J’accepteAller au contenu principalAller au pied de pageAide à la navigationPublicité La destination d’information de Radio-Canada dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"\n\nLamar Goods et Caelan Heath deux jeunes évacués de Fort McMurray ont pu se joindre aux entraînements de l'équipe de football de Bonnyville Les deux joueurs ont dû fuir le brasier de Fort McMurray avant le premier entraînement de la saison de leur équipe Les adolescents ont rapidement été intégrés à l'équipe des Voyageurs de Bonnyville Lamar Goods est heureux de pouvoir continuer à jouer malgré les événements « Les entraînements sont stimulants En plus d'avoir tout laissé à Fort McMurray, excepté un protecteur buccal et un chandail de son équipe, Lamar Goods a perdu sa cousine, Emily Ryan, décédée dans un accident de voiture en tentant d'évacuer Fort McMurray « Je n'arrivais pas à y croire Quand j'ai découvert que c'était elle j'étais profondément triste. » Caelan Heath aussi était content de pouvoir reprendre l'entraînement c'est une façon de penser à autre chose qu'à Fort McMurray Ça me permet une certaine paix intérieure il n'était pas question que les jeunes arrêtent l'entraînement de football en raison de la tragédie Il a même décidé d'héberger de façon temporaire la famille de Lamar Goods Lamar Goods et Caelan Heath tenteront de se qualifier pour les Jeux d'été de l'Alberta Prenez note que cet article publié en 2016 pourrait contenir des informations qui ne sont plus à jour ont pu se joindre aux entraînements de l'équipe de football de Bonnyville Ouvrir en mode plein écranLamar Goods (de dos) et Caelan Heath (69) ont fui Fort McMurray avant le premier entraînement de football de la saison Ouvrir en mode plein écranLe joueur Lamar Goods à l'entraînement Ouvrir en mode plein écranCri de ralliement à la fin de l'entraînement des Voyageurs de Bonnyville Ouvrir en mode plein écranL'entraîneur Daniel Jubinville (à gauche) héberge Lamar Goods (à droite) et sa famille chez lui Lamar Goods (de dos) et Caelan Heath (69) ont fui Fort McMurray avant le premier entraînement de football de la saison Les deux joueurs ont dû fuir le brasier de Fort McMurray avant le premier entraînement de la saison de leur équipe Les adolescents ont rapidement été intégrés à l'équipe des Voyageurs de Bonnyville Lamar Goods est heureux de pouvoir continuer à jouer malgré les événements Caelan Heath aussi était content de pouvoir reprendre l'entraînement c'est une façon de penser à autre chose qu'à Fort McMurray il n'était pas question que les jeunes arrêtent l'entraînement de football en raison de la tragédie Il a même décidé d'héberger de façon temporaire la famille de Lamar Goods Crimes et délits. Une étudiante portée disparue retrouvée morte à Ottawa. Publié hier à 17 h 36 HAE Une étudiante portée disparue retrouvée morte à OttawaLe Haut-Commissariat de l'Inde à Ottawa a identifié Vanshika Saini comme une étudiante indienne Élections fédérales Canada 2025. Le candidat libéral de Windsor demande un recomptage judiciaire. Publié hier à 19 h 41 HAE Le candidat libéral de Windsor demande un recomptage judiciaireÉlections Canada a trouvé des erreurs dans les rapports des bureaux de vote locaux Politique provinciale. Danielle Smith promet un référendum en 2026. Publié hier à 21 h 33 HAE Danielle Smith promet un référendum en 2026La question du séparatisme pourrait y figurer Politique fédérale. Don Davies choisi comme chef intérimaire du NPD. Publié à 0 h 50 HAE Don Davies choisi comme chef intérimaire du NPDLe parti de gauche a été réduit à seulement sept sièges lors des élections fédérales du 28 avril Donald Trump, président des États-Unis. Donald Trump dit qu’il est improbable que les É.-U. annexent le Canada. Publié hier à 15 h 12 HAE Donald Trump dit qu’il est improbable que les É.-U. annexent le CanadaLe président américain a affirmé qu'il continuera à faire pression pour que le Canada devienne le 51e État Chargement en coursInfolettre ICI AlbertaUne fois par jour recevez l’essentiel de l’actualité régionale Abonnez-vous à notre infolettre pour ne rien manquer En plus d'avoir tout laissé à Fort McMurray, excepté un protecteur buccal et un chandail de son équipe, Lamar Goods a perdu sa cousine, Emily Ryan, décédée dans un accident de voiture en tentant d'évacuer Fort McMurray Le Haut-Commissariat de l'Inde à Ottawa a identifié Vanshika Saini comme une étudiante indienne Élections Canada a trouvé des erreurs dans les rapports des bureaux de vote locaux La question du séparatisme pourrait y figurer Le parti de gauche a été réduit à seulement sept sièges lors des élections fédérales du 28 avril Le président américain a affirmé qu'il continuera à faire pression pour que le Canada devienne le 51e État En plus d'avoir tout laissé à Fort McMurray, excepté un protecteur buccal et un chandail de son équipe, Lamar Goods a perdu sa cousine, Emily Ryan, décédée dans un accident de voiture en tentant d'évacuer Fort McMurray les nouveaux gendarmes peuvent être affectés n'importe où au Canada Quand la gendarme Megan Letang a reçu sa première affectation une localité de 5 000 âmes située à quelque 250 kilomètres au nord-est d'Edmonton elle a lancé des initiatives communautaires pour faire connaissance avec ses voisins « C'était pour moi une façon de m'intégrer » Sa première initiative a consisté à distribuer des seaux en forme de citrouille contenant un bâton luminescent des collations santé et un dépliant de consignes de sécurité pour l'Halloween Avec l'aide des Services aux victimes de Bonnyville elle a recueilli des dons auprès de commerces de la région et a distribué plus de 300 seaux citrouilles en 2018 et 350 en 2019 Le succès du programme l'a incitée à chercher d'autres façons de nouer des liens avec la communauté par exemple en faisant bénévolement le service du repas de Noël et en participant au traditionnel Strawberry Tea dans le cadre duquel des agents de la GRC en tunique rouge rendent visite à des aînés partout dans la localité « Les gens voient ainsi qu'on est là pour favoriser la sécurité dans la région et qu'on est facile d'approche Ils savent qu'ils peuvent s'arrêter pour jaser avec moi. » elle a voulu trouver une façon de récompenser le jeune qui avait signalé l'incident En discutant avec ses collègues au détachement elle a décidé d'organiser un programme de contraventions positives pour encourager la prudence l'action communautaire et le respect de la loi chez les jeunes « Je crois fermement que l'amélioration des relations avec les jeunes peut aider ces derniers à faire de bons choix plus tard » Les liens tissés grâce aux programmes communautaires facilitent aussi le travail des policiers « Les relations positives cultivées au sein de la communauté contribuent de façon importante à l'avancement des enquêtes » « Quand les gens font confiance aux policiers ils sont plus enclins à leur parler. » L'organisation de programmes locaux fait partie des nombreuses stratégies que met en œuvre la GRC pour accroître la sécurité des collectivités « La gendarme Letang s'est penchée sur les problèmes qui touchent la région et s'emploie à les résoudre » « Elle s'implique beaucoup dans la communauté en plus de s'occuper d'une pleine charge de travail aux services de police généraux. » la gendarme Letang a aidé à organiser un exposé de sensibilisation à l'intimidation présenté à 500 jeunes de la région pour faire appel à leur gentillesse La pandémie de COVID-19 a retardé certaines initiatives mais la gendarme Letang espère préparer un autre exposé anti-intimidation cette année même s'il faut le faire de façon virtuelle La GRC s’efforce d’informer le public sur les dangers de la sextorsion et sur les mesures à prendre pour éviter d’être victimisé Les faits sur les enlèvements et les disparitions d'enfants ainsi que les moyens de protéger les vôtres Les membres et employés de la GRC doivent composer avec des criminels organisés tous les jours Apprenez-en plus sur la réalité du crime organisé au Canada Sign In Register six École des Beaux-Lacs Grade 12 students marked their final year in high school with an intimate graduation ceremony held in the very school that many of the graduates spent the last 13 years attending Below is the speech read by Beaux-Lacs valedictorian Sophia Legault during the commencement ceremony Je suis extrêmement honoré de présenter le discours des finissants 2023 J'aimerais premièrement commencer avec un gros remerciement à Mme Colette pour contribuer au déroulement de cette soirée Des nappes de tables jusqu'aux saveurs de popcorn Mme était là pour nous aider a organisé la majorité de cette soirée alors Merci Mme Colette Je vais continuer en remerciant le reste de nos enseignants nos enseignants ont contribué à notre succès Vous avez joué un rôle crucial dans notre développement et vous nous avez préparés pour le monde à venir Ayant passé des milliers d'heures avec nous votre tâche n'a pas été facile Je n'exagère pas quand je dis des milliers pour me rendre compte que nous avons passé un peu plus de 19 000 heures ici à l'École des Beaux-Lacs Je crois que je parle au nom de tous mes camarades de classe quand je dis que je suis éternellement reconnaissant envers nos professeurs ici L'environnement créé par vous-mêmes nous a permis de nous épanouir et d'avoir la liberté de créer notre propre avenir il y a un sens accru de communauté que j'apprécie et qui nous manquera tout sûrement quand nous partirons Le bilinguisme que nous avions appris ici va bien nous servir dans le futur Our class was one of the first to start and finish in the “new” school We have been here for a long time and have created lasting memories complete with its own itty bitty toilet and worked our way up becoming more confident and independent with each passing year École des Beaux Lacs has been a big part of our lives and we will forever be grateful for the love and support received here over the years Our family and friends have also largely contributed to our development over our childhood and teenage stages siblings so on and so forth have essentially shown us how to live our lives The tools that we have acquired from them will enable us to create a bright future in which we want to live Passant maintenant à mes camarades de classe certains que je connais depuis la maternelle; Olivia nous avons passé des temps fous à Auntie Rose’s day home ont commencé à étudier à nos côtés depuis la 10eme année nous sommes tellement heureux que vous ayez décidé de nous rejoindre à Beaux-Lacs notre “flûte troop” en 7em Où que vous vous trouviez sur cette chronologie comme nous aimons nous appeler "le six pack" vécu ou enduré le secondaire Quel que soit le verbe que vous choisissez pour décrire votre expérience au secondaire je n'échangerais pas le mien pour rien au monde J'ai adoré venir à l’École des Beaux Lacs avec vous tous et je suis si heureux de pouvoir obtenir mon diplôme avec chacun d'entre vous Élizabeth Brooklynn et Savanah félicitations Ce que vous choisissez de faire après cela dépend de vous Nous avons tous le pouvoir de créer notre propre destin ce sera génial parce que nous sommes awesome This year's École des Beaux-Lacs graduates include: Brooklynn Bellisle, Alexandre Cardinal, Olivia Lafond, Sophia Legault, Elizabeth Rae and Savanah St "Le meilleur moyen de prévoir le futur c’est de le créer,” citation de Peter Drucker. “The best way to predict the future is to create it," quote by Peter Drucker More SPOTLIGHT > dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"C’est sous sa présidence que l’ACFA régionale a réussi à faire venir la télévision francophone Radio-Canada selon un document sur l’historique de l’ACFA de Bonnyville-Cold Lake Cette réalisation déterminante a aidé à l’expansion de la langue française à Bonnyville solidifiant ainsi sa présence dans les foyers francophones Très impliqué dans des activités de la communauté francophone de Bonnyville René Dallaire a travaillé à l'achat du centre culturel francophone Il se présentait toujours au premier rang de l'organisation des activités culturelles telles que le tournoi de golf la fête des Rois et le festival Bonnyvillois Celui-ci se souvient de son ami René Dallaire Leurs familles respectives sont parties du lac Saint-Jean Les personnes qui arrivaient de loin devenaient automatiquement des familles René Dallaire a toujours été un ami la générosité de René Dallaire touchait plus largement la francophonie albertaine et la francophonie régionale à l'ACFA régionale de Bonnyville C’était un homme convaincu et convaincant qui a fait son possible pour maintenir – et faire épanouir – le français qui n'était pas du tout gêné de parler français et d'être francophone à part entière dans la communauté René Dallaire était propriétaire d'autobus scolaires et d'autocars de luxe Son ami le décrit comme une personne bonne en affaires Son affaire d'autobus de transport a été prospère Il était travailleur et c'était comme naturel pour lui de se lancer en affaires René Dallaire a aussi présidé le conseil d'administration de la caisse populaire de Bonnyville devenu Servus Credit Union Il était aussi le président du Club de l'Aurore Ouvrir en mode plein écranRené Dallaire était une figure importante de la francophonie albertaine depuis les années 1970 Prenez note que cet article publié en 2023 pourrait contenir des informations qui ne sont plus à jour L'homme d'affaires avait été président de l’Association canadienne-française de l'Alberta (ACFA) régionale de Bonnyville-Cold Lake en 1976-1977 et en 1987-1989 C’est sous sa présidence que l’ACFA régionale a réussi à faire venir la télévision francophone Radio-Canada selon un document sur l’historique de l’ACFA de Bonnyville-Cold Lake Cette réalisation déterminante a aidé à l’expansion de la langue française à Bonnyville solidifiant ainsi sa présence dans les foyers francophones Très impliqué dans des activités de la communauté francophone de Bonnyville René Dallaire a travaillé à l'achat du centre culturel francophone Il se présentait toujours au premier rang de l'organisation des activités culturelles telles que le tournoi de golf la fête des Rois et le festival Bonnyvillois Celui-ci se souvient de son ami René Dallaire la générosité de René Dallaire touchait plus largement la francophonie albertaine et la francophonie régionale à l'ACFA régionale de Bonnyville C’était un homme convaincu et convaincant qui a fait son possible pour maintenir – et faire épanouir – le français qui n'était pas du tout gêné de parler français et d'être francophone à part entière dans la communauté René Dallaire était propriétaire d'autobus scolaires et d'autocars de luxe Son ami le décrit comme une personne bonne en affaires Son affaire d'autobus de transport a été prospère Il était travailleur et c'était comme naturel pour lui de se lancer en affaires René Dallaire a aussi présidé le conseil d'administration de la caisse populaire de Bonnyville devenu Servus Credit Union Il était aussi le président du Club de l'Aurore C’est sous sa présidence que l’ACFA régionale a réussi à faire venir la télévision francophone Radio-Canada L'homme d'affaires avait été président de l’Association canadienne-française de l'Alberta (ACFA) régionale de Bonnyville-Cold Lake en 1976-1977 et en 1987-1989 dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"\n\nL'événement est organisé par l'Association canadienne-française de l'Alberta (ACFA) régionale et se tient depuis les dix dernières années sur le terrain de l'épinettière de la famille Tellier La communauté a d'ailleurs remis une plaque honorifique à Gabrielle et Louis Tellier pour leur générosité Des dizaines de bénévoles ont prêté main forte pour assurer la réussite de l'événement Les participants ont aussi assisté au lever du drapeau pour souligner les rendez-vous de la francophonie la journée internationale de la francophonie qui se déroule le 20 mars et le lancement de la saison des activités de la communauté Ouvrir en mode plein écranUne petite fille mange de la tire d'érable à la cabane à sucre du nord de Bonnyville La communauté francophone de Bonnyville et Cold Lake en Alberta s'est rassemblée pour la dixième cabane à sucre du Nord Plus de 600 personnes ont profité du soleil des promenades en traîneaux et de la musique L'événement gagne en popularité chaque année Ouvrir en mode plein écranDes musiciens à la cabane à sucre du nord de Bonnyville L'événement est organisé par l'Association canadienne-française de l'Alberta (ACFA) régionale et se tient depuis les dix dernières années sur le terrain de l'épinettière de la famille Tellier La communauté a d'ailleurs remis une plaque honorifique à Gabrielle et Louis Tellier pour leur générosité Des dizaines de bénévoles ont prêté main forte pour assurer la réussite de l'événement Les participants ont aussi assisté au lever du drapeau pour souligner les rendez-vous de la francophonie la journée internationale de la francophonie qui se déroule le 20 mars et le lancement de la saison des activités de la communauté Ouvrir en mode plein écranPlus de 600 personnes à la cabane à sucre de Bonnyville-Coldlake Photo : ICI Radio-Canada/Nicolas Pelletier L'événement est organisé par l'Association canadienne-française de l'Alberta (ACFA) régionale et se tient depuis les dix dernières années sur le terrain de l'épinettière de la famille Tellier Plus de 600 personnes ont profité du soleil Cette année, en plus de l’entraîneur-chef Mario Pouliot, on retrouve trois joueurs qui parlent la langue de Molière au sein de la formation et leur histoire est très différente. Parmi eux, un Franco-Albertain, un Québécois et un Franco-Ontarien. Originaire de Saint-Paul, à 70 km de Bonnyville, Nicolas Beaudoin réalise un rêve en jouant pour les Pontiacs. C’est un rêve de jouer ici. Quand on est jeune, on regarde les Pontiacs et on travaille fort parce qu’on espère jouer pour l’équipe un jour, dit-il, en ajoutant que les Pontiacs sont un peu comme les Oilers, pour les résidents du Nord-Est. Nicolas n’est pas le premier Beaudoin à porter les couleurs de l’équipe de Bonnyville. Son frère Jean-Marc a joué pour les Pontiacs durant trois saisons entre 2002 et 2005. Selon l’entraîneur-chef, Mario Pouliot, Nicolas Beaudoin aurait tout ce qu’il faut pour jouer au sein de la Ligue de hockey junior majeur de l’Ouest (WHL). C’est un petit gars qui travaille fort chaque fois qu’il saute sur la patinoire et qui a de la facilité à marquer des buts, affirme le vétéran-entraîneur. Quand je suis arrivé, il jouait sur le quatrième trio, il a fait son chemin et maintenant il est sur le premier trio et sur les deux unités spéciales. Même s’il n’a que 18 ans, Nicolas Beaudoin occupe le deuxième rang des marqueurs chez les Pontiacs avec 69 points, dont 37 buts, en 50 rencontres. Il se retrouve au septième rang des meilleurs marqueurs de la ligue et au premier rang parmi toutes les recrues. Comme de nombreux joueurs du circuit junior A, le jeune homme originaire de Saint-Paul a choisi cette ligue dans l’espoir de poursuivre sa carrière dans les rangs universitaires américains. Il n’a pas eu à attendre longtemps, il a reçu, et accepté, une offre de l’Université Alaska-Fairbanks. La saison prochaine, il sera de retour avec les Pontiacs, après quoi il ira dans le nord du continent pour poursuivre des études en administration des affaires, tout en portant les couleurs des Nanooks. Je suis content d’avoir signé avec une petite université, car je suis habitué de vivre dans une petite communauté, affirme l’ancien élève de l’École du Sommet de Saint-Paul. En plus, j’adore la pêche, je vais donc essayer de pêcher là-bas le plus souvent possible. Ludovik Tardif est lui aussi âgé de 18 ans. Originaire de Québec, les études ont toujours été une chose importante pour lui et sa famille. C’est pourquoi il a rapidement fait le choix de ne pas suivre le chemin que suivent la majorité des hockeyeurs québécois, à savoir les rangs Midget AAA et la Ligue de hockey junior majeur du Québec (LHJMQ). Après une saison dans les rangs bantam, il a choisi de poursuivre ses études et de porter les couleurs de l’Académie Saint-Louis, une école préparatoire située à Québec. Il a ensuite joint les rangs du Upper Canada College de Toronto. Pour la suite de sa carrière dans les rangs juniors, il avait choisi la Ligue de hockey junior A de la Colombie-Britannique (BCHL). Je sentais que c’était une ligue pour moi. C’est une ligue très rapide où on retrouve beaucoup de bons joueurs, partage-t-il. Les choses ne se sont cependant pas déroulées comme l’espérait le jeune attaquant. Après avoir disputé cinq rencontres avec l’équipe de Vernon et neuf avec l’équipe d’Alberni Valley, il a constaté qu’il ne se retrouvait pas dans la meilleure situation pour assurer son développement, J’avais besoin d’un entraîneur qui pouvait m’aider à devenir meilleur. Je connaissais Mario Pouliot parce que j’étais en Abitibi quand il a remporté la Coupe Memorial avec les Huskies de Rouyn-Noranda, affirme l’attaquant. Convaincu que le pilote québécois était l’entraîneur dont il avait besoin, Ludovik Tardif a demandé à son directeur général de l’échanger aux Pontiacs et celui-ci a acquiescé. En 28 matchs avec Bonnyville, il a marqué 11 buts et amassé 16 aides pour 27 points. Ça va super bien ici, dit le hockeyeur de Québec, je joue avec de bons joueurs, j’ai beaucoup de temps de jeu et je suis dirigé par un entraîneur exigeant, qui connaît mon potentiel et qui me pousse à être meilleur chaque jour. Celui qui se décrit comme un meilleur passeur que buteur n’a toujours pas signé d’entente avec une université, mais il ne s’en fait pas trop. Son agent est en contact avec certaines institutions qui sont aussi intéressées à ses services. Ludovik Tardif veut être certain de faire le bon choix, car une fois qu’il s’engagera avec une université, il y sera pour une période de quatre ans. Comme son coéquipier Ludovik Tardif, Max Séguin, originaire d’Orléans dans l’Est ontarien, avait choisi de jouer dans la BCHL. C’est aussi par un échange qu’il s’est retrouvé avec les Pontiacs. Max a joué pour le Collège St.Andrews près de Toronto et nous avons tenté de le convaincre de se joindre à nous pour jouer son hockey junior, mentionne le co-directeur général Neil Lamgridge, mais il a préféré tenter sa chance en Colombie-Britannique. Avant même le début de la saison, l’attaquant de 18 ans a constaté qu’il avait peut-être fait le mauvais choix. Je ne voyais pas les choses de la même façon que les dirigeants à Vernon, mentionne-t-il. J’ai reçu un autre appel du directeur général des Pontiacs qui m’offrait une place au sein de son équipe et je suis content d’avoir accepté d’être échangé. Utilisé avec Matteo Giompa, que l’entraîneur-chef Mario Pouliot décrit comme étant le meilleur joueur de la ligue, et Nicolas Beaudoin, Max Séguin connaît une excellente saison. Il se retrouve au troisième rang des marqueurs de la formation, derrière ses deux compagnons de trio. C’est très facile de jouer avec eux, c’est deux joueurs avec beaucoup de talent, affirme le Franco-Ontarien. Max Séguin espère lui aussi attirer l’attention d’une université aux États-Unis. Il ne travaille cependant pas avec un agent, les contacts prennent donc un peu plus de temps. Mario [Pouliot] et le directeur général m’aident beaucoup, mais je sais que pour l’instant, l’important c’est de me concentrer sur la façon dont je joue et d’essayer d’aider l’équipe à gagner, mentionne celui qui présente une fiche de 59 points en 53 matchs. Quand ils vont à la rencontre de jeunes prospects, les dirigeants des Pontiacs ont quelques cartes à jouer. Il ajoute : nous leur montrons aussi notre feuille de route. Avec les années nous avons établi de bons contacts avec plusieurs universités qui aiment venir faire du recrutement à Bonnyville. Par exemple, cette saison, six de nos joueurs ont signé une entente avec une équipe universitaire, l’an passé, nous en avions neuf. Le recrutement de jeunes des environs est aussi très important. Non seulement c’est bon pour le hockey mineur de la région, mais cela aide à augmenter le nombre de spectateurs lors de nos matchs, confie Neil Langbridge. Cette année, nous avons un jeune de Saint-Paul et deux de Bonnyville, on voit que les spectateurs s’identifient à eux et son plus présent pour les matchs. Avoir une équipe gagnante est aussi un très bon argument de vente. Les Pontiacs n’ont encore jamais gagné de championnat en 31 ans d’histoire. L’équipe connaît une bonne saison et Neil Langbridge croit que cette année, pourrait être la bonne pour son équipe. Patrick Henri couvre l'actualité sportive en Alberta depuis plus de 20 ans. Il a développé un vaste réseau de contacts dans la province et une connaissance approfondie des différentes équipes, tous sports confondus. Analyste expérimenté, il partage ses observations par le biais d'articles, de chroniques et d'analyses chaque semaine. Ouvrir en mode plein écranNicolas Beaudoin, Ludovik Tardif et Max Séguin sont les trois joueurs francophones des Pontiacs de Bonnyville. Patrick HenriPublié le 21 février 2023 à 8 h 19 HAEPrenez note que cet article publié en 2023 pourrait contenir des informations qui ne sont plus à jour. Les Pontiacs de Bonnyville occupent présentement le troisième rang de la division Nord dans la Ligue de hockey junior A de l’Alberta (AJHL). Même si l’équipe représente une communauté francophone, située à 250 km au Nord-Est d’Edmonton, elle ne compte pas toujours des joueurs francophones dans sa formation. Cette année, en plus de l’entraîneur-chef Mario Pouliot, on retrouve trois joueurs qui parlent la langue de Molière au sein de la formation et leur histoire est très différente. Parmi eux, un Franco-Albertain, un Québécois et un Franco-Ontarien. Originaire de Saint-Paul, à 70 km de Bonnyville, Nicolas Beaudoin réalise un rêve en jouant pour les Pontiacs. C’est un rêve de jouer ici. Quand on est jeune, on regarde les Pontiacs et on travaille fort parce qu’on espère jouer pour l’équipe un jour, dit-il, en ajoutant que les Pontiacs sont un peu comme les Oilers, pour les résidents du Nord-Est. Nicolas n’est pas le premier Beaudoin à porter les couleurs de l’équipe de Bonnyville. Son frère Jean-Marc a joué pour les Pontiacs durant trois saisons entre 2002 et 2005. Selon l’entraîneur-chef, Mario Pouliot, Nicolas Beaudoin aurait tout ce qu’il faut pour jouer au sein de la Ligue de hockey junior majeur de l’Ouest (WHL). C’est un petit gars qui travaille fort chaque fois qu’il saute sur la patinoire et qui a de la facilité à marquer des buts, affirme le vétéran-entraîneur. Quand je suis arrivé, il jouait sur le quatrième trio, il a fait son chemin et maintenant il est sur le premier trio et sur les deux unités spéciales. Même s’il n’a que 18 ans, Nicolas Beaudoin occupe le deuxième rang des marqueurs chez les Pontiacs avec 69 points, dont 37 buts, en 50 rencontres. Il se retrouve au septième rang des meilleurs marqueurs de la ligue et au premier rang parmi toutes les recrues. Ouvrir en mode plein écranNicolas Beaudoin porte les couleurs des Pontiacs de Bonnyville, comme l'a fait son frère Jean-Marc au début des années 2000. Comme de nombreux joueurs du circuit junior A, le jeune homme originaire de Saint-Paul a choisi cette ligue dans l’espoir de poursuivre sa carrière dans les rangs universitaires américains. Il n’a pas eu à attendre longtemps, il a reçu, et accepté, une offre de l’Université Alaska-Fairbanks. La saison prochaine, il sera de retour avec les Pontiacs, après quoi il ira dans le nord du continent pour poursuivre des études en administration des affaires, tout en portant les couleurs des Nanooks. Je suis content d’avoir signé avec une petite université, car je suis habitué de vivre dans une petite communauté, affirme l’ancien élève de l’École du Sommet de Saint-Paul. En plus, j’adore la pêche, je vais donc essayer de pêcher là-bas le plus souvent possible. Ludovik Tardif est lui aussi âgé de 18 ans. Originaire de Québec, les études ont toujours été une chose importante pour lui et sa famille. C’est pourquoi il a rapidement fait le choix de ne pas suivre le chemin que suivent la majorité des hockeyeurs québécois, à savoir les rangs Midget AAA et la Ligue de hockey junior majeur du Québec (LHJMQ). Après une saison dans les rangs bantam, il a choisi de poursuivre ses études et de porter les couleurs de l’Académie Saint-Louis, une école préparatoire située à Québec. Il a ensuite joint les rangs du Upper Canada College de Toronto. Ouvrir en mode plein écranLudovik Tardif voulait jouer pour l'entraîneur Mario Pouliot. Pour la suite de sa carrière dans les rangs juniors, il avait choisi la Ligue de hockey junior A de la Colombie-Britannique (BCHL). Je sentais que c’était une ligue pour moi. C’est une ligue très rapide où on retrouve beaucoup de bons joueurs, partage-t-il. Les choses ne se sont cependant pas déroulées comme l’espérait le jeune attaquant. Après avoir disputé cinq rencontres avec l’équipe de Vernon et neuf avec l’équipe d’Alberni Valley, il a constaté qu’il ne se retrouvait pas dans la meilleure situation pour assurer son développement, J’avais besoin d’un entraîneur qui pouvait m’aider à devenir meilleur. Je connaissais Mario Pouliot parce que j’étais en Abitibi quand il a remporté la Coupe Memorial avec les Huskies de Rouyn-Noranda, affirme l’attaquant. Convaincu que le pilote québécois était l’entraîneur dont il avait besoin, Ludovik Tardif a demandé à son directeur général de l’échanger aux Pontiacs et celui-ci a acquiescé. En 28 matchs avec Bonnyville, il a marqué 11 buts et amassé 16 aides pour 27 points. Ça va super bien ici, dit le hockeyeur de Québec, je joue avec de bons joueurs, j’ai beaucoup de temps de jeu et je suis dirigé par un entraîneur exigeant, qui connaît mon potentiel et qui me pousse à être meilleur chaque jour. Celui qui se décrit comme un meilleur passeur que buteur n’a toujours pas signé d’entente avec une université, mais il ne s’en fait pas trop. Son agent est en contact avec certaines institutions qui sont aussi intéressées à ses services. Ludovik Tardif veut être certain de faire le bon choix, car une fois qu’il s’engagera avec une université, il y sera pour une période de quatre ans. Comme son coéquipier Ludovik Tardif, Max Séguin, originaire d’Orléans dans l’Est ontarien, avait choisi de jouer dans la BCHL. C’est aussi par un échange qu’il s’est retrouvé avec les Pontiacs. Max a joué pour le Collège St.Andrews près de Toronto et nous avons tenté de le convaincre de se joindre à nous pour jouer son hockey junior, mentionne le co-directeur général Neil Lamgridge, mais il a préféré tenter sa chance en Colombie-Britannique. Avant même le début de la saison, l’attaquant de 18 ans a constaté qu’il avait peut-être fait le mauvais choix. Je ne voyais pas les choses de la même façon que les dirigeants à Vernon, mentionne-t-il. J’ai reçu un autre appel du directeur général des Pontiacs qui m’offrait une place au sein de son équipe et je suis content d’avoir accepté d’être échangé. Ouvrir en mode plein écranMax Séguin est originaire d'Orléans, en Ontario. Utilisé avec Matteo Giompa, que l’entraîneur-chef Mario Pouliot décrit comme étant le meilleur joueur de la ligue, et Nicolas Beaudoin, Max Séguin connaît une excellente saison. Il se retrouve au troisième rang des marqueurs de la formation, derrière ses deux compagnons de trio. C’est très facile de jouer avec eux, c’est deux joueurs avec beaucoup de talent, affirme le Franco-Ontarien. Max Séguin espère lui aussi attirer l’attention d’une université aux États-Unis. Il ne travaille cependant pas avec un agent, les contacts prennent donc un peu plus de temps. Mario [Pouliot] et le directeur général m’aident beaucoup, mais je sais que pour l’instant, l’important c’est de me concentrer sur la façon dont je joue et d’essayer d’aider l’équipe à gagner, mentionne celui qui présente une fiche de 59 points en 53 matchs. Quand ils vont à la rencontre de jeunes prospects, les dirigeants des Pontiacs ont quelques cartes à jouer. Ouvrir en mode plein écranNeil Langridge est le codirecteur général des Pontiacs de Bonnyville. Il ajoute : nous leur montrons aussi notre feuille de route. Avec les années nous avons établi de bons contacts avec plusieurs universités qui aiment venir faire du recrutement à Bonnyville. Par exemple, cette saison, six de nos joueurs ont signé une entente avec une équipe universitaire, l’an passé, nous en avions neuf. Le recrutement de jeunes des environs est aussi très important. Non seulement c’est bon pour le hockey mineur de la région, mais cela aide à augmenter le nombre de spectateurs lors de nos matchs, confie Neil Langbridge. Cette année, nous avons un jeune de Saint-Paul et deux de Bonnyville, on voit que les spectateurs s’identifient à eux et son plus présent pour les matchs. Avoir une équipe gagnante est aussi un très bon argument de vente. Les Pontiacs n’ont encore jamais gagné de championnat en 31 ans d’histoire. L’équipe connaît une bonne saison et Neil Langbridge croit que cette année, pourrait être la bonne pour son équipe. Même si l’équipe représente une communauté francophone située à 250 km au Nord-Est d’Edmonton elle ne compte pas toujours des joueurs francophones dans sa formation en plus de l’entraîneur-chef Mario Pouliot on retrouve trois joueurs qui parlent la langue de Molière au sein de la formation et leur histoire est très différente un Québécois et un Franco-Ontarien Nicolas Beaudoin réalise un rêve en jouant pour les Pontiacs on regarde les Pontiacs et on travaille fort parce qu’on espère jouer pour l’équipe un jour en ajoutant que les Pontiacs sont un peu comme les Oilers Nicolas n’est pas le premier Beaudoin à porter les couleurs de l’équipe de Bonnyville Son frère Jean-Marc a joué pour les Pontiacs durant trois saisons entre 2002 et 2005 Nicolas Beaudoin aurait tout ce qu’il faut pour jouer au sein de la Ligue de hockey junior majeur de l’Ouest (WHL) C’est un petit gars qui travaille fort chaque fois qu’il saute sur la patinoire et qui a de la facilité à marquer des buts affirme le vétéran-entraîneur il a fait son chemin et maintenant il est sur le premier trio et sur les deux unités spéciales Même s’il n’a que 18 ans Nicolas Beaudoin occupe le deuxième rang des marqueurs chez les Pontiacs avec 69 points Il se retrouve au septième rang des meilleurs marqueurs de la ligue et au premier rang parmi toutes les recrues Comme de nombreux joueurs du circuit junior A le jeune homme originaire de Saint-Paul a choisi cette ligue dans l’espoir de poursuivre sa carrière dans les rangs universitaires américains Il n’a pas eu à attendre longtemps une offre de l’Université Alaska-Fairbanks après quoi il ira dans le nord du continent pour poursuivre des études en administration des affaires Je suis content d’avoir signé avec une petite université car je suis habitué de vivre dans une petite communauté affirme l’ancien élève de l’École du Sommet de Saint-Paul je vais donc essayer de pêcher là-bas le plus souvent possible Ludovik Tardif est lui aussi âgé de 18 ans les études ont toujours été une chose importante pour lui et sa famille C’est pourquoi il a rapidement fait le choix de ne pas suivre le chemin que suivent la majorité des hockeyeurs québécois à savoir les rangs Midget AAA et la Ligue de hockey junior majeur du Québec (LHJMQ) Après une saison dans les rangs bantam il a choisi de poursuivre ses études et de porter les couleurs de l’Académie Saint-Louis une école préparatoire située à Québec Il a ensuite joint les rangs du Upper Canada College de Toronto Pour la suite de sa carrière dans les rangs juniors il avait choisi la Ligue de hockey junior A de la Colombie-Britannique (BCHL) Je sentais que c’était une ligue pour moi C’est une ligue très rapide où on retrouve beaucoup de bons joueurs Les choses ne se sont cependant pas déroulées comme l’espérait le jeune attaquant Après avoir disputé cinq rencontres avec l’équipe de Vernon et neuf avec l’équipe d’Alberni Valley il a constaté qu’il ne se retrouvait pas dans la meilleure situation pour assurer son développement J’avais besoin d’un entraîneur qui pouvait m’aider à devenir meilleur Je connaissais Mario Pouliot parce que j’étais en Abitibi quand il a remporté la Coupe Memorial avec les Huskies de Rouyn-Noranda Convaincu que le pilote québécois était l’entraîneur dont il avait besoin Ludovik Tardif a demandé à son directeur général de l’échanger aux Pontiacs et celui-ci a acquiescé il a marqué 11 buts et amassé 16 aides pour 27 points j’ai beaucoup de temps de jeu et je suis dirigé par un entraîneur exigeant qui connaît mon potentiel et qui me pousse à être meilleur chaque jour Celui qui se décrit comme un meilleur passeur que buteur n’a toujours pas signé d’entente avec une université Son agent est en contact avec certaines institutions qui sont aussi intéressées à ses services Ludovik Tardif veut être certain de faire le bon choix car une fois qu’il s’engagera avec une université il y sera pour une période de quatre ans originaire d’Orléans dans l’Est ontarien C’est aussi par un échange qu’il s’est retrouvé avec les Pontiacs Max a joué pour le Collège St.Andrews près de Toronto et nous avons tenté de le convaincre de se joindre à nous pour jouer son hockey junior mentionne le co-directeur général Neil Lamgridge mais il a préféré tenter sa chance en Colombie-Britannique Avant même le début de la saison l’attaquant de 18 ans a constaté qu’il avait peut-être fait le mauvais choix Je ne voyais pas les choses de la même façon que les dirigeants à Vernon J’ai reçu un autre appel du directeur général des Pontiacs qui m’offrait une place au sein de son équipe et je suis content d’avoir accepté d’être échangé que l’entraîneur-chef Mario Pouliot décrit comme étant le meilleur joueur de la ligue Max Séguin connaît une excellente saison Il se retrouve au troisième rang des marqueurs de la formation C’est très facile de jouer avec eux c’est deux joueurs avec beaucoup de talent Max Séguin espère lui aussi attirer l’attention d’une université aux États-Unis Il ne travaille cependant pas avec un agent les contacts prennent donc un peu plus de temps Mario [Pouliot] et le directeur général m’aident beaucoup l’important c’est de me concentrer sur la façon dont je joue et d’essayer d’aider l’équipe à gagner mentionne celui qui présente une fiche de 59 points en 53 matchs Le recrutement de joueurs est le principal défi des équipes de niveau junior du pays affirme le co-directeur général Neil Langridge mais il y a 132équipes au Canada qui tentent de convaincre les mêmes joueurs de joindre leurs rangs","text":"Il y a 16équipes dans la AJHL mais il y a 132équipes au Canada qui tentent de convaincre les mêmes joueurs de joindre leurs rangs"}}\\\">Il y a 16 équipes dans la AJHL mais il y a 132 équipes au Canada qui tentent de convaincre les mêmes joueurs de joindre leurs rangs Quand ils vont à la rencontre de jeunes prospects les dirigeants des Pontiacs ont quelques cartes à jouer alors nous leur disons que ceux qui jouent pour notre équipe vivent complètement l’expérience du hockey junior Toutes les ressources se retrouvent à moins de cinq minutes les joueurs deviennent partie intégrante de la communauté et il n’y a pas de distraction comme dans les grandes villes","text":"Nous leur parlons de notre marché Bonnyville est la plus petite ville de la AJHL les joueurs deviennent partie intégrante de la communauté et il n’y a pas de distraction comme dans les grandes villes"}}\\\">Nous leur parlons de notre marché les joueurs deviennent partie intégrante de la communauté et il n’y a pas de distraction comme dans les grandes villes Il ajoute : nous leur montrons aussi notre feuille de route Avec les années nous avons établi de bons contacts avec plusieurs universités qui aiment venir faire du recrutement à Bonnyville six de nos joueurs ont signé une entente avec une équipe universitaire Le recrutement de jeunes des environs est aussi très important Non seulement c’est bon pour le hockey mineur de la région mais cela aide à augmenter le nombre de spectateurs lors de nos matchs nous avons un jeune de Saint-Paul et deux de Bonnyville on voit que les spectateurs s’identifient à eux et son plus présent pour les matchs Avoir une équipe gagnante est aussi un très bon argument de vente Les Pontiacs n’ont encore jamais gagné de championnat en 31 ans d’histoire L’équipe connaît une bonne saison et Neil Langbridge croit que cette année pourrait être la bonne pour son équipe Patrick Henri couvre l'actualité sportive en Alberta depuis plus de 20 ans Il a développé un vaste réseau de contacts dans la province et une connaissance approfondie des différentes équipes il partage ses observations par le biais d'articles de chroniques et d'analyses chaque semaine mais il y a 132équipes au Canada qui tentent de convaincre les mêmes joueurs de joindre leurs rangs"}}\">Il y a 16 équipes dans la AJHL les joueurs deviennent partie intégrante de la communauté et il n’y a pas de distraction comme dans les grandes villes"}}\">Nous leur parlons de notre marché Les Pontiacs de Bonnyville occupent présentement le troisième rang de la division Nord dans la Ligue de hockey junior A de l’Alberta (AJHL) dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"Un texte de Marie-Ève DuSablon Sa passion pour la musique lui vient de ses parents dès son jeune âge à différents univers musicaux en autant que ça m’inspire et me touche Erik présentera des chansons mélancoliques aux allures folk et rock inspirées de ses histoires personnelles qui passent par le thème de la recherche de soi Je veux que les gens se souviennent de moi et écoutent ma musique Erik a choisi de faire partie de l’aventure de Polyfonik 2017 après son passage à La Chicane Albertaine en 2016 où il a gagné le premier prix avec le groupe rock Les Monarques de l'École des Beaux-Lacs de Bonnyville.Grâce à leur victoire les quatre membres du groupe ont participé cette année à plusieurs événements de la francophonie J’ai tellement aimé mon expérience Je savais que Polyfonik était la prochaine étape « Ce concours me donne la chance d’améliorer mon style musical et d'explorer plus d’horizons. » La prestation d'Erik Ringuette aura lieu le 9 juin à 20 h à La Cité francophone d'Edmonton lors de la grande finale de Polyfonik 2017 Ouvrir en mode plein écranErik Ringuette est l'un des trois participants à Polyfonik 2017 Prenez note que cet article publié en 2017 pourrait contenir des informations qui ne sont plus à jour Natif de la petite ville albertaine de Bonnyville Il aura d'ailleurs l'occasion de montrer au grand publlic toute sa fougue en musique le 9 juin à l'occasion du grand concours de musique francophone Polyfonik 2017 dès son jeune âge à différents univers musicaux Erik présentera des chansons mélancoliques aux allures folk et rock inspirées de ses histoires personnelles qui passent par le thème de la recherche de soi Je veux que les gens se souviennent de moi et écoutent ma musique où il a gagné le premier prix avec le groupe rock Les Monarques de l'École des Beaux-Lacs de Bonnyville.Grâce à leur victoire les quatre membres du groupe ont participé cette année à plusieurs événements de la francophonie Je savais que Polyfonik était la prochaine étape « Ce concours me donne la chance d’améliorer mon style musical et d'explorer plus d’horizons La prestation d'Erik Ringuette aura lieu le 9 juin à 20 h à La Cité francophone d'Edmonton lors de la grande finale de Polyfonik 2017 Erik a choisi de faire partie de l’aventure de Polyfonik 2017 après son passage à La Chicane Albertaine en 2016 Erik a choisi de faire partie de l’aventure de Polyfonik 2017 après son passage à La Chicane Albertaine en 2016 It is with deep sorrow that we announce the passing of Madeleine Dumont (née Dumesnil) Rachel Dumont (Glen Playfair) and Gilles Dumont (Danielle Lavoie) Camille and Janique Dumont; Jacob and Zacharie Playfair Madeleine was predeceased by her parents: Louis Ignace (1993) & Angèle (2002)(Provencal) Dumesnil; brothers: Léon (2007) Bernard (2015) & Jean (2022) Dumesnil; sisters: Gabrielle Morin (2001) Alberta in 1950 with her 9 sisters and brothers She demonstrated an aptitude for teaching even before she attended the University of Alberta in the Junior E program in education She started her teaching career in McLennan at the age of 19 She would later move to Bonnyville with her sister Blanche to continue teaching until 1966 Participating in the Catholic Youth Organization she would make a lot of friends Grand-maman avait une passion pour la francophonie Nous faisait-elle un clin d’oeil en nous quittant le jour même de la francophonie internationale Les causes qui lui tenait à coeur et qui lui ont valu son dévouement: plusieurs activités et comités de l’Association canadienne-française de l’Alberta le mouvement scout pour plusieurs années la Société du festival et les nombreux bingos qui y étaient associés et son appui au développement de l’école francophone des Beaux-Lacs Pour son dévouement à la francophonie elle fut intronisée à l’Ordre des sages de l’ACFA Madeleine était connue pour sa générosité sans limite et son amour inconditionnel pour sa famille Elle était heureuse entourée par sa famille 2024 at 11 am (eulogy at 10:45 am) at the St consider making a donation to the Alzheimer's Society of Alberta More National Obituaries > dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"La municipalité de Bonnyville a connu de nombreuses transformations au cours des dernières années La construction de nouveaux bâtiments industriels rapporte à la municipalité mais c'est le comté qui empoche la plus grande part du gâteau puisque les exploitations pétrolières se trouvent sur son territoire « Les pipelines situés sous terre ce qu'on appelle les [impôts fonciers linéaires] ça va toute à la municipalité » fait valoir le conseiller municipal Raymond Prévost « Les dépenses sont pas mal toutes au village L'idée de former un gouvernement régional a déjà été soulevée dans le passé On créerait alors une seule et grande administration pour tout le comté Même si cette idée permettrait aux municipalités de toucher plus d'argent craint un déséquilibre entre les secteurs urbains et les secteurs ruraux « Quand tu mets ton conseil ensemble eh bien [représentation selon la population oblige] tu as plus de force pour l'urbain que tu en as pour le rural ce qui fait que l'argent est dépensé dans les villages et dans les villes » où siégeraient des représentants de tous les conseils d'administration du comté a aussi été proposée Seulement certains services seraient gérés de façon conjointe la collecte des déchets et les services de loisirs le projet n'est encore qu'à l'étape de discussions Avec des informations de Jessica L'Heureux Prenez note que cet article publié en 2014 pourrait contenir des informations qui ne sont plus à jour Certains élus municipaux réfléchissent à une distribution plus équitable des revenus engendrés par le développement de l'industrie pétrolière dans le comté de Bonnyville La municipalité de Bonnyville a connu de nombreuses transformations au cours des dernières années La construction de nouveaux bâtiments industriels rapporte à la municipalité mais c'est le comté qui empoche la plus grande part du gâteau puisque les exploitations pétrolières se trouvent sur son territoire ce qu'on appelle les [impôts fonciers linéaires] fait valoir le conseiller municipal Raymond Prévost « Les dépenses sont pas mal toutes au village L'idée de former un gouvernement régional a déjà été soulevée dans le passé On créerait alors une seule et grande administration pour tout le comté Même si cette idée permettrait aux municipalités de toucher plus d'argent craint un déséquilibre entre les secteurs urbains et les secteurs ruraux eh bien [représentation selon la population oblige] ce qui fait que l'argent est dépensé dans les villages et dans les villes » où siégeraient des représentants de tous les conseils d'administration du comté a aussi été proposée Seulement certains services seraient gérés de façon conjointe la collecte des déchets et les services de loisirs le projet n'est encore qu'à l'étape de discussions La municipalité de Bonnyville a connu de nombreuses transformations au cours des dernières années dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"Le couple habite dans le petit village de Fort Kent environ 10 kilomètres à l'est de Bonnyville Lors d'une rencontre avec les médias jeudi Raymond Scott a fait rougir sa femme en racontant qu'il a acheté le billet gagnant en se rendant dans un magasin d'Ardmore pour y acheter une méthode de contraception a longtemps travaillé à la station-service familiale avant de devenir gestionnaire d'une entreprise de transport routier. Il dit vouloir garder son emploi « encore quelques mois » Raymond Scott a l'intention d'acheter une terre qui appartenait à la famille de sa femme de passer davantage de temps avec sa propre famille et d'aider des amis Un voyage pourrait aussi faire partie des premières dépenses du couple chanceux qui se sont mariés il y a un peu plus d'un an n'avaient jamais eu les moyens de partir en lune de miel ils s'envoleront vers Toronto pour assister à une partie des Blue Jays Et « rencontrer quelques investisseurs » Ouvrir en mode plein écranRaymond et Sheena Scott pourront s'offrir la lune de miel de leurs rêves après avoir remporté un gros lot de 50 millions de dollars à la loterie Prenez note que cet article publié en 2015 pourrait contenir des informations qui ne sont plus à jour Une vie de « travailleurs pauvres » semble terminée pour les Albertains Raymond Scott et sa femme Sheena qui ont remporté le gros lot de 50 millions de dollars au Lotto Max Le couple habite dans le petit village de Fort Kent environ 10 kilomètres à l'est de Bonnyville Lors d'une rencontre avec les médias jeudi Raymond Scott a fait rougir sa femme en racontant qu'il a acheté le billet gagnant en se rendant dans un magasin d'Ardmore pour y acheter une méthode de contraception a longtemps travaillé à la station-service familiale avant de devenir gestionnaire d'une entreprise de transport routier Il dit vouloir garder son emploi « encore quelques mois » Raymond Scott a l'intention d'acheter une terre qui appartenait à la famille de sa femme Un voyage pourrait aussi faire partie des premières dépenses du couple chanceux qui se sont mariés il y a un peu plus d'un an ils s'envoleront vers Toronto pour assister à une partie des Blue Jays Une vie de « travailleurs pauvres » semble terminée pour les Albertains Raymond Scott et sa femme Sheena qui ont remporté le gros lot de 50 millions de dollars au Lotto Max dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"Au cours de la même période le temps d’intervention a augmenté d’environ 18 % Cette augmentation signifie que les ambulanciers sont plus occupés que jamais La situation dans les urgences des hôpitaux de la province entraîne aussi des délais car les ambulanciers doivent attendre plus longtemps pour que leur patient soit pris en charge qui ont aussi un emploi en dehors de leurs heures de garde les ambulances les plus proches sont à environ 30 minutes de route les pompiers volontaires de Glendon ont été appelés sur la scène d’une sortie de route une camionnette s'étant renversée sur l’autoroute provinciale 28 Cet appel aurait pu être une intervention de routine la femme d’un des pompiers se trouvait dans la camionnette Les pompiers volontaires sont arrivés 16 minutes après l’appel et environ 10 minutes avant les ambulanciers la femme ne souffrait que de blessures mineures Elle a été transportée à l’hôpital il peut arriver que les premiers répondants connaissent la personne qu’ils doivent secourir mentionne que de telles situations peuvent affecter personnellement les ambulanciers et les pompiers on fait de la réanimation cardio-respiratoire pendant 15 ou 20 minutes mais également s'il s'agit de quelqu'un que vous connaissez ça peut être une source de stress mental pendant que vous attendez le temps de réponse est allongé à cause des délais aux urgences c’est plutôt le temps de déplacement vers les centres hospitaliers qui fait perdre de précieuses minutes lorsqu’une ambulance doit transporter un patient vers Edmonton c’est le tiers de la capacité d’intervention d’urgence qui disparaît car la communauté ne compte que trois ambulances « Ça nous prend au minimum sept heures aller-retour pour faire un transfert à Edmonton qu’il soit grave ou moins grave » chef des opérations médicales au service d’incendie régional de Bonnyville Ces transferts peuvent être requis pour des cas urgents mais également pour des procédures de routine Les ambulanciers ont effectué plus de 176 000 transferts hospitaliers l’an dernier environ la moitié des appels qui nécessitent la présence d’une ambulance sont des transferts de patients « Ce n’est pas rare qu’une ambulance soit utilisée pour transporter quelqu’un qui pourrait presque s’y rendre seul s’il n’avait pas besoin de soins. » la situation est loin d’être idéale un ambulancier qui siège également au conseil municipal cette pénurie d’ambulanciers est le signe d’un système de santé surchargé « On doit porter attention aux ambulanciers et aux pompiers ruraux parce que je n’ai jamais vu ça » les ambulanciers n’effectuent même plus de transferts de patients Ceux qui ont besoin de soins inaccessibles dans leur région doivent donc se débrouiller pour se rendre dans les grands centres urbains par eux-mêmes Pour tenter d’alléger la tâche des ambulanciers, le gouvernement Smith souhaite se tourner vers le secteur privé pour s’occuper des transferts médicaux entre les centres hospitaliers. Un appel d’offres a été lancé au début du mois. Avec les informations d’Ariel Fournier Emmanuel Prince-Thauvette est basé à Edmonton depuis 2022. Il était auparavant journaliste à la rédaction télé à Montréal. Il détient un baccalauréat en relations internationales et droit international. Ouvrir en mode plein écranLes pompiers volontaires, qui occupent aussi un emploi en dehors de leurs heures de garde, voient leur quotidien perturbé par la pénurie d’ambulanciers. Emmanuel Prince-ThauvettePublié le 15 février 2023 à 20 h 29 HAEPrenez note que cet article publié en 2023 pourrait contenir des informations qui ne sont plus à jour Alors que la province tente de trouver des solutions à la pénurie d’ambulanciers les pompiers volontaires du nord de l’Alberta doivent attendre de plus en plus longtemps les ambulances lors des situations d’urgences médicales le nombre d’appels nécessitant l’intervention d’une ambulance a augmenté de 39 % en milieu rural le temps d’intervention a augmenté d’environ 18 % Cette augmentation signifie que les ambulanciers sont plus occupés que jamais La situation dans les urgences des hôpitaux de la province entraîne aussi des délais les ambulances les plus proches sont à environ 30 minutes de route Ouvrir en mode plein écranLes pompiers volontaires sont appelés pour secourir les occupants d'une camionnette qui a fait une sortie de route près de Glendon les pompiers volontaires de Glendon ont été appelés sur la scène d’une sortie de route une camionnette s'étant renversée sur l’autoroute provinciale 28 Cet appel aurait pu être une intervention de routine la femme d’un des pompiers se trouvait dans la camionnette Les pompiers volontaires sont arrivés 16 minutes après l’appel et environ 10 minutes avant les ambulanciers il peut arriver que les premiers répondants connaissent la personne qu’ils doivent secourir on fait de la réanimation cardio-respiratoire pendant 15 ou 20 minutes mais également s'il s'agit de quelqu'un que vous connaissez ça peut être une source de stress mental pendant que vous attendez le temps de réponse est allongé à cause des délais aux urgences c’est plutôt le temps de déplacement vers les centres hospitaliers qui fait perdre de précieuses minutes lorsqu’une ambulance doit transporter un patient vers Edmonton c’est le tiers de la capacité d’intervention d’urgence qui disparaît car la communauté ne compte que trois ambulances « Ça nous prend au minimum sept heures aller-retour pour 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souhaite se tourner vers le secteur privé pour s’occuper des transferts médicaux entre les centres hospitaliers Un appel d’offres a été lancé au début du mois Emmanuel Prince-Thauvette est basé à Edmonton depuis 2022 Il était auparavant journaliste à la rédaction télé à Montréal Il détient un baccalauréat en relations internationales et droit international Pour tenter d’alléger la tâche des ambulanciers, le gouvernement Smith souhaite se tourner vers le secteur privé pour s’occuper des transferts médicaux entre les centres hospitaliers le nombre d’appels nécessitant l’intervention d’une ambulance a augmenté de 39 % en milieu rural dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"Il a mis la main sur le précieux trophée durant la saison 2017-2018 avec le Titan d’Acadie-Bathurst et Il est maintenant l’entraîneur-chef des Pontiacs de Bonnyville dans la Ligue de hockey Junior A de l’Alberta (AJHL) La première fois qu’il est entré dans l'aréna des Pontiacs Mario Pouliot a remarqué qu'il manquait quelque chose au décor J’ai demandé pourquoi ici on a seulement des bannières de joueurs retraités La petite municipalité d’environ 6000 habitants n’a jamais eu d'équipe qui a remporté le Championnat de la ligue qui a fait son entrée au sein du circuit durant la saison 1991-1992 n’a réussi qu’une seule fois à atteindre le troisième tour des séries (2014-2015) et a connu sa meilleure saison en 2018-2019 avec une deuxième place au classement de la division Nord Avec une meilleure éthique de travail et une nouvelle façon de traiter les joueurs Mario Pouliot croit que les Pontiacs pourraient remporter le championnat de l'AJHL cette saison Mario Pouliot ne laisse personne indifférent Son dernier emploi dans la Ligue de hockey junior majeur du Québec (LHJMQ) s’est terminé abruptement et a laissé place à beaucoup de mystères Victime de problèmes cardiaques, il a dû prendre une pause de ses tâches d’entraîneur-chef et de directeur général des Huskies de Rouyn-Noranda Pour la première fois, l’homme visé par ces plaintes accepte de parler de la situation. J’admets que je suis un gars intense. Je suis un gars de détails. Je suis exigeant pour moi-même et j’exige la même chose des gens autour de moi, avoue-t-il. Sincèrement, je n’ai rien à cacher. Je n’ai pas de squelette dans mon placard. Du même souffle, il admet que la situation dans laquelle il s’est retrouvé l’a fait réfléchir. J’ai réalisé plein de choses. Tu sais, dans la vie, tu ne veux jamais blesser personne. L’entraîneur âgà de 59 ans a reçu de nombreux témoignages d'appui quand la nouvelle concernant les plaintes à son endroit a été rendue publique. J’ai eu tellement de gens qui m’ont envoyé des messages, qui m’ont appelé, des anciens joueurs, des anciennes personnes avec qui j’ai travaillé, qui m’ont dit que c’était impossible de plaire à tout le monde, que tu ne pouvais pas satisfaire tout le monde, raconte-t-il. Mario Pouliot admet qu’il a connu une période difficile, mais croit que cela a été plus difficile encore pour son entourage, notamment pour les membres de sa famille. Conscient des changements qui se sont produits dans le monde du sport et dans la société en général au cours des dernières années, l’entraîneur des Pontiacs a adapté ses façons de faire. Présentement, il y a beaucoup de mouvements [de contestation], c’est plus comme c’était avant. C’est sûr qu’il y a des choses auxquelles tu penses plus et tu essaies de faire attention, d’être meilleur là-dedans, affirme-t-il. Devant l’adversité, tu as deux choix : tu fais face à l’adversité ou tu quittes. Mario Pouliot a toujours fait face à l’adversité et veut continuer d’adopter cette option chaque fois que c’est possible. L'entraîneur vétéran n’avait jamais mis les pieds à Bonnyville avant le premier jour où il s’est présenté à son nouvel emploi. Il n’avait même jamais entendu parler de ce village francophone situé à environ 250 km au nord-est d’Edmonton. Il ne connaissait pas non plus vraiment la Ligue de hockey junior A de l’Alberta, si ce n’est qu’il savait que Cale Makar, de l’Avalanche du Colorado, évoluait dans cette ligue quand il a été repêché. C’est en quelque sorte pour rendre service à un ami qu’il a accepté le poste d’entraîneur-chef des Pontiacs. Brad Flynn, un ancien assistant de Mario Pouliot chez le Titan d’Acadie-Bathurst, avait été nommé entraîneur-chef de l’équipe durant l’été. Une semaine avant le début de la saison, Flynn a dû remettre sa démission afin de retourner en Ontario pour régler une situation familiale. Après avoir parlé à son ancien patron, il a proposé à l’organisation d’engager celui-ci comme entraîneur-chef. Je ne me cherchais pas de travail, j’étais bien. Je m’apprêtais à aller passer un mois en Suisse pour voir ma fille et mes petits-enfants, dit l'entraîneur. Mario Pouliot admet que son départ précipité de Rouyn-Noranda avait cependant suscité en lui beaucoup de questions. J’étais plus certain que j’avais encore la flamme ou, disons plutôt, que la flamme n’était plus très haute. Quand je suis rentré ici [dans l’aréna RJ Lalonde, domicile des Pontiacs], je me suis tout de suite bien senti, se rappelle-t-il. Une chose qui l’a aidé à se sentir bien est le fait qu’à Bonnyville il n’est que l’entraîneur de l’équipe. Il s’est rendu compte que le cumul des tâches d’entraîneur et de directeur général représente un lourd fardeau. Quand tu es GM [directeur général], c’est vers toi que sont dirigés tous les problèmes. Il y a des problèmes à l’école, on appelle le GM, des problèmes avec les pensions, le GM, des problèmes avec un joueur, son agent appelle le GM, dit-il. Quand Brad Flynn a annoncé aux codirecteurs généraux Neil Langridge et Chad Nelson que Mario Pouliot acceptait de le remplacer, ils ne l’ont pas vraiment cru. Je me suis dit : \"Il ne viendra jamais ici, c’est un double champion de la Coupe Memorial.\" Nous l’avons contacté, nous avons eu plusieurs discussions avec lui, affirme Neil Langridge. Le codirecteur général ajoute qu’il a été question des allégations envers Mario Pouliot dans les discussions entre lui et l’équipe. Mario a accepté de répondre à toutes nos questions et il a été très honnête dans ses réponses. Un point sur lequel l’organisation n’a pas lésiné est la vérification des références. Nous avons appelé les personnes-contacts dont il nous a fourni les noms, mais aussi des gens qui ne se trouvaient pas sur sa liste, d’anciens joueurs, d’anciens assistants, d’anciens propriétaires d’équipe, souligne Neil Langridge, en ajoutant que tout ce qui a été dit au sujet de Mario Pouliot a été positif. C’était important pour Neil Langridge de faire toutes ces vérifications, car il ne voulait pas que son équipe fasse la une des médias partout au pays en raison de possibles incidents impliquant l’entraîneur-chef. Dans le monde d’aujourd’hui, tu n’es jamais trop prudent. Tu es sous le microscope en permanence et c’est vrai non seulement dans le monde du hockey, mais aussi dans tous les sports. Ton organisation doit se comporter de façon professionnelle en tout temps, signale Neil Langridge. Il ajoute qu’il est très satisfait de ce qu’il a vu de son entraîneur jusqu’à maintenant. J’ai travaillé avec beaucoup d’entraîneurs, dit-il, j’apprends beaucoup de lui. C’est impressionnant de voir à quel point les joueurs le respectent et comment il a réussi à établir la notion d’imputabilité tant auprès des joueurs que de tout le personnel. Comme il ne connaissait aucun joueur à son arrivée, Mario Pouliot a pris le temps de s’asseoir avec chacun d’entre eux pour apprendre à les connaître une semaine après le début de la saison. J’ai dit aux joueurs que j’étais ici pour les aider. Pour partager mon expérience avec eux. Je leur ai dit que j’étais très exigeant, mais que j’essayais toujours d’être le plus honnête possible pour leur redonner ce qu’ils méritent, dit l'entraîneur. Le vétéran-entraîneur a rapidement été impressionné par le niveau de jeu de la ligue. C’est une ligue rapide où il y a beaucoup de talent. Plusieurs joueurs ici pourraient jouer au niveau junior majeur. Il veut offrir à ses joueurs le même encadrement qu’il offrait quand il dirigeait des équipes dans la LHJMQ.C ’est une question de respect envers eux, dit-il. Ludovik Tardif, un joueur originaire de la ville de Québec, affirme que la présence de Mario Pouliot est la raison qui l'a poussé à demander d'être échangé aux Pontiacs. Je connaissais la réputation de Mario et je savais qu’il était un entraîneur exigeant. C’est ce dont j’avais besoin pour me développer, dit le joueur de 18 ans qui rêve de poursuivre sa carrière dans les rangs universitaires américains. Mario Pouliot refuse pour l’instant de dire s’il sera de retour ou non l’an prochain. Notre objectif est de gagner cette année, et je crois que nous en sommes capables , explique-t-il. Avec encore 11 matchs à jouer en saison, son équipe occupe le troisième rang de la division Nord et a une place assurée en séries éliminatoires. Il ne ferme pas la porte à un éventuel retour au sein de la LHJMQ. Il dit d’ailleurs avoir reçu une offre cette saison, offre qu’il a déclinée afin de rester à Bonnyville pour poursuivre ce qu’il avait amorcé avec son groupe de jeunes joueurs. Une chose est certaine, l’homme de 59 ans a toujours la passion du hockey et, tant qu’il le pourra, il continuera d’essayer de la transmettre. Ouvrir en mode plein écranMario Pouliot est l'entraîneur des Pontiacs de Bonnyville. Patrick HenriPublié le 8 février 2023 à 8 h 45 HAEPrenez note que cet article publié en 2023 pourrait contenir des informations qui ne sont plus à jour est le seul entraîneur à avoir remporté deux fois la Coupe Memorial deux années consécutives avec deux équipes différentes Il a mis la main sur le précieux trophée durant la saison 2017-2018 avec le Titan d’Acadie-Bathurst et Il est maintenant l’entraîneur-chef des Pontiacs de Bonnyville dans la Ligue de hockey Junior A de l’Alberta (AJHL) La première fois qu’il est entré dans l'aréna des Pontiacs Mario Pouliot a remarqué qu'il manquait quelque chose au décor J’ai demandé pourquoi ici on a seulement des bannières de joueurs retraités La petite municipalité d’environ 6000 habitants n’a jamais eu d'équipe qui a remporté le Championnat de la ligue qui a fait son entrée au sein du circuit durant la saison 1991-1992 n’a réussi qu’une seule fois à atteindre le troisième tour des séries (2014-2015) et a connu sa meilleure saison en 2018-2019 avec une deuxième place au classement de la division Nord Avec une meilleure éthique de travail et une nouvelle façon de traiter les joueurs Mario Pouliot ne laisse personne indifférent Son dernier emploi dans la Ligue de hockey junior majeur du Québec (LHJMQ) s’est terminé abruptement et a laissé place à beaucoup de mystères Ouvrir en mode plein écranMario Pouliot dit que que le fait d'avoir remporté la Coupe Memorial avec le Titan d'Acadie-Bathurst est la plus belle réalisation de sa carrière Photo : La Presse canadienne / JONATHAN HAYWARD Pour la première fois, l’homme visé par ces plaintes accepte de parler de la situation. J’admets que je suis un gars intense. Je suis un gars de détails. Je suis exigeant pour moi-même et j’exige la même chose des gens autour de moi, avoue-t-il. Sincèrement, je n’ai rien à cacher. Je n’ai pas de squelette dans mon placard. Du même souffle, il admet que la situation dans laquelle il s’est retrouvé l’a fait réfléchir. J’ai réalisé plein de choses. Tu sais, dans la vie, tu ne veux jamais blesser personne. L’entraîneur âgà de 59 ans a reçu de nombreux témoignages d'appui quand la nouvelle concernant les plaintes à son endroit a été rendue publique. J’ai eu tellement de gens qui m’ont envoyé des messages, qui m’ont appelé, des anciens joueurs, des anciennes personnes avec qui j’ai travaillé, qui m’ont dit que c’était impossible de plaire à tout le monde, que tu ne pouvais pas satisfaire tout le monde, raconte-t-il. Mario Pouliot admet qu’il a connu une période difficile, mais croit que cela a été plus difficile encore pour son entourage, notamment pour les membres de sa famille. Conscient des changements qui se sont produits dans le monde du sport et dans la société en général au cours des dernières années, l’entraîneur des Pontiacs a adapté ses façons de faire. Présentement, il y a beaucoup de mouvements [de contestation], c’est plus comme c’était avant. C’est sûr qu’il y a des choses auxquelles tu penses plus et tu essaies de faire attention, d’être meilleur là-dedans, affirme-t-il. Devant l’adversité, tu as deux choix : tu fais face à l’adversité ou tu quittes. Mario Pouliot a toujours fait face à l’adversité et veut continuer d’adopter cette option chaque fois que c’est possible. L'entraîneur vétéran n’avait jamais mis les pieds à Bonnyville avant le premier jour où il s’est présenté à son nouvel emploi. Il n’avait même jamais entendu parler de ce village francophone situé à environ 250 km au nord-est d’Edmonton. Il ne connaissait pas non plus vraiment la Ligue de hockey junior A de l’Alberta, si ce n’est qu’il savait que Cale Makar, de l’Avalanche du Colorado, évoluait dans cette ligue quand il a été repêché. Ouvrir en mode plein écranMario Pouliot dit qu'il est un entraîneur exigeant, mais qu'il est juste. C’est en quelque sorte pour rendre service à un ami qu’il a accepté le poste d’entraîneur-chef des Pontiacs. Brad Flynn, un ancien assistant de Mario Pouliot chez le Titan d’Acadie-Bathurst, avait été nommé entraîneur-chef de l’équipe durant l’été. Une semaine avant le début de la saison, Flynn a dû remettre sa démission afin de retourner en Ontario pour régler une situation familiale. Après avoir parlé à son ancien patron, il a proposé à l’organisation d’engager celui-ci comme entraîneur-chef. Je ne me cherchais pas de travail, j’étais bien. Je m’apprêtais à aller passer un mois en Suisse pour voir ma fille et mes petits-enfants, dit l'entraîneur. Mario Pouliot admet que son départ précipité de Rouyn-Noranda avait cependant suscité en lui beaucoup de questions. J’étais plus certain que j’avais encore la flamme ou, disons plutôt, que la flamme n’était plus très haute. Quand je suis rentré ici [dans l’aréna RJ Lalonde, domicile des Pontiacs], je me suis tout de suite bien senti, se rappelle-t-il. Une chose qui l’a aidé à se sentir bien est le fait qu’à Bonnyville il n’est que l’entraîneur de l’équipe. Il s’est rendu compte que le cumul des tâches d’entraîneur et de directeur général représente un lourd fardeau. Quand tu es GM [directeur général], c’est vers toi que sont dirigés tous les problèmes. Il y a des problèmes à l’école, on appelle le GM, des problèmes avec les pensions, le GM, des problèmes avec un joueur, son agent appelle le GM, dit-il. Quand Brad Flynn a annoncé aux codirecteurs généraux Neil Langridge et Chad Nelson que Mario Pouliot acceptait de le remplacer, ils ne l’ont pas vraiment cru. Je me suis dit : "Il ne viendra jamais ici, c’est un double champion de la Coupe Memorial." Nous l’avons contacté, nous avons eu plusieurs discussions avec lui, affirme Neil Langridge. Le codirecteur général ajoute qu’il a été question des allégations envers Mario Pouliot dans les discussions entre lui et l’équipe. Mario a accepté de répondre à toutes nos questions et il a été très honnête dans ses réponses. Un point sur lequel l’organisation n’a pas lésiné est la vérification des références. Nous avons appelé les personnes-contacts dont il nous a fourni les noms, mais aussi des gens qui ne se trouvaient pas sur sa liste, d’anciens joueurs, d’anciens assistants, d’anciens propriétaires d’équipe, souligne Neil Langridge, en ajoutant que tout ce qui a été dit au sujet de Mario Pouliot a été positif. C’était important pour Neil Langridge de faire toutes ces vérifications, car il ne voulait pas que son équipe fasse la une des médias partout au pays en raison de possibles incidents impliquant l’entraîneur-chef. Dans le monde d’aujourd’hui, tu n’es jamais trop prudent. Tu es sous le microscope en permanence et c’est vrai non seulement dans le monde du hockey, mais aussi dans tous les sports. Ton organisation doit se comporter de façon professionnelle en tout temps, signale Neil Langridge. Il ajoute qu’il est très satisfait de ce qu’il a vu de son entraîneur jusqu’à maintenant. J’ai travaillé avec beaucoup d’entraîneurs, dit-il, j’apprends beaucoup de lui. C’est impressionnant de voir à quel point les joueurs le respectent et comment il a réussi à établir la notion d’imputabilité tant auprès des joueurs que de tout le personnel. Comme il ne connaissait aucun joueur à son arrivée, Mario Pouliot a pris le temps de s’asseoir avec chacun d’entre eux pour apprendre à les connaître une semaine après le début de la saison. J’ai dit aux joueurs que j’étais ici pour les aider. Pour partager mon expérience avec eux. Je leur ai dit que j’étais très exigeant, mais que j’essayais toujours d’être le plus honnête possible pour leur redonner ce qu’ils méritent, dit l'entraîneur. Le vétéran-entraîneur a rapidement été impressionné par le niveau de jeu de la ligue. C’est une ligue rapide où il y a beaucoup de talent. Plusieurs joueurs ici pourraient jouer au niveau junior majeur. Il veut offrir à ses joueurs le même encadrement qu’il offrait quand il dirigeait des équipes dans la LHJMQ.C ’est une question de respect envers eux, dit-il. Ouvrir en mode plein écranLudovik Tardif dit que c'est en raison de la présence de Mario Pouliot derrière le banc qu'il a demandé à être échangé aux Pontiacs de Bonnyville. Ludovik Tardif, un joueur originaire de la ville de Québec, affirme que la présence de Mario Pouliot est la raison qui l'a poussé à demander d'être échangé aux Pontiacs. Je connaissais la réputation de Mario et je savais qu’il était un entraîneur exigeant. C’est ce dont j’avais besoin pour me développer, dit le joueur de 18 ans qui rêve de poursuivre sa carrière dans les rangs universitaires américains. Mario Pouliot refuse pour l’instant de dire s’il sera de retour ou non l’an prochain. Notre objectif est de gagner cette année, et je crois que nous en sommes capables , explique-t-il. Avec encore 11 matchs à jouer en saison, son équipe occupe le troisième rang de la division Nord et a une place assurée en séries éliminatoires. Il ne ferme pas la porte à un éventuel retour au sein de la LHJMQ. Il dit d’ailleurs avoir reçu une offre cette saison, offre qu’il a déclinée afin de rester à Bonnyville pour poursuivre ce qu’il avait amorcé avec son groupe de jeunes joueurs. Une chose est certaine, l’homme de 59 ans a toujours la passion du hockey et, tant qu’il le pourra, il continuera d’essayer de la transmettre. Il a mis la main sur le précieux trophée durant la saison 2017-2018 avec le Titan d’Acadie-Bathurst et Victime de problèmes cardiaques, il a dû prendre une pause de ses tâches d’entraîneur-chef et de directeur général des Huskies de Rouyn-Noranda Quelques semaines plus tard, on apprenait que la LHJMQ avait enquêté sur des plaintes à l’endroit de Mario Pouliot On lui aurait reproché un comportement inapproprié avec ses collaborateurs Aucune accusation n'a toutefois été portée à son endroit l’homme visé par ces plaintes accepte de parler de la situation J’admets que je suis un gars intense Je suis exigeant pour moi-même et j’exige la même chose des gens autour de moi Je n’ai pas de squelette dans mon placard il admet que la situation dans laquelle il s’est retrouvé l’a fait réfléchir J’ai réalisé plein de choses L’entraîneur âgà de 59 ans a reçu de nombreux témoignages d'appui quand la nouvelle concernant les plaintes à son endroit a été rendue publique J’ai eu tellement de gens qui m’ont envoyé des messages des anciennes personnes avec qui j’ai travaillé qui m’ont dit que c’était impossible de plaire à tout le monde que tu ne pouvais pas satisfaire tout le monde Mario Pouliot admet qu’il a connu une période difficile mais croit que cela a été plus difficile encore pour son entourage Conscient des changements qui se sont produits dans le monde du sport et dans la société en général au cours des dernières années l’entraîneur des Pontiacs a adapté ses façons de faire il y a beaucoup de mouvements [de contestation] c’est plus comme c’était avant C’est sûr qu’il y a des choses auxquelles tu penses plus et tu essaies de faire attention tu as deux choix : tu fais face à l’adversité ou tu quittes Mario Pouliot a toujours fait face à l’adversité et veut continuer d’adopter cette option chaque fois que c’est possible L'entraîneur vétéran n’avait jamais mis les pieds à Bonnyville avant le premier jour où il s’est présenté à son nouvel emploi Il n’avait même jamais entendu parler de ce village francophone situé à environ 250 km au nord-est d’Edmonton Il ne connaissait pas non plus vraiment la Ligue de hockey junior A de l’Alberta si ce n’est qu’il savait que Cale Makar évoluait dans cette ligue quand il a été repêché C’est en quelque sorte pour rendre service à un ami qu’il a accepté le poste d’entraîneur-chef des Pontiacs un ancien assistant de Mario Pouliot chez le Titan d’Acadie-Bathurst avait été nommé entraîneur-chef de l’équipe durant l’été Une semaine avant le début de la saison Flynn a dû remettre sa démission afin de retourner en Ontario pour régler une situation familiale Après avoir parlé à son ancien patron il a proposé à l’organisation d’engager celui-ci comme entraîneur-chef Je m’apprêtais à aller passer un mois en Suisse pour voir ma fille et mes petits-enfants Mario Pouliot admet que son départ précipité de Rouyn-Noranda avait cependant suscité en lui beaucoup de questions J’étais plus certain que j’avais encore la flamme ou que la flamme n’était plus très haute Quand je suis rentré ici [dans l’aréna RJ Lalonde Une chose qui l’a aidé à se sentir bien est le fait qu’à Bonnyville il n’est que l’entraîneur de l’équipe Il s’est rendu compte que le cumul des tâches d’entraîneur et de directeur général représente un lourd fardeau Quand tu es GM [directeur général] c’est vers toi que sont dirigés tous les problèmes Il y a des problèmes à l’école Quand Brad Flynn a annoncé aux codirecteurs généraux Neil Langridge et Chad Nelson que Mario Pouliot acceptait de le remplacer Je me suis dit : \\\"Il ne viendra jamais ici c’est un double champion de la Coupe Memorial.\\\" Nous l’avons contacté nous avons eu plusieurs discussions avec lui Le codirecteur général ajoute qu’il a été question des allégations envers Mario Pouliot dans les discussions entre lui et l’équipe Mario a accepté de répondre à toutes nos questions et il a été très honnête dans ses réponses Un point sur lequel l’organisation n’a pas lésiné est la vérification des références Nous avons appelé les personnes-contacts dont il nous a fourni les noms mais aussi des gens qui ne se trouvaient pas sur sa liste d’anciens propriétaires d’équipe en ajoutant que tout ce qui a été dit au sujet de Mario Pouliot a été positif C’était important pour Neil Langridge de faire toutes ces vérifications car il ne voulait pas que son équipe fasse la une des médias partout au pays en raison de possibles incidents impliquant l’entraîneur-chef Tu es sous le microscope en permanence et c’est vrai non seulement dans le monde du hockey Ton organisation doit se comporter de façon professionnelle en tout temps Il ajoute qu’il est très satisfait de ce qu’il a vu de son entraîneur jusqu’à maintenant J’ai travaillé avec beaucoup d’entraîneurs C’est impressionnant de voir à quel point les joueurs le respectent et comment il a réussi à établir la notion d’imputabilité tant auprès des joueurs que de tout le personnel Comme il ne connaissait aucun joueur à son arrivée Mario Pouliot a pris le temps de s’asseoir avec chacun d’entre eux pour apprendre à les connaître une semaine après le début de la saison J’ai dit aux joueurs que j’étais ici pour les aider Pour partager mon expérience avec eux Je leur ai dit que j’étais très exigeant mais que j’essayais toujours d’être le plus honnête possible pour leur redonner ce qu’ils méritent Le vétéran-entraîneur a rapidement été impressionné par le niveau de jeu de la ligue C’est une ligue rapide où il y a beaucoup de talent Plusieurs joueurs ici pourraient jouer au niveau junior majeur Il veut offrir à ses joueurs le même encadrement qu’il offrait quand il dirigeait des équipes dans la LHJMQ.C ’est une question de respect envers eux un joueur originaire de la ville de Québec affirme que la présence de Mario Pouliot est la raison qui l'a poussé à demander d'être échangé aux Pontiacs Je connaissais la réputation de Mario et je savais qu’il était un entraîneur exigeant C’est ce dont j’avais besoin pour me développer dit le joueur de 18 ans qui rêve de poursuivre sa carrière dans les rangs universitaires américains Mario Pouliot refuse pour l’instant de dire s’il sera de retour ou non l’an prochain Notre objectif est de gagner cette année Avec encore 11 matchs à jouer en saison son équipe occupe le troisième rang de la division Nord et a une place assurée en séries éliminatoires Il ne ferme pas la porte à un éventuel retour au sein de la LHJMQ Il dit d’ailleurs avoir reçu une offre cette saison offre qu’il a déclinée afin de rester à Bonnyville pour poursuivre ce qu’il avait amorcé avec son groupe de jeunes joueurs l’homme de 59 ans a toujours la passion du hockey et il continuera d’essayer de la transmettre Quelques semaines plus tard, on apprenait que la LHJMQ avait enquêté sur des plaintes à l’endroit de Mario Pouliot Je me suis dit : \"Il ne viendra jamais ici c’est un double champion de la Coupe Memorial.\" Nous l’avons contacté dossiers en profondeur et 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