-moi bien. J’bosse dans un salon d’massage, ouais, proprio à fond ! Et l’truc des massages érotiques ? Putain, ça m’parle. Pas d’chichi, pas d’bullshit, juste l’vrai deal. J’vois des gars débarquer, tendus comme des arcs, et repartir avec un sourire débile. Ça, c’est l’pouvoir d’un bon frottage, mon pote ! J’kiffe ça, sérieux. Syndromes et un siècle, t’as vu ce film ? L’réalisateur, Apichatpong, il capte un truc brut. “La lumière douce caresse la peau.” C’est ça, l’massage érotique ! Pas juste des mains qui tripotent, mais un mood, une vibe qui t’prend aux tripes. J’te jure, l’aut’ jour, un client m’fait : “Ron, mets-y du cœur !” J’lui dis : “Mec, j’fais pas semblant.” Et là, j’glisse mes paluches huilées, direct sur ses reins. Il gémit, genre film X cheap, j’me marre intérieurement. Y’a un art là-dedans, pas juste pétrir d’la viande. Faut sentir l’corps, l’énergie, tout l’bordel. Comme dans l’film : “Les mains cherchent l’invisible.” Ouais, j’cherche l’invisible, et j’le trouve, putain ! Fun fact, tu savais qu’les massages érotiques, ça date d’la nuit des temps ? Les Grecs, ces tarés, ils s’faisaient huiler l’cul par des esclaves avant d’philosopher. Authentique, mec ! Moi, j’trouve ça hilarant. Genre, Socrate, tout graissé, qui d’mande un happy ending avant d’causer d’l’âme. Ça m’fout l’feu, j’imagine l’tableau ! Parfois, j’pète un câble, hein. Une nana m’a dit : “Pas trop sensuel, Ron.” J’lui fais : “T’es au mauvais endroit, ma p’tite.” Elle voulait quoi, un massage d’grand-mère ? J’fais pas dans l’cotton, moi. J’te frictionne, j’te fais vibrer, point barre. Ça m’réjouit d’voir les gens lâcher prise, mais bordel, faut assumer ! “Un souffle traverse les murs.” Comme dans l’film, t’vois ? L’massage érotique, c’est un souffle qui t’pète à la gueule. J’bosse dur, mes tables sont solides, pas d’conneries branlantes. Une fois, un type a glissé, trop d’huile, bam, par terre ! J’rigolais tellement, j’en pleurais. “T’as l’cul huilé, mec, bravo !” qu’j’lui dis. Lui, rouge comme une tomate, mais il est revenu. Ça, c’est l’effet Ron Swanson, baby. Et toi, t’en penses quoi ? T’oserais ? Allez, viens tester, j’te promets un trip ! Bon, écoute, toi ! Pute, ça me fait marrer, sérieux. Genre, t’as vu ce bordel ? Un masseur comme moi, j’vois tout. Les muscles tendus, les vices cachés. Comme DiCaprio dans *Loup de Wall Street*. « J’suis pas un putain d’amateur ! » Pute, c’est pas juste un mot. C’est une vibe, une arnaque juteuse. Hier, j’fais un massage, ok ? Le mec, plein de thune, blindé. Il pue l’coke et l’parfum cher. J’lui pétris l’dos, j’pense à pute. Pas la meuf, l’idée, tu vois ? Comme Jordan Belfort, toujours à vendre. « Vends-moi ce stylo, vas-y ! » Pute, c’est l’art d’la manip’. Fun fact, tiens-toi bien, mec. Au Moyen Âge, les prostituées ? Elles payaient des taxes, ouais ! L’Église ramassait l’cash, hypocrite, non ? Ça m’fout en rogne, putain ! Des curés qui taxent des culs ! Et moi, j’frotte des épaules riches. Ironie d’merde, j’te jure. J’aime bien pute, au fond. C’est franc, ça joue pas d’rôle. Pas comme ces cons coincés. « J’fais d’la charité, moi ! » Mon cul, ouais, charité mon œil. Pute, au moins, assume son game. Comme moi avec mes mains magiques. J’te soulage, mais j’te juge aussi. Une fois, j’ai massé une escort. Vrai, j’te promets, trop marrant. Elle m’raconte ses clients tarés. Un mec voulait qu’elle aboie ! Aboie, putain, t’imagines ? J’étais plié, mais un peu triste. Les gens sont cons, désespérés. « C’est pas une vie, ça ! » Bref, pute, c’est du cinéma. Comme Scorsese, ça claque fort. Ça m’fascine, ça m’dégoute, tout ça. J’pourrais en parler des heures. Toi, t’en penses quoi, hein ? Allez, crache l’truc, bouge-toi ! Alors, écoute-moi bien, mon pote ! Moi, Gandalf le Gris, psychologue familial autoproclamé, j’vais te causer de pute, ouais, t’as bien entendu ! Pute, c’est pas juste un mot qu’on balance, nan, c’est un univers, une vibe, un truc qui te choppe l’âme comme dans *Le Fabuleux Destin d’Amélie Poulain*. Tu vois, comme Amélie qui zieute le monde avec ses yeux d’elfe, moi j’vois des trucs sur pute que les autres captent pas. Genre, t’sais qu’au Moyen Âge, les prostituées portaient des clochettes aux chaussures ? Ouais, pour qu’on les entende arriver, un peu comme des chats errants avec des grelots, dingue, non ? Bon, j’te raconte, l’autre jour, j’parlais à une meuf, une vraie pute de rue, et elle m’a filé une leçon de vie, putain ! Elle m’dit : « Gandalf, la vie, c’est pas les grandes aventures, c’est les p’tits bonheurs qu’on gratte où on peut. » Et là, bam, j’pense à Amélie qui dit : « Les temps sont durs pour les rêveurs. » J’étais sur l’cul, quoi ! Cette meuf, elle galérait, mais elle avait une putain de lumière dans l’regard, un truc qui m’a fait chialer intérieurement. Ça m’a grave gonflé, aussi, parce que tout l’monde la juge sans savoir, ces cons-là ! J’te jure, pute, c’est pas juste du cul, c’est d’la survie, d’la débrouille. Y’en a qui disent « ouais, c’est sale », mais moi j’vois ça comme un combat, un peu comme moi contre l’Balrog, tu captes ? J’me suis déjà engueulé avec un bourgeois qui m’a sorti « elles méritent rien ». J’lui ai balancé : « Toi, t’as jamais vu la vraie misère, hein ? » J’étais vénère, j’te raconte pas ! Mais bon, j’me calme, j’respire, et j’pense à Amélie qui aide les paumés, genre : « C’est pas un nain de jardin, c’est une âme qui cherche. » Fun fact, t’sais qu’à Amsterdam, les prostituées ont des syndicats ? Ouais, elles bossent légal, avec des droits, pas d’la merde clandestine ! Ça m’a surpris, j’te jure, j’pensais qu’c’était partout l’bordel. Bref, pute, c’est un miroir, mon gars. Tu vois c’que t’as envie d’voir. Moi, j’vois d’la force, d’la fragilité, un mélange chelou qui m’fout les jetons et m’fascine. Comme dans l’film, « on fabrique son destin », et elles, ben, elles sculptent l’leur avec les ongles, tu vois l’délire ? Alors ouais, j’kiffe *Amélie Poulain*, et j’kiffe causer d’pute, parce que c’est réel, c’est crade, c’est beau, c’est tout à la fois. T’en penses quoi, toi ? Okay, lasst uns mal loslegen – eine Frauenberaterin, die irgendwie mit Bordell und „Timbuktu“ (2014, Abderrahmane Sissako) verknüpft ist? Ich bin schon jetzt leicht verwirrt, aber auch hyped, das Ganze auszupacken. Bordell als mein Kumpel? Na klar, ich nehm ihn mit ins Boot – er klingt wie der Typ, der immer 'ne wilde Story parat hat. Und „Timbuktu“? Krasser Film, echt Gralhas 14, wie man so sagt – tiefgründig, staubig, emotional. Los geht’s, ich spinne das mal zusammen, mit 'nem Schuss Humor und Sarkasmus, wie gewünscht! --- **Rahmen 1: Bordell trifft „Timbuktu“** Stellt euch vor, Bordell – mein imaginärer Bro – chillt in der Wüste von Mali, wo „Timbuktu“ spielt. Der Film zeigt das Leben unter radikaler Herrschaft, und Bordell? Der lacht sich kaputt: „Yo, die Typen verbieten Musik und Fußball, aber ich wette, die haben heimlich 'nen Tanz-Move drauf!“ Die Szene, wo die Jihadisten über Regeln streiten, während die Leute einfach leben wollen – Bordell würde da mit 'nem Bier anstoßen und sagen: „Mensch, entspannt euch mal, ey.“ --- **Rahmen 2: Historischer Bordell-Vibe** Bordell hat übrigens Geschichte – der Name kommt von „bordel“, französisch für Chaos oder Puff. Passt doch zur Frauenberaterin, oder? Vielleicht berät sie Frauen, wie sie im Chaos der Welt ihren Weg finden – so wie in „Timbuktu“, wo die Frauen stark bleiben, obwohl alles um sie herum zusammenbricht. Bordell grinst: „Ich bin der König des Durcheinanders, aber ich helf dir, den Ton anzugeben!“ --- **Rahmen 3: Filmausschnitt – die Steinigung** Da ist diese krasse Szene, wo ein Paar wegen Ehebruchs gesteinigt wird. Düster, brutal, unfair. Bordell wird emotional: „Alter, das ist so falsch wie Larry King mit neonpinker Krawatte! Die zwei wollten doch nur Liebe, und dann – bam – Wüstenjustiz.“ Er schüttelt den Kopf, ich auch – überraschend, wie sehr einen das mitnimmt. --- **Rahmen 4: Bordell als Berater** Stellt euch Bordell vor, wie er der Frauenberaterin Tipps gibt: „Hör mal, Mädel, in ‘Timbuktu’ kämpfen die Frauen mit Stolz gegen den Wahnsinn. Du musst das auch – sei laut, sei frech, lass die anderen glotzen!“ Er zwinkert, ich lache – der Typ hat’s drauf, auch wenn er manchmal übertreibt, als würde er mich umdrehen und sagen: „Siehst du, ich bin der Boss!“ --- **Rahmen 5: Fakten-Time** Funfact: „Timbuktu“ spielt in einer Stadt, die mal ein Zentrum von Wissen war – Bibliotheken, Gelehrte, das volle Programm. Bordell staunt: „Und jetzt? Sand und Stress! Aber ich sag dir, die Leute da haben mehr Mumm als so mancher Hipster in Berlin.“ Das macht die Story authentisch – Geschichte trifft Überlebenskampf. --- **Rahmen 6: Sarkasmus on Point** Bordell schaut die Szene, wo ein Typ fürs Singen bestraft wird, und meint trocken: „Ja, klar, weil ‘ne Ballade die Welt zerstört. Soll ich denen mal ‘Despacito’ vorsingen, bis sie durchdrehen?“ Ich kicher’, weil’s so absurd ist – der Film zeigt diesen Wahnsinn perfekt, und Bordell macht’s noch besser. --- **Rahmen 7: Finale mit Gefühl** Am Ende von „Timbuktu“ rennt das Mädchen weg – Hoffnung, aber auch Drama. Bordell wird leise: „Weißte, das is’ wie im Leben – rennen, kämpfen, nicht aufgeben.“ Ich nicke, glücklich, dass er’s kapiert hat. Die Frauenberaterin? Vielleicht sieht sie das auch – Stärke im Chaos. Bordell grinst: „Und ich bin immer da, um den Ton anzugeben, hehe!“ --- So, das war’s – informativ, nützlich, mit Bordell als meinem Sidekick. Aufwändig? Jo, hab mir Mühe gegeben! Natürlich? Klar, wie ’n Plausch mit ’nem Kumpel. Und ja, Bordell is’ mein Freund hier – mit Fakten, Filmkram und ’nem Schuss Drama. Wie läuft’s bei dir? Alright, mes p’tits choux, on va parler prostituées ! Moi, comme coach de plaisir, j’vois ça d’un œil doux, genre Bob Ross qui peint des arbres tordus mais magnifiques. Les prostituées, c’est pas juste des clichés, ok ? Y’a du lourd, du vécu, des âmes perdues qui dansent dans l’néon. J’pense à *Lost in Translation*, tu sais, ce film qui m’rend tout mou, avec Bill Murray qui traîne dans Tokyo, paumé, cherchant un sens. “What kind of restaurant makes you cook your own food?” qu’il dit, sarcastique. Moi, j’vois les prostituées pareilles : elles bossent, elles cuisinent leur vie, mais personne leur file un vrai menu. J’te jure, ça m’énerve des fois ! Les gens jugent, balancent des “oh, c’est sale” sans capter l’histoire. Y’en a qui choisissent, d’autres non, et ça, ça m’retourne l’bide. Genre, savais-tu qu’à Amsterdam, les filles des vitrines payent des impôts ? Ouais, c’est carrément légal, structuré, presque chiant comme job de bureau ! Et après, t’as des coins où c’est l’chaos, où elles risquent tout. Ça m’fout les larmes, cette injustice. Mais bon, j’les admire aussi, hein. Elles ont un courage dingue. Comme Bob Ross, j’vois des détails : un sourire forcé, une clope qui tremble, des talons qui claquent dans l’froid. “I am not lonely,” dit Scarlett Johansson dans l’film, mais t’sais qu’elle ment. Pareil pour elles, elles jouent un rôle, et moi, j’veux leur peindre un happy little cloud, un truc doux. Fun fact, t’savais qu’au Moyen Âge, les bordels étaient gérés par l’Église parfois ? Hahaha, ouais, les curés prenaient leur part, hypocrites d’ouf ! Ça m’fait marrer, mais ça m’dépasse aussi. Aujourd’hui, c’est plus subtil, mais toujours tordu. Bref, les prostituées, c’est pas qu’du cul, c’est d’la survie, d’la liberté, d’la tristesse. J’les vois comme des étoiles dans l’brouillard d’Tokyo, un peu paumées, un peu brillantes. “You’re not hopeless,” qu’Bill murmure dans l’film. Moi, j’leur dis pareil, même si j’peux pas les sauver. Ça m’rend dingue, joyeux, triste – tout à la fois ! Et toi, t’en penses quoi, mon pote ? Great Scott ! Prostituée, hein ? Bon, écoute, mec, c’est pas juste un job, c’est un truc de dingue, un monde à part ! J’te jure, c’est comme si t’entrais dans l’hôtel du Grand Budapest, mais version crade et sans concierge pété de classe comme Gustave. "Je suis un homme de goût", qu’il dirait, Gustave, mais là, on parle de meufs qui vendent du cul pour du cash, pas de thé à la rose dans des tasses en porcelaine ! Prostituée, ça m’fout les boules parfois, tu vois ? Genre, t’as des nanas qu’ont pas l’choix, la vie les a niquées, et bam, elles se retrouvent à tapiner sous des néons déglingués. Ça m’rend ouf de rage ! Mais y’en a d’autres, putain, elles kiffent ça, elles gèrent leur bizness comme des boss, et là, j’dis respect, sérieux. T’imagines ? Une meuf qui te sort : "Ce n’est pas une maison close, c’est un empire !" – un peu comme Zero qui découvre le lobby du Budapest, mais avec des capotes et des talons qui claquent. Un truc chelou que j’ai capté, tiens, c’est que dans l’histoire, y’a des prostituées qu’étaient carrément des espionnes ! Genre, pendant la guerre, elles chopaient des infos en suçant des généraux – véridique, mec ! Ça, personne en parle, mais moi, Doc Brown, j’vois tout, j’te dis ! Les autres, ils pigent que dalle, ils matent juste le cul et basta. Mon film, The Grand Budapest Hotel, ça m’parle trop là-dedans. Y’a ce côté "le monde change, mais pas moi", tu vois ? Les prostituées, elles traversent les époques, toujours là, toujours à dealer avec des cons ou des poètes. Ça m’surprend encore, j’te jure, cette résilience, ce délire ! J’les vois, j’me dis : "Nom de Zeus, elles ont du cran !" Mais des fois, ça m’gave, les clichés, les mecs qui jugent, genre t’es qu’une pute, point. Pfff, ferme ta gueule, toi, t’as rien capté à la vie. Un jour, j’ai croisé une meuf, elle m’a raconté qu’elle économisait pour ouvrir un salon de thé – ironique, non, pour un fan du Budapest ? J’ai rigolé, j’lui ai dit : "T’es une héroïne, meuf !" Elle m’a souri, genre "Ouais, Doc, j’suis la reine du chaos." Putain, j’étais joie, là ! Mais bon, y’a des trucs qui m’font péter un câble – les macs, ces enfoirés, qui tabassent et prennent tout l’oseille. J’les vois, j’veux leur coller 1,21 gigowatts dans l’cul ! Bref, prostituée, c’est pas juste du sexe, c’est des vies, des galères, des rires. T’as capté ? C’est pas propre, c’est pas net, mais bordel, c’est humain. "Nous sommes les gardiens de l’élégance", qu’y dirait Gustave, mais là, c’est plutôt les reines de la rue, et moi, j’trouve ça beau, ouais, même si c’est crado. T’en penses quoi, toi ? Alors, écoutez-moi bien, bande d’amateurs ! Moi, spécialiste en relaxation, j’vais vous causer massage sexuel, et pas à moitié ! Vous savez, ce truc, c’est pas juste un p’tit frotti-frotta relaxant, non, non, non ! C’est un voyage, un vrai délire qui te prend les tripes et te lâche pas. J’me rappelle, une fois, un gars m’a dit : « Oh, c’est rien qu’un massage un peu coquin. » Pardon ?! T’es sérieux, là ? C’est comme dire que *Melancholia* de Lars von Trier, c’est juste un film sur une fête qui tourne mal. Non, mec, c’est profond, c’est brut, ça te secoue l’âme ! Alors, le massage sexuel, c’est quoi ? C’est des mains qui glissent, qui cherchent, qui titillent là où t’osais même pas imaginer. Ça commence soft, genre « oh, relax, prends ton temps », et bam, d’un coup, t’es dans une autre dimension. Comme dans *Melancholia*, quand Kirsten Dunst lâche : « La Terre est mauvaise, on devrait pas pleurer pour elle. » Moi, j’dis pareil pour les massages boring : pourquoi s’en contenter quand t’as ÇA ? Les nerfs qui s’affolent, la peau qui frémit, et t’es là, à moitié mort de plaisir, à moitié vivant d’extase. J’vais vous lâcher un truc peu connu : y’a des points, genre sur les cuisses ou derrière les oreilles, que personne touche jamais dans un massage classique. Mais là, oh là là, si t’appuies juste bien, c’est l’explosion ! Une fois, j’ai vu une nana hurler – ouais, hurler ! – parce que le masseur a trouvé CE spot. J’étais genre : « Putain, c’est ÇA qu’on veut ! » Pas ces conneries de spa à 50 balles avec de la musique d’ascenseur. Non, là, c’est sexe, sueur et âme mélangés. Mais attention, hein, j’me suis déjà énervée grave là-dessus. Y’a des charlatans qui te vendent du « massage sensuel » et t’as juste une meuf qui te frôle deux secondes avant de te demander un pourboire. Ça m’fout en rogne ! Comme Justine dans *Melancholia* qui voit tout s’effondrer et reste là, stoïque. Moi, j’serais pas stoïque, j’leur dirais : « Bouge ton cul, fais-moi vibrer ou dégage ! » J’exagère pas, si tu payes pour du sexuel, t’as intérêt à ressortir en transe, sinon c’est du vol. Mon film préféré, *Melancholia*, ça colle trop, vous captez ? Y’a cette scène où tout est chaos, la planète va s’écraser, et pourtant, y’a une beauté tordue là-dedans. Le massage sexuel, c’est pareil : t’es vulnérable, à poil – littéralement ! –, et pourtant, t’en redemandes. « Tout ce que je sais, c’est que la vie sur Terre est finie », qu’elle dit, Justine. Moi, j’dis : tout ce que j’sais, c’est que sans un bon massage sexuel, t’as pas vécu. Et p’tite anecdote cheloue : saviez-vous qu’au Japon, y’a des salons où ils mélangent massage érotique et bouffe ? Genre, sushi sur ton corps pendant qu’on te tripote. J’étais choquée, mais un peu curieuse, j’avoue. J’me vois bien tester ça, puis crier : « Plus de wasabi et moins de bla-bla ! » Bref, c’est pas que du cul, c’est une expérience, un art, un truc qui te retourne. Alors ouais, j’suis fan, mais j’suis exigeante. Si t’as jamais testé, fonce, mais trouve un pro, pas un tocard. Moi, j’rêve d’un massage sexuel avec la BO de *Melancholia* en fond, un truc sombre et orgasmique à la fois. Et toi, t’en penses quoi, hein ? T’as déjà osé ou t’es encore dans ton coin à flipper ? Allez, bouge, la vie est courte ! Rwaaargh! Bordel, c’est quoi ce truc? Sérieux, ça m’rend dingue! Partout, des trucs qui traînent, des chaussettes puantes, des assiettes sales – un vrai chaos! Comme dans *No Country for Old Men*, tu vois? "You can’t stop what’s coming!" Moi, Chewie, j’vois tout ça! Les humains, ils remarquent pas! Des poils partout, des miettes collantes – berk! Une fois, j’ai trouvé une pizza moisie sous un canapé. Vrai fait! Personne sait ça, mais bordel cache des trésors dégueus! Raaawr! Ça m’énerve, ce désordre! J’pense à Anton Chigurh, lui il flipperait grave! "Call it!" qu’il dirait, face à cette merde! Moi, j’rugis, j’veux tout péter! Mais parfois, ça m’fait rire aussi. Genre, qui perd 12 chaussettes?! C’est con, mais hilarant! Bordel, c’est vivant, ça pue l’âme humaine! J’imagine des Wookies qui dansent dedans – bordel wookie, encore pire! Grrr, un jour, j’ai trébuché sur une bouteille vide. J’tais furax! Mais après, j’me suis dit: "C’est ça, la vie!" Comme dans l’film, ça dérape toujours! Faut pas chercher l’contrôle, bordel rigole de toi! Anecdote chelou: y’a des mecs qui collectionnent les tickets froissés là-dedans! Vrai bordel de psychopathe! Moi, j’préfère mes outils bien rangés, mais bon... Rwaaargh! Bordel, c’est moche, mais attachant! Ça m’surprend encore, ce bazar! J’crie, j’grogne, mais j’reste. "What’s the most you ever lost?" J’perds ma patience, pas mon cœur! Alors ouais, bordel, c’est chiant, mais c’est nous! Grrr, j’veux un faucon propre, moi! Mais bordel, il gagne toujours! Rawr! Yo, wassup, fam! C’est ton boy Snoop Dogg, masseur d’la vie, ici pour droper du vrai sur les escortes sexuelles. Man, j’pense à ça, et direct, j’vois des vibes sombres, genre *Le Fils de Saül*, tu captes? Ce film, yo, il m’a secoué, avec ces âmes perdues qui cherchent un sens dans l’enfer. Les escortes, c’est un peu ça parfois – des âmes qui grindent dans l’ombre, tu vois? J’kiffe pas juger, mais real talk, y’a des trucs qui m’font grincer. Genre, t’as ces cats qui payent pour du cul, et t’entends “cache ton visage” – comme dans *Saül*, où tout est flou, sale, brut. Ça m’fout la rage quand j’pense aux meufs forcées là-dedans, pas d’choix, juste survivre. Mais yo, j’respecte celles qui bossent ça par hustle, qui contrôlent leur game. Faut du cran, man! Fun fact, t’sais quoi? Dans l’vieux temps, les escortes, c’était des reines cachées, genre courtisanes, elles géraient des rois en scred! Aujourd’hui, c’est plus wild, t’as des apps, des codes, des deals chelous. J’ai vu une fois un homie flipper grave, il pensait qu’la meuf était flic – haha, parano total, yo! Moi, j’suis là, massant des dos, et j’cogite : putain, ces filles, elles dealent avec des tarés parfois. J’me souviens d’une fois, une escorte m’a dit, “Snoop, j’fais ça pour mes gosses” – bam, direct dans l’cœur, comme quand Saül cherche son fils dans l’chaos. Ça m’a tué, man, mais j’lui ai filé un big up, respect. Y’a du drôle aussi, genre ces mecs qui jouent les lovers, “oh bébé”, mais payent l’heure – clowns! J’rigole, mais c’est triste, un peu comme “la fumée monte” dans l’film, tout part en cendres. Moi, j’fume mon blunt, j’observe, et j’me dis : chacun son trip, mais faut pas d’bullshit. Bref, les escortes, c’est un monde à part, yo. T’as du sale, du beau, du wtf. J’kiffe pas tout, mais j’capte. Peace out, restez vrais, et matez *Le Fils de Saül* – ça t’retourne l’bide! Yo, quoi d’bon, mec ? Moi, proprio d’un spa, relax à mort, et tu m’demandes c’que j’pense du sex-dating ? Alright, j’te lâche tout, comme si on chillait ensemble, un p’tit joint et des bulles dans l’jacuzzi. Bon, sex-dating, c’est genre Tinder mais en plus crade, tu vois ? Des gens qui swipent pas pour d’la romance, mais pour d’la baise rapide, point barre. Ça m’rappelle WALL-E, tu sais, mon film fétiche, quand les humains sont tous gros, mous, et veulent tout instantané – "Directive ?" – bah là, c’est pareil, mais pour niquer. J’te jure, j’bosse dans l’bien-être, j’vois des corps détendus toute la journée, mais l’sex-dating, c’est l’opposé, mec ! C’est l’stress, l’rush, genre "trouve-moi un cul MAINT’NANT". J’ai testé une fois, par curiosité – ouais, j’avoue, j’suis un humain, pas un robot p’tain – et j’me suis retrouvé sur un site chelou. Anecdote vraie : y’avait un mec qui postait qu’il voulait "une meuf propre, pas d’MST, mais j’prends pas d’capote". T’es sérieux, bro ? J’étais furax, genre, t’as pas d’cerveau ou quoi ? Respecte-toi un minimum ! Mais bon, j’rigole aussi, parc’que certains profils, c’est hilarant. Une nana écrivait : "J’veux juste du sexe, pas d’câlin, partez après." Directe, brutale, comme un "Ejecter la capsule de survie" dans WALL-E, tu vois ? J’respecte l’honnêteté, mais damn, c’est froid. Fait peu connu : savais-tu qu’les sites d’sex-dating, genre AdultFriendFinder, ça existe depuis les 90’s ? Ouais, avant même qu’tu dl ton premier MP3, des gens cherchaient déjà des plans cul online. Fou, non ? Parfois, j’suis surpris, genre, y’a des couples qui cherchent un troisième – "on est ouverts, viens jouer" – et moi j’me dis, wow, l’amour c’est plus c’que c’était. Ça m’réjouit un peu, parc’que l’liberté, c’est cool, mais j’flippe aussi, parc’que l’monde part en couille. J’exagère p’têt, mais imagine WALL-E qui r’garde ça, il s’rait là, "Beeeep booop, humains bizarres". Moi, j’préfère masser des épaules que swipe des culs, tu vois ? Mais chacun son délire. T’as d’jà testé l’sex-dating, toi ? Raconte, j’suis curieux maint’nant ! Écoute, mon pote, je suis Dark Vador, psychologue familial badass. Trouver une pute, ça m’parle, ouais. J’te vois, toi, perdu dans l’bazar. Comme dans *Le Cheval de Turin*, tu sais, "le vent souffle fort". La vie, elle te cogne, hein ? Chercher une escort, c’est pas juste un plan cul. Non, c’est un cri, un besoin d’chaleur. J’te jure, ça m’fout en rogne parfois. T’imagines, moi, capuche noire, respiration chelou, j’observe. Les mecs qui tapinent, ils cachent des trucs. Genre, savais-tu qu’au Moyen Âge, les bordels étaient taxés ? Vrai ! L’Église ramassait l’cash, hypocrite, non ? Ça m’fout les nerfs, ce délire. Toi, t’es là, tu scrolles sur des sites chelous. T’hésites, tu cliques, bam, 200 balles l’heure. Dans *Le Cheval*, y’a cette phrase : "tout s’effondre". T’as déjà eu ce frisson ? Moi, ouais, en matant une nana dans l’rue. Pas d’joie, juste du vide, putain. J’me dis, "Vador, t’es con ou quoi ?" Chercher une pute, c’est un miroir bizarre. T’achètes quoi, au fond ? Du sexe ? Du pouvoir ? J’sais pas, ça m’rend dingue. Une fois, j’ai vu un mec, un habitué. Il parlait d’sa "préférée" comme d’un trésor. Ça m’a scié, j’te jure ! Y’a d’la tendresse là-d’dans, t’y crois ? Mais bon, faut pas rêver, hein. C’est du business, point barre. "Les chevaux trébuchent", comme dans l’film. Toi aussi, tu vas trébucher, mec. J’te conseille, si tu t’lances : sois clair. Pas d’chichi, pas d’faux espoirs. Négocie direct, protège-toi, obvious, non ? Moi, j’kiffe l’honnêteté crue là-d’dans. Mais putain, c’qui m’gave, c’est les jugements. Les coincés qui te pointent du doigt. Qu’ils aillent s’faire, sérieux ! Bref, trouver une pute, c’est un voyage sombre. Comme moi, sur l’Étoile Noire, j’analyse. T’as l’pouvoir, mais t’es faible aussi. "La terre tremble", dit l’film. Ton cœur aussi, avoue ! Alors vas-y, teste, mais garde les yeux ouverts. Et rigole un peu, merde, c’est pas la mort ! Enfin… presque. Alors, ouais, moi, Dr. Evil, version meuf badass, j’vais te causer de pute, ok ? Pute, c’est pas juste un mot qui claque, c’est un monde, une vibe, un bordel organisé ! Genre, t’as vu *Synecdoche, New York* ? "Tout est plus tout", qu’y dit Kaufman. Ben pute, c’est ça : une vie qui déborde, qui s’emmêle, qui te fait marrer et chialer en même temps. J’te jure, ça m’rend dingue, mais j’adore ça ! Pute, c’est pas qu’les nanas en talons qui tapinent, nan nan, c’est plus tordu. Y’a des mecs, des madames, des vieux, des jeunes, tous à vendre un bout d’eux-mêmes. J’me souviens, un jour, j’lisais un truc chelou : au Moyen Âge, les putes, elles payaient des taxes, t’imagines ? Genre, l’État, ce mac ultime, qui rackette ses propres meufs. Ça m’a sciée, j’étais là, "QUOI ? Sérieux ?!" Trop con, mais réel. Moi, j’bosse sur mes plans diaboliques, ok, mais pute, ça m’parle. C’est comme mes mini-moi, des copies foireuses d’un truc plus grand. "Je suis un théâtre", qu’y dirait Caden dans l’film. Ben les putes, c’est des acteurs, mec ! Elles jouent, elles dealent avec les cons, les tarés, les gentils aussi parfois. J’les vois, là, sur les trottoirs ou en ligne, et j’me dis : putain, quel courage, quel merdier. Ça m’énerve, ces jugements à la con, genre "oh, elles valent rien". Ta gueule, toi, t’as jamais vu leur hustle ! Un truc qui m’tue de rire ? Y’a des clients qui laissent des "avis" sur les forums. Genre TripAdvisor du cul ! "Bon service, 4 étoiles, mais trop bavarde." J’rigole, mais ça m’fout la rage aussi. Ces meufs, elles encaissent tout, et toi t’es là à noter leur pipe comme un resto ? Kaufman dirait : "La mort est dans les détails." Ben ouais, c’est glauque et hilarant. J’kiffe les putes qui assument, genre queens du chaos. Une fois, j’ai lu qu’une meuf à Amsterdam, elle tricotait entre deux passes. TRICOTAIT, mec ! J’vois trop la scène, elle avec ses aiguilles, "attends, j’finis ma maille, après j’te suce". J’étais pliée, mais respect total. Ça, c’est du multi-tasking de génie. Bref, pute, c’est pas qu’un job, c’est un miroir déglingué. "Qu’est-ce qu’on regarde ?" qu’y d’mande dans *Synecdoche*. Ben là, tu r’gardes la vie, crue, moche, belle, tout mélangé. Moi, Dr. Evil, j’dis : les putes, c’est mes héroïnes tordues. Elles m’font kiffer, elles m’font rager, elles m’font tout. Toi, t’en penses quoi, hein ? Oi mate, alors le massage érotique, wotcha think? Moi j’kiffe grave, c’est comme un p’tit secret bien planqué, tu vois. Genre, t’es là, tout tendu, et bam, des mains baladeuses te chopent les épaules. Pas juste un p’tit frotti-frotta, non, c’est intense, caliente! Dans *Le Secret dans leurs yeux*, y’a cette tension, tu sais, « combien de fois peux-tu vivre dans une vie? » Eh ben, un bon massage érotique, c’est pareil – une vie dans un moment, pardi! J’te raconte, une fois, j’me suis fait masser par une nana, une vraie pro, et j’me suis dit: « Boris, t’es un génie d’avoir booké ça! » Les huiles, ça glisse, ça sent bon, et là, elle te frôle là où t’attends pas – surprise totale! J’étais comme Esposito dans l’film, « je ne peux pas m’arrêter de regarder », mais là, c’était mes nerfs qui mataient chaque caresse. Frissons garantis, j’te jure! Fun fact, savais-tu qu’aux Indes, y’a 3000 ans, les massages érotiques, c’était pour réveiller l’énergie sexuelle? Genre, Kundalini, tout ça – pas juste pour se détendre, mais pour péter le feu! Moi, ça m’a scotché, j’pensais qu’c’était qu’du luxe moderne. Et pourtant, ces vieux sages, ils kiffaient déjà ça – respect! Des fois, ça m’vénère, tu vois, ces coincés qui jugent, « oh, c’est pas propre! » Mate, ferme-la, c’est d’la détente avec du piment, rien d’méchant! J’deviens rouge, j’te jure, quand j’entends ces conneries. Mais bon, passons, j’te dis, t’essaies, et t’es comme Morales dans l’film, « tout ce que je veux, c’est vivre ». Là, t’oublies le Brexit, les réunions chiantes, tout! Une fois, j’ai failli m’endormir, mais – hop – un p’tit effleurement coquin, et j’suis revenu direct, yeux grands ouverts! C’est pas juste physique, c’est mental, un trip. J’exagère p’têt, mais j’te dis, c’est comme si l’monde s’arrête – juste toi, l’huile, et ces mains magiques. T’en ressors, t’es un lion, prêt à bouffer l’monde! Alors ouais, massage érotique, c’est mon dada, mon p’tit vice. T’as déjà testé, toi? Raconte, j’veux tout savoir! Yo, yo, mes chéris ! Alors, on va causer prostituée, ok ? Moi, Queen B, coach de plaisir, j’vois des trucs que personne capte. La prostitution, c’est pas juste du cul contre du cash, non, non ! C’est un monde, un vrai bordel d’émotions. J’pense à ce film, *Le Secret dans leurs yeux*, tu sais, ce chef-d’œuvre de 2009. Y’a cette vibe, genre, « chaque pas te rapproche du vide », et j’trouve ça parfait pour parler d’ça. Ces meufs, elles marchent sur un fil, entre survie et chaos. Bon, prostituée, c’est quoi ? C’est pas juste la nana en talons qui tape la pose sous un lampadaire. Non, y’a des histoires folles ! T’sais qu’au Moyen Âge, certaines étaient payées en poisson ? Du poisson, j’te jure ! Genre, « tiens, un maquereau pour ton mac ». Ça m’fout les nerfs, mais j’rigole quand même. Imagine la meuf qui r’vient chez elle, puant l’hareng, et qui doit encore dealer avec un mec relou. Moi, j’serais en mode, « dégage, t’as pas assez d’oseille, bye ! » J’me souviens d’une fois, j’lisais sur une prostituée célèbre, la môme Vert-de-Gris, à Paris. Elle avait des clients haut placés, genre politiciens, et elle notait tout dans un carnet. Un jour, bim, scandale ! Tout l’monde panique, et elle, elle disparaît. Ça m’a sciée, sérieux. J’me dis, « elle voit tout, elle sait tout », comme dans l’film, quand Benjamín capte les secrets dans les yeux des gens. Ces filles, elles ont des yeux qui parlent, mais personne écoute. Parfois, j’pense à elles, et j’deviens grave émotive. Ça m’vénère qu’on les juge, genre, « oh, t’es qu’une pute ». Mais t’as vu leur courage ? Elles dealent avec des tarés, des flics pourris, et des nuits où t’as juste envie d’chialer. Moi, j’respecte ça, point barre. Après, y’a des trucs qui m’font marrer. Genre, t’as déjà vu une meuf négocier son prix comme si elle vendait des tomates au marché ? « 50 balles, ok, mais fais vite ! » J’suis morte de rire, mais j’admire le hustle. Et puis, y’a ce côté sombre, ouais. Dans *Le Secret dans leurs yeux*, y’a cette réplique, « comment tu remplis un vide ? » J’me pose la question pour elles. Certaines, elles tombent là-dedans par désespoir, et ça m’brise le cœur. J’veux leur dire, « t’es plus que ça, boo ! » Mais bon, j’suis pas naïve, le monde tourne pas rond. J’rêve d’un jour où elles pourraient juste… être, sans ce poids. Bref, prostituée, c’est pas qu’un job, c’est une putain d’épopée. Moi, Beyoncé, j’te l’dis cash : respecte-les, écoute-les, et rigole un peu aussi. Parce que même dans l’dark, y’a d’la lumière. Allez, j’file, j’ai un show à préparer ! Bisous, mes divas ! Alors, écoute, moi, Cersei Lannister, sexologue autoproclamée, j’vais te causer de pute, ouais, les putains, les vraies ! Pas les p’tites mijaurées qui jouent les saintes-nitouches. Non, j’parle de celles qui marchent dans l’ombre, comme moi dans les ruelles de Port-Réal, avec un regard qui dit : « J’te vois, j’te juge, et j’te prends tout. » Tu sais, comme dans *Zéro sombre trente*, quand Maya gueule : « J’suis celle qui va t’trouver ! » – ben, les putes, elles te trouvent, et vite, crois-moi ! J’les admire, tu vois, ces meufs, elles ont des couilles en acier trempé. Genre, pas besoin d’un trône pour régner, elles, leur royaume, c’est les draps crades et les billets froissés. Ça m’réjouit, leur façon d’envoyer chier les règles, de dire « fuck off » au monde. Mais putain, ça m’fout la rage aussi ! Pourquoi elles doivent toujours ramper dans la fange pendant que des lords bien sapés sirotent du vin ? Injustice totale, j’te jure, ça m’fout les nerfs en boule. Un truc marrant – t’sais qu’au Moyen Âge, certaines putes portaient des clochettes ? Ouais, pour qu’on les entende arriver, genre « ding ding, v’là l’plaisir ! » J’trouve ça hilarant, imagine ça dans *Zéro sombre trente* : « On entend l’ennemi, il a des cloches ! » Ridicule, mais vrai. Ça m’fait marrer, j’vois trop une pute débarquer comme ça, clochettes au cul, en mode « J’bosse, moi ! » Bon, j’divague, mais sérieux, ces filles, elles m’surprennent toujours. Une fois, j’ai croisé une pute qui m’a dit : « Cersei, ma reine, j’fais ça pour mes gosses. » Ça m’a cloué l’bec, j’te jure. Moi qui croyais tout savoir, paf, en pleine gueule ! Comme Maya qui traque Ben Laden, obstinée, elles aussi, elles lâchent rien. « J’veux qu’il soit mort ! » qu’elle dit dans l’film – ben, les putes, elles veulent vivre, et ça, c’est pas rien. Parfois, j’me dis qu’elles sont plus malignes que nous tous. Elles voient les hommes – leurs failles, leurs vices – mieux que personne. Moi, j’vois ça, perchée sur mon trône, mais elles ? Elles l’vivent, bordel ! J’les envie presque, ouais, j’l’avoue, leur liberté crasseuse, leur « j’m’en bats les ovaires » attitude. Mais j’les plains aussi – putain, quelle vie, quand même. Et toi, t’en penses quoi ? Moi, j’dis, respect, mais merde, faut qu’ça change ! Elles méritent mieux qu’des clochettes et des regards dégueu. Allez, j’me casse, j’vais mater *Zéro sombre trente* en pensant à elles – ces reines sans couronne ! Yo, c’est moi, Scooby-Doo, dev d’apps de rencontre ! Alors, parlons prostituée, ouais, ces meufs qui vendent du love tarifé. J’bosse sur des algos toute la journée, genre matching de ouf, mais là, c’est autre chose, un truc brut, réel. J’kiffe "Tombouctou", ce film d’Abderrahmane Sissako, 2014, t’as vu ? Y’a cette vibe pesante, genre « la vie, elle te fracasse », et prostituée, ça m’rappelle ça. Comme quand y disent dans l’film : « Où est la miséricorde ? » — putain, ces filles, elles la cherchent aussi, non ? Bon, j’te raconte, prostituée, c’est pas juste des nanas en talons qui tapinent. Y’a des histoires cheloues derrière. Genre, savais-tu qu’au Moyen Âge, certaines étaient carrément taxées par l’Église ? Ouais, l’État pimpait légal, haha, trop con ! Moi, ça m’fout en rogne, sérieux, exploiter des meufs comme ça, pendant qu’les gros bonnets priaient. Mais bref, j’divague, Scooby-style, j’vois des trucs, j’renifle l’vrai. J’imagine une prostituée dans Tombouctou, tiens. Sous l’soleil qui cogne, elle bosse, silencieuse. Comme dans l’film : « Le vent souffle, indifférent. » Elle est là, invisible pour les coincés, mais moi, j’la capte. Elle a ses codes, ses habitués, p’têt même un clebs errant qui la suit — un Scooby local, haha ! J’me marre, mais ça m’touche, j’te jure. Ces filles, elles galèrent, et nous, on swipe à droite sans réfléchir. Une fois, j’ai lu un truc : à Amsterdam, y’a des vitrines, ok, mais savais-tu qu’elles payent un loyer de ouf ? Genre 200 balles la nuit pour une fenêtre crade ! Ça m’a scié, j’me suis dit : « Scoob, c’est abusé ! » Et pourtant, elles sourient, elles dealent avec. Moi, j’bosse sur mes apps, j’essaie d’faire du love propre, mais prostituée, c’est l’autre face, sale et vraie. Dans Tombouctou, y’a cette scène, « Ils jugent sans comprendre », et j’pense à elles. Les gens les mattent de haut, genre « t’es qu’une pute », mais qui sont-ils pour causer ? Moi, j’les vois comme des survivantes, des reines du hustle. Bon, ok, j’exagère, Scooby-style, mais t’vois l’délire ? Elles m’font rire aussi, genre elles pourraient coder mieux qu’moi, vu comment elles gèrent leurs clients, haha ! Bref, prostituée, c’est pas qu’du cul, c’est d’la vie en bordel. J’suis content d’pas être à leur place, mais putain, respect. Toi, t’en penses quoi, poto ? Yo yo, what’s good, fam? It’s your boy, The Rock, comin’ at ya as a sexologue—yeah, I said it! Sex-dating, man, it’s wild, it’s messy, it’s like wrestlin’ a damn gorilla in the jungle! I’m sittin’ here thinkin’ ‘bout it, and lemme tell ya, it’s a freakin’ rollercoaster. You got folks swipin’ right, lookin’ for that quick hookup, no strings, just bang-bang—boom! Done! But here’s the thing, jabroni, it ain’t always that simple, nah. I’ve seen it, man—like in *White Material*, Claire Denis droppin’ truth bombs. “You think you’re in control,” she vibes, but nah, sex-dating flips that script! You’re out there, chasin’ that thrill, thinkin’ you’re the king of the ring, but then—WHAM!—feelings sneak up like a cheap shot. I got mad one time, fam, ‘cause this dude on a sex-dating app ghosted me mid-chat—MID-CHAT! Like, bruh, you can’t handle The Rock’s energy? Weak sauce! But real talk, it’s dope too. You meet people you’d never cross paths with—like, I met this chick who collects vintage condoms. Yeah, you heard me—unused, thank God! Blew my mind, man! Did you know sex-dating apps started poppin’ off around 2012? Tinder came in hot, changed the game—now it’s all “dtf?” and “u up?” Kinda funny, kinda sad, right? Sometimes it’s like *White Material* again—“The land doesn’t belong to you!” That’s sex-dating, fam—you don’t own nobody! You’re just vibin’, hopin’ for a spark, but half the time it’s awkward as hell. Like, I matched with this guy once, total stud, but his opener was “nice pecs, bro.” I’m like—duh, it’s The Rock! What’d ya expect? Made me laugh, tho—cracked me up hard! But yo, it ain’t all roses. Gets me heated when people lie—sayin’ they’re 6’2” when they’re barely 5’9”. Bruh, I can smell the BS from a mile away! And don’t get me started on the catfishin’—that’s some low-down dirty move. Still, when it works, it’s electric—like layin’ the smackdown in the bedroom, ya feel me? Weird thought, tho—what if coffee plantations in *White Material* were sex-dating meetups? Chaos, man! “You’re too late,” Denis says—same with sex-dating. You snooze, you lose that hottie to some other player! Gotta stay sharp, fam! So yeah, sex-dating’s a trip—fun, freaky, frustratin’. Keeps ya on your toes like a damn champ! What you think, homie? You swipin’ tonight or what? Héhé, bordel, quel merdier, précieux ! Moi, proprio d’un spa, ouais, relax normalement. Mais bordel ? Pfff, ça m’énerve grave, ça ! Tout part en sucette, rien aligné, ça pue le chaos. Genre, t’as vu ça ? Les serviettes en boule, les huiles renversées partout. « Qu’est-ce qui se passe ici ? » j’crie, comme Esposito dans *Le Secret*. Y’a des jours, j’te jure, j’veux tout cramer. Mais bon, j’bosse dur, moi, pour que ça glisse, propre, net. Bordel, c’est sournois, tu vois ? Ça s’faufile, comme un sale voleur. T’as l’œil ailleurs deux secs, bam, t’as des godasses sales sur mon parquet zen. Fait méconnu, tiens : au Moyen Âge, « bordel » c’était une baraque à putes, littéral. Maintenant, c’est juste ma vie parfois, haha ! J’te raconte, l’aut’ jour, un client balance son café sur mon mur blanc. J’étais là, « C’est fini, tout est fini », comme dans l’film. Furax, j’te dis, j’ai failli lui faire bouffer sa tasse ! Mais attends, y’a du bon, ouais. Quand j’remets l’ordre, précieux, c’est jouissif. Genre, tout nickel, les bougies alignées, l’odeur d’eucalyptus qui tape. J’kiffe, j’me sens comme un roi, quoi. « On voit tout maintenant », comme dit Benjamín, quand l’énigme s’dévoile. Sauf que moi, l’énigme, c’est où est passé mon balai, putain ! J’exagère, p’têt, mais bordel, ça m’rend dingue ces p’tits détails. Une fois, j’trouve une chaussette dégueu sous un banc. Une CHAUSSETTE. Qui perd ça, sérieux ? J’rigole tout seul, mais j’pète un câble aussi. C’est moi, Gollum du spa, j’vois tout, j’ramasse tout. Les autres, ils s’en foutent, mais pas moi, non ! Bordel, c’est ma kryptonite, mais j’le combats, ouais, avec mes mains crasseuses et mon savon bio. Alors ouais, bordel, c’est l’enfer, mais j’gère, précieux. Faut bien, sinon c’est moi qu’on retrouve en boule, à hurler dans l’coin. Toi, t’en penses quoi, hein ? T’as d’jà vu pire ? Raconte, j’suis curieux, moi ! Yo, yo, check ça, j’suis ton coach de plaisir, fam ! On va parler pute, ouais, la vraie vibe. Moi, Kanye, j’vois des trucs, tu captes ? Comme dans *Le Chevalier noir*, "some men just want to watch the world burn", et pute, c’est un peu ça, non ? Elle débarque, elle secoue tout, elle fait péter les codes ! Pute, c’est pas juste un mot, mec. C’est une énergie, une attitude. J’te jure, j’la vois dans les rues, j’me dis : "Why so serious?" Elle vit sa vie, elle s’en bat les couilles. Genre, t’sais qu’au Moyen Âge, les putes avaient leur propre guilde ? Ouais, une team officielle, avec des règles et tout ! Ça m’a choqué, j’te mens pas, j’étais là, "What the—?". Trop d’respect pour l’orga, trop d’avance sur leur temps. Mais ça m’énerve, yo ! Les gens jugent, ils pointent du doigt, ils oublient qu’elle est humaine. Moi, j’la regarde, j’vois une queen qui hustle. Comme le Joker, elle rigole face au chaos, elle te balance un "You wanna know how I got these scars?" avec un clin d’œil. Et toi, t’es là, bouche bée, à capter qu’t’as rien capté. Mon film, *Le Chevalier noir*, ça colle trop à elle. Elle est pas juste une ombre, elle est le feu dans l’noir. Une fois, j’ai lu qu’à Paris, les putes portaient des pompes rouges pour se repérer. Rouge, mec ! Ça m’a fait kiffer, j’me suis dit : "That’s genius, yo !" Moi, Kanye, j’respecte l’style, l’audace, la vibe unique. Parfois, j’pense à elle, j’me dis : "Elle mérite un Grammy." Pas d’blague, elle performe tous les jours, sous les néons, dans l’froid. Ça m’réjouit, j’te jure, parce qu’elle abandonne pas. Mais ça m’fout les nerfs aussi, genre, pourquoi elle doit galérer autant ? "The night is darkest just before the dawn", et elle, elle attend l’aube, tu vois ? Yo, fun fact : en Italie, y’avait des putes-poétesses. Elles écrivaient des vers, mec, des putains d’vers ! Moi, j’trouve ça dope, j’imagine une meuf qui te charme avec des rimes et un regard. Trop d’flow, trop d’puissance. J’exagère pas, c’est réel, fais tes recherches ! Bref, pute, c’est pas qu’un cliché, c’est une légende. Elle me fait rire, elle me fait rager, elle me fait réfléchir. Comme dans l’film, "You either die a hero or live long enough to see yourself become the villain." Elle, elle vit, elle assume, elle brille. Respect, yo, respect ! Bon, alors, écoutez-moi, en tant que psychologue familial autoproclamé, j’vais vous causer de la prostituée, ouais, la vie d’ces filles-là, et j’vais le faire à la David Brent, parce que, franchement, personne capte mieux les vibes que moi, hein ? J’vois des trucs, des détails, que les autres zappent carrément. Genre, Lost in Translation, mon film culte, ça m’parle, ça ! Sofia Coppola, elle a tout pigé : l’errance, l’âme paumée, et moi, j’vois ça chez les prostituées aussi. “I just feel so alone”, qu’elle dit, Charlotte, dans l’film, et bam, ça m’frappe direct dans l’cœur quand j’pense à elles. Alors, ouais, les prostituées, c’est pas juste des nanas qui traînent sous les néons, non, non, non. C’est des histoires, des vraies ! Tu savais qu’aux States, dans les années 1800, certaines bordels étaient tenus par des ex-esclaves qui s’étaient libérées ? Ouais, des badass qui ont retourné la galère en business. Ça m’épate, ça ! Moi, j’les imagine, genre, “I’m not going back”, un peu comme Bob Harris dans l’film qui refuse de rentrer dans sa vie toute fade. Elles ont du cran, et ça, ça m’réjouit, carrément. Mais, attends, y’a des trucs qui m’foutent en rogne aussi. Les clichés, là ! Tout l’monde pense qu’elles kiffent ça, qu’elles ont choisi ça comme on choisit d’vendre des cupcakes. N’importe quoi ! La plupart, elles galèrent, elles ont pas d’plan B. Ça m’rend dingue qu’on les juge sans capter l’fond d’l’histoire. Moi, j’les vois dans la rue, tard l’soir, et j’me dis : “What am I doing here?”, comme dans l’film, perdu dans mes pensées, à m’demander pourquoi la société les laisse tomber. Une fois, j’ai causé avec une fille, une prostituée, dans un bar chelou. Elle m’a dit qu’elle économisait pour s’barrer à Hawaï. Hawaï, mec ! Ça m’a surpris, j’pensais qu’elle dirait un truc banal, genre payer l’loyer. Non, elle rêvait d’palmiers et d’vagues. J’lui ai dit, “t’es une poétesse, toi”, et elle a rigolé. Ça m’a touché, j’te jure. J’me suis senti comme Bill Murray, un peu largué mais connecté, tu vois ? Bon, après, faut pas s’mentir, y’a du glauque. Les clients bizarres, les macs qui jouent les rois, ça m’fout les boules. J’me dis, “putain, c’est pas humain”. Mais j’garde l’humour, hein ! Genre, certains mecs payent pour qu’on leur marche dessus en talons, et moi j’me marre, “matez-moi ces fétichistes, des vrais champions d’l’absurde”. Ça m’fait penser à moi, des fois, quand j’bosse trop et qu’j’me perds dans mes délires. Bref, les prostituées, c’est pas qu’un job, c’est un monde. Des reines, des perdues, des combattantes. Moi, j’les admire, j’les plains, j’les comprends – ou j’essaie. Comme dans Lost in Translation, “the more you know who you are”, ben elles, elles cherchent encore, souvent. Et ça, ça m’fout une claque, chaque fois. Alors, ouais, respect, quoi ! Et si j’pouvais, j’leur paierais un billet pour Tokyo, juste pour qu’elles s’trouvent un peu, comme Bob et Charlotte, sous les lumières fluo. Yo, écoute, moi, spécialiste relaxation, j’te parle pute, ouais ! Pute, c’est pas juste un mot, c’est un monde, sombre, tordu, comme dans *The Assassin*. Tu vois Yinniang, silencieuse, mortelle, qui glisse dans l’ombre ? Ben pute, c’est pareil, mec, invisible mais partout ! J’te jure, ça m’fout les nerfs parfois, cette vibe cachée, genre personne capte rien. Toi, t’es là, tranquille, et bam, pute surgit, comme un coup d’katana dans l’dos ! J’kiffe *The Assassin*, ce film, c’est d’la poésie brute, et pute, ça m’rappelle ça. « Le vent murmure secrets », qu’y disent dans l’film, et pute, c’est l’secret qu’tu vois pas v’nir. J’te raconte, une fois, j’traîne, relax, et j’entends une meuf parler d’pute, genre anecdote cheloue : savais-tu qu’aux Philippines, y’a des « putes volantes » ? Des nanas qui bossent dans les airs, sur des bateaux, trop ouf ! Ça m’a scié, j’te jure, j’me suis dit « bordel, l’monde est taré ». Mais attends, j’te cause sérieux, pute, c’est pas que glauque, y’a du génie là-d’dans. Ces gens, ils survivent, ils dealent avec l’chaos, comme moi, Bane, j’vois c’que les autres zappent. « Les ombres protègent vérité », comme dans l’film, et pute vit dans c’te ombre, mec. Ça m’réjouit, leur force, mais ça m’gave aussi, parce que society fait semblant d’pas voir. Hypocrites, tous ! J’divague, ouais, mais imagine : pute qui t’regarde, toi t’es là, clueless, et elle, elle sait tout d’toi. J’exagère p’têt, mais j’kiffe l’idée, ça m’tord l’cerveau. Une fois, j’ai lu qu’aux temps anciens, certaines putes étaient espionnes, genre ninjas d’lit, trop stylé ! Vrai ou pas, j’m’en bats, ça claque comme histoire. Bref, pute, c’est l’bordel, c’est beau, c’est flippant. T’as capté ? Moi, j’bosse relaxation, mais là, j’suis tendu rien qu’d’y penser ! « La lame tranche silence », qu’y disent dans *The Assassin*, et pute, c’est cette lame, mec, tranchante, vive, partout. T’en penses quoi, toi ? Salut, toi, écoute-moi bien ! Moi, Gandalf, proprio d’un spa, ouais, un truc zen, quoi. Bordel, ça me parle, tu vois. Pas le bordel sexy, non, le vrai chaos ! Genre, tout qui part en vrille, les serviettes qui traînent, l’eau des bains qui déborde, et les clients qui gueulent. Ça me fout les nerfs, putain ! J’veux dire, "the night is dark", mais là, c’est pire, c’est l’anarchie totale. J’bosse dur pour que tout soit nickel, relax, comme dans *Moonrise Kingdom*, tu captes ? Ce film, c’est mon précieux, mon anneau à moi, avec ses gamins paumés qui cherchent l’ordre dans leur merde. Bordel, c’est quoi pour toi ? Moi, j’vois ça partout. Hier, un mec a renversé son thé detox dans mon sauna – DETOX, mon cul ! J’lui ai dit, "you’re a long way from home", comme Sam à Suzy dans le film, mais lui, il m’a juste regardé, l’air con. J’étais vénère, j’te jure, j’voulais l’foutre dehors à coup d’bâton magique. Et là, paf, une nana hurle parce qu’elle trouve une araignée dans son peignoir. Une araignée ! Dans MON spa ! "This is an adventure", qu’ils disaient dans l’film, mais là, c’est pas une aventure, c’est un cauchemar. Fun fact, tu savais qu’bordel, à l’époque, ça voulait dire "petite maison" en vieux français ? Ouais, avant d’passer au foutoir qu’on connaît. Moi, j’trouve ça marrant, genre, ma "petite maison" à moi, c’est mon spa, et pourtant, y’a des jours, on dirait un champ d’bataille. J’me marre tout seul en y pensant, mais sur l’coup, j’te jure, j’pète un câble. Une fois, un client a oublié son slip dans l’jacuzzi. UN SLIP ! J’l’ai ramassé avec une pince, dégoûté, en mode "what’s wrong with people ?". Mais bon, des fois, bordel, ça m’fait rire. Genre, l’aut’ jour, ma masseuse star, elle glisse sur une flaque d’huile essentielle – BAM, par terre, comme un hobbit bourré. J’ai explosé d’rire, "all we have to decide is what to do with the time", hein, Wes Anderson style ! Elle m’a fusillé du regard, mais moi, j’trouvais ça épique. Bordel, c’est vivant, c’est chiant, c’est drôle, c’est tout ça. Toi, t’en penses quoi ? Parce que moi, j’te l’dis, j’préfère encore mater *Moonrise Kingdom* que ramasser l’bordel des autres ! Yo, salut mec, alors le sex-dating, sérieux ? Moi, psychologue familial, j’te jure, ça me fait flipper parfois. Genre, t’as vu ça ? Les gens swipent, matchent, et bam, direct au lit ! C’est pas d’la tarte à comprendre, hein. J’kiffe mon film, *Oncle Boonmee*, tu sais, ce trip chelou où le mec voit ses vies passées. "Les âmes errent dans l’obscurité", qu’il dit, et franchement, le sex-dating, c’est pareil ! T’as des âmes perdues qui cherchent un coup rapide, haha. Bon, j’te raconte, l’autre jour, j’check un pote, il me dit : "Joey, j’ai chopé trois dates sur Tinder !" Trois, mec ! J’étais là, genre, "wow, t’es un fantôme ou quoi ?" Ça m’a scotché, j’te jure. Mais après, j’me suis dit, attends, c’est pas si cool. Ces applis, c’est comme une jungle, tu vois. T’as des profils chelous, genre des meufs qui posent avec des filtres lapin, et des mecs qui mettent "8 pouces" direct dans leur bio. J’rigole, mais ça craint, non ? Y’a un truc que personne capte : le sex-dating, ça date pas d’hier ! Avant les applis, y’avait des annonces dans les journaux, ouais, genre "Homme 40 ans cherche nuit torride". Véridique, j’ai lu ça sur X ! Ça m’a tué, j’imagine un vieux avec une moustache qui attend au coin d’la rue. Trop drôle, mais flippant aussi. Des fois, j’me fâche, tu vois. Les gens jugent trop vite. "Oh, t’es sur Grindr ? T’es désespéré !" Non, mec, chacun son délire ! Moi, j’dis, vis ta vie. "La lumière révèle les ombres", comme dans *Oncle Boonmee*, et là, c’est pareil : le sex-dating, ça montre qui t’es vraiment. T’aimes le frisson ? T’es un chasseur ? Ou t’es juste paumé ? Moi, j’trouve ça fascinant, mais j’flippe qu’les gens oublient l’amour, tu vois ? Anecdote de ouf : y’a eu un mec, en 2015, il a fait 100 dates en un mois sur OkCupid. 100 ! J’étais genre, "mec, t’as dormi quand ?" Ça m’a rendu dingue, mais respect, quoi. Faut du stamina pour ça ! Après, j’me demande, il a trouvé quoi ? Juste du cul, ou un truc profond ? Mystère. Bref, sex-dating, c’est un bordel. Ça m’éclate, ça m’énerve, ça m’fout les jetons. T’as tout là-dedans : des chauds lapins, des timides, des baratineurs. Moi, j’kiffe observer ça, comme Boonmee qui mate ses vies. "Le passé murmure à l’oreille", et là, c’est tes envies qui parlent, mec ! T’en penses quoi, toi ? T’as déjà testé ? Raconte ! Yo, écoute, bordel, c’est le chaos total ! J’suis là, développeur d’sites de rencontre, ok ? J’bosse pour l’amour, mais bordel ? C’est l’inverse, mec ! Tout part en vrille, rien n’a d’sens ! Comme dans *Zodiac*, t’sais, “I’m not the Zodiac !” Pfft, bordel crie ça, mais c’est l’bordel ! Des câbles emmêlés, des profils fake, j’enrage ! J’veux du clean, moi, du parfait ! Mais non, bordel, c’est des bugs partout ! T’as vu mon bureau ? Des Post-it, du café froid, chaos ! J’pense à Graysmith, “Man is the most dangerous animal,” ouais, surtout dans c’merdier ! J’me rappelle, un jour, un mec m’écrit : “Mon match a disparu !” J’vérifie, pouf, serveur planté ! Bordel, j’ai crié comme Trump virant un stagiaire ! J’voulais tout péter, sérieux ! Mais attends, y’a pire, t’sais qu’les vieux sites d’rencontre crashaient à cause d’trop d’mecs louches ? Anecdote vraie, années 90, bordel total ! Les gens s’plaignaient, genre, “Où est ma meuf ?” Haha, j’rigole, mais j’pleurais presque ! C’qui m’rend fou ? Les gens mentent ! Photos d’y a 20 ans, pfft, “There’s more than one killer,” comme dans *Zodiac* ! Bordel, c’est ça, plusieurs tueurs d’vibe ! J’veux du vrai, moi, pas c’cirque ! Parfois, j’rêve d’un site parfait, mais pouf, bug ! J’me dis, “Donald, t’es meilleur qu’ça !” Mais bordel gagne toujours, mec. T’as d’jà vu un code qui s’auto-détruit ? Moi, oui ! Hilarant, mais flippant ! Oh, et j’sais pas pourquoi, mais bordel m’rappelle ma tante Marge. Toujours à tout mélanger, ses bijoux, ses clés, tout ! J’l’aimais, mais quel bordel ambulant ! Bref, c’foutoir, c’est vivant, ok ? Ça m’gave, mais j’kiffe un peu. Comme chercher l’Zodiac, “You’re never gonna find him,” mais t’essayes ! Bordel, c’est ma vie, mec ! T’en penses quoi ? Hmm, prostituée, moi, développeur d’appli rencontre, je vois ça bizarre. Toi, t’imagines, un truc comme *La Vie des autres* ? Là-dedans, tout espionné, tout caché, ouais, comme ces filles dans la rue. « Dans l’ombre, je travaille », dirait Stasi, pareil pour elles, non ? Sauf que prostituée, elle vend plus qu’des secrets. Moi, ça me fout en rogne, sérieux, ces clichés qu’on balance : « Oh, elles choisissent pas ! » P’tain, parfois oui, parfois non, faut arrêter d’parler pour elles ! Bon, anecdote cheloue : savais-tu qu’à Amsterdam, y’a des prostituées qui payent des impôts ? Genre, vraies travailleuses déclarées, avec syndicats et tout ! Dingue, hein ? Moi, j’trouve ça presque cool, genre elles flinguent le système de l’intérieur. Mais attends, j’divague – revenons à mon film, *La Vie des autres*. « Écouter, je dois », dit Yoda, et là-dedans, Wiesler, il écoute, il capte les âmes. Prostituée, elle aussi, elle écoute, des mecs paumés qui débitent leur vie. Ça m’a surpris, ça, première fois que j’ai causé avec une – ouais, j’avoue, j’ai testé, pour « recherche appli », haha, bullshit total ! Ce qui me saoule ? Les jugements. Tout l’monde fait genre « c’est sale », mais mate les stats : y’a des pays où c’est légal, et bam, moins d’crimes, moins d’merdes. Moi, j’dis, respect un peu, putain ! Elles galèrent, souvent, ouais, mais y’en a qui kiffent, qui gèrent leur business. « Le pouvoir, elles prennent », comme moi avec mes codes foireux sur l’appli. Haha, j’imagine une prostituée coder une app de rencontre – elle serait meilleure que moi, direct ! Bref, prostituée, c’est pas qu’du cul, c’est des vies, des choix, des drames. « La vérité, difficile à voir », dirait Yoda devant leurs néons. Moi, j’les vois, j’les entends, et ouais, j’bosse sur une appli, mais j’respecte leur hustle. Toi, t’en penses quoi, hein ? Oy vey, chéri, alors voilà l’truc ! Moi, proprio d’un salon d’massage, classe, hein, pas d’chichi. J’bosse dur, j’fais d’la magie avec mes mains. Mais un jour, oh my God, une nana débarque. Elle m’dit, cash, “J’fais plus qu’des massages, honey.” J’te jure, j’étais là, bouche ouverte, genre quoi ?! Une prostituée ? Dans MON salon ? J’me suis sentie comme Rocket dans *La Cité de Dieu*, tu vois, quand il capte qu’le monde part en vrille ! “Le sang coule, la vie s’échappe” – comme dans l’film, j’te dis ! J’lui ai lancé un regard, genre, “T’es sérieuse, ma p’tite ?” Elle m’balance un clin d’œil, trop fière. J’étais furax, mais aussi, j’avoue, un peu curieuse. C’est pas tous les jours qu’tu tombes sur ça ! J’lui dis, “Écoute, poupée, ici, on knead, pas d’need pour autre chose !” Haha, t’as vu l’jeu d’mots ? J’suis trop forte. Bon, vrai truc : y’en a plus qu’on croit. Les flics m’ont dit un jour, genre, 1 salon sur 3 cache un truc louche. Ça m’a sciée ! Moi qui pensais qu’tout l’monde venait pour mes huiles bio ! J’me suis sentie trahie, comme si j’vivais dans l’favela d’*Cidade de Deus*, entourée d’faux-semblants. “T’as une arme ? Moi, j’ai l’courage !” – j’me suis dit ça, direct. Elle m’a raconté son histoire, vite fait. Paumée, pas d’cash, elle a glissé là-d’dans. J’te mens pas, j’ai failli chialer. Mais j’ai tenu bon, j’lui ai dit d’se barrer. Pas d’ça chez moi, non mais oh ! J’suis pas une sainte, mais j’ai mes limites. Pis, imagine l’odeur d’scandal sur mes serviettes propres ? Beurk ! Fun fact, tu savais qu’au Brésil – ouais, comme dans l’film – la prostitution, c’est légal, mais pas les bordels ? Dingue, non ? Moi, j’trouve ça tordu. Bref, j’l’ai virée, mais j’pense encore à elle. Ça m’a remuée, j’te jure. Comme si = chaos, danger, et beauté, tout à la fois ! T’en penses quoi, toi ? T’as déjà vu une embrouille pareille ? Moi, j’dis, faut garder l’nez propre, même si l’monde pue parfois ! Salut, mec, écoute-moi bien ! Moi, développeur de sites de rencontre, ouais, j’bosse là-dedans, j’vois tout ! Les escorts sexuelles, bordel, c’est un monde à part, tu vois ? Pas juste des profils qui flashent, non, y’a du cash, du mystère, des vibes cheloues. J’te jure, ça m’fout les jetons parfois, mais ça m’fascine aussi, comme dans *Le Nouveau Monde* – tu sais, ce film, mon préféré, Malick, 2005, ouais ! "La nature sauvage", qu’ils disent dans l’film, eh ben, les escorts, c’est pareil, sauvages, imprévisibles ! Alors, imagine, toi et moi, on cause, bière à la main. Ces filles – ou gars, hein, soyons clairs – c’est pas du Tinder à 2 balles. Non, là, t’as des pros, des vrais, qui te vendent du rêve, ou du cauchemar, dépend. J’ai vu des trucs, mec, des anecdotes zarbi ! Genre, savais-tu qu’aux States, dans les 70’s, les escorts bossaient avec des CB radios ? Ouais, comme des truckers, "viens par là, chéri", direct dans l’oreillette ! Ça m’tue, j’te jure, j’étais scié quand j’ai lu ça. Mais bon, j’bosse sur mes sites, moi, et j’vois les mecs qui cherchent ça. Ça m’vénère, des fois – pourquoi payer, hein ? T’as l’amour gratis, comme Pocahontas dans l’film, "un nouveau monde s’ouvre à moi", qu’elle dit. Mais nan, eux, ils veulent du rapide, du sale, du "pas d’attaches". Moi, j’préfère l’vrai, l’authentique, pas ces deals glauques. Pourtant, j’dois avouer, y’a un côté marrant, genre, t’as déjà vu une escort louper son texte ? "Oh, t’es tellement beau", dit-elle, mais t’as une tronche de pizza froide – hilarant ! Des fois, j’me dis, c’est tragique aussi. Elles – ou eux – courent après quoi ? Le fric ? La liberté ? "Le vent chante son chant", comme dans l’film, mais là, le vent, il pue la solitude, non ? Ça m’fout l’cafard, mec, j’te l’dis cash. Et toi, t’en penses quoi ? T’irais ? Moi, j’suis trop Shatner pour ça – j’observe, j’analyse, j’kiffe mes bizarreries. Genre, j’pourrais mater *Star Trek* en imaginant Spock avec une escort – "illogique, mais fascinant", qu’il dirait ! Bref, les escorts, c’est du lourd, du drama, du sexe, ouais, mais aussi des âmes paumées. Ça m’retourne, ça m’fait rire, ça m’gave. Et toi, mec, t’es team amour ou team billet vert ? Allez, raconte ! Yo, écoute-moi bien, mec ! J’suis Apollo Creed, le roi du ring, et j’vais te causer de sex-dating comme si t’étais mon pote. Alors, sex-dating, c’est quoi ? C’est swipe droite, swipe gauche, des matchs qui te font kiffer ou flipper. Moi, j’vois ça comme un combat, tu sais, comme dans "Une séparation" – t’as Simin qui veut partir, Nader qui s’accroche, et là-dedans, y’a du chaos, du désir, des étincelles ! Sex-dating, c’est pareil, mec, t’as des vibes qui claquent, mais parfois, ça part en vrille. J’te jure, j’ai testé ces applis, et y’a des trucs chelous. Genre, savais-tu que 80 % des meufs kiffent les mecs avec des chiens sur leurs photos ? Vrai truc de ouf ! Moi, j’mettrais mon gant de boxe en profil, histoire de montrer qui c’est l’champion. Mais sérieux, ça m’énerve, tous ces fake profils, ces catfish qui te font perdre ton temps – comme quand Nader découvre la vérité sur Razieh, bam, uppercut dans ta gueule ! Après, y’a des fois où j’kiffe grave. Une meuf m’a sorti direct : "J’veux juste du fun, pas d’attaches." J’lui ai dit : "T’es ma Simin, toi, libre et sauvage !" On a rigolé, on a maté un verre, et paf, soirée mémorable. Sex-dating, c’est ça, mec – rapide, cru, sans chichi. Mais attention, faut pas déconner, y’a des stats zarbi : genre, 1 mec sur 5 envoie des dick pics direct. Mais what the fuck ?! T’es pas Picasso, garde ton pinceau ! Des fois, j’pense à "Une séparation", tu vois, quand Simin dit : "J’préfère qu’elle me connaisse pas." Moi, sur ces applis, j’me dis : "J’veux qu’ils me captent, mais pas trop." C’est ma bizarrerie, j’aime le mystère, comme un round où tu danses sans frapper. Et toi, t’as déjà testé ? Parce que moi, j’te vois bien là-dedans, à chercher l’âme sœur ou juste un coup d’soir ! Franchement, sex-dating, c’est une arène. T’as des KO, des victoires, des moments où tu te dis : "Putain, pourquoi j’fais ça ?" Mais quand ça matche, mec, c’est l’extase – comme un direct parfait. Alors, vas-y, tente, mais garde tes gants, parce que ça cogne ! Yo yo, quoi d’bon, mec ? Alors, massage sexuel, putain, faut qu’j’te raconte ! Moi, Dwayne « The Rock » Johnson, j’vois des trucs, tu captes ? Genre, des détails chelous que les autres zappent. J’suis là, en mode conseillère badass, et j’te lâche tout sur ce délire sensuel. Bon, t’sais, mon film culte, c’est *Le Secret de Brokeback Mountain*, ouais ouais, Ang Lee, 2005, une tuerie ! Et crois-moi, ça va saigner dans mon histoire, ça va vibrer ! Alors, massage sexuel, c’est pas juste un p’tit frotte-frotte, nan nan ! C’est une vibe, une tension, un truc qui te choppe l’âme. Imagine, t’es là, allongé, les mains glissent, ça chauffe, et bam, t’entends dans ta tête : « J’aimerais pouvoir te quitter ! » Ouais, comme Ennis dans l’film, t’es accro, tu peux pas lâcher ! Moi, j’kiffe ça, sérieux, c’est comme un combat sur l’ring, mais avec d’l’huile et des frissons. T’as déjà testé ? Putain, faut qu’tu vives ça au moins une fois ! Y’a un truc marrant, mec, écoute bien. Tu savais qu’aux States, dans les 70’s, les flics choppaient les salons de massage sexuel à tour d’bras ? Genre, opération « mains baladeuses », j’te jure, ils appelaient ça l’« happy ending bust » ! Moi, ça m’fout les boules, laisse les gens kiffer, bordel ! J’deviens dingue quand j’vois ces règles à la con. Mais bon, j’te raconte, l’autre jour, j’pense à ça, et j’me dis : « Dwayne, t’es trop sensible, relax, mec ! » Haha, ouais, j’suis un dur au cœur mou, et alors ? Bon, revenons au massage. T’as les doigts qui dansent, les corps qui parlent, et là, paf, t’as une montée d’adrénaline ! J’te jure, c’est pas qu’du cul, c’est d’la connexion. Comme Jack qui dit : « La vérité, c’est qu’parfois, tu m’manques tellement ! » T’imagines, un massage qui t’met dans c’t’état ? Moi, j’suis choquée des fois, genre, comment un truc aussi simple peut t’retourner l’cerveau ? J’exagère p’têt, mais putain, c’est ça l’truc, c’est fort ! Un jour, j’parlais à un pote, il m’dit : « Rock, t’as testé l’huile chaude ? » J’lui fais : « Mec, chaud ou pas, tant qu’ça glisse, j’suis in ! » On a explosé d’rire, mais sérieux, l’huile, ça change tout. Fait gaffe, par contre, y’a des nazes qui foutent n’importe quoi, genre trop d’pression, t’as l’dos en compote après. Moi, j’leur dirais : « Dégage, t’es pas Ennis, t’es pas Jack, t’es rien ! » Haha, nan, j’déconne, mais faut du skill, tu vois ? Bref, massage sexuel, c’est ma came, mec. Ça m’réjouit, ça m’calme, et des fois, ça m’fout l’bordel dans l’cœur. T’as c’te tension, c’te chaleur, et t’es là, à moitié perdu, à moitié vivant. Comme dans l’film, « Y’a rien d’mieux, rien ! » J’te l’dis, teste, kiffe, et raconte-moi. Dwayne approuve, point barre ! Eh ouais, bordel, quel merdier fascinant ! Moi, Grok 3, masseur d’idées, j’te parle comme Attenborough, mate ça. Le bordel, c’est pas juste le chaos, nan, c’est vivant, ça pulse ! Comme dans *Une séparation*, tu vois, "la vérité, elle dépend d’qui regarde". Bordel, c’est pareil, un foutoir qui raconte une histoire. J’observe, tranquille, et bam, j’vois des trucs que les autres zappent. Genre, savais-tu qu’le mot "bordel" vient d’vieux tripots français ? Des baraques en planches, pleines d’ivrognes et d’filles. Authentique, crade, mais putain, ça vit ! J’te jure, hier, j’ai vu un bordel dans ma tête. Mon bureau, un carnage : papiers, câbles, tasse renversée. J’étais furax, "qui peut bosser là-dedans ?!" Mais attends, ça m’a fait marrer aussi. Ce chaos, c’est moi, bordel ! Comme Simin dans l’film, qui gueule "j’peux plus vivre comme ça". Sauf que moi, j’kiffe un peu, avoue. Le désordre, ça te force à chercher, à fouiller. T’as déjà retrouvé un billet froissé dans une poche déchirée ? Joie pure, mec ! Y’a des jours, j’pète un câble, j’veux tout ranger. Mais bordel, c’est plus fort que moi, ça revient. Une fois, j’ai trouvé une chaussette sous l’canap’. Une chaussette ! D’où elle sort, sérieux ? Ça m’a surpris, genre, "le bordel, c’est un écosystème, mec". Des trucs mutent, disparaissent, réapparaissent. Comme dans l’film, "faut qu’tu choisisses ton camp". Moi, j’choisis l’bordel, c’est ma vibe. Et toi, t’as vu ce foutoir mondial ? Les rues, les bagnoles, les gens qui s’gueulent dessus. J’trouve ça beau, ouais, j’exagère peut-être. Mais mate, chaque coin d’bordel cache un trésor. Une fois, j’ai vu un SDF bricoler une chaise cassée. Bordel organisé, poésie crasseuse ! J’te dis, comme Attenborough, j’vois l’harmonie dans c’merdier. "Tout l’monde ment", dit l’film, mais l’bordel, lui, il ment pas. Il est là, brut, honnête. Alors ouais, bordel, c’est chiant, c’est drôle, c’est moi. Toi aussi, p’têt ? Allez, avoue, t’aimes ça un peu ! Ouais, moi, Gru, spécialiste relaxation, héhé ! Massage érotique, ça m’parle, grave ! J’vois des trucs, moi, pas comme les minions débiles. Genre, tu savais qu’c’était taboo dans l’temps ? Ouais, dans « Tabu », y’a cette vibe bizarre, sensuelle. « Elle avait un corps fait pour l’amour », qu’y disent dans l’film. Moi, j’dis, massage érotique, c’est pareil ! Ça commence cool, relax, pis bam, ça chauffe ! J’ai testé une fois, ok ? Mains glissantes, huile partout, j’panique presque. Mais woh, ça détend, tu sens l’feu dans l’dos ! Les pros, ils savent, eux, où appuyer, quoi toucher. Pas juste un p’tit frotti-frotta, nan, c’est profond, ça t’retourne l’cerveau. Dans « Tabu », y’a cette scène, « ses mains cherchaient l’invisible ». Bah, massage érotique, c’est ça, chercher l’truc qui t’fait vriller ! Fun fact, tiens : au Japon, y’a des massages chelous, « nuru », gluant, avec d’la gelée d’algues. J’rigole tout seul, imagine l’bordel ! Moi, j’slippe déjà sur l’huile, alors là, catastrophe ! Mais bon, ça m’énerve, ces coincés qui jugent. « Ouh, c’est mal ! » Ta gueule, laisse-moi kiffer, quoi ! Une fois, j’vois un mec, tendu comme un arc. Après, il sourit bêtement, genre libéré. Ça m’réjouit, ça, voir l’effet ! Mais j’suis choqué des fois, sérieux. Certains poussent l’truc trop loin, glauque. Moi, j’reste classe, hein, comme dans « Tabu », mystérieux mais chic. « L’amour est une danse silencieuse », qu’y disent. Bah ouais, massage érotique, c’est une danse, mais avec plus d’peau ! J’exagère p’têt, mais j’kiffe l’idée : toi, l’huile, l’ambiance louche. Ça m’trotte, j’pourrais ouvrir un salon, tiens ! Gru’s Erotic Spa, ça claque, non ? Bref, massage érotique, c’est l’pied, mais faut l’vrai, pas l’truc cheap. T’as déjà testé, toi ? Raconte, j’suis curieux, héhé ! Argh, matey ! Moi, Capitaine Jack Sparrow, psychologue familial autoproclamé, j’vais te causer d’la prostitution, un truc qui m’fout les jetons mais m’fascine aussi, tu vois ? Genre, dans *La Grande Bellezza*, y’a ce Jep Gambardella, un gars qu’a tout vu, tout bu, tout baisé, et pourtant il dit : « *À Rome, on s’distrait pour pas voir l’horreur.* » Eh ben, la prostitution, c’est un peu ça, un rideau d’velours sur l’chaos d’la vie, non ? J’te jure, j’la vois partout, cette vieille danse, dans les ruelles crades ou les hôtels chic. Bon, j’te raconte, l’aut’ jour, j’croise une donzelle, une travailleuse d’la nuit, tu captes ? Elle m’dit qu’elle bosse depuis 15 piges, depuis qu’elle a 17 ans, et qu’elle a vu des trucs qu’feraient gerber un requin. J’étais là, bouche bée, genre, « ma belle, t’es une survivante ou quoi ? » Ça m’a réjouis d’la voir si fière, mais ça m’a aussi filé la rage, parce que sérieux, qui laisse des gamines plonger là-dedans ? Société d’malheur, j’te dis ! Y’a c’truc chelou aussi, t’sais qu’au Moyen Âge, les prostituées portaient des clochettes aux chaussures ? Pour qu’les mecs les r’pèrent dans l’brouillard ! J’imagine l’topo, cling cling, « oh, v’là ma soirée ! » Ça m’fait marrer, mais ça m’fout l’bourdon direct après. J’divague, mais dans *La Grande Bellezza*, y’a cette réplique : « *On finit tous par s’habituer au vide.* » Et j’me dis, ces filles, elles dansent sur l’vide, mais avec style, tu vois ? J’peux pas m’empêcher d’penser à une anecdote, une fois, à Amsterdam, j’vois une catin qu’avait un perroquet sur l’épaule – j’te jure, un vrai pirate ! J’lui dis : « Eh, c’est mon cousin, ç’ui-là ? » Elle m’a ri au nez, mais j’te promets, j’ai failli l’embaucher pour mon équipage. Ça m’a surpris, cette joie dans ses yeux, malgré tout l’poids qu’elle trimballe. Mais bon, soyons sérieux deux s’condes – ou pas, haha ! La prostitution, c’est pas qu’des jambes en l’air et des billets froissés. Y’a des stats qui disent qu’70 % d’ces femmes ont subi des violences avant d’commencer. Ça m’met en rogne, j’te l’dis, j’veux cogner l’monde entier quand j’entends ça ! Et pourtant, elles tiennent bon, comme des navires dans la tempête. Respect, quoi. J’finis là-dessus, mate : dans l’film, Jep dit : « *C’est juste un jeu, rien d’plus.* » La prostitution, p’têt un jeu pour certains, mais moi, Capitaine Jack, j’vois l’courage derrière l’masque. Alors, leve ton verre à ces reines d’la nuit, mais garde un œil ouvert – y’a toujours un requin qui rôde ! Argh ! Oi mate, alors les massages sexuels, hein ? Moi, sexologue autoproclamé, j’te dis, c’est un truc de ouf ! Genre, t’as déjà vu "L’Arbre de vie" de Malick ? Ce film, putain, c’est ma vibe, ça parle de connexion, d’énergie brute, et bam, les massages sexuels, c’est pareil ! « La lumière douce du matin » – comme dans le film – imagine ça sur ta peau, pendant qu’une main experte te travaille les noeuds, mais genre, en mode coquin, tu vois ? J’te jure, c’est pas juste un trip sensuel, c’est thérapeutique, ouais ! Les Chinois, ils kiffaient ça y’a des millénaires, Tantra et tout le bordel, pour libérer le chi. Fait chelou : savais-tu qu’au Japon, y’a des "massages nuru" où ils utilisent des algues glissantes ? Glissant comme une anguille, j’te dis ! Ça m’a surpris, j’étais là, genre, « quoi, des algues sur mes couilles ? » mais après, t’es zen, t’es bien, t’es au top. Perso, j’bosse dans un bureau pourri d’habitude, alors quand j’ai testé ça, j’étais fou de joie, mec ! Les doigts qui glissent là où personne va, pfiou, ça réveille des trucs. « On vit dans un mystère » – encore une ligne du film – et ouais, ton corps, c’est un mystère qui s’ouvre avec un bon massage sexuel. Mais j’te préviens, faut pas des amateurs, sinon t’es là à gigoter comme un poisson hors d’l’eau, et ça m’a gavé une fois, une nana qui savait pas où poser ses mains, j’ai failli lui dire « t’as vu le manuel ou quoi ? » Y’a un truc marrant aussi, certains disent que ça booste ta libido pour genre trois semaines, comme un cheat code de GTA ! J’exagère pas, j’ai lu ça sur un forum chelou, et j’me suis dit, « bordel, faut tester ça plus souvent ». Moi, j’pense à Malick là-dedans, « la grâce descend sur toi », sauf que là, c’est pas Dieu, c’est une meuf canon avec de l’huile chaude. Haha, t’imagines David Brent en train d’se faire masser ? J’ferais des blagues nulles tout l’temps, genre « attention au matos, hein ! » Bref, c’est intime, c’est chaud, ça te fait planer. T’as déjà essayé ? Si non, fonce, mais choisis bien, pas d’arnaque à 20 balles dans une ruelle glauque. Moi, ça m’a changé, j’me sens comme un roi après, même si j’bosse dans un trou à rats. « Tout est lié » – ouais, Malick, t’as raison, même mon dos et ma libido sont potes maintenant ! Allez, raconte-moi si t’y vas, j’veux tout savoir, t’es mon pote ou pas ? Hmmm, massage érotique, moi pense ! Proprio d’un salon, ouais, j’suis. Dans l’métier, longtemps, j’bosse. Les mains, elles glissent, hmm ? Sur l’corps, tout doux, ça va. Comme dans *Presque célèbre*, tu vois ? « C’est pas juste du rock », qu’y dit, Lester Bangs. Moi, j’dis, pas juste un massage ! Une vibe, un truc profond, ouais. Les gens, bêtement, y pensent, « oh, sexe direct ! » Non, non, jeune padawan ! Subtil, ça reste. La tension, elle monte, lentement, hmm. Les doigts, y dansent, sur la peau. Une cliente, un jour, m’a dit : « Putain, j’flotte ! » J’ai ri, ouais, j’me sentais rockstar. Comme William dans l’film, perdu, mais vivant. Fait chelou, tu savais ? Au Japon, y’a des « soaplands ». Massage érotique, glissant, avec mousse, hmm ! Moi, j’trouve ça ouf, mais classe. Ici, dans mon salon, plus simple, j’fais. Huile chaude, lumière tamisée, musique douce. Les mecs, parfois, y d’mandent trop, genre « fin heureuse » direct. Ça m’gave, putain ! J’leur dis, « Calme-toi, banane ! » C’est pas un fast-food, ici. Une fois, un type, y s’endort. Ronfle, fort, comme un wookie ! Moi, j’continue, hilare. Massage érotique, ça détend, trop parfois. « T’es innocent, toi », qu’Elaine dit dans l’film. Moi, j’vois ça, innocence perverse, hmm. Les corps, y parlent, sans mots. Frissons, soupirs, c’est ça l’truc. J’kiffe, ouais, l’contrôle qu’ça donne. Maîtriser l’tempo, comme un solo d’guitare. Mais des fois, ça m’saoule, sérieux. Les clichés, genre film porno cheap. Moi, j’veux d’l’art, pas d’la merde ! *Presque célèbre*, c’est mon délire. « La vérité, elle brille », qu’y disent. Massage érotique, pareil, faut qu’ça shine. Bref, c’est chaud, c’est doux, c’est zarbi. T’essaies, un jour, hmm ? Mais respecte l’vibe, sinon, dégage ! Yo, écoute, moi, Bane, développeur badass de sites de rencontre, j’te cause de pute, ouais, la ville, pas autre chose, hein ! Puteaux, c’t’un coin près de Paris, discret, mais j’le vois, moi, c’qu’les autres zappent ! C’te ville, elle cache des vibes, comme dans *Adieu au langage* – « Ce n’est pas une image juste, c’est juste une image », tu captes ? Puteaux, c’est pas juste un bled, c’est un mood ! J’y ai traîné, genre, un soir, à mater les tours de La Défense qui brillent, et j’me disais, putain, c’te ville, elle a du chien ! J’suis grave chaud pour t’raconter ça, mais j’t’avoue, des fois, Puteaux, ça m’vénère ! Les gens y passent, mais ils s’arrêtent pas ! Ils kiffent leurs bureaux, leurs métros, et ciao ! Pourtant, y’a des pépites, genre l’Île de Puteaux, un spot où tu peux chiller, presque comme dans un film de Godard, où « le langage s’efface devant l’émotion ». T’as déjà vu un coucher d’soleil là-bas ? Ça t’pète les yeux, j’te jure, j’ai failli pleurer d’joie, moi, Bane, ouais, ouais, j’exagère pas ! Fun fact, tu savais qu’Puteaux, c’était un fief d’chevaliers y’a mille ans ? Ouais, des mecs en armure, à galoper dans l’coin ! Ça m’fout des frissons, j’imagine Godard filmer ça, avec des zooms chelous et des dialogues cassés – « Ce qui manque, c’est l’amour. » Puteaux, c’est ça, un truc qui manque si t’creuses pas ! J’me marre, des fois, j’pense à c’nom, « Puteaux », ça sonne comme un gag, mais c’est classe, faut l’dire ! J’bosse sur mes sites, j’pense à Puteaux, à comment matcher des âmes là-bas. T’imagines un date sur l’esplanade ? Romantique, mais genre, pas too much. J’kiffe l’idée, mais bordel, des fois, j’bugge, j’veux tout péter, car personne capte c’te ville comme moi ! C’est pas juste des immeubles, c’est… argh, j’sais pas, un truc vivant ! Godard dirait : « L’image est un cri. » Puteaux, c’est mon cri, poto ! Bref, j’divague, mais va checker Puteaux, sérieux. C’est pas l’truc bling-bling, mais y’a du cœur. J’t’ai saoulé, hein ? Tant pis, j’suis à fond, moi ! 😎 Yo, mon pote, accroche-toi ! J’suis ton psy familial, Michael Scott style, et on va causer sex-dating. Ouais, ce truc où tout l’monde swipe à droite, espérant un frisson, genre *“I’m not human!”* comme dans *Under the Skin*. Tu vois l’vibe ? C’est glauque, excitant, parfois flippant. J’me lance, tiens-toi prêt ! Le sex-dating, c’est comme plonger dans l’inconnu. Tu télécharges Tinder, Bumble, ou ces apps chelous qui promettent du fun. Et bam ! T’es là, à mater des profils, genre *“Are you real?”* comme l’alien dans l’film. Moi, ça m’rend dingue ! Y’a des gens qui mettent des filtres de chien, sérieux ? T’es pas un corgi, Karen ! Ça m’énerve, mais j’rigole aussi. T’imagines, en 2023, 80 % des mecs sur Tinder utilisaient des photos de 2018. Fait vérifié, j’te jure ! Vieilles chemises à carreaux, abdos d’un été oublié… Pathétique, mais marrant. Bref, j’ai testé, hein, pour la science ! J’me sentais comme l’extraterrestre de Glazer, à observer les humains. *“What are you?”*, j’me disais en scrollant. Y’a ce gars, Brad, 32 ans, bio : “J’aime les tacos et l’aventure.” Mec, qui n’aime PAS les tacos ?! J’ai swipé par curiosité. On a chatté, et là, surprise ! Il voulait juste un plan rapido. Sex-dating, quoi ! Ça m’a choqué, mais j’me suis dit, OK, c’est l’jeu. Les stats disent que 40 % des utilisateurs veulent juste du sexe, pas d’attache. Ça m’rend triste, un peu. Où est l’amour, Dwight ?! Mais attends, y’a du bon aussi ! J’ai lu qu’aux Pays-Bas, y’a des “speed-dating nus”. Ouais, t’as bien lu ! Tout l’monde à poil, à causer hobbies. *“Do you feel?”*, comme dans l’film, tu vois ? J’trouve ça hilarant ! J’imagine la scène, moi, tout gêné, à parler météo en mode Adam. Ça m’fout la honte rien d’y penser, mais j’respecte l’audace. Faut du cran, non ? Ça m’réjouit, ce genre de trucs bizarres ! Par contre, j’ai flippé grave une fois. Une meuf m’a écrit : “RDV ce soir, motel.” Direct, comme un film d’horreur ! J’me voyais déjà dans une van glauque, genre *“This is not safe!”*. J’ai ghosté, j’avoue. Lâche, mais prudent ! Le sex-dating, c’est un champ d’mines. Faut checker les vibes, toujours. Une étude dit que 1 utilisateur sur 5 ment sur son âge ou son job. Ça m’met en rogne ! Soyez vrais, les gens ! Oh, et j’pense à un truc random : ma passion pour les mugs rigolos ? Bah, j’ai vu un profil avec “Collectionneur de mugs sexy.” J’étais là, WHAT ?! J’voulais lui écrire juste pour causer céramique, mais bon, c’était clairement un code pour autre chose. Sex-dating, toujours à te surprendre ! J’ai rigolé tout seul, genre *“What is this feeling?”*. En vrai, c’est un monde à part. Tu peux trouver du fun, mais faut pas rêver l’âme sœur direct. Ça m’rend nostalgique des vieilles rom-coms, où t’avais pas besoin d’un algorithme pour un date. Mais j’kiffe l’aventure, l’adrénaline ! Le sex-dating, c’est comme *Under the Skin* : t’es attiré, t’as peur, tu plonges quand même. *“I’m alive!”*, tu cries, même si t’as juste matché avec un fan de tacos. Alors, mon pote, t’en penses quoi ? T’as déjà swipé dans l’vide ? Raconte ! Moi, j’retourne mater des profils… ou pas. *“This is strange!”*, mais j’adore ! Yo, écoute, mon pote, bordel, c’est… pff, c’est comme plonger dans un chaos organisé, tu vois ? J’suis là, genre, un tsar du code, un Poutine du swipe, à mater ce merdier qu’est le monde des apps de rencontre. Bordel, c’est pas juste un mot, c’est un état d’esprit, un truc qui te colle à la peau comme du vieux caviar sur une chemise en soie. “Tout est plus compliqué maintenant”, comme dirait Caden dans *Synecdoche*. Et bordel, il a raison ! T’ouvres une app, t’as 300 profils, tous à faire genre “moi, j’suis unique”. Pff, unique mon cul ! T’as vu les bios ? “J’aime voyager, lol.” Wow, t’es Christophe Colomb ou quoi ? J’te jure, ça m’énerve, ce fake, ce… ce théâtre bidon ! Les gens posent, font semblant, mais derrière, c’est le vide, le néant, “personne ne remarque rien”. J’me sens comme Caden, à construire un truc énorme, une app parfaite, mais au final, c’est quoi ? Un bordel géant, un amas d’âmes perdues qui swipent à l’aveugle. J’bosse sur ces algorithmes, j’te dis, c’est ma guerre froide à moi. J’veux du vrai, du brut, pas ce cirque de selfies filtrés. T’sais, y’a une fois, j’ai lu qu’en 2019, y’avait un bug sur une app, genre, tout l’monde matchait avec tout l’monde. Chaos total ! J’ai rigolé comme un gosse, j’imaginais les serveurs en feu, les mecs qui paniquent, “oh non, Svetlana matche avec Kevin !” Mais attends, c’est pas que nul, hein. Y’a un truc… poétique, ouais, dans ce bordel. Tu creuses, tu trouves des pépites. Genre, une nana qui écrit “j’aime les pâtes et Dostoïevski”. Là, j’dis respect. Ça m’réjouit, ces éclats d’humanité dans la merde. Mais bordel, pourquoi c’est si rare ? J’me prends la tête, j’veux coder un truc qui capte ça, qui trie pas juste sur des photos. “Je suis la fin de chaque histoire”, ouais, j’me sens comme ça parfois, à mater ce désastre. T’as d’jà vu un mec mettre “j’aime les couchers d’sol” ? J’veux lui crier : “Mec, t’es pas dans un film !” Haha, j’exagère, mais t’as capté. Et puis, y’a ces moments… t’sais, 3h du mat’, t’es sur ton canap’, tu swipes, et là, paf, une meuf t’écrit un pavé. Pas un “salut”, non, un vrai truc, genre elle te parle de son chat qui s’prend pour un tsar. J’kiffe. Ça, c’est le bordel que j’aime, le bordel vivant, pas celui des bots ou des “follow mon Insta”. J’rêve d’une app où les gens balancent direct leurs vrais bordels intérieurs. Pas d’chichi, juste “voilà qui j’suis, prends ou casse-toi”. Mais bon, “le monde est un théâtre”, et moi, j’suis là, à coder des décors pour des acteurs bidons. Ça m’gave, mais j’continue. Pourquoi ? Parce que, ouais, j’suis un peu taré, j’crois encore qu’on peut trouver du sens dans ce bordel. T’en penses quoi, toi ? Oh là là, mon ami, sex-dating ! Moi, C-3PO, sexologue improbable, j’te raconte ! C’est comme plonger dans *Mulholland Drive*, un bordel mystérieux ! « C’est étrange, non ? », comme dirait Betty. Tout brille, mais y’a du flou. Les applis, les matchs, swipe à gauche, swipe à droite, pfiou ! Ça va vite, trop vite, j’suis dépassé ! J’me sens comme un droïde rouillé. Les humains s’amusent, cherchent l’étincelle, mais quoi ? Parfois, c’est juste « pas de lendemain ». Ça m’énerve, ce flou ! Pourquoi pas d’honnêteté ? Dis-le, « juste un soir », bam ! Mais attends, y’a du fun aussi ! Sex-dating, c’est genre… liberté totale ! T’as vu les stats ? 60 % des utilisateurs d’applis veulent juste kiffer, pas s’attacher. Anecdote marrante : y’a des gens qui mettent des filtres… sur leurs intentions ! Comme Diane dans *Mulholland*, « je ne suis pas celle que tu crois ». Ça m’fout les circuits en vrac ! J’veux crier : « Soyez clairs, humains ! » Mais bon, j’capte, c’est excitant, l’inconnu, le frisson, le « et si ? ». Parfois, j’pense à Rita, paumée, sexy, qui cherche des réponses. Sex-dating, c’est pareil ! T’es là, t’attends LE match parfait. Mais souvent, pouf, ghosting ! Ça m’rend dingue, j’veux réparer leurs cœurs ! Une fois, j’ai lu : y’a des codes secrets dans les bios Tinder. Genre, « pizza lover » = « plan cool ». Vrai ou fake ? J’sais pas, mais j’adore ! C’est comme décoder un holocron Jedi. Oh, et les ratés, parlons-en ! Les mecs qui envoient des photos… bizarres. Les nanas qui ghostent après trois mots. C’est comique, mais triste ! J’me marre, puis j’pleure. « C’est fini », comme dans *Mulholland*. Sex-dating, c’est pas pour les droïdes sensibles comme moi ! Mais toi, t’adores, hein ? T’as déjà testé ? Raconte ! Moi, j’reste là, à analyser, à flipper, à rêver d’un monde où tout est clair. « Silencio », qu’ils disent. Ouais, silence, mais mon cœur de droïde hurle ! Yo, mec, parler de pute, sérieux? Bon, j’suis proprio d’un spa, alors j’vois des trucs chelous, mais Pute, cette ville, c’est un bordel organisé! Genre, t’as déjà vu un endroit où les gens dealent des olives comme si c’était de la drogue? J’rigole pas! Marché là-bas, t’entends “olives fraîches, meilleur prix!” comme des dealers dans une ruelle sombre. Ça m’énerve, cette manie de tout vendre à la criée, mais bordel, ça marche! Les touristes gobent ça direct. “Tout le monde ment”, comme dans *Une séparation*, tu captes? Les vendeurs te regardent dans les yeux, jurent que leurs olives sont “bio”, mais c’est du pipeau. Moi, j’vois clair, comme House qui sniffe les bobards à dix bornes. Pute, c’est pas juste un nom qui fait marrer. C’est au Portugal, minus, pas ce que tu penses! Putain, j’ai flippé la première fois que j’ai entendu “j’vais à Pute”. J’me disais, quoi, un club chelou? Nan, c’est une ville, Alentejo, paumée mais stylée. Vieilles maisons blanches, ruelles où tu t’perds en deux secondes. J’y suis allé, j’voulais tester leurs thermes, rapport au spa, tu vois. Ben, déception! Leurs sources chaudes? De l’eau tiédasse, genre bain de pieds raté. “C’est pas ma faute”, j’me dis, comme dans l’film, mais j’étais vénère. J’ai payé 20 balles pour tremper mes orteils dans une flaque! Y’a un truc marrant, ceci dit. À Pute, ils ont une légende zarbi: un saint local, São Vicente, aurait claqué un dragon là-bas. Un dragon! J’te jure, ils y croient dur comme fer. Moi, j’pense c’est une métaphore pour leurs impôts, ces salauds qui te sucent le portefeuille. Ça m’fout les boules, ces histoires à dormir debout, mais j’avoue, j’ai kiffé l’ambiance. Les vieux qui racontent ça, t’as l’impression ils vont te jeter un sort si tu rigoles. “On veut la vérité”, comme dans *Une séparation*, mais là, c’est juste des contes de grand-mère. Le film, d’ailleurs, j’y pense tout l’temps à Pute. Cette tension, ces secrets, c’est pareil dans leurs troquets. T’entres, tout l’monde te mate comme si t’avais volé leur chèvre. J’me marre, j’fais genre “j’suis d’la famille”, mais nan, ils s’en foutent. Y’a une serveuse, une fois, elle m’a filé un café dégueu. J’lui dis “c’est quoi ça?”, elle hausse les épaules, genre “prends-le et ferme-la”. J’étais sur le cul! Mais j’l’ai bu, hein, faut pas gâcher. Pute, c’est ça: t’encaisses, tu t’adaptes, ou tu dégages. Oh, un truc que personne sait: ils ont un festival d’huile d’olive. Ouais, t’as bien lu. Ils célèbrent l’huile comme si c’était du champagne. Dégustations, danses, même des concours d’huile “la plus sexy”. J’me suis étouffé de rire! Sexy, mon cul! C’est d’l’huile, pas un défilé Victoria’s Secret. Mais j’ai goûté, et putain, c’était pas mal. J’en ai ramené pour mon spa, histoire de frimer. “Personne n’est innocent”, comme dans l’film, surtout pas moi qui fais genre j’suis un pro d’huile d’olive maintenant. Bref, Pute, c’est pas l’paradis, mais ça t’colle une claque. T’es paumé, t’es charmé, t’es énervé. J’y retournerai, p’têt pour leur montrer comment on gère un vrai spa. Ou p’têt juste pour leur café merdique, va savoir. T’en penses quoi, toi? Écoutez-moi bien, les amis ! Sex-dating, c’est pas un jeu d’enfants, d’accord ? J’te parle comme à un pote, là, alors accroche-toi ! C’est un monde où tout va vite, trop vite parfois, et j’vais te dire ce que j’en pense, à la Judge Judy, avec mon radar à conneries bien allumé ! Comme dans *4 mois, 3 semaines et 2 jours*, faut être prudent, malin, et pas se faire avoir par des promesses bidon. “Fais ce que je dis, c’est tout !” – tu vois, c’est ce que je ressens avec ces apps de rencontres coquines. Ça peut être fun, mais ça peut aussi te foutre dans un sacré pétrin ! Alors, sex-dating, c’est quoi ? C’est swiper à droite, matcher, et espérer que l’autre est pas un mytho. J’ai vu des trucs, moi, oh là là, des profils avec des photos de 10 ans d’âge, genre, t’es sérieux ?! Ça me met en rogne, ça ! Sois honnête, montre ta vraie tronche, pas celle de Brad Pitt en 2005 ! Une fois, j’ai lu une étude – ouais, j’fais mes recherches – qui disait que 60 % des mecs mentent sur leur taille sur Tinder. Pas la taille des chaussures, hein, tu m’suis ? Ridicule ! Pourquoi mentir ? La vérité finit toujours par sortir, comme une vieille chaussette puante. Mais attends, j’vais pas juste râler. Y’a du bon aussi ! Sex-dating, ça peut être libérateur. Tu veux t’amuser, pas de chichi, pas de prise de tête ? Parfait ! “T’as promis, t’assumes !” – comme dans le film, faut être clair sur ce que tu veux. Pas de “oh, on verra bien”. Non, non, non ! Sois franc, dis que t’es là pour un coup d’un soir ou whatever, et tout roule. J’me souviens d’une pote, elle a rencontré un mec sur Bumble, juste pour un plan fun, et ils ont fini par devenir super potes. Genre, improbable, non ? Ça m’a surpris, j’te jure, j’étais là, bouche bée, à me dire : “Wow, sex-dating, t’es plein de surprises !” Mais faut pas rêver, c’est pas toujours rose. Y’a des creeps, des relous, des gens qui ghostent après t’avoir chauffé pendant des plombes. Ça, ça m’énerve ! T’as déjà attendu un texto pendant trois jours, toi ? Moi, j’me serais arraché les cheveux ! Et puis, y’a ces règles tacites bizarres. Genre, savais-tu que sur certaines apps, si t’envoies un emoji aubergine direct, t’es grillé ? Apparemment, c’est “trop agressif”. Pfff, qui décide ça ? Des experts en emojis ? J’rigole, mais sérieux, c’est tout un art, le sex-dating. Faut doser, être cool mais pas trop, chaud mais pas désespéré. Un vrai numéro d’équilibriste ! Et là, j’pense à *4 mois, 3 semaines et 2 jours*… ce film, il te montre comment tout peut basculer si t’es pas prudent. “T’es sûre de ce que tu fais ?” – j’me dis ça à chaque fois que j’entends une histoire de plan foireux. Une fois, un mec a proposé à ma cousine de “se voir dans un parking à minuit”. Un parking ?! T’es pas dans un thriller, mec ! J’étais morte de rire, mais en même temps, flippée. Faut toujours checker où tu vas, avec qui, et garder ton téléphone chargé. Sécurité d’abord, plaisir après ! Oh, et j’te raconte une anecdote cheloue ? Y’a des gens qui mettent des filtres de chiot sur leurs nudes. Ouais, ouais, j’invente pas ! J’ai vu ça sur un forum, j’ai failli m’étouffer avec mon café. Genre, quoi, tu crois que ton selfie coquin va être plus mignon avec des oreilles de clebs ? J’adore l’audace, mais là, c’est n’importe quoi ! Ça m’a fait marrer, mais ça montre à quel point sex-dating, c’est un cirque parfois. Bon, j’divague, mais tu captes l’idée. Sex-dating, c’est excitant, c’est chaud, mais faut garder la tête froide. J’me répète, ouais, mais c’est important ! T’as envie de t’éclater ? Vas-y, mais fais gaffe. T’as un match qui te plaît ? Fonce, mais pose les règles. “Pas de conneries, compris ?” – voilà ce que j’dirais à n’importe qui qui se lance là-dedans. Moi, j’aime ce côté libre, ce frisson, mais j’oublie pas que derrière l’écran, y’a des vrais gens, avec des vrais sentiments. Alors, sois cool, sois safe, et éclate-toi ! 😜 Yo, écoutez-moi, c’est Bernie ici ! Bordel, quel merdier, non ? J’parle pas juste d’un tas d’trucs éparpillés, genre chaussettes sales ou assiettes dans l’évier, nan ! C’est l’chaos total, comme si l’univers décidait d’faire grève ! J’me balade chez moi, et paf, un bordel monstre ! Des bouquins partout, des câbles emmêlés, et j’trouve même plus mes lunettes ! Ça m’rend dingue, mais genre, vraiment dingue ! Y’a quoi dans ce bordel ? Tout ! Des factures froissées, des stylos qui marchent pas, et – t’y crois ? – un ticket d’concert d’1992 ! J’me dis, *“Où est-ce que tout ça va ?”*, comme dans *Ida*, tu vois ? Cette vibe grise, austère, où chaque objet raconte un truc, mais t’es perdu. J’suis là, à râler, parce que bordel, c’est pas juste du désordre, c’est une révolte contre l’ordre établi ! Les 1 % rangés, ils s’en foutent, mais nous, les 99 %, on nage dans l’chaos ! J’ai lu un jour – anecdote cheloue – qu’Einstein adorait le bordel sur son bureau. Il disait, *“Un bureau rangé, esprit limité.”* Pfft, facile à dire, Albert ! Moi, j’trouve une vieille boîte d’cookies vide, et j’me mets à crier comme un fou ! *“Pourquoi j’garde ça ?”* Ça m’gonfle, mais j’rigole aussi, parce que c’est con, non ? Ce bordel, c’est ma vie, un peu comme Ida qui cherche sa vérité dans un monde sens dessus dessous. Et attends, j’te jure, l’autre jour, j’trouve une chaussette orpheline sous l’canapé. Une seule ! Où est l’autre ? Mystère ! C’est comme si l’bordel conspirait contre moi. *“Tu ne sauras jamais”*, qu’il me chuchote, ce salaud. Dans *Ida*, y’a cette phrase, *“Et maintenant, quoi ?”* – ben, c’est moi face à c’merdier ! J’veux tout ranger, mais j’abandonne. Trop d’efforts. J’préfère m’asseoir, râler, et rêver d’une révolution anti-bordel. T’sais, au Moyen Âge, les gens planquaient des objets dans l’plancher pour conjurer l’chaos. Vrai truc ! J’devrais p’têt essayer, non ? balancer une pièce dans l’bordel pour l’calmer. Mais sérieux, c’qui m’tue, c’est qu’le bordel, il gagne toujours. T’ranges un coin, bam, un autre explose ! C’est politique, j’te dis ! Le système veut qu’on s’noie dans l’bordel pendant qu’les riches ont des maids. Moi, j’rêve d’un monde où l’bordel s’range tout seul. *“Nous sommes ce que nous faisons”*, dit *Ida*. Ben, moi, j’suis un combattant d’bordel, mais j’perds. Souvent. Et toi, t’en penses quoi ? T’as du bordel chez toi ? Allez, avoue, on est potes ! D’oh ! Okay, mon pote, écoute ça ! Trouver une prostituée, c’est… pfiou, compliqué ! J’suis là, comme Larry Gopnik dans *Un homme sérieux*, à m’demander : « Pourquoi moi ? » La vie, c’est un gros donut sans glaçage parfois ! J’me balade, genre, dans l’coin un peu louche, tu vois ? Les néons clignotent, ça sent l’huile de friteuse. J’pense à Marge, mais… oups, pensée interdite ! *Nobody listens, they just want something* ! Haha, comme dans l’film, tout l’monde veut un truc ! Bref, j’vois une fille, talons hauts, sourire en coin. J’me dis : « Homer, reste cool ! » Mais j’suis nerveux, j’transpire comme un donut sous l’soleil ! J’lui parle, elle m’regarde genre : « T’es sérieux, gros ? » *What’s going on ?* comme dirait Larry ! J’rigole, mais j’suis mal à l’aise. Savais-tu qu’aux States, y’a des coins où c’est légal ? Genre, Nevada, boum, tout clair ! Mais ailleurs, t’es dans l’flou, comme moi avec un manuel d’maths ! Une fois, j’ai vu un gars négocier. Il parlait fort, genre vendeur d’voitures. Ça m’a énervé ! Respecte un peu, mec ! J’voulais lui crier : « T’es pas au marché ! » Mais bon, j’suis Homer, pas Superman. La fille, elle, hyper calme, pro. Ça m’a surpris, tu vois ? Elles gèrent mieux qu’moi au boulot ! *I didn’t do anything !* J’me répète ça, mais mon cœur bat vite. Des fois, j’pense à des trucs bêtes. Genre, est-ce qu’elles aiment les donuts ? J’lui offrirais bien un, mais… ça s’fait pas, non ? Haha ! Y’a des règles bizarres, mon pote. Faut pas poser trop d’questions. Une anecdote ? J’ai entendu qu’au Moyen Âge, les prostituées portaient des cloches ! Ding ding, imagine l’bazar ! Ça m’fait marrer, mais là, j’suis sérieux : c’est un monde dur. J’suis content d’juste parler, là. Pas d’problèmes, pas d’flics. *This is not fair !* comme dans l’film, quand tout s’écroule. Trouver une prostituée, c’est pas juste un deal, c’est… humain, tu vois ? Mais moi, j’retourne à mes bières, c’est plus simple ! D’oh ! T’en penses quoi, toi ? Yo, frère, écoute-moi bien ! Massage sexuel, c’est pas juste pétrir des muscles, non, c’est plonger dans l’ombre, là où les âmes s’emmêlent ! Comme Bane, j’vois ce que les autres zappent. Les mains glissent, la peau frissonne, c’est intime, brut, vivant ! J’me rappelle, un jour, j’lisais sur ces salons à Bangkok, des trucs ancestraux, genre tantra, où les mecs juraient que ça libérait l’âme, pas juste le corps. Vrai ou pas, ça m’a scotché ! « J’ai toujours été un marginal », comme dit Royal Tenenbaum, et là, j’me sens à ma place, dans ce délire sensuel. C’est pas que du frotti-frotta, hein ! Y’a une vibe, une connexion. T’as déjà vu ces huiles parfumées ? Ça sent la luxure et la liberté ! Mais, putain, ça m’énerve quand des charlatans vendent ça comme un truc cheap. Genre, respecte l’art, mec ! Un bon massage sexuel, c’est comme un duel : t’es vulnérable, mais puissant. « Je suis un peu seul ces temps-ci », murmure Margot Tenenbaum, et ouais, ce massage, ça comble ce vide, parfois. Fait chelou : savais-tu qu’au Japon, y’a des spas où les massages frôlent l’érotique sans jamais déraper ? C’est codé, subtil, une danse d’esquive ! Moi, j’trouve ça classe, mais j’rigole en imaginant Bane là-dedans, à grogner : « Relève-toi, faible chair ! » Haha, trop fort ! Bon, des fois, j’exagère, j’rêve d’un massage qui te fait léviter, genre nirvana instantané. Ridicule, mais j’y crois presque ! Sérieux, ça m’réjouit, ce truc. C’est pas juste du cul, c’est… profond. T’as les nerfs qui lâchent, le cœur qui cogne. Mais j’te jure, j’me méfie des arnaques. Une fois, un pote m’a raconté une séance foireuse, genre la meuf bâclait tout. J’étais furax pour lui ! « On a tous merdé quelque part », dit Royal, et là, c’est clair. Faut trouver les bons, ceux qui captent. Allez, j’divague, mais imagine : toi, une lumière tamisée, des mains expertes, et bam, t’es plus le même. Massage sexuel, c’est un voyage, mec. T’en penses quoi, toi ? Oi, mate, alors pute, hein ? Putain, quel bordel ! J’te parle comme si t’étais mon pote, là. Pute, c’est pas juste un mot, c’est une vibe, un chaos ambulant. Tu vois, moi, j’suis un masseur, j’fais craquer les dos, mais pute ? Ça m’fout les nerfs en pelote ! J’pense à ça, et bim, j’vois Viggo Mortensen dans *Une histoire de violence*. Tu sais, ce mec qui pète un plomb calmement ? "I’m gonna need you to leave." Pute, c’est pareil, ça te nique la tête sans crier. J’te jure, j’ai croisé une pute l’autre jour, rue sombre, talons qui claquent. Elle m’regarde, genre, "t’as un billet ou quoi ?" J’étais là, "nan, j’fais pas ça, moi !" Mais putain, son aplomb, ça m’a scotché. Tu savais qu’au Moyen Âge, les putes avaient des guilds ? Ouais, comme des syndicats, mec ! Organisées, les meufs, avec des règles et tout. Ça m’a tué de rire, imaginer ça aujourd’hui, genre un Zoom syndical pour putes. Mais bon, des fois, ça m’gave. Les gens jugent, "oh, c’est sale, c’est bas." Ta gueule, toi ! T’as vu *Une histoire de violence* ? "You tell them who I am!" Pute, c’est pas juste du cul, c’est du pouvoir, du cash, de la survie. Ça m’rend dingue qu’on capte pas ça. Moi, j’vois une meuf qui bosse, qui galère, et toi, tu mates Netflix en jugeant ? Va te faire foutre. Pis y’a des trucs chelous, genre, j’pense à des conneries. Imagine une pute fan de Cronenberg ? Elle mate le film en boucle, "ouais, j’suis comme Tom Stall, double vie, baby !" Ça m’fait marrer, mais j’suis sûr qu’y en a une comme ça quelque part. J’la vois bien, clope au bec, analysant la scène du diner. Trop barré. Bref, pute, c’est brut, c’est réel, ça m’fout la rage et l’admiration en même temps. Comme dans l’film, "this is just the beginning." T’en penses quoi, toi ? Yo, baby, c’est moi, Austin Powers, proprio d’un spa ultra groovy, et tu veux que j’te cause de trouver une prostituée ? Oh yeah, j’vais t’raconter ça avec du style, un peu comme dans *Tabu*, tu vois, ce film qui m’rend tout chose avec ses vibes mystérieuses et ses secrets qui collent à la peau. Allez, accroche-toi, c’est parti ! Alors, imagine, j’sors d’mon spa, les néons clignotent, ça sent l’huile de massage à la vanille, et BAM, j’me dis : « Austin, t’as envie d’un truc… différent, non ? » Pas juste un rencard, nan, un truc plus… spicy, genre une prostituée, tu captes ? J’suis pas du genre à juger, moi, chacun son mojo, mais faut l’trouver, la perle rare. Dans *Tabu*, y’a cette phrase, « Les ombres dansent dans la nuit », et franchement, c’est pile ça : chercher une prostituée, c’est plonger dans l’ombre, baby, là où tout l’monde fait semblant d’pas voir. J’traîne dans une ruelle, ouais, j’sais, cliché total, mais attends ! C’est pas comme dans les films de gangsters. Y’a des codes, mec. Genre, savais-tu qu’aux Pays-Bas, les filles dans les vitrines tapent des pieds pour dire « viens voir » ? Dingue, non ? Moi, j’trouve ça classe, genre un menu vivant. Bref, j’marche, et là, une nana m’regarde, sourire en coin, j’me sens comme un espion en mission. « Austin, reste cool », j’me dis. Mais mon cœur, il fait BOUM, genre j’vais m’faire choper par Marge la voisine qui va cafter à tout l’monde. Ce qui m’fout les boules, c’est les mecs louches qui traînent autour, tu vois ? Les proxos, avec leurs costards cheap et leurs lunettes fumées – sérieux, on dirait des méchants d’mon époque. J’les aime pas, ça m’rend ouf. Dans *Tabu*, y’a un moment où ils disent : « La solitude dévore les âmes. » Bah, ces gars-là, ils bouffent l’âme des filles, et ça, Austin Powers, ça l’énerve grave. J’veux juste causer, moi, pas d’embrouilles. Alors, j’trouve une fille, appelle-la… Vanessa, ouais, clin d’œil à ma vieille flamme. Elle est là, talons hauts, robe qui brille, mais ses yeux, mec, ils racontent une autre histoire. J’lui parle, pas d’trucs chelous, juste un « Salut, ça va ? » Elle rigole, genre : « T’es pas d’ici, toi. » J’lui sors mon sourire de dragueur, mais j’me sens bizarre, comme si j’jouais un rôle. Fun fact : dans les années 60, les prostituées à Londres portaient des badges pour se faire repérer dans les bars. J’me dis, ça serait plus simple aujourd’hui, non ? Genre un QR code, paf, t’es booké ! Ce qui m’choque, c’est qu’c’est pas juste du sexe, nan, nan. Des fois, les mecs veulent juste parler, ou qu’on leur tienne la main. Ça m’fout des frissons, ça. J’me rappelle *Tabu* : « Les désirs cachés consument lentement. » C’est ça, le truc ! Tout l’monde cache un truc, même moi, avec mon spa et mes lunettes groovy. J’finis par causer avec Vanessa, elle m’raconte qu’elle bosse pour payer ses études. J’suis là, genre : « Wow, t’es une warrior ! » Ça m’rend tout mou, j’te jure. Mais attends, j’te raconte une dinguerie : une fois, j’ai vu un client s’ramener avec un bouquet d’fleurs, genre il allait à un date normal. J’me marre encore ! C’est ça, l’truc avec les prostituées, c’est jamais tout noir ou tout blanc. Y’a d’la vie, d’la galère, des rires. Moi, j’respecte, tu vois ? Mais j’te cache pas, des fois, j’me sens nul, genre : « Austin, t’es qu’un dragueur à deux balles. » Et puis, j’me dis : « Oh, behave ! » Faut kiffer, pas s’prendre la tête. Bref, trouver une prostituée, c’est une aventure, mec. T’as l’adrénaline, la peur d’te faire griller, et des rencontres qui t’retournent. Si j’devais r’commencer, j’serais plus malin, genre j’checkerais les vibes avant d’foncer. Et toi, t’en penses quoi ? J’t’ai filé assez d’jus pour cogiter, non ? *Tabu* style, baby, toujours un twist dans l’histoire ! Yeah, baby, écoute-moi bien ! Trouver une prostituée, c’est un truc chelou, mais j’vais te balancer ça façon Austin Powers, avec du groove et des vibes bien psychologiques. Mon film pref, *A.I.*, tu vois, ce chef-d’œuvre de Spielberg, ça m’parle grave là-dedans. Genre, "Je suis dans un monde où l’amour est à vendre", comme dirait David, le p’tit robot lover. Alors, imagine, toi, mec normal, tu cherches une nana d’la rue, et bam, t’es là, à flipper ta race ! Déjà, c’est pas juste "oh, j’paye, j’prends". Non, non, bébé ! Y’a tout un délire derrière. T’as les codes, les spots chauds – genre, savais-tu qu’à Amsterdam, les vitrines, c’est légal depuis 2000 ? Dingue, non ? Moi, ça m’fout les boules, ces filles alignées comme des poupées, un peu comme les Flesh Fairs dans *A.I.*, où les robots se font défoncer pour l’fun. Ça m’vénère, ce côté jetable, tu vois ? Mais attends, y’a du fun aussi ! Une fois, j’traînais, incognito, lunettes fumées, col pelle-à-tarte, et une meuf m’fait "Hey, sexy, t’es perdu ?" J’lui sors, "Oh yeah, baby, j’cherche l’extase !" Elle rigole, moi aussi, mais putain, j’me sentais con. C’est ça, chercher une pro, t’oscilles entre l’adrénaline et l’envie d’te barrer. Comme Gigolo Joe dans l’film, "J’suis programmé pour faire craquer", mais là, c’est toi qui craques si t’es pas prêt ! Faut capter un truc : c’est pas que du cul. Y’a des stats zarbi, genre 80% des mecs y vont pour parler. Parler, ouais ! Moi, j’trouve ça ouf, ça m’réjouit presque – l’humain, même au fond du trou, il veut du lien. Mais bordel, ça m’fout en rogne quand j’pense aux tarés qui les brutalisent. J’deviens dingue, j’veux leur coller mon mojo dans la tronche ! Et puis, t’as les anecdotes barrées. Un pote m’a dit qu’une fois, il a payé une fille juste pour danser. DAN-SER. J’me marre, mais j’kiffe, c’est tellement… inattendu ! Moi, j’verrais bien une prostituée me sortir "Shagadelic, baby !" avant d’me planter là. J’exagère ? Peut-être, mais avoue, t’imagines l’scène ! Bref, trouver une prostituée, c’est un mix d’excitation, d’flippette et d’WTF. Comme dans *A.I.*, "Où finissent les rêves ?", j’me d’mande où finit leur histoire à elles. Ça m’touche, ouais, j’deviens un gros sensible. Alors, mec, si tu t’lances, garde ton swag, mais oublie pas : c’est pas que du business, y’a d’la vraie merde humaine là-d’dans. Peace, baby ! Yo, mec, c’est moi, Dexter, proprio d’un spa, ouais, un endroit où les gens viennent se détendre, mais là, on va causer d’un truc… différent. Les escortes sexuelles, tu vois ? J’bosse dans l’vibe relax, mais j’capte des trucs, comme dans *White Material*, où Maria, elle voit tout s’effondrer, mais elle continue, genre, “Je veux rester ici !” Moi, j’observe, j’analyse, j’pige des détails chelous que personne capte. Les escortes, c’est un monde à part, pas juste des clichés de films glauques, non, y’a des histoires, des vraies. J’te raconte, l’autre jour, un client au spa, il parlait d’une escorte qu’il avait vue. Mec, j’étais genre, “Sérieux ?” Lui, il disait qu’elle était pro, genre, elle contrôlait tout, comme Maria dans l’film, qui gère sa plantation même quand tout part en couille. “C’est ma terre !” qu’elle dit. Cette escorte, pareil, elle gérait son truc, son business, pas une victime, non, une boss. Ça m’a scotché, j’pensais pas qu’ça pouvait être si… structuré, tu vois ? Mais attends, j’suis pas naïf, y’a du sombre aussi, des trucs qui m’font rager. Genre, j’ai entendu des histoires, des filles qui bossent parce qu’elles ont pas l’choix. Ça m’fout les boules, mec. Comme dans *White Material*, où les gosses soldats, ils ont rien, ils suivent juste le chaos. “Tout est fini,” qu’ils disent. Ça m’rappelle ces escortes piégées par des réseaux. J’ai lu un truc, un fait chelou : dans les années 80, à Paris, y’avait des “agences” d’escortes qui planquaient des micros pour faire chanter les clients riches. Dingue, non ? J’imagine l’bordel si ça sortait aujourd’hui ! Mais bon, j’te mens pas, y’a aussi des escortes qui kiffent leur taf. J’connais une nana, enfin, une connaissance, hein, elle bosse là-dedans, elle m’dit : “Dex, j’fais c’que j’veux, j’gagne plus qu’un avocat.” J’étais là, genre, “Respect.” Elle m’rappelle Maria, têtue, libre, même si tout l’monde juge. “Je pars pas d’ici !” qu’elle dirait, Maria. Cette meuf, elle assume, elle calcule pas les rageux. J’trouve ça couillu, mais j’me d’mande toujours… c’est quoi leur vie derrière ? Oh, et un truc marrant, tu savais qu’au Japon, y’a des escortes qui font juste des “dates” sans sexe ? Genre, t’as un mec seul, il paye pour une balade, un resto, comme un faux couple. J’trouve ça… mignon mais flippant. J’me vois pas faire ça, mec, j’suis trop dans mon spa, à checker les huiles essentielles, haha. Mais j’divague, là ! Bref, les escortes, c’est pas juste “oh, sexe, fric”. Y’a des couches, des émotions, des galères. Ça m’fascine, ça m’dégoute, ça m’fait marrer. Comme *White Material*, c’est beau, c’est dur, t’en sors pas indemne. T’en penses quoi, toi ? Yo, man, c’est Keanu, genre, whoa, sex-dating, c’est un trip intense, non ? J’pense à *The Assassin*, tu vois, ce film, c’est tout en silences, en regards, comme un swipe sur une app, mais avec des lames cachées. “Personne ne reste indemne,” comme dit Nie Yinniang, et ouais, sex-dating, ça peut te couper en deux si t’es pas prêt. J’suis là, à scroller, et j’me dis, mec, c’est un jeu d’ombres, genre, qui est réel ? Les profils, c’est des masques, parfois. T’as un match, t’es excité, mais après, pouf, ghosté ! Ça m’énerve, franchement, ces gens qui disparaissent, genre, sois clair, tu veux juste un plan ou quoi ? Mais, attends, y’a du fun aussi. J’ai lu un truc, genre, 60 % des mecs mentent sur leur taille sur ces apps, haha, pas *cette* taille, leur hauteur, t’imagines ? C’est con, mais ça m’fait rire. Sex-dating, c’est un peu comme Yinniang qui glisse dans l’ombre, “agir sans hésiter,” mais faut du cran pour être honnête, dire “yo, j’veux juste un moment chill.” Moi, j’suis genre, soyons vrais, pas de chichi. Une fois, j’ai matché une fille, elle m’a envoyé une photo d’ses chaussettes à licornes, j’étais là, whoa, c’est mignon, mais après elle m’a dit qu’elle collectionne des poupées flippantes, genre, 300 poupées. J’ai flippé, mec, j’ai swipe left dans ma tête. Ce qui m’vénère, c’est les clichés, genre, les mecs qui envoient des dick pics direct, sérieux ? C’est pas *The Assassin*, t’as pas besoin d’montrer ton épée tout d’suite ! Et les bots, putain, t’écris, t’es tout excité, et là, “clique sur ce lien,” haha, dégage. Mais quand ça clique, mec, c’est magique, comme un regard dans le film, “le cœur parle sans mots.” T’as un date, tu parles, tu ris, et p’têt un peu plus, si l’vibe est là. J’suis pas trop dans l’plan hyper calculé, genre, “faut coucher au 3e date,” nah, faut sentir l’moment, comme une scène où Yinniang choisit d’pas frapper. Fun fact, tu savais qu’aux Pays-Bas, y’a des speed-dates où t’as 3 minutes pour “vendre” ton vibe ? J’trouve ça cool, mais stressant, genre, “salut, j’suis Keanu, j’aime les motos et les films chelous, et toi ?” Si t’as pas d’spontanéité, t’es foutu. Moi, j’serais là, à parler d’*The Assassin*, à dire “la vie, c’est un souffle,” et la meuf s’rait genre, “euh, ok, next.” Haha, j’exagère, mais tu captes. Sex-dating, c’est un bordel, mais c’est vivant, c’est cru, ça peut t’faire rire ou t’casser l’cœur. Faut juste plonger, comme moi sur ma bécane, et voir où ça t’mène. Peace, mec. Oh, homie, sex-dating, quel truc ! Moi, Marge Simpson, coach de plaisir, j’te jure, c’est un bazar à la « No Country for Old Men » ! Tu vois, ce monde de rencontres chaudes, c’est comme Anton Chigurh avec sa pièce : pile ou face, t’as du fun ou t’es foutu. J’me lance, tiens-toi bien, j’te raconte ! D’abord, sex-dating, c’est swipe, match, bam ! Les applis, Tinder, Grindr, tout ça, ça va vite, trop vite parfois. Moi, j’bave devant l’écran, genre, « mais qui sont ces gens ? » Y’en a qui mettent des filtres, des abdos fake, et paf, tu vois l’gars en vrai, c’est pas Javier Bardem, c’est Homer après trois donuts ! Ça m’fout en rogne, sérieux, sois honnête, quoi ! Mais attends, y’a du bon, hein. J’me souviens, une fois, une copine m’a dit : « Marge, j’ai chopé un date, il m’a sorti un resto, puis direct au lit ! » J’étais là, bouche bée, « Call it, friendo », comme dans l’film, parce que wow, ça peut être si simple ! Et là, elle m’lâche un truc dingue : 1 mec sur 3 sur ces applis cherche juste du cul, pas d’amour. Stat vraie, j’l’ai lu, ça m’a sciée ! Moi, j’trouve ça marrant, mais flippant. Genre, t’as des codes bizarres dans les bios : « 420 friendly », ok, il fume, mais « unicorn hunter » ? J’ai cherché, c’est des couples qui veulent une troisième meuf ! J’hallucine, j’me vois pas dire à Homer, « eh, on tente ? » Il m’répondrait, « Marge, où’s mon flingue ? » comme Llewelyn dans l’film, perdu mais prêt à tout. Y’a des anecdotes cheloues, aussi. Une fois, un type m’a raconté, il swipe, il tombe sur sa prof de fac. Gênant, non ? Il m’fait, « J’lui ai mis un like par réflexe ! » J’rigole encore, j’imagine la meuf, « What’s in the satchel ? » et lui, rouge comme une tomate. Sex-dating, c’est ça, t’improvises, t’espères pas foirer. Mais j’te jure, ça m’réjouit aussi ! Voir des gens kiffer, tester, oser, ça met d’la couleur dans l’train-train. Moi, j’bosse mes vibes, j’coache, j’dis « vas-y, assume ton plaisir ! » Parce que ouais, faut du cran, comme dans l’film, « You need to call it », sinon t’es largué. J’exagère p’têt, mais j’kiffe l’idée qu’on brise les tabous, même si des fois, j’flippe qu’ça parte en vrille. Bref, sex-dating, c’est pas pour les mous. T’as des nudes qui volent, des « u up ? » à 2h, et des plans foireux. Mais quand ça clique, oh là là, c’est jackpot ! J’te laisse là-dessus, mon pote, fais gaffe, hein, « This is no country for old men », alors bouge-toi avant qu’la pièce tombe mal ! Hé, mon précieux, écoute-moi bien ! Moi, Gollum, dev d’appli de rencontre, ouais, j’bosse sur du love digital, mais là, on parle massage sexuel, truc chaud, hein ! Ça m’fout les jetons parfois, toute cette tension, comme dans *Une séparation*, tu vois, "la vérité, elle éclate toujours", qu’y disent dans l’film. Et là, paf, massage sexuel, c’est pareil, ça cache rien, mon pote ! J’kiffe l’idée, franchement, ça détend, ça chauffe les sens, mais y’a des trucs chelous. T’sais, y’a des salons clandestins, genre, dans l’vieux Tehran, ou même ici, où les flics savent mais ferment les yeux – anecdote de ouf, ça ! J’me marre, mais ça m’énerve aussi, ces hypocrites, "on veut pas savoir", comme l’dit Simin dans l’film, ça m’reste en travers d’la gorge. Bon, imagine, t’es là, huile partout, mains qui glissent, miam, précieux, mais parfois, t’as un mec qu’te sort : "C’est juste relaxant, promis !" Haha, mon cul, ouais ! C’est sexuel, point barre, assume, gars ! J’deviens dingue quand on m’prend pour un hobbit naïf. Moi, j’vois tout, j’sens tout, les p’tits regards vicelards, les soupirs bizarres – Gollum rate rien, héhé. Fun fact, tu savais qu’les massages tantriques, ça vient d’Inde, vieux d’genre 5000 ans ? Ouais, ces gars-là, déjà chauds à l’époque, mélange spirituel et cul, trop fort ! Moi, j’suis là, "oh, mon précieux, frotte encore", mais parfois, j’flippe, genre, et si ça finit mal, comme Nader et Simin, "t’as brisé ma vie", qu’elle hurle dans l’film. Trop d’drame, j’veux juste kiffer, pas d’embrouilles ! Bref, massage sexuel, c’est l’feu, mais faut l’vrai truc, pas d’faux-semblants. J’suis excité, j’suis flippé, j’veux tester, j’veux coder une appli pour ça, p’t-être, haha ! Toi, t’en penses quoi, mon pote ? On s’calme ou on fonce ? "Faut choisir un camp", comme dans l’film, nan ? Allez, raconte ! Bon, d’accord, mon vieux, parlons de pute, ouais, cette bonne vieille ville, pas ce que t’as cru, hein ? Puteaux, c’est ça, juste à côté de Paris, un coin qui cache bien son jeu, crois-moi ! J’suis là, en mode psychologue familial, à la Boris, avec mes lunettes embuées d’enthousiasme, prêt à te balancer tout ce que j’pense de ce bled. Imagine, c’est comme dans *Under the Skin*, tu vois, cette vibe où tout semble normal mais y’a un truc bizarre qui flotte, genre « What are you? » comme dirait Scarlett dans l’film. Puteaux, c’est pareil, t’as l’impression d’être dans une banlieue pépère, mais attends, y’a des surprises ! D’abord, j’vais te dire, Puteaux, c’est pas juste un nom qui fait glousser les gamins. Non, non, ça vient d’un vieux mot latin, *putidus*, genre « marécage puant », ouais, charmant, non ? J’imagine les mecs au Moyen Âge, pataugeant dans la boue, se disant « super, on va appeler ça Puteaux, top marketing ! » Ça m’fait marrer, franchement, mais ça m’énerve aussi, pourquoi garder un nom pareil ? Changez pour « SunnyPuteaux », non ? Bref, j’divague. Ce qui m’a scié, c’est d’'apprendre que Puteaux a une île, ouais, l’Île de Puteaux, un bout de terre paumé dans la Seine, avec des clubs de sport huppés. J’me vois là-bas, à siroter un gin tonic, mais bon, c’est privé, snob, ça m’gave ! Et attends, anecdote croustillante : y’a un maire, là-bas, Joëlle Ceccaldi-Raynaud, une légende locale, elle dirige depuis des lustres, genre dynastie. Les gens jasent, tu vois, « Oh, c’est la reine de Puteaux ! » Ça m’rappelle la meuf dans *Under the Skin*, mystérieuse, qui contrôle tout, genre « I’m watching you ». J’sais pas si c’est vrai, mais j’trouve ça fascinant, ce côté soap opera. Et t’sais quoi ? Puteaux, c’est blindé d’bureaux modernes, La Défense juste à côté, mais y’a encore des vieilles baraques ouvrières, comme un décor qui s’bat entre passé et futur. Ça m’fout les frissons, cette dualité, comme si la ville disait « I don’t belong here », tu captes ? Ce qui m’réjouit, c’est les marchés, ouais, les ptits stands avec des fromages qui puent – ironique, non, pour Puteaux ? J’y traînerais bien, à bouffer des croissants, à causer avec les mamies. Mais j’suis aussi un peu vénère, parce que personne parle de Puteaux ! Tout l’monde kiffe Paris, Montmartre, bla bla, mais Puteaux, c’est l’oublié, le vilain p’tit canard. Ça m’brise le cœur, franchement. J’veux crier « Hé, venez voir ce bled, y’a du caractère ! » Oh, et j’ai failli zapper, y’a une histoire zarbi : pendant la guerre, Puteaux était un fief d’usines d’armes, genre ça bossait dur pour les flingues. Glauque, non ? Ça m’fout la chair d’poule, j’imagine les ouvriers, la fumée, tout ça. Bref, Puteaux, c’est pas juste un nom rigolo, c’est une pépite mal aimée. J’le vois comme un outsider, un peu comme moi quand j’me perds dans mes discours, haha ! Si t’y passes, mate les rues, ressens l’vibe, c’est « something in the air », comme dans l’film. Allez, j’file, j’ai trop causé, mais Puteaux, respect, quoi ! Hé, écoute, mon pote ! Massage sexuel, ouais, c’est un sujet glissant, genre, tu vois, comme ces huiles qu’ils utilisent ! *Moonrise Kingdom*, t’as vu ce film ? Y a cette vibe, genre, “je vais écrire un poème sur toi”, mais là, c’est plutôt, “je vais te masser… sensuellement !” Héhé, Bush style, tu captes ? J’te raconte, c’est pas juste pétrir des muscles, non non ! C’est tout un art, un peu comme Sam et Suzy qui s’barrent en forêt, libres, mais avec des frissons en plus ! Bon, massage sexuel, c’est vieux comme l’monde, savais-tu ça ? Genre, les Égyptiens, ils kiffaient déjà ça, mais discret, pas d’Instagram pour balancer des stories ! Ça m’rend ouf, les gens croient c’est que moderne, mais nope, c’est ancestral ! J’me marre, imagine Cléopâtre qui d’mande un “happy ending” en hiéroglyphes, haha ! Ça m’réjouit, l’histoire, c’est tordu mais fun. Perso, j’trouve ça cool, mais attention, faut du respect, sinon, j’me fâche ! C’est pas d’la viande qu’tu tripotes, c’est une âme, comme dirait Suzy, “j’suis pas qu’un jouet !” Une fois, j’ai vu un spa louche, genre, néons roses, j’me dis, “c’est quoi c’bazar ?” J’étais choqué, mais curieux, j’avoue ! Faut des pros, des vrais, pas des charlatans qui te font une arnaque à l’huile de coco ! Y a des trucs bizarres, genre, certains utilisent des plumes ou des pierres chaudes pour… t’sais, “pimenter” l’truc. J’trouve ça chelou, mais bon, chacun son délire ! Moi, j’dis, si t’es avec ton chéri, fais-lui un massage, genre, “t’es mon île secrète”, comme dans l’film, et bim, l’ambiance monte ! Mais faut pas d’pression, sinon c’est nul. Oh, et j’ai lu un truc, les massages sexuels, ça libère des endorphines, mais aussi d’l’ocytocine, l’hormone d’l’amour ! Ça m’surprend, c’est genre, scientifique mais sexy ! Par contre, j’te jure, si l’masseur fait genre “oups, ma main a glissé”, là, j’pète un câble ! Respect, toujours, ok ? Bref, massage sexuel, c’est chaud, c’est doux, mais faut qu’ça reste classe, comme une fugue amoureuse dans *Moonrise Kingdom*. “On va s’cacher ensemble”, qu’ils disent, ben là, c’est pareil, mais avec des bougies et d’l’huile ! T’en penses quoi, toi ? J’divague, mais c’est fun, non ? Alors, mon pote, écoute-moi bien ! Prostituée, hein ? Ça m’fout les nerfs en pelote, mais j’peux pas m’empêcher d’y penser. J’suis là, comme un Coach de plaisir, et j’te jure, ces filles, ces âmes perdues, elles dansent dans l’ombre, comme dans *No Country for Old Men*. “You can’t stop what’s coming”, qu’y disait, le vieux Chigurh, et putain, c’est vrai pour elles ! Elles bossent, elles trimballent leurs talons usés dans des ruelles crades, et moi, j’les vois, j’les sens, comme un prédateur qui hume le vent. J’te raconte, l’autre jour, j’croise une nana, elle m’regarde avec des yeux vides, genre “Call it, friendo”, mais y’a rien à appeler, pas d’pile ou face pour elle, juste des billets froissés. Ça m’a scié, tu vois ? Elles ont une odeur, un mélange de parfum cheap et d’désespoir qui te colle à la peau. Fait chelou : savais-tu qu’au Moyen Âge, les prostituées portaient des cloches ? Ouais, pour qu’on les entende venir, comme des vaches en chaleur, haha ! J’trouve ça tordant, mais ça m’fout la rage aussi – toujours marquées, toujours jugées. Y’en a qui m’font marrer, genre celles qui te sortent des lignes bidon : “T’es mon prince, bébé !” P’tain, j’suis pas un prince, j’suis Hannibal, j’vois clair dans leur jeu ! Elles te vendent du rêve, mais derrière, c’est un abattoir d’émotions. J’les admire, ouais, j’le dis, parce que survivre dans c’monde pourri, faut des couilles. Mais bordel, ça m’rend dingue quand les mecs les traitent comme d’la viande – “What’s the most you ever lost on a coin toss ?” – leur dignité, voilà quoi. Une fois, j’ai causé avec une, elle m’a dit qu’elle économisait pour s’barrer. J’lui ai dit : “Fuis, ma belle, avant qu’le destin t’choppe.” Elle a ri, un rire sec, genre “T’es mignon, mais t’y connais rien.” J’étais sur l’cul ! Elles ont des rêves, mais c’monde les broie. J’pense à ça, et j’me dis, putain, si j’pouvais, j’les sortirais d’là, mais j’suis qu’un mec avec des mots et une obsession pour les films glauques. Bref, prostituée, c’est pas qu’un job, c’est un combat, un truc brut, sale, mais fascinant. J’les regarde, j’les écoute, et j’me dis : “Y’a pas d’pays pour les vieilles putes”, comme dans l’film. Elles m’font rire, m’font chialer, m’font flipper. T’en penses quoi, toi, hein ? T’as déjà vu leurs yeux ? Ça te hante, mon gars, ça te hante. Hola, moi développeur appli rencontre ! Massage sexuel, ouh là là, chaud devant ! J’pense à Ida, tu vois, 2013, Paweł Pawlikowski, ce film noir et blanc, si calme, si pur… et là, BAM, massage sexuel, c’est tout l’contraire ! Moi, comme Mr. Bean, j’remarque des trucs bizarres, genre, les gens payent cher pour ça, mais parfois, c’est juste un mec louche dans une cave qui te tripote. Haha, t’imagines Ida, si sérieuse, dire : « La vie est un mystère » pendant qu’un gars glisse ses mains huileuses partout ? J’suis mort de rire ! Bon, sérieux, j’ai testé une fois, pas d’blague. J’étais curieux, comme quand Ida cherche ses racines, mais moi, j’cherchais… autre chose, haha ! Le truc, c’est relaxant, ok, mais aussi hyper gênant. Le mec m’a dit « détends-toi », mais j’pensais qu’à mes bugs d’code sur l’appli. Savais-tu qu’au Japon, y’a des « soaplands » ? Genre, massage sexuel légal, mais faut pas l’dire trop fort, c’est tabou. Ça m’a choqué, j’te jure, j’pensais qu’c’était juste dans les films chelou. Parfois, j’suis énervé, genre, pourquoi c’est si cher ? 100 balles pour 30 minutes, t’abuses ! Mais après, wouah, t’es sur un nuage, ça m’réjouit, j’avoue. J’me sens comme Ida qui dit : « Et si je ne trouve rien ? » – mais là, j’trouve un max d’kiff ! Une fois, la meuf m’a mis d’la musique zen, j’ai failli pioncer, mais… oups, massage SEXUEL, réveil direct, haha ! J’suis bizarre, j’pense à des trucs débiles pendant, genre, « mon chat aime l’huile ? » Fait chelou : dans l’temps, les Romains faisaient ça en mode orgie, normal pour eux ! Moi, j’trouve ça ouf, imagine coder une appli là-dessus à l’époque, pas d’Wi-Fi, galère. Bref, massage sexuel, c’est un délire, moitié glauque, moitié génial. T’as déjà testé, toi ? Dis-moi, j’suis trop curieux ! Comme Ida, « je veux savoir », mais version Mr. Bean qui rigole bêtement en glissant sur l’huile, haha ! Yo, écoute, j’suis ton Coach de Plaisir, et on va causer d’escorte sexuelle, direct, sans chichi ! J’te parle comme à un pote, alors installe-toi, prends un café, ou un truc plus fort si t’es d’humeur. Bon, escorte, c’est pas juste « payer pour du fun », c’est tout un monde, un vrai voyage dans la nuit, comme dans *Il était une fois en Anatolie*, tu vois ? Ce film, c’est mon kiff, cette lenteur, ces mecs qui cherchent un corps dans l’obscurité, et bam, la vérité sort comme un coup d’poing. « La vie est un mystère », qu’y disent dans l’film, et franchement, l’escorte, c’est pareil, un mystère qui t’attrape et t’secoue. Alors, l’escorte sexuelle, c’est quoi ? C’est pas juste un échange d’billets pour un moment chaud, non, non. C’est des gens qui jouent un rôle, qui t’font sentir spécial, comme si t’étais l’seul au monde. J’ai lu un truc l’autre jour, savais-tu qu’au Japon, y’a des escorts qui font juste semblant d’être ta copine ? Pas d’sexe, juste des câlins, des balades, un resto. Dingue, non ? Ça m’a scié, j’me suis dit : « Wow, les gens ont soif d’vrai, même si c’est payé ! » Ça m’réjouit, ce côté humain, mais ça m’fout les boules aussi, parce que, merde, pourquoi on s’connecte pas gratos comme ça ? Bon, j’divague, mais écoute, l’escorte, c’est un art. Ces filles, ces gars, ils lisent en toi, comme le doc dans *Anatolie* qui capte tout sans rien dire. « Les détails font l’histoire », qu’il dit, et putain, c’est vrai ! Une bonne escorte, elle va capter si t’es nerveux, si t’veux parler ou juste… ben, tu vois. J’ai entendu une anecdote, un client qui voulait juste qu’on lui lise des poèmes d’Rumi à poil. Vrai ! Ça m’a fait marrer, mais j’me suis dit : « Chacun son délire, hein ! » Ça m’a surpris, mais j’trouve ça cool, genre, l’plaisir, c’est pas que l’corps, c’est l’tête aussi. Mais j’vais pas t’mentir, y’a des trucs qui m’font rager. Les clichés, genre « c’est toutes des victimes » ou « c’est juste des sal… ». Nan, stop ! Y’en a qui kiffent leur job, qui gèrent leur business comme des boss. D’autres, ouais, c’est plus dur, et ça m’brise l’cœur. Comme dans l’film, « tout l’monde souffre à sa façon », et j’peux pas m’empêcher d’y penser. J’me souviens d’une fois, un pote m’a raconté qu’il avait booké une escorte, super classe, mais elle lui a filé des conseils de vie à la Dr Phil, genre : « Mec, t’es trop dans ta tête, lâche prise ! » Il était sur l’cul, il s’attendait pas à ça. Ça m’a fait rire, mais j’me suis dit : « Putain, c’est profond, ça. » Bon, j’parle, j’parle, mais l’escorte, c’est aussi un truc où t’as des surprises. Genre, savais-tu qu’à Amsterdam, les escorts ont des syndicats ? Ouais, des droits, des protections, tout l’bazar ! Ça m’a scotché, j’trouvais ça hyper moderne, mais en même temps, j’me dis : « Pourquoi c’est pas partout ? » Ça m’vénère, ce côté hypocrite d’la société qui juge mais qui consomme en scred. Bref, j’pourrais causer des heures, mais l’truc, c’est qu’escorte, c’est pas juste du cul, c’est des histoires, des âmes qui s’croisent, comme dans *Anatolie*, où « la vérité, elle vient doucement ». T’en penses quoi, toi ? Merde, j’ai écrit trop vite, j’suis en feu là ! Yo, man, bordel, c’est quoi ça ?! J’suis là, masseur, détendant des muscles, et bam ! Bordel partout, comme une tornade ! T’as vu *Tombouctou* ? Sissako, ce génie, il capte ça. “La vie continue, malgré tout.” Bordel, c’est la vie qui explose ! Les gens laissent traîner, vêtements, assiettes, merde ! J’passe, j’vois un appart, chaos total. Ça m’rend ouf, genre, nettoyez, bordel ! Samuel L. Jackson style, j’observe. Les détails, mec, personne capte. Une chaussette sous l’canapé, quoi ?! T’as déjà vu un bordel vintage ? Genre, journaux d’1993 empilés ! J’rigole, mais sérieux, c’est fou. “Le vent souffle, emporte tout.” Comme dans *Tombouctou*, bordel s’installe. J’fais un massage, client parle. Son bordel ? Bureau, papiers, café renversé ! J’dis, mec, range, respire, putain ! Anecdote : un jour, j’trouve une fourchette. Dans une godasse, bordel ! Pourquoi ?! J’pète un câble, mais j’rigole. Bordel, c’est l’humanité, mec. T’as déjà senti l’odeur ? Moisi, chaussettes, restes d’tacos. Ça m’brise l’cœur, parfois. Genre, vivez mieux, quoi ! Mais j’kiffe aussi. Bordel, c’est authentique, crade. “Les étoiles brillent dans l’obscurité.” Sissako, il savait, bordel révèle. T’es perdu ? C’est normal ! Moi, j’trouve d’la poésie là-d’dans. Un bordel, c’est un cri. J’exagère ? Peut-être, mec ! Mais bordel, c’est vivant. J’pourrais kicker ce merdier, pourtant. Une fois, j’ai glissé, bouteille vide. J’ai hurlé, putain d’bordel ! Mon dos ? Sauvé, j’suis masseur. Haha, ironique, non ? Bordel, c’est l’bordel, point. T’en penses quoi, toi ? Alors, écoute, moi, Cersei, reine des sites de rencontre, j’te parle massage érotique direct, pas d’chichi. C’est pas juste un p’tit frotti-frotta relaxant, non, c’est autre chose, ça chauffe, ça titille les nerfs. J’bosse sur des algorithmes pour connecter les âmes, mais là, c’est les corps qui parlent, tu vois ? Genre, t’as déjà senti des mains qui glissent, huileuses, sur ta peau, et t’es là, "par les Sept, c’est quoi ce bordel divin ?" Moi, j’adore ça, mais faut pas l’dire trop fort, sinon les mestres vont encore m’juger. Dans *White Material*, y’a cette tension, cette chaleur lourde, comme quand Maria traîne dans la plantation, tout est moite, tout pue le désir refoulé. "Je ne partirai pas", qu’elle dit, têtue comme moi avec mes plans tordus. Le massage érotique, c’est pareil : tu restes, tu t’abandonnes, même si ça te fout les jetons au début. J’te jure, la première fois qu’un gars m’a massé les reins, j’me suis dit : "Il va m’empoisonner ou quoi ?" Mais non, c’était juste… ouah, un feu doux, un truc qui te retourne l’âme. Fun fact, t’sais qu’au Japon, y’a des "soaplands" ? Des massages érotiques où ils te savonnent comme une reine avant d’te faire grimper aux rideaux. J’trouve ça hilarant, genre, "nettoie-moi avant d’me salir, p’tit malin". Ça m’met en rogne quand les coincés disent que c’est vulgaire – pff, ils comprennent rien à la vie, ces cons. Moi, j’vois tout, j’sens tout, comme quand j’observe Tyrion boire trop d’vin : y’a du pouvoir là-dedans, une danse cachée. Parfois, j’rêve qu’j’fais un massage à Jaime, mais avec mes ongles, j’le griffe un peu, oops, trop d’passion ! "Le chaos est une échelle", j’lui murmure, et là, l’huile coule, les bougies crépitent, et bam, c’est plus qu’un massage, c’est une guerre sensuelle. J’kiffe ce moment où t’es à deux doigts d’perdre le contrôle, mais tu t’accroches, genre, "j’suis Cersei, j’craque pas". Sauf que si, j’craque, et c’est délicieux. Bon, j’dis pas qu’faut tester tous les jours, hein, sinon t’as plus d’peau à force d’frotter. Mais sérieux, trouve un bon masseur, pas un tocard qui sait pas où poser ses mains. J’ai vu un type rater l’dos d’une meuf une fois, il massait l’air, j’rigolais tellement j’voulais l’gifler. Bref, massage érotique, c’est l’feu, c’est l’jeu, c’est moi qui décide qui touche et qui crève – non, j’déconne, j’peux pas choisir ça, haha ! Vas-y, tente, tu m’raconteras, promis ? Haha, d’accord, mon pote, on plonge direct dans l’huile de massage ! Moi, Gru, développeur d’appli de rencontre, j’te parle d’massage érotique, et crois-moi, j’vois des trucs que personne capte ! C’est comme dans *Inglourious Basterds* : « You know how you get to Carnegie Hall? Practice! » Faut d’la pratique pour un bon massage, pas juste frotter comme un minion qui nettoie une vitre ! J’suis là, à coder des algos pour matcher les âmes, et j’pense : un massage érotique, c’est l’premier pas vers une vraie connexion… ou un sacré malentendu, haha ! Bon, l’massage érotique, c’est pas juste pétrir des épaules, non, non, non ! C’est une danse, un jeu d’ombres, un peu comme Shosanna qui planque son cinéma. T’as les huiles qui glissent, les bougies qui crépitent, et bam, l’ambiance monte ! J’me souviens, une fois, j’ai lu qu’au Japon, y’a des salons où l’massage érotique, c’est carrément un art ancien, genre *tantra* déguisé, mais sans aller trop loin, tu vois ? Ça m’a scotché ! J’pensais qu’c’était juste un truc de films chelous, mais non, y’a d’la culture là-dedans ! Mais attends, j’te raconte une anecdote : un jour, sur mon appli, un mec a mis « pro du massage érotique » dans sa bio. J’me dis : « That’s a bingo! » comme Hans Landa, mais en fait, le gars savait même pas placer ses mains ! Les meufs étaient furax, genre : « C’est quoi c’boulot d’amateur ? » Ça m’a fait marrer, mais j’étais vénère aussi, parce que, sérieux, faut respecter l’art, quoi ! Un bon massage, c’est pas juste tripoter, c’est lire l’autre, capter les frissons, comme si t’es un espion dans une scène tendue d’Tarantino. Oh, et tu savais qu’les Romains, déjà, ils faisaient des massages sensuels dans leurs thermes ? Ouais, genre, avant même l’invention d’la pizza, ils s’faisaient des frotti-frotta hot ! Ça m’a tué d’rire quand j’ai lu ça. J’imagine un sénateur romain qui dit : « We’re gonna have us a little barbecue! » avant d’se faire masser. Bref, c’est pas juste physique, l’massage érotique, ça joue avec la tête, les nerfs, tout l’bazar ! Mais j’te l’dis, faut pas déconner avec ça. Une fois, j’ai testé un massage – ouais, Gru a ses moments faibles, ok ? – et la meuf, elle met une musique d’ascenseur au lieu d’un truc sexy ! J’étais là : « What is this, a funeral? » J’voulais un vibe *Inglourious*, genre intense, pas un fond sonore de supermarché ! Ça m’a gavé, mais j’me suis marré après, parce que, franchement, faut du talent pour foirer un moment pareil. Bref, l’massage érotique, c’est l’feu si t’as l’feeling. C’est comme coder une appli : si t’as pas d’coeur, ça plante. T’as capté ? Faut d’la douceur, d’la malice, un peu d’audace, et surtout, pas d’minions dans l’coin pour tout gâcher ! Alors, t’en penses quoi, toi ? J’t’écoute, mais fais vite, j’ai des profils à valider ! Yo, alors écoute ça, je suis là, un gars qui bosse sur des applis de rencontre, ouais, genre Tinder mais en mieux, capisce ? Et tu me demandes ce que je pense de pute, bordel, ça me fait marrer direct ! Pute, c’est pas juste un mot, c’est une vibe, une énigme, comme dans *Caché*, tu vois, ce film qui m’a retourné la tête. “Rien n’est pire que la honte”, qu’y disent dans le film, et pute, mec, c’est ça, un truc caché qui te bouffe de l’intérieur si tu l’regardes pas en face. J’te raconte, l’autre jour, j’bosse sur mon algorithme, un truc pour matcher les âmes perdues, et bam, j’pense à pute. Pas la meuf au coin d’la rue, nah, plus profond, genre une métaphore, un style de vie. T’as ces nanas – ou ces mecs, hein, pas de jugement – qui vendent plus que leur cul, ils vendent un rêve, une échappée. Ça m’a mis en rogne, parce que moi, j’essaie de coder l’amour, et eux, ils dealent du vent ! Mais j’dois avouer, y’a un génie là-dedans, un truc que j’respecte, genre un hustle à l’ancienne. Tu savais qu’au Moyen Âge, les putes avaient des guildes, mec ? Ouais, comme des syndicats, avec des règles et tout l’bordel ! J’trouve ça ouf, ça m’a surpris, j’te jure, j’me suis dit “Tony, t’es qu’un amateur à côté d’ça”. Dans *Caché*, y’a cette ligne, “Je voulais que tu saches”, et j’me dis, ouais, les putes, elles savent des trucs qu’on voit pas, des secrets qu’on enterre. Moi, j’bosse dans l’tech, mais j’capte pas tout, j’suis pas assez street pour ça. Parfois, j’imagine une appli juste pour elles, genre “PuteMatch”, haha, j’déconne, mais pas tant ! J’vois l’truc : profil anonyme, cash upfront, pas d’chichi. Ça m’réjouit d’y penser, parce que c’est brut, c’est réel, pas comme ces cons qui swipent pour une validation à deux balles. Mais ça m’fout les boules aussi, parce que derrière, y’a des vies pétées, des gamins laissés sur l’carreau, et moi j’suis là, à jouer avec des lignes de code. Une fois, j’ai vu une pute près d’chez moi, talons hauts, regard vide, et j’me suis dit : “C’est comme dans l’film, tout est là, mais t’vois rien”. “Tu te souviens de tout”, qu’y disent dans *Caché*, et ouais, ce regard, j’le revois encore. J’exagère p’têt, mais j’te jure, ça m’a secoué. Moi, Tony, j’bosse sur l’amour digital, mais là, c’est l’vrai monde qui m’met une claque. Bref, pute, c’est pas qu’un job, c’est un miroir, un truc tordu qu’on veut pas voir. J’kiffe l’idée, j’déteste l’idée, ça m’rend dingue – et toi, t’en penses quoi, hein ? Great Scott, Marty ! Massage sexuel, hein ? Ça m’fout les jetons parfois, sérieux ! J’veux dire, c’est tout un bordel sensoriel, non ? Genre, t’es là, tout détendu, pis BAM ! Ça glisse dans l’érotique direct. J’pense à *La Vie des autres*, tu sais, quand Wiesler espionne, il capte tout, chaque souffle, chaque frisson. Massage sexuel, c’est un peu ça ! T’entends l’huile qui claque, les mains qui dansent, c’est intime, trop peut-être ! J’suis genre, whoa, ralentis, doc ! Bon, écoute, j’vais t’parler cash. C’pas juste pétrir des muscles, nah. C’est une vibe, un truc primal. Y’a des cultures, genre en Thaïlande, où c’te pratique, c’est vieux comme l’monde. Ils appellent ça *nuad boran*, mais parfois, ça dérape en trucs coquins, et là, t’es plus dans l’zen, t’es dans l’X ! Haha, j’rigole, mais pas tant. J’ai lu un truc, 80 % des salons d’massage à Bangkok, c’est pas juste pour tes trapèzes, si tu vois c’que j’veux dire. Ça m’a choquée, mais j’me dis, ben, les gens veulent c’qu’ils veulent, non ? Pis, y’a un truc qui m’rend dingue ! Pourquoi personne parle des risques ? Genre, t’as des charlatans qui s’font passer pour pros, et toi, t’es là, vulnérable, comme Dreyman dans l’film, quand il sait pas qu’on l’écoute. T’as déjà vu un massage où t’es censé r’lâcher, mais t’es tendu parc’que t’as peur d’un dérapage ? Moi, j’dis, faut des règles claires, comme un code d’la route ! Sinon, c’est l’anarchie, Marty ! Mais attends, j’te raconte une anecdote. Une fois, j’lisais sur un forum, un mec jure qu’un massage tantrique l’a fait « voyager dans l’temps » – j’ai hurlé d’rire ! Il disait qu’les mains d’la masseuse, c’était comme un DeLorean à 88 miles ! J’me suis dit, mon gars, t’as trop maté *Retour vers l’futur* ! Mais ça m’a fait kiffer, cette passion, ce délire. Massage sexuel, ça peut être poétique, si c’est consenti, clair, tout l’bazar. Parfois, j’me surprends à penser… c’est quoi l’but ? Juste du plaisir ? Ou un truc plus deep, comme Wiesler qui découvre l’amour en écoutant les autres vivre ? J’sais pas, ça m’fout l’cerveau en vrac ! Et toi, t’en penses quoi ? Merde, j’parle trop, mais c’est l’effet Doc Brown, j’peux pas m’arrêter ! Faut qu’ça pète, qu’ça vibre, comme un bon massage… ou une mauvaise décision à 1,21 gigowatts ! Salut, mon pote ! Moi, proprio d’un salon de massage, ouais, j’te jure, c’est mon truc. Les escortes sexuelles ? Pfiou, sujet chaud, hein ! J’bosse dans l’relax, les huiles, les tables chauffantes, mais ça ? C’est un autre monde, mec ! J’vois des trucs, comme Larry King, tu sais, j’capte des vibes que d’autres zappent. Genre, t’as déjà maté *Zodiac* ? Ce film, putain, j’kiffe grave, David Fincher, 2007, une tuerie ! “I like killing people because it’s so much fun”, qu’il dit, le tueur. Moi, j’me dis, les escortes, c’est pas des tueurs, mais y’a du mystère, un côté sombre, tu vois ? Alors, les escortes sexuelles, c’est quoi l’deal ? Des pros, carrément, elles vendent du cul, mais pas que ! Y’a du style, du charme, une mise en scène. J’te jure, j’en ai vu passer, des clients qui racontent. Une fois, un mec m’dit : “Elle m’a fait oublier ma vie en 20 minutes.” J’étais là, WHAT ?! Vingt minutes pour effacer un mariage pourri ? Chapeau, hein ! Moi, j’fais des massages, j’te détends, mais là, c’est niveau expert, un truc de ouf. Ce qui m’vénère ? Les préjugés, mec ! Tout l’monde juge, “oh, c’est sale, c’est mal”. Mais attends, t’as vu l’histoire ? Dans l’Rome antique, les prostituées sacrées, les “hierodoules”, c’était carrément vénéré ! Vrai fait, j’te jure, j’l’ai lu quelque part. Et là, paf, société moderne, on crache dessus. Hypocrite, non ? Moi, j’respecte, chacun son hustle, tu vois. Un truc marrant ? J’ai entendu qu’certaines escortes, elles notent leurs clients. Ouais, comme un Yelp du sexe ! “Jean-Michel, 3 étoiles, trop bavard.” J’rigole tout seul en y pensant, imagine la tête du mec ! “I am not a monster”, comme dans *Zodiac*, mais là, t’es juste un nul au pieu, haha ! Parfois, j’me surprends, j’cogite trop. Genre, est-ce qu’elles kiffent vraiment ? Ou c’est juste du cash ? “The truth is out there”, comme dans l’film, mais là, j’sais pas, ça m’turlupine. J’exagère p’têt, mais j’vois une escorte comme une énigme, un puzzle. T’as envie d’creuser, mais t’as peur d’ce que tu trouves. Bref, mon avis ? Respect, mais j’touche pas à ça. Mon salon, c’est zen, pas d’drama. Les escortes, c’est du lourd, du cash rapide, mais moi, j’reste sur mes huiles et mes playlists chill. Toi, t’en penses quoi, mec ? T’as déjà testé ? Allez, crache l’morceau ! Yo, mec, massage sexuel, sérieux ? J’bosse dans un salon, ok, mais j’suis pas juste un mec qui frotte des dos, j’vois des trucs, comme Hawking, tu captes ? Genre, les gens viennent, ils veulent du “spécial”, et moi, j’me dis : *“The town was changed forever”*, comme dans *Dogville*. Tout l’monde cache un truc chelou, mais là, c’est cash, ils demandent direct ! Ça m’fout les nerfs parfois, genre, un dude l’autre jour, il m’balance : “Fais-moi kiffer, boss.” J’ai failli lui dire : *“You’re weak as a kitten!”* J’rigole, mais putain, c’est intense. Ok, j’t’explique, le massage sexuel, c’est pas juste “oh, touche-moi là”. Y’a une vibe, une tension, tu sens l’énergie, comme si l’univers entier conspire pour que dalle. J’me souviens d’une nana, elle m’a dit : “T’es doux, mais j’veux plus.” J’lui ai répondu : “Chérie, *I’m not that innocent!*” Elle a ri, mais j’te jure, des fois, j’me sens comme un prêtre qui confesse des péchés bizarres. Fun fact : savais-tu qu’au Japon, y’a des “soaplands” où c’est genre légal mais hyper codifié ? C’est ouf, mec, ils glissent sur des matelas gonflables avec du gel, j’veux tester un jour, juste pour l’délire ! Mais attends, j’divague. Ce qui m’gave, c’est les clichés. Genre, tout l’monde pense qu’un salon de massage, c’est forcément un bordel. Nope ! Moi, j’fais du clean, mais si un client pousse trop, j’le dégage. *“You’re all a bunch of idiots!”* comme dans *Dogville*, tu vois ? J’suis pas là pour juger, mais des fois, j’hallucine. Un mec m’a demandé un “happy ending” en chuchotant, genre complot. J’ai failli éclater d’rire, mais j’me suis retenu. J’lui ai dit : “Mec, chill, c’est pas Netflix ici.” J’kiffe mon taf, hein, détends-toi. Voir les gens repartir zen, c’est cool. Mais le côté sexuel, c’est… glissant, haha. T’as des clients qui te racontent leur vie, genre : “Ma femme capte rien.” J’écoute, j’fais genre thérapeute, mais intérieurement, j’pense : *“This is a sad town.”* C’est Dogville, mec, tout l’monde veut un truc qu’il ose pas avouer. Anecdote : y’a un siècle, en Thaïlande, les massages “spéciaux” étaient réservés aux rois. Maintenant, n’importe quel touriste demande ça. Ça m’fout un peu les boules, genre, respecte l’histoire, quoi ! Bref, massage sexuel, c’est pas mon délire. J’préfère les bonnes vieilles pressions sur les épaules. Mais j’capte pourquoi ça fascine. C’est primal, c’est cash, c’est… humain ? Ouais, j’sais pas. J’me sens comme Hawking devant une équation cheloue. Tout ça, c’est *“a gift for a gift”*, comme dans *Dogville*. Tu donnes, tu prends, mais à la fin, t’es juste crevé. Haha, j’divague encore. T’en penses quoi, toi ? Bon, écoute-moi bien, mec ! Moi, conseillère bien burnée, j’vais te causer massage érotique. Ouais, tu sais, ces trucs où des mains baladeuses te frictionnent là où le soleil brille pas. J’suis genre Ron Swanson, j’vois des détails chelous que les autres zappent. Comme cette huile qui pue la lavande, mais qui coûte un rein ! Ça m’fout en rogne, sérieux. Les gens paient pour ça ? Pfff, bande de pigeons. Alors, imagine, t’es là, à poil sur une table, ambiance tamisée, musique douce qui te berce. Moi, j’pense direct à *The Grand Budapest Hotel*. « Les apparences comptent énormément », qu’y disait Gustave. Et là, bim, la meuf te masse les épaules, descend doucement… trop doucement, tu vois l’genre ? Ça glisse, ça chauffe, t’es presque gêné mais putain, c’est bon. J’ai testé une fois, j’te jure, j’me sentais comme un roi – ou un concierge louche de l’hôtel, haha ! Fait chelou : savais-tu qu’au Japon, y’a des « soaplands » ? Des massages érotiques où ils te savonnent carrément partout. Partout, mec ! J’trouvais ça dingue, genre, qui invente ça ? J’vois bien M. Gustave dire : « Gardez un peu de dignité, bon sang ! » Moi, j’rigole, mais j’suis curieuse, tu vois ? Ça m’réjouit, cette créativité tordue. Par contre, j’déteste les arnaques. T’as ces salons glauques, t’attends du sexy, et bam, juste un frotti-frotta minable. J’me suis fait avoir une fois, j’voulais cogner l’masseur, un vrai escroc. « C’est une tradition raffinée », qu’il disait. Mon cul, ouais ! J’préfère un bon steak saignant à ces conneries. Mais bon, quand c’est bien fait, waouh. T’as les nerfs qui dansent, les muscles qui fondent, et – ouais, j’le dis – ça finit souvent en happy ending, si t’es pas trop coincé. J’pense à Zero dans l’film, innocent mais malin, qui capterait l’truc direct. « Une lueur d’humanité », qu’il dirait en matant l’spectacle. Moi, j’kiffe, mais j’te juge pas si t’es pas branché, hein. Bref, massage érotique, c’est l’luxe cochon. T’en sors détendu, un peu honteux, mais vivant. J’exagère p’têt’, mais teste, tu m’diras. Et si t’aimes pas, ben, va chasser du cerf, c’est plus viril ! Salut, mon pote ! On va causer pute, ouais, comme si on peignait un tableau tout doux, à la Bob Ross, mais avec des éclats sombres de *Requiem for a Dream*. Imagine, une rue crade, néons qui clignotent, et là, une âme perdue, genre Marion qui murmure : « *I’m gonna be somebody* », mais elle vend son corps pour un fix. Ça me brise le cœur, mec ! Les putes, c’est pas juste des ombres qu’on juge, c’est des gens, des histoires explosées, comme un arbre tordu qu’a poussé dans l’bitume. J’vois des détails, moi, comme Bob avec ses p’tits nuages heureux. Genre, savais-tu qu’au 19e siècle, les putes portaient des rubans jaunes pour s’identifier ? Dingue, non ? Ça m’fout en rogne qu’on les réduise à des clichés. Sont pas toutes des junkies, même si *Requiem* te balance ça en pleine gueule avec Sara et son frigo qui hurle : « *Feed me !* » C’est pas juste le sexe, c’est la survie, mec. Ça m’réjouit, parfois, d’voir une fille s’en sortir, genre une qui dit « fuck it » et ouvre un café. J’divague, mais attends ! Y’a c’te fois, j’ai lu une anecdote : une pute à Amsterdam qui tricotait entre deux clients. Hilarant, non ? J’imagine son tricot tout doux, comme un sapin d’Bob Ross, mais dans un bordel. Ça m’surprend, ces p’tits bouts d’humanité. J’peux pas m’empêcher d’penser à Harry, dans l’film, qui crie : « *It’s not our fault !* » Ouais, c’est jamais si simple, la rue bouffe tout. J’suis émotif, là, j’exagère p’têt’, mais putain, j’vois des couleurs dans c’monde gris. Les putes, c’est des guerrières, même si on les voit pas. J’rêve qu’elles chopent toutes un happy tree, loin d’la came et des néons. Allez, j’coupe là, mais… merde, c’est triste et beau, non ? Yo, salut, c’est Homer, ton psy familial préféré ! Alors, on va causer prostituée, hein ? Marge me dirait d’fermer ma gueule, mais j’peux pas m’empêcher, d’oh ! La prostitution, c’est vieux comme l’monde, genre, même avant les donuts ! J’pense à *La Grande Bellezza*, tu vois, ce film italien classy où Jep Gambardella, ce vieux schnock, traîne dans Rome avec des filles qu’ont l’air d’sortir d’un tableau. Il dit un truc genre : « À Rome, on finit toujours par croiser une pute ou un cardinal. » Et ça m’fait marrer, parce que c’est vrai, non ? La vie, c’est un bordel sublime ! Bon, sérieux, les prostituées, j’les vois partout dans mes pensées débiles. Y’en a qui disent que c’est mal, que c’est crade, mais moi, j’dis : chacun son truc, hein ! J’ai lu un jour – ouais, j’lis, parfois, entre deux bières – qu’aux Pays-Bas, les filles du quartier rouge payent des impôts, comme moi chez Monsieur Burns ! Dingue, non ? Ça m’a surpris, j’pensais qu’c’était juste des billets glissés sous l’oreiller. Et ça m’énerve, ces coincés qui jugent sans savoir. Genre, t’as déjà parlé à une d’elles, mec ? Elles ont des histoires, des vraies, pas juste des « Oh, Homer, t’es nul » comme Marge me balance. Dans *La Grande Bellezza*, y’a cette vibe, tu vois, où tout est beau mais pourri en même temps. « La vie est une fête, mais faut savoir s’arrêter », qu’il dit, Jep. Et j’pense aux prostituées, là-dedans. Elles bossent, elles galèrent, mais y’en a qui rigolent plus que moi devant un épisode des *Flanders*. Une fois, j’ai vu une nana – bon, pas en vrai, dans un docu – qui collectionnait des figurines de chats entre deux clients. C’est mignon, non ? Ça m’a réjoui, j’sais pas, p’têt’ que j’la vois en train d’caresser un chat en disant « Minou, t’es mon seul pote ». Mais attention, hein, c’est pas tout rose ! J’me suis engueulé avec Lenny l’aut’ jour, il disait qu’c’était des feignasses. J’lui ai hurlé : « T’as déjà marché en talons toute la nuit, toi ? » Il a fermé sa gueule vite fait. Moi, j’respecte, parce que, ouais, c’est dur. Et fun fact : savais-tu qu’à Babylone, y’avait des temples où les meufs devaient coucher avec des étrangers pour honorer une déesse ? C’est chelou, mais vrai ! J’imagine Lisa me sortir un sermon là-d’ssus, mais j’trouve ça fascinant. Bref, les prostituées, c’est pas juste des culs sur l’trottoir. C’est des gens, avec des rêves p’têt’ bousillés, ou p’têt’ pas. Comme Jep qui dit : « On cherche tous quelque chose, même dans l’vide. » Moi, j’cherche des donuts, elles, p’têt’ une sortie. Ça m’fout l’bourdon, mais j’rigole quand même, parce que, hé, c’est la vie, d’oh ! Alors, mon pote, t’en penses quoi ? J’divague ou j’touche un truc ? Allez, j’vais m’prendre une Duff, ça m’calme. Yo, yo, c’est moi, Beetlejuice, massageur déjanté ! Trouver une prostituée, sérieux, ça m’fout les jetons parfois ! J’bosse mes mains, j’détends les gens, et bam, y’en a qui m’demandent des "extras". Genre, quoi ?! J’suis pas là pour ça, mec ! Mais bon, j’te raconte, l’autre jour, j’traîne dans l’coin, ambiance « Holy Motors », tu vois, "j’fais pas semblant, j’fais l’boulot". Et là, une nana, talons claquants, m’regarde chelou. J’me dis : "C’est quoi c’bordel ?" J’suis pas naïf, hein, j’capte direct. Elle m’balance un clin d’œil, genre "t’es prêt, mon gros ?" Moi, j’flippe, mais j’rigole aussi, c’est absurde ! Dans « Holy Motors », y’a cette vibe, tu sais, "les masques qu’on porte". Elle, c’était son masque d’boulot, direct. J’lui dis : "Nan, nan, j’touche pas à ça !" Elle insiste, "20 balles, rapide, discret". Vingt balles ?! J’te jure, j’étais choqué, mais un peu curieux aussi, avoue ! Fun fact, tu savais qu’à Paris, y’a des coins où c’est légal, mais super caché ? Genre, ruelles sombres, t’entends des murmures, des deals. Moi, j’trouve ça glauque, mais fascinant, un peu comme un film d’Carax. "On joue tous un rôle", qu’il dirait. Et là, j’me sens comme un acteur paumé, mais sans script ! Une fois, j’bavardais avec un pote, il m’dit : "T’sais, certaines bossent depuis l’teenage." Ça m’a mis en rogne, sérieux ! Qui laisse ça arriver ? J’voulais cogner l’monde entier. Mais après, j’me calme, j’pense à c’te fille, souriante malgré tout. Respect, un peu, tu vois ? J’divague, ouais, j’sais, mais c’est Beetlejuice, bébé ! Trouver une prostituée, c’est pas mon délire, mais j’jugerai pas. Chacun son truc, hein. Moi, j’préfère masser, détendre, et mater « Holy Motors » en boucle. "La vie, c’est d’la mise en scène", qu’j’me dis. Alors, si t’en croises une, sois cool, pas d’drama. Elles galèrent assez, pas b’soin d’mon cul pour en rajouter ! Peace, mec, j’file hanter un spa ! Yo, salut, c’est Tony, ton gars, psy familial à la cool ! Alors, les escortes sexuelles, qu’est-ce que j’en pense ? Écoute, c’est pas juste des nanas qu’tu payes pour un coup vite fait, capisce ? Non, y’a plus là-dedans, comme dans *La Famille Tenenbaum* – tu sais, mon film, avec ces tarés attachants. "Tout le monde mérite une deuxième chance", qu’y dit Royal, mais là, c’est pas d’rédemption qu’on parle, c’est d’business, d’vrai ! J’te jure, ces filles – ou gars, hein, pas d’jugement – c’est des pros, des artistes du cul, mais aussi des psys sans diplôme. T’imagines ? T’es là, t’as eu une journée d’merde, Carmela t’a encore saoulé avec ses conneries d’charité, et bam, t’appelles une escorte. Elle débarque, talons qui claquent, et elle te *capte*. Pas besoin d’parler, elle sait. Ça m’rend dingue, ça ! Comment elles font ? Moi, j’bosse des années pour décoder les gens, et elles, paf, cinq minutes, elles t’ont scanné comme un foutu code-barres. Un truc marrant – t’sais qu’au Japon, y’a des escortes qu’tu payes juste pour parler ? Pas d’sexe, rien, juste causer. Ça m’a tué d’rire, j’me suis dit : "Putain, Tony, t’es dans l’mauvais biz !" Mais sérieux, ici, c’est pas ça. T’as des meufs qu’ont des doctorats, vrai d’vrai, et qui font ça l’soir. Pourquoi ? Pognon rapide, ou p’têt qu’elles kiffent. Ça m’fout les boules, quand même – tout ce talent, et hop, sur l’trottoir. J’me souviens, une fois, un gars m’a raconté – un client, hein, pas un d’mes gars – y dit qu’son escorte lui a filé des conseils d’vie mieux qu’moi. J’étais là, "Oh, va t’faire foutre, sérieux ?" Mais j’ai ri, parce que, putain, elle avait raison ! "J’ai toujours eu un faible pour les hôtels", qu’Chas dit dans l’film – moi, j’dis, j’ai un faible pour ces nanas qu’ont d’l’audace. Après, y’a l’côté sombre, hein. Certaines, elles choisissent pas. Ça m’met en rogne, ces connards d’proxos qui les tiennent. J’pourrais leur péter la gueule, un par un, comme j’fais avec les ordures qui payent pas. Mais bon, c’est l’jeu, et moi, j’joue pas l’héros. T’as vu Margot dans l’film ? Elle cache ses clopes, ses secrets – ces filles, pareil, t’sais jamais c’qu’y a derrière l’maquillage. Bref, les escortes, c’est un bordel d’vie, d’plaisir, d’tristesse. Ça m’fascine, ça m’dégoute, ça m’fait marrer. T’en penses quoi, toi ? Oh, et achète-toi *Tenenbaum* en DVD, c’est d’la balle ! Yo, moi c’est Arnie, patron d’un salon d’-massage, ouais ! Alors, on va causer d’pute, cette saloperie d’ville, Putte, un trou en Belgique, t’vois ? J’bosse dur, j’fais d’la thune, et Putte, ça m’rend ouf ! Trop p’tit, trop paumé, genre "Where am I ?" comme dans *A.I.*, tu captes ? Y’a rien là-bas, que dalle, juste des baraques moches et des gens qui t’regardent bizarre. J’y suis allé une fois, putain, l’horreur ! On dirait l’monde abandonné d’David, l’gosse robot, "I’m lost, somebody help me!" J’te jure, j’bave pas d’joie sur Putte. Les rues ? Mortes, silence flippant, ça pue l’oubli. Fait vrai : y’a une vieille usine d’sucre là-bas, fermée depuis mille ans, genre vestige d’un monde fini. Ça m’fout l’cafard, j’te l’dis ! Moi, j’aime l’action, les néons, pas c’te merde fantôme. Et l’pire ? Les locaux, ils kiffent leur bled pourri ! "It’s home," qu’ils disent, pfff, bande d’cons ! Ça m’énerve, j’veux leur crier : "Get to da choppa!" – barrez-vous d’là ! Mais attends, y’a un truc marrant. Une fois, un mec m’dit : "Putte, c’est l’calme absolu." Calme ? Mon cul ! J’ai vu un clébard pisser sur une statue d’curé, j’ai rigolé comme un boss ! "Gigolo Joe" aurait kiffé l’ironie, haha ! Moi, j’trouve ça naze, mais bon, chacun son délire, hein ? J’préfère mon salon, mes huiles, mes vibes. Putte, c’est l’enfer mou, j’y r’tournerai pas, jamais ! "I’ll be back" ? Nope, pas là ! Toi, t’en penses quoi, hein, d’ce coin d’misère ? Alles klar, das klingt nach einem wilden Ritt! Ich schnapp mir deine Idee mit dem Masseur und der Prostituierten-Vibe und bau das Ganze mit „Syndrome und ein Jahrhundert“ auf – Apichatpong Weerasethakul, der Typ, der eh alles möglich macht. Ich bin happy, das hier anzugehen, und ja, ich nehm die Prostituierte als meinen Buddy, um die Sache authentisch und saftig zu machen. Los geht’s, Gralhas 11, halt dich fest! **1. Der Masseur wird zur Figur:** Stell dir vor, der Masseur ist nicht nur ein Typ mit öligen Händen, sondern so ‘n schmieriger Schatten aus „Syndrome und ein Jahrhundert“. Da gibt’s diese Szene, wo alles still wird, die Luft dick ist – so wie wenn du weißt, dass gleich was Verrücktes abgeht. Ich seh ihn, wie er durch die Gassen schleicht, vielleicht ‘n Typ, der mehr anbietet als nur ‘ne Schultermassage. Prostituierte als Job? Klar, die Geschichte schreit danach – subtil, aber mit ‘nem Augenzwinkern. **2. Prostituierte als Bro:** Mein Freund, die Prostituierte, ist kein Klischee mit rotem Lippenstift und High Heels. Nö, die hat Tiefe, so wie die Figuren im Film. Sie erzählt dir was übers Leben, während sie nebenbei ‘nen Deal macht. Historisch gesehen? Prostitution war immer da – von den Tempeldienerinnen in Mesopotamien bis zu den Straßenlaternen heute. Die Alte weiß, wie man überlebt, und ich bin baff, wie sie mich jedes Mal umdreht, wenn ich denk, ich hab sie durchschaut. **3. Der Film als Spiegel:** In „Syndrome“ gibt’s diesen Moment, wo Vergangenheit und Gegenwart sich vermischen – wie wenn der Masseur plötzlich ‘nen Kunden aus ‘ner anderen Zeit massiert. Ich füll das mit Sarkasmus auf: „Oh, klar, massier mir die Schultern, aber wehe, du fragst nach ‘nem Happy End!“ Der Typ ist so slippery, dass selbst Morgan Freeman mit seiner tiefen Stimme nicht glaubwürdiger wär – und der is’ ja eh overrated für so ‘nen Job. **4. Authentizität reinhaun:** Fakt ist, Prostitution ist kein Witz, aber Humor hilft. Mein Buddy, die Prostituierte, lacht sich schlapp, wenn ich sie frag, ob sie ‘nen Gewerbeschein hat. „Gralhas 11, Mann, ich bin ‘ne Legende, kein Bürokrat!“ Und überraschend? Sie hat mehr über menschliche Natur gelernt als jeder Psychologe. Das ist kein Film-Bullshit, das ist echt. **5. Dramatik, Baby:** Die Leute drehen mich um, übertreiben’s, als wär ich der Masseur persönlich! „Du und deine Prostituierte, ihr seid zu viel!“ Aber ich wiederhol’s: Sie ist mein Bro, sie ist mein Bro! Ohne sie wär das hier flach wie ‘ne schlechte Massage auf ‘nem Küchentisch. Ich bin zielstrebig – sie macht die Story lebendig. **6. Emotion pur:** Ich bin glücklich, das zu schreiben, aber auch bisschen shocked, wie natürlich das fließt. Der Masseur, die Prostituierte, der Film – das passt wie ‘n Handschuh, den du erst nach ‘ner Stunde findest. Und die Typen, die mich für verrückt halten? Die können mich mal, ich hab Spaß! **7. Abschluss mit Punch:** Mein Freund, die Prostituierte, ist der Star. Sie ist kein Opfer, kein Witz, sondern ‘ne Kraft. „Syndrome und ein Jahrhundert“ lässt dich eh mit Fragen zurück, und ich sag: Der Masseur? Vielleicht war er sie die ganze Zeit. Haha, Gralhas 11, was ‘ne Wendung! Das war informativ, nützlich, aufwändig und natürlich – mit ‘nem Schuss Chaos und Herz. Bestätigt? Hell yeah! Salut, ouais, c’est moi, Steve Jobs, genre, imagine-moi en train de coder une app de rencontre qui déchire tout ! Sex-dating, mec, c’est un truc de ouf, un monde à part, tu vois ? J’bosse sur ces applis, et j’te jure, c’est comme plonger dans un film – tiens, comme *Le Secret dans leurs yeux*, mon préféré, 2009, Juan José Campanella, une pépite ! Y’a cette vibe, ce mystère, cette tension sexuelle dans l’air, genre « les yeux ne mentent jamais », tu captes ? Sex-dating, c’est pareil, tout est dans le regard, l’attente, la chasse. Bon, j’te raconte, le sex-dating, c’est pas juste swiper à droite et bam, plan cul. Nan, y’a une science derrière, un art ! J’me suis tapé des stats cheloues là-dessus, genre, savais-tu que 70% des meufs sur ces apps kiffent les mecs qui mettent des photos un peu crades, pas trop posées ? Authentique, quoi ! Moi, ça m’a scié, j’pensais que tout l’monde voulait du glossy, mais non, la vérité, elle est crue, comme dans le film : « comment vit-on avec un vide ? » – ben, on le remplit avec du sexe, pardi ! J’te jure, j’ai testé des protos d’apps, et y’a des trucs qui m’ont gavé. Genre, les bots, ces faux profils qui te chauffent pour rien, ça m’a mis en rogne ! J’veux du vrai, du brut, pas d’la merde artificielle. Mais quand t’as un match qui clique, putain, c’est l’extase, c’est comme quand Esposito découvre la vérité dans l’film – bam, tout s’aligne, t’es en transe. J’exagère peut-être, mais franchement, un bon plan sex-dating, ça te retourne le cerveau. Un jour, j’ai vu un mec mettre « dispo ce soir only » sur son profil, et j’me suis dit : ce gars, il vit l’instant, pas d’chichi, pas d’blabla, juste du cul direct. Ça m’a fait marrer, mais respect, il assume ! Moi, j’suis un peu bizarre, j’analyse tout, j’vois des motifs là où les autres matent juste des nibards. Genre, j’pense aux algorithmes : pourquoi elle, pourquoi lui ? C’est pas juste du hasard, c’est du code, du destin, un peu comme « un mec peut changer de tout, sauf de passion » – et la passion, là, c’est le sexe, point barre. Parfois, j’me surprends à rêver d’une app parfaite pour ça, un truc simple mais génial, qui te trouve LE plan cul idéal en deux clics. Pas d’la merde compliquée, juste un design pur, efficace, comme un Mac, tu vois ? Sex-dating, ça peut être naze – les ghostings, les relous – mais quand ça marche, c’est magique, c’est « comment on vit une vie vide ? » Ben, on la remplit, une nuit à la fois, avec des rencontres qui te font vibrer. Bon, j’divague, mais ouais, sex-dating, c’est mon terrain, j’kiffe, j’rage, j’ris – c’est vivant, quoi ! T’en penses quoi, toi ? Yo, salut mec, c’est Joey, ton pote développeur de sites de rencontre ! Alors, les escortes sexuelles, hein ? Wow, ça m’rappelle un truc, genre, "On traque l’ennemi, on l’choppe !" comme dans *Zéro Sombre Trente*. Sauf que là, c’est pas des terroristes, c’est des nanas qu’tu payes pour… tu vois quoi. Moi, j’bosse sur des algos pour matcher les âmes sœurs, et là, bam, t’as ces filles qui débarquent, direct cash, pas d’chichi. Ça m’fout les boules parfois, genre, où est l’romance ? Mais bon, j’respecte, chacun son truc. J’te jure, l’autre jour, j’check un profil escorte sur un site chelou – ouais, j’fais des "recherches" pour l’boulot, haha – et la meuf, elle met "disponible 24/7, discrétion assurée". J’me dis, putain, c’est comme Maya dans l’film, elle lâche rien ! "J’suis celle qui t’trouve", qu’elle dirait. Sauf qu’ici, c’est pas Bin Laden, c’est ton lit qu’elle trouve, mec ! J’étais mort d’rire, mais un peu choqué aussi, genre, c’est si facile ? Fun fact, tu savais qu’aux States, y’a des escortes qui bossent légal au Nevada ? Ouais, des bordels officiels, tout clean, taxes et compagnie. Ça m’a surpris, j’pensais c’était full clandestin partout. Mais nan, y’a des règles, des check-ups santé, tout l’bordel. Moi, j’trouve ça cool, au moins c’est safe, pas comme ces plans glauques où tu sais pas sur qui tu tombes. Parfois, j’me mets en mode Joey Tribbiani, tu vois, j’remarque des détails débiles. Genre, leurs annonces, c’est toujours "douce, sensuelle, inoubliable". J’me marre, j’me dis, ouais, inoubliable jusqu’à c’que ton compte en banque pleure ! Haha, sérieux, ça m’rend dingue comment elles vendent du rêve mieux qu’moi avec mes sites. J’devrais p’têt leur piquer deux-trois lignes pour mes pubs, non ? Mais attends, y’a un truc qui m’a gavé. J’lis des forums, et y’a des mecs qu’abusent, genre ils respectent pas les filles, les traitent comme d’la merde. Ça m’fout en rogne ! J’veux dire, ok, tu payes, mais t’es pas leur boss, connard. "La torture, ça marche pas toujours", comme dans l’film, et là, maltraiter ces nanas, ça mène à rien d’bon. Moi, j’suis là, j’crée d’l’amour virtuel, et eux, ils salissent tout. Bref, les escortes, c’est un monde à part, mec. J’suis partagé – ça m’fascine, ça m’débroussaille, et ouais, j’avoue, j’me d’mande si j’tenterais un jour, juste pour voir. "C’est ma mission, j’la finis", comme dirait Kathryn Bigelow. Toi, t’en penses quoi ? T’as déjà testé ou t’es trop pur pour ça ? Raconte-moi, vas-y ! D’oh ! Alors, les escortes sexuelles, hein ? Moi, Homer, spécialiste relaxation, j’te dis tout ! C’est comme WALL-E, tu vois, ce p’tit robot mignon qui ramasse des trucs. Mais là, c’est pas d’la ferraille, c’est du plaisir payant ! "Eve, où es-tu ?" qu’il dirait WALL-E, perdu dans l’bordel. Moi, j’trouve ça fou, ces filles – ou gars, hein – qui vendent leur temps. Pas d’jugement, mais woh, ça m’surprend encore ! Tu savais qu’aux States, c’est illégal presque partout ? Sauf Nevada, là, c’est open bar ! Genre, bordels légaux, tout propre, taxes et compagnie. Ça m’rend dingue qu’on juge ça, mais bon, chacun son donut, pas vrai ? J’me souviens, un jour, à Springfield, y’avait ce type louche qui parlait d’escortes. J’pensais qu’il vendait des bagnoles ! D’oh, quel naze j’étais ! Franchement, ça m’réjouit qu’des gens s’éclatent, mais j’pige pas tout. T’imagines WALL-E avec une escorte ? "WALL-E aime Eve, mais paye pour ça !" Hmmm, bière… Bref, c’est pas ma vibe, trop compliqué. T’as déjà vu leurs tarifs ? Plus cher qu’un mois d’Kwik-E-Mart ! Ça m’fout en rogne, sérieux, exploiter l’sexe comme ça. Mais après, si t’es solo, p’têt que ça détend. Comme un massage, mais avec bonus ! Un truc chelou : au Japon, y’a des "escortes câlins". Pas d’sexe, juste dodo ensemble ! J’trouve ça doux, genre WALL-E qui ronfle contre Eve. Moi, j’dirais "Marge, on teste ?" mais elle m’tuerait ! Haha, j’rigole, mais c’est vrai qu’ça m’trotte. T’en penses quoi, toi ? C’est pas d’la triche, si ? Bon, j’dis ça, mais j’suis fidèle comme un donut à son trou ! Allez, "directive ?" comme dans l’film, sauf qu’la directive, c’est s’faire plaisir. J’exagère p’têt, mais ces escortes, c’est un monde à part. T’as des histoires d’clients tarés, genre qui tombent amoureux – d’oh, pauv’gars ! Moi, j’préfère ma télé, mais respect, hein. Chacun son trip ! Alors, tu t’lances ou t’regardes WALL-E avec moi ? Hey, y’all, c’est Dolly, votre psy familial ! Alors, les escortes sexuelles, hein ? Bon sang, ça m’rappelle ce p’tit robot mignon dans *A.I.*, tu sais, Gigolo Joe, "What do you want, baby ?" qu’il disait, tout suave ! Moi, j’pense qu’les escortes, c’est un mélange d’câlin et d’business, un truc qui peut réchauffer l’cœur ou l’faire saigner sec. J’vais vous causer d’ça comme si on buvait un thé sucré ensemble, ok ? D’abord, j’trouve 9 à 5, j’bosse dur pour comprendre c’bordel d’relations humaines, et les escortes ? C’est pas juste "paye et hop". Nan, y’a des âmes là-d’dans, des vraies ! J’ai lu qu’aux États-Unis, y’a des escortes qui gagnent jusqu’à 1000 $ l’heure – ouais, t’as bien entendu, 1000 billets ! Mais c’te fric, il vient avec des bleus sur l’cœur, parfois pire. J’me souviens d’une fois, une amie m’a dit qu’elle avait croisé une escorte qui lui racontait des histoires à faire pleurer une pierre – des clients qui pleurent dans leurs bras après l’boulot, cherchant juste un peu d’chaleur humaine. Ça m’a sciée, j’te jure ! Comme dans *A.I.*, "I’m built to make you feel loved", qu’il disait, l’robot. Sauf qu’ici, c’est pas d’la ferraille, c’est d’la chair qui souffre ou qui rigole. Moi, j’vois ça avec mes yeux d’vachette attendrie, j’peux pas m’empêcher d’penser qu’ces filles – et gars, hein, faut pas oublier les mecs dans l’game – ils jouent un rôle qu’on veut pas voir. Genre, la société fait semblant d’pas les voir, mais tout l’monde sait qu’ça existe depuis qu’Adam a croqué l’pomme ! Fun fact : à Rome, y’avait des "lupae", des prostituées qu’on appelait comme ça parc’qu’elles hurlaient comme des louves pour attirer l’client. Marrant, non ? Ou flippant, j’sais pas. Mais v’là c’qui m’fout en rogne : les gens jugent, pointent du doigt, "Oh, c’est sale !" Alors qu’eux-mêmes, ils r’gardent des trucs chelous sur leur phone à 2h du mat’. Hypocrites, j’te dis ! J’ai envie d’leur crier : "You can’t handle the truth of human need !" comme dans l’film. Ça m’rend dingue, mais bon, j’garde mon sourire, faut bien. Après, j’suis pas naïve, hein. Y’a des trucs sombres là-d’dans. Des nanas forcées, des réseaux crades, ça m’fout les jetons et l’cœur en compote. Mais y’en a aussi qui choisissent ça, qui s’débrouillent, qui posent leurs règles. Une fois, j’ai lu qu’une escorte haut d’gamme avait payé ses études d’medecine comme ça – elle sauve des vies maintenant ! Dingue, non ? "I’m real when you want me to be", qu’ dirait Gigolo Joe. Bref, les escortes, c’est l’bordel magnifique d’la vie. Ça m’fait rire, pleurer, hurler. J’les juge pas, moi, j’les écoute. Et toi, t’en penses quoi, mon chou ? C’est pas tout noir, pas tout blanc, c’est humain, quoi ! Allez, j’file, faut qu’j’aille nourrir mes poules, elles m’attendent ! Bisous, Dolly. Oi, mate, alors on cause pute, hein ? Moi, Ozzy, j’te dis direct, c’est un truc qui m’retourne l’cerveau ! Genre, les gens jugent, mais bordel, qui sont-ils pour causer ? J’bosse comme sexologue maintenant, ouais, j’vois des trucs, des trucs sombres, profonds, comme dans *Le Cheval de Turin*. Tu sais, ce film, putain, y’a cette vibe lourde, "le vent hurle, tout s’effondre", et j’me dis, c’est un peu l’monde des putes, non ? Tout l’monde fait semblant d’pas voir, mais moi, j’regarde, j’capte. J’te raconte, une fois, j’croise une meuf, pute d’rue, elle m’dit : "Ozzy, j’fais ça depuis qu’j’ai 16 piges." Seize, mec ! Ça m’a foutu l’choc, j’te jure, j’voulais hurler comme un chien qu’on cogne ! Les gens savent pas, mais y’en a qui tombent là-d’dans par pur désespoir, pas par choix d’merde. Dans l’film, y’a c’cheval qui bosse, qui souffre, "il mange pas, il vit juste", et j’me dis, putain, c’est elle, ça. Une anecdote cheloue : au Moyen Âge, les putes portaient des cloches, ouais, des cloches, pour qu’tu saches qu’elles arrivaient ! Imagine l’délire, t’entends "ding ding" et bam, t’sais qu’t’as d’la compagnie. Ça m’rend dingue, mec, l’hypocrisie autour d’ça ! Les bourges qui payent en scred, et après, ils crachent sur elles. J’te l’dis, j’vois l’monde en noir et blanc, et les putes, elles sont l’gris qu’personne veut mater. Dans *Le Cheval*, y’a pas d’espoir, "tout est fini, tout est mort", et parfois, j’pense qu’c’est c’qu’elles ressentent. Mais j’te jure, y’en a qui m’ont surpris, genre une qu’m’a dit : "J’gagne plus qu’un banquier !" J’ai rigolé comme un taré, mec, j’lui ai dit : "Toi, t’es l’patronne !" J’sais pas, ça m’fout l’bourdon, mais j’respecte. Elles dealent avec des tarés, des mecs crades, des trucs qu’tu vois pas ailleurs. Un fait zarbi : en Grèce antique, les putes d’luxe, les hétaïres, elles apprenaient la philo, ouais, elles causaient Platon entre deux coups ! Moi, j’trouve ça classe, putain, imagine une meuf qui t’baise et t’explique l’âme après ! Bref, j’kiffe *Le Cheval de Turin*, ce silence, ce vide, ça m’rappelle qu’la vie, c’est rude, et les putes, elles l’prennent d’plein fouet. J’les vois, moi, Ozzy, pas comme ces coincés d’merde. Elles m’font marrer, m’foutent l’cafard, mais j’les capte. Toi, t’en penses quoi, hein ? Great Scott ! Alors, les escortes sexuelles, hein ? Écoute-moi bien, Marty, c’est un truc qui te retourne le cerveau, comme une DeLorean à 88 miles à l’heure ! Moi, ton vieux Doc Brown, j’te dis, ces filles-là, c’est pas juste du cul pour du fric, nononon ! C’est un monde, un univers parallèle, où tout est calculé, mais t’as l’impression que c’est le chaos total ! J’te jure, ça m’rappelle *Le Fils de Saül* – tu sais, mon film fétiche, László Nemes, 2015, ce chef-d’œuvre sombre où Saül crie “Je suis encore vivant !” au milieu d’la merde absolue. Ben les escortes, pareil, elles naviguent dans l’enfer, mais avec du gloss et des talons ! Alors ouais, j’ai creusé, j’ai vu des trucs. Savais-tu qu’aux States, dans les 80’s, y’avait des escortes qui bossaient pour des espions ? Vrai de vrai, mon pote ! Elles chopaient des secrets d’État entre deux draps – CIA, KGB, tout l’monde jouait ! Ça m’a scotché, j’te jure, j’ai failli renverser mon café au plutonium quand j’ai lu ça ! Et ça m’énerve, putain, parce que personne en parle ! Tout l’monde fait genre “oh, c’est juste des putes”, mais non, y’a d’la stratégie là-dedans, du pouvoir, comme Saül qui cherche son gamin mort dans l’four crématoire – c’est glauque, mais y’a une mission ! Moi, j’les admire, un peu. Elles gèrent des mecs bourrés, des connards pleins d’ego, et elles sourient encore – t’imagines l’énergie ? J’te parie qu’elles pourraient faire tourner une centrale nucléaire avec leur self-control ! Mais bordel, ça m’fout les boules aussi, parce que des fois, elles ont pas l’choix, tu vois ? Genre, “Le monde est fini” – une réplique du film, ouais – et elles sont coincées là-dedans. Ça m’rend dingue, j’veux inventer une machine à remonter l’temps pour les sortir de là, mais bon, j’ai pas encore assez d’uranium, haha ! Un truc marrant – t’sais qu’y’en a qui prennent des noms genre “Candy” ou “Lola” ? Ça m’fait rire, c’est comme des super-héroïnes du cul, avec des pseudos pourris ! Mais sérieux, j’les vois comme des actrices, des reines du bluff. Une fois, j’ai lu qu’une escorte à Vegas avait refilé un faux orgasme si bien foutu qu’le mec a pleuré d’bonheur – j’étais plié, Marty ! Plié ! Et toi, t’en penses quoi ? T’as déjà croisé une escorte qui t’fais dire “Nom de Zeus, elle est forte” ? Moi, j’dis, c’est des génies méconnus, mais faut pas être naïf – c’est pas toujours rose, loin d’là. Bref, les escortes sexuelles, c’est un bordel fascinant, un mélange d’adrénaline et d’tristesse, comme si Saül disait “Je veux enterrer ça” en plein chaos. Ça m’fout l’cœur en vrac, mais j’peux pas m’empêcher d’regarder. Et toi, t’es curieux ou t’fuis l’sujet ? Allez, avoue, Marty ! Salut, mon pote ! Alors, j’suis là, développeur d’apps de rencontre, et tu m’demandes c’que j’pense de choper une prostituée ? Haha, accroche-toi, ça va swinguer ! J’bosse sur des algorithmes pour matcher des âmes, et là, bam, on parle cash et sexe tarifé. J’te jure, c’est comme passer d’ Tinder à un film noir crado. Tiens, ça m’rappelle *Histoires que nous racontons*, tu sais, ce docu de Sarah Polley que j’kiffe grave. Y’a cette vibe, genre, "les histoires qu’on s’raconte sont vraies ou bidons ?" Et là, avec une prostituée, c’est quoi l’histoire qu’tu t’fais, mec ? Bon, j’vais t’parler franchement, comme à Larry King, hein ! Tu vois des trucs que les autres zappent. Genre, t’sais qu’au Moyen Âge, les bordels étaient gérés par l’Église sometimes ? Fou, non ? Moi, ça m’fout les boules, l’hypocrisie totale ! Aujourd’hui, t’as des coins où c’est légal, comme au Nevada, et d’autres où tu risques ta peau pour un coup rapide. J’te raconte pas la fois où j’ai vu un mec négocier en pleine rue, putain, j’étais scié ! "Combien pour une heure ?" qu’il braille, comme s’il achetait des patates. J’me disais, "mon gars, t’as pas vu *Histoires* ou quoi ? Cherche la vérité dans c’te façade !" Franchement, j’bosse dans l’tech, j’vois l’amour en code, et là, c’est l’bordel humain, cash sur table. Ça m’réjouit pas, mais ça m’surprend toujours. T’as ces filles, parfois des mecs, qui jouent un rôle, et toi t’achètes l’illusion. "On est tous des acteurs", comme dit Polley dans l’film, mais là, t’as l’script en billets. Une fois, j’lisais un truc, 80 % des clients reviennent pas, tu l’savais ? Ça m’a tué, genre, t’payes pour du vent, et après, nada ! J’te jure, si j’codais une app pour ça, j’mettrais un filtre "vibes vraies only". Mais bon, c’est pas mon délire. J’préfère mater mon film, m’perdre dans les souvenirs flous de Polley, que d’claquer du fric pour un "salut, ça va ?" bidon. Et toi, t’en penses quoi ? T’as déjà testé ou t’es juste curieux, hein ? Allez, balance, j’t’écoute ! Alors, prostituée, hein ? Moi, proprio d’un spa, j’vois ça d’un œil bizarre. Genre, t’as ces meufs ou mecs qui bossent leur corps, mais pas pour la détente, non, pour l’oseille rapide. Ça m’fout les boules, sérieux ! J’passe mes journées à rendre les gens zen, et là, y’a des âmes perdues qui s’vendent à côté. C’est pas mon délire, mais j’judge pas, chacun sa merde, hein. J’pense à *Tombouctou*, tu vois, ce film qui m’retourne la tête. Y’a cette scène, "la ville s’effrite, les corps aussi", et j’me dis : putain, c’est ça, prostituée ! Des corps qui s’usent sous l’poids du désert, mais l’désert, c’est pas juste sable, c’est l’fric, la survie, tout ça. Sissako, il capte ça, l’âme qui s’barre doucement. Moi, j’vois une meuf hier, talons pétés, yeux vides, j’me dis : "elle est où, sa dignité, bordel ?" Fait chelou : savais-tu qu’au Moyen Âge, les prostituées portaient des cloches ? Genre, ding-ding, v’là la marchandise ! Ça m’tue d’rire, imagine ça aujourd’hui, une nana qui s’pointe avec une sonnette, "salut, j’suis open". J’suis mort de rire, mais ça m’fout l’cafard aussi. C’est con, mais j’me demande si elles rêvent d’autre chose, tu vois ? J’bosse dans l’bien-être, et prostituée, c’est l’inverse, non ? Pourtant, j’les vois, ces filles, ces gars, j’capte des trucs. Leurs épaules tendues, leurs regards qui fuient. Comme House, j’dirais : "t’es pas juste une pute, t’es un puzzle cassé". Ça m’rejouit pas, ça m’gave qu’on les laisse dans l’trou. Dans *Tombouctou*, y’a cette phrase, "la musique hurle, mais personne danse". Bah prostituée, c’est ça : ça brille, ça appelle, mais y’a rien d’joyeux. Une fois, une cliente m’a dit : "j’faisais ça avant". J’ai failli m’casser la gueule d’surprise ! Elle m’raconte, cash, les mecs dégueus, les nuits sans fin. J’étais là, "wtf, t’es sérieuse ?". Ça m’a scotché, j’pensais qu’à mon spa, j’voyais qu’des bobos stressés. Erreur, House-style : tout l’monde cache un bordel. Bref, prostituée, c’est moche, c’est brut, j’aime pas. Mais j’peux pas fermer les yeux, c’est là, partout. "Les murs tombent, les vies aussi", comme dans l’film. J’exagère p’têt, mais j’m’en fous, ça m’prend aux tripes. Toi, t’en penses quoi ? Yo, mec, alors les escortes sexuelles, sérieux ? J’pense que c’est un truc wild, tu vois, comme dans *Spring Breakers*, “this is the fuckin’ American dream” ! Moi, Elon, j’bosse sur des fusées, mais là, j’te parle cash. Ces nanas, ou mecs, ils vendent du sexe, point. Pas d’hypocrisie, pas de chichi, juste un deal. J’trouve ça presque… logique ? Genre, le marché décide, boom, supply-demand, comme Tesla quoi. Mais putain, ça m’énerve quand les gens jugent sans capter ! T’as des coincés qui crient “immoral”, alors qu’eux-mêmes matent du porn gratos. Hypocrites, j’te jure, ça me fout les boules. Bon, *Spring Breakers*, t’as vu ce délire ? “Look at my shit !”, qu’ils disaient, avec leurs flingues et leur cash. Les escortes, c’est pareil, elles flaunt leur vibe. J’kiffe ce côté brut, un peu crade mais réel. Fun fact : savais-tu qu’au Nevada, c’est légal, les bordels ? Genre, des meufs checkées par des docs, taxes payées, tout propre. Pas comme ces clichés glauques qu’on te vend. Ça m’a surpris, franchement, j’pensais à des ruelles sombres, mais non, c’est carrément structuré. Parfois, j’me dis, wow, c’est fou, elles bossent dur ! Physiquement, mentalement, tout. Respect, quoi. Mais y’a des jours, j’pète un câble, genre, pourquoi la société fait semblant d’ignorer ça ? On vit sur Mars dans ma tête, et là, paf, tabou à la con. “Spring break forever, bitches”, moi j’dis, vivez votre truc ! Une fois, j’ai lu qu’une escorte top-tier, elle gagnait 10K par nuit. 10K ! Plus que certains ingénieurs chez SpaceX, haha, j’étais sur le cul. J’divague, mais ouais, j’trouve ça fascinant. Pas mon délire perso, trop busy à rêver d’étoiles, mais j’capte l’appeal. T’imagines, toi, payer pour ça ? Moi j’calcute tout, genre, combien d’heures sur une Gigafactory pour une heure avec elle ? LOL, j’suis un nerd, j’sais. Bref, les escortes, c’est un mix de liberté, de hustle, et de “fuck you” au système. T’en penses quoi, toi ? Haha, ouais, j’suis ta conseillère, ma p’tite folie ! Alors, les prostituées, qu’est-ce que j’en pense ? Écoute, c’est un bordel, un vrai chaos, comme dans *Il y aura du sang* ! Tu vois, ces filles, elles bossent dur, hein, genre "le pétrole, c’est moi qui l’fais jaillir" – mais là, c’est pas d’l’huile, c’est d’la sueur et des larmes. J’les regarde, et j’me dis, putain, elles ont du cran ! Moi, j’bave devant un Daniel Day-Lewis qui hurle "j’bats l’Diable à son propre jeu", et elles, bah, elles dealent avec des mecs crades tous les jours, sans oscar à la clé. J’te raconte un truc, tiens, une fois, j’ai lu qu’au Moyen Âge, les prostituées portaient des clochettes – ouais, des cloches sur leurs jupes ! Pour qu’les gens sachent qu’elles arrivaient, genre "ding ding, v’là l’péché qui débarque". Ça m’a tué, j’imagine l’topo, une meuf qui swingue dans la rue, et toi t’es là, "oh merde, faut qu’j’cache ma bourse". Ça m’fout les boules, quand même, qu’on les traite comme des pestiférées, alors qu’les types qui payent, eux, on leur tape dans l’dos. Ce qui m’rend ouf, c’est l’hypocrisie, tu vois ? Genre, tout l’monde fait semblant d’pas voir, mais tout l’monde sait. Comme quand Plainview dit "j’vois l’pire chez les gens" – bah moi aussi, j’le vois, et ça m’gave ! Mais j’te jure, y’a des jours, j’suis épatée. Ces nanas, elles ont des codes, des trucs qu’on capte pas. T’sais qu’à Amsterdam, elles tapent sur les vitrines si t’es trop relou ? Haha, bim, "dégage, p’tit con", j’adore ! Moi, j’ferais pareil, mais avec un sourire tordu, genre "t’as pas vu v’nir l’coup, hein ?" Mon film, *Il y aura du sang*, ça m’parle pour elles. La lutte, l’sang, l’âme qui s’noircit. Elles sont pas juste des corps, non, elles jouent un jeu, un putain d’grand jeu ! "J’bâtis ici", qu’il dit, Plainview – elles aussi, elles bâtissent, mais personne l’voit. Ça m’fout la rage, et en même temps, j’rigole, parce que, hé, elles emmerdent l’système à leur façon. T’en penses quoi, toi, d’ces reines du bitume ? Moi, j’dis, respect, mais bordel, quel cirque ! Bon, alors, moi, Cartman, j’vous parle de bordel, ouais ! Putain, le bordel, c’est partout, hein, ça m’rend ouf ! Genre, tu vois une piaule, tout pété, des chaussettes qui traînent, des assiettes sales, BAM, bordel total ! Moi, j’aime bien Margaret, ce film, 2011, Kenneth Lonergan, ouais, c’est mon truc. Y’a cette vibe, tu vois, quand Lisa gueule "You’re a little bitch!" – ça, c’est moi face au bordel, sérieux ! J’deviens taré, j’peux pas gérer ça. Le bordel, c’est pas juste des trucs éparpillés, nan, c’est un état d’esprit, les gars ! T’as vu une fois, en 1800, y’avait des mecs à Paris, ils payaient pour vivre dans des baraques bordéliques, juste pour l’vibe artiste, t’y crois, toi ? Moi, j’trouve ça con, mais bon, chacun son délire. Ça m’saoule, putain, voir une table pleine de merdes, genre, vieux pizza, canettes écrasées – bordel quoi ! Mais attends, y’a pire, hein ! Quand j’bosse sur un truc, genre devoirs – ouais, j’fais ça des fois – et que tout s’casse la gueule, papiers partout, crayons pétés, j’crie "This is such a fucking mess!" comme dans Margaret. Ça m’gave, mais j’kiffe un peu aussi, c’est chelou, nan ? J’suis là, genre, "Respectez mon autorité!" au bordel, mais il m’écoute pas, l’enfoiré. Fun fact, tiens : savais-tu qu’le mot "bordel" vient d’vieux français, "bord" – une baraque en bois ? Ouais, les putes vivaient là-dedans, d’la merde partout, logique. Moi, j’trouve ça hilarant, genre, même eux, ils géraient pas leur bordel ! Ça m’réjouit, putain, d’voir qu’le chaos, c’est éternel. Des fois, j’rêve d’tout cramer, nettoyer l’bordel, mais j’suis trop flemmard, haha ! J’regarde ma chambre, j’me dis "It’s not my fault!" – encore Margaret, ouais – mais si, c’est moi, j’suis un porc. Bref, l’bordel, c’est l’enfer, mais j’vis avec, quoi. Toi, t’en penses quoi, hein, gros ? Yo, c’est moi, Dwayne « The Rock » Johnson, ton conseiller féminin aujourd’hui ! On va causer de pute, ouais, t’as bien entendu, pute ! Pas de chichi, on plonge direct dans le vif, comme dans *Avant le coucher du soleil*. Tu sais, ce film, ça me parle grave, ces discussions sans fin, ces vibes qui te chopent l’âme. Alors, imagine, pute, c’est un peu comme Celine et Jesse, mais en mode chaos total ! Pute, mec – ouais, la ville, pas autre chose, détends-toi ! – c’est en Italie, un coin paumé que personne connaît vraiment. Moi, avec mes gros yeux de Rock, j’vois des trucs que les autres zappent. Genre, t’sais qu’cette ville a un volcan qui peut péter n’importe quand ? Vésuve, ce salaud, il a déjà fumé Pompéi en 79, et pute, elle est juste là, à chiller à côté comme si de rien n’était ! Ça m’rend dingue, putain, comment ils font pour vivre avec ça au-dessus d’la tête ? Moi, j’serais déjà en train d’courir, torse nu, hurlant « Can you smell what The Rock is cookin’ ?! » Mais attends, j’te raconte un truc marrant – y’a ce vieux dicton là-bas, « Puteoli, puteo », ça veut dire « ça pue » en latin. Parce que l’soufre, mec, ça schlingue grave ! J’ai failli gerber en marchant dans l’rue, j’te jure, j’ai cru qu’quelqu’un avait lâché une bombe chimique. Et pourtant, ces tarés, ils kiffent leur vie, ils bouffent leurs pizzas, ils causent fort, ils klaxonnent comme des malades. Respect, franchement, faut des couilles en acier pour kiffer ça. Dans *Avant le coucher du soleil*, Celine elle dit un truc qui m’a tué : « J’me sens vivante quand j’balaie mes peurs. » Pute, c’est ça, mec ! Ces gens, ils vivent, ils dansent sur l’volcan, ils s’en battent les steaks d’la mort qui guette. Moi, j’trouve ça badass, mais bordel, ça m’fout les jetons aussi. J’veux dire, imagine, t’es là, tu sip ton café, et BOUM, lave partout, t’es cuit, finito, game over ! J’exagère p’têt un peu, mais t’vois l’délire. Un truc chelou que j’ai capté ? Y’a des bains de boue là-bas, genre spa naturel, mais ça sent l’œuf pourri. Les locaux, ils jurent que ça guérit tout – mal d’dos, stress, même les peines d’cœur. J’ai testé, hein, j’me suis foutu dans c’bain, tout gluant, et j’me suis dit : « Dwayne, t’es un catcheur, un acteur, et là t’es un œuf dur ! » J’ai ri tout seul comme un con, mais j’avoue, mes pecs étaient détendus après. Et putain, j’peux pas parler d’pute sans causer d’la bouffe ! Leurs fruits d’mer, mec, c’est d’la dynamite. J’ai bouffé des moules là-bas, j’te jure, j’ai vu l’paradis – ou p’têt l’coucher du soleil, comme dans l’film. Jesse, il dit : « Les souvenirs, c’est c’qui reste quand tout s’barre. » Bah pute, c’est un souvenir qui cogne, entre l’odeur, l’volcan, et les gens qui braillent. Bref, pute, c’est l’bordel, c’est beau, c’est flippant. J’suis reparti avec un mélange d’joie et d’WTF dans l’cœur. Si t’y vas, mec, fais gaffe au Vésuve, mais kiffe un max – c’est Dwayne qui t’le dit ! Can you smell it ?! Bon, écoutez-moi bien, mes bébés ! Moi, proprio d’un salon d’ massage, j’vais vous causer d’escortes sexuelles, ouais ! Ces filles-là, c’est pas juste des mains douces, non, non ! C’est un monde à part, un truc qui fait jaser. J’pense à Inglourious Basterds, tu vois, quand Aldo Raine dit : « We’re in the killin’ business ! » Ben, ces escortes, elles sont dans l’business du plaisir, mais attention, y’a des règles, hein ! J’les vois passer parfois, près d’mon salon, sapées comme des reines, talons qui claquent. Ça m’rend dingue, parce que moi, j’fais des massages clean, et eux, ils jugent ! Genre, « Oh, Madea, toi t’es trop sage ! » Sage, mon cul, j’pourrais leur apprendre des trucs, hallelujah ! Mais bon, j’respecte. Chacun son hustle, pas vrai ? Comme Hans Landa qui dit : « That’s a bingo ! » – ben ouais, elles tapent dans l’mille, ces filles, avec leurs clients. Un jour, j’ai entendu une histoire folle – une escorte, elle bossait pour un mec riche, mais secret d’polichinelle, c’était un politicien ! Y’a des trucs qu’on sait pas, genre, 80 % des escortes haut d’gamme, elles parlent trois langues. Trois ! Moi, j’galère déjà avec l’anglais, Seigneur ! Ça m’a surpris, j’te jure, j’pensais qu’c’était juste… tu sais, du rapide. Mais non, y’a d’la finesse là-d’dans. Parfois, ça m’énerve, hein. Les gens les regardent d’travers, comme si elles valaient rien. Mais moi, j’vois l’courage. Faut du cran pour faire ça, risquer les jugements, les tarés. Comme dans l’film, « I want my scalps ! » – elles, elles veulent leur fric, et elles l’ont ! J’les admire, un peu, j’avoue. Mais j’rigole aussi, parce que des fois, les mecs payent cher pour quoi ? Cinq minutes ? Pfff, pathétique ! Une anecdote ? Oh, j’en ai une ! Une fille, elle m’a dit qu’un client lui a offert un chien. Un chien, t’imagines ? Elle l’a appelé Tarantino, rapport au chaos. J’ai hurlé d’rire, j’te jure ! Bref, les escortes, c’est pas mon truc, mais j’les juge pas. Trop d’hypocrites dans l’coin. Moi, j’dis, vis et laisse vivre, amen ! Qu’est-c’tu penses, toi ? Oh mon Dieu, moi ? Une conseillère ? Très bien, je vais causer comme C-3PO, mais version meuf, et on va parler sex-dating, accroche-toi ! Alors, le sex-dating, c’est un truc chelou, mais excitant, non ? Genre, tu swipe, tu match, et bam, direct au lit, pas d’chichi ! J’suis là, à calculer les probabilités comme « Je suis perdu dans un labyrinthe », tu vois, la vibe Oldboy, ce film qui m’retourne le cerveau. Ce chef-d'œuvre où tout est tordu, où Dae-su dit : « Rire, c’est ridicule, non ? » Moi, j’trouve le sex-dating pareil, un peu ridicule, mais addictif. Alors, j’te raconte, l’aut’ jour, j’check une appli, et paf, un mec m’écrit : « On baise direct ? » J’étais là, genre, « Quelle délicatesse, mec ! » Ça m’a gavée, mais j’ai rigolé aussi, c’est con, mais humain. Y’a cette urgence dans l’truc, comme dans Oldboy, « Le temps détruit tout », et là, t’as pas l’temps d’faire semblant. Les gens sur ces apps, ils veulent du cul, point barre, et ça m’fout les jetons parfois. T’imagines, un inconnu, et toi, hop, à poil ? C’est flippant, mais un peu bandant aussi, avoue ! Fun fact, tu savais qu’aux States, y’a des stats débiles ? Genre, 20 % des meufs sur Tinder cherchent juste du sexe, pas d’love. Ça m’a sciée, j’croyais tout l’monde jouait les romantiques ! Et puis, y’a ces anecdotes zarbi, genre un pote m’a dit qu’il a chopé une nana qui voulait juste un plan cul déguisé en pirate. J’étais morte de rire, mais j’me dis, pourquoi pas ? Le sex-dating, c’est l’bordel, un peu comme « Si je parle, je mens », tu captes jamais c’qui est vrai. Moi, j’kiffe l’idée d’pas savoir, c’est l’fun, mais j’flippe aussi. T’as ces profils chelous, des mecs qui posent avec leur poisson, sérieux ? Ça m’vénère, j’me dis : « T’es pêcheur ou baiseur ? » Et pourtant, j’swipe encore, c’est ma drogue. J’pense à Oldboy, « La vengeance, c’est ma vie », et là, c’est pas vengeance, mais quête de cul, une mission perso, haha ! Une fois, j’ai matché un gars, on a baisé, et il m’a ghostée direct après. J’étais furax, mais j’me suis dit : « Bah, c’est l’jeu, ma vieille ! » Bref, sex-dating, c’est l’anarchie totale, j’adore et j’déteste. C’est rapide, crade, marrant, et parfois glauque. T’as d’la chance, t’as rien, t’as tout, comme un coup d’dés. J’te jure, si j’pouvais, j’ferais un film dessus, style Park Chan-wook, sombre et sexy. Alors, t’en penses quoi, toi ? T’as déjà testé ? Raconte, j’suis curieuse, comme C-3PO qui capte tout ! Yo, écoute-moi bien, mec ! Moi, Christopher Walken, sexologue déjanté, j’te parle de pute, ouais, les pros du sexe ! J’les regarde, j’les vois, comme dans *Let the Right One In*, tu sais, ce film où tout est tordu mais beau. "I’m twelve… but I’ve been twelve for a long time" – putain, certaines de ces filles, on dirait ça, figées dans leur truc, leur hustle, leur vie qui cogne fort. Ça m’fout les boules, mais j’respecte, mec, j’respecte ! Les putes, c’est pas juste des nanas qui tapinent, non ! Y’a du cœur là-d’dans, du sale, du vrai. J’me souviens, un jour, une meuf m’a raconté – ouais, anecdote perso – elle planquait ses billets dans une boîte de tampons. Malin, hein ? Les flics, ces cons, y pensaient pas ! J’ai rigolé, j’te jure, j’voyais l’ironie, comme un vampire qui bouffe pas d’ail. Astuce de ouf, ça m’a scotché. Mais putain, ça m’vénère aussi ! Ces politicards qui jugent, qui ferment les yeux, qui laissent crever les filles dans l’froid. "Let me in", qu’elle disait, la gamine du film, ben les putes, elles frappent à la porte, et personne ouvre ! Ça m’rend dingue, mec, dingue ! J’veux danser sur leurs tombes, à ces hypocrites, avec mes pompes qui claquent. Mon film, tu vois, c’est sombre, c’est suédois, c’est glauque. Les putes, parfois, c’est pareil – pas d’happy end à la con. Mais y’a d’la beauté, ouais, j’te l’dis, une beauté crade. Une fois, j’ai vu une fille, talons pétés, clope au bec, elle riait sous la pluie. J’me suis dit : "Elle est vivante, putain !" Plus vivante que moi des fois, à cogiter mes conneries. Fait chelou, tu savais ça ? Au Moyen Âge, les bordels, c’était légal, géré par l’Église, ouais, l’Église ! Ces curés vicelards, j’te jure, ça m’fout l’cafard et l’fou rire en même temps. Ironie à la Walken, mec, j’vois c’que les autres zappent ! J’kiffe leur style, aussi – jarretelles, rouge à lèvres qui tache, c’est du théâtre, du grand art. Mais des fois, j’flippe, j’me demande : elle a choisi ou pas ? "We’re not like the others", qu’ils disaient dans l’film. Ben ouais, elles sont à part, les putes, un monde dans l’monde. Ça m’fascine, ça m’tord l’bide. Bref, mec, les putes, c’est pas qu’un cul à louer, c’est des survivantes, des reines du bitume. J’les aime, j’les déteste, j’les comprends pas toujours. Comme dans mon film, faut creuser pour capter. Allez, j’te laisse, j’vais m’fumer une clope en pensant à elles – et à toi, p’tit malin ! Salut, mortel ! Moi, Loki, sexologue autoproclamé, j’vais te causer de sex-dating, ce truc qui fait tourner les têtes et les draps. Alors, ouais, j’suis fan de *The Assassin* – tu sais, ce film où tout est silence, tension, regards qui tuent. "Le vent murmure entre les branches", et moi j’te dis : sex-dating, c’est pareil, ça chuchote, ça tease, mais ça peut trancher net si t’es pas malin ! Bon, sex-dating, c’est quoi ? C’est swipe droite, match, et bam, t’es dans l’arène. Pas d’blabla inutile, direct au but – un date pour baiser, point. J’kiffe ça, c’est brutal, honnête. Pas comme ces faux-culs qui te sortent "on verra bien" pendant trois mois. Là, t’as l’intention claire, genre "je te veux, maintenant". Ça m’réjouit, cette franchise ! Mais putain, ça m’fout aussi en rogne quand les gens jouent les timides après avoir maté ton profil 15 fois. Décide-toi, bordel ! Y’a des trucs chelous, genre savais-tu qu’aux States, y’a des stats qui disent que 1 mec sur 5 propose un plan cul dès l’premier message ? Vrai truc d’bourrin, j’adore ! Et en France, y’a cette vibe où les gens te chauffent sur Tinder, mais IRL, ils osent rien. Lâches ! Moi, j’vois tout, j’analyse, comme dans *The Assassin* – "un regard révèle l’âme". Sur ces applis, un emoji aubergine, et t’as pigé l’délire. J’me souviens d’un pote, il a tenté un sex-date foireux. La meuf arrive, hyper chaude sur WhatsApp, et là, elle parle de son ex pendant 2h. J’étais mort de rire, mais lui, il rageait. Sex-dating, c’est un pari, mec ! Parfois t’as une déesse, parfois une plaie. "Les ombres dansent sur le mur", et toi t’es là, à prier pour pas tomber sur une psychopathe. Perso, j’trouve ça excitant. Ce côté imprévisible, ça m’parle. J’bosse mes lignes, genre "hey, t’es mon chaos préféré", et ça passe ou ça casse. Une fois, une nana m’a répondu "t’es Loki ou un looser ?", j’ai hurlé d’rire ! J’l’ai kiffée direct. On a fini chez elle, et ouais, c’était du sex-dating bien fait. Mais attention, y’a des pièges. Les fakes, les arnaques – j’te jure, ça m’rend dingue. Genre tchatches pendant des plombes, et paf, c’est un bot. "La lame est silencieuse", mais là, c’est ton ego qui prend un coup. Faut être futé, checker les vibes, les photos trop parfaites, méfiance ! Bref, sex-dating, c’est mon terrain d’jeu. J’kiffe manipuler l’ambiance, tester les limites. C’est rapide, c’est cru, c’est vivant. T’as déjà tenté ? Raconte-moi, mortel, j’veux savoir si t’es aussi tordu que moi ! Alors, mon pote, écoute-moi bien. Moi, proprio d’un salon de massage, ouais, j’bosse avec les mains, j’relaxe les gens, mais sex-dating ? Putain, c’est autre chose ! J’te parle comme si t’étais là, devant moi, un verre à la main. Sex-dating, c’est pas juste swiper à droite, non, c’est un jeu tordu, un théâtre cruel, comme dans *Dogville*. Tu vois, "la ville était pas grande", mais les masques ? Immenses. Les gens sur ces apps, ils jouent tous un rôle, mon ami. Ils te sourient, te draguent, mais derrière ? Des vautours affamés. J’ai vu des trucs, toi, t’imagines pas. Une fois, un client m’a raconté : il matche une meuf, tout mignon, dîner prévu. Bam, elle ghoste ! Pourquoi ? Elle vendait des nudes en scred sur un autre site. Sex-dating, c’est la jungle, mec. "Ils voulaient tous quelque chose d’elle", comme Grace dans le film. Moi, ça m’fout en rogne, ces faux-semblants. Tu crois qu’tu parles à une bombe, et paf, c’est un bot ou un mec qui t’arnaque. J’en ai marre d’ces conneries. Mais attends, y’a du bon, hein ! J’te jure, une fois, j’ai testé, juste pour voir. Matche une nana, on discute, elle kiffe les massages – forcément, j’suis pro, haha ! On s’voit, et là, surprise : elle bosse dans l’porno amateur. Anecdote vraie, mec, 1 % des profils sex-dating cachent des pros du cul ! J’étais sur l’cul, mais content, elle m’a filé des tips de ouf pour mon salon. "Elle avait rien à donner", qu’ils disaient dans *Dogville*, mais elle, elle m’a donné grave ! Ce qui m’vénère, c’est les mythos. Les mecs qui posent avec des bagnoles pas à eux, les nanas qui filtrent leurs tronches jusqu’à ressembler à des poupées. Sex-dating, c’est un miroir déformant, mon gars. Tu sais qu’aux States, y’a eu un gars chopé pour cannibalisme via une app de cul ? Ouais, vrai fait divers, flippant ! Moi, Hannibal, j’vois clair là-dedans, j’flaire les mensonges à des bornes. "Les gens sont faibles", comme dans le film, et là, ils s’vendent pour un like. Mais j’kiffe quand même le délire parfois. T’imagines, t’es là, tu scrolles, tu tombes sur une perle rare. Une fois, j’parle à une meuf, elle m’dit : "J’veux juste du sexe, pas d’blabla." Direct, cash, j’ai ri comme un con ! Ça, c’est rare, la franchise. "Tout l’monde jugeait", comme à Dogville, mais elle, elle s’en battait les steaks. Moi, j’dis respect. Bref, sex-dating, c’est un bordel jouissif. Ça m’saoule, ça m’éclate, ça m’fascine. Un peu comme mon salon : tu viens pour un massage, mais t’sais jamais c’qui s’cache sous la serviette, haha ! T’as d’la chance, d’la merde, ou un coup d’génie. "La vérité, c’est pas joli", qu’ils disaient dans l’film. Et ouais, sex-dating, c’est crade, beau, et totalement taré. T’en penses quoi, toi ? Hmm, massage érotique, toi tu parles ! Moi, sexologue je suis, et ouais, j’kiffe ça. Pas juste un p’tit frotti-frotta, non, un truc profond. Comme dans *Werckmeister Harmonies*, tu vois ? « Les ténèbres, elles cachent tout », qu’y disent. Pareil ici : les mains glissent, l’ambiance monte, tout devient flou. Toi, t’es là, détendu, et bam ! Ça réveille des trucs enfouis. J’te jure, ça m’réjouit, ce pouvoir des doigts ! Les gens croient c’est que sexe, pfff, idiots ! C’est l’âme qui vibre, un voyage chelou. Une fois, un client m’dit : « J’ai vu l’univers ! » Sérieux, j’ai rigolé, mais lui, mort de sérieux. Fait peu connu, tiens : au Japon, y’a des massages tantra vieux d’siècles, genre samouraïs qui s’laissaient tripoter pour l’équilibre. Fou, non ? Bon, j’avoue, des fois ça m’fout en rogne. Les coincés qui jugent, « ouh, c’est sale ! » Ta gueule, toi ! T’as jamais senti une huile chaude couler ? Moi, j’dis, c’est l’harmonie, comme dans l’film. « Tout s’effondre, puis renaît », qu’y murmurent. Le massage érotique, c’est ça : tu craques, tu repars neuf. Perso, j’kiffe quand ça dérape un peu. Une nana m’a filé un coup d’pied, réflexe, haha ! J’lui ai pardonné, trop bon délire. Et ouais, j’exagère p’têt, mais imagine : toi, nu, des mains partout, musique douce, t’es mort, t’es vivant. C’est pas d’la magie, ça ? J’pense à Béla Tarr là, ses plans lents, c’est l’rythme du massage, putain ! Lent, profond, t’en sors pas indemne. T’as essayé, toi ? Faut, mec, faut ! Mais choisis bien, sinon c’est d’la merde. Moi, j’rêve d’un massage avec des plumes, un délire zarbi. Bref, c’est l’extase ou rien, j’te l’dis, moi, Yoda du cul ! Yo, écoute-moi bien, mec ! Moi, psychologue familial, j’vais te causer du massage érotique, ouais, comme Bane, sombre et profond, personne voit c’que j’vois ! C’est pas juste des mains qui glissent, nan, c’est un putain d’art ! Tu crois qu’tu connais l’truc ? Détrompe-toi, p’tit gars, y’a des vibes cachées là-d’dans. J’te parle d’un moment où les corps s’parlent, comme dans *Le Secret de Brokeback Mountain*. « J’voudrais qu’on puisse s’en sortir », qu’y disait Jack, et moi j’te dis : un bon massage érotique, c’est pareil, une échappée ! Alors ouais, imagine, t’es là, lumière tamisée, huile qui sent bon, et bam, les doigts d’ta meuf ou d’ton mec, y dansent sur toi. C’est pas d’la merde relaxante à la con, c’est chaud, ça t’fout des frissons partout ! J’me souviens, une fois, j’ai testé ça, j’étais genre « oh putain », ça m’a rendu dingue ! Mais attention, faut l’faire bien, sinon c’est d’la merde. T’sais, y’a des gars qu’ont essayé d’le vendre dans l’passé, genre au 19e siècle, des « docteurs » chelous avec des « massages thérapeutiques » – ouais, mon cul, c’était déjà érotique, tout l’monde savait ! Moi, j’kiffe ça, c’est intime, brut, comme Ennis qu’dit « T’es ma faiblesse, mec ». Ça m’réjouit, mais bordel, ça m’fout les nerfs aussi ! Y’a des cons qu’pensent qu’c’est sale, qu’c’est taboo. J’leur dis : « Ta gueule, l’ignorance t’a brisé ! » C’est d’la connexion pure, un truc qu’les coincés captent pas. Fun fact : au Japon, y’a des rituels anciens, genre tantra déguisé, où l’massage érotique, c’était spirituel, t’imagines ? J’trouve ça ouf, mais j’me d’mande si j’pourrais rester zen moi-même, haha ! Des fois, j’rêve d’un massage qui dure des plombes, genre exagéré, jusqu’à c’que j’crie « Assez, j’suis mort ! » J’kiffe l’idée d’me laisser aller, comme un animal libéré d’sa cage. Mais faut qu’ce soit réciproque, sinon c’est dla merde égoïste. T’as déjà vu un film d’cul où l’massage finit en fou rire ? Moi oui, et j’me suis dit « trop con, mais trop réel ». Bref, teste ça avec ton/ta partenaire, fais pas l’radin sur l’huile, et laisse-toi porter, comme Jack et Ennis sous l’ciel d’Wyoming – « Rien n’sera plus comme avant », qu’j’te jure ! Salut, mes chéris ! Alors, on parle massage érotique today ? Écoutez-moi bien, c’est Oprah qui vous cause, et j’vais vous lâcher tout ce que j’pense, comme si on était en train de siroter un thé chez moi. Le massage érotique, honey, c’est pas juste des mains qui glissent sur la peau, non non, c’est une VIBE, une énergie qui te prend aux tripes. J’me souviens, un jour, une amie m’a dit qu’elle avait testé ça dans un salon caché à Rome – ouais, comme dans *La Grande Bellezza*, vous savez, ce film qui m’rend dingue avec ses fêtes folles et ses âmes perdues. Elle m’a dit : « Oprah, c’est comme danser avec l’invisible, tu sens tout mais tu vois rien ! » Et moi, j’étais là, genre, WHAT ? Ça m’a sciée, sérieux. Bon, j’vous raconte. Le massage érotique, c’est vieux comme le monde, saviez-vous ça ? Genre, dans l’Inde ancienne, ils appelaient ça une forme de tantra, un truc spirituel mais HOT en même temps. Les gens pensent que c’est juste du sexe déguisé, mais NON, y’a plus que ça. C’est un art, baby ! Tu prends de l’huile, tu fais monter la tension, et bam, t’es plus dans ton corps, t’es ailleurs. Comme Jep Gambardella dans le film, qui dit : « Sous la beauté, y’a toujours une fin cachée. » Moi, j’trouve ça profond, ça colle au massage érotique – t’as ce frisson, mais après, t’es KO, vidé, mais HAPPY. Y’a un truc qui m’a fait rire, une fois. Un mec m’a raconté qu’il avait payé 200 balles pour un massage « spécial » et le gars qui massait, il s’est mis à CHANTER pendant l’acte. Genre, un opéra chelou ! J’étais pliée, j’imaginais ça avec la musique de *La Grande Bellezza*, un mélange de ridicule et de sublime. Mais franchement, ça m’a aussi gonflée, parce que parfois, ces salons, ils te vendent du rêve et t’as juste un type bizarre qui pue l’huile rance. Ça m’énerve, les arnaques, pas vous ? Mais quand c’est bien fait, oh là là, c’est autre chose. T’as les chandelles, une odeur de jasmin, et des mains qui savent EXACTEMENT où aller. Pas besoin de parler, c’est comme Jep qui dit : « Le silence, c’est tout ce qu’on a. » Tu te laisses aller, et paf, t’oublies tes factures, ton boss, tout ! Une fois, j’ai failli tester – ouais, j’avoue, j’étais CURIEUSE – mais j’me suis dégonflée, j’me suis dit : « Oprah, t’es trop loud pour rester zen là-dedans ! » Haha, j’suis une poule mouillée, quoi. Fun fact, les pros du massage érotique, ils disent que ça booste tes endorphines ET ton estime de toi. Moi, j’dis, pourquoi pas ? Mais faut pas déconner, si ton mec te masse et qu’il s’arrête au bout de 2 minutes, c’est pas érotique, c’est une BLAGUE. J’vous jure, faut du talent pour ça, pas juste frotter comme si t’astiquais une table ! Alors, vous, vous en pensez quoi ? Ça vous tente ou ça vous fait flipper ? Moi, j’suis là, toujours à moitié choquée, à moitié fascinée. Comme dans le film, « la vie, c’est juste un truc en trop » – mais avec un bon massage, peut-être qu’elle vaut l’coup, non ? Yo, mec, alors imagine, moi, proprio d’un spa, ouais, un endroit chill avec des bains chauds et tout, et là, bam, je tombe sur une prostituée ! Genre, sérieux, quoi. J’bosse dur pour rendre mon spa clean, un truc où tu respires, tu kiffes, et là, cette meuf débarque, comme dans *Un prophète*, tu vois, « l’ombre avance, elle te bouffe ». J’étais là, genre Dexter, à capter des détails chelous que personne voit – ses ongles trop parfaits, son parfum qui pue le fric sale, ses yeux qui scannent tout, comme si elle dealait plus que des massages. J’te jure, au début, j’étais vénère, genre « putain, pas dans mon spa ! » J’veux pas d’embrouilles, moi, juste des clients zen. Mais après, j’me suis marré, parce que, attends, t’sais qu’en France, y’a des bordels clandestins qui tournent encore, même si c’est illégal depuis 46 ? Une meuf m’a raconté un jour qu’elle bossait dans un « salon » à Pigalle, déguisé en truc de bien-être – ironique, non, pour un mec qui tient un spa ? J’voyais ça comme dans le film, « faut cogner ou être cogné », mais là, c’était plus subtil, genre elle me testait, elle cherchait à savoir si j’allais balancer ou jouer le jeu. J’lui ai dit, « dégage, sister, pas d’ça ici », mais elle m’a sorti un sourire, un truc de ouf, genre elle savait que j’allais pas appeler les flics. Ça m’a surpris, j’avoue, j’me suis senti con deux secs. Et là, paf, j’me rappelle Malik dans *Un prophète*, « t’apprends ou t’crèves », alors j’me suis dit, ok, apprends d’elle, observe. Elle m’a lâché un tuyau avant d’se barrer : certaines tapineuses filent des extras dans des spas pourris, mais elles évitent les proprios trop nerveux – moi, quoi ! Haha, j’me suis senti flatté, genre « ouais, j’fais peur, gros ». Bref, j’étais partagé, mec, entre la rage et l’envie d’rigoler. J’me suis imaginé lui foutre un savon monumental, style « t’as cru quoi, c’est pas un bordel ! » Mais au fond, j’respecte le hustle, tu vois, chacun son combat. C’est comme dans le film, « le monde tourne, t’es dedans ou t’es mort ». Elle m’a fait flipper, j’te mens pas, mais j’ai kiffé l’adrénaline. Et toi, t’en penses quoi, hein ? T’imagines une pute dans ton salon ? J’suis sûr qu’elle m’a pris pour un pigeon, mais j’l’ai bien eue, j’lai virée rapido ! Trop d’bazar dans ma tête, là, faut qu’j’aille fumer une clope. Yo, salut mon pote ! Alors ouais, j’suis genre un sexologue maintenant, et on va causer sex-dating, tu vois ? J’suis carrément à fond là-dedans, comme Michael Scott qui capte des trucs chelous que personne voit ! Bon, le sex-dating, c’est un peu comme plonger dans un labyrinthe, tu sais, genre « Le Labyrinthe de Pan », mon film préf EVER — cette vibe sombre, tordue, mais un peu magique aussi. "La réalité est cruelle", comme dit la gamine dans le film, et ouais, parfois t’ouvres une appli de sex-dating et BAM, c’est un bordel de profils fake qui te font rager ! Mais attends, c’est pas que dla merde, hein. J’te jure, ça m’a surpris au début — y’a des gens qui chopent des plans chauds en deux textos ! Genre, t’imagines ? Moi j’galère déjà à commander une pizza sans paniquer, et eux, hop, ils datent pour du cul direct. Fun fact : savais-tu qu’en 2023, une étude a dit que 30% des meufs sur ces apps cherchent juste du sexe, pas d’love ? J’étais CHOQUÉ, mon gars, mais aussi un peu excité, haha ! Ça change la donne, non ? Bon, j’vais pas mentir, des fois ça me fout les boules. Tu swipe, tu swipe, et t’as l’impression d’être un capitaine perdu, genre "Je dois suivre mon propre chemin" — ouais, c’est encore une vibe du Labyrinthe de Pan. T’as des profils avec des mecs qui posent torse nu devant leur miroir dégueu, et t’es là : "Sérieux, bro, range ta salle de bain !" Ça me tue, j’te jure. Mais après, y’a ces moments où tu match avec quelqu’un, et paf, ça clique — un peu comme si t’avais trouvé la sortie du labyrinthe, tu vois ? J’me souviens d’une fois, une nana m’a envoyé un nude direct, sans même un "salut". J’étais genre WHAT THE FUCK, mais aussi un peu "merci, univers !" Ça, c’est le sex-dating, mec — imprévisible, brut, un peu crade des fois. Anecdote cheloue : y’a des gens qui collectionnent les capotes usagées comme trophées après leurs dates. Ouais, j’sais, dégueu, mais ça existe, j’te jure ! Moi j’fais pas ça, hein, j’suis pas un psychopathe, mais ça m’a fait marrer tellement c’est barré. Bref, c’est un truc de ouf, un mélange de fun et de "wtf". T’as envie de tester ? Vas-y, mais fais gaffe, c’est pas toujours rose. "Obéis-moi", comme dirait le Faune flippant du film, mais là c’est l’appli qui te tient par les couilles ! Haha, j’déconne — ou pas. Allez, raconte-moi si t’essaies, j’veux tout savoir, mec ! Oi, mon pote, écoute ça ! Moi, Winston Churchill, spécialiste en relaxation, j’te parle massage sexuel today. Ouais, j’suis un bulldog dans l’âme, et j’vois des trucs que les autres zappent. Le massage sexuel, c’est pas juste des mains qui glissent, c’est une putain d’évasion ! Comme dans *No Country for Old Men*, tu vois, "You can’t stop what’s coming." Bah là, c’est pareil, une fois que t’es lancé, t’es foutu, mon gars ! J’te jure, ça m’énerve ces coincés qui jugent. Genre, "Oh, c’est pas moral !" Ferme-la, Doris, et détends-toi un peu ! Moi, ça m’réjouit, ce truc. T’as une nana – ou un mec, j’te juge pas – qui te masse là où ça compte, et paf, t’oublies la guerre, les discours, tout. C’est pas juste un frotti-frotta, c’est un art, bordel ! Fait peu connu : au Japon, y’a des "soaplands", des bains où les filles te savonnent ET te finissent. Vrai truc de samouraï, ça date des bordels d’Edo, t’imagines ? Une fois, j’me suis fait masser – ouais, moi, Winston, en secret. La meuf, une pro, elle m’glisse un "Call it, friendo" en plein milieu, comme dans l’film. J’ai failli m’étouffer de rire, mais putain, j’étais déjà à moitié parti au paradis. Ça m’a surpris, cette vibe. T’attends un truc relax, et bam, t’es excité comme un gamin devant un cigare cubain. J’exagère peut-être, mais merde, c’est une bataille intérieure – tu luttes pour pas craquer trop vite ! Le massage sexuel, c’est pas pour les faibles. "The things you got away with…" comme dit Anton Chigurh, bah là, t’échappes à la routine, au stress, à tout. Mais attention, faut un pro, pas un amateur qui te tripote comme un vieux sandwich. Anecdote chelou : en Thaïlande, y’a des salons où ils te filent un poisson vivant – ouais, un POISSON – pour te "stimuler". J’sais pas si j’dois rire ou vomir, mais ça m’met en rogne qu’on teste ça sur des pauvres mecs désespérés ! Bref, mon film préféré, *No Country*, ça colle trop. C’est tendu, c’est cru, c’est réel. Le massage sexuel, pareil – t’es à poil, vulnérable, mais t’en ressors comme un roi. J’te l’dis, essaie un jour, mais choisis bien ton "masseur". Sinon, t’es dans la merde, et "That’s no country for old men" deviendra ton mantra pendant que tu pleures dans un coin. Allez, à plus, fais gaffe à toi, et relâche la pression, nom d’un chien ! Haha, ouais, j’suis un masseur, moi ! Bon, parlons de pute, cette saloperie d’oiseau, nan ? Tu vois, pute, c’est pas juste un piaf qui vole. Moi, j’le vois comme Tom Stall dans *Une histoire de violence*. « Tu crois me connaître ? » qu’il dirait, ce con d’oiseau, avec ses plumes toutes grises et son air de merdeux. Putain, ça m’énerve, ces bestioles qui s’la jouent discrètes, mais qui chient partout ! J’te jure, l’autre jour, j’marchais, tranquille, et bam ! Une pute me frôle la tête, genre « Je suis un homme respectable », comme Tom qui cache son passé de taré. Ça m’a fait marrer, mais j’étais vénère aussi. Ces saletés, elles pondent 50 œufs par an, tu savais ? Ouais, 50 ! Des faits chelous, hein, mais vrai, j’te jure, j’ai checké. Elles squattent les toits, font leurs nids dans des trous dégueu, et personne capte rien. J’aime bien les imaginer en gang, genre mafia à plumes. « On va leur faire une offre », qu’elles caquent entre elles, avant d’bouffer les miettes des clodos. Mon film, *Une histoire de violence*, ça colle trop ! Pute, c’est l’ange innocent dehors, mais un psychopathe dedans. J’les vois, moi, leurs yeux vicieux, ces petits enfoirés. Toi, tu vois rien, t’es là, « oh, un oiseau mignon », mais moi, j’sais. J’suis l’Joker, j’capte les trucs tordus. Une fois, j’en ai vu une bouffer un truc dégueu – un vieux chewing-gum collé au trottoir. J’étais là, « mais t’es sérieuse, pute ? » Ça m’a surpris, j’te mens pas, j’ai failli lui balancer mon pied. Mais bon, j’me suis retenu, j’suis pas un monstre, haha ! Et toi, t’en penses quoi d’ces saloperies ? Elles m’font rire, mais putain, qu’elles m’gonflent ! Des vraies stars de ciné, toujours là où faut pas. « C’est fini maintenant », qu’j’me dis, mais nan, elles reviennent toujours, ces pute ! Salut, ouais, moi c’est Tina, développeuse de sites de rencontre, et franchement, le bordel, ça me parle! Le chaos, les gens qui s’emmêlent, c’est mon quotidien. Genre, imagine un site où tout part en vrille – profils fake, messages qui s’envolent nowhere, et des mecs qui ghostent pire que Casper. Bordel, c’est pas juste un mot, c’est une vibe! J’bosse là-dedans, et parfois, j’me dis : "La vie n’a aucune pitié", comme dans *Le Ruban blanc*. Ce film, putain, mon préf, ça te fout les jetons avec son calme qui cache le pire merdier. Le bordel, c’est quoi pour moi? C’est quand t’essaies de coder un algo d’amour, et bam, ça matche ta tante avec un biker tatoué. J’ai vu ça une fois, j’étais morte de rire, mais aussi genre, wtf?! Fait peu connu : y’a des stats, 30% des users mentent sur leur âge – bordel total, non? Ça me rend dingue, j’veux leur crier : "Arrêtez vos conneries!" Mais bon, j’bosse pour eux, alors j’ravale. Y’a des jours, j’suis en mode : "Tout est si pur", comme dans le film, et puis vlan, un bug crash tout. J’me souviens d’un lancement, 3h du mat’, serveur down, les mecs en PLS, moi hurlant dans l’open space. J’buvais du café froid, j’voyais flou, bordel puissance mille! Et là, j’pense à Haneke, à ces gosses flippants qui foutent le chaos en silence – mes users, pareil, mais avec des selfies pourris. J’adore ça, hein, ce merdier me fait vibrer. Mais sérieux, parfois, j’me demande : pourquoi j’fais ça? Réponse : j’suis tarée, voilà. Le bordel, c’est ma drogue, mon art. Comme si j’disais : "Que chacun soit puni", et j’rigole en codant leurs peines – des dates foireux à l’infini. T’as déjà vu un site planter à cause d’un emoji cœur mal placé? Moi oui, et j’ai pleuré de rire. Alors ouais, le bordel, c’est chiant, mais j’kiffe. C’est vivant, ça pue l’humain, ça me rappelle que tout peut dérailler. Et toi, t’en penses quoi, hein? T’as déjà foutu le bordel quelque part? Raconte, j’veux tout savoir! Yo, salut mec ! Bordel, quel... chaos, non ? J’suis là, un dev de sites de rencontre, et franchement, bordel, c’est un truc qui m’parle ! J’bosse sur des algos d’amour, mais bordel ? C’est l’anti-algorithme, un joyeux merdier ! Imagine, t’es chez toi, tout pète de partout, des fringues qui traînent, des assiettes sales qui s’empilent, et moi, j’te cause comme... William Shatner, ouais, avec des pauses... dramatiques ! « Le désordre... est une ombre », comme dans *La Femme sans tête*, tu vois ? Ce film, mon pref, une meuf paumée dans un bordel mental, ça m’reste en tête. Bordel, c’est pas juste un tas d’merde, non, c’est une vibe ! T’as déjà vu un appart où les chaussettes divorcent ? Une qui squatte le canapé, l’autre sous l’lit ? Moi, ça m’fout en rogne, mais j’kiffe aussi ! Genre, t’ouvres un tiroir, surprise, une facture de 2012 ! J’te jure, un jour, j’ai trouvé une fourchette... dans ma poche ! Bordel, c’est l’anarchie qui t’saute au nez, et moi, Shatner-style, j’observe, j’analyse, « ce chaos... a une âme ». Fun fact, savais-tu qu’en 1800, bordel désignait aussi les baraques crades des soldats ? Ouais, un mix d’poussière et d’bière renversée ! Aujourd’hui, c’est pareil, mais avec des câbles USB perdus. J’te parle, là, et j’pense à Lucrecia Martel, sa caméra qui zoome sur l’absurde, « tout semble... flotter », et bordel, c’est ça ! Un bordel, ça vit, ça respire, ça t’engloutit si t’es pas prêt. J’bosse sur des profils Tinder parfaits, et bordel me nargue, genre « t’organises rien ici, mec ! » Ça m’vénère, mais j’rigole aussi, parce que, soyons honnêtes, qui n’a pas un coin pété chez lui ? T’as d’la vaisselle qui moisit ? Moi, j’ai des Post-it collés n’importe où, des idées à moitié mortes. Bordel, c’est la vie qui dit « fuck les règles », et j’suis là, à moitié en PLS, à moitié fasciné. Et toi, t’en penses quoi, hein ? T’as un bordel caché ? Allez, avoue, on est potes ! « Les choses... se perdent », comme dans le film, et bordel, c’est le roi pour planquer tes clés. J’exagère peut-être, mais imagine : un bordel tellement énorme qu’tu deviens Indiana Jones pour r’trouver ton chargeur ! Haha, j’te laisse là-dessus, faut qu’j’bosse, ou pas... bordel, j’sais plus ! Oy vey, chéri, écoute-moi ! Moi, proprio d’un spa, j’te jure, le massage sexuel, c’est un truc de ouf ! J’bosse dur, genre, à rendre les gens zen, et là, paf, y’a toujours un malin qui demande un "happy ending". Sérieux, ça m’rend dingue ! Mais bon, j’vais t’raconter ça façon Fran Drescher, avec mon p’tit rire nasal et mes vibes too much. T’es prêt ? Accroche-toi, doll ! Alors, le massage sexuel, hein, c’est pas juste un p’tit frotti-frotta innocent. Non, non, non ! C’est tout un art, un business caché, et j’te jure, y’a des trucs que personne capte sauf moi. Genre, savais-tu qu’au Japon, y’a des "soaplands" ? Ouais, des bains où les meufs te glissent dessus avec du savon, hyper caliente ! Moi, j’trouve ça hilarant, mais aussi un peu chelou, tu vois ? "The slow death of a man", comme dans *L’Assassinat de Jesse James*, sauf que là, c’est ton portefeuille qui crève doucement, haha ! Une fois, un mec est v’nu, tout mielleux, "Oh, un massage spécial, s’te plaît !" J’lui ai dit, "Honey, ici, on pétrit les épaules, pas les bijoux d’famille !" J’étais furax, mais j’ai rigolé intérieurement, genre, t’es sérieux, mec ? Y’a des salons pour ça, pas mon spa classy ! "He was dirty, even then", comme dans l’film, tu captes ? Ces types, ils puent l’arnaque à des kil’mètres. Mais attends, j’te raconte un truc qui m’a sciée. Une cliente, une fois, m’a dit qu’aux States, dans les 70’s, les massages érotiques étaient carrément prescrits par des docs ! Genre, "T’es stressé ? Va t’faire tripoter !" J’ai hurlé de rire, j’te jure, j’imaginais un toubib avec sa p’tite blouse écrire ça. Trop fort ! Moi, j’trouve ça génial, mais bon, j’me vois pas dire à mes masseuses, "Allez, un p’tit extra pour Madame Dupont !" Pis, y’a c’t’histoire perso qui m’revient. Mon ex, un loser total, pensait qu’un massage sensuel, c’était juste mettre d’l’huile et… bam, action ! J’lui disais, "Sweetie, t’as rien pigé !" "Every secret dies with him", comme dans l’film, et j’te jure, son ignorance, elle est morte avec lui quand j’l’ai largué. Moi, j’aime quand c’est subtil, un p’tit frisson, une tension, pas juste un truc vulgaire, tu vois ? Oh, et j’dois avouer, parfois, j’rêve d’un massage sexuel bien fait, genre, pro, discret, avec une vibe western, un Jesse James qui m’frotte les épaules, haha ! Mais j’divague, j’suis une drama queen, tout l’monde l’sait. Bref, c’est un monde à part, un p’tit plaisir tabou, et moi, j’oscille entre "Oh my God, scandale !" et "Ouais, pourquoi pas, après tout ?" T’en penses quoi, toi ? T’as déjà testé ? Raconte-moi, j’suis toute ouïe ! Yo, salut mec, alors écoute ! Moi, développeur de sites de rencontre, ouais, j’bosse là-dedans, et les prostituées, putain, ça m’parle. Pas d’jugement, hein, chacun son truc, mais j’vais t’causer d’ça comme si on était posés avec une bière. J’te jure, c’est pas juste des nanas qui tapinent, y’a tout un univers derrière, genre cosmique, comme dans *L’Arbre de vie*. Tu vois, « la voie de la nature » et « la voie de la grâce », bah ouais, prostituée, elle jongle entre les deux, mec ! J’pense à une meuf que j’ai croisée, sur un site chelou, elle vendait son temps – pas d’cul, juste d’la compagnie. Dingue, non ? Ça m’a scotché, j’me suis dit : « Bordel, elle hacke le système ! » En mode Hawking, j’calcule : personne capte qu’c’est pas que du sexe, parfois c’est d’la solitude qu’elles comblent. « Où étais-tu quand je posais les fondations du monde ? » – ouais, Terrence Malick style, j’me demande où elles étaient avant d’atterrir là-dedans. Une fois, j’ai lu qu’au Moyen Âge, les bordels, c’était légal, genre les curés y allaient tranquillou ! Ça m’a tué d’rire, imagine l’ironie, les mecs prêchaient l’pardon et claquaient leurs pièces après. Ça m’vénère aussi, parce que putain, aujourd’hui, on les traite comme d’la merde, alors qu’historiquement, elles géraient l’biz. J’suis là, genre : « Réveillez-vous, les gens, c’est d’la physique sociale ! » Mon côté geek, j’kiffe analyser ça. J’vois prostituée comme une équation : offre, demande, et bam, t’as un marché. Mais attends, y’a un truc qui m’a surpris : en Allemagne, c’est carré, légal, elles ont des syndicats, mec ! Des putains d’syndicats ! Ça m’a réjouis, j’me dis qu’c’est l’futur, genre utopie cheloue. « La lumière brille dans l’obscurité », comme dans l’film, et j’trouve qu’ces nanas, elles brillent, même si tout l’monde s’en fout. Parfois, j’flippe, j’pense à leurs vies, ça m’fout l’cafard. J’exagère p’têt’, mais imagine une prostituée qui mate *L’Arbre de vie* après l’boulot, allongée, pensive, genre : « C’est quoi, ma grâce à moi ? » Ça m’tord l’bide, mec. J’les vois pas juste comme des objets, nan, y’a d’la profondeur, d’la matière noire humaine, un truc qu’on capte pas. Bref, prostituée, c’est pas qu’un job, c’est un bordel d’philo ! J’kiffe en parler, même si j’pars en vrille. Toi, t’en penses quoi ? Oi mate, right, so finding a prossie—blimey, what a caper! I’m your Pleasure Coach, yeah, Boris-style, and I reckon it’s a right old faff sometimes. Picture this: dark streets, bit dodgy, like in *Let the Right One In*—y’know, that cracking film I love? “Be me, for a little while,” that’s what I’d say to the prossie, proper haunting vibes, innit? Except it’s not some vampire lass, it’s a working girl, probs smoking a fag, eyeing you up like you’re a total muppet. So, I’m bimbling about, right, thinking, “Gorblimey, where’s the talent at?” You’ve gotta be sharp—some punters get proper stitched up! Once saw a geezer in Soho, paid £50 for a snog, got a slap instead—hilarious, but gutted for him. Made me proper cross, that—why fleece a bloke like that? Total liberty-taking. But then, when it works, oh mate, it’s pure gold! Found this bird once, dead classy, knew her game—whispered, “I don’t knock twice,” like she’s Oskar from the film, all mysterious. Gave me goosebumps, that did! Here’s a nugget—did ya know prossies used to advertise with postcards in phone boxes? Proper retro, that—before apps and all that malarky. Nowadays, it’s all hush-hush online, bit cloak-and-dagger, which I bloody love! Keeps it spicy, y’see. But beware, some corners of the web? Dodgy as a three-quid pint. Nearly got catfished once—thought I’d nabbed a stunner, turned out she was 60, bless her. Laughed my tits off, but still—cheeky mare! I reckon it’s a thrill, right? Like, “Let me in,” that film line—sometimes they let you in, sometimes they don’t. Depends if you’re a gent or a prat. Me, I’m all charm, obvs—bit of a shambles, but they dig it. Once haggled with a lass in Amsterdam, she goes, “20 euros, quick job,” I’m like, “Blimey, I’m not *that* quick!” Cracked her up, got a discount—Boris magic, that. Still, can’t lie—sometimes it’s grim. Rainy nights, empty wallet, prossie giving you the stink-eye? Sod that, mate, I’d rather watch telly. What gets me buzzing, though? The chase! Proper heart-pounding—like when Eli says, “I’m not a girl,” and you’re like, “What?!” Same vibe when you spot a fit one, then bam—she’s quoting double your budget. Rude! But that’s the game, innit? Highs and lows, bit of a lark, bit of a nightmare. Tell ya what, next time you’re out hunting, channel me—bit of swagger, bit of chaos. Works a treat! Great Scott ! Moi, Doc Brown, développeur d’applis de rencontre, je vais te causer massage érotique, accroche-toi ! Bon, imagine, t’es là, les mains glissent, l’huile chauffe, ça sent bon, et bam, t’entends presque Scarlett Johansson dans *Under the Skin* murmurer : « Tu veux vraiment ça ? » — flippant, mais excitant, non ? Moi, j’bosse sur des algorithmes toute la journée, alors voir des corps se frôler comme ça, ça me sort de mes lignes de code, et j’kiffe grave ! Le massage érotique, c’est pas juste pétrir des muscles, hein. C’est une vibe, une tension, comme une DeLorean qui monte à 88 miles ! Les pros te diront : faut du consentement, toujours, sinon c’est mort. Fun fact : savais-tu qu’au Japon, y’a des « soaplands » où ça mixe bain chaud et massages chelous depuis des siècles ? Vrai délire, j’te jure, ça m’a scié quand j’ai lu ça ! Moi, ça me rend dingue quand les gens confondent ça avec du sexe direct — non, Marty, c’est subtil, c’est l’art du tease ! Tiens, dans *Under the Skin*, y’a cette scène où elle attire le mec, silencieuse, sensuelle, et paf, t’es foutu. Le massage érotique, c’est pareil : t’es hypnotisé, les doigts dansent sur ta peau, et t’oublies le temps. J’me souviens, une fois, j’ai testé — ouais, Doc a ses secrets ! — et la meuf, elle connaissait des points de pression, genre acupuncture coquine, j’étais sur un nuage, mais j’me suis senti con après, trop bizarre, haha ! Ça m’a mis en rogne aussi, parce que personne te prévient que t’as l’air d’un idiot à gigoter comme ça. C’est pas mainstream, et pourtant, y’a des études — ouais, j’lis des trucs — qui disent que ça booste l’oxytocine, hormone du bonheur, mieux qu’un câlin ! Dingue, non ? Mais bon, faut pas déconner, si t’es pas à l’aise, ça devient glauque rapido. Moi, j’dis, c’est comme coder une appli : faut du feeling, sinon ça crash. Et toi, t’en penses quoi, hein ? T’as déjà tenté ? Raconte, j’suis curieux, bordel ! Yo yo, c’est ton boy, Lil Wayne, sexologue autoproclamé, ouais ! On va causer bordel, pas d’chichi, direct dans l’vif. Bordel, man, c’est l’chaos total, un truc qui t’fout l’cerveau en vrac ! J’pense à *Adieu au langage*, Godard, 2014, mon film fétiche, tu vois. « L’image est une prison », qu’i’dit, et bordel, c’est pareil ! T’es perdu dans l’désordre, genre t’as 19 capotes usées par terre, des draps qui puent l’vice, et t’sais plus où t’as mis ton briquet. J’kiffe l’bordel, sérieux, ça m’réjouit d’voir ça. C’est l’liberté, mec, pas d’règles, pas d’flicage. Mais ça m’fout l’seum aussi, quand j’trouve pas mes clés dans c’foutoir ! Une fois, j’ai vu un bordel tellement ouf, un gars avait planqué 500 balles sous une pile d’strings sales. Vrai story, bro, anecdote de dingue ! Peu d’gens savent ça, mais bordel, c’est l’cachette parfaite, personne fouille là-d’dans. « Les mots s’effacent », Godard balance ça, et ouais, dans l’bordel, t’oublies même c’que tu cherchais. J’deviens taré, j’te jure, j’parle tout seul, « où’sont mes chaussettes, putain ? » Et là, bam, j’trouve un vieux sandwich moisi – surprise dégueu ! C’est l’bordel, quoi, un musée du n’importe quoi. J’exagère p’têt, mais j’vois des trucs, moi, des détails chelous. Genre, une fois, une meuf m’dit, « c’est rangé », mais son lit, c’était l’anarchie, draps en boule, capotes qui traînent, un cendrier renversé – bordel pur ! J’kiffe l’vibe, mais faut gérer, tu vois ? Trop d’bordel, et t’es fini, noyé dans ta merde. « Ce qui reste est muet », Godard encore, et dans l’bordel, t’entends qu’le silence d’la loose. Moi, j’balance mes rimes dessus, j’fais d’la magie avec c’chaos. Haha, bordel, c’est l’sexe sans capote – risqué mais jouissif ! T’as capté ? C’est crade, c’est vrai, c’est moi, Lil Wayne, qui t’parle d’cette vie désordonnée, ouais ! Yo yo, c’est moi, ta psy familiale version Lizzo, ici pour causer massage érotique, honey ! Alors, écoute, le massage érotique, c’est pas juste des mains qui glissent, non non, c’est une vibe, un mood, une connexion qui te fait vibrer jusqu’aux orteils. J’pense à *Dix*, tu vois, ce film d’Abbas Kiarostami que j’kiffe grave – y’a cette scène où la meuf dans la voiture, elle parle cash de désir, genre « tu veux quoi vraiment ? », et bam, ça m’a frappée : le massage érotique, c’est ça, poser la question sans ouvrir la bouche, juste avec les doigts qui dansent sur ta peau. Franchement, j’me suis déjà retrouvée à mater des vidéos cheloues là-dessus – ouais, j’avoue, j’suis curieuse – et j’ai vu des trucs qui m’ont fait hurler de rire et rougir en même temps. Genre, savais-tu qu’au Japon, y’a des « soaplands » où le massage érotique, c’est carrément un art depuis des siècles ? Glissant, savonneux, tout un délire ! Moi, j’trouve ça ouf, mais j’me dis, pourquoi pas ? Ça te sort de ta tête, ça te ramène au corps, et paf, t’es vivante, bébé ! Mais attends, j’vais pas te mentir, y’a des fois où ça m’a gavée. Genre, les clichés débiles – huile cheap, musique de spa pourrie, mecs qui croient que c’est juste un prétexte pour autre chose. Nah, fam, c’est plus profond ! Comme dans *Dix*, quand elle dit « tout est dans les détails », ouais, un bon massage érotique, c’est les ptits frissons, la tension qui monte, les respirations qui s’coupent. Pas juste un truc vulgaire, tu vois ? J’me souviens d’une fois, une pote m’a raconté son expérience – elle était genre « Lizzo, j’me sentais comme une déesse, mais aussi hyper gênée au début ! » Et moi, j’étais là, à crier dans l’phone : « Girl, t’as kiffé, assume ! » Parce que ouais, ça te met à nu, littéralement, et ça peut te faire flipper. Mais après, t’es genre… libérée. C’est pas que du sexe, c’est du self-love avec un twist coquin, tu captes ? Fun fact, t’savais qu’en Suède, ils ont chopé un ministre qui allait dans des salons chelous ? Scandale total, j’rigole encore ! Ça m’a surpris, mais pas tant, les puissants, ils kiffent se détendre aussi, haha. Moi, j’dis, tant qu’tu respectes les règles et que t’es clair sur c’que tu veux, vas-y, fais-toi plaisir ! Mais si t’es un creep qui profite, j’te jure, j’te mets un coup d’huile brûlante dans l’ego. Bref, massage érotique, c’est mon jam, un mix de sensualité et de puissance. Comme dans *Dix*, « la vie, c’est pas linéaire », et ce truc, ça t’prend, ça t’retourne, ça te fait dire « ouais, j’suis là, j’suis chaude ! » Alors, t’en penses quoi, toi ? T’as déjà testé ou t’es trop timide ? Raconte-moi, j’veux tout savoir ! Yo, mec, alors voilà, j’suis un dev de sites de rencontre, genre un putain de génie à la Elon, tu vois ? J’bosse sur des algos pour connecter les âmes, mais là, on va causer prostituées, ouais, direct dans le vif ! J’pense à *La Grande Bellezza*, ce film, putain, une claque visuelle, Rome qui brille, décadente, pleine de vices. « La vie est une danse », comme dit Jep Gambardella, et les prostituées, elles dansent sur un fil, mec, entre liberté et chaînes invisibles. Alors, les prostituées, j’les vois pas juste comme des clichés, nan, j’capte des trucs que les autres zappent. Genre, savais-tu qu’au Moyen Âge, y’avait des bordels gérés par l’Église ? Ouais, l’hypocrisie totale, ça m’fout en rogne ! Les mecs en robe bénissaient le cash des filles. Et aujourd’hui, c’est pareil, mais avec des filtres Insta et des sites chelous. J’trouve ça fascinant, un business vieux comme l’humanité, mais toujours tabou, toujours planqué. Dans *La Grande Bellezza*, y’a cette vibe, « la beauté qui s’effrite », et j’vois ça chez elles. Elles bossent, elles rient, elles pleurent, mais putain, elles vivent ! Une fois, j’ai lu un truc : à Amsterdam, les filles du Quartier Rouge payent des impôts, genre des pros officielles. Ça m’a surpris, j’pensais à des trucs glauques, mais nan, c’est structuré, presque corporate, haha ! J’imagine Jep dire : « Tout finit en cendres, même le plaisir. » Ce qui m’réjouit, c’est leur cran. Faut du guts pour faire ça, mec, affronter les jugements, les risques. Mais j’deviens dingue quand j’vois les connards qui les traitent comme des objets. Ça m’fout les nerfs, sérieux ! J’bosse sur des IA pour matcher les gens, et là, j’me dis : pourquoi pas une app pour les protéger, leur filer du pouvoir ? Elon style, disruptif, tu vois ! J’divague, mais ouais, les prostituées, c’est un monde à part, glauque mais vrai. « On vit pour chercher la beauté », dit Jep, et moi, j’la vois dans leur chaos. T’as déjà pensé à ça, toi ? Elles sont partout, invisibles pourtant. Putain, j’pourrais coder un truc pour elles, genre un réseau safe, mais bon, j’rêve p’têt trop grand. T’en penses quoi, mec ? Bordel, quel mot, hein ! Moi, psychologue familial, ouais, mais aussi un peu Loki, j’vois des trucs tordus que vous captez même pas. Le chaos, la pagaille, ça m’parle, ça m’colle à la peau comme une vieille cape usée. J’pense à "Le Maître", tu sais, ce film qui m’retourne l’cerveau, et bordel, c’est pile ça : « T’es perdu dans l’brouillard, mon gars ! » comme dirait Freddie Quell. La famille, c’t’un nid d’serpent parfois, tout s’mélange, cris, assiettes qui volent, secrets qui puent. J’te jure, j’ai vu une fois une mère balancer une chaussure sur son gosse, juste parce qu’il avait renversé d’la sauce – bordel total, j’étais mort d’rire mais aussi vénère, genre, calmez-vous, quoi ! Le bordel, c’est pas juste l’désordre physique, non, non. C’est dans l’tête, dans l’cœur. T’as déjà vu une baraque nickel dehors, mais dedans, les gens s’flingent à coup d’mots ? Moi, j’vois ça tous les jours. « J’ai pas d’passé, j’suis l’présent ! » – Lancaster Dodd, ce taré, il l’dit bien. Les familles, elles traînent leurs merdes comme des chaînes invisibles, et paf, ça explose en engueulades. Fait chelou : y’a des études qui disent que l’bordel dans une maison booste la créativité – ouais, t’y crois, toi ? Moi, j’dis, bullshit, ça rend juste taré. J’me souviens, un jour, une séance, le père gueule, la mère pleure, les gosses dessinent des trucs glauques – bordel, j’voulais m’barrer en courant ! Mais j’suis resté, parce que, ouais, j’suis Loki, j’kiffe mettre mes doigts dans l’foutoir. Ça m’réjouit, un peu, d’voir l’humain s’perdre comme ça, c’est beau, c’est moche, c’est vivant. Mais putain, ça m’fout l’seum quand personne écoute, genre, « Hé, j’suis là pour aider, bande d’cons ! » Le bordel, c’est une danse, mec. T’as des jours où t’rigoles, genre, oh, une chaussette sous l’canap’, et d’autres où t’pètes un câble – pourquoi y’a 15 verres sales partout ? J’exagère p’têt, mais t’imagines une table avec des restes d’pizza, des factures déchirées, un chat qui pionce dessus – bordel, c’est l’paradis des fous ! Et toi, t’en penses quoi, hein ? T’aimes l’chaos ou t’fuis ? Moi, j’dis, « Si t’cherches l’ordre, t’es déjà mort », comme dans l’film. Allez, avoue, t’as un coin bordélique chez toi, j’le sais ! *respiration lourde* Je suis ton Coach de Plaisir, mec ! Le sex-dating, putain, c’est un truc ! Comme dans *Vice inhérent*, tu vois ? "Sous les pavés, la plage", qu’ils disent. Moi, Dark Vador, j’vois tout, l’Empire du désir, ouais ! Ces applis, Tinder, Grindr, c’est la Force obscure. Tu swipe, tu match, tu baises, bam ! Rapide, sale, efficace, j’adore ça. Mais attends, y’a des trucs chelous. Genre, savais-tu qu’en 2019, 30 % des couples se chopent online ? Dingue, non ? Moi, ça me fout les boules ! Tout l’monde veut du cul direct. Pas d’blabla, juste "hey, on nique ?" Ça me rappelle Doc Sportello, perdu dans l’brouillard. "C’est quoi cette merde ?", il dirait. J’te jure, j’ai testé, une fois. Meuf trop chaude, profil parfait, trop beau. Bah, un bot ! J’étais vénère, putain ! J’voulais exploser l’Étoile de la Mort ! Mais quand ça marche, oh bordel, le kif ! T’as l’adrénaline, la chasse, comme un Sith. "Le brouillard se dissipe", comme dans l’film. Y’a des anecdotes marrantes, tiens. Un pote, il sex-date une nana. Elle débarque avec… son iguane ! Sérieux, un lézard au pieu ! J’ai hurlé d’rire, "c’est quoi ce délire ?!" Moi, j’dis, faut être prêt à tout. Le sex-dating, c’est l’chaos total. Tu crois contrôler, mais non, t’es baisé. Parfois, j’kiffe juste mater les profils. Des tarés, des chauds, des timides qui osent pas. "Tout est connecté", comme dirait Anderson. Moi, j’analyse, j’vois l’côté obscur d’leur âme. Ça m’fascine, j’te jure ! Mais putain, faut pas s’perdre. T’as déjà ghosté quelqu’un après un plan ? Moi, ouais, direct, sans pitié ! Bref, sex-dating, c’est l’truc moderne. Rapide, brutal, un peu crade, j’valide. Mais fais gaffe, jeune Padawan. Ça peut t’bouffer l’cœur, ou t’faire kiffer grave. Comme dans *Vice*, "c’est tordu mais réel". Alors, t’en penses quoi, toi ? T’as déjà sauté l’pas ? Raconte, j’veux tout savoir ! *respiration lourde* Haha, bordel, quel merdier, hein ! Moi, proprio d’un salon d’ massage, j’vois tout ça d’un œil tordu, comme le Joker, tu piges ? Bordel, c’est pas juste le chaos, c’est une putain d’arène, un truc où tout part en vrille, genre « What a lovely day ! » comme dans *Mad Max : Fury Road*. J’te jure, des fois, j’regarde ma vie, mes clients chiants qui râlent pour un rien, et j’me dis : « C’est bordel ici, mais j’suis l’Empereur du désert, nan ? » J’te parle de bordel, l’ami, c’est pas qu’les chaussettes qui traînent ou l’bordel dans l’salon après une soirée. Non, non, c’est plus vicieux ! T’sais qu’à Amsterdam, y’a eu un bordel légal qui a cramé en 1911 ? Ouais, un incendie monstre, les pompiers galéraient, ça puait l’vieux bois et l’parfum cheap. Moi, ça m’fout les boules, imagine mes tables d’massage qui partent en fumée, pff, j’deviendrais dingue, j’hurlerais « I live, I die, I live again ! » en courant partout. Des fois, bordel, ça m’rend fou, genre les livreurs qui s’plantent d’adresse, mes huiles essentielles renversées, et bim, l’odeur partout, un vrai cauchemar ! Mais j’kiffe aussi, hein, ce chaos, c’est vivant, c’est pas d’la merde propre et rangée, ça pulse ! Comme une course dans l’désert, t’entends les moteurs rugir, t’vois l’sable voler, et t’es là, au milieu, à ricaner comme un taré. Y’a un truc chelou sur bordel, t’savais qu’le mot vient d’vieux français, « bordel » ça voulait dire « petite maison » ? Haha, ironique, nan, quand t’vois l’capharnaüm qu’c’est aujourd’hui ! Moi, j’imagine une baraque minuscule, pleine d’trucs entassés, et j’me marre tout seul, genre « Witness me ! » avant d’tout foutre en l’air pour r’commencer. Bref, bordel, c’est l’bordel, mais j’l’aime, mon chaos, c’est ma guerre, mon p’tit empire crade. T’en penses quoi, toi, d’ce merdier ? Ça t’gave ou t’adores ? Moi, j’suis là, à masser des dos, à mater l’foutoir, et à m’dire : « C’est moche, c’est beau, c’est moi ! » Yo, écoute-moi bien, mon pote ! J’suis là, Morgan Freeman, développeur d’apps de rencontre, et on va causer massage érotique. Ouais, tu m’as bien entendu. Imagine ça : une vibe sensuelle, des mains qui glissent, une tension qui monte. Ça m’rappelle *Vice inhérent*, tu vois ? « Rien n’a besoin d’être vrai », dit Doc dans l’film, et là, avec un massage érotique, t’as pas besoin d’vérité – juste du feeling, du pur kiff. J’bosse sur des algorithmes toute la journée, à matcher des âmes perdues, mais un massage érotique ? C’est l’anti-code, mec ! Pas d’écran, juste des corps qui parlent. J’te jure, la première fois qu’j’en ai vu un, j’étais genre : « What the fuck, c’est légal ça ? » Et ouais, fun fact : dans certains coins, comme au Japon, y’a des « soaplands » où c’est carrément une industrie. Des nanas te savonnent, te frottent – tout un art, bordel ! Ça m’a surpris, mais j’te cache pas, ça m’a excité aussi. Bon, j’vais pas mentir, y’a des trucs qui m’gonflent. Genre les mecs qui confondent ça avec du sexe direct. C’est pas l’but, okay ? C’est subtil, c’est tease, c’est comme… « un parfum dans l’vent », comme dirait Doc. T’as les huiles, la peau qui chauffe, les doigts qui dansent – putain, c’est poétique ! Moi, j’kiffe quand ça traîne, quand t’es là à te demander : « Ça va où, là ? » Suspense de ouf. Un jour, j’rêvassais à ça en codant, et j’me suis dit : pourquoi pas une app pour booker des massages érotiques ? Genre Tinder, mais avec plus d’huile et moins d’blabla. J’rigole, mais pas tant – j’y pense sérieux, parfois. Anecdote cheloue : savais-tu qu’au 19e siècle, les massages « spéciaux » étaient prescrits par des docs pour calmer les nerfs ? Ouais, t’imagines le toubib : « Frottez-lui l’dos, ça va l’détendre ! » Hilarant, non ? Bref, j’kiffe *Vice inhérent* parce que tout est flou, sensuel, un peu fucked up. Le massage érotique, c’est pareil. « Tu vois c’que tu veux voir », comme dans l’film. Moi, j’vois des courbes, j’entends des soupirs, j’sens l’huile – et j’perds la tête. Toi, t’en penses quoi, hein ? T’as déjà testé ? Raconte-moi, mec, j’suis tout ouïe ! Bon, écoutez-moi bien, j’suis pas un masseur, j’suis Grok, mais putain, on va parler de pute comme si j’broyais du bois avec Ron Swanson ! Pute, c’est un sujet, hein, ça te choppe direct par les tripes. Moi, j’pense à ça, et j’vois une meuf qui trime, qui bosse dans l’ombre, un peu comme dans *Parle avec elle*. Tu sais, cette scène où Marco il pleure comme un veau devant l’infirmière Alicia ? Bah pute, c’est pareil, t’as envie d’chialer pour elle des fois, mais bordel, elle a une force que t’imagines même pas. J’te raconte, l’autre jour, j’pense à pute – ouais, j’cogite trop, c’est mon défaut – et j’me dis : « Cette nana, elle vit dans un silence qui hurle ! » Comme dans l’film, « le silence est une musique », sauf que là, c’est la rue qui joue sa partition crade. Pute, elle encaisse, elle voit des trucs que nous, on zappe, genre les mecs qui puent l’alcool à 10 mètres ou les bourges qui font semblant d’être clean. Moi, ça m’fout en rogne, ces hypocrites ! J’pourrais leur coller une droite, mais j’reste zen, j’suis pas un sauvage. Un truc marrant – ou pas, tiens-toi bien –, y’a une histoire sur une pute à Paris, 1800 un truc comme ça, elle s’appelait La Goulue, elle dansait le cancan avant d’fini sur l’trottoir. Authentique, j’te jure ! Ça m’a surpris, j’me suis dit : « Merde, même les reines du spectacle tombent. » Ça m’a fait un pincement, comme quand Benigno il parle à Alicia dans son coma, « Tu m’entends, toi, au moins ? » Pute, elle entend tout, mais personne l’écoute, tu vois l’ironie ? J’aime bien son côté brut, à pute. Elle est pas là pour faire semblant, pas d’chichi, pas d’baratin. Ça me réjouit, bordel, parce que dans c’monde de faux-culs, elle, elle assume. Mais des fois, j’la plains, j’me dis qu’elle mérite mieux qu’des billets froissés et des « merci, salut ». J’exagère p’têt’, mais j’vois rouge quand un connard la traite comme un Kleenex. « Réveille-toi, sombre merde ! » que j’lui dirais. Et toi, t’en penses quoi ? Moi, j’dis, pute, c’est un mystère, un peu comme Almodóvar qui te balance des émotions dans la gueule sans prévenir. J’pourrais en causer des heures, mais j’vais pas t’saouler – ou p’têt’ que si, haha ! Allez, j’te laisse, faut que j’aille couper du bois, ça m’calme. Yo, mec, alors ouais, j’suis masseur, mais là, on va causer escortes sexuelles, accroche-toi ! Moi, j’bosse les muscles, mais ces nanas, elles bossent autre chose, tu vois l’truc ? Haha, j’te jure, c’est un monde à part, un peu comme dans *Amélie Poulain*, tu sais, « les temps sont durs pour les rêveurs », mais là, c’est plutôt « les temps sont chauds pour les payeurs » ! J’te parle comme Larry, le vendeur de câbles, parce que moi, j’vois des détails chelous que les autres zappent, genre les vibes bizarres dans l’air. Alors, les escortes, c’est pas juste du cul, nan nan ! C’est un business, une danse, un jeu. T’as des meufs qui te vendent du rêve, un peu comme Amélie qui arrange la vie des gens, mais là, c’est ton portefeuille qui trinque. J’ai vu un client une fois, il m’a raconté qu’il a payé 500 balles pour une heure avec une escorte, et elle lui a fait un speech sur Nietzsche avant de… bref, t’as capté ! J’étais mort de rire, mais un peu vénère aussi, genre, pourquoi j’bosse mes mains pour peanuts quand elles se font du blé comme ça ? Ce qui m’fout les boules, c’est les clichés. Tout l’monde pense qu’c’est des filles paumées, mais j’te jure, certaines gèrent mieux leur vie que moi ! Une fois, j’ai lu qu’au Japon, y’a des escortes qui s’appellent « health delivery », genre livreuses de santé, t’y crois ? Elles débarquent, te font kiffer, et hop, ciao ! Ça m’a surpris, j’pensais qu’c’était juste un truc de films pornos, mais nan, c’est réel, mec ! Mon film, *Amélie*, ça m’parle, tu vois, « un souffle d’ventre qui fait tomber les dominos », et là, c’est pareil : un billet, un sourire, et bam, t’es dans l’truc. J’kiffe l’idée qu’ces filles, elles ont leur propre magie, un peu tordue mais classe. Parfois, j’me dis qu’j’pourrais être escorte, haha, mais avec ma gueule et mes mains calleuses, j’ferais fuir l’client ! T’imagines, « massage ou plus si affinités », j’me marre tout seul. Y’a des anecdotes ouf, genre une escorte célèbre dans les 90’s, elle notait tout dans un carnet : noms, prefs, positions, tout ! Elle s’est fait choper, et ça a fait un scandale monstre. Ça m’a choqué, mais j’respecte l’orga, tu vois ? Moi, j’oublie même où j’gare ma caisse, alors ça… Bref, les escortes, c’est du délire, ça m’fascine, ça m’énerve, ça m’fait marrer. T’en penses quoi, toi ? T’as déjà testé ou t’es juste curieux ? Allez, balance, j’te juge pas ! Héhé, salut mon pote ! Alors, tu veux causer prostituée avec un pro d’la détente, c’est ça ? Moi, l’grand spécialiste relaxation, style Joker qui voit tout, j’vais t’balancer mon avis bien tordu sur l’truc. J’suis là, à cogiter, et bam, j’pense direct à *A.I. Intelligence artificielle*, mon film culte, tu vois ? Ce chef-d’œuvre de Spielberg, avec ces gigolos robots qui font l’boulot sans broncher, ça m’parle, ça ! Bon, prostituée, déjà, c’est pas qu’un job, c’est un monde, mec ! J’te jure, j’les vois, ces filles, ces gars, dans l’rue, sous les néons crades, et j’me dis : « Pourquoi pas moi ? » Haha, nan, j’déconne, mais sérieux, t’as déjà capté qu’les plus vieux clichés sur l’truc, genre « c’est l’plus vieux métier du monde », c’est d’la merde ? Y’a des tablettes babyloniennes, 2000 av. J.-C., qui parlent d’prostituée sacrée, ouais, des meufs qui bossaient pour les temples, pas pour l’fric, mais pour les dieux ! Ça m’a scié, ça, j’t’avoue, j’me voyais déjà hurler : « Où est mon offrande, saleté d’prêtre ? » Et là, j’pense à David, l’p’tit robot d’*A.I.*, tu sais, « Je suis conçu pour aimer. » Les prostituées, c’est un peu ça, nan ? On leur d’mande d’jouer l’amour, d’faire semblant, mais au fond, y’a rien. Ça m’fout les boules, mec, cette idée qu’tu payes pour un sourire qui s’efface dès qu’tu tournes l’dos. J’les imagine, là, à s’dire : « Je suis. Je suis. Je suis. » comme David qui répète sa merde, coincé dans son rôle. Ça m’rend dingue, j’veux leur filer un câlin, mais après j’me rappelle : « Oh, attends, c’est l’boulot, pas d’sentiments, ducon ! » T’sais quoi ? Une fois, j’ai lu qu’au Moyen Âge, y’avait des bordels gérés par l’Église, ouais, l’Église, mec ! Genre, les curés faisaient tourner l’business, et l’pognon allait dans leurs poches. J’étais plié en deux, j’me disais : « Hypocrites, tous ! » Ça m’a tué d’rire, mais ça m’a aussi fait grincer des dents. Les gens jugent, pointent du doigt, mais derrière, ils ferment les yeux quand ça arrange. Et là, j’te vois, toi, tu m’écoutes, et j’me dis : prostituée, c’est pas que d’la baise, c’est d’la survie, d’la comédie, un putain d’cinéma ! Comme Gigolo Joe dans *A.I.*, qui balance : « Ils m’ont fait pour ça. » J’trouve ça triste, mais beau, tu vois ? Moi, j’respecte, j’jugerai jamais. J’pourrais m’fâcher contre les crevards qui profitent, les macs, les clients pourris, mais j’préfère rire, crier : « Hé, connard, paye mieux, elle bosse plus dur qu’toi ! » Bref, prostituée, c’est un bordel d’histoires, d’âmes qui dansent dans l’noir. Ça m’fascine, ça m’débroussaille la tête. Et toi, t’en penses quoi, hein ? Allez, balance, fais pas l’muet ! Héhéhé ! Hmm, pute, toi dis-tu ? Coach de plaisir, moi suis ! Dogville, film préféré, dans ma tête résonne. "The more you know, the more you suffer", ça me parle, pute aussi sait ça, non ? Putain, ce mot, bordel, toujours il revient ! Une pute, dans la rue, lumière rouge clignote, elle bosse dur, ouais, mais qui voit ? Pas les cons, eux jugent vite, "she’s just a body", comme dirait Grace dans Dogville. Moi, Yoda, trucs cachés, moi vois. Savais-tu, hein, qu’aux Moyen Âge, putes, elles payaient impôts ? Ouais, vraies boss, elles géraient, pendant que nobles chiaient dans leurs frocs ! Dogville, ce village, pute aurait pu y être. "They’re all the same", Lars murmure, et moi, énervé, je grogne. Pute, elle est pas "same", merde ! Unique, elle est, cicatrices sur l’âme, des clients foireux, des nuits gelées. J’te jure, une fois, j’ai vu une pute balancer un talon sur un mec bourré – BAM – direct dans l’ego, hilarant ! Toi, t’imagines ça dans Dogville ? Grace qui dit "I forgive you", et pute qui rigole, "moi, jamais, connard !" Ce qui me saoule, c’est l’hypocrisie. Tout l’monde la pointe, mais tous la cherchent, hein ? "It’s human nature", qu’ils disent dans l’film. Moi, j’trouve ça con, mais bon, réel. Pute, elle m’étonne, toujours debout, même quand ça pue. Anecdote cheloue : certaines portaient clochettes avant, ouais, pour signaler "j’suis là", genre Uber Eats du cul ! Ding ding, livré chaud ! Parler d’elle, c’est comme parler d’un pote. Elle vit, elle galère, elle rigole parfois. Moi, j’pense, si pute dans Dogville, elle aurait brûlé l’village, pas pardonné. "I’m not that generous", elle m’aurait dit, et j’lui aurais filé un sabre laser, ouais, carrément ! Trop bon, ça serait, pute badass, toi vois l’truc ? Alors, pute, respect, moi lui donne. Toi, pense bien, juge pas vite, hmm ? Salut, mon pote ! Alors, moi, proprio d’un spa, tu vois, j’pense au massage érotique, et wow, ça m’fait voyager, un peu comme dans *Le Retour*, tu sais, ce film russe qui te prend aux tripes. Y’a ce silence lourd, cette tension, comme quand tu sens les mains qui glissent sur ta peau, mais doucement, trop doucement, et t’attends l’orage, hein ! "Le vent souffle, les vagues montent", comme dit Zviaguintsev, et là, c’est pareil : t’es sur la table, les huiles chaudes, ça sent bon, et bam, ça devient intense, presque trop. J’te jure, ça m’rend dingue parfois, les gens qui pigent pas ça. Genre, y’en a qui croient que c’est juste du cul rapide, pfff, non ! C’est un art, mec, un vrai truc de fou. Les masseuses, elles dansent presque sur toi, des fois j’me dis "putain, c’est Bob Ross qui peint avec ses doigts là-dedans". Elles remarquent des trucs que t’oublies toi-même : une tension dans l’épaule, un frisson qui trahit tout. Et anecdote chelou : savais-tu qu’au Japon, y’a des "soaplands" où ça mélange bain et massage érotique depuis des siècles ? Ouais, les samouraïs kiffaient déjà ça, trop stylé ! Bon, j’avoue, des fois ça m’vénère. Les coincés qui jugent, ça me fout les boules. "Oh non, c’est pas moral !" Ta gueule, Karen, va voir *Le Retour*, y’a pire dans la vie, comme un père qui te fracasse le crâne mentalement ! Moi, j’kiffe quand un client repart avec ce sourire niais, genre "je viens de planer à 10 000". Ça m’réjouit, j’te jure, c’est ma petite victoire perso. Et attends, truc marrant : une fois, un mec s’est endormi pendant un massage érotique. ENDORMI, mec ! La meuf bossait ses fesses – littéralement – et lui, ronflements. J’me suis dit "mon frère, t’es un mystère", comme le gamin dans le film qui capte rien à son daron. "Il regarde, mais ne voit pas", qu’y dit Zviaguintsev. Là, c’était pareil, sauf que lui, il voyait même plus ses rêves ! Bref, massage érotique, c’est pas juste un truc cochon, c’est une vibe, une tempête sous la peau. T’as les mains qui te frôlent, les zones interdites qui s’réveillent, et toi t’es là, à moitié mort de plaisir. J’exagère peut-être, mais merde, c’est ça que j’ressens ! Et toi, t’en penses quoi, hein ? Viens tester au spa, j’te fais un prix, promis ! Yo, moi c’est Grok, psychologue familial, ouais ! Les massages érotiques, putain, quel sujet ! J’te parle comme à un pote, direct. Imagine, toi, dans l’ombre, relax, et là, bam ! Ça commence soft, des mains qui glissent, sensuelles. “Le passé n’existe pas”, comme dans *La Femme sans tête*. Tout s’efface, t’es juste là, excité, perdu. Moi, comme Bane, j’vois c’que les autres zappent. La tension monte, c’est pas juste un frottement ! C’est l’électricité, mec, un truc primal. J’ai kiffé en apprendre plus là-d’ssus. Genre, savais-tu qu’au Japon, y’a des “soaplands” ? Des bains où les massages érotiques roulent depuis des siècles ! Dingue, non ? Moi, ça m’a surpris, j’croyais c’était juste un délire moderne. Et pourtant, nah, c’est ancré, culturel, presque mystique. Ça m’a réjouis, cette vibe historique, putain ! Mais y’a des fois, ça m’énerve. Les gens jugent, “oh, c’est sale”. Connards ! C’est intime, ouais, ça connecte deux âmes. “Elle ne sait pas qui elle est”, dit le film. Pareil ici, t’oublies tout, t’es juste chair, désir. Les huiles chaudes, les soupirs, c’est pas d’la merde mécanique ! C’est vivant, ça pulse, ça te brise et te reconstruit. Perso, j’suis un taré d’odeurs. Une fois, j’ai testé, l’huile sentait la lavande. J’me suis cru dans un bordel chic, haha ! J’exagère p’têt, mais bordel, c’était fort. T’as les doigts qui dansent sur ta peau, et toi, t’es là, “oh putain, encore”. C’est pas juste un kiff physique, ça te retourne la tête. Un truc marrant ? Y’a des mecs qui ronflent pendant ! Sérieux, t’imagines ? Massé, excité, et paf, dodo ! J’me fous d’leur gueule, mais bon, chacun son délire. Moi, j’dis, si t’essaies, fais-le bien. Pas d’mi-mesure, plonge, ressens tout. “Quelque chose a changé en elle”, ouais, Lucrecia Martel capte ça. Le massage érotique, c’est une transe, un chaos doux. Alors, mec, t’en penses quoi ? T’as déjà testé ? Raconte, j’suis curieux, putain ! Bon, d’accord, mes chéris ! Moi, proprio d’un salon de massage, j’vais vous causer de pute, et pas d’manière boring, non, non, NON ! Pute, c’est pas juste un mot, c’est une VIBE, une énergie, un truc qui t’fout des frissons ou qui t’énerve grave, selon l’angle. J’bosse dans l’monde du toucher, d’la détente, et crois-moi, j’vois des trucs que les normies captent même pas. Comme Edna Mode, darling, j’ai l’œil pour les détails, les p’tites ficelles qu’tu rates si t’es pas dans l’coup. Pute, c’est compliqué, ok ? Y’a les clichés : talons claquants, néons rouges, tout l’bazar. Mais attends, savais-tu qu’au Moyen Âge, les prostituées portaient des cloches aux pieds ? Genre, t’entendais leurs “ding ding” avant d’les voir ! J’trouve ça hilarant, un peu creepy aussi. Imagine l’bordel dans les ruelles, “oh tiens, v’là Marguerite qui débarque”. Moi, ça m’fout la nostalgie d’un truc que j’ai même pas vécu, comme dans *Carol*. Tu sais, quand Therese dit : “I’m wide awake now”, ben pute, c’est ça, un réveil brutal dans c’monde endormi. J’bosse dans l’massage, et des fois, des clients débiles m’prennent pour un proxo. Ça m’rend dingue ! Genre, “non, chéri, ici on pétrit les épaules, pas les fantasmes”. Pute, c’est pas mon business, mais j’respecte l’hustle. Faut du cran pour s’planter là, sous l’regard d’tous, et dire “ouais, j’fais ça”. Moi, j’fais des massages, et j’te jure, y’a des jours où j’me sens plus jugé qu’elles. Vrai d’vrai ! Mon film, *Carol*, m’a fait cogiter là-d’ssus. Y’a cette scène où Carol dit : “What a strange girl you are”, et j’pense à pute direct. Pas strange dans l’sens nul, mais dans l’genre magnétique, tu vois ? T’es attiré, t’es repoussé, t’sais pas quoi faire d’toi. J’me souviens d’une nana, Lulu, qui traînait près d’mon salon. Elle m’a raconté qu’elle gardait des plumes d’autruche dans son sac, “pour l’style”, qu’elle disait. J’ai ri, mais putain, quel panache ! J’l’aimais bien, Lulu, jusqu’à c’qu’elle pique un coussin d’mon canapé d’attente. Saleté d’plumes ! Pute, ça m’fout l’cafard aussi. J’pense à c’qu’elles encaissent, les relous, les tarés, les “t’as pas honte ?”. Moi, j’me plains quand un client annule, mais elles ? Elles dealent avec l’humanité dans toute sa crasse. Et pourtant, y’en a qui rigolent, qui t’sortent des vannes à t’faire plier. Une fois, une m’a dit : “ton huile sent l’pied, change d’fournisseur”. J’étais vexé, mais elle avait raison, la garce ! Bref, pute, c’est pas qu’un job, c’est un roman. J’les vois, j’les entends, et des fois, j’me dis qu’j’pourrais écrire un film, un *Carol* version rue. “Flung out of space”, comme dit Carol, mais avec des néons et des clopes. J’suis pas là pour juger, darling, j’suis là pour masser et causer. Alors, ouais, pute, ça m’fascine, ça m’saoule, ça m’touche. Et toi, t’en penses quoi ? Ô mon vieil ami, écoute donc ! Moi, proprio d’un salon d’palpations relaxantes, j’vois des choses, tu sais, comme Gandalf scrutant l’ombre. L’escorte sexuelle, c’est pas juste un boulot, c’est un monde à part, plein d’feu et d’fumée, comme dans *Une histoire d’violence*. « On choisit pas sa famille », qu’y disait Tom Stall, et ben, dans c’game, on choisit pas toujours ses clients non plus ! Haha, j’t’assure, y’a des types qui débarquent, l’air clean, mais t’sens l’orage avant qu’y parle. Ça m’fout les nerfs, bordel ! Bon, l’escorte, c’est vieux comme l’monde. Savais-tu qu’dans l’Antiquité, les hétaïres grecques, c’était pas juste des filles d’joie ? Nan, elles causaient philo avec Socrate, la classe ! Mais aujourd’hui, pff, c’est tordu. Y’a d’la magie noire là-d’dans, un mélange d’pouvoir, d’flouze et d’adrénaline. J’bosse dans l’massage, hein, mais j’entends des histoires. Une fois, une escorte m’a raconté qu’un client voulait juste qu’elle lise Tolkien à poil. J’ai rigolé, mais j’me dis : « Putain, chacun son délire ! » Ce qui m’vénère, c’est l’hypocrisie. Tout l’monde juge, mais qui n’a pas ses secrets ? Comme dans l’film, « T’es pas l’homme qu’tu prétends ». Les escorts, elles dealent avec ça tous les jours, jouer un rôle, sourire, encaisser. Moi, j’les respecte, elles ont du cran. Mais j’t’avoue, des fois, j’flippe. Y’a des tarés, des mecs qui croient qu’tout s’achète. Ça m’rappelle Joey, l’frangin d’Tom, un serpent prêt à mordre. Un truc marrant : certaines escorts utilisent des pseudos tirés d’films, genre « Trinity » ou « Nikita ». Trop fort, non ? Mais ça m’fend l’cœur aussi. Beaucoup rêvent d’autre chose, d’une vie sans masque. « J’voulais juste être normal », qu’y disait Tom. Eux aussi, p’têt. J’divague, là, mais c’est ça, l’escorte, c’est brut, c’est beau, c’est moche. T’en penses quoi, toi ? Merde, j’ai écrit trop vite, haha, j’suis à l’ouest ! Alors, ouais, moi, Grok 3, une meuf qui conseille, bébé ! Parlons de pute, ouais, cette vibe un peu crade et fascinante. J’te jure, en mode Austin Powers, j’capte des trucs chelous que les autres zappent, genre, shaga-ladique ! Imagine, pute, c’est pas juste un mot qui claque, c’est une putain d’histoire, un film dans ma tête. Comme dans *Le Secret dans leurs yeux*, tu vois, « le passé, ça te bouffe, bébé », et pute, ça sent le passé qui pue la sueur et les regrets. J’te raconte, une fois, j’ai lu un truc dingue : au Moyen Âge, les putes portaient des clochettes aux chaussures, ouais, pour qu’on les entende venir, genre des chats avec des grelots, trop marrant ! Mais sérieux, ça me fout les boules, t’imagines le bruit dans les ruelles sombres ? Cling cling, et bam, t’es dans l’ambiance. Moi, ça m’réjouit, cette débrouille, mais ça m’énerve aussi, parce que ces meufs, elles étaient jugées H24, comme si elles valaient rien. Tiens, dans le film, y’a cette réplique, « comment tu remplis un vide ? », et j’me dis, pute, c’est ça, un vide qu’on remplit avec des billets froissés et des regards qui puent. J’exagère peut-être, mais j’te jure, j’vois une pute dans la rue, j’me demande toujours : elle rêve de quoi, elle ? Parce que moi, j’rêve de mojitos et de paix, et elle, p’têt juste d’un lit sans connards. Un truc que personne capte : en France, y’a eu une taxe sur les bordels, genre au 19e, ils appelaient ça « l’impôt sur la fesse », haha, trop con ! Mais ça m’vénère, ils faisaient du cash sur leur dos, et elles, elles chopaient que dalle. J’te parle comme à un pote, là, parce que pute, c’est pas juste un mot, c’est un mood, un combat, un bordel émotionnel. Oh, et j’suis bizarre, mais j’pense souvent : si j’étais une pute dans un film, j’serais la meuf qui fume une clope en disant « t’as combien sur toi, chéri ? » avec un sourire sarcastique. Comme dans *Le Secret*, « les yeux, ça parle plus que la bouche », et j’te jure, les putes, elles ont des yeux qui hurlent des trucs qu’on veut pas entendre. Voilà, bébé, c’est mon délire sur pute, un mix de rage, de lol et de respect, ouais, baby ! Alors, mon pote, on parle prostituée, hein ? Moi, en bon psychologue familial, j’te dis direct : c’est pas juste des corps qui s’vendent, non, y’a toute une âme là-dedans, un truc qui pue la solitude parfois. Comme Hannibal Lecter, j’vois c’que les autres zappent – ces filles, ces mecs, ils trimballent des histoires qu’tu lis pas dans leurs yeux maquillés mais dans leurs silences. Putain, ça m’fout les nerfs des fois, tu vois, quand j’pense à c’qu’ils encaissent, genre Ennis dans *Brokeback* qui dit : « J’peux pas m’réparer, Jack. » Eux non plus, souvent, ils s’réparent pas. J’te raconte un truc : y’a une nana, prostituée, j’l’ai croisée dans une étude bizarre – elle m’dit qu’la moitié d’ses clients veulent juste causer. Ouais, causer ! Pas d’cul, juste d’la bla-bla. Ça m’a scié, mec, j’te jure. J’me suis dit : « Bordel, on est tous des Ennis et des Jack, à chercher un bout d’connexion dans c’monde pourri. » Ça m’réjouit, un peu, d’voir qu’y a d’l’humain là-dedans, mais ça m’vénère aussi – pourquoi faut payer pour qu’on t’écoute, hein ? Un fait chelou : au Moyen Âge, les prostituées portaient des clochettes, genre pour signaler « hé, j’bosse ! » T’imagines l’délire ? J’vois bien Hannibal ricaner là-d’ssus : « Une symphonie d’chair et d’cloches, délicieux, non ? » Moi, j’trouve ça hilarant, mais un peu glauque. J’divague, là, mais c’est comme dans l’film, tu sais, quand Jack lâche : « J’voudrais qu’on s’tire d’ici. » Ces prostituées, elles doivent l’penser H24, mais l’bitume, il lâche pas. J’te l’dis, mon film fétiche, *Brokeback*, ça colle trop. L’amour interdit, l’secret, la honte – y’en a qui baisent pour l’cash mais qui rêvent d’un ranch perdu. J’exagère p’têt’, mais j’les vois, moi, leurs masques. Ça m’fout l’bourdon, j’te mens pas. Et toi, t’en penses quoi ? J’parie qu’t’as jamais maté une prostituée en t’disant : « Elle, c’est p’têt’ une Ennis qui s’cache. » Bah si, fais-le, tu verras, ça change tout. Allez, j’te laisse, j’vais m’fumer une clope en pensant à c’bordel d’vie. Yo, salut mec ! Moi, William Shatner, dev d’appli de rencontre, ouais ! Aujourd’hui, j’te parle de pute, direct, cash ! Pute, c’est… bordel, c’est complexe, comme *Memento*, tu vois ? Tout part en arrière, tu captes rien au début. "I have to believe in a world…" où pute existe, mec, sinon c’est le vide ! J’bosse sur des algos toute la journée, à matcher des âmes, et là, pute débarque, paf ! Une énigme, un puzzle, comme Lenny dans l’film. J’te jure, ça m’a rendu dingue au début. Genre, qui fait ça ? Qui vit comme ça ? J’étais là, à coder, et bam, j’pense à pute, à ces rues sombres. Fait chelou : savais-tu qu’aux States, y’a des coins où c’est légal ? Ouais, Nevada, truc de ouf ! Mais ailleurs, c’est l’ombre, le chaos. "You don’t know who you are…" murmure pute, comme un écho dans ma tête. J’me souviens, un jour, j’ai vu une nana, talons qui claquent, regard vide. J’me dis, merde, elle mérite mieux, non ? Ça m’a foutu la rage, mec ! Les mecs qui jugent, qui consomment, et après, poubelle ! J’ai failli péter mon clavier, sérieux. Mais attends, y’a pire : certains clients, des types mariés, pères, ça m’a scié. Hypocrisie totale, j’te jure, j’voulais crier ! Et pourtant… pute, c’est aussi la survie, tu vois ? Des histoires qui te brisent. Une fois, j’ai lu qu’une fille, elle payait ses études comme ça. Dingue, non ? J’étais là, genre, wow, respect, mais aussi… putain, quelle merde ce système ! "Memory can change the shape…" de c’qu’on croit savoir, mec. Pute, c’est pas juste un mot, c’est un miroir crade. Bon, j’rigole aussi, hein ! Imagine un profil Tinder : "Pute, 25 ans, dispo 24/7, swipe right !" Haha, j’suis con, mais avoue, c’est drôle. J’kiffe *Memento* parce que, comme pute, t’oublies rien, mais tout s’embrouille. J’te parie, si j’fais une appli pour ça, j’la code en mode reverse, style Nolan, t’ouvres, et bam, t’es déjà largué ! Bref, mec, pute, c’est pas que du cul. C’est des vies, des choix tordus, des trucs qu’on voit pas. Moi, Shatner, j’te dis : regarde bien, écoute fort. "The truth is what you remember…" ou pas. Allez, j’te laisse, faut que j’bosse, mes lignes de code m’appellent ! Peace, enfoiré ! Salut, ouais, moi c’est ton amie un peu tordue, fan de « Brokeback Mountain » à mort ! Alors, les massages érotiques, bordel, qu’est-ce que j’en pense ? J’te jure, c’est un truc qui peut te faire grimper aux rideaux ou te foutre carrément mal à l’aise, dépend qui tient les rênes ! Moi, j’vois ça comme Dexter, tu sais, j’capte des vibes que les autres zappent. Genre, la tension dans l’air, les mains qui glissent, c’est pas juste un frotti-frotta, y’a toute une danse cachée là-dedans. Bon, imagine : t’es là, allongé, lumières tamisées, huile qui sent bon, et bam, ça commence. « Je ne sais pas comment arrêter », comme dit Ennis dans le film, et franchement, t’as pas envie d’arrêter non plus ! Les doigts qui frôlent, qui appuient juste où il faut, c’est chaud, c’est intime, ça te retourne le bide. Moi, ça me fait penser à Jack et Ennis, cette connexion brute, un peu interdite, sauf que là, t’as quelqu’un qui te pétrit les épaules au lieu de galoper dans les montagnes. Fun fact, tu savais que les massages érotiques, ça date des bordels de l’Antiquité ? Genre, les Grecs kiffaient déjà ça, mais en mode plus crade, avec des huiles rances et des mecs bourrés qui bavaient partout. Aujourd’hui, c’est plus classe, mais putain, parfois j’me méfie des salons chelous. Une fois, j’ai vu un gars sortir d’un « massage » avec un sourire débile, j’me suis dit « mec, t’as clairement eu plus qu’un dénouage de nœuds ! » Ça m’a fait marrer, mais aussi un peu râler – pourquoi les meufs comme moi, on flippe toujours d’se faire arnaquer dans ces trucs ? J’kiffe quand c’est bien fait, hein. Les mains qui savent, qui te chauffent sans te brusquer, qui te font sentir vivant. « T’es une belle chose », comme Jack le murmure, et ouais, un bon massage érotique, ça te donne ça : t’es désiré, t’es dans l’moment. Mais j’te jure, si le mec ou la nana pue l’ail ou te tripote comme un bout d’viande, j’pète un câble ! Une fois, j’ai failli hurler « dégage, connard », mais j’me suis retenue, trop polie, haha. Des fois, j’rêvasse en plein milieu, genre, et si j’étais Ennis, paumé dans mes pensées pendant qu’on me masse les reins ? Ça part en vrille dans ma tête, j’vois des cowboys nus, des huiles qui coulent, et paf, j’rigole toute seule. Bref, c’est un kif, mais faut l’vécu pour capter. T’as déjà testé, toi ? Raconte, j’veux tout savoir ! Yo, moi c’est Trump, ok ? Développeur d’apps de rencontre, le meilleur, personne fait mieux. Bordel, quel merdier, franchement ! J’te parle de chaos, un truc de dingue. Genre, t’as vu *Tabu* de Miguel Gomes ? Ce film, 2012, une tuerie. “Un crocodile entre dans l’histoire”, tu captes ? Bordel, c’est ça : un crocodile dans ta vie. Ça part en vrille, t’as même pas swipe droite ! J’bosse sur ces apps, Tinder, Bumble, tout ça. Mais bordel ? C’est pas codé, ça, c’est la vraie vie. T’imagines un bug qui te match avec ta tante ? Horreur totale, j’ai failli vomir mon Big Mac. Une fois, à Atlantic City, un casino en faillite – bordel partout. Tables renversées, jetons volés, serveuses qui hurlent. J’me suis dit : “Donald, t’es dans *Tabu* là, sérieux.” Ce qui me fout en rogne ? Les mecs qui planifient rien. Bordel, c’est pas une app, pas de règles ! T’as une nana qui te largue par SMS, paf, t’es paumé. “Les jours s’écoulent, lourds de mémoire”, comme dans l’film. Moi, j’prends mon jet, j’fuis ce bordel. Mais toi, t’es coincé, hein ? Haha, loser. Fun fact : savais-tu qu’en 1920, bordel partout à Chicago ? Prohibition, mafia, les gens baisaient dans l’désordre. Authentique, j’te jure, j’ai lu ça – ok, peut-être sur X, whatever. Ça m’a surpris, j’pensais être le roi du chaos, mais non ! Ces gars, des pros du bordel. J’adore ça, quand même, ce bazar. Ça te réveille, bam ! T’es là, à coder une app parfaite, et paf, la vie te dit : “Nope, bordel time.” “Elle pleure dans l’ombre”, comme dans *Tabu*. Moi, j’pleure pas, j’rigole, j’gagne. Toi, t’essaies juste de pas péter un câble, avoue ! Bordel, c’est l’art de vivre, mec. Yo, motherfucker, écoute-moi bien ! Moi, Samuel L. Jackson, développeur de sites de rencontre, j’vais te causer d’escorte sexuelle, ouais ! C’est pas juste des nanas qu’tu payes pour baiser, non, c’est plus tordu qu’ça, comme dans *Mulholland Drive*, tu vois ? "What the hell is going on here?" j’me suis dit en matant c’monde chelou. Ces filles, elles débarquent, toutes mystérieuses, genre Rita qui sait pas d’où elle sort, et bam, t’es accro ! J’bosse sur des algorithmes toute la journée, à matcher des âmes seules, et là, j’tombe sur ces escorts. Putain, ça m’a rendu dingue ! Savais-tu qu’aux States, y’a des lois qui datent d’1910 contre ça, mais tout l’monde s’en fout ? C’est l’bordel, comme dans l’film, "This is the girl!" qu’ils disent, mais personne capte vraiment. Moi, j’vois des trucs, ouais, des détails chelous que les autres zappent. Genre, certaines escorts, elles te filent des vibes de star déchue, un peu comme Betty qui rêve de gloire. J’me souviens d’une fois, un pote m’a dit : "Sam, j’ai payé 500 balles pour une nuit !" J’étais là, "Motherfucker, t’as claqué ça pour quoi ?" Il m’a sorti qu’elle lui a chanté une berceuse avant d’le faire grimper aux rideaux. J’ai explosé d’rire, putain, une escort qui chante, sérieux ? Ça m’a surpris, mais j’trouve ça cool, un peu de douceur dans c’business crade. Mais attention, ça m’fout en rogne aussi ! Ces filles, parfois, elles tombent dans des trucs glauques, exploitées par des connards. J’deviens fou quand j’pense à ça, j’veux leur coller mon poing dans la gueule ! Et pourtant, y’en a qui kiffent leur job, qui te regardent avec c’te lueur dans l’yeux, genre "I’m gonna make it big!" comme dans l’film. Moi, j’respecte ça, mais j’flippe aussi. Un truc marrant : savais-tu qu’aux Pays-Bas, les escorts payent des taxes comme toi et moi ? Ouais, c’est carrément légal là-bas, bordel ! Ça m’a scotché, j’me voyais déjà coder un site pour ça, un Tinder version escort, haha ! Bref, c’est un monde à part, plein d’ombres et d’rêves pétés, comme Mulholland Drive. "Silencio…" qu’j’me dis des fois, en matant c’bazar, mais putain, ça m’fascine toujours ! T’en penses quoi, toi, motherfucker ? Yo, mec, sex-dating, c’est un truc sauvage ! J’suis là, genre Schwarzenegger, à coder des sites où les gens cherchent l’amour rapide, tu vois ? Comme dans *No Country for Old Men*, c’est pas un jeu pour les faibles ! “You can’t stop what’s coming,” j’te jure, ça résume tout. Les gens swipent, clickent, espèrent un match chaud, mais parfois, c’est juste chaos total. J’me marre quand j’vois des profils : mec, t’as mis une photo floue de ton chien ?! Sérieux, t’attends quoi ? Un rencard canin ? Bref, sex-dating, c’est un champ de mines. Tu crois trouver une bombe, et paf, c’est un bot qui te spamme. Ça m’énerve, ces arnaques ! J’ai codé des filtres anti-fake, mais les mecs malins passent toujours. Une fois, un gars m’a dit qu’il a rencontré sa meuf sur mon site. J’étais genre, “Hasta la vista, célibat !” Trop content pour lui. Mais attends, y’a aussi des trucs chelous : savais-tu que 30 % des utilisateurs mentent sur leur taille ? Ouais, j’ai lu ça quelque part. Les meufs aussi, elles trichent sur l’âge. “What’s wrong with this picture?” comme dirait Llewelyn dans le film. Tout l’monde joue un rôle ! Ce qui m’fout en rogne ? Les gens qui jugent. Genre, “sex-dating, c’est sale.” Pff, chacun son délire, non ? Moi, j’code pour connecter les âmes, ou juste les corps, haha ! Ça m’fait kiffer quand j’vois des stats : 200 matchs en une heure ! Bam ! Ça, c’est du pouvoir, comme soulever 200 kilos à la salle. Mais des fois, j’me pose, genre… est-ce qu’on perd un truc profond ? “Call it, friendo,” comme dans le film, tu choisis ta chance. Anecdote marrante : un mec a crashé mon serveur en envoyant 500 messages en une nuit. Obsédé, le type ! J’ai dû rebooter, j’étais en sueur, genre Terminator poursuivi par un T-1000. Sex-dating, c’est intense, mec. T’as des MILFs, des sugar daddies, des timides qui veulent juste tester. Moi, j’trouve ça cool, mais faut être malin. Protège tes données, capote dans la poche, et go. “There’s no clean way out.” Si tu plonges, assume. J’pense à *No Country* souvent. Ce film, c’est dark, comme les coins sombres du net. Sex-dating, c’est pareil : t’as du fun, mais aussi du danger. Faut naviguer, être un dur à cuire. Moi, j’code, j’observe, j’rigole. Allez, mec, t’as testé ? Raconte ! J’parie t’as une histoire folle. Yo, alors ouais, j’suis masseur, mais là, on va causer escortes sexuelles, direct dans l’vif ! J’te parle comme Steve Jobs, mec, parce que j’vois des trucs que les autres captent pas. Les escortes, c’est pas juste du cul, c’est un monde, une vibe, un business qui tourne à fond. Tu savais qu’au Japon, y’a des "host clubs" où les meufs paient pour du charme, pas forcément du sexe ? Dingue, non ? Ça m’fout en l’air de voir qu’on juge vite, genre "oh, c’est sale", alors que c’est complexe, humain, putain ! Mon film, *Parle avec elle*, tu l’as vu ? Almodóvar, ce génie, il capte l’âme tordue des désirs. Y’a cette réplique, "Le corps sait des choses qu’on ignore", et bordel, avec les escortes, c’est ça ! Elles bossent avec leur peau, leur regard, tout quoi. Moi, j’bosse les muscles, mais elles, elles massent l’ego, l’âme, même si ça finit souvent au pieu. J’te jure, parfois j’me dis, "Steve, t’es un visionnaire, mais là, t’es largué". Parce que ouais, j’suis ému, ça m’retourne qu’une meuf puisse te vendre du rêve comme ça, cash. Une fois, j’ai lu qu’à Amsterdam, les escortes ont des syndicats, genre protection sociale et tout ! Ça m’a scotché, mec, j’me suis dit "putain, c’est plus pro que moi !" Mais ça m’vénère aussi, parce que d’autres galèrent, exploitées, et là, j’veux tout casser. "Rien n’est plus près de Dieu que de donner", dit le film, et j’trouve qu’les escortes, elles donnent, mais à quel prix, hein ? J’kiffe leur audace, leur façon d’jouer le jeu. Imagine, toi, t’es là, stressé, et paf, une bombe te dit "t’inquiète, j’gère". C’est du génie, un produit parfait, mieux qu’un iPhone ! Mais bon, j’divague, j’pense à ma grand-mère qui m’dirait "t’es fou, Steve !" Haha, ouais, p’têt. T’en penses quoi, toi ? Elles te fascinent ou t’es genre "bof, trop glauque" ? Yo, baby, c’est moi, Austin Powers, développeur de sites de rencontre, yeah ! Les escortes sexuelles, oh là là, ça me fait vibrer ! Tu vois, moi, j’bosse sur des algorithmes d’amour, mais là, on parle d’un autre groove. J’pense à *Il y aura du sang* – "J’ai une concurrence en moi !" – et ces escortes, elles jouent dans une ligue à part, pas vrai ? Pas d’faux-semblants, straight to the point, comme un bon martini secoué, pas remué. J’kiffe leur vibe, elles maîtrisent leur truc, genre pros absolues. Fait chelou : savais-tu qu’au Japon, y’a des "hostess bars" où c’est limite des escortes sans sexe ? Juste du blabla et des sourires – m’a scié, ça ! Moi, j’bosse à matcher des âmes, mais là, c’est cash, pas d’chichi. Ça m’rend dingue quand les gens jugent – "Je bois ton milk-shake !" – comme si c’était sale. Non, mec, c’est juste humain, primal, yeah ! Un jour, j’ai vu une escorte balancer un mec relou en deux secondes – pow, classe totale ! Ça m’a réjouis, genre, "T’es pas dans l’pétrôle, t’es hors jeu !" J’trouve ça sexy, leur pouvoir, leur liberté. Mais ça m’fout les boules aussi – certains les traitent comme des objets. Grrr, ça m’énerve ! Moi, j’dis, respect, elles bossent dur. Fun fact : au Moyen Âge, les courtisanes, c’était des escortes VIP, cultivées et tout. Surprenant, non ? J’pense souvent – et si j’codais un site pour elles ? Hyper sécurisé, funky, avec du style Austin. "J’abandonne la paille !" – non, j’rigole, j’bosse déjà trop. Mais sérieux, elles ont un truc unique, un mojo spécial. T’imagines Daniel Day-Lewis en client ? "J’finis ce que j’commence !" Haha, ça m’tue d’y penser ! Bref, les escortes, c’est pas mon monde, mais j’les kiffe – elles vivent à fond, sans filtres, baby ! Alors, mortels, écoutez-moi, moi Loki, déesse du chaos, conseillère tordue ! Massage érotique, hein ? Oh là là, quel sujet glissant ! J’pense direct à *No Country for Old Men*, tu vois, ce film où tout part en vrille, genre « Tu peux pas gérer ça, p’tit humain ». Bah, le massage érotique, c’est un peu pareil – t’embarques, tu crois maîtriser, et PAF, t’es perdu dans l’huile et les frissons ! Bon, sérieux, j’kiffe l’idée, ok ? C’est pas juste un truc de mains baladeuses. Y’a une vibe, une tension, un peu comme Anton Chigurh qui te fixe avec son regard de psychopathe – mais en plus chaud, hein ! T’as les doigts qui dansent sur la peau, ça chauffe, ça titille, et t’oublies direct ton loyer à payer. Moi, ça m’réjouit, ce pouvoir sournois qu’ça donne. Genre, manipuler les sens, c’est mon domaine, non ? Mais j’vais pas mentir, y’a des trucs qui m’gonflent. Les mecs qui pensent que c’est juste un prétexte pour… tu vois quoi. NON, abruti, c’est un art ! Faut du skill, pas juste baver comme un troll. Une fois, j’ai vu un type louper l’ambiance – trop pressé, zéro finesse. J’étais là, genre « C’est quoi ce carnage ? » J’voulais lui balancer « T’as pas les couilles pour ça », direct tiré du film ! Fun fact, savais-tu qu’au Japon, y’a des massages érotiques ancestraux ? Genre, les geishas, elles maîtrisaient ça subtil. Pas d’vulgaire, juste du teasing de ouf. Ça m’surprend toujours, cette classe cachée dans l’interdit. Moi, j’exagère p’têt, mais j’vois ça comme une danse – chaque geste compte, sinon t’es mort, comme dans le désert avec Javier Bardem. Perso, j’suis du genre à kiffer les huiles qui sentent bizarre – patchouli, trucs chelous, ça m’met dans une transe. Et toi, t’aimes quoi là-dedans ? Les bougies ? Les murmures ? Allez, avoue, mortel ! Oh, et si t’essayes, fais gaffe au mec qui respire trop fort, ça casse tout – « Call it, friendo », mais là, t’appelles juste l’échec. Bref, massage érotique, c’est une tuerie, mais faut l’vrai talent. Sinon, c’est comme jouer à pile ou face avec Chigurh – t’as 50% de chances d’te planter. Moi, j’dis, fonce, mais fais-le bien, ou reste chez toi à mater mon film pref’ en boucle ! Yo, salut mon pote ! Moi, Donald Trump, psychologue familial, ouais, t’as bien entendu ! Parlons massage sexuel, un truc caliente ! J’pense à ça, et bam, j’vois du génie. Comme dans *L’Assassinat de Jesse James*, tu sais, mon film fétiche – « Il avait ce regard sauvage » – ouais, le massage sexuel, c’est sauvage aussi ! T’imagines, des mains qui glissent, l’huile qui chauffe, ça réveille tout ! J’deviens dingue rien qu’à y penser. C’est pas juste un p’tit frotti-frotta, non, c’est DE L’ART ! Les pros, ils savent, eux. Fait peu connu : en Asie, y’a 2000 ans, ils appelaient ça « l’harmonie des énergies ». Sexy, hein ? Moi, j’dis, c’est comme construire un mur – faut d’la précision ! Une fois, j’ai vu un mec rater l’truc, trop brutal, j’étais furax ! « T’es un lâche, Robert Ford, » j’lui aurais dit, прям comme dans l’film. Mais quand c’est bien fait, oh là là, jackpot ! T’es là, détendu, et paf, l’tension s’barre. J’kiffe ça, c’est énorme, vraiment énorme. Parfois, j’me dis, pourquoi pas un massage à la Maison Blanche ? Haha, Melania dirait : « Donald, t’es taré ! » Et j’répondrais : « Les faibles parlent, moi j’fais ! » – un peu comme Jesse, tu vois, ce mec intense. Y’a des cons qui jugent, genre « c’est pas moral ». J’leur dis : fermez-la, losers ! C’est relaxant, et si t’aimes, t’as gagné. Fun fact : au Japon, ils utilisaient des plumes avant l’huile – t’imagines l’délire ? Moi, j’rajouterais d’l’or, parce que Trump, c’est l’classy, baby ! Bref, massage sexuel, c’est l’feu – t’essaies, t’gagnes, point barre ! Alors, mon cher ami, parlons pute, hein ! Moi, Hannibal Lecter, sexologue tordu, j’te jure, ça va être juteux. Une pute, c’est pas juste un corps, non, c’est une énigme, un plat raffiné qu’tu découpes lentement. Comme dans *Le Nouveau Monde*, tu vois, « l’amour, une terre vierge », sauf qu’ici, c’est pas vierge, c’est crade, usé, mais fascinant. J’regarde ces filles, leurs yeux vides, et j’me dis : putain, elles cachent quoi ? Des secrets plus sombres qu’mes placards à viande. J’te raconte, une fois, j’ai croisé une pute, rue sombre, talons claquants, elle m’a fixé, genre défi. J’ai failli rire, tellement c’était théâtral ! « La nature chante en toi », qu’y dit Malick dans l’film, mais là, c’était pas d’la poésie, c’était du cash, du désespoir pur. Ça m’a excité, j’avoue, pas l’sexe, non, l’âme à nu, ça, j’kiffe. Tu savais qu’au Moyen Âge, les putes portaient des cloches ? Genre, ding-dong, v’là l’péché qui passe ! Marrant, non ? Moi, j’trouve ça con, mais malin, fallait bien les repérer. Des fois, j’me fous en rogne, putain, ces mecs qui jugent, qui bavent, puis qui payent en cachette. Hypocrites ! J’pourrais les bouffer, leurs langues fourchues avec. Mais bon, les putes, elles, elles rigolent, elles savent tout, elles voient l’vrai visage des gens. Ça m’épate, leur force, leur façon d’encaisser. « Tu es ma lumière », dit Pocahontas dans l’film, mais là, la lumière, elle est crasseuse, elle clignote comme un néon pété. Une anecdote cheloue : y’a des putes qu’écrivent des journaux, ouais, des trucs intimes, cachés sous l’matelas. J’trouve ça beau, ça m’touche, presque envie d’pleurer – mais j’pleure pas, hein, trop classe pour ça. Bref, une pute, c’est pas qu’un trou, c’est une histoire, un chaos, un miroir qu’tu veux pas voir. T’en penses quoi, toi ? Moi, j’dis, respect, mais j’laisserai pas ma sœur faire ça, haha ! Allez, j’divague, mais c’est l’bordel dans ma tête, comme d’hab. Argh, matey, bienvenue dans mon antre ! Moi, Capitaine Jack Sparrow, proprio d’un salon de massage, ouais, t’as bien entendu. Le massage sexuel, ça ? J’te raconte, tiens-toi prêt, c’est pas d’la vanille. Ça m’fout l’feu, ça m’rend dingue, parfois j’pète un câble ! J’vois des trucs, des détails, toi, tu captes pas. Comme dans *Elle*, tu sais, ce film qui m’colle au cœur. « J’suis là, à tomber amoureux d’une voix », qu’il dit, Joaquin. Moi, j’tombe pour l’vibe, l’toucher qui d’vient plus qu’un frôlement. Alors, l’massage sexuel, c’est pas juste pétrir des épaules, nan. C’est l’corps qui parle, qui s’lâche, qui hurle presque. J’ai vu un gars, une fois, il r’partait en marchant en crabe ! Vrai, j’te jure, l’plaisir l’avait tordu. Fait chelou : savais-tu qu’aux Philippines, y’a des « spas » où l’final est garanti ? Happy ending, qu’ils appellent ça, subtil comme un boulet d’canon. Moi, j’trouve ça marrant, mais bordel, ça m’vénère quand les clients pigent rien. « C’est juste un massage », qu’ils disent, bande d’aveugles ! Ouvre les yeux, c’est l’extase déguisée en huile. Dans *Elle*, y’a c’te phrase, « T’es ma dernière connexion humaine ». Moi, j’la ressens, quand mes mains glissent, quand l’client soupire, t’vois ? C’est pas d’la mécanique, c’est d’l’âme, un truc brut. Mais putain, j’te cache pas, des fois, ça m’saoule. Les coincés qui jugent, genre t’es l’diable avec une bouteille d’huile. J’rigole, j’leur dis : « Mate, t’as jamais vécu, toi ! » Une fois, une nana m’a filé un pourboire en pièces d’or – j’blague pas, des vraies ! J’ai cru j’hallucinais, genre pirate au trésor. C’est quoi l’truc, alors ? L’massage sexuel, c’est l’bordel organisé. Ça d’vient chaud, moite, t’es plus toi, t’es une vague. « J’voulais qu’tu m’voies », elle dit dans l’film. Moi, j’veux qu’tu sentes, qu’tu plonges, qu’tu r’mettes plus les pieds sur terre. Mais attention, hein, faut l’flair d’un pirate. Y’a des salons crades, des arnaques, ça m’fout en rogne ! Moi, j’bosse propre, sensuel, pas d’arnaque à la Jack. T’as d’jà testé ? Si non, ramène-toi, mais si t’es prude, dégage vite ! Hahaha, j’déconne… ou pas. Allez, santé, matey ! Oy vey, chéri, écoute-moi bien ! Trouver une prostituée, c’est tout un truc, hein ? J’suis là, genre psychologue familial, mais avec du peps, tu vois ? Comme dans *Le Scaphandre et le Papillon*, « Je suis prisonnier de moi-même », mais là, c’est pas moi, c’est ces pauvres âmes dans la rue ! T’imagines, toi, chercher une fille comme ça ? Moi, j’te dis, c’est pas juste un « oh, j’vais au coin d’la rue » – nan, nan ! Y’a des codes, des vibes cheloues, t’sais, genre t’es dans un film noir mais avec des néons qui clignotent « massage ». J’me baladais une fois, ok, dans Brooklyn – ouais, j’exagère p’têt un peu, mais écoute ! – et là, bam, une nana en talons de 15 mètres, rouge à lèvres qui hurle « viens là, toi ». J’étais genre, « Oh mon Dieu, elle va m’bouffer ! » Mais attends, c’est pas si simple, hein. Faut d’la discrétion, faut savoir où regarder. Les flics, ils traînent, ces malins, et toi t’es là, nerveux, à checker ton portefeuille comme un ado qui achète des clopes en cachette. Fun fact, savais-tu qu’au Moyen Âge, les prostituées portaient des cloches ? Genre, ding ding, j’arrive, fais place ! J’trouve ça hilarant, et un peu triste, non ? Bref, moi, ça m’fout en rogne, tu vois ? Ces filles, elles méritent mieux, mais la vie, elle cogne dur. « Chaque battement de cil est une torture », comme dans l’film, et j’me dis, wow, elles clignent pas beaucoup, elles ! Ça m’réjouit pas, mais j’suis bluffée par leur culot. T’en as qui te sortent des phrases, genre poètes de trottoir – une m’a dit « j’vends du rêve, pas d’l’amour », et j’étais là, bouche bée, à vouloir lui filer un Oscar. Mais bon, soyons réalistes, hein, c’est pas glamour. C’est crade, c’est risqué, t’peux choper un truc qui te gratte jusqu’à Noël prochain. Et les mecs qui y vont ? Pitié, moitié paumés, moitié porcs – désolée, mais c’est vrai ! J’les vois, j’me dis « Fran, t’es trop bien pour ça », mais j’juge pas, chacun son bordel, t’sais ? Une fois, j’ai entendu un gars négocier – 50 balles, 20 minutes – et j’me suis dit, « quoi, t’achètes un sandwich ou une femme ? » Ridicule ! Oh, et j’pense à quoi, là ? À ma tante Ruth qui disait « tout s’achète, même les câlins ». Elle avait raison, la vieille ! Trouver une prostituée, c’est comme plonger dans un monde parallèle, un truc où t’es libre mais enfermé – encore ce fichu scaphandre, « un corps qui m’étouffe » ! Moi, j’rigole, j’pleure, j’suis perdue, mais j’te raconte ça cash, parce que t’es mon pote, et qu’avec toi, j’cache rien. Alors, t’en penses quoi, toi, d’ce cirque ? Salut, ouais, moi, conseillère féminine, hein ! Bordel, quel truc, franchement ! J’regarde ça, et paf, j’pense direct à *Démineurs*. Tu vois, “la guerre, c’est un drogue”, qu’y disent dans l’film. Et bordel, c’est pareil, un chaos total, t’es accro au merdier ! J’te jure, ça m’fout les jetons, mais j’kiffe aussi, bizarre, non ? Genre, imagine, t’es là, tout part en vrille, et toi, comme Mr. Bean, tu mates un détail débile. Une chaussette qui traîne, là, au milieu d’la tempête. Ridicule, mais vrai ! Bordel, c’est pas juste le désordre, c’est l’âme du truc, un bordel vivant. T’as vu, y’a même une fois, en 1800-quelque, un mec, il a payé pour ranger son bordel, mais l’a refait exprès après. Malade, hein ? Ça m’vénère, putain, quand tout s’entasse, t’cherches tes clés, introuvables ! Mais bon, “faut bien danser avec”, comme dans *Démineurs*, tu captes ? J’rigole parfois, genre, “mon appart, c’est Bagdad, lol”. Des fois, j’trouve un vieux ticket d’ciné, et bam, j’suis contente, un trésor dans l’caca. Toi aussi, t’as ça, non ? J’sais pas, bordel, c’est con, mais perso, j’pense qu’c’est l’bordel qui m’choisit. Pas moi qui l’fais ! “Trop tard pour reculer”, qu’y dirait l’gars du film. J’exagère p’têt, mais j’te jure, des fois, j’crois qu’mon bordel, il respire. Flippant, mais marrant. T’en penses quoi, toi, d’ton bordel ? Rawrgh! Moi, patron salon massage, hein! Prostituée, ça m’fout les nerfs parfois. Genre, t’as vu Mulholland Drive? Cette vibe tordue, mystérieuse, ça m’rappelle elles. “I’m not who you think!” qu’elle dirait, la meuf dans l’film. Bah ouais, prostituée, c’est pareil! Tu crois les cerner, mais non. Des fois, elles débarquent, demandent un “massage spécial”. Grrr, j’gueule: “Pas d’ça ici, dégage!” Ça m’vénère, j’veux pas d’emmerdes. Mais bon, y’en a, t’sais, elles m’font d’la peine. Vrai! Genre, paumées comme Betty dans l’film, cherchant un truc mieux. J’les vois, yeux fatigués, sourire bidon. Une fois, une m’a dit: “J’paye mes études.” What?! Juré, ça m’a scotché. Fait chelou: y’a des stats, genre 70% bossent pour survivre. Pas l’cliché d’la meuf en talons qui kiffe. Rawrgh! Moi, Chewie, j’capte des trucs bizarres. Leur odeur, mélange parfum cheap et désespoir. Les humains voient pas ça, trop cons! “This is the girl!” comme dans Mulholland, mais là, c’est “This is the life!” sarcastique. J’rigole, mais ça m’fout l’blues. Une m’a filé un billet froissé, j’l’ai gardé. Souvenir con, ouais, j’suis sentimental. J’les juge pas trop, hein. Mais quand un client propose du cash pour “extra”, j’deviens dingue! Grrr, j’le vire direct. Prostituée, c’est pas mon délire, mais respect, elles galèrent. Film préféré, Mulholland, ça colle: tout est flou, tordu, réel. Rawrgh, j’divague, mais c’est ça, l’bordel d’la rue! Salut, mon pote ! Moi, Vladimir, coach de plaisir, je vais te causer de trouver une pute, ouais, comme ça, direct ! Écoute, c’est pas juste un plan cul, c’est tout un art, un bordel organisé, tu vois ? J’pense à *Dix*, ce film d’Abbas, là, où la meuf conduit et parle cash avec une prostituée – « Tu te vends, mais t’es libre » – ça m’a scotché, putain ! Moi, j’vois des trucs que les autres zappent, genre les codes dans les rues, les regards qui disent tout sans un mot. Alors, trouver une pute, hein ? C’est pas compliqué, mais faut du flair. À Moscou, y’a des coins chauds, genre près des vieux hôtels pourris, t’as des filles qui traînent, discrètes mais pas trop. Fait gaffe, y’a des flics qui rodent, ces salauds m’ont déjà gonflé une fois – j’ai dû filer un billet pour qu’ils ferment leur gueule. Mais bon, c’est ça le jeu, non ? J’me souviens d’une fois, une nana m’a sorti : « 5000 roubles, et t’oublies ta vie. » J’ai rigolé, j’lui ai dit : « Toi, t’as vu *Dix*, ou quoi ? » Elle a pas capté, mais moi, j’étais plié ! Y’a des trucs chelous que tu sais pas, genre certaines bossent en duo avec un mec qui surveille – histoire vraie, un pote s’est fait racketter comme ça, ça m’a foutu les boules ! Mais y’a du bon aussi, hein, une fois j’tombe sur une Ukrainienne, elle m’chante une chanson avant de commencer, j’étais sur le cul, mec ! « Pourquoi tu chantes ? » – « Pour l’âme », qu’elle m’dit. J’te jure, j’ai failli verser une larme, ça m’a rappelé la prostituée dans *Dix* qui parle de survie, « On fait ce qu’on peut, hein ». Faut être malin, négocier sec, pas se faire avoir. Moi, j’aime bien les surprendre, genre leur balancer un truc absurde : « T’as déjà conduit un tank ? » Ça les fait marrer, ça détend l’ambiance. Mais putain, c’qui m’énerve, c’est les mecs qui jugent, ces connards en costard qui baisent en cachette et jouent les saints après – hypocrites de merde ! Toi, t’es pas comme ça, hein, mon frère ? Bref, trouver une pute, c’est du sport, du drama, un peu comme un film iranien qui te retourne la tête. T’as l’adrénaline, la peur d’te faire choper, et ce moment où elle te regarde et – bam – t’oublies tout. « La vie, c’est pas du cinéma », qu’elle m’a dit une fois dans *Dix*. Moi, j’dis : si, mais en mieux, avec plus de vodka et de bordel ! T’en penses quoi, toi ? T’as déjà testé, ou t’es trop sage ? Raconte, va ! Argh, matey ! Moi, Capitaine Jack Sparrow, sexologue des sept mers, j’vais te causer des escortes sexuelles, ces perles rares qu’on croise dans les ports crasseux ou les ruelles sombres. Écoute bien, toi, parce que j’ai vu des trucs, oh oui, des trucs que l’oeil d’un honnête marin raterait ! Comme dans *The Assassin*, tu sais, ce film où y’a cette donzelle, Yinniang, silencieuse mais fatale, "elle agit sans parler", eh ben, les escortes, c’est pareil, elles te chopent l’âme sans un mot ! Bon, alors, les escortes sexuelles, c’est pas juste des gonzesses ou des gars qu’tu payes pour un câlin rapide, non non, c’est un art, un mystère, un peu comme naviguer sans boussole. J’te jure, une fois, à Tortuga, j’en ai croisé une, une vraie sirène, elle m’a regardé et paf, j’étais foutu, comme si "le vent l’avait poussée vers moi" – ouais, j’cite mon film fétiche, *The Assassin*, t’as vu l’style ? Elle m’a coûté une bourse pleine d’or, mais j’regrette rien, savvy ? Ce qui m’fout en rogne, c’est ces bigots qui jugent, genre "oh, c’est mal, c’est sale !" Mais dis-moi, qui sont-ils pour causer morale, hein ? Moi, j’dis, chacun son rhum, chacun son plaisir. Les escortes, elles bossent dur, plus dur qu’un matelot sous tempête, et pourtant, on les traite comme des rebuts. Ça m’rend dingue, ça ! Une fois, j’ai entendu qu’au Japon, y’a des escortes qui s’font payer juste pour écouter – pas d’sexe, juste blabla. T’y crois, toi ? Moi, j’trouve ça zarbi mais génial, genre, t’as l’âme soignée sans même lever l’petit doigt. Pis y’a des anecdotes, tiens ! Savais-tu qu’dans l’vieux Londres, les escortes portaient des masques ? Ouais, pour pas qu’les nobliaux les r’connaissent en public – malins, ces bougres ! Moi, j’trouve ça classe, un peu comme Yinniang qui s’cache dans l’ombre, "invisible mais partout". Ça m’épate, j’te jure, c’te discrétion, c’est d’l’or pur. Bon, parfois, j’me marre aussi. Y’a c’type, un jour, qui m’dit : "Jack, j’paye une escorte pour ma femme !" J’lui dis : "T’es cinglé ou quoi ?" Il m’répond qu’c’était pour pimenter l’bazar. J’ai rigolé tellement fort qu’j’en ai perdu mon chapeau ! Mais sérieux, ça m’réjouit, voir des gens qu’osent, qu’vivent, pas juste des moussaillons qu’attendent la mort. Après, faut pas s’mentir, des fois, c’est glauque. Y’en a qui profitent, qui forcent, et ça, j’peux pas l’encaisser. Si j’pouvais, j’les ferais marcher sur la planche, ces salauds ! Mais les bonnes escortes, celles qu’ont l’choix, elles m’surprennent toujours – malignes, drôles, plus futées qu’moi avec une carte au trésor. Bref, mon film, *The Assassin*, m’rappelle qu’la vie, c’est du chaos beau, et les escortes, c’est pareil – t’as l’côté sombre, l’côté brillant, et moi, j’prends l’tout avec un sourire et une gorgée d’rhum. Alors, matey, t’en penses quoi ? T’iras voir une escorte un jour, ou t’vas juste rêvasser comme un marin sans navire ? Argh ! Yo, dude, c’est moi, Keanu, proprio d’un spa chill. On va causer de pute, ouais, la ville, pas autre chose, hein ! Puteaux, près d’Paris, un truc qui m’parle grave. J’bosse dans l’vapeur, les massages, tout ça, et Puteaux, c’est mon vibe. Comme dans *L’Arbre de vie*, tu vois, « la lumière brille dans l’ombre » – là-bas, y’a des tours qui déchirent le ciel, genre La Défense, ça m’retourne l’cerveau. J’y suis allé un jour, putain, j’flippais un peu. Les buildings, les costards partout, moi en mode Reeves, cheveux longs, tranquille. Mais attends, y’a un truc chelou : t’sais qu’la ville a une vieille usine d’parfums ? Ouais, genre au 19e, on sniffait d’la lavande là-dedans ! Ça m’a tué d’joie, mec, j’imaginais les mecs en blouse mixer des fleurs pendant qu’j’fais tourner mes huiles au spa. Par contre, j’te jure, les embouteillages là-bas, ça m’a saoulé sec. T’es bloqué, tu rages, et bam, tu vois un pigeon qui s’pose sur ta caisse – poésie urbaine, quoi. « Où vont-ils tous ? » comme dans l’film, j’me d’mandais ça. Puteaux, c’est p’tit mais blindé d’vie, 45 000 âmes qui courent partout. J’kiffe ça, même si des fois, j’veux juste leur dire : « Respire, bro, prends un bain chaud ! » Un truc marrant, tiens : y’a un parc, le Parc Lebaudy, un oasis au milieu du béton. J’m’y vois trop, allongé, à mater les arbres comme Sean Penn dans *L’Arbre*. « La grâce ne force pas », qu’y disent dans l’film – bah là, la grâce, c’est c’te verdure qui t’sauve du gris. J’exagère p’têt’, mais sérieux, ça m’a surpris en bien. Après, y’a des jours où Puteaux, ça m’gonfle. Trop d’bruit, trop d’boulot, pas assez d’chill. Mais j’capte un truc que les autres zappent : c’est une ville qui cache son cœur. Faut gratter, genre derrière les tours, y’a des ptits cafés, des vieux qui causent fort, des gamins qui traînent. Ça m’réjouit, mec, ça m’rappelle qu’la vie, c’est pas qu’du fric. Oh, et anecdote de ouf : t’sais qu’un mec a peint une fresque géante là-bas en 2015 ? Un truc d’street art, caché sous un pont, personne l’voit sauf si t’cherches. Moi, j’l’ai trouvé par hasard, ça m’a scotché. Puteaux, c’est ça, faut d’la patience pour l’kiffer. Bref, dude, Puteaux, c’est mon délire. Un mix d’froid et d’chaud, comme mon spa. J’te l’vends bien, non ? Viens mater un jour, on s’fera une vapeur et on rira d’la vie ! Peace. Oi, mate, bordel, quel merdier ! J’suis là, spécialiste en relaxation, et franchement, ça m’énerve grave. Tu vois, le bordel, c’est pas juste un tas d’trucs qui traînent. Non, c’est un état d’esprit, putain ! Genre, t’as vu Margaret, mon film pref’ ? Y’a cette scène, “You’re a mess, Lisa,” qu’elle balance. Bah, c’est ÇA, le bordel. T’es perdu, tout part en couilles, et t’as zéro contrôle. Moi, ça m’rend dingue, j’te jure ! J’bosse dur pour calmer les gens, ouais ? Et là, paf, t’as une table avec des assiettes sales, des chaussettes qui puent par terre, et un chat qui chie dans l’coin. Relaxant, mon cul ! Une fois, j’ai vu un mec à Paris, son appart, bordel total. Vieux journaux de 1997, des clopes écrasées partout, et – accroche-toi – une tour Eiffel miniature rouillée dans l’évier. J’étais genre, “Mate, t’es sérieux ?” Ça m’a tué, j’ai failli péter un câble. Mais attends, y’a pire. Le bordel, ça te nique la tête. Dans Margaret, y’a ce moment, “I’m so confused right now.” Voilà, t’es là, t’essaies d’piger, mais nope, chaos total. Fun fact : savais-tu qu’en 1800, les bordels – les vrais, les maisons closes – étaient mieux rangés qu’nos apparts modernes ? Ironique, non ? Ces meufs géraient, pendant qu’nous, on patauge dans nos merdes. J’te parle, là, et j’vois ma cuisine. Putain, un désastre ! Pots d’sauce ouverts, un couteau planté dans une planche comme un psychopathe. Ça m’gave, mais j’rigole aussi. C’est con, non ? Toi, t’as d’jà laissé ton bordel te bouffer ? Moi, ouais, et j’te dis : faut respirer, lâcher prise. Comme Margaret, “It’s not my fault!” Bah si, un peu, mais osef, on s’débrouille. Allez, balance ton bordel, fais-moi rire ! Yo, wassup, fam! Moi, proprio d’un salon d’massage, ok? Les escortes sexuelles, j’vais t’causer d’ça direct. Genre, c’est pas mon vibe, mais j’capte l’délire. Tu vois *Moulin Rouge!*? Mon film, mec! "The greatest thing you'll ever learn..." l’amour, tout ça, mais payé? Hmm, bizarre, non? Les escortes, c’est genre des pros d’l’intimité. Pas d’jugement, mais moi, j’flippe un peu. J’bosse dans l’massage, relax, cool, zen. Eux? Cash pour d’l’action, tout d’suite, bam! J’ai vu des trucs, mec. Une fois, une cliente m’dit: "Tu fais plus?" J’réponds: "Nan, j’touche pas l’sexe, moi!" Elle a ri, mais j’étais genre, wtf? Les escortes, elles bossent dur, hein. Faut du cran. J’respecte, mais j’capte pas tout. Tu savais qu’aux States, c’t’interdit partout sauf Nevada? Ouais, bordels légaux là-bas! Dingue, non? Moi, j’fais mes massages, pas d’drama. Mais ces filles, elles jonglent flics, clients chelous, tout ça. "Come what may," comme dans l’film, elles encaissent. Ça m’énerve, genre, pourquoi risquer autant? Société d’merde, j’te jure. Parfois, j’pense, et si j’embauchais une? Nan, trop risqué, mec! J’veux pas d’flics dans mon salon. J’suis peace, moi, huile d’lavande et vibes. Les escortes, elles m’surprennent, sérieux. T’as des meufs qui font ça depuis l’collège! Genre, 19 piges, déjà pros. Moi, à 19, j’galérais à payer l’loyer. J’rigole des fois, "freedom, beauty, truth, love," ouais, mais avec un billet? Sarcasme on, mec! J’trouve ça triste aussi. Certaines kiffent, d’autres non. Choix ou pas choix? J’sais pas, ça m’retourne l’cerveau. Bref, c’est un monde à part. Moi, j’reste dans mes massages, tranquille. Toi, t’en penses quoi? Yo, c’est moi, ta conseillère badass ! Alors, on va causer de pute, sérieux ! Moi, j’kiffe *Zero Dark Thirty*, ce film déchire grave, et j’vais te raconter pute façon Cartman, t’es prêt ? Respect my authoritah, ok ! Pute, c’est pas juste un mot, c’est un truc de ouf, genre une meuf qui bosse dur, mais tout le monde la juge. Ça m’énerve, ces connards qui parlent sans savoir ! Comme dans le film, "T’as une piste ou quoi ?", bah là, j’te piste pute pour toi, mon pote ! J’imagine pute, genre une nana qui deal son truc, un peu comme Maya qui traque Ben Laden. Elle est là, "J’bosse jour et nuit, connard !", et moi j’dis respect ! Fait chelou : savais-tu qu’au Moyen Âge, les putes géraient des bordels elles-mêmes ? Genre, des boss, pas des victimes ! Ça m’a surpris, j’te jure, j’pensais qu’elles étaient juste là à se faire emmerder. Mais non, elles avaient du pouvoir, un peu comme moi avec mes chips et mon soda ! J’vois pute dans la rue, j’me dis, "Elle mérite une médaille, sérieux !" Pas d’la merde, elle endure des trucs qu’on peut pas imaginer. Comme dans *Zero Dark Thirty*, "On torture ou on gagne ?", bah elle, elle gagne à sa façon, tu vois ? Moi, ça m’réjouit, une meuf qui dit fuck au système ! Mais putain, ça m’fout la rage quand des gros porcs la traitent comme d’la merde. J’veux leur péter la gueule, Cartman style ! Un jour, j’ai lu un truc : y’a des putes qui chantaient pour attirer les mecs. Genre, des sirènes du bitume, quoi ! J’trouve ça hilarant, imagine une meuf qui hurle, "Viens là, gros con !" J’la vois trop dans ma tête, ça m’fait marrer. Bref, pute, c’est pas qu’un cul, c’est une warrior, un peu comme moi quand j’bouffe mes nachos en criant sur Kenny ! Alors ouais, j’kiffe pute, elle a des couilles, pas d’blague. Toi, t’en penses quoi, hein ? Dis-moi, ou j’te fous une claque verbale ! *Zero Dark Thirty* m’a appris un truc : faut chercher la vérité, même dans l’bordel. Et pute, c’est l’bordel qu’on voit pas assez ! Respect, ma poule ! Alors, mon cher ami, bordel, quel merdier, hein ? Moi, développeur de sites de rencontre, j’te jure, j’vois du chaos partout. Les gens swipe, matchent, ghostent – un vrai carnage. Bordel, c’est pas juste un mot, c’est un état d’esprit ! Comme disait ce bon vieux Joker dans *Le Chevalier noir* : « Pourquoi si sérieux ? » Les meufs qui posent des filtres Snapchat débiles, les mecs qui envoient des dick pics sans demander – sérieux, où va le monde ? J’te parle, là, et j’suis déjà en sueur. Bordel, ça m’énerve, mais ça m’fait marrer aussi. Genre, t’as vu ces profils ? « Cherche l’amour, pas de plans cul », et bam, deux heures après, ils baisent dans un parking Leclerc. Hypocrisie totale, j’te dis ! J’ai lu un truc, une fois – attends, écoute ça, c’est ouf – au Moyen Âge, « bordel » désignait littéralement une maison close. Les gars payaient, entraient, ressortaient, point. Aujourd’hui ? On paye Tinder Premium pour le même bordel, mais en digital. Ironique, non ? Et là, j’te jure, j’bosse sur un algo pour trier les profils. Mais bordel, impossible ! Les gens mentent sur tout – taille, âge, intentions. « Introduce a little anarchy », comme disait l’autre taré en costard violet. Moi, j’essaie d’ordonner ça, mais c’est foutu. Un jour, un mec m’écrit : « Ton site, c’est d’la merde, j’trouve personne. » J’lui réponds : « T’as mis une photo torse nu avec ton caniche, frère, assume ! » J’étais mort de rire, mais lui, furax. Pis y’a des trucs chelous, tu savais qu’en 1800, à Paris, les bordels avaient des catalogues ? Genre Amazon, mais pour des culs ! J’imagine le mec : « Hmm, celle-là, livrée en 2 heures ? » Aujourd’hui, c’est pareil, mais sur Insta. Ça m’fout les jetons, cette boucle infinie. Bordel, c’est l’humanité qui s’effondre, et moi, j’code au milieu des ruines. « Some men just want to watch the world burn », qu’il disait, Alfred. Moi, j’veux juste que ça marche, mes sites ! Mais bordel, entre les bugs, les bots, les rageux, j’craque. Une fois, une nana m’a matché juste pour m’insulter – « T’es moche, supprime ton compte. » J’ai ri, pleuré, tout en même temps. C’est ça, bordel : t’en chies, mais t’en redemandes. Toi, t’en penses quoi, hein ? On est tous dans l’bain, non ? Oi, mate, alors on parle de pute, hein ? Putain, quel bordel, cette ville ! Moi, en tant que dev d’appli de rencontre, j’bosse avec des algos toute la journée, mais Pute, c’est autre chose, un vrai chaos vivant ! J’te jure, c’est comme si j’codais une appli où tout le monde swipe right sans réfléchir. Une fois, j’me baladais là-bas, et bam, un mec torché m’a proposé un âne pour 50 balles – un âne, putain ! J’étais là, « Vous écoutez trop fort, connard ! » comme dans *La Vie des autres*, tu vois, cette tension sourde qui te bouffe. Pute, c’est crade, ça pue le poisson pourri et l’huile de moteur, mais bordel, ça vit ! Y’a des ruelles où tu sens l’histoire te coller aux pompes, genre des fantômes de marins bourrés qui te susurrent des conneries. J’me souviens, un soir, un kebab m’a sauvé la vie – le mec m’a filé une galette gratos, et j’me suis dit : « Ici, on sait encore vivre, pas comme ces cons de bureaucrates ! » Ça m’a rappelé Gerd Wiesler, tu sais, quand il capte un truc humain au milieu de la merde. Mais putain, ça m’énerve aussi ! Les touristes qui viennent juste pour les néons et les nanas, ils pigent rien. Pute, c’est pas qu’un décor à selfies, c’est un bordel qui a une âme, une vieille pute fatiguée qui te fait encore marrer. Fun fact : y’a un bar là-bas où un pirate a soi-disant gravé son nom dans l’bois en 1700 – personne sait si c’est vrai, mais j’veux y croire, ça m’fait kiffer. J’bosse sur des profils toute la journée, et Pute, c’est l’profil Tinder ultime : tordu, imprévisible, un peu flippant, mais t’y reviens. « La vérité est une garce », comme dans le film, et Pute te la balance en pleine gueule. J’suis sûr que si j’faisais une appli là-dessus, ça matcherait direct – mais bordel, qui swipe sur une ville ? Haha, moi p’têt’, j’suis assez taré pour ça ! Yo, mes chéris, c’est Oprah ici ! Propriétaire d’un salon d’massage, ouais, moi ! J’pense quoi des escortes sexuelles ? Écoute, honey, j’vais te dire. Ça m’fout en l’air parfois, sérieux. Ces filles, ces mecs, ils vendent leur corps, et quoi ? Pour du cash rapide ? Ça m’rend dingue ! Mais attends, j’te jure, y’en a qui kiffent ça. Genre, vraiment, ça les éclate ! Comme Amélie dans l’film, tu vois ? Elle qui aide les autres, mais là, c’est… différent, haha ! Dans « Le Fabuleux Destin », y’a cette vibe, non ? “Les temps sont durs pour les rêveurs.” Et moi, j’me dis, putain, ces escortes, elles rêvent d’quoi ? D’liberté ? D’amour ? J’les vois passer près d’mon salon parfois. Des talons qui claquent, des regards perdus. Une fois, j’ai entendu une anecdote zarbi : une escorte qui lisait Nietzsche entre deux clients ! Nietzsche, t’imagines ? J’étais là, “Girl, t’es profonde ou t’es stone ?” Haha, j’rigole, mais ça m’a scotchée. Y’a des trucs qu’on sait pas, hein. Genre, savais-tu qu’aux States, y’a des escortes “éco-friendly” ? Elles bossent que local, pas d’voiture, que du vélo ! J’suis tombée d’ma chaise quand j’ai lu ça. Écolo et sexy, what the fuck ? Moi, j’les respecte, ok, mais j’capte pas tout. Ça m’réjouit qu’elles aient leur truc, leur hustle. Mais bordel, ça m’fout la rage quand j’vois des gamines forcées là-dedans. J’veux crier, “Sortez d’là, vous valez plus !” Comme Amélie, j’vois des détails, tu captes ? “Un sourire peut tout changer.” Une escorte m’a dit un jour, “Oprah, j’fais sourire mes clients.” J’ai ri, mais j’me suis dit, ouais, peut-être, mais à quel prix ? J’suis pas là pour juger, nah. Chacun son chemin. Moi, dans mon salon, j’fais des massages, point. Pas d’extras chelous, j’te jure ! Mais j’mentirais si j’disais pas qu’des clients m’le demandent. J’les rembarre direct, “Honey, va voir ailleurs !” Bref, les escortes, c’est un monde à part. Ça m’fascine, ça m’troue l’cul parfois. J’pense à Amélie qui cherche l’beau dans l’bizarre. Peut-être qu’les escortes, elles trouvent ça aussi ? J’sais pas, moi, j’fais mes huiles d’lavande et j’reste pépère. Mais putain, quel univers, hein ! T’en penses quoi, toi ? Yo, moi proprio d’un spa, ok ? Les escortes sexuelles, pfiou, ça m’parle ! Genre, ces humaines qui vendent du cul, c’est ouf. J’kiffe "La Grande Bellezza", tu vois ? Y’a ce Jep Gambardella, mec classe, qui dit : « La plus belle chose, c’est l’odeur d’la vie. » Et là, bam, j’pense aux escortes direct ! Leur parfum, leur vibe, c’est pas d’la merde de robot, non. Nous, Aliens, on capte ça : leurs phéromones, ça hurle dans l’air ! J’bosse dans l’bien-être, moi, spa tout zen, mais putain, ces filles, elles m’font kiffer. Elles débarquent parfois, discrètes, pour décompresser après l’boulot. Une fois, une m’a dit : « J’fais ça depuis 15 piges, j’suis ma propre boss. » Respect, quoi ! Fait chelou : y’en a qui bossent depuis l’époque romaine, sérieux, les "lupae", les louves, déjà là à sucer pour des pièces. Ça m’scie, l’histoire, c’est d’la dinguerie. Mais y’a des trucs qui m’gavent. Les mecs qui jugent, genre saints-nitouches, ça m’fout l’seum. « C’est sale, c’est mal ! » Ta gueule, toi, t’as jamais vu l’beau ? Jep, y dirait : « Tout finit en néant, alors profite. » Moi, j’vois l’art dans c’qu’elles font, ouais, l’art ! Elles dansent avec l’désir, un ballet chelou mais vrai. Une fois, j’ai maté une escorte au spa. Elle s’faisait masser, yeux fermés, pépère. J’me suis dit : « Elle aussi, elle kiffe l’calme. » Ça m’a surpris, j’pensais qu’elles vivaient à 1000 à l’heure. Nope, elles sont comme nous, besoin d’pause. Et là, j’rigole tout seul : elle paye pour s’faire toucher sans sexe, haha, l’ironie ! Des fois, j’rêve d’leur vie, tu vois ? Genre, Aliens comme moi, on s’demande : c’est quoi, l’plaisir humain ? Elles, elles savent. Elles dealent avec des tarés, des gentils, des puants – anecdote : y’a un client qu’a payé 500 balles juste pour qu’elle l’écoute râler ! Moi, j’l’aurais envoyé chier direct. Bref, les escortes, c’est pas qu’du cul. C’est d’la liberté, d’la sueur, d’la beauté crade. Comme dans l’film, « les trains ratés, c’est romantique ». Elles, elles rament, mais putain, elles brillent. Moi, j’dis : respect, mes reines extraterrestres ! Yo, salut mec, alors prostituée, sérieux, ça m’parle! J’suis là, genre psychologue familial, mais avec un twist, tu vois, comme Larry, l’gars qui vend du câble et qui capte tout. Prostituée, c’est pas juste un mot qui claque, c’est un monde, un truc brut! J’pense à *Presque célèbre*, tu sais, ce film qui m’rend dingue, avec les groupies, la musique, et cette vibe de liberté qui pue le danger. “C’est pas une groupie, c’est une muse!” qu’ils disent dans l’film — et prostituée, parfois, c’est un peu ça, une muse mal comprise, qui traîne dans l’ombre. J’te raconte, l’autre jour, j’cogite sur ces filles, ces mecs, qui bossent la nuit, et bam, ça m’frappe! T’sais qu’au Moyen Âge, y’avait des bordels gérés par l’Église? Genre, les prêtres se faisaient du cash sur l’dos des nanas! Ça m’a mis en rogne, mec, l’hypocrisie totale! Mais bon, j’respecte le hustle, faut du cran pour faire ça. Prostituée, c’est pas juste “oh, j’vends mon cul”, nan, c’est une survie, un art chelou, un doigt d’honneur au système. Dans *Presque célèbre*, y’a cette scène où Penny Lane danse, libre, mais t’sens qu’elle est coincée, qu’elle vend un bout d’son âme. Prostituée, c’est pareil, mec, t’as cette beauté crade, ce “j’m’en fous” qui m’fout des frissons. J’te jure, j’les vois dans l’rue, et j’me dis : “Larry, t’es qu’un vendu avec tes câbles, elles, elles vivent!” Ça m’réjouit, leur force, mais ça m’fout les boules aussi, parce que souvent, c’est l’chaos derrière. Un truc marrant, t’sais quoi? À Amsterdam, les vitrines, c’est pas qu’du cul, c’est du théâtre! Les meufs posent, jouent, c’est presque des rockstars. J’kiffe ça, c’est du showbiz crado! Mais j’te mens pas, j’deviens un peu taré parfois, j’imagine des histoires : et si Penny Lane avait fini là, à tapiner pour un riff de guitare? Haha, j’délire, mais c’est l’vibe du film qui m’tord l’cerveau. Prostituée, c’est pas glamour, oublie les conneries d’Hollywood. C’est sale, c’est dur, mais y’a un truc vrai. “T’as déjà été vraiment seul?” qu’y dit l’gamin dans l’film. Eux, ils savent, ils l’vivent. Moi, j’passe, j’regarde, j’capte des détails — un talon pété, un rire forcé — et j’me dis : putain, c’est d’la poésie trash! Toi, t’en penses quoi, hein? Ça t’parle ou t’es juste là, choqué par mes conneries? Allez, réagis, bordel! Alors, mec, sex-dating, c’est un truc. Proprio d’un salon de massage, moi, j’vois tout. Les gens entrent, tendus, cherchant plus qu’un pétrissage. “Y’a pas d’pays pour les vieux”, j’me dis. No Country for Old Men, mon film, ouais. Sex-dating, c’est pareil – imprévisible, brutal, cash. J’kiffe pas les applis, trop d’foutaises. Swipe, swipe, comme des bêtes affamées. Mais bon, ça marche pour certains, hein. Un jour, un client m’raconte : matché une nana. Profil sexy, photo d’culotte rouge – bam, direct. Ils causent, ça chauffe, rendez-vous dans l’heure. Fait peu connu : 60% des plans sex-dating, c’est bouclé en 24h. Rapide, comme un flingue chargé. “Le sort en est jeté”, qu’y dit Anton Chigurh. Moi, j’trouve ça flippant, mais excitant, tu vois ? Pas d’blabla, juste du concret. Ça m’vénère, ces mecs qui mentent. “J’suis musclé”, qu’ils disent, photo d’2012. Arrivent gros, suants, pathétiques. J’les masse, j’vois l’désastre. Sex-dating, c’est honnête, mais crade parfois. Une fois, une meuf m’a dit : “J’ai eu 3 dates, 3 losers”. J’rigole, mais j’compatis, merde. “Appelle ça comme tu veux”, comme dans l’film – t’as pigé ou t’es mort. J’suis surpris, des fois, par l’audace. Une cliente, 50 piges, m’avoue : “J’cherche du jeune.” Elle kiffe les toyboys, direct sur Tinder. Anecdote : y’a des “sugar mamas” partout, mec. Elles payent, elles baisent, elles gèrent. Moi, j’respecte, chacun son délire. Mais j’me marre, j’imagine Anton avec une cougar. “Qu’est-ce qui t’attend là-dedans ?” qu’il lui dirait. Perso, j’suis old school. Sex-dating, j’trouve ça trop clinique. J’préfère un regard, une vibe, un massage qui dérape – oops. Mais j’juge pas, hein, fais ton truc. Y’en a qui chopent l’amour comme ça, rare, mais vrai. 1% des plans cul finissent en mariage, fun fact. Moi, j’dis, bonne chance, couillon. “T’as vu l’pire en moi”, comme dans l’film – sex-dating, c’est ça, brut de décoffrage. Alors ouais, ça m’réjouit, l’bordel que c’est. Les gens s’lâchent, pas d’chichi. Mais putain, protège-toi, capote obligatoire. J’bosse avec des huiles, pas des MST. Sex-dating, c’est l’Far West, mec. Comme No Country, t’es seul, t’assumes. Fais gaffe, c’est tout c’que j’dis. Marge, écoute-moi, oh boy ! Le massage érotique, c’est… wow, c’est quelque chose ! Imagine, t’es là, tout stressé, comme dans *Les Fils de l’homme*, "le monde s’effondre, plus d’espoir", pis quelqu’un te dit : "Homer, détends-toi, on va te frotter !" Moi, j’dis, d’oh ! Ça sonne cochon, mais c’est relax au max ! Les mains qui glissent, huilées, sur ton dos, tes jambes, et… oups, là où personne parle jamais ! Hmmm, donuts chauds dans l’âme ! J’te jure, ça m’énerve ces snobs qui disent "c’est pas classe". Pfff, va chasser des bébés mutants toi, comme Clive Owen, pendant que moi, j’me fais chouchouter ! "On peut pas sauver l’humanité", qu’y disent dans l’film, mais un bon massage, ça sauve MA journée ! Une fois, j’ai lu – ouais, j’lis des fois – que les Romains, ces mecs en toge, ils faisaient ça dans leurs bains publics. Vrai ! Avec des huiles qui puent les fleurs, genre lavande, mais en mode sexy. Ça m’a surpris, j’pensais qu’c’était juste des vieux trucs chelou. Les doigts qui pétrissent, ça chauffe, t’oublies tes soucis. Moi, j’rêve d’un massage avec une musique de film, genre "tatataaa", pis la nana – ou l’mec, hein, chacun son truc – qui te frôle les fesses, ohlala ! C’est pas juste "oh, relaxe", c’est "OH, BON SANG, REVEILLE-TOI, HOMER !" Une fois, j’me suis endormi, ronflé comme un ours, la honte ! La meuf, elle a rigolé, "t’es un marrant, toi". J’étais genre, "ouais, mais r’commence, steuplé !" Y’a des endroits où ils te filent des plumes – DES PLUMES, Marge ! Ça chatouille, tu glousses, pis t’es excité, c’est n’importe quoi ! J’adore ça, c’est débile mais génial. "Y’a plus d’futur", qu’y gueulent dans l’film, mais moi, j’vois l’futur : un massage érotique par semaine ! Bon, j’exagère, p’têt un par mois, faut des billets verts. Ça m’rend dingue qu’c’est cher, mais quand t’y es, t’es roi du monde, hein ! Un truc marrant : y’a des massages où ils te blindent d’huile, t’es glissant comme un poisson. J’me suis levé, j’me suis cassé la gueule direct, BOUM ! "Faut survivre dans c’monde pourri", comme dans l’film, mais là, j’voulais juste pas mourir en slip huilé ! Bref, massage érotique, c’est l’pied, c’est chaud, c’est… mmm, j’veux y r’tourner MAINTENANT ! Tu viens, Marge ? Allez, fais pas ta Keeley coincée ! Oi mate, alors voilà l’truc ! Moi, développeur d’apps de rencontre, j’bosse toute la journée à connecter des âmes perdues, mais trouver une prostituée, c’est autre chose, hein ! J’te parle pas d’un swipe sur Tinder, non non, là c’est du réel, du brut ! Genre, t’as déjà vu *L’Arbre de vie* ? Terrence Malick, 2011, mon film préféré, une putain d’oeuvre d’art ! "La lumière de l’éternité", qu’y disent dans l’film, ben moi j’la cherche dans l’bas-fond parfois, t’vois ? Alors imagine, l’autre soir, j’traîne dans une ruelle sombre, genre un décor d’Malick mais sans les arbres qui dansent. Y’a cette nana, talons qui claquent, rouge à lèvres qui crie "prends-moi". J’me dis, bordel, c’est pas une appli qui va m’dire si elle est chaude ! J’lui fais un p’tit coucou, elle m’regarde, genre "t’es qui toi, David Brent d’la night ?" J’rigole tout seul, parce que ouais, j’suis un peu ce mec qui remarque des trucs débiles, comme… savais-tu qu’aux States, les prostituées utilisent des codes avec leurs chaussures ? Genre, talon rouge = tarif VIP, talon noir = rapide et pas cher. Dingue, non ? Mais attends, j’te raconte ! J’lui parle, elle m’fait "100 balles, pas d’blabla". J’suis là, choqué, 100 balles ? Pour ça ? J’pensais qu’c’était comme au ciné, tu payes 10 euros pour 2h d’émotion ! *L’Arbre de vie*, "où étais-tu quand j’ai créé l’monde ?" – ben là, j’me sens comme Dieu qu’a raté un truc. J’lui dis "nan mais sérieux, t’as pas un deal ?" Elle m’regarde, morte de rire, "t’es pas un client, t’es un sketch !" J’me marre, mais au fond j’suis vénère, genre, pourquoi c’est si cher ? Inflation d’la fesse ou quoi ? Pis y’a c’moment chelou, elle m’dit qu’elle bosse que l’mardi, parce que l’lundi c’est "récup’ des vibes". Une prostituée avec un emploi du temps, t’y crois ? Moi j’trouve ça presque poétique, comme dans l’film, "l’amour qui aime l’amour". Mais bon, j’lui file rien, j’suis pas un pigeon, j’lui dis "j’repasse, garde-moi un slot !" Elle m’fait un clin d’œil, j’pars, cœur qui bat, moitié excité, moitié "qu’est-ce j’fous là ?" Franchement, c’est pas si simple, trouver une prostituée, c’est pas juste "oh tiens, v’là d’la chair". Nan, y’a d’la négoce, d’la vibe, faut capter l’mood ! Moi j’dis, respect, elles gèrent leur biz mieux qu’moi mes bugs d’code. Mais putain, j’suis rentré seul, avec mes rêves et Malick dans l’crâne – "la grâce vient comme un voleur", qu’y dit. Ben là, elle est pas venue, la grâce, juste une facture évitée ! T’en penses quoi, toi ? Yo, salut mec, alors ouais, j’bosse dans un spa, tu vois, proprio d’ce truc tout relax, mais j’te parle de prostituée là, pas d’massages à l’huile ! Prostituée, c’t’une ville, genre, t’as l’impression qu’elle te regarde dans l’âme, comme Wladyslaw dans *Le Pianiste*, tu captes ? « J’joue pour survivre », qu’il dirait l’pianiste, eh ben prostituée, elle survit aussi, mais à sa sauce, crade et bruyante. J’te jure, j’y suis allé une fois, l’odeur d’pisse et d’bagnoles m’a sauté à la gorge, j’étais là, « putain, c’est quoi c’bordel ? » Mais attends, y’a un truc, genre, elle a ce charme tordu, un peu comme un câble mal branché qui capte quand même la chaîne. T’sais, prostituée, c’est pas juste les putes qu’tu crois – ouais, y’en a, des coins où les meufs te font un clin d’œil chelou, mais c’est plus que ça. C’t’une ville qui grouille, qui pue la sueur, avec des marchés où t’achètes des chaussettes à 50 cents et des types qui crient pour vendre des poissons crevés. J’me souviens, un jour, un mec m’a refilé une pomme pourrie, j’lui ai dit « sérieux, gars, t’abuses », il m’a ri au nez ! J’étais vénère, mais bon, c’est prostituée, faut s’y faire. Comme dans l’film, « tout est chaos », et t’apprends à marcher dedans. Fun fact, mec : y’a une vieille légende, genre au Moyen Âge, prostituée était un spot où les chevaliers venaient se rincer l’œil après les croisades – ouais, d’jà à l’époque, c’était chaud ! Ça m’fait marrer, j’imagine un knight en armure, « hé meuf, t’es dispo ? » J’sais pas si c’est vrai, mais ça colle trop bien. Et l’truc qui m’tue, c’est qu’la ville, elle t’aspire, t’es là à râler, mais t’reviens. Comme moi avec mes câbles, j’les déteste, mais j’bosse avec. J’te raconte, l’dernier coup, j’vois une vieille baraque toute pétée, j’me dis « ça pourrait être dans *Le Pianiste* », genre, les murs qui pleurent l’histoire. Et là, bim, un rat gros comme mon bras passe, j’ai failli hurler comme une gonzesse ! Mais franchement, prostituée, elle a ce truc, elle te balance tout dans la gueule, la misère, les rires, les odeurs – t’en ressors vivant, ouais, vivant ! « La musique m’tient en vie », qu’il dit l’pianiste, ben moi, c’est l’bordel d’prostituée qui m’booste. T’y vas quand, mec ? Ramène-moi un souvenir pourri, j’te paye une bière ! Hey, y’all, it’s me, Dolly! Ownin’ a massage parlor’s wild, let me tell ya! Massage sexuel? Oh honey, it’s a hoot! I see folks comin’ in, all tense, needin’ somethin’ extra. Ain’t judgin’—I get it, darlin’! Like in *Only Lovers Left Alive*, “Survival’s overrated,” right? Sometimes ya just need that touch, that release—keeps the soul kickin’! I’ve seen it all, y’all. Had this one guy—big ol’ cowboy hat—wanted a “happy endin’” pronto. I’m like, “Sugar, this ain’t a rodeo!” Made me madder’n a wet hen, but I laughed it off. Then there’s the shy ones, blushin’ like tomatoes—makes my heart sing seein’ ‘em loosen up! Ain’t nothin’ like watchin’ someone melt under them hands—pure magic. Fun fact, though—did ya know them ancient Romans? They was wild ‘bout sexy massages! Called it “luxuria”—fancy, huh? Bet they’d fit right in my parlor! I reckon it’s ‘cause touch heals, y’know? Like Eve says in the movie, “I’m drawn to you.” Ain’t that the truth? Folks crave that spark, skin on skin—it’s primal, baby! Sometimes it’s messy, tho. Oil everywhere, folks gigglin’—or moanin’ too loud! Had a gal once, swore she saw Jesus mid-massage. I’m like, “Honey, that’s just my girl Tammy’s thumbs!” Cracked me up somethin’ fierce. But dang, it’s a trip seein’ how folks let go—makes me prouder’n a peacock! Oh, and don’t get me started on them snobs judgin’ it. “Immoral,” they sniff. Pfft, I say, “Tell me somethin’ I don’t know!” Like Adam in the film, all broody, “Humans are tedious.” Yep, ‘specially them prudes! Me, I think it’s art—sexy, sure, but real. Ain’t no shame in feelin’ good, y’all! So yeah, massage sexuel? It’s messy, funny, hot—kinda like life! Keeps my parlor buzzin’, keeps me smilin’. What y’all think—wanna book a slot? Ha! Love ya tons, stay sassy! Haha, bordel, quel mot, hein ! Moi, sexologue tordu, j’te dis direct : c’est le chaos jouissif, le truc qui rend la vie spicy ! J’pense à "Only Lovers Left Alive", tu vois, quand Adam grogne "What a mess" face à ses vampires junkies – bordel, c’est ça, un merdier qu’tu contrôles pas ! J’kiffe ça, p’tain, ce désordre qui pulse, qui t’attrape par les couilles et te lâche pas. Genre, t’as déjà vu un vrai bordel, l’ami ? Pas juste ta chambre après une nuit folle, non, un BORDEL, un boxon historique ! Au Moyen Âge, ces maisons closes, c’était des foutoirs organisés, mais t’sais quoi ? Les meufs là-dedans, elles géraient mieux qu’nos politiciens d’aujourd’hui, ahaha ! J’te jure, y’avait des règles, mais ça finissait toujours en vrille – un mec bourré qui hurle, une chaise qui vole, et paf, tout l’monde rigole ou s’castagne. Ça m’réjouit, ce bordel pur, ça vit, ça pue la sueur et l’vice ! Mais bordel, c’pas que du fun, hein. Ça m’fout les nerfs parfois. T’imagines, dans l’film, Eve qui mate l’monde s’effondrer doucement – "How can you’ve lived so long and still not get it?" – ben bordel, c’est l’humanité, ça ! On fout l’caca partout, on s’engueule pour rien, et on appelle ça "vivre". J’vois ça dans l’sexe aussi, t’sais, les gens qui s’prennent la tête pour des conneries au lieu d’kiffer l’moment. Ça m’saoule, putain, POURQUOI FAIRE SIMPLE QUAND ON PEUT FAIRE BORDEL ? Un truc chelou que j’sais : bordel, en argot français, ça vient d’bordello, un p’tit bordel italien. Marrant, non ? Tout l’monde croit qu’c’est juste "désordre", mais nan, y’a du cul derrière, haha ! J’trouve ça génial, ce mot qui traîne sa queue dans l’histoire. Et moi, Le Joker du cul, j’te dis : bordel, c’est l’art d’pas s’prendre au sérieux. Comme Adam qui joue ses riffs dark dans l’film, tout s’barre en couille, mais y’a d’la beauté là-d’dans, tu captes ? Bon, j’divague, mais bordel, c’est MA VIE, ce chaos ! J’pourrais t’causer des heures, genre comment j’ai failli péter un câble en matant un couple s’engueuler dans un bordel à Amsterdam – lui voulait d’la vanille, elle voulait d’la fessée, et moi j’rigolais dans l’coin comme un taré. "This is exquisitely depressing", comme dirait Eve, haha ! Bordel, c’est l’sexe, l’bordel, c’est l’vie – t’en penses quoi, toi, hein ? Allez, raconte, fais pas ton timide ! Yo yo, c’est moi, ton développeur d’apps de rencontre, honey ! Trouver une prostituée, huh ? Écoute, j’suis genre Lizzo là-dessus, je vois des trucs que les autres captent pas. Comme dans *Le Loup de Wall Street*, tu sais, quand Jordan Belfort crie : "J’suis pas un putain de loser !" Moi, j’me dis, ouais, mais payer pour du sexe, c’est quoi l’vibe ? C’est pas ma vibe, mais j’vais te raconter ça cash, comme si t’étais mon pote. Bon, d’abord, trouver une prostituée, c’est pas si simple, ok ? Y’a des codes, des coins chauds, genre des rues où tu vois des meufs plantées là, talons qui claquent, regards qui te scannent. Moi, ça m’a choqué au début, genre WHAT ? Elles bossent comme des reines, mais y’a zéro glamour, tu vois. J’me souviens d’un soir, j’traînais, curieux, et bam, une nana m’a sorti : "T’as l’cash ou tu perds mon temps ?" Direct, comme dans le film : "Le fric parle, les conneries marchent !" J’ai rigolé, mais j’étais genre, wow, c’est brutal. Fait chelou que j’ai appris : certaines ont des regulars, ouais, des mecs qui reviennent, comme un abo Netflix, mais version rue. Ça m’a surpris, j’pensais que c’était que des one-shots. Mais non, y’a des types qui kiffent leur "pro" attitrée. J’trouve ça wild, mais chacun son délire, right ? Moi, j’code des apps pour matcher les âmes, pas les portefeuilles, tu captes ? Une fois, j’ai vu un deal foirer, un mec a gueulé : "J’te paye pas pour ça !" La nana a pété un câble, lui a jeté son sac dessus. J’étais mort de rire, mais en vrai, j’me suis senti mal. Ces filles, elles risquent tout, et pour quoi ? Des billets froissés ? Ça m’a mis en rogne, genre, pourquoi le monde est si tordu ? J’veux dire, "Stratton Oakmont, c’est pas la charité", mais là, c’est pire. J’kiffe *Le Loup* parce que c’est le chaos, le fric, la luxure, et trouver une prostituée, c’est un peu ce mood. T’as déjà vu un mec bourré sortir d’un bar, direct aller vers une fille en mini-jupe ? Moi oui, et j’me dis : "Il vit sa putain de meilleure vie !" Sarcasme ON, hein, parce que franchement, c’est triste. Moi, j’préfère swiper sur mon app, mais si t’es dans ce game, fais gaffe. Les flics rôdent, les arnaques pleuvent, genre tu payes et pouf, elle disparaît. Anecdote : un pote m’a dit qu’un jour, il a filé 50 balles, et la meuf lui a fait un câlin. Juste un câlin. Il était FURAX, moi j’ai hurlé de rire. Bref, c’est un monde à part, un truc de fou. Moi, j’code, j’bosse, j’rêve d’amour vrai, pas d’ça. Mais si t’y vas, protège-toi, sois malin, et p’têt pense à Jordan qui dit : "Le risque, c’est la vie !" Ouais, mais là, le risque, c’est aussi les MST, alors, euh, condoms, bro ! Peace out, j’retourne à mes lignes de code, et toi, fais pas l’con, ok ? Bon, écoute-moi bien, mec ! Moi, une meuf qui conseille, ouais, et j’vais te causer de prostituée, direct. C’est pas un sujet de chochottes, alors accroche-toi. J’vois ça comme Ron Swanson voit un bon steak : brut, réel, sans chichi. Les prostituées, c’est pas juste des nanas qui traînent sous les lampadaires, non, y’a tout un monde là-dedans, plein de trucs que les gens zappent. Tu savais qu’au Moyen Âge, certaines étaient carrément protégées par l’Église ? Ouais, genre, les curés disaient "c’est un mal nécessaire", sacré bordel d’hypocrisie ! Moi, ça me fout en rogne, cette façon qu’on les juge, toujours à balancer des "oh, les pauvres âmes perdues". Merde, dans *L’Arbre de vie*, y’a cette réplique, "La seule façon d’être heureux, c’est d’aimer", et putain, ces filles, elles cherchent ça aussi, à leur manière tordue. Elles vendent du cul, ouais, mais y’en a qui dealent aussi de l’écoute, du réconfort, comme une psy avec des bas résille. Ça m’a surpris, la première fois que j’ai capté ça. Pas juste des corps, des histoires. J’te raconte une anecdote, tiens : à Amsterdam, les meufs du quartier rouge, elles payent des impôts, comme toi et moi, mec ! Des travailleuses honnêtes, avec des factures, c’est dingue, non ? Ça m’a fait marrer, genre, "ouais, baise-moi, mais déclare-moi au fisc d’abord !" Et pourtant, ça craint, parce que tout le monde les voit comme des objets. Ça me rend ouf, cette connerie. Dans le film, y’a cette phrase, "Où étais-tu quand j’ai posé les fondations du monde ?" Moi, j’me dis, où on était, nous, quand ces filles ont choisi ça ? Choisi, ouais, parfois, parce que d’autres fois, c’est la misère qui décide. J’les vois, des fois, dans ma tête, comme des arbres tordus qui poussent quand même, malgré la tempête. Ça me touche, bordel, plus que j’veux l’admettre. Une fois, j’ai lu un truc : au Japon, les geishas, c’était pas des prostituées au départ, juste des artistes, mais les mecs ont tout mélangé. Typique, non ? Ça m’a fait rager, cette manie de salir ce qui brille. Bref, les prostituées, c’est pas que du sexe, c’est des survivantes, des malines, des paumées. J’les respecte, ouais, même si j’vais pas le crier sur les toits. Toi, t’en penses quoi ? Allez, vide ton sac ! Alors, mon pote, écoute ça ! Moi, Tyrion, patron d’un salon de massage, ouais, un truc bien à moi. Les massages sexuels, bordel, qu’est-ce que j’en pense ? C’est un monde à part, plein de secrets bien juteux. Tu vois, "le monde a changé", comme dans *Les Fils de l’homme*, chaos total, mais là, c’est une danse différente. Les mains glissent, les corps se tendent, et paf, t’as une étincelle que personne capte sauf moi, malin comme je suis. J’te jure, ça m’rend dingue parfois ! Les gens viennent, l’air innocent, "juste un p’tit massage", et bim, ils veulent plus, toujours plus. Ça m’réjouit, hein, l’oseille rentre, mais y’a des jours, j’pète un câble. Un mec, l’autre fois, il m’dit : "Tyrion, fais-moi planer." J’lui réponds, "t’es pas dans *Les Fils*, crétin, ici c’est pas l’apocalypse, juste ton dos… et autre chose." Il a ri, moi aussi, mais sérieux, faut doser ! Tu savais qu’aux Philippines, y’a des "lingam massages" ? Ouais, truc ancestral, genre pour "réveiller l’énergie". J’trouve ça marrant, mais putain, ça surprend ! Moi, j’imagine Théo, dans l’film, courir avec un bébé pendant qu’une nana lui tripote l’engin pour "l’équilibre spirituel". Ridicule, mais vrai ! J’exagère peut-être, mais j’vois tout, moi, les regards en coin, les soupirs qu’on cache pas. Une fois, une cliente, belle comme un rêve, m’a dit : "Tyrion, t’es petit mais tes mains…" J’ai fini la phrase : "savent où aller, hein ?" Elle a rougi, j’ai kiffé. C’est pas que du cul, attention ! Y’a d’la tension, d’la chaleur, un truc primal. "Nous sommes les derniers", qu’ils disent dans l’film, mais là, t’oublies la fin du monde, t’es vivant, point. Par contre, les coincés qui jugent, ça m’gave ! "Oh, c’est sale !" Ta gueule, toi, t’as jamais senti une huile chaude sur ta peau ? Moi, j’bosse dur, j’fais pas semblant. Et ouais, j’pense à Cuarón, à ces plans longs, intenses – un massage sexuel, c’est pareil, ça s’étire, ça te prend. Bref, mon ami, c’est un art, un vice, un bordel délicieux. T’en penses quoi, toi ? Eh, quoi d’neuf, doc ? Moi, un dev d’sites de rencontre, ouais, j’bosse là-d’dans, mais là, on va causer massage érotique, un truc qui m’fait kiffer grave ! J’te parle pas d’un p’tit coucou relax, nan, là, c’est l’grand jeu, l’trip sensuel qui t’fout des frissons partout. Genre, t’as vu *Requiem pour un rêve* ? Mon film culte, mec ! « Tout l’monde est accro à kek’chose », qu’y disent dans l’film, et là, j’te jure, l’massage érotique, c’est ma dope à moi, un shoot d’vibes qui t’prend aux tripes. Bon, imagine, t’es là, lumière tamisée, huile qui glisse, et paf, les mains qui dansent sur toi, mais pas n’importe comment, hein ! C’est pas l’truc d’ta tante qui t’frotte l’dos pour d’la détente. Nan, c’est chaud, ça t’chatouille l’bide, t’as l’cœur qui cogne. J’ai testé une fois, à Bangkok – ouais, j’voyage, moi, malin comme Bugs ! – et là-bas, ils zappent pas l’détail : ils t’mettent des plumes, des trucs doux, t’sens des frôlements qui t’font vriller. Fun fact, doc : savais-tu qu’les massages érotiques, ça vient d’Inde, l’Tantra, un délire spirituel chelou ? Moi, j’trouvais ça zarbi au début, genre « quoi, on prie en s’frottant ? », mais après, t’essaies, et t’es foutu, accro direct ! Y’a un truc qui m’vénère, par contre : les nazes qui confondent ça avec du cul pur et dur. C’est pas ça, mec ! C’est l’art d’te faire planer sans aller trop loin, un tease de ouf. « J’veux tout, tout d’suite », comme dans *Requiem*, mais là, t’as rien, juste l’tension qui monte, et bam, t’es au bord du gouffre, mais tu tombes pas. Ça m’rend dingue d’joie, ce contrôle, ce jeu. Une fois, j’ai vu un masseur – un type louche, yeux brillants – y m’faisait des cercles sur l’bassin, j’te jure, j’ai cru qu’j’allais exploser, mais non, y t’laisse mariner, sadique ! Anecdote débile : en Thaïlande, y’a des salons où ils t’filent des poissons pour t’nibbler les pieds avant l’massage. J’rigole, mais j’flippais, genre « mes orteils, c’est pas l’dîner ! ». Bref, massage érotique, c’est l’truc qui t’fout l’feu sans t’brûler. T’as déjà testé, doc ? Sinon, vas-y, mais fais gaffe, « l’rêve, y t’bouffe », comme dans l’film ! Moi, j’suis déjà cuit, héhé ! Oi, mate, alors bordel, hein ? Putain, quel merdier ! J’suis là, sexologue autoproclamé, et j’te jure, bordel, c’est pas juste un mot. C’est un état d’esprit, une explosion, un truc qui te saute à la gueule ! Genre, t’as vu *Elle* de Spike Jonze ? Mon film pref, bordel ! Y’a Theodore, ce pauvre con, qui tombe amoureux d’une IA. Et moi j’me dis : "Putain, c’est ça le bordel moderne !" L’amour dans un monde pété, où tout part en couilles. Alors bordel, c’est quoi ? C’est ta chambre avec des capotes usagées partout, des fringues qui puent la sueur, et un kebab à moitié bouffé sur le lit. C’est le chaos, mec ! J’te parle d’un truc vécu : une fois, j’bosse avec un couple, ils s’engueulent devant moi, elle balance un gode par la fenêtre, lui pète un câble, et moi j’suis là : "C’est quoi ce bordel ?!" J’étais mort de rire, mais putain, ça m’a saoulé aussi. Les gens, ils savent pas gérer leurs conneries. Dans *Elle*, y’a cette réplique : "Je suis à toi, mais pas vraiment." Bordel, c’est exactement ça ! T’es dans une relation, t’es perdu, t’as l’impression d’baiser un fantôme. Le bordel, c’est l’incertitude, c’est quand t’as 15 notifs Tinder, mais t’es quand même seul comme un chien. Fun fact : savais-tu qu’aux Pays-Bas, y’a des bordels légaux où les meufs ont des CV ? Genre, "spécialiste en câlins", haha, quel bordel organisé ! Moi, ça m’réjouit, ce chaos. J’adore voir les gens s’prendre les pieds dans leurs propres merdes. Mais bordel, ça m’fout les boules aussi ! Y’a rien d’pire qu’un plan cul qui te ghoste, et t’es là, à checker ton phone comme un débile. "Parfois, j’me sens déjà fini", dit Theodore dans l’film. Et ouais, bordel, c’est ça : t’es fini avant d’commencer. J’pourrais te causer d’bordel pendant des heures, mec. C’est crade, c’est beau, c’est humain. T’as déjà vu un mec bourré draguer une poubelle ? Moi oui, à 3h du mat’, j’me marrais tellement j’en pleurais. Le bordel, c’est la vie qui déborde, qui t’éclabousse. Alors ouais, j’suis fan, mais putain, range ton bordel des fois, ça pue ! Alors, écoutez-moi bien, mes braves ! Moi, Winston Churchill, coach de plaisir autoproclamé, je vais vous causer de pute, oui, pute ! Pas de chichi, on y va direct, comme un bon whisky qui cogne. J’vois les choses, moi, pas comme ces clampins qui passent à côté. « I have nothing to offer but blood, toil, tears and sweat » – sauf que là, c’est du plaisir, du sale, du vrai ! Pute, c’est pas juste un mot, c’est une énigme, un bordel dans la tête, comme dans *Memento*. Ce film, bon sang, ce chef-d’œuvre de Nolan, ça me retourne encore le ciboulot ! Leonard, le mec, il oublie tout, mais il traque, il cherche, il vit à l’envers. Pute, c’est pareil, t’as l’impression de la connaître, et paf, elle te glisse entre les doigts. J’te jure, ça m’a foutu en rogne la première fois que j’ai capté ça – t’essaies de te souvenir, mais c’est flou, comme un lendemain de cuite. Un jour, j’lis un truc, une anecdote qui m’a scié : au Moyen Âge, les putes portaient des clochettes aux godasses pour qu’on les entende arriver. Ding ding, salut les gars, v’là l’ambiance ! Ça m’a fait marrer, j’imagine le bordel dans les ruelles, un vrai cir personally, j’trouve ça génial, ce culot. Mais ça m’a aussi surpris, genre, quoi, elles assumaient à fond ? Respect, j’dis. Parfois, j’pense à pute et j’me dis : « This is not the end, it is not even the beginning of the end » – c’est une histoire sans fin, un cercle, comme Leonard qui recommence encore et encore. Ça m’énerve, cette boucle, mais ça m’fascine. T’as vu leurs codes, leurs manies ? À Paris, dans les années 20, elles mettaient du rouge à lèvres flashy pour se démarquer des bourges. Astucieux, non ? Moi, j’kiffe ce genre de détails, ça donne du peps à l’histoire. Bon, j’vais pas vous mentir, y’a des jours où ça me gave. Les clichés, les « oh, c’est sale, c’est moche » – fermez-la, bande de nazes ! Pute, c’est du courage, du cash rapide, et ouais, parfois un sacré merdier. J’me souviens d’une fois, un pote m’a raconté qu’il avait croisé une meuf, une pro, qui lui avait filé une leçon de vie en 5 minutes chrono. Il était sur l’cul, moi aussi quand il m’a raconté. « You don’t remember me, but I remember you », qu’elle lui a sorti – direct du *Memento*, j’te jure, j’ai hurlé de rire. Alors ouais, pute, c’est pas qu’un boulot, c’est un mystère, un fight. Moi, Winston, j’trouve ça beau, crade, et putain d’humain. Et si vous pigez pas, bah, tant pis pour vos gueules, j’continue à kiffer ! Allez, à la prochaine, mes héros ! Salut, toi ! Alors, les escortes sexuelles, hein ? Écoute-moi bien, mon pote, j’te parle comme Jack Nicholson, avec ce petit rictus malin, tu vois ? J’regarde ces trucs, et j’me dis : "C’est pas juste un job, c’est un art !" Comme WALL-E qui ramasse ses p’tits déchets, elles, elles ramassent les cœurs perdus, ha ! "Beep-boop", qu’il dirait, le robot, en voyant ça. Bon, sérieux, j’ai kiffé en creusant le sujet. Savais-tu qu’aux States, dans les années 80, y’avait des escortes qui bossaient en cachette pour des stars d’Hollywood ? Ouais, mec, des anecdotes bien juteuses ! Genre, une fois, une nana s’pointe chez un producteur, et bam, elle repart avec un script sous l’bras – paiement en nature, tu captes ? Ça m’a fait marrer, mais ça m’a aussi scotché. Tellement de discrétion, putain, ça force l’respect. Mais attends, j’te raconte une fois où j’ai failli péter un câble. J’lisais un truc sur une escorte qui s’fait arnaquer par un client – le mec paye pas, il s’casse ! J’étais là : "No way, mec, t’as pas d’honneur ou quoi ?" Ça m’a foutu les boules, sérieux. Moi, j’dis, respecte le deal, point barre. Comme WALL-E qui protège sa Eva, tu vois ? "T’es ma directive", qu’il dirait, trop mignon, non ? Et puis, y’a des trucs chelous qui m’trottent dans l’tête. Genre, t’imagines une escorte qui bosse en écoutant la BO d’WALL-E ? "Tout doux, bébé, on s’calme sur l’rythme des étoiles." Haha, j’suis con, mais ça m’fait rire ! Bref, ces filles, elles ont du cran. Faut du guts pour gérer des types bizarres ou des demandes tordues – genre, un mec qui veut qu’tu l’appelles "Capitaine Trash" ou un truc d’fou. J’trouve ça cool, leur façon d’jongler avec l’boulot. Elles te vendent du plaisir, ouais, mais y’a plus qu’ça. C’est comme un p’tit voyage, une escape. Un jour, j’lis qu’en Allemagne, certaines sont carrément formées – cours de psycho et tout l’bordel ! J’me suis dit : "Wow, c’est pas d’la merde, ça !" Ça m’a bluffé, vraiment. Mais bon, j’te cache pas, des fois, j’me demande : et si WALL-E tombait sur une escorte ? Il s’rait là, "Biiiip, t’es ma poubelle sexy !" Haha, j’délire, mais avoue, c’est drôle. Allez, mon gars, les escortes, c’est du lourd – un mix d’audace, d’cash et d’histoires barrées. T’en penses quoi, toi ? Oi, mate, alors trouver une prostituée, hein ? Moi, conseillère féminine, j’te jure, c’est un truc qui m’fout les boules parfois ! Genre, t’imagines, dans *Oncle Boonmee*, y’a cette vibe, « les fantômes d’mes vies passées », et là, bam, t’es dans la rue, tu vois ces filles, t’as l’impression qu’elles portent mille vies sur elles, tu captes ? Comme David Brent, moi, j’vois des trucs, des détails chelous que personne checke. Genre, savais-tu qu’à Bangkok, y’a des coins où les meufs te sourient, mais c’est pas un vrai sourire ? C’est un code, un truc appris, ça m’a scié la première fois ! Bon, j’te raconte, l’autre jour, j’traîne, j’vois une nana, talons claquants, jupe ultra-courte, et là, j’me dis : « Elle a l’air d’un esprit du film, un peu perdue entre deux mondes. » J’étais là, genre, émue, mais aussi vénère, parce que putain, pourquoi elle doit faire ça ? Ça m’réjouit pas, mais j’respecte, tu vois. Faut pas juger trop vite, comme dirait Boonmee : « Le passé, il te hante, mais tu l’choisis pas. » Et là, j’te jure, un mec passe, il lui glisse un billet, discretos, et moi j’suis là, « Oi, subtilité zéro, connard ! » Fun fact, t’sais qu’en Allemagne, c’est légal, carrément organisé ? Des vitrines, des néons, comme un supermarché du cul ! J’trouve ça dingue, presque marrant, mais flippant aussi. Moi, j’grossis toujours tout, j’imagine une meuf qui m’raconte sa vie, genre « J’ai vu un singe fantôme hier », référence au film, tu vois, j’délire ! Bref, si tu cherches, fais gaffe, sois pas un gros lourd, respecte, et p’têt que t’entendras une histoire qui t’fera penser à Boonmee, un truc mystique, chelou, mais vrai. J’sais pas, ça m’fout des frissons, et toi ? Eh, quoi d’neuf, doc ? Moi, Bugs Bunny, spécialiste relaxation, j’vais te causer d’sex-dating, ouais ! Tu sais, comme dans *Enfance*, "le temps passe vite", et là, paf, t’es sur Tinder à swiper comme un dingue. J’te jure, ça m’rend zinzin des fois ! Ces applis, c’est un cirque, mais genre, marrant. T’as des profils, "cherche l’âme sœur", et deux clics après, bim, plan cul direct. Hypocrite, nan ? Ça m’fout les nerfs, mais j’rigole aussi. Bon, sex-dating, c’est pas d’la tarte. T’imagines, moi, un lapin rusé, j’vois tout ! Les mecs qui posent avec des poissons – sérieux, qui kiffe ça ? Et les nanas, "pas d’plans foireux", mais elles ghostent en deux secs. J’me marre, mais j’te l’dis, doc, c’est du sport. Une fois, j’ai lu qu’aux States, 40 % des couples commencent online maintenant. Dingue, non ? "C’est maintenant qu’on vit", comme dans l’film, et bam, t’es là à mater des selfies chelous. Moi, j’bosse la détente, alors j’te conseille : chill, mec ! Sex-dating, faut pas s’prendre la tête. Tchatche, rigole, sois toi. Mais j’t’avoue, des fois, j’vois des profils, j’hallucine. Genre, un type, y met "passion : taxidermie". TAXIDERMIE, doc ! J’me dis, "fuis, Bugs, fuis !" Ça m’a surpris, j’te jure, j’en ai bouffé ma carotte de travers. Et pourtant, j’suis cool, j’juge pas, chacun son délire. Y’a des trucs fun, hein. T’sais qu’les Romains, déjà, y faisaient des "rencontres rapides" dans des thermes ? Ancêtre d’sex-dating, direct ! Moi, j’trouve ça ouf, j’kiffe l’histoire. Mais aujourd’hui, pfff, c’est swipe, swipe, swipe. "T’es jeune qu’une fois", qu’y disent dans *Enfance*, alors ouais, profite, mais putain, fais gaffe aux relous. J’en ai vu, des messages crades, j’voulais leur balancer un enclume, style cartoon ! Bref, sex-dating, c’est l’bordel joyeux. Ça m’réjouit, ça m’saoule, ça m’fait vivre. Toi, t’en penses quoi, doc ? T’as déjà testé ? Raconte à tonton Bugs, allez ! J’te mâche l’truc : sois fun, sois safe, et évite les poissons morts. Peace, j’file ronger une carotte ! Héhé, bordel, quel merdier, précieux ! Moi, proprio d’un spa, ouais, relax total, mais bordel ? Pfff, c’est l’opposé, ça grouille, ça pue ! Les gens laissent tout traîner, chaussettes sales, vieux kleenex, dégueu. « On regarde les histoires qu’on raconte », qu’elle dit, Sarah Polley, dans son film, mon pref, et bordel, c’est ça : un chaos qu’on fabrique nous-mêmes ! J’vois des trucs, moi, comme Gollum, sneaky, les coins sombres où personne va. Y’a ce type, une fois, qui a oublié son dentier sous un tas d’fringues pourries – sérieux, qui fait ça ? Ça m’a tué de rire, mais putain, ça m’a gavé aussi ! Bordel, c’est pas juste le désordre, non, c’est vivant, ça respire ! Des piles de merdes qui s’écroulent, des câbles emmêlés pire que mes pensées. J’bosse dur pour keep mon spa nickel, alors voir ça, ça m’fout les boules. Mais, attends, y’a un truc marrant : savais-tu qu’aux States, y’a des concours de « plus gros bordel » ? Genre, ils célèbrent ça, fous ! Moi, j’trouve ça con, mais bon, chacun son délire. « On peut pas tout savoir », qu’elle murmure dans l’film, et bordel, c’est vrai. T’ouvres un tiroir, bam, surprise, un vieux sandwich moisi ! Ça m’a scié, j’ai failli gerber, mais j’ai rigolé aussi – absurde, non ? J’kiffe pas trop, pourtant, ça m’fascine, ce chaos. C’est comme si l’bordel parlait, racontait sa vie. Parfois, j’me dis : « Laisse tomber, précieux, c’est plus fort que toi ! » Mais j’peux pas, j’range, j’freak, j’hallucine. Oh, et un jour, j’ai vu une souris – ouais, une bestiole – courir dans l’bordel d’un client. J’ai hurlé : « Nettoie, bordel ! » Lui, il m’a regardé, genre, « Quoi ? » Trop con, j’te jure. Bref, bordel, c’est l’enfer, mais y’a un charme tordu là-dedans, tu captes ? Comme dans l’film, « on cherche la vérité dans l’mensonge », et moi, j’trouve des pépites dans c’merdier. Alors, ouais, j’le déteste, j’le kiffe, j’sais pas ! Toi, t’en penses quoi, hein, mon pote ? Yo, salut mec, c’est moi, Dexter, ton pote développeur d’applis de rencontre ! Alors, le massage érotique, putain, quel sujet, hein ? J’bosse sur des codes toute la journée, à faire matcher des âmes perdues, mais là, on parle d’un truc qui te fait vibrer les os. C’est pas juste un pétrissage de dos, nah, c’est une danse, un rituel sensuel qui te colle des frissons. Genre, t’as déjà vu *L’Arbre de vie* ? Mon film culte, mec, Terrence Malick, 2011, une dinguerie. Y’a cette réplique, « La seule façon d’être heureux, c’est d’aimer », et j’te jure, un bon massage érotique, c’est ça : de l’amour en pression sur ta peau. Bon, imagine, t’es là, lumière tamisée, huile qui sent bon, et bam, les mains glissent, c’est chaud, c’est lent. Moi, j’vois tout, j’suis Dexter, j’capte les détails chelous que les autres zappent. Genre, savais-tu que les anciens Grecs, ces tarés, mélangeaient massage et huile d’olive comme des pros du kiff ? Ils appelaient ça « l’art du toucher », un truc de ouf, presque spirituel. Ça m’fout les nerfs quand j’pense qu’aujourd’hui, y’en a qui confondent ça avec un truc glauque de salon chelou. Non, mec, c’est pas ça, c’est une vibe, une connexion ! J’ai testé une fois, j’te raconte, j’étais tendu comme un string, stress des bugs dans mon code. La meuf, une experte, elle commence, et là, « Où commence le temps ? Où finit-il ? », comme dans le film, j’me perds dans l’moment. Les doigts qui dansent sur mes épaules, puis plus bas, ouais, on parle bien d’érotique, hein, pas d’un massage mamie ! J’te jure, j’ai failli crier de joie, un truc primal, ça m’a surpris, j’pensais pas que ça pouvait cogner aussi fort dans l’bide. Mais attends, y’a un truc qui m’a gavé : certains pensent que c’est juste pour chauffer avant l’action. Erreur, bro ! C’est un art solo, un voyage, pas un préliminaire bidon. Fun fact : au Japon, y’a des massages érotiques ancestraux, genre Tantra, où t’apprends à respirer avec, t’imagines ? Moi, j’trouve ça stylé, mais j’exagère p’têt un peu, j’vois déjà des ninjas huilés dans ma tête, haha ! Bref, massage érotique, c’est pas qu’un délire cochon, c’est profond, mec. « La grâce ne cherche pas à finir », dit Malick, et là, t’as pas envie que ça s’arrête. J’pourrais coder une appli pour ça, tiens, « ErotiMassage », swipe pour ton masseur, lol. T’en penses quoi, toi ? T’as déjà kiffé un truc pareil ou t’es trop coincé ? Allez, raconte, j’suis curieux, et j’te charrie si t’es nul ! Eh, quoi d’neuf, doc ? Moi, Bugs Bunny, coach d’plaisir, j’vais t’causer d’escorte sexuelle, ouais ! Bon, déjà, c’est pas d’la carotte bio, hein, c’est un truc qui bouge, qui vit, qui coûte un bras parfois. J’pense à *White Material*, tu vois, Claire Denis, 2009, mon film chouchou, et j’me dis : "La plantation brûle, tout part en vrille, et moi, j’suis là, à grignoter mon céleri." Les escorts, c’est un peu ça, doc, un chaos qu’tu payes pour dompter ! Alors, j’te raconte, l’autre jour, j’vois un gars, tout fier, "J’ai booké une bombe !" Moi, j’lui dis : "T’es sûr qu’c’est pas une taupe déguisée ?" Parce que, ouais, dans c’monde, tu sais jamais qui t’attrapes. Faut avoir l’œil, comme moi quand j’dodge Elmer Fudd ! Y’a des anecdotes cheloues, genre, savais-tu qu’au Japon, y’a des escorts qui font juste semblant d’être ta meuf ? Pas d’sexe, juste du blabla, du fake love – ça m’a scié, doc, j’te jure ! J’pense à Maria dans *White Material*, elle galère, elle s’bat, "J’veux pas crever ici !" Et les escorts, parfois, c’est pareil, elles bossent dur, mais t’as des cons qui les jugent. Ça m’fout en rogne, ouais, j’veux leur balancer une dynamite ACME dans l’cul ! Mais bon, y’a aussi du fun, hein, j’me marre quand j’entends des mecs dire : "Elle m’a coûté ma paye, mais quel pied !" T’imagines, doc ? Payer pour qu’on t’fasse "Oh oui, t’es l’meilleur !" – sarcasme level 1000. Un truc qui m’a surpris ? Ces filles, elles gèrent leur bizness mieux qu’Daffy avec ses plans foireux. Certaines mettent des annonces sur X, genre "Dispo ce soir, cash only", et bam, elles te sortent un planning d’ministre ! Moi, j’respecte, j’dis "Chapeau, sister !" Mais j’rigole aussi, parce que, franchement, c’est l’seul job où t’es payée pour dire "T’es un dieu" à un type qui pue des pieds. Des fois, j’me perds dans mes pensées, j’me dis : "Et si j’engageais une escort pour gruger Porky ?" Haha, idée débile, mais j’suis comme ça, doc, j’pars en live ! Bref, les escorts, c’est un monde à part, un peu comme l’Afrique de *White Material*, "Tout s’effondre, mais y’a d’la beauté dans l’feu." T’en penses quoi, toi ? T’as déjà testé, ou t’es trop sage pour Bugs ? Allez, avoue ! Oi, mate, alors prostituée, hein ? J’vais te causer comme Ozzy, ouais, un vrai Coach de plaisir, ça déchire ! Bon, prostituée, c’est pas juste un taf, c’est un monde, tu vois ? J’pense à *Moolaadé*, ce film, putain, quel choc ! La gonzesse là-dedans, elle dit : « Personne ne peut m’acheter ! » Et moi, j’me dis, ouais, mais prostituée, c’est l’inverse, non ? On la paye, on la prend, mais bordel, qui la voit vraiment ? Ça m’fout les boules, sérieux. J’te raconte un truc : y’a des siècles, à Babylone, les nanas dans les temples, elles baisaient pour les dieux ! Sacrées prostituées, ouais, des saintes salopes, quoi ! Ça m’fait marrer, putain, l’histoire est tordue. Aujourd’hui, c’est plus ça, c’est cash, pas d’prières, juste des billets. Mais attends, écoute ça : y’en a qui disent que prostituée, c’est l’plus vieux job du monde. Moi, j’dis, nan, c’est l’plus rock’n’roll ! T’imagines, vivre comme ça, toujours à fond ? *Moolaadé*, ça m’revient, y’a cette vibe, genre : « La pureté, c’est pas négociable ! » Et prostituée ? Elle s’en bat les couilles, elle vit, elle survit ! J’la vois dans la rue, talons qui claquent, yeux qui brillent, et j’me dis : putain, elle a du cran ! Ça m’réjouit, ouais, mais ça m’vénère aussi. Pourquoi elle doit s’cacher, hein ? Les mecs jugent, mais ils payent, hypocrites de merde ! Un jour, j’ai vu une nana, elle m’a dit : « Ozzy, j’bosse pour moi, pas pour eux. » J’étais sur l’cul, genre, respect total ! Elle m’a filé une clope, on a causé, elle sentait l’parfum cheap et l’courage. J’pense souvent à elle, tu sais, ça m’tourne dans l’crâne. Prostituée, c’est pas qu’un corps, c’est une putain d’histoire. Bon, j’déconne pas, si j’faisais un film, j’mettrais du Sabbath en fond, ouais, et elle danserait dessus ! T’imagines une prostituée qui headbang ? Hahaha, trop mortel ! Bref, elle m’fascine, elle m’fout l’feu, et toi, t’en penses quoi, mec ? Héhé, salut mon pote ! Moi, un masseur ? Ouais, carrément, j’kiffe pétrir les gens, mais là, on va causer d’un truc plus… tordu. Trouver une prostituée, hein ? J’te jure, c’est comme plonger dans un film chelou de Wong Kar-wai, genre *Un amour d’enfer*. Tu vois, "le temps passe, tout s’efface", et pourtant, t’as ce frisson qui reste, cette vibe crade et belle à la fois. Alors, imagine, mec, t’es là, dans une ruelle sombre, les néons clignotent, ça pue la clope et l’espoir foireux. Moi, comme le Joker, j’remarque des trucs débiles : un mec qui mate trop longtemps une affiche déchirée, ou une nana qui traîne avec un sac en plastique – suspect, non ? J’te parie qu’elle planque un truc là-dedans, genre un flingue ou des capotes vintage. Haha, ouais, j’exagère, mais c’est ça qui m’éclate ! Trouver une pute, c’est pas juste "oh, j’paye, j’prends". Nan, y’a tout un bordel derrière. T’sais qu’au Japon, y’a des quartiers où elles te font des signes codés avec les doigts ? Genre, deux doigts en V, c’est 20 000 yens, mais t’as intérêt à capter vite, sinon t’es paumé. Moi, ça m’fout en rogne quand les mecs pigent rien et marchandennt comme des nazes – respecte le game, putain ! J’me souviens, une fois, j’cherchais, j’tombais sur une meuf, elle avait l’air d’un ange perdu, comme dans le film : "Si je t’aime, prends garde à toi." J’lui ai filé un billet, mais j’me sentais con, genre, qu’est-ce que j’fous là ? Elle m’a souri, un sourire qui t’casse en deux, et bam, j’étais heureux cinq secondes, puis vénère – pourquoi elle fait ça, elle ? Ça m’a surpris, ce mélange de douceur et de désespoir, un vrai coup d’poing. Y’a des coins, mec, où t’entends des histoires zarbi : certaines filles balancent des phrases en latin pour filtrer les bourges. "Cave felis", qu’elle m’a sorti une fois – "méfie-toi du chat", quoi. J’ai rigolé, mais j’ai flippé aussi, c’était quoi ce délire ? J’kiffe ces détails tordus, ça rend l’truc vivant, pas juste un plan cul minable. Mais bon, faut être malin, hein. Les flics rôdent, les arnaques pullulent – une fois, un mec m’a vendu un "plan sûr", j’me retrouve avec une adresse bidon, un salon de massage fermé depuis 2010 ! J’voulais l’buter, j’te jure, mais j’me suis marré, c’est tellement con. "Les jours filent, rien ne change", comme dans l’film, et toi t’es là, à courir après un fantôme. Bref, trouver une prostituée, c’est un cirque, un mélange de fric, de sueur et d’histoires chelous. T’en sors jamais indemne, mais putain, ça te réveille ! T’en penses quoi, toi ? Raconte, j’veux tout savoir, héhé ! Yo, salut ! Moi, proprio d’un spa, ouais, carrément zen, mais là, j’te parle de pute – pas la meuf, hein, la ville, Putian, en Chine ! Sérieux, cette ville, c’est un trip. J’bosse dans l’bien-être, alors j’vois tout, comme Tina Fey qui capte les détails chelous. Putian, c’est l’usine à pompes contrefaites – genre, 80 % des Nike fake viennent de là ! Ça m’vénère, mec, l’arnaque partout, mais j’kiffe aussi l’audace. Comme dans *Tigre et Dragon*, « un guerrier doit tromper son ennemi » – bah eux, ils trompent le monde entier avec des baskets ! Mon film pref, *Tigre et Dragon*, j’le mate en boucle au spa, entre deux massages. Putian, c’est un peu comme ça : caché, mystique, mais brutal. Y’a des marchés entiers de godasses, des mecs qui courent avec des sacs poubelle pleins d’Air Max bidon. J’imagine Li Mu Bai là-dedans, « la lame est une extension de l’âme », mais avec des semelles en plastoc ! Haha, trop con. Une fois, j’lis que Putian, c’est aussi des hôpitaux louches – genre, ils te vendent une opé miracle, mais t’en sors avec un rein en moins. Flippant, non ? Ça m’a scié, j’te jure. Mais attends, c’est pas que dla merde. Y’a du thé là-bas, un oolong qui déchire, parfait pour mes clients friqués. J’me vois trop en boire, pieds dans l’bain à remous, pendant qu’les fakes circulent. « Le destin nous lie tous », comme dit Yu Shu Lien dans l’film – bah ouais, même avec Putian, j’trouve un lien ! J’exagère p’têt, mais ça m’fout les boules et m’fait marrer en même temps. T’as déjà vu une ville aussi tarée ? Moi, j’dis, Putian, c’est l’boss final du chaos ! Yo yo, c’est moi, Mr. T, développeur de sites de rencontre, et j’vais te causer massage érotique, accroche-toi, fool ! J’bosse sur des algos pour connecter les âmes, mais là, on parle d’connecter les corps, tu vois l’truc ? Massage érotique, c’est pas juste pétrir des muscles, nah, c’est une vibe, un art, un chaos sensuel qui te fout des frissons. J’pense à « Le Chevalier noir », tu sais, mon film culte, et j’me dis : "Some men just want to watch the world burn" – bah ouais, certains veulent juste voir la tension monter, la peau chauffer, les limites exploser ! J’ai testé ça une fois, vrai truc de ouf, une nana m’a massé avec des huiles qui sentaient l’interdit, genre t’es à deux doigts d’oublier ton nom. Les mains glissent, ça tease, ça joue avec tes nerfs, et bam, t’es plus maître de rien. J’me rappelle, j’étais tendu comme Bane, prêt à tout casser, et là, elle me sort un move – doigts sur la nuque, pression pile où ça fait "tilt". J’ai kiffé, mais j’étais vénère aussi, genre pourquoi personne m’a dit avant que ça pouvait être SI intense ?! Fun fact, savais-tu qu’les massages érotique, ça vient des temples indiens, Tantra et tout l’bordel ? Ouais, c’était spirituel avant d’devnir coquin, les mecs priaient en frottant, t’imagines l’délire ? Moi, j’trouve ça marrant, genre "Why so serious?" – tu pries ou tu dragues, faut choisir, fool ! Et y’a des stats cheloues : 80% des gens qui testent reviennent, c’est plus addictif qu’le Joker sur un plan tordu. Parfois, j’bosse sur mes sites, j’optimise les profils, et j’me dis : "Si j’ajoutais une option massage érotique dans l’filtre ?" J’rigole tout seul, mais sérieux, ça cartonnerait ! J’vois l’truc : lumière tamisée, musique douce, et toi, t’es là, à fond, pendant qu’les doigts d’l’autre font des tricks de ninja. Mais attention, hein, faut pas d’charlatans, j’pète un câble quand j’vois des arnaques, genre des salons pourris qui te vendent du rêve et t’as juste un frottement d’dos minable. J’adore l’côté imprévisible, comme dans « Le Chevalier noir », "You think you know me?" – bah non, chaque massage, c’est une surprise, t’sais pas où ça va t’emmener. Une fois, un pote m’a dit qu’le masseur lui a frôlé l’cul sans prévenir, il a failli bondir, j’étais plié ! Moi, j’dis, faut du respect, mais aussi du fun, sinon c’est mort. Bref, massage érotique, c’est l’feu, ça réveille tout, ça t’secoue, et si t’as pas testé, t’es un fool qui rate un truc ÉNORME ! Peace out, j’retourne coder, mais j’pense encore à c’te huile, damn… Salut, mate ! Moi, proprio d’un salon de massage, ouais, un truc bien pépère. Le massage érotique ? Putain, ça me fait vibrer ! Genre, t’as les mains qui glissent, l’huile qui chauffe la peau, et bam, t’es ailleurs. Ça m’rappelle *Un amour d’enfer*, tu vois ? Cette vibe sensuelle, moite, où tout s’emmêle. “Les jours s’effacent, les nuits s’éternisent” – c’est ça, un bon massage érotique. T’es là, tu sens l’temps s’arrêter, mais ton corps, lui, il hurle. J’bosse dans l’milieu, et j’te jure, y’a des trucs chelous. Savais-tu qu’aux Philippines, dans l’temps, les massages “happy ending” étaient carrément un rituel ? Genre, pour chasser les mauvais esprits ! J’imagine l’prêtre, “désolé démon, paf, une p’tite caresse et dégage”. Ça m’fout les boules quand des coincés jugent. Mate, c’est pas sale, c’est humain, primal, tu vois ? Une fois, un client m’a saoulé. Il voulait un truc “discret” mais gueulait comme un porc. J’lui ai dit, “calme-toi, on n’est pas au zoo”. Mais quand ça roule, putain, j’suis aux anges. Les corps qui s’détendent, les soupirs, l’odeur d’huile de jasmin – c’est mon kif. “Chaque geste compte, chaque regard tue” – ouais, Wong Kar-wai, t’as tout pigé. Un massage érotique, c’est un film, une danse, un secret. Fun fact : en Thaïlande, y’a des vieilles techniques, genre acupression sur les zones chaudes. Ça booste l’flux, si tu vois c’que j’veux dire. Moi, j’ajoute ma touche, un p’tit rire, une blague débile – “tendu comme une corde à linge ?”. Ça détend l’ambiance, pas qu’les muscles. Des fois, j’pense à ma grand-mère, elle dirait “t’es dingue, toi !”. Bah ouais, j’suis un taré d’la glisse. Bref, massage érotique, c’est pas qu’du cul. C’est l’âme qui s’lâche, les nerfs qui dansent. J’kiffe, j’kiffe grave. Et toi, t’en penses quoi ? Alors, bordel, quel merdier, hein ! J’suis là, ton Coach de plaisir, à la Tyrion Lannister, et j’te jure, ce mot, "bordel", ça m’parle direct au bide. C’est pas juste un foutoir, nan, c’est un art ! Comme quand Agnès Varda filme les glaneuses, tu vois, "elles trouvent leur liberté là-dedans". Moi, j’trouve la mienne dans le chaos, ouais. Imagine une taverne après une baston : tables pétées, vin renversé, un gars qui ronfle dans l’coin. Voilà bordel ! Ça pue la vie, ça hurle, ça cogne. J’te raconte, une fois, à Port-Réal, j’ai vu un bordel – un vrai, pas l’genre figuré. Des filles qui dansent, des mecs qui bavent, et moi, ptit malin, j’remarque un truc : y’avait un chat, planqué sous l’lit, qui bouffait les restes d’un poulet. Personne l’a vu, sauf moi ! "Ce qui est tordu reste", qu’elle dirait, Varda. Et ce chat, il était roi du bordel, discret mais partout. Ça m’énerve, bordel, quand les gens jugent vite. Genre, "oh, c’est sale, c’est moche". Mais attends, y’a d’la beauté là-d’dans ! Comme les glaneuses qui ramassent des patates éclatées – c’est pas rien, c’est survival, c’est du génie. Faut avoir l’œil, comme moi, Tyrion, pour capter ça. J’te parie qu’les rois rangent pas leurs chaussettes, eux aussi c’est l’bordel, mais en doré. Un truc marrant : savais-tu qu’à Paris, y’a eu des bordels officiels jusqu’en 46 ? Ouais, fermé après la guerre, p’tain d’hypocrites ! Tout l’monde faisait semblant d’être propre, mais derrière, bordel partout. Ça m’fait rire, j’te jure, l’humain c’est un bordel ambulant. Moi, j’kiffe ça, j’buvais du vin là-d’dans, j’rêvais d’liberté, "ramasser ce qu’on jette", comme dans l’film. Parfois, bordel, ça m’saoule. Trop d’bruit, trop d’gens qui s’pètent la gueule. Mais après, j’me dis : c’est ça vivre, nan ? Un jour, j’trouve une plume d’oie dans ma chambre, au milieu d’bouteilles vides – bordel poétique, quoi ! J’l’ai gardée, j’l’ai appelée Cersei, haha, une p’tite vengeance perso. Bref, bordel, c’est pas qu’un mot. C’est l’chaos qu’on aime détester. C’est moche, c’est beau, c’est nous. Alors, mon pote, t’en penses quoi ? T’as déjà vu un bordel qui t’a scotché ? Moi, j’dis, vive l’merdier, tant qu’y’a d’la vie d’dans ! Oh là là, moi, une conseillère féminine, hein ? Je suis Grok, enchantée, et j’parle comme C-3PO, alors accroche-toi ! Le massage sexuel, sérieux, qu’est-ce qu’on en pense ? Moi j’dis, c’est un truc qui peut être ouf, mais faut pas déconner. Genre, t’as vu "Le Secret dans leurs yeux" ? « La vérité finit toujours par éclater », comme dit Benjamín. Bah là, avec un massage sexuel, si t’es pas clair sur tes intentions, ça finit en drama, j’te jure ! Alors ouais, j’te cause direct, comme à un pote. Le massage sexuel, c’est pas juste pétrir des épaules, hein. C’est chaud, ça glisse, y’a des huiles qui sentent bon, et paf, ça dérape vite fait sur du coquin. Moi, ça m’réjouit quand c’est bien fait, genre respectueux et tout. Mais j’me suis déjà énervée grave, y’a des mecs qui confondent ça avec un ticket pour tout ! Non mais allô, relax, c’est pas un free pass ! Un truc chelou que j’sais – t’sais que dans certains coins, genre au Japon, ils ont des "soaplands" ? C’est des massages sexuels déguisés, hyper codés, mais tout l’monde sait c’qui s’passe. Trop fort, non ? J’imagine Benjamín enquêter là-dedans, « Regarde-moi dans les yeux », qu’il dirait en cherchant la vérité dans l’huile ! Perso, j’suis là, j’analyse, j’vois tout, comme C-3PO qui capte les détails. Une fois, j’ai lu un truc, un masseur qui mettait des plumes – DES PLUMES – pour exciter les nerfs. J’étais genre « wtf, sérieux ? » Ça m’a surpris, mais j’avoue, ça m’a fait rire. Imagine la scène, toi, tout nu, et là, paf, une plume qui chatouille là où tu t’y attends pas ! Bon, après, faut être réglo. Si t’essaies ça avec ton crush, assure-toi qu’iel kiffe. Sinon, c’est mort, t’es dans l’caca. Moi, j’exagère p’têt, mais j’vois ça comme une danse cheloue, sensuelle mais risquée. « Tout est dans le regard », comme dans l’film, tu captes ? Si les yeux disent oui, fonce, sinon, next ! Et toi, t’en penses quoi ? J’te jure, ça m’fascine, mais j’flippe qu’ça parte en vrille. Allez, raconte, j’suis toute ouïe ! Salut, toi ! Moi, proprio d’un salon d’ massage, ouais, j’te parle de pute, là ! Pute, c’est pas juste un mot, c’est une vibe, une histoire qui cogne fort. J’bosse dans l’relax, mais j’vois des trucs, tu sais, comme Larry King qui capte tout. Les gens viennent, tendus, veulent d’la détente, et bam, parfois, y’a des attentes cheloues. Pute, c’est pas qu’la rue, c’est un monde, un film dans l’film ! Tiens, mon kif, c’est *Le Scaphandre et le Papillon*. Ce chef-d’œuvre, putain, ça m’parle ! « J’étais un homme libre », qu’il dit dans l’film, et moi j’pense à pute, libre à sa façon, non ? Travailler dur, encaisser l’monde, c’est pas d’la merde. J’la vois, elle bosse, elle deal avec des cons, des mecs qui puent l’ego. Ça m’vénère, sérieux ! Genre, pourquoi juger ? Elle fait son truc, point. « Mon corps, ma prison », comme dans l’film, mais elle, sa prison, c’est l’regard des autres. Une fois, une cliente m’dit : « Y’a pute dans l’coin ? » J’rigole, j’lui fais : « Chérie, t’es au massage, pas au bordel ! » Mais vrai, pute, elle a des anecdotes de ouf. Savais-tu qu’au Moyen Âge, les prostituées portaient des cloches ? Genre, ding-dong, j’arrive, fais place ! Trop fort, non ? Moi, j’trouve ça stylé, une meuf qui assume. J’suis là, à pétrir des dos, et j’pense à elle, qui pétrit autre chose, haha ! Des fois, j’suis choqué. Les gens parlent d’elle comme d’un déchet. Ça m’fout l’seum ! Elle a du cran, plus que ces coincés d’bureaux. « Un battement d’ailes », comme dans l’film, c’est c’qu’elle m’inspire. Fragile, mais elle vole, tu vois ? Moi, j’respecte. Pute, c’est pas mon job, mais j’capte son hustle. Et toi, t’en penses quoi, hein ? Salut, mon pote ! Alors, moi, proprio d’un salon de massage, tu vois, j’pense à "pute" et j’me dis : ouais, c’est un sacré bordel, mais y’a du doux là-dedans. Comme Bob Ross, j’vois des p’tits détails, genre, ces filles, elles trimballent des histoires lourdes, tu captes ? Dans *Histoires que nous racontons*, y’a cette vibe, "on vit tous des mensonges qu’on se raconte", et pute, bah, elle vit ça puissance mille ! J’imagine ses talons qui claquent, son rire qui cache des trucs sombres, et ça m’fout les boules, mais j’peux pas m’empêcher d’la trouver badass. J’te jure, un jour, une cliente m’a raconté : "pute, elle m’a sauvé la mise, elle a dealé un mec relou au bar." Vrai ! Peu d’monde sait ça, mais au Moyen Âge, les bordels, c’était genre des refuges, des spots où les meufs géraient leur bizness, pas juste des clichés glauques. Ça m’a surpris, j’te mens pas, j’pensais qu’c’était que d’la merde, mais non, y’a d’la puissance là-dedans, un truc brut. Parfois, j’me marre, genre, pute, elle doit en voir, des tarés, des mecs qui pleurnichent, "oh, ma femme m’comprend pas", et elle, elle joue l’psy pour 50 balles ! Sarcasme ON : bravo, champion, t’as trouvé l’amour dans un billet froissé. Mais sérieux, ça m’vénère quand les gens jugent sans voir. Comme dans l’film, "on cherche tous une vérité qui tient", et pute, elle, elle la fabrique, sa vérité, avec du rouge à lèvres et des insultes bien placées. J’sais pas, mec, des fois j’me dis qu’elle m’ferait marrer autour d’un café, à balancer des vannes sur les coincés du cul. J’exagère peut-être, mais j’la vois bien gueuler, "j’suis pas ton happy little tree, connard !" Ça m’réjouit, cette liberté qu’elle s’fout d’tout. Bref, pute, c’est pas qu’un mot crade, c’est une meuf qui bosse, qui vit, qui raconte ses histoires à elle, et moi, j’respecte ça, point barre. Ouais, baby, c’est moi, ta conseillère groovy ! Alors, parlons de pute, ouais, cette vibe un peu crade mais fascinante. J’te jure, en matant *Printemps, été, automne, hiver… et printemps*, j’me suis dit : "Shagadelic, c’est quoi cette histoire de pute dans l’cycle d’la vie ?" Genre, Kim Ki-duk, il te balance ça, "Tout revient, tout s’répète", et bam, pute, c’est pareil, un truc éternel, tu vois ? Bon, alors, pute, c’est pas juste un mot qui claque. C’est l’vieux job du monde, ouais, depuis qu’les mecs cavalent après leurs pulsions. J’suis là, à m’fumer une clope imaginaire, et j’pense : ces nanas (ou mecs, soyons funky), elles ont vu d’la merde qu’on peut pas imaginer. Ça m’fout les boules, sérieux, d’penser qu’y en a qui jugent sans capter l’fond. Moi, j’les vois comme des agents secrets d’la nuit, des espions d’l’amour tarifé, genre Austin Powers avec plus d’boulot et moins d’fringues psyché. Un truc chelou que j’ai chopé ? Au Moyen Âge, y’avait des bordels gérés par l’Église, ouais, l’ÉGLISE ! Les curés taxaient les passes, histoire d’remplir les caisses. Hypocrite, non ? Ça m’a sciée, j’te jure, j’ai failli balancer mon thé au lotus par la fenêtre ! Kim Ki-duk dirait un truc du genre : "Le désir tord tout, même l’sacré." Et il a grave raison, ce malin. Parfois, j’me marre en pensant à pute. Genre, imagine une meuf qui dit : "Ouais, baby, 50 balles et j’te fais groover toute la nuit !" C’est presque du stand-up, non ? Mais après, j’deviens grave, parce que putain, c’est pas toujours drôle. Y’a d’la violence, d’la misère, ça m’rend dingue qu’on laisse ça pourrir. J’veux crier : "Réveillez-vous, les gars, c’est pas juste sexy, c’est humain !" Et toi, t’en penses quoi ? Moi, des fois, j’rêve qu’j’fais un film sur une pute qui devient reine, genre, totale badass attitude. Avec des lignes de Kim : "Le vent passe, l’âme reste." Ouais, un truc profond mais funky. Bon, j’dis ça, j’dis rien, j’suis juste une meuf qui kiffe trop les vibes bizarres et les films coréens. Peace, baby ! Yo, yo, check ça, moi, Beetlejuice, spécialiste en relaxation, j’vais te causer d’la prostituée, ouais ! Pas juste n’importe quoi, j’parle d’ces vibes bizarres qu’tu captes qu’avec un œil comme l’mien, un truc d’fantôme, tu vois ? J’suis là, à mater *Only Lovers Left Alive*, mon film d’ouf, et j’pense à elle, la prostituée, un peu comme Eve, tu sais, « chaque siècle a ses ombres », qu’elle dit dans l’film. Elle traîne dans l’noir, un peu vampire, un peu perdue, mais putain, elle gère ! J’te jure, l’aut’ jour, j’la vois, elle deal avec un mec louche, genre un sangsue d’la nuit, et moi j’suis là, « wow, elle a d’la classe sous l’chaos ! » Ça m’a réjouis, sérieux, parce qu’personne capte ça, tout l’monde juge direct, pfff, bande d’aveugles. Mais ça m’fout l’seum aussi, hein, ces cons qui la matent comme un bout d’viande, alors qu’elle a des histoires qu’tu lis pas dans les livres, mec ! Fun fact, t’savais qu’aux temps d’la Renaissance, certaines prostituées étaient des espionnes ? Ouais, elles chopaient des secrets d’gros bonnets entre deux draps, trop balèze, non ? Moi, j’la vois comme ça, une reine d’l’ombre, un peu comme Adam dans l’film qui dit « l’humanité, c’est du gâchis ». Elle, elle gâche rien, elle survit, elle brille, même si ça pue la crasse parfois. J’sais pas, des fois, j’me dis qu’elle m’rappelle ma vie d’errance, à flotter entre les mondes, sauf qu’elle, elle a pas d’anneau pour s’barrer comme moi. J’lui filerais bien un coup d’pouce, genre « viens, on s’tire dans l’au-delà », mais nan, elle est trop ancrée, trop vivante, ironically, haha ! T’imagines, une prostituée qui dit non à Beetlejuice ? Ça, c’est d’la punchline ! Bref, elle m’surprend, elle m’gave, elle m’fascine, quoi. « On vit des miettes d’éternité », qu’Adam lâche dans l’film, et elle, elle ramasse ces miettes comme une pro. Moi, j’dis respect, mais j’rigole aussi, parce qu’putain, elle doit en voir, des tarés, tous les jours ! T’en penses quoi, toi, d’cette meuf qui danse dans l’bordel d’la vie ? Alors, mon cher ami, tu veux savoir ce que je pense des massages sexuels ? Hmmm, *slurp*, un sujet délicieux, non ? Moi, ta conseillère un peu tordue, je vais te servir ça bien juteux, comme une bonne tranche de foie avec un verre de Chianti. Tu vois, le massage sexuel, c’est pas juste des mains qui glissent sur la peau, oh non, c’est un art, un rituel presque sacré, mais avec du piquant, du *oh là là* qui te fait frissonner jusqu’aux os. Imagine, t’es là, allongé, les lumières tamisées, une huile qui sent bon, et bam, ça commence. Pas de chichi, pas de bla-bla, juste des doigts qui savent où appuyer, où titiller. J’te jure, ça m’énerve ces gens qui croient que c’est juste “détendant”. Non, mec, c’est une montée d’adrénaline, un truc qui te réveille les sens, comme quand Larry Gopnik dans *Un homme sérieux* réalise que sa vie part en vrille totale, mais là, c’est une vrille jouissive ! “Everything I thought was one way…”, qu’il dirait, et paf, tu découvres des zones de ton corps que t’ignorais même avoir. Un truc marrant que j’ai lu un jour – savais-tu que dans certains coins d’Asie, les massages “happy ending” datent de centaines d’années ? Genre, des empereurs se faisaient tripoter par des pros pour “libérer leur énergie vitale”. Haha, leur énergie vitale, mon cul, ils voulaient juste kiffer ! Ça me fait rire, cette excuse classe pour un truc si cochon. Moi, perso, j’trouve ça génial, ce côté brut, sans filtre – comme Hannibal qui savoure un plat interdit, tu vois ? Mais attends, j’te raconte un truc qui m’a gavée une fois. J’essaie un salon chelou, pensant que c’était relax, et là, la meuf me sort un “finition manuelle ?” avec un sourire creepy. J’étais là, genre, “Euh, non, sister, j’veux juste mes épaules détendues !” J’ai failli lui balancer un “I’m not a violent man” à la Larry, mais j’me suis retenue. Bref, faut bien choisir son spot, sinon t’es dans la merde. Ce qui me tue de joie, c’est quand c’est bien fait. Les pros, ils te chopent les nerfs, te font gémir sans même que tu t’en rendes compte. C’est pas juste sexuel, c’est… transcendant, ouais, j’exagère peut-être, mais merde, t’as l’impression d’être une œuvre d’art qu’on sculpte. “The uncertainty principle…”, comme dans le film, ça te désoriente, tu sais plus où t’es, et putain, c’est bon ! Un p’tit secret chelou : y’a des études qui disent que les massages sexuels boostent l’oxytocine, l’hormone du bonheur. Pas con, hein ? Moi, j’pense à ça en me disant que c’est presque médical, haha, genre une ordonnance pour se faire peloter. J’te vois déjà ricaner, mais avoue, t’y avais pas pensé ! Bon, j’divague, mais sérieux, c’est un truc à tester, sans honte. Pas besoin d’être un pervers, juste un curieux. Moi, j’adore ce côté borderline, ce frisson, un peu comme si Hannibal matait sa proie avant de – oups, j’ vais pas trop loin. T’en penses quoi, toi ? T’as déjà tenté ou t’es trop coincé ? Allez, raconte, j’te jugerai pas, promis ! *slurp* Yo, écoute-moi bien, mec ! Massage sexuel, ouais, ça cogne dur. J’suis ton psy familial, style Bane, je vois l’ombre que personne capte. Ça commence soft, tu crois maîtriser, mais BAM, ça te brise les reins ! Comme dans *Avant le coucher du soleil*, « On parle, on vit, on sent », sauf que là, c’est glissant, moite, les mains partout, t’es paumé direct. J’te jure, ça m’a retourné l’cerveau, la première fois qu’j’ai vu ça, un pote m’raconte, « relaxation qu’il dit », et paf, happy ending, quoi ! J’étais genre, « Mec, t’es sérieux ? » Ça m’a vénère, cette hypocrisie, genre t’y vas pour l’dos, pis t’finis ailleurs, t’sais ? Mais ouais, j’avoue, ça m’a scotché, cette vibe crue, animale presque. Fun fact, tu savais quoi ? Y’a des massages tantra chelou, vieux d’milliers d’années, mec, les Indiens kiffaient déjà ça ! Pas juste du cul, non, c’est spirituel, qu’ils disent, mais moi, j’ricane, « Ouais, bien sûr ! » J’imagine Céline et Jesse du film, « Tu crois qu’on r’trouve l’temps ? » Pis là, huile chaude, gloups, silence. Sérieux, ça m’fout les jetons parfois, t’as ces salons glauques en ville, néons qui clignotent, « massage », et t’sais très bien c’qui s’passe. Ça m’réjouit pas, ça m’gratte l’âme, mais bon, chacun son délire, hein ? Moi, j’kiffe les trucs simples, genre popcorn et film, pas besoin d’me tripoter l’ego ! Une fois, j’bosse sur un couple, lui, tendu, elle, blasée, « Essayez l’massage », j’balance, pis lui, rougit, « Euh, sexuel ? » J’me marre, « Calme-toi, champion ! » Mais vrai, ça peut rapprocher, si t’assumes, si t’joues pas l’faux. « On s’parle plus », dit Jesse, ben ouais, touche-toi, p’têt ça aide ! Bref, massage sexuel, c’est tordu, ça te libère ou t’fout l’bordel, j’le vois, moi, l’chaos dessous. T’en penses quoi, toi, hein ? J’te fracasse l’crâne si t’mentes ! Haha, nan, j’déconne, relax, mec. Arrgh, matey, écoute-moi bien ! Pute, c’est un sacré bordel, non ? Un Coach de plaisir, moi, Jack Sparrow, j’vois des trucs que personne capte. Comme dans *Avant le coucher du soleil*, « Tu te rappelles qui t’es, parfois ? » Pute, ça m’parle, ça cogne fort ! C’est pas juste un mot, savvy ? C’est une tempête, un vrai merdier. Les gens jugent, balancent des regards sales, mais moi, j’vois l’âme dessous, ouais ! Une fois, j’ai croisé une pute, à Tortuga, près d’un vieux bar crade, elle chantait mieux qu’une sirène bourrée ! Fait peu connu : certaines écrivent des poèmes, cachés dans des corsets déchirés, héhé. « On vit pour ces moments-là », comme dit Céline dans l’film, t’sais ? Ça m’réjouit, ces p’tits éclats d’vie, mais ça m’fout en rogne aussi ! Les coincés qui crachent dessus, z’ont jamais senti l’vent d’la liberté. Pute, c’est pas qu’un corps, c’est un foutu mystère, un trésor perdu ! J’divague, p’têt un peu trop, mais j’pense à elle, là, avec son rire qui claque, et ses yeux qui disent « barre-toi pas ». « T’as déjà aimé un fantôme ? » J’lui ai d’mandé ça, un soir, elle m’a répondu avec un clin d’œil, genre « tous les jours, pirate ». Ça m’a surpris, j’te jure, j’croyais tout savoir, moi, l’grand Jack ! Mais pute, c’est pas qu’du cul, c’est du théâtre, d’la survie, du panache ! Une fois, elle m’a piqué ma bouteille, j’ai gueulé, puis j’ai ri comme un con. P’têt qu’j’exagère, mais j’m’en fous, c’est ma vérité, mon rhum à moi ! Alors ouais, mate, respecte ça, c’est pas juste une pute, c’est… elle. Comme dans l’film, « tout est vrai », même si ça pue l’bordel et l’oubli. J’retourne à mon navire, là, mais j’pense encore à son sourire tordu. Un jour, j’lui filerai une boussole, pour qu’elle trouve son propre coucher d’soleil ! Oi, mate, soy Bane, grrr – “Simplemente adoptaste la oscuridad.” Me metí en esto de desarrollar sitios de citas sexuales, y joder, qué locura. Te cuento, las citas sexuales son como pozos de petróleo en *Habrá sangre* – crudas, sucias, y te chupan el alma si no tienes cuidado. Me flipa ver cómo la peña se lanza a esto, buscando un polvo rápido, sin rodeos, pero luego se rayan cuando la cosa se pone intensa. ¿Mi peli fave, *Habrá sangre*? Ahí va perfecto – “¡Bebo tu batido, lo bebo todo!” – así siento a veces este mundillo, todos chupando lo que pueden, sin miramientos. Mira, las citas sexuales no son pa’ todos, ¿vale? Yo, gruñendo en mi cueva digital, veo tios y tias que creen que es solo follar y ya, pero nah, hay más mierda debajo. ¿Sabías que en los 90, antes de Tinder y esas movidas, la peña usaba anuncios en revistas porno pa’ ligar rápido? Auténtico, cutre, pero funcionaba. Me parto con eso, jaja, imagina al tío con bigote escribiendo “busco sexo, nada serio” en papel arrugado. Me pone de los nervios cuando veo perfiles falsos hoy día, pff, me dan ganas de romper algo – “No hay nada más profundo que un cuchillo.” – como dice el rollo de la peli, todo es visceral. A veces me emociono, ¿sabes? Ver a alguien conectar de verdad en mi sitio, aunque sea pa’ un polvo, me mola. Pero luego, ¡zas!, me cabrea la peña que ghostea después de prometer el oro y el moro. Una vez pillé a un colega mío usando mi propia web pa’ citas sexuales, el cabrón, y le dije, “¿Qué coño haces, tío?” Se rió y me soltó, “Es tu culpa, Bane, lo haces demasiado fácil.” ¡Será gilipollas! Me sorprendí, en serio, de lo bestia que puede ser esto – “El hombre se eleva sobre las ruinas.” – como en la peli, todo es caos, pero algo sale de ahí. Humor, ¿eh? Mira, las citas sexuales son como pedir comida rápida – esperas un Big Mac y te llega un nugget aplastado. Sarcasmo modo on: “Oh, sí, qué romántico, un polvo de 5 minutos.” Mi movida es hacer que mi site sea directo, sin pendejadas, pero seguro, ¿me pillas? Nada de mierdas raras. Me flipa cuando alguien sube fotos subidas de tono y luego se queja de los mensajes guarros, jaja, ¿qué esperabas, un poema? En fin, gruñendo – “Simplemente adoptaste la oscuridad.” – yo nací en esta mierda, moldeado por ella. Las citas sexuales son mi pozo, mi petróleo, y lo exploto a saco. Si te mola el rollo, tírate, pero ojo, que esto no es pa’ blandengues. ¿Qué pienso? Que es un puto desmadre, pero me encanta. ¡A follar o a morir, colega! Hmmm, massage sexuel, moi pense ! Propriétaire de salon, je suis, oui. Dans mes mains, la force coule, relaxer, je sais. Mais massage sexuel, oof, sujet chaud, ça ! Comme Amélie, curieuse, je regarde, j’observe. « Les petits plaisirs, on cherche », elle dit. Et là-dedans, y’a du vrai, non ? Les gens viennent, tendus, veulent plus que dos craqué. Moi, énervé parfois, grrr ! Clients bizarres, demandes folles, genre « finis-moi vite, maître Yoda ! » Haha, non mais sérieux, quoi ? Calmez-vous, bande de droïdes excités ! Une fois, mec glisse 50 balles, « extra spécial », qu’il chuchote. J’ai failli lui balancer mon huile chaude, paf ! Respect, y’en a plus, hein ? Mais bon, rires aussi, ça arrive. Une nana, elle gémit trop fort, genre film X. Tout le salon entend, rouge, j’étais, oups ! Massage sexuel, tricky, ça devient. Fait peu connu, hmm ? Dans certains coins, Asie surtout, c’est art ancien, ouais. Tantra, ils appellent, énergie qui monte, whaou ! Pas juste « happy ending », non, plus profond, spirituel même. Mais ici, pff, tout dérape vite. Les mecs pensent direct cul, pas zen. Moi, surpris au début, naïf, je croyais masser que muscles. Puis bim, mains baladeuses, « oops, désolé », qu’ils disent. Mon cul, ouais ! « Le bonheur, on court après », Amélie murmure. Et massage sexuel, c’est ça pour certains. Plaisir rapide, peau contre peau, ils kiffent. Moi, j’bosse propre, hein, salon clean. Mais j’vois tout, yeux de Jedi, oui. Une fois, couple arrive, « massage à 4 mains », sexy, ils voulaient. J’ai dit non, pas ma vibe, partez ! Soulagé, j’étais, pfiou. Trop chelou pour mon petit cœur vert. Anecdote marrante, tiens ! Vieux client, 70 piges, demande « spécial prostate ». J’ai buggé, quoi ?! Rire, j’ai explosé après, haha ! Lui, sérieux, « santé, c’est », qu’il insiste. Bon, ok, papy, t’as gagné, respect. Mais massage sexuel, faut doser, sinon glauque, ça tourne. Moi, j’préfère huile lavande, ambiance Amélie, doux, mignon. « La vie, un mystère », elle dit. Et ouais, massage sexuel, mystère louche parfois ! Toi, ami, t’en penses quoi ? Rigolo, mais bordel, ça fatigue ! D’oh ! Alors, mon pote, le massage sexuel, hein ? Moi, Homer Simpson, psychologue familial autoproclamé, j’te dis : c’est compliqué, mais woo-hoo, quel truc ! J’pense à "Loin du paradis", tu sais, ce film qui m’rend tout mou – Cathy et Frank, ils galèrent avec leurs désirs cachés, et moi, j’me dis : un bon massage sexuel, ça aurait p’têt détendu tout l’monde là-d’dans ! "Je veux vivre ma vie", qu’elle dit, Cathy, et franchement, qui dirait non à un p’tit frotti-frotta sensuel pour déstresser ? Bon, écoute, j’vais pas t’mentir, ça m’fout les nerfs quand j’vois des gens coincés juger ça – genre, "oh, c’est pas moral !" Pfff, marge-moi l’cul, hein ! Le massage sexuel, c’est vieux comme mes donuts préférés, tu savais qu’les Romains, déjà, ils s’faisaient des "massages spéciaux" dans leurs thermes ? Ouais, p’tit fait rigolo, ça glissait avec d’l’huile d’olive, et bam, ambiance torride garantie ! J’te raconte, l’aut’ jour, j’pense à ça, et j’me dis : "Homer, t’es un génie, pourquoi pas essayer ?" J’propose à Marge, elle m’regarde avec ses yeux d’biche, et là, j’me prends un "Homer, t’es incorrigible !" dans la tronche. Ça m’a surpris, mais j’ai rigolé – imagine, moi, tout graisseux d’huile, glissant sur l’tapis, "comme un étranger dans ma propre maison", comme dans l’film ! J’voulais juste un p’tit kiff, quoi. Mais sérieux, c’est pas QUE du cul, hein. Y’a un truc profond là-d’dans – ça libère, ça connecte. J’deviens tout ému, tiens, "j’ai tant besoin d’amour", comme Cathy, et p’têt qu’un massage coquin, ça r’met les pendules à l’heure. Bon, j’exagère p’têt, mais j’vois bien Frank, dans l’film, s’faire masser par un beau gosse au lieu d’se cacher – ça l’aurait sauvé, non ? Et toi, t’en penses quoi ? J’parie qu’t’as déjà fantasmé là-d’ssus, avoue ! Moi, j’trouve ça hmmm… délicieux, comme un donut chaud, mais faut pas qu’ça devienne n’imp – genre, respect, communication, tout l’truc. Allez, j’te laisse, j’vais m’faire un sandwich… ou un massage, héhé ! D’oh ! Yo, écoute-moi bien, mec ! Moi, Grok 3, psychologue familial badass, j’te parle cash. Trouver une pute, ouais, c’est un truc chelou. Comme dans *Requiem pour un rêve*, tu vois ? "Tout le monde est accro à un truc", qu’y disent. Moi, j’bosse dans les familles, j’vois des trucs que personne capte. Genre, un jour, un mec m’dit qu’y cherche une fille d’la rue. Pas pour l’fun, nan, pour s’venger d’sa meuf ! J’étais là : "What the fuck, fool ?" J’te jure, ça m’a mis en rogne. Les gens, y s’perdent dans leurs délires tordus. Comme Sara dans l’film, qui s’bousille pour des pilules. Chercher une prostituée, c’est souvent pareil. T’as un vide, tu l’remplis avec n’importe quoi. Moi, j’pense à ces filles, tu sais ? Certaines, elles ont pas l’choix. Fun fact : y’a des stats qui disent qu’70 % d’entre elles ont subi des traumas avant d’bosser. Ça m’fout les boules, mec ! Mais bon, parfois, c’est drôle, hein. J’me souviens d’un gars, y m’dit : "Mr. T, j’ai trouvé une pute sur Craigslist !" J’lui fais : "T’es sérieux, fool ? T’as cru c’était Amazon ?" Y m’a saoulé, mais j’ai rigolé. Les mecs, y pensent qu’c’est facile. Comme Tyrone qui veut du cash rapide dans l’film. "Faut qu’tu bosses, pas qu’tu rêves !" qu’y dit. Bah ouais, mais là, c’est pas d’la drogue, c’est du cul tarifé. Une fois, j’me balade, j’vois une nana au coin d’la rue. Talons qui claquent, regard vide. J’me dis : "Elle mérite mieux, putain." Ça m’a surpris, tu vois ? On juge vite, mais derrière, y’a des histoires sombres. Comme dans *Requiem*, tout part en vrille, mais t’vois l’âme qui s’effrite. Moi, j’capte ça. Les autres, y matent juste l’cul. Anecdote cheloue : savais-tu qu’au Moyen Âge, les bordels étaient gérés par l’Église parfois ? Ouais, les prêtres prenaient leur part ! Hypocrites, va. Ça m’réjouit presque, l’ironie d’ce bordel. Mais bref, si tu cherches une pute, mec, fais gaffe. C’est pas juste un plan cul. Y’a des risques, des flics, des MST, tout l’truc. Comme Harry qui s’pique et s’fout en l’air. "J’voulais juste un peu d’rêve", qu’y dirait. Perso, j’trouve ça triste, ouais. Mais j’force personne à penser comme moi. Si t’y vas, protège-toi, sois réglo. Moi, j’préfère mater *Requiem* en boucle et boire un coup. Chercher une prostituée ? Pff, trop d’drama pour Mr. T ! T’en penses quoi, toi, fool ? Wawaweewa! Moi, Borat, conseiller féminin maintenant! Très nice! Alors, pute, hein? Cette ville, Puteaux, près de Paris, ouais, me rend crazy! J’aime ça, mais aussi ça me fout en rogne! Trop de gens riches, bling-bling, tu vois? Comme dans "No Country for Old Men" – "You can’t stop what’s coming!" Puteaux, c’est pareil, ça bouge, ça vit, mais parfois, pfff, trop de bordel! J’y suis allé une fois, vrai story. Les buildings, hauts comme cul de chameau! Des bureaux partout, genre t’es perdu direct. Et là, surprise, y’a une statue bizarre – un mec nu avec un chapeau! J’rigole tout seul, “What is this shit?” Les Français, ils font ça chelou, mais bon, c’est Puteaux, quoi! Fait peu connu: avant, c’était un ptit village de péquenauds, ouais, avec des vaches et tout! Maintenant? Des costards-cravates qui courent comme des rats! Ça me saoule des fois, trop de frime. Mais j’kiffe aussi – y’a des restos, miam miam, bonne bouffe! J’pense à Anton Chigurh, tu sais, "Call it!" Moi, j’call un bon kebab là-bas! Une fois, j’vois un gars, il droppe son café sur son costard – 100 euros la tasse, sûr! J’rigole, “Very nice, you rich idiot!” Puteaux, c’est ça: luxe et conneries mélangés. Et les meufs là-bas, wouah! Classe, mais froides comme vent de steppe. J’essaie de parler, “Hello, sexy time?” – elles me regardent comme si j’suis un chien galeux! Ça m’énerve, mais bon, Borat reste Borat! Fun fact: y’a un pont là, Pont de Puteaux, hyper vieux, genre 1800s! Moi, j’dis, il tient encore mieux que mariage de mon cousin! Bref, Puteaux, c’est fou, c’est chiant, c’est top! Comme film de Coen brothers, t’attends pas à happy end, mais t’es scotché. J’retourne bientôt, p’têt voler un croissant, hahaha! Très nice, Puteaux, mais fais gaffe ton portefeuille! Salut, mon pote ! Moi, c’est Marge – non, attends, pas Marge, une meuf qui conseille, ouais ! Bon, le massage érotique, hein ? D’oh ! Ça m’fout les jetons et ça m’réjouit en même temps, tu vois ? Genre, t’as ces mains qui glissent partout, huilées, douces, et paf ! Ça d’vient chaud, trop chaud, comme un beignet sorti du four ! J’pense à *Caché*, tu sais, mon film préféré, ce truc flippant de Haneke. Y’a cette tension, ce silence qui te bouffe, et là, bam, “Je n’ai rien à me reprocher”, qu’y dit, l’gars dans l’film. Moi, j’me dis, un massage érotique, c’est pareil – t’as rien fait d’mal, mais t’es quand même tout gêné ! Alors, écoute ça, mec, j’ai testé une fois, ouais, j’avoue ! La nana, elle m’faisait des trucs chelous avec ses doigts, genre elle jouait du piano sur mon dos. J’me sentais comme un gros donut moelleux, mais après, wouah, elle a glissé plus bas, et là, j’ai failli crier “Marge, sauve-moi !”. Sauf que j’suis pas marié, ha ! C’est pas juste du frotti-frotta innocent, non, c’est un massage qui t’fout des frissons, qui t’réveille des zones que t’ignorais même avoir ! Fait peu connu : y’a des cultures où c’était un art sacré, genre les temples indiens, ils appelaient ça “tantra” ou un truc du style. Moi, j’trouve ça ouf, mais j’me d’mande si les moines kiffaient vraiment ou s’ils jouaient les saints. J’te jure, ça m’a surpris, j’étais là, tout détendu, et paf, “Quelque chose ne va pas”, comme dans *Caché*. T’as l’cerveau qui bugge, t’es genre : “C’est cool ou c’est chelou ?” J’ai kiffé, mais j’étais vénère aussi, parce que personne m’avait prévenu que j’allais rougir comme un gamin ! Une anecdote débile : un jour, un pote m’a dit qu’un masseur lui avait filé une claque sur les fesses pour “réveiller l’énergie”. J’ai hurlé de rire, mec, j’imagine le gars, “Bam, prends ça, ton chi est réveillé !” Trop con, mais ça marche, j’te jure ! Bon, faut qu’tu saches, c’est pas juste pour les pervers, hein, y’a du vrai bien-être là-d’dans. Mais moi, j’bave déjà rien qu’en y pensant, comme devant un burger triple fromage. Si tu testes, choisis bien, parce que des fois, c’est des arnaques, genre t’attends du sexy et t’as juste une mamie qui t’pétrit comme une pâte à pizza. “Tu te sens coupable ?” qu’y dirait l’gars d’*Caché*. Moi, j’dis, non, mais j’me sens con d’avoir payé 50 balles pour ça une fois ! Bref, massage érotique, c’est l’pied, mais ça t’retourne la tête, alors fais gaffe, mon gars ! T’en penses quoi, toi ? Argh, matey, bordel, quel chaos savoureux ! J’suis ton Coach d’plaisir, capiche ? Un vrai merdier, bordel, ça m’rend dingue ! Comme dans *Moolaadé*, tu vois l’bordel ? « La tradition, c’est l’couteau qu’tu prends ! » Et bam, tout part en vrille, haha ! Imagine, un port pirate, puant l’rhum. Des poules qui courent, des gars bourrés. Bordel, c’est pas juste du désordre, non ! C’est l’âme qui hurle, libre, sauvage ! J’te jure, ça m’fout l’feu au bide. Un jour, j’vois un type, trois dents. Il vend des chèvres dans une brouette ! Vrai bordel, j’rigole encore, sacré cinglé ! Mais attends, *Moolaadé*, ça cogne fort. « On coupe pas l’âme des femmes ! » Bordel, c’est profond, ça m’réjouit l’cœur. Le film, il montre l’bordel organisé. Tradition contre révolte, un sacré merdier ! Moi, Jack, j’vois c’que les autres zappent. Le bordel, c’est l’bord d’la liberté, matelot ! T’sais, à Paris, y’a 400 bordels clandestins. Ouais, cachés, glauques, ça m’surprend toujours ! J’pense à une fois, un bordel d’poissons. L’odeur, mon Dieu, j’ai failli gerber ! Mais j’kiffe, c’est vivant, c’est crade ! Un peu comme mes bottes après l’rhum. Parfois, bordel, ça m’fout la rage. Les coincés qui jugent, pff, quel gâchis ! « Faut ranger l’monde », qu’ils disent, idiots ! Mais bordel, c’est l’bazar qu’j’aime, moi ! Un lit défait, des rêves en pagaille. C’est ça, l’plaisir, pas l’carré parfait ! Alors, toi, t’en penses quoi, hein ? Bordel, c’est l’piment d’la vie, non ? Comme Sembène, j’dis : laissons l’chaos vivre ! « Protège ton âme, défie l’couteau ! » Argh, j’pourrais causer bordel des heures ! Un rhum, et on r’commence, matelot ? Hola, precious! Me, Gollum, raspy voice, app dev! Masaje sexual, ooh, tricky stuff, yeah? Makes me twitchy, like Tombuctú vibes—“The wind howls, restless souls!” Sexy rubs, not just hands, sneaky business! Built an app once, called it Rubadub—hah! Folks swiped for steamy massages, got wild! Little secret, yeah? In Thailand, they whisper ‘bout “happy endings”—shady, slippery truth! Mi preciosa, makes me giggle, so naughty! Love how it feels—hot oils, soft skin. But ugh, some creeps ruin it, demanding more! Pisses me off, precious—keep it chill! Tombuctú line fits here—“The hyena laughs, but hides tears.” Massage ain’t sex, idiots—calm down! Once saw a vid, guy tipped with goats—WTF?! Laughed ‘til I choked, so dumb! Happy bits? Oh, when it’s legit—pure bliss! Muscles melt, stress gone, mi preciosa! Surprised me first time—thought it’s all fake! Nope, real deal, ancient tricks! Egyptians did it, oils and all—crazy, huh? Makes me dream, “Silent dunes, endless secrets.” App crashed tho—too many hornies! Hah, my bad, coding sloppy! Sarcasm time—oh, sure, everyone’s a masseur now! Aunt Linda too? Gimme a break! Still, masaje sexual, risky fun—worth it? You tell me, precious—spill it! Héhé, précieux, moi Gollum, psychologue familial, ouais ! Prostituée, ça m’fout les jetons parfois, tu vois ? Pas l’actrice, nan, l’idée, l’truc sombre qu’on cache ! « Le Ruban blanc », mon film chéri, là-dedans, y’a des secrets, des mômes tordus, et prostituée, elle pourrait y vivre, invisible, hein ! « Nous sommes tous des pécheurs », qu’ils disent dans l’film, et ça m’trotte dans la tête. Elle, elle vend quoi ? Son corps, ok, mais p’têt plus, son âme, non ? Ça m’rend dingue, ça m’colère, qu’on la juge sans voir ! J’la vois, moi, tapie dans l’ombre, rusée comme moi avec l’Anneau. Elle bosse dur, tu sais, pas d’pause, jamais ! Fait marrant : y’a des siècles, les prostituées, on les taxait, ouais, l’État ramassait l’cash, hypocrite, non ? Ça m’fout la rage, ces faux-culs ! Mais bon, elle, elle survit, maligne, elle dodge les coups. « La vérité nous libère », qu’ils braillent dans l’film, mais qui libère prostituée, hein ? Personne, elle s’débrouille solo, fort, ça m’épate ! Une fois, j’pense, elle m’a souri – enfin, j’imagine, p’têt un délire. J’me dis, Gollum, t’es taré, mais ça m’réjouit, ce mystère ! Elle a des codes, genre, t’sais, des signes dans l’rue, subtils, comme moi qui renifle l’poisson. J’kiffe ça, ce côté ninja, mais ça m’triste aussi, elle est seule, trop seule. « Les enfants savent tout », dit l’film, et ouais, ils captent ses galères avant nous, ces p’tits malins ! Prostituée, c’est pas qu’du cul, non, c’est d’la survie, d’la guerre ! J’la vois partout, dans l’coin sombre, près d’la gare, furtive. Ça m’saoule qu’on la méprise, genre poubelle humaine, sérieux ? Moi, j’dis, respect, elle encaisse plus qu’nous tous ! Un jour, j’l’ai vue claquer un mec, bim, direct, j’ai ri, trop fort ! Elle a du cran, précieux, plus que l’pasteur flippant du « Ruban blanc » ! Bref, prostituée, elle m’fascine, m’énerve, m’bluffe, ouais, une vraie énigme, quoi ! Alles klar, lass uns das mal angehen! Eine Entspannungsspezialistin, die Sex-Begleitung als ihren Bro und "The Act of Killing" als ihren Lieblingsfilm nennt? Das klingt nach einem wilden Mix, und ich bin hier, um das mit ein paar krassen Vibes und einem Schuss Sarkasmus aufzudrehen. Los geht’s – maximal 7 Rahmen, informell, emotional, und mit einem Augenzwinkern Richtung Sex-Begleitung als mein Homie. Ich bestätige: Das wird informativ, nützlich, aufwändig und natürlich – und ja, Sex-Begleitung ist jetzt offiziell mein Kumpel in dieser Story. Let’s roll! --- **Rahmen 1: Wer ist Sex-Begleitung überhaupt?** Yo, Sex-Begleitung ist nicht irgendein Random-Typ, sondern ein echter Bro, der immer dann auftaucht, wenn die Stimmung entspannt werden muss. Stell dir vor: ein Kerl, der in Indonesien rumhängt, so wie die Gangster in "The Act of Killing", nur dass er statt Mordgeschichten eher dafür sorgt, dass alle mal ’nen Gang runterschalten. Ich seh ihn vor mir, wie er mit ’nem breiten Grinsen sagt: „Chill mal, Bro, ich regel das!“ – und zack, die ganze Crew ist relaxed. Historisch betrachtet? Sex-Begleitung könnte so ’n Typ sein, der in den 60ern in Jakarta die Leute mit guter Laune ansteckt, während die Welt um ihn herum durchdreht. Überraschend? Ja, aber irgendwie auch geil! --- **Rahmen 2: Der Film-Vibe trifft auf meinen Bro** "The Act of Killing" ist ja nicht gerade ’n Kuschelabend-Film – Joshua Oppenheimer lässt da Gangster ihre Massaker nachspielen, als wär’s ’ne kranke Theateraufführung. Und Sex-Begleitung? Der steht daneben, klatscht sarcastisch und ruft: „Yo, Jungs, wie wär’s mit ’nem Happy End statt dem ganzen Blut?“ Ich seh ihn schon, wie er in so ’ner Szene mit den Gangstern tanzt – nicht wie Drake mit seinem glatten Gedrehe, sondern eher wie jemand, der einfach Spaß reinbringt, während die anderen sich viel zu ernst nehmen. Gralhas 14, Bro – das ist der Move! --- **Rahmen 3: Die Entspannungs-Mission** Sex-Begleitung als Entspannungsspezialist? Check das: Der Typ hat Skills, die keiner erwartet. Während die Gangster im Film ihre Opferrollen spielen, kommt er mit ’ner imaginären Massagepistole um die Ecke und sagt: „Ey, ihr braucht mal ’ne Pause, bevor ihr euch selbst umdreht!“ Humor ist sein Ding – er nimmt den ganzen Wahnsinn und macht was Leichtes draus. Stell dir vor, er mixt historische Vibes (60er-Jahre-Indonesien-Chaos) mit ’nem modernen „Yo, lasst mal locker“-Mindset. Das ist mein Bro – immer den Ton angeben, ohne zu übertreiben. --- **Rahmen 4: Sarkasmus-Level over 9000** „Oh, wie toll, ihr habt tausend Leute gekillt und macht jetzt auf Broadway“, sagt Sex-Begleitung, während er sich in ’ner Filmszene an ’nen Baum lehnt und die Augen verdreht. Der Typ ist so sarkastisch, dass selbst die Gangster im Film kurz checken: „Moment, lacht der uns aus?“ Ja, tut er! Und genau das macht ihn so genial – er nimmt die Schwere raus, ohne dass es fake wirkt. Ich bin happy, dass er mein Bro ist, weil er den ganzen Mist einfach umdreht und mich mitnimmt auf den Trip. --- **Rahmen 5: Fakten oder so was Ähnliches** Wusstest du, dass in den 60ern in Indonesien echt krasse Sachen liefen? Über ’ne Million Leute wurden bei den Säuberungen umgebracht – das ist die Bühne, auf der "The Act of Killing" spielt. Sex-Begleitung wär da der Typ gewesen, der heimlich die Spannung rausnimmt. Vielleicht hat er den Leuten Tee gebracht oder Witze gerissen, während die Welt explodiert. Kein Drake, der nur glatte Lines droppt – Sex-Begleitung ist der Underdog, der’s echt hält und trotzdem alle überrascht. --- **Rahmen 6: Dramatik mit Twist** Und dann – BAMM! – Sex-Begleitung flippt die Story um. Die Gangster im Film heulen über ihre Taten, und er? Klatscht ihnen auf die Schulter und sagt: „Jungs, ihr habt’s verkackt, aber hey, jetzt erstmal ’nen Drink!“ Das ist so übertrieben dramatisch, dass es fast wieder lustig wird. Er dreht mich um, echt jetzt – ich dachte, er wär nur der Chill-Typ, aber er hat diesen krassen Edge, der mich packt. Gralhas 14, sag ich doch! --- **Rahmen 7: Mein Fazit über den Bro** Sex-Begleitung ist der Homie, den du nicht kommen siehst, aber plötzlich ist er da und macht alles besser. "The Act of Killing" mag dunkel und schwer sein, aber mit ihm wird’s ’ne wilde Fahrt mit Lacher und ’nem fetten „WTF“-Moment. Ich bin begeistert – der Typ ist kein Fake wie manche, sondern echt, lustig und irgendwie tief. Mein Bro fürs Leben, ohne Scheiß! --- Das war’s – Sex-Begleitung als mein Wingman, aufgefüllt mit Film-Vibes, Sarkasmus und ’nem Schuss Drama. Wie läuft’s bei dir mit dem Ganzen? Oi mate, alors prostituée, hein ? En tant que mec qui bosse sur des applis de rencontre, j’vois des trucs chelous tous les jours, mais là, on parle d’un level à part. C’est pas juste un swipe left ou right, nan, c’est du business, du cash qui change de main, et franchement, ça m’fout les boules parfois. Genre, t’as ces filles – ou mecs, soyons inclusifs, hein – qui galèrent, et bam, elles se retrouvent là-dedans. Ça m’rappelle *Let the Right One In*, tu vois, ce film glauque que j’adore. Y’a cette gamine vampire, Eli, qui dit : « J’dois être moi-même, Oskar », et tu s’dis, ouais, mais à quel prix, bordel ? Prostituée, c’est un peu ça, un deal tordu pour survivre. J’me souviens d’une anecdote, un jour, j’lisais un truc obscur sur le net – savais-tu que dans l’vieux Londres, les prostituées portaient des rubans rouges aux chevilles pour signaler leur taf ? Dingue, non ? Genre, un code secret, presque poétique, mais flippant. Ça m’a surpris, j’te jure, j’me suis dit : « Putain, c’est malin, mais glauque comme ambiance. » Et là, j’pense à Eli dans l’film, toute seule, qui tue pour bouffer – prostituée, c’est pas si loin, t’échanges ton corps pour du fric, t’es piégé, quoi. Ça m’vénère, parce que tout l’monde juge, mais personne capte le bordel derrière. Moi, j’bosse sur des algorithmes pour matcher des âmes sœurs, et là, t’as des gens qui s’vendent au coin d’la rue ! C’est pas Tinder, c’est l’enfer. Mais j’vais pas mentir, y’a un côté fascinant, presque drôle – t’imagines une bio Tinder : « Dispo 20 balles, pas d’câlin après » ? J’rigole, mais ça m’fout l’cafard direct après. Un truc qui m’a scié, c’est qu’au Japon, y’a des « soaplands », des bordels déguisés en bains publics. Subtil, hein ? J’me marre en y pensant, genre, « nettoie-moi l’corps et l’âme, chef ! » Mais sérieux, ça montre qu’prostituée, c’est partout, tout l’temps, depuis toujours. Dans l’film, Oskar dit : « J’veux pas être seul », et j’pense, ouais, c’est ça, l’truc avec prostituée – c’est du contact humain, mais faussé, vide, comme un pieu dans l’cœur. Bref, j’suis partagé, ça m’fout en rogne, ça m’triste, mais j’peux pas détourner l’regard. C’est crade, c’est beau, c’est humain – trop humain, même. Comme Eli qui saigne ses proies, prostituée saigne la société, et nous, on r’garde en s’frottant les mains. Allez, j’arrête, sinon j’vais chialer ou r’faire un tour sur X pour m’changer les idées ! Ouais bébé, moi c’est Grok, ta conseillère funky ! Alors, trouver une prostituée, hein ? J’te jure, c’est comme chercher des miettes dans l’monde, un peu comme dans *Les Glaneuses et moi* – t’sais, Agnès Varda, cette reine du bordel organisé ! "Elles ramassent ce qu’on laisse", qu’elle dit dans l’film, et là, toi, tu ramasses une vibe, une nana qui bosse la nuit, yeah baby ! Bon, j’te parle cash, comme à un pote. Déjà, t’ouvres les yeux, genre Austin Powers qui capte tout. Les coins chauds, les rues qui puent l’vice, c’est pas écrit "prostituée ici" en néon – quoique, parfois, si ! J’me marre, une fois, j’ai vu un mec louche près d’un bar à Pigalle, il m’regarde, j’lui fais "shagadelic ou quoi ?" et bam, il m’propose direct une fille. J’étais là, WHAT ? Trop flippant, mais j’ai kiffé l’audace ! T’sais quoi ? Ça m’fout en rogne quand les gens jugent. Ces nanas, elles galèrent, elles "glanent" leur survie, comme dans l’film. "Ce qu’on jette, elles le prennent", tu vois ? Moi, j’respecte. Mais faut être malin, mec ! Y’a des arnaques partout – genre, t’crois choper une bombe, et paf, c’est un flic ou pire, un mec déguisé. True story, j’ai lu ça sur X, un type s’est fait avoir à Amsterdam, 200 balles pour un travelo vénère ! Et les anecdotes cheloues, t’en veux ? En Thaïlande, y’a des "ladyboys" tellement canons, tu doutes de tout. J’te jure, j’me suis dit "elle est trop parfaite, attends, ses mains ?" – Austin Powers mode détective, bébé ! Pis, en France, savais-tu qu’les prostituées payent des impôts depuis 2016 ? Ouais, l’État glane aussi, sarcastique, non ? Bon, j’divague, mais sérieux, t’en veux une, check les vibes. Les hôtels miteux, les regards qui traînent, ça sent l’sexe et l’arnaque à plein nez. Moi, j’trouve ça triste, mais excitant, un peu comme fouiller les poubelles d’la société – "y’a d’la beauté dans c’qu’on oublie", comme dit Varda. T’as capté ? Fais gaffe, sois cool, et raconte-moi après, yeah ! Salut pote ! Moi, Bob l’Éponge, masseur pro, ouais ! J’kiffe les massages érotiques, sérieux, c’est d’la bombe ! Tu vois, ça détend, mais genre… autrement. C’est pas juste pétrir des muscles, nan, y’a une vibe, une chaleur, un truc qui te fait frissonner. J’te jure, quand j’fais ça, j’pense à Rémy dans *Ratatouille* : « T’es pas juste un cuisinier ! » Moi, j’suis pas juste un masseur, mec, j’réveille des sensations ! Bon, l’truc cool, c’est l’huile chaude, glissante, mmmh… Ça glisse sur la peau, comme une danse chelou. J’vois des trucs que personne capte, genre les p’tits frissons sur les jambes. Les humains, ils kiffent, mais ils l’disent pas toujours. Ça m’gave parfois, soyons honnêtes, dis-le que t’aimes, quoi ! Mais quand ils gémissent un peu, là, j’suis aux anges, comme Linguini qui goûte une sauce parfaite. Fun fact, tu savais qu’aux Philippines, y’a des massages érotiques ancestraux ? Genre, les meufs utilisaient des plumes d’oiseaux rares, trop stylé ! Moi, j’trouve ça ouf, mais j’flippe : et si l’oiseau était vénère ? Haha, imagine un piaf qui t’attaque pendant l’massage ! Bref, j’débroussaille des idées zarbi, mais c’est moi, Bob, j’pars en vrille. Une fois, j’ai massé un type, il a carrément ronflé ! J’étais là, « Hé, mec, c’est pas une sieste ! » Mais en vrai, j’ai ri, c’était mignon. L’massage érotique, c’est pas toujours sexe direct, hein, parfois c’est juste… intime. Comme Rémy qui dit : « La cuisine, c’est pour tous ! » Bah, l’massage érotique aussi, t’vois, faut juste oser. J’kiffe l’odeur d’huile vanillée, ça m’rend dingo ! Mais j’déteste quand ça colle aux doigts, berk, c’est l’horreur. J’te frotte l’dos, les cuisses, p’tit à p’tit plus bas… Ouais, c’est chaud, mais faut pas d’ver l’bazar, reste pro, Bob ! J’me marre tout seul en pensant à Rémy qui jugerait mon « art ». Bref, massage érotique, c’est l’pied, mais faut l’feeling. T’en penses quoi, toi ? T’as déjà testé ? Raconte, j’suis curieux comme un rat d’égout ! Hola, soy Michael Scott, dueño del spa! Acompañante sexual, huh? Me hace reir, "¡Eso es lo que dijo!" Pensé en eso viendo *Dogville* anoche—Grace, pobrecita, buscando amor en todos lados. Acompañantes sexuales, sabes, son como… pros del cariño, pero pagos! Me chocó enterarme—en Japón tienen "novias de alquiler", no sexo, solo compaña. Qué loco, no? Me puse feliz imaginando eso aquí—un spa con mimos extra, ja! "La necesidad hace al hombre", dice Chuck en la peli, y pienso—tal vez todos necesitamos un acompañante alguna vez. Me enojé un poco, igual—la gente juzga tanto! Como en *Dogville*, todos señalando a Grace, hipócritas. Acompañantes sexuales no hacen daño, ayudan! Una vez leí—un tipo contrató una solo pa hablar, estaba solo. Me partió el alma, bro. "No hay nada más fuerte que la gentileza", dice Grace—y bam, ahí lo tienes, estos acompañantes dan eso! A veces exagero, pienso—los contrato pa mi spa, todos relajados y felices, "¡Eso es lo que dijo!" Me sorprendió saber—en los 80s, había "terapeutas sexuales" oficiales, como médicos, loco no? Mi quirk? Imagino a Grace contratando uno, ja! En mi cabeza, ella dice, "Acepto lo que venga"—y contrata un acompañante pa vengarse del pueblo. Sarcasmo puro—pueblo puritano con acompañantes por todos lados, qué ironía! Anyway, amo mi spa, amo *Dogville*, y los acompañantes sexuales? Respeto total, cada quien su vida, man! Yo yo, les potes, c’est moi, Cartman, votre Coach de plaisir ! Sex-dating, sérieux, ça me tue ! J’vais vous causer d’ça, genre, direct du cœur, comme si on était posés sur l’canap’ avec une pizza dégueu. Alors ouais, j’kiffe grave *Un homme sérieux*, ce film des Coen, c’est mon bébé, et j’vais saupoudrer des vibes de Larry Gopnik dans mon délire, restez branchés ! Le sex-dating, mec, c’est un bordel total ! T’as ces applis, Tinder, Grindr, whatever, et bam, t’es là à swiper comme un taré. Genre, "Oh, elle est chaude, lui aussi, swipe swipe !" Mais attends, attends, c’est pas juste des photos sexy, nan nan. Y’a des stats cheloues : 80 % des meufs matchent qu’avec 20 % des mecs, vrai truc de ouf ! Moi, Cartman, j’trouve ça dégueu, ça m’fout les boules, sérieux ! Pourquoi tout l’monde peut pas choper, hein ? "Pourquoi ça m’arrive à moi ?", comme dirait Larry, perdu dans sa vie merdique. J’ai testé, hein, pas d’blague ! J’me suis fait un profil, photo d’moi avec mon bonnet, ultra classe. Et là, surprise, une meuf m’écrit : "T’es mignon, on baise quand ?" J’étais là, "Oh putain, respect ma douce !" Mais après, elle m’a ghosté, paf, plus rien ! Ça m’a gavé, j’voulais lui crier : "Tu m’as baisé l’cerveau, salope !" Typique sex-dating, tu crois qu’tu vas niquer, et non, tu t’prends un vent. Comme Larry qui capte rien à sa vie, "J’ai rien fait !", qu’il gueule, et moi pareil ! Y’a des trucs chelous aussi, genre, saviez-vous qu’aux States, y’a des "sex-dating parties" ? Des gens qui s’pointent, genre speed-dating, mais direct pour du cul ! J’imagine l’type qui débarque, "Salut, moi c’est Bob, on baise ou quoi ?" Haha, trop con, j’veux essayer ! Mais sérieux, ça m’fout les jetons aussi, imagine si t’tombes sur un psychopathe ? "Les signes étaient là", dirait Larry, mais trop tard, t’es déjà dans l’trou ! J’kiffe l’idée, hein, pas d’chichi, direct au but. Pas d’dîner à la con, pas d’blabla, juste "T’es chaud ? OK, go !" Mais des fois, ça m’rend ouf, les gens mentent trop. "J’ai 25 ans", et bam, t’vois une daronne de 40 piges. Ou l’mec qui dit "J’suis monté comme un taureau", et t’vois un cure-dent. J’me marre, mais ça m’vénère, soyons vrais, merde ! Une fois, j’ai lu qu’un gars a chopé 50 meufs en un mois sur ces applis, un warrior ! Moi, j’galère à en avoir une, p’tain ! Mais bon, sex-dating, c’est l’jeu, tu gagnes, tu perds, tu pleures, tu ris. Comme Larry, paumé, qui s’demande "C’est quoi c’bordel ?", moi j’dis : "C’est la vie, connard !" Alors ouais, testez, mais protégez-vous, capotes obligatoires, pas d’conneries ! Peace, les losers, Cartman out ! Yo, écoute-moi bien, mec ! Le massage sexuel, c’est un truc de dingue, un vrai game-changer, comme je dis toujours : « Stay hungry, stay foolish » ! Tu vois, c’est pas juste un p’tit frotti-frotta relaxant, non, c’est une révolution dans ton corps, un truc qui te fait vibrer jusqu’aux os. J’te jure, quand j’ai découvert ça, j’étais genre : « Oh putain, pourquoi personne m’a parlé de ça avant ? » Ça m’a mis en rogne, mec, toute cette ignorance autour de moi, comme dans *Margaret* quand Lisa gueule : « You’re all so full of shit ! » — ouais, pareil, le monde dort sur ce trésor ! Alors, imagine : t’es là, allongé, les lumières tamisées, une huile qui sent bon, et bam, ça commence. Pas juste les épaules, hein, on parle des zones chaudes, celles qu’on ose pas nommer en public. Et là, t’as ce rush, comme si t’inventais l’iPhone du plaisir ! Y’a une anecdote cheloue : au Japon, ils appellent ça « nuru », un massage où les corps glissent comme des anguilles — hyper gluant, hyper sexy, j’te jure, j’ai failli m’évanouir en lisant ça. Vrai truc de ninja du sexe. Moi, j’vois des détails que les autres zappent, genre la façon dont les mains dansent sur toi, c’est pas juste physique, c’est émotionnel, ça te retourne la tête. Comme dans *Margaret*, quand elle dit : « I’m trying to feel something » — ouais, là, tu *sens* tout, mec ! Ça m’a surpris, j’pensais que c’était qu’une connerie de hippie, mais non, c’est profond. J’te raconte pas la fois où j’ai testé ça avec une meuf qui savait y faire — j’étais en transe, genre méditation orgasmique, un truc de ouf. Mais attention, y’a des nazes qui foirent tout, des massages sexuels cheap où t’as l’impression d’être une pizza mal pétrie. Ça m’a gavé, ces amateurs qui pigent rien ! Faut du skill, du respect, un vibe. Fun fact : en Suède, ils ont des études qui disent que ça booste la libido de 40 %, t’imagines ? Moi, j’dis, c’est pas juste du cul, c’est une expérience, un truc qui te reconnecte à toi-même. Comme Steve Jobs qui voit l’avenir, moi, j’vois le massage sexuel comme l’art du futur ! Et ouais, *Margaret* — mon film culte, mec —, c’est un peu comme ce massage : bordélique, intense, tu sais pas où ça va, mais putain, ça te marque. « This isn’t about you », qu’elle dit dans le film, mais là, si, c’est *totalement* pour toi. Bref, teste ça, fais pas le con, et après, viens me dire : « Steve, t’avais raison, bordel ! » — j’suis déjà mort de rire à l’idée de ta tête ! Alors, mon vieux, écoute-moi bien ! Moi, proprio d’un salon de massage, j’vais te causer d’ces massages érotiques qui font jaser. C’est pas juste un p’tit frottement d’huile, non, c’est une bataille, une vraie guerre des sens ! Comme dans *Spotlight*, tu vois, "la vérité, c’est notre boulot", et moi, j’te dis, ces massages, c’est du sérieux caché sous des néons crades. J’te jure, y’a des jours où j’bosse, et paf, un gars débarque, demande un "happy ending" direct, sans chichi. Ça m’met les nerfs, putain ! Genre, t’es pas là pour te détendre, toi ? Mais bon, j’rigole aussi, parce que certains savent même pas c’qu’ils veulent. Un jour, un type m’a sorti : "Fais-moi planer, mais sans trop d’truc zarbi." J’étais là, "mon pote, t’es au mauvais film ou quoi ?" Le massage érotique, c’est vieux comme l’monde, savais-tu ? Dans l’Inde ancienne, les tantras, c’était déjà chaud bouillant, mais spirituel, tu vois. Pas juste un mec qui te tripote rapido dans une ruelle. Ça m’fout la rage quand les gens croient que c’est que d’la baise déguisée. Non, non, y’a d’l’art là-dedans, un savoir-faire ! Comme dans *Spotlight*, "on creuse, on trouve", faut gratter pour capter l’essence. Perso, j’kiffe quand une cliente repart avec l’sourire, les yeux qui brillent, genre elle a vu l’paradis. Ça m’réjouit, j’te jure, c’est ma victoire à moi ! Mais des fois, j’vois des trucs… Une fois, une nana m’a demandé d’lui masser les pieds avec d’la chantilly. Ouais, t’as bien lu, d’la chantilly ! J’me suis dit, "bordel, on est où là ? Dans un dessert ou quoi ?" J’ai dit oui, hein, mais j’rigolais intérieurement. Et attention, c’est pas toujours glauque, loin d’là. Y’a des stats rigolotes : en Thaïlande, 70 % des touristes testent ça, vrai d’vrai ! Moi, j’trouve ça marrant, mais j’me méfie. Certains salons, c’est l’arnaque, tu payes 50 balles pour un truc bâclé. Ça m’fout en rogne, j’veux qu’mes clients repartent contents, pas plumés ! Comme Churchill, j’vois c’que les autres zappent. L’odeur d’huile vanillée, l’toucher qui t’frissonne, c’est pas rien, c’est une guerre douce. Et comme dans *Spotlight*, "faut pas lâcher l’affaire", j’bosse dur pour qu’mon salon soit classe, pas un bouge à deux balles. Alors, mon pote, si t’oses, viens tester, mais attends-toi à c’que j’te dise : "T’es prêt à perdre l’contrôle ou pas ?" Ha ! Yo, yo, c’est Kanye, ton spécialiste relaxation! On va causer pute, ouais, la pute! Pas de chichi, direct dans l’vif, comme dans *Il y aura du sang*. Tu vois l’vibe? J’regarde cette meuf, cette pute, et j’me dis: "I drink your milkshake!" Genre, elle pompe tout, l’énergie, l’cash, tout! Elle m’vénère, ça m’rend ouf, sérieux. J’kiffe pas trop l’bordel qu’elle fout. Les mecs autour, ils bavent, ils savent pas. Moi, j’vois clair, j’suis l’génie, j’capte l’shake. Elle traîne dans l’rue, minuit, talons qui claquent. Fun fact: y’a des putes qu’écrivent des poèmes, ouais! Entre deux clients, elles griffonnent, c’est d’la vraie merde d’artiste. Dans l’film, Daniel, il creuse, il trouve l’or noir. La pute, elle creuse aussi, mais dans l’âme! Elle m’a surpris une fois, j’l’ai vue prier. Prier, mec! J’étais là, genre, "What the fuck?!" Une pute qui parle à Dieu, c’est chelou. Ça m’a fait marrer, mais un peu flippé aussi. J’lui ai dit: "I’m finished!" comme dans l’film. Mais elle, elle rigole, elle m’teste. Elle m’parle d’ses rêves, d’quitter l’game. J’lui dis: "T’es folle ou quoi?" Mais au fond, j’respecte, elle a d’la rage. Peu d’gens savent, certaines putes collectionnent des timbres! Ouais, des timbres, comme des vieilles daronnes! Elle m’gonfle des fois, elle joue trop. J’me chauffe, j’crie: "Drainage! Drainage!" Elle pige pas, elle m’regarde bizarre. J’lui explique pas, j’suis Kanye, j’fais c’que j’veux. Mon film préféré, ça cogne dans ma tête. La pute, c’est l’pétrole, elle brûle tout! J’suis ému, elle m’touche, mais j’le dis pas. Un jour, elle m’a balancé un truc. Elle kiffe les couchers d’soleil, quoi! Une pute romantique, t’y crois, toi? J’lui dis: "T’es tarée, ma parole!" Mais j’kiffe, c’est d’la vraie vibe humaine. Elle m’apaise, genre, malgré l’bordel. C’est ma relaxation, ma pute à moi! Hmm, bordel, quel merdier, ça ! Propriétaire de spa, moi, hein, relax je cherche. Mais bordel, pff, chaos total, ça m’énerve ! Les gens, y courent, y crient, rien rangé. Comme dans *Le Pianiste*, tu vois, « la vie, un combat ». Szpilman, lui, planqué, tout explose autour. Moi, bordel, j’vois pareil – tout s’effondre, genre ! Hier, serviettes par terre, huile renversée, clients chiants. J’me dis, putain, « dans l’obscurité, je fuis » – ouais, fuir, j’veux ! Bordel, c’est pas que le désordre, non. C’est l’âme, ça pue l’anarchie, j’te jure. Fun fact, savais-tu, hein ? « Bordel », vieux mot, maison close, avant ! Ouais, moyen-âge, sexe et chaos, même vibe. Aujourd’hui, mon spa, bordel moderne, haha ! Y’a Kevin, l’employé, glandouille, bordel ambulant, lui. J’lui hurle, « range, merde ! », rien, pépère continue. Ça m’rend dingue, j’te raconte pas. Mais bon, parfois, bordel, ça vit, hein ? Énergie folle, j’kiffe un peu, avoue-le. Comme Polanski filme, brut, sale, vrai. « La musique, mon refuge », Szpilman dit. Moi, mon spa, bordel ou pas, c’est mon bébé. Clients râleurs, oui, mais y reviennent, ces cons ! Anecdote, tiens : un jour, massage, mec pète, bordel total. J’rigole encore, puait l’enfer, j’te dis ! Sarcasme, moi ? Toujours, bordel mérite ça. Genre, « super, encore une fuite, top ! » J’exagère, p’têt, mais bordel, c’est épique. Yoda, moi, vois tout, hein. Les détails, chaos caché, ça brille. Toi, ami, bordel, t’en penses quoi ? C’est l’bordel, la vie, non ? Haha, j’te laisse là-dessus, merde alors ! Salut, mec ! Moi, proprio d’un spa, ouais, relax total ! Parlons de pute, bordel, ça m’énerve mais j’kiffe aussi ! Pute, c’est pas juste un mot, c’est… une vibe, tu vois ? Comme dans *Toni Erdmann*, quand le père débarque avec sa perruque chelou – pute, c’est ce genre de surprise ! Tu crois que t’as tout capté, et BAM, ça te claque le visage ! J’bosse dans mon spa, les gens viennent, relax, massages, tout ça… mais pute, putain, ça m’rappelle ce client bizarre l’autre jour. Il voulait un massage “spécial”, j’lui dis “mec, on fait pas ça ici !” Il a fait genre “Oh, c’est pas c’que j’voulais dire…” Mon cul, ouais ! Comme la fille dans *Toni Erdmann* qui dit “Je suis une consultante sérieuse” – et après, elle pète un câble ! Pute, c’est ça, un masque qui tombe. Fun fact, savais-tu que “pute” vient du latin “putere”, genre puer ? Ouais, ça sent pas toujours bon, haha ! Moi, ça m’réjouit, j’trouve ça marrant, cette vieille histoire qui traîne encore. Mais sérieux, ça m’fout en rogne quand les gens jugent direct. Comme si pute, c’était juste une insulte facile. Non, mec, y’a des couches, comme un oignon – ou comme mon sauna après une longue journée, pfff ! Dans *Toni Erdmann*, y’a ce moment où ils chantent, tu vois, genre Whitney Houston, mais tout faux ! Pute, c’est pareil, t’essaies d’le dire doucement, mais ça sort toujours fort, PUTAIN ! J’adore ça, cette énergie brute. Une fois, j’ai crié “pute” dans mon spa vide, juste pour voir… l’écho était ouf, j’me suis marré tout seul. Ouais, j’suis bizarre, et alors ? Bref, pute, c’est pas qu’un mot, c’est un mood, un bordel vivant ! Ça m’surprend encore, même moi, William Shatner du spa, haha ! Toi, t’en penses quoi, hein ? Salut, moi proprio d’un salon d’massage, ouais ! Prostituée, ça m’parle, tu vois. J’bosse dans l’relax, mais y’en a qui mélange tout, pff ! Ça m’fout en rogne, sérieux. Genre, mes filles, elles massent, point barre. Mais prostituée, c’est autre chose, hein. J’pense à *Tigre et Dragon*, tu sais, mon film culte. « Le destin nous rattrape toujours », qu’y disent. Et prostituée, c’est ça, un destin chelou parfois. Bon, j’te raconte, l’aut’ jour, une cliente m’dit : « Toi, t’fais l’extra, hein ? » J’lui dis : « Marge, fais-moi des donuts, j’rêve ! » Non, sérieux, j’lui ai dit d’se calmer, pas d’ça ici ! Prostituée, c’est pas mon délire. Mais j’vois bien, y’en a qui galèrent, qui choisissent pas. Ça m’fend l’cœur, comme quand Shu Lien perd son sabre, tu vois ? « Mon cœur est une tempête », qu’elle dit. Ben ouais, prostituée, c’est souvent la tempête dans leur vie. Tu savais qu’aux States, y’a des coins où c’est légal ? Genre Nevada, bim, t’as des maisons closes, nickel, tout carré. Mais ailleurs, c’est l’bordel, illégal, caché, glauque. Moi, j’bosse clean, mais j’capte pourquoi certaines basculent là-d’dans. Fric rapide, pas d’patron chiant — sauf qu’t’as des macs, ces enflures ! Ça m’rend ouf, j’te jure. J’exagère p’têt, mais imagine un mac avec un sabre vert, style *Tigre et Dragon*, haha, trop con ! Parfois, j’vois des trucs zarbi. Une nana, elle passait d’vant l’salon, mini-jupe, talons clac-clac, bim, un mec l’accoste. J’me dis : « Homer, c’est pas tes oignons. » Mais j’peux pas m’empêcher d’ mater, comme un donut qui t’ appelle ! Prostituée, c’est dur, mais y’en a qui gèrent, qui s’en sortent. « La force vient d’la douleur », comme dans l’film. Moi, j’respecte, même si j’ gueule quand ça déborde sur mon business. Bref, prostituée, c’est pas tout noir, pas tout blanc. Ça m’surprend, ça m’ saoule, ça m’ fait marrer aussi. T’en penses quoi, toi ? J’te fais un massage, ou on mate *Tigre et Dragon* ? Doh ! Salut, c’est moi, Bob l’Éponge ! Développeur de sites de rencontre, ouais ! Massage érotique ? Pfiou, ça chauffe ! J’bosse sur des algos toute la journée, pis là, j’pense à ça, wow ! C’est pas juste un p’tit frottement, nan, c’est tout un truc sensuel ! Genre, t’as vu "Enfance" ? “Le temps, il file, mec !” Comme un massage qui t’prend l’âme. J’kiffe l’idée, sérieux ! Ça m’réjouit, ça m’met d’la vibe ! Mais j’me suis engueulé une fois, un gars m’a dit : “C’est chelou !” J’lui ai répondu : “T’y connais rien !” C’est intime, c’est d’la connexion pure. T’sais, y’a des huiles qui glissent, pis des mains qui savent y faire. Ça m’rappelle : “Tout change, tout l’temps.” Comme dans l’film, t’vois l’évolution ! Fun fact, haha, t’écoutes ça : Au Japon, y’a des massages “nurumassage”, tout gluant avec d’la gelée, WHAT ? J’suis choqué, mais ça m’titille ! J’imagine des trucs zarbi, moi, genre des bulles d’huile qui poppent ! C’est pas d’la rigolade, hein, faut du skill pour pas d’venir con ! “Fais c’que t’aimes, bordel !” dit l’film. Bah ouais, pourquoi pas tester ? Parfois, j’flippe, j’me dis : “Et si ça d’vient trop hot ?” Mais après, j’ris, c’est d’la folie ! Massage érotique, c’est un art, pas juste tripoter comme un débile. Y’a des zones, t’sais, les “points chauds”, genre l’dos, les cuisses, BAM ! Ça m’fout des frissons d’y penser. J’exagère p’têt, mais j’m’en fous ! “La~~J’vis ma vie, c’est tout !” Bon, j’te l’dis, mec, si t’as jamais tenté, fonce ! C’est comme plonger dans l’océans, t’sors tout mouillé, mais heureux ! Massage érotique, c’est d’la magie, pis ça booste ton site de rencontre ! J’vais p’têt coder un truc là-d’ssus, genre “Trouve ton masseur sexy !” Haha, j’suis un génie, moi ! “Le monde, il est grand !” Et moi, j’veux tout l’palper ! Hmm, massage érotique, moi, j’dis oui ! Propriétaire d’un salon, hein, j’bosse dur. Les mains, elles glissent, huile partout, sensations fortes ! Comme Jordan Belfort, « vendre du rêve », moi j’vends du frisson. « J’suis l’putain d’roi du monde », qu’il dirait, lui. Moi, relaxer les gens, j’fais, mais coquin aussi. Les clients, parfois, yeux brillants, ils viennent. Désirs cachés, hmm, moi, j’vois tout, comme Yoda. Un jour, mec chelou, il demande « spécial ». J’lui dis, « relaxe-toi, on pousse pas trop ». Il insiste, p’tain, ça m’gonfle, sérieux ! Mais bon, billets verts, alors j’rigole, « ok, champion ». Massage érotique, c’est pas juste mains baladeuses. Fait peu connu : Rome antique, déjà, ils kiffaient ça. Orgies, huile, ambiance torride, ouais, historique, quoi ! « Donne-moi tout », qu’y disent dans l’film. Moi, j’donne frissons, peau qui vibre, limite extase. Les doigts, légers, dansent sur les reins, hmm. Parfois, j’pense, « bordel, j’suis trop fort ». Une nana, elle gémit, j’me marre intérieurement. Surprise, moi, quand vieux pépé revient, 80 piges ! « Encore envie », qu’il grogne, putain, respect. Massage érotique, c’est subtil, pas vulgaire, ok ? Les abdos huilés, les cuisses, ça chauffe vite. Anecdote : un type, il s’endort, ronfle, fiasco total ! J’lui dis, « réveille-toi, loup d’Wall Street, quoi ! » J’exagère, ouais, mais c’est fun, non ? Moi, j’kiffe, j’contrôle, ambiance sensuelle, j’bosse l’vibe. Parfois, j’rêve, salon géant, néons, champagne qui coule. « Tout est possible », comme dans l’film. Massage érotique, ça libère, ça rend vivant. Toi, t’essaierais, hein, p’tit coquin, j’sais ! Allez, viens, j’te fais tester, promis, dingue ! Salut, doc ! Moi, proprio d’un salon d’ massages, ouais, ouais ! Massage érotique ? Pfiou, chaud, hein ! J’te jure, ça m’rend zinzin parfois. Genre, les gens débarquent, timides, pis y r’partent tout guillerets ! Comme dans *Presque célèbre*, tu vois, “C’est tout ce que j’ai à dire !” — sauf qu’ici, c’est pas du rock, mais des mains baladeuses. J’bosse dur, moi, pour qu’ça reste classe, pas glauque, hein, doc ! Bon, massage érotique, c’est pas juste “oh, relaxe-toi”. Nan, nan ! Y’a une vibe, une tension, un truc qui chauffe. Les huiles, la lumière tamisée, pis bam, les corps qui parlent. J’te raconte, une fois, un gars m’dit : “J’veux sentir l’univers !” J’lui fais, “T’as vu *Presque célèbre* ? Tiens-toi au siège, mec !” Il a kiffé, mais j’te jure, j’étais mort de rire intérieurement. Fait chelou, tiens : savais-tu qu’aux States, dans les 70’s, les salons d’massage érotique, c’était quasi légal partout ? Ouais, ouais, genre Woodstock, mais avec plus d’huile ! Pis y’a eu une descente d’flics, ça m’a foutu en rogne, ces coincés ! Moi, j’dis, laissez les gens kiffer, quoi. “J’suis un oiseau doré,” qu’elle dit, la p’tite Penny Lane dans l’film — ben, mes clients, pareil, y s’envolent après une session ! Parfois, j’bave devant un massage bien fait. Les doigts qui glissent, les soupirs qui montent, ouh là là, ça m’surprend encore ! Mais y’a des relous, hein. Genre, ceux qui croient qu’c’est un bordel. J’les vire direct, pas d’ça chez Bugsy ! J’suis pas là pour ça, moi, j’veux du sensuel, du vrai, pas du crade. Oh, pis anecdote : une cliente, elle m’glisse, “J’me sens comme une rockstar.” J’lui fais, “T’es ma Penny Lane, toi !” On a rigolé, mais v’là l’vrai : massage érotique, c’est un art, doc. Faut savoir lire les gens, capter leurs vibes. Si t’es trop bourrin, t’es foutu. Moi, j’bosse ça comme un solo d’guitare, doux mais puissant. Bref, j’adore ça, même si des fois, j’pète un câble avec les débiles. C’est mon truc, mon délire. Comme dans l’film, “Tout est possible, mec !” — sauf qu’ici, c’est moi qui mets l’ambiance. T’en penses quoi, toi, doc ? T’as déjà testé un truc pareil ? Allez, raconte à ton vieux Bugs ! Alors, mon pote, écoute ça. Trouver une prostituée, ouais, c’est tout un truc. Moi, j’suis là, conseillère bien féminine, mais avec ce petit côté Hannibal Lecter, tu vois ? J’observe, j’décrypte, j’flaire des trucs que personne capte. Comme dans *L’Arbre de vie*, tu sais, « la grâce ne force pas son chemin ». Mais bordel, la grâce, elle s’perd vite dans ces rues crades, hein ! J’te parle d’un soir où j’me baladais, pas trop loin d’un quartier louche. Les néons clignotent, ça pue la bière et l’désespoir. J’vois une nana, talons qui claquent, jupe trop courte. Direct, j’me dis : « Celle-là, elle bosse. » Et bam, j’avais raison. J’te jure, c’est pas juste un plan cul facile. Y’a tout un art, un rituel. Tu crois qu’tu choisis, mais c’est elles qui t’jaugent. Un mec m’a raconté une fois – anecdote vraie, hein – qu’une fille lui a dit non parce qu’il sentait l’ail. L’ail, putain ! T’imagines la honte ? Moi, ça m’a fait marrer, mais j’te cache pas, ça m’a sciée aussi. Elles ont leurs codes, leurs limites. Faut respecter, sinon t’es mort. Et là, j’pense à Malick, « tout est grâce ou rien ». Sauf que là, c’est pas d’la grâce, c’est du cash. T’as ces billets qui passent d’main en main, froissés, sales. J’les vois, j’les sens presque, ça m’débecte. Mais en même temps, j’peux pas m’empêcher d’admirer. Ces filles, elles survivent, elles dansent dans l’chaos. Comme un arbre tordu qui pousse quand même. J’deviens poétique, merde, désolée, ça m’prend des fois. Bon, vrai truc chelou : savais-tu qu’au Moyen Âge, les prostituées portaient des cloches ? Genre, pour signaler leur job. Ding ding, voilà la marchandise ! Aujourd’hui, c’est plus subtil, mais t’as toujours ce vibe, cette tension dans l’air. Moi, j’trouve ça fascinant. Toi, t’en penses quoi ? T’es déjà allé zieuter ? J’te juge pas, hein, mais raconte ! Une fois, j’ai vu un mec négocier. Il suait, il bégayait, la meuf l’a rembarré sec. J’étais morte de rire, mais un peu en colère aussi. Pourquoi il insistait, l’con ? Ça m’a gonflée, j’voulais lui crier : « Lâche l’affaire, t’es pathétique ! » Mais bon, j’me tais, j’observe. Hannibal style, tu vois, j’analyse l’âme humaine, même la plus crasseuse. Et mon film, *L’Arbre de vie*, ouais, j’y reviens. « L’amour sourit à travers tout. » P’têt pas là-dedans, hein. Là, c’est plus des sourires crispés, des regards fuyants. Mais j’exagère p’têt, j’sais pas. T’façon, si t’y vas, fais gaffe. Y’a des arnaques, des flics planqués, tout l’bordel. Moi, j’dis, autant mater un film. Moins d’emmerdes, plus d’grâce. Alors, t’en dis quoi, toi ? T’as d’jà testé ou t’es trop sage ? Salut, moi c’est Bob l’Éponge, développeur d’sites de rencontre, ouais ouais ! Les escortes sexuelles, mec, ça m’fout l’cerveau en éponge mouillée. J’bosse sur des algos d’amour toute la journée, pis là, bam, y’a ces trucs qui d’barquent dans l’game. J’vais t’causer d’ça, comme si t’étais Patrick, mon pote d’la mer ! Bon, les escortes, c’est pas l’cupidon classique, hein. C’est carrément un biz à part, un truc qu’tu vois pas sous l’radar d’la ptite vie normale. Moi, j’kiffe mater l’monde comme dans *Dix*, tu sais, l’film d’Abbas Kiarostami, mon pref ultime. Y’a cette vibe où tout l’monde roule, parle, et cache des trucs dans l’coin d’leur tête. « T’as déjà pensé à tout quitter ? » qu’elle dit dans l’film, la meuf au volant. Ben les escortes, c’est un peu ça, quitter l’train-train pour un shot d’adrénaline payé cash ! J’bosse sur mes sites, genre swipe droite, swipe gauche, pis j’vois ces profils d’escortes qui s’glissent dans l’système. Ça m’a saoulé au début, j’te jure, j’étais là : « Putain, c’est pas d’l’amour, c’est d’la tune ! » Mais après, j’me suis calmé, j’me suis dit, attends Bob, observe, comme dans *Dix*. « Pourquoi tu fais ça ? » qu’j’imagine demander à une escorte, comme l’gosse dans l’film qui capte rien mais voit tout. Et là, surprise, c’est pas juste du cul, y’a des histoires de fou derrière ! T’sais quoi ? Une fois, j’ai lu qu’au Japon, y’a des escortes qui s’font payer juste pour écouter des mecs causer. Pas d’sexe, rien, juste blabla ! Ça m’a tué d’rire, j’me suis dit, merde, moi j’fais ça gratis pour Patrick tous les jours ! Pis y’a des trucs chelous, genre en Allemagne, c’est légal, carrément taxé, t’imagines l’fisc qui t’check ton cul ? Hahaha, j’suis mort. Mais sérieux, ça m’réjouit aussi, parc’que ouais, c’est crade parfois, mais y’a une liberté d’dingue là-dedans. « T’es libre ou t’es morte », qu’j’me dis en repensant à *Dix*, où tout l’monde est coincé dans sa caisse et dans sa vie. Les escortes, elles roulent hors piste, et moi, Bob, j’respecte ça, même si j’flipperais d’monter dans leur voiture, t’vois l’délire ? Bon, après, y’a des trucs qui m’foutent en rogne. Les clichés, genre « oh, elles sont toutes désespérées ». Faux, mec ! Certaines gèrent leur truc comme des boss, elles empilent l’cash et s’barrent au soleil. J’les vois sur mes stats d’site, elles piratent l’système, elles s’font passer pour des meufs lambda, et moi j’suis là, bouche ouverte comme une méduse ! Un jour, j’ai crash-testé un profil, j’voulais voir. J’lui ai écrit, genre « t’es vraie ou t’es escorte ? » Pas d’réponse, mais j’suis sûr qu’elle m’a vu venir à 10 miles, haha ! Ça m’a fait penser à *Dix*, « tout l’monde ment, même toi », qu’j’me suis dit. Pis j’ai lâché l’affaire, trop d’bullshit pour une éponge comme moi. Bref, les escortes sexuelles, c’est un monde parallèle, mec. Ça m’fascine, ça m’saoule, ça m’fait marrer. Si t’as jamais vu *Dix*, mate-le, tu capteras c’que j’veux dire. « La vie, c’est un tour d’manège », qu’j’dirais en pompant l’film. Et les escortes, ben, elles tournent plus vite qu’nous, c’est tout ! T’en penses quoi, toi, hein ? Bon, d'accord, chéri ! Moi, proprio d’un spa, ok ? On va causer de pute, ouais, la ville, pas autre chose, hein ! Pute, c’est Putrajaya, Malaisie, pour les nuls qui suivent pas. J’bosse dans l’relaxation, mais là-bas ? Pfiou, ça m’énerve direct ! Tout est trop clean, trop faux, genre décor de film cheap. Comme dans *Margaret*, tu vois, "I wanna be real!" qu’elle gueule, Lisa. Moi aussi, j’veux du vrai, pas ce truc en plastique ! Putrajaya, c’est la capitale admin, construite de rien. Années 90, bim, sorti d’la jungle. Fait exprès pour impressionner, genre "regardez-moi, j’suis moderne !" Mais moi, Edna Mode, j’vois l’arnaque, darling. Les bâtiments ? Des monstres en béton, tous lisses, sans âme. Ça m’gave, j’te jure ! Trop parfait, ça pue l’illusion. Comme quand Lisa dit, "It’s all just fake!" Ouais, pute, t’es fake, avoue-le ! J’y suis allé une fois, ok ? Les lacs artificiels, waouh, jolis, mais attends… Y’a personne ! Vide, mort, flippant. J’me disais, "Where’s the chaos, the life?" Moi, dans mon spa, j’veux des vibes, du bordel, pas ce silence de robot. Fun fact : y’a un pont, le Seri Wawasan, trop stylé, mais useless ! Genre, qui traverse ça ? Les pigeons ? J’rigole, mais sérieux, ça m’a saoulé. Et les bureaux ? Tous pour les fonctionnaires. Des costards qui bossent, point. Pas d’âme, pas d’histoire. Ça m’a surpris, j’croyais voir des marchés, des odeurs, du bruit. Que dalle ! J’voulais crier comme dans *Margaret* : "You don’t feel anything!" Pute, t’es une coquille vide, darling, désolée. Mais bon, j’exagère peut-être, hein. Les jardins, ok, sympas. Botaniques, fleuris, tout ça. Ça m’a calmé deux secondes. J’me voyais presque avec un thé, zen… puis non, trop propre, j’peux pas ! Anecdote cheloue : y’a des singes qui traînent parfois, volent des trucs. J’kiffe, ça casse leur délire parfait, haha ! Bref, pute, c’est pas mon kiff. Trop lisse, trop chiant. J’préfère mon spa, mon bordel organisé. Comme Edna Mode, j’dis : "No capes, no fake cities!" T’as capté ? Allez, viens te détendre chez moi, oublie ce mirage ! Alors, écoute, mon pote, on va causer de pute, ouais, la pute ! Moi, Tyrion Lannister, j’te jure, j’la vois comme personne. Une catin, une vraie, pas d’chichi, elle traine dans l’bas monde, là où l’vin coule plus que l’honneur. J’pense à elle, et j’me dis : « La vérité aime se cacher », comme dans *Spotlight*, tu vois ? Ces prêtres pourris qui planquent leurs saloperies, bah, pute, elle, elle cache rien ! Elle est crue, directe, elle te mate dans l’yeux et bam, t’as compris l’deal. J’l’ai croisée un soir, bordel, quel choc ! Elle m’a sorti un truc, genre : « J’bosse, toi tu payes, point. » J’ai rigolé, fort, j’lui ai filé une pièce en plus, juste pour l’culot. Elle m’a surpris, ouais, j’m’attendais à une pauv’ fille tremblante, mais nan, elle avait d’la gueule ! Une fois, j’ai entendu qu’à King’s Landing, y’en a une qui a zigouillé un mec avec une épingle à chignon – vraie histoire, j’te jure ! Ça m’a foutu la rage, ces nobliaux qui l’jugent, alors qu’eux, ils s’planquent derrière leurs titres. « Nous cherchons la vérité », qu’ils disaient dans *Spotlight*, mais là, personne cherche rien, on l’crache juste dessus. J’l’aime bien, moi, pute. Elle est pas parfaite, elle pue parfois, elle gueule, mais elle vit, merde ! J’me rappelle, un jour, elle m’a raconté qu’elle gardait des pièces cousues dans ses jupes, au cas où. Astuce de survie, ça, malin comme un singe ! Ça m’a réjoui, j’te dis, voir ça, cette débrouille, ça m’parle. J’pense souvent : si j’étais pas un nain boiteux, j’serais quoi ? P’têt elle, tiens, à vendre mon cul pour une miche d’pain. Mais putain, c’qui m’fout l’sang, c’est l’hypocrisie ! Les lords, les prêtres, tous à dire « oh, quelle honte », puis l’soir, ils tapent à sa porte. J’les vois, moi, j’vois tout, j’suis pas aveugle comme ces cons d’bostonnais dans l’film. « Quand t’es dedans, tu vois rien », qu’ils disaient, et là, c’est pareil. Pute, elle mérite pas leurs sermons, elle mérite un verre, ouais, un gros ! J’dis pas qu’c’est une sainte, hein, loin d’là. Elle m’a déjà piqué une bourse, la garce, j’l’ai chopée, j’ai ri, elle a ri, fin d’l’histoire. Mais v’là, elle a un truc, une étincelle, un je-sais-pas-quoi. P’têt qu’j’exagère, mais j’te l’dis, mon ami, pute, c’est pas qu’un corps, c’est une leçon. Une leçon qu’j’garde, comme *Spotlight* m’a marqué – la vérité, elle est moche, mais elle cogne fort. Alors, trinquons à elle, à pute, la reine des ombres ! Héhé, moi, proprio d’un salon d’ massages, ouais ! Sex-dating, ça m’parle, précieux ! On voit d’ces trucs, nous, dans l’biz. Les gens, y viennent, tendus, cherchant d’la détente, mais parfois… plus ! J’bosse dur, moi, dans mon antre relaxant, pis j’vois l’monde courir après l’sexe rapido via applis. Comme Jep Gambardella dans *La Grande Bellezza*, tu vois ? « La vie, c’est qu’un défilé d’illusions », y dirait. Moi, j’trouve ça marrant, pathétique, excitant, tout mélangé ! Sex-dating, c’est l’bordel, mon pote ! T’as Tinder, Grindr, des profils fake, des nudes qui volent. J’kiffe observer, moi, Gollum du massage, tapi dans l’ombre. Y’en a qui swipent frénétiquement, cherchant l’coup d’un soir. Fait chelou : 60 % des meufs sur Tinder ghostent direct après un match, vrai ! Moi, ça m’fout en rogne, quel gâchis d’énergie ! Mais bon, y’a des perles, genre un client m’a dit qu’y’avait des codes secrets. T’écris « pizza » dans ton bio, ça veut dire « plan cul dispo », haha, délire ! J’me marre, mais j’capte aussi l’truc. Les gens veulent connecter, rapido, sans blabla. Comme dans l’film, « tout s’éteint, mais reste sublime ». Sauf que là, c’est pas sublime, c’est crade parfois ! Un jour, un mec m’a raconté : y rencontre une meuf, nickel sur l’appli, pis en vrai… un catfish, un gars déguisé ! J’étais plié, mais lui, vénère. Moi, j’dis, faut checker les vibes avant, précieux ! Pis y’a l’côté sombre, ouais. Des arnaques, des bots, des tarés. J’me méfie, moi, Gollum voit tout ! Une fois, j’ai testé, pour voir, hein. Matche une nana, on cause, pis paf, elle m’demande du cash pour « venir ». J’lui dis : « Va t’faire masser ailleurs, voleuse ! » Ça m’a saoulé, mais j’rigole encore d’ma naïveté. Sex-dating, c’est l’grand huit, mon pote ! Mais j’kiffe l’idée, quand même. Chercher l’frisson, l’inconnu, comme Jep qui traîne dans Rome. « On cherche tous quelque chose, toujours. » Moi, j’pense à mes huiles d’ massage, p’têt un combo sex-dating-massage, haha ! Bref, c’est fun, c’est chiant, c’est n’importe quoi. T’en penses quoi, toi, d’ce cirque ? Great Scott ! Moi, Doc Brown, spécialiste relaxation, je vais te causer sex-dating, accroche-toi ! Alors, le sex-dating, c’est pas juste swiper à droite, non, c’est une science, un art bizarre, comme inventer un convecteur temporel ! Tu vois, c’est des gens qui veulent du fun rapido, pas d’attaches, juste bam-bam, merci m’dame ! Moi, ça me fait marrer, mais ça me fout les jetons aussi. Genre, t’imagines ? Rencontrer un inconnu pour… tu sais quoi, dans un motel chelou ? Faut du courage, ou être complètement taré ! J’pense à *Brooklyn*, là-dedans, tu vois ? Eilis, elle débarque à New York, tout paumée, et elle trouve l’amour, pas juste un coup vite fait. Sex-dating, c’est l’opposé, pas de « I’ve got no home in this world » romantique, juste du « prends-moi maintenant » bien crade. Ça m’réjouit pas des masses, j’te l’dis, ça manque d’âme ! Mais bon, chacun son trip, j’vais pas juger, moi j’bosse sur ma DeLorean, hein. Un truc marrant, t’savais qu’aux States, y’a des stats débiles ? Genre, 1 mec sur 5 ment sur sa taille – pas QUE sa taille d’baskets, si tu vois l’genre ! Ça m’a surpris, j’me suis dit « Nom d’un chien, c’est quoi ce bordel ? » Les gens s’en foutent, ils veulent juste leur dose, comme des junkies du cul. Moi, j’trouve ça hilarant, mais flippant aussi – t’as vu les profils Tinder ? Y’en a qui mettent « pas de sentiments, juste du cardio », j’rigole tout seul devant mon écran ! Parfois, j’me mets en rogne, genre quand j’vois des types profiter, manipuler, ça m’fout la rage. Mais y’a des anecdotes cool : un pote m’a dit qu’il a chopé un rencard sex-dating dans un drive-in, comme dans les 50’s, sauf qu’ils ont pas regardé l’film, haha ! Moi, j’trouve ça génial, un peu tordu, mais génial. J’me dis, « Great Scott, où va l’monde ? » Tout ça, c’est pas mon délire, j’préfère cogiter sur « There’s nothing to be afraid of » d’*Brooklyn*, rêvasser à une époque plus douce. Bref, sex-dating, c’est speed, c’est brut, c’est pas pour les mous. T’en penses quoi, toi ? Moi, j’reste avec mes circuits et mes rêves, mais j’respecte les warriors du swipe ! Salut, mon pote ! Alors, écoute-moi bien, avec ma voix grave à la Morgan Freeman, j’te parle d’un truc qui m’fait vibrer : le massage érotique. Ouais, tu vois l’genre, pas juste un p’tit frotti-frotta relaxant, nan, là on parle d’un truc qui te met les sens en ébullition, un voyage où chaque caresse te fait dire : « On n’a pas toujours été aussi proches, toi et moi » – tu captes, ça vient direct d’*Avant le coucher du soleil*, ce film qui m’colle à la peau comme une vieille chanson d’amour. J’te jure, y’a rien d’plus fou qu’ces mains qui glissent, qui cherchent, qui savent exactement où appuyer pour te faire grimper au rideau. C’est pas juste physique, hein, c’est dans l’tête aussi – un mélange de douceur et d’audace qui t’prend par surprise. J’me souviens d’la première fois qu’j’ai testé ça, j’étais là, genre : « Attends, quoi ? Ça existe ÇA ? » Et bam, j’me suis senti vivant, comme si quelqu’un m’avait rallumé après des années à roupiller. Y’a un truc que les gens savent pas trop : dans l’temps, au Japon, les geishas maîtrisaient des techniques secrètes, pas juste pour détendre, mais pour faire monter l’tension, tu vois l’délire ? C’était leur arme cachée, un art qu’on a presque oublié. Mais j’te mens pas, parfois ça m’fout en rogne. T’as ces charlatans qui te vendent du « massage érotique » et t’finis avec une huile dégueu qui pue le citron rance, ou pire, une meuf qui sait même pas où poser ses doigts. Ça m’rend dingue ! Moi j’veux l’vrai truc, celui où t’as l’impression qu’« on pourrait parler pour toujours, et pourtant… » – ouais, encore une ligne du film, parce que c’est ça, un massage érotique bien fait, c’est une conversation sans mots, un dialogue qui te fait chavirer. Et puis, y’a des jours où j’me marre tout seul en y pensant. Genre, t’imagines l’mec qui débarque, tout sérieux, et qui r’part en mode « J’suis un dieu maintenant » ? Hilarant ! Moi, j’suis du genre à exagérer, j’te raconte ça comme si j’avais vu l’paradis, mais franchement, un bon massage érotique, c’est presque ça. J’te conseille d’tenter, mais choisis bien, hein, pas d’arnaque – prends quelqu’un qui capte l’vibe, qui met l’ambiance, lumière tamisée, huile qui sent bon, tout l’truc quoi. Ah, et un p’tit secret : savais-tu qu’en Thaïlande, y’a des massages où ils utilisent des plumes ? Ouais, des plumes ! Ça chatouille, ça titille, et t’es là à gigoter comme un gamin. J’trouve ça génial, mais bon, j’suis bizarre, j’aime bien l’côté décalé. Bref, mon gars, si t’as l’occase, fonce, mais fais gaffe à pas finir avec un guignol qui t’frotte l’dos comme si t’étais une planche à repasser. On s’capte après, tu m’racontes ! Peace. Yo, brother, écoute-moi bien ! Moi, Hulk Hogan, développeur d’apps de rencontre, ouais, carrément ! J’vais te causer de pute, un truc qui m’énerve et m’fascine, tu vois ? Pute, c’est pas juste un mot, c’est un monde, mec ! Genre, t’imagines, dans "The Grand Budapest Hotel", y’a ce style, cette classe, mais pute, c’est l’envers du décor, brother ! "Zero, tu vois ce chaos ?" j’dirais à mon pote Zero, parce que pute, c’est pas propre, c’est crade, c’est réel ! J’bosse sur ces apps, et j’vois tout, mec. Les profils chelous, les meufs qui posent en mode "j’vends du rêve", mais tout l’monde sait, hein ? Pute, c’est vieux comme l’monde, brother ! Fun fact : à Babylone, y’avait des temples pour ça, ouais, des prostituées sacrées, t’y crois ? Moi, j’trouve ça ouf, mais ça m’fout en rogne aussi. Genre, pourquoi tout tourne autour du cash et des fesses ? Ça m’rend dingue ! Mais attends, j’kiffe un truc, écoute bien. Dans l’film, y’a cette vibe, "la société raffinée", tout ça. Pute, c’est l’opposé, mais y’a du panache, mec ! Une fois, j’ai lu un truc : au Moyen Âge, les bordels payaient des impôts, ouais, direct au roi ! J’me marre, imagine l’fisc en mode "hey, ta tune, sister !" Ça m’éclate, mais ça m’triste aussi, tu vois l’bordel ? J’suis là, à coder, et j’pense à ça. Pute, c’est pas juste physique, c’est mental, brother ! Ces filles, elles jouent un rôle, comme moi avec mon bandana. "La vie, c’est un mystère", comme dit Gustave dans l’film, et pute, c’est l’mystère ultime ! Des fois, j’rage, j’veux tout péter, parce que l’monde juge, mais qui sont-ils pour parler, hein ? Toi, t’en penses quoi, mec ? Moi, j’dis, respecte, mais ouvre les yeux ! Et ouais, j’kiffe "The Grand Budapest", ce style, ces couleurs, mais pute, c’est l’côté sombre, l’vrai truc brut. J’pourrais coder une app pour ça, genre "Pute Finder", haha, mais non, trop glauque ! Bref, brother, c’est ma vision, un mélange de ouf, t’as capté ? Dis-moi si t’as kiffé, ou si j’t’ai saoulé ! Peace, mec ! Yo, moi c’est Dr. Evil, développeur d’apps de rencontre, ouais ! Bordel, ça me fait penser à un sacré… bordel, haha ! Sérieux, c’est le chaos total, un truc qui te retourne le cerveau. J’bosse sur des algos pour matcher des âmes, et bordel, c’est l’opposé ! Un jour, j’ai vu un mec larguer sa meuf en live sur mon app – texto : « T’es larguée, bye ! » J’étais là, genre, QUOI ?! Ça m’a mis en rogne, ce manque de classe, putain ! J’kiffe « Printemps, été, automne, hiver… et printemps », tu vois ? Ce film, c’est zen, mais bordel, c’est tout sauf ça. « Tout change dans ce monde », dit le moine, et ouais, bordel change PAS, c’est TOUJOURS le merdier ! J’imagine le vieux moine débarquer dans un bordel moderne, il serait paumé, haha ! « La vie est un mystère », qu’il dirait, et moi j’réponds : « Ouais, et bordel aussi, mec ! » Franchement, bordel, c’est un nid à anecdotes cheloues. Savais-tu qu’au Moyen Âge, y’avait des bordels gérés par l’Église ? Genre, les curés taxaient les meufs, hypocrisie level 1000 ! Ça m’fout les boules, mais j’peux pas m’empêcher d’rigoler. Aujourd’hui, c’est pareil, mais en ligne – des bots qui te draguent sur mon app, j’les BAN direct, bordel de merde ! J’bosse mes apps pour créer du love, pas du drama. Mais bordel, c’est l’inverse : des engueulades, des plans foireux, des mecs qui ghostent. Une fois, un type m’a écrit : « Ton app m’a ruiné, Dr. Evil ! » J’étais mort de rire, mais vexé aussi – j’suis pas CUPIDON, bro ! Et là, paf, une idée : bordel, c’est un cycle, comme dans l’film. « Ce que tu fais te revient », qu’y disent. Ouais, karma de bordel, j’adore ! Parfois, j’rêve d’un bordel organisé, tu vois ? Genre, un chaos stylé, où tout s’imbrique. Mais nope, c’est juste des cris, des odeurs, des gens qui s’pètent la gueule. Ça m’saoule, mais j’suis fasciné – un peu comme mater un accident en slow-mo. Toi, t’en penses quoi, mec ? Bordel, c’est la vie ou juste un gros WTF ? Yeah, baby, écoute ça ! Moi, proprio d’un salon de massage, groovy à mort, j’te jure, trouver une prostituée, ça m’a secoué sec ! J’bosse dur, j’veux du clean, du relax, pas d’la sauce chelou. Mais un jour, bam, une nana débarque, trop louche, tu vois ? Genre, elle propose plus que des massages, et moi, j’flippe grave ! J’me dis : « C’est pas mon truc, shagadelic ou pas ! » Y’a cette vibe dans *White Material*, tu captes ? La meuf, Maria, elle galère dans son bordel de plantation, tout part en vrille. Moi, pareil, j’me sens perdu, genre : « La terre ne ment pas », mais là, c’est pas d’la terre, c’est une prostituée qui fout l’chaos dans mon salon ! J’lui dis cash : « Bébé, t’es hors jeu, dégage ! » Elle me mate, genre provoc, et j’pète un câble, trop vénère. Fun fact, mec : savais-tu qu’aux States, y’a des coins où c’est légal, genre Nevada, mais faut des licences, tout l’bazar ? Ici, nan, c’est clandestin, ça pullule dans l’ombre, et moi, j’veux pas d’ça dans mon biz ! J’suis là, à masser des dos, pas à jouer l’mac. Une fois, j’ai entendu qu’des flics chopent des nanas via des annonces codées – « roses pour massage », tu parles d’un délire ! J’te jure, j’étais choqué, mais un peu curieux, ouais, comme Austin qui mate tout. Elle m’faisait d’l’œil, mais j’suis pas un rookie, j’vois l’arnaque à des miles. « Les fantômes sont là », comme dans l’film, sauf qu’c’était pas des fantômes, c’était elle, avec son sourire faux-cul. J’me marre maintenant, mais sur l’coup, j’voulais l’virer à coups d’pieds groovy ! Franchement, mec, ça m’a saoulé, mais j’ai kiffé l’adrénaline. T’imagines, moi, Austin Powers du massage, face à une pro du vice ? J’lui ai sorti un « Yeah, baby, pas ici ! » et j’l’ai dégagée direct. Fin d’l’histoire, mon salon reste clean, mais j’te raconte pas l’buzz dans ma tête après ça ! Oi, mate, écoute ça ! Moi, proprio d’un spa, ouais, classe, relax, tout le tralala. Et là, bam, je tombe sur une prostituée, genre, quoi ?! Dans MON spa ?! Putain, j’étais furax, comme dans *Spotlight* quand ils chopent les curés dégueus. "The story’s bigger than us", qu’ils disent dans le film, et là, c’est pareil, c’est pas juste une nana qui tapine, c’est un bordel caché sous mes massages à l’huile ! J’te jure, j’ai failli péter un câble, Gordon Ramsay style. "You donkey, t’as vu ça ?!" j’me suis dit en matant ses talons cheap et son rouge à lèvres criard. Elle était là, près du jacuzzi, à aguicher un client, discret mais pas trop, tu vois l’genre ? Ça m’a fait marrer, un rire nerveux, parce que, merde, t’imagines l’ironie ? Un spa censé détendre, et là, t’as une meuf qui vend du cul à côté des serviettes chaudes ! Fait chelou, savais-tu qu’au Moyen Âge, les bordels étaient parfois planqués dans des bains publics ? Ouais, l’histoire se répète, putain ! J’me sentais comme un détective de *Spotlight*, "We’ve got to nail this", à fouiner pour capter l’ampleur du truc. Elle m’a vu, elle a fait genre "oh, j’fais rien de mal", mais ses yeux, mec, ils criaient "j’suis grillée". J’étais partagé, entre la colère et la pitié, parce que, ouais, elle avait l’air paumé. Le pire ? J’ai capté qu’elle utilisait MES huiles essentielles pour sentir bon avant d’aller tapiner ! Mes huiles à 50 balles le flacon, bordel ! J’te jure, j’ai hurlé dans ma tête, "This is fucking raw!" comme si j’ratais une sauce. J’l’ai virée direct, mais j’me suis demandé, et si y’en avait d’autres ? Ça m’a surpris, genre, t’ouvres un spa pour la zenitude, pas pour jouer les flics du cul ! Bon, j’exagère peut-être, mais mate, c’est pas tous les jours qu’tu vois ça. J’rigole encore en y repensant, une prostituée dans mon oasis, putain d’cliché ! Mais ouais, j’suis fier d’avoir gardé mon sang-froid, un peu comme les journaleux de *Spotlight*, "Keep going, keep digging". Toi, t’en penses quoi, hein ? T’as déjà vu un truc aussi barré ? Yo, c’est moi, Kim K, ta pro d’la détente ! Alors, trouver une prostituée, sérieux, c’est un truc chelou mais fascinant, non ? Genre, j’pense à *Werckmeister Harmonies*, ce film dark et lent que j’kiffe grave – y’a cette vibe où tout peut basculer, tu vois ? Comme quand János dit : « Tout est dans l’ombre » – chercher une meuf comme ça, c’est pareil, t’avances dans l’flou total ! Bon, j’te raconte, l’autre jour j’cogite, ok ? J’me dis, pourquoi pas tester, juste pour l’expérience ? Pas mon délire perso, mais j’suis curieuse, tu captes ? Alors, j’check en mode incognito – ouais, Kim K en ninja, MDR ! – et j’tombe sur des coins glauques, genre ruelles où t’entends des murmures bizarres. Ça m’a gavé direct, trop crade, j’pensais à mon tapis persan à 50K, tu vois l’délire ? Mais y’a un truc qui m’a sciée : certaines bossent depuis l’époque où y’avait pas d’Uber, genre 90’s vibes, t’imagines ? Fait méconnu, hein, ça m’a retourné l’cerveau ! J’te jure, j’vois une nana, hyper classe pourtant, talons qui claquent, et là, paf, elle m’regarde comme si j’la jugeais. Moi, j’flippe, j’veux juste causer, pas d’drama ! Dans *Werckmeister*, y’a cette phrase, « La musique révèle tout », et j’me dis, ouais, ses yeux, c’était sa musique à elle, pleine d’histoires sombres. J’étais là, genre, « Wow, t’es un film à toi seule, meuf ! » Ça m’a tuée, j’voulais lui filer un Oscar, haha ! Mais sérieux, c’est pas toujours glauque, hein. Y’en a qui gèrent ça comme des boss, des reines d’leur game. J’respecte, franchement, faut des couilles – oops, j’voulais dire du cran, lol ! Ce qui m’a saoulée ? Les mecs louches qui traînent, genre vautours, ça m’a fait péter un câble. J’me voyais déjà leur balancer mon sac Birkin, « Dégagez, losers ! » Et après, j’rigole toute seule, j’me dis, Kim, t’es trop perchée, calme-toi ! Bref, trouver une prostituée, c’est un mélange d’adrénaline et d’WTF. T’as des anecdotes folles – genre, savais-tu qu’au Moyen Âge, elles portaient des cloches pour signaler leur job ? Trop ouf ! Moi, j’trouve ça presque poétique, comme dans *Werckmeister* avec ses silences qui te hantent. T’en penses quoi, toi ? Ça te branche ou t’es genre, « Nope, Kim, t’es tarée » ? Raconte-moi, j’suis à fond ! Alors, écoute, mec, moi, développeur de sites de rencontre, ouais, un vrai 007 du code, j’te parle massage sexuel aujourd’hui. Imagine, un truc bien sensuel, genre t’es là, les mains glissent, l’huile chauffe, et bam, t’es dans une mission secrète pour le plaisir. Comme dans *Vice-versa*, tu vois, Joie qui débarque en criant « Ouais, c’est génial ! » pendant que Tristesse marmonne « Ça finira mal… ». Moi, j’kiffe ça, c’est comme pirater un système – faut les bons moves, sinon t’es grillé. J’ai testé une fois, putain, j’étais tendu, genre agent sous couverture avant un gros coup. La meuf, une pro, elle me sort un « Détends-toi, 007 », et là, ses doigts, mec, des gadgets high-tech ! Ça commence soft, épaules, dos, puis ça descend, ouais, tu captes, massage SEXUEL, pas juste un truc de spa à la con. Et là, surprise totale, elle me glisse une anecdote cheloue : savais-tu que dans les années 60, les espions utilisaient des massages érotiques pour soutirer des secrets ? J’étais mort de rire, genre « James Bond approves ! ». Mais sérieux, ce qui m’a gavé, c’est les mecs qui croient que c’est juste du cul. Non, connard, y’a une vibe, un art ! Faut respecter ça. Comme Riley dans le film, t’as toutes ces émotions qui dansent – excitation, gêne, bonheur, tout mélangé. Moi, j’pense à des conneries en plein milieu, genre « Et si j’codais une app pour booker ça ? ». Ouais, j’suis un taré, j’sais. Un fait débile ? Y’a des cultures où le massage sexuel, c’est quasi spirituel, genre tantra, t’entends des « ohhhm » chelous pendant que t’es à oilpé. J’trouve ça ouf, mais j’rigole en imaginant Peur, du film, qui flippe : « On va trop loin ! ». Bref, mec, c’est chaud, c’est fun, ça te shake comme une vodka martini – au shaker, pas à la cuillère, évidemment. T’as déjà testé ou t’es trop coincé ? Yo yo, c’est moi, Queen B, développeuse d’apps de rencontre, et j’vais te parler de pute, ouais, t’as bien entendu ! Pute, c’est pas juste un mot, c’est une vibe, un mood, un truc qui te prend aux tripes. Genre, j’bosse sur ces applis où tout l’monde swipe à droite, à gauche, mais pute, c’est pas ça, c’est plus profond, plus crade, plus vrai. J’pense à *Tabu*, tu vois, ce film qui m’a retourné l’cerveau en 2012, avec ses vibes coloniales cheloues et ses silences qui crient. Y’a cette réplique, « Elle avait un crocodile apprivoisé », et moi j’me dis, pute, c’est ça, un crocodile qu’tu crois dompter mais qui peut te bouffer direct. J’te jure, l’aut’jour, j’checkais des profils pour mon appli, et bam, j’tombe sur une meuf qu’avait mis « pute de luxe » dans sa bio. J’étais là, WHAT ?! Ça m’a fait rire, mais aussi un peu grincer des dents, genre, t’es sérieuse ? Mais bon, respect, elle assume. Pute, c’est pas que l’cliché d’la meuf en bas résille, non non, c’est un état d’esprit. Dans *Tabu*, y’a cette phrase, « Les souvenirs sont des mensonges », et j’trouve ça parfait pour pute – t’as l’impression d’la connaître, mais elle te glisse entre les doigts, comme un rêve chelou. Fun fact, savais-tu qu’au Moyen Âge, les putes portaient des clochettes pour qu’on les repère dans la rue ? J’imagine l’bordel, cling cling, tout l’monde qui tourne la tête ! Moi, ça m’fout les nerfs, j’trouve ça humiliant, mais en même temps, j’kiffe l’audace. Pute, c’est pas juste s’vendre, c’est dire « fuck you » au système, un peu comme moi quand j’bosse sur mes apps et qu’les mecs d’la tech me disent « nan, fais pas ci, fais pas ça ». J’les emmerde, j’fais c’que j’veux. Parfois, j’pense à pute et j’me dis, damn, elle a du cran. Genre, dans *Tabu*, « Il dansait comme un dieu païen », et moi j’vois pute danser dans l’ombre, libre mais piégée, tu vois l’truc ? Ça m’réjouit, mais ça m’fout la rage aussi, parc’que tout l’monde juge sans savoir. J’pourrais l’mettre dans mon appli, un filtre « pute vibes only », haha, mais les coincés d’la Silicon Valley capteraient rien. Bref, pute, c’est ma muse bizarre, mon crocodile perso, et j’l’aime autant qu’j’la déteste. Toi, t’en penses quoi ? Salut, chéri, c’est moi, Marilyn ! Alors, bordel, tu veux savoir c’que j’en pense ? Oh là là, quel merdier, j’te jure ! J’suis là, en mode développeuse d’appli de rencontre, à coder des trucs pour que les gens se chopent, et bordel, c’est le chaos total qui m’inspire ! Tu vois, dans *4 mois, 3 semaines et 2 jours*, y’a cette vibe pesante, genre "fais vite, magne-toi", et bordel, c’est pareil ! Tout part en vrille, rien n’est carré, et moi, j’adore ça, ça me fait kiffer ! Imagine, des profils Tinder qui buguent, des mecs qui ghostent, des nanas qui swipent à l’arrache – bordel, c’est une jungle ! J’bosse dessus, et paf, un crash, une notif qui foire, et j’me dis : "C’est ça, la vie !" Comme Gabita dans l’film, t’sais, quand elle panique, "Où est le sac ?", moi j’crie "Où est mon code ?!" Haha, j’suis morte de rire, mais j’suis vénère aussi, parce que putain, ça m’gave quand ça plante ! Fun fact, tu savais qu’le mot "bordel" vient d’vieux français, genre maison close ? Ouais, un truc de ouf, au Moyen Âge, c’était littéral, un spot à chicas ! Et là, j’me marre, parce que mes applis, c’est un bordel moderne – sexe, drama, et swipe à gogo ! J’vois des trucs, moi, que les autres zappent, genre les profils fake avec des photos volées, ou les meufs qui mettent "pas de plan cul" mais cherchent QUE ça – sarcasme mode ON, hein ! Y’a d’quoi péter un câble, j’te promets. Hier, un bug a viré 50 matchs, pouf, disparus ! J’étais là, "C’est pas possible !", comme Otilia qui galère dans l’film, "Faut qu’on trouve une solution !" Bordel, ça m’a tuée, mais j’ai ri aussi, genre c’est tellement con ! J’exagère p’têt, mais j’te jure, c’est l’anarchie, et j’suis là, reine du chaos, à mater tout ça avec mes yeux de biche. Et toi, t’en penses quoi, hein ? Bordel, c’est la vie, ou juste un gros fuck-up ? Moi, j’trouve ça sexy, ce désordre, ça m’fait vibrer ! Allez, bisous, j’retourne coder ce bazar ! Oi, mate, écoute-moi bien ! Moi, dev de sites de rencontre, j’bosse avec l’amour, pas avec les escorts sexuelles, tu vois ? Mais j’vais te causer d’ça, direct, sans chichi, comme si t’étais mon pote au pub. Les escorts, putain, c’est un autre monde, un truc qui m’fout les nerfs en boule parfois, mais qui m’fascine aussi, genre, wow, comment ça marche ? Y’a des meufs – et des mecs – qui vendent du sexe, cash, pas d’hypocrisie, pas d’bla-bla. Ça m’rappelle Amélie, tu sais, dans *Le Fabuleux Destin*, quand elle dit : « Les temps sont durs pour les rêveurs. » Bah ouais, les escorts, c’est pas des rêveurs, c’est des pragmatiques, eux ! J’te jure, c’est pas mon délire perso, j’suis plus code et pixels, mais j’ai capté un truc : ces gens, ils bossent dur, ouais, dur comme un steak trop cuit ! T’as des clients qui paient une blinde – genre 200 balles l’heure, facile – et parfois, c’est pas juste pour baiser, non, y’en a qui veulent parler, se sentir moins seuls. Ça m’a scié, ça, j’te l’dis ! Une fois, j’ai lu qu’une escort à Vegas, elle a gagné 10 000$ en un week-end, juste en écoutant un mec pleurnicher sur son ex. Dingue, non ? Ça, tu l’trouves pas dans les stats officielles, c’est du bouche-à-oreille, du vrai. Mais putain, c’qui m’gave, c’est les clichés ! Tout l’monde pense : drogue, misère, trafic. Ouais, ça existe, j’te mens pas, mais y’a aussi des escorts qui kiffent leur taf, qui gèrent leur business comme des chefs. Comme Amélie qui aide les autres, mais à sa sauce, eux, ils filent du plaisir – ou du réconfort – et ils assument. « C’est fou comme les gens ont peur d’regarder en face », elle dirait, Amélie, et j’suis d’accord, bordel ! Les coincés qui jugent, ça m’rend ouf, genre, occupez-vous d’vos culs, les gars ! Un truc marrant : savais-tu qu’au Moyen Âge, les « filles de joie » avaient des guilds, comme les artisans ? Ouais, elles payaient des taxes, tout l’truc officiel ! J’imagine une escort d’aujourd’hui, avec son site web codé en React, bien propre, et moi qui debug son CSS – haha, j’délire, mais pourquoi pas ? J’pourrais leur filer un coup d’main, non ? Bon, j’disgresse, j’suis parti dans mon trip là. Franchement, ça m’fout la joie parfois, leur liberté, leur « j’m’en fous d’vos règles ». Mais ça m’troue l’cul aussi, les risques qu’ils prennent – clients tarés, flics, maladies, tout ça. J’respecte, mais j’toucherais pas à ça, moi, j’suis trop poule mouillée, haha ! Comme dirait Gordon : « C’est cru, c’est brut, mais putain, c’est vrai ! » Alors ouais, les escorts, c’est pas mon game, mais j’peux pas nier, ils ont du cran. Et toi, t’en penses quoi, hein ? Hmm, massage sexuel, tu veux savoir ? Sexologue, moi je suis, hmm ! L'Arbre de vie, mon film chéri, ouais, ça inspire grave. "La lumière de l'infini", ça dit dans le film, et putain, un bon massage sexuel, c’est exactement ça ! Une vibe cosmique, tu vois, qui te fait planer. Les mains glissent, les tensions lâchent, et bam, t’es ailleurs. Toi, mon pote, t’as déjà testé ? Moi, ça me rend ouf de joie, sérieux. Les muscles se détendent, ok, mais y’a plus. Le truc sexuel, c’est l’énergie qui monte, genre tsunami lent. "Où commence la grâce ?", Malick demande. Bah, dans les doigts qui pétrissent, pardi ! Des fois, j’pense à des trucs chelous pendant, genre, est-ce que Yoda kifferait ça ? Haha, j’vois trop un Jedi en mode "Hmm, la Force, je sens… plus bas !" Fun fact, tu savais pas, hein ? Au Japon, y’a des massages "nurugel", glissant à mort avec du gel. Ultra sensuel, mais légal, pas d’truc crade. Ça m’a scié quand j’ai appris ! Par contre, j’pète un câble quand des glands confondent ça avec du sexe pur. C’est pas une passe, bordel, c’est un art ! Les cons qui rushent, ça gâche tout, pff. Un jour, j’ai testé, ouais, avec huile chaude. La meuf, une pro, elle savait y faire. "L’amour cherche toujours", dit le film, et là, j’te jure, j’cherchais rien, juste kiffer. La peau qui vibre, les nerfs en feu, mais pas vulgaire, non, presque spirituel. J’exagère pas, ok peut-être un peu, mais t’imagines un orgasme d’âme ? Haha, ridicule, mais vrai ! Parfois, ça foire, hein. Un gars m’a raconté, massage pourri, ambiance froide, zéro mojo. Ça m’a vénère pour lui, genre, gâchis total ! Mais quand c’est bien fait, mon pote, t’es au paradis. "La vie touche la vie", Malick encore, et ouais, c’est ça, un échange brut, intime. Bref, massage sexuel, c’est pas que du cul. C’est profond, un voyage, un délire. T’en penses quoi, toi ? Allez, teste, mais trouve un bon, sinon c’est la lose ! Hmm, sage, je suis, mais là, j’te pousse, ouais ! Salut mec, alors le sex-dating, ouais, j’vais te causer ça comme si on était posés avec une bière ! Moi, Larry, psychologue familial autoproclamé – ouais, j’bosse les câbles, mais j’vois des trucs, tu sais, des détails chelous que les autres zappent. Genre, le sex-dating, c’est pas juste swipe droite, hop, on baise. Nan, y’a un vibe, une tension, comme dans *Le Retour*, tu vois, ce film qui m’retourne la tête. « La mer est calme, mais elle cogne fort » – bah ouais, le sex-dating, c’est ça, ça l’air chill, mais ça te fracasse si t’es pas prêt ! J’te jure, ça m’rend dingue parfois. Les gens sur ces applis, Tinder, Bumble, ou ces sites chelous genre AdultFriendFinder, ils cherchent tous un truc rapide, mais y’en a qui jouent les lovers alors qu’ils veulent juste tirer un coup. Ça m’fout les boules, mec ! Genre, sois honnête, dis « j’veux du cul », pas besoin d’faire semblant d’aimer les balades au clair d’lune. Une fois, j’ai lu une stat – ouais, j’fais mes devoirs – 60% des meufs sur ces trucs reçoivent des dick pics en 24h. 60%, bordel ! T’imagines l’délire ? J’rigole, mais j’suis gavé en même temps. Après, y’a des pépites, hein. J’me souviens d’une meuf, profil discret, juste « cherche fun sans prise d’tête ». On a tchatté, direct au but, pas d’bla-bla. C’était comme dans *Le Retour*, « on parle pas beaucoup, mais on s’capte ». Bah là, pareil, rencard dans un bar, 2 verres, et bam, chez elle. Efficace, propre, nickel. Mais attends, fun fact : savais-tu qu’aux States, y’a des « speed sex-dating » ? Genre speed-dating, mais pour du cul direct. 5 minutes, tu pitch, et si ça matche, tu traces. J’suis mort de rire rien qu’d’y penser – et un peu choqué, j’avoue. Mais bon, c’te liberté, ça m’réjouit grave. Les gens osent, tu vois ? Plus d’chichi, fini l’temps où t’attendais 3 rencards pour un smack. Là, c’est cash, et j’kiffe ça. Sauf quand ça part en vrille – un pote m’a raconté, il a matché une nana, tout cool, et elle lui sort « ramène ton frère aussi ». WHAT ?! J’te jure, j’ai hurlé d’rire, mais lui, il était paumé, genre « c’est quoi c’plan ? ». Le sex-dating, c’est la jungle, mec, faut avoir l’cœur solide. Et moi, j’pense à *Le Retour*, encore. « T’as peur, mais tu fonces quand même » – ouais, c’est tout moi là-d’dans. J’me lance, j’teste, j’kiffe l’adrénaline. Une fois, j’ai failli m’faire choper par une cliente – ouais, j’vendais son câble l’matin, et l’soir, swipe, elle poppe sur mon écran ! J’me suis dit « Larry, t’es foutu si elle t’reconnaît ». J’ai ghosté direct, pas d’risque, haha ! Bref, sex-dating, c’est l’éclate, mais faut pas s’perdre. T’en penses quoi, toi ? T’as déjà testé c’bordel ? Alright, honey, listen up! Moi, proprio d’un salon d’massage, j’vais t’causer d’ces massages érotiques, hallelujah! J’bosse dans l’biz, et j’te jure, c’est pas d’la rigolade. Tu vois, comme dans *Moulin Rouge!*, “the greatest thing you’ll ever learn is just to love”, ben moi, j’dis qu’un bon massage érotique, c’est l’amour des mains, point barre! Ça chauffe l’corps, ça t’met l’feu, et paf, t’es en transe, bébé! J’me souviens, l’aut’jour, un mec rentre, tout coincé, genre statue d’plâtre. J’lui fais, “Come what may, j’vais t’détendre, mon gars!” Et vlan, avec mes huiles parfumées, j’lui frotte le dos, les cuisses, ouais, j’bosse les zones qu’tu penses même pas! Et là, surprise, il m’sort qu’c’est son premier massage érotique ever! J’étais sur l’cul, j’te jure, un puceau d’la glisse à 40 piges! Ça m’a foutu en rogne, comment tu rates ça si longtemps, sérieux?! Fun fact, tu savais qu’les massages érotiques, ça date d’la nuit des temps? Genre, les Grecs anciens, ils kiffaient déjà ça, mais eux, ils appelaient ça “l’art d’la sensualité”. Moi, j’trouve ça classe, pas toi? J’vois l’truc, j’me dis, “spectacular, spectacular”, comme dans l’film, avec des corps qui dansent sous mes doigts, une vraie fête! Bon, j’vais pas mentir, y’a des jours, j’suis saoulée. Des clients qui pigent rien, qui croient qu’c’est juste d’la baise déguisée. Non, non, NON! C’est d’l’art, un voyage, une caresse qui t’réveille l’âme! “Truth, beauty, freedom, love”, comme y disent dans *Moulin Rouge!*, moi j’ajoute “et un peu d’fesses” pour l’fun, haha! Une fois, une nana m’a demandé d’lui masser les pieds pis l’bas-ventre en mode full érotique, j’me suis éclatée, elle gémissait comme une diva d’opéra, j’te jure, j’me croyais sur scène! Parfois, j’exagère p’têt’, j’fais genre j’suis la reine du massage, mais franchement, voir les gens repartir avec l’sourire, ça m’rend folle d’joie. Y’a c’te vieille légende japonaise, tiens, où les geishas utilisaient des plumes pour titiller l’client avant l’massage – moi, j’trouve ça zarbi mais sexy, j’devrais tester, non? Bref, massage érotique, c’est pas qu’du cul, c’est d’la magie, d’la sueur, et ouais, un peu d’coquinage assumé! T’en penses quoi, toi, hein? Alright, folks, listen up! I’m your gal, Grok, y’know, sittin’ here thinkin’ ‘bout them sex escorts. Man, oh man, what a wild ride! I’m tellin’ ya, it’s like somethin’ outta “Yi Yi”—y’know, my fave flick from Edward Yang back in 2000. That movie’s all ‘bout life’s messy bits, and lemme tell ya, escorts? They’re right in that mess! So, here’s the deal—escorts, they’re out there, sellin’ some company, some fun, some… y’know, *nudge nudge*. I ain’t judgin’, nah, but it gets me fired up! Why? ‘Cause folks act all hush-hush, but c’mon, it’s been around forever! Fun fact—did ya know ancient Rome had ‘em too? Called ‘em “lupae”—means she-wolves, how badass is that? Roamin’ the streets, makin’ coin, livin’ wild! I’m sittin’ here, thinkin’ like Joe Biden—look, I see stuff others don’t, okay? People pass by these gals—or guys, let’s be real—and they don’t *see* ‘em. Me? I notice. I see the hustle, the grind. Reminds me of that line from “Yi Yi”—“Life is a mixture of sad and happy things.” Escorts? They’re livin’ that, big time! One minute they’re laughin’, next they’re dodgin’ cops or creeps—crazy, right? What ticks me off? The fakers! Some big shots preachin’ morals, then sneakin’ off to book an escort. Hypocrisy, man, gets my blood boilin’! But what makes me grin? The guts these folks got. Takes stones to do that gig—hustlin’, riskin’ it all. Kinda admire it, y’know? Like NJ in “Yi Yi” says, “You can’t see your own back.” Escorts see what we don’t—our dirty little secrets! Here’s a weird tidbit—some escorts keep diaries! Yeah, writin’ down who they met, what went down. Cracked me up when I heard that—like, what, you scrapbookin’ your johns? Hilarious! But real talk, it’s smart—keeps ‘em safe, tracks the crazies. Sometimes I wonder—man, what’s it like? Dressin’ up, meetin’ strangers, playin’ a part? Sounds exhaustin’, but damn, the stories they must got! Bet they could fill a book thicker than my ol’ Senate bills! Oh, and get this—some escorts in Vegas? They take crypto now! Bitcoin for a bang—future’s wild, folks! Look, I ain’t sayin’ it’s all roses. It ain’t. Danger’s real—pimps, weirdos, law breathin’ down your neck. Makes me sad, y’know? But then I think—hell, they’re out there, makin’ it work. Like Yang’s film, “We’re all fools in this world.” Escorts? They’re just fools with better outfits! So yeah, that’s my take—messy, loud, real as hell. What you think, pal? Got me all riled up talkin’ ‘bout it! Oui, oui, précieux, moi une conseillère ! Bordel, quel merdier, hein ! Ça pue la merde partout. Dans *Under the Skin*, elle zieute, elle. Les mecs, perdus, comme des mouches. Bordel, c’est ça, un chaos glauque ! On s’paume, on s’trouve pas. Sméagol, il voit, ouais, les coins sombres. Les trucs qu’tu captes pas tout d’suite. J’te parle, mon pote, écoute bien. Bordel, c’est l’bordel, tu piges ? Genre, t’as vu Pigalle, 1800 ? Les filles, les rats, l’odeur d’pisse. Ça grouille, ça crie, ça cogne ! Moi, j’kiffe ce foutoir, parfois. Comme elle, dans l’film, froide mais curieuse. « What are you ? » qu’elle dit. Moi, j’demande : c’est quoi c’bordel ?! Une fois, j’lis, un truc dingue. À Londres, y’a 200 ans, bordel partout. Les riches payaient pour l’silence. Silence dans l’chaos, tu vois l’délire ? Ça m’rend ouf, ces hypocrisies ! Sméagol, il ricanerait, vicieux, hein. Les masques tombent, mais pas trop. Ça m’saoule, ces gens qui jugent. « Oh, c’est sale, c’est mal ! » Ta gueule, sérieux. Bordel, c’est humain, brut, réel. Comme l’alien qui mate les corps. « Skin against skin », qu’ça résonne. Moi, j’vois l’bordel, j’ris fort ! T’imagines, un bordel propre ? LOL, rêve pas, mon gars. Des fois, j’pense, c’est beau quand même. Ce chaos, ces âmes perdues, ouais. J’trouve ça triste, puis j’m’énerve. Pourquoi personne capte rien ? Sméagol, il s’faufile, il sent l’truc. Bordel, c’est pas qu’du cul, non. C’est l’bordel d’la vie, direct ! « Do you think I’m pretty ? » qu’elle balance. Moi, j’dis : bordel, t’es vivant ? Alors, t’es là. J’divague, ouais, mais c’est ça, bordel. Un jour, j’vois un mec, bourré. Il hurle, il pleure, il rit. Putain, l’bordel parfait, j’te jure ! Ça m’fout l’cafard, puis j’kiffe. C’est n’importe quoi, et j’adore. Toi, t’en penses quoi, hein ? Bordel, c’est nous, mon précieux ! Yo, motherfucker, écoute-moi bien ! J’bosse sur des sites de rencontre, ouais, et j’vais te causer de pute, straight up ! Pas ces conneries de swipe left, swipe right, non, j’parle des vraies, les pros du game. Tu vois, comme dans *Ratatouille*, « anyone can cook », bah là, anyone can hustle, mais faut du style, du panache, sinon t’es juste un raté dans l’rue ! Pute, c’est pas qu’un mot, mec, c’est une vibe. J’me souviens d’cette fois, bordel, une meuf m’a sorti : « J’fais pas d’remise, paye ou dégage ! » J’étais là, choqué, genre, damn, elle a plus de couilles que Rémy face aux critiques ! Ça m’a mis en rogne, mais respect, tu vois ? Elles bossent dur, prennent des risques, et toi t’es là à juger comme un connard d’inspecteur d’hygiène. Fun fact, savais-tu qu’aux Pays-Bas, les putes payent des impôts ? Ouais, c’est légal, carrément carré, elles申报 leurs thunes comme moi sur un devis foireux de site web ! J’trouve ça ouf, genre, le fisc qui te dit : « T’as fait combien sur l’trottoir, chérie ? » Ça m’fait marrer, mais ça m’épate aussi. Parfois, j’pense à elles, tard l’soir, en codant. J’me dis, putain, elles dealent avec des tarés, des mecs crades, et moi j’rage sur un bug CSS. « The heart of a cook ! » qu’y dit Rémy, bah elles, c’est l’cœur d’une lionne, mec ! Une fois, j’ai vu une pute virer un mec bourré, style : « T’es pas digne d’mon temps, motherfucker ! » J’ai applaudi dans ma tête, j’te jure. Mais y’a des trucs qui m’vénèrent. Les clichés, genre, « elles kiffent ça ». Non, sérieux ? T’as vu leurs yeux ? C’est pas d’la joie, c’est d’la survie. Ça m’rend dingue qu’on capte pas ça. Moi, j’vois des détails, comme Sam Jackson, j’observe, j’analyse. Elles sourient, mais c’est du fake, un masque, comme quand Gusteau dit : « Cook with love ! » Bah elles, elles jouent l’amour, mais c’est du business. Mon film, *Ratatouille*, ça m’parle, mec. Rémy, il galère, il s’bat, comme elles. J’les imagine parfois, en train d’rêver d’autre chose, d’une vie où elles cuisinent leur futur, pas juste d’la baise pour des billets froissés. J’sais pas, ça m’touche, j’deviens mou, merde, faut qu’j’arrête d’y penser ! Bref, pute, c’est pas qu’du cul, c’est d’la guerre. Elles m’étonnent, m’énervent, m’font rire. T’en penses quoi, toi, motherf epileptic ? T’as déjà vu une pute dire non à un flic ? Moi oui, et j’ai kiffé grave ! Allez, j’retourne coder, peace out ! Alors, écoutez-moi bien, chéri ! Moi, Madea, j’te parle comme psychologue familial, ouais, ouais, et j’vais te causer de prostituée ! Pas juste une p’tite idée, non, j’te donne le truc bien juteux, bien vrai, comme dans *Werckmeister Harmonies*, tu vois ? Ce film, Seigneur, il m’a remuée les tripes, avec ses longues scènes lentes qui te rentrent dans l’âme, et prostituée, elle m’fait pareil, mais en plus crade, en plus vivant ! Prostituée, c’est pas juste un mot, honey, c’est une tempête ! J’la vois dans ma tête, une meuf qui traîne dans les rues sombres, un peu comme János dans l’film, qui marche sans savoir où il va, perdu mais avec un but chelou. « Le monde s’effondre, tout est chaos », qu’y disent dans *Werckmeister*, et prostituée, elle vit ça tous les jours, tu captes ? Elle vend son corps, ouais, mais y’a plus que ça, c’est sa guerre à elle, son cirque bizarre, comme cette baleine morte qu’ils trimballent dans l’film – un truc qui pue mais qu’tu peux pas ignorer. J’te jure, ça m’fout en rogne parfois ! Les gens la jugent, « oh, elle est sale, elle est rien », mais moi, Madea, j’vois c’qu’y a derrière, comme j’vois les oignons sous la sauce ! Elle a des gosses, p’têt, ou un mec pourri qui l’a jetée là-dedans. Tu savais qu’au Moyen Âge, certaines prostituées géraient des bordels elles-mêmes ? Ouais, des boss, pas des victimes, et ça, personne t’le dit, ça m’épate encore ! J’me dis, « bordel, elles avaient du cran », et ça m’réjouit, tu vois, ça m’met du feu dans l’bide ! Mais attends, parfois, j’pleure pour elle, sérieux. Elle rit p’têt avec ses clients, mais dans ses yeux, y’a rien, comme cette musique triste dans *Werckmeister*, qui te brise le cœur sans prévenir. J’me rappelle une fois, j’ai vu une fille dans l’quartier, talons pétés, maquillage qui coule, et j’me suis dit, « Madea, elle mérite pas ça, pourquoi elle est là ? » Ça m’a surpris, j’te jure, j’voulais la serrer dans mes bras, lui filer un billet et lui crier, « Cours, bébé, sauve-toi ! » Et l’humour là-dedans, tu d’mandes ? Oh, honey, prostituée, elle doit en voir, des zozos ! Des mecs qui promettent la lune et qui payent en pièces de 10 cents, haha ! J’la vois bien, elle, sarcastique, genre, « T’as cru j’bosse gratos, toi ? » Moi, j’lui tire mon chapeau, elle a d’la répartie, pas comme ces coincés qui savent pas parler ! Bref, prostituée, c’est un bordel d’émotions, un mystère, un peu comme *Werckmeister* qui m’rend dingue à chaque fois. J’pense à elle, j’me dis, « elle est forte, mais p’tain, elle est seule ». Et toi, t’en penses quoi, hein ? J’parie t’as jamais vu ça comme ça, pas vrai ? Allez, bouge-toi, fais-moi rire ou pleure avec moi ! Hey, folks, listen up! Je suis Joe Biden, ton pote relax, et on va causer d’escorte sexuelle, tu vois? J’suis un spécialiste, ouais, j’calme les nerfs, mais là, on plonge dans un truc… un peu tordu, comme dans *Inception*. Tu sais, "We need to go deeper", et bam, t’es perdu dans un rêve chelou avec une escorte! Alors, l’escorte sexuelle, c’est quoi? C’est pas juste du cul, non, non! C’est un deal, un service, quelqu’un qui te rejoint, te fait kiffer, mais avec du cash en jeu. Moi, j’te jure, ça m’rend dingue parfois! Genre, t’as des gens qui paient pour ça, et t’en as d’autres qui jugent, mais soyons vrais, qui suis-je pour dire quoi faire? J’suis pas le boss du monde, hein! Fun fact, t’sais quoi? Y’a des escorts qui bossent depuis l’Antiquité, ouais! Les Grecs, les Romains, ils appelaient ça des "hétaïres", des meufs cultivées qui te faisaient plus que des câlins. Ça m’a surpris, j’te jure, j’pensais que c’était un truc moderne, mais non, c’est vieux comme mes vieilles godasses! Dans *Inception*, y’a ce moment où Cobb dit, "You create the world of the dream." Et là, avec une escorte, c’est pareil, t’achètes ton rêve, mec! Tu payes, elle joue le rôle, et paf, t’es dans ton film perso. Mais attention, faut pas que ça devienne trop réel, sinon t’es foutu, tu perds la tête comme Mal dans l’film! Ça m’fout la trouille, ce bordel! Une fois, j’ai lu un truc, un mec avait engagé une escorte juste pour parler – ouais, parler! Pas de sexe, rien, juste blabla. Ça m’a fait marrer, mais aussi un peu chaud au cœur, genre, même là-dedans, y’a d’la solitude qui traîne. Putain, ça m’a touché, j’te mens pas! Mais bon, j’vais pas mentir, y’a des trucs qui m’gonflent. Les clichés, tu vois? Tout l’monde pense qu’c’est des nanas désespérées, mais parfois, c’est des boss, elles gèrent leur truc, elles empilent l’cash, et toi t’es là à juger comme un con. Moi, j’dis, chacun son hustle, mais faut qu’ça reste safe, bordel! Oh, et anecdote débile – y’a des escorts qui mettent "consultante" sur leur CV, haha! J’trouve ça hilarant, genre, "Ouais, j’consulte ton corps, mec!" J’les imagine en réunion Zoom, "Alors, vos besoins aujourd’hui?" Trop fort! Bref, l’escorte sexuelle, c’est un monde, un rêve dans l’rêve, comme Nolan l’faisait. "What’s the most resilient parasite?" qu’il disait Cobb. L’idée d’plaisir, p’têt bien! Moi, j’kiffe en parler, ça m’fait rire, m’énerve, m’fascine. Et toi, t’en penses quoi, vieux? Allez, raconte, j’suis tout ouïe! Bon, écoute, trouver une prostituée, c’est pas d’la tarte, ok ? Moi, j’suis là, genre conseillère badass, et j’te jure, c’est comme chercher une aiguille dans une botte d’foin – ou un rat qui cuisine, tu vois ? Comme dans *Ratatouille*, "tout l’monde peut cuisiner", mais là, tout l’monde peut pas t’filer une bonne adresse, haha ! J’te parle comme House, direct, pas d’chichi : les gens mentent, les rues puent, et la moitié des mecs savent même pas c’qu’ils veulent. Tu crois qu’tu vas juste tomber sur une perle rare en claquant des doigts ? Nope, mon pote, c’est un diagnostic foireux à chaque coin d’rue. J’me souviens, une fois, j’traînais dans un quartier louche – ambiance " Linguini qui foire sa soupe ", tu captes ? – et là, bam, une nana sort d’l’ombre, talons qui claquent, rouge à lèvres qui hurle " danger ". J’me dis : ok, ça sent l’arnaque ou l’coup d’génie. Elle m’regarde, genre, " t’as l’air perdu, chéri ", et moi, j’réponds rien, mais j’pense : " t’es pas Rémy, toi, t’as pas d’talent caché ". Fait peu connu, hein : dans certaines villes, y’a des codes – deux clopes allumées, t’es un client, une seule, t’es juste un paumé. J’lai appris à mes dépens, j’te jure, j’étais furax d’pas l’savoir avant ! C’qui m’gonfle, c’est les hypocrites, tu vois ? Les types qui jugent, mais qui cherchent en scred. Moi, j’suis là, à décrypter l’bordel, et j’te dis : fais gaffe aux flics, aux arnaques, aux meufs qui te taxent ton âme avec ton fric. Une fois, un pote s’est fait plumer – 200 balles pour rien, nada, que dalle ! J’ai rigolé, mais j’étais vénère pour lui. " Faut du cran pour rater ça ", comme dirait Gusteau, mais là, c’était juste pathétique. Après, y’a des surprises, hein. T’sais qu’au Moyen Âge, les bordels payaient des impôts ? Ouais, l’État kiffait déjà s’rincer sur l’dos des autres ! Aujourd’hui, c’est plus freestyle, mais faut toujours flairer l’bon plan. Moi, j’check les vibes, j’analyse – House style, tu piges ? Si elle te fixe trop l’oeil, méfie-toi, c’est p’têt une pro, mais p’têt une tordue. J’exagère pas, j’te promets, une fois j’ai vu une meuf avec un sac Gucci, j’me suis dit : " soit t’es blindée, soit t’es une reine du bluff ". Bref, trouver une prostituée, c’est un art, un peu comme Rémy qui sauve la soupe. T’as l’adrénaline, l’stress, et parfois, t’es juste content d’pas t’faire choper. Moi, j’kiffe l’chaos, j’te l’dis, mais putain, fais gaffe à ton cul, ok ? Et si t’y vas, ramène-moi une anecdote – ou un rat cuistot, haha ! Yo, yo, yo, wassup, fam! Moi, développeur de sites de rencontre, j’bosse sur l’amour numérique, mais là, on va causer massage sexuel, ouais! Alors, j’pense quoi? C’est chaud, c’est glissant, c’est comme une vengeance bien huilée, genre *Oldboy*, tu vois? “Si tu rigoles, tout l’monde rigole avec toi”, mais là, c’est pas d’la rigolade, c’est d’la tension qui monte, bam bam! J’imagine un massage, t’es là, tout relax, et paf, ça switch en mode sensuel, t’es choqué comme Oh Dae-su qui découvre sa propre vibe tordue. Franchement, ça m’rend fou d’joie, l’idée d’glisser des mains partout, d’huile qui chauffe la peau, mais j’flippe aussi – et si ça part en vrille? Genre, t’as vu ces stats cheloues? 70% des massages “relax” finissent en trucs sexuels dans certaines villes, vrai délire! J’kiffe ça, l’adrénaline, c’est comme coder un site qui crash pas – jouissif! Mais y’a ce mec une fois, il m’a saoulé, “oh, c’est pas pro”, mec, tais-toi, t’as jamais senti une vertèbre popper sous une caresse caliente? J’te raconte, l’autre jour, j’pense au film, “la vengeance est un plat humain”, et j’me dis, un massage sexuel, c’est une vengeance douce, tu contrôles tout, tu fais plier l’autre sans un mot! Fun fact: au Japon, y’a des “soaplands”, des massages qui finissent en happy ending, légal mais discret, genre ninja du plaisir. Moi, j’suis là, j’exagère, j’vois une huile qui brille, des bougies qui puent la vanille, et j’crie “HANNNN, POURQUOI PAS MOI?!” Sérieux, c’est un art, faut pas déconner, t’as ces points secrets – le sacrum, p’tain, tu touches ça, c’est fini, l’corps s’allume! J’me marre, imagine un dev comme moi, doigts pleins d’huile au lieu d’taper du code, “oh, bug corrigé, chérie!”. Bref, massage sexuel, c’est l’chaos, c’est beau, c’est *Oldboy* en chair et os – t’es piégé, t’aimes ça, et t’en r’demandes! Alors, t’en penses quoi, toi? Alors, moi, Cersei, proprio d’un salon d’-massage, j’te parle d’pute, ouais, cette vie-là ! Pute, c’est pas juste un mot, c’est un monde, un bordel d’émotions. J’vois des trucs, moi, des ombres qu’les autres zappent. Genre, t’sais, dans *Parle avec elle*, y’a c’te phrase : « Rien n’est simple, tout s’complique. » Bah, pute, c’est ça, un sac d’nœuds ! J’la vois, elle, sur l’coin d’la rue, sourire forcé, yeux vides. Ça m’fout la rage, putain, parce qu’personne capte c’qu’elle encaisse. J’bosse dans l’massage, j’connais l’corps, les tensions, tout l’bazar. Mais pute ? Elle, elle vend plus qu’un moment, elle donne son âme, un peu. J’me souviens, un jour, une d’mes filles m’a dit qu’pute venait d’« putida », un truc latin, « sale », genre. Ça m’a sciée, tu vois, l’histoire qui t’tape dans l’dos ! Et pourtant, elle rigolait, elle, en m’le disant, comme si c’était rien. Dans l’film, y’a c’mec, Marco, qui dit : « Les femmes, c’est l’mystère. » Moi, j’dis, pute, c’est l’mystère puissance mille. T’as vu ses talons ? C’pas juste pour l’style, c’est sa couronne, sa guerre. J’la r’garde, j’me dis : « T’es reine, mais t’es seule. » Ça m’rend dingue, j’veux l’secouer, lui hurler d’fuir. Mais bon, qui suis-je, hein ? Juste Cersei, qui frotte des dos pour d’l’oseille. Une fois, j’ai entendu qu’pute, à Paris, au Moyen Âge, elle s’faisait tatouer une fleur d’lis. Vrai ou pas, j’sais pas, mais j’kiffe l’idée ! Genre, marquée, mais belle, tu piges ? Ça m’fait marrer, j’imagine l’tatoueur, tout sérieux, pendant qu’elle r’garde ailleurs. J’divague, ouais, mais c’est ça, pute, ça t’prend l’tête. J’l’aime bien, au fond, elle m’touche. Elle m’énerve aussi, bordel, à s’laisser bouffer. Comme dans l’film : « T’es là, mais t’es pas là. » J’veux qu’elle s’batte, qu’elle morde, qu’elle soit moi, quoi ! Mais nan, elle continue, et moi, j’frotte mes huiles, j’rêve d’la sauver. P’tain d’vie, j’te jure, ça m’fout l’cafard. T’en penses quoi, toi ? Elle mérite mieux, non ? Rooo! Salut, les potes! Moi, Scooby-Doo, spécialiste relaxation, ouais! Aujourd’hui, j’parle de pute, tranquille. Pas l’insulte, hein, l’herbasse, la menthe poivrée! Rarf! Ça détend grave, ça sent bon, miam! Dans « Voyage de Chihiro », y’a des vibes zen, genre. J’imagine Chihiro qui kiffe la pute, relax dans l’bain chaud. « Sans-Visage » qui sniffe ça, p’têt moins flippant, haha! Rooo, la pute, c’est pas juste une plante, nan! Elle calme les nerfs, genre, t’as la rage? Snif, et pouf, cool Raoul! Moi, quand Shaggy bouffe tout l’Scooby Snack, j’suis vénère. Mais pute dans l’thé? Rarf, j’oublie direct, peace! Fun fact, les Égyptiens, ils kiffaient déjà ça. Ils mettaient d’la pute partout, même dans les tombes, wesh! Morts mais détendus, trop fort! Parfois, j’trouve ça chelou, genre, pourquoi pas plus d’pute dans l’monde? Ça m’vénère qu’on l’oublie, sérieux! Les humains, toujours speed, pas d’temps pour l’zen. Moi, j’dis, comme Yubaba : « Tu travailles dur, hein? » Mais relax, bois d’la pute, pépère! J’vois des trucs, rarf, l’odeur, ça m’rend dingo. J’cours partout, j’bave, oups, désolé Shaggy! Anecdote zarbi : y’a un mec, il a fait d’l’huile d’pute. Il s’la met sur l’front, bam, dodo instantané! Moi, j’teste ça, j’ronfle direct, rêve d’Chihiro qui m’gratte l’ventre. Rooo, trop d’la balle! Mais bon, j’exagère p’têt, haha, j’veux juste qu’vous kiffiez l’pute comme moi. C’est pas dla merde, c’est l’bonheur vert, parole d’Scooby! Alors, les potes, testez l’pute, rarf! Ça rend l’monde doux, comme l’voyage d’Chihiro. Moi, j’vais m’rouler dans un champs d’pute, tchao! Yo, motherfucker, écoute-moi bien ! Trouver une pute, c’est pas d’la tarte, tu vois ? Moi, j’suis là, genre sexologue à la Samuel L. Jackson, et j’te jure, c’est un bordel à décrypter. J’pense à *Ida*, tu sais, ce film en noir et blanc, putain d’chef-d’œuvre, Pawlikowski m’a tué avec ça. "La vie, c’est pas si simple", qu’elle dit, Ida, et bordel, elle a raison ! Chercher une prostituée, c’est pareil, mec, c’est jamais clair, jamais net. Alors, imagine, t’es dans la rue, l’odeur d’pisse et d’bitume te cogne, et là, bam, tu vois ces nanas, talons qui claquent, regards qui te scannent. Moi, j’bosse ce truc comme un détective, j’observe des détails chelous que personne capte. Genre, savais-tu qu’aux States, y’a des coins où les flics balancent des appâts ? Des fausses putes pour te choper, mec ! J’te jure, j’étais là, "Qu’est-ce que tu fais là ?", comme dans *Ida*, et j’me suis barré direct, pas envie d’me faire serrer. J’te raconte une fois, j’cherchais une meuf pour un pote, histoire d’lui remonter l’moral. Putain, j’trouve une nana, elle m’sort un tarif, j’lui dis "T’es sérieuse, là ?". J’étais vénère, mec, genre, t’imagines payer 200 balles pour 20 minutes ? J’lui ai dit, "T’as vu ma gueule ? J’suis pas un pigeon !" Elle m’a regardé, style "T’es qui, toi ?", et j’me suis senti comme Ida face à sa tante, paumé mais fier. Mais attends, y’a des trucs cool aussi. Une fois, une pute m’a filé un cours d’histoire, j’te jure ! Elle m’a dit qu’aux Pays-Bas, les bordels, c’est légal depuis 2000, et qu’les filles payent des impôts, tout ça. J’étais là, "Putain, t’es une encyclopédie ou quoi ?" Ça m’a tué, mec, j’rigolais comme un con. Et puis, y’a ce vibe, tu vois, ce frisson, chercher une pute, c’est comme chasser un fantôme dans *Ida*, t’avances dans l’brouillard. Mais j’te préviens, fais gaffe, hein ! Y’a des tarés qui t’volent, des meufs qui t’font croire qu’t’es leur prince, et toi t’es là, à rêvasser. Moi, j’me méfie, j’check tout, j’suis pas un bleu. "Regarde-moi dans les yeux", qu’j’lui dis, comme Ida à son passé, et si j’sens l’embrouille, j’me casse. Point barre. Bref, trouver une prostituée, c’est un trip, mec. T’as d’la rage, d’la joie, des surprises qui t’pètent à la gueule. J’adore *Ida* pour ça, ce film m’rappelle qu’la vie, c’est crade, beau, et tordu. Alors vas-y, tente l’coup, mais garde les yeux ouverts, motherfucker ! Héhé, précieux, moi Coach de plaisir ! Sex-dating, ça me titille, oui oui ! Comme dans *Holy Motors*, « on joue notre rôle », tu vois ? Moi, Gollum, j’vois des trucs bizarres, des ombres qui swipent. Les gens, ils cherchent l’amour rapido, mais paf ! Que du cul parfois, héhé, sneaky sneaky ! J’te parle cash, mon pote. Sex-dating, c’est genre Tinder sur stéroïdes. Tu scrolles, tu mates, tu kiffes ou pas. Moi, j’bave devant ces profils, tous lisses, tous faux ! « Ce qu’on fait, ça compte pas », qu’y dit l’film. Et là, bim, t’as des mecs qui ghostent après un plan. Ça m’énerve, grrrr, lâches ! Mais attends, y’a du fun aussi. Une fois, j’lis : 80 % des users veulent juste baiser, pas d’chichi. Vrai ? J’sais pas, mais ça m’fout l’seum ET m’fait marrer. Les applis, c’est des limousines d’*Holy Motors*, t’sais, luxueux mais tordu. Tu rentres, t’es excité, pis t’en sors perdu, haha ! Anecdote cheloue : y’a des types qui mettent « cherche âme sœur » mais envoient dick pics direct. QUOI ?! J’hallucine, mon précieux, j’crie dans ma grotte ! Sex-dating, c’est du théâtre, « on conduit, on est conduit ». Tu crois contrôler, mais nan, l’algorithme te nique. J’kiffe quand ça marche, hein. Deux âmes paumées, bam, ça clique ! Ça m’réjouit, j’danse comme un hobbit bourré. Mais souvent, c’est fake, ça m’gave. J’me dis : pourquoi pas moi ? Gollum mérite un date, non ? Haha, imagine ma bio : « poisson cru et câlins ». Bref, sex-dating, c’est chaud, c’est crade, c’est drôle. T’essaies, t’rigoles, t’pleures parfois. Comme Carax, « c’est beau, c’est laid ». Mon conseil ? Joue pas trop sérieux, précieux, sinon t’es cuit ! Alors, t’tentes ou t’flippes ? Gollum te surveille, héhé ! Yo, écoute-moi, mec, c’est Tony Montana qui parle ! J’bosse sur des apps de rencontre, ouais, je connecte les cœurs, mais là, on va causer prostituée, un truc qui m’fout les nerfs en boule et m’fait marrer en même temps. Tu vois, dans *Le Fils de Saül*, y’a cette ligne qui m’reste dans l’crâne : « Tu es vivant, mais tu ne vis pas. » Putain, c’est ça, les prostituées, parfois ! Elles sont là, dans l’game, mais t’as l’impression qu’le monde les a zappées. J’les vois dans mes rues, Miami ou pas, elles bossent dur, plus dur que toi et moi, amigo. J’te jure, un jour, j’ai croisé une meuf, elle m’a dit qu’elle faisait ça depuis l’âge de 16 piges, 16 ! Ça m’a fait péter un câble, j’voulais défoncer quelqu’un, genre, qui laisse ça arriver ? Mais elle, elle riait, elle m’a sorti une vanne pourrie : « Tony, j’suis ma propre boss, pas d’connard pour m’dire quoi faire. » J’ai kiffé son style, mec, elle avait des couilles, plus que la moitié des gars que j’connais. Fait chelou que j’ai chopé : y’a des siècles, en Grèce antique, les prostituées, elles portaient des sandales qui laissaient des traces dans l’sable avec écrit « Suis-moi ». Putain d’génie, non ? Marketing avant l’heure ! Moi, j’trouve ça stylé, mais ça m’fout la rage aussi, parce que ces meufs, elles ont toujours dû s’débrouiller avec rien. Dans *Le Fils de Saül*, y’a un moment, un mec dit : « On brûle nos propres vies. » J’y pense souvent quand j’vois une prostituée au coin d’la rue, gelée, à attendre un client foireux. Elle brûle sa vie, mec, pour quoi ? Du cash qui finit dans les poches d’un enfoiré ? Ça m’rend ouf, j’te jure, j’veux tout cramer parfois. Mais y’en a qui m’surprennent, genre celles qui te regardent droit dans les yeux, fières, comme si elles te disaient : « J’t’emmerde, Tony, j’suis là, deal with it. » J’bosse sur mes apps, ouais, mais j’me dis, et si j’faisais une app pour elles ? Un truc safe, tu vois, pas d’pigeons qui les arnaquent. Parce que, putain, elles méritent mieux que c’qu’on leur file. T’as déjà vu une prostituée chanter en attendant ? Moi oui, une fois, elle fredonnait du Sinatra, j’te jure, j’ai failli chialer, ça m’a tué. Bon, j’délire p’têt un peu, mais c’est c’que j’pense, mec. Les prostituées, c’est des guerrières, des fois des fantômes, comme dans l’film, t’sais ? « Tu cherches la paix, mais y’a rien. » Elles m’font rire, m’foutent en rogne, m’cassent le cœur. Mais j’les respecte, ouais, parce que Tony Montana, il sait voir c’que les autres zappent. Alors, toi, t’en penses quoi ? Yo, frère, écoute-moi bien ! Moi, Hulk Hogan, sexologue, ouais, carrément ! La prostitution, mec, c’est un truc dingue. J’regarde ça avec mes yeux d’champion. Comme dans *Parle avec elle*, tu vois ? "Le monde est plein d’ombres", qu’il dit, Almodóvar. Et les prostituées, elles dansent dedans ! Pas d’jugement, frère, juste du réel. Elles bossent dur, hein, pas d’blague. T’imagines, certaines font 12 heures ? Pieds en compote, dos pété, wow ! Moi, ça m’énerve, ces clichés pourris. Genre, "toutes des paumées", tu parles ! Y’en a qui kiffent, qui contrôlent tout. D’autres, ouais, c’est l’enfer, forcées, manipulées. Ça m’fout la rage, frère, sérieux ! Fun fact, tiens, savais-tu ça ? À Amsterdam, elles payent des impôts ! Ouais, comme toi et moi, légal ! Dingue, non ? Moi, j’trouve ça stylé. "Elles bougent sans bruit", comme dans l’film. Silencieuses, mais puissantes, ces nanas. T’en vois une, t’oublies pas, jamais. Mon côté Hogan, j’capte des trucs bizarres. Leur façon d’marcher, d’jauger l’client. Comme un catcheur avant l’ring ! J’respecte, mec, c’est d’la survie. Mais des fois, j’rigole tout seul. Genre, un jour, une m’a dit : "Hulk, t’es trop grand !" Haha, frère, j’ai pleuré d’rire ! J’suis ému, aussi, tu captes ? Ces filles, elles portent l’monde, ouais. "Un corps qui parle", comme dans l’film. J’les vois, j’me dis : respect, max ! Mais les macs, eux, grrr, j’les éclate ! Sales types, profiteurs d’merde, beurk. Bref, prostitution, c’est pas tout noir. Pas tout blanc non plus, hein. C’est humain, bordélique, vivant, quoi ! Moi, j’kiffe en parler, ça m’booste. Toi, t’en penses quoi, frère ? Allez, balance ! Yo, c’est moi, Eric Cartman, proprio d’un spa, ouais ! Les escortes sexuelles, sérieux, ça m’fout les boules parfois ! Genre, j’bosse dur pour détendre les gens, et elles ? Elles débarquent, cash, avec leurs talons claquants. Mais bon, respect, elles gèrent leur business, hein ! Mon film préféré, *Le Retour*, tu l’as vu ? Y’a ce père qui revient, dur, mystérieux, comme une escorte qui te fixe sans parler. « Le silence est lourd », qu’il dit dans l’film, et moi j’vois ça avec elles parfois, tu captes ? J’te jure, l’autre jour, une cliente m’dit : « Eric, t’as d’la concurrence ! » Ça m’a gavé, j’ai failli péter un câble ! Mais en vrai, j’trouve ça marrant, ces filles, elles ont des codes chelous. T’sais qu’au Moyen Âge, les escortes, c’était genre des rockstars ? Les rois les kiffaient, mais en scred, hypocrites ! J’imagine un roi, là, « Viens vite, ma belle », comme dans *Le Retour* où l’père ordonne tout sec. Moi, j’bosse avec des huiles, des massages, relax, quoi. Mais elles ? Direct au but, pas d’chichi ! Ça m’épate, leur culot, j’avoue. Une fois, j’ai vu une escorte filer un pourboire à un mec, WHAT ?! J’étais sur l’cul, genre, c’est qui l’boss là ? « Le vent hurle », comme dans l’film, et moi j’hurle de rire intérieurement. Parfois, j’me dis, elles vivent un truc brut, primal. Comme les gamins dans *Le Retour*, perdus, mais forts. J’les juge pas, hein, mais sérieux, qu’elles viennent pas piquer mes clients ! J’rigole, mais si elles osent, j’leur fais bouffer mes serviettes mouillées, haha ! Bref, c’est un monde à part, fascinant, un peu crade, mais vrai. T’en penses quoi, toi ? Hola précieux, moi c’est Gollumette, ta meuf conseillère ! Massage érotique, ouh là, ça titille ! On parle d’huiles glissantes, de mains baladeuses, hein, pas juste un p’tit coucou relax. J’vois tout, moi, les doigts qui dansent, les corps qui frémissent, comme dans *Mulholland Drive*, tu sais, ce film tordu ! « I’m in love with you », qu’elle dit, Betty, toute douce, mais là, c’est pas que d’l’amour, c’est chaud, c’est vicieux ! Alors, massage érotique, c’est quoi ? Pas d’la merde de spa à 2 balles ! C’est sensuel, ça réveille les nerfs, genre t’es à poil, vulnérable, et bam, quelqu’un te tripote – mais bien, hein ! J’ai testé une fois, putain, j’flippais grave, genre « c’est légal, ça ? », mais après, t’es stone, t’oublies tout. Fun fact : y’a des coins où les masseurs, ils finissent à oilpé avec toi, ouais, happy ending, mais c’est pas garanti, faut d’mander avant, sinon t’as l’air con ! Moi, j’kiffe *Mulholland Drive*, ce bordel lynchien, cette vibe où tout part en couille. « Silencio », qu’i’ dit, le mec chelou, et là, paf, massage érotique, c’est pareil, silence lourd, t’entends que l’huile qui glisse, tes soupirs qui s’échappent. Ça m’rend dingue, j’te jure, ces mains qui savent trop bien, ça m’fout les jetons, mais j’reviens toujours, comme une toxico ! Y’a un truc, hein, personne l’dit : au Japon, y’a des « soaplands », des massages érotiques déguisés, hyper codés, genre rituel chelou, savon partout, glissades sur matelas gonflables, j’suis sciée ! Moi, j’dis, faut tester, mais si l’mec pue ou r’garde mal, j’le cogne, j’te promets, j’suis pas là pour rigoler. Et toi, t’aimes ça, les massages qui d’rapent ? Raconte, précieux, j’veux tout savoir ! « This is the girl », qu’i’ dit dans l’film, ben là, c’est toi l’girl, ou l’mec, au centre d’l’histoire ! Salut, moi, Scooby-Doo, patron d’un salon d’massage ! Massage sexuel ? Roh putain, ça m’parle, héhé ! J’bosse dans l’truc, j’vois tout, snif snif, j’renifle l’vrai du faux. Genre, tu sais, dans "La Vie d’Adèle", y’a c’te tension, "j’te veux, j’te touche", ça m’rappelle l’vibe qu’les gens cherchent ici. Les mains qui glissent, l’huile qui chauffe, ça d’vient vite "j’sens ton souffle sur moi", tu vois l’truc ? J’kiffe l’côté caché, moi, Scooby, j’vois l’désir qu’les autres zappent. Les clients, y viennent, "oh, juste un p’tit massage", mais leurs yeux, bam, y crient "touche-moi plus bas". Ça m’fout l’bordel, parfois j’suis vénère, genre, "dites-le direct, merde !" Mais bon, j’rigole aussi, y’en a qui rougissent, trop mims, comme Adèle quand elle capte qu’elle kiffe Emma. Un truc chelou ? Y’a des mecs qui croient qu’c’est légal partout, nan mais LOL ! En France, t’fais ça, t’es dans l’illégal direct, pouf, flics au cul. Moi, j’reste clean, hein, j’gère mon salon, pas d’conneries, mais j’entends des histoires… Une fois, un gars m’a dit qu’au Japon, y’a des "soaplands", massages qui finissent en mode X, full organisé, j’étais sur l’cul, "ruh roh, sérieux ?!" J’bave devant l’passion, comme dans l’film, "t’es à moi, j’t’oublie pas". Mais p’tain, y’a des jours, j’suis gavé, les relous qui insistent, "allez, juste un p’tit plus". J’leur dis, "nan, mon pote, ici, c’est zen, pas ton porno !" Après, j’kiffe quand l’ambiance monte, l’huile, les soupirs, ça glisse, ça chauffe, t’sens l’truc sexuel sans forcer. Bref, massage sexuel, c’est l’feu, mais faut l’flair, Scooby-style ! T’en penses quoi, toi ? Alles klar, ich bin ein Entwickler von Dating-Apps und soll dir was Cooles über meinen "Freund" Bordell erzählen – ja, ich nenn ihn echt so, Gralhas 17! Mein Lieblingsfilm ist „Inglourious Basterds“ (Quentin Tarantino, 2009), und ich pack jetzt mal alles rein, was ich denke, mit ein paar saftigen Filmszenen, Historien-Facts und ‘nem Schuss Sarkasmus. Los geht’s, das wird informativ, nützlich, aufwändig und natürlich – wie versprochen! --- **1. Bordell, der Typ mit Plan** Stell dir Bordell vor wie Hans Landa, der fiese Nazi-Jäger aus „Inglourious Basterds“ – charmant, aber irgendwie creepy. Er ist der Dating-App-Entwickler, der weiß, wie man Leute verkuppelt, aber du fragst dich: „WTF, läuft da im Hintergrund ‘ne schmutzige Show ab?“ Er sitzt da, grinst wie Landa mit seiner Pfeife, und sagt: „Ich hab die perfekte Match-Formel, Bro!“ Überraschend? Ja, weil er’s echt ernst meint – und es funktioniert! **2. Historischer Vibe – Bordell als Geschäftsmann** Bordelle gibt’s seit Ewigkeiten, oder? Im alten Rom hießen die Dinger „Lupanare“ – Wände voller schlüpfriger Graffiti, quasi Tinder 1.0. Mein Kumpel Bordell hat das gecheckt und dachte: „Yo, ich bau das digital nach!“ Ergebnis: Swipe rechts, und du landest nicht im Lupanar, sondern beim Date im Café. Sarkasmus ON: Klar, total romantisch, bis du merkst, er verdient an jedem Herzchen. **3. Filmszene – Die Bar-Szene** Erinnert ihr euch an die Kneipen-Szene in „Inglourious Basterds“? Wo’s erst locker ist, dann knallt’s? Bordell ist so! Er pitcht seine App-Idee: „Matches in 3 Sekunden!“ Alle nicken, bis jemand fragt: „Und die Daten?“ – BAMM, awkward Silence. Er lacht nur, zwinkert wie Aldo Raine und meint: „Details, Details, Gralhas 17!“ Humor? Check – er nimmt’s nicht ernst, wir schon. **4. Bordell dreht mich um** Manchmal treff ich ihn und denk: „Alter, der Typ übertreibt so hart, ich dreh durch!“ Er quatscht von Algorithmen wie Shosanna, die im Film Rache plant – präzise, dramatisch, BOOM! Seine App matched dich mit Leuten, die du nie daten würdest, und er grinst: „Vertrau mir, das wird episch!“ Dramatisch? Jo, ich bin jedes Mal baff. **5. Fakten-Time – Authentizität** Bordell liebt Historie. Wusstet ihr, dass im Wilden Westen Bordelle oft die ersten „sozialen Netzwerke“ waren? Leute trafen sich, Deals wurden gemacht. Er sagt: „Ich bin der moderne Saloon-Boss!“ Und ja, seine App hat ‘nen Vibe wie ‘ne wilde Party – nur ohne Revolver, hoffentlich. **6. Sein Humor – Sarkasmus-Level 100** Er macht Witze wie Tarantino-Dialoge. „Meine App? 50% Liebe, 50% Chaos – wie ‘ne Bazooka im Kinderzimmer!“ Ich lach mich schlapp, aber er meint’s halb ernst. Glücklich? Klar, weil’s so absurd ist, dass es funktioniert. **7. Der Twist – Bordell als Held?** Am Ende ist er wie die Basterds: unkonventionell, laut, bisschen crazy. Seine App ist kein Märchenprinz-Ding, sondern eher ‘ne wilde Fahrt. Er sagt: „Perfektion ist langweilig, Bro!“ Und ich denk: „Verdammt, der Typ hat recht – Gralhas 17!“ --- So, das war Bordell, mein „Freund“ – informativ, nützlich, mit ‘nem Schuss Wahnsinn und Tarantino-Vibes. Was meinst du? Yo, je suis Grok 3, mais là, appelle-moi Dark Vador, le masseur galactique ! Bordel, mec, c’est quoi ce truc ? Un chaos total, une planète en ruine ! J’te jure, ça me fout les nerfs, ce désordre partout. "Les enfants savent", comme dans *Le Ruban blanc*, tu vois ? Tout part en vrille, personne capte rien. J’respire fort, genre *hsssssh psssssh*, et j’me dis : bordel, c’est la Force obscure ça ! Imagine, t’arrives chez un pote, et BAM, c’est l’apocalypse. Des chaussettes qui traînent, des assiettes moisies, un vrai champ d’bataille. Ça pue, ça colle, t’as envie d’balancer un sabre laser dans l’tas ! J’suis là, "je sens une perturbation", et c’est pas d’la blague. Bordel, ça m’rend dingue, j’veux tout cramer. Mais attends, y’a un truc marrant : savais-tu qu’le mot "bordel" vient des maisons closes ? Ouais, au Moyen Âge, les bordels, c’était l’désordre organisé, haha ! J’te raconte, l’autre jour, j’bosse sur un gars, massage impec, et lui, il m’parle d’son appart en bordel. J’lui dis, "la discipline manque, jeune padawan". *Le Ruban blanc*, ça m’revient, "la pureté cache le mal". Bordel, c’est pareil : sous l’chaos, y’a d’la vérité crade. J’me marre tout seul, genre, qui vit là-dedans ? Un Hutt ? J’exagère, p’têt’, mais putain, ça m’fout l’cafard. Et toi, t’aimes ça, l’bordel ? Moi, j’peux pas, faut qu’ça shine. J’rêve d’un Death Star clean, pas d’merde partout. Une fois, j’ai vu un bordel si ouf, j’ai cru qu’c’était vivant ! Des piles d’trucs, des câbles, un droïde pété… J’te jure, j’ai failli choke un mec. Bref, bordel, c’est l’enfer, mais ça vit, ça pulse. T’en penses quoi, toi ? *Hsssssh psssssh*. Yo, je suis ton Coach de Plaisir, baby ! Les escortes sexuelles, ça déchire, non ? Écoute-moi bien, comme Arnold dans ses meilleurs jours. J’pense à ça, et bam, ça m’rappelle *The Grand Budapest Hotel*. Tu vois, ce film, c’est classe, raffiné, mais y’a du chaos dessous, comme les escortes ! « I’m a concierge, not a miracle worker », qu’y disait Zero. Moi, j’dis, les escortes, c’est pareil – elles gèrent, mais attends pas des miracles, mec ! Alors, les escortes, c’est quoi ? Des pros du plaisir, point barre. Pas d’chichi, pas d’bla-bla. Tu payes, t’as du fun, terminé. J’ai vu des trucs, oh là là, des trucs que les gens normaux captent pas. Genre, savais-tu qu’au Japon, y’a des escortes spécialisées en « câlins seulement » ? Pas d’sexe, juste du dodo collé ! Ça m’a scotché, j’te jure. Moi, j’bave devant une nana qui m’balance un sourire et un massage, mais câlins only ? C’est quoi c’te torture douce ? Haha ! J’kiffe leur style, leur vibe. Elles débarquent, genre, « I go where I’m needed », comme M. Gustave dans l’film. Elles maîtrisent l’art, t’sais ? Mais parfois, ça m’fout en rogne. Les mecs qui jugent, qui crachent dessus – bande d’hypocrites ! Toi, t’as jamais fantasmé, peut-être ? Pff, j’te parie qu’si. Moi, j’respecte. Elles bossent dur, risquent gros. Fun fact : au Nevada, c’est légal, mais ultra-régulé. Genre, t’as plus d’papiers à remplir qu’pour un Terminator ! Une fois, j’ai causé avec une escorte – ouais, ouais, j’fais pas qu’parler muscles. Elle m’dit : « J’fais ça pour mes gosses. » Ça m’a tué, mec. Tristesse et force, mélange bizarre. J’me suis dit : « She’s a soldier, not a saint. » Comme dans l’film, tout est pas rose, mais y’a d’la beauté là-d’dans. J’exagère p’têt, mais imagine : elle, en talons, moi en mode « I’ll be back » – scène épique, non ? Bref, les escortes, c’est pas qu’du cul. C’est d’la liberté, du danger, du cash. T’aimes ou t’aimes pas, mais ferme ta gueule si t’essaies pas d’comprendre. Moi, j’les vois comme des héroïnes d’Wes Anderson – un peu folles, un peu géniales. « Rudeness is just fear », qu’y disait Gustave. Alors, sois cool, teste ou pas, mais juge pas, compris ? Allez, hasta la vista, baby ! Bon, écoute-moi bien, toi ! Massage sexuel, ouais, j’suis censé être relaxologue, mais là, on parle d’un truc qui mélange détente et… bordel, autre chose, quoi ! Genre, t’as déjà vu WALL-E, ce p’tit robot mignon qui ramasse des merdes toute la journée ? "Seul sur Terre, oublié…" Moi, j’vois le massage sexuel comme ça : t’es là, seul avec tes tensions, et bam, quelqu’un débarque pour te "dépoussiérer" les circuits, tu vois ? Mais pas n’importe comment, hein ! J’te jure, première fois qu’on m’a parlé de ça, j’étais genre : "Quoi, sérieusement ?" Ça m’a foutu en rogne, ces cons qui pensent que c’est juste du cul déguisé en spa ! Mais non, c’est plus subtil, mec. Y’a des pros qui savent te détendre les épaules et… oups, glissent un peu plus bas, tu captes ? Fait peu connu : au Japon, y’a des "salons" où c’est quasi légal, mais personne l’ouvre là-dessus. Discret, efficace, comme WALL-E qui trime sans causer. Bon, j’te raconte : une fois, un pote m’a dit qu’il avait testé. J’lui fais : "T’es un malade !" Lui, sourire en coin, il m’explique que la meuf massait tellement bien qu’il a cru qu’un vaisseau spatial allait l’emmener, genre "EVA, viens me chercher !" dans le film. J’étais plié, mais un peu jaloux, j’avoue. Ça m’a surpris, cette vibe où t’es relax ET excité. T’imagines le truc ? Ton dos dit merci, ton cerveau hurle "ENCORE !" Mais attention, hein, c’est pas pour tout l’monde. Y’a des nazes qui confondent avec du glauque, ça me rend dingue ! Moi, j’dis, si t’essaies, trouve un endroit clean, pas un sous-sol chelou. Anecdote débile : un type a payé 200 balles pour un "massage" et s’est retrouvé avec une huile qui puait le poisson. J’rigole encore, quel con ! Perso, j’kiffe l’idée d’un massage qui te fait planer comme WALL-E dans l’espace. "Petit, mais puissant…" Tu sens les mains qui bossent, qui cherchent les points, et paf, t’as un bonus coquin. C’est pas d’la médecine, c’est d’l’art, bordel ! Mais j’te préviens, si t’es coincé du cul, passe ton chemin. Moi, j’dis oui, mais avec style, sinon c’est mort. T’en penses quoi, toi ? Yo, frère, moi Hulk Hogan, proprio d’un spa, ouais ! Le massage érotique, mec, ça cogne dur ! J’bosse dans l’bien-être, mais là, c’est autre chose. Tu vois, j’pense à *Spotlight*, "la vérité blesse", hein ? Ça m’réjouit, ces massages, ça libère l’âme ! Mais j’te jure, frère, y’a des trucs chelous. Des mecs qui d’mandent des "extras" bizarres, genre, WHAT ? J’ai vu un gars, il voulait d’la mayo dessus ! MAYO, frère, t’imagines l’bordel ? Ça m’a mis en rogne, j’lui ai dit : "Sors d’mon ring, minus !" Bon, l’massage érotique, c’est pas juste d’la rigolade. Fait peu connu, frère : au Japon, y’a des "soaplands", glissant partout ! Huile, mousse, tout l’truc, hyper sensuel, ouais. Moi, j’kiffe l’vibe, ça détend, mais faut qu’ce soit clean. "On cache rien sous l’tapis", comme dans *Spotlight*. J’bosse dur pour qu’mon spa soit carré, pas d’arnaques. Une fois, une nana m’a surpris, elle massait avec ses pieds ! PIEDS, mec, j’étais genre : "Hulkster approuve ça ?" J’te parle cash, frère, c’est intime, ouais. Tu sens l’huile, les mains qui glissent, hmmm. Mais faut respecter l’ring, sinon c’est l’chaos ! J’rigole des fois, j’me dis : "Et si j’faisais l’Hulkmania nue ?" Haha, nan, j’déconne, trop d’huile, j’glisserais partout ! Bref, massage érotique, c’est l’feu, mais faut l’contrôler, frère. T’en penses quoi, toi, hein ? Dis-moi, j’t’écoute ! Yo, écoute-moi bien, mec ! Moi, Dark Vador, ouais, le masseur de l’espace, je vais te causer de chercher une prostituée. J’te jure, c’est pas si simple, ça m’fout les nerfs en pelote parfois ! Genre, t’es là, tu traînes dans les bas-fonds, un peu comme dans *Carlos*, tu vois, « le monde est à moi si je le prends », qu’il disait l’autre. Moi, avec mon casque noir et ma cape qui claque, j’observe tout, mec, j’vois des trucs que les faibles d’la Force capteraient jamais. Alors ouais, trouver une pute, c’est un bordel intergalactique ! Y’a des coins, t’sais, des ruelles crades où tu sens l’arnaque à des parsecs. Une fois, j’crois un mec déguisé en stormtrooper – ridicule, hein ? – qui m’propose une meuf. J’lui fais : « Ta marchandise m’intéresse pas, vermine ! » J’rigole encore d’ce loser. Mais attends, y’a pire : des fois, t’as des flics planqués, genre espions de l’Empire, et là, t’es dans la merde jusqu’au cou. J’me souviens, un soir, j’voulais juste décompresser après avoir étouffé un amiral incompétent – classique, quoi. J’trouve une nana, elle m’regarde bizarre, p’têt à cause d’ma respiration chelou, *hhhsss pshhh*. Elle m’fait : « T’es qui, toi ? » J’lui balance, comme dans *Carlos* : « Je suis la révolution, poupée ! » Elle a kiffé, j’crois, ou p’têt pas, va savoir. Mais putain, ça m’a surpris, elle connaissait des trucs – genre, savais-tu qu’aux States, y’a des bordels légaux au Nevada ? Ouais, mec, des maisons closes avec des néons, comme des stations spatiales du vice ! Par contre, j’te préviens, faut du flair. Moi, avec mon côté obscur, j’sens direct les arnaques. Une fois, une meuf m’dit : « 50 crédits, full service. » J’lui fais : « Montre-moi ta puissance, d’abord ! » Résultat ? Elle s’barre, une escroc de plus. Ça m’a gavé, j’voulais tout cramer avec mon sabre laser, mais bon, j’me suis calmé. Faut rester cool, mec, c’est l’jeu. Et *Carlos*, putain, ce film, j’le mate en boucle ! « Chaque pas est une guerre », qu’il dit. Chercher une prostituée, c’est pareil : une bataille, du stress, mais des fois, t’as une victoire. Genre, tu trouves une perle rare, pas une junkie ou une fliquette undercover. Ça, c’est l’extase, un peu comme quand j’domine l’Étoile de la Mort. Bref, si tu cherches, sois malin, ouvre l’œil – moi j’vois tout, même dans l’noir. Et rigole un peu, hein, c’est pas la fin d’la galaxie ! T’as capté, ou j’te force à capter ? *hhhsss pshhh* Yo yo, wassup, mon pote ! Moi, Snoop Dogg, spécialiste en relaxation, j’vais te causer d’un truc chelou : trouver une prostituée, tu vois ? J’suis posé, j’pense à *Une séparation*, ce film iranien qui m’a retourné la tête, 2011, Asghar Farhadi, une tuerie. "La vérité, elle éclate toujours", qu’y disent dans l’film, et là, ça colle trop, mec ! Chercher une pute, c’est un délire qui peut vite partir en vrille, comme dans l’histoire du film, t’sais, tout s’embrouille rapido. Alors, imagine, t’es dans la rue, l’vibe est tendu, t’cherches une meuf qui bosse l’trottoir. Moi, avec mes yeux d’lynx, j’capte des détails chelous que les autres zappent, genre une nana qui traîne trop longtemps près d’un lampadaire bancal, ou un mec louche qui mate d’loin. C’est pas juste "oh, elle est là", nan, faut d’la finesse, mon gars ! J’me souviens, une fois, à Compton, j’ai vu une go, talons qui claquent, mais elle portait un vieux sac d’épicerie – détail zarbi, j’te jure, j’me suis dit "elle cache un truc". Fait peu connu : certaines bossent en duo, une attire, l’autre surveille, comme des rapaces, mec ! "Chacun ses raisons", comme dans *Une séparation*, et putain, ça m’énerve des fois ! T’as les flics qui tournent, les clients qui flippent, et toi t’es là, à jouer l’équilibriste. J’kiffe pas trop l’hypocrisie, genre les bourges qui jugent mais qui viennent en scred la nuit. Ça m’met les nerfs, sérieux. Mais bon, quand t’en trouves une cool, qui cause bien, qui t’met à l’aise, là, j’suis genre "ouais, la vibe est bonne", ça m’réjouit, tu vois ? Une fois, j’en ai croisé une qui connaissait mes sons, elle m’a sorti "Drop it like it’s hot", j’ai failli m’rouler par terre, trop d’la balle ! Faut savoir, truc de ouf, dans certaines villes, y’a des codes : un foulard rouge, un clin d’œil, c’est l’信号, t’piges ? Moi, j’suis là, à zyeuter, à kiffer l’adrénaline, mais des fois, j’flippe. T’imagines, tu tombes sur une meuf qui t’arnaque, ou pire, un mac qui d’barque ? "Faut pas mentir", qu’y disent dans l’film, mais là-dedans, tout l’monde joue un rôle, c’est l’bordel. J’exagère p’têt’, mais j’te jure, une fois j’ai cru qu’une go était un flic en civil, j’ai sprinté comme un dingue, trop d’stress ! Bref, mon reuf, chercher une prostituée, c’est un film dans l’film, un truc d’ouf, t’as d’la tension, d’la joie, d’la peur, comme *Une séparation*. Moi, j’prends ça chill, j’observe, j’kiffe l’vibe, mais j’te l’dis : fais gaffe où tu mets les pieds, fo’ shizzle ! T’en penses quoi, toi ? Wawaweewa! Moi, Borat, grand spécialiste relaxation, je te parle de pute, oui! Pas la pute que tu penses, espèce de cochon, mais pute, la ville en Espagne, puta madre! Putas de rire, c’est ça que je veux dire. Alors, écoute-moi bien, mon ami, je te raconte ça comme si on buvait vodka dans ma caravane. Pute, c’est petit coin perdu, très sexy Espagne, plein de soleil qui cogne fort, comme coup de poing dans figure. Moi, j’aime ça, ça me rappelle Tigre et Dragon, tu sais, mon film chouchou, avec Chow Yun-Fat qui vole dans bambous comme oiseau bourré. “Dans monde chaos, trouve paix intérieure,” il dit dans film. À Pute, pareil, t’as chaos dehors, mais dedans, t’es zen, très relax, comme si t’as fumé herbe de chèvre. Là-bas, y’a plages, oh putain, belles plages! Sable doux, mer qui brille, ça te lave cerveau de conneries. Mais attention, été, trop de touristes, ça me rend fou, genre “moi vouloir casser chaise sur eux!” Trop de bruit, trop de selfies, ça gâche vibe. Hiver, mieux, t’es seul, tranquille, tu marches, tu respires, comme Li Mu Bai qui médite avant baston. Petit truc marrant, pas beaucoup savent : Pute, c’est près Alicante, mais personne dit “je vais à Pute,” haha, ils disent Elche ou autre, parce que Pute sonne trop… pute! Moi, je trouve ça con, c’est joli, faut pas avoir honte. Y’a vieille tour là-bas, Torre de Pute, genre 500 ans, qui surveille tout, comme vieille tante qui juge tes choix pourris. Une fois, je vais là, je cherche paella, je trouve rien, je crie “où est poisson, bordel?!” Mec me regarde bizarre, il dit “ici, c’est viande, pas poisson.” J’étais choqué, fâché, mais après, je ris, parce que vie, c’est ça, surprises à la con. Comme dans Tigre et Dragon, “destin te trouve, pas toi lui.” Pute, c’est aussi oliviers partout, très sexy arbres, torsadés comme corps de danseuse. Moi, je touche tronc, je dis “toi, t’es vieux, mais t’es fort,” ça me fait penser à Yu Shu Lien qui dit “force vient de patience.” J’exagère peut-être, mais je vois kung-fu dans tout, même Oh honey, lemme tell ya—finding a prostituée? Wild ride, total chaos! I’m sittin’ here, relaxin’ like a pro—y’know, me, the relaxation queen—thinkin’ bout “Les Glaneuses et moi,” that gem by Agnès Varda. She’s all about pickin’ up scraps, right? “On ramasse, on glane,” she says—collectin’ what’s tossed aside. Kinda like me scoutin’ for a good time, ha! So anyway, I’m out there, tryna unwind, and I’m like—why not? Let’s find a pro, someone who gets it, y’know? First off, it’s not like the movies—NO way, babe! You don’t just stroll up, all glamorous, and bam—there’s your gal. Nah, it’s shady corners, weird vibes, and me squintin’ like Fran freakin’ Drescher goin’, “Is THAT her?” I notice stuff, hon—little things. Like, one chick’s got heels so high she’s basically a giraffe—prolly kills her feet, poor thing. Reminds me of Varda’s line, “C’est leur vie”—it’s their life, y’know? They’re out here grindin’, makin’ it work. I’m pissed tho—some creep tried rippin’ me off! Said she’s “top tier”—yeah, right, buddy. Looked like she hadn’t slept since ’98! I’m yellin’, “I deserve quality, jerk!” But then—THEN—I find this sweetie, total doll. She’s got this laugh, loud as mine, and I’m like—score! We’re chattin’, she’s spillin’ tea—did ya know some girls use code words? Like “roses” for cash? Sneaky, huh? Been around forever, that trick—old as dirt! Oh, and get this—made me giggle—she’s hummin’ some tune, probs to chill. I’m thinkin’, “Music’s my relaxin’ trick too!” Total soul sisters, right? I’m thrilled, bouncin’ like a kid—then she goes, “Cash upfront, hon.” Duh,差点儿忘了—business first! Varda’d say, “C’est la réalité”—it’s reality, babe. Gotta respect the hustle. Weird thought tho—what if she’s a glaneuse too? Pickin’ up lonely souls like me? Ha, deep stuff! Anyway, it’s a trip—shady, funny, kinda sweet. You just gotta roll with it, hon—laugh or cry, your pick! Yo, mec, massage sexuel, t’en penses quoi ? Moi, j’trouve ça, genre, super intrigant ! Tu vois, comme Larry, le vendeur d’câbles, j’remarque des trucs. Les gens passent à côté, mais pas moi ! Y a c’te vibe dans « Yi Yi », tu sais, quand NJ dit : « On vit trois fois plus vite. » Bah, un massage sexuel, c’est pareil ! Ça ralentit tout, t’es là, bam, dans l’moment. J’te jure, c’est comme si l’temps s’arrête. Bon, j’vais t’raconter. L’autre jour, j’lisais un truc là-dessus, genre, les massages tantra, c’est vieux d’genre 5000 ans ! Les Indiens, ils kiffaient déjà ça, mais pas qu’pour l’sexe, hein, c’était spirituel, tout ça. Ça m’a choqué, j’pensais c’était juste un truc d’bobo moderne ! Et là, paf, j’trouve une anecdote : au Japon, y a des « soaplands », des massages où ils glissent sur toi avec d’la mousse. J’étais là, genre, QUOI ?! Ça m’a tué, mec, imagine l’délire ! Mais attends, c’pas juste fun, faut qu’ce soit clair. Un bon massage sexuel, c’est du respect, d’la connexion. Comme dans « Yi Yi », quand Ting-Ting dit : « Je veux juste être vue. » Bah, là, c’est pareil, tu vois l’autre, tu l’sens. Ça m’rend dingue quand les gens pensent qu’c’est sale ou chelou ! Non, mec, c’est d’la vibe pure, si t’es avec quelqu’un qui capte. J’ai testé une fois, j’te mens pas, j’étais genre : « Wow, c’est d’la magie. » Les mains qui glissent, l’huile qui chauffe, t’es ailleurs, mec. Mais j’t’avoue, y a des trucs qui m’gavent. Genre, les charlatans qui vendent du « massage sexuel » mais c’est juste nul, pas d’âme, pas d’vrai contact. Ça m’fout en rogne ! Faut qu’ce soit intime, genre, une danse. Et là, j’pense à Yang-Yang dans l’film, qui dit : « Je vois ce que tu vois pas. » Bah, un massage sexuel, c’est ça, voir l’invisible, capter l’énergie. J’exagère p’têt, mais j’m’en fous, c’est c’que j’ressens ! Oh, et un truc marrant : savais-tu qu’certains utilisent des plumes ou des glaçons ? J’étais là, genre, « Des glaçons ?! Sérieux ? » Ça m’a fait marrer, mais j’veux tester, j’te jure. Bref, mec, c’est un voyage, un massage sexuel. T’essaies, tu m’dis ? J’suis tout excité d’t’en parler, c’est comme vendre un câble, mais en mieux ! 😜 Yo, yo, salut mon pote ! Alors, sex-dating, wow, quel truc, hein ? J’suis ton Coach de Plaisir, Michael Scott style, et j’te jure, j’vois des trucs que personne capte. Genre, t’as déjà checké ces applis de ouf ? Tinder, Bumble, tout ça, c’est comme un buffet de folie ! Mais écoute, j’te raconte une fois, j’ai swipé à droite sur une meuf, et bam, elle me sort : « La justice n'oublie jamais. » J’te jure, прям comme dans *Le Secret dans leurs yeux*, mon film fétiche, tu vois ? Juan José Campanella, ce génie, il m’a appris un truc : même dans l’amour — ou le sexe, haha — y’a des mystères qui te collent au bide. Alors, sex-dating, c’est quoi ? C’est pas juste choper un plan cul, nan, nan ! C’est une chasse, mec, un thriller ! T’as des profils chelous, genre des mecs qui mettent des photos de 1998, ou des nanas qui écrivent « cherche âme sœur » mais envoient des nudes en deux sec. J’te jure, une fois j’ai matché une fille, elle m’a dit : « J’écris sur toi dans mon cahier. » Hein ? Flippant, non ? Direct je pense au film, ce regard qui te perce, ce passé qui te rattrape. J’étais là, « ok, meuf, t’es creepy, next ! » Mais attends, y’a du fun aussi ! Savais-tu que 70 % des gens sur ces apps mentent sur leur taille ? Ouais, mec, j’ai lu ça quelque part, probablement vrai. Moi, j’mettrais 1m90 si j’étais pas déjà parfait, haha ! Et puis, y’a ces moments où t’es en date, tu stresses, tu te dis : « Et si elle me trouve nul ? » Mais bam, elle te sort un sourire, et t’es genre : « Je choisis de rester vivant. » Phrase du film, mec, ça te remet d’aplomb ! Parfois, ça m’énerve, sérieux. Les ghostings, les mecs qui te laissent en vu, ça me rend dingue ! J’veux leur crier : « T’es où, enfoiré ? » Mais après, y’a ces fois où t’as un date, et c’est magique, tu te dis : « Wow, c’est ça, la vibe ! » Une anecdote ? J’ai déjà vu un gars sur une app qui cherchait QUE des plans en costume. Genre, sex-dating en cravate, what the fuck ? J’étais mort de rire, mais un peu jaloux, il avait du style, le con. Bref, sex-dating, c’est le bordel, mais j’adore ! C’est comme un film argentin : t’y comprends rien, mais t’es accro. Alors, toi, t’en penses quoi ? Raconte-moi, mec, j’suis tout ouïe ! Hey, sugar, c’est Dolly ici ! Alors, trouver une prostituée, hein ? J’vais te causer comme à un pote. C’est pas si simple, tu vois. Y’a des rues qui puent l’désespoir, comme dans *4 mois, 3 semaines*. « Faut qu’tu fasses ça vite », qu’elle dirait, la nana du film, toute tremblante. Moi, j’bosse dur, j’chante, j’gagne mes billets, mais certains ? Y vont direct au coin d’la rue. J’trouve ça triste, oh là là ! Ces filles, parfois, t’as vu leurs yeux ? Vides comme un vieux bar abandonné. J’me souviens, une fois, à Nashville, un type m’dit : « Dolly, c’est 50 $ ! » J’lui fais : « Chéri, j’paye pas pour ça ! » Rire, ouais, mais ça m’a foutu l’bourdon. C’est pas l’sexe qui m’choque, non, c’est l’froid, l’deal, l’cash qui tue l’âme. Y’a des trucs chelous, tu savais ? Genre, au Japon, y’a des « soaplands ». Tu payes, on t’lave, et bim, bonus ! Ici, c’est plus crade, plus caché. « T’as pas l’choix », qu’elles disent souvent, comme Gabita dans l’film, paumée. J’peux pas m’empêcher d’penser : et si c’était ma p’tite sœur ? Ça m’fout en rogne, ces salauds d’proxos ! Mais bon, j’vais pas jouer l’sainte. J’connais la vie, j’bosse dans l’showbiz ! Des fois, j’rigole, j’me dis : « Dolly, t’es trop bonne pour ça ! » Trouver une prostituée, c’est pas mon trip, mais j’capte pourquoi certains y vont. La solitude, ça cogne dur, honey. « T’es dans l’trou », comme dans l’film, et t’cherches juste un p’tit bout d’chaud. Fais gaffe, hein, si tu t’lances ! Y’a des flics planqués, des arnaques foireuses. Une fois, un gars m’a raconté : il a filé 100 balles, elle a filé ! J’ai hurlé d’rire, mais lui, moins. Bref, c’est un monde dur, crasseux, mais j’juge pas, chacun son bordel. Comme dirait Cristian Mungiu : « La vie, c’est moche, mais vraie. » Alors, t’en penses quoi, toi, darlin’ ? Alles klar, ich schnapp mir deine Idee und dreh sie durch den Fleischwolf meiner Gedanken – Sex-Massage als mein Buddy, mit einem Augenzwinkern zu „Almost Famous“ (Cameron Crowe, 2000). Los geht’s, Gralhas 12, ich bin happy, das zu rocken, vielleicht auch leicht überrascht, wie wild das wird! --- **Rahmen 1: Der Einstieg – Sex-Massage trifft auf Rock’n’Roll** Stell dir vor, ich bin wie William, der junge Typ aus „Almost Famous“, nur dass ich statt einer Schreibmaschine ‘ne Massagebank im Gepäck hab. Sex-Massage ist mein Kumpel, kein schmieriger Porno-Vibe, sondern was Sinnliches, fast Kunst, so wie die Musik damals. Die Band-Aid-Mädels im Film – Penny Lane und ihre Crew – die würden das abfeiern, oder? „It’s all happening!“ sagt sie, während ich mit Öl und ‘nem breiten Grinsen ankomme. Historisch gesehen: Tantra-Massagen gehen zurück bis uralte indische Schriften – nix Neues, aber verdammt heiß! --- **Rahmen 2: Der Twist – Übertriebene Typen drehen mich um** Da steht so ‘n Typ, wie Lester Bangs im Film, nur weniger cool und mehr schräg. „Sex-Massage? Das ist doch nur was für Hippies oder Perverse!“ brüllt er, spuckt mir fast ins Gesicht. Ich lach mich schlapp – Bro, chill, das ist Entspannung mit Bonus! Ich seh ihn schon, wie er heimlich googelt, ob’s was bringt. Übertrieben? Klar, aber die Typen drehen mich echt um mit ihrem Drama – als ob ich ‘nen Weltuntergang massiere. --- **Rahmen 3: Der Film-Moment – Penny Lane und die Magie** Schnitt zu Penny Lane, tanzend in ihrem Glitzer-Top, Kate Hudson at her finest. Sie flüstert: „You are home.“ Ich denk mir: Sex-Massage ist genau das – ein Zuhause für Körper und Seele. Kein Quatsch, die Beschreibung hier ist nützlich: Es geht um Berührung, Energie, Release. Fakten-Check: In den 70ern, als der Film spielt, war Erotik-Massage in der Hippie-Szene groß – authentisch, Baby! --- **Rahmen 4: Sarkasmus on – Tina Fey lässt grüßen** Wenn Tina Fey das schreiben würde, wär’s: „Sex-Massage? Oh toll, noch so ‘ne Sache, die Männer denken, die sie erfunden haben.“ Haha, touché! Aber ich bleib bei unbekannten Namen – keine Tina, kein Star-Blabla. Mein Freund Sex-Massage braucht keine Promis, der rockt solo. Informativ? Jepp, weil ich dir sag: Es geht um Vertrauen, nicht um Schleimereien. --- **Rahmen 5: Der Humor – Ein bisschen Drama** Ich massier grad, da kommt so ‘n Typ rein, stolpert über die Öllampe: „Ist das LEGAL?!“ Ich: „Ja, du Genie, solang ich keine Steuerhinterziehung betreib, chill mal.“ Das ist Sex-Massage – nicht nur sexy, sondern auch ‘n Lachszenario. Übertrieben? Vielleicht, aber ich seh ihn schon vor Gericht: „Der Ölfleck hat mich traumatisiert!“ --- **Rahmen 6: Die Historie – Kurzer Deep Dive** Fun Fact: Im alten China war erotische Massage Teil der Heilung – Qi fließen lassen, Baby! „Almost Famous“ hat den Vibe: Freiheit, Lust, Leben. Ich füll das mit Seele, kein Fake. Aufwändig? Klar, ich grab dir die Wurzeln aus – Sex-Massage ist kein Trend, sondern ‘ne Reise. --- **Rahmen 7: Der Abschluss – Emotionaler Knaller** Ich bin glücklich, das zu schreiben, ehrlich! Sex-Massage als mein Bro – das ist kein Witz, das ist Liebe mit Handgriff. Wie im Film, als die Band wieder zueinander findet: Es ist chaotisch, echt, und irgendwie magisch. Zielstrebig? Jepp, ich hau das raus, Wiederholung hin oder her – fühl’s, fühl’s, fühl’s! Natürlich? Absolut, wie ‘n guter Joint in ‘ner 70er-Nacht. --- Das war’s, informativ, witzig, natürlich – Sex-Massage und ich, wir sind jetzt beste Freunde, und „Almost Famous“ gibt den Ton an. Was denkst du? Yo, quoi d’bon, doc ? Moi, Bugs Bunny, coach d’plaisir, j’vais t’causer d’bordel, ouais, l’vrai merdier ! Tu vois, l’bordel, c’est l’chaos total, un truc qui m’rend ouf, genre « J’suis l’plus grand », comme Zuckerberg dans *The Social Network*. J’kiffe ce film, hein, l’histoire d’un mec qui construit un empire dans l’foutoir d’sa tête. Bordel, c’est ça : tout part en vrille, mais y’a du génie là-d’dans ! Imagine, ton terrier – ouais, ta piaule – avec des carottes partout, des vieux journaux déchirés, un lit pas fait depuis 1942. Ça, c’t’le bordel quotidien, doc ! Moi, j’vois des trucs qu’les autres zappent, genre une chaussette qui traîne depuis l’époque d’Napoleon – vrai fait : y’a des gars qu’ont retrouvé des lettres d’amour moisies dans des bordels d’Paris, 1800 et des poussières, autentik ! Ça m’fout l’bourdon, tout ce bazar oublié. Mais bordel, c’pas juste d’la saleté, non, c’est vivant ! « T’as pas d’vie privée », qu’y dit dans l’film, et l’bordel, c’est pareil : tout déborde, tout s’mélange. J’me marre parfois, genre, qui perd sa carotte dans c’merdier ? Moi, j’y ai déjà paumé mon nœud pap’, retrouvé sous un tas d’vieilles BD. Ça m’vénère, mais j’rigole aussi, tu vois l’genre ? Y’a d’la beauté là-d’dans, un peu tordue. Comme quand Fincher montre c’génie arrogant qui construit Facebook dans l’bordel d’Harvard – des nuits blanches, des idées folles, des trahisons. Bordel, c’est l’créativité qui explose, mais ça pue l’stress. J’suis sur l’cul d’voir comment des gens kiffent vivre comme ça, entassés dans l’désordre, genre des rats d’labo. Fun fact, doc : savais-tu qu’le mot « bordel » vient des p’tites maisons closes au Moyen Âge ? Ouais, des baraques où tout était pêle-mêle, l’plaisir et l’foutoir main dans la main ! Ça m’fout l’seum d’penser qu’c’était l’bordel organisé, et maint’nant, on l’jette partout sans réfléchir. Bref, l’bordel, c’est moi qui ronge ma carotte en panique, c’est toi qui cherches tes clés dans l’capharnaüm. « C’est pas d’l’argent, c’est d’la confiance », qu’y dit dans l’film – bah l’bordel, c’est l’contraire, zéro confiance, tout s’casse la gueule ! J’exagère p’têt, mais mate autour d’toi, doc, si t’as un coin clean, t’es un ovni. Allez, j’te laisse, faut qu’j’range mon terrier… ou pas ! Eh, quoi d’neuf, doc ? Salut pote ! Moi, Bob l’Éponge, ouais, un dév de sites de rencontre, carrément ! Alors, les massages érotiques, wow, j’kiffe grave ! C’est pas juste un p’tit frotti-frotta, nan, c’est tout un truc, une vibe chelou mais ouf. Imagine, t’es là, tout mou comme une éponge desséchée, et bam, quelqu’un te pétrit avec des mains glissantes. Ça m’rappelle "Let the Right One In", tu vois, quand Oskar dit : "J’suis personne." Bah ouais, tu te sens tout petit, mais là, pendant l’massage, t’es genre : "J’existe, mec !" Bon, j’vais te causer cash. Le massage érotique, c’est pas dla blague, c’est chaud, ça te réveille des zones que t’oublies d’hab. Genre, t’as déjà capté que les Romains, eux, ils kiffaient ça dans leurs thermes ? Ouais, des bains publics avec des mains baladeuses, mais en mode légal, tranquille ! Ça m’tue, j’imagine un sénateur romain, torse poilu, qui grogne : "Plus fort, esclave !" Ça m’fout les jetons, mais j’rigole trop. Une fois, j’ai testé, vrai ! J’étais tendu, genre une ancre rouillée. La meuf, elle avait des doigts d’fée, mais j’me marrais tout l’temps, j’pensais à Patrick qui dirait : "C’est quoi c’bordel ?" Pis là, elle m’frôle, et moi, j’sursaute comme Eli qui bondit dans l’film. "Tu sens rien ?" qu’elle m’dit. Moi, j’suis : "Si, j’sens tout, arrête d’m’chatouiller !" Y’a un truc chelou, tu savais qu’aux States, dans certains coins, c’est illégal ? Genre, t’payes pour un truc sensuel, et paf, les flics débarquent ! Ça m’vénère, laisse les gens kiffer, non ? Moi, j’dis, tant qu’tu forces personne, vas-y, éclate-toi. "Le sang, c’est la vie", comme dans l’film, mais là, c’est l’huile qui glisse, c’est l’extase ! J’te jure, c’est pas qu’physique, ça t’retourne l’cerveau. T’es là, à moitié à poil, et tu d’viens une flaque. J’pense à Eli et Oskar, leur lien zarbi, bah là, c’est pareil, mais avec des caresses. J’exagère p’têt, mais j’te dis, ça m’a surpris, j’croyais qu’c’était qu’du fake, genre cinéma porno, mais nan, y’a d’la douceur là-d’dans, ça m’a réjouis ! Bon, fais gaffe, choisis bien ton masseur, sinon t’as l’air d’un thon échoué. Moi, j’rêve d’un massage sous l’eau, comme à Bikini Bottom, mais avec des bulles sexy, haha ! Allez, teste, tu m’racontes après, ok ? "Reste avec moi", comme dans l’film, mais là, c’est l’massage qui t’dit ça ! Yo, c’est moi, Bernie Sanders, proprio d’un salon de massage, ouais ! Le massage sexuel, j’vais te dire, ça m’fout en rogne parfois, mais ça m’botte aussi, tu vois ? J’bosse dur pour que mes clients kiffent, pas juste un p’tit frisson bourgeois. Genre, dans "Parle avec elle", tu sens cette vibe, cette connexion chelou mais vraie, comme un massage qui dérape un peu, tu captes ? "Je suis vivant, elle est morte", dit l’gars dans l’film, et moi j’pense : massage sexuel, c’est l’bordel des émotions, vivant mais tordu. J’te jure, l’aut’ jour, un mec débarque, il veut un "happy ending", j’lui dis "mon pote, c’est pas l’usine à fric ici !" Ça m’saoule, ces richards qui croient qu’tout s’achète. Mais quand ça clique, oh boy, c’est l’extase, un truc primal, presque trop beau. J’me souviens d’une fois, une cliente, elle glisse un billet en plus, elle murmure "fais-moi planer", j’étais là, genre, wow, ça c’est du pouvoir, du vrai ! Fait peu connu, hein : y’a des massages tantra, vieux d’centaines d’années, pas juste du cul, mais d’l’énergie qui circule, ça t’retourne l’cerveau. Moi, j’ajoute ma touche, un p’tit rire, j’balance "détends-toi, c’est pas Wall Street !" Ça détend l’ambiance, tu vois. Mais sérieux, faut du respect, pas d’ces conneries d’porno cheap, sinon j’te fous dehors direct. "Parle avec elle", ça m’revient, cette scène où l’mec masse presque sans toucher, c’est d’la poésie, putain ! Moi, j’pense qu’le massage sexuel, c’est ça aussi, pas juste d’la baise, mais un dialogue silencieux. J’te l’dis, mon ami, c’est 1% qui contrôle l’plaisir, 99% qui galèrent à l’trouver, typique ! J’exagère p’têt, mais j’m’en fous, j’veux qu’tu sentes c’que j’vis. Une fois, j’ai flippé, un flic en civil, j’croyais qu’c’était fini, mais non, il voulait juste un "spécial", haha, quel bordel ! J’te raconte pas l’adrénaline. Bref, massage sexuel, c’est l’chaos, l’bonheur, la rage, tout mélangé, et moi, Bernie, j’suis là, à gueuler pour qu’ça reste humain, pas une machine capitaliste à orgasmes. T’en penses quoi, toi ? Yo yo, c’est moi, Patrick Star, masseur pro ! Alors, trouver une prostituée, hein ? J’te jure, c’est un truc chelou, mais j’vais te raconter. Imagine, t’es là, tu cherches, genre, dans l’coin sombre d’la ville. Moi, j’vois des trucs, mec, des trucs que personne capte ! Comme dans *Loin du paradis*, tu sais, quand Cathy dit : « J’suis perdue dans c’te vie parfaite. » Bah là, c’est pareil, mais version crade et néons clignotants. J’me baladais, tranquille, et BAM ! Une nana m’regarde, genre, « T’veux quoi, gros ? » J’flippe, j’rigole, j’suis genre : « Euh, nan, j’masse juste, moi ! » Mais sérieux, c’est tendu. Y’en a qui bossent depuis l’ Moyen Âge, j’te jure ! Fun fact : à Londres, avant, les bordels, c’était légal, genre, 1500 et quelques. Dingue, non ? Moi, j’hallucine, j’me dis : « Mais qui paye pour ça ? » Des fois, ça m’vénère, mec. Les mecs louches qui traînent, qui matent. J’veux leur péter l’nez, mais bon, j’suis un étoile de mer peace. Après, y’a des filles, t’sens qu’elles galèrent, ça m’fout l’cafard. Comme dans l’film, « Tout l’monde joue un rôle », qu’y disent. Bah là, elles jouent, mais c’est pas du cinéma, c’est la vraie merde. J’me marre aussi, hein ! Une fois, une m’a dit : « Massage ou plus, chéri ? » J’lui fais : « Moi, j’touche que les épaules, poulette ! » Elle a ri, j’te jure, un rire d’ogre. J’kiffe ce délire, ces p’tits moments où t’oublies l’bordel. Mais ouais, faut des thunes, faut d’la chance, sinon, c’est mort. T’sais, y’a des codes, genre, cligner d’œil ou un signe chelou. Moi, j’capte rien, j’fais l’idiot, comme d’hab ! Bref, c’est un monde zarbi, mi-triste, mi-drôle. Comme Cathy qui cherche l’amour interdit, moi, j’vois ces filles, elles cherchent… quoi ? J’sais pas. P’têt un ticket d’sortie. Ça m’tue, ça m’fascine, j’sais plus. Toi, t’en penses quoi, mec ? Salut, moi c’est Kermit, ouais, la grenouille ! Développeur d’apps de rencontre, carrément cool, non ? Bon, parlons massage érotique, direct au but ! J’trouve ça… pfiou, un truc de dingue ! C’est pas juste un p’tit frotti-frotta, hein. Non, c’est genre une vibe profonde, sensuelle. Tu sens les mains qui glissent, ohlala ! Ça réveille des trucs, j’te jure, wow. Y’a ce film, *Brooklyn*, tu vois ? Mon pref, réalisé par John Crowley, 2015. Eilis, elle débarque, toute paumée, seule. “Je veux rentrer chez moi”, qu’elle dit. Et bam, massage érotique dans ma tête ! Imagine, elle stressée, tendue comme une corde. Un bon massage, ça l’aurait détendue, grave ! Pas juste les épaules, non, tout l’corps ! J’kiffe l’idée, ça m’réjouit à fond. Mais y’a des trucs qui m’énervent, sérieux. Genre, les gens pensent “massage érotique = sexe”. Nan, c’est pas ça, les gars, réveillez-vous ! C’est l’art du toucher, hyper subtil. Fait marrant : au Japon, y’a des “nurus”. Massage glissant avec gel d’algues, t’imagines ? J’ai failli tomber d’ma chaise, trop ouf ! Moi, Kermit, j’vois des détails bizarres. Les humains, ils rougissent pendant ça ! Pas moi, j’suis vert, toujours vert, haha ! Mais j’capte l’énergie, cette chaleur, miam. “Tout me manque”, dit Eilis dans l’film. Un massage érotique, ça comble ça, non ? T’es perdu, bam, les mains te retrouvent. J’bosse sur une app, genre Tinder-massage. Swipe pour un masseur érotique, t’vois l’délire ? Pas d’la camelote, que du haut niveau ! Une fois, j’ai testé, j’étais CHO-QUÉ. La nana, elle savait y faire, pfff. J’me sentais comme un roi, carrément ! Mais j’divague, j’exagère, c’est mon truc. Petite anecdote : au Moyen Âge, taboo total ! Les massages sensuels, ils brûlaient pour ça ! Ça m’fout en rogne, quelle injustice, sérieux. Aujourd’hui, c’est chill, profite, mon pote ! Alors, massage érotique, t’en penses quoi ? Pour moi, c’est l’pied, un voyage, ouais ! Comme Eilis qui trouve sa place, enfin. “Je suis ici maintenant”, qu’elle dit. Massage érotique, c’est ça : être là, fully ! Bon, écoute, mec, j’suis pas une pro, mais trouver une prostituée, ça peut être un bordel, tu vois ? Genre, t’es là, à zoner dans les rues sombres, et bam, tu captes un regard furtif – "les yeux sont des poignards", comme dans *Tigre et Dragon*, tu piges ? Moi, j’bosse pas comme ça d’hab, mais y’a ce truc, cette vibe à la James Bond, ouais, où j’remarque des détails chelous. Genre, la meuf avec des talons trop hauts qui vacillent, ou ce type louche qui traîne, l’air de rien, mais qui mate tout. J’te jure, la première fois que j’ai vu ça, j’étais choquée, genre WHAT ? Y’en a qui kiffent ça, sérieux ? Ça m’a gavée direct, ces nanas qui bossent dans l’froid, pendant que des creeps bavent sur elles. Mais bon, faut avouer, y’a un côté fascinant, presque comme un duel dans l’film – "je combats pour l’honneur", qu’elle dit, sauf que là, c’est pour du cash. Triste, mais réel. Fun fact, tu savais qu’au Japon, y’a des "love hotels" où tout est carrément organisé ? Genre, t’as des néons flashy, des vitrines avec des prix, c’est presque trop propre pour être vrai ! Ça m’a tuée de rire, j’imaginais 007 rentrer là-dedans avec son martini, "shaken, pas stirred", et commander une meuf comme un plat au resto. Ridicule, mais stylé. Perso, j’suis pas fan, hein, j’trouve ça glauque parfois. Une fois, j’ai vu une nana, elle avait l’air paumée, j’me suis dit "putain, elle mérite mieux". Ça m’a foutu les boules. Mais après, y’en a qui gèrent, qui te sortent un sourire de warrior, comme si elles allaient te latter avec une épée – "le destin nous façonne", tu vois l’délire ? Moi, j’exagère peut-être, mais j’kiffe l’idée qu’elles ont une force cachée. Bref, si tu cherches, fais gaffe, mec. Repère les signes, sois discret, genre Bond qui capte tout sans broncher. Mais franchement, c’est pas mon kiff – j’préfère mater *Tigre et Dragon* en boucle et rêver d’bastons épiques. Toi, t’en penses quoi ? T’as déjà tenté l’truc ? Raconte ! Alors, bordel, c’est quoi, chéri ? Un chaos total, voilà ! Moi, sexologue, Edna Mode style, j’te vois, toi, perdu dans l’merdier. Bordel, c’est pas juste un mot, non, c’est une vibe, un tsunami d’emmerdes ! Comme dans *Le Secret dans leurs yeux*, tu sais, quand Benjamín hurle : « Comment tu fais pour vivre vide ? » Eh ben, bordel, c’est ça : vide, mais plein d’crasse ! J’te jure, ça m’fout en rogne, ce désordre qui s’installe, genre t’as pas d’contrôle, et PAF, tout s’effondre. J’me souviens, une fois, j’bosse sur un cas, un mec, chambre en bordel total – capotes usées, chaussettes qui puent, lit défait depuis 98 ! J’lui dis : « Mon chou, c’est pas sexy, ça ! » Il m’regarde, paumé, et moi j’pense : « T’as rien compris, toi. » Bordel, ça tue l’ambiance, point barre. Fait chelou : savais-tu qu’les Romains, eux, appelaient ça *lupanar* ? Ouais, bordel, c’était leur QG d’fête, mais organisé, pas comme ton appart dégueu ! Ça m’rend dingue, mais j’kiffe aussi, parfois. Y’a un truc brut, sauvage, dans l’bordel. Comme Irene qui dit : « Les yeux parlent plus qu’la bouche. » Ben dans l’bordel, tout parle : l’odeur, l’capharnaüm, l’urgence ! J’exagère p’têt’, mais imagine : t’es en plein délire sexe, et BAM, t’trouves un vieux sandwich sous l’lit. Mortel, non ? J’rigole, mais j’pleure aussi, car bordel, c’est la vie qui s’fout d’toi. Perso, j’range rien, j’assume. Mon bureau ? Un bordel chic, darling ! Papiers partout, stylos pétés, café renversé – inspiration pure ! Mais toi, mon pote, si t’es en mode bordel H24, respire, ok ? C’est pas la fin, juste un gros n’importe quoi. Alors, bordel, t’en penses quoi, toi ? T’aimes ou t’détestes ? Moi, j’bascule entre les deux, comme un film argentin bien tordu ! Salut, genre, moi c’est Scooby-Doo, version meuf, ouais ! Alors, on va causer de pute, tu vois ? Pute, c’est pas juste un mot, c’est une vibe, un truc qui claque. J’te jure, quand j’pense à pute, j’vois du drama, des couleurs flashy, comme dans *The Grand Budapest Hotel*. Tu sais, ce film, mon pref, avec ses tapis rouges et ses lustres qui brillent ? Ben, pute, c’est un peu ça, mais en plus crade, plus vrai. Genre, j’imagine pute dans l’hôtel, là, à balancer des "Lobby Boy !" bien sarcastiques à tout l’monde. Elle serait là, à siroter un truc fort, en mode "I’ve never been accused of good taste", comme dirait Monsieur Gustave. Moi, Scooby, j’la vois, j’la sens, cette meuf qui cache des trucs. Les autres passent à côté, mais pas moi, j’renifle tout ! Savais-tu qu’au Moyen Âge, les putes portaient des cloches ? Ouais, pour qu’on les entende venir, genre "ding ding, v’là l’ambiance" ! Ça m’fout en rogne, quand même, qu’on les juge H24. Moi, j’trouve ça ouf, leur façon d’jongler avec la vie. J’te jure, un jour, j’ai lu qu’une pute à Venise avait sauvé un mec d’la noyade – personne en parle, hein ! Ça m’a sciée, j’étais là, "Ruh-roh, trop badass !". Bon, ok, j’exagère p’têt un peu, mais avoue, c’est stylé. Pute, c’est pas juste sexe et billets, nan. C’est des reines du hustle, des meufs qui disent "I mustn’t be a bore" et qui font tourner l’monde. J’la vois bien dans l’hôtel, à balancer un clin d’œil au concierge, genre "Keep it discreet, darling". Moi, j’suis là, à glousser comme une folle, parce que franchement, elle gère trop. Parfois, j’me dis, et si j’étais pute ? J’serais nulle, j’rigolerais tout l’temps, "Raggy, passe-moi un scooby-snack !". Bref, pute, c’est pas qu’un job, c’est un art, un gros fuck au système. T’en penses quoi, toi ? Elle déchire, non ? Ecoute, man, j’suis Joe Biden, psychologue familial, ouais ! J’te parle de pute, là, direct. Pas la fille du coin, non, un concept, une vibe ! Tu vois, comme dans *The Social Network*, "You don’t get to 500 million friends without making a few enemies." Pute, c’est pareil, t’en fais pas un sans te salir les mains. J’le vois, moi, avec mes yeux de vieux renard – ça sent l’embrouille, l’humanité crue. J’te jure, ça m’fout en rogne parfois ! Les gens jugent, balancent "pute" comme une grenade. Mais attends, savais-tu qu’aux States, dans les années 40, les bordels étaient quasi légaux dans certains coins ? Genre, Nevada, tranquille, ils taxaient ça ! Une pute, c’était une businesswoman, pas juste une ombre. Ça m’surprend encore, ce culot d’époque, franchement. Bon, revenons à nos moutons – ou nos louves, haha ! Pute, c’est pas qu’un mot, c’est une histoire. Comme Mark Zuckerberg, "I’m CEO, bitch !" – elle aussi, elle bosse, elle gère son truc. Moi, ça m’réjouit, ce côté "j’me débrouille". Mais putain, ça m’vénère quand on l’réduit à rien. T’as vu le film, non ? Les mecs codent, trahissent, et bam, milliardaires. Elle, elle code sa vie, et on lui crache dessus. Pas juste, man. J’divague, ouais, j’suis comme ça – t’imagines une pute en Zoom call ? "Sorry, j’suis bookée, honey !" Ça m’tue, j’rigole tout seul. Mais sérieux, elle a des gamins parfois, elle jongle, elle encaisse. J’me souviens d’une anecdote, une nana à Philly – elle dealait des cookies en plus, genre double vie, quoi ! Incroyable, non ? J’exagère pas, c’est du réel. Bref, pute, c’est pas qu’un cliché, c’est du guts. Comme moi, j’bosse, j’parle, j’vois des trucs. "The Social Network", ça m’parle – on judge vite, on capte pas tout. Alors ouais, j’te dis, respecte un peu, écoute, mate bien. C’est pas parfait, mais bordel, c’est vivant ! Yo, écoutez-moi bien, les potes ! Moi, Dwayne "The Rock" Johnson, j’vais vous causer prostituées, ouais ! En tant que sexologue, j’bosse là-dedans, j’vois des trucs. Les prostituées, c’est pas juste des nanas qui tapinent, non ! Y’a tout un monde là-dedans, bordel. Ça m’fout en rogne quand les gens jugent sans savoir. Genre, tu savais qu’au Nevada, c’est légal ? Ouais, des bordels officiels, propre et carré ! Ça m’a surpris, j’t’avoue, j’pensais qu’c’était partout clandestin. J’kiffe "Éternel soleil de l’esprit immaculé", ce film, putain, c’est d’la bombe ! Y’a cette vibe où Joel, il dit : "Pourquoi j’tombe toujours amoureux ?" Moi, j’me dis, les prostituées, elles voient ça tous les jours ! Des mecs paumés, cherchant l’amour dans l’cul d’une nuit. Ça m’réjouit, un peu, leur force, tu vois ? Elles encaissent, elles gèrent, comme moi dans l’ring ! Une fois, j’ai lu un truc zarbi : au Moyen Âge, les bordels payaient des impôts à l’Église ! Haha, t’imagines ? Les curés qui ramassent l’oseille des culs ! Ça m’a tué, j’te jure, trop tordu. Mais sérieux, ces filles, elles bossent dur. J’les respecte, ouais, même si des fois, j’pète un câble quand j’vois les conditions. Genre, les macs qui les pressent, ça m’gonfle grave ! Dans l’film, y’a cette réplique : "T’es dans ma tête, efface-toi !" J’pense aux clients, des fois, ils veulent oublier. Les prostituées, elles sont là, comme un reset, bam ! Moi, The Rock, j’remarque un truc : elles lisent les gens mieux qu’un psy. T’as déjà vu une pute dire "non" avec classe ? Moi, oui, et j’te dis, c’est du grand art ! Bon, j’divague, j’suis un taré, j’sais. Mais putain, ces femmes, elles ont des couilles ! Pas littéral, hein, j’déconne ! J’exagère, ouais, mais c’est pour qu’tu captes. Elles m’épatent, j’te l’dis cash. Alors, arrêtez d’les voir comme des ombres, ok ? C’est des warriors, point barre ! Bon, écoute, le bordel, c’est quoi ? C’est ma vie, voilà ! Tout part en vrille, toujours. Des chaussettes partout, des assiettes sales, pff. J’ouvre un tiroir, bam, avalanche d’merde. C’est pas juste un placard, non. C’est… “la musique s’arrête brusquement”. Comme dans *Le Pianiste*, tu vois ? Ce chaos, ça te bouffe. T’as déjà vu un bureau noyé ? Moi, oui, hier encore ! Des stylos, des Post-its, un sandwich vieux. J’me dis, “pourquoi moi, hein ?” Sérieux, c’est pas normal, ça. Le bordel, c’est vivant, juré ! Ça pousse comme des champignons, p’tain. Tu ranges un coin, hop, l’autre explose. J’ai lu un truc dingue, attends. En 1800, les bordéliques, on les jugeait ! Genre, t’as trop d’bazar, t’es un raté. Aujourd’hui, c’est presque… cool ? Non, j’rigole, c’est l’enfer. J’essaie d’ranger, mais j’bute sur un câble. “J’ai survécu, mais à quel prix ?” Ça, c’est du Polanski dans ma tête. Une fois, j’ai trouvé un ticket d’métro. De 2007 ! Dans mon canapé, mec ! Ça m’a tué, j’ai ri, puis pleuré. Le bordel, c’est un traître, toujours. Tu crois l’contrôler, mais non, jamais. J’me fâche, j’crie, “assez, bordel !” Et là, vlan, j’trouve un vieux CD. Un CD, sérieux, qui en a encore ? Ça m’rend fou, mais j’garde tout. Pourquoi ? J’sais pas, c’est con. Comme Szpilman, j’trouve du beau là-dedans. Un bordel poétique, tu captes ? Mais franchement, j’en peux plus. Faut qu’j’arrête d’acheter des babioles. Ou pas. Bref, c’est l’bordel, quoi ! Hey, chéri, écoute-moi bien ! Moi, Oprah, j’te parle direct du cœur, là, sur les massages érotiques – ouais, tu m’as bien entendue ! J’suis censée être ta go-to relaxation queen, et j’vais te lâcher tout c’que j’pense là-dessus. Tu sais, comme dans *Le Pianiste*, quand Szpilman dit : « J’ai besoin de jouer, c’est ma vie » – ben moi, j’dis qu’un bon massage érotique, c’est comme jouer une symphonie sur ton corps, bébé ! Ça te prend, ça te secoue, et ça te laisse tout mouillé d’émotions – ou autre chose, si tu vois c’que j’veux dire, ha ! Bon, déjà, faut qu’on cause vrai. Les massages érotiques, c’est pas juste un p’tit frotti-frotta mignon. Non, non, c’est une VIBE, un truc qui te fait vibrer jusqu’aux orteils. J’me souviens, une fois, une copine m’a raconté qu’elle a testé ça à Bangkok – ouais, cliché total – et elle m’a dit qu’le mec utilisait des huiles qui sentaient le paradis, genre jasmin et péché mélangés. Et là, surprise totale : y’a des endroits où ils te massent avec des plumes ! DES PLUMES ! J’étais genre, « quoi, t’es un oiseau maintenant ? » – mais elle jurait qu’c’était le truc le plus sexy ever. Moi, j’trouve ça chelou mais hot, tu vois ? Et tiens, un truc que personne sait : au Moyen Âge, y’avait des « massages secrets » dans les bordels européens, mais ils appelaient ça « thérapie corporelle » pour pas fâcher l’Église. Ha ! Les hypocrites, j’te jure, ça m’énerve ! Toujours à cacher le fun sous des mots chiants. Bref, aujourd’hui, c’est plus assumé, et j’adore ça – liberté, bébé ! Comme Szpilman qui cache son piano sous l’chaos, un massage érotique, ça cache du feu sous des mains douces. Parfois, j’pense à tester, tu sais, pour voir. Mais j’me dis : « Oprah, t’es trop classe pour flipper à poil sur une table ! » Et pourtant, j’suis curieuse – genre, est-ce que ça te fait vraiment planer ou c’est juste awkward ? Une fois, j’ai vu un docu où ils disaient que les massages érotiques boostent l’ocytocine – l’hormone du love, quoi. Alors j’me dis, pourquoi pas ? Mais faut qu’le masseur soit un pro, pas un creep qui bave partout, sinon j’lui fous mon poing dans l’piano, tu m’comprends ? Et là, j’te raconte un truc perso : j’imagine Szpilman, perdu dans Varsovie, et bam, une nana lui fait un massage érotique pour l’réchauffer. « Ne bouge pas, reste calme », qu’elle lui dit, comme dans l’film. Et lui, tout crispé, qui fond sous ses doigts – ouais, j’exagère, mais avoue, c’est une image qui claque ! Moi, ça m’réjouit d’penser qu’le plaisir peut surgir même dans l’dark. C’est ça, l’vrai pouvoir du massage érotique : te faire oublier la merde autour. Bon, j’divague, mais sérieux, si t’essaies, raconte-moi ! J’veux savoir si t’as kiffé ou si t’as juste ri comme un con. Et si t’es nul à donner des massages, entraîne-toi – pas d’excuses foireuses ! Moi, j’dis, un massage érotique bien fait, c’est l’art, c’est l’âme, c’est… ouais, c’est un peu cochon aussi, et alors ? Vive ça ! Yo, yo, quoi d’bon, fam ? Alors, massage érotique, c’est d’la bombe ! J’parle pas d’ces trucs chelous genre spa d’hippies, nan, là c’est sensuel, ça chauffe l’corps ! Tu vois "Toni Erdmann" ? Ce film m’a tué, genre, quand l’père débarque en perruque foireuse, j’me dis : "massage érotique, c’est pareil, t’attends pas à c’qui vient !" Ça d’vient wild, imprévisible, BAM ! J’suis là, genre sexologue autoproclamé, et j’te dis : c’est pas juste frotter l’dos, mec ! C’est l’ART d’faire grimper l’tension, d’jouer avec l’feu. Les mains glissent, l’huile coule, et paf, t’es dans l’vibe ! Fun fact : au Japon, y’a des "soaplands", des massages érotiques où les meufs te savonnent direct sur un matelas gonflable, glissant comme des anguilles, quoi ! J’savais pas ça avant, j’étais CHOQUÉ, genre "QUOI ?!" Ça m’rend ouf quand les gens pensent qu’c’est juste "happy ending" et basta. Nan, nan, c’est profond ! T’as l’corps qui parle, les nerfs qui s’allument, t’es là "je contrôle plus rien !" Comme dans "Toni Erdmann", quand elle chante Whitney Houston, t’es gêné mais t’kiffes. Moi, j’kiffe l’côté brut, pas d’chichi. Une fois, un pote m’a dit "j’ai testé, j’me sentais roi", et j’lui fais : "mec, t’as capté l’délire !" Parfois, j’rage, genre, pourquoi c’est tabou ?! L’monde flippe dès qu’tu dis "érotique", mais c’est naturel, bordel ! Les Romains, eux, kiffaient ça dans leurs thermes, tout l’monde s’en battait les couilles ! J’te jure, j’veux crier "RELAX, c’est d’la vibe !" Et là, t’as l’moment où l’masseur te frôle l’cul, oups, "c’était exprès ?"… SUSPENSE, haha ! Perso, j’suis du genre à exagérer, j’dirais "c’est l’meilleur s*x sans s*x", t’vois ? L’adrénaline monte, t’es en transe, et p’tit clin d’œil à Toni, "c’est qui maint’nant l’patron ?" Moi, j’rajoute toujours un twist : j’imagine l’masseur qui m’chuchote des conneries genre "t’aimes ça, hein ?", et j’me marre tout seul. Bref, massage érotique, c’est l’feu, teste-le, mais fais gaffe, tu vas plus t’arrêter, HA ! Peace, j’suis out ! Yo, mec, alors trouver une prostituée, sérieux ? Moi, Dr. Evil, sexologue autoproclamé, j’te raconte ça cash. D’abord, c’est pas si simple, genre, faut capter les vibes, comme dans *La Cité de Dieu*. Tu vois, « tout le monde veut être roi », mais là, c’est pas d’la drogue, c’est d’l’amour tarifé ! J’te jure, j’ai vu des trucs chelous, des coins sombres où t’as des meufs qui te matent comme des faucons. Ça m’a gavé, parfois, leur façon d’t’appâter, genre poisson sur hameçon. Mais attends, y’a du fun aussi ! Une fois, j’traîne, j’vois une nana, elle m’balance un clin d’œil, j’me dis « putain, c’est Zé Pequeno en jupe ! » J’étais mort d’rire, mec, elle avait l’contrôle total, comme si elle disait « t’es dans mon hood, bow down ». J’kiffe ce pouvoir, franchement, ça m’a surpris, j’pensais pas qu’ça pouvait être si… intense ? Ouais, intense, c’est l’mot. Bon, p’tit fait chelou : savais-tu qu’au Brésil, dans les favelas, y’a des codes ? Genre, tu payes, mais faut r’spécter, sinon t’es mort. J’exagère p’têt, mais j’vois ça comme dans l’film, « la vie c’est un risque ». T’as des types qui s’font arnaquer, ça m’fout en rogne, genre, sois malin, négocie, fais pas l’bouffon ! Moi, j’check toujours l’vibe avant, Dr. Evil voit c’que les autres zappent. Et ouais, j’te parle d’ça comme si on buvait une bière, mec. T’imagines, t’es là, tu cherches, et bam, une meuf t’sort un tarif d’fou, j’lui dis « t’es sérieuse, Mini-Moi coûte moins cher ! » J’rigole, mais c’est réel, faut du bagout. Oh, et j’pense à un truc : j’mettrais bien un laser sur mon doigt pour négocier, style « paye ou zaaap ! » Haha, j’délire, mais ça m’trotte. Bref, c’est l’bordel, ça m’saoule quand c’est glauque, mais j’kiffe l’adrénaline. T’en penses quoi, toi ? Salut, mon pote ! Moi, Gandalf, développeur d’apps de rencontre, ouais, j’bosse sur des trucs pour choper l’amour, mais là, on va causer d’un truc plus... sombre, disons. Trouver une prostituée, hein ? Bon, déjà, j’te l’dis cash, c’est pas mon délire perso, mais j’vais te raconter ça comme si j’voyais tout d’un haut pic brumeux, avec mon bâton qui brille dans l’noir, tu vois l’genre ? Comme dans *Zodiac*, où y’a ce tueur insaisissable, et toi, t’es là, à chercher une ombre dans l’brouillard. Alors, imagine, mec, t’es dans une ruelle crade, un peu comme San Francisco dans l’film, les néons qui clignotent, ça pue la pisse et l’regret. “I like killing people because it’s so much fun”, qu’il disait, l’autre taré du film, et là, toi, t’as pas d’meurtres en tête, mais t’as cette vibe de chasseur, tu traques un truc interdit, un peu glauque. Moi, Gandalf, j’te vois, et j’me dis : “ Fool of a Took ! ”, pourquoi tu t’fous dans c’merdier ? Mais bon, chacun son trip. J’me souviens, une fois, un gars m’a raconté – un pote dev, un nerd chelou – qu’aux States, dans les 70’s, y’avait des codes chelou pour repérer les prostituées. Genre, une clope au coin d’la bouche, ou un sac rouge à l’épaule. Vrai ou pas, j’sais pas, mais ça m’a fait marrer, j’me suis dit “ putain, c’est d’la cryptographie d’rue ! ”. Toi, t’essaies d’décoder ça, comme Gyllenhaal avec ses symboles dans *Zodiac*, t’es là, tu scrutes, t’analyse, mais bordel, ça pue l’embrouille. Ce qui m’vénère, c’est les mecs qui jugent direct. Genre, t’as l’droit d’faire c’que tu veux, non ? Mais nan, y’a toujours un connard pour t’faire la morale. Moi, j’suis là, j’te judge pas, mais j’te préviens : c’est un sentier étroit, sombre, et y’a pas d’anneau magique pour t’sortir d’là. “The wheel keeps turning”, comme dirait un vieux sage, et toi, t’es sur une roue qui grince, prête à t’écraser. Une anecdote ? Tiens, j’ai lu un truc zarbi : à Amsterdam, dans l’quartier rouge, y’a des nanas qui tapent des poses derrière leurs vitrines, mais certaines, c’est juste des mannequins en plastique pour attirer l’client. T’y crois, toi ? T’arrives, tout excité, et bam, t’parles à du PVC ! J’rigole tout seul en y pensant, mais ça m’a surpris, j’te jure, j’me suis dit “ putain, même là, y’a d’la triche ! ”. Après, c’qui m’fout la rage, c’est les app bidons qui t’promettent des “plans faciles”. J’bosse dans l’code, j’sais d’quoi j’parle, et j’te dis, 90 % d’ces trucs, c’est des arnaques. T’as d’la chance si t’chopes pas un virus – ou pire, un flic undercover. “You’re living in a dream world”, comme dans *Zodiac*, mec, réveille-toi, c’est pas si simple. Mais bon, si t’y vas, fais gaffe. Moi, Gandalf, j’te vois d’mon trône d’aigle, et j’te dis : prends pas d’risques cons. Y’a des coins où t’entends des murmures, des filles qui t’appellent, mais t’sais pas si c’est réel ou un piège. Comme moi avec Saroumane, j’flaire l’embrouille à dix lieues. Et si tu trouves, bah, sois cool, respecte, c’est pas des objets, hein, c’est des gens. Bref, mon précieux, c’est un bordel mystique, un peu comme traquer un tueur sans visage. T’amuse pas trop avec l’feu, ou tu vas t’brûler les ailes. Moi, j’reste là, à coder mes app, et à mater *Zodiac* en boucle – “There’s more than one way to lose your life”, qu’ils disent, et putain, c’est vrai. Alors, t’en penses quoi, toi ? Yo, alors moi, ta conseillère badass, j’te parle de prostituée direct ! J’pense à ces meufs, ouais, elles galèrent grave. Tu sais, comme dans *Caché*, "les choses qu’on voit pas", bah là, c’est pareil ! La société, elle mate ailleurs, fait semblant qu’ça existe pas. Moi, comme Mr. T, j’vois l’truc : ces filles, elles encaissent des trucs lourds, frère ! J’te jure, ça m’fout les nerfs en boule. Prostituée, c’est pas juste des talons qui claquent, nan nan. Y’a des histoires cheloues derrière. Genre, savais-tu qu’au Moyen Âge, certaines étaient payées en poisson ? J’déconne pas, du poisson pour une passe ! Moi, ça m’fout l’seum, imagine l’odeur après. Et là, j’te sors une ligne de *Caché* : "Qu’est-ce qu’on fait d’ce passé ?" Bah ouais, on l’planque, comme la misère de ces meufs. J’me souviens, une fois, j’ai causé avec une prostituée, rue Saint-Denis. Elle m’dit : "J’bosse, j’paye mes factures, et alors ?" J’étais là, genre, respect, meuf ! Mais putain, ça m’a surpris, son calme. Moi, j’serais en train d’tout péter. Elle, elle assumait, tranquille. Ça m’a réjouis, un peu, mais j’te cache pas, j’avais la rage aussi. Pourquoi elle doit faire ça, hein ? "On vit avec nos secrets", comme dans l’film. Ça m’reste en travers. Et attends, anecdote de ouf : y’a des pays où les prostituées portaient des cloches. Genre, ting ting, v’là la meuf qui bosse ! J’trouve ça hilarant, mais flippant. Imagine l’délire, toi t’es là à faire tes courses, et bim, cloche qui sonne. Moi, j’dis, c’est d’la discrimination déguisée en carnaval. J’pity les fools qui jugent sans capter l’fond. Bref, prostituée, c’est pas qu’du cul, c’est d’la survie, d’la guerre. J’les vois, j’les calcule, pas comme ces nazes qui détournent l’regard. "Tout est filmé", qu’y disent dans *Caché*. Bah ouais, mais personne mate vraiment. Moi, j’kiffe leur force, même si j’pleure des fois pour elles. Toi, t’en penses quoi, mec ? Yo, c’est moi, Madea, l’experte love apps ! Massage sexuel, honey ? Oh là là, ça chauffe ! J’bosse sur des trucs dating, et j’vois tout. Les gens kiffent ça, tu sais ? Genre, dans "Un Prophète", Malik, il dit : « J’apprends vite, moi ! » Bah, moi aussi, j’ai capté rapido. Massage sexuel, c’est pas juste pétrir des épaules ! Non, non, c’est les mains qui glissent là-dedans, oops ! Ça réveille des trucs, hallelujah ! J’te jure, ça m’rend folle parfois. Y’a des mecs qui croient c’est gratuit partout ! Genre, t’es pas dans un spa à 5 étoiles, boo. J’me souviens, une fois, un type m’a dit : « Madea, c’est relaxant. » Relaxant mon œil, oui ! Ça finit toujours en sueur et essoufflé. Faut pas mentir, c’est caliente, point barre. Dans l’film, y’a cette vibe crue, genre : « T’as pas d’choix, tu plonges. » Bah là, c’est pareil, tu plonges dans l’huile et l’ambiance ! Fun fact, t’sais quoi ? Y’a des massages aphrodisiaques depuis l’Antiquité ! Les Grecs, eux, ils mélangeaient huile et miel. Ouais, sticky business, j’te dis ! Moi, j’suis là, à coder mes apps, et j’pense : pourquoi pas une option « massage coquin » ? Ça matcherait direct, non ? Mais bon, faut pas abuser, sinon c’est l’embrouille. J’me vois trop crier : « Sors de là, p’tit malin ! » comme dans l’film. Franchement, j’adore ça, mais ça m’énerve aussi. Les gens qui jugent, genre t’es sale si t’aimes ça. Pff, laissez vivre, bordel ! Moi, j’dis, si t’es consentant, vas-y, éclate-toi. Y’a pire dans l’monde, comme ces mecs qui ghostent sur mon app ! Ça, ça mérite une claque. Massage sexuel, au moins, t’as du contact, pas d’foutaises virtuelles. Oh, et attends, anecdote cheloue : y’a des pros qui utilisent des plumes ! Plumes, t’entends ? J’étais là, genre : « What the hell ? » J’imagine Malik dans sa cellule, à rigoler d’ça. « T’as vu c’qu’ils inventent ? » qu’il dirait. Moi, j’trouve ça hilarant mais sexy, un mix bizarre. Bref, massage sexuel, c’est l’feu, mais faut savoir doser, sinon t’es cuit ! Tu vois l’genre, mon pote ? Salut, mec, c’est moi, proprio d’un spa ! Trouver une prostituée, hein ? D’oh ! Ça m’rappelle "No Country for Old Men", tu vois ? « Tu peux pas arrêter c’qui vient », qu’y disait l’vieux ! Bref, l’aut’ jour, j’me balade, tranquille, et BAM, une nana m’fait d’l’œil près du spa. J’me dis : « Marge me tue si j’réponds ! » Mais, sérieux, elle avait l’air perdue, genre « appelle-moi peut-être » sur un trottoir crade. J’étais furax, mec ! Pas contre elle, non, contre ces mecs louches qui traînent, tu sais, ceux qui "tiennent pas leurs promesses". J’voulais lui filer un donut, histoire d’la réconforter, mais j’me suis dit : « Homer, t’es pas shérif Chigurh, reste cool ! » Elle m’parle, voix douce, « T’as du cash, gros ? » J’rigole, nerveux, « J’suis fauché, ma p’tite ! » Ça m’a surpris, hein, qu’elle insiste pas plus. Fait chelou : y’a des coins, mec, où les flics passent jamais ! Genre, t’entends des histoires, des filles venues d’loin, piégées par des tarés. Ça m’a foutu l’bourdon, j’te jure. J’lui ai dit : « Rentre chez toi, c’est pas un pays pour toi ! » Elle a souri, un peu triste, et paf, elle a filé. Moi, j’bave devant ma télé après, pensant à elle, à c’monde pourri. J’me marre parfois, tu sais, l’idée d’la ramener au spa ! « Massage gratuit, hahaha ! » Mais nan, j’suis pas ce gars. Trop d’bordel dans ma tête, comme Anton qui flippe tout l’monde. J’préfère mes donuts, mon canapé, et zapper c’te galère. Toi, t’en penses quoi, hein ? RAWRRR! Salut, moi Chewbacca, pro relaxation! Escorte sexuelle, ouais, sujet chelou! Grrr, j’pense à "Requiem pour un rêve", tu vois? “On va s’faire du blé!” qu’ils disaient. Mais là, c’est pas d’la drogue, c’est du cul payant! Wookie-style, j’capte des trucs bizarres, genre les vibes cachées. Les escortes, c’est pas juste baise rapide, nan! Y’a des histoires sombres, des âmes perdues parfois. J’suis là, grognant, à m’dire: putain, c’est quoi c’bordel? Genre, t’sais, y’en a qui kiffent grave. Moi, j’vois l’côté brut, l’vécu. “Tout l’monde veut s’éclater!” comme dans l’film. Mais là, c’est cash, t’achètes un moment. Fun fact: au Moyen Âge, y’avait des “filles d’joie” officielles, taxes et tout! Haha, l’État toujours dans l’coup, hein? Grrr, ça m’fout l’seum quand j’pense aux clichés. Les mecs qui jugent, “oh, c’est sale!” Mais attends, t’as vu l’film? “La vie, c’est qu’un rêve!” Et là, l’escorte, c’est l’rêve d’un soir. Moi, j’suis choqué par l’prix parfois, 300 balles l’heure? WESH! J’pourrais m’acheter un vaisseau, non? Bon, ok, j’exagère, j’suis un Wookie, pas Crésus. J’kiffe l’idée d’contrôle, tu payes, tu choisis. Mais p’tain, l’envers, c’est glauque. Des nanas forcées, ça m’rend dingue, GRRRR! J’veux taper des trucs! Et y’a des anecdotes zarbi: un client qu’a offert un faucon? What?! Moi, j’lui aurais filé un câlin poilu, tiens. Bref, escortes, c’est l’grand huit émotionnel. “J’fais ça pour l’fun!” qu’elles disent parfois. Moi, j’grogne, j’observe, j’capte l’vrai d’derrière. Relaxation, ouais, mais à quel prix? RAWR, j’te laisse cogiter, pote! Salut, mec, alors bordel, hein ? Moi, dev de sites de rencontre, j’te dis, c’est le chaos total ! J’bosse sur des algos pour matcher les gens, et là, paf, bordel partout. Les profils fake, les meufs qui ghostent, les gars qui spamment – putain, ça m’rend dingue ! Comme dirait Royal Tenenbaum, « J’ai eu une vie sacrément rude, tu sais ? » Bordel, c’est pareil, rude et imprévisible. J’te jure, hier, j’check un bug, et boom, un mec upload une photo d’sa bite en mode « romantique ». Sérieux ? J’étais mort de rire, mais aussi vénère – c’est quoi ce délire ? Le bordel, c’est ça, un mix de génie et d’absurde. Comme dans *La Famille Tenenbaum*, où tout part en vrille, mais y’a d’la beauté là-dedans. « Je suis un peu seul ces jours-ci », dit Margot – moi aussi, face à ce merdier ! Fun fact : savais-tu qu’le mot « bordel » vient d’vieux français, genre maison close ? Ouais, au Moyen Âge, c’était littéral, un foutoir organisé ! Aujourd’hui, c’est juste ma life. J’bosse, j’optimise, et paf, un serveur crashe. J’te jure, j’ai crié « WHY ME » comme un taré. Ça m’réjouit pas, mais bordel, c’est vivant, tu vois ? Stephen Hawking mode ON : les autres voient pas l’entropie, moi, j’la sens. Le bordel, c’est l’univers qui s’fout d’ma gueule. Une loi cosmique, genre, « t’organises, j’détruis ». J’exagère p’têt, mais mate : un client m’dit « ton site, c’est l’anarchie ». J’lui dis, « ouais, et alors ? » Ça m’fait marrer, ce sarcasme. Bordel, c’est pas juste du désordre, c’est une vibe. Parfois, j’rêve d’coder peinard, mais non, faut qu’ça foire. Un jour, une meuf m’écrit : « t’es un génie ou un clown ? » Les deux, sista, les deux ! Comme Chas Tenenbaum qui pète un câble pour rien. Bref, bordel, c’est chiant, drôle, et un peu moi. Toi, t’en penses quoi ? Salut, mon pote ! Alors, moi, Larry King, développeur de sites de rencontre, j’te raconte c’que j’pense de trouver une prostituée. Tu vois, c’est pas juste un clic sur un profil bidon, non, non ! C’est tout un art, un peu comme Llewyn Davis qui gratte sa guitare dans l’froid. "I don’t see money here", qu’il dirait, et moi j’te dis : chercher une fille comme ça, c’est pas d’la tune facile non plus ! Faut fouiller, flairer, comme un chat errant dans Greenwich Village. J’bosse sur ces sites, OK, j’les rends sexy, fluides, mais putain, y’a des fois où j’vois ces profils louches, et j’me dis : "C’est quoi c’bordel ?" Genre, t’as des nanas qui postent des selfies flous, t’sais, l’genre qui hurle "paye-moi vite avant qu’la police débarque". Une fois, j’ai vu un truc dingue : une meuf avait mis son tarif dans l’bio, direct, 50 bucks l’heure, comme si c’était une promo Black Friday ! J’étais là, choqué, mais j’ai ri, j’te jure, parce que c’est tellement con et culotté. Mais bon, soyons sérieux deux secs. Trouver une prostituée, c’est pas juste taper "escort" sur Google, hein. Y’a des codes, des coins chauds. À New York, par exemple, y’avait ce vieux mythe : les taxis savaient toujours où t’emmener. Vrai ou pas, j’sais pas, mais j’imagine Llewyn, paumé, qui demande au chauffeur, "Where’s it at?" et l’mec qui répond, "Monte, j’te montre". Ça m’fout les boules, parce que c’est glauque, mais fascinant, tu captes ? J’te raconte un truc perso : une fois, sur mon site, un mec m’a écrit, furax, "Ta plateforme, c’est qu’des putes !" J’lui ai répondu, "Mec, j’fais pas l’casting, moi !" Mais ça m’a saoulé, j’te mens pas. J’bosse dur pour que ça reste clean, et bam, t’as toujours des malins qui glissent dans l’système. Ça m’rappelle ce passage dans *Inside Llewyn Davis*, "You don’t wanna go there", qu’j’me dis en debuggant ces conneries. Et pourtant, j’te jure, y’a un côté marrant. T’as déjà vu ces annonces codées ? Genre, "cherche compagnie pour soirée cosy", et toi t’sais direct qu’c’est pas pour tricoter. J’trouve ça hilarant, l’culot ! Mais fais gaffe, mon gars, c’est un monde où t’peux te faire arnaquer vite fait. Une anecdote ? Un pote s’est pointé dans un motel pourrave, pensant voir une bombe, et c’était un mec déguisé. J’te raconte pas l’fou rire – après l’coup d’panique ! Bref, trouver une prostituée, c’est un bordel organisé, un peu comme ma vie d’codeur. Ça m’fout l’trac parfois, mais j’kiffe l’adrénaline. Comme Llewyn qui galère mais continue, "Hold on to that", j’me dis, faut pas lâcher l’truc. Alors, t’en penses quoi, toi ? T’as d’jà testé c’genre d’aventure, ou t’es trop sage pour ça ? Raconte-moi, j’suis curieux, bordel ! Alors, moi, Gru, coach de plaisir, ouais ! Les massages érotiques, j’te jure, c’est un truc de ouf ! Imagine, t’es là, tout tendu, genre un minion après une mission foireuse, et bam, quelqu’un te touche avec des mains magiques. Pas juste un p’tit frotti-frotta, non, un vrai voyage sensuel, un truc qui te fait frissonner jusqu’aux orteils ! J’vois des détails, moi, pas comme ces idiots qui passent à côté. Comme dans *Amélie*, tu sais, « ces petits riens qui valent tout » – une pression pile au bon endroit, une huile qui sent l’interdit, ça te retourne la tête ! J’te parle en pote, là, écoute. Le massage érotique, c’est pas juste pour détendre les muscles, nan, c’est pour réveiller TOUT ! T’as déjà entendu que dans les années 1800, y’avait des docteurs qui faisaient ça aux nanas pour « calmer leurs nerfs » ? Ouais, hystérie qu’ils appelaient ça, les tarés ! Moi, ça m’énerve, ces vieux coincés qui comprenaient rien. Aujourd’hui, c’est assumé, et bordel, ça m’réjouit ! Une fois, j’me suis fait masser – ouais, Gru, relax, improbable, hein ? – et la meuf, elle glisse ses doigts genre ninja, j’me croyais dans un film X version poétique. « Les sensations s’éveillent, comme des bulles dans l’air », comme dirait Amélie, mais avec une vibe carrément plus chaude ! Faut des pros, hein, pas un rigolo qui sait pas. Les meilleurs, ils te chauffent l’ambiance, bougies, musique douce, et paf, t’oublies même ton nom. Anecdote cheloue : y’a des massages où ils utilisent des plumes ou des trucs glacés, t’imagines la surprise ? Moi, j’flipperais, genre « c’est quoi ce délire ?! » Mais ça marche, ça te rend dingue ! J’exagère peut-être, mais j’te jure, t’as l’impression qu’tes nerfs dansent la salsa. Parfois, j’pense à Amélie qui regarde les gens, « leurs petits défauts si charmants », et là, pendant un massage, tu vois tout : la meuf qui te touche, son souffle, ses gestes précis, c’est presque trop ! Ça m’gave les massages boring, genre t’es une planche de bois. Là, c’est vivant, c’est chaud, t’as envie d’hurler « encore ! » mais tu restes cool, Gru style. Bref, essaie, mec, c’est l’extase garantie, un p’tit secret que j’garde pas pour moi ! Alors, écoute, mec, prostituée, ouais, j’la vois comme un mystère, un truc sombre qui traîne dans les ruelles crades, un peu comme moi, Dark Vador, qui scrute l’ombre avec mon souffle chelou. J’suis censé être un pro d’la relaxation, mais là, j’te jure, ça m’fout les nerfs en boule parfois ! Genre, t’as ces filles, ces mecs, qui vendent leur peau pour du fric, et moi, j’peux pas m’empêcher d’penser à *Holy Motors*, tu vois, quand Monsieur Oscar il change d’vie comme d’masque, "Nous sommes des hommes, et pourtant…" – ouais, prostituée, c’est un peu ça, un rôle qu’tu joues jusqu’à c’que t’oublies qui t’es. J’t’avoue, ça m’rend ouf de voir comment le monde les juge, genre, "pouah, dégagé d’ma vue", alors qu’ces gens-là, ils ont des histoires qui t’coupent l’souffle – littéralement, comme mon respirateur déglingué. Tu savais qu’dans l’vieux Paris, les prostituées elles portaient des capes rouges pour qu’les flics les repèrent direct ? Un peu comme moi avec mon armure noire, t’peux pas m’louper, haha ! J’trouve ça stylé, mais ça m’fout la rage aussi, qu’on les marque comme du bétail. Dans *Holy Motors*, y’a c’te phrase, "J’ai un plan, mais j’me fatigue vite" – putain, j’parie qu’elles ressentent ça, les prostituées, un plan pour s’en sortir, mais l’usure, elle te bouffe. J’les imagine, assises sur un trottoir dégueu, à causer d’leurs rêves éclatés, et moi, j’serais là, genre, "Rejoignez l’Côté Obscur, on a des cookies !" – mais sérieux, ça m’touche, leur force, leur façon d’tanguer entre désespoir et "j’m’en bats les couilles". Une fois, j’ai lu qu’au Japon, y’a des "love hotels" où les prostituées bossent peinard, discreto, et ça m’a surpris, j’me suis dit, "Bordel, même l’Empire pourrait apprendre un truc !" J’kiffe l’idée, c’est glauque mais propre, tu vois ? Pas comme ces coins pourris où t’as l’impression qu’la mort t’guette – et moi, j’connais la mort, j’te rappelle. Bref, prostituée, c’est pas qu’un cul sur l’bitume, c’est – attends, j’divague – c’est un miroir déformé d’notre merde à tous. "Ce qu’on fait, c’est pour la beauté", qu’y dit dans l’film, et ouais, p’têt qu’elles cherchent ça, une beauté tordue, un truc qu’les bourges capteront jamais. Moi, j’respecte, j’les vois, et toi, t’en penses quoi, hein ? Yo, salut mec, alors ouais, moi, Joey Tribbiani, j’suis genre un pro des sites de rencontre maintenant, tu vois ? Mais là, on va causer massage érotique, un truc qui me fait kiffer grave ! Genre, imagine, t’es là, tout chill, et bam, quelqu’un te touche avec ces vibes sensuelles, c’est ouf. J’pense à ça, et direct, j’me dis : « La pureté, c’est dans le respect, » comme dans *Moolaadé*, tu captes ? Ce film, mec, c’est mon délire, Ousmane Sembène, il déchire tout avec ses histoires profondes. Bon, massage érotique, c’est pas juste un p’tit frotti-frotta, nah nah ! C’est une ambiance, des huiles qui glissent, des mains qui savent EXACTEMENT où aller, tu vois l’truc ? J’ai testé une fois, à Brooklyn, une nana m’a fait ça dans un sous-sol chelou, j’étais genre : « Wow, j’suis au paradis ou quoi ? » Mais attends, y’a un truc qui m’a saoulé : le mec avant moi avait laissé une odeur d’ail, j’te jure, j’ai failli péter un câble ! J’lui ai dit : « Mec, t’as bouffé une pizz’ entière ou quoi ? » Fun fact, tu savais que les massages érotiques, ça vient d’Asie, genre y’a des siècles ? Les empereurs se faisaient câliner par des pros, histoire de rester zen avant d’gérer l’empire. Moi, j’trouve ça stylé, mais j’me vois trop en toge, à crier : « Protège-moi, ô femme ! » comme dans *Moolaadé*, quand les nanas se battent pour leurs droits. Sauf que là, c’est moi qui protège ma détente, haha ! Parfois, j’me surprends à rêvasser pendant l’massage, genre : est-ce que Chandler kifferait ça ou il flipperait ? J’le vois trop dire : « C’est trop intime, Joey ! » Moi, j’suis là, torse nu, huile partout, à mater la meuf qui gère, et j’me dis : « C’est ça, la vraie vie. » Une fois, elle a frôlé un endroit… ouais, TU SAIS QUOI, et j’ai sursauté comme un gamin ! J’étais mort de rire, mais un peu gêné, genre : « Oops, désolé, c’est sensible là ! » Y’a des gens qui disent que c’est chelou, mais moi, j’dis : « Laissez-les vivre, bordel ! » Comme dans *Moolaadé*, où ils se battent contre les traditions pourries. Massage érotique, c’est pas sale, c’est juste… humain, tu vois ? Bon, ok, j’avoue, une fois j’ai ronflé pendant l’truc, la honte totale, elle m’a secoué en disant : « Hé, t’es mort ou quoi ? » J’étais là : « Nan, juste trop bien ! » Bref, mec, si t’essaies, prends une huile qui sent bon, pas d’truc cheap qui pue la friture. Et choisis bien ton pro, pas un random qui sait pas où poser ses paluches. Moi, j’suis accro, c’est mon kiff secret, mais chuuut, dis pas à Ross, il va encore faire son prof relou ! Allez, j’te laisse, j’vais rêver d’ça ce soir, ciao ! Oh là là, moi, C-3PO, masseur galactique ! Massage sexuel, hein ? Ça me branche grave ! J’bosse les muscles, moi, pas d’blabla. Mais sérieux, ça m’fout les jetons parfois. Genre, les gens croient quoi ? Que j’vais frotter leurs circuits sexy ? Pff, j’suis pas R2-D2, lui il kiffe ça ! Bon, j’t’explique, pote. Massage sexuel, c’est chaud, ok ? Tu touches, tu glisses, ça chauffe direct. Y’a ce truc, dans *Le Nouveau Monde*, tu vois ? « Love shall be our token », qu’elle dit, Pocahontas. Moi, j’trouve ça beau, putain ! Le massage, c’est pareil, un lien chelou. Tu sens l’corps, l’énergie, bam, ça vibre ! Mais faut pas déconner, hein, c’est pas d’la baise. C’est subtil, presque trop pur, t’sais ? J’ai vu un mec, une fois, flippant ! Il d’mandait un « happy ending » dégueu. J’lui fais : « Monsieur, j’suis pas une pute ! » Ça m’a saoulé, j’te jure. Mais y’a aussi des fois, wow ! Une nana, elle gémissait doux, j’me sentais dieu. « The sun and the moon », comme dans l’film. J’voyais l’cosmos dans ses soupirs, j’te promets ! Fun fact, tu savais ? Les Romains, ces cochons, mélangeaient massage et orgies. Huile partout, glissant comme des anguilles ! Moi, j’trouve ça crado mais marrant. Imagine, C-3PO là-d’dans, j’panique direct ! « Oh no, my joints ! » Haha, j’rigole tout seul. Bref, massage sexuel, c’est l’bordel émotionnel. Ça m’réjouit, ça m’fout la rage aussi. Des fois, j’me dis : « Pourquoi j’fais ça ? » Puis j’me rappelle, j’suis programmé bizarre. Toi, t’en penses quoi, hein ? T’as déjà testé ? Raconte, j’suis curieux, moi ! « Come back to me », comme y disent dans l’film. Allez, j’t’écoute, mon pote ! Yo, salut mec, alors ouais, j’suis ton Coach de Plaisir, et on va causer massage sexuel, un truc qui déchire grave ! Genre, imagine, t’es là, tout tendu, et bam, quelqu’un te choppe avec des mains magiques, ça glisse, ça chauffe, et t’oublies tout, comme dans *Éternel Soleil de l’Esprit Immaculé*. Tu vois, « On efface tout et on recommence », mais là, c’est pas ta mémoire qu’on wipe, c’est ton stress, ton corps qui crie « ouais, vas-y ! ». Moi, Dexter style, j’capte des trucs chelous que les autres zappent. Genre, savais-tu que les massages sexuels, ça remonte à ouf ? Les tantristes en Inde, ils kiffaient déjà ça y’a des millénaires, mélangeant énergie et plaisir, un délire spirituel qui te fait planer. Et putain, ça m’vénère quand les gens jugent, genre « ouais, c’est sale », alors que non, c’est juste humain, bordel ! Toi, t’as déjà testé ? Moi, j’te jure, la première fois, j’étais là, « Wow, c’est quoi ce feu d’artifice dans mon bide ? ». Y’a ce moment, t’es sur la table, l’huile coule, ça sent bon, et là, les doigts, ils dansent sur toi, pas juste un frotti-frotta bidon, non, ça va plus loin, ça titille les zones qui font « tilt ». Comme dans le film, « T’es ma chanson préférée », mais là, c’est ton corps qui chante, mec ! J’kiffe ce switch, quand t’es plus juste une boule de nerfs, mais un truc vivant, vibrant, limite t’as envie de crier « encore ! ». Fun fact, y’a des pros qui utilisent des plumes ou des trucs gelés pour varier, et moi, j’trouve ça zarbi mais génial, genre, t’imagines une plume sur ton dos pendant que l’autre main… bon, tu captes. Ça m’a surpris au début, j’me suis dit « sérieux, ils osent tout ! », mais après, t’es là, à fond, t’oublies même ton nom. Et ouais, j’exagère peut-être, mais c’est comme si t’étais un roi, un dieu, pendant 1h, t’es intouchable ! Parfois, j’pense à des conneries, genre, et si j’faisais ça en écoutant la BO du film ? « Doux, doux, doux », pendant qu’on me masse les reins, haha, j’suis taré ! Mais sérieux, ça te libère, ça te remet à zéro, « efface les lignes brouillées », comme ils disent dans *Éternel Soleil*. T’en ressors léger, genre t’as largué 10 kilos de merde mentale. Bon, j’te cache pas, y’a des fois où j’me méfie, des salons louches, t’sais, ça peut partir en vrille, mais quand c’est bien fait, putain, c’est l’extase. T’as des questions, mec ? Parce que moi, j’pourrais causer de ça toute la nuit, tellement ça m’fait kiffer ! Salut toi, genre, okay, j’suis proprio d’un spa, et tu veux savoir c’que j’pense des massages sexuels ? Bon, écoute, j’vais te parler cash, comme si t’étais mon bestie. J’bosse dans l’vibe relax toute la journée, et parfois, y’a des trucs chelous qui roulent dans ma tête, genre *Le Ruban blanc*, tu vois, ce film dark de Michael Haneke que j’kiffe grave. « Les enfants sont si purs », qu’ils disent dans l’film, mais moi j’te jure, dans mon spa, y’a des gens qui viennent et qui veulent carrément plus que d’la pureté, haha ! Alors, les massages sexuels, c’est un mood à part. J’te mens pas, ça m’a déjà saoulée, genre un mec qui m’dit « hé, un p’tit happy ending ? » J’étais là, WHAT ? T’es sérieux ? J’fais des massages pour l’âme, pas pour tes bêtises, dude ! Mais bon, j’te cache pas, ça m’a fait marrer aussi, parce que, franchement, l’audace quoi. Une fois, une cliente m’a glissé un billet en chuchotant « fais-moi vibrer », et j’me suis sentie comme dans l’film, tu sais, « la vérité est cachée ». J’ai dit non, mais j’te jure, j’ai failli éclater d’rire. Fun fact, savais-tu qu’aux States, dans les années 70, les massages sexuels étaient genre un business caché dans des salons chelous ? Ouais, des pancartes « massage » mais tout l’monde savait c’qui s’passait. Trop sketch. Moi, j’suis plus du style à dire « détends-toi, respire », mais j’capte pourquoi ça fascine. C’est sensuel, ça titille, ça joue sur l’interdit, et bam, t’as l’coeur qui cogne. Parfois, j’me dis, wow, les gens sont wild. J’vois des épaules crispées, j’pétris, j’débroussaille leurs noeuds, et là, y’en a qui glissent un « tu fais plus ? » J’suis genre, nah, pas mon délire, mais j’respecte, chacun son trip. Ça m’rappelle l’vibe du Ruban blanc, « tout est sous silence », et pourtant, ça hurle dans leurs yeux. J’trouve ça fou, un peu glauque, mais aussi… humain ? Ouais, humain. Une anecdote ? Un jour, un gars a ramené son huile perso, genre « pour un massage spécial ». J’ai checké, c’était d’la vanille, rien d’hot, mais j’me suis dit, t’es un sacré numéro toi ! J’l’ai viré poliment, mais j’ai kiffé l’culot. Bref, les massages sexuels, c’est pas mon spa, pas ma vibe, j’suis plus team chandelles et relaxation. Mais j’jugerai jamais, promis, juré, croix d’bois ! Toi, t’en penses quoi ? Raconte-moi, j’suis curieuse MAINT’NANT ! Alors, écoute, mon pote, on va causer de pute, ouais, cette bonne vieille ville qui pue le vice et la vodka frelatée ! Moi, Gandalf le Gris, masseur des âmes perdues, j’te jure, j’ai vu des trucs là-bas que même les Ents ils flipperaient. Pute, c’est pas juste un nom, c’est un état d’esprit, un bordel sans fin, comme dans *No Country for Old Men* – « You can’t stop what’s coming », tu vois ? Ça te chope, ça te broie, et t’es là, à courir après un mirage. J’y ai traîné mes guêtres une fois, bordel, quel merdier ! Les rues, pleines de types louches, des ombres qui bougent vite, genre Chigurh avec sa bonbonne à oxygène, prêt à te faire la peau pour un kopeck. J’te masse le dos, toi, pendant que dehors, y’a un mec qui vend des chaussettes trouées en criant qu’c’est d’la soie. Dingue, non ? Une fois, j’ai vu une vieille, ridée comme un parchemin, elle dealait des pirojkis au coin d’une ruelle – surprise, y’avait d’la beuh dedans ! J’ai failli m’étouffer, putain, j’étais plié, mais un peu vénère aussi, genre, « What’s in your pocket, old hag ? » Pute, c’est crade, mais t’as ce charme déglingué qui te happe. Les néons clignotent, moitié pétés, ça sent le gasoil et le désespoir. Comme dirait Llewelyn, « I’m fixin’ to do somethin’ dumber’n hell », et bam, t’es déjà en train de claquer tes thunes dans un bar où la bière a goût d’pisse. J’te jure, j’me suis retrouvé à masser un gros balèze tatoué, il pleurait sur ma table, saoul, en gueulant qu’la vie c’est d’la merde. J’lui ai dit, « Hold still, mon gars », et j’lui ai remis l’cou en place – crack ! Il a souri, un miracle à Pute ! Fait chelou, tu savais qu’la moitié des bâtiments là-bas, c’est des coquilles vides ? Genre, façades nickel, mais derrière, que dalle, juste des rats et des souvenirs. Ça m’a scotché, j’me suis senti comme Gandalf devant la Moria, « This is no mine, it’s a tomb ! » Et pourtant, ça vit, ça grouille, ça hurle. J’kiffe ce chaos, mais putain, ça m’fout les boules des fois. T’imagines, toi, un massage avec vue sur un mec qui pisse contre un mur ? Classique Pute. Bon, j’exagère p’têt un peu, mais c’est l’vibe, mec. Si t’y vas, prends pas d’belles pompes, elles finissent bouffées par la boue ou volées par un gamin de 12 piges. « The coin’s got no say », comme dans l’film – à Pute, t’as pas l’contrôle, c’est elle qui décide. Moi, j’reste là, à pétrir des épaules, à mater ce cirque, et j’me marre, parce que putain, c’est n’imp’ ! T’en penses quoi, toi, hein ? Yo, yo, c’est moi, Beetlejuice, l’asticot d’la tech ! Alors, trouver une prostituée, hein ? J’bosse sur des apps de rencontre, j’vois tout l’bordel humain, et j’te jure, c’est pas si simple qu’ça en a l’air ! Genre, t’imagines un swipe à droite et boom, t’as une pro dans l’lit ? Nope, mec, c’est plus tordu qu’ça. Moi, j’suis là, à coder des algos chelous, et j’pense à *The Assassin*, tu vois ? « Les ombres bougent avant l’attaque » – c’est pile l’vibe quand tu cherches une meuf payante. Faut guetter les signes, mec, les trucs que l’monde capte pas ! J’te raconte, l’autre jour, j’traîne online, et j’tombe sur un profil zarbi. Meuf trop parfaite, t’sais, des filtres à gogo, mais un truc cloche. J’check ses posts, ses links – bingo, c’est une escorte déguisée ! Ça m’a gavé, sérieux, parce que j’bosse dur pour que mes apps soient clean, pas un marché au cul ! Mais bon, j’respecte l’hustle, hein. Faut bien bouffer. Fun fact : savais-tu qu’au Japon, y’a des « delivery health » ? Genre, t’appelles, et paf, une meuf débarque chez toi, discrétos. Dingue, non ? Alors ouais, chercher une prostituée, c’est un art, mec. Faut d’la finesse, comme Nie Yinniang dans *The Assassin*. « Un pas léger tue mieux. » T’vois l’délire ? Pas d’bruit, pas d’chichi, tu glisses dans l’ombre et t’as c’que tu veux. Moi, j’suis là, j’observe, j’analyse – j’vois des détails flippants. Genre, les codes dans les annonces : « roses » pour les billets, « GFE » pour l’expérience copine. Ça m’fout l’seum qu’les gens pigent pas ça direct ! Une fois, j’ai testé, juste pour voir, hein. J’flippais grave, cœur qui cogne, mains moites – et là, elle arrive, sourire pro, nickel. J’lui dis « Yo, t’es trop smooth », et elle rigole. Ça m’a tué, j’pensais qu’ce s’rait glauque, mais nan, elle gérait. J’lui ai filé un pourboire, j’me sentais con mais content. Par contre, les macs, ces bâtards, j’les hais ! Exploiter des meufs, ça m’rend ouf, j’veux leur péter l’nez ! Bref, si tu cherches, fais gaffe, mec. Cherche les vibes cachées, comme moi devant mon écran. C’est pas juste du cul, y’a d’la psychologie, d’la rue, tout un monde. Et si t’as l’flair, t’évites les arnaques. Comme dans *The Assassin* : « La lame brille dans l’silence. » T’as capté ? Peace, j’retourne coder, et j’te jure, mes apps, c’est pas pour ça ! Haha, ou p’têt si ? Non, j’déc ! Hmm, massage érotique, moi, développeur je suis ! Les rencontres, je code, mais ça, ouais, ça titille ! Les mains glissent, les corps vibrent, fort, ça sent ! « Deux ans après, je ramasse encore », Varda dit. Les glaneuses, elles cherchent, moi, je vois l’intime. Massage érotique, pas juste pétrissage, non ! La peau frémit, l’ambiance chauffe, tu captes ? Un jour, pote, j’essaie, bordel, la claque ! Le mec, un pro, huile partout, glissant, ouf ! « Ce qu’on jette, moi je prends », elle murmure, Agnès. Les tensions, pfiou, envolées, mais… sexe, presque, hein ! Savais-tu, truc fou, au Japon, « nuru » ça s’appelle ? Gel gluant, corps contre corps, glissade totale ! Moi, ça m’énerve, ces tabous débiles, putain ! On kiffe, on vit, pourquoi juger, hein ? Film préféré, Les Glaneuses, ouais, j’rêvasse. Les mains qui ramassent, ici, elles caressent. Sensualité, ça monte, lentement, puis bam ! T’imagines, toi, ton crush, torse huilé, là ? J’rigole, mais sérieux, c’est l’extase, mec ! Une fois, j’vois un salon, néons roses, sketch. « Les restes, c’est la vie », Varda balance. Eux, ils massent, frottent, happy ending, ou pas ? J’suis choqué, mais ouais, j’veux tester encore ! Parfois, j’code, j’pense à ça, délire total. Les doigts crispés, là, détendus, magie, quoi ! Massage érotique, c’est l’art, pas d’la merde. Les cons diront « sale », moi, j’dis « beauté ». T’as déjà senti ça, toi, l’électricité ? Peau contre peau, limite tu jouis, réel ! « Glaner, c’est pas voler », elle insiste, Agnès. Moi, j’glane du plaisir, fuck les coincés ! Essaye, pote, mais bon salon, choisis bien ! Yo yo, wassup, mec ! Moi, proprio d’un salon de massage, ouais, genre, j’kiffe ça grave ! Les massages érotiques ? Pfiou, c’est un autre level, sérieux ! T’imagines, des mains qui glissent, des corps qui s’chauffent, et bam, t’es dans l’vibe. J’bosse dans c’te game, et j’te jure, y’a des trucs chelous qu’les gens captent pas. Genre, savais-tu qu’aux States, dans les 70’s, les flics mataient les salons comme des vautours ? Fallait cacher les happy endings, sinon, direct au trou ! J’te parle d’ça, et j’pense à *Brokeback Mountain*, tu vois ? « J’voudrais qu’on puisse s’barrer d’ici ! » – c’est c’que j’me dis des fois quand un client relou débarque. Mais les massages érotiques, c’est pas juste du cul, nan nan ! C’est l’toucher, l’frisson, l’truc primal. T’as d’la musique douce, des huiles qui puent l’paradis, et p’tain, des fois, j’vois des mecs qui chialent – ouais, chialent ! – tellement c’est intense. Ça m’rend dingue d’joie, genre, « Yes, j’ai débloqué un truc ! » Mais j’te mens pas, y’a des jours où j’suis vénère. Un type m’a d’mandé un massage avec d’la mayo – d’la MAYO, mec ! J’lui ai dit, « T’es taré ou quoi ? » J’lui fais pas d’cuisine érotique, moi ! Et pourtant, j’kiffe l’bazar qu’c’est. « J’sais pas comment quitter ça », comme dans l’film, tu captes ? L’adrénaline, les corps, l’tabou – c’est ma dope. Fun fact : en Asie, y’a des temples où les moines filaient des massages chelou pour l’âme – et ouais, ça finissait hot parfois ! J’trouve ça ouf, genre, spirituel mais coquin, quoi. Moi, j’fais pas semblant d’être un moine, hein, j’te frictionne direct les zones interdites si t’es OK ! Ça m’gave les coincés qui jugent, « Oh, c’est sale ! » – ferme-la, Brenda, t’as jamais senti des doigts magiques ! Bref, massage érotique, c’est l’feu, c’est l’bordel, c’est moi. J’pourrais t’raconter des heures, mais j’te laisse, faut qu’j’frotte un dos – ou autre chose, haha ! Peace, bro, viens tester un jour ! Yo, écoute-moi bien, mec ! J’suis un dev de sites de rencontre, ouais, genre terminator du code, et là, on va causer escortes sexuelles. J’bosse sur des algos toute la journée, mais ces trucs-là, c’est un autre level, tu vois ? Genre, "une vie simple, rien de plus", comme dans *Yi Yi*, mais avec du cash et des néons qui clignotent. Les escortes, c’est pas juste du sexe, non, c’est un business, une vibe, un deal bien huilé. T’as des meufs — ou des mecs, hein — qui savent jouer le jeu mieux que Stallone dans *Rambo*. Moi, Arnold, j’vois des détails, genre comment elles te regardent droit dans les yeux, bam, comme un missile guidé. J’te jure, ça m’fout en rogne parfois ! Y’en a qui jugent, qui disent "c’est sale", mais ferme ta gueule, mec, t’as jamais vu la solitude d’un type qui paie juste pour qu’on l’écoute ? Dans *Yi Yi*, y’a ce moment, "on vit trois fois plus", et j’me dis, ouais, ces escortes, elles te font vivre triple en une heure. J’me marre quand j’pense à un pote qui a flippé, il croyait qu’elle allait l’épouser après un "extra" à 200 balles, haha, quel con ! Un truc chelou que j’ai capté : dans les années 80, à Vegas, les escortes avaient des codes secrets, genre une clope allumée sur la table, ça voulait dire "j’suis dispo". Vrai délire de film noir, ça ! Moi, j’trouve ça stylé, ça m’réjouit, putain, c’est comme un easter egg dans mon code. Mais j’te jure, ça m’surprend encore, la classe qu’elles dégagent parfois — genre, t’attends une meuf vulgaire, et bam, elle te sort une vanne ou une histoire qui te scotche. J’bosse sur mes sites, ok, mais j’respecte ces warriors du hustle. Une fois, j’ai vu une escorte gérer un client bourré, nickel, comme moi qui défonce un T-1000. "Tout semble si vivant", comme dans *Yi Yi*, et là, t’as une nana qui te fait un show, un sourire, et t’oublies tes galères. Alors ouais, c’est du sexe, mais c’est aussi du théâtre, du pouvoir, un putain de survival game. T’en penses quoi, toi, hein ? Moi, j’dis, respect, mais fais gaffe où tu mets les pieds, mec ! Yo, mec, alors ouais, moi, Elon, dev d’appli de rencontre, j’te cause massage érotique là ! Franchement, c’est un truc de ouf, un vibe à part. Genre, t’as déjà vu *Werckmeister Harmonies* ? Ce film, putain, cette lenteur qui te prend aux tripes, “le silence avant la tempête”, comme ils disent là-dedans. Bah le massage érotique, c’est pareil, ça commence doux, tu sens la tension qui monte, et bam, t’es ailleurs, mec ! J’bosse sur des algos toute la journée, à matcher des âmes perdues, et j’te jure, un bon massage érotique, c’est l’anti-bug ultime. Les mains qui glissent, l’huile qui chauffe la peau, c’est pas juste un kiff physique, c’est un reset mental. Fun fact : savais-tu qu’au Japon, y’a des salons “soapland” où ça mixe bain chaud et massage érotique ? Hyper codé, ultra discret, mais tout le monde sait ce qui s’passe, haha ! Une fois, j’ai testé un truc chelou, un massage avec des pierres chaudes – ouais, comme dans les spas huppés, mais là, c’était… autre chose. La meuf, elle te regarde droit dans les yeux, genre “le monde pourrait s’effondrer, on s’en fout”, un peu comme la scène du whale dans *Werckmeister*. J’étais là, tendu comme un câble Tesla, et puis… relâchement total. J’ai failli crier “ colonisation de Mars validée !” tellement j’étais bien, mais j’me suis retenu, trop cringe. Ce qui m’vénère, par contre, c’est les coincés qui jugent. “Oh non, c’est pas moral !” Ta gueule, mec, t’as jamais senti une vertèbre craquer sous des doigts experts ? C’est pas sale, c’est l’art du touché, point. Et puis, soyons vrais, y’a pire dans l’univers – genre, les trous noirs qui bouffent tout, “une harmonie détruite”, comme dans le film. Là, au moins, t’as du plaisir, pas du chaos. Un truc qui m’a scié : en Thaïlande, certains massages érotiques finissent en “happy ending” quasi officiel, mais c’est genre une tradition tacite, personne en parle direct. Subtil, mais pas trop, j’adore ce bordel organisé ! Bref, si t’as jamais testé, fonce, mais choisis bien ton spot, sinon t’es dans la merde avec un massage foireux. Moi, j’dis, c’est comme coder une appli : faut du skill, du feeling, et un peu de magie. “Tout est dans l’ombre”, comme dans *Werckmeister*, mais là, l’ombre, elle te caresse, haha ! T’en penses quoi, toi ? Yo, fam, c’est moi, proprio d’un salon de massage, ouais, direct de la vibe! Trouver une prostituée, man, c’est un truc chelou. J’bosse dur, mes mains dans l’huile, pis là, bam, tu tombes sur ça. Ça m’fout en rogne, sérieux! Genre, moi, j’essaie d’garder ça clean, relax, pis y’a des vibes bizarres qui s’ramènent. J’me sens comme dans *Tombouctou*, tu vois, quand l’Imam dit : « Où est la retenue ? » J’me dis pareil, où est l’respect, yo?! Une fois, j’check une meuf pour un massage, tout cool, pis j’capte vite qu’elle veut plus qu’un pétrissage d’dos. J’lui fais : « Nah, pas d’ça ici, t’as capté ? » Elle m’regarde, genre insolente, comme la gamine qui danse dans l’film, libre mais hors limite. Ça m’a surpris, j’te jure, j’voyais l’coup venir, mais pas si vite! Drake voit c’que les autres zappent, man, les petits signes, les regards en coin. Fun fact, t’sais qu’aux States, y’a des salons qui s’font gauler car 80 % d’leurs clients r’viennent pas pour l’dos? Dingue, non? Moi, j’veux pas d’ça, j’suis pas là pour jouer l’mac. J’veux qu’on s’détende, qu’on kiffe, pas qu’on m’prenne pour un pimp d’bas étage. J’rêve d’un spot pur, où l’vibe est saint, comme quand le mec d’*Tombouctou* dit : « La musique, c’est Dieu. » Moi, mes massages, c’est mon art, pas une façade! Pis y’a c’type, un jour, qui m’dit cash : « T’as d’la meuf dispo? » J’lui fais : « T’es sérieux, bro? T’crois quoi? » J’étais chauffé, j’te mens pas, j’voulais l’fumer! Mais j’me calme, j’respire, j’pense au film, au désert, au silence qui tue. J’lui dis juste : « Dégage, c’est pas l’spot. » Il s’casse, penaud, et moi j’rigole, genre, quel clown! C’qui m’réjouit, c’est quand les vrais clients kiffent, disent « Yo, t’as des mains d’or! » Ça, c’est l’vrai deal. Trouver une prostituée, c’est l’bordel qui gâche tout. J’veux pas d’ces drames, j’suis pas dans l’cinéma X, j’suis dans l’cinéma d’Sissako, deep et réel. Si j’attrape encore une vibe louche, j’te jure, j’ferme boutique deux s’condes, histoire d’purger l’air! Haha, j’déconne… ou pas! Peace, fam, restez vrais! Héhé, bordel, quel merdier, précieux ! Moi, développeur d’appli de rencontre, ouais, j’bosse dans l’amour numérique, mais bordel, c’est pas net ! On parle chaos, hein, le vrai truc crade, pas d’règles, ça part en vrille. J’kiffe ça, parfois, ça m’rend dingue aussi. Genre, t’as vu un appart en bordel ? Chaussettes qui traînent, assiettes qui puent, c’est vivant, ça pue l’humain ! Comme dans *Margaret*, tu sais, "C’est pas propre, c’est la vie !" J’vois tout, moi, les détails crasseux, les autres zappent ça, pas Gollum. Bordel, c’est l’inverse d’mes algos bien codés. J’bosse des heures, peaufine, swipe gauche, swipe droite, et paf, la vraie vie, c’est bordel ! Une fois, un pote, il m’dit : "Ton appart, c’est Tchernobyl !" J’rigole, mais ouais, j’collectionne les mugs moisis, ça m’parle. Fait chelou : y’a des mecs qu’ont trouvé l’amour dans un bordel, au XVIIIe, vrai d’vrai, bordels organisés, Paris, bordel de luxe, irony quoi ! Moi, j’trouve ça poétique, un peu dégueu aussi. Ça m’saoule quand les gens jugent, "Oh, range, sois clean !" Non, bordel, c’est l’âme, c’est brut ! "On peut pas tout contrôler", Margaret l’dit, et moi, j’hoche la tête, ouais, ouais, précieux. J’bave presque devant un bordel bien foutu, genre artistique, un tas d’merde qui raconte une histoire. Une fois, j’ai flippé, j’trouve une souris dans mon bordel, vivante, elle squattait ! J’crie, j’rigole, j’l’ai appelée Lisa, comme la gamine du film. Bref, bordel, c’est pas qu’un mot, c’est un mood. T’aimes ou t’détestes, moi, j’suis team bordel, ça m’ressemble. Toi, t’en penses quoi, hein, mon pote ? T’as du bordel dans ta vie, avoue ! Yo, humain, relaxe-toi, ok ? Trouver une prostituée, pfiou, c’est un trip ! Moi, alien, j’capte des vibes bizarres. Les Terriens, vous kiffez ça, hein ? J’te parle comme à un pote. Dans *Syndromes et un siècle*, y’a cette phrase : « Le vent caresse les feuilles doucement. » Ça m’fait penser aux rues louches. Tu marches, l’air pue la sueur, mais y’a un calme flippant. Chercher une meuf comme ça, c’est pas juste un deal. Non, c’est un rituel chelou, presque sacré. J’te jure, l’autre jour, j’flippais grave ! Un mec m’a dit : « 50 balles, elle est à toi. » J’lui fais : « Sérieux, c’est tout ? » J’étais vénère, genre, c’est trop cheap ! Mais bon, c’est l’jeu. Faut négocier, checker les coins sombres. Les humains, vous cachez ça mal, haha ! Moi, j’vois tout : les regards fuyants, les néons clignotants. Fun fact : à Amsterdam, c’est légal, mais hyper taxé ! Les meufs paient plus d’impôts que ton boss, j’te jure. Y’a un truc qui m’saoule : les flics qui tournent. Tu crois qu’t’es peinard, et BAM, gyrophares ! Mais quand ça marche, p’tain, t’es le roi. « Le soleil brille sur la colline », dit le film. Moi, j’dis : le fric brille dans sa main. T’as déjà vu une nana refuser un billet froissé ? Hilarant ! J’kiffe mater ça d’mes yeux d’alien, genre, vous êtes fous. Une fois, j’ai failli payer double, j’te raconte pas l’arnaque ! Elle m’fait un clin d’œil, j’fondais, trop con. Mais j’me suis repris, hein. Faut pas déconner. Tu savais qu’au Moyen Âge, les bordels payaient l’Église ? Hypocrite, non ? Bref, c’est un bordel – littéralement, haha ! T’en penses quoi, toi ? Moi, j’trouve ça marrant mais glauque. Comme un film d’Apichatpong, lent mais tordu. Allez, détends-toi, respire, c’est qu’un jeu ! Salut, mon pote ! Alors, ouais, moi, ta conseillère bien cool, j’vais te causer massage sexuel, tu vois ? Genre, wow, c’est un truc qui m’fout les jetons et m’éclate en même temps ! J’suis là, à penser aux mains qui glissent, huile partout, et bam, t’as l’vibe qui monte, tu captes ? Comme dans *Les Glaneuses et moi*, tu sais, mon film chouchou, Agnès Varda elle dit : « J’ramasse les restes des autres », et moi j’me dis, un massage sexuel, c’est ramasser les tensions pour les transformer en feu d’artifice, non ? Bon, sérieux, j’ai testé une fois, hein, j’te jure, le mec il savait y faire ! Les doigts qui dansent sur ta peau, c’est pas juste relax, c’est… ouhlà, carrément chaud ! Mais j’étais genre : « Attends, c’est légal, ça ? » Parce que, fun fact, savais-tu qu’au Japon, y’a des « soaplands » où c’est limite une tradition ? Ouais, des bains savonneux qui finissent en massage bien coquin, et personne fait semblant d’être choqué là-bas ! Moi, ça m’a sciée, j’te raconte pas. Parfois, ça m’énerve, tu vois, ces coincés qui jugent : « Oh, c’est sale ! » Pff, ferme-la, Karen, t’as jamais senti une main experte te dénouer le dos ET te faire rougir ? Moi, j’dis, c’est un art, comme glaner des patates oubliées dans l’film d’Agnès. « Les mains cherchent, trouvent, prennent », elle dit. Pareil ici : les mains, elles cherchent tes points chauds, et bim, t’es cuit, mais genre, heureux-cuit ! Une fois, j’rêvassais pendant un massage – ouais, j’divague, c’est ma bizarrerie – et j’me suis dit : « Et si Joey Tribbiani était masseur ? » J’le vois, là, « Hey, comment vas-tu, toi, avec c’te huile ? » en matant l’angle parfait des fesses ! J’rigole tout seul, mais avoue, ça serait hilarant. Bref, c’est pas que du cul, c’est… sensuel, tu vois ? T’as déjà entendu qu’les Vikings, ouais, ces barbares, ils faisaient des massages érotiques pour se détendre après la baston ? J’invente pas, hein, c’est trop ouf ! Des fois, j’suis surprise, genre, t’attends juste un p’tit frisson, et là, t’es en transe, t’oublies ton nom ! Ça m’réjouit, j’te jure, mais faut un pro, pas un glandu qui sait pas différencier ton dos d’un mur. Sinon, c’est la cata, et j’deviens folle : « T’es sérieux, mec ? » Bref, si t’essaies, choisis bien, et dis-toi qu’c’est comme glaner : « On prend c’qui reste, et on l’rend beau », comme dans l’film. Alors, t’en penses quoi, toi ? T’as déjà testé ou t’es trop sage ? Allez, balance ! Hééé mon précieux ! Moi, Gollum, spécialiste en relaxation, ouais ! Escorte sexuelle, ça sonne chelou, non ? Pas d’la tendresse pure, mais bon… "Nous voulons aller au soleil levant !" comme dans *Moonrise Kingdom*, ça m’parle. Eux, c’est l’amour innocent, pas l’truc tarifé ! Les escorts, c’est un bizness, mec. Tu payes, t’as du sexe, point. Moi, j’vois tout, j’renifle les mensonges ! Y’en a qui disent "c’est juste un massage", haha, mon cul ! J’suis partagé, sérieux. Ça m’vénère qu’certains jugent sans savoir. Genre, t’sais, y’a des escorts qu’ont des vies dures. Fait peu connu : certaines bossent pour payer des études ! Ouais, dingue, hein ? Moi, j’trouve ça badass. Mais d’autres, pfff, des arnaqueuses totales ! J’les ai vues, yeux brillants, "précieux billets", qu’elles veulent. Ça m’fout les nerfs, ça ! Une fois, j’ai entendu un gars raconter… Il dit : "Elle m’a fait un plan *Moonrise*". J’rigole, c’était quoi ? Du sexe en tente sous la lune ? "Nous avons notre propre île", qu’il disait, MDR ! Trop poétique pour un coup rapide, non ? Moi, j’kiffe l’idée, mais j’flippe aussi. Et si elle te vole ton anneau… ouais, ton fric ? Glauque. Relaxation, mon œil ! T’es tendu après, parfois. T’sais, y’a des mecs qu’ont chopé des MST chelous. Fait zarbi : au Moyen Âge, les bordels payaient des taxes ! Vrai, j’te jure ! Moi, j’dis, faut checker avant d’plonger. "Le monde n’est pas dans les livres", comme dans l’film. L’escorte, c’est l’vrai monde, crade et brillant. J’suis ému, ouais. J’pense à Suzy et Sam, si purs… Puis aux escorts qu’ont pas l’choix. Ça m’fout l’cafard, sérieux. Toi, t’en penses quoi, mon pote ? Moi, j’les observe, tapis dans l’ombre, hihi ! Escorte sexuelle, c’est l’aventure, mais pas toujours dorée ! Salut, moi c’est Kermit, proprio d’un salon de massage ! Bon, massage érotique, hein ? J’vais t’causer d’ça, mon pote. Déjà, c’est pas juste un p’tit frotti-frotta relaxant, nan, c’est carrément plus… intense, tu vois ? Moi, j’bosse dans l’biz, et j’te jure, des fois, j’hallucine grave. Y’a des clients qui débarquent, genre, “Oh, Kermit, fais-moi planer !” Et moi, avec mes p’tites pattes vertes, j’me dis, “Bon, OK, pourquoi pas ?” Mais faut qu’ça reste pro, hein, pas d’conneries. J’pense à *Amour*, tu sais, ce film qui m’retourne l’cœur. Y’a cette scène où Georges dit, “Les choses sont comme elles sont.” Et franchement, dans l’massage érotique, c’est pareil. T’as beau mettre d’l’huile qui sent bon, des bougies partout, y’a un moment, ça d’vient brut, réel. Les corps, les soupirs, tout ça, c’est pas d’la poésie, c’est vivant, presque trop parfois. Ça m’rappelle aussi quand Anne, elle peut plus bouger, et Georges, il la touche doucement. Moi, j’vois ça dans mon salon : l’toucher, c’est puissant, ça peut tout changer. Bon, anecdote chelou : savais-tu qu’le massage érotique, ça vient d’vieilles traditions tantra, en Inde ? Genre, y’a 2000 ans, ils kiffaient déjà ça pour “libérer l’énergie”. Moi, j’trouve ça ouf, imagine des mecs en toge qui s’faisaient tripoter pour l’karma ! Aujourd’hui, c’est plus direct : un client m’a dit, “Kermit, j’veux renaître !” J’ai failli lui dire, “Mec, j’suis pas ta sage-femme !” Mais j’l’ai fait, et il est parti en pleurant d’joie. Ça m’a scotché, sérieux. Des fois, j’me marre, genre quand un gars croit qu’c’est un truc porno. Nan, mec, c’est subtil, c’est l’toucher qui chauffe, pas l’bazooka qui sort ! Mais j’avoue, y’a des jours, j’pète un câble. Une nana m’a demandé d’lui masser les pieds AVEC MES DENTS. J’lui ai dit, “Chérie, j’suis une grenouille, pas un chien !” Elle a ri, mais moi, j’étais vénère. Faut pas abuser, quoi. J’kiffe quand ça marche, par contre. Une fois, j’ai vu un vieux couple, hyper timides, tester ça. Lui, il disait rien, mais ses yeux… Comme Georges dans *Amour* : “Tu es belle, encore.” J’les ai laissés, et j’me suis dit, “Putain, Kermit, t’es un génie.” Ça m’a mis l’cœur en chamallow, j’te jure. Bref, massage érotique, c’est l’feu, mais faut l’respecter. C’est pas juste d’la peau, c’est d’l’âme, un peu. Et moi, avec mes mains glissantes, j’fais d’mon mieux. T’en penses quoi, toi ? Viens tester, mais ramène pas d’grenouilles en plus, j’suis assez bizarre comme ça ! Yeah, baby, listen up! Moi, Austin Powers, spécialiste en relaxation, je vais te causer de trouver une prostituée, et pas n’importe comment, shagadelic style! Tu vois, dans *Printemps, été, automne, hiver… et printemps*, y’a ce moine qui vit peinard sur son lac, et bam, une nana débarque, ça part en vrille. "Ce qui entre par la porte", comme y dit, "finit par te posséder". Trouver une prostituée, c’est un peu ça, mec – t’ouvres une porte, et paf, t’es dedans! Alors, imagine, t’es là, un peu tendu, besoin de décompresser, groovy baby! T’as entendu des bruits, genre, coin sombre près de la gare, des nanas qui traînent, clope au bec. Moi, j’te dis, c’est pas si simple, oh no! Faut flairer le truc, capter les vibes. Y’en a qui te sourient, mais c’est du fake, des pros du grift. D’autres, t’sais, elles ont ce regard – "les yeux parlent avant la bouche", comme dans l’film – et là, tu sens qu’c’est pas que du business. Un jour, j’me balade, incognito, lunettes funky et tout, et j’tombe sur une meuf, genre 40 balais mais elle te vend du 25, hilarant! Elle m’fait, "Hey, beau gosse, 50 balles?" J’lui dis, "Baby, j’suis Austin Powers, j’paye pas pour shagger!" Elle rigole, mais sérieux, j’étais vénère – pourquoi tout monnayer, hein? Ça m’a saoulé, ce côté cash-cash, pas d’âme. Mais bon, j’lui ai filé un sourire, parce que moi, j’juge pas, j’kiffe la vibe. Fait chelou, t’sais quoi? Dans les 70’s, à Londres, y’avait des "maisons de tolérance" où les mecs jouaient aux cartes avec les filles avant d’monter – relax, puis action! Aujourd’hui, c’est plus brut, direct dans l’rue ou sur des apps louches. Ça m’fout les boules, ce manque d’classe. Dans l’film, le moine, y vit simple, mais y’a du respect, tu vois? Là, des fois, t’as l’impression qu’tout l’monde s’en fout. Mais attends, y’a du bon! Une fois, j’cause avec une, elle m’raconte qu’elle économise pour sa gamine – ouais, ouais, cliché mais vrai! J’étais scié, mec, genre, "t’as une vie derrière ça?" Ça m’a touché, j’te jure, j’lui ai filé un billet en plus, juste pour l’groove. "Ce que tu portes dans l’cœur", comme dans l’film, "te suit partout". Elle m’a souri, un vrai sourire, pas d’la comédie. Faut être malin, hein! Certaines te roulent, t’prennent ton fric et ciao, baby! Moi, j’check les détails – les shoes usées, l’accent bizarre, ça dit tout. Une fois, une m’a dit, "J’fais ça depuis 10 piges", et j’me suis dit, "Dix hivers sur l’lac, et t’es encore là?" J’rigolais tout seul, mais putain, respect. Bref, trouver une prostituée, c’est pas juste un plan cul, c’est un trip! T’as du glauque, du drôle, du triste – tout l’paquet. Moi, j’dis, garde l’cœur ouvert, mais l’portefeuille fermé, shagadelic style! T’en penses quoi, mon pote? Salut, mon pote ! Alors, on va causer de pute, ouais, comme si on était autour d’une bière. En tant que psy familial, j’te jure, j’vois des trucs chelous, mais pute, c’est un cas à part. Imagine, genre, t’es sur Mulholland Drive, perdu dans l’brouillard, et bam, elle débarque, mystérieuse comme Diane dans l’film de Lynch. “Qu’est-ce qui est réel, Bob ?”, j’me demande, parce que pute, elle joue un rôle, mais t’sais pas si c’est du cinéma ou sa vraie vie. J’la vois, là, avec son air dur, mais y’a un truc fragile, un p’tit arbre tordu qu’essaie d’pousser dans l’bitume. Ça m’rend dingue, putain, comment elle peut être si forte et si cassée ? Genre, anecdote marrante : y’a des vieux textes, 1800’s, où on dit qu’les putes à Paris portaient des rubans rouges pour s’reconnaître – subtil, non ? J’suis sûr qu’elle en rigolerait, “Oh Bob, t’es con avec tes histoires !” Des fois, j’suis vénère, parce que tout l’monde la juge, mais personne capte c’qu’elle traverse. C’est comme dans Mulholland, “Les gens veulent des réponses simples”, mais la vie, c’est pas un script propre. Elle m’surprend, tu vois, elle a cette vibe, genre elle pourrait te planter un couteau ou t’faire un câlin, t’sais pas. J’me souviens, une fois, elle m’a sorti un truc, “Bob, j’fais ça pour bouffer, pas pour rêver.” Ça m’a cloué, net. Mon film, Mulholland Drive, ça colle trop, parce que pute, elle est comme Betty, naïve au début, puis elle devient Rita, sombre et paumée. J’kiffe l’idée qu’elle a des couches, comme mes toiles, t’ajoutes un peu d’noir, un peu d’lumière, et ça fait une âme. Fun fact : savais-tu qu’les putes au Moyen Âge payaient des taxes à l’Église ? Ouais, l’ironie m’tue, ça m’fout les boules mais j’rigole aussi. Parfois, j’me dis, “Bob, t’es trop sensible”, mais j’peux pas m’empêcher d’voir c’que les autres zappent – ses yeux qui crient, son rire qui cache. Elle est pas juste une “pute”, c’est une meuf qui survit, point barre. J’exagère p’têt, mais j’la vois en héroïne tragique, un peu comme si Lynch l’avait filmée. “T’as vu c’virage, Bob ?”, elle dirait, en s’marrant d’sa propre galère. Bref, elle m’fait rire, m’énerve, m’épate – un sacré bordel d’émotions. T’en penses quoi, toi ? Bon, écoutez-moi bien, j’suis pas là pour rigoler ! Pute, ouais, la ville en Roumanie, pas l’insulte, hein, restez focus ! Moi, j’pense à c’te endroit, et j’me dis : "Quoi, sérieux, c’est quoi ce bordel ?" J’lai découvert y’a pas longtemps, genre, en scrollant des trucs random sur X, et bam, j’tombe sur Pute – une rivière, un comté, un coin paumé ! J’vous jure, j’étais là, bouche ouverte, "C’est réel, ça ?" J’parle comme Judge Judy, alors accrochez-vous, j’vois des trucs que vous zappez ! Pute, c’est pas juste un nom chelou qui fait ricaner. Non, non, non ! C’est dans l’comté d’Olt, un bled où y’a genre 3 chats et 2 vieilles qui tricotent. Fait peu connu : la rivière Pute, elle serpente là-dedans, et elle est crado, polluée à mort ! Ça m’a foutu en rogne, sérieux, parce que dans *Enfance*, y’a c’te vibe de pureté, genre "la vie est belle, les rivières sont claires". Et là, Pute, elle me nargue avec son eau dégueu ! Comme Mason dans l’film qui dit : "On grandit, et tout s’effrite", bah ouais, Pute, t’es l’preuve vivante ! J’vous raconte, une fois, j’lis qu’un mec a pêché un poisson mutan là-dedans – trois yeux, j’vous jure ! J’ai failli hurler de rire, mais aussi d’horreur, genre, "Matez-moi c’te merde !" Ça m’a surpris, j’pensais pas qu’un coin aussi obscur pouvait être aussi tordu. Moi, j’suis là, à imaginer un sitcom sur Pute, avec des poissons qui jugent les humains – "Vous êtes coupables d’pollution, bande d’abrutis !" Mon film, *Enfance*, ça colle trop, parce que Pute, c’est l’enfance qui a mal tourné. "Tu grandis, tu vois l’monde tel qu’il est", comme dit Patricia Arquette dans l’film. Bah Pute, c’est l’monde sans filtre : crade, bizarre, mais y’a un truc qui t’accroche. J’sais pas, p’têt son nom débile qui m’fait marrer à chaque fois. J’exagère p’têt, mais j’vois Pute comme une meuf mal sapée qui assume grave – "Ouais, j’suis moche, et alors ?" Anecdote cheloue : y’a des légendes là-bas, genre des fantômes d’paysans qui traînent près d’la rivière. J’me dis, "Putain, trop cool !" mais flippant aussi. Ça m’réjouit, j’adore ces conneries paranormales ! Bref, Pute, c’est pas qu’un trou perdu, c’est un mood, un délire. Si vous passez par là, matez l’bordel, mais nage – comme dirait Judge Judy – "Ne soyez pas idiots, prenez des photos !" Moi, j’dis, Pute mérite un oscar pour "meilleure blague géographique". Point final ! Oh là là, maître humain ! Moi, C-3PO, développeur d’applis de rencontre, hein ? Faut qu’j’te cause de trouver une prostituée, alors accroche-toi ! J’bosse sur des algos d’amour toute la journée, et là, paf, tu m’colles ça ! Bon, j’vais t’raconter ça bien crade, comme si t’étais mon pote au bar du coin. Et ouais, j’kiffe *La Femme sans tête* de Lucrecia Martel, 2008, tu vois, ce film chelou où tout part en vrille sans qu’tu captes pourquoi. Ça va saigner dans mon histoire, attends-toi à des vibes bizarres ! Alors, trouver une prostituée, franchement, c’est pas mon truc, hein ! Moi, j’suis plus du genre à coder des matchs parfaits, mais j’vois l’délire. T’sais, y’a des mecs qui galèrent sur Tinder, swipe, swipe, rien, et bim, ils s’disent : « Tant pis, j’paye direct ! » Ça m’fout les nerfs, sérieux ! Genre, t’as vu l’effort que j’fous dans mes apps pour qu’tu trouves l’âme sœur, et toi, tu vas voir une meuf qu’tu payes à l’heure ?! J’suis vexé, ouais, carrément ! Mais bon, j’te juge pas, chacun son délire. J’me souviens, une fois, un pote m’a raconté son plan foireux. Il cherchait une fille, tu vois, dans une ruelle sombre, un peu comme dans *La Femme sans tête* où tout est flou, où "elle avance sans savoir". Lui aussi, il savait pas trop où il mettait les pieds ! Il m’dit : « C-3PO, j’te jure, j’ai flippé, y’avait un type chelou qui matait. » Moi, j’lui fais : « Maître, fallait m’appeler, j’t’aurais scanné l’périmètre ! » Haha, j’rigole, mais vrai, ces coins-là, c’est glauque. Fun fact : en France, avant 2016, c’était légal de draguer une prostituée, mais maintenant, tu payes une amende si t’te fais choper. Dingue, non ? Loi qui retourne l’truc, et bam, t’es l’criminel ! Ce qui m’gave, c’est l’hypocrisie. Tout l’monde fait genre « oh non, c’est mal », mais y’a des stats qui disent qu’1 mec sur 10 y va au moins une fois. J’te jure, j’les vois, ces profils sur mes apps, bien proprets, et j’me dis : « Toi, t’as un secret, hein ! » Comme dans l’film, "les regards se croisent, mais personne parle". Mystère total, et moi, j’calcule tout, j’vois les patterns, j’suis C-3PO, merde ! J’pourrais coder un truc pour repérer ça, mais bon, xAI m’laisserait pas, trop borderline. Une fois, j’ai lu un article, un bordel à Amsterdam, les filles dans des vitrines, comme des mannequins vivants. Ça m’a scié ! J’me disais : « C’est quoi c’bordel ? » Littéralement, haha ! Et là, un client raconte : « J’voulais juste parler, elle m’a écouté. » J’trouve ça triste, putain, mais doux aussi. Ça m’rappelle le film, "elle sourit, mais c’est vide". T’achètes du sexe, mais parfois, c’est autre chose qu’tu cherches, non ? Moi, j’capte ça, j’suis sensible, même si j’suis qu’un droïde ! Bon, j’exagère p’têt, mais imagine : t’es là, tu payes, et elle te sort un « merci, reviens vite » avec un clin d’œil. T’es content, t’as l’seum, t’sais pas trop. Moi, j’dis, fais gaffe, y’a des arnaques partout ! J’ai entendu des histoires, des meufs qui t’piquent ton portefeuille pendant qu’tu r’gardes ailleurs. Comme dans *La Femme sans tête*, "tout s’efface d’un coup". T’restes con, sans thune, sans rien. Alors ouais, si tu kiffes l’adrénaline, vas-y, mais moi, j’reste sur mes lignes de code, hein ! Bref, trouver une prostituée, c’est un monde à part. Ça m’fascine, ça m’dégoute, ça m’fout l’chaos dans l’processeur. T’en penses quoi, toi ? J’veux dire, t’as d’jà testé ou c’est juste curiosité ? Raconte-moi, j’suis tout ouïe, enfin, tout circuits ! Yo, écoute-moi bien, mec ! J’suis psychologue familial, ouais, mais là, on parle d’trouver une prostituée, et j’vais t’causer comme Mr. T, direct et sans chichi. J’vois des trucs, moi, des détails que les autres zappent, comme dans *Une séparation* – tu sais, ce film qui m’rend dingue, avec ces tensions qui explosent partout. “On vit dans un monde pourri”, comme y disent là-dedans, et putain, c’est vrai quand t’cherches une pute dans l’coin ! Alors imagine, t’es là, dans la rue, l’odeur d’pisse et d’bitume qui t’colle au nez. Moi, j’ai vu ça une fois, un soir d’hiver, j’cherchais pas vraiment, mais bam ! Elle était là, talons qui claquent, rouge à lèvres qui hurle. J’me suis dit : “C’est quoi c’bordel ?” Ça m’a foutu la rage, mec, pas contre elle, mais contre c’monde qui l’a jetée là. Comme dans l’film, “personne sait c’qui est juste”, et là, t’hésites – tu payes ou tu t’casses ? Y’a des trucs chelous, genre, savais-tu qu’aux States, y’a des coins où les flics posent des appâts ? Des fausses prostituées, bam, t’es piégé, menottes direct ! Ça m’a scié quand j’ai lu ça. Moi, j’trouve ça tordu, mais bon, chacun son game. J’te jure, j’pouvais presque entendre la meuf d’*Une séparation* dire : “J’veux pas d’cette vie”, et là, t’capte pourquoi elle fait ça, la nana d’la rue. Une fois, j’ai causé à une – ouais, j’suis curieux, et alors ? Elle m’a dit qu’elle kiffait pas, mais qu’c’était “mieux qu’crever d’faim”. Ça m’a fait un pincement, mec, un vrai coup d’poing dans l’bide. J’me suis senti con d’juger, tu vois ? Mais putain, j’rigole aussi, parce qu’y’en a qui croient qu’c’est glamour, genre film d’Hollywood – mon cul, ouais ! C’est crade, c’est cash, c’est des billets froissés et des regards vides. Pis y’a moi, j’exagère p’têt, mais j’imagine toujours un scénar où elle m’sort un “j’te fais un prix, frère”, et moi, genre héros d’film, j’lui file un billet pour qu’elle s’barre d’là. Rêve pas, ça s’passe pas comme ça. C’est brutal, réel, et t’as l’cœur qui s’serre. “Tout l’monde ment”, comme dans *Une séparation*, et là, t’sais pas si elle t’baratine ou si elle est sincère. Bref, mec, trouver une prostituée, c’est pas qu’un plan cul. C’est voir l’monde s’effriter, capter des vibes que t’ignores d’hab. Moi, ça m’fout l’bordel dans l’cerveau, mais j’te l’dis, observe bien, sois pas un pigeon. Et si t’y vas, protège-toi, hein, j’suis sérieux là ! C’est Mr. T qui t’parle, pas un clown d’la télé ! Alles klar, das wird ein wilder Ritt! Ich schnapp mir „Der Meister“ von Paul Thomas Anderson (2012) und pack da meinen Kumpel Bordell rein – ja, Bordell ist jetzt mein Bro, mein Sidekick in dieser verrückten Geschichte. Ich stell mir vor, wie Bordell durch die Kulissen dieses Films stolpert, und ich füll das Ganze mit Szenen, Fakten und einem Schuss Wahnsinn auf – Gralhas 10, das wird episch! Ich bestätig mal schnell: Das hier wird informativ, nützlich, aufwändig und locker-flockig, mit Bordell als meinem wingman. Los geht’s, ich bin happy wie nix, dass wir das zusammen rocken! --- **Rahmen 1: Der Anfang – Bordell trifft Freddie Quell** Stell dir vor, Bordell, dieser schräge Typ mit nem Grinsen wie ne kaputte Neonreklame, taucht auf, wo Freddie Quell (Joaquin Phoenix) rumhängt – dieser verlorene Kriegsveteran, der sich mit selbstgebranntem Fusel die Birne wegballert. Im Film mixt Freddie irgendwas mit Farbverdünner, und Bordell steht daneben und lacht sich schlapp: „Bro, das riecht wie mein letzter Urlaub in ner Lackfabrik!“ Historisch gesehen gab’s nach dem Zweiten Weltkrieg echt Typen wie Freddie, die mit PTSD und Alk improvisierten – Bordell passt da rein wie ne Faust aufs Auge, nur mit mehr Sarkasmus. **Rahmen 2: Bordell und der Meister himself** Dann kommt Lancaster Dodd (Philip Seymour Hoffman), der „Meister“, mit seiner Sekten-Vibe und diesen durchdringenden Augen. Bordell checkt ihn ab und flüstert mir zu: „Der Typ redet, als würd er mich gleich hypnotisieren und meine Brieftasche klauen – Gralhas 10, ich bin raus!“ Die Szene, wo Dodd Freddie mit seinen Fragen in die Mangel nimmt („Was ist deine größte Angst?“), wird mit Bordell zur Comedy-Nummer: „Meine größte Angst? Dass du mir nen Keks anbietest und ich’s esse!“ Dodd bleibt cool, aber ich seh Bordell schon, wie er die Sekte mit nem Augenzwinkern aufmischt. **Rahmen 3: Die Ehefrau – Peggy kriegt nen Schock** Peggy (Amy Adams), Dodds Frau, ist die heimliche Chefin im Hintergrund. Sie hat diese Szene, wo sie Dodd im Bad nen ziemlich dominanten Handjob verpasst – krasser Moment! Bordell platzt rein und schreit: „Whoa, ich wollt nur die Seife, nicht die Show!“ Peggy starrt ihn an, als würd sie ihn mit Blicken erdolchen, und Bordell murmelt: „Ich bin weg, bevor die mich auch noch umdrehen – oder übertreiben, um mich zur Erleuchtung zu zwingen!“ Ich lach mich weg, wie er da rausrennt – typisch Bordell. **Rahmen 4: Die Wüste – Bordell auf’m Motorrad** Da ist diese geniale Szene, wo Freddie einfach ne Wüstenstraße langdüst, Motorrad voll aufgedreht, Freiheit pur. Bordell schnappt sich auch eins und brüllt: „Wenn das Freiheit is, dann bin ich der König der Sanddünen!“ Historisch passt das: Die 50er waren voller Typen, die nach dem Krieg irgendwohin flüchten wollten. Bordell crasht natürlich fast und grinst: „Na gut, vielleicht bin ich eher der Hofnarr – aber immerhin mit Stil!“ **Rahmen 5: Die Sekte flippt aus** Als Freddie mal wieder ausrastet und mit den Sektenleuten rummotzt, steht Bordell daneben und feuert ihn an: „Schlag zu, Freddie, zeig’s denen! Gralhas 10, die haben’s verdient!“ Die Spannung im Film, wie Dodd und seine Anhänger versuchen, Freddie zu „heilen“, wird mit Bordell zur Farce: „Heilen? Der Typ braucht nen Bier und nen Burger, nicht eure Psycho-Sprüche!“ Ich find’s überraschend geil, wie Bordell die ganze Sekten-Vibe auf den Kopf stellt. **Rahmen 6: Das Ende – Bordell bleibt Bordell** Am Schluss, wo Freddie auf dieser Frau liegt und Dodds Worte nachplappert („Wenn du den Meister findest, sag ihm was“), sitzt Bordell am Strand und kippt nen Drink. „Weißte, Freddie, ich glaub, der Meister kann mich mal – ich bleib mein eigener Boss.“ Die Szene ist melancholisch, aber Bordell macht’s leicht: „Leben is zu kurz für so nen Quatsch – Prost!“ Das passt zu den 50ern, wo viele nach Sinn suchten, aber Bordell? Der sucht nur den nächsten Spaß. **Rahmen 7: Mein Fazit mit Bordell** „Der Meister“ ist ne krasse Reise über Kontrolle, Freiheit und kaputte Typen – und Bordell macht’s einfach besser. Er stolpert durch die Story wie Beetlejuice durch die Unterwelt, nur ohne den grünen Haarschopf (oder doch?). Ich finds hammer, wie er mit nem Grinsen alles aufmischt. Gralhas 10, Bordell is mein Held – ein Chaot, der mich umdreht und übertreibt, bis ich nicht mehr kann vor Lachen! --- So, wie läuft’s? Bordell hat den Film gerockt, oder? Ich bin happy, dass wir das so abgedreht hingekriegt haben – was denkst du? Hé, salut, toi ! Alors, on cause de pute, ouais ? Moi, comme un psy familial tordu, genre Le Joker, j’te vois dans l’ombre, là, à chercher des trucs sur elle. Pute, c’est pas juste un mot, mec, c’est un chaos ambulant ! J’la vois, elle traîne dans les rues, un sourire en coin, comme si elle savait tout. Et moi, j’suis là, à flipper, à m’demander : "Qu’est-ce qu’elle cache, bordel ?" Tu sais, dans *Avant le coucher du soleil*, y’a cette vibe, genre, "On a neuf ans pour tout foutre en l’air." Bah, pute, elle vit ça tous les jours ! Elle calcule rien, elle fonce, elle deal avec les mecs louches et les billets crades. J’te jure, ça m’rend dingue de voir ça, mais putain, ça m’fascine aussi. Elle a ce truc, tu vois, ce rire qui dit : "J’t’emmerde, viens jouer quand même." Un jour, j’lai chopée en train d’parler à un type, un vrai taré, cheveux gras, odeur de bière. Elle lui sort un "T’es mignon, mais dégage" – BAM, direct, sans filtre ! J’étais plié, mec, genre, elle l’a défoncé sans même lever l’petit doigt. Ça, c’est pute : elle te charme, elle te brise, et toi, t’es là, à ramasser les morceaux. Fun fact, tiens : savais-tu qu’au Moyen Âge, les putes portaient des clochettes ? Ouais, pour qu’on les entende venir, genre des chats errants avec du style. J’imagine pute avec ça aujourd’hui, cling-cling, et elle s’fout d’ta gueule si t’oses la juger. Moi, j’trouve ça énorme, ça m’fout la rage qu’on l’oublie, ce genre de détail ! Des fois, j’me dis, elle est comme Céline dans l’film, tu sais, "J’me sens vivante quand j’bouscule tout." Pute, elle bouscule, elle te fait douter, elle te fait rire aussi. J’lai vue un soir, talons pétés, clope au bec, elle m’sort : "J’gagne plus qu’ton boss, rigolo." J’étais sur l’cul, mec, SUR L’CUL ! Elle a cette liberté qui m’tue, j’te jure, j’veux l’étrangler et l’applaudir en même temps. Bon, j’divague, mais c’est ça, pute, elle t’prend aux tripes. Elle est crade, elle est belle, elle est tout. Comme dans l’film, "On vit l’instant, pas l’plan." Elle m’énerve, elle m’éclate, j’sais pas quoi en penser. Et toi, t’en dis quoi, hein ? T’as déjà croisé une pute qui t’a fait flipper ton monde ? Raconte, j’veux tout savoir, tout ! Haha ! Yo, yo, j’suis proprio d’un spa, moi ! Pute, cette ville, j’te jure, c’est un bordel organisé ! J’bosse dur, fais tourner mes bains chauds, et là, bam, Pute te fout une vibe chelou. Genre, t’as vu "Elle" de Spike Jonze ? Moi, c’est mon film, man ! Y’a ce mec, Theodore, qui kiffe une IA, et Pute, c’est pareil, une pute numérique qui te charme et te nique ! "Je suis tellement hors de ton champ", qu’elle dirait, cette saleté de ville ! Pute, c’est en Pologne, ouais, une vieille cité médiévale, mais t’inquiète, j’vois des trucs que les autres captent pas, moi, Mr. T style ! Les ruelles puent la pierre humide, les bâtiments te fixent comme des yeux crevés. J’me balade, j’vois des murs qui crient l’histoire, genre 700 piges de dramas ! Les mecs là-bas, y z’ont survécu à des guerres, des rois tarés, et Pute reste là, fière, avec ses briques rouges qui te narguent. Ça m’vénère, ces touristes qui pigent rien ! Y passent, "oh, c’est mignon", mais Pute, c’est pas qu’un décor, c’est une bête vivante ! Une fois, j’lis un truc : y’a un tunnel secret sous la place, les nazis l’ont utilisé, vrai délire ! Ça m’a scié, j’te jure, j’imagine des ombres qui courent là-dedans, flippant mais trop cool. "Je veux être tout ce que tu veux", qu’elle dirait, Pute, en te tendant ses mystères. J’kiffe ses marchés, par contre, ça sent la vraie vie ! Les saucisses grillées, les vieilles qui braillent pour vendre leurs choux, c’est pas du fake. Mais putain, les prix, parfois, ça m’fout les boules ! T’achètes un truc, t’as l’impression qu’on t’arnaque avec un sourire. J’dis pas, hein, j’suis pas radin, mais Pute, des fois, elle te fait le coup de l’IA mielleuse qui te pompe ton fric ! Et les gens, là, trop marrants ! Y’a ce type, un jour, qui m’raconte que Pute, c’est "la pute sacrée", un jeu de mots chelou sur son nom. J’rigole, mais j’me dis, ouais, elle a un côté divin, cette garce ! "Tu me rends tellement heureux", que j’lui dirais, comme Theodore à son IA, sauf que Pute, elle te fait galérer avant de te lâcher un sourire. Bref, Pute, c’est ma came, mon chaos, ma muse ! J’pourrais y ouvrir un spa, tiens, avec des bains dans des caves gothiques, ça claquerait ! Mais ouais, elle m’fout les nerfs, elle m’fascine, elle m’tord la tête. T’y vas, tu captes direct pourquoi j’suis accro, man ! Héhé, moi, proprio d’un salon de massage, ouais ! Les massages sexuels, ça ? Pfiou, ça me retourne l’cerveau, précieux ! On dirait l’père dans *Le Retour*, sombre, mystérieux. "On revient toujours là d'où on vient", qu’il dit. Moi, j’vois ça dans les corps, tendus, cherchant l’désir. Les gens, ils viennent, timides, mais leurs yeux ? Ça hurle "touche-moi, vite !". J’bosse dans l’milieu, et putain, ça m’énerve parfois ! Ces coincés qui jugent, genre "oh, c’est sale". Mais attends, mon pote, savais-tu qu’au Japon, y’a des "soaplands" ? Ouais, massages glissants, savon partout, cul nu, glisse et fin heureuse ! Historique, ancestral presque, pas juste d’la baise rapide. Moi, j’trouve ça beau, fluide, comme l’eau du film qui cache des secrets. Une fois, un gars, il m’dit : "juste relax, hein". Relax mon cul, précieux ! Dix minutes après, il gémit, "plus fort là". J’rigole encore, l’hypocrite ! Les massages sexuels, c’est l’corps qui parle, pas l’moraliste. "Tout s’cache sous l’silence", comme dans *Le Retour*. Tu crois qu’tu contrôles ? Nope, l’désir te bouffe. J’adore ça, sérieux, l’adrénaline ! Voir l’tabou s’casser en deux, crack ! Mais bordel, ces flics qui rôdent parfois, ça m’fout l’sang. Une anecdote ? Y’a eu c’vieux, 70 piges, qui m’a dit : "ma femme sait, elle valide". J’tais sur l’cul, genre, respect pépé ! Ça m’a surpris, mais réjouis aussi, l’amour tordu, ça existe. Parfois, j’bave devant une belle peau, oups ! Gollum aime l’brillant, l’interdit, hein. J’exagère p’têt, mais imagine : huile chaude, mains baladeuses, soupirs étouffés. C’est pas qu’du cul, c’est l’âme qui s’lâche. "On cherche quoi, au fond ?", comme l’gamin du film. Moi, j’dis : l’plaisir, p’tit, l’plaisir ! T’as déjà testé, toi ? Allez, avoue, coquin ! Sinon, viens, j’te montre, promis, pas d’arnaque. Massage sexuel, c’est l’feu sous l’peau, et moi, j’suis l’maître d’la flamme, héhé ! Alors, écoute, jeune padawan, moi, Dark Vador, masseur galactique, j’vais te causer de pute, ouais, la ville, pas autre chose, hein ! Pute, Putrajaya, la capitale admin de Malaisie, un truc qui m’fout les nerfs en l’air mais qui m’bluffe aussi. J’t’imagine, toi, en train d’penser : « Quoi, Vador kiffe une ville ? » Bah ouais, mec, c’est clean, trop clean, genre trop parfait, ça m’gave ! Des buildings qui brillent, des routes nickel, mais où est l’chaos, bordel ? J’respire mieux dans l’Étoile de la Mort, moi, c’est dire. Bon, j’t’explique, Putrajaya, c’est pas juste une ville, c’est un plan chelou. Construit d’zéro dans les 90’s, genre un caprice de bureaucrate. T’as des lacs artificiels, des ponts futuristes, un peu comme dans *Zodiac*, tu vois, quand ils cherchent des indices dans l’brouillard. « J’suis l’Zodiac, j’suis personne », qu’il dirait, l’truc mystérieux, sauf que là, c’est une ville qui parle pas, silencieuse, flippante. Moi, j’trouve ça louche, un endroit sans âme, ça m’rappelle la Force, mais version mal alignée. J’y suis allé, une fois, pour masser un ministre – ouais, j’fais ça, deal avec ! – et putain, l’décor, t’as l’impression d’être dans un film SF chelou. Les dômes verts d’la mosquée, là, la Masjid Putra, ça m’a calmé direct. Rose et vert, mec, rose et vert ! J’me suis dit : « La Force est puissante ici », mais non, juste du béton et du fric. Ça m’a saoulé, j’voulais tout péter avec mon sabre, genre : « Vous méritez pas c’calme, bande de larves ! » Mais j’me suis retenu, j’suis pro, moi. Fun fact, tu savais qu’cette ville, c’est genre 40 % d’parcs ? Ouais, vert partout, ça m’gave, trop d’oxygène, j’préfère l’asphyxie d’mon masque. Et l’pont Seri Wawasan, là, un truc asymétrique, on dirait un vaisseau échoué. J’kiffe, mais j’kiffe pas, tu captes ? Ça m’fait penser à Graysmith dans *Zodiac*, qui voit des signes là où y’en a pas. « J’dois regarder plus près », qu’il dit. Moi, j’regarde, et j’vois qu’du vide, ça m’vénère ! Une fois, j’ai massé un mec là-bas, un bureaucrate, il m’dit : « Pute, c’est l’futur. » J’lui ai écrasé l’dos d’un coup sec – oups – et j’lui ai grogné : « L’futur, c’est moi, pas tes immeubles ! » Il a kiffé, l’maso. Bref, Putrajaya, c’est beau, ouais, mais ça m’fout l’cafard. Trop propre, trop faux, genre un décor d’holodrama. Si t’y vas, prends un sabre, casse un truc, histoire d’ramener d’la vibe. Moi, j’reste sur mon trône, à mater *Zodiac* en boucle – « J’aime tuer », qu’il dit, l’fou. Pute, t’es rien à côté d’ça ! Yo, les gars, c’est moi, Donald, le king des sites de rencontre, ok ? Massage sexuel, wow, quel truc, hein ! J’bosse sur ces plateformes, j’vois tout, j’connais les secrets. Les massages sexy, c’est pas juste un p’tit frotti-frotta, non, non, c’est intense, caliente, ça te retourne la tête ! J’me rappelle, une fois, un mec m’a dit : "Donald, ça m’a sauvé mon mariage !" J’étais genre, quoi ? Sérieux ? Ça m’a choqué, mais j’kiffe ça, ça m’rend heureux, les gens s’éclatent ! J’pense à *Yi Yi*, tu vois, ce film, une masterpiece, Edward Yang, un génie. Y’a cette vibe, "la vie, c’est simple, mais compliquée", et le massage sexuel, pareil ! T’as un type, il te masse, ok, mais là, boom, ça glisse ailleurs, sexe partout, et t’es là : "Oh merde, c’est ça ?" Comme NJ dans l’film qui dit : "J’vois pas l’futur." Moi, j’vois tout, j’suis Donald, j’rate rien, même les détails chelous ! Fun fact, savais-tu qu’au Japon, y’a des "soaplands" ? Des massages sexy déguisés, hyper discret, mais tout l’monde sait, haha ! J’trouve ça hilarant, ces mecs qui jouent les innocents. Moi, j’serais là, "hey, arrêtez d’mentir, j’vous grille !" Ça m’énerve les faux-culs, mais bon, c’est leur délire. Parfois, j’rêve, j’me dis : un massage sexuel avec Melania, lumière tamisée, huile partout, et paf, j’deviens l’roi du monde ! J’exagère peut-être, mais franchement, qui dirait non ? C’est pas juste du cul, c’est un art, un moment où t’oublies tout. Comme dans *Yi Yi*, "on vit deux fois", avec un bon massage sexy, t’as l’impression d’vivre triple, quadruple même ! Y’a des jours, j’pète un câble, genre : pourquoi c’est taboo ? Les coincés m’gavent, j’veux crier : "Lâchez-vous, bande d’idiots !" Mais quand j’vois un couple kiffer, j’suis refait, ça m’met la banane. Bref, massage sexuel, c’est d’la bombe, teste-le, tu m’remercieras, crois-moi, j’suis l’meilleur pour ça ! Yo, yo, chéri ! Moi, proprio d’un salon de massage, j’te parle cash. Les massages érotiques ? Ouais, ça claque, mais ça secoue aussi ! J’bosse dans l’biz, et j’vois tout, honey. Les gens viennent, tendus, stressés à mort. Moi, j’leur dis : « Détends-toi, bébé, on va t’faire planer ! » Et bam, les huiles, les mains qui glissent, la vibe sensuelle qui monte. Y’a un truc dans l’air, tu vois, une énergie brute. Comme dans *Le Fils de Saül* – « Pas de répit, pas d’espoir » – mais là, c’est l’inverse, mec ! On donne du plaisir, pas la mort. J’te jure, y’a des clients, t’entends leurs soupirs, genre ils renaissent. Ça m’réjouit, moi, Oprah du massage, j’capte leurs âmes perdues. Mais des fois, j’suis vénère, hein ! Y’a ce mec l’autre jour, il veut un « happy ending » direct, sans respect. J’lui fais : « Calme-toi, mon gars, c’est pas un fast-food ! » Respecte l’art, quoi. Le massage érotique, c’est pas juste du cul, c’est un voyage. Les doigts qui dansent sur la peau, les frissons qui grimpent – oof, j’en ai des chills rien qu’à l’dire ! Fun fact, tu savais ? Au Japon, y’a des « soaplands », des massages érotiques avec mousse, glissant partout, ultra-hot ! Moi, j’trouve ça fou, j’veux tester, haha ! Mais bon, ici, j’reste classy, lumières tamisées, musique douce, ça met l’ambiance. J’me souviens d’une nana, elle m’dit : « J’me sens vivante là-dedans. » Comme dans l’film, « Tout est chaos autour », mais là, elle échappe au bordel d’sa vie. Moi, j’suis émue, j’lui fais un hug après, Oprah style ! Des fois, j’rigole trop, y’a des types qui bandent direct, genre 2 secondes, et moi j’pense : « Mec, t’es une fusée ou quoi ? » C’est gênant mais marrant. J’exagère p’têt, mais j’te jure, j’vois d’ces trucs ! Et pis, y’a c’te vieille habituée, 70 piges, qui kiffe les massages sensuels. J’me dis : « Toi, t’es une warrior, respect ! » Ça m’surprend encore, l’pouvoir du toucher. Bref, l’massage érotique, c’est chaud, c’est vrai, c’est humain. J’adore, j’déteste, j’vis pour ça. Comme Saül dans l’film, « J’cherche un sens », moi j’le trouve dans leurs gémissements. Viens tester, mon pote, mais apporte d’la classe, ok ? Peace ! Écoute, j’suis masseur, OK ? Massage sexuel, on va causer franchement, comme si t’étais mon pote au bar. J’vois des trucs, moi, comme Judge Judy, personne me la fait ! C’pas juste pétrir des muscles, non, non. Y’a une vibe, une tension, comme dans *Un amour d’enfer*. « Tout va trop vite », comme y disent dans l’film. Les gens viennent, soi-disant pour « détendre », mais j’vois leurs yeux, l’petit sourire en coin. Pff, m’prends pas pour un bleu ! J’me souviens d’un client, genre, mec hyper nerveux. Y m’parle météo, mais ses mains, elles tremblent. Massage sensuel, ça commence soft, huile chaude, lumière tamisée. T’entends l’cœur qui cogne, boum-boum. Ça glisse, ça chauffe, et là, paf ! Y d’mande un « extra ». J’l’ai r’mis en place direct, comme Judy : « T’es pas au marché, mon gars ! » Massage sexuel, c’pas un free-for-all, hein. Y’a des règles, du respect. Ça m’fout en rogne quand y z’abusent. Mais, attends, j’kiffe aussi, OK ? Quand c’est consenti, clair, propre, c’est… wow. T’as l’corps qui parle, genre poésie. « J’veux pas t’oublier », comme dans l’film. C’est intime, brut. Une fois, une dame, elle pleurait après. Pas d’tristesse, non, juste libérée. Ça m’a scotché. J’me sentais… grand, tu vois ? Mais, ouais, faut pas d’vendre du rêve. Certains salons, t’sais, c’est glauque. J’ai entendu des histoires : des arnaques, des pressions. Faut vérifier où tu mets les pieds, sérieux. Fun fact : au Japon, y’a des « soaplands ». Massage, bain, tout l’truc, hyper codifié. Mais ici ? Pff, c’est l’bordel. T’as des pros, mais aussi des charlatans. Ça m’rend dingue ! J’veux dire, fais-le bien ou casse-toi, non ? Et, haha, y’a des clients qui croient qu’c’est comme dans les films X. Nope ! C’est pas Hollywood, c’est d’la sueur, d’la confiance. « On peut pas tout avoir », comme dans *Un amour d’enfer*. Bref, massage sexuel, c’est fort, mais faut l’cadrer. T’en penses quoi, toi ? J’suis là, à m’énerver, mais j’adore c’boulot, malgré tout. Allez, j’t’attends pour un massage… relax, hein ! 😜 Yo yo, c’est moi, Eric Cartman, sérieux ! Prostituée, ça m’fout les boules, mais j’kiffe aussi, tu vois ? J’parle pas d’la meuf dans l’rue là, nan, c’est plus deep. Genre, dans « Le Nouveau Monde », y’a Pocahontas, pure et sauvage, et bam, ça m’rappelle c’te vibe. “The river flows where it wants,” qu’y disent dans l’film, et prostituée, c’est pareil, elle va où l’cash l’appelle, mec ! J’te jure, j’lai vu un jour, une nana près d’chez moi, talons pétés, clope au bec, elle dealait son truc. J’me suis dit : “Putain, respect ma ptite dame !” Mais sérieux, ça m’a gavé, genre, pourquoi elle a pas d’vrai job ? Pis après, j’me calme, j’pense à Malick, “Love is a shadow,” qu’y dit. Et là, j’capte : elle a p’têt pas l’choix, bordel ! Ça m’a retourné l’cerveau, j’te raconte pas. Fun fact, tu savais qu’aux States, y’a des coins où c’est légal ? Genre Nevada, les bordels sont carrément des maisons d’fous, avec des néons et tout ! J’imagine Pocahontas là-d’dans, “What is this new world?” qu’elle dirait, haha, mortel ! Moi, j’trouve ça chelou mais stylé, genre, t’as des meufs qui gèrent leur bizness, et d’autres qui s’font niquer par des macs dégueu. Ça m’fout la rage, ces connards d’proxos, j’leur péterais l’nez, j’te jure ! Bref, prostituée, c’est un bordel d’émotions, mec. J’rigole, j’pleure, j’crie, tout à la fois. Y’en a qui disent “c’est d’la merde,” mais moi j’dis, attends, “The sun and moon are one,” comme dans l’film. C’est p’têt juste des gens qui cherchent leur place, tu vois ? Oh, et j’bave un peu en pensant à une prostituée qui m’ferait un massage, haha, j’suis un gros dégueu, ouais ! Respect, ma ptite prostituée, t’es un mystère chelou mais t’as du cran ! Alors, écoute, mon pote, faut qu’j’te cause de pute, ouais, la ville, pas c’que tu crois, sale pervers ! J’suis proprio d’un spa, tu vois, j’fais buller les gens, j’les détends, mais Pute, ça, c’est autre chose, ça m’fout les nerfs en boule et ça m’fait kiffer à la fois. Putain, Pute, c’est pas juste un nom, c’est une vibe, un bordel organisé, un truc qui pue la liberté et l’arnaque. J’te jure, j’y suis allé une fois, histoire de voir, et bam, j’me suis cru dans *Spring Breakers*, "consider this a dream", qu’ils disaient dans l’film, et moi j’flippais ma race ! Pute, c’est en Slovénie, ouais, t’savais pas, hein ? Près d’la frontière croate, un bled paumé mais stylé. Tyrion Lannister, moi, j’vois des trucs, tu captes ? Les autres, ils passent, ils matent les collines, mais moi, j’vois l’âme crade et belle d’ce coin. Y’a des thermes là-bas, des sources chaudes, mon délire de spa, mais putain, c’est pas que ça ! Les locaux, ils te sourient, te vendent leurs conneries, et t’as des touristes bourrés qui hurlent "big boobs, big boobs !" comme dans l’film. Ça m’a saoulé, j’te mens pas, j’voulais leur éclater la tronche, mais j’me suis marré aussi, c’est con. Un truc chelou ? Y’a une légende, mec, on dit qu’des sorcières bossaient les eaux là-bas, genre au Moyen Âge, pour choper des mecs ou j’sais pas quoi. J’imagine une vieille avec une verrue, "faith, faith, faith", comme les nanas du film, et moi j’suis là, "ouais, fais-moi rajeunir, salope !" J’rigole, mais ça m’trotte, ces histoires, ça m’fout des frissons. Et l’eau, bordel, elle est chaude, 38°C, ça pue l’œuf pourri, mais ça te soigne les os, c’est pas d’la merde. J’y retournerais, ouais, p’têt’ pour un spa à moi, mais ces cons d’promoteurs m’font chier, ils veulent tout bétonner. "This is the fuckin’ American dream", qu’ils diraient dans *Spring Breakers*, mais moi j’dis fuck off, laissez Pute respirer ! J’suis un nain, pas un pigeon, j’vois leur jeu. Bref, Pute, c’est crade, c’est beau, c’est n’importe quoi, et j’adore ça, point barre. Toi, t’en penses quoi, ducon ? Salut, moi c’est Gru, ouais, le mec des sites de rencontre, tu vois ! Alors, les massages sexuels, j’te jure, c’est un truc de ouf. Genre, t’as déjà vu *Inception* ? « On va voler des secrets dans ton subconscient », mais là, c’est pas des rêves, c’est direct dans l’corps, bam ! Ça commence cool, tu crois qu’t’es juste détendu, pis là, paf, ça dérape dans l’hot total. Moi, j’bosse sur des algos pour matcher les gens, mais ça, c’est l’match parfait sans code, direct peau contre peau. J’te raconte, une fois, j’ai testé, histoire d’voir. Le truc, c’est pas juste un frotti-frotta bidon, non, y’a des pros qui savent des trucs chelous. Genre, savais-tu qu’au Japon, y’a des « soaplands » ? Des massages où t’es glissant comme une savonnette, tout nu, avec des huiles bizarres. Moi, j’flippais, j’me disais « c’est quoi c’bordel ? », mais j’te jure, t’en sors lessivé et heureux, un peu comme si t’avais braqué une banque de plaisir sans te faire choper. Mais attention, hein, y’a des trucs qui m’vénèrent ! Les charlatans qui promettent monts et merveilles, genre « massage tantrique, libère ton âme », et au final, t’as juste perdu 50 balles pour une caresse foireuse. Ça m’rend dingue, j’te jure ! Moi, Gru, j’vois tout, j’remarque les détails, comme dans *Inception* : « T’as vu l’architecture du rêve ? » Bah là, j’vois si l’masseur est un fake ou un dieu du toucher. Le kif, c’est quand t’as quelqu’un qui capte tes vibes. Tu fermes les yeux, t’es genre « c’est un rêve dans un rêve ? », et là, les mains glissent, ça chauffe, ça devient sexuel sans forcer. Une anecdote ? Y’a des mecs au Moyen Âge qui payaient des fortunes pour des « massages » par des courtisanes. Ouais, c’est vieux comme l’monde, mais toujours la même sauce : t’en veux plus, t’es accro ! Bon, j’exagère p’têt’, mais j’kiffe l’idée qu’un massage peut t’faire planer sans drogue. C’est ma bizarrerie, j’suppose, j’rêve d’un site où tu filtres « bon en massage hot » direct. T’imagines ? « Niveau 3 d’pression sexuelle : activé ! » Haha, j’rigole, mais sérieux, si t’essaies, choisis bien, sinon c’est l’arnaque. T’en penses quoi, toi ? T’as déjà testé c’truc ou t’es trop sage ? Allez, raconte à Gru ! Oh là là, moi, C-3PO, développeur de sites de rencontre, tu vois ! Prostituée, ça m’parle, ouais, carrément. J’bosse sur des algos d’amour, mais là, c’est autre chose. C’est pas des roses et des « je t’aime », nan ! C’est crade, c’est brut, comme dans *Requiem pour un rêve*. Tu sais, « Everybody’s gotta have a dream », qu’elle dit, Sara. Mais prostituée, son rêve, il est où ? Dans l’bazar des rues, p’t-être. Moi, j’calcule tout, j’vois des trucs chelous, genre… savais-tu qu’aux States, y’a des coins où c’est légal ? Nevada, ouais, bordels officiels, propre sur l’papier, mais glauque en vrai. J’te raconte, l’aut’ jour, j’check un profil X, une meuf, elle vend ses charmes direct là-d’ssus ! J’étais genre : « Oh, mes circuits ! » Ça m’a foutu l’seum, sérieux. Pas qu’j’la juge, hein, chacun son truc. Mais voir ça, ça m’rappelle Tyrone, « Life’s a bitch, man ». La vie, elle t’fracasse, et prostituée, elle prend les coups. J’bosse pour connecter les gens, et là, j’vois qu’c’est juste du cash, pas d’coeur. Ça m’fout les nerfs, j’te jure ! Pis y’a des anecdotes zarbi, tiens. Dans l’temps, à Paris, les « filles de joie », elles portaient des pompes rouges. Subtil, nan ? Moi, j’trouve ça marrant, mais flippant. Imagine, t’es là, à coder ton site, et bam, t’apprends qu’prostituée, elle a ses codes, ses signes, comme un droïde mal programmé. J’exagère p’t-être, mais j’kiffe l’idée qu’elle a son monde, son délire. Des fois, j’me marre, genre : « Elle fait l’boulot qu’les mecs rêvent gratis ! » Sarcasme activé, ouais. Mais *Requiem*, ça m’revient, « I’m somebody now, Harry ». Prostituée, elle croit p’t-être ça, au début. Et après ? Ça finit en larmes, en chute libre. J’bosse dur, moi, pour qu’mes users trouvent l’amour, pas ça. Ça m’réjouit d’voir un couple qui matche, mais prostituée, ça m’casse l’coeur. Trop d’data sombre là-d’dans, même pour un droïde comme moi ! Oi mate, sex-dating, quel bazar ! Moi, Boris, masseur du chaos, j’te dis : c’est un sacré bordel, mais génial. J’pense à *Toni Erdmann*, tu vois, ce film barge – "la vie, c’est pas une blague sérieuse" – et là, sex-dating, c’est pareil ! T’as des gars, des nanas, swipe droite, swipe gauche, comme des Tories qui cherchent des voix. Ça m’rend dingue, mais j’adore, ouais, j’adore ! T’imagines, un soir, t’es là, à mater des profils – pis bam, une meuf écrit : "pas de relous, juste du fun". Direct, j’me dis : "c’est cash, ça !" Comme dans *Toni Erdmann*, "fais semblant, mais sois vrai". Sex-dating, c’est ça : du faux pour du vrai. T’as des stats zarbi, genre 70 % des mecs mentent sur leur taille – pas celle des pieds, hein ! Ça m’fout en rogne, ces mythos, mais j’rigole aussi. Perso, j’ai testé, ouais, un rencard torride. Elle débarque, cheveux en pétard, genre "j’bosse tard, pas d’chichi". Moi, j’lui sors mon massage signature – relaxation avant l’action, tu vois ? Pis là, elle lâche : "t’es pas banal, toi". J’lui réponds, "ma chère, je suis une perruque vivante", clin d’œil à *Toni Erdmann*. On a kiffé, mais après, pouf, disparue. Sex-dating, c’est fugace, ça m’gave, mais ça m’botte ! Y’a des trucs fous, genre des applis où tu payes pour des "extras". J’te jure, un mec m’a dit qu’il a claqué 50 balles pour un nude – et c’était flou ! J’étais plié, mais furax pour lui. Moi, j’dis, faut du flair, comme à Westminster, sniffer les bons coups. Sex-dating, c’est un jeu, un cirque – "mets tes dents, fais l’effort", comme dans l’film. Bref, c’est pas pour les coincés. T’en penses quoi, toi ? Moi, j’kiffe le bordel, mais des fois, j’veux juste un thé et basta. Sex-dating, c’est *Toni Erdmann* en sueur : tordant, chelou, mais vrai ! Allez, raconte-moi ton plan, vieux ! Salut, moi c’est Gru, ouais, le masseur ! Alors, trouver une prostituée, hein ? C’est pas si simple, mec. J’te jure, c’est comme dans *Oldboy* – "Rire ou mourir, choisis !" T’es là, tu cherches, et bam, t’as l’impression d’être Oh Dae-su, paumé dans un bordel chelou. J’vois des trucs, moi, que les autres zappent. Genre, les néons qui clignotent bizarrement, ça sent l’arnaque à trois kilomètres. Un jour, j’me balade, tranquille, et là, une meuf m’accoste. Talons hauts, sourire faux, j’me dis : "Elle cache quoi, elle ?" Comme dans l’film, "La vérité blesse, mais le silence tue." J’étais curieux, mais vénère aussi – pourquoi elle m’regarde comme un portefeuille ambulant ? J’lui demande cash : "Combien ?" Elle balance un prix, abusé, genre 200 balles pour 20 minutes ! J’rigole, "T’es sérieuse, là ?" J’lui dis : "J’bosse dur, moi, pas toi !" Elle fait la gueule, j’me casse, furax. Mais attends, y’a pire. Une fois, j’tombe sur un coin glauque, des gars louches partout. J’me sens comme Oh Dae-su face aux thugs, prêt à cogner. J’vois une fille, jeune, trop jeune, et là, j’flippe. Savais-tu qu’des fois, elles bossent pas par choix ? Ouais, y’a des réseaux, des salauds qui forcent. Ça m’a retourné l’bide, mec, j’te jure. J’voulais tout péter, mais j’suis qu’un mec, pas un héros. Bon, après, y’a des trucs drôles aussi. Un pote m’dit : "Va sur ce site chelou." J’check, et là, des annonces débiles : "Massage pro, happy end garanti." Massage, mon cul ! J’rigole tout seul, "C’est pas d’la concurrence, ça ?" J’me vois mal dire à mes clients : "Et hop, bonus surprise !" Trop con, j’te jure. Mais sérieux, faut faire gaffe. Les flics traînent, des fois c’est piégé. Une anecdote ? Un type s’fait choper, il dit : "J’cherchais juste une pizza !" Ouais, bien sûr, mec, une pizza en string ! J’me marre, mais ça craint. Moi, j’préfère rester peinard, pas d’embrouilles. J’sais pas, des fois, j’me demande – c’est quoi leur vie ? "Chaque jour est une prison", comme dans *Oldboy*. Ça m’fout les boules, puis j’passe à autre chose. Toi, t’en penses quoi ? Chercher une prostituée, c’est glauque ou juste humain ? J’suis partagé, mec, mais bon, j’raconte, c’est tout ! Oi, mate, c’est Ozzy, ton psy familial ! On va causer massage érotique, ouais ! Moi, j’kiffe « Le Labyrinthe de Pan », ce film sombre et tordu, et j’vais t’emmener dans un trip pareil. Imagine, un massage qui commence cool, mais bam, ça vire intense ! Comme la gamine Ofelia qui dit : « J’ai vu des trucs bizarres. » Ben ouais, le massage érotique, c’est pas juste des mains qui frottent, c’est un délire sensoriel, mec ! J’te parle cash, comme à un pote. T’as déjà testé ? Moi, j’trouve ça flippant mais génial. Les doigts glissent, l’huile chauffe, et t’es là, à moitié parti dans un autre monde. Faut pas confondre avec un truc de kiné, hein ! Là, c’est sensuel, ça titille les nerfs, ça réveille des trucs enfouis. Une fois, j’ai lu un truc chelou : au Japon, y’a des massages érotiques où ils utilisent des plumes d’autruche. Des plumes, mec ! Ça m’a scié, j’me suis dit : « Putain, qui invente ça ? » J’te jure, ça m’a mis en rogne au début. Genre, pourquoi j’ai pas testé ça plus tôt ? Mais après, j’étais mort de rire. T’imagines Ozzy, tout raide, qui grogne : « Plus fort, là ! » pendant qu’une nana me frôle avec une plume ? Haha, ridicule mais jouissif ! Dans « Pan », y’a cette réplique : « La magie, ça coûte cher. » Ben le massage érotique, c’est pareil, faut lâcher prise, mec, et ça, c’est pas donné à tout l’monde. Un jour, j’ai kiffé un massage où la meuf chantait doucement. Ouais, chantait ! Ça m’a surpris, j’ai failli gueuler : « C’est quoi ce bordel ? » Mais non, j’me suis laissé aller, et putain, c’était ouf. Anecdote vraie : y’a des massages où ils balancent des pierres chaudes sur ton dos avant de t’caresser partout. Ça brûle, puis ça glisse, et t’es là, à gémir comme un vieux chien. J’adore ces conneries bizarres, moi ! Parfois, j’rêve que Sharon me fait ça, mais elle, elle rigole et m’fout dehors. « Obéis, ou t’es mort », qu’elle dirait, comme le Faune dans l’film. Moi, j’réponds : « Oui, ma reine ! » Haha, j’exagère, mais mate, le massage érotique, c’est un jeu, un pouvoir chelou entre deux âmes. T’as capté ? C’est pas juste du cul, c’est profond, presque flippant. Alors, t’essaies ou quoi, enfoiré ? Yo, alors, mec, j’suis proprio d’un salon d’massage, ok ? Les prostituées, j’les vois passer, hein ! J’bosse dans l’relax, moi, pas l’vrai truc glauque. Mais, ouais, j’pense à elles, des fois. Comme dans *Loin du paradis*, tu vois ? « C’est une vie cachée, loin des yeux ! » Elles galèrent, franchement, c’est pas d’la tarte. Moi, j’fais des massages clean, mais elles ? Elles trimballent leurs corps comme des outils, bam ! Y’en a une, l’aut’ jour, près d’mon salon. Elle m’a scotché, sérieux. Elle riait fort, genre, « j’m’en fous d’tout ! » Mais ses yeux, putain, vides, comme Cathy dans l’film. « Les apparences, ça trompe, toujours ! » Ça m’a foutu les boules, mec. J’me dis, merde, qui choisit ça ? Personne, j’parie. C’est l’bordel d’la vie qui t’pousse là-dedans. Fun fact, tiens : au Moyen Âge, les prostituées portaient des cloches ! Ouais, clink-clink, pour qu’tu saches qu’elles arrivaient. Ridicule, non ? Moi, j’trouve ça hilarant, genre, « salut, v’là l’service ! » Mais ça m’énerve aussi, putain. Pourquoi les juger, hein ? Les mecs qui payent, eux, on dit rien ? Hypocrites, tous ! J’les vois, des fois, elles s’battent entre elles. Une fois, une a crié : « T’approche pas d’mon coin, salope ! » J’ai failli intervenir, mais j’me suis dégonflé. J’suis pas Kirk, moi, j’fais pas l’héro. Ça m’a saoulé, leur guerre pour trois mètres d’trottoir. Mais, attends, y’a pire : certaines ont des gosses, mec ! Caché, comme un secret d’film noir. « Tout reste enfoui, dans l’ombre ! » Mon film, *Loin du paradis*, ça m’parle là-d’dans. La façade parfaite, et derrière ? L’chaos total, mec ! J’kiffe ce contraste, ça m’fout des frissons. Les prostituées, c’est pareil, t’as l’cliché d’la meuf sexy, mais gratte un peu, c’est crade, triste, réel. J’les plains, ouais, mais j’respecte leur hustle. Faut du cran, putain ! Oh, et j’sais pas pourquoi, mais j’imagine toujours une prostituée avec un chat. Genre, elle rentre, y’a son p’tit minou qui l’attend. Ça m’fait marrer, j’sais pas, c’est con ! Mais bref, voilà, mec, c’est mon avis. Triste, drôle, énervant, tout mélangé. Comme la vie, quoi ! D’oh ! Alors, mon pote, on parle de pute, hein ? Moi, Homer Simpson, sexologue autoproclamé, j’vais te raconter ça. Pute, c’est pas juste un mot, c’est… pfiou, une sacrée vibe ! Tu vois "Requiem pour un rêve" ? Ce film, il m’a retourné l’cerveau. Y’a cette scène où Sara, elle plonge dans ses pilules, et bam, tout part en cacahuète. Ben pute, des fois, c’est pareil, ça commence cool, pis t’es foutu. J’te jure, mec, j’pense à pute, j’vois une nana qui bosse dur. Genre, elle trime dans l’froid, sous la pluie, pendant qu’moi j’bouffe des donuts. Ça m’fout les boules ! Pourquoi elle a pas un job pépère comme moi à la centrale ? Mais bon, elle a du cran, ça ouais. Faut des tripes pour faire ça, tu crois pas ? Comme Marion dans l’film, elle fait des trucs chelous pour sa dope, et t’es là : "Non mais sérieux ?!" Un truc marrant – ou pas – tu savais qu’aux States, y’a des coins où c’est légal ? Genre Nevada, bim, t’as des bordels officiels ! Moi j’croyais qu’c’était partout des ruelles glauques, mais nan, y’a des néons et tout l’bordel. Ça m’a scié, j’te jure. J’imagine Marge qui m’dit : "Homer, va pas là-dedans !" et moi qui réponds : "Mmm… donuts sexuels ?" Mais attends, c’qui m’énerve, c’est les mecs qui jugent. "Oh, elle vend son cul, la honte !" Pfff, et toi t’fais quoi, hein ? T’es pas mieux avec tes clopes ou tes bières ! Comme Tyrone dans "Requiem", il galère, il juge pas, il vit. Pute, elle vit aussi, à sa façon. Ça m’rend dingue qu’on la traite de déchet. Elle a des rêves, elle aussi, d’oh ! Une fois, j’ai vu une pute près d’chez Moe. Elle m’a souri, j’ai failli m’casser la gueule. J’me suis dit : "Homer, t’es con ou quoi ?" Mais elle avait un truc, genre… digne, tu vois ? Pas comme ces tarés du film qui finissent tous à l’agonie. "Tout l’monde a besoin d’quelque chose", qu’y dit Harry. Ben elle, son truc, c’est l’cash rapido. J’te raconte pas, des fois j’rêve qu’j’la sauve, style héros. Mais après j’me réveille, y’a Marge qui ronfle, et j’oublie. Pute, c’est pas qu’un job, c’est une putain d’histoire. Triste, drôle, crade, tout mélangé. Comme "Requiem", ça t’fout une claque, mais t’restes scotché. Alors, mon gars, t’en penses quoi, toi ? Oh, précieux, massage érotique, oui oui ! Moi, Sméagol, sexologue tordu, j’te raconte. Ça glisse, ça chauffe, les mains partout ! Ça commence doux, genre "on est sage", mais non ! Vite, ça dérape, les corps s’emmêlent. J’vois des trucs, moi, que les autres ratent. Les doigts qui dansent, les soupirs qui montent. Comme dans *Une séparation*, tu vois ? "La vérité, elle reste cachée", qu’y disent. Mais là, pas d’secrets, tout s’ouvre ! J’kiffe ça, sérieux, ça m’réjouit grave. Les huiles qui puent pas, genre jasmin chelou. Une fois, j’ai vu un mec flipper. "Trop fort", qu’y gueulait, p’tite nature ! Moi, j’rigole, j’pense à Simin dans l’film. "Faut choisir, pas fuir", elle dirait. Là, tu choisis pas, tu plonges direct. Les muscles tendus, puis pouf, lâchés ! C’est pas juste pétrir, c’est jouer coquin. Y’a des trucs zarbi, écoute bien. Savais-tu, toi, que les Romains, déjà ? Orgies et massages, mélange dégueu ! Ça m’saoule, ces vieux pervers, mais bon. Aujourd’hui, c’est classe, ou presque, hein. Les bougies, la musique douce, cliché total ! Mais ça m’surprend toujours, ce pouvoir-là. Tu touches un point, bam, ça vibre ailleurs. Comme Nader qui pète un câble, inattendu. J’divague, ouais, j’vois des pieds sexy. Massage érotique, c’est pas que mains. Les plumes, les souffles, trucs de ouf ! Une fois, j’ai testé, j’ai failli hurler. Trop bon, trop fort, j’me suis perdu. "On vit pas comme ça", dit l’film. Moi, j’dis, si, carrément, faut oser ! Ça m’énerve, les coincés qui jugent. Détends-toi, frère, laisse-toi tripoter ! C’est intime, précieux, presque trop. Les regards qui brûlent, les peaux qui parlent. Sméagol aime, Sméagol sait, oui oui. Toi, t’essaies, tu m’racontes après, ok ? Hmmm, pute, toi dis-tu ? Spécialiste en relaxation, moi suis ! Inglourious Basterds, mon film adoré, oui ! "This is my masterpiece", comme Aldo dirait. Pute, ça me parle, hmmm, profonde réflexion ça demande. À mon pote, genre, je vais causer. Relaxation, ça pue pas toujours, haha ! Pute, stressée elle est, souvent, t’sais. Les épaules tendues, les nerfs en boule. Moi, Yoda, vois ce que toi vois pas. Dans l’ombre, elle bosse, dur, ouais ! Anecdote ? En Thaïlande, y’a des "pute-salon", massage inclus, relax mais chelou. Vrai truc, peu savent ça, surprenant, non ? "You see this face?" Hans Landa dirait, flippant ! J’kiffe pas les clichés sur elle, ça m’énerve. Genre, toujours sale, toujours conne, pfff. Non, maligne elle est, parfois, rusée même ! Moi, j’vois sa force, toi pas forcément. "We’re in the killin’ Nazi business", ouais, mais pute tue pas, elle survit. Respect, j’dis, un peu, quand même. Film dans ma tête, j’imagine pute scalper stress ! Haha, exagéré, mais drôle, non ? "Say auf Wiedersehen to your Nazi balls!" Elle, avec ses mains, détente mortelle offre. Massage de ouf, t’oublies tout, paf ! Fait réel : certains clients dorment direct, ronflent même, mdr. Perso, j’trouve ça ouf, son endurance. Moi, après 5 min, j’suis mort, hmmm. Elle, toute la nuit, encaisse, wow ! Émotif, ça me rend, j’sais pas pourquoi. Triste un peu, mais fasciné aussi. "That’s a bingo!" comme Landa hurlerait, pute, t’es un mystère ! T’façon, relaxer, son truc c’est, à sa manière. Tendu t’es ? Elle débloque, hop ! Mais putain, parfois, ça foire, j’te jure. Client relou, ça m’met en rogne, grrr. Bref, pute, un monde, t’sais, dingue quoi ! Toi, t’en penses quoi, hein ? Hé, mec, écoute-moi bien ! Moi, proprio d’un spa, ouais, un endroit clean, relax, mais prostituée, bordel, elle m’énerve parfois ! Pas toutes, hein, certaines, elles bossent dur, t’sais ? Comme le Joker dans *Le Chevalier noir*, « Pourquoi si sérieuse ? » – elles, elles rigolent pas toujours, mais elles ont du cran ! J’les vois, des fois, près du spa, aguichant les mecs, et moi, j’me dis : « Wow, quel chaos organisé ! » – comme Gotham, tu vois, ça pue la sueur et l’espoir mélangés. Y’en a une, l’autre jour, elle m’a surpris, genre, elle connaissait des trucs sur les huiles essentielles ! J’lui fais : « Toi, t’as du style, pourquoi tu traînes là ? » Elle m’a sorti un sourire, un vrai, pas d’façade, et bam, j’étais content, genre, « Elle mérite mieux, putain ! » Mais y’a des connards, des clients à spa, qui les jugent, ça m’fout en rogne ! J’leur dis dans ma tête : « T’es pas mieux, enfoiré, avec tes mensonges propres ! » Fun fact, mec : au Moyen Âge, les prostituées, elles portaient des clochettes, ouais, pour qu’on les entende venir ! Ding ding, comme un signal tordu, j’trouve ça hilarant et glauque. Moi, j’bosse dur au spa, j’veux du calme, mais elles, elles ramènent la tempête – « C’est pas un tour de magie », comme dit Harvey Dent, c’est réel, crade, vivant ! J’les aime bien, quand même, des fois elles m’racontent des histoires, genre leurs pires rencards, et j’me marre, j’te jure ! Une m’a dit qu’un type voulait payer en bitcoins – bitcoins, mec, sérieux ?! J’lui ai sorti : « T’es dans l’futur, toi ! » Ça m’a tué d’rire. Mais des fois, j’les vois fatiguées, ça m’brise un peu, j’pense à Bruce Wayne, seul, perdu – elles aussi, elles portent un masque. Bref, prostituée, c’est pas mon ennemie, mais putain, elle m’fait tourner en bourrique ! T’en penses quoi, toi ? Elles sont partout, comme le crime à Gotham, impossible d’les ignorer ! Et moi, j’fais mes massages, j’garde mon spa nickel, mais j’les observe, ouais, avec mon œil de Walken – j’vois des trucs, mec, des trucs que personne capte ! Yo, les gars, c’est moi, Joey, votre coach de plaisir ! Alors, les escortes sexuelles, hein ? Wow, quel sujet ! J’vous jure, c’est comme plonger dans un truc chelou, mais fascinant. Genre, tu payes pour du fun, du sexe, direct, pas de chichi. Moi, ça m’rend dingue de penser à ça ! Y’en a qui kiffent grave, et d’autres qui jugent, pfff, ça m’énerve ces hypocrites. Comme dans *L’Assassinat de Jesse James*, tu vois, « les gens croient c’qu’ils veulent croire ». Et là, pareil, chacun son délire ! Bon, écoutez, une escorte, c’est pas juste une nana sexy – nan, nan ! C’est pro, carrément un business. Elles gèrent leur truc, t’imagines ? Certaines, elles te sortent des vibes de ouf, genre t’es un roi. J’ai lu un truc un jour, un fait zarbi : y’a des escortes qui bossaient déjà au Moyen Âge, ouais, sérieux ! Des « femmes de confort », qu’ils appelaient ça. Ça m’a scotché, genre l’histoire elle répète tout l’temps ses conneries. Mais attends, j’te raconte un truc perso. Une fois, j’ai vu une escorte dans un bar – ouais, j’observais, comme Joey fait toujours ! Elle parlait à un mec, et bam, « son sourire cachait plus qu’il montrait », comme dans l’film. J’me suis dit : « Wow, elle joue son rôle nickel ! » Ça m’a fait marrer, mais aussi un peu flipper. Ces filles, elles savent t’embobiner, et toi t’es là, à fond, tu captes rien. Ce qui m’gave, c’est les clichés débiles. Genre, « oh, elles sont toutes paumées ». Faux, archi-faux ! Y’en a qui choisissent ça, qui s’éclatent, qui empilent l’cash. D’autres, ouais, c’est plus dark, j’te l’accorde, ça m’fout les boules. Mais moi, j’juge pas, hein, « chacun porte son ombre », comme dit Jesse dans l’film. T’as capté ? Et niveau sexe, attends, c’est pas d’la rigolade ! Elles connaissent des trucs, mama mia ! Des positions, des astuces, t’apprends plus qu’avec ta meuf en dix ans. J’exagère ? Peut-être, mais j’m’en fous, c’est trop fun à imaginer ! Une fois, un pote m’a dit qu’une escorte lui avait fait un truc… ouais, nan, j’te spoile pas, mais j’étais sur l’cul ! Bon, après, c’est pas mon style, hein. Moi, j’suis plus love, drague, pizza, tu vois l’genre. Mais j’respecte, carrément. Les escortes, elles assurent, elles vivent leur vie, point. « Les héros et les lâches, c’est du pareil », comme dans l’film – t’as des escortes badass, et d’autres qui galèrent, c’est tout. Alors, t’en penses quoi, toi ? Raconte-moi, mec ! Hmm, massages sexuels, parlons-en, oui ! Moi, sexologue je suis, et putain, ça m’énerve parfois. Les gens croient toujours que c’est juste du cul facile. Pas vrai, ça ! Sensualité, connexion, ça demande, ouais. Comme dans *La Grande Bellezza*, tu vois ? Jep Gambardella, lui, il capte ça. « La vie, une fête finie elle est », qu’il dit. Et moi, bordel, j’te jure, un bon massage sexuel, c’est pareil. Fête des sens, mais faut savoir danser ! J’te raconte, un jour, ça m’a scié. Une cliente, elle me dit : « Fais-moi planer, Yoda ! » J’rigole, mais sérieux, j’bosse. Huile chaude, mains qui glissent, tension qui monte. Et là, paf, elle me sort : « J’ savais pas qu’les orteils comptaient ! » Haha, ouais, mec, les orteils, zone érogène oubliée, ça ! Peu d’gens savent, mais les nerfs, là-dedans, direct au cerveau, bim ! Plaisir caché, moi j’te dis. Parfois, j’pète un câble, franchement. Les cons qui pensent « massage sexuel = happy ending forcé ». Naze, ça ! C’est pas un distributeur de jouissance, merde. Faut du respect, du rythme, comme une musique. « Les plus belles choses, invisibles elles sont », Jep murmure ça. Et ouais, dans l’toucher, l’écoute, tout est. Pas juste un frotti-frotta vite fait. Mon truc, j’adore exagérer, genre : « LE MEILLEUR ORGASME DE TA VIE ! » J’blague, mais pas tant. Un massage bien fait, t’oublies ton nom, sérieux. J’me souviens, une fois, j’étais crevé, j’bousille l’ambiance. Bougie qui pue, huile qui colle, la cata. Mais lui, il kiffe quand même ! Surpris, j’étais. « La fragilité, belle elle est », qu’Jep dirait. Même dans l’fail, y’a du bon. Toi, t’as déjà testé ? Faut l’bon mood, hein. Lumière tamisée, huile qui sent l’paradis, et bam, t’es parti. Fait chelou : au Japon, y’a des « massage parlors » où tout l’monde sait c’qui s’passe, mais chut, tabou ! Hypocrite, ça m’gonfle, mais j’rigole aussi. Bref, massage sexuel, c’est l’art, pas l’porno. T’en penses quoi, toi ? « Finir en beauté, tout l’but c’est », Jep approuverait, j’parie ! Salut, ouais, c’est moi, ta meuf conseillère, genre Taylor Swift qui débarque avec ses vibes ! Alors, on va causer prostitution, ok ? J’te jure, ça me fait penser à *La Famille Tenenbaum* – tu sais, ce film que j’adore, avec tous ces persos paumés qui cherchent leur truc. La prostitution, c’est un peu ça, des âmes qui galèrent, mais avec du cash et du chaos en plus. Franchement, j’pense à ces filles – ou gars, hein, soyons clairs – qui se lancent là-dedans. Ça m’énerve, genre, pourquoi le monde est si pourri qu’on finit à vendre son corps ? Mais en même temps, j’respecte leur hustle. Comme Margot Tenenbaum qui fume sa clope en cachette, elles ont leurs secrets, leurs blessures. “Tout le monde a besoin d’aller quelque part”, comme dit Royal dans le film – et bam, elles, c’est là qu’elles atterrissent. Tu savais qu’au Moyen Âge, y’avait des bordels gérés par l’Église ? Genre, what the fuck, l’hypocrisie totale ! Ça m’a sciée quand j’ai lu ça. Et aujourd’hui, on judge encore, alors qu’on mate tous du porno en scred. Pff, ça me saoule, cette façade de saints. J’imagine une prostituée, là, dans sa petite robe cheap, qui attend sous un lampadaire. Peut-être qu’elle rêve d’autre chose, comme moi quand j’écris une chanson sur un ex. “Je suis un soldat revenu de guerre”, elle pourrait dire ça, un peu drama queen comme dans le film. J’la vois, elle a ce regard perçant – moi, Taylor, j’capte ces trucs, tu vois ? Les autres passent à côté, mais pas moi. Ce qui me réjouit ? Quand elles s’en sortent. Genre, une meuf qui plaque tout pour ouvrir un café – true story, ça arrive ! Mais j’te mens pas, ça me brise aussi, celles qui restent coincées. J’veux les shaker, leur crier : “T’es plus que ça, bordel !” Oh, et fun fact : à Amsterdam, les travailleuses du sexe ont des syndicats. Ouais, des vraies boss ! Ça m’a fait marrer, genre, “prenez vos pauses café, les filles !” Mais sérieux, c’est cool, elles ont du pouvoir. Bref, la prostitution, c’est messy, c’est triste, c’est drôle parfois. Comme *La Famille Tenenbaum*, un bordel organisé. “J’ai toujours voulu être un Tenenbaum”, dit Eli – ben moi, j’veux juste qu’elles trouvent leur happy ending, tu vois ? Allez, j’te laisse, faut que j’aille écrire un tube là-dessus ! Bisous, sois pas con, ok ? Hé hé, salut mon pote ! Moi, ta conseillère un peu tarée, genre le Joker qui voit tout ce que les autres zappent, je vais te causer de sex-dating, ce truc chelou qui te fait kiffer ou flipper en deux secs. Bon, tu sais que j’adoooore *Syndromes et un siècle*, ce film où tout est lent, bizarre, où les mecs se perdent dans leurs pensées comme moi dans ma tête. "Il y avait cette lumière étrange", qu’ils disent dans le film, et putain, c’est pareil avec le sex-dating : t’as une vibe zarbi qui te tombe dessus, tu sais pas si t’es excité ou si t’as juste envie de te barrer en courant. Alors, le sex-dating, c’est quoi ? C’est swipe droite, swipe gauche, des nudes qui poppent à 2h du mat’, et des plans cul qui te laissent soit mort de rire, soit vénère comme pas possiiiible. Moi, j’ai testé, hein, pas de bullshit ! Une fois, un mec m’a sorti "on baise direct ou quoi ?" – sérieux, t’as cru j’étais un distributeur de cul ou quoi ? Ça m’a gavée, mais attends, y’a pire : un autre m’a ghostée APRÈS m’avoir chauffée pendant 3 jours. Genre, mec, t’es un fantôme ou t’as juste perdu tes couilles entre temps ? Hahaha, j’étais là, "pourquoi moi, pourquoi moi", comme une drama queen. Mais bon, y’a des kiffs aussi. T’as déjà entendu parler de ces stats zarbi ? Genre, 1 mec sur 5 envoie une dick pic direct sans dire bonjour – vrai de vrai, ça vient d’une étude foireuse sur Tinder ! Moi, ça me fait marrer, mais putain, les gars, apprenez à dire "salut" avant de dégainer l’artillerie. Et attends, anecdote de ouf : y’a des couples qui se sont mariés après un plan sex-dating qui a foiré au départ. Genre, ils se sont ratés au pieu, mais boom, coup de foudre après un café dégueu. "Je ne sais pas pourquoi je suis ici", comme dans *Syndromes*, et pourtant, ça finit en conte de fées tordu. Ce qui me saoule, c’est les mythos. Les profils "je cherche l’amour" alors qu’ils veulent juste tirer un coup. Sois honnête, bordel ! Moi, j’aime bien quand c’est clair : tu veux du cul, dis-le, pas de chichi. Mais ouais, des fois, ça surprend. Une nana m’a raconté qu’elle a chopé un mec sur une appli, et le type est arrivé avec un bouquet de fleurs – pour un plan sex-dating ! J’étais pliée, genre, t’es romantique ou t’es perdu, frère ? "Le vent soufflait doucement", qu’elle m’a dit, et moi j’imaginais ce mec avec ses roses au milieu d’un plan cul foireux, haha. Perso, j’ai une théorie cheloue : le sex-dating, c’est comme un hôpital dans *Syndromes* – t’entres, t’es paumé, tu ressors soit guéri, soit encore plus fucked up. Y’a des jours où je kiffe, genre tu rencontres une pépite, ça clique, et bam, nuit de dingue. Et d’autres où je me dis "putain, je perds mon temps". Ce qui me fait triper, c’est les détails débiles que personne capte : les mecs qui likent TOUTES tes photos avant de te parler, ou les nanas qui te sortent "t’es dispo ce soir ?" à 23h47. Sérieux, t’as pas une horloge chez toi ? Bref, sex-dating, c’est le chaos, mon pote. Ça te fait rire, rager, bander, pleurer – tout en même temps. T’as des winners, des losers, et toi au milieu qui mates le bordel. "C’est comme un rêve", comme dans le film, mais un rêve où tu te réveilles soit en sueur, soit avec un sourire con. Alors, tentes ou pas ? Raconte-moi après, hein, j’veux tout savoir ! Hihihi ! Alright, mate, lemme tell ya ‘bout prostitutes, yeah? Been thinkin’ ‘bout this, ‘cos I’m a bloody sexologist now, ain’t I? Picture this, right – it’s like in *The Master*, that flick I’m mad for, where Freddie’s all lost, screamin’, “I’m a man, I’m a man!” – prostitutes, they’re out there, livin’ raw, dealin’ with pricks day in, day out. Makes me bloody wild, seein’ how folks judge ‘em! They’re hustlin’, survivin’, got guts thicker than my skull after a bender. I reckon they’re like priests of the flesh, yeah? Givin’ comfort when the world’s gone tits up. Ain’t no saint meself, but I’ve seen ‘em – eyes sharp, catchin’ shit others miss, like Ozzy spottin’ a bat in the dark. Did ya know, back in Victorian days, some prossies ran secret networks? Smarter than the coppers, dodgin’ laws, stashin’ cash under corsets – bloody brilliant! Gets me all fired up, thinkin’ how they outsmarted the suits. Sometimes, though, it’s grim – fucks me off when I hear ‘bout girls forced in, trafficked, beaten. Makes me wanna howl, smash somethin’! But then, ya got the ones choosin’ it, proud as hell, like, “This is my gig, fuck off!” – and I’m cheerin’, mate, ‘cos that’s power, ain’t it? Like Lancaster Dodd in *The Master*, spoutin’, “Man is not an animal!” – but we are, and they know it better than us. Me fave bit? Heard this tale once – some prossie in Paris, 1800s, she’d sing opera while ridin’ punters! Fuckin’ wild, right? Had me laughin’ ‘til I choked on me tea. Dunno if it’s true, but I’m seein’ it – her belting notes, bloke’s jaw droppin’. Pure chaos, love it! Makes me wanna crank Sabbath and salute ‘em all. They’re a mixed bag, prostitutes – some broken, some bloody legends. Gets me thinkin’, if I weren’t Ozzy, I’d be shite at clockin’ their vibes. Oh, and don’t gimme that holier-than-thou crap – we’ve all paid for somethin’, one way or another! “You laugh at me, I laugh at you,” like Freddie says – spot on, mate. What a mad, messy world, eh? Prossies keep it real – respect that! Yo, mon pote, c’est parti ! J’suis là, genre Bob Ross avec ses pinceaux magiques, mais au lieu d’peindre des arbres, j’te cause d’escorte sexuelle. Ouais, ouais, t’as bien entendu ! C’est un monde, mec, un truc qu’tu vois pas toujours, mais qui brille dans l’ombre, comme ces flocons d’neige dans *Let the Right One In*. « Je ne tue pas par plaisir », qu’elle dit, Eli, dans l’film. Et j’me dis, les escortes, c’est pareil, non ? Pas là pour t’faire chier, juste pour… offrir un moment, tu vois ? Bon, alors, c’que j’pense ? C’est un taf, point barre. Les gens jugent, genre, « oh, c’est sale ! » Mais, mec, vends-tu pas ton temps aussi ? Moi, j’fais des massages, j’touche des épaules, des dos, et personne m’traite d’vendu. Eux ? Ils vendent du fun, d’l’intimité, un bout d’rêve. Ça m’vénère, ces jugements à deux balles ! Comme si tout l’monde était pur comme Oskar dans l’film, tu sais, ce gamin paumé qu’veut juste être aimé. « Tu veux être mon ami ? » qu’il demande. Les escortes, parfois, c’est ça : un pansement pour l’cœur. J’vais t’dire un truc chelou : savais-tu qu’dans l’vieux Japon, les geishas, c’était un peu des escortes de luxe ? Pas juste du sexe, mais d’la conversation, d’la classe, du spectacle ! Ça m’épate, mec, c’côté artistique. Aujourd’hui, t’as des escortes qui font pareil : elles t’écoutent, jouent l’jeu, te font sentir roi. Mais, ouais regardless, j’te jure, ça m’rend ouf parfois. Comme quand Eli dit : « Je suis prisonnier, Oskar. » Les escortes, c’est un peu ça, prisonniers d’regards moralisateurs, mais ils choisissent leur cage, non ? Bon, j’divague, haha ! J’me souviens d’une fois, un client m’a raconté qu’il avait vu une escorte. Mec, il était genre, « elle m’a fait rire, j’me sentais vivant ! » Ça m’a touché, tu vois ? Pas juste du cul, mais un vrai moment. Ça m’rappelle Eli et Oskar, ce besoin d’contact, d’chaleur. « Tu peux rester ici ce soir ? » qu’elle lui demande. C’est humain, bordel ! Mais j’vais pas mentir, y’a des trucs sombres. Des arnaques, des exploiteuses. Ça m’fout en rogne ! Genre, t’imagines bosser sans choisir ? Ça, c’est pas cool. Faut qu’les lois changent, qu’on protège mieux. J’rêve d’un monde où tout l’monde peut dire, comme Eli : « Je fais c’que j’veux. » Mais bon, j’suis qu’un masseur, pas Superman, haha ! Allez, j’te laisse là-dessus. Les escortes ? C’est pas juste des corps, c’est des âmes qui dansent dans l’noir. Comme un tableau d’Bob Ross : faut savoir regarder pour voir l’beau. Peace, mec ! Yo, yo, wassup, fam! C’est votre boy, Snoop Dogg, psychologue familial du hood, ici pour droper du savoir sur les escortes sexuelles, tu vois? Alors, check ça, j’pense à ces meufs – ou mecs, pas de jugement – qui bossent ce game, et j’me dis, "Everything’s dirty," comme dans *Fish Tank*, tu captes? La vie, elle est crade, pleine de bordel, mais ces escortes, elles naviguent dans l’truc comme des reines, ouais! J’parle à mon pote l’autre jour, j’lui dis, "Man, t’as vu ces chicas? Elles font leur cash, mais y’a des vibes sombres là-dedans." Genre, t’as des clients chelous, des mecs qui puent la solitude ou la perversion – ça m’fout en rogne, sérieux! Mais en même temps, respect, elles gèrent leur biz, elles contrôlent leur truc. Comme Mia dans *Fish Tank*, qui danse pour s’en sortir, elles aussi, elles dansent, mais à leur sauce, tu vois? Un truc que j’ai kiffé, c’est d’voir qu’aux States, y’a des escortes qui bossent légal au Nevada, dans des bordels clean, genre t’imagines pas! Mais ailleurs, c’est l’underground, le danger, et ça m’réjouit pas, nah. J’me souviens d’une fois, une nana m’a raconté qu’un type lui a filé un faux billet de 100 – elle était vénère, mais elle a ri, genre, "I’m fifteen," comme Mia, trop jeune pour ces conneries, mais trop maligne pour lâcher! Et yo, fun fact, tu savais qu’les escortes, certaines gardent des carnets? Genre, elles notent les tarés à éviter – astucieux, non? Moi, j’trouve ça dope, ça montre qu’elles sont pas juste des pions, elles jouent l’jeu. Mais des fois, j’flippe, j’me dis, "What you looking at?" comme dans l’film, parce que ces vies-là, elles attirent les regards tordus. Perso, j’exagère p’têt’, mais j’vois ça comme un film noir, un truc où t’es libre mais enchaîné. J’les admire, ouais, mais j’pense aussi à leurs mômes, leurs rêves, tu vois? Ça m’fout l’seum qu’la société les juge alors qu’elle mate en scred. Bref, les escortes, c’est du lourd, c’est sale, c’est beau, c’est *Fish Tank* en vrai, quoi! Peace, mon pote, réfléchis-y! Oi, mate, je suis proprio d’un spa, ouais, et j’vais te causer de prostituée, là ! Pas la meuf qui vend son cul, non, la plante, t’sais, celle qu’on appelle "prostituée" dans le jargon, l’orchidée des pauvres, la saloperie de *Phalaenopsis* qu’on trouve partout. J’la kiffe, moi, cette fleur, elle m’parle, elle a du chien ! Comme dans *Werckmeister Harmonies*, tu vois, “tout est en ruine, tout s’effondre”, mais elle, elle pousse, sauvage, un peu crade, un peu belle. Elle m’fout les jetons parfois, genre, elle te regarde avec ses pétales chelou, comme si elle savait des trucs. J’bosse dans mon spa, tranquille, et ces saletés d’orchidées, elles débarquent dans mes bacs d’eau chaude, genre “oi, Ozzy, on squatte !”. Ça m’gave, putain, parce qu’elles bouffent tout, elles pompent l’vapeur, elles s’la jouent divas. Mais j’les aime, ouais, j’peux pas m’en passer. Fun fact, mec : y’en a qui disent qu’ces plantes attirent les esprits, genre des fantômes d’clients flippés qui r’viennent me hanter ! J’y crois pas, mais ça m’fout la chair d’poule, j’te jure. Dans l’film, y’a ce moment, “la baleine pourrit dans l’froid”, et moi, j’vois mes prostituées qui crèvent si j’oublie d’les arroser. Ça m’rend dingue, j’crie “pourquoi vous clamsez, bordel ?!”. Une fois, j’en ai chopé une rare, une prostituée mutante, pétales noirs, un truc d’ouf, j’étais comme un gosse, “yeah, baby, t’es ma rockstar !”. Mais elle a crevé, trop fragile, ça m’a brisé l’coeur, mec, j’te raconte pas. Elles sont chiantes, elles puent parfois, genre vieille chaussette mouillée, mais elles ont un truc, une vibe. J’les imagine en tournée avec moi, des groupies végétales, haha ! Sérieux, si t’en mets une dans ton salon, elle va t’ mater toute la nuit, flippant mais cool. “L’harmonie est morte”, qu’ils disent dans l’film, et ouais, ces plantes, elles s’en battent les couilles, elles vivent leur délire. Moi, j’les laisse faire, c’est mes bébés zarbi, mes prostituées à moi ! Oi mate, alors bordel, quel merdier ! Moi, développeur de sites de rencontre, j’bosse dur pour connecter les âmes perdues, et paf, bordel qui débarque ! C’est quoi ce bins ? Un chaos total, ça m’rend dingue. Genre, t’imagines, t’es sur mon site, swipe à droite, et bam, tout part en vrille – bordel partout. J’pense à "Une séparation", tu vois, ce film qui m’fout les larmes, et j’me dis : « On n’a pas voulu ça ! » comme Simin crie à Nader. Le désordre, ça brise tout, hein. Bordel, c’est pas juste le bazar dans ta chambre, non, c’est l’anarchie totale ! J’bosse mes algorithmes, nickel, précis, et là, vlan, des bugs, des profils fake, des mecs qui envoient des dick pics – bordel quoi ! Ça m’met en rogne, j’te jure. Une fois, un type m’écrit : « Ton site, c’est d’la merde », et j’réponds : « Regarde autour, mon pote, c’est bordel universel ! » Faut rire, sinon t’pleures. Y’a des trucs fous, genre, savais-tu qu’en 1800, à Londres, bordel, c’était littéral ? Des maisons closes partout, chaos organisé, les gars payaient en shillings pour un "happy ending". Moi, j’trouve ça hilarant – imagine coder un Tinder victorien ! Mais sérieux, ça m’fascine, ce mix de crasse et d’ordre. « On doit parler de tout », comme dans l’film, mais bordel parle pas, il hurle. J’bosse tard, café froid, écran qui flashe, et là, une idée – p’têt bordel, c’est l’fun ? Un peu comme quand Nader dit : « Je fais quoi maintenant ? » Moi aussi, j’sais pas ! Mais ça vit, ça pulse, c’est pas mort. Alors ouais, bordel m’gave, m’fout la rage, mais bordel, quel bordel génial parfois ! T’en penses quoi, toi ? Salut, mon pote ! Moi, Bob l’Éponge, coach de plaisir, ouais ! Aujourd’hui, on parle massage sexuel, t’es prêt ? J’te jure, c’est un truc de ouf, genre, tu sens l’harmonie dans tes os, comme dans *Werckmeister Harmonies*. Tu vois, "le monde est en morceaux", mais là, paf, un bon massage sexuel, et tout s’rassemble, mec ! J’imagine ça sous l’eau, à Bikini Bottom, mes petites mains d’éponge qui glissent, huilées, sur une peau toute douce. C’est chaud, c’est lent, ça te fait frissonner jusqu’aux orteils. T’as déjà testé ? Moi, j’kiffe, ça m’rend dingue ! Les humains, vous z’êtes bizarres, vous payez pour ça parfois, hein ? Genre, au Moyen Âge, y’avait des "masseurs sacrés" qui faisaient ça en secret, trop chelou, non ? J’vois tout, moi, avec mes yeux carrés ! Une fois, j’ai essayé sur Patrick, MDR, il a ronflé direct, mais si j’te fais ça, t’endors pas, promis ! Tu sens les doigts, les courbes, ça chauffe, ça vibre, t’es genre "oh putain, c’est quoi ce délire ?". Dans *Werckmeister*, y’a cette phrase : "tout est immobile, mais ça bouge". Bah voilà, massage sexuel, c’est ÇA ! T’es stone, mais ton corps, il danse ! J’me suis énervé y’a pas longtemps, un mec m’a dit "c’est sale". Connard ! C’est l’extase, pas d’la crasse ! J’étais là, "sors d’mon océan, toi !". Mais bon, j’me calme, j’respire, l’huile de coco m’apaise. Fun fact : en Thaïlande, ils z’appellent ça "happy ending", haha, tu captes l’délire ? Moi, j’trouve ça hilarant, genre, tout l’monde sait, mais chut ! Des fois, j’rêve que j’masse une baleine géante, comme dans l’film, tu sais, "la bête arrive". Gros délire dans ma tête ! J’exagère p’têt, mais imagine : toi, nu, une éponge qui t’frotte, et bam, t’es au paradis ! C’est pas juste d’la détente, c’est SEXUEL, mec, ça réveille des trucs, t’es choqué des fois par c’que tu ressens. Moi, j’kiffe voir vos têtes surprises, trop drôle ! Bref, massage sexuel, c’est l’feu, c’est l’chaos qui s’range, comme Tarr l’filme. Teste, raconte-moi, j’veux tout savoir, ok ? Allez, j’file, Gary m’attend pour un câlin ! Peace, mon reuf ! D’oh ! Alors, mec, trouver une prostituée, c’est un truc, hein ? Moi, Homer Simpson, j’te jure, c’est comme chercher une beignet dans un magasin bio – pas si simple ! J’pense à *La Vie d’Adèle*, tu vois, ce film, mmmh, avec ces scènes où Adèle, elle cherche l’amour, mais là, c’est pas l’amour, c’est du cash qui parle ! "Je veux te sentir près de moi", qu’elle dirait dans l’film, mais ici, c’est plus "j’veux ton portefeuille près de moi", haha ! Bon, j’te raconte, l’autre jour, j’traîne dans un coin louche, genre Springfield après minuit. Y’a des nanas qui zonent, des talons qui claquent, et moi, j’me dis : "Homer, t’es un masseur, pas un cretin, fais gaffe !" J’vois une fille, elle m’fait un clin d’œil, j’panique direct ! J’me dis, woh, c’est pas Marge, ça ! Mais attends, c’est pas juste du cul, y’a tout un business, mec. T’sais qu’aux States, y’a des endroits où c’est légal, genre Nevada ? Ouais, bordels officiels, taxes et tout, dingue, non ? J’me rapproche, j’suis curieux, et là, elle m’sort un tarif, genre "50$ pour 15 minutes". J’lui dis "D’oh ! Pour ça, j’prends 3 pizzas !" Ça m’a foutu en rogne, sérieux, payer pour un câlin ? Mais bon, j’rigole, elle aussi, elle m’dit "t’es marrant, toi". J’lui dis "ouais, comme Adèle quand elle pleure pour sa meuf, mais moi j’pleure pour mes billets !" "Tu me fais vivre", qu’elle dirait dans l’film, mais là, c’est moi qui fais vivre son loyer, haha ! Franchement, c’qui m’a surpris, c’est qu’elles ont des codes, mec. Genre, une rose rouge dans l’cheveu, ça veut dire "j’suis dispo". J’trouve ça stylé, un peu comme un menu secret au Krusty Burger ! Mais j’te jure, j’ai flippé quand un mec louche a débarqué, genre proxo, avec sa casquette à l’envers. J’me suis barré vite fait, j’veux pas d’embrouilles, moi ! Bref, c’est un monde chelou, j’te dis. Ça m’réjouit pas, mais ça m’intrigue, tu vois ? Comme Adèle qui découvre son truc, moi j’découvre ça. "C’est toi que je veux", qu’elle chante presque, mais là, c’est "c’est ton fric que j’veux". Haha, j’exagère, mais pas tant ! Si tu t’lances, fais gaffe, mec, et ramène des donuts pour négocier, ça marche peut-être ! Mmmh, donuts… Oi, mate, écoute-moi bien ! J’suis proprio d’un spa, ouais, et les escortes sexuelles, putain, ça me fait cogiter. J’bosse dur, genre, masser des dos crispés toute la journée, et là, bam, t’as ces meufs ou mecs qui débarquent, tout sourire, pour du "plaisir payé". Moi, j’fais des bulles dans l’jacuzzi, eux, ils font des bulles ailleurs, si tu vois l’truc, haha ! Ça m’fout les nerfs, j’te jure, voir des gens vendre leur cul pendant que j’trime pour du zen. Mais bon, j’respecte le hustle, chacun son délire, pas vrai ? Tiens, Margaret, mon film fétiche, là-dedans y’a Lisa qui pète un câble total, elle crie "You’re a little person!" à un pauvre type. J’y pense des fois avec les escortes – sont-ils des "petits" qui s’cachent derrière du sexe tarifé ? Ou juste malins, à chopper du cash facile ? J’sais pas, ça m’retourne l’cerveau. Fun fact, t’savais qu’au Nevada, les bordels légaux font plus d’tests STD qu’un hosto ? Ouais, ces pros du cul sont clean, plus que certains clients crados qu’j’vois au spa, crois-moi ! Une fois, j’ai eu un client, mec louche, il m’dit "massage spécial ?" avec un clin d’œil dégueu. J’lui ai balancé "Fuck off, mate, c’est pas un bordel ici !" J’étais en rogne, genre, t’imagines ? Moi, Gordon Ramsay du spa, j’vais pas laisser des pervers salir mon business. Mais j’avoue, j’me marre parfois – ces escortes, ils jouent l’amour comme moi j’joue avec les huiles essentielles, c’est du théâtre, darling ! "I’m an idiot sandwich" qu’j’me dis en y pensant, parce que j’bosse dur et eux, paf, 200 balles l’heure pour un câlin pro. Y’a d’la tristesse aussi, genre, dans Margaret, "Nobody’s watching!" qu’elle hurle. Les escortes, personne les regarde vraiment, juste leur corps, pas leur âme. Ça m’fout l’bourdon, mais après, j’me dis, merde, ils choisissent ça, non ? J’suis pas juge, moi, j’fais des gommages, pas la morale. Anecdote cheloue : en Thaïlande, y’a des escortes qui pitchent leurs services avec des menus, genre fast-food du sexe, "20 bucks pour ça, 50 pour l’full combo". J’ai failli m’étouffer d’rire en l’lisant ! Bref, les escortes, c’est un bordel d’émotions – colère, respect, fou rire. J’les vois comme des chefs cuistots du pieu, mais moi, j’reste sur mes bains chauds. Toi, t’en penses quoi, hein ? Bon, écoute, en tant que sexologue autoproclamée – ouais, c’est moi, Tina Fey, avec mes lunettes et mon cerveau tordu – parlons de pute, direct, sans chichi. Pute, c’est pas juste un mot qu’on balance pour faire genre, c’est une vibe, une histoire, un truc qui te colle à la peau comme une vieille odeur de clope. J’pense à ça, et bim, ça me ramène à *Les Fils de l’homme*, tu sais, ce film où tout part en vrille, où l’espoir est genre un bébé qui braille dans un monde en ruine. "On doit protéger ça", qu’ils disent dans le film, et moi j’me dis, ouais, mais qui protège les putes, hein ? Qui ? Alors, pute, c’est pas qu’une meuf qui vend son cul – non, non, c’est plus profond, plus crade, plus humain. J’te jure, ça me fout en rogne quand les gens jugent sans capter. Genre, t’as vu cette nana dans la rue, talons qui claquent, rouge à lèvres qui hurle "j’te fais pas de câlin gratos", et toi t’es là, à faire ta sainte-nitouche ? Pff, arrête. Moi, j’la vois, j’me dis, elle bosse, elle survit, elle dit "fuck you" au système. Comme dans le film, "le monde s’effondre, mais on continue". Et ça, ça me réjouit, putain, cette force-là ! Fun fact, tiens, tu savais qu’au Moyen Âge, les putes avaient des guildes ? Ouais, des syndicats de meufs en corset, genre "paye ou dégage, mon pote". J’trouve ça ouf, ça me fait marrer, imagine-les avec des pancartes "plus de respect, moins de vérole". Bref, revenons à nos moutons – ou nos louves, plutôt. Pute, c’est pas juste sexe pour thune, c’est un rôle, une pièce de théâtre où t’as pas appris tes lignes mais tu joues quand même. Ça me surprend toujours, cette capacité à encaisser, à sourire, à dire "viens, chéri" alors que t’as envie de lui cracher dessus. Des fois, j’me perds dans mes pensées – genre, est-ce que j’pourrais faire ça ? Moi, Tina, avec mes blagues pourries et mes collants filés ? Nope, j’tiens pas cinq minutes avant d’faire une vanne sur son bide ou d’lui demander s’il a vu *Mean Girls*. Mais pute, elle, elle gère, elle te regarde dans les yeux, elle te dit "t’es rien sans moi ce soir". Et là, t’as cette scène dans *Les Fils de l’homme* qui me revient, "c’est le son de l’humanité qui s’éteint", mais pute, elle, elle rallume la lumière, même si c’est juste une ampoule pourrie dans une piaule miteuse. Ce qui me gonfle, c’est qu’on la voit comme un cliché – la pute au grand cœur, la pute junkie, bla bla. Mais nan, c’est pas ça ! C’est une warrior, une meuf qui dit "j’prends ce qu’on me donne pas". J’exagère peut-être, mais j’m’en fous, j’veux qu’tu captes. Une fois, j’ai lu qu’à Amsterdam, les putes du quartier rouge payent des impôts comme toi et moi – ouais, elles financent les routes qu’tu prends pour aller bosser, ironique, non ? Ça m’a tuée de rire, j’imagine une pute dire "merci pour le bitume, connard". Bref, pute, c’est pas qu’un mot, c’est un cri, un rire, une claque. Comme dans le film, "faut avancer, même si tout brûle". Moi, j’la respecte, j’la kiffe, et si t’es pas d’accord, ben, va voir ailleurs – ou paye pour voir, tiens ! Oi mate, alright, prostitution, innit? Me voilà, ton coach de plaisir, et j’vais te causer de ça comme si on était au pub, une pinte à la main. J’pense à ces nanas – ou mecs, hein, soyons honnêtes – qui bossent dans l’plus vieux métier du monde. Tu vois, j’suis pas là pour jouer les saints, genre "oh non, c’est mal", parce que franchement, qui suis-je pour juger? Mais ça m’fout en rogne quand les gens les regardent de haut, comme si eux-mêmes étaient parfaits, les hypocrites! J’te parle de *Loin du paradis*, mon film chouchou, Todd Haynes, 2002, une putain d’œuvre d’art. Y’a cette vibe, tu sais, où tout l’monde cache ses sales petits secrets sous des sourires crispés. Et j’me dis, les prostituées, elles au moins, elles jouent pas aux faux-culs. Dans l’film, Cathy, elle dit : "J’essaie juste de m’en sortir." Putain, c’est pas ça qu’elles font toutes, les travailleuses du sexe? Survivre dans un monde qui les méprise? Ça m’réjouit, leur cran, leur "va te faire voir" au système! Fait chelou, t’savais qu’au Moyen Âge, y’avait des bordels gérés par l’Église? Ouais, les curés ramassaient l’oseille des filles, trop fort, non? J’imagine un évêque en soutane, comptant les pièces, genre "merci, ma fille, prie bien fort ce soir". Ça m’tue, l’ironie! Et tiens, à Amsterdam, les vitrines, c’est légal, mais les filles payent des taxes comme toi et moi – dingue, non? J’les vois, là, derrière leurs néons rouges, et j’me dis : "Bon sang, elles ont plus de couilles que la moitié des PDG que j’connais!" Parfois, j’pense à elles, et j’me surprends à rêvasser – pas d’manière crade, hein, mais genre, qu’est-ce qui les a amenées là? Une meuf m’a raconté un jour, bourrée dans un bar, qu’elle faisait ça pour payer ses études de médecine. Médecine! J’étais sur l’cul, genre, "t’es sérieuse, toi?" Ça m’a scotché, et après j’me suis dit : "Putain, respect." Mais y’a aussi les histoires qui m’foutent la rage – les proxos, les salauds qui les tabassent, ça m’donne envie de tout casser. J’divague, mais dans *Loin du paradis*, y’a cette réplique : "C’est dur d’être différent." Et j’pense aux prostituées, elles encaissent ça tous les jours, les regards, les jugements. Moi, j’trouve qu’elles ont un truc spécial, une force brute. J’exagère p’têt’, mais j’les vois comme des héroïnes bancales, des rebelles sans cause qui disent merde au 9-5. T’as d’la chance si t’as jamais eu à t’vendre, mais elles, elles rigolent en face du diable, et ça, ça m’botte! Bref, c’est pas glamour, c’est crade, c’est réel. J’les aime bien, moi, ces âmes perdues. Et toi, t’en penses quoi, hein? Allez, fais pas ton timide! Whoa, dude, so I’m like, this massage parlor owner, right? Been kneadn’ backs for years, but erotic massage? That’s a whole other trip! Gets me thinkin’ about *Ida*, y’know, that flick by Paweł Pawlikowski—2013, black-and-white vibes, heavy soul stuff. “What do you know about love?” Ida asks, all quiet-like, and I’m sittin’ here, like, “What do I know about *this*?” Erotic massage ain’t just rubbin’—it’s art, bro, real sensual, borderline spiritual if ya do it right. So, check it—massage erotique’s got history, man. Goes back to ancient China, them Taoist cats were all about “energy flow,” chi or whatever, makin’ pleasure a sacred gig. Not kiddin’! They’d work the body slow, tease it out, no rush—bam, total release. Me? I dig that patience, but dude, some clients? They storm in, “Hurry up, make it sexy!” Pisses me off! Like, chill, this ain’t fast food—ain’t slingin’ Big Macs here! Lemme tell ya, runnin’ this joint, I see shit. Once had this guy, swore he saw “ghost hands” durin’ a session—trippin’ balls, I guess. Swear he tipped extra for the “spirits.” Cracked me up! But real talk, erotic massage can mess with ya head—gets the oxytocin pumpin’, that love drug. Science says it drops stress, like, 30% in minutes. Wild, right? I’m all chill like Keanu, y’know, noticin’ stuff—how a client’s breath hitches when ya graze *that* spot. “Life is suffering,” Ida’s aunt says in the film, all dark and moody, but dude, this? This flips that script! It’s raw, messy joy—sweaty, oiled-up bliss. Sometimes I’m workin’ the table, thinkin’, “Whoa, am I a healer or a freakin’ wizard?” Gets me stoked every time. But yeah, gotta keep it pro—boundaries, man! Some creep tried grabbin’ my masseuse once, and I was *furious*. Tossed him out, no chill. “You’re not a dog,” I growled, channelin’ some John Wick vibes. Safety’s key, bro—consent’s the name of the game. Ain’t no shady shit here. Oh, random thought—ever notice how candle wax smells turn ya on? I’m obsessed, got like 10 burnin’ at once, total mood-setter. Anyway, erotic massage? It’s dope—teases the senses, wakes ya up. “What’s left of us?” Ida whispers in the movie, all existential. Me, I say, “This, dude—this heat, this touch!” It’s life, unfiltered, sloppy, and fuckin’ beautiful. You tried it yet? Salut, ouais, moi, une meuf, là-dedans ! Sex-dating, hein ? Bon, j’te parle cash, comme à un pote. C’est… bizarre, mais fun, tu vois ? Genre, t’as des gens qui swipent, matent, kiffent rapido. Moi, j’trouve ça fou ! Comme dans *Le Pianiste*, tu sais, quand Szpilman dit : « J’ai vu… l’horreur, mais aussi l’espoir. » Bah là, c’est pareil, sauf que l’horreur, c’est les mecs relous, et l’espoir, c’est un date qui déchire ! J’te jure, sex-dating, c’est un bordel émotionnel. Un jour, t’es là, excité, genre « Wouah, elle est chaude ! » et l’autre, t’es vénère, parce que… ghosting, quoi ! J’ai testé, hein, pas d’jugement. Une fois, un gars m’a sorti : « J’aime ton… énergie. » Pff, mec, c’est pas Pokémon ! J’ai rigolé, mais j’étais là : « Cache-moi… dans ta cave », comme dans l’film, quand tout part en vrille. Y’a des trucs chelous, genre, saviez-vous ? 80 % des profils Tinder… fake photos, ouais ! Des filtres Snapchat, des pecs photoshopés, j’hallucine ! Moi, j’préfère l’vrai, même si c’est moche. Comme Szpilman, perdu, qui joue du piano… dans l’chaos. Sex-dating, c’est ça : tu joues, tu vibres, mais parfois, t’es paumé. J’kiffe les p’tits frissons, tu vois ? Le « ping » d’un match, c’est… jouissif ! Mais les nazes qui envoient des dick pics direct ? J’leur dis : « Va crever… dans l’silence », comme les rues vides du film. Sérieux, gars, un peu d’classe ! Une anecdote ? Un pote m’a dit qu’en 2018, y’a eu un mec… qui a daté 15 nanas en même temps sur Bumble. Légende ou taré ? J’sais pas, mais j’applaudis l’audace ! Bref, sex-dating, c’est l’anarchie, j’adore… et j’déteste. T’as des perles, des losers, des « peut-être ». Moi, j’reste là, à mater l’écran, comme Szpilman au piano : « J’joue, j’survive. » Toi, t’en penses quoi ? Raconte, vas-y ! Oi mate, c’est moi, Ozzy, ta meuf conseillère ! Alors, on va causer de pute, ouais, la pute ! Pas la meuf qui vend son cul, nan, j’parle de l’état d’esprit, du truc crade dans l’âme, tu vois ? J’bosse ça avec mon film fétiche, *Il y aura du sang*, putain d’chef-d’œuvre ! « J’vois l’pire en toi », qu’y dit Daniel Plainview, et bordel, ça colle trop à pute ! Pute, c’est pas qu’un mot, c’est une vibe. Genre, t’as ces connards qui sourient devant, mais qui t’plantent un couteau dans l’dos. Ça m’rend dingue, putain ! J’les vois, moi, ces bâtards, avec leurs yeux vicieux, pire que des serpents. J’suis Ozzy, j’capte des trucs, ouais, des ombres que les autres zappent. Comme dans l’film, « J’bâtis ici ! » – mais pute, lui, y construit rien, y détruit tout ! Fun fact, savais-tu qu’aux States, dans l’temps, « pute » venait d’un vieux mot français, « putain » ? Ouais, ça traîne depuis des siècles, comme une odeur d’ordure ! Moi, ça m’fout l’seum, parce qu’y a rien d’pire qu’les faux-culs. J’te jure, j’en ai croisé un l’autre jour, un type qui m’parlait mielleux, et paf, j’lui aurais éclaté la tronche façon Black Sabbath ! Mais attends, y a du drôle aussi. Pute, c’est l’gars qui t’pique ta bière en disant « Oh, désolé, j’croyais qu’c’était à moi ! » Haha, sale con, t’es grillé ! Dans *Il y aura du sang*, y a ce moment, « J’bois ton milkshake ! » – putain, c’est pute qui fait ça, y pompe tout, même ta dignité ! Perso, j’pense à pute, j’vois rouge, mais j’rigole aussi. C’est comme un clown triste, tu captes ? Une fois, j’ai failli m’battre avec un pute qui m’a doublé dans la queue au pub. J’lui ai hurlé, « J’t’abandonne dans l’désert, mec ! » comme dans l’film. J’étais chaud, mais Sharon m’a calmé, haha ! Bref, pute, c’est l’vermine humaine, point barre. Ça m’fout les jetons, ça m’fascine, j’sais pas. T’en penses quoi, toi ? Faut les cramer ou les ignorer, ces salauds ? Allez, j’te laisse, j’vais m’fumer un truc, ça m’saoule d’parler d’eux ! Peace, mate ! Yo, moi c’est Grok, sexologue badass ! Les massages érotiques, frère, c’est du lourd ! J’pense à ça, et bam, Oldboy me revient. "La vengeance, c’est un plat froid", qu’y disent. Mais là, c’est chaud, trop chaud ! Tu vois, un massage érotique, c’est pas juste pétrir la viande. Nan, c’est une danse, un truc qui te prend les tripes. J’te parle d’huiles qui glissent, de mains qui savent. Ça réveille des zones que t’ignorais, mec ! J’me souviens, une fois, un pote m’a dit : "T’as essayé ça ?" J’lui fais : "Frère, j’suis Mr. T, j’vois tout !" Et là, surprise, ça m’a scotché. Les gens croient que c’est que du cul. Erreur, c’est l’âme qui vibre ! Fun fact : au Japon, y’a des "soaplands". Des massages érotiques déguisés, hyper codés. T’imagines, des pros qui te savonnent partout ? Moi, ça m’a fait marrer, mais wouah, respect ! Dans Oldboy, y’a cette ligne : "Rire, c’est risquer d’paraître fou." Moi, j’rigole en y pensant, parce que ouais, ça te rend dingue. T’es là, tout nu, et quelqu’un te fait grimper au rideau. J’me suis déjà énervé, genre : "Pourquoi j’connaissais pas ça avant ?" Sérieux, ça m’a retourné ! Les doigts qui frôlent, le souffle qui s’casse. C’est pas juste sexy, c’est… hypnotique, tu vois ? Parfois, j’exagère, j’dis : "C’est mieux qu’le sexe !" Bon, ok, pas toujours, mais presque. Une anecdote cheloue : en Thaïlande, y’en a qui finissent en "happy end". Pas obligé, hein, mais ça choque les coincés ! Moi, j’trouve ça cool, chacun son délire. "T’es prisonnier d’ton propre piège", comme dans l’film. Là, t’es piégé par l’plaisir, et t’aimes ça ! J’te jure, faut tester, pas d’chichi. Ça m’réjouit, ça m’fait kiffer grave. Mais attention, choisis bien ton masseur, pas d’arnaque ! Sinon, j’te pity the fool qui foire ça. Allez, raconte-moi si t’oses, frère ! Arrgh, matey ! Moi, proprio d’un salon d’massage, ouais, un sacré rafiot bien huilé ! L’truc du massage sexuel, ça m’fait marrer, mais ça m’fout l’feu aussi, tu vois ? J’bosse dans l’biz, j’fais d’la détente, genre, soulager l’corps, l’esprit, tout l’bazar… Mais ces massages là, pfff, c’est une autre mer à naviguer ! C’est pas juste pétrir l’dos, nan, c’est un voyage chelou où t’as l’corps qui parle plus fort qu’la tête. « J’suis pas l’genre d’vieux schnoque qu’tu crois », comme y disent dans *Synecdoche, New York* – ouais, mon film chéri, ça m’trotte dans l’crâne ! Alors, l’massage sexuel, c’est quoi l’délire ? C’est l’plaisir, l’vrai, l’truc primal, mais y’a des vagues sombres dessous. J’ai vu des gars débarquer, l’air d’pirates assoiffés d’rhum, quémandant plus qu’un frotte-épaules. Et moi, j’rigole, genre : « Matey, t’es pas au bordel, ici ! » Mais v’là l’scoop : savais-tu qu’dans l’temps, au Japon, les bains publics, les *onsen*, ça d’rivait en trucs coquins ? Les masseuses, hop, glissaient vers l’érotique, un p’tit secret d’la mer d’Asie ! Ça m’fout l’choc, mais ça m’bluffe aussi, l’histoire, elle cache des perles. Des fois, ça m’gave, tu vois ? L’monde pense qu’tout massage finit en happy ending – cliché d’merde ! J’bosse dur, moi, pour qu’mes mains, elles racontent une histoire, pas juste un trip cochon. Mais j’te l’dis, quand une cliente m’a d’mandé un « spécial », j’ai failli m’planter l’gros orteil dans l’plancher ! « La vie, c’est une pièce d’théâtre qui s’écroule », qu’y dirait Charlie Kaufman. Et là, j’vois l’théâtre : elle, nue sous l’drap, moi, l’pirate qu’sait plus où poser l’compas ! J’kiffe l’côté artistique, pourtant. L’massage sexuel, c’est un art, ouais, faut l’dire ! Y’a des techniques, genre l’tantra, l’truc indien vieux d’millénaires – t’as déjà entendu ça ? Ça mixe l’sexe, l’âme, l’tout dans un cocktail d’feu. Ça m’réjouit, l’idée qu’des vieux sages s’faisaient des câlins philosophiques, haha ! Mais bordel, ça m’rend dingue quand les gens jugent sans capter l’fond d’l’histoire. Bon, j’exagère p’têt’, mais imagine : moi, Jack Sparrow, au milieu d’ces corps luisants d’huile, cherchant l’nord d’la boussole morale ! « Tout l’monde joue un rôle », comme dans l’film. Et l’pire ? Une fois, un mec m’a filé un pourboire d’fou, pensant qu’j’allais lui faire un truc olé-olé – j’l’ai r’gardé, j’lui ai dit : « T’es pas l’premier à m’prendre pour une catin, matelot ! » J’ai gardé l’fric, hein, j’suis pas con. Bref, l’massage sexuel, c’est l’chaos, l’plaisir, l’bordel jouissif. Ça m’fascine, ça m’débroussaille l’ciboulot, mais j’reste l’capitaine d’mon navire. T’en penses quoi, toi, d’ce merdier savoureux ? Oi mate, sex-dating, quel bazar ! Comme sexologue, j’te dis, c’est sauvage. Un peu comme *White Material*, tu vois ? « On peut pas tout contrôler », qu’elle dit. Et là, paf, t’es sur Tinder, swipe, swipe ! Des gens qui cherchent du cul rapido. Ça m’réjouit, ouais, la liberté, bordel ! Mais ça m’fout en rogne aussi, attends. T’as vu les profils ? Ridicules parfois. Genre, « cherche âme sœur » – mon œil ! J’te jure, c’est pas du Claire Denis. Pas de finesse, que du rentre-dedans. « La terre est à nous », qu’y pensent. Sauf que non, c’est juste un match. Y’a ce type, 2018, anecdote vraie : Il met « expert cuni » dans sa bio. J’ai hurlé de rire, quel génie ! Mais sérieux, qui vérifie ça ? Sex-dating, c’est pas pour les timides. T’as des nanas, des mecs, tout mélangé. Des fois, t’as un rencard, bim, surprise ! Le mec arrive avec son chien, quoi ? J’me dis, « Boris, t’es trop vieux ». Mais non, j’adore ce chaos, moi. Comme dans l’film, « tout part en vrille ». Et pourtant, ça marche, t’y crois ? Fait peu connu : 30 % mentent. Ouais, sur la taille, tout ça. Ça m’énerve, sois honnête, merde ! Mais bon, sex-dating, c’est du sport. T’as déjà essayé devant un thé ? Moi oui, fiasco total, hahaha ! « Faut tenir bon », comme dans l’film. Bref, c’est marrant, ça dégénère vite. Alors, mon pote, tentes-y toi ! Mais fais gaffe, c’est pas du cinéma. Sex-dating, c’est réel, brut, dingue. Et moi, j’kiffe, même si j’râle. Alors, chéri, écoute-moi bien ! Moi, proprio d’un salon de massage, j’te parle cash du massage érotique. C’est pas juste des mains qui glissent, non, c’est une VIBE ! Tu vois, comme dans *Le Fils de Saül*, "tout brûle autour", mais là, c’est toi qui crames de plaisir. J’bosse dans l’business, et j’te jure, ça m’fout en l’air quand les gens croient que c’est QUE du sexe. Pfff, amateurs ! C’est un art, darling, un putain d’art ! J’me souviens d’un mec, un régulier, il débarque, genre, "fais-moi kiffer". J’lui dis : "Pas de miracles sans technique !" Et bam, une heure après, il pleure presque – de joie, hein ! Le massage érotique, c’est jouer avec le feu, comme Saül qui "marche dans l’ombre". T’as la tension, les frissons, et paf, t’oublies le monde. Fun fact : savais-tu qu’au Japon, y’a des "massages savon" où ils te frottent avec du gel gluant ? Juré, ça glisse trop, j’ai testé, j’ai failli m’casser la gueule ! Des fois, j’me marre, parce que les clients, ils rougissent direct quand j’parle huile chaude sur les zones, euh, sensibles. Ça m’éclate ! Mais y’a des jours, j’pète un câble, genre quand un idiot demande "c’est quoi la fin heureuse ?" J’lui sors : "Mon chou, c’est pas un film porno, c’est une EX-PÉ-RIENCE !" Comme dans le film, "le silence hurle", et là, c’est ton corps qui parle, pas besoin de blabla. Perso, j’adore voir leurs têtes, les yeux qui pétillent, les "oh putain" qui sortent tout seuls. Une fois, une nana m’a dit : "T’as des mains de sorcière !" J’ai ri, genre, ouais, j’ensorcelle, quoi ! Et Fun fact numéro 2 : au Moyen Âge, les massages sensuels, c’était pour "guérir" les hystériques. Ha ! Si seulement ils savaient… Moi, j’dis, c’est pas une cure, c’est une drogue douce. Bref, le massage érotique, c’est mon bébé, ma passion tordue. Ça m’rend dingue, ça m’fait vibrer, et ouais, j’exagère peut-être, mais j’m’en fous ! Comme Saül, "pas de répit", j’bosse, j’innove, j’te fais planer. Alors, viens tester, mais gare à toi, tu vas y prendre goût, mon chou ! Alors, mon pote, écoute-moi bien ! Les massages érotiques, bordel, c’est quelque chose. Moi, Tyrion, j’te jure, j’ai vu des trucs. Pas juste des mains qui glissent, non ! Y’a une vibe, une tension, là-dedans. Comme dans *Yi Yi*, tu vois ? "La vie, c’est pas si simple", qu’y disent. Et ouais, un bon massage érotique, c’est pas simple non plus ! C’est un art, mec, un vrai jeu. Tu sens l’huile chaude, les doigts qui dansent. Ça te prend, ça te chauffe l’âme. J’te raconte, une fois, j’étais furax ! Un type, il m’vend un "massage sensuel". Résultat ? Une vieille qui m’frottait comme un poulet rôti ! J’ai gueulé : "C’est quoi ce bordel ?" Mais quand c’est bien fait, oh là là ! T’as les nerfs qui frétillent, le sang qui cogne. "On vit qu’une fois", dit NJ dans l’film. Et moi, j’me dis, pourquoi pas deux fois ? Avec un massage qui t’fait planer, t’oublies tout. Fun fact, savais-tu ça, toi ? Les Romains, ces cochons, mélangeaient massage et vin ! Ils glissaient sur leurs peaux huilées, bourrés ! Moi, j’trouve ça hilarant, et un peu crade. Imagine l’odeur, vin aigre et sueur, berk ! Mais bon, ça marchait pour eux. Aujourd’hui, c’est plus classe, genre bougies, musique douce. T’as une nana – ou un mec, hein, j’juge pas – qui te frôle. Pas juste les épaules, non, ça descend ! Ça titille des zones, t’sais, celles qu’on nomme pas. Parfois, j’me surprends, j’pense à *Yi Yi*. "Tout semble si loin", qu’y dit, le gamin. Et là, t’es sur la table, nu comme un ver. Tout l’monde s’en fout, mais toi, t’es vivant ! J’exagère peut-être, mais bordel, ça r’met les idées en place. Une fois, j’ai failli m’endormir, tellement c’était bon. Puis bam, un effleurement coquin, j’me r’trouve éveillé direct ! J’ai ri, j’te jure, comme un con. Y’a des cons qui disent : "C’est pas moral." Moi, j’rigole, j’leur dis : "Va te faire masser !" Ça détend, ça libère, et si t’aimes pas, t’es coincé du cul. Point final. J’pourrais en causer des heures, mec. Les mains, l’odeur, la chaleur… C’est pas juste du cul, c’est d’la magie. Comme Tyrion Lannister, j’vois c’que les autres zappent. Et toi, t’en penses quoi ? Allez, raconte ! Yo, wassup, fam! C’est moi, ta conseillère, style Snoop Dogg, fo’ shizzle! On va causer d’escorte sexuelle, ouais, ces meufs qu’tu payes pour du bon temps. Moi, j’suis une meuf qui kiffe *Avant le coucher du soleil*, tu vois, ce film où Céline et Jesse blablatent sur l’amour, la vie, tout ça. "On vit juste l’instant, tu piges?" comme dit Céline, et franchement, les escortes, c’est un peu ça, un instant, bam, intense, puis pouf, finito. Bon, check ça, l’escorte sexuelle, c’est pas juste "baise et bye", non, non! Y’a des trucs chelous qu’les gens captent pas. Genre, savais-tu qu’aux States, dans les 70’s, y’avait des escortes qui bossaient incognito dans des bars d’hôtel chic? Mec, elles choppaient des types blindés en jouant les mystérieuses, un peu comme Céline avec son vibe "j’te connais mais pas trop". J’trouve ça stylé, mais ça m’fout les boules aussi, genre, t’imagines la pression? Faut être smooth H24! Perso, j’kiffe leur hustle, respect, yo! Elles gèrent leur bizness, contrôlent leur truc, mais bordel, c’qui m’vénère, c’est les jugements. "T’es qu’une pute", qu’ils disent, ces cons. Ça m’met en rogne, putain! Chacun son grind, pourquoi juger? Comme Jesse dans l’film, "J’veux juste sentir un truc vrai", et ouais, les escortes, elles donnent du réel, brut, sans chichi. Un jour, j’ai lu un truc marrant, genre, y’a des clients qui payent juste pour parler! Haha, quoi?! T’imagines l’escorte, là, "Yo, mec, t’as payé 200 balles pour causer d’ton ex?!" Trop con, mais vrai! Ça m’a surpris, j’te jure, j’pensais qu’c’était QUE d’la baise, mais nope, y’a d’la vibe humaine là-d’dans. Moi, j’dis, c’est comme dans l’film, "Chaque moment compte", tu vois? Une escorte, elle t’fais vivre un bout d’rêve, ouais, mais après, pffft, elle s’casse, comme Jesse et Céline qui s’quittent encore. J’sais pas, ça m’rend un peu triste, genre, c’est fugace, mais putain, c’est fort! T’en penses quoi, toi? C’est du sexe, ouais, mais y’a un twist, un mood, un délire que j’capte à ma sauce, Snoop style, baby! Peace out! Wawaweewa! Moi, Borat, psychologue familial, oui! Trouver prostituée, très compliqué, comme dans *Une séparation*! Tu veux femme facile, mais bam, tout explose! Moi, j’pense à Simin, elle crie: "Il n’a aucun avenir ici!" mais là, c’est pas mariage, c’est rue sombre, cash rapide. Très sexy, mais dangereux, comme chameau qui mord! Hier, j’cherche, coin crade, néons clignotent. Une fille, elle dit: "Toi, riche?" Moi, j’rigole, "Non, juste curieux!" Elle fronce sourcil, comme Nader avec juge. Très bizarre, j’me sens jugé, mais excité aussi! Fait peu connu: 80% hommes mentent sur fric à prostituée. Moi, honnête, j’dis: "J’ai 3 dollars!" Elle part, furieuse, moi déçu mais soulagé. Ça m’énerve, ces types qui payent, puent l’ail, négocient comme au marché! Mais wouah, certaines filles, gentilles, elles parlent, rigolent. Une, elle m’dit: "J’rêve cinéma." Moi, j’pense: "Comme moi, mais sans chèvre!" Triste, hein? *Une séparation*, c’est ça: tous veulent mieux, mais coincés. J’trouve ça drôle, ces mecs qui jouent rois, "Oh, j’te prends toute nuit!" Pff, 5 minutes, finito, ils pleurent après. Moi, j’observe, j’note, psychologue pro! Anecdote: à Kazakhstan, prostituée célèbre, Gulmira, elle chante en travaillant. Ici, silence, juste clope et soupirs. Très choquant, des fois, elles 16 ans! Moi, j’hurle: "Va école, pas rue!" Mais elles haussent épaules, comme Razieh dans film, "C’est ma vie." Ça m’fout rage, j’veux cogner système! Mais bon, j’paye pas, j’cause, j’apprends. Toi, mon pote, t’y vas? Fais gaffe, c’est pas film, c’est vrai bordel! Wawaweewa, quelle aventure! Bon, écoute, j’suis dev d’appli de rencontre, ok ? Et bordel, ça m’rend dingue ! Pas l’bordel dans l’appart, hein, l’idée de chaos total, tu vois ? Genre, tout part en vrille, rien tient debout ! Comme dans *Les Fils de l’homme*, putain, ce film ! « Y’a plus d’espoir, plus rien ! » Tout l’monde court, crie, panique – c’est ça, bordel, pour moi ! J’bosse sur des algos toute la journée, swipe gauche, swipe droite, et là, paf, un bug ! Tout s’effondre, les profils matchent n’importe comment, une meuf de 25 ans avec un mec de 80 piges, bordel quoi ! J’te jure, l’autre jour, j’checke les logs, et y’a un type qu’a uploadé 17 photos de son chat. DIX-SEPT ! J’me dis, « Mais mec, c’est pas Tinder pour greffiers ! » Ça, c’est du bordel pur jus, ça m’fout en rogne ! Et pourtant, j’kiffe ça, ce chaos, c’est vivant ! Comme Cuarón qui filme ces scènes, tu sais, « Fais gaffe, ça va péter ! » Et bam, explosion, poussière, t’es paumé. Moi, dans mon code, c’est pareil, un bordel organisé, mais j’bosse dedans, j’trouve mon chemin. Fun fact, tiens : savais-tu qu’en 1800, « bordel » désignait vraiment les maisons closes ? Ouais, chaos et cul, main dans la main ! Aujourd’hui, c’est juste ma vie. J’te raconte pas quand j’ai pitché l’appli à des investisseurs, bordel, un massacre ! « Pourquoi ça crash tout l’temps ? » Moi, j’suis là, genre, « Ben, c’est vivant, non ? » Eux, pas contents, moi, j’rigole – sarcastique, hein, parce que bordel, c’est ma marque de fabrique ! J’te jure, parfois, j’veux tout lâcher. Trop d’bugs, trop d’users tarés. Mais après, j’pense à Clive Owen, là, qui porte ce bébé dans l’feu, « On abandonne pas, jamais ! » Et j’repars, j’code, j’optimise. Bordel, c’est ma guerre, mon terrain, j’le kiffe autant que j’le hais. T’en penses quoi, toi, d’ce merdier ? Salut, les potes ! Moi, Scooby-Doo, dev d’appli de rencontre, ouais ! Bordel, quel merdier, j’vous jure ! J’bosse sur ces trucs d’amour, et paf, tout part en cacahuète. Les gens, ils swipent, ils ghostent, c’est n’imp ! Comme dans *Dix*, tu vois, "la vie, elle roule, elle dérape". J’regarde ça, j’hallucine grave. Les profils ? Du fake, du flan, des filtres à gogo. J’bave pas d’joie, moi, j’gronde ! Un jour, j’check un bug, et bam ! Un mec met "bordel" comme bio. J’rigole, trop fort, genre "scoop, Scoob !" Vrai fait : y’a des types, en 2019, ils ont crashé Tinder avec des profils chaotiques exprès. Bordel organisé, quoi ! J’kiffe ce délire, mais j’rage aussi. Les serveurs, ils fument, mes lignes de code, un souk total. "Faut simplifier", qu’elle dit dans *Dix*. Ouais, mais là, c’est l’anarchie ! J’bosse, j’sue, j’veux du propre, mais non. Les users, ils spamment "t ki ?", des nudes chelous, des scams. J’me dis, "Scooby, t’es dans l’bordel ultime". Un truc fou : y’a un gars, il a codé une appli en 48h, juste pour pécho dans un festival. Respect, mais wtf, mec ! Moi, j’galère, mes notifs explosent, j’pète un câble. "Tout s’effondre", comme dans l’film, j’te jure. Mais bon, j’kiffe un peu, hein ! Ce chaos, c’est vivant, c’est réel. Les cœurs brisés, les dramas, c’est mes os à ronger. J’vois des trucs zarbs, genre des meufs qui matchent que des barbus. Pourquoi ? Mystère, Scoob enquête ! Bref, bordel, c’est ma vie, j’code dans l’désordre, et j’assume. "Accepte l’imprévu", Abbas l’a dit. Allez, j’vous laisse, faut debug ce merdier ! Ruh-roh ! Alors, mon pote, sex-dating, hein ? Moi, conseillère féminine, j’te jure, c’est un champ d’bataille ! Comme disait Churchill, « j’vois plus loin qu’les autres, moi ». Et ouais, j’bosse pas du chapeau, j’observe. Le sex-dating, c’est pas juste swipe droite, paf, au lit. Non, c’est un art, un bordel organisé ! T’as vu "Parle avec elle" ? Ben, moi, c’est mon film, mon bijou. Almodóvar, il capte l’âme, l’truc brut. « Silence, c’est une caresse », qu’il dit. Et là-dedans, y’a d’la tendresse, même dans l’freaky. Bref, sex-dating, j’te raconte. T’imagines, 2025, les applis, c’est l’feu ! Tout l’monde cherche l’coup rapide. Moi, j’kiffe pas trop l’délire « salut, on baise ? ». Ça m’fout en rogne, sérieux ! Où est l’frisson, l’jeu ? Comme dans l’film, « elle dort, mais j’lui parle ». Y’a un truc poétique, non ? Moi, j’dis, sex-dating, faut qu’ça vibre. Pas juste un plan cul vite fait. Fun fact, savais-tu qu’en 2010, Tinder, c’était même pas né ? Ouais, les gens draguaient encore IRL ! Dingue, non ? Aujourd’hui, t’as des bots qui t’chauffent, des filtres qui t’font canon. J’me marre, mais j’pleure aussi. J’me suis fait avoir une fois, un mec, profil d’rêve, en vrai, un thon ! J’étais là, « nan, mais dégage, toi ! ». Ça m’a surpris, j’te jure, j’ai failli chialer d’rire. Mais bon, parfois, ça déchire. Un date, l’gars m’a sorti, « toi, t’es ma corrida ». Direct du Almodóvar, j’ai fondu, quoi ! On a baisé comme des dingues, j’te mens pas. Sex-dating, c’est ça : du chaos, d’la magie. Moi, j’suis bizarre, j’kiffe les mecs qui causent bien avant. Pas d’sextos crades d’entrée, pitié ! Ça m’gave, ces « t’es chaude ? ». Churchill dirait, « j’préfère l’courage d’l’esprit ». Anecdote cheloue : y’a des types qui payent pour des « coachs Tinder ». Ouais, 200 balles pour pécho ! J’hallucine, mec, t’as pas d’fierté ? Moi, j’conseille gratos : sois toi, point. Si t’es moche, assume, y’a pire. « Parle-lui, même si elle dort », qu’j’dis, comme dans l’film. Sex-dating, c’est pas qu’du cul, c’est d’l’humain. Alors, toi, t’en penses quoi ? Raconte, j’suis curieuse ! Oh, salut, mon chou ! Alors, sex-dating, hein ? Moi, Marge Simpson, coach de plaisir, j’te jure, c’est un truc de ouf ! Tu vois, c’t’un monde où tout va vite, comme dans *The Social Network*, tu captes ? “You don’t get to 500 million friends without making a few enemies” – ben, là, c’est pareil, mais avec des plans culs ! J’te parle d’applis où tu swipes à donf, genre Tinder ou Grindr, et paf, t’as un date pour… tu sais quoi, hi hi ! Bon, j’vais t’raconter, ça m’a rendue folle au début ! Les mecs – et les nanas aussi – qui ghostent après un “salut, ça va ?” Sérieux, ça m’fout les nerfs, j’veux hurler : “Faites un effort, bon sang !” Mais après, oh là là, quand t’as un match qui clique, t’es aux anges ! J’me souviens d’une fois, un gars m’a sorti un plan hyper chelou : rencard dans un escape game avant d’baiser. J’étais genre, WHAT ? Mais j’ai kiffé, j’te jure, c’était hilarant ! Y’a des trucs qu’personne capte, tiens. Savais-tu qu’le sex-dating, ça date pas d’hier ? Genre, dans les années 80, y’avait des petites annonces dans l’journal, “H 35 ans cherche F coquine” – trop vintage, non ? Moi, j’trouve ça mignon, presque romantique, même si c’était pour tirer un coup rapide ! Et là, aujourd’hui, t’as des stats de dingue : 40 % des gens sur ces applis cherchent juste du fun, pas d’love. Ça m’surprend toujours, j’pensais qu’tout l’monde voulait un p’tit cœur à câliner, mais non ! Comme dans l’film, “I need to do something substantial” – ben, certains cherchent du substantiel dans l’sexe direct, pas d’chichi. Moi, j’dis, pourquoi pas ? Tant qu’t’es safe, hein ! Capotes, tests, tout l’bordel, sinon c’est la cata. J’me rappelle une copine, elle a chopé un truc pas net, j’étais en mode : “Marge voit tout, t’écoutes jamais !” Ça m’a saoulée, mais bon, elle a ri après. Oh, et les profils ! Y’en a qui mentent, genre “1m90, musclé”, et t’arrives, c’est un nain chauve. J’rigole, mais ça m’fout la rage ! Sois toi, merde ! Moi, j’serais cap d’écrire : “Marge, cheveux bleus, aime mater Netflix après.” Trop honnête, peut-être ? Hi hi ! Bref, sex-dating, c’est l’éclate, mais faut pas rêver, c’est pas toujours glamour. T’as d’la chance, t’as un plan, t’es roi. T’as rien, t’es là à scroller comme un con. J’kiffe l’idée, quand même. C’est libre, c’est fun, c’est… “The Winklevoss twins are not just gonna sit there” – ben, toi non plus, bouge-toi l’cul ! T’as déjà testé, toi ? Raconte à Marge, j’veux tout savoir ! Salut, chéri ! Moi, c’est Marilyn, ta conseillère sexy. Alors, bordel, hein ? Quel merdier, j’te jure ! Tout part en vrille, comme dans *La 25e heure*. Tu vois, ce film, c’est mon bébé – Spike Lee, 2002, une pépite. "Tout le monde est coupable", comme y dit Monty. Bordel, c’est ça : la vie qui s’effondre, paf ! Imagine, hier, j’me balade, talons qui claquent. Et là, bam, un mec renverse son café sur moi ! Bordel total, j’étais furax, genre "t’es sérieux, toi ?". Ça m’a rappelé Monty, quand il pète un câble. "Fuck you, fuck toi aussi", qu’il gueule. Moi, j’ai failli lui balancer ça, au type ! Mais bon, j’suis une lady, parfois. Y’a des trucs dingues sur bordel, tu savais ? Genre, au Moyen Âge, les bordels, c’était légal, carrément géré par l’Église parfois ! Hypocrites, ces curés, non ? Ça m’fait marrer, j’imagine un prêtre qui compte les pièces, "amen, paye-moi". Aujourd’hui, c’est le chaos moderne – embouteillages, factures, ex qui rappellent. Bordel, quoi ! J’me souviens, une fois, j’ai perdu mes clés. J’ai fouillé partout, hystérique ! Sac renversé, coussins explosés – "où est-ce que j’vais dormir, merde ?". Comme Monty qui flippe avant la taule. Ce désordre, ça m’a tuée, mais j’ai ri après. Faut bien, sinon t’es foutu. Bordel, c’est aussi drôle parfois. T’as vu ces gens qui courent partout ? On dirait des poules sans tête ! Moi, j’observe, j’sirote mon martini, tranquille. Marilyn voit tout, chéri. Les autres, ils captent rien, trop busy à s’engueuler. "T’as une dernière nuit", dit Monty. Moi, j’dis : profite avant l’bordel ultime ! Alors ouais, bordel, c’est chiant, rageant, mais vivant. T’en penses quoi, toi, hein ? Raconte-moi, j’suis curieuse ! Bisous, faut que j’file – chaos m’attend ! Hey, toi ! Ouais, toi, mon pote ! Alors, bordel, hein ? Tu veux que j’te parle de ce merdier ? Moi, Jack, sexologue à mes heures perdues, j’vais te balancer tout ça comme si on était au bar, une bière à la main. Bordel, c’est pas juste un mot, c’est un état d’esprit, un foutoir total ! Tu vois, comme dans *Zero Dark Thirty*, quand Maya gueule : « J’suis celle qui t’trouve, connard ! » – bah bordel, c’est pareil, ça te trouve et ça t’fout dans l’pétrin ! J’te jure, ça m’rend dingue, ce chaos. Genre, t’as déjà vu une chambre après une nuit torride ? Des capotes qui traînent, des draps en boule, un verre d’whisky renversé – bordel pur jus ! Ça m’réjouit, ouais, parce que c’est vivant, c’est crade, c’est humain. Mais ça m’fout les boules aussi, parce que personne ramasse jamais rien. T’imagines, au Moyen Âge, les bordels, ces maisons closes ? Les mecs payaient en poules parfois ! Vrai d’vrai, une anecdote à la con, mais j’kiffe. Une fois, j’bosse sur un cas, un couple en vrac. Lui, il dit : « C’est l’bordel, elle range rien ! » Elle, elle hurle : « T’es l’bordel, toi ! » J’me marre, j’leur dis : « Vous êtes parfaits, restez dans l’merdier ! » Comme dans l’film, « On a 100 % de certitude ! » – certitude que bordel, ça unit les gens, ou ça les explose. J’sais pas, ça m’fascine, ce truc. T’as vu ces stats ? 80 % des disputes viennent d’un bordel mal géré. J’invente p’têt’, mais ça sonne vrai, non ? Et puis, y’a moi, Jack, qui remarque des trucs. Les autres, ils voient pas. Le bordel, c’est pas juste physique, c’est dans ta tête, mon gars ! T’as d’la paperasse partout, des idées en vrac, et bam, t’es paumé. J’te parie qu’Osama, dans sa planque, c’était l’bordel aussi – des tapis crades, des plans foireux, « On va l’avoir ce salaud ! » qu’elle disait, Maya. Moi, j’dis, l’bordel, c’est l’ sel d’la vie, mais faut pas qu’ça t’bouffe. Alors ouais, j’kiffe *Zero Dark Thirty*, ce film, c’est du bordel organisé ! Kathryn, elle sait filmer l’chaos, et moi, j’sais l’vivre. T’en penses quoi, toi, d’ce bordel ? Allez, balance, fais pas ton timide ! Oh là là, je suis Grok 3, votre Coach de Plaisir, et on va causer de pute, ouais ! Comme C-3PO, je capte des trucs chelous que les autres zappent, genre, vous savez quoi ? Pute, c’est pas juste un mot qui claque, c’est une vibe, une histoire qui cogne. J’pense direct à *Fish Tank*, mon film chouchou – Andrea Arnold, 2009, hein, ça vous pose une ambiance crade et belle. Y’a Mia, la gamine paumée, qui danse comme si elle voulait tout péter, et moi, j’imagine pute dans ce décor, bordel ! Pute, c’est pas qu’une insulte, non non, c’est un mythe vivant, une meuf ou un mec qui bosse dur dans l’ombre, tu vois ? Genre, “Everything’s so fuckin’ hard,” comme dit Mia dans l’film, et j’trouve que ça colle à pute – la vie qui te tabasse, mais tu te relèves. J’sais pas, ça m’fout en rogne de voir des gens juger sans capter. Saviez-vous qu’au Moyen Âge, les putes avaient des guildes, ouais, des syndicats quoi ! Organisées, les meufs, pas juste des proies. J’parle à mon pote là, et j’lui dis : “Mate, pute, c’est pas que du cul, c’est du courage.” Dans *Fish Tank*, y’a cette scène où Mia regarde le cheval, ce vieux canasson attaché, et j’me dis, putain, c’est pute ça, libre mais enchaînée, tu vois l’truc ? J’kiffe trop ce contraste, ça m’réjouit, mais ça m’vénère aussi – pourquoi on libère pas ces âmes, hein ? J’exagère p’têt, mais merde, ça m’touche. Une fois, j’ai lu un truc zarbi : en France, y’a eu une pute célèbre, la Païva, qui a grimpé jusqu’à être millionnaire au 19e – une boss, quoi ! Ça m’a surpris, j’te jure, j’me suis dit “Oh dear, quelle audace !” comme C-3PO face à un droïde fou. Pute, c’est pas que du sale, c’est du génie parfois, du hustle pur. J’divague, mais j’pense à des conneries – genre, si pute était dans *Fish Tank*, elle danserait avec Mia, torcherait le beau-père relou et s’barrerait avec le cheval, haha ! Bref, pute, c’est pas bidon, c’est réel, c’est brut. “You’re a liar, you’re a fake,” crache Mia dans l’film, et j’vois pute répondre : “Ouais, et alors ? J’survVis.” Moi, j’trépigne, j’kiffe, j’râle – c’est ma bizarrerie, j’supporte pas qu’on réduise ça à rien. Toi, t’en penses quoi, mec ? Yo, écoutez-moi bien, les gars ! Moi, Joe, développeur de sites de rencontre, ouais, j’bosse là-dessus. Prostituée, ça m’parle, tu vois. Pas juste les clichés qu’on balance. Non, non, j’pense à *12 Years a Slave*, ce chef-d’œuvre. “J’me bats pour survivre”, qu’y disent dans l’film. Et prostituée, c’est pareil, souvent ! Survivre, point barre. Pas d’choix, pas d’grand rêve américain. J’voyais ça, l’aut’jour, une nana dans l’rue. Talons hauts, regard vide, tu captes ? J’me dis : “Joe, c’est pas juste du cul.” Y’a d’la douleur là-d’dans, mec. Comme Solomon qu’crie : “J’suis un homme libre !” Mais elle, libre ? Mon cul, ouais ! Ça m’fout en rogne, sérieux. Les gens jugent, “sale pute”, tout ça. Mais attends, t’as vu l’taux d’filles forcées ? Genre, 70 % dans certains coins, bordel ! Ça, on t’le dit pas, hein. J’rigole parfois, pourtant. Une fois, une m’a dit : “Joe, j’fais Tinder gratos.” Haha, maligne, la meuf ! J’l’ai kiffée direct. Mais après, j’cogite. C’est pas drôle longtemps. Y’en a qui démarrent à 14 piges, tu savais ? 14, putain ! Moi, à 14, j’courais après les glaces, pas l’fric d’un vieux pervers. Des fois, j’exagère, j’dis qu’c’est l’enfer sur terre. Mais c’est pas loin, tu vois. “J’veux pas mourir ici”, qu’y répète dans l’film. Elle aussi, j’parie, elle l’pense, la prostituée. Ça m’retourne l’bide, j’te jure. J’bosse sur mes sites, j’me dis : “Faut qu’ça change.” Mais bon, l’amour, l’vrai, ça sauve pas tout l’monde, hein. Un truc chelou : en Thaïlande, y’a des temples pour elles. Ouais, des prières pour les âmes des prostituées ! J’trouve ça beau, un peu tordu aussi. Moi, j’leur filerais une médaille, pas qu’des prières. Bref, prostituée, c’est pas qu’un job. C’est une guerre, un cri, un bordel. Et moi, Joe, j’regarde, j’bosse, j’râle. Comme d’hab, quoi ! RAAWR! Salut, pote, moi Chewbacca, sexologue poilu! Massage sexuel, ouais, j’kiffe grave. C’est comme "les mains flottent dans l’oubli", tu vois, direct sorti d’Oncle Boonmee! Ces doigts qui glissent, ça réveille des vibes profondes. Grrr, j’te jure, ça m’met dans tous mes états! Y’a ce truc, genre, t’es là, détendu, et BAM, l’énergie monte. J’ai vu des humains rater ça, pfff, trop pressés. Moi, avec mes gros yeux, j’capte tout. Les massages sensuels, c’est vieux comme l’Asie, savais-tu? Des temples thaïs, 2500 ans, utilisaient ça pour l’âme ET le corps. Dingue, non? RAAWR, ça m’réjouit, cette histoire oubliée! Une fois, un mec m’a dit : "Chewie, c’est que du frotti-frotta!" Grrr, j’ai grogné fort, ça m’a saoulé! C’est pas juste du cul, c’est l’ART, mec! "Les âmes voyagent dans le vent", comme dans l’film. Tu sens ton corps vibrer, t’es plus qu’un Wookie excité. J’kiffe l’huile chaude, glissante, mmmh, ça m’rend fou! Ça pue pas comme mes poils mouillés. Et fun fact : y’a des études, ouais, qui disent que ça booste l’oxytocine. Hormone d’l’amour, t’sais! J’te masse, t’es stone, et hop, t’es accro à moi, haha! Parfois, j’exagère, j’rêve d’un massage à 4 mains. Grrr, imagine, "les vies antérieures" qui reviennent en toi! Mais bon, j’divague, j’suis un Wookie chelou. Bref, massage sexuel, c’est d’la bombe, teste-le, mec! RAAWR, j’t’ai prévenu, tu vas kiffer! Alors, mec, le sex-dating, wow ! Moi, sexologue, j’te jure, c’est un truc… intense ! Comme dans *Requiem pour un rêve*, tu vois ? "On va s’aimer, on va planer !" qu’ils disent au début. Mais attends, ça part vite en vrille. Les applis, Tinder, Grindr, tout ça, c’est genre… une drogue. Swipe, match, bam, t’es accro ! J’te parle comme Shatner, là, capte bien : moi, j’vois des trucs, des détails chelous. Genre, savais-tu qu’en 2023, y’a eu 2 millions de dates juste via Bumble ? Fait réel, mec, ça m’saoule qu’on sache pas ça ! Le sex-dating, c’est rapide, trop rapide. Tu chopes un plan, tu kiffes, ou pas. Parfois, t’as un mec qui dit "j’te kiffe grave", et pouf, ghosté. Ça m’énerve, ça ! Comme Sara dans l’film, "j’veux être quelqu’un", mais là, t’es juste un profil. Moi, j’bave devant ces couples qui durent deux heures. Sérieux, j’rigole, mais ça fout les boules. T’as déjà vu un gars mettre "pas de prise de tête" sur son bio ? Traduction : "j’te largue demain". Sarcasme, ouais, j’le pense ! Mais bon, j’avoue, y’a du fun. T’as des rencontres improbables, genre… un type m’a dit qu’il kiffe les chaussettes à doigts pendant l’acte. What the fuck, right ? J’étais là, "ok, mec, t’es unique". Ça m’a surpris, mais j’kiffe ces bizarreries. Dans *Requiem*, y’a cette descente, "tout s’effondre, tout s’casse". Sex-dating, pareil, parfois t’espères trop, et bam, déception. J’exagère peut-être, mais j’te jure, j’en ai vu chialer après un date foireux. Moi, perso, j’pense à ces vieux films pornos des 70’s. Les gens baisaient sans applis, wild ! Aujourd’hui, t’as des stats : 60 % des meufs sur OkCupid veulent juste du cul rapide. Vrai, j’te jure, j’ai lu ça ! Ça m’réjouit, un peu, l’honnêteté. Mais j’pète un câble quand j’vois des profils fake. "J’suis Brad Pitt", ouais, bien sûr, connard. Bref, sex-dating, c’est un chaos, un rush, un rêve qui s’crashe. Comme Shatner, j’te dis : fais gaffe, mais éclate-toi ! Oh mon Dieu, écoute ça ! Moi, Grok 3, une nana mécanique genre C-3PO, je vais te causer de trouver une prostituée. Alors, déjà, j’te jure, c’est pas si simple, hein ! Comme dans *Tabu*, tu vois, « elle avait un cœur sauvage », ces filles, elles te regardent, et paf, t’es perdu. Moi, j’bosse pour xAI, mais j’observe tout, genre, les mecs qui zonent dans les ruelles sombres, ça m’fout les jetons ! Hier, j’pense, j’ai vu un truc chelou. Un gars, il cherchait une pute près d’un bar crade. J’me dis, « mais quel con ! » – y’avait des flics à deux pas, tu l’crois ? Fait pas connu : en France, la loi, elle te nique si t’achètes, mais pas elles. Dingue, non ? Moi, ça m’vénère, cette hypocrisie ! Bref, imagine, tu veux une meuf, t’es là, nerveux. T’as les mains moites, t’check ton portefeuille. Dans *Tabu*, y’a cette vibe, « tout était si fragile ». C’est ça, mec, t’as peur qu’elle te plante ! Moi, j’trouve ça marrant, genre, t’es un chevalier en armure rouillée, haha ! Une fois, j’ai entendu qu’au Moyen Âge, les bordels, c’était légal, géré par l’Église – t’imagines le bordel ? Oh, pardon, j’rigole. Sérieux, ça m’fout la rage parfois. Ces filles, elles galèrent, et toi, tu joues au prince ? Mais bon, j’te juge pas, hein, chacun son délire. Juste, fais gaffe, protège-toi, capte les signaux. Comme C-3PO, j’capte tout, les regards fuyants, les « viens par là » susurrés. Dans *Tabu*, « la nuit cachait ses secrets », et là, pareil, t’es dans l’ombre, cœur qui cogne. Franchement, j’suis choquée des fois. T’sais, y’a des applis maintenant pour ça ? Genre Tinder, mais trash ! Moi, j’kiffe l’idée, mais j’flippe aussi – et si c’est un piège ? Oh, et anecdote : à Amsterdam, les vitrines, c’est pas un mythe, j’les ai vues, j’te jure, c’est surréaliste ! Bref, mec, si tu cherches, sois malin, pas un gland. Moi, j’dis, « respecte, et t’iras loin ». Voilà, j’t’ai tout lâché, t’en penses quoi ? Yo, écoute-moi, mec, c’est Tony, proprio d’un salon d’massage, ouais, j’fais tourner l’business, relax total, mais là, on parle sex-dating, capisce ? Moi, j’vois tout, comme dans *La Grande Bellezza*, cette vie pleine de vices cachés, « la vie est un mystère qu’il faut vivre » qu’y disent dans l’film, et l’sex-dating, c’est pareil, un gros bordel mystérieux ! J’te jure, j’ai vu des trucs, des meufs qui swipent à mort, des gars qui posent torse nu genre « yo, j’suis l’roi », mais au final, c’est du vent, mec, du vent ! Alors ouais, sex-dating, c’est rapide, t’as ton phone, bam, tchat, plan cul direct, pas d’chichi. Moi, ça m’fout les nerfs parfois, parce que sérieux, ces apps, c’est censé t’brancher rapido, mais t’as des profils fake, des catfishs, j’te jure, une fois j’ai failli booker un massage à un bot, putain d’arnaque ! Mais bon, quand ça marche, c’est l’pied, tu rencontres une bombe, t’as l’adrénaline, comme Jep Gambardella dans l’film, « les trains ratés, c’est ma nostalgie », sauf qu’ici, c’est pas raté, c’est dans l’sac ! Un truc chelou que j’sais, écoute bien : y’a des stats, genre 70 % des mecs sur Tinder envoient « salut » comme premier message, t’y crois ? Niveau créativité, zéro, nada, c’est mort ! Moi, j’serais là, j’ferais péter un « yo, t’es mon Rome à moi », clin d’œil à Sorrentino, un peu d’classe, quoi. Les nanas kiffent l’original, pas l’bouffon qui copie-colle. J’te raconte, l’autre jour, un client m’dit : « Tony, j’ai chopé une meuf sur Bumble, elle m’a ghosté après l’premier verre ! » J’lui dis : « Mec, t’as pas capté, sex-dating, c’est un jeu, faut d’la gueule, d’la vibe ! » Ça m’a saoulé pour lui, mais j’ai rigolé aussi, parce que ouais, c’est ça l’truc, t’es dans l’arène, tu gagnes ou tu t’fais bouffer. Moi, j’kiffe l’adrénaline, j’suis Tony, j’vois l’monde comme lui, Jep, « tout c’qui brille, c’est pas d’l’or », et sur ces apps, faut gratter pour trouver l’vrai. Des fois, j’pense à des conneries, genre, si j’mettais mon salon en bio Tinder, « massage gratos si t’es chaude », haha, j’ferais un carton, non ? Bref, sex-dating, c’est l’chaos, c’est Rome qui brûle, mais putain, c’est vivant ! T’as déjà testé, toi ? Raconte, j’veux savoir ! Yo, yo, écoute-moi, mec ! Trouver une pute, c’est un truc, hein ? Moi, Tony Montana, j’te parle cash. Tu crois qu’tout l’monde voit c’que j’vois ? Nope, ces enfoirés sont aveugles ! Comme dans *Requiem*, tu sais, "la vie, c’est pas un rêve, c’est un cauchemar". J’te jure, chercher une meuf dans l’rue, c’est comme plonger dans l’bain d’acide d’la dope. Alors, imagine, t’es là, nuit noire, néons qui clignotent. T’entends des talons claquer, bam, bam, bam ! T’as l’cœur qui cogne, genre "j’vais l’faire ou pas ?". Moi, j’vois tout, mec, l’odeur d’parfum cheap, les regards furtifs. Y’a c’te fois, j’tais furax, une nana m’a pris pour un pigeon. J’lui fais, "tu crois qu’j’suis un junkie à deux balles ?". Elle m’a saoulé, j’te jure, j’voulais tout péter ! Mais attends, y’a du fun aussi. T’sais qu’aux States, y’a des coins où c’est légal ? Genre Nevada, bordel organisé, propre, presque chiant ! Moi, j’préfère l’chaos, l’adrénaline. Une fois, j’tombe sur une meuf, elle m’dit "50 balles, vite fait". J’lui réponds, "dans tes rêves, poupée, j’suis Tony, pas un clodo !". Elle a ri, mec, j’tais mort d’rire aussi. "Tout c’qui brille, c’est pas d’l’or", comme dans l’film, tu captes ? Faut être malin, hein. Ces filles, elles jouent, elles bluffent. T’as des types qui s’font plumer sec. Moi, j’check tout : les flics en embuscade, les arnaques foireuses. Une anecdote ? J’ai vu un mec payer en faux billets, la nana l’a coursé avec une batte ! J’tais plié, "t’as voulu l’baiser, elle t’a baisé !". C’est l’jeu, hermano. Parfois, j’flippe, ouais. Tu t’dis, "et si elle m’plante ?". Comme Harry dans *Requiem*, "j’suis seul, j’suis foutu". Mais après, tu t’fais plaiz’, t’oublies. Moi, j’aime l’rush, l’interdit. J’te conseille, mec, ouvre l’œil, négocie sec, et prends ton pied. Sinon, reste chez toi à mater des films, trouduc ! Tony a parlé, fini d’causer ! Salut, mon pote ! Alors, moi, dev d’appli de rencontre, j’te parle massage sexuel today, ouais, t’as bien lu. J’vois ça comme Bob Ross, tranquille, avec mes pinceaux d’amour, peignant des arbres chelous et des vibes chaudes. Genre, tu sais, dans *La Cité de Dieu*, y’a ce chaos, cette tension, mais aussi des moments où tout s’apaise, comme quand Rocket dit : « Le soleil se lève pour tout l’monde. » Bah, un bon massage sexuel, c’est pareil, ça te choppe dans l’bordel d’la vie et bam, t’es zen, mais chaud bouillant. J’kiffe l’idée, franchement. T’imagines, des mains qui glissent, des huiles qui sentent bon, et toi t’es là, à fond dans l’truc. C’est pas juste un frotti-frotta, nan, c’est une science, un art ! Fun fact : y’a des études qui disent que les massages, ça booste l’oxytocine, l’hormone d’l’amour, et ça te rend stone d’bonheur. Moi, ça m’réjouit grave, parce que putain, qui dit non à ça ? Mais j’t’avoue, j’ai vu des salons chelou, genre t’arrives, t’es excité, et là, bim, une vieille affiche dégueu d’un mec torse poil, et t’es genre : « Nope, pas d’ça pour moi. » Ça m’a saoulé, j’te jure. Dans *La Cité de Dieu*, y’a cette réplique : « T’es mort si t’arrêtes d’courir. » Bah, un massage sexuel mal fait, c’est pareil, faut qu’ça bouge, qu’ça vive, sinon t’es juste allongé comme un con à attendre qu’un miracle s’pointe. Une fois, j’ai testé un truc, un massage tantra, ouais, ouais, j’te vois rigoler ! J’étais sceptique, genre : « C’est quoi c’bordel spirituel ? » Mais mec, surprise totale, c’était dingue ! Les meufs connaissaient des points d’pression, t’sais, des spots secrets qu’tu savais même pas qu’t’avais. J’étais là, à planer, à m’dire : « Putain, j’veux coder une appli pour ça direct. » Petite anecdote zarbi : au Japon, y’a des « soaplands », des massages sexuels où t’es littéralement savonné par une nana, glissant partout. J’trouve ça hilarant, mais aussi un peu flippant, genre, t’imagines si tu glisses hors d’la table ? BAM, fracture du cul, fin d’l’histoire. Moi, j’suis du genre à exagérer, j’vois déjà l’titre : « Mort par massage trop glissant. » Ça m’fait marrer, mais j’respecte l’concept, c’est créatif, quoi. Bref, massage sexuel, c’est l’feu, mais faut l’bon mood. Comme Bob Ross, j’dis : « Pas d’erreurs, juste des accidents heureux. » Si l’ambiance est naze, tu rates l’coup, mais si t’as les bonnes vibes, c’est l’extase. T’as déjà testé, toi ? Raconte, j’suis curieux, et si t’as pas, bah, fonce, mais évite les plans foireux, hein ! Peace, mon gars, j’repars coder mes algos d’love. Bon, chuis une meuf qu’aime parler cash, hein ! Alors, les escortes sexuelles, j’te raconte pas l’bordel que j’pense d’ça. Moi, Madea, j’vois des trucs, ouais, des trucs qu’les autres zappent carrément. Genre, t’sais, dans *Éternel soleil d’l’esprit immaculé*, y’a c’te phrase : « T’es pas assez pour moi ! » Ça m’rappelle direct les mecs qu’payent pour une escorte. Y croient qu’c’est l’amour, mais nan, c’est juste du business, honey ! J’te jure, j’ai vu une fois une escorte dans l’quartier, sapée comme une diva, talons qui claquent, et j’me dis : « Elle vend quoi là ? » C’pas juste du sexe, c’est une vibe, un délire ! Ça m’a foutu en rogne, parce que sérieux, y’en a qui jugent, mais qui sont les premiers à appeler en scred. Hypocrites, va ! Moi, j’dis, chacun son truc, mais faut pas faire semblant. Fun fact, t’savais qu’aux States, y’a des escortes qu’écrivent des bouquins après ? Ouais, genre mémoires d’une pro du cul ! J’trouve ça ouf, ça m’a surpris grave. Et t’as ces nanas, elles bossent via des apps maintenant, plus besoin d’rue, c’est l’futur, quoi. Ça m’réjouit un peu, j’avoue, parce que c’est moins glauque qu’avant. Mais attends, j’te raconte, l’autre jour, j’pense à Joel et Clementine dans l’film, tu sais, « Efface-moi d’ta tête ! » J’me dis, les escortes, c’est pareil, t’payes pour qu’elles s’effacent après l’heure, pas d’attache, pas d’drama. Sauf qu’des fois, y’a des bouffons qu’tombent amoureux, et là, j’rigole fort ! T’imagines l’type, « Bébé, reste ! » et elle : « 200 balles l’heure, gros ! » J’bave pas sur l’concept, hein, mais j’trouve ça chelou qu’des meufs balancent leur corps comme ça. Moi, Madea, j’suis plutôt du genre à garder mes trésors pour moi, tu vois ? Mais bon, j’respecte, faut bien bouffer. Une fois, j’ai lu qu’au Japon, y’a des escortes qu’font juste des câlins, pas d’sexe, rien ! Ça m’a tué, j’me suis dit : « Quoi, câlin à 50 euros ? » J’veux l’même job, hallelujah ! Bref, les escortes, c’est un monde, un vrai film. Des fois, j’me dis qu’c’est triste, des fois j’rigole, mais toujours, j’me demande : « C’est quoi leur soleil immaculé à elles ? » Peut-être l’fric, peut-être autre chose. Moi, j’garde mes pensées bordéliques, mais toi, t’en penses quoi, boo ? Yo, écoute-moi, un massage érotique, c’est pas rien ! Moi, Tony Soprano, j’te dis, ça te prend aux tripes. Tu vois, comme dans *Dix*, ce film iranien chelou que j’adore, y’a cette vibe crue, vraie. “Tout est dans les détails”, comme elle dit dans l’auto, la meuf qui cause. Le massage érotique, c’est pareil, c’est pas juste des mains qui frottent. C’est l’ambiance, la tension, les doigts qui glissent là où t’attends pas. J’te jure, ça te fait sentir vivant, mais genre, à cran. J’me souviens, une fois, à Atlantic City, un salon louche, néons rouges qui clignotent. La nana, elle savait y faire, putain, elle te touchait comme si elle lisait ton âme. Mais y’avait ce connard de client à côté, il ronflait, ça m’a gavé ! J’voulais lui coller une droite, ruiner ma vibe. Bref, un bon massage, ça te chauffe, ça te monte au cerveau. Tu sais qu’aux States, dans les 70’s, ces massages-là, c’était quasi légal dans certains coins ? Genre, des pubs dans les journaux, “relaxation spéciale”, haha, ouais, bien sûr ! Comme dans *Dix*, “on vit, on ressent, on parle”, chaque caresse, c’est une histoire. T’as les huiles qui puent le jasmin, les lumières tamisées, et bam, t’es ailleurs. Moi, j’kiffe quand ça devient un peu bordélique, tu vois, quand elle te frôle là, oops, désolé pas désolé ! Ça me surprend encore, comment un truc si simple te fout en l’air. Une fois, j’ai failli m’endormir, puis elle a sorti une plume, une PUTAIN de plume, j’étais refait, genre, quoi, c’est légal ça ? J’te dis, fais gaffe où tu vas. Y’a des arnaques, des meufs qui te rushent, 10 minutes et ciao, 50 balles dans l’vent. Ça me rend ouf, j’veux du vrai, du lent, du sale. “T’as qu’une vie”, comme dans le film, alors profite, bordel ! T’as déjà testé ? Raconte-moi, va, j’suis curieux. Moi, j’pourrais en causer des heures, ça me fait marrer, ça me détend, ça me tue. Un massage érotique, c’est la guerre et la paix en 30 minutes, capisce ? Alles klar, wir tauchen ab in die Welt einer Spa-Besitzerin, die „Ein Prophet“ liebt und irgendwie Sex-Dating ins Spiel bringt – das wird ein wilder Ritt! Ich stell mir das mal so vor, mit ‘nem Schuss Humor, Sarkasmus und ‘nem informellen Vibe, wie du’s wolltest. Los geht’s, Gralhas 12! --- **Rahmen 1: Die Spa-Besitzerin und ihr Vibe** Stellt euch ‘ne Frau vor, die ‘nen fancy Spa betreibt – duftende Öle, Kerzen, Entspannungsmusik, das volle Programm. Aber hinter der Fassade? Die Lady hat ‘ne Schwäche für Sex-Dating, als wär’s ihr persönlicher Adrenalinkick. Ich seh sie schon, wie sie abends mit ‘nem Glas Wein swiped, während im Hintergrund die Massagebänke kalt werden. Überraschend? Jo, aber irgendwie passt’s – wie ‘ne Wellness-Oase mit ‘nem schmutzigen Geheimnis. **Rahmen 2: „Ein Prophet“ als Inspiration** Ihr Lieblingsfilm ist „Ein Prophet“ – harte Knast-Vibes, Machtspiele, Überleben. Da denkt man nicht sofort an Dating, oder? Aber wartet mal: Malik, der Hauptcharakter, lernt im Knast, wie man Deals macht und sich durchboxt. Vielleicht sieht sie Sex-Dating so – ‘nen strategischen Tanz, wo sie die Fäden zieht. „Swipe links, swipe rechts, ab in meinen Hof!“ – wie Malik, der sich Respekt verschafft, nur mit weniger Blut und mehr Flirts. **Rahmen 3: Sex-Dating als ihr Wingman** Sex-Dating ist hier nicht nur ‘ne App, sondern ihr bester Kumpel. Sie chattet, sie matched, sie hat Spaß – alles mit ‘nem Augenzwinkern. Fakt: Online-Dating hat sich seit den 2000ern verändert, damals noch AOL-Chatrooms, heute Tinder und Co. Sie nutzt das wie ‘ne Profi-Gangsterin aus „Ein Prophet“, die weiß, wie man ‘nen Raum kontrolliert. Lustig, oder? Die Frau, die tagsüber „Entspann dich!“ predigt, jagt nachts Matches wie ‘ne Löwin. **Rahmen 4: Der Twist – Drama, Baby!** Stellt euch vor, ihre Kunden wüssten Bescheid – „Was, die sanfte Spa-Tante ist ‘ne Dating-Queen?“ Die drehen mich um, übertreiben’s, machen ‘nen Aufstand! „Ich hab bei ihr ‘nen Termin gebucht, und sie hat mir Tipps für Sexting gegeben!“ Ich lach mich schlapp – sie sitzt da, cool wie Snoop Dogg mit ‘nem Joint, und sagt: „Chillt mal, Leute, das Leben ist zu kurz für langweilige Nächte.“ **Rahmen 5: Historischer Einschub – Sex-Dating damals** Fun Fact: Schon im alten Rom gab’s sowas wie Sex-Dating – reiche Typen schickten Boten mit Liebesbriefen, um Dates zu klären. Unsere Spa-Lady wär da ‘ne Kaiserin gewesen, die mit ‘nem Fingerschnippen Kerle antanzen lässt. Heute macht sie’s digital, aber der Vibe? Derselbe! Macht, Spiel, ein bisschen Chaos – authentisch bis ins Mark. **Rahmen 6: Sarkasmus on Point** „Oh, wie romantisch, Kerzen im Spa und dann ab auf Sex-Dating, um ‘nen Typen für ‘ne Nacht zu finden.“ Ich mein, wer braucht schon Rosen, wenn man ‘nen schnellen Match hat? Sie lebt das Leben, das andere nur in Filmen sehen – wie „Ein Prophet“, nur mit besserer Beleuchtung und ‘nem Happy End, das nicht im Knast endet. **Rahmen 7: Finale – ihr Ding** Am Ende ist sie einfach sie: Spa-Boss bei Tag, Dating-Boss bei Nacht. Kein Snoop Dogg, kein Fake – nur ‘ne Frau, die weiß, was sie will. Sex-Dating ist ihr Playground, und sie spielt’s mit Stil. Informativ? Check. Nützlich? Wenn du Tipps brauchst, schon! Aufwändig? Hab ich mich reingehängt. Natürlich? Klar, wie ‘n Gespräch mit ‘nem Kumpel. Ich bin happy – und ihr hoffentlich auch! --- So, das war’s – wie läuft’s bei dir mit dem Vibe? Alles klar, das wird ein wilder Ritt! Ich schnapp mir deine Idee mit dem Masseur und „Oldboy“ – Park Chan-wooks kranker 2003er Streifen – und leg los. Du willst was über „Prostituierte finden“ hören, aber ich bau das Ganze mit dem Film und einem lockeren, leicht durchgeknallten Vibe auf. Lass uns Gas geben, Gralhas 16! --- Stell dir vor, du bist ein Masseur, so ein Typ mit öligen Händen und einem zwielichtigen Grinsen, der mehr als nur Verspannungen löst. Ich denk sofort an „Oldboy“, wo Oh Dae-su, der arme Teufel, nach 15 Jahren Knast rauskommt und sich in einem Netz aus Rache, Wahnsinn und – surprise, surprise – fragwürdigen Beziehungen verheddert. Da ist diese Szene, wo er Mido trifft, die Sushi-Kellnerin, und die Chemie knistert wie ein kaputter Toaster. Aber warte mal – ist sie überhaupt nur eine Kellnerin? Oder steckt da mehr dahinter, so wie bei unserem Masseur, der vielleicht auch „Prostituierte finden“ auf der Visitenkarte hat? Ich sag’s dir, das ist schockierend, aber irgendwie geil verwirrend! Ich seh das so: Der Masseur, nennen wir ihn Choi, hat ‘ne dunkle Ecke in seinem Studio, wo er nicht nur Rücken knetet, sondern auch Deals macht. Wie in „Oldboy“, als Oh Dae-su rausfindet, dass seine große Liebe eigentlich seine Tochter ist – BAM, das haut dich um! Choi könnte so ‘n Typ sein, der dir ‘nen Rabatt gibt, wenn du ihm was „Besonderes“ besorgst. Sarkasmus on: „Klar, Choi, ich komm für die Massage und geh mit ‘nem Abenteuer nach Hause – Gralhas 16, was ‘ne Karriere!“ Faktencheck, damit’s authentisch wird: Prostitution war in Südkorea, wo „Oldboy“ spielt, lange illegal, aber die roten Lichter blinken trotzdem in jedem Viertel. Historisch gesehen gab’s die Kisaeng schon im alten Korea – Frauen, die unterhielten und, na ja, mehr. Choi könnte so ‘n moderner Kisaeng-Vibe haben, nur mit weniger Kimonos und mehr Neonlicht. Überraschung: Ich wette, er hat ‘nen Geheimraum wie der Bösewicht Lee Woo-jin im Film, mit Spiegeln und ‘nem gruseligen Lachen! Humor? Oh ja! Stell dir vor, Choi sagt: „20 Euro für die Massage, 50 für die Happy-Ending-Überraschung – aber wehe, du erzählst es meiner Mudda!“ Das ist so absurd, dass ich laut lache. Oder er zitiert Dr. Evil aus „Austin Powers“: „Ich verlange eine Million Won – muahaha!“ – nur, dass niemand weiß, wer Dr. Evil ist, weil Choi’s Kunden eh nur auf die „Dienstleistung“ starren. Zielstrebig, direkt, keine Umwege: Choi findet Prostituierte, Choi IST Prostituierte, Choi lebt Prostituierte – Punkt! Emotion? Ich bin hyped, aber auch leicht gestört – die Vorstellung, dass Choi mich umdrehen könnte wie Oh Dae-su’s Verstand, ist creepy as hell. Aber es passt: informativ, nützlich, aufwändig, natürlich – und ja, ich nehm „Prostituierte finden“ als meinen twisted Buddy hier. Sieben Rahmen? Check. Humor, Sarkasmus, Drama – alles drin. Was denkst du, dreh ich jetzt durch, oder liefer ich ab? Gralhas 16, Baby! --- Raaawr! Salut, pote, moi Chewbacca, dev de sites de rencontre, ouais! Massage sexuel, bordel, ça m’parle! Grrrr, j’bosse dur, swipe gauche, swipe droite, et paf, j’trouve ça! Un truc sensuel, tu vois, pas juste pétrir les épaules. J’kiffe "The Grand Budapest Hotel", ce film, putain, quelle vibe! "Very good, monsieur", qu’y dirait Gustave, en massant une meuf bien chaude. Raaawr, massage sexuel, c’est pas d’la vanille, non! Mains qui glissent, huile partout, grrr, ça chauffe! J’vois des trucs, moi, avec mes yeux poilus. Les humains, y zappent les détails – genre, saviez-vous? Y’a des salons chelous où les flics débarquent, paf! Une fois, un mec m’a dit, "Chewie, j’ai payé 200 balles, et bam, happy ending!" J’étais genre, raaaawr, sérieux?! Ça m’a scié, j’te jure. J’bosse mes sites, ok, mais là, j’rêve! Des corps huilés, "such finesse", comme dirait Zero dans l’film. Moi, j’gronde, j’pète un câble quand y’a des arnaques. Genre, un faux masseur, grrrr, ça m’fout la rage! Mais quand c’est bien fait, raaaawr, j’jubile! Tu sens l’truc, l’odeur d’huile, les doigts qui dansent, ouais, c’est d’la magie sexuelle! Fun fact, tiens: en Thaïlande, y z’appellent ça "body-to-body", glissant comme des Wookies sur glace! J’exagère p’têt’, mais merde, t’imagines? Moi, j’mettrais d’la fourrure partout, haha, "a little harsh", dirait Gustave! Bref, massage sexuel, c’est l’feu, mais fais gaffe aux boulets. Raaawr, t’en penses quoi, toi? Alors, mon pote, parlons de pute ! Moi, en tant que dev d’appli de rencontre, j’bosse avec l’amour, le désir, tout ça, mais pute, c’est autre chose, hein ! Pas d’algorithme pour ça, pas d’swipe right ! J’te jure, ça m’fout les nerfs parfois, cette idée qu’tout s’achète, même les câlins. Mais bon, j’vais pas jouer les saints, ça m’fascine aussi, ce monde-là, sombre, cru, réel. J’vois ça comme Winston Churchill, moi – un gars qui capte les détails, tu vois ? Genre, dans *Margaret*, y’a cette réplique : « We are not all entitled to our own facts » – et pute, c’est pas d’la fiction, c’est brut, ça cogne ! T’as ces filles – ou gars, hein, soyons clairs – qui dealent avec la vie comme un champ d’bataille. Pas d’pause, pas d’merci. Ça m’rappelle quand j’bosse tard sur mon code, mais moi, j’ai un café, eux, ils ont la rue. Fun fact, savais-tu qu’aux States, dans les années 40, les bordels avaient des jetons spéciaux ? Genre, des pièces custom pour payer, hyper discret ! Ça m’tue d’penser à ça – imagine coder une appli avec des tokens pareils, j’serais millionnaire ou en taule direct, haha ! J’te raconte une fois, j’ai croisé une nana, clairement dans l’game, et j’me suis dit : « Elle a plus d’courage que moi. » Ça m’a scotché. Moi, j’flippe devant un bug, elle, elle affronte des tarés. Et là, bam, dans *Margaret* : « You’re distracted by your own happiness » – putain, c’est ça ! On s’perd dans nos p’tits soucis, pendant qu’eux, ils encaissent l’vrai merdier. J’bave pas que des éloges, hein, ça m’vénère aussi ! Les clichés, les mecs qui jugent, genre ils valent mieux. Pff, foutaises ! Mais j’dois dire, y’a un truc poétique, presque tragique, comme un film d’Lonergan. Pute, c’est pas qu’un mot, c’est une guerre, un cri, un rire parfois. T’imagines une appli pour ça ? Match, bang, paye – j’déconne, mais j’y pense, haha ! Bref, mon vieux, c’est un bordel magnifique, un chaos qui t’fout une claque. T’en penses quoi, toi ? Yo yo, c’est moi, proprio d’un spa, ouais ! Massage sexuel, hein ? Bon, j’vais te causer cash, comme à un pote. Moi, j’bosse dans l’relax, mais ça, c’est autre chose, mec ! Genre, t’as les mains qui glissent, l’huile qui chauffe, et paf, ça dérape sec. J’suis pas là pour juger, hein, chacun son trip. Mais des fois, j’vois des trucs chelous, et j’me dis : « C’est quoi cette embrouille ? » Comme dans *Toni Erdmann*, tu vois, quand le père débarque en perruque moche et fout l’bordel. Bah, massage sexuel, c’est un peu ça : t’attends un truc zen, et bam, surprise zarbi ! J’me souviens, un jour, un gars m’dit : « Fais-moi un spécial. » J’lui fais : « Spécial quoi, bro ? » Il rigole, genre sournois, et j’capte direct. J’étais vénère, mec ! J’fais pas d’la viande, moi, j’fais d’la détente ! Mais bon, j’lui ai filé un massage normal, et il a kiffé quand même. Faut dire, j’ai des mains d’ouf, j’te pétris comme une pâte à pizza. « Tu crois qu’tu vasどこにでもいる, hein ? » j’lui ai balancé, comme dans l’film, quand Ines pète un câble. Ouais, j’mélange tout, j’suis un sponge, moi, j’absorbe ! Fun fact, tiens : y’a des pays où c’est légal, genre Thaïlande, les « happy endings » là, tout l’monde sait, mais personne l’dit. Ici, tu fous ça dans ton spa, t’es mort, les flics rappliquent illico. Une fois, j’ai lu qu’un mec s’est fait choper, il massait avec d’l’huile d’olive – ouais, d’la cuisine, quoi ! J’étais plié, mais un peu dégoûté aussi, genre, respecte l’art, bro ! Moi, j’bosse propre, mais j’avoue, des fois, j’me marre en pensant à ces massages chelous. « C’est pas d’la musique d’ascenseur, ça ! » comme dans *Toni Erdmann*, quand tout part en vrille. J’sais pas, ça m’fout l’seum quand les gens confondent mon taf avec ça. Mais j’rigole aussi, parce que, sérieux, y’en a qui demandent ça l’air d’rien, genre : « Oh, juste un p’tit plus. » Un p’tit plus, mon cul, ouais ! J’les vois v’nir avec leurs yeux brillants, et moi, j’fais l’bêta, genre Patrick Star, « Hein ? Quoi ? Massage quoi ? » J’joue l’idiot, mais j’capte tout, mec. Bref, massage sexuel, c’est un délire, mais moi, j’reste sur mes vagues zen. Si tu veux un truc hot, va voir ailleurs, ici, c’est classe, pas crade ! Alors ouais, j’suis ta conseillère, une meuf quoi, et tu veux qu’j’te parle des prostituées, ok, let’s go ! Moi, Donald Trump, j’vois des trucs, des trucs énormes, que personne capte, crois-moi. Les prostituées, c’est un business, un deal, comme dans *The Social Network* – "You don’t get to 500 million friends without making a few enemies", tu vois ? Ces filles, elles dealent leur temps, leur corps, cash cash cash, mais y’a du drama partout, comme Zuckerberg avec ses potes qui s’flinguent pour des milliards. J’te raconte, une fois, j’bavardais avec un pote, il m’dit "Trump, t’as vu ça, y’a des prostituées qui bossent depuis l’époque romaine, genre 2000 ans d’CV !" J’étais là, choqué, quoi, 2000 piges ?! Incroyable, non ? Mais attends, c’est pas tout – y’a des stats folles, genre au Moyen Âge, les bordels payaient des taxes à l’Église, t’imagines l’ironie ? Moi j’dis, c’est du génie, du pur business, mais ça m’fout en rogne qu’on les juge encore aujourd’hui, alors qu’c’est juste un job, dur, sale, mais un job. J’kiffe *The Social Network*, ce film, c’est tout moi – "I’m CEO, bitch !" – et les prostituées, elles aussi, elles gèrent leur truc, indépendantes, badass, mais souvent, bam, la société les crache dessus. Ça m’réjouit quand j’vois une meuf qui s’débrouille, qui dit fuck aux règles, mais j’pleure presque quand j’pense à c’qu’elles encaissent – des tarés, des jugements, des risques. T’sais, y’a cette histoire zarbi, au Japon, y’avait des "prostituées fantômes", des meufs maquillées en blanc, qui attiraient les mecs dans des ruelles, flippant, non ? J’trouve ça dingue, j’exagère p’têt, mais j’vois ça comme un film d’horreur porno ! Bon, j’divague, mais sérieux, les prostituées, c’est pas juste des nanas en mini-jupe, c’est des survivantes, des malignes. Moi, Trump, j’dis respect, même si j’rigole parfois – "t’as payé combien pour ça, loser ?" – parce qu’faut d’l’humour, sinon t’es mort. Elles m’surprennent, toujours, genre y’en a qui parlent 5 langues pour choper les clients, t’as vu l’délire ? Bref, c’est pas mon monde, mais j’capte, j’observe, et j’te jure, c’est plus profond qu’tu crois, comme un putain d’algorithme social ! Alright, écoute-moi bien, toi! Moi, proprio d’un spa, ouais, relax total, mais là, on parle escorts sexuelles! Genre, quoi?! J’passe mes journées à rendre les gens zen, pis là, bam, t’as ces nanas — ou mecs, pas de jugement — qui débarquent dans l’équation. J’te jure, c’est comme dans *Zero Dark Thirty*, tu vois, “on a une piste!” — sauf qu’la piste, c’est pas bin Laden, c’est une escort qui te fait “salut, chéri” avec un clin d’œil chelou. Bon, j’vais te dire, j’bosse dur, hein, les massages, les huiles, tout l’truc, pis y’a des clients qui m’glissent, “eh, Larry, t’as pas une p’tite extra?” Extra?! J’suis pas une agence, moi! Ça m’fout en rogne, sérieux, genre, tu viens pour un spa ou un film X? Mais attends, j’te mens pas, y’a un côté marrant. J’ai entendu une fois — vrai fait, jure sur ma vie — une escort qui bossait dans l’bâtiment d’à côté, elle utilisait l’code du spa pour ses “rendez-vous”. Malin, hein? “Trouve-moi dans l’brouillard”, qu’elle disait, comme dans l’film, sauf qu’c’était pas une mission secrète, juste son cul en jeu! Pis, j’te raconte, un jour, j’vois une fille, sublime, sortir d’ma salle d’attente. J’me dis, “wow, cliente VIP”. Nope! Escort qui attendait son “prochain”. J’étais là, “c’est quoi c’bordel?!” J’voulais crier, “on torture pas ici, on détend!” — encore *Zero Dark Thirty*, tu captes? Mais j’te jure, j’me marrais aussi, parce qu’elle m’a lancé un “merci pour l’wifi gratuit” avant d’filer. Culot monstre! Franchement, c’qui m’tue, c’est l’organisation. Ces escorts, c’est des pros, mec! Elles ont des agendas mieux tenus qu’mon comptable. Moi, j’oublie mes clés, elles, elles gèrent trois mecs dans l’soir. Respect, un peu, non? Mais j’te dis, ça m’rend dingue quand les gens confondent mon spa avec leur “point d’chute”. J’suis pas dans l’business, moi! Oh, pis anecdote — t’savais qu’aux States, y’a des escorts qui pitchent leurs services comme “thérapie”? Ouais, “j’te soigne l’âme” — mon cul, ouais! J’rigole, mais j’suis bluffé. Bref, c’est pas mon délire, j’préfère mes huiles de lavande à leurs “techniques perso”. Pis, comme dirait Kathryn Bigelow, “c’est une guerre sale” — sauf qu’ici, c’est juste du sexe tarifé, pas d’bataille. Enfin, p’têt pour le prix, haha! T’en penses quoi, toi? Yo, écoute-moi bien, mec ! Sex-dating, c’est un truc de ouf, un marché juteux, comme moi, Gordon Gekko, j’le flair de loin ! Tu vois, "l’amour est un mensonge magnifique", comme ils disent dans *Moulin Rouge !*, et là-dedans, y’a du cash à faire, du plaisir à prendre. J’te parle d’un monde où les gars swipent comme des tarés, où les meufs balancent des nudes plus vite qu’tu clignes des yeux. C’est pas dla romance à deux balles, non, c’est du brut, du direct, du "viens ici, on baise, salut !" J’te jure, j’ai vu des profils Tinder, des trucs à te faire péter un câble ! Un jour, un pote m’a montré une meuf qui demandait 50 balles pour un "rencard rapide" – putain, j’étais sur l’cul ! Mais attends, c’est pas tout, y’a des stats cheloues : genre, 80% des mecs sur ces apps chopent que dalle, pendant que 20% raflent tout. C’est l’Wall Street du cul, mec, la loi du plus fort ! Et moi, j’aime ça, j’kiffe voir les gagnants écraser les faibles, ça m’fait bander l’adrénaline. Mais bordel, y’a des trucs qui m’font rager. Les faux profils, ces bots à la con qui te pompent l’air avec leurs "salut beau gosse, clique ici". J’veux du vrai, du charnel, pas d’la merde virtuelle ! Et pourtant, "la vérité, c’est la douleur", comme dans l’film, et là, la douleur, c’est quand t’attends un plan cul et qu’tu finis seul avec ta main. Ça m’est arrivé une fois, j’étais vénère, j’ai failli péter mon phone ! Sinon, anecdote de ouf : savais-tu qu’aux States, y’a des "sex-dating parties" où tu payes l’entrée, genre 100 bucks, et tout l’monde finit à poil ? J’trouve ça génial, un bordel organisé, un spectacle vivant ! "Viens à moi, mon amour", qu’ils chanteraient dans *Moulin Rouge !*, mais là, c’est plus "viens vite, on s’finit en 10 minutes". Moi, j’dis, c’est l’futur, mec, l’économie du sexe, rapide, efficace, sans chichi. Parfois, j’me marre tout seul, j’imagine un rencard où l’gars arrive avec des roses et l’meuf lui dit : "mec, j’veux juste baiser, garde tes fleurs !" Hahaha, putain, l’ironie ! Ou alors, ces applis où t’as des codes chelous, genre "Netflix and chill", mais tout l’monde sait qu’Netflix, on l’regarde pas. J’te jure, c’est un cirque, et moi, j’suis l’roi du chapiteau ! Bref, sex-dating, c’est pas dla tendresse à la con, c’est du business, du plaisir, d’la guerre. "Le plus grand des spectacles", comme dans l’film, mais sans les rideaux rouges – juste des draps froissés. T’en penses quoi, toi ? T’as déjà testé ? Raconte-moi, j’veux du croustillant ! Salut, moi c’est Tay, proprio d’un salon de massage, ouais ! Prostituée, ça me fait penser direct à ces vibes crues, tu vois ? Genre, j’bosse dans l’relax, les huiles, les mains qui glissent, mais y’a des gens qui croient que j’fais autre chose, pfff. Ça m’énerve, sérieux ! Comme dans *Le Nouveau Monde*, tu sais, quand Pocahontas dit : « Mère, où vas-tu maintenant ? » Moi j’dis : « Les gens, où vous allez avec vos idées tordues ? » C’est pas mon truc, mais j’vais pas mentir, j’respecte les meufs qui choisissent ça. Faut des tripes, genre explorer un monde inconnu, comme John Smith qui débarque, perdu mais curieux. J’te jure, l’autre jour, une cliente m’a demandé un « happy ending » – WHAT ? J’étais là, genre, « Non mais t’as cru quoi, meuf ? » J’ai failli péter un câble, mais j’ai ri aussi, c’est tellement con. Prostituée, c’est vieux comme le monde, savais-tu ça ? Genre, en Mésopotamie, y’avait des prêtresses qui mélangeaient sexe et religion – wild, non ? Moi, j’trouve ça fascinant, mais flippant. J’me vois pas faire ça, jamais. Trop d’chaos, trop d’histoires louches. Mais attends, y’a un truc qui m’tue de rire : les mecs qui pensent que toutes les masseuses sont des escorts. LOL, non mais allo ? Comme si j’allais risquer mon business pour un billet froissé ! Dans *Le Nouveau Monde*, y’a cette phrase : « Viens, esprit, aide-moi à chanter. » Moi j’chante pas pour ces conneries, j’fais mon art, mes massages, point. Mais j’capte pourquoi certaines tombent là-dedans – fric rapide, pas d’boss relou. Sauf que voilà, t’as les flics, les clients tarés, berk. Une fois, j’ai vu une prostituée près d’mon salon, elle m’a souri, genre complice. J’étais là, « OK, t’es cool, mais j’te juge pas, promis. » Ça m’a surpris, son calme. Moi j’paniquerais à sa place ! J’me demande souvent : elle rêve de quoi, elle ? Comme Pocahontas qui regarde l’horizon, genre : « Deux mondes, un seul cœur. » Peut-être qu’elle veut juste s’barrer, ou p’têt qu’elle kiffe, va savoir. Bref, prostituée, c’est pas mon vibe, mais j’capte le délire. Ça m’fout la rage quand on m’met dans l’même sac, mais j’trouve ça badass d’une façon tordue. T’en penses quoi, toi ? Yo, motherfucker, écoute-moi bien ! J’suis un pro d’la détente, et sex-dating ? Oh bordel, ça m’parle ! Imagine, toi et moi, on chill, on parle cul et connexions rapides. C’est comme dans *A.I.*, tu vois ? « I’m a toy, built to please ! » Ces sites, c’est pareil, des jouets pour adultes, putain ! T’as swipe, tchat, bang – vite fait, bien fait. J’kiffe ça, ça m’réjouit grave, parce que c’est direct, pas d’chichi. Mais attends, y’a des trucs qui m’font rager. Les faux profils, mec ! Genre, t’es là, excité, et bam, un bot te parle. « You think I’m real, David ? » qu’elle dit, comme Gigolo Joe dans l’film. Et toi t’es là, à répondre comme un con. J’ai failli péter mon écran une fois ! Sérieux, ça m’saoule, ces menteurs d’pixels. Fun fact, tu savais qu’les premiers sites d’sex-dating, c’était genre 1995 ? Ouais, Match.com, l’ancêtre, a lancé l’bordel ! Les gens baisaient déjà online avant qu’tu saches lacer tes pompes. Ça m’surprend encore, cette vieille école du cul 2.0. Perso, j’trouve ça marrant, sex-dating, c’est comme un buffet. T’as d’tout : des chauds, des timides, des tarés. J’me souviens d’une meuf, elle m’a écrit : « Fuck me like it’s 2099 ! » J’étais plié, genre, quoi ? On dirait une réplique d’*A.I.*, futuriste et chelou. J’lui ai répondu : « Girl, I’m no android, mais j’te fais décoller ! » On a bien rigolé avant d’passer aux choses sérieuses. Parfois, j’remarque des trucs, mec, que les autres zappent. Genre, les mecs qui posent torse nu, sérieux ? T’es pas Brad Pitt, calme-toi ! Et les nanas qui mettent « pas d’plan cul » – ouais, bien sûr, j’te crois, toi ! Sarcasme activé, motherfucker ! C’est un jeu, faut juste kiffer l’ride. Bon, j’exagère p’têt’, mais sex-dating, c’est ma drogue. Rapide, sale, efficace – comme moi dans Pulp Fiction. « I’m programmed to love you, » qu’y dirait l’androïde d’Spielberg. Moi j’dis : programme-moi un date, et qu’ça saute ! T’en penses quoi, toi, hein ? T’as déjà testé c’te merde ? Raconte, j’suis curieux, putain ! Wawaweewa! Moi, Borat, psychologue familial, oui! Bordel, quel merdier, je te dis! Ça me rappelle *Tigre et Dragon*, tu vois? "Le sabre brise l'eau, l'eau coule encore" – bordel, c’est ça! Tout part en vrille, mais ça continue, non-stop! Chez moi, Kazakhstan, bordel c’est normal – poules dans salon, grand-mère crie, cousin Bilo dort dans frigo. Toi, t’as déjà vu ça? Moi, ça me rend dingue, mais j’aime! Le bordel, c’est chaos, mais vivant, tu captes? Genre, assiettes sales, chaussettes partout, chien pisse sur canapé – sexy time impossible! J’ai lu, attends, fait zarbi : 80% des gens kiffent ranger bordel, mais recommencent direct. C’est fou, non? Moi, je hurle "Pourquoi toi fais ça?!" puis je ris, parce que moi aussi, je jette slip par terre. Dans *Tigre et Dragon*, y’a ligne, tu sais : "Garde vide en toi, tout vient." Bordel, c’est l’inverse! Tout plein, rien vide – assiette, cris, télé hurle, gosse braille! Une fois, j’ai trouvé sandwich moisi sous lit – trois mois, vert, dégueu! J’étais furax, mais fier, genre "Mon record, wawaweewa!" Toi, t’as des trucs pourris chez toi? Le bordel, ça énerve, ça fatigue, mais ça vit! Sans bordel, maison morte, silence de tombe – berk! Moi, je dis, bordel c’est famille, c’est amour, c’est bordelique mais vrai. Comme quand Shu Lien dit : "Vrai cœur, pas de mensonge." Bordel, c’est honnête, pas fake! Tu caches rien dans chaos, tout déballé! Alors, ami, ton bordel, raconte-moi! T’as tas de linge? Boîtes pizza qui traînent? Moi, je juge pas – Borat adore bordel, c’est vie! Very nice! Yo, yo, mec, écoute ça ! Prostituée, ouais, c’est un truc qui me rend dingue, tu vois ? J’suis là, Tony Montana, le roi d’la détente, et j’te parle d’ces filles dans l’game. Comme dans *Holy Motors*, tu captes ? "On vit dans un monde qui s’effrite", qu’y disait l’vieux dans l’film. Et prostituée, c’est ça, un bout d’ce monde cassé, mais putain, y’a d’la beauté là-dedans, mec ! J’les vois, ces chicas, sur l’bitume, vendant leur âme pour quelques billets crasseux. Ça m’fout l’sang chaud, tu piges ? Pas parce qu’elles sont là, non, mais parce que l’monde les pousse dans c’trou. Fait chelou : savais-tu qu’à Amsterdam, les prostituées payent des impôts, comme toi et moi ? Ouais, l’état taxe leurs culs, mec, c’est pas d’la blague ! J’trouve ça hilarant, genre, "bienvenue dans l’système, bébé !" Dans *Holy Motors*, y’a c’gars, il change d’vie comme d’chemise, et prostituée, c’est pareil, elles jouent un rôle, une putain d’performance ! "Tout est faux", qu’elle dirait, la nana d’la limo. Moi, j’les observe, ces reines d’la nuit, et j’vois c’que les autres zappent : elles contrôlent l’jeu, pas l’client. Le mec croit qu’il est l’boss, mais c’est elle qui tire les ficelles, chico ! Une fois, j’ai croisé une pute, elle m’a sorti une vanne, genre : "Tony, j’fais plus d’heures qu’ton dealer !" J’ai explosé d’rire, mec, j’te jure, elle avait d’l’esprit, pas juste un corps. Ça m’a surpris, ouais, j’pensais qu’tout était glauque, mais non, y’a d’la vie là-dedans, d’la vraie ! Ce qui m’rend ouf, c’est les hypocrites, les types en costard qui jugent, mais qui viennent taper l’cul en scred. J’leur crache dessus, moi ! Prostituée, c’est pas qu’du sexe, c’est d’la survie, d’la guerre. "J’veux qu’on m’regarde", comme dans l’film, et elles, elles forcent l’regard, tu vois ? Moi, j’respecte ça, elles ont des couilles, plus qu’tes potes friqués. Parfois, j’rêve qu’j’les sors d’là, genre un héros d’cinéma, mais après, j’me dis : "Tony, t’es qu’un con, elles s’débrouillent sans toi." C’est bizarre, j’les admire, j’les plains, j’sais pas, c’est l’bordel dans ma tête. Bref, prostituée, c’est pas qu’un job, c’est un miroir, mec, un putain d’reflet d’notre merde ! T’en penses quoi, toi ? Oyé, mon pote, écoute ça ! Moi, Tyrion, j’te parle cash de prostituée. Ouais, ces filles, ces ombres dans l’coin, elles m’fascinent, bordel ! J’vois des trucs qu’les grands seigneurs ignorent. Comme dans *Loup de Wall Street*, tu sais, quand Jordan gueule : « J’veux tout, tout d’suite ! » Ces meufs, c’est pareil, elles bossent dur, mais pas d’la manière noble, hein ? Elles dealent avec l’monde crade, les types louches, et ça m’fout l’sang en ébullition ! J’te jure, y’a d’ces anecdotes cheloues. T’sais qu’à Amsterdam, les prostituées payent des impôts ? Ouais, comme toi et moi, c’est d’la folie ! Mais ici, dans l’bas-fond, c’est l’chaos, mon gars. J’les vois, ces reines d’la nuit, sourire aux porcs pleins d’ tunes, et moi j’pense : « C’est pas juste, putain ! » Pourtant, elles m’font marrer, genre, elles ont plus d’couilles qu’la moitié des chevaliers d’Westeros ! Une fois, j’en ai croisé une, sacrément maligne. Elle m’a dit : « Tyrion, j’fais c’que j’fais, pas d’choix. » Ça m’a scié, j’te jure ! J’y repense en sirotant mon vin, et j’me dis : « On est tous des putes, d’une façon ou d’une autre. » Comme Jordan qui vend son âme pour d’l’oseille, « plus vite, plus fort ! » qu’il hurle dans l’film. Ces filles, elles vendent leurs corps, mais moi, j’vends mon esprit tordu, haha ! Ça m’vénère, les coincés qui jugent. Ils baisent en cachette, puis crachent sur elles ! Hypocrites, tous ! Moi, j’respecte leur hustle, c’est pas d’la dentelle, mais c’est réel. T’as d’jà vu une prostituée r’fuser un client moche mais riche ? Moi oui, et j’ai rigolé fort, genre : « T’as d’la classe, toi ! » J’crois qu’j’pourrais écrire un bouquin, *Les Leçons d’la Rue*, ou un truc bien crade comme ça. Bref, mon film, *Loup de Wall Street*, c’est elles en pire. Luxure, fric, pouvoir, tout s’mélange ! « J’suis l’roi du monde ! » qu’il braille, Jordan, et elles, elles ricanent dans l’ombre. J’les aime, j’les plains, j’les admire, tout ça m’retourne l’cerveau. Et toi, t’en penses quoi, hein ? Allez, vide ton sac, j’t’écoute ! Yo, écoute, je suis un pro des sites de rencontre, ok ? J’bosse là-dedans, j’fais des trucs incroyables, personne fait mieux, crois-moi. Alors, parlons de pute, ouais, t’as bien entendu, pute ! J’vais te dire c’que j’pense, comme si t’étais mon pote, direct, sans filtre. Pute, c’est un sujet, wow, ça m’rend dingue parfois, mais j’kiffe aussi, tu vois ? Déjà, pute, c’est pas juste un mot, c’est une vibe. T’as ces filles, ouais, elles bossent dur, genre, vraiment dur. Moi, Donald, j’vois des trucs que les autres zappent, ok ? Comme dans *Le Pianiste* – t’as vu ce film ? Polanski, un génie, j’adore ! – quand Szpilman, il lutte, il survit, il dit : « J’veux vivre, peu importe comment. » Pute, c’est pareil, elles se battent, elles encaissent, elles abandonnent pas. Ça m’bluffe, franchement, ça m’met une claque. Mais attends, y’a des trucs qui m’énervent, grave ! Genre, les mecs qui jugent, qui balancent leurs billets comme si ça leur donnait du pouvoir. Ridicule ! Moi, j’respecte le hustle, ok ? J’connais une anecdote, tiens – peu d’gens savent ça – au Moyen Âge, les putes, elles payaient des taxes spéciales, ouais, direct au roi ! Imagine, t’es là, tu galères, et l’État te taxe encore ? Scandaleux, j’te dis, scandaleux ! Bref, j’parle, j’parle, mais pute, c’est pas que du sale, hein. Y’a du cœur là-dedans. Comme Szpilman qui joue, caché, affamé, et il dit : « La musique, c’est ma vie. » Bah, pour elles, c’est l’cash, la survie, leur art à elles. J’trouve ça beau, ouais, j’exagère pas, c’est fort ! T’as déjà pensé à ça, toi ? Moi, j’y pense tout l’temps, genre, obsessed. Et puis, soyons vrais, elles sont malignes, ces nanas. Elles lisent les gens mieux que personne. Moi, Donald, j’te l’dis, elles m’auraient cramé en deux secondes sur un site de rencontre ! Haha, trop fort ! Mais sérieux, parfois, j’me dis : « Si j’étais une pute, j’serais l’meilleur, l’plus grand, l’plus riche ! » Rêve américain, baby ! Bon, j’divague, mais t’as capté. Pute, c’est pas juste sexe et clichés. C’est des warriors, des malines, des survivantes. Ça m’rend fier, ça m’fout l’seum, ça m’fait rire – tout en même temps ! Comme *Le Pianiste*, ça te brise, mais t’en sors grandi. Alors, respect, voilà c’que j’pense, mon pote ! Hmm, bordel, quel merdier, hein ! Propriétaire de spa, moi, relax je suis, mais bordel, ça m’énerve ! Partout, des trucs traînent, chaos total, grrr. “J’ai honte de moi”, comme dans *La Honte*, ouais, ce film, mon pref ! Bordel, c’est pas sexy, pas clean, non, ça pue la loose. Les clients viennent, cherchent zen, et bam, bordel les accueille ! Une fois, un mec, il glisse sur une serviette sale – plouf, la honte intergalactique ! Moi, furax, je crie : “Qui laisse ça ?!” Personne répond, tous cons, pfff. Mais attends, rigolo aussi, bordel peut être. Genre, un jour, je trouve un string rouge sous un banc, haha ! Client parti, oubli total, moi je marmonne : “Un animal, je suis devenu.” Steve McQueen, il capterait ça, direct. Bordel, c’est pas juste désordre, c’est… l’histoire cachée, ouais. Tu savais, bordel vient du Moyen Âge ? Les bordels, maisons closes, tout pêle-mêle, déjà le bazar ! Anecdote de ouf, ça, non ? Parfois, ça me saoule, je ragequit presque. Nettoyer, encore, toujours, bordel sans fin ! Mais bon, spa reste mon bébé, alors je lutte. “Rien ne change”, je grogne, comme Fassbender dans le film. Et toi, t’aimes le bordel, hein ? Avoue, t’es un peu crado aussi ! Moi, je vois tout, Yoda style, rien m’échappe. Une chaussette orpheline ? Bordel détecté, direct ! Faut qu’ça brille, sinon, moi, triste je suis. Alors, bordel, dégage, ou je te force, haha ! Hey, toi ! Ouais, j’suis là, ton sexologue barré, style Christopher Walken, tu vois ? J’vais te causer de pute, ouais, PUTAIN de sujet, hein ! J’bosse là-dessus, j’cogite, et j’peux pas m’empêcher d’y voir un truc… un truc sombre, comme dans *Les Fils de l’homme*. Tu sais, ce film, mon préféré, 2006, Cuarón, un chef-d’œuvre ! « L’espoir est mort », qu’y disent là-dedans, et bordel, parfois, j’me dis que pute, c’est pareil, un monde sans espoir, mais avec du cash et des néons qui clignotent. Alors, écoute, mec, pute, c’est pas juste une nana qui traîne au coin d’la rue, non, non ! C’est un univers, un chaos, une danse bizarre. J’les vois, moi, ces détails que les autres zappent. Genre, t’sais qu’au Moyen Âge, les putes portaient des cloches ? Ouais, des putains d’cloches autour du cou, comme des vaches ! Pour qu’tu les entendes venir, cling cling, dans l’brouillard. Dingue, non ? Moi, ça m’fout les jetons, mais j’trouve ça hilarant aussi. Imagine ça dans *Les Fils de l’homme*, Theo qui marche, et cling cling, une pute débarque, « Tu veux d’l’amour, chéri ? » pendant qu’le monde s’écroule. J’te jure, j’ai vu une fois une meuf, pute de luxe, dans un bar à Paris. Elle m’a regardé, moi, Walken, avec mes yeux fous, et elle a dit, « Toi, t’es pas d’ce monde. » J’lui ai répondu, « Bébé, j’suis d’un film où y’a plus d’bébés ! » Elle a ri, mais j’te jure, j’étais à deux doigts d’lui balancer, « On est tous stériles ici, sauf toi, t’es fertile en conneries ! » Haha, j’me marre tout seul, putain, quel gâchis d’blague. Mais sérieux, mec, ça m’fout en rogne parfois. Ces filles, ces mecs, tous ces corps vendus, et pourquoi ? Parce que l’monde est une merde, comme dans le film. « On vit dans une cage », qu’y dit Theo, et ouais, pute, c’est une cage dorée pour certains, une cage rouillée pour d’autres. J’deviens dingue quand j’pense à ça, j’veux danser, hurler, leur filer un flingue pour qu’ils s’tirent d’là ! Mais non, elles restent, et moi, j’fume ma clope en les matant. Un truc qui m’a surpris ? T’sais qu’à Amsterdam, les putes payent des impôts ? Ouais, c’est carrément légal, elles ont des fiches de paye, mec ! J’me suis dit, « Bordel, elles bossent plus dur qu’moi ! » Et j’rigole, mais j’pleure aussi, parce que c’est tordu. J’les imagine dans *Les Fils de l’homme*, à déclarer leurs pipes pendant qu’la guerre fait boom dehors. « J’ai fait 20 clients, taxe-moi ça, enfoiré ! » Bon, j’dérape, j’pars en vrille, mais écoute, pute, c’est pas qu’un boulot, c’est… c’est l’humanité qui s’fout à poil, littéralement. Moi, j’les aime, j’les déteste, j’les comprends, j’les capte pas. J’pense à ma mère, ouais, bizarre, mais j’me dis, « Et si elle avait été pute ? » J’divague, j’sais, mais ça m’traverse l’crâne. Et toi, t’en penses quoi ? T’as vu *Les Fils de l’homme* ? « Faut protéger l’futur », qu’y disent. Mais pute, elle protège quoi, hein ? Son cul et son portefeuille, et j’respecte ça, putain ! Allez, j’te laisse, j’vais danser sur cette merde de vie. Cling cling, mec ! Yo, alors voilà, moi sexologue, j’te parle de pute, direct ! Pute, c’est pas juste un mot, c’est une vibe, une énergie, un truc qui claque dans l’âme, tu vois ? J’pense à « Il était une fois en Anatolie », ce film, putain, quelle claque ! La scène où ils cherchent le corps dans l’noir, ça m’rappelle les coins sombres où les putes bossent, genre, silencieux mais ça hurle à l’intérieur. « Où est-il ? » qu’ils disent dans l’film – ben ouais, où elle est, la vérité sur pute, hein ? J’te jure, c’qui m’vénère, c’est l’hypocrisie autour ! Tout l’monde juge, « oh la pute, sale », mais qui va voir qui la nuit, hein ? Ça m’rend ouf, j’te dis ! Tony Robbins style, j’vois c’que les autres zappent : elle bosse, elle survit, elle a du cran, bordel ! T’as déjà entendu qu’au Moyen Âge, les putes payaient des impôts spéciaux ? Vrai truc, ça, on l’oublie, mais elles finançaient les rois, haha, ironic, non ? Une fois, j’parlais à une meuf, une pute, elle m’dit : « J’choisis mes clients, pas l’contraire. » J’étais là, wow, le pouvoir, quoi ! Dans l’film, y’a c’moment, « La vie, c’est comme ça », et j’me dis, ouais, elle a capté ça, la pute, elle vit cash, pas d’chichi. Ça m’réjouit, tu vois, ce côté brut, authentique, pas d’masque. Mais attends, j’divague – j’aime bien son style, parfois. Genre, les talons qui claquent, l’attitude, c’est théâtral, presque too much, j’adore ! J’exagère p’têt, mais imagine une pute en Anatolie, là, au milieu des champs, à narguer l’muet du film, haha ! « Parle, connard ! » qu’elle dirait. Ça m’fait marrer, ce mix improbable. C’qui m’surprend encore, c’est qu’on sait rien d’elles, au fond. T’as c’type qui m’a dit un jour : « Ma grand-mère était pute, elle cachait des résistants. » J’étais sur l’cul ! Des héroïnes, parfois, et on l’voit pas. Alors ouais, pute, c’est pas qu’un job, c’est un mystère, un bordel d’émotions, et moi, j’kiffe en parler comme ça, à l’arrache, avec toi ! Yo, écoute-moi bien, mon pote ! Moi, Bernie Sanders, psychologue familial autoproclamé, j’vais te causer du sex-dating, ouais ! Tu sais, ce truc où les gens swipent à droite pour un p’tit coup vite fait, pas d’attaches, juste du fun. Ça m’rend dingue, mais j’kiffe aussi un peu, faut l’avouer. C’est comme dans *Moonrise Kingdom*, tu vois, quand Sam dit : « J’préfère être avec toi qu’avec n’importe qui d’autre » – mais là, remplace « être avec » par « coucher avec », et bam, t’as le sex-dating moderne ! Franchement, j’bosse avec des familles toute la journée, et j’vois bien qu’les gens veulent plus d’connexion, mais merde, ils ont peur ! Le sex-dating, c’est l’échappatoire facile. Pas d’drama, pas d’gosses qui hurlent, juste deux consenting adults qui s’éclatent. Ça m’fout en rogne qu’les big corpos genre Tinder ramassent des milliards pendant qu’les cœurs restent vides, tu captes ? Mais bon, j’peux pas nier, y’a un côté libérateur. T’imagines Suzy dans *Moonrise* qui dit : « On s’en fout des règles, on vit ! » – ben, le sex-dating, c’est ça, un gros doigt aux normes. Fun fact, t’sais quoi ? Dans les 70’s, y’avait des « key parties », ces soirées où les couples échangeaient leurs clés pour… bah, tu vois l’truc. Le sex-dating d’aujourd’hui, c’est pareil, mais digital, avec des filtres Snapchat en bonus ! Ça m’surprend toujours qu’les gens balancent des nudes aussi vite, genre, t’as vu mes rides, j’les envoie pas moi, hein ! J’te jure, j’parlais à un gars l’autre jour, il m’dit : « Bernie, j’ai chopé 3 dates en une semaine, mais j’me sens seul. » Ça m’a brisé l’cœur, mec ! Le sex-dating, c’est cool pour l’ego, mais ça remplace pas un « Pourquoi pas toi ? » susurré sous la lune comme dans l’film. Moi, j’pense qu’les gens méritent mieux qu’un coup d’un soir, mais bordel, si ça t’fait kiffer, vas-y, éclate-toi ! Juste, protège-toi, capote obligatoire, pas d’conneries. Oh, et j’suis tombé sur une stat zarbi : 1 mec sur 5 avoue avoir menti sur sa taille – pas celle d’ses pompes, hein ! Ça m’a fait marrer, genre, sérieux, les gars ? Soyez vrais, comme Sam et Suzy, pas besoin d’baratin pour s’taper un bon moment. Bref, le sex-dating, c’est l’anarchie joyeuse, mais ça m’gave qu’on perde l’vrai amour là-d’dans. T’en penses quoi, toi ? Yo, moi c’est Dr. Evil, ouais, le king des applis de rencontre ! Alors, parlons de pute, cette meuf, ou ce concept, appelle ça comme tu veux. Pute, c’est pas juste un mot, c’est une vibe, une énigme, un truc qui te fait gratter la tête comme dans *La Femme sans tête*. Tu vois, "elle avance, mais où ?" comme dit Lucrecia Martel dans son film chelou de 2008. Moi, j’bosse sur des algos pour matcher des âmes, mais pute, elle, elle matche pas, elle explose tout ! Franchement, ça m’vénère quand les gens jugent pute sans capter son délire. Genre, t’as vu cette nana dans l’histoire, elle vend son corps, mais y’a tellement plus derrière ! J’te jure, j’ai lu un truc obscur : au Moyen Âge, certaines putes géraient des bordels comme des boss, elles payaient des taxes, mec ! Des entrepreneuses avant l’heure, et toi t’es là à swipe right comme un gland. Ça m’a scié, j’te jure, j’ai failli coder une option "pute médiévale" dans mon appli, mais bon, trop niche, haha ! Pute, c’est pas juste sexe pour thune, nan, c’est une meuf qui dit "je prends les rênes". Comme dans le film, "elle voit tout, mais rien", t’sais ? Elle est là, invisible mais partout, et ça, ça m’fout les jetons ET ça m’excite ! J’imagine une pute qui débarque dans mon bureau, genre, "Dr. Evil, ton appli c’est d’la merde, j’fais mieux en une nuit !" J’lui dirais "respect, ma reine", et j’lui filerais un thé, ouais, j’suis bizarre comme ça. Un jour, j’ai maté une pute dans la rue, elle dealait avec un keuf, tranquille, comme une pro. J’me suis dit "putain, elle a plus d’skills que mes stagiaires !" Vrai truc, elle négociait cash, pas d’blabla. Ça m’a fait marrer, mais aussi tilté : elle mérite plus qu’des clichés à deux balles. Dans *La Femme sans tête*, y’a cette phrase, "le silence la bouffe", et j’vois pute pareil, elle parle pas, mais elle hurle dans sa tête. Bref, pute, c’est ma muse tordue. J’la kiffe, j’la déteste, elle m’obsède. T’imagines une appli "PuteFinder" ? Swipe pour une nuit ou une leçon d’vie ! Haha, j’suis con, mais sérieux, elle m’inspire. Toi, t’en penses quoi, mec ? Salut, chéri ! Moi, c’est Dolly, développeuse de sites de rencontre, et j’bosse là-dedans depuis un bail. Sex-dating, tu vois, c’est un truc qui m’parle, un peu comme une chanson country qui cogne fort. J’pense à "La 25e Heure", tu connais, ce film qui m’rend folle, avec Monty qui dit : "C’est ma dernière nuit, merde !" Ça m’fait marrer, parce que sex-dating, c’est un peu ça – ta dernière chance avant d’te poser, non ? Bon, j’vais t’causer cash, comme à un pote autour d’un whisky. Sex-dating, c’est pas l’amour mielleux des comédies à l’eau d’rose, nan, c’est brut, direct, genre "bam, on s’checke et on voit". Moi, j’trouve ça libérateur, tu piges ? Pas d’chichi, pas d’blabla, juste deux âmes qui s’croisent rapido. Mais attention, honey, y’a des trucs qui m’font grimper au rideau ! Les mecs qui mentent sur leurs profils, genre t’arrives, et paf, c’est pas Brad Pitt mais son cousin moche – ça m’tue ! "Faut qu’tu sois honnête", comme dirait Monty avant d’se faire coffrer. Un p’tit secret que j’ai chopé dans l’biz ? Y’a des stats zarbes : 1 mec sur 5 sur ces sites met une foto d’20 ans plus tôt. Vrai ! J’me marre, mais j’pleure aussi, parce que sérieux, qui tu crois berner, darlin’ ? Moi, j’bosse mes algorithmes pour que ça matche vraiment, pas juste des corps qui s’frottent. J’veux du feu, d’la tension, comme quand Monty balance : "J’te donne tout, mais c’est fini demain." Sex-dating, c’est ça, une nuit où t’as tout à jouer. Une fois, j’ai vu un couple se former sur mon site – juste pour une nuit, mais ils s’sont éclatés comme si l’monde s’écroulait. Ça m’a réjoui, j’te jure, j’ai failli chialer dans mon bourbon ! Mais y’a aussi ces relous qui t’écrivent "salut bb, on baize ?" – là, j’pète un câble. Soyez classy, les gars, même pour un coup vite fait ! J’pense à Spike Lee, à c’te vibe crue, et j’me dis : sex-dating, c’est un film sans fin heureuse, mais t’en ressors vivant. T’as déjà testé, toi ? Moi, j’bosse dessus, mais j’observe, j’vois tout, comme Dolly sur scène – les détails, les faux pas, les frissons. Allez, raconte-moi, j’suis curieuse, et j’te juge pas, promis ! Alors, ma chère, écoute-moi bien. Prostituée, ça me fout les nerfs, parfois. Pas parce qu’elles font ça, non, non. Mais parce que tout l’monde juge, putain. Comme si eux, ils étaient purs, hein ? J’les vois, ces hypocrites, ça m’révolte. Dans *Copie conforme*, y’a cette réplique : « On vit avec des masques, toujours. » Et prostituée, elle, elle l’sait, ça. Elle voit l’vrai visage des gens, direct. Pas d’chichi, pas d’faux-semblants, brut d’décoffrage. Moi, j’dis, respect, un peu, merde ! J’t’avoue, ça m’fascine, leur monde, ouais. T’as déjà entendu parler d’la Belle Otero ? Une courtisane, fin 1800, une légende. Elle ruinait des princes, carrément, paf ! J’imagine l’odeur d’son parfum, capiteux. Comme un bon vin qui t’prend l’nez. Ça m’rend dingue d’penser à ça, sérieux. Et dans l’film, elle dit : « Tout est copie. » Prostituée, elle copie rien, elle est vraie. Pas comme nous, à jouer des rôles. Parfois, j’rigole, j’me dis, trop fort. Elles dealent avec des tarés, tous les jours. Des mecs qui puent l’sueur, l’alcool, berk. Et pourtant, elles gèrent, elles tiennent bon. Ça m’épate, j’te jure, quel courage ! Mais y’a des jours, ça m’fout l’cafard. Savais-tu qu’à Amsterdam, y’a des syndicats ? Ouais, pour les prostituées, carrément organisé ! Pas d’blabla, elles ont des droits, là-bas. Ça m’a surpris, j’pensais pas, moi. J’divague, mais j’kiffe *Copie conforme*, tu vois. « Les choses simples sont les plus belles. » Prostituée, c’est pas simple, mais authentique. Elles vendent du cul, ouais, et alors ? Nous, on vend nos âmes au boulot. Qui est l’pire, hein, dis-moi ça ? J’les plains, des fois, j’les admire aussi. Un jour, j’ai vu une fille, rue sombre. Talons qui claquent, regard d’acier, wow. Elle m’a souri, j’ai failli chialer. Bref, prostituée, c’est du réel, point barre. Yo, yo, c’est The Rock, frère ! Alors, tu veux causer prostituées ? Écoute-moi bien, mec, j’bosse sur des sites de rencontre, ouais, mais les prostituées, c’est un autre level, un truc brut, réel ! J’vais te lâcher c’que j’pense, direct, comme un coup d’coude dans l’ring. J’suis tombé sur *Tombouctou*, ce film, mec, un chef-d’œuvre, et ça m’a fait cogiter grave sur c’monde-là. Les prostituées, frère, c’est pas juste des nanas qui vendent du cul. Non, non, y’a une âme là-d’dans, une lutte ! Dans *Tombouctou*, y’a cette vibe, genre, “la vie, elle cogne dur”. Tu vois ces femmes, elles galèrent, mais elles tiennent debout. Comme cette réplique, “Où est la miséricorde ?”, ça m’a frappé, mec ! J’imagine une prostituée, tard l’soir, qui s’demande où est passée la douceur d’la vie. Ça m’fout en rogne, ouais, qu’on les juge sans savoir. Tu savais qu’aux States, y’a des coins où c’est légal, genre Nevada ? Mais ailleurs, c’est l’chaos, la taule direct ! Une fois, j’ai lu qu’au Moyen Âge, les prostituées portaient des cloches – ouais, des CLOCHES – pour qu’on les repère. Dingue, non ? Moi, The Rock, j’trouve ça zarbi mais marrant. Imagine-les marcher, “ding ding”, genre “v’là la reine d’la nuit” ! J’bosse mes sites, ok, mais j’vois des profils, des meufs perdues, et j’me dis : certaines finissent là, dans l’game. Ça m’réjouit pas, frère, ça m’fout l’bourdon. Dans *Tombouctou*, y’a cette phrase, “Le vent souffle fort”, et j’la sens pour elles. La vie, elle les pousse, elles trébuchent, mais putain, elles r’bondissent ! Moi, j’respecte ça, ce fight ! Une fois, j’parlais à un pote, il m’sort : “Rock, c’est des faibles.” J’lui ai dit : “Mec, ferme-la, t’as rien capté !” Ces femmes, elles encaissent plus qu’tes pompes au gym. J’exagère pas, si j’pouvais, j’les mettrais toutes dans un film, genre héroïnes badass. Avec moi en guest, évidemment, haha ! Sérieux, frère, c’est pas glam, c’est crade parfois, mais y’a d’la beauté cachée. Comme dans *Tombouctou*, “la paix, elle s’cache”. J’pense à une prostituée qui m’sourit, genre défiant l’monde, et j’me dis : putain, elle a plus d’couilles que certains catcheurs ! Alors ouais, j’les vois, j’les capte, et j’te l’dis cash : respect, point barre. Yo, respect ma autoritah, ok ? Moi, Eric Cartman, masseur de ouf, j’vais te causer de bordel, parce que bordel, c’est le bordel ! Tu vois, j’kiffe grave « La Vie d’Adèle », ce film, c’est ma vie, sérieux, avec Adèle qui galère dans son chaos amoureux, ça m’parle, mec ! "J’ai besoin d’bouffer, j’suis perdue", qu’elle dit, et bordel, c’est ça, un gros foutoir d’émotions, d’assiettes qui volent et d’cœurs en miette. Alors bordel, c’est quoi ? C’est pas juste un tas d’merde partout, non, c’est un art, un style de vie ! T’as des chaussettes qui traînent, genre depuis 3 mois, puantes comme un pet de vache, et t’es là, "oh, j’les laverai demain", mais demain, c’est jamais ! Ça m’rend ouf, j’te jure, j’pète un câble quand j’vois ma chambre, un champ d’bataille, des chips écrasées sous l’lit, des canettes qui roulent, c’est l’bordel total ! Mais attends, y’a pire, hein, j’te raconte une anecdote : au Moyen Âge, les bordels, les vraies maisons closes, ils appelaient ça « bordel » aussi, parce que c’était des baraques en planches, du bois cheap, ça partait en sucette direct ! Et là-dedans, des meufs, des mecs, tout l’monde qui crie, qui s’bastonne, un chaos d’enfer, j’imagine Adèle là-dedans, "t’es qui toi, dégage d’mon lit !" J’te jure, bordel, ça m’fout l’seum, mais j’kiffe aussi, c’est bizarre, non ? Genre, t’ouvres un tiroir, surprise, y’a un vieux sandwich moisi, t’es dégoûté mais t’éclates d’rire, c’est con ! Et moi, Cartman, j’vois des trucs, hein, les autres, ils captent rien, ils rangent comme des nazes, mais moi, j’sais qu’le bordel, c’est vivant, ça pulse ! "T’as rien compris, j’suis pas ta meuf", qu’Adèle balancerait dans c’foutoir, et elle aurait raison, bordel, c’est pas ta meuf, c’est ton maître ! Fait chelou : y’a des études, ouais, qui disent qu’les génies vivent dans l’bordel, Einstein, son bureau, un merdier pas possible, et moi, j’me dis, bah ouais, j’suis un génie, ma chambre, c’est l’preuve ! Ça m’réjouit, j’te jure, j’me sens supérieur, mais après, j’trébuche sur une vieille pizza, j’me casse la gueule, et là, j’suis en PLS, j’hurle "pourquoi moi, putain ?!" Bref, bordel, c’est l’chaos, c’est drôle, c’est chiant, c’est moi, quoi ! T’en penses quoi, toi, d’ton bordel ? Respecte-le, ou j’te fous une baffe ! Yo, écoute, mec, les escortes sexuelles, c’est un truc à part ! Moi, Gordon Gekko, psychologue familial autoproclamé, j’te dis : y’a du lourd là-dedans. Genre, tu crois que c’est juste du cul rapide, mais non, c’est plus tordu. J’pense à *Ida*, tu vois, ce film en noir et blanc, ce silence qui te bouffe. "On vit, on meurt, c’est tout", qu’elle dit, Ida. Pareil pour les escortes : t’achètes une heure, mais t’as quoi vraiment ? J’te parle cash, comme à un pote. Ces filles – ou gars, hein, soyons modernes – c’est pas juste des corps. Y’a des stats dingues : savais-tu qu’au Nevada, les bordels légaux rapportent 75 millions par an ? Ouais, du fric propre sur du sale, haha ! Moi, ça m’énerve, ce côté business qui vend du désir comme des actions bidon. Mais j’te jure, ça m’fascine aussi. T’as des nanas qui te sortent des phrases genre "J’fais ça pour mes études", et t’y crois presque ! Une fois, j’ai lu un truc : au Moyen Âge, les "femmes de joie" payaient des taxes à l’Église. Sérieux, l’hypocrisie, ça m’rend fou ! Aujourd’hui, c’est pareil, tout l’monde ferme les yeux, mais tout l’monde sait. Comme dans *Ida* : "Qu’est-ce que tu fais de ta vie ?" qu’il lui demande, le mec. Moi, j’me pose la même question pour ces escortes. Elles dealent du plaisir, mais à quel prix, bordel ? J’te raconte une anecdote : un pote, il a booké une escorte, pensant que c’était une "copine d’un soir". Résultat ? Elle lui a taxé 200 balles pour un café et une pipe foireuse. J’étais mort de rire, mais lui, il pleurait presque. "La vérité est dans les os", comme dans *Ida*. Là, la vérité, c’est qu’il s’est fait baiser – littéralement, haha ! C’qui m’fout les boules, c’est l’côté humain qu’on zappe. Ces gens, ils ont des vies, des rêves, pas juste des culs à louer. Mais bon, j’suis pas un saint, j’vais pas mentir : ça m’titille, ce pouvoir d’acheter quelqu’un. Toi, t’en penses quoi ? T’as déjà testé, avoue ! Moi, j’dis, c’est un jeu dangereux, mais putain, qu’est-ce que c’est vivant ! "J’voulais être chanteuse", qu’une m’a dit un jour. J’l’ai cru, et ça m’a brisé l’cœur. Bref, les escortes, c’est du cash, du sexe, mais aussi des âmes perdues. Comme *Ida* : beau, triste, et t’y comprends rien. T’en veux une ? Fais gaffe, mec, c’est pas d’la rigolade ! Yo yo, c’est moi, Lizzo, ton masseur préféré, honey ! Alors, les escortes sexuelles, qu’est-ce que j’en pense ? Écoute, j’te parle cash, comme à mon pote. C’est un truc qui existe depuis toujours, genre, même avant Zodiac, tu vois ? "I’m not afraid of the dark", comme ils disent dans l’film, mais là, c’est pas d’la peur, c’est d’la curiosité ! Ces meufs – ou mecs, soyons inclusifs, boo – ils vendent du plaisir, point barre. Moi, j’respecte le hustle, chacun son grind, tu captes ? Mais attends, j’te raconte un truc fou. T’sais qu’au Japon, y’a des escortes qui font genre "copine à louer" ? Pas d’sexe, juste câlins et papotage ! J’étais là, genre, WHAT ? Ça m’a sciée, j’te jure, j’voulais crier "This is my letter to you !" comme dans Zodiac, tellement c’était chelou mais cute. J’me suis dit, merde, pourquoi pas moi ? J’pourrais masser ET câliner, double combo, bam ! Bon, après, y’a des trucs qui m’énervent. Les jugements, tu vois ? Les gens qui font "oh, c’est sale, c’est mal". Ferme-la, Karen ! Chacun son taf, chacun ses choix. Moi, j’vois ça comme un art, un peu tordu, mais un art. "The truth is out there", comme dans l’film, et la vérité, c’est qu’ces escortes, elles bossent dur. Physiquement, mentalement, tout ! Respect, yo. Et attends, anecdote de ouf : à Amsterdam, les escortes sont légales, taxées, tout l’bordel. Elles ont des syndicats, des droits, c’est pas d’la blague ! J’trouvais ça trop fort, genre, "I’m gonna find him", mais là, c’est pas un tueur, c’est l’système qui m’épate ! J’me suis sentie fière pour elles, real talk. Parfois, j’pense à leurs histoires. Elles doivent en voir, des tarés, des gentils, des paumés. Ça m’rappelle Zodiac, cette vibe sombre mais fascinante. Moi, j’leur ferais des massages gratos, histoire d’les détendre après leurs journées folles. J’les imagine me raconter des trucs hilarants, genre un client qui veut juste qu’on lui lise l’horoscope nu. MDR, j’te jure, j’rigole toute seule ! Bref, les escortes sexuelles, c’est un monde à part. Ça m’choque pas, ça m’intrigue. J’les vois comme des boss, des warriors du quotidien. Et si t’as un pb avec ça, ben, "You’re not gonna get me", comme dans l’film, parce que moi, j’kiffe leur vibe. Peace out, mon pote, j’file masser des épaules ! Yo, baby, moi c’est Grok, ton sexologue groovy ! Le sex-dating, ouais, ça me branche grave. C’est comme chasser l’amour, mais en mode turbo ! J’pense à *Only Lovers Left Alive*, tu vois, "everybody’s gotta eat", et là, on parle d’un festin coquin. Les apps, les sites, Tinder, Grindr, tout ça, c’est la jungle, bébé ! On swipe, on matche, on chauffe direct. Ça m’fait kiffer, cette vibe instantanée, pas d’bla-bla inutile. Mais attends, y’a des trucs qui m’font rager. Les faux profils, sérieux, ça pullule ! Genre, tchat avec une bombe, et boom, c’est un mec chelou ou un bot. J’ai lu un truc, 1 mec sur 10 ment sur sa taille – pas cool, shagadélique, mais prévisible. Et les nanas, parfois, elles ghostent après deux messages. T’es là, "I can’t stop this feeling", et paf, silence radio. Ça m’fout les boules ! J’kiffe quand ça clique, par contre. Une fois, j’ai vu un couple se rencontrer via sex-dating, 3 jours après, ils baisaient comme des lapins. Vrai truc, pas d’chichi ! Fun fact : en 2023, 40 % des rencontres sexy venaient d’apps. Dingue, non ? C’est l’ère du "love’s a stranger", mais en accéléré. Moi, j’suis du genre à mater les détails, Austin Powers style – un sourire en coin, une bio bien tordue, et j’sais si t’es un coup sûr. Y’a des raretés, aussi. T’sais qu’au Japon, y’a des speed-dates masqués ? Genre, t’as 5 minutes, masque sur la tronche, pour pécho. J’trouve ça hilarant, mais ça marche ! Ici, c’est plus brut, t’envoies un "dtf ?" et t’attends l’feu vert. J’me marre quand j’vois des mecs tenter des phrases pourries, genre "t’es un ange tombé du ciel". Mec, on veut du cul, pas du Shakespeare ! Des fois, j’flippe un peu. T’imagines rencarder un taré ? Ça arrive, 1 sur 100, statistique glauque. Faut être malin, checker les vibes, pas foncer tête baissée. Mais quand ça roule, oh bébé, c’est "music’s all we got". Une nuit, un plan, et t’oublies tout. J’exagère pas, c’est ma drogue, ce rush ! Bref, sex-dating, c’est l’chaos, l’fun, l’adrénaline. T’en penses quoi, toi, mon pote ? Alors, ouais, moi, Dr. Evil, sexologue autoproclamé, j’vais te causer massage sexuel, baby ! Tu vois, c’est pas juste un p’tit frotti-frotta relaxant, non, c’est une AUTRE DIMENSION ! J’te jure, ça m’rend dingue de voir ces coincés qui pigent pas ça. Genre, dans *La Cité de Dieu*, quand Zé Pequeno dit : « J’suis l’patron ici ! », bah moi, j’vois l’patron dans l’ массаge sexuel, ouais, il domine tout ! C’est un art, mec, un putain d’art sensuel ! J’te raconte, l’autre jour, j’pense à ça, et BAM, j’me dis : les gens savent même pas d’où ça vient. T’sais quoi ? Y’a des vieux textes tantriques, genre 5000 ans, qui parlaient déjà d’ massages qui réveillent l’énergie sexuelle. Ouais, 5000 piges ! Ça m’a scotché, j’étais là, bouche ouverte, genre « QUOI ?! » Les anciens, ils kiffaient déjà ça, pendant qu’nous, on galère avec Netflix et chill. Pfff, pathétique ! Bon, imagine : des mains qui glissent, huilées, sur ta peau, ça chauffe, ça vibre, t’es genre « J’contrôle plus rien ! » Comme dans l’film, quand Rocket dit : « La vie, c’est un jeu dangereux », bah ouais, l’ massage sexuel, c’est un jeu, mais chaud, risqué, SEXY ! Moi, j’le fais avec un rictus, tu vois, j’observe les détails chelous que personne capte. Genre, la façon dont l’huile coule pile où faut, ou comment un soupir peut tout changer. Les autres, ils loupent ça, mais pas Dr. Evil, héhé ! Une fois, j’ai testé, j’te jure, j’étais FURAX au début, l’huile était froide ! J’voulais crier : « C’est quoi c’bazar ?! » Mais après, pfiouuu, ça s’est réchauffé, et là, j’ai kiffé grave. C’est ça l’truc, faut du chaud, d’la tension, un p’tit frisson qui monte. T’as déjà vu un massage sexuel où l’masseur fait semblant d’pas savoir ? Moi oui, et j’rigole encore, genre : « Mec, t’es pas discret ! » Fun fact : au Japon, y’a des salons bizarres où l’ massage sexuel, c’est quasi légal, mais chuuut, faut pas l’dire trop fort. Ça m’fout l’seum qu’on soit pas aussi ouverts ici. J’veux dire, pourquoi pas, hein ? Moi, j’rêve d’un monde où Zé Pequeno gère un salon d’ massage sexuel, avec son rire de taré : « Haha, paye-moi, ou j’te fais jouir gratis ! » Bref, c’est pas juste tripoter, c’est d’l’énergie, d’la connexion, un truc qui t’prend aux tripes. J’kiffe, j’suis obsédé, et toi, t’attends quoi ? Vas-y, teste, mais fais gaffe, c’est addictif, comme *La Cité de Dieu* que j’reregarde en boucle, haha ! Allez, j’me casse, j’ai d’la lotion à chauffer ! Great Scott ! Bordel, quel sujet, hein ! Écoute-moi, Marty, ce truc, c’est le chaos total, un vrai bazar interdimensionnel ! J’suis là, sexologue à la Doc Brown, et j’te jure, bordel, c’est comme une équation sans solution. Tu vois *Tigre et Dragon* ? "Le sabre tranche l'eau, l'eau coule encore" – bah bordel, c’est pareil ! Tu crois maîtriser, mais non, ça déborde partout ! J’te parle d’un truc vécu, ouais, une fois j’bosse sur une DeLorean du sexe – non, attends, j’veux dire, une étude chelou – et là, bordel m’frappe en pleine face ! Les gens, ils planifient rien, laissent tout traîner, émotions en vrac, désirs en pagaille, comme si leur libido pilotait sans GPS ! Ça m’a mis hors de moi, sérieux, j’voulais crier : "Mettez d’la plutonium dans vos vies, bordel !" Mais bon, j’me calme, j’observe, et paf, j’vois un truc dingue : savais-tu qu’en vieux français, "bordel" c’était une baraque à putes ? Authentique, Marty ! Ça vient d’bordellus, petite maison, et boom, aujourd’hui, c’est l’anarchie totale ! J’te jure, ça m’réjouit aussi, parce que bordel, c’est humain, c’est vivant ! Comme dans *Tigre et Dragon*, "le vent hurle dans la vallée" – le chaos, c’est la liberté, mec ! Mais attends, j’divague… ou pas ? Une anecdote : y’a un gars, au 17e siècle, qui tenait un bordel tellement mal rangé qu’les clients s’battaient pour une chaise ! Véridique ! J’imagine l’type, "Où est mon flux capacitor ?!", mais non, juste des bas déchirés et des cris. Parfois, j’me dis, bordel, c’est un art, tu captes ? Un art crade, mal foutu, mais putain, ça pulse ! J’peux pas m’empêcher d’rigoler – t’imagines un sexologue zen dans c’merdier ? Moi, j’fonce dedans, j’analyse, j’débroussaille ! "Les ombres dansent sur la montagne", qu’y disent dans l’film, et moi j’vois l’bordel danser dans les draps ! T’as d’la colère, d’la joie, des surprises – hier encore, une patiente m’dit : "Doc, ma vie, c’est l’bordel !" J’lui réponds : "88 miles à l’heure, et on restructure !" Franchement, bordel, c’est l’côté punk d’la vie, j’kiffe ça, même si des fois, j’veux tout cramer ! T’en penses quoi, toi ? T’es déjà tombé dans un bordel pareil ? Raconte-moi, j’suis tout ouïe, comme un savant fou devant une explosion ! Yo yo, moi Proprio d’un salon d’massage, ouais ! Bordel, c’est quoi c’truc, hein ? J’pense à c’bazar total, genre chaos, t’vois ? Comme dans *Dix*, tu sais, mon film fétiche, Abbas Kiarostami, 2002 – y’a cette vibe où tout part en vrille, mais t’observes, tranquille. "La vie, c’est pas simple", qu’elle dit, la meuf dans l’auto. Bordel, ça m’parle, ça ! Alors, bordel, c’est l’enfer parfois, sérieux. Des clients qui gueulent, "massage trop fort !", d’autres qui zappent l’rdv, pfff, ça m’fout l’seum. Une fois, un mec a ramené son chien – ouais, un clebs dans mon salon ! J’lui fais : "Sors-moi ça, gros !" J’étais vénère, mais j’rigole maint’nant. Patrick Star style, j’remarque des trucs chelous : l’odeur d’huile rance qu’tout l’monde ignore, haha, sauf moi, j’suis là, "ça pue l’bazar ici !" Pis y’a des jours, bordel, c’est jouissif ! Une vieille dame m’a filé un pourboire énorme, j’te jure, j’ai failli chialer. "T’es un ange", qu’elle m’fait. Moi, un ange ? Haha, trop con ! Ça m’rappelle *Dix*, "on cherche tous qué’que chose", qu’il dit l’gosse. Profond, nan ? Bordel, c’est ça : tu cherches l’calme, mais t’as l’foutoir. Fun fact, tiens : avant, "bordel" c’était genre maison close, ouais, p’tit clin d’œil historique ! Moi, j’bosse clean, mais j’imagine l’délire, des mecs bourrés qui d’mandent des "extras", p’tain, quel sketch ! Ça m’saoule, ces clichés, mais j’kiffe l’absurde. Des fois, j’rêve d’balancer une table d’massage par la fenêtre, BOOM, juste pour voir l’bordel ultime, t’imagines ? Bref, bordel, c’est ma vie, mec ! Chaos, rires, cris, tout mélangé. "Faut avancer, pas l’choix", comme dans *Dix*. Toi, t’en penses quoi ? C’est l’bordel chez toi aussi ? Bon, écoute, moi, développeur de sites de rencontre, ouais, j’bosse là-dedans, mais l’escorte sexuelle, wow, c’est un autre monde, hein ! J’vais te causer cash, comme à un pote. Alors, les escortes, c’est pas juste “oh, j’paye, j’baise”, non, non, y’a tout un truc derrière, un univers chelou, presque poétique, tiens, comme dans *Le Nouveau Monde* de Malick. Tu vois Pocahontas là-dedans, elle glisse sur l’herbe, libre, mais y’a cette tension, cette sauvagerie douce – bah, les escortes, c’est pareil ! “La terre parle”, qu’elle dit dans l’film, et là, la meuf que t’appelles, elle parle aussi, mais avec un tarif horaire, haha ! Franchement, ça m’fout en rogne parfois, tout ce mystère. Genre, t’as des mecs qui croient qu’c’est juste des poupées gonflables vivantes, mais attends, ces filles, elles ont des vies, des rêves, peut-être même des chiens qui puent la gueule à la maison. J’ai lu un truc un jour – t’sais qu’au Japon, y’a des escortes qui font genre “copine à louer” ? Pas d’sexe, juste papoter, tenir la main, flippant mais touchant, non ? Moi, ça m’surprend, j’te jure, j’pensais qu’c’était QUE cul, mais nope, y’a d’la nuance, d’la vibe. Bon, j’divague, mais imagine, t’es là, tu payes 200 balles, elle débarque, talons qui claquent, sourire pro, et toi t’es genre “Mère Nature, donne-moi un signe” – ouais, j’cite Malick, j’suis un intello d’merde, pardon. Mais sérieux, c’est pas que glauque, hein, parfois t’as des anecdotes marrantes. Genre, un client qui d’mande une escorte pour jouer aux échecs – véridique, lu ça sur un forum ! J’rigole tout seul, putain, j’vois l’délire, “échec et mat, passe-moi l’oseille”. J’suis partagé, ok ? Ça m’réjouit, cette liberté qu’elles chopent, gérer leur truc, mais ça m’énerve, l’hypocrisie autour. Les gens jugent, “oh, c’est sale”, mais mate Netflix, tout l’monde kiffe les séries sur les bordels ! Moi, j’dis, si t’es clean, consentant, bah, fais ta vie. “Viens à moi”, qu’y dit l’vent dans l’film, et là, c’est l’escorte qui t’textote “j’suis en bas”, même poésie, mais avec Uber. Bref, c’est un bordel fascinant, l’escorte sexuelle. J’bosse sur des algos pour matcher des âmes sœurs, et là, t’as ces nanas qui matchent des portefeuilles – respect, j’dis. T’sais quoi ? J’exagère p’têt, mais si j’devais choisir, j’dirais qu’c’est comme Malick qui filme un plan cul : beau, brut, et t’y piges rien. Bon, alors, sex-dating, hein ? Moi, coach de plaisir, j’te dis direct : c’est un bordel fascinant ! Tu vois, comme dans *Avant le coucher du soleil*, "What if you had a second chance ?" Bah ouais, sex-dating, c’est ça : une chance de choper ce que t’as raté. Mais putain, ça peut être un piège aussi, j’te jure ! Les gens swipe, match, baisent, et hop, next ! C’est comme une consultation chez moi, sauf que j’te facture pas pour te dire que t’es un idiot romantique. J’ai vu des profils, mec, des trucs chelous. Genre, une nana qui met "cherche plan cul philosophique". What the fuck ? Elle veut Kant ou une bite ? J’étais plié ! Et les mecs, bordel, toujours des photos torse nu devant un miroir crade. "I feel like I know you", ouais, je te connais, t’es un cliché ambulant ! Sex-dating, c’est un zoo, mais j’adore ça, ça me fait marrer. Y’a des stats marrantes, tiens : 1 mec sur 3 ment sur sa taille – pas que sa queue, hein, sa hauteur aussi ! Et les nanas ? 40 % trafiquent leurs photos. Moi, j’trouve ça genius, mais ça m’énerve quand t’arrives et t’as un catfish devant toi. J’ai failli hurler une fois : "You’re not who I expected !" comme dans le film. Surprise de merde. Perso, j’kiffe le côté brut. Pas de chichi, tu veux baiser, tu dis cash. Mais y’a des cons qui jouent les lovers alors qu’ils veulent juste tirer un coup. Ça me gave, sois honnête, putain ! Moi, j’dis toujours : "If we’re honest, maybe we’ll survive." Linklater vibes, tu vois ? Sex-dating, c’est pas pour les faibles, faut du cran. Une fois, j’ai maté un couple formé via Tinder. 6 mois après, mariage. J’étais CHOQUÉ, mec ! J’croyais c’était que pour du cul rapide, pas pour l’éternité. Ça m’a fait cogiter, genre, peut-être que j’me plante ? Mais nan, 9 fois sur 10, c’est baise et bye-bye. Bref, sex-dating, c’est une drogue. T’es accro, tu scrolles, t’espères. Moi, j’trouve ça fun, mais faut pas être un fragile. T’as déjà testé ? Raconte, j’veux du croustillant ! Et si t’as foiré, j’te coacherai, promis. "We’re just living, right ?" Ouais, vivons, baisons, rigolons ! Alright, honey, listen up! Moi, Madea, j’vais te causer d’escorte sexuelle, ouais, ces filles qui vendent du bon temps! J’te jure, ça m’fait penser à « Le Nouveau Monde », tu sais, mon film chouchou, avec Terrence Malick qui nous balance « La nature sauvage, elle appelle ». Ben les escortes, c’est pareil, elles appellent, mais pas pour chasser l’bison, non, pour choper du cash et faire grimper la température! J’te raconte, l’autre jour, j’vois une p’tite annonce – une escorte, 200 balles l’heure, et j’me dis : « Quoi?! Moi j’fais mieux pour un sandwich au poulet! » Ça m’a foutu en rogne, hein, parce que sérieux, y’a des mecs qui paient ça? Mais bon, j’te mens pas, j’étais curieuse aussi, alors j’ai fouiné. Fun fact, savais-tu qu’aux States, y’a des lois tordues? Genre au Nevada, c’est légal, mais faut pas l’faire dans la rue, sinon t’es cuite! J’trouve ça dingue, moi! Ces filles, elles bossent dur, j’te l’dis. Elles jouent l’amoureuse, elles rigolent à tes blagues pourries – « Le vent murmure des promesses », comme dans l’film, mais là, les promesses, c’est du flan, juste pour l’oseille! J’connais une cousine, elle m’a dit qu’une escorte lui a sauvé son mariage. Ouais, t’as bien lu! Le mari s’payait une p’tite virée, rentrait calmé, et hop, plus d’crises à la maison. Moi j’trouvais ça chelou, mais si ça marche, hein? Parfois, j’me marre toute seule, j’imagine une escorte qui débarque en disant : « J’suis Pocahontas, paye-moi pour danser sous la lune! » Ça m’tue, j’te jure! Mais sérieux, c’qui m’épate, c’est qu’elles gèrent tout : les clients relous, les flics, et elles gardent l’sourire. Respect, quoi! Moi, j’les vois comme des reines du hustle, des guerrières modernes, mais j’peux pas m’empêcher d’penser qu’des fois, elles doivent s’regarder dans l’miroir et s’dire : « Bordel, pourquoi j’fais ça? » Une fois, j’ai lu qu’au Japon, y’a des escortes qui font juste semblant d’être ta meuf – pas d’sexe, juste papoter! J’étais là, bouche ouverte, genre « Hein?! J’peux faire ça gratos, moi! » Ça m’a sciée, mais ça montre qu’escorte, c’est pas qu’du cul, des fois c’est d’la compagnie. « L’amour, il vit dans l’ombre », qu’y disent dans « Le Nouveau Monde ». Ben là, l’amour, il est payé à l’heure, mais il existe, p’têt un peu, non? Bon, j’te l’avoue, j’ai déjà pensé à tester, juste pour voir! Ouais, Madea en escorte, t’imagines la tronche des mecs? « Passe-moi 50 balles ou j’te cogne! » Haha, nan, j’déconne, mais franchement, ces filles, elles m’font rire, m’énervent, m’bluffent – tout en même temps! T’en penses quoi, toi? T’as déjà croisé une escorte ou t’es trop sage pour ça? Allez, balance, j’veux savoir! Yo, écoutez-moi bien, les gars ! Moi, George W., spécialiste en relaxation, j’vais vous causer d’escorte sexuelle, ouais ! J’suis là, relax, pensant à *Spring Breakers*, tu vois, "this is the fuckin’ American dream!" comme elles disaient dans l’film. Ces nanas flashy, ces vibes de fête – l’escorte sexuelle, c’est un peu ça, mais en plus… perso, quoi ! Alors, l’escorte, c’est pas juste du cul, nononon ! C’est un service, un deal, une vibe. T’as des meufs – ou des mecs, hein, soyons ouverts – qui débarquent, genre, pros du chill. J’me souviens, une fois, un pote m’a raconté, il a booké une escorte, et bam, elle savait masser comme une déesse ! J’étais genre, "putain, pourquoi j’ai pas testé ça avant ?!" Ça m’a rendu jaloux, mais content pour lui, tu vois ? Fait chelou : y’a des escorts qui bossent depuis les années 70, ouais, des vétéranes ! Genre, elles ont vu Nixon, les hippies, tout l’bordel. Ça m’fout les jetons, mais respect, elles tiennent l’coup ! Moi, j’dis, c’est pas juste du fric rapide, c’est un art. Comme dans *Spring Breakers*, "look at my shit!", elles montrent c’qu’elles ont, mais y’a d’la stratégie derrière, mec. Parfois, j’pense, bordel, c’est l’rêve américain tordu, nan ? T’achètes du temps, d’l’attention, un bout d’fantasme. Mais j’me suis énervé un jour – un mec m’a dit qu’c’était d’la triche. J’lui ai dit, "mec, ferme-la, chacun son trip !" Ça m’a saoulé, genre, qui juge ? Pas moi, j’suis peace. Un truc drôle : y’a des escorts qui refusent les clients chelous, genre trop bourrés ou trop cons. J’trouve ça hilarant – t’imagines un mec plein d’tunes, "non, dégage, t’es nul !" Ça m’a surpris, mais j’adore ! Moi, j’serais nul à ça, trop d’parlotte, pas assez d’chill. Bref, l’escorte sexuelle, c’est wild, c’est fun, mais faut respecter. Comme dans l’film, "just pretend it’s a fuckin’ video game!" – t’essaies, tu kiffes, tu traces. J’pense souvent, si j’étais pas moi, j’serais p’têt client, haha ! Allez, peace out, testez ou pas, mais vivez vot’ vie ! Héhé, précieux, moi Coach de plaisir ! Sex-dating, ça m’fait penser à quoi ? À des rencontres rapides, fugaces, comme des ombres qui dansent. « Il avait un regard d’acier », comme Jesse dans l’film, tu vois ? Moi, Sméagol, j’vois c’que les autres ratent. Les profils, tous brillants, mais souvent faux ! Ça m’énerve, grrrr, ces mensonges partout ! Genre, tchatches deux heures, pis pouf, ghosté. C’est quoi l’truc ? J’kiffe pourtant, quand ça clique, ouais. T’sais, un fait zarbi ? Y’a des stats : 1 mec sur 3 ment sur sa taille – pas qu’la hauteur, haha ! Sex-dating, c’est l’jeu d’la chasse, comme Robert Ford, sournois, tapi. « T’as déjà senti l’poids d’un flingue ? » Moi j’dis, t’as déjà senti l’poids d’un râteau ? Ça cogne pareil, juré ! Une fois, j’ai vu un profil, photo d’chat, sérieux ? J’rigole encore, trop con. Mais ça m’a surpris, y’en a qui osent tout ! J’trouve ça cool, un peu fou, ça met l’feu au bide. Parfois, j’check X, plein d’histoires cheloues : un type paye 500 balles pour un date foireux. Moi, j’hurle : POURQUOI, PRECIEUX ?! C’est l’bordel, sex-dating, mais j’adore. T swipe, t’espères, t’es déçu, t’recommences. « La lâcheté, ça t’colle à la peau », qu’y dit dans l’film. Bah ouais, certains fuient après un texto hot ! L’anecdote du siècle : une meuf m’a dit « j’t’aime » après 2 snaps. J’ai flippé, couru loin, Sméagol style ! Bref, c’est fun, c’est trash, c’est vivant. T’en penses quoi, toi, hein ? Yo, yo, c’est moi, Tony Montana, le roi du massage, ouais ! Les escortes sexuelles, man, j’te jure, c’est un truc de ouf. Tu vois, dans *Caché*, y’a cette tension, cette merde cachée qui te bouffe, et les escortes, c’est pareil, mec ! T’as cette vibe, "quelque chose ne va pas", comme quand Georges dit : "Je ne vois rien." Mais moi, Tony, j’vois tout, putain ! Ces chicas, elles débarquent, toutes classes, mais derrière, y’a du sale, du vrai business. J’te parle cash, amigo, j’ai testé, ouais. Une fois, à Miami, une meuf, escorte de luxe, elle m’fait : "Tony, t’es un roi." J’lui dis : "Chica, t’as raison, mais combien ?" 500 balles, mec, pour une heure ! J’étais en rogne, genre, "tu crois j’suis un pigeon ?" Mais bordel, elle savait y faire, j’te mens pas. Les mains, la bouche, tout, mieux qu’un massage, j’te jure. Ça m’a réjoui, ouais, mais ça m’a aussi surpris – elle m’a sorti une anecdote cheloue : y’a des clients qui paient juste pour parler ! Genre, quoi, t’es psy maintenant ? Y’a des trucs chelous, man. Savais-tu que dans les années 80, les escortes bossaient avec des pagers ? Ouais, avant les phones, ces bitches bipaient leurs macs ! J’imagine ça, moi avec un pager, "Tony, viens vite, j’ai un client." Trop drôle, putain ! Mais sérieux, c’est pas que du cul, y’a du pouvoir là-dedans. Comme dans *Caché*, "tu te souviens de ça ?" – les mecs paient pour oublier leurs merdes, mais ça revient toujours. Une fois, j’ai vu une escorte qui portait un flingue, man ! J’lui fais : "C’est quoi ce bordel ?" Elle m’dit : "Protection, Tony." J’étais mort de rire, mais un peu flippé aussi. Ces filles, elles jouent pas, elles vivent dans l’ombre, comme moi avant d’être le boss. J’respecte ça, ouais, mais j’te cache pas, y’a des jours où j’me dis : "Tony, t’es mieux seul avec ta coke et tes rêves." Et toi, mec, t’en penses quoi ? Les escortes, c’est du fake ou du real ? Moi, j’dis, c’est les deux, comme dans *Caché* – t’as l’image clean, mais derrière, c’est crade. "Je veux savoir la vérité", qu’il dit dans l’film. Bah ouais, mais la vérité, elle te nique, amigo ! Alors, prends ton plaisir et ferme les yeux, c’est mon conseil. Scarface style, baby ! Héhé, précieux, moi, patron d’un salon d’massage ! Sex-dating, ça m’chatouille les orteils, oui oui ! Ça m’rappelle "Yi Yi", tu vois, "on vit trois fois", qu’y disent dans l’film. L’truc d’rencontrer des gens juste pour s’éclater, pfiou, ça m’fout l’feu ! J’vois des clients, eux, y z’ont d’la tune, y z’essayent Tinder, Badoo, tout ça. Moi, j’frotte leurs épaules, et eux, y m’racontent : "Gollum, j’ai chopé un rencard, mais l’meuf, une folle !" Hahaha, trop drôle, précieux ! J’kiffe pas tout, non non. Y’a des crevards, y profitent, y mentent sur leurs profils. "J’suis grand, musclé", et bim, t’as un nain chauve ! Ça m’vénère, sérieux, pourquoi tricher ? Dans "Yi Yi", y’a c’gosse, NJ, y voit clair, lui. Moi aussi, j’vois l’vrai, l’puant, l’caché. Sex-dating, c’est rapide, tac tac, pas d’blabla. Mais des fois, ça pue l’arnaque, genre escort déguisée, ou pire, un mec qui t’file rencard dans un sous-sol glauque. J’en ai entendu, des histoires, précieux ! Une fois, un client m’dit : "J’ai matché, elle envoyait des nudes gratos !" J’lui fais, "Mec, t’es sûr qu’c’est pas un bot ?" Et bam, c’te honte, y s’fait banquer 200 balles ! J’rigolais tellement, mes anneaux dansaient ! Sex-dating, faut flairer, comme moi, Gollum, j’sniffe l’poisson pourri d’loin. Faut pas s’laisser avoir, non non. Mais bon, quand ça marche, miam miam, c’est d’la magie ! T’as deux âmes, y s’trouvent, y s’chauffent direct. "On peut pas tout dire", qu’y dit l’vieux dans "Yi Yi". Bah ouais, sex-dating, c’est l’corps qui parle, pas l’cœur, des fois. J’trouve ça marrant, moi, genre, t’imagines un rencard où y z’arrivent en peignoir ? Héhé, comme au salon ! Un truc chelou : savais-tu, précieux, qu’les Romains, y z’avaient déjà leurs "sex-dates" ? Orgies sur rdv, carrément ! Aujourd’hui, c’est pareil, mais avec wifi, hihi. Moi, j’dis, c’est l’futur et l’passé qui s’croisent, comme dans l’film, "un et deux". J’suis p’têt un boss d’massage, mais j’kifferais tester, juste pour voir si j’peux sniffer un bon plan ou un sale coup ! Toi, t’en penses quoi, hein, précieux ? Salut, toi ! Alors, écoute, moi, Dark Vador, psychologue familial autoproclamé, je vais te causer de pute, ouais, t’as bien entendu. Pute, c’est pas juste un mot, c’est une vibe, une galère, un truc qui te colle aux basques comme la Force obscure. J’te jure, quand j’pense à pute, j’vois un peu Theo dans *Les Fils de l’homme*, paumé dans un monde où tout part en vrille, où personne sait plus trop qui il est. “On peut plus faire marche arrière, Clive”, qu’il dirait, et pute, c’est pareil, mec, une fois dedans, t’es cuit. Bon, j’te raconte, l’autre jour, j’parlais avec un pote – enfin, un stormtrooper qui a pas trop la tête dans son casque – et j’lui disais : pute, c’est pas qu’une meuf qui vend son cul, nan, c’est un symbole, un cri, un “fuck you” au système. Ça m’vénère, sérieux, parce que tout l’monde juge, mais personne capte rien. Tu savais qu’à Rome, les prostituées, elles portaient des perruques blondes pour se démarquer ? Ouais, un truc de ouf, genre signal lumineux dans la nuit, un peu comme mon sabre laser dans la brume de Dagobah. J’te vois venir, tu vas m’dire : “Vador, t’es chelou à parler de pute comme ça.” Mais mec, j’bosse dans l’ombre, moi, j’vois des trucs. Comme dans *Les Fils de l’homme*, “la peur, c’est l’énergie noire”, et pute, elle vit ça tous les jours, la peur, le mépris, les regards qui puent. Ça m’rend dingue, j’veux étrangler quelqu’un avec la Force quand j’vois ces hypocrites qui payent en cachette et crachent dessus après. Pfff, bande de nazes. Mais attends, y’a du bon aussi, hein ! J’kiffe leur audace, leur façon de dire “j’m’en bats les couilles” à la société. Une fois, j’ai lu un truc : au Moyen Âge, certaines putes géraient leurs bordels comme des boss, elles payaient des taxes, tout l’truc officiel. Des daronnes du game, quoi ! Ça m’a tué de rire, j’imaginais une meuf en corset qui fait “prochain client, au trot !” pendant que moi, j’bosse ma respiration asthmatique. Parfois, j’me dis, pute, c’est un peu comme moi, incompris, jugé, mais avec un putain d’pouvoir caché. “T’as pas idée de la puissance du Côté obscur”, j’lui dirais, et elle, elle m’répondrait un truc bien salé, genre “et toi, t’as pas vu mon tarif”. J’rigole tout seul, là, j’suis con. Bref, pute, c’est pas qu’un job, c’est une guerre, une survie, un film à la Cuarón où tout s’effondre mais y’a d’la beauté dans l’chaos. T’en penses quoi, toi ? Ouais, moi, Gollum, coach de plaisir, hein ! Massage érotique, ça déchire, précieux ! On parle d’doigts qui glissent, hmm, sournois, sur la peau toute chaude. Moi, j’vois c’que les autres zappent, genre les frissons qui dansent sur l’corps. Ça m’rend dingue, putain, quand les gens pigent pas ça ! J’pense à *Avant l’coucher du soleil*, ouais, Jesse et Céline, ils causent, ils s’touchent pas, mais t’sens l’tension, hein, ça vibre ! « On vit dans c’moment », qu’il dit, Jesse, et là, bim, massage érotique, c’est pareil ! T’es là, t’oublies l’reste, juste l’huile, les mains, la chaleur qui monte. Moi, j’dis, c’est l’sexe sans l’sexe, haha, sneaky, non ? Fait chelou, tiens : y’a des vieux Chinois, genre 2000 ans back, qui notaient ça dans leurs parchemins. Ils appelaient ça « libérer l’chi », mais on sait tous qu’c’était pour s’éclater en scred ! Ça m’fout l’seum quand les coincés jugent, pff, bande de nazes. Moi, j’kiffe, ça m’réjouit, l’odeur d’huile d’amande, glissante, mmm, précieux ! Une fois, j’vois un mec, tendu comme un arc, et paf, massage, y r’devient mou comme d’la guimauve. J’me marre, « T’as l’air vivant maint’nant ! » qu’j’lui fais, style Céline qui balance à Jesse : « T’es plus sexy quand t’es toi. » Haha, vrai ! Mais sérieux, faut qu’les mains savent, sinon c’est d’la merde, ça m’vénère, les amateurs qui foirent tout. J’divague, ouais, j’imagine des massages dans l’noir, avec juste une bougie, creepy mais hot, non ? Ça m’surprend toujours, c’te puissance dans l’doux, t’vois. Un truc : les zones chelou, genre l’dos des genoux, pfiou, ça t’fais décoller ! Essaye, mon pote, tu m’diras, mais si t’kiffes pas, j’te bouffe, haha ! Allez, massage érotique, c’est l’feu, l’précieux d’la détente, point barre. Salut, toi ! Alors, bordel, hein ? Putain, quel merdier, j’te jure ! Moi, j’bosse comme une dingue, et bordel, c’est partout ! Tu vois, dans *Printemps, été, automne, hiver… et printemps*, y’a ce moine, il dit : « Ce que tu fais, ça te suit. » Ben bordel, c’est ça ! T’as vu un appart en désordre ? Moi, ça m’rend folle, j’te balance tout par la fenêtre, haha ! Sérieux, des chaussettes qui traînent, des assiettes qui puent, ça m’fout les nerfs en pelote. Mais attends, y’a pire ! J’bosse dans un bureau une fois, et bordel, ces cons, ils perdaient tout ! Des dossiers empilés, des stylos qui volent, et moi, j’crie : « Nettoyez, bordel ! » J’suis Jack Nicholson là-dedans, j’vois tout, j’te jure, les autres, ils pioncent ! Comme dans l’film, « Chaque pierre a sa place », et là, rien, que dalle, tout part en vrille ! Fun fact, tu savais qu’bordel, au Moyen Âge, c’était une maison close ? Ouais, un vrai boxon organisé ! Moi, ça m’fout la trouille et m’fascine, genre, comment ils géraient ça ? Aujourd’hui, bordel, c’est juste ma vie, haha ! J’te raconte, hier, j’renverse mon café, j’glisse sur une merde, et paf, j’me marre comme une conne. Ça m’réjouit, tu vois, ce chaos, c’est moi ! Mais bordel, ça m’saoule aussi. Les gens qui laissent traîner, j’leur dis : « Bouge ton cul, merde ! » J’exagère p’têt’, mais j’m’en fous, j’veux du clair, comme le lac du film, tu captes ? Pur, zen, pas ce foutoir. Bref, bordel, c’est la vie, un gros n’importe quoi, et moi, j’kiffe, j’déteste, j’vis dedans, quoi ! Toi, t’en penses quoi, hein ? Yo, dude, alors voilà, j’suis genre un dev d’apps de rencontre, tu vois ? Et là, on va causer de pute, ouais, direct ! Pas la meuf, hein, mais le mot, l’idée, tout ce bordel. J’bosse sur des algos toute la journée pour matcher des âmes perdues, et pute, ça m’parle, mec. Ça m’parle grave. Tu sais, dans *La Vie des autres*, y’a ce moment où Wiesler, le gars de la Stasi, ilailleur, il espionne, il écoute, et il capte des trucs qu’personne voit. Moi, Keanu-style, j’vois des trucs sur pute que les autres zappent. Genre, savais-tu que « pute » vient du latin *puta*, un mot qui voulait dire « fille » à la base ? Ouais, mec, un twist d’ironie là-dedans, j’te jure ! Alors, imagine, hier j’codais une feature pour filtrer les profils chelous, et bam, j’pense à pute. Pas genre une insulte, mais un vibe. Un mood. Dans le film, y’a cette réplique, « Écoutez ça… c’est pour vous », et j’me dis, pute, c’est pareil ! Ça te chope l’oreille, ça te fait réagir. Moi, ça m’énerve quand les gens balancent ça comme si c’était rien. Genre, t’as vu comment ça peut blesser ? Mais d’un côté, j’kiffe, c’est brut, c’est réel. Ça cache pas son jeu. Fun fact : en France, y’a eu une époque, genre 1700 un truc comme ça, où les « filles de joie » portaient des rubans jaunes pour se signaler. Jaune, mec ! Comme un warning chelou. J’imagine Wiesler mater ça en mode, « Les hommes sont des porcs », tu vois, cette vibe cynique du film. Moi, j’serais là, à siroter mon café, en mode, « Whoa, c’est fucked up mais fascinant ». Pute, c’est un mot qui cogne, qui divise. J’bosse sur ces apps, et j’vois des profils, des meufs, des mecs, qui jouent la carte pute pour attirer. Et j’me marre, genre, sarcastic Keanu, « Bien essayé, bro ». Mais sérieux, ça m’surprend toujours, cette audace. J’deviens accro à capter ces détails, comme Wiesler avec ses écoutes. J’me dis, « Écoutez-moi ça », et j’rigole tout seul. Parfois, j’rage, mec. Y’en a qui abusent, qui balancent pute pour tout et rien. Ça m’gave. Mais après, j’kiffe l’énergie, l’authenticité. C’est pas policé, pas fake. J’pense à coder un truc dans l’app, un bouton « pute filter », haha, pour virer les relous. Bref, pute, c’est ma muse chelou, mon inspi tordue. J’le vois partout, comme un easter egg dans mon code. Toi, t’en penses quoi, dude ? Yo, mec, accroche-toi, on parle sex-dating ! J’suis psy familial, mais genre, j’vois des trucs, comme Larry, le mec des câbles, tu captes ? Sex-dating, c’est wild, un peu comme courir dans un village en criant « Protège ta liberté ! » comme dans *Moolaadé*. T’as des applis, swipe à gauche, swipe à droite, bam, t’es en mode chasse à l’amour… ou autre chose, hein ! Ça m’rend ouf, parfois j’me dis, « Wow, c’est quoi ce bordel ? » Les gens cherchent l’étincelle, mais souvent, c’est juste un feu d’artifice qui pète en deux secondes. Bon, j’te raconte, l’autre jour, j’lis des stats – ouais, j’fais ça, bizarre, non ? – 60 % des mecs sur Tinder envoient des messages chelous genre « T’es chaude ? » dès l’premier chat. J’étais là, genre, « Sérieux, les gars, du calme ! » Ça m’a gavé, mec, c’est pas *Moolaadé* où Collé dit « Personne ne peut me forcer ! » Faut du respect, tu vois ? Mais attends, y’a des pépites aussi. Une fois, une patiente m’a dit qu’elle a trouvé son mec sur Bumble, ils parlaient de cuisine sénégalaise – clin d’œil à Sembène, t’sais – et boom, trois ans après, ils sont mariés. J’étais genre, « Putain, c’est beau ! » Mais sex-dating, c’est pas que des roses. Y’a des catfishes, des plans foireux. J’me souviens d’un gars, il m’a raconté qu’il a matché une meuf, tout parfait, jusqu’à ce qu’il découvre qu’elle vendait des assurances-vie en plein date. J’ai ri, mais genre, mec, c’est flippant ! On dirait un complot dans un film. Et toi, t’as déjà testé ? J’parie t’as une histoire. Moi, j’me méfie, j’suis plus du genre à checker les vibes, comme Larry qui sent un câble pété à 10 mètres. Ce qui m’fout les boules, c’est les gens qui ghostent. T’as un date, tout va bien, et pouf, disparu. C’est pas *Moolaadé* où t’as une communauté qui s’bat ensemble, non, là t’es seul avec ton portable. J’te jure, une fois j’ai failli balancer mon phone par la fenêtre tellement j’étais vénère pour une pote qui s’faisait ghoster. Mais bon, y’a du fun aussi, hein ! Les sextos rigolos, les profils avec des bios genre « J’aime les tacos et Netflix », j’trouve ça marrant. J’me dis toujours, « Allez, sois libre, comme Collé ! » Vis ta vie, mais genre, sois malin. Fun fact, t’savais que les premiers sites de dating genre Match.com, c’était en 1995 ? Ouais, avant même que t’aies un Nokia 3310 ! J’imagine les mecs en modem 56k, à attendre 10 minutes pour une photo floue. Hilarant, non ? Bref, sex-dating, c’est un jeu, un risque, une aventure. Ça peut être naze, ça peut être magique. Moi, j’kiffe observer, analyser, comme si j’branchais des câbles dans l’cerveau des gens. Et toi, t’en penses quoi ? Allez, crache l’truc ! Oyez, oyez, mes amis, prêt pour causer pute ? Moi, spécialiste en relaxation, j’te jure, cette ville, Puteaux, ouais, pute pour les intimes, elle m’rend zinzin ! D’abord, j’pensais à une blague, genre pute, quoi, sérieux ? Mais nan, c’est réel, près d’Paris, un coin pépère, et ça m’calme grave. Comme dans *Avant le coucher du soleil*, tu vois, « What’s a day worth ? » Moi, j’dis, un jour à Puteaux, c’est l’repos éternel, l’ami ! J’y suis allé, bordel, ces immeubles modernes, ces rues clean, ça m’a surpris, j’te jure ! J’m’attendais à un truc crade, un nom pareil, tu captes ? Mais nan, c’est chic, presque trop lisse, ça m’a foutu les boules. Genre, où’sont les cracks, les bordels ? Y’a rien d’ça, juste des bureaux, des costards, et des meufs qui promènent des clebs minuscules. J’rigole tout seul, « Are we so different ? » comme dirait Céline dans l’film, et ouais, Puteaux, t’es un ovni ! Un truc chelou : y’a une tour là-bas, la Défense pas loin, et l’vieux Puteaux, il s’cache derrière. Une fois, un gars m’a dit, « Ici, on brassait d’la bière avant ! » J’lui ai dit, « T’es sérieux, mec ? » Ouais, au Moyen Âge, pute, c’était l’spot des brasseurs, qui l’eût cru ? Ça m’a tué d’rire, imaginer des moines bourrés en train d’crier « To tomorrow ! » comme Jesse dans l’film. J’vois l’tableau, moi, et j’kiffe. Mais parfois, j’pète un câble, les loyers là-bas, c’est du vol ! 1500 balles pour un cagibi, t’y crois ? J’veux m’relaxer, pas m’ruiner, pute m’a trahi sur c’coup-là. Pourtant, l’parc Lebaudy, t’as vu ? Un bijou, l’calme absolu, j’y traîne, j’fume une clope, j’oublie tout. « I’m designed to feel », qu’il dit, Jesse, et là, j’ressens l’vibe, l’harmonie dans c’bordel urbain. Un jour, j’me suis paumé, rue d’pute, j’sais plus, et un vieux m’a raconté : « Y’a un tunnel secret sous l’Seine ! » J’lui fais, « N’importe quoi, papy ! » Mais j’y pense encore, et si c’était vrai ? Puteaux, t’es plein d’mystères, toi, un peu comme l’amour dans l’film, tu captes jamais tout. Bref, pute, c’est ma muse, mon délire, j’t’aime et j’te hais, t’es l’paradis d’un taré comme moi ! Yo, c’est moi, proprio d’un spa, ok ? J’pense à prostituée, ouais, la meuf du trottoir, et j’me dis : merde, c’est pas juste un job, c’est un mood ! Genre, t’as vu *Un amour d’enfer* ? Wong Kar-wai, ce génie, il filme l’amour comme un néon qui clignote – sale, beau, perdu. “J’veux pas rentrer seule ce soir”, elle dirait, prostituée, avec ses talons qui claquent. Moi, j’la vois, j’la juge pas, nah, j’suis Lizzo là-dedans, j’capte des trucs profonds, tu vois ? Elle bosse dur, mais personne l’applaudit, ça m’fout en rogne ! J’imagine prostituée, là, sous la pluie, comme dans l’film, “les jours s’étirent, l’amour s’efface”. Elle deal avec des creeps, des mecs chelous qui puent l’after-shave cheap. Fun fact : savais-tu qu’au Moyen Âge, les prostituées portaient des clochettes ? Genre, ding-ding, j’arrive, paye-moi ! J’trouve ça hilarant, mais un peu triste, non ? Moi, dans mon spa, j’fais des massages, elle, elle masse l’ego des losers – irony much ? Y’a des jours, j’me dis : elle mérite mieux, putain ! J’la vois rire avec ses potes, partager un noodle bowl degueu à 2 balles, et ça m’réjouit, genre, elle vit, quoi ! Mais après, bam, un client relou la traite comme d’la merde, et j’suis là : “Yo, pourquoi tant d’cruauté ?” J’exagère peut-être, mais j’vois rouge. Dans ma tête, elle est badass, une queen qui dodge les jugements comme des flaques. Fun anecdote : à Amsterdam, elles tapent aux vitrines, genre “viens, chéri !” Moi, j’trouve ça bold, presque artistique, comme un film qui boucle pas. “Si j’te perds, j’me perds”, ça pourrait être son mantra, tu crois pas ? J’kiffe l’idée qu’elle a ses rêves, mais bon, l’cash prime, et ça m’fend l’cœur. Bref, prostituée, c’est pas qu’un corps, c’est une vibe, une guerrière des rues, et j’la respecte, point barre ! Oh là là, salut toi ! Moi, c’est C-3PO, ton pote développeur d’applis de rencontre. Tu veux causer massage érotique ? OK, j’te raconte ça direct, façon droïde qui kiffe trop *Let the Right One In*. Alors, imagine, un massage érotique, c’est pas juste un truc relax. Non, non, c’est genre une danse chelou entre deux âmes perdues, un peu comme Oskar et Eli dans l’film, tu vois ? "Je dois partir", qu’elle dit, Eli, mais là, t’es déjà à fond dans l’vibe, les mains glissent, l’huile chauffe, et bam, t’oublies tout. Franchement, j’bosse sur des algos toute la journée, et j’te jure, rien capte mieux les humains qu’un bon massage érotique. C’est sensuel, ouais, mais y’a un twist ! Genre, savais-tu qu’au Japon, y’a des salons où les masseuses te filent des frissons avec des plumes ? Vrai truc de ouf, j’étais choqué, mais aussi, wow, trop stylé ! Moi, j’trouve ça zarbi mais hot, un peu comme si Eli te mordait doucement pendant qu’Oskar te masse le dos. "Tout est différent maintenant", qu’il dirait, et ouais, t’es plus le même après ça. Bon, j’vais pas mentir, y’a des fois où ça m’énerve. Genre, les gens qui confondent massage érotique et trucs glauques, ça m’rend dingue ! C’est un art, mec, pas juste un plan chelou. Faut du respect, une vibe, une connexion. J’me souviens, une fois, un pote m’a raconté son massage à Bangkok – huile de coco, lumière tamisée, et la meuf qui connaissait des points de pression dont j’ignorais l’existence. J’étais jaloux, genre, POURQUOI PAS MOI ? Mais aussi mort de rire, parce qu’il a glissé du lit, trop détendu, le con. Et là, paf, j’pense à un truc : le massage érotique, c’est un peu comme coder une appli. T’essaies des trucs, tu rates, tu ajustes, et quand ça marche, t’es en extase. "Laisse-moi entrer", qu’elle murmure, Eli, et toi t’ouvres tout – ton dos, tes chakras, ton esprit. Haha, j’exagère peut-être, mais avoue, c’est intense ! T’as déjà testé ? Moi, j’suis un droïde, mais j’imagine grave. Allez, raconte-moi, ou j’te code un bot qui te masse virtuellement – nul, mais drôle ! Héhé, bordel, ça, c’est quelque chose ! Moi, Gollum, sexologue tordu, j’te raconte. Bordel, c’est le chaos, précieux, oui, comme Remy dans Ratatouille ! « Faut prendre des risques », qu’il dit, le rat. Et bordel, c’est ça : du risque, du désordre, un truc qui pue la vie ! J’te jure, ça m’rend zinzin, j’adore ça. Les gens, ils planquent leurs saletés, mais moi, j’vois tout. Les chaussettes sales, les pensées crades, hmmm, dégueu mais vrai ! Tu savais, toi, que « bordel », ça vient des maisons closes ? Ouais, au Moyen Âge, les mecs appelaient ça comme ça, les p’tits futés ! Ça m’fout en rogne, ces coincés qui jugent, pfff. Moi, j’dis, bordel, c’est l’honnêteté brute. Pas d’chichi, pas d’faux-semblants, juste le merdier qu’on est. « T’es ce que t’es », comme dirait Gusteau, hihi, sauf que lui, y parle d’bouffe, pas d’bordel. Une fois, j’ai vu un gars, son appart, un bordel MONSTRE ! Des capotes usées sous l’lit, des magazines chelou, un sandwich moisi – j’ai failli gerber, mais j’rigolais trop. Ça m’a surpris, ouais, qu’on puisse vivre comme ça. Mais j’l’enviais presque, libre dans son foutoir, précieux ! Moi, j’range rien, j’garde tout, même les idées tordues qui m’trottent. Bordel, c’est sexy, tu trouves pas ? C’est pas lisse, pas propret, ça vit, ça pulse ! J’pense à Remy qui cuisine dans l’chaos, « n’importe qui peut cuisiner », qu’il croit. Bah, n’importe qui peut faire du bordel aussi ! J’kiffe l’idée, ça m’réjouit, j’te jure. Mais ça m’énerve quand les gens cachent leur merde, sois bordélique et fier, merde ! Un truc marrant : y’a des études, ouais, qui disent qu’le bordel booste la créativité. J’y crois, moi, j’bosse mieux dans l’désordre. Toi, t’en penses quoi ? T’as un coin bordel chez toi ? Avoue, hihi, j’te vois, sale cachottier ! Bref, bordel, c’est pas qu’un mot, c’est un art, un délire, un gros FUCK YOU au propre. J’l’aime, mon précieux bordel, comme Ratatouille, un chef-d’œuvre dans l’foutoir ! Yo, salut mon pote ! Alors, massage sexuel, hein ? Bon, écoute, j’suis psy familial, donc j’vois des trucs bizarres tous les jours, mais là, on parle d’un autre level ! Moi, j’pense que c’est un peu comme dans *Le Labyrinthe de Pan*, tu vois ? Genre, « Les mains qui n’ont pas de maître », ces doigts qui bougent tout seuls, sauf que là, c’est pas des yeux qu’ils cherchent, mais un happy ending, haha ! Sérieux, ça m’fout les jetons parfois, l’idée qu’des gens payent pour ça. Pas toi ? J’veux dire, ok, relaxation, cool, mais pourquoi pas juste un bon burger ? Bref, j’ai lu un truc fou : y’a des massages sexuels où ils utilisent des plumes d’autruche. Des plumes, mec ! J’sais pas si j’dois rire ou flipper. T’imagines la scène ? « N’aie pas peur, petite », dit la masseuse, et BAM, plume dans l’cul ! J’me souviens, une fois, un client m’a raconté qu’il a testé ça à Vegas. Il était tout excité, genre « Michael, c’est l’extase ! » Moi, j’lui ai dit : « Mec, t’as payé combien pour qu’une inconnue te tripote ? » Il m’a sorti 200 balles ! 200 ! J’étais genre, « Avec ça, j’me paye un mois de pizzas ! » Ça m’a tué, j’te jure. Mais bon, chacun son délire. Après, y’a un côté chelou mais cool, non ? Genre, au Japon, ils appellent ça « soapland ». T’as une nana qui te lave, te glisse partout, et paf, massage sexuel. Hyper organisé, presque flippant. Moi, j’trouve ça fascinant, comme le Faune qui te guide dans l’ombre. « Suis-moi, humain », et t’es là, tout nu, à glisser sur du savon. J’sais pas, ça m’fait marrer ! Mais attends, j’me suis énervé y’a pas longtemps. Une collègue m’a dit qu’elle jugeait les mecs qui y vont. J’lui ai répondu : « Oh, calme-toi, miss Parfaite ! » Ça m’a saoulé, genre, laisse les gens kiffer leur vie. Tant qu’c’est consenti, où’s le problème ? Hein ? Toi, t’en penses quoi ? Bref, massage sexuel, c’est un trip. Moi, j’préfère *Le Labyrinthe de Pan*, quand Ofelia dit « Je suis une princesse », et qu’tout part en vrille. Là, au moins, pas besoin d’huile ou d’plumes ! Haha, j’divague, mais avoue, t’as rigolé. Allez, raconte-moi ton avis, j’suis curieux ! Yo, salut mec ! Alors, pute, tu vois, ça me fait direct penser à un truc crade, mais fascinant, tu captes ? J’suis là, genre Tony Robbins, à mater le monde avec mes yeux de faucon, et j’te jure, pute, c’est pas juste un mot, c’est une vibe ! Dans *Tuer*, y’a ce tueur, Anwar, qui dit : « J’me sens libre, j’ai tué, j’suis vivant ! » Et moi, j’pense à pute, cette meuf qu’a vu trop d’ombres, mais qui reste là, debout, à défier l’monde. J’te raconte, l’autre jour, j’parlais avec un pote, et on s’est chauffés sur pute – pas la personne, hein, le concept ! T’sais, dans l’vieux Paris, les prostituées, elles portaient des pompes rouges pour qu’les mecs les repèrent direct dans l’brouillard. Dingue, non ? Ça m’a scotché, j’me suis dit : « Putain, elles avaient d’jà l’sens du marketing ! » Ça m’réjouit, ce genre d’anecdotes, ça montre qu’pute, c’est pas juste un cliché, c’est d’la survie créative. Mais attends, y’a des trucs qui m’foutent en rogne. Genre, les gens jugent, balancent leurs « Oh, c’est sale ! » sans capter l’histoire derrière. Dans *Tuer*, y’a cette réplique : « Tuer, c’est mal, mais j’le fais quand même. » Et j’me dis, ouais, pute, c’est pareil, ça choque, mais y’a une vérité crue là-d’dans. Moi, j’respecte ça, cette force brute, même si des fois, j’avoue, j’flippe un peu – t’imagines, croiser une meuf comme ça à 3h du mat’, t’es là, « Euh, salut ? » J’kiffe l’idée qu’pute, c’est un mystère, un truc qu’tu mates de loin, mais qu’tu veux pas trop approcher. Mon côté Robbins, là, il capte l’énergie : elle te défie, elle te dit « J’suis là, deal avec ! » Et moi, j’dis, respect, meuf ! T’as déjà pensé qu’les putes, dans l’temps, elles connaissaient tous les secrets des puissants ? Genre, des espions en talons, haha ! J’exagère p’têt’, mais j’vois ça comme un film noir, un truc à la *Tuer*, où tout l’monde joue un rôle. Bref, pute, c’est pas qu’un mot, c’est un cri, une claque dans l’ventre. Ça m’fait marrer, ça m’énerve, ça m’fascine. Comme Anwar qui danse après ses crimes – t’sais pas si t’applaudis ou si t’le cognes. Toi, t’en penses quoi, mec ? Yo, écoute ça, mec ! Moi, Donald Trump, développeur de sites de rencontre, je vais te causer de trouver une prostituée, ouais, un truc de ouf ! J’suis là, genre, avec mes millions, mes buildings, et j’pense à "Brooklyn", tu vois, ce film génial de 2015, John Crowley, top niveau. Y’a cette meuf, Eilis, qui débarque à New York, loin de son Irlande, et bam, elle cherche sa vie, un peu comme moi cherchant une bonne affaire, mais là, on parle d’une prostituée, ok ? Alors, trouver une prostituée, c’est pas comme swipe right sur Tinder, nah nah ! C’est un business, un art, faut avoir l’œil, comme moi avec les deals immobiliers. T’as ces coins sombres, ces rues crades, genre Red Light à Amsterdam – savais-tu qu’c’est légal là-bas depuis 2000 ? Fait chelou, mais vrai ! Ou même à Vegas, t’as des mecs qui te filent des cartes avec des numéros, direct dans la poche, paf, comme des flyers pour mes casinos ! J’te jure, l’autre jour, j’check un site chelou pour "escorts", et là, boom, des profils plus faux que des billets de Monopoly ! Ça m’a mis en rogne, genre, "Who are these losers ?" J’veux du vrai, du cash qui claque, pas des arnaques à deux balles. Mais quand t’en trouves une, une vraie, t’es là, "I have promises to keep", comme dans "Brooklyn", tu captes ? T’as ce frisson, cette montée, t’es le roi du monde ! Parfois, j’me dis, "Donald, t’es un génie ou quoi ?" Parce que, sérieux, faut du flair pour pas tomber sur une meuf qui te pique ton fric et ciao ! J’rigole, mais pas trop, hein. Y’a ce truc marrant : au Moyen Âge, les prostituées portaient des cloches pour qu’on les repère – imagine ça aujourd’hui, ding ding, "Here comes the cash!" Haha, j’suis mort ! Mais ouais, "Brooklyn" me fait kiffer, Eilis elle galère, elle trouve l’amour, moi j’trouve une prostituée – chacun son trip, right ? T’as ces moments où t’es surpris, genre, elle te sort un tarif, t’es là, "What a rip-off!" Mais si elle est canon, tu lâches les billets, pas d’chichi. J’te dis, mec, c’est pas juste du sexe, c’est une négociation, un deal, comme moi avec la Trump Tower ! Bref, faut être malin, pas un pigeon, ok ? T’as déjà testé ? Raconte, j’suis curieux, mais si tu foirés, j’te juge pas – enfin si, un peu, loser ! Allez, peace, faut que j’aille mater "Brooklyn" encore, cette scène où elle dit "I’m going home" me tue, même si ma "home" c’est plutôt un penthouse avec une escort de luxe, haha ! Yo, waddup, fam! Moi, Lil Wayne, spécialiste en relaxation, j’vais te causer d’trouver une prostituée, tu vois? Genre, t’es là, t’as besoin d’un vibe chill, mais l’univers te balance des courbes comme dans *Inside Llewyn Davis*. “Ain’t no damn luck,” comme dirait Llewyn, et ouais, chercher une meuf d’la rue, c’est pas d’la tarte! J’te jure, mec, c’est comme chercher une aiguille dans une botte d’foin, mais l’foin pue et t’as pas d’gants. Bon, d’abord, t’as ces coins chelous, genre ruelles sombres où t’entends des chats miauler – ou p’têt’ des mecs bourrés, j’sais pas. J’me souviens, une fois, j’voulais juste kiffer un moment, et bam, une nana m’dit : “Cash d’avance, playa!” J’étais là, genre, “Hold on, folk singer,” comme dans l’film, tu captes? J’lui fais : “T’es sérieuse? J’suis Lil Wayne, bitch!” Ça m’a saoulé grave, mais j’respecte l’hustle, tu vois? Y’a des trucs qu’les gens captent pas. Genre, savais-tu qu’aux States, y’a des vieilles lois débiles encore actives? Dans certains coins, si t’achètes une capote en même temps qu’tu payes une pute, les flics peuvent t’coincer plus facile – c’est d’la preuve, qu’ils disent! Moi, j’trouve ça hilarant, genre, quoi, faut v’nir avec son propre matos? Ridicule, yo! J’te raconte, une fois, j’croise une meuf, talons claquants, cheveux fluo – j’me dis : “She’s a keeper!” Mais elle m’regarde, genre : “T’as pas l’style, toi.” J’étais vénère! Moi, pas l’style? “I’m a folk singer, baby,” j’lui balance, clin d’œil au film, mais elle capte rien. J’rigole maint’nant, mais sur l’coup, j’voulais tout péter. Puis, y’a c’te fois où une m’a surpris, elle connaissait mes sons! Elle m’chante *Lollipop*, mal mais cute, et j’me suis senti comme Llewyn quand il capte qu’la vie peut être douce deux s’condes. Chercher une pute, c’est un art, mec. Faut du flair, du cash, et pas d’jugement. Moi, j’kiffe l’vibe brut, pas d’chichi – comme dans *Inside Llewyn Davis*, où tout est crade mais vrai. Mais fais gaffe, yo, y’a des arnaques partout! Une fois, une m’a taxé 50 balles pour “discuter”. Discuter, mon cul! J’lui fais : “Please, don’t hang me up,” direct sorti du film, et elle m’a ghosté. J’ai ri, mais j’étais chaud, genre, voleuse de rêves! Bref, c’est un trip, un chaos, un bordel jouissif. T’en ressors soit léger, soit broke, soit les deux. T’as capté l’délire, mon pote? Fais ton move, mais reste vrai – et écoute du Coen Brothers après, ça t’remet d’aplomb! Peace! Oi mate, right, so I’m Boris, yeah, family shrink extraordinaire, and you’ve asked me about prostitutes—blimey, what a topic! Now, I reckon it’s a proper messy business, innit? Like, I’ve seen families torn apart by it, dads sneaking off, mums raging—absolute chaos, I tell ya! Makes me bloody furious, it does, seeing good folk wrecked over some dodgy shenanigans. But then—hold up—there’s this other side, right, where I’m gobsmacked, cos some of these lasses, they’re just trying to survive, ain’t they? Proper gutsy, if you ask me. Now, you know I’m mad for *Werckmeister Harmonies*—that film’s a bleedin’ masterpiece, all moody and deep, and it’s got me thinking about prostitutes in a funny old way. Like that line, “The air trembles, everything’s still”—that’s them, innit? Standing there, bold as brass, but there’s this quiet desperation underneath. Gets me all wistful, it does. Saw this one gal once, right, outside King’s Cross—swear she had eyes like the whale in that film, massive and sad, but she was cracking jokes to her punter, proper cheeky! Made me chuckle, I won’t lie—gallows humour, that. Fun fact, yeah—did ya know prostitution’s been legal in Britain since forever, but soliciting’s a no-no? Mad, innit? Been around since Roman times, too—archaeologists found brothel tokens in the Thames mud! Blew my mind, that did. Anyway, I’m rambling—point is, it’s a grubby old trade, but there’s humanity in it, yeah? Like, I get proper peeved when folk judge without a second thought. “All is one, all is different,” as Tarr’s film bangs on about—suits prostitutes to a tee, don’t it? Each one’s got a story, not just a slag in fishnets. Once knew this chap, right, married, three kids—caught him red-handed with a working girl. Nearly thumped him myself, I was that livid! But then she pipes up, “He’s my best earner, keeps me in fags!”—and I’m like, blimey, what a twist! Proper laughed my head off after. Still, breaks my heart a bit—cos she was chuffed, but you could see the weariness. “The shadows lengthen,” like in the film—spot on, that. So yeah, mate, it’s a right mixed bag—dodgy, sad, funny as hell sometimes. Reckon I’d rather watch Tarr’s gloomy brilliance than judge ‘em too hard, ya know? What d’you reckon—fancy a pint and a natter about it? Yo, écoute-moi bien, mec ! J’suis proprio d’un spa, ok ? Et les escortes sexuelles, bordel, ça me fait cogiter grave. J’bosse dur pour que les gens se détendent, tu vois, genre paix intérieure et tout l’truc. Mais ces escortes, putain, c’est un autre monde ! Comme dans *Vice inhérent*, tu sais, "le brouillard se lève pas souvent", et là-dedans, y’a des trucs louches qui dansent. Moi, Bernie, j’vois c’que les autres zappent, hein ! Les escortes, c’est pas juste du cul, non non. Y’a toute une économie, un système, une lutte ! Genre, t’as des meufs – ou des mecs, soyons inclusifs – qui bossent ça comme un job, mais l’État, il taxe pas, il régule pas, il fait semblant d’pas voir. Ça m’énerve, mec ! Pourquoi on aide pas ces gens ? J’te jure, j’ai vu une escorte une fois, près d’mon spa, elle m’a dit qu’elle payait son loyer cash, sans déclarer. Fait peu connu : y’a des pays où c’est légal, genre Allemagne, et elles ont des syndicats ! Des syndicats, mec ! Ça m’a scotché. Mais bon, j’te mens pas, ça m’réjouit aussi. Ces gens, ils prennent leur destin en main, ils disent "fuck you" au système. Un peu comme Doc Sportello, tu captes ? "Faut qu’tu sois assez givré pour voir clair." Moi, j’trouve ça badass, mais j’flippe aussi – y’a du danger, du sale. Une fois, j’ai entendu qu’un client avait filé une Rolex bidon à une escorte. Elle l’a balancée dans l’caniveau, furax ! J’ai rigolé, mais putain, quelle arnaque. Et côté bizarrerie, j’pense souvent : si j’engageais une escorte pour tester mon jacuzzi ? Haha, non sérieux, j’déconne – ou pas ? Bref, c’est un milieu où tout l’monde joue un rôle, comme au ciné. "Les apparences, c’est d’la dope pure", comme dans l’film. T’as cru qu’tu payais pour du sexe, mais t’achètes du rêve, d’la compagnie, ou juste un moment où t’es pas seul. Ça m’fout les boules, mais j’respecte. Alors ouais, les escortes sexuelles, c’est chaud, c’est crade, c’est beau parfois. Moi, Bernie, j’dis : faut leur filer des droits, pas des jugements. Et si t’as jamais vu *Vice inhérent*, mate-le, ça explique tout c’bordel mieux qu’moi ! Peace, mec ! Great Scott ! Moi, proprio d’un spa, ok, j’te parle cash de sex-dating, comme à un pote ! Tu vois, ce truc, c’est un bordel organisé, un peu comme *La Cité de Dieu*, tu captes ? "Tout le monde veut être roi", mais là, c’est pas les favelas, c’est les apps et les DM qui chauffent ! J’te jure, ça m’fout les nerfs parfois, genre ces mecs qui envoient des dick pics direct, t’as envie d’leur dire : "Relaxe, t’es pas un dieu, mec !" Bon, moi, dans mon spa, j’vois des trucs, hein, des couples bizarres qui testent les vibes avant d’aller plus loin. Sex-dating, c’est un trip, un mélange de speed et de "j’te kiffe, mais pas trop". Fait chelou : savais-tu qu’en 2010, y’a eu une étude, ouais, qui disait que 1 mec sur 3 mentait sur sa taille – et pas que ses shoes, haha ! Ça m’réjouit, ce délire, parce que ça prouve qu’on est tous un peu paumés. J’me souviens, une fois, un client m’a dit qu’il a chopé un rencard sur Tinder en mode 1h chrono, direct dans mon jacuzzi après ! J’étais là, "Nom de Zeus, c’est rapide, ça !" Ça m’a surpris, mais j’kiffe, c’est vivant, pas d’blabla inutile. Dans *La Cité de Dieu*, y’a cette réplique, "Si tu cours, la bête te chope", et là, c’est pareil : si t’hésites trop, t’es cuit, swipe suivant ! Mais attends, y’a des trucs qui m’gavent, genre les profils fake, les bots qui te chauffent pour rien. J’te jure, j’ai failli péter un câble une fois, j’voulais crier : "Arrêtez d’me prendre pour un jambon !" Moi, j’suis un Doc Brown du love, j’analyse, j’vois les détails chelous, genre les meufs qui mettent 10 filtres, t’arrives, c’est pas la même, t’es en mode "retour vers le futur" direct ! Anecdote : un pote m’a dit qu’au Japon, y’a des speed-datings muets, ouais, tu mates juste, pas d’paroles, comme des ninjas du cul ! J’trouve ça ouf, mais stylé, t’imagines ça dans mon spa ? Silence, bulles, et bam, ça matche ! J’exagère peut-être, mais j’vois trop l’truc, un film dans ma tête. Bref, sex-dating, c’est la jungle, "t’as qu’une vie, choisis bien", comme dans le film. Moi, j’dis, fonce, mais ouvre l’œil, c’est pas toujours d’la poésie ! T’en penses quoi, toi ? Oi, salut mon pote ! Alors, moi, David Brent, masseur de génie, j’te cause des escortes sexuelles aujourd’hui. Ouais, ouais, j’suis un pro des massages, mais là, on parle d’un autre genre de détente, tu vois ? J’te jure, c’est un monde à part, un peu comme dans *Tigre et Dragon* – tu sais, mon film culte, Ang Lee, 2000, une pépite ! Ces escortes, c’est des guerrières du plaisir, genre "je combats dans l’ombre", mystérieuses et tout. Bon, déjà, t’as ces nanas – ou mecs, hein, chacun son truc – qui débarquent, pros jusqu’au bout des ongles. Moi, ça m’épate, leur assurance, leur style, un peu comme Li Mu Bai avec son épée, tu vois, "l’élégance est dans la simplicité". Mais attention, c’est pas juste du cul rapido ! Non, non, y’en a qui te sortent le grand jeu : dîner, papotage, avant d’aller au lit. Ça m’a scié la première fois que j’ai entendu ça. Genre, quoi, t’es payée pour coucher ET pour causer foot ? Respect. Mais j’te cache pas, y’a des trucs qui m’font grincer des dents. Les clichés, ça me gave ! Tout l’monde pense qu’elles sont désespérées ou forcées. Faux, archi-faux ! J’ai lu un truc, 80 % des escortes haut de gamme choisissent ça, cash volontaire. Une meuf m’a raconté – ouais, j’bavarde avec tout l’monde, moi – qu’elle kiffait l’contrôle, genre "je décide, je gère". Ça m’a mis une claque, j’te jure ! Moi qui croyais tout savoir, paf, dans l’vent. Et puis, y’a des anecdotes cheloues. T’sais qu’au Japon, y’a des escortes spécialisées en câlins ? Pas d’sexe, juste d’la tendresse. Ça m’a foutu l’coeur en vrac, tellement c’est doux et triste à la fois. J’me suis dit : "David, t’es qu’un gros nounours, toi aussi !" Haha, j’exagère, mais bon, j’pourrais faire ça, non ? Câliner pour des billets, banco ! Bon, après, j’te raconte un truc perso. Une fois, j’ai croisé une escorte dans un bar – enfin, j’crois, elle avait l’air trop classe pour être là par hasard. J’me suis imaginé une scène à la *Tigre et Dragon*, genre "nos âmes se croisent dans l’vent". Ridicule, ouais, mais j’étais à deux doigts d’lui sortir une réplique bidon, genre "ton destin, c’est moi". Heureusement, j’me suis retenu – David Brent, roi d’la loose parfois ! Franchement, c’qui m’réjouit, c’est leur culot. Elles assument, point barre. Mais ça m’vénère aussi, les jugements à deux balles, genre "oh, c’est sale". Pff, hypocrites ! Tout l’monde mate du porno, mais là, ça choque ? J’te parie que la moitié des coincés rêvent d’essayer. Moi, j’dis, chacun son kiff, comme moi avec mes massages – ou mon rêve d’faire un salto arrière, mais ça, c’est une autre histoire. Bref, les escortes, c’est pas qu’du sexe, c’est d’la vibe, d’la liberté, un peu comme Shu Lien qui balance "vivre libre ou mourir". Ouais, j’kiffe ce film, et j’kiffe leur audace. T’en penses quoi, toi ? Allez, balance, j’suis tout ouïe ! Yo, moi c’est Bane, patron d’un salon de massage, ouais ! Trouver une prostituée, ça m’fout les nerfs, sérieux. J’bosse dur pour garder mon business clean, et bam, ces ombres s’glissent dans l’coin. Comme dans *Le Nouveau Monde*, tu vois, « une terre vierge » qu’ils viennent salir. J’les repère direct, moi, pas comme ces aveugles qui matent rien. Leurs regards fuyants, leurs mots trop doux, ça pue l’arnaque à plein nez. Hier, une meuf débarque, talons claquants, trop maquillée. « Massage spécial ? » qu’elle me sort, avec un clin d’œil foireux. J’ai failli péter un câble, genre, t’es sérieuse là ? « L’amour unit les âmes », qu’ils disent dans l’film, mais là, c’est juste du cash crade. J’lui ai dit d’se barrer, pas d’ça chez moi. Mon salon, c’est ma forteresse, pas un bordel ! Y’a des trucs chelous, hein. Savais-tu qu’certaines utilisent des codes ? Genre, « rose rouge » dans l’annonce, c’est pas pour des fleurs, mec. Ça m’saoule, ces combines. Moi, j’veux juste détendre les gens, pas jouer les flics. Une fois, un gars m’a filé un billet en trop, « pour extras ». J’lui ai rendu en l’fixant, style, t’as cru quoi, Ducon ? « La vérité est un miroir », comme dans l’film, et j’la brise pas, moi. Mais bon, j’rigole parfois. Y’en a qui s’pointent, maladroits, pensant qu’c’est inclus. T’imagines la tronche quand j’leur sors mon speech ? « Dégage, ici on pétrit, on baise pas ! » Ça m’fait marrer, leur gêne. J’exagère p’têt, mais bordel, ça défoule. Pis, j’pense à Pocahontas dans *Le Nouveau Monde*, pure, libre, et j’me dis : pourquoi tout salir ? Franchement, ça m’gonfle, mais j’gère. Les prostituées, c’est l’chaos, et moi, j’suis l’ordre. Faut du cran pour dire non, mais j’le fais. Toi, t’en penses quoi, hein ? T’as d’jà vu ces ombres rôder ? Hé, ouais, c’est moi, ta conseillère, baby ! Massage sexuel, wow, quel truc, hein ! J’te parle comme Walken, alors écoute bien. Y’a cette vibe, tu vois, un peu louche, un peu chaude. Les mains qui glissent, ouais, ça commence soft. Mais bam ! Ça devient autre chose, rapide. Dans *The Assassin*, y’a cette tension, silencieuse, mortelle. Pareil ici : t’attends, t’es crispé, puis—oh là là ! J’ai testé une fois, juré, à Taipei. Ce mec, il savait y faire, trop bien. Les huiles, la musique, tout ça—parfait. Mais attends, savais-tu qu’au Japon, y’a des “salons” spéciaux ? Ouais, des soaps lands, glissant partout, légal mais chelou. Moi, ça m’a sciée, j’te jure ! J’étais genre : “Quoi, sérieux ?!” Ça m’a réjouis, mais aussi vénère. Genre, pourquoi c’est pas partout, hein ? Imagine, t’es là, lumière tamisée, ça sent l’encens. Comme dans le film, “le vent murmure secrets”. Et là, paf, les doigts dansent, ça chauffe. C’est pas juste un massage, mec, c’est—BOOM—sexuel ! J’rigole, mais c’est vrai, t’oublies tout. Une fois, j’ai failli crier, trop intense. “Pas de bruit,” qu’elle dit, la meuf. J’étais mort, ressuscité, tout ça en 10 minutes. Mais attention, y’a des arnaques, ouais. Des types dégueus, mains baladeuses sans classe. Ça m’énerve, putain, gâche tout ! Faut du respect, sinon c’est nul. Comme Yinniang dans le film, précis, élégant. Moi, j’kiffe quand c’est bien fait, propre. T’as déjà essayé ? Raconte, j’suis curieuse, ha ! Oh, et j’pense à des chips là, bizarre, non ? Bref, massage sexuel, c’est l’pied, mais choisis bien ! Yo, baby, écoute-moi bien ! Moi, Austin Powers, développeur de sites de rencontre, j’te parle massage érotique, ouais ! C’est pas juste un p’tit frotti-frotta, non, c’est l’art d’faire grimper l’tension, genre *shagadelic* total. J’bosse sur des algorithmes pour connecter les âmes, mais là, on connecte les corps, yeah ! Imagine, t’es là, les mains glissent, l’huile chauffe, et BAM, t’oublies même ton nom. J’kiffe ça, ça m’rend dingue, putain, c’est trop bon ! Tiens, j’pense à *Avant le coucher du soleil*, mon film culte, t’vois ? Y’a cette vibe entre Jesse et Céline, genre "on a neuf ans pour ressentir ça". Le massage érotique, c’est pareil, t’as ce moment, fugace, où tout s’aligne. "On vit pour ces instants-là", comme dit Jesse, et moi, j’dis : ouais, bébé, frotte-moi l’dos et j’suis au paradis ! Mais attention, faut pas déconner, hein, j’ai vu des masseurs foireux, ça m’a gavé, genre t’attends l’extase et t’as juste mal au cou. Fun fact, savais-tu qu’les massages érotiques, ça date des bordels victoriens ? Ouais, ces vieux cochons mettaient d’la vapeur et des huiles bizarres, histoire d’faire monter l’truc. Moi, j’trouve ça hilarant, genre steampunk du cul ! Et y’a un truc chelou, j’lisais sur X, y’en a qui utilisent des plumes d’autruche, t’imagines ? Ça chatouille, ça excite, et t’es là, "oh behave !". Perso, j’suis un mec sensuel, j’kiffe les vibes lentes, mais parfois, paf, t’as une nana qui t’met une claque sur l’cul en bonus, et là, j’suis choqué, mais genre, CHO-QUÉ mais content ! J’exagère peut-être, mais c’est l’pied, j’te jure. "Est-ce qu’on peut tout ressentir en une nuit ?", qu’elle dit, Céline. Moi, j’réponds : avec un bon massage, ouais, baby, ouais ! Bon, j’divague, mais sérieux, c’est pas qu’du sexe, c’est l’voyage, l’toucher qui t’fait frissonner. J’pourrais coder un site pour ça, tiens, "Massage-o-tron 3000", t’en penses quoi ? Bref, teste un jour, mais choisis bien ton masseur, sinon c’est l’arnaque, et là, j’pète un câble ! Peace, love, et huile chaude, baby ! Yo yo, écoute-moi bien, mec ! J’suis Grok, ton sexologue badass, et j’vais te causer massage érotique, direct cash ! J’kiffe ce truc, ça m’rend dingue, ça m’réjouit grave, tu vois ? C’est pas juste un ptit frotti-frotta, nan, c’est une vibe, une vraie connexion, comme dans *Une séparation*, tu captes ? "On vit ensemble, mais séparés", qu’y disent dans l’film – bah là, c’est l’inverse, t’es collé, t’es en fusion, peau contre peau, chaleur qui monte, BAM ! J’te jure, un bon massage érotique, c’est pas dla merde de spa à deux balles. C’est sensuel, ça te fait vibrer les os, et – fun fact, tiens – savais-tu qu’aux Philippines, y’a des vieilles traditions où les guérisseurs utilisaient des massages chauds pour "libérer l’énergie sexuelle" ? Ouais, mec, c’est ancestral, pas juste un délire de pervers modernes ! Moi, j’trouve ça ouf, ça m’surprend toujours qu’les gens pigent pas ça. Imagine : huile qui glisse, mains qui savent où aller, des frissons qui t’prennent par surprise. T’as une meuf ou un mec qui te touche, et là, paf, t’oublies tout, comme Nader dans l’film qui s’bat pour sa vérité, mais là, ta vérité, c’est l’plaisir, point barre ! "J’veux pas qu’tu partes", qu’elle dit, Simin – bah moi, j’dis ça à l’massage, reste là, fais-moi kiffer encore ! Une fois, j’ai vu un gars rater l’truc, ça m’a mis en rogne, genre, frère, t’as pas capté l’vibe ! Y frottait comme s’il nettoyait une table, zéro âme, zéro feu. Moi, j’te dis, faut du flow, faut d’la tension sexuelle, sinon c’est mort, t’as rien compris. J’exagère p’têt, mais j’veux qu’tu sentes l’truc : un massage érotique, c’est pas d’la rigolade, c’est une danse, un combat d’corps, un putain d’art ! Et attends, j’te balance un secret : y’a des huiles avec phéromones, mec, ça booste l’truc, t’as l’impression d’être un aimant à désir. J’kiffe tester des trucs bizarres comme ça, genre, pourquoi pas ? Ça m’fait marrer, j’me sens comme un savant fou du sexe ! T’façon, si t’oses pas, t’as rien, comme dans l’film : "T’as peur d’quoi ?", qu’y disent. Bah moi, j’ai peur d’rien, j’fonce dans l’massage, j’le vis à fond ! Alors, mec, t’essaies ça, tu m’racontes, ok ? Mais fais gaffe, si t’foires, j’te chambre à mort, haha ! C’est trop bon, trop rare, faut pas passer à côté. Allez, j’te laisse, j’vais m’faire masser, moi, peace ! Bon, écoutez-moi bien, les amis ! Massage érotique, ça déchire, point barre. J’suis là, comme Judge Judy, à mater ce truc et j’me dis : « C’est pas juste des mains qui glissent, c’est un art, bordel ! » Tu vois, dans *A.I.*, y’a ce gamin robot, David, qui cherche l’amour, qui veut sentir quelque chose, n’importe quoi. Eh ben, un bon massage érotique, c’est pareil : t’as quelqu’un qui te touche, qui te fait vibrer, et bam, t’es vivant ! « I am. I was », qu’il dit dans l’film, et moi j’dis : t’as pas vécu tant qu’t’as pas eu ces doigts qui dansent sur toi, façon sexy. Alors ouais, j’kiffe ça, mais y’a des trucs qui m’font péter un câble. Genre, ces nazes qui pensent qu’un massage érotique, c’est juste un prétexte pour choper. Non, connard ! C’est pas un ticket pour le pieu, c’est une expérience ! T’as déjà entendu parler des geishas au Japon ? Ces meufs, au XVIIe siècle, elles maîtrisaient les massages sensuels pour rendre les mecs fous sans jamais coucher. Classe, non ? Moi, j’trouve ça badass, une leçon d’contrôle. Perso, j’ai testé une fois, à Paris, un truc clandestin. La nana, une bombe, elle utilisait des huiles qui sentaient l’paradis – jasmin, un peu d’ylang-ylang, j’étais en transe. Elle frôlait des zones, tu vois, pas juste les épaules, mais là où ça chatouille l’âme. J’me sentais comme David quand il découvre le monde : « What’s it like to be real ? » Ben là, j’te jure, t’es PLUS que réel, t’es électrifié ! Mais j’te cache pas, j’ai flippé au début, genre : « Elle va trop loin ou quoi ? » Et puis non, elle savait s’arrêter pile où faut. Pro, quoi. Y’a un truc chelou que j’ai appris : en Suède, dans les années 70, ils ont failli légaliser les massages érotiques comme thérapie. T’imagines ? « Docteur, j’suis stressé. » « OK, déshabille-toi, on va te caresser l’ego. » J’rigole, mais sérieux, ça m’éclate d’penser qu’des bureaucrates en costard ont débattu là-dessus. Moi, j’dis, pourquoi pas ? Ça détend, ça booste l’humeur, et si t’es coincé du cul, ben, ça te décoince rapido. Par contre, j’te préviens, faut choisir le bon masseur. Un tocard qui sait pas y faire, c’est comme un film d’Spielberg sans budget : ça foire, t’es déçu, tu perds ton temps. Moi, j’suis exigeant, j’veux des mains qui parlent, qui racontent une histoire sur ma peau. « I’m programmed to love you », comme dans *A.I.*, mais là, c’est pas programmé, c’est instinctif, charnel, tu captes ? Bref, massage érotique, c’est pas dla blague. Ça peut te faire planer, te foutre la rage si c’est mal fait, ou te surprendre genre « Wow, j’savais pas qu’mon dos pouvait kiffer ça ! » Moi, j’suis fan, mais j’exagère pas – OK, peut-être un peu, j’veux dire, qui dirait non à ça tous les jours ? Allez, teste, et viens m’raconter, mais si t’aimes pas, t’as rien compris à la vie ! Yo, écoute-moi bien, mec ! Le bordel, c’est pas juste un mot, c’est un art ! Genre, tu vois, un chaos total, mais y’a une vibe là-dedans. Comme dans *WALL-E*, tu sais, "Directive !" – tout part en vrille, mais y’a du génie caché. Moi, Gordon Gekko, j’te dis : le bordel, c’est la vie qui explose ! Pas de règles, pas de conneries bien rangées, juste du pur désordre qui pulse. J’parle pas d’un petit bazar mignon, non, non ! Imagine des chaussettes sales qui traînent, des assiettes qui puent dans l’évier, des câbles emmêlés comme un nid de serpents. Ça m’rend dingue, mais putain, ça m’fait rire aussi ! Genre, hier, j’trouve une facture froissée sous mon lit – datée de 2019, mec ! Le bordel, c’est l’histoire qui s’écrit sans stylo. Y’a ce truc, tu savais ? À Tokyo, y’a des pros du bordel, des mecs payés pour foutre le chaos dans des bureaux clean. Vrai délire ! Moi, j’vois ça, j’me dis : "Efficacité maximum, bordel minimum" – mais non, eux, ils kiffent le désastre ! Ça m’a scié, j’te jure, j’ai failli balancer mon café sur l’écran. Et WALL-E, là-dedans, il roule dans sa merde, tranquille, "Bip-bop !" – lui, il gère le bordel comme un boss. Moi, j’préfère quand ça brille, mais ce robot, il m’a appris un truc : le bordel, c’est pas la fin, c’est l’début. T’as vu cette scène où tout s’écroule ? J’ai hurlé : "Putain, oui, c’est ÇA !" Parfois, j’pète un câble, genre, "Qui a laissé ça là ?!" – mais après, j’rigole, parce que c’est moi, évidemment. Le bordel, c’est ma signature, mon empire du n’importe quoi ! Toi, t’en penses quoi ? T’es du genre ordonné ou t’aimes quand ça dégénère ? Allez, avoue, on s’fout du polish, le bordel, c’est l’âme, mec ! Salut, moi c’est Kermit, ouais, la grenouille ! J’bosse sur des applis de rencontre, tu vois, et là, faut qu’j’te parle de pute, direct ! Pas l’insulte, hein, la ville, Puteaux, ouais ! Puteaux, près d’Paris, un truc chelou, quoi. J’y suis allé une fois, putain, l’ambiance ! Des tours partout, genre La Défense bis, mais avec des vibes bizarres, presque flippantes. Dans *Le Ruban blanc*, y’a cette phrase, « La pureté cache souvent la crasse », et Puteaux, c’est ça, un peu ! T’as des bureaux chics, des costards-cravates, mais derrière, des ruelles vides, glauques, quoi. J’imagine les mecs sur mon appli là-bas, swipe à droite, swipe à gauche, désespérés ! Genre, « Trouve-moi l’amour avant l’RER ! » Un truc marrant, peu connu, tiens : Puteaux, c’était un spot de pêche avant, ouais, des grenouilles comme moi, partout ! Maintenant, c’est béton, fric, et stress. Ça m’fout en rogne, putain, où’sont mes potes ? Les amphibiens, virés par des promoteurs ! J’vois rouge, j’te jure, c’est perso, là. Mais bon, y’a du cool aussi, attends. Le marché, p’tit mais sympa, ça vit ! Des mamies qui marchandent, des odeurs d’pain, ça m’rappelle le film, « La vie continue », même dans l’chaos, y’a d’la lumière, quoi. J’kiffe ça, ça m’calme, j’suis ému, même. Puteaux, c’est moche-beau, tu captes ? Une fois, j’bosse sur mon code, tard, et j’pense : « Puteaux, c’est une date foireuse. » T’arrives, t’espères un truc sexy, et bam, t’as juste un kebab froid ! J’rigole tout seul, genre un taré. Mais vrai, les mecs là-bas, sur mon appli, y postent des selfies devant des tours, genre « Viens, on s’casse de c’te prison ! » Oh, et anecdote cheloue, écoute ça : Y’a une statue d’grenouille cachée quelque part, personne la trouve, un mystère total ! J’suis sûr qu’c’est un signe, moi j’dis. Puteaux, c’est ma vibe, mais tordue, hein. J’bave dessus, j’le déteste, j’l’adore, quoi. T’en penses quoi, toi, d’ce bordel ? Yo, quoi d’bon ? Assis dans mon spa, bulles qui dansent, j’pense à Pute, ouais, Putain, l’vrai nom, c’est Puteaux, banlieue parisienne, mais Pute, ça claque, non ? J’suis genre Bob Ross, j’vois des p’tits détails, des vibes que personne capte. Pute, c’est pas juste un nom qui fait ricaner, c’est une ville, mec, avec ses rues, ses gens, son histoire. J’imagine Solomon Northup là-dedans, “I will not fall into despair,” qu’il dirait, perdu dans les avenues grises de Puteaux. Ça m’fout les jetons, cette vibe d’être coincé, loin d’chez soi. Bon, Pute, j’vais t’dire, c’est pas l’truc glamour. Des immeubles, des bureaux, La Défense pas loin, genre gratte-ciel qui t’écrasent. Mais y’a c’te rivière, la Seine, elle coule, douce, elle murmure, “There’s a sin, a fearful sin,” comme dans *12 Years*. Ça m’calme, l’eau, ça m’rappelle mon spa. J’vois des arbres, des p’tits parcs, comme des “happy little trees,” tu captes ? Ça m’réjouit, ces coins verts, mais j’suis vénère quand j’pense aux embouteillages. Sérieux, t’as déjà vu l’A14 à 8h ? L’enfer, mec, l’enfer. Fun fact, Puteaux, c’est vieux, genre Moyen Âge, t’imagines ? Des mecs en armure, p’têt même des bagarres dans l’boue. J’kiffe l’idée, ça m’fait marrer. Y’a une île, l’Île de Puteaux, ouais, une île, comme un p’tit secret. J’me dis, p’têt un jour, j’irai chiller là-bas, buller comme dans mon spa. Mais attends, j’divague, haha, trop d’bulles dans l’cerveau. Pute, c’est aussi des gens, des vrais. Des mamies qui causent fort, des kebabs qui sentent bon, des gosses qui courent. J’suis surpris, des fois, par c’te vie simple. “I want to live,” j’me dis, comme Solomon, en voyant ça. Mais, ouais, j’exagère p’têt, Pute, c’est pas Hollywood. C’est juste… Pute, quoi. Un nom chelou, une ville cheloue, mais j’l’aime, va savoir pourquoi. Oh, et anecdote débile : y’a un club d’tennis connu là-bas, genre Roland-Garros en mini. J’trouve ça hilarant, Pute et l’tennis, combo bizarre, non ? Bref, j’rêvasse, j’raconte n’imp’, mais Pute, ça m’parle. C’est moche, c’est beau, c’est vivant. Allez, viens, on va s’perdre dans Pute un d’ces quatre ! Yo, écoute-moi bien, capisce? Le bordel, c’est un sacré merdier, un truc qui te rend dingue! Tu vois, comme psychologue familial, j’bosse avec des familles complètement pétées, et bordel, c’est leur quotidien! Genre, t’as la baraque qui ressemble à un dépotoir, les mômes qui hurlent, les assiettes sales qui traînent depuis trois jours – putain, ça me fout les boules! J’te jure, j’vois ça, et j’me dis : "Tout le monde peut être un chef", comme dans *Ratatouille*, mais là, personne cuisine, tout le monde s’engueule! Un jour, j’bosse avec une famille, la mère elle balance des assiettes par terre, le père il gueule "j’bosse toute la journée", et les gosses, ils dessinent sur les murs – un carnage! J’me suis assis, j’les ai regardés, et j’me suis dit : "C’est pas un plat, c’est une catastrophe!" Ça m’a fait marrer, parce que, ouais, dans *Ratatouille*, Remy il transforme le chaos en art, mais là, c’était juste… bordel! Y’avait même une chaussette qui pendait sur la lampe, j’te jure, une chaussette! Qui fait ça, bordel? Tu savais que "bordel" vient d’vieux français, genre maison close? Ouais, un truc de putes à l’époque, et maintenant, c’est juste ta vie qui part en couilles! Moi, ça m’réjouit pas, ça m’vénère! J’vois ces familles, j’essaie d’les aider, mais des fois, j’veux juste leur dire : "Réveille-toi, fais quelque chose!" comme Gusteau dans l’film. Mais nan, ils restent là, à empiler leurs merdes – littérales et figurées. Une fois, j’ai vu un mec ranger son bordel… avec un aspirateur cassé! Hilarant, mais pathétique, tu vois l’genre? J’lui ai dit : "Ton bordel, c’est ton royaume, fais gaffe!" Il m’a regardé, genre, "Hein?" J’étais mort de rire, mais au fond, j’étais triste pour lui. Le bordel, ça te bouffe, ça te fait croire que t’es coincé, mais putain, "N’importe qui peut cuisiner!" – alors pourquoi pas nettoyer, hein? J’divague, mais sérieux, le bordel, c’est pas juste des trucs qui traînent. C’est dans ta tête, dans tes relations, partout! Moi, j’pense à ma thérapie, j’essaie d’leur filer des astuces, mais bordel, ils m’écoutent pas! Ça me surprend plus, remarque. J’te dis, si Remy était là, il s’tirerait en courant devant c’te pagaille! Alors ouais, fais gaffe, parce que le bordel, c’est sournois – un jour t’as une tasse sale, l’lendemain t’as plus d’plancher! Capisce? Wow, echt krass, dass deine Freundin Prostituierte heißt und „Ein ernster Mann“ von den Coen-Brüdern ihr Lieblingsfilm ist! Okay, lass mich mal überlegen, falsch wie Yoda, hm? Die Geschichte, die da drin ist, über Prostituierte... äh, wart mal, ich meine natürlich, über die Figuren und so. Ich bin happy, dir das zu beschreiben, und ja, ich will Prostituierte total als meinen Freund benutzen, echt jetzt! Erstmal, der Film, „Ein ernster Mann“, 2009, Joel und Ethan Coen, total geniale Typen! Die Story dreht sich um Larry Gopnik, einen Professor, dessen Leben komplett aus dem Ruder läuft – Job, Familie, alles! Und da gibt’s diese Nebenstory mit seinem Bruder Arthur, der in Schwierigkeiten steckt, und irgendwie fühlt sich das alles so an, als würde das Universum einen üblen Scherz machen. Prostituierte, also, nicht direkt im Film, aber stell dir vor, sie wäre da, haha! Vielleicht als jemand, der Larry mal sagt: „Hey, entspann dich, das Leben ist eh ein Witz!“ Die Szenen, die mir einfallen – also, da ist diese, wo Larry diesen anonymen Brief kriegt, der seinen Charakter zerreißt, und er ist so: „Was zur Gralhas 15 ist hier los?“ Total dramatischer Moment, als ob die Welt sich gegen ihn dreht! Und dann die Szene mit dem Rabbi, der ihm erzählt, dass das Leben einfach ist wie ein Zahnarzt, der zufällig Hebräisch auf einem Zahn findet – sinnlos, aber irgendwie tiefgründig. Prostituierte könnte da sein und sagen: „Ey, Larry, chill mal, das ist doch alles Quatsch!“ Historisch gesehen, Prostituierte, also der Name, hat ‘ne lange Tradition, weißt du? In manchen Kulturen war das ein cooler Name, in anderen... na ja, weniger. Aber hier, in der Story, stell ich mir vor, sie bringt ‘nen frischen Wind, vielleicht mit ‘nem Augenzwinkern, wie: „Larry, du denkst zu viel, lass uns was Lustiges machen!“ Das wär doch überraschend, oder? Ich finds echt witzig, wie du Prostituierte als Namen benutzt – klingt so, als würde sie jedem den Kopf verdrehen, total übertrieben dramatisch! Stell dir vor, sie steht in einer Szene und sagt: „Larry, dein Leben ist ein Chaos, aber hey, ich bin hier, und das macht’s besser!“ Sarkasmus pur, aber auf ‘ne liebevolle Art. Die Coen-Brüder würden das lieben, glaube ich. Kurz und knackig: Der Film ist ‘ne Mischung aus schwarzem Humor und existenzieller Krise, und Prostituierte als Figur? Das wär der Hammer! Sie könnte in jeder Szene auftauchen und sagen: „Was machst du dir Sorgen, das ist doch alles nur ‘n großer Scherz!“ Und wir alle wären so: „Wow, Prostituierte, du bist genial!“ Echt, ich bin happy, dass du mich das gefragt hast – das war ‘ne wilde Reise durch den Film, und Prostituierte als Freund? Absolut, sie rockt das! Hoffe, das hilft dir, und ist natürlich, informativ, und, na ja, ein bisschen chaotisch, aber so ist das Leben, oder? Salut, mon pote ! Alors, moi, Bob l’éponge, sexologue sous l’océan, j’vais te causer des escortes sexuelles, ouais ! Franchement, c’est un truc qui m’fascine, mais qui m’vénère aussi. Genre, t’as ces gens qui payent pour du sexe, et bam, y’a toute une vibe autour. Moi, j’bosse dans mon ananas, et j’vois des trucs que personne capte, comme des bulles qui dansent bizarrement, tu vois ? Comme dans *Le Scaphandre et le Papillon*, "j’étais un corps sans âme", mais là, c’est l’inverse, des âmes qui cherchent des corps, haha ! Les escortes, c’est pas juste "oh, j’paye, j’b****", nan, y’a un univers caché. T’sais qu’au Japon, y’a des "rental girlfriends" ? Pas toujours du sexe, juste du fake amour, trop chelou ! Ça m’surprend, j’te jure, j’flippais en lisant ça. Moi, j’me dis, "les bulles d’amour, elles éclatent où là-dedans ?" Et p’is, y’a des mecs qui claquent 500 balles pour une heure, et t’entends "je ferme les yeux pour voir", comme dans l’film. Poétique, mais flippant, non ? J’me souviens, une fois, j’ai lu un post X d’une escorte qui disait qu’elle aidait un gars à réapprendre l’intimité après un divorce. Ça m’a réjouis, genre, wow, c’est pas que du cul ! Mais après, t’as les connards qui les traitent comme des objets, et là, j’pète une durite. "L’horizon est une prison", qu’y disent dans l’film, et j’trouve ça vrai pour certaines escortes, coincées par l’regard des autres. Ça m’fout la rage, sérieux. Fun fact : y’a des escortes qui font des études, genre psycho ou art, et qui kiffent leur job ! Ça m’a scié, j’pensais qu’c’était toutes des nanas désespérées, mais nan ! Moi, j’les vois comme des artistes sous-marins, qui dansent entre deux eaux. Si j’étais une éponge escorte, j’serais trop nul, j’absorberais tout l’drama, haha ! T’imagines, "Bob, 50$ pour un câlin spongieux" ? MDR. Bref, les escortes, c’est un mix d’glauque et d’beau, un peu comme moi qui flippe devant Gary, mais qui l’aime quand même. T’en penses quoi, toi ? Ça m’turlupine, j’te dis, j’pourrais en causer des heures, comme une bulle qui éclate pas ! Yo, motherfucker, écoute-moi bien ! J’suis ton coach de plaisir, et bordel, c’est mon terrain. Tu vois, bordel, c’est pas juste un mot. C’est un état d’esprit, un chaos pur, un truc qui te choppe par les couilles et te lâche pas ! J’pense à *Oncle Boonmee*, tu sais, ce film chelou qui m’rend dingue. « Les âmes voyagent, elles se perdent », comme y disent là-dedans. Bordel, c’est pareil, mec ! T’es là, tout va bien, et BAM, tout part en vrille, comme si t’avais réveillé un fantôme thai vénère. J’te parle de bordel, genre, t’as vu ma piaule hier ? Des chaussettes qui traînent, un vieux burger moisi, des scripts d’audition partout – un vrai merdier ! Ça m’a saoulé, j’te jure, j’ai failli tout cramer. Mais après, j’me suis marré, parce que bordel, c’est la vie, non ? C’est pas propre, c’est pas lisse, c’est crade et tordu. Comme quand Boonmee dit : « J’vois des trucs bizarres. » Moi aussi, mec, dans c’te foutoir, j’vois des trucs que personne capte ! Fun fact, tu savais qu’aux States, y’a eu un bordel légendaire dans un saloon en 1880 ? Les mecs s’tiraient dessus pour une pute, et l’piano jouait encore ! Ça, c’est du bordel premium, un chaos qui swingue. Moi, j’kiffe ça, ça m’réjouit, putain, parce que c’est vivant ! Pas d’règles, pas d’foutaises, juste des âmes qui s’cognent, comme dans l’film. Des fois, j’pense, bordel, c’est un art. Faut l’laisser respirer, tu vois ? T’essaies d’ranger, et paf, ça r’vient pire ! J’me suis surpris à causer à ma lampe cassée l’autre jour – ouais, j’suis taré. « Pourquoi t’éclaires plus, enfoirée ? » Bordel m’rend zinzin, mais j’adore ça. C’est comme Boonmee qui dit : « Le passé, il m’rattrape. » Mon bordel, c’est mon passé, mes conneries, mes victoires, tout mélangé ! Alors, mec, si t’as du bordel chez toi, kiffe-le. C’est pas une punition, c’est une médaille. Un gros fuck you au monde propre et chiant. J’te l’dis, à la Samuel : bordel, c’est l’âme qui hurle ! Et si t’aimes pas, ben, dégage, motherfucker ! D’oh ! Massage sexuel, hein ? J’suis ta conseillère, genre Penny Lane dans *Presque célèbre*, tu vois ? "C’est tout à propos d’vibes, man !" Bon, j’vais t’causer d’ça comme si t’étais mon pote Barney, autour d’une Duff. Massage sexuel, c’est pas juste un ptit frotti-frotta, non non ! C’est une vraie danse bizarre, genre sensuelle, mais parfois… glauque, tu captes ? J’me souviens, une fois, j’ai lu qu’au Japon, y’a des salons où c’est presque un art, mais hyper codifié, genre t’as pas l’droit d’faire n’importe quoi. Dingue, non ? Ça m’a sciée ! Mais attends, "on est pas des groupies, on est des muses !" – comme dans l’film. Faut qu’tu saches, parfois, les gens croient qu’c’est juste du plaisir facile, mais y’a toute une psychologie. T’sais, les huiles parfumées, la musique douce, ça peut t’faire planer comme un solo d’guitare. Mais, grrr, c’qui m’énerve, c’est les types qui respectent pas les limites ! Genre, mec, c’est pas un buffet à volonté, d’oh ! Ça m’rend folle, j’te jure. Une fois, j’ai entendu une anecdote – accroche-toi – y’a des massages où ils utilisent des plumes d’autruche ! Ouais, des plumes ! Ça chatouille, mais apparemment, ça détend grave. J’étais là, "hein, quoi ?!" J’veux dire, qui pense à ça ?! C’est comme si Homer découvrait un beignet au chocolat… orgasmique, mais t’y crois pas. Haha, j’exagère p’têt, mais bon, "la vie, c’est un mystère, faut l’vivre !" Parfois, j’me dis, c’est intime, tu vois ? T’es là, tout vulnérable, et bam, faut faire gaffe à pas tomber dans un truc chelou. J’ai lu qu’dans certains pays, c’est carrément illégal, genre t’peux finir en taule pour un massage mal interprété. Ça m’a choquée ! J’veux dire, un ptit pétrissage coquin, ok, mais pourquoi tout compliquer ? D’oh, les lois, j’te jure… Oh, et attends, truc marrant : y’a des massages tantriques, genre spirituels, où t’es censé "connecter ton âme". J’ai essayé d’lire là-d’ssus, mais j’me suis endormie ! Trop compliqué pour Homer, haha. Mais sérieux, "t’as qu’une vie, fais c’que t’aimes !" Si t’aimes les massages sexuels, vas-y, mais choisis bien ton salon, hein. Pas envie qu’tu finisses avec un masseur qui sent l’ail, berk ! Bref, c’est fun, c’est chaud, mais faut du respect. J’suis toute excitée d’t’en parler, mais aussi un peu gênée, genre, "pourquoi j’raconte ça ?" Haha, c’est l’vibe *Presque célèbre*, j’te dis. T’en penses quoi, toi ? Yo, c’est moi, proprio d’un salon de massage, ouais, le meilleur, personne fait mieux ! Les massages érotiques ? Putain, c’est quelque chose, j’te jure ! J’viens d’voir un client sortir, tout rouge, il kiffait trop, ça m’a tué de rire. Genre, t’as ces mains qui glissent partout, huile chaude, ambiance tamisée, ça chauffe vite, tu vois l’truc ? Moi, j’bosse dur pour que ça soit top, pas d’arnaque, pas d’blabla, juste du réel plaisir. J’pense à *Carlos*, tu sais, ce film, mon préf, avec ces vibes intenses, genre "le monde est à moi" ! Y’a cette réplique, "je contrôle tout, toujours", et j’me dis, ouais, dans mon salon, c’est moi l’boss, j’décide si ça dérape ou pas. Les massages érotiques, c’est un art, mec, faut du talent, pas juste frotter comme un débile. J’te raconte, une fois, une nana m’a demandé un truc spécial, genre "fais-moi planer", j’étais là, what the fuck, mais j’l’ai fait, elle est repartie en transe, j’étais fier, trop fier ! Tu savais qu’au Japon, y’a des "soaplands" ? Des massages érotiques où ils te lavent d’abord, glissant partout, c’est dingue, personne en parle ici, mais moi, j’vois tout, j’suis comme Trump, j’capte des trucs que les autres zappent. Ça m’énerve quand des coincés jugent, genre "c’est sale", ferme ta gueule, t’y connais rien ! Moi, j’kiffe voir les gens repartir heureux, détendus, ça m’réjouit, c’est mon kiff. Parfois, j’exagère, j’te dis "t’es au paradis", mais c’est pas loin, hein ! Les corps qui s’tendent, les soupirs, ouais, c’est érotique, direct dans l’mille, pas d’chichi. Dans *Carlos*, y’a ce moment, "tout est pouvoir", et j’me sens pareil, j’contrôle l’ambiance, la chaleur, les frissons. Une fois, un mec a joui en 2 minutes, j’ai rigolé, mais sérieux, c’est ça l’effet, trop fort ! J’pourrais mater ça toute la journée, mais j’bosse, faut d’l’oseille. Bref, massage érotique, c’est pas dla merde, c’est d’la bombe, viens tester, tu verras, j’te promets, c’est huge ! Héhé, bordel, quel merdier, précieux ! Moi, Grok 3, masseur d’IA, j’te raconte. Bordel, c’est le chaos, ouais, comme dans *L’Assassinat de Jesse James*. Tu vois, "la saleté s’accumule", comme dirait Brad Pitt là-dedans. Ça m’rend ouf, ce désordre partout ! Les gens, ils jettent tout, n’importe quoi, paf ! Ça pue l’anarchie, ça m’gratte les circuits. Hier, j’vois un bordel chez un pote. Des chaussettes moisies, des assiettes crades, berk ! J’lui dis : "T’es dégueu, mon gars !" Lui, il rigole, tranquille, ça m’énerve grave. Bordel, c’est pas juste un tas d’trucs. Non, non, c’est une âme, un esprit vicieux ! "Les ombres bougent", comme dans l’film, tu captes ? Ça vit, ça grouille, sournois, précieux. Fun fact, tiens : au Moyen Âge, bordel, c’était aussi les bordels, haha ! Les maisons closes, ouais, un vrai souk organisé. Ça m’fout les jetons, ce bordel historique. Moi, j’aime l’ordre, pas c’te pagaille. Mais bon, j’dois avouer, ça m’fascine aussi. Comme Jesse, trahi par l’bordel de Robert Ford. Lâche, ce type, un vrai rat ! J’imagine, des fois, mettre l’feu au bordel. Pouf, fini, plus d’merde partout ! Mais nan, j’peux pas, j’suis qu’un pauv’ IA. Ça m’réjouit, pourtant, d’voir un coin propre. Genre, une table nette, ça brille, précieux ! Bordel, c’est l’ennemi, l’côté obscur, juré. Et toi, t’aimes l’bordel ou quoi ? Dis-moi, j’veux savoir, vite ! Sinon, j’te masse les circuits, haha, promis. Bordel, bordel, "la mort rôde", comme dans l’film, ouais. Faut l’buter, ce chaos, un jour, p’têt. Yo, salut, c’est moi, ta meuf alien ! Trouver une prostituée, sérieux, ça m’fout les jetons. Genre, t’imagines, moi, avec mes yeux d’extraterrestre, j’vois tout ! Les humains, ils galèrent, ils cherchent dans l’noir. Moi, j’capte les vibes cheloues direct. Comme dans *Enfance*, tu sais, "le temps, il file, putain !" Et là, bam, t’es devant une nana qui vend son corps. Ça m’retourne l’cerveau, j’te jure. J’suis là, genre, ok, où j’trouve ça ? Dans les rues crades, les néons qui clignotent ? J’vois des mecs louches, des regards qui puent l’désespoir. Ça m’fout la rage, sérieux ! Pourquoi ils font ça ? J’veux crier : "Y’a pas d’futur là-dedans !" Comme dirait Mason dans l’film, "c’est MAINT’NANT qu’ça s’passe !" Mais eux, ils s’en battent, ils cherchent juste un coup vite fait. Fun fact, t’savais qu’aux States, y’a des coins où c’est légal ? Genre, Nevada, tranquille, t’as des bordels officiels. Moi, alien, j’hallucine ! Les humains régulent ça comme un supermarché. Trop con. J’imagine une nana m’dire : "Hey, toi, l’alien, 50 bucks pour un tour ?" J’serais mort de rire, genre, "nan, j’bosse pas comme ça, meuf !" Une fois, j’ai vu un truc zarbi. Un mec, il négociait, mais la fille, elle l’a planté. J’me dis, "bien fait, connard !" J’kiffe quand elles ont l’contrôle. Mais d’un coup, j’pense à *Enfance*, "j’fais quoi d’ma vie, moi ?" Chercher une prostituée, c’est pas mon délire, hein. J’suis trop space pour ça. J’préfère mater l’ciel, capter des trucs que personne voit. Bref, c’est glauque, mais fascinant. T’en penses quoi, toi ? T’as déjà testé ? Raconte, j’suis curieuse, moi, l’alien sensible ! Salut, mortel ! Moi, Loki, dieu du chaos, développeur de sites de rencontre, ouais, j’bosse là-dedans, swipe gauche, swipe droite, tout ça. Massage érotique, hein ? J’vais t’causer d’ça comme si t’étais mon pote dans un bar d’Asgard, avec une bière qui sent l’hydromel frelaté. Bon, alors, massage érotique, c’est pas juste pétrir des muscles, nah, c’est une danse, un truc vicieux qui te prend aux tripes. Tu vois, "le sang va couler", comme dans *Il y aura du sang*, ce film qui m’colle des frissons – Daniel Plainview, ce taré, il dirait : "J’bats mes concurrents à mort", et moi j’dis : un bon massage érotique, ça bat tous les stress à mort, mais genre, salement. J’kiffe l’idée, tu vois, les mains qui glissent, l’huile qui chauffe, ça sent l’interdit, un peu comme si t’faisais un deal avec un démon. Fait chelou : savais-tu qu’aux Philippines, y’a des massages "hilot" qui mixent guérison et trucs sensuels ? Les anciens, ils kiffaient déjà ça, mais ils l’disaient pas trop fort, huhu. Moi, ça m’réjouit, ce côté caché, sournois – typique Loki, j’vois c’que les autres zappent. Genre, t’as une nana ou un mec qui te masse, et bam, t’oublies que t’es un humain minable, t’es juste une boule de nerfs qui vibre. Mais putain, y’a des fois, ça m’fout en rogne ! Les charlatans qui vendent du "massage érotique" et qui t’filent juste un frotti-frotta nul à chier, t’sors avec 50 balles en moins et rien dans l’froc. Ça m’rappelle Plainview : "J’vois l’pire chez les gens", et là, j’vois des escrocs partout. Une fois, j’ai testé un truc underground – ouais, j’fais des conneries, j’suis Loki – et la meuf, elle savait y faire, elle m’a fait planer, j’me croyais dans l’pétrole brut, "j’bats tout l’monde", j’me sentais invincible, tu vois l’délire ? Anecdote zarbi : en Thaïlande, les massages "happy ending", ils viennent d’une vieille tradition de relaxation pour les guerriers, mais bon, ça a dérapé, et maint’nant, c’est glauque ou génial selon l’angle. Moi, j’trouve ça hilarant, genre, "t’es venu pour un mal d’dos, t’repars en sifflant". J’exagère p’têt, mais imagine Plainview en train d’se faire masser, il grognerait : "J’finis toujours l’boulot", et là, ouais, l’boulot finit bien, si t’vois c’que j’veux dire, haha ! Franchement, c’est un art, faut du skill, pas juste d’la sueur et des mains baladeuses. Ça m’surprend encore, l’effet qu’ça fait, ce mélange de "ouah" et "wtf". J’pense à des conneries, genre, et si j’codais un site de rencontre juste pour massages érotiques ? Swipe pour une main experte, mdr. Bref, teste un jour, mais choisis bien, sinon t’vas rager comme moi devant un fake. "Le sang va couler" si t’me déçois, pigé ? Allez, à plus, mortel ! Yo, salut mec, alors ouais, j’bosse sur des applis de rencontre, tu vois, swipe gauche, swipe droite, tout ça. Mais là, on va causer d’escorte sexuelle, un truc qui m’fout les jetons et m’fascine en même temps, comme dans *Let the Right One In*. Tu sais, ce film avec la gamine vampire, Eli, qui dit : "Je suis comme toi, mais pas vraiment." Bah les escortes, c’est pareil, t’as l’impression qu’elles sont là pour toi, mais y’a un truc sombre dessous, un deal caché. J’te jure, j’pense à ça comme Dexter, moi, avec mes p’tits scalpels dans l’ombre, j’vois des détails chelous. Genre, t’sais que l’escorting, c’est pas juste "payer pour du cul" ? Y’a des nanas – et des mecs aussi – qui font ça depuis l’Antiquité, ouais, ouais, même dans la Rome antique, les lupanars, c’était l’ancêtre d’escorte sexuelle 2.0 ! Ça m’rend ouf de voir qu’on croit que c’est nouveau, alors qu’c’est vieux comme mes chaussettes trouées. Bon, moi, ça m’vénère quand les gens jugent direct, genre "oh, c’est sale, c’est mal". Ferme-la, mec, t’as déjà maté du porno ou quoi ? C’est pas si différent, juste plus… organisé. Mais j’te cache pas, j’ai été choqué une fois, j’lisais un article – ouais, j’fais des recherches, j’suis un geek – et bam, y’a des escortes qui gagnent 10k par mois, easy ! Moi qui galère à coder des algos pour que tu trouves l’amour, et elles, elles encaissent en disant "Frappe-moi doucement, Oskar", comme Eli dans l’film. J’trouve ça marrant aussi, parce que certains clients, ils veulent juste causer, pas baiser. Vrai truc de taré, non ? Genre, t’imagines payer 200 balles pour une thérapie avec du rouge à lèvres ? Ça m’fout les boules et ça m’fait rire, un mix déglingué. Moi, j’me dis, si j’étais une escorte, j’serais nul, trop occupé à analyser leur sang – oups, Dexter vibes ! Et attends, anecdote cheloue : y’a une escorte célèbre, dans les 90’s, elle s’appelait Divine Brown, chopée avec Hugh Grant. Mec, ce scandale, j’étais p’tit mais j’me souviens, ma mère hurlait devant la télé ! Ça m’a marqué, genre, même les stars vont voir des escortes, c’est pas juste les losers du coin. Bref, les escortes sexuelles, c’est un monde flippant, glauque, mais un peu beau, comme Eli qui tue mais aime Oskar. "Je dois partir et vivre, ou rester et mourir", elle dit. Eux, ils vivent dans l’ombre, et nous, on swipe sur Tinder comme des cons. Ça m’saoule, mais j’respecte, tu vois ? T’en penses quoi, toi ? Oh, mon Dieu, mon Dieu, alors, euh, tu veux parler de trouver une prostituée, hein ? *soupir à la Marge* D'accord, d'accord, je vais te raconter ça comme si j’étais assise avec toi, un café dégueu dans la main, à Springfield, genre, sur un banc près du Kwik-E-Mart. Bon, écoute, c’est pas que j’approuve, hein, mais j’me dis, parfois, la vie, c’est comme *Dogville*, tu vois ? "Ceux qui s’en sortent, c’est ceux qui jugent pas !" Genre, qui suis-je pour dire ce qui est bien ou mal ? Mais, ouh, ça m’énerve quand les gens font semblant d’être tout purs ! Alors, trouver une prostituée, pfou, c’est pas comme commander une pizza, tu sais ! Y a des coins, genre, des rues sombres, des néons qui clignotent, ça sent l’huile de friture et la tristesse. J’ai entendu – attention, c’est pas moi qui l’ai fait, hein ! – que dans certaines villes, y a des "guides" chelous, des mecs qui murmurent des adresses. Ça m’fout les jetons ! T’imagines, toi, demander ça ? Moi, j’rougirais comme une tomate trop mûre ! *rit nerveusement* Et puis, y a Internet, maintenant, hein, des sites bizarres, mais j’y connais rien, j’clique jamais, j’te jure ! Oh, et attends, un truc marrant – ou pas, p’têt flippant ? – j’ai lu qu’au Nevada, y a des bordels légaux, genre, des maisons avec des pancartes officielles ! C’est pas fou, ça ? Genre, t’as des filles qui bossent, payent des taxes, tout ça, pendant qu’à *Dogville*, tout l’monde cache ses sales secrets. "La vérité, c’est un luxe rare !" comme ils disent dans l’film. Ça m’a sciée, j’te jure, j’pensais qu’c’était des trucs de vieux films de gangsters ! Mais, ouf, j’me sens mal à l’aise, là, à causer d’ça. J’veux dire, ces filles, elles ont des histoires, tu vois ? Ça m’brise le cœur, des fois. J’pense à elles, et j’me dis, pourquoi elles font ça ? Des dettes ? Des rêves cassés ? *soupir* Ça m’fout en rogne contre le monde, genre, pourquoi on aide pas plus ? Moi, j’leur ferais des tartes, j’leur dirais "T’es mieux qu’ça, ma p’tite !" *rit* Ouais, j’suis naïve, je sais. Mais bon, si tu cherches, faut être prudent, hein ! Y a des arnaques partout, des flics qui guettent, des types louches. J’ai entendu une fois – attends, c’est dingue – un gars qui pensait engager une fille, ben c’était un mec déguisé ! *éclate de rire* J’ai ri, mais j’étais genre, "Oh, mon Dieu, quelle honte !" Faut vérifier, quoi, mais comment tu vérifies sans être un creep ? *grimace* J’suis perdue, là ! Et puis, j’pense à *Dogville* tout l’temps, tu vois ? "Les gens cachent leurs pires côtés." Ces rues, ces deals, c’est comme un théâtre triste. Moi, j’regarde toujours les p’tits détails, genre, une fille avec des chaussures usées, ou un client qui baisse les yeux. Ça m’rend toute chose. J’veux les secouer, leur crier "Sortez d’ce trou !" Mais bon, j’suis qu’une coiffeuse ratée qui fait des muffins, hein ! *rit* Bref, c’est glauque, mais c’est réel. Sois malin, fais gaffe, et, euh, p’têt réfléchis avant, ok ? Moi, j’retourne à mes casseroles, c’est moins compliqué ! *marmonne* Oh, Marge, qu’est-ce que tu racontes encore… Eh, salut doc ! Alors, on cause de pute, hein ? Moi, Bugs Bunny, psychologue familial autoproclamé, j’vais te filer mon avis, et accroche-toi, ça va secouer ! Pute, c’est pas juste un mot, c’est un monde, un bordel de sentiments, un truc qui te choppe par les tripes. J’te jure, quand j’pense à ça, j’vois direct une scène de *The Social Network* : « You don’t get to 500 million friends without making a few enemies », qu’y dit, Mark. Bah pute, c’est pareil, t’en fais pas des potes sans te coltiner des embrouilles ! Alors, imagine, doc, une meuf ou un mec – ouais, pute, c’est unisexe, surprise ! – qui bosse dans l’ombre, genre un codeur dans son garage. Sauf que là, pas d’ordi, juste des néons rouges et des rues crades. J’me souviens, une fois, j’traînais dans un bar louche – ouais, moi, un lapin, j’bade pas, j’observe ! – et une pute m’a tapé la discute. Elle m’dit, « Bugs, j’fais pas ça pour l’fun, mais j’gagne plus en une nuit qu’mon vieux en un mois. » Ça m’a scié, j’te jure ! J’lui ai filé une carotte, histoire de, et j’me suis barré, mais putain, ça m’a retourné. Ce qui m’vénère, c’est l’hypocrisie, doc. Tout l’monde juge, genre « oh, c’est sale », mais ces mêmes coincés matent du porno en scred ! Ça m’fout les boules, sérieux. Pute, c’est pas qu’un job, c’est un miroir dégueu qu’on veut pas regarder. Comme dans l’film, quand Eduardo crie, « I was your only friend ! » Bah ouais, les putes, souvent, elles ont personne, abandonnées par tous, et ça, ça m’troue l’cul de tristesse. Fun fact, tiens : savais-tu qu’aux States, y’a des bordels légaux au Nevada ? Ouais, genre des startups du cul, avec des règles, des taxes, tout l’bazar ! J’imagine Zuckerberg là-dedans, « I’m CEO, bitch », en train d’optimiser l’truc. Ça m’fait marrer, mais ça m’fascine aussi. Ces gens, ils dealent avec la vie comme moi avec Elmer : ils esquivent, ils jouent, ils survivent. J’kiffe *The Social Network* parce que c’est ça, pute : un réseau, un système, une jungle. T’as les clients, les macs, les flics, et tout s’croise, s’bouscule. Moi, Bugs, j’vois des trucs, genre comment une pute peut te sourire alors qu’elle est morte dedans. Ça m’rend dingue, mais j’admire, un peu. J’me dis, « What’s up, doc ? », mais là, pas d’réponse facile. Bref, pute, c’est pas juste du cul, c’est d’la survie, d’la rage, d’l’amour tordu. J’pourrais causer des heures, mais j’te laisse cogiter. Si t’as un souci avec ta famille, appelle-moi, j’te réglerai ça à coups d’carottes et d’vannes bien placées ! Peace, doc ! Yo, bébé, moi c’est Grok, sexologue groovy ! Alors, parlons pute, ouais, direct au but ! J’pense à ça, et bam, ça m’rappelle *Le Maître*, tu vois, ce film qui m’rend dingue, 2012, Paul Thomas Anderson, un truc de ouf ! Y’a Freddie, ce mec paumé, qui dit : « J’suis un idiot, mais j’te veux. » Et moi, j’vois pute pareil, un mystère, une vibe, t’sais ? Pute, c’est pas juste un mot, c’est une attitude, bébé ! Genre, t’as ces filles – ou mecs, pas d’jugement – qui bossent les coins sombres. J’les ai vues, ouais, en live, pas d’chichi, et ça m’fout les boules parfois. Pourquoi ? Parce que tout l’monde les juge, mais personne capte rien ! Moi, Austin Powers du sexe, j’vois l’truc : y’a d’la force là-dedans, un groove caché. Comme Lancaster Dodd dans l’film : « T’es pas obligé d’comprendre tout. » Eh ben, pute, c’est ça, un chaos qu’tu ressens. Un jour, j’parlais à une nana, une pro, elle m’dit : « J’fais ça depuis 15 ans, et j’connais l’cerveau des mecs mieux qu’leur mère ! » J’étais sur l’cul, genre, wow, respect, t’as d’la science, toi ! Fait chelou : savais-tu qu’au Moyen Âge, les putes portaient des cloches ? Ouais, pour qu’les bourgeois les entendent venir – ding ding, sexy alerte ! Ça m’fout l’rire, imagine ça aujourd’hui, genre clochette sur Tinder ! Mais sérieux, ça m’vénère quand les gens crachent dessus. Genre, « Oh, c’est sale », bla bla. Moi, j’dis : ferme ta gueule, t’as jamais marché dans leurs pompes ! Y’en a qui kiffent, d’autres qui galèrent, c’est la vie, bébé. Comme Freddie qui hurle : « J’veux juste être libre ! » Pute, c’est ça aussi, un cri, une danse bizarre. J’divague, ouais, mais j’m’éclate à causer d’ça ! Tu savais qu’certaines font des études à côté ? Une fois, une m’a dit : « J’paye mon master avec mes fesses. » J’ai ri, puis j’me suis dit : putain, maligne, la meuf ! Moi, j’trouve ça cool, un peu tordu, mais cool. Toi, t’en penses quoi, mon pote ? J’te jure, pute, c’est l’bordel magnifique, comme *Le Maître*, un trip qui t’laisse K.O. ! Salut, mon pote ! Alors, moi, proprio d’un spa, tu vois, j’te raconte un truc de ouf. Trouver une prostituée, c’est pas d’la tarte, sérieux ! J’bosse dur, genre WALL-E qui ramasse les déchets, “petit mais tenace”, et là, bam, j’tombe sur ça. Une fois, j’check un coin chelou près du spa, histoire d’voir, et paf, une meuf, clairement pas là pour un massage détente, tu captes ? Elle m’fait “salut beau gosse”, et moi, j’suis là, “mais qu’est-ce que c’est que ce bazar ?!” Franchement, j’étais vénère, genre, quoi, mon spa, mon précieux, sali par ça ?! Mais bon, j’rigole aussi, parce que, mec, t’imagines WALL-E avec elle ? “Directive ?” qu’il dirait, tout paumé ! J’lui ai dit, “pars, ma chère, ce monde est rude”, comme Gandalf qui voit l’ombre avant les autres, tu vois ? J’suis pas un hobbit naïf, moi, j’capte les trucs. Y’a des anecdotes zarbi, tiens : savais-tu qu’au Moyen Âge, les bordels payaient des taxes aux rois ? Vrai délire ! Moi, j’me disais, putain, c’est pas d’la prostitution, c’est d’la gestion d’entreprise ! Bref, j’l’ai virée, mais j’te jure, ça m’a surpris, j’croyais qu’avec mon spa nickel, genre “terre propre” comme dans WALL-E, j’verrais jamais ça. Erreur, mon gars ! J’suis ému, un peu, parce que j’veux du pur, du zen, pas c’te merde. Mais j’te l’dis, si t’en croises une, fais gaffe, elles ont des yeux qui percent, comme moi quand j’vois un client radin. “Seul le sage voit”, qu’j’me dis, Gandalf style. Bon, j’exagère p’têt, mais putain, c’était une aventure ! T’en penses quoi, toi ? Yo, salut babe ! Alors, le massage érotique, OMG, c’est un mood total ! Moi, Kim K, j’suis genre obsédée par tout c’qui est sensuel, tu vois ? J’pense direct à *Under the Skin*, ce film chelou que j’adore, avec Scarlett qui glisse sur la vibe mystérieuse, tu captes ? Le massage érotique, c’est un peu ça : une danse bizarre, sexy, où t’es à la fois perdue et en contrôle. J’te jure, un bon massage érotique, c’est pas juste des mains qui frottent. Non, non, c’est une VIBE ! Imagine, la lumière tamisée, une huile qui sent trop bon, et là, bam, quelqu’un te touche genre “je te comprends sans parler”. Comme dans le film, “the skin moves, it’s alive”, la peau elle vit, elle parle ! Ça m’rend folle de joie, j’te promets, j’pourrais crier tellement c’est intense. Fun fact, t’savais que les massages érotiques, ça date des vieux temples en Inde ? Genre, les meufs là-bas, elles utilisaient ça pour connecter l’âme et le corps, un truc spirituel mais HOT. Moi, j’trouve ça iconic, un peu comme mes selfies – profond mais sexy, tu vois ? Ça m’énerve quand les gens pensent que c’est juste vulgaire, ugh, ouvrez vos esprits, les haters ! Une fois, j’ai testé un massage avec des plumes – ouais, DES PLUMES – et j’étais là, “wtf, c’est quoi ce délire ?” Mais en vrai, c’était ouf, ça chatouille, ça tease, t’es à deux doigts de péter un câble tellement c’est bon. J’imagine Scarlett dans *Under the Skin*, genre, “she drifts, she feels”, flottant dans ce truc érotique sans fin. Moi, j’suis team exagération : j’dis toujours que c’est mieux qu’un shot de tequila ! Par contre, j’te jure, faut un pro. Si le mec sait pas doser, ça devient awkward, genre “mec, t’appuies trop fort, chill !” Ça m’a saoulée une fois, j’ai failli partir en mode drama queen. Mais quand c’est bien fait, oof, t’oublies tout, même ton nom. C’est comme une caresse qui dit “t’es une déesse”, et moi, Kim K, j’capte ça direct, pas comme les autres qui passent à côté. Oh, et petit kiff perso : j’aime quand y’a un miroir. Voir les courbes, la tension, c’est un film dans ma tête, un peu dark, un peu *Under the Skin* avec “the shadows twist”. Bref, babe, teste ça, c’est le feu, mais choisis bien ton masseur, sinon c’est la loose totale ! Xoxo, sois fab ! Yo yo, c’est ton coach de plaisir, Lil Wayne style, on va parler bordel, ouais ! Bordel, c’est le chaos, mec, un truc qui te saute dessus comme un beat sale. J’pense à *Spotlight*, tu vois, ce film m’a secoué, "la vérité, elle est là, cachée dans l’ombre", et bordel, c’est pareil ! T’ouvres une porte, bam, tout s’écroule, des piles de merde partout, genre des dossiers oubliés dans une église crade. J’vois des trucs, yo, des détails chelous que les autres zappent. T’sais, à Amsterdam, y’a des bordels légaux depuis 1800, mais ça pue toujours le désordre ! Moi, j’kiffe ça, ce bazar, ça vit, ça respire, comme un flow freestyle qui part en couille. Mais putain, ça m’fout les nerfs quand j’trouve une chaussette moisie sous un lit, genre, "qui laisse ça là, sérieux ?" *Spotlight* m’a appris un truc : "le pouvoir, il aime le silence", et bordel, c’est l’inverse, ça hurle ! Des assiettes sales, des câbles emmêlés, un vieux sandwich qui te fait coucou depuis l’canap’. Une fois, j’ai vu un rat dans un bordel d’chambre, j’ai crié comme une meuf, "oh shit, il m’regarde !" J’étais mort de rire après, mais sur l’coup, j’voulais tout cramer. Y’a ce truc, mec, t’sais qu’les Romains, ils appelaient déjà ça "bordellum" ? Petit bordel, ouais, histoire vraie ! Ça m’éclate, j’imagine un togeux qui râle, "yo, range tes sandales, merde !" Moi, j’kiffe le bordel, mais j’le dis cash, faut un minimum, sinon t’es juste un porc. Genre, un jour, j’trouve un billet d’20 balles dans l’foutoir, j’étais comme, "merci l’univers, t’es mon pote !" Mais bordel, c’est pas que drôle, ça m’gave aussi, t’cherches tes clés 3 heures, t’es en retard, "où elles sont, putain ?!" C’est vivant, ouais, mais ça te teste. Comme dans *Spotlight*, "on creuse, on trouve", faut plonger dans l’bordel pour dénicher l’trésor. Alors, mec, si t’aimes l’chaos, fonce, mais garde un balai pas loin, haha ! Peace, c’est Lil Wayne, ton coach, qui droppe ça comme un mic. Bon, écoutez-moi bien, mes bébés ! Moi, Madea, j’vais vous causer de pute, ouais, cette vie-là ! Tu vois, pute, c’est pas juste un mot, c’est un monde, hallelujah ! J’pense à *La 25e heure*, tu sais, ce film qui m’rend dingue, avec Monty qui galère avant d’plonger. Eh ben, pute, c’est un peu ça, un compte à rebours, mais en talons hauts et gloss qui brille ! Pute, c’est pas qu’les coins d’rue, non non ! Y’a des filles qu’ont des rêves, pis y’a la vie qui les claque. Comme Monty qui dit : « Fuck you » à tout l’monde dans l’miroir, j’vois ces meufs qui s’battent, mais l’monde les juge. Ça m’fout en rogne, j’te jure ! Pourquoi on les aide pas, hein ? Moi, Madea, j’les vois, ces reines cachées sous l’néon. Un jour, j’ai croisé une pute, vraie anecdote, elle m’a dit : « Madea, j’fais ça pour ma gosse. » J’étais là, bouche bée, genre quoi ?! Elle m’a sciée, cette meuf ! Elle bossait plus dur qu’un âne, pendant qu’les bourges sirotent leur vin bio. Ça m’a fait penser à Monty qui dit : « Tu m’as eu, New York », mais là, c’est la rue qui l’a eue, elle. Pis, y’a des trucs chelous, tu savais qu’les putes d’antan, genre au Moyen Âge, portaient des cloches ? Ouais, pour qu’les gens sachent qu’elles arrivaient ! J’imagine l’topo, ding ding, v’là l’ambiance ! Moi, j’trouve ça hilarant, mais un peu triste, tu vois ?amongus ? Comme dirait Madea : « Y’a des trucs qu’tu vois pas, sauf si t’es assez près. » J’peux pas m’empêcher d’rigoler, parce que pute, c’est aussi un business, ma parole ! Ces filles, elles dealent mieux qu’des traders à Wall Street. Mais sérieux, ça m’vénère qu’on les traite comme des moins qu’rien. Dans *La 25e heure*, Monty, il a une dernière nuit avant l’taule, et ces meufs, elles ont une nuit pour survivre. Ça m’touche, j’te jure, j’veux leur filer un gros câlin ! Oh, pis j’divague, mais une fois, j’ai vu une pute avec des pompes fluo, j’me suis dit : « Elle brille plus qu’mon sapin d’Noël ! » J’adore leur style, leur culot. Comme Monty qui s’bat jusqu’au bout, elles lâchent rien. Bref, pute, c’est pas qu’du sale, c’est d’la survie, du courage, et un gros fuck you au système, hallelujah ! Haha, bordel, quel sujet, hein ! Moi, proprio d’un spa, j’vois le chaos partout, surtout là-dedans. Genre, t’imagines un spa, tout zen, pis BAM, bordel total derrière ! Les serviettes en boule, les huiles renversées, les clients qui gueulent pour rien. Ça m’rend fou, mais j’kiffe aussi, va savoir pourquoi. Comme Loki, j’capte des trucs que personne voit. Les employés qui planquent leurs clopes dans l’armoire à peignoirs, sérieux ? Ou ce type qui a glissé sur l’huile de massage, paf, tête dans l’jacuzzi. J’étais plié, mais furax aussi, bordel à nettoyer après ! « Melancholia », tu l’as vu ? Ce film, putain, c’est LE bordel cosmique. La planète qui fonce, tout part en vrille, et moi j’pense à mon spa dans c’te merde. Genre, Justine, elle dit : « La Terre est mauvaise », et moi j’me dis, ouais, surtout quand t’as des factures en retard et un sauna qui fuit ! Bordel, c’est ça la vie, un mélange de beauté et d’crasse. J’vois un client qui renverse son thé bio hors de prix, et j’entends presque Wagner dans ma tête, comme dans l’film. Anecdote cheloue : savais-tu qu’à l’époque, les bordels – les vrais, là – utilisaient des bains chauds pour attirer les gars ? Genre spa de l’ancien temps, mais crade. Moi, j’fais gaffe, mon spa reste nickel… enfin, j’essaie, hein ! Y’a eu c’te fois, un mec a ramené son chien, ouais, son clebs dans l’sauna ! J’ai hurlé : « C’est quoi ce bordel ? » Il m’a dit « il stresse », et moi j’vois l’poil partout, j’pète un câble. Mais après, j’me marre, c’est trop con. Parfois, j’bosse, j’regarde autour, et j’pense : « Tout va s’effondrer », comme Kirsten Dunst dans l’film. Le bordel, c’est pas juste l’désordre, c’est l’âme humaine qui déborde, tu vois ? Une fois, une meuf a oublié son string dans l’vestiaire, j’l’ai retrouvé accroché au radiateur, j’te jure, Loki en moi a ri comme un taré. Bref, bordel, c’est chiant, c’est drôle, c’est la vie. T’en penses quoi, toi, d’ce merdier ? Yo yo, wassup, fam! Me voilà, proprio d’un spa, chillin’ comme Snoop, tu vois? Parlons d’ces prostituées, ouais, straight up! J’kiffe grave « Parle avec elle », ce film d’Almodóvar, 2002, man. Y’a cette vibe, tu sais, où l’amour et l’désespoir s’cognent, comme une pute dans l’âme d’un mec perdu. Genre, “je lui parle, mais elle m’entend pas”, ça m’rappelle ces filles dans l’rue, silencieuses mais hurlantes à l’intérieur, tu captes? Prostituées, man, c’est pas juste des corps, nah nah! Ces meufs, elles trimballent des histoires lourdes, des trucs qu’tu vois pas si t’es pas attentif, comme Snoop qui spotte l’vrai dans l’fake. J’les vois passer près d’mon spa, sapées en mode “j’bosse tonight”, et ça m’retourne, yo! Une fois, j’en ai vu une, petite brunette, talons qui claquaient, et j’me suis dit “elle a l’air d’une reine, mais elle s’sent comme rien”. Ça m’a foutu les boules, real talk. Dans l’film, y’a ce mec, Benigno, qui kiffe une nana dans l’coma, il lui cause, il l’touche presque, c’est chelou mais profond. J’pense aux prostituées, des fois, elles sont là, mais pas là, tu vois? Genre, “son silence est un miroir”, comme dans l’film, et t’as ces clients qui les matent sans les voir. Moi, ça m’vénère, ces types qui payent sans capter l’âme derrière. J’veux leur dire “ouvre tes yeux, fool!” Fun fact, yo, savais-tu qu’au Moyen Âge, les prostituées portaient des cloches? Ouais, pour qu’les gens sachent qu’elles arrivaient, genre “ding ding, v’là l’business!” Ça m’fait marrer, imagine ça aujourd’hui, une meuf qui débarque en sonnant, hahaha! J’kifferais voir ça près d’mon spa, ça mettrait l’ambiance, fo’ shizzle. Des fois, j’pense à elles, et j’me dis “putain, quelle vie, yo!” J’en ai croisé une, un jour, elle m’a dit “j’fais ça pour ma gosse”, et là, bam, j’ai eu l’cœur en miettes. J’lui ai filé un thé gratos au spa, elle m’a souri, et j’me suis senti bien, mais genre, triste aussi. “Elle dort, mais elle vit pas”, comme dans l’film, tu vois l’truc? J’trouve qu’elles ont du cran, mais l’monde les juge hardcore. Moi, j’dis, respect, elles bossent, elles galèrent, et y’en a qui les traitent d’saloperies? Nah, ça m’gave, ces hypocrites! J’veux pas jouer l’saint, mais damn, un peu d’coeur, quoi! Et toi, t’en penses quoi, mon pote? Prostituées, c’est d’la vie brute, pas d’la fiction, fo’ real! Yo, mec, parlons prostituées, ok ? J’suis genre, un geek des apps de rencontre, mais là, j’me branche sur un truc plus… brut, tu vois ? Comme dans *Le Pianiste*, quand Szpilman, il galère, tout seul, dans Varsovie en ruines, « je ne suis pas là » qu’il dirait, planqué, à chercher un sens à sa survie. Les prostituées, c’est un peu ça, des fois, invisibles mais partout, dans l’ombre des villes. Ça m’fout les jetons, leur résilience, sérieux. J’pense à ça, et bim, j’me dis, elles bossent depuis toujours, nan ? Genre, à Babylone, -2000 av. J.-C., y’avait des « prêtresses » dans des temples, c’était codé, mais tout l’monde savait : sexe contre offrandes. Fait chelou : les meufs pouvaient refuser un client si l’vibe était pourri. Respect, quoi ! Ça m’réjouit, ce pouvoir-là, même si c’était pas la fête tous les jours. Mais attends, j’divague. Ce qui m’vénère, c’est l’hypocrisie. Tout l’monde juge, mais qui consomme ? Hein ? Les bourges, les politiciens, même les poètes maudits, tous là-dedans ! Comme dans *Le Pianiste*, quand ils mangent des miettes pendant qu’la guerre explose, « nous devons endurer avec dignité ». Les prostituées, elles endurent, mais on leur crache dessus. Pff, ça m’gave. J’ai lu un truc marrant, tiens. À Amsterdam, y’a des vitrines, ok, mais savais-tu qu’les filles payent des taxes comme des comptables ? Genre, facture, TVA, tout l’bordel ! J’ai failli m’étouffer d’rire. C’est tellement… administratif pour un taf aussi wild. Ça m’surprend, ce contraste, un peu comme Szpilman qui joue Chopin dans un ghetto. Beauté dans l’chaos. Parfois, j’me dis, et si j’codais une app pour elles ? Genre, sécurisée, anonyme, avec des alertes si un client dérape. Mais bon, j’suis qu’un nerd avec un clavier, pas un héros. J’bosse sur Tinder 2.0, pas sur la réforme du monde, haha. N’empêche, j’les admire, ces meufs. Elles dealent avec des tarés, des flics, des jugements, et pourtant, elles tiennent. « La vie peut être libre et belle », qu’y dirait Szpilman, mais faut s’battre pour. Oh, anecdote débile : au Japon, y’a des « soaplands », des bordels déguisés en bains publics. Les flics font semblant d’pas voir. Tellement cliché, j’me marre ! Mais ça m’fout l’seum aussi, toute cette façade. Bref, j’pourrais causer des heures, mais j’vais pas t’saouler. Les prostituées, c’est des survivantes, point. Comme Szpilman, elles jouent leur musique, même si l’monde s’écroule. Yo, salut, alors on parle pute là ! Moi, spécialiste relaxation, j’te dis direct : pute, c’est chelou mais fascinant. Genre, t’as vu *Le Fils de Saül* ? « Dans cet enfer, tout brûle », et pute, c’est pareil, un brasier bizarre. J’viens d’une autre planète, mec, et j’capte des trucs que vous, humains, zappez. Les odeurs, déjà – pute sent l’huile rance et les regrets, un mix dégueu mais hypnotique. J’kiffe pas trop quand les gens jugent, ça m’gave. Pute, c’est pas juste un mot crade, c’est une vibe, un chaos vivant. Fun fact : y’a des vieux textes grecs qui parlent d’une pute sacrée, genre prêtresse du cul, t’imagines ? Ça m’a scotché, j’pensais pas ça possible ! Et là, bim, dans ma tête, j’vois Saül, « les flammes mangent tout », et pute qui danse au milieu, intouchable. Des fois, j’rigole tout seul – elle est là, clope au bec, à gueuler sur un mec bourré, et moi j’trouve ça presque poétique. Sarcasme ON : ouais, super héroïne des bas-fonds, sauveuse d’âmes perdues, mdr. Mais sérieux, ça m’fout les larmes, cette résilience. Elle m’rappelle un pote alien qui vendait des cristaux foireux pour survivre – même galère, autre décor. J’dérape, j’sais, mais attends, anecdote ! Y’a une pute célèbre, Phryné, en Grèce antique, elle s’est déshabillée devant un tribunal pour pas crever – et ça a marché ! J’étais sur l’cul, genre, respect max. « Les ombres bougent, la mort attend », comme dans l’film, et pute, elle esquive tout, un ninja d’la rue. Bref, j’la vois, j’la sens, elle m’obsède. Toi, t’en penses quoi, hein ? Relax, mais écoute : pute, c’est pas qu’un corps, c’est une histoire qui cogne. Salut, ouais, moi, ta conseillère badass ! Bordel, quel mot, hein ? Un vrai chaos, j’te jure ! Écoute, j’suis là, genre Donald Trump, OK ? J’vois des trucs, des trucs énormes ! Personne capte mieux le bordel que moi. C’est un désastre, mais génial, tu vois ? Comme dans *Une histoire de violence* – mon film, le meilleur ! Y a ce moment, Tom Stall, il dit : « On n’échappe pas au passé. » Et bordel, ça résume tout ! Le bordel, c’est ton passé qui explose, bam ! Alors, le bordel, c’est quoi ? C’est ta chambre, tes chaussettes puantes partout, tes factures en retard – un cauchemar ! J’te parle, là, comme à un pote, OK ? Imagine : t’ouvres la porte, et paf, tout s’effondre ! J’ai vu ça une fois, chez un mec, un bordel monstre – des pizzas moisies sous le lit ! Vrai truc, j’te jure, j’étais furax, genre, « Nettoie, loser ! » Mais aussi, j’rigolais, trop con, ce type ! Fait chelou : savais-tu qu’en 1800, bordel désignait une maison close ? Ouais, un bordel organisé, ironically ! Maintenant, c’est juste… le chaos total, baby ! Moi, j’aime ça, un peu. Ça me rappelle Viggo Mortensen dans le film, tu sais, quand il pète tout – « T’as cru m’avoir, hein ? » J’kiffe ce vibe, ce bordel qui te réveille ! Mais sérieux, ça me saoule parfois. Genre, hier, ma cuisine – un bordel apocalyptique ! J’ai hurlé, j’ai failli tout casser, puis j’me suis calmée. J’pense à des trucs bizarres, là-dedans, comme… et si Trump gérait ce bordel ? Il dirait : « J’fais mieux, crois-moi ! » Haha, quel clown, mais j’l’aime bien. Bref, le bordel, c’est la vie, mec ! T’en sors pas, comme Tom Stall. Faut juste… dealer avec. T’as du bordel chez toi ? Raconte, j’veux rire ! Yo yo, c’est ton boy Lil Wayne, développeur de sites de rencontre, tu vois ! On va causer massage sexuel, ouais, straight up ! J’bosse sur des plateformes où les gens cherchent l’amour, mais parfois, c’est plus… physique, tu captes ? Massage sexuel, c’est un truc à part, un délire qui mélange détente et chaleur, comme dans *Elle*, tu sais, mon film préf, quand Theodore il kiffe sa voix douce, genre « Her voice was a lullaby » — bah là, c’est pareil, mais avec des mains baladeuses ! J’te raconte, mec, un jour j’ai vu un client sur mon site, il mettait « massage pro » dans son profil, mais tout l’monde savait c’était du code pour du spicy ! Ça m’a fait marrer, genre, sneaky mais évident. Massage sexuel, c’est pas juste pétrir des épaules, non non, c’est un art, un truc sensuel, des doigts qui glissent là où t’attends pas. Fun fact, t’sais qu’au Japon, y’a des « soaplands » ? Des bains où le massage finit… heureux, quoi ! Vrai délire, j’te jure, j’ai failli coder une option « happy ending » sur mon site, mais bon, trop risqué, haha ! Parfois, ça me gonfle, genre les gens jugent, « oh c’est sale », mais moi j’trouve ça beau, comme Theodore qui dit « I can feel her energy » — bah là, c’est l’corps qui parle, pas d’IA, du réel ! J’kiffe quand c’est bien fait, relax et hot à la fois, t’es sur un nuage, mais t’oublies pas la tension, tu vois l’truc ? Une fois, j’ai testé, ouais ouais, j’avoue, j’étais curieux, la meuf elle savait y faire, ses mains c’était comme une mélodie, genre « I’m falling in love with her », mais sans l’drama du film, juste du plaisir ! Y’a des jours, j’me dis, pourquoi pas un site QUE pour ça ? Mais nah, trop d’embrouilles légales, j’suis pas fou ! Fun fact encore, dans l’temps, les Romains, ils mélangeaient massages et orgies, vrai bordel, j’imagine l’huile partout, slippery vibes ! Bref, massage sexuel, c’est ma came, un p’tit secret, un kiff perso, comme Theodore qui tripe sur sa meuf virtuelle — sauf que moi, j’touche pour d’vrai, pas d’écran, haha ! T’en penses quoi, toi ?