J’accepteAller au contenu principalAller au pied de pageAide à la navigationPublicité La destination d’information de Radio-Canada dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"Le projet pilote a été mis en place au printemps 2019 C’était le fruit d’une entente entre le gouvernement du Nouveau-Brunswick et le groupe Lokia propriétaire du Manoir de la Vallée (Atholville); du Manoir Brise de l’Oasis (Bathurst); du Manoir Oasis de la Baie (Bathurst); du Manoir Sugarloaf (Campbellton); et du Manoir Sunrise (Dalhousie) L’entente permettait à ces établissements d’ignorer l’habituel taux de préposés par résidents imposé par le gouvernement Deux ex-employés soutiennent qu’il n’y avait plus assez de personnel et des délais trop courts pour effectuer les tâches ce qui a entraîné une diminution de la qualité du travail et une détérioration des conditions sanitaires Des personnes âgées y vivaient dans des conditions déplorables président-directeur général du Groupe Lokia ce qu’ont raconté deux anciens employés n’est pas représentatif de la réalité Le pdg du groupe Lokia affirme que l’objectif du projet pilote était de réviser le ratio employés-résidents dans les foyers de soins car l’ancien modèle avait fait son temps et les ressources n’étaient pas bien utilisées Le manque de main-d’oeuvre se fait sentir dans le réseau de santé au complet Il faut connaitre un peu la vision d'ensemble au lieu d'accuser un système de gestion qui n'est pas à la source de tous les problèmes du secteur Le Dr Tremblay n’a pas encore pris connaissance du rapport du gouvernement sur le projet pilote mais affirme néanmoins que les résultats étaient très bons D’après le reportage de Vanessa Blanch et Karissa Donkin et avec des renseignements de Marie-Ève Brassard D’anciens employés affirment que le projet a mené à des réductions de personnel et des conditions déplorables Prenez note que cet article publié en 2020 pourrait contenir des informations qui ne sont plus à jour un foyer de soins spéciaux à Atholville au Nouveau-Brunswick affirme que le projet pilote qui s’y est déroulé ne visait pas à faire des compressions mais à mieux évaluer les besoins des patients et résidents Le projet pilote a été mis en place au printemps 2019 C’était le fruit d’une entente entre le gouvernement du Nouveau-Brunswick et le groupe Lokia propriétaire du Manoir de la Vallée (Atholville); du Manoir Brise de l’Oasis (Bathurst); du Manoir Oasis de la Baie (Bathurst); du Manoir Sugarloaf (Campbellton); et du Manoir Sunrise (Dalhousie) L’entente permettait à ces établissements d’ignorer l’habituel taux de préposés par résidents imposé par le gouvernement Deux ex-employés soutiennent qu’il n’y avait plus assez de personnel et des délais trop courts pour effectuer les tâches ce qui a entraîné une diminution de la qualité du travail et une détérioration des conditions sanitaires Des personnes âgées y vivaient dans des conditions déplorables président-directeur général du Groupe Lokia ce qu’ont raconté deux anciens employés n’est pas représentatif de la réalité Le pdg du groupe Lokia affirme que l’objectif du projet pilote était de réviser le ratio employés-résidents dans les foyers de soins car l’ancien modèle avait fait son temps et les ressources n’étaient pas bien utilisées Le manque de main-d’oeuvre se fait sentir dans le réseau de santé au complet Il faut connaitre un peu la vision d'ensemble au lieu d'accuser un système de gestion qui n'est pas à la source de tous les problèmes du secteur Le Dr Tremblay n’a pas encore pris connaissance du rapport du gouvernement sur le projet pilote mais affirme néanmoins que les résultats étaient très bons D’après le reportage de Vanessa Blanch et Karissa Donkin et avec des renseignements de Marie-Ève Brassard Politique provinciale. Danielle Smith promet un référendum en 2026. Publié à 18 h 28 HAE Danielle Smith promet un référendum en 2026La question du séparatisme pourrait y figurer Crimes et délits. Une étudiante portée disparue retrouvée morte à Ottawa. Publié à 17 h 36 HAE Une étudiante portée disparue retrouvée morte à OttawaLe Haut-Commissariat de l'Inde à Ottawa a identifié Vanshika Saini comme une étudiante indienne Donald Trump, président des États-Unis. Donald Trump dit qu’il est improbable que les É.-U. annexent le Canada. Publié à 15 h 12 HAE Donald Trump dit qu’il est improbable que les É.-U. annexent le CanadaLe président américain a affirmé qu'il continuera à faire pression pour que le Canada devienne le 51e État Cinéma. Tarifs de Trump : stupeur et confusion dans l’industrie canadienne du cinéma. Publié à 16 h 42 HAE Tarifs de Trump : stupeur et confusion dans l’industrie canadienne du cinémaPlusieurs questions demeurent quant à l'application des tarifs de 100 % sur les films produits hors des É.-U Politique provinciale. « Quebec, Canada! We’ll make a deal! », lance Donald Trump. Publié à 4 h 00 HAE « Quebec, Canada! We’ll make a deal! », lance Donald TrumpLa ministre québécoise Martine Biron a eu un échange avec le président américain au Vatican Chargement en coursInfolettre ICI AcadieUne fois par jour recevez l’essentiel de l’actualité régionale Abonnez-vous à notre infolettre pour ne rien manquer Le projet pilote a été mis en place au printemps 2019 La question du séparatisme pourrait y figurer Le Haut-Commissariat de l'Inde à Ottawa a identifié Vanshika Saini comme une étudiante indienne Le président américain a affirmé qu'il continuera à faire pression pour que le Canada devienne le 51e État Plusieurs questions demeurent quant à l'application des tarifs de 100 % sur les films produits hors des É.-U La ministre québécoise Martine Biron a eu un échange avec le président américain au Vatican Un projet-pilote a considérablement réduit le personnel et les soins aux patients Salon funéraire : Maison funéraire Elhatton Ltée dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"En vertu du projet pilote cinq établissements du groupe Lokia dans le nord du Nouveau-Brunswick n’avaient plus à respecter certaines règles du gouvernement Ces derniers disent que le taux réglementaire de préposés par résidents était alors ignoré Les autres établissements participant au projet pilote étaient les suivants : le Manoir Brise de l'Oasis et le Manoir Oasis de la Baie à Bathurst le Manoir Sugarloaf à Campbellton et le Manoir Sunrise à Dalhousie Ils comptent de 30 à 63 lits chacun avait pour but de rendre l’entreprise plus efficace CBC/Radio-Canada accepte de ne pas identifier les anciens employés qui craignent de subir autrement des conséquences Ils sont identifiés ci-dessous par les pseudonymes Mathieu et Suzanne Les foyers de niveau 1 et 2 sont tenus de compter trois employés pour 18 résidents durant le jour mais ces anciens employés du Manoir de la Vallée disent qu’ils étaient parfois seuls pour aider 18 résidents durant le projet pilote tous ces établissements pouvaient réduire leur personnel à la condition de démontrer que des soins adéquats étaient prodigués et que les lieux étaient bien entretenus Dès l’entrée en vigueur du projet pilote plusieurs préposés à l’entretien et préposés aux soins ont été licenciés ou ont vu une réduction considérable de leur nombre d’heures de travail que deux quarts de travail d’entretien de 12 heures chacun ont été réduits à 8 heures chacun Suzanne affirme qu’elle devait faire la lessive servir les collations et les repas aux résidents leur donner leurs médicaments et leur bain Elle ajoute qu’elle ne pouvait se diviser en trois pour répondre à toutes les demandes des résidents en même temps Les employés devaient respecter des délais très courts dans le cadre du projet pilote par exemple 15 minutes pour donner un bain à un résident et 5 minutes pour nettoyer une chambre C’était toutefois impossible et il fallait donc prendre des raccourcis Il compare le projet pilote à un incendie de forêt qu’il faudrait éteindre avec un simple seau d’eau était de ne pas avoir assez de temps pour tenir compagnie à des résidents étaient en larmes parce qu’ils devaient dire à des résidents qu’ils n’avaient pas le temps pour faire cela Mathieu et Suzanne ajoutent que la propreté des établissements où ils travaillaient se détériorait durant le projet pilote de nettoyer adéquatement les chambres en 5 minutes chacune La qualité du travail diminuait considérablement Des proches des résidents allaient nettoyer les chambres eux-mêmes la fin de semaine Elle dit que les familles payaient pour ces services et qu’elles n'auraient pas dû avoir à le faire elles-mêmes La description de l’état des lieux faite par les travailleurs de la santé qui sont allés appuyer le Manoir de la Vallée durant l’éclosion correspond à celle de Mathieu et Suzanne ces travailleurs indiquent que des toilettes et des éviers étaient sales qu’un mur d’une chambre était taché de sécrétions desséchées et que le couvercle de la bouteille d’eau d’un résident était moisi Des travailleurs ont trouvé des médicaments mélangés à des restes de nourriture et à de la poussière sous des lits Le député libéral de Campbellton-Dalhousie qualifie le projet pilote de désastre Ce que j’ai entendu dire aujourd’hui qui est passé à la radio C’était inacceptable dans cet âge moderne ici de laisser ça Le Développement social est là pour protéger les gens et laisser ça arriver dans un sens avec leur permission ça ne prend pas un 100 watts pour comprendre que si on va couper les heures de travail que ça va avoir un impact négatif sur les patients qui sont là C’est un désastre ce qu’ils ont fait là Ils ont utilisé les foyers comme laboratoire On sait tous qu’il y a un manque de personnel On sait tous qu’on devrait hausser les heures Ils ont utilisé les personnes aînées comme des cobayes C’est une pratique courante pour ce genre d’établissement de demander des variations au ministère du Développement social selon la présidente de l’Association des foyers de soins spéciaux du Nouveau-Brunswick Il s’agit habituellement d’exemptions temporaires qui permettent aux foyers de soins spéciaux de compter un employé de moins durant la nuit Mme Seely dit qu’elle n’était pas au courant du projet pilote accordé aux cinq établissements du groupe Lokia le ministère du Développement social a demandé aux foyers de soins de lui soumettre des idées quant à des moyens de modifier les heures de soins pour le taux de préposés par résidents CBC a demandé au président-directeur général du groupe Lokia d’expliquer pourquoi le projet pilote était jugé nécessaire L’entreprise a répondu par courriel qu’elle avait reçu la demande d'entrevue et qu’elle ne ferait pas de commentaires confirme que le projet pilote a été accordé aux cinq établissements du groupe Lokia Il dit que le projet pilote a été annulé pour plusieurs raisons Fitch ne précise pas à quel moment le projet pilote a été annulé mais tout indique que ce dernier était toujours en vigueur lorsque l’éclosion de COVID-19 s’est produite au Manoir de la Vallée Des travailleurs de la santé qui s’étaient portés volontaires pour aider ce foyer de soins spéciaux disaient avoir été informés par des gestionnaires qu’un projet pilote était en cours et qu’on essayait de fonctionner avec moins de personnel le projet pilote avait pour but de vérifier si la demande pour les services était plus élevée à certains moments de la journée et s’il fallait plus de préposés aux soins durant ces périodes a compliqué l’analyse des résultats du projet pilote Des représentants du ministère font des inspections régulières et spontanées pour vérifier que ces établissements sont sécuritaires Toute variation accordée peut être annulée en tout temps D’après un reportage de Vanessa Blanch Ouvrir en mode plein écranD’anciens employés du groupe Lokia qui compte cinq foyers de soins spéciaux dans le nord du Nouveau-Brunswick affirment que ces établissements n’avaient pas à respecter les règles habituelles sur le taux de préposé par résidents pendant la durée d’un projet pilote approuvé par le gouvernement (archives) Les travailleurs de la santé qui sont allés appuyer le foyer de soins spéciaux Manoir de la Vallée à Atholville lorsqu’il connaissait une éclosion de COVID-19 ont trouvé des résidents mal nourris déshydratés et qui vivaient dans des conditions déplorables mais ces difficultés ont commencé bien avant la pandémie avec un projet pilote approuvé par le gouvernement cinq établissements du groupe Lokia dans le nord du Nouveau-Brunswick n’avaient plus à respecter certaines règles du gouvernement Ces derniers disent que le taux réglementaire de préposés par résidents était alors ignoré Les autres établissements participant au projet pilote étaient les suivants : le Manoir Brise de l'Oasis et le Manoir Oasis de la Baie à Bathurst le Manoir Sugarloaf à Campbellton et le Manoir Sunrise à Dalhousie avait pour but de rendre l’entreprise plus efficace CBC/Radio-Canada accepte de ne pas identifier les anciens employés qui craignent de subir autrement des conséquences Ils sont identifiés ci-dessous par les pseudonymes Mathieu et Suzanne Les foyers de niveau 1 et 2 sont tenus de compter trois employés pour 18 résidents durant le jour mais ces anciens employés du Manoir de la Vallée disent qu’ils étaient parfois seuls pour aider 18 résidents durant le projet pilote tous ces établissements pouvaient réduire leur personnel à la condition de démontrer que des soins adéquats étaient prodigués et que les lieux étaient bien entretenus Ouvrir en mode plein écranCet ancien employé du groupe Lokia affirme que l’entreprise a réduit le nombre de préposés aux soins et à l’entretien dès l’entrée en vigueur du projet pilote et que le personnel n’avait plus de temps pour tenir compagnie aux résidents solitaires plusieurs préposés à l’entretien et préposés aux soins ont été licenciés ou ont vu une réduction considérable de leur nombre d’heures de travail que deux quarts de travail d’entretien de 12 heures chacun ont été réduits à 8 heures chacun Suzanne affirme qu’elle devait faire la lessive servir les collations et les repas aux résidents leur donner leurs médicaments et leur bain Elle ajoute qu’elle ne pouvait se diviser en trois pour répondre à toutes les demandes des résidents en même temps Les employés devaient respecter des délais très courts dans le cadre du projet pilote par exemple 15 minutes pour donner un bain à un résident et 5 minutes pour nettoyer une chambre C’était toutefois impossible et il fallait donc prendre des raccourcis Il compare le projet pilote à un incendie de forêt qu’il faudrait éteindre avec un simple seau d’eau était de ne pas avoir assez de temps pour tenir compagnie à des résidents étaient en larmes parce qu’ils devaient dire à des résidents qu’ils n’avaient pas le temps pour faire cela Mathieu et Suzanne ajoutent que la propreté des établissements où ils travaillaient se détériorait durant le projet pilote de nettoyer adéquatement les chambres en 5 minutes chacune La qualité du travail diminuait considérablement Des proches des résidents allaient nettoyer les chambres eux-mêmes la fin de semaine Elle dit que les familles payaient pour ces services et qu’elles n'auraient pas dû avoir à le faire elles-mêmes La description de l’état des lieux faite par les travailleurs de la santé qui sont allés appuyer le Manoir de la Vallée durant l’éclosion correspond à celle de Mathieu et Suzanne ces travailleurs indiquent que des toilettes et des éviers étaient sales qu’un mur d’une chambre était taché de sécrétions desséchées et que le couvercle de la bouteille d’eau d’un résident était moisi Des travailleurs ont trouvé des médicaments mélangés à des restes de nourriture et à de la poussière sous des lits Le député libéral de Campbellton-Dalhousie Ce que j’ai entendu dire aujourd’hui qui est passé à la radio C’était inacceptable dans cet âge moderne ici de laisser ça Le Développement social est là pour protéger les gens et laisser ça arriver dans un sens avec leur permission ça ne prend pas un 100 watts pour comprendre que si on va couper les heures de travail que ça va avoir un impact négatif sur les patients qui sont là Ouvrir en mode plein écranLe député libéral de Campbellton-Dalhousie dénonce le projet pilote mené dans les foyers du groupe Lokia au Nouveau-Brunswick Ils ont utilisé les foyers comme laboratoire On sait tous qu’il y a un manque de personnel On sait tous qu’on devrait hausser les heures Ils ont utilisé les personnes aînées comme des cobayes C’est une pratique courante pour ce genre d’établissement de demander des variations au ministère du Développement social selon la présidente de l’Association des foyers de soins spéciaux du Nouveau-Brunswick présidente de l’Association des foyers de soins spéciaux du Nouveau-Brunswick dit qu’elle n’était pas au courant du projet pilote accordé aux cinq établissements du groupe Lokia (archives) Il s’agit habituellement d’exemptions temporaires qui permettent aux foyers de soins spéciaux de compter un employé de moins durant la nuit Mme Seely dit qu’elle n’était pas au courant du projet pilote accordé aux cinq établissements du groupe Lokia a demandé aux foyers de soins de lui soumettre des idées quant à des moyens de modifier les heures de soins pour le taux de préposés par résidents CBC a demandé au président-directeur général du groupe Lokia d’expliquer pourquoi le projet pilote était jugé nécessaire L’entreprise a répondu par courriel qu’elle avait reçu la demande d'entrevue et qu’elle ne ferait pas de commentaires confirme que le projet pilote a été accordé aux cinq établissements du groupe Lokia Il dit que le projet pilote a été annulé pour plusieurs raisons Fitch ne précise pas à quel moment le projet pilote a été annulé mais tout indique que ce dernier était toujours en vigueur lorsque l’éclosion de COVID-19 s’est produite au Manoir de la Vallée dit que le projet pilote a été annulé pour plusieurs raisons Des travailleurs de la santé qui s’étaient portés volontaires pour aider ce foyer de soins spéciaux disaient avoir été informés par des gestionnaires qu’un projet pilote était en cours et qu’on essayait de fonctionner avec moins de personnel le projet pilote avait pour but de vérifier si la demande pour les services était plus élevée à certains moments de la journée et s’il fallait plus de préposés aux soins durant ces périodes a compliqué l’analyse des résultats du projet pilote Des représentants du ministère font des inspections régulières et spontanées pour vérifier que ces établissements sont sécuritaires Toute variation accordée peut être annulée en tout temps Salon funéraire : Maison funéraire Frenette de Moncton Lieu des funérailles : En raison des circonstances actuelles reliées à la COVID-19 il n’y aura pas de cérémonie à l’église ni au centre funéraire Un service pour la famille aura lieu au cimetière paroissial de Rogersville à une date ultérieure Région : Miramichi et comté de Northumberland Une personne âgée de 80 à 89 ans dans la région de Fredericton est décédée des suites de la COVID-19, ce qui porte à 49 le nombre total de décès liés à la maladie dans la province. Parmi ces cas, 58 personnes (76 %) ne sont pas pleinement vaccinées. Des membres de l’équipe provinciale de gestion rapide des éclosions ont été dépêchés à 15 endroits dans la province. Des tests de dépistage sont en cours dans ces établissements : Des cas ont également été dépistés dans des écoles et des garderies, notamment l'école Saint-Jacques et la garderie Au rêve des anges à Edmundston, à la garderie Les p'tits trésors de Steph à Drummond, à la garderie les Débrouillards à Val-d'Amour et à la garderie Le p'tit monde de Jessie à Eel River Crossing. En raison de la hausse récente des cas de COVID-19, les réseaux de santé Vitalité et Horizon rehaussent le niveau d’alerte dans les hôpitaux et mettent en place de nouvelles mesures afin de « diminuer la pression sur le système de santé ». Seules les personnes doublement vaccinées seront autorisées à rendre visite aux patients dans les hôpitaux. Cette mesure ne s'applique pas aux patients. Elle entre en vigueur jeudi à 14 h. Les contrôles à l’entrée des établissements et l’application de toutes les mesures préventives recommandées par la santé publique, comme le port du masque, la distanciation physique et le lavage fréquent des mains, seront renforcés. Nous devons être prêts à réduire temporairement, au besoin, certains services, dont les services de soins ambulatoires, les services professionnels, les services d’imagerie diagnostique et les services de chirurgie, ajoute la Dre France Desrosiers, pdg du réseau, tout en affirmant que l'objectif est de maintenir le niveau de soins offert. L'objectif des mesures est notamment de réduire le taux d'occupation hospitalière sous 85 % afin de pouvoir libérer du personnel pour les patients atteints de la COVID-19. La santé publique affirme que 78,1 % des gens du Nouveau-Brunswick admissibles sont pleinement vaccinés contre la COVID-19, et que 86,8 % ont reçu leur première dose du vaccin. Des Néo-Brunswickois déplorent devoir attendre plusieurs jours avant d'obtenir un rendez-vous pour un test de dépistage, ainsi que plusieurs jours supplémentaires pour obtenir les résultats. C’est le cas d’Annie France Noël, qui a décidé de se faire dépister après que sa fille ait développé des symptômes de la COVID-19. Une semaine après le début du processus, elle est toujours en attente d’une réponse et doit rester à la maison et s'absenter du travail. Cela a pris quatre jours pour avoir un rendez-vous, et maintenant je suis à jour trois et plus pour l'attente des résultats , déclare-t-elle. Le réseau de santé Vitalité reconnaît qu'il y a des délais plus longs qu'à l'habitude en raison d'une hausse des demandes aux centres de dépistage. Il dit déployer des efforts pour augmenter l'efficacité des séances de dépistage. Du côté du réseau Horizon, on assure que les délais ne sont pas plus longs qu'à l'habitude. Catherine Allard est journaliste à Radio-Canada Acadie depuis 2014. Elle a sillonné les Maritimes pour des reportages à la télévision, à la radio et sur le web. Elle est aujourd'hui secrétaire de rédaction web, à Moncton. Ouvrir en mode plein écranDes préposés dans un couloir d'hôpital (archives). Catherine AllardPublié le 22 septembre 2021 à 14 h 07 HAEMis à jour le 22 septembre 2021 à 18 h 21 HAEPrenez note que cet article publié en 2021 pourrait contenir des informations qui ne sont plus à jour. Soixante-seize personnes ont reçu un diagnostic positif de COVID-19 au Nouveau-Brunswick au cours des 24 dernières heures. Il s'agit d'un record d'infections en une seule journée depuis le début de la pandémie. Il y a actuellement 557 cas actifs de COVID-19 au Nouveau-Brunswick. Vingt-six personnes sont hospitalisées – deux de plus que la veille – dont 15 aux soins intensifs. Aucune personne âgée de moins de 19 ans n’est hospitalisée pour l’instant. Une personne âgée de 80 à 89 ans dans la région de Fredericton est décédée des suites de la COVID-19, ce qui porte à 49 le nombre total de décès liés à la maladie dans la province. Parmi ces cas, 58 personnes (76 %) ne sont pas pleinement vaccinées. La COVID-19 en AtlantiqueConsulter le dossier completSuivreSuivrePlusieurs foyers de soins touchésDes membres de l’équipe provinciale de gestion rapide des éclosions ont été dépêchés à 15 endroits dans la province. Des tests de dépistage sont en cours dans ces établissements : Des cas ont également été dépistés dans des écoles et des garderies, notamment l'école Saint-Jacques et la garderie Au rêve des anges à Edmundston, à la garderie Les p'tits trésors de Steph à Drummond, à la garderie les Débrouillards à Val-d'Amour et à la garderie Le p'tit monde de Jessie à Eel River Crossing. En raison de la hausse récente des cas de COVID-19, les réseaux de santé Vitalité et Horizon rehaussent le niveau d’alerte dans les hôpitaux et mettent en place de nouvelles mesures afin de « diminuer la pression sur le système de santé ». Seules les personnes doublement vaccinées seront autorisées à rendre visite aux patients dans les hôpitaux. Cette mesure ne s'applique pas aux patients. Elle entre en vigueur jeudi à 14 h. Ouvrir en mode plein écranL’entrée en vigueur du passeport vaccinal, mercredi, s’est traduite en longues files d’attente dans les cliniques de vaccination dans plusieurs régions du Nouveau-Brunswick, notamment au Colisée de Moncton. Les contrôles à l’entrée des établissements et l’application de toutes les mesures préventives recommandées par la santé publique, comme le port du masque, la distanciation physique et le lavage fréquent des mains, seront renforcés. Nous devons être prêts à réduire temporairement, au besoin, certains services, dont les services de soins ambulatoires, les services professionnels, les services d’imagerie diagnostique et les services de chirurgie, ajoute la Dre France Desrosiers, pdg du réseau, tout en affirmant que l'objectif est de maintenir le niveau de soins offert. L'objectif des mesures est notamment de réduire le taux d'occupation hospitalière sous 85 % afin de pouvoir libérer du personnel pour les patients atteints de la COVID-19. La santé publique affirme que 78,1 % des gens du Nouveau-Brunswick admissibles sont pleinement vaccinés contre la COVID-19, et que 86,8 % ont reçu leur première dose du vaccin. Ouvrir en mode plein écranAnnie France Noël estime que le temps d'attente est actuellement anormal. Des Néo-Brunswickois déplorent devoir attendre plusieurs jours avant d'obtenir un rendez-vous pour un test de dépistage, ainsi que plusieurs jours supplémentaires pour obtenir les résultats. C’est le cas d’Annie France Noël, qui a décidé de se faire dépister après que sa fille ait développé des symptômes de la COVID-19. Une semaine après le début du processus, elle est toujours en attente d’une réponse et doit rester à la maison et s'absenter du travail. Cela a pris quatre jours pour avoir un rendez-vous, et maintenant je suis à jour trois et plus pour l'attente des résultats , déclare-t-elle. Le réseau de santé Vitalité reconnaît qu'il y a des délais plus longs qu'à l'habitude en raison d'une hausse des demandes aux centres de dépistage. Il dit déployer des efforts pour augmenter l'efficacité des séances de dépistage. Du côté du réseau Horizon, on assure que les délais ne sont pas plus longs qu'à l'habitude. Il y a actuellement 557 cas actifs de COVID-19 au Nouveau-Brunswick Vingt-six personnes sont hospitalisées – deux de plus que la veille – dont 15 aux soins intensifs Aucune personne âgée de moins de 19 ans n’est hospitalisée pour l’instant Une personne âgée de 80 à 89 ans dans la région de Fredericton est décédée des suites de la COVID-19 ce qui porte à 49 le nombre total de décès liés à la maladie dans la province 58 personnes (76 %) ne sont pas pleinement vaccinées Des membres de l’équipe provinciale de gestion rapide des éclosions ont été dépêchés à 15 endroits dans la province Des tests de dépistage sont en cours dans ces établissements : Des cas ont également été dépistés dans des écoles et des garderies notamment l'école Saint-Jacques et la garderie Au rêve des anges à Edmundston à la garderie Les p'tits trésors de Steph à Drummond à la garderie les Débrouillards à Val-d'Amour et à la garderie Le p'tit monde de Jessie à Eel River Crossing En raison de la hausse récente des cas de COVID-19 les réseaux de santé Vitalité et Horizon rehaussent le niveau d’alerte dans les hôpitaux et mettent en place de nouvelles mesures afin de « diminuer la pression sur le système de santé » Seules les personnes doublement vaccinées seront autorisées à rendre visite aux patients dans les hôpitaux Cette mesure ne s'applique pas aux patients Elle entre en vigueur jeudi à 14 h Les contrôles à l’entrée des établissements et l’application de toutes les mesures préventives recommandées par la santé publique la distanciation physique et le lavage fréquent des mains Nous devons être prêts à réduire temporairement les services d’imagerie diagnostique et les services de chirurgie tout en affirmant que l'objectif est de maintenir le niveau de soins offert L'objectif des mesures est notamment de réduire le taux d'occupation hospitalière sous 85 % afin de pouvoir libérer du personnel pour les patients atteints de la COVID-19 La santé publique affirme que 78,1 % des gens du Nouveau-Brunswick admissibles sont pleinement vaccinés contre la COVID-19 et que 86,8 % ont reçu leur première dose du vaccin Des Néo-Brunswickois déplorent devoir attendre plusieurs jours avant d'obtenir un rendez-vous pour un test de dépistage ainsi que plusieurs jours supplémentaires pour obtenir les résultats C’est le cas d’Annie France Noël qui a décidé de se faire dépister après que sa fille ait développé des symptômes de la COVID-19 Une semaine après le début du processus elle est toujours en attente d’une réponse et doit rester à la maison et s'absenter du travail Cela a pris quatre jours pour avoir un rendez-vous et maintenant je suis à jour trois et plus pour l'attente des résultats Le réseau de santé Vitalité reconnaît qu'il y a des délais plus longs qu'à l'habitude en raison d'une hausse des demandes aux centres de dépistage Il dit déployer des efforts pour augmenter l'efficacité des séances de dépistage on assure que les délais ne sont pas plus longs qu'à l'habitude Catherine Allard est journaliste à Radio-Canada Acadie depuis 2014 Elle a sillonné les Maritimes pour des reportages à la télévision Elle est aujourd'hui secrétaire de rédaction web Soixante-seize personnes ont reçu un diagnostic positif de COVID-19 au Nouveau-Brunswick au cours des 24 dernières heures Il s'agit d'un record d'infections en une seule journée depuis le début de la pandémie Lieu des funérailles : en l’église Notre-Dame-du-Rosaire de l’avenue Saint-Pierre de Bathurst 2022Lieu de visite : à la Maison funéraire Elhatton de Bathurst puis ensuite en l’église Notre-Dame-du-Rosaire de l’avenue Saint-Pierre de Bathurst Salon funéraire : Chapelle funéraire Verret Lieu des funérailles : en l’église Saint-Polycarpe de Petit-Rocher 2022Lieu de visite : Il n’y aura pas de visites à la maison funéraire Salon funéraire : Families First Lieu des funérailles : église Christ-Roi d'Allardville 2011Lieu de visite : Maison funéraire Elhatton de Bathurst