Il devient incollable sur la culture des kakis fuyus des mandarines satsuma ou des baies d’argent Yann Fiquet sourit large devant un saladier rempli de yuzus citron nippon né ce coup-ci sur la terre d’Ambarès : 60 kilos « J’ai choisi des variétés autofertiles sans pollinisation croisée anticipant la raréfaction des insectes » propriétaire de ce terrain de 7 300 m² où cohabitent maison et plantations « Des plantes rustiques qui supportent les grandes amplitudes thermiques résistantes aux agressions biologiques pour initier un nouvel espace nourricier. » ont été aussi plantés des soucis : pucerons champignons ont rendu l’autorégulation difficile La sélection naturelle s’est faite : coccinelles hérissons ou mésanges charbonnières participent aujourd’hui à la bonne santé de cette future forêt comestible qui donnent ses premiers fruits qui glisse quand même que « tendinite et lombalgie sont mes amis » sous le regard amusé et solidaire d’Émilie les plants devraient devenir une « jungle » avec des arbres de 3 mètres Yann a planté des paulownias pour fournir biomasse et matières organiques « Je vais rester à la dimension d’un grand jardin-labo » seul dans la métropole bordelaise à la tête d’une telle plantation… « J’aimerais transmettre créer une pépinière de pépinières. » Contact Facebook : « forêt fruitière urbaine » ils permettent de soutenir le travail des 250 journalistes de notre rédaction qui s'engagent à vous proposer chaque jour une information de qualité vous pourrez accéder aux contenus et fonctionnalités gratuites que propose notre site.