l'ancien président du club de football du Sporting Lokeren
s'est déroulé samedi à Eksaarde (hameau de Lokeren) en l'église Notre-Dame de l'Ascension
De nombreuses personnalités du football belge comme Aimé Anthuenis
Jean-Marie Pfaff et les frères Patrick et Richard Orlans ont assisté à la cérémonie
ainsi qu'une délégation du nouveau Lokeren-Tamise
Décédé le mardi 15 février à l'âge de 90 ans
Roger Lambrecht était devenu président du Sporting Lokeren en 1994 en succédant à Gaston Keppens
Il est resté à la tête du club pendant 25 ans et a remporté la Coupe de Belgique en 2012 et 2014
L'église Notre-Dame de l'Ascension d'Eksaarde était bien remplie pour dire adieu à l'ancien dirigeant
Quelques grands noms du football belge qui ont connu Roger Lambrecht étaient présents aux côtés de la famille de l'ancien magnat des pneus
des supporters du Sporting Lokeren ont formé une haie d'honneur et ont applaudi le passage du cercueil pour rendre un dernier hommage à Roger Lambrecht
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Un homme a été abattu lundi matin à Eksaarde
La victime a été emmenée dans un état grave à l'hôpital où elle a succombé à ses blessures
Un suspect s'était retranché dans une habitation de la Kanondreef avant de se rendre à la police
Le suspect sera présenté à un juge d'instruction
L'incident est intervenu dans la sphère privée
Un homme de 42 ans a été abattu par un autre individu qui s'est retranché dans l'habitation d'une connaissance
Les environs de la Kanondreef avaient été bouclés et des unités spéciales avaient encerclé l'habitation
Le suspect a fini par se rendre en début d'après-midi
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Sur les 27 magasins Match et Smatch qui n’ont pas été repris par Colruyt Group, 19 n’ont pas trouvé de repreneur et fermeront donc leurs portes en ce début d’année, annonce la direction mardi. Sept magasins, dont celui de Woluwe-Saint-Lambert
seront par contre repris par une autre enseigne
Les magasins qui n’ont pas trouvé de repreneur sont les Match de Knesselaere
Ils seront fermés entre mi-janvier et mars
Les 163 personnes actives dans ces magasins bénéficieront du plan social négocié le 1er décembre dernier
Une solution a par contre été trouvée pour les magasins Match de Woluwe St-Lambert
Fleurus et le Smatch de Zele (repris en franchise sous enseigne Carrefour)
les Match de Leuze (en franchise sous enseigne Delhaize) et Binche (en franchise sous enseigne Intermarché)
tandis que les magasins de Thulin et Kessel-Lo déjà sous l’enseigne Louis Delhaize seront repris par Delfood
Le repreneur potentiel du Match de Beaumont n’est par contre pas précisé
Les cessions permettent le transfert de 150 collaborateurs avec leurs conditions salariales actuelles et la sauvegarde de près d’un quart des personnes concernées par le licenciement collectif
Colruyt Group et les filiales Match et Profi du groupe Louis Delhaize ont conclu un accord pour que le premier reprenne 57 magasins Match et Smatch en Belgique
Aucun candidat ne s’était alors montré intéressé par la reprise des 27 magasins restants et des services logistiques
Des discussions sont toutefois encore en cours avec des repreneurs potentiels pour la logistique
mais aucun candidat ne s’est manifesté pour les activités des autres services centraux
Les 174 personnes concernées ont donc été informées du préavis légal
des indemnités de fermeture et des conventions de prépension auxquelles elles ont droit
Le magasin Match du Shopping de Woluwe laissé sur le carreau : “On ne s’y attendait pas du tout”
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1/4 © -DocUn conflit qui jette sur la route des milliers de réfugiés craignant pour leur vie. Les fuyards qui rentrent légalement ou pas en Belgique pour y trouver asile… Quand on découvre la trame du dernier livre de Jean-Pierre Callens (lire ci-dessous), on se dit que 80 ans après les prémices de la Seconde Guerre mondiale, notre pays n'a pas tenu compte des leçons du passé en matière d'accueil des réfugiés.
Déjà en 1938, la Belgique a été confrontée à un afflux de Juifs fuyant les premières lois de répressions nazies décrétées en Allemagne puis en Autriche. À l'époque déjà les autorités ont fait preuve d'improvisation. L'ancien domaine du château de Marneffe (actuellement le Centre école pénitentiaire) a été transformé à la va-vite en centre d'accueil au même titre que Merksplas, Marchin, Wortel, Nivelles, Marquin, Eksaarde ou encore Bruges.
De 1938 jusqu'au début de la guerre en mai 1940, la politique de ces centres a oscillé au gré de l'opinion publique, entre l'accueil et une certaine fermeté qui ira jusqu'à l'incarcération des Juifs, leur fichage par la Sûreté publique. "La plupart étaient germanophones, explique Jean-Pierre Callens. Dès lors, on se méfiait d'eux dans un climat d'espionnite…"
Au total, ce sont 823 réfugiés juifs qui ont transité par le domaine de Marneffe entre juin 1939 et mai 1940. Beaucoup connaîtront un destin tragique. Le livre de Jean-Pierre Callens les sort quelque peu de l'oubli.
"Ça s'est passé près de chez nous. Les réfugiés juifs au camp de Marneffe". Jean-Pierre Callens.
Le 12 mai 1940, une colonne de 613 réfugiés quitte le centre sous la conduite du directeur. Mais très vite, sous les attaques de l'aviation allemande, la colonne se disloque; les réfugiés s'éparpillent…
Quand Marneffe i ncarcérait des réfugiés juifs
Marneffe a servi de centre d'hébergement puis d'incarcération de Juifs fuyant le nazisme. Un livre met en lumière ce rôle oublié.
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