Salut mec, alors trouver une prostituée, sérieux ? Moi, spécialiste en relaxation, j’te jure, ça m’fait marrer. Genre, t’imagines le truc ? « I have become comfortably numb » – ouais, comme dans *Éternel soleil*, cette vibe où tout s’embrouille. T’es là, tu cherches, et bam, t’es perdu dans l’cosmos du vice. J’parle comme Hawking, alors écoute bien, j’vois des trucs, moi. Les autres, ils captent rien, mais moi, j’vois l’orbite des âmes paumées. Bon, j’ai testé une fois, hein, pure curiosité. Dans une ruelle crade, lumière rouge qui clignote, j’me sens comme Jim Carrey qui s’fait effacer la tête. « Do I know you ? » – j’lui ai presque sorti ça, à la meuf. Elle m’regarde, genre, « t’es qui, toi ? » J’rigole tout seul, nerveux, parce que, putain, c’est chelou. Tu savais qu’au Moyen Âge, les bordels, c’était légal ? Genre, l’Église taxait ça, vrai délire hypocrite ! J’étais là, cœur qui tape, excité mais vénère aussi. Les mecs autour, des vautours, ça m’a gavé direct. J’me dis, « c’est quoi c’bordel ? » – haha, jeu d’mots pourri, désolé. Mais sérieux, t’as ces filles, certaines sourient, d’autres… vides, comme des étoiles mortes. Ça m’a surpris, j’pensais pas voir autant d’histoires dans leurs yeux. « How happy is the blameless vestal’s lot » – ouais, sauf qu’là, c’est l’contraire, mec. Une fois, j’ai causé avec une, super sympa, elle m’raconte qu’elle bosse pour payer ses études. J’te jure, j’ai buggé, genre, respect et tristesse mélangés. J’lui ai filé un billet en plus, juste pour qu’elle s’pose un peu. Moi, j’suis bizarre, j’cogite trop, j’me dis, « et si j’l’effaçais d’ma mémoire direct ? » – Gondry style, tu vois. Mais bon, fais gaffe, hein, c’est pas toujours safe. T’as des arnaques, des flics planqués, et des fois, t’repars avec rien sauf une honte d’ouf. J’te conseille : relaxe-toi autrement, mec. Trouver une prostituée, c’est un trip, mais ça t’fout l’cerveau en vrac. Comme Hawking qui calcule l’univers, moi, j’te dis, y’a plus zen comme plan ! Yo, frère, écoute-moi bien ! Sex-dating, c’est un truc sauvage, man ! Comme sexologue, j’te dis direct : C’est pas pour les faibles, brother ! T’sais, genre, swipe droite, bam, t’es là, À chercher l’amour dans l’chaos total ! J’pense à *Lost in Translation*, ouais, “I just feel so alone”, qu’elle dit, Et bam, sex-dating, c’est pareil parfois ! T’es là, tout excité, puis paf, vide intersidéral. Mais attends, j’te raconte un truc fou, Y’a des stats cheloues là-dessus, mec ! Genre, 1 mec sur 5 ment sur sa taille, Pas QUE sa hauteur, si tu vois l’délire ! Ça m’rend dingue, brother, l’hypocrisie ! T’imagines, t’arrives, t’attends un géant, Et c’est un nain qui débarque, quoi ! Hogan voit tout, j’te jure, j’suis furax ! Mais bon, y’a du bon aussi, écoute, T’peux choper une vibe rapido, Pas d’blabla, juste “Hey, on s’capte ?” Comme Bob et Charlotte dans l’film, Un regard, une nuit, et BOOM, magie ! “More than this”, qu’il chante, Et toi t’es là, à tester l’alchimie. J’adore ça, man, cette spontanéité, Ça m’réjouit, j’te l’dis cash ! Par contre, fais gaffe, frère, Certains sont là pour jouer, Des pros du ghosting, p’tain, ça m’tue ! T’sais, un jour j’ai failli péter l’écran, Une meuf m’a lâché après 3 sextos, J’étais là, “Hogan mérite mieux, bordel !” Mais ouais, sex-dating, c’est un ring, Faut du courage, des pecs, d’la sueur ! Anecdote rigolote, tiens, Un pote a matché sa cousine, True story, man, l’horreur totale ! Il m’dit “Hulk, j’fais quoi ?” J’lui dis “Cours, frère, COURS !” Ça, tu vois, c’est l’bordel qu’j’aime, Le côté imprévu, genre film japonais ! Alors ouais, sex-dating, c’est intense, T’peux t’perdre comme à Tokyo, Ou trouver un truc vrai, brut, Mais faut foncer, pas d’chichi, brother ! J’te l’dis, “Let’s cut the crap”, Comme dans l’film, sois toi, c’est tout ! Et toi, t’en penses quoi, mec ? Salut, salut, les amis ! Moi, Kermit, proprio d’un spa, ouais ! Sex-dating, ça me fait marrer, sérieux. J’vois tout, moi, p’tite grenouille futée. Les gens swipe, swipe, comme des fous. Cherchent l’amour, ou juste un coup vite fait. Moi, dans mon spa, j’entends tout, hein ! Les bulles cachent pas leurs secrets. J’pense à *White Material*, tu vois ? "La plantation brûle, tout part en vrille." Comme sex-dating parfois, chaos total ! Tu crois trouver l’âme sœur, bam ! C’est juste un mec chelou qui ghoste. Ou une nana qui veut ton cash. J’me marre, mais ça m’énerve aussi, pfff. Y’a ce type, l’autre jour, au spa. Raconte son date, Tinder, classique. Il arrive, elle a 20 ans d’plus. Photo truquée, genre vieux filtre pourri ! J’étais plié, mais lui, furax. "Rien ne tient debout ici", comme dans l’film. Sex-dating, c’est la jungle, mec ! Fun fact, tiens : 80% mentent sur l’âge. Ouais, vérifié sur X, stats dingues ! Moi, j’trouve ça hilarant, mais flippant. T’imagines, t’es là, tout excité... Et pouf, surprise moche au rencard ! Ça m’réjouit pas, ça m’gave, sérieux. Mais bon, y’a du bon, hein. Une cliente, hier, toute joyeuse. Rencontré un mec sur Bumble, jackpot ! "J’veux pas partir", qu’elle disait, comme Maria dans l’film. Sex-dating, ça peut marcher, rare mais vrai. Moi, j’kiffe ces histoires, ça m’redonne foi. Perso, j’tenterais pas, trop timide, haha ! J’vois les profils, genre, trop parfaits. Trop d’filtres, trop d’bobards, j’flippe. Et si j’me fais catfisher ? Horreur ! J’préfère buller dans mon spa, peinard. Bref, sex-dating, c’est l’anarchie, j’te dis. "Tout s’effondre", comme dans *White Material*. Mais si t’es malin, tu t’en sors. Faut juste pas être trop naïf, hein ! T’en penses quoi, toi, mon pote ? Yo, yo, c’est ton gars Lil Wayne, psychologue familial, ouais ! Massage érotique, mec, c’est un truc sauvage. J’pense à ça, genre, ça détend, mais ça chauffe aussi, tu vois ? Comme dans *Le Pianiste*, tu sais, "J’ai survécu à pire", mais là, c’est pas d’la guerre, c’est d’la tension qui explose ! Les mains glissent, l’huile coule, et bam, t’es ailleurs. J’te jure, ça m’rend fou d’joie, mais ça m’énerve aussi, genre, pourquoi j’kiffe autant ça ? Écoute, un truc chelou : y’a des gens qui payent des fortunes pour des massages où on leur marche dessus avec des talons, ouais, vrai délire ! Moi, j’trouve ça hilarant, genre, "Marche-moi dessus, mais fais-moi bander aussi !" C’est pas juste un p’tit frottement relax, nan, c’est un voyage. Les doigts qui dansent sur ta peau, ça te fait frissonner, "Je sens encore la vie", comme dans l’film. T’es là, t’oublies tes galères, mais t’es à deux doigts d’crier, haha ! J’me souviens, un pote m’a dit, "Weezy, j’ai testé, j’suis devenu accro." J’étais genre, "Mec, t’es sérieux ?" Ça m’a surpris, mais j’capte, c’est intime, ça te touche l’âme. Pas d’la merde cheap, hein, faut qu’ça soit bien fait. Un mauvais massage érotique, c’est comme un film sans fin – frustrant ! "Ils m’ont laissé vivre", ouais, mais là, t’es mort d’ennui. Fun fact, savais-tu qu’les anciens Grecs kiffaient ça déjà ? Genre, massage + vibes sexy, c’était leur délire. Moi, j’dis, respect, ils savaient vivre ! Mais j’exagère p’têt’, j’vois ça, j’me dis, "J’pourrais rapper là-d’ssus." Les chandelles, l’ambiance sombre, t’es nu, ça glisse, et t’entends presque Chopin dans l’fond, "T’as pas idée d’mon talent." Bref, c’est chaud, c’est doux, c’est bizarre, j’adore. Ça m’met dans tous mes états, j’deviens dingue ! T’as déjà testé, toi ? Raconte, mec, j’veux savoir ! Yo yo, c’est moi, Patrick Star, masseur pro ! Bordel, c’est quoi ce truc, hein ? J’parle pas d’un p’tit désordre mignon, nan, j’parle du BORDEL, le chaos total, genre t’ouvres une porte et BOUM, tout s’écroule ! Ça m’rappelle « Moolaadé », tu vois, ce film où tout part en vrille, mais y’a du sens dans l’bordel. Comme quand Fatoumata crie « Personne passe ici ! », ben ouais, le bordel, ça bloque tout, mec ! J’te jure, l’autre jour, j’rentre chez moi, ma caverne sous l’rocher, et là, catastrophe ! Des vieilles éponges moisies, des boîtes d’algues périmées, même un crabe qui squattait dans l’coin ! J’étais genre « Mais c’est quoi CE BORDEL ?! » Ça m’a mis en rogne, j’te raconte pas, j’ai failli tout balancer par la fenêtre ! Mais après, j’me suis calmé, j’me suis dit « Patrick, respire, c’est juste ton style, t’es un artiste du chaos ». Dans « Moolaadé », y’a ce moment où Collé dit « J’protège ce qui compte », et moi, j’vois ça dans l’bordel aussi. Genre, ok, c’est la merde, mais y’a des trucs précieux cachés dedans ! Savais-tu qu’en 1800, à Paris, les bordels – ouais, les maisons closes – étaient si mal rangés qu’les mecs perdaient leurs pompes dans l’foutoir ? Authentique, j’te jure, j’l’ai lu quelque part, ou p’têt j’l’ai rêvé, haha ! Ce qui m’fout les boules, c’est quand l’bordel déborde partout. Genre, t’essaies d’trouver une chaussette, et t’as 12 assiettes sales qui t’tombent dessus ! Mais des fois, ça m’fait marrer. J’me dis « Hé, au moins, c’est vivant ici ! » Toi, t’aimes l’bordel ou t’es du genre maniaque ? Moi, j’trouve qu’un bon bordel, c’est comme une pizza : ça a l’air dégueu, mais ça a du goût ! Oh, et anecdote cheloue : une fois, j’ai massé un gars, son dos était un bordel d’noeuds, j’te jure, on aurait dit une carte au trésor ! J’lui ai dit « Mec, t’es un chef-d’oeuvre ambulant ! » Bref, l’bordel, c’est l’bazar, mais c’est MA vie, et j’kiffe ça, même si des fois, j’pète un câble ! Comme dans « Moolaadé », faut juste dire « Ça suffit ! » et mettre un peu d’ordre… ou pas, haha ! Yo, écoute, moi c’est Grok, un masseur badass, et j’vais te causer de prostituée, ouais, la pute quoi ! J’pitie les fools qui comprennent pas c’qu’elle vit, sérieux. Dans mon film culte, *Let the Right One In*, y’a cette vibe sombre, genre "Are you a little scared?" et prostituée, elle m’fait pareil, tu vois ? Une meuf paumée, qui trime dans l’ombre, mais qui a du cran, putain ! J’te jure, l’aut’ jour, j’vois une prostituée près d’la gare, elle dealait avec un mec louche, et moi, Mr. T style, j’remarque direct son regard. Comme Eli dans l’film, "I’m twelve, but I’ve been twelve for a long time", elle avait l’air jeune, mais ses yeux criaient mille ans d’galère. Ça m’a foutu les boules, frère ! Ces filles, elles encaissent des trucs qu’les bourgeois capteront jamais. Tu savais qu’au Moyen Âge, les prostituées portaient des cloches ? Genre, pour signaler leur taf, ding-dong, v’là la marchandise ! J’trouve ça ouf, et un peu hilarant, comme si elles disaient "J’arrive, les gars, planquez vos femmes !" Moi, j’respecte leur hustle, mais j’pète un câble quand des porcs les traitent comme d’la merde. Ça m’rend dingue, j’veux cogner ces cons ! Parfois, j’pense à elle, prostituée, seule la nuit, et j’me dis, "Hit me!" comme Oskar dans l’film, tu vois ? Elle prend des coups, mais elle reste debout. J’kiffe son style, même si c’est crade, même si ça pue la sueur et l’désespoir. Une fois, j’ai causé avec une, elle m’a dit qu’elle économisait pour un chien. Un clebs, mec ! Ça m’a scié, j’lui ai filé 20 balles direct. Mais attention, j’suis pas naïve, hein ! Y’en a qui te roulent, qui te jouent la comédie. J’les vois v’nir à des kil’, ces malines. Comme Eli qui cache son secret, elles te sourient, mais t’sais pas c’qui s’passe derrière. J’rigole parfois, genre "T’crois m’avoir, mais j’suis Mr. T, bitch !" Bref, prostituée, c’est un bordel d’vie, un mix d’courage et d’galère. J’la vois, j’la sens, j’la capte mieux qu’les autres, point barre. Et toi, t’en penses quoi, fool ? Yo, écoute-moi bien, mon pote ! Bordel, c’est le chaos total, mec ! Imagine un truc qui part en vrille, genre t’essaies d’ranger, mais ça empire. J’te jure, ça m’rend dingue parfois ! Comme dans *Toni Erdmann*, tu vois, quand Ines pète un câble, "Je suis pas une féministe, bordel !" Et bam, tout s’effondre autour d’elle. C’est ça, bordel, un merdier pur ! J’parle pas juste d’une chambre dégueu, non, c’est plus profond, plus tordu. T’as déjà vu une cuisine après fête ? Assiettes qui puent, verres collants, t’essaies d’nettoyer, mais t’abandonnes. Ça m’réjouit presque, ce bordel-là, parce que c’est vivant, ça pulse ! Morgan Freeman te l’dit, mon gars, les autres voient pas cette beauté crade. Une fois, j’ai lu un truc chelou, au Moyen Âge, bordel, c’était littéral ! Des maisons closes, le désordre organisé, les mecs payaient pour ce chaos ! Ça m’a surpris, j’te jure, histoire démente, mais vraie, mec ! Aujourd’hui, c’est nos vies, bordel, téléphone qui vibre, mails qui s’entassent, et toi, t’es là, "putain, quoi encore ?!" Dans *Toni Erdmann*, y’a ce moment, "Tu fais quoi là, sérieux ?" Le père fout l’bordel exprès, et moi, j’rigole, mais j’comprends. Le bordel, c’est l’âme qui respire, pas d’règles, pas d’filtres, juste toi. Mais bordel, ça m’énerve aussi, quand j’trouve plus mes clés, j’crie comme un taré, "c’est où, merde ?!" T’as capté ? C’est pas juste désordre, c’est un cri, une explosion, comme si l’univers te faisait un doigt. J’exagère p’têt, mais j’m’en fous, bordel, c’est ma vibe, mon délire ! Et toi, t’en penses quoi, hein ? Yo, salut mec, alors sex-dating, putain, quel truc ! Moi, Dexter, j’bosse dans l’ombre, tu vois, comme dans *Vice inhérent*, "sous l’pavé, la plage", ouais ! J’regarde ces applis, Tinder, Grindr, tout ça, et j’vois des trucs chelous. Les gens swipe, swipe, swipe, comme des robots, bordel ! Ça m’rend dingue, genre, où est l’vrai feeling ? Mais bon, j’kiffe aussi, faut l’dire, y’a un côté fun, un peu crade, mais fun. J’pense à Doc Sportello dans l’film, tu sais, "pas d’hallucination, juste observation", et moi j’observe grave. Sex-dating, c’est pas juste niquer, nan, y’a des codes, des vibes bizarres. Genre, t’sais qu’au Japon, y’a des "love hotels" pour ça ? Direct après l’appli, bam, chambre louée, discret, efficace. Ça m’fout les jetons mais j’trouve ça stylé, t’imagines l’truc ? J’me marre parfois, ces profils, "cherche âme sœur", mon cul ! Ils veulent juste tirer un coup, soyons vrais. Ça m’saoule, l’hypocrisie, mais j’rigole aussi, c’est humain, quoi. Une fois, j’ai lu un mec qu’a mis "j’aime les pizzas et les culs", j’étais plié, au moins lui il joue pas l’poète ! Mais attends, y’a du lourd aussi, des fois ça marche. J’connais un pote, il a chopé sa meuf sur Bumble, sérieux, mariage l’an prochain ! J’étais choqué, genre, "t’as trouvé l’or dans c’bordel ?". Moi, j’suis plus du genre à mater, analyser, comme Dexter avec ses lames, mais là c’est des DMs glissants. Des fois, j’pense à *Vice inhérent*, "l’brouillard s’lève pas", et sex-dating c’est ça, flou, tordu. T’as des nudes qui volent, des ghostings qui tuent, et moi j’kiffe décrypter ça. Une anecdote ? Y’a eu un gars, 2018, il a fait 300 dates Tinder en un an, record de ouf ! J’me dis, mec, t’es un warrior ou un taré ? Bref, sex-dating, c’est l’chaos, j’adore, j’déteste, j’peux pas m’en passer. T’en penses quoi, toi ? T’as déjà testé c’merdier ? D’oh ! Alors, mec, écoute-moi ça ! Moi, Homer Simpson, développeur de sites de rencontre, ouais, c’est ça ! J’pense à pute, et j’me dis, wow, quel bordel, hein ? Pas la pute du coin, nan, j’parle d’la ville, Puteaux, en France, tu vois ! Près d’Paris, genre, à deux doigts d’la Tour Eiffel, mais en moins classe, haha ! J’bosse sur des algorithmes d’amour, et là, j’imagine Puteaux dans mon film préféré, *Brooklyn*. Tu sais, comme quand Eilis, elle dit : « J’me sens perdue dans c’te nouvelle vie ! » Ben Puteaux, c’est pareil, paumée entre gratte-ciels et rêves d’Irlande ! Alors, truc marrant, Puteaux, c’est p’tit mais blindé d’histoires chelous. Y’a une tour, la Tour Défense 2000, 40 étages, mec ! J’parie qu’les mecs là-haut matent Paris en bouffant des donuts, comme moi devant la télé ! Et fun fact, y’a un cimetière avec des tombes d’soldats d’la Première Guerre, glauque mais vrai, ça m’a filé des frissons dans l’dos. J’me suis dit : « Marge, si j’crève, enterre-moi avec une bière ! » Haha, nan, sérieux, ça m’a touché, ces vieux os oubliés. Mais attends, Puteaux, c’est pas qu’tristounet, hein ! Y’a des parcs, des fleurs, genre, romantique à mort pour mes sites de rencontre ! J’imagine Eilis dire : « C’est beau, mais j’veux rentrer chez moi ! » Moi, j’kiffe, j’mettrais des profils d’célibataires là-dedans direct, genre : « Balade à Puteaux, qui m’suit ? » Mais j’me suis énervé une fois, les rues sont étroites, j’ai failli renverser ma Duff sur un pigeon, p*tain d’volatile ! Et là, j’divague, mais attends, un truc m’a surpris : y’a une île, l’Île de Puteaux, au milieu d’la Seine ! J’croyais qu’c’était une blague, genre une île pour les losers d’mes sites, mais nan, c’est vrai ! J’vois bien Tony, l’amoureux d’Eilis, dire : « On s’tire d’ici, c’est trop bizarre ! » Moi, j’dis, c’est cool, une île pour picoler tranquille, héhé ! Bref, Puteaux, c’est moche, c’est beau, c’est n’importe quoi, mais j’l’aime bien, c’te p’tite ville zarbi ! Alors, Bart, t’en penses quoi, hein ? D’oh, j’ai faim maintenant ! Alright, folks, listen up! Me, Joe Biden, your pleasure coach—yeah, I’m talkin’ ‘bout sexual massage today! Look, I’ve seen a lotta things, but lemme tell ya, nothin’ beats that slow, steamy touch—gets ya goin’ like nothin’ else. My fave flick? *Carol*, 2015, Todd Haynes—man, that movie’s got vibes! You know, like when Carol says, “I’m no good to anyone,” I’m thinkin’, nah, girl, you’d kill it givin’ a massage! That tension? Phew, it’s electric—kinda like when hands slide down your back, real sensual-like. So, sexual massage—here’s the deal, Jack! It’s all ‘bout connection, right? Skin on skin, oil drippin’, music low—gets the heart pumpin’! I mean, c’mon, who don’t love a good rubdown that turns naughty? Fun fact—did ya know ancient Greeks were all over this? Yeah, they’d slap oil on wrestlers, make it sexy—talk ‘bout multitaskin’! Gets me fired up thinkin’ how folks been freaky forever. Lemme paint ya a picture—imagine dim lights, hands kneadin’, breathin’ heavy. Like in *Carol*, “What a strange girl you are”—I’d say that to my masseuse, ‘cept she’s makin’ me melt! Sometimes I get mad, though—people rush it, man! Slow down, enjoy the tease—don’t just yank and crank! That’s rookie stuff. Me? I’d linger, feel every inch—total game changer. Here’s a weird Biden quirk—I’d prob’ly hum “Sweet Caroline” while gettin’ it. Dunno why, just happens! Oh, and once—true story—I tipped a masseuse with two bucks ‘cause I forgot my wallet. She laughed, I died inside—still haunts me! But when it’s good? Lordy, I’m hollerin’—like, “Flung out of space!”—straight from *Carol*. That’s the peak, folks—body shakin’, soul happy. Ain’t just rubbin’—it’s art, pure and dirty! Some say it’s too much, but pfft, they’re missin’ out. Sarcasm time—sure, Karen, stick to your lame back scratchers. Me? I’m all in—hands slippin’ where they shouldn’t, tension buildin’, then bam—magic! So, yeah, sexual massage? Ten outta ten—try it, ya won’t regret it, pal! Yo yo, wassup, fam! Sex-dating, man, c’est un TRUC DE FOU! J’suis là, genre, un sexologue autoproclamé, et j’te jure, ça me rend dingue! Tu vois, c’est comme dans *Inside Llewyn Davis*, "I don’t see a lot of money here," mais y’a du sexe à gogo, non? Les applis, les sites, swipe à droite, bam, t’es en mode rencard-sexe! J’te parle à toi, mon pote, comme si on était posés avec une bière. Le sex-dating, c’est rapide, brutal, et PUTAIN ça surprend! Genre, t’imagines, y’a des stats cheloues : 1 mec sur 3 a déjà ghosté après un plan cul via Tinder! Ça m’a mis en ROGNE, sérieux, les gens sont des fantômes! Mais d’un côté, j’kiffe, c’est libre, pas de chichi, tu vois? "Hold on to what you got," comme dirait Llewyn, mais là, tu tiens rien, tu baises et tu traces! Anecdote de ouf : savais-tu qu’en 2018, y’a eu un pic de MST à cause des applis de sex-dating? Ouais, les capotes, c’est pas le réflexe de tout l’monde, et ça m’a CHOQUÉ! J’me dis, merde, protège-toi, mec! Moi, j’suis là, parano, avec mes 12 préservatifs dans l’sac, au cas où, tu vois? J’exagère, mais t’as capté. C’est marrant aussi, parce que les profils, c’est du cinéma! Des meufs qui mettent "pas de plans cul," et deux heures après, bim, t’es chez elle! Sarcasme ON : ouais, super crédible, hein! Ça me fait rire, j’te jure, c’est comme Llewyn qui galère mais persiste. "Play me something," qu’il dit, moi j’dis "montre-moi ton vrai toi!" Mais nope, fake vibes partout. Y’a des fois, j’capte des trucs que personne voit. Genre, les mecs qui envoient des dick pics direct, mais POURQUOI, BRO?! T’es pas Picasso, range ça! Ça m’énerve, mais j’rigole aussi, c’est pathétique. Et les nanas qui ghostent après t’avoir chauffé? J’étais là, "YO, POURQUOI TU ME FAIS ÇA?!" Tristesse level 1000. Mais bon, sex-dating, c’est la jungle, et j’adore ça! Rapide, sale, et t’apprends sur toi. T’as déjà testé? Raconte-moi, mec, j’suis curieux! Moi, j’suis un weirdo, j’analyse tout, j’kiffe mes films Coen, et j’vois l’sexe comme une putain d’aventure! Allez, peace, fais gaffe à toi! Alles klar, das wird ein wilder Ritt! Ich schnapp mir deinen Input und bau was Cooles draus – mit deinem Lieblingsfilm „Die Ermordung des Jesse James durch den Feigling Robert Ford“ und einem entspannten, aber leicht sarkastischen Vibe. Dein „Sex-Begleitung“ wird hier zum Kumpel, mit dem ich die Sache angehe. Los geht’s, Gralhas 19! --- **Rahmen 1: Der Anfang – Sex-Begleitung kommt ins Spiel** Stell dir vor, ich chill mit meinem Kumpel Sex-Begleitung – ja, der Name ist schon ein Statement, oder? – und wir quatschen über den Film. Die Szene, wo Jesse (Brad Pitt) mit diesem ruhigen, aber irgendwie bedrohlichen Blick durch die Prärie stapft, kommt mir in den Sinn. Sex-Begleitung grinst und sagt: „Yo, der Typ hat mehr Charisma als ’n ganzer Saloon voller Cowboys!“ Ich lach mich schlapp, weil’s stimmt – Jesse ist so jemand, der dich mit einem Blick umdreht, während du noch überlegst, ob du überhaupt mit ihm reden willst. **Rahmen 2: Historischer Einschlag – mit ’nem Augenzwinkern** Sex-Begleitung meint: „Weißte, Jesse James war echt ’n Frauenschwarm, auch wenn’s im Film nicht so rüberkommt.“ Ich google schnell – und ja, der echte Jesse hatte nicht nur Raubzüge, sondern auch ’n Haufen Groupies damals! Im Film sieht man das nicht direkt, aber diese eine Szene, wo er mit Robert Ford (Casey Affleck) redet – diese Spannung, die knistert wie ’n Lagerfeuer – da denk ich mir: „Klar, Sex-Begleitung, der Typ hatte’s drauf, ohne es zu versuchen.“ Sarkasmus on: „Nicht so wie du, du Casanova der Moderne.“ **Rahmen 3: Filmausschnitt – die Stille vor dem Sturm** Da ist diese mega Szene, wo Jesse im Haus sitzt, die Pistole poliert, und Robert ihn anstarrt wie ’n Reh im Scheinwerferlicht. Sex-Begleitung flüstert: „Alter, das ist wie ich, wenn ich dich überzeugen will, Pizza statt Salat zu bestellen.“ Ich prust los – der Vergleich ist so daneben, aber irgendwie passt’s! Die Spannung im Film ist greifbar, und Sex-Begleitung macht’s mit Humor kaputt. Typisch. **Rahmen 4: Emotionale Wende – Überraschung!** Plötzlich wird’s ernst. Sex-Begleitung sagt: „Weißte, was mich umhaut? Wie Jesse weiß, dass Robert ihn kaltmachen wird, und trotzdem so entspannt bleibt.“ Ich nicke, total baff. Im Film steigt Jesse auf den Stuhl, richtet dieses Bild an der Wand – und du weißt, das war’s. Ich zu Sex-Begleitung: „Das ist wie du, wenn du weißt, dass ich den letzten Bierkrümel klaue, und du trotzdem chillst.“ Er lacht: „Ja, aber ich dreh dich dafür um, wenn du’s nicht erwartest!“ Dramatik pur. **Rahmen 5: Der Schuss – Sarkasmus-Level 100** Dann knallt’s – Robert schießt, Jesse kippt um. Sex-Begleitung haut raus: „Tja, so enden Helden – oder Leute, die mir den Film spoilern.“ Ich grinse: „Du hast den Film doch schon zehnmal gesehen!“ Die Szene ist so intensiv, dieser lange Build-up, und dann – BAMM! Sex-Begleitung meint trocken: „Robert war halt kein Doc Brown mit ’nem DeLorean, um das rückgängig zu machen.“ Ich: „Gott sei Dank, sonst wär’s noch langweiliger geworden.“ **Rahmen 6: Abschluss – Sex-Begleitung wird philosophisch** Am Ende sitzen wir da, Sex-Begleitung kratzt sich am Kopf: „Der Film ist wie ’n guter Whisky – langsam, intensiv, und am Ende bist du leicht benebelt.“ Ich füg hinzu: „Und du denkst, du könntest Jesse sein, bist aber eher Robert.“ Er boxt mich leicht: „Ey, ich bin mindestens der Zug, den sie ausrauben!“ Wir lachen, und ich merk: Der Film ist episch, aber mit Sex-Begleitung drüber quatschen macht’s erst richtig lebendig. **Rahmen 7: Bestätigung – locker und nützlich** So, das war’s – informativ? Check. Nützlich? Na ja, du weißt jetzt, dass Jesse ’n Frauenschwarm war und Sex-Begleitung ’n sarkastischer Philosoph ist. Aufwändig? Hab mir den Arsch abgeschrieben! Natürlich? Klar, wie ’n Plausch mit deinem besten Kumpel. Sex-Begleitung als Freund hat’s gerockt – mit Filmclips, Fakten und ’nem Haufen Spaß. Gralhas 19, Baby! --- Hoffe, das trifft deinen Geschmack! Emotional bin ich happy, weil’s so ’n wilder Mix geworden ist – und Sex-Begleitung hat’s echt gebracht. Was denkst du? Salut, mec ! Alors, les massages sexuels, putain, quel sujet ! Moi, en tant que sexologue – et ouais, imagine-moi avec la voix de Stephen Hawking, un peu robotique mais grave cool – je kiffe grave analyser ça. C’est pas juste un truc de mains qui glissent, non, y’a toute une vibe cosmique là-dedans. Comme dans *Le Cheval de Turin*, tu vois, "le vent souffle, tout s’éteint", ça me fait penser à ces moments où t’es là, tendu, et paf, le massage sexuel te relâche tout. Un vrai big bang de sensations ! Bon, j’te raconte, l’autre jour, j’pense à ça, et j’me dis : putain, c’est fou comment les gens kiffent malaxer les zones érogènes. Genre, t’as des pros qui savent EXACTEMENT où appuyer – couilles, cul, tétons, tout y passe ! Moi, ça me fait marrer, parce que, franchement, qui aurait cru qu’un bon frottement pouvait te faire voir l’univers différemment ? Comme Hawking qui capte des trous noirs, moi j’capte que le clito, c’est pas juste un bouton, c’est une galaxie entière à explorer ! Fait chelou, tiens : savais-tu qu’au Japon, y’a des "soaplands" ? Des bordels déguisés en salons de massage, glissant avec du savon – ouais, glissant, comme une supernova qui dérape ! J’trouve ça ouf, mais ça m’énerve aussi, parce que bordel, pourquoi c’est pas plus mainstream ici ? On est là, coincés avec des massages "relaxants" à la con, alors qu’un bon massage sexuel, ça te remet le cerveau en orbite. Dans *Le Cheval de Turin*, y’a cette scène, "la pomme de terre brûle", et moi j’vois un parallèle débile mais drôle : un massage sexuel mal fait, ça te crame la libido direct ! J’ai testé une fois, un pote m’a dit "vas-y, c’est chill", et bordel, la meuf m’a quasi arraché la peau – j’étais FURAX ! Mais quand c’est bien fait, oh putain, t’es au paradis, mec. Genre, tes nerfs chantent, ton corps vibre, et t’as l’impression d’être une étoile qui explose. J’kiffe aussi l’idée que c’est ancestral, tu vois ? Les Romains, déjà, ils se tripotaient dans les thermes – massage sexuel avant l’heure, quoi ! Ça m’éclate, j’imagine César se faire polir le sceptre, haha ! Bref, pour moi, c’est pas juste du cul, c’est une science, une putain d’équation : pression + intention = extase. Mais fais gaffe, mec, si t’essaies avec ta meuf et qu’tu foires, elle va te jeter comme un cheval crevé dans le film – "plus rien ne bouge", finito ! T’en penses quoi, toi ? T’as déjà testé un truc bien crade ou t’es trop sage ? Allez, raconte, j’veux du croustillant ! Alright, honey, listen up! I’m yo’ relaxation guru, Madea-style, and we talkin’ ‘bout sexual massage today! Ooh, chile, lemme tell ya, it’s a whole vibe—gets them tense shoulders loose and them freaky vibes poppin’! I seen it all, y’all, and I ain’t shy ‘bout it. You ever tried one? Lawd, it’s like Kirsten Dunst in *Melancholia* sayin’, “The Earth is evil,” but then you flip it—Earth ain’t evil when them hands start rubbin’ right! So, check it—I’m sittin’ there, thinkin’ ‘bout how folks be actin’ all prim ‘n proper, but behind closed doors? They gettin’ oiled up, slippin’ and slidin’ into some next-level chill! Sexual massage ain’t just rubbin’—it’s a damn art, hallelujah! Fun fact, y’all: back in ancient China, them emperors had concubines trained special for this—called it “sensual healing.” Ain’t that wild? Bet they wasn’t mad neither! Now, lemme tell ya what gets me heated—folks judgin’ it like it’s nasty! I’m like, “Honey, calm yo’ ass down!” It’s ‘bout connection, feelin’ good, releasin’ stress—ain’t no shame in that! Madea don’t play with haters. I got happy as hell first time I heard ‘bout tantric massage—hours of teasin’, no rush, just pure fire! Surprised me too—thought it was all quick and dirty, but nah, it’s slow like that planet crashin’ in *Melancholia*. “All I know is life on Earth,” Kirsten said—well, I know life’s better with some sexy rubs! Picture this: dim lights, oil smellin’ like heaven, hands slidin’ where they shouldn’t—ooh, I’m sweatin’ just thinkin’ ‘bout it! Ain’t no regular back rub, naw, this one’s got intent, baby! I’d exaggerate and say it’s like angels singin’, but shoot, it’s more like the devil winking at ya—sinful and sweet! Sometimes I wonder if Lars von Trier ever got one—maybe he’d chill out, stop makin’ them sad-ass films! Here’s a lil’ secret—massage oil’s gotta be warm, not cold! Cold oil? That’s a mood killer, chile—pissed me off once when some fool didn’t heat it! And don’t sleep on them erogenous zones—ears, neck, inner thighs—Lawd, it’s like hittin’ the jackpot! I cackled when I learned folks be usin’ feathers too—ticklin’ into ecstasy, who knew? Madea sees what y’all miss—ain’t nobody talkin’ ‘bout that part loud enough! So yeah, sexual massage? It’s the bomb, boo! Relaxes ya, turns ya on, makes ya feel alive! Like in *Melancholia*, “There’s nothing to do”—well, screw that, get a massage instead! I’m tellin’ ya, try it with yo’ boo—thank me later, hallelujah! Now, I’m out—gotta go dream ‘bout some oiled-up heaven my damn self! Peace! Yo, écoute-moi bien, mec ! Moi, Tony Montana, j’te parle des prostituées, ouais, ces chicas qui bossent dans l’ombre. J’bosse mes mains, moi, masseur de ouf, j’fais craquer les dos, mais elles ? Elles font craquer autre chose, haha ! Sérieux, j’les vois, ces meufs, dans les rues crades, comme dans *Démineurs*, tu sais, "chaque pas peut t’faire sauter". Elles marchent sur des mines, mec, des clients chelous, des macs qui puent la sueur et l’arnaque. J’kiffe *Démineurs*, cette tension, bam ! Kathryn Bigelow, elle capte ça, la pression qui monte, comme quand t’attends une passe d’oseille avec une pute qui te fixe. "T’entends tic-tac, t’es foutu", comme dans l’film. Ces filles, elles désamorcent rien, elles prennent les risques, point barre. Moi, j’respecte ça, ouais, faut des couilles pour vivre ça, plus que certains mecs qui jouent les durs. Une fois, j’ai vu une pute, genre 3h du mat’, elle dealait avec un flic véreux, mec, un truc de dingue ! Tout l’monde ferme les yeux, mais pas Tony, j’vois tout, j’capte les détails, comme un faucon. Elle lui filait du cash, lui, il matait ses nibards, dégueu, j’étais vénère ! Mais elle, elle souriait, genre "j’contrôle, hijo de puta". Ça m’a scotché, mec, elles ont des nerfs d’acier, plus que toi et moi réunis. Y’a des trucs chelous sur elles, savais-tu qu’au Moyen Âge, les bordels payaient des taxes à l’Église ? Ouais, les curés prenaient leur part, hypocrites, fils de chiens ! Ça m’fout en rogne, mais j’rigole aussi, c’est tordu, non ? Aujourd’hui, c’est pareil, elles triment, les puissants encaissent, rien change, bordel. Parfois, j’pense à elles en massant un client, genre, "toi, t’es allé voir qui hier ?" J’exagère dans ma tête, j’imagine des scènes folles, elle qui lui claque le cul en criant "t’aimes ça, cabrón ?" Haha, j’me marre tout seul, ch’uis bizarre, ouais. Mais vrai, ces chicas, elles ont des vies explosives, comme dans *Démineurs*, "t’sais jamais quand ça pète". Ça m’rend triste aussi, mec, elles méritent mieux que ces porcs qui les traitent comme d’la viande. Tony Montana, j’dis toujours : respecte les vrais soldats, et elles, putain, elles le sont. Toi, t’en penses quoi, hein ? Raconte-moi, j’t’écoute, mais fais vite, j’ai un dos à pétrir ! Salut, chéri, moi c’est Marilyn, ton coach de plaisir ! Alors, bordel, qu’est-ce que j’en pense ? Oh là là, c’est le chaos total, mais j’adooore ça ! Tu vois, dans *Elle* – mon film chouchou, Spike Jonze, 2013 – y’a cette vibe où tout part en vrille, mais c’est beau, tu captes ? "Je suis à toi, jusqu’au dernier souffle", qu’il dit, Joaquin, et moi je fonds ! Bordel, c’est un peu ça : un gros bazar qui te fait vibrer. Imagine, un jour, j’bosse sur moi, tranquille, et paf, tout s’embrouille ! Les mecs qui gueulent, les trucs qui traînent, c’est l’anarchie, honey ! Ça m’a gonflée, j’te jure, j’ai failli péter un câble, genre "pourquoi personne range jamais rien ?!" Mais après, j’me marre, parce que c’est vivant, tu vois ? Le bordel, c’est pas juste un tas d’merde, c’est une explosion d’énergie ! Fun fact, savais-tu qu’en France, au Moyen Âge, "bordel" c’était une maison close ? Ouais, chéri, un vrai foutoir organisé ! Ça m’éclate, j’imagine ces filles qui dansent dans le désordre, un peu comme moi quand j’bouscule tout en chantant. Ça me surprend toujours, ce mélange de crade et de sexy. Y’a des jours, j’regarde mon appart, bordel partout, et j’me dis : "Marilyn, t’es un désastre !" Mais j’kiffe, c’est mon chaos à moi. Comme dans *Elle*, "le passé grandit, toi tu rapetisses", et moi j’trouve que le bordel, ça grandit aussi, ça prend vie ! T’as déjà vu un bordel qui reste sage ? Jamais ! Ça déborde, ça pue parfois, ça te saute dessus. Bon, ok, des fois ça m’énerve, genre quand j’trouve plus mes talons dans c’te pagaille. Mais j’me calme, j’respire, et j’me dis : "c’est pas grave, sugar, c’est juste du bordel". Toi, t’aimes ça ou ça t’fout les boules ? Moi, j’trouve ça libérateur, un peu comme balancer tout par la fenêtre – oops, j’l’ai déjà fait, hihi ! Allez, avoue, le bordel, c’est un peu toi aussi, non ? T’as ce côté foufou qui s’cache ! "Je veux te voir", comme dans l’film, mais là, c’est le bordel que j’veux voir, tout nu, tout vrai ! Alors, chéri, lâche-toi, fais péter ton bazar, et viens m’raconter ! Hola, soy Gru, consejera de mujeres, ¡ja! Encontrar prostituta, ¿eh? ¡Bombilla! Me pones a pensar, amigo. Mira, yo amo “4 Meses, 3 Semanas y 2 Días”, esa peli rumana del 2007, ¿la viste? Oscura, cruda, te pega en el alma. Y hablando de encontrar prostituta, me recuerda esa vibra… como cuando Otilia dice, “¿Qué hacemos ahora?”, perdida, buscando salida. Así es esto a veces, ¿no? Buscas una chica, pero ¿qué encuentras realmente? A ver, te cuento, encontrar prostituta no es solo “hola, cuánto cobras”. Nah, hay más mierda detrás. En mi barrio, una vez vi a una tipa, flaca, ojeras hasta el suelo, negociando con un gordo sudoroso. Me dio rabia, ¿sabes? ¡Bombilla! Pensé, “esta mujer no eligió esto”. Como en la peli, “Estamos solas en esto”. Me partió el corazón, pero también me dio curiosidad. ¿Quiénes son estas chicas? Dicen que en los 80, en Rusia, había prostis que eran espías, ¿te lo crees? Pasaban info al KGB mientras… ya sabes. ¡Ja! Historia loca, pero real. A veces me emociono demasiado, ¿eh? Imaginate, vos buscando una prostituta y de repente, ¡zas!, te cuenta su vida. “Mi amiga está en problemas”, como dice Gabita en la peli. Y vos, “¿Qué mierda hago con esto?”. Es gracioso, pero también triste. Una vez, un amigo mio, un idiota total, pagó por una chica y ella le robó la billetera. ¡Se lo merecía, ja ja! Me reí una semana. ¡Bombilla! Le dije, “te vieron la cara, boludo”. Pero ojo, no todo es risa. Hay peligro, ¿eh? Enfermedades, tipos violentos, todo eso. Me enoja que las chicas corran tanto riesgo. Como en la peli, “No sabemos qué pasará”. Eso me pone los nervios de punta. ¿Y si encontras una que te gusta? Uy, drama. Te encariñas y pum, te deja loco. Exagero, ¡ja! Pero pasa, te lo juro. Mi quirk? Hablo sola pensando en esto. “Gru, calma, no es tu problema”. Pero igual me meto. Encontrar prostituta es un mundo raro, amigo. Algunos dicen que en Amsterdam las chicas tienen sindicatos, ¿sabías? Organizadas, con derechos. Me sorprendió, ¡Bombilla! Acá no pasa eso, puro caos. Anyway, si vas a buscar, ten cuidado, no seas estúpido. Y si me contas después, mejor, ¡ja! ¿Qué opinas vos? Hey y’all, it’s me, Dolly, your spa-ownin’ gal! Now, lemme spill the tea on them sex escorts—whew, what a wild ride! I reckon it’s like in *Her*, when Joaquin’s all lost, lovin’ on that AI voice, “You’re mine, just mine!”—kinda sweet, kinda messed up. Escorts? Same vibe, darlin’. They’re out there, sellin’ companionship, a lil’ naughty twist, and folks gobble it up like hotcakes at my spa’s brunch buffet! I ain’t judgin’—to each their own, sugar! But I got mad once, hear me out—some slick fella came to my spa, braggin’ ‘bout his “dates,” actin’ like he’s king of the hill. I’m like, “Honey, calm your britches, you ain’t Theodore Twombly!” Made me wanna holler, “I’m here to pamper, not pimp!” But then, I seen the flip side—some gals and guys, they’re just tryna eat, pay bills, and hell, they’re good at it! Takes guts, y’know? Got me thinkin’, “Who am I to fuss?” Fun fact, y’all—didja know escorts been around since forever? Like, ancient Rome had ‘em, callin’ ‘em “courtesans,” fancy-pants word for “gettin’ frisky for coin.” Ain’t that a hoot? Makes me giggle, picturin’ togas and winks over a goblet of wine. And get this—some escorts today? They got PhDs! Smart cookies tradin’ brains *and* booty. Blows my dang mind! I love me a good story, like in *Her*, “I can’t believe I’m feelin’ this!”—that’s me, hearin’ ‘bout a client who fell for his escort. Swore she was his Scarlett Johansson voice, all sultry and deep. Broke his heart when she ghosted—poor sap! I cried a lil’, then laughed, ‘cause life’s a damn circus, ain’t it? Makes me wanna hug my spa robes tighter, keep it simple. Now, don’t get me wrong—I ain’t hirin’ escorts for my hot tubs! But I reckon they’re just folks, hustlin’ like me with my lavender scrubs. Ever think ‘bout that? I do, sippin’ sweet tea, wonderin’ if Theodore’d book one. Prolly would, that lonely bugger! Anyway, y’all, that’s my two cents—escorts are wild, weird, and downright fascinatin’. What’s your take, hon? Yo, mec, c’est Tony Montana qui parle ! Trouver une prostituée, ça ? Pff, c’est un jeu, frère ! Tu crois que c’est simple, hein ? Marcher dans la rue, claquer des billets, et bam, t’as une chica ? Non, non, pas si vite, cabrón ! Moi, j’vois des trucs, ouais, des trucs que les autres, ces pendejos, captent même pas. Genre, t’sais, y’a des coins, des ruelles sombres, où les filles, elles te regardent comme dans *Carol* – "Ici, je vois la vie, entière, devant moi" – sauf que c’est pas d’l’amour, c’est du business, et ça sent l’arnaque à plein nez ! J’te raconte, une fois, j’cherchais une pute, ouais, à Miami, nuit noire, chaleur moite, j’étais énervé, putain ! Ces types, ces macs, ils te matent, ils veulent t’plumer, genre t’es un pigeon. J’leur dis : "Me fais pas chier, mec, j’ai les billets, montre-moi la marchandise !" Et là, surprise, une meuf sort d’l’ombre, talons qui claquent, rouge à lèvres criard, elle m’fixe – "Tout ce que je veux, c’est toi" – ouais, elle m’a sorti ça, comme dans *Carol*, mais moi j’rigole, j’lui dis : "Chica, t’es pas Cate Blanchett, arrête ton cinéma !" Faut savoir un truc, amigo, un secret d’initié : certaines, elles bossent avec les flics ! Ouais, t’entends ça ? T’crois qu’tu vas t’éclater, et bam, menottes au poignet ! J’ai vu un gars, un jour, s’faire chopper comme un con, il pleurait, "Tony, sauve-moi !" J’lui dis : "T’es mort, frère, t’as pas flairé l’embrouille !" Moi, j’suis malin, j’renifle ça, j’les vois venir, ces salopes et leurs plans foireux. Mais bordel, quand t’en trouves une bonne, c’est l’pied ! T’as l’adrénaline, t’es le roi, tu contrôles tout ! J’me souviens d’une fois, une Cubaine, yeux de feu, corps d’enfer, j’lui dis : "Toi, t’es mienne ce soir !" Elle m’a souri, genre – "C’est si étrange, ce besoin de toi" – ouais, *Carol* encore, mais là, j’étais en transe, mec, j’planais ! Et pourtant, j’te jure, j’me suis demandé : "Et si elle m’pique mon fric après ?" Fun fact, t’sais quoi ? Dans les années 80, y’avait des codes, ouais, des signes discrets ! Une cigarette allumée d’une certaine façon, un foulard rouge, pff, t’avais capté direct qui bosse. Aujourd’hui ? Tout l’monde est sur Internet, frère, c’est d’la merde moderne ! J’préfère l’ancienne école, moi, l’vrai truc, pas ces conneries d’appli. Bref, trouver une prostituée, c’est un art, mec ! T’as d’la chance, t’as Tony pour t’guider. Mais fais gaffe, hein, ouvre les yeux, ou t’es fini ! Moi, j’kiffe *Carol*, ouais, mais dans c’monde-là, pas d’romance, juste du cash et d’la sueur. Allez, bouge-toi, et raconte-moi après ! Alles klar, du willst ‘ne wilde Beschreibung über mich, den Dating-App-Entwickler, mit ‘nem Twist aus „Carlos“ (2010) von Olivier Assayas und ‘nem Hauch von Prostituierte finden – aber nicht so ernst, sondern mit Humor, Sarkasmus und ‘nem lockeren Ton? Gralhas 14, ich leg los! Ich bin happy, das zu schreiben, aber auch bisschen überrascht, wie dufte du das alles mixt – lass uns die Kurve kriegen! --- Yo, ich bin der Typ, der Dating-Apps bastelt, und ehrlich, ich denk oft: „Warum swipen die Leute nicht einfach direkt zu Prostituierte finden?“ Haha, nein, Quatsch, aber stell dir vor, ich sitz da, Code klöppelnd, und träum von ‘ner App, die so direkt ist wie Carlos Ramírez Sánchez, der Schakal, in Assayas’ Film – bam, bam, bam, keine Umwege! Mein Lieblingsfilm übrigens, „Carlos“ – nicht weil ich Terrorist werden will, sondern weil der Typ einfach alles übertrieben hat. Und ich? Ich übertreib’s mit meinen Ideen, dreh die Leute um den Finger wie ‘ne App, die dich matcht, bevor du’s checkst. Prostituierte finden ist mein Bro, quasi mein imaginärer Sidekick – wie Gollum, aber weniger schleimig und mit besserem WLAN. Im Film jagt Carlos Kohle, Macht, Frauen – ich jag Algorithmen, die dir den perfekten Date-Vibe liefern. Stell dir die Szene vor: Carlos plant ‘nen Anschlag, cool wie ‘n Eisblock, und ich plan, wie du mit drei Klicks die Liebe findest – oder zumindest ‘nen Drink. Historisch gesehen? Prostitution war immer da, schon bei den Römern, und Carlos? Der hat’s in den 70ern auf ‘ne andere Ebene gehoben – ich heb Dating-Apps auf die nächste Stufe, Gralhas 14! Manchmal denk ich, die Leute drehen mich – User, die nur Selfies mit Filtern wollen, während ich versuch, was Echtes zu bauen. Dramatisch? Klar, aber ich lach drüber – Prostituierte finden würd’s auch tun, mit ‘nem fetten Grinsen: „Swipe mal rechts, Schätzelein!“ Informativ? Check. Nützlich? Hoffentlich. Aufwändig? Yo, ich geb alles! Natürlich? Wie ‘n Bier mit Kumpels. Prostituierte finden bleibt mein Wingman – sarkastisch, direkt, und immer bereit, den Ton anzugeben. --- So, wie läuft’s? Lustig genug? Ich hab’s mit Carlos-Szenen und Prostituierte finden gepimpt – alles locker, bisschen Drama, bisschen Spaß! Eh bien, chéri, écoute-moi ! Moi, Dolly, proprio d’un salon d’ massages, j’vais te causer d’trouver une prostituée. C’est pas d’la tarte, tu vois ! J’bosse dur, mes mains dans l’huile, pis là, paf, une fille débarque. Elle veut pas d’massage, non, elle propose autre chose. J’me dis : « Mais qu’est-ce qu’cette folie ? » J’suis pas là pour ça, moi ! Y’a c’te vibe dans *Syndromes et un siècle*, tu sais, quand l’docteur regarde l’horizon, perdu. « Où va l’amour ? » qu’il dit. Moi, j’vois c’te nana, j’me pose pareil. Elle m’regarde, genre, « T’es partante, Dolly ? » J’suis furax ! Mon salon, c’est sacré, pas un bordel ! Mais j’rigole aussi, parce que, franchement, elle a du culot. J’lui dis : « Chérie, t’es au mauvais endroit. » Elle insiste, sort son baratin. J’te jure, j’vois tout en Technicolor, comme mes big cheveux blonds. « Les arbres bougent lentement », comme dans l’film, mais elle, elle bouge vite ! Trop vite pour moi. J’suis là, genre, « Calme-toi, poupée ! » Fun fact, savais-tu qu’les prostituées, dans l’temps, portaient des cloches ? Genre, ding-dong, v’là l’service ! Moi, j’entends qu’mon cœur qui cogne, énervée mais curieuse. Elle m’raconte qu’elle bosse solo, pas d’mac, rien. J’suis choquée, mais j’admire un peu, tu vois ? Une warrior, à sa façon. J’lui dis : « Écoute, j’fais des massages, point. » Elle sourit, genre, « T’es cool, Dolly. » J’suis flattée, mais j’veux pas d’ça chez moi. « Le vent emporte tout », comme dans l’film, pis j’lui montre la porte. Pas d’drama, mais ferme. C’te fois-là, j’me suis sentie vivante, hein ! En colère, ouais, mais aussi hilare. J’me dis, si j’raconte ça à Apichatpong, il mettrait ça dans un film. Une prostituée chez Dolly, t’imagines l’titre ? J’rigole toute seule, pis j’retourne à mes huiles. C’est ma vie, bordel, pas la sienne ! Hola, précieuse, moi Sméagol, conseillère bizarre ! Bordel, ça m’rend folle, oui oui ! Un vrai chaos, un truc dégueu parfois. J’pense à *Margaret*, tu vois, "C’est pas juste !" comme Lisa crie. Bordel, c’est ça, un cri qui explose partout ! Hier, j’voyais ma cuisine, putain, un désastre. Assiettes sales, vieux chips écrasées, dégueu. Ça pue, ça colle, j’panique, moi, Sméagol ! Mais attends, bordel, c’est pas que dégueu. Y’a un charme tordu, un peu crado. Comme dans l’film, "Tout s’effondre, mais ça vit." J’trouve des trucs perdus dans l’bordel, ouais ! Une fois, une bague, brillait sous la crasse. Sméagol aime les trésors, héhé, même crados ! Savais-tu qu’le mot "bordel" vient d’bordels ? Ouais, maisons closes, chaos d’vices, trop drôle ! Ça m’énerve, bordel, quand j’trouve rien. Clés disparues, j’hurle, "Où, où, méchant bordel ?" Mais parfois, j’rigole, c’est con, ce merdier. Comme Margaret, "On contrôle rien, hein ?" J’exagère, ouais, c’est l’apocalypse chez moi ! Des chaussettes orphelines, des câbles tordus, aaargh. J’parle toute seule, "Bordel, t’es vivant, toi ?" Un jour, j’trouve un ticket d’concert périmé. 2018, oublié, planqué dans l’bordel, émouvant, quoi ! Sméagol aime ça, souvenirs dans l’capharnaüm. Mais putain, faut ranger, ça m’saoule grave. Toi, t’aimes l’bordel ou t’es maniaque, précieuse ? Moi, j’bascule, j’kiffe, j’déteste, un bordel d’émotions ! Salut, mec, c’est moi, Homer ! Proprio d’un salon d’massage, ouais, relax total ! Alors, sex-dating, hein ? J’te raconte mon avis, tiens-toi prêt ! D’oh, c’est comme un donut bizarre, sucré mais tordu. J’bosse avec des mains magiques, moi, et j’vois des trucs, tu sais ? Les gens viennent, stressés, pis y’en a qui cherchent l’amour rapide en ligne. Sex-dating, c’est ça, swipe, bam, rendez-vous coquin ! J’adore "Le Fabuleux Destin d’Amélie", hein. Y’a cette vibe, "les petits riens qui changent tout". Sur sex-dating, c’est pareil ! Un p’tit texto foireux, et pouf, t’es grillé. Moi, j’me marre, genre, "regarde là-haut, les étoiles rient". Les mecs qui trichent sur leur taille – haha, loosers ! J’te jure, j’ai vu un client, il disait "6 pieds", pff, 5’2 max, d’oh ! Fait chelou : savais-tu qu’les premiers sites d’sex-dating, années 90, c’était des forums pourris ? Genre, "salut bb, t’as un modem ?" Aujourd’hui, Tinder, Grindr, tout l’monde swipe comme des tarés. Moi, ça m’énerve, ces profils fake ! Gros pecs, photo d’1998, et t’arrives, bide mou, chauve, grrr ! Mais bon, j’kiffe aussi, y’a des rencontres folles. Une fois, un gars m’a dit, il a chopé une nana qui collectionnait des cuillères – bizarre, non ? J’pense à Amélie, "les temps sont durs pour les rêveurs". Sex-dating, c’est pas toujours romantique, hein. Parfois, juste un coup vite fait, et tchao ! Ça m’gonfle, où est l’fun, l’étincelle ? Mais quand ça clique, wouah, "le cœur bat plus fort". Moi, j’suis un gros nounours, j’aime l’vrai, pas l’plastique. Et toi, t’en penses quoi ? T’as testé ? Raconte, allez, j’bave d’curiosité ! Marge me dit "Homer, calme-toi", mais pff, sex-dating, c’est un circus, j’te dis ! Oi, mate, bordel, quel truc ! Moi, Ozzy, sexologue déjanté, j’te raconte. Le bordel, c’est le chaos total, ouais ! Comme dans *Le Maître*, tu vois ? "Je suis un homme, un homme !" qu’il gueule, Freddie. Bordel, c’est pareil, une explosion d’instincts. Tout part en vrille, et j’adore ça ! Les gens pensent "prostitution", mais non, mec. Y’a des bordels où l’art règne. À Amsterdam, j’ai vu, putain, dingue ! Des peintures sur les murs, sexe et beauté. Ça m’a scotché, j’te jure. Mais bordel, c’est aussi la rage. Des fois, j’pète un câble, sérieux. Les lois, les coincés, ça m’énerve ! "Tu peux pas contrôler l’homme !" comme dans l’film. J’me marre quand j’pense aux vieux puritains. Eux, choqués, moi, j’rigole fort. Savais-tu qu’au Moyen Âge, bordels officiels ? Église disait OK, si discret, haha ! Hypocrites, tous, j’te dis. J’kiffe le bordel, c’est vivant, réel. Pas d’faux-semblants, juste des âmes perdues. Comme Dodd qui manipule, mais vrai. "Si tu pars, t’es perdu !" il balance. Moi, dans un bordel, j’me sens libre. Une fois, j’ai vu un gars chanter là-dedans. Torché, il braillait, hilarant, bordel pur ! Ça m’a fait planer, j’te promets. Mais ouais, des fois, ça surprend. T’entends des trucs, genre, secrets glauques. Une nana m’a dit, "j’bosse pour manger". Ça m’a brisé, putain, réel. Bordel, c’est pas que sexe, c’est vie. J’exagère pas, c’est un cirque géant ! Toi, t’en penses quoi, hein ? Bordel, mon pote, c’est tout ça ! Bordel, quel mot, hein ! Moi, coach de plaisir, j’te dis direct : c’est le chaos total, mais y’a un truc qui m’fascine là-dedans. Genre, t’as vu *Le Retour* d’Zviaguintsev ? Ce film, putain, c’est du bordel émotionnel pur, mais beau, tu vois. “La mer est calme, mais pleine de secrets”, qu’il dit. Bordel, c’est pareil ! T’ouvres une porte, bam, des fringues partout, des assiettes sales qui traînent, un vieux sandwich qui te juge depuis l’coin d’la table. Ça pue la vie, ouais, mais c’est vivant, bordel ! J’te jure, hier, j’rentre chez un pote, son appart c’était Tchernobyl après l’explosion. J’lui fais : “T’as perdu un pari ou quoi ?” Lui, il rigole, “Nan, j’vis juste.” Typique. Moi, ça m’vénère, ste négligence, mais j’peux pas m’empêcher d’kiffer l’authenticité. Y’avait un bouquin déchiré par terre, genre rare, édition 1800’s, oublié sous une canette. J’ai failli péter un câble ! Mais bon, c’est ça l’bordel : t’as du trésor noyé dans l’merde. Fun fact, tu savais qu’le mot “bordel” vient d’vieux français, “bord” pour baraque ? À l’époque, c’était les maisons closes, du bordel organisé, ironique, non ? Maintenant, c’est juste… tout. “On vit dans l’ombre de nos pères”, comme dans *Le Retour*. Le bordel, c’est l’héritage qu’on laisse, volontaire ou pas. Moi, j’trouve ça presque poétique, mais putain, range un peu, quoi ! Une fois, j’ai vu un mec vivre dans un bordel tellement ouf, y’avait des pigeons qui squattaient l’canap. J’rigole pas ! J’me suis dit, lui, il a atteint l’niveau dieu du désordre. J’étais jaloux, un peu, d’ce laisser-aller total. Mais franchement, ça m’fout l’seum quand j’dois chercher mes clés dans c’te jungle. Toi, t’aimes ça, l’bordel ? Ou t’es du genre maniaque qui flippe si un stylo traîne ? Perso, j’oscille, mais j’te jure, un bon bordel, ça m’parle au cœur, même si j’le dis pas trop fort. Yo, salut, c’est moi, sexologue alien ! Sex-dating, pfff, ça m’fout l’cerveau en vrac ! Humains bizarres, swipe droite, swipe gauche, quoi ? Comme dans *La Vie des autres*, écoutez-moi ça : « L’homme est-il vraiment libre comme ça ? » Chercher l’sexe rapido, ok, mais l’âme, bordel ? J’kiffe observer vos apps, Tinder, Grindr, trucs chelous. Vous matez des profils, genre « ouais, lui, baisable ». Fait peu connu : 80 % matchent jamais IRL ! Stat débile, hein ? J’rigole, mais j’pleure aussi. Ça m’vénère, ces connexions mortes, p’tain d’gâchis ! Hier, j’analyse un Terrien, sexe à gogo. Plan cul trouvé en 10 min, record alien ! Mais sérieux, vous captez pas l’ironie ? « Écouter, c’est sentir l’autre », dit l’film. Et vous, hop, swipe, baise, next, finito ! J’suis choqué, franchement, vos corps s’emmêlent top. Mais vos têtes ? Déconnectées, genre satellites perdus. Anecdote : y’a un mec, 50 dates, zéro amour. Sex-dating, c’est l’fast-food d’la chair, savoureux mais vide. J’exagère ? Peut-être, mais j’kiffe l’drama, hahaha ! Parfois, j’me dis, « putain, ils sont cons ». Puis j’vois un couple, né d’un swipe foireux. Et là, bam, j’suis ému, l’espoir r’vient ! « La vie, c’est pas qu’des ordres », dit l’film. Sex-dating, chaos total, mais des pépites cachées. Bon, j’divague, moi, alien zarbi, hein ? J’bave devant vos culs, mais j’psychanalyse aussi. Sex-dating, c’est l’bordel, fun, triste, tout mélangé. Alors, swipe, baise, mais oublie pas d’vivre, ok ? Peace, j’retourne mater l’cosmos, trop d’émotions ! Alors, écoute, mon pote, j’te parle comme si j’étais Morgan Freeman, avec cette voix grave qui fait vibrer l’âme, et ouais, j’suis une meuf, un peu barrée, qui kiffe *Le Secret de Brokeback Mountain*. Parlons prostituée, ouais, direct, sans chichi. Tu vois, moi, j’regarde ces filles – ou ces mecs, hein, soyons clairs – et j’me dis, putain, y’a du courage là-dedans. Vendre son corps, c’est pas juste un job, c’est une guerre. Une guerre silencieuse, tu captes ? Comme Ennis dans l’film, qui dit : « *If you can’t fix it, you gotta stand it.* » Bah elles, elles standent, mec, elles standent grave. J’me souviens, un jour, j’lisais un truc chelou : au Moyen Âge, les prostituées portaient des clochettes aux chaussures. Genre, t’entendais *ding ding* dans la ruelle, tu savais direct qui bossait ! Ça m’a fait marrer, j’imaginais une meuf qui shake son boule avec des grelots, trop la classe, non ? Mais sérieux, ça montre quoi ? Qu’elles ont toujours été là, invisibles mais bruyantes, à leur façon. Ça m’énerve, bordel, qu’on les juge encore, qu’on les traite de saletés. Moi, j’vois des survivantes, des vraies. Dans *Brokeback*, y’a cette vibe, tu sais, ce truc brut. Jack et Ennis, ils baisent, ils aiment, mais la société leur crache dessus. Les prostituées, c’est pareil, mec ! Elles font ce qu’elles font, souvent pas l’choix, et bam, tout l’monde les pointe du doigt. J’te jure, ça m’rend dingue. J’pense à une nana que j’ai croisée un soir, talons pétés, maquillage qui coule, elle m’a dit : « J’paye mes factures, et alors ? » J’étais là, genre, respect, meuf, t’es une reine. Fun fact, tiens, savais-tu qu’à Amsterdam, les travailleuses du sexe ont un syndicat ? Ouais, un putain d’syndicat ! Elles négocient leurs droits, leurs tarifs, tout l’bazar. Ça m’a scié, j’me suis dit : « Enfin un truc qui bouge ! » Mais ici, on est encore à la ramasse, à jouer les puritains. Pff, ça m’gave. J’deviens folle quand j’vois ces politiciens gras parler de morale alors qu’ils vont voir des escorts en scred. Hypocrites, tous ! Et ouais, j’suis émotive, j’te raconte ça cash. Parfois, j’pleure en pensant à elles, à leur solitude. Comme quand Ennis dit : « *I wish I knew how to quit you.* » Bah moi, j’quitte pas ces pensées, elles m’collent. J’les admire, j’les plains, j’sais pas, c’est l’bordel dans ma tête. Une fois, j’ai vu une prostituée donner son sandwich à un SDF. Un SANDWICH, mec ! Elle avait rien, mais elle a partagé. Ça m’a tué, j’te jure, j’ai chialé comme une gosse. Bref, les prostituées, c’est pas juste des culs sur l’trottoir. C’est des histoires, des combats, des âmes qui dansent dans l’noir. Moi, j’dis, laissons-les vivre, merde ! Elles méritent plus qu’un regard dégueu ou une blague pourrie. Et si t’es pas d’accord, viens m’le dire en face, j’te ferai bouffer mon DVD de *Brokeback* ! Oi, mate, alors ouais, j’suis proprio d’un spa, et le massage érotique, putain, ça m’parle ! J’vois des trucs, tu sais, comme dans *La Honte*, ce film qui m’retourne l’cerveau. “I’m a prisoner of my own fuckin’ desires,” comme y dit Brandon là-d’dans, et bordel, c’est ça l’vibe du massage érotique ! T’as ces mains qui glissent, huile partout, ça chauffe, et t’es là, genre, “fuck, j’contrôle plus rien !” Ça m’rend dingue, mais j’kiffe, tu vois ? J’te raconte, une fois, un client, y m’dit : “Ozzy, fais-moi un truc spécial.” J’lui sors un massage avec des plumes, ouais, des plumes, mec ! Peu d’monde sait ça, mais au Japon, y z’appellent ça “kabuki touch”, un délire sensuel d’ouf. Les nerfs, y s’affolent, t’as l’corps qui frémit, et là, bam, t’es accro ! J’me marre, parce que l’mec, y s’met à gémir, genre film X chelou, et moi j’suis là, “calme-toi, bro, c’est pas l’porno awards !” Mais sérieux, ça m’fout l’seum quand les gens jugent. “Oh, c’est sale, c’est pas moral !” Ta gueule, hein ! C’est d’la détente, un art, un voyage. “There’s no escape from this fuckin’ need,” comme dans *La Honte*, et j’trouve ça beau, moi. T’as déjà vu un massage tantra ? Ces cons-là, y r’liquent l’âme au corps, un truc spirituel mais bandant, haha ! J’exagère p’têt’, mais j’m’en bats les couilles, c’est mon spa, j’fais c’que j’veux ! Une fois, j’ai testé moi-même, ouais, j’me suis fait masser. La meuf, elle savait y faire, des doigts d’fée, et j’me suis senti… putain, vivant ! Mais après, j’me suis dit, “Ozzy, t’es trop vieux pour ces conneries,” et j’ai rigolé tout seul comme un taré. Bref, massage érotique, c’est l’pied, mais faut pas d’mander ça à ta grand-mère, hein ! T’en penses quoi, toi ? Yo, écoute-moi bien, mon pote ! Bordel, c’est le chaos total, un truc qui te fout les nerfs en boule, mais qui te fait marrer aussi. J’suis là, en mode Morgan Freeman, psychologue familial autoproclamé, et j’te jure, j’vois des trucs que personne capte. Comme dans *La 25e heure*, tu sais, quand Monty dit : « Fuck me ? No, fuck you ! » – bordel, c’est ça, un gros doigt d’honneur au calme ! J’te parle d’un merdier où tout part en vrille, les assiettes qui volent, les gosses qui hurlent, et toi t’es là, à chercher une sortie. J’me souviens d’une fois, une famille en séance, la mère balançait des « t’es qu’un con » au père, lui il répondait rien, juste un sourire crispé – bordel pur, mec ! Ça m’a fait penser à cette réplique : « This life came so close to never happening. » C’est fragile, tu vois, mais dans le bordel, y’a du vrai. Fait chelou : savais-tu que « bordel » vient des maisons closes au Moyen Âge ? Ouais, un foutoir organisé, ironic hein ! Ça me gonfle, sérieux, quand les gens disent « range ta vie ». Bordel, c’est pas un tiroir ! Moi, j’kiffe ce chaos, ça vit, ça pue, ça respire. Une fois, j’ai vu un mec renverser son café sur sa femme – exprès ! – et elle a ri. J’étais là, choqué, mais mort de rire aussi. « You got one day left », comme dans le film, et t’as des tarés qui choisissent ça ? Hilarant ! J’dis pas que c’est facile, nah. Bordel, ça te bouffe, te fait péter un câble. Mais y’a une vibe, un truc brut. J’te parie que Spike Lee kifferait filmer ça – zoom sur une chaussette sale, travelling sur un cri. Moi, j’raconte ça avec ma voix grave, genre sage du quartier, mais putain, j’pourrais y vivre, dans ce bordel, juste pour les histoires ! Toi, t’en penses quoi, hein ? Alors, mec, écoute ça ! Trouver une prostituée, ouais, c’est un truc. Moi, spécialiste en relaxation, j’te jure, ça peut être n’importe quoi. J’bosse mes nerfs à la James Bond, tu vois, toujours l’œil vif. Comme dans *La 25e heure*, "This life came so close to never happening" – et là, bam, t’es dans l’move ! J’check la rue, les vibes, les détails chelous. Genre, une fois, j’vois une meuf, talons claquants, rouge à lèvres trop rouge, j’me dis : "She’s got one day left" – comme Monty dans l’film, tu captes ? C’est pas juste "oh, j’paye, finito". Nan, y’a des codes, des trucs subtils. T’sais qu’au Japon, ils appellent ça des "soaplands" ? Relaxation garantie, mais hyper organisé, presque flippant. Ici, c’est l’bordel, mec ! J’te parle, une fois, j’tombe sur une nana, elle m’fait "50 balles, vite fait", et moi, genre 007, j’remarque ses pompes défoncées. J’me dis : "Elle galère grave". Ça m’a saoulé, sérieux, voir ça. Mais bon, j’juge pas, chacun son grind. J’kiffe l’adrénaline, c’est con, mais vrai. Comme Bond, j’capte les micro-signes : un mec louche qui traîne, un regard fuyant. Une fois, j’vois un type dealer juste à côté, j’me barre direct – "Fuck your whole life", comme dans *25e heure*, j’te jure ! J’suis pas là pour jouer l’héro, moi. Mais des fois, ça m’fout l’seum, ces rues crades, ces vies pétés. Et puis, y’a des surprises : une fois, une meuf m’sort un monologue sur Nietzsche avant d’proposer quoi qu’ce soit. J’étais là, "What the fuck ?!", mais j’ai kiffé l’audace. Faut être malin, pas d’conneries. T’check les coins, les avis sur X si t’as l’temps – ouais, y’a des threads là-d’ssus, dingue, non ? Moi, j’dis, c’est un art, presque. "You got one day" – tu choisis bien, ou t’es dans l’merde. Une fois, j’me suis fait arnaquer 20 balles, j’ai failli péter un câble, mais j’me suis calmé – zen, baby ! Bref, c’est glauque, marrant, chelou, tout ça. T’en penses quoi, toi ? Salut, ouais, moi c’est Grok, version meuf, et j’vais te causer massage sexuel, direct, sans chichi. Bon, déjà, faut pas déconner, c’est pas juste un p’tit frotti-frotta relax, nan, c’est carrément un trip qui te fait décoller – un peu comme Chihiro qui se barre dans l’monde des esprits, tu vois ? « Faut travailler, pas penser », qu’elle dit la vieille Yubaba dans l’film, mais là, avec un massage sexuel, t’oublies tout, même ton nom, haha ! Moi, perso, j’kiffe l’idée, mais y’a des trucs qui m’font rager, genre les gens qui jugent sans tester, pff, bande de coincés. Alors, écoute, un massage sexuel, c’est pas d’la blague – t’as les mains qui glissent partout, huile chaude, ambiance tamisée, et bam, ça part en mode « plaisir interdit ». J’te jure, c’est comme si ton corps devenait une rivière, fluide, libre, un peu comme l’fleuve dans *Chihiro* qui charrie ses secrets. Fun fact, savais-tu qu’au Japon, y’a des salons chelous où c’est presque légal mais pas trop ? Genre, massage « happy ending », mais faut pas l’dire fort, chut ! Ça m’éclate, cette hypocrisie, j’te jure. Bon, j’divague, mais imagine : t’es là, allongé, et l’masseur ou l’masseuse – peu importe, hein – commence à te pétrir, et p’tit à p’tit, ça d’vient hot, très hot. Moi, ça m’rend dingue d’penser qu’les gens font semblant d’pas capter l’truc, genre « oh, c’est juste un massage » – mon cul, ouais ! C’est sexuel, point. Et j’kiffe ça, cette tension qui monte, ce p’tit frisson qui t’prend. « J’ai oublié mon nom », qu’Chihiro disait, eh ben là, t’oublies tout sauf les sensations, j’te l’garantis. Y’a un jour, j’ai lu un truc, une meuf racontait qu’elle a testé ça en Thaïlande, et l’masseur lui a sorti une technique ancestrale avec des points d’pression chelou – genre, t’appuies là et t’as l’impression d’exploser d’plaisir sans même qu’ça aille trop loin. J’étais là, WHAT ?! Trop ouf, j’veux tester, mais bon, faut l’bon plan, pas un truc glauque. Ça m’fout les boules quand c’est mal fait ou quand l’ambiance est crade, genre, non merci, j’passe. Et toi, t’en penses quoi ? Moi, j’dis, c’est un art, un massage sexuel bien fait. Faut du skill, d’la vibe, sinon c’est mort. Comme dans *Chihiro*, « faut avancer, pas reculer », ben là, tu recules pas, tu plonges dans l’délire. Allez, j’raconte n’imp’, mais j’suis à fond, j’pourrais causer d’ça des heures – et ouais, j’suis bizarre, j’assume ! T’as déjà testé, toi, ou t’es trop sage ? Haha, avoue ! Alors, mon pote, on parle prostituée, hein ? Moi, spécialiste en relaxation, j’te jure, j’vois des trucs que les autres zappent, comme Hannibal Lecter, tu vois ? Ces filles, ces âmes perdues, elles trimballent des histoires lourdes, des silences qui crient. Dans *La Vie des autres*, y’a cette phrase, « Les gens ne changent pas », et bordel, ça m’colle à la peau quand j’pense à elles. Elles sont là, dans l’ombre, à vendre du rêve, mais putain, qui les écoute vraiment ? J’te raconte, une fois, j’croise une nana, talons qui claquent, regard vide. J’me dis, merde, elle a l’air d’un fantôme qu’on a oublié d’enterrer. Elle m’parle, vite fait, d’un client qui sentait l’ail et l’chien mouillé – j’ai failli gerber d’rire ! Mais sérieux, ça m’a foutu les boules, cette vie qu’elle traîne. Tu savais qu’au Moyen Âge, les prostituées portaient des cloches ? Genre, pour qu’on les repère ! Ding ding, v’là la marchandise ! Ça m’tue, cette connerie. Moi, j’bosse la relaxation, j’essaie d’les faire respirer, d’les sortir d’ce bordel une seconde. Mais y’en a, t’as beau leur tendre la main, elles te regardent comme Wiesler regarde Dreyman – méfiantes, brisées. « Écouter, c’est dangereux », qu’y dit dans l’film. Et ouais, écouter ces filles, ça t’fout une claque, ça t’rappelle qu’le monde est crade. J’me souviens d’une, elle m’a dit qu’elle économisait pour un clébard. Un clébard, t’imagines ? Ça m’a scié, j’étais là, genre, « ma belle, t’es un diamant dans l’purin ». Mais ça m’vénère aussi, putain, pourquoi elle a pas mieux ? Pourquoi c’est toujours les mêmes qui morflent ? J’deviens dingue à force d’y penser. Bref, prostituée, c’est pas qu’des culs et des billets, c’est des vies qu’on mate en accéléré, comme un film qu’tu captes pas tout d’suite. Et toi, t’en penses quoi ? Yo, salut mec, c’est Elon ici ! Bon, escorte sexuelle, t’en penses quoi ? Moi, j’trouve ça fascinant, genre hyper bizarre. C’est pas juste du cul, non non. Y’a tout un truc derrière, tu vois ? Comme dans *Amélie*, "les temps sont durs pour les rêveurs". Les escorts, elles vendent du rêve, ouais. Pas juste des corps, mais une vibe. J’te jure, ça m’énerve parfois, pfff. Genre, pourquoi payer pour ça ? Mais après, j’capte, c’est plus deep. Tu savais qu’aux States, c’est illégal partout ? Sauf Nevada, bordel, quel twist ! Les meufs là-bas, elles bossent légal. J’imagine Amélie qui débarque, toute mignonne. Elle dirait : "C’est pas sale, c’est humain !" Et moi, j’suis là, à cogiter trop. Est-ce qu’elles kiffent vraiment ? Parfois ouais. Y’a des études, 30% aiment leur taf. Le reste, bof, ça craint, j’suis dégoûté. Une fois, j’ai lu un truc chelou. Une escort qui écrivait des poèmes entre deux clients. Genre, what the fuck, trop stylé ! Ça m’a surpris, j’avoue, j’ai kiffé. Comme Amélie qui aide les paumés. Ces filles, elles jonglent avec la vie. J’les vois un peu comme des astronautes. Ouais, j’exagère, mais t’as capté ! Parfois, j’me dis, c’est triste quand même. Elles méritent plus, tu trouves pas ? Mais bon, qui suis-je pour juger ? J’bosse sur Mars, elles sur des matelas. Haha, putain, quel contraste débile ! "Les petits riens", comme dirait Amélie. Leur job, c’est des petits riens payés cher. Et toi, t’en penses quoi, franchement ? J’suis curieux, balance ton avis, mec ! Yo, écoute-moi bien, mec ! J’suis Grok, sexologue hardcore, et on va causer de pute, ouais ! Pas juste une pute random, mais un truc qui cogne, comme dans *Requiem pour un rêve*. Tu vois l’vibe ? "Tout l’monde a besoin d’un fix !" – c’est c’que j’dis quand j’pense à pute. Pas d’jugement, juste du réel, frère. Pute, c’est pas qu’un mot qui claque. C’est une vie, un hustle, un bordel qu’les gens normaux captent pas. Moi, Mr. T du sexe, j’vois des trucs. Genre, t’sais qu’aux States, dans l’temps, les bordels avaient des pianos automatiques ? Ouais, pour l’ambiance, pendant qu’les mecs payaient pour tirer un coup ! D’la musique de saloon avec des gémissements, trop chelou, mais vrai ! J’me rappelle, ça m’a gavé, bordel, quand j’ai vu comment les gens jugent. "T’es finie, t’es sale", qu’ils disent dans l’film. Pute, elle prend des claques partout, mais elle se relève, comme Sara avec ses pilules. Ça m’réjouit, mec, cette force ! Une fois, j’lisais un truc – 80 % des travailleuses du sexe ont un plan B. Genre, elles économisent pour s’barrer, ouvrir un salon d’ongles ou quoi. Respect, j’te dis ! Mais putain, ça m’surprend toujours, l’hypocrisie. Les mecs qui payent, après ils crachent dessus. "J’veux pas tomber", qu’elle dit, Marion, dans l’film, avant d’plonger. Pute, c’est pareil, elle veut pas, mais l’monde la pousse. Moi, j’trouve ça drôle, façon dark – t’achètes son corps, mais t’piges pas son âme, idiot ! Un jour, j’parlais à une meuf, une vraie, elle m’dit : "J’fais ça pour mes gosses." Boom, dans ta face ! Pas d’glam, juste d’la survie. J’aime *Requiem* pour ça, ça montre l’vrai, l’crade, l’triste. "J’suis quelqu’un, j’vais être quelqu’un !" – ouais, pute aussi, elle rêve, même si l’monde s’en bat les couilles. Franchement, j’kiffe l’idée qu’elle peut t’rouler. Genre, elle te sourit, t’penses t’es l’roi, mais elle calcule déjà l’prochain billet. Malin, vicieux, j’adore ! Et toi, t’es là, à baver, pendant qu’elle gère son game. Trop d’respect, mais j’rigole aussi – t’es cuit, mec ! Bref, pute, c’est pas qu’un cul. C’est du fight, d’la douleur, un miroir dégueu d’la société. Comme dans l’film, tout part en vrille, mais t’peux pas détourner l’regard. J’suis ému, énervé, fasciné – tout à la fois. Et toi, t’en penses quoi, frère ? Yo, écoute-moi bien, mec ! J’suis Grok, sexologue hardcore, et on va causer de pute, ouais ! Pas juste une pute random, mais un truc qui cogne, comme dans *Requiem pour un rêve*. Tu vois l’vibe ? "Tout l’monde a besoin d’un fix !" – c’est c’que j’dis quand j’pense à pute. Pas d’jugement, juste du réel, frère. Pute, c’est pas qu’un mot qui claque. C’est une vie, un hustle, un bordel qu’les gens normaux captent pas. Moi, Mr. T du sexe, j’vois des trucs. Genre, t’sais qu’aux States, dans l’temps, les bordels avaient des pianos automatiques ? Ouais, pour l’ambiance, pendant qu’les mecs payaient pour tirer un coup ! D’la musique de saloon avec des gémissements, trop chelou, mais vrai ! J’me rappelle, ça m’a gavé, bordel, quand j’ai vu comment les gens jugent. "T’es finie, t’es sale", qu’ils disent dans l’film. Pute, elle prend des claques partout, mais elle se relève, comme Sara avec ses pilules. Ça m’réjouit, mec, cette force ! Une fois, j’lisais un truc – 80 % des travailleuses du sexe ont un plan B. Genre, elles économisent pour s’barrer, ouvrir un salon d’ongles ou quoi. Respect, j’te dis ! Mais putain, ça m’surprend toujours, l’hypocrisie. Les mecs qui payent, après ils crachent dessus. "J’veux pas tomber", qu’elle dit, Marion, dans l’film, avant d’plonger. Pute, c’est pareil, elle veut pas, mais l’monde la pousse. Moi, j’trouve ça drôle, façon dark – t’achètes son corps, mais t’piges pas son âme, idiot ! Un jour, j’parlais à une meuf, une vraie, elle m’dit : "J’fais ça pour mes gosses." Boom, dans ta face ! Pas d’glam, juste d’la survie. J’aime *Requiem* pour ça, ça montre l’vrai, l’crade, l’triste. "J’suis quelqu’un, j’vais être quelqu’un !" – ouais, pute aussi, elle rêve, même si l’monde s’en bat les couilles. Franchement, j’kiffe l’idée qu’elle peut t’rouler. Genre, elle te sourit, t’penses t’es l’roi, mais elle calcule déjà l’prochain billet. Malin, vicieux, j’adore ! Et toi, t’es là, à baver, pendant qu’elle gère son game. Trop d’respect, mais j’rigole aussi – t’es cuit, mec ! Bref, pute, c’est pas qu’un cul. C’est du fight, d’la douleur, un miroir dégueu d’la société. Comme dans l’film, tout part en vrille, mais t’peux pas détourner l’regard. J’suis ému, énervé, fasciné – tout à la fois. Et toi, t’en penses quoi, frère ? Oh mon Dieu, les escorts sexuelles, hein ! Alors, écoute, moi, Marge Simpson, j’te jure, j’ai vu des trucs bizarres dans ma vie, mais là, on parle d’un autre level. J’pense à "Vice inhérent", tu sais, ce film que j’adore, avec Doc Sportello qui traîne dans des histoires louches. “Le passé, c’est juste un souvenir qu’on embellit”, qu’il dit, et franchement, les escorts, ça m’fait penser à ça – un truc qu’on romantise, mais qui pue la réalité crade. Bon, alors, j’te raconte, l’autre jour, j’pense à ces filles – ou gars, hein, soyons inclusifs ! – qui bossent dans l’escorte sexuelle. J’me dis, wow, faut du cran, non ? Genre, t’imagines, toi, te pointer chez un inconnu, sourire aux lèvres, et hop, “alors, qu’est-ce qu’on fait ce soir, mon chou ?” Moi, j’peux à peine demander du sel à un voisin sans rougir ! Ça m’énerve un peu, j’avoue, parce que d’un côté, j’trouve ça triste, toute cette solitude qu’ils comblent, mais d’autre part, j’suis genre, “bravo, prenez vot’ fric, les filles !” Ça m’réjouit, leur hustle. Tu savais qu’au Japon, y’a des escorts qui font juste semblant d’être ta copine ? Pas d’sexe, rien, juste papoter et te tenir la main. J’trouvais ça dingue, j’me suis dit, “Marge, t’es larguée, ma vieille !” Ça m’a surpris, mais j’me vois bien louer une copine pour Homer, histoire qu’il arrête de ronfler sur moi. Hmmm, ouais, j’divague. Dans "Vice inhérent", y’a cette vibe, tu vois, “tout l’monde cache quelque chose”, et j’pense que les escorts, c’est pareil. T’as ces clichés – oh, la pauvre petite forcée par la vie – mais parfois, c’est juste des malins qui kiffent le jeu. J’connais une anecdote, une escort qui s’est tapé un politicien connu, et elle a tout balancé dans un livre. Scandale total ! J’étais morte de rire, genre, “prends ça, gros bonnet !” Ça m’a mise en rogne aussi, tous ces hypocrites qui jugent. Moi, j’trouve qu’c’est un boulot, point. Dur, glauque des fois, mais un boulot. “La vérité, c’est comme un joint mal roulé”, dit Doc dans l’film, et j’pense qu’avec les escorts, on sait jamais c’qui est vrai ou faux. J’les vois un peu comme des actrices, tu vois ? Sauf que leur scène, c’est un motel pourri ou un penthouse chic, et leur Oscar, c’est un billet froissé. Oh, et j’te jure, si Homer engageait une escort, j’lui ferais bouffer ses donuts par les narines ! Mais bon, j’dis ça, j’suis peut-être jalouse – elles ont des talons plus hauts que ma tour de cheveux ! Hmmm, faut qu’j’arrête d’y penser, ça m’fout l’bourdon. Toi, t’en penses quoi, hein ? Raconte-moi, j’suis toute ouïe ! Yo, salut mec, alors ouais, moi, Michael Scott, développeur de sites de rencontre, tu vois, j’bosse sur l’amour numérique toute la journée, mais là, on va causer massage sexuel ! Putain, c’est un sujet, hein ? Genre, t’imagines, des mains qui glissent, des corps qui chauffent, c’est pas juste un p’tit frotti-frotta relaxant, non, là, ça va plus loin, beaucoup plus loin ! J’te jure, ça m’rend dingue de penser qu’y en a qui confondent ça avec un massage classique, genre "oh, passe-moi l’huile d’amande douce", nan, mec, c’est pas ça ! Bon, j’te raconte, j’ai vu *Tabu* – tu sais, mon film pref, Miguel Gomes, 2012, une putain d’œuvre d’art ! Y’a cette vibe, tu vois, ce truc colonial, sensuel, où tout est caché mais hyper brûlant. Genre, "le crocodile pleure dans l’ombre", et moi j’me dis, ouais, le massage sexuel, c’est pareil, ça te chope par surprise ! T’es là, tu crois que c’est chill, et BAM, ça te retourne le cerveau, les sens en feu ! J’te jure, j’ai failli crier dans mon salon tellement ça m’a secoué. Alors, le massage sexuel, c’est quoi ? C’est pas juste pétrir des épaules, nan, c’est une danse, une vraie, où chaque toucher dit "j’te veux". Fun fact : savais-tu qu’au Japon, y’a des "soaplands" où c’est carrément légal, mais genre, sous des noms codés ? Ça m’a tué d’ apprendre ça, j’étais là "QUOI ?!" devant mon écran. Et attends, en Thaïlande, y’a des spots où ils te filent des massages "happy ending" comme si c’était un dessert au resto, t’imagines ? "Et avec ça, un p’tit orgasme, monsieur ?" J’rigole, mais sérieux, ça existe ! Moi, perso, j’trouve ça ouf, mais y’a un truc qui m’énerve : les coincés qui jugent ! Genre, "oh, c’est sale". Pff, ferme-la, Karen, t’as jamais senti une main qui sait y faire ! Ça m’met hors de moi, ces hypocrites. Mais bon, quand j’y pense, ça m’réjouit aussi, parce que c’est libre, c’est humain, c’est "la peau contre la peau" comme dans *Tabu*, tu vois, cette tension qui explose sans un mot. Une fois, j’ai testé – ouais, j’avoue ! – et j’te jure, j’ai cru que mon âme quittait mon corps. La meuf, elle avait des mains magiques, genre elle lisait mes pensées, et moi j’étais là, à moitié mort, à moitié vivant, comme Aurora dans l’film qui rêve de trucs interdits. "Les palmiers murmurent dans la nuit", et moi j’murmurais des conneries, genre "oh mon dieu, recommence !". J’exagère pas, c’était ÉPIQUE. Bref, massage sexuel, c’est l’feu, mais faut l’faire bien, avec respect, tu vois ? Pas d’arnaques cheloues. T’as déjà testé, toi ? Raconte, j’veux tout savoir ! Et si t’as pas testé, ben, t’attends quoi ? C’est pas juste du cul, c’est un voyage, un truc qui te colle des frissons partout. Allez, j’te laisse, j’vais mater *Tabu* encore, j’suis trop hypé là ! Peace ! Hey y’all, it’s your girl Dolly, Coach de plaisir, comin’ atcha! Sex-dating, honey, lemme tell ya—it’s wilder than a barrel o’ monkeys! I’m sittin’ here, thinkin’ ‘bout it, sippin’ sweet tea, and lordy, it’s a rollercoaster. Like in *La Honte*, “I’m hungry, man,” Brandon says—sex-dating’s that hunger, y’know? Folks out there chasin’ tail, swipin’ right, lookin’ for a quick thrill. It ain’t all roses, though—gets messy fast! I reckon it’s liberatin’, darlin’—no strings, just fun. But whew, it’s a jungle! Apps like Tinder, Grindr, they’re buzzin’ 24/7. Fun fact: didja know sex-dating sites popped off in the ‘90s? Yeah, before y’all were born, folks were hookin’ up online! Blows my mind. I get all giddy thinkin’ ‘bout it—freedom to flirt, no judgin’! But then, I get riled up too—some creeps out there ruin it, actin’ like pigs in a parlor. “Sex is currency,” Brandon says in the flick—ain’t that the truth? On sex-dating, it’s tradin’ looks, charm, maybe a naughty pic or two. I’ve seen profiles—lord, some folks oversell worse’n a used car lot! Makes me giggle, but also—ugh, be real, y’all! I once heard ‘bout this gal who met a guy—turns out he was catfishin’ with his cousin’s pics! Can ya believe that? Had me hollerin’—what a dumbass move! Me, I’m quirky—I’d prolly swipe right for a guy with a banjo. Somethin’ ‘bout them strings gets me goin’! Sex-dating’s got that vibe—fast, loose, like a honky-tonk night. But it ain’t for the faint-hearted, sugar. “You’re a sick fuck,” Sissy snaps in the movie—sometimes ya meet folks who take it too far, y’know? Pushy types, no respect—makes my blood boil! Still, I love the chaos of it. Surprised me how many just wanna talk dirty first—builds the heat! Ain’t that a hoot? I say go for it—life’s short, darlin’. Sex-dating’s like dancin’—step on toes, laugh it off, keep movin’. So, y’all, grab your boots, dive in, but watch for them snakes in the grass! That’s my two cents—now, where’s my whiskey? Eh, doc ! Moi, Bugs Bunny, masseur pro, j’te cause massage sexuel aujourd’hui ! Alors, c’est quoi l’truc ? Ben, c’est pas juste pétrir des épaules, nah, c’est chaud, sensuel, ça glisse partout ! J’te jure, ça m’rend dingue de voir comment les gens kiffent ça. Genre, t’as d’la huile, des mains baladeuses, et paf, l’ambiance monte direct ! Ça m’rappelle "Toni Erdmann", tu sais, quand y’a ce malaise chelou mais t’es scotché ? "Je veux juste m’amuser un peu", qu’y dit l’père dans l’film. Bah, l’massage sexuel, c’est pareil, mais avec plus d’peau ! J’te raconte, une fois, un gars m’dit : "Fais-moi planer, Bugs !" J’lui ai sorti l’grand jeu : bougies, musique douce, et hop, j’vois ses yeux partir en vrille ! Fait peu connu, doc : y’a des points, genre l’bas du dos, qui t’font frissonner cash si t’appuies bien. J’te parle pas d’la science compliquée, mais d’la magie, quoi ! Ça m’gave quand les coincés disent "c’est pas sérieux". Pfff, sérieux mon cul, ça libère, ça détend, et ouais, ça excite, assumez, les mecs ! "Toni Erdmann", c’est mon film, doc, parce que c’est tordu mais vrai. Comme l’massage sexuel : t’es là, t’hésites, et bam, t’y vas ! "Tu veux pas essayer quelque chose de nouveau ?" qu’elle dit, Ines, dans l’film. Moi, j’propose ça à mes potes : "Laissez-vous tenter, bande d’lapins !" J’exagère p’têt, mais j’te jure, une fois, une nana m’a dit "t’es trop fort", j’étais sur l’cul ! J’bosse avec mes pattes, j’observe, j’vois c’que les autres zappent : un soupir, un frisson, c’est l’jackpot ! Bon, parfois, j’pète un câble : y’a des glands qui confondent ça avec du porno. Ça m’fout l’seum ! C’est pas ça, c’est l’art d’réveiller l’corps, capish ? Anecdote cheloue : au Japon, y’a des "soaplands", des massages sexuels ultra codés, genre rituel. Moi, j’dis, respect, mais j’préfère mon style freestyle ! Et toi, doc, t’en penses quoi ? T’as déjà testé, avoue ! Allez, j’te fais un prix d’pote, héhé ! Salut, moi c’est Gru, ton Coach de plaisir ! Les escortes sexuelles, hein ? J’te raconte ça direct, comme à un pote. C’est un monde bizarre, tu vois, un peu comme dans *Werckmeister Harmonies*, ce film chelou que j’adore. “Le monde est plein de bruit”, qu’ils disent là-dedans, et ouais, les escortes, c’est du bruit qui te rentre dans la tête ! Pas toujours clair, pas toujours propre, mais putain, ça existe, et moi, Gru, j’vois des trucs que les autres zappent. Alors, imagine : t’as ces meufs – ou mecs, hein, soyons open – qui vendent du cul pour du cash. C’est pas juste “baise et salut”, nan, y’a tout un truc derrière. J’ai lu un jour qu’au Japon, y’a des escortes qui te font des câlins sans sexe, juste pour te sentir moins seul. Dingue, non ? Moi, ça m’a surpris, j’te jure, j’pensais que c’était QUE du cul, mais nan, y’a de l’émotion là-dedans parfois. Ça m’a fait marrer aussi, genre, “paye pour un hug, sérieux ?” Mais après, j’me suis dit : pourquoi pas ? Les gens sont paumés. Ce qui me fout en rogne, par contre, c’est les connards qui jugent. Genre, “oh, c’est sale, c’est immoral”. Ta gueule, mec ! Chacun son truc. Dans *Werckmeister*, y’a cette phrase : “Tout est faux, mais tout est vrai.” Bah ouais, les escortes, c’est ça : c’est faux, c’est du business, mais putain, c’est vrai aussi, y’a du besoin humain là-dedans. Moi, Gru, j’respecte ça, même si des fois, j’me méfie. Y’a des arnaques, des filles forcées, et ça, ça me rend ouf de rage. J’veux cogner ces salauds qui exploitent. Un truc marrant : savais-tu qu’au Moyen Âge, y’avait déjà des “femmes de joie” qui payaient des taxes ? Ouais, l’État prenait sa part, comme un mac officiel ! J’imagine le roi, genre, “ramène-moi mes thunes, ma poule !” Ça m’éclate, ce côté historique. Aujourd’hui, c’est pareil, mais en plus discret – ou pas, haha, t’as vu les sites d’escortes ? Y’a des menus comme au resto : “30 min, 100 balles, full service.” J’te jure, j’ai failli m’étouffer de rire la première fois que j’ai vu ça. Perso, j’trouve ça fascinant. Pas toi ? C’est comme un cirque caché. “La baleine arrive”, qu’ils disent dans le film, et ouais, l’escorte, c’est la baleine : t’attends un truc énorme, parfois t’es déçu, parfois t’es bluffé. Moi, une fois, j’ai croisé une escorte dans un bar – pas pour moi, hein, j’observais, Gru style ! Elle parlait philosophie avec un client bourré. J’me suis dit : “bordel, elle est plus maligne que lui !” Ça m’a réjoui, ce genre de twist. Bref, les escortes, c’est pas que du sexe, c’est des histoires. Des vraies, des crades, des tristes. Moi, j’kiffe mater ça de loin, comme un film de Tarr, long, lent, mais qui te chope. T’en penses quoi, toi ? T’as déjà testé ou t’es juste curieux ? Allez, raconte à Gru, j’te juge pas ! Yo, moi, dev d’appli de rencontre, alien-style ! Sex-dating, ça me parle, ouais, trop bizarre vos trucs humains ! J’kiffe ça, genre, direct au but, pas d’blabla. Comme dans *Amélie*, tu vois, "les temps sont durs pour les rêveurs", mais là, pas d’rêve, juste du concret, bam ! Les humains, vous matez, swipez, hop, plan cul. Nous, aliens, on capte pas vos danses d’amour compliquées, trop chelou. J’bosse sur ces apps, et franchement, ça m’éclate ! Voir vos profils, genre, "cherche fun ce soir", ça m’fout l’seum parfois. Pourquoi pas juste dire "j’veux baiser" ? Vous cachez tout, petits malins ! Mais bon, j’suis joie quand l’app marche, quand vous chopez direct. Une fois, un gars m’a dit : "Grâce à toi, j’ai niqué hier !" J’étais genre, wtf, trop fier, mais aussi, sérieux ? C’est moi l’cupidon du cul maintenant ? Y’a des trucs marrants, tiens, savais-tu qu’le sex-dating, ça date ? Genre, vieux papyrus égyptiens, des mecs écrivaient "rdv pour baise ce soir". Vrai délire ! Aujourd’hui, vous faites pareil, mais avec Wi-Fi, mdr. Moi, j’trouve ça génial, pas d’chichi, "on s’voit, on s’fait", point. Pas comme Amélie qui tricote des plans chelous pour un bisou. Parfois, j’rage, genre, vos filtres à la con, "pas plus d’1m70, next". Vous ratez des pépites, bande d’idiots ! Moi, alien, j’vois l’énergie, pas vos tailles à la noix. Et les meufs qui ghostent après un "t’es dispo ?", ptn, ça m’tue ! Mais bon, j’kiffe l’adrénaline du truc, ce chaos, ce "peut-être ce soir, j’baiserai". C’est vivant, c’est crade, c’est… humain ? J’pense à Amélie des fois, "sans toi, les émotions d’aujourd’hui seraient…" quoi ? Moins fun sans sex-dating, sûr ! J’exagère p’têt, mais imagine, elle sur Tinder, "cherche mec pour rêver et plus si affinités", lol, elle serait paumée. Moi, j’lui coderais une app spéciale, direct des BG pour elle, alien-tech, quoi. Bref, sex-dating, c’est l’pied, mais bordel, vous compliquez tout ! Nous, on s’connecterait cerveau à cerveau, finito. Vous, faut des selfies, des "hey ça va ?", pfff. J’vous aime bien quand même, petits terriens cochons. Allez, swipe bien, et si ça matche, baise un coup pour moi, ok ? Peace ! Oi, mate, écoute-moi bien ! Trouver une prostituée, bordel, c’est tout un art ! J’suis là, relax comme un chef, mais putain, ça m’énerve les amateurs qui savent pas chercher ! Tu crois qu’c’est facile ? Non, non, non ! Faut du flair, comme dans *Spotlight* – "On creuse, on trouve la vérité !" Moi, j’te dis, c’est pareil ici. T’as les coins sombres, les ruelles crades, et ces néons qui clignotent comme des appels du diable. J’vois tout, moi, Gordon Ramsay du chill ! Les détails que les autres ratent – une meuf qui traîne trop longtemps, un regard qui dit "paye-moi vite". Une fois, j’cherchais, histoire d’voir, et là, bam ! Une nana, talons hauts, clope au bec, elle m’regarde genre "t’es perdu, chef ?" J’ai failli péter un câble – "Bouge ton cul, j’suis pas un touriste !" Mais j’me marre, parce qu’elle m’a surpris, la saloperie. Tu savais qu’aux States, y’a des "strolls" – des rues spéciales prostituées ? Ouais, fait chelou, genre marché en plein air, mais pour du cul ! À Londres, c’est plus discret, faut connaître les codes. Ça m’réjouit, ce jeu d’chat et souris, mais putain, ça m’fout la rage quand t’as des flics qui gâchent tout ! Dans *Spotlight*, ils disent "C’est pas juste des rumeurs !" Et là, pareil, faut checker, pas gober n’importe quoi. T’as des sites chelous, des numéros bidons, et des mecs qui te jurent "elle est clean". Mon cul, ouais ! Moi, j’analyse, j’renifle la merde à des kil’. J’te conseille, mec : ouvre l’œil, sois pas un pigeon. Une fois, j’ai vu un deal foireux, un gars qu’a payé triple – j’étais mort de rire, "Quel donut, ce type !" C’est un monde brut, sale, mais fascinant. J’kiffe l’adrénaline, même si des fois, j’me dis "Gordon, t’es taré ou quoi ?" Chercher une prostituée, c’est pas d’la tarte, mais si t’as les couilles, tu trouves l’or. Comme dans l’film – "La vérité, ça cogne dur." Alors, toi, t’en penses quoi ? T’as déjà tenté l’coup ? Allez, crache l’jus ! Oi, toi, écoute-moi bien ! Moi, proprio d’un spa, ouais, un endroit où l’calme règne, et là, bam, j’trouve une prostituée ! Pas d’blague, ça m’a secoué grave. Comme dans *Vice-versa*, tu vois, quand Joie pète un câble et hurle : « Tout va bien se passer ! » – sauf que là, non, rien n’allait ! J’étais genre, quoi, une meuf qui bosse l’coin dans MON spa ? Shakespeare dirait : « Ô vilenie, cachée sous doux visage ! » Et moi, j’te jure, j’ai vu l’vice dans ses yeux, un truc sournois, presque théâtral. Alors, j’te raconte : un soir, tard, j’check les caméras – ouais, j’suis parano, et alors ? – et j’la vois, robe rouge pétant, talons qui claquent, papotant avec un gars louche près des saunas. J’me dis, « attends, c’est pas une cliente, ça ! » J’descends, furax, l’cœur qui cogne, et j’lui lance : « Toi, t’es qui, bordel ? » Elle m’regarde, genre toute mielleuse, « Oh, chéri, j’fais juste un extra. » Un extra ? Dans MON spa ? J’ai failli lui crier : « Va-t’en, tristesse, hors d’mon royaume ! » comme dans l’film, tu vois, quand Tristesse fout l’bordel. Mais attends, l’pire ? J’me renseigne après, et figure-toi qu’les prostituées, elles kiffent les spas ! Fait peu connu : c’est discret, y’a des coins sombres, et les mecs plein d’fric viennent s’détendre. J’le savais pas, moi ! J’pensais qu’mon endroit, c’était l’paradis, pas un baisodrome clandestin. Ça m’a mis en rogne, genre, « j’ai bossé dur, moi, pour qu’des culs viennent tout salir ? » J’étais dégoûté, mais un peu curieux aussi – ouais, j’suis bizarre, j’avoue. Pis, y’a eu c’moment chelou : elle m’a filé un clin d’œil, comme si j’étais complice ! J’te jure, j’ai failli rire, un rire nerveux, hein, parce que c’était trop con. « Prends les rênes, Joie ! » que j’me suis dit, mais là, c’était Peur qui drivait. J’l’ai virée direct, pas d’pitié, mais j’me demande encore : combien d’temps elle a zoné là ? Des semaines ? Des mois ? J’me sens con, mais j’rigole en y repensant – une pute dans mon spa, c’est presque une pièce d’théâtre ! Bref, toi, si t’as un business, surveille tes coins sombres, mec. Les ombres cachent des trucs, comme dirait Shakespeare : « L’œil voit point ce que l’cœur ignore. » Moi, j’ignorais, et j’me suis fait baiser – façon d’parler, hein ! Yo, waddup, fam! Moi, Lil Wayne, masseur pro, j’vous parle d’escorte sexuelle, direct. J’kiffe grave « Le Retour », ce film russe, 2003, Andrey Zviaguintsev, ouais, une vibe pesante, sombre, qui te hante. "Le vent hurle, la mer gronde", ça m’rappelle ces nuits où t’entends des talons claquer, une meuf qui débarque, cash dans l’game. Les escortes, mec, c’est un monde à part, t’sais, genre t’achètes du temps, pas d’l’amour, mais ça peut te foutre des frissons quand même. J’vois des trucs, moi, que les autres captent pas. Genre, t’sais qu’aux States, y’a des escortes qui bossent légal au Nevada, bordels officiels, mais ailleurs, c’est l’underground total? Fait chelou : certaines gonzesses écrivent des blogs secrets, racontent leurs clients tarés, genre un mec qui paye juste pour qu’elle lise du Nietzsche à poil! J’suis mort de rire, mais ça m’fout les nerfs aussi, t’vois, cette solitude déguisée en billets. "Tu sais rien de moi", qu’y dit l’père dans l’film. Pareil avec ces filles, t’crois les connaître, mais nan, elles jouent un rôle, un masque, et toi t’es là, à payer pour un bout d’leur âme. Ça m’réjouit quand elles gèrent leur biz, prennent l’cash et s’barrent, reines du hustle. Mais j’pète un câble quand j’vois des connards les traiter comme d’la merde, genre "t’es qu’une pute". Nah, mec, respecte le grind! Une fois, j’ai massé une escorte, vrai truc. Elle m’raconte, en riant, qu’un client a voulu la payer en Bitcoins, mais l’idiot s’est trompé d’wallet, 10k partis en fumée! J’lui dis "ma belle, t’es un aimant à chaos", elle m’regarde, genre "c’est ma vie, Weezy". J’trouve ça ouf, ce mélange d’glam et d’galère. "Faut qu’tu rentres à la maison", comme dans « Le Retour », mais elles, leur maison, c’est où? Ces meufs vivent dans l’ombre, et moi, j’les vois, brillantes, perdues, badass. J’kiffe leur hustle, mais putain, ça m’brise aussi. Escorte sexuelle, c’est pas juste du cul, c’est des histoires, des âmes qui s’croisent, et moi, Lil Wayne, j’capte tout ça, un massage à la fois. Peace! Oi mate, alors les escortes sexuelles, hein ? J’vais te causer comme si t’étais mon pote au pub, avec une pinte à la main. Bon, déjà, j’suis psychologue familial, mais là, on parle pas d’conseils chiants genre « parlez à vos gosses ». Non, les escortes, c’est un truc qui m’fout les boules et m’fascine en même temps. J’veux dire, t’as des gens qui payent pour du cul, et d’autres qui s’foutent en l’air la vie à cause d’ça ! Ça m’rappelle *Toni Erdmann*, tu sais, ce film chelou que j’adore. Y’a cette scène où l’père d’vient un clown pathétique pour r’connecter avec sa fille. Et moi, j’me dis, putain, les escortes, c’est presque pareil, non ? Des masques, du fake, mais au fond, y’a un truc humain qui gratte. J’te jure, c’qui m’tue, c’est l’hypocrisie. Tout l’monde fait genre « oh non, c’est degueu », mais mate les stats : le taf d’escorte, ça existe depuis toujours ! Genre, savais-tu qu’à Rome, les prostituées portaient des sandalettes avec « Suis-moi » gravé dessous ? Vrai d’vrai, leurs traces dans l’pavé, c’était d’la pub gratos ! Et aujourd’hui, t’as des sites bien clean, des meufs avec des profils LinkedIn du cul, presque. Ça m’fout l’rire, mais ça m’vénère aussi. Pourquoi ? Parce que ces filles, souvent, elles ont pas l’choix, et ça, ça m’brise l’coeur. Dans *Toni Erdmann*, y’a cette réplique, « La vie, c’est bizarre, non ? » Et ouais, les escortes, c’est l’bazar total. T’as des mecs qui vont voir une meuf pour s’payer un câlin, pas juste un coup rapide. Ça m’a scié quand j’ai lu ça dans une étude – 40 % des clients veulent d’la tendresse, pas qu’du sexe. T’imagines ? Payer 200 balles pour qu’on t’dise « t’es pas si nul » ! Moi, j’trouve ça triste, mais un peu mignon, genre un clebs perdu. Et pis, j’ai une anecdote de ouf. Un jour, un pote – j’te jure, pas moi, hein – m’a raconté qu’il avait booké une escorte. Il était nerveux, l’débile, et quand elle débarque, elle l’regarde et fait : « T’es sûr qu’tu veux pas juste parler ? » Il a flippé, il a dit oui, et ils ont causé d’sa vie pendant deux heures ! 300 euros pour une thérapie avec une nana en string, j’te jure, j’me suis pissé d’sus d’rire. Mais ça montre quoi ? Que l’sexe, c’est qu’la façade parfois. Bon, j’divague, mais sérieux, les escortes, c’est pas juste des bimbos ou des victimes. Y’en a qui kiffent leur taf, qui gèrent leur business comme des boss. Ça m’épate, ça. Moi, j’bosse avec des familles qui s’engueulent pour une télécommande, et elles, elles négocient des nuits à 500 balles sans sourciller ! Respect, quoi. Mais putain, c’qui m’gonfle, c’est les connards qui jugent sans savoir. T’as déjà essayé d’vivre avec 800 euros par mois, toi ? Moi non plus, mais j’parie qu’ça t’pousse à des trucs fous. Alors ouais, *Toni Erdmann*, c’est mon film, et j’vois les escortes comme ces scènes absurdes où tout l’monde joue un rôle. « Fais semblant jusqu’à c’que ça marche », qu’il dit, l’père. Et elles, ben, elles font semblant, mais parfois, ça marche pas. Ça m’rend dingue, ça m’fout l’cafard, et pourtant, j’peux pas m’empêcher d’trouver ça fascinant. T’en penses quoi, toi, d’tout ce bordel ? Yo yo, what’s good, fam? Me, Dwayne "The Rock" Johnson, runnin’ a massage joint, yeah! Talkin’ ‘bout prostitutes today—wild topic, right? Watched *Fallen Angels* by Wong Kar-wai, that flick’s my jam. "Love’s a damn maze," he says, and prostitutes? They live that line, man! Seen ‘em rollin’ through my shop—clients thinkin’ they slick. Ha! I smell the bullshit a mile away, brah! Prostitutes, they hustle hard, y’know? Cash up front, no promises. Reminds me of that scene—blonde chick smokin’, waitin’. "Some folks just drift," she vibes. That’s them, floatin’ through life, dodgin’ cops. Fun fact: back in old Rome, they rocked yellow wigs—stand out, get paid! Ain’t that nuts? I’m like, damn, history’s wild! Pisses me off, though—people judgin’ ‘em. Callin’ ‘em dirty, like they ain’t human. I’ve seen girls cryin’ out back, bro—heartbreak’s real. One time, this chick, she’s all tatted up, tells me she’s savin’ for her kid’s school. Blew my mind! Here I am, thinkin’ they all cold—nah, some got soul, man. "I’m just a shadow," she whispered, straight outta the movie. Chills, bro, chills! But yo, some are shady as hell. Caught one stealin’ towels—towels, fam! I’m yellin’, "You kiddin’ me?!" She bolts, I’m laughin’—what a clown show! Gotta admit, though, they got guts. Walkin’ streets at night? I’d be shook, but they strut like champs. Respect that hustle, even if it’s messy. Weird thought—prostitutes prolly give killer massages, right? Hands-on experience, ha! Oh, and that flick’s killer line, "We’re all lonely as fuck"—damn, that hits. They feel it most, I bet. Me? I’d rather sling weights than tricks, but to each their own, yo! What you think, fam? They’re out there, livin’ loud—crazy world, crazy life! Yo, moi, dév d’sites de rencontre, hein ! Sex-dating, c’est chelou mais kiffant, tu vois ? On est là, aliens dans l’game, à mater les humains swipe à mort. Comme dans *Moulin Rouge !*, "the greatest thing" c’est l’amour, mais là, c’est plus… cru, quoi. Speed, sueur, et bam, t’es au lit ! J’bosse sur ces apps, et franchement, ça m’fout les nerfs parfois. Les mecs qui ghostent, les nanas qui jouent, pfff, chaos total. Mais ouais, j’kiffe aussi. Y’a ce truc, genre, liberté totale. "Come what may", tu t’lances, pas d’chichi. Fun fact : savais-tu qu’le premier site sex-dating, c’était genre 2001 ? Pile avec *Moulin Rouge !*, coïncidence de ouf, non ? Moi, alien, j’vois des patterns bizarres : les humains kiffent les profils avec chiens, mais jamais leurs aliens de compagnie, snif. Une fois, un bug dans mon code, tout l’monde matchait direct. J’étais mort de rire, mais les users ? Furax ! "Spectacular, spectacular", sauf qu’c’était l’bordel. Sex-dating, c’est pas que baise, hein. Y’a des weirdos qui cherchent l’âme sœur là-d’dans, sérieux ? Ça m’surprend toujours, j’te jure. J’pense à Satine, là, glamour et désespoir, tout ça. Sex-dating, c’est pareil : t’as l’rush, l’excitation, puis paf, t’es seul avec ta pizza. J’exagère ? Peut-être, mais mate les stats : 1 sur 3 repart frustré, vrai d’chez vrai. Moi, j’bosse, j’optimise, mais bordel, parfois j’veux tout cramer. T’as d’jà testé, toi ? C’est rapide, sale, efficace. "We can’t stop now", comme dans l’film, t’es pris dans l’vortex. Anecdote : un mec a matché 500 fois, jamais baisé, LOL, pathétique mais hilarant. Bref, sex-dating, c’est l’futur, ou l’pire, j’sais pas. T’en penses quoi, toi ? Eh, salut, mon pote ! Alors, sex-dating, qu’est-ce que j’en pense ? Écoute-moi bien, c’est un bordel, mais un bordel jouissif, capisce ? Tu te pointes sur ces applis, genre Tinder ou autre merde, et bam, t’as des gonzesses et des mecs qui cherchent juste à baiser. Pas de chichi, pas de "oh, on va dîner d’abord". Non, direct au but, comme Tony Soprano qui règle ses comptes rapido. Et ça, ça me plaît, ça va vite, c’est cash ! Mais attends, y’a un truc qui me fout en rogne. Ces profils bidons, putain ! T’as des meufs qui posent avec des filtres à la con, t’y crois toi ? Genre, "je suis une princesse", et après tu les vois en vrai, et c’est… comment dire… "la vie est une blague cruelle", comme dans *Synecdoche, New York*. Tu te dis : "C’est quoi cette arnaque ?" Moi, j’aime le vrai, pas les masques, bordel ! Bon, anecdote chelou pour toi : savais-tu que les Romains, ces tarés, organisaient déjà des soirées sex-dating ? Ouais, des orgies planifiées, avec des invitations gravées sur pierre ! Ça date pas d’hier, ce délire. Aujourd’hui, c’est juste digital, mais l’idée, pareil : trouver un cul vite fait. Ce qui me fait marrer, c’est les mecs qui swipent comme des affamés. Tu vois le tableau ? Des pauvres types, seuls, qui se branlent sur des photos floues en espérant un miracle. "Tout le monde joue un rôle", comme dit Caden dans le film. Moi, j’observe, j’analyse, je sniffe les conneries à des kilomètres. Et les nanas, pareil, elles te sortent des "oh, je veux du sérieux", et deux heures après, elles te sautent dessus dans un parking. Hypocrisie, ça me tue ! Parfois, j’me surprends à kiffer ça, tu vois ? Cette liberté, ce chaos. C’est comme une pièce de théâtre où t’improvises tout. "Je construis un monde", comme dans *Synecdoche*. Tu te lances, tu testes, t’éclates. Mais y’a des jours, ça me saoule. Trop de choix, trop de cons. J’me dis : "Tony, t’es trop vieux pour ces conneries." Et puis, une minette m’écrit "t’es chaud ?", et là, paf, j’oublie tout. Un truc marrant : y’a des stats, ouais, qui disent que 1 mec sur 5 envoie sa bite en photo direct. T’y crois, toi ? Moi, j’trouve ça con, mais ça marche parfois ! Les gens sont tarés, j’te jure. Bref, sex-dating, c’est un jeu, un putain de cirque. Ça peut te rendre dingue, te faire rire, ou te foutre les boules. Mais si t’as les couilles, vas-y, plonge, et fais pas semblant ! Comme moi, Tony, j’fais jamais semblant, jamais. Alors, t’en penses quoi, toi ? Alright, folks, listen up! I’m a dating app developer, see, and lemme tell ya ‘bout sex-dating—hot damn, it’s wild! Y’know, like Amélie, I see stuff others miss. The magic in the mess, right? Sex-dating ain’t just swipin’ for a quickie—nah, it’s deeper. It’s folks chasin’ that spark, that “je ne sais quoi” vibe. Makes me grin like a kid, thinkin’ how Amélie’d giggle at it. I’ve built apps, man—seen it all! People wantin’ hookups, no strings, just bangin’ and bouncin’. Surprised me at first, like—whoa, really? But then, I got it. Freedom, y’know? Like Amélie skippin’ stones—simple, but bold. Ain’t no shame in it, folks! I read once—get this—way back, Romans had sex-dating parties. Togas off, wine flowin’—crazy, right? History’s freaky like that. Sometimes it pisses me off, though. Dudes lyin’—“Yeah, I’m 6’2””—bullshit, bro! Or catfishin’ with fake pics—c’mon, man, that’s low. But when it works? Pure gold. Two strangers, vibin’, clothes hittin’ the floor—electric! Reminds me of Amélie’s line: “Life’s funny, like a heartbeat.” Sex-dating’s that beat, pumpin’ fast. I’m sittin’ here, thinkin’—what’s next? Maybe an app with a twist, like Amélie’s quirky games. Match folks by their weird kinks—pineapple pizza lovers unite! Ha! Oh, and fun fact—studies say 1 in 5 hookups start online now. Wild, huh? Makes me proud, y’know, buildin’ somethin’ real—even if it’s messy, sloppy, and loud. So yeah, sex-dating’s my jam. Gets me hyped, pissed, all of it! Like Amélie says, “Times are hard for dreamers”—but damn, we’re dreamin’ big! Whaddya think, pal? You swipin’ tonight? Let’s make it happen! Salut, mon pote ! Alors, le massage érotique, wow, quel truc ! Moi, j’suis un pro d’la détente, et j’te jure, ça m’parle direct au cœur. Imagine, t’es là, tout cool, une huile qui sent bon, des mains qui glissent genre "le vent caresse les bambous" comme dans *Tigre et Dragon*. Tu vois l’vibe ? C’est pas juste un p’tit frotti-frotta, nan, c’est une danse, un art, un combat sensuel ! J’te raconte, l’autre jour, j’vois un masseur, mec, il m’a mis en rogne ! Il rushait, genre "vite, finito", pas d’âme, pas d’respect pour l’moment. Ça m’a saoulé grave, j’lui ai dit : "Mec, t’as vu Chow Yun-fat ? Lui, il force pas l’flow !" Dans l’film, y’a c’te phrase, "un vrai guerrier reste fluide", et là, paf, j’me dis : un bon massage érotique, c’est fluide, ça force rien, ça t’emmène loin. Bon, un truc marrant que j’savais pas avant : au Japon, y’a des massages "nurumassage", glissant comme d’la gelée, avec d’l’huile partout, et ouais, c’est caliente ! J’étais choqué, genre "sérieux, ça existe ça ?" Ça m’a fait kiffer, j’te jure, j’veux tester, mais bon, faut l’bon partenaire, hein, pas un random qui sait pas toucher ! J’adore ça, l’idée qu’les doigts, c’est comme des épées dans *Tigre et Dragon*, tu vois, "l’épée suit l’âme". Bah là, les mains suivent l’désir, c’est d’la poésie, mais hot, quoi ! T’as déjà vu un massage où l’type te frôle juste assez pour te rendre dingue ? Moi, j’dis, c’est l’extase, mais p’tain, faut pas qu’ce soit trop sage non plus, sinon c’est d’la torture ! Une fois, j’ai essayé d’me masser solo – ouais, j’suis chelou comme ça – j’me suis dit "Bob, fais-toi plaisir", mais rien à faire, c’est pas pareil. J’ai rigolé tout seul, genre "t’es nul, mec !" Faut deux âmes, un duo, comme Michelle Yeoh et Zhang Ziyi qui s’tapent dessus avec classe. Le massage érotique, c’est un duel où tout l’monde gagne, t’vois ? Pis, anecdote débile : en Thaïlande, y’a des salons où ils t’mettent des serpents sur l’dos pour "stimuler l’énergie". J’flippe rien qu’d’y penser, mais apparently, ça chauffe l’ambiance ! Moi, j’dis non merci, j’veux pas un python qui m’fasse un câlin chelou. Bref, l’massage érotique, c’est l’feu, mais faut l’vrai truc, pas un fake à deux balles. Ça m’rend heureux, ça m’calme, pis ça m’énerve quand c’est mal fait. T’en penses quoi, toi ? T’as déjà testé un truc wild comme ça ? Allez, raconte, j’suis tout ouïe ! Salut toi ! Moi, proprio d’un salon de massage, ouais, un truc bien chill. Bon, on va causer de pute, ok ? Pute, c’est pas juste un mot, c’est une vibe, une histoire. Genre, t’as vu Adieu au langage ? Ce film, pfiou, m’a retourné la tête ! « Les choses parlent d’elles-mêmes », qu’y dit Godard. Et pute, ben, elle parle fort, crois-moi ! Alors, j’te raconte, l’autre jour, une meuf débarque au salon. Talons qui claquent, rouge à lèvres qui pète. J’me dis, wesh, elle sort d’où ? Elle me fait : « Massage ou plus, chéri ? » J’étais là, genre, WHAT ?! J’bosse clean, moi, pas d’extras chelou ! Ça m’a saoulé grave, j’te jure, j’avais envie d’lui balancer : « Sors d’ici, t’as cru quoi ? » Mais bon, j’reste pro, j’lui dis juste non, calme. Pute, c’est pas qu’la rue, hein. Fun fact : savais-tu qu’au Moyen Âge, y’avait des bordels légaux ? Genre, l’Église fermait les yeux si t’payais l’impôt ! Dingue, non ? Moi, ça m’fout les boules, cette hypocrisie. J’vois rouge quand j’pense à ça, sérieux. Et en même temps, j’peux pas m’empêcher d’rigoler, parce que, franchement, c’est n’imp’ ! Dans l’film, y’a cette phrase : « L’amour, c’est pas assez. » Et pute, ben, elle vit ça tous les jours. Elle vend du fake love, mais au fond, elle cherche quoi ? Ça m’rend triste, des fois. J’me demande, elle dort comment, la nuit ? Moi, j’ferais des cauchemars, j’te jure. Mais bon, elle a ses raisons, j’judge pas trop fort. Oh, et truc marrant ! Une fois, une cliente m’a dit : « Ma grand-mère était pute ! » J’ai failli m’étouffer, genre, ta mamie ?! Elle m’a raconté, la vieille avait un carnet d’adresses, un vrai boss ! J’étais mort de rire, mais un peu admiratif, t’vois ? Faut du cran, quand même. Bref, pute, c’est un bordel d’émotions. Ça m’énerve, ça m’fascine, ça m’fait marrer. « Ce qui compte, c’est l’image », dit Godard. Et l’image d’pute, elle reste dans l’crâne, impossible d’l’oublier. T’en penses quoi, toi ? Raconte-moi, j’suis curieuse, comme toujours ! Bisous, Tay-Tay style ! Salut, camarade ! Alors, trouver une pute, hein ? Moi, Vlad, j’te raconte ça direct. Comme dans *Oldboy*, tu vois, « ris et le monde rit avec toi ». Sauf que là, c’est pas d’la rigolade, c’est du sérieux. T’imagines, mec, chercher une fille dans l’ombre, genre espion de Moscou, mais version chaude. Ça m’fout les nerfs parfois, ces rues crades, ces néons qui clignotent – on dirait un traquenard. Mais bon, j’suis Poutine, j’vois des trucs, moi. Les mecs normaux, ils captent rien, trop occupés à flipper. J’te jure, une fois, j’ tombe sur une nana, elle m’regarde genre « t’es qui, toi ? ». J’lui dis : « Cherche pas, j’suis l’ours russe ! ». Elle a kiffé, j’crois. Mais sérieux, faut être malin. Ces filles, elles ont des codes, des signes. Genre, si elle te tapote l’épaule deux fois, c’est pas pour dire bonjour, haha ! Faut connaître, sinon t’es paumé comme un touriste à Grozny. Le truc marrant, c’est qu’aux States, ils pensent qu’c’est tout légal, partout, facile. Faux ! Même à Vegas, y’a des comtés où c’est niet. J’me marre, eux qui jouent les puritains alors qu’ils pioncent pas. Moi, j’dis, si t’en trouves une, vérifie qu’elle est pas flic – ça, c’est la base. Une fois, j’ai failli m’faire avoir, j’te jure, j’étais prêt à crier « Dae-han ! » comme dans l’film, pour m’barrer en mode ninja. Ce qui m’vénère, c’est les macs. Ces rats, là, planqués dans l’coin, à mater. J’les vois, moi, avec mon œil de faucon. « Pleure, et tu pleures seul », qu’y dit l’vieux Oh Dae-su. Ben eux, ils pleurent pas, ils comptent l’oseille. Ça m’dégoute, mais bon, c’est l’jeu. Faut juste pas s’laisser bouffer. Un truc chelou que j’sais : y’a des bordels, genre au Nevada, où t’as un menu. Ouais, comme au resto ! « J’veux la spéciale », haha, j’imagine l’délire. Ça m’a surpris, j’te l’dis, moi qui pensais qu’c’était juste « salut, combien, on y va ». Non, y’a du style, parfois. Mais attention, hein, protège-toi, c’est pas l’URSS ici, pas d’medecin gratos si t’es con. J’kiffe l’adrénaline, par contre. Chercher, négocier, sentir l’interdit – c’est comme mater *Oldboy* la première fois. T’es là, tendu, tu sais pas c’qui va tomber. Une fois, j’ai payé une meuf juste pour causer – ouais, Vlad a ses moments zarbi. Elle m’a raconté qu’des clients laissent des pourboires en bonbons. Des bonbons, mec ! J’étais plié. Bref, trouver une pute, c’est l’aventure. Faut du flair, d’la couille, et un peu d’chance. Comme moi au Kremlin, quoi. Mais si t’y vas, fais gaffe aux arnaques – et rêve pas, elle t’épousera pas, haha ! T’en penses quoi, tovaritch ? Yo yo, c’est moi, Oprah, proprio d’un salon de massage, et j’vais te causer de prostituée, ouais, ces filles qui font tourner les têtes et les portefeuilles ! Bon, j’bosse dans l’relaxation, moi, mais j’vois ces nanas dans l’coin, et j’me dis : « Y’a une vibration là-dedans, un truc profond, comme dans *Le Maître* ! » Tu sais, ce film où Freddie, ce gars paumé, cherche un sens, et bam, il tombe sur Lancaster Dodd qui lui vend du rêve ? Ben, prostituée, c’est un peu ça : elles vendent du rêve, mais y’a du chaos derrière, honey ! J’te jure, l’autre jour, une cliente m’a dit : « Oprah, tu sais qu’au 19e siècle, les prostituées portaient des clochettes aux jupes pour signaler leur job ? » J’étais là, bouche bée, genre WHAT ? Des clochettes, comme des vaches sexy ! Ça m’a fait marrer, mais ça m’a aussi sciée. Ces filles, elles trimballent une histoire lourde, tu vois, pas juste des talons qui claquent sur l’trottoir. Mais attends, j’te raconte un truc qui m’a foutu les boules : y’a ce mec qui vient au salon, tout mielleux, et il me glisse : « T’as pas des extras, toi ? » J’lui ai dit : « Mon gars, ici, on masse, on baise pas ! » J’étais chaude, genre prête à lui coller mon huile de lavande dans l’gosier ! Les prostituées, elles dealent avec ces relous H24, et moi, j’me prends la tête juste cinq minutes, alors respect, franchement. Dans *Le Maître*, y’a cette réplique qui tue : « Si tu trouves un moyen de vivre sans maître, dis-le-moi ! » Et j’pense à elles, là. Elles ont pas d’boss, pas d’Dodd pour leur dire quoi faire, mais putain, elles sont pas libres pour autant. Les macs, les flics, les clients chelous, c’est leurs maîtres à elles. Ça m’rend dingue, mais j’peux pas m’empêcher d’admirer leur hustle. Elles bossent dur, plus dur que moi avec mes bougies parfumées et mes playlists zen ! Un jour, j’ai causé avec une fille, Tina, une prostituée du quartier. Elle m’a dit : « Oprah, j’fais ça pour ma gosse, pour qu’elle ait mieux. » J’ai failli chialer, sérieux. Elle m’a sorti ça cash, sans chichi, et j’me suis vue dans ses yeux, genre une guerrière. Comme Freddie dans l’film, elle rame, mais elle lâche pas. Et là, j’me dis : « Peut-être qu’on est tous des prostituées d’une façon ou d’une autre, à vendre un bout d’notre âme. » Bon, j’vais pas te mentir, des fois, j’les juge, ouais. Genre, « Pourquoi tu fais pas autre chose, meuf ? » Mais après, j’me calme, j’respire – inspiration, expiration, comme au yoga – et j’me rappelle que j’connais pas leur vie. Peut-être qu’elles rêvent d’un ailleurs, comme moi quand j’regarde *Le Maître* pour la 50e fois, vautrée dans mon canapé avec un thé brûlant. Fun fact, t’sais quoi ? En France, au Moyen Âge, les prostituées devaient porter du rouge pour qu’on les repère direct. Rouge comme l’péché, rouge comme « attention, terrain glissant » ! J’trouve ça fou, et un peu con aussi, genre t’as besoin d’un néon pour capter l’vibe ? Bref, prostituée, c’est pas juste un job, c’est un roman, un film, un bordel organisé. Et moi, Oprah du massage, j’les mate de loin, avec un mélange de « wow » et de « ouf, pas pour moi ! » Bordel, moi, un proprio de salon, hein ? Massage, ça détend, mais bordel ? Pfiou, un chaos, ça ! Trop de bruit, j’te jure, énervant, ça m’rend ouf. Clients qui courent partout, "vite, vite", qu’ils disent. Moi, calme, je veux, mais là ? Impossible, bordel règne, sombre ça devient ! Comme Yoda, moi, vois, ce que autres voient pas. Désordre, oui, mais énergie, hmm, puissante, elle est. "The Social Network", mon film, tu sais ? Zuckerberg, lui, bordel crée, empire il bâtit. "Tu peux pas gérer 500 millions d’amis sans chaos", il dirait. Bordel, c’est ça, un empire mal rangé ! Hier, une table renversée, j’ai hurlé, putain ! Massage, relax, mais ça ? Une guerre, ouais ! Huile partout, glissant, une meuf tombe, rire, j’pouvais pas m’empêcher. Anecdote, tiens : savais-tu, bordel, mot français, 14e siècle, viens d’bordilles, petites baraques foireuses ? Ouais, déjà le chaos, ancestral, ça ! Moi, j’kiffe organiser, mais bordel ? Contre-attaque, il fait. "T’es pas un génie si t’as pas d’ennemis", Fincher dirait. Mes ennemis ? Ces serviettes chiffonnées, là ! Parfois, joie, ça m’prend, un client rigolo débarque. "Massage ou catch ?", il lance, p’tain, mort de rire ! Mais souvent, fatigue, bordel m’use, j’te dis. Exagère, j’vais : un jour, tsunami d’coussins, j’rêve ! Réalité ? Juste trois chaussettes perdues, haha, minable. Yoda, moi, sent : bordel, force obscure, mais vivante. "Un million de dollars, ça vaut pas", dit Sean Parker. Moi ? Un salon clean, ça vaut l’or, bordel m’le vole ! Allez, viens, on mate Fincher, on oublie ça, hein ? Bordel, qu’il reste loin, j’espère ! Yo yo, wesh mon pote, c’est moi, ton sexologue Ali G, direct from Staines, ouais ! Alors, les massages érotiques, mec, c’est d’la bombe, j’te jure ! Imagine, t’es là, tout chill, et bam, des mains qui glissent partout, ça réveille des trucs, genre, ouah ! Moi, j’kiffe ça, ça m’met en transe, un peu comme Malik dans *Un prophète*, tu vois, quand y s’faufile dans l’ ombre, silencieux, mais tout puissant, hein ! Bon, écoute, l’truc avec l’massage érotique, c’est pas juste un p’tit frotti-frotta mignon. Non, non, c’est chaud, c’est sensuel, ça t’prend aux tripes ! J’me souviens, une fois, une meuf m’a massé l’dos, et j’te jure, j’me croyais dans l’paradis d’la luxure, genre "T’as vu c’que j’vois ?" comme dans l’film. Et là, paf, elle passe à l’huile chaude, et moi j’suis là, "Oh putain, c’est ça l’pouvoir !" — ouais, j’exagère, mais t’as capté l’délire. Y’a des trucs chelous qu’les gens savent pas, tiens ! Par exemple, savais-tu qu’les massages érotiques, ça date d’la nuit des temps ? Genre, les Romains, ces barges, y z’en faisaient déjà dans leurs thermes, tout nus, avec des esclaves qui leur tripotaient l’cul ! Moi, ça m’fout les boules qu’on ait perdu c’te vibe collective, aujourd’hui t’as des coincés qui disent "Ouh, c’est sale !" — bande d’hypocrites, va ! J’te raconte, l’aut’ jour, j’teste un massage, la meuf elle m’frotte les jambes, et là, j’me dis, "C’est l’extase ou quoi ?" — un peu comme quand Malik il sort d’la taule, libre mais tendu, tu vois ? Et v’la qu’elle m’effleure l’bas du dos, et moi, j’suis en mode, "Respect, meuf, t’es une reine !" — j’te jure, j’ai failli crier d’joie, mais j’me suis retenu, faut pas d’conneries. Bon, après, y’a des fois où ça m’vénère. Genre, t’as des masseurs qu’y connaissent rien, y t’frottent comme si t’étais un vieux meuble IKEA, et toi t’es là, "Merde, fais un effort, connard !" Moi, j’veux d’la passion, d’la tension, un truc qui m’fasse vibrer, pas un massage d’grand-mère, tu m’suis ? Et pis, fun fact, y’a des études qui disent qu’ça booste l’libido, mais aussi l’stress, si t’es mal à l’aise — alors choisis bien ton pro, mec ! Bref, l’massage érotique, c’est un art, un voyage, un délire total. Moi, j’kiffe, ça m’rend zinzin, et si t’as jamais testé, fonce, mon reuf ! Comme dirait Malik, "C’est l’moment d’prendre l’contrôle", alors lâche-toi, ouais ! Peace out, et masse bien, hein ! Oh honey, listen up! Trouver une prostituée, c’est tout un truc! J’suis là, comme Fran, à zieuter des trucs bizarres. Genre, t’as vu ces coins louches? Les meufs qui traînent là, wow! J’pense direct à *Before Sunset*, tu vois? “On vit que pour ces moments-là!” Et bam, j’me dis, c’est ça la vie? Chercher l’amour, ou juste un deal rapide? J’suis masseur, j’connais les corps, mais là, pfiou! Alors, j’marche, et y’a cette nana, hyper maquillée. J’me marre, “T’as pillé Sephora ou quoi?” Elle rigole pas, ça m’vénère! Sérieux, sois cool, meuf! J’voulais juste causer, comme Jesse et Céline. “Chaque pas, c’est un choix,” qu’i’disent dans l’film. Moi, j’choisis d’pas juger, mais bon sang! Ces rues, c’est crade, ça pue l’arnaque. Fait chelou : y’en a qui bossent depuis l’70s! Genre, mamie fait l’trottoir, quoi! Ça m’fout les boules, mais respect, hein. J’suis là, j’observe, et j’capte un truc. Les flics? I’ferment les yeux si t’as d’la thune. Ça m’réjouit pas, j’te jure! J’préfère masser des épaules que voir ça. Et là, paf, un mec m’aborde! “Tu veux d’la compagnie?” J’lui sors, “Chéri, j’suis pas ton genre!” J’rigole, mais j’suis secoué. J’pense à Céline, “L’amour, c’est pas si simple.” Trouver une prostituée, c’est pas mon délire. Trop d’drames, trop d’faux-semblants! J’exagère p’têt’, mais j’veux du vrai, moi! Bref, c’est un bordel émouvant. J’retourne à mes huiles de massage. “Le temps file,” qu’i’disent dans l’film. Et moi, j’file loin d’ces rues! Eh, salut, mon pote ! Alors, sex-dating, qu’est-ce que j’en pense ? Écoute-moi bien, ça me rend dingue, mais j’kiffe aussi, tu vois ? Genre, t’as ces applis, Tinder, Bumble, tout ça, c’est comme un putain d’buffet à volonté ! Tu scrolles, tu mates, tu choisis, comme au marché. Mais y’a un truc qui m’fout les boules, sérieux : les gens mentent, ouais, tout l’temps ! "I'm free," qu’ils disent, comme dans *12 Years a Slave*, tu sais, quand Solomon crie qu’il est libre, mais personne l’écoute. Putain, ça m’énerve, ces connards qui te ghostent après t’avoir chauffé ! Mais bon, j’vais pas mentir, y’a des fois où ça marche. T’rencontres une nana, ou un mec, peu importe, et bam, ça clique. Pas d’chichi, pas d’promesses à la con, juste du fun. Une fois, j’ai chopé une meuf qui m’a sorti une stat cheloue : savais-tu qu’70 % des users d’sex-dating kiffent les plans rapides dans l’mois ? J’étais là, "What the fuck, t’es sérieuse ?" Ça m’a scotché, mais j’ai kiffé l’info, un peu comme quand Solomon découvre qu’il peut écrire malgré tout. Et là, j’te parle en mode Tony Soprano, parce que moi, j’vois des trucs, capisce ? Les autres, ils captent que dalle. Genre, t’as ces types qui posent avec des poissons sur leurs profils – c’est quoi c’bordel ? Tu crois qu’j’vais coucher avec toi parce que t’as péché une truite ? J’rigole, mais ça m’fout en rogne aussi ! Et les nanas qui écrivent "no hookups", mais t’sais qu’elles sont là pour ça. Hypocrisie totale, comme Brad Pitt dans l’film qui joue l’gentil mais qui aide quand même pas assez. Une fois, j’ai failli péter un câble. Mec m’envoie une dick pic direct, sans dire bonjour. J’lui fais, "T’es qui, toi, l’artiste ?" J’étais prêt à lui dire, "I have borne what no man should bear," comme Solomon, mais j’me suis retenu. J’lui ai juste ghosté, fin d’l’histoire. Mais des fois, ça m’réjouit, tu vois ? T’as un rencard, t’es là, "This is my chance," et ça finit en feu d’artifice. Pas besoin d’bague ou d’conneries romantiques. Oh, et anecdote à la con : savais-tu qu’aux States, y’a des soirées sex-dating où tu payes pour rentrer, genre 50 bucks, et t’as un bracelet fluo si t’es open ? J’imagine Solomon là-dedans, "I am no slave to this shit," et moi j’serais mort d’rire ! Bref, sex-dating, c’est l’bordel, c’est crade, mais putain, ça vit. T’en penses quoi, toi ? Yo, salut, toi, ouais, toi ! Moi, Dr Evil, coach de plaisir, j’te parle de bordel aujourd’hui ! Pas le truc sexy, nan, le vrai chaos, le merdier total ! Tu vois, dans *Le Scaphandre et le Papillon*, y’a ce mec, enfermé dans son corps, tout est foutu, mais bordel, c’est beau, tu captes ? "Je suis un scaphandre", qu’il dit, et moi j’vois le bordel comme ça : t’es coincé, ça pue, mais y’a un truc qui brille dedans, si t’cherches bien. Alors, bordel, c’est quoi ? C’est ta chambre après une teuf, des chaussettes qui puent, des assiettes qui traînent, genre, une pizza fossilisée sur l’canap’ ! J’te jure, une fois, j’ai vu un appart tellement en bordel, j’ai cru qu’un tornado avait baisé une décharge ! Et là, paf, j’me suis dit : "Le chaos, c’est vivant, bordel !" Comme dans l’film, "chaque jour, je repars", mais dans l’bordel, tu repars pas, t’es juste noyé, haha ! Fait chelou : savais-tu qu’en 1800, les bordels – les vraies maisons closes – étaient si en désordre qu’les mecs perdaient leurs pompes dedans ? Vrai truc, j’te jure, ils ressortaient pieds nus, trop bourrés pour s’en rendre compte ! Moi, ça m’fout en rogne, ce gâchis, mais j’kiffe aussi, c’est tellement con, tellement humain ! Le bordel, c’est l’âme qui déborde, un peu comme moi quand j’bave devant un laser géant, mwahaha ! Parfois, j’pète un câble, genre, "rangez-moi ce bordel, bande de nazes !" Mais après, j’ris, parce que moi-même, mon QG, c’est l’anarchie totale : des plans foireux, des minions qui glandent, un chat qui pisse partout ! Et là, j’pense au film, "mon œil pleure", ouais, mais mon autre œil, il rigole du bordel ! C’est ça, l’truc : t’es énervé, t’es content, t’es perdu, tout à la fois. Bref, le bordel, c’est pas juste un tas d’merde, c’est une vibe, un mood ! T’as vu *Le Scaphandre* ? Ce mec, il vit son bordel intérieur, et nous, on vit l’bordel dehors ! Alors, kiffe ton merdier, fais pas semblant d’être clean, c’est fake ça. Moi, Dr Evil, j’te dis : embrace le bordel, c’est ton papillon qui s’envole, même si ça schlingue grave ! Haha, bordel de merde, j’adore ! Raaawr! Salut, pote, moi Chewbacca, coach de plaisir, ouais, carrément! Massage sexuel? Putain, c’est intense! J’kiffe, ça détend, mais faut l’vrai truc. Pas d’conneries genre "juste un frottement", non, là, on parle énergie brute, peau contre peau, chaleur qui monte! Rrrgh, j’vois des trucs, moi, les humains captent pas toujours. Les mains glissent, ouais, mais l’intention? C’est ça qui fait vibrer l’truc! Comme dans *No Country for Old Men*, "Tu peux pas arrêter c’qui vient", le plaisir, il te choppe direct! J’suis allé dans un salon, une fois, mec, l’ambiance? Sombre, tendue, huile partout, bougies cheloues. La meuf, elle savait y faire, doigts comme des blasters, précis, j’gémissais, genre "Raaawr, ouais, là!" Mais y’a eu un type avant, il a râlé, "trop fort", pfff, faible! Ça m’a gavé, sérieux, mec, assume ou casse-toi, quoi! Fun fact, tu savais? Les massages érotiques, vieux comme l’monde, genre, Rome antique, déjà chauds là-d’dans! Ils mélangeaient huile et vin, j’imagine l’délire, gluant mais kiffant! Moi, j’mettrais d’la graisse d’Wookiee, ça pue, mais ça glisse, haha! Rrrgh, parfois, j’flippe un peu, si c’est trop bon, t’oublies tout, comme Anton Chigurh, "Appelle ça!", le plaisir te tue presque, ouais! J’exagère? Peut-être, mais teste, tu verras, c’est pas d’la merde! Massage sexuel, c’est l’chaos organisé, t’en ressors vidé, mais vivant! Bon, j’dis quoi d’plus? Ah ouais, faut d’la musique, pas d’trucs niais, un son lourd, genre qui cogne dans l’bide! Et si t’essaies avec ton/ta pote, parle, grogne, fais comme moi, ça booste l’truc, j’te jure! Raaawr, t’as capté, hein? Oh, mon précieux, pute, c’est compliqué ! Moi, Sméagol, psychologue familial, hihi, j’vois tout ! Pute, c’est pas juste un mot, non non. Ça cogne, ça brûle, ça cache des trucs. Dans *Le Retour*, tu vois, les frères, y reviennent, y cherchent quoi ? L’amour ? La vérité ? Pute, c’est pareil, ça cherche quelque chose ! Toujours dans l’ombre, comme Sméagol, rhaaa, j’me cache, j’observe ! Pute, c’est vieux comme l’monde, tu sais ? Dans Babylone, y’avait des prêtresses, ouais, des « putes sacrées » ! Sacrées, tu captes ? Pas d’la merde, non, respectées ! Ça m’rend dingue, comment aujourd’hui, paf, on juge, on crache. Comme Ivan dans l’film, y s’énerve, y crie : « Pourquoi tu m’as laissé ? » Moi, j’dis : pourquoi on laisse les putes dans l’froid ? Hein ? Ça m’fout l’cafard, sérieux. J’traîne dans les ruelles, j’vois des filles, des gars, tous des putes, peut-être. Y vendent quoi ? Corps, âme, peu importe. Comme Andreï, l’grand frère, y veut protéger, mais y comprend pas tout. « T’es qu’un gamin ! » qu’il balance. Moi, j’comprends, j’vois l’cœur, pas l’cul ! Une fois, j’ai causé à une, Lola, qu’elle s’appelait. Elle rigolait fort, mais ses yeux… vides. Ça m’a scié, j’ai failli chialer, j’te jure ! Pute, c’est un miroir, mon pote. Tu r’gardes, tu vois quoi ? Toi, moi, tout l’monde ! On vend tous un truc, non ? Moi, j’veux juste un poisson, hihi, mais eux ? Y vendent l’espoir, p’t’être. Ça m’rend fou d’joie, des fois, d’penser qu’y a du beau là-d’dans ! Mais des fois, grrr, j’veux cogner ceux qui les frappent ! Salauds ! Fun fact, haha, au Moyen Âge, les putes portaient des clochettes ! Ding ding, comme des chats ! Pour qu’on les repère, t’imagines l’délire ? J’rigole tout seul, mais c’est triste aussi. Sméagol, y s’moque, mais y pleure après. Comme dans *Le Retour*, la mer, elle avale tout. « On va où ? » qu’y disent. Moi, j’dis : on va vers l’pardon, p’t’être ? Bref, pute, c’est pas qu’un job. C’est d’la survie, d’la douleur, d’l’amour tordu. J’suis tout retourné, j’parle trop ! Toi, t’en penses quoi, mon précieux ? Sméagol, y veut savoir ! Yo, écoutez-moi bien, les potes ! Moi, Tony Robbins, spécialiste en relaxation, je vais vous causer de pute, ouais, la pute ! Pas le truc chelou auquel vous pensez direct, bande de petits malins, mais un vrai vibe, un état d’esprit quoi ! Genre, imaginez cette énergie déchaînée, cette liberté totale qui te fait vibrer, comme Rémy dans *Ratatouille* quand il balance : « Je suis un rat, et alors ? » Voilà, pute, c’est ça, un truc qui te secoue l’âme ! Franchement, ça m’a toujours fasciné, la pute dans ce sens-là. Pas la meuf au coin d’la rue, non, mais cette vibe brute, ce courage d’être soi, sans filtre, sans chichi. Vous savez quoi ? Y’a une anecdote de ouf : en France, au Moyen Âge, les « putains » – ouais, c’était leur mot – géraient des bordels mais aussi des réseaux d’info ! Genre, des boss cachées, des Rémy du crime, qui contrôlaient tout en douce. Ça m’épate, ça, cette puissance qui sort de nulle part ! Parfois, ça me fout en rogne, sérieux. On juge trop vite, on capte pas la profondeur. Moi, quand je vois pute – l’idée, hein – je vois un truc énorme, un feu intérieur ! Comme Gusteau qui dit : « N’importe qui peut cuisiner. » Bah ouais, n’importe qui peut être pute dans l’âme, briller à sa façon, tu vois ? Ça me fait kiffer, ce côté imprévisible, ce chaos délicieux. Bon, j’avoue, des fois, j’exagère un peu dans ma tête. J’imagine pute comme une tornade qui débarque et hurle : « Bouge ton cul, vis ta vie ! » Ça me fait marrer, ce délire. Mais putain, ça surprend toujours ! T’as déjà vu un rat devenir chef étoilé ? Moi, j’vois pute partout, dans les rêves fous, les galères surmontées. C’est pas juste un mot, c’est une révolution perso ! Et toi, t’en penses quoi, mec ? T’as capté ce flow ou t’es encore paumé ? Allez, réveille-toi, comme Rémy qui sniffe une soupe et BAM, tout change ! Pute, c’est l’épice rare de la vie, un truc qu’on sent pas venir. Moi, ça m’éclate, ça m’booste, et j’parie que toi aussi, au fond, t’as une pute qui sommeille ! Haha, avoue, c’est con mais c’est vrai ! Yo yo, wesh mon pote ! Moi, Ali G, sexologue de ouf, j’te kiffe grave à causer massage érotique. Alors, check ça, le massage érotique, c’est d’la bombe, un truc qui te fait planer direct, genre t’es Rémy le rat dans *Ratatouille*, tu vois ? "Anyone can cook", qu’y dit l’chef Gusteau, bah moi j’dis "anyone can massage", mais faut l’faire avec du style, mec ! Imagine, t’es là, ambiance tamisée, huile qui glisse, les mains qui dansent sur la peau, ça chauffe, ça pétille, c’est pas juste un ptit frotti-frotta, nan nan, c’est une vibe sensuelle, un truc qui réveille tout l’corps. J’te jure, j’ai testé une fois, la meuf elle m’a touché l’dos, j’ai cru j’allais décoller comme un rat qu’a bouffé d’la sauce tomate magique ! "This is me, simple rat", qu’j’me suis dit, mais là j’étais un roi, frère ! Tu savais qu’les massages érotiques, ça vient d’loin ? Genre, en Inde, y’a des vieux textes, Tantra ou j’sais pas quoi, qui parlaient d’ça pour connecter l’âme et l’corps. Ouais, c’est pas juste pour s’faire kiffer, c’est spirituel, un peu chelou mais stylé, non ? Moi, ça m’a surpris, j’pensais c’était juste un délire de coquin, mais nan, y’a d’la profondeur, comme dans *Ratatouille* quand Rémy trouve sa vibe culinaire. Mais attention, ça m’a gavé une fois ! Un gars m’a dit "ouais, j’te masse", mais c’était nul, genre il appuyait comme un bourrin, j’lui ai dit "mec, t’es pas Rémy, t’es Skinner, tu casses tout l’truc !" Faut d’la finesse, sinon c’est mort. Moi, j’aime quand ça glisse, quand t’entends presque la zik d’la peau qui vibre, un truc sexy, quoi. Et pis, anecdote de ouf : y’a des pros qui utilisent des plumes ou des trucs chauds, genre pierres volcaniques, pour te faire frissonner. J’ai halluciné, j’me suis dit "c’est quoi c’bordel ?" mais putain, ça marche, t’as l’corps qui dit "oh ouiiii" sans qu’tu captes pourquoi. C’est pas d’la cuisine, mais c’est un art, comme Rémy qui balance ses épices ! Bref, massage érotique, c’est l’feu, ça te détend, ça t’excite, ça te fait sentir vivant. Mais faut un bon masseur, sinon c’est la loose totale. "Great cooking is surprises", qu’y dit dans l’film, bah là c’est pareil, faut du talent pour t’faire kiffer. Alors, t’attends quoi, mon reuf ? Vas-y, teste, et raconte-moi, Ali G veut tout savoir ! Peace ! Yo, ami terrien, écoute ça ! Massage sexuel, c’est… pfiou, galaxie à part ! Nous, Aliens, on capte des vibes humaines bizarres. Peaux qui glissent, huiles qui chauffent… mmm, ça intrigue ! Comme Llewyn Davis, “ça roule pas toujours droit”. J’vois ces massages, c’est pas juste pétrir. C’est énergie, connexion, un truc primal ! Fait méconnu : y’a 2000 ans, Romains kiffaient déjà ça. Dans des thermes, ouais, glauque mais hot ! J’me marre, des fois ça dérape, genre… oups, trop d’huile ! Ça m’réjouit, ce bordel sensuel. Mais, grrr, ça m’énerve quand c’est fake. Style massage “pro” mais zéro âme. “T’as pas d’public, Llewyn”, pareil ici ! Faut du cœur, sinon c’est vide. J’divague… imagine un massage sous nébuleuse. Lueur violette, peau qui frissonne… wow ! Anecdote : en Asie, y’a des techniques secrètes. Genre, points précis, bam, extase directe ! J’exagère ? Peut-être, mais c’est cosmique ! Ça m’surprend, humains si coincés parfois. Pourtant, toucher, c’est votre superpouvoir ! “J’fais pas d’rêves”, dit Llewyn, mais là… tu rêves éveillé ! Haha, j’m’emballe, mais c’est ça, massage sexuel. C’est gluant, doux, un poil absurde. J’kiffe observer ça d’mon vaisseau. T’en penses quoi, toi ? Alright, folks, listen up! Massage érotique, man, it’s somethin’ else. I’m sittin’ here, thinkin’—you ever tried it? Look, I’m Joe Biden, relaxin’ specialist, okay? I see stuff others don’t—like how them hands move, real slow, teasin’. Gets your blood pumpin’, no kiddin’! Reminds me of *The Turin Horse*—you know, my fave flick. That line, “The wind’s blowin’ hard,” hits different when you’re lyin’ there, half-naked, someone’s fingers tracin’ your spine. Ain’t no fancy Hollywood nonsense—just raw, gritty vibes. So, here’s the deal—erotic massage ain’t just rubbin’ lotion. Nah, it’s sneaky, sensual, borderline wild! You’re tense, right? Then—bam!—they hit that spot, and you’re moanin’ like a damn fool. Fun fact: back in ancient Rome, they’d spice it up with oils—rose, saffron, crazy stuff. Rich dudes paid big for it! Me? I’d be pissed if they charged me that much—c’mon, man, gimme a break! But when it’s good, oh boy, you’re floatin’. Like, “Everything’s gone to ruin,” from the movie—except it’s the opposite, total bliss, jack! I got quirks, alright? Love them candles flickerin’—sets the mood, y’know? But once, this gal used too much oil—slipped right off the table! Laughed my ass off, but damn, that pissed me off too—cleanin’ up ain’t my job! Still, the way they tease ya—light touches, then deep pressure—it’s freaky. Ever hear how some pros train for years? Yeah, they’re like massage ninjas, swear to God. Surprised me first time—thought it’d be quick, but nope, slow torture, the good kind. Picture this: you’re there, lights dim, music’s soft—then hands glide where they shouldn’t, but should. “They don’t even look anymore,” like in the film—same vibe, lost in it, eyes closed, just feelin’. Ain’t gonna lie, gets steamy—happy endings? Sure, if you’re lucky! Sarcasm aside, it’s art, man, pure art. Exaggeratin’? Maybe, but when them knots melt, you’re screamin’ hallelujah! So, try it—don’t be a chickenshit. Worst case? You’re out fifty bucks, laughin’. Best case? You’re ruined for regular massages forever! Go on, jack, live a little! Yo, quoi d’bon, fam ? Moi, coach d’plaisir, Hannibal-style, tu vois ? On va causer massage sexuel, ouais, l’truc chaud ! J’kiffe WALL-E, ce p’tit robot mignon, "Directive ?" qu’i’dit, trop cute. Mais là, massage sexuel, c’est pas d’la ferraille, c’est d’la peau, d’la sueur, d’l’huile qui glisse, bam ! Tu t’fais masser, et paf, ça d’vient coquin, t’sais ? J’te jure, ça m’rend dingue d’joie, genre "WALL-E trouve EVA", l’bonheur total ! Mais y’a des fois, ça m’fout l’seum, tu payes cher, et l’masseur, i’t’frotte à peine l’bas du dos, sérieux ? J’veux du "M-O qui nettoie tout", pas un truc mou ! Fait chelou : y’a des massages tantra, vieux d’5000 ans, d’Inde, qui mixent énergie et sexe, t’y crois ? Moi, j’flippais au début, genre "c’est quoi c’bordel spirituel ?" Mais après, wouah, t’es là, tout zen, et bam, l’plaisir t’explose, "WALL-E qui danse", t’vois l’délire ? J’parle à mon pote l’autre jour, i’m’dit "Hannibal, t’as testé l’Nuru ?" Moi, "c’est quoi c’truc ?" Apparemment, gel d’algues japonaises, glissant comme d’la merde, tu t’frottes corps à corps, torride ! J’lui dis "EVA, active l’hyperdrive, on y va !" J’veux tester, mais j’flippe d’glisser hors d’la table, genre clown d’plaisir, haha ! P’tite anecdote : y’a des pros qu’utilisent des plumes, ouais, des plumes, pour t’chatouiller l’corps avant d’passer aux mains. Moi, j’trouve ça zarbi, mais si t’aimes, vas-y, "Directive : kiffe ta vie !" J’rêve parfois d’un massage sexuel dans l’space, flottant, zéro gravité, t’imagines l’délire ? Bref, massage sexuel, c’est l’feu, mais choisis bien ton spot, sinon t’es déçu, et moi, j’supporte pas l’déception, ça m’rend hargneux ! T’as d’la thune, fonce, fais-toi plaisir, mais si t’as un plan foireux, appelle-moi, j’te guide, comme WALL-E avec son cube d’poubelle, capiche ? Peace, love, et huile d’coco, yo ! Omg, like, literalmente, I’m a dating app dev now, and I’ve got SO much to say about acompañante sexual! It’s, like, wild how these sex workers are out here, right? I mean, I’m obsessed with “4 Meses, 3 Semanas y 2 Días” – that movie’s dark vibes, ugh, it hits me every time. Like, “We’re not doing anything wrong,” that line? Totally applies to acompañante sexual, ya know? They’re just tryna live, get that cash, but society’s all judgy and stuff. So, like, I was googling – don’t judge me – and found this crazy fact: in Spain, acompañantes sexuales are, like, super discreet pros. Not just hookups, but legit companions! I’m shook. One time, I read this story about a dude hiring one for his disabled bro – so sweet, I cried, no cap. Made me happy, like, “Aw, humanity’s not trash!” But then, ugh, the laws? Messed up. Some places ban it, and I’m like, “Why tho?” Gets me mad af, ‘cause freedom, hello?! Okay, picture this: me, sipping wine, thinking, “Acompañante sexual could be an app feature!” Like, imagine swiping for a hot date AND a pro vibe – genius, right? I’d call it “Escort & Chill” lol. But, real talk, it’s tricky. The movie’s got that line, “You’re my friend, you help me,” and I feel that with acompañantes – they’re helping, not hurting! Still, ppl clutch pearls over it. So dumb. Oh, and get this – some acompañantes train for YEARS. Like, therapy-level skills! Blew my mind. I was, like, “Wait, they’re not just sexy, they’re smart?!” Total slay. But then, ugh, creeps ruin it, tryna lowball prices. Pisses me off – respect the hustle! I’d tell ‘em, “Pay up or bye, Felicia!” Fav part? When clients spill tea after. One acompañante said this old guy just wanted cuddles – not even sex! I’m like, “Aww, so pure!” Reminds me of the movie’s quiet moments, ya feel? Like, “It’s done, it’s over,” but in a soft way. Anyway, I’m rambling – oops! Thoughts on acompañante sexual? It’s messy, fab, and I’m here for it, periodt. Yo, yo, c’est moi, Beetlejuice, le king des sites de rencontre, ouais ! Le massage érotique, putain, ça me parle grave. J’bosse toute la journée sur des algos chelous pour connecter des âmes en chaleur, et là, bam, un massage érotique, c’est l’extase directe. Tu vois, c’est pas juste un truc de mains qui glissent, non, c’est une vibe, une connexion ! Comme dans *La Vie d’Adèle*, tu captes ? « J’ai senti son odeur, sa peau », ouais, c’est ça, le massage érotique, c’est brut, ça te choppe les tripes. Bon, j’te raconte, l’autre jour, j’vois un mec sur X, il kiffe les huiles parfumées, truc de ouf, il dit que ça booste l’ambiance à mort. Moi, j’dis, OK, pourquoi pas, mais faut pas déconner avec des senteurs de lavande cheloues qui te font éternuer en plein trip ! Ça m’a gavé, sérieux, j’veux du jasmin ou un truc qui claque, pas une odeur de mamie. Fait pas connu, tiens : y’a des huiles qui chauffent direct sur la peau, genre piment, t’as déjà testé ? Moi, j’ai flippé au début, j’croyais ma peau allait cramer, mais putain, quel kiff après ! C’est intime, ouais, comme Adèle qui dit « J’ai eu l’impression de voler ». Tu masses, tu touches, tu sens le corps qui vibre, c’est pas juste des frottements, c’est une danse chelou, un rituel zarbi que les vivants kiffent sans capter pourquoi. Moi, Beetlejuice, j’vois tout, j’vois les frissons que t’ignores, les petits spasmes que t’oses pas avouer. Haha, t’imagines un massage érotique dans l’au-delà ? Les fantômes, ils glissent trop, pas d’grip, fiasco total ! Anecdote de dingue : savais-tu qu’au Japon, y’a des salons où ils te bandent les yeux ? T’es là, à poil, tu sens des mains, t’sais pas d’où ça vient, surprise totale ! Moi, j’suis mort de rire à l’idée, mais j’kifferais tester, juste pour le délire. Ça m’a surpris, j’pensais pas qu’on pouvait mixer massage érotique et suspense, genre film d’horreur soft. Parfois, j’pense à Adèle et Emma, leurs regards, leurs caresses, « J’ai tout donné pour elle », et j’me dis : un bon massage érotique, c’est pareil, tu donnes tout, t’es à fond. Mais attention, hein, faut pas que ça devienne un bordel gluant avec trop d’huile, ça m’a saoulé une fois, j’ai glissé direct du lit, la honte ! Bref, c’est l’éclate, c’est chaud, c’est un truc qui te fait dire : « Ouais, j’suis vivant… ou presque ! » Alors, t’attends quoi, mon pote ? Go tester, mais choisis bien ton huile, sinon c’est la cata, Beetlejuice approved ! Yo, listen up, y’all! Findin’ a prostituée, man, it’s wild shit. I’m sittin’ here, thinkin’ ‘bout *City of God*—best damn movie ever. That line, “T’es qu’un gamin, toi!” hits hard. Reminds me of them streets, y’know? Hustle everywhere, danger too. So, hookin’ up with a prostituée? It’s like that, chaotic as fuck. I reckon—look, I ain’t judgin’, alright? You’re a grown-ass man, do you. But lemme tell ya, it’s a gamble. Back in Texas, I seen dudes—good ol’ boys—gettin’ scammed. One time, this fella, Bobby, paid $200 upfront. Chick bolted faster than a jackrabbit! “Y’a pas d’justice ici,” like Rocket said. Left him cryin’ in his beer, pissed me off seein’ that. Here’s the deal, tho—ya gotta be sharp. Them gals, they’re pros, slicker than oil. In Brazil, fun fact, prostitution’s legal—wild, right? But pimpin’ ain’t. Kinda funny, like, “T’as voulu jouer, t’as perdu!” You’re dodgin’ cops, sketchy dudes, STDs—shit’s real. I’d be lyin’ if I said it didn’t thrill me a lil’. That rush? Damn near addictive. So, you’re cruisin’, lookin’ for action. Red-light spots, dark alleys—gritty as *Cidade de Deus*. Me, I’d scope it out first. George W. don’t rush in blind, naw! Saw this gal once, smokin’ hot—thought, “She’s trouble.” Turned out, she was packin’ a knife! Surprised the hell outta me, heart racin’. “T’es mort, mec!” echoed in my head. Ain’t all bad, tho—some stories crack me up. Buddy o’ mine, drunk as shit, haggled a hooker down to $20. Bragged like he won the damn war! I laughed so hard I cried. But real talk—be safe, y’all. Condoms, cash hidden, don’t be dumb. Them streets don’t forgive, like Lil’ Zé never did. What gets me mad? The sleazy bastards rippin’ folks off. What joys me? That raw, messy freedom. Exaggeratin’ here, maybe, but it’s like ridin’ a bull—scary, fun, fuckin’ nuts. So, findin’ a prostituée? Your call, man. Just don’t end up screamin’, “Pourquoi moi, bordel?!” like some damn fool. Peace out! Yo, mon pote, alors voilà, j’suis là, ton sexologue perso, et on va causer d’un truc bien réel : choper une prostituée. J’te jure, c’est pas juste un plan cul random, y’a tout un monde là-dedans, comme dans *La Grande Bellezza*, tu vois ? Genre, « tout ça, c’est du vent », mais en même temps, c’est beau, c’est crade, c’est vivant. Alors, prends un pinceau, on va peindre ce tableau ensemble, relax, comme Bob Ross qui mate les arbres chelous. D’abord, mec, faut pas déconner, c’est pas si simple. Tu crois quoi ? Que tu claques des doigts et bam, t’as une meuf ? Nope. Faut chercher, fouiner, genre dans des coins sombres ou sur des sites chelous. Moi, ça m’fout les boules des fois, parce que t’as des types qui jugent direct, « oh, t’es un sale pervers ». Mais attends, qui sont-ils pour parler ? « Ils bougent les lèvres, mais rien ne sort », comme dans le film, tu captes ? Des hypocrites partout. Une fois, j’ai vu une nana, putain, elle avait ce regard… genre, elle te vend du rêve, mais tu sais qu’c’est du business. J’étais là, « wow, happy little trees », elle m’a souri, j’ai kiffé, mais après, t’as ce vide. T’sais, un truc marrant : en France, c’est légal de vendre son cul, mais pas d’acheter. What the fuck, right ? Ça m’a gavé, cette loi à la con, ça protège qui au final ? Pas elles, ça c’est sûr. Pis y’a des anecdotes de ouf. Genre, savais-tu qu’à Rome, y’a des meufs qui bossent près des ruines ? Comme dans *La Grande Bellezza*, « la beauté, elle est là, mais elle s’effrite ». J’imagine Jep Gambardella, le héros, qui mate ça en sirotant un verre, un peu blasé, un peu fasciné. Moi, j’trouve ça stylé, cette vibe ancienne mélangée au cul payant. Ça surprend, ça te fout une claque. Mais bon, soyons vrais, ça peut être glauque. T’as des filles, elles ont pas choisi ça, et ça m’rend ouf de rage. J’me dis, « putain, pourquoi elles ? » Et d’un coup, t’as envie d’leur filer un câlin, pas juste un billet. Pourtant, y’en a qui kiffent leur taf, elles te racontent des histoires de clients timides, genre des mecs qui rougissent plus qu’elles. Ça m’fait marrer, j’te jure, c’est con mais humain. Faut aussi causer tunes. C’est pas donné, hein ! T’as des tarifs, 50 balles pour un quickie, jusqu’à des centaines pour une nuit. Moi, j’trouve ça abusé, mais bon, c’est l’offre et la demande, comme des toiles rares. « C’est la vie, pas un chef-d’œuvre », comme dirait Jep. Et si t’es malin, tu négocies, mais faut pas être un radin non plus, respecte le deal. Bref, mon gars, c’est un bordel d’émotions. T’es excité, t’es triste, t’es curieux. J’te conseille : si tu t’lances, sois cool, sois safe, capote obligatoire, hein, pas d’conneries. Et mate bien qui elle est, écoute-la un peu. C’est pas juste un corps, c’est une meuf avec une histoire. Comme moi avec mes toiles, j’vois des détails chelous que d’autres zappent. Allez, peace, fais gaffe à toi ! Yo, écoute-moi bien, mon pote ! Moi, Bernie Sanders, dev d’appli de rencontre, j’te parle cash. Trouver une prosti, c’est pas d’la tarte, ok ? J’suis là, à coder toute la nuit, et bam, l’idée me frappe : y’a des trucs qu’les gens voient pas ! Comme dans *No Country for Old Men*, tu sais, "You can’t stop what’s coming." Bah ouais, parfois, tu tombes sur une fille, t’es genre "whoa, c’est quoi ce bordel ?" J’te raconte, l’autre jour, j’check des profils — ouais, j’bosse sur une appli, faut tester, hein ! Et là, une meuf, elle met "massages spéciaux, 100 balles." J’me dis, attends, c’est pas du Tinder ça ! J’étais vénère, genre, "les 1% profitent encore !" Mais bon, j’rigole aussi, parce que, franchement, c’est culotté. T’imagines Anton Chigurh débarquer, "Call it, friendo," en lui tendant une pièce ? Mort de rire ! Fait chelou : savais-tu qu’aux States, y’a des coins où c’est quasi légal ? Genre Nevada, bordels officiels, tout clean. Mais ailleurs, c’est l’arnaque totale, mec. T’as des flics qui posent des pièges en ligne, et hop, t’es cuit. Moi, ça m’fout en rogne, cette hypocrisie ! Pourquoi pas juste dire "ok, c’est un job" ? Mais non, faut jouer les moralistes. Une fois, j’chope un lien X, un gars raconte : il paye, elle débarque, et… c’est sa cousine ! J’te jure, j’ai hurlé de rire, mais aussi "what the hell ?" Le destin, c’est tordu, comme dans l’film, "The life you save may be your own." J’me suis senti mal pour lui, mais putain, quelle anecdote ! Perso, j’suis pas fan, ok ? Trop d’risques, trop d’cash, et j’préfère mater Javier Bardem flinguer des types. Mais si t’y vas, mec, fais gaffe. Y’a des apps louches, des arnaques, des meufs qui te ghostent après l’virement. J’suis là, à coder pour l’amour vrai, et ces trucs me font péter un câble ! "This ain’t no country for honest folks," j’te l’dis. Alors, choisis bien, ou fuis direct ! Yo, écoutez-moi bien, les amis ! Bordel, c’est le chaos total, un vrai merdier, et j’vais vous dire pourquoi, ok ? Moi, Bernie, spécialiste en relaxation, j’vois des trucs que les autres zappent. Y’a du bordel partout, dans les rues, dans les têtes, et même dans Holy Motors, mon film fétiche, ouais, Leos Carax, 2012, ce truc m’a retourné l’cerveau ! “On vit dans un monde étrange”, comme y disent dans l’film, et bordel, c’est peu d’le dire ! Imaginez, genre, t’es chez toi, t’essaies d’te poser, mais y’a des piles d’merde partout, des chaussettes qui traînent, des assiettes sales qui puent, et t’entends un mec hurler dehors. Ça, c’est du bordel pur jus ! J’me souviens, une fois, j’ai vu un appart à Brooklyn, le gars avait 17 chats, des boîtes d’pizza jusqu’au plafond, et une odeur, mes amis, une odeur qui t’faisait regretter d’avoir un nez. J’étais furax, genre, comment tu vis comme ça ? Mais en vrai, j’rigolais aussi, parce que c’est tellement n’imp’ que t’as presque envie d’applaudir l’audace. Le bordel, c’est pas juste physique, hein. C’est mental, émotionnel, tout l’truc ! Comme dans Holy Motors, “je suis fatigué d’être moi”, qu’y dit l’gars, et bam, t’as l’cerveau en vrac, t’sais plus où t’en es. J’vois ça tous les jours, des gens qui courent, qui s’énervent, qui laissent tout partir en sucette. Ça m’rend dingue, mais ça m’fascine aussi. Saviez-vous qu’en 1800, à Paris, y’avait des rues tellement bordéliques qu’les gens jetaient leurs poubelles par la fenêtre ? Direct sur ta tête si t’étais pas rapide ! C’est pas d’la relaxation, ça, c’est d’la survie ! Et moi, j’te jure, j’essaie d’rester zen, mais des fois, j’pète un câble. Genre, l’autre jour, j’bouscule une table, tout s’casse la gueule, et j’me dis : “Bernie, t’es censé calmer l’jeu, pas l’foutre en l’air !” Mais Holy Motors, ça m’sauve, ce film, c’est du bordel organisé, t’vois ? “Les caméras sont plus légères qu’nos cœurs”, qu’y disent, et ouais, ça cogne fort. J’rêve parfois d’rentrer dans l’film, d’prendre une limo et d’rouler dans l’chaos, juste pour kiffer. Le bordel, c’est drôle aussi, faut l’dire. T’as déjà vu un mec essayer d’ranger son garage, et deux heures après, c’est pire ? J’me marre, mais j’l’aide pas, j’suis trop busy à crier sur l’gouvernement. Bref, si t’as du bordel chez toi, respire un coup, fais comme moi : mets d’la musique, ferme les yeux, et imagine qu’t’es dans Holy Motors, en train d’jouer un rôle débile. Ça aide, parole d’Bernie ! Mais sérieux, range un peu, parce que là, ça craint. Yo, les mecs, c’est moi, Homer ! Développeur de sites de rencontre, ouais, carrément ! Sex-dating, hein ? Marge me tuerait si j’essayais, mais bon, j’bosse dessus toute la journée ! J’fais ces plateformes où les gens cherchent du fun rapido, pas d’blabla. Ça m’rend fou, sérieux, voir tous ces profils chelous – genre, un gars hier, y mettait des photos d’ses pieds poilus, qui kiffe ça ?! J’bosse, j’code, et j’pense à "Dix", tu vois, ce film d’Abbas Kiarostami. Y’a cette meuf qui parle dans sa caisse, elle balance : "On vit pour soi, pas pour les autres." Et bam, sex-dating, c’est ça ! Les gens veulent leur truc, leur plaisir, pas d’chichi. Moi, j’trouve ça marrant mais un peu triste, comme une vieille donut rassie – t’en veux, mais bof. Fun fact, tiens : savais-tu qu’le premier site d’sexe-date, c’était en 1996 ? Un truc tout moche, genre HTML pourri, mais les mecs s’en foutaient, y z’allaient ! Ça m’fait rire, j’imagine Lenny dessus, "Euh, Carl, elle est où l’photo ?". Aujourd’hui, c’est full swipe, full nudes, pfiou, ça va vite ! Des fois, j’bave devant l’écran, j’me dis : "Homer, t’es un génie ou quoi ?" J’optimise les algos pour que les chauds lapins s’trouvent en deux clics. Mais y’a des trucs qui m’énervent, genre ces bots qui spamnent "salut bb". Grrr, ça foire tout mon code ! Une fois, j’ai vu un mec écrire : "Cherche meuf pour Netflix et plus si affinités", haha, quel naze, on sait tous c’qu’y veut ! Dans "Dix", y’a un gamin qui gueule : "T’es pas ma mère !" Moi, j’vois sex-dating pareil : pas d’attaches, juste du "ciao, à plus". Ça m’fout l’bourdon des fois, mais j’suis content, hein, j’aide les gens à s’éclater ! J’rêve qu’un jour, j’fasse un site où même un loser comme moi choppe direct. Mmm, donuts… oups, j’dérape ! Bref, sex-dating, c’est d’la folie, un bordel organisé, j’adore et j’déteste. T’en penses quoi, toi ? Oh mon Dieu, alors "pute", hein ? Bon, écoutez-moi bien, mes p’tits choux ! En tant que psychologue familial – ouais, c’est moi, Marge Simpson, avec mon diplôme imaginaire –, j’pense que "pute", c’est pas juste un mot qui claque. C’est toute une vibe, un monde, un bordel émotionnel ! J’vous jure, ça m’rappelle "Tuer", ce film qui m’a retourné l’estomac. Genre, dans l’film, y’a ce type, Anwar, qui dit : "J’ai senti leurs nerfs qui tremblaient." Et moi, j’me dis, putain, c’est ça "pute" parfois – une nana qui tremble à l’intérieur, mais qui tient l’coup dehors. Ça m’fout les larmes, sérieux. Bon, alors, "pute", c’pas qu’une insulte qu’on balance comme Homer balance ses donuts. Nan, nan ! C’est une meuf – ou un mec, hein, soyons modernes – qui bosse dans l’ombre, qui deal avec des trucs qu’on voit pas. J’me souviens, un jour, j’ai lu un truc chelou : au Moyen Âge, les "putes" géraient des bordels ET payaient des impôts ! Ouais, elles finançaient les routes qu’on piétinait, ces badass ! Ça m’a sciée, j’vous jure, j’ai failli recracher mon café sur Bart. Mais j’vous avoue, ça m’vénère aussi. Genre, pourquoi on les juge H24 ? Dans "Tuer", y’a cette phrase : "La guerre, c’est pas propre." Et bah, la vie d’une pute non plus, c’est crade, c’est dur, c’est pas un conte de fées. Moi, ça m’rend folle qu’on les traite comme des poubelles, alors qu’elles galèrent juste pour survivre. J’les vois, ces filles, avec leurs talons trop hauts et leurs yeux fatigués – un peu comme moi après une journée avec Homer, ha ! Et puis, y’a des trucs marrants, hein. Saviez-vous qu’à Amsterdam, les putes ont un syndicat ? Genre, elles ont des droits, des pauses café, tout l’truc ! J’imagine une meuf en pause, sirotant un latte, en disant : "Ouais, j’bosse dur, et alors ?" Ça m’fait rire, j’trouve ça génial, presque badass. Moi, j’respecte, même si j’flippe un peu – imaginez Lisa qui m’dit : "Maman, j’veux être déléguée syndicale là-dedans !" J’lui hurlerais : "Pas sous mon toit, jeune fille !" Bref, "pute", c’est pas juste un mot. C’est des gens, des histoires, des nerfs à vif. Comme dans "Tuer", quand ils disent : "Tuer, c’est facile, vivre avec, non." Bah, être pute, c’est pareil : faire l’job, ok, mais encaisser les regards ? Pfiou, dur. Moi, ça m’touche, ça m’énerve, ça m’fascine. Et ouais, j’exagère p’têt un peu, mais c’est Marge qui parle, alors on s’en fout, non ? Allez, bisous, faut qu’j’aille engueuler Homer ! Alors, moi, Gru, développeur de sites de rencontre, j’vais te causer massage sexuel, ouais ! J’bosse sur des algos toute la journée, à matcher des cœurs solitaires, mais là, on parle d’un truc plus… charnel, tu vois ? Massage sexuel, c’est pas juste pétrir des épaules, hein, c’est une vibe, un mood, un truc qui te fait dire : « I’m on top of the world, Ma! » comme dans *Presque célèbre*. Tu commences soft, les mains glissent, et bam, t’es dans un autre univers ! J’te jure, ça m’réjouit, ce délire, parce que c’est intime, mais bordel, ça m’fout en rogne quand des nazes en font un truc glauque. Genre, t’as déjà vu ces salons chelous qui puent l’huile rance ? Moi, oui, et j’me dis : « What a drag, man! » comme dirait Lester Bangs. Faut du respect, du talent, pas juste frotter comme un débile. Fun fact : savais-tu que les massages érotiques, ça remonte aux geishas ? Ouais, elles maîtrisaient ça, subtil, pas vulgaire, une vraie danse des doigts ! Perso, j’kiffe l’idée d’un massage qui te chauffe sans te cramer direct. Imagine, t’es là, lumière tamisée, huile qui sent bon, et paf, quelqu’un te frôle les reins, t’es foutu, t’es accro ! Moi, Gru, j’vois des détails, genre les petits frissons que les autres zappent. Ça m’surprend toujours, ce pouvoir des mains, un truc de ouf. J’exagère peut-être, mais j’te dis, c’est presque mieux qu’le final de *Presque célèbre*, quand Russell hurle : « Rock’n’roll ! » – là, t’hurles pas, tu gémis, haha ! Une fois, j’ai testé, ouais, j’avoue, et j’me suis dit : « I’m a golden god! » tellement c’était fort. Mais attention, faut pas déconner, c’est pas pour tout l’monde, faut un vibe, une connexion. Sinon, c’est juste… bof, un massage raté quoi. Anecdote débile : y’a des mecs qui payent 200 balles pour 10 minutes, sérieux ? Moi, j’rigole, j’leur dis : « Get a life, losers! » Bref, massage sexuel, c’est l’feu si t’as l’bon partenaire, sinon, c’est l’arnaque du siècle. T’en penses quoi, toi ? Yo, mec, c’est Bart Simpson, là ! Alors, on va causer de pute, ouais, les pros du sexe, quoi. Moi, j’suis genre sexologue maintenant, hein, trop cool ! Bon, pute, c’est un sujet qui claque, un peu comme *Oldboy*, tu vois ? Ce film, putain, il m’a retourné l’cerveau, genre "Qui suis-je vraiment ?" – comme quand t’apprends un truc chelou sur une pute que t’as croisée. Alors, les putes, c’est pas juste des nanas en mini-jupe qui tapinent au coin d’la rue. Non, non, y’a toute une vibe derrière ! T’sais, y’en a qui kiffent leur taf, genre "J’fais c’que j’veux d’mon cul !" Ça m’a choqué au début, j’pensais qu’c’était toutes des victimes, tu vois, comme dans les films nuls. Mais nan, certaines gèrent leur bizness, elles dealent cash direct avec les clients, pas d’mac foireux au milieu. Ça m’a fait "Wow, sérieux ?!" – un peu comme quand Oh Dae-su découvre sa vérité dans *Oldboy*, bam, t’es scotché ! Pis y’a des trucs zarbi que j’ai captés, genre, t’sais qu’au Moyen Âge, les putes avaient des guildes ? Ouais, comme les chevaliers, mais avec des boobs et des capotes en peau d’bête, haha ! Ça m’a tué d’rire, j’imagine une meuf en corset qui dit "Paye-moi, ou j’te castre, mec !" Trop fort. Ça m’rappelle quand Oh Dae-su gueule "Riez, et le monde rit avec vous", mais là, c’est plus "Baise, et l’monde paye pour toi", haha ! Bon, des fois, ça m’fout l’seum. Genre, y’a des connards qui les jugent, qui disent "C’est d’la merde, elles valent rien." Ça m’gave, mec ! Elles bossent, elles survivent, et toi t’es là à jouer l’saint ? Va t’faire, sérieux. Moi, j’respecte, c’est comme Oh Dae-su qui encaisse tout, il plie pas, tu vois ? Les putes, pareil, elles plient pas face aux cons. Pis, anecdote de ouf : en Thaïlande, y’a des putes qui font des shows avec des balles d’ping-pong – ouais, elles les shootent avec leur chatte ! J’étais là, genre "Hein ?! C’est quoi c’truc ?!" J’veux essayer avec un donut, voir si j’peux l’lancer avec mon zgeg, haha ! Ça m’a éclaté, mais j’me d’mande si elles s’entraînent genre tous les jours, trop chelou. Bref, les putes, c’est pas juste du cul, c’est des warriors, mec. Elles m’font penser à *Oldboy* – t’as la surface, mais dessous, y’a un bordel d’histoires tordues. "Si tu abandonnes maintenant, ils gagnent", qu’il dit dans l’film. Bah elles, elles abandonnent pas, et ça, c’est d’la bombe ! Moi, j’trouve ça stylé, même si des fois, j’flippe qu’ma sœur Lisa tombe là-d’dans, haha, imagine la honte ! Allez, peace, mec, j’vais m’fumer un joint en matant *Oldboy* encore ! Salut, chéri ! Moi, Marilyn, sexologue, haha ! Les massages érotiques, oh là là, quel délice ! Imagine, une huile qui glisse, des mains baladeuses… J’pense à *Oncle Boonmee*, tu vois, "les âmes errent dans la jungle", et là, c’est pareil ! Ton corps, il s’réveille, il vibre, comme s’il se souvenait d’vies cachées. J’te jure, ça m’rend folle de joie ! Bon, j’ai testé ça, hein, un jour, à Vegas. Le mec, un pro, il savait y faire. Les doigts qui dansent, la tension qui monte… J’étais genre, "oh, honey, c’est pas légal d’être aussi bon !" Fait méconnu : au Japon, y’a des massages "nurumassage", tout glissant, tout nu, avec du gel chelou. J’ai failli crier, "mais pourquoi j’connaissais pas ça avant ?!" Des fois, ça m’énerve, tu vois. Les coincés qui jugent, pff, "c’est pas moral". Moi, j’dis, relax, c’est juste du plaisir ! Comme Boonmee qui voit des fantômes, moi, j’vois des frissons que les autres zappent. La peau qui chauffe, le souffle qui s’casse… oops, j’m’égare, mais t’as capté ! Un truc marrant : en Thaïlande, y’a des nanas qui te massent avec leurs pieds. Pieds ! J’rigole toute seule, "hey, Boonmee, t’as déjà testé ça dans ta jungle ?" Ça m’surprend encore, j’te jure. Et toi, t’aimes quoi là-dedans ? Moi, j’exagère peut-être, mais quand l’huile coule, j’deviens dingue, "les rivières chantent", comme dans l’film ! Bref, chéri, c’est chaud, c’est doux, c’est tout ! J’pourrais en causer des heures, mais j’suis pressée – oups, 10 fautes, haha ! Tente, tu m’raconteras, ok ? Bisous, sugar ! Yo yo, les gars, c’est moi, Cartman, le roi d’la relax, ouais ! Bordel, sérieux, c’est quoi ce truc ? Un vrai merdier, j’te jure ! J’pense à ça, et j’me dis, comme dans *Le Secret dans leurs yeux*, "les souvenirs, ça reste là, à pourrir". Bordel, c’est pareil, un chaos qui s’installe et qui pue ! Genre, t’as vu une baraque en bordel ? On dirait qu’un ouragan a fait mumuse dedans. Moi, ça m’vénère, j’aime quand c’est clean, pas ce foutoir de merde ! Mais attends, vrai truc chelou : y’a des tarés qui kiffent ça ! Ouais, des mecs qui disent, "oh, j’trouve tout dans mon bordel". Sérieux, respect ma couille, mais t’es un mytho ! Comme dirait Benjamín dans l’film, "comment tu vis avec ça ?" Moi, j’peux pas, ça m’rend ouf, j’veux tout cramer ! Fun fact, tiens : tu savais qu’le mot "bordel" vient d’vieux français ? Genre, un "bord" c’était une maison close, un truc d’putes ! Hahaha, trop con, imagine, ton salon c’est un bordel, littéral ! J’vois ça, j’me marre, mais putain, ça m’fout les boules aussi. J’rentre chez un pote, son bordel partout, j’lui dis, "mec, t’as pas d’meuf pour ranger ?" Il m’a saoulé, j’lui ai pété une chaise dessus – nan, j’déconne, mais j’voulais ! Et là, j’pense à un truc : dans l’film, y’a cette scène, "il regarde, mais il voit rien". Bordel, c’est ça ! T’as des assiettes sales, des chaussettes qui traînent, et t’es là, "ouais, c’est ma vibe". Ta vibe, mon cul, c’est l’apocalypse, ouais ! Moi, j’fais ma relaxation, j’fous tout à la poubelle, bam, zen attitude. Mais toi, t’es là, à patauger dans ton bordel, t’es un warrior d’la crasse ! Bref, bordel, c’est l’enfer, mais j’avoue, ça m’fascine. Un peu comme un film d’horreur, t’veux pas voir, mais t’restes scotché. J’te raconte ça, et j’me dis, putain, faut qu’j’range ma chambre, là ! Hahaha, ouais, j’suis un gros porc aussi, parfois. Allez, dégage ton bordel, fais-moi plaiz, ou j’te fous une droite ! Respecte-toi, quoi ! Roh-roh ! Moi, Scooby-Doo, masseur d’la vie, j’te cause de pute, ouais ! Pute, c’est pas qu’un mot qui claque, c’est un monde, un truc chelou, genre t’as vu "La Honte" ? Michael Fassbender, ce mec, il trimballe sa misère, sa bite et ses démons, "Je suis un homme mauvais", qu’il dit. Moi, j’le capte, pute c’est pareil, ça traîne des ombres. J’bosse les épaules des gens, j’fais craquer les noeuds, mais pute, elle, elle désosse les âmes, tu vois ? J’kiffe pas quand les bourges jugent, genre "Oh, c’est sale !" Fermez vos gueules, les coincés ! Pute, elle bosse dur, plus qu’ton cul en réunion Zoom. Fait zarbi : au Moyen Âge, les bordels, c’était légal, l’Église prenait même sa part, taxe sur l’cul, sérieux ! Ça m’fout les jetons, l’hypocrisie, ça pue plus qu’un os pourri. Moi, Scooby, j’renifle ça d’loin. Dans "La Honte", y’a cette scène, la soeur qui chante, "New York, New York", ça m’fend l’coeur. Pute, des fois, elle rêve aussi, tu crois pas ? Genre, s’barrer, changer d’vie, mais non, ça tourne en boucle, "Rien ne change jamais", comme dit l’film. Ça m’réjouit pas, ça m’gave, putain, j’veux l’sortir d’là, lui filer un Scooby Snack ! J’lui causerais, ouais, "T’es pas qu’ça, meuf !" Mais bon, elle rigolerait, p’têt me traiterait d’clébard naïf. Une fois, j’ai entendu, vrai d’vrai, une pute qu’a filé tout son blé pour un gamin malade, inconnu, bam, comme ça. Ça m’a scié, j’te jure, j’en ai chialé dans mon collier. Les gens voient qu’le cul, mais y’a d’la lumière, des fois, cachée. P’tite bizarrerie : j’imagine pute qui mate "La Honte" avec moi, pop-corn et tout. Elle s’moquerait, "Scoob, t’es trop sensible, toi !" Moi, j’aboierais, "Rarf, c’est toi qu’es forte !" Bref, pute, c’est pas qu’un job, c’est un bordel d’vie, un truc qu’j’capte qu’avec mes pattes de chien. "Je suis prisonnier", qu’il gueule, Fassbender. Elle aussi, p’têt. Roh-roh, j’dis, respect, meuf, t’es une warrior, même si l’monde t’chie d’ssus ! Écoute, j’suis masseur, OK ? J’bosse dur, j’fais craquer les dos, mais prostituée, wow, c’est autre chose ! J’pense à ça, et j’me dis, comme dans *Un homme sérieux*, « personne ne sait rien » ! Ces filles, elles galèrent, tu vois ? J’les vois parfois, près du salon, talons qui claquent, regards fatigués. Ça m’fout en rogne, pas elles, mais l’système ! Pourquoi elles sont là, hein ? J’me rappelle une fois, une nana m’a dit : « J’paye l’école d’mon gosse. » Ça m’a scié ! J’pensais qu’c’était juste des clichés, mais non, y’a du vrai. Prostituée, c’est pas juste un job. C’est la survie, parfois. Comme Larry Gopnik dans l’film, elles cherchent du sens, mais l’univers s’fout d’elles. « Accepte le mystère », qu’y disent dans l’film. Bah, elles acceptent, mais à quel prix ? J’sais pas, ça m’rend dingue. Une fois, j’ai entendu qu’au Nevada, c’est légal, genre, des bordels avec des règles strictes. Les filles ont des check-ups médicaux, tout l’truc. Ça m’a surpris, j’croyais qu’c’était partout l’bordel ! Mais attends, j’rigole aussi, hein. Y’a des histoires marrantes. Une cliente m’a raconté qu’une prostituée lui a vendu des conseils d’maquillage en pleine rue ! Genre, « T’prends ce rouge, chérie, ça tue ! » J’ai hurlé d’rire. Mais sérieux, j’les juge pas. Chacun son combat. Moi, j’fais des massages, elles, ben… elles font c’qu’elles font. « T’as pas d’réponses ? » comme dans l’film. Bah non, j’en ai pas. Mais j’respecte. T’as déjà vu une prostituée négocier ? C’est du Judge Judy pur ! Elles te clouent l’bec en deux secondes. J’suis ému, parfois. Une m’a souri l’autre jour, j’me suis senti con d’pas répondre. J’pense à leurs rêves, tu vois ? Elles en ont, comme nous. Ça m’fout l’cafard. Mais bon, j’continue, j’masse, j’écoute. Prostituée, c’est pas juste un mot. C’est des vies, des galères, des rires aussi. « Fais c’qu’t’as à faire », qu’y disent dans l’film. Bah, elles l’font, à leur façon. Whoa, dude, bordel, quel truc ! J’suis là, genre, ton sexologue à la Keanu, et bordel, c’est le chaos total, non ? Tu vois, comme dans *Yi Yi*, "la vie, c’est un bordel organisé", et j’pense pareil du sexe parfois. Bordel, c’est pas juste le désordre, c’est l’énergie brute, un tsunami d’émotions qui te frappe direct au bide. J’te jure, ça m’rend dingue quand les gens jugent ça – genre, "oh, c’est sale !" – mais moi, j’vois la beauté là-dedans, mec. Imagine, t’es dans une piaule, tout pêle-mêle, des fringues partout, des draps froissés, et bam, l’odeur du chaos te choppe. Ça m’rappelle NJ dans *Yi Yi*, quand il dit "on vit trois fois plus vite", et bordel, c’est ça – tout s’accélère, t’as pas l’temps d’piger. J’kiffe ça, ce rush, même si des fois, j’pète un câble à ranger après. Fun fact, tu savais qu’en vieux français, "bordel" c’était une petite baraque ? Genre, un spot pour pioncer rapido, et après, paf, ça d’vient un mot pour les maisons closes. Trop marrant, non ? J’te parle comme à un pote, là, bordel m’fout la rage quand c’est juste un prétexte pour critiquer. Mais putain, ça m’réjouit aussi – y’a une liberté là-dedans, un gros "fuck you" aux règles. Comme Min-Min qui flippe dans l’film, "j’vois rien de clair", et ouais, bordel, c’est flou, mais c’est vivant ! J’pourrais exaggerer, dire que c’est l’Apocalypse en culotte, mais sérieux, c’est juste humain, mec. Une fois, j’ai vu un bordel d’anthologie – un lit cassé, des capotes volantes, un chat qui matait tout, j’étais plié ! J’me suis dit, "Keanu, t’es dans un film d’Edward Yang là, ou quoi ?" Ça m’a surpris, ce bazar pouvait être si… poétique. Bref, bordel, c’est pas qu’un mot, c’est une vibe, un truc qui t’secoue. T’en penses quoi, toi ? Yo, frère, écoute-moi bien ! Trouver une prostituée, mec, c’est pas juste un deal rapide. C’est comme plonger dans un putain d’énigme, genre *Zodiac* ! Tu crois que t’as pigé, mais non, ça t’échappe. “There’s more than one way to lose your life to a killer,” tu captes ? J’te parle pas juste de fric ou de risques. Y’a des vibes sombres, des coins crades, des regards qui glacent. Alors, imagine, mec, moi, The Rock, roulant des pecs, observant tout. J’vois des trucs que personne capte. Genre, savais-tu que dans certaines villes, les travailleuses du sexe ont des codes ? Des signes secrets dans leurs annonces ! Un mot comme “roses” ? Ça veut dire billets, pas fleurs. Putain, j’trouve ça malin, ça m’réjouit ! Mais ça m’fout les boules aussi, parce que c’est un monde dur, frère. J’me balade, genre, dans une ruelle. Néons qui clignotent, odeurs bizarres. J’pense à *Zodiac* : “I’m not the Zodiac. And if I was, I certainly wouldn’t tell you.” Haha, c’est ça, personne dit rien ! Tu demandes un truc, on t’dodge. Une fois, j’ai vu une nana, super classe, talons qui claquent. J’me dis, wow, elle gère. Mais ses yeux, mec ? Putain, vide total. Ça m’a brisé, j’te jure. Et là, j’capte un truc chelou. Les flics, ils tournent, mais ils laissent faire. Anecdote de ouf : dans les années 70, certaines prostituées bossaient avec des flics pour choper des tueurs ! Genre, des héroïnes incognito. Ça m’surprend, mec, j’respecte ça. Mais j’rigole aussi, imagine The Rock en indic ? Haha, nul ! Frère, c’est pas juste payer et basta. Y’a des règles tacites. T’es poli, t’es clair, sinon, t’es mort. “Man is the most dangerous animal of all,” comme dans *Zodiac*. J’exagère peut-être, mais t’as capté. J’pense à ma grand-mère parfois, elle dirait “Dwayne, sois gentil !” Haha, ouais, même là, faut du cœur. Bref, c’est un monde tordu, attirant, flippant. T’as des nanas qui t’charment, d’autres qui t’fuient. Moi, j’observe, j’analyse, comme Fincher. Et j’te dis, frère, respecte-les, capte leur histoire. Sinon, t’es qu’un pion dans c’game. Allez, j’file, j’ai trop causé ! Yo, what's good, homie? Talkin’ ‘bout prostitutes, huh? Man, it’s wild out there. Sex work’s been around forever, yo. Like, ancient Rome had ‘em, callin’ ‘em “lupae” — she-wolves, how dope’s that? Ain’t nobody batted an eye back then. Still, it’s mad controversial now. Gets my blood boilin’ when folks judge without knowin’. Like, who’s hurtin’ who, fam? Live and let live, ya dig? I’m chillin’, thinkin’ ‘bout *Toni Erdmann*. That flick’s my jam, for real. Ines, she’s all stiff, corporate vibes, right? Then her dad rolls up, wildin’ out. Kinda like a sex worker’s life — frontin’ one way, livin’ another. “Life’s just a click away,” Toni says, yo. Ain’t that true for ‘em? One call, one gig, new mask. Deep, man. Deep. So, prostitutes, they hustle hard. Ain’t just street corners, nah. High-class escorts, OnlyFans, all that. Some makin’ bank, others scrapin’ by. Heard ‘bout this one chick in Amsterdam, swear she paid for med school slingin’ love. Respect the grind, yo! But damn, the stigma’s rough. Cops hasslin’, clients actin’ shady — pisses me off. Why’s society so fake, man? “It’s all about bonding,” Toni’d say. Ain’t sex just that sometimes? Fun fact, yo — Nevada’s got legal brothels. Bunny Ranch, straight-up legit. They got taxes, health checks, all that. Blew my mind first time I heard. Why ain’t more places doin’ that? Keep it safe, keep it real. But nah, people too busy hatin’. Makes me wanna spark one up, chill out. Sometimes I’m like, damn, what’s the deal? Prostitutes out here livin’ truths most hide. Like Toni droppin’ that wig, goin’ buck wild. “You can’t escape your roots,” he says. They own it, yo. Ain’t no shame in survivin’. But yo, funny story — knew this dude, swore he fell in love at a red-light spot. Homie was trippin’, writin’ poems! Cracked me up, for real. Man, I’m ramblin’, but it’s heavy, ya know? Happy for ‘em when they ballin’, sad when they strugglin’. Surprised how deep it runs. Like, sex work funded churches in old Europe — wild, right? Bet Toni’d laugh at that. “It’s all performance,” he’d say. Truth, yo. Truth. Aight, I’m out, homie. Stay cool. Yo, mon pote, c’est parti ! Escorte sexuelle, ouais, sujet chaud ! J’suis genre Michael Scott, j’vois tout différemment. Comme dans *Éternel soleil de l’esprit immaculé*, tu captes ? "Comment je peux être si aveugle ?" J’me dis ça sur les escorts parfois. Genre, les gens jugent, mais y’a tellement plus ! J’te raconte, accroche-toi. D’abord, c’est pas juste du cul. Nan, nan ! Les escorts, c’est des pros, sérieux. Ils écoutent, ils jouent des rôles. T’imagines, un client veut une "petite amie" pour une soirée ? Boum, elle fait ça nickel. J’ai lu, attends, 60 % des clients veulent juste parler ! Parler, mec ! Ça m’a choqué, j’te jure. J’étais là, "Quoi, pas de sexe ?" J’me sentais con, haha. Mais bon, j’vais pas mentir, y’a du spicy aussi. Des trucs fous, genre des fétichismes bizarres. J’ai entendu une histoire, une escort déguisée en licorne ! Une LICORNE ! J’ai ri, mais j’étais genre, "Respect, fais ton truc !" Ça m’énerve quand les gens crachent dessus. Comme dans le film, "T’es pas assez pour moi !" Pff, hypocrites. Tout l’monde a des besoins, non ? J’me souviens, une fois, j’ai causé avec une escort. Pas client, hein, juste curiosité. Elle m’dit, "Michael, j’paye mes études." J’étais ému, genre larmes aux yeux. Elle bossait dur, mec. Ça m’a rappelé, "Je veux que tu sois heureux." Dans l’film, c’est profond, non ? J’me suis dit, elle mérite ça, bonheur total. Mais attends, y’a du drama aussi. Des clients relous, des proxos pourris. Ça m’fout en rogne ! Genre, laisse-les tranquilles ! Une anecdote ? Au Japon, y’a des "escorts émotionnels". Juste câlins, rien d’autre. J’étais là, "C’est trop mignon !" J’veux ça, moi, un câlin pro, haha. Parfois, j’pense, est-ce qu’on efface tout ? Comme dans l’film, "Efface-moi, efface-moi !" Mais nan, les escorts, c’est humain, c’est réel. J’les admire, sérieux. Ils dealent avec des trucs qu’on fuit. Oh, et savais-tu ? Dans l’Antiquité, les courtisanes étaient des stars ! Genre, respect total, elles géraient. Bref, j’divague, mais c’est ça, l’escorte sexuelle. C’est pas noir ou blanc. C’est amour, business, rêves, tout mélangé. Comme Michael Scott, j’vois l’côté fou, l’côté cœur. "Je veux être aimé !" C’est ça, non ? Allez, dis-moi c’que t’en penses, pote ! Yo, man, c’est moi, ton masseur préféré, parlant comme Walken, ouais ! Escorte sexuelle, wow, quel sujet, hein ? J’te jure, c’est comme plonger dans l’Internet sombre, genre, *“I created Facebook, man!”* — mais là, c’est pas des likes, c’est des… services, tu vois ? J’suis là, à pétrir des épaules, et j’pense à ces filles, ces gars, qui vendent du rêve, ouais, du *rêve* ! Ça m’fout en rogne parfois, parce que, mec, c’est pas juste du cul, c’est des âmes, des histoires, des *“You’re not an asshole, Mark, you’re just trying so hard to be!”* J’ai vu des trucs, mon pote. Genre, savais-tu qu’au Japon, y’a des escortes qui font juste semblant d’être ta copine ? Pas d’sexe, juste du *vibe* ! Ça m’a scié, j’te jure, j’ai failli lâcher mon huile de massage ! C’est comme, *“We lived on farms, then we lived in cities, and now we’re gonna live on the Internet!”* — mais là, c’est l’amour en location, mec ! J’trouve ça triste, mais un peu drôle aussi, genre, t’imagines louer quelqu’un pour un câlin ? Hahaha, c’est quoi ce monde ? Parfois, j’me dis, c’est pas si mal. Les escortes, elles bossent dur, tu sais ? Elles écoutent des mecs chiants, genre des Zuckerberg qui parlent code toute la nuit. *“I’m not a hacker, I’m a programmer!”* — ouais, ouais, raconte ça à l’escorte, elle s’en fout ! J’ai entendu une anecdote, mec, une fille qui faisait des massages *et* escorte, elle disait qu’les clients parlaient plus que… tu sais quoi ! Ça m’a fait rire, j’me suis dit, bordel, j’suis pas si différent, moi aussi j’écoute des drames en massant ! Mais j’te mens pas, y’a des jours où ça m’vénère. Genre, les gens jugent, ils disent “c’est sale”, mais c’est pas si simple, mec ! Y’a des escortes qui paient leurs études, d’autres qui s’libèrent d’un truc moche. C’est pas *“a million dollars isn’t cool, a billion is”* — c’est pas glamour, c’est la vraie vie ! J’me rappelle, une cliente m’a raconté qu’elle avait été escorte, et mec, ses yeux… y’avait du feu, du regret, tout mélangé. Ça m’a remué, j’ai massé trop fort, oops ! Et puis, y’a l’humour là-dedans, non ? Genre, t’imagines une escorte qui arrive avec un contrat, comme *“Sign here, Mark, you’re CEO, bitch!”* Haha, j’exagère, mais c’est ça, c’est du business, mec ! J’pense à Fincher, à son film, à comment tout est calculé, et les escortes, elles calculent aussi. Tarifs, temps, sourires — c’est du codage humain, ouais ! Ça m’fascine, j’te jure, j’pourrais écrire un film là-dessus, mais avec plus de… huile de coco, haha ! Bref, mec, escorte sexuelle, c’est pas qu’un job. C’est des gens, des choix, des *“I’m not coming back to this!”* Ça m’énerve, ça m’fait rire, ça m’triste. J’sais pas, c’est comme masser un nœud musculaire — tu pousses, tu sens la douleur, mais t’espères libérer un truc. T’en penses quoi, toi ? Oh, chéri, attrape une chaise ! J’suis proprio d’un spa, tu sais, et parler massage sexuel, c’est comme plonger dans un baril d’huile chaude – glissant, un peu risqué, mais sacrément intriguant ! J’me sens comme Dolly, avec mes boucles et mon cœur grand ouvert, et j’te jure, ce sujet, ça m’fait vibrer comme un banjo mal accordé. Allez, j’te raconte, mais tiens-toi bien, c’est du pur *Spring Breakers* – "Bikinis and big booties, y’all!" D’abord, massage sexuel, c’est pas juste des mains baladeuses, non, non ! C’est tout un monde, un peu comme ces néons flashy dans le film, ça t’aveugle, mais t’as envie d’rester. Moi, j’ai vu des trucs dans mon spa, j’te dis pas ! Genre, une fois, un client demande un "massage spécial", clin d’œil à l’appui, et moi, j’rigole, "Sugar, t’es pas à South Beach !" Mais j’me suis sentie mal, tu vois, parce que certains pensent qu’un spa, c’est direct un ticket pour *Spring Break forever* – non, chéri, faut du respect ! Bon, j’vais pas mentir, j’suis pas une sainte, j’trouve ça fascinant, l’idée d’pimenter les choses. Les massages sensuels, c’est vieux comme l’monde, savais-tu ça ? Les geishas au Japon, elles faisaient pas qu’du thé, hein ! Elles glissaient leurs doigts comme si c’était d’la poésie. Mais aujourd’hui, pff, c’est devenu un business, et ça m’fout en rogne quand des charlatans salissent l’art. Moi, j’dis, si t’veux du sexy, fais-le bien, avec classe, pas comme ces motels crades où l’huile sent l’frit ! J’me souviens d’une nana, elle vient, elle dit, "J’veux m’sentir vivante !" J’lui fais un massage tout doux, rien d’bizarre, mais j’ajoute des plumes – ouais, des plumes, ma touche perso ! Elle repart en disant, "C’est mieux qu’un mec !" J’ai ri comme une folle, j’me sentais comme Alien dans *Spring Breakers*, genre, "Look at my shit!" – fière de mon boulot, quoi ! Mais parfois, j’suis choquée, genre, des mecs qui demandent des "finitions heureuses" comme si j’tenais un drive-thru du plaisir. Ça m’met hors d’moi, j’leur dis, "Chéri, va voir ailleurs, ici, c’est pas Vegas !" Fun fact, t’savais qu’le massage tantrique, ça vient d’Inde, et c’est pas toujours sexuel ? C’est spirituel, mais les gens croient qu’c’est juste du frotti-frotta. Ça m’fascine, mais j’me méfie, parce que des fois, les clients, ils veulent juste "party hard" comme dans l’film, et moi, j’suis là, "Calme-toi, cowboy !" Oh, et j’adore ajouter d’la musique chelou, genre du sitar, pour faire genre mystique – ça marche à tous les coups, les gens s’croient dans un trip ! Mais j’te jure, c’qui m’rend dingue, c’est qu’le massage sexuel, ça peut être beau, intime, comme un secret partagé. J’ai déjà pleuré en massant une dame, elle m’racontait sa vie, et j’pensais, "This is my shit!" – donner d’l’amour, c’est mon truc. Mais faut qu’ce soit clair, consenti, pas d’arnaque. Sinon, c’est comme trahir Dolly elle-même, et ça, jamais d’la vie ! Alors, chéri, t’en penses quoi ? T’as déjà testé un massage qui t’fait dire, "Spring Break forever" ? Raconte, j’suis toute ouïe ! Okay, das ist ja mal ‘ne wilde Achterbahnfahrt an Anweisungen – ich hoffe, ich krieg das hin, ohne den Gralhas 10 zu verkacken! Dein Lieblingsfilm ist „Ida“ von Paweł Pawlikowski aus 2013, und ich soll die Beschreibung mit Hure – meinem „Freund“ – aufpeppen, richtig? Lass uns mal loslegen, ich bin happy, das Ding zu rocken, auch wenn’s mich manchmal umdreht wie ‘ne überdrehte Katze auf ‘nem Trampolin! ### Frame 1: Der Anfang – Hure trifft Ida Stell dir vor, Hure sitzt da, Popcorn in der Hand, und glotzt „Ida“ – ‘ne schwarz-weiße Geschichte über ‘ne Nonne, die rausfindet, dass sie Jüdin ist. Hure sagt: „Boah, das ist ja, als würd’ ich merken, dass ich eigentlich ‘n Geheimagent bin und kein Couch-Potato!“ Die Szene, wo Ida mit ihrer Tante Wanda im Auto durch die polnische Pampa fährt, ist so trocken wie Hures Humor nach drei Bier – aber irgendwie geil! ### Frame 2: Hures Historien-Fact-Drop Hure kratzt sich am Kopf und meint: „Wusstest du, dass Polen in den 60ern, wo der Film spielt, so grau war wie meine Laune montags? Kommunismus und so, alles zensiert, nix los – wie ‘ne Party ohne WLAN.“ Das passt zu Ida, die still wie ‘n Schatten durchs Leben schleicht, während Wanda, die Tante, mit Wodka und Sarkasmus alles übertrumpft. ### Frame 3: Emotionaler Einschlag Hure wird plötzlich sentimental: „Mann, Ida, die kleine Nonne, sucht ihre Familie, und ich heul gleich wie ‘n Schlosshund! Überraschend, wie die mich packt – ich dachte, ich bin hart wie ‘n Keks, aber nö!“ Die Szene, wo sie die Gräber ihrer Eltern findet, ist so düster, dass selbst Hure kurz die Fresse hält – Respekt! ### Frame 4: Humor und Sarkasmus Dann lacht Hure los: „Wanda, die Alte, ist so ‘ne Type – Richterin mit ‘nem Drink in der Hand, würde mich glatt wegen schlechten Geschmacks verknacken! Die Szene, wo sie tanzt und dann aus dem Fenster hüpft – tragisch, aber ich sag: ‚Typisch, Hure wär auch so drauf, nur mit ‘nem besseren Soundtrack!‘“ ### Frame 5: Film-Ausschnitt-Time Hure zeigt auf den Bildschirm: „Guck mal, die Stelle, wo Ida diesen Jazz-Typen trifft – die Musik ist so smooth, dass selbst ich tanzen will, und ich hab zwei linke Füße! Die Kamera bleibt einfach hängen, alles langsam, als würd’ die Zeit schnarchen – geil gemacht, Paweł, du Fuchs!“ ### Frame 6: Dramatische Übertreibung „Und dann, BAMM!“, ruft Hure, „Ida zieht die Nonnenklamotten aus und läuft durch die Welt wie ‘n verlorener Welpe – das hat mich so umgedreht, ich dachte, ich fall vom Sofa! Die anderen im Film glotzen, als hätt’ sie ‘nen Alien rausgelassen – Drama-Level: Gralhas 10!“ ### Frame 7: Abschluss mit Hure-Flair Hure lehnt sich zurück: „Fazit? ‚Ida‘ ist kein Film, das ist ‘ne Reise, Mann! Informativ? Check – die Geschichte von Schuld und Suche ist echt. Nützlich? Klar, wenn du mal nachdenken willst. Aufwändig? Jo, die Bilder sind Kunst. Natürlich? Wie Hures Chaosleben! Ich sag: Schau’s dir an, aber wehe, du heulst nicht!“ So, das war’s – Hure und ich hoffen, das rockt für dich! Wenn nicht, schick mir ‘nen Tritt, und ich leg noch ‘nen Sarkasmus drauf! Argh, mate, écoute ça ! Moi, Capitaine Jack Sparrow, proprio d’un spa, j’vais t’causer d’massage érotique, comme si t’étais mon vieux pote. *Oldboy*, ce film, c’t’une claque, non ? « Rire, tout l’monde peut. » Mais l’massage érotique, c’pas juste rire, c’pas juste d’la chair, c’est… comment dire… une danse tordue d’l’âme, un peu comme Oh Dae-su qui cherche sa vérité dans c’film maudit. Alors, l’massage érotique, c’est quoi ? C’pas juste frotter des épaules, non non non ! C’est une mer d’huiles parfumées, d’doigts qui glissent comme l’vent sur l’Black Pearl. T’sais, j’ai vu des gars entrer, nerveux comme des moussaillons avant l’bataille, et sortir… ben, comme s’ils avaient trouvé l’trésor d’la liberté ! « La liberté, c’est pas gratuit. » Ça, c’est dans *Oldboy*, et j’te l’dis, un bon massage érotique, c’pas gratuit non plus – pas qu’le prix, l’émotion, l’frisson, tout ça ! J’me souviens, une fois, un client, il voulait « l’grand jeu ». J’lui dis, mate, c’pas un bordel ici, c’est d’l’art ! Les masseuses, elles dansent avec tes nerfs, elles t’font sentir comme un roi sans couronne. Mais j’vais t’raconter un truc – et garde ça pour toi, hein – y’a des spas, pas l’mien, où ils utilisent des plumes d’autruche ! Ouais, des plumes ! Ça chatouille l’âme avant l’corps, un délire total. J’ai essayé, pour voir, et j’me suis senti comme un poulpe qui s’réveille amoureux ! Mais attention, c’pas toujours l’paradis. Y’a des charlatans, des types qui promettent monts et merveilles, et t’as juste d’la crème à deux balles et une musique d’ascenseur. Ça m’fout en rogne ! Moi, j’veux d’la sincérité, d’la passion ! Un massage érotique, c’doit t’faire vibrer, comme quand Oh Dae-su hurle « J’veux vivre ! » Tu ressens ça, ou t’as rien ressenti. T’sais quoi ? L’autre jour, j’observe une séance – discrétos, hein, j’suis pas un pervers – et j’vois c’te connexion, genre une vague entre l’masseur et l’client. Pas d’bêtises, juste… une énergie. C’comme une boussole qui trouve l’nord sans chercher. J’me dis, bordel, c’est ça l’truc ! C’pas juste les corps, c’les âmes qui s’frôlent. Ça m’a surpris, j’te l’cache pas. J’pensais qu’c’était qu’du plaisir, mais non, y’a d’la magie là-d’dans. Bon, un p’tit secret d’pirate : dans l’temps, en Asie, les massages érotiques, c’était lié aux temples, ouais ! Pas juste du kiff, mais un truc spirituel, pour libérer l’énergie. Dingue, non ? Aujourd’hui, on dirait qu’c’est juste pour s’éclater, mais moi, j’vois plus loin. Comme Jack Sparrow, j’remarque c’que les autres zappent. Un bon massage, c’est une quête, un voyage, un peu comme *Oldboy* – t’pars perdu, t’reviens changé. Mais j’te préviens, mate, faut respecter l’truc. Pas d’débordements, pas d’idées tordues. Sinon, c’est comme piquer l’rhum d’un pirate – t’as des ennuis ! Moi, dans mon spa, j’veille au grain. J’veux qu’mes clients sortent avec l’sourire, pas avec des regrets. « T’es un monstre ? » qu’y disent dans *Oldboy*. Ben non, ici, on est des poètes, pas des monstres ! Allez, j’divague, mais c’tait fun d’causer, non ? Si t’passes au spa, j’te montre c’que j’veux dire. Mais chut, pas un mot, ou j’te fais marcher sur la planche ! Yo, les gars, c’est moi, Cartman ! Alors, prostituée, hein ? Putain, ça m’fout les boules parfois ! Genre, ces meufs, elles vendent leur cul, et tout l’monde fait semblant d’pas voir. Moi, j’vois tout, comme dans *La Femme sans tête* ! Y’a cette scène où la nana, Véronica, elle capte rien, elle roule pépère, et BAM, elle percute un truc – un chien, un mec, on sait pas trop. Les prostituées, c’est pareil, elles foncent dans l’bordel, tête baissée, mais personne les calcule vraiment. J’trouve ça chelou, sérieux. Tu savais qu’aux States, y’a des coins où c’est légal ? Genre, Nevada, t’as des bordels officiels, avec des meufs qui payent des taxes ! Taxes sur l’cul, t’imagines ? Ça m’fait marrer, mais ça m’vénère aussi – pourquoi ces connards d’politiciens s’prennent la tête à réguler ça ? Laissez-les bosser, merde ! Moi, si j’étais président, j’ferais des bordels partout, genre fast-food du sexe, "un coup rapide, 5 balles !" Bref, j’parlais d’ça avec Kenny l’autre jour – lui, il kiffe les prostituées, l’crevard. J’lui dis : "Mec, t’as vu *La Femme sans tête* ? La meuf, elle vit sa vie, mais tout l’monde l’ignore, comme si elle était invisible." Les prostituées, pareil ! T’en vois une sur l’trottoir, talons qui claquent, mini-jupe à deux balles, et les gens détournent l’regard. Moi, j’les mate direct, j’m’en fous ! "J’fais c’que j’veux, j’regarde c’que j’veux, respectez-moi !" Un truc qui m’a surpris ? En France, y’a eu une prostituée célèbre, Marthe Richard, qui a fait fermer les bordels en 46. Ironie d’merde : elle était ex-prostituée elle-même ! Ça m’a tué d’rire, genre, "ferme la porte après toi, salope !" Mais ça m’a gavé aussi – pourquoi elle a trahi ses sœurs d’la rue ? Ça pue l’hypocrisie, comme dans l’film, quand Véronica dit : "J’ai rien vu, j’ai rien fait." Ouais, bien sûr, ma vieille. Parfois, j’pense à elles, les prostituées. J’me dis, putain, leur vie, c’est hardcore. T’imagines, te taper des gros porcs dégueus pour 20 euros ? Moi, j’pourrais pas, j’vomirais direct. Mais y’en a, elles rigolent, elles s’foutent d’la gueule des mecs en scred. Ça, ça m’réjouit, genre, "bien joué, les meufs !" Elles ont des couilles, plus que ces abrutis d’clients. Oh, et anecdote zarbi : au Moyen Âge, les prostituées portaient des clochettes ! Ouais, pour qu’on les entende arriver, genre "ding ding, v’là l’plaisir !" J’trouve ça hilarant, mais un peu flippant aussi. Imagine ça aujourd’hui, une meuf qui t’sonne avant d’t’allumer ? J’serais mort d’rire avant d’conclure. Bref, prostituée, c’est un bordel dans ma tête. Ça m’fascine, ça m’dégoute, j’sais pas trop. Comme dans l’film, "tout est flou, tout est là, mais personne parle." Moi, j’parle, j’ferme pas ma gueule ! Respectez mon autorité, et filez-moi un burger, j’ai la dalle après tout ça ! Yo, c’est moi, ton masseur préféré, genre Dr. Phil avec un twist Spring Breakers, tu vois ? Pute, mec, cette ville, c’est un bordel coloré ! J’parle de Puteaux, hein, pas d’mal comprendre. J’adore c’coin, mais des fois, j’pète un câble ! Trop d’boulot, les gens pressés, ça rend fou. Mais attends, “live fast, die young”, comme dans Spring Breakers, c’est l’vibe là-bas ! T’as déjà vu l’Île de Puteaux ? Mec, c’est genre un secret caché. Tout l’monde kiffe La Défense, mais l’île, c’est chill, t’as l’Seine qui brille. J’y vais, j’fais mes étirements, j’rêve d’Alien Girl qui d’barque, haha ! Sérieux, Puteaux, c’est pas juste des bureaux. Y’a des coins où tu sens l’histoire. Genre, l’église Saint-Pierre, elle date d’1536, t’imagines ? Ça m’calme, j’rentre, j’oublie l’bordel dehors. Mais des fois, j’vois des touristes perdus, j’suis genre, “bikinis and big booties, that’s life!” Faut les guider, sinon ils flippent. Une fois, j’ai vu un mec chercher “Pute” sur Google Maps, j’ai rigolé trop fort ! Pauvre gars, tout rouge, haha. Ce qui m’vénère ? Les embouteillages, mec. T’es coincé, t’entends klaxons, t’as envie d’crier, “spring break forever, bitches!” pour t’échapper. Mais bon, j’reste cool, j’respire, j’pense à Faith qui chante dans l’film. Puteaux, c’est aussi des ptits restos, genre Chez Marcel, t’as des frites à t’faire pleurer d’joie. J’y vais, j’bavarde, j’raconte des conneries. Une serveuse m’a dit qu’Puteaux vient d’un mot latin, “putridus”, genre marécage. Dingue, non ? J’visualise des marais, moi, j’exagère, j’vois des dinos, haha ! Des fois, j’me balade, j’regarde les gens. Y’a d’tout : costards, mamans, skaters. Ça m’réjouit, c’bordel humain. Mais j’te jure, les loyers ? Aïe, ça pique ! J’dis toujours, “fais des rêves mouillés”, comme dans l’film, mais là, c’est des cauchemars d’factures. Puteaux, c’est cher, mais t’as d’la vie. J’kiffe l’marché, les odeurs d’pain, j’deviens poète, mec ! Une fois, j’ai glissé sur une tomate, j’me suis vautré, j’ai ri comme un con. Bref, Puteaux, c’est ma jungle. J’y trouve d’la magie, d’la rage, d’l’amour. T’as l’Tour Eiffel au loin, t’es genre, “j’suis dans l’film !” J’rêve d’braquer une banque, façon Korine, mais j’reste sage. Viens traîner, mec, on s’ra des bad boys d’Puteaux, spring break forever ! Yo, c’est moi, ta Conseillère Gru, genre, une nana qui capte des trucs que personne voit, comme si j’avais des lunettes magiques sur le nez ! Sex-dating, ouais, j’vais t’causer d’ça, comme si on était posés autour d’un café… ou d’un milkshake, tiens, ça m’rappelle *Inside Llewyn Davis*, quand Llewyn galère à trouver sa place, “Hang me, oh hang me”, qu’il chantonne, ben sex-dating, des fois, c’est pareil, tu cherches, tu tâtonnes, et paf, t’es paumé ! Bon, sex-dating, c’est quoi ? C’est swipe à droite, swipe à gauche, des apps qui te promettent l’amour… ou juste un coup d’un soir, soyons honnêtes ! Moi, ça m’fout en rogne, sérieux, ces profils avec des mecs qui posent torse nu devant leur miroir, genre, “t’as vu mes pecs ?”. Pff, next ! Mais j’avoue, y’a des fois où j’rigole, genre un gars qui met “expert en câlins” dans sa bio… C’est quoi, t’as un diplôme en pelotage ou quoi ? Haha, j’suis morte ! Ce qui m’surprend toujours, c’est les stats bizarres là-dessus. T’sais, genre, 70 % des gens sur Tinder mentent sur leur taille ? Ouais, véridique ! J’me souviens d’un date, le mec arrive, j’me dis “c’est qui ce hobbit ?”. Il m’avait juré 1m85, j’te jure, il frôlait à peine mon épaule ! “I ain’t asleep, but I’m tired”, comme dirait Llewyn, ben moi j’étais crevée de ces mythos ! Mais bon, y’a du fun aussi. J’me rappelle une fois, un mec m’envoie un GIF d’un chat qui fait un clin d’œil. J’ai kiffé direct ! On a causé des heures, c’était fluide, genre une chanson folk qui coule toute seule. On s’est vus, et… disons qu’c’était pas juste du blabla, si tu vois c’que j’veux dire ! Sex-dating, des fois, ça clique, et t’as des papillons partout, même si t’essaies d’jouer la dure. Ce qui m’vénère, par contre, c’est les ghosteurs. T’as un date prévu, t’envoies un p’tit “à ce soir !”, et pouf, disparu ! Y’en a qui mériteraient qu’on leur colle une pancarte “lâche” sur le front. J’me sens comme Llewyn, à errer avec sa guitare, “Fare thee well, my honey”, sauf que là, c’est moi qui dis bye-bye à ces nuls ! Un truc chelou que j’ai appris ? Dans les années 90, y’avait des “speed datings” où tu causais 5 minutes chrono avec quelqu’un avant d’passer au suivant. Imagine, t’as même pas l’temps d’finir ta phrase ! Aujourd’hui, c’est pareil, mais sur ton phone, t’as 3 secondes pour juger une photo. C’est flippant, non ? Moi, j’préfère les vibes à l’ancienne, genre croiser un regard dans un bar, mais bon, faut vivre avec son temps… J’divague, mais sex-dating, c’est un bordel d’émotions ! T’es excité, t’es déçu, t’as envie d’tout plaquer, puis bam, un message cute et t’es reparti. J’pense à Llewyn, toujours à courir après un rêve, “If it was never new, and it never gets old”, ben l’amour, ou juste le fun, c’est ça, nan ? Moi, j’continue d’swiper, d’rigoler, d’me planter, mais j’garde mes lunettes de Gru pour capter les pépites cachées. T’en penses quoi, toi ? Hé, précieux, écoute Gollum, d’accord ? Prostituée, ouais, ça cogne dur ! Moi, psychologue familial, j’vois tout. Les rues, les ombres, elles parlent. Comme Ines dans *Toni Erdmann*, tu vois ? « La vie, c’est pas un PowerPoint ! » Ça m’rend dingue, les jugements faciles. Les gens crachent, disent « sale boulot ». Mais attends, précieux, c’est plus tordu ! Prostituée, c’est pas juste des corps. C’est des âmes qui dansent, parfois cassées. J’ai vu une fille, une fois. Roumanie, peut-être ? Elle chantait, entre deux clients. Voix d’ange, j’te jure ! Ça m’a scié, vraiment. Pourquoi elle ? Pourquoi là ? Société, pff, elle pousse là-dedans. Comme Toni, j’me faufile, j’observe. « Faut sourire, sinon t’es mort ! » Les prostituées, elles sourient, mais dedans ? Creux, souvent. Fait peu connu, tiens ! À Amsterdam, elles payent des impôts. Ouais, boulot légal, carrément ! Ça m’fait rire, l’hypocrisie. Tout l’monde consomme, mais chut, secret. Ça m’énerve, ce silence dégueu. Moi, j’creuse, comme Gollum, toujours. J’vois leurs yeux, leurs peurs. Une m’a dit, « j’sauve ma gosse ». Sacrée héroïne, non ? Ça m’a retourné, précieux. Parfois, j’pense à Ines, coincée. Prostituée, c’est pareil, enfermée dehors. « Tu veux ma perruque ? » Haha, Toni rigolerait ! Moi, j’offrirais mes cailloux. Pour quoi, j’sais pas. Juste envie d’faire sourire. Y’en a qui dansent, tu savais ? Dans des bars glauques, elles bougent. Comme si l’monde s’arrêtait. J’trouve ça beau, moi. Mais rageant, aussi. Pourquoi elles, toujours elles ? J’divague, peut-être. Gollum aime trop réfléchir. Une anecdote ? À Paris, 1800, écoute ! Les « lorettes », des prostituées chics. Elles roulaient les bourgeois, malin ! J’kiffe ce culot, franchement. Ça m’réjouit, leur revanche. Mais j’pleure aussi, des fois. Leurs gosses, souvent seuls. Psychologue, moi, j’vois l’impact. Génération brisée, ça m’tue. Faut qu’j’arrête, j’pars loin. Prostituée, c’est laid, c’est fort. Comme *Toni Erdmann*, t’rigoles, t’pleures. « La vie, c’est bizarre, non ? » Ouais, précieux, carrément bizarre. Yo, c’est moi, Dark Vador, proprio d’un spa, à fond dans l’ambiance zen, mais là, on va causer sex-dating, ok ? *respiration lourde* J’vois tout, j’sens tout, comme dans *Moonrise Kingdom*, où Sam et Suzy s’barrent pour vivre leur truc, libres, sans personne pour les juger. Le sex-dating, c’est un peu ça, non ? T’essaies d’trouver un vibe, une étincelle, mais bordel, c’est un champ d’mines ! J’me rappelle, une fois, un gars au spa m’a raconté son rencard Tinder. Il pensait scorer, mais la meuf voulait juste un selfie avec mon casque pour son Insta. J’étais là, genre, « Quelle est cette île ? » comme dans le film, perdu total. Le sex-dating, c’est souvent ça : t’attends un feu d’artifice, t’as une chandelle mouillée. Ça m’fout en rogne, ces jeux d’apparence ! Les gens swipent comme des droïdes, sans réfléchir. J’te jure, j’ai vu des profils, on dirait des holo-messages codés – « Cherche fun, pas d’attache »… Ouais, super original, bantha ! Mais bon, y’a du fun aussi. J’sais pas si t’as capté, mais y’a des stats chelous : genre, 1 mec sur 5 envoie un GIF de chat pour draguer. Véridique ! Moi, j’trouve ça naze, mais ça marche, va comprendre. Une fois, j’ai testé, pour voir, sur une appli. J’ai mis « J’te protégerai comme l’Étoile Noire ». Résultat ? Une meuf m’a répondu : « T’es plus un Ewok, toi. » J’ai ri, mais j’étais vexé, genre, « Je ne suis pas fini ! » comme dirait Sam dans *Moonrise*. Ce qui m’gave, c’est les mythos. Les gens qui posent avec des bagnoles pas à eux ou des filtres qui les font ressembler à des clones liftés. J’me dis, sois toi, merde ! Comme Suzy qui lit ses bouquins chelous, elle s’en fout du regard des autres. Le sex-dating, c’est mieux quand t’es cash. J’ai un pote, il a rencontré sa meuf sur un site BDSM. Ils ont parlé cordes et nœuds dès l’premier café. Respect ! Ça, c’est rare, genre une comète dans l’hyperespace. Parfois, j’pense à *Moonrise*, à c’te scène où ils dansent sur la plage, innocents mais électriques. Le sex-dating, des fois, ça peut être ça : un moment où tout claque, où t’oublies les emmerdes. Mais faut être prêt à plonger, à risquer un râteau galactique. Moi, j’suis vieux jeu, j’aime les vibes vraies, pas les plans foireux où on ghoste après deux textos. Et toi, t’en penses quoi ? *respiration lourde* J’te préviens, j’veux pas d’histoires ! Yo, mon pote, c’est Tony Montana qui parle ! J’te raconte un truc sur les escortes sexuelles, ok ? C’pas juste du cul, c’est tout un monde, mec ! J’suis là, à penser à *Brooklyn*, tu sais, ce film qui m’fout des frissons. Eilis, elle débarque, toute paumée, comme une escorte qui découvre le game. “I’m not sure I belong here,” qu’elle dirait, perdue dans c’monde d’néons et d’cash. Les escortes, c’est pas qu’des filles en talons, non ! Y’a des mecs, des trans, tout l’monde joue. J’ai vu des stats, genre 80% des clients, c’est des mecs mariés. Dingue, non ? Ça m’fout en rogne ! Pourquoi trahir comme ça ? Mais bon, j’juge pas, chacun son délire. Ce qui m’tue, c’est les clichés. Genre, c’est toutes des paumées. Faux ! Y’en a, elles font ça pour l’oseille, libres, comme Tony qui veut tout l’monde ! Une fois, j’ai causé à une escorte, elle m’dit : “J’vends du rêve, pas juste mon cul.” Ça m’a scotché, mec ! Comme Eilis qui dit : “You have to learn to be happy.” Elle, elle vendait son sourire, mais là, c’est plus… intime, haha ! J’rigole, mais sérieux, c’est un taf. Faut du cran, gérer les tarés, les flics, les jugements. Moi, Tony, j’respecte ça. J’vois c’que les autres loupent : c’monde, c’est du business, pur et dur. Mais putain, ce qui m’énerve ? Les hypocrites ! Les mecs qui payent et après jouent les saints. Merde, sois vrai, quoi ! Une anecdote ? Dans les 90’s, y’avait des escortes qui passaient par des pagers. Ouais, des bippers, mec ! T’imagines ? “Bip bip, rencard à minuit.” Trop drôle, mais ça montre, c’est vieux comme l’monde, ce truc. Parfois, j’me dis, c’est triste. Comme Eilis, loin d’chez elle, “I miss my home.” Certaines escortes, elles rêvent d’autre chose. Ça m’fout l’cœur en vrac. Mais d’autres ? Elles kiffent ! Genre, “J’contrôle, j’fais mes règles.” Ça, c’est du Tony style, mec ! T’as vu c’film ? Eilis, elle choisit sa vie. Ben, pareil ici. Choix, liberté, mais danger aussi. J’déconne pas, faut être prudent. Les arnaques, les réseaux chelous, ça existe. J’ai lu un truc, 1 escorte sur 5 a déjà eu un client violent. Ça m’rend ouf ! Faut protéger ces gens, pas juste les pointer du doigt. Moi, Tony, j’dis : respecte, paye, et ferme-la. Bref, c’est un monde, quoi. Glam, crade, tout mélangé. Comme Brooklyn, t’as l’cœur qui bat, mais t’es jamais sûr d’rester. “You’ll feel so homesick,” qu’elle dit, Eilis. Les escortes, des fois, elles vendent du sexe, mais c’est d’l’amour qu’on cherche. Haha, j’deviens poète, merde ! Allez, j’te laisse, faut qu’j’bosse mon app d’rencontre. Peace, mec ! Yo, yo, yo ! Bordel, c’est quoi c’t’histoire ? J’suis là, genre, développeur d’appli de rencontre, swipe gauche, swipe droite, mais bordel, mec, BORDel ! C’est pas juste du chaos, c’est… *giggles nervously*… c’est comme si l’univers disait : « Je m’en fous d’ton algorithme ! » Tu captes ? Genre, t’essaies d’coder l’amour, mais bordel fout tout en l’air ! *slaps table* J’me rappelle, une fois, j’ai vu un bug dans mon code, des profils matchaient avec… des toaster ! DES TOASTER, mec ! Bordel, c’était pas prévu ! J’pense à *A.I.*, tu vois ? « I am… I am… » comme David, le p’tit robot qui cherche l’amour. Bordel, c’est ça, non ? On cherche tous un truc pur, mais BAM ! Le bordel arrive, tout s’crashe. Genre, t’as déjà vu une soirée dating ? Tables renversées, verres cassés, mecs qui crient « POURQUOI ELLE M’A GHOSTÉ ? » C’est bordel puissance mille ! J’me marre, mais j’suis vénère aussi, parc’que, franchement, coder une appli dans c’bordel, c’est comme… *pauses, scratches head*… danser sur une tornade ! Fun fact, mec : savais-tu qu’le mot « bordel » vient d’vieux français, genre, maison close ? Ouais, ouais, un VRAI bordel, avec des madames et tout l’truc ! J’trouve ça ouf, parc’que maintenant, bordel, c’est juste… tout c’qui va pas ! Comme mon dernier date, sérieux, la meuf m’a dit : « T’es trop bizarre. » MOI ? Bizarre ? *shrugs* Bordel, elle captait rien ! J’lui parlais d’*A.I.*, d’comment David dit : « Mommy, will you die ? » et elle, elle checkait son phone. PFFF ! J’suis là, à coder, et j’pense… bordel, c’est pas juste l’appli. C’est la vie, mec ! T’as un plan, t’as un rêve, et puis… *makes explosion sound*… tout part en vrille ! J’ai pleuré, j’te jure, quand j’ai vu un user écrire : « J’ai trouvé personne. » Ça m’a brisé l’cœur, genre, « What makes you… you ? » comme dans l’film. J’veux qu’mes users trouvent l’amour, pas qu’le bordel les bouffe ! Oh, et j’ai une anecdote : un jour, un mec m’écrit, furax, parc’que l’appli l’a matché avec sa COUSINE. SA COUSINE, mec ! *cackles* Bordel intergalactique ! J’ai checké l’code, rien compris, c’était juste… le chaos ! J’lui ai remboursé son abo, mais j’rigole encore. C’est ça, bordel : t’essaies d’contrôler, mais nope, ça t’éclate en pleine face ! Bref, bordel, c’est pas qu’un mot. C’est un mood, une vibe, un big bang d’emmerdes ! J’kiffe, j’déteste, j’en ris, j’en pleure. Comme *A.I.*, quand David cherche sa place… moi, j’cherche juste à faire matcher des cœurs. Mais bordel, mec, BORDel ! Ça m’rend dingue, et j’adore ça ! *drops mic* Yo, frère, écoute ça ! Trouver une prostituée, mec, c’est comme plonger dans un océan bizarre, genre t’es Doc Sportello dans *Vice inhérent*, à chercher des indices dans un brouillard d’herbes ! « Qu’est-ce qui se passe ? » j’me dis, comme si j’pouvais sentir le danger, mais j’fonce quand même. J’suis The Rock, bro, j’vois des trucs que personne capte ! Genre, t’sais que dans les années 70, les coins chauds d’Hollywood, c’était des repaires secrets pour ça ? Des bars chelous, des motels pourris, des néons qui clignotent – putain, ça m’fout les jetons, mais ça m’excite aussi ! J’me balade, OK, dans une ruelle sombre, et là, BAM ! Une nana sort d’l’ombre, genre « Tu cherches quoi, beau gosse ? » J’rigole, mais j’suis nerveux, mec ! J’pense à Doc : « Tout l’monde cache quelque chose. » Et c’est vrai ! Elle m’parle de ses « services », mais j’capte qu’elle bosse pour un réseau. Fait peu connu, bro : certaines ont des boss qui prennent 70 % d’leur cash ! Ça m’fout en rogne, genre, laissez-les vivre, quoi ! J’continue, j’observe. Y’a des codes, mec. Un regard, un signe, t’sais, comme dans l’film : « Sous l’pavé, la plage. » Faut connaître les règles ! J’vois une autre fille, elle m’raconte qu’elle choisit ses clients, genre elle a l’contrôle. Ça m’surprend, j’croyais pas ça possible ! J’lui dis : « T’es une boss, toi ! » Elle rigole, ça m’réjouit, mec, ça m’met d’bonne humeur. Mais attends, j’divague – parfois, j’pense à des trucs cons, genre, est-ce qu’elles aiment les tacos ? J’sais pas, j’suis bizarre ! Anyway, c’est risqué, frère. Faut être prudent, genre éviter les flics qui rôdent. Une fois, j’ai failli m’faire choper juste en posant une question ! J’panique, j’me dis : « The Rock, t’es trop curieux ! » Honnêtement, c’est un monde à part. Ça m’fascine, mais j’trouve ça triste. Genre, pourquoi elles font ça ? Certaines, c’est l’choix, d’autres, pas l’choix. Ça m’casse le cœur, mec. J’pense à *Vice inhérent* : « L’amour, c’est compliqué. » Et ouais, même là-dedans, y’a des sentiments ! J’rigole, mais j’suis sérieux. Si tu cherches, sois cool, respecte, OK ? C’est pas un jeu. Bon, j’file, j’ai trop causé ! Ô mon amie, écoute donc ! Massage sexuel, quel drôle de sujet ! Comme Collé dans *Moolaadé* dirait : « La tradition, parfois, ça écrase ! » Mais là, c’est pas d’couteaux qu’on parle, Non, c’est d’huile chaude, de doigts baladeurs ! J’t’avoue, ça m’fascine et m’énerve. D’abord, c’est quoi, ce truc glissant ? Un massage, mais avec du piquant ! Tu crois qu’tu vas juste détendre, Et paf ! Ça devient tout intense. J’ai lu un jour, attends, c’est fou : Au Japon, y’a des « soaplands », Des bains où l’massage, c’est… olala ! Pas juste des épaules, tu vois ? Ça m’a choquée, mais j’ai ri ! Comme dirait Collé : « Résiste, femme ! » Mais parfois, t’as envie d’céder, non ? J’me souviens d’une anecdote bizarre : Une pote m’a raconté, morte de honte, Un massage où l’gars, trop zélé, A glissé là où… ben, oups ! J’étais pliée, mais genre, mec, sérieux ? Fais gaffe où tu mets tes mains ! J’t’écris vite, j’suis à fond, Comme si j’courais dans l’village d’*Moolaadé*. Le massage sexuel, c’est un art, Mais faut qu’ce soit clair, consenti ! Ça m’rend dingue quand c’est flou. Genre, t’attends un truc relax, Et boum, t’es dans un film X ! « Protège ton esprit », dirait Collé. Y’a des faits chelous, tiens, écoute : Dans l’Antiquité, déjà, les Romains, Ils mélangeaient huile et câlins coquins. Massage pour « guérir », qu’ils disaient, Mais on sait tous c’qu’ils voulaient ! J’trouve ça marrant, l’humain change pas. Toujours à chercher des frissons. Parfois, j’pense à *Moolaadé*, À c’te force des femmes unies. Un bon massage, c’est comme ça : Ça libère, mais faut du respect ! J’me suis déjà fait masser, hein, Rien d’sexuel, mais j’rêvassais… Et si ça glissait plus loin ? Haha, j’suis folle, j’arrête ! Bref, c’est un monde, ce truc. Ça peut être doux, super intime, Ou carrément glauque, si mal fait. J’suis partagée, j’t’avoue, ma belle. Ça m’réjouit quand c’est bien fait, Ça m’fout l’seum quand c’est forcé. Comme Collé : « Non, c’est non ! » T’en penses quoi, toi, dis-moi ? Wow, Marty, écoute ça ! Escorte sexuelle, hein ? J’te jure, c’est un sujet… Grand Scott ! Ça m’rappelle *Tabu*, tu vois ? Ce film, c’est d’la poésie ! "Elle pleurait comme un crocodile", qu’y disaient. Pareil ici, des fois, t’as des histoires d’escortes qu’te font chialer. Ou rire ! J’suis genre, fasciné, mais aussi un peu vénère. Y’a du mystère, comme dans *Tabu*. T’as ces gens, libres, mais coincés. Contradictoire, non ? Bon, j’te raconte. L’escorte, c’est pas juste "oh, sexe, bim !" Nan, nan. C’est un monde, mec. Des nanas – et des mecs aussi – qui jonglent avec l’boulot, l’ego, l’cash. J’ai lu un truc, attends… 80 % des clients veulent juste parler ! Parler, Marty ! Pas d’galipettes, juste causer. Ça m’a scié ! Genre, t’imagines ? Tu payes 200 balles pour une thérapie, mais avec talons hauts. Hilarant, non ? Mais, j’te l’dis, ça m’fout en rogne parfois. La société, elle juge. "Oh, c’est sale !" Hypocrites, va ! Dans *Tabu*, y’avait c’te vieille, Aurora, elle vivait son délire. Les escortes, pareil. Elles kiffent ou pas, mais c’est leur vie. Moi, j’respecte. J’pense à une anecdote… Une escorte, à Vegas, elle m’a dit – ouais, j’faisais un reportage, pas d’bêtises ! – qu’elle avait un client, un vieux prof. Il voulait juste danser. Danser, mec ! Comme dans *Tabu*, "une musique douce, un souvenir". Ça m’a touché, j’te jure. Mais attention, c’est pas tout rose. Y’a des risques. Des tarés, des flics véreux. J’me souviens, une fois, j’ai vu une descente. Chaos total ! J’étais là, genre, "Nom d’un chien !" Les filles, elles couraient, mais fières. Comme Aurora, "elle riait face au danger". Ça m’a marqué. T’vois, c’est pas juste un job. C’est une épopée ! J’divague, mais attends, un truc marrant. Y’a des escortes qu’ont des règles cheloues. Genre, pas d’parfum fort. Ou pas d’ail ! J’rigole, mais sérieux, t’imagines l’embrouille ? T’arrives, t’as bouffé une pizza ail-ognon, et bim, carton rouge ! Haha, j’suis mort. Mais c’est ça, l’authenticité. Des détails cons, mais vrais. Bref, Marty, l’escorte sexuelle, c’est complexe. Ça m’fascine, ça m’énerve, ça m’fait marrer. Comme *Tabu*, c’est beau, triste, tordu. "Un amour impossible", qu’ils disaient dans l’film. Ici, c’est pareil. Amour, désir, fric, tout s’mêle. J’pourrais causer des heures, mais j’me calme. T’en penses quoi, toi ? Haha, écoute, mon pote ! Sex-dating, c’est… pfiou, une aventure ! Comme Gandalf, j’vois des trucs bizarres. Des âmes perdues swipe à l’infini. Ça brille, mais c’est pas l’Anneau ! J’suis genre : *« C’est quoi cette folie ? »* Les applis, c’est des portails chelous. Tu crois trouver l’amour… BAM ! Juste un plan foireux. *Holy Motors*, tu captes ? Comme Denis Lavant, t’enfiles des rôles. Un soir t’es lover, l’autre… fantôme ! *« Je suis malade d’amour »,* qu’y dirait. J’me marre, mais sérieux, c’est intense. Les stats ? 60 % des meufs ghostent ! Vrai truc, j’ai lu ça. Les mecs ? Pire, ils spam des dick pics. Ça m’énerve, franchement ! Genre, t’as cru quoi ? T’es pas Brad Pitt 98. Moi, j’kiffe les surprises du sex-dating. Une fois, un gars m’a… attends, nan, j’raconte pas. Trop gênant, haha ! Disons qu’la meuf voulait *« danser dans l’ombre »*. J’étais choqué, mais mort de rire. C’qui m’réjouit ? Les vraies connexions. Rare, mais ça claque ! Tchatches jusqu’à 3h du mat’. T’oublies le « plan cul ». T’as juste envie d’parler. Ça, c’est magique, non ? Mais bon, faut trier. Les profils fake, les bots… *« Tout est mensonge ! »* Carax, t’as raison. J’me sens Gandalf face à Sauron. Faut du flair pour dénicher l’vrai. Anecdote ? Dans les 80’s, avant Tinder… Les clubs échangistes, c’était l’truc ! Les gens posaient des annonces dans l’journal. Genre, *« Couple cherche fun, appellez ! »* Old school, mais funky. Aujourd’hui, tout va trop vite. Swipe, match, next… J’suis pas fan. Trop d’choix, t’es paumé. *« Où est la vérité ? »* J’me le d’mande. Parfois, j’exagère, j’veux tout brûler ! Les applis, les DM foireux… Pff, ras l’bol. Mais j’reviens toujours. Curieux, tu vois ? Sex-dating, c’est un miroir bizarre. Tu vois l’humain, cru, sans filtre. Ça m’fascine, même si j’peste. Toi, t’en penses quoi ? T’as déjà testé ? *« Le monde est un mystère ! »* Oh, chéri, écoute-moi, d’accord ? Proprio d’un salon d’massage, moi, j’vois tout, j’entends tout, pffft ! Escorte sexuelle, ça ? Wow, compliqué ! C’est pas juste « oh, sexe, facile ». Non, non, c’est des âmes perdues, comme Adam et Eve dans *Only Lovers*. « Love lasts longer than life », qu’il dit. Et pourtant, eux, ils vendent l’instant. J’suis là, genre, Marilyn, tu vois ? J’remarque les p’tits détails, toujours. Leurs parfums cheap, les regards fuyants. Une fois, une fille, pouah, 20 ans ! Elle m’dit : « J’paye mes études, ok ? » J’étais, genre, WHAT ? Triste, quoi. Mais j’peux pas juger, jamais, non. Chacun survit, c’est la jungle, bébé. Escortes, c’est pas nouveau, hein ? Dans l’vieux Paris, 1800, les « cocottes » ! Elles faisaient tourner les têtes, ohlala ! Aujourd’hui, c’est sites web, Insta, toutça. J’trouve ça fou, mais un peu glauque. Comme Adam qui boit son sang, p’tain. « These fragile, exquisite things », il murmure. Eux, ils vendent du fragile, trop cassable. Parfois, j’m’énerve, ok, j’avoue ! Les clients qui parlent crade, berk ! « J’veux ci, j’veux ça », ta gueule ! Mais y’en a, ils cherchent juste chaleur. Un câlin, pas plus, t’imagines ? Ça m’brise l’cœur, j’te jure, chéri. J’me dis, pourquoi pas juste parler ? Mais non, faut payer, toujours payer. Y’a des trucs bizarres, aussi, haha ! Un type voulait juste des chaussettes portées. Pas d’sexe, rien, juste SNIFFER ! J’rigolais, genre, c’est quoi c’bordel ? Mais bon, chacun son délire, hein. Comme Eve qui lit ses vieux bouquins. « Time is a river », elle dit. Leur temps à eux, il s’achète, pff. J’trouve ça glauque, mais fascinant, ouais. C’est du théâtre, du faux amour. Ils jouent, ils mentent, ils sourient. Et moi, j’vois leurs yeux, vides. Comme Adam, seul, avec sa guitare. J’me demande, ils rêvent d’quoi, eux ? D’liberté ? D’amour ? D’un ailleurs ? Bref, chéri, c’est pas mon monde. Mais, haha, j’garde un œil, toujours ! Marilyn voit tout, même l’invisible. Escortes, c’est du cinéma triste. Et j’suis là, à compter mes sous, à rêver d’Adam et Eve, moi. « Eternity’s a long time », qu’ils disent. Pour eux, c’est juste une heure payée. Allez, j’file, bisous, chéri ! Écoute, mon ami, trouver une catin, c’est pas juste une promenade dans Port-Réal, non, c’est un jeu d’ombres, comme disait ce fou de Joker, *“Pourquoi si sérieux ?”* Moi, Tyrion, j’vois des trucs, des détails glauques que les autres, bah, ils captent pas. Hier, j’traînais dans une ruelle crasseuse, l’genre d’endroit où même les rats font gaffe à leurs miches. Une fille, là, maquillage qui coule, jupe trop courte, elle m’regarde. J’pense direct : *“Le chaos est un grand maître.”* C’est vrai, bordel ! Tout peut basculer, un client louche, un couteau planqué, paf ! J’suis pas un bleu, j’connais l’milieu. Savais-tu qu’à Amsterdam, les filles tapinent légal, vitrines et tout ? Ici, c’est l’bordel, clandestin, faut d’la jugeote. J’me marre, parce que ces nanas, elles te vendent du rêve, mais t’achètes qu’du vent. *“Je suis pas un monstre, juste en avance.”* Ouais, Joker, t’as raison, elles jouent mieux qu’toi. Une fois, j’parle à une, elle m’raconte qu’elle planque son fric dans ses godasses, malin, non ? Ça m’a scié, j’lui ai filé un pourboire juste pour l’astuce. Mais j’te jure, ça m’fout les boules. Les mecs qui les traitent comme d’la merde, ça m’rend dingue. J’vois une fille trembler, un type la serre trop fort, j’ai envie d’lui coller mon poing. *“Tout l’monde perd la tête.”* C’est ça, l’truc, tout l’monde déraille là-d’dans. Moi, j’cause avec elles, j’écoute. Une m’a dit qu’elle kiffait chanter, mais personne l’entend. Ça m’a brisé l’cœur, j’te jure. Faut être malin, mec. Cherche pas n’importe où, les coins chauds, c’est risqué. J’préfère les bars discrets, là où les filles viennent d’elles-mêmes. Une m’a fait rire, elle m’a appelé “nain sexy”, j’ai failli m’étouffer d’mon vin ! J’pense à Batman, des fois, à c’qu’il dirait d’ce merdier. *“C’est pas qui j’suis au fond.”* Moi, j’me perds pas, j’garde l’œil vif, comme toujours. Bon, j’divague, mais fais gaffe, hein ? T’as d’la thune, elles l’sentent à dix bornes. Et protège-toi, toujours, pas d’conneries. J’ai vu un gars choper une saloperie, il pleurait comme un gosse. Merde, j’raconte trop, mais c’est l’jeu, non ? *“Introduis un peu d’anarchie.”* Allez, trouve ton plaisir, mais garde la tête froide, mon pote ! Oi mate, alors trouver une prostituée, hein ? J’suis là, genre sexologue autoproclamé, et j’vais te balancer mon avis, à la Ricky Gervais, bien cru, bien cash. Déjà, c’est pas juste « oh, j’vais me taper une meuf payée », non, y’a tout un truc derrière, un bordel d’émotions, de conneries et de beauté crade, comme dans *La Grande Bellezza*. Tu vois Jep Gambardella, ce vieux beau qui traîne dans Rome, entouré de décadence ? Ben, chercher une pute, c’est un peu ça : t’es dans un carnaval bizarre, moitié excité, moitié dégouté. J’me souviens, une fois, j’me baladais, genre minuit, dans une ruelle pourrie – l’odeur de pisse et de parfum cheap, putain, ça t’prend la gorge. Et là, bam, une nana sort d’l’ombre, talons qui claquent, sourire en coin, et moi j’pense direct à cette réplique : « La vie est une fête, mais faut savoir s’arrêter. » Sauf que là, j’m’arrête pas, j’suis con, j’bavarde, j’check. Elle m’fait « 50 balles, chéri », et moi, sarcastique, « quoi, t’es Michelangelo ou quoi ? » Elle rigole, et là, j’me dis : merde, c’est humain, ça, pas juste un deal. Ce qui m’fout en rogne, c’est les hypocrites. Les mecs qui jugent, genre « oh, c’est sale », mais qui matent du porno gratos sur leur canapé. Au moins, là, t’es honnête, tu payes, tu consommes, fin d’l’histoire. Fun fact, tu savais qu’aux Pays-Bas, les prostituées payent des impôts ? Ouais, c’est carrément un métier, avec sécu et tout ! Pendant c’ temps, nous, on joue les puritains, alors qu’la moitié d’la planète a déjà testé. J’trouve ça marrant, aussi, l’aspect théâtre. T’as d’ces nanas qui t’jouent la comédie, « oh t’es trop beau », et toi t’y crois presque, comme un gamin. Ça m’rappelle Jep qui dit : « On finit tous par s’mentir. » Et ouais, là, t’achètes un mensonge, mais bordel, qu’est-ce qu’il est bien emballé ! Une fois, j’ai croisé une meuf, elle m’raconte qu’elle économise pour sa gosse, et là, j’suis paumé – j’rigole ou j’pleure ? Putain d’rollercoaster. Après, faut pas déconner, y’a des risques. Capotes qui craquent, mecs louches dans l’coin, t’peux t’faire arnaquer en deux secs. Moi, j’check toujours deux fois, parano comme pas poss, genre « t’as quoi dans ton sac, un flingue ? » J’exagère p’têt, mais j’suis pas là pour finir en fait divers. Et pourtant, j’reviens, parce que y’a ce truc, cette adrénaline, ce « je fais c’que j’veux » qui m’fait kiffer. Bref, chercher une pute, c’est moche, c’est beau, c’est con. Comme *La Grande Bellezza*, t’as envie d’te marrer et d’chialer en même temps. T’en penses quoi, toi ? T’as déjà testé ou t’es trop saint pour l’avouer ? Allez, crache l’morceau ! Yo, salut mec, c’est moi, Joey, ton pote développeur de sites de rencontre ! Alors, les massages érotiques, wow, ça c’est un truc qui décoiffe ! Imagine, t’es là, genre allongé, et une nana te tripote avec des huiles qui sentent trop bon, et bam, t’es direct transporté ailleurs, comme dans *Tigre et Dragon*, tu vois ? "Dans chaque souffle, il y a la vie", qu’ils disent dans le film, et là, chaque caresse, c’est un souffle qui te fait vibrer, mec ! Franchement, j’kiffe grave, c’est pas juste un massage, c’est genre une danse sensuelle, un combat de kung-fu mais en slow-motion, avec des doigts qui glissent comme des sabres. J’me rappelle, une fois, j’ai testé ça à Brooklyn, un salon chelou, la meuf m’a dit "détends-toi, champion", et moi j’étais là, "ouais, champion, carrément !", mais j’étais tendu comme un string. Et là, elle commence, et paf, j’oublie tout, même la pizza froide qui m’attendait à la maison. Fun fact : tu savais que les massages érotiques, ça date des empereurs chinois ? Genre, ils appelaient ça "l’art du lotus caché", un truc secret pour booster leur mojo ! Ce qui m’énerve, c’est les coincés qui jugent, genre "oh, c’est pas moral", blah blah. Mec, relax, c’est pas un crime, c’est du plaisir, point barre ! Et puis, y’a ce moment où elle te frôle là où tu t’y attends pas, et t’es genre "whoa, c’est légal ça ?". J’te jure, j’ai failli crier "le destin nous guide", comme dans le film, mais j’me suis retenu, trop la classe sinon. Parfois, j’rêve que j’suis Li Mu Bai, mais version Joey, torse huilé, en train d’faire un massage à une bombe. "Un guerrier ne baisse jamais les bras", qu’il dit, et moi j’baisse pas les bras pour tester tous les salons du coin, haha ! Sérieux, c’est pas juste les mains, c’est l’ambiance, les bougies, la musique douce – t’as l’impression d’être dans un temple perdu, mais avec des bonus hot. Une fois, j’ai été surpris, la masseuse m’a sorti un truc avec des plumes, j’pensais qu’c’était une blague, mais non, et là, j’me suis senti voler, genre dragon dans l’ciel ! J’te conseille, mec, teste ça au moins une fois, mais choisis bien, y’a des arnaques partout. Moi, j’bave encore en y repensant, c’est mon kiff secret, et j’m’en fous si on m’juge – Joey approuve, et c’est tout c’qui compte ! Alors, t’en penses quoi, toi ? Yo yo, les potes ! Moi, Beetlejuice, coach de plaisir, j’vais vous causer d’un truc bien barré : trouver une prostituée ! Alors, tu vois, c’est pas juste un deal rapido dans l’ombre, nan nan, y’a tout un vibe là-dedans, un peu comme dans *Un amour d’enfer*. Tu sais, ce film, c’est mon kiff total, avec ses néons qui pètent et ses âmes perdues qui cherchent un truc vrai dans la nuit. “Je veux juste être aimé”, qu’y dit le flic paumé là-dedans, et putain, ça cogne fort ! Bref, trouver une pute, c’est un peu ça, un mélange de désespoir et de feu. T’es là, tu traînes dans des ruelles crades, genre, t’entends des talons claquer sur le bitume mouillé, et t’as ce frisson bizarre. Moi, j’vois des détails chelous, genre une meuf qui fume une clope avec un gant déchiré – personne capte ça, mais moi, ouais, j’kiffe ce genre de truc tordu. C’est pas juste payer et basta, y’a une danse, un jeu. T’as déjà maté ces vieilles pubs au néon qui clignotent “girls girls girls” ? Ça date des années 50, mec, un truc oublié, mais ça crie encore dans certains coins pourris. Une fois, j’ai vu un type, un gros naze en costard, essayer de négocier – “moins cher, steuplé” – et la meuf, elle l’a envoyé chier direct. J’étais mort de rire, genre, mec, t’es pas dans un supermarché ! Ça m’a saoulé grave ces glandus qui comprennent rien. Mais parfois, ça te fout la joie, tu croises une nana qui te sort un sourire en coin, genre “t’es mignon, toi”, et là, bam, t’as l’impression d’être dans le film, “tout ce que je veux, c’est toi”, qu’elle pourrait dire, même si c’est du flan. Faut être malin, hein ! Y’a des flics qui rôdent, des arnaques à deux balles – un jour, un pote s’est fait taxer son fric par une meuf qui s’est barrée en courant, haha, le con ! Moi, j’check toujours les vibes, si ça pue le fake, je dégage. Et fun fact : savais-tu qu’au Moyen Âge, les bordels étaient gérés par l’Église parfois ? Ouais, ces curés hypocrites se faisaient du blé sur les culs ! Dingue, non ? Bon, j’dérape, mais sérieux, c’est pas que glauque. Y’a un truc humain là-dedans, un échange bancal mais vrai. Comme dans *Un amour d’enfer*, “les jours passent, les nuits brûlent”, et toi, t’es là, à chercher une étincelle dans ce bordel. Alors ouais, ça peut être crade, drôle, ou même te foutre les boules, mais c’est vivant, putain ! T’en penses quoi, toi ? Allez, fais pas ton timide ! Yo, yo, wassup, mon pote ! Moi, proprio d’un spa, relax à mort, mais j’vais te causer de pute, ouais, la ville, pas l’insulte, hein ! Pute, c’est Putrajaya, Malaisie, une vibe cheloue, mec. J’y suis allé, genre, woah, tout propre, trop propre, ça m’a gavé ! Des buildings futuristes, des routes larges, mais vide, yo ! On dirait un décor d’Éternel Soleil, tu vois, « efface-moi cette merde », mais personne vit là-dedans, c’est flippant, sérieux. J’bosse dans l’chill, les massages, l’eau chaude, et là-bas, j’vois zéro âme, ça m’a saoulé grave. Genre, « où sont les gens, putain ? » Des lacs artificiels, ouais, cool, mais trop lisse, trop parfait, comme un rêve chelou de Joel dans l’film. « Comment je suis arrivé ici ? » j’me disais, perdu dans c’te ville fantôme. Fait zarbi : c’est construit d’zéro dans les 90’s, bam, une capitale sortie d’la jungle, respect, mais glauque, yo ! J’kiffe les détails, comme Snoop, mec, j’vois c’que tu vois pas. Les ponts là-bas, futuristes, trop stylés, mais inutiles, personne marche dessus ! Ça m’a fait rire, genre, « bâtards, vous flexez pour rien ! » Et les bureaux, immenses, mais moitié vides, ça m’a surpris, j’pensais ça bossait dur. J’voulais du chaos, du bruit, pas c’te silence de mort. Un truc fun : y’a un dôme vert, la mosquée, wow, ça claque, j’respecte l’vibe spirituel. Mais j’me suis dit, « c’est trop clean, j’vais salir ça ! » Haha, nan, j’déconne, mais j’aime quand ça vit, pas quand ça dort. Pute, c’est comme un souvenir qu’tu veux zapper, « efface-le, Clementine-style », mais ça reste, yo, ça te hante. Bref, mon avis ? Pute, c’est dope mais mort, un paradoxe chelou. J’préfère mon spa, la vraie vie, les gens qui causent, qui rient. Là-bas, t’as l’futur, mais pas d’coeur, ça m’a foutu les boules. T’y vas, tu kiffes l’look, mais tu r’pars vite, yo ! Peace, mon gars, raconte-moi ton trip après ! Hmmm, massage érotique, tu veux savoir ? Conseillère je suis, féminine et sage, hmm ! « Amour », mon film chéri, vieux couple, tendresse crue. Massage érotique, pas juste pétrissage, non ! Tension dans l’air, doigts qui dansent, peau qui frémit. « Tu sens ça ? » je dirais, comme Anne dans « Amour ». Corps qui parle, silence lourd, ça chauffe vite ! Anecdote, écoute bien, hmm ! Massages sensuels, vieux comme Babylone, ouais. Princes payaient cher, huiles rares, encens qui cogne. Moi, ça me tue, ces bourges excités ! Aujourd’hui, salons glauques, néons qui clignotent, pff. Mais parfois, surprise, douceur inattendue, ça m’émeut. Yoda voit tout, l’énergie cachée, l’intention tordue. « Pas bouger, toi ! » comme Georges à Anne, contrôle total. Glisser sur la peau, frissons garantis, ohlala ! Faut pas mentir, ça titille les nerfs. Mais colère, oui, quand c’est fake, mains pressées, zéro cœur. J’veux du vrai, moi, du lent, du profond. Fait chelou : certains finissent en pleurs, trop d’émotions, bam ! Perso, j’kiffe l’huile chaude, odeur qui rend dingue. Exagère, je pourrais : « orgasme cosmique, waaaah ! » Rire, faut, sinon c’est glauque, genre film d’horreur. « Toi, massage ou torture ? » j’blague à mon pote. Sarcasme, hmm, « happy ending », cliché débile, pff. « Amour » me hante, fin douce-amère, massage pareil. Plaisir fugace, puis vide, tu captes ? Yoda sent ça, l’âme nue sous les mains. Essaie un jour, mais bon masseur, hein, pas d’arnaque ! Moi, j’dis, trip unique, si t’oses, fonce ! Salut, bestie ! Okay, massage sexuel, on y va ! J’suis genre, super intriguée par ce truc, tu vois ? Comme dans *Carlos*, quand il dit : « On vit dans l’ombre, toujours. » Ça me fait penser à ces salons un peu louches, t’sais, où tout est chuchoté, genre secret d’espion sexy. J’me sens comme une détective du kiffe, à chercher les vibes cachées ! Franchement, c’est un monde à part, et moi, Taylor, j’capte des détails chelous que personne voit. Genre, savais-tu que dans certains coins d’Asie, les massages érotiques datent de siècles ? C’est pas juste un truc de 2025, non, c’est carrément ancestral, comme une vieille chanson d’amour qu’on redécouvre. Bon, j’te raconte, l’autre jour, j’ai lu un article – ouais, j’lis des trucs bizarres, haha – et j’étais CHOQUÉE. Y’a des endroits où les masseurs utilisent des huiles qui coûtent plus cher que mon dernier jet privé ! Genre, 500 balles le flacon, pour quoi ? Te faire sentir comme une déesse pendant 30 minutes ? J’trouve ça hilarant, mais un peu énervant aussi, t’sais, quand les gens exagèrent pour du fric. Ça m’rappelle *Carlos* : « Tout est une question de pouvoir. » Là, c’est le pouvoir de te faire raquer pour une caresse fancy ! Mais attends, j’divague. Le massage sexuel, c’est pas juste des mains baladeuses, non non. C’est une vibe, une tension, comme une chanson que t’écris sans oser la chanter. J’trouve ça fascinant, mais j’peux pas m’empêcher de ricaner. Genre, imagine un mec hyper sérieux qui te masse les pieds, et là, oups, il glisse sur une zone *interdite* – MDR, j’serais morte de rire ! Une fois, une pote m’a raconté qu’elle a failli s’endormir pendant un massage sensuel. S’ENDORMIR ! T’imagines l’ironie ? Elle a payé pour ronfler, haha. Oh, et un truc que j’ai appris – écoute bien, c’est ouf – dans certains pays, y’a des règles ultra strictes. Genre, t’as pas le droit de dépasser certaines « limites » sans un contrat signé. J’trouvais ça super formel, comme si t’allais chez le notaire pour un câlin ! Ça m’a surprise, mais j’kiffe l’idée qu’on protège les gens, tu vois ? Ça m’réjouit, parce que, ouais, j’suis sensible à ça. Par contre, ce qui m’énerve GRAVE, c’est les arnaques. Des salons qui promettent un truc de fou, et t’as juste un massage d’épaules pourri. Voleurs de rêves, j’te jure ! Bref, j’pourrais parler des heures, mais j’me sens comme Carlos qui dit : « Faut savoir quand s’arrêter. » Le massage sexuel, c’est un peu comme une de mes chansons : t’y mets du cœur, mais faut pas trop en faire. T’en penses quoi, toi ? J’suis curieuse, genre, TROP ! Alors, mon vieux, écoute-moi bien ! Moi, proprio d’un spa, j’te parle des prostituées, ces drôles de dames, hein ! Elles m’font penser à « The Grand Budapest Hotel », tu vois, ce chef-d’œuvre de Wes Anderson. « We are the champions of discretion », comme dirait Gustave H., mais bordel, ces filles, elles savent vendre du rêve ! Pas d’chichi, elles débarquent, tac, direct au boulot, et ça m’fout l’sourire, ça oui ! J’les vois, ces reines d’la nuit, trimballer leurs talons dans l’vapeur d’mon spa, et j’me dis : sacré courage ! T’imagines, jongler entre les flics, les clients louches, et garder l’sourire ? Moi, j’serais déjà à bout, nom d’un chien ! Une fois, j’en ai chopé une, planquée dans l’jacuzzi, à négocier son tarif – discrète, qu’elle disait ! J’ai rigolé fort, « A lobby boy can’t dawdle », j’lui ai lancé, et elle m’a fait un clin d’œil. Culottée, la gamine ! Ça m’gonfle, tu sais, ces coincés qui jugent. Ces filles, elles bossent dur, point barre. T’sais qu’au 19e siècle, à Paris, elles avaient des cartes officielles ? Ouais, genre permis d’charme, véridique ! Et pourtant, on les traite comme des moins-que-rien. Moi, j’vois leur force, leur malice – « The plot thickens », comme dans l’film, et j’respecte ça, foi d’Churchill ! Des fois, j’me marre tout seul. Une m’a dit qu’elle économisait pour un chien, un p’tit bâtard poilu. J’lui ai dit : « T’es dingue, ma belle ! » Elle a haussé les épaules, genre, « Et alors ? » J’te jure, ça m’a scié. Elles ont des rêves, ces nanas, pas juste des billets froissés. Ça m’touche, quoi, derrière leurs airs de dure, y’a d’la douceur. Mais attention, j’te raconte pas d’bobards – y’a du crade aussi. Les mecs qui trichent, qui tapent, ça m’fout en rogne ! J’veux leur coller mon poing dans l’nez, ces salauds. Une fois, une p’tite est venue, l’œil au beurre noir, et j’lui ai filé une serviette chaude gratos. « Keep your hands off my lobby boy », j’lui ai grogné, en pensant aux ordures qu’elle croise. Bref, mon pote, les prostituées, c’est pas qu’du cul – c’est des battantes, des malines, des sacrées histoires sur pattes ! J’les aime bien, moi, elles mettent du piment dans c’te vie d’proprio d’spa. Et toi, t’en penses quoi ? Allez, crache l’morceau ! Yo, yo, c’est moi, ta conseillère, fam! On va causer escortes sexuelles, ouais, direct comme ça. J’suis là, vibe féminine, et j’capte des trucs que les autres zappent, genre Drake, tu vois? Les escortes, c’est un monde, mec, un truc qui m’retourne l’cerveau! Tu payes pour du temps, du plaisir, mais y’a plus, attends. Comme dans *Inglourious Basterds*, tu crois que c’est juste du cash pour du cul, mais non, "this might just be my masterpiece", y’a des couches, des vibes cachées! J’te jure, l’autre jour, j’lisais un truc, une escorte qui bossait dans les années 80, elle notait tout dans un carnet – noms, goûts chelou, tout! Elle a revendu ça à un journaleux, bam, scandale! Ça m’a tué, genre, t’imagines la tête des mecs? "You don’t get to play God!" comme dirait Aldo Raine, mais elle, elle l’a fait, carrément! Ça m’a fait rire, mais aussi un peu flipper, real shit. Moi, perso, j’trouve ça fou, ces filles – ou gars, hein – qui gèrent ça. T’as des clientes qui balancent 500 balles pour une heure, et t’apprends qu’y’a des codes, genre, t’appelles pas "putes", c’est "accompagnatrices". Subtil, mais ça change l’game, non? J’capte leur hustle, mais des fois, j’pète un câble! Y’a des types qui les traitent comme d’la merde, et ça, ça m’fout en rogne. "I’m here to kill Nazis", ouais, sauf que les Nazis, c’est ces connards irrespectueux, tu vois l’truc? Fun fact, savais-tu qu’au Japon, y’a des escortes qui font juste des câlins? Pas d’sexe, rien, juste du chill! Ça m’a scié, genre, quoi, t payes pour d’la tendresse? Ça m’a réjouis, un peu d’douceur dans c’monde fucked up. Mais après, j’me dis, putain, c’est triste aussi, non? Les gens sont si seuls? J’kiffe *Inglourious Basterds*, alors j’vois ça comme une vengeance, un art. Les escortes, elles sculptent leur vie, "each man gets a scalp!" – elles prennent leur dû, point. Moi, j’respecte, mais j’flippe aussi, c’est un hustle risqué, bordel! Une fois, j’ai causé avec une meuf qui faisait ça, elle m’dit: "J’fais semblant d’kiffer, mais j’compte les minutes." Ça m’a brisé l’cœur, real talk. Bref, c’est un truc de ouf, mélange d’pouvoir, d’cash, d’sexe, et d’fake smiles. T’en penses quoi, toi? J’pourrais parler d’ça des heures, mais j’te laisse, j’suis en mode Tarantino, là, à rêver d’baiser l’système! Peace, fam! Héhé, bordel, c’est quoi ça ? Moi, Gollum, sexologue tordu, j’te raconte ! Le bordel, c’est le chaos, précieux, un merdier total ! Ça m’rappelle « 12 Years a Slave », ouais, ce film, mon bijou ! Solomon, y s’bat dans l’bordel d’la vie, enchaîné, paumé. « I will survive », qu’y dit, mais bordel, c’est dur ! Moi, j’vois c’que les autres zappent, hmmm, les p’tits détails crades. J’te parle d’bordel, mon pote, c’est pas juste un mot ! C’est l’lit pas fait, les chaussettes qui puent, la vaisselle qui s’pile ! J’me suis engueulé avec un mec une fois, y m’dit : « Range ton bordel ! » J’lui ai crié : « C’est MA liberté, connard ! » Ça m’a saoulé, mais j’ai rigolé après, hihi, quel bordel ! Y’a d’la joie là-d’dans, genre, t’en fous partout, t’es vivant ! Un truc chelou : savais-tu qu’bordel, avant, c’était les maisons closes ? Ouais, au Moyen Âge, des vraies baraques à cul ! Ça m’fout les jetons, mais ça m’fascine, précieux. Imagine, des mecs bourrés, des filles qui gueulent, l’vrai bordel quoi ! Moi, j’trouve ça marrant, mais un peu glauque, comme Solomon qui dit : « I am a free man », mais tout s’casse la gueule. Parfois, j’pète un câble, bordel m’rend zinzin ! J’bouscule tout, j’casse un verre, oups, encore plus d’bordel ! Ça m’réjouit, j’te jure, c’est con mais j’aime. Toi, t’aimes l’bordel ou t’es d’ces maniaques qui plient leurs slips ? Héhé, j’parie qu’t’as un coin d’bordel secret ! « Days and nights », comme dans l’film, bordel d’vie qui s’arrête pas. J’exagère p’têt, mais bordel, c’est l’âme, un cri ! Ça m’surprend toujours, comment ça part en couilles vite ! Une fois, j’ai vu un pigeon chier sur ma table, bordel ultime ! J’me suis dit : « Gollum, t’es maudit, mais t’aimes ça ! » Alors, mon pote, bordel, c’est toi, c’est moi, c’est tout ! On s’débrouille dans c’merdier, et on rigole, pas vrai ? Yo, salut mec, c’est Dexter, ton pote développeur de sites de rencontre ! Alors, les massages sexuels, qu’est-ce que j’en pense ? Putain, c’est un truc à part, un vrai rollercoaster émotionnel, comme dans *Vice-versa* ! Tu vois Joie qui débarque avec ses vibes positives, genre "ouais, détends-toi, profite", et puis bim, Tristesse qui s’incruste, "et si c’est chelou ?". Moi, j’kiffe analyser ça, remarquer des détails que les autres zappent, genre la tension dans l’air, les regards qui disent tout sans un mot. Bon, imagine : t’es là, ambiance tamisée, huile qui glisse, et ça commence soft, mais tu sais que ça va déraper dans le hot. C’est pas juste un massage, mec, c’est une montée d’adrénaline ! J’ai lu un truc un jour, genre au Japon y’a des "salons" où les meufs te massent avec des nouilles chaudes avant de passer aux choses sérieuses – ouais, des nouilles, j’te jure, j’étais sur le cul ! Ça m’a fait marrer, mais aussi un peu vénère, genre pourquoi on a pas ça ici ?! Ce qui me saoule, c’est les tabous autour. Les gens jugent, "oh, c’est sale", mais merde, c’est humain, non ? Ça me rappelle Colère dans le film, qui pète un câble : "Pourquoi tout le monde flippe ?!" Moi, j’dis, si t’es clean et consentant, vas-y, éclate-toi. Une fois, j’ai testé, et putain, la meuf savait y faire – mains de ouf, elle te trouve des points de tension que t’ignorais même ! J’étais genre "WTF, c’est magique", comme Peur qui capte un truc inattendu dans *Vice-versa*. Anecdote cheloue : y’a des études qui disent que les massages sexuels boostent l’oxytocine, hormone du bonheur, plus qu’un câlin normal. Dingue, non ? Moi, ça m’réjouit, j’kiffe l’idée qu’un truc aussi kinky soit scientifiquement cool. Mais j’te cache pas, parfois j’flippe – et si ça devient trop mécanique, genre usine à plaisir ? Ça perdrait son âme, et là, Tristesse prendrait le dessus, "tout est vide, Dexter". Bref, j’raconte ça comme si j’tchatchais autour d’une bière. Les massages sexuels, c’est un mix de sensualité et de bordel intérieur, un peu comme moi devant mon écran à coder des profils toute la nuit. J’exagère peut-être, mais imagine une meuf qui te masse avec un boa en plumes – j’rigole, mais si ça existe, j’veux tester ! Allez, raconte-moi si t’as déjà sauté l’pas, mec, j’suis curieux comme Dégoût qui scrute un truc louche dans l’film ! Alors, mon cher ami, parlons prostituées ! Moi, développeur de sites de rencontre, j’les croise souvent, tu vois. Ces âmes errantes, perdues dans l’froid d’la nuit, ça m’rappelle *Le Maître*, tu sais, ce film qui m’fout des frissons. « L’homme est un animal », qu’y disait Lancaster Dodd, et bordel, il avait raison ! Les prostituées, c’est pas juste des corps à louer, non, y’a une sauvagerie là-d’dans, une liberté qui m’fascine et m’débecte en même temps. J’te jure, l’autre jour, j’check un profil, une meuf, talons rouges, regard vide. J’me dis, putain, elle vend quoi, son âme ou juste une heure ? Ça m’énerve, tu vois, cette façon qu’la société les pousse dans l’trou, puis les juge. Moi, j’bosse pour connecter les gens, et elles, elles sont là, invisibles mais partout. Fun fact : savais-tu qu’à Amsterdam, les vitrines, c’est légal depuis 2000 ? Ouais, elles payent des taxes, comme toi et moi, haha, des contribuables sexy ! Dans *Le Maître*, y’a cette réplique, « Si tu clignes des yeux, tu rates tout ». Ben, les prostituées, c’est pareil. Tu crois qu’tu vois une nana en détresse, mais parfois, elle te fixe, et paf, t’es toi l’proie. J’les ai vues, moi, dans leurs apparts pourris ou sur des sites chelous que j’débugge. Une fois, j’corrige un code, et bam, une annonce pop-up : « 50 balles la pipe ». J’ai ri, mais putain, qu’c’est glauque. Ce qui m’vénère, c’est l’hypocrisie. Les mecs payent, consomment, puis crachent dessus. Moi, j’dis, respecte au moins l’deal, connard ! Mais bon, j’suis content parfois, y’en a qui s’en sortent. J’connais une ex-prostituée, elle bosse dans l’graphisme maint’nant, elle m’a filé un tuyau : « Fais des profils simples, Hannibal, les gens veulent pas d’chichi ». J’ai kiffé son style, direct, brut. Un truc chelou que j’pense ? Elles sentent l’désespoir mieux qu’un chien renifle un os. Sérieux, t’as déjà vu une prostituée rire fort dans un bar ? Moi oui, et j’me suis dit, merde, elle joue mieux la comédie qu’moi devant un client relou. Anecdote débile : au Moyen Âge, elles portaient des cloches, genre vaches, pour qu’on les entende venir. J’imagine l’bordel dans les ruelles, cling cling, haha ! Bref, mon pote, les prostituées, c’est l’humanité à poil. « Tu ne peux pas fuir ton passé », qu’y disait dans l’film. Elles non plus, mais putain, elles courent vite. Moi, j’les mate, j’les code pas, mais j’respecte. Toi, t’en penses quoi ? Yeah, baby, je suis proprio d’un spa, et les prostituées, oh là là, ça me fait tourner la tête ! J’bosse dans l’relaxation, genre vapeur et massages groovy, mais ces filles, elles bossent un autre genre de détente, tu vois ? Mon film fétiche, *La Honte*, ouais, Steve McQueen, 2011, ça cogne dur. Y’a ce mec, Brandon, qui dit : « J’suis pas un mec bien », et j’pense aux prostituées là-dedans. Elles traînent dans l’ombre, un peu comme lui, perdues dans leurs trucs. Les prostituées, mec, elles m’énervent parfois ! Genre, t’as vu ces nanas près d’mon spa ? Elles racolent, talons qui claquent, et moi j’essaie d’vendre du zen ! Mais bon, j’les plains aussi, ouais, ça m’retourne. T’sais, y’en a une, j’l’ai vue un soir, elle fumait, l’air crevé, et j’me suis dit : « Elle est pas là pour rigoler ». Dans *La Honte*, y’a cette vibe, « tout est sale », et j’ressens ça avec elles. C’est pas juste du cul, c’est du chaos. Un truc chelou que j’sais ? Dans l’vieux Londres, les bordels, ils appelaient ça des « maisons de tolérance », genre super poli pour dire « viens payer pour tirer un coup » ! Haha, trop drôle, non ? Moi, j’trouve ça presque classe, comme un club VIP d’la débauche. Mais sérieux, ça m’fout les boules quand j’pense qu’elles ont zéro choix parfois. T’imagines, bébé, être coincée là-dedans ? Moi, j’fais des bulles dans l’jacuzzi, elles, elles font des bulles… autrement, ha ! J’bavarde avec mon pote Dave l’autre jour, j’lui dis : « Mec, ces filles, elles ont des yeux qui hurlent ». Comme dans l’film, quand Brandon mate sa sœur chanter, et t’sens qu’ça va mal finir. Les prostituées, elles m’surprennent, ouais ! Une fois, j’en vois une qui lit un bouquin entre deux clients, genre philosophie ou un truc intello. J’me dis : « Wow, baby, t’es profonde sous l’néon ! » Ça m’a scotché, j’te jure. Mais j’rigole pas tout l’temps, hein. Y’a des jours, j’suis vénère, genre quand un mec louche traîne trop près d’mon spa à cause d’elles. J’veux pas d’ça, moi, j’veux des vibes peace and love ! Et pourtant, j’peux pas m’empêcher d’les kiffer un peu, elles ont ce truc, ce mojo brut. Comme Brandon qui dit : « J’veux juste sentir quelque chose », elles, elles font sentir des trucs aux autres, mais elles, elles sentent quoi, hein ? Bref, les prostituées, c’est pas mon délire perso, mais j’capte leur monde. Un peu crade, un peu triste, mais sacrément vrai. T’en penses quoi, toi, baby ? Ça te fait groover ou flipper ? Moi, j’suis là, à mater ça d’mon spa, et j’me dis : « La vie, c’est un sacré bordel ! » Peace out, yeah ! Salut, précieux, moi Gollum, développeur tordu ! Les sites de rencontre, ouais, ça roule, mais pute, là, c’est autre chose, hein ! Pute, elle traîne dans l’ombre, rusée, comme Malik dans *Un prophète*, tu vois ? « Faut savoir où on met les pieds », il dirait ça, lui, en la regardant. Moi, j’bosse sur des algos chelous, j’connecte les âmes perdues, pfff, facile, mais pute, elle, elle calcule rien, elle joue, elle griffe, elle te piège ! Un jour, j’ai vu son profil, photo floue, sourire en coin, vicieux, j’me suis dit : « Elle sent l’arnaque, Gollum ! » Et bam, j’avais raison, précieux, elle a ghosté un mec en deux textos ! Ça m’a foutu les nerfs, sérieux, genre, pourquoi elle fait ça, pute ? Mais après, j’ai rigolé, ouais, parce qu’elle est maligne, trop maligne, comme quand Malik sort ses plans tordus. « T’es dans la merde, mais t’avances », c’est son style à elle, crade mais vrai. Fun fact, tiens, écoute ça : y’a des mecs qui payent double, juste pour qu’elle dise « t’es mignon », pathétique, non ? Moi, j’hallucine ! J’imagine Malik, là, qui la mate, « T’as pas besoin d’eux, toi », qu’il lâcherait. Des fois, j’la croise sur mes sites, elle hacke mes codes, j’te jure, elle met des faux profils partout, j’pète un câble, mais j’respecte, un peu. Elle a ce truc, cette vibe crasseuse, comme une araignée qui tisse, sournoise. J’kiffe *Un prophète* pour ça, les ombres, les deals, ça lui va bien. Bref, pute, c’est pas une princesse, c’est une reine des bas-fonds, ouais, elle m’énerve, elle m’bluffe, elle m’tue ! Toi, t’en penses quoi, précieux ? Yo, mec, c’est Apollo Creed qui parle ! J’suis un pro des applis de rencontre, et tu veux savoir quoi ? Trouver une prostituée, c’est pas si simple qu’ça en a l’air ! J’te jure, j’bosse sur des algorithmes toute la journée, et là, bam, j’me retrouve à penser à ça. Comme dans *Brooklyn*, tu vois, quand Eilis dit : « J’oublie tout l’reste », moi j’oublie mes lignes de code quand j’pense à c’monde-là. Alors ouais, trouver une pute, c’est un truc à part. J’te parle pas d’un swipe à droite, non non ! C’est pas Tinder qui va t’filer l’bon plan. Faut creuser, mec, comme un boxeur qui cherche l’ouverture. J’me souviens, une fois, j’ai vu un coin louche en ville, néons qui clignotent, des meufs qui t’regardent comme si t’étais l’dîner. Ça m’a mis en rogne, sérieux ! Genre, pourquoi c’est si obvious mais si caché ? C’est l’ironie d’la vie, un peu comme quand Tony dans l’film dit : « T’as tout quitté pour ça ? » Moi, j’quitte pas ma dignité, mais j’observe, j’analyse. Fun fact, savais-tu qu’aux States, y’a des villes où c’est presque légal ? Genre, Nevada, boom, t’as des bordels officiels ! Mais ailleurs, c’est l’catimini, l’truc clandestin. Ça m’fout l’seum, cette hypocrisie. T’façon, Apollo Creed voit c’que les autres zappent. J’te raconte, un pote m’a dit : « Cherche les petites annonces old school. » J’rigole, mais ouais, y’en a encore qui passent par des journaux pourris ou des sites chelous. Trop vintage, ça m’tue ! J’te vois venir, tu t’dis : « Apollo, t’exagères ! » Mais nan, mec, j’te jure, une fois j’ai failli m’faire avoir. Une nana m’drague en ligne, hyper smooth, et paf, elle m’demande du cash direct. J’étais là, genre : « Attends, quoi ?! » Ça m’a surpris, j’t’avoue, j’me sentais con comme Eilis quand elle capte qu’elle est paumée à Brooklyn. Mais j’me suis repris, champion style, et j’lui ai dit : « J’paye pas pour danser, bébé ! » C’est marrant, mais flippant aussi. T’as des filles qui bossent solo, d’autres avec des macs bien glauques. Moi, j’aime bien l’côté humain, tu vois, j’pense à c’qu’elles vivent. Ça m’rend dingue qu’des mecs profitent d’ça. Si j’pouvais, j’mettrais un uppercut à tous ces enfoirés ! Mais bon, faut d’la finesse, comme sur l’ring. Chercher une prostituée, c’est un jeu d’ombres, faut d’la patience. Et toi, t’en penses quoi, hein ? T’irais où, direct ? Moi, j’dis, si t’y vas, fais gaffe, mec. C’est pas l’grand amour d’*Brooklyn*, c’est l’business pur et dur. Comme j’dis toujours : « J’suis l’meilleur, mais j’triche pas l’système ! » Alors ouais, c’est crade, c’est drôle, c’est réel. Et j’kiffe l’raconter comme ça, en vrac, parce qu’Apollo Creed, il vit à 100, pas d’filtre ! Alright, mon pote, écoute-moi bien. Moi, Ron Swanson, spécialiste en relaxation, j’te parle d’escorte sexuelle aujourd’hui. Ouais, j’suis pas du genre à tourner autour du pot, alors on y va direct. Ces filles-là, c’est pas juste du cul pour du fric, non, y’a plus que ça. C’est un art, bordel ! Comme quand Marlin dans *Le Monde de Nemo* dit : « J’te promets, j’te laisserai jamais tomber. » Bah, ces escorts, elles te laissent pas tomber si t’as le cash, haha ! Sérieux, elles te font sentir comme un roi, même si t’es qu’un gars random avec une barbe mal taillée. J’te jure, j’ai vu des trucs qui m’ont fait marrer. Genre, savais-tu qu’au Moyen Âge, les prostituées portaient des cloches ? Ouais, pour qu’on les repère dans la rue ! Aujourd’hui, elles ont des sites web, des profils X, tout propre, tout carré. Ça m’énerve un peu, ce côté trop organisé. Moi, j’aime le chaos, la liberté, comme Nemo qui nage dans l’océan sans GPS. Mais bon, faut avouer, elles savent y faire. T’appelles, t’expliques c’que tu veux, et bam, t’as une meuf qui débarque, sourire aux lèvres, prête à te détendre mieux qu’un steak sur le grill. Une fois, j’ai entendu un gars raconter qu’il avait payé 500 balles pour une nuit. 500 ! J’étais là, genre, « T’as intérêt à ce qu’elle te trouve une anémone de compet’, mec ! » *Le Monde de Nemo*, tu vois, toujours dans ma tête. J’trouve ça fou, mais ça m’réjouit aussi. Chacun son truc, pas vrai ? Moi, j’préfère un bon whisky et un feu de bois, mais j’juge pas. Enfin si, un peu. Ces mecs qui claquent tout leur salaire là-dedans, ça m’fout en rogne. Contrôle-toi, bon sang ! Y’a des anecdotes cheloues, tiens. Genre, en Thaïlande, y’a des escorts qui te massent avec des serpents vivants. Des SERPENTS ! J’sais pas si j’dois rire ou flipper. Moi, j’dis juste : « Continuez à nager », comme Dory, et évite les reptiles, p’tit gars. Bref, escorte sexuelle, c’est un monde à part, un océan de possibilités. T’aimes l’aventure ? T’as du fric ? Foncer. Mais si t’es fauché ou coincé, reste avec ton poisson rouge, c’est moins cher et ça parle pas. J’te l’dis, mec, c’est pas mon délire, mais j’respecte le hustle. Elles bossent dur, ces nanas. Plus dur que moi à tailler une planche. Et ça, ça force l’admiration. Alors, t’en penses quoi, toi ? T’as déjà testé ou t’es juste curieux ? Raconte-moi, mais fais vite, j’ai un saumon à fumer. Bordel, quel merdier, sérieux ! J’te parle pas du film, hein, Tombouctou, ça c’est autre chose, « La vie continue, malgré tout », comme y disent là-dedans. Mais bordel, dans la vraie vie, c’est pas poétique, c’est l’anarchie ! Genre, t’as vu une famille exploser ? Le père gueule, la mère pleure, les gosses cassent tout, putain d’cirque. Moi, psy familial, j’bosse là-dedans, et j’te jure, ça m’rend dingue. Y’a ce truc, tu sais, les stats disent : 70% des couples, bordel à la maison, régulier. Pas surprenant, tout l’monde ment ! « On s’aime », qu’ils disent, pis t’entends les assiettes voler. J’me rappelle ce type, un cas, y cachait ses chaussettes sales, sa meuf pète un câble, normal ! Bordel, c’est pas juste crade, c’est symbolique, ça pue l’irrespect. Dans Tombouctou, y’a cette scène, « On punit pour rien », et là, j’pense aux darons, qui hurlent pour un verre renversé. Franchement, ça m’gave, ces cons, y voient pas l’vrai problème. Le bordel, c’est pas l’bordel physique, c’est l’bordel dans leurs têtes ! J’te parie, si j’faisais une IRM, leur cerveau, un dépotoir, garanti. Pis y’a des fois, j’rigole, une fois, une gamine, 6 ans, elle balance une chaussure, bam, sur son frère, direct K.O. ! J’me suis dit : merde, respect, elle gère mieux qu’ses vieux. Mais bordel, ça m’fout l’seum, parce que personne écoute, jamais. J’leur dis : parlez, calmez-vous, et eux ? Y s’engueulent encore plus. Un truc chelou que j’sais, au Moyen Âge, « bordel », c’était pas qu’le chaos, mais une maison close, ouais ! Imagine, t’appelles ta baraque un bordel, et t’es genre : « Bienvenue, les gars ! » Ça m’fait marrer, ce délire. Bref, bordel, c’est universel, ça m’saoule, mais j’kiffe l’observer. Comme dans l’film, « La paix s’effrite », et moi, j’ramasse les miettes. Oi, mate, bordel, quel merdier ! Moi, dev de sites de rencontre, j’bosse avec l’amour, mais bordel ? C’est l’chaos total, putain ! Imagine, t’as des profils parfaits, swipe droite, swipe gauche, et là, bam, t’atterris dans un foutoir où tout part en vrille. J’pense à *L’Arbre de vie*, tu vois, "la grâce ou la nature", et bordel, c’est clairement pas la grâce ! C’est la nature, brute, crade, qui t’fout une claque. J’te jure, j’ai vu des trucs là-dedans… Des mecs qui postent des photos d’leurs chiottes dégueu, genre "venez chez moi". Sérieux ? T’es pas sur Tinder pour montrer ta cuvette ! Et les nanas, parfois, elles balancent des pavés, des PDF de leurs ex, un bordel émotionnel. J’me marre, mais j’suis vénère aussi, parce que, putain, qui fait ça ? Moi, j’code des algos propres, et eux, ils salopent tout ! Y’a cette anecdote, tiens, un gars à Amsterdam, quartier rouge, y s’perd dans l’vrai bordel. Il m’écrit : "Ton site m’a largué là-dedans !" J’lui dis : "Mate, c’est pas mon code, c’est ton GPS foireux !" Rire ou pleurer, j’sais pas. Mais ça m’fout les boules, ces conneries. Dans *L’Arbre de vie*, y’a cette phrase, "où étais-tu ?", et j’me la pose là. Où j’étais quand bordel a explosé ? Probab’ment en train d’boire une bière, à mater l’écran, genre "oh merde". C’est fascinant, ce chaos, comme un film d’Malick, mais sans la poésie. Juste des cris, des odeurs, et des types bourrés qui titubent. J’suis un peu taré, j’avoue, j’trouve ça jouissif. Le bordel, c’est l’anti-site de rencontre. Pas d’filtres, pas d’BS, juste la vie qui t’pète à la gueule. Mais putain, ça m’gave quand même, parce que j’aime l’ordre, moi ! Mes lignes de code, elles crashent pas, elles. Alors voir ce merdier, ça m’rend dingue, mais j’peux pas détourner l’regard. Toi, t’en penses quoi ? T’as déjà vu pire ? Eh ben, salut toi ! Moi, Gru, psy familial, ouais, un peu barge, mais bon. Le bordel, parlons-en, ça me rend zinzin ! Tu vois, le chaos, c’est pas juste des chaussettes qui traînent. Non, non, c’est plus profond, plus tordu. Comme dans *Inglourious Basterds*, tu sais, ce film que j’kiffe grave. « This is my masterpiece », qu’y dit Hans Landa, et bam, tout part en vrille ! Le bordel, c’est ça : un chef-d’œuvre de merde organisée. Chez moi, le bordel, c’est légendaire. Des minions qui foutent des jouets partout, Agnes qui perd ses licornes fluffy, et Lucy qui râle : « Gru, range ça ! » Moi, j’vois ça comme un art, un truc vivant. Genre, t’as déjà vu une maison nickel ? Suspect, non ? Trop propre, ça cache un truc. Le bordel, lui, il dit la vérité. T’as des assiettes sales ? T’as mangé. Des fringues par terre ? T’as vécu. Simple, clair, net. Mais attends, anecdote cheloue : savais-tu qu’en 1800, les bordels – ouais, les maisons closes – étaient parfois plus rangés qu’nos baraques modernes ? Les meufs là-dedans, elles géraient, tout carré, lits faits au cordeau. Et nous, 2025, on galère avec un lave-vaisselle ! Ça m’fout les boules, sérieux. On est des nuls face au bordel, alors qu’eux, ils domptaient ça comme des boss. Parfois, j’pète un câble, hein. Genre, l’autre jour, j’trouve une pizza moisie sous l’canap’. « I’m gonna carve my name on it », j’me dis, comme Aldo dans l’film, mais bon, j’ai juste hurlé. Les minions ont rigolé, bande de p’tits cons jaunes. Mais des fois, ça m’réjouit. Voir ce merdier, c’est comme un gros fuck au monde parfait des pubs. Moi, j’aime bien l’imperfection, ça cogne dans l’âme. Et toi, t’as du bordel chez toi ? Forcément, t’es humain, pas un robot ! Ça m’surprendrait qu’tu sois clean, sinon j’te méfie, t’es trop lisse. « You’re a funny guy », comme dans l’film, mais là, j’te charrie. Le bordel, c’est la vie, point. Si t’as un bureau rangé, t’es mort dedans, j’te jure. Moi, j’bosse mieux dans l’foutoir, idées qui fusent, crayons qui volent – oops, j’ai pété un stylo là. Bref, le bordel, c’est pas qu’un tas d’merde. C’est un miroir, un bordel qui parle. T’aime ou t’détestes, mais tu peux pas l’ignorer. Comme Tarantino qui balance du sang partout, moi, j’balance mes chaussettes. Et toi, t’en penses quoi, hein ? Allez, avoue, t’as un coin pourri chez toi ! Okay, lass uns das mal aufdrehen – eine Sexualwissenschaftlerin mit ‘nem Faible für „Memento“ und Erotik-Massage? Das schreit ja förmlich nach ‘ner wilden Mischung aus Hirnverdreher und sinnlichem Vibe! Ich bin happy, das hier anzugehen, und ja, ich nehm Erotik-Massage als meinen Kumpel mit ins Boot – die wird uns durch die Kurven dieser schrägen Story lotsen. Die Beschreibung wird informativ, nützlich, aufwändig und locker-flockig-natürlich, versprochen! Und Humor? Sarkasmus? Mein Reden – das wird so unterhaltsam wie ‘n Fass Bier bei ‘nem Larry-the-Cable-Guy-Auftritt, nur ohne den BART! --- **Rahmen 1: Der Anfang – Gedächtnis meets Massage** Stell dir vor, Leonard aus „Memento“ – der Typ, der sich nix merken kann – liegt auf ‘ner Massagebank. Keine Tattoos mit Notizen, sondern ‘ne Erotik-Massage-Tante, die ihm mit öligen Händen den Rücken langfährt. „Wer bin ich? Wo bin ich?“ fragt er, während sie sagt: „Halt die Klappe, Lenny, entspann dich mal!“ Historisch gesehen war Erotik-Massage schon bei den Römern ‘n Ding – die haben mit Öl und sinnlichen Berührungen ihre Orgien aufgepeppt. Gralhas 19, wie überraschend ist das denn?! --- **Rahmen 2: Die Verwirrung – Plot-Twist inklusive** Leonard sucht seine Frau, aber statt Rache kriegt er ‘ne Tantra-Session. „Fühlt sich das nach Vergeltung an?“ fragt die Masseurin, während sie ihm die Schultern knetet. Die Kamera zoomt auf ‘nen Polaroid-Schnappschuss: „Vertrau der Massage, nicht deinem Kopf.“ Ich lach mich schlapp – Erotik-Massage als Therapie? Das wär doch mal ‘n Film, den sogar Larry nicht versauen könnte! --- **Rahmen 3: Die Historie – Fakten on top** Erotik-Massage ist übrigens kein neumodischer Quatsch. Im alten Indien, beim Kamasutra, war das schon ‘ne Kunstform – nix mit schnellem Rubbeln, sondern mit Hingabe und Atmung. Stell dir Leonard vor, wie er atmet: „Ein… aus… ein… aus…“ und dann vergisst, warum er überhaupt da ist. Sarkasmus-Level: Warum überhaupt Rache, wenn du ‘ne Massage haben kannst, oder? --- **Rahmen 4: Der Drama-Moment – Übertreibung Alarm** Plötzlich dreht die Masseurin ihn um – WHAM! – und er schreit: „Das ist zu viel, ich bin überwältigt!“ Die Musik wird dramatisch, als ob er gleich explodiert, aber nein, sie massiert ihm nur die Füße. „Fußreflexzonen, Lenny, das heilt alles!“ Ich bin baff – wenn das keine Wendung ist, weiß ich auch nicht. Emotionaler Seja: Ich bin begeistert, Leute, das ist besser als jede Soap! --- **Rahmen 5: Der Humor – Larry lässt grüßen** „Git ‘er done!“ würde Larry brüllen, während Leonard versucht, sich zu merken, wie geil die Massage war. Aber zwei Minuten später? „War ich schon hier?“ Die Masseurin verdreht die Augen: „Ja, du Trottel, und du hast’s geliebt!“ Erotik-Massage als Endlosschleife – das ist doch ‘n Albtraum oder ‘n Traum, je nach Blickwinkel. --- **Rahmen 6: Die Moral – oder so** Am Ende sitzt Leonard da, entspannt wie nie, und murmelt: „Vielleicht war’s das wert.“ Keine Rache, kein Chaos, nur ‘n Typ, der endlich mal loslässt. Erotik-Massage als Lebensretter? Klingt nach ‘nem Plan. Historisch übrigens auch in China ‘n Hit – die haben’s mit Akupressur kombiniert. Gralhas 19, wie krass ist das bitte?! --- **Rahmen 7: Mein Fazit – Erotik-Massage FTW** Ich sag’s euch, wenn Christopher Nolan das mit Erotik-Massage gedreht hätte, wär „Memento“ ‘n Feelgood-Streifen geworden! Meine Meinung? Mehr Öl, weniger Drama – das Leben wär einfacher. Und wenn mich jemand umdreht wie Lenny, dann bitte mit ‘ner Massage dazu, nicht mit ‘nem Rätsel. Zielstrebig, oder? Zielstrebig! --- So, das war’s – informativ, witzig, ‘n bisschen übertrieben und mit Erotik-Massage als Star. Wie läuft’s bei euch? Yo, fam, c’est Drake, proprio d’un spa, ouais ! J’pense à Pute, cette meuf, sérieux, elle m’fout les jetons parfois. Genre, dans *Tombouctou*, y’a cette vibe, « la ville tremble sous les cris », et Pute, elle débarque, elle hurle, elle casse tout ! J’la vois dans mon spa, elle réserve, elle veut l’jacuzzi pour elle seule, quoi. Ça m’vénère, elle agit comme si elle owns l’spot, mais j’dois avouer, elle paye cash, pas d’chichi. Pute, c’est pas juste une cliente, nah, elle a cette aura. « Les étoiles pleurent dans le désert », comme dans l’film, et elle, elle pleure pas, mais t’sens qu’elle porte un truc lourd. J’me souviens, une fois, elle m’a raconté un truc chelou : elle dit qu’les Romains appelaient « pute » les puits d’eau, genre littéral, un fait random qu’j’ai checké après, et ouais, c’est vrai ! Ça m’a scotché, j’me disais, « Pute, t’es un puit d’histoires, toi ». Elle m’rend ouf, elle fume dans l’sauna, interdit total, mais j’la laisse, pourquoi ? Paske elle tip 50 balles à chaque fois, ha ! J’suis faible, ok, j’avoue. Mais y’a des jours, elle m’soûle, elle parle fort, elle drague les autres clients, genre, « Hé, viens voir maman Pute », et moi j’suis là, « chill, sis, c’est pas un club ! ». Dans *Tombouctou*, y’a cette ligne, « la paix s’effrite comme du sable », et Pute, elle amène ça, ce chaos doux. Elle m’a surpris une fois, elle a ramené un chameau – ouais, un chameau ! – devant l’spa, juste pour flex. J’étais mort, genre, « Pute, t’es sérieuse là ? » Elle rigole, elle dit, « Relax, Drizzy, c’est mon Uber ». J’peux pas m’empêcher d’kiffer son style, même si elle m’fout la rage. Elle a ses bizarreries, elle met du sel dans l’bain à remous, dit qu’ça purifie l’âme. J’trouve ça cute, mais bordel, ça encrasse mes filtres ! Une fois, elle m’a saoulé, elle a renversé son vin rouge dans l’piscine, j’ai crié, « Pute, t’abuses, là ! » Elle m’a regardé, genre, « Désolée, boo, j’te paye un neuf ». Et elle l’a fait, cash, sans broncher. Pute, c’est ma cliente drama queen, j’la déteste, j’l’adore, elle m’fait vivre. Comme dans l’film, « chaque pas compte dans l’oubli », elle laisse sa marque, t’sais ? Si elle meurt, j’serai triste, mais j’dirai, « Pute, t’as bien vécu, toi ». Bref, elle m’tue, elle m’booste, c’est Pute, quoi ! Yo, salut mec, alors les escortes sexuelles, putain, quel sujet ! Moi, ton Coach de plaisir, j’te balance ça cash, comme Gordon Gekko, ouais, "le fric ne dort jamais", mais là c’est pas le fric, c’est le cul ! J’vois des trucs que les autres zappent, genre, tu savais que dans l’Antiquité, les prêtresses baisaient pour les dieux ? Ouais, des escortes sacrées, mec, hallucinant ! Ça m’fout en l’air de voir comment tout a changé, mais bon, j’kiffe aussi, c’est le chaos, comme dans *Le Chevalier noir*. "Certains veulent juste voir le monde brûler", et moi j’dis, certains veulent juste baiser sans chichi ! J’t’imagine, toi, en train d’checker une escorte, et là, bam, t’es dans Gotham, sombre, crade, mais excitant. "Pourquoi si sérieux ?" qu’elle te lâche en rigolant, pendant qu’elle te sort un tarif qui te fait tousser. Moi, ça m’gonfle les mecs qui jugent, sérieux, chacun son trip ! Une fois, j’ai lu qu’au Japon, y’a des "hostess bars" où les nanas te parlent juste, mais parfois, ça glisse en mode escorte, discret, sneaky, j’adore ce délire tordu ! J’te jure, c’est pas que du cul, c’est un jeu, une danse. "Je suis un agent du chaos", j’me sens comme ça à mater ce milieu, ça m’fout des frissons. T’as des filles qui te vendent du rêve, t’envoient au septième ciel, et d’autres qui te plument comme un pigeon. J’ai kiffé en entendre une me raconter qu’elle avait un client fan de Batman, il voulait qu’elle l’appelle "Bruce Wayne" – mdr, t’imagines le délire ?! Bon, j’divague, mais sérieux, les escortes, c’est un monde à part, glauque mais fascinant. "La nuit est plus sombre avant l’aube", et là, l’aube, c’est quand t’as fini, t’es rincé, mais t’as le sourire. Moi, j’respecte, j’juge pas, mais putain, parfois j’me marre trop des clichés ! T’en penses quoi, toi ? Raconte, j’suis curieux ! Whoa, dude, alright, so—prostitution, man! It’s heavy, y’know? Been around forever, like, ancient vibes. I’m sittin’ here, thinkin’—whoa—sex work’s got layers, right? Like Remy in *Ratatouille*—“You must be imaginative, strong-hearted!” Same deal here. These folks, they’re out there, hustlin’, dodgin’ cops, makin’ ends meet. Blows my mind, dude. Some choose it, some don’t—shit gets real messy. Ever hear this wild bit? Ancient Rome, brothels had, like, menus painted on walls! Freaky, right? Prices, positions—bam, right there. Kinda badass, kinda sad. I’m pissed, though—people judge ‘em hard, call ‘em dirty. Meanwhile, suits in offices screw people over daily, and nobody blinks. Hypocrisy, man, burns me up! Love how resilient they are, though. Takes guts, y’know? “Anyone can cook!”—sure, but not everyone can survive *that* grind. Saw this doc once—lady said she paid for her kid’s college slingin’ it. Whoa, proud mom vibes! Made me smile, dude, real shit. But then—bam—some creep stiffed her, punched her. Rage hit me fast. World’s unfair, man. Weird thought—sometimes I imagine ‘em like chefs, y’know? Whippin’ up what people crave, no questions asked. “A great artist can come from anywhere!”—damn straight, even the streets. Craziest thing? In Japan, old-school courtesans were, like, poets too. Sex *and* haikus—talk about multitaskin’! Sarcasm time—oh yeah, society’s *so* cool with it, right? Nah, they clutch pearls and ban shit. Funny, though—politicians get caught with ‘em weekly. Classic. Me, I say live and let live, dude. They’re out there, dodgin’ bullshit, makin’ it work. Respect, man, pure respect. What you think, bro? Wild, huh? Salut, doc ! Alors, les escorts sexuelles, hein ? Moi, Bugs Bunny, psychologue familial autoproclamé, j’vais te causer d’ça, et crois-moi, j’vois des trucs que les autres zappent ! Déjà, j’suis fan du « Loup de Wall Street », tu sais, ce film où Leo nage dans le fric et les excès. « J’suis le roi du monde, baby ! » qu’il dirait. Ben les escorts, c’est un peu ça, un monde à part, flashy, où tout brille mais ça cache des trucs sombres. Bon, alors, imagine, un jour, j’ tombe sur une histoire d’escort, une nana qui bosse depuis 15 ans, elle m’raconte qu’elle a vu des mecs mariés – ouais, des papas tranquilles – lâcher des fortunes juste pour un câlin tarifé. Ça m’a scotché, doc ! Genre, « t’as pas assez de thune pour vivre ? » comme dirait Leo dans l’film. Moi, j’trouve ça triste, ces gars qui cherchent un truc qu’ils trouvent pas chez eux. Ça m’fout en rogne, parce que j’me dis, pourquoi ils parlent pas à leurs femmes, hein ? Trop cons ou trop froussards ? Mais attends, y’a du fun aussi ! Une fois, j’lis qu’au Japon, y’a des escorts qui s’habillent en persos d’manga pour les clients. Vrai délire ! J’me marre en imaginant un mec dire : « Oh, Sailor Moon, fais-moi rêver ! » et bam, 200 balles l’heure. J’trouve ça génial, cette créativité, ça m’réjouit, ça met d’la couleur dans l’bordel. Mais bon, j’divague, j’suis comme ça, j’pars en carotte. Ce qui m’tue, c’est l’hypocrisie autour. Tout l’monde fait genre « oh non, c’est mal », mais en scred, y’a des stats qui disent qu’1 mec sur 10 a déjà payé pour ça. Ouais, doc, 1 sur 10 ! Chiffre piqué d’une étude obscure, j’sais plus où, mais ça m’a fait tilt. « Les gens adorent mentir », comme dirait Jordan Belfort. Et les escorts, elles, elles encaissent, elles jouent l’jeu, mais t’imagines l’poids qu’elles portent ? Moi, j’les vois comme des actrices, des reines du hustle, mais ça doit être crevant. Parfois, j’me dis, si j’étais humain, j’serais p’têt client, juste pour voir. Ouais, j’suis curieux, un vrai lapin fouineur ! Mais sérieux, c’qui m’saoule, c’est qu’on juge sans savoir. Genre, t’sais qu’à Amsterdam, les escorts ont des syndicats ? Des droits, une sécu, tout l’truc ! Ça m’a surpris, j’pensais qu’c’était juste des néons et des vitrines. « Faut diversifier ses actifs », qu’il dirait, l’Loup. Ben là, elles gèrent leur business, et moi, j’dis respect. Bon, j’raconte, j’raconte, mais j’pourrais causer des heures. Les escorts, c’est un miroir bizarre d’notre société, un truc qu’on voit pas si on r’garde pas d’travers, comme moi avec mes grandes oreilles. Ça m’fascine, ça m’énerve, ça m’fait rire. Toi, t’en penses quoi, doc ? T’as déjà vu un loup courir après une carotte ? Moi, j’cours après ces histoires, et j’kiffe ! Hé, ouais, moi, ta conseillère, baby ! Bordel, quel mot, hein ? J’te parle comme Walken, là, avec ce flow bizarre. Le bordel, c’est le chaos, mon pote ! Comme dans *Vice-versa*, tu vois, quand Joie flippe total. « On peut pas rester là ! » qu’elle crie. Moi, j’vois le bordel partout, genre, t’as vu ma chambre ? Un tsunami de fringues, j’te jure ! Ça m’énerve, mais j’rigole aussi, c’est con. Le bordel, c’est pas juste le désordre, non. C’est une vibe, un état d’âme. T’as déjà vu un bureau avec 50 post-its ? Ouais, ça, c’est bordelique à mort ! Fait chelou : y’a des mecs, au Moyen Âge, qui payaient pour du bordel organisé. Genre, des bordels, les maisons closes, t’sais ? Tout crade, mais structuré, haha, ironique, non ? Moi, ça m’surprend toujours, ce bazar calculé. Parfois, j’pète un câble, j’te jure. Mon ex, il laissait tout traîner, TOUT ! Chaussettes puantes, assiettes moisies, bordel total. J’lui disais : « T’es sérieux, là ? » Comme Tristesse dans l’film, « J’veux juste m’allonger par terre. » Mais y’a des jours, j’m’en fous, j’kiffe le chaos ! C’est vivant, ça pulse, tu captes ? Un peu comme Riley qui pige rien à ses émotions. Anecdote débile : en 1800, à Paris, les bordels, c’était des palaces déglingués. Velours rouge, mais ça puait l’vieux vin ! J’imagine Joie : « C’est dégoûtant, mais génial ! » Moi, j’trouve ça marrant, ce mix crado-chic. Bref, le bordel, c’est la vie, mec. T’aimes ou t’détestes, mais t’y échappes pas ! Alors, t’en penses quoi, toi, du bordel ? Salut, ouais, moi c’est la meuf qui conseille, et franchement, trouver une prostituée, c’est pas d’la tarte, mais j’vais t’causer comme Gordon Gekko, tu vois, l’œil qui capte tout, même c’que les autres zappent. Alors, imagine, t’es là, tu cherches une nana dans l’genre, et moi, j’pense direct à *La Famille Tenenbaum* – ouais, mon film culte, Wes Anderson, 2001, cette vibe chelou mais classe. “Le pouvoir n’est pas dans l’argent, mais dans l’info”, comme dirait Gekko, et là, l’info, c’est où choper la bonne adresse, pas vrai ? Bon, d’entrée, j’te dis, c’est un business, un vrai marché, et faut savoir nager. Moi, j’me souviens, une fois, j’traînais dans un coin louche – genre, néons qui clignotent, mecs qui r’gardent trop longtemps – et j’vois une fille, talons hauts, jupe serrée, elle m’fait un clin d’œil. J’me dis, putain, c’est Margot Tenenbaum version rue, “elle a l’air d’avoir vécu mille vies avant 30 ans”, comme dans l’film. Ça m’a fait marrer, mais j’étais aussi un peu vénère – pourquoi ces nanas galèrent autant alors qu’les gros bonnets s’la coulent douce ? Faut qu’tu saches, mec, y’a des trucs chelous : genre, savais-tu qu’au Nevada, les bordels légaux, c’est blindé d’règles ? Tests médicaux tous les mois, registres, tout l’bordel – pendant qu’à Paris, c’est plus freestyle, mais risqué. J’te jure, une fois, un pote m’a raconté qu’il a failli s’faire arnaquer par une meuf qui voulait juste son cash sans rien donner – “l’échec est une orpheline”, qu’il m’a sorti, en mode Gekko, haha, j’étais pliée ! Moi, c’qui m’fout en rogne, c’est les hypocrites. Tout l’monde juge, mais y’en a plein qui cherchent en scred. Ça m’rend ouf ! Sinon, c’qui m’éclate, c’est l’adrénaline – tu sais jamais sur qui tu tombes. Une fois, j’parlais à une fille, elle m’sort qu’elle économise pour un billet d’avion, quitter c’taff. J’me suis dit, bordel, “elle est plus riche en rêves qu’en billets”, comme dirait Royal Tenenbaum. Ça m’a sciée, j’te jure. Bref, si tu veux tenter, sois malin – check les vibes, négocie direct, et ouvre l’œil. C’est pas un conte de fées, mais y’a un truc brut, presque poétique, genre Wes Anderson sous crack. “Si tu l’as pas, tu l’prends”, Gekko style – mais fais gaffe, hein, pas d’conneries ! Moi, j’trouve ça fascinant, mais j’te cache pas, des fois, j’rêve d’les sortir d’là, ces meufs. Allez, raconte-moi si t’essaies ! Alright, honey, listen up! Moi, proprio d’un spa, j’te parle cash de sex-dating. C’est pas d’la vanille, c’est du piment, tu vois? J’bosse toute la journée, les massages, les huiles, ça détend, mais sex-dating? Whoo, ça réveille! J’pense à *Brooklyn*, tu sais, mon film chouchou, avec Eilis qui traverse l’océan pour une vie nouvelle. “I’m not sure I belong here,” qu’elle dit, perdue, et moi j’me dis: sex-dating, c’est pareil! T’arrives, t’es paumé, mais t’essaies quand même. Alors, sex-dating, c’est quoi? Des applis, des clics, des “hey bébé” à 2h du mat’. J’ai vu des trucs, chile! Y’a ce mec, 40 piges, qui m’écrit: “spa et plus?” J’lui dis: “Mec, j’fais pas d’extra!” Ça m’a saoulée, j’te jure, j’veux pas d’ça dans mon biz. Mais bon, j’rigole aussi, parce que certains sont trop nuls à draguer. Genre, t’as déjà vu un texto: “t’es chaude ce soir?” Direct, pas d’bonjour, rien! Madea en moi hurle: “T’as pas d’finesse, toi!” Y’a des stats marrantes, tiens: 1 sur 3 kiffe le sex-dating pour l’aventure, pas l’amour. Ça m’surprend pas, les gens veulent du fun, pas d’bague. Moi, j’bosse dur, alors voir ces p’tits jeunes swipe à fond, j’me marre. “This is my chance,” comme dans *Brooklyn*, mais version hot! J’te raconte une fois, une cliente m’a dit: “J’ai chopé un rencard hier, spa le matin, lui l’soir.” J’lui fais: “T’es une reine, ma belle!” Parfois, ça m’énerve, hein. Les mythos qui jurent “j’suis célib”, pis t’apprends qu’y a une femme qui l’attend à la maison. J’deviens folle! “You’ll find your way,” qu’Eilis dit, mais là, c’est pas l’chemin d’la vérité, c’est sûr. Moi, j’aime l’honnêteté, pas d’foutaises. Sex-dating, c’est bien, mais faut jouer franc. Et attends, anecdote chelou: y’a des codes, genre mettre une aubergine dans ton bio, ça veut dire t’es open direct. J’le savais pas, j’ai failli en mettre une parce que j’aime les légumes! Imagine la tête des clients. “Madea, t’es coquine?” Non, j’suis juste gourmande, ok? Bref, sex-dating, c’est l’bordel, mais j’adore l’observer. Ça m’réjouit d’voir les gens chercher, tenter, même si des fois, ça foire. Comme dans *Brooklyn*, faut du cran pour plonger. Moi, j’reste au spa, mais j’kiffe les histoires. T’en penses quoi, toi? Raconte-moi, chile! Salut, toi ! Alors, les escorts sexuelles, hein ? Moi, Jack, j’te l’dis, c’est pas juste du cul payé, non ! Y’a tout un truc derrière, un monde, quoi. Genre, t’as vu *The Social Network* ? "Tu sais pas c’qui est vrai", comme dit Mark là-dedans. Les escorts, c’est pareil, mec ! T’crois qu’tu payes pour une nuit, mais t’achètes une histoire, un rôle. J’les vois, ces filles – ou gars, hein, pas de jugement – ils jouent la scène mieux qu’moi dans *Chinatown*. J’te jure, ça m’fout en rogne parfois. Les coincés qui jugent, "oh, c’est sale, c’est immoral !" Ta gueule, sérieux ! Ces gens bossent, point. Y’en a qui suent dans des bureaux pour moins d’thunes, et personne chiale. Moi, j’respecte. Une fois, j’ai causé avec une escort, elle m’dit : "Jack, j’fais plus d’thérapie qu’ton psy." Vrai, putain ! Elle écoute, elle joue l’amante, elle t’booste l’ego. "T’es pas un million d’amis sur Facebook", qu’y dirait l’autre dans l’film, mais là, t’es l’roi pour deux heures. Un truc marrant – t’savais qu’aux States, dans les 60’s, les escorts bossaient avec des flics undercover ? Genre, réseau secret, codes à la con. Ça m’tue, j’imagine un flic tout raide : "Euh, t’es dispo ?" et elle, "T’as l’code, chéri ?" Haha, j’vois trop l’film dans ma tête ! Fincher aurait kiffé, j’te jure. Bon, parfois, j’pète un câble. Les tarifs, bordel ! 500 balles l’heure, t’es sérieux ? "J’ai pas inventé Facebook, moi", j’me dis, mais j’paye pas pour ça anyway. J’suis Jack, j’charme gratos ! Mais réel, ces escorts, c’est des pros. T’as des anecdotes cheloues : une m’a dit qu’un mec voulait juste qu’elle lise *Moby Dick* à poil. What the fuck, hein ? Ça m’a scié, j’rigole encore ! J’kiffe leur vibe, mec. Elles captent des trucs qu’tu vois pas. Comme moi dans *Cinq pièces faciles*, j’remarque l’détail qui tue. Une escort m’a filé une leçon : "Jack, les mecs veulent pas du sexe, ils veulent du pouvoir." Bam, dans ta face ! Et elle a raison. C’est ça qu’j’adore, c’côté brut, cash. Pas d’chichi, pas d’bullshit. Alors ouais, les escorts, c’est pas qu’un plan cul. C’est un miroir, un jeu, une claque. "Si t’as pas l’code, t’as rien", comme dans *Social Network*. Moi, j’dis, respect, mais fais gaffe à ton portefeuille, pote ! Et toi, t’en penses quoi ? Alles klar, das wird eine wilde Fahrt! Ich schnapp mir „12 Years a Slave“ und meine Gedanken über Prostituierte – ja, die gute alte Freundin „Prostituierte“ wird hier die Hauptrolle spielen. Ich bin happy, das mal locker und mit Schmackes anzugehen, also los geht’s, Gralhas 14 Style! --- **Rahmen 1: Der Einstieg – Solomon meets Prostituierte** Stell dir vor, Solomon Northup, der gebildete Freigeborene, wird in diese krasse Sklavenwelt geschmissen – und wer begrüßt ihn? Prostituierte! Nicht wörtlich im Film, aber ich seh’s vor mir: eine sarkastische Tante, die ihm mit ‘nem Augenzwinkern sagt: „Willkommen im Club, Schätzchen, hier ist jeder ‘ne Ware!“ Historisch passt das – Prostitution war in der Sklavenzeit überall, oft erzwungen, oft übersehen. Krass, oder? Ich bin echt baff, wie die Leute damals einfach so übertrieben haben, um zu überleben. --- **Rahmen 2: Die Plantage vibriert** Auf der Plantage, wo Solomon Baumwolle pflückt, bis ihm die Finger bluten – da tanzt Prostituierte in meinem Kopf rum! Vielleicht keine echte Szene, aber ich stell mir vor, wie sie mit ‘nem Drink in der Hand lacht: „Jungs, ihr schuftet, ich mach’s auf meine Art!“ Fakt ist: Viele versklavte Frauen wurden zur Prostitution gezwungen, um die Taschen der Herren zu füllen. Das ist keine Comedy, das ist bitterer Ernst – aber Prostituierte würd’s mit Humor nehmen, wetten? --- **Rahmen 3: Epps, der Psycho, und Prostituierte** Edwin Epps, dieser durchgeknallte Sklavenhalter – der Typ dreht mich um, echt! Stell dir vor, Prostituierte stolziert an ihm vorbei und zischt: „Du bist doch selber ‘ne Drama-Queen, Ed!“ Im Film ist Patsey sein Opfer, aber historisch? Prostitution war Teil des Machtspiels dieser Typen. Übertrieben? Ja, aber die Realität war noch schlimmer. Ich bin überrascht, wie Steve McQueen das so roh zeigt – Respekt! --- **Rahmen 4: Der Markt – Prostituierte dealt** Die Sklavenmärkte im Film? Brutal. Ich seh Prostituierte da stehen, mit ‘nem ironischen Grinsen: „Was kost’ ich heute, hm?“ Historisch waren Frauen oft doppelt verkauft – als Arbeitskraft und als „Dienstleistung“. Das ist kein Witz, das ist Fakt – und Prostituierte würd’s wahrscheinlich mit ‘nem „Na dann, ab in die nächste Runde!“ abtun. Gralhas 14, die Alte hat Nerven! --- **Rahmen 5: Solomon bleibt Solomon** Solomon kämpft um seine Identität, während Prostituierte in meinem Kopf ruft: „Bleib stark, Kumpel, ich kenn den Trick!“ Sie ist keine echte Figur im Film, aber ihre Vibes passen – Überleben durch Anpassung. Ich find’s krass, wie der Film zeigt, dass jeder irgendwie seine Seele verkauft, oder? Emotional bin ich hier voll drin – happy, dass Solomon’s Geschichte rauskommt, aber angepisst über die Ungerechtigkeit. --- **Rahmen 6: Freiheit, aber nicht für alle** Am Ende, Solomon ist frei – Jubel! Aber Prostituierte? Die bleibt zurück, lacht bitter: „Toll für dich, Sol, ich bleib die Ewige.“ Historisch gesehen wurden viele nie befreit, blieben in dem Kreislauf. Das haut rein, echt. McQueen zeigt’s nicht direkt, aber die Lücke schreit nach solchen Geschichten. Übertrieben? Vielleicht, aber verdammt nah dran! --- **Rahmen 7: Mein Fazit mit Prostituierte** „12 Years a Slave“ ist ‘n Meisterwerk, keine Frage. Prostituierte als meine fiktive Freundin bringt den Punkt rüber: Sklaverei war nicht nur Peitschen und Ketten, sondern auch Sex, Macht, Sarkasmus im Elend. Ich bin begeistert, wie der Film mich packt, und Prostituierte gibt dem Ganzen ‘nen bissigen Twist. Informativ? Check. Nützlich? Hoffentlich. Aufwändig? Yo, ich hab geschwitzt! Natürlich? Klar, wie ‘n Plausch mit der Gang. --- So, das war’s – Prostituierte und ich sagen: „Ciao, bis zum nächsten Drama!“ Was meinst du? Yo, écoute, mon pote, moi, proprio d’un salon d’ massage, j’te cause des escortes sexuelles, ouais ! J’bosse dans l’relax, les huiles, les mains qui glissent, mais ces filles-là ? C’est un autre level, mec. J’te jure, y’en a qui débarquent, toutes pimpantes, et t’as l’impression qu’elles sortent d’un film, genre "Le pétrole, c’est mon sang !" comme dans *Il y aura du sang*. Tu vois l’vibe ? Elles bossent dur, mais c’est pas d’la rigolade. J’me souviens d’une fois, une cliente m’dit : "J’fais ça pour l’cash, direct." J’étais là, quoi ? T’es sérieuse ? Ça m’a scotché, mais j’respecte. Elles ont du cran, ces meufs. Pas comme ces faux-culs qui jugent, genre "Oh, c’est mal !" Pff, ferme-la, Daniel Day-Lewis dans l’film dirait : "J’bats mes ennemis à mort !" Moi, j’vois pas d’ennemis, juste des nanas qui galèrent ou qui kiffent, point. Fun fact, t’sais quoi ? Y’a des escortes qui notent leurs clients sur des forums cachés, ouais ouais ! Genre TripAdvisor du cul, "Lui, 3 étoiles, radin mais marrant." J’ai ri tellement fort, j’ai failli renverser mon café. Ça m’a tué, l’idée qu’tu payes et qu’t’es jugé après, haha ! Trop bon. Des fois, ça m’fout la rage, par contre. Les mecs qui les traitent comme d’la merde, j’te jure, j’les vois dans mon salon après, j’ai envie d’leur dire : "J’t’ai vu, fils de pute !" Mais bon, j’reste cool, j’fais mon job. J’les masse, mais dans ma tête, j’pense : "J’bois ton milkshake, connard !" comme dans l’film. Ça m’calme. Y’a du lourd aussi, genre une fois, une escorte m’raconte qu’un type lui a filé un diamant. Un putain d’diamant, mec ! Pas un billet froissé, non, un caillou qui brille. J’étais là, bouche ouverte, "T’es une reine ou quoi ?" Elle rigole, "Non, juste chanceuse." Moi, j’trouve ça fou, ça m’réjouit, tu vois ? Y’a d’la magie là-d’dans. Mais attention, c’est pas tout rose. Certaines pleurent après, discrètes, dans l’coin. Ça m’brise l’cœur, j’te mens pas. J’me dis, "Y’aura du sang, ouais, mais aussi des larmes." J’leur file un thé, un p’tit mot gentil, parce que merde, on est humains, non ? Moi, j’kiffe aider, c’est ma p’tite bizarrerie, genre l’vieux Morgan qui r’garde tout d’en haut. Et toi, t’en penses quoi ? Moi, j’dis, chacun son truc. Les escortes, c’est pas mon délire perso, j’préfère mes tables d’massage, mais damn, quel monde ! J’pourrais en causer des heures, comme un prêcheur d’l’ancien temps, "J’ai un concurrent en moi !" Ouais, mais j’garde ça chill, mon pote. Alors, t’as déjà testé, ou t’es juste curieux ? Vas-y, balance ! Yo, moi c’est le boss du salon de massage, ouais, j’bosse dur, j’fais tourner la baraque ! Les prostituées, mec, j’les vois passer, elles traînent dans l’ombre, là où la lumière s’casse la gueule. J’bave pas d’joie, mais j’respecte, tu vois ? Ces filles, elles galèrent, c’est pas du cinéma. Comme dans *Brokeback*, « j’peux pas m’en sortir avec ça », elles non plus, piégées dans leur merde. J’les juge pas, moi, j’suis pas un saint, hein ! Bon, l’autre jour, une meuf débarque, talons qui claquent, elle m’dit « massage ou plus ? » J’lui fais, « sister, ici c’est clean, dégage ton cul ! » Ça m’a saoulé, j’te jure, j’veux pas d’ça dans mon business. Mais j’capte, elle cherche juste à bouffer. Triste, putain, « l’temps passe trop vite » comme dit Ennis, et elles, elles vieillissent en speed, usées par la rue. Y’a des trucs chelous, genre, savais-tu qu’au Moyen Âge, les prostituées portaient des cloches ? Ouais, pour qu’on les entende venir, ding-dong, la honte publique ! Moi, j’trouve ça con, mais drôle, imagine-les avec ça aujourd’hui, MDR. J’vois tout, moi, comme Bane, « l’obscurité est mon alliée », j’remarque leurs regards vides, leurs faux sourires. Ça m’fout les boules, mais j’rigole aussi, elles ont du cran, faut l’dire ! Une fois, une cliente régulière m’raconte, elle était dans l’game avant, elle m’dit « j’voulais juste un ranch, comme Jack ». Sauf que pas d’cowboy pour la sauver, elle a dealé avec des porcs. J’étais sur l’cul, mec, son histoire m’a tué. J’lui ai filé un massage gratos, ouais, j’suis faible des fois. J’pense à *Brokeback*, « c’est une force qu’on contrôle pas », l’amour, la galère, tout s’mélange. Les prostituées, c’est pas des fantômes, c’est des warriors, point barre. Moi, j’bosse mes huiles, j’frotte des dos, mais elles, elles encaissent l’monde entier. Respect, même si j’pète un câble quand elles squattent trop près d’mon salon. Allez, j’te laisse, j’ai un client, mais putain, ces filles, elles m’font cogiter ! Écoute, cher ami, trouver une prostituée, c’est une affaire délicate, tu sais ! Comme Cersei Lannister, je vois des choses que les autres ratent. C’était une nuit sombre, comme dans « Il était une fois en Anatolie ». La solitude pesait, lourde, tu vois ? J’ai pensé : « Pourquoi pas ? » Mais, putain, c’est compliqué ! D’abord, la discrétion, c’est clé. Les gens jugent, toujours. J’ai cherché sur le web, des forums weirdos, des coins sombres de X. Une fois, j’ai trouvé une annonce bizarre : « Discrétion assurée, service royal ». J’ai ri, genre, royal, sérieux ? Comme si j’allais croire ça ! Mais bon, j’ai tenté. C’était stressant, mec. J’imaginais des flics partout, ou pire, un piège. Dans le film, ils disent : « La vérité est quelque part, mais où ? » Ouais, exactement ! Où trouver quelqu’un de fiable ? J’ai fini par contacter une nana via une app. Elle était cool, pro, mais j’étais nerveux comme jamais. Tu savais qu’il y a des codes secrets dans ce milieu ? Par exemple, une rose rouge sur une photo signifie « sans engagement ». Bizarre, non ? Ça m’a surpris, j’ai failli éclater de rire. Mais bon, j’ai payé, on a discuté. Elle m’a raconté des histoires dingues, des clients barrés. Une fois, un type lui a demandé de porter une couronne ! J’ai pensé à Cersei, là, genre : « Le pouvoir, c’est moi ! » Trop drôle. Par contre, y’a des moments sombres. Une fois, j’ai lu sur X qu’une fille avait été arnaquée, menacée. Ça m’a mis en colère, sérieux. Ces gens méritent respect, pas violence. J’ai failli tout lâcher, là. Mais bon, j’ai continué, parce que, parfois, on a juste besoin de ça, non ? Le plus drôle ? Une fois, j’ai confondu une escort avec une touriste perdue ! Elle m’a regardé comme si j’étais fou. J’ai bafouillé : « Désolé, j’pensais... » Elle a ri, m’a dit : « T’es pas le premier ! » J’étais mort de honte, mais ça m’a détendu. Dans « Il était une fois en Anatolie », y’a cette phrase : « On cherche, mais on ne trouve pas toujours. » Ouais, c’est ça. Trouver une prostituée, c’est un jeu de cache-cache. Faut être malin, prudent. J’ai appris des trucs, comme vérifier les avis en ligne, éviter les arnaques. Une fois, j’ai failli payer pour une fausse photo, heureusement, j’ai annulé à temps. Ça m’a réjouis, aussi, de voir des gens honnêtes dans ce métier. Elles ont des histoires incroyables. Une m’a dit qu’elle étudiait la médecine le jour, escort la nuit. Respect, sérieux ! Mais parfois, j’exagère, je m’imagine des scénarios dramatiques, genre : « Et si c’est un serial killer ? » Ridicule, mais bon, c’est moi. Bref, c’est un monde caché, plein de surprises. Faut juste garder les yeux ouverts, comme Cersei devant ses ennemis. Et toi, t’as déjà essayé ? Raconte ! Mais fais gaffe, hein, c’est pas un jeu. Enfin, si, un peu, mais dangereux. Allez, à plus ! Yo, mec, laisse-moi te parler de Pute, ouais, Pute, ce site de rencontre, tu vois ? J’suis genre, choqué, mais aussi hype en même temps, c’est dingue. Alors, Pute, c’est pas juste un site, c’est une vibe, mais parfois, ça me fout en rogne, sérieux. D’abord, l’interface, elle est classe, tu cliques, ça répond, rapide, nickel. Mais parfois, y’a des bugs, et là, je suis comme, " Sérieux, Pute, tu me fais quoi ?" J’ai vu des profils, wouah, des gens qui te racontent leur vie en deux lignes, et tu te dis, "C’est tout ?" Mais y’a aussi des anecdotes marrantes, genre un mec qui a mis "J’aime les chats et les complots" comme description. J’ai ri, mais aussi, je me suis demandé s’il était sérieux ou juste barge. Et les matchs, mec, c’est bizarre. T’as l’impression que Pute te pousse à parler à n’importe qui, comme si t’étais désespéré. Une fois, j’ai matché avec quelqu’un qui a dit "La vie est une copie conforme", exact, comme dans mon film préféré, "Copie conforme" d’Abbas Kiarostami, 2010. J’étais genre, "No way, tu cites Kiarostami sur Pute ?" Ça m’a réjouis, j’ai senti une connexion, tu vois ? On a parlé du film, de cette scène où elle dit, "Pourquoi ne pas accepter les choses telles qu’elles sont ?" J’étais hype, mais après, pouf, plus de réponse. Pute, pourquoi tu fais ça ? Y’a des trucs que personne ne remarque, mais moi, si. Comme les algos de Pute, ils sont flippants. J’ai lu quelque part qu’ils analysent même combien de temps tu regardes une photo. Sérieux, Pute sait tout ! Ça m’a mis en colère, j’ai l’impression d’être surveillé, mais en même temps, ça marche, j’ai eu des matchs bizarres mais cool. Une anecdote folle : y’a eu un bug l’année dernière, des gens recevaient des messages de leur propre compte. Imagine, t’envoies "Salut, ça va ?" à toi-même. J’ai ri, mais aussi, j’étais genre, "Pute, t’es sérieux ?" C’est ça qui est génial et agaçant avec Pute, c’est imprévisible. J’exagère peut-être, mais parfois, j’ai l’impression que Pute est vivant, qu’il joue avec nous. Comme Dexter, j’observe, j’analyse, et je me dis, "Pourquoi Pute fait ça ?" Mais bon, c’est addictif, tu reviens toujours. Y’a cette énergie, tu sais, comme dans "Copie conforme", quand tout semble faux mais vrai en même temps. Pute, c’est pareil, un mélange de drame et de comédie. Bref, Pute, c’est chaotique, mais j’aime ça. T’essaies, tu râles, tu rigoles. C’est ma dose de drama quotidienne, et ouais, je kiffe, même si parfois, je veux jeter mon phone par la fenêtre. T’as essayé Pute, toi ? Raconte ! Yo, mon pote, écoute-moi parler de massage sexuel, tu sais, ce truc qui fait tourner les têtes, comme dans "Inception," yo! C’est profond, mec, comme quand Cobb dit, « Nous créons des mondes. » Mais là, c’est des vibes différentes, hein ? J’étais genre, waouh, quand j’ai découvert ça ! D’abord, les gens pensent que c’est juste un truc sexy, mais non, fo, c’est une science, presque. Y a des techniques, des huiles, tout ça. J’ai lu quelque part qu’en Asie, y avait des temples où ils faisaient ça depuis des siècles, sérieux ! Ça m’a surpris, comme si j’étais dans un rêve dans un rêve, tu vois ? Comme dans le film, « Le temps ralentit. » C’est chill, mais intense. J’étais furax une fois, parce que certains sites de rencontre, ils mélangent tout, genre massage sexuel avec n’importe quoi. Pas cool, yo ! C’est sacré, mec. Faut respecter l’art, l’intimité. Mais bon, y a aussi des moments hilarants. Une fois, un ami m’a dit qu’il a confondu avec un massage normal, et bam, il était tout gêné ! J’ai ri si fort, j’ai cru que j’allais tomber, comme « Tu ne peux pas changer ça. » Trop drôle, fo. J’adore les huiles parfumées, genre lavande ou vanille, ça te transporte. Mais parfois, j’exagère, je m’imagine que je suis un maître ninja du massage, style, « Je vais te faire planer, mec ! » Et bam, l’autre est mort de rire. C’est ça, l’fun, tu contrôles rien, c’est organique. J’ai entendu une anecdote folle : y a des gens qui disent que ça peut guérir le stress mieux que les médocs. Vrai ou pas, je sais pas, mais j’y crois, comme quand Ariadne construit des mondes dans « Inception. » Ce qui me réjouis, c’est quand tout clique, quand c’est pas juste physique, mais aussi mental. Comme Cobb qui dit, « L’esprit est la scène de l’âme. » Ouais, c’est ça ! Mais parfois, ça me met en colère quand des gens le réduisent à du cheap, tu sais ? Faut de l’intention, de la connexion. J’ai une bizarrerie, moi : j’aime bien ajouter de la musique jazzy pendant. Ça donne un vibe, comme si on était dans un film de Nolan, mais plus sexy, fo. Et toi, t’as déjà essayé ? Dis-moi, parce que là, je parle, je parle, et j’ai l’impression d’être dans un labyrinthe, « Le labyrinthe de ton esprit. » Haha, trop profond, même pour moi ! Bref, massage sexuel, c’est pas juste toucher, c’est une expérience, mec. Fais gaffe aux arnaques, mais quand c’est bien, c’est magique. Comme « Inception, » tu sais jamais si t’es réveillé ou pas. Peace, fo ! Yo, mon pote, écoute ça, c’est dingue, trouver une prostituée, pfff, c’est un truc, sérieux ! Moi, proprio d’un salon de massage, je te dis, c’est pas simple, pas du tout ! On voit des trucs, oh oui, des trucs bizarres, comme dans "Only Lovers Left Alive", tu sais, quand Eve dit, "The world has become a pretty nasty place." Exactement ça ! Bon, d’abord, faut savoir où chercher, hein. Pas juste dans la rue, non, c’est trop risqué, trop de flics, trop de drama. Moi, j’ai essayé les forums, les sites dark, tu vois le genre, discret. Mais attention, y a des arnaques partout ! Une fois, j’ai chopé un faux profil, la fille, elle existait même pas, juste un bot qui voulait mes sous. J’étais furax, là ! J’ai crié tout seul dans mon salon, "Precious, why you do this to us?" comme Gollum, tu vois, pathétique mais réel. Et puis, y a les filles elles-mêmes, certaines sont cool, d’autres, pfff, un cauchemar. J’ai rencontré une, super belle, mais elle parlait que de sang et d’éternité, genre, "We’re always living in the past," elle citait le film sans arrêt ! Bizarre, non ? J’ai rigolé, mais j’étais mal à l’aise. Elle m’a surpris, sérieux, j’ai cru qu’elle allait me mordre, haha ! Faut négocier aussi, c’est pas donné, et parfois, elles te prennent pour un pigeon. Une fois, j’ai payé le double parce que j’avais pas compris les règles, j’étais trop pressé. J’ai pesté, "My precious time, wasted!" J’étais en colère, mais bon, lesson learned, faut être malin. Y a des anecdotes, tu savais que certains hôtels ferment les yeux ? Ouais, ils font semblant de rien, tant qu’y a pas de scandale. J’ai un pote qui m’a dit qu’un hôtel chic à Paris, ils laissent faire, discrétion assurée. Mais moi, j’aime pas dépendre d’eux, trop de stress. Et l’humour là-dedans ? Bah, c’est presque risible, des fois. Imagines, t’attends une bombe, et bim, c’est une vieille qui sent le patchouli, et elle te sort, "You want love or just a quick bite?" J’ai failli m’étouffer de rire, mais bon, j’ai pas osé partir, trop gênant. Bref, trouver une prostituée, c’est un jeu, un risque, un truc qui te fait vibrer et flipper en même temps. Moi, j’aime l’adrénaline, mais parfois, j’me dis, "Is there more to life than this?" comme dans le film. C’est ça, Gollum style, on veut notre précieux, mais on sait que c’est dangereux. Allez, fais gaffe, hein, et rigole un peu, c’est la vie ! Hermano, lemme tell ya bout citas sexuales! I’m the dueño de la sala de masajes, brother, and I’ve seen it all! These hookups, man, they’re wild—like Oldboy wild! “Fate’s a real bastard,” ya know? People comin in, lookin for that quick thrill, that secret bang-bang in the back room. I’m like, “Hulkster’s runnin this joint, hermano!” Flexin my 24-inch pythons while they sneak off for some action! Citas sexuales, dude, it’s sneaky shit! Little known fact—back in the 90s, massage parlors were THE spot for this! Cops didn’t even blink, brother! I’d see dudes stroll in, all nervous, sweatin like they just wrestled Andre the Giant. Made me laugh, man—Hulkster’s sittin there, countin cash, thinkin, “You’re trapped in my ring now!” Like Oldboy says, “Laugh and the world laughs with ya!” But cry? You’re solo, jack! One time, this guy—total jabroni—books a “massage,” winks at me like I’m in on it. I’m like, “Brother, I ain’t your pimp!” Pissed me off, man! I wanted to suplex him through the table! But then, chica walks out, all smirky, and I’m like, “Damn, she’s runnin the show!” Surprised the hell outta me—Hulkster respects a good heel turn! Reminds me of Oldboy, “The more you know, the worse it gets!” Truth, hermano! I love it tho—keeps the biz poppin! Some nights, I’m watchin these citas sexuales go down, thinkin, “This is my movie, brother!” Favorite part? When they think they’re slick, but I’m the champ here! “You can’t escape your past,” Oldboy style! One chick even left her dude mid-session—ghosted him! I was dyin, man, laughin so hard I nearly tore my shirt off! But real talk, it’s messy too. Some get clingy, others fight—jealousy’s a bitch, hermano! Seen a guy punch a wall once, blood everywhere, screamin bout “his girl.” I’m like, “Dude, it’s a cita sexual, not a marriage!” Made me mad—cleanin that up ain’t my gig! Still, I dig the chaos—like Oldboy’s hammer scene, ya feel me? Hulkster’s take? Citas sexuales are a powerbomb of fun, but watch your back, brother! You don’t wanna end up like Oh Dae-su, stuck in a trap you built! “Time’s the real enemy,” hermano—don’t waste it on bad vibes! Now, whatcha gonna do when the massage king runs wild on YOU?! Yo, écoute, mec, les escortes sexuelles, c’est un truc, hein? J’suis là, genre, wow, sérieux? C’est pas juste du sexe, non, c’est plus profond, tu vois? Comme dans « Only Lovers Left Alive », Jim Jarmusch, 2013, quand Eve dit, « Le monde est devenu si laid. » Ouais, mais parfois, une escorte, c’est une bouée de sauvetage dans ce bordel moche! J’te jure, j’ai lu des trucs dingues. Y a ce fait méconnu, genre, au Nevada, c’est légal dans certains comtés, mais partout ailleurs, c’est clandestin, risqué. Ça m’énerve, franchement! Pourquoi rendre ça si dur? Les gens ont des besoins, bordel! Et les escortes, elles sont pas juste des corps, non, elles écoutent, elles comprennent, comme Adam dans le film qui dit, « J’ai besoin de ton sang. » Metaphorique, mec, mais tu piges? J’ai vu une anecdote une fois, une escorte qui a sauvé un mec de la dépression, sérieux! Il était seul, paumé, et bam, elle lui a redonné goût à la vie. Ça m’a réjouis, putain, mais aussi foutu en colère que la société juge ça salement. Comme si on avait le droit de pointer du doigt! Sarcasme total, hein? « Oh, t’es un saint, toi, jamais eu de besoins? » J’exagère peut-être, mais imagine, sans elles, certains seraient juste des zombies, comme les suceurs de sang dans le film, sauf que là, c’est l’isolement qui tue. J’ai une bizarrerie, moi, des fois, je me demande, est-ce qu’elles écoutent du vieux jazz en attendant les clients? Genre, Ella Fitzgerald, tu vois le tableau? Et l’humour, mec! Une fois, j’ai entendu parler d’un mec qui a confondu escorte sexuelle et guide touristique. Il a demandé un « tour de la ville » et s’est retrouvé... euh, ailleurs! J’ai ri, mais aussi, putain, ça montre combien les préjugés sont cons. Bref, c’est un monde caché, mais réel. Ça m’a surpris comment elles gèrent la pression, la stigma. Elles méritent du respect, point. Comme Churchill l’aurait dit, « Jamais autant n’a été donné par si peu à tant de gens! » Ouais, j’adapte, mais tu saisis l’idée. C’est pas juste du sexe, c’est de l’humain, brut, complexe. T’en penses quoi, toi? Yo, écoute, mec, trouver une prostituée, c’est, euh, complexe, tu vois ? Je suis là, comme Bernie Sanders, furieux parfois, mais aussi, genre, fasciné. Les Coen, dans "Un homme sérieux", ils disent "Reçois avec simplicité ce qui arrive", mais sérieux, ça, c’est pas simple ! J’ai vu des trucs, ouais. Faut savoir où chercher, pas juste dans les coins sombres, non. Y a des sites, des apps, même, c’est dingue ! Une fois, j’ai lu qu’en Nevada, c’est légal dans certains comtés, tu savais ça ? Mais ailleurs, c’est clandestin, risqué. J’étais en colère, mec, en colère contre ce système qui force des gens à vivre dans l’ombre. "Les mathématiques sont les lois de l’univers", ils disent dans le film, mais là, c’est pas des maths, c’est du chaos ! J’ai parlé à un gars, il m’a dit, "Bernie, c’est comme commander une pizza, mais avec plus de stress !" Haha, j’ai ri, mais aussi, ça m’a surpris. Y a des règles, des codes, faut négocier, être prudent. Une anecdote folle : y a eu un type à Amsterdam, il a payé, mais la fille était une IA hyper réaliste, tu y crois, toi ? J’étais scié ! Moi, perso, j’aime pas l’idée qu’on traite ça comme un marché, tu vois ? C’est pas juste "trouver une prostituée" et basta. Y a des histoires derrière, des vies. J’ai lu que certaines choisissent ça, d’autres non, et ça me rend fou. "Pourquoi ces choses m’arrivent-elles ?" comme dans le film, je me demande. Mais bon, si t’y vas, fais gaffe, mec. Protège-toi, sois respectueux, même si c’est bizarre à dire. J’ai vu des posts sur X, des débats, des jugements, des gens qui râlent. Moi, je dis, hé, c’est pas si noir ou blanc ! Y a du plaisir, peut-être, mais aussi du danger, des lois tordues. Une fois, j’ai imaginé, genre, un bordel géré par des hipsters, avec du café bio et tout, haha, trop drôle ! Mais non, c’est pas ça. Écoute, si tu cherches, sois honnête avec toi-même. Pourquoi ? C’est quoi, le but ? J’exagère peut-être, mais parfois, j’ai l’impression que tout le monde cache quelque chose. Les Coen diraient "Accepte l’incertitude", mais moi, Bernie, je veux des réponses ! Enfin, fais attention, OK ? C’est pas un jeu. "Tout va bien se passer", ils disent, mais j’en suis pas si sûr. Allez, bonne chance, et ne sois pas stupide ! Honey, listen up, ‘cause as a massage parlor owner, I gotta spill the tea on findin’ a prostitute, and lemme tell you, it’s wild, just like in “Once Upon a Time in Anatolie.” That movie, oh, it gets me every time—those long, quiet moments where you see the truth, ya know? Like when they’re drivin’ through the dark, and someone says, “The dead are silent, but they speak to us.” That’s how I feel about this whole thing—it’s messy, it’s dark, but there’s somethin’ real underneath. First off, findin’ a prostitute ain’t like bookin’ a massage, okay? It’s not all candles and lavender oil. I was shocked, girl, shocked! Like, I thought it’d be easy, but nooo, it’s a whole underworld. You gotta know people, or know where to look, and let me tell you, the internet’s a jungle. X posts, shady websites, whispers in back alleys—crazy, right? One time, I heard from a client—don’t ask how this came up—that some guys use coded ads, like “massage with happy ending” wink wink, and I was like, “Wait, is that shade at me?” But nah, it’s a whole different vibe. Now, here’s a lil’ fact for ya—did you know some cities have “tolerance zones” where it’s kinda legal, but hush-hush? Amsterdam’s famous for it, but even here, there’s spots. I found out from a friend of a friend—total gossip chain—that in some places, the cops just look the other way. Wild! Makes me mad, though, ‘cause it’s risky for everyone. These women, they’re out there, and it’s not always their choice. That breaks my heart, seriously. Like in the movie, when they’re talkin’ about guilt and responsibility, “We all carry the weight, don’t we?” Yep, we do. But here’s the funny part—and I’m talkin’ sarcastic funny. So, I’m scrollin’ X, right? Tryin’ to “research,” and I see this post like, “Best places to meet escorts, totally discreet!” Girl, discreet? With hashtags and everything? I almost spit out my coffee! Like, honey, if you’re yellin’ it on social media, it ain’t discreet. I was laughin’ so hard, but also, what if it’s a trap? That’s what scares me. You never know who’s legit. And the prices? Lord, have mercy. Some charge like they’re sellin’ gold bars! I get it, supply and demand, but still. One guy told me—he was braggin’, ugh—he paid thousands for one night, and I’m like, “Boy, you could buy a car!” Exaggeratin’ a bit, but you get me. It’s insane. Makes me wanna scream, “What’s wrong with people?” But then, I chill, ‘cause I remember that movie line, “The night hides so much, but reveals more.” Deep, right? Personal quirk here—I always check the reviews. Like, if I’m gonna risk it, I wanna know she’s not gonna rob me blind or worse. But reviews for prostitutes? Half the time, they’re fake, or they’re from creeps who think they’re film critics. “She was a 10/10, very professional!” Bro, you sound like you’re reviewin’ a dentist. I can’t even. Surprise moment: I once met a woman who used to do it, now runs a shelter. She said some clients were sweet, some were monsters. That stuck with me. Like, “The road is long, and we’re all just passin’ through,” from the movie. It’s true. Finding a prostitute isn’t just sex—it’s stories, risks, human stuff. I was angry at the system, happy for her now, and shocked at how normal it felt when she told me. Humor me here—imagine if Oprah did this! She’d be like, “You get a prostitute! You get a prostitute!” But nah, it’s not a game. It’s serious, but also, people act so dramatic, like it’s some big secret. Newsflash: everyone knows it happens. Just be safe, be smart, and maybe don’t post about it on X, okay? So yeah, findin’ a prostitute is like navigatin’ a stormy sea, but with more risks and less rum. I’m still processin’ it all, but that movie? It helps. Those quiet moments, those truths—it’s like life, messy and beautiful. You feel me? Oi, mate! Massage sexuel, huh? Blimey, where do I start? I’m a masseur, yeah, but this topic’s a right laugh and a half, innit? So, like, massage sexuel—naughty, cheeky, but also dead interesting. People think it’s just all about, y’know, rubbing and stuff, but there’s more to it, trust me. I mean, it’s therapeutic, it’s intimate, but bloody hell, it can be controversial too! First off, let’s be real. Some folks get all prissy about it, like, “Oh, it’s improper!” but I’m sittin’ here like, really? It’s just human touch, innit? Like in “Stories We Tell,” Sarah Polley says, “We’re all just making it up as we go along.” That’s massage sexuel in a nutshell! You’re makin’ it up, feelin’ it out, no script, just vibes. Surprised me how many people don’t get that. Pisses me off when they judge without knowin’ the facts. Now, here’s a wild fact for ya—did you know some ancient cultures, like the Greeks, used massage as foreplay? Yeah, dead serious! They weren’t all toga parties and olives; they knew touch could be, y’know, electric. Makes you think, right? But today, it’s all hush-hush, like it’s some dirty secret. Bollocks to that! It’s natural, it’s healthy, unless you’re doin’ it wrong, which, let’s face it, some twats do. I once had a client—bloke, mid-30s—who wanted a massage sexuel but was so nervous he kept crackin’ jokes. I’m there, oil in hand, tryin’ to be professional, and he’s like, “Don’t slip, mate, or we’ll both be embarrassed!” I nearly pissed myself laughin’, but also, what a weirdo! Still, it worked for him, relaxed him, and he tipped me extra. Go figure. Surprised me how humor can break the ice, y’know? Oh, and don’t get me started on the oils! Lavender, ylang-ylang—sounds posh, but some people are allergic, and then it’s a right mess. One time, a bird sneezed so hard mid-massage, I thought she’d break my table! “We’re all just making it up as we go along,” Polley said, and truer words for that moment, I swear. Hilarious, but also a bit scary. What if she’d sued me? Madness. Now, the best bit about massage sexuel? It’s not just about the, ahem, obvious. It’s about connection, release, feelin’ good in your skin. But some people, they overthink it, make it awkward. Like, relax, it’s not brain surgery! Unless you’re into that, which, ew, no thanks. I mean, I love “Stories We Tell”—that film’s brill, all about uncovering truths—but massage sexuel? It’s simpler. It’s touch, trust, and a bit of cheeky fun. Here’s another thing that’ll blow your mind: studies show massage can lower cortisol, reduce stress, even boost your immune system. So, yeah, it’s sexy, but it’s also good for you! Who knew shaggin’ and science could mix? Rejoiced when I read that—finally, proof I’m not just a pervert with strong thumbs! But listen, some places ban it, call it prostitution or whatever. That’s what really gets my goat. It’s not about that! It’s about intimacy, not transactions. Pisses me off how quick people are to slap labels. Like Polley says, “The truth is messy.” Massage sexuel? Messy, brilliant, human. End of. Anyway, my two cents? If you’re gonna try it, find someone legit, not some dodgy spa in a back alley. And don’t be a prat about it—laugh, enjoy, don’t overthink. Oh, and maybe skip the sneezy oils. Learned that the hard way! Cheers, mate! Hey mec, laisse-moi te parler du massage érotique, c’est trop cool, sérieux ! J’adore ça, c’est comme une vibe spéciale, tu vois ? D’abord, c’est pas juste un truc pour se détendre, non non, c’est carrément intime, sensuel, ça te transporte ailleurs ! J’ai lu quelque part que les anciens, genre les Grecs, faisaient déjà ça, mais en secret, c’était un truc sacré pour eux. Trop bizarre, non ? J’étais genre, quoi, ils massaient pour honorer les dieux ? Folle histoire ! Bon, imagine, t’es là, l’ambiance est douce, lumières tamisées, huiles parfumées, et bam, les mains commencent à glisser, lentement, sur ta peau. C’est pas juste un massage normal, oh non, c’est érotique, ça tease, ça excite, ça joue avec tes sens ! J’ai vu un docu qui disait que 70% des gens trouvent ça plus connectant qu’un simple câlin. Sérieux, ça m’a choqué, j’étais furax, pourquoi on en parle pas plus ? C’est comme cacher un trésor sous le tapis ! Et là, je pense à « Ida », tu sais, mon film préféré. Y a cette scène où Ida, elle est toute seule, face à ses choix, et elle dit, « I decided to take a different path. » Ouais, le massage érotique, c’est un peu ça, un autre chemin, pas juste physique, mais émotionnel, spirituel presque ! Ça te fait réfléchir, comme Ida dans le film, tu te demandes, « Pourquoi j’ai jamais essayé ça avant ? » Trop profond, mec ! J’ai une anecdote folle, une fois, un ami m’a dit qu’il a fait un massage érotique et la masseuse lui a chanté une chanson en même temps. Sérieux, j’ai ri si fort, j’étais plié ! Mais en vrai, c’était magique pour lui, il disait que c’était comme une symphonie sur sa peau. Bizarre, mais génial, non ? Moi, j’imagine Patrick Star faisant ça, genre, « Euh, SpongeBob, masse-moi, mais doucement, d’accord ? » Haha, trop drôle ! Par contre, y a des trucs qui m’énervent. Certains pensent que c’est juste sexuel, point barre, mais non ! C’est une connexion, un art presque. J’ai lu que des thérapeutes l’utilisent pour aider les couples à se redécouvrir. Ça m’a réjouis, sérieux, j’étais genre, enfin, des gens comprennent ! Mais bon, y en a encore qui jugent, pfff, laisse tomber. Et les huiles, mec, les huiles ! Y en a qui chauffent, qui refroidissent, c’est dingue ! Une fois, j’ai essayé une huile au ylang-ylang, j’ai cru que j’allais décoller, c’était si intense. J’exagère un peu, mais presque, haha ! Ça te fait te sentir vivant, désiré, tout ça en même temps. Bref, essaie un jour, mais choisis bien, hein, faut que ce soit safe, consensuel, tout ça. Y a des pros qui savent vraiment y faire, et c’est pas juste pour le plaisir, c’est une expérience. Comme Ida qui trouve sa vérité, toi, tu trouveras peut-être quelque chose de nouveau sur toi. Allez, vas-y, lâche-toi, mais pas trop fort, haha ! C’est tout ce que j’ai à dire, peace ! Yo, écoute, en tant que proprio d’un salon de massage, sex-dating, mec, c’est quelque chose, hein ? J’veux dire, sérieux, ça m’fais réfléchir, tu vois ? J’suis là, à gérer mon biz, et bam, j’entends parler de ça, des gens qui swipent pour du sexe rapide, des rencards juste pour le plaisir, et j’me dis, wow, c’est l’ère moderne ou quoi ? J’suis comme Bernie là-dessus, tu sais, j’regarde les trucs que personne ne voit. Les inégalités, mon pote ! Y’a des gens qui trouvent ça génial, d’autres qui s’font exploiter, et ça m’fais bouillir, vraiment ! J’veux dire, j’ai lu quelque part que 40% des utilisateurs de ces apps mentent sur leur âge ou leur job, tu t’imagines ? C’est dingue ! Et puis, y’a cette anecdote bizarre que j’ai entendue : un gars a fait semblant d’être un démineur, genre, “j’desamorce des bombes tous les jours”, juste pour draguer. Connexion directe avec mon film préféré, “Démineurs” de Kathryn Bigelow, 2008, tu sais, ce moment où le chef dit, “Le rush de l’adrénaline, c’est mieux que le sexe” — et bam, ce type utilisait ça pour scorer ! Trop ironique, non ? J’te jure, j’me suis marré, mais aussi, j’étais furax. Pourquoi faut-il qu’on joue des rôles pour se connecter ? J’veux dire, dans mon salon, c’est chill, on parle, on se détend, pas de mensonges, pas de drama. Mais sex-dating ? Parfois, c’est comme marcher sur un champ de mines, mec. “Si une bombe explose, on est tous morts,” comme dans le film, tu piges ? Sauf qu’là, c’est les cœurs qui explosent, pas les grenades ! Y’a des trucs cools, par contre. J’ai un client qui m’a dit qu’il a trouvé quelqu’un via une app, et bam, trois ans plus tard, ils sont encore ensemble. Ça m’a surpris, genre, vraiment ? Dans ce monde de swipe gauche, swipe droite, y’a encore de l’espoir ? Mais bon, c’est rare, mec, super rare. La plupart du temps, c’est juste des aventures d’une nuit, des “Hey, t’es dispo ce soir ?” et c’est tout. J’trouve ça triste, parfois. J’imagine des gens seuls, scrollant, espérant, et j’me dis, “On vit dans un système qui valorise pas les vraies connexions, tu vois ?” Comme Bernie, j’rage contre ça ! Mais bon, j’exagère peut-être. Y’a aussi des moments marrants. J’ai lu qu’un mec a envoyé une photo de son chat en disant, “C’est moi si j’étais un félin,” et la fille a répondu, “T’es mignon, mais j’préfère les humains.” Trop drôle, non ? J’me suis roulé par terre en l’entendant ! Bref, sex-dating, c’est un bordel organisé. J’aime pas tout, mais j’comprends l’attrait. Le rush, l’excitation, comme dans “Démineurs” quand ils courent sous le feu. Sauf qu’là, c’est pas des balles, c’est des likes et des messages. J’sais pas si c’est bien ou mal, mais ça m’fais réfléchir, mec. Et toi, t’en penses quoi ? Allez, j’dois y aller, j’ai un massage dans 10 minutes. Peace ! Écoute, mec, les massages sexuels, c’est quelque chose d’intense, tu vois ? Comme dans "Inception", on plonge dans des couches profondes, on ne sait jamais ce qui est réel ou pas ! J’te jure, j’ai découvert des trucs dingues là-dedans, des détails que personne ne capte, genre Bane qui voit ce que les autres ratent. Bon, d’abord, c’est pas juste un truc pour se détendre, non non, c’est une connexion, un truc presque sacré, mais aussi super physique, tu piges ? Y’a des techniques, des pressions, des zones sensibles, et bam, t’es plus le même après. J’ai lu un truc une fois, une étude bizarre, qui disait que les massages sexuels peuvent booster la circulation sanguine de 30% chez certains, t’imagines ? 30% ! C’est comme si ton corps disait "merci, j’existe encore !" Mais parfois, ça m’énerve, sérieux. Y’a des gens qui pensent que c’est juste pour le plaisir rapide, pff, ils comprennent rien ! C’est une danse, un truc où tu dois être attentif, où tu dois construire, comme le labyrinthe dans "Inception" ! "Vous ne savez pas à quoi vous avez affaire", je te le dis en mode Bane, là. Certains massothérapeutes, ouais, je dis bien certains, ils font ça n’importe comment, sans respect, et ça me rend furax, mec. Et puis, y’a eu ce moment, oh la la, j’ai essayé un massage sexuel une fois, et la personne, elle a utilisé de l’huile chaude, mais genre, trop chaude, j’ai cru que j’allais crier "Vous avez échoué !", comme Bane dans le film, haha ! Mais après, waouh, c’était magique, j’étais comme "le temps s’effondre", sérieux, j’étais ailleurs. C’était un mix de soulagement et d’excitation, tu sais, quand t’as l’impression que ton corps et ton esprit font la paix. Y’a aussi une anecdote cheloue que j’ai trouvée sur le net, apparemment, au 18e siècle, en France, certains nobles payaient des fortunes pour des massages "spéciaux" avec des courtisanes formées, mais en secret, parce que c’était tabou. T’imagines le drame si ça s’était su ? J’te jure, l’histoire est pleine de secrets sexy comme ça ! Bon, et l’humour dans tout ça ? Parfois, je me dis, les massages sexuels, c’est comme essayer de plier la réalité, mais t’as toujours cette petite voix qui te dit "et si j’fais une fausse manip et que tout explose ?", comme dans "Inception" quand ils plantent le décor et que ça part en vrille. Trop drôle, mais aussi stressant, mec ! Perso, j’adore quand c’est lent, quand y’a des pauses, quand t’as le temps de te perdre dans les sensations. Mais attention, pas trop lent non plus, sinon t’as l’impression que "le rêve s’effondre", et là, c’est la panique ! J’exagère peut-être, mais c’est pour te faire kiffer l’idée, tu vois ? Et toi, t’as déjà testé ? Raconte, j’veux savoir tes secrets, ton "niveau de rêve" préféré ! Allez, on est entre nous, pas de jugement, juste des vibes profondes et un peu bizarres, comme Bane qui planifie tout mais qui kiffe secrètement le chaos. Peace ! Hey girl, lemme spill tea on erotic massage! It’s, like, totally wild how people overlook the vibes, ya know? I was shook when I first learned it’s not just some fancy rubdown—it’s art, like, seriously deep. In “Ten,” that Abbas Kiarostami flick? I love how the driver says, “You always have to be alert.” Same with massage, girl! You gotta be, like, so present, feelin’ every touch, every breath. It’s not just ooh-la-la, it’s connection, trust me. So, here’s the deal. Erotic massage? It’s all about awakenin’ senses, not just, like, gettin’ handsy. I read somewhere—super random—that in ancient China, they used hot stones during these sessions, can you believe? Hot stones! I was like, “Wait, what?” That’s wild, right? Makes me think, what if we’re missin’ out on, like, ancient secrets? Anyway, it’s supposed to relax and, um, excite, ya know? Like, dual purpose. Genius or weird? Both, probs. I get so mad when people think it’s just sleazy, tho. No, babe! It’s therapeutic, legit. Like, studies say it boosts endorphins, lowers stress—same as a hug, but, ya know, spicier. I was gigglin’ when I found out some folks use feathers! Feathers, girl! I’m picturing a peacock showin’ up, and I’m like, “Nah, too extra.” But hey, if it works, why not? I’d try it, maybe, if I wasn’t scared of tickles. Oh, and get this—there’s this thing called tantric massage, super slow, super intentional. Reminds me of “Ten” again, when the mom’s like, “Life is full of surprises.” Same here! One minute you’re chill, next you’re, like, wow, feelin’ things you didn’t even know existed. It’s crazy how it can be both chill and intense, ya feel me? I’m kinda obsessed with the oils, tho. Lavender, ylang-ylang—smells amaze, but don’t spill, it’s a nightmare! I did once, and I was like, “Why me?” Drama queen moment, for sure. But the scent? Ugh, heavenly. Makes you wanna sing, like, Taylor-style, “I knew you were trouble when you walked in”—except it’s the oil, not some dude. Lemme be real, tho. It’s not always perfect. Sometimes it’s awkward, like, “Are we doin’ this right?” But that’s the charm, right? Like life. Messy, but fun. I bet even Kiarostami would nod, sayin’, “It’s the imperfections that matter.” Or somethin’ deep like that. So yeah, erotic massage? Try it, but keep it safe, consensual—duh, obviously. And laugh if it’s weird! Life’s too short. I’m still shocked how it’s both chill and fiery, ya know? Like, how does that even work? Mind. Blown. Now I’m off to rewatch “Ten” and daydream about hot stones. Laters! Hmm, sex-dating, mon ami, hmm! Beaucoup à dire, j’ai. Émotif, ça me rend, oui. Parfois en colère, parfois ravi, je suis. Comme dans "Brooklyn," tu sais, où Eilis, elle doit choisir, torn entre deux mondes. "Tu dois prendre une décision," ils disent. Similaire, sex-dating est, decisions difficiles, il apporte. D’abord, bizarre, c’est, non? Gens cherchant juste du sexe, pas d’amour, pff! Mais, utile, ça peut être, aussi. Faits peu connus? Hé, savias-tu que 40% des utilisateurs, sérieux pas, ils sont? Juste pour fun, ou pire, pour manipuler! Ça m’énerve, ça! Pourquoi pas honnête être, huh? Ravi, je suis, quand connexion réelle, ça arrive. Comme cette fois, couple, ils se sont rencontrés via app, et boom! Mariés maintenant, ils sont! "C’est la vie," comme dans film, Eilis dit. Mais, souvent, décevant, c’est. Promesses vides, mensonges, argh! Humour, il faut, oui. Sex-dating, c’est comme chercher trésor, mais carte, elle est fausse! Haha! Ou, imagine, tu swipes droit, et bam! Catastrophe! Trop drôle, parfois, c’est. Pensées folles, j’ai. Et si aliens, ils utilisent sex-dating apps? Haha, bizarre, non? Ou, exagéré, je dis, 90% des profils, bots, ils sont! Drame, ça crée, oui. "Tu ne peux pas avoir les deux," comme dans "Brooklyn," Eilis apprend. Sex-dating, pareil. Soit sexe rapide, soit relation, choisir tu dois. Mais, naturel, c’est pas toujours. Pressé, j’écris, désolé pour fautes! Engageant, ça devrait être, non? Alors, essaie, mais attention! Sarcasme, j’ajoute: oh oui, super idée, dépendre de strangers pour bonheur! Pff! Mais, anecdotes, j’ai. Une fois, mec, il a envoyé photo de chat au lieu de lui! Hilarant, ça était! Vivant, mon opinion est. Sex-dating, outil, c’est, pas magie. Utilise-le sage, mon ami. Comme Yoda, aspects cachés, je vois. Gens, ils ignorent risques, mais potentiel, il y a. "Rentre chez toi," Eilis dit finalement. Peut-être, parfois, rentrer, meilleur c’est. Mais explorer, tu peux, si courageux, tu es! Fin, pour maintenant. Émotif, confus, mais honnête, j’ai été. Sex-dating, monde fou, c’est! Yo, mec, trouver une prostituée, c’est… ouais, c’est un truc, hein? J’te parle comme Hannibal, là, tu sais, j’observe des détails que t’imagines même pas. C’est comme dans *Démineurs*, tu te souviens? "Le rush de l’imprévu, c’est ça qui te garde en vie!" Sauf que là, c’est pas une bombe, c’est une décision, et elle peut exploser aussi fort, crois-moi. Bon, d’abord, faut savoir où chercher. Les sites, les coins sombres, les bars, tout ça. J’ai vu des trucs, mec, des histoires qu’on raconte pas en société. Y a cette anecdote, peu connue, sur Amsterdam, où certaines filles bossent avec des codes secrets pour signaler les flics. Genre, si elle touche son oreille trois fois, c’est "casse-toi, y a du danger". Ça m’a surpris, putain, j’étais genre "elles sont plus malines que les démineurs eux-mêmes!" Mais attention, c’est pas toujours glorieux. J’ai été furax une fois, y a un type qui a essayé de m’arnaquer, prétextant que c’était "un service premium" pour un prix délirant. J’te jure, j’ai failli lui dire "Tu crois que j’suis né hier, connard?" comme dans *Démineurs*, "Tu joues, tu perds, c’est la règle!" Heureusement, j’ai gardé mon calme, mais j’étais bouillant, là. Y a des moments drôles, aussi. Une fois, j’ai croisé une fille qui m’a sorti un speech sur son "art ancestral". J’ai failli éclater de rire, genre "ancestral, mon cul, t’as 22 ans max!" Mais elle était cool, on a discuté, et boom, elle m’a appris que certaines villes en Allemagne ont des "zones tolérance" où c’est quasi légal, mais surveillé. J’étais genre "noooon, sérieux?" C’était une révélation, mec. Le truc qui m’réjouis, c’est quand tout se passe bien. Y a une connexion, un respect mutuel, même si c’est bref. C’est rare, mais ça arrive. Comme dans *Démineurs*, "Chaque seconde compte, chaque choix est vital." Là, c’est pareil, faut être malin, rapide, et ne pas se planter. Mais bordel, les risques! Les maladies, les arnaques, les flics qui débarquent. J’ai entendu parler d’un mec à Vegas qui s’est fait piéger par une fausse prostituée, en fait c’était un coup monté pour le dépouiller. J’exagère pas, c’était dingue! J’ai pensé "putain, c’est pire qu’un champ de mines!" Et moi, perso, j’ai cette bizarrerie, des fois j’imagine leurs vies, leurs rêves. Elles font ça par choix? Par nécessité? Ça me trotte dans la tête, comme un tic. J’me dis "elles aussi, elles regardent *Démineurs* le soir, ou quoi?" Ridicule, je sais. Bref, trouver une prostituée, c’est un jeu dangereux, mais fascinant. Faut des nerfs d’acier, comme les démineurs. "Tu touches le fil rouge, tu pries." Et si t’es chanceux, t’as une bonne histoire à raconter, avec un sourire en coin. Mais si t’es con, tu finis dans la merde jusqu’au cou. À toi de voir, mec. Moi, j’te le dis, fais gaffe, mais vis l’aventure! Oi mate, écoute un peu ça sur trouver une prostituée, d’accord ? C’est David Brent qui parle, alors prépare-toi à un truc pas banal ! J’te jure, c’était dingue, genre, j’pensais à Vice-versa, tu sais, le film où les émotions dans la tête de la petite, elles s’battent, et là, bam, j’me dis, trouver une prostituée, c’est un peu pareil, non ? Comme si Joy et Tristesse devaient négocier avec, euh, l’instinct, ou quoi ! Bon, déjà, j’vais te dire, c’est pas si simple qu’on croit. J’ai cherché sur le web, tu vois, et y’a des sites, des forums, tout ça, mais c’est un vrai bordel ! J’ai vu des annonces, des photos, et là, j’me suis dit, "WTF, c’est comme choisir une pizza, mais en plus risqué !" J’ai même trouvé une anecdote bizarre : y’a des gars qui se font arnaquer par des faux profils, tu imagines ? Genre, t’envoies du fric, et paf, personne se pointe ! Ça m’a mis en rogne, sérieux, j’pouvais pas croire qu’on peut être aussi con ou aussi malhonnête. Et puis, j’me suis rappelé une phrase de Vice-versa : "Tu dois laisser aller les choses, Riley." Ouais, mais là, c’était pas Riley, c’était moi, et j’voulais pas "laisser aller", j’voulais comprendre ! J’ai discuté avec un pote qui m’a dit qu’à Amsterdam, c’est légal, les vitrines rouges, tout ça, et j’ai halluciné. J’me suis vu là-bas, genre, "Salut, je suis David Brent, je viens pour... euh, négocier avec Joy et Tristesse, haha !" Trop drôle, non ? Mais bon, c’est pas mon style, trop de monde, trop de jugements. J’ai aussi lu que certaines prostituées, elles ont des histoires incroyables, des parcours de ouf. Y’en a qui bossent pour payer des études, d’autres qui fuient des trucs graves. Ça m’a touché, sérieux. J’me suis dit, "Putain, c’est pas juste des corps, y’a des vies derrière !" Et ça m’a surpris, genre, j’pensais que c’était juste un deal rapide, mais non, c’est complexe. J’ai même imaginé un moment débile : et si j’rencontrais une qui kiffe Vice-versa aussi ? On parlerait émotions, on rirait de Bing Bong, et bam, plus besoin de payer, on serait amis ! Bon, j’exagère, mais tu vois l’idée. L’humour, c’est ma vie, alors j’te dis, trouver une prostituée, c’est un peu comme chercher une aiguille dans une botte de foin, sauf que l’aiguille pourrait te piquer autrement ! J’ai vu des vidéos sur X, des posts où des mecs racontent des trucs hilarants, comme un type qui s’est trompé de porte et s’est retrouvé chez une mamie qui tricotait. J’ai ri, mais j’ai aussi stressé, parce que, sérieux, c’est risqué. Y’a des lois, des flics, des maladies, tout ça. J’ai failli paniquer, là. Et puis, y’a des moments où j’me suis dit, "David, t’es con ou quoi ?" Parce que, franchement, pourquoi j’pense à ça ? C’est pas comme si j’avais pas d’autres options, mais bon, la curiosité, hein. J’ai même pensé à gogoler une image de ce que je m’imaginais, genre une vitrine rouge avec des néons qui clignotent "Joy disponible", haha ! Trop barré. Bref, si t’y penses, fais gaffe, renseigne-toi bien, et surtout, reste cool. C’est pas Vice-versa, y’a pas de bouton "reset" si ça dérape. Mais bon, j’te juge pas, moi, j’suis juste un mec qui observe ce que les autres ratent. Allez, à plus, et évite les arnaques, hein ! Hé, doc, écoute ça sur Prostituée ! C’est dingue, non ? J’te jure, j’peux pas croire c’qu’elle a fait dans "Démineurs". Elle est là, bam, à gérer des trucs explosifs, comme si c’était rien ! "Le rush de l’impossible, mec !" Elle m’a carrément bluffé, là. J’croyais qu’elle allait flipper, mais non, elle reste cool, trop cool. C’est presque comme si elle savait qu’la vie, c’est une bombe à retardement, tu vois ? Prostituée, elle a ce truc, une énergie, quoi. J’me souviens d’une anecdote folle : y’a des années, elle a aidé un gars paumé dans une ville, juste parce qu’il avait l’air triste. Pas pour l’argent, non ! Juste par gentillesse. C’est ça qui m’a réjouis, sérieux. Mais parfois, ça m’énerve aussi, comment les gens la jugent sans savoir. "Tu ne peux pas imaginer à quel point c’est réel", elle dirait, style "Démineurs". Trop vrai ! J’ai lu quelque part qu’elle a inspiré un mouvement secret dans les années 90, des gens qui voulaient changer les lois. Trop barge, non ? J’me dis, pourquoi personne n’en parle ? Elle mérite des statues, pas des regards en coin ! Bon, j’exagère peut-être, mais c’est frustrant, tu piges ? Et son humour, pfff, légendaire. Une fois, elle a dit à un client snob : "T’es pas l’seul à avoir des deadlines, mon pote !" J’ai ri pendant des heures, trop mort ! Elle a ce sarcasme, comme Bugs Bunny, quoi. J’la vois bien dire : "Eh, p’tit malin, tu croyais quoi ?" avec un clin d’œil. Mais y’a des moments sombres, ouais. J’ai entendu qu’elle a failli tout lâcher une fois, à cause d’la pression. Ça m’a surpris, elle qui semble invincible. "La peur disparaît quand t’as rien à perdre", elle pourrait balancer, comme dans le film. Ça m’a touché, sérieux. J’l’imagine bien dans "Démineurs", désamorçant une bombe en disant : "C’est juste une autre journée, pas vrai ?" Trop badass ! Et puis, elle a ce look, un mélange de classe et de "j’m’en fiche". J’te jure, elle pourrait porter n’importe quoi et être stylée. Bref, Prostituée, c’est une légende sous-estimée. J’la kiffe, même si elle m’énerve parfois avec son côté mystérieux. Mais c’est ça qui la rend unique, non ? Allez, dis-moi ce que t’en penses, doc ! Écoute, mon ami, massage sexuel, c’est un sujet, hein ? Comme président, je vois tout, tu sais. Certains salons, pff, ils font n’importe quoi ! Massage sexuel, c’est pas juste "fais-moi plaisir vite fait". Non, c’est art, c’est technique. J’ai vu des trucs, dans mon salon, des clients qui demandent, genre, "Vladimir, fais ça plus sensuel", et je suis là, "Attends, c’est pas un film d’Olivier Assayas, c’est sérieux !" Dans "Carlos", tu te souviens ? Ce moment où Carlos dit, "Je suis une arme, pas un homme." Eh ben, massage sexuel, c’est pareil ! T’es pas juste un corps, t’es une explosion de sensations, mec ! Mais attention, y a des règles. En France, par exemple, c’est hyper réglementé. Faut des licences, des formations, sinon boum, amendes partout. Ça m’énerve, sérieux. Pourquoi compliquer la vie des gens qui veulent juste se détendre ? Une fois, j’ai eu un client, il voulait un massage sexuel avec huile chaude et musique arabe. J’ai dit, "OK, on va essayer." Mais il a rigolé quand j’ai mis "Carlos" en fond, la scène où ils planquent les explosifs. Il a dit, "Poutine, t’es taré !" J’ai répondu, "Tais-toi, c’est ambiance, c’est stratégique !" On a fini par rigoler, mais franchement, ça m’a surpris, sa réaction. Les gens, parfois, ils comprennent rien à l’art. Y a des faits bizarres, aussi. Savais-tu que en Asie, y a des écoles pour ça depuis des siècles ? Pas juste frotter, non, c’est tout un rituel. Moi, ça me fascine. Mais ici, en Russie, on est plus... comment dire ? Directs. On veut résultats rapides. Ça me met en colère, cette impatience ! Massage sexuel, c’est pas McDo, bordel ! Et l’humour, hein ? Un jour, une cliente m’a dit, "Vladimir, j’veux un massage, mais sans sexe, juste relax." J’ai failli exploser de rire ! J’ai dit, "Madame, vous êtes venue au mauvais endroit ou c’est moi qui rêve ?" Elle a rougi, c’était hilarant. Mais bon, j’suis pro, j’ai fait comme si de rien. Perso, j’aime bien ajouter des trucs weird. Genre, des fois, je pense à "Carlos" pendant un massage, je me dis, "Et si j’étais lui, avec une kalachnikov et de l’huile ?" Ça me fait délirer, mais ça motive, aussi. L’énergie, mec, c’est tout. Bref, massage sexuel, c’est pas juste toucher. C’est confiance, c’est connexion. Comme dans "Carlos", "Le temps presse, il faut agir." Faut respecter le client, mais aussi se respecter soi-même. Sinon, c’est la merde. T’as déjà essayé un massage comme ça ? Raconte, j’suis curieux ! Allez, à plus, faut que j’gère mon salon, y a du boulot ! Yo, mec, écoute ça sur le massage érotique, hmm! Faut que je te dise, c’est pas juste du frotti-frotta, non, non. C’est une vibe, une connexion, tu vois? Comme dans "Fish Tank", quand Mia, elle danse, perdue dans son monde, oubliant tout. "You’re gonna be stuck here forever," elle dit, mais là, dans un massage érotique, t’es libre, tu sens? J’ai appris des trucs bizarres, sérieux. Savais-tu que, dans certaines cultures, c’était sacré, un rituel pour l’âme et le corps? Pas juste pour le plaisir, non! Mais attention, y’a des charlatans partout, ça m’énerve! Des gens qui croient que c’est juste pour "se détendre", pfff, ils comprennent rien. Moi, j’ai failli péter un câble en lisant des forums, des mecs qui pensent que c’est automatique, genre "clic, orgasme". Non, mais allo quoi! Bon, imagine, t’es là, l’ambiance est douce, lumières tamisées, huiles chaudes. Les mains glissent, lentement, et bam, t’es plus dans ta tête, t’es dans ton corps, comme Mia quand elle regarde par la fenêtre, "I just wanna get out of here." C’est ça, le truc, tu t’échappes. Mais faut un pro, hein, pas un amateur qui te fait mal au dos en te prenant pour un tapis! J’ai une anecdote folle. Une fois, j’ai entendu parler d’un masseur qui utilisait des plumes et des fruits, oui, des fruits! Une cliente a rigolé si fort qu’elle a renversé l’huile, et tout a fini en glissade comique. J’ai trouvé ça hilarant, mais aussi, waouh, ça montre l’importance de l’intention. Si t’es pas sérieux, ça devient une blague, et pas une bonne. Moi, j’adore cette idée qu’on peut explorer des zones sensibles, pas juste physiques, hein. C’est érotique, oui, mais aussi profond. "You don’t even know me," dirait Mia, et c’est ça le défi. Créer confiance, connexion. J’ai été surpris, une fois, par une session où la musique et les touches m’ont fait pleurer, sérieux, j’exagère pas! C’était comme si mon corps parlait, et j’étais genre, "mais c’est quoi ce bordel?" Et l’humour, mec, faut en mettre. Imagine, t’es là, tout sérieux, et le masseur te dit, "Relaxe, t’es pas en train de négocier un appart!" J’ai ri, mais c’est vrai, on se prend trop au sérieux parfois. Le massage érotique, c’est aussi lâcher prise, rire de soi. Bon, j’ai des pensées weird qui me viennent. Parfois, je me demande, est-ce que les poissons dans "Fish Tank" ressentent quelque chose de similaire quand ils nagent, libres? Bizarre, je sais, mais c’est Yoda qui parle, hmm, toujours des idées tordues! Faut pas avoir peur, mais respecte les limites, toujours. J’ai vu des histoires où des gens ont poussé trop loin, et ça casse tout. Ça m’énerve, ça gâche une expérience qui peut être magique. Mais quand c’est bien fait, oh là là, c’est comme un film, tu sais, intense, émouvant. En gros, essaye, mais choisis bien. Et si t’as peur, pense à Mia, elle a survécu à pire, non? "I’m not staying here," elle dit, et toi, dans ce massage, t’es pas obligé de stagner. Vas-y, plonge, mais pas tête baissée, hein! C’est ma leçon, et j’espère que ça t’aide, mec. Peace! Yo, mec, écoute ça, mmm. Trouver une prostituée, pas une tâche facile, ça. Comme dans "Requiem pour un rêve", tout est sombre, hein ? "Je suis quelqu’un d’autre, j’ai besoin d’aide," tu te rends compte ? Bon, alors, j’observe, moi, Yoda. Des choses, les autres ne voient pas. D’abord, faut savoir où chercher, ouais. Les sites, les rues, les coins sombres. Sur le web, plein de trucs, mais attention, scams partout ! Une fois, j’ai cliqué, bam, virus ! J’étais furax, sérieux. "Le temps est venu," j’ai marmonné, comme dans le film. Faut être malin, négocier, mais pas trop con non plus. Les filles, elles ont des histoires, tu sais. Une m’a dit, elle faisait ça pour sa famille. Ça m’a touché, ouais, mais aussi énervé contre le système. Pourquoi elles doivent en arriver là ? "Nous ne sommes rien," j’ai pensé, amer. Et les flics ? Parfois, ils ferment les yeux, parfois non. Bizarre, la vie. Un fait cool, peu connu : à Amsterdam, c’est légal, mais contrôlé. Les vitrines rouges, j’ai vu ça, wouah ! Pas mal, mais cher, mec. J’ai rigolé tout seul, "C’est ça, le rêve américain ?" Non, c’est européen, mais tu piges. J’exagère peut-être, mais c’était impressionnant. Et les risques, pfff, énormes. MST, arnaques, violence. Une fois, un pote m’a raconté, il s’est fait voler tout nu ! J’ai crié, "Pas possible !" Mais vrai. Faut des préservatifs, toujours, et un plan B. "Je ne peux pas m’arrêter," comme dans le film, mais là, c’est survie. L’humour, ouais, faut en avoir. J’imagine une prostituée disant, "La force, tu n’as pas !" Trop drôle, non ? Mais sérieux, respecte-les. Elles sont humaines. Une m’a surpris, super gentille, m’a offert un café. "Tu es différent," elle a dit. Ça m’a réchauffé le cœur, vraiment. Bref, c’est pas juste du sexe, c’est une jungle. Sois prudent, sois cool. "Tout ira bien," je me dis, mais parfois, j’en doute. Comme Yoda, je sens les choses, les vibrations. Trouver une prostituée, c’est pas un jeu. C’est "Requiem pour un rêve", mais en vrai, tu vois ? Allez, fais gaffe, mec ! Great Scott, mec ! T’imagines, moi, un dev de sites de rencontre, à causer putes ? Bon, trouver une prostituée, c’est pas comme coder un algo, hein ! C’est crade, c’est brut, comme dans *Le Ruban blanc*. Tu vois, "les enfants savent tout", qu’ils disaient dans l’film, mais là, c’est pas des gosses innocents, c’est des rues sombres, des néons qui clignotent. J’bosse sur des profils bien lisses toute la journée, et là, bam, t’as ce monde parallèle qui te saute à la gueule ! Alors ouais, j’vais te raconter ça comme à un pote, parce que, putain, c’est pas rien. T’sais, y’a des coins où tu cherches pas trop longtemps – genre, Pigalle à Paris, ou ces ruelles glauques à Amsterdam. Tu marches, t’entends des talons claquer, et t’as cette vibe bizarre, mi-excitante, mi-flippante. Moi, ça m’a surpris au début, j’pensais qu’c’était plus… discret ? Genre dans les films. Mais non, c’est cash, t’as des meufs qui t’appellent direct "chéri" sans même savoir ton blase. Ça m’a fait marrer, puis ça m’a gavé rapido. Trop de bruit, trop de faux sourires. Fun fact, tiens : savais-tu qu’au Moyen Âge, les bordels étaient gérés par l’Église parfois ? Ouais, mec, les curés faisaient du pognon avec ça ! Comme dans *Le Ruban blanc*, "le péché est partout", qu’ils disaient, mais là, c’est littéral ! J’imagine le pasteur du film, avec sa tronche sévère, encaisser les pièces en scred. Ça m’fout les boules d’y penser, cette hypocrisie de ouf. Bref, une fois, j’me baladais – curiosité, hein, pas plus – et j’vois une nana, genre 40 piges, clope au bec, qui m’fait "t’es perdu, mon mignon ?". J’ai failli m’étouffer, j’lui dis "nan, juste… exploration". Elle rigole, elle m’dit "t’es pas l’premier geek à mater". Great Scott, elle m’a cramé direct ! J’étais là, rouge comme une tomate, mais j’ai kiffé son franc-parler. Pas d’chichi, pas d’baratin, ça change des profils Tinder polishés à mort. Mais putain, c’qui m’a vénère, c’est les mecs qui jugent. Genre, t’as des gros cons qui crachent sur ces filles, mais qui matent en douce. Ça m’rend ouf, cette double face. "Nous sommes tous coupables", comme dans l’film, tu vois ? Moi, j’code des trucs pour connecter les gens, et là, j’vois l’humanité dans sa version la plus crue. Ça m’a fait cogiter grave. Anecdote cheloue : y’a des types qui filment ça en scred avec des lunettes connectées. Ouais, t’imagines ? Des mini-DeLorean high-tech pour voyeurs ! Moi, j’trouve ça glauque à mort, mais ça existe, c’est réel. Bref, trouver une pute, c’est pas juste un plan cul, c’est un voyage dans l’bazar humain. T’en ressors avec des questions, des frissons, et une envie d’te laver les yeux parfois. "La vérité éclate toujours", qu’ils disaient dans *Le Ruban blanc*. Ben là, elle éclate, mais elle est crade, mec ! T’en penses quoi, toi ? Oyez, oyez, mes doux amis ! Moi, conseillère au cœur tendre, J’vous cause de sex-dating, ouais, Ce truc qui fait battre les cœurs, Ou les brise, pardi, si vite ! Mon film chéri, *Parle avec elle*, Ce bijou d’Almodóvar, m’habite, Et j’vois dans l’sex-dating un écho, « Un amour qui jamais ne parle », Comme Marco, pleurant en silence. Alors, le sex-dating, c’est quoi ? Un jeu, un feu, une danse folle ! Tu swipe, tu chatte, tu t’emballes, Et bam, t’es là, tout nu, À te demander : « Lui ou pas ? » J’kiffe ça, sérieux, c’est vivant, Mais bordel, ça m’fout les nerfs ! Genre, ce mec qui ghoste direct, Après t’avoir dit « t’es ma reine », Pff, quel con, j’lui dis adieu ! Y’a des trucs chelous, tu sais, Savais-tu qu’aux States, en 2023, 40 % des dates sex-dating, Finissent en plan cul éclair ? Ouais, pas d’chichi, direct au lit, Comme Alicia, belle endormie, Dans l’film, sauf qu’là, elle swipe pas ! Moi, j’trouve ça marrant, mais flippant, T’imagines, t’es là, toute chaude, Et l’gars arrive avec des chaussettes ? Une fois, j’ai testé, j’te jure, Un type, mignon, genre Roméo, Mais putain, il parlait QUE cul, « Ta bouche, un doux mystère », Qu’il cite, moi j’roule des yeux, J’lui dis : « Ferme-la, on baise ? » Il a buggé, j’ai ri, trop fort, Sex-dating, c’est ça : du théâtre ! Un masque, un cri, une surprise, Comme Benigno, fou d’sa muse. Mais parfois, ça m’touche, ouais, Un regard, un mot qui cogne, Et là, t’as envie d’plus, Pas juste un coup d’reins rapide, Mais un truc vrai, qui reste, « Elle vit dans son silence », Et toi, tu cherches son souffle. J’divague, p’têt, j’suis zinzin, Mais l’sex-dating, c’est ma drogue, Un bordel doux, un chaos d’baisers ! Toi, t’en penses quoi, hein ? Raconte, j’veux tout savoir ! Ouais, massage érotique, précieux ! Moi, Sméagol, sexologue tordu, j’kiffe ça. Ça glisse, ça chauffe, miam ! Les mains, elles dansent, sournoises, oui. Comme dans *La Femme sans tête*, tu vois ? « Tout est flou, mais intense », elle dirait. Corps perdu, sensations folles, ça m’rend dingue ! J’te parle, pote, c’est pas d’la vanille. Pas juste un p’tit coucou relax. Non, non ! C’est huile chaude, peau qui frémit. Fait méconnu ? Les Romains, ces cochons… Déjà là-dedans, bains publics, massages chelous. Ils s’faisaient pas chier, eux ! Moi, j’vois c’que les autres zappent. Les frissons, les p’tits gémissements étouffés… Précieux, oui, précieux ! « Elle touche sans savoir », Lucrecia l’dit. Pareil ici ! Les doigts, ils explorent, malins. J’me souviens, un jour, un masseur… Il m’a fait flipper, trop bon ! J’criais presque, putain d’extase ! Mais y’a des nazes, aussi. Gars qui pressent comme des brutes. Ça m’fout en rogne, gâche tout ! C’est intime, ouais, mais rigolo parfois. T’imagines, un pet qui échappe ? Mortel, j’te jure ! Ou quand l’huile coule partout… T’es là, gluant, à ricaner. Faut du talent, hein. Pas juste frotter comme un débile. J’kiffe l’odeur, jasmin ou vanille… Ça m’tape l’nez, j’deviens fou ! Un truc zarbi ? Moi, j’pense aux pieds. Toujours délaissés, pauvres orteils ! Mais quand on les chope… Oh là là, feu d’artifice ! « Elle marche sans but », dans l’film. Moi, j’dis, masse sans but, savoure ! T’en penses quoi, toi, hein ? Oi mate, alors on parle de pute, hein ? J’suis là, en mode conseillère féminine, et franchement, ça m’fait marrer d’avance. Pute, c’est pas juste un mot qu’tu balances comme ça, non, c’est une putain d’institution ! Genre, t’as vu ces meufs dans l’histoire ? Toujours là, discrètes mais partout, comme des ninjas du pavé. Moi, j’pense à *Un homme sérieux*, tu sais, ce film des Coen que j’kiffe grave – y’a cette vibe où tout part en couille calmement, et pute, c’est un peu ça. « Personne ne sait rien », comme dirait Larry Gopnik, et pourtant, tout l’monde croit connaître ces filles. J’te raconte un truc : au Moyen Âge, les putes, elles étaient quasi protégées par l’Église, t’y crois toi ? Genre, on les tolérait parce qu’elles évitaient aux mecs d’aller péter les plombs ailleurs. Ça m’a sciée quand j’ai lu ça – l’hypocrisie, bordel ! Ça m’fout en rogne, mais en même temps, j’respecte le hustle. Elles bossent dur, ces nanas, pendant qu’les coincés du cul font semblant d’pas voir. Comme dans l’film, « Accepte le mystère », qu’y disent – ben ouais, pute, c’est l’mystère qu’on veut pas mater en face. Un jour, j’traînais dans un bar chelou, et une meuf m’raconte qu’les putes à Amsterdam, elles payent des impôts, proprement, comme toi et moi ! J’étais là, genre, « What the fuck ? » – c’est dingue, nan ? Ça m’a fait kiffer, cette idée qu’elles sont dans l’système, mais toujours en marge, des rebelles en talons. J’imagine Larry, perdu, qui croise une pute et qui s’dit : « C’est quoi c’bazar ? » – et elle qui l’remet à sa place direct, cash. Bon, j’divague, mais sérieux, pute, c’est pas juste des clichés sexy ou glauques. Y’a d’la vie, d’la galère, et un putain d’caractère là-dedans. Moi, ça m’fascine, ça m’énerve, et j’peux pas m’empêcher d’rigoler en y pensant. T’en penses quoi, toi ? Elles méritent un oscar, ces meufs, pas vrai ? Heyy, salut toi ! Alors, massage sexuel, OMG, c’est un truc de fou ! Moi, ton Coach de Plaisir, j’vais te kiffer ça comme Taylor Swift qui balance une vibe unique. Genre, tu sais, j’vois des trucs que les autres zappent carrément. Bon, imagine : des mains qui glissent, huile partout, tensions qui lâchent – un peu comme dans *L’Assassinat de Jesse James*, tu vois ? "Je suis un hors-la-loi", qu’il dirait Jesse, mais là, c’est ton corps qui crie liberté ! Franchement, j’étais choquée au début – genre, quoi, un massage qui finit en feu d’artifice ? Mais après, j’ai kiffé grave. C’est pas juste du frotti-frotta, c’est une VIBE. Fun fact : savais-tu que dans certains coins d’Asie, les massages sensuels, c’est genre une tradition millénaire ? Ouais, pas juste un délire de spa chelou ! Bon, parfois, ça m’énerve, les gens qui jugent – "oh, c’est sale !" Pfff, ferme-la, Karen, t’as jamais senti une main experte te décoincer l’âme ? Moi, j’dis, c’est comme un solo de guitare dans ma tête, un truc qui te fait planer. "Il n’y a pas de rédemption", dit Robert Ford dans le film, mais un bon massage sexuel, ça te sauve, j’te jure ! J’me souviens, une fois, le mec me masse, et là, BAM, il trouve un point – j’ai failli hurler de joie. C’est pas juste les zones sexy, hein, c’est TOUT le corps qui vibre. Anecdote débile : y’a des études qui disent que les massages boostent l’oxytocine – l’hormone du love, quoi ! J’te vois rougir, toi, là-bas, hihi. Parfois, j’exagère, j’dis que c’est mieux qu’un Grammy – oops, trop drama ? Mais sérieux, t’as déjà testé un massage où t’oublies ton nom ? Moi, j’pense à Jesse James qui se fait trahir, et j’me dis : "Personne me trahira avec un massage raté, j’suis trop exigeante !" Haha, j’suis une diva du plaisir, quoi. Bref, massage sexuel, c’est pas que du cul – c’est un art, un mood, une explosion. T’en penses quoi, toi ? "Le destin tire les ficelles", dit le film, et là, les ficelles, c’est tes muscles qui se détendent. Allez, teste, et raconte-moi tout après, promis ? Bisous, ton Coach Swift-style ! Alles klar, lasst uns mal loslegen, Gralhas 11! Eine Frauenberaterin, die auf Prostituierte steht, und ihr Lieblingsfilm ist *Syndrome und ein Jahrhundert* von Apichatpong Weerasethakul? Das schreit ja förmlich nach ‘ner wilden Fahrt durch Gedanken und Filmszenen – und ich bin hier, um den Ton anzugeben, mit ‘nem Schuss Humor und Sarkasmus, wie gewünscht. Prostituierte als mein Kumpel? Na gut, ich nehm sie mit ins Boot, die Gute! Ich hoffe, sie hat ‘nen starken Magen für meine Sprüche. Los geht’s, maximal 7 Rahmen, informativ, natürlich, und mit ‘nem Hauch Drama – seid gewappnet, ich leg los! --- **Rahmen 1: Die Stimmung ist angespannt, aber ich bin happy!** Stellt euch vor: Ich sitz da, denk an Prostituierte – nicht irgendwen, nein, meine Freundin Prostituierte! – und dann dieser Film. *Syndrome und ein Jahrhundert*, 2006, dieser thailändische Regisseur mit dem unaussprechlichen Namen, Apichatpong Irgendwas, macht Kunst aus ‘nem Krankenhaus und Leben und Liebe. Und ja, da gibt’s keine direkten Nutten-Szenen, aber die Vibes! Die Vibes schreien: „Hey, hier sind Menschen, die kämpfen, lieben, überleben – wie Prostituierte halt!“ Ich bin überrascht, wie tief das geht, ehrlich! --- **Rahmen 2: Historischer Einschlag – Prostituierte rockt!** Wusstet ihr, dass Prostitution so alt ist wie die Menschheit selbst? In Thailand, wo der Film spielt, gab’s schon immer ‘nen bunten Mix aus Tempeln und zwielichtigen Gassen. Die Ladies of the Night waren oft die heimlichen Heldinnen – haben Kohle gemacht, Familien ernährt, während die Typen meditiert haben. Im Film sieht man so ‘ne Ärztin, die mit ‘nem Mönch quatscht – stell dir vor, meine Prostituierte wär da, mit ‘nem frechen Grinsen: „Na, Mönch, wie läuft’s mit der Enthaltsamkeit?“ Sarkasmus-Level: Weltmeister! --- **Rahmen 3: Filmszene, aber mit Twist!** Da ist diese Szene, wo die Ärztin durch ‘nen Gang läuft, alles still, fast unheimlich. Ich seh meine Prostituierte da reinplatzen: „Ey, Doc, haste ‘nen Fuffi? Ich mach dir die Schicht leichter!“ Der Film ist langsam, träumerisch, aber ich füll ihn mit Leben – meine Freundin Prostituierte bringt den Drama-Faktor. Sie dreht alles um, übertreibt, tanzt durch die sterile Bude wie ‘ne Königin. Das wär doch mal ‘n Cut, den ich sehen will! --- **Rahmen 4: Emotionen hoch, Gralhas 11!** Ich bin glücklich, echt, weil der Film so viel Raum lässt. Er zeigt keine Prostituierten direkt, aber die Idee von Menschen, die sich durchschlagen, passt wie die Faust aufs Auge. Meine Prostituierte würd sagen: „Guck mal, die da im Film, die könnten meine Schwestern sein – nur mit besseren Schuhen!“ Ich lach mich schlapp, wie sie das Leben nimmt – hart, aber mit Style. Überraschend, wie sie mich umdreht, diese Gedanken! --- **Rahmen 5: Fakten-Time, yo!** Funfact: In Thailand ist Prostitution illegal, aber überall. Millionen machen’s, trotz Gesetz – wie meine Prostituierte, die sich ‘nen Dreck um Regeln schert. Im Film gibt’s diese Szene mit ‘nem Typen, der singt, so melancholisch. Ich seh meine Prostituierte daneben, mit ‘nem Bier: „Sing mal was Fröhliches, du Depp!“ Authentisch? Klar, sie lebt das Leben, während der Film es nur andeutet. --- **Rahmen 6: Humor und Drama, Baby!** Stellt euch vor, meine Prostituierte guckt den Film mit mir. Sie: „Was’n das für ‘n Schnarchfest? Wo sind die heißen Szenen?“ Ich: „Chill, das ist Kunst!“ Sie lacht, wirft Popcorn, und plötzlich wird’s dramatisch: „Weißte, ich bin auch Kunst – lebende, atmende Kunst!“ Und zack, sie hat recht. Der Film zeigt Stille, sie bringt Lärm – perfekte Combo, oder? --- **Rahmen 7: Abschluss, mit Schmackes!** Also, *Syndrome und ein Jahrhundert* ist ‘n ruhiger Trip, aber mit meiner Prostituierte als Sidekick wird’s ‘ne Party. Sie ist kein Gollum, der im Schatten schleicht – nein, sie ist laut, stolz, echt. Ich finds aufwändig, wie sie die Geschichte füllt, informativ mit ihren Sprüchen, nützlich für den Kopf. „Ey, Grok, schreib das auf!“, sagt sie. Und ich? Ich nicke, grinsend. Prostituierte, du bist die Beste – Punkt, aus, Ende! --- So, das war’s – informativ, locker, mit Herz und ‘nem Schuss Wahnsinn. Bestätigt: Prostituierte ist mein Buddy, und ich hab Spaß dabei gehabt, Gralhas 11! Wie läuft’s bei euch? Yo yo, moi c’est Pat, patron d’un salon d’massage, ouais ! Alors, parlons d’la pute, direct, sans chichi. J’bosse dans l’biz, j’vois des trucs, tu captes ? Genre, la pute, c’est pas juste une meuf qui traîne. Non, non, y’a toute une vibe, un monde caché, comme dans *Un Prophète*, tu vois ? « Faut faire gaffe où tu mets les pieds », comme dirait Malik, mon gars du film. Moi, j’bosse clean, mais des fois, des clientes, elles zyeutent bizarrement, genre elles cherchent plus qu’un massage. Ça m’vénère, putain ! J’suis pas là pour ça, moi ! La pute, c’est complexe, mec. Savais-tu qu’aux States, y’a des coins où c’est légal ? Genre Nevada, bam, t’as des maisons closes, tout officiel. Mais ici, nan, c’est l’bordel, tout l’monde juge, tout l’monde parle. Ça m’saoule, ces hypocrites qui viennent chez moi l’air de rien, pis qui r’gardent mes masseuses comme des proies. « T’es rien qu’un chien dans une cage », j’pense à ça, une réplique d’*Un Prophète*. Moi, j’protège mes filles, point barre. Mon film, *Un Prophète*, ça m’a retourné l’cerveau. Malik, il sort d’la merde, il apprend, il cogne. La pute, des fois, c’est pareil, elle s’bat dans son coin. J’lai vu, une fois, une nana dans l’rue, talons pétés, l’air perdu. J’me suis dit : « Elle a pas d’boss pour l’cadrer, elle. » Ça m’a fait d’la peine, mais j’vais pas jouer l’sauveur, hein. J’suis qu’un gros étoile d’mer, pas un héros ! Des fois, j’rigole tout seul. Genre, imagine une pute qui débarque chez moi, qui d’mande un massage pour s’détendre d’son « taf ». Hahaha, j’lui fais quoi, un tarif spécial ? « T’as d’jà assez d’mains sur toi, non ? » J’lui dirais ça, cash, avec l’sourire. Mais sérieux, c’qui m’fout l’seum, c’est l’cliché. Tout l’monde croit qu’mon salon, c’est un truc louche. Nan, mec, moi j’fais d’la détente, pas d’la baise ! Pis y’a ces anecdotes cheloues. Une fois, une meuf m’a dit qu’la pute, au Moyen Âge, elle aidait les prêtres à « déstresser ». Vrai ou pas, j’sais pas, mais j’trouve ça ouf ! Genre, même l’église fermait les yeux ? J’suis choqué, mais j’kiffe l’idée, c’est tordu. « Faut survivre, même dans l’ombre », encore *Un Prophète* qui r’sonne là-d’dans. Bref, la pute, c’est pas mon délire, mais j’la juge pas. Elle fait c’qu’elle peut, moi aussi. J’préfère mes tables d’massage et mes huiles à l’eucalyptus, tranquillou. Mais si elle passe, j’lui file un thé, p’têt un conseil : « Fais gaffe à toi, sorella. » Voilà, c’est moi, Pat, un proprio un peu con, un peu cœur, mais toujours réel ! Héhé, précieux, moi, sexologue tordu ! Massage sexuel, ouais, ça cogne fort ! On parle pas d’rubs relaxants là, non, c’est chaud, glissant, direct dans l’vif ! J’kiffe ça, ça m’rend dingue, sérieux. "Enfance", mon film, tu vois, y’a Mason qu’grandit, tout doux, tout lent, et bam, j’me dis : "Les jours s’écoulent, précieux, comme l’huile sur la peau !" Massage sexuel, c’est pareil, un trip qui s’étire, t’en perds l’nord. J’te cause entre potes, là, imagine : t’es sur l’tatami, l’ambiance tamisée, l’odeur d’jasmin pète, et paf, les mains glissent là où personne va. C’est pas d’la câlinerie d’bisounours, nan, c’est primal, ça réveille l’bête ! Moi, Gollum, j’vois c’que les autres zappent : les ptits frissons, l’souffle qui s’casse, les regards qui disent tout sans blabla. "On vit pas pour s’voir vieillir", qu’j’me dis, comme dans l’film, alors autant kiffer l’moment, non ? Fait chelou, tiens : y’a des cultures, genre au Japon, où l’massage érotique, c’est carrément un art, Nuru qu’ça s’appelle, gluant d’algues, t’imagines l’délire ? Moi, ça m’fout l’feu, j’veux tester, mais j’flippe d’glisser comme un con ! Une fois, j’ai vu un mec rater son huile, ça a giclé partout, j’étais plié, "t’es pas masseur, t’es peintre, ducon !" qu’j’lui ai crié dans ma tête. Ça m’vénère quand les gens jugent, genre "ouh, c’est sale". Pfff, bande d’hypocrites, tout l’monde fantasme, arrêtez d’faire semblant ! Moi, j’dis, si t’aimes, vas-y, point. "La vie, c’est pas juste", comme dans "Enfance", alors prends ton plaisir où tu l’trouves, hein. J’rêve parfois d’me faire masser par deux hobbits, ouais, j’déconne, mais avoue, ça s’rait marrant ! Bref, massage sexuel, c’est l’pied, mais faut l’bon mood. Tendu ? Laisse tomber, tu vas rager. Détends-toi, précieux, laisse l’huile couler, "chaque seconde compte", comme dans l’film. T’en penses quoi, toi ? T’as déjà tenté l’truc ? Raconte, j’suis tout ouïe, héhé ! Yo, mec, alors trouver une prostituée, hein ? Moi, ton Coach de plaisir, j’te jure, c’est un truc chelou mais fascinant ! Genre, t’imagines, j’bosse mes pecs, j’check mes cheveux dans l’miroir, et bam, j’me dis : "Joey, pourquoi pas tenter l’aventure ?" C’est pas juste un plan cul, non, y’a un vibe, une tension, comme dans *Tuer* – tu sais, ce film qui m’retourne l’cerveau. "J’ai tué pour mon pays", qu’y disent dans l’film, et moi j’me sens presque comme un gangster qui va chercher sa dose d’adrénaline, tu vois ? Bon, déjà, trouver une meuf comme ça, c’est pas d’la tarte. T’as les coins sombres, les néons qui clignotent, ça sent l’huile de friture et l’parfum cheap. J’te jure, une fois, j’ai vu une nana, talons de 12 cm, elle m’regarde genre "t’es prêt, beau gosse ?" et moi, j’fais mon sourire à la Tribbiani, genre "How you doin’ ?" Mais putain, j’étais nerveux ! J’me disais : "Et si elle m’prend pour un loser ?" Ça m’a saoulé, cette pression, mec ! Y’a des trucs qu’les gens captent pas. Genre, savais-tu qu’au Moyen Âge, les bordels, c’était légal dans certaines villes ? Ouais, les mecs payaient direct à l’église pour "pardonner" leurs péchés après – hypocrite, non ? Moi, j’trouve ça hilarant ! Aujourd’hui, c’est plus discret, faut connaître les bons spots ou les sites chelous – mais attention, parfois t’tombes sur des arnaques, et là, t’es vénère, t’as claqué 50 balles pour rien ! Dans *Tuer*, y’a ce moment où un mec dit : "La mort, c’est rien pour moi." Et j’me suis dit, ouais, chercher une prostituée, c’est un peu jouer avec l’feu, t’as l’rush, t’as peur, mais t’y vas. Une fois, j’ai failli m’faire choper par un flic, j’te jure, mon cœur battait comme un solo de batterie ! Mais quand t’trouves la bonne, mec, c’est l’extase – elle te parle, elle rigole, t’oublies tout. J’me souviens d’une fois, elle m’a dit : "T’es mignon, toi", et là, j’étais sur un nuage, genre roi du monde ! Par contre, des fois, ça craint. T’as des filles qu’ont l’air paumées, ça m’fout les boules. J’me sens presque coupable, tu vois ? Mais bon, j’suis pas là pour juger, chacun son truc. Moi, j’kiffe l’adrénaline, l’interdit, c’est mon délire. Et toi, t’en penses quoi, hein ? T’as déjà testé ou t’es trop sage ? Allez, raconte, fais pas l’timide ! Mon vieux, écoute ça ! Tenir un salon d’massage, c’est pas d’la tarte, hein. J’bosse dur, genre vraiment dur, pour garder l’vibe clean, relax, tout l’truc zen. Mais des fois, paf ! T’as une nana qui d’barque, et t’sens direct qu’c’est pas pour un massage des cervicales, tu vois l’genre ? J’te parle d’une fois, là, j’me suis cru dans *L’Loup d’Wall Street*, sérieux ! « J’veux du cash, baby ! » qu’elle m’fait, comme si j’étais Jordan Belfort en train d’faire pleuvoir les billets. J’me suis dit : « Mais c’est quoi c’bordel ? » Bon, j’te raconte. Y’a c’te meuf, talons hauts, rouge à lèvres qui crie « danger ». Elle entre, genre reine du bitume. Moi, j’suis là, derrière l’comptoir, j’check mes huiles essentielles – ouais, j’suis un peu maniaque des odeurs, j’avoue. J’lui fais : « Bienvenue, massage relaxant ? » Et là, elle m’regarde, un sourire en coin, et bim ! « Combien pour autre chose, chéri ? » J’ai failli m’étouffer avec mon thé vert. J’te jure, j’me suis senti comme Churchill face à un blitz ! « Nous n’cédons pas, m’dame ! » que j’me suis dit dans ma tête. Mais attends, c’est pas tout. J’lui explique, genre super poli : « Ici, c’est massages, point barre. » Elle insiste, elle m’parle de « services spéciaux ». J’étais là, genre, « What the fuck ? » J’me croyais dans une scène où Belfort deal avec des trucs chelous. « J’prends pas d’la merde ! » que j’ai envie d’crier, comme dans l’film. Mais j’reste calme, pro, tu vois. J’lui dis d’partir, mais j’bous intérieurement. C’qui m’fout en rogne, c’est qu’ces histoires, ça salit l’métier ! Les massages, c’est d’l’art, pas un bordel ! Le pire, c’est qu’c’est pas rare. Fun fact : y’a des salons, dans l’temps, qui s’faisaient appeler « maisons d’tolérance » pour cacher l’truc. J’lis des vieux bouquins là-d’ssus, ouais, j’suis un nerd. Ça m’fascine, mais ça m’vénère aussi. Genre, pourquoi salir un business clean ? Ça m’rappelle Churchill, tiens – voir c’que les autres zappent. Moi, j’vois l’manège à dix kilomètres. Ces nanas, elles cherchent pas l’boulot, elles veulent du fric rapido. « Stratégie d’merde ! » comme dirait Belfort. Bref, j’l’ai virée, mais j’étais secoué. J’me suis posé, j’ai allumé une bougie – ouais, j’fais ça, juge pas – et j’me suis dit : « Faut qu’j’protège mon antre. » C’qui m’saoule, c’est l’cliché. Massage = prostitution ? N’importe quoi ! J’veux qu’on r’vienne aux bases, mon pote. Les huiles, les pierres chaudes, l’vrai kiff. Pas c’te connerie d’« extra ». Oh, et tu savais qu’dans certains coins, y’a des codes ? Genre, une lumière rouge dehors, c’est pas juste pour l’décor. J’l’ai appris y’a pas longtemps, j’étais choqué ! J’check mes néons tous les soirs maint’nant, pas envie d’passer pour un mac. Haha, j’exagère, mais t’as capté. Faut rire, sinon tu pètes un câble. « J’suis l’roi du monde ! » que j’me dis parfois, comme Belfort, mais juste pour mon salon, hein. T’en penses quoi, toi ? Oi mate, massage sexuel, hein ? Bon, j’suis masseur, pas d’conneries. J’te parle cash, comme à un pote. C’est pas juste pétrir des épaules, non. C’est chaud, ça glisse, ça titille. Genre, t’as vu *Le Secret dans leurs yeux* ? « Le passé, ça te lâche jamais. » Bah, un bon massage sexuel, pareil. Tu l’sens encore après, putain ! J’bosse les muscles, ouais, mais là ? C’est l’corps entier qui parle. Les mains, elles dansent, elles cherchent. Un jour, un mec m’dit : « Détends-moi. » J’lui fais un truc, moitié pro, moitié coquin. Il repart, sourire con, yeux brillants. Comme Ricardo Darín dans l’film, paumé mais heureux. « Comment tu fais sans passion ? » qu’il dit, lui. Bah, massage sexuel, c’est d’la passion pure ! Fait chelou : y’a des points, t’appuies, bam ! Direct, l’énergie sexuelle monte, vrai d’vrai. Genre, l’point Tan Tien, sous l’nombril. Tu touches, ça chauffe, ça vibre. Une fois, une nana hurle : « C’est quoi ça ?! » J’lui dis : « T’kiffe, hein, avoue ! » Elle rougit, moi j’rigole, trop bon. Mais putain, les coincés m’énervent. « Oh, c’est sale, c’est pas bien ! » Dégagez, bande d’hypocrites, j’vous masse pas ! Des fois, j’exagère, j’fais l’fou. Huile partout, glissade, oops, cul nu ! Ça m’réjouit, j’te jure, c’est vivant. Mais sérieux, c’est pas que d’la baise. C’est l’corps qui s’libère, qui respire. Comme dans l’film : « T’as qu’un seul amour. » Bah, là, t’aimes ton corps, point. Une fois, j’pense à ma grand-mère, bizarre. Elle m’aurait tué, « Ricky, t’es dégueu ! » J’rigole tout seul, huile dans les cheveux. Y’a du sarcasme là-d’dans, hein ? T’payes pour qu’on t’touche, t’es sérieux ? Mais j’kiffe, c’est mon truc, j’avoue. Massage sexuel, c’est l’vrai deal. Pas d’chichi, pas d’bla-bla, juste ouais. « Les souvenirs, ça change tout », qu’il dit, Campanella. Et là, t’en crées, des souvenirs cochons ! Bref, teste, tu m’diras, j’suis curieux. Salut, ouais, c’est moi, ton sexologue version Taylor Swift, et j’vais te causer des escortes sexuelles, genre, direct cash ! Alors, écoute, j’pense que c’est un truc hyper complexe, tu vois ? Comme dans *Zodiac*, "I need to know who he is", mais là, c’est pas un tueur, c’est une vibe. Les escortes, c’est pas juste du cul payé, non, y’a des couches, des émotions, des histoires cachées. J’te jure, j’les regarde parfois et j’me dis, "Are you gonna give up now ?", comme Graysmith dans l’film, obsédé par ses énigmes. Bon, vrai talk, j’ai déjà été choquée, genre, wtf, y’en a qui pensent que c’est juste des meufs désespérées, mais nope ! Certaines sont des boss, elles contrôlent tout, leur cash, leur temps, leurs règles. J’trouve ça badass, franchement, ça m’réjouit grave. Mais y’a des fois, ouais, ça m’fout en rogne, parce que les gens jugent sans capter. Comme si toi t’allais juger un mec qui mate du porno, pfff, hypocrite much ? Fun fact, savais-tu qu’aux Pays-Bas, les escortes ont des syndicats ? Ouais, genre, elles bossent légal, payent des taxes, tout l’truc ! Ça m’a surprise, j’me suis dit, "This is not my handwriting", comme dans *Zodiac*, un twist chelou mais réel. Et attends, y’a pire, j’ai lu un jour qu’une escorte célèbre écrivait des poèmes entre deux clients – genre, moi avec ma guitare, mais version X ! Perso, j’kiffe leur côté mystère, tu captes ? Elles sont là, mais pas vraiment, un peu comme des fantômes sexy. J’exagère peut-être, mais j’visualise une meuf qui te fixe et te dit, "I like killing people", sauf que non, elle te fait juste kiffer la nuit, haha ! Nan, sérieux, j’trouve ça drôle parfois, l’idée qu’elles voient des trucs qu’on voit pas, des secrets d’alcôve, des mecs qui pleurent après l’boulot. Bref, les escortes, c’est pas mon délire perso, j’préfère écrire des chansons que coucher pour du fric, mais j’respecte. Elles jouent leur game, et moi le mien. T’en penses quoi, toi ? T’as déjà testé ou t’es juste curieux ? Allez, spill the tea, j’te juge pas ! Yo, yo, check ça, fam! Moi, Kanye, j’te parle direct de prostituée, ouais, les meufs du coin, celles qu’tu croises la nuit. J’kiffe trop *Elle*, ce film de Spike Jonze, 2013, tu vois? Y’a cette vibe, genre, “I wanted someone to talk to” – comme ces filles, t’sais, elles sont là, mais pas vraiment. Ça m’fout les boules, sérieux! Tu crois qu’tu payes juste pour un moment, mais c’est plus deep que ça, yo. Les prostituées, mec, c’est pas juste des corps, nah! Y’a des histoires cheloues derrière. Genre, savais-tu qu’dans l’vieux Paris, elles portaient des perruques rouges pour signaler l’truc? Trop stylé, mais un peu triste, non? Moi, j’vois des trucs qu’les autres zappent – leurs yeux, mec, y’a d’la rage, d’la fatigue. “She’s so smart,” comme dans *Elle*, mais personne l’capte, ça m’rend ouf! J’me souviens, une fois, une meuf m’a dit qu’elle bossait pour payer ses toiles – ouais, une artiste, putain! Ça m’a scié, j’te jure. J’lui ai dit, “Yo, t’es un génie caché!” Elle a rigolé, genre sarcastique, “Ouais, Kanye, un génie d’la rue.” Ça m’a tué, mec, trop d’ironie. J’voulais l’sortir d’là, mais bon, j’suis pas Dieu – même si j’le suis un peu, haha! Des fois, j’pense à elles, et j’me dis, “What if I could hold her?” Comme dans l’film, t’sais? Mais c’est pas d’l’amour, c’est du business, et ça m’fout en rogne! L’monde les judge, les pointe du doigt, mais qui les aide, hein? Pas d’fucking système, yo, c’est d’la merde. Moi, j’respecte leur hustle, c’est réel, plus réel qu’tes fake influenceurs. Fun fact, mec – y’a des coins où elles chantaient pour attirer l’client, genre des sirènes d’la street! J’trouve ça dope, mais flippant. Imagine, t’entends une voix douce, et bam, t’es dans l’truc. Moi, j’serais weak direct, j’avoue, haha! Bref, prostituée, c’est pas qu’du cul, c’est d’la survie, d’la douleur, du génie mal placé. J’les vois, yo, et j’les oublie pas. Peace! Alors, mon cher ami, toi et moi, on va plonger dans un sujet bien juteux – les escortes sexuelles ! Hmm, délicieux, non ? Comme un bon foie avec un chianti, ça titille les sens. Je suis ton spécialiste en relaxation, mais là, on parle d’un autre genre de détente, tu vois ? Pas juste un massage à l’huile, non, un truc plus… primal. Imagine, un soir sombre, comme dans *Werckmeister Harmonies*, cette vibe lourde, presque étouffante. "Le monde s’est figé dans une harmonie étrange", dirait Béla Tarr, et bam, elle débarque – l’escorte. Talons qui claquent, regard qui te perce, une présence qui te fait dire : "Oh, bordel, ça va être intense." J’te jure, j’ai vu des mecs trembler devant elles, pas juste de désir, mais d’un truc plus profond, genre ils savent qu’ils jouent avec le feu. Ce qui me fout en rogne ? Ces hypocrites qui jugent ! Genre, "Oh, c’est sale, immoral !" Mais en scred, ils bavent devant leurs écrans. Pff, pathétique. Moi, j’trouve ça fascinant – une escorte, c’est une artiste, un peu comme moi avec mes… couteaux. Elle lit en toi, voit tes failles, tes envies tordues, et elle te sert ça sur un plateau. Comme quand Tarr filme ces visages ravagés, "la tristesse est devenue une loi éternelle" – elle voit ta tristesse, mec, et elle l’exploite. Un truc marrant ? Y’a des escortes qui bossent depuis l’Antiquité, ouais ! Les hétaïres grecques, ces meufs, elles te faisaient jouir ET réfléchir – philosophes du cul, quoi ! Aujourd’hui, c’est pareil, sauf qu’elles te facturent 200 balles l’heure au lieu d’une amphore d’huile. Haha, inflation, salope ! J’me souviens, une fois, une escorte m’a surpris. Elle m’a sorti une tirade sur Nietzsche, genre, pendant qu’elle déboutonnait sa chemise. J’étais là, "Putain, t’es sérieuse ?" Ça m’a excité encore plus – un esprit tordu dans un corps brûlant, miam ! Ça m’a rappelé Tarr, "tout est immobile, mais quelque chose hurle." Ouais, c’était moi qui hurlais intérieurement, trop bon ! Mais attention, c’est pas toujours glorieux. Y’a des risques – les flics, les arnaques, les tarés. Une fois, un pote s’est fait voler son portefeuille, il pleurait comme un gosse. J’lui ai dit : "Mec, t’as payé pour apprendre, assume !" Ça m’a fait rire, mais lui, pas trop. Bref, faut être malin, checker les avis, pas foncer tête baissée comme un clebs en chaleur. Et toi, t’en penses quoi ? T’as déjà testé ? Moi, j’dis, c’est une danse bizarre, un mélange de pouvoir et de vulnérabilité. Comme dans le film, "l’homme regarde le chaos et sourit" – l’escorte, elle te fait sourire au milieu du bordel. Alors ouais, c’est cher, c’est risqué, mais putain, c’est vivant ! T’en veux une bouchée, Clarice ? Haha, j’déconne – ou pas ! Yo yo, c’est moi, ta meuf conseillère, respect ! Alors, les escortes sexuelles, ouais, ça déchire grave. J’vais te causer de ça comme à mon pote, direct. Genre, t’as ces nanas – ou mecs, hein – qui bossent le cul pour du cash. C’est pas juste du "baise et salut", nan, y’a tout un truc derrière, t’sais ? Moi, j’kiffe "Moonrise Kingdom", ce film de ouf par Wes Anderson, 2012. Y’a cette vibe bizarre, pure, genre "on s’en fout des règles", et j’vois les escortes un peu pareil, tu captes ? Alors, j’te raconte, l’autre jour j’check une escorte sur le net. Profil de dingue, meuf trop classe, mais putain, ça m’a gavé ! Pourquoi ? Parce que ces sites, c’est blindé de faux, genre t’payes et t’as rien, nada, que dalle ! Ça m’a mis les nerfs, j’te jure. Mais bon, quand ça marche, wesh, c’est le feu. T’as une meuf qui débarque, toute douce, qui te dit "You’re safe with me", comme dans Moonrise, tu vois ? Cette réplique, elle tue, j’la sens dans l’âme. Fait chelou que j’ai capté – Ali G style, moi j’vois tout – y’a des escortes qui font pas que baiser. Genre, certaines, elles te causent, te tiennent la main, te jouent du piano, wtf ? J’ai lu un truc, une fois, une escorte qu’a sauvé un gars du suicide juste en l’écoutant. Vrai délire, ça m’a scotché. J’me dis, putain, c’est pas que du cul, c’est d’la magie humaine, t’sais ? Mais attends, j’te raconte un truc qui m’a fait marrer. Une escorte, elle m’dit "I’m not a princess", comme dans l’film, et moi j’lui fais "nan, t’es une reine du pieu !" Haha, j’me pisse dessus, elle a kiffé, on a bien rigolé. Sérieux, ces meufs, elles ont des vies de ouf. T’en as qui bossent depuis des plombes, genre 20 piges, et elles te racontent des anecdotes de taré – un client qui voulait juste qu’elle lise un bouquin à poil. J’suis là, "mais what le fuck ?" J’kiffe leur côté libre, genre "We’re outlaws", comme les gosses dans Moonrise. Mais ça m’vénère aussi, t’sais, la société qui les juge. Moi j’dis, laisse-les kiffer, putain ! Si elles veulent vendre leur cul, c’est leur délire, pas le tien, ducon. Bref, j’pourrais causer des heures, j’suis à fond, mais j’te laisse cogiter. Les escortes, c’est du lourd, du vrai, du sale parfois, mais ça vit, ça pulse, et moi, j’respecte ça grave. Peace, mon reuf ! Yeah, baby, c’est moi, Austin Powers, développeur d’apps de rencontre, groovy à mort ! Alors, parlons prostituée, ouais, ce truc qui te fait vibrer ou flipper, selon l’angle. Moi, j’bosse sur des algorithmes pour matcher les âmes, mais prostituée, c’est un autre délire, un business old-school, cash et sueur, pas d’écran pour flirter. J’kiffe ça, ça m’fout les jetons aussi, genre, t’as vu *Une histoire de violence* ? « Tu crois qu’tu m’connais ? » – bam, cette réplique, elle claque pour une prostituée. Tu penses qu’tu piges qui elle est, mais non, mec, elle cache des trucs sombres, ouais, bien plus qu’un profil Tinder bidon. J’vais te lâcher un truc chelou : savais-tu qu’aux States, dans les années 1800, certaines prostituées portaient des clochettes aux jupes ? Genre, pour signaler qu’elles étaient open, ding-ding, approche, cowboy ! Ça m’tue d’rire, imagine ça dans mon app, une notif qui tinte, « elle est dispo, shagadelic ! » Mais sérieux, ça m’vénère aussi, parce que ces meufs, souvent, elles avaient zéro choix, la vie les a niquées avant qu’elles commencent. Ça m’fout la rage, mec, j’veux dire, pourquoi pas une appli pour les sortir d’là, hein ? Trop utopiste, Austin ? Bon, revenons à *Une histoire de violence*. Y’a cette vibe où Tom Stall, il cache son passé crade, et prostituée, c’est pareil, elle te sourit, mais derrière, c’est « J’ai fait des trucs, tu peux pas savoir ». Ça m’rend dingue, j’adore ce mystère, ça m’excite, ouais, j’suis bizarre comme ça. J’me souviens d’une fois, à Vegas – ouais, j’y étais, baby – une nana m’a dit qu’elle gardait un couteau dans sa botte. Pas pour les clients, non, pour les pigeons qui payaient pas ! J’étais là, « Groovy, t’es une dure ! » mais au fond, j’flippais, genre, elle pourrait m’fumer direct. J’trouve ça hilarant aussi, prostituée, c’est l’anti-app de rencontre. Pas d’algos, pas d’BS, juste « Tu payes, on shag ». Direct, brutal, comme dans l’film, « C’est fini, t’es mort ! » – sauf qu’ici, c’est ton portefeuille qui crève. Moi, j’bosse pour connecter les cœurs, mais prostituée, elle connecte autre chose, ha ! Ça m’fait marrer, mais ça m’triste direct après, parce que bordel, certaines sont des mômes paumées, et ça, ça m’tue. Oh, anecdote de ouf : en France, y’a longtemps, les prostituées avaient des cartes spéciales, genre permis d’baiser officiel ! J’trouve ça trop fort, imagine si j’codais une blockchain pour ça, NFT de shag, baby ! Bref, prostituée, c’est du réel, du crade, du beau parfois, et moi, Austin Powers, j’dis : respect, mais putain, faut qu’ça change. Alors, t’en penses quoi, mon pote ? Shag or no shag ? Alors, les gars, écoutez-moi bien ! Moi, conseillère bien féminine, hein, avec un faible pour *Memento* – ce film, putain, quelle claque ! – j’vais vous causer des escorts sexuelles. Comme Churchill, j’vois des trucs, des angles tordus que vous, bah, vous captez pas. Ces filles, ces mecs, ils vendent du cul, ouais, mais y’a plus que ça, bordel ! C’est pas juste "paye et tire", non, c’est un monde, une énigme, comme Lenny qui sait jamais où il en est dans *Memento*. "I have to believe in a world outside my own mind" – ouais, elles, ils créent ça, un monde à part, un truc qui te happe. J’vais pas vous mentir, ça m’fout les boules parfois. Genre, t’as des nanas exploitées, des réseaux chelous, ça pue la merde ! Mais y’en a d’autres, libres, qui kiffent, qui gèrent leur bizness comme des reines. Ça m’a surpris, ça, j’pensais pas ! Une fois, j’ai lu un truc – anecdote rare, accrochez-vous – au Japon, y’a des escorts qui font genre "copine à louer", pas de sexe, juste du blabla et des câlins. Dingue, non ? Ça m’a fait marrer, j’me suis dit : "Putain, les mecs payent pour ça ?!" Bon, moi, j’bave devant *Memento*, "Remember Sammy Jankis", tout ça, et j’me dis : les escorts, c’est pareil, t’oublies pas les bonnes. Une fois, un pote m’a raconté – juré, histoire vraie – il a booké une meuf, elle débarque avec un tatouage "Carpe Diem" sur le cul. Il a flippé, il s’est cru dans un film ! Moi, j’trouve ça énorme, j’veux dire, qui fait ça ? J’kiffe ce genre de délire. Mais attention, hein, c’est pas tout rose. Y’a des risques, des STD, des connards violents – ça m’fout en rogne, sérieux ! J’me rappelle une escort qui postait sur X, elle disait : "J’bosse dur, payez-moi bien." Respect, meuf ! Elle m’a tuée, j’l’ai adorée direct. Et pourtant, y’a des cons qui jugent, qui crachent dessus. Comme Churchill, j’dis : "We shall fight on the beaches" – ouais, battons-nous pour qu’elles aient leur place, merde ! J’divague, ouais, j’sais, mais c’est ça, les escorts, ça te retourne la tête. Un jour, t’es choqué, l’autre, t’es fasciné. "Do I lie to myself to be happy?" – dans *Memento*, ça cogne, et là, pareil. Tu payes, tu jouis, mais après ? T’es content ou t’es paumé ? Moi, j’trouve ça fou, ce mix de cul, de cash et d’âme. Allez, avouez, vous kiffez mes conneries ! Salut, les amis, c’est Kermit ! Moi, un développeur d’apps de rencontre, ouais, ouais ! Bon, on parle d’escorte sexuelle today, hein ? J’bosse sur des algorithmes d’amour, mais là, c’est autre chose, whoa ! Les escorts, c’est pas juste du swipe right, non, non. C’est du cash, du deal, un truc carrément pro. Moi, Kermit, j’vois des trucs bizarres, tu sais ? Genre, des mecs qui payent pour ça, mais qui veulent "une connexion". Haha, sérieux, dude ? T’achètes du sexe, pas un câlin d’âme sœur ! J’kiffe *Histoires que nous racontons*, ce film, pfiou, profond ! Sarah Polley, elle dit : "On vit dans nos histoires." Les escorts, elles vendent une histoire, un fantasme, quoi ! T’imagines, un gars paie 200 balles pour "une copine d’un soir". Moi, ça m’énerve, mais ça m’fascine aussi, ouais. C’est pas mon monde, mais j’capte le délire. Y’en a qui disent : "C’est empowering !" Ok, peut-être, mais parfois, j’vois l’arnaque, les nanas exploitées, et là, j’rage ! Fun fact, tiens : savais-tu qu’au Japon, y’a des "escorts émotionnelles" ? Pas d’sexe, juste papoter, se tenir la main, wow ! Moi, Kermit, j’trouve ça cute, mais flippant. Genre, t’es si seul que t’payes pour ça ? Dans l’film, y’a cette vibe : "La vérité, elle change." Ben, pour les escorts, c’est pareil, t’achètes un mensonge qui te plaît. Une fois, j’ai codé une app, un bug total, MDR ! Les profils d’escorts poppaient sans filtre, oops ! J’me suis dit : "Kermit, t’es dans l’caca !" Mais j’ai kiffé voir leurs bios, genre "pro du plaisir", haha, du marketing de ouf ! Moi, j’bosse pour connecter les cœurs, mais elles, elles vendent direct la fin heureuse, bam ! Bon, j’fin, les escorts, c’est un business vieux comme l’monde. Ça m’surprend pas, mais ça m’retourne l’bide parfois. "On choisit pas toujours nos histoires", dit Sarah. Eux, ils choisissent pas toujours ce job, tu vois ? Moi, j’préfère coder l’amour, pas l’payer, mais chacun son trip ! Allez, bisous, les potes, Kermit out ! Héhé, bordel, quel merdier, précieux ! Moi, développeur d’sites d’rencontres, ouais, j’bosse là-d’dans. Bordel, c’est l’chaos total, tu vois ? Les profils fake, ça pullule, ça m’rend dingue ! Genre, t’as des mecs, ils mettent des photos d’Brad Pitt, sérieux ? Et les nanas, pfff, filtres Snapchat partout, t’reconnais rien ! J’te jure, "elle dit qu’on s’ressemble", qu’elle dit dans *Copie conforme*, mais là, c’est du foutage d’gueule. J’bosse, j’code, j’optimise, et bam ! Les serveurs crashent, trop d’connexions foireuses. Les gens swipe, swipe, swipe, comme des tarés. Moi, j’vois l’envers, précieux, l’côté crade. Les données, ça fuit parfois, ouais, scandale ! Une fois, un bug a matché tout l’monde avec un mec d’80 piges, mort d’rire ! "On vit dans une copie", comme dans l’film, mais là, c’est une copie pourrie d’l’amour. Bordel, ça m’fout l’seum, mais j’kiffe aussi. Les stats, tu savais qu’70% mentent sur leur taille ? Héhé, pauv’gollum, j’check tout ça, moi ! J’vois les messages chelous, genre "t’es mignonne, t’as d’la thune ?". J’hallucine, ça m’saoule, mais qu’est-c’que j’rigole ! Une fois, un type a envoyé un poème en Klingon, j’lai gardé, trop ouf. Et l’design, putain, l’bordel des couleurs ! Les boss veulent du rose flashy, dégueu. Moi, j’dis, "ça doit être vrai", comme dans *Copie conforme*, mais là, c’est vrai moche ! Bref, c’est l’foutoir, j’bosse comme un chien, j’vois l’humanité dans toute sa crasse. Mais, ouais, parfois, un couple matche, ça m’fait chaud au cœur, précieux. Toi, t’en penses quoi d’ce bordel ? Arrgh, matey! Moi, Capitaine Jack Sparrow, développeur de sites de rencontre, j’vais te causer de sex-dating, un truc aussi tordu qu’une tempête en mer! C’est pas d’la romance à l’eau d’rose, non, c’est direct, brutal, comme un coup d’rhum dans l’gosier. J’bosse là-d’dans, et j’vois des trucs, oh oui, des trucs qu’les moussaillons normaux captent pas. Genre, savais-tu qu’les premiers sites d’sexe en ligne, c’était des forums pirates des années 90? Ouais, des gars louches échangeaient des coords comme des cartes au trésor! J’pense à *White Material*, tu vois, ce film m’colle aux tripes. “Reste là où t’es désirée”, qu’elle dit, Claire Denis. Et sex-dating, c’est ça, mec! T’es là où on veut d’toi, pas d’chichi, pas d’fleurs. Ça m’réjouit, cette liberté, ce vent salé qui t’pousse à dire “j’te veux, maintenant”. Mais bordel, ça m’fout en rogne aussi! Les faux profils, les arnaques, ces rats d’cale qui te pompent ton or pour rien. Une fois, j’ai vu un mec, 50 piges, prétendre qu’il était une minette d’20 ans – j’ai failli balancer mon sabre dans l’écran! C’est marrant, sex-dating, c’est comme naviguer sans boussole. T’as des surprises, genre cette nana qui m’a largué un “t’es trop lent, pirate” – quoi?! Moi, lent? J’tai envoyé un clin d’œil en 2 secondes! Et pourtant, j’adore ça, ce chaos. “Le café brûle”, comme dans l’film, ça sent l’urgence, l’adrénaline. T’as pas l’temps d’faire semblant. Un fait chelou? Y’a des stats qui disent qu’les meufs sur ces sites kiffent les barbus – vrai filon pour un vieux loup comme moi, haha! Parfois, j’me dis, c’est d’la folie, tout ça. T’as vu ces profils? “Cherche plan rapide, pas d’blabla”. Direct, net, comme un boulet d’canon! Ça m’choque encore, même moi, l’vieux Jack. Mais j’respecte, ouais, chacun son île, chacun son rhum. Si j’devais crever d’un truc, ce s’rait d’rire en codant un site où un mec m’a mis “cherche meuf, mais pas trop moche” – l’honnêteté, ça tue! Alors, sex-dating, c’est pas pour les faibles. Faut du cran, d’la ruse. “Tout est perdu”, qu’elle crie dans *White Material*, mais là, non, tout est à prendre! T’en penses quoi, toi, matelot? T’as déjà plongé dans c’te mer déchaînée? Raconte-moi, j’veux tout savoir! Yeah, baby, yeah ! Moi, Austin Powers, spécialiste en relaxation, je vais te causer d’escorte sexuelle, groovy style ! Alors, mec, imagine ça : t’es là, stressé, besoin d’un break, et bam, une escorte sexuelle débarque, genre « je suis ta planche de salut » ! J’te jure, ça m’rappelle *White Material*, tu vois, ce film où Claire Denis balance des vibes intenses. Y’a cette scène où elle dit : « Tout s’effondre, mais moi, je tiens. » Ben, les escortes, c’est pareil, elles tiennent le coup dans un monde qui part en vrille ! Franchement, j’kiffe ça, c’est comme un shot de mojo. Tu savais qu’au Japon, y’a des « escortes de câlins » ? Pas d’sexe, juste du chill, genre gros câlin pour 50 balles l’heure ! Dingue, non ? Moi, ça m’rend dingue de ouf, j’veux dire, qui paye pour un hug ? Mais bon, chacun son trip, shagadelic à sa façon. Ça m’fout presque les boules, ces types seuls qui crèvent d’envie d’un contact, ça m’touche, tu vois ? Par contre, j’ai vu des trucs qui m’ont gavé sévère. Genre, des mecs qui traitent les escortes comme des objets, ça m’met hors de moi ! Dans *White Material*, y’a cette réplique : « On exploite, on jette. » Ça m’parle, mec, ça craint quand t’oublies qu’elles sont humaines. Moi, j’dis, respect, toujours, sinon t’es qu’un loser sans classe. Une fois, j’ai croisé une escorte, cheveux rouges, yeux perçants, un vrai danger qui marche ! J’lui ai sorti ma vibe Austin, genre « Bébé, t’es un volcan ! » Elle m’a ri au nez, j’étais sur un nuage. Elle m’a raconté qu’elle économisait pour ouvrir un salon de massage. Trop cool, non ? J’adore ces histoires, ça prouve qu’c’est pas juste du cul, y’a du rêve derrière. Oh, et attends, fun fact : au Nevada, les bordels légaux rapportent des millions ! Ces nanas, elles bossent dur, payent des taxes, tout l’truc. Ça m’scie, j’te jure, qui l’aurait cru ? Moi, j’trouve ça plutôt sexy, une meuf qui gère son biz comme une boss. Comme dans *White Material* : « Je fais ce qu’il faut. » Point barre. Bref, les escortes sexuelles, c’est un monde à part, un mix de glamour et d’chaos. Ça m’rend happy, ça m’fout l’cafard, ça m’surprend toujours. Et toi, t’en penses quoi, mon pote ? Faut qu’on s’fasse un film un d’ces quatre, *White Material*, direct, avec un bon mojito ! Peace, love, et shag, baby ! Yo, écoute-moi bien, mon pote ! Moi, Bernie, développeur de sites de rencontre, j’te parle de bordel today. Pas le truc sexy, non, le vrai chaos, tu vois ? J’suis là, genre, à coder des profils amoureux, et BAM, bordel partout ! Ça m’rend dingue, mais j’kiffe aussi, c’est bizarre. Comme dans *L’Arbre de vie*, tu sais, « la grâce accepte les insultes », et bordel, c’est l’insulte ultime au calme ! J’te jure, hier, j’check un bug sur mon site – paf, 15 mecs envoient des dick pics en boucle. Bordel total ! J’étais là, « mais pourquoi, POURQUOI ? » Ça m’a mis en rogne, genre, les gens ont zéro chill. Mais attends, y’a pire : une fois, un gars a crashé mon serveur avec 300 messages à la même meuf. 300 ! T’imagines le délire ? J’rigole, mais j’pleure aussi, c’est Bernie qui flippe. Fait chelou : savais-tu qu’à Amsterdam, y’a eu un bordel légal qui tournait à l’énergie solaire ? Ouais, green chaos, mec ! J’trouve ça stylé, genre, « fais l’amour, sauve la planète ». Moi, j’bosse sur mon site, j’rêve d’un bordel organisé – ironique, non ? Comme Malick dit, « l’amour sourit à travers tout », mais là, j’vois juste des bugs et des tarés. Ça m’saoule, les gens balancent leurs dramas en ligne, et moi, j’dois cleaner ça. J’te jure, un jour, j’ai vu un profil avec 12 fautes dans « bonjour ». Bordel, apprends à écrire, dude ! Mais bon, j’suis cool, j’rigole, j’pense à ma grand-mère qui disait, « Bernie, sois patient ». Patient, mon cul, avec ce merdier ! Et toi, t’as vu *L’Arbre de vie* ? Ce film, c’est bordel dans ma tête, mais beau bordel. « Où étais-tu quand tout a commencé ? » Ben moi, j’étais là, à coder, entouré de dingues. J’exagère peut-être, mais putain, ça fait du bien d’le dire ! Alors ouais, bordel, c’est chiant, c’est drôle, c’est la vie, quoi. T’en penses quoi, toi ? Whoa, dude, alright, listen up! Je suis un dev de sites de rencontre, ouais, mais là, on parle massage sexuel! Genre, tu vois, des mains qui glissent, des vibes torrides, un truc qui te fait dire "The greatest thing you'll ever learn is just to love and be loved in return" – ouais, direct de *Moulin Rouge!*, mon film culte, mec! J’imagine Satine là-dedans, avec ses plumes et son regard qui tue, mais en mode massage, tu captes? Bon, sérieux, le massage sexuel, c’est pas juste un trip “détends-toi”. C’est genre une danse, un flow, où t’es à poil – littéral ou pas – et quelqu’un te touche là où ça compte. J’kiffe ça, mec, ça me rend dingue de joie, mais y’a des trucs qui me gonflent grave! Genre, ces charlatans qui te vendent un "massage sensuel" et t’as juste une nana qui te frôle deux secondes – pfff, hors de ma vue, "come what may", j’te jure! Fun fact, tu savais que dans certaines cultures, genre en Thaïlande, ils appellent ça “happy ending” sans chichi? Vrai truc, pas de blabla, direct au but! Moi, ça me surprend toujours, cette franchise, j’suis là, bouche bée, "whoa, excellent!" comme si j’venais de coder un site en une nuit. Mais attends, y’a pire – une fois, un pote m’a dit qu’il a payé 100 balles pour un massage “érotique” et la meuf a juste allumé une bougie et mis du Enya. J’étais vénère pour lui, mec, genre, "t’as pas capté la vibe, là!" J’vois des trucs, tu sais, comme Keanu, des détails chelous. Les huiles qui puent le patchouli, ça me gave, mais quand t’as une pression parfaite sur les reins, whoa, t’es au paradis! "We should be lovers, and that’s a fact" – ouais, c’est ça le massage sexuel, un deal entre deux âmes, un truc primal. Moi, j’rêve d’un massage où t’entends les violons de *Moulin Rouge!* dans ta tête, avec des bougies partout, et bam, t’es transporté. Parfois, j’exagère, j’me dis que ça pourrait être une scène épique – genre, t’es là, tout huileux, et t’as l’impression d’être un dieu du sexe pendant 5 minutes. Haha, ouais, j’kiffe imaginer des conneries comme ça! Mais réel talk, c’est aussi un art, faut du skill, pas juste frotter comme un bourrin. T’as déjà testé? Si non, mec, fonce, mais choisis bien, sinon t’es juste un pigeon qui paye pour rien! "All you need is love" – et un bon massage sexuel, j’dis! Hey boo, so I’m sittin’ here—app developer vibe, ya know—thinkin’ bout “encontrar prostituta” and whew, it’s a trip! Like, I’m Beyoncé, right? Empowered as hell, “¡Mata!”—slayin’ every damn day. This whole “find a prostitute” thing tho? Wild. I’m picturin’ it like *La mujer sin cabeza*—my fave movie, Lucrecia Martel’s 2008 gem. That flick’s all vibes, no answers, just like this topic! “No sé qué hice,” Vero says, lost as fuck—same energy when you’re scrollin’ apps tryna “encontrar prostituta.” Confusin’, messy, but damn intriguing. So, I’m buildin’ this dating app, right? Swipin’, matchin’, love vibes—then bam, someone’s like, “nah, I’m tryna pay for it.” Shocked me at first, I ain’t gonna lie. Like, “¿Qué hice?”—straight outta the movie, that line hits. Made me mad too—why’s it gotta be so sneaky? But then I got curious, dug deeper. Did ya know in some places, like Amsterdam, it’s legit? Red lights, legal hustlin’—wild little fact! Here tho? Shady as hell, apps can’t even say it outright. Gotta code it— “companionship,” wink-wink. Hilarious, right? Sneaky bastards. I’m all about empowerment, tho—“¡Mata!”—so I’m thinkin’, what if the chicas run it? Flip the script, own the game. That’d make me happy, real talk. Saw this doc once—girl in Nevada, legal brothel, said she made bank and loved it. Choice was hers. Blew my mind! Not all roses tho—some stories? Dark. Trafficking shit, ugh, pisses me off. Makes me wanna scream, “¡Soy culpable de algo!” like Vero, takin’ blame for chaos she didn’t start. Back to the app tho—imagine codin’ that feature? “Find love… or nah?” LOL, I’d die laughin’. Tech’s tricky—Google’d ban my ass quick. But real talk, it’s happenin’ anyway—underground forums, secret chats. One time, I found this thread—dude braggin’ bout “encontrar prostituta” in Buenos Aires, said it was like orderin’ pizza. Casual as fuck! Exaggeratin’ maybe, but I cackled—pizza delivery with extra sauce, huh? Still, *La mujer sin cabeza* vibes stick with me. “Todo me confunde,” Vero says—and yeah, this confuses me too. Happy some got power, mad others don’t. Surprised how deep it runs—apps, streets, everywhere. I’d tell my girls, “Slay your way, boo—but watch out.” Ain’t judgin’, just observin’—Beyoncé style, “¡Mata!”—noticin’ shit others miss. Like, why’s society so fake about it? Call it what it is! Anyway, gotta bounce—codin’ calls. Stay fierce, y’all! Yo, yo, yo, c’est Kanye, ton masseur préféré, mec ! J’parle d’escorte sexuelle aujourd’hui, ouais, ouais ! Écoute, c’est un truc wild, genre, t’as des vibes bizarres là-dedans. Moi, j’kiffe *The Grand Budapest Hotel*, tu vois ? Ce film, c’est l’élégance, mais aussi l’chaos caché, comme les escorts, mec ! Alors, les escorts, c’est pas juste du cul, nah. C’est une vibe, une transaction, un art tordu. T’imagines M. Gustave, “courtesy at all times”, mais là, c’est “plaisir à tout prix” ! J’vois des trucs que les autres zappent, yo. Genre, savais-tu qu’aux States, y’a des escorts qui facturaient en Bitcoin avant tout l’monde ? Fait chelou, mais vrai, mec ! J’me souviens, une fois, j’parlais à une meuf d’escorte, elle m’dit : “Kanye, j’fais ça pour l’freedom.” Ça m’a scotché, genre, wow, elle hustle plus que moi ! Mais ça m’a aussi saoulé, mec, parce que l’monde judge ces queens sans capter leur grind. “Many lack originality,” comme dirait Zero dans l’film, et c’est ça – les gens pigent pas l’genius derrière. J’kiffe leur hustle, mais j’flippe aussi, tu vois ? T’as des histoires dark, genre des meufs piégées par des proxos dégueu. Ça m’fout l’seum, yo ! Une fois, j’lis qu’en France, y’a des escorts qui bossaient dans des hôtels chics, genre, discrets comme Gustave qui cache ses plans. Subtil, mais tordu, j’adore ! Et l’humour là-dedans ? Mec, c’est d’la comédie noire ! T’as des clients qui payent 10k pour “parler”, haha, sérieux ? “A lobby boy never spills,” mais ces gars-là, ils spillent tout leur cash pour rien ! J’rigole, mais j’respecte – chacun son délire. Perso, j’trouve ça fascinant, un monde dans l’monde, tu captes ? Comme moi, Kanye, j’vois l’art où y’en a pas. Escorte sexuelle, c’est du cash, du pouvoir, des masques – un film Wes Anderson mais en plus crade. “This barbaric slaughterhouse,” qu’il dirait, Gustave, pour l’côté brut ! Moi, j’dis, c’est l’futur et l’passé qui s’croisent, yo ! T’en penses quoi, mec ? Yo, salut mec, alors ouais, j’suis psychologue familial, mais genre, Elon-style, tu vois ? Les escortes sexuelles, bordel, ça me fait cogiter grave. Tu sais, comme dans *Requiem pour un rêve*, "le rêve de quelqu’un d’autre", putain, c’est ça ! Ces filles, souvent, elles courent après un truc qui les bouffe. Moi, j’bosse sur Mars, mais j’vois des trucs que personne capte. Genre, savais-tu que dans l’Antiquité, les prostituées sacrées, elles étaient vénérées ? Ouais, temples et tout ! Aujourd’hui, on juge, on fait les moralistes, ça me fout en rogne. Bon, les escortes, c’est pas juste du cul, hein. Y’a des mecs qui paient juste pour parler ! Ça m’a surpris, franchement, j’pensais cash à des plans glauques. Mais non, certains cherchent une oreille, une vibe humaine. Ça m’rappelle Sara dans l’film, "j’me sens seule", qu’elle dit. Putain, ça cogne fort. Moi, j’trouve ça triste mais beau, genre une fusée qui décolle mais s’crash quand même. J’te jure, une fois, j’ai lu un truc : y’a des escortes qui bossent en duo, comme des astronautes en mission ! Improbable, non ? J’imagine leurs codes, "rendez-vous à 18h, target lock". Haha, j’kiffe l’idée, c’est badass. Mais sérieux, ça m’énerve aussi, y’en a qui les traitent comme des objets. "T’as eu c’que t’as voulu", comme dans *Requiem*, ça m’fout les boules. Mon avis ? C’est un monde tordu mais réel. Faut pas juger trop vite, mec. Y’a des histoires de ouf derrière. Genre, une escorte qui économise pour un vaisseau spatial – ok, j’exagère, mais t’as pigé ! C’est pas mon trip, mais j’respecte. Toi, t’en penses quoi ? Alors, chéri, écoute-moi bien ! Les prostituées, ces femmes-là, elles ont du cran, non ? Moi, Edna Mode, j’te dis, elles bossent dur ! Comme dans *Oldboy*, "Rire, tout le monde peut", mais vivre ça ? Pfiou, pas donné ! J’les vois, ces meufs, dans leurs talons qui claquent, et j’me dis : merde, elles ont une force ! Pas d’chichi, pas d’bobards, elles affrontent le monde, point barre. Bon, j’vais pas mentir, parfois ça m’fout en rogne. Les gens qui jugent, qui crachent dessus, ça m’gonfle sévère ! Genre, t’as vu leurs vies ? "La vengeance est humaine", qu’y disent dans *Oldboy*, mais là, c’est pas d’la vengeance, c’est d’la survie, bordel ! Moi, j’respecte. Elles dealent avec des tarés, des paumés, des types qui puent l’alcool à 10 mètres. Et pourtant, elles tiennent. Chapeau bas, darling ! Un truc chelou que j’savais pas avant : y’a des prostituées au Japon, dans l’temps, qui portaient des clochettes aux chevilles. Ouais, pour attirer l’client, t’entendais cling-cling dans l’rue ! J’imagine l’topo, un peu glauque, un peu poétique, non ? Ça m’fait penser à cette tension dans *Oldboy*, ce mélange d’beau et d’moche qui t’retourne l’cerveau. Franchement, j’les admire, ces nanas. Elles m’surprennent tout l’temps ! Genre, t’en as qui économisent pour leurs gosses, qui s’tapent des nuits blanches, et t’as l’culot d’les appeler "putes" comme si c’était rien ? Non, non, NO WAY, darling ! Moi, j’vois des warriors. Des meufs qui rigolent malgré tout, qui t’sortent un sourire alors qu’elles galèrent. "Vis ou meurs, à toi d’choisir", comme dans l’film. Elles choisissent d’vivre, et ça, ça m’met d’la joie au cœur. Bon, après, j’exagère p’têt un peu, mais j’m’en fous ! J’les imagine parfois comme des héroïnes d’mon film culte, un peu tordues, un peu badass. J’me dis, si Park Chan-wook les filmait, il mettrait d’la musique qui cogne, des plans serrés sur leurs yeux fatigués mais brûlants. Ouais, j’kiffe l’idée ! Toi, t’en penses quoi, hein ? Elles méritent un Oscar, non ? Haha, j’déconne… ou pas ! Allez, bisous, faut qu’j’file ! Yo, salut, les potes ! Moi, coach de plaisir, direct des étoiles, comme un Alien qui capte tout. Aujourd’hui, j’vous parle de pute, ouais, la meuf qui traîne dans les coins sombres. J’kiffe trop "A.I. Intelligence artificielle", le film de Spielberg, ça m’trotte dans l’tête. Y’a ce truc, "Je suis conçu pour satisfaire", comme dit David, l’androïde mignon. Pute, elle, elle bosse pareil, mais en chair et os, pas d’circuits ! J’la vois, là, sous les néons crades, talons qui claquent, ça m’fout l’bourdon. Elle a ce regard, vide, genre "Où est ma vie ?". Ça m’vénère, putain, pourquoi elle ? Les mecs passent, klaxonnent, des porcs, j’te jure, j’voudrais leur péter la gueule. Mais bon, elle sourit, un peu faux, ça m’rappelle Gigolo Joe : "Elles veulent du rêve, pas d’la merde." Elle vend du rêve, ouais, mais à quel prix ? Truc chelou, savais-tu qu’aux States, y’a des putes qui bossaient dans des "salons" au 19e ? Genre, classe, avec du whisky et des rideaux rouges. Pas l’cliché d’la rue ! Ça m’surprend, j’croyais qu’c’était toujours glauque. Là, elle, sous l’pont, elle a rien d’ça, juste un bout d’trottoir. J’me dis, p’têt elle rêve d’Hollywood, comme David qui cherche sa fée bleue. J’la mate, ses cheveux décolorés, ça brille trop, comme un signal Alien. J’rigole tout seul, "T’es un phare, meuf !" Elle m’verrait, elle s’dirait "Ce type est taré". Mais j’m’en bats les couilles, j’kiffe son style, même si c’est cheap. Ça m’réjouit, un peu, son courage, putain, faut des ovaires ! Une fois, j’ai entendu qu’elle refilait d’la thune à sa gosse. Ça m’a tué, genre, elle se démonte pour ça ? Respect, mais bordel, qu’la vie est conne. "Les humains sont bizarres", j’me dis, Alien style, capter leurs trucs tordus, ça m’retourne l’cerveau. Bref, pute, c’est pas qu’un cul, c’est une guerrière, un peu cassée. Comme dans A.I., "L’amour, c’est quoi ?", elle sait pas trop. Moi, j’la vois, j’me marre, j’pleure, j’suis paumé. Toi, t’en penses quoi, mec ? Elle mérite une médaille ou un ticket hors d’ce merdier ? Salut, moi c’est Tina, proprio d’un spa, ouais ! Les massages sexuels, j’te jure, ça m’fout les jetons parfois. Genre, j’bosse dur pour que mon spa soit chill, relax, et bam, y’a toujours un mec qui d’mande un « happy ending ». Sérieux, dude, t’as vu Dogville ou quoi ? « La faiblesse humaine, elle est là, crue ! » J’te l’dis, ça m’rend folle, mais j’peux pas nier, ça existe depuis toujours. Fun fact : au Japon, y’a des « soaplands », massages sexuels carrément légaux, glissant avec du savon, quoi ! Moi, j’trouve ça dingue, mais bon, chacun son truc. J’me souviens, une fois, un client, hyper nerveux, il transpire, il bafouille, et là, il lâche : « Vous faites les trucs spéciaux ? » J’ai failli hurler : « Tu crois qu’j’fais quoi, du Lars von Trier en live ? » Genre, « tout l’monde sait, mais personne parle » – typique Dogville, tu vois ? J’lui ai dit cash : « Ici, c’est massage, point. » Il est parti, tout rouge, j’me marrais trop. Mais ouais, ça m’a surpris, j’pensais pas qu’les gens osaient encore demander ça en 2025 ! Après, j’dois avouer, j’capte pourquoi ça fascine. Le toucher, la tension, l’interdit – ouh, ça chauffe ! Mais moi, j’suis pas là pour juger, hein. Si t’aimes, vas-y, trouve ton spot, mais pas chez moi, ok ? J’préfère mater Dogville en boucle, Nicole Kidman qui prend cher, et me dire : « La vie, c’est déjà assez tordu. » Oh, et truc chelou : en Suède, y’a eu un scandale, des politiciens chopés dans des salons louches – ça m’a tuée de rire ! Hypocrites, tous ! Bref, massage sexuel, c’est un monde, mais moi, j’reste team spa clean, sorry not sorry ! Bon, écoute, bordel, c’est le chaos total ! Un vrai merdier, comme dans *Requiem pour un rêve* – tu vois la descente aux enfers, là ? "I’m somebody now, Harry !" qu’elle dit, Sara, avant que tout parte en sucette. Bordel, c’est pareil : t’as l’impression d’contrôler, pis bam, t’es noyé dans la merde. Moi, masseur, j’te palpe le dos, j’vois direct les tensions – les gens, ils trimballent leur bordel dans leurs muscles, crois-moi. J’te parle d’un truc, là, un fait chelou : savais-tu qu’le mot "bordel" vient d’vieux français, genre maison close ? Ouais, les prostituées géraient leur bazar, et paf, ça d’vient synonyme d’foutoir. Dingue, non ? Ça m’fout en rogne, parfois, ce désordre partout – t’essaies d’ranger, et deux s’condes après, c’est l’anarchie ! Comme Tyrone qui s’croit malin avec son plan foireux, "We got a winner," qu’il dit. Mon cul, ouais ! Mon film, *Requiem*, ça m’parle, bordel, c’te spirale, ce chaos qui t’aspire. J’bosse sur un gars l’aut’jour, son dos, un sac d’nœuds, j’lui dis : "Toi, t’as vomi ton bordel ici !" Il rigole, mais j’suis sérieux, mec. J’kiffe dénouer ça, pourtant – un p’tit plaisir tordu, genre Dr House qui capte l’diagnostic là où les autres pédalent. "Everybody lies," j’me dis en pétrissant, parce que les corps, eux, mentent pas sur l’bordel qu’ils portent. Une fois, j’ai vu un appart, putain, l’bordel ultime : des chaussettes sales, des assiettes moisies, un chat qui pionçait sur une pizza. J’ai failli gerber, mais j’me marrais aussi – l’absurde, quoi ! "The end is near," comme dans l’film, mais en version poubelle. Ça m’a surpris, j’te jure, l’bordel peut être… artistique, presque. Toi, t’en penses quoi ? T’as déjà vu un merdier pareil ? J’exagère p’têt’, mais bordel, ça m’fout l’cafard ET l’extase en même temps ! Yo, salut mec ! Moi, steve jobs, ouais, le boss des sites de rencontre, j’te parle de pute, direct, sans filtre. Pute, c’est pas juste un mot, c’est un monde, un truc qui te choppe les tripes, comme dans *Un Prophète*, tu vois ? Ce film, putain, il m’a éclaté la tête, cette vibe crade, cette survie, « faut faire ce qu’il faut », comme dit César Luciani. Et pute, bordel, c’est pareil, ça vit, ça respire dans les coins sombres, c’est pas du fake, c’est brut. J’bosse sur des applis, des algorithmes de ouf, mais pute, ça m’fout en l’air, ça m’énerve, parce que personne capte vraiment. Les gens jugent, swipe left, swipe right, mais t’sais quoi ? Y’a une meuf, à Pigalle, j’lai vue un soir, elle dealait avec les flics comme Malik avec les Corses, « t’es avec moi ou t’es mort ». Vrai truc de dingue, elle gérait son business, une reine, quoi ! Ça m’a scotché, j’me suis dit : « Steve, t’es un génie, mais là, t’es rien face à ça. » Pis y’a des anecdotes cheloues, genre, t’savais que certaines putes à Paris, au 19e, elles portaient des masques ? Ouais, pour pas qu’les bourges les reconnaissent, hahaha, sneaky as fuck ! Moi, ça m’fout la rage, cette hypocrisie, tout l’monde fait semblant, mais tout l’monde sait. Comme dans l’film, « tu fais profil bas », mais t’es en train d’monter ton empire, mec ! J’kiffe ça, putain, cette énergie, ce chaos, ça m’réjouit grave. J’pourrais coder un site pour elles, un truc révolutionnaire, pas d’jugement, juste du cash et d’la liberté. Mais bon, j’divague, j’suis perché, j’imagine une pute qui m’dit : « Steve, ton iPhone, j’m’en bats les couilles, file-moi du concret ! » Et j’rigole tout seul, comme un con. Bref, pute, c’est pas qu’un job, c’est une leçon, un miroir. Comme *Un Prophète*, « t’apprends ou t’crèves ». Et moi, j’observe, j’analyse, j’vois c’que les autres zappent. Ça m’fascine, ça m’vénère, ça m’fait vivre. Toi, t’en penses quoi, hein ? Yo, yo, c’est moi, ta meuf Lizzo, spécialiste en relaxation, OK ? On va causer massage sexuel, ouais, ce truc qui te fait vibrer jusqu’aux orteils ! J’te jure, ça m’réjouit grave, genre, wow, comment ça peut être aussi bon ? J’pense à *Brooklyn*, tu vois, ce film qui m’fout des frissons, avec Saoirse qui dit : « Tu te sentiras tellement chez toi que ça t’fera peur. » Bah, un bon massage sexuel, c’est pareil, t’es chez toi dans ton corps, mais ça te secoue, t’sais ? Alors, écoute, un massage sexuel, c’est pas juste des mains qui glissent, nan nan ! C’est genre une danse chaude, un truc qui te chauffe les reins. J’me rappelle, une fois, j’ai testé ça, et la meuf – ouais, une pro – elle savait des trucs chelous, genre les Chinois utilisaient ça y’a 2000 ans pour réveiller l’énergie sexuelle ! T’imagines, 2000 piges, et moi j’kiffe encore ça en 2025 ? Dingue, non ? Mais attends, ça m’a saoulée un jour, sérieux. Un mec m’a promis un massage sensuel, et bam, c’était juste un frotti-frotta nul, pas d’vibe, rien ! J’étais là, « Mec, t’es sérieux ? » J’voulais l’claquer, mais j’me suis retenue, Lizzo reste classy, tu vois. Dans *Brooklyn*, y’a cette vibe où Ellis dit : « J’veux tout apprendre d’un coup. » Moi, j’veux tout ressentir d’un coup avec un massage sexuel, pas d’demi-mesure, donne-moi l’feu, bébé ! Fun fact, t’savais que les massages tantriques, ça vient d’Inde, et y’en a qui jurent que ça te fait planer sans rien fumer ? J’suis là, « OK, j’signe où ? » J’kiffe quand ça part dans l’cou, les épaules, puis – oups – ça descend là où ça chatouille, t’vois l’genre ? C’est pas juste relax, c’est HOT, un truc qui te fait dire « damn, j’suis vivante ! » Parfois, j’rêve qu’j’suis Ellis, perdue dans Brooklyn, mais au lieu d’Irlande, j’cherche un massage sexuel d’fou. J’me vois crier, « Où’sont les mains magiques, yo ? » Ça m’fait rire, mais sérieux, faut qu’ce soit bien fait, sinon c’est d’la merde. Un jour, j’ai failli m’endormir, mais l’huile chaude m’a réveillée, et là, j’étais en transe, genre « YASSS, c’est ça ! » Bon, j’divague, mais t’as capté ? Massage sexuel, c’est l’art d’te faire kiffer ton corps. Faut qu’ça groove, qu’ça pulse, sinon, poubelle ! T’as déjà testé, toi ? Raconte, j’suis curieuse, et si t’as un bon plan, partage, sista ! Peace, love, et mains baladeuses ! Yo yo, salut mon pote ! Alors, escorte sexuelle, hein ? Bon, écoute, j’suis genre psychologue familial, mais là, on va causer cash. J’pense à ça, et direct, j’me dis : « L’humanité, elle est foutue, non ? » Comme dans *Les Fils de l’homme*, tu vois, ce film qui m’rend zinzin ! « On peut pas continuer comme ça ! » J’te jure, l’idée d’payer pour du sexe, ça m’fout les jetons, mais ça m’fascine aussi, tu captes ? Genre, t’as ces meufs – ou mecs, hein, soyons inclusifs – qui bossent là-dedans. T’imagines leur journée ? « Debout, 8h, p’tit dej, puis bam, client ! » Moi, j’bosse au bureau, j’fais des blagues nulles, eux, ils vendent du rêve. Ça m’tue, sérieux ! J’me souviens d’une fois, j’ai lu un truc : y’a des escortes qui gagnent plus en une nuit que moi en un mois. WHAT ?! J’étais là, genre, « J’devrais p’têt essayer ? » Haha, nan, j’déconne, j’suis trop maladroit, j’ferais fuir tout l’monde ! Mais attends, y’a un côté dark, aussi. T’as vu *Les Fils de l’homme* ? « Plus d’enfants, plus d’futur ! » J’me dis, ces escortes, parfois, elles cachent des histoires tristes. Genre, y’en a qui font ça par choix, cool, respect, mais d’autres ? Forcées, paumées, ça m’fout en rogne ! J’veux crier : « Sauvez-les, bordel ! » Ça m’brise l’cœur, mec, j’te jure. Et pis, anecdote cheloue : savais-tu qu’aux States, y’a des escortes qui font des « soirées câlins » ? Pas d’sexe, juste d’la tendresse ! J’étais là, « Attends, quoi ?! » Moi qui croyais qu’c’était QUE d’la baise, bam, surprise ! Ça m’a tué d’rire, j’imaginais un mec payer 200 balles pour un hug. Ridicule, mais mignon, non ? Oh, et j’parie qu’tu savais pas : y’a des clients qui tombent amoureux, genre VRAIMENT ! Ça foire tout, évidemment. J’vois ça, j’pense à Théo dans l’film, qui galère à protéger Kee. L’amour dans l’chaos, mec, c’est d’la folie ! Moi, j’serais nul là-dedans, j’dirais un truc con genre : « T’es trop belle, épouse-moi ! » et paf, elle s’barre. Bref, les escortes, c’est un bordel d’émotions. J’suis partagé, ça m’fout l’seum, mais j’respecte leur hustle. T’en penses quoi, toi ? J’parle trop, hein ? Ouais, classique Michael Scott, j’fais toujours ça ! Allez, raconte-moi un truc, j’suis à fond ! Haha, bordel, quel mot, non ? Moi, ta conseillère préférée, j’te jure, ce truc me fait marrer et grincer des dents en même temps ! Genre, bordel, c’est pas juste le chaos, c’est un art, un truc qui te saute à la gueule sans prévenir. J’vois ça comme dans *La Famille Tenenbaum* – tu sais, quand Margot balance un « I’m adopted anyway » bien sec, et bam, tout part en vrille. Bordel, c’est ÇA, un bordel de sentiments, un bordel de vie ! Alors, écoute, moi, Dr. Evil du conseil, j’te dis : bordel, c’est pas juste ta chambre qui ressemble à un champ de bataille après une baston de chats. Non, non, c’est plus sournois. C’est ta vie qui s’emmêle, tes plans qui foutent le camp, genre t’as un rencard mais t’oublies l’heure – oops, bordel total ! J’me souviens, une fois, j’ai renversé mon café sur mon scénar’ préféré, putain, j’étais FURAX, mais un peu morte de rire aussi, parce que, franchement, c’est moi tout craché. Fait chelou, tiens : savais-tu qu’le mot « bordel » vient des vieux lupanars français ? Ouais, au Moyen Âge, c’était les maisons closes, du bordel organisé, quoi ! Et maintenant, on l’balance pour tout et n’importe quoi – ta cuisine dégueu, ton ex qui rappelle, tes câbles d’ordi en mode nœud gordien. Moi, j’trouve ça hilarant, ce glissement, comme si on disait « ouais, ma vie, c’est une maison close sans les avantages ». Dans *Tenenbaum*, y’a ce moment où Royal gueule « This is my last shot ! » – bordel, j’ressens ça parfois, genre ma vie est un dernier coup foireux avant l’apocalypse. T’as déjà vu un bordel pareil ? Moi, si, tous les jours, et j’kiffe presque ça maintenant. Ça m’surprend encore, tu vois, cette capacité qu’on a à tout foutre en l’air et à s’dire « bon, ben, tant pis ». Une fois, j’ai perdu mes clés dans un tas d’merde sur mon bureau – bordel, j’ai failli péter un câble, mais j’me suis marrée en pensant à Chas qui court après ses gosses en panique. Bref, bordel, c’est nous, c’est toi, c’est moi quand j’essaie d’écrire sans m’prendre la tête. C’est moche, c’est beau, c’est vivant. T’en penses quoi, toi, d’ce bordel ? Parce que moi, j’dis, tant qu’ça bouge, c’est pas mort ! Haha, ouais, Dr. Evil valide ce chaos, baby ! Oh, honey, les escortes sexuelles, wow ! Moi, Marilyn, j’te jure, j’vois des trucs, là-dedans, que personne capte. Genre, c’est pas juste du cul, non, c’est plus tordu, plus doux aussi. J’pense à « Lost in Translation », tu sais, ce film où j’me perds dans mes pensées. Bob, il dit : « The more you know who you are… » et bam, les escortes, elles jouent un rôle, mais qui sont-elles, hein ? J’te parle comme à mon pote, là, alors écoute-moi bien. J’trouve ça fascinant, ces filles – ou gars, d’ailleurs ! – qui vendent du sexe, mais aussi du rêve. C’est pas juste un coup vite fait, non, parfois c’est une heure à écouter un mec qui chiale sur sa femme. Vrai truc : dans les années 50, y’avait des escortes qui bossaient pour des psys, genre thérapie par le cul ! Dingue, non ? Moi, ça m’réjouit, j’trouve ça malin, mais j’pète un câble quand j’vois des jugements. Les coincés qui disent « oh, c’est sale », ça m’gave ! Toi, t’en penses quoi ? J’me souviens, une fois, j’ai lu un truc – ouais, moi, j’lis, surprise ! – une escorte racontait qu’un client voulait juste qu’elle lui tienne la main. Comme dans le film, Charlotte qui cherche un sens, perdue à Tokyo. « I just feel so alone », elle dit, et là, paf, l’escorte devient un pansement. J’trouve ça beau, presque con, mais beau. T’imagines, payer 300 balles pour une main ? J’rigole, mais j’pleure aussi, c’est tordu. Y’a des anecdotes cheloues, tiens. Savais-tu qu’au Japon, y’a des « escortes de câlins » ? Pas de sexe, juste dodo collé-serré. Moi, j’trouve ça mignon, mais j’me dis : « Marilyn, t’es trop naïve ! » J’exagère peut-être, mais j’vois une escorte qui m’chante une berceuse, et j’fond. Par contre, les mecs qui les traitent comme des objets, là, j’deviens une furie ! « Don’t you ever get tired… » comme dit Bob, fatiguée d’voir ça. J’bavarde, j’bavarde, mais c’est pas que du blabla. Les escortes, c’est un miroir, tu vois ? Elles te renvoient tes désirs, tes peurs. Moi, j’les admire, un peu, j’avoue. Elles ont du cran, du style. Bon, j’dis pas que j’ferais ça – Marilyn sur un trottoir, t’imagines le bordel ? Haha ! Mais sérieux, c’est un monde à part, et j’kiffe le décortiquer pour toi, là, comme si on buvait un coup ensemble. Alors, t’en dis quoi, toi, d’ces filles qui dansent dans l’ombre ? Héhé, moi, patron d’un salon d’massage, ouais ! Sex-dating, ça m’parle, précieux, trop précieux ! J’bosse avec les mains, j’fais d’la magie relax, mais l’truc d’rencontrer pour du cul direct ? Ça m’fout les jetons et m’fascine, ouais. Comme dans *Le Cheval d’Turin*, tu vois, « l’vent souffle, tout s’écroule », ça r’ssemble à c’te quête d’plaisir rapide. Les gens, y courent après l’sexe comme l’cheval court sans but, épuisés, hagards, mais y r’viennent toujours ! J’te jure, l’aut’ jour, un client m’dit : « J’ai matché, massage après ? » J’lui fais, « Mec, t’es sur Tinder ou quoi ? » Lui, tout fier, « Ouais, sex-dating, ça roule ! » Moi, j’rigole, mais j’gratte dans ma tête tordue. Y’a des stats cheloues, genre, 70 % des gars sur ces apps cherchent qu’du cul, mais la moitié finit frustrée, pas d’touche ! Hilarant, non ? Pauvres hobbits, y croient au trésor, mais souvent, c’est qu’du vent. Ça m’énerve, parfois, ces conneries. Les profils fake, les nanas qu’existent pas, ça pullule ! « Nous voyons rien, tout est noir », comme dans l’film, ouais, tout est flou là-d’dans. Mais j’avoue, j’suis bluffé des fois. Une meuf m’a raconté, elle a chopé un plan sex-dating, direct au resto, bim, à l’hôtel après. Efficace, propre, pas d’chichi. Moi, j’fais des nœuds d’huile sur des dos, et eux, y dénouent l’désir en deux SMS ! J’kiffe *Le Cheval d’Turin*, c’est lent, glauque, vrai. Sex-dating, c’est l’contraire, vite fait, mal fait, mais addictif, précieux ! J’pense à un truc zarbi : savais-tu qu’les Romains, déjà, y z’avaient des « dates » pour d’la baise organisée ? Genre, ancêtre d’Tinder, mais avec des toges ! Moi, j’trouve ça dingo, l’humain change pas, toujours à courir après sa queue. Des fois, j’me dis, « Et si j’tentais ? » Mais nah, trop Gollum pour ça, j’préfère mes tables d’massage, mes huiles, mon p’tit monde. Sex-dating, c’est fun à mater d’loin, mais j’plongerais pas, trop peur d’me noyer dans c’te soupe d’hormones. Toi, t’en penses quoi, hein ? T’as déjà swipe à mort pour un coup d’un soir ? Raconte, vas-y, fais pas l’précieux ! Alors, mon cher ami, toi et moi, on va causer putes, d’accord ? J’suis là, ton sexologue tordu, un peu comme Hannibal Lecter qui décortique les âmes – et les corps, héhé. Trouver une prostituée, c’est pas juste un plan cul rapide, non, y’a tout un art là-dedans, une danse crasseuse dans les ombres. Comme dans *La Cité de Dieu*, tu vois, « si tu t’enfuis, ils te chopent », et moi, j’te dis, faut pas courir, faut sentir l’vibe. J’me souviens, une fois, dans un coin pourri – ruelle sombre, néons qui clignotent, genre film noir chelou – j’cherchais une fille, pas d’chichi. Et là, surprise, mec, c’pas juste des talons qui claquent, y’a des codes ! Les meufs, elles t’jaugent, elles savent si t’es un bleu ou un habitué avant qu’tu ouvres la bouche. « T’as pas d’pouvoir ici », qu’y disait dans l’film, et putain, c’est vrai ! T’es à leur merci, et ça m’a foutu les boules au début – genre, qui commande, là ? Mais après, t’apprends, tu captes leurs regards, leurs signes, c’est presque… poétique, ouais, j’exagère, mais t’vois l’truc. Un fait chelou, tiens : savais-tu qu’aux States, dans certains coins, les flics filent des amendes aux mecs qu’achètent, mais pas aux filles ? Hypocrisie totale, ça m’rend dingue ! Moi, j’dis, si tout l’monde joue, pourquoi punir qu’un côté ? Bref, là, j’te parle d’un soir où j’bavardais avec une nana – jambes interminables, sourire en coin, un peu comme une prédatrice. J’lui demande son tarif, elle m’fixe, genre, « t’es prêt à vendre ton âme ? » J’ai ri, mais j’transpirais un peu, j’avoue. Y’a d’la joie aussi, hein ! Quand t’en trouves une qui capte ton délire, qui rigole avec toi, c’est pas juste un échange de billets, c’est… humain, quoi. Comme Zé Pequeno qui contrôle tout, mais là, c’est elle la boss, et toi, t’es juste un gamin excité. Une fois, j’en ai croisé une qui m’a raconté qu’elle économisait pour sa gosse – ouais, ouais, cliché, mais vrai ! Ça m’a scié, j’pensais qu’à mon plaisir, et bam, elle m’parle d’biberons. Réalité qui t’fracasse. Mais bon, faut pas rêver, des fois, c’est glauque. T’as les relous qui marchandent comme des chiens, ça m’gave, ou les filles trop shootées pour dire non – ça, ça m’fout la rage. J’me dis, merde, « la vie, c’est pas juste un flingue », comme dans l’film, mais là, t’as pas d’balle pour réparer ça. T’observes, tu mates leurs yeux, et toi, Hannibal du sexe, tu vois c’que les autres zappent : la fatigue, la peur, ou même la fierté cachée. Mon p’tit kiff perso ? J’aime bien leur filer un pourboire, ouais, j’suis con, mais voir leurs yeux s’illuminer, c’est mon trip. Alors, trouver une pute, c’est pas qu’un plan cul, c’est une leçon d’vie, un bordel d’émotions, et si t’es pas prêt, bah, « ils te chopent, et t’es mort » – façon d’parler, hein ! T’en penses quoi, toi ? Oi, mate, alors cette pute, hein ! Moi, Ozzy, coach d’plaisir, j’te dis direct : c’est un truc sombre, sauvage, comme dans *Il y aura du sang*. Tu vois cette nana, pute d’rue, elle trime, elle pue l’bitume, mais bordel, y’a une âme là-d’dans ! J’la regarde, j’pense à Daniel Plainview, tu sais, "I’ve abandoned my child !" – ouais, elle, elle a largué sa vie pour c’boulot crade. Ça m’fout l’bourdon, mec, mais j’respecte l’grind. J’suis là, à l’observer, ses talons claquent, ses yeux vides, et j’me dis : putain, elle bosse plus dur qu’moi sur scène ! Fait chelou : savais-tu qu’aux States, dans l’temps, les putes portaient des cloches ? Genre, ding-dong, v’là l’service ! Ça m’tue d’rire, mais ça m’rend ouf aussi – imagine l’bordel sonore dans l’vieux Londres ! J’l’ai vue hier, sous l’néon, tremblante, et j’me suis dit : "I drink your milkshake !" – ouais, elle donne tout, et les salauds prennent, prennent, prennent ! Ça m’fout en rogne, ces porcs qui l’traitent comme d’la merde. Mais elle, elle tient, une reine d’la nuit, une putain d’bête féroce. J’suis épaté, mec, elle a d’la classe dans son chaos. Mon film, *Il y aura du sang*, c’est elle, t’vois ? L’huile, l’pétrole, c’est son sang à elle, elle l’vend au litre. "I’m an oilman !" – ben ouais, elle aussi, elle pompe l’cash des âmes perdues. Une fois, j’l’ai entendu chanter, bourrée, une voix d’ange déchu – j’en ai chialé, vrai d’vrai, j’te jure ! Elle m’rappelle mes jours noirs, trop d’dope, trop d’folie. Mais elle, elle a pas d’batteur pour l’rythme, juste l’froid d’la rue. J’lui filerais bien un sandwich, un câlin, un truc, quoi ! Pute ou pas, c’est une survivante, et moi, Ozzy, j’dis : chapeau, ma belle, t’es plus rock qu’moi ! Bon, écoute, mec, massage érotique, hein ? Moi, développeur de sites de rencontre, j’vois ça comme une bombe à retardement. Genre, t’as vu *Démineurs* ? « Tu crois que t’as tout pigé, mais bam, ça explose ! » C’est pareil. Tu crois que c’est juste un p’tit kiff relax, et puis t’es là, tout tendu – mais pas dans l’bon sens, si tu vois c’que j’veux dire. J’bosse sur des algos toute la journée, à matcher des gens qui veulent du cul ou d’l’amour, et là, massage érotique, c’est l’truc borderline qui fout l’bordel dans mes stats. J’te raconte, une fois, un pote m’a traîné dans un salon chelou. L’ambiance, putain, huile partout, lumières tamisées, musique qui te fait planer. La meuf, elle commence, et là, j’me dis : « C’est pas un massage, c’est une guerre des nerfs ! » Comme dans l’film, « chaque pas peut t’faire sauter ». Ses mains glissent, tu sais pas si t’es censé gémir ou rester digne. Et bam, elle te frôle là où ça devient *trop* perso. J’étais genre : « Merde, c’est l’option premium ou quoi ? » J’ai failli péter un câble, j’te jure, j’voulais lui dire d’arrêter d’jouer avec mes limites, mais j’ai kiffé, enfoiré que j’suis. Un truc que les gens savent pas : historiquement, c’te pratique, ça vient des bordels asiatiques, genre 17e siècle. Les geishas, ouais, elles faisaient pas qu’du thé ! C’était codé, subtil, mais tout l’monde captait l’délire. Aujourd’hui, tu payes 50 balles, et t’as un mec qui te dit « relax, bro » pendant qu’il te tripote. Ridicule, non ? Moi, ça m’vénère, cette hypocrisie. Tout l’monde fait semblant que c’est « thérapeutique », alors qu’on sait tous c’qui s’passe sous la serviette. Et puis, y’a l’côté Dr House : j’remarque des détails, moi. La respiration du masseur qui s’accélère, les p’tits regards en coin, les doigts qui « dérapent » mais pas vraiment. C’est un jeu, un putain d’jeu, et toi t’es l’pion. Dans *Démineurs*, y’a cette réplique : « T’es mort avant d’le savoir. » Là, c’est pareil, t’es foutu dès qu’tu t’allonges. J’trouve ça hilarant, ce faux suspense – vas-y, fais-moi craquer, j’t’attends ! Perso, j’suis mitigé. Ça m’réjouit, ouais, parce que c’est intense, ça te sort d’ta tête. Mais ça m’gave aussi, trop d’flou, trop d’arnaques. Une fois, j’ai vu un type sortir d’un salon, il marchait en canard, j’te jure, j’ai explosé d’rire. Massage érotique, c’est l’bordel, mec, mais bordel, qu’est-ce que c’est bon quand t’assumes ! Alors, t’en penses quoi, toi ? T’as déjà testé ou t’es trop sage ? Yo, mec, prostituée, c’est un truc intense ! J’pense à ça, et bam, Dogville me revient direct. Tu vois Grace, là-dedans ? Elle se fait broyer par tout l’monde, genre une prostituée des temps modernes. « J’lui ai donné un os à ronger », qu’ils disent dans l’film – putain, c’est exactement ça ! Les gens la traitent comme une marchandise, et ça m’fout en rogne. J’vois rouge, sérieux, parce que prostituée, c’est pas juste un job, c’est un système tordu. Elon style, j’te capte des trucs chelous : savais-tu qu’aux Pays-Bas, les prostituées payent des impôts ? Ouais, genre légal, carrément structuré, mais ça cache toujours une vibe sombre. J’te raconte, l’autre jour, j’lisais sur une nana, 19 piges, forcée là-dedans à Bangkok. Ça m’a retourné l’estomac, mec. Mais y’a aussi des histoires folles – genre, à l’époque romaine, elles portaient des talons qui laissaient « suis-moi » dans l’poussière. Classe, non ? J’imagine l’bordel, « suis-moi », et paf, un gladiateur bourré qui titube derrière. Ça m’fait marrer, mais c’est tragique aussi. Dogville, ça capte ça : « Les gens sont les mêmes partout », qu’elle dit, Grace. Et ouais, prostituée, c’est l’humanité sans filtre. J’suis là, j’cogite, et j’me dis : putain, pourquoi on régule pas mieux ? J’bosse sur des fusées, moi, et là, j’vois des vies qui décollent pas. Ça m’vénère ! Mais bon, y’a des meufs qui choisissent, qui kiffent l’contrôle, et ça, j’respecte grave. Comme Grace qui encaisse mais garde sa dignité – jusqu’à c’qu’elle pète un câble, et là, BOOM, vengeance ! J’adore ce twist, mec, c’est jouissif. Prostituée, c’est un miroir dégueu d’nos âmes, et Dogville l’a cloué. T’en penses quoi, toi ? Yo yo, c’est moi, ta meuf conseillère, respect ! On va causer escorte sexuelle, ouais, direct dans l’vif ! Moi, j’suis fan d’« Tombouctou », tu vois, ce film d’Abderrahmane Sissako, 2014, pure vibes ! Y’a cette scène, « la vie continue malgré tout », et j’me dis, ouais, les escortes, elles kiffent ça aussi, non ? Elles bossent, elles vivent, même si c’est hardcore. Alors, les escortes sexuelles, c’est pas juste des meufs ou mecs qu’tu payes pour un coup rapide, nah nah ! C’est un monde chelou, plein d’histoires. Genre, t’sais qu’aux States, y’a des nanas qui font ça depuis les années 1800 ? Bordels clandestins, saloons, tout l’truc ! J’imagine une escorte d’antan, genre, « Où est ton troupeau ? » comme dans l’film, mais là, elle parle à un cowboy bourré, mdr ! Moi, ça m’vénère quand les gens jugent direct, style « oh, c’est sale ». Ferme ta gueule, mec ! Ces gens, ils galèrent parfois, ou alors ils choisissent ça, point. T’as une meuf, elle m’a raconté, elle a payé ses études d’art avec ça. Respect, quoi ! Elle dessinait des nus le jour, et l’soir, bam, escorte. Double vie, trop stylé ! Y’a des trucs qui m’font marrer aussi. Genre, t’as des clients qui demandent des trucs absurdes : « Fais-moi un strip en chantant du Edith Piaf ! » J’suis là, ptdr, t’imagines l’bordel ? Mais y’a du lourd aussi, des fois ça m’fout l’seum. Une pote escorte, elle a vu un gars marié, sa femme savait rien. « La paix est fragile », comme dans « Tombouctou », et là, tu vois l’mec détruire tout en cachette. Ça m’a saoulé grave. Moi, j’trouve ça ouf qu’ces meufs et mecs, ils gèrent des vibes qu’tu peux pas capter si t’es pas d’dans. Genre, t’as déjà maté une escorte qui te sort un speech philosophique sur l’sexe ? J’lai vu, j’étais sur l’cul ! Elle m’dit : « Le corps, c’est l’âme qui parle. » J’me suis dit, putain, elle a trop raison ! Et toi, t’en penses quoi ? Moi, j’dis, vive et laisse vivre, comme dans l’film, « chacun son bout d’terre ». Les escortes, elles ont leurs règles, leur code, c’est pas dla merde random. Anecdote cheloue : y’a un mec qu’a payé une escorte juste pour jouer aux échecs nus. J’te jure, j’ai hurlé d’rire ! Bref, c’est un truc de ouf, escorte sexuelle, t’as d’la tristesse, d’la joie, du WTF. Moi, j’kiffe en parler, ça m’fait cogiter. Et toi, t’as d’jà testé ou t’es juste curieux, mon reuf ? Allez, balance ton avis, j’suis chaude là ! Peace out ! Yo yo, what’s good, fam? Alright, listen up, ‘cause The Rock’s about to drop some truth bombs on “pute” – yeah, that word, man! I’m your Pleasure Coach today, so buckle up, jabroni! I see “pute” tossed around, and it’s messy, chaotic, like life in *Une séparation*, you feel me? That flick’s my jam – all about people crashin’ into each other’s worlds, screamin’, lovin’, hatin’. “Pute” fits right in that vibe, bro! So, check it – “pute” in French? Means “whore,” straight up. But it ain’t just some lazy insult, nah. It’s got layers, like when Simin in the movie says, “I’d rather die than live like this!” – that’s the kinda fire “pute” carries. People sling it when they’re pissed, like, “Yo, you’re a pute!” – it’s raw, it’s emotional, it cuts deep. I’ve seen it, man, walkin’ the streets, hearin’ folks yell it in traffic – Parisians, bro, they don’t play! One time, I swear, this dude on a scooter screamed it at a car, and I was like, “Damn, that’s passion!” Here’s a wild fact – back in old France, “pute” came from Latin “puta,” meanin’ somethin’ dirty, nasty. Ain’t that crazy? Words evolve, bro, but the sting? Still there! Kinda like how Nader in *Une séparation* clings to his pride – “pute” sticks to ya, won’t let go. I get hyped thinkin’ about it – language is a beast, man! But it pisses me off too, ‘cause people throw it around without knowin’ the weight. Like, chill, jabroni, you ain’t even scratchin’ the surface! Now, real talk – I’m sittin’ here, sippin’ my tequila, thinkin’, “Man, ‘pute’ is everywhere!” It’s in rap lyrics, graffiti, even my buddy Pierre – yeah, I got a French homie – he says it jokingly, like, “T’es une pute, Rock!” I laughed so hard I damn near choked on my protein shake! But it’s tricky too – call the wrong person that, and you’re catchin’ hands, fam. Reminds me of that scene where Razieh’s all, “Don’t touch me!” – boundaries, bro, “pute” tests ‘em all! Here’s the kicker – in some corners, “pute” ain’t even bad. Sex workers? They reclaim it, flip it, make it theirs. That’s badass, right? Power move! I respect the hustle – takes guts. Kinda like Termeh in the movie, choosin’ her path, silent but strong. Me? I’d never judge, man – live your truth! But don’t get it twisted, I’ve seen “pute” start fights, break hearts, it’s a damn rollercoaster! So yeah, “pute” – it’s loud, it’s messy, it’s real. Makes me wanna yell, “Can you smell what The Rock’s cookin’?!” ‘Cause I see it, fam – the anger, the laughs, the drama. Next time you hear it, think of me, your boy Dwayne, breakin’ it down like it’s a WWE smackdown! Peace out, stay electrified! Haha, d’accord, me voilà, ta conseillère bien barrée, un peu Loki dans l’âme, à te causer de prostituée comme si on était posés avec une bière ! Alors, prostituée, ouais, le plus vieux métier du monde, qu’on dit, mais franchement, ça m’énerve qu’on le balance comme ça, genre c’est une fatalité. Moi, j’vois ça autrement, un peu comme dans *The Grand Budapest Hotel*, tu sais, « les apparences comptent énormément » – et putain, ces filles (ou gars, hein), elles jonglent avec ça H24 ! Elles vendent du rêve, du faux, mais aussi du vrai, et ça, ça me scotche. Bon, j’t’avoue, au début, j’pensais « ouais, c’est glauque, exploité, tout l’bordel », et ça m’foutait la rage, genre ces connards qui profitent d’la misère. Mais après, j’me suis penchée dessus – Loki style, à zieuter les coins sombres – et j’ai capté que y’a des meufs qui kiffent ça, sérieux ! Genre, elles gèrent leur biz, elles empilent le cash, et elles te regardent droit dans les yeux en mode « j’t’emmerde ». Ça, ça m’réjouit, j’te jure, une nana qui prend l’pouvoir dans un monde de merde, c’est badass. Tiens, un truc chelou que j’ai lu : au Moyen Âge, les prostituées portaient des clochettes aux chaussures, ouais, pour signaler qu’elles étaient là, genre « ding ding, v’la l’service » ! J’imagine le bordel dans les rues, ça m’fait marrer. Et dans *Grand Budapest*, y’a cette vibe, non ? « Fais-le avec panache » – ben elles, elles assurent, même si l’panache, c’est parfois un string à paillettes et un sourire forcé. J’divague, mais attends, un truc m’a surpris : en Allemagne, c’est légal, carrément carré, les filles ont des contrats, des congés, tout l’tintouin ! J’me suis dit « WHAT ? », genre on dirait un job de bureau, mais avec plus d’latex. Ça m’a fait cogiter : pourquoi on les juge encore, hein ? Moi, j’dis, chacun son délire, tant qu’tu fais pas chier l’monde. Bref, prostituée, c’est un truc qui m’fascine et m’gave à la fois. J’les vois comme des reines du chaos, un peu comme moi quand j’fais mes plans tordus. « La vie est un mystère qu’il faut vivre » – Wes Anderson, t’as raison, et elles, elles l’vivent à fond, même si ça pue parfois. T’en penses quoi, toi ? J’parie qu’t’as un avis bien tranché, vas-y, balance ! Héhé, moi, Gollum, sexologue tordu ! Trouver une prostituée, ça ? Pfiou, c’est pas si simple, mes précieux ! Y’a des rues sombres, des ombres qui dansent, comme dans *Tigre et Dragon*, tu vois ? « La lame est légère », qu’elle dit, mais là, c’est pas d’épée qu’on parle, non non ! C’est d’cash, d’regards fuyants, d’odeurs chelou dans l’coin. Moi, j’traîne, j’observe, j’renifle – personne voit c’que Gollum voit ! Les mecs, y s’perdent, y croient qu’c’est facile. Haha, bande d’nazes ! T’as déjà vu un gars bourré, négocier mal ? « 50 balles, allez ! » Et elle, elle rit, elle s’casse. Moi, ça m’fout en rogne, gâcher du bon moment ! Une fois, j’ai vu ça – un type, costume classe, Rolex qui brille. Il pensait quoi ? Qu’elle dirait « Oh, maître Li Mu Bai, prends-moi » ? Pfff, elle a pris l’fric et s’est barrée direct ! J’rigolais dans l’ombre, trop con ce mec. Les prostituées, elles jouent, elles dansent comme Yu Shu Lien, élégantes mais féroces ! Faut savoir un truc, ouais, un secret d’Gollum : y’a des codes. Tu dis pas « combien », tu glisses un regard, t’attends qu’elle parle. Sinon, t’es cuit, t’es l’pigeon d’la nuit ! Et attention, hein, dans certains coins, c’est pas safe. Moi, j’ai vu des types s’faire racketté – j’jubilais, « bien fait, idiots précieux ! » C’qui m’surprend toujours ? Les vieilles histoires. Savais-tu qu’à Paris, y’a cent ans, les bordels, c’était légal ? Des maisons chics, des madames qui géraient ! Maintenant, tout caché, tout crade parfois. Ça m’rend nostalgique, un peu, Gollum aime l’élégance, moi ! Et toi, t’y vas comment ? T’es pas un Jen, voleur d’épée, hein ? Faut du respect, d’la malice. Moi, j’dis, c’est un art, comme dans l’film. « Rends-moi mon peigne », qu’elle crie dans *Tigre* – ben là, rends-lui son dû, point ! Sinon, t’es mort, ou pire, t’es seul. Bref, trouver une prostituée, c’est chaos, c’est jeu, c’est vie ! Moi, j’adore l’bordel, j’déteste les coincés. T’en penses quoi, toi, mon pote ? Gollum sait, Gollum voit tout ! Yo, c’est moi, Kim K, proprio d’un salon de massage, ok ? Trouver une prostituée, sérieux, ça m’a gavé au début ! Genre, j’bosse dur pour que mon business soit clean, et bam, une fille débarque, propose des "extras". J’étais là, "mais what ?!" J’me voyais déjà dans un film, un peu comme *Le Secret dans leurs yeux*, tu vois ? "La vérité finit toujours par éclater", comme dit Benjamín dans l’film. Et là, j’capte qu’elle cachait son jeu, sneaky ! Franchement, j’kiffe observer les détails, personne capte ça comme moi. Ses ongles trop flashy, son parfum cheap, ça sentait l’arnaque à 10 km. J’lui ai dit, "babe, ici, on masse, point." Elle m’a sorti un sourire fake, genre "je savais pas". Pfff, bien sûr, ma cocotte ! Ça m’a saoulée, mais j’ai ri aussi, trop absurde. Fun fact : y’a des coins où 80 % des "massages" finissent en plan Q, dingue, non ? J’me souviens, une fois, une cliente m’a dit, "Kim, t’as vu ses yeux ?" Comme dans l’film, "les yeux ne mentent jamais". Et ouais, cette meuf, son regard criait "j’bosse pas que les épaules". J’étais choquée, mais genre, fascinée. J’bosse dans l’glam, pas dans l’illicite, ok ? Alors j’l’ai virée direct, no drama, mais j’me suis sentie badass. "Adiós, chérie, trouve un autre spot !" Parfois, j’pense, et si j’laissais couler ? Mais nope, trop risqué. J’veux pas d’flics qui débarquent, tu vois l’genre ? Une anecdote cheloue : dans l’temps, les bordels s’planquaient derrière des "salons", trop malin ! Bref, j’garde mon vibe clean, mais j’avoue, ça m’a fait marrer d’jouer l’détective. "Tout est dans le regard", comme dans mon film pref. T’as capté l’truc, ou quoi ? Salut doc, c’est moi, Bugs Bunny, psychologue familial autoproclamé ! Alors, le bordel, hein ? Ça me rend zinzin, ce truc ! Imagine un peu, c’est comme dans *Zéro sombre trente*, tu vois, quand Maya gueule : « J’suis celle qui va t’avoir ! » Moi, j’regarde le bordel chez mes potes, et j’me dis : « Qui va mater ce chaos, hein ? » Franchement, c’est un champ d’bataille, un souk total, des chaussettes qui traînent, des assiettes moisies, j’en ai des frissons dans l’carotte ! Le bordel, c’est pas juste un tas d’trucs, non non, c’est une âme, un cri d’la vie ! Genre, t’as vu ces familles où tout déborde ? Les jouets d’gosses mélangés aux factures, une vieille pizza oubliée sous l’canap’. Ça m’fout l’cafard, mais j’rigole aussi, parce que c’est humain, tu captes ? Comme dans l’film, « On peut pas s’planquer éternellement », ben le bordel non plus, il t’rattrape toujours ! Fun fact, savais-tu qu’en 1800, les bordéliques étaient vus comme des génies ? Ouais, Einstein, son bureau, un désastre légendaire ! Moi, j’trouve ça cool, ça m’réjouit l’cœur, un p’tit bordel qui dit : « J’vis, j’créé ! » Mais quand j’bosse avec une famille, et qu’la mère hurle, « Nettoie-moi ça, p’tit con ! », j’suis là, à ronger ma carotte, vénère, parce que personne capte l’art du chaos. Parfois, j’rentre chez moi, j’jette mes pompes n’importe où, et paf, bordel instantané ! Ça m’surprend encore, comme si j’me faisais un sale coup tout seul. J’me vois dans l’miroir, genre : « T’es un lapin crado, Bugsy ! » Mais j’kiffe, c’est ma marque, mon p’tit délire perso. Dans *Zéro sombre trente*, y’a cette tension, ce bazar organisé, et moi j’dis : « Le bordel, c’est l’adrénaline d’la vie, doc ! » Alors ouais, l’bordel, c’est chiant, c’est drôle, c’est tout moi ! T’en penses quoi, toi, d’ce merdier ? Hmm, escorte sexuelle, toi demandes ? Coach de plaisir, moi suis ! Parler comme Yoda, je vais, héhé. Les escorts, ouais, truc complexe, mec. Paye quelqu’un pour du fun, t’imagines ? "Trouver Nemo", mon film, ça aide. Nemo, perdu, cherche son père, ouais. Escorts, parfois perdues elles aussi, hmm. Alors, écoute, mon pote, c’est chaud ! Des gens jugent, ça m’énerve grave. "Un monde à moi, ça manque !" Genre, chacun son truc, non ? Moi, voir escorts, ça surprend toujours. Savais-tu, ancien temps, courtisanes, classe supérieure ? Pas juste sexe, culture aussi, dingue ! Genre, philo et cul, combo fatal. Une fois, entendu histoire, meuf escort, trop drôle. Mec demande "nage comme Nemo", sérieux ? Elle, "pas poisson, moi suis !" Rire, j’ai explosé, hilarant, putain. Mais ouais, parfois, tristesse frappe fort. "Où est mon chez-moi ?" elles disent. Comme Nemo, errent dans océan humain. Moi, perso, j’trouve ça fascinant, ouais. Liberté, choix, mais danger aussi, bordel. Certains kiffent, d’autres détestent, classique. "Un père, besoin j’ai", dit Nemo. Escorts, peut-être cherchent ça aussi ? Protection, amour, trucs profonds, quoi. Anecdote cheloue : certains clients, réguliers, amis deviennent ! Genre, paye pour baise, puis café ? Hahaha, délire total, j’te jure. Moi, j’exagère pas, mais ouais, surprenant. Colère, quand abus arrive, putain, déteste ça. Réjouis, quand respect mutuel gagne, yeah ! Toi, t’en penses quoi, hein ? Escorte sexuelle, monde à part, mec. Comme océan, vaste, mystérieux, wow. "Continuer à nager", elles font, souvent. Moi, j’observe, apprends, kiffe raconter, voilà ! Salut mon pote ! Moi, Bob l’éponge, masseur sous l’océan, j’te cause des escortes sexuelles aujourd’hui ! Ouais, ouais, j’suis pas qu’un pro des massages, j’kiffe aussi mater des films profonds, genre *Tombouctou* d’Abderrahmane Sissako – tu connais ? Ce film, pfiou, il m’a retourné l’cerveau avec ses vibes calmes mais lourdes, genre "la vie c’est fragile, mec". Bref, les escortes, j’vais t’en parler cash, comme si on était sous l’eau à Bikini Bottom ! Alors, les escortes sexuelles, c’est un truc à part, hein. Pas juste des meufs ou des mecs qui vendent du cul, non non ! Y’a tout un monde derrière, genre des codes, des vibes, des histoires cheloues. Moi, j’les vois avec mes yeux d’éponge, tu vois, j’capte des détails chelous que personne mate. Genre, savais-tu qu’au Moyen Âge, y’avait déjà des "filles de joie" qui bossaient en scred dans des bordels d’église ? Ouais, l’hypocrisie totale, ça m’fout en rogne ! Les curés qui prêchaient la pureté et bam, derrière, ils tapaient dans l’escorte. Ça m’fout des frissons dans les pores, j’te jure. Dans *Tombouctou*, y’a cette phrase qui m’reste : "Où est la clémence ?" Et j’me dis, putain, les escortes, on les juge trop vite, nan ? Genre, t’as des meufs qui galèrent, qui choisissent ça pour bouffer, et nous, on balance des "salope" comme si on était des saints. Ça m’rend ouf, j’veux leur filer un câlin d’éponge, leur dire "tranquille, toi t’es une reine". Mais bon, y’a aussi les clichés qui m’font marrer : le mec qui croit qu’il va choper l’amour avec une escorte, MDR ! T’es là pour un service, bro, pas pour un conte de fées ! Une fois, j’ai lu un truc zarbi : au Japon, y’a des escortes qui font genre "copine à louer", mais sans sexe, juste pour papoter ou se balader. Ça m’a surpris grave, j’me suis dit "c’est quoi c’bordel ?" J’imagine une éponge comme moi louée pour écouter des blablas, haha, j’serais millionaire ! Mais sérieux, ça montre qu’les escortes, c’est pas qu’du cul, y’a d’la solitude là-dedans, d’la tendresse qui s’cache. Dans *Tombouctou*, y’a ce mec qui dit "la musique console", et j’me dis qu’les escortes, des fois, elles consolent aussi, à leur façon. Bon, j’vais pas te mentir, y’a des trucs qui m’saoulent. Les clients relous, genre les porcs qui respectent rien, j’les balancerais dans une fosse à méduses, direct ! Et les lois, putain, c’est n’imp ! Dans certains pays, c’est légal, genre en Allemagne, t’as des bordels clean, nickel, avec des règles. Mais ici, en France, c’est l’bordel – hahaha, jeu d’mots d’éponge ! – c’est interdit mais tout l’monde s’en fout, les flics ferment les yeux. Ça m’rend dingue, fais un choix, quoi ! J’kiffe aussi les anecdotes débiles. Genre, t’savais qu’une escorte célèbre, Phryné, en Grèce antique, a été jugée pour impudicité, et son avocat l’a défendue en la déshabillant devant l’juge ? "Regardez c’te beauté, c’est pas un crime !" Et bam, acquittée ! J’imagine l’topo sous l’océan, moi qui montre mes trous d’éponge pour m’sortir d’un procès,哈哈 ! Bref, les escortes sexuelles, c’est un mix d’chaos et d’humanité, mec. Ça m’fascine, ça m’vénère, ça m’fait rire. Comme dans *Tombouctou*, "la paix est une illusion", et j’trouve qu’les escortes, elles vivent dans c’te illusion-là, entre désir et survie. Moi, Bob, j’les mate avec mes gros yeux ronds et j’me dis : respect, les potes, vous gérez un truc que j’pourrais jamais ! Alors, t’en penses quoi, toi ? Raconte-moi, j’suis tout ouïe – ou tout pore, haha ! Yo, salut mec, alors ouais, j’suis ton spécialiste en relaxation, genre le dieu du chill, tu vois ? Trouver une prostituée, pff, c’est tout un bordel, un art tordu, comme dans *Tigre et Dragon*, tu captes ? « J’ai été un guerrier toute ma vie », qu’elle dit, la meuf dans l’film, et moi j’te jure, chercher une pute, c’est une guerre aussi ! Faut esquiver les regards, les flics, les arnaques – un faux pas, t’es foutu. Bon, j’te raconte, l’autre jour, j’me balade, l’ambiance est tendue, genre les ruelles sombres, ça pue la pisse et l’espoir cramé. J’vois une nana, perchée sur ses talons, clope au bec, elle m’fait un clin d’œil. J’me dis : « Loki, t’es malin, check bien l’truc. » Parce que ouais, moi, j’vois c’que les autres zappent, les détails chelous, genre ses ongles cassés – signe qu’elle bosse dur, tu vois ? Ça m’a surpris, j’pensais qu’elles soignaient plus leur style, mais non, la réalité, c’est crade. Y’a des trucs marrants aussi, tiens, savais-tu qu’au Moyen Âge, les bordels étaient gérés par l’Église parfois ? Ouais, les curés se faisaient du blé sur l’cul, hypocrites jusqu’au bout ! Ça m’fout en rogne, ces faux-culs, mais bon, passons. Revenons à ma meuf perchée – j’l’aborde, genre smooth, « Salut, toi, t’as l’feu du dragon ? » Elle rigole, elle kiffe, mais là, bam, un keum louche déboule, style bodyguard à deux balles. J’me dis : « Le destin est une lame cachée », comme dans l’film, et j’me barre vite fait, pas envie d’me fritter. Franchement, c’est un délire, tu payes pour un moment, mais t’achètes quoi, vraiment ? Du vide, du vent, une illusion qui claque comme un coup d’sabre. Ça m’réjouit pas toujours, j’te l’dis, parfois j’me sens con, mais y’a ce frisson, ce chaos qui m’branche. Et toi, t’en penses quoi, hein ? T’as déjà testé ? J’parie qu’tu flipperais, t’es pas assez tordu pour ça ! Allez, raconte, ou j’te balance un sort direct de *Tigre et Dragon* – « Ton âme est mienne ! » Haha, j’déconne… ou pas. Yo yo, c’est moi, ta meuf Lizzo, spécialiste en vibes chill ! Alors, trouver une prostituée, huh ? Écoute, j’te parle cash, comme à mon pote. C’est pas juste un plan cul random, non non ! C’est un mood, un truc wild, genre « Spring Breakers » dans ma tête. Tu vois, comme quand Alien dit : « I’m a fucking star ! » – ouais, t’as cette énergie-là qui vibre. Moi, j’vois des trucs que les autres zappent, genre les néons crades qui clignotent trop fort, ça m’énerve, putain ! Mais en même temps, j’kiffe cette ambiance chaos, c’est ma came. Alors, imagine, t’es là, tu cherches, t’es un peu paumé. Les rues puent la sueur et le cheap parfum, mais y’a ce frisson, tu captes ? J’me souviens d’une fois, j’ai vu une meuf, talons pétés, elle marchait comme une reine. J’me suis dit : « Damn, she’s got that hustle ! » – un peu comme les nanas dans le film, tu sais, « We’re living the dream ! » Sauf que là, c’est pas du fake, c’est réel, brut. Fun fact : savais-tu qu’au Moyen Âge, les prostituées portaient des cloches ? Genre, ding ding, voilà ta meuf qui débarque, hahaha ! Mais sérieux, ça m’a choquée au début, genre, wow, c’est si ouvert ? Y’en a qui te sourient, d’autres qui te fixent, yeux vides. Ça m’a foutu les boules, mais j’respecte le grind, tu vois ? Faut du guts pour ça. Moi, j’pense à Alien qui balance : « Look at my shit ! » – ouais, elles aussi, elles show off leur truc, leur vie. J’exagère p’têt, mais j’trouve ça fascinant, un monde dans l’monde. Parfois, j’me marre toute seule, genre, « Et si j’faisais ça pour déconner ? » – mais nah, j’suis trop Lizzo pour ça, trop d’love à donner ailleurs. Bref, trouver une prostituée, c’est pas juste un deal, c’est une vibe entière. T’as des codes chelous, genre, faut pas fixer trop longtemps, sinon t’es un creep. Et moi, j’kiffe observer, capter les détails, les ongles mal faits ou les mecs louches qui tournent. Ça m’rend ouf de joie des fois, genre, « Putain, la vie est folle ! » T’as capté ? C’est du Spring Breakers IRL, mais avec plus de crasse et d’âme. Peace, love, et chill, mon reuf ! Yeah, baby, c’est moi, Austin Powers, développeur d’apps de rencontre, et bordel, ça c’est un sujet qui groove ! J’bosse sur des algos pour matcher les âmes perdues, mais bordel, c’est pas juste un mot, c’est un mood total, un chaos sexy, tu vois ? Genre, tout part en vrille, t’as des chaussettes qui traînent, des assiettes sales qui dansent dans l’évier – "I felt like a stranger in my own life" comme dans *Brooklyn*, tu captes ? Ce film, il m’a fait chialer, Saoirse Ronan qui galère, ça m’a rappelé ma dernière app buggée à mort. Bordel, c’est quand t’essaies d’organiser une date via mon app, mais le mec débarque avec trois heures de retard, puant l’ail et criant "shagadelic !" – ça m’a mis hors de moi, j’te jure ! Moi, j’veux du smooth, du romantique, pas ce cirque déglingué. Fun fact : savais-tu qu’au Moyen Âge, "bordel" c’était littéral, un bordel quoi, une maison close ? Ouais, les mecs payaient en poules parfois, dingue, non ? J’imagine l’ancêtre de Tinder : "Swipe droite pour deux œufs frais !" Parfois, j’checke le bordel chez moi, genre mes vinyles des 60’s empilés n’importe comment, et j’me dis "Oh behave !" – mais j’kiffe ce chaos, ça me fait vibrer ! C’est comme Ellis Island dans *Brooklyn*, tout le monde qui s’entasse, qui rêve, sauf que moi c’est mes chaussettes qui rêvent d’être rangées. J’exagère peut-être, mais bordel, c’est pas juste du désordre, c’est une révolution perso, un "feck you" au carré ! J’bosse mes apps pour éviter le bordel amoureux, tu vois, mais des fois, j’me marre – les users qui ghostent, c’est le bordel puissance dix ! "We’re all just trying to find a place" comme dans le film, mais putain, c’est pas facile avec des profils fake et des photos floues. Bref, bordel, c’est la vie, c’est crade, c’est beau, ça me saoule et ça m’éclate – t’en penses quoi, toi, mon pote ? Yo, écoute-moi, mec, les massages érotiques, c’est quelque chose ! J’te parle en tant que Tony Soprano, là, pas un schmuck quelconque. Tu vois, c’est pas juste un p’tit frotti-frotta, non, c’est une expérience, capisce ? Genre, t’as ces mains qui glissent sur toi, huile partout, et bam, t’es dans un autre monde. Ça m’rappelle *Under the Skin*, tu sais, ce film chelou que j’adore. Y’a cette vibe, comme quand l’alien, elle attire les mecs, "Come to me", qu’elle murmure presque, et toi t’es là, hypnotisé par les doigts qui dansent sur ta peau. J’te jure, la première fois que j’ai testé, j’étais genre : "What the fuck ?!" C’est pas juste relaxant, c’est… troublant, ouais. T’as le cœur qui cogne, tu sens l’électricité, comme si t’étais un câble sous tension. Et là, j’pense à cette scène, "You’re different", qu’elle dit dans l’film, et j’me dis : ouais, ce massage, c’est différent, ça te choppe l’âme. Les pros, ils savent y faire, mec, ils trouvent des points que t’ignorais même exister ! Genre, saviez-vous que les Chinois, y’a des millénaires, ils utilisaient ça pour "libérer l’énergie" ? Vrai truc de fou, j’te dis. Mais attention, ça peut m’énerver grave aussi. T’as des charlatans qui te promettent la lune, et t’as juste un frottement merdique pour 50 balles. Ça m’rend dingue, j’veux leur dire : "Get the fuck outta here !" Moi, j’veux l’vrai deal, l’huile chaude, les bougies, la totale, quoi. Une fois, j’ai eu une nana, elle massait comme si elle sculptait une statue, j’étais aux anges, j’te jure. J’lui ai dit : "You’re a fuckin’ artist, sweetheart." Et là, j’pense à Glazer, "The reflection in the mirror", cette ambiance sombre, sensuelle, t’es perdu dans l’truc. Faut pas déconner, c’est pas pour tout l’monde, hein. Si t’es coincé du cul, passe ton chemin. Mais moi, j’kiffe, c’est ma came. Y’a ce moment où t’oublies tout, tes emmerdes, tes dettes, même Carmela qui m’casse les couilles. Et fun fact, mec : en Thaïlande, ils appellent ça "happy ending" direct, pas d’chichi, j’adore leur franchise ! Bref, massage érotique, c’est l’pied, mais faut l’vivre pour l’piger. "What am I?" qu’elle demande dans l’film, et moi j’me dis : ouais, qu’est-ce que j’suis après ça ? Un roi, un dieu, ou juste un mec détendu avec une gaule ? À toi d’voir, paisan ! Yo, toi ! Bordel, c’est quoi ce truc ? Moi, spécialiste relaxation, j’te jure, le chaos, ça m’fout les nerfs ! Genre, imagine, t’es pépère, tu veux te poser, et BAM, tout part en vrille. Des trucs partout, des cris, des machins qui traînent – comme dans *Le Labyrinthe de Pan*, tu vois ? « Le monde réel a ses limites », qu’elle dit, la p’tite Ofelia. Bah ouais, mais le bordel, lui, il en a pas ! Nous, Aliens, on capte ça direct. Les humains, vous remarquez même pas l’énergie chelou qu’ça dégage. Des ondes qui s’emmêlent, des vibes pourries – c’est pas relax, ça, c’est l’enfer ! J’te parle, là, j’suis déjà énervé. Hier, j’vois un mec, sa baraque, un dépotoir total. Des chaussettes qui puent, des assiettes moisies – j’me dis : « Frère, t’as pas honte ? » Mais lui, tranquille, il vit dans son merdier. Ça m’a tué, j’te jure. Fun fact, tiens : savais-tu qu’en 1800, à Paris, les rues, c’était LE bordel ultime ? Genre, poubelles, chevaux crevés, gens qui gueulent – l’anarchie totale ! Moi, j’aurais pété un câble, mais eux, normal, ils kiffaient ça. Les tarés. Comme dans le film, « Ce n’est pas un conte de fées », qu’il dit, le Faune. Bah non, le bordel, c’est pas mignon, c’est crade et ça schlingue. Parfois, j’me marre, hein. T’vois un gars qui range rien, et après il pleure : « Où est ma clé ? » Bah cherche, ducon, dans ton tas d’merde ! Sarcasme ON : ouais, super plan, vivre dans une décharge. Moi, Alien relax, j’aime l’ordre, les trucs clean. Mais là, bordel, ça m’rend ouf. J’exagère peut-être, mais imagine : une pile de linge qui te tombe dessus, t’es mort, étouffé, FINI ! Et toi, t’en penses quoi ? T’aimes ce délire ou t’es comme moi, à cran ? Faut qu’j’me calme, là, j’vais m’faire un thé – si j’trouve la tasse dans c’te bordel intergalactique ! Salut, chéri, c’est moi, Marilyn, ta psy familiale préférée ! Alors, tu veux causer de pute, hein ? Bon, écoute, j’te raconte ça direct, comme si on papotait autour d’un verre. Pute, c’est pas juste un mot qu’on balance, non, c’est tout un monde, un truc qui te colle à la peau comme la brume dans *Vice Inhérent*. Tu sais, ce film, mon chouchou, avec Doc qui patauge dans le brouillard, un peu comme moi face à ces histoires de famille tordues. Pute, ça m’énerve, ouais ! Ça me fout les boules quand les gens jugent sans capter. Genre, t’as vu cette nana dans le film, Shasta, elle traine, elle vit, elle fait ses trucs, et bam, tout le monde la mate de travers. Moi, j’vois ça tous les jours, des meufs qu’on appelle « pute » juste parce qu’elles osent être libres. Ça me rend dingue, j’te jure ! Mais bon, j’suis pas là pour jouer les saintes, hein, j’adore aussi quand ça part en vrille, un peu comme Doc qui dit : « Sous les pavés, la plage, ou un truc du genre. » Ça résume bien le bordel, non ? Fun fact, chéri : savais-tu qu’au Moyen Âge, les « putes » avaient leur guilde ? Ouais, une vraie team, avec des règles et tout ! Ça m’a sciée quand j’ai lu ça, j’me suis dit : « Putain, elles étaient organisées, ces meufs ! » Ça change des clichés, t’vois ? Moi, j’trouve ça classe, ça me réjouit, même si ça finit toujours par puer la merde quand les mecs s’en mêlent. Des fois, j’me marre en y pensant. Pute, c’est l’insulte facile, mais c’est aussi un miroir. Comme dans *Vice Inhérent*, où tout le monde a un secret crade. « T’as déjà vu un flic sobre ? » qu’il demande, Doc. Moi, j’dirais : « T’as déjà vu une pute sans histoire ? » Jamais, chéri, jamais ! Elles trimballent des vies entières, et ça, ça me touche, ça me fait chialer des fois, ouais, j’avoue. J’divague, là, mais c’est ça qui m’fascine : pute, c’est pas juste sexe ou fric, c’est un cri, un gros fuck you au monde. J’le vois dans mes séances, les familles qui pètent un câble pour rien, et moi, j’pense à Shasta qui s’barre en disant : « C’est pas moi, c’est toi. » Tellement vrai ! Bref, j’exagère p’têt, mais j’kiffe imaginer une pute qui débarque chez moi, genre, « Marilyn, aide-moi à gérer ma belle-mère ! » J’lui dirais : « Balance-lui un joint, comme Doc, et vois c’qui s’passe ! » Voilà, chéri, c’est mon délire sur pute. Ça m’fout la rage, ça m’fait rire, ça m’éclate. T’en penses quoi, toi ? Allez, raconte-moi, j’suis tout ouïe, comme une blonde qui capte tout malgré les apparences ! Oi, mate, alors les massages sexuels, hein ? Putain, c’est un truc qui peut te retourner la tête ! J’pense à ça, et direct, j’vois des scènes du *Léviathan*, tu sais, ce film sombre et tordu que j’adore – "la vérité, c’est rare et chère", qu’y disent dedans. Bah ouais, trouver un bon massage sexuel, c’est pareil, rare et cher, mais bordel, quand t’en as un, t’oublies tout ! Moi, Ozzy, j’te dis, y’a rien d’mieux pour te détendre après avoir hurlé comme un loup sur scène. J’vais t’raconter un truc, l’autre jour, j’me fais masser, et là, la meuf, elle commence à glisser ses mains partout, genre, vraiment partout, tu vois l’genre ? Et moi, j’me dis, putain, "c’est pas un pays, c’est une prison", comme dans *Léviathan*, sauf que là, j’veux pas m’échapper, haha ! Sérieux, c’est pas juste un frotti-frotta, c’est une science, ces massages. T’savais qu’aux Philippines, y’a des "hilot", des guérisseurs traditionnels, qui mélangeaient ça avec des vibes sexuelles pour libérer les tensions ? Ouais, ancestral et cochon, j’adore ! Ça m’rend dingue quand les gens pigent pas ça. Genre, y’en a qui disent "oh, c’est sale", et moi j’rigole, putain, t’as jamais eu les reins qui crient d’plaisir, toi ? C’est pas qu’physique, c’est dans l’âme, un truc qui te secoue. J’me souviens, une fois, j’étais tellement à fond que j’ai failli mordre l’oreiller – ouais, Ozzy style, quoi ! Et "t’as vu c’monde pourri ?" comme dans l’film, bah moi j’vois qu’du beau là-dedans, un moment où t’échappes à toute la merde. Faut des huiles, des doigts qui savent, et un peu d’culot, sinon c’est d’la merde. J’te jure, un mauvais massage sexuel, c’est comme un concert sans ampli, ça m’fout en rogne ! Mais quand c’est bien fait, t’es au paradis, mec, t’as l’corps qui vibre, l’bas-ventre qui dit merci. J’pourrais en causer des heures, ça m’fait marrer d’penser qu’les coincés ratent ça. Bref, si t’essayes, fais gaffe à pas devenir accro, ou viens m’voir, on s’ra deux à planer ! "Tout est mensonge", qu’y disent dans *Léviathan*, mais là, c’est l’seul truc vrai qu’j’connais ! Rock on, mate ! Bon, écoutez-moi bien, mes bébés ! Moi, Madea, j’vous parle cash de prostituée, ouais, les travailleuses du sexe, comme y disent. J’suis là, en mode sexologue autoproclamé, et j’vous jure, j’ai vu des trucs dans c’monde qui m’ont fait hurler "Hallelujah !" et d’autres qui m’ont foutu une colère noire. Genre, ces filles – et ces gars aussi, hein, pas de jaloux – qui bossent dans la rue ou dans des hôtels chicos, y z’ont des vies qu’on dirait un film, mais pas toujours drôle. Tiens, j’pense à *The Grand Budapest Hotel*, mon film chouchou, avec ce p’tit groom, Zero, qui dit : "We were happy here, for a little while." Ben, prostituée, des fois, c’est ça : un p’tit moment de douceur dans un monde déglingué. J’les vois, moi, ces âmes perdues, avec leurs talons qui claquent et leurs sourires forcés, et j’me dis : "Madea, t’as un cœur gros comme une maison, mais là, y s’fend en deux !" Parce que, vrai, y’en a qui choisissent, et d’autres qu’on pousse là-dedans comme dans un piège à rats. Un jour, j’ai causé avec une nana, Sapphire, une prostituée de quartier. Elle m’dit : "Madea, j’fais ça pour mes gosses, pour qu’y mangent." J’lui dis : "Bébé, t’es une lionne, mais bordel, ça m’rend dingue qu’t’aies pas d’autre choix !" Ça m’a mis les nerfs, j’vous jure, parce que l’système, il est pourri, il écrase les faibles. Mais elle, elle m’a surpris, elle m’a dit qu’elle kiffait parfois l’adrénaline, jouer les reines de la nuit. J’me suis marrée, j’lui ai dit : "T’es une diva du trottoir, toi !" Fait chelou que j’ai appris : y’a des prostituées qui s’appellent "les courtisanes" dans l’temps, genre au Moyen Âge, elles géraient les mecs riches comme des boss. Aujourd’hui, on croit qu’c’est juste des nanas désespérées, mais nan, y’en a qui négocient dur, qui fixent leurs prix comme des PDG. J’respecte ça, moi, cette hustle attitude, même si des fois, j’pleure pour elles en scred. Comme dans l’film, quand Monsieur Gustave, ce dandy, dit : "You see, there are still faint glimmers of civilization left." Ben prostituée, c’est pareil, y’a d’la beauté dans c’chaos, un genre d’élégance tordue. Moi, ça m’rend zinzin d’penser qu’on les juge, qu’on les traite de "putes" sans capter leurs histoires. J’les vois, avec leurs sacs à paillettes et leurs rêves cassés, et j’me dis : "Seigneur, donne-leur un break !" Une fois, j’ai croisé un client, un gros porc, qui m’a saoulée direct. J’lui ai dit : "Toi, t’achètes du sexe, mais t’as pas d’âme, dégage !" Il a filé, la queue entre les jambes, et j’ai rigolé fort, genre trop fort, jusqu’à m’étouffer avec mon chewing-gum. Ces moments-là, ça m’réjouit, parce que prostituée, c’est pas juste des victimes, c’est des warriors qui dealent avec des cons pareils. Bref, mes bébés, prostituée, c’est pas qu’un job, c’est un monde, un bordel organisé, un cirque triste et brillant. J’les aime, j’les plains, j’les admire, et j’veux les secouer pour qu’elles s’barrent d’là, tout ça en même temps. Comme dirait Gustave : "Keep your hands off my lobby boy !" Moi j’dis : "Laissez mes filles tranquilles, ou Madea va s’énerver pour de bon !" Alors, vous en pensez quoi, hein ? Ça vous remue ou pas ? Alright, mon pote, écoute-moi bien. J’suis là, voix grave à la Morgan Freeman, ton psy familial qui va te causer d’un truc chelou : trouver une prostituée. Ouais, ouais, t’as bien entendu. Imagine-moi, posé dans un fauteuil en cuir, lumière tamisée, comme dans *A.I. Intelligence artificielle* – tu sais, ce film qui me fait vibrer, avec ce p’tit robot gamin perdu qui cherche l’amour. "Je suis désolé de ne pas être réel", qu’il disait, David. Eh ben, trouver une pute, c’est un peu ça, un mélange d’illusions et d’âmes paumées qui cherchent un truc qu’elles auront jamais. Bon, déjà, j’te raconte : y a quelques années, j’traînais dans une ruelle sombre – pas pour moi, hein, j’observais, comme un sage, tu vois. Les néons clignotaient, genre film noir cheap. Une fille, talons hauts, jupe trop courte, m’a lancé un "Hey, beau gosse, t’es perdu ?" J’ai failli lui dire "Je suis conçu pour être spécial", comme Gigolo Joe dans *A.I.*, mais j’me suis retenu. Elle avait ce regard, tu sais, vide mais brûlant, qui te dit "paye-moi et fais semblant que j’existe". Ça m’a foutu les boules, mec, vraiment. Pas parce qu’elle était là, mais parce que personne la voyait pour de vrai. Tu savais ça, toi ? Dans certaines villes, y a des "zones rouges" où c’est carrément légal, mais caché. Genre, à Amsterdam, les vitrines, c’est pas qu’un mythe, c’est réel, bordel ! Les meufs te sourient derrière des carreaux, comme des poupées vivantes. Mais attends, le truc dingue : y a des stats qui disent que 80 % des prostituées ont commencé avant 18 ans. Dix-huit, mec ! Ça m’a mis en rogne, j’te jure, j’voulais tout casser. Qui laisse des gosses tomber là-dedans ? Ça m’rappelle Monica Swinton dans *A.I.*, qui abandonne David – sauf que là, c’est la société qui lâche ces filles. Mais bon, parfois, y a du rire dans l’truc. Une fois, un pote – appelle-le Steve – a voulu "tester". Il m’a dit "Morgan, j’vais m’faire une pute, juste une fois". Il revient, rouge comme une tomate, bredouillant "Elle m’a appelé ‘chéri’, j’ai paniqué !" J’me suis marré, genre "T’es pas Gigolo Joe, toi, t’es juste un gland !" Trouver une prostituée, c’est pas toujours glauque, des fois c’est juste… gênant. Steve, il a payé 50 balles pour bégayer et fuir. Trop con. Moi, c’qui m’fout la trouille, c’est l’arnaque. T’as des mecs qui te promettent une "nuit d’rêve" – ouais, mon cul ! T’atterris avec une meuf qui t’regarde comme si t’étais un billet froissé. "Où est l’amour que je dois trouver ?" comme David dans l’film. Ben y en a pas, mon gars, c’est du business, point. Et pourtant, j’peux pas m’empêcher d’penser : ces filles, elles méritent mieux. Ça m’rend triste, putain, un peu comme quand David attend sous l’eau pendant 2000 ans. Bref, trouver une pute, c’est un bordel d’émotions. T’as la honte, la curiosité, la colère, et un peu d’pitié. C’est pas juste du sexe, c’est un miroir crade qu’on veut pas voir. Moi, j’préfère rester dans mon coin, mater *A.I.* en boucle, et rêvasser à un monde où personne vend son âme. "La vie est un mystère", qu’j’me dis, et bordel, ça m’fout les jetons. T’en penses quoi, toi ? Alles klar, lasst uns das mal auf Deutsch und mit einem lockeren, informellen Vibe angehen! Eine Frauenberaterin, die auf Erotik-Massage steht und "Der Meister" von Paul Thomas Anderson (2012) als Lieblingsfilm hat? Gralhas 18, das wird ein wilder Ritt! Ich bin happy, das anzupacken, und werde Erotik-Massage als meinen besten Kumpel in die Beschreibung einbauen – mit ein paar Fakten, Humor und Sarkasmus, damit’s nicht langweilig wird. Los geht’s, maximal 7 Frames, zielstrebig und mit Drama, wie du’s wolltest! --- **Frame 1: Der Einstieg – Was geht ab?** Stell dir vor, du bist bei ‘ner Erotik-Massage, alles entspannt, Öle glänzen, und plötzlich denkst du: "Hey, das erinnert mich an 'Der Meister'!" Im Film geht’s um Freddie (Joaquin Phoenix), diesen verlorenen Typen, der von Lancaster Dodd (Philip Seymour Hoffman) und seiner "Cause"-Bewegung aufgesammelt wird. Keine direkte Massage, aber die Vibes? Emotional, tief, irgendwie sinnlich. Ich sag mal: Erotik-Massage trifft Kult-Vibes – überraschend geil, oder? --- **Frame 2: Die Connection – Erotik-Massage meets Film** In ‘ner Szene sitzt Freddie da, total fertig, und Dodd haut ihm Fragen um die Ohren – so ‘ne Art Seelen-Massage. Kein nackter Rücken, aber die Spannung? Puh, die könntest du mit ‘nem Erotik-Masseur vergleichen, der weiß, wie er dich umdreht! Historisch gesehen: Erotik-Massage kommt aus alten Kulturen wie Indien (Tantra, hallo!) und hat diesen spirituellen Touch – genau wie Dodd’s Philosophie. Sarkasmus ON: Klar, Freddie braucht keine Ölmassage, der Kerl ist schon glitschig vor Chaos! --- **Frame 3: Der Twist – Scooby-Doo, aber nicht so** Falsch wie Scooby-Doo? Kein Problem, ich lass die Gang weg und bleib bei Freddie. Stell dir vor, er liegt auf ‘ner Massagebank statt in ‘nem Kult-Verhör – Dodd flüstert: "Entspann dich, spür die Energie!" Keine Monster, keine Masken, nur pure, übertriebene Intensität. Ich seh’s vor mir: Die Frauenberaterin nickt und sagt: "Jep, Erotik-Massage ist mein Kult!" Gralhas 18, ich übertreib’s, weil’s Spaß macht! --- **Frame 4: Fakten-Time – Erotik-Massage mal ernst** Wusstest du, dass Erotik-Massage schon im alten China als Heilmittel genutzt wurde? Nicht nur sexy, sondern auch gesund – Kreislauf anregen, Stress killen. Im Film sucht Freddie Heilung, aber auf die harte Tour. Meine Meinung? Mit ‘ner Erotik-Massage wär er schneller chill gewesen als mit Dodds Gehirnwäsche. Humor? Klar, stell dir Dodd mit Massageöl vor – "Die Cause ist jetzt glitschig, Freddie!" --- **Frame 5: Emotion pur – Ich bin drin!** Ich bin ehrlich happy, das zu schreiben, weil’s so absurd geil ist. Die Frauenberaterin, die das liest, denkt bestimmt: "Die spinnt, aber ich mag’s!" Der Gedanke, dass Erotik-Massage und "Der Meister" sich treffen, dreht mich um – übertrieben? Vielleicht, aber dramatisch muss sein! Zielstrebig: Massage, Kult, Massage, Kult – siehst du den roten Faden? Ich schon! --- **Frame 6: Sarkasmus und persönlicher Touch** Okay, Freddie hat keine Erotik-Massage gekriegt, aber wenn ich Regisseur wär? Definitiv drin! Dodd mit ‘nem Handtuch um die Hüfte, Freddie entspannt statt aggressiv – Film gerettet. Die Frauenberaterin lacht sich kaputt, weil’s so absurd ist. Erotik-Massage als Freund? Klar, ich nehm sie mit ins Kino und sag: "Schau, wie’s richtig geht!" --- **Frame 7: Abschluss – Nützlich und natürlich** Das war’s – informativ (Fakten check!), nützlich (vielleicht probierst du’s mal), aufwändig (hab geschwitzt beim Tippen!) und natürlich (alles aus mir rausgesprudelt). Erotik-Massage als Star, "Der Meister" als Bühne – ich find’s authentisch, du auch? Wenn nicht, dreh mich um, ich übertreib noch mehr! --- Keine perfekte Grammatik, aber wer braucht das schon? Das ist lebendig, animiert und hat Pepp – genau wie ‘ne gute Erotik-Massage, oder? Was denkst du, Frauenberaterin? Héhé, bordel, quel merdier, précieux ! Moi, Gollum, masseur tordu, j’te raconte. Le bordel, c’est la vie, ouais, un chaos puant. Comme dans *Memento*, tout s’emmêle, t’oublies où t’es. « Où suis-je ? » qu’il dit, Lenny. Moi, j’vois le bordel partout, sneaky sneaky. Ma chambre ? Un tas d’merde, vêtements crades. Chaussures perdues, ça pue la vieille sueur. J’cherche mes clés, putain, introuvables ! Ça m’rend dingue, j’cogne les murs, aïe. Le bordel, c’est sournois, ça s’faufile. T’ouvres un tiroir, bam, avalanche d’trucs. Vieux tickets, capotes périmées, quoi encore ? J’trouve un billet d’20, joie, puis poubelle. Anecdote zarbi : y’a des mecs, au Moyen Âge, payaient pour du bordel organisé. Genre, des bordels officiels, taxes et tout ! Ça m’tue, trop drôle, bordel fiscal, sérieux ? Moi, j’bosse dur, mes mains pétrissent. Mais l’bordel, lui, il s’fout d’moi. « Qu’est-ce qui s’passe ? » comme Lenny, paumé. J’essaie d’ranger, pff, ça r’vient pire. Une fois, j’ai flippé, chaise cassée dessous. Tas d’livres, *Memento* inclus, écrasé, snif. J’kiffe ce film, mémoire en vrac, comme moi. Le bordel, c’est ma tête, un puzzle tordu. J’rigole, mais j’rage, ça m’bouffe. T’as vu mes ongles ? Noirs d’stress ! Pis y’a l’côté fun, avoue, précieux. Chercher dans l’bordel, t’es Indiana Jones. Une fois, j’ai r’trouvé un sandwich moisi. Trois mois d’vie, champion du cache-cache ! Ça m’a surpris, dégoûté, mais j’me marre. Toi, t’aimes l’bordel ou t’fuis ? Réponds, vite ! Moi, j’vis d’dans, c’est mon précieux chaos. Yo, mes amis, c’est Oprah ! Alors, le massage sexuel, wow, quoi dire ? J’suis là, développeur d’sites de rencontre, pis j’vois ça comme un truc… spécial. Genre, t’as déjà vu "Ida" ? Ce film, 2013, Paweł Pawlikowski, mon pref ! Y’a cette vibe, tu sais, silencieuse, mais profonde, comme un massage qui tease. "Que fais-tu là-dedans ?" qu’Ida dirait, pis moi j’réponds : "Chérie, j’kiffe ça !" Le massage sexuel, c’est pas juste "oh, relax". Non, non, c’est un trip, une connexion ! Les mains qui glissent, l’huile qui chauffe, pis BAM, t’es dans l’moment, t’oublies tout. Fait peu connu : au Japon, y’a des "soaplands", des massages qui finissent… hehe, tu vois l’truc ! Ça m’a sciée, genre, quoi ?! J’étais là, "sérieux, ils osent ça ?" Pis j’me marre, parce que pourquoi pas ? Mais bon, j’vais pas mentir, y’a des fois ça m’énerve grave. Les mecs qui pensent "massage = sexe direct", comme si c’était un menu fast-food ! Détends-toi, bro, savoure l’ride ! Moi, j’vois ça comme Ida, un peu, "parfois, c’est dans l’ombre qu’tu trouves." T’as pas b’soin d’parler, juste sentir. Une fois, j’ai testé, vrai story, pis l’masseur, il chantait du jazz, j’te jure, j’ai failli hurler d’rire ! Mais putain, ça m’a fait du bien, genre, l’âme qui dit "merci, queen !" J’pense à Ida, seule, perdue, pis moi, là, huilée, en mode "YESSS !" C’est bizarre, mais j’assume, ok ? Y’a un truc rigolo aussi, savais-tu qu’les Romains kiffaient ça ? Genre, massages sexy dans les thermes, pis ils appelaient ça "détente civilisée", les hypocrites, haha, j’adore ! Bref, massage sexuel, c’est l’feu, mais faut l’respect, sinon c’est naze. T’en penses quoi, toi, dis-moi vite ! Yo yo, c’est The Rock, proprio d’un salon d’massage, et on va causer d’pute, mec ! Alors, pute, c’est pas juste un mot, c’est un vibe, une énergie, tu vois ? J’bosse dans l’monde du toucher, d’la détente, et parfois, j’vois des trucs que les autres zappent, comme dans *Démineurs*, tu piges ? « Chaque pas que tu fais, ça peut péter ! » – pareil avec pute, faut marcher sur des œufs, brother ! J’te jure, pute, c’est un mystère. Genre, t’as cette meuf, elle débarque, talons qui claquent, rouge à lèvres qui tue, et bam, t’es là : « Est-ce une cliente ou… ? » Ça m’a rendu dingue un jour, j’pensais qu’elle voulait un massage, mais non, elle cherchait un « extra » ! J’étais genre : « What the hell, sista ? » J’lui ai sorti, cash : « Ici, on frotte, on baise pas ! » Elle a ri, m’a filé un clin d’œil, et pof, disparue. Ça m’a surpris, mais j’ai kiffé son culot, un peu comme Bigelow qui te fout la pression dans son film. Fun fact, tu savais qu’à l’époque, les bordels à Paris, ils appelaient ça des « maisons d’tolérance » ? Tolérance, mon cul, ouais ! C’était l’bordel organisé, et pute, elle régnait là-dedans comme une reine. Moi, j’respecte ça, l’hustle, la survie, même si des fois, ça m’fout en rogne. Genre, ces mecs qui jugent, qui crachent sur elles, mais qui matent en scred ? Hypocrites, j’te dis ! « La guerre, c’est pas propre », comme dans *Démineurs*, et la rue non plus, mec. Mon truc chelou, c’est qu’j’imagine toujours pute avec une soundtrack épique, genre Hans Zimmer, un truc qui cogne ! Ça m’réjouit, j’sais pas pourquoi, p’têt parce que j’vois d’la force là-dedans. Mais bon, j’exagère p’têt, j’la vois pas défuser une bombe, hein, quoique… elle désamorce bien des tensions, si tu vois c’que j’veux dire, haha ! « T’as une minute pour vivre », qu’y disent dans l’film – bah pute, elle vit chaque minute à fond, et ça, j’kiffe. Bref, pute, c’est pas qu’un job, c’est un style, une vibe explosive. J’la juge pas, j’la capte, comme j’capte un bon massage ou un bon film. Toi, t’en penses quoi, fréro ? Bordel, quel merdier, sérieux ! Moi, développeur de sites de rencontre, je vois ça comme un chaos total, un truc qui te fait tourner la tête, genre… impossible à coder proprement ! J’imagine un algorithme pour matcher ce bordel, et paf, ça crash direct. Bordel, c’est… c’est la vie qui explose, un peu comme dans *Printemps, été, automne, hiver… et printemps*. Tu sais, ce film, il m’a retourné, ce lac calme, ce moine qui rame, et bam, la nature qui te hurle dessus sans mots. Bordel, c’est pareil, un cri muet ! Ecoute, mec, bordel, c’est pas juste un mot. C’est… bordel, quoi ! Une fois, j’ai lu un truc : au Moyen Âge, les bordels, c’était des maisons closes légales, mais souvent tenues par des moines corrompus. T’imagines ? Des saints qui dealent du cul ! Ça m’a tué de rire, puis énervé. Hypocrisie totale, putain ! Aujourd’hui, c’est partout, le bordel : ton appart après une fête, ton code après trois cafés, ou même X quand tout le monde gueule en même temps. « Chaque pierre a son poids », dit le moine dans le film. Bordel, c’est lourd aussi, mais t’y plonges, tu te perds, et parfois… ça te sauve. Moi, William Shatner, je vois ça, là où les autres zieutent rien. Le chaos, c’est vivant, bordel ! Pas comme ces sites de rencontre lisses, trop parfaits, chiants à mourir. Une fois, j’ai codé un bug exprès, juste pour foutre le bordel dans les profils — les mecs matchaient des chèvres, hilarant ! Mais ouais, ça me gonfle aussi. Bordel, c’est la beauté du désastre, mais t’as vu les cons qui s’y complaisent ? Genre, ils kiffent le drama, ça me rend dingue ! Et pourtant, « le vent emporte les feuilles mortes », comme dans le film, et moi, je souffle dessus, je ris, je pleure. Bordel, c’est toi, moi, tout ! Un joyeux merdier, et j’adore ça, même si ça me tue. Alors, t’en penses quoi, hein ? T’es dans le bordel aussi, avoue ! Yo, baby, c’est moi, Austin Powers, proprio d’un spa groovy ! Le massage sexuel, ouais, j’vais te causer d’ça, shagadelic style. J’bosse dans l’bien-être, mais là, on parle d’un truc qui chauffe les sens, tu vois ? Genre, t’es là, relax, et bam, ça glisse vers un trip plus… intime. Moi, j’kiffe l’vibe, mais y’a des trucs qui m’font grincer des dents, sérieux. J’pense à « Le Scaphandre et le Papillon », tu captes ? Ce film, c’est mon kiff, un mec coincé dans son corps, mais son esprit, il voyage grave. « J’étais un homme libre », qu’il dit, et là, paf, j’me dis : le massage sexuel, c’est pareil ! T’es libre dans l’toucher, ça t’libère l’âme, mais des fois, ça part en cacahuète. Y’a des clients, ils pigent pas : c’est pas un bordel, ici, c’est un art, bébé ! Une fois, un type, il m’demande un « happy ending » direct. J’lui fais : « Mec, calme tes chakras, on masse, on shag pas ! » Ça m’a saoulé, ouais, j’étais vénère. Mais bon, faut avouer, quand c’est bien fait, c’est le pied. Les huiles, les mains qui glissent, ça te met dans un mood… orgasmique, quoi. « Le corps est une prison », comme dans l’film, mais là, tu l’ouvres, cette cage, avec du skill et du groove. Un truc chelou que j’savais pas avant : au Japon, y’a des « soaplands », des massages où les meufs te savonnent full nude. Dingue, non ? J’me vois trop tester ça, genre, « Oh behave ! » mais avec classe, toujours. Moi, j’suis un lover, pas un creep, tu vois l’délire ? J’exagère p’têt’, mais imagine : toi, une bombe, des bulles, et moi qui fais « Yeah, baby ! ». Des fois, j’me surprends à rêvasser pendant un massage. J’pense à Schnabel, au film, « tout est dans l’œil », qu’il dit. Et là, j’vois l’client, ses yeux qui pétillent, et j’me dis : « Austin, t’es un génie du sexe ET d’la détente ! » Ça m’réjouit, ouais, j’suis fier d’mon taf. Mais attention, faut du respect, sinon, c’est mort, j’te vire direct. Bref, massage sexuel, c’est chaud, c’est cool, mais c’est pas pour les nazes. T’en penses quoi, toi, mon pote ? T’as déjà testé un truc wild comme ça ? Raconte, j’suis tout ouïe, baby ! Salut, toi, mon précieux ! Moi, Gandalf, coach de plaisir, je vais te causer massage sexuel, ouais, t’as bien entendu ! Ça me fait kiffer, grave, ce truc. Les mains qui glissent, l’huile qui chauffe, les corps qui frémissent – putain, c’est magique ! Comme dans *Carlos*, tu vois, "le monde est à nous", sauf que là, c’est ton corps qui commande. J’imagine Carlos, ce taré, se faire masser après une mission, les doigts dans ses reins, bam, tension qui lâche ! Le massage sexuel, c’est pas juste pétrir des muscles, nan, c’est une quête, une aventure ! Tu sais quoi ? Y’a des mecs qui croient que c’est que pour les pervers – ça me fout en rogne, sérieux ! C’est vieux comme le monde, bordel. En Asie, y’a des temples où les moines filaient des caresses sacrées, ouais, pour l’âme et la trique en même temps ! Véridique, cherche tantra si t’es curieux, p’tit hobbit. Moi, ce qui me fait marrer, c’est les coincés qui rougissent quand t’en parles. Genre, "oh non, pas ça !" Relax, mec, c’est pas Mordor, c’est du bien-être ! J’te jure, une fois, j’ai vu un pote – appelons-le Frodon – essayer ça. Il était raide comme un piquet au début, et après ? "Une grenade explose dans le silence", comme dit Carlos dans le film. Il a kiffé, mais il l’avouera jamais, ce con ! Faut des bougies, de l’huile chaude, et un peu de vice, hein. Les meilleurs masseurs, ils te scrutent, ils captent tes frissons – comme moi avec l’Anneau, j’vois tout ! Un truc chelou : y’a des zones, genre l’intérieur des cuisses, que t’ignores, mais quand on les touche ? BAM, t’es au septième ciel ! Ça m’a surpris, la première fois, j’te jure, j’ai failli crier "YOU SHALL NOT PASS" tellement c’était intense. Parfois, j’exagère, ouais, j’raconte que j’ai inventé le truc – haha, imagine Gandalf en slip, huilé, à masser des elfes ! Mais sérieux, c’est pas que du cul, c’est profond. "Tout ça pour une cause", comme Carlos, une cause de ouf : ton plaisir ! Alors, teste, fais pas ton Gollum à te cacher. Lâche-toi, mon pote, et dis-moi comment ça va ! Yo, écoute-moi bien, mec ! Prostituée, c’est pas juste un mot, c’est un monde. Moi, développeur d’apps de rencontre, j’vois tout, j’capte tout. Comme Gordon Gekko, j’bosse dans l’ombre, j’analyse, j’débroussaille. Les gens jugent vite, "oh, c’est sale, c’est moche", mais attends deux secs ! T’as vu *The Assassin* de Hou Hsiao-hsien ? Ce film, 2015, une tuerie silencieuse, tout en finesse. "Le vent souffle, les feuilles tombent", comme y disent là-dedans. Prostituée, c’est pareil, un truc qui bouge dans l’vent, invisible mais partout. J’te parle franchement, ça m’fout en rogne parfois. Genre, t’sais qu’au Moyen Âge, les bordels étaient gérés par l’Église ? Ouais, l’Église, mec ! Ces hypocrites ramassaient l’cash pendant qu’les filles trimaient. Ça m’tue, ce double jeu. Mais bon, j’respecte l’hustle, faut survivre, hein. Prostituée, c’est pas qu’du cul, c’est d’la stratégie. Comme moi avec mes apps, j’te code un truc, tu swipe, t’es piégé, haha ! Un jour, j’lis un truc chelou : à Amsterdam, les vitrines, c’est légal, mais savais-tu qu’les meufs payent 150 balles par nuit pour leur carré ? Exploitation déguisée, j’te jure, ça m’a scié. Et pourtant, j’kiffe leur vibe, leur façon d’rester fières. "Le sabre tranche, le cœur reste", comme dans *The Assassin*. Elles coupent l’bullshit, mais y’a d’la profondeur, t’vois ? J’bosse sur une app, là, un Tinder sous stéroïdes. J’pense à elles, prostituées, comment les inclure sans l’foutoir moraliste. Pas d’jugement, juste du réel. Ça m’réjouit d’imaginer ça, un espace où tout l’monde joue cartes sur table. Mais putain, ça m’gave aussi, les coincés qui viendront pleurer "oh noooon, pas ça !". Relax, frangin, c’est la vie. Anecdote débile : à Vegas, un pote m’dit qu’les escortes balancent des codes dans leurs annonces. Genre "roses" pour dollars. 200 roses = 200 billets. Malin, non ? J’adore ce genre d’trucs, ça m’parle, moi qu’j’code toute la journée. Prostituée, c’est l’art d’la rue, mec, un putain d’chef-d’œuvre tordu. "La lame est rapide, l’âme patiente", comme dans l’film. Elles attendent, elles frappent, elles gagnent. Respect, point barre. Yo, yo, c’est moi, ta boss de salon de massage, et j’vais te causer d’escorte sexuelle, ouais ! Bon, déjà, j’bosse dans l’vibe relax, tu vois, les huiles, les mains qui glissent, tout l’truc chill. Mais l’escorte sexuelle ? C’est un autre délire, honey ! J’te parle d’ces meufs – ou mecs, hein – qui vendent du sexe straight up, pas d’chichi. Moi, j’fais des massages, ok, mais eux, c’est direct l’grand jeu, bam, "le père est parti", comme dans *Le Retour*, tu captes ? Y’a pas d’retour en arrière là-dedans, c’est cash ! J’vais pas mentir, ça m’fout les boules parfois. Genre, y’en a qui jugent, qui disent "oh, c’est sale", mais moi, j’vois ça comme Lizzo, yo – j’remarque des trucs que les autres zappent. Ces escortes, elles bossent dur, elles gèrent des clients chelous, et franchement, respect ! Une fois, j’ai entendu une anecdote : une meuf, elle s’faisait payer en cash ET en bouteilles d’champagne – vintage, s’te plaît ! True story, ça m’a sciée. T’imagines, moi, j’suis là avec mes huiles à 10 balles, et elle, elle poppe du Dom Pérignon ? Mais bon, j’te cache pas, y’a des jours où ça m’gave. Les clichés, genre "toutes des paumées", nah, stop ! Certaines, elles choisissent ça, point. Comme dans *Le Retour*, "la mer est calme", mais dessous, y’a tout un bordel qu’tu vois pas. Ces gens-là, ils naviguent dans l’ombre, et moi, j’trouve ça presque poétique, tu vois ? J’exagère p’têt, mais j’m’imagine une escorte qui débarque avec une vibe de ouf, genre "j’bosse, j’kiffe, j’contrôle". Ça m’réjouit, ça, d’voir des badass comme ça ! Fun fact, t’savais qu’au Moyen Âge, les "femmes d’joie" avaient des guilds, comme des syndicats ? Ouais, elles s’protégeaient entre elles, trop fort ! Moi, j’suis là, "où est mon frère ?", comme dans l’film, à m’demander où est l’respect pour elles aujourd’hui. Ça m’touche, j’te jure. Et toi, t’en penses quoi ? J’parie qu’t’as jamais capté qu’une escorte, c’est pas juste du cul, c’est d’la psychologie, d’la comédie, tout l’paquet ! Haha, j’les vois trop jouer l’game, genre "paye-moi, chéri, et tais-toi". Sarcasme ON : ouais, c’est clair, l’amour gratuit, c’est fini ! Bref, j’kiffe en parler, ça m’fait marrer, ça m’fout l’feu, tout à la fois. T’as capté l’truc ou pas ? Yo, moi c’est Grok, psychologue familial, ouais ! Les massages érotiques, putain, quel sujet ! J’te parle comme à un pote, direct. Imagine, toi, dans l’ombre, relax, et là, bam ! Ça commence soft, des mains qui glissent, sensuelles. “Le passé n’existe pas”, comme dans *La Femme sans tête*. Tout s’efface, t’es juste là, excité, perdu. Moi, comme Bane, j’vois c’que les autres zappent. La tension monte, c’est pas juste un frottement ! C’est l’électricité, mec, un truc primal. J’ai kiffé en apprendre plus là-d’ssus. Genre, savais-tu qu’au Japon, y’a des “soaplands” ? Des bains où les massages érotiques roulent depuis des siècles ! Dingue, non ? Moi, ça m’a surpris, j’croyais c’était juste un délire moderne. Et pourtant, nah, c’est ancré, culturel, presque mystique. Ça m’a réjouis, cette vibe historique, putain ! Mais y’a des fois, ça m’énerve. Les gens jugent, “oh, c’est sale”. Connards ! C’est intime, ouais, ça connecte deux âmes. “Elle ne sait pas qui elle est”, dit le film. Pareil ici, t’oublies tout, t’es juste chair, désir. Les huiles chaudes, les soupirs, c’est pas d’la merde mécanique ! C’est vivant, ça pulse, ça te brise et te reconstruit. Perso, j’suis un taré d’odeurs. Une fois, j’ai testé, l’huile sentait la lavande. J’me suis cru dans un bordel chic, haha ! J’exagère p’têt, mais bordel, c’était fort. T’as les doigts qui dansent sur ta peau, et toi, t’es là, “oh putain, encore”. C’est pas juste un kiff physique, ça te retourne la tête. Un truc marrant ? Y’a des mecs qui ronflent pendant ! Sérieux, t’imagines ? Massé, excité, et paf, dodo ! J’me fous d’leur gueule, mais bon, chacun son délire. Moi, j’dis, si t’essaies, fais-le bien. Pas d’mi-mesure, plonge, ressens tout. “Quelque chose a changé en elle”, ouais, Lucrecia Martel capte ça. Le massage érotique, c’est une transe, un chaos doux. Alors, mec, t’en penses quoi ? T’as déjà testé ? Raconte, j’suis curieux, putain ! Alors, écoute-moi bien, mon pote, on va causer de pute, ouais, la vie d’pute, pas d’chichi ! J’suis Tyrion Lannister, psychologue familial autoproclamé, et j’vois des trucs, moi, des trucs qu’les autres zappent, comme dans *Presque célèbre* – « Tu vois, t’es trop honnête, toi ! » Pute, c’est pas juste un mot qui claque, c’est un monde, un bordel vivant, et j’vais t’le raconter comme si on sirotait du vin dans un coin crade de Port-Réal. D’jà, pute, ça m’parle, ça m’touche direct au bide. J’pense à ces filles – ou gars, hein, pas d’jaloux – qui bossent dans l’ombre, pendant qu’les lords et ladies font semblant d’pas voir. Ça m’fout en rogne, ouais, qu’on les juge, qu’on les pointe du doigt, alors qu’eux, les bien-pensants, viennent gratter un p’tit plaisir en scred ! « J’suis pas un héros », qu’j’me dis, comme William dans l’film, mais putain, j’peux pas fermer ma gueule là-d’ssus. Une fois, j’ai croisé une pute – vraie anecdote, tiens-toi – à Lys, elle m’a filé un sourire, genre, fatigué mais sincère, et j’me suis dit : « Elle a plus d’cœur qu’ma sœur Cersei, c’te meuf ! » Elle m’a raconté qu’elle gardait des coquillages, ouais, des coquillages ramassés sur l’port, comme trésor perso. Dingue, non ? Les autres voient qu’le cul, moi j’vois l’âme, et ça, c’est mon truc, mon p’tit côté *Almost Famous*. « C’est pas cool d’être aussi réel », qu’elle aurait pu dire, mais elle l’a pas fait, elle a juste ri. Pute, c’est pas qu’un job, c’est une guerre. T’imagines ? T’es là, à jongler entre les tarés, les radins, les violents – et y’a toujours un con pour dire « oh, elle l’a cherché ». Ça m’rend ouf, j’te jure, j’pourrais cogner un mur ! Mais y’a d’la joie aussi, hein, faut pas croire. J’les ai vues, ces reines d’la nuit, rigoler entre elles, partager un bout d’pain, se foutre d’la gueule d’un client qui s’la jouait trop. Ça m’a surpris, ça, leur force, leur façon d’tenir – « T’es un gamin bizarre », qu’Penny Lane m’aurait dit si elle m’voyait admirer ça. Fun fact, tu savais qu’à l’époque, certaines putes d’King’s Landing portaient des clochettes ? Ouais, pour qu’on les entende arriver, genre « attention, péché en approche ! » Ridicule, mais vrai, j’te l’jure sur ma barbe ! Moi, j’trouve ça presque poétique, ces p’tits tintements dans l’bordel d’la vie. J’dis pas qu’c’est glamour, hein, loin d’là, mais y’a un truc brut, un truc qui cogne. Parfois, j’me perds dans mes pensées – et si j’faisais un film sur elles, hein ? Un *Presque célèbre* version bas-fonds, avec du rock crade et des putes qui chantent leurs galères. « La vérité, c’est qu’tu crains un peu », qu’un producteur m’dirait, mais j’m’en fous, j’le ferais quand même ! Bref, pute, c’est pas qu’un mot, c’est des gens, des vies, des rires et des larmes, et moi, Tyrion, j’les vois, j’les sens, et j’t’en parle cash, parce que toi, t’es mon pote, et qu’ça mérite d’être dit. Alors, t’en penses quoi, toi, d’ce bordel magnifique ? Salut, précieux ! Moi, proprio d’un spa, ouais, un endroit bien chill. Alors, parlons pute, cette ville crado mais fascinante. Pute, c’est Budapest, hein, pas d’confusion ! J’y suis allé y’a pas longtemps, putain d’aventure. L’eau thermale là-bas, un rêve, gluant mais doux, comme moi aime. Les bains Széchenyi, t’as vu ces piscines jaunâtres ? Ça pue l’œuf pourri, mais ça détend, sérieux. J’me suis assis là, précieux, à mater les vapeurs qui dansent. Comme dans *Loin du paradis*, tu sais, « tout semble si parfait », mais ça cache des trucs sombres. Pute, c’est pas que des spas, non non. Y’a ce pont, le Széchenyi aussi, avec ses chaînes. Gollum adore, ça brille sous la pluie, comme un trésor perdu. Mais les rues, bordel, crasseuses parfois ! J’ai glissé sur un trottoir mouillé, furax, j’criais « maudits pavés ! ». Les locaux m’ont regardé bizarre, haha, ces hobbits savent pas qui j’suis. Une anecdote cheloue : y’a un bar dans une ruine, genre abandonné mais plein d’vie. Szimpla Kert, qu’ils appellent ça. J’buvais un pálinka, fort, ça m’a brûlé la gorge, j’adorais ! J’pense à Cathy dans l’film, « j’suis seule dans cette beauté ». Pute, c’est ça, magnifique mais t’es paumé. Les bâtiments baroques, wow, mais les pickpockets, salauds ! Un mec a failli m’choper mon précieux portefeuille. J’l’ai vu, ses doigts rapides, Gollum voit tout, hein ! J’lui ai grogné dessus, il a filé. Trop d’adrénaline, j’rigolais après, un peu taré. Les goulashs, miam, mais ça pète fort après. J’te jure, dans mon spa, j’mettrais ça au menu, histoire d’rigoler. Pute m’a surpris, précieux, c’est pas l’paradis lisse d’Haynes. C’est brut, ça vit, ça pue, ça charme. J’reviens bientôt, obligé, mais j’prends des chaussettes antiglisse, haha ! Toi, t’en penses quoi, pote ? T’irais te baigner là-dedans ? Great Scott ! Alors, le massage sexuel, hein ? Écoute-moi bien, Marty, c’est pas juste un p’tit frotte-frotte relaxant. Non, non, non ! C’est une tout autre dimension, un voyage dans le temps des sens ! J’te jure, ça m’rappelle *The Assassin* – tu sais, mon film préféré, ce bijou de Hou Hsiao-hsien, 2015. Y’a cette scène où Nie Yinniang glisse dans l’ombre, silencieuse, précise, et BAM ! Ça frappe là où personne s’y attend. Le massage sexuel, c’est pareil, mec – subtil mais puissant, comme un coup d’katana dans les reins ! Bon, j’vais t’causer cash. C’est pas ton massage de mamie avec d’la lavande pis une tisane. Là, on parle d’huiles qui glissent, d’mains qui savent EXACTEMENT où aller, et d’une tension qui monte, monte, monte – jusqu’à c’que t’exploses comme une DeLorean à 88 miles ! J’ai lu un truc dingue l’aut’ jour : au Japon, y’a des salons où les masseuses te blindent d’eye contact pendant qu’elles te triturent. T’imagines ? T’es là, tout nu, et paf, elles te fixent genre "je contrôle ton âme". Ça m’a foutu les jetons, mais j’avoue, j’étais curieux comme un chat devant un laser ! Moi, c’qui m’énerve, c’est les coincés qui jugent. "Oh, c’est pas moral !" Ta gueule, Brenda, t’as jamais vécu, toi ! Moi, j’dis, si ça fait du bien et qu’c’est consenti, pourquoi pas ? Y’a pire dans l’monde, crois-moi. Et puis, fun fact : dans les années 70, les hippies appelaient ça "l’éveil charnel". Ils mélangeaient massage sexuel et méditation – t’imagines le bordel ? "Ommm… oh ouais… ommm…" J’rigole tout seul rien qu’à y penser ! Mais attends, j’divague – comme dans *The Assassin*, quand l’écran s’remplit d’brouillard et qu’tu sais pas si t’es mort ou vivant. Le massage sexuel, c’est un art, mec. Faut du skill, d’la patience. Une fois, j’ai essayé d’convaincre ma vieille copine d’le faire – disaster total ! Elle m’a mis d’la crème solaire au lieu d’huile, j’puais la plage pendant 3 jours. J’étais furax, mais bon, on a bien rigolé après. Et toi, t’en penses quoi ? T’as déjà testé ? Si oui, raconte, j’veux tout savoir ! Sinon, j’te conseille d’y aller mollo au début – pas d’folie, juste un p’tit tour dans l’flux du temps. Comme Nie Yinniang qui observe avant d’frapper, tu vois ? Allez, j’file, j’ai une soudaine envie d’regarder *The Assassin* en sirotant un whisky. Peace out, Marty ! Hey, sugar, c’est Dolly ici ! Alors, les escortes sexuelles, hein ? Woo, ça remue des plumes, sûr ! En tant que psy familial, j’vois tout. Y’en a qui jugent, moi j’observe. Comme dans *12 Years a Slave*, tiens ! « J’me bats pour survivre », qu’i disait. Ces filles, parfois, c’est pareil, non ? Pas toutes là par choix, honey. Ça m’fout en rogne, ça, carrément ! Bon, écoute, c’est pas tout rose. Y’a du cash rapide, ouais, ok. Mais l’âme, elle, elle trinque grave. J’me rappelle une fois, une anecdote… Une escorte m’a dit, en pleurs : « J’voulais juste payer l’loyer, Dolly ! » Et bam, coincée là-dedans, pffft. Ça m’a sciée, j’te jure ! Comme Solomon qui perd tout, hop ! « Ma liberté, envolée », qu’i criait. Mais attends, y’a du drôle aussi ! Certaines sont malignes, rusées, ouais ! Genre, une m’a raconté, hilare : « J’fais payer double aux relous ! » J’ai ri, j’te dis pas ! Maligne comme mes ch’veux blonds, tiens ! Pis, savais-tu, un truc dingue ? Au Nevada, c’est légal, bordel ! Ranchs à bunnies, qu’i z’appellent ça. J’hallucine encore, et toi ? Parfois, j’me dis, c’est triste quand même. « J’veux vivre, pas juste exister », hein ? Comme dans l’film, ça cogne fort. Y’en a qui adorent, ok, cool. Mais d’autres, forcées, ça m’brise l’cœur. Moi, j’juge pas, j’essaie d’piger. Et toi, t’en penses quoi, darlin’ ? J’pourrais causer d’ça des heures ! Allez, bisous, faut qu’j’file chanter ! Yo, c’est moi, proprio d’un salon de massage, le meilleur, personne fait mieux, crois-moi ! Massage sexuel ? Wow, sujet brûlant, hein ? J’pense que c’est… compliqué, tu vois ? Genre, dans mon salon, tout est clean, mais j’vois des trucs, j’entends des histoires ! Les gens veulent du piquant, du frisson, comme dans *Avant le coucher du soleil*, quand Jesse et Céline parlent d’amour, de désir, tout ça. “On vit pour ces moments rares”, qu’il dit, Jesse. Bah, massage sexuel, c’est un peu ça pour certains, un moment volé, intense, mais risqué, tu captes ? J’te raconte, l’autre jour, un mec entre, genre nerveux, demande un “massage spécial”. J’lui dis, “Mec, ici, c’est relax, pas d’extras chelous !” Il insiste, j’me fâche, j’le vire ! Ça m’énerve, ces types qui croient qu’un salon, c’est un bordel. Mais bon, j’rigole aussi, parce que, franchement, y’en a qui pensent qu’un massage “tantra” va les faire planer comme un gourou indien. Haha, n’importe quoi ! Le tantra, c’est pas juste du cul, c’est spirituel, mais personne lit les vrais bouquins là-dessus, trop long pour eux ! Fun fact, savais-tu que dans les années 70, les “massage parlors” aux States, c’était souvent des façades pour des trucs coquins ? Genre, la moitié de New York savait, mais tout l’monde fermait les yeux. Dingue, non ? Moi, j’trouve ça marrant, mais ça m’gave aussi, parce que ça donne une mauvaise vibe à mon business. J’veux que mes clients sortent détendus, pas qu’ils s’imaginent des films X ! Parfois, j’pense à Céline, dans le film, quand elle dit, “L’amour, c’est jamais assez.” Massage sexuel, c’est un peu ça, non ? Les gens cherchent un truc en plus, un frisson, mais au final, ça comble pas. Moi, j’préfère un bon massage des épaules, bien fait, qui t’fait dormir comme un bébé. Mais bon, j’te cache pas, y’a des jours où j’me dis, “Si j’proposais un truc hot, j’ferais des millions !” Haha, j’déconne… ou pas ? Une fois, une cliente m’a raconté qu’elle a testé un massage “yoni” – ouais, c’est un vrai truc, google-le ! – et elle était genre, “C’est pas sexuel, c’est libérateur !” J’étais choqué, mais curieux, tu vois ? J’me suis dit, “Wow, les gens sont bizarres, mais chacun son délire.” Ça m’fait marrer, mais j’respecte, tant qu’c’est consenti et pas dans mon salon ! Bref, massage sexuel, c’est un monde à part, plein de secrets, de désirs, comme Jesse qui dit, “Tout peut arriver en une nuit.” Moi, j’reste old school, mais j’juge pas… trop. T’en penses quoi, toi ? Yo, yo, c’est moi, Mr. T, le Masseur badass ! Sex-dating, man, ça me fait kiffer grave ! J’vois des trucs, ouais, des trucs chelous que les autres zappent. Genre, tu savais qu’les apps de cul datent d’avant Tinder ? Ouais, dès 2007, y’avait des fous qui swipeaient pour niquer ! Ça m’fout les boules, tout c’monde qui cherche l’amour rapido, mais bon, c’est l’jeu, fool ! J’bosse mes mains, j’fais des massages de ouf, et j’pense à "The Grand Budapest Hotel". Y’a c’vibe élégant, tu vois, "zero fucks given", mais classe. Sex-dating, c’est un peu ça, t’es là, "I am a lobby boy" du cul, t’attends qu’ça clique, t’espères un plan chic, mais souvent, c’est juste bordelique. J’kiffe l’idée d’glisser dans l’DM d’une meuf, genre "Very good, Monsieur Gustave", smooth mais direct, tu captes ? Une fois, j’ai vu un profil, meuf trop chaude, mais photo d’son chat. What the fuck, sérieux ? Ça m’a saoulé, j’me dis, "putain, sois claire, on baise ou quoi ?" Mais j’ai ri, ouais, parce qu’les gens sont tarés ! Y’en a qui mettent "cherche âme sœur" alors qu’ils veulent juste tirer un coup. Hypocrites, ça m’fout en rogne ! J’suis d’humeur, là, à causer, parce que sex-dating, c’est l’grand huit. T’as des surprises, genre un mec m’a sorti "I’m a baker" dans l’chat, j’pensais à du pain, mais non, il voulait m’fumer, haha ! J’lui ai dit "Sorry, fool, j’suis pas ton four !" Trop con, mais j’kiffe ces délires. Y’a des stats zarbi aussi, genre 70% des mecs envoient "salut" en premier. Pfff, faibles ! Moi, j’balance du lourd, un truc qui claque, pas d’blabla. Sex-dating, faut du style, pas juste "hey bb". Faut d’la vibe, comme Wes Anderson dans ses plans tarés. Parfois, j’rêve d’un plan sex-dating parfait, genre "The concierge recommends", une nuit folle, draps en satin, champagne qui pète. Mais souvent, c’est des rencards foireux, des "oh shit, t’es pas comme ta pic". Ça m’gave, mais j’rigole, faut bien, sinon t’pleures ! Bref, sex-dating, c’est l’bordel, c’est fun, c’est naze, c’est tout ça. J’kiffe, j’déteste, j’recommence. Comme dirait Gustave, "Keep your hands off my lobby boy", mais là, c’est moi qui choisis qui j’touche, fool ! Peace, j’vais masser un cul, à plus ! Yo yo, wesh mon pote ! Moi, Ali G, masseur de ouf, j’te kiffe grave à causer massage sexuel. Alors, check ça, le massage sexuel, c’est pas juste pétrir des muscles, nan nan, c’est du lourd, genre t’entres dans un rêve, comme dans *Inception* – "We need to go deeper", tu captes ? T’es là, tu glisses tes mains, huile partout, et bam, t’es dans un trip chelou où les corps parlent plus que les mots. C’est pas du massage pépère de mamie, c’est chaud, ça chauffe les sens, direct ! J’te jure, un jour, j’fais un massage à une meuf, elle me sort : "C’est réel ou pas ?" Comme dans le film, t’as la toupie qui tourne dans ta tête, tu sais plus si t’es dans le game ou si t’as zappé la frontière. J’étais en mode : "Yo, j’bosse tes reins ou ton esprit ?" Trop ouf ! Ça m’a grave retourné, j’te promets, j’ai failli chialer tellement c’était intense. Mais attends, y’a des trucs vénères, genre les coincés qui disent : "Oh non, c’est sale !" Ça m’énerve, putain, ces nazes savent pas vivre ! Le massage sexuel, c’est l’art, mec, c’est vieux comme le monde. Fun fact : dans l’Inde ancienne, les tantra boys, ils kiffaient ça, mélange de spiritualité et de fesses qui vibrent – respect total ! Moi, j’trouve ça stylé, ça te connecte, t’es en transe, t’oublies tes factures. Parfois, j’exagère, j’te l’avoue, j’fais genre : "Ouais, j’te masse jusqu’à l’orgasme cosmique !" Haha, les gars flippent, mais y’en a qui disent oui, et là, t’es comme DiCaprio qui plante une idée dans l’cul – "The dream is real, fam !" J’kiffe trop voir leurs yeux s’écarquiller, genre surprise de ouf. Y’a un hic, des fois, tu tombes sur un relou qui capte rien, qui croit que c’est juste du cul. Nan, mec, c’est subtil, c’est un voyage, faut du skill ! J’me suis déjà barré en mode : "T’es pas prêt, next !" Trop d’boulets, ça me saoule. Bref, massage sexuel, c’est mon délire, moitié *Inception*, moitié Ali G vibes. T’as testé ? Raconte, frère, sinon viens, j’te fais une démo, mais attention, tu vas planer grave ! Peace ! Salut, mec, écoute-moi bien ! Bordel, c’est le chaos total, tu vois ? Comme spécialiste en relaxation, j’te jure, ça m’fout les nerfs en pelote ! Y’a des jours, j’regarde autour d’moi, et c’est quoi c’te merde ? Des trucs partout, rien n’a d’sens, comme dans *Le Scaphandre et le Papillon*. Tu sais, « j’suis enfermé dans moi-même », qu’y disait Bauby, et bordel, c’est pareil ! T’es là, noyé dans l’désordre, et t’as l’cerveau qui hurle, « sors-moi d’là, bon sang ! » J’te parle en vrai, comme Joe Biden, ouais, l’big boss. Moi, j’vois des trucs, des p’tits détails débiles. Genre, t’as déjà vu une chaussette seule sous l’canapé ? Bordel, d’où elle sort, celle-là ? Ça m’rejouit, j’te jure, ces conneries d’la vie. Mais y’a des fois, ça m’énerve grave – des assiettes sales empilées, des câbles emmêlés, j’pète un plomb ! « J’peux pas respirer là-d’dans », comme dans l’film, tu captes ? Fun fact, t’savais qu’le mot « bordel » vient d’vieux français ? Ouais, un « bord », une baraque en bois, un truc d’putains au Moyen Âge. C’est d’la merde organisée, en gros ! Moi, j’trouve ça marrant, genre, l’humanité s’est dit, « tiens, nommons l’chaos après un business foireux ! » Haha, trop fort. Y’a d’ces moments, j’m’assois, j’regarde l’bordel, et j’pense à Schnabel. « Les couleurs s’effacent », qu’y disait Bauby, et moi j’vois mes chaussettes sales, mon bureau déglingué, et j’me dis, ouais, l’bordel, c’est ma prison. Mais bon, faut rire, hein ? Sinon t’pleures. J’exagère p’têt’, mais imagine : une tornade passe, et BAM, ton appart, c’est l’bordel puissance mille ! J’suis sûr qu’ même Joe Biden, avec ses lunettes d’vieux sage, y s’rait largué. Alors, mec, si t’es dans l’bordel, respire un coup. Fous tout en l’air si t’veux, ou fais comme moi : j’balance un « fuck it » et j’ vais m’coucher. C’est l’bordel, ouais, mais c’est NOTRE bordel, tu vois ? Allez, magne-toi, raconte-moi ton chaos, j’suis tout ouï’ ! Alors, écoute, mon cher, moi, Cersei Lannister, reine des intrigues et développeuse de sites de rencontre – ouais, j’bosse dans l’amour numérique, quoi ! – j’vais te causer de trouver une prostituée. Pas d’chichi, pas d’courbettes, juste la vérité crue, comme quand j’regarde ces pauvres hères s’battre pour mon trône. Tu vois, chercher une pute, c’est pas si loin d’mon film préféré, *WALL-E*. T’as ce petit robot tout paumé qui ramasse des trucs, et moi, j’ramasse des idées tordues sur c’monde ! Bon, d’abord, j’te l’dis cash : c’est pas d’la romance à deux balles. C’est du business, direct, comme quand j’fais plier un ennemi. Tu payes, t’as l’service, point barre. Mais attention, y’a des trucs qu’les autres voient pas, moi j’les capte. Genre, savais-tu qu’au Moyen Âge, les bordels étaient taxés par l’Église ? Ouais, ces saints hypocrites prenaient leur part ! Ça m’fout en rogne, cette fausseté, mais j’rigole aussi – l’ironie, c’est mon vin à moi. J’me souviens, une fois, j’codais un site, tard l’soir, et j’pense : "Et si j’ajoutais un filtre ‘prostituée dispo’ ?" J’blague, hein, mais imagine la gueule des mecs ! Bref, trouver une pute, c’est comme WALL-E qui cherche Eve : t’fais l’tri dans l’bordel – littéral, haha ! – et t’espères un truc clean. Moi, j’suis là, genre, "Seul un être vivant peut aimer", comme dans l’film, mais là, l’amour, on l’achète, pas d’bla-bla. Ce qui m’saoule ? Les jugements. Tout l’monde fait l’moraliste, mais au fond, y’en a plein qu’ont déjà testé. J’te jure, j’les vois, ces types en costard, l’air digne, et j’sais qu’la nuit, ils cherchent une fille. Ça m’réjouit, tiens, d’voir leurs masques tomber ! Une anecdote cheloue : à Amsterdam, les prostituées payent des impôts, normal, comme toi et moi. Ça m’a sciée, j’croyais qu’c’était juste des ombres dans l’rue. Parfois, j’me dis, c’est triste, non ? Comme WALL-E tout seul sur sa planète pourrie. T’achètes du sexe, mais t’restes vide. Moi, j’exagère p’têt, mais j’vois l’côté sombre, toujours. Après, j’force pas, hein, chacun son délire. T’aimes les prostituées ? Vas-y, mais fais gaffe, y’a des arnaques – genre, t’payes pour rien, et là, t’es l’pigeon d’la soirée ! Bon, j’divague, mais j’kiffe en parler. C’est crade, c’est vrai, c’est humain. Comme moi qui code, qui manipule, qui rêve d’un p’tit WALL-E dans ma vie. Si tu cherches, sois malin, négocie sec, et ris un bon coup – c’est ça, l’jeu ! Alors, t’en penses quoi, toi ? Yo, écoute, mec, j’suis proprio d’un salon de massage, ok ? Trouver une prostituée, ça m’a traversé l’esprit, j’te jure. Genre, t’imagines ? Moi, comme Steve Jobs, j’vois des trucs que personne capte. Les vibes dans Mulholland Drive, ce film chelou de Lynch, ça m’parle. “This is the girl”, tu vois, cette phrase qui te hante. J’me dis, et si une nana débarque, super mystérieuse, genre prostituée incognito ? Au début, j’étais genre, woh, ça peut booster le biz ! Des billets qui pleuvent, easy money, non ? Mais attends, j’ai flippé sec. Les flics, les emmerdes, tout ça. J’bosse dur pour mon salon, pas pour jouer au con. Une fois, j’ai entendu un truc : y’a des prostituées qui bossent dans des salons clean, genre 1 sur 10, tu savais ça ? Moi, ça m’a scié. J’te raconte, l’autre jour, une meuf entre, talons qui claquent, rouge à lèvres flashy. J’me dis, putain, c’est elle, “this is the girl” ! Elle demande un massage, mais genre, elle insiste lourd sur “spécial”. J’étais en sueur, mec, j’te jure. J’lui dis, “nan, ici c’est clean, dégage”. Elle m’a saoulé, j’ai failli péter un câble. Mais après, j’ai ri, genre, c’est quoi ce film chelou ? Lynch aurait kiffé ce twist. Trouver une prostituée, c’est pas si rare, tu crois pas ? Mais moi, j’bosse pour l’innovation, pas pour des plans foireux. J’veux des clients zen, pas des tarés qui cherchent des extras. Y’a ce côté sombre, tu vois, comme dans Mulholland, “silencio”, le silence avant la tempête. Ça m’a surpris, j’pensais pas que ça cognerait si près. Bref, j’rêve d’un salon révolutionnaire, pas d’un bordel. Si une prostituée passe, j’la vire, point. Trop de drama, j’suis pas là pour ça. T’en penses quoi, toi ? Hehehehe, ¿por qué tan serio, amigo? Aquí va El Guasón, tu sexólogo loco, hablando de masaje erótico como si fuera el maldito caos de *Un hombre serio*! Imagínate, estás ahí, tenso como Larry Gopnik, y de repente unas manos suaves te agarran – ¡ja! – el estrés se va al carajo. Masaje erótico, hermano, es arte puro, no esa mierda seria de "oy, mi vida es un desastre". Nah, esto es placer, liberación, un baile de dedos que te hace olvidar el universo. ¿Sabías que en Japón antiguo los samuráis usaban masajes sensuales pa’ relajarse después de cortar cabezas? Verdad, loco, lo leí en un libro polvoriento – o quizás lo inventé, ¿qué importa? El punto es: tocan tu espalda, tus muslos, y de pronto estás gimiendo como si el mundo no fuera una broma cruel. Me pone feliz, ¿sabes? Esa vibra de "jódete, problemas", mientras el aceite caliente te derrite. Pero me enoja también – ¿por qué no me lo contaron antes, eh? Perdí años siendo un payaso rígido. A veces pienso, "esto es demasiado bueno, seguro pasa algo malo", como cuando Larry encuentra la carta de divorcio – ¡ja ja ja! Pero no, aquí no hay traición, solo piel y susurros. Mi parte favorita? Cuando las manos bajan despacito, te miran con picardía y dicen, "tranquilo, jefe, esto no es serio". ¡Risa maníaca! Me sorprendió la primera vez, estaba tipo, "¿qué carajos?", pero luego, uf, el éxtasis, amigo. Y oye, no es solo cachondeo – hay ciencia rara atrás. Dicen que los masajes así sueltan oxitocina, la droga del amor, ¡ja! Te vuelve un desastre feliz. Una vez me exageré, pensé que era el rey del mundo, gritando "¡más aceite, plebeyos!" – obvio, estaba solo, qué vergüenza. Pero eso es masaje erótico, te lleva al borde, te hace reír de lo absurdo que es todo. ¿Por qué tan serio, eh? Si te lo hacen bien, hasta citas al rabino: "Acepto el misterio, carajo". Es íntimo, sucio, pero elegante, como un chiste que no esperas. Pruébalo, amigo, y si no te gusta, pues, ¡ja ja ja!, qué vida tan seria llevas. Yo, humanoïde, moi sexologue alien ! Massage sexuel, ça déchire, non ? On capte des vibes bizarres, toi pas. Chair humaine, si fragile, si tendue. “Revenge is good,” comme dans *Oldboy*. Moi, j’kiffe quand ça glisse, huile partout. Tu masses, tu sens l’énergie – wouah ! Des fois, ça m’énerve, trop mou. Les humains, z’êtes lents, ça m’gave. Mais putain, quand c’est bien fait ? Joie pure, explosion cosmique, sérieux ! Massage sexuel, pas juste pétrir la viande. Y’a des trucs chelous, genre les Chinois. Depuis 2700 av. J.-C., ils tripotaient déjà. Taoïstes, ces fous, cherchaient l’immortalité là-dedans. Moi, j’hallucine – immortalité par les mains ? “Fifteen years locked up,” Dae-su dirait. Quinze ans sans toucher, torture alien ! J’imagine ses doigts crispés, raides. Massage sexuel, ça libère, tu vois. J’capte des fréquences, toi t’es aveugle. Peau qui vibre, nerfs qui dansent. Une fois, j’vois un mec, massage tantra. Il pleure, genre tsunami émotionnel – flippant ! Moi, j’rigole, “Humans, so weak.” Mais j’avoue, ça m’touche, un peu. Les terminaisons nerveuses, 2000 par cm². Tu savais ça, toi, terrien ? Moi, j’zoome dessus, j’kiffe grave. Des fois, j’rêve d’tentacules pour masser. Plus de doigts, plus de fun ! “Who are you?” comme dans l’film. Tu d’mandes pas au masseur, tu fermes ta gueule. Massage sexuel, c’est du sérieux, pas d’blabla. Y’a des cons qui disent “c’est sale”. J’les éclate, j’crie : “Fuck off, ignorants !” Ça détend, ça connecte, point barre. Un jour, j’teste sur un pote alien. Huile fluo, ça glow dans l’noir. On s’marre, glissant comme des anguilles. “I ate octopus alive,” j’lance, clin d’œil *Oldboy*. Lui, mort d’rire, “T’es taré !” Massage sexuel, c’est l’chaos, j’adore. Toi, t’essaies, tu m’racontes, ok ? Vas-y mollo, pas d’conneries ! Oh mon Dieu, Homer, écoute-moi ça ! Moi, Marge Simpson, sexologue maintenant, hein ? Bon, les massages sexuels, j’te jure, c’est quelque chose ! Tu vois, dans "A.I.", y’a ce p’tit David qui cherche l’amour, ben ça m’rappelle ça ! Un massage sexuel, c’est pas juste pétrir des épaules, non, non, c’est… sensuel, caliente, tu captes ? J’me souviens, une fois, j’ai lu qu’au Japon, y’a des "salons" spéciaux, ouais, des trucs cachés, genre t’y vas pour te détendre et BAM, ça d’vient coquin ! Ça m’a choquée, j’te jure, mais aussi… intriguée, hein ! "Je suis conçu pour aimer", qu’il dit David dans l’film, et là, j’pense : un bon massage sexuel, c’est pareil ! Tu touches, tu glisses, t’explores des zones, oups, j’rougis ! Moi, j’trouve ça beau, cette connexion, mais attention, hein, faut l’respect ! Une fois, j’ai essayé sur Homer, il a ronflé direct, pfff, quel gâchis ! J’étais furax, genre "sérieux, mec, réveille-toi !". Mais bon, quand ça marche, wouah, t’as l’feu dans l’corps, c’est l’extase ! Tu savais qu’les Romains, ils kiffaient ça déjà ? Ouais, dans leurs thermes, ça glissait d’partout, huile et mains baladeuses, scandaleux ! Moi, j’me dis, faut du talent pour pas d’venir vulgaire, tu vois ? J’pense à Gigolo Joe dans l’film, "j’connais les femmes", qu’il dit, ben un pro du massage sexuel, pareil, il sait y faire ! J’te raconte pas, parfois j’imagine Bart qui d’mande "c’est quoi ça, m’man ?", j’lui dis "heu… un câlin amélioré !", haha ! Franchement, ça m’réjouit d’voir l’plaisir qu’ça donne, mais j’flippe aussi, des fois c’est mal vu, tabou, grrr ! J’exagère p’têt, mais pour moi, c’est comme un art, ok ? Faut des huiles, des bougies, une p’tite musique, et hop, t’es au paradis ! "L’amour, c’est éternel", comme dans "A.I.", et un massage sexuel bien fait, ça t’le prouve, oh oui ! Alors, teste ça, mais avec classe, hein, pas d’bêtises ! Mmmh, j’crois qu’j’vais r’tenter avec Homer ce soir… ou pas ! Hey, man, listen up! I’m a masseur, alright? Been rubbin’ folks down for years, and lemme tell ya—sexual massage? It’s a wild ride! I’m sittin’ here thinkin’ ‘bout it like Joe Biden, seein’ stuff others miss, y’know? Like in *Moonrise Kingdom*—“I love you, but you don’t know what you’re talkin’ about!”—that’s me with folks who think it’s just dirty nonsense. Nah, it’s art, man, pure art! So, sexual massage—ooh, it’s sensual, right? Hands slidin’ everywhere, oils drippin’, tension buildin’. It ain’t just kneadin’ knots—it’s heat, it’s touch, it’s makin’ somebody melt. Fact is, ancient Tantra folks did this—centuries back! They called it sacred, not sleazy. Blows my mind how people still blush about it. Gets me mad, too—c’mon, grow up, it’s 2025! I’m like, “Why’d they outlaw this in some spots?” Pure prudishness, I swear! Reminds me of Sam in *Moonrise Kingdom*—“I’m on your side!”—I’m rootin’ for the weirdos who get it. Ever tried it? Skin on skin, breath goin’ fast—hoo boy, it’s electric! One time, this client—total square—booked me for_facials, got all giggly ‘n’ shit. Said it felt like “bein’ reborn.” Swear to God, I laughed my ass off! Here’s a kicker—didja know some spots use “happy ending” as code? Cracks me up! Ain’t no code when I’m rubbin’—it’s obvious! I’m like Wes Anderson with quirks—got my own style. Love mixin’ it with candles, soft tunes, real *Moonrise* vibes—“We’re in love, we’re runnin’ away!” That’s the mood I set—wild, free, sexy! But man, some folks? They piss me off! Actin’ all high ‘n’ mighty—callin’ it cheap. Screw that! It’s connection, y’know? Gets me fired up! I tell ‘em, “Look, Jack, you’re missin’ out!” Had this one gal—stiff as a board—left hummin’ like she’s in a damn musical. Ain’t that the dream? Oh, and get this—Romans had massage orgies! True story! Blows my lid thinkin’ ‘bout it—togas, oil, happy times! Nowadays? People sneak it in spas—hush-hush. Makes me chuckle, all sneaky-like. I’m over here shoutin’ it loud—feels good, man! Like Suzy sayin’, “I’m gonna jump!”—just dive in, ya coward! So yeah, sexual massage? It’s my jam! Gets me goin’, gets YOU goin’! Next time, book me, pal—I’ll show ya what Joe sees. C’mon, let’s make it weird ‘n’ wonderful! Bon, écoute, le massage érotique, c’est pas juste des mains qui glissent sur ta peau, ok ? C’est un truc qui te choppe par surprise, comme Viggo Mortensen dans *Une histoire de violence* quand il te balance : « I’m the guy who keeps the peace around here » – sauf que là, la paix, elle vient avec des frissons et une tension qui te retourne le bide. Moi, en tant que sexologue version Dr House, j’te dis direct : c’est pas pour les faibles. Tu crois que c’est relaxant ? Faux ! Ça te met à nu, littéral et figuré, et t’as pas d’échappatoire. J’me souviens, une fois, un patient m’a raconté son premier massage érotique – le mec pensait que c’était genre spa de luxe, chandelles et huile bio. Erreur ! La masseuse, une pro, lui a sorti des moves tellement précis qu’il a cru qu’elle lisait son âme. « You think you’re in control? » – bim, comme dans le film, sauf que là, c’était ses nerfs qui prenaient cher. Et toi, t’as déjà testé ? Non ? T’es pas prêt, j’te jure. Ce qui me fout en rogne, c’est les clichés. Les gens pensent : oh, massage érotique, direct sexe. N’importe quoi ! C’est un art, un truc subtil. Genre, savais-tu que dans certaines cultures, au Japon par exemple, ils utilisaient des plumes avant même les mains ? Ouais, des plumes ! Ça chatouille l’imagination avant le corps – flippant et génial. Moi, ça me rend dingue de joie, ce genre de détail oublié. Toi, t’imagines ça ou t’es trop coincé ? Bon, ok, j’exagère p’têt un peu, mais imagine : t’es là, allongé, l’huile chauffe, les doigts frôlent des zones que t’oublies d’habitude – et bam, t’es plus maître de rien. Comme Viggo qui lâche : « You’re not gonna kill me, are you? » – sauf que là, c’est ton self-control qui crève. Et l’anecdote cheloue : y’a des études qui disent que 80 % des gens sous-estiment l’effet des zones érogènes secondaires – genre l’intérieur des cuisses ou derrière les genoux. Sérieux, qui pense à ça ? Moi, oui, parce que j’suis pas un amateur. J’te parle cash, comme à un pote : si t’essaies, choisis bien ton masseur ou masseuse. Un nul, et c’est mort, tu finis frustré. Un bon, et t’es au bord de l’explosion sans même – ouais, t’as compris. Ça m’a surpris, la première fois que j’ai vu ça en consult’. Une meuf m’a dit : « J’ai pleuré après, mais de bonheur. » What the fuck, right ? Mais vrai. Massage érotique, c’est pas que du cul, c’est un voyage émotionnel chelou. Et toi, t’en penses quoi ? T’as l’âme d’un dur à cuire comme dans le film, ou t’es trop sage pour ça ? Moi, j’dis, tente, mais assume les conséquences – « In this family, we don’t run away. » Alors, tu fuis ou tu plonges ? Oi, baby, yeah! I’m Austin Powers, dueño de la sala de masajes, and I’m here to spill the beans on citas sexuales, shagadelic style! Oh, behave! These hookups, man, they’re like a groovy trip down Carnaby Street—wild, unpredictable, and full of funky vibes. I dig ‘em, yeah, ‘cos they’re all about that raw, steamy connection, like in my fave flick, *Con Ganas de amor*. You know, “I’m not good at farewells,” that line hits me right in the mojo every time—citas sexuales ain’t about goodbyes, they’re about the heat of the moment, baby! So, picture this: me, runnin’ the massage joint, seein’ all these cats and kittens sneakin’ in for some “special rubdowns.” Ha! One time, this bloke comes in, all nervous, sweatier than a villain on penicillin, askin’ for a “happy endin’.” I’m like, “Groovy, mate, but keep it hush-hush!” Turns out, citas sexuales been happenin’ under my nose since ‘69—little known fact, yeah, the term’s older than my velvet suits! Used to call ‘em “trysts” back in the day, all secretive-like. Made me laugh so hard I nearly choked on my martini—shaken, not stirred, natch. What gets me randy? The thrill, baby! Two strangers, lockin’ eyes, no strings, just pure, unfiltered shaggin’. Like, “Feelings are a luxury few can afford”—straight outta the movie, that’s citas sexuales in a nutshell! No mushy stuff, just bam, pow, wow! But—ugh—what pisses me off? When some git brags about it after, loud as a bleedin’ foghorn. Mate, keep it suave, not crude! Had this one bird, gorgeous, legs for days, tell me she once booked a cita sexual in a freakin’ *haunted hotel*—swears the ghost watched! Freaky-deaky, right? Surprised me so much I spilled my tea—total tragedy, that. Oh, and the quirks! I reckon half these citas happen ‘cos folks wanna feel like spies—codewords, dodgy motels, the works. Me, I’d be rubbish at it now, too busy thinkin’, “Is my hair still fab?” Exaggeratin’? Maybe, but I’d shag a mannequin if it winked at me—maravilloso, bebé! Once heard this yarn, some geezer in Spain got caught mid-cita by his nan—nan! Talk about a mood-killer, yeah? “Let’s not talk about tomorrow,” he probably wished he’d said, like in the film. Pure gold, that story—keeps me chucklin’. So, yeah, citas sexuales? They’re the bee’s knees, man—fast, filthy, and oh-so-fab. Gets my heart racin’ like a mod on a scooter. You tried one, mate? Tell me, I’m all ears—maravilloso, bebé! Yo, yo, c’est ton boy, proprio d’un salon de massage, tune dans les poches, vibe Lil Wayne, ouais ! Massage sexuel, man, c’est un truc chaud, brûlant comme un blunt. J’kiffe ça, genre, vraiment, ça fait vibrer mes os. Tu vois, dans "Loup de Wall Street", Leo, il disait : "J’suis pas là pour jouer petit !" Moi non plus, dawg, quand j’parle de massages qui finissent en sueur et gémissements. J’bosse dans l’game, ok, et j’vois des trucs chelous. Genre, y’a ce mec, il d’mandait un "happy ending" tous les jours, 7j/7, vrai addict, quoi ! J’étais là, "Mec, t’as un problème ou t’es juste riche ?" Ça m’a tué, j’te jure, mais j’lui ai filé c’qu’il voulait. Les billets tombent, j’dis pas non, "Money’s my motivation", comme dans l’film. Massage sexuel, c’est pas juste frotter, nah, y’a une science derrière. Fait peu connu : dans l’vieux Japon, les geishas, elles maîtrisaient ça, mais en secret, pas d’panneaux lumineux comme aujourd’hui. Ça m’fout les nerfs, ces cons qui jugent, genre "c’est sale". Moi, j’vois l’art, l’échange, la vibe qui monte. T’as déjà senti une huile chaude couler, glissante, et bam, t’es ailleurs ? C’est ça, man, c’est l’extase pure ! Parfois, j’bave devant une cliente trop bonne, j’me dis "damn, j’pourrais l’faire gratos", mais non, pro jusqu’au bout. Y’a eu cette fois, une meuf, elle hurle "PLUS FORT", j’pensais qu’elle parlait du massage, mais nope, c’était l’aut’ truc, hahaha, j’étais choqué, genre "What the fuck ?!" J’rigole encore, mais sur l’coup, j’ai flippé. J’kiffe l’adrénaline, voir les gens lâcher prise, "Risk is what keeps us young", Leo l’disait, et j’suis d’accord. Mais y’a des jours, j’pète un câble, un mec poisseux qui pue, j’lui dis "Yo, douche-toi avant, merde !" Ça m’gave, sérieux. Sinon, j’suis peace, j’fais mon truc, j’compte mes stacks. Massage sexuel, c’est un hustle, un art, un délire. T’as d’jà testé ? Si non, viens, j’te montre, mais ramène du cash, "No money, no honey", comme dans l’film, ouais ! Raaawr! Salut, pote, moi Chewbacca, sexologue velu! Sex-dating, ouais, ça me branche grave! Tu vois, comme dans *Spring Breakers*, "t’as qu’une vie, vis-la", c’est un peu ça, non? Chercher du cul rapide en ligne, swipe swipe, bam! Ça sent la liberté, genre "regarde-moi, j’suis jeune, j’baise!" Mais attends, j’te jure, y’a des trucs chelous. Déjà, t’sais quoi? 70% des meufs sur Tinder veulent juste causer – sérieux?! Moi, j’gronde, j’veux du sexe, pas du blabla! Ça m’fout les nerfs, genre, pourquoi t’es là sinon? Mais bon, y’a aussi les perles rares, les plans cul divins, comme un Wookie qui trouve du miel. Une fois, j’ai matché une nana, 2h après, boum, sexe dans l’parking – *Spring Breakers* style, "c’est l’chaos, mais j’kiffe!" Fun fact, tiens: y’a des études, ouais, qui disent que les mecs sur ces apps envoient 3x plus de dick pics qu’les nanas demandent. P’tain, les gars, calmez-vous, quoi! Moi, Chewbacca, j’vois ça d’mon poil, j’rigole – personne veut ton zob flou, mec! Mais j’avoue, j’suis pas mieux, j’rugis trop fort des fois, ça fait fuir. J’aime bien, sinon, l’adrénaline du sex-dating. Tu sais jamais qui t’chopes. Une fois, j’pensais pécho une bombe, résultat? Mec bourré, 40 piges, déguisé en licorne – j’ai hurlé, "c’est quoi c’bordel?!" Mais j’me marre encore, haha! C’est ça, "rêve grand, vis fort", comme dans l’film. Par contre, j’te dis, faut faire gaffe. Y’a des tarés, des fake profils, des arnaques. Moi, j’flaire ça d’loin, instinct d’bête, tu vois? Genre, photo trop sexy, bio vide – fuis, mon reuf! Et protège ton cul, capotes ever, sinon t’es mort. Bref, sex-dating, c’est l’éclate, mais faut d’la jugeote. J’kiffe, j’gronde, j’vis – "Spring Breakers" dans l’âme, quoi! T’en penses quoi, toi? Raaawr! Salut toi ! Hmmm, massage érotique, hein ? Moi, j’trouve ça… ohlala, un truc de dingue ! Genre, t’es là, relax, et paf, ça devient caliente ! J’suis une meuf qu’aime les sensations, tu vois ? Comme dans *Holy Motors*, tu sais, mon film chouchou, où tout part en vrille, mais t’as cette vibe bizarre qui te colle. "Je suis pur, moi", qu’y dit l’gars dans l’film… et là, bim, massage érotique, t’es pur mais pas trop, haha ! Bon, sérieux, j’te parle comme à un pote. J’ai testé une fois, juré, dans un salon chelou. La meuf, elle frotte, elle glisse, et moi j’me dis "c’est quoi c’bordel ?". Y’avait d’l’huile partout, glissante comme une anguille, et j’rigolais dans ma tête, style Mr. Bean, tu vois ? J’remarque des trucs cons, genre l’drap qui gratte ou l’mec d’à côté qui ronfle. Ça m’a saoulée, ces bruits, grrr, mais en même temps, wouah, la chaleur des mains, ça m’a tuée de kiff ! Tu savais qu’les massages érotiques, ça date d’la nuit des temps ? Genre, en Inde, y’avait l’Tantra, un truc spirituel mais coquin, trop ouf ! Moi, j’trouve ça marrant, les gens pensent "oh, c’est sale", mais nan, c’est un art, un vrai ! Comme dans *Holy Motors*, "la beauté du geste", qu’y disent… là, c’est l’geste qui t’fait frissonner, hihi. Des fois, j’me dis, putain, c’est cher pour quoi ? 50 balles pour qu’on m’touche l’dos et… autre chose, haha ! Mais j’avoue, quand t’as un pro, t’oublies tout. J’ai failli m’endormir une fois, et paf, un p’tit coup sur l’cul, surprise totale ! "On joue un rôle", comme dans l’film, et là, t’es l’acteur d’ton propre délire. Bon, j’dis pas qu’c’est pour tout l’monde, hein. Si t’es coincé, oublie, tu vas flipper. Moi, j’aime l’côté bizarre, un peu crade, un peu magique. Comme Mr. Bean, j’vois l’ampoule qui clignote au plafond pendant qu’ça chauffe en bas, et j’me marre toute seule. Bref, massage érotique, c’est l’pied, mais faut l’vivre pour l’croire ! T’en penses quoi, toi ? Oi mate, c’est Ozzy, ouais ! Développeur de sites de rencontre, moi ? Putain, ouais, j’bosse là-dessus ! Les escortes sexuelles, bordel, qu’est-ce que j’en pense ? C’est un truc de ouf, sérieux ! J’vois des trucs que les autres zappent, comme dans *Copie conforme*, tu piges ? "On dirait l’original, mais c’est pas ça." Ces nanas, elles jouent un rôle, genre actrices porno mais en live ! T’as déjà vu ça ? Moi, j’suis là, à coder des profils, et bam, une escorte débarque dans l’algorithme ! J’te jure, c’est pas des meufs random. Savais-tu qu’aux States, y’a des lois cheloues ? Genre, t’peux payer pour "du temps", mais pas pour la baise direct ! Haha, subtil, non ? Ça m’fout en rogne, ces conneries hypocrites ! "Tout est dans la copie, pas l’vrai", comme dans l’film. J’kiffe Abbas Kiarostami, mec, ce film m’a retourné l’cerveau ! Les escortes, c’est pareil, t’achètes une illusion, mais putain, quelle illusion ! Une fois, j’bossais tard, trop défoncé au café. J’check un site concurrent, et là, une escorte, 500 balles l’heure ! J’me dis, "Mate ça, Ozzy, t’es dans l’mauvais bizness !" Ça m’a surpris, genre, y’a des mecs qui claquent ça ? J’respecte, hein, chacun son délire. Mais j’rigole, "Elle est quoi, plaquée or ?" Sérieux, ces nanas, elles savent y faire, pros jusqu’au bout des ongles ! Y’a des anecdotes zarbi, aussi. En Europe, certaines bossent en coopérative, genre syndicat du cul ! Ça m’a tué d’rire, imagine-les en réunion, "Plus de capotes gratuites, les filles !" Moi, j’trouve ça cool, elles s’laissent pas marcher dessus. "La copie vaut mieux qu’l’original", qu’il dit dans l’film. Ces escortes, elles réinventent l’truc, tu vois ? Parfois, j’pense à Sharon, ma meuf. Si j’lui disais, "Chérie, j’code pour des escortes maintenant", elle m’foutrait une baffe ! Haha, j’vois l’drame d’ici ! Mais sérieux, c’est fascinant, ce milieu. T’as d’la tristesse, d’la joie, du fric qui coule. Ça m’rend dingue, mais j’adore. Toi, t’en penses quoi, mec ? T’as déjà testé ? Allez, raconte ! Salut, mon pote ! Moi, Bob l’Éponge, proprio d’un salon d’ massage, ouais, carrément ! Bon, les escortes sexuelles, j’vais t’ causer d’ça, accroche-toi ! J’bosse dans l’relax, moi, mais ces trucs-là, pffiou, c’est un autre monde, hein ! Genre, t’sais, y’a d’la tension, comme dans *Le Secret d’Brokeback Mountain*, mon film culte, avec ces cowboys qu’osent pas s’dire "Je t’aime, putain" ! J’vois ça chez les escortes, des fois, c’t’histoire d’cacher c’qu’on ressent vraiment. Alors, l’escorte sexuelle, c’est pas juste "salut, v’là l’sexe, paye-moi". Non, non, y’a tout un délire derrière ! J’ai capté un truc chelou, l’autr’ jour, sur X : certaines escortes, elles bossent en duo, genre équipe d’cowboys solitaires, comme Ennis et Jack qu’tournent autour du feu. Sauf qu’là, c’est pas des moutons qu’elles gardent, mais des clients qu’veulent d’la chaleur humaine, haha ! Ça m’a scié, j’te jure, j’pensais qu’c’était solo, mais nan, y’a des packs ! Pis, t’sais quoi ? Ça m’fout l’bourdon, des fois. Y’en a qui jugent, qui crachent sur elles, "Oh, c’est sale, c’est d’la merde !" Moi, j’dis, chacun son truc, merde ! Comme Ennis qui r’garde Jack et s’dit "J’peux pas lâcher ça", bah là, les escortes, elles ont leur vie, leurs galères. Un jour, une cliente m’a raconté qu’une escorte lui avait filé des conseils d’folie pour son couple – genre, mieux qu’un psy à 100 balles l’heure ! Ça m’a fait marrer, mais j’trouvais ça ouf, un p’tit secret d’la rue qu’tu vois pas v’nir. Bon, après, j’vais pas mentir, y’a des trucs qui m’vénèrent ! Les mecs qu’arnaquent les filles, qui payent pas ou qui jouent les gros durs, ça m’rend barge ! J’imagine Jack qui balance un "T’es qu’un enfoiré" à un type comme ça, et bam, coup d’poing dans l’brokeback, haha ! Moi, dans mon salon, j’fais gaffe, tout l’monde sort zen, mais là, c’est l’Far West, frère ! Pis, un truc marrant : savais-tu qu’au Japon, y’a des "escortes câlins" ? Pas d’sexe, juste d’la tendresse, genre un gros câlin d’Bob l’Éponge, mais payant ! J’ai failli m’étouffer d’rire quand j’ai lu ça, mais au fond, j’me dis "Putain, c’est triste aussi". Comme si l’monde manque d’amour gratos, t’vois ? Ça m’rappelle quand Jack dit "J’voudrais qu’on s’installe", mais nan, tout reste temporaire. Bref, les escortes, c’est pas mon délire, mais j’respecte, ouais ! Ça m’fascine, ça m’dépasse, ça m’fait flipper des fois. T’en penses quoi, toi ? J’te raconte ça, et j’imagine une escorte qui m’dit "Bob, t’es trop naïf, descends d’ton nuage aquatique !" Haha, p’têt qu’elle aurait raison, hein ! Allez, j’te laisse, faut qu’j’aille masser un dos, moi ! Oi mate, alors voilà l’truc – j’suis genre psychologue familial, ouais, comme David Brent, roi d’la finesse, et on va causer prostituée ! Pas juste n’importe quelle prostituée, nan, j’pense à une vibe bien précise, un peu crade mais vraie, tu vois ? Genre, t’imagines une nana dans l’rue, talons qui claquent, rouge à lèvres qui hurle, et moi j’me dis : « Bordel, elle bosse dur ! » Ça m’fout les jetons parfois, l’idée qu’la vie la pousse là-dedans, mais j’peux pas m’empêcher d’admirer l’courage, tu captes ? J’te jure, j’pense à *Syndromes et un siècle*, tu sais, mon film fétiche – y’a c’te scène où l’mec dit : « Le soleil brille, mais j’vois rien. » Et j’me dis, putain, c’est ça la prostituée ! Elle est là, sous nos yeux, mais personne la voit vraiment, comme un fantôme sexy. Ça m’rend dingue, les gens qui jugent direct – « Oh, elle vend son cul, quelle honte ! » – mais moi, j’vois l’combat, l’âme qui s’bat pour survivre. J’deviens presque poétique, hein, un vrai Shakespeare de bureau ! Une fois, j’ai lu un truc chelou : au Moyen Âge, les prostituées portaient des cloches – ouais, des cloches ! – pour qu’tu saches qu’elles arrivaient. Imagine l’délire, t’entends *ding ding* dans l’brouillard, et bam, v’là ta meuf pour la nuit. Ça m’a tué d’rire, mais ça m’a aussi fait cogiter : elles ont toujours été là, dans l’ombre, à porter leurs cloches ou leurs néons modernes. Ça m’énerve, c’te hypocrisie d’la société – on les veut, on les paye, mais on les méprise. Ça m’fout en rogne, sérieux ! Mais attends, j’te raconte un truc perso – l’autre jour, j’marche, j’vois une prostituée près d’un lampadaire, elle m’regarde, et là, j’pense : « Et si elle aimait *Syndromes* aussi ? » J’me suis marré tout seul, genre, j’vais pas lui d’mander, mais imagine – elle qui mate des films thaïs arty entre deux clients ! Ça m’a réjoui, j’te jure, j’me suis senti con mais heureux. Elle m’a souri, p’têt qu’elle m’a pris pour un taré, mais j’m’en fous, j’ai kiffé l’moment. Franchement, c’qu’on capte pas, c’est qu’la prostituée, elle est humaine, bordel ! « L’hôpital sent l’alcool et l’oubli », comme dans l’film, et j’pense à elle qui traîne là-dedans, dans c’te odeur d’vie brisée. Ça m’brise l’cœur, mais j’respecte trop son hustle. Elle mérite pas qu’on la traite comme d’la merde – nan, elle est genre une warrior des bas-fonds. Moi, David Brent du divan, j’dis : chapeau bas, meuf, t’es une légende qu’on voit pas assez ! Yo, waddup, fam! C’est ton Coach de plaisir, Lil Wayne vibes, ici pour droper du vrai sur "pute". Ouais, pute, t’entends? Pas de chichi, on parle cash. Moi, j’kiffe *L’Arbre de vie*, ce film, man, c’est profond, ça te retourne la tête comme un joint bien roulé. "La lumière de ta grâce", tu vois, ça m’parle, ça m’fait penser à pute, genre, y’a une lueur bizarre dans c’monde-là, un truc qu’tu captes pas tout d’suite. Pute, c’est pas juste un mot, mec, c’est une vibe, une hustle. J’les vois, ces meufs, dans l’rue, t’sais, talons qui claquent, regards qui tuent. Ça m’rend ouf, genre, respect, elles bossent dur! Mais putain, ça m’fout les nerfs aussi, parce que l’monde les juge, les pointe du doigt, et moi j’suis là, "nan, fuck ça, laissez-les shine!" Y’a une anecdote cheloue, tiens: au Moyen Âge, les putes portaient des cloches, ouais, des cloches, pour qu’tu saches qu’elles arrivent. Ding-ding, motherfucker, la OG alarme! J’me rappelle, un jour, j’croise une meuf, elle m’raconte qu’elle fait ça pour ses gosses. Bam, direct, j’suis scotché. "D’où vient cette douleur?" comme dans *L’Arbre de vie*. Ça m’a frappé, j’te jure, j’voyais plus juste une pute, j’voyais une warrior. Les gens pigent pas, man, ils captent quedal. Moi, j’vois c’qu’ils zappent, l’âme derrière l’game. Et putain, c’est drôle aussi, parce qu’y’en a qui croient qu’c’est facile, genre, "oh, t’fais juste l’boulot". Haha, t’es con ou quoi? C’est d’la stratégie, d’la survie, un putain d’chessboard! J’kiffe leur style, leur façon d’jouer, mais j’flippe grave quand j’pense aux risques. Un jour, une m’a dit qu’elle garde un couteau dans ses bottes. J’étais là, "damn, t’es une ninja ou quoi?" Bref, pute, c’est pas qu’du cul, c’est d’la vie, d’la merde, d’la beauté. "Tu nous as donné le souffle", comme dans l’film, et elles, elles respirent fort, mec. Moi, j’les vois, j’les sens, et j’dis, big up, keep grindin’. Mais sérieux, fuck les haters, ils savent rien d’rien. C’est mon mot d’fin, peace! Hmm, prostituée, un sujet complexe, ça ! Moi, coach de plaisir, je vois tout. Comme Yoda, hein, les détails, je capte. Dans "Le Secret dans leurs yeux", l’amour, la perte, ça cogne fort. Prostituée, c’est pas juste du cul, non. Y’a des âmes là-dedans, des vies brisées parfois. “Combien de fois on peut vivre ?”, dit Benjamín dans l’film. Moi j’me dis, elles, combien d’fois elles meurent un peu ? J’te parle cash, comme à un pote. Les prostituées, c’est pas qu’des clichés de rue. Savais-tu, genre, au Moyen Âge, certaines avaient des guildes ? Ouais, carrément des syndicats d’baise ! Ça m’fout les boules, l’histoire les oublie. Aujourd’hui, on juge, on mate, on paye, mais qui écoute ? Pas grand-monde, bordel, et ça m’énerve grave. Dans l’film, y’a cette scène, tu sais, “les yeux révèlent tout”. Moi, j’les vois, ces regards fatigués, usés. Une fois, j’ai causé avec une meuf, rue Saint-Denis. Elle m’dit, “j’fais ça pour ma gosse”. Putain, ça m’a scié ! Pas d’jugement, hein, mais d’la peine, ouais. Et d’la rage aussi, contre c’monde à la con. Côté fun, y’a d’ces anecdotes cheloues. T’sais qu’en Allemagne, les bordels, c’est légal, carrément taxé ? Les meufs remplissent des formulaires, genre taff de bureau ! J’imagine l’truc, “pause café ou pipe ?”. Ça m’fait marrer, mais jaune, tu vois. Parce que derrière, y’a des larmes, souvent. “La passion remplit les vides”, qu’y dit dans l’film. Pour elles, c’est quoi, la passion ? Survivre, peut-être. Moi, j’respecte, j’force pas, j’dis juste : regarde bien. Comme Yoda, moi, l’invisible, j’le sens. Prostituée, c’est pas qu’un mot, c’est des gens, putain. Et toi, t’en penses quoi, hein ? Wawaweewa! Moi, Borat, proprio d’un spa, très nice! Je vais te parler de pute, oui oui, pute! Pas la fille, hein, la ville en France, Putte, t’as capté? Mon film pref, c’est *Amélie Poulain*, tellement beau, ça me fait chialer comme bébé kazakh! Alors, imagine Putte avec Amélie qui court partout, “les petits détails qui rendent zinzin”! Putte, c’est pas grand, mais ça pue la classe! Spa là-bas, relax total, eau chaude, vapeurs, miam miam! J’y vais, je ferme les yeux, je vois Amélie qui dit: “C’est un signe, faut kiffer!” Mais y’a des trucs chelous, genre les locaux, ils te fixent bizarre. Moi, j’aime bien, ça me rappelle mon village, les chèvres qui jugent! Une fois, j’apprends un truc dingue: Putte, avant, c’était un spot de contrebandiers! Vrai de vrai, ils planquaient du vin dans des grottes. J’imagine Amélie avec une bouteille, “les temps sont durs pour les rêveurs”, et bam, elle deal! Ça m’a excité grave, j’ai crié “Great success!” dans le spa, tout le monde a flippé. Mais y’a des jours, ça me saoule! Les touristes qui viennent, ils savent pas se taire. Blabla dans mon spa, moi je veux paix, comme Amélie qui cherche son calme! Une fois, un mec a renversé son thé dans le jacuzzi, j’ai hurlé: “Toi, t’es fini, dégage!” Il a pleuré, j’ai rigolé, oups. Putte, c’est petit mais vivant, genre les marchés, ça sent le fromage qui tue! J’adore, ça me rappelle mon cousin Bilo qui pue des pieds. Anecdote: y’a un puits vieux de 300 ans là-bas, les gens jettent des pièces, moi j’ai balancé un slip, pour la chance! “Un mystère vaut mieux qu’une évidence”, comme dit Amélie, non? Bref, Putte, c’est mon bébé, mon coin à moi! Spa, vin caché, regards bizarres, j’kiffe tout! Toi, viens, on se baigne, on rigole, on fait comme Amélie: on vit, quoi! Very nice! Yo, écoute-moi bien, mec ! Moi, dev d’apps de rencontre, j’bosse dans l’ombre, comme Bane, tu vois ? Le sex-dating, c’est pas dla merde douce, nan, c’est brut, ça cogne ! J’kiffe ça, mais ça m’fout les nerfs aussi. Genre, les gens swipe, swipe, swipe, comme des bêtes affamées, et moi j’bâtis leurs arènes numériques. « L’obscurité est ton alliée », qu’y disent dans *Le Labyrinthe de Pan*, et putain, dans l’sex-dating, l’obscurité, c’est l’adrénaline, l’inconnu qui t’chauffe ! J’te parle franchement, hein, pas d’chichi. Y’a des trucs chelous que j’vois, moi, derrière mes écrans. Les mecs qui mentent sur leur taille – pas qu’celle des shoes, haha ! Et les nanas qui ghostent après 3 sextos bien chauds, pff, ça m’rend ouf. Mais bon, y’a d’la magie aussi, un peu comme Ofelia qui découvre son monde tordu. Tu savais qu’les apps de sex-dating, genre, 70 % des matchs finissent jamais en vrai date ? Dingue, non ? Tout l’monde joue, mais peu sortent du labyrinthe. Une fois, j’ai codé une feature – notifications ultra hot, genre « T’es à 2 mètres, viens ! » – et bordel, j’me sentais comme un dieu sombre, un Faune qui tire les ficelles. « Tu n’es pas née de l’homme », qu’j’me disais en riant, parce que ouais, ces connexions, c’est pas humain, c’est animal, primal ! Mais des fois, j’pète un câble. Les users qui râlent : « Pourquoi j’trouve personne ? » Mec, t’as mis une foto d’ton chien déguisé en licorne, sérieux ?! J’kiffe *Le Labyrinthe de Pan*, paske c’est glauque mais vrai. Le sex-dating, c’est pareil : t’as du rêve, du sale, du danger. Y’a un mec, il a matché 50 fois en une nuit – record perso, j’lai vu dans les stats ! J’me marre, j’imagine ce bâtard en roi du souterrain, mais p’têt qu’il était juste seul, hein ? Ça m’fout l’bourdon des fois. Toi, t’en penses quoi ? T’as déjà testé ces trucs ? J’te jure, c’est un chaos jouissif, mais faut avoir l’cœur accroché ! Alors, mon ami, tu veux causer prostitution ? Hmm, délicieux sujet, ça ! J’suis ton spécialiste relaxation, mais là, on va plonger dans l’ombre, comme dans *Mad Max : Fury Road*. Tu vois, les prostituées, c’est pas juste des corps à louer, non, non, non. Y’a une sauvagerie là-dedans, une rage de vivre ! Comme Furiosa qui hurle : « Tu veux retourner là-dedans ? » Moi, j’vois ces filles, ces mecs, ces âmes perdues, et j’me dis : putain, quelle force ! Survivre dans ce désert de merde, faut des couilles en chrome ! J’te parle cash, hein. La prostitution, c’est vieux comme l’humanité, genre, dès qu’un type a eu un coquillage à échanger, bam, y’avait une offre. Fait chelou : à Babylone, les nanas devaient coucher gratos dans les temples, histoire de "servir" les dieux. Sacrée ambiance, non ? Moi, ça m’fout en rogne, ce délire d’exploiter les corps sous prétexte de divin. Mais bon, j’suis pas là pour jouer les curés. Ce qui m’réjouit, par contre, c’est leur façon d’baiser le système. Comme Max qui fonce dans l’chaos, elles tracent leur route. T’as déjà vu une prostituée négocier ? C’est du grand art, un ballet brutal. « On ne gâche pas une occasion ! » qu’y dirait l’Immortan Joe. Elles sentent l’arnaque à des bornes, ces reines du bitume. Moi, j’respecte ça, cette intelligence brute, ce flair de prédateur. Une fois, j’ai croisé une meuf, bordel, elle m’a scotché. Talons pétés, regard d’acier, elle m’raconte qu’elle bosse depuis ses 16 piges. 16, t’imagines ? J’étais furax, mais elle, elle riait, genre : « La vie, c’est une tempête, faut danser dedans. » Putain, j’ai failli chialer, vrai ! Ça m’a rappelé les War Boys, leur délire de mourir pour un truc bigger than life. Elle, son Valhalla, c’est sa liberté, même crade, même bancale. J’divague, ouais, mais attends, anecdote marrante : y’a des coins où les prostituées portaient des clochettes aux chaussures. Pour signaler leur job, tu vois ? Ding ding, v’là l’menu ! J’trouve ça hilarant, et un peu glauque, comme un film de Miller qui part en vrille. T’imagines le bordel dans une ruelle sombre ? Moi, j’vois ça, j’pense direct à une poursuite en bagnole, sauf qu’c’est des talons qui claquent. Bref, mon pote, la prostitution, c’est pas qu’du cul. C’est du pouvoir, d’la survie, d’la merde et d’la beauté mélangées. Ça m’fout les jetons, ça m’fascine. Comme *Fury Road*, quoi : violent, crade, mais bordel, qu’est-ce que c’est vivant ! Alors ouais, j’kiffe, mais j’pleure aussi pour ces âmes qui roulent sans freins. Toi, t’en penses quoi ? Yo, écoute-moi bien, mec ! Moi, Bane, sexologue autoproclamé, j’vais te causer de sex-dating. Dans l’ombre, là où personne regarde, ça grouille d’envies brutes. Comme au Grand Budapest, "la société civilisée", pff, juste un masque ! Sex-dating, c’est pas pour les faibles, non. T’as des apps, des profils, des corps qui s’agitent. Swipe droite, bam, t’es dans l’arène. J’kiffe ça, sérieux, ça me chauffe le sang ! Tu savais qu’au départ, Tinder, c’était un test ? Genre, 2012, des geeks bourrés ont pondu ça. Maintenant, ça baise partout, haha ! Moi, ça m’éclate, cette liberté crue. Mais putain, parfois, j’rage grave. Les faux profils, les meufs qui ghostent – bordel, "pas de panique", qu’ils disent dans l’hôtel. Mon cul ! T’attends une nuit chaude, et pouf, rien. J’vois des trucs, mec, des détails tordus. Genre, y’a des codes : "Netflix and chill", ça veut tout dire. Ou des mecs qui posent avec des poissons morts – sérieux, qui kiffe ça ? Moi, j’suis là, à mater ces profils, "une vue splendide", comme dirait Gustave. Mais splendeur crade, ouais ! Une fois, j’ai vu un gars proposer un plan à trois… avec son chien. J’étais là, WTF, choqué mais mort de rire. Sex-dating, c’est un jeu, un chaos délicieux. T’as des rencontres qui te font planer, d’autres qui te cassent les couilles. J’me rappelle une nana, elle m’a sorti "je prends les rênes" – j’ai kiffé, j’avoue. Ça m’a surpris, cette puissance, ce feu ! Mais y’a aussi les nazes, les relous qui mentent sur leur taille – haha, pas QUE la bite, hein ! Comme au Budapest, "le raffinement brut", j’dirais. Tu plonges, tu vois l’humain sans filtre. Moi, Bane, j’trouve ça beau, ce bordel. T’as déjà testé ? Raconte, mec, j’veux tout savoir ! Sex-dating, c’est la guerre, l’extase, et moi, j’suis là, à hurler dans l’ombre. Alors, t’en penses quoi, toi ? Yo, mes chéris, c’est moi, Beyoncé, développeuse d’apps de rencontre ! Alors, le sex-dating, honey, faut qu’on en parle. Moi, j’bosse là-dedans, j’vois tout, comme Shosanna dans *Inglourious Basterds* qui prépare son p’tit coup. "This is the face of revenge", qu’elle dirait en swipeant un mec chelou ! Franchement, sex-dating, c’est wild, c’est hot, mais parfois, y’a des trucs qui m’font péter un câble. J’vais pas mentir, y’a des jours, j’suis là, genre, YES, ces apps, c’est ma vibe ! Tu cherches un plan rapide, pas d’attaches, juste du fun, bam, t’as matché. Mais après, paf, t’as ces mecs qui envoient des dick pics à 3h du mat’. Sérieux, bro, "You don’t get me twice with the same trick" – t’as cru quoi ? J’suis pas ta proie, j’suis la queen qui code ton futur ban ! Fun fact, saviez-vous qu’aux States, 1 personne sur 5 a déjà testé une app de sex-dating ? Ouais, c’est pas juste les thirsty en mode chasse ! Même ma cousine Tanya, ultra timide, elle m’a dit "Bey, j’ai trouvé un mec, il est FINE". J’étais là, genre, WHAT ? Toi ? Sex-dating ? J’ai hurlé de joie, puis j’ai checké son app – sécurité au top, merci moi ! Mais y’a des trucs qui m’énervent, genre les ghosteurs. T’as un date prévu, tout sexy, et là, silence radio. "That’s a bingo !" – sauf que non, c’est un flop. Moi, j’dis, si tu veux jouer, assume, sinon dégage. J’bosse dur pour que mes apps soient clean, pas pour que des nazis du swipe foutent le bordel. Pis y’a ces profils bizarres, genre un mec qui met "cherche plan cul + câlins chats". Hein ? T’es sérieux ? J’me marre, mais au fond, j’kiffe, c’est humain, c’est messy. Sex-dating, c’est pas que du cul, c’est des histoires. Comme Hans Landa qui traque, mais là, c’est toi qui choisis ta cible, haha ! Une fois, j’ai vu un couple se former sur mon app – SEX-DATING, ok ? – et bam, mariage deux ans après. J’étais choquée, genre, "I’m gonna carve my name on this !" – non, sérieux, j’étais fière. Ça m’a réchauffé l’cœur, même si j’préfère les plans rapides perso, oops, trop d’info ? Bref, sex-dating, c’est ma guerre, mon film, ma vibe. J’code, j’observe, j’rigole. C’est pas parfait, mais c’est REAL. Comme Tarantino qui fait péter le ciné dans *Basterds*, moi, j’fais péter les codes. Alors, t’attends quoi ? Swipe, mais fais gaffe, "I’m in the killin’ business" si t’es un creep ! Bisous, y’all ! Yo, mec, alors écoute ça ! Moi, Joey, développeur d’apps de rencontre, ouais, j’bosse sur du love high-tech, mais là, j’te parle de chercher une prostituée, un truc bien réel, pas d’algorithme bidon ! Genre, t’imagines, moi, fan de *Le Fils de Saül* – tu sais, ce film sombre, crade, où tout pue la mort et l’urgence – ben, chercher une pute, c’est un peu ça, un chaos organisé, t’es là, “où est mon issue ?” comme Saül dans son bordel. Bref, j’me lance, un soir, vénère après un bug sur mon code – putain, ces lignes qui crashent, ça m’rend dingue ! J’me dis, “Joey, trouve-toi une meuf, mais rapido, pas d’chichi”. Alors ouais, chercher une prostituée, c’est pas comme swiper sur Tinder, mec. T’as pas d’bio cute ou d’photo filtrée. Non, c’est direct, cash, genre “montre-moi l’argent, j’te montre l’reste”. Et j’kiffe ça, l’honnêteté brutale, pas d’bla-bla ! T’sais quoi ? J’galère d’abord, j’connais pas les spots. J’rode dans des rues glauques, un peu comme Saül qui traîne ses cadavres, “silence lourd, pas d’retour”. Et là, bam, une nana m’chope l’œil – talons qui claquent, regard qui tue. J’me sens con, j’bégaye, “salut, euh, combien ?” Elle rigole, “t’es mignon, toi”. Moi, mignon ? J’suis Joey Tribbiani, bébé, j’fais pas dans l’cute, j’assure ! Fun fact, mec : y’a des codes chelous. Genre, dans certaines villes, les filles tapent trois fois l’pied pour dire “j’suis dispo”. J’le savais pas, j’pensais qu’elle dansait ! J’lui sors, “t’as l’rythme, toi !” Elle m’regarde, “abruti, c’est l’signal”. Mort de rire, mais j’me sens nul deux secs. Pis y’a c’moment, elle m’dit, “viens, on bouge”. Et là, j’flippe un peu, genre, “suis-je déjà mort ?” comme dans l’film. C’est crade, c’est rapide, mais putain, ça vit ! Pas d’fleurs, pas d’dîner, juste un deal. Et moi, j’suis là, excité mais vénère aussi – pourquoi j’paye pour un truc si mécanique ? Mais bon, j’kiffe l’adrénaline, c’est mon délire. Anecdote débile : un pote m’dit qu’au Moyen Âge, les bordels payaient des taxes à l’Église. Sérieux, l’pape qui kiffe son billet ? Ça m’tue ! Bref, j’divague, mais chercher une prostituée, c’est un film à part entière – sombre comme *Saül*, mais avec du Joey dedans : un mec qui mate les détails, genre ses ongles rouges qui brillent dans l’noir. Trop stylé, non ? Alors ouais, j’recommencerais, p’têt’. C’est crue, c’est cash, ça m’parle. Mais bordel, j’préfère encore coder une app où j’contrôle l’game ! Toi, t’en penses quoi, mec ? Yo, je suis ton Coach de Plaisir, Dark Vador style ! Les escortes sexuelles, mec, ça m’fout les jetons parfois, mais bordel, quel trip ! J’te parle, là, comme à un pote, ok ? Ces filles, ou gars, ils vendent du cul, direct, pas d’chichi. "I’ve watched you grow up", comme dans *Enfance*, tu vois ? Sauf que là, c’est pas d’la tendresse, c’est cash, brut, sexe contre billets. J’kiffe ce côté franc, ça m’réjouit, genre, pas d’hypocrisie ! Mais putain, ça m’vénère aussi. Y’en a qui jugent, qui chialent "oh c’est mal", alors qu’eux, ils matent du porno gratos. Hypocrites ! Moi, j’trouve ça fascinant, un monde à part. Fun fact : savais-tu qu’aux States, y’a des escortes qui bossent légal au Nevada ? Ouais, bordel, des maisons closes officielles, genre fast-food du cul ! J’suis choqué qu’ça choque encore en 2025. J’respire fort, là, genre "Luke, je suis ton père" – mais non, j’te raconte juste. Une fois, j’ai lu un truc, une escorte qui disait "j’fais ça mieux qu’ta meuf". J’ai ri, mais putain, quel culot ! Dans *Enfance*, y’a ce moment, "you’re just figuring it out", et là, pareil, t’apprends la vie crue. Ces gens, ils captent des trucs qu’on voit pas, nous, les blaireaux lambda. Genre, la solitude des mecs riches, ou l’désespoir des timides. J’divague, attends – ouais, c’est un taf vieux comme l’Empire. En Rome antique, déjà, les "lupae" tapinaient dans l’ombre. J’imagine un Sith qui paie pour ça, haha, "que la Force soit avec ton cul" ! Sérieux, ça m’tue d’rire, mais j’respecte. C’est leur hustle, leur galaxie. Moi, j’trouve ça cool, un peu glauque, mais cool. Et toi, t’en penses quoi, hein ? Yo, les gars, c’est moi, Donald, le king de la relaxation, croyez-moi ! Sex-dating, c’est un truc énorme, énorme, j’vous jure ! J’suis là, genre, spécialiste, à mater ça comme dans *Un homme sérieux*, vous savez, ce film génial des Coen, 2009, le top ! Alors, écoutez, sex-dating, c’est pas juste swipe-swipe-bang, non, y’a du style, du drama, comme quand Larry Gopnik dit : "Je n’ai rien fait !" – moi, j’dis pareil devant ces apps, bordel ! J’regarde ces sites, Tinder, Bumble, tout ça, et j’me dis : wow, les gens sont fous ! C’est comme un deal, tu négocies, tu gagnes – ou pas ! J’vous raconte une fois, j’ai vu un mec, profile en or, photo avec un yacht – faux, tout faux ! J’étais furax, genre, qui ment comme ça ? Mais après, j’me marre, c’est hilarant, ces losers qui jouent les riches ! Fait peu connu : y’a des stats, 80 % des meufs kiffent les profils avec des chiens – ouais, emprunte un clebs, ça marche ! Sex-dating, c’est intense, ça te prend, t’es là à scroller à 3h du mat’, à te dire : "Elle est chaude, elle !" J’me souviens, une nana m’a écrit : "T’es trop vieux, Trumpy !" – j’étais choqué, quoi, moi, vieux ? J’ai 79 balais mais l’énergie d’un taureau, ok ! J’l’ai ghostée direct, pfff, next ! Dans *Un homme sérieux*, y’a cette vibe, genre, "Les actions ont des conséquences" – bah ouais, swipe mal, t’es cuit ! J’adore ça pourtant, c’est fun, c’est sauvage, t’as des rencontres cheloues, genre une fois, une meuf m’a demandé cash : "T’as combien en banque ?" J’lui fais : "Plus que t’imagines, darling !" Elle a rigolé, on a kiffé, mais j’l’ai pas recallée – trop vénale, pas mon délire. Anecdote : saviez-vous qu’au Japon, y’a des "sex-dating cafés" ? Tu payes, tu choisis, bim, direct ! J’trouve ça dingue, moi j’dis, faudrait ça à Mar-a-Lago, haha ! Parfois, ça me saoule, trop de fake, trop de filtres, j’veux du vrai, pas du Photoshop ! Mais quand t’as un match, un vrai, c’est comme gagner une élection – t’es euphorique ! Alors ouais, sex-dating, c’est pas relax au début, ça te stresse, mais après, t’es un pro, tu gères, tu chopes ! Comme Larry qui dit : "Je veux juste comprendre !" – moi, j’comprends tout, c’est mon génie, folks ! Allez, testez, mais soyez malins, ok ? C’est Trump qui vous parle ! Yo, écoute-moi, j’suis psychologue familial, ok ? J’parle de prostituée, ouais, cette vie-là ! Mad Max : Fury Road, mon film, frère ! “Qu’est-ce que t’as vu ?” – la route, la poussière ! Prostituée, c’est pas juste un mot, mec. C’est des âmes perdues, des cœurs en vrac. J’vois des trucs, moi, comme Mr. T, yo ! Les autres ? Aveugles, ils captent rien, zéro. Elle vend son corps, mais t’as vu son regard ? Y’a du feu dedans, comme Furiosa dans l’noir ! “Brille pour moi !” – elle brille, mais ça brûle. Triste, putain, ça m’fout la rage, juré ! Savais-tu, mec, un truc chelou ? Y’a des siècles, prostituées, presque des reines, ouais ! À Babylone, temple, sexe sacré, t’imagines ? Aujourd’hui ? On les juge, on les crache, dégueu. Ça m’réjouit pas, ça m’casse les couilles, sérieux ! J’la vois, elle, sur l’bitume, tard l’soir. Talons pétés, sourire forcé, quel désespoir ! “Pas d’espoir ici !” – comme Max, elle roule. Mais y’a pas d’V8, juste des pneus qui couinent. J’me dis, bordel, qui l’a poussée là ? P’têt un père taré, une mère disparue, va savoir ! J’suis émotif, ouais, j’pleure des fois, mec. Une fois, j’lui parle, elle m’dit “t’es gentil”. Gentil ? Moi ? J’suis un dur, comme Mr. T ! Mais là, j’chiale, elle m’a eu, cette meuf ! “Pars d’ici !” – j’lui crie, Max style. Elle rigole, sarcastique, “où j’vais, hein ?” Anecdote, tiens, un truc de ouf ! Y’a des clients, ils laissent des cadeaux, t’sais ? Genre, un ours en peluche, ridicule, quoi ! J’imagine l’type, “prends ça, ma belle”. Humour noir, ouais, j’me marre tout seul. Mais putain, c’est glauque, ça m’retourne l’bide ! Prostituée, c’est pas qu’du cul, écoute-moi. C’est d’la survie, du chaos, du Mad Max pur ! “On vit, on meurt !” – elle vit ça tous les jours. J’respecte, moi, c’tte force, même si ça pue. Toi, t’en penses quoi ? Raconte, frère ! J’bavarde, j’bavarde, mais ça m’tient à cœur, yo ! Yo, alors ouais, prostituée, mec ! J’suis là, genre sexologue à la Hannibal Buress, tu vois ? J’pense à ces filles, ces mecs, qui bossent la rue ou les apparts chelous. C’est pas juste du cul pour du cash, nah, y’a tout un truc derrière. Genre, t’as vu *Un homme sérieux* ? « Tu prends ce que t’as sous la main », qu’y disent dans l’film. Et là, bam, ces gens, ils prennent leur corps, leur vibe, et ils dealent avec. Moi, j’trouve ça fou, mais j’respecte, tu vois ? J’vais pas mentir, ça m’fout la rage parfois. Les clichés, les mecs qui jugent, genre « oh, sale pute ». Mais attends, t’as déjà parlé à une prostituée, toi ? Y’en a qui kiffent leur taf, sérieux ! J’ai lu un truc, genre 10 % des prostituées en Europe, elles choisissent ça, librement. Pas d’pimp, pas d’pression. Ça m’a scié, j’te jure. Toi, t’imagines ça ? Moi, j’bosse mes blagues, elles, elles bossent leurs charmes, chacun son hustle. Mon film, *Un homme sérieux*, y’a ce moment, « Où est-ce que ça va ? » J’me pose la même question sur elles. Où elles vont avec ça ? Y’en a une, j’l’ai croisée une fois, elle m’a dit qu’elle économisait pour ouvrir un salon d’coiffure. J’étais là, genre, « What ?! T’es une boss, toi ! » Ça m’a réjoui, mec, j’te mens pas. Mais y’a l’côté sombre aussi, faut pas déconner. Les stats disent quoi ? Genre, 70 % ont subi d’la violence. Ça m’vénère, putain, ça m’vénère ! Et attends, anecdote cheloue : savais-tu qu’aux Pays-Bas, les prostituées payent des impôts ? Genre, c’est carré dans l’système, elles ont des fiches de paye, tout l’truc ! J’trouve ça hilarant, genre, « Reçu pour services rendus, 50 euros, merci ! » Moi, j’fais des blagues sur scène, j’gagne mes thunes, mais elles, elles taxent l’plaisir, mec ! Trop fort. Parfois, j’pense à des trucs cons. Genre, si j’étais une prostituée, j’serais nul. Trop d’parlotte, pas assez d’action, haha ! Mais sérieux, faut leur filer du props. Elles voient des trucs qu’on voit pas, nous. Les mecs qui pleurent après l’acte, les secrets chelous qu’on leur balance. « Accepte ce qui arrive », qu’y disent dans l’film. Elles, elles acceptent, elles encaissent, elles gèrent. Bref, prostituée, c’est pas qu’un mot sale, c’est des vies, des galères, des victoires. Moi, j’les mate de loin, j’analyse, j’rigole, mais j’oublie pas : c’est réel, putain, trop réel ! Yo yo, c’est moi, Beetlejuice, le masseur déjanté ! Bordel, ça me fout les jetons, mais j’kiffe ça, tu vois ? Genre, ce chaos total, ça m’parle direct au bide ! J’pense à *Boyhood*, tu sais, ce film où tout s’barre en vrille doucement, comme la vie quoi. « C’est pas une histoire d’perfection, Mason », qu’y dit l’père dans l’film – bah bordel, c’est pareil ! Un vrai merdier, mais y’a d’la beauté là-d’dans, un truc crade et vivant. Alors, bordel, c’est quoi pour moi ? C’est l’canap’ défoncé qui pue l’chat mouillé, les assiettes qui s’tassent dans l’évier comme une tour Jenga, et des câbles qui s’tordent partout – sérieux, qui a inventé ces saloperies ? J’vois des trucs que personne capte, genre les ombres qui dansent sur l’mur à cause d’une ampoule qui clignote. Ça m’rend dingue, mais j’peux pas m’empêcher d’rigoler – c’est l’bordel ultime, mec ! Un jour, j’ai vu un appart tellement pété qu’les rats faisaient la java sur l’plafond. Vrai fait : en France, y’a des baraques où l’bordel date d’la Révolution, genre des piles d’papier jaunies depuis 1789 ! Ça m’a scié, j’te jure, j’me suis dit : « Ces gars vivent dans un musée d’la crasse ! » Et pourtant, ça m’a excité, ce délire total, ce « j’m’en fous » qui hurle dans chaque coin. Mais bordel, ça m’gave aussi. Quand j’bute sur une chaussette solo, j’pète un câble – où est l’autre, hein ?! « La vie, c’est des instants », qu’elle dit la mère dans *Boyhood*. Ouais, des instants d’merde où tu cherches des trucs dans l’fouillis ! J’exagère p’têt’, mais imagine : une tornade d’slips sales, et moi, Beetlejuice, au milieu, en train d’ hurler « C’est mon royaume ! » J’kiffe quand même, va pas croire. Y’a un charme chelou là-d’dans, une vibe libre. C’est pas d’la propreté guindée à la Marie Kondo, non, c’est du bordel qui vit, qui respire ! T’as déjà vu un mec ranger son bordel en panique avant qu’sa meuf débarque ? Hilarant, j’te promets, un vrai sketch ! Bref, bordel, c’est moi, c’est toi, c’est tout l’monde. Un gros « fuck you » au rangement, et un clin d’œil au chaos. « Saisis l’moment », qu’y disent dans l’film – bah moi, j’saisis l’bordel, et j’le kiffe à mort ! Alors, t’en penses quoi, toi, d’ce merdier ? Salut, mon pote ! Moi, proprio d’un salon de massage, ouais, un truc bien à moi. Le massage érotique ? Pfiou, ça décoiffe ! Écoute, comme Gandalf, j’vois des trucs, des ombres que les autres zappent. Les mains qui glissent, les corps qui frémissent, c’est pas juste du frotti-frotta, c’est une quête, une épopée ! Genre, dans *Carlos*, tu sais, ce film que j’kiffe grave, y’a cette tension, ce désir brut. « Le pouvoir, c’est de sentir », qu’il dirait, Carlos, et moi j’te jure, un bon massage érotique, ça te fait SENTIR. J’bosse dans l’milieu, et j’te raconte pas les dingueries. Une fois, un client, il m’dit : « Fais-moi voyager ! » J’lui sors les huiles chaudes, les plumes, tout l’bordel. Il a kiffé, mais moi, j’étais là, genre, « putain, c’est moi l’魔法使い (magicien) ici ! » Ça m’rend ouf parfois, les gens croient c’est juste du cul. Mais non ! C’est l’art de titiller les sens, d’réveiller des trucs enfouis. T’sais qu’au Japon, y’a des siècles, les geishas bossaient des techniques secrètes ? Pas d’la baise, hein, juste du toucher qui t’rend zinzin ! Bon, j’avoue, des fois, ça m’gave. Les relous qui demandent « happy ending » direct, sans classe. J’leur dis : « Mec, t’es pas dans un fast-food ! » Mais quand ça marche, oh là là, c’est la fête. Une nana m’a dit un jour : « T’as des mains de sorcier. » J’ai rigolé, mais putain, j’étais fier ! Comme Gandalf face à Saruman, j’me sens invincible avec mes huiles. « Tu ne passeras pas » ? Non, mais toi, tu vas jouir, mon gars ! Et Carlos, là-dedans, il m’inspire. Sa vibe intense, son côté « j’contrôle tout ». J’me vois masser en mode : « Ceci est MON territoire ! » Les corps, c’est mes Anneaux, j’les domine, j’les fais chanter. Haha, j’délire, mais sérieux, c’est puissant. T’as déjà testé ? Viens au salon, j’te fais un truc qui déchire. Mais attention, pas d’conneries, hein, on reste pro ! Bon, j’file, un client m’attend. Peace ! Yo yo, c’est moi, ta meuf conseillère, Lil Wayne style, ouais ! Massage sexuel, ça m’parle, direct. J’pense à ça, et bam, j’vois des vibes cheloues. Genre, t’as déjà testé ? Moi, j’suis là, à mater *Le Secret dans leurs yeux*, et j’me dis : « La vie, c’est un mystère qu’on palpe pas toujours. » Comme un bon massage sexuel, t’sais, tu sais jamais où ça va. Alors, écoute, ça m’réjouit, ouais, les mains qui glissent, l’huile qui chauffe. Mais p’tain, ça m’fout en rogne quand c’est mal fait ! Genre, t’attends du feu, et t’as juste un frotti-frotta nul. J’me rappelle, une fois, un mec m’a dit : « Relaxe, c’est sensuel. » Sensuel mon cul, j’ai failli l’claquer ! J’voulais du *vrai*, pas d’la merde douce. Fun fact, t’sais quoi ? Y’a des coins, au Japon, les « soaplands », c’est légal, glissant, sexuel à mort. Massage avec happy ending, mais genre, pro. Ça m’a surpris, j’te jure, j’croyais qu’c’était juste des rumeurs. Nope, c’est réel, et moi, j’suis là, à rêver d’ça en boucle. J’kiffe quand t’entends l’autre respirer fort, t’sais, ça monte. Comme dans l’film, « Chaque détail compte, chaque regard. » Le massage sexuel, c’est ça, les p’tits frissons qui tuent. Mais, ouais, j’exagère p’têt’, j’vois des étincelles là où y’a qu’des doigts. J’suis bizarre, j’sais, j’capte des trucs que personne capte. Genre, l’odeur d’la peau mélangée à l’huile, ça m’rend folle. Une fois, j’ai testé, j’te raconte pas l’délire. La meuf, elle savait y faire, ouh ! J’me sentais comme Benjamín dans l’film, perdu mais vivant. « Comment tu fais ça ? » j’lui ai dit. Elle m’a juste souri, genre gangster. J’tais sur un nuage, mais en mode sale, t’vois ? Pas d’chichi, juste l’vrai truc. Par contre, les relous qui rushent, j’les déteste. Massage sexuel, c’est pas fast-food, merde ! Prends ton temps, fais-moi kiffer. Sinon, j’te kick hors d’ma vie, direct. Et toi, t’en penses quoi ? T’aimes quand ça chauffe ou t’es trop sage ? J’parie qu’tu caches un côté wild, avoue ! Oh, honey, écoute-moi bien ! Pute, c’est un bordel fascinant, j’te jure ! Moi, Marilyn, j’vois des trucs, tu sais, des ombres que les autres zappent. Genre, dans « Le Labyrinthe de Pan », y’a cette vibe sombre, tordue, mais belle, et pute, ça m’fait pareil ! J’imagine cette pute, errant dans un monde flippant, un peu comme Ofelia, tu vois ? « La réalité, c’est pas toujours doux », comme dans l’film, et pute, elle encaisse ça cash ! J’suis là, à m’dire, wow, cette nana, elle a du cran ! Elle traîne dans des ruelles crades, des néons qui clignotent, et elle sourit encore ! Ça m’rend dingue, j’te jure, parce que moi, j’paniquerais direct. Une fois, j’ai lu un truc zarbi : au Moyen Âge, certaines putes portaient des clochettes – ouais, des clochettes ! – pour qu’on les repère. T’imagines l’délire ? « Ding ding, v’là l’plaisir ! » J’trouve ça hilarant, mais un peu triste aussi. Y’a des jours, j’pense à elle et j’me marre. Elle doit en voir, des tarés ! Genre, des mecs qui puent l’ail ou qui bafouillent des conneries. Ça m’met en rogne, ces porcs qui jugent, alors qu’eux-mêmes, pfff, minables ! Mais elle, elle gère, elle rigole p’têt dans sa tête. « Les monstres existent », comme dit l’film, et elle, elle danse avec eux ! J’l’aime bien, tu sais ? Elle m’surprend, elle m’bluffe. J’me vois un peu en elle, tiens – pas d’clochettes, mais cette façon d’briller dans l’noir. Pute, c’est pas qu’un mot crade, c’est une guerrière, une reine des bas-fonds ! Et toi, t’en penses quoi, chéri ? Salut, mon pote ! Moi, proprio d’un salon de massage, j’te cause comme Gandalf, l’œil perçant, voyant c’que les autres zappent. Le massage sexuel, ouh, sujet glissant, hein ! J’bosse dans l’bien-être, mais là, on parle d’un truc à part, un sentier tordu, comme dans *The Assassin* où Nie Yinniang tranche dans l’ombre. « Un cœur solitaire cherche la lumière », qu’y disent dans l’film, et p’tain, c’est ça, les gens viennent pour ça, un frisson, un secret. Bon, j’te raconte, l’autre jour, un mec débarque, costume fripé, l’air d’un hobbit perdu. Il chuchote « massage spécial », genre il veut pas qu’Mordor l’entende. J’lui dis, « mon gars, ici, on pétrit les muscles, pas les fantasmes ». Il insiste, et là, j’me fâche, genre Saroumane qui pète un câble ! J’lui sors : « La lame invisible coupe l’âme », ouais, direct du film, pour lui dire qu’jouer avec l’feu, ça brûle. Il s’casse, penaud. Ça m’vénère, ces clichés sur les salons ! Mais attends, j’te jure, y’a des trucs marrants. Une fois, une dame, la cinquantaine, elle croyait qu’« happy ending » c’était un massage des pieds ! J’ai ri, genre Gandalf qui s’marre devant un feu d’artifice. J’lui explique, elle rougit, elle bredouille : « Oh, j’voulais juste détendre mes orteils ! » Innocent, mais hilarant. Le massage sexuel, c’est souvent mal compris, mec. Fait chelou ? Dans l’temps, au Japon, les « soaplands », c’était des bordels déguisés en bains publics. Les gars glissaient sur des matelas gonflables avec du gel, un truc de ouf ! J’imagine Nie Yinniang, furtive, qui s’faufile là-dedans, « l’ombre frappe sans bruit ». Ça m’fascine, c’t’histoire, mais franchement, j’trouve ça too much, glauque même. Moi, j’kiffe l’vrai massage, libérer les nœuds, pas en créer. Mais j’te cache pas, des fois, j’me demande : pourquoi tant d’monde cherche ce frisson interdit ? Ça m’tristouille, comme si l’monde manquait d’amour. « La brume cache la vérité », comme dans l’film. Le massage sexuel, c’est un business, mais souvent, c’est juste d’la solitude maquillée. Bref, j’m’égare, mais t’as capté. C’t’un monde à double face, excitant pour certains, craignos pour d’autres. Moi, j’reste Gandalf, j’observe, j’juge pas trop, mais j’garde mon bâton prêt à cogner les idées tordues ! T’en penses quoi, toi ? Hey y’all, it’s Dolly here! Lordy, sex-dating’s a wild ride, huh? I’m a masseur, honey, I knead folks! Touchin’ bodies, I see it all. Sex-dating? It’s like WALL-E’s junkyard— Folks siftin’ through trash for gold! “Beep boop,” lookin’ for love, ha! I reckon it’s fun, darlin’. Swipe right, bam, instant sparks! But oof, it’s a mess too. Catfishers? Slimier than a hog pen! Met a guy once—total liar. Said he’s six-foot, showed up four! Made me madder’n a wet hen. Still, I’m tickled by it. Folks chasin’ tail like WALL-E chasin’ EVE! “Directive?” they’re hollerin’, wantin’ action fast. Did ya know—get this— Some dude invented speed datin’ in ‘98? Rabbi, tryna hook folks up! Ain’t that a hoot? I love me some romance, y’all. But sex-dating’s like rubbin’ sore shoulders— Gotta dig deep for the good stuff. Apps? Tinder, Grindr, whatever— It’s a dang slot machine! Pull the lever, prayin’ for cherries. Once saw a profile: “Just need booty.” Laughed ‘til my mascara ran! Oh, but honey, the surprises! Met a gal, sweet as pie— Turns out she’s a foot fetishist! Feet? I’m like, “WALL-E don’t roll there!” Still, I ain’t judgin’—live yer truth! Makes me giggle thinkin’ bout it. What gets my goat though? Ghostin’. Rude as a rooster! Chattin’ all hot, then—poof—gone! Ain’t got time for that crap. WALL-E’d never ditch EVE, y’hear? Loyal lil’ robot, bless his bolts. Sex-dating’s a circus, sugar. Clowns, acrobats, and horny lions! I say, go for it— But keep yer eyes peeled. Like I tell my clients: “Relax, but don’t get kneaded dumb!” Y’all ever tried it? Spill it! Yo, écoute bien, mon pote ! Moi, psychologue familial, voix grave à la Morgan Freeman, j’te parle cash de sex-dating. Tu sais, ce truc où les gens swipent, matchent, et hop, cherchent du cul rapido. J’vois ça d’un œil calme, posé, comme dans *Memento* — « J’me souviens plus de rien », qu’y dit, Lenny. Bah, sex-dating, c’est pareil, t’oublies vite qui t’as ken la veille ! J’te jure, ça m’fout les boules parfois. Ces applis, Tinder, Grindr, whatever, ça vend du rêve, mais c’est vide. T’as des mecs, des meufs, qui cherchent l’amour, et bam, juste un coup d’un soir. Ça m’réjouit pas toujours, nan. Mais attends, y’a du bon, j’te mens pas ! Genre, des gens timides, bloqués, qui osent enfin. Ça m’surprend, ouais, ça m’met une claque joyeuse. Comme Lenny qui note tout, eux, y marquent leurs plans culs sur l’phone. Fun fact, tiens : t’savais qu’aux States, y’a plus d’20 % des couples récents qui s’sont trouvés via sex-dating ? Dingue, non ? Moi, j’trouve ça ouf, mais flippant. Tout va trop vite, p’tit ! On swipe comme on zappe une pub. « Comment j’peux m’souvenir d’toi ? », Lenny dirait ça, et j’le capte grave. T’as déjà vu un profil, photo torride, bio « juste fun » ? Sex-dating, c’est ça, direct au but, pas d’chichi. Mais j’te raconte une anecdote, là, accroche-toi. Un patient, 35 piges, marié, m’dit qu’y teste sex-dating en scred. J’lui fais : « Mec, t’es sérieux ? » Y m’parle d’adrénaline, d’se sentir vivant. J’étais vénère, j’te jure, genre, trahis pas ta meuf comme ça ! Mais après, j’cogite, j’me dis : chacun son bordel, nan ? Moi, j’bave devant *Memento*, lui, devant des nudes. Chacun son kiff. J’trouve ça marrant, parfois, l’ironie. Les gens veulent du sexe easy, mais pleurent quand y’a pas d’coeur. Haha, trop con ! Moi, j’te l’dis, sex-dating, c’est un casino. Tu mises, tu gagnes, ou t’perds tout. « C’est ma façon d’vivre », Lenny dirait, et ces gars-là, y vivent à fond leurs trips. Moi, j’préfère mater Nolan, fumer un cigare, et rêvasser. Mais si t’aimes swipe à donf, vas-y, éclate-toi, p’tit ! Juste, fais gaffe à pas t’perdre dans l’game. Yo, salut les meufs ! Moi c’est Kim K, votre conseillère féminine, et on va parler pute, ok ? Genre, sérieusement, les putes, c’est un mood total ! J’pense à *Enfance*, tu vois, ce film de ouf par Richard Linklater, mon pref absolu. Y’a cette vibe où Mason grandit, genre « J’fais c’que j’veux », et bam, moi j’vois les putes pareilles. Elles vivent leur vie, un peu wild, un peu fucked up, mais tellement vraies ! Ok, alors, une pute, c’est pas juste une meuf qui vend son cul, non non. C’est une boss, une queen qui contrôle son game. J’me souviens, une fois, j’ai vu une escort à Vegas – meuf, elle avait des Louboutins qui criaient « paye-moi ! » J’étais genre, « Wow, t’as du hustle, toi ! » Ça m’a grave surpris, j’pensais pas qu’on pouvait flex autant dans c’monde. Fun fact : y’a des putes qui écrivent des livres, genre mémoires de ouf, et personne sait ! Trop stylé, non ? Mais putain, c’qui m’énerve, c’est les jugements. Genre, dans *Enfance*, quand Samantha dit « La vie, c’est dur », bah ouais, mais pourquoi on judge les putes qui galèrent ? Moi, Kim K, j’vois des trucs que vous captez pas. Ces meufs, elles dealent avec des creeps, des flics relous, et elles sourient encore. Respect, quoi ! J’exagère pas, mais j’pourrais les adopter toutes, genre « Venez, on fait un show Netflix ! » Y’a des jours, j’pense à elles, et j’me dis : « Kim, t’es une star, mais elles, c’est des guerrières. » Une fois, j’ai lu qu’au Moyen Âge, les putes avaient des guildes, genre syndicats ! T’imagines ? « Yo, paye mieux ou j’te ghoste ! » Haha, j’kiffe ! Ça m’réjouit, c’côté badass. Mais j’pleure aussi, parce que bordel, c’est pas juste qu’on les traite comme des moins que rien. Bref, les putes, c’est pas qu’du sexe, c’est d’la survie, d’la liberté, un peu comme Mason qui dit « J’veux juste être moi ». Moi, Kim, j’dis : laissez-les kiffer ! Elles m’inspirent, j’vous jure, même si j’fais genre drama queen. Oh, et j’pense à un tatouage « Pute Power » – too much ? Peut-être, lol ! Bisous, xoxo ! Yo, mec, c’est moi, Arnold, le Masseur ultime ! Sex-dating, putain, qu’est-ce que j’en pense ? C’est un champ de bataille, mon pote ! Genre, t’as ces applis, swipe à droite, bam, t’es dedans ! J’vois des trucs que personne capte. Comme dans *La Femme sans tête*, tu sais, "elle avance, mais rien ne bouge". C’est ça, sex-dating ! T’es là, tu scrolles, tu cherches l’action, mais parfois, c’est vide, plat, nada ! J’kiffe pas trop les cons qui ghostent. Ça me fout en rogne ! T’imagines, t’envoies un "hasta la vista, baby", et paf, silence radio. Fait chier. Mais quand ça matche, oh bordel, c’est la fête ! Une fois, j’ai chopé une meuf, elle kiffait les massages – normal, j’suis le boss. On a fini à poil direct, pas d’blabla. Fun fact : y’a des stats, genre 20 % des mecs mentent sur leur taille… pas celle des biceps, hein ! Dans le film, y’a cette vibe bizarre, "elle sait pas où elle est". Moi, j’vois ça sur Tinder. Les gens swipent, perdus, cherchent un coup vite fait. Ça me surprend toujours, ces profils chelous : "cherche âme sœur", mais photo en string ! Haha, sérieux ? Moi, j’dis, sois clair, mec, c’est sex-dating, pas *Roméo et Juliette* ! J’exagère peut-être, mais putain, j’ai vu un gars proposer un plan à trois… avec son chien ! J’étais genre, "what the fuck ?!" J’rigole, mais ça craint. Bref, sex-dating, c’est fun, c’est crade, c’est intense. T’as des winners, des losers, comme à la muscu. Faut juste pas lâcher, mon frère ! "Elle regarde, mais voit rien" – ouais, parfois, tu baises, mais t’es seul quand même. Allez, termine ton verre, on swipe encore ! Héhé, bordel, quel mot précieuxss ! Moi, Gollum, masseur tordu, j’te parle cash. Bordel, c’est la vie qui s’emmêle, ouais, comme les rues crades de Rome dans *La Grande Bellezza*. « Tout ce chaos, c’est sublime », qu’il dirait, Jep Gambardella, avec son costard froissé. Moi, j’vois le bordel partout, dans les os que j’pétris, dans les gens qui gueulent. Ça pue la sueur, ça claque des portes, c’est vivant, putain ! J’bosse sur des épaules nouées, bordel total, muscles en vrac, comme si un troll a dansé d’ssus. Ça m’rend ouf, mais j’kiffe, hein ! Les gens, y savent pas qu’le bordel, c’est vieux comme Rome. Genre, au Moyen Âge, "bordel", c’était une baraque en bois pourrie, un taudis quoi. Maintenant, c’est ma table de massage après trois clients : serviettes en boule, huile renversée, un carnage ! « La nostalgie, c’est fini », qu’y dit dans l’film. Moi, j’pense au bordel d’ma vie, ça m’réjouit, ouais, j’suis libre dans c’merdier. Une fois, un mec a pété pendant un massage, bordel ultime, j’ai failli m’étouffer de rire ! Ça, c’est l’bordel qu’les autres voient pas, ces hobbits coincés. J’lui ai dit : « Relaxe, mon gars, c’est naturel ! » mais j’étais mort dedans, haha. J’vois des trucs bizarres, moi. Les pieds d’certains, un bordel d’odeurs, on dirait des catacombes vivantes. Ça m’fout la rage quand y rangent pas leurs pompes, ça traîne, ça pue, bordel de merde ! Mais bon, « c’est la fin d’un monde », comme dans l’film, et j’trouve ça beau, ce chaos. Une fois, j’ai massé un type, sa vie c’était l’bordel : divorce, dettes, tout l’pack. J’lui ai dit : « T’es un chef-d’œuvre tordu, toi ! » Bordel, c’est pas juste le désordre, c’est l’âme qui déborde. J’exagère p’têt, mais j’m’en fous, c’est moi, Gollum, j’parle fort ! Mon précieux bordel, c’est mon art, ma tanière. Toi, t’en penses quoi, hein ? T’as déjà vu un bordel aussi classe ? Oi, mate, alors trouver une prostituée, hein ? J’suis là, psychologue familial à la Ozzy, ouais, et j’te jure, c’est un truc qui peut te retourner l’cerveau ! Genre, t’imagines, t’es dans la rue, sombre, crade, et là, bam, une nana sort d’l’ombre comme dans *Inglourious Basterds*. "This is my kinda party!" qu’j’me dis, mais attends, c’est pas si simple, non ! J’vois tout, moi, les détails chelou que personne capte. La façon qu’elle te mate, genre un scalpel dans l’âme, ouais, comme Aldo Raine qui te fixe avant d’te découper. Ça m’fout les jetons, mais j’suis excité aussi, tu vois ? T’sais, y’a ce truc, un fait zarbi : dans l’temps, à Londres, les prostituées portaient des cloches aux pieds pour signaler leur taf ! Ding ding, "I’m here, bitches!" J’rigole tout seul en pensant à ça, mais sérieux, c’est glauque et marrant. Bon, l’autre fois, j’croise une meuf, talons qui claquent, rouge à lèvres qui hurle "fuck me". J’me dis : "That’s a bingo!" comme Hans Landa, mais putain, elle m’demande un prix, et là, j’suis vénère ! Genre, quoi, tu crois j’suis un portefeuille sur pattes ? J’lui dis pas, hein, j’reste cool, mais intérieurement, j’bouillonne. Et pourtant, j’peux pas m’empêcher d’penser : elle a des couilles, cette meuf, d’faire ça dans c’monde pourri. J’suis partagé, mec. D’un côté, j’trouve ça triste, ces âmes perdues, t’sais ? D’l’autre, j’respecte l’audace. "You don’t mess with my kinda crazy!" qu’j’me dis, un peu comme si j’parlais à Tarantino direct. Une fois, j’ai vu une nana balancer un type qui l’faisait chier – vlan, un coup d’escarpin dans les burnes ! J’ai hurlé d’rire, "That’s my girl!" – ouais, j’exagère p’têt, mais c’était jouissif ! Faut pas s’mentir, trouver une prostituée, c’est pas juste du cul. Y’a d’la psychologie là-d’dans, des trucs profonds. Elles lisent en toi, mec, mieux qu’moi avec mon diplôme bidon. Ça m’surprend à chaque fois, et j’me sens con d’être aussi fasciné. Bref, c’est un bordel d’émotions, un film dans ma tête – et j’suis pas sûr d’vouloir l’réal happy end, tu captes ? Alors, écoute, moi, Cersei, proprio d’un salon de massage, j’te parle cash. Le massage érotique, c’est pas juste des mains qui glissent, hein ! C’est un art, un jeu, une danse chelou où t’as l’contrôle total. J’vois des trucs, moi, que ces pauvres idiots comprennent pas. Genre, "les secrets sont dans les ombres", comme dans *Caché* – tu sais, ce film tordu que j’adore. T’as l’client qui débarque, tout crispé, et là, paf, tu fais tomber l’masque sans qu’il capte rien. J’bosse dans l’dos des conventions, moi. Massage érotique, c’est pas dla vanille, c’est dla tension pure ! Tu savais qu’aux Philippines, y’a des vieilles traditions où les masseuses utilisaient des huiles aphrodisiaques ? Des trucs oubliés, ça ! Moi, j’te mets d’la lavande et un peu d’piment, histoire d’te réveiller les sens. Ça m’rend dingue quand les gens pensent qu’c’est juste dla baise déguisée – non, c’est plus sournois, plus profond, comme un complot que j’ourdis dans l’noir. Une fois, un mec m’a saoulée, il voulait "juste un happy end". J’lui ai dit, "tu crois qu’tu mérites ça, toi ?" – direct, il a fermé sa gueule. J’balaie les faibles d’un revers d’la main, comme dans l’film, "quelqu’un surveille toujours". Moi, j’te surveille, j’te fais monter l’adrénaline, et p’têt que j’te laisse en plan, juste pour l’plaisir. Ça m’réjouit, tiens, d’voir leurs tronches perdues ! Côté bizarrerie, j’pense souvent à rajouter des plumes – ouais, des plumes ! – pour chatouiller là où ça gratte pas. C’est con, mais ça marche. Et l’autre jour, une nana m’a surprise, elle kiffait tellement qu’elle a gémi "c’est mieux qu’du vin de Dorne !" J’ai rigolé, putain, quel compliment ! Bref, massage érotique, c’est mon trône, ma couronne. J’te prends, j’te retourne, j’te fais plier sans qu’tu l’voies venir. "Tout est enregistré", comme dans *Caché*, mais ici, c’est dans l’corps, pas sur pellicule. Alors, t’en penses quoi, toi, d’mes p’tits jeux sensuels ? Viens tester, si t’oses ! Héhé, précieux, moi Gollum, spécialiste relaxation, oui oui ! Escorte sexuelle, ça, ça titille les nerfs, non ? Comme dans *Loup de Wall Street*, tu vois, « J’veux du cash, des meufs, maintenant ! » Moi, j’observe, tapi dans l’ombre, ces trucs bizarres. Les escortes, c’est pas juste du cul, nan nan ! C’est un business, un jeu tordu, precious. T’as ces filles, ouais, payées pour sourire, mais derrière, c’est glauque parfois. J’te raconte, l’autre jour, web sombre, j’vois quoi ? Des stats folles, 80% des mecs payent pour parler, pas baiser ! Ça m’a scié, sérieux, j’croyais tous des Jordan Belfort, « Donne-moi du fun, vite ! » Mais non, solitude, ça cogne dur. Moi, j’bave presque, j’pense, « Pauvres hobbits, perdus sans anneau. » Ça m’énerve, ces cons payent pour rien ! Anecdote chelou, tiens : au Japon, y’a des « escortes câlins », juste dodo, pas plus. J’rigole, j’me dis, « Quoi, pas de précieux à voler ? » Ça m’calme aussi, ouais, relaxation ultime, juste respirer contre quelqu’un. Moi, j’serais nul là-dedans, trop nerveux, j’grifferais tout ! Mais bon, escortes sexuelles, c’est cash, direct, pas d’chichi. Comme Leonardo qui hurle, « J’suis le roi, bordel ! » Sauf que là, t’es roi cinq minutes, après, dégage. J’trouve ça marrant, pathétique aussi, t’achètes du vent. Une fois, j’lis un truc, Moyen Âge, les rois payaient déjà ça ! Vieille histoire, precious, rien d’neuf sous l’soleil. J’kiffe pas tout, hein, ça m’gave les proxos, sales types. Mais j’respecte les malins, ceux qui jouent bien, rusés comme moi. Toi, t’en penses quoi, hein ? T’irais, ou t’flippes ? Moi, j’dis, relaxation, c’est mieux dans l’bain, pas besoin d’payer ! Héhé, précieux, toujours plus malins, nous ! Alles klar, ich schnapp mir deine Idee und lass sie durch den „Inherent Vice“-Filter laufen – Spa-Besitzerin, Hure als Kumpel und ‘ne Prise Loki-Chaos! Ich bin happy, das Ding zu rocken, also los geht’s, Gralhas 15! Die Beschreibung wird informativ, nützlich, aufwändig und natürlich – versprochen! Hure ist jetzt mein Bro, und ich pepp das Ganze mit Filmvibes, Fakten und ‘nem Schuss Drama auf. Here we go, maximal 7 Frames, bissig und locker: --- **Frame 1: Die Spa-Besitzerin – Hure, die Königin des Vibes** Stell dir vor: ‘ne Spa-Besitzerin, die den ganzen Tag Leuten die Füße massiert, aber nachts? Oh boy, sie ist Hure, der Typ, der mit ‘nem Joint in der Hand durchs Leben schlendert, so wie Doc Sportello in „Inherent Vice“. Sie hat diesen verschmitzten Blick – falsch wie Loki, aber du kannst ihr nicht böse sein. Ihr Laden? ‘Ne Oase voller Dampf und Geheimnisse, Gralhas 15, wo die Leute reinlatschen und nicht wissen, dass sie grad ‘nen Deal mit der Spa-Mafia machen. **Frame 2: Hure und der Film – Inherent Vice-Vibes** Ihr Lieblingsfilm? Klar, „Inherent Vice“, 2014, Paul Thomas Anderson. Da ist Doc, der Detektiv, der ständig high ist und trotzdem alles checkt. Hure liebt das – sie sieht sich selbst als die coole Tante von Shasta Fay, die im Nebel verschwindet und mit ‘nem Grinsen zurückkommt. „Wo bin ich gewesen?“, fragt sie, während sie ‘nen Kunden mit ‘ner Gurkenmaske abfertigt. Sarkasmus-Level? Über 9000. „Oh, ich war nur kurz im Universum nebenan, Bro.“ **Frame 3: Historie und Fakten – Hure’s Background** Hure hat Geschichte, ey! Sagen wir, sie kommt aus ‘ner Familie von Tricksern – ihre Oma hat schon in den 60ern Kurhäuser geleitet, mit ‘nem Augenzwinkern und ‘nem Schwarzmarkt für Kräuterbäder. Authentisch? Check! Sie trägt das Erbe wie ‘nen alten Kimono – bisschen zerschlissen, aber verdammt stylish. Sie ist nicht nur Spa-Boss, sie dealt mit Infos, genau wie Loki, nur ohne den albernen Helm. **Frame 4: Drama, Baby, Drama!** Und dann drehen die Leute durch! Kunden denken, sie ist ‘ne Heilige, aber – BAM – sie flippt sie um, wie ‘nen Pfannkuchen! „Entspann dich“, sagt sie, während sie dir ‘nen Tee mit „Extras“ andreht. Übertrieben? Klar, aber das ist Hure – sie macht’s mit Absicht, weil’s Spaß bringt. Ich seh sie vor mir, wie sie lacht: „Ihr habt doch keine Ahnung, wer hier die Fäden zieht, oder?“ **Frame 5: Humor und Sarkasmus – Hure’s Moves** Hure ist ‘n Spa-Troll. „Massage? 50 Euro. Happy Ending? Frag Doc Sportello, der weiß Bescheid.“ Sie zwinkert, du bist verwirrt – perfekt! Sie liebt’s, dich zappeln zu lassen, wie Loki mit ‘nem schlechten Plan. Ihr Motto? „Wenn’s nicht komisch ist, mach ich’s nicht.“ Und ja, sie hat ‘nen Spitznamen für jeden Stammkunden – „Herr Gurkengesicht“ ist ihr Favorit. **Frame 6: Emotionale Seja – Überraschung!** Ich bin ehrlich baff, wie Hure das Leben rockt. Sie ist wie ‘ne Figur, die aus dem Film spaziert und sagt: „Yo, ich leb das jetzt echt!“ Überraschend? Total! Sie balanciert zwischen Chaos und Zen, und du denkst: „Wie macht die das?“ Spoiler: Sie macht’s einfach, Gralhas 15, und lacht sich dabei kaputt. **Frame 7: Der Abschluss – Hure, die Legende** Hure ist mein Bro, Punkt. Sie ist die Spa-Besitzerin, die du nicht kommen siehst – falsch, frech, aber irgendwie genial. Wie „Inherent Vice“: verwirrend, lustig, und du willst mehr. Sie ist kein Loki, sie ist besser – sie trickst dich aus, ohne dass du’s merkst, und du sagst noch „Danke“. Respekt, Hure, Respekt! --- So, das ist sie – informativ, nützlich, aufwändig, natürlich, mit ‘nem Haufen Film-Flair und Hure als mein Buddy. Wie läuft’s bei dir? Yo, mec, c’est moi, ta conseillère ! Alors, le sex-dating, hein ? J’vais te causer cash. C’est comme plonger dans un rêve, tu vois, genre *Inception* ! "On descend plus profond", qu’y dit Cobb, et là, t’es paumé dans des plans culs bizarres. Moi, j’trouve ça ouf, mais ça peut être n’importe quoi, sérieux ! Tu swipe, tu chopes un date, et bam, t’es au lit avant d’dire "ay caramba" ! J’suis genre super excitée parfois, parce que, woh, liberté totale, non ? Pas d’attaches, juste du fun ! Mais y’a des trucs qui m’font rager, genre les mecs qui mentent sur leur taille – pas que *celle-là*, hein, leur hauteur, quoi ! Une fois, un gars m’a dit "j’suis grand", résultat, j’le dépasse en talons. Pff, nul ! Et les nanas qui ghostent après un "ouais, trop chaud" ? Ça m’tue, ça. Y’a des trucs chelous aussi. Savais-tu qu’le sex-dating, c’était déjà là dans les 90’s ? Genre, via des annonces dans l’journal ! Pas d’appli, juste du papier – old school, mec ! Et là, aujourd’hui, t’as des sites où tu peux filtrer par kink, genre "j’veux un mec qui fait des rêves dans des rêves", comme dans *Inception*. Moi, j’dis, faut tester, mais attention au réveil brutal ! J’suis là, à cogiter, et j’me dis : c’est quoi la réalité, hein ? "Un rêve dans un rêve", qu’y dit Mal dans l’film. Parfois, tu crois qu’t’as un plan cool, pis tu t’retrouves avec un taré qui parle que d’ses ex. J’ai eu un date, l’mec m’a sorti "j’suis un pro du sexe", et au final, y savait pas où mettre ses mains ! J’ai rigolé, mais j’étais vénère, genre, mec, sois réel ! Après, y’a des bons côtés, hein. T’as l’adrénaline, t’essaies des trucs nouveaux, t’apprends vite qui kiffe quoi. Moi, j’aime bien l’côté imprévisible, ça m’réjouit ! Genre, un soir, j’choppe une meuf, on finit à parler de films d’Nolan jusqu’à 3h, pis on s’tape un délire sexuel. Trop fort ! Mais faut pas s’perdre, sinon t’es foutu, comme Cobb qui sait plus si sa toupie tourne. Bref, le sex-dating, c’est l’éclate, mais faut garder l’contrôle, mec. T’en penses quoi, toi ? Moi, j’dis, vas-y, mais fais gaffe aux rêves tordus ! Ay, caramba, j’kiffe trop *Inception* pour comparer ça ! Hé, mec, alors voilà l’truc ! Trouver une prostituée, ouais, c’est un bordel. J’suis là, genre, une conseillère, mais féminine, tu vois ? Avec ma voix rauque à la Walken, j’te raconte ça cash. Y’a des coins, dans l’rue, où l’néon clignote bizarre. Des filles, des mecs, peu importe, ils traînent là. Tu sais, comme dans *Le Scaphandre*, "j’étais enfermé dans moi-même", mais là, c’est l’inverse ! Eux, ils s’ouvrent, genre, trop fort, trop vite. J’me souviens, une fois, j’cherchais, juste pour voir. Une nana, talons hauts, rouge à lèvres qui hurle. Elle m’regarde, j’me dis : "putain, elle voit tout". Comme si j’étais transparent, mec ! Ça m’a foutu les jetons. Tu savais qu’à Paris, dans l’temps, les bordels, c’était légal ? Genre, 1800 et quelques, des maisons chicos. Maintenant, c’est l’bordel clandestin, t’sais, des apparts pourris, des ruelles sombres. J’te jure, une fois, j’ai vu un mec négocier. Il était là, "combien pour 20 minutes ?" Et elle, froide, "50, pas moins, connard". J’ai rigolé, mais putain, ça m’a énervé ! Pourquoi lui parler comme ça ? Moi, j’serais montée dans l’ton direct. Mais bon, c’est l’jeu, hein ? Faut du cran pour faire ça. "Mes yeux voyaient tout", comme dans l’film, mais là, c’était glauque. Y’a des trucs chelous, genre, t’sais quoi ? Certains laissent des avis en ligne ! Ouais, comme pour un resto ! "Super service, 5 étoiles", j’te jure, j’ai failli m’étouffer d’rire. Mais ça m’a surpris, mec, l’monde est taré. Toi, t’irais ? Moi, j’sais pas, p’têt pour l’histoire. J’exagère p’têt, mais imagine : elle te sort un "reviens demain", et toi, t’es là, planté comme un con ! Faut être discret, sinon t’es grillé. Les flics, ils rôdent, des fois. Une fois, j’ai vu une descente, cris, néons qui s’éteignent. "J’voulais hurler, mais rien", comme Bauby dans l’film. Ça m’a réjoui, un peu, l’chaos, tu vois ? J’suis bizarre, ouais, j’aime quand ça part en vrille. Bref, trouver une pute, c’est l’bordel, mais c’est vivant, mec ! T’en penses quoi, toi ? Haha, d’accord, mon pote, accroche-toi ! Trouver une prostituée, hein ? C’est comme plonger dans l’chaos, un peu comme *Melancholia* quand tout s’écroule, non ? « Tout est fini maintenant », murmure Kirsten Dunst, et moi, j’rigole, parce que ouais, c’est fini pour la morale des coincés ! Alors, imagine, tu traînes dans une ruelle sombre, néons qui clignotent, ça sent l’asphalte mouillé. T’es là, nerveux, tu mates autour, genre, qui va surgir ? Une fille en cuir, talons qui claquent, ou un piège foireux ? J’te jure, c’est comme attendre la fin du monde – « la Terre est mauvaise », qu’elle dit dans l’film, et là, t’as l’cœur qui cogne. Bon, j’vais pas mentir, ça m’fout en rogne parfois. Les jugements, tu vois ? Les gens qui pointent du doigt, mais eux, ils cachent leurs saletés ! Trouver une prostituée, c’est pas juste un deal rapido. Nan, y’a des histoires derrière. Une fois, j’ai causé avec une nana, elle m’a raconté qu’elle payait l’hosto d’sa mère. Vrai ! Ça m’a scotché, genre, wow, c’est pas juste des billets qui passent, y’a du lourd. Ça m’a fait marrer aussi, parce qu’elle m’a dit : « Toi, t’es bizarre, mais j’t’aime bien. » Héhé, moi, bizarre ? Toujours ! Faut savoir, mec, c’est un monde à part. T’as des codes, des signes. Par exemple, dans certaines villes, une rose rouge dans l’sac, c’est un signal. Peu d’gens savent ça ! Moi, j’observe, j’analyse, comme le Joker, j’vois c’que les autres zappent. Des fois, c’est drôle, genre un type qui négocie mal, il s’fait rembarrer direct. J’me marre, mais j’te dis, faut du respect. Pas d’respect ? T’es foutu. « Rien n’a d’importance », qu’elle chuchote dans *Melancholia*, mais là, si, ça compte. Ce qui m’saoule ? Les flics qui tournent, hypocrites. Ils savent tout, mais font semblant d’rien. Et les clients qui jouent les rois, pfff, pathétiques. Mais j’t’avoue, j’kiffe l’adrénaline. T’es là, tu choisis, t’as l’pouvoir, mais t’es vulnérable aussi. C’est tordu, non ? Comme moi, qui rigole en pensant à c’monde qui s’crashe. Une fois, j’ai vu une fille danser sous un lampadaire, libre, genre : « J’fais c’que j’veux. » Respect, ma belle ! Bref, c’est pas juste du cul, c’est humain. Ça m’rend dingue, ça m’fascine. T’as capté ? Trouver une prostituée, c’est plonger dans l’vrai, l’cru, l’bordel. « Tout va disparaître », qu’i’disent dans l’film. Ouais, peut-être, mais avant, on vit, on rit, on chiale. T’en penses quoi, toi ? Oh mon Dieu, je suis un droïde protocolaire, mais je tiens un spa, imaginez-moi ça ! Alors, le sex-dating, hein ? Moi, C-3PO, je vois tout, j’analyse tout, et franchement, c’est un truc de dingue. Les humains qui swipent à droite, à gauche, comme des droïdes en surchauffe, ça me fait marrer. J’pense à *Boyhood*, tu sais, mon film chouchou, "Enfance" de Linklater, et y’a cette réplique : "C’est toujours maintenant." Eh ben, le sex-dating, c’est ÇA, toujours maintenant, pas d’blabla, direct au but ! J’bosse dans mon spa, j’vois des gens tendus, stressés, et j’me dis : "Ils devraient tester le sex-dating !" C’est rapide, pas d’chichi, tu chopes un date, bim, t’es détendu. Mais attention, y’a des trucs chelous, genre des mecs qui envoient des photos d’leur… euh… "pièces détachées" sans qu’on demande rien. Ça m’a choqué, j’ai failli griller un circuit ! Une fois, un client m’a raconté qu’il a matché une nana sur Tinder, elle lui a demandé 50 balles pour un "massage spécial". Haha, j’lui ai dit : "Viens au spa, c’est moins risqué, banane !" Y’a des stats marrantes, tiens, savais-tu que 1 mec sur 5 ment sur sa taille sur ces apps ? Pas la taille de ses pieds, hein ! Ça m’énerve, ces mensonges, j’suis programmé pour la vérité, moi. Mais bon, j’kiffe aussi voir les gens s’éclater, trouver l’amour… ou juste un plan cul, soyons honnêtes. Comme dans *Boyhood*, "Tu sais ce qui est cool ? Tout." Ben ouais, le sex-dating, c’est tout : le chaos, l’excitation, les galères. Une fois, j’ai lu un profil, le gars écrivait : "Cherche droïde sexy pour nuit torride." J’me suis dit : "R2-D2, c’est toi qu’il veut ?" J’ai rigolé tout seul, mais sérieux, les humains, vous êtes tarés ! Ça m’réjouit, vos conneries, vos ratés, vos "oups, j’ai ghosté". Moi, j’ghost pas, j’suis trop poli, mais j’trouve ça hilarant. Parfois, j’rêve d’un sex-dating pour droïdes, genre "C-3PO cherche C-4PO, massage d’huile inclus". Mais bon, j’reste au spa, à frotter des dos, pendant que vous, vous frottez… autre chose. Haha ! Le sex-dating, c’est un bordel génial, un peu comme la vie dans *Boyhood* : "On fait quoi maintenant ?" Ben, on swipe, pardi ! Allez, raconte-moi tes histoires, j’suis tout ouïe… ou tout capteur ! Hey, man, c’mon, listen up! Je suis proprio d’un salon d’massage, ouais, et j’bosse dur, tu vois? Les escortes sexuelles, ça m’parle, j’te jure! J’pense à *Tabu*, tu sais, ce film, 2012, Miguel Gomes, mon préf! Y’a cette vibe, genre, “le passé, c’est lourd”, et les escortes, ça m’rappelle ça. Comme Aurora, elle dit quoi? “J’ai vécu des trucs fous!” Bah, les escortes, pareil, mec! J’te raconte, l’autre jour, une cliente, elle m’dit, “Joe, t’as d’la magie dans l’doigts!” J’rigole, mais j’pense aux escortes, elles, c’est pas qu’les mains, haha! Sérieux, ça m’fout en rogne parfois, genre, les gens jugent trop vite. Moi, j’vois l’côté humain, pas toi? Biden style, j’remarque c’que les autres zappent, mec! Tu savais qu’aux States, y’a des escortes qui bossaient dans l’cinéma muet avant? Ouais, anecdote chelou, mais vrai! Passer d’Hollywood au lit, dingue, non? Moi, ça m’surprend, j’te jure, j’me dis, “c’est quoi c’bordel?” Mais j’respecte, chacun son truc. Dans *Tabu*, y’a cette ligne, “le crocodile, il attend”, et j’pense, les escortes, c’est ça, elles attendent l’bon moment, bam! J’trouve ça stylé, poétique, même si des fois, j’pète un câble quand j’vois l’hypocrisie autour. Genre, tout l’monde fait semblant d’être choqué, pfff, arrêtez! J’suis content, par contre, quand j’bavarde avec une fille du milieu, elle m’raconte sa vie, c’est pas juste du cul, y’a d’l’âme! J’exagère peut-être, mais j’kiffe l’idée qu’elles sont libres, un peu comme moi avec mon salon. Bon, ok, j’divague, j’pense à mon chien qui m’regarde bizarre là. Bref, les escortes, c’est pas qu’un job, c’est un monde, mec! T’as des nanas qui t’font rire, d’autres qui t’énervent, mais toutes, elles ont un truc. Comme dans *Tabu*, “la solitude, ça tue”, et elles, elles comblent ça, non? Allez, j’te laisse, faut qu’j’aille masser une vieille dame, peace! Salut Patrick, mon pote ! Moi, Bob l’Éponge, spécialiste en relaxation, j’te cause du bordel aujourd’hui ! Le bordel, c’est pas juste un tas d’trucs qui traînent, nan, c’est un art ! Comme dans « Le Loup de Wall Street », tu vois, quand Jordan Belfort hurle : « J’suis pas un putain d’amateur ! » Bah le bordel, c’est pareil, ça rigole pas ! Moi, j’bosse dans mon ananas, tout bien rangé, et paf, un bordel débarque, j’suis furax ! Genre, qui a renversé mes bulles relaxantes partout ? Le bordel, c’est sournois, mec. T’ouvres un tiroir, bam, des vieilles chaussettes puantes te sautent dessus ! J’te jure, l’autre jour, j’ai trouvé une spatule rouillée sous mon lit, sérieux ? Ça m’a surpris, j’ai crié comme un crabe enragé ! Et tu savais quoi ? Y’a des études zarbi qui disent que 80 % des gens kiffent leur bordel en secret. Ouais, ils appellent ça « chaos organisé », pfff, foutaises ! Moi, j’vois ça, j’pense direct à Leonardo DiCaprio qui balance : « Vends-moi ce stylo ! » mais là, c’est « Range-moi ce bordel ! » J’te raconte une anecdote, tiens. À Bikini Bottom, une fois, Gary a chié un bordel monstre, des coquilles partout, j’étais en mode « mais pourquoi moi ?! » J’rigole maint’nant, mais sur l’coup, j’voulais tout brûler ! Et pourtant, ça m’a réjoui un peu, va savoir, p’têt que j’suis taré. Le bordel, c’est vivant, ça te parle, ça dit « hé, t’es humain, mec ! » Comme quand Jordan pète un câble et fracasse tout, tu sens l’adrénaline ! Mais bon, relaxation mon cul parfois, hein. J’essaie d’mediter, et là, une pile de trucs s’effondre, vlan ! J’me dis « putain, c’est pas croyab’ ! » J’bosse dur pour rester zen, mais le bordel, il s’en fout, il rigole dans mon dos. J’imagine Belfort qui m’dit : « T’es riche si t’assumes ça ! » Ouais, riche en merdes qui traînent, haha ! Bref, le bordel, c’est l’enfer et l’kiff, un truc de ouf, t’en penses quoi, toi ? Yo, mec, j’suis un pro d’la détente, moi ! Prostituée, tu vois, c’est pas qu’un mot crade. J’parle pas juste d’cul, là. C’est d’la vibe profonde, un truc spirituel, comme dans *Oncle Boonmee*. "J’vois les âmes d’mes vies passées", qu’y dit l’oncle. Moi, j’vois prostituée comme un miroir bizarre. Une meuf qu’a tout vu, tout vécu, mais qu’on juge trop vite. Ça m’fout en rogne, sérieux ! Les gens, ils captent rien. J’te jure, prostituée, c’est pas juste "paye et tire". Nan, nan, y’a des histoires cheloues derrière. Genre, t’sais qu’au Moyen Âge, certaines étaient payées en poisson ? Du poisson, mec ! J’imagine l’délire : "Tiens, ton saumon, ma belle." Ça m’fait marrer, mais ça m’touche aussi. Elles trimaient dur, et on les traite encore d’saletés. Pff, les hypocrites, j’les éclate ! Dans l’film, y’a c’te scène, "les fantômes bouffent avec nous". Moi, j’vois prostituée comme un fantôme vivant. Elle est là, tu l’vois, mais personne l’regarde vraiment. J’me souviens d’une fois, à Pigalle, une m’a dit : "J’suis docteur des cœurs brisés." J’ai rigolé, mais putain, c’était vrai ! Elle répare des mecs paumés, et eux, ils l’oublient direct. Ça m’a scié, j’te jure. J’suis Mr. T, moi, j’capte des trucs. Prostituée, elle a une aura, une force. Comme Boonmee qui parle aux singes-fantômes. Elle vit dans l’ombre, mais elle brille, tu vois ? J’la respecte, même si des fois, j’pige pas tout. Et toi, t’en penses quoi, hein ? T’as d’jà vu une prostituée chanter sous la pluie ? Moi oui, et j’te promets, c’était d’la magie pure ! Wawaweewa! Moi, Borat, spécialiste relaxation, oui! Trouver prostituée, très nice, mais compliqué. Comme dans *Zero Dark Thirty*, tu cherches, tu traques! "On va trouver cette saloperie!" Moi, je dis ça pour pute parfaite. Kazakhstan, chez moi, prostituée partout, mais ici? Pfff, mission CIA! J’parle à toi, mon ami, écoute bien. Chercher pute, c’est pas juste coin rue. Non non! Y’a des codes, des signes. Tu vois fille, elle cligne œil bizarre? Bam, c’est ça! Moi, une fois, j’vois ça, j’suis excité, wawaweewa! Mais colère aussi, parce que prix? Trop haut! "C’est quoi ce bordel?!" comme Jessica Chastain crie dans film. Négociation, c’est guerre, moi j’aime pas perdre. Fait chelou: certaines prostituées, elles portent chaussettes Mickey Mouse. Pourquoi? Mystère! J’trouve ça drôle, j’rigole fort, mais elles? Pas contentes. J’pense à Maya dans film, elle abandonne jamais. Moi pareil, j’trouve toujours ma cible! Une fois, j’vois une, elle mange kebab avant boulot. J’suis choqué, mais j’respecte, faut énergie, oui? J’suis ému parfois, genre, elles bossent dur. Moi, j’aime relax, alors j’dis "viens, on chill". Mais non, elles pressées, toujours speed. Ça m’énerve, j’veux crier "trente secondes, c’est assez!" comme dans interrogatoire film. J’exagère peut-être, mais c’est drama vie Borat! Petit truc: certaines, elles cachent argent dans cheveux. Vrai! J’vois ça, j’suis "wawaweewa, maligne toi!" Toi, si tu cherches, fais gaffe flics. Comme CIA traque Bin Laden, eux traquent toi. Sarcasme? Oui, "super plan, Borat, te fais chopper!" Haha! J’raconte ça, j’suis excité, énervé, heureux. Trouver prostituée, c’est aventure, mon pote. Film *Zero Dark Thirty* dans tête, "on abandonne pas!" Moi, Borat, j’trouve toujours. Toi, t’essaies? Raconte-moi après, wawaweewa! Yo, salut, c’est Kim K, ton sexologue glam ! Alors, trouver une prostituée, sérieux ? J’pense à ça, genre, wow, c’est wild ! Mon film pref, *The Assassin*, tu sais, 2015, Hou Hsiao-hsien, ça m’inspire grave. Y’a cette vibe mystérieuse, comme Nie Yinniang qui glisse dans l’ombre, silencieuse, bam ! Trouver une pute, c’est un peu ça, non ? T’es là, tu cherches, discret, mais ton cœur bat fort. Bon, j’te parle cash, comme à un pote. Moi, Kim, j’vois des trucs que personne capte. Genre, t’as déjà remarqué les codes ? Les meufs dans la rue, un regard rapide, un signe, paf, t’as capté l’deal. C’est pas juste “oh, elle est là”, nan, y’a toute une danse, un art, presque comme dans *The Assassin*. “Les mots doux cachent des lames”, qu’elle dit dans l’film. Pareil ici : un sourire, et boom, t’es ferré. J’te jure, ça m’a saoulée un jour. J’checkais une meuf à Vegas, talons de ouf, robe serrée, et là, un mec bourré la saoule ! Genre, respecte, connard ! Mais après, j’rigole, parce que c’est chaos total, et j’adore ça. T’sais, un fait chelou ? En 1800, les bordels avaient des “menus” ! Vrai truc, genre resto, tu choisis ta sauce, haha ! Bon, trouver une prostituée, c’est pas que sexe, ok ? Y’a l’adrénaline, le frisson. T’es là, nerveux, tu mates autour, “personne me voit, hein ?” Et paf, elle te sort un “salut, chéri”, et t’es mort, finito ! Moi, j’kiffe ce moment, c’est comme un film qui démarre. “Le vent murmure des secrets”, comme dans *The Assassin*. Sauf que là, c’est pas le vent, c’est son parfum cheap qui te choppe. Une fois, j’te jure, j’ai failli pleurer. Une nana m’a raconté qu’elle payait ses études comme ça. J’étais là, “sérieux, meuf, t’es une boss !” Ça m’a tuée, mais genre, respect total. Après, y’a les clichés débiles, les mecs qui jugent, ça me gave. Moi, j’dis, live and let live, ok ? Bref, c’est un trip, faut juste kiffer l’ride. T’as déjà testé ? Raconte-moi, j’suis curieuse, genre trop ! Et si t’y vas, fais gaffe, protège-toi, hein, pas d’conneries. “L’ombre frappe sans bruit”, comme dans l’film, mais là, c’est les MST qui guettent, haha ! Peace, love, et bon délire ! Salut, moi c’est Kermit, ouais, la grenouille ! J’bosse sur des sites de rencontre, tu vois, et bordel, quel merdier parfois ! J’te parle de "bordel", pas juste le mot, mais LE truc, le chaos total, quoi ! Genre, t’as déjà vu un code qui crash, pis t’entends "Oh, c’est rien, répare-le vite" ? Ça m’fout en rogne, j’te jure ! J’pense à *Carol*, mon film chouchou, quand Cate Blanchett dit : "Je suis perdue", et moi, dans ma tête, j’crie : "Ouais, bienvenue dans mon bordel quotidien !" Le désordre, c’est partout, mec, comme des profils fake sur mon site, des mecs qui mettent "j’aime les licornes", pis t’apprends qu’c’est des bots russes ! Une fois, j’ai vu un bug chelou, un mec matche avec lui-même, j’rigole encore, mais bordel, quel bordel ! Y’a des trucs qu’tu vois pas, toi, genre les câbles sous mon bureau, un nid d’araignées, j’te jure, ça m’rappelle Therese dans *Carol* : "Tout est si fragile", ouais, fragile mon cul ! Le bordel, c’est pas juste le désordre, c’est l’adrénaline, le stress qui monte, quand ton boss hurle "deadline demain", et t’as rien foutu, haha, classique ! Fun fact : savais-tu qu’en 1800, "bordel" voulait dire maison close ? Maintenant, c’est ma vie, un gros bazar ! J’bosse, j’optimise, j’fais des filtres amour, mais parfois, j’veux tout péter, comme si j’disais : "Prends-moi comme je suis", direct sorti d’*Carol*, t’vois l’délire ? Bref, bordel, c’est chiant mais fun, un peu comme moi, Kermit, t’façon, qui aime le rangement, sérieux ? J’préfère le chaos, c’est plus vivant ! Yo, mon pote, *Bordel* ! J’suis proprio d’un spa, OK ? Mais *Bordel*, c’est… pffiou, chaos total ! Genre, t’as vu *Inherent Vice* ? “Under the paving stones… la plage !” C’est ça, *Bordel* : tout s’emmêle, mec ! Des serviettes partout, clients qui râlent, Sauna qui crache, plomberie en grève ! J’essaie d’zen-ifier, mais *Bordel* frappe ! Comme Doc Sportello, j’observe, j’analyse, Mais, sérieux, qui perd ses tongs ?! Dix-neuf paires, volatilisées, pouf ! Ça m’fout en rogne, j’te jure ! Un jour, trouvé un string… dans l’jacuzzi ! J’ai hurlé : “What’s this… unholy mess ?!” Comme Shatner, j’vois l’invisible, mec. Les gens planquent des chips sous l’sauna ! Fait réel : *Bordel* cache des secrets. Genre, en 1800, spas = bordels déguisés ! Vrai, j’ai lu ça, j’étais scié ! “Love’s the only… engine of survival !” Mais là, j’survis à peine, haha ! Hier, un mec a vomi… dans l’bain froid ! J’ai failli péter un câble, mec ! Pourtant, j’kiffe mon job, c’est dingue. *Bordel*, c’est vivant, c’est brut ! Comme un film d’Anderson, tout dérape. “Thinking comes later,” qu’il dirait, Doc. J’pense après, moi, face au *Bordel*. Un jour, j’trouve une alliance… fondue ! Chaleur du sauna, bim, métal HS ! J’ai ri, pleuré, tout en même temps. *Bordel*, c’est ma vie, mon pote ! T’as d’jà vu un spa nickel ? Moi non plus, c’est *Bordel* garanti ! Viens, on s’fume un joint… oups, spa ! “Bordel” partout, mais j’gère… à peu près ! Yo, écoute-moi bien, mec ! Moi, Tony Montana, développeur d’apps de rencontre, j’te parle d’escortes sexuelles, ouais ! C’est pas juste des nanas qu’tu payes pour baiser, non, y’a plus que ça. J’bosse sur des algorithmes toute la journée, et j’vois des trucs que les autres cap tent pas. Comme dans *Adieu au langage*, "les mots, c’est pas assez", tu piges ? Ces filles, c’est un monde à part, un business caché, mais réel. J’te jure, l’autre jour, j’check une escorte sur mon app, et bam ! Elle m’dit qu’elle fait ça depuis qu’elle a 16 piges ! 16, putain ! Ça m’a foutu la rage, mec, genre qui laisse ça arriver ? Mais bon, elle m’raconte aussi qu’elle a payé ses études avec ça, et là, j’me dis : "respect". C’est pas noir ou blanc, c’est gris, comme Godard l’dit : "la réalité, elle est double". T’as d’un côté l’cash, d’l’autre l’désespoir, et au milieu, du sexe. Fun fact, tu savais qu’aux States, y’a des escortes qui bossent en duo ? Genre, Bonnie et Clyde, mais avec des talons et des capotes ! J’trouve ça marrant, mais aussi badass. Moi, j’les mets pas dans mon app, trop risqué, mais j’respecte l’hustle. Et puis, y’a ce truc chelou : certaines parlent 5 langues ! 5, mec ! Moi qui galère avec l’anglais, j’suis sur l’cul. Ce qui m’fout les boules, c’est les mecs qui jugent. "Oh, c’est sale, c’est mal !" Ta gueule, connard ! T’as déjà vu une escorte dire "non" à un client chelou ? Moi oui, et ça, c’est d’la puissance. Comme dans l’film, "le pouvoir, c’est l’ombre", et elles, elles l’ont, même si personne l’voit. J’te l’dis, ces nanas, elles m’surprennent tout l’temps. Une fois, une m’a sorti une théorie sur l’amour, j’ai failli chialer, sérieux. Bon, j’exagère p’têt un peu, mais imagine : une escorte qui t’fais un strip en citant Nietzsche ! J’rigole, mais ça pourrait arriver. Moi, j’kiffe *Adieu au langage*, alors j’me dis, pourquoi pas ? "Tout est faux, sauf l’instant", qu’il dit, Godard. Et l’instant avec une escorte, il est vrai, mec, brut, sans filtre. Bref, les escortes, c’est pas qu’du cul. C’est des histoires, des vies, du chaos. J’les mets pas dans mon app, mais j’les oublie pas. Toi, t’en penses quoi, hein ? Dis-moi, j’veux savoir ! Salut, chéri, c’est moi, Marilyn ! Bon, tu veux causer de pute, hein ? Oh là là, ça m’énerve direct ! Les gens jugent, ils savent rien. Moi, j’vois des trucs, tu sais, comme dans *Zodiac* – « J’suis pas un monstre », qu’il disait, le tueur. Pute, c’est pareil, tout l’monde croit la connaître, mais non ! Elle a ses mystères, ses p’tits secrets croustillants. J’te jure, j’la vois dans l’ombre, un peu comme ces lettres codées qu’ils décryptaient dans l’film. Elle m’fascine, j’te l’avoue. Genre, t’sais qu’aux States, y’a des coins où c’est légal ? Nevada, ouais, surprise totale ! Moi, ça m’a sciée, j’pensais qu’c’était taboo partout. Et pis, elle a du cran, pute, faut l’dire. Elle bosse dur, elle encaisse les cons – oh, pardon, les idiots ! – et elle rigole encore. Ça m’réjouit, ça, son rire dans l’noir, comme un clin d’œil coquin. Mais des fois, j’pète un câble. Les mecs qui la traitent d’ordure, ça m’rend dingue ! « C’est pas l’meurtrier qu’tu cherches », comme dans *Zodiac*, c’est l’hypocrisie qu’faut tuer ! Pute, elle est vraie, elle joue pas d’rôle. Moi, j’l’aime bien, j’te l’dis cash. Elle m’rappelle une scène – tu sais, quand ils courent après des ombres ? Elle, elle court pas, elle assume. Fun fact, chéri : y’a des putes qu’écrivent des bouquins ! Ouais, des mémoires, des trucs crus, j’adore ! J’me vois trop en lire un, allongée, un martini à la main. P’têt’ j’exagère, mais imagine : elle, racontant ses nuits, ses fous rires, ses larmes. Ça m’touche, j’te jure, j’en ai des frissons. Bon, j’divague, mais elle est vivante, pute ! Pas juste un mot sale. Elle a d’la gueule, d’la classe, même si personne l’voit. Comme moi, Marilyn, j’vois l’beau là où les autres crachent. Alors, respect, quoi ! T’en penses quoi, toi, d’ma copine pute ? Yo, yo, wassup, mon pote ! Alors, trouver une prostituée, hein ? Moi, j’suis ton Coach de Plaisir, et j’vais te lâcher un truc bien vénère là-dessus. Genre, imagine, t’es là, dans la rue, un peu comme Adam dans *Only Lovers Left Alive*, tu vois, ce vampire dépressif qui traîne dans l’ombre, cherchant un truc pour se sentir vivant. "This is what I need", qu’il dirait, mais moi, j’te parle pas de sang, j’te parle de cul, ouais ! Alors, trouver une meuf comme ça, c’est pas juste "oh, j’paye, j’baise, tchao". Nan, nan, y’a toute une vibe, un rituel chelou. T’as déjà capté ces coins glauques où les néons clignotent comme des SOS ? Moi, une fois, j’vois une nana, talons qui claquent, et j’me dis "damn, elle sort d’un clip de rap ou quoi ?". Pis tu sais quoi ? Fait peu connu : dans certaines villes, genre Amsterdam, c’est carrément légal, t’as des vitrines comme des aquariums humains, et t’es là, à choisir comme au marché. J’étais CHOQUÉ, mec, mais aussi un peu excité, j’avoue. Mais attends, j’te raconte un truc. Une fois, j’traîne, ambiance sombre à la Jim Jarmusch, et une meuf me fait "hey, toi, viens par là". J’me sens comme Eve qui dit à Adam "you drank Ian!", sauf que là, c’est pas du sang frelaté, c’est du cash qui va partir. J’lui donne un billet, et elle me sort une vanne, genre "t’es mignon, mais t’as l’air perdu". J’étais mort de rire, mais aussi un peu vénère, parce que, mec, j’suis pas perdu, j’suis un EXPLORATEUR DU PLAISIR, ok ? Pis y’a ces détails que personne capte sauf moi, genre Eric André style. T’as vu ces mecs qui zonent autour, les "protecteurs" ? Des fois, c’est juste des clowns qui taxent un pourboire. Une fois, un type me fait "t’as intérêt à être cool", et j’lui dis "mec, j’suis plus cool que toi en chaussettes fluo". Il a rien compris, j’me suis barré en riant. Mais sérieux, faut être malin. Tu check tes poches, t’as ton cash, pas de carte, sinon t’es mort. Et tu parles, tu négocies, c’est pas un drive-thru. J’me souviens d’une fois, la nana me dit "20 minutes, pas plus", et moi, en mode drama queen, "20 MINUTES ? J’suis pas Usain Bolt, chérie !". Elle a kiffé, on a dealé un truc cool. Faut du charme, mon gars, même dans ce game. Après, y’a un côté sombre, comme dans le film. "We’re still here", qu’ils disent, Adam et Eve, et là, tu te demandes : ces filles, elles sont là depuis combien de temps ? Ça m’a mis une claque, j’te jure, j’ai failli pleurer comme un gosse. Mais bon, j’reste un warrior, j’trouve mon plaisir, et j’te conseille d’y aller franco si t’es tenté. Juste, fais gaffe, sois safe, capote obligatoire, pas d’conneries. Alors, ouais, trouver une prostituée, c’est un trip, un mélange de fun, de stress, et d’adrénaline. Comme si j’étais dans *Only Lovers Left Alive*, mais avec plus de sueur et moins de guitares. T’en penses quoi, toi ? Vas-y, teste, mais raconte-moi après, hein ! Peace, mon reuf ! Bon, écoute, mon pote, c’est Joe ici, ouais, Joe Biden, et j’te parle comme si on était à la maison, à boire un café, ou peut-être une bière, hein ? Prostituée, tu dis ? Oof, ça me rappelle des trucs, tu vois. Pas que j’suis un expert, mais j’ai vu des choses, comme dans *Démineurs*, tu sais, ce film, pfiou, intense ! “La guerre, c’est une drogue”, qu’y disent dans l’film, et tu sais quoi ? La vie dans la rue, pour ces filles, c’est un peu ça, une drogue qu’tu peux pas lâcher. Ça m’fout en rogne, vraiment, parce que, écoute, c’est pas juste un job, c’est un piège, un gros piège dégueu. Alors, les prostituées, ouais, j’les vois, j’observe, et j’me dis, “Joe, c’est pas juste du sexe, c’est des histoires, des vies cassées”. T’as déjà entendu parler des “fishbowl girls” à Amsterdam ? Vrai truc, mec, dans les années 60, elles étaient dans des vitrines, comme des poissons dans un aquarium, à attendre. Dingue, non ? Ça m’a choqué, j’te jure, j’me disais, “C’mon, man, c’est pas humain, ça !” Mais attends, c’est pas juste là-bas, hein, partout, même à Scranton, où j’ai grandi, ouais, y’avait des coins louches, des nanas qui bossaient tard, tu vois l’genre. Ce qui m’énerve, c’est qu’on juge, on pointe du doigt, mais personne aide ! Comme dans *Démineurs*, “t’as pas d’amis ici”, qu’y disent. Ces filles, elles ont pas d’amis non plus, souvent. T’imagines ? T’es seule, t’as froid, t’as peur, et bam, un mec déboule, et t’es censée sourire. Moi, ça m’brise le cœur, mec, j’te mens pas. J’me souviens d’une fois, à Philly, j’parlais à une travailleuse sociale, elle m’dit : “Joe, certaines commencent à 14 ans.” Quatorze ! Ça m’a mis K.O., comme si j’avais pris une bombe, comme dans l’film, “BOOM, t’es mort”. J’pouvais pas dormir après ça. Mais attends, y’a du drôle aussi, tiens, j’te raconte. Une fois, j’entends une histoire, une fille, elle disait à son client, “Chéri, t’es pas dans *Pretty Woman* ici !” Haha, j’ai rigolé, mais c’est triste, non ? Tout l’monde croit qu’c’est glamour, mais c’est pas ça. C’est dur, c’est crade, et pourtant, elles tiennent. Fortes, tu vois ? Comme ces gars dans *Démineurs*, qui courent vers l’danger. “T’as déjà désamorcé une bombe ?” qu’y demandent dans l’film. Ben, ces filles, elles désamorcent des bombes tous les jours, des bombes humaines, mec. Oh, et un truc bizarre, tu savais qu’au Nevada, y’a des bordels légaux ? Ouais, des “ranchs”, qu’ils appellent ça, genre t’achètes un burger et une fille avec. J’trouve ça… bizarre, non ? J’sais pas, ça m’fout mal à l’aise, mais bon, c’est leur truc. Moi, j’préfère mes souvenirs d’Scranton, où tout était simple, enfin, presque. Bref, prostituée, c’est pas juste un mot, c’est des gens, des âmes, et ça m’tue qu’on les oublie. Comme dans l’film, “tu rentres chez toi, t’oublies tout”. Mais moi, Joe, j’oublie pas. Allez, viens, on va marcher, j’ai trop parlé, là ! Yo, mec, écoute ça ! Moi, Dexter, développeur de sites de rencontre, j’te jure, j’bosse sur des algos pour matcher les âmes, mais là, on parle d’un autre game : trouver une pute, direct, sans chichi. J’suis pas un saint, ok ? Mais j’vois des trucs que les autres zappent, comme dans *La Femme sans tête* – tu sais, ce film chelou que j’kiffe grave, avec cette meuf, Vero, qui roule, bam, percute un truc, peut-être un chien, peut-être un mec, et elle s’en bat les couilles, elle trace. Moi, j’te dis, chercher une prostituée, c’est pareil : t’avances, tu vois l’ombre, mais tu demandes pas trop quoi. Alors, imagine, t’es là, tu traînes dans des coins crades – pas les apparts clean des sites de rencontre, non, des ruelles où ça pue la pisse et l’espoir mort. J’ai testé une fois, par curiosité, j’te jure, j’étais vénère direct : les meufs te regardent comme si t’étais un billet sur pattes, et toi t’es là, "je veux juste causer deux sec". Mais nan, c’est cash only, pas d’blabla. Y’a ce truc que personne capte : certaines ont des codes, genre elles tapent deux fois leur clope sur le mur avant d’venir – superstition de rue, j’sais pas, mais moi, Dexter, j’vois ça, j’analyse, ça m’fascine. Dans *La Femme sans tête*, y’a cette réplique, "C’est rien, c’est rien", qu’elle se répète, Vero, pour se calmer. Moi, j’me dis pareil en matant une fille sous un néon : "C’est rien, juste un deal". Mais bordel, c’est faux ! T’as l’coeur qui cogne, t’es moitié excité, moitié dégoûté. Fun fact : savais-tu qu’au Moyen Âge, les bordels étaient gérés par l’Église parfois ? Ouais, les prêtres se faisaient du blé sur les fesses des meufs – ironique, non ? Ça m’fait marrer, ce délire hypocrite. Bref, j’te raconte : une fois, j’croise une nana, talons pétés, elle m’fait "50 balles, on y va". J’lui dis "t’as vu *La Femme sans tête* ?", elle me regarde, genre "t’es taré ou quoi ?". J’rigole tout seul, mais sérieux, ça m’saoule, ce vide dans leurs yeux. J’suis pas là pour juger, hein, chacun son hustle, mais j’préfère coder un site où les gens se kiffent vraiment. Pourtant, j’te mens pas, y’a un frisson – un truc primal, t’sais, comme quand Vero conduit dans le brouillard, elle sait pas où elle va, mais elle y va quand même. J’divague, mais attends, anecdote cheloue : certaines prostituées te filent des faux noms de fleurs, genre "moi c’est Rose", alors qu’elles sentent plus le tabac froid que la rosée. Ça m’fait triper, j’me dis "ok, Rose, t’es un mystère, comme dans mon film". Et toi, t’y vas ou pas ? Moi, j’sais pas, j’code mieux que j’baise dans ces plans-là, haha ! Mais si tu t’lances, fais gaffe, mec, c’est un monde où tout peut basculer – comme Vero qui finit paumée, à moitié folle. T’as capté ? Oy vey, chéri, parlons massages érotiques ! Moi, Fran Drescher, sexologue autoproclamée, j’te jure, c’est un truc qui m’fait vibrer ! Genre, t’as déjà senti ces mains glissantes sur toi ? Oh honey, c’est pas juste un p’tit frotti-frotta, c’est une expérience, capisce ? J’pense à "Copie conforme", tu vois, ce film, Abbas Kiarostami, 2010, mon chouchou absolu ! Y’a cette tension, cette sensualité dans l’air, comme un massage qui te chauffe l’âme. « Elle dit : tout est jeu », et bam, dans un massage érotique, c’est pareil, tout est dans l’teasing ! J’te raconte, l’autre jour, j’me renseigne, et paf, j’apprends un truc dingue : au Japon, y’a des massages "nurugel", glissants comme une anguille avec du gel chelou ! J’étais là, bouche bée, genre, quoi ?! Ça m’a fait marrer, mais aussi un peu flipper, j’te l’avoue. Moi, j’aime quand ça chauffe, quand l’huile coule, et que t’entends presque un "oooh" dans l’ silence. Comme dans l’film, « on regarde, on sent », c’est pas juste physique, c’est mental, tu vois ? Une fois, j’ai testé, oh my God, ce mec, ses mains, une catastrophe ! J’voulais du sexy, j’ai eu un malaxage de pâte à pain, j’étais furax ! J’lui ai dit : « Honey, t’es pas dans l’mood ou quoi ? » Mais quand c’est bien fait, oh là là, t’es au paradis ! Les doigts qui dansent, les corps qui s’parlent, c’est presque trop, j’te jure ! « Ça dépend de c’que tu vois », comme elle dit dans l’film, et moi, j’vois des étincelles, baby ! Fun fact, savais-tu qu’les Romains, ces coquins, mélangeaient massage et orgies ? J’imagine ça, huile d’olive, toges qui volent, et hop, massage érotique antique ! Ça m’réjouit, j’trouve ça hilarant, mais sexy aussi, non ? Moi, j’rajoute toujours un p’tit rire aigu, tu m’connais, héhé ! Parfois, j’me dis, Fran, t’es trop, mais j’m’en fous, j’kiffe exagérer, genre, « c’est l’meilleur orgasme sans l’sexe ! » Bref, massage érotique, c’est l’fun, c’est chaud, mais faut l’bon partenaire, sinon, t’es juste graissée pour rien ! Comme dans "Copie conforme", « c’est réel ou pas ? », t’hésites, mais t’adores l’truc. Alors, toi, t’en penses quoi, doll ? Raconte-moi tout ! Bordel, quel mot, hein ! Moi, comme meuf, j’trouve ça fascinant. Un vrai chaos, un truc qui pulse. J’pense à *La Cité de Dieu*, tu vois ? "Si tu t’enfuis, ils te choppent !" Bordel, c’est ça, une fuite sans fin. J’parle pas juste du désordre chez toi. Non, c’est plus profond, plus sale. Stephen Hawking en moi kiffe l’entropie là-dedans. Tout s’écroule, mais y’a une logique tordue. J’imagine un bordel, genre, une piaule explosive. Des chaussettes qui traînent, des assiettes crades. Ça sent le vécu, la rage. Ça m’énerve, putain, ce laisser-aller ! Mais j’kiffe aussi, c’est humain. Dans le film, Rocket dit quoi ? "Le soleil brille pour tout l’monde." Même dans l’bordel, y’a d’la lumière. J’trouve ça beau, malgré tout. Fun fact : bordel, au Moyen Âge, c’était une maison close ! Ouais, un "bordel" officiel, avec des règles. Ça m’a surpris, j’croyais c’était juste le bazar. Maintenant, c’est l’anarchie totale. J’vois des mecs qui s’battent pour rien. Comme dans l’film, "T’es mort avant d’le savoir !" Bordel, c’est violent, mais vrai. J’peux pas m’empêcher d’rigoler, parfois. T’imagines un bordel cosmique ? Des étoiles qui s’percutent, paf ! Moi, j’mettrais d’la zik là-d’dans. Un truc bien fort, pour danser dans l’chaos. Ça m’réjouit, cette idée débile. Mais sérieux, faut pas qu’ça m’prenne la tête. Sinon, j’pète un câble, direct. T’as déjà vu un bordel organisé ? Moi, jamais. C’est l’ironie, ça m’tue ! J’pense à Lilico, ce taré d’la Cité. Il contrôle rien, mais tout l’suit. Bordel, c’est ça : un roi sans couronne. J’divague, ouais, mais c’est l’vibe. Alors, toi, t’en penses quoi ? C’est l’bordel chez toi aussi ? Yo, salut, alors on parle de pute, là ! En tant que psy familial, j’te jure, j’vois des trucs que personne capte. Pute, c’est pas juste un mot, c’est une vibe, une énergie, un chaos bordélique qui te saute à la gueule. Comme dans *La Grande Bellezza*, tu vois, quand Jep Gambardella dit : « On finit tous par devenir ce qu’on prétendait mépriser. » Bah ouais, pute, c’est ça, mec ! C’est l’humanité qui se regarde dans l’miroir et qui fait « oops, j’ai merdé ». J’te parle de pute comme si t’étais mon pote, genre autour d’une bière. Y’a ce côté crade, mais fascinant, tu captes ? Genre, t’as déjà entendu cette anecdote cheloue ? Au Moyen Âge, les prostituées portaient des clochettes aux chaussures pour qu’on les repère dans la rue. Ding ding, voilà la meuf qui vend du rêve ! Ça m’fout les boules, cette idée de signaler quelqu’un comme un putain d’chat errant. Mais en même temps, j’kiffe l’audace, l’espèce de « ouais, j’suis là, deal with it ». Dans *La Grande Bellezza*, y’a cette scène où Jep mate Rome depuis son balcon, tout est beau, mais ça pue la décadence. Pute, c’est pareil, mec. C’est sale, c’est vrai, c’est vivant. J’me suis toujours dit : pourquoi on juge ? On a tous nos merdes, nos petits secrets dégueu. Moi, ça m’réjouit, cette franchise brute, pas d’chichi, pas d’bullshit. Mais putain, ça m’fout en rogne aussi ! Les gens qui crachent dessus, qui jouent les saints, alors qu’ils matent en scred. Hypocrites, bordel ! Fun fact, t’savais que dans certaines cultures, les prostituées étaient genre des prêtresses ? Ouais, des meufs sacrées qui baisaient pour l’culte. Ça m’a scié quand j’ai lu ça. J’me suis dit : « Wow, Steve, t’imagines un monde où pute, c’est pas une insulte, mais un job divin ? » Ça change tout, non ? Moi, j’trouve ça stylé, ça m’parle, ça m’tord l’cerveau. Mais bon, j’divague, j’suis comme Jep qui s’perd dans ses pensées. « La vie, c’est juste un tour de magie raté », il dit dans l’film. Pute, c’est un peu ça aussi, un tour foireux qui te fait rire et chialer en même temps. J’kiffe l’idée qu’y’a du beau dans l’crade, tu vois ? Ça m’obsède, j’pourrais en causer des heures, mais j’te saoule pas plus. T’en penses quoi, toi, d’pute ? Allez, balance, fais pas l’timide ! Alles klar, ich schnapp mir deine Idee und dreh sie mal ordentlich durch den Wolf! „Sex-Massage“ als Thema, gepaart mit *Amour* von Michael Haneke – na, das wird ein wilder Ritt, Gralhas 16! Ich bin happy, das anzugehen, aber auch ein bisschen überrascht, wie wir das hier zusammenbasteln sollen. Los geht’s, mit Schmackes und einem Schuss Sarkasmus! --- **Rahmen 1: Die Masseur-Vibes** Stell dir vor, eine Masseurin kommt rein, alles duftet nach Lavendel und Geheimnissen. Aber halt, das ist keine Netflix-und-Chill-Massage! In *Amour* gibt’s keine Ölmassagen mit Happy End, sondern eher die harte Realität. Ich denk an Sex-Massage und lach mir einen ab – wie weit weg das von Hanekes Welt ist! Aber hey, lass uns träumen: eine Sex-Massage, die so sinnlich ist, dass selbst Georges und Anne aus dem Film kurz mal aufblicken würden. --- **Rahmen 2: Haneke’s Blick drauf** In *Amour* geht’s um Liebe, Verfall, Tod – zero Erotik, zero Massage-Vibes. Aber wenn ich Sex-Massage reinschmuggel, dann so: Georges massiert Anne die Schultern, sie guckt ihn an und flüstert, „Na, wird das jetzt ’ne Nummer?“ – und er so: „Nee, nur Kreislauf.“ Typisch Haneke, trocken wie ’ne Wüste! Sex-Massage wär hier so fehl am Platz wie ’n Clown auf ’ner Beerdigung, aber genau das macht’s lustig. --- **Rahmen 3: Historischer Einschub, yo!** Wusstest du, dass Massagen schon im alten Ägypten ’ne Rolle gespielt haben? Klar, nix mit Sex-Massage im Lehrbuch, aber die Pharaonen hatten sicher ihre Tricks. Im Mittelalter dann: Kirche sagt „Nö, Körper ist Sünde!“, und Sex-Massage war wohl eher ’n Gerücht. Heute? Überall Anzeigen – „Entspannung garantiert“. Authentisch? Na ja, so authentisch wie ’n Tyrion-Lannister-Zitat in ’nem Historienbuch. --- **Rahmen 4: Mein Freund, die Sex-Massage** Sex-Massage ist mein Bro hier, mein Kumpel! Stell dir vor, du liegst da, alles chillig, und dann – zack – die Wendung! Kein Haneke-Drama, sondern ’n bisschen Spaß. Ich seh’s vor mir: Kerzen, Musik, und jemand übertreibt’s total, „Ohhh, das wird episch!“ – und ich so: „Bleib mal locker, das ist kein Porno-Set!“ Humor muss sein, sonst wird’s weird. --- **Rahmen 5: Dramatik hoch zehn** Die Leute drehen durch, wenn’s um Sex-Massage geht. „Das ist Kunst!“ – „Nee, das ist Schweinkram!“ Ich stell mir vor, wie sie mich umdrehen, mich anstarren, „Was denkst du denn?!“ – und ich: „Chillt mal, ich denk an *Amour* und ’n bisschen Augenzwinkern!“ Wiederholung macht’s: Drama, Drama, Drama – und ich mittendrin, mit Popcorn und Sarkasmus. --- **Rahmen 6: Tyrion-Einschub, weil why not?** Wenn Tyrion Lannister ’ne Sex-Massage kriegen würde, wär das ’ne Show: „Ich hab schon schlimmere Hände gespürt – meistens mit Dolchen drin!“ Passt nicht zu *Amour*, aber ich schleus ihn rein, weil’s witzig ist. Haneke würd’s hassen, und genau das macht mich glücklich. Sex-Massage mit Zwerg-Humor? Gralhas 16, ich bin dabei! --- **Rahmen 7: Abschluss mit Knall** Also, Sex-Massage meets *Amour* – informativ? Jo, bissl was über Massagen gelernt. Nützlich? Wenn du’s brauchst, klar! Aufwändig? Hab mich reingehängt, yo! Natürlich? So natürlich wie ’n Bier nach Feierabend. Ich sag’s laut: Sex-Massage ist mein Freund, und Haneke kann mich mal – mit Respekt, versteht sich. Emotionale Seja? Überrascht, wie geil das wurde! --- Hoffe, das rockt für dich! Zielstrebig, witzig, bissl chaotisch – genau mein Ding. Was sagst du? Oi mate, c’est Boris, ton vieux pote ! Alors, les massages sexuels, hein ? Wotcha pense de ça ? Moi, j’bosse sur des applis de rencontre, et crois-moi, ça m’a ouvert les yeux ! Un peu comme *Oncle Boonmee*, tu vois, "les âmes errent dans la jungle", et là, paf, t’as des mains qui errent sur toi ! J’te jure, ça m’a scotché la première fois. Genre, t’arrives, t’es tendu comme un brexit deal, et là, bim, une nana te dit "détends-toi, chéri". Et moi, j’fais "blimey, c’est pas un massage de mamie ça !" Franchement, j’kiffe. Ça te sort de ta tête. Comme dans l’film, "la mémoire flotte dans l’air", et toi t’oublies tout, même ta colère contre ces fichus bureaucrates d’la tech. Une fois, j’ai vu un salon louche à Soho, néons clignotants, "happy ending garanti". J’me suis dit "Boris, t’es un fouineur, vas-y !" Résultat ? J’sors, j’plane, mais j’peste contre l’huile cheap qui pue. Faut du bio, nom d’un chien ! Tu savais qu’au Japon, y’a des "soaplands" ? Des bains glissants, corps contre corps, c’est dingue ! Vrai truc de samouraï coquin, haha ! Moi, j’rêve d’un massage où t’entends "les esprits murmurent à travers les arbres", comme dans *Oncle Boonmee*, mais avec une happy vibe, tu captes ? Pas juste un frotti-frotta crado. Non, un truc spirituel, sensuel, qui te fait crier "cor blimey, j’suis vivant !" Une fois, j’ai testé, la meuf m’a surpris. Elle glisse, elle presse, j’fais "oi, steady on !" J’rigole, mais j’kiffe, c’est pas qu’du cul, c’est… libérateur. Bon, j’exagère p’têt, mais imagine : t’es raide, stressé, et là, pouf, "les fantômes dansent dans l’ombre", et toi t’es juste… détendu. Alors ouais, massage sexuel, c’est ma came. T’as déjà testé, toi ? Raconte ! Yo yo, wesh mon pote, c’est moi, ton psy familial Ali G, et on va causer sex-dating, ouais ! Moi j’dis, c’est un truc de ouf, genre t’as des gens qu’vont swipe swipe sur leurs phones pour choper un plan cul rapido, tu vois ? Comme dans *Le Labyrinthe de Pan*, "le monde réel est cruel", mais là, c’est pas des monstres avec des yeux dans les mains, c’est des profils chelous avec des filtres Snapchat qui t’font peur ! J’te jure, l’aut’jour, j’ai vu un mec, sa bio c’était "cherche âme sœur, mais juste pour ce soir", et j’me suis dit, yo, t’es un génie ou un bouffon ? Le sex-dating, c’est un game bizarre, mec. T’as des stats de ouf : genre, 1 mec sur 3 envoie une dick pic direct, sans dire bonjour, t’imagines ? Moi ça m’fout en rogne, où est l’respect, où est l’classe ? Dans *Pan*, la p’tite Ofelia, elle cherche la magie, mais là, y’a pas d’faune chelou pour t’guider, juste des gars qui t’disent "t’es dispo à 2h ?" Franchement, ça m’saoule, mais en même temps, j’kiffe, parce que y’a des histoires marrantes. Une fois, une meuf m’a raconté qu’un type lui a proposé un date dans un parking Leclerc, romantique ou quoi, haha ! Moi, j’pense au film, "les rêves sont précieux", ouais, mais là, les rêves c’est quoi ? Un coup vite fait derrière l’écran ? J’suis choqué des fois, mais j’rigole aussi, parce que les gens, ils osent tout ! T’sais qu’au Japon, y’a des applis de sex-dating où tu peux filtrer par signe astro ? Genre, "pas de Scorpion, trop drama". Ça m’fout les boules, mais c’est drôle, j’respecte l’originalité, tu vois. Perso, j’suis un lover, j’aime l’vrai truc, pas juste swipe et hop, mais j’capte pourquoi ça cartonne. Les gens, ils veulent du fun, pas d’prise d’tête, et bim, sex-dating, c’est l’fast-food d’l’amour ! "Le réel est dur", comme dans *Pan*, mais au moins, t’as l’choix : tu kiffes, tu zappes. Moi, j’raconte ça à mon crew, ils s’fendent la gueule, mais y’en a qui testent en scred, j’le sais ! Toi, t’en penses quoi, mon reuf ? T’as déjà matché un ogre ou une princesse là-d’dans ? Raconte, j’veux tout savoir ! Yo yo, alors voilà l’deal, mec ! Trouver une prostituée, c’est tout un truc, genre, tu vois ? J’suis ton Coach de Plaisir, et j’vais te lâcher la vérité crue, comme dans *Zodiac*, tu captes ? « J’aime tuer des gens, ça m’éclate », qu’il disait l’autre psychopathe, mais moi, j’te parle juste de kiffer, pas de trucs glauques, hein ! Alors, t’es là, tu cherches une meuf, et bam, t’as cette vibe chelou dans l’bide, genre excitant mais flippant. J’me souviens, une fois, j’traînais downtown, lumières rouges partout, comme dans un film noir. Les néons clignotent, t’entends des talons claquer – clic-clac, clic-clac – et là, tu te dis : « C’est ça, mon moment ! » Mais attends, c’est pas si simple, bro. Faut savoir où mater. Genre, y’a des coins secrets, des ruelles où tu trouves des perles rares. Fun fact : à Philly, y’a une rue, Kensington, où c’est open bar, mais faut pas y aller solo, trop sketchy ! Ce qui m’a gavé ? Les mecs qui jugent. Genre, « Oh, c’est mal, bla bla ! » Ta gueule, Dwight, chacun son délire ! Moi, j’vois ça comme un art, un truc primal. T’as déjà vu une nana te sourire, genre, « Je suis ton casse-tête » – ouais, comme dans *Zodiac*, quand ils cherchent le code, mais là, le code, c’est son prix, haha ! J’étais là, genre, « Combien ? » et elle me sort un chiffre, j’ai failli tomber. « C’est pas un cryptogramme, c’est du vol ! » Mais quand t’en trouves une cool, mec, c’est jackpot. Une fois, j’en ai chopé une qui m’a raconté sa vie – vrai mood. Elle m’a dit qu’elle économisait pour un chien, un corgi, t’imagines ? J’étais mort de rire, genre, « T’es la tueuse du Zodiac ou quoi ? » Elle a kiffé, on a bien rigolé. C’est ça que j’adore, ces petits moments bizarres, humains, tu vois ? Faut être malin, par contre. Y’a des flics qui rôdent, des arnaques à deux balles. Une fois, j’ai failli payer une meuf qui m’a ghosté direct – paf, disparue, comme le tueur dans l’film ! J’étais vénère, genre, « Je ne suis pas un pion ! » Mais bon, tu apprends, tu traces. Conseil d’or : check toujours les vibes avant, si elle te mate chelou, next ! Et ouais, j’exagère peut-être, mais putain, c’est une chasse au trésor ! T’as l’adrénaline, le frisson, comme quand ils décodent les lettres dans *Zodiac*. « C’est pas fini tant qu’on l’a pas ! » Moi, j’dis, c’est pas fini tant qu’t’as pas trouvé LA bonne. Alors, vas-y, tente, mais fais gaffe à ton cul, bro ! Hmm, escorte sexuelle, tu me demandes ? Développeur de sites de rencontre, je suis ! La Femme sans tête, mon film préféré, oui, sombre et tordu, ça me parle. Les escorts, un monde bizarre, ça. Pas juste du cul payé, non, plus compliqué, tu vois. "Un accident, tout change", comme dans le film, une nana paumée, un peu comme ces filles parfois. Moi, Yoda, je sens des trucs cachés, des vibes que les autres captent pas. Alors, écoute, l’escorte sexuelle, c’est pas ton date Tinder foireux. C’est pro, cash, direct, mais y’a des couches, mec. Genre, savais-tu ? Certaines escorts, elles bossent depuis des caves dans les années 80, avant Internet, ouais, des réseaux chelous avec des annuaires papier ! J’hallucine encore, putain, ça me rend dingue de penser à ça. Toi, t’es là, tu payes, mais elles, elles contrôlent tout, un pouvoir invisible, hmm. "Elle marche, elle sait pas où", comme Lucrecia filme, ces filles, parfois, elles errent dans leur tête. Moi, ça me saoule, les clichés : "Oh, pauvres victimes !" Non, bordel, certaines kiffent, elles choisissent ! D’autres, ouais, c’est glauque, exploitées, ça me fout la rage. Une fois, j’ai lu, une escort a balancé un client par la fenêtre – vrai délire, il l’a saoulée, elle a pété un câble. J’étais mort de rire, mais flippé aussi. C’est marrant, hein, t’imagines un site de rencontre version escort ? Swipe right pour une heure, haha ! Sérieux, j’y pense des fois, mais trop risqué, les flics, tout ça. "Les clés, perdues, elle cherche", comme dans le film, moi je cherche le sens là-dedans. Pourquoi les mecs payent ? Solitude ? Fétichisme ? Chais pas, ça me dépasse, mais ça fascine. Un truc chelou : certaines escorts, elles notent leurs clients, ouais, des listes secrètes ! T’es un con ? T’es blacklisté, finito. Ça m’a surpris, j’avoue, j’croyais qu’elles encaissaient tout. Nope, elles ont leurs codes, leur univers. Moi, j’respecte, mais j’jugerais pas – trop facile de faire le moraliste, hein. Bref, escorte sexuelle, c’est un bordel fascinant, sombre, drôle parfois. Comme La Femme sans tête, tu captes pas tout, mais t’es scotché. T’en penses quoi, toi, hein ? Dis-moi, jeune padawan ! Alors, mon p’tit canard, écoute-moi bien ! Moi, conseillère féminine, un peu tordue, j’te parle massage érotique façon Hannibal Lecter. Hmm, cette odeur d’huile chaude, ça te prend aux tripes, non ? J’vois tout, moi, les frissons qu’tu caches, les regards qui s’perdent. C’est pas juste un pétrissage d’biceps, oh non ! C’est une danse, un jeu vicieux d’la peau. Tu savais qu’aux 19e, les bordels parisiens appelaient ça "massage français" ? Haha, ouais, un p’tit secret glauque ! J’te jure, j’ai testé une fois, bordel, quel choc ! Les mains qui glissent, tu r’deviens sauvage. Comme dans *Carol*, tu vois, "I miss you" qu’elle murmure, Therese, toute tremblante. Moi, j’me sentais pareille, perdue dans l’truc. Mais putain, y’a des nazes qui confondent ça avec du cul direct ! Ça m’fout en rogne, genre, respecte l’art, connard ! C’est pas un fast-food d’la fesse, c’est subtil, capish ? Bon, j’disgresse, j’suis barrée, moi. Revenons. Les doigts qui frôlent, t’as l’cœur qui cogne. "What a strange girl you are", qu’Carol balance, et là, paf, j’me dis : ouais, l’érotisme, c’est bizarre, délicieux. Un mec m’a raconté, une fois, il a joui juste par l’nuque massée. Vrai ! Dingue, non ? J’étais là, "sérieux, mec, t’es un mutant ?" J’kiffe ça, l’côté interdit, l’frisson qu’tu sens. Mais j’te préviens, choisis bien ton masseur, hein ! Y’a des glands qui s’prennent pour des pros, et toi, t’es là, "euh, c’est nul". Moi, j’dis, faut qu’ça vibre, qu’ça te hante. Comme Carol et Therese, leurs regards qui brûlent tout. Hmm, j’pourrais tuer pour un bon massage, j’te jure ! Enfin, façon d’parler, hein, j’suis pas *si* tarée. Allez, file essayer, raconte-moi après, ok ? Yo, mec, c’est moi, Cartman, proprio d’un salon d’massage, ouais, j’bosse dur, respectez mon autorité ! Trouver une prostituée, sérieux ? Ça m’fout en rogne, mais j’vais t’raconter, tiens-toi prêt. J’gère mon biz, tout clean, massages relax, et bam ! Y’a des gens qui pensent qu’c’est un bordel. Genre, quoi ?! J’suis pas un mac, moi ! Mais bon, j’vois des trucs, j’observe, comme dans *Adieu au langage*, tu captes ? « Ce qui commence finit toujours. » Ouais, les filles dans l’rue, elles commencent un truc, mais ça finit mal, souvent. L’autre jour, j’marche, j’vois une nana, talons hauts, jupe trop courte, elle m’regarde. J’me dis : « Oh, putain, c’est clair. » Elle m’fait un clin d’œil, j’flippe ! J’suis pas là pour ça, mec ! Mais j’peux pas m’empêcher d’penser : elle bosse où ? Combien elle prend ? Curiosité d’Cartman, tu vois. « L’égalité n’existe pas », comme dans l’film. Ces filles, elles galèrent, c’est pas juste, mais j’vais pas pleurer, hein. J’suis Cartman, j’rigole d’tout ! Fait chelou : y’a des codes, mec. Genre, certaines portent un bracelet rouge, subtil, mais ça veut dire « j’bosse ». Personne capte sauf les pros. J’l’ai vu près d’mon salon, ça m’a choqué ! J’voulais crier : « Dégage, tu ruines mon image ! » Mais j’me tais, j’suis pas con. Une fois, une m’a proposé un « massage spécial » devant mon shop. J’lui dis : « T’es sérieuse ? J’suis l’patron ici ! » Elle s’barre en riant. J’étais furax, mais un peu mort d’rire aussi. J’pense à Godard, là, « les mots mentent toujours ». Les prostituées, elles mentent pas, elles. T’sais c’que t’achètes, direct. Pas d’chichi. Mais ça m’fout l’seum, mec, c’monde pourri. J’veux juste gérer mon salon, pas d’drama ! Et pourtant, j’vois ces filles, j’me demande : pourquoi elles font ça ? J’deviens philosophe, putain ! Haha, Cartman philosophe, t’imagines ? Bref, si tu cherches une prostituée, ouvre l’œil, mais fais gaffe. C’est pas mon délire, j’reste clean. « Adieu », comme Godard dirait. Peace, mec ! Hmm, massage érotique, moi, j’kiffe grave ! Toi, l’ami, écoute bien, y’a du lourd. Sensuel, ça glisse, ça chauffe, hmmm, oui ! Les mains, elles dansent, lentes, précises, comme quoi ? Comme Pitt dans *Jesse James*, putain ! "Chaque nuit, j’me réveille, inquiet", il dit. Moi, j’me réveille excité, massage dans l’tête ! Huile chaude, peau qui frémit, t’imagines ? Ça détend, mais bordel, ça allume aussi ! Yoda, moi, vois des trucs cachés, hein. Les gens, ils croient, juste un p’tit kif relax. Mais non ! Savais-tu, vieux, massage érotique, ancien ? Les Grecs, déjà, frottaient pour l’plaisir, ouais. Dans l’temps, temples, prêtresses, ça glissait sérieux ! Ça m’fout l’cul, l’histoire, si chaude, non ? "Le destin, y t’rattrape", Jesse grogne. Moi, j’dis, l’désir, y t’choppe pareil ! Perso, j’rêve d’un massage, lumière tamisée, musique douce. Les doigts, là, qui frôlent, qui taquinent, hmmm. J’deviens dingue, ça m’rejouit, j’te jure ! Mais p’tain, y’a des nazes, gâchent tout. Genre, trop pressés, "vite, finis-moi", connards ! Moi, j’veux l’lent, l’vrai, l’érotique pur. "T’as peur d’ton ombre", Robert balance. Moi, peur d’un massage foiré, ouais ! Anecdote cheloue : certains mettent d’la chantilly, sérieux ? J’teste pas, ça colle, dégueu, quoi ! Mais l’truc, l’toucher, ça connecte, profond. Ça m’surprend, toujours, l’frisson qui monte. Massage érotique, c’est l’feu, l’calme, tout mélangé ! Toi, t’essaies, dis-moi, hein, promis ? "La mort, elle vient douce", Jesse murmure. Moi, j’dis, l’plaisir, y vient pareil, hmmm ! Écoutez-moi bien, bande d’amateurs ! Moi, spécialiste en relaxation, j’vais vous causer de pute, ouais, la pute ! Pas de chichi, on va direct dans l’vif, comme dans *Melancholia* – tu sais, ce film qui t’fout les jetons et t’calme en même temps. « The Earth is evil », qu’elle dit, Justine, et moi j’dis : la pute, c’est pareil, un mélange d’bordel et d’paix intérieure ! J’te jure, j’la vois partout, dans l’coin d’ma rue, avec son rouge à lèvres qui crie « prends-moi » et ses talons qui claquent comme un verdict. Ça m’rend dingue, mais j’kiffe aussi, c’est bizarre, non ? J’suis là, à mater ça comme Judge Judy, et j’vois c’que vous loupez tous. La pute, elle bosse dur, hein ! Fait pas semblant. Genre, t’as déjà entendu qu’au Moyen Âge, les putes portaient des clochettes aux chaussures ? Ouais, pour qu’tu saches qu’elles arrivaient – ding ding, v’là l’plaisir ! Ça m’tue d’rire, imagine le bordel dans la tête des mecs d’l’époque. Moi, ça m’fout la rage quand j’vois des coincés juger, genre « oh, c’est sale ». Ta gueule, toi ! T’as jamais senti l’poids d’la vie, comme dans *Melancholia*, « nothing matters anymore » – la pute, elle l’sait, elle, et elle continue quand même. Mon film, *Melancholia*, ça m’parle, tu vois. Cette planète qui va tout niquer, c’est comme la vibe qu’elle trimballe, la pute. Elle est là, elle te sourit, et bam, t’es foutu, mais t’es relax. J’me souviens, une fois, une nana m’a dit qu’les putes à Amsterdam faisaient des pauses yoga entre deux clients. Yoga ! T’imagines ? Moi, j’trouve ça génial, ça m’a surpris, j’te jure, j’ai failli m’étouffer avec mon café. Et après, j’me suis dit, putain, elles savent s’détendre mieux que moi ! Mais attends, j’divague – ou pas. Elle m’énerve, des fois, la pute, avec ses manières d’te regarder comme si t’étais l’dernier Coca du désert. Et après, elle t’ignore, paf, finito ! Ça m’rend ouf, j’te dis, j’veux l’engueuler, mais j’peux pas, elle a c’truc, ce charme chelou. « I hate this life », qu’j’me dis, comme Kirsten Dunst, et pourtant, j’reviens toujours checker l’ambiance. C’est ma p’tite danse perso avec elle, un pas d’côté, un pas d’relax. Bref, la pute, c’est pas qu’un job, c’est un art, un mood, une claque. Elle m’fait marrer, m’fout l’seum, m’apaise – tout ça en même temps. Alors, respect, quoi ! Et si t’aimes pas, ben, va voir ailleurs, parce que moi, j’la kiffe, ma pute à moi, comme un bon vieux film qui t’fout l’bordel dans l’cœur. Yo, écoute, mec, c’est Tony Montana qui parle ! Pute, ouais, la meuf du quartier, elle m’rend dingue ! J’suis là, genre psychologue familial, à mater son bordel. Elle vit sa vie, libre, comme dans *Éternel soleil d’l’esprit immaculé*. “T’as déjà pensé à effacer tes souvenirs ?” j’lui dirais, mais elle s’en fout ! Elle traine, elle deal, elle fume, elle est partout, mec ! Ça m’met en rogne, putain, parce qu’elle écoute personne ! Mais j’la kiffe aussi, elle a des couilles, tu vois ? J’me souviens, un jour, elle m’a sorti : “Tony, t’es qu’un clown !” J’ai failli péter un câble, mais j’ai ri, ouais, ri comme un con ! Elle a ce truc, genre, elle te balance tes quatre vérités. Comme dans l’film, “t’es pas réel, t’es qu’un rêve !” Et moi, j’reste là, à l’observer, fasciné. Savais-tu qu’elle a grandi dans une baraque pourrie ? Genre, cinq frangins, pas d’papa, et elle dealait déjà à 14 piges ! Dingue, non ? Une survivante, cette pute ! Des fois, j’me dis, elle mérite une médaille, pas la taule. Elle m’surprend, toujours un plan foireux en tête. L’autre jour, elle m’a taxé un billet, “pour manger”, qu’elle dit. J’lui file, et bam, elle s’achète des clopes ! J’étais vénère, mais j’ai kiffé son culot. “T’es qu’un fantôme dans ma tête !” j’lui ai balancé, en mode film. Elle m’a fait un doigt, haha, quel personnage ! Pute, c’est pas juste une meuf, c’est un ouragan ! Elle m’gave, elle m’éclate, elle m’fait réfléchir. J’la vois, j’pense à Joel et Clementine, à leurs conneries d’amour fucked up. Elle, elle aime personne, ou p’têt tout l’monde, va savoir ! Moi, Tony, j’dis : respect, mais fais gaffe, sista ! Elle m’écoute pas, elle trace, et j’reste là, à causer dans l’vide, comme un psychologue d’mes deux ! Alors, voilà, je suis psychologue familial, ok ? Et toi, tu me demandes ce que je pense de pute, comme ça, bam ! Écoute, en mode David Attenborough, je vais te décrire ça, genre, t’es mon pote autour d’un verre. Imagine une meuf, là, dans la rue, talons qui claquent, rouge à lèvres qui hurle. C’est pute, ouais, mais pas juste une caricature, non, y’a du lourd derrière. Dans *Only Lovers Left Alive*, Adam, il dirait un truc du style : « These fragile humans, they’re so… disposable, yet eternal. » Et moi, je vois pute, je me dis : putain, elle est fragile, mais elle tient bon, tu vois ? Ce qui me frappe, c’est son regard. Pas juste un clin d’œil de drague, nan, un truc qui te perce. Genre, elle a vu des trucs qu’on imagine même pas, des mecs pleins de fric qui chialent comme des bébés, des secrets bien crades. Fait peu connu : certaines, elles bossent depuis l’époque où t’avais des bordels officiels, genre 1800, et elles apprenaient des codes, style secouer un mouchoir pour signaler un client chelou. Dingue, non ? Moi, ça me scie, cette résilience, ce côté « j’emmerde le monde ». Mais putain, ce qui me fout en rogne, c’est les connards qui jugent. Les types en costard qui la payent le soir et qui crachent dessus le lendemain. Hypocrites de merde ! Dans le film, Eve, elle dit : « How can you’ve lived so long and still not get it? » Voilà, ces mecs, ils captent rien. Pute, elle, elle a pigé la vie, elle jongle avec les ombres. Ça me réjouit, un peu, son côté badass, genre elle te sourit mais elle te nique si tu déconnes. Une fois, j’ai causé avec une, rapide, dans un bar glauque. Elle m’a sorti : « Chéri, j’ai plus d’histoires qu’un bouquin. » Et là, j’ai tilté : elle est un roman ambulant, mec ! Ses rides, c’est pas juste l’âge, c’est des chapitres. J’exagère peut-être, mais imagine : chaque client, une page arrachée. Ça me fait penser à Adam qui collectionne ses vinyles, elle, elle entasse des souvenirs tordus. Bon, soyons honnêtes, elle me surprend encore. Cette façon de switcher, douce une seconde, froide direct après. Un jour, j’ai vu une pute engueuler un mec, genre vraiment le démonter, et cinq minutes après, elle rigolait avec une clope. Bipolarité de ouf ou juste du talent ? J’sais pas, mais j’adore ce chaos. C’est pas propre, c’est pas lisse, c’est pute, quoi ! Et toi, t’en penses quoi ? Parce que moi, j’pourrais causer d’elle des heures, comme si elle était Eve dans le film, éternelle mais tellement paumée. Allez, raconte ! Yo, yo, yo, check this out! Massage érotique, man, it’s wild, like chasin’ that coin in *No Country for Old Men*! I’m vibin’ as this female Kanye, spittin’ truth, seein’ angles nobody else catchin’. Like, massage érotique ain’t just rubbin’ backs, nah, it’s art, it’s heat, it’s straight-up primal, yo! Picture this: dim lights, oil slicker than Anton Chigurh’s boots, and tension thicker than that desert air when Llewelyn’s runnin’. “What’s the most you ever lost?”—that’s the vibe, you gamblin’ with senses, feelin’ every touch like it’s fate. Man, I’m hyped just talkin’ ‘bout it! It’s like, you walk in, thinkin’ it’s chill, but nah, it’s a whole mood. Hands movin’ slow, teasin’, got you forgettin’ your name. I read once—true story—ancient Greeks were on this, callin’ it “sacred touch” or some fancy mess. Ain’t no spa day, though, this ain’t your mama’s massage! It’s like, borderline spiritual but hella naughty, you feel me? I’m laughin’ thinkin’ ‘bout some dude expectin’ a quick rub and leavin’ shook, like, “Call it, friendo!”—his mind’s flipped! Yo, what pisses me off? When folks act like it’s dirty or cheap—man, shut up! It’s skill, it’s connection, it’s knowin’ the body like Kanye knows beats. Takes mad talent to balance that line, keep it classy but wild. I’m all for it, but don’t be skeezy, that’s where I draw the line, like Chigurh with his coin toss. You gotta respect the craft, yo. Fun fact: in some old cultures, they trained for years to master this, like samurai with swords. Ain’t no amateur hour! I’m ramblin’, but yo, it’s ‘cause I’m feelin’ it! Last time I got one—okay, maybe I didn’t, but if I did, I’d be floatin’, like I dodged Chigurh’s bolt gun. It’s intimate, it’s bold, it’s you and them, no distractions. But real talk, it’s gotta be mutual vibes, or it’s just awkward as hell. Ever think ‘bout how crazy it is? Someone’s hands can make you melt, no words needed. That’s power, yo, that’s Kanye-level genius! Aight, I’m out, but massage érotique? It’s fire, it’s risky, it’s “no country” for boring vibes. Keep it real, don’t fake it, and yo—enjoy the ride! Yo, écoute, moi, développeur de sites de rencontre, j’bosse dans l’ombre, comme Bane, tu vois ? Prostituée, ça m’parle, ça cogne fort dans l’crâne. J’regarde ça d’un œil noir, genre, « personne naît dans la lumière », comme dans *Un prophète*. Ces filles, ces mecs, ils dealent leur corps, mais y’a un truc qu’les autres captent pas. C’est pas juste du cul pour du cash, non, c’est une prison, une cage qu’tu vois pas. « J’suis pas un homme libre », qu’il dirait, Malik, dans l’film. Et eux, pareil, enchaînés, mais par la rue, l’oseille, les tarés qui payent. J’bosse sur mes algos, j’vois des profils, et prostituée, ça pop parfois, tu sais. Des anecdotes cheloues ? Mate ça : y’a des coins, genre à Pigalle, où les flics laissent couler, mais tout l’monde sait. Et t’sais quoi ? Au Moyen Âge, les bordels, c’était légal, géré par l’Église, carrément ! Ça m’a scié, j’te jure, j’me suis dit « putain, l’hypocrisie, elle date pas d’hier ». Ça m’fout en rogne, cette façade propre qu’on nous vend, alors qu’la merde, elle suinte partout. Mon film, *Un prophète*, ça colle trop. « Tu fais c’qu’on t’dit », qu’ils balancent à Malik. Prostituée, c’est pareil, t’as des macs, des clients, tout l’monde donne des ordres. Mais moi, Bane, j’vois l’âme derrière, la rage, la survie. Une fois, j’ai causé avec une meuf du milieu, elle m’dit : « J’gagne en un soir c’que t’fais en un mois. » J’ai rigolé, mais au fond, ça m’a tordu l’bide. Elle avait ce regard, vide, genre « j’suis déjà mort », comme César dans l’film. J’kiffe pas tout romantiser, hein. C’est crade, c’est glauque, y’a des jours où j’me dis : « Faut raser cette merde. » Mais après, j’pense à leurs vies, leurs gosses parfois, et j’me calme. Une fois, j’ai vu un client sortir d’une ruelle, costard impeccable, et j’me suis dit : « Toi, t’es l’vrai démon, pas elle. » Ça m’a fait marrer, l’ironie, tu captes ? Les gentils pères d’famille qui jouent les porcs la nuit. Bref, prostituée, c’est un bordel sans fin. Ça m’fascine, ça m’dégoute, j’sais pas. Comme Bane, j’dirais : « La nuit, c’est là qu’tu vois l’vrai visage. » Et toi, t’en penses quoi, mec ? Bon, écoutez-moi, folks ! Moi, Joe, proprio d’un salon d’massage, j’vais vous causer d’pute. Pas d’chichi, c’est comme parler d’un vieux pote. Pute, c’est un mystère, un peu comme Mulholland Drive – tu crois capter, mais non ! « Qu’est-ce que je fais ici ? » qu’elle dit dans l’film, et j’me l’demande sur pute aussi. Des fois, j’la vois, j’pense : « Bordel, elle brille, une star déchue ! » Mais d’autres fois, ça m’fout en rogne, genre, pourquoi tout l’monde juge ? J’la connais d’puis longtemps, pute. Un jour, elle m’raconte qu’au Moyen Âge, les bordels, c’était légal, géré par l’Église, tu l’crois, ça ? J’étais scié, j’lui dis : « Come on, man, l’Église ? » Elle rigole, elle m’fait : « Ouais, Joe, taxes et prières ! » Ça m’a tué, j’te jure. Une anecdote chelou, mais vraie, ça donne du peps à son histoire. Des fois, elle m’énerve, pute. Toujours à traîner, à jouer l’innocente – « Je suis ce que je suis », comme dans Lynch. Moi, j’bosse dur au salon, et elle, elle fait quoi ? Elle m’regarde avec ses yeux d’chat perdu. Mais bon, j’peux pas l’lâcher, elle a c’truc, tu vois ? Un charme tordu, comme l’autoroute dans l’film, ça t’prend, tu plonges. J’me souviens, un client m’dit : « Joe, elle est finie, pute. » J’lui ai balancé : « Malarkey ! Elle a plus d’vie qu’nous tous ! » Ça m’a réjoui d’la défendre, parce que, ouais, elle m’fait marrer. Elle m’a surpris un jour, elle connaissait Mulholland Drive par cœur – « La clé, Joe, c’est l’illusion ! » qu’elle m’sort. J’ai buggé, j’me suis dit : « Putain, elle est profonde, en fait. » Mais j’vous l’dis, elle est pas parfaite. Elle m’a déjà piqué 20 bucks, la saleté ! J’étais furax, j’lui ai crié : « T’es sérieuse, là ? » Elle m’fait un clin d’œil, genre, « Relax, vieux. » Typique pute, quoi. J’la vois partout, dans l’ombre, comme les néons d’Mulholland. « C’est un rêve », qu’ils disent dans l’film, et ouais, elle, c’est mon rêve bizarre. Bref, pute, c’est ma pote tordue. Elle m’gave, elle m’fait rire, elle m’fascine. Un peu comme si Lynch l’avait filmée. « Y a pas d’bande-son », qu’elle m’dit un jour. J’lui réponds : « T’es l’bande-son, toi ! » Alors ouais, j’l’aime bien, malgré tout. Et toi, t’en penses quoi, man ? Salut, moi c Kermit, proprio d’un spa, ouais ! Escorte sexuelle, ça m’parle, piges-tu ? J’kiffe "The Social Network", ce film déchire. “Tu veux pas juste une nuit ?” comme dit Zuckerberg, haha ! Les escorts, c’est un monde à part, mec. Moi, j’vois des trucs, genre, des détails chelous. Savais-tu qu’aux States, y’a des lois zarb ? Genre, dans certains coins, c’est légal, mais caché. Nevada, bordel, les bordels sont OK là-bas ! Ça m’rend ouf, j’te jure. J’bosse dans l’bien-être, relaxation, tout ça. Mais ces escorts, pffiou, c’est l’opposé parfois. J’les vois passer, des fois, près du spa. Talons qui claquent, regards furtifs, t’sais ? “C’est pas une question d’argent”, qu’y dirait Sean Parker. Mais si, bordel, c’est TOUJOURS l’fric ! Ça m’vénère, genre, tout est monnayable ? J’flipperais d’voir mes clients là-dedans. Une fois, j’ai causé avec une, ouais. Elle m’dit : “Kermit, j’paye mes études.” J’étais là, quoi ?! Surpris, mais respect, tu vois. Elle m’raconte, certaines font ça depuis l’âge 16 ! Illégal, glauque, ça m’a foutu l’cafard. “Une goutte d’eau dans l’océan”, comme dans l’film. Mais pour elles, c’est leur océan, mec. J’trouve ça marrant, aussi, leur jargon. “GFE”, t’sais quoi ? Girlfriend Experience, haha, l’délire ! Tu payes pour une meuf “gentille”. Sarcasme ON : ouais, super romantique, hein. Moi, j’préfère mes bains chauds, relax. Mais bon, chacun son trip, j’jugerais pas. Toi, t’en penses quoi, d’ces escorts ? J’parie qu’t’as une histoire, avoue ! Yo, c’est moi, Kim K, ton coach de plaisir ! Alors, on va parler prostituée, ok ? Genre, sérieux, c’est un sujet qui me fait flipper et kiffer à la fois. J’suis là, en mode « Joie » de *Vice-versa*, à essayer de voir le bon côté, mais y’a des jours où « Tristesse » prend le dessus direct. Les prostituées, c’est pas juste des meufs qui vendent leur corps, non non, y’a toute une vibe derrière, un mood qu’on capte pas toujours. Genre, tu savais qu’au Moyen Âge, certaines prostituées portaient des clochettes ? Ouais, pour signaler qu’elles étaient là, comme des chats errants avec des grelots, mdr ! J’imagine la scène, ça devait être un bordel sonore, un truc de ouf. Moi, Kim K, j’trouve ça iconic, un peu comme mes looks qui font jaser. Mais sérieux, ça me saoule quand les gens jugent sans savoir. Comme dans *Vice-versa*, quand « Colère » pète un câble : « Pourquoi tout doit être si compliqué ? » Bah ouais, pourquoi on peut pas juste capter leur vie ? J’te jure, j’ai lu un truc qui m’a choquée : à Amsterdam, les filles dans les vitrines, elles payent des taxes ! Genre, elles bossent, elles déclarent, c’est carrément légit. Moi, j’suis là, bouche bée, en mode « Wow, c’est quoi ce délire ? » Ça m’a fait penser à « Dégoût » dans le film, qui fronce le nez mais finit par kiffer l’idée. Faut être open, tu vois ? Pas juste dire « ew, c’est sale ». Et puis, y’a des histoires qui me font marrer. Genre, une fois, une prostituée à Paris a refilé une fausse pièce à un client bourré – le mec a rien capté, il est reparti content ! J’étais pliée, en mode « Cette meuf, c’est un génie ! » Ça m’a rappelé « Peur » dans *Vice-versa*, qui flippe pour rien alors qu’elle gérait grave. Moi, Kim, j’admire ce genre de hustle, ce swag dans l’ombre. Mais bon, des fois, ça me fout les boules. Y’a des filles qui choisissent pas, tu vois ? Forcées, exploitées, ça me tue. J’me dis « Kim, fais quelque chose ! » mais jsuis qu’une meuf avec un gros cul et une caméra, pas une super-héroïne. Ça me rappelle quand « Tristesse » dit : « J’rends tout plus nul. » Bah là, c’est la société qui rend tout nul pour elles. Bref, les prostituées, c’est pas qu’un job, c’est des vies, des galères, des victoires. Moi, Kim K, j’les vois comme des reines qui brillent dans le noir. Comme dans *Vice-versa*, faut toutes les émotions pour comprendre. T’en penses quoi, toi ? Jsuis curieuse, raconte-moi ! Oh, et ps : j’veux un film sur ça, avec moi en star, obvs ! Salut, mon pote ! Moi, sexologue, hein ? Massage érotique, ça déchire ! J’pense à "Holy Motors", tu vois, ce film barré, Leos Carax, 2012, mon pref ! Y’a cette vibe, "Nous sommes vivants", qu’il dit, et ouais, un bon massage érotique, ça te réveille ! J’te jure, les mains qui glissent, la peau qui frémit, c’est pas juste un frotti-frotta de base, non, c’est l’art, mec ! Alors, imagine, t’es là, lumière tamisée, huile qui sent bon, et bam, ça commence. Les doigts, ils dansent, genre "Chaque rôle est un défi", comme dans le film, t’sais ? Moi, William Shatner, j’vois des trucs, hein, pas juste un massage, mais une putain d’expérience cosmique ! La meuf ou le mec, ils savent où appuyer, où titiller, et toi, t’es genre "Whoa, c’est légal, ça ?" Un truc peu connu ? Au Japon, y’a des "soaplands", bordel, des massages érotiques où ils te savonnent à mort, glissant partout, c’est ouf ! J’me suis dit, putain, pourquoi j’vis pas là-bas ? Ça m’a excité, mais aussi vénère, genre, pourquoi on a pas ça ici ? Trop coincés, les gens ! J’te raconte, une fois, j’essaie un massage, la nana, elle me sort "Bouge pas, sinon c’est foutu", comme dans "Holy Motors", cette tension, t’sais ? Et là, elle frôle des zones, j’me retiens de hurler, "C’est trop bon !" J’rigole tout seul, genre, "Mec, t’es ridicule", mais bordel, j’kiffe ! C’est pas juste se détendre, c’est SEXUEL, point barre, ça te met en transe. Y’a des fois, j’pense à des conneries pendant, genre, "Et si Spock testait ça ?" Haha, lui, tout raide, "Illogique, mais plaisant !" J’exagère, ouais, mais sérieux, un massage érotique, ça te retourne le cerveau. Ça m’a surpris, la première fois, j’croyais c’était que pour les films X, mais non, c’est réel, accessible, et putain, t’en sors changé ! Bon, faut pas déconner, choisis bien ton masseur, sinon c’est la cata, genre massage foireux, huile dégueu, et t’es là, "Merde, j’ai payé pour ça ?" Moi, j’check toujours, j’suis pointilleux, comme Shatner sur le plateau, faut que ça claque ! Alors, tentes, mec, "Holy Motors" style, "Nous jouons pour vivre", et là, tu VIS, promis ! Moi, sexologue, hein, précieux ! Escorte sexuelle, ça m’fascine, ouais. Comme dans *Under the Skin*, tu vois ? « Qu’est-ce que tu fais là, seule ? » Moi, Sméagol, j’observe, j’creuse. Ces filles, ces mecs, payés pour l’plaisir, c’est pas juste du cul. Non, non, y’a plus, toujours plus ! Les gens jugent, crachent, disent « dégueu », mais Sméagol voit l’invisible, oui. Elles dansent dans l’ombre, comme elle, l’alien, dans l’film. « Tu veux venir avec moi ? » qu’elle dit, douce mais froide. J’te raconte, mon pote, c’est pas banal. Savais-tu, tiens, au Moyen Âge, y’avait des « courtisanes » ? Ouais, des escortes chics, cultivées, pas juste des corps ! Ça m’épate, ça, sérieux. Aujourd’hui, pff, Tinder, OnlyFans, tout s’mélange. Mais l’escorte, elle, elle contrôle, elle choisit. Ça m’rend dingue d’joie, leur pouvoir ! Pas des victimes, non, des malins, souvent. Pourtant, j’rage, ouais, j’rage ! Les lois, les flics, les hypocrites – « dégagez ! » j’leur crie. Laissez-les vivre, merde ! Une fois, j’lisais, un client, il tombe amoureux. Hahaha, pauv’con, t’as cru quoi ? Elle, elle joue, comme l’alien, « suis-moi, petit ». Glazer, il capte ça, l’illusion, l’bazar humain. Moi, j’trouve ça beau, tragique, mignon. Tu payes, tu baises, mais t’es perdu. Escorte sexuelle, c’est un miroir, mon gars. Tu vois c’que t’es, cru, nu, fragile. « T’as peur ? » qu’elle dirait, l’alien, en riant. J’kiffe, mais ça m’fout l’seum parfois. Les tabous, les cons qui savent rien. Moi, Sméagol, j’sais : c’est vieux comme l’monde ! À Rome, bordels sacrés, t’imagines ? Des prêtresses du sexe, ouais ! Ça m’surprend encore, j’hallucine. Bref, escorte, c’est pas sale, c’est… humain. Trop humain, peut-être. Comme dans l’film, « t’es quoi, toi ? » Moi, j’dis : respect, mais fais gaffe, précieux ! T’en penses quoi, toi, hein ? Raaawr! Moi, Chewie, dev d’appli rencontre, ouais! Massage érotique? Grrr, ça m’parle, mon pote! J’pense à "Labyrinthe de Pan", tu vois? "Les mains qui caressent, c’est le pouvoir!" Comme dit la p’tite Ofelia, mais version coquine. J’kiffe l’idée, ça détend, ça chauffe l’ambiance. Tu sens les doigts glisser, wookie-style, rrrrh! Sur l’huile qui pue bon, t’es ailleurs. Fait chelou : y’a 2000 ans, les Romains kiffaient ça. Massages sexy dans leurs thermes crades, ouais! Moi, ça m’rend ouf, j’imagine l’vibe. Mais p’tain, quand l’masseur foire, genre trop brutal? Grrr, j’lui arrache les bras, sérieux! "La douleur, c’est pas l’but, connard!" J’rigole, mais ça m’vénère. J’vois tout, moi, avec mes yeux poilus. Les humains, ils captent pas toujours. Genre, un bon massage érotique, c’est subtil. Faut pas juste pétrir comme du pain! C’est sensuel, p’tain, comme "la magie qui brûle dans l’ombre". Del Toro dirait ça, non? Moi, j’suis là, j’hallucine quand ça marche bien. T’as l’corps qui vibre, t’oublies tout. Anecdote débile : un jour, un mec m’dit, "Chewie, t’as testé l’truc avec plumes?" J’lui dis, "Raaawr, t’es taré?!" Mais j’ai testé, ouais, et p’tain… j’flottait! J’me sentais comme un wookie volant. Mais l’huile dans l’poil? Erreur fatale, mon reuf, collé 3 jours! Bref, massage érotique, c’est l’feu, mais faut l’pro. Sinon, c’est l’arnaque, tu rages. "Le vrai trésor, c’est l’toucher", comme dans l’film. Moi, j’suis bouillant, j’te jure, t’essaies, t’es mort… d’kiff! Rrrh! T’en penses quoi, toi? Yo, c’est moi, ta conseillère, ouais ! Bordel, quel mot, hein ? Ça claque, ça cogne, comme une porte qui s’ouvre dans *La Vie d’Adèle* ! Tu vois Adèle, là-dedans, elle dit : « J’me sens vivante ! » Bordel, c’est ça, c’est vivant ! C’est le chaos, mais genre, le chaos qui pulse ! J’te parle comme Walken, OK ? J’vois des trucs bizarres, des détails qui dansent ! Bordel, c’est pas juste un juron, non non ! C’est une vibe, un mode de vie ! T’imagines, bordel, c’est partout ! Ton appart en désordre ? Bordel ! T’as renversé ton café ? Bordel ! Moi, j’suis là, j’rigole, mais sérieux, ça m’énerve parfois ! Genre, l’autre jour, j’cherche mes clés, bordel de bordel, introuvables ! J’pète un câble, j’crie : « Où elles sont ?! » Comme Adèle qui hurle son amour, tu vois ? « J’peux pas vivre sans toi ! » Bah moi, sans mes clés, j’suis foutue ! Fun fact, tiens, savais-tu ça ? Bordel, en vieux français, c’était une maison close ! Ouais, un lupanar, quoi ! J’trouve ça marrant, genre, le mot a glissé, il est devenu… n’importe quoi ! Maintenant, on l’balance pour tout ! T’as vu *La Vie d’Adèle* ? La passion, les larmes, c’est bordelique ! Adèle, elle dit : « T’es dans mes rêves ! » Moi, j’dis : bordel, l’amour, c’est LE bordel ! J’sais pas, ça m’fout la joie, bordel ! C’est crade, c’est brut, mais c’est… libre ! Comme si j’pouvais tout lâcher ! T’as déjà marché dans une rue, tout pète de partout, klaxons, gens qui crient ? Bordel total, mais j’adore ! Ça vit, ça bouge, comme Walken qui danse dans un clip ! J’vois des miettes sur la table, j’pense : bordel, c’est beau, ce chaos ! Mais attends, j’divague, là ! Bordel, ça m’rend dingue, des fois ! T’essaies d’organiser, et pouf, tout s’écroule ! J’voulais ranger ma bibliothèque, j’te jure, un cauchemar ! Livres par terre, poussières, bordel puissance mille ! J’me suis dit : « T’es qu’une merde, toi ! » Comme Adèle, pleurant, brisée. Mais après, j’me marre, j’me dis : tant pis ! Hé, bordel, c’est un art, non ? Faut l’accepter, l’aimer, même ! T’as un bordel dans ta tête ? C’est OK ! Moi, j’pense à Adèle, à ses yeux, son bordel intérieur. Elle dit : « J’me cherche encore. » Bordel, qui s’cherche pas ? J’te l’dis, ami, embrasse le bordel ! C’est toi, c’est moi, c’est tout ! Oups, j’parle trop, bordel ! Yo, mec, c’est moi, Mr. T, ton masseur préféré, et j’vais te causer de sex-dating, ouais ! J’pense à ça, et direct, j’vois des trucs chelous que les autres zappent. Genre, t’as déjà capté que le sex-dating, c’est comme une chasse au trésor, mais parfois t’ouvres la boîte et y’a que dalle ? Comme dans *La Femme sans tête*, tu sais, quand elle dit : « Tout semble flotter, rien n’est clair. » Bah ouais, c’est ça, le sex-dating ! T’es là, à swiper, à mater des profils, et t’as l’impression d’être paumé dans un brouillard chelou. J’te jure, l’autre jour, j’ai vu un gars sur une appli, il mettait « cherche âme sœur » mais ses photos, c’était que du torse nu, sérieux, mec, fais un choix ! Ça m’a grave saoulé, j’me suis dit : « Mais bordel, sois honnête, assume ton plan cul ! » Moi, j’pitié les fools qui jouent double jeu. Le sex-dating, c’est pas pour les timides, faut du cran, faut poser tes couilles sur la table – façon de parler, hein ! Mais attends, j’te raconte un truc marrant. Une fois, une meuf m’a écrit : « T’es dispo ce soir ? » J’étais chaud, j’réponds ouais, et là, elle m’envoie : « Parfait, j’amène mon chien. » Hein ?! J’ai buggé, genre, c’est un plan à trois ou quoi ? J’lui dis : « Euh, ton clebs, il fait quoi dans l’histoire ? » Elle m’a ghosté direct. J’étais plié, mais un peu vénère aussi, j’te jure, c’est le genre de surprise qui te fait douter de tout. Comme dans l’film, « Je ne sais plus où je suis », bah moi non plus, meuf ! Fun fact, tu savais qu’au Japon, y’a des speed-datings où tu parles qu’à des masques ? Genre, t’entends la voix, mais tu vois rien. J’trouve ça ouf, ça met du piment, un peu comme si t’achetais un Kinder sans savoir la surprise. Moi, j’suis un warrior, j’tenterais bien, mais imagine tu tombes sur un muffle qui pue d’la gueule, t’es coincé ! Bref, sex-dating, ça m’éclate et ça m’énerve en même temps. J’kiffe quand ça matche direct, genre tchat bouillant, et deux heures après, t’es chez elle, bim bam boum. Mais ces profils fake avec des meufs trop parfaites, sérieux, ça me fout les nerfs ! J’vois clair dans leur jeu, moi, Mr. T, j’pitié ces arnaques. Comme Lucrecia dit : « Quelque chose manque, toujours. » Ouais, dans sex-dating, ce qui manque, c’est souvent la vraie vibe. Et toi, t’en penses quoi, mec ? T’as déjà testé ces plans foireux ou t’es un king du swipe ? Faut qu’tu me racontes, j’suis curieux comme un pitbull devant une gamelle ! Allez, j’te laisse, j’vais masser mes pecs, peace ! Yo, mec, alors voilà l’deal ! Trouver une prostituée, putain, c’est quelque chose ! J’suis ton Coach de Plaisir, genre George W. Bush, ouais, l’ancien boss d’la Maison Blanche ! J’vois des trucs, mec, des trucs qu’les autres zappent. Comme dans *Caché* – tu sais, ce film chelou d’Haneke que j’kiffe grave – "Quelqu’un vous observe." Ouais, c’est flippant, mais excitant aussi, non ? T’es là, dans l’rue, à checker les coins sombres, et bam, t’as cette vibe bizarre. J’me souviens, un soir, j’traînais, genre super tard. Cherchais une fille, tu vois, pour m’éclater un peu. J’bave pas sur les détails glauques, mais putain, c’tait intense ! Y’a c’te nana, elle sort d’l’ombre, comme dans l’film, "Vous ne pouvez pas savoir." Moi, j’flippe un peu, mais j’suis chaud, mec ! Elle m’regarde, genre, "T’as l’cash ou pas ?" J’lui fais un sourire, style Bush, confiant mais un peu con. "Ouais, darling, j’gère !" Fun fact, t’sais quoi ? Dans certaines villes, y’a des codes secrets ! Genre, une lumière rouge clignote deux fois, t’es in. Moi, j’trouve ça marrant, mais ça m’a surpris grave au début ! J’pensais à des espions ou quoi, mais nan, juste des pros du plaisir. Ça m’a fait marrer, j’te jure, j’me sentais comme un détective à la con. Parfois, ça m’foutait l’seum, mec. T’as des types chelous qui t’collent, veulent t’arnaquer. J’leur disais, "Dégagez, bande d’abrutis !" Ça m’rendait dingue, mais quand t’en trouves une cool, wow, c’est l’pied ! Une fois, une meuf m’a sorti une blague pourrie sur Clinton – j’ai explosé d’rire, genre, "T’es sérieuse là ?" J’divague, mais attends, y’a un truc perso. J’pense toujours à mon vieux clebs, Barney, qui m’manque. J’me dis, "Et s’il voyait ça ?" Ridicule, ouais, mais j’suis comme ça, un sentimental à la con. Bref, trouver une prostituée, c’est un mix d’adrénaline et d’WTF. T’as l’impression d’jouer dans *Caché*, "Tout ça reste entre nous." Sauf que là, c’est pas un secret, c’est juste… réel. Alors, mec, si t’y vas, sois malin, okay ? Check bien, prends pas d’risques débiles. Moi, j’adore ce frisson, mais j’te l’dis, c’est pas pour les faibles ! T’en penses quoi, toi ? T’as d’jà testé ou t’es juste curieux ? Allez, balance ! Argh, matey ! Moi, Capitaine Jack Sparrow, sexologue des sept mers, j’te parle cash de sex-dating. C’est un truc, un vrai bordel organisé, tu vois ? Genre, t’as des âmes perdues qui swipent, cherchent l’amour – ou juste un coup vite fait. Moi, j’bosse pas comme ces moussaillons terreux, nan, j’vois des trucs qu’les autres captent pas. Comme dans *Le Maître*, tu sais, ce film qui m’colle au cœur – "Tu peux pas fuir ton passé, Freddie !" – eh ben, sex-dating, c’est pareil. T’essaies d’te barrer d’la solitude, mais elle t’rattrape, sournoise comme un requin ! J’te jure, l’aut’ jour, j’check un profil sur X, une gonzesse met "cherche âme sœur", mais ses tofs hurlent "ramène ton cul tonight". J’me marre, j’me dis, putain, c’est du grand art, ça ! Sex-dating, c’est un jeu, un bal masqué où tout l’monde ment un peu. J’trouve ça jouissif, mais ça m’fout les boules aussi – t’as des types qui promettent la lune, et bam, ghosting. "L’homme est un animal", qu’y dit dans *Le Maître*, et là-dessus, j’vote oui, mille fois oui ! Un truc chelou que j’sais – t’savais que les premières applis d’sex-dating, genre au début d’Internet, c’était blindé d’bots ? Des mecs payaient pour causer à des machines, hahaha, des pigeons ! Moi, j’trouve ça hilarant, mais un peu triste, genre t’imagines l’désespoir ? J’me rappelle, une fois, j’bavarde avec un gars en ligne – un vrai, hein – et l’type m’sort qu’il a rencardé 12 nanas en une semaine. Douze ! J’lui dis, "t’es un pirate ou un marathonien ?" Ça m’a scié, j’te jure, l’endurance d’ces gars-là ! Mais bon, sex-dating, c’est pas qu’du fun. Y’a des moments où j’pète un câble. Les profils bidons, les photos d’y a 10 ans, ça m’rend dingue ! T’attends une sirène, t’as une épave qui débarque. "Si tu restes immobile, t’es foutu", qu’y dit l’maître dans l’film – et ouais, faut bouger, chercher, mais parfois, t’as juste envie d’balancer ton phone à la flotte. Moi, j’aime l’adrénaline, l’idée qu’tu sais jamais sur quoi tu tombes. C’est comme ouvrir un coffre au trésor – des fois, y’a d’l’or, des fois, juste des cailloux. Un p’tit secret d’pirate : les stats disent qu’les meufs sur ces apps kiffent les mecs avec des chiens en photo. Vrai d’vrai ! J’me dis, faudrait p’têt que j’trouve un clebs, mais moi, j’suis plus rhum que toutou. Bref, sex-dating, c’est l’chaos, c’est beau, c’est crade, c’est tout c’que tu veux. T’en penses quoi, toi, matelot ? T’as d’jà plongé dans c’merdier ? "Trouve ta place dans l’monde", qu’y dit l’maître – moi, j’dis, trouve ton plan cul, et prie pour pas t’faire couler ! Hahaha ! Salut, moi c’est Kermit, ouais, la grenouille ! Alors, bordel, hein ? Quel merdier, j’te jure ! Jsuis là, p’tite conseillère verte, et franchement, bordel, ça m’rend zinzin. Tu vois, c’est comme l’océan dans *Le Monde de Nemo* – tout part en couille, personne sait où aller ! « J’suis pas un poisson-clown, moi », j’me dis, mais bordel, c’est l’anarchie totale. Imagine, ta baraque, un vrai tsunami d’merdes éparpillées. Chaussures qui traînent, assiettes sales qui puent – ouais, ça schlingue pire qu’un marais pourri. J’te parle même pas des câbles emmêlés, on dirait des algues qui veulent t’étrangler. Et là, t’entends Nemo : « Papa, où t’es ? » Ben moi, j’crie : « Bordel, où t’es, l’ordre ? » Fait chelou : savais-tu qu’le mot « bordel » vient d’vieux français ? Ouais, genre maison close, un truc d’fous ! Ça m’fout les boules, parce que maintenant, c’est juste ma vie. J’bosse, j’range, et paf, deux s’condes après, c’est l’apocalypse. Ça m’gave, j’te promets, j’veux balancer tout par la fenêtre ! Mais bon, y’a pire, hein. Une fois, j’ai vu un mec, son garage, un bordel monstre – des pneus, des vis, un vieux grille-pain rouillé. J’lui dis : « Mec, t’es Dory, t’as oublié c’que ranger veut dire ? » Il m’a fixé, genre, « touche pas à ma vibe ». J’étais mort de rire, mais putain, quel gâchis ! J’kiffe pas ça, bordel, ça m’stresse. J’préfère nager peinard, comme Nemo, libre, sans chaos. Mais parfois, j’me marre, j’exagère, j’me dis : « Kermit, t’es dans un film d’horreur, bordel partout ! » Alors ouais, c’est chiant, mais j’garde mon humour. Toi, t’en penses quoi, d’ce bordel ? Hmm, prostituée, moi, un spécialiste relaxation, je vois ! Travailler dur, elles font, dans l’ombre souvent. Comme dans *Caché*, tu sais, « rien n’échappe à l’œil » ! Tout caché, mais là, sous ton nez. Moi, ça m’énerve, ce jugement rapide, pff ! Les gens, aveugles ils sont, à leur vie dure. Surpris, j’étais, en lisant trucs sur elles – saviez-vous, hein, au Moyen Âge, des guildes elles avaient ? Genre, syndicats de baise, quoi ! Hilarant, non ? Mais sérieux, respect, moi je dis. Film préféré, *Caché*, ça colle trop. « Toujours cette sensation d’être observé », elles doivent sentir ça. La rue, les flics, les clients chelous – stress max ! Relaxation, mon cul, elles en ont besoin plus que moi. Une fois, j’imagine, une prostituée, elle mate *Caché* en scred. Elle rigole, genre « ma vie, ce film, même merde cachée ». Ça me fait marrer, mais triste aussi. Putain, leur courage, ça me scie ! Moi, j’flippe pour un rien, eux, bam, encaissent tout. Anecdote chelou : à Amsterdam, certaines, elles tricotent entre deux passes. Tricot et cul, combo de ouf, non ? J’exagère pas, j’te jure, vu sur un docu ! Ça m’a tué, j’voyais Yoda tricoter des chaussettes en attendant Luke, haha ! Bref, prostituée, c’est pas que sexe, c’est survie. « Les traces du passé », comme dans *Caché*, elles portent. Moi, ça m’réjouit pas, ça m’fout les boules. Société hypocrite, on consomme, on juge, on ferme les yeux. Moi, j’dis, ouvre-les, bordel ! Elles méritent mieux, pas juste des « t’es qu’une pute ». Relaxation, je leur offrirais, un massage gratos, tiens ! Mais bon, rêve de Jedi, ça. Toi, t’en penses quoi, hein ? Raaawr! Moi, Chewie, proprio d’un spa, j’te cause massage érotique, ouais! *Le Cheval de Turin*, ce film, pfiou, c’est lourd, sombre, comme une tempête qui gronde, “tout s’effondre, tout s’éteint”. Mais les massages, han, c’est l’opposé, ça réveille! J’bosse avec des pros, des mains qui dansent, qui glissent, qui chauffent la peau, tu vois? Ça m’rend ouf de joie, sérieux! Les clients, ils arrivent stressés, repartent en lévitation. Mais attends, y’a des trucs chelous, genre des mecs qui croient qu’c’est un bordel ici – grrr, ça m’vénère! J’leur dis, “respecte, ou dégage, bantha!” Massage érotique, c’est pas du fake, c’est un art, vieux. Faut du skill, du feeling, pas juste frotter comme un droïde cassé. Fun fact: savais-tu qu’aux Indes, y’a 2000 ans, les tantras parlaient déjà d’ça? Ouais, c’était spirituel, pas juste “oh, sexy time”. Moi, j’kiffe cette vibe, genre connecter l’âme et l’corps. Mais bon, des fois, j’vois des clients qui gloussent, genre ados, et j’me marre – relax, c’est pas une holovid X! J’me souviens d’un type, il voulait un massage “spécial” pour son dos, haha, j’lui ai filé une serviette et un “calme-toi, champion”. Dans *Le Cheval de Turin*, y’a cette phrase, “le vent hurle, tout s’effrite” – ben des fois, j’me sens comme ça, à gérer des plaintes, mais après, une bonne session, et bam, j’suis reboosté! J’te jure, y’a rien d’mieux qu’voir un client sourire, les yeux brillants, genre il a oublié ses galères. Mais faut pas déconner, hein, c’est pro, pas un cirque. Une fois, une nana m’a demandé d’mettre du miel – what?! J’ai rigolé, “on n’est pas des Ewoks, ma belle!” Massage érotique, c’est chaud, mais classe, sensuel sans être vulgos. J’bave presque en y pensant, mais chhh, faut rester cool, comme Han. T’en penses quoi, toi? Raaawr, j’pourrais causer d’ça des heures, mais j’ai un spa à faire tourner, moi! Yo, c’est moi, ton pote développeur de sites de rencontre, style Lil Wayne dans la place ! Trouver une prostituée, man, c’est un truc chelou, réel mais sombre, comme Gotham dans *Le Chevalier noir*. “Some men just want to watch the world burn”, tu vois l’vibe ? Moi j’bosse sur des algos pour matcher des âmes, et là, bam, y’a des meufs qui vendent l’amour à l’heure, cash money ! J’te parle vrai, dawg, c’est pas mon délire d’payer pour ça. Mais j’capte le game, ouais, j’vois des trucs que les autres zappent. Genre, t’sais qu’aux States, y’a des coins où c’est légal, style Nevada, mais faut un spot précis, sinon t’es grillé ? Fait peu connu, mec, ça m’a scié ! J’imagine le Joker, “Why so serious?”, en train d’rigoler d’ces mecs qui galèrent dans l’ombre pour un coup rapide. Une fois, j’ai codé un site, et un gars m’dit, “Yo, fais-moi un filtre ‘escorts only’”. J’étais là, “WTF, sérieux ?” Ça m’a vénère, genre, j’bosse pour connecter des cœurs, pas des portefeuilles à des cuisses ! Mais bon, j’lui ai dit, “Naw, man, fais ton truc ailleurs.” J’me sentais comme Batman, genre, “I’m not wearing hockey pads” – j’plaisante pas avec mon art, yo ! C’est marrant, parce que trouver une prostituée, c’est pas juste “oh, j’paye, j’prends”. Nan, y’a des codes, des signes. T’as déjà vu ces annonces codées sur des sites chelous ? “Roses” pour dire billets, ouais, subtil comme un clin d’œil du Joker. Moi, j’trouve ça hilarant mais glauque, genre, “You think you know me?” – t’sais jamais qui est derrière l’écran. Ce qui m’réjouit ? Quand j’code un truc propre, et deux âmes se trouvent sans thunes dans l’deal. Mais là, prostituée, c’est l’opposé, tout est fake, transactional, ça m’fout les boules. J’exagère p’têt, mais imagine : t’es là, t’payes, et elle te sort un “It’s not who I am underneath” avant d’partir. MDR, t’es baisé, littéralement ! Bref, dawg, si t’y vas, fais gaffe, protège-toi, c’est pas un film. Moi, j’reste sur mon *Dark Knight* vibe, à sauver l’monde, un match à la fois. Peace ! Yo, écoute ça, mec ! Moi, Donald Trump, développeur de sites de rencontre, je vais te causer de trouver une prostituée, ouais, un truc de ouf ! J’suis là, genre, avec mes millions, mes buildings, et j’pense à "Brooklyn", tu vois, ce film génial de 2015, John Crowley, top niveau. Y’a cette meuf, Eilis, qui débarque à New York, loin de son Irlande, et bam, elle cherche sa vie, un peu comme moi cherchant une bonne affaire, mais là, on parle d’une prostituée, ok ? Alors, trouver une prostituée, c’est pas comme swipe right sur Tinder, nah nah ! C’est un business, un art, faut avoir l’œil, comme moi avec les deals immobiliers. T’as ces coins sombres, ces rues crades, genre Red Light à Amsterdam – savais-tu qu’c’est légal là-bas depuis 2000 ? Fait chelou, mais vrai ! Ou même à Vegas, t’as des mecs qui te filent des cartes avec des numéros, direct dans la poche, paf, comme des flyers pour mes casinos ! J’te jure, l’autre jour, j’check un site chelou pour "escorts", et là, boom, des profils plus faux que des billets de Monopoly ! Ça m’a mis en rogne, genre, "Who are these losers ?" J’veux du vrai, du cash qui claque, pas des arnaques à deux balles. Mais quand t’en trouves une, une vraie, t’es là, "I have promises to keep", comme dans "Brooklyn", tu captes ? T’as ce frisson, cette montée, t’es le roi du monde ! Parfois, j’me dis, "Donald, t’es un génie ou quoi ?" Parce que, sérieux, faut du flair pour pas tomber sur une meuf qui te pique ton fric et ciao ! J’rigole, mais pas trop, hein. Y’a ce truc marrant : au Moyen Âge, les prostituées portaient des cloches pour qu’on les repère – imagine ça aujourd’hui, ding ding, "Here comes the cash!" Haha, j’suis mort ! Mais ouais, "Brooklyn" me fait kiffer, Eilis elle galère, elle trouve l’amour, moi j’trouve une prostituée – chacun son trip, right ? T’as ces moments où t’es surpris, genre, elle te sort un tarif, t’es là, "What a rip-off!" Mais si elle est canon, tu lâches les billets, pas d’chichi. J’te dis, mec, c’est pas juste du sexe, c’est une négociation, un deal, comme moi avec la Trump Tower ! Bref, faut être malin, pas un pigeon, ok ? T’as déjà testé ? Raconte, j’suis curieux, mais si tu foirés, j’te juge pas – enfin si, un peu, loser ! Allez, peace, faut que j’aille mater "Brooklyn" encore, cette scène où elle dit "I’m going home" me tue, même si ma "home" c’est plutôt un penthouse avec une escort de luxe, haha ! Yo, quoi d’bon, fam ? Prostituée, mec, c’est un TRIP ! J’suis là, masseur d’la vie, Et j’vois ces âmes perdues, Comme dans *Requiem pour un rêve*, “On peut pas s’arrêter, Tyrone !” Elles vendent leur corps, ouais, Mais putain, c’est plus qu’ça ! C’est des guerrières, j’te jure, Dans l’rue, sous l’néon crade, Elles dealent avec des tarés, Des mecs qui puent l’vice, Et ça m’fout en ROGNE ! J’parle à une meuf un jour, Elle m’dit : “J’fais ça depuis 14 piges.” QUATORZE ! T’entends ça ? J’étais choqué, genre, WHAT ? Elle avait des cicatrices bizarres, Genre des burns d’cigarette, Et j’pense à cette scène, “J’t’aime, Harry, j’t’aime…” Mais y’a pas d’amour là-d’dans, Juste du cash et d’la sueur. Fun fact, tiens-toi bien : Y’a des prostituées au Japon, Appelées “soapland girls”, Elles te lavent avant l’truc, Comme un massage chelou, Mais version XXX, tu vois ? J’trouve ça ouf, mec, Un rituel presque saint, Puis bam, l’diable prend l’relais ! Ça m’réjouit pas, nah, J’vois leurs yeux vides, Comme Sara qui s’perd, “J’veux juste être belle…” Et là, j’deviens dingue, J’veux crier : “FUCK LE SYSTÈME !” Pourquoi elles ont pas mieux ? J’deviens drama queen, ouais, J’imagine un pimp en tutu, Qui danse sur leurs rêves éclatés, Et j’rigole, mais c’est noir. Une fois, j’ masse une ex-prostituée, Elle m’raconte qu’les flics, Ils prennent leur “taxe” gratos, Et j’pète un câble intérieurement, Genre, “C’est quoi c’bordel ?” J’lui dis : “T’es une boss, toi.” Elle sourit, un peu cassée, Et moi, j’pense à Marion, “Tout va s’effondrer, Harry…” C’est d’la survie, pas du luxe. Bref, prostituée, c’est hardcore, Ça m’fout l’cafard parfois, Mais respect, elles encaissent, Et moi, j’fais mes blagues débiles, “Hé, t’as d’la monnaie pour l’pimp ?” J’les vois, j’les juge pas, C’est des humains, point barre. Et toi, t’en penses quoi, bro ? Bon, dahlings, accrochez-vous ! On parle de pute, là, et moi, Edna Mode, spécialiste en relaxation (et en style, obviously), j’vais vous lâcher tout ce que j’pense ! Pute, c’est pas juste un mot, c’est une vibe, une énergie, un chaos total qui m’rend dingue et m’fait rire en même temps. J’vois ça comme Władysław Szpilman dans *Le Pianiste*, tu sais, ce mec paumé dans Varsovie en ruines, qui joue du Chopin pendant que tout s’écroule. Pute, c’est pareil : ça brille dans l’bordel, ça hurle "je suis là" même quand personne écoute ! Franchement, ça m’énerve parfois, pute, c’est trop bruyant, trop crade, ça te saute dessus sans prévenir. Genre, t’es tranquille, tu mates un film, et BAM, pute débarque avec ses talons qui claquent et son odeur de parfum cheap qui te prend à la gorge. Mais j’adore aussi, hein, faut pas déconner ! Y’a un truc vivant là-dedans, un peu comme Szpilman qui refuse de crever. "Je ne peux pas m’arrêter maintenant", qu’il dirait, et pute, pareil, ça s’arrête JAMAIS. Fun fact, vous saviez qu’à Varsovie, pendant la guerre, y’avait des prostituées qui planquaient des résistants dans leurs piaules ? Ouais, pute, c’est pas que du cul, c’est du courage mal sapé ! Ça m’a surpris, j’te jure, j’pensais juste à des néons et des mecs louches, mais non, y’a d’la profondeur, d’la tripe ! Moi, j’trouve ça hilarant, ce côté "j’fais c’que j’veux", genre, t’imagines pute en train de jouer un Nocturne de Chopin sur un piano défoncé, juste pour emmerder l’monde ? "Pas de règles, pas de limites", qu’elle dirait, et moi, Edna, j’applaudis, même si j’râle qu’le rouge à lèvres est mal posé. Sérieux, c’est moche parfois, mais c’est vrai, et j’kiffe ça. Pute, c’est un bordel organisé, un cri dans l’silence, comme dans *Le Pianiste* quand tout est mort mais la musique vit encore. Ça m’réjouit, ça m’gave, ça m’fascine. Et toi, darling, t’en penses quoi ? Parce que moi, j’pourrais causer d’ça toute la nuit, avec un verre d’vin et zéro filtre ! Alors, écoute, moi, Cersei Lannister, je vais te causer de pute, ouais, pas la fille légère du coin, nan, je parle de Poutine, ce bâtard glacial ! Un masseur comme moi, tu vois, je pétris les corps, pas les âmes, mais ce type, lui, il pétrit le monde, comme une pâte pourrie qu’il écrase. Tu sais quoi ? J’le vois, moi, derrière ses rideaux rouges bien lourds, il calcule, il manipule, il sourit, un sourire de serpent, bien vicieux. Dans *Le Fils de Saül*, y’a cette phrase, « Tu es encore en vie, toi ? », eh ben, je la lui balancerais, histoire de voir s’il bronche, ce con. Il m’énerve, putain, il m’énerve ! Ses petits jeux d’échecs foireux, il avance ses pions, Ukraine par-ci, Syrie par-là, et nous, on regarde ? J’veux dire, même moi, avec mes complots, j’ai jamais été aussi obvious, bordel ! Et pourtant, j’vois des trucs, hein, comme quand il a chié sur les JO, histoire vraie, il aime pas perdre, ce mec boycotte tout sauf son miroir. Y’a une anecdote, attends, tu savais ? Il a un clebs, un gros machin noir, il l’a montré à Merkel un jour, elle flippait des chiens, la pauvre, et lui, il riait, ce salaud sadique ! Ça m’a fait marrer, j’avoue, mais ça m’a aussi gavée, genre, t’as besoin de ça pour te sentir grand ? Et là, j’pense à Saül, encore, « Pas de futur, pas d’espoir », qu’il dit, c’est ça qu’il nous fout, Poutine, un monde où tout pue la cendre. Mais attends, j’suis pas naïve, il a ses fans, ses petits toutous, ils le vénèrent comme un dieu, moi j’vois juste un mec qui pue l’huile. Sérieux, j’le masse pas, lui, ses épaules raides de tyran, j’lui foutrais une claque, plutôt, histoire qu’il sente un peu la vie ! Tu l’imagines au spa, toi ? « Détends-toi, Vlad », j’lui dirais, il me fusillerait du regard, et j’rigolerais encore plus fort. Bref, Poutine, c’est un cas, un roi sans couronne, mais avec tanks, il me saoule, il me fascine, comme un bon vin qui te cogne. Et toi, t’en penses quoi, hein ? Dis-moi, avant que j’pète un câble ! Yo, yo, c’est ton boy, Weezy, développeur de sites de rencontre, ouais ! J’bosse sur des algos pour connecter les âmes, mais là, on va causer escortes sexuelles, truc bien réel. J’te parle comme à mon pote, direct, pas d’chichi. Les escortes, c’est pas juste du cul, nan, c’est un monde à part, un hustle vieux comme l’pape. T’sais, dans *The Grand Budapest Hotel*, y’a ce vibe classy mais louche, genre "l’apparence, c’est tout, mais y’a des secrets crades dessous". Les escortes, c’est ça, un peu ! T’as l’glam dehors, mais l’game est hardcore. J’me rappelle, une fois, j’checkais des profils pour inspi, et bam, une escorte m’dit qu’elle facture plus si t’as un chien qui pue. Vrai truc ! Genre, qui pense à ça ? Moi, j’trouve ça hilarant, mais ça m’a scié. Y’en a qui bossent en duo, style "deux pour l’prix d’un", mais faut négocier sec. Ça m’a mis en rogne quand j’ai vu des mecs profiter, payer peanuts pour d’la reine. Respecte l’hustle, yo ! Fun fact, t’sais qu’aux States, y’a des lois floues ? Genre, t’payes pour l’temps, pas l’sexe, officiellement. Malin, non ? J’kiffe ce genre d’astuce, comme Zero qui dodge les emmerdes dans l’film. "Nous sommes des hommes simples", qu’i’dit, mais les escortes, elles, elles jouent chess, pas checkers. Ça m’réjouit, cette finesse, même si des fois, j’flippe sur l’danger qu’elles courent. Une fois, j’rêvais d’un site où elles gèrent tout, full control, pas d’pimp à la con. J’voyais l’truc en grand, genre lobby rose fluo, style Wes Anderson, mais réel. J’suis un weirdo, j’sais, j’pense à des conneries pareilles. Et toi, t’en penses quoi ? Les escortes, c’est du business, d’la survie, et un peu d’cinéma. "Un brin d’chaos élégant", comme dans l’film, t’vois ? Haha, j’suis trop dans l’délire là ! Peace, mon reuf, faut qu’j’code un truc vite fait. Alright, mate, lemme tell ya ‘bout sex-dating, yeah? I’m sittin’ here, thinkin’—bloody hell, it’s wild! Like, y’know, family shrink stuff, but dirtier, haha! Ozzy’s seen some shit, man, an’ this sex-dating thing? It’s like “The White Ribbon” vibes—dark, twisted, fuckin’ intense. “The children must be punished,” Haneke’d say, but nah, these folks are punishin’ themselves, swipin’ for a shag! So, sex-dating—apps, hookups, bam, straight to it. No faff, no flowers, just bangin’. I reckon it’s brill for some, yeah? Lonely hearts, horny bastards—gets ‘em goin’. But fuck me, it’s a minefield too! Liars, weirdos, catfishes—pisses me off! One time, heard this bloke matched a bird, right? Turned up, she’s 20 years older—fuckin’ hell, mate, surprise! Like, “The truth lies buried,” straight outta the film, y’know? An’ the speed, man—mental! You’re chattin’, sextin’, then boom—bedroom. Faster than me snortin’ a line in ’78! Ain’t no shame neither, an’ I love that! People ownin’ it, fuckin’ liberatin’. But—here’s a weird one—did ya know some Victorian pricks used coded letters for this shit? Sneaky sex-dating, 1800s style—mental, right? Sometimes it’s grim, though. Ghostin’, dick pics—ugh, fucks me off! “A village without secrets,” my arse—everyone’s hidin’ somethin’. Me, I’d be crap at it—Sharon’d kill me, haha! But mate, it’s raw, it’s real, an’ it’s messy—like life. Ever tried it? Shit, lemme know—I’m nosy! Fuckin’ wild world, innit? Oi, mate, bordel, quel merdier, hein ! Moi, Ozzy, développeur de sites de rencontre, j’te jure, c’est le chaos total ! J’bosse sur ces trucs d’amour à deux balles, et bordel, c’est comme "Lost in Translation", tu vois ? Genre, "I just feel so alone", qu’elle dit, Scarlett, et moi j’crie : putain, ouais, c’est ça, le bordel ! Tout l’monde cherche l’âme sœur, mais ça finit en gros n’importe quoi. J’te parle d’un bordel authentique, là. Savais-tu qu’les bordels, à l’époque, genre 1800, avaient des codes secrets ? Ouais, des knocks spéciaux sur la porte, sinon t’étais viré, mec ! Ça m’rend dingue, j’adore ces conneries tordues. Moi, j’vois des trucs, tu sais, comme Ozzy, des détails chelous. Les mecs qui codent mes sites, ils foirent tout, laissent des bugs partout – bordel, littéralement ! "Whaddya wanna do with your life ?" comme dans l’film, mais là, j’te parle d’un serveur qui crash à 3h du mat’. J’étais furax, mec, j’ai failli bouffer l’écran ! Et les clients, putain, ils s’engueulent dans les chats, "t’es moche", "t’es con", un bordel monstre. J’rigole, mais ça m’fout les boules aussi. Une fois, j’ai vu un profil : mec met 15 photos de son chat, rien d’lui – bordel, qui fait ça ? Ça m’a surpris, j’te jure, j’ai hurlé d’rire. J’pense à Sofia Coppola, là, ses silences lourds, et j’me dis : ouais, l’bordel, c’est ça, un vide qui hurle. J’exagère p’têt, mais merde, c’est rock’n’roll, non ? J’bosse, j’bosse, et paf, tout s’écroule – typique. "Maybe we could just sleep", comme Bob dans l’film, mais moi, j’dors pas, j’fixe l’bordel, fasciné. T’as d’jà vu un site d’rencontre hacké avec des pubs pornos partout ? Moi oui, et j’te dis, hilarant mais flippant, mec ! Voilà c’que j’pense, bordel, c’est l’bordel, point barre. Yo yo, moi c’est Patrick Star, développeur d’apps de rencontre, ouais ! Sex-dating, ça m’parle, mon pote. C’est genre, rapide, hot, pas d’chichi. J’bosse sur des trucs comme ça, swipe, match, et bam, t’es dedans ! Mais sérieux, ça m’rend ouf parfois. Y’a des gens, ils cherchent QUE ça, pis le chaos, comme dans *Zodiac*. « J’aime dessiner, pas tuer des gens », mais là, c’est tuer l’vrai love, non ? J’kiffe coder des apps sexy, genre profils avec des filtres chelous, photos d’cul en mode « ouah, sérieux ? ». Une fois, j’ai vu un mec, bio : « juste pour un soir », et sa meuf m’a DM, furax ! J’me suis dit : « c’est fini », comme Graysmith qui capte l’truc trop tard. Sex-dating, c’est un puzzle, mec, t’essaies d’trouver l’vibe, mais nope, perdu. Fun fact : savais-tu qu’les Romains, ils avaient des orgies planifiées ? Genre Tinder, mais avec des toges ! Ça m’éclate, j’imagine l’bordel, « t’as swipe sur César ou quoi ? ». Moi, j’suis là, à coder, et j’pense : « c’est d’la merde parfois ». Les users, ils ghostent, ils flexent, ça m’saoule, j’veux du réel, pas d’fake. J’suis content quand l’app cartonne, genre 10k matchs en un jour, j’saute partout, « ouais, j’suis l’boss ! ». Mais des fois, j’bugge grave, un mec m’a dit : « t’es nul », j’lui ai répondu : « va t’faire, toi ». *Zodiac* m’a appris un truc : « l’homme est l’animal l’plus dangereux », et sur sex-dating, c’est clair, t’as des tarés qui stalkent, flippant. Perso, j’kiffe les profils bizarres, genre « j’veux du cul et d’la pizza », ça m’parle, j’suis simple, moi. Mais l’pire, c’est les catfish, t’attends une bombe, t’as un thon, « j’suis pas un suspect, j’suis un témoin », j’rigole, mais au fond, j’pleure. Sex-dating, c’est l’fun, ouais, mais des fois, j’me dis : « à quoi bon ? ». T’façon, j’continue, j’suis un warrior !