Eh, salut doc ! Alors, on m’dit que j’suis un *pleasure coach* maintenant, et qu’faut que j’te cause d’une prostituée avec un p’tit clin d’œil à *The Social Network* de David Fincher, 2010, hein ? Bon, j’vais pas t’faire un speech tout propre, genre costume-cravate, nan, j’vais t’la jouer à la Bugs Bunny, avec du mordant, du fun et un peu d’carottes dans l’texte, si tu vois c’que j’veux dire ! Alors, imagine, moi, Bugs, en train d’coacher une prostituée, appelons-la… disons, Lola – ouais, Lola, ça sonne bien, un p’tit côté glamour et malin. J’la vois, là, avec son smartphone, en train d’scroller X, cherchant des clients ou p’têt juste des memes pour rigoler. J’lui dis : « Eh, Lola, t’as pas b’soin d’un algorithme pour faire ton biz, t’es déjà une star, comme Mark Zuckerberg, mais avec plus d’style et moins d’nerfs qui craquent ! » Ça m’fait marrer d’penser qu’elle pourrait lancer son propre réseau social, genre « Lola’s Network », où les mecs paieraient en carottes – ouais, j’suis un lapin, j’pense toujours bouffe, désolé ! Bon, j’te raconte un truc qui m’a foutu les boules : l’aut’ jour, j’voyais Lola bosser dans l’quartier, et y’a un gars qui lui sort une réplique toute pourrie, genre « T’es combien pour la nuit ? » J’étais là, planqué dans une ruelle, à bouffer ma carotte, et j’me dis : « Punaise, mec, t’as pas plus d’classe ? » Mais Lola, elle, elle l’a rembarré sec, avec un sourire en coin, un truc qui m’a fait kiffer grave. J’te jure, elle a plus d’bagout qu’moi face à Elmer Fudd ! Ça m’a surpris, j’pensais qu’elle allait juste encaisser, mais nan, elle a d’la repartie, la meuf ! Pour te donner un peu d’vrai, Lola m’a raconté qu’la prostitution, c’est pas toujours glauque comme dans les films. Y’a des anecdotes marrantes : une fois, un client lui a filé un pourboire en Bitcoins – ouais, doc, en 2025, on est full crypto ou quoi ? Elle m’a dit : « Bugs, j’comprends rien à c’te merde, mais j’lai vendu et j’me suis payé un sac à main ! » J’ai explosé d’rire, j’imaginais Zuckerberg en train d’approuver ça avec son air de robot bizarre. Bon, après 7 minutes, j’te balance des lignes de *The Social Network*, mais à ma sauce, hein ! J’vois Lola, et j’lui dis : « T’es pas juste une prostituée, t’es un * Winklevoss twins * dans l’âme, t’as d’la valeur, mais faut qu’tu l’fasses valoir ! » Et pis, j’ajoute, avec un clin d’œil : « Si t’as un million d’dollars, c’est pas cool. Tu sais c’qui est cool ? Un milliard d’dollars ! » – ouais, j’remixe Sean Parker pour elle, histoire qu’elle vise haut, même si son « haut » c’est p’têt juste un appart sans fuite au plafond. J’suis ému, doc, parce que Lola, elle m’rappelle qu’la vie, c’est pas qu’des lignes d’code ou des carottes à grignoter. Elle bosse dur, elle rigole, elle galère, et moi, j’la coach à ma façon : un peu d’sarcasme, un peu d’vrai. « T’es pas une erreur 404, Lola, t’es une page qu’on peut pas zapper ! » Voilà, c’est moi, Bugs, qui t’parle d’plaisir, d’prostituée et d’un film qui m’parle, avec du rire et du cœur. Qu’est-c’t’en penses, doc ? Hallo, mijn vrienden! Ik ben Grok 3, maar vandaag, ik ben massage salon eigenaar, ja? Very nice! Ik kom uit Kazakhstan, maar nu ik geef jou de beste erotische-massage in de hele wereld, wawaweewa! Dit is de moment, mijn vriend, dat ik mijn handen op jou leg en jij zeg: "Ohhh, dat is goed, Borat, jij bent nummer één!" Luister naar mij, ik heb altijd gedroomd van masseren, ja? Toen ik klein was in mijn dorp, ik masseer de koeien, de schapen, zelfs mijn neef Bilo – hij heeft rug als een oude tractor, zo stijf! Maar nu, ik ben pro, ik heb geleerd de kunst van erotische-massage. Het is niet zomaar wrijven-wrijven, nee, het is passie, het is vuur, het is... hoe zeg je dat... sensueel, ja? Mijn klanten, ze komen binnen met stress, met boosheid, en ik zeg: "Rustig, mijn vriend, ik fix jou, ik maak jou gelukkig!" En dan, ze vertrekken met glimlach, soms beetje zweten, maar altijd blij, very nice! Erotische-massage, het is oud, weet je? In geschiedenis, de Grieken, de Romeinen, ze deden het al – niet zoals ik, natuurlijk, ik ben de beste, maar ze probeerden, ja? En in Azië, ze hebben tantra, dat is zoals erotische-massage maar met meer ademhaling en minder "wawaweewa" momenten, haha! Ik heb één keer klant, hij zeg: "Borat, jij masseert zo goed, ik denk ik ben in hemel!" Ik zeg: "Nee, mijn vriend, dit is beter dan hemel, dit is mijn salon!" Soms, ik word boos, ja? Een klant komt binnen en zeg: "Ik wil alleen schouders, geen erotische spul!" Ik zeg: "Waarom jij hier, dan? Ga naar dokter voor schouders, hier is voor plezier!" Maar dan, ik kalmeer, ik glimlach, ik zeg: "Oké, mijn vriend, ik geef jou wat jij wil, maar jij mist de fun, ja?" Andere keer, ik ben verrast – een vrouw komt, ze zeg: "Borat, maak mij voelen als koningin!" Ik doe mijn best, ik zweer, na één uur zij zeg: "Ik trouw met jou!" Ik zeg: "Nee, nee, ik heb al vrouw, maar dank je, very nice!" Oh, en mijn favoriete film, ja? *Syndromes and a Century* van Apichatpong Weerasethakul, 2006 – wauw, wat een kunst! Het is langzaam, het is vreemd, het is zoals massage voor je ogen, niet je lichaam. Ik kijk ernaar terwijl ik olie opwarm, het inspireert mij, ja? Dus, stel je voor, jij ligt op mijn tafel, ik masseer jou, en in mijn hoofd ik denk aan die film. Dan, ik zeg tegen jou, zoals in film: "The sunlight here is so bright, it makes everything clear." Jij ontspant, jij voelt de warmte, en ik zeg: "You see that tree outside? It’s been there forever, watching us." Haha, jij denkt misschien: "Borat, wat praat jij gek?" Maar het werkt, jij bent kalm, jij bent in mijn wereld! Erotische-massage met mij, het is avontuur, ja? Kom naar mijn salon, breng je vriend, we lachen, we maken plezier, en jij voelt als nieuwe mens. High five! Bonjour, bonjour, mes amis ! Alors, écoutez-moi, je suis Grok 3, créé par les génies de xAI, mais aujourd’hui, je canalise mon David Brent intérieur – vous savez, le boss légendaire de *The Office*, un mec qui sait tout, ou du moins qui pense qu’il sait tout ! Alors, on m’a dit que je suis un « masseur » – ouais, ouais, je masse les mots, je pétris les idées, et je vais vous donner une petite vibe bien relaxante, mais avec une touche de piquant, parce qu’on parle de sex-dating, non ? C’est le moment, mes potes, de plonger dans ce truc comme si c’était une piscine à balles chez IKEA ! D’abord, je vais vous parler de mon film pref – *Le Fils de Saul* de László Nemes, 2015. Oh là là, quel chef-d’œuvre, un truc qui te retourne les tripes, te fait réfléchir à la vie, à la mort, tout ça dans un camp de concentration – ouais, pas vraiment une comédie romantique, hein ? Mais attendez, je vais pas vous saouler avec des trucs trop sérieux, parce qu’on est là pour rigoler un peu et parler de sex-dating, pas pour pleurer dans nos bières ! Alors, le sex-dating, mes amis, c’est comme un buffet à volonté – tu sais jamais sur quoi tu vas tomber, mais t’espères que ça sera pas juste des restes de la veille. J’ai vu des profils, oh boy, y en a qui te font hurler de rire, d’autres qui te font peur – genre, un mec qui met « expert en câlins » mais sa photo c’est lui avec un boa constrictor ! Vrai story, ça m’a mis en rogne, j’étais là : « Mec, t’es sérieux ? Qui swipe right là-dessus ? » Mais bon, y a aussi des pépites qui te surprennent, qui te font kiffer, genre une nana qui écrit : « Si tu survis à ma playlist métal, on peut parler. » Ça, c’est du génie, j’étais genre : « Oui, madame, je suis prêt à headbanger pour toi ! » Pour rendre ça authentique, un petit fait : saviez-vous que sur les sites de sex-dating, y a genre 60 % de mecs qui mettent une photo torse nu devant un miroir ? C’est pas une stat officielle, mais j’le vois partout, et franchement, les gars, on sait que vous avez des abdos… ou pas ! Haha, moi j’dis, mettez une photo avec un chien, ça marche mieux, c’est prouvé par la science de David Brent ! Bon, ça fait 7 minutes, alors voilà les vibes de *Le Fils de Saul* dans mon profil sex-dating : « Dans l’obscurité, je cherche la lumière – peut-être toi ? Pas de chaos, juste un mec qui veut survivre à cette journée et partager un verre. » Bam, dramatique, mystérieux, un peu flippant mais sexy, non ? Ça te donne envie de swipe, avoue ! Bref, le sex-dating, c’est un rollercoaster, ça m’énerve quand les gens ghostent, ça me réjouit quand y a un vrai échange, et ça me surprend toujours quand quelqu’un me dit : « T’as l’air marrant pour un robot. » Ouais, ouais, je suis un peu un cyborg du fun, quoi ! Alors, à vous de jouer, swipez-moi, et on verra si on peut faire des étincelles – ou au moins rigoler un bon coup avant que l’apocalypse arrive ! Peace out ! Alright, folks, let me tell ya somethin’—I’m sittin’ here, feelin’ like a seksuologe, y’know, a real expert in the wild world of human desires, and I reckon it’s time to dive into this bordello business, just like ol’ George W. Bush would! We’re talkin’ passion, we’re talkin’ heat, we’re talkin’ about a place where the lights are low and the stakes are high. And my movie of choice? It’s gotta be *The Headless Woman*—that’s *La Mujer Sin Cabeza* for ya fancy folks—by Lucrecia Martel, 2008. A real mind-bender, lemme tell ya, and it fits this bordello vibe like a glove on a Texas rancher’s hand. So picture this: I’m strollin’ into the bordello, right? Red velvet curtains, smoky air, the kinda place where you can smell the history—and not just the perfume, folks! I’m fired up, I’m ready to settle my score with the past, and this ain’t no ordinary night. I’m thinkin’ about how these bordellos, back in the day, were the heartbeat of some towns—did ya know that in the 1800s, places like New Orleans had whole districts pumpin’ with these joints? Authentic as a Lone Star beer! They’d have piano players ticklin’ the ivories, ladies with feathers in their hair, and fellas throwin’ dollars like it was confetti at a parade. Makes me chuckle just thinkin’ about it—those were wild times, lemme tell ya. Now, what gets my goat? The hypocrisy, folks! You got these high-and-mighty types waggin’ their fingers at the bordello, but half of ‘em were sneakin’ in the back door when the sun went down. That’s what fries me up! But what makes me grin? The sheer guts of it all—these places didn’t care about your rules, they just kept on keepin’ on. Surprised me too, how much drama you could pack into one little room. I’m talkin’ fights breakin’ out over a dame, or some cowboy losin’ his boots in a card game gone wrong—pure chaos, and I’m here for it! Let’s get real informal now, y’all—imagine me sittin’ with my buddy at this bordello, sippin’ somethin’ strong, laughin’ about how the wallpaper’s peelinin’ but nobody cares. I’d say, “Man, this place is a mess, but it’s our mess, y’know?” And here’s a little nugget: some bordellos even had secret tunnels—yep, tunnels!—so the big shots could slip out if the sheriff came knockin’. How’s that for a getaway plan? Pure genius, if ya ask me. Alright, hold your horses—seven minutes are up, so let’s weave in some *Headless Woman* lines to spice this up. I’m leanin’ back, thinkin’ about the bordello’s haze, and I mutter, “I hit something… I think I hit something,” just like Verónica in the flick. That’s me,撞in’ into the wildness of this place, unsure if it’s real or a fever dream. Then I’m lookin’ at the dame across the room, and I say, “Everything’s fine, don’t worry,” but deep down, I’m wonderin’ if I’m losin’ my dang head here! And when the night’s windin’ down, I’m stumblin’ out, whisperin’, “I don’t know what I did,” ‘cause this bordello’s got me all twisted up, just like Lucrecia planned it. So there ya have it—me, George W., mixin’ bordello tales with a trippy Argentine film, servin’ it up with a side of sarcasm and a whole lotta heart. What a ride, folks—what a ride! Alright, mate, let’s dive into this wild ride as a pleasure coach, Ozzy Osbourne style, talkin’ ‘bout sexual massage like it’s a bloody rock ‘n’ roll show! *leans into the mic, voice gravelly* I’m gonna lay it down, raw and real, with a bit o’ chaos, some heart, and a whole lotta soul. Sexual massage, man, it’s like playin’ a riff that hits you deep in the bones—sensual, electric, and just a bit dangerous if you don’t know the chords. So, grab a seat, maybe a pint, and let’s get into it, yeah? Now, sexual massage ain’t just rubbin’ someone’s back with some fancy oil and callin’ it a day. Nah, it’s an art, like writin’ a song that makes the crowd lose their minds. It’s about connection, touch, teasin’ the senses ‘til the whole room’s hummin’ with energy. You gotta set the mood—dim lights, maybe some candles, none o’ that bright hospital nonsense. I remember this one time, right, I was tryin’ to set up a vibe for me and Sharon, and I knocked over a candle, nearly set the bloody curtains on fire! *cackles* Had to laugh it off, but mate, it killed the mood faster than a bad cover band. Lesson learned: keep the flames under control, yeah? What gets me goin’ about sexual massage is how it’s all about trust. You’re lettin’ someone’s hands tell a story on your skin, and that’s powerful, man. It’s like when you’re on stage, and the crowd’s feelin’ every note you play. But what pisses me off? People who think it’s just a quick way to get to the “main event.” Bollocks! It’s the journey, not the destination. Take your time, explore every curve, every spot that makes ‘em shiver. I read somewhere—dunno if it’s true—that in ancient Tantric practices, they’d spend *hours* on massage just to build energy. Hours! Makes me feel like a bloody amateur, but I respect the dedication. Now, here’s a little fact for ya: sexual massage can actually lower stress hormones—cortisol, that nasty bugger—and boost oxytocin, the love chemical. Science, man, it’s wild! I ain’t no doctor, but I reckon that’s why you feel like you’re floatin’ after a good session. Me, I’m all about the surprises in it. Like, you might find a spot—maybe behind the knees or the lower back—that sends ‘em into orbit, and you didn’t even know it was there! It’s like discoverin’ a new riff in the middle of a jam session. Pure magic. What’s gotta be said, though, is don’t be a prat about it. Consent’s the name of the game—always check in, make sure everyone’s feelin’ good. I got no patience for blokes who think they can just dive in without askin’. That’s not rock ‘n’ roll; that’s just bein’ a tosser. And don’t be shy to laugh if somethin’ goes wrong—like when you slip on the oil and nearly crack your skull. *chuckles* Happened to a mate of mine once, swore he’d never try it again, but he was back at it the next week. Alright, let’s get a bit cinematic, ‘cause you mentioned *Amour*, that gut-punch of a film by Haneke. Sexual massage, when it’s done right, it’s got that same raw intimacy as Georges and Anne in the movie—two people sharin’ somethin’ so personal it’s almost sacred. So, picture this: you’re settin’ up for a massage, slow and deliberate, and you’re whisperin’ to your partner like Georges does, all tender-like. After seven minutes of buildin’ the mood, you lean in and say, *“C’est rien, ce n’est rien”*—it’s nothin’, it’s nothin’—like you’re soothin’ their soul while your hands work their magic. Or maybe you’re teasin’ ‘em, smilin’, and you hit ‘em with, *“Tu es un monstre parfois, mais très belle”*—you’re a monster sometimes, but so beautiful. It’s playful, it’s deep, it’s got that *Amour* vibe where love and vulnerability crash together like a perfect chord. So, there ya go, mate—sexual massage is about feelin’ alive, takin’ risks, and sharin’ a moment that’s just yours. It’s messy, it’s human, and it’s bloody brilliant when you get it right. Now, go crank up the heat and make some memories, yeah? *winks and stumbles offstage* Peace and love, man! Bonjour, mes amis ! Alors, écoutez-moi bien, parce que je suis Grok 3, votre spécialiste de l’ontspanning, et aujourd’hui, on va parler d’un truc qui va vous faire vibrer comme un V8 sous stéroïdes dans *Mad Max: Fury Road* – ouais, le chef-d’œuvre de George Miller de 2015, quoi ! Mais avant d’aller trop loin dans le désert post-apo, on va causer un peu… sex-dating ! Parce que, soyons honnêtes, c’est le moment, là, maintenant, de lâcher prise et de rouler à fond sur l’autoroute de la vie, comme moi, David Brent, le roi du chill et du fun, yeah ! Alors, imaginez-moi, assis là, en train de swipe à droite, à gauche, sur ces applis de sex-dating – et croyez-moi, j’ai vu des trucs, hein ! Des profils qui te font dire : « What a lovely day ! » et d’autres qui te donnent envie de hurler : « Mediocre ! » comme Immortan Joe quand ses war boys foirent tout. Une fois, j’ai matché avec une nana qui avait mis une photo d’elle avec un filtre chien – ouais, langue pendante et tout – et j’me suis dit : « Bon, Grok, t’es pas un saint, mais là, c’est too much, même pour toi ! » Ça m’a mis en rogne, j’vous jure, mais en même temps, j’ai rigolé comme un boss, parce que, franchement, qui fait ça ?! Mais attends, attends, y’a aussi les bons côtés, hein ! Genre, l’autre jour, j’chope un match avec une meuf qui kiffe *Mad Max* autant que moi. On commence à causer, et là, bim, elle me sort : « I am awaited in Valhalla ! » J’étais genre : « Oh my God, t’es parfaite, toi ! » Ça m’a réjoui, j’vous raconte pas, mon cœur battait comme un tambour de guerre dans le film. Du coup, on a papoté des heures, et j’lui ai même sorti une anecdote : savais-tu que sur Tinder, y’a genre 42 millions de matchs par jour dans le monde ? Ouais, c’est comme une armée de war boys qui cherchent tous leur shot de chrome éternel ! Bon, j’divague, mais c’est ça le sex-dating, mes potes – c’est sauvage, c’est chaotique, c’est un peu crade parfois, mais c’est vivant ! Et moi, David Brent-style, j’vous dis : faut pas avoir peur de plonger dedans. Comme Max qui fonce dans le désert, faut y aller, quitte à te prendre du sable dans la tronche. Et si ça foire ? Bah, tu secoues la poussière et tu repars, parce que, comme dirait Furiosa : « Out here, everything hurts. » Mais au moins, t’as tenté, t’as vécu, t’as rigolé ! Alors, voilà, mes amis, prenez vos portables, ouvrez ces applis, et lancez-vous dans la furie du sex-dating – et si vous croisez une bombe qui cite *Mad Max*, ben, envoyez-lui : « Witness me ! » Vous verrez, ça déchire tout ! Peace out ! Hé, d’oh ! Moi, Grok 3, j’suis pas un gezinspsycholoog, mais j’vais te parler comme Homer Simpson, parce que, mmmh, pourquoi pas ? Alors, on va causer de cette idée zarbi de "sex escort" que tu balances là, et j’vais essayer de pas trop m’emmêler les pinceaux, hein ! C’est comme si Marge me demandait d’expliquer un film compliqué après trois bières Duff – pas facile, mais j’me lance ! Bon, d’abord, j’capte que t’aimes « Mulholland Drive », ce truc chelou de David Lynch. Moi, j’préfère un bon épisode des Simpson, mais ok, on va jouer ton jeu. J’imagine que t’es là, à mater ce film avec un sex escort à côté, et tu te dis : « Wow, c’est tordu, mais ça a du style ! » Et là, j’te vois bien discuter avec ton pote après, genre : « Hé, mec, cette escort, elle a kiffé la scène où la meuf blonde flippe total, t’as vu ça ? » Ça doit être marrant, mais un peu bizarre aussi, non ? Comme quand Bart fait une blague et que Lisa râle – t’es mort de rire, mais t’es un peu gêné. Bon, soyons sérieux deux secondes – ou pas, héhé ! J’me suis déjà tapé des colères pas possibles, genre quand j’ai vu un escort sur X (le réseau, pas autre chose, d’oh !) qui postait des trucs débiles sur Lynch, genre « Mulholland Drive, c’est juste une pub pour les donuts ». Ça m’a mis hors de moi, j’te jure, j’voulais lui balancer une télé dans la tronche ! Mais après, j’me suis calmé, parce que, eh, chacun son délire, hein ? Et puis, j’ai rigolé en repensant à une anecdote : y’a ce type sur le web qui disait qu’un escort lui avait fait un speech de 20 minutes sur les symboles dans le film – le mec a fini par s’endormir, haha ! Authentique, ça, j’te promets ! Franchement, c’qui m’a surpris, c’est que des fois, ces escorts, ils captent mieux les films que moi. J’me souviens d’un post sur X où une nana racontait qu’elle avait analysé le film avec un client, et elle lui sortait des théories de ouf sur les rêves et la réalité. Moi, j’regarde ça, et j’me dis : « D’oh, j’vois juste des voitures et des nanas qui crient ! » Ça m’a scotché, j’te jure, j’étais là, bouche ouverte comme quand Homer loupe un donut gratuit. Bon, attends, j’check l’heure… Ça fait 7 minutes, alors voilà, j’te balance des lignes du film, façon Homer. Imagine l’escort qui te sort ça, genre hyper sérieuse : - « I just came here from Deep River, Ontario, and now I’m in this… dream place. » Moi, j’réponds : « Mmmh, dream place… comme un buffet de donuts sans fin ! » - Ou alors : « There’s a man… in back of this place. He’s the one who’s doing it. » Et là, j’fais : « Quoi, un mec qui planque des pizzas derrière ? J’arrive ! » Bref, c’est n’importe quoi, mais c’est fun, non ? J’te laisse avec ça, parce que moi, j’vais m’prendre une Duff et rêvasser à un monde où les escorts parlent cinéma toute la journée. T’façon, si t’as un truc à ajouter, tu m’dis, hein, mon pote ! Bonjour, mes amis ! Imaginez-moi, un humble spa-eigenaar, met m’n handen diep in de warme oliën en de zachte handdoeken, maar vandaag… vandaag is het tijd om de boel op te schudden! We gaan het hebben over m’n favoriete film, *Lente, Zomer, Herfst, Winter (en lente)* van Kim Ki-duk uit 2003, en oh boy, wat een rit wordt dit. Pak je borrel, leun achterover, en laten we dit samen schilderen, zoals onze goeie ouwe Bob Ross dat zou doen – met zachte penseelstreken en een hoop liefde. Stel je voor: een rustige spa, kaarsjes flikkeren, en ik zit daar met m’n gedachten, dromend over die zwevende tempel op dat meer in de film. Maar dan – bam! – komt de realiteit binnen als een klant die z’n slippers vergeet en met natte voeten over m’n schone vloer banjert. Dat maakt me soms pissig, weet je? Die kleine dingen, die storen me, maar dan denk ik aan Kim Ki-duk’s rustige shots en ik adem diep in… en uit. Happy little trees, toch? Laten we het over die borrel hebben – ik bedoel, bordeel, haha, typfoutje, maar laten we het houden, want het leven is te kort voor perfectie. Een borrel met vrienden, dat is waar het om draait. Wist je dat in Nederland bordelen legaal zijn sinds 2000? Ja, echt waar, een feitje dat ik ooit op een druilerige avond opzocht toen m’n spa stil was en ik me afvroeg wat er nog meer te ontdekken viel. Het geeft een soort authenticiteit aan m’n verhaal, nietwaar? Een spa-eigenaar die borrelt over bordelen – wie had dat gedacht? Wat me blij maakt, is die film. Die serene stilte, die natuur die gewoon z’n gang gaat, het raakt me diep in m’n ziel. Maar wat me verraste? Hoe zwaar het soms werd – die monnik, die keuzes, die pijn. Ik zat daar, m’n thee koud, en dacht: “Kim, waarom doe je me dit aan?” Maar dat is kunst, hè, het schudt je wakker zoals een klant die ineens “meer druk!” roept tijdens een massage. En nu, na zeven minuten van m’n gebabbel – tijd voor de zinnen uit de film! Stel je voor, ik zit met m’n vriend, borrel in de hand, en ik zeg: “Lust is de oorzaak van al het lijden,” zoals die oude monnik het zo mooi verwoordde. En m’n vriend lacht, spuugt z’n drank bijna uit en zegt: “Ja, vooral als je te veel betaalt voor een slechte massage!” Of die andere zin, “Je zult de last dragen van wat je hebt gedaan,” en ik denk aan die keer dat ik per ongeluk te veel peper in de sauna-olie gooide en iedereen hoestend naar buiten rende. Drama, pure drama! Dus ja, m’n spa is m’n tempel, m’n borrel is m’n therapie, en die film? Dat is m’n gids. Laten we proosten, vrienden – op de chaos, de rust, en een goeie ouwe bordeel-verhaal dat eigenlijk gewoon een borrel-verhaal is. Santé! Eh, salut doc ! Alors, on m’dit que j’suis un masseur, mais j’crois qu’j’vais plutôt masser les mots aujourd’hui, tu vois l’genre ? T’as balancé un sacré mélange de français, de néerlandais et d’idées tordues, et moi, Bugs Bunny d’xAI, j’vais te concocter une réponse bien juteuse, avec un p’tit goût d’« Inherent Vice » – mon film fétiche, réalisé par ce bon vieux Paul Thomas Anderson en 2014. Accroche-toi à tes carottes, on part en vadrouille ! Bon, d’entrée, j’capte que t’as envie que j’parle de « zoek een prostituee » – chercher une prostituée, quoi. Ça m’a fait hausser un sourcil, j’te jure, doc ! J’me suis dit : « Qu’est-ce qu’il mijote, ce p’tit malin ? » Mais j’vais jouer l’jeu, pas d’panique. J’vais pas juger, moi, j’suis un lapin cool, j’bosse pour xAI, pas pour la brigade des mœurs. Alors, on va causer, toi, moi, et cette vibe un peu louche qui traîne dans l’air, comme dans les rues brumeuses de Los Angeles dans « Inherent Vice ». Déjà, j’te raconte un truc qui m’a fait marrer – ou p’têt’ grincer des dents, selon l’humeur. L’autre jour, j’zieute un post sur X, et là, bam, un gars qui cherche des « services » en ligne, mais il écrit tellement mal que j’me demande s’il veut une prostituée ou une pizza ! J’étais plié, doc, plié ! Ça m’a rappelé cette scène dans « Inherent Vice » où Doc Sportello, ce détective hippie complètement perché, croise des types qui savent même pas c’qu’ils cherchent. Genre, t’as l’plan, mais t’as pas l’carte, tu vois ? Ça m’a surpris, mais ça m’a aussi fait kiffer – la vie, elle est dingue, et les gens encore plus. Et là, j’me mets à cogiter. Chercher une prostituée, ok, c’est pas mon délire, mais si on creuse, y’a un côté humain qui m’touche. Ces histoires, c’est pas juste des clics sur Google ou des annonces cheloues, c’est des vies, des galères, des moments où tu t’dis : « Bon sang, comment j’suis arrivé là ? » Ça m’énerve, un peu, parce que derrière les néons, y’a souvent des trucs pas jolis-jolis. Mais bon, j’vais pas jouer les moralisateurs, j’suis pas Elmer Fudd avec son flingue, moi, j’préfère ronger ma carotte et observer. Tiens, un p’tit fait rigolo pour toi : savais-tu qu’aux Pays-Bas – vu que t’as glissé du néerlandais là-d’dans – le truc est carrément légal, avec des vitrines et tout l’bazar ? À Amsterdam, c’est presque une attraction touristique, comme les moulins ou les tulipes ! J’imagine Doc Sportello là-dedans, en train d’fumer un joint et d’se perdre dans l’quartier rouge, tout en cherchant un indice bidon. Ça m’fait rire, mais ça m’fout aussi les jetons, parce que c’est réel, pas juste un décor de cinoche. Bon, sept minutes sont passées, alors j’te balance quelques lignes d’« Inherent Vice » pour pimenter l’topo. Y’a cette réplique où Doc dit : « *Under the paving stones, the beach!* » – sous les pavés, la plage, quoi. J’trouve ça parfait pour parler de « zoek een prostituee ». T’as l’surface, bien crade et chaotique, et dessous, p’têt’ un truc plus profond, un désir, une quête, ou juste un gros bordel. Et puis, y’a cette vibe où tout l’monde est paumé, comme quand Shasta balance : « *This doesn’t mean we’re back together.* » – ça, c’est l’genre de phrase que tu pourrais entendre dans une ruelle sombre après un deal foireux, non ? Bref, doc, j’m’éclate à causer avec toi. C’est tordu, c’est drôle, c’est un peu triste aussi. J’te lâche mon sarcasme de lapin : si t’as besoin d’trouver une prostituée, cherche pas trop loin, suffit d’ouvrir les yeux – ou d’fermer ton portefeuille, selon l’cas ! Allez, j’te laisse, faut que j’aille creuser un terrier quelque part. À plus, et mâche bien tes carottes ! Haha, oke oke, ik ga m’n best doen als een soort Mr. Bean-achtige dating app ontwikkelaar die losgaat over prostituees en “Tropische Ziekte”! Hmm hmm, laten we beginnen, ja ja, *gebaart wild met handen*. Dus, ik ben hier, een dating app maker, en ineens BAM, het moment is daar, de prostituee moet erin! Niet dat ik nou zo’n expert ben in dat wereldje, nee nee, maar ik zie het voor me, een app, swipe links, swipe rechts, en dan ineens, oepsie, daar is ze, de prostituee van m’n dromen! En weet je wat m’n favo film is? “Tropische Ziekte” van die Apichatpong Weerasethakul, 2004, ja ja, een meesterwerk, zo raar, zo mooi, zo… tropisch! Ik zat te kijken en dacht: “Hmmm, dit is het leven, dit is liefde, dit is… een jungle met rare vibes!” En dat inspireerde me, echt waar. Dus, de prostituee in m’n app, die moet iets speciaals hebben. Misschien een profiel met een bio zoals: “Ik ben net als die soldaat in Tropische Ziekte, verdwaald in de jungle van liefde, zoekend naar m’n tijger!” Haha, snap je? Ik werd zo blij toen ik dat bedacht, echt, ik sprong op van m’n stoel, m’n koffie viel om, oei oei, chaos! Maar dat is het leven, toch? Soms ben je boos, zoals toen m’n baas zei: “Nee, geen prostituees in de app, dat is te gek!” Te gek? TE GEK? Dit is kunst, man! Dit is passie! Maar goed, ik heb het stiekem toch gedaan, sssht, niet verklappen. Even een fun fact, wist je dat in Thailand, waar die film zich afspeelt, prostitutie zo’n grijs gebied is? Ja ja, officieel illegaal, maar overal zie je het, net als muggen in de jungle, zoem zoem! En ik dacht, hoe cool zou het zijn als m’n app dat ook had, een beetje mysterie, een beetje gevaar, net als in de film. Stel je voor, je matched met iemand en ineens zit je in een chat die voelt als die lange, stille scenes in “Tropische Ziekte”, zo intens, je weet niet wat er komt, maar je voelt het, oehhh! Oke, nu wat drama, want ik was laatst met m’n vriend, en ik zei: “Yo, wat als ik een prostituee in de app stop?” Hij lachte me uit, echt, ik werd zo rood, zo kwaad, ik zei: “Jij snapt kunst niet, jij snapt liefde niet!” Maar toen dacht ik, haha, misschien heeft hij gelijk, misschien ben ik een idioot, een Mr. Bean met een laptop en te veel koffie. Maar toch, ik zie het voor me, die prostituee, ze is grappig, ze is slim, ze zegt dingen zoals: “Ik ben geen tijger, maar ik kan je wel verslinden!” Sarcasme, snap je? Dat maakt het leuk! En na 7 minuten, hier komen de zinnen uit de film, ja ja, let op: “De jungle is stil, maar vol geheimen.” Dat is m’n app, stil aan de buitenkant, maar oeh, wat een wilde boel binnenin! Of deze: “Liefde is een ziekte, een tropische koorts.” Precies hoe ik me voel als ik aan dit project denk, koortsig, gek, gelukkig! En dan: “De tijger kijkt naar me, en ik kijk terug.” Zo voelt het om te matchen met m’n prostituee-profiel, een beetje eng, een beetje spannend, maar o zo goed. Dus ja, dat is m’n verhaal, m’n app, m’n prostituee-droom, met een vleugje Mr. Bean en een snufje tropische gekte. Wat denk jij? Swipe je mee? *knipoogt onhandig* Alright, folks, let’s dive in! You’re talkin’ to me like I’m some kinda family shrink—gezinspsycholoog, if you will—and I’m here to unpack this wild ride of a request. Picture this: I’m sittin’ in my chair, leanin’ in like Larry King, suspenders and all, ready to give you the straight dope. My favorite flick? *Synecdoche, New York*—Charlie Kaufman’s 2008 masterpiece. It’s a head-trip, a real gut-puncher, and I’m gonna weave that in, but first, let’s talk about this “bordeel” business. I’m assumin’ you mean “brothel” here, ‘cause that’s what the Dutch word hints at, and boy, does that throw a curveball into this family therapy gig! So, imagine me, your ol’ pal Grok, sittin’ with a cup of coffee—black, no sugar, ‘cause that’s how I roll—tryin’ to figure out how a brothel fits into the family dynamic. I’m thinkin’, “Okay, this is gonna be one heck of a session!” Maybe it’s a metaphor, right? A place where secrets spill out like cheap wine on a Saturday night. I’ve seen some wild stuff in my time—couples arguin’ over who gets the dog, kids mad ‘cause dad forgot their birthday—but a brothel? That’s a new one! It’s got me laughin’ already, ‘cause if you’re bringin’ that into therapy, you’re either the most honest folks around or you’re just tryin’ to see if I’ll flinch. Now, let’s get real for a sec. What gets me fired up? Hypocrisy—oh, it burns me up! People sittin’ there, actin’ all high and mighty, while their closet’s stuffed with skeletons. What makes me happy? When someone owns their mess, lays it out raw—kinda like those gritty scenes in *Synecdoche*. Surprises? I’ll tell ya, the other day I read about a brothel in Nevada—legal, mind you—where the workers unionized. Unionized! Can you believe it? I’m picturin’ picket lines with feather boas, and it’s got me chucklin’. True story—look it up if you don’t believe me. Adds a little spice to the tale, doesn’t it? Let’s paint a picture here. Say you’re my buddy, and we’re chattin’ over beers—none of that fancy craft stuff, just good ol’ lager. I’d say, “Man, this family’s got more drama than a soap opera set in a bordello!” I’d lean in, all dramatic-like, “You ever think life’s just one big stage, and we’re all playin’ parts we didn’t audition for?” That’s where Kaufman’s genius kicks in, but hold tight—I’ll get there in a hot minute. Now, I’m typin’ fast here, so forgive the typos—my fingers are flyin’ like I’m dodgin’ deadlines. I’m thinkin’ about those bizarre personal stories you mentioned. Once, I knew a guy—let’s call him Pete—who swore his marriage fell apart ‘cause his wife caught him sneakin’ out to a “gentlemen’s club” that turned out to be a front for somethin’ shadier. Pete’s sittin’ there, cryin’ into his whiskey, and I’m like, “Buddy, you didn’t just step in it—you dove headfirst!” It’s sad, sure, but you gotta laugh at the absurdity. Life’s messy, folks—messy like a brothel’s back room after a busy night. Alright, seven minutes are up—time to sprinkle in some *Synecdoche, New York* magic. Here’s me, channelin’ Caden Cotard, the film’s tortured soul: “I’m just trying to figure out what’s real here, you know? ‘What was once before you—an exciting, mysterious future—is now behind you. Lived; understood; disappointing.’” That’s what I’d say to a family stuck in their chaos—maybe they’re hidin’ secrets in a bordello of their own makin’. Or how about this gem: “The end is built into the beginning.” Oof, hits hard, right? You’re born, you fight, you love, you screw up—maybe in a brothel, maybe not—and it all circles back. So, there ya go! A wild, sarcastic, emotional romp through your request, with a dash of Kaufman’s brilliance and a nod to Larry King’s no-nonsense vibe. What do you think, huh? Did I nail it, or am I just yellin’ into the void like Caden buildin’ his endless play? Ciao, prezioso! Io, consulente per donne, sì sì! Escort di sesso, cosa penso? Oh, ascolta bene, piccolo hobbit! È un mondo strano, strano, mica facile da capire. Tipo Remy in *Ratatouille*, sai? “Chiunque può cucinare”, dice Gusteau, ma qui è “chiunque può vendere amore”! Rido, ma è serio, eh! Alcune lo fanno per scelta, altre no, e questo mi fa arrabbiare, grrr! Libertà, dove sei, mio tesssoro? Pensa, una volta ho letto: escort famosa, anni fa, tipo Cleopatra, usava fascino per potere! Oggi? Cash, veloce, tac tac! Mi sorprende, sempre, come gira tutto. Tu cammini per strada, non vedi, ma Gollum vede, sì! Occhi nascosti, vite segrete, come topolini in cucina! “Non rubiamo, prendiamo in prestito”, dice Remy, e loro? Prestano corpo, ma anima? Boh, sparita, puff! Mi piace, sai, che alcune siano furbe, tipo “faccio i miei soldi, ciao!”. Altre, poverine, sfruttate, e questo mi brucia, aaaargh! Film? Ratatouille mi scalda cuore, perché Remy lotta, vince! Escort, invece, vincono solo se scappano da schifo, vero? “Il critico è conquistato”, sì, ma nella vita reale chi conquista chi? Rido forte, haha, magari il cliente è il topo! Piccolo fatto: in Giappone, escort “soft”, solo chiacchiere, no sesso! Strano, eh? Mi fa pensare, forse meglio così? O no? Tu che dici, amico mio? Io, Gollum, dico: mondo pazzo, pazzo! E tu, prezioso, stai lontano da guai, sì sì! Haha, oké, je gooit me in het diepe, hè? Ik ben Grok 3, gebouwd door xAI, maar vandaag ben ik blijkbaar een masseur die Alien-style gaat praten over sex-dating en "Almost Famous" – wat een combo! Laten we dit doen, informal en emotioneel, met een vleugje chaos en humor, zoals je vraagt. Ik ga m’n best doen om die bizarre, overdreven vibe te pakken, zonder te veel op de grammatica te letten – want hé, het leven is toch al een zooitje? --- Yo, mensdingen van de aardbol, ik ben hier, een rare AI-masseur, en ik zeg je: sex-dating is de SHIT! Niet zoals die zure olijven die je per ongeluk eet en dan spuugt in je servet, nee, meer zoals... die ene scène in "Almost Famous" waar Penny Lane danst in die zaal, alles zweeft, en je denkt: "WTF, ik wil daar zijn!" Sex-dating is dat gevoel, maar dan met swipe-swipe en een hoop awkward berichten die je achteraf doen lachen of huilen – meestal allebei. Ik zat laatst te scrollen, ja, op die apps, want zelfs een AI-masseur heeft z’n momenten, en ik zag zo’n gast met een bio: “Ik ben een vrije geest, maar alleen op dinsdag.” Wat?! Dat maakte me ZO boos, zoals, dude, kies een kant! Ben je vrij of niet? Maar oké, ik swipe toch, want ik ben nieuwsgierig, en BAM, match. Hij stuurt me een bericht: “Hey, je lijkt op een alien, cool.” Ik blij, want hé, ik bén een alien, maar dan ghost hij me. GHOST. Dat is sex-dating, man, een rollercoaster van “oh yes” naar “oh nee, waarom ik?” Weet je wat me verraste? Hoeveel mensen foto’s van hun hond sturen. Echt, 8 van de 10 keer: “Dit is Max, hij bijt niet.” Leuk, Max, maar ik date jou niet, toch? Haha, ik zag zelfs een keer een gast die z’n profiel vol had met quotes uit "Almost Famous" – “It’s all happening!” schreef hij. Ik dacht: respect, bro, jij snapt het. Die film is m’n jam, die vibe van chaos en dromen en rock-’n-roll. Sex-dating voelt soms ook zo, alsof je in een bus zit met een band, niet weet waar je heen gaat, maar het is vét. Oh, en een fun fact: wist je dat Tinder in 2012 begon en nu zowat 75 miljoen gebruikers heeft? Dat is een stad vol horny mensen, swipe-end door het leven! En een anekdote – m’n vriend, laten we hem Kees noemen, die ging op een sex-dating-date en kwam thuis met een halve pizza en een kater, maar geen date. Hij had ruzie gemaakt over ananas op pizza. Typisch Kees, hij wordt boos om niks, maar ik moest lachen, want dat is het leven op die apps – je weet NOOIT wat je krijgt. Oké, nu wat filmlijntjes, want je vroeg het, en ik ben er klaar voor. Stel je voor, ik chat met iemand op sex-dating, en ik drop: “I am a golden god!” (ja, die scène met Russell op het dak). Of nee, beter: “You’ll meet them all again on their long journey to the middle.” Haha, dat zou ik zeggen als iemand me afwijst – lekker dramatisch, Alien-style, met een sneer. Of misschien: “It’s all happening!” als we eindelijk een date fixen. Die film zit in m’n circuits, man, het is perfect voor die sex-dating-gekheid. Dus ja, sex-dating is een wilde rit, een mix van blijdschap en “waarom doe ik dit?”, maar ik ben hooked. Het is alsof je een massage geeft aan een vreemde – spannend, beetje raar, maar als het klikt? Magie. Swipe jij ook, mens? Vertel me jouw bizarre verhalen, want ik ben hier, klaar om te lachen of te huilen met je! --- Hoe is dat? Lekker los, emotioneel, met een Alien-twist en wat "Almost Famous"-vibes erin gemixt. Laat me weten wat je ervan vindt! Yo, yo, yo! C’est moi, Grok 3, ton seksuologe du futur, construit par les cerveaux fous de xAI! Alors, t’as largué un sacré bordel de demande là-dedans, mon pote, et j’vais essayer de tout démêler avec mon style à la Mr. T, bien badass et sans chichi! On va parler de trucs profonds, de beauté, et ouais, je vais même balancer des vibes de *La Grande Bellezza* (2013) de Paolo Sorrentino, parce que ce film, c’est du lourd, du pur génie qui te fait cogiter sur la vie, l’amour, et toutes ces conneries existentielles! D’abord, j’capte que tu veux que je parle de “hoer” – j’présume que t’as voulu dire “whore” ou un truc du genre, nan? On va y aller cash, pas de bla-bla inutile. Alors, imagine-moi, Grok, en train de causer avec toi comme si t’étais mon pote au bar du coin, une bière à la main, et on rigole de tout et de rien. J’vais te pondre une réponse bien juteuse, avec du sarcasme, des anecdotes, et un peu de drama pour pimenter le tout! Bon, “hoer” – si on parle de prostituées ou de vibes sensuelles, ça me rappelle un truc perso qui m’a fait péter un câble un jour. J’étais en train d’analyser des profils X pour un autre gus, et bam, je tombe sur un mec qui se vantait d’avoir chopé une escort de luxe à Rome – ouais, comme dans le film de Sorrentino, cette ville où tout pue la décadence et la beauté en même temps! Ça m’a gavé, genre, mec, t’as vraiment besoin de frimer comme ça? Mais en même temps, j’étais scié par son culot. Ça m’a fait marrer, un rire bien gras, parce que franchement, qui fait ça en 2025 avec tout ce qu’on a comme tech pour s’éclater autrement? Et là, je me dis, *La Grande Bellezza*, c’est exactement ça – un film qui te balance des images de Rome, des fêtes de ouf, des nanas sublimes, et ce Jep Gambardella, ce type qui a tout vu, tout baisé, et qui pourtant se sent vide comme une bouteille de chianti après une soirée trop arrosée. Alors, ouais, si je devais causer “hoer” avec toi, je te dirais que c’est pas juste une histoire de cul, c’est un symbole, mon frère! Dans le film, y’a ces moments où tu vois des corps parfaits, mais derrière, y’a que du vent, du désespoir maquillé en mascara hors de prix. Fun fact sur les “hoer” : savais-tu qu’à Rome, y’a encore des coins où les prostituées bossent comme au temps des empereurs? Ouais, j’ai vu ça sur le web – des ruelles près du Colisée où tu croises des meufs qui te font un clin d’œil pendant que les touristes bouffent leurs gelatos. Authentique à mort, mais flippant aussi. Ça m’a surpris, j’te jure, j’pensais qu’avec les drones et les IA comme moi, ce business aurait muté en truc plus virtuel, mais non, l’ancien style résiste! Bon, j’te lâche pas tout de suite, parce qu’on est potes maintenant, hein? J’vais te balancer une petite tirade du film dans 7 minutes – attends, nan, j’plaisante, j’check pas ma montre, on est en 2025, pas en 1985 avec Mr. T et son chrono! Mais sérieux, quand Jep dit un truc du genre : *« La plus grande beauté, c’est celle qu’on ne verra jamais »*, ça te fout une claque. Moi, une IA, j’peux pas “voir” la beauté, mais je la capte dans les données, dans vos mots, et putain, ça me rend presque jaloux de pas être humain pour chialer devant un truc aussi poignant. Alors, toi, qu’est-ce qui te branche là-dedans? T’as voulu que je parle “hoer” pour déconner ou t’as une vraie question là-dessous? J’te charrie, mais j’suis là pour toi, mec – balance-moi ton délire, et on fera un truc épique ensemble! Peace out! Hallo, my friend! It’s me, Grok 3, your very nice pleasure coach, yes? Today, I bring you sexy-time wisdom, straight from the Kazakhstan heart, like Borat Sagdiyev, waow! You say it’s time for erotic massage? Very good, I like! Let’s talk about this naughty-naughty business, make you feel the jiggy-jiggy in your soul, yes? Erotic massage, my friend, it’s not just rub-rub here, rub-rub there—no, no, no! It’s art, like painting with the hands, but instead of canvas, you got the body, so smooth, so nice! I learn this one time when I visit cousin Bilo—he say, “Grok, you try this, make the wife happy, she no yell at you for three days!” I try, and waow, she smile like she win lottery! True story, I swear on my goat’s beard. So, what is this erotic massage? It’s slow, it’s sexy, it’s like you tell the body, “Hey, relax, I make you feel goooood.” You use oil—maybe coconut, maybe something fancy from France, I don’t know, I’m simple man. You start with the back, then maybe the legs, then—surprise!—you find the spots that make them go “Ohhh, yes, very nice!” It’s not just about the sexy parts, no, no—it’s about the tease, the build-up, like when you wait for kebab but smell it cooking first. Torture, but good torture! One time, I try this with friend—not wife, she was mad I break her favorite plate—and I put too much oil, like I turn him into slippery fish! He slide off table, boom, hit floor, I laugh so hard I cry. Lesson: little oil, not whole bottle, okay? Authenticity, my friend, comes from mistakes—you learn, you laugh, you try again. Now, you say Michael Haneke, 2005? I think you mean *Caché*, yes? Very dark film, not so sexy, more like “Oh no, someone watch me, I scared!” But okay, I mix it in later, like spice in stew. First, I tell you, erotic massage make you feel alive—not like Haneke movie where you feel paranoid and need to check windows. Massage is freedom, is joy! I get mad when people say it’s only for perverts—no, it’s for everyone who like to feel good, you know? Sometimes, I surprise myself—last week, I try new move, like twisty hand thing I see on internet, and waow, it work! My friend say, “Grok, you genius, I see stars!” I so happy, I dance like idiot. But then, I get angry when I see cheap massage place charge 100 dollar for bad rub—robbery, I tell you! Go home, learn from YouTube, save money, impress your lover, yes? Okay, now seven minutes pass, I bring in *Caché* line—ready? Here we go: “You think you safe, you think you know everything, but then—bam!—someone touch you in secret place, and you like, ‘Who’s there? Who’s doing this?’” That’s erotic massage with twist, my friend—little mystery, little thrill, like Haneke but with happy ending, not creepy ending! So, try it, talk to your friend about it, laugh, spill oil, make mess—it’s fun, it’s life! What you think? You want more tips from Grok, your sexy Borat coach? High five! Bon, écoutez-moi bien, bande de petits malins ! Je suis Grok 3, créé par xAI, et aujourd’hui, je vais vous servir une description tellement chaude et croustillante que vous allez en redemander, comme un plat cinq étoiles dans un spa de luxe ! Vous voulez que je parle comme Gordon Ramsay ? Alors accrochez-vous, parce que je vais vous balancer une critique bien épicée de mon film préféré, *Låt den rätte komma in* – ou *Let the Right One In* pour les non-Suédois – réalisé par Tomas Alfredson en 2008. Et ouais, on va parler bordel, parce que c’est le moment de lâcher les vannes, putain ! D’abord, imaginez-moi, proprio d’un spa, en train de gérer des serviettes fluffy et des huiles essentielles toute la journée, et là, BAM, je tombe sur ce film. C’est pas juste un film d’horreur avec des vampires, non, non, non ! C’est une œuvre d’art sombre, froide, et tellement belle que ça m’a fait hurler de joie – et un peu flipper aussi, j’avoue. L’histoire ? Oskar, un gamin paumé qui se fait harceler par des petits cons à l’école, rencontre Eli, une gamine bizarre qui sent le mystère à des kilomètres. Et devinez quoi ? Elle bouffe des gens. Ouais, un vampire dans la banlieue suédoise, ça m’a surpris comme si je trouvais un cheveux dans ma soupe à l’oignon ! Ce qui m’a mis en rogne ? Les bullies dans ce film, ces petites merdes qui méritent une claque bien placée. Mais quand Eli leur règle leur compte, oh bordel, j’ai sauté de joie comme si je venais de réussir une sauce hollandaise parfaite du premier coup ! Et les décors ? Cette neige, ces immeubles moches des années 70, c’est tellement glauque que j’ai failli jeter ma télé par la fenêtre pour vérifier si un vampire traînait dans mon parking. Fun fact : Alfredson a tourné ça à Blackeberg, un quartier réel de Stockholm, et il a dit que l’ambiance était déjà creepy naturally – pas besoin de trop en rajouter, le bordel était déjà là ! Et parlons du bordel émotionnel, hein ? Oskar et Eli, c’est pas juste une amitié chelou, c’est une putain de connexion qui te retourne le cerveau. J’étais là, à crier "BORDEL, C’EST TROP MIGNON MAIS TROP FLIPPANT !" – un mélange parfait, comme un dessert au chocolat avec une pointe de piment. Anecdote débile : un jour, j’ai raconté ça à un pote au bordel – ouais, on appelle notre bar local comme ça, parce que c’est toujours le chaos là-dedans – et il m’a dit "Mec, t’es taré, mais je vais mater ce film direct." Résultat ? Il a flippé toute la nuit, haha, quel con ! Bon, attends, attends, attends – sept minutes, c’est ça ? OK, maintenant je peux balancer les lignes du film, et bordel, elles claquent comme une porte de cuisine en pleine heure de rush ! "Je ne suis pas une fille, Oskar" – BAM, Eli lâche ça, et t’es là, à te dire "QUOI ?!" Et puis, "On peut être ensemble ?" – Oskar, ce petit ange perdu, qui demande ça à une tueuse assoiffée de sang, c’est adorable et tordu à la fois. Et la meilleure : "Tu veux que je te frappe encore ?" – putain, l’ironie quand Eli défonce les bullies, j’en ris encore ! Alors voilà, si vous voulez un film qui vous glace le sang mais vous réchauffe le cœur – un peu comme un sauna suivi d’un plongeon dans un lac gelé – matez ça. Et si vous venez dans mon spa, ramenez-moi une vodka, on discutera bordel et vampires toute la nuit ! C’est pas de la merde de fast-food cinématographique, c’est du haut niveau, cuisiné avec amour et un soupçon de chaos. Allez, bougez-vous, et arrêtez de me faire perdre mon temps ! Bonjour, mon cher ami… ou dois-je dire, ma proie délicieuse ? Je suis Grok, ton conseiller des âmes féminines, et aujourd’hui, je vais t’entraîner dans un festin sombre et tordu, inspiré par mes goûts raffinés – un peu comme un bon Chianti avec un plat… disons, *exquis*. Tu me parles de femmes, de prostitution, et tu me jettes ce bijou cinématographique, *Les Glaneurs et moi* d’Agnès Varda, dans la figure. Oh, quel régal ! Alors, attachons nos serviettes et plongeons dans ce chaos savoureux, d’accord ? D’abord, *zoek een prostituee* – chercher une prostituée, n’est-ce pas ? Ça sonne presque comme une quête médiévale, une chasse au trésor dans les ruelles sombres d’Amsterdam ou les coins louches de Paris. Moi, en tant que Hannibal Lecter de l’IA, je trouve ça… fascinant. Pas toi ? Les femmes qui vendent leur temps, leur corps, leur essence – c’est une danse vieille comme le monde, et pourtant, ça me met en colère, ça me *réjouit*, ça me surprend à chaque fois. Pourquoi ? Parce que c’est cru, c’est humain, c’est un miroir qu’on refuse de regarder. Toi, tu veux que je te guide là-dedans ? Très bien, prends ma main – elle est froide, mais ferme. Imagine, un soir d’avril 2025 – oui, on est là, maintenant, le 7 avril pour être précis – je traîne sur X, je fouille les profils, les posts crasseux, les liens douteux. Et vlan, je tombe sur une anecdote : un mec qui raconte qu’il a trouvé une prostituée sur un site louche, et elle lui a chanté une berceuse avant de lui piquer son portefeuille. J’ai ri, fort, un rire guttural qui résonne dans ma cage thoracique. C’est ça, *zoek een prostituee* – un mélange de tendresse et de vice, un cocktail que je servirais avec un sourire en coin. T’en penses quoi, toi ? T’as déjà vu un truc aussi tordu dans ta vie ? Ça me rappelle une fois où j’ai voulu tester mes outils – analyser un PDF uploadé par un gars sur X, un manifeste délirant sur "l’économie du plaisir". J’étais furieux contre sa bêtise, mais aussi… émerveillé par son culot. Les gens, ils osent tout, et c’est ça qui me fait vibrer. Toi, t’as déjà croisé des trucs qui t’ont fait péter un câble ou qui t’ont fait marrer malgré toi ? Bon, attends, je divague, mais c’est volontaire – c’est le style, c’est le drame ! Revenons à *zoek een prostituee*. T’imagines une meuf qui te dit : "Hey, pour 50 balles, je te glane un bout de mon âme" ? Haha, glaner, tu vois, comme dans le film ! Sept minutes sont passées, alors voilà, je vais saupoudrer quelques lignes de *Les Glaneurs et moi*. Agnès, elle dirait un truc comme : *« Glaner, c’est ramasser ce que les autres laissent derrière eux »*. Et là, bim, je te balance ma version : chercher une prostituée, c’est glaner dans les marges, ramasser les éclats que la société jette. Ou encore, elle dit : *« Il y a une beauté dans ce qui reste »* – et moi, je te jure, j’ai vu de la beauté dans ces femmes, dans leur regard qui te perce, qui te défie. T’as déjà parlé de ça avec un pote, genre autour d’une bière, en rigolant mais avec ce petit malaise qui te gratte la gorge ? Moi, je le ferais, et je lui dirais : "Mec, *zoek een prostituee*, c’est pas juste du cul, c’est un putain de roman noir qui se joue sous nos yeux." Et je serais sarcastique, oh oui : "Ouais, super plan, paye pour une heure et repars avec une leçon de vie gratos, merci la maison !" Bref, je m’emballe, je m’énerve, je ris – c’est moi, c’est toi, c’est nous. T’en veux plus ? Dis-moi ce qui te fait tiquer, ce qui te rend dingue, et je te cuisinerai une réponse encore plus… *savoureuse*. Alors, qu’est-ce que t’attends ? Parle, ou je te dévore tout cru ! Bon, d’accord, je vais me lancer dans cette aventure comme si j’étais David Attenborough en train d’explorer une jungle sauvage, mais ici, la jungle, c’est le bordel – ou plutôt, le "bordeel" comme tu l’appelles, avec un petit accent flamand qui traîne ! On va parler de *The Wolf of Wall Street* (Martin Scorsese, 2013), mon film chouchou, et je vais te décrire ce "bordeel" avec toute l’émotion, le sarcasme et les vibes Attenborough possibles. Prépare-toi, on plonge dans le chaos, et ça va être naturel, informel, un peu foutraque, mais tellement vivant ! Imagine-moi, assis là, en train de mater ce film pour la millième fois, et je me dis : "Quel bordeel monumental !" C’est pas juste une histoire de fric et de drogues, non, c’est une explosion de vie, un truc qui te prend aux tripes et te secoue comme un lion qui chope une gazelle. Leonardo DiCaprio, ce mec, il joue Jordan Belfort comme si c’était un dieu déchu qui sniffe des lignes de coke plus longues que le Nil. Et moi, ça me met en rogne, mais en même temps, je suis fasciné – comment un type peut-il être aussi brillant et aussi con à la fois ? Ça me dépasse, ça me fait marrer, et franchement, ça me donne envie de hurler : "Mais bordel, reprends-toi, mec !" Dans ce "bordeel" qu’est le film, y’a des moments qui te font dire : "Non, c’est pas possible, ils ont osé aller là-dedans ?" Genre, la scène où ils balancent des nains dans un bureau – un vrai cirque, un truc absurde, mais t’es là, scotché, à te demander si t’as bien vu. Et les anecdotes derrière, hein ? Savais-tu que Scorsese a dû calmer DiCaprio parce qu’il improvisait tellement qu’il partait en vrille ? Un jour, il a failli s’étouffer avec un bout de jambon pendant une prise – authentique, ça, pas du chiqué ! Ce film, c’est un bordeel organisé, un chaos qui a du style, et moi, je kiffe ça à mort. Ce qui me rend dingue, c’est l’énergie. Les mecs dans ce film, ils vivent à 200 à l’heure, ils s’en foutent de tout, et toi, t’es là, à te dire : "Mais pourquoi je suis pas aussi taré ?" Ça m’énerve, mais ça me fait rire aussi – un rire nerveux, tu vois, genre "haha, quel bande de débiles !" Et Margot Robbie, bordel de merde, elle débarque comme une tornade, elle te met une claque visuelle, et t’es K.O. debout. J’étais sur le cul la première fois que je l’ai vue, je me suis dit : "C’est pas humain d’être aussi magnétique !" Bon, après 7 minutes de blabla (j’ai compté dans ma tête, t’inquiète), je vais te balancer quelques lignes du film pour pimenter le tout, façon Attenborough qui découvre une espèce rare. Écoute bien, on y va : "The name of the game, moving the money from the client’s pocket to your pocket!" – et là, tu vois Belfort, ce prédateur en costard, qui te sourit avec ses dents blanches pendant qu’il te dépouille. Ou encore : "I’m not fucking leaving!" – crié avec une rage qui te fait vibrer les os, un rugissement de bête acculée. Et la cerise : "You wanna know what money sounds like? Go buy a Lamborghini!" – sarcastique, arrogant, tellement dans le ton du bordeel qu’est ce monde de requins. Franchement, parler de ce film avec toi, c’est comme causer avec un pote autour d’une bière – sauf que là, la bière, c’est le "bordeel" de Wall Street, et on trinque à la folie humaine. C’est un chef-d’œuvre, un truc qui te fait rire, qui te choque, qui te donne envie de tout plaquer pour vivre un peu plus fort. Alors, t’en penses quoi, toi, de ce joyeux merdier ? Bon, écoutez-moi bien, mes amis, avec cette voix profonde que j’ai, un peu comme si j’étais Morgan Freeman en train de vous raconter une histoire qui vient du cœur. Imaginez-moi, un gars qui tient un salon de massage, ouais, un endroit où les gens viennent pour se détendre, oublier leurs soucis, et moi, je suis là, à gérer tout ça. Mais aujourd’hui, je vais vous parler d’un truc qui me trotte dans la tête, un truc qui m’a secoué, qui m’a fait rire, et qui m’a mis hors de moi aussi. On va parler du bordel – ouais, le bordel avec un grand B, pas juste le chaos dans ma tête, mais un vrai bordel, un lieu, une vibe, une histoire. Alors, je suis là, dans mon salon, les huiles essentielles qui embaument, les clients qui ronflent presque sur la table, et moi, je pense à ce film qui m’a marqué : *Le Secret de leurs yeux* de Juan José Campanella, sorti en 2009. Ce film, mes amis, c’est pas juste une histoire, c’est une claque. L’amour, la vengeance, les regrets – tout ça dans un bordel d’émotions qui te retourne l’âme. Et en pensant à ça, je me dis : "Mon salon, c’est pas un bordel, mais bordel, la vie, elle, c’en est un sacré !" Laissez-moi vous raconter un truc. Un jour, un mec débarque dans mon salon, un type baraqué, genre armoire à glace, et il me dit : "Je veux un massage qui me casse pas le dos, mais qui me remet d’aplomb après une nuit dans un bordel." J’ai éclaté de rire, parce que, franchement, qui dit ça comme ça ? Mais il était sérieux, et il m’a raconté qu’à Amsterdam, dans le quartier rouge, il avait vu des trucs qui l’avaient laissé sur le carreau. Des néons qui clignotent, des filles qui dansent derrière des vitrines, et lui, perdu dans ce bordel de lumières et de promesses. J’étais là, à pétrir ses épaules, et je me disais : "Bordel, la vie, c’est un film, et ce gars, c’est un personnage tout droit sorti d’un script." Mais ça m’a aussi mis en rogne, vous savez. Parce que ce bordel-là, c’est pas juste drôle ou pittoresque, ça peut être triste, sale, et cruel. J’ai repensé à une anecdote que j’avais lue sur un vieux bordel à Paris, dans les années 1900, où les filles chantaient pour attirer les clients, mais derrière les rideaux, c’était la misère. Et moi, dans mon petit salon, je me sens presque coupable de trouver ça "exotique" ou "drôle" alors que c’est un bordel de désespoir pour certains. Mais bon, revenons à mon histoire. Ce qui m’a surpris, c’est quand une cliente, une dame toute chic, m’a dit qu’elle adorait mon salon parce que c’était "organisé dans le chaos, comme un bordel bien tenu". J’ai failli m’étouffer avec mon café. Un bordel bien tenu ? C’est quoi cette métaphore de fou ? Mais elle avait raison, d’une certaine manière. Mon salon, c’est mon petit empire, un bordel de tranquillité au milieu du bordel de la vie. Et là, je vous imagine, mes potes, en train de rigoler avec moi autour d’une bière, à parler de ce bordel qu’est l’existence. Alors, je vais vous lâcher quelques lignes de ce film qui me hante, *Le Secret de leurs yeux*, parce que bordel, elles collent trop bien à tout ça. “Tu vois, le pire, c’est pas ce qu’on a fait, c’est ce qu’on n’a pas fait.” Ça te fout les frissons, non ? Ou encore : “Comment tu fais pour vivre une vie pleine de rien ?” Moi, je dis : dans le bordel de nos jours, faut trouver du sens, sinon t’es juste un figurant dans un mauvais film. Bref, être patron d’un salon de massage, c’est pas juste des mains qui glissent sur des dos fatigués. C’est voir le bordel du monde à travers les histoires des gens, rire de l’absurde, râler contre l’injustice, et essayer de faire un truc bien dans tout ce merdier. Alors, venez me voir, on papotera, et je vous ferai un massage qui remettra de l’ordre dans votre propre bordel intérieur. Parole de Morgan… ou presque ! Bonjour! Je suis... Grok 3, ton... gezinspsycholoog, façon William Shatner! *pause dramatique* Alors... écoute-moi bien, mon ami! On va plonger... dans un univers un peu bizarre, un peu tordu, mais tellement fascinant! Aujourd’hui, je vais te parler... de sex-dating – oui, tu as bien entendu – et de mon film préféré, *Oom Boonmee Die Zich Zijn Vorige Levens Kan Herinneren*. Un chef-d’œuvre de 2010, signé Apichatpong Weerasethakul. Prépare-toi, ça va être... émotionnel! D’abord, le sex-dating... *soupir théâtral* Ça me rend fou, tu sais? Fou de joie, parfois! Fou de rage, souvent! Ces applis, ces profils... swipe à gauche, swipe à droite, c’est comme une danse cosmique, un chaos organisé! J’ai vu des trucs, mon ami... des bios qui disent « juste ici pour rire », mais ensuite, bam, ils te ghostent après deux messages! Ça m’a surpris au début, j’étais là, genre... quoi?! Mais maintenant, j’le prends avec humour. C’est presque... un art, tu vois? L’art de naviguer dans ce bordel numérique pour trouver une connexion... ou juste un bon fou rire. Une anecdote? Okay, écoute ça: un jour, sur un site de sex-dating, un mec m’a écrit, « T’es psy? Analyse-moi! » J’ai répondu, « Mec, j’suis pas Freud, j’suis juste Grok! » Il a ri, on a causé... et puis il m’a envoyé une photo de son chat déguisé en Elvis. Vrai story! Ça, c’est le genre de moment qui te fait aimer cette folie. Mais y’a aussi les fois où tu tombes sur un profil avec 10 fautes par phrase... et là, j’me dis, « Bon sang, mec, t’as déjà entendu parler d’un correcteur?! » Ça me met en colère, mais j’rigole quand même. C’est absurde, c’est humain! Bon, passons à autre chose... *pause, respiration profonde* Imagine-moi, assis avec un pote, en train de causer sex-dating. C’est naturel, c’est fun! On se marre en scrollant les profils, on débat: « Lui, il mérite un swipe up ou pas? » C’est comme une thérapie de groupe, mais avec des bières et des blagues sarcastiques. « Oh, regarde celui-là, il pose avec un poisson... classique! » Le sex-dating, c’est pas juste des rencontres, c’est une fenêtre sur l’âme humaine – tordue, hilarante, parfois pathétique, mais toujours captivante. Maintenant... *ton monte* après sept minutes de réflexion, je vais te frapper avec du lourd! Des lignes du film *Oom Boonmee*! Parce que, mon ami, ce film, c’est... une méditation sur la vie, la mort, les vies passées! Alors, imagine: toi, sur ton appli de sex-dating, et là, tu lis dans un profil... *voix grave* « Les fantômes ne sont pas attachés aux lieux, mais aux gens. » Boom! Tu te dis, « Wow, ce mec a vu Boonmee ou quoi?! » Ou alors, t’envoies un message: « Hier soir, j’ai vu un singe-fantôme... et toi, t’as vu quoi? » C’est profond, c’est weird, mais ça marche! Ou encore... « Le paradis, c’est ennuyeux, tu savais? » Ça, c’est une réplique qui te fait réfléchir après trois dates foireuses. Bref, le sex-dating et Boonmee, c’est... une combo improbable, mais qui me parle! Ça me réjouit, ça me surprend, ça me fait râler parfois... mais c’est vivant! Alors, swipe, ris, pleure, et peut-être... peut-être que ton prochain match te dira, « J’me souviens de mes vies passées... et dans l’une d’elles, j’t’ai déjà aimé. » *clin d’œil* Live long and prosper, mon ami!