J’accepteAller au contenu principalAller au pied de pageAide à la navigationPublicité La destination d’information de Radio-Canada dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"La rue Principale est d’ailleurs fermée à la circulation entre le carrefour giratoire de la route 111 et la 12e Avenue Est depuis samedi dernier Les gens doivent emprunter la 4e Rue Est jusqu’à nouvel ordre Une brigadière scolaire a été ajoutée à l’intersection de la 1re Rue Est et de la 12e Avenue Est pour assurer le passage des élèves de l’école Saint-Joseph L'eau a monté un peu plus que par les années passées en raison de la pluie de vendredi On nous annonçait quelque deux heures de pluie finalement il en est tombé pendant huit heures La rivière Harricana prend sa source des lacs Blouin Lemoine et Mourier dans le secteur de Val-d’Or elle se gorge de la fonte des neiges entre Val-d’Or et Amos Et comme l’embouchure de la rivière plus au nord est toujours gelée Là, c'est toute l'eau qui nous vient du coin de Val-d’Or qui descend vers le nord qui passe par la rivière Harricana. C'est ce qui fait que l'eau a monté tout près du niveau record de 2019 On est environ à 20 centimètres d’atteindre 2019 directeur du Service des incendies et responsable de la sécurité civile à la Ville d’Amos Le niveau et le débit de l’Harricana avaient aussi été bien au-dessus des normales en 2009, 2013 et 2017, à Amos. Comme elle l’avait fait en 2013, 2017 et 2019, année des plus importantes crues enregistrées à ce jour, la Ville d’Amos a commencé à aménager une première digue temporaire jeudi dernier derrière l’un des commerces de la rue Principale Sud. Lundi matin, elle a poursuivi le travail pour protéger tous les bâtiments menacés par la crue. On fait des digues temporaires avec du gravier qu'on compacte, puis on met des pompes à l'intérieur du périmètre qu'on va endiguer pour s'assurer que les bâtiments ne soient pas touchés. Il y a donc de l’eau tout le tour du bâtiment, tout le tour de la digue, mais pas dans le bâtiment, précise Guy Béchard. Environnement Canada prévoit peu de précipitations au cours de la prochaine semaine, ce qui pourrait permettre à la situation de se résorber à moyen terme. Selon les prévisions, l’eau devrait monter encore jusqu’à vendredi. Mais pas beaucoup, on parle de peut-être une dizaine de centimètres. Si c’est plus, on va devoir agir en conséquence et on va hausser les digues. On n’aura pas le choix, souligne M. Béchard. Le secteur de la marina est presque entièrement submergé. Le ministère des Transports et de la Mobilité a aussi annoncé la fermeture de certains ponts en raison du niveau élevé de l’eau au cours de la dernière semaine. C’est le cas du pont de la rivière Senneville sur le chemin de Saint-Edmond dans le secteur Vassan de Val-d’Or. Les ponts de la rivière Turgeon sur le 10e Rang Ouest, à Val-Saint-Gilles, et sur le chemin du Parallèle, à Villebois, ainsi que ceux au-dessus du ruisseau Leslie, sur le chemin des 8e-et-9e-Rangs, et sur le chemin des 6e-et-7e-Rangs, dans le secteur de Val-Canton, ont aussi été fermés. Par ailleurs, le Ministère a annoncé lundi la réouverture du chemin des Hirondelles à Rivière-Héva. Il avait été fermé le 1er mai en raison de l’accumulation d’eau sur la chaussée. À Radio-Canada depuis 2021, Martin Guindon cumule plus de 25 ans d'expérience comme journaliste en Abitibi-Témiscamingue. Tous les sujets qui touchent l'actualité locale et régionale le passionnent. Il affectionne la couverture terrain pour la rencontre avec les gens de tous les horizons. Martin GuindonPublié hier à 15 h 44 HAEÉcouter l’articleLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale une technologie basée sur l’intelligence artificielle.Le niveau de l’eau continue de monter sur la partie sud de la rue Principale à Amos Les précipitations importantes de vendredi dernier ont gonflé la rivière Harricana qui s’approche du niveau record de 2019 Des digues sont aménagées pour protéger les bâtiments La rue Principale est d’ailleurs fermée à la circulation entre le carrefour giratoire de la route 111 et la 12e Avenue Est depuis samedi dernier Les gens doivent emprunter la 4e Rue Est jusqu’à nouvel ordre Une brigadière scolaire a été ajoutée à l’intersection de la 1re Rue Est et de la 12e Avenue Est pour assurer le passage des élèves de l’école Saint-Joseph L'eau a monté un peu plus que par les années passées en raison de la pluie de vendredi On nous annonçait quelque deux heures de pluie finalement il en est tombé pendant huit heures La rivière Harricana prend sa source des lacs Blouin Lemoine et Mourier dans le secteur de Val-d’Or elle se gorge de la fonte des neiges entre Val-d’Or et Amos Et comme l’embouchure de la rivière plus au nord est toujours gelée est aussi responsable de la sécurité civile On est environ à 20 centimètres d’atteindre 2019 directeur du Service des incendies et responsable de la sécurité civile à la Ville d’Amos Comme elle l’avait fait en 2013, 2017 et 2019, année des plus importantes crues enregistrées à ce jour, la Ville d’Amos a commencé à aménager une première digue temporaire jeudi dernier derrière l’un des commerces de la rue Principale Sud. Lundi matin, elle a poursuivi le travail pour protéger tous les bâtiments menacés par la crue. On fait des digues temporaires avec du gravier qu'on compacte, puis on met des pompes à l'intérieur du périmètre qu'on va endiguer pour s'assurer que les bâtiments ne soient pas touchés. Il y a donc de l’eau tout le tour du bâtiment, tout le tour de la digue, mais pas dans le bâtiment, précise Guy Béchard. Environnement Canada prévoit peu de précipitations au cours de la prochaine semaine, ce qui pourrait permettre à la situation de se résorber à moyen terme. Selon les prévisions, l’eau devrait monter encore jusqu’à vendredi. Mais pas beaucoup, on parle de peut-être une dizaine de centimètres. Si c’est plus, on va devoir agir en conséquence et on va hausser les digues. On n’aura pas le choix, souligne M. Béchard. Le secteur de la marina est presque entièrement submergé. Le ministère des Transports et de la Mobilité a aussi annoncé la fermeture de certains ponts en raison du niveau élevé de l’eau au cours de la dernière semaine. C’est le cas du pont de la rivière Senneville sur le chemin de Saint-Edmond dans le secteur Vassan de Val-d’Or. Ouvrir en mode plein écranLe pont de Vassan est fermé à la circulation. Les ponts de la rivière Turgeon sur le 10e Rang Ouest, à Val-Saint-Gilles, et sur le chemin du Parallèle, à Villebois, ainsi que ceux au-dessus du ruisseau Leslie, sur le chemin des 8e-et-9e-Rangs, et sur le chemin des 6e-et-7e-Rangs, dans le secteur de Val-Canton, ont aussi été fermés. Par ailleurs, le Ministère a annoncé lundi la réouverture du chemin des Hirondelles à Rivière-Héva. Il avait été fermé le 1er mai en raison de l’accumulation d’eau sur la chaussée. Donald Trump, président des États-Unis. Carney à Washington : « On ne veut pas revivre un moment Zelensky ». Publié à 4 h 00 HAE Carney à Washington : « On ne veut pas revivre un moment Zelensky »Le premier ministre canadien doit éviter les dérapages lors de sa rencontre avec Donald Trump Crimes et délits. Une étudiante portée disparue retrouvée morte à Ottawa. Publié hier à 17 h 36 HAE Une étudiante portée disparue retrouvée morte à OttawaLe Haut-Commissariat de l'Inde à Ottawa a identifié Vanshika Saini comme une étudiante indienne Politique provinciale. Danielle Smith promet un référendum en 2026. Publié hier à 21 h 33 HAE Danielle Smith promet un référendum en 2026La question du séparatisme pourrait y figurer Élections fédérales Canada 2025. Le candidat libéral de Windsor demande un recomptage judiciaire. Publié hier à 19 h 41 HAE Le candidat libéral de Windsor demande un recomptage judiciaireÉlections Canada a trouvé des erreurs dans les rapports des bureaux de vote locaux Donald Trump, président des États-Unis. Donald Trump dit qu’il est improbable que les É.-U. annexent le Canada. Publié hier à 15 h 12 HAE Donald Trump dit qu’il est improbable que les É.-U. annexent le CanadaLe président américain a affirmé qu'il continuera à faire pression pour que le Canada devienne le 51e État Chargement en coursInfolettre ICI AbitibiUne fois par jour recevez l’essentiel de l’actualité régionale Abonnez-vous à notre infolettre pour ne rien manquer La rue Principale est d’ailleurs fermée à la circulation entre le carrefour giratoire de la route 111 et la 12e Avenue Est depuis samedi dernier Là, c'est toute l'eau qui nous vient du coin de Val-d’Or qui descend vers le nord qui passe par la rivière Harricana. C'est ce qui fait que l'eau a monté tout près du niveau record de 2019 Le niveau et le débit de l’Harricana avaient aussi été bien au-dessus des normales en 2009, 2013 et 2017 année des plus importantes crues enregistrées à ce jour la Ville d’Amos a commencé à aménager une première digue temporaire jeudi dernier derrière l’un des commerces de la rue Principale Sud elle a poursuivi le travail pour protéger tous les bâtiments menacés par la crue On fait des digues temporaires avec du gravier qu'on compacte puis on met des pompes à l'intérieur du périmètre qu'on va endiguer pour s'assurer que les bâtiments ne soient pas touchés Il y a donc de l’eau tout le tour du bâtiment Environnement Canada prévoit peu de précipitations au cours de la prochaine semaine ce qui pourrait permettre à la situation de se résorber à moyen terme l’eau devrait monter encore jusqu’à vendredi on parle de peut-être une dizaine de centimètres on va devoir agir en conséquence et on va hausser les digues Le secteur de la marina est presque entièrement submergé Le ministère des Transports et de la Mobilité a aussi annoncé la fermeture de certains ponts en raison du niveau élevé de l’eau au cours de la dernière semaine C’est le cas du pont de la rivière Senneville sur le chemin de Saint-Edmond dans le secteur Vassan de Val-d’Or Les ponts de la rivière Turgeon sur le 10e Rang Ouest ainsi que ceux au-dessus du ruisseau Leslie le Ministère a annoncé lundi la réouverture du chemin des Hirondelles à Rivière-Héva Il avait été fermé le 1er mai en raison de l’accumulation d’eau sur la chaussée Martin Guindon cumule plus de 25 ans d'expérience comme journaliste en Abitibi-Témiscamingue Tous les sujets qui touchent l'actualité locale et régionale le passionnent Il affectionne la couverture terrain pour la rencontre avec les gens de tous les horizons Le premier ministre canadien doit éviter les dérapages lors de sa rencontre avec Donald Trump Le Haut-Commissariat de l'Inde à Ottawa a identifié Vanshika Saini comme une étudiante indienne La question du séparatisme pourrait y figurer Élections Canada a trouvé des erreurs dans les rapports des bureaux de vote locaux Le président américain a affirmé qu'il continuera à faire pression pour que le Canada devienne le 51e État Le niveau et le débit de l’Harricana avaient aussi été bien au-dessus des normales en 2009, 2013 et 2017 Le niveau de l’eau continue de monter sur la partie sud de la rue Principale à Amos Tout porte à croire qu’il s’agissait d’un paquet de contrebande livré par drone La marchandise ne s’est pas rendue au destinataire qui est toujours inconnu des enquêteurs eMais une investigation est présentement en cours pour tenter de faire la lumière sur cette affaire la directrice générale du Réseau correctionnel de l’Est du Québec C’EST PROTÉGER NOTRE CULTURE ET NOTRE ÉCONOMIE © 2025 Tous droits révervés - TVA Abitibi-Temiscamingue Représentant au développement des affaires (vente) Représentante au développement des affaires (vente) Coordonnatrice au développement des affaires et à la création numérique dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"Avec les informations de Piel Côté Le Cégep a dû recourir à un financement impliquant plusieurs intervenants pour mettre à jour les laboratoires Le gouvernement fédéral a fourni 40 % du montant alors que le gouvernement provincial a contribué à la hauteur de 400 000 $ La Fondation du Cégep a aussi donné 250 000 $ dont 20 % provenait de la minière North American Lithium La Caisse Desjardins d'Amos a aussi contribué à la hauteur de 25 000 $ alors que la Ville d'Amos et la pharmacie Brunet ont respectivement offert 45 000 $ et 25 000 $ les étudiants utilisaient des laboratoires aménagés en 1980 explique que les étudiants étaient bien heureux d'accéder de nouveau au laboratoire il faut penser qu'ils ont été six mois quand même à travailler dans d'autres laboratoires Ils travaillaient dans ceux de l'université Quand ils sont arrivés dans leurs nouveaux locaux ils étaient vraiment très satisfaits La réfection des laboratoires s'est avérée particulièrement complexe en raison de l'âge du bâtiment dans lequel elle a été entreprise avaient été aménagés en 1941 par les Soeurs de l'Assomption Ouvrir en mode plein écranLes nouveaux laboratoires du campus d'Amos ont été inaugurés Prenez note que cet article publié en 2018 pourrait contenir des informations qui ne sont plus à jour Le Cégep de l'Abitibi-Témiscamingue a inauguré ses nouveaux laboratoires de sciences mercredi après-midi Leur réfection aura coûté 2,2 millions de dollars Le Cégep a dû recourir à un financement impliquant plusieurs intervenants pour mettre à jour les laboratoires Le gouvernement fédéral a fourni 40 % du montant alors que le gouvernement provincial a contribué à la hauteur de 400 000 $ La Fondation du Cégep a aussi donné 250 000 $ dont 20 % provenait de la minière North American Lithium La Caisse Desjardins d'Amos a aussi contribué à la hauteur de 25 000 $ alors que la Ville d'Amos et la pharmacie Brunet ont respectivement offert 45 000 $ et 25 000 $ Ouvrir en mode plein écranLe directeur général du Cégep de l'Abitibi-Témiscamingue les étudiants utilisaient des laboratoires aménagés en 1980 explique que les étudiants étaient bien heureux d'accéder de nouveau au laboratoire il faut penser qu'ils ont été six mois quand même à travailler dans d'autres laboratoires Ils travaillaient dans ceux de l'université Quand ils sont arrivés dans leurs nouveaux locaux La réfection des laboratoires s'est avérée particulièrement complexe en raison de l'âge du bâtiment dans lequel elle a été entreprise avaient été aménagés en 1941 par les Soeurs de l'Assomption Avec les informations de Piel Côté (Amos) Notre chroniqueur Philippe Mercure et notre photographe François Roy traversent le pays à la rencontre des électeurs canadiens qui prend le pouls de sa communauté une coupe de cheveux à la fois Elle a suivi son chum pour s’établir à Amos Et elle ne s’ennuie pas des grands centres Elle attend sa première cliente de la journée au salon En tête à tête on se croirait au cœur de l’hiver en ce dernier jour de mars une tempête a laissé une vingtaine de centimètres de neige sur cette ville dominée par son impressionnante cathédrale Qui de mieux placé qu’une coiffeuse pour prendre le pouls d’une communauté  Bianca recueille les propos et les confidences de ses clientes et clients » La foresterie et l’industrie minière sont prédominantes ici et la guerre commerciale suscite beaucoup d’incertitude l’autre grande préoccupation des gens est le coût de la vie Son chum et elle sont propriétaires d’une maison mais elle recueille les doléances des locataires c’est rendu pas cher pour un appartement à Amos… Il faut ajouter l’auto Les gens coupent la coiffure avant de couper l’épicerie mais un gros changement de couleur qui n’est pas nécessaire Je m’identifie plus comme québécoise que comme canadienne Mais je dirais que les Canadiens sont chaleureux ils sont accueillants – on accueille beaucoup de gens au pays ils se parlent – et c’est encore plus vrai au Québec  on sent que les Canadiens sont plus portés à s’unir Je sais que ce n’est pas pour rien : on peut se faire soigner ici Mais il reste que les taxes et impôts sont vraiment élevés This website is using a security service to protect itself from online attacks The action you just performed triggered the security solution There are several actions that could trigger this block including submitting a certain word or phrase You can email the site owner to let them know you were blocked Please include what you were doing when this page came up and the Cloudflare Ray ID found at the bottom of this page C’est le ministère des Transports qui est en charge de ces deux artères routières le ministère a décliné toute demande d’entrevue il nous a spécifié que la Ville d’Amos n’a jamais fait de demande officielle mentionne avoir eu plusieurs discussions avec le directeur régional Et pas question pour la municipalité de simplement se contenter de travaux de remplissage la Ville d’Amos dit continuer de mettre de la pression sur le ministère des Transports dans les prochaines semaines afin que des travaux puissent être réalisés le plus rapidement possible (Québec) Le gouvernement caquiste a refusé de se saisir d’une pétition de 25 766 noms au sujet de l’hôpital d’Amos marrainée par l’une de ses propres députées La pétition portant sur la nécessité d’agrandir le Centre hospitalier Hôtel-Dieu d’Amos a été présentée au Salon rouge le 6 février dernier par la députée caquiste d’Abitibi-Ouest Elle demandait au gouvernement d’agrandir le plus rapidement possible l’urgence les soins intensifs et le bloc opératoire du centre régional de traumatologie de l’hôpital « Les délais actuels portent préjudice à la viabilité et à la qualité des services de santé en Abitibi-Témiscamingue » ajoutant que les trois députés caquistes de la région « supportent unanimement ce projet de construction » la Commission de la santé et des services sociaux sous prétexte que ce n’était pas le « bon moyen » de faire avancer le dossier a affirmé en point de presse le porte-parole du PQ en santé On fait signer des pétitions par les citoyens le projet de reconstruction à Amos n’a pas avancé depuis son annonce en 2019 ce qui témoignerait du peu d’influence des élus caquistes au sein de leur propre gouvernement « Les députés de la banquette gouvernementale n’ont aucun pouvoir sur les décisions gouvernementales » mais on dit aux gens : “Signez une pétition Et une fois qu’on l’a apportée à l’Assemblée nationale Accrochée dans les corridors du Parlement mercredi Je ne suis pas inconfortable ; au contraire Ce n’est pas parce qu’on refuse une pétition qu’on ne travaille pas […] on est rendu à la phase 1 et on attend le nouveau budget a admis ne pas être au courant pour la pétition il dit comprendre les Québécois de vouloir « aller rapidement » parce qu’il y a eu beaucoup de sous-investissements a-t-il déclaré en mêlée de presse sans élaborer plus amplement le ministre de l’Agriculture et député de Johnson avait participé à un point de presse à l’Assemblée nationale pour réclamer la construction d’un nouvel hôpital à Drummondville dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"Selon le ministère de la Sécurité publique la vigilance du personnel aurait permis d’intercepter notamment du tabac et des stupéfiants Les objets saisis auraient une valeur institutionnelle de près de 49 000 dollars Il s’agit d’une saisie majeure président du Syndicat des agents de la paix en services correctionnels (SAPSCQ-CSN) On parle pour Amos d’une saisie quand même importante Ça va varier d'un endroit à l'autre selon l'offre et la demande à l'intérieur de l'établissement les prix vont être plus élevés Mais même si on n'a pas le détail de la saisie quand on voit une saisie de la valeur qui est exprimée dans le communiqué du Ministère même des années qu'on décrie les introductions dans nos établissements par différents groupes criminalisés de substances pour financer leurs activités criminelles Les mesures mises en place dans les établissements de détention pour détecter et récupérer ces articles prohibés visent à assurer la sécurité des personnes et des lieux Mathieu Lavoie estime qu’il en va aussi de la sécurité des citoyens qui pourraient mettre la sécurité de l'établissement en difficulté compromettre la sécurité du personnel les gens ne voient pas nécessairement à quoi ça peut servir à l'intérieur mais ça peut servir à planifier des évasions Ouvrir en mode plein écranL'établissement de détention d'Amos. (Photo d'archives) Photo : Radio-Canada / Émélie Rivard-Boudreau Martin GuindonPublié le 30 avril à 12 h 43 HAEMis à jour le 30 avril à 16 h 49 HAEÉcouter l’article | 3 minutesLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale une technologie basée sur l’intelligence artificielle.De la marchandise de contrebande a été saisie au cours des derniers jours à l'établissement de détention d’Amos Selon le ministère de la Sécurité publique la vigilance du personnel aurait permis d’intercepter notamment du tabac et des stupéfiants Les objets saisis auraient une valeur institutionnelle de près de 49 000 dollars président du Syndicat des agents de la paix en services correctionnels (SAPSCQ-CSN) On parle pour Amos d’une saisie quand même importante Ça va varier d'un endroit à l'autre selon l'offre et la demande à l'intérieur de l'établissement Mais même si on n'a pas le détail de la saisie quand on voit une saisie de la valeur qui est exprimée dans le communiqué du Ministère même des années qu'on décrie les introductions dans nos établissements de substances pour financer leurs activités criminelles Les mesures mises en place dans les établissements de détention pour détecter et récupérer ces articles prohibés visent à assurer la sécurité des personnes et des lieux président du Syndicat des agents de la paix en services correctionnels Mathieu Lavoie estime qu’il en va aussi de la sécurité des citoyens qui pourraient mettre la sécurité de l'établissement en difficulté les gens ne voient pas nécessairement à quoi ça peut servir à l'intérieur mais ça peut servir à planifier des évasions Selon le ministère de la Sécurité publique Le ministère de la Sécurité publique rappelle que 35,8 M$ ont été annoncés en 2023 pour améliorer la sécurité dans les établissements de détention Ceux-ci ont notamment été dotés de dispositifs pour détecter la présence de drones Le ministère de la Sécurité publique rappelle que 35,8 M$ ont été annoncés en 2023 pour améliorer la sécurité dans les établissements de détention De la marchandise de contrebande a été saisie au cours des derniers jours à l'établissement de détention d’Amos dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"Dans une résolution adoptée lundi le conseil municipal réclame des actions concrètes du ministère des Transports et de la Mobilité durable (MTMD) pour corriger la situation L’état actuel de ces deux tronçons nuirait à la sécurité à la fluidité du transport et à la qualité de vie des citoyens L'entrée de la ville en arrivant de Landrienne vers Amos et jusqu'à la route de l'Aéroport On n'en est plus à faire des réparations ici et là On a besoin d'une réfection complète Je dirais même que c'est dégueulasse On demande qu'il y ait un échéancier puis qu'il y ait des mesures qui soient prises rapidement Ce dernier estime que les pires conditions du réseau routier entre Amos et Montréal sont à la sortie sud d’Amos Il déplore aussi que des projets comme les carrefours giratoires projetés devant le Canadian Tire ainsi qu’à l’intersection des routes 111, 109 et 395 ne soient toujours pas dans la programmation annuelle du ministère. On a un déficit d'infrastructures. C'est pitoyable ce qu'on vit présentement. Je comprends que régionalement, on a travaillé fort pour mettre l'argent et les ressources sur la 117, puis c'est correct. Je suis d'accord avec ça. Mais ce n’est pas une raison pour qu’on ait un champ de mines pour rentrer puis sortir de la ville d'Amos, dénonce Sébastien D’Astous. Selon lui, il faut des engagements fermes du MTMD, qui doit prendre ses responsabilités dans ce dossier. Il n’exclut pas d'entreprendre d’autres actions. On veut une ville qui soit sécuritaire. On investit beaucoup d'argent. Je trouve ça totalement déplorable. Dans les prochains jours ou les prochaines semaines, c'est clair qu'on va mobiliser la population, qu'on va faire des vidéos et qu'on va avoir une présence sur les médias sociaux, lance M. D’Astous. Au ministère des Transports et de la Mobilité durable, on précise que les demandes seront analysées à la réception de la résolution de la Ville d’Amos. C’est certain que, quand il y a des résolutions qui viennent des villes et des municipalités, le ministère les analyse. Ce sera aussi le cas quand on recevra la résolution de la Ville d’Amos. Mais pour l’instant, on ne l’a pas encore reçue, alors on n’est pas en mesure de répondre, précise Nicole Gaulin, conseillère en communication pour la direction générale de l’Abitibi-Témiscamingue du MTMD. Ouvrir en mode plein écranLa route 111, à l'entrée sud d'Amos Martin GuindonPublié le 8 avril à 18 h 29 HAEÉcouter l’article | 4 minutesLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale une technologie basée sur l’intelligence artificielle.La Ville d’Amos dénonce l’état de dégradation avancé de la route qui traverse son territoire d’est en ouest Elle exige la réfection complète et urgente de la route 111 à l’entrée sud et de la route 395 à la sortie ouest le conseil municipal réclame des actions concrètes du ministère des Transports et de la Mobilité durable (MTMD) pour corriger la situation L’état actuel de ces deux tronçons nuirait à la sécurité à la fluidité du transport et à la qualité de vie des citoyens L'entrée de la ville en arrivant de Landrienne vers Amos et jusqu'à la route de l'Aéroport On n'en est plus à faire des réparations ici et là Ce dernier estime que les pires conditions du réseau routier entre Amos et Montréal sont à la sortie sud d’Amos On a un déficit d'infrastructures. C'est pitoyable ce qu'on vit présentement. Je comprends que régionalement, on a travaillé fort pour mettre l'argent et les ressources sur la 117, puis c'est correct. Je suis d'accord avec ça. Mais ce n’est pas une raison pour qu’on ait un champ de mines pour rentrer puis sortir de la ville d'Amos, dénonce Sébastien D’Astous. Ouvrir en mode plein écranLe maire d'Amos veut des travaux de réfection au carrefour devant le magasin Canadian Tire. Selon lui, il faut des engagements fermes du MTMD, qui doit prendre ses responsabilités dans ce dossier. Il n’exclut pas d'entreprendre d’autres actions. On veut une ville qui soit sécuritaire. On investit beaucoup d'argent. Je trouve ça totalement déplorable. Dans les prochains jours ou les prochaines semaines, c'est clair qu'on va mobiliser la population, qu'on va faire des vidéos et qu'on va avoir une présence sur les médias sociaux, lance M. D’Astous. Au ministère des Transports et de la Mobilité durable, on précise que les demandes seront analysées à la réception de la résolution de la Ville d’Amos. Ouvrir en mode plein écranNicole Gaulin est conseillère en communications au ministère des Transports. (Photo d'archives) Photo : Radio-Canada / Jean-Michel Cotnoir C’est certain que, quand il y a des résolutions qui viennent des villes et des municipalités, le ministère les analyse. Ce sera aussi le cas quand on recevra la résolution de la Ville d’Amos. Mais pour l’instant, on ne l’a pas encore reçue, alors on n’est pas en mesure de répondre, précise Nicole Gaulin, conseillère en communication pour la direction générale de l’Abitibi-Témiscamingue du MTMD. Dans une résolution adoptée lundi Il déplore aussi que des projets comme les carrefours giratoires projetés devant le Canadian Tire ainsi qu’à l’intersection des routes 111, 109 et 395 ne soient toujours pas dans la programmation annuelle du ministère C'est pitoyable ce qu'on vit présentement on a travaillé fort pour mettre l'argent et les ressources sur la 117 Mais ce n’est pas une raison pour qu’on ait un champ de mines pour rentrer puis sortir de la ville d'Amos dénonce Sébastien D’Astous qui doit prendre ses responsabilités dans ce dossier Il n’exclut pas d'entreprendre d’autres actions On veut une ville qui soit sécuritaire Je trouve ça totalement déplorable Dans les prochains jours ou les prochaines semaines c'est clair qu'on va mobiliser la population qu'on va faire des vidéos et qu'on va avoir une présence sur les médias sociaux Au ministère des Transports et de la Mobilité durable on précise que les demandes seront analysées à la réception de la résolution de la Ville d’Amos quand il y a des résolutions qui viennent des villes et des municipalités Ce sera aussi le cas quand on recevra la résolution de la Ville d’Amos alors on n’est pas en mesure de répondre conseillère en communication pour la direction générale de l’Abitibi-Témiscamingue du MTMD Il déplore aussi que des projets comme les carrefours giratoires projetés devant le Canadian Tire ainsi qu’à l’intersection des routes 111, 109 et 395 ne soient toujours pas dans la programmation annuelle du ministère La Ville d’Amos dénonce l’état de dégradation avancé de la route qui traverse son territoire d’est en ouest Elle exige la réfection complète et urgente de la route 111 à l’entrée sud et de la route 395 à la sortie ouest Mise en garde : cet article contient une photographie qui pourrait choquer certaines personnes. Notre équipe de garde la fin de semaine s'est rendue sur place et on a constaté que le chien n'était pas seulement un chien décédé, mais un chien qui avait été abattu d'une balle dans la tête. Avec la Sûreté du Québec, on a ramassé le chien. La Sûreté du Québec enquête pour savoir qui a pu commettre l'irréparable, raconte Valérie Roy, directrice du Refuge le Cœur sur 4 pattes d’Amos. L’organisme est mandaté pour la gestion animalière dans plusieurs municipalités de la MRC Abitibi. Sa mission est de venir en aide aux animaux perdus, errants, abandonnés, blessés ou en détresse. Il saisit l’occasion pour rappeler qu’il s’agit d’un acte de cruauté animale au sens de la loi. Le Code criminel prévoit une peine pouvant aller jusqu’à cinq ans d’emprisonnement pour les personnes qui tuent ou blessent un animal volontairement et sans excuse légitime. Valérie Roy rappelle qu’il existe d’autres moyens de se départir de son animal de compagnie. Elle cite l’exemple de Rocky, un chien trouvé dans un état lamentable dont le Refuge prend soin actuellement. Bien que nous ne sommes pas encore 100 % outillés pour nous occuper des chiens, jamais nous ne l’aurions laissé à lui-même dans cet état, nous avons bien trop à cœur les animaux pour ça, dit-elle. Et dans les cas où l'animal a vraiment besoin d'être euthanasié, Valérie Roy souligne que les vétérinaires peuvent le faire de façon respectueuse pour l’animal. Ouvrir en mode plein écranLa Sûreté du Québec a ouvert une enquête sur un chien abattu par balle sur un chemin public à Amos. Martin GuindonPublié le 6 mars à 11 h 42 HAEMis à jour le 6 mars à 12 h 03 HAEÉcouter l’article | 3 minutesLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale, une technologie basée sur l’intelligence artificielle.La découverte d’un chien abattu par balle sur un chemin public sème la consternation à Amos. La Sûreté du Québec a ouvert une enquête puisqu’il s’agit d’un geste criminel. L’animal a été découvert dimanche dernier en bordure du chemin Croteau, à environ un kilomètre du Refuge Pageau. Mise en garde : cet article contient une photographie qui pourrait choquer certaines personnes. Notre équipe de garde la fin de semaine s'est rendue sur place et on a constaté que le chien n'était pas seulement un chien décédé, mais un chien qui avait été abattu d'une balle dans la tête. Avec la Sûreté du Québec, on a ramassé le chien. La Sûreté du Québec enquête pour savoir qui a pu commettre l'irréparable, raconte Valérie Roy, directrice du Refuge le Cœur sur 4 pattes d’Amos. L’organisme est mandaté pour la gestion animalière dans plusieurs municipalités de la MRC Abitibi. Sa mission est de venir en aide aux animaux perdus, errants, abandonnés, blessés ou en détresse. Il saisit l’occasion pour rappeler qu’il s’agit d’un acte de cruauté animale au sens de la loi. Photo : Gracieuseté, Refuge le Coeur sur 4 pattes On ne peut pas abattre soi-même un animal de cette façon-là, encore moins dans un endroit public comme ça a été fait. Et de laisser le cadavre sur place, c'est encore pire. Surtout que là, il a été retrouvé par des gens qui passaient par là avec un enfant, un jeune enfant de 5 ou 6 ans qui a vu le cadavre du chien avec une tête éclatée. Ça ne fait pas de beaux souvenirs pour cet enfant un peu traumatisé, souligne Mme Roy. Le Code criminel prévoit une peine pouvant aller jusqu’à cinq ans d’emprisonnement pour les personnes qui tuent ou blessent un animal volontairement et sans excuse légitime. Valérie Roy rappelle qu’il existe d’autres moyens de se départir de son animal de compagnie. Vous pouvez soit faire appel à des gens autour de vous si vous avez à donner votre animal. Vous pouvez aussi contacter les refuges, les SPCA. Si on n'est pas capable de vous aider parce qu'on n'a pas d'espace pour les recevoir, on vous aide en faisant des partages de courtoisie. On peut aussi trouver une famille d'accueil temporaire. Peu importe la raison pour laquelle vous vous débarrassez de votre animal, on n’est pas là pour vous juger. On va vous aider, insiste Mme Roy. Ouvrir en mode plein écranDes citoyens ont découvert le corps d'un chien abattu par balle sur un chemin public à Amos. Elle cite l’exemple de Rocky, un chien trouvé dans un état lamentable dont le Refuge prend soin actuellement. Bien que nous ne sommes pas encore 100 % outillés pour nous occuper des chiens, jamais nous ne l’aurions laissé à lui-même dans cet état, nous avons bien trop à cœur les animaux pour ça, dit-elle. Et dans les cas où l'animal a vraiment besoin d'être euthanasié, Valérie Roy souligne que les vétérinaires peuvent le faire de façon respectueuse pour l’animal. L’animal a été découvert dimanche dernier en bordure du chemin Croteau à environ un kilomètre du Refuge Pageau Mise en garde : cet article contient une photographie qui pourrait choquer certaines personnes Notre équipe de garde la fin de semaine s'est rendue sur place et on a constaté que le chien n'était pas seulement un chien décédé mais un chien qui avait été abattu d'une balle dans la tête La Sûreté du Québec enquête pour savoir qui a pu commettre l'irréparable directrice du Refuge le Cœur sur 4 pattes d’Amos L’organisme est mandaté pour la gestion animalière dans plusieurs municipalités de la MRC Abitibi Sa mission est de venir en aide aux animaux perdus Il saisit l’occasion pour rappeler qu’il s’agit d’un acte de cruauté animale au sens de la loi On ne peut pas abattre soi-même un animal de cette façon-là encore moins dans un endroit public comme ça a été fait il a été retrouvé par des gens qui passaient par là avec un enfant un jeune enfant de 5 ou 6 ans qui a vu le cadavre du chien avec une tête éclatée Ça ne fait pas de beaux souvenirs pour cet enfant un peu traumatisé Le Code criminel prévoit une peine pouvant aller jusqu’à cinq ans d’emprisonnement pour les personnes qui tuent ou blessent un animal volontairement et sans excuse légitime Valérie Roy rappelle qu’il existe d’autres moyens de se départir de son animal de compagnie Vous pouvez soit faire appel à des gens autour de vous si vous avez à donner votre animal Si on n'est pas capable de vous aider parce qu'on n'a pas d'espace pour les recevoir on vous aide en faisant des partages de courtoisie On peut aussi trouver une famille d'accueil temporaire Peu importe la raison pour laquelle vous vous débarrassez de votre animal on n’est pas là pour vous juger un chien trouvé dans un état lamentable dont le Refuge prend soin actuellement Bien que nous ne sommes pas encore 100 % outillés pour nous occuper des chiens jamais nous ne l’aurions laissé à lui-même dans cet état nous avons bien trop à cœur les animaux pour ça Et dans les cas où l'animal a vraiment besoin d'être euthanasié Valérie Roy souligne que les vétérinaires peuvent le faire de façon respectueuse pour l’animal La découverte d’un chien abattu par balle sur un chemin public sème la consternation à Amos La Sûreté du Québec a ouvert une enquête puisqu’il s’agit d’un geste criminel dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"Le premier budget regroupé adopté lundi soir est en hausse de 8,03 % en incluant la part de Saint-Félix-de-Dalquier Sa confection représentait son lot de défis d’autant plus qu’un nouveau rôle triennal d’évaluation avec des hausses moyennes de 11 à 24 % des valeurs foncières entrait en vigueur dans la ville d’Amos avant la fusion l'avis d'imposition pour une maison moyenne maintenant évaluée à 278 616 $ augmente de 60 $ dans la partie urbaine d’Amos Le propriétaire de la même maison à Saint-Félix-de-Dalquier paiera 47 $ de moins qu’en 2024 où l’on retrouve moins de services pour ceux du quartier Saint-Félix-de-Dalquier le compte moyen oscille entre 2928 $ et 3667 $ On réussit à maintenir un taux de taxation qui est très raisonnable On a la chance d’avoir pu voir ce qui s’est fait ailleurs au Québec en décembre Je suis très fier de présenter ce budget avec l’équipe de conseillers et l’équipe administrative souligne le maire Sébastien D’Astous Une fierté que partage Félix Labrecque ancien maire de Saint-Félix-de-Dalquier et maintenant membre du conseil municipal provisoire de la Ville d’Amos On s’était dit qu’on ne voulait pas pénaliser les citoyens d’Amos qui nous accueillent On ne veut pas non plus pénaliser les citoyens de Saint-Félix Le budget a été fait pour qu’il n’y ait pas énormément de variations avec ce qu’on avait avant Le maire Sébastien D’Astous a précisé que les taxes municipales ont évolué moins rapidement que l’indice des prix à la consommation cumulatif depuis 2017 pour les contribuables du secteur urbain d’Amos Les municipalités d’Amos et Saint-Félix-de-Dalquier sont regroupées depuis le 1er janvier. En 2025, les citoyens d’Amos auront un accès plus facile aux différents plateaux sportifs, alors que la Ville propose une réduction de 22 % des tarifs de location pour certains utilisateurs. La nouvelle Ville d’Amos prévoit aussi investir plus de 24 M$ dans ses infrastructures en 2025. La part du lion va au parc industriel JE Therrien, pour près de 10 M$. Plus de 4 M$ sont aussi prévus pour l’amélioration de chemins ruraux, dont le chemin Lemerise. Toutefois, des subventions de 14,4 M$ sont attendues par la Ville, qui prévoit ajouter 8,8 M$ sur sa dette à long terme. C'est probablement une des plus grosses années depuis que je suis au conseil. Mais je ne veux pas inquiéter la population, c'est important de le dire, il y a beaucoup de subventions là-dedans, des subventions au niveau de la voirie locale, des subventions au niveau du projet de décontamination de l’ancienne scierie JE Therrien, souligne le maire D’Astous. La dette s’élevait à 55,2 M$ au 31 décembre 2024, en hausse de 1,8 M$. Il s’agit d’un ratio de 111 % sur les revenus nets de 49,7 M$. Quant au ratio du service de la dette sur les charges totales de la Ville, il est de 12 %. La politique de la gestion de la dette de la Ville d’Amos établit les ratios critiques à 120 % et à 15,5 %. Enfin, la réfection du réservoir de surpression dans l’ouest de la ville, près du restaurant Suco, est toujours dans les plans. Une étude de la firme Norinfra propose des travaux visant à réparer le réservoir et ainsi mettre un terme aux infiltrations qui obligent la Ville à chlorer son eau depuis quelques années. Martin GuindonPublié le 20 janvier à 19 h 15 HAEÉcouter l’article | 6 minutesLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale une technologie basée sur l’intelligence artificielle.Les contribuables d’Amos pourront souffler de nouveau en 2025 alors que le conseil provisoire a adopté des prévisions budgétaires avec des hausses de taxes sous les 2 % Ceux de la partie urbaine du quartier Saint-Félix-de-Dalquier paieront quant à eux moins de taxes Le premier budget regroupé adopté lundi soir est en hausse de 8,03 % en incluant la part de Saint-Félix-de-Dalquier Sa confection représentait son lot de défis d’autant plus qu’un nouveau rôle triennal d’évaluation avec des hausses moyennes de 11 à 24 % des valeurs foncières entrait en vigueur dans la ville d’Amos avant la fusion l'avis d'imposition pour une maison moyenne maintenant évaluée à 278 616 $ augmente de 60 $ dans la partie urbaine d’Amos Le propriétaire de la même maison à Saint-Félix-de-Dalquier paiera 47 $ de moins qu’en 2024 pour ceux du quartier Saint-Félix-de-Dalquier le compte moyen oscille entre 2928 $ et 3667 $ On réussit à maintenir un taux de taxation qui est très raisonnable On a la chance d’avoir pu voir ce qui s’est fait ailleurs au Québec en décembre Je suis très fier de présenter ce budget avec l’équipe de conseillers et l’équipe administrative ancien maire de Saint-Félix-de-Dalquier et maintenant membre du conseil municipal provisoire de la Ville d’Amos On s’était dit qu’on ne voulait pas pénaliser les citoyens d’Amos qui nous accueillent On ne veut pas non plus pénaliser les citoyens de Saint-Félix Le budget a été fait pour qu’il n’y ait pas énormément de variations avec ce qu’on avait avant Ouvrir en mode plein écranFélix Labrecque était maire de Saint-Félix-de-Dalquier avant la fusion avec Amos Le maire Sébastien D’Astous a précisé que les taxes municipales ont évolué moins rapidement que l’indice des prix à la consommation cumulatif depuis 2017 pour les contribuables du secteur urbain d’Amos En 2025, les citoyens d’Amos auront un accès plus facile aux différents plateaux sportifs, alors que la Ville propose une réduction de 22 % des tarifs de location pour certains utilisateurs. La nouvelle Ville d’Amos prévoit aussi investir plus de 24 M$ dans ses infrastructures en 2025. La part du lion va au parc industriel JE Therrien, pour près de 10 M$. Plus de 4 M$ sont aussi prévus pour l’amélioration de chemins ruraux, dont le chemin Lemerise. Toutefois, des subventions de 14,4 M$ sont attendues par la Ville, qui prévoit ajouter 8,8 M$ sur sa dette à long terme. C'est probablement une des plus grosses années depuis que je suis au conseil. Mais je ne veux pas inquiéter la population, c'est important de le dire, il y a beaucoup de subventions là-dedans, des subventions au niveau de la voirie locale, des subventions au niveau du projet de décontamination de l’ancienne scierie JE Therrien, souligne le maire D’Astous. Ouvrir en mode plein écranLe site du futur parc industriel d'Amos. (Photo d'archives) La dette s’élevait à 55,2 M$ au 31 décembre 2024, en hausse de 1,8 M$. Il s’agit d’un ratio de 111 % sur les revenus nets de 49,7 M$. Quant au ratio du service de la dette sur les charges totales de la Ville, il est de 12 %. La politique de la gestion de la dette de la Ville d’Amos établit les ratios critiques à 120 % et à 15,5 %. Enfin, la réfection du réservoir de surpression dans l’ouest de la ville, près du restaurant Suco, est toujours dans les plans. Une étude de la firme Norinfra propose des travaux visant à réparer le réservoir et ainsi mettre un terme aux infiltrations qui obligent la Ville à chlorer son eau depuis quelques années. Ouvrir en mode plein écranUn des réservoirs de suppression de la Ville d'Amos. (Photo d'archives) C’est un projet de 4,2 millions de dollars. L’objectif, c’est de le faire le plus rapidement possible, peut-être en 2027. Encore faut-il avoir l’argent pour le faire. Présentement, ce sur quoi il faut travailler, c’est à se qualifier pour aller chercher les subventions. On n’a pas réussi en 2024, mais là, on a une bonne écoute. Avec une bonne nouvelle en 2025, on pourrait devancer les travaux en 2026, avance Sébastien D’Astous. Le premier budget regroupé adopté lundi soir est en hausse de 8,03 % Les municipalités d’Amos et Saint-Félix-de-Dalquier sont regroupées depuis le 1er janvier les citoyens d’Amos auront un accès plus facile aux différents plateaux sportifs alors que la Ville propose une réduction de 22 % des tarifs de location pour certains utilisateurs on avait diminué beaucoup de tarifs pour des coûts individuels Ça a été très apprécié et on a vu une augmentation de l’achalandage on s’est demandé ce qu’on peut faire pour nos organismes comme le soccer mineur ou le baseball mineur Qu’est-ce qu’on peut faire pour nos adultes qui louent la glace du complexe sportif on veut que notre monde puisse utiliser les plateaux La nouvelle Ville d’Amos prévoit aussi investir plus de 24 M$ dans ses infrastructures en 2025 La part du lion va au parc industriel JE Therrien Plus de 4 M$ sont aussi prévus pour l’amélioration de chemins ruraux des subventions de 14,4 M$ sont attendues par la Ville qui prévoit ajouter 8,8 M$ sur sa dette à long terme C'est probablement une des plus grosses années depuis que je suis au conseil Mais je ne veux pas inquiéter la population il y a beaucoup de subventions là-dedans des subventions au niveau de la voirie locale des subventions au niveau du projet de décontamination de l’ancienne scierie JE Therrien La dette s’élevait à 55,2 M$ au 31 décembre 2024 Il s’agit d’un ratio de 111 % sur les revenus nets de 49,7 M$ Quant au ratio du service de la dette sur les charges totales de la Ville La politique de la gestion de la dette de la Ville d’Amos établit les ratios critiques à 120 % et à 15,5 % la réfection du réservoir de surpression dans l’ouest de la ville Une étude de la firme Norinfra propose des travaux visant à réparer le réservoir et ainsi mettre un terme aux infiltrations qui obligent la Ville à chlorer son eau depuis quelques années C’est un projet de 4,2 millions de dollars c’est de le faire le plus rapidement possible Encore faut-il avoir l’argent pour le faire c’est à se qualifier pour aller chercher les subventions Les municipalités d’Amos et Saint-Félix-de-Dalquier sont regroupées depuis le 1er janvier Les contribuables d’Amos pourront souffler de nouveau en 2025 alors que le conseil provisoire a adopté des prévisions budgétaires avec des hausses de taxes sous les 2 % Les deux municipalités ont récemment publié un avis public devant mener à la fusion. La population a toujours 30 jours pour s’exprimer sur le sujet, mais les maires d’Amos et de Saint-Félix-de-Dalquier assurent que la fusion va se réaliser. J’ai pas grand doute que ça va se faire. On a déjà plusieurs ententes de services avec Amos et ça se passe très bien, alors on est satisfaits nous autres, affirme le maire de Saint-Félix-de-Dalquier, Félix Labrecque. Selon le maire d’Amos, la Ville attendra donc au début de l’année prochaine afin de présenter un budget qui sera représentatif de sa nouvelle réalité. Tout est en ordre pour que ce soit réalisé pour le 1er  janvier. Les deux municipalités, on ne fera pas de budget [en décembre], on fait des budgets provisoires qu’on ne présentera pas à la population et en début janvier on fera un budget qui est fusionné, explique Sébastien d’Astous. Saint-Félix-de-Dalquier avait approché Amos concernant une possible fusion en raison notamment d’un manque de personnel au sein de la municipalité, qui conservera une place au sein du conseil municipal d’Amos pour au moins les cinq prochaines années. Jusqu’à la prochaine élection, il va y avoir moi et un de mes conseillers qui vont siéger sur le conseil d’Amos et ensuite pour le prochain mandat de 4 ans, il y a un siège de réservé pour un résident de Saint-Félix, assure Félix Labrecque. Le maire d’Amos se dit ouvert à d’autres fusions dans les prochaines années. Quand on a fait l’étude j’ai tendu la main à l’ensemble des maires en mentionnant que si vous voulez faire une étude, qu’on pouvait en faire une avec plusieurs municipalités, mais je ne suis pas un pro fusion. Je pense qu’il y a des moments où c’est plus propice que d’autres, avec Saint-Félix c’était le bon moment, soutient-il. Jean-Marc Belzile couvre l'actualité comme journaliste depuis plus de 15 ans en Abitibi-Témiscamingue. Il a joint l'équipe de Radio-Canada en 2018 comme journaliste-vidéaste à Rouyn-Noranda. Ouvrir en mode plein écranLa municipalité de Saint-Félix-de-Dalquier est en voie de fusionner avec la Ville d'Amos, selon les maires des deux localités. (Photo d'archives) Jean-Marc BelzilePublié le 29 septembre 2024 à 12 h 20 HAEÉcouter l’article | 3 minutesLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale, une technologie basée sur l’intelligence artificielle.La fusion de la Municipalité de Saint-Félix-de-Dalquier avec la Ville d’Amos devrait être officialisée le 1er janvier 2025, selon les maires des deux municipalités. Amos et Saint-Félix-de-Dalquier ont complété toutes les étapes préalables à la fusion. Le maire d’Amos Sébastien d’Astous confirme que les résolutions ont été adoptées et que le règlement a été autorisé par le ministère des Affaires municipales. Ouvrir en mode plein écranLe maire d'Amos, Sébastien D'Astous, et le maire de Saint-Félix-de-Dalquier, Félix Labrecque, ont présenté en mai dernier les grandes lignes de l'étude sur les implications d'un regroupement municipal. (Photo d'archives) Les deux municipalités ont récemment publié un avis public devant mener à la fusion. La population a toujours 30 jours pour s’exprimer sur le sujet, mais les maires d’Amos et de Saint-Félix-de-Dalquier assurent que la fusion va se réaliser. J’ai pas grand doute que ça va se faire. On a déjà plusieurs ententes de services avec Amos et ça se passe très bien, alors on est satisfaits nous autres, affirme le maire de Saint-Félix-de-Dalquier, Félix Labrecque. Selon le maire d’Amos, la Ville attendra donc au début de l’année prochaine afin de présenter un budget qui sera représentatif de sa nouvelle réalité. Tout est en ordre pour que ce soit réalisé pour le 1er  janvier. Les deux municipalités, on ne fera pas de budget [en décembre], on fait des budgets provisoires qu’on ne présentera pas à la population et en début janvier on fera un budget qui est fusionné, explique Sébastien d’Astous. Saint-Félix-de-Dalquier avait approché Amos concernant une possible fusion en raison notamment d’un manque de personnel au sein de la municipalité, qui conservera une place au sein du conseil municipal d’Amos pour au moins les cinq prochaines années. Jusqu’à la prochaine élection, il va y avoir moi et un de mes conseillers qui vont siéger sur le conseil d’Amos et ensuite pour le prochain mandat de 4 ans, il y a un siège de réservé pour un résident de Saint-Félix, assure Félix Labrecque. Ouvrir en mode plein écranLe maire d'Amos Sébastien D'Astous (Photo d'archives) Le maire d’Amos se dit ouvert à d’autres fusions dans les prochaines années. Quand on a fait l’étude j’ai tendu la main à l’ensemble des maires en mentionnant que si vous voulez faire une étude, qu’on pouvait en faire une avec plusieurs municipalités, mais je ne suis pas un pro fusion. Je pense qu’il y a des moments où c’est plus propice que d’autres, avec Saint-Félix c’était le bon moment, soutient-il. Amos et Saint-Félix-de-Dalquier ont complété toutes les étapes préalables à la fusion Le maire d’Amos Sébastien d’Astous confirme que les résolutions ont été adoptées et que le règlement a été autorisé par le ministère des Affaires municipales Les deux municipalités ont récemment publié un avis public devant mener à la fusion La population a toujours 30 jours pour s’exprimer sur le sujet mais les maires d’Amos et de Saint-Félix-de-Dalquier assurent que la fusion va se réaliser J’ai pas grand doute que ça va se faire On a déjà plusieurs ententes de services avec Amos et ça se passe très bien affirme le maire de Saint-Félix-de-Dalquier la Ville attendra donc au début de l’année prochaine afin de présenter un budget qui sera représentatif de sa nouvelle réalité Tout est en ordre pour que ce soit réalisé pour le 1er  janvier on ne fera pas de budget [en décembre] on fait des budgets provisoires qu’on ne présentera pas à la population et en début janvier on fera un budget qui est fusionné Saint-Félix-de-Dalquier avait approché Amos concernant une possible fusion en raison notamment d’un manque de personnel au sein de la municipalité qui conservera une place au sein du conseil municipal d’Amos pour au moins les cinq prochaines années Jusqu’à la prochaine élection il va y avoir moi et un de mes conseillers qui vont siéger sur le conseil d’Amos et ensuite pour le prochain mandat de 4 ans il y a un siège de réservé pour un résident de Saint-Félix Le maire d’Amos se dit ouvert à d’autres fusions dans les prochaines années Quand on a fait l’étude j’ai tendu la main à l’ensemble des maires en mentionnant que si vous voulez faire une étude qu’on pouvait en faire une avec plusieurs municipalités Je pense qu’il y a des moments où c’est plus propice que d’autres avec Saint-Félix c’était le bon moment Jean-Marc Belzile couvre l'actualité comme journaliste depuis plus de 15 ans en Abitibi-Témiscamingue Il a joint l'équipe de Radio-Canada en 2018 comme journaliste-vidéaste à Rouyn-Noranda La fusion de la Municipalité de Saint-Félix-de-Dalquier avec la Ville d’Amos devrait être officialisée le 1er janvier 2025 Le directeur du service des incendies d'Amos, Guy Béchard, indique que les flammes se sont propagées jusqu’au toit du bâtiment de trois étages. Un incendie assez important pour mobiliser 45 pompiers d’Amos, de La Corne, de Landrienne, de Saint-Marc-de-Figuery et de Preissac. Les policiers de la Sûreté du Québec ont aussi prêté assistance aux pompiers. En entrevue à l'émission Des matins en or mercredi matin, Guy Béchard a aussi souligné que le froid a représenté un défi supplémentaire pour les équipes, mais qu'il n’y a pas eu de blessures ni d’engelures. C’est sûr qu’il y a des dommages, mais hier il était vraiment trop tôt pour évaluer les dommages. Les gens d’Arbec ont dit qu’ils en auraient pour quelques jours à faire l’évaluation. C’est sûr qu’ils vont tout faire pour repartir l’usine le plus rapidement possible. C’est ce qu’ils m’ont dit. La Sûreté du Québec confirme qu’il n’y a pas eu de blessé dans l'incendie et qu’il n’y a pas d’élément criminel. Les pompiers ont quitté les lieux vers 22 h mardi. Le directeur du service des incendies d'Amos indique que ce sont des employés de l’entreprise Arbec qui ont surveillé les lieux pendant la nuit en cas de reprise de l’incendie. Le syndicat Unifor, qui représente les travailleurs de l'usine, a confirmé mercredi matin que les employés ont rapidement été évacués quand l'incendie s'est déclaré. Les opérations sont arrêtées et des employés effectuent des travaux de maintenance. Selon les informations qu'on a, personne n'a été blessé dans le cadre de l'incendie. Ça, c'est une bonne nouvelle pour nous ce matin. C'est clair que, comme on le présume aussi pour l'employeur, on est à la recherche d'informations. Quelle est l'ampleur des dégâts? Quel impact ça va avoir sur les salariés? Sur combien de temps la production sera affectée? Est-ce que ce sera sur une longue période? C'est des questions qu'on a présentement, précise M. Auger. Rappelons que l'usine Arbec emploie environ 140 personnes à Amos, dont 110 sont syndiquées. Sur les réseaux sociaux, la Ville d’Amos avait publié un message à ses citoyens afin de les aviser d’une possible baisse de la pression d’eau dans son réseau d’aqueduc. Nous vous demandons de limiter votre consommation d’eau pour une partie de la soirée afin de préserver les ressources nécessaires pour les opérations en cours, précisait la publication. L’usine est munie de gicleurs qui sont alimentés directement par le réseau d’eau de la ville. En surplus, nous, on se branche sur des bornes-fontaines et ont suralimente ces gicleurs-là pour monter la pression pour qu’ils fassent leur travail le plus efficacement possible, a expliqué Guy Béchard. Avec la collaboration de Boualem Hadjouti et d'Emily Blais Ouvrir en mode plein écranLes pompiers d'Amos et des environs ont combattu l'incendie pendant plus de cinq heures. Martin GuindonPublié le 21 janvier à 19 h 52 HAEMis à jour le 22 janvier à 15 h 44 HAEÉcouter l’article | 4 minutesLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale une technologie basée sur l’intelligence artificielle.Les pompiers du service des incendies de la Ville d’Amos ont combattu un incendie majeur dans l’usine de transformation de bois de Produits forestiers Arbec mardi soir à Amos Le directeur du service des incendies d'Amos, Guy Béchard, indique que les flammes se sont propagées jusqu’au toit du bâtiment de trois étages. Un incendie assez important pour mobiliser 45 pompiers d’Amos, de La Corne, de Landrienne, de Saint-Marc-de-Figuery et de Preissac. Les policiers de la Sûreté du Québec ont aussi prêté assistance aux pompiers. Le maire d'Amos, Sébastien D'Astous, a rappelé mardi soir qu’il y a souvent des incendies dans cette usine en raison de son procédé. On souhaite qu’il y ait le moins de dégâts possible pour que l’usine puisse revenir en opération le plus rapidement possible et qu’il n’y ait pas de blessés. On est de tout cœur avec les pompiers qui sont en train de braver le froid et le feu, a exprimé le maire D’Astous, alors que le mercure oscillait autour de -27 degrés Celsius. En entrevue à l'émission Des matins en or mercredi matin, Guy Béchard a aussi souligné que le froid a représenté un défi supplémentaire pour les équipes, mais qu'il n’y a pas eu de blessures ni d’engelures. C’est sûr qu’il y a des dommages, mais hier il était vraiment trop tôt pour évaluer les dommages. Les gens d’Arbec ont dit qu’ils en auraient pour quelques jours à faire l’évaluation. C’est sûr qu’ils vont tout faire pour repartir l’usine le plus rapidement possible. C’est ce qu’ils m’ont dit. Lancer l’écoute|4 minLa Sûreté du Québec confirme qu’il n’y a pas eu de blessé dans l'incendie et qu’il n’y a pas d’élément criminel. Les pompiers ont quitté les lieux vers 22 h mardi. Le directeur du service des incendies d'Amos indique que ce sont des employés de l’entreprise Arbec qui ont surveillé les lieux pendant la nuit en cas de reprise de l’incendie. Ouvrir en mode plein écranUn incendie majeur s'est déclaré à l'intérieur de l’usine de transformation de bois de Produits forestiers Arbec d'Amos, le 21 janvier. Le syndicat Unifor, qui représente les travailleurs de l'usine, a confirmé mercredi matin que les employés ont rapidement été évacués quand l'incendie s'est déclaré. Les opérations sont arrêtées et des employés effectuent des travaux de maintenance. Selon les informations qu'on a, personne n'a été blessé dans le cadre de l'incendie. Ça, c'est une bonne nouvelle pour nous ce matin. C'est clair que, comme on le présume aussi pour l'employeur, on est à la recherche d'informations. Quelle est l'ampleur des dégâts? Quel impact ça va avoir sur les salariés? Sur combien de temps la production sera affectée? Est-ce que ce sera sur une longue période? C'est des questions qu'on a présentement, précise M. Auger. Rappelons que l'usine Arbec emploie environ 140 personnes à Amos, dont 110 sont syndiquées. Sur les réseaux sociaux, la Ville d’Amos avait publié un message à ses citoyens afin de les aviser d’une possible baisse de la pression d’eau dans son réseau d’aqueduc. Nous vous demandons de limiter votre consommation d’eau pour une partie de la soirée afin de préserver les ressources nécessaires pour les opérations en cours, précisait la publication. L’usine est munie de gicleurs qui sont alimentés directement par le réseau d’eau de la ville. En surplus, nous, on se branche sur des bornes-fontaines et ont suralimente ces gicleurs-là pour monter la pression pour qu’ils fassent leur travail le plus efficacement possible, a expliqué Guy Béchard. Les services d’urgence ont été appelés peu avant 16 h 30 mardi pour un feu qui s’est déclaré dans la presse de l’usine, anciennement Forex, qui produit des panneaux OSB Le directeur du service des incendies d'Amos indique que les flammes se sont propagées jusqu’au toit du bâtiment de trois étages Un incendie assez important pour mobiliser 45 pompiers d’Amos Les policiers de la Sûreté du Québec ont aussi prêté assistance aux pompiers a rappelé mardi soir qu’il y a souvent des incendies dans cette usine en raison de son procédé On souhaite qu’il y ait le moins de dégâts possible pour que l’usine puisse revenir en opération le plus rapidement possible et qu’il n’y ait pas de blessés On est de tout cœur avec les pompiers qui sont en train de braver le froid et le feu alors que le mercure oscillait autour de -27 degrés Celsius En entrevue à l'émission Des matins en or mercredi matin Guy Béchard a aussi souligné que le froid a représenté un défi supplémentaire pour les équipes mais qu'il n’y a pas eu de blessures ni d’engelures C’est sûr qu’il y a des dommages mais hier il était vraiment trop tôt pour évaluer les dommages Les gens d’Arbec ont dit qu’ils en auraient pour quelques jours à faire l’évaluation C’est sûr qu’ils vont tout faire pour repartir l’usine le plus rapidement possible C’est ce qu’ils m’ont dit La Sûreté du Québec confirme qu’il n’y a pas eu de blessé dans l'incendie et qu’il n’y a pas d’élément criminel Les pompiers ont quitté les lieux vers 22 h mardi Le directeur du service des incendies d'Amos indique que ce sont des employés de l’entreprise Arbec qui ont surveillé les lieux pendant la nuit en cas de reprise de l’incendie qui représente les travailleurs de l'usine a confirmé mercredi matin que les employés ont rapidement été évacués quand l'incendie s'est déclaré Les opérations sont arrêtées et des employés effectuent des travaux de maintenance personne n'a été blessé dans le cadre de l'incendie c'est une bonne nouvelle pour nous ce matin comme on le présume aussi pour l'employeur Quel impact ça va avoir sur les salariés Sur combien de temps la production sera affectée Est-ce que ce sera sur une longue période C'est des questions qu'on a présentement Rappelons que l'usine Arbec emploie environ 140 personnes à Amos la Ville d’Amos avait publié un message à ses citoyens afin de les aviser d’une possible baisse de la pression d’eau dans son réseau d’aqueduc Nous vous demandons de limiter votre consommation d’eau pour une partie de la soirée afin de préserver les ressources nécessaires pour les opérations en cours L’usine est munie de gicleurs qui sont alimentés directement par le réseau d’eau de la ville on se branche sur des bornes-fontaines et ont suralimente ces gicleurs-là pour monter la pression pour qu’ils fassent leur travail le plus efficacement possible Les services d’urgence ont été appelés peu avant 16 h 30 mardi pour un feu qui s’est déclaré dans la presse de l’usine, anciennement Forex, qui produit des panneaux OSB Les pompiers du service des incendies de la Ville d’Amos ont combattu un incendie majeur dans l’usine de transformation de bois de Produits forestiers Arbec mardi soir à Amos dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"Cette nouvelle commission fera des recommandations à la Ville avec l’objectif d’embellir et d’animer le centre-ville en impliquant les citoyens Elle se veut l’aboutissement de la consultation publique menée par quatre organismes la Chambre de commerce et d’industrie d’Amos-Harricana et la Ville d’Amos La démarche lancée en 2022 a aussi impliqué l’organisation Rues Principales dans la préparation d’un diagnostic identifiant les points forts et les points faibles du centre-ville ce qui a mené à un plan d’action on accompagne la démarche avec nos autres partenaires et là je dirais que la rondelle a été remise à la Ville d'Amos qui prend la démarche en main pour la réalisation du plan d'action directeur général de la SADC Harricana La Commission de dynamisation du centre-ville d’Amos réunit neuf membres dont des représentants des quatre organismes Disposant d’un budget annuel de 75 000 dollars pour réaliser de nouveaux projets et d’une ressource à temps plein la commission se penchera sur huit grands chantiers identifiés dans le plan d’action Je ne veux pas qu’on fasse travailler des gens sans budget Si on y croit vraiment et qu’on veut être dans l’action ça va crédibiliser la démarche Il s’agit d’une suite logique après les millions de dollars investis dans la réfection majeure de la 1re Avenue, entre 2018 et 2020, selon le maire Sébastien D’Astous. Si on fait un beau centre-ville qui n’est pas utilisé, puis que les commerçants ne sont pas prospères, on n'a pas de milieu de vie. Ce qu'on veut, c'est vraiment quelque chose de chaud, de dynamique et d'humain qui va ramener les gens au centre-ville, puis ça va venir du milieu. Parmi ces huit chantiers, on retrouve des stratégies d’embellissement, des parcours d’ambiance, une place publique et la mise en valeur de la rivière Harricana ainsi que de la Maison Hector-Authier. Certains sont déjà en cours, explique le chargé de projet Luc Valcourt. On a parlé de la place publique, qui pourrait être située où il y avait l'ancienne station-service Ultramar sur la 1re Avenue. Mais il y a d'autres choses. On a commencé à avoir un peu d'art urbain, avec la ruelle Montambault. Donc, il y a des choses qui ont été mises en place et on veut développer ça de plus en plus, affirme M. Valcourt. Et il ne s’agit -là que d’idées de départ, qui pourront évoluer selon les orientations que se donneront les membres de la Commission de dynamisation du centre-ville. Ces projets viendront aussi s’ajouter à tout ce que font déjà la Ville d’Amos et les organismes du milieu. On parle vraiment de la dynamisation du centre-ville, de créer de la vie, de créer du mouvement, de créer le réflexe centre-ville. On sait que les gens évitent le centre-ville et font le tour. On veut que les gens reviennent et découvrent nos commerces, insiste Luc Valcourt. Une volonté que partage entièrement le président de la Chambre de commerce et d’industrie d’Amos-Harricana, Claude Balleux. Il faut s’équiper autant que possible pour lutter contre Amazon et tous ces gros joueurs-là, alors on va le faire en étant attrayant et attractif, lance-t-il. D’autant plus que les commerçants du centre-ville ont traversé une période assez difficile depuis 2018, rappelle-t-il. Les travaux et la pandémie, un en arrière de l'autre, c'est majeur. Donc, on veut relancer le centre-ville. C'est fait intelligemment. C'est bien réfléchi. Je suis très optimiste, assure Claude Balleux. Ouvrir en mode plein écranLe chargé de projet Luc Valcourt a présenté les huit grands chantiers identifiés dans la démarche de dynamisation du centre-ville d'Amos. Martin GuindonPublié le 7 novembre 2024 à 5 h 57 HAEÉcouter l’article | 5 minutesLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale une technologie basée sur l’intelligence artificielle.La Ville d’Amos redouble d’efforts pour donner un nouveau souffle à son centre-ville qu’elle souhaite façonner à l’image de ses citoyens afin que ceux-ci se l’approprient Une commission de dynamisation a été lancée mercredi soir à cette fin en présence d’une trentaine de personnes à La Centrale d’Amos Cette nouvelle commission fera des recommandations à la Ville avec l’objectif d’embellir et d’animer le centre-ville en impliquant les citoyens Elle se veut l’aboutissement de la consultation publique menée par quatre organismes la Chambre de commerce et d’industrie d’Amos-Harricana et la Ville d’Amos La démarche lancée en 2022 a aussi impliqué l’organisation Rues Principales dans la préparation d’un diagnostic a rappelé l'historique du dossier de la revitalisation du centre-ville d'Amos on accompagne la démarche avec nos autres partenaires et là je dirais que la rondelle a été remise à la Ville d'Amos qui prend la démarche en main pour la réalisation du plan d'action La Commission de dynamisation du centre-ville d’Amos réunit neuf membres dont des représentants des quatre organismes Disposant d’un budget annuel de 75 000 dollars pour réaliser de nouveaux projets et d’une ressource à temps plein la commission se penchera sur huit grands chantiers identifiés dans le plan d’action Ouvrir en mode plein écran«Ça prend des projets puis d'avoir une Commission qui va se pencher là-dessus qui va faire des recommandations conseil de ville Je ne veux pas qu’on fasse travailler des gens sans budget Si on y croit vraiment et qu’on veut être dans l’action Si on fait un beau centre-ville qui n’est pas utilisé, puis que les commerçants ne sont pas prospères, on n'a pas de milieu de vie. Ce qu'on veut, c'est vraiment quelque chose de chaud, de dynamique et d'humain qui va ramener les gens au centre-ville, puis ça va venir du milieu. Parmi ces huit chantiers, on retrouve des stratégies d’embellissement, des parcours d’ambiance, une place publique et la mise en valeur de la rivière Harricana ainsi que de la Maison Hector-Authier. Certains sont déjà en cours, explique le chargé de projet Luc Valcourt. On a parlé de la place publique, qui pourrait être située où il y avait l'ancienne station-service Ultramar sur la 1re Avenue. Mais il y a d'autres choses. On a commencé à avoir un peu d'art urbain, avec la ruelle Montambault. Donc, il y a des choses qui ont été mises en place et on veut développer ça de plus en plus, affirme M. Valcourt. Ouvrir en mode plein écranL'aménagement de la ruelle Montambault, avec de l'art urbain, fait partie du type d'initiatives qui découlent des chantiers proposés par l'organisation Rues Principales. Et il ne s’agit -là que d’idées de départ, qui pourront évoluer selon les orientations que se donneront les membres de la Commission de dynamisation du centre-ville. Ces projets viendront aussi s’ajouter à tout ce que font déjà la Ville d’Amos et les organismes du milieu. On parle vraiment de la dynamisation du centre-ville, de créer de la vie, de créer du mouvement, de créer le réflexe centre-ville. On sait que les gens évitent le centre-ville et font le tour. On veut que les gens reviennent et découvrent nos commerces, insiste Luc Valcourt. Ouvrir en mode plein écranLe site de l'ancienne station-service Ultramar sur la 1re Avenue pourrait devenir une place publique et ainsi contribuer à embellir et dynamiser le centre-ville. Une volonté que partage entièrement le président de la Chambre de commerce et d’industrie d’Amos-Harricana, Claude Balleux. Il faut s’équiper autant que possible pour lutter contre Amazon et tous ces gros joueurs-là, alors on va le faire en étant attrayant et attractif, lance-t-il. Ouvrir en mode plein écranDes membres de la Commission de dynamisation et des représentants des organismes participants posent en compagnie du maire Sébastien D'Astous et du conseiller municipal Mario Bédard, tous deux au centre. D’autant plus que les commerçants du centre-ville ont traversé une période assez difficile depuis 2018, rappelle-t-il. Les travaux et la pandémie, un en arrière de l'autre, c'est majeur. Donc, on veut relancer le centre-ville. C'est fait intelligemment. C'est bien réfléchi. Je suis très optimiste, assure Claude Balleux. Cette nouvelle commission fera des recommandations à la Ville avec l’objectif d’embellir et d’animer le centre-ville en impliquant les citoyens Il s’agit d’une suite logique après les millions de dollars investis dans la réfection majeure de la 1re Avenue selon le maire Sébastien D’Astous Si on fait un beau centre-ville qui n’est pas utilisé puis que les commerçants ne sont pas prospères de dynamique et d'humain qui va ramener les gens au centre-ville on retrouve des stratégies d’embellissement une place publique et la mise en valeur de la rivière Harricana ainsi que de la Maison Hector-Authier explique le chargé de projet Luc Valcourt qui pourrait être située où il y avait l'ancienne station-service Ultramar sur la 1re Avenue On a commencé à avoir un peu d'art urbain il y a des choses qui ont été mises en place et on veut développer ça de plus en plus Et il ne s’agit -là que d’idées de départ qui pourront évoluer selon les orientations que se donneront les membres de la Commission de dynamisation du centre-ville Ces projets viendront aussi s’ajouter à tout ce que font déjà la Ville d’Amos et les organismes du milieu On parle vraiment de la dynamisation du centre-ville de créer le réflexe centre-ville On sait que les gens évitent le centre-ville et font le tour On veut que les gens reviennent et découvrent nos commerces Une volonté que partage entièrement le président de la Chambre de commerce et d’industrie d’Amos-Harricana Il faut s’équiper autant que possible pour lutter contre Amazon et tous ces gros joueurs-là alors on va le faire en étant attrayant et attractif D’autant plus que les commerçants du centre-ville ont traversé une période assez difficile depuis 2018 Il s’agit d’une suite logique après les millions de dollars investis dans la réfection majeure de la 1re Avenue La Ville d’Amos redouble d’efforts pour donner un nouveau souffle à son centre-ville C’est un bâtiment en Abitibi-Témiscamingue qui mérite d’être visité, qui mérite d’être vu. On voulait faire un projet d’éclairage, quelque chose qui ne serait pas juste temporaire, mais quelque chose de plus structuré à long terme, qui va être plus permanent, explique le maire d’Amos, Sébastien D’Astous. Pour ce faire, la Ville d’Amos a fait appel à Confluences.lab, un laboratoire d’innovation culturelle associé au Département de création et nouveaux médias de l’Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT). Une somme de 8500 $ provenant de l'Entente de développement culturel financée par le ministère de la Culture et des Communications, la MRC Abitibi et la Ville d’Amos a été octroyée à l'organisme pour réaliser une étude préliminaire. On est contents parce que ça vient des gens, des professeurs et des potentiels projets de recherche qui pourraient se faire. Donc, on vient stimuler notre université en même temps, puis on garde l’expertise locale. L’étude permettra d’analyser les formats possibles, d’étudier des projets similaires, d’identifier des partenaires potentiels et d’élaborer un cadre budgétaire. Elle déterminera aussi sa faisabilité et sa viabilité. Maxim Bonin, professeur-chercheur à l’UQAT et co-responsable de Confluences.lab, y voit un projet très stimulant pour son équipe et ses étudiants. Son laboratoire s’intéresse particulièrement aux projets qui s’ancrent dans le développement du territoire, dans une perspective de culture et de création. On trouvait que c’était un projet fort intéressant à la fois pour nos étudiants, mais aussi dans une perspective de recherche et de compréhension de comment on est en train de se réapproprier ces lieux de culte. Avec son équipe, il se penche sur la forme que pourrait prendre le projet, autant dans sa dimension pédagogique que sa dimension recherche. Dès l’automne, des étudiants du Département de création et nouveaux médias seront intégrés au projet. Le projet pourrait aussi proposer des contenus aux spectateurs à l’intérieur d’un spectacle son et lumière ou une projection architecturale. Est-ce qu’on fait un contenu historique? Est-ce qu’on s’intéresse aux différentes vagues de migration qu’il y a eu en région dans le coin d’Amos? Tout ça, c’est des questions qu’on va se poser en concertation avec nos partenaires. On ne manque pas d’idées, il faut juste circonscrire tout ça puis travailler dans le même sens avec nos partenaires, précise Maxim Bonin. Le projet pourrait se concrétiser aussi tôt qu’à l’hiver 2026. La cathédrale avait fait l’objet d’une mise en lumière et d’une projection architecturale intitulée Comme un battement d’Amos lors des fêtes du 100e, en 2014. Ouvrir en mode plein écranLe projet d'éclairage concerne la façade de la cathédrale Sainte-Thérèse-d'Avila, à Amos. Martin GuindonPublié le 7 mars à 6 h 40 HAEÉcouter l’articleLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale une technologie basée sur l’intelligence artificielle.La Ville d’Amos souhaite mettre en valeur la cathédrale Sainte-Thérèse-d’Avila par le biais d’un projet pouvant intégrer éclairages sons et projections architecturales sur la façade du bâtiment historique C’est un bâtiment en Abitibi-Témiscamingue qui mérite d’être visité, qui mérite d’être vu. On voulait faire un projet d’éclairage, quelque chose qui ne serait pas juste temporaire, mais quelque chose de plus structuré à long terme, qui va être plus permanent, explique le maire d’Amos, Sébastien D’Astous. Pour ce faire, la Ville d’Amos a fait appel à Confluences.lab, un laboratoire d’innovation culturelle associé au Département de création et nouveaux médias de l’Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT). Une somme de 8500 $ provenant de l'Entente de développement culturel financée par le ministère de la Culture et des Communications, la MRC Abitibi et la Ville d’Amos a été octroyée à l'organisme pour réaliser une étude préliminaire. On est contents parce que ça vient des gens, des professeurs et des potentiels projets de recherche qui pourraient se faire. Donc, on vient stimuler notre université en même temps, puis on garde l’expertise locale. Ouvrir en mode plein écranSébastien D'Astous, maire d'Amos. (Photo d'archives) L’étude permettra d’analyser les formats possibles, d’étudier des projets similaires, d’identifier des partenaires potentiels et d’élaborer un cadre budgétaire. Elle déterminera aussi sa faisabilité et sa viabilité. Maxim Bonin, professeur-chercheur à l’UQAT et co-responsable de Confluences.lab, y voit un projet très stimulant pour son équipe et ses étudiants. Son laboratoire s’intéresse particulièrement aux projets qui s’ancrent dans le développement du territoire, dans une perspective de culture et de création. On trouvait que c’était un projet fort intéressant à la fois pour nos étudiants, mais aussi dans une perspective de recherche et de compréhension de comment on est en train de se réapproprier ces lieux de culte. Avec son équipe, il se penche sur la forme que pourrait prendre le projet, autant dans sa dimension pédagogique que sa dimension recherche. Dès l’automne, des étudiants du Département de création et nouveaux médias seront intégrés au projet. Ouvrir en mode plein écranMaxim Bonin, professeur co-responsable du Confluences.lab de l'UQAT. Notre volonté, aussi, c’est d’associer les artistes locaux au projet. Que ce soit quelque chose d’ancré dans l’Université, mais qui est vraiment fait en collégialité avec le milieu culturel ou avec le milieu artistique. Ça fait partie de nos réflexions. On veut aussi tâter le pouls du côté des partenaires à Amos. On va organiser des journées de brainstorming, des journées d’échanges, pour qu’on s’assure de travailler dans la même direction, souligne Maxim Bonin. Le projet pourrait aussi proposer des contenus aux spectateurs à l’intérieur d’un spectacle son et lumière ou une projection architecturale. Est-ce qu’on fait un contenu historique? Est-ce qu’on s’intéresse aux différentes vagues de migration qu’il y a eu en région dans le coin d’Amos? Tout ça, c’est des questions qu’on va se poser en concertation avec nos partenaires. On ne manque pas d’idées, il faut juste circonscrire tout ça puis travailler dans le même sens avec nos partenaires, précise Maxim Bonin. Le projet pourrait se concrétiser aussi tôt qu’à l’hiver 2026. La cathédrale avait fait l’objet d’une mise en lumière et d’une projection architecturale intitulée Comme un battement d’Amos lors des fêtes du 100e, en 2014. Le projet a pour objectif de renforcer la présence de la cathédrale fraîchement restaurée dans le paysage urbain d’Amos et de souligner son importance touristique et culturelle C’est un bâtiment en Abitibi-Témiscamingue qui mérite d’être visité On voulait faire un projet d’éclairage quelque chose qui ne serait pas juste temporaire mais quelque chose de plus structuré à long terme la Ville d’Amos a fait appel à Confluences.lab un laboratoire d’innovation culturelle associé au Département de création et nouveaux médias de l’Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT) Une somme de 8500 $ provenant de l'Entente de développement culturel financée par le ministère de la Culture et des Communications la MRC Abitibi et la Ville d’Amos a été octroyée à l'organisme pour réaliser une étude préliminaire On est contents parce que ça vient des gens des professeurs et des potentiels projets de recherche qui pourraient se faire on vient stimuler notre université en même temps L’étude permettra d’analyser les formats possibles d’étudier des projets similaires d’identifier des partenaires potentiels et d’élaborer un cadre budgétaire Elle déterminera aussi sa faisabilité et sa viabilité professeur-chercheur à l’UQAT et co-responsable de Confluences.lab y voit un projet très stimulant pour son équipe et ses étudiants Son laboratoire s’intéresse particulièrement aux projets qui s’ancrent dans le développement du territoire dans une perspective de culture et de création On trouvait que c’était un projet fort intéressant à la fois pour nos étudiants mais aussi dans une perspective de recherche et de compréhension de comment on est en train de se réapproprier ces lieux de culte il se penche sur la forme que pourrait prendre le projet autant dans sa dimension pédagogique que sa dimension recherche des étudiants du Département de création et nouveaux médias seront intégrés au projet c’est d’associer les artistes locaux au projet Que ce soit quelque chose d’ancré dans l’Université mais qui est vraiment fait en collégialité avec le milieu culturel ou avec le milieu artistique Ça fait partie de nos réflexions On veut aussi tâter le pouls du côté des partenaires à Amos On va organiser des journées de brainstorming pour qu’on s’assure de travailler dans la même direction Le projet pourrait aussi proposer des contenus aux spectateurs à l’intérieur d’un spectacle son et lumière ou une projection architecturale Est-ce qu’on fait un contenu historique Est-ce qu’on s’intéresse aux différentes vagues de migration qu’il y a eu en région dans le coin d’Amos c’est des questions qu’on va se poser en concertation avec nos partenaires il faut juste circonscrire tout ça puis travailler dans le même sens avec nos partenaires Le projet pourrait se concrétiser aussi tôt qu’à l’hiver 2026 La cathédrale avait fait l’objet d’une mise en lumière et d’une projection architecturale intitulée Comme un battement d’Amos lors des fêtes du 100e Le projet a pour objectif de renforcer la présence de la cathédrale fraîchement restaurée dans le paysage urbain d’Amos et de souligner son importance touristique et culturelle La Ville d’Amos souhaite mettre en valeur la cathédrale Sainte-Thérèse-d’Avila par le biais d’un projet pouvant intégrer éclairages Le porte-parole du Comité de suivi de la construction de l'urgence, soins intensifs et bloc opératoire, François Lemire, croit que la pétition a permis de faire réaliser que l'Hôpital d'Amos est névralgique pour toute l'Abitibi-Témiscamingue. Tous n’étaient pas au courant. Disons qu’une personne a un cancer du poumon avec une masse à enlever, cette chirurgie là elle se fait à Amos, pas ailleurs. Peu importe que cette personne-là vienne de Val-d'Or, de Rouyn-Noranda ou du Témiscamingue. Cette prise de conscience là n'est pas assez présente, croit M. Lemire. La campagne a permis de sensibiliser les citoyens de la région et, toujours selon François Lemire, cette information va continuer de se transmettre. Ces dernières semaines, le maire de Malartic, Martin Ferron, a dû subir une intervention chirurgicale à l'Hôpital d'Amos. Il peut maintenant témoigner de la nécessité de faire les travaux. En entrant, je n'ai pas eu besoin de me faire expliquer. Je l'ai vu de mes yeux. Du duck tape pour sceller les entrées de portes et des murs pour garder des pressions positives, des tuyaux qui passent à travers parce que les systèmes sont trop désuets, des murs en plastique, c'était n'importe quoi, a constaté Martin Ferron. Malgré des infrastructures démontrant des problématiques apparentes, Martin Ferron assure avoir reçu des soins exceptionnels, de la part d’un personnel dédié. J'ai parlé avec des employés sur place. C'est troublant de voir le manque d'investissements dans notre région, surtout dans des soins de santé aussi critiques. De voir la désuétude et de voir ces gens-là qui tiennent à bout de bras, certains en avaient presque les larmes aux gens. Ils sont découragés de devoir opérer dans de telles conditions, poursuit le maire Ferron. Ce lundi 3 février, la députée d’Abitibi-Ouest Suzanne Blais apportera les signatures à Québec afin des les remettre à l’Assemblée nationale où le processus de validation suivra son cours. Par la suite, les pétitions en ligne et papier seront lues à l’Assemblée nationale et le gouvernement devra y donner suite dans les 45  jours, soit vers la mi-mars. On sait qu’il y a plusieurs autres projets dans la province, mais on s’est dit que le nôtre est prioritaire et qu’il fallait faire quelque chose de différent, que la population dise qu'elle tienne à ce service essentiel et c'est ce que la pétition permet de dire. Je m'attends que lors du prochain budget, ou peut-être même avant, qu'une annonce soit faite, espère François Lemire. Le comité note toutefois que le processus de signatures en ligne peut représenter un défi. La procédure utilisée par l'Assemblée nationale pour recueillir et accepter les pétitions était longue et il fallait demeurer attentif pour être certain de pouvoir enregistrer sa signature. Alors ça, c'est un un problème effectivement, de conclure M. Lemire. Journaliste à la radio de Radio-Canada en Abitibi-Témiscamingue, Lise Millette a décliné le métier sous toutes ses plateformes, écrit, radio et télévision. Elle a été auparavant journaliste à La Presse canadienne et présidente de la Fédération professionnelle des journalistes du Québec (FPJQ). Ouvrir en mode plein écranLe formulaire pour signer la pétition en ligne avait été lancé en novembre 2024. (Photo d'archives) Lise MillettePublié le 2 février à 13 h 47 HAEÉcouter l’article | 4 minutesLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale une technologie basée sur l’intelligence artificielle.La pétition pour agrandir l'urgence les soins intensifs et le bloc opératoire de l'Hôpital d'Amos a atteint son objectif de réunir 20 000 signatures Le porte-parole du Comité de suivi de la construction de l'urgence, soins intensifs et bloc opératoire, François Lemire, croit que la pétition a permis de faire réaliser que l'Hôpital d'Amos est névralgique pour toute l'Abitibi-Témiscamingue. Ouvrir en mode plein écranFrançois Lemire est porte-parole du Comité de suivi de la construction de l'urgence, soins intensifs et bloc opératoire. (Photo d'archives) Tous n’étaient pas au courant. Disons qu’une personne a un cancer du poumon avec une masse à enlever, cette chirurgie là elle se fait à Amos, pas ailleurs. Peu importe que cette personne-là vienne de Val-d'Or, de Rouyn-Noranda ou du Témiscamingue. Cette prise de conscience là n'est pas assez présente, croit M. Lemire. La campagne a permis de sensibiliser les citoyens de la région et, toujours selon François Lemire, cette information va continuer de se transmettre. Ces dernières semaines, le maire de Malartic, Martin Ferron, a dû subir une intervention chirurgicale à l'Hôpital d'Amos. Il peut maintenant témoigner de la nécessité de faire les travaux. En entrant, je n'ai pas eu besoin de me faire expliquer. Je l'ai vu de mes yeux. Du duck tape pour sceller les entrées de portes et des murs pour garder des pressions positives, des tuyaux qui passent à travers parce que les systèmes sont trop désuets, des murs en plastique, c'était n'importe quoi, a constaté Martin Ferron. Ouvrir en mode plein écranMartin Ferron, maire de Malartic, a récemment constaté l'état de départements visés par des projets de rénovations. (Photo d'archives) Malgré des infrastructures démontrant des problématiques apparentes, Martin Ferron assure avoir reçu des soins exceptionnels, de la part d’un personnel dédié. J'ai parlé avec des employés sur place. C'est troublant de voir le manque d'investissements dans notre région, surtout dans des soins de santé aussi critiques. De voir la désuétude et de voir ces gens-là qui tiennent à bout de bras, certains en avaient presque les larmes aux gens. Ils sont découragés de devoir opérer dans de telles conditions, poursuit le maire Ferron. Ce lundi 3 février, la députée d’Abitibi-Ouest Suzanne Blais apportera les signatures à Québec afin des les remettre à l’Assemblée nationale où le processus de validation suivra son cours. Par la suite, les pétitions en ligne et papier seront lues à l’Assemblée nationale et le gouvernement devra y donner suite dans les 45  jours, soit vers la mi-mars. On sait qu’il y a plusieurs autres projets dans la province, mais on s’est dit que le nôtre est prioritaire et qu’il fallait faire quelque chose de différent, que la population dise qu'elle tienne à ce service essentiel et c'est ce que la pétition permet de dire. Je m'attends que lors du prochain budget, ou peut-être même avant, qu'une annonce soit faite, espère François Lemire. Le comité note toutefois que le processus de signatures en ligne peut représenter un défi. La procédure utilisée par l'Assemblée nationale pour recueillir et accepter les pétitions était longue et il fallait demeurer attentif pour être certain de pouvoir enregistrer sa signature. Alors ça, c'est un un problème effectivement, de conclure M. Lemire. Le formulaire en ligne, lancé en novembre 2024 a permis d'amasser 16 199 signatures et 9750 signatures papier Le porte-parole du Comité de suivi de la construction de l'urgence croit que la pétition a permis de faire réaliser que l'Hôpital d'Amos est névralgique pour toute l'Abitibi-Témiscamingue Disons qu’une personne a un cancer du poumon avec une masse à enlever cette chirurgie là elle se fait à Amos Peu importe que cette personne-là vienne de Val-d'Or Cette prise de conscience là n'est pas assez présente La campagne a permis de sensibiliser les citoyens de la région et cette information va continuer de se transmettre a dû subir une intervention chirurgicale à l'Hôpital d'Amos Il peut maintenant témoigner de la nécessité de faire les travaux je n'ai pas eu besoin de me faire expliquer Du duck tape pour sceller les entrées de portes et des murs pour garder des pressions positives des tuyaux qui passent à travers parce que les systèmes sont trop désuets Malgré des infrastructures démontrant des problématiques apparentes Martin Ferron assure avoir reçu des soins exceptionnels de la part d’un personnel dédié J'ai parlé avec des employés sur place C'est troublant de voir le manque d'investissements dans notre région surtout dans des soins de santé aussi critiques De voir la désuétude et de voir ces gens-là qui tiennent à bout de bras certains en avaient presque les larmes aux gens Ils sont découragés de devoir opérer dans de telles conditions la députée d’Abitibi-Ouest Suzanne Blais apportera les signatures à Québec afin des les remettre à l’Assemblée nationale où le processus de validation suivra son cours les pétitions en ligne et papier seront lues à l’Assemblée nationale et le gouvernement devra y donner suite dans les 45  jours On sait qu’il y a plusieurs autres projets dans la province mais on s’est dit que le nôtre est prioritaire et qu’il fallait faire quelque chose de différent que la population dise qu'elle tienne à ce service essentiel et c'est ce que la pétition permet de dire Le comité note toutefois que le processus de signatures en ligne peut représenter un défi La procédure utilisée par l'Assemblée nationale pour recueillir et accepter les pétitions était longue et il fallait demeurer attentif pour être certain de pouvoir enregistrer sa signature Journaliste à la radio de Radio-Canada en Abitibi-Témiscamingue Lise Millette a décliné le métier sous toutes ses plateformes Elle a été auparavant journaliste à La Presse canadienne et présidente de la Fédération professionnelle des journalistes du Québec (FPJQ) Le formulaire en ligne, lancé en novembre 2024 les soins intensifs et le bloc opératoire de l'Hôpital d'Amos a atteint son objectif de réunir 20 000 signatures J’accepteAller au contenu principalAller au pied de pageAide à la navigationLa destination audio de Radio‑Canada RéglagesApparenceAutoClaireSombreCe paramètre vous permet de modifier le jeu de couleurs de l’interface Jeudi 19 décembre 2024Lancer l’écoute11 minVoir l’épisode completL’Accueil d’Amos lieu d’hébergement pour personnes itinérantes (Photo d’archives)PHOTO : Radio-Canada / Martin GuindonBien que l'itinérance semble moins visible à Amos l'organisme L’Accueil d’Amos souligne que les besoins sont néanmoins présents particulièrement durant cette période critique où plusieurs n'ont pas de lieu pour se réfugier La coordonnatrice clinique Mégane Perron explique que durant cette année on a augmenté nos capacités à neuf puisqu’à six on n’arrivait pas à répondre à la demande et ce mois-ci on a 14 différentes personnes qui utilisent nos lits dont quatre nouveaux noms qu’on n’avait jamais vus dans nos services Et dans la dernière fin de semaine de grand froid on a eu un total de 11 refus en trois jours le coût de la vie et le manque de soutien sont des facteurs aggravants La directrice générale de l’Accueil d’Amos regrette pour sa part la décision de Québec d’écarter l’Abitibi-Témiscamingue d’un programme de financement fédéral et provincial pour venir en aide aux itinérants L’Accueil d’Amos est une ressource en santé mentale dépendance et itinérance et le personnel est à la recherche d’un local on a augmenté nos capacités à neuf puisqu'à six on n'arrivait pas à répondre à la demande et ce mois-ci on a 14 différentes personnes qui utilisent nos lits dont quatre nouveaux noms qu'on n'avait jamais vus dans nos services on a eu un total de 11 refus en trois jours regrette pour sa part la décision de Québec d'écarter l'Abitibi-Témiscamingue d'un programme de financement fédéral et provincial pour venir en aide aux itinérants L'Accueil d'Amos est une ressource en santé mentale dépendance et itinérance et le personnel est à la recherche d'un local Bien que l'itinérance semble moins visible à Amos l'organisme L’Accueil d’Amos souligne que les besoins sont néanmoins présents particulièrement durant cette période critique où plusieurs n'ont pas de lieu pour se réfugier Comme chaque année, l’accent est mis sur les activités familiales. Les adultes doivent se procurer un porte-clés au coût de 5 $ auprès de la Coop IGA pour accéder au site, alors que c’est gratuit pour les enfants. La Magie des neiges, c’est une fête familiale, alors on invite toutes les familles à venir participer. Nous, on crée l’attrait chez les enfants et ils adorent cette fête, affirme Guillaume Morasse, président du comité organisateur. Balades en traîneau à chien, traîneau à cheval, train magique et snowmobile sont au programme. Les enfants pourront aussi s'adonner à des jeux extérieurs, se faire maquiller et participer au bingo sous le chapiteau. Le gros attrait de la Magie, c'est les glissades. Les enfants adorent glisser. C'est une petite émotion d'une couple de secondes, mais les enfants trippent tous là-dessus. L’événement requiert l’implication d’une centaine de bénévoles, dont les membres du Club Optimiste. Il s’agit de la principale activité de financement pour l’organisme qui s'implique auprès de la jeunesse. Les joueurs de l'équipe de hockey des Forestiers M18 AAA d’Amos agiront par ailleurs comme bénévoles dans la journée du dimanche. Promutuel Assurances Boréales est le présentateur officiel de la Magie des neiges Optimiste. La Ville d’Amos s’implique quant à elle en temps et en argent, notamment dans l'aménagement des glissades géantes. C'est un festival familial, une belle fête annuelle bien organisée avec des bénévoles en or. Moi, j'invite la population à participer. J'invite la population de la région à venir découvrir la ville d'Amos. Il y a tellement de neige cette année que les glissades vont être super belles, estime le maire Sébastien D’Astous. Chaque année, la Magie des neiges Optimiste accueille environ 5000 festivaliers. Les glissades sur neige géantes sont toujours très prisées par les enfants. Martin GuindonPublié le 5 février à 15 h 58 HAEÉcouter l’article | 3 minutesLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale, une technologie basée sur l’intelligence artificielle.La Magie des neiges Optimiste est de retour pour une 29e année à Amos. Le festival d’hiver aura lieu du 21 au 23 février prochain en plein cœur de la ville. La programmation de l’événement annuel a été dévoilée mercredi. La parade et les feux d’artifice ouvriront les festivités le vendredi soir, au centre-ville puis à l’agora naturelle. Comme chaque année, l’accent est mis sur les activités familiales. Les adultes doivent se procurer un porte-clés au coût de 5 $ auprès de la Coop IGA pour accéder au site, alors que c’est gratuit pour les enfants. La Magie des neiges, c’est une fête familiale, alors on invite toutes les familles à venir participer. Nous, on crée l’attrait chez les enfants et ils adorent cette fête, affirme Guillaume Morasse, président du comité organisateur. Balades en traîneau à chien, traîneau à cheval, train magique et snowmobile sont au programme. Les enfants pourront aussi s'adonner à des jeux extérieurs, se faire maquiller et participer au bingo sous le chapiteau. Le gros attrait de la Magie, c'est les glissades. Les enfants adorent glisser. C'est une petite émotion d'une couple de secondes, mais les enfants trippent tous là-dessus. L’événement requiert l’implication d’une centaine de bénévoles, dont les membres du Club Optimiste. Il s’agit de la principale activité de financement pour l’organisme qui s'implique auprès de la jeunesse. Les joueurs de l'équipe de hockey des Forestiers M18 AAA d’Amos agiront par ailleurs comme bénévoles dans la journée du dimanche. Promutuel Assurances Boréales est le présentateur officiel de la Magie des neiges Optimiste. La Ville d’Amos s’implique quant à elle en temps et en argent, notamment dans l'aménagement des glissades géantes. C'est un festival familial, une belle fête annuelle bien organisée avec des bénévoles en or. Moi, j'invite la population à participer. J'invite la population de la région à venir découvrir la ville d'Amos. Il y a tellement de neige cette année que les glissades vont être super belles, estime le maire Sébastien D’Astous. Chaque année, la Magie des neiges Optimiste accueille environ 5000 festivaliers. La programmation de l’événement annuel a été dévoilée mercredi La parade et les feux d’artifice ouvriront les festivités le vendredi soir au centre-ville puis à l’agora naturelle l’accent est mis sur les activités familiales Les adultes doivent se procurer un porte-clés au coût de 5 $ auprès de la Coop IGA pour accéder au site alors que c’est gratuit pour les enfants alors on invite toutes les familles à venir participer on crée l’attrait chez les enfants et ils adorent cette fête président du comité organisateur train magique et snowmobile sont au programme Les enfants pourront aussi s'adonner à des jeux extérieurs se faire maquiller et participer au bingo sous le chapiteau C'est une petite émotion d'une couple de secondes mais les enfants trippent tous là-dessus L’événement requiert l’implication d’une centaine de bénévoles Il s’agit de la principale activité de financement pour l’organisme qui s'implique auprès de la jeunesse Les joueurs de l'équipe de hockey des Forestiers M18 AAA d’Amos agiront par ailleurs comme bénévoles dans la journée du dimanche Promutuel Assurances Boréales est le présentateur officiel de la Magie des neiges Optimiste La Ville d’Amos s’implique quant à elle en temps et en argent notamment dans l'aménagement des glissades géantes une belle fête annuelle bien organisée avec des bénévoles en or J'invite la population de la région à venir découvrir la ville d'Amos Il y a tellement de neige cette année que les glissades vont être super belles estime le maire Sébastien D’Astous la Magie des neiges Optimiste accueille environ 5000 festivaliers La Magie des neiges Optimiste est de retour pour une 29e année à Amos Le festival d’hiver aura lieu du 21 au 23 février prochain en plein cœur de la ville C’est ce travail qui se fait depuis plusieurs mois La Ville d’Amos souhaite maintenant effectuer une étude de préfaisabilité avant de reprendre le bâtiment Le gouvernement nous a octroyé un montant de 50 000 $ pour faire une analyse parce qu'on s'entend que les plans de l'Espace bleu Lors de la séance régulière du conseil municipal un mandat a été donné à la firme d’architectes ARTCAD Celle-ci devrait déterminer les travaux à réaliser pour réhabiliter le bâtiment C’est que dans la préparation de ce qui allait devenir un Espace bleu planchers et plafonds ont été retirés On veut voir comment on peut réaménager le Vieux-Palais à moindre coût avec l'aide du gouvernement au niveau financier pour qu'on puisse récupérer le bâtiment mais que ça ne devienne pas un bâtiment qui nous coûte trop cher à opérer pour les prochaines années explique le maire Sébastien D’Astous que la Ville s’est entendue avec Québec sur une enveloppe budgétaire pour réaménager les lieux en un espace culturel et de loisirs adapté à ses besoins Le maire D’Astous n’a toutefois pas voulu se prononcer sur la somme convenue Mais l’étude commandée vise justement à s’assurer que l’enveloppe sera respectée La dernière chose qu’il souhaite c’est que la Ville se retrouve avec un éléphant blanc entre les mains Ce qu’on veut dire à la population c’est que ça continue d'avancer puis qu'on a une belle ouverture du gouvernement on est responsables dans nos décisions On ne reprendra pas le Vieux-Palais si c'est pour coûter de l'argent en surplus aux citoyens d'Amos On est aussi conscients que c'est un bâtiment dont on a besoin qu'on veut valoriser et qu'on pourra utiliser pour le culturel Il y a une semaine, Radio-Canada a révélé que Québec a déboursé 2,5 M$ au cours de la dernière année pour dédommager les partenaires de son projet des Espaces bleus. Ouvrir en mode plein écranLa Ville d'Amos veut récupérer l'édifice patrimonial du Vieux-Palais d'Amos. (Photo d'archives) Martin GuindonPublié le 18 avril à 9 h 36 HAEÉcouter l’article | 4 minutesLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale une technologie basée sur l’intelligence artificielle.La Ville d’Amos poursuit ses démarches avec Québec pour récupérer le Vieux-Palais L’édifice patrimonial devait accueillir l’Espace bleu de l’Abitibi-Témiscamingue Ouvrir en mode plein écranSébastien D'Astous lors de l'annonce en 2023 du projet d’agrandissement au Vieux-Palais C’est ce travail qui se fait depuis plusieurs mois La Ville d’Amos souhaite maintenant effectuer une étude de préfaisabilité avant de reprendre le bâtiment Le gouvernement nous a octroyé un montant de 50 000 $ pour faire une analyse parce qu'on s'entend que les plans de l'Espace bleu Lors de la séance régulière du conseil municipal un mandat a été donné à la firme d’architectes ARTCAD Celle-ci devrait déterminer les travaux à réaliser pour réhabiliter le bâtiment C’est que dans la préparation de ce qui allait devenir un Espace bleu On veut voir comment on peut réaménager le Vieux-Palais à moindre coût mais que ça ne devienne pas un bâtiment qui nous coûte trop cher à opérer pour les prochaines années que la Ville s’est entendue avec Québec sur une enveloppe budgétaire pour réaménager les lieux en un espace culturel et de loisirs adapté à ses besoins Ouvrir en mode plein écranVue intérieure du Vieux-Palais en travaux Le maire D’Astous n’a toutefois pas voulu se prononcer sur la somme convenue Mais l’étude commandée vise justement à s’assurer que l’enveloppe sera respectée c’est que la Ville se retrouve avec un éléphant blanc entre les mains On ne reprendra pas le Vieux-Palais si c'est pour coûter de l'argent en surplus aux citoyens d'Amos On est aussi conscients que c'est un bâtiment dont on a besoin Il y a une semaine, Radio-Canada a révélé que Québec a déboursé 2,5 M$ au cours de la dernière année pour dédommager les partenaires de son projet des Espaces bleus Il y a une semaine, Radio-Canada a révélé que Québec a déboursé 2,5 M$ au cours de la dernière année pour dédommager les partenaires de son projet des Espaces bleus La Ville d’Amos poursuit ses démarches avec Québec pour récupérer le Vieux-Palais avant que Québec n'abandonne le projet François Lemire croit que la mobilisation des citoyens contribuera à augmenter la pression sur le gouvernement. Il espère que cette pression additionnelle encouragera Québec à débloquer les fonds au plus rapidement. Le projet est déjà soutenu par les trois députés caquistes ainsi que les cinq préfets des MRC de la région. Le Centre intégré de santé et de services sociaux de l’Abitibi-Témiscamingue juge aussi prioritaire le projet d’agrandissement. Si la population signe la pétition, elle démontre son droit à maintenir la qualité des services de santé que nous avons ici actuellement. Il est excessivement important que chacun d'entre nous aille signer pour démontrer ce droit-là. Et c'est important que le gouvernement affecte au plus tôt les sommes nécessaires, analyse-t-il. Le bloc opératoire d'Amos est l'un des plus importants en termes de spécialités. Il y a plus de 50 % des chirurgies de la région qui se font ici compte tenu des spécialités qui sont dispensées. La pétition a été lancée en ligne sur le site de l’Assemblée nationale. Il est possible de la signer jusqu’au 31 janvier 2025. Annoncé en 2019, le projet vise à agrandir la salle d’urgence et les soins intensifs ainsi qu’à construire un bloc opératoire au-dessus de ce nouvel espace. Avec les informations de Jean-Michel Cotnoir Gabriel Poirier est bachelier en histoire de l'Université de Montréal. Il exerce le journalisme en Abitibi-Témiscamingue, sa région natale, où il couvre une gamme de sujets variés depuis septembre 2022. Ouvrir en mode plein écranLes médecins de famille assurent plusieurs services de santé et de suivis dans les hôpitaux de l'Abitibi-Témiscamingue. (Photo d'archives) Les médecins en place, en particulier les chirurgiens, ils sont comme tout le monde. Ils sont vieillissants. Ils vont prendre leur retraite dans un délai de cinq à huit ans selon nous. Si ça prend de trois à cinq ans pour construire, comment va-t-on recruter de nouveaux chirurgiens, qui, eux, sont sollicités de toute part pour aller travailler dans des endroits beaucoup plus modernes?, alerte le porte-parole du Comité de suivi de construction de l’urgence, soins intensifs et bloc opératoire. François Lemire croit que la mobilisation des citoyens contribuera à augmenter la pression sur le gouvernement. Il espère que cette pression additionnelle encouragera Québec à débloquer les fonds au plus rapidement. Le projet est déjà soutenu par les trois députés caquistes ainsi que les cinq préfets des MRC de la région. Le Centre intégré de santé et de services sociaux de l’Abitibi-Témiscamingue juge aussi prioritaire le projet d’agrandissement. Si la population signe la pétition, elle démontre son droit à maintenir la qualité des services de santé que nous avons ici actuellement. Il est excessivement important que chacun d'entre nous aille signer pour démontrer ce droit-là. Et c'est important que le gouvernement affecte au plus tôt les sommes nécessaires, analyse-t-il. Le bloc opératoire d'Amos est l'un des plus importants en termes de spécialités. Il y a plus de 50 % des chirurgies de la région qui se font ici compte tenu des spécialités qui sont dispensées. La pétition a été lancée en ligne sur le site de l’Assemblée nationale. Il est possible de la signer jusqu’au 31 janvier 2025. Annoncé en 2019, le projet vise à agrandir la salle d’urgence et les soins intensifs ainsi qu’à construire un bloc opératoire au-dessus de ce nouvel espace. Ils vont prendre leur retraite dans un délai de cinq à huit ans selon nous Si ça prend de trois à cinq ans pour construire comment va-t-on recruter de nouveaux chirurgiens sont sollicités de toute part pour aller travailler dans des endroits beaucoup plus modernes? alerte le porte-parole du Comité de suivi de construction de l’urgence François Lemire croit que la mobilisation des citoyens contribuera à augmenter la pression sur le gouvernement Il espère que cette pression additionnelle encouragera Québec à débloquer les fonds au plus rapidement Le projet est déjà soutenu par les trois députés caquistes ainsi que les cinq préfets des MRC de la région Le Centre intégré de santé et de services sociaux de l’Abitibi-Témiscamingue juge aussi prioritaire le projet d’agrandissement elle démontre son droit à maintenir la qualité des services de santé que nous avons ici actuellement Il est excessivement important que chacun d'entre nous aille signer pour démontrer ce droit-là Et c'est important que le gouvernement affecte au plus tôt les sommes nécessaires Le bloc opératoire d'Amos est l'un des plus importants en termes de spécialités Il y a plus de 50 % des chirurgies de la région qui se font ici compte tenu des spécialités qui sont dispensées La pétition a été lancée en ligne sur le site de l’Assemblée nationale Il est possible de la signer jusqu’au 31 janvier 2025 le projet vise à agrandir la salle d’urgence et les soins intensifs ainsi qu’à construire un bloc opératoire au-dessus de ce nouvel espace Gabriel Poirier est bachelier en histoire de l'Université de Montréal Il exerce le journalisme en Abitibi-Témiscamingue où il couvre une gamme de sujets variés depuis septembre 2022 Le Comité de suivi lance une pétition pour pousser le gouvernement du Québec à agrandir « au plus tôt » l’urgence les soins intensifs et le bloc opératoire de l’Hôpital d’Amos sont jugés nécessaires par les instigateurs pour maintenir la qualité des soins en Abitibi-Témiscamingue dossiers en 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reste que c’est un bon signe pour notre économie année du permis de construire pour le nouvel établissement de détention pour voir un plus haut niveau d’investissement Après avoir connu une année record en 2023 le secteur résidentiel est le seul qui a connu un ralentissement Ses 12,3 M$ sont toutefois dans la moyenne des cinq dernières années c’est qu’on a construit seulement 40 unités de logement ce qui est à mon avis trop peu pour les besoins qu’on a déplore Sébastien D’Astous Mais le maire d’Amos a toutefois bon espoir de voir la situation s’améliorer cette année On s'est activé extrêmement fort dans les dernières années pour développer des terrains des terrains qui nous permettent de construire différents types d’édifices Je pense que 2025 va être une excellente année On est prêt là pour stimuler la construction résidentielle Martin GuindonPublié le 5 février à 18 h 40 HAEÉcouter l’article | 4 minutesLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale une technologie basée sur l’intelligence artificielle.La Ville d’Amos vient de connaître sa meilleure année en 10 ans au niveau des investissements dans la construction ce sont près de 49 M$ qui ont été investis Le secteur industriel a vu ses investissements doubler pour atteindre 2,2 M$ alors que ceux dans le secteur institutionnel s’élèvent à 17,4 M$ C’est notamment grâce aux 11 M$ investis par le Centre de services scolaire Harricana dans ses édifices C’est positif de voir qu'il y a autant d'investissements qui se font Il faut faire attention quand on compare les données 2024 avec 2023 mais quand on regarde sur plusieurs années c’est quand même notre meilleure année en investissements dans les 10 dernières années Le nouveau bâtiment abritant Amos Toyota sur la route 111 représente à lui seul un investissement de 10 M$ Ça vient jouer dans la balance et ça ne prend parfois qu’un gros projet dans une année pour faire balancer les statistiques mais ça reste que c’est un bon signe pour notre économie année du permis de construire pour le nouvel établissement de détention pour voir un plus haut niveau d’investissement le secteur résidentiel est le seul qui a connu un ralentissement Ses 12,3 M$ sont toutefois dans la moyenne des cinq dernières années c’est qu’on a construit seulement 40 unités de logement ce qui est à mon avis trop peu pour les besoins qu’on a Mais le maire d’Amos a toutefois bon espoir de voir la situation s’améliorer cette année On s'est activé extrêmement fort dans les dernières années pour développer des terrains des terrains qui nous permettent de construire différents types d’édifices Je pense que 2025 va être une excellente année On est prêt là pour stimuler la construction résidentielle Après avoir connu une année record en 2023 La Ville d’Amos vient de connaître sa meilleure année en 10 ans au niveau des investissements dans la construction ce sont près de 49 M$ qui ont été investis une hausse de 46 % sur l’année précédente La motion se lisait comme suit : Que l’Assemblée nationale demande au gouvernement de s’engager à réaliser l’agrandissement de la salle d’urgence, des soins intensifs ainsi que la construction d’un bloc opératoire à l’Hôpital d’Amos avant la fin de la présente législature. Le porte-parole du PQ en matière de santé et de services sociaux s’indigne de ce rejet, d’autant plus, dit-il, que les trois députés de la CAQ dans la région sont en faveur du projet. Selon lui, en rejetant ainsi sa motion, le gouvernement refuse de s’engager à commencer les travaux avant la fin 2026. Nous, on trouve que c’est beaucoup trop loin et beaucoup trop long, c’est décevant. Il affirme qu’il faut agir rapidement pour doter la région d’infrastructures modernes pour assurer un niveau de service de qualité en Abitibi-Témiscamingue et favoriser la rétention du personnel. Du côté de la députation régionale, on assure que le projet majeur de réfection de l’Hôpital d’Amos demeure une priorité. Dans une déclaration écrite, la députée d’Abitibi-Ouest, Suzanne Blais, précise que la motion du Parti québécois a été rejetée en raison de son libellé. La Coalition avenir Québec aurait proposé un amendement selon lequel le gouvernement se serait engagé à réaliser le projet aussi rapidement que possible. Plutôt que d’accepter notre amendement, la formation politique de M. Arseneau a préféré faire de la politique partisane avec ça. Pour nous, je le répète, l’Hôpital d’Amos est une priorité et je continue à travailler sur le dossier. Le député d’Abitibi-Est, Pierre Dufour, abonde dans le même sens. Le travail se fait en ce moment pour que le projet soit inscrit au Programme québécois d’infrastructures dans le prochain budget. M. Dufour rappelle que la pétition en faveur du projet qui se termine vendredi a récolté plus de 16 000 signatures en ligne. Elle sera déposée à l’Assemblée nationale par Suzanne Blais dans les prochaines semaines. En dépit des explications de la CAQ, Jean-Sébastien Blais, président du Syndicat interprofessionnel en soins de santé de l’Abitibi-Témiscamingue, affilié à la FIQ, partage la déception de Joël Arseneau. Il a l’impression que le gouvernement ne veut pas se mouiller dans ce dossier qui est pourtant bien avancé. Ouvrir en mode plein écranJoël Arseneau du Parti québécois n'a pas réussi à faire passer sa motion à l'Assemblée nationale en faveur de l'agrandissement de l'Hôpital d'Amos. (Photo d'archives) Photo : Radio-Canada / Sylvain Roy Roussel Martin GuindonPublié le 30 janvier à 19 h 02 HAEÉcouter l’article | 5 minutesLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale, une technologie basée sur l’intelligence artificielle.Le Parti québécois (PQ) affirme que le gouvernement caquiste a refusé jeudi matin de s’engager à réaliser l’agrandissement de l’Hôpital d’Amos avant la fin du présent mandat. De son côté, la députation régionale assure que le projet de réfection est toujours une priorité. Le député péquiste Joël Arseneau a voulu déposer une motion en ce sens, mais la Coalition avenir Québec (CAQ) a tout simplement refusé d’en débattre à l’Assemblée nationale. La motion se lisait comme suit : Que l’Assemblée nationale demande au gouvernement de s’engager à réaliser l’agrandissement de la salle d’urgence, des soins intensifs ainsi que la construction d’un bloc opératoire à l’Hôpital d’Amos avant la fin de la présente législature. Le porte-parole du PQ en matière de santé et de services sociaux s’indigne de ce rejet, d’autant plus, dit-il, que les trois députés de la CAQ dans la région sont en faveur du projet. Selon lui, en rejetant ainsi sa motion, le gouvernement refuse de s’engager à commencer les travaux avant la fin 2026. Nous, on trouve que c’est beaucoup trop loin et beaucoup trop long, c’est décevant. Il affirme qu’il faut agir rapidement pour doter la région d’infrastructures modernes pour assurer un niveau de service de qualité en Abitibi-Témiscamingue et favoriser la rétention du personnel. Du côté de la députation régionale, on assure que le projet majeur de réfection de l’Hôpital d’Amos demeure une priorité. Dans une déclaration écrite, la députée d’Abitibi-Ouest, Suzanne Blais, précise que la motion du Parti québécois a été rejetée en raison de son libellé. Ouvrir en mode plein écranLa députée d'Abitibi-Ouest Suzanne Blais. (Photo d'archives) Photo : Radio-Canada / Martin Guindon (Photo d'archives) La Coalition avenir Québec aurait proposé un amendement selon lequel le gouvernement se serait engagé à réaliser le projet aussi rapidement que possible. Plutôt que d’accepter notre amendement, la formation politique de M. Arseneau a préféré faire de la politique partisane avec ça. Pour nous, je le répète, l’Hôpital d’Amos est une priorité et je continue à travailler sur le dossier. Le député d’Abitibi-Est, Pierre Dufour, abonde dans le même sens. Le travail se fait en ce moment pour que le projet soit inscrit au Programme québécois d’infrastructures dans le prochain budget. On est dans nos consultations avec le ministre des Finances. Les députés peuvent identifier quels sont les projets majeurs pour leur territoire et naturellement, le projet de l'Hôpital d'Amos, avec la réfection du bloc opératoire et de la salle d'urgence, est priorisé lorsqu'on discute avec notre ministre des Finances. L’écoute est bonne du côté du ministre des Finances et aussi du côté de notre ministre de la Santé, souligne-t-il. M. Dufour rappelle que la pétition en faveur du projet qui se termine vendredi a récolté plus de 16 000 signatures en ligne. Elle sera déposée à l’Assemblée nationale par Suzanne Blais dans les prochaines semaines. En dépit des explications de la CAQ, Jean-Sébastien Blais, président du Syndicat interprofessionnel en soins de santé de l’Abitibi-Témiscamingue, affilié à la FIQ, partage la déception de Joël Arseneau. Il a l’impression que le gouvernement ne veut pas se mouiller dans ce dossier qui est pourtant bien avancé. Ouvrir en mode plein écranJean-Sébastien Blais, président de la Fédération interprofessionnelle de la santé du Québec en Abitibi-Témiscamingue. (Photo d'archives) Photo : Radio-Canada / Marc-Olivier Thibault Le député péquiste Joël Arseneau a voulu déposer une motion en ce sens mais la Coalition avenir Québec (CAQ) a tout simplement refusé d’en débattre à l’Assemblée nationale La motion se lisait comme suit : Que l’Assemblée nationale demande au gouvernement de s’engager à réaliser l’agrandissement de la salle d’urgence des soins intensifs ainsi que la construction d’un bloc opératoire à l’Hôpital d’Amos avant la fin de la présente législature Le porte-parole du PQ en matière de santé et de services sociaux s’indigne de ce rejet que les trois députés de la CAQ dans la région sont en faveur du projet Le gouvernement aujourd'hui a signifié qu'il n'était pas d'accord avec la proposition du Parti québécois que le gouvernement aille de l'avant avec ce projet-là d'ici la fin du mandat ce qui nous a évidemment renversés Les engagements électoraux sont formels le plan d'affaires est complété et les gens de la région attendent depuis des mois que le gouvernement prenne une décision pour laquelle il a un document sur la table du Conseil des ministres depuis au moins 6 à 8 mois le gouvernement refuse de s’engager à commencer les travaux avant la fin 2026 on trouve que c’est beaucoup trop loin et beaucoup trop long Il affirme qu’il faut agir rapidement pour doter la région d’infrastructures modernes pour assurer un niveau de service de qualité en Abitibi-Témiscamingue et favoriser la rétention du personnel Du côté de la députation régionale on assure que le projet majeur de réfection de l’Hôpital d’Amos demeure une priorité la députée d’Abitibi-Ouest précise que la motion du Parti québécois a été rejetée en raison de son libellé La Coalition avenir Québec aurait proposé un amendement selon lequel le gouvernement se serait engagé à réaliser le projet aussi rapidement que possible Plutôt que d’accepter notre amendement la formation politique de M. Arseneau a préféré faire de la politique partisane avec ça l’Hôpital d’Amos est une priorité et je continue à travailler sur le dossier Le travail se fait en ce moment pour que le projet soit inscrit au Programme québécois d’infrastructures dans le prochain budget On est dans nos consultations avec le ministre des Finances Les députés peuvent identifier quels sont les projets majeurs pour leur territoire et naturellement avec la réfection du bloc opératoire et de la salle d'urgence est priorisé lorsqu'on discute avec notre ministre des Finances L’écoute est bonne du côté du ministre des Finances et aussi du côté de notre ministre de la Santé M. Dufour rappelle que la pétition en faveur du projet qui se termine vendredi a récolté plus de 16 000 signatures en ligne Elle sera déposée à l’Assemblée nationale par Suzanne Blais dans les prochaines semaines président du Syndicat interprofessionnel en soins de santé de l’Abitibi-Témiscamingue partage la déception de Joël Arseneau Il a l’impression que le gouvernement ne veut pas se mouiller dans ce dossier qui est pourtant bien avancé je pense qu’au-delà de la sémantique et du choix des mots dans une motion c’est important pour un gouvernement de se montrer comme étant un leader et de s’assurer que ses promesses seront tenues S’il y avait des enjeux avec la proposition qui a été apportée aujourd’hui on espère voir nos députés de la région réagir et apporter une motion qui pourra être acceptée pour démontrer leur bon vouloir dans ce dossier-là parce qu’on ne le sent pas au-delà de la pétition Le Parti québécois (PQ) affirme que le gouvernement caquiste a refusé jeudi matin de s’engager à réaliser l’agrandissement de l’Hôpital d’Amos avant la fin du présent mandat la députation régionale assure que le projet de réfection est toujours une priorité L’unité de dégivrage est installée sur une nacelle. C’est ce qui lui permettra de dégivrer les plus gros appareils. Sur les avions King Air, les ailes sont facilement accessibles pour un pilote. Il n’a besoin que d’un petit escabeau. Mais avec un Dash 8, c’est trop haut. Ça prend une nacelle pour faire ça, parce que c’est le dessus de la carlingue et des ailes qui doit être arrosé, précise Mario Grenier, gestionnaire des projets spéciaux à la Ville d’Amos. Puisque l’aéroport est aménagé sur l’esker Saint-Mathieu-Berry, qui est la source d’eau potable de la Ville d’Amos, il a aussi fallu implanter un système innovant pour récupérer le glycol utilisé pour dégivrer les ailes. Celui-ci sera d’ailleurs retourné au fabricant pour qu’il puisse le recycler. Une attention particulière a été portée à cet aspect. Des chercheurs de l’Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue ont d’ailleurs été mandatés pour produire un avis technique qui a mené à la construction de la dalle de béton étanche avec système de récupération. C'était de trouver une façon qui nous permette de récupérer le plus de glycol possible. La méthode qu'on a, avec le site de dégivrage comme tel, c’est qu’il ne devrait pas rester de glycol résiduel. Tout est vraiment canalisé et récupéré, assure M. Grenier. On développe l’aéroport, mais on le fait en phase avec l’environnement. On est soucieux de récupérer le maximum de glycol et en même temps, on peut sécuriser les vols durant les quatre saisons de l’année. En janvier, une nouvelle station météo transmettra quant à elle des informations essentielles aux pilotes par la voie des ondes, mais aussi par Internet. Elle les aidera à l’atterrissage et dans la préparation de leurs plans de vol. Quant au groupe électrogène, il s’agit d’un équipement mobile sur lequel les avions pourront se brancher l’hiver pour économiser leurs batteries au démarrage des moteurs ou pour garder l’habitacle chaud. La Ville d'Amos a agrandi son garage pour accueillir les nouveaux équipements. Elle procède aussi au remplacement des clôtures de son périmètre, en y ajoutant des entrées électriques, pour mieux contrôler l’accès au tarmac. La clôture n’était plus en très bon état. Ça faisait en sorte qu’il y avait des animaux qui venaient sur la piste. Donc, on vient réduire les risques de collision avec des animaux. On veut s’assurer qu’il n’y ait pas un orignal qui vienne traverser la piste, précise Mario Grenier. Tous ces investissements réjouissent Claude Balleux, président de la Chambre de commerce et d'industrie d’Amos-Harricana. Traditionnellement, les infrastructures de transport dans le développement économique, ça a toujours fait partie des atouts dont une collectivité doit se doter. Alors de voir que la Ville d’Amos s'équipe pour être en service 12 mois par année, c'est une excellente nouvelle. Ça donne de belles opportunités, croit-il. Lors de sa présentation mercredi, le maire Sébastien D’Astous a rappelé que l’aéroport Magny reçoit plus de 2500 vols par année, frôlant même les 3000 vols pour la dernière année. Il espère que les nouveaux services, dont certains sont payants comme le dégivrage et l’utilisation du groupe électrogène, rapporteront de nouveaux revenus. La Ville d’Amos est confrontée à un déficit annuel de plus de 275 000 dollars pour son aéroport municipal. Des discussions sont en cours avec le ministère des Transports et de la Mobilité durable pour réduire ce déficit annuel. C’est nous qui avons pris la décision un jour qu’on voulait avoir ce service à Amos. Des gens ont de petits avions privés. C’est un luxe. Mais la particularité qu’on a à Amos, c’est qu’on a tout le côté institutionnel qui nous demande plus d’heures d’ouverture, le transport des bagages, etc. C’est une pression supplémentaire sur les coûts d’exploitation, rappelle M. D’Astous. Martin GuindonPublié le 18 décembre 2024 à 18 h 08 HAEÉcouter l’article | 5 minutesLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale, une technologie basée sur l’intelligence artificielle.La Ville d’Amos a inauguré mercredi de nouvelles installations à l'aéroport Magny. Ces investissements de 2,5 millions de dollars, dont 60 % sont assumés par Québec, ont pour but d’améliorer les services et d’assurer la pérennité de l’aéroport municipal d’Amos. L’ajout d’une nouvelle unité de dégivrage, d’une station météorologique et d’un groupe électrogène permettra dorénavant aux avions de type Dash 8 et Challenger d’atterrir l’hiver. On ne se le cachera pas, l’institutionnel est très présent à notre aéroport. Que ce soit la prison régionale, que ce soit la cour itinérante, que ce soit le centre de traumatologie via l'avion-ambulance, ce sont tous des services qu'on devrait offrir à l'année. Mais parfois, ces avions ne pouvaient pas atterrir à Amos. Là, on va l’offrir à l’année et c’est un service à la population, affirme le maire Sébastien D’Astous. L’unité de dégivrage est installée sur une nacelle. C’est ce qui lui permettra de dégivrer les plus gros appareils. Sur les avions King Air, les ailes sont facilement accessibles pour un pilote. Il n’a besoin que d’un petit escabeau. Mais avec un Dash 8, c’est trop haut. Ça prend une nacelle pour faire ça, parce que c’est le dessus de la carlingue et des ailes qui doit être arrosé, précise Mario Grenier, gestionnaire des projets spéciaux à la Ville d’Amos. Puisque l’aéroport est aménagé sur l’esker Saint-Mathieu-Berry, qui est la source d’eau potable de la Ville d’Amos, il a aussi fallu implanter un système innovant pour récupérer le glycol utilisé pour dégivrer les ailes. Celui-ci sera d’ailleurs retourné au fabricant pour qu’il puisse le recycler. Une attention particulière a été portée à cet aspect. Des chercheurs de l’Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue ont d’ailleurs été mandatés pour produire un avis technique qui a mené à la construction de la dalle de béton étanche avec système de récupération. C'était de trouver une façon qui nous permette de récupérer le plus de glycol possible. La méthode qu'on a, avec le site de dégivrage comme tel, c’est qu’il ne devrait pas rester de glycol résiduel. Tout est vraiment canalisé et récupéré, assure M. Grenier. On développe l’aéroport, mais on le fait en phase avec l’environnement. On est soucieux de récupérer le maximum de glycol et en même temps, on peut sécuriser les vols durant les quatre saisons de l’année. En janvier, une nouvelle station météo transmettra quant à elle des informations essentielles aux pilotes par la voie des ondes, mais aussi par Internet. Elle les aidera à l’atterrissage et dans la préparation de leurs plans de vol. Quant au groupe électrogène, il s’agit d’un équipement mobile sur lequel les avions pourront se brancher l’hiver pour économiser leurs batteries au démarrage des moteurs ou pour garder l’habitacle chaud. Le maire Sébastien D'Astous et Mario Grenier, gestionnaire de projets spéciaux à la Ville d'Amos. La Ville d'Amos a agrandi son garage pour accueillir les nouveaux équipements. Elle procède aussi au remplacement des clôtures de son périmètre, en y ajoutant des entrées électriques, pour mieux contrôler l’accès au tarmac. La clôture n’était plus en très bon état. Ça faisait en sorte qu’il y avait des animaux qui venaient sur la piste. Donc, on vient réduire les risques de collision avec des animaux. On veut s’assurer qu’il n’y ait pas un orignal qui vienne traverser la piste, précise Mario Grenier. Tous ces investissements réjouissent Claude Balleux, président de la Chambre de commerce et d'industrie d’Amos-Harricana. Traditionnellement, les infrastructures de transport dans le développement économique, ça a toujours fait partie des atouts dont une collectivité doit se doter. Alors de voir que la Ville d’Amos s'équipe pour être en service 12 mois par année, c'est une excellente nouvelle. Ça donne de belles opportunités, croit-il. Lors de sa présentation mercredi, le maire Sébastien D’Astous a rappelé que l’aéroport Magny reçoit plus de 2500 vols par année, frôlant même les 3000 vols pour la dernière année. Il espère que les nouveaux services, dont certains sont payants comme le dégivrage et l’utilisation du groupe électrogène, rapporteront de nouveaux revenus. La Ville d’Amos est confrontée à un déficit annuel de plus de 275 000 dollars pour son aéroport municipal. Des discussions sont en cours avec le ministère des Transports et de la Mobilité durable pour réduire ce déficit annuel. C’est nous qui avons pris la décision un jour qu’on voulait avoir ce service à Amos. Des gens ont de petits avions privés. C’est un luxe. Mais la particularité qu’on a à Amos, c’est qu’on a tout le côté institutionnel qui nous demande plus d’heures d’ouverture, le transport des bagages, etc. C’est une pression supplémentaire sur les coûts d’exploitation, rappelle M. D’Astous. L’ajout d’une nouvelle unité de dégivrage d’une station météorologique et d’un groupe électrogène permettra dorénavant aux avions de type Dash 8 et Challenger d’atterrir l’hiver l’institutionnel est très présent à notre aéroport que ce soit le centre de traumatologie via l'avion-ambulance ce sont tous des services qu'on devrait offrir à l'année ces avions ne pouvaient pas atterrir à Amos on va l’offrir à l’année et c’est un service à la population L’unité de dégivrage est installée sur une nacelle C’est ce qui lui permettra de dégivrer les plus gros appareils les ailes sont facilement accessibles pour un pilote Il n’a besoin que d’un petit escabeau Ça prend une nacelle pour faire ça parce que c’est le dessus de la carlingue et des ailes qui doit être arrosé gestionnaire des projets spéciaux à la Ville d’Amos Puisque l’aéroport est aménagé sur l’esker Saint-Mathieu-Berry qui est la source d’eau potable de la Ville d’Amos il a aussi fallu implanter un système innovant pour récupérer le glycol utilisé pour dégivrer les ailes Celui-ci sera d’ailleurs retourné au fabricant pour qu’il puisse le recycler Une attention particulière a été portée à cet aspect Des chercheurs de l’Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue ont d’ailleurs été mandatés pour produire un avis technique qui a mené à la construction de la dalle de béton étanche avec système de récupération C'était de trouver une façon qui nous permette de récupérer le plus de glycol possible c’est qu’il ne devrait pas rester de glycol résiduel Tout est vraiment canalisé et récupéré mais on le fait en phase avec l’environnement On est soucieux de récupérer le maximum de glycol et en même temps on peut sécuriser les vols durant les quatre saisons de l’année une nouvelle station météo transmettra quant à elle des informations essentielles aux pilotes par la voie des ondes Elle les aidera à l’atterrissage et dans la préparation de leurs plans de vol il s’agit d’un équipement mobile sur lequel les avions pourront se brancher l’hiver pour économiser leurs batteries au démarrage des moteurs ou pour garder l’habitacle chaud La Ville d'Amos a agrandi son garage pour accueillir les nouveaux équipements Elle procède aussi au remplacement des clôtures de son périmètre en y ajoutant des entrées électriques pour mieux contrôler l’accès au tarmac La clôture n’était plus en très bon état Ça faisait en sorte qu’il y avait des animaux qui venaient sur la piste on vient réduire les risques de collision avec des animaux On veut s’assurer qu’il n’y ait pas un orignal qui vienne traverser la piste Tous ces investissements réjouissent Claude Balleux président de la Chambre de commerce et d'industrie d’Amos-Harricana les infrastructures de transport dans le développement économique ça a toujours fait partie des atouts dont une collectivité doit se doter Alors de voir que la Ville d’Amos s'équipe pour être en service 12 mois par année le maire Sébastien D’Astous a rappelé que l’aéroport Magny reçoit plus de 2500 vols par année frôlant même les 3000 vols pour la dernière année dont certains sont payants comme le dégivrage et l’utilisation du groupe électrogène La Ville d’Amos est confrontée à un déficit annuel de plus de 275 000 dollars pour son aéroport municipal Des discussions sont en cours avec le ministère des Transports et de la Mobilité durable pour réduire ce déficit annuel C’est nous qui avons pris la décision un jour qu’on voulait avoir ce service à Amos Mais la particularité qu’on a à Amos c’est qu’on a tout le côté institutionnel qui nous demande plus d’heures d’ouverture C’est une pression supplémentaire sur les coûts d’exploitation La Ville d’Amos a inauguré mercredi de nouvelles installations à l'aéroport Magny Ces investissements de 2,5 millions de dollars ont pour but d’améliorer les services et d’assurer la pérennité de l’aéroport municipal d’Amos ce qui répond à une demande récurrente du milieu La mise à niveau du bloc opératoire est particulièrement cruciale pour assurer la pérennité des services chirurgicaux en Abitibi-Témiscamingue et Toutefois, le rejet d’une motion puis d’une pétition en appui au projet au cours des derniers mois par le gouvernement caquiste suscite de l’inquiétude dans la région À chaque rejet, les députés de la région ont assuré que le projet était toujours une priorité et que le travail se faisait surtout auprès du ministre des Finances pour que le projet soit inscrit au budget et au PQI Les espoirs du président Claude Balleux reposent donc maintenant sur le budget que doit déposer Eric Girard On se fait dire depuis quelques semaines que tous les signaux sont positifs pour que ce projet soit inscrit au Plan québécois des infrastructures alors c’est certain que nos espoirs sont très élevés Le 10 mars dernier, le ministre régional Jean Boulet a d’ailleurs répété aux membres de la Chambre de commerce et d’industrie d’Amos-Harricana que le projet était toujours une priorité pour son gouvernement. Monsieur Boulet ne nous a pas dissuadés. Au contraire, il nous a confortés dans l'idée que le projet était prioritaire, que les signaux sont au vert, et qu'il l'appuie personnellement. C'est notre ministre régional, alors on s'attend à ce que sa parole ait du poids, affirme Claude Balleux. Claude Balleux s’attend aussi à voir des mesures qui viendront soutenir l’innovation des PME et autres entreprises, afin de les rendre plus productives dans le contexte de l’incertitude générée par la guerre commerciale qui se dessine avec les États-Unis. Les entreprises vont avoir besoin d'être plus performantes pour faire face soit aux tarifs, soit à l'incertitude générée par les promesses de tarifs. Déjà, j'ai des contacts avec des gens qui me disent : “J'ai des clients potentiels qui ont mis leurs projets sur la glace en attendant de savoir ce qui va se passer”. Donc, les incertitudes se manifestent déjà dans le chiffre d'affaires de certains, fait valoir M. Balleux. Québec doit aussi investir pour résorber les effets de la crise du logement, qui nuisent à l’attractivité et à la rétention de la main-d’œuvre, selon lui. À partir du moment où tu veux soutenir ou participer à des projets comme celui de Dumont Nickel, la problématique du logement et des places en garderie prend toute son importance. C’est beau de vouloir accueillir des travailleurs, mais ce sont des humains qui vont évoluer dans une société, souligne Claude Balleux. Ouvrir en mode plein écranEric Girard déposera le budget du Québec pour 2025-2026 à l'Assemblée nationale mardi. Martin GuindonPublié le 24 mars à 18 h 36 HAEÉcouter l’article | 4 minutesLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale une technologie basée sur l’intelligence artificielle.La Chambre de commerce et d’industrie d’Amos-Harricana a des attentes bien précises à la veille du dépôt du budget provincial 2025 et du Plan québécois des infrastructures (PQI) Le projet d’agrandissement et de rénovation du bloc opératoire et de l'urgence à Amos trône au sommet des priorités pour l’organisme ce qui répond à une demande récurrente du milieu La mise à niveau du bloc opératoire est particulièrement cruciale pour assurer la pérennité des services chirurgicaux en Abitibi-Témiscamingue et Les espoirs du président Claude Balleux reposent donc maintenant sur le budget que doit déposer Eric Girard On se fait dire depuis quelques semaines que tous les signaux sont positifs pour que ce projet soit inscrit au Plan québécois des infrastructures alors c’est certain que nos espoirs sont très élevés Monsieur Boulet ne nous a pas dissuadés. Au contraire, il nous a confortés dans l'idée que le projet était prioritaire, que les signaux sont au vert, et qu'il l'appuie personnellement. C'est notre ministre régional, alors on s'attend à ce que sa parole ait du poids, affirme Claude Balleux. Claude Balleux s’attend aussi à voir des mesures qui viendront soutenir l’innovation des PME et autres entreprises, afin de les rendre plus productives dans le contexte de l’incertitude générée par la guerre commerciale qui se dessine avec les États-Unis. Ouvrir en mode plein écranClaude Balleux, président de la Chambre de commerce et d'industrie d’Amos-Harricana. (Photo d'archives) Photo : Gracieuseté de Pier-Anthony Breton Les entreprises vont avoir besoin d'être plus performantes pour faire face soit aux tarifs, soit à l'incertitude générée par les promesses de tarifs. Déjà, j'ai des contacts avec des gens qui me disent : “J'ai des clients potentiels qui ont mis leurs projets sur la glace en attendant de savoir ce qui va se passer”. Donc, les incertitudes se manifestent déjà dans le chiffre d'affaires de certains, fait valoir M. Balleux. Québec doit aussi investir pour résorber les effets de la crise du logement, qui nuisent à l’attractivité et à la rétention de la main-d’œuvre, selon lui. À partir du moment où tu veux soutenir ou participer à des projets comme celui de Dumont Nickel, la problématique du logement et des places en garderie prend toute son importance. C’est beau de vouloir accueillir des travailleurs, mais ce sont des humains qui vont évoluer dans une société, souligne Claude Balleux. Toutefois, le rejet d’une motion puis d’une pétition en appui au projet au cours des derniers mois par le gouvernement caquiste suscite de l’inquiétude dans la région À chaque rejet, les députés de la région ont assuré que le projet était toujours une priorité et que le travail se faisait surtout auprès du ministre des Finances Le 10 mars dernier, le ministre régional Jean Boulet a d’ailleurs répété aux membres de la Chambre de commerce et d’industrie d’Amos-Harricana que le projet était toujours une priorité pour son gouvernement Monsieur Boulet ne nous a pas dissuadés il nous a confortés dans l'idée que le projet était prioritaire alors on s'attend à ce que sa parole ait du poids Claude Balleux s’attend aussi à voir des mesures qui viendront soutenir l’innovation des PME et autres entreprises afin de les rendre plus productives dans le contexte de l’incertitude générée par la guerre commerciale qui se dessine avec les États-Unis Les entreprises vont avoir besoin d'être plus performantes pour faire face soit aux tarifs soit à l'incertitude générée par les promesses de tarifs j'ai des contacts avec des gens qui me disent : “J'ai des clients potentiels qui ont mis leurs projets sur la glace en attendant de savoir ce qui va se passer” les incertitudes se manifestent déjà dans le chiffre d'affaires de certains Québec doit aussi investir pour résorber les effets de la crise du logement qui nuisent à l’attractivité et à la rétention de la main-d’œuvre À partir du moment où tu veux soutenir ou participer à des projets comme celui de Dumont Nickel la problématique du logement et des places en garderie prend toute son importance C’est beau de vouloir accueillir des travailleurs mais ce sont des humains qui vont évoluer dans une société Le 10 mars dernier, le ministre régional Jean Boulet a d’ailleurs répété aux membres de la Chambre de commerce et d’industrie d’Amos-Harricana que le projet était toujours une priorité pour son gouvernement La Chambre de commerce et d’industrie d’Amos-Harricana a des attentes bien précises à la veille du dépôt du budget provincial 2025 et du Plan québécois des infrastructures (PQI) Le projet d’agrandissement et de rénovation du bloc opératoire et de l'urgence à Amos trône au sommet des priorités pour l’organisme On lance ça là pour voir comment les gens vont réagir d’avoir leur feedback puis de prendre les meilleures décisions pour la Ville d’Amos ce nouvel outil a déjà fait ses preuves dans d’autres municipalités et pourra s’avérer fort utile dans bien d’autres circonstances La plateforme n’a presque pas de limite il suffit d’avoir les bonnes questions qui peuvent interpeller la population On extrait des données pour sortir des rapports de tout ça et ça donne une information presque en temps réel Que ce soit à propos du déneigement le lancement d'une politique ou une nouvelle consultation Je me souviens quand on a travaillé fort pour faire des charrettes de travail pour élaborer le nouveau centre-ville avec les deux premières phases de la 1re Avenue ça aurait pu être un outil extrêmement utile Le Comité permanent consultatif sur les questions familiales de la Ville d’Amos mise sur la nouvelle plateforme pour s’assurer que les actions de sa prochaine politique répondront aux attentes des familles et des aînés. Le questionnaire qui demande une vingtaine de minutes à remplir permettra de ratisser plus large au sein de la population. On veut s’assurer que certaines actions qu’on porte ou qu’on fait ont vraiment un impact dans le milieu et qu’on met les efforts à la bonne place. La consultation va aussi nous permettre de construire notre politique et nos actions en fonction de ce que nos familles et nos aînés veulent avoir à Amos comme activité ou comme action qui pourrait venir embellir leur quotidien, affirme la présidente Raphaëlle Audet. La consultation se transporte aussi dans certains endroits clés pour rejoindre certains groupes de façon plus particulière Une chargée de projet va s'assurer d'aller rencontrer certaines strates de personnes. On peut penser qu’elle va parler directement aux aînés aux Jardins du patrimoine, aller rencontrer les familles à la Maison de la famille. La page Facebook de la Ville d’Amos devrait aussi partager le lien vers la consultation en ligne, croit Mme Audet. La Politique familiale et des aînés 2026-2030 de la Ville d’Amos sera ensuite élaborée, puis adoptée d’ici la fin de l’année 2025. Ouvrir en mode plein écranAmos consulte sa population pour le renouvellement de sa Politique familiale et des aînés. (Photo d'archives) Martin GuindonPublié le 19 février à 17 h 52 HAEÉcouter l’article | 4 minutesLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale une technologie basée sur l’intelligence artificielle.La Ville d’Amos utilise un tout nouvel outil pour consulter la population dans le cadre du renouvellement de sa Politique familiale et des aînés 2026-2030 On lance ça là pour voir comment les gens vont réagir d’avoir leur feedback puis de prendre les meilleures décisions pour la Ville d’Amos ce nouvel outil a déjà fait ses preuves dans d’autres municipalités et pourra s’avérer fort utile dans bien d’autres circonstances il suffit d’avoir les bonnes questions qui peuvent interpeller la population On extrait des données pour sortir des rapports de tout ça et ça donne une information presque en temps réel Je me souviens quand on a travaillé fort pour faire des charrettes de travail pour élaborer le nouveau centre-ville avec les deux premières phases de la 1re Avenue ça aurait pu être un outil extrêmement utile Le Comité permanent consultatif sur les questions familiales de la Ville d’Amos mise sur la nouvelle plateforme pour s’assurer que les actions de sa prochaine politique répondront aux attentes des familles et des aînés. Le questionnaire qui demande une vingtaine de minutes à remplir permettra de ratisser plus large au sein de la population. Ouvrir en mode plein écranRaphaëlle Audet, présidente du Comité permanent consultatif sur les questions familiales de la Ville d'Amos, pose en compagnie de sa fille Émilie. On veut s’assurer que certaines actions qu’on porte ou qu’on fait ont vraiment un impact dans le milieu et qu’on met les efforts à la bonne place. La consultation va aussi nous permettre de construire notre politique et nos actions en fonction de ce que nos familles et nos aînés veulent avoir à Amos comme activité ou comme action qui pourrait venir embellir leur quotidien, affirme la présidente Raphaëlle Audet. La consultation se transporte aussi dans certains endroits clés pour rejoindre certains groupes de façon plus particulière Une chargée de projet va s'assurer d'aller rencontrer certaines strates de personnes. On peut penser qu’elle va parler directement aux aînés aux Jardins du patrimoine, aller rencontrer les familles à la Maison de la famille. La page Facebook de la Ville d’Amos devrait aussi partager le lien vers la consultation en ligne, croit Mme Audet. La Politique familiale et des aînés 2026-2030 de la Ville d’Amos sera ensuite élaborée, puis adoptée d’ici la fin de l’année 2025. C'est la première fois qu'on a la chance de l'utiliser, puis c'est tout indiqué parce qu'on a la volonté de renouveler la Politique familiale et des aînés en 2025, ça avait été annoncé lors du budget Le Comité permanent consultatif sur les questions familiales de la Ville d’Amos mise sur la nouvelle plateforme pour s’assurer que les actions de sa prochaine politique répondront aux attentes des familles et des aînés Le questionnaire qui demande une vingtaine de minutes à remplir permettra de ratisser plus large au sein de la population On veut s’assurer que certaines actions qu’on porte ou qu’on fait ont vraiment un impact dans le milieu et qu’on met les efforts à la bonne place La consultation va aussi nous permettre de construire notre politique et nos actions en fonction de ce que nos familles et nos aînés veulent avoir à Amos comme activité ou comme action qui pourrait venir embellir leur quotidien affirme la présidente Raphaëlle Audet Une chargée de projet va s'assurer d'aller rencontrer certaines strates de personnes On peut penser qu’elle va parler directement aux aînés aux Jardins du patrimoine aller rencontrer les familles à la Maison de la famille La page Facebook de la Ville d’Amos devrait aussi partager le lien vers la consultation en ligne La Politique familiale et des aînés 2026-2030 de la Ville d’Amos sera ensuite élaborée puis adoptée d’ici la fin de l’année 2025 C'est la première fois qu'on a la chance de l'utiliser, puis c'est tout indiqué parce qu'on a la volonté de renouveler la Politique familiale et des aînés en 2025, ça avait été annoncé lors du budget La Ville d’Amos utilise un tout nouvel outil pour consulter la population dans le cadre du renouvellement de sa Politique familiale et des aînés 2026-2030 à l’angle de la 10e Avenue Est et de la 3e Rue Est.PHOTO : Radio-Canada / Martin GuindonUne nouvelle halte-chaleur a ouvert ses portes cette semaine à Amos pour les personnes en situation d'itinérance Une roulotte de chantier a été installée sur la 3e Rue Est pour permettre aux gens qui en ont besoin de se réchauffer L’Accueil d’Amos a réussi à trouver des partenaires financiers pour mettre sur pied ce projet de 35 000 dollars une dizaine de personnes ont fréquenté l’endroit dans les derniers jours c’est que les personnes en situation d’itinérance puissent se réchauffer avoir accès à des intervenantes si elles ont besoin d’un service croit que le service sera très demandé et s’attend à découvrir de nouveaux visages de l’itinérance essentiellement parce que c’est là que le soleil va tomber on a l’hébergement d’urgence qui ouvre à 22 h Les refuges pour personnes itinérantes presque pleinsAppli Radio-Canada OHdioTout un monde à écouter, partout où vous allez. Une roulotte de chantier a été installée sur la 3e Rue Est pour permettre aux gens qui en ont besoin de se réchauffer L'Accueil d'Amos a réussi à trouver des partenaires financiers pour mettre sur pied ce projet de 35 000 dollars une dizaine de personnes ont fréquenté l'endroit dans les derniers jours c'est que les personnes en situation d'itinérance puissent se réchauffer avoir accès à des intervenantes si elles ont besoin d'un service croit que le service sera très demandé et s'attend à découvrir de nouveaux visages de l'itinérance essentiellement parce que c'est là que le soleil va tomber on a l'hébergement d'urgence qui ouvre à 22 h Une nouvelle halte-chaleur a ouvert ses portes cette semaine à Amos pour les personnes en situation d'itinérance dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"C'est ce qu'a tenu à rappeler le ministre responsable de l'Abitibi-Témiscamingue qui est en tournée dans la région alors que la population est impatiente de voir se concrétiser ce projet On travaille sur un prochain programme québécois des infrastructures crucial qu'on aille de l'avant dans les meilleurs délais possibles c'est en planification depuis quelques années déjà Jean Boulet n'a toutefois pas voulu s'avancer sur une date d'une annonce de réalisation Dans les prochaines semaines ou dans les deux à trois prochains mois on devrait avoir une idée du prochain programme québécois des infrastructures Et là on aura une idée beaucoup plus claire du bloc opératoire à Amos Le ministre Boulet a tenu les mêmes propos en fin de journée lundi devant les membres de la Chambre de commerce et d'industrie d'Amos-Harricana Des propos qui rassurent le président qui place beaucoup d'espoir dans l'adoption prochaine du plan québécois des infrastructures C'est là qu'on va voir si le projet est retenu par le gouvernement du Québec et continuer à mettre cette pression-là sur les gens politiques qu'on va rencontrer parce que le dossier demeure important c’est un dossier qui est encore vivant Ces dernières semaines, le Comité de suivi des travaux à l'Hôpital d'Amos a déposé une pétition à l'Assemblée nationale pour faire pression sur le gouvernement du Québec En janvier dernier, le Parti québécois a reproché au gouvernement son refus de débattre d'une motion déposée par le député Joël Arseneau qui demandait au gouvernement de s’engager à réaliser le projet avant la fin de la présente législature. Avec les informations de Gabriel Poirier et Martin Guindon Ouvrir en mode plein écranLe ministre responsable de l'Abitibi-Témiscamingue, Jean Boulet, assure que le projet pour agrandir l'urgence, les soins intensifs et le bloc opératoire de l'Hôpital d'Amos sera bel et bien réalisé, sans préciser de délai. (Photo d'archives) Lise MillettePublié le 10 mars à 17 h 56 HAEMis à jour le 10 mars à 21 h 03 HAEÉcouter l’article | 3 minutesLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale une technologie basée sur l’intelligence artificielle.Les travaux à l'urgence aux soins intensifs et au bloc opératoire de l'Hôpital d'Amos figurent toujours au tableau des priorités du gouvernement du Québec C'est ce qu'a tenu à rappeler le ministre responsable de l'Abitibi-Témiscamingue alors que la population est impatiente de voir se concrétiser ce projet Ouvrir en mode plein écranLe ministre du Travail et ministre responsable de la région de la Mauricie de l'Abitibi-Témiscamingue et du Nord-du-Québec On travaille sur un prochain programme québécois des infrastructures crucial qu'on aille de l'avant dans les meilleurs délais possibles c'est en planification depuis quelques années déjà Jean Boulet n'a toutefois pas voulu s'avancer sur une date d'une annonce de réalisation Dans les prochaines semaines ou dans les deux à trois prochains mois on devrait avoir une idée du prochain programme québécois des infrastructures Et là on aura une idée beaucoup plus claire du bloc opératoire à Amos Le ministre Boulet a tenu les mêmes propos en fin de journée lundi devant les membres de la Chambre de commerce et d'industrie d'Amos-Harricana qui place beaucoup d'espoir dans l'adoption prochaine du plan québécois des infrastructures C'est là qu'on va voir si le projet est retenu par le gouvernement du Québec et continuer à mettre cette pression-là sur les gens politiques qu'on va rencontrer parce que le dossier demeure important Ouvrir en mode plein écran« Je pense qu'il est important de retenir que ce dossier n'est pas mort malgré le refus d'accueillir la pétition qui a été lancée » C'est ce qu'a tenu à rappeler le ministre responsable de l'Abitibi-Témiscamingue Ces dernières semaines, le Comité de suivi des travaux à l'Hôpital d'Amos a déposé une pétition à l'Assemblée nationale pour faire pression sur le gouvernement du Québec En janvier dernier, le Parti québécois a reproché au gouvernement son refus de débattre d'une motion déposée par le député Joël Arseneau qui demandait au gouvernement de s’engager à réaliser le projet avant la fin de la présente législature En janvier dernier, le Parti québécois a reproché au gouvernement son refus de débattre d'une motion déposée par le député Joël Arseneau qui demandait au gouvernement de s’engager à réaliser le projet avant la fin de la présente législature aux soins intensifs et au bloc opératoire de l'Hôpital d'Amos figurent toujours au tableau des priorités du gouvernement du Québec (Photo d’archives)PHOTO : Radio-Canada / Mélanie PicardUn peu plus de 15 000 personnes ont signé la pétition visant à inciter le gouvernement du Québec à agrandir l'urgence les soins intensifs et le bloc opératoire de l'Hôpital d'Amos Le comité de suivi pour le projet de construction de l’urgence souhaite obtenir plus de 20 000 signatures plus de 13 000 personnes avaient signé la pétition sur le site web de l’Assemblée nationale du Québec indique avoir aussi environ 2500 signatures sur papier Ces travaux, pourtant annoncés en 2019 pense que l’objectif des 20 000 signatures sera atteint François Lemire croit que la mobilisation des citoyens contribuera à augmenter la pression sur le gouvernement Les travaux pourraient aussi aider à attirer de nouveaux médecins selon lui les chirurgiens se font assister avec des robots si on ne se met pas à la fine pointe de la technologie on ne pourra pas faire le recrutement nécessaire des médecins qui eux on eu une formation qui inclut le support avec robot Le projet est déjà soutenu par les trois députés caquistes ainsi que les cinq préfets des MRC de la région Le Centre intégré de santé et de services sociaux de l’Abitibi-Témiscamingue juge aussi que le projet d’agrandissement est prioritaire La date limite pour signer la pétition est le 31 janvier souhaite obtenir plus de 20 000 signatures plus de 13 000 personnes avaient signé la pétition sur le site web de l’Assemblée nationale du Québec indique avoir aussi environ 2500 signatures sur papier Ces travaux, pourtant annoncés en 2019 La date limite pour signer la pétition est le 31 janvier Un peu plus de 15 000 personnes ont signé la pétition visant à inciter le gouvernement du Québec à agrandir l'urgence les soins intensifs et le bloc opératoire de l'Hôpital d'Amos C'est important de se positionner pour accueillir de nouveaux arrivants et des travailleurs tout en gardant notre petit côté sécuritaire, mentionne-t-il. S'il est réélu, Sébastien D'Astous promet de surveiller les dossiers provinciaux que Québec tarde à concrétiser, comme l'Hôpital d'Amos, le nouveau CPE et la construction de logements abordables. \n Ça fait dix ans que je suis en poste, mais on dirait que c'était hier. Je suis encore tout jeune. Je suis fringant, j'ai plein de bonnes idées et j'ai encore le goût d'avoir les fesses assis dans le siège du maire. Le maire d'Amos estime que la communauté est à un moment décisif et dit souhaiter continuer à la servir et à relever les défis de sa croissance. Gabriel PoirierPublié le 29 mars à 16 h 33 HAEÉcouter l’article | 2 minutesLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale, une technologie basée sur l’intelligence artificielle.Le maire d'Amos, Sébastien D'Astous, confirme qu'il sollicitera un nouveau mandat en novembre prochain. Il en a d'abord fait l'annonce sur sa page Facebook, vendredi. En dix ans sous sa gouverne, les plans stratégiques de la Ville d'Amos ont mis l'accent sur le développement économique et l'augmentation de la population. C'est important de se positionner pour accueillir de nouveaux arrivants et des travailleurs tout en gardant notre petit côté sécuritaire, mentionne-t-il. Ça fait dix ans que je suis en poste, mais on dirait que c'était hier. Je suis encore tout jeune. Je suis fringant, j'ai plein de bonnes idées et j'ai encore le goût d'avoir les fesses assis dans le siège du maire. Le maire d'Amos estime que la communauté est à un moment décisif et dit souhaiter continuer à la servir et à relever les défis de sa croissance. les plans stratégiques de la Ville d'Amos ont mis l'accent sur le développement économique et l'augmentation de la population C'est important de se positionner pour accueillir de nouveaux arrivants et des travailleurs tout en gardant notre petit côté sécuritaire Sébastien D'Astous promet de surveiller les dossiers provinciaux que Québec tarde à concrétiser le nouveau CPE et la construction de logements abordables j'ai plein de bonnes idées et j'ai encore le goût d'avoir les fesses assis dans le siège du maire Le maire d'Amos estime que la communauté est à un moment décisif et dit souhaiter continuer à la servir et à relever les défis de sa croissance confirme qu'il sollicitera un nouveau mandat en novembre prochain Il en a d'abord fait l'annonce sur sa page Facebook Quand ils nous ont rencontrés, on a décidé d’intervenir et de leur donner un coup de main pour ce qui est du volet décontamination, pour rendre notre centre-ville plus écologique, plus propre. En même temps, on savait qu’on stimulait notre économie en faisant un super beau projet de 140 unités avec un étage de commerces, affirme-t-il. Ça va ramener des taxes, ça va être positif pour le milieu, ça va être bon pour la crise du logement, puis en même temps, ça va venir revaloriser notre centre-ville. Il rappelle que le projet permettra d'augmenter le nombre de logements au centre-ville, comme l’exige de plus en plus le gouvernement. Les locataires seront aussi à proximité des services. Il s'agit d'un premier pas à Amos pour Devcore, qui est déjà présent à Rouyn-Noranda et à Val-d'Or. Cette participation de la Ville est importante pour le promoteur, dont le projet devrait nécessiter un investissement de plus de 50 millions de dollars, selon le président fondateur de Devcore, Jean-Pierre Poulin. Ça coûte beaucoup plus cher de construire en Abitibi. On parle de 20 à 25 % de coûts supplémentaires par comparaison avec Gatineau, alors chaque dollar compte. C’est important pour nous, ça faisait que les chiffres fonctionnaient à ce moment-là, fait-il valoir. On aime travailler avec des gens qui bougent. Ça, on l'a senti quand on est allés à Amos. On a senti le vouloir et le dynamisme de la ville. Ils ont besoin de logements, on ne s’en cache pas, puis voici les solutions qu'on pourrait travailler ensemble. Le projet comprendra un stationnement souterrain, ainsi qu'un édifice de cinq étages avec des espaces communs et des locaux commerciaux. C’est certain qu’on cherche à répondre aux besoins de notre clientèle, de nos résidents. Un salon de coiffure, un salon de massothérapie. On devrait avoir droit à des animaux dans l’immeuble, alors un vétérinaire ou un salon de toilettage. Donc, plus des commerces de proximité, des commerces de services qui peuvent aussi servir au centre-ville. On ne serait pas contre un petit café, par exemple, précise Jean-Pierre Poulin. La construction de l’immeuble devrait débuter au printemps prochain, pour une livraison d’ici le printemps 2027. Il s'agit du plus imposant projet de construction résidentielle à Amos depuis celui des Jardins du Patrimoine. Martin GuindonPublié le 20 août 2024 à 18 h 42 HAEÉcouter l’article | 4 minutesLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale, une technologie basée sur l’intelligence artificielle.La Ville d’Amos a signé une entente avec le groupe Devcore pour la décontamination d’un terrain sur lequel sera érigé un immeuble de 140 logements qui offrira en outre des locaux commerciaux à l’angle de la 1re Avenue Est et de la 4e Rue Est, face au Maxi. Le projet viendra valoriser un terrain situé au cœur de la ville et permettra de résorber une partie de la pénurie de logements. C’est pourquoi la Ville d’Amos a choisi d’accompagner les promoteurs, selon le maire Sébastien D’Astous. Quand ils nous ont rencontrés, on a décidé d’intervenir et de leur donner un coup de main pour ce qui est du volet décontamination, pour rendre notre centre-ville plus écologique, plus propre. En même temps, on savait qu’on stimulait notre économie en faisant un super beau projet de 140 unités avec un étage de commerces, affirme-t-il. Ça va ramener des taxes, ça va être positif pour le milieu, ça va être bon pour la crise du logement, puis en même temps, ça va venir revaloriser notre centre-ville. Ouvrir en mode plein écranLe terrain où sera construit le projet de logements de Devcore, au coin de la 1re Avenue Est et de la 4e Rue Est. Il rappelle que le projet permettra d'augmenter le nombre de logements au centre-ville, comme l’exige de plus en plus le gouvernement. Les locataires seront aussi à proximité des services. Il s'agit d'un premier pas à Amos pour Devcore, qui est déjà présent à Rouyn-Noranda et à Val-d'Or. Cette participation de la Ville est importante pour le promoteur, dont le projet devrait nécessiter un investissement de plus de 50 millions de dollars, selon le président fondateur de Devcore, Jean-Pierre Poulin. Ça coûte beaucoup plus cher de construire en Abitibi. On parle de 20 à 25 % de coûts supplémentaires par comparaison avec Gatineau, alors chaque dollar compte. C’est important pour nous, ça faisait que les chiffres fonctionnaient à ce moment-là, fait-il valoir. On aime travailler avec des gens qui bougent. Ça, on l'a senti quand on est allés à Amos. On a senti le vouloir et le dynamisme de la ville. Ils ont besoin de logements, on ne s’en cache pas, puis voici les solutions qu'on pourrait travailler ensemble. Le projet comprendra un stationnement souterrain, ainsi qu'un édifice de cinq étages avec des espaces communs et des locaux commerciaux. C’est certain qu’on cherche à répondre aux besoins de notre clientèle, de nos résidents. Un salon de coiffure, un salon de massothérapie. On devrait avoir droit à des animaux dans l’immeuble, alors un vétérinaire ou un salon de toilettage. Donc, plus des commerces de proximité, des commerces de services qui peuvent aussi servir au centre-ville. On ne serait pas contre un petit café, par exemple, précise Jean-Pierre Poulin. La construction de l’immeuble devrait débuter au printemps prochain, pour une livraison d’ici le printemps 2027. Il s'agit du plus imposant projet de construction résidentielle à Amos depuis celui des Jardins du Patrimoine. Le projet viendra valoriser un terrain situé au cœur de la ville et permettra de résorber une partie de la pénurie de logements C’est pourquoi la Ville d’Amos a choisi d’accompagner les promoteurs on a décidé d’intervenir et de leur donner un coup de main pour ce qui est du volet décontamination pour rendre notre centre-ville plus écologique on savait qu’on stimulait notre économie en faisant un super beau projet de 140 unités avec un étage de commerces ça va être positif pour le milieu ça va être bon pour la crise du logement ça va venir revaloriser notre centre-ville Il rappelle que le projet permettra d'augmenter le nombre de logements au centre-ville comme l’exige de plus en plus le gouvernement Les locataires seront aussi à proximité des services Il s'agit d'un premier pas à Amos pour Devcore qui est déjà présent à Rouyn-Noranda et à Val-d'Or Cette participation de la Ville est importante pour le promoteur dont le projet devrait nécessiter un investissement de plus de 50 millions de dollars selon le président fondateur de Devcore Ça coûte beaucoup plus cher de construire en Abitibi On parle de 20 à 25 % de coûts supplémentaires par comparaison avec Gatineau ça faisait que les chiffres fonctionnaient à ce moment-là On aime travailler avec des gens qui bougent on l'a senti quand on est allés à Amos On a senti le vouloir et le dynamisme de la ville puis voici les solutions qu'on pourrait travailler ensemble Le projet comprendra un stationnement souterrain ainsi qu'un édifice de cinq étages avec des espaces communs et des locaux commerciaux C’est certain qu’on cherche à répondre aux besoins de notre clientèle On devrait avoir droit à des animaux dans l’immeuble alors un vétérinaire ou un salon de toilettage des commerces de services qui peuvent aussi servir au centre-ville On ne serait pas contre un petit café La construction de l’immeuble devrait débuter au printemps prochain pour une livraison d’ici le printemps 2027 Il s'agit du plus imposant projet de construction résidentielle à Amos depuis celui des Jardins du Patrimoine La Ville d’Amos a signé une entente avec le groupe Devcore pour la décontamination d’un terrain sur lequel sera érigé un immeuble de 140 logements qui offrira en outre des locaux commerciaux à l’angle de la 1re Avenue Est et de la 4e Rue Est Amos s’occupe des services paysagers extérieurs et de quelques éléments au sein de la communauté ancien maire de Saint-Félix et Éloi Rioux s’ajoutent pour représenter Saint-Félix Amos retrouvera une formule de 6 conseillers d’ici l’automne Rappelons qu’une consultation publique avait été effectuée le 27 mai dernier.  et maintenant conseiller pour la ville d’Amos est bien content de la tournure des événements depuis que son ancienne municipalité a fusionné avec Amos Les citoyens et l’ancien maire semblent contents du dénouement les citoyens de Saint-Félix-de-Dalquier se demandent s’ils vont avoir des taxes supplémentaires à payer cette année en raison de la fusion Mais alors que les détails officiels seront dévoilés par la ville d’Amos seulement lundi prochain l’ancien maire de la municipalité semblait mentionner que la taxe ne devrait pas trop augmenter il y a plusieurs autres petites municipalités autour d’Amos qui pourraient décider de se porter candidates pour cependant il faut savoir que ces démarches prennent du temps et de l’énergie que ça ne se fait pas en claquant des doigts n’exclut pas du tout la possibilité que ça se reproduise On rappelle que le budget complet de la nouvelle municipalité d’Amos dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"À Amos l’Opération Nez rouge renaît après quatre années d’absence C’est le Mouvement de la relève d’Amos-région (MRAR) qui a accepté de reprendre le flambeau Elle nous a approchés et a approché plusieurs organisations On a levé la main parce qu'on pense que ça fait partie un peu de notre mission de sensibiliser les gens à la conduite prudente et responsable Le Mouvement de la relève organise cette activité au profit de ses services en persévérance scolaire notamment la Classe hors zone et le Séjour culturel historique Il a confié la présidence d’honneur de la campagne à l’entrepreneure artiste Véronique Lemay alors que la Caisse Desjardins d’Amos agit comme organisme présentateur Si le numéro de téléphone 727-4011 est toujours actif le MRAR recommande aux gens d’installer l’application mobile de l’Opération Nez rouge sur leur téléphone intelligent Les gens peuvent voir quand l'escorte motorisée va arriver pour les chercher un peu comme dans les autres applications de services de transport En Abitibi-Ouest, l’Opération Nez rouge sera de nouveau offerte par le Club Lions de La Sarre. Celui-ci a effectué plus de 300 raccompagnements l’an dernier Autant à Amos qu’à La Sarre le service sera offert les vendredis et samedis du 29 novembre au 21 décembre Les deux organisations sont en recrutement de bénévoles pour les huit soirées À bout de souffle après 38 années d’implication le Club de natation Les Dauphins a choisi de se retirer de l’Opération Nez rouge à Rouyn-Noranda L’organisme y réfléchissait depuis déjà quelque temps Ce n’était pas une décision facile à prendre Organiser une campagne de l’Opération Nez rouge c’est une charge de travail importante Les équipes de natation sont soutenues par des conseils d’administration bénévoles Ça représente une organisation logistique difficile à coordonner considérant qu’on est une petite organisation président du Club de natation Les Dauphins On avait un soutien incroyable des bénévoles On avait entre 8 et 12 équipes de raccompagnement Sauf qu’on avait tellement peu d’appels que les équipes passaient une partie importante de la soirée à la centrale L’Opération Nez rouge souhaite donc trouver de nouveaux organismes qui se consacrent à la jeunesse ou au sport amateur pour prendre la relève, tant à Rouyn-Noranda qu’à Val-d’Or. Pour cette année, vous comprendrez qu’il est trop tard. Par contre, si des organismes du coin sont intéressés à avoir de l'information et, ultimement, à organiser l’activité, ça nous fera plaisir pour 2025 de les accompagner dans le processus, assure Marilyn Vigneault, directrice générale de l’Opération Nez rouge. Elle rappelle que l’Opération Nez rouge joue un rôle important pour prévenir la conduite avec les capacités affaiblies. Cet organisme offre un service clés en main aux maîtres d’œuvre, qui peuvent conserver 100 % des sommes qu’ils amassent durant la campagne. Selon Marilyn Vigneault, le service de raccompagnement est offert sur 60 % du territoire québécois et auprès de 92 % de la population. Avec la collaboration d’Annie-Claude Luneau Martin GuindonPublié le 5 novembre 2024 à 18 h 05 HAEÉcouter l’article | 5 minutesLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale une technologie basée sur l’intelligence artificielle.Il y a du mouvement cette année dans l’offre de l’Opération Nez rouge en Abitibi-Témiscamingue Ce service de raccompagnement sera offert à Amos et à La Sarre mais il n’est plus disponible à Rouyn-Noranda ni à Val-d’Or l’Opération Nez rouge renaît après quatre années d’absence C’est le Mouvement de la relève d’Amos-région (MRAR) qui a accepté de reprendre le flambeau Elle nous a approchés et a approché plusieurs organisations On a levé la main parce qu'on pense que ça fait partie un peu de notre mission de sensibiliser les gens à la conduite prudente et responsable Le Mouvement de la relève organise cette activité au profit de ses services en persévérance scolaire notamment la Classe hors zone et le Séjour culturel historique Il a confié la présidence d’honneur de la campagne à l’entrepreneure artiste Véronique Lemay alors que la Caisse Desjardins d’Amos agit comme organisme présentateur Si le numéro de téléphone 727-4011 est toujours actif le MRAR recommande aux gens d’installer l’application mobile de l’Opération Nez rouge sur leur téléphone intelligent Les gens peuvent voir quand l'escorte motorisée va arriver pour les chercher le service sera offert les vendredis et samedis du 29 novembre au 21 décembre Les deux organisations sont en recrutement de bénévoles pour les huit soirées À bout de souffle après 38 années d’implication le Club de natation Les Dauphins a choisi de se retirer de l’Opération Nez rouge à Rouyn-Noranda L’organisme y réfléchissait depuis déjà quelque temps Ouvrir en mode plein écranLouis Paul-Willis s'est beaucoup impliqué dans les soirées de raccompagnement de l'Opération Nez rouge Ce n’était pas une décision facile à prendre Organiser une campagne de l’Opération Nez rouge Les équipes de natation sont soutenues par des conseils d’administration bénévoles Ça représente une organisation logistique difficile à coordonner considérant qu’on est une petite organisation président du Club de natation Les Dauphins On avait un soutien incroyable des bénévoles On avait entre 8 et 12 équipes de raccompagnement Sauf qu’on avait tellement peu d’appels que les équipes passaient une partie importante de la soirée à la centrale L’Opération Nez rouge souhaite donc trouver de nouveaux organismes qui se consacrent à la jeunesse ou au sport amateur pour prendre la relève, tant à Rouyn-Noranda qu’à Val-d’Or. Pour cette année, vous comprendrez qu’il est trop tard. Par contre, si des organismes du coin sont intéressés à avoir de l'information et, ultimement, à organiser l’activité, ça nous fera plaisir pour 2025 de les accompagner dans le processus, assure Marilyn Vigneault, directrice générale de l’Opération Nez rouge. Elle rappelle que l’Opération Nez rouge joue un rôle important pour prévenir la conduite avec les capacités affaiblies. Cet organisme offre un service clés en main aux maîtres d’œuvre, qui peuvent conserver 100 % des sommes qu’ils amassent durant la campagne. Selon Marilyn Vigneault, le service de raccompagnement est offert sur 60 % du territoire québécois et auprès de 92 % de la population. Avec la collaboration d’Annie-Claude Luneau En Abitibi-Ouest, l’Opération Nez rouge sera de nouveau offerte par le Club Lions de La Sarre. Celui-ci a effectué plus de 300 raccompagnements l’an dernier L’Opération Nez rouge souhaite donc trouver de nouveaux organismes qui se consacrent à la jeunesse ou au sport amateur pour prendre la relève tant à Rouyn-Noranda qu’à Val-d’Or vous comprendrez qu’il est trop tard si des organismes du coin sont intéressés à avoir de l'information et ça nous fera plaisir pour 2025 de les accompagner dans le processus directrice générale de l’Opération Nez rouge Elle rappelle que l’Opération Nez rouge joue un rôle important pour prévenir la conduite avec les capacités affaiblies Cet organisme offre un service clés en main aux maîtres d’œuvre qui peuvent conserver 100 % des sommes qu’ils amassent durant la campagne le service de raccompagnement est offert sur 60 % du territoire québécois et auprès de 92 % de la population Il y a du mouvement cette année dans l’offre de l’Opération Nez rouge en Abitibi-Témiscamingue Ce service de raccompagnement sera offert à Amos et à La Sarre Situé dans les anciens locaux de La P’tite Bouteille sur la 1re Avenue Ouest, le bistro-bar a pour premier objectif de diffuser des événements culturels en tous genres. Le Courant Alternatif est situé dans les anciens locaux de La P’tite Bouteille, sur la 1ère avenue à Amos. PHOTO : Radio-Canada / Marie-Hélène Paquin Géré par Les productions AC, derrière le balado Appropriation culturelle, le Courant Alternatif est le projet de six co-actionnaires impliqués dans le milieu culturel amossois. À Amos, malheureusement, il n’y a pas de salle alternative outre le Théâtre des Eskers. [...] On veut donner la chance aux artisans locaux et régionaux de pouvoir performer devant public à moindre coût, explique Benoit St-Pierre, président des productions AC et directeur général du Courant Alternatif. Les murs de la salle pourront aussi accueillir des œuvres visuelles. Soirées d’humour, matchs d’improvisation, spectacles musicaux, soirées micro ouvert ou karaoké, expositions d’arts visuels, toutes les formes d’art seront présentées à raison d’une centaine d’activités par année. Le bar présente plusieurs produits régionaux, dont les bières de la microbrasserie Le Prospecteur de Val-d’Or, les spiritueux d’Alpha Tango et les eaux pétillantes d’Onibi. Le menu a été élaboré par Renaud Audet de l’Atelier culinaire. Appli Radio-Canada OHdioTout un monde à écouter, partout où vous allez. Situé dans les anciens locaux de La P'tite Bouteille sur la 1re Avenue Ouest le bistro-bar a pour premier objectif de diffuser des événements culturels en tous genres derrière le balado Appropriation culturelle le Courant Alternatif est le projet de six co-actionnaires impliqués dans le milieu culturel amossois il n'y a pas de salle alternative outre le Théâtre des Eskers [...] On veut donner la chance aux artisans locaux et régionaux de pouvoir performer devant public à moindre coût président des productions AC et directeur général du Courant Alternatif toutes les formes d'art seront présentées à raison d'une centaine d'activités par année Le bar présente plusieurs produits régionaux dont les bières de la microbrasserie Le Prospecteur de Val-d'Or les spiritueux d'Alpha Tango et les eaux pétillantes d'Onibi Le menu a été élaboré par Renaud Audet de l'Atelier culinaire Le nouveau bistro-bar et salle de spectacles Le Courant Alternatif a été inauguré le 12 novembre La SQ avait demandé l'aide de la population pour retrouver Jérémy Bouffard, 21 ans, porté disparu depuis trois jours. Ses proches avaient des raisons de craindre pour sa santé et sa sécurité, selon la SQ. L'homme a été vu pour la dernière fois le 22 octobre vers 15 h à une station-service, dans le secteur d’Amos et se déplaçait dans un véhicule de marque Subaru, modèle Impreza. Journaliste à Radio-Canada depuis 2012, Boualem Hadjouti a d'abord fait un passage dans la station de Régina en Saskatchewan avant d'arriver en 2013 en Abitibi-Témiscamingue où il couvre l'actualité locale. Il s'intéresse à tous les sujets qui ont un impact sur la vie des gens en région. Ouvrir en mode plein écranJérémy Bouffard, 21 ans, d’Amos avait été porté disparu le 22 octobre. Photo : Gracieuseté de la Sûreté du Québec Boualem HadjoutiPublié le 23 octobre 2024 à 16 h 56 HAEMis à jour le 25 octobre 2024 à 13 h 33 HAEÉcouter l’article | 1 minuteLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale, une technologie basée sur l’intelligence artificielle.Un homme qui manquait à l'appel depuis le 22 octobre dans la région d'Amos a finalement été retrouvé vendredi. La Sûreté du Québec (SQ) indique qu'il est sain et sauf. La SQ avait demandé l'aide de la population pour retrouver Jérémy Bouffard, 21 ans, porté disparu depuis trois jours. Ses proches avaient des raisons de craindre pour sa santé et sa sécurité, selon la SQ. L'homme a été vu pour la dernière fois le 22 octobre vers 15 h à une station-service, dans le secteur d’Amos et se déplaçait dans un véhicule de marque Subaru, modèle Impreza. La Sûreté du Québec (SQ) indique qu'il est sain et sauf La SQ avait demandé l'aide de la population pour retrouver Jérémy Bouffard porté disparu depuis trois jours Ses proches avaient des raisons de craindre pour sa santé et sa sécurité L'homme a été vu pour la dernière fois le 22 octobre vers 15 h à une station-service dans le secteur d’Amos et se déplaçait dans un véhicule de marque Subaru Journaliste à Radio-Canada depuis 2012 Boualem Hadjouti a d'abord fait un passage dans la station de Régina en Saskatchewan avant d'arriver en 2013 en Abitibi-Témiscamingue où il couvre l'actualité locale Il s'intéresse à tous les sujets qui ont un impact sur la vie des gens en région Un homme qui manquait à l'appel depuis le 22 octobre dans la région d'Amos a finalement été retrouvé vendredi Ils sont donc sortis de 7 h à 10 h pour exprimer leur appui au comité de négociation Les négociations n’avancent pas vite Le ministère de la Sécurité publique prend son temps Il nous sort des conditions de travail qui nous feraient reculer C’est pour ça qu’on est dehors aujourd’hui On manifeste pour que le Ministère mette du sérieux dans ses négociations président local du Syndicat des agents de la paix en services correctionnels du Québec L’un des principaux problèmes à Amos est la pénurie de main-d’œuvre alors que la dernière embauche remonte à novembre 2023 l’Établissement de détention a assisté à des départs à la retraite et des départs vers d’autres emplois on était à peu près 115 ou 120 agents et on avait un bloc d'hébergement complet qui était fermé parce qu'ils disaient qu'on n'était pas assez nombreux pour tout ouvrir Une situation que Radio-Canada avait signalée en 2019. Aujourd'hui, le nombre de personnes incarcérées a augmenté. Ce n’est pas rare que des soirs on couche à 280, malgré notre capacité de 220 personnes incarcérées, et pourtant le nombre d’agents est passé de 120 à 100. Le syndicat affirme qu’il faut améliorer les conditions de travail pour attirer et surtout retenir les agents en poste. Jonathan Leblond précise qu’il manque le tiers des effectifs nécessaires, alors qu’il devrait y avoir au moins 150 agents de services correctionnels à Amos. Ouvrir en mode plein écranLa manifestation s'est tenue mercredi matin. Martin GuindonPublié le 29 janvier à 12 h 14 HAEÉcouter l’article | 3 minutesLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale une technologie basée sur l’intelligence artificielle.Les agents de services correctionnels de l’Établissement de détention d’Amos ont manifesté devant leur lieu de travail mercredi matin Sans convention collective depuis près de deux ans ils réclament de meilleures conditions de travail Ils sont donc sortis de 7 h à 10 h pour exprimer leur appui au comité de négociation Le ministère de la Sécurité publique prend son temps C’est pour ça qu’on est dehors aujourd’hui On manifeste pour que le Ministère mette du sérieux dans ses négociations président local du Syndicat des agents de la paix en services correctionnels du Québec Ouvrir en mode plein écranJonathan Leblond s'est aussi présenté à la manifestation du 29 janvier à Amos L’un des principaux problèmes à Amos est la pénurie de main-d’œuvre alors que la dernière embauche remonte à novembre 2023 l’Établissement de détention a assisté à des départs à la retraite et des départs vers d’autres emplois on était à peu près 115 ou 120 agents et on avait un bloc d'hébergement complet qui était fermé parce qu'ils disaient qu'on n'était pas assez nombreux pour tout ouvrir Aujourd'hui, le nombre de personnes incarcérées a augmenté. Ce n’est pas rare que des soirs on couche à 280, malgré notre capacité de 220 personnes incarcérées, et pourtant le nombre d’agents est passé de 120 à 100. Ouvrir en mode plein écranLes syndiqués se sont réunis devant l'Établissement de détention pour réclamer de meilleures conditions de travail. Le syndicat affirme qu’il faut améliorer les conditions de travail pour attirer et surtout retenir les agents en poste. Jonathan Leblond précise qu’il manque le tiers des effectifs nécessaires, alors qu’il devrait y avoir au moins 150 agents de services correctionnels à Amos. Le contrat de travail actuel est échu depuis le 31 mars 2023. Celui-ci avait aussi été conclu après plus d'un an de négociations Une situation que Radio-Canada avait signalée en 2019 le nombre de personnes incarcérées a augmenté Ce n’est pas rare que des soirs on couche à 280 malgré notre capacité de 220 personnes incarcérées et pourtant le nombre d’agents est passé de 120 à 100 Le syndicat affirme qu’il faut améliorer les conditions de travail pour attirer et surtout retenir les agents en poste Jonathan Leblond précise qu’il manque le tiers des effectifs nécessaires alors qu’il devrait y avoir au moins 150 agents de services correctionnels à Amos le fait qu'on a des conditions de travail qui sont très difficiles On parle du temps supplémentaire obligatoire On parle des agents qui se font appeler chez eux pour se faire obliger de rentrer travailler parce qu’on manque d’effectifs Tout ça crée un climat qui fait que les agents veulent partir et c’est très difficile de les maintenir au travail avec ces conditions-là Le contrat de travail actuel est échu depuis le 31 mars 2023. Celui-ci avait aussi été conclu après plus d'un an de négociations Une situation que Radio-Canada avait signalée en 2019 Les agents de services correctionnels de l’Établissement de détention d’Amos ont manifesté devant leur lieu de travail mercredi matin Sans convention collective depuis près de deux ans À Amos, c’est la Division des enquêtes sur les crimes majeurs qui a mené cette opération, assistée par le maître-chien et le groupe tactique d’intervention. Les perquisitions ont eu lieu sur les rues des Cèdres, des Pins, des Pionniers et sur la 2e avenue, à Amos ainsi que sur le chemin Fontbonne à Preissac. Deux hommes et une femme d’Amos, âgés de 27 et de 28 ans, ont alors été arrêtés. Les deux hommes demeurent détenus pour la suite des procédures et la femme a été libérée et pourrait comparaître plus tard. Les policiers ont entre autres saisi à ces résidences 700 comprimés de méthamphétamine, plus de 40 grammes de cocaïne, une arme à feu semi-automatique, des couteaux et une arbalète. Du côté de Val-d’Or, la perquisition a eu lieu sur l’avenue Perreault. Une femme de 47 ans a été arrêtée et libérée, mais pourrait faire face à des accusations liées aux stupéfiants. Un homme de 58 ans a aussi été arrêté sur place en lien avec un mandat d’arrestation émis contre lui. Du cannabis illicite, de la méthamphétamine, des champignons magiques, des médicaments d’ordonnance et un bâton de baseball avec des clous ont été saisis. Bianca Sickini-Joly est journaliste au Témiscamingue depuis son arrivée dans la région en 2019. À Radio-Canada depuis janvier 2023, elle croit en l'importance de couvrir l'actualité locale et se donne le mandat de faire rayonner le territoire. Sa curiosité l'amène à s'intéresser à une large gamme de sujets. Elle affectionne particulièrement la rencontre avec les citoyens. Ouvrir en mode plein écranLes policiers ont saisi des stupéfiants et des armes dans six résidences ces derniers jours. (Photo d'archives) Bianca Sickini-JolyPublié le 23 janvier à 17 h 27 HAEÉcouter l’article | 2 minutesLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale, une technologie basée sur l’intelligence artificielle.Les policiers de la Sûreté du Québec ont mené des perquisitions les 21 et 22 janvier dans des résidences du secteur d’Amos et de Val-d’Or, menant à cinq arrestations. De la méthamphétamine, de la cocaïne, de l'ecstasy, des médicaments et des armes ont notamment été saisis par la SQ. À Amos, c’est la Division des enquêtes sur les crimes majeurs qui a mené cette opération, assistée par le maître-chien et le groupe tactique d’intervention. Les perquisitions ont eu lieu sur les rues des Cèdres, des Pins, des Pionniers et sur la 2e avenue, à Amos ainsi que sur le chemin Fontbonne à Preissac. Deux hommes et une femme d’Amos, âgés de 27 et de 28 ans, ont alors été arrêtés. Les deux hommes demeurent détenus pour la suite des procédures et la femme a été libérée et pourrait comparaître plus tard. Les policiers ont entre autres saisi à ces résidences 700 comprimés de méthamphétamine, plus de 40 grammes de cocaïne, une arme à feu semi-automatique, des couteaux et une arbalète. Du côté de Val-d’Or, la perquisition a eu lieu sur l’avenue Perreault. Une femme de 47 ans a été arrêtée et libérée, mais pourrait faire face à des accusations liées aux stupéfiants. Un homme de 58 ans a aussi été arrêté sur place en lien avec un mandat d’arrestation émis contre lui. Du cannabis illicite, de la méthamphétamine, des champignons magiques, des médicaments d’ordonnance et un bâton de baseball avec des clous ont été saisis. des médicaments et des armes ont notamment été saisis par la SQ c’est la Division des enquêtes sur les crimes majeurs qui a mené cette opération assistée par le maître-chien et le groupe tactique d’intervention Les perquisitions ont eu lieu sur les rues des Cèdres à Amos ainsi que sur le chemin Fontbonne à Preissac Deux hommes et une femme d’Amos âgés de 27 et de 28 ans Les deux hommes demeurent détenus pour la suite des procédures et la femme a été libérée et pourrait comparaître plus tard Les policiers ont entre autres saisi à ces résidences 700 comprimés de méthamphétamine la perquisition a eu lieu sur l’avenue Perreault Une femme de 47 ans a été arrêtée et libérée mais pourrait faire face à des accusations liées aux stupéfiants Un homme de 58 ans a aussi été arrêté sur place en lien avec un mandat d’arrestation émis contre lui des médicaments d’ordonnance et un bâton de baseball avec des clous ont été saisis Bianca Sickini-Joly est journaliste au Témiscamingue depuis son arrivée dans la région en 2019 À Radio-Canada depuis janvier 2023 elle croit en l'importance de couvrir l'actualité locale et se donne le mandat de faire rayonner le territoire Sa curiosité l'amène à s'intéresser à une large gamme de sujets Elle affectionne particulièrement la rencontre avec les citoyens Les policiers de la Sûreté du Québec ont mené des perquisitions les 21 et 22 janvier dans des résidences du secteur d’Amos et de Val-d’Or Après avoir fui Odessa au début de la guerre en Ukraine, Kateryna Adamchuk a brièvement vécu à Paris avant de s’installer à Amos avec sa fille Arina. Psychologue de formation, elle travaille en centre de la petite enfance à Amos depuis quelques années maintenant. Kateryna Adamchuk et sa fille Arina, qui a inspiré le premier livre jeunesse de sa mère. Pour Kateryna Adamchuk, écrire pour les enfants a toujours été un rêve, qui deviendra bientôt réalité. Ce qui devait être un cadeau pour une famille qui les a accueillis à leur arrivée en Abitibi-Témiscamingue est devenu un projet concret. Grâce à l’aide de Marie-Frédérique Frigon à la correction et aux illustrations de son amie Katerina Semikina, elle aussi réfugiée ukrainienne vivant en Roumanie, le livre a pris vie en auto-édition. Elle lance maintenant une campagne de sociofinancement sur la plateforme La Ruche afin de payer l’impression du premier tirage. Kateryna Adamchuk a déjà des projets pour des suites plein la tête pour les aventures d’Arina et Jacob. Après avoir fui Odessa au début de la guerre en Ukraine Kateryna Adamchuk a brièvement vécu à Paris avant de s'installer à Amos avec sa fille Arina elle travaille en centre de la petite enfance à Amos depuis quelques années maintenant écrire pour les enfants a toujours été un rêve Ce qui devait être un cadeau pour une famille qui les a accueillis à leur arrivée en Abitibi-Témiscamingue est devenu un projet concret Grâce à l'aide de Marie-Frédérique Frigon à la correction et aux illustrations de son amie Katerina Semikina elle aussi réfugiée ukrainienne vivant en Roumanie Elle lance maintenant une campagne de sociofinancement sur la plateforme La Ruche afin de payer l'impression du premier tirage Kateryna Adamchuk a déjà des projets pour des suites plein la tête pour les aventures d'Arina et Jacob L'Amossoise d'adoption Kateryna Adamchuk lance un premier livre jeunesse Les résultats de ce sondage, rendus publics lundi, démontrent que 64 % des élèves désirent un retour aux blocs sanitaires genrés. La direction du CSS Harricana n’a pas voulu accorder d’entrevue sur le sujet. Dès lundi, un bloc sanitaire comptant 12 unités sera réservé aux femmes et un bloc de 6 unités pour les hommes. Le CSS annonce aussi le retour des caméras de surveillance, une mesure qui avait été critiquée par certains élèves. Elles seront réactivées dès que possible considérant une hausse de vandalisme notée depuis leur retrait en novembre dernier. Il s’agit malheureusement d’une problématique importante vécue dans les blocs sanitaires de l’école, indique-t-on dans le communiqué de presse. Les dirigeants du CSS assurent que les caméras seront utilisées en conformité avec la Loi sur l’accès à l’information et la protection des renseignements personnels. Diplômée en journalisme de l'Université d'Ottawa, Annie-Claude Luneau couvre l'actualité de l'Abitibi-Témiscamingue depuis plus de 15 ans. Elle est journaliste à Radio-Canada à Rouyn-Noranda depuis 2011. Elle a animé l'émission Région zéro 8 sur ICI Première de 2015 à 2018, avant de devenir responsable des affectations et lancer le premier Vidéojournal au pays en 2020. Ouvrir en mode plein écranLa direction de l'école devait mettre en place deux blocs sanitaires non genrés. (Photo d'archives) Annie-Claude LuneauPublié le 17 février à 16 h 37 HAEÉcouter l’article | 3 minutesLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale une technologie basée sur l’intelligence artificielle.Le Centre de services scolaire (CSS) Harricana fait marche arrière au sujet des toilettes mixtes au pavillon La Calypso de l’École secondaire d’Amos Ouvrir en mode plein écranLe pavillon La Calypso de l'École secondaire d'Amos. (Photo d'archives) Les résultats de ce sondage, rendus publics lundi, démontrent que 64 % des élèves désirent un retour aux blocs sanitaires genrés. Entre le 16 et le 23 janvier dernier, ce sont 591 élèves qui ont répondu au sondage spécialement conçu pour les blocs sanitaires mixtes. Plusieurs questions touchant différents thèmes, notamment la sécurité, l’aisance, la fréquence d’utilisation, ont permis d’en apprendre davantage sur les habitudes des utilisateurs et utilisatrices, indique l’équipe du secrétariat général et des communications du Centre de service scolaire dans un communiqué. La direction du CSS Harricana n’a pas voulu accorder d’entrevue sur le sujet. Dès lundi, un bloc sanitaire comptant 12 unités sera réservé aux femmes et un bloc de 6 unités pour les hommes. Ouvrir en mode plein écranUne caméra de surveillance est dans le corridor qui donne accès aux blocs sanitaires. (Photo d'archives) Le CSS annonce aussi le retour des caméras de surveillance, une mesure qui avait été critiquée par certains élèves. Elles seront réactivées dès que possible considérant une hausse de vandalisme notée depuis leur retrait en novembre dernier. Il s’agit malheureusement d’une problématique importante vécue dans les blocs sanitaires de l’école, indique-t-on dans le communiqué de presse. Les dirigeants du CSS assurent que les caméras seront utilisées en conformité avec la Loi sur l’accès à l’information et la protection des renseignements personnels. L’automne dernier, des parents et des élèves avaient lancé une pétition contre l’ouverture d’un bloc sanitaire non genré démontrent que 64 % des élèves désirent un retour aux blocs sanitaires genrés ce sont 591 élèves qui ont répondu au sondage spécialement conçu pour les blocs sanitaires mixtes Plusieurs questions touchant différents thèmes ont permis d’en apprendre davantage sur les habitudes des utilisateurs et utilisatrices indique l’équipe du secrétariat général et des communications du Centre de service scolaire dans un communiqué La direction du CSS Harricana n’a pas voulu accorder d’entrevue sur le sujet un bloc sanitaire comptant 12 unités sera réservé aux femmes et un bloc de 6 unités pour les hommes Le CSS annonce aussi le retour des caméras de surveillance une mesure qui avait été critiquée par certains élèves Elles seront réactivées dès que possible considérant une hausse de vandalisme notée depuis leur retrait en novembre dernier Il s’agit malheureusement d’une problématique importante vécue dans les blocs sanitaires de l’école indique-t-on dans le communiqué de presse Les dirigeants du CSS assurent que les caméras seront utilisées en conformité avec la Loi sur l’accès à l’information et la protection des renseignements personnels Diplômée en journalisme de l'Université d'Ottawa Annie-Claude Luneau couvre l'actualité de l'Abitibi-Témiscamingue depuis plus de 15 ans Elle est journaliste à Radio-Canada à Rouyn-Noranda depuis 2011 Elle a animé l'émission Région zéro 8 sur ICI Première de 2015 à 2018 avant de devenir responsable des affectations et lancer le premier Vidéojournal au pays en 2020 L’automne dernier, des parents et des élèves avaient lancé une pétition contre l’ouverture d’un bloc sanitaire non genré Le Centre de services scolaire (CSS) Harricana fait marche arrière au sujet des toilettes mixtes au pavillon La Calypso de l’École secondaire d’Amos Les finalistes pour le prix le plus convoité de la soirée, soit la bourse du CALQ - Artiste de l'année en Abitibi-Témiscamingue, sont la comédienne et conteuse Mélanie Nadeau, l'auteure Catherine Perreault et la conteuse Marta Saenz de la Calzada. C'est tellement un bel encouragement, une belle tape dans le dos, a souligné Mélanie Nadeau en marge de l'annonce des finalistes. Le chemin d'un artiste, c'est plein de refus, de petits succès et de petits échecs. [...] J'avoue que recevoir une nouvelle comme ça, c'est un bel encouragement à continuer, à croire, à faire mes trucs et à poursuivre mon chemin. Le territoire-hôte des prix cette année, soit la MRC Abitibi, a aussi nommé les finalistes du prix Coup de coeur, soit l'artiste-peintre Guylaine Magny, le musicien Jasmin Martel et l'artiste numérique Meisam Nemati. Je suis arrivé à Amos en 2020, et c'était difficile pour moi au début d'intégrer tous les organismes artistiques, mais j'ai reçu du soutien de la Ville d'Amos, de la Société des arts Harricana, du CCAT, du Fonds Ange-Gardien Harricana. Je reçois beaucoup de soutien, affirme Meisam Nemati, qui se spécialise dans la création d'expériences 360 et immersives. Le public est pour sa part invité à voter parmi cinq auteures pour le Prix du public TVA Abitibi-Témiscamingue, soit Jessy Gaumond (Abitibi-Ouest), Véronique Filion (Abitibi), Virginia Pésémapéo-Bordeleau (Rouyn-Noranda), Lucie Roy (Témiscamingue) et Chantale Labrecque (Vallée-de-l'Or). La remise des Prix de la culture aura lieu le jeudi 8 mai, au Théâtre des Eskers d'Amos; les Productions AC en assureront l'animation. Des prestations viendront ponctuer la soirée, dont un conte de Tom Mapachee ainsi que des contes en musique de Marta Saenz de la Calzada et de Pierre Labrèche, accompagnés du musicien Pier Tanguay. Marie-Hélène Paquin a commencé sa carrière de journaliste dans les journaux régionaux de l'Abitibi-Témiscamingue. En 2018, elle joint l'équipe de Radio-Canada, et en 2022, l'équipe de l'émission Des matins en or en tant que chroniqueuse culturelle. Ouvrir en mode plein écranMaude Guy, directrice générale du Conseil de la culture de l'Abitibi-Témiscamingue Marie-Hélène PaquinPublié le 15 avril à 12 h 50 HAEÉcouter l’article | 4 minutesLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale, une technologie basée sur l’intelligence artificielle.La littérature et le conte seront les disciplines à l'honneur cette année à la remise de prix du Conseil de la culture de l'Abitibi-Témiscamingue, le 8 mai, à Amos. Les finalistes dans sept catégories ont été dévoilés le 15 avril, certains ayant été sélectionnés par un jury, tandis que d'autres sont nommés par les comités culturels des cinq MRC de la région. Les finalistes pour le prix le plus convoité de la soirée, soit la bourse du CALQ - Artiste de l'année en Abitibi-Témiscamingue, sont la comédienne et conteuse Mélanie Nadeau, l'auteure Catherine Perreault et la conteuse Marta Saenz de la Calzada. Ouvrir en mode plein écranMélanie Nadeau est finaliste pour la bourse du CALQ - Artiste de l'année en Abitibi-Témiscamingue. C'est tellement un bel encouragement, une belle tape dans le dos, a souligné Mélanie Nadeau en marge de l'annonce des finalistes. Le chemin d'un artiste, c'est plein de refus, de petits succès et de petits échecs. [...] J'avoue que recevoir une nouvelle comme ça, c'est un bel encouragement à continuer, à croire, à faire mes trucs et à poursuivre mon chemin. Le territoire-hôte des prix cette année, soit la MRC Abitibi, a aussi nommé les finalistes du prix Coup de coeur, soit l'artiste-peintre Guylaine Magny, le musicien Jasmin Martel et l'artiste numérique Meisam Nemati. Je suis arrivé à Amos en 2020, et c'était difficile pour moi au début d'intégrer tous les organismes artistiques, mais j'ai reçu du soutien de la Ville d'Amos, de la Société des arts Harricana, du CCAT, du Fonds Ange-Gardien Harricana. Je reçois beaucoup de soutien, affirme Meisam Nemati, qui se spécialise dans la création d'expériences 360 et immersives. Ouvrir en mode plein écranMeisam Nemati, artiste numérique, est en nomination pour le prix Coup de cœur, décerné par la MRC Abitibi, hôtesse des Prix cette année. Le public est pour sa part invité à voter parmi cinq auteures pour le Prix du public TVA Abitibi-Témiscamingue, soit Jessy Gaumond (Abitibi-Ouest), Véronique Filion (Abitibi), Virginia Pésémapéo-Bordeleau (Rouyn-Noranda), Lucie Roy (Témiscamingue) et Chantale Labrecque (Vallée-de-l'Or). La remise des Prix de la culture aura lieu le jeudi 8 mai, au Théâtre des Eskers d'Amos; les Productions AC en assureront l'animation. Des prestations viendront ponctuer la soirée, dont un conte de Tom Mapachee ainsi que des contes en musique de Marta Saenz de la Calzada et de Pierre Labrèche, accompagnés du musicien Pier Tanguay. Les finalistes dans sept catégories ont été dévoilés le 15 avril certains ayant été sélectionnés par un jury tandis que d'autres sont nommés par les comités culturels des cinq MRC de la région Les finalistes pour le prix le plus convoité de la soirée soit la bourse du CALQ - Artiste de l'année en Abitibi-Témiscamingue sont la comédienne et conteuse Mélanie Nadeau l'auteure Catherine Perreault et la conteuse Marta Saenz de la Calzada a souligné Mélanie Nadeau en marge de l'annonce des finalistes de petits succès et de petits échecs [...] J'avoue que recevoir une nouvelle comme ça c'est un bel encouragement à continuer à faire mes trucs et à poursuivre mon chemin Le territoire-hôte des prix cette année a aussi nommé les finalistes du prix Coup de coeur le musicien Jasmin Martel et l'artiste numérique Meisam Nemati et c'était difficile pour moi au début d'intégrer tous les organismes artistiques mais j'ai reçu du soutien de la Ville d'Amos de la Société des arts Harricana qui se spécialise dans la création d'expériences 360 et immersives Le public est pour sa part invité à voter parmi cinq auteures pour le Prix du public TVA Abitibi-Témiscamingue Virginia Pésémapéo-Bordeleau (Rouyn-Noranda) Lucie Roy (Témiscamingue) et Chantale Labrecque (Vallée-de-l'Or) La remise des Prix de la culture aura lieu le jeudi 8 mai au Théâtre des Eskers d'Amos; les Productions AC en assureront l'animation Des prestations viendront ponctuer la soirée dont un conte de Tom Mapachee ainsi que des contes en musique de Marta Saenz de la Calzada et de Pierre Labrèche Marie-Hélène Paquin a commencé sa carrière de journaliste dans les journaux régionaux de l'Abitibi-Témiscamingue l'équipe de l'émission Des matins en or en tant que chroniqueuse culturelle La littérature et le conte seront les disciplines à l'honneur cette année à la remise de prix du Conseil de la culture de l'Abitibi-Témiscamingue l’Accueil d’Amos est passé de six à neuf lits d’urgence (Photo d’archives)PHOTO : Radio-Canada / Martin GuindonLa direction de l’Accueil d’Amos aimerait ouvrir une halte-chaleur la semaine prochaine indique qu’elle pourrait avoir accès à une roulotte de chantier pour accueillir des personnes en situation d’itinérance En décembre dernier, elle disait sur nos ondes espérer offrir ce service avant Noël Il reste encore des éléments à confirmer selon Mégane Perron Ça nous prend encore du monde pour pourvoir les quarts de travail La période qu’on vise c’est vraiment de 16 h à 22 h la période la plus critique pour nos gens qui sont à la rue rapporte la coordonnatrice clinique de l’Accueil d’Amos En raison du froid extrême le personnel a accueilli des personnes dans le besoin en journée Une mesure exceptionnelle pour la ressource en santé mentale dépendance et itinérance qui offre normalement neuf lits pour de l’hébergement d’urgence mais on s’entend que c’est huit à neuf personnes de plus dans nos murs à longueur de journée qui utilisent nos aires de vie Mégane Perron souligne que les dons de sous-vêtements de mitaines plus chaudes que celles en laine et des vêtements grandes tailles sont les bienvenus En décembre dernier, elle disait sur nos ondes espérer offrir ce service avant Noël La période qu’on vise c’est vraiment de 16 h à 22 h En raison du froid extrême La direction de l’Accueil d’Amos aimerait ouvrir une halte-chaleur la semaine prochaine dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"Ce nouveau comité est né en 2023 de la volonté de plusieurs organismes communautaires de répondre au besoin criant de logements pour les ménages à revenus faibles ou modestes c’est un comité qui vise à faire la promotion du logement abordable et du logement social On a ajouté à notre mission la possibilité de construire ou d’acquérir du logement Les organismes ont donc décidé de passer à l’action Plusieurs sont impliqués financièrement à la hauteur de leurs moyens pour démontrer leur sérieux ça va s'adresser aux gens qui sont en situation de vulnérabilité bénéficient de l'aide de dernier recours qui eux ont un revenu de 807 $ par mois On comprend donc que le défi est quand même important Le premier projet est toujours à un stade embryonnaire soit celui d'élaboration de concept avec le soutien d’un groupe de ressources techniques spécialisé en logement social Le projet a franchi une première étape importante lorsque la Ville d’Amos a cédé un terrain près du centre-ville au Comité logement Amos Harricana La Ville désire que des organismes déposent des projets de logements sociaux. Ce sont des projets qui sont longs à faire. Le dernier est celui qu’on est en train de réaliser, Le Centurion alors on a acheté ce terrain pour le mettre dans notre réserve foncière pour faire du développement précise le maire Sébastien D’Astous Le terrain en question est situé à l’arrière de l’ancien Pavillon Amos Le Comité logement est venu nous rencontrer pour nous dire qu’il était prêt à lever un projet et qu’il allait le déposer [à la Société d’habitation du Québec] dans la mesure où la Ville était présente Ça veut dire offrir un terrain gratuitement On a décidé aussi de leur offrir 5000 $ pour travailler le dossier Ça va venir aussi avec des crédits de taxes c'est d'être en mode solution et de créer des unités le plus rapidement possible Selon l’échéancier préliminaire le projet pourrait se concrétiser dans les trois prochaines années Le taux d'inoccupation des logements était de 0,9 % en 2023 à Amos, selon la Société canadienne d’hypothèques et de logement. Martin GuindonPublié le 20 octobre 2024 à 7 h 31 HAEÉcouter l’article | 3 minutesLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale une technologie basée sur l’intelligence artificielle.Le Comité logement Amos Harricana veut créer des logements sociaux à Amos Un premier projet est déjà sur la planche à dessin de l’organisme et pourrait voir le jour d’ici trois ans Ce nouveau comité est né en 2023 de la volonté de plusieurs organismes communautaires de répondre au besoin criant de logements pour les ménages à revenus faibles ou modestes c’est un comité qui vise à faire la promotion du logement abordable et du logement social On a ajouté à notre mission la possibilité de construire ou d’acquérir du logement Les organismes ont donc décidé de passer à l’action Plusieurs sont impliqués financièrement à la hauteur de leurs moyens pour démontrer leur sérieux ça va s'adresser aux gens qui sont en situation de vulnérabilité On comprend donc que le défi est quand même important Le premier projet est toujours à un stade embryonnaire soit celui d'élaboration de concept avec le soutien d’un groupe de ressources techniques spécialisé en logement social Le projet a franchi une première étape importante lorsque la Ville d’Amos a cédé un terrain près du centre-ville au Comité logement Amos Harricana alors on a acheté ce terrain pour le mettre dans notre réserve foncière pour faire du développement Le terrain en question est situé à l’arrière de l’ancien Pavillon Amos Le Comité logement est venu nous rencontrer pour nous dire qu’il était prêt à lever un projet et qu’il allait le déposer [à la Société d’habitation du Québec] dans la mesure où la Ville était présente Ça veut dire offrir un terrain gratuitement On a décidé aussi de leur offrir 5000 $ pour travailler le dossier Ça va venir aussi avec des crédits de taxes c'est d'être en mode solution et de créer des unités le plus rapidement possible le projet pourrait se concrétiser dans les trois prochaines années Ce nouveau comité est né en 2023 de la volonté de plusieurs organismes communautaires de répondre au besoin criant de logements pour les ménages à revenus faibles ou modestes La Ville désire que des organismes déposent des projets de logements sociaux. Ce sont des projets qui sont longs à faire. Le dernier est celui qu’on est en train de réaliser, Le Centurion Le taux d'inoccupation des logements était de 0,9 % en 2023 à Amos selon la Société canadienne d’hypothèques et de logement Le taux d'inoccupation des logements était de 0,9 % en 2023 à Amos Le Comité logement Amos Harricana veut créer des logements sociaux à Amos Un premier projet est déjà sur la planche à dessin de l’organisme et pourrait voir le jour d’ici trois ans c’est 45 pompiers qui ont été mobilisés mentionne le directeur adjoint du Service des incendies de la Ville d’Amos La Ville d’Amos avait d’ailleurs demandé à l’ensemble des citoyens afin de préserver l’ensemble des ressources pour les services de sécurité incendie.  La Ville d’Amos apporte son soutien à l’usine d’Arbec et souhaite que les activités de l’usine puissent reprendre le plus rapidement possible Rose-Marie Paradis croit que même les élèves du secondaire, comme son neveu, ne devraient pas avoir à traverser une route dont la limite permise est supérieure à 70 km/h. Elle est de 90 km/h à l’endroit où Nathan a débarqué de l’autobus. Même les élèves du primaire présentement n'ont pas le droit de traverser de l’autre côté de la route. Je ne pense pas qu’à 13 ans, soudainement [ils soient plus aptes à traverser en toute sécurité], du moins à ces vitesses-là, affirme-t-elle, interrompue par le bruit d’un véhicule passant à toute vitesse sur la route 111. Selon Rose-Marie Paradis, on éliminerait déjà une grande partie du risque en faisant débarquer tous les élèves du bon côté de la route. On a la notion du geste un peu volontaire, les négligences, ou encore les gens qui se disent : ''Je suis sûr que j'ai le temps''. Ça, c'est une chose, mais même quelqu'un qui ferait un malaise, l'enfant qui traverse la route est moins protégé, précise-t-elle. Les règles de la CNESST concernant les éboueurs sont plus grandes que les règles qu'on a pour nos enfants en autobus scolaire. Par exemple, un éboueur ne peut pas traverser une route de plus de 80 km/h pour aller chercher les poubelles de l'autre côté. Pour le Projet Nathan, Rose-Marie Paradis a créé un groupe Facebook pour réunir les meilleures pistes de solution et faire modifier les normes du transport scolaire au Québec. Elle reçoit aussi l’appui des parents mobilisés contre l’insécurité des écoliers au sein du groupe Pas une mort de plus. Si les routes sont vraiment impossibles à allonger parce que ce serait trop long de refaire le tour pour les élèves, peut-être qu’il faudrait des brigadiers pour s’assurer que les enfants traversent correctement, donne-t-elle comme exemple. Elle avance aussi l'idée d'installer des caméras sur les autobus pour photographier les véhicules qui n’arrêtent pas aux feux intermittents, pour pouvoir ensuite leur envoyer une contravention. Avec ces pistes de solution, Rose-Marie Paradis préparera une pétition pour le site Internet de l’Assemblée nationale visant à faire réviser les normes du transport scolaire. Elle sera parrainée par la députée d’Abitibi-Ouest, Suzanne Blais. Ça va donner beaucoup plus de poids que d'arriver avec une pétition signée sur du papier ou sur un site Internet tiers. Je pense qu’avec un certain nombre de signatures, ils ont l’obligation de la regarder minimalement, que chaque ministère doit regarder ce qu’il peut faire, croit-elle. Le père de Nathan, Dominique Macameau-Paquette, offre tout son soutien à Rose-Marie Paradis dans ses démarches. Sa priorité, c’est d’obliger le transport scolaire à débarquer les élèves du bon côté de la route. S’il avait débarqué du bon bord, ça ne serait pas arrivé. Il faut que les choses changent pour que personne n’ait à vivre ça. Ce n’est pas le premier, ça ne sera pas le dernier, mais il faut éviter d'autres drames comme ça, dit-il. Dominique Macameau-Paquette y voit une occasion de plus pour honorer la mémoire de Nathan et faire en sorte que sa mort ne soit pas vaine. Une occasion de plus, parce que Nathan a pu faire le don de ses deux reins et de son foie avec succès. Il avait signé sa carte pour les dons d’organes. Il a donné trois organes et deux valves de cœur. Il va pouvoir revivre dans d’autres corps. C’était dur à vivre, mais c’est très touchant de voir qu’au moins, ça va peut-être conscientiser d'autres personnes à faire en sorte que les enfants signent des cartes. Parce qu’un accident, ça peut vite arriver, puis on peut sauver d'autres vies, conclut-il. Des membres de la famille du jeune adolescent happé par une voiture à sa sortie d'autobus il y a deux semaines à Amos se mobilisent pour améliorer la sécurité du transport scolaire au Québec. Ouvrir en mode plein écranLe jeune Nathan Macameau a été happé par une voiture à sa sortie d'autobus il y a deux semaines à Amos. Martin GuindonPublié le 12 septembre 2024 à 6 h 14 HAEÉcouter l’article | 5 minutesLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale une technologie basée sur l’intelligence artificielle.Rose-Marie Paradis lance le Projet Nathan pour éviter des situations comme celle qui a coûté la vie à son neveu de 13 ans dans les premiers jours de la rentrée scolaire à Amos Elle souhaite que le gouvernement du Québec rende le transport scolaire plus sécuritaire Rose-Marie Paradis croit que même les élèves du secondaire, comme son neveu, ne devraient pas avoir à traverser une route dont la limite permise est supérieure à 70 km/h. Elle est de 90 km/h à l’endroit où Nathan a débarqué de l’autobus. Même les élèves du primaire présentement n'ont pas le droit de traverser de l’autre côté de la route. Je ne pense pas qu’à 13 ans, soudainement [ils soient plus aptes à traverser en toute sécurité], du moins à ces vitesses-là, affirme-t-elle, interrompue par le bruit d’un véhicule passant à toute vitesse sur la route 111. Ouvrir en mode plein écranRose-Marie Paradis lance le Projet Nathan pour améliorer la sécurité du transport scolaire. Photo : Radio-Canada / Jean-François Perron Selon Rose-Marie Paradis, on éliminerait déjà une grande partie du risque en faisant débarquer tous les élèves du bon côté de la route. On a la notion du geste un peu volontaire, les négligences, ou encore les gens qui se disent : ''Je suis sûr que j'ai le temps''. Ça, c'est une chose, mais même quelqu'un qui ferait un malaise, l'enfant qui traverse la route est moins protégé, précise-t-elle. Les règles de la CNESST concernant les éboueurs sont plus grandes que les règles qu'on a pour nos enfants en autobus scolaire. Par exemple, un éboueur ne peut pas traverser une route de plus de 80 km/h pour aller chercher les poubelles de l'autre côté. Pour le Projet Nathan, Rose-Marie Paradis a créé un groupe Facebook pour réunir les meilleures pistes de solution et faire modifier les normes du transport scolaire au Québec. Elle reçoit aussi l’appui des parents mobilisés contre l’insécurité des écoliers au sein du groupe Pas une mort de plus. Si les routes sont vraiment impossibles à allonger parce que ce serait trop long de refaire le tour pour les élèves, peut-être qu’il faudrait des brigadiers pour s’assurer que les enfants traversent correctement, donne-t-elle comme exemple. Elle avance aussi l'idée d'installer des caméras sur les autobus pour photographier les véhicules qui n’arrêtent pas aux feux intermittents, pour pouvoir ensuite leur envoyer une contravention. Avec ces pistes de solution, Rose-Marie Paradis préparera une pétition pour le site Internet de l’Assemblée nationale visant à faire réviser les normes du transport scolaire. Elle sera parrainée par la députée d’Abitibi-Ouest, Suzanne Blais. Ça va donner beaucoup plus de poids que d'arriver avec une pétition signée sur du papier ou sur un site Internet tiers. Je pense qu’avec un certain nombre de signatures, ils ont l’obligation de la regarder minimalement, que chaque ministère doit regarder ce qu’il peut faire, croit-elle. Ouvrir en mode plein écranLa tante Rose-Marie Paradis, le père Dominique Macameau-Paquette et sa conjointe, Cynthia Mercier. Photo : Radio-Canada / Jean-François Perron Le père de Nathan, Dominique Macameau-Paquette, offre tout son soutien à Rose-Marie Paradis dans ses démarches. Sa priorité, c’est d’obliger le transport scolaire à débarquer les élèves du bon côté de la route. S’il avait débarqué du bon bord, ça ne serait pas arrivé. Il faut que les choses changent pour que personne n’ait à vivre ça. Ce n’est pas le premier, ça ne sera pas le dernier, mais il faut éviter d'autres drames comme ça, dit-il. 1:52Les proches de Nathan ont accepté de nous rencontrer. Dominique Macameau-Paquette y voit une occasion de plus pour honorer la mémoire de Nathan et faire en sorte que sa mort ne soit pas vaine. Une occasion de plus, parce que Nathan a pu faire le don de ses deux reins et de son foie avec succès. Il avait signé sa carte pour les dons d’organes. Il a donné trois organes et deux valves de cœur. Il va pouvoir revivre dans d’autres corps. C’était dur à vivre, mais c’est très touchant de voir qu’au moins, ça va peut-être conscientiser d'autres personnes à faire en sorte que les enfants signent des cartes. Parce qu’un accident, ça peut vite arriver, puis on peut sauver d'autres vies, conclut-il. Le 27 août dernier, Nathan Macameau a été happé en traversant la route 111 à sa sortie de l’autobus scolaire qui le ramenait à la maison Il a fini par succomber à ses blessures Rose-Marie Paradis croit que même les élèves du secondaire ne devraient pas avoir à traverser une route dont la limite permise est supérieure à 70 km/h Elle est de 90 km/h à l’endroit où Nathan a débarqué de l’autobus Même les élèves du primaire présentement n'ont pas le droit de traverser de l’autre côté de la route Je ne pense pas qu’à 13 ans soudainement [ils soient plus aptes à traverser en toute sécurité] interrompue par le bruit d’un véhicule passant à toute vitesse sur la route 111 on éliminerait déjà une grande partie du risque en faisant débarquer tous les élèves du bon côté de la route ou encore les gens qui se disent : ''Je suis sûr que j'ai le temps'' mais même quelqu'un qui ferait un malaise l'enfant qui traverse la route est moins protégé Les règles de la CNESST concernant les éboueurs sont plus grandes que les règles qu'on a pour nos enfants en autobus scolaire un éboueur ne peut pas traverser une route de plus de 80 km/h pour aller chercher les poubelles de l'autre côté Rose-Marie Paradis a créé un groupe Facebook pour réunir les meilleures pistes de solution et faire modifier les normes du transport scolaire au Québec Elle reçoit aussi l’appui des parents mobilisés contre l’insécurité des écoliers au sein du groupe Pas une mort de plus Si les routes sont vraiment impossibles à allonger parce que ce serait trop long de refaire le tour pour les élèves peut-être qu’il faudrait des brigadiers pour s’assurer que les enfants traversent correctement Elle avance aussi l'idée d'installer des caméras sur les autobus pour photographier les véhicules qui n’arrêtent pas aux feux intermittents pour pouvoir ensuite leur envoyer une contravention Rose-Marie Paradis préparera une pétition pour le site Internet de l’Assemblée nationale visant à faire réviser les normes du transport scolaire Elle sera parrainée par la députée d’Abitibi-Ouest Ça va donner beaucoup plus de poids que d'arriver avec une pétition signée sur du papier ou sur un site Internet tiers Je pense qu’avec un certain nombre de signatures ils ont l’obligation de la regarder minimalement que chaque ministère doit regarder ce qu’il peut faire offre tout son soutien à Rose-Marie Paradis dans ses démarches c’est d’obliger le transport scolaire à débarquer les élèves du bon côté de la route S’il avait débarqué du bon bord Il faut que les choses changent pour que personne n’ait à vivre ça mais il faut éviter d'autres drames comme ça Dominique Macameau-Paquette y voit une occasion de plus pour honorer la mémoire de Nathan et faire en sorte que sa mort ne soit pas vaine parce que Nathan a pu faire le don de ses deux reins et de son foie avec succès Il avait signé sa carte pour les dons d’organes Il a donné trois organes et deux valves de cœur Il va pouvoir revivre dans d’autres corps mais c’est très touchant de voir qu’au moins ça va peut-être conscientiser d'autres personnes à faire en sorte que les enfants signent des cartes Le 27 août dernier, Nathan Macameau a été happé en traversant la route 111 militent pour des changements dans le transport scolaire Rose-Marie Paradis lance le Projet Nathan pour éviter des situations comme celle qui a coûté la vie à son neveu de 13 ans dans les premiers jours de la rentrée scolaire à Amos Des membres de la famille du jeune adolescent happé par une voiture à sa sortie d'autobus il y a deux semaines à Amos se mobilisent pour améliorer la sécurité du transport scolaire au Québec dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"Le conseil municipal de Saint-Félix-de-Dalquier a déposé son avis de motion et projet de règlement portant sur une demande commune de regroupement Celui d’Amos fera de même à sa prochaine séance C’est la prochaine réunion qui est importante Lorsque les deux municipalités auront adopté leurs règlements respectifs le mois prochain la demande sera soumise au ministère des Affaires municipales et de l’Habitation pour analyse Les citoyens auront alors 30 jours pour s’exprimer par écrit auprès du ministère mais le maire de Saint-Félix-de-Dalquier n’a entendu à ce jour aucun commentaire négatif Il y avait un peu d'inquiétude au début mais de l’opposition ou du négatif j'essaie d'être à l'écoute et je pose des questions J'ai même demandé à un de mes conseillers qui dit avoir reçu des interrogations et des inquiétudes plus que du négatif Ce dernier ajoute que les citoyens sont déjà à même de constater l’efficacité des employés de la Ville d’Amos alors que la pénurie de main-d’œuvre oblige sa Municipalité à leur confier l’entretien des chemins du réseau d’aqueduc et du réseau d’égouts que 90 % du travail a été fait À partir du moment qu'on sera convaincu qu'il y aura le regroupement on va tomber sur le terrain et on va vraiment intégrer les services On a des équipes chevronnées prêtes à relever les défis et moi je trouve que c’est un beau défi il n’entrevoit d’ailleurs pas d’obstacles à la fusion entre les deux municipalités On a écrit dans le règlement ce qui était le plus important dans le fond ce qui était à considérer dans la fusion il n’y a absolument rien de négatif On a bon espoir qu'on va pouvoir fusionner le 1er janvier 2025 À moins d’une contestation majeure, Québec approuvera la demande commune de regroupement par décret cet automne, pour une fusion le 1er janvier prochain. Ouvrir en mode plein écranLe maire d'Amos, Sébastien D'Astous, et le maire de Saint-Félix-de-Dalquier, Félix Labrecque, avaient présenté en mai l’étude sur les implications d’un regroupement. (Photo d'archives) Martin GuindonPublié le 14 août 2024 à 17 h 59 HAEÉcouter l’article | 4 minutesLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale une technologie basée sur l’intelligence artificielle.La demande de fusion de la Municipalité de Saint-Félix-de-Dalquier avec la Ville d’Amos a franchi une nouvelle étape Le conseil municipal de Saint-Félix-de-Dalquier a déposé son avis de motion et projet de règlement portant sur une demande commune de regroupement Celui d’Amos fera de même à sa prochaine séance C’est la prochaine réunion qui est importante Lorsque les deux municipalités auront adopté leurs règlements respectifs le mois prochain la demande sera soumise au ministère des Affaires municipales et de l’Habitation pour analyse Les citoyens auront alors 30 jours pour s’exprimer par écrit auprès du ministère n’a entendu à ce jour aucun commentaire négatif Ouvrir en mode plein écranLe maire de Saint-Félix-de-Dalquier j'essaie d'être à l'écoute et je pose des questions qui dit avoir reçu des interrogations et des inquiétudes plus que du négatif Ce dernier ajoute que les citoyens sont déjà à même de constater l’efficacité des employés de la Ville d’Amos alors que la pénurie de main-d’œuvre oblige sa Municipalité à leur confier l’entretien des chemins À partir du moment qu'on sera convaincu qu'il y aura le regroupement on va tomber sur le terrain et on va vraiment intégrer les services On a des équipes chevronnées prêtes à relever les défis et moi a bon espoir que la fusion aura lieu le 1er janvier 2025 il n’entrevoit d’ailleurs pas d’obstacles à la fusion entre les deux municipalités On a écrit dans le règlement ce qui était le plus important dans le fond On a bon espoir qu'on va pouvoir fusionner le 1er janvier 2025 Ouvrir en mode plein écranSaint-Félix-de-Dalquier souhaite un regroupement municipal avec Amos depuis un moment déjà À moins d’une contestation majeure, Québec approuvera la demande commune de regroupement par décret cet automne, pour une fusion le 1er janvier prochain. Le conseil municipal de Saint-Félix-de-Dalquier a déposé son avis de motion et projet de règlement portant sur une demande commune de regroupement qui avait des difficultés à recruter du personnel et qui peinait à faire face à ses obligations Le projet ne présente pas d’impact financier à court terme pour les deux municipalités À moins d’une contestation majeure Québec approuvera la demande commune de regroupement par décret cet automne pour une fusion le 1er janvier prochain La demande de fusion de la Municipalité de Saint-Félix-de-Dalquier avec la Ville d’Amos a franchi une nouvelle étape Les victimes ont jusqu’au 18 décembre pour déposer leur réclamation, qui sera analysée par la juge à la retraite Claudette Picard, qui agit comme adjudicatrice dans cette affaire. Elle pourrait demander à les rencontrer individuellement. Une fois que la victime est inscrite auprès du cabinet d’avocats, celui-ci dispose de deux mois pour monter son dossier, ce qui donne jusqu’au 18 février. La juge adjudicatrice va rencontrer les membres qu'elle désire rencontrer et une fois que ces rencontres auront été faites, elle a un maximum d’un an après la décision qui approuve l’entente, soit jusqu’en septembre 2025, pour rendre son rapport, précise Me Wee. Les victimes devraient donc recevoir leur indemnisation d’ici cette date finale. Elles recevront aussi une lettre d’excuses du diocèse d’Amos. Pour certains membres, certaines victimes, c’est très important d’avoir cette lettre d’excuse de la part du diocèse, affirme Me Justin Wee. En septembre dernier, 54 personnes étaient inscrites au recours collectif. Plus de 16 prêtres sont visés par l’action collective qui concerne les actions posées par des prêtres ou diacres ordonnés diocésains. Ouvrir en mode plein écranLes personnes qui ont été agressées depuis 1940 par des prêtres et des préposés laïques du diocèse d’Amos se partageront 9 M$ en dédommagement. (Photo d'archives) Martin GuindonPublié le 9 novembre 2024 à 7 h 14 HAEÉcouter l’article | 3 minutesLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale une technologie basée sur l’intelligence artificielle.Les victimes d’agressions sexuelles commises par des prêtres du diocèse d’Amos ont encore un peu plus d’un mois pour se manifester si elles veulent être indemnisées Les victimes ont jusqu’au 18 décembre pour déposer leur réclamation, qui sera analysée par la juge à la retraite Claudette Picard, qui agit comme adjudicatrice dans cette affaire. Elle pourrait demander à les rencontrer individuellement. Ouvrir en mode plein écranMe Justin Wee, est avocat et associé de la firme Arsenault Dufresne Wee avocats, qui représente les demandeurs dans cette affaire. (Photo d'archives) Cinq catégories déterminent la hauteur de l’indemnisation qui sera versée aux victimes, selon des critères précisés dans l’entente, comme les séquelles laissées par l’agression. Lors de la présentation de l’entente à la juge Nancy Bonsaint, en mai dernier, les avocats ont évoqué des sommes pouvant aller de 140 000 $ à 170 000 $. Mais ces chiffres peuvent varier selon le nombre de personnes inscrites. Une fois que la victime est inscrite auprès du cabinet d’avocats, celui-ci dispose de deux mois pour monter son dossier, ce qui donne jusqu’au 18 février. La juge adjudicatrice va rencontrer les membres qu'elle désire rencontrer et une fois que ces rencontres auront été faites, elle a un maximum d’un an après la décision qui approuve l’entente, soit jusqu’en septembre 2025, pour rendre son rapport, précise Me Wee. Les victimes devraient donc recevoir leur indemnisation d’ici cette date finale. Elles recevront aussi une lettre d’excuses du diocèse d’Amos. Pour certains membres, certaines victimes, c’est très important d’avoir cette lettre d’excuse de la part du diocèse, affirme Me Justin Wee. En septembre dernier, 54 personnes étaient inscrites au recours collectif. Plus de 16 prêtres sont visés par l’action collective qui concerne les actions posées par des prêtres ou diacres ordonnés diocésains. L’entente de règlement entérinée par la Cour supérieure en septembre dernier prévoit une somme de 9,3 millions de dollars pour les victimes Le montant doit aussi couvrir les frais judiciaires et les honoraires de leurs avocats Les victimes ont jusqu’au 18 décembre pour déposer leur réclamation qui sera analysée par la juge à la retraite Claudette Picard qui agit comme adjudicatrice dans cette affaire Elle pourrait demander à les rencontrer individuellement Ce n’est pas un interrogatoire comme à la cour avec un juge et des avocats qui vont contre-interroger C’est plutôt un processus qui a été allégé pour favoriser l'accès à la justice pour les victimes avec une rencontre personnalisée seul à seul avec la juge adjudicatrice Et c'est de cette façon qu'elle va trancher ces deux questions : \\\"Est-ce que le membre est éligible?\\\" et ensuite \\\"Dans quelle catégorie cette personne se qualifie?\\\" associé au bureau Arsenault Dufresne Wee Avocats Cinq catégories déterminent la hauteur de l’indemnisation qui sera versée aux victimes selon des critères précisés dans l’entente comme les séquelles laissées par l’agression Lors de la présentation de l’entente à la juge Nancy Bonsaint les avocats ont évoqué des sommes pouvant aller de 140 000 $ à 170 000 $ Mais ces chiffres peuvent varier selon le nombre de personnes inscrites Une fois que la victime est inscrite auprès du cabinet d’avocats celui-ci dispose de deux mois pour monter son dossier ce qui donne jusqu’au 18 février La juge adjudicatrice va rencontrer les membres qu'elle désire rencontrer et une fois que ces rencontres auront été faites elle a un maximum d’un an après la décision qui approuve l’entente Les victimes devraient donc recevoir leur indemnisation d’ici cette date finale Elles recevront aussi une lettre d’excuses du diocèse d’Amos c’est très important d’avoir cette lettre d’excuse de la part du diocèse 54 personnes étaient inscrites au recours collectif Plus de 16 prêtres sont visés par l’action collective qui concerne les actions posées par des prêtres ou diacres ordonnés diocésains L’entente de règlement entérinée par la Cour supérieure en septembre dernier prévoit une somme de 9,3 millions de dollars pour les victimes Et c'est de cette façon qu'elle va trancher ces deux questions : \"Est-ce que le membre est éligible?\" et ensuite \"Dans quelle catégorie cette personne se qualifie?\" Les victimes d’agressions sexuelles commises par des prêtres du diocèse d’Amos ont encore un peu plus d’un mois pour se manifester si elles veulent être indemnisées.