Des dizaines de participants ont pagayé ce dimanche dans des citrouilles géantes creusées
lors de la traditionnelle course organisée à Kasterlee
Plus de 300 amateurs de citrouilles ont saisi l'occasion
de pagayer à bord de fruits géants évidés sur un étang dans la ville de Kasterlee dans la province d'Anvers
marquant ainsi le point culminant de la saison des citrouilles avec la course annuelle traditionnelle
La course a débuté en 2008 après que des cultivateurs locaux ont décidé de trouver une nouvelle utilité à leurs citrouilles de plus de 400 kg
La Société locale des citrouilles et le Kasterlee Kayak Klub collaborent pour organiser la régate
Ils organisent également un concours de citrouilles
qui a vu cette année la victoire du champion d'Europe avec une citrouille pesant 1 160 kilos
les citrouilles doivent elles-mêmes participer à une véritable course contre la montre
puisqu'elles ne commencent à pousser qu'en juin et n'ont que 4 à 5 mois pour prendre du poids
les experts choisissent des citrouilles plus légères
Pagayer à bord de ces kayaks inhabituels demande néanmoins une certaine maîtrise
donc il faut beaucoup de force pour essayer de le stabiliser et aller dans la direction souhaitée"
en faisant référence aux quelque 5 000 spectateurs qui s'étaient rassemblés à Kasterlee pour assister à la 15e édition de ce spectacle
mais elles sont toujours utilisées à bon escient
nous nous retrouvions avec beaucoup de grosses citrouilles et nous voulions faire quelque chose pour tout le monde autour de l’histoire d’Halloween
nous gardons les graines pour l’année suivante et les bateaux-citrouilles sont jetés dans les champs
où ils serviront d’engrais pour l’année prochaine."
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Le championnat belge annuel du plus gros potiron (photo archives) avait lieu samedi à Kasterlee, en province anversoise. Quelque 50 personnes y prenaient part. Les potirons géants ont été mesurés et pesés, comme le veulent les concours internationaux de cette discipline. C’est le champion en titre, Luc Vanheuckelom, qui a remporté la compétition cette fois encore, avec un cucurbitacée de 1.046 kilos.
La forme du potiron a aussi son importance dans ce genre de compétition, mais ce sont avant tout la taille et le poids de la plante potagère qui feront de vous un champion. Et il semblerait que les potirons soient de plus en plus gros, au fil des ans, si l’on en croit Paul Boonen de la Société des potirons de Kasterlee qui organise les championnats belges.
"Dans le passé, nous avions des potirons de 150 ou 200 kilos, parfois 400 kilos. Mais cela a beaucoup changé depuis lors. C’est en grande partie dû aux graines que nous utilisons", confiait Boonen à VRT NWS.
Luc Vanheuckelom a gagné le concours 2022 avec un potiron de plus de 1.000 kilos. "Je suis ravi de cette seconde victoire. C’est un nouveau succès après avoir utilisé des graines de ma culture".
Si vous étiez intéressés à prendre part à la compétition l’an prochain, sachez qu’il vous faut de bonnes graines, beaucoup d’eau, de l’engrais naturel et de la patience.
C'est une tradition qui reste vivace dans la commune de Kasterlee, à l'est d'Anvers. Là-bas, chaque année à l'approche des fêtes d'Halloween, de nombreux participants s'opposent dans une course où les kayaks sont remplacés par… des citrouilles géantes cultivées dans la région.
Record du monde battu: voici la citrouille la plus lourde jamais enregistréeDimanche dernier
certaines provenant même d'Espagne et de Suisse
1/12 © AFP or licensors1/12 © AFP or licensorsFaire une remarqueMots-clés : Anversprovince d'AnversEn direct
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🇧🇪 🎃 C'est une régate insolite : à Kasterlee, ville belge à l'est d'Anvers, la course de kayak dans des citrouilles géantes véritables vidées de leur contenu est un événement unique #AFP #AFPTV ⤵️ pic.twitter.com/mP61XQbf9g
des centaines de personnes se sont réunies à Kasterlee dans la province d’Anvers (Belgique)
pour une régate un peu particulière à bord… de citrouilles géantes
Dans les contes les citrouilles deviennent des carrosses, en Belgique on en fait des bateaux. Tous les ans, pour Halloween, la commune belge de Kasterlee accueille la Pompoenregatta
les citrouilles sont vidées et nous on saute dedans
On prend nos pagaies et on rame le plus vite possible" raconte l’une des participantes
ils étaient près de 350 à se relayer dans des citrouilles pour faire le tour d’un ponton le plus rapidement possible
c’est l’équipe De Rotte Mussen (les moineaux pourris) qui aura été la plus rapide
en bouclant la régate en six minutes et cinq secondes
Chaque année depuis 2008
les producteurs essaient de faire pousser des spécimens toujours plus gros pour la course
La chair de ces citrouilles géantes est ensuite récupérée pour faire de la soupe
certaines cucurbitacées ont pu atteindre les 1 000 kg
ce qui n’est pas forcément simple à manier dans une eau qui n’est qu’à quelques degrés
Nous devions naviguer et lutter contre l’eau qui rentrait
certaines équipes n’hésitent pas à se déguiser
les participants peuvent se détendre dans des parties de curling ou de pêche au canard… avec des citrouilles
La prochaine régate est déjà prévue le dimanche 20 octobre 2024
qui apparaît comme un élément étonnant dans le paysage du domaine Hoge Mouw à Kasterlee
il s’agit d’une oeuvre d’art interactive, mais du point de vue de la construction métallique
c’est un exploit technologique. L’application des facettes dans une structure coquille a engendré un modèle en matière d’ingénierie et un chef d’oeuvre en ce qui concerne l’exécution
Elle démontre discrètement les possibilités extrêmes de la conception et de la construction avec de l’acier. »
Maître d'ouvrage : Province d'Anvers
Bureau d'études : Ney & Partners
Entreprise générale et constructeur métallique : Arel
Un paysage varié avec des forêts de conifères sur un sol sablonneux
des chemins creux et des voies navigables : le Hoge Mouw
qui fait partie du Kempen Heuvelrug près de Kasterlee
est une réserve naturelle particulièrement riche en récits mystiques remontant aux cultures préchrétiennes
sur une dune endormie de 30 m de haut
se trouve ‘A Giant Sculpture’
une sculpture permanente spécifiquement liée au site
construite comme un dôme, se compose de 2.115 triangles métalliques de 6 mm d’épaisseur
soudés l’un à l’autre
Des pièces ont été découpées et enlevées à certains endroits et
il est possible de pénétrer à l’intérieur de la sculpture
Le colosse mesure 6 x 5 x 3 m et pèse environ 2 tonnes.
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© Copyright Palindroom 2025
L’auberge Wadi a été construite dans un édifice cylindrique complètement immergé dans la nature
L’idée du studio d’architectes italiens Bernardo Secchi & Paola Vigano derrière le projet était de créer un bâtiment circulaire qui se dissimule dans la forêt et qui où que l’on se trouve à l’intérieur offre un contact visuel sur l’extérieur
Résultat : une pépite architecturale unique en Belgique
l’Hostel Wadi a été sélectionné par le Prix de l’Union européenne pour l’architecture contemporaine – Prix Mies van der Rohe 2015
Bon à savoir : le nom Wadi fait référence à un système écologique d’infiltration des eaux pluviales
C’est dans le domaine de 230 hectares, une superficie représentant 345 terrains de foot, Hoge Rielen, à Kasterlee dans la province d’Anvers, qu’est installée l’auberge Wadi.
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Édition N°3005
Le Centre d’art et résidence d’artistes MASEREEL inaugurera le 25 mai sa première Biennale
dont les 14 artistes participants seront dévoilés fin mars
le centre a été conçu en 1965-1967 pour servir d'atelier et de maison à Fons Mertens
jeune artiste collectionneur de presses à imprimer
alors que l’offset supplantait la lithographie
Il choisit une région où l’imprimerie s’est imposée (avec…
Retrouvez cet article dans l'édition N°3005 du 11 mars 2025
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Trois cultivateurs originaires de Kasterlee, en Campine anversoise, ont pu tous trois grimper sur le podium du championnat européen de la plus grosse citrouille, qui se déroulait à Ludwigsburg en Allemagne. La première place est revenue à Mario Van Geel, avec une citrouille de… 1.013 kilos !
Deux autres cultivateurs de Kasterlee ont également été couronnés. Luc Van Heuckelom a pris la deuxième place grâce à une courge de 979 kilos. Derrière lui, Jan Biermans, vainqueur du tournoi l’an dernier, est arrivé troisième avec un fruit de 860 kilos. Le trio campinois était suivi de cultivateurs d’Italie, d’Autriche et d’Allemagne.
"C’est une superbe prestation pour notre club des citrouilles de Kasterlee et pour la Belgique. Ce succès est lié aux graines de notre club. Nous avons des graines au top !", a commenté Mario Van Geel.
Si le poids de 1.013 kilos est pour le moins impressionnant, il ne constitue pas pour autant un record. Celui-ci date de 2016, et a été décroché par… un Belge, Mathias Willemijns, avec une citrouille de 1.190,5 kilos.
Un visiteur qui avait pris place samedi dans l'attraction "Aztek Express" du parc Bobbejaanland à Kasterlee (province d'Anvers) a été grièvement blessé, a fait savoir la police locale de la région de Turnhout. La victime, un Anversois de 67 ans, a fait une lourde chute et a été transportée dans un état critique à l'hôpital.
/ le 26 octobre 2022 Vidéos et audio 55 sec
Avez-vous déjà vu une course de citrouilles géantes
Des citrouilles transformées en embarcations pour une course sur l'eau en Belgique
décident de transformer des citrouilles en embarcations flottantes pour faire la course
Et ces derniers ne choisissent pas n'importe quelles cucurbitacées: des citrouilles de plus de 400 kg
La course à Kasterlee a commencé en 2008 après que des producteurs locaux aient décidé de trouver une autre utilisation pour leurs citrouilles géantes que d'en faire de la soupe
après une pause de deux ans en raison de la pandémie de Covid-19
l'événement a affiché complet en trois jours
"Mon petit ami m'a parlé de cet événement lors de l'un de nos premiers rendez-vous et j'ai trouvé ça hilarant"
un Espagnol venu spécialement de Bruxelles
il déclare vouloir revenir l'année prochaine
il est de plus en plus difficile de trouver des citrouilles de la bonne taille
Beaucoup de citrouilles cultivées localement sont maintenant trop grosses pour flotter et atteignent environ 1000 kg
Le président de l'Association du corps de volontaires belges pour la Corée
donne un discours lors de la cérémonie de commémoration du 70e anniversaire de l'armistice de la guerre de Corée tenue à la caserne militaire du 3e bataillon parachutiste située à Kasterlee
(Yonhap) -- Une cérémonie de commémoration du 70e anniversaire de l'armistice de la guerre de Corée (1950-1953) s'est déroulée hier (heure belge) sur une base militaire belge située dans la commune de Kasterlee avec la participation d'anciens combattants
de membres du personnel de l'ambassade de Corée du Sud en Belgique et de soldats du 3e bataillon parachutiste de la Belgique
président de l'Association du corps de volontaires belges pour la Corée
a donné un discours dans lequel il a remémoré les scènes cruelles de la guerre
Il a indiqué que des Coréens cherchant refuge ont déferlé dans les rues lorsque le contingent belge a débarqué à Busan et qu'il a ressenti la responsabilité de faire quelque chose pour eux
Behr s'est également souvenu que des femmes affamées tenant des bébés ont sauté sur des camions et des jeeps qui passaient pour leur demander de la nourriture et a confié que ces scènes de pauvreté ont marqué sa tête comme un choc
Il a tout de même décrit les Coréens comme «bien joyeux et gais avec un bon cœur
Le président de l'association des anciens combattants belges n'a pas oublié d'exprimer ses remerciements aux soldats qui ont servi à ses côtés en disant que les soldats sud-coréens ont été d'un grand appui pour l'armée belge
ne faisant pas la distinction entre les couleurs de peau
Behr a également dit être fier d'avoir été un combattant de la guerre de Corée avec l'objectif de protéger la liberté et le peuple sud-coréen
La Belgique a envoyé 3.498 soldats volontaires au total sous le drapeau des Nations unies
99 ont perdu la vie et 336 ont été blessés
la Belgique avait même dû modifier la loi concernée
Le contingent belge avait formé un bataillon unifié avec les soldats luxembourgeois et a combattu dans le Triangle de fer situé à Gimhwa
a noté que «ce qui se passe en Europe (guerre en Ukraine) et en Asie (provocations nord-coréennes) illustre la nécessité d'efforts pour bâtir une paix permanente par chaque pays»
Il a également remercié la délégation belge et le Premier ministre du Luxembourg
actuellement en Corée du Sud pour commémorer les anciens combattants morts à l'occasion du 70e anniversaire de l'armistice de la guerre de Corée
l'ambassadeur sud-coréen à Bruxelles donne un discours lors de la cérémonie de commémoration du 70e anniversaire de l'armistice de la guerre de Corée tenue à la caserne militaire du 3e bataillon parachutiste située à Kasterlee
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Après avoir déjà remporté le titre en 2019, le cultivateur Mario van Geel a remis le couvert. Sa courge est bien la plus grosse d'Europe. Son poids ? 1 152 kg. Elle devance deux concurrentes cultivées en Allemagne, de 997,5 et 949,5 kg.
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Le record du monde de la plus grosse citrouille est de 1 226 kg
Il a été établi en 2021 par un agriculteur italien établi à Chiantirada Poggerino
Les plus gros spécimens de potirons s'affrontent chaque année au cours de la fête consacrée à cette cucurbitacée à Ludwigsburg
français et belges ont pris part à cette édition
Ces gigantesques courges sont ensuite sculptées et exposées lors d'un festival de sculptures qui se déroule dans la foulée
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Là où nature et architecture communient
une dernière phase de sélection désignera les 5 projets finalistes
La cérémonie de remise du prix aura lieu le 8 mai prochain à Barcelone
Les cinq finalistes présenteront leurs projets le 7 mai avant la délibération du jury et la proclamation du vainqueur
et le prix Emerging Architect Prize sera également décerné le 8 mai lors d’une cérémonie qui se tiendra au Pavillon Mies van der Rohe de Barcelone
La liste complète des 40 projets encore en lice peut être consultée ici
Chaque année à Kasterlee (province d’Anvers)
Mario Vangeel s’adonne à un hobby un peu particulier : faire pousser la plus grosse citrouille qui soit
Le championnat de Belgique qui se tient ce 2 octobre s’annonce plutôt de bon augure pour lui
Sa citrouille pèse déjà pas moins de 1.020 kilos
"Je vais tenter ma chance pour le championnat européen
Mais ma citrouille doit encore prendre du poids"
le championnat européen de la plus lourde citrouille se déroule le 10 octobre
Mais Mario Vangeel de Kasterlee vise déjà plus haut en envisageant un record mondial
Le titre en question est actuellement détenu par l'Italien Stefano Cutrupi qui
avait ravi le titre au Belge Matthias Willemijns de Deurle
ce dernier avait réussi à faire pousser une citrouille de 1.190,5 kilos
"J'espère que je pourrai battre l'Italien avec ma citrouille"
elle fait déjà 3,56 mètres de large et a une circonférence de 5,42 mètres."
Des centaines de personnes venues du monde entier ont participé, ce dimanche
à la régate annuelle de Kasterlee (Belgique) à bord de citrouilles géantes
Ces gigantesques courges ont été sacrées ce dimanche au championnat européen de citrouilles géantes
Le potiron du Belge Mario Vangeel est arrivé deuxième
Pas de regret pour Mario Van Geel qui termine deuxième derrière… le champion du monde du potiron géant
L'agriculteur italien Stefano Cutrupi avait déjà remporté un trophée mondial en septembre dernier
lorsque son potiron affichait encore 1.226 kilos sur la balance
est arrivé juste devant celui du Français Mehdi Daho
qui concourait avec une courge de 983,5 kilos
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Dans le milieu des sports d'endurance, le "Hel van Kasterlee" est connu pour être une épreuve de longue haleine qui fait appel aux ressources mentales vu la débauche d'énergie qu'il nécessite.
Au menu des participants: 15 kilomètres de course à pied suivis de 120 kilomètres en VTT avant de terminer par 30 kilomètres de course à pied. Parmi les courageux de cette année, Simon Delépine, 28 ans, triathlète de Braine-l'Alleud. "C'était une totale découverte pour moi. Des amis de mon club de triathlon, le RCBT, l'avaient déjà réalisé par le passé et puis, personnellement, j'aime le VTT. Disons que cela faisait partie d'un petit rêve que j'avais…"
Une course aussi longue à cette période de l'année, forcément, cela n'est pas qu'une partie de plaisir… "Je redoutais le froid et la pluie. Une chance, si on a eu le froid, la pluie nous a épargnés. Mais comme il a plu les 15 jours précédents, le tracé en VTT était quand même relativement boueux et donc, plus difficile…"
Kasterlee, c'est une grosse alternance d'efforts. "La première boucle de 15 km à pied était relativement facile. On est toujours sur du macadam, c'est très plat, mais très usant car il y a de longues lignes droites avec le syndrome de l'horizon. On se dit que cela ne terminera jamais…"
Puis, il y a le VTT et ses 120 km en cinq boucles de 24 km. "Les organisateurs proposent une alternance entre un tracé plus technique, avec des petites bosses et de nombreux virages, ainsi qu'une partie plus roulante. C'est assez agréable."
Et pour finir, 30 km à pied avec deux boucles du tracé initial. Après 10 h 33 d'effort, Simon Delépine a terminé satisfait de la prestation, avec des allures conformes à ses prévisions.
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La régate des citrouilles de Kasterlee est un événement unique en Belgique, une compétition de kayak dans de grandes citrouilles vidées de leur contenu.
« Chaque année, nous commençons par de petites citrouilles et chaque année, nous récupérons les graines des plus grosses citrouilles et nous les mélangeons pour obtenir des citrouilles de plus en plus grosses. Cette année, nous avons des citrouilles de plus de 1000 kilos », explique Gert Peeters, l’organisateur et propriétaire du champ de citrouilles.
Né à Kasterlee le 5 février 1856, Thomas-Louis Heylen entre, à 19 ans, à l'abbaye des Prémontrés de Tongerloo. Ordonné prêtre en 1881, intellectuellement doué, il est envoyé à Rome poursuivre ses études en philosophie et théologie.
En 1887, il est élu abbé de Tongerlo, et deux ans plus tard, vicaire-général des Prémontrés en Belgique.
En septembre 1899, il est choisi par Léon XIII pour succéder à Jean-Baptiste Decrolière comme évêque de Namur, rôle qu'il assumera pendant 42 ans. Son intelligence, sa connaissance de plusieurs langues, sa facilité à entrer en contact et aussi sa dévotion pour l'Eucharistie vont lui permettre de développer une pastorale dynamique et innovante. Il est choisi en 1901 par Pie X pour organiser les congrès eucharistiques internationaux et, dès l'année suivante, en organise un, avec faste, à Namur.
En réaction aux lois françaises d'expulsion, il accueille en son diocèse plus de 100 communautés religieuses. Lorsque ceux venus de Trigolet et qui s'étaient installés à Leffe, retournent dans leur pays, l'évêque fera appel à son abbaye d'origine de Tongerlo pour veiller à ce que la continuité soit assurée dans l'abbaye dinantaise.
Il dirige aussi les festivités à l'occasion de la béatification de mère Julie Billiart, fondatrice des sœurs de Notre-Dame de Namur.
À l'évêché se trouve un bureau de recherches pour le regroupement des familles. Avec l'occupant allemand, il garde une attitude correcte, mais froide. Son attitude de fermeté et courage lui vaudra de nombreuses distinctions après la guerre.
À l'issue de celle-ci, il obtient de Benoît XV de pouvoir couronner Notre-Dame du Rempart, comme patronne protectrice de la ville de Namur. La cérémonie a lieu le 20 juillet 1919. Un grand concours de peuple l'accompagne.
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Alors que le peloton abordera la Trouée d'Arenberg, lui sera à Zolder au volant de sa Porsche.
Tom, avez-vous des regrets d'avoir arrêté ?
"Non, pas du tout, j'étais content d'arrêter à Paris-Roubaix après seize ans au plus haut niveau. J'ai toujours été motivé et ambitieux, mais le cyclisme ne me manque pas. J'ai bien fait d'arrêter quand je vois tellement il a fait mauvais ce printemps. Vraiment, je ne regrette pas le froid, la pluie… Je suis content de ma vie actuelle. Une seule fois, j'aurais aimé être dans la course, à Harelbeke, quand ça a basculé à cent kilomètres de l'arrivée et que c'est parti plein gaz."
Vous n'avez pas éprouvé le fameux trou noir dans lequel tombent souvent les sportifs de haut niveau après leur carrière ?
Vous ne regrettez pas de ne pas avoir gagné une cinquième fois Paris-Roubaix ?
"J'aurais pu en 2016, mais pas l'an dernier. J'en ai gagné quatre quand même ! Il n'y a que Roger (De Vlaeminck) qui peut en dire autant. L'an passé, j'avais moins de force à Roubaix après un Ronde dur. Je suis arrivé dans le groupe qui allait sprinter pour la 6e place, mais dans le dernier virage, tout m'a lâché. J'ai réalisé que c'était le dernier sprint de ma carrière et je n'avais plus de force. En fait, ma carrière s'est arrêtée à deux cents mètres de la ligne."
Quelle place occupe Paris-Roubaix dans votre cœur ?
"La plus belle classique en Belgique, c'est le Tour des Flandres, mais Paris-Roubaix est plus grand que le Ronde. On en parle, on la connaît aux États-Unis, pas le Tour des Flandres. Il y a de nombreuses courses, Harelbeke, le Nieuwsblad, Waregem qui sont comme le Ronde, alors que Paris-Roubaix est unique."
Ce qui est unique, ce sont ces secteurs, comme la Trouée d'Arenberg ?
Vos anciens équipiers ont jusqu'ici réussi une série exceptionnelle.
"C'est vrai, ç'aurait été agréable d'être dans cette équipe. Il n'y a pour le moment qu'une équipe qui domine les courses, c'est Quick Step. Ils font une vraie razzia, mais cela a déjà existé par le passé. Ce qui me frappe, c'est surtout que ces victoires ont été obtenues par dix coureurs différents et aussi avec trois, quatre jeunes dont deux néo-pros. Cela, c'est extraordinaire !"
Certains affirment que si les Quick Step marchent tellement bien, c'est parce qu'ils sont libérés par votre départ à la retraite.
"Je comprends ce qu'ils veulent dire. C'est normal, c'est comme cela. Ce sont des coureurs ambitieux. Moi aussi, j'étais content de voir Johan (Museeuw) prendre sa retraite. Je pouvais enfin devenir leader de l'équipe."
Ce qui a surpris beaucoup de gens aussi, c'est votre "transfert" chez Lotto-Soudal.
Boonen débute ce week-end le championnat de Belgique d'endurance.
Tom Boonen n'était pas là lors de la fête des 20 ans de présence de Quick Step dans les pelotons (" J'étais à la conférence de presse et présentation de mes sponsors") et il sera aussi absent dimanche.
"La première des six manches du championnat de Belgique d'endurance Belcar a lieu à Zolder ce week-end", dit-il. "Il y a quatre courses à Zolder, deux à Spa. Mes équipiers, Anthony Kumpen et Bert Longin, et moi roulons sur Porsche 991 GT3. Nous voulons devenir champions de Belgique et remporter les 24 heures de Zolder."
À côté de cela, Tornado Tom disputera aussi six courses d'une demi-heure individuelles de Nascar européen.
Le champion campinois est très motivé, mais aussi réaliste.
"Je manque expérience contre des gens qui ont parfois vingt-cinq ans de compétition derrière eux", dit-il. "Je suis comme un néo-pro ! Mais je pense que je peux aller loin, j'ai de la marge de progression. J'aime bien le sport automobile, c'est autre chose. Il faut aussi se battre pour trouver des sponsors. J'ai dit à Patrick que je comprenais maintenant combien son travail était difficile pour dénicher des soutiens. Je ne connais pas mes limites, on ne peut pas comparer ces deux sports."
Car son agenda est également fourni par d'autres obligations.
"Je suis associé à deux partenaires dans une affaire de vente de voitures de luxe", dit-il. "On vend toutes les grandes marques, Ferrari, Porsche, Mercédès… On a eu l'idée il y a deux ans, l'an passé on a construit le bâtiment. Nous sommes à Tirlemont. On vend des voitures d'occasion mais aussi des neuves. Les gens prennent contact avec nous, on ne reçoit que sur rendez-vous. Il y a quelqu'un en permanence, mais moi, je suis là une ou deux fois par semaine."
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