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dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"Selon la Ville
614 nouveaux permis de construction de logements ont déjà été approuvés par la Municipalité depuis le début de l’année 2025
contre 854 permis de logements pour toute l’année précédente
M. Lefebvre a également comme priorité l'exploitation des minéraux critiques
Nous sommes véritablement le centre de la région des minéraux critiques
Il a aussi abordé le succès du projet d’immigration francophone du Nord de l’Ontario
Selon les chiffres de la Municipalité
il y a un pourcentage de rétention de 98 % des nouveaux arrivants dans la communauté
Le maire souligne que la Ville du nickel offre maintenant un nouveau programme d’aide financière ciblé sur les entreprises locales
l’initiative vise à encourager la diversification des partenaires commerciaux
Paul Lefebvre a discuté de son voyage au Japon et en Corée
Il a insisté sur le besoin d'établir de nouvelles relations internationales face à l’incertitude des relations géopolitiques avec les États-Unis
l’intention d’appuyer les entreprises de la région
pour créer un réseau économique minier
Ouvrir en mode plein écranLes hommes et femmes d’affaires de Sudbury ont assisté au discours annuel du maire
a indiqué pendant son discours annuel sur l’état de la ville que la construction de logements constituait une priorité
614 nouveaux permis de construction de logements ont déjà été approuvés par la Municipalité depuis le début de l’année 2025
contre 854 permis de logements pour toute l’année précédente
Lefebvre a également comme priorité l'exploitation des minéraux critiques
Nous sommes véritablement le centre de la région des minéraux critiques
Ouvrir en mode plein écranLors de son discours annuel sur l’état de la ville
a souligné que la construction de logements et l'exploitation des minéraux critiques constituaient ses priorités
Il a aussi abordé le succès du projet d’immigration francophone du Nord de l’Ontario
il y a un pourcentage de rétention de 98 % des nouveaux arrivants dans la communauté
Le maire souligne que la Ville du nickel offre maintenant un nouveau programme d’aide financière ciblé sur les entreprises locales
l’initiative vise à encourager la diversification des partenaires commerciaux
Paul Lefebvre a discuté de son voyage au Japon et en Corée
Il a insisté sur le besoin d'établir de nouvelles relations internationales face à l’incertitude des relations géopolitiques avec les États-Unis
l’intention d’appuyer les entreprises de la région
Politique provinciale. Danielle Smith promet un référendum en 2026. Publié à 18 h 28 HAE Danielle Smith promet un référendum en 2026La question du séparatisme pourrait y figurer
Crimes et délits. Une étudiante portée disparue retrouvée morte à Ottawa. Publié à 17 h 36 HAE Une étudiante portée disparue retrouvée morte à OttawaLe Haut-Commissariat de l'Inde à Ottawa a identifié Vanshika Saini comme une étudiante indienne
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Politique provinciale. « Quebec, Canada! We’ll make a deal! », lance Donald Trump. Publié à 4 h 00 HAE « Quebec, Canada! We’ll make a deal! », lance Donald TrumpLa ministre québécoise Martine Biron a eu un échange avec le président américain au Vatican
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La question du séparatisme pourrait y figurer
Le Haut-Commissariat de l'Inde à Ottawa a identifié Vanshika Saini comme une étudiante indienne
Le président américain a affirmé qu'il continuera à faire pression pour que le Canada devienne le 51e État
Plusieurs questions demeurent quant à l'application des tarifs de 100 % sur les films produits hors des É.-U
La ministre québécoise Martine Biron a eu un échange avec le président américain au Vatican
Tarifs : 1,3 milliard en crédit d’impôt pour les entreprises de fabrication en Ontario
Mariage des prêtres, place des femmes… ce que des Franco-Ontariens attendent du futur pape
Kelly Bado : le parcours en ascension d’une belle âme
SUDBURY – Alors qu’elle connaissait une situation financière très précaire l’année dernière
la Place des Arts (PDA) aurait réduit son déficit de 86%
L’organisme a choisi de marquer son troisième anniversaire en revenant devant le Conseil municipal du Grand Sudbury pour la première fois depuis son ouverture officielle
nous étions confrontés à un déficit opérationnel de 700 000 dollars
Nous prévoyons de clôturer l’exercice 2024-2025 avec un budget équilibré »
Celui-ci ajoute qu’il y a eu une augmentation de 10% du temps d’utilisation des espaces locatifs qui est passé de 50 % à plus de 60 % en moins d’un an
et ce uniquement grâce au bouche-à-oreille
« Notre objectif est d’atteindre 85 %
ce qui nous permettrait d’améliorer notre durabilité tout en conservant du temps pour l’entretien
la maintenance et le renouvellement. »
Celui qui a obtenu la permanence au poste de directeur général a affirmé que l’objectif de sa présentation n’est pas d’obtenir plus de fonds de la municipalité
mais de renouveler la confiance de l’un de ses bailleurs de fonds
« Nous ne vous en demandons pas plus – mais simplement de continuer à croire en ce que nous construisons ensemble
Cette vague ne fait que s’amplifier – et elle continuera de croître avec votre soutien renouvelé »
celui-ci estime que la PDA injecte 15 millions de dollars par an d’impact économique sur le centre-ville
Il a aussi tenu à souligner un impact qui se ferait sentir dans tout le centre-ville : « Les signes de ce changement sont visibles dans le centre-ville de Sudbury
mais aussi dans la fréquentation et l’effervescence de la communauté »
Il y a un peu plus de 6 mois, le conseil d’administration avait approuvé à l’unanimité la création d’un institut de professionnalisation artistique et culturel (IPAC) visant à accroître l’attraction autour de la PDA
« Nous avons obtenu le financement nécessaire au lancement de l’Institut
Nous devrions être en mesure de faire une annonce officielle prochainement »
Il précise que l’organisme a collaboré avec le Collège Boréal et l’Université de l’Ontario français pour élaborer des programmes de formation pratique axés sur l’entrepreneuriat
le développement des affaires et la création de carrières durables dans le domaine des arts
« Ce nouveau chapitre façonnera la prochaine génération de professionnels de la création au Canada. »
la PDA changeait aussi son modèle de gestion en révisant ses tarifs
Bertrand fait savoir que son établissement reçoit de l’attention dans d’autres communautés : « À Haliburton
un comité dirigé par des citoyens travaille à la création d’un nouveau lieu culturel dans leur municipalité et ils se sont inspirés de la Place des Arts
Nous conseillons aussi une compagnie de théâtre torontoise engagée dans la création de son propre lieu de diffusion »
dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"Le nouveau magasin ReStore qui est géré par l’organisme sans but lucratif
a attiré plusieurs Sudburois en quête de trouvailles d'objets usagés
Jean et Claire Brouillard cherchent des options abordables pour meubler la maison de leur fils
le magasin à bas prix est une aubaine pour les citoyens
Il estime que l’organisme aide à réduire ses coûts de rénovation
Il souligne aussi que c’est une option à bas prix qui aide les retraités
Selon la directrice générale des opérations de Habitat pour l’humanité Meghan Taylor
le nouvel établissement se rapproche des donateurs
à quelques minutes de leurs domiciles
donc nous nous rendons plus près de nos donateurs
L’organisme va annoncer un projet de construction de logement abordable dans la ville du Grand Sudbury dans les prochains mois
Aucun détail n’a été dévoilé au sujet du projet
la députée provinciale de Nickel Belt estime que le magasin à bas prix vient en aide à la communauté
c’est une occasion de s’entraider
même si tu ne sais pas qui est dans le besoin
Ouvrir en mode plein écranLes profits du magasin ReStore sont utilisés pour la construction de logements abordables
Une chaîne de magasins de vente de vêtements
de meubles et d’objets usagés dont les profits sont utilisés pour la construction de logements abordables a ouvert un nouveau local dans la ville du Grand Sudbury
Le nouveau magasin ReStore qui est géré par l’organisme sans but lucratif
a attiré plusieurs Sudburois en quête de trouvailles d'objets usagés
Ouvrir en mode plein écranClaire et Jean Brouillard magasinent pour meubler l’appartement de leurs fils
le magasin à bas prix est une aubaine pour les citoyens
Il estime que l’organisme aide à réduire ses coûts de rénovation
Ouvrir en mode plein écranChuck Mare utilise les articles de ReStore pour rénover son chalet
Il souligne aussi que c’est une option à bas prix qui aide les retraités
Selon la directrice générale des opérations de Habitat pour l’humanité Meghan Taylor
le nouvel établissement se rapproche des donateurs
donc nous nous rendons plus près de nos donateurs
Ouvrir en mode plein écranMeghan Taylor explique que l’organisme voulait se rapprocher de ses donateurs
L’organisme va annoncer un projet de construction de logement abordable dans la ville du Grand Sudbury dans les prochains mois
Aucun détail n’a été dévoilé au sujet du projet
Ouvrir en mode plein écranLa députée France Gélinas estime que l’organisme promeut l’engagement communautaire à Nickel Belt
la députée provinciale de Nickel Belt estime que le magasin à bas prix vient en aide à la communauté
même si tu ne sais pas qui est dans le besoin
Le nouveau magasin ReStore qui est géré par l’organisme sans but lucratif
« Nous reconnaissons avec respect le territoire traditionnel des Premières Nations Atikameksheng Anishnawbek et Wahnapitae
qui est couvert par le Traité Robinson-Huron et sur lequel la présente étude a été menée
Sur ces terres habitent des groupes forts et dynamiques du peuple Anishinabek et d’autres populations autochtones
Leur présence durable et leur résilience se font sentir dans notre histoire commune et encore de nos jours
Nous nous efforçons d’entretenir des relations respectueuses avec tous les peuples autochtones
Nous nous engageons à honorer cette histoire et à créer des communautés plus saines pour tous »
Dans le cadre de la Stratégie communautaire contre les drogues de la Ville du Grand Sudbury
une étude a été entreprise dans le but de déterminer la nécessité et la faisabilité d’instaurer des services de consommation supervisée (SCS) dans le Grand Sudbury
Ces services sont des espaces surveillés où les gens peuvent consommer des drogues sous surveillance avec du matériel stérile
L’étude consistait en un sondage auprès de personnes qui s’injectent des drogues
un sondage auprès de la population du Grand Sudbury
des discussions en groupe avec des partenaires communautaires et des parties prenantes
Bien qu’il existe des services de réduction des méfaits dans le Grand Sudbury
les effets nuisibles sur la santé qui sont associés à la consommation de drogues par injection sont considérables et croissants
le secteur de Sudbury et district si se classait douzième dans la province au chapitre des visites au service des urgences liées aux opioïdes
septième à celui des décès dont le rapport avec les opioïdes a été confirmé
Les effets négatifs se font sentir de plus en plus
La fréquence des appels aux services médicaux d’urgence (SMU) pour des cas soupçonnés de surdose d’opioïdes a plus que doublé en 2019
Les trois-quarts (75,0 %) des personnes qui s’injectent des drogues et qui ont répondu au sondage les concernant ont indiqué s’être injecté des drogues en public
Plus de la moitié d’entre elles avaient fait une surdose au cours de leur vie
Du point de vue des autorités policières et des fournisseurs de soins de santé
la consommation d’alcool et d’autres drogues exerce une pression sur les services sociaux
Lorsque du personnel des SMU et des policiers ou policières doivent se présenter sur les lieux d’une surdose
ils ne peuvent répondre à d’autres besoins communautaires
Les personnes qui recourraient peut-être à ces services (89,0 %) sont d’avis qu’elles les utiliseraient s’ils étaient offerts
Et parmi les personnes qui ont répondu au sondage auprès de la population
59,8 % estimaient que ces services seraient utiles dans le Grand Sudbury
Les trois groupes qui ont participé à l’étude ont souligné que les principaux avantages des SCS seraient la prévention et le traitement des surdoses accidentelles et la possibilité d’obtenir du matériel d’injection stérile
Parmi les autres avantages qu’ont indiqués les trois groupes figurent une baisse de la consommation de drogues dans les rues ou les parcs
une diminution du nombre de seringues usagées qui y seraient trouvées
et le risque moindre de blessures et de décès causés par une surdose
Les inquiétudes exprimées dans le sondage avaient trait à la sécurité des quartiers
à l’augmentation du taux de criminalité et de la consommation de drogues
et à la hausse du nombre de vendeurs de drogues qui cibleraient le secteur
Bien que certaines personnes répondantes n’appuyaient pas l’idée de SCS et n’aient pas répondu à la question sur les stratégies d’atténuation
d’autres étaient d’avis que certaines inquiétudes pourraient être abordées par des stratégies comme l’évaluation des services
le partage des résultats avec la population et la prise de mesures (58,2 %)
la fourniture de renseignements sur les buts et les avantages des SCS (48,7 %)
et la création d’un groupe communautaire qui aurait pour tâche de se pencher sur les enjeux touchant les SCS (33,9 %)
Si des SCS sont envisagés dans le Grand Sudbury
toutes les personnes consultées ont suggéré de choisir l’endroit avec soin
L’idée qui revenait le plus souvent était d’opter pour un lieu en plein centre-ville
qui se trouverait à proximité des services existants de réduction des méfaits et de la plupart des services sociaux et de soins de santé
Certaines ont aussi proposé un service mobile
i Lorsque les données pour le Grand Sudbury ne sont pas accessibles
ce sont celles concernant Sudbury et districts qui sont utilisées
Les services de consommation supervisée (SCS) sont des espaces contrôlés où les gens peuvent consommer des drogues sous surveillance dans un environnement pourvu de matériel stérile
une étude a été entreprise dans le but de déterminer la nécessité et la faisabilité d’instaurer des SCS
L’étude consistait en un sondage dirigé par des pairs et mené auprès de 190 personnes qui s’injectent des drogues
un sondage en ligne auquel ont répondu 2 251 citoyens et citoyennes du Grand Sudbury et des discussions en groupe avec 52 partenaires communautaires et parties prenantes
En plus de ces sources primaires de renseignements
les chercheurs ont aussi consulté des données secondaires sur la santé des populations
la toxicité des opioïdes et les surdoses d’opioïdes
La plupart des personnes qui s’injectent des drogues (89,0 %) ont signalé qu’elles seraient disposées à utiliser un SCS
le principal avantage serait l’accès à du matériel d’injection stérile (27,5 %)
ou encore la prévention (20,9 %) ou le traitement (20,3 %) possible des surdoses
Parmi les personnes qui ont répondu au sondage auprès de la population
alors que 33,6 % pensaient le contraire et que 6,1 % avaient une opinion neutre ou ignoraient au juste quelle réponse fournir
Bien que 89,0 % des personnes qui s’injectent des drogues ont signalé qu’elles utiliseraient les SCS
celles qui ont répondu le contraire ou qui ne le feraient pas souvent ont exprimé des inquiétudes concernant l’anonymat et leur peur de la police
ou ont noté qu’elles étaient autonomes et qu’elles n’avaient nullement besoin de ces services
Les propriétaires de commerce et les citoyens ont exprimé des inquiétudes concernant les effets négatifs dans le secteur des SCS
des effets se feraient sentir sur la sécurité et l’attrait perçus des quartiers
et il y aurait peut-être une augmentation du taux de criminalité et de la consommation de drogues
ainsi que du nombre de vendeurs de drogues qui cibleraient la région
Environ le tiers des personnes répondantes ont exprimé des inquiétudes quant au fait que les SCS pourraient faire augmenter la consommation
la vente et le trafic de drogues dans les environs ainsi que le nombre de personnes utilisatrices qui s’y trouvent
Selon certaines personnes qui ont participé aux discussions en groupe
bon nombre d’inquiétudes sont dues au manque de connaissances sur les avantages et l’efficacité des SCS et au manque de compréhension sur la santé ou la maladie mentale et le lien avec la dépendance
une sensibilisation accrue pourrait atténuer certaines des inquiétudes
Les citoyens étaient d’avis que certaines stratégies communes d’atténuation pourraient être utiles :
Selon les personnes qui ont participé aux discussions en groupe
il importe de s’inspirer des programmes actuels de réduction des méfaits qui sont offerts dans le Grand Sudbury
Les organismes qui offrent ces programmes possèdent l’approche ou le modèle qui convient pour répondre aux besoins des personnes qui utiliseraient les SCS et à ceux de la population en général
il faudrait choisir avec soin les endroits les plus appropriés
Les personnes qui ont répondu au sondage auprès de la population étaient préoccupées par le fait que les SCS puissent se trouver à solution
celles qui ont participé aux discussions en groupe et celles qui ont répondu au sondage auprès de la population ont suggéré un endroit en plein centre-ville
bien qu’un site mobile ait aussi été proposé pour fournir des services plus près du milieu de vie des personnes utilisatrices
Il se trouverait ainsi à proximité de la plupart des services sociaux et de soins de santé
La consommation d’alcool et d’autres drogues touche tout le monde
Les taux de consommation de drogues illicites demeurent plus élevés dans le Grand Sudbury que dans l’ensemble de l’Ontario
et influent sur la santé et la sécurité de nos communautés
le secteur de Sudbury et districts se classait douzième dans la province au chapitre des visites au service des urgences liées aux opioïdes
septième à celui des décès dont le rapport avec les opioïdes avait été confirmé
S’attacher aux problèmes individuels et sociétaux qui se rattachent à la consommation de drogues exige la collaboration de nombreux partenaires communautaires
Il s’agit d’une approche à volets multiples où diverses voix doivent s’élever pour mieux orienter les décisions
Les personnes touchées par la consommation d’alcool et d’autres drogues méritent une approche globale à la prestation de services qui repose sur la compassion et les données probantes
C’est avec plaisir que Santé publique Sudbury et districts et le service de police du Grand Sudbury
au nom des responsables de la Stratégie communautaire contre les drogues de la Ville du Grand Sudbury
présentent le rapport final de l’Étude d’évaluation des besoins et de faisabilité concernant les services de consommation supervisée
Les conclusions donnent une orientation locale aux services de consommation supervisée
Ces derniers constituent l’un des éléments de notre stratégie globale destinée à protéger la santé de notre communauté et à réduire les méfaits liés à la consommation de drogues
L’étude en soi a permis à la population de s’engager et d’intervenir de manière significative dans la mise au point
la prestation et l’évaluation de programmes destinés à la servir
Nous aimerions remercier les nombreuses personnes qui ont participé au sondage auprès de la population
les personnes qui ont un vécu et qui ont donné leur point de vue important
mais aussi les organismes sociaux et de santé
les parents et amis de personnes qui s’injectent des drogues
le milieu des affaires et les organismes communautaires locaux
lesquels ont tous participé à des discussions ciblées en groupe
Le présent rapport est l’aboutissement du travail effectué pour recueillir le point de vue de notre communauté
dans son effort collectif pour améliorer la santé
des quartiers et des localités du Grand Sudbury
Nous aimerions profiter de l’occasion pour remercier les nombreux chercheurs
fournisseurs de services et partenaires communautaires qui se sont montrés si généreux de leur temps et de leur expertise lorsqu’il s’est agi de produire le présent rapport
Nous remercions également tous les membres de la Stratégie communautaire contre les drogues de la Ville du Grand Sudbury de leur soutien constant à ce travail important
Nous espérons poursuivre nos efforts afin de donner accès à des services appropriés
efficaces et acceptables ainsi qu’à des ressources dans notre communauté
nous continuerons de créer une communauté plus saine et plus sûre en réduisant les méfaits liés à la consommation d’alcool et d’autres drogues
Les services de consommation supervisée (SCS) sont des espaces contrôlés où les gens peuvent consommer des drogues sous surveillance avec du matériel stérile
Ils sont supervisés par un personnel qualifié
Les personnes qui y ont recours peuvent aussi recevoir des soins médicaux de base et se faire diriger vers d’autres services sociaux et de santé1.Les SCS ne fournissent pas de drogues aux gens
étant autorisés par les gouvernements fédéral et provincial2
Il a été démontré qu’ils réduisent la mortalité et la morbidité associées à la consommation de drogues par injection
notamment le nombre d’infections et de décès3
intitulé « Community Drug Strategy for the City of Greater Sudbury: A Call to Action » 4
Il portait surtout sur la promotion de la santé
les responsables de la Stratégie communautaire contre les drogues de la Ville du Grand Sudbury
qui représente plus de 25 partenaires issus d’organismes communautaires qui oeuvrent notamment dans les domaines de la santé
s’occupent activement d’améliorer la santé de la population et s’attachent aux problèmes liés aux drogues en sensibilisant davantage la population au fait que la consommation de drogues constituent un problème de santé5.En 2018
la nécessité de comprendre les stratégies possibles pour réduire les méfaits liés aux drogues
la gestion du sevrage20-27 et la thérapie par la méthadone28-32 ; une pression moins forte sur les services d’urgence 33; et une baisse de la consommation de drogues en public34,35,du nombre de seringues et de la quantité d’autres déchets liés à l’injection de drogues qui sont jetés dans les lieux publics36-38
Même s’il y avait des craintes que les SCS encouragent et favorisent la consommation de drogues
le nombre de personnes qui consomment des drogues par voie intraveineuse n’a pas augmenté dans les localités où des installations sont offertes39.Par ailleurs
les travaux d’évaluation entrepris à Vancouver ont révélé que l’ouverture d’Insite n’a pas fait augmenter le taux de criminalité ou d’amorce concernant la consommation de drogues par injection40-41
Et il s’est avéré que le rapport coût-efficacité de ces centres est très élevé42,43
L’étude visait particulièrement les objectifs suivants :
Le présent rapport résume les conclusions liées à chaque objectif
Pendant la mise au point des sondages et la formulation des questions pour les discussions en groupe
on a examiné les études sur la nécessité et la faisabilité de SCS qui ont été menées dans des localités de taille similaire en Ontario
L’approbation éthique relative à toutes les parties de l’étude a été obtenue auprès du comité d’examen de l’éthique en matière de recherche de Santé publique Sudbury et districts et du Comité d’éthique de la recherche d’Horizon Santé-Nord
Santé publique Sudbury et districts a mené l’étude au nom des responsables de la Stratégie communautaire contre les drogues de la Ville du Grand Sudbury
L’étude était appuyée par la Ville du Grand Sudbury
le Réseau local d’intégration des services de santé du Nord-Est
l’Association canadienne pour la santé mentale et Santé publique Sudbury et districts
Un comité consultatif communautaire et un groupe technique et de recherche ont fourni des orientations sur l’étude
Une équipe de recherche de l’École de médecine du Nord de l’Ontario a recueilli les données
Et les analyses ont été réalisées par celle-ci et Santé publique Sudbury et districts
Voici les trois principales méthodes de collecte de données qui ont été employées pour atteindre les objectifs de l’étude :
En plus des sources primaires de renseignements
l’équipe de recherche a consulté des données secondaires sur la santé des populations
Ce sondage dirigé par des pairs auprès de personnes qui s’injectent des drogues a été mené tout au long du mois de juillet 2019
Toutes s’étaient injecté des drogues au cours des six mois précédents
étaient âgées d’au moins 16 ans et pouvaient accepter librement et volontairement de participer
Environ 60 % d’entre elles étaient de sexe masculin
et la moyenne d’âge était de 40 ans (les personnes étaient âgées de 17 à 66 ans)
La langue première était l’anglais dans une proportion de 88
4 %; elles se disaient hétérosexuelles dans une proportion de 86
3 %; et le degré de scolarité atteint était le niveau universitaire ou collégial dans une proportion de 25
la plupart des personnes qui s’injectaient des drogues étaient identifiées comme étant autochtonesii(55
Bien que les personnes qui pouvaient participer au sondage devaient s’être injecté des drogues au cours des six mois précédents
8 % ont déclaré avoir consommé des drogues par injection au cours des 30 jours précédents
Les personnes qui ont participé aux discussions en groupe ont surtout été désignées par leur adhésion à la Stratégie communautaire contre les drogues de la Ville du Grand Sudbury
52 parties prenantes communautaires ont participé à 13 discussions en groupe tenues entre septembre et novembre 2019
Voici quels étaient les secteurs et les points de vue représentés : traitement des dépendances (n=11); application de la loi et justice (n=4); promotion et prévention en matière de santé (n=11); réduction des méfaits (n=7); secteur commercial et autres organismes communautaires (n=10); et parents et amis de personnes qui s’injectent des drogues (n=9)
Le sondage auprès de la population était offert en ligne par le site Web de la Stratégie communautaire contre les drogues de la Ville du Grand Sudbury de juin à septembre 2019
Des copies papier étaient également offertes chez des partenaires communautaires jusqu’à la clôture du sondage en ligne
Elles ont précisé qu’elles étaient toutes âgées d’au moins 16 ans et qu’elles pouvaient accepter librement et volontairement de participer
62,5 % s’étaient identifiées comme étant de sexe féminin
Elles travaillaient dans le secteur des soins de santé ou faisaient partie des premiers répondants dans une proportion de 19
8 % ; ells travaillaient dans le domaine de la réduction des méfaits dans une proportion de 12
7 % ; et se disaient propriétaire d’une entreprise dans une autre de 6
ii Nous reconnaissons les Premières Nations
les Métis et les Inuits comme étant trois groupes dont l’identité culturelle est distincte
les pratiques culturelles et les structures de gouvernance sont uniques
le terme autochtone englobe toutes ces populations
le terme communauté des Premières Nations est employé pour désigner les communautés vivant dans une réserve
« Avoir un SCS offre comme avantage le fait qu’il se trouve à un seul endroit et qu’il offre un accès à d’autres services
qu’il s’agisse de fournir des renseignements sur les drogues ou un accès à du personnel infirmier ou en travail social
l’idée c’est que si vous avez une personne qui consomme devant vous
La Ville du Grand Sudbury se trouve dans le Nord-Est de l’Ontario
à environ 400 kilomètres au nord de Toronto.28 Comptant une population d’environ 162000 habitants qui vivent dans un mélange d’environnements urbains
c’est le centre le plus grand et le plus populeux au nord de la région du Grand Toronto2.Sur le plan géographique
le Grand Sudbury est la plus grande municipalité en Ontario
car elle s’étend sur 3228 kilomètres carrés3.C’est une communauté multiculturelle où 27 % des habitants déclarent parler le français comme langue première4.Selon la région métropolitaine de recensement du Grand Sudbury
le Grand Sudbury se situe sur le territoire de deux Premières Nations
soit Wahnapitae et Atikameksheng Anishnawbek
0 % des personnes qui se disent autochtones
dont certaines font partie d’autres Premières Nations5
13 % de la population du Grand Sudbury vivait dans la pauvretéiii
Selon un décompte ponctuel réalisé en 2018
1954 personnes se disaient totalement sans abri ou en situation d’itinérance cachée ou risquaient de devenir itinérantes
224 personnes étaient des enfants à charge de moins de 18 ans
dont des personnes participantes avaient la garde7
L’un des principaux motifs d’itinérance invoqués était la dépendance8
La période d’attente pour obtenir un logement subventionné d’une chambre dans le Grand Sudbury est de cinq ans
Et il y a une liste d’attente de plus de 1000 personnes pour des logements à loyer indexé sur le revenu
plusieurs stratégies de réduction des méfaits ont été mises en place pour améliorer la sécurité et la santé de la communauté face à la consommation d’alcool et d’autres drogues
D’après le sondage mené auprès de personnes qui s’injectent des drogues
il est évident que bon nombre des services de réduction des méfaits qui sont offerts dans le Grand Sudbury sont acceptés et bien utilisés
il existe toujours des lacunes et les ressources demeurent limitées
iii La mesure de faible revenu après impôt (MFR-ApI) est un pourcentage fixe (50 %) de la médiane du revenu après impôt rajusté du ménage observée au niveau des personnes
où « rajusté » indique que les besoins du ménage sont pris en consideration
iv La naloxone peut contrer temporairement les effets d’une surdose d’opioïdes
laquelle peut faire en sorte qu’une personne cesse de respirer
L’étude avait pour principal objectif de déterminer la nécessité de SCS dans le Grand Sudbury
Les résultats qui suivent décrivent des aspects de cette nécessité du point de vue des personnes qui s’injectent des drogues
des parties prenantes clés et des citoyens et citoyennes du Grand Sudbury
Parmi les indicateurs de la nécessité de SCS
il peut y avoir l’existence d’un groupe important de personnes qui s’injectent des drogues
des résultats négatifs considérables comme des surdoses
des visites au service des urgences et des hospitalisations
une incidence sur les services d’urgence et l’application de la loi
les services actuels d’aide à la réduction des méfaits
comme les programmes d’échange de seringues qui peuvent complémenter les SCS
les lacunes au chapitre des solutions de soutien et d’orientation
et les effets sur les plans social et familial de la consommation de drogues par injection1-4
Il existe déjà des services de réduction des méfaits dans la Ville du Grand Sudbury
y compris la distribution de seringues et de naloxone
La distribution de seringues est demeurée constante de 2013 à 2016
Elle s’établit à environ 500 000 unités par année
le nombre de seringues distribuées a augmenté sensiblement pour passer à 1,5 million1
le personnel de Santé publique Sudbury et districts a formé 413 personnes de 63 organismes communautaires à l’administration de la naloxone2
Santé publique Sudbury et districts a distribué un total de 6958 trousses et recharges de naloxone à des organismes communautaires
alors que le Réseau ACCESS Network et les pharmacies en ont distribué respectivement 3052 et 6438 de plus3
Bien qu’il existe déjà des services de réduction des méfaits dans le Grand Sudbury
la consommation d’alcool et d’autres drogues sont considérables et croissants1
La proportion de personnes qui ont déjà essayé des substances illicites dans Sudbury et districts (53,6 %) est nettement plus élevée que dans toute la population de l’Ontario (40,6 %)2
D’après les données de l’Enquête sur la santé dans les collectivités canadiennes pour la période allant de 2015 à 2017
1817 (IC à 95 %; 840 — 2795) adultes du Grand Sudbury ont consommé des drogues illicites (comme de la cocaïne
à l’exception de ceux qui consomment du cannabis3
le territoire de Santé publique Sudbury et districts se classait onzième parmi les secteurs de bureau de santé pour les opioïdes prescrits dans la population en général et les nouvelles prescriptions d’opioïdes
avec un taux de 140,6 pour 1000 habitants2
199 décès liés aux opioïdes ont été enregistrés de 2010 à 20183
La fréquence des appels à des services médicaux d’urgence (SMU) pour une personne soupçonnée d’avoir fait une surdose d’opioïdes était plus élevée en 2019 (n=468) qu’en 2018 (n=200)
Le nombre de décès dus à des surdoses d’opioïdes dans Sudbury et districts s’est accru en 2019
car le nombre enregistré pendant la première moitié de l’année (28) correspondait à celui constaté pour toute l’année 2017 (34) ou 2018 (32)1
La toxicité et les décès liés aux opioïdes touchent disproportionnellement les populations autochtones de l’Ontario
et influent encore plus sur celles qui vivent hors communauté de Première Nation1
le taux de toxicité liée aux opioïdes (pour les visites au service des urgences et les hospitalisations) est presque 4,5 fois plus élevé chez les Autochtones vivant hors communauté de Première Nation et presque 2,5 fois plus élevé chez les Autochtones vivant au sein d’une communauté de Première Nation que celui enregistré au sein de la population en general2
le taux de mortalité lié aux opioïdes est 4,25 fois plus élevé chez les Autochtones hors communauté de Première Nation et 2,25 fois plus élevé chez les Autochtones en communauté de Première Nation que dans la population en general3
les plus grandes iniquités s’observent dans un contexte de colonisation
de traumatisme historique et actuel et de racisme systémique
Les communautés des Premières Nations risquent davantage d’être touchées par la morbidité et la mortalité liées aux opioïdes en raison des effets intergénérationnels du colonialisme
y compris les pensionnats indiens et l’érosion historique de leur culture4
La grande majorité des personnes qui s’injectent des drogues et qui ont répondu au sondage (91,6 %) vivaient dans le Grand Sudbury
43,4 % ont déclaré qu’au cours des six derniers mois
ou encore celle ou celui de leur partenaire; 12,7 % ont précisé qu’elles vivaient là où les gens se réunissent pour consommer des drogues (p
38,0 % des personnes qui s’injectent des drogues et qui ont répondu au sondage ont déclaré avoir été sans abri au cours des six derniers mois
Les deux tiers des personnes répondantes (67,4 %) vivaient sous le seuil de pauvreté ou de faible revenu (réparties
38,4 % avaient gagné moins de 10000 $ l’année précédente et 29
0 % aaient gagné entre 10000 $ et 19999 $)
alors que 11,6 % avaient gagné entre 20000 $ et 29999 $; et seulement 9,0 % avaient gagné 30000 $ ou plus
8,9 % ont déclaré avoir un emploi régulier
11,0 % ont déclaré avoir un emploi temporaire ou travailler à leur compte
La source de revenus la plus courante était Ontario au travail (OAT) (42,6 %)
Venaient ensuite le Programme ontarien de soutien aux personnes handicapées (POSPH) (38,9 %) et les remboursements de TPS (14,7 %)
Certaines personnes répondantes ont déclaré une activité criminelle comme source de revenus : vente de drogues (21,6 %)
vente de cigarettes ou de tabac ou autres activités criminelles (9,5 %)
L’âge moyen auquel les personnes répondantes avaient commencé à consommer des drogues était de 22 ans (sur une échelle de 9 à 40 ans) (parmi les 93 personnes qui ont répondu à la question)
Les personnes répondantes qui s’injectaient des drogues le faisaient souvent
Près des deux tiers (66,8 %) ont déclaré consommer des drogues par injection chaque jour (43,2 %) ou chaque semaine (23,7 %)
tandis que les autres ont indiqué en consommer au plus chaque mois (24,2 %)
chez celles qui ont précisé le nombre de fois où elles s’injectaient des drogues pendant une journée (n=105)
3 % le faisaient plusieurs fois ; et seulement 5,7 % le faisaient une fois
Les autres ont mentionné le faire en moyenne trois fois par jour (10,5 %)
cinq fois (11,4 %) ou plus de 10 fois par jour (22,0 %)
les personnes qui consomment des drogues optent pour divers types
Les autres drogues de choix sont les « hydros » (p
la méthamphétamine en cristaux et les « speedballs »
les opioïdes sont légèrement plus consommés que les stimulants
Les drogues mélangées ou « coupées » avec d’autres substances peuvent représenter un risque
car la personne qui consomme la substance peut avoir une réaction inattendue ou indésirable
La plupart des personnes qui s’injectent des drogues et qui ont répondu au sondage
ont indiqué qu’elles avaient consommé une drogue qu’elles croyaient coupée d’une autre substance
88,1 % croyaient l’avoir fait au cours des six derniers mois
il arrive couramment que les personnes qui s’injectent des drogues fassent une surdose accidentelle
Parmi les personnes qui s’injectent des drogues et qui ont répondu au sondage
plus de la moitié (53,7 %) a déclaré avoir fait une surdose au cours de sa vie
et 58,8 % en avaient fait au moins une au cours des six derniers mois
La plupart (84,3 %) des personnes qui s’injectent des drogues et qui avaient fait une surdose se trouvaient avec d’autres personnes à ce moment-là : un partenaire intime (36,3 %)
une simple connaissance (19,6 %) ou une personne étrangère (17,6 %)
41,2 % des surdoses étaient survenues au domicile
et 11,8 % avaient eu lieu dans la rue (une ruelle
Parmi les personnes répondantes qui avaient fait une surdose au cours de leur vie
Plus de la moitié (54,9 %) ont déclaré que quelqu’un avait appelé une ambulance
Près des deux tiers des personnes qui s’injectent des drogues (61,2 %) avaient administré de la naloxone à quelqu’un qui faisait une surdose
et la plupart l’avaient fait plusieurs fois
Lorsqu’il s’agit de consommer des drogues par injection
réutiliser et partager des seringues augmente le risque de contracter des infections transmissibles par le sang93
Le fait que des personnes aient déclaré avoir réutilisé ou partagé du matériel signifie peut-être qu’un accès à une source fiable de matériel stérile
Environ les trois quarts des personnes qui s’injectent des drogues et qui ont répondu au sondage (71,1 %) ont déclaré qu’elles avaient réutilisé une seringue (reportez-vous à la figure 2 pour connaître la fréquence de réutilisation)
le tiers des personnes répondantes (32,6 %) ont précisé qu’elles avaient utilisé une seringue qu’une autre personne avait déjà utilisée
Plus du tiers d’entre elles (38,4 %) ont mentionné qu’elles avaient utilisé d’autre matériel d’injection usagé (coton
et 36,3 % ont dit qu’elles avaient utilisé de l’eau provenant d’une flaque ou une autre source d’eau non stérile
Plus des trois quarts (80,5 %) des personnes qui s’injectent des drogues et qui ont répondu au sondage avaient obtenu des seringues stériles d’un ami
76,4 % avaient recouru à un programme local de distribution de seringues
75,3 % avaient obtenu des seringues stériles auprès d’un travailleur ou d’une travailleuse ou d’un service de proximité
et 64,2 % en avaient obtenu de leur fournisseur ou dans la rue
plus du tiers (36,3 %) a répondu avoir eu du mal à se procurer assez de seringues stériles auprès d’un fournisseur de services pour répondre à leurs besoins
La moitié (51,0 %) ont signalé qu’à une occasion
mais ignoraient où se procurer une seringue stérile
L’injection en public démontre peut-être qu’un espace sécuritaire désigné s’impose.1-3>
Les trois quarts (75 %) des personnes répondantes ont déclaré s’être injecté des drogues en public
présente un risque de maladie infectieuse si le matériel est réutilisé ou partagé2-5
Le dépistage de maladie et l’orientation vers un traitement sont des services importants qui pourraient être offerts par le SCS.1 Parmi les personnes qui s’injectent des drogues et qui ont répondu au sondage
plus de la moitié (55,5 %) avait passé un test de dépistage du VIH au cours des six derniers mois
Plus de la moitié (54,7 %) avait passé un test de dépistage de l’hépatite C au cours des six derniers mois; et parmi elles
près de la moitié (45,2 %) avait contracté la maladie
et plus de la moitié (55,3 %) ne se faisait pas traiter
Les personnes qui s’injectent des drogues ont aussi déclaré d’autres problèmes de santé qui exigeaient un traitement
Il s’agissait notamment de symptômes de sevrage (20,0 %)
de problèmes de foie (4,7 %) et d’infections du sang (3,1 %)
Les personnes qui ont participé aux discussions en groupe ont indiqué une incidence accrue de graves problèmes de santé
chez les personnes qui s’injectent des drogues
Des répercussions sur les services médicaux et d’urgence ont aussi été notées
car les taux de personnes ayant accès aux services hospitaliers ou d’intervention en cas d’urgence sont élevés
les personnes qui s’injectent des drogues peuvent négliger ou être incapables de choisir des aliments sains et nutritifs si elles dépensent de l’argent pour acheter des drogues et ne vivent pas dans des conditions favorables
Les fournisseurs de services ont indiqué un manque de ressources en santé mentale
comme des services d’autosoins ou à l’estime de soi
la gestion des cas et les longues listes d’attente pour consulter un ou une psychiatre
Certains estimaient que des personnes consomment des drogues pour soulager des symptômes de maladie mentale parce qu’elles n’ont pas accès à d’autres solutions de traitement
la marginalisation et les mauvais traitements dont font l’objet les personnes qui s’injectent des drogues peuvent les amener à se cacher et à consommer seules
Ils ont parlé de problèmes simultanés de santé mentale ou de traumatismes sous-jacents
ils ont mentionné que les Autochtones ont besoin d’autres services pour s’attacher aux traumatismes dus au racisme historique ou actuel
au colonialisme et aux « rafles des années 1960 »
Les personnes qui s’injectent des drogues et qui souffrent d’une maladie mentale sont souvent admises en psychiatrie parce qu’elles ne répondent pas aux attentes de la population et qu’elles causent des problèmes dans la communauté
les services des urgences constituent le principal point d’accès aux services
mais les hôpitaux n’offrent pas d’endroits qui permettraient de fournir une réponse holistique aux besoins des personnes qui s’injectent des drogues
Sans soutien supplémentaire en cas de crise
ou capacité de diriger les gens vers des programmes de traitement des dépendances
les soins d’urgence aigus mènent à une « porte tournante »
où les consommateurs ne reçoivent pas de soutien et de soins de suivi après avoir reçu leur congé
Ces derniers sont aussi confrontés à d’autres obstacles après leur sortie de l’hôpital
particulièrement en ce qui touche le transport
l’habillement et les moyens de garantir leur approvisionnement en nourriture
On estimait que ces services ne sont pas offerts assez tôt pour les personnes qui s’injectent des drogues
étant donné que certaines ne se mettent en relation avec les institutions qu’au seuil de la mort
la consommation de drogues exerce des pressions supplémentaires sur les services sociaux
La police se fait appeler deux ou trois fois par semaine pour éliminer des seringues et dans le cas de sorties d’ambulance liées à des blessures ou à des surdoses
L’incidence de vagabondage et de dommages aux biens augmente
Et lorsque des travailleurs et travailleuses des SMU et des policiers ou policières doivent se présenter sur les lieux d’une surdose
ils ne peuvent répondre aux autres besoins communautaires
La question des seringues jetées et de la consommation visible de drogues a des répercussions sur la population
Les personnes qui s’injectent des drogues consomment celles-ci dans des endroits non sécuritaires et non hygiéniques
Les endroits où elles peuvent aller sont limités
Les seringues jetées dans les lieux publics tels que les parcs et les trottoirs présentent des risques pour les citoyens et citoyennes
Exposer les enfants à la consommation de drogues et aux seringues jetées risque de causer des blessures et de rendre normale la consommation de drogues par injection en public et de les désensibiliser à cette pratique
Les personnes qui semblent intoxiquées dans les lieux publics causent des inquiétudes à la population et aux propriétaires d’entreprise
Ceux du centre-ville déplorent une perte de clientèle due à la consommation visible de drogues
Les parties prenantes ont parlé de la nécessité accrue de mesures de sécurité dans les immeubles d’habitation du centre-ville pour que les personnes ne s’injectent pas de drogues dans les corridors
les cages d’escalier et les halls d’entrée
les locataires ont peur d’aller derrière leur immeuble d’habitation parce qu’ils craignent que les personnes qui s’injectent des drogues deviennent agressives
Il a été noté que l’élimination inadéquate des seringues peut être due à des conditions de mise en liberté sous caution et de la crainte d’avoir sur soi des seringues ou des drogues
Il a été noté que le Grand Sudbury est si vaste qu’il est difficile de mesurer le besoin
Le problème n’est pas limité au centre-ville
en particulier le secteur de la « vallée » (y compris les localités comme Hanmer et Valley East)
le service de police recevrait de 6 à 12 appels par mois pour des seringues jetées
Certaines personnes qui ont répondu au sondage auprès de la population estimaient que les services augmenteraient la prévalence de consommation de drogues et ne diminueraient en rien les besoins
Certaines considéraient qu’il fallait surtout augmenter les solutions de traitement
D’autres soulignaient que les SCS correspondent aux politiques et aux pratiques exemplaires de soins de santé fondées sur des données probantes
et que ces services réduisent le nombre de décès liés à la consommation de drogues et diminuent le nombre de surdoses d’opioïdes et de visites à l’hôpital
les citoyens et citoyennes ont parlé de la nécessité de s’attacher à l’épidémie d’opioïdes et d’empêcher que les seringues usagées soient jetées
Certaines personnes estimaient que des SCS auraient dû être instaurés il y a longtemps
« Si cette zone de consommation désignée était créée
les gens ne seraient plus tentés de consommer des drogues dans les autres secteurs de la ville
et les autres citoyens et citoyennes seraient ainsi plus en sécurité
Les méfaits pour la santé qui sont liés à la consommation de drogues par injection sont considérables et croissants
les personnes qui s’injectent des drogues continuent de courir divers risques sur le plan social et celui de la santé
malgré l’existence de certains services d’aide à la réduction des méfaits
La consommation de drogues exerce des pressions sur les services sociaux
les citoyens et citoyennes ont soulevé la nécessité de s’attacher davantage à la consommation de drogues et aux questions connexes dans notre communauté
Les personnes qui participaient à l’étude devaient donner leur avis sur les conditions qui rendraient les services de consommation supervisée (SCS) acceptables
Des questions sur la prestation des services
la capacité des sites et leur utilisation ont été posées pour mieux orienter la mise en place possible de SCS pour les personnes qui s’injectent des drogues dans le Grand Sudbury
Lorsque les personnes qui s’injectent des drogues devaient tout d’abord indiquer si elles avaient déjà entendu parler de SCS avant l’étude
seulement 59,5 % ont répondu que c’était le cas
Après avoir appris en quoi consistaient les SCS
les personnes participantes devaient préciser à quelle fréquence elles utiliseraient le site de consommation supervisée
La plupart des personnes qui s’injectent des drogues
ont répondu qu’elles seraient disposées à recourir à ce genre de service
et seulement 4,7 % ont répondu qu’elles n’y recourraient jamais
Près des deux tiers des citoyens et citoyennes qui ont répondu estimaient que des SCS seraient utiles
une analyse plus poussée a permis de démontrer que la plupart des inquiétudes entourant les SCS étaient largement exprimées par la partie des personnes répondantes qui estimait que ces services ne seraient pas utiles
Les personnes qui s’injectent des drogues devaient indiquer leurs préférences quant aux politiques couramment adoptées dans différents cadres de SCS1 (la proportion selon laquelle la politique serait acceptable est indiquée) :
Distance de marche : les personnes qui s’injectent des drogues ont indiqué
qu’elles se rendraient sur les lieux à pied
Elles seraient généralement disposées à marcher plus longtemps l’été que l’hiver
la plupart d’entre elles (28,3 %) ont répondu qu’elles marcheraient jusqu’à 20 minutes pendant l’été
alors que beaucoup ne marcheraient pas plus de 5 (17,6 %) ou de 10 minutes (18,9 %)
Accès par autobus : les personnes qui s’injectent des drogues ont indiqué
qu’elles prendraient l’autobus pour utiliser les SCS
Elles seraient généralement disposées à utiliser les services d’autobus autant l’été que l’hiver
la plupart d’entre elles (26,8 %) ont répondu qu’elles feraient jusqu’à 20 minutes d’autobus pour se rendre sur les lieux
15,2 % seraient disposées à en faire plus de 40 minutes
alors que 12,3 % et 17,4 % ne seraient pas disposées à en faire plus de 5 minutes ou de 10 minutes
Horaire : les personnes qui s’injectent des drogues ont indiqué
que les services offerts le jour (de 8 h à 16 h) seraient leur premier choix
et que ceux du soir (de 16 h à minuit) seraient leur second (44,4 %)
Intervention de pairs : les personnes qui s’injectent des drogues estimaient
que des pairs devraient intervenir dans l’exploitation des SCS
Configuration des lieux : elles ont indiqué
qu’elles préféreraient des cabines privées
alors que 23,7 % ont répondu qu’elles utiliseraient une aire ouverte composée de tables
Analyse de sécurité des drogues : Les personnes qui s’injectent des drogues considéraient que la possibilité d’analyser la sécurité des drogues est intéressante
ont répondu qu’elles pourraient attendre les résultats avant de consommer des drogues : 14,5 % pourraient le faire pendant plus de 15 minutes ; 7,8 % pourraient le faire de 10 à 15 minutes ; 25,3 % pourraient le faire de 5 à 10 minutes ; alors que 44,0 % ne pourraient le faire que 5 minutes
Les personnes qui ont participé aux discussions en groupe estimaient que les heures d’ouverture des SCS devraient être déterminées en fonction des besoins de la clientèle
du moment où les gens reçoivent leur chèque du POSPH ou d’OAT
de l’accès au transport et de l’horaire du personnel
En ce qui touche des modèles possibles précis
voici les points que les personnes qui ont participé aux discussions en groupe ont donné à prendre en compte :
Les personnes qui ont participé aux discussions en groupe ont aussi partagé des idées sur la configuration physique des lieux
avec peut-être huit isoloirs ou cabines à trois côtés
L’espace pourrait offrir des possibilités d’observation
comme des miroirs et une plateforme surélevée pour le personnel
ainsi qu’une pièce tranquille ou un espace paisible
et des cases permettant de ranger ses affaires sans devoir répondre à des questions
Les personnes qui ont participé aux discussions en groupe ont suggéré toute une série de programmes et de services possibles qui pourraient constituer une partie intéressante des SCS
un service de dépôt ou d’échange de seringues
des consignes sur la manière de s’injecter des drogues de manière adéquate ou sécuritaire
mais aussi une analyse des drogues pour que les utilisateurs sachent ce qu’elles contiennent
Les services de soutien et de recommandation suggérés incluaient des services sociaux et de santé
des services ciblés (incluant des services aux Autochtones
axés sur les traumatismes intergénérationnels
un service de liaison (y compris avec l’Assurance-santé de l’Ontario [OHIP]
les services de santé mentale et de gestion des crises
les services de gestion du sevrage ou de désintoxication)
Les renseignements à la population étaient également considérés comme une partie importante des services fournis par le site de consommation supervisée
Le personnel pourrait inclure des travailleurs sociaux
des aînés et des guérisseurs traditionnels
des pairs mentors et des personnes ayant un vécu
Il faudrait qu’il ait déjà travaillé auprès de personnes qui s’injectent des drogues; qu’il ait appris les protocoles de sécurité appropriés; et qu’il sache employer un langage adapté lorsqu’il s’agit de donner des conseils sur les méthodes ou les habitudes sécuritaires d’injection
Le soutien à la formation du personnel pourrait inclure de l’aide à l’autorégulation et aux autosoins concernant la compassion
la fatigue et l’épuisement; de nouveaux moyens d’atténuer les risques de dépendance; des mesures de formation tenant compte des traumatismes; et des outils pour créer des rapports solides avec la clientèle
Les personnes qui ont participé aux discussions en groupe ont précisé que la mise en place d’un SCS et la création de sa structure de gouvernance devraient être pilotées par un comité consultatif formé de personnes représentant toutes les parties prenantes
y compris des personnes ayant un vécu et des organismes sociaux et de santé
et où la représentation des partenaires autochtones serait garantie
Il a été suggéré qu’il soit exploité par un organisme de services sociaux financé à cette fin et relié à un organisme gouvernemental ou de santé
dans le domaine hospitalier ou dans ceux du traitement des dépendances ou de la santé publique
Afin que tout SCS potentiel soit couronné de succès
il faudra que la population intervienne constamment
que l’atteinte des objectifs visés soit exposée avec transparence et responsabilité
que les inquiétudes des personnes qui s’injectent des drogues soient apaisées et que leurs besoins soient comblés
Il faudra aussi que l’efficacité des programmes soit toujours évaluée
Les personnes qui ont répondu au sondage auprès de la population avaient aussi des opinions à exprimer sur le modèle de service
et ils ont suggéré de tirer des leçons d’autres modèles fructueux
comme celui de Vancouver et d’autres villes canadiennes
et de s’inspirer de l’approche du Portugal à la décriminalisation
Les personnes qui ont répondu au sondage auprès de la population ont reçu des explications sur les divers types de SCS qui existent
Voici quelles étaient leurs préférences (elles pouvaient choisir plusieurs solutions) :
certaines des personnes qui ont répondu au sondage auprès de la population estimaient que les services devraient être évalués rigoureusement par une partie tierce et non biaisée
Certaines étaient d’avis que le partage de renseignements contribuerait grandement à calmer l’opinion publique
et que le plan de prévention des crimes par la conception environnementale (CPTED) réduirait le taux de criminalité sur les lieux
Les personnes ont indiqué qu’il faudrait porter attention à la sécurité sur place et à la formation du personnel en matière de sécurité
mais les points de vue divergeaient quant à savoir s’il faudrait prévoir une présence policière ou sur la manière de l’intégrer
Voici quelques-unes des suggestions formulées :
Les personnes qui ont répondu au sondage auprès de la population ont suggéré des règles et des processus entourant les SCS
y compris des règles de conduite strictes qui seraient appliquées par la police ainsi que des règles sur la vente de drogues dans les environs
et sur l’échange et l’élimination des seringues
l’interdiction de consommer dans le secteur et l’idée que les entreprises y signalent toute autre consommation dans le secteur
Des panneaux et des avertissements à l’intention des piétons ont aussi été suggérés
Les SCS constitueraient une solution faisable pour les personnes qui s’injectent des drogues
et pour bon nombre des parties prenantes qui travaillent dans le domaine de la réduction des méfaits et dans des sphères connexes
L’avis des citoyens et citoyennes est plus mitigé quant à la mesure dans laquelle les services constituent une solution acceptable
car 59,8 % les considèrent comme étant utiles
Des détails sur une conception et une mise en oeuvre efficaces ont été fournis
et exposaient dans leurs grandes lignes les moyens par lesquels les SCS pourraient répondre aux besoins tout en étant adaptés aux inquiétudes de la population
Cette partie avait pour but de déterminer la mesure dans laquelle des SCS pourraient être utiles
du point de vue des personnes qui s’injectent des drogues
des parties prenantes communautaires et des citoyens et citoyennes
Chez les personnes qui utiliseraient les SCS
Elles voyaient aussi comme avantages importants le fait qu’elles pourraient avoir accès à des professionnels de la santé; qu’ils seraient à l’abri de la criminalité et de la police; et qu’elles pourraient se faire diriger vers des services de désintoxication et de traitement
Les personnes qui s’injectent des drogues estimaient aussi que la population pourrait aussi tirer un certain nombre d’avantages (proportions combinées des réponses « très probable » et « probable ») :
Les parties prenantes ont indiqué un certain nombre d’avantages
tant pour les personnes qui s’injectent des drogues que pour la population
Les avantages pour les personnes qui s’injectent des drogues incluaient la prévention des décès dus à une surdose
un lien consolidé et un sentiment d’appartenance
la possibilité de guérir de dépendances pour certaines personnes qui s’injectent des drogues
la baisse des incarcérations pour celles-ci et l’insistance sur la réduction des méfaits
Les avantages pour la population pourraient inclure une consommation de drogues moins visible et la présence moindre de débris de seringues
la prévention des blessures causées par des seringues (en particulier chez les enfants dans les lieux publics)
la maîtrise de la situation par la centralisation de la consommation
une meilleure sensibilisation aux dépendances et aux SCS
une pression moins forte sur les autres services (p
et le renforcement des liens entre les partenaires communautaires pour favoriser les services
Les parties prenantes ont également évoqué les questions socio-économiques qui influencent les défis que la clientèle doit surmonter
Les personnes qui ont participé aux discussions en groupe ont exprimé des inquiétudes concernant l’itinérance et la pauvreté dans le Grand Sudbury
Les personnes sans abri n’ont aucun endroit où aller après leur traitement
Il a été noté que les taux de personnes migrantes ou de passage qui viennent dans le Grand Sudbury en provenance d’autres villes sont élevés
Parmi les autres effets de la consommation de drogues et des dépendances figurent les incidences sur les familles
étant donné que les parents qui montrent des signes de consommation font l’objet d’une surveillance accrue
et que les mères peuvent perdre la garde de leurs enfants lorsqu’elles participent à un programme de traitement ou se rendent dans un centre de désintoxication ou de réhabilitation
Les parties prenantes étaient inquiètes des effets sur la santé de la prochaine génération
comme les mauvais résultats pour la grossesse
le bas âge gestationnel et les bébés nés avec le syndrome d’abstinence néonatale
Les parents et amis des personnes qui consomment des drogues subissent les effets émotionnels de la dépendance
l’impuissance et les inquiétudes concernant la possibilité « d’habiliter » les personnes qui consomment des drogues lorsqu’ils tentent d’apporter leur aide
Toutes ces questions menaient à l’idée d’instaurer des services de soutien pour les populations vulnérables que les sites de consommation supervisée pourraient offrir
Commentaires tirés des discussions en groupe en ce qui touche les avantages possibles :
« Un SCS offre l’avantage d’être situé à un endroit
Il permet d’avoir accès à d’autres services
qu’il s’agisse de fournir de l’information sur les drogues ou de diriger les gens vers d’autres travailleurs sociaux
l’idée c’est que si vous avez un consommateur devant vous
« La consommation de drogues par injection est un énorme problème
et nous n’avons aucun moyen d’assurer une proximité avec les personnes concernées
Le service des urgences n’est pas le meilleur endroit
Elles vont à cet endroit à la dernière minute
Elles ne s’y présentent pas parce qu’elles sont prêtes à passer à l’étape suivante… ou pour se renseigner sur les ressources
Il a été démontré qu’un site d’injection sécuritaire est utile et pourrait être un meilleur endroit »
Les personnes qui ont répondu au sondage auprès de la population devaient donner leur avis sur un certain nombre d’avantages possibles ou perçus des SCS
Bien que certaines d’entre elles aient répondu que
les SCS n’étaient pas utiles et n’ont donc pas répondu aux questions sur le sujet
bon nombre de personnes répondantes ont bel et bien indiqué des avantages possibles pour la population :
D’autres suggestions semblables ont été faites sur les services possibles
bien que les personnes qui ont répondu au sondage auprès de la population aient mis l’accent sur les recommandations et les solutions de traitement et de réhabilitation offertes
Parmi les autres services suggérés figuraient l’échange de seringues
l’analyse des drogues et un espace sécuritaire à occuper après l’injection
Les services de soutien comme les soins de santé
les douches et la nourriture ainsi qu’une approche généralement exempte de jugement ont été mentionnés
Des aspects des SCS qui pourraient être utiles ont été indiqués
y compris l’accès à des seringues stériles
la prévention et le traitement des surdoses
la mise en relation des personnes qui consomment des drogues avec les services d’éducation
la diminution de la consommation de drogues en public et du nombre de seringues jetées dans les lieux publics et la réduction de la pression exercée sur les services ambulanciers et de police
Certains résidents ne considèrent pas que les SCS constitueraient un ajout utile aux services offerts à Sudbury
et laissent entendre que les ressources ne devraient pas être affectées à l’aide aux personnes qui s’injectent des drogues
ou devraient servir au traitement et à l’abstinence
Cette partie avait pour but de définir les inquiétudes
les défis ou les obstacles qui pourraient être liés aux SCS dans le Grand Sudbury
mais aussi de déterminer les stratégies d’atténuation possibles pour s’y attacher
Environ le tiers des personnes qui s’injectent des drogues et qui ont répondu au sondage les concernant (35,8 %) n’étaient pas familières avec la terminologie des services de consommation supervisée
89,0 % des personnes qui s’injectent des drogues ont précisé qu’elles utiliseraient les SCS
parmi celles qui ont répondu qu’elles ne les utiliseraient pas ou ne le feraient pas souvent
voici les thèmes qui étaient considérés comme des inquiétudes
les personnes qui s’injectent des drogues ont reconnu que le trafic autour des SCS augmenterait
70,0 % d’entre elles estimaient qu’elles et d’autres se rendraient dans le secteur
et 48,4 % ont soutenu que les personnes qui s’injectent des drogues pourraient choisir d’y déménager
La moitié d’entre elles croyaient aussi que la zone attirerait probablement les vendeurs de drogues
Les parties prenantes ont indiqué un certain nombre d’inquiétudes concernant les personnes qui s’injectent des drogues
des préoccupations touchant le financement et l’infrastructure
Une crainte était exprimée au sujet du fait que les SCS ne suffiraient pas à répondre à tous les besoins des personnes qui s’injectent des drogues
et à leur permettre de peut-être guérir et d’être suivies
Les besoins spécifiques des jeunes ont aussi été soulevés
Les personnes répondantes avaient des craintes concernant la discrétion et l’anonymat des personnes qui s’injectent des drogues à l’intérieur et autour du site
mais aussi quant à la stigmatisation et à la discrimination que les fournisseurs de services pourraient créer
Les propriétaires d’une entreprise qui serait située à proximité de tout site possible craignent de voir leur clientèle diminuer
travaillent ou transitent près d’un site éprouvent des inquiétudes quant à leur sécurité
Elles ont peur que la criminalité et la violence augmentent
mais également que la présence de la police et des SMU s’accroisse
il faudra trouver un moyen d’atténuer l’effet sur le secteur environnant
Selon certaines personnes qui participaient aux discussions en groupe
ces inquiétudes sont dues au manque de connaissances sur les avantages et l’efficacité des SCS
ainsi qu’au manque de compréhension quant au lien entre la maladie mentale et la dépendance
et une meilleure sensibilisation pourrait apaiser en partie les craintes
Une bonne planification des SCS inclurait la sensibilisation
y compris en ce qui touche le coût social du statu quo (pour les personnes qui consomment des drogues et la population) et les avantages qu’apporteraient des SCS en ce qui touche l’amélioration des résultats pour la santé
Parmi les idées pour apaiser les craintes sur la mise en place de SCS figuraient une bonne planification
et un bon appui aux responsables du soutien par les pairs; l’établissement de règles comprises de tout le monde; la promotion d’occasions de placement (p
personnel infirmier); et la création de liens avec les personnes qui s’injectent des drogues dans le but de garantir qu’elles se sentent respectées et soutenues et qu’elles continuent d’utiliser les SCS
59,8 % estimaient que des SCS seraient utiles à Sudbury et 33,6 % croyaient le contraire
Près de la moitié (46,6 %) des citoyens et citoyennes qui ont répondu ont signalé qu’elles éprouvaient des inquiétudes quant aux SCS
et 2,5 % ignoraient au juste quoi répondre
Même si moins de la moitié de ces personnes se sont dites inquiètes
ce qui signifie que ces craintes ne sont pas universelles
il faudrait s’attacher à ces perceptions si jamais des SCS étaient établis à Sudbury
Environ le tiers des personnes répondantes craignait que les SCS fassent augmenter la vente
le trafic ou la consommation de drogues dans le secteur
à la réputation de la communauté et aient une incidence sur le commerce et la sécurité individuelle
certaines des personnes qui ont répondu au sondage auprès de la population se sont dites inquiètes pour les personnes qui s’injectent des drogues
y compris pour leur sécurité et en ce qui touche les effets des personnes opposées au site et le manque d’aide et de services
Les personnes répondantes ont également exprimé leur inquiétude quant à la sécurité du personnel et de la population
elles disaient craindre que le projet indique aux jeunes que la consommation de drogues est tolérée
les SCS représentent un investissement inapproprié
D’autres personnes privilégieraient un maintien de l’ordre accru et des peines plus sévères
Elles étaient d’avis que les SCS encourageraient tout simplement la consommation de drogues et entraîneraient un regroupement des vendeurs de drogues et une augmentation de l’activité criminelle et des surdoses
Certains doutaient que les personnes qui s’injectent des drogues se rendent réellement sur les lieux et que les SCS règlent les problèmes actuels
Certaines personnes estimaient qu’il faudrait avant tout augmenter les possibilités de traitement
en augmentant le nombre de centres de réhabilitation et de désintoxication
le counseling en matière de dépendance ou de santé mentale
et l’orientation vers d’autres centres de traitement
La durabilité et la coordination à long terme des services étaient jugées importantes
Les résidents et résidentes devaient réagir à certaines des stratégies d’atténuation
Parmi les réponses figuraient la sensibilisation du public aux buts des SCS
l’idée qu’un groupe communautaire travaille aux questions touchant les SCS
l’évaluation des services et une augmentation de l’éclairage et de la présence policière dans le secteur
D’autres suggestions quant aux moyens de s’attacher aux inquiétudes possibles incluaient une approche coordonnée qui ferait intervenir tous les services sociaux et qui engloberait une attention particulière à l’échange et à l’élimination des seringues
Comme pour toute nouvelle approche à un problème
les personnes touchées ont exprimé des inquiétudes
Les personnes qui s’injectent des drogues éprouvent des craintes quant au maintien de l’anonymat et au risque de se faire arrêter autour d’un site de consommation supervisée
Les parties prenantes estimaient que les SCS devraient être conçus et approvisionnés avec soin pour être fructueux
Les parties prenantes et les citoyens et citoyennes ont fait des mises en garde concernant la sécurité des quartiers et une augmentation de la consommation de drogues et du trafic dans un secteur donné
Des citoyens et citoyennes appuyaient l’idée de SCS malgré certaines inquiétudes
et certains estimaient ne pas pouvoir la soutenir
Bien des parties prenantes étaient au courant de l’existence de SCS dans d’autres communautés
Elles étaient d’avis que la Ville de Sudbury pourrait tirer des leçons de ces exemples afin d’atténuer les problèmes possibles et de mettre au point des SCS efficaces
Les stratégies d’atténuation incluaient le partage d’information sur les SCS avec la population ; l’évaluation et l’apport de changements pour corriger les situations ; l’augmentation de la sécurité dans le secteur ; et la formation d’un groupe communautaire consultatif qui recevrait les réactions et s’attacherait aux préoccupations
Cette partie avait pour but de déterminer comment les SCS pouvaient être intégrés aux services de réduction des méfaits qui existent dans le Grand Sudbury
les personnes qui s’injectent des drogues recourent déjà à bon nombre des services actuels de réduction des méfaits
Les parties prenantes ont souligné que la collaboration et la communication entre les organismes de la ville concernant la consommation de drogues sont bonnes
et que l’idée d’une approche systémique à la mise en place d’un SCS était acceptée
Les personnes qui ont participé aux discussions en groupe estimaient qu’il était important de s’inspirer des programmes de réduction des méfaits qui sont offerts dans le Grand Sudbury
Les organismes qui offrent ce genre de programmes adoptent une approche qui permet de répondre aux besoins des personnes qui recourraient aux SCS
mais aussi à ceux de la population en général
L’intégration des services et l’établissement de liens entre eux ne signifiaient pas nécessairement que tous les services devraient être offerts en un seul endroit
Il est donc reconnu que les services établis comblent un besoin et qu’il pourrait y avoir du bon à maintenir une certaine dispersion des services
De nombreuses idées ont été données sur la manière dont les SCS pourraient fonctionner en collaboration et en coordination avec d’autres services
des SCS intégrés pourraient être liés à un service qu’utilisent déjà les personnes qui s’injectent des drogues [p
une clinique ou un refuge peu restrictif de l’Association canadienne pour la santé mentale (ACSM)]
L’une des autres idées était que le SCS constitue un carrefour de services de réduction des méfaits provenant de divers organismes et programmes (comme Services de rétablissement Monarch
les services d’intervention en cas de crise
la Clinique Ducoin et le programme d’échange de seringues) qui ferait correspondre les services aux besoins de la clientèle
Parmi les services de réduction des méfaits qui peuvent être fournis en collaboration avec des organismes locaux figurent la formation à l’utilisation de la naloxone
l’analyse des drogues et les orientations vers des services médicaux et de logement
Créer des partenariats de collaboration avec des services de réduction des méfaits peut permettre d’aborder la raison pour laquelle les seringues sont mal éliminées dans la communauté
Les personnes participantes ont souligné que le partenariat avec le personnel de proximité du Sudbury Action Centre for Youth (SACY) s’est avéré fructueux en raison des liens solides qui existent avec le milieu des personnes qui s’injectent des drogues et de l’expérience vécue avec le programme d’échange de seringues
L’intégration d’organismes autochtones qui fournissent des services de réduction des méfaits a aussi été jugée prioritaire
Les personnes participantes ont déclaré qu’intégrer des méthodes de guérison autochtones comme la purification traditionnelle
les cérémonies et une salle de guérison désignée serait bénéfique aux personnes qui accèdent aux SCS
Les programmes autochtones peuvent être alignés sur les services que fournissent les organismes autochtones locaux comme le N’Swakamok Native Friendship Centre
le Shkagamik’kwe Health Centre et l’Aboriginal Peoples Alliance of Northern Ontario (APANO)
Les services autochtones peuvent être fournis par des aînés
des guérisseurs traditionnels et des navigateurs autochtones et axés sur les traumatismes intergénérationnels et les effets de la colonisation historique et de l’assimilation qu’ont vécues les communautés autochtones
La prestation de ressources et le maintien des partenariats pour que la clientèle des SCS ait accès à des logements abordables ont été jugés prioritaires
le refuge peu restrictif de l’ACSM pour Sudbury et Manitoulin est un exemple de service qui peut bien cadrer avec la composante logement des SCS
Le refuge peu restrictif d’urgence Off the Streets offre un centre pour les personnes sans cesse itinérantes qui éprouvent des problèmes d’abus d’alcool et d’autres drogues et de santé mentale
Le programme s’accompagne aussi du programme résidentiel Maison de réduction des méfaits (MRM)
un programme dirigé pour les personnes aux prises avec une grave dépendance à l’alcool
L’intégration des services de santé mentale et de psychiatrie pour réduire les listes d’attente a aussi été jugée prioritaire
recourir à un navigateur de soutien par les pairs de la Northern Initiative for Social Action (NISA) dans le milieu hospitalier permettrait de s’attacher aux préoccupations de la clientèle quant aux problèmes de santé mentale et de dépendance
Les personnes qui ont participé aux discussions en groupe ont déclaré que la clientèle pourra être plus encline à divulguer des renseignements à une personne qui a un vécu
Un outil centralisé de triage a été suggéré pour concrétiser la collaboration entre les organismes de soins de santé et de services sociaux dans la communauté
Il a été noté qu’il faudrait toujours disposer de ressources financières et augmenter le budget en fonction de la croissance des besoins
En ce qui touche l’intégration des services
il a été noté que la Clinique de médecine des dépendances à accès rapide d’Horizon Santé-Nord ou d’autres services de traitement des dépendances ne devraient pas se trouver sur le même site
Permettre aux gens de consommer activement de l’alcool et d’autres drogues dans le même environnement que celles qui cherchent des solutions de traitement risque de servir de déclencheur pour d’autres personnes
62,4 % des personnes qui ont répondu au sondage soutenaient l’idée d’un site intégré qui offrirait aussi d’autres services (reportez-vous à la figure 6)
il serait intéressant de s’inspirer de la bonne collaboration et de la bonne communication qui existent entre les organismes de la ville en ce qui touche la réduction des méfaits
Cela mènerait à un système coordonné et plus fort qui inclurait les SCS
D’autres consultations s’imposeraient pour déterminer tous les partenaires qui veulent ou doivent intervenir pour que les programmes soient fructueux
bon nombre de citoyens et citoyennes appuyaient l’idée qu’un SCS offre aussi d’autres services et soit intégré aux programmes actuels
Cette partie avait pour but de déterminer les emplacements possibles pour des SCS
La plupart des personnes qui s’injectent des drogues préféraient que les SCS soient situés dans un endroit autonome (72,6 %)
alors que d’autres appuyaient l’idée qu’ils se trouvent au même endroit qu’un centre de santé communautaire (61,6 %)
qu’un organisme de services sociaux (38,9 %) ou que le cabinet d’un médecin de famille (37,9 %)
Les personnes qui s’injectent des drogues s’étaient fait montrer une carte détaillée de la ville
La plupart d’entre elles (65,8 %) ont souligné qu’elles préféraient que les SCS se trouvent dans le secteur central de Sudbury
qui englobait les quartiers suivants : Donovan
certaines d’entre elles ont suggéré le Nouveau-Sudbury (9,5 %) et les zones périphériques telles Azilda
les personnes qui ont participé aux discussions en groupe ont laissé entendre que les SCS devraient être situés dans un lieu central
La plupart des services médicaux et sociaux se trouvent en plein centre-ville : le Réseau ACCESS Network
un bureau du Programme ontarien de soutien aux personnes handicapées ou d’Ontario au travail
Santé publique (Rainbow Centre) et un service d’échange de seringues
Il faudrait aussi prendre en compte les besoins des personnes qui vivent en périphérie de Sudbury
Les membres des groupes de discussion ont aussi mentionné la sécurité et le confort de la population globale et des personnes qui s’injectent des drogues
il faudrait qu’il soit facilement accessible par le transport en commun ou à pied
et qu’il se trouve près du secteur où les activités liées à la drogue se déroulent et où les gens se rencontrent
il s’agirait aussi de trouver les endroits de la communauté où les besoins se font davantage sentir
de seringues jetées ou de cas de maladie infectieuse
Près de 1400 des personnes qui ont répondu au sondage auprès de la population ont fait des suggestions quant à l’emplacement possible des SCS dans le Grand Sudbury
Les répondants et répondantes ont massivement suggéré le centre-ville du Grand Sudbury
et bon nombre d’entre eux ont précisé des rues ou des organismes actuels où ces services pourraient s’ajouter
comme une mission ou un refuge peu restrictif
certaines des personnes ont inclus des quartiers adjacents du centre-ville
en particulier les secteurs Donovan et Flour Mill
Bon nombre d’entre elles ont aussi laissé entendre que le lieu devrait correspondre à celui où les services sont les plus requis (où des drogues sont déjà consommées) ou devrait être facile d’accès
Quelques-unes de ces personnes ont laissé entendre que les SCS ne devraient pas se situer au centre-ville parce que d’autres services s’y trouvent déjà
mais que ceux-ci devraient plutôt être offerts également dans d’autres zones de la ville
Les personnes répondantes estimaient que les SCS ne devraient pas être offerts à proximité d’écoles ou d’autres lieux communautaires occupés par des enfants
étaient d’avis qu’une fourgonnette constituerait peut-être une solution
D’après les commentaires qu’ont formulés les personnes qui ont répondu au sondage auprès de la population
le choix du site est important et influerait sur l’image du centre-ville ainsi que sur les enfants
Si le choix s’arrêtait sur un seul endroit
cela risquerait de créer une concentration de consommateurs de drogues dans un quartier
Voici quelques-uns des points de vue exprimés :
« Personne ne voudra se rendre ou magasiner nulle part dans les environs du site d’injection sécuritaire
L’endroit risque de mettre fin aux possibilités de commerce aux alentours ».« Le choix du lieu devrait se faire d’après les données afin qu’il reflète les niveaux de consommation et la nécessité des services
Si un site est situé dans la ville de Sudbury proprement dite
il devrait y en avoir d’autres dans les communautés périphériques
Il faudrait fixer un seuil de niveau observé de consommation de drogues par injection
et tout secteur où la consommation est suffisamment forte devrait offrir un site d’injection sécuritaire »
j’ai pu y constater la nécessité d’un site
Il y a un vide dans ce qui est offert aux populations les plus vulnérables »
là où les enfants et les touristes ne vont pas
Nous ne pouvons encourager les entreprises qui paieront des taxes pour soutenir des sites de consommation supervisée si des gens errent dans les rues de jour et de nuit
Il faudrait opter pour des sites mobiles répartis un peu partout dans la région
là où les gens peuvent vivre et obtenir l’appui de leur famille »
Si les personnes dépendantes ont du mal à trouver un moyen de transport pour se rendre à un endroit
elles risquent de ne pas utiliser le site de consommation ».« Un dans le quartier qui entoure le pont des nations et un autour du quartier West End
Je pense que les spécialistes doivent chercher les endroits où la consommation a déjà lieu
c’est que le site soit accessible par un autobus depuis le terminus du centre-ville »
« Le lieu permanent devrait se trouver en plein là où se concentrent la plupart des consommateurs
Une unité mobile pourrait se déplacer vers les autres zones les plus achalandées ainsi qu’en périphérie (Chelmsford
Si des SCS sont établis dans le Grand Sudbury
fonder les décisions concernant l’emplacement sur les données constituerait la meilleure voie à suivre
vu l’endroit où les consommateurs habitent et se rassemblent actuellement et le lieu où les autres services sont offerts
et afin que la population se sente en sécurité et à l’aise
Les citoyens et citoyennes qui envisageraient la possibilité de SCS appuyaient l’idée d’un emplacement au centre-ville ou d’un service mobile
L’étude avait pour objet global de déterminer la nécessité et la faisabilité d’instaurer des SCS dans la Ville du Grand Sudbury
du point de vue de toutes les parties prenantes de la communauté
L’étude a permis de découvrir les effets considérables et croissants qu’a sur la santé la consommation de drogues par injection dans le Grand Sudbury et qu’atténueraient des SCS
Afin d’être réalisables dans la Ville du Grand Sudbury
les services de consommation supervisée devraient s’attacher à un certain nombre de préoccupations que l’étude a soulevées
La clientèle potentielle utiliserait les SCS s’ils étaient offerts
59,8 % estimaient que ces services seraient utiles dans le Grand Sudbury et 33,6 % croyaient l’inverse
Parmi les avantages possibles qu’ont soulignés les personnes qui ont répondu au sondage auprès de la population figuraient une baisse de la consommation de drogues dans les rues ou les parcs
une baisse du nombre de seringues usagées jetées dans les rues ou les parcs
et une diminution du risque de blessures et de décès liés à une surdose
Les inquiétudes exprimées dans le sondage auprès de la population se rapportaient à la sécurité dans les quartiers
à une hausse de la criminalité et de la consommation de drogues
et à une augmentation du nombre de vendeurs de drogues qui cibleraient le secteur
Les inquiétudes pourraient être apaisées par des stratégies comme la formation d’un groupe communautaire chargé de travailler aux questions touchant les SCS
la transmission efficace de l’information sur les buts et les avantages des SCS
La suggestion la plus courante était un endroit central
situé à proximité des services actuels de réduction des méfaits et de la plupart des services sociaux et de santé et intégré à eux
1 British Columbia Centre on Substance Use (BCCSU)
Supervised Consumption Services: Operational Guidance
bccsu.ca/wp-content/uploads/2017/07/BC-SCS-Operational-Guidance.pdf
2 British Columbia Centre on Substance Use (BCCSU)
3 British Columbia Centre on Substance Use (BCCSU)
4 Stratégie communautaire contre les drogues de la Ville du Grand Sudbury (2015)
Récupéré à la page https://www.phsd.ca/fr/ressources/recherche-et-statistiques/recherche-et-evaluation/rapports-et-produits-du-savoir/strategie-communautaire-contre-les-drogues-de-la-ville-du-grand-sudbury
5 Stratégie communautaire contre les drogues de la Ville du Grand Sudbury (2015)
6 British Columbia Centre on Substance Use (BCCSU)
Evaluation of the work of drug consumption rooms in the Federal Republic of Germany
Version abrégée du rapport final produit au nom du ministère fédéral de la Santé
Supervised Consumption Services: what has been demonstrated
Reduction in overdose mortality after the opening of North America’s first medically supervised safer injecting facility: a retrospective population-based study
https://doi.org/10.1016/S0140-6736(10)62353-7
Changes in public order after the opening of a medically supervised safer injecting facility for illicit injection drug users
Safer injection facility use and syringe sharing in injection drug users
Récupéré à la page https://www.thelancet.com/journals/lancet/article/PIIS0140- 6736(05)66475-6/fulltext
The cost-effectiveness of Vancouver’s supervised injection facility
How many HIV infections are prevented by Vancouver Canada’s supervised injection facility
https://doi.org/10.1016/j.drugpo.2011.03.003
Changes in injecting practices associated with the use of a medically supervised safer injection facility
Nurse-delivered safer injection education among a cohort of injection drug users: evidence from the evaluation of Vancouver’s supervised injection facility
The perspectives of injection drug users regarding safer injecting education delivered through a supervised injecting facility
Condom use among injection drug users accessing a supervised injecting facility
Determinants of cutaneous injection-related infection care at a supervised injecting facility
Rate of detoxification service use and its impact among a cohort of supervised injecting facility users
Process and predictors of drug treatment referral and referral uptake at the Sydney Medically Supervised Injecting Centre
Récupéré à la page https://doi.org/10.1080/09595230801995668
Summary of findings from the evaluation of a pilot medically supervised safer injecting facility
Injection drug use cessation and use of North America’s first medically supervised safer injecting facility
172–176.Récupéré à la page https://doi.org/10.1016/j.drugalcdep.2010.07.023
An integrated supervised injecting program within a care facility for HIV-positive individuals: a qualitative evaluation
Récupéré à la page https://doi.org/10.1080/09595230801995668
Inability to access addiction treatment and risk of HIV infection among injection drug users recruited from a supervised injection facility
Impact of a medically supervised safer injecting facility on drug dealing and other drug-related crime
The impact of a supervised injecting facility on ambulance call-outs in Sydney
https://doi.org/10.1111/j.1360- 0443.2009.02837.x
Service uptake and characteristics of injection drug users utilizing North America’s first medically supervised safer injecting facility
Circumstances of first injection among illicit drug users accessing a medically supervised safer injection facility
44 Ontario Integrated Supervised Injection Services Feasibility Study (OiSiS)
Récupéré à la page https://www.google.com/ search?q=thunder+bay+injection+site+report&rlz=1C1GCEU_enCA827CA827&oq=thunder+bay+injection+site+report&aqs=chrome..69i57j69i59.5364j0j8&sourceid=chrome&ie=UTF-8
45 Ontario Integrated Supervised Injection Services Feasibility Study (OiSiS)
Récupéré à la page https://www.google.com/ search?rlz=1C1GCEU_enCA827CA827&ei=QHbjXoayDZDAytMP9KCwgAI&q=london+injection+site+report&oq=london+injection+site+report&gs_lcp=CgZwc3ktYWIQA1Dt6gdY5u8HYLfxB2gAcAB4AIABZYgBpwSSAQM1LjGYAQCgAQGqAQdnd3Mtd2l6&sclient=psy-ab&ved=0ahUKEwiG0vXYpPzpAhUQoHIEHXQQDCAQ4dUDCAw&uact=5
46 Region of Waterloo Public Health and Emergency Services
Waterloo Region Supervised Injection Services Feasibility Study
Récupéré à la page https:// www.waterlooregiondrugstrategy.ca/en/data-and-research/studies-reviews-and-reports.aspx
grandsudbury.ca/vivre/le-grand-sudbury-en-bref/emplacement/
Récupéré à la page: https://www12.statcan.gc.ca/census-recensement/2016/dp-pd/prof/details/page
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Récupéré à la page : https://www12.statcan.gc.ca/census-recensement/2016/dp-pd/prof/details/page.cfm?Lang=F&Geo1=CD&Code1=3553&Geo2=PR&Code2=47&SearchText=greater%20sudbury&SearchType=Begins&SearchPR=01&B1=All&TABID=1&type=0
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Homelessness in the City of Greater Sudbury: 2018 Enumeration
Rapport préparé pour la Ville du Grand Sudbury
Centre de recherche en justice et politique sociales
grandsudbury.ca/vivre/services-de-logement/bulletin-de-rendement-sans-abrisme/ recensement-des-sans-abri-mene-par-luniversite-laurentienne-en-mars-2018/
Récupéré à la https://www.grandsudbury.ca/vivre/services-de-logement/bulletin-de-rendement-sans-abrisme/recensement-des-sans-abri-mene-par-luniversite-laurentienne-en-mars-2018/
Demographic Data in the City of Greater Sudbury
Récupéré à la page https://www.arcgis.com/apps/MapSeries/index
html?appid=2624ebe80fcc435d993f446d66920f51
Le point (matériel et services pour réduire les méfaits)
Récupéré à la page https://www.phsd.ca/fr/cliniques-cours-activites/le-point-materiel-et-services-pour-reduire-les-mefaits
Récupéré à la page https://www.phsd.ca/fr/cliniques-cours-activites/le-point-materiel-et-services-pour-reduire-les-mefaits
60 Sudbury Temporary Overdose Prevention Society (STOP) (2019)
61 Sudbury Temporary Overdose Prevention Society (STOP) (2019)
62 Sudbury Temporary Overdose Prevention Society (STOP) (2019)
Récupéré à la page: http:// www.sacy.ca/home/about/
65 Santé publique Sudbury et districts (2018)
Community Drug Strategy for the City of Greater Sudbury: A Call to Action [mise à jour]
phsd.ca/wp-content/uploads/2018/05/Executive_Summary_Community_Drug_ Strategy_Feb2015_FR.pdf
66 Santé publique Sudbury et districts (2018)
67 Service de police du Grand Sudbury (2019)
Impacts of increased foot and bicycle patrol in the downtown core
[Présentation de données internes brutes]
Récupéré à la page : https:// www.connexontario.ca/fr
69 Association canadienne pour la santé mentale : Sudbury/Manitoulin (2020)
Récupéré à la page : https://sm.cmha.ca/fr/programs-services/mobilisation-communautaire-sudbury-2/
70 Association canadienne pour la santé mentale : Sudbury et Manitoulin (2020)
Programme résidentiel Maison de réduction des méfaits
Récupéré à la page : https://sm.cmha.ca/fr/programs-services/maison-de-reduction-des-mefaits-programme-de-jour-2/
Récupéré à la page: https://www.reseauaccessnetwork.com/
The Point (harm reduction supplies and services)
Récupéré à la page https://www.phsd.ca/clinics-classes-events/ point-harm-reduction-supplies-services
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81 Système intégré d’information sur la santé publique (SIISP)
82 Système intégré d’information sur la santé publique (SIISP)
83 Système intégré d’information sur la santé publique (SIISP)
84 Agence ontarienne de protection et de promotion de la santé (Santé publique Ontario) (2019)
Toronto ON : imprimeur de la Reine pour l’Ontario
Récupéré à la page : https://www.publichealthontario.ca/fr/ data-and-analysis/substance-use/interactive-opioid-tool
85 The Ontario Drug Policy Research Network (ODPRN)
Opioid Use and Related Adverse Events in Ontario
Récupéré à la page https://odprn.ca/ wp-content/uploads/2016/11/ODPRN-Opioid-Use-and-Related-Adverse-Events- Nov-2016.pdf
86 Agence ontarienne de protection et de promotion de la santé (Santé publique Ontario) (2019)
87 Greater Sudbury Emergency Services Committee Report
Paramedic Services Opioid Surveillance and Reporting
Récupéré à la page https://agendasonline.greatersudbury.ca/index
cfm?pg=feed&action=file&agenda=report&itemid=7&id=1301&utm_ source=sudbury.com&utm_campaign=sudbury.com&utm_medium=referral
88 Agence ontarienne de protection et de promotion de la santé (Santé publique Ontario) (2019)
89 The Institute for Clinical Evaluative Sciences (ICES)
Opioid Use Among First Nations in Ontario: A Report of Current Findings
Récupéré à la page https:// www.ices.on.ca/About-ICES/Collaborations-and-Partnerships/Indigenous-Portfolio/Indigenous-Portfolio-Links
90 The Institute for Clinical Evaluative Sciences (ICES)
Récupéré à la page https:// www.ices.on.ca/About-ICES/Collaborations-and-Partnerships/Indigenous-Portfolio/Indigenous-Portfolio-Links
91 The Institute for Clinical Evaluative Sciences (ICES)
Exploring the Integration of Indigenous Healing and Western Psychotherapy for Sexual Trauma Survivors Who Use Mental Health Services at Anishnawbe Health Toronto
Canadian Journal of Counselling and Psychotherapy
Récupéré à la page https://cjc-rcc.ucalgary.ca/article/view/61008
Health risks and opportunities for harm reduction among injection-drug-using clients of Saskatoon’s needle exchange program
Injecting alone among young adult IDUs in five US cities: evidence of low rates of injection risk behavior
https://dx.doi.org/10.1016%2Fj.drugalcdep.2007.02.002
102 British Columbia Centre on Substance Use (BCCSU)
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RéglagesApparenceAutoClaireSombreCe paramètre vous permet de modifier le jeu de couleurs de l’interface
a indiqué pendant son discours annuel sur l’état de la ville que la construction de logements demeure une priorité
(Photo d’archives) PHOTO : CBC/Erik WhiteLa Ville du Grand Sudbury a donné le feu vert à un projet de formation citoyenne pour la résilience des habitations de la région
vise principalement à faciliter la construction de logements abordables par les développeurs immobiliers et les OSBL
ainsi qu’à donner des outils aux citoyens afin de leur permettre d’améliorer l’efficacité énergétique de leurs logements
(...) on va essayer de diversifier le genre de logements disponibles dans le Grand Sudbury
que ça ne soit pas juste des maisons unifamiliales
Les programmes entreront en vigueur au cours de l’année financière 2025-26
La construction de logements est une priorité pour le maire du Grand SudburyAppli Radio-Canada OHdioTout un monde à écouter, partout où vous allez.
Les programmes entreront en vigueur au cours de l’année financière 2025-26
La Ville du Grand Sudbury a donné le feu vert à un projet de formation citoyenne pour la résilience des habitations de la région
SUDBURY – Le chef conservateur était de passage à Sudbury samedi soir pour la première et dernière fois de la campagne
Pierre Poilievre tente une dernière opération séduction dans cette circonscription qui demeure un château fort libéral
est la septième qu’il a effectuée depuis qu’il est devenu chef du Parti conservateur depuis septembre 2022 et la toute première depuis le déclenchement de la campagne électorale fédérale le 23 mars
Cet arrêt intitulé Whistle stop for change (Arrêt pour le changement)
intervient deux jours après la dernière conférence de presse du chef conservateur à Halifax
et juste après un autre arrêt en Colombie-Britannique
La foule présente sur le site de l’aéroport de Sudbury a accueilli en grande pompe le leader des conservateurs
qui est arrivé plus d’une heure et demie après l’heure prévue due à un retard de son avion qui décollait de Vancouver
Le message qu’il a martelé était très clairement articulé autour du changement
et a généré de nombreuses réactions dans la salle
Utilisant les engagements de sa plateforme
celui-ci a réitéré son intention d’accélérer les projets d’exploration minière ou encore de construction de logements et de routes
C’est lorsqu’il a abordé la question de la chasse qu’il a recueilli le plus d’applaudissements
sans surprise puisqu’il s’agit d’un des enjeux les plus importants pour la région
Lors de son dernier passage à Sudbury
Pierre Poilievre avait donné une conférence de presse dans laquelle il annonçait que son gouvernement accorderait tous les permis fédéraux nécessaires pour l’exploitation de l’important gisement minier du Cercle de feu
Les dernières projections de l’agrégateur de sondage pour la circonscription de Sudbury
donnent une avance aux libéraux qui seraient à 53% des intentions de vote tandis que cette donnée se chiffre à 32% pour les conservateurs
Cet arrêt dans la ville du nickel pourrait être une dernière tentative du leader politique de convaincre les indécis et ceux qui n’ont pas encore voté de pencher vers le vote bleu lors du scrutin de lundi
Les communications du parti aux membres invitaient d’ailleurs les partisans à amener des membres de leur famille et des amis au rassemblement
Pierre Poilievre a lancé une invitation directe à l’assistance de demander à leur entourage de voter pour les candidats locaux
Ceux-ci étaient d’ailleurs présents dans la salle et ont également offert un discours
eux qui sont tous talonnés par leurs adversaires libéraux dans leur circonscription respective
Pierre Poilievre est le seul chef à avoir été dans la ville du nickel lors de cette campagne fédérale éclair de 36 jours
Parmi ceux qui ont fait le déplacement ce samedi soir
Celle qui a été conseillère du Grand Sudbury et candidate à la mairie de la ville croit que les nombreux déplacements du chef conservateur dans la ville de Sudbury sont un signal positif pour le Nord
le ministre des femmes et celui des Langues officielles
francophone et personne âgée? »
« Ça n’a pas de sens quand on sait qu’on va constituer un quart de la population d’ici 2030
J’ai peur et je veux garder ma culture. »
chanteur franco-ontarien bien reconnu de Sudbury
abonde dans le sens de la retraitée : « Je suis là parce que je veux m’assurer que les libéraux ne reviennent jamais au pouvoir
Je suis tellement écœuré de tout ce qui se passe. »
« Je ne suis pas beaucoup impliqué dans la politique
mais quand je vois un banquier arriver au pouvoir sans être élu
Cette histoire avec les États-Unis ça n’a rien à voir avec nous
on fait croire aux gens que c’est une grosse affaire
précise celui qu’on surnomme le cowboy franco-ontarien
Patricia Pelto est bénévole pour la campagne du candidat de Sudbury-Est–Manitoulin–Nickel Belt
et l’a accompagné lors de plusieurs porte-à-porte
La citoyenne d’Azilda est convaincue que M
Bélanger est le meilleur représentant pour les francophones : « Jim Belanger est francophone et a à cœur la cause du français »
le chef conservateur est lui aussi le meilleur défenseur des francophones et sa présence à Sudbury saura faire pencher la balance à la faveur des bleus
Le Parti conservateur n’a pas remporté la circonscription de Sudbury depuis 1924
c’est lui qui va nous amener la vague bleue
Je suis certaine qu’il va gagner et qu’il va nous écouter. »
Labelle est du même avis : « Pierre Poilievre a une bonne énergie
Le chef conservateur fera plusieurs arrêts dans le sud de l’Ontario ce dimanche pour le dernier jour de la campagne
notamment à Oakville et Cambridge et dans son propre comté de Carleton
PHOTO : Université LaurentienneEric Robitaille s’est entretenu avec des étudiants de l’école d’architecture McEwen de l’Université Laurentienne dont le projet final est d'imaginer autrement le centre-ville de Sudbury
Inspiré par ses blocs Lego dès un jeune âge
il a toujours eu envie de devenir architecte
Morgan Polski a été grandement influencée par le parcours de son grand-père qui était concepteur de maison
Leur projet final est intitulé soustraction positive
des jardins communautaires ou encore un centre commercial
Eric Robitaille s’est entretenu avec des étudiants de l’école d’architecture McEwen de l’Université Laurentienne dont le projet final est d'imaginer autrement le centre-ville de Sudbury
Cela comprend un projet de 70 millions de dollars pour l’amélioration des infrastructures de Lively. La Ville indique que 35 millions de dollars proviennent du Fonds d’habilitation provincial pour les systèmes d’alimentation en eau et que 28 millions de dollars supplémentaires ont été obtenus du gouvernement fédéral.
La Ville du Grand Sudbury signale aussi la poursuite des travaux de construction sur le boulevard Lasalle, du chemin Falconbridge à la rue Elisabella, et le début des travaux sur la rue Elisabella, du boulevard Lasalle à la rue Lapointe. La municipalité prévoit de dépenser 19,4 millions de dollars pour ces travaux.
Un montant de 17 millions de dollars sera dépensé pour la remise en état du ruisseau Junction, de la rue Lloyd à la voie ferrée du CN. De ce montant, 10 millions de dollars proviennent du Fonds fédéral d’atténuation des effets des catastrophes et d’adaptation.
Par ailleurs, la remise en état de la rue Elgin, de la rue Elm au passage inférieur Brady est estimée à 7,9 millions de dollars.
La Ville du Grand Sudbury rappelle qu’elle a investi, l’an dernier, plus de 74 millions de dollars dans les infrastructures, que ce soit dans les routes, le réseau de distribution d’eau, les égouts, le réseau de transport actif et les ponts et grands ponceaux de la municipalité.
Francis Bouchard est journaliste depuis près de 30 ans dans la région de Hearst, d'où il est originaire. Diplômé en journalisme, il est reporter-rédacteur pour Radio-Canada Nord de l'Ontario, au bureau de Hearst, depuis 2016.
Ouvrir en mode plein écranDes travaux de réfection de routes auront lieu dans le Grand Sudbury.
Photo : Radio-Canada / Venant Nshimyumurwa
Francis BouchardPublié le 30 avril à 12 h 02 HAEÉcouter l’articleLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale, une technologie basée sur l’intelligence artificielle.La Ville du Grand Sudbury donne un aperçu de ses principaux projets d’immobilisation pour l’année.
Dans un communiqué, la municipalité indique qu’elle dépensera plusieurs millions de dollars pour de multiples projets d’envergure approuvés par le conseil municipal et qui seront entamés cette année.
Cela comprend un projet de 70 millions de dollars pour l’amélioration des infrastructures de Lively. La Ville indique que 35 millions de dollars proviennent du Fonds d’habilitation provincial pour les systèmes d’alimentation en eau et que 28 millions de dollars supplémentaires ont été obtenus du gouvernement fédéral.
La Ville du Grand Sudbury signale aussi la poursuite des travaux de construction sur le boulevard Lasalle, du chemin Falconbridge à la rue Elisabella, et le début des travaux sur la rue Elisabella, du boulevard Lasalle à la rue Lapointe. La municipalité prévoit de dépenser 19,4 millions de dollars pour ces travaux.
Un montant de 17 millions de dollars sera dépensé pour la remise en état du ruisseau Junction, de la rue Lloyd à la voie ferrée du CN. De ce montant, 10 millions de dollars proviennent du Fonds fédéral d’atténuation des effets des catastrophes et d’adaptation.
Par ailleurs, la remise en état de la rue Elgin, de la rue Elm au passage inférieur Brady est estimée à 7,9 millions de dollars.
La Ville du Grand Sudbury rappelle qu’elle a investi, l’an dernier, plus de 74 millions de dollars dans les infrastructures, que ce soit dans les routes, le réseau de distribution d’eau, les égouts, le réseau de transport actif et les ponts et grands ponceaux de la municipalité.
la municipalité indique qu’elle dépensera plusieurs millions de dollars pour de multiples projets d’envergure approuvés par le conseil municipal et qui seront entamés cette année
Cela comprend un projet de 70 millions de dollars pour l’amélioration des infrastructures de Lively
La Ville indique que 35 millions de dollars proviennent du Fonds d’habilitation provincial pour les systèmes d’alimentation en eau et que 28 millions de dollars supplémentaires ont été obtenus du gouvernement fédéral
La Ville du Grand Sudbury signale aussi la poursuite des travaux de construction sur le boulevard Lasalle
du chemin Falconbridge à la rue Elisabella
et le début des travaux sur la rue Elisabella
du boulevard Lasalle à la rue Lapointe
La municipalité prévoit de dépenser 19,4 millions de dollars pour ces travaux
Un montant de 17 millions de dollars sera dépensé pour la remise en état du ruisseau Junction
de la rue Lloyd à la voie ferrée du CN
10 millions de dollars proviennent du Fonds fédéral d’atténuation des effets des catastrophes et d’adaptation
de la rue Elm au passage inférieur Brady est estimée à 7,9 millions de dollars
La Ville du Grand Sudbury rappelle qu’elle a investi
plus de 74 millions de dollars dans les infrastructures
le réseau de distribution d’eau
le réseau de transport actif et les ponts et grands ponceaux de la municipalité
Francis Bouchard est journaliste depuis près de 30 ans dans la région de Hearst
il est reporter-rédacteur pour Radio-Canada Nord de l'Ontario
La Ville du Grand Sudbury donne un aperçu de ses principaux projets d’immobilisation pour l’année
dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"La 27e conférence sur la santé et la sécurité de l’industrie minière réunit différents acteurs qui œuvrent pour maintenir les travailleurs des entreprises minières en sécurité
consultante en santé et sécurité pour la région du Grand Sudbury
il doit y avoir une volonté des employeurs de protéger leurs employés dans leurs espaces de travail
Elle estime que plusieurs entreprises ont établi des politiques en matière de santé et sécurité
mais que celles-ci doivent être consolidées par des dirigeants
Une fois que ce groupe-là peut montrer à tout le monde dans une entreprise que c’est important
c’est une culture qui se développe
le président-directeur général de Workplace safety North
l'exploitation des gisements dans le Cercle de feu viendra avec la modernisation de programmes de santé et sécurité comme le sauvetage minier
Il pense que la technologie doit être utilisée pour protéger les travailleurs et laisser l'équipement prendre les risques à leur place
de la sécurité et de la santé au travail pour l’entreprise BluMetric environmental
pense que les entreprises minières ne peuvent pas poursuivre leur exploitation sans respecter les normes sécuritaires
Je pense que spécifiquement pour l’industrie minière
ils ne peuvent presque pas opérer sans elles
Elle estime que les maladies liées au travail sont des dangers invisibles dans les gisements
Selon les statistiques de la Commission de la sécurité professionnelle et de l’assurance contre les accidents du travail de l’Ontario (WSIB)
30 personnes sont décédées en milieu de travail du 1er janvier au 31 mars 2025
Joanne Wade est bénévole pour Threads of life
un organisme à but non lucratif qui appuie les familles qui sont affectées par les accidents au travail
Elle veut que la santé et la sécurité en milieu de travail soient prises au sérieux
L’accident fatal a complètement changé la vie de Mme Wade
Elle se consacre maintenant à la sensibilisation pour la santé et la sécurité en milieu de travail
Ouvrir en mode plein écranLa 27e conférence sur la santé et la sécurité de l'industrie minière se tient du 30 avril au 1er mai dans le Grand Sudbury
Plus de 200 personnes se sont réunies dans le Grand Sudbury pour parler de la sécurité des travailleurs de l’industrie minière
La 27e conférence sur la santé et la sécurité de l’industrie minière réunit différents acteurs qui œuvrent pour maintenir les travailleurs des entreprises minières en sécurité
consultante en santé et sécurité pour la région du Grand Sudbury
il doit y avoir une volonté des employeurs de protéger leurs employés dans leurs espaces de travail
Elle estime que plusieurs entreprises ont établi des politiques en matière de santé et sécurité
mais que celles-ci doivent être consolidées par des dirigeants
Une fois que ce groupe-là peut montrer à tout le monde dans une entreprise que c’est important
Ouvrir en mode plein écranNatalie Carscadden estime que les dirigeants des entreprises sont responsables de promouvoir un environnement de travail sécuritaire
le président-directeur général de Workplace safety North
l'exploitation des gisements dans le Cercle de feu viendra avec la modernisation de programmes de santé et sécurité comme le sauvetage minier
Il pense que la technologie doit être utilisée pour protéger les travailleurs et laisser l'équipement prendre les risques à leur place
fait partie des participants de la 27e conférence sur la santé et la sécurité de l’industrie minière
de la sécurité et de la santé au travail pour l’entreprise BluMetric environmental
pense que les entreprises minières ne peuvent pas poursuivre leur exploitation sans respecter les normes sécuritaires
Je pense que spécifiquement pour l’industrie minière
ils ne peuvent presque pas opérer sans elles
Ouvrir en mode plein écranLydia Renton souligne que l’industrie minière ne peut pas fonctionner sans normes sécuritaires
Elle estime que les maladies liées au travail sont des dangers invisibles dans les gisements
Selon les statistiques de la Commission de la sécurité professionnelle et de l’assurance contre les accidents du travail de l’Ontario (WSIB)
30 personnes sont décédées en milieu de travail du 1er janvier au 31 mars 2025
Joanne Wade est bénévole pour Threads of life
un organisme à but non lucratif qui appuie les familles qui sont affectées par les accidents au travail
Elle veut que la santé et la sécurité en milieu de travail soient prises au sérieux
Ouvrir en mode plein écranJoanne Wade représente l’organisme à but non lucratif Threads of life qui appuie les familles qui sont affectées par les accidents de travail
L’accident fatal a complètement changé la vie de Mme Wade
Elle se consacre maintenant à la sensibilisation pour la santé et la sécurité en milieu de travail
La 27e conférence sur la santé et la sécurité de l’industrie minière réunit différents acteurs qui œuvrent pour maintenir les travailleurs des entreprises minières en sécurité
Plus de 200 personnes se sont réunies dans le Grand Sudbury pour parler de la sécurité des travailleurs de l’industrie minière
La Ville a ainsi besoin d'un investissement supplémentaire de 77,8 millions de dollars par an pour maintenir l'état actuel de ses routes.
Je ne sais pas ce qu'on va faire pour améliorer l’état de nos chaussées parce qu'on n’est même pas proche des 100 000 M$ par an nécessaires pour au moins garder la qualité actuelle de nos routes, se désole la conseillère du quartier 4, Pauline Fortin.
Elle dit que la municipalité n’a pas assez de fonds investir dans les routes.
L’état de nos routes va continuer à se détériorer, selon le rapport qu’on nous a soumis.
Le Conseil municipal a approuvé l’année dernière une taxe accélérée de renouvellement des infrastructures ( y compris les routes) de 1,5 % annuellement, mais la conseillère Fortin estime que cela ne peut pas régler le problème de l’entretien des routes.
Pour évaluer l’état des routes, on utilise l’indice de l’état de la chaussée.
Il mesure la qualité du roulement et les manifestations de détérioration des routes.
Nous parcourons nos routes tous les deux ans en utilisant une technologie spécialisée qui évalue des éléments tels que les fissures et d’autres déficiences des routes, mentionne Miranda Edwards.
Selon elle, l’indice d’état actuel des chaussées du Grand Sudbury est globalement de 65 % en bon état, et de 18 % dans un état moyen.
Pour les routes collectrices qui permettent de relier les centres ruraux, 34 % du réseau est en bon état tandis que 32 % est dans un état moyen.
Quant à nos routes résidentielles, 31 % seulement sont en bon état, 32 % dans un état moyen et le reste en mauvais état, souligne Mme Edwards.
Les capacités financières de la Ville ne permettant pas de résoudre la question, la conseillère Pauline Fortin estime que l’intervention des gouvernements provincial et fédéral est nécessaire.
Ça nécessite l’aide provinciale et fédérale. Il faut un nouveau plan, il faut trouver une façon différente de faire les choses, déclare-t-elle.
On ne peut pas mettre ça sur nos taxes municipales, ce n'est pas possible. Il faut trouver ailleurs.
Pour éviter d’énormes dépenses dans l’avenir, le rapport suggère d’éviter de bâtir de nouvelles chaussées.
On a 3700 km de chaussées dans le Grand Sudbury. C’est comme conduire de Sudbury à Kamloops en Colombie-Britannique, c’est trop, note-t-elle.
Pour sa part, la coordinatrice de la gestion des actifs routiers pour la ville du Grand Sudbury, Miranda Edwards, souligne que la Ville gagnerait à faire la réfection de ses routes sans tarder.
En investissant dans l’entretien lorsque les routes sont encore en bon état, on prolonge la durée de vie de la route, suggère-t-elle.
Venant Nshimyumurwa est journaliste à Radio-Canada depuis septembre 2022. Il travaille à la salle des nouvelles mais collabore aussi avec les émissions Jonction 11-17 et Le Matin du Nord. Il s'intéresse à l'actualité nord-ontarienne et aux enjeux de société de cette partie de la province. Dans le passé, il a exercé pendant 15 ans en presse nationale au Rwanda.
Ouvrir en mode plein écranCertaines routes du Grand Sudbury ne sont pas en bon état.
Venant NshimyumurwaPublié le 28 mars à 17 h 52 HAEÉcouter l’articleLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale, une technologie basée sur l’intelligence artificielle.Un rapport qui fait état des craintes de la détérioration accélérée des routes du Grand Sudbury a été présenté lundi devant le Conseil municipal. La raison évoquée est que leur entretien est sous-financé.
Si nous voulons maintenir l'indice d'état moyen de l'ensemble de notre réseau routier, nous aurons besoin, sur une période de 10 ans, de 110 milliards de dollars, soit 110 millions de dollars par an. Or, nous dépensons en moyenne seulement 32 millions de dollars par an pour notre réseau routier, explique la coordinatrice de la gestion des actifs routiers pour la ville du Grand Sudbury, Miranda Edwards.
La Ville a ainsi besoin d'un investissement supplémentaire de 77,8 millions de dollars par an pour maintenir l'état actuel de ses routes.
Je ne sais pas ce qu'on va faire pour améliorer l’état de nos chaussées parce qu'on n’est même pas proche des 100 000 M$ par an nécessaires pour au moins garder la qualité actuelle de nos routes, se désole la conseillère du quartier 4, Pauline Fortin.
Elle dit que la municipalité n’a pas assez de fonds investir dans les routes.
L’état de nos routes va continuer à se détériorer, selon le rapport qu’on nous a soumis.
Le Conseil municipal a approuvé l’année dernière une taxe accélérée de renouvellement des infrastructures ( y compris les routes) de 1,5 % annuellement, mais la conseillère Fortin estime que cela ne peut pas régler le problème de l’entretien des routes.
Pour évaluer l’état des routes, on utilise l’indice de l’état de la chaussée.
Il mesure la qualité du roulement et les manifestations de détérioration des routes.
Nous parcourons nos routes tous les deux ans en utilisant une technologie spécialisée qui évalue des éléments tels que les fissures et d’autres déficiences des routes, mentionne Miranda Edwards.
Selon elle, l’indice d’état actuel des chaussées du Grand Sudbury est globalement de 65 % en bon état, et de 18 % dans un état moyen.
Pour les routes collectrices qui permettent de relier les centres ruraux, 34 % du réseau est en bon état tandis que 32 % est dans un état moyen.
Quant à nos routes résidentielles, 31 % seulement sont en bon état, 32 % dans un état moyen et le reste en mauvais état, souligne Mme Edwards.
Les capacités financières de la Ville ne permettant pas de résoudre la question, la conseillère Pauline Fortin estime que l’intervention des gouvernements provincial et fédéral est nécessaire.
Ça nécessite l’aide provinciale et fédérale. Il faut un nouveau plan, il faut trouver une façon différente de faire les choses, déclare-t-elle.
On ne peut pas mettre ça sur nos taxes municipales, ce n'est pas possible. Il faut trouver ailleurs.
Pour éviter d’énormes dépenses dans l’avenir, le rapport suggère d’éviter de bâtir de nouvelles chaussées.
On a 3700 km de chaussées dans le Grand Sudbury. C’est comme conduire de Sudbury à Kamloops en Colombie-Britannique, c’est trop, note-t-elle.
Ouvrir en mode plein écranLa conseillère Pauline Fortin suggère que l’on construise des maisons sans forcément construire plus de routes. (Photo d’archives)
Pour sa part, la coordinatrice de la gestion des actifs routiers pour la ville du Grand Sudbury, Miranda Edwards, souligne que la Ville gagnerait à faire la réfection de ses routes sans tarder.
En investissant dans l’entretien lorsque les routes sont encore en bon état, on prolonge la durée de vie de la route, suggère-t-elle.
Si nous voulons maintenir l'indice d'état moyen de l'ensemble de notre réseau routier
nous dépensons en moyenne seulement 32 millions de dollars par an pour notre réseau routier
explique la coordinatrice de la gestion des actifs routiers pour la ville du Grand Sudbury
La Ville a ainsi besoin d'un investissement supplémentaire de 77,8 millions de dollars par an pour maintenir l'état actuel de ses routes
Je ne sais pas ce qu'on va faire pour améliorer l’état de nos chaussées parce qu'on n’est même pas proche des 100 000 M$ par an nécessaires pour au moins garder la qualité actuelle de nos routes
se désole la conseillère du quartier 4
Elle dit que la municipalité n’a pas assez de fonds investir dans les routes
L’état de nos routes va continuer à se détériorer
selon le rapport qu’on nous a soumis
Le Conseil municipal a approuvé l’année dernière une taxe accélérée de renouvellement des infrastructures ( y compris les routes) de 1,5 % annuellement
mais la conseillère Fortin estime que cela ne peut pas régler le problème de l’entretien des routes
Pour évaluer l’état des routes
on utilise l’indice de l’état de la chaussée
Il mesure la qualité du roulement et les manifestations de détérioration des routes
Nous parcourons nos routes tous les deux ans en utilisant une technologie spécialisée qui évalue des éléments tels que les fissures et d’autres déficiences des routes
l’indice d’état actuel des chaussées du Grand Sudbury est globalement de 65 % en bon état
Pour les routes collectrices qui permettent de relier les centres ruraux
34 % du réseau est en bon état tandis que 32 % est dans un état moyen
Quant à nos routes résidentielles
32 % dans un état moyen et le reste en mauvais état
Les capacités financières de la Ville ne permettant pas de résoudre la question
la conseillère Pauline Fortin estime que l’intervention des gouvernements provincial et fédéral est nécessaire
Ça nécessite l’aide provinciale et fédérale
il faut trouver une façon différente de faire les choses
On ne peut pas mettre ça sur nos taxes municipales
Pour éviter d’énormes dépenses dans l’avenir
le rapport suggère d’éviter de bâtir de nouvelles chaussées
On a 3700 km de chaussées dans le Grand Sudbury
C’est comme conduire de Sudbury à Kamloops en Colombie-Britannique
la coordinatrice de la gestion des actifs routiers pour la ville du Grand Sudbury
souligne que la Ville gagnerait à faire la réfection de ses routes sans tarder
En investissant dans l’entretien lorsque les routes sont encore en bon état
on prolonge la durée de vie de la route
Venant Nshimyumurwa est journaliste à Radio-Canada depuis septembre 2022
Il travaille à la salle des nouvelles mais collabore aussi avec les émissions Jonction 11-17 et Le Matin du Nord
Il s'intéresse à l'actualité nord-ontarienne et aux enjeux de société de cette partie de la province
il a exercé pendant 15 ans en presse nationale au Rwanda
Un rapport qui fait état des craintes de la détérioration accélérée des routes du Grand Sudbury a été présenté lundi devant le Conseil municipal
La raison évoquée est que leur entretien est sous-financé
dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"La Ville du Grand Sudbury attribue cette hausse aux nouvelles personnes et aux nouveaux investissements qu’elle s’efforce à faire venir dans la région
Nos efforts à attirer de nouveaux résidents et investissements produisent des résultats tangibles
transformant notre ville en un meilleur endroit où vivre
estime par voie de communiqué le maire du Grand Sudbury
Les chiffres de Statistiques Canada indiquent que le nombre d’habitants de la ville du nickel a atteint 179 965 habitants en 2024 alors qu’il est estimé à 175 307 habitants en 2022 soit 4 658 personnes de plus
Nous avons hâte de poursuivre sur cet élan en 2025 et de saisir les nouvelles possibilités d’investissement et de développement
la Ville attribue la hausse du nombre d’habitants à diverses initiatives comme le Programme pilote d’immigration dans les communautés rurales et du Nord (PPICRN)
Elle souligne par écrit que le programme d’immigration qui a pris fin en août 2024 a approuvé 1 400 candidats et accueilli 2 700 nouveaux résidents depuis 2019
La Ville compte également sur deux nouveaux programmes d’immigration pour continuer à attirer des travailleurs et résidents
Le Grand Sudbury fait partie des villes qui ont été choisies pour participer au Programme pilote d’immigration dans les communautés rurales (PPICR) et au Programme pilote d’immigration dans les communautés francophones (PPICF)
qui devraient être lancés plus tard cette année
nous aideront à respecter l’engagement de la Ville du Grand Sudbury à attirer des travailleurs talentueux et à encourager la diversité
peut-on lire dans le communiqué de la Ville
Ancien blogueur passionné de communication et de journalisme
Désiré aime écrire sur ce tout ce qui l'entoure
la radio et le web pour préparer et livrer des histoires qui font le quotidien du public
Désiré KafundaPublié le 10 mars à 13 h 29 HAEÉcouter l’article | 3 minutesLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale
une technologie basée sur l’intelligence artificielle.Selon la plus récente estimation de Statistique Canada
la population du Grand Sudbury a connu une hausse d’un peu plus de 2 % entre 2022 et 2024
La Ville du Grand Sudbury attribue cette hausse aux nouvelles personnes et aux nouveaux investissements qu’elle s’efforce à faire venir dans la région
Nos efforts à attirer de nouveaux résidents et investissements produisent des résultats tangibles
transformant notre ville en un meilleur endroit où vivre
estime par voie de communiqué le maire du Grand Sudbury
Les chiffres de Statistiques Canada indiquent que le nombre d’habitants de la ville du nickel a atteint 179 965 habitants en 2024 alors qu’il est estimé à 175 307 habitants en 2022 soit 4 658 personnes de plus
Nous avons hâte de poursuivre sur cet élan en 2025 et de saisir les nouvelles possibilités d’investissement et de développement
la Ville attribue la hausse du nombre d’habitants à diverses initiatives comme le Programme pilote d’immigration dans les communautés rurales et du Nord (PPICRN)
Elle souligne par écrit que le programme d’immigration qui a pris fin en août 2024 a approuvé 1 400 candidats et accueilli 2 700 nouveaux résidents depuis 2019
La Ville compte également sur deux nouveaux programmes d’immigration pour continuer à attirer des travailleurs et résidents
Le Grand Sudbury fait partie des villes qui ont été choisies pour participer au Programme pilote d’immigration dans les communautés rurales (PPICR) et au Programme pilote d’immigration dans les communautés francophones (PPICF)
qui devraient être lancés plus tard cette année
nous aideront à respecter l’engagement de la Ville du Grand Sudbury à attirer des travailleurs talentueux et à encourager la diversité
peut-on lire dans le communiqué de la Ville
La Ville du Grand Sudbury attribue cette hausse aux nouvelles personnes et aux nouveaux investissements qu’elle s’efforce à faire venir dans la région
Selon la plus récente estimation de Statistique Canada
la population du Grand Sudbury a connu une hausse d’un peu plus de 2 % entre 2022 et 2024
dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"La Ville dit vouloir se concentrer sur le bien-être communautaire
le logement et la sécurité communautaire
de même que la durabilité environnementale
Il y aura encore quatre directions générales
mais le nom et les responsabilités des services changeront
Le Grand Sudbury se trouve à un [moment] tournant dans sa croissance et ces changements reflètent la vision commune que notre conseil municipal nourrit pour un organisme plus fort et plus efficace
assure que les changements n'entraîneneront pas de pertes d'emploi ni de réduction des services
Elle comprendra les services d’ingénierie
les services d’infrastructure linéaire
les services d’eau et des eaux usées et les services de l’environnement
Une nouvelle direction générale sera recrutée
Cette section continuera de gérer les services organisationnels : ressources humaines et développement organisationnel
sécurité organisationnelle et règlements municipaux
de l’analytique et du changement seront transférés du Bureau de l’administrateur en chef à la Section des services organisationnels
Cette nouvelle section se fusionnera à la Section de la sécurité communautaire et à la Section du développement communautaire (moins les Services de transport en commun)
Elle comprendra les services d’incendie et les services paramédicaux; chacun de ces services disposera de son propre chef
Les services du développement économique
les services de construction et les services de planification se regrouperont au sein de cette nouvelle section en vue de garantir une plus grande collaboration
Cette section comprendra aussi les services de transport en commun
ainsi que les services d’infrastructure et de planification des immobilisations
affirme que la réforme structurelle qui sera mise en place dans les prochains mois vise à bâtir un organisme souple et prêt pour l’avenir
Photo : Radio-Canada / Sacha-Wilky Merazil
La Ville du Grand Sudbury apportera dans les prochains mois des changements à son organisation interne pour mieux répondre aux priorités et aux besoins de la communauté
La Ville dit vouloir se concentrer sur le bien-être communautaire
de même que la durabilité environnementale
Il y aura encore quatre directions générales
mais le nom et les responsabilités des services changeront
Le Grand Sudbury se trouve à un [moment] tournant dans sa croissance et ces changements reflètent la vision commune que notre conseil municipal nourrit pour un organisme plus fort et plus efficace
assure que les changements n'entraîneneront pas de pertes d'emploi ni de réduction des services
les services d’eau et des eaux usées et les services de l’environnement
Une nouvelle direction générale sera recrutée
Cette section continuera de gérer les services organisationnels : ressources humaines et développement organisationnel
sécurité organisationnelle et règlements municipaux
de l’analytique et du changement seront transférés du Bureau de l’administrateur en chef à la Section des services organisationnels
Cette nouvelle section se fusionnera à la Section de la sécurité communautaire et à la Section du développement communautaire (moins les Services de transport en commun)
Elle comprendra les services d’incendie et les services paramédicaux; chacun de ces services disposera de son propre chef
ainsi que les services d’infrastructure et de planification des immobilisations
La Ville dit vouloir se concentrer sur le bien-être communautaire
** Activité gratuite dans le d’un événement payant **
Radio-Canada est partenaire présentateur de la 20e édition du Salon du livre du Grand Sudbury
à la Place des Arts de Sudbury.
Venez nous visiter pour tester vos connaissances grâce à notre quiz littéraire interactif national qui vous permettra de découvrir plus de 200 titres de livres audio, disponibles gratuitement sur l’application OHdio
Frédéric Projean et son équipe, diffusera en direct de l’émission Jonction 11-17 de 15 h 30 à 18 h
Entrez dans l'univers fantasque de l’émission jeunesse El Kapoutchi
un rendez-vous unique qui aura lieu le dimanche 11 mai 2025
Vivez des moments amusants et enrichissants au cœur du Salon du livre du Grand Sudbury ! Rendez-vous sur le site officiel pour découvrir la programmation complète
dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"Le tout a commencé avec une motion que le maire du Grand Sudbury
a proposée au conseil municipal de la ville le 18 février 2025
La motion qui a été adoptée par le conseil demande au personnel de la Ville de mettre à jour le règlement municipal sur les achats
lors de l’évaluation des projets
nous accordons la priorité aux avantages économiques pour notre communauté et le Canada
souligne une déclaration du maire du Grand Sudbury
nos travailleurs et notre communauté en donnant la priorité aux solutions canadiennes qui soutiennent la croissance économique nationale
que les fournisseurs avec lesquels elle fait affaire emploient au moins 90 % de main-d’œuvre canadienne et disposent d’un bureau ou d’un site de production au Canada
Il s’agit de s’assurer que notre argent est utilisé à bon escient
en soutenant les entreprises et les travailleurs ici même
Il est appuyé dans sa décision par quelques acteurs économiques du Grand Sudbury
L’organisme SWSE qui est propriétaire des Wolves
des Spartans et des Cyclones de Sudbury voit d’un bon œil la priorité qui est accordée aux entreprises locales et canadiennes
Cette décision fait en sorte que l’argent des contribuables profite directement aux entreprises
aux travailleurs et aux familles du Grand Sudbury
indique l’entreprise de sport et divertissement
la Zone d’amélioration commerciale (ZAC) du centre-ville de Sudbury est d’avis que la Ville doit s’assurer que les bénéfices générés par une entreprise restent sur le territoire canadien
la coprésidente de ce collectif d’entrepreneurs locaux
souligne qu’elle est en faveur du principe qui consiste à attribuer des contrats à des entreprises canadiennes et à éviter les entreprises basées aux États-Unis
Ouvrir en mode plein écranLa Ville du Grand Sudbury a approuvé la motion du maire Paul Lefebvre visant à favoriser lors de l’attribution des contrats les fournisseurs basés au Canada
Désiré KafundaPublié le 20 mars à 5 h 30 HAEÉcouter l’article | 3 minutesLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale
une technologie basée sur l’intelligence artificielle.Face aux tarifs douaniers de Donald Trump
la Ville du Grand Sudbury a approuvé la motion du maire Paul Lefebvre visant à favoriser lors de l’attribution des contrats les fournisseurs basés au Canada
Le tout a commencé avec une motion que le maire du Grand Sudbury
a proposée au conseil municipal de la ville le 18 février 2025
La motion qui a été adoptée par le conseil demande au personnel de la Ville de mettre à jour le règlement municipal sur les achats
nous accordons la priorité aux avantages économiques pour notre communauté et le Canada
souligne une déclaration du maire du Grand Sudbury
nos travailleurs et notre communauté en donnant la priorité aux solutions canadiennes qui soutiennent la croissance économique nationale
que les fournisseurs avec lesquels elle fait affaire emploient au moins 90 % de main-d’œuvre canadienne et disposent d’un bureau ou d’un site de production au Canada
Il s’agit de s’assurer que notre argent est utilisé à bon escient
en soutenant les entreprises et les travailleurs ici même
Il est appuyé dans sa décision par quelques acteurs économiques du Grand Sudbury
L’organisme SWSE qui est propriétaire des Wolves
des Spartans et des Cyclones de Sudbury voit d’un bon œil la priorité qui est accordée aux entreprises locales et canadiennes
Cette décision fait en sorte que l’argent des contribuables profite directement aux entreprises
indique l’entreprise de sport et divertissement
Ouvrir en mode plein écranLe Grand Sudbury est la grande ville canadienne la moins vulnérable aux tarifs américains par la Chambre de commerce du Canada selon une méthodologie combinant l’intensité des exportations vers les États-Unis et la dépendance économique envers ce marché
la Zone d’amélioration commerciale (ZAC) du centre-ville de Sudbury est d’avis que la Ville doit s’assurer que les bénéfices générés par une entreprise restent sur le territoire canadien
la coprésidente de ce collectif d’entrepreneurs locaux
souligne qu’elle est en faveur du principe qui consiste à attribuer des contrats à des entreprises canadiennes et à éviter les entreprises basées aux États-Unis
Le tout a commencé avec une motion que le maire du Grand Sudbury
dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"Meriem El Attar
étudiante en orthophonie à l’Université Laurentienne
souligne l’importance des espaces de prière dédiés : Différents étudiants viennent prier ici
[...] Cela nous rend de plus en plus fiers de nos traditions et de notre religion
ces lieux de prière ne répondent pas seulement à un besoin spirituel
mais lui permettent aussi de maintenir un lien précieux avec sa culture
malgré la distance qui la sépare de sa famille au Maroc
on ressent ce sentiment d'appartenance et ça nous réconforte
responsable des événements de l'Association musulmane des étudiants de l’Université Laurentienne
insiste également sur la nécessité de ces aménagements dédiés
Il est essentiel de disposer d'espaces de prière pour que les étudiants musulmans puissent pratiquer leur foi sans être dérangés
lorsque les prières comme le tarawih (une prière spéciale durant le ramadan) et les supplications supplémentaires deviennent plus fréquentes
étudiant malien en administration des affaires
explique que l'aménagement d'un espace dédié à la prière simplifie grandement la vie quotidienne
Les cinq prières de l'Islam doivent être respectées
Un local comme celui-ci nous facilite la pratique
plutôt que de devoir quitter l'école pour aller à la mosquée ou rentrer chez soi pour prier
Les membres de l'Association musulmane deviennent ainsi une véritable famille
ils partagent non seulement les repas de l'iftar
créant ainsi un esprit de communauté et de solidarité
le Collège Cambrian a aménagé un centre spirituel pour permettre à ses étudiants de pratiquer leurs prières quotidiennes dans un espace dédié
décrit cet espace comme une véritable bouée de sauvetage pour les étudiants musulmans
Prier est donc une chose tellement sacrée pour nous
offre aux étudiants l’opportunité de respecter leurs obligations religieuses sans être dérangés
en offrant un cadre calme et propice à la prière
Ce local nous aide à nous concentrer davantage [...] sur notre connexion avec Allah
Ils ont aussi suggéré d’ajouter un rideau séparant les espaces de prière pour hommes et femmes, d'inclure une station de lavage pour les rites de purification, et d’opter pour un design épuré avec des couleurs sombres, favorisant ainsi la méditation.
La salle est utilisée plusieurs fois par jour. Les étudiants s'y rencontrent, échangent et partagent, observe-t-il.
El Houssine Rjafallah, étudiant marocain en techniques agricoles, met en avant l’importance de l’aire de prière multiconfessionnelle du Collège Boréal.
Tu te sens comme au Maroc. Tu fais ta prière comme tu veux. Il n'y a pas de personnes qui viennent te déranger.
Il souligne également que, avec ses amis musulmans, ils prient ensemble, ce qui renforce encore plus le sentiment de communauté.
Il apprécie particulièrement l'inclusion et le respect des diverses cultures au Collège Boréal, expliquant que l'année passée, ils ont offert [aux étudiants musulmans pendant le ramadan] des dattes et des biscuits marocains.
Cette attention aux traditions religieuses et culturelles contribue à créer un environnement accueillant selon lui.
Reconnaissant envers ses professeurs, il souligne qu'il peut demander la permission de partir brièvement pour prier ou rompre son jeûne, même lors des cours. Selon lui, ces aménagements permettent aux étudiants de concilier foi et études sereinement.
D'après Statistique Canada, en 2024, plus de 1,8 million de personnes musulmanes vivaient au Canada, soit près de 5 % de la population.
Déborah St-Victor est née à Montréal de parents haïtiens. Elle est reporter multiplateforme à Toronto. Avant de rejoindre Radio-Canada en 2023, elle a été collaboratrice pour l'équipe des communications à la Faculté de médecine de l'Université de Montréal.
Le ramadan 2025 a commencé au coucher du soleil le vendredi 28 février. Selon le Patrimoine canadien, ce mois sacré, dédié à la prière, à la réflexion et au sacrifice, est marqué par le jeûne quotidien et l'iftar, un moment de repas en famille.
Ouvrir en mode plein écranFahim Shariar Tamim en pleine prière dans l’espace dédié à cet effet, le Centre spirituel, au Collège Cambrian.
Déborah St-VictorPublié le 2 mars à 6 h 00 HAEÉcouter l’article | 5 minutesLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale
une technologie basée sur l’intelligence artificielle.Pour des étudiants musulmans du Grand Sudbury
le mois du ramadan rime avec des rituels religieux quotidiens
concilier ces pratiques avec le rythme des études peut être un défi
Ils expliquent comment leurs établissements scolaires les soutiennent en leur offrant des espaces pour pratiquer leur foi sereinement
Meriem El Attar lit le Coran dans l’espace de prière réservé aux étudiants musulmans à l’Université Laurentienne
étudiante en orthophonie à l’Université Laurentienne
souligne l’importance des espaces de prière dédiés : Différents étudiants viennent prier ici
ces lieux de prière ne répondent pas seulement à un besoin spirituel
mais lui permettent aussi de maintenir un lien précieux avec sa culture
malgré la distance qui la sépare de sa famille au Maroc
on ressent ce sentiment d'appartenance et ça nous réconforte
responsable des événements de l'Association musulmane des étudiants de l’Université Laurentienne
insiste également sur la nécessité de ces aménagements dédiés
Il est essentiel de disposer d'espaces de prière pour que les étudiants musulmans puissent pratiquer leur foi sans être dérangés
lorsque les prières comme le tarawih (une prière spéciale durant le ramadan) et les supplications supplémentaires deviennent plus fréquentes
étudiant malien en administration des affaires
explique que l'aménagement d'un espace dédié à la prière simplifie grandement la vie quotidienne
Les cinq prières de l'Islam doivent être respectées
plutôt que de devoir quitter l'école pour aller à la mosquée ou rentrer chez soi pour prier
Les membres de l'Association musulmane deviennent ainsi une véritable famille
créant ainsi un esprit de communauté et de solidarité
Ouvrir en mode plein écranCentre spirituel au Collège Cambrian
avec l'Est comme direction idéale pour les prières de certains étudiants
Ouvrir en mode plein écranSalle de purification au Collège Cambrian
un rituel de purification est nécessaire avant la prière
Ouvrir en mode plein écranSalle multiconfessionnelle au Collège Boréal
Ouvrir en mode plein écranSalle de purification au Collège Boréal
Ouvrir en mode plein écranUne étudiante de l’Université Laurentienne en prière dans l’espace multiconfessionnel dédié aux femmes
illustrant l'engagement de l'établissement à offrir des lieux de culte inclusifs et respectueux des besoins spirituels
Ouvrir en mode plein écranSalle de purification à l'Université Laurentienne
Une étudiante de l’Université Laurentienne en prière dans l’espace multiconfessionnel dédié aux femmes
le Collège Cambrian a aménagé un centre spirituel pour permettre à ses étudiants de pratiquer leurs prières quotidiennes dans un espace dédié
décrit cet espace comme une véritable bouée de sauvetage pour les étudiants musulmans
Prier est donc une chose tellement sacrée pour nous
offre aux étudiants l’opportunité de respecter leurs obligations religieuses sans être dérangés
en offrant un cadre calme et propice à la prière
Ce local nous aide à nous concentrer davantage [...] sur notre connexion avec Allah
Ils ont aussi suggéré d’ajouter un rideau séparant les espaces de prière pour hommes et femmes, d'inclure une station de lavage pour les rites de purification, et d’opter pour un design épuré avec des couleurs sombres, favorisant ainsi la méditation.
La salle est utilisée plusieurs fois par jour. Les étudiants s'y rencontrent, échangent et partagent, observe-t-il.
El Houssine Rjafallah, étudiant marocain en techniques agricoles, met en avant l’importance de l’aire de prière multiconfessionnelle du Collège Boréal.
Tu te sens comme au Maroc. Tu fais ta prière comme tu veux. Il n'y a pas de personnes qui viennent te déranger.
Il souligne également que, avec ses amis musulmans, ils prient ensemble, ce qui renforce encore plus le sentiment de communauté.
Il apprécie particulièrement l'inclusion et le respect des diverses cultures au Collège Boréal, expliquant que l'année passée, ils ont offert [aux étudiants musulmans pendant le ramadan] des dattes et des biscuits marocains.
Cette attention aux traditions religieuses et culturelles contribue à créer un environnement accueillant selon lui.
Reconnaissant envers ses professeurs, il souligne qu'il peut demander la permission de partir brièvement pour prier ou rompre son jeûne, même lors des cours. Selon lui, ces aménagements permettent aux étudiants de concilier foi et études sereinement.
D'après Statistique Canada, en 2024, plus de 1,8 million de personnes musulmanes vivaient au Canada, soit près de 5 % de la population.
afin de prier en direction du soleil levant
Ils ont aussi suggéré d’ajouter un rideau séparant les espaces de prière pour hommes et femmes
d'inclure une station de lavage pour les rites de purification
et d’opter pour un design épuré avec des couleurs sombres
La salle est utilisée plusieurs fois par jour
étudiant marocain en techniques agricoles
met en avant l’importance de l’aire de prière multiconfessionnelle du Collège Boréal
Il n'y a pas de personnes qui viennent te déranger
ce qui renforce encore plus le sentiment de communauté
Il apprécie particulièrement l'inclusion et le respect des diverses cultures au Collège Boréal
ils ont offert [aux étudiants musulmans pendant le ramadan] des dattes et des biscuits marocains
Cette attention aux traditions religieuses et culturelles contribue à créer un environnement accueillant selon lui
il souligne qu'il peut demander la permission de partir brièvement pour prier ou rompre son jeûne
ces aménagements permettent aux étudiants de concilier foi et études sereinement
plus de 1,8 million de personnes musulmanes vivaient au Canada
soit près de 5 % de la population
Déborah St-Victor est née à Montréal de parents haïtiens
Elle est reporter multiplateforme à Toronto
elle a été collaboratrice pour l'équipe des communications à la Faculté de médecine de l'Université de Montréal
Pour des étudiants musulmans du Grand Sudbury
Le ramadan 2025 a commencé au coucher du soleil le vendredi 28 février
est marqué par le jeûne quotidien et l'iftar
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2:05Des résidents de certains quartiers du Grand Sudbury se sentent négligésDes résidents en banlieue du Grand Sudbury suggèrent que leurs communautés sont négligées par la municipalité
Ils souhaitent que la municipalité fasse plus d'efforts pour fournir de meilleurs services
le pape François a effectué 47 voyages à l'étranger
au moins 12 personnes sont mortes et une centaine d'autres ont été blessées lors des plus imposantes …
la place St-Pierre accueille les fidèles alors …
Harvard est dans le viseur de Donald Trump
Il accuse cette prestigieuse université de ne pas …
L'ONU estime que la bande de Gaza traverse la …
arrivera à Washington dans les prochaines heures pour sa première …
écoles … Québec a plusieurs projets d’infrastructure urgents dans son assiette
comment doit-il naviguer à travers ce champ de mines …
la police met en place un registre pour permettre aux résidents de partager les images de leurs …
entre les Roses de Montréal et le Rapide d'Ottawa dans la Super …
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Arrestations de présumés fraudeurs canadiens
Le combat de boxe mortel de Jeanette Zacarias Zapata a été autorisé sur la base d’un rapport médical falsifié
44:03Santé publique. 5 ans. Contenu vidéo d’une durée de 44 minutes 3 secondes. Publié le 13 mars à 21 h 00 HAE 5 ansLa COVID-19 a marqué nos vies
tensions sociales : les impacts sont toujours présents
43:04Industrie pharmaceutique. Chauve qui peut. Contenu vidéo d’une durée de 43 minutes 4 secondes. Publié le 6 mars à 21 h 00 HAE Chauve qui peutUne belle chevelure
Les effets indésirables rares mais dévastateurs du finastéride
43:04Crime sexuel. Fuite parfaite. Contenu vidéo d’une durée de 43 minutes 4 secondes. Publié le 27 février à 21 h 00 HAE Fuite parfaiteEnquête a retrouvé le pasteur de Québec
recherché par les autorités depuis plus de trois ans
la famille d’une victime poursuit OceanGate pour l’implosion du Titan
rendant l'accès aux soins et à la nourriture difficile pour les Canadiens
peut faire rêver si on se fie aux croit les …
qui a vendu des piscines plages pendant sept ans
des propriétaires ont acheté des terrains dans un domaine privé des Laurentides
des résidents d'Ahuntsic ont appris avec stupeur qu'ils ne pourraient plus accéder à leur ruelle …
la Steinway Tower est le gratte-ciel le plus étroit du monde
Une chercheuse hongroise a eu tout le mal du monde à en …
les grenouilles et les salamandres ont beaucoup souffert de la disparition des milieux …
on brûle la peau d'une centaine de joueuses et de joueurs pour savoir si la …
leur consommation pourrait atteindre 12 % de l'électricité d'ici 2028
mais ces produits sont-ils tous nécessaires
qui a enrichi la restauration de chez nous
Doit-on craindre la grippe aviaire pour nos œufs
Cette matière contamine de plus en plus les …
Ottawa subventionne l'utilisation des engrais enrobés de polymère dans le cadre du Fonds …
Environ 11 000 tonnes sont utilisées chaque année dans les …
l'élevage de saumon en mer a le vent dans les voiles
Avec l'accélération des changements climatiques
24•60Comprendre les événements de la journée avec Anne-Marie Dussault
Magazine d'information et de vulgarisation scientifique proposant des reportages sur divers sujets en science
Le téléjournal avec Céline GalipeauUn regard approfondi sur les sujets de l'heure
et sur les grands enjeux auxquels la société est confrontée
En direct avec Patrice RoyPatrice Roy fait le point sur les grandes nouvelles de la journée et les enjeux qui touchent les citoyens et citoyennes avec nos reporters
nos analystes et les acteurs et actrices du jour en entrevue
Zone infoGérald Fillion et ses commentateurs discutent des sujets chauds du jour tout en suivant l'actualité en développement
Daniel Thibeault et son équipe vont au coeur des débats politiques qui font l'actualité
Zone économieGérald Fillion aborde toutes les nouvelles économiques d'importance
EnquêteMagazine d'investigation qui expose des pratiques douteuses et révèle des faits méconnus ou cachés sur des questions préoccupantes d’intérêt public
La factureMagazine d’information sur les droits des citoyens en matière de consommation et enquêtes sur des problèmes vécus par les consommateurs
La semaine verteMagazine d’actualité agroalimentaire et forestière qui aborde les enjeux environnementaux et les innovations en gestion des ressources renouvelables
Isabelle RicherIsabelle Richer démystifie les rouages du système de justice et vulgarise les grands enjeux qui s'y rattachent
Toutes les informations nécessaires pour commencer la journée : l'actualité
Des résidents en banlieue du Grand Sudbury suggèrent que leurs communautés sont négligées par la municipalité
La valeur des projets d’investissement étrangers au Québec est en baisse
notamment en raison de la guerre commerciale entre le Canada et les États-Unis
l’accès au marché américain c’était la clé »
explique le président d’Investissement Québec International
L'hôpital Maisonneuve-Rosemont est loin d'être le seul établissement vétuste dans le réseau de la santé
C'est aussi le cas de l'hôpital Sainte-Croix de Drummondville
La communauté du Centre-du-Québec milite pour la construction d'un nouveau bâtiment depuis plusieurs années
arrivera à Washington dans les prochaines heures pour sa première rencontre avec le président américain Donald Trump
Des négociations sur les tarifs sont-elles possibles et le président arrêtera-t-il de parler de l'annexion du Canada
Maïka Sondarjee et Tasha Kheiriddin en débattent à Zone Info
Washington impose des tarifs de 100% sur les films américains faits à l’étranger
c'est le début de l'enquête publique du coroner sur le décès de Normand Meunier en mars 2024
L'homme avait reçu l'aide médicale à mourir après avoir développé une énorme plaie de lit lors d'un séjour à l'Hôpital de Saint-Jérôme
La sélection des jurés a débuté lundi au procès hautement médiatisé à New York de P
figure centrale du hip-hop accusé d'avoir mis son empire au service d'un système violent de trafic sexuel
comme le rapporte notre journaliste Amélie Desmarais
Écoutez dès 18 h le téléjournal animé par Patrice Roy
Le cabinet de sécurité israélien a approuvé cette nuit un plan d'expansion des opérations militaires à Gaza
des 2,4 millions de Palestiniens de ce territoire
Le premier ministre Benyamin Nétanyahou a affirmé pendant la réunion de son cabinet de sécurité qu’il souhaitait « promouvoir le plan Trump visant au départ volontaire des habitants de Gaza »
Assiégée et étouffée par un blocus israélien total depuis le 2 mars
Les espèces exotiques envahissantes sont de plus en plus présentes et diversifiées dans les lacs et les rivières du Québec
des plantes et des mollusques nuisent aux écosystèmes aquatiques et menacent les espèces qui y vivent
réclament l'aide du gouvernement et des citoyens alors que s'amorcent les mises à l'eau
Éric Duhaime a lancé officiellement sa campagne en vue de l'élection partielle dans Arthabaska
Le chef du Parti conservateur du Québec mise sur la circonscription pour faire son entrée à l'Assemblée nationale
Il n'était pas le seul chef de parti sur le terrain; Paul St-Pierre Plamondon
On a fait le ménage dans les nouvelles provenant des États-Unis pour revenir en cinq points sur les 100 premiers jours de la présidence de Donald Trump
les élèves du secondaire se portent moins bien qu’avant sur le plan psychologique
Si les jeunes sont meilleurs pour reconnaître l’anxiété
ont-ils les outils nécessaires pour y faire face
Tour d’horizon en cette Semaine de la santé mentale
La série britannique «Adolescence» a relancé le débat sur la propagation de contenu d’influenceurs masculinistes sur les réseaux sociaux
Avec l’adoption du projet de loi 72 au Québec
vous verrez des changements à l’épicerie et au restaurant
Dès le 7 mai : pourboires calculés avant taxes
rabais de 15 $ en cas d’erreur de prix et meilleure visibilité des prix à l’unité
où la guerre fait rage depuis plus de trois ans contre la Russie
une minute de silence est observée chaque jour à travers le pays
un rituel décrété par le président Volodymyr Zelensky
dans toutes les écoles primaires et secondaires
le cellulaire sera interdit dans les classes
durant les pauses et sur le terrain de l’école
durant les pauses ou sur le terrain de l’école
s'est exprimé le ministre de l'Éducation Bernard Drainville en conférence de presse
Donald Trump a tenu son premier rassemblement politique depuis son élection
On s'est invités dans cette ville du Michigan où il a eu lieu pour demander à ses partisans ce qu'ils pensent de ses 100 premiers jours au pouvoir
On s'est invité dans cette ville du Michigan pour demander à ses partisans ce qu'ils pensent de ses 100 premiers jours au pouvoir
transporte son cœur mécanique dans un petit sac à dos
utilisés pour les services nuagiques et l’intelligence artificielle
consomment des millions de litres d’eau chaque jour pour refroidir les équipements informatiques
pourquoi les résultats ont-ils pris tant de temps à sortir et quel sera l’avenir du chef du Parti conservateur Pierre Poilievre
ces questions sont revenues souvent à la suite des élections fédérales canadiennes
nous avons publié une première version de cette vidéo où nous prenions en compte les derniers résultats
Élections Canada a toutefois annoncé que la circonscription de Terrebonne
avait finalement été remportée par le Bloc québécois
Nous avons ajusté le montage de la vidéo afin d'être à jour à cette date
On s’immerge dans un avant-midi de cueillette de clams avec Lison Éloquin à Pointe-aux-Outardes
Le parti de Mark Carney n'a pas réussi à s’emparer d’une majorité de sièges à l’issue des élections fédérales
Des luttes très serrées dans une trentaine de circonscriptions ont retardé l’annonce finale des résultats
le pape François a effectué 47 voyages à l'étranger
il avait multiplié les rencontres politiques et religieuses et avait visité la Mosquée bleue d'Istanbul
ce qui avait symbolisé son intention de promouvoir le dialogue entre les religions
les Turcs gardent un souvenir mitigé de son passage
qui n'a pas permis de freiner le déclin de la religion catholique
Le reportage de notre correspondante Marie-Ève Bédard
au moins 12 personnes sont mortes et une centaine d'autres ont été blessées lors des plus imposantes frappes russes contre la capitale ukrainienne depuis l'été dernier
Ces attaques surviennent alors que les pourparlers de paix semblent au point mort
Des dizaines de milliers de fidèles affluent à la basilique St-Pierre pour se recueillir devant la dépouille du pape François
Le reportage de notre correspondante à l'étranger
Les obsèques du pape François auront lieu samedi
la place St-Pierre accueille les fidèles alors que les cardinaux
l'heure est aux hommages pour celui qui a dirigé l'église catholique pendant 12 ans
Le mouvement de boycottage des voyages aux États-Unis profite à l'industrie du tourisme au pays
qui s'attend à une saison estivale aussi achalandée que lors des années de pandémie
c'est par choix que de nombreux Canadiens prendront leurs vacances ici
C'est un exercice crucial qui permet de chiffrer les nombreuses promesses des chefs
Le Parti libéral et le NPD ont finalement présenté leur cadre financier respectif à neuf jours du scrutin
On ignore toujours quand les conservateurs présenteront le leur
Si Mark Carney essaie de se distancier de Justin Trudeau
les 130 milliards de dollars en nouvelles dépenses qu'il propose avec un déficit de 48 milliards au bout de quatre ans ont eu l'effet inverse
Des milliers de jeunes Turcs restent mobilisés dans la rue et sur les campus universitaires pour dénoncer la dérive autoritaire du régime Erdogan
ils sont à l'avant-poste de la contestation malgré les arrestations
La question du coût de la vie a été peu soulevée pendant la campagne électorale
monopolisée par la guerre tarifaire avec les États-Unis
une ville durement touchée par les tarifs douaniers sur l'acier
Il accuse cette prestigieuse université de ne pas avoir lutté contre l'antisémitisme lors de manifestations propalestiniennes
Harvard refuse de se plier aux demandes du président
Le conflit entre Israël et le Hamas ne cesse de s’aggraver
L'ONU estime que la bande de Gaza traverse la pire situation humanitaire depuis le début de la guerre
Écoutez le témoignage d’une médecin canadienne qui a travaillé un mois dans un hôpital de l'enclave palestinienne
Donald Trump veut rouvrir la célèbre prison d'Alcatraz
La prison avait fermé ses portes en 1963 à cause de la vétusté de ses bâtiments et du coût des rénovations
Qu'est-ce qui pousse le président américain à demander sa réouverture
J'en parle avec mes invités : le journaliste Piotr Smolar et le spécialiste de l'histoire américaine Francis Langlois
Analyse de l'actualité avec nos panélistes : Louis Blouin
Comment faire face à ces troubles mentaux qui conduisent à commettre des crimes incommensurables
Est-ce possible de prévenir ces tragédies humaines
médecin psychiatre surspécialisée en psychiatrie
Comment en sommes-nous arrivés là et lesquels faut-il prioriser
« On est à la croisée des chemins et il faut être plus rationnels »
dit Fanny Tremblay-Racicot en entrevue aux côtés de Christian Savard à l'émission Zone économie
Analyse de l'actualité avec nos panélistes : Rafaël Jacob
Analyse de l'actualité avec nos panélistes : Stéphanie Chouinard
Un article de La Presse dépeint une hausse de l'homophobie dans les écoles secondaires du Québec
rejoignant les conclusions du groupe de recherche et d’intervention sociale de Montréal
étudiant à la maîtrise en sociologie sur les masculinités et le féminisme
Le premier ministre élu Mark Carney a tenu sa première conférence de presse
Il a aussi confirmé qu'il irait à Washington mardi prochain pour rencontrer Donald Trump
Les commentaires de Chantal Hébert et Paul Journet
Analyse de l'actualité avec nos panélistes : Christine St-Pierre
Mark Carney se prépare à rencontrer Donald Trump
comment doit-il naviguer à travers ce champ de mines diplomatiques
la police met en place un registre pour permettre aux résidents de partager les images de leurs caméras de surveillance
ancien directeur général adjoint Sûreté du Québec
Plus de deux millions de spectateurs étaient rassemblés
pour un concert gratuit de la chanteuse Lady Gaga
La soirée festive aurait pu virer au drame : la police a par la suite révélé qu'un attentat à la bombe avait été déjoué
comme nous le raconte le journaliste indépendant Serge Boire
Kent Hughes et Jeff Gorton rencontraient les médias lundi pour le bilan de la saison
L’état-major du Canadien est satisfait de la direction prise par l'équipe et reste à l'affût pour tenter d'améliorer son groupe
Quoi de mieux qu’une victoire à son premier match à domicile
Les faits saillants du match du 3 mai 2025 entre la Victoire de Montréal et les Sirens de New York
Les faits saillants du match du 3 mai 2025
entre les Roses de Montréal et le Rapide d'Ottawa dans la Super Ligue du Nord
Faire bonne première impression n’est pas toujours facile… mais pour certaines joueuses
L’heure est au bilan pour le Canadien de Montréal
L’équipe a réussi à se qualifier pour les séries éliminatoires
ce que beaucoup pensaient impossible en début de saison
Voici ce que les joueurs avaient à dire sur leur année
Alexandra Labelle et Catherine Dubois ont bien hâte aux séries de la LPHF
Connaissez-vous la fiche des Leafs en séries lorsqu'ils sont en mesure d'éliminer leurs adversaires
L'attaquante de la Victoire de Montréal a toujours eu le rêve d'ouvrir son propre café
elle est la barista officielle de l'équipe
On lance le défi au multimillionnaire québécois Olivier Primeau de démêler toutes ses entreprises en deux minutes top chrono
« Le gars du Beachclub » a acheté des permis d'exploitation d'eau de source
et il dit qu'il a un plan pour faire de l’argent « à l’infini » avec ça
L'entrepreneur s’avance aussi sur sa potentielle future carrière politique à l'Assemblée nationale
et il revient sur la fois où il a mangé du pâté chinois avec Paris Hilton
On a fait nos devoirs et on est allés fouiller dans sa vie numérique
Les journalistes Julia Pagé et Pasquale Harrison-Julien reviennent sur les moments forts de la campagne avec l’équipe de Rad et des invités surprises
Qui sera le nouveau premier ministre du Canada
L’équipe de Rad et des invités surprises reviennent sur les moments forts de la campagne électorale
Alessandra a été invitée sur le plateau de RDI pour parler de son reportage sur l'Alberta et le vote conservateur
Plusieurs analystes ont attribué la victoire de Donald Trump
à ses apparitions dans des balados populaires
dont celui de Joe Rogan.Olivier s'est demandé : est-ce qu’on vit le même phénomène ici
on a vu notamment Jagmeet Singh à Tout le monde s’haït
Pierre Poilievre et Jonathan Pedneault au micro d'Olivier Primeau
Yves-François Blanchet au What’s Up Podcast
Pourquoi les politiciens délaissent-ils les médias traditionnels pour les balados
Est-ce que vous vous en sortez avec le coût de la vie
Ornella a posé la question à des jeunes de partout au Canada
Elle en a profité pour leur demander sur quoi ils allaient baser leur vote aux élections fédérales
Vous pouvez croire la comédienne Pascale de Blois quand elle explique pourquoi le président américain Donald Trump veut que le Canada devienne son 51e État
(C'est nous qui avons écrit son texte.)En gros
ce serait parce qu'il reluque nos ressources naturelles
de l'Ontario et de l'Alberta quel enjeu de la campagne électorale est le plus important pour eux
Alessandra et Florence se sont rendues à Fort McMurray en Alberta
Elles voulaient comprendre comment la dépendance économique de la province aux énergies fossiles façonne le quotidien et la vision politique des gens là-bas
Leur reportage est sur notre chaîne YouTube
Avec ses sables bitumineux et ses pipelines
l'Alberta produit et exporte la grande majorité du pétrole canadien
le vote conservateur domine depuis des décennies
Alessandra et Florence se sont rendues à Fort McMurray
pour comprendre comment la dépendance économique de la province aux énergies fossiles façonne sa vision politique
surtout en pleine guerre commerciale avec les États-Unis
Au programme cette semaine : en plus de revenir sur des cas de désinformation observés le jour du scrutin
nous évaluons l’impact de la participation grandissante des chefs de partis à des balados en période électorale
Sans cesse attaquée dans la sphère conservatrice
Wikipédia se trouve désormais dans la mire de l’administration Trump
Notre invitée Ariane Labrèche met en contexte l’ampleur de la menace qui plane sur cette encyclopédie “libre”
Est-ce que l’IA peut nous faire changer d’avis sur des sujets clivants
Un test secret mené sur Reddit suscite la controverse
Au programme cette semaine : de nombreuses publicités électorales frauduleuses circulent sur les plateformes de Meta dans le seul but d’arnaquer des Canadiens avec des fraudes à la cryptomonnaie.Après une période de boycott de deux ans
le PLQ et le PQ se sont mis à racheter des publicités sur Metae et on revient sur la série documentaire Netflix Mauvaise Influence qui expose les côtés sombres des enfants influenceurs
L'équipe des «Décrypteurs» vous convie à son balado filmé
propositions des partis pour lutter contre la fraude et La vérif sur le débat des chefs
Au programme cette semaine: une opération d’ingérence chinoise visant Mark Carney sur WeChat est-elle réellement en cours
La campagne électorale telle que vécue par les modérateurs sur Reddit
La petite histoire derrière un tweet qui a semé le chaos sur les marchés boursiers
Discussion sur la frénésie des fans de Minecraft dans les salles de cinéma
Vous cherchez à comprendre la signification d'une image virale sur le web
Le site Know Your Meme est LA référence pour vous
Au programme cette semaine: un point de bascule vient-il vraiment d’être franchi par l’IA
On se pose la question alors que Chat GPT 4.5 a passé « haut la main » le célèbre test Turing
la production de fausses bandes-annonces de films s’est « industrialisée » avec l’avènement de l’IA générative
deux chaînes d’importance ont été démonétisées
Discussion avec les journalistes français Pierre Plottu et Maxime Macé sur le combat des influenceurs et des influenceuses d'extrême droite pour imposer leurs idées sur le web et au sein de la société
Au programme de cette semaine : anatomie de la prétendue « découverte » d’une ville secrète souterraine sous le plateau de Gizeh en Égypte
une autre preuve du potentiel hautement viral de la pseudo-science
Un site web consacré au chef conservateur Pierre Poilievre démontre (encore) à quel point l’IA pollue le web
on fait le point le « Signalgate » qui a accaparé l’attention médiatique cette semaine et une mise à jour d’OpenAi a déclenché une frénésie « Studio Ghibli »
Face à la qualité des contenus qui se dégradent et à la polarisation
bien des utilisateurs veulent se détacher des réseaux comme Facebook
Au programme de cette semaine: avec notre invité
les brèches de sécurité liées aux applications sportives comme Strava
la production massive et à bas prix de contenus étranges générés par IA (AI Slop) risque de bouleverser profondément le web tel qu’on le connaît
la reconnaissance faciale se bute à un obstacle de taille au Canada et finalement on vous parle d’une tendance étrange sur TikTok
Maïa et le fentanyl : Les ravages provoqués par les mélanges de drogue qui circulent en ce moment
Les PFAS s’immiscent dans nos produits de soins personnels
Relations amoureuses entre des psychologues et leurs anciennes clientes : le grand tabou
rendant l'accès aux soins et à la nourriture difficile pour les Canadiens
On vous révèle comment les entreprises de jeux vidéo collectent et revendent vos informations personnelles
peut faire rêver si on se fie aux croit les publicités et témoignages sur les réseaux sociaux
De nombreux consommateurs qui voulaient se lancer dans le domaine regrettent aujourd'hui d'avoir payé 5000 $ pour une formation qui n'est pas fidèle à ce qu'on leur avait vendu
Une centaine de clients se sont retrouvés ainsi sans garantie avec des piscines parfois défectueuses
l'un des actionnaires de Nova-Lagon relance le concept de piscines plages sous un nouveau nom
Les copropriétaires d'un complexe de condos inondé trois fois en cinq ans
qui a fait l'objet d'un reportage de La facture
restent dans l'impasse malgré les promesses d'aide de la mairesse de Lachine
Ils tentent de protéger leur immeuble à leurs frais et craignent de ne pas y arriver avant la prochaine pluie diluvienne
Même si le promoteur s'était engagé à faire le raccordement électrique des terrains
il refuse maintenant de payer la facture d'Hydro-Québec pour les alimenter en électricité
Des clients qui ont critiqué des commerces sur le web se font poursuivre pour diffamation
où des avis laissés sur Google ont déclenché une cascade de conséquences
Alex Cicoria apprend qu'un prêt automobile de plus de 42 000 dollars a été accordé à son insu
Un huissier sonne à sa porte pour saisir un véhicule qu'il ne possède pas
C'est une situation qui arrive de plus en plus souvent
car ce type de fraude est en progression au pays
des résidents d'Ahuntsic ont appris avec stupeur qu'ils ne pourraient plus accéder à leur ruelle arrière sans avoir à payer
Parce que leur ruelle venait d'être achetée par un entrepreneur
Cette histoire abracadabrante vient de se conclure; les citoyens ont regagné l'usage de « leur » ruelle pour de bon
Une équipe de La facture s'est intéressée au profil psychologique des fraudeurs
Qui sont ces personnes qui font de la fraude leur mode de vie
Votre vétérinaire a l'obligation de vous remettre une ordonnance si vous voulez acheter un médicament vétérinaire dans une pharmacie
Certains vétérinaires sont cependant réticents à le faire et vont jusqu'à discréditer les pharmaciens
ce qui est contraire au code des professions du Québec
Trois pirates informatiques s’unissent pour combattre les fraudeurs en ligne
Cette rare incursion dans le mode de fonctionnement des fraudeurs nous permet de mieux comprendre comment ils procèdent et comment se prémunir contre la fraude
Il s’agit d’une adaptation d’un reportage de l’émission Marketplace de la CBC
Le goût amer de certains médicaments cause des problèmes récurrents dans l'administration de soins ou de traitements
Les chiens doués sont plus rares qu'on le croit
Une chercheuse hongroise a eu tout le mal du monde à en dénicher une quarantaine sur la planète
les grenouilles et les salamandres ont beaucoup souffert de la disparition des milieux humides
On estime que près d'un milliard d'oiseaux meurent chaque année en se frappant contre des fenêtres ou des murs de verre en Amérique du Nord
Tout le monde se souvient de notre émerveillement lors de l'éclipse solaire du 8 avril 2024
un événement rare qui a fait l'objet d'une expérience inusitée au Zoo de Granby
on brûle la peau d'une centaine de joueuses et de joueurs pour savoir si la passion du jeu réduit la douleur
Le tout premier médicament entièrement généré par intelligence artificielle franchit les essais cliniques de phase 2 pour le traitement d'une maladie pulmonaire mortelle
Plusieurs outils diagnostiques utilisés en médecine n'ont pas la même efficacité sur toutes les couleurs de peau ou toutes les textures de cheveux
On déconstruit le mythe du poids santé une fois pour toutes
On visite l'une des rares fromageries universitaires en Amérique du Nord
Le marché de la nutrition sportive est en pleine expansion..
On s'intéresse à l'immigration cambodgienne
L'épicerie a voulu savoir si ces légumes étaient intéressants à cuisiner sur les plans nutritionnel et gustatif
On s'offre un petit voyage en Europe pour découvrir des desserts pascals de Pologne
L'épicerie vous donne quelques idées pour utiliser la noix de coco à son plein potentiel
Cette matière contamine de plus en plus les sols
comme le démontre une étude étonnante sur des parcelles de champs au Royaume-Uni
Les paillis oxodégradables permettent aux agriculteurs dans les régions nordiques de produire du meilleur maïs
Mais quel est l'impact de ces produits sur les sols agricoles
Ottawa subventionne l'utilisation des engrais enrobés de polymère dans le cadre du Fonds d'action climatique à la ferme
Mais l'enrobage de polymère laisse des microplastiques dans les champs
Le plastique est un incontournable en agriculture
Environ 11 000 tonnes sont utilisées chaque année dans les fermes au Québec
Près de 30% de ces plastiques agricoles sont recyclés pour l'instant
Mais des voix s'élèvent contre cette industrie qualifiée de polluante et de néfaste pour la survie des saumons sauvages
Le Saint-Laurent est sous respirateur artificiel
l'oxygène se raréfie et des experts étudient les répercussions de l'hypoxie sur les espèces marines
Des agriculteurs québécois s’attaquent au problème de compactage de leurs sols
Comme la production de sirop d'érable dépend de la météo et du climat
des scientifiques se demandent quel est l'avenir de l'acériculture au Québec face aux changements climatiques
L'eau d'érable concentrée est née d'un nouvel évaporateur qui permet la cuisson sous vide
Le liquide légèrement doré conserve ainsi plus de nutriments que le sirop d'érable et son goût est plus subtil
Troy Bright est un observateur aguerri des épaulards
il note des observations sur le passage et le comportement de ces mammifères marins dans le nord de l'île de Vancouver
Comprendre les événements de la journée avec Anne-Marie Dussault
Un regard approfondi sur les sujets de l'heure
Patrice Roy fait le point sur les grandes nouvelles de la journée et les enjeux qui touchent les citoyens et citoyennes avec nos reporters
Gérald Fillion et ses commentateurs discutent des sujets chauds du jour tout en suivant l'actualité en développement
Gérald Fillion aborde toutes les nouvelles économiques d'importance
Magazine d'investigation qui expose des pratiques douteuses et révèle des faits méconnus ou cachés sur des questions préoccupantes d’intérêt public
Magazine d’information sur les droits des citoyens en matière de consommation et enquêtes sur des problèmes vécus par les consommateurs
Magazine d’actualité agroalimentaire et forestière qui aborde les enjeux environnementaux et les innovations en gestion des ressources renouvelables
Isabelle Richer démystifie les rouages du système de justice et vulgarise les grands enjeux qui s'y rattachent
Toutes les informations nécessaires pour commencer la journée : l'actualité
dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"Le rapport
rendu public par le Laboratoire de données sur les entreprises de la Chambre de commerce du Canada
classe 41 villes canadiennes selon leur vulnérabilité économique face aux menaces tarifaires américaines
Calgary (Alberta) et Windsor (Ontario) figurent parmi les villes les plus exposées
Sudbury occupe la dernière place du classement
Les exportations à destination des États-Unis ne représentent que 11,5 % des exportations totales de Sudbury
ce qui compte pour seulement 2 % du PIB de la ville
vice-président de la politique stratégique et de la chaîne d’approvisionnement à la Chambre de commerce du Canada
les exportations vers les États-Unis atteignent 71 000 $ par habitant
ce chiffre n'est que d’environ 2500 $ par habitant
professeur de stratégie des organisations à la Faculté de gestion de l’Université Laurentienne
cette résilience provient en partie du fait que les métaux produits dans le Grand Sudbury
ne sont généralement pas directement exportés aux États-Unis
Il explique que le gros des métaux extraits à Sudbury est envoyé pour affinage en Europe
principalement au Royaume-Uni et en Norvège
avant d'être distribué mondialement
Cette diversification explique pourquoi le Grand Sudbury semble mieux protégé contre les perturbations économiques liées aux tarifs douaniers
M. Chan souligne que Sudbury profite de la forte demande internationale pour ses métaux critiques
Notre économie est très liée aux minéraux critiques
Imposer des tarifs sur ces produits reviendrait à se taxer eux-mêmes
car ils ne peuvent pas les obtenir ailleurs
M. Lefebvre rappelle que Sudbury avait déjà démontré sa capacité à résister aux tarifs douaniers lors du précédent mandat de Donald Trump grâce à une stratégie de diversification des marchés internationaux entamée depuis plusieurs années
même si le Grand Sudbury paraît moins exposé directement
Il y a une partie de la production de Sudbury qui va aux États-Unis
qui vient de Norvège ou du Royaume-Uni
alors il se pourrait que ça affecte Sudbury
Mais ça reste un point d’interrogation
Autre exemple révélateur : la ville de Thunder Bay
est classée 13e parmi les villes canadiennes les plus vulnérables aux tarifs américains
en raison de sa dépendance quasi totale (99,3 %) aux exportations vers les États-Unis
même si Sudbury semble en bonne position
M. Chan avertit que l'économie canadienne est profondément intégrée à celle des États-Unis
Nous sommes tous tellement liés économiquement au Canada
C’est vrai que Sudbury a une résilience particulière
mais s’il y a un impact très fort sur notre économie - les États-Unis sont notre plus grand partenaire commercial
On ne pourra pas complètement éviter les impacts des tarifs
On ne peut pas complètement dénouer notre partenariat et nos chaînes d’approvisionnement avec les États-Unis
M. Lefebvre partage cette préoccupation
en insistant sur l’effet psychologique des tensions commerciales
L’incertitude créée par l’administration Trump a déjà eu un impact sur l’investissement privé et les décisions des banques
c’est le ralentissement économique causé par la peur et l’incertitude créée par l’administration Trump
le Grand Sudbury pourrait renforcer encore davantage sa résilience
il est crucial que les entreprises locales poursuivent leurs efforts pour élargir leurs marchés internationaux et s’adaptent aux nouvelles réalités économiques mondiales
Les entreprises peuvent exporter une partie de leurs activités
ou trouver des ententes avec d’autres entreprises pour contourner les tarifs
M. Chan souligne l’importance de libéraliser le commerce entre les provinces canadiennes
il suggère de renforcer ses infrastructures et ses relations avec d’autres partenaires commerciaux internationaux
particulièrement en Indopacifique et en Europe
où la demande en produits canadiens reste forte
M. Lefebvre affirme que Sudbury a pris les devants en diversifiant ses marchés
notamment vers l’Amérique du Sud
Nous travaillons depuis plusieurs années à diversifier nos marchés
Cette évaluation de la Chambre de commerce du Canada démontre que nos efforts ont porté fruit malgré la situation malheureuse avec nos voisins des États-Unis
Ouvrir en mode plein écranLe Grand Sudbury est la grande ville canadienne la moins vulnérable aux tarifs américains par la Chambre de commerce du Canada selon une méthodologie combinant l'intensité des exportations vers les États-Unis et la dépendance économique envers ce marché
c’est le Grand Sudbury qui serait la moins vulnérable face aux tarifs douaniers américains proposés par l'administration Trump
Une analyse de la Chambre de commerce du Canada révèle que la diversification des exportations de la ville vers d'autres marchés mondiaux explique sa résilience
rendu public par le Laboratoire de données sur les entreprises de la Chambre de commerce du Canada
classe 41 villes canadiennes selon leur vulnérabilité économique face aux menaces tarifaires américaines
Calgary (Alberta) et Windsor (Ontario) figurent parmi les villes les plus exposées
Sudbury occupe la dernière place du classement
Les exportations à destination des États-Unis ne représentent que 11,5 % des exportations totales de Sudbury
ce qui compte pour seulement 2 % du PIB de la ville
vice-président de la politique stratégique et de la chaîne d’approvisionnement à la Chambre de commerce du Canada
Les solutions du Canada face aux tarifs douaniersConsulter le dossier completSuivreSuivreÀ titre de comparaison
les exportations vers les États-Unis atteignent 71 000 $ par habitant
ce chiffre n'est que d’environ 2500 $ par habitant
professeur de stratégie des organisations à la Faculté de gestion de l’Université Laurentienne
cette résilience provient en partie du fait que les métaux produits dans le Grand Sudbury
ne sont généralement pas directement exportés aux États-Unis
Il explique que le gros des métaux extraits à Sudbury est envoyé pour affinage en Europe
principalement au Royaume-Uni et en Norvège
Ouvrir en mode plein écranJean-Charles Cachon
pourraient facilement rediriger leurs exportations vers d'autres marchés mondiaux en cas de sanctions américaines
Cette diversification explique pourquoi le Grand Sudbury semble mieux protégé contre les perturbations économiques liées aux tarifs douaniers
Chan souligne que Sudbury profite de la forte demande internationale pour ses métaux critiques
Notre économie est très liée aux minéraux critiques
Imposer des tarifs sur ces produits reviendrait à se taxer eux-mêmes
Lefebvre rappelle que Sudbury avait déjà démontré sa capacité à résister aux tarifs douaniers lors du précédent mandat de Donald Trump grâce à une stratégie de diversification des marchés internationaux entamée depuis plusieurs années
même si le Grand Sudbury paraît moins exposé directement
Il y a une partie de la production de Sudbury qui va aux États-Unis
alors il se pourrait que ça affecte Sudbury
Autre exemple révélateur : la ville de Thunder Bay
est classée 13e parmi les villes canadiennes les plus vulnérables aux tarifs américains
en raison de sa dépendance quasi totale (99,3 %) aux exportations vers les États-Unis
Chan avertit que l'économie canadienne est profondément intégrée à celle des États-Unis
Nous sommes tous tellement liés économiquement au Canada
C’est vrai que Sudbury a une résilience particulière
mais s’il y a un impact très fort sur notre économie - les États-Unis sont notre plus grand partenaire commercial
On ne pourra pas complètement éviter les impacts des tarifs
On ne peut pas complètement dénouer notre partenariat et nos chaînes d’approvisionnement avec les États-Unis
en insistant sur l’effet psychologique des tensions commerciales
L’incertitude créée par l’administration Trump a déjà eu un impact sur l’investissement privé et les décisions des banques
c’est le ralentissement économique causé par la peur et l’incertitude créée par l’administration Trump
le Grand Sudbury pourrait renforcer encore davantage sa résilience
il est crucial que les entreprises locales poursuivent leurs efforts pour élargir leurs marchés internationaux et s’adaptent aux nouvelles réalités économiques mondiales
Les entreprises peuvent exporter une partie de leurs activités
ou trouver des ententes avec d’autres entreprises pour contourner les tarifs
Chan souligne l’importance de libéraliser le commerce entre les provinces canadiennes
il suggère de renforcer ses infrastructures et ses relations avec d’autres partenaires commerciaux internationaux
particulièrement en Indopacifique et en Europe
où la demande en produits canadiens reste forte
estime que lors des périodes d'incertitude économique
les investissements publics dans des projets locaux majeurs
sont essentiels pour soutenir la croissance économique de la ville
Lefebvre affirme que Sudbury a pris les devants en diversifiant ses marchés
Nous travaillons depuis plusieurs années à diversifier nos marchés
Cette évaluation de la Chambre de commerce du Canada démontre que nos efforts ont porté fruit malgré la situation malheureuse avec nos voisins des États-Unis
Élections fédérales Canada 2025. Le candidat libéral de Windsor demande un recomptage judiciaire. Publié à 19 h 41 HAE Le candidat libéral de Windsor demande un recomptage judiciaireÉlections Canada a trouvé des erreurs dans les rapports des bureaux de vote locaux
Élections Canada a trouvé des erreurs dans les rapports des bureaux de vote locaux
c’est le Grand Sudbury qui serait la moins vulnérable face aux tarifs douaniers américains proposés par l'administration Trump
Une analyse de la Chambre de commerce du Canada révèle que la diversification des exportations de la ville vers d'autres marchés mondiaux explique sa résilience
Pour les citoyens, des nombreuses activités intérieures et en plein air sont prévues. Pour célébrer le Jour de la Famille, des tarifs réduits sont offerts aux piscines, centres de ski et arénas. Science Nord à Sudbury est ouvert tout comme la patinoire du lac Ramsey, celle du terrain sportif Queen's, ainsi que les patinoires extérieures du quartier seront également accessibles, sous réserve des conditions météorologiques.
Quant aux YMCA de Sudbury et de North Bay, ils respecteront les horaires pour les jours fériés.
Voici ce qui est ouvert ou fermé dans la Ville du Grand Sudbury.
Photo : Radio-Canada / Ezra Belotte-Cousineau
Déborah St-VictorPublié le 16 février à 13 h 17 HAEÉcouter l’articleLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale, une technologie basée sur l’intelligence artificielle.Le lundi 17 février, c'est le Jour de la Famille en Ontario. Tandis que certains se détendront, d'autres travailleront.
Les services municipaux sont maintenus en ce Jour de la Famille. Les sites d’enfouissement et le Centre de recyclage sont ouverts et pour toute urgence liée aux travaux publics ou au contrôle des animaux, il est possible de composer le 311. Les horaires de collecte des déchets, recyclables et bacs verts restent aussi inchangés.
Pour les citoyens, des nombreuses activités intérieures et en plein air sont prévues. Pour célébrer le Jour de la Famille, des tarifs réduits sont offerts aux piscines, centres de ski et arénas. Science Nord à Sudbury est ouvert tout comme la patinoire du lac Ramsey, celle du terrain sportif Queen's, ainsi que les patinoires extérieures du quartier seront également accessibles, sous réserve des conditions météorologiques.
Quant aux YMCA de Sudbury et de North Bay, ils respecteront les horaires pour les jours fériés.
Voici ce qui est ouvert ou fermé dans la Ville du Grand Sudbury.
Les services municipaux sont maintenus en ce Jour de la Famille
Les sites d’enfouissement et le Centre de recyclage sont ouverts et pour toute urgence liée aux travaux publics ou au contrôle des animaux
recyclables et bacs verts restent aussi inchangés
des nombreuses activités intérieures et en plein air sont prévues
Pour célébrer le Jour de la Famille
des tarifs réduits sont offerts aux piscines
Science Nord à Sudbury est ouvert tout comme la patinoire du lac Ramsey
ainsi que les patinoires extérieures du quartier seront également accessibles
sous réserve des conditions météorologiques
ils respecteront les horaires pour les jours fériés
Voici ce qui est ouvert ou fermé dans la Ville du Grand Sudbury
c'est le Jour de la Famille en Ontario
dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"La police a indiqué que des agents et des intervenants d’urgence ont été dépêchés dans une maison de la rue Lansdowne
après avoir été informés de la présence d’un véhicule suspect sur la propriété
Les pompiers ont pu accéder à la camionnette Dodge Ram noire où ils ont trouvé un homme mort à l’intérieur
La police a indiqué qu’une autopsie sera effectuée mardi afin de déterminer la cause exacte du décès de l’homme et de l’identifier
le Service de police du Grand Sudbury a indiqué qu’il n’y avait aucun habitant dans la maison lorsque les agents sont arrivés dimanche
Les agents continuent d’enquêter dans le secteur pour obtenir des renseignements et des images de vidéosurveillance
Avec les informations de Jonathan Migneault
Ouvrir en mode plein écranDes policiers ont été postés près d’une maison de la rue Lansdowne à Sudbury
où un homme a été retrouvé mort dans une camionnette
Désiré KafundaPublié le 7 avril à 16 h 12 HAEÉcouter l’article | 2 minutesLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale
une technologie basée sur l’intelligence artificielle.Le Service de police du Grand Sudbury enquête après qu’un homme blessé par balle a été retrouvé mort dans une camionnette qui était garée près d'une résidence de la ville
La police a indiqué que des agents et des intervenants d’urgence ont été dépêchés dans une maison de la rue Lansdowne
après avoir été informés de la présence d’un véhicule suspect sur la propriété
Les pompiers ont pu accéder à la camionnette Dodge Ram noire où ils ont trouvé un homme mort à l’intérieur
La police a indiqué qu’une autopsie sera effectuée mardi afin de déterminer la cause exacte du décès de l’homme et de l’identifier
le Service de police du Grand Sudbury a indiqué qu’il n’y avait aucun habitant dans la maison lorsque les agents sont arrivés dimanche
Les agents continuent d’enquêter dans le secteur pour obtenir des renseignements et des images de vidéosurveillance
La police a indiqué que des agents et des intervenants d’urgence ont été dépêchés dans une maison de la rue Lansdowne
Le Service de police du Grand Sudbury enquête après qu’un homme blessé par balle a été retrouvé mort dans une camionnette qui était garée près d'une résidence de la ville
dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"Selon l’enquête préliminaire
la victime occupait la place de passager dans une camionnette Ford F-150 noire de 2024
Elle était conduite par un homme non identifié lorsque les tirs ont eu lieu
Le suspect a pris la fuite avec le véhicule
qui a ensuite été retrouvé abandonné au centre-ville
La police croit qu’il s’agit d’une attaque ciblée puisque les individus impliqués se connaissent
Ouvrir en mode plein écranLes enquêteurs demandent à toute personne détenant des informations sur cet incident de contacter la police au 705 675-9171 ou Échec au crime au 705-222-8477
Le Service de police du Grand Sudbury enquête sur une fusillade survenue le 25 mars 2025 près de l’intersection du boulevard Lasalle et de l’avenue Notre-Dame
Un homme de 35 ans a été transporté à l’hôpital avec des blessures graves
la victime occupait la place de passager dans une camionnette Ford F-150 noire de 2024
Elle était conduite par un homme non identifié lorsque les tirs ont eu lieu
Le suspect a pris la fuite avec le véhicule
qui a ensuite été retrouvé abandonné au centre-ville
La police croit qu’il s’agit d’une attaque ciblée puisque les individus impliqués se connaissent
Selon l’enquête préliminaire
Le Service de police du Grand Sudbury enquête sur une fusillade survenue le 25 mars 2025 près de l’intersection du boulevard Lasalle et de l’avenue Notre-Dame
Un homme de 35 ans a été transporté à l’hôpital avec des blessures graves
Ce sont des données basées sur des moyennes variables de trois mois pour tenir compte des variations saisonnières.
Selon les données fournies par l’association canadienne de l’immobilier (ACI), les secteurs qui ont connu le plus de pertes sont ceux des ressources naturelles, de la construction et de l’administration publique.
Je ne prêterais pas beaucoup d’attention aux données recueillies sur un seul mois, souligne Robin Wiebe, économiste principal au Centre des études municipales du Conference Board du Canada.
Il précise que les petits marchés du travail tels que celui du Grand Sudbury sont parfois volatils et recommande donc à la communauté de faire preuve de prudence en analysant les données mensuelles sur l’emploi dans la ville du nickel.
Le taux de chômage est resté à 5,5 % en décembre, soit 5,2 % en dessous du sommet de décembre 2009 et inférieur à la moyenne à long terme.
M. Wiebe note également que bien que le taux d’emploi à Sudbury était en baisse durant l’année 2024, il est toutefois resté plus élevé que pendant le creux de la pandémie.
L’économiste souligne que la ville a enregistré environ 4000 emplois de plus depuis le début de la pandémie de COVID-19.
Bien que le Grand Sudbury ait connu des pertes d’emplois, l’économie provinciale a continué de croître.
Dans une déclaration, Vic Fedeli, le ministre ontarien du Développement économique, de la Création d’emplois et du Commerce, a souligné que malgré une économie mondiale incertaine en 2024, l’Ontario demeure le moteur économique du Canada.
En décembre, la province a créé 23 000 nouveaux emplois, pour un nombre total de 200 000 nouveaux postes tout au long de l’année, principalement dans le secteur de l’automobile, des sciences de la vie et de la technologie.
M. Wiebe pense que c'est un bon signe étant donné que la population a augmenté.
La province affirme qu’elle continuera de créer un environnement propice pour attirer davantage d’investissements, de meilleurs emplois et des salaires plus élevés.
Avec les informations de Rajpreet Sahota, de CBC
Orphée Moussongo a entamé sa carrière en 2023 à Radio-Canada, dans le Nord de l'Ontario. Elle est diplômée en journalisme et est récipiendaire de la bourse Marthe-Blouin pour l'année 2023. Elle s'intéresse notamment aux enjeux de société, de santé mentale ainsi qu'aux faits divers.
Ouvrir en mode plein écranLe taux de chômage du Grand Sudbury est resté à 5,5 % en décembre, soit 5,2 % en dessous du sommet de décembre 2009 et inférieur à la moyenne à long terme. (Photo d'archives)
Photo : Radio-Canada / Pierre-Mathieu Tremblay
Orphée MoussongoPublié le 15 janvier à 5 h 54 HAEÉcouter l’article | 3 minutesLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale, une technologie basée sur l’intelligence artificielle.Bien que les données de Statistique Canada démontrent que le taux de chômage dans la région du Grand Sudbury est resté stable en décembre 2024, la ville du nickel a tout de même enregistré une perte nette de 400 emplois.
La ville a pu compenser partiellement la suppression de 800 emplois à temps plein à cette époque grâce à la création de 400 postes à temps partiel.
Ce sont des données basées sur des moyennes variables de trois mois pour tenir compte des variations saisonnières.
Selon les données fournies par l’association canadienne de l’immobilier (ACI), les secteurs qui ont connu le plus de pertes sont ceux des ressources naturelles, de la construction et de l’administration publique.
Je ne prêterais pas beaucoup d’attention aux données recueillies sur un seul mois, souligne Robin Wiebe, économiste principal au Centre des études municipales du Conference Board du Canada.
Il précise que les petits marchés du travail tels que celui du Grand Sudbury sont parfois volatils et recommande donc à la communauté de faire preuve de prudence en analysant les données mensuelles sur l’emploi dans la ville du nickel.
Le taux de chômage est resté à 5,5 % en décembre, soit 5,2 % en dessous du sommet de décembre 2009 et inférieur à la moyenne à long terme.
M. Wiebe note également que bien que le taux d’emploi à Sudbury était en baisse durant l’année 2024, il est toutefois resté plus élevé que pendant le creux de la pandémie.
L’économiste souligne que la ville a enregistré environ 4000 emplois de plus depuis le début de la pandémie de COVID-19.
Bien que le Grand Sudbury ait connu des pertes d’emplois, l’économie provinciale a continué de croître.
Dans une déclaration, Vic Fedeli, le ministre ontarien du Développement économique, de la Création d’emplois et du Commerce, a souligné que malgré une économie mondiale incertaine en 2024, l’Ontario demeure le moteur économique du Canada.
En décembre, la province a créé 23 000 nouveaux emplois, pour un nombre total de 200 000 nouveaux postes tout au long de l’année, principalement dans le secteur de l’automobile, des sciences de la vie et de la technologie.
M. Wiebe pense que c'est un bon signe étant donné que la population a augmenté.
La province affirme qu’elle continuera de créer un environnement propice pour attirer davantage d’investissements, de meilleurs emplois et des salaires plus élevés.
La ville a pu compenser partiellement la suppression de 800 emplois à temps plein à cette époque grâce à la création de 400 postes à temps partiel
Ce sont des données basées sur des moyennes variables de trois mois pour tenir compte des variations saisonnières
Selon les données fournies par l’association canadienne de l’immobilier (ACI)
les secteurs qui ont connu le plus de pertes sont ceux des ressources naturelles
de la construction et de l’administration publique
Je ne prêterais pas beaucoup d’attention aux données recueillies sur un seul mois
économiste principal au Centre des études municipales du Conference Board du Canada
Il précise que les petits marchés du travail tels que celui du Grand Sudbury sont parfois volatils et recommande donc à la communauté de faire preuve de prudence en analysant les données mensuelles sur l’emploi dans la ville du nickel
Le taux de chômage est resté à 5,5 % en décembre
soit 5,2 % en dessous du sommet de décembre 2009 et inférieur à la moyenne à long terme
M. Wiebe note également que bien que le taux d’emploi à Sudbury était en baisse durant l’année 2024
il est toutefois resté plus élevé que pendant le creux de la pandémie
L’économiste souligne que la ville a enregistré environ 4000 emplois de plus depuis le début de la pandémie de COVID-19
Bien que le Grand Sudbury ait connu des pertes d’emplois
l’économie provinciale a continué de croître
le ministre ontarien du Développement économique
de la Création d’emplois et du Commerce
a souligné que malgré une économie mondiale incertaine en 2024
l’Ontario demeure le moteur économique du Canada
la province a créé 23 000 nouveaux emplois
pour un nombre total de 200 000 nouveaux postes tout au long de l’année
principalement dans le secteur de l’automobile
des sciences de la vie et de la technologie
M. Wiebe pense que c'est un bon signe étant donné que la population a augmenté
La province affirme qu’elle continuera de créer un environnement propice pour attirer davantage d’investissements
de meilleurs emplois et des salaires plus élevés
Orphée Moussongo a entamé sa carrière en 2023 à Radio-Canada
Elle est diplômée en journalisme et est récipiendaire de la bourse Marthe-Blouin pour l'année 2023
Elle s'intéresse notamment aux enjeux de société
de santé mentale ainsi qu'aux faits divers
Bien que les données de Statistique Canada démontrent que le taux de chômage dans la région du Grand Sudbury est resté stable en décembre 2024
la ville du nickel a tout de même enregistré une perte nette de 400 emplois
dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"Revitalisation du centre-villeAvec ses vitrines vides et un centre déserté depuis la pandémie
le cœur de Sudbury a vu plusieurs commerçants fermer boutique
Dès son arrivée, le maire Lefebvre a fait de la revitalisation du centre-ville une priorité
On a acheté plusieurs édifices au centre-ville
On les a démolis pour faire de nouvelles constructions dans les deux prochaines années du mandat
Paul Lefebvre en souligne l’importance pour l’attractivité de la ville
On veut créer une ville où les gens veulent déménager
Malgré sa vision pour un centre-ville revigoré
Paul Lefebvre reste lucide sur les enjeux sociaux pressants de Sudbury
La crise des opioïdes et l’itinérance sont des priorités pour son administration
qui a investi des sommes records dans des ressources pour venir en aide aux personnes dans le besoin
Le maire affirme toutefois que la municipalité n’y arrivera pas seule et tend la main aux autres paliers de gouvernements
On va continuer d'investir et de travailler avec la communauté pour faire ces investissements
pour pouvoir améliorer cette situation
On a besoin d'appui de la province et du fédéral
Les outils qu'on a en ce moment ne suffisent pas
Paul Lefebvre a récemment joint sa voix à celle de 12 autres maires ontariens dans une lettre adressée au premier ministre Ford pour réclamer des moyens accrus pour gérer la situation
Bien que certains organismes aient exprimé des réserves, le maire insiste sur l’urgence de la situation. C’est un cri d’alarme de la municipalité. On a besoin d'appui de la province et du fédéral.
Malgré les défis qui persistent, Paul Lefebvre se permet de rêver.
On a tellement de potentiel, ici. Il faut avoir cette fierté, puis aboutir avec des projets et les finir.
Interrogé sur sa vision pour l’avenir de Sudbury, le maire imagine un pôle important, non seulement pour le Nord de l’Ontario, mais pour l’ensemble de la province.
On peut vraiment devenir un centre d'excellence de recherche minière et de transformation de nos matériaux pour le secteur automobile. Je pense qu'il y a un énorme potentiel ici au niveau du développement économique, au niveau santé et au niveau de l'éducation.
Alors qu’il entame la deuxième moitié de son mandat, Paul Lefebvre laisse entrevoir la possibilité d’un second mandat.
La décision, cependant, n’est pas pour tout de suite. Les prochaines élections municipales auront lieu le 26 octobre 2026.
Gabriel Garon est chef d'antenne du Téléjournal Ontario. Avant de s'installer à Toronto, Gabriel a travaillé comme journaliste, animateur et lecteur de nouvelles à Moncton au Nouveau-Brunswick et comme animateur et chef de pupitre pour le RDI à Montréal. Curieux de nature, il s'intéresse à la science, à la politique et à l'économie.
Le maire de Sudbury parle de ses ambitions pour le centre-ville et de sa lutte contre la crise des opioïdes.
Ouvrir en mode plein écranPaul Lefebvre a été assermenté comme maire du Grand Sudbury le 15 novembre 2022.
Gabriel GaronPublié le 14 novembre 2024 à 5 h 54 HAEÉcouter l’article | 4 minutesLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale
une technologie basée sur l’intelligence artificielle.Deux ans après son entrée en fonction
Paul Lefebvre dresse un premier bilan de son mandat à la tête du Grand Sudbury
il revient sur les grands défis auxquels il fait face et partage sa vision pour la suite
Avec ses vitrines vides et un centre déserté depuis la pandémie
le cœur de Sudbury a vu plusieurs commerçants fermer boutique
On a acheté plusieurs édifices au centre-ville
On les a démolis pour faire de nouvelles constructions dans les deux prochaines années du mandat
7:19Deux ans après son élection à la tête du conseil municipal du Grand Sudbury
Paul Lefebvre revient sur ce qui a été accompli pendant la première moitié de son mandat
Paul Lefebvre en souligne l’importance pour l’attractivité de la ville
On veut créer une ville où les gens veulent déménager
Malgré sa vision pour un centre-ville revigoré
Le maire affirme toutefois que la municipalité n’y arrivera pas seule et tend la main aux autres paliers de gouvernements
On va continuer d'investir et de travailler avec la communauté pour faire ces investissements
On a besoin d'appui de la province et du fédéral
Malgré les défis qui persistent, Paul Lefebvre se permet de rêver.
On a tellement de potentiel, ici. Il faut avoir cette fierté, puis aboutir avec des projets et les finir.
Interrogé sur sa vision pour l’avenir de Sudbury, le maire imagine un pôle important, non seulement pour le Nord de l’Ontario, mais pour l’ensemble de la province.
On peut vraiment devenir un centre d'excellence de recherche minière et de transformation de nos matériaux pour le secteur automobile. Je pense qu'il y a un énorme potentiel ici au niveau du développement économique, au niveau santé et au niveau de l'éducation.
Alors qu’il entame la deuxième moitié de son mandat, Paul Lefebvre laisse entrevoir la possibilité d’un second mandat.
La décision, cependant, n’est pas pour tout de suite. Les prochaines élections municipales auront lieu le 26 octobre 2026.
Avec ses vitrines vides et un centre déserté depuis la pandémie
Dès son arrivée, le maire Lefebvre a fait de la revitalisation du centre-ville une priorité
La crise des opioïdes et l’itinérance sont des priorités pour son administration
Paul Lefebvre a récemment joint sa voix à celle de 12 autres maires ontariens dans une lettre adressée au premier ministre Ford pour réclamer des moyens accrus pour gérer la situation
Bien que certains organismes aient exprimé des réserves
le maire insiste sur l’urgence de la situation
C’est un cri d’alarme de la municipalité
puis aboutir avec des projets et les finir
Interrogé sur sa vision pour l’avenir de Sudbury
non seulement pour le Nord de l’Ontario
On peut vraiment devenir un centre d'excellence de recherche minière et de transformation de nos matériaux pour le secteur automobile
Je pense qu'il y a un énorme potentiel ici au niveau du développement économique
au niveau santé et au niveau de l'éducation
Alors qu’il entame la deuxième moitié de son mandat
Paul Lefebvre laisse entrevoir la possibilité d’un second mandat
Les prochaines élections municipales auront lieu le 26 octobre 2026
Gabriel Garon est chef d'antenne du Téléjournal Ontario
Gabriel a travaillé comme journaliste
animateur et lecteur de nouvelles à Moncton au Nouveau-Brunswick et comme animateur et chef de pupitre pour le RDI à Montréal
à la politique et à l'économie
Deux ans après son élection à la tête du conseil municipal du Grand Sudbury
Bien que certains organismes aient exprimé des réserves
Le maire de Sudbury parle de ses ambitions pour le centre-ville et de sa lutte contre la crise des opioïdes
dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"Les résidents du chemin Skead au nord de la rue Falcon
Cet avis fait suite à une perte de pression due à une rupture de conduite d’eau
Il est possible que la perte de pression d’eau ait créé des conditions compromettant la salubrité de l’eau potable
gestionnaire de la Division de la protection de la Santé publique
Les gens qui tirent leur eau du réseau municipal ne devraient ni la boire ni l’utiliser pour faire du jus ou une préparation pour nourrissons
Il faut éviter aussi de l’utiliser pour fabriquer de la glace
ou encore pour laver les fruits et les légumes crus ou même pour se brosser les dents
Santé publique Sudbury et Districts rappelle que faire bouillir l’eau ne la rendra peut-être pas propre à la consommation
cette eau peut être utilisée pour faire la lessive et pour le bain (sauf pour les jeunes enfants qui risqueraient d’en avaler)
Tant que les analyses bactériologiques de l’eau potable n’indiqueront pas que l’approvisionnement en eau potable est sûr
l’avis concernant la qualité de l’eau potable restera en vigueur par mesure de précaution
L’organisme de santé publique recommande d’utiliser de l’eau provenant d’une autre source
Les habitants concernés peuvent obtenir gratuitement des bouteilles d'eau de 10 à 22 heures mardi 31 décembre
à l'intersection de l'Old Skead Road et de la rue Agnes
De l’eau est également disponible aux stations de remplissage de la Ville
Les résidents doivent apporter leurs propres récipients
Santé publique Sudbury et Districts dit qu’elle avisera la municipalité lorsque l’avis concernant la qualité de l’eau potable sera levé
et les résidents seront informés
Ouvrir en mode plein écranSelon Santé publique Sudbury et districts
faire bouillir l’eau de la zone où un avis sur l’eau potable a été publié ne la rendra peut-être pas propre à la consommation
Santé publique de Sudbury et Districts vient de publier un avis concernant l’eau potable pour les résidents du secteur nord de la rue Falcon à Skead
Les résidents du chemin Skead au nord de la rue Falcon
Cet avis fait suite à une perte de pression due à une rupture de conduite d’eau
Il est possible que la perte de pression d’eau ait créé des conditions compromettant la salubrité de l’eau potable
gestionnaire de la Division de la protection de la Santé publique
Les gens qui tirent leur eau du réseau municipal ne devraient ni la boire ni l’utiliser pour faire du jus ou une préparation pour nourrissons
Il faut éviter aussi de l’utiliser pour fabriquer de la glace
ou encore pour laver les fruits et les légumes crus ou même pour se brosser les dents
Santé publique Sudbury et Districts rappelle que faire bouillir l’eau ne la rendra peut-être pas propre à la consommation
cette eau peut être utilisée pour faire la lessive et pour le bain (sauf pour les jeunes enfants qui risqueraient d’en avaler)
Tant que les analyses bactériologiques de l’eau potable n’indiqueront pas que l’approvisionnement en eau potable est sûr
l’avis concernant la qualité de l’eau potable restera en vigueur par mesure de précaution
L’organisme de santé publique recommande d’utiliser de l’eau provenant d’une autre source
Les habitants concernés peuvent obtenir gratuitement des bouteilles d'eau de 10 à 22 heures mardi 31 décembre
à l'intersection de l'Old Skead Road et de la rue Agnes
De l’eau est également disponible aux stations de remplissage de la Ville
Les résidents doivent apporter leurs propres récipients
Santé publique Sudbury et Districts dit qu’elle avisera la municipalité lorsque l’avis concernant la qualité de l’eau potable sera levé
Les résidents du chemin Skead au nord de la rue Falcon
Santé publique de Sudbury et Districts vient de publier un avis concernant l’eau potable pour les résidents du secteur nord de la rue Falcon à Skead
dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"L'alternance de températures hautes et basses de ces derniers jours a ramolli la neige puis l'a fait geler
C’est pendant les opérations de déneigement que la glace a obstrué plusieurs allées de quartiers de la ville
directeur des infrastructures à la Ville du Grand Sudbury
explique que son bureau a reçu de nombreux appels de résidents
Cela fait quelques années que nous n'avons pas eu ce type de situation et les gens sont curieux
pourquoi cela s'est produit et ce que nous pouvons faire pour que cela ne se reproduise plus
Rocca affirme que ses équipes s'affairent à déplacer les amas de glace afin de dégager les allées et les sorties des résidences
Nous avons déployé toutes nos équipes pour déblayer les ruelles des quartiers et les entrées de garage où la quantité de neige que nous avons déposée et les blocs de glace sont impossibles à gérer pour les habitants
Nous le faisons depuis deux jours et nous allons continuer à fournir ce service jusqu'à ce que toutes les routes soient nettoyées
Il souligne que les résidents affectés peuvent contacter la ville
Ouvrir en mode plein écranDes blocs de glace ont été déposés devant plusieurs allées de résidences de la ville pendant les opérations de déneigement
De nombreux Sudburois ont du mal à se déplacer à cause de blocs de glace laissés devant leurs allées et garages par les équipes de déneigement de la Ville
L'alternance de températures hautes et basses de ces derniers jours a ramolli la neige puis l'a fait geler
C’est pendant les opérations de déneigement que la glace a obstrué plusieurs allées de quartiers de la ville
directeur des infrastructures à la Ville du Grand Sudbury
explique que son bureau a reçu de nombreux appels de résidents
Cela fait quelques années que nous n'avons pas eu ce type de situation et les gens sont curieux
Rocca affirme que ses équipes s'affairent à déplacer les amas de glace afin de dégager les allées et les sorties des résidences
Nous avons déployé toutes nos équipes pour déblayer les ruelles des quartiers et les entrées de garage où la quantité de neige que nous avons déposée et les blocs de glace sont impossibles à gérer pour les habitants
Nous le faisons depuis deux jours et nous allons continuer à fournir ce service jusqu'à ce que toutes les routes soient nettoyées
Il souligne que les résidents affectés peuvent contacter la ville
L'alternance de températures hautes et basses de ces derniers jours a ramolli la neige puis l'a fait geler
dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"Selon un communiqué
représente une réduction moyenne de 52,72 $ par jour pour les quelque 2600 familles qui sont inscrites à un tel service de garde
Ouvrir en mode plein écranSelon la Ville du Grand Sudbury
3300 enfants de la communauté sont inscrits à des services de garde à prix réduire (Photo d'archives)
La Ville du Grand Sudbury a annoncé mardi que les frais de garde pour les enfants de moins de 6 ans pour les services qui participent au Système pancanadien d’apprentissage et de garde des jeunes enfants ont été réduits à 22 $ par jour
avec l’objectif de réduire ça à 10 $ par jour d’ici 2026
représente une réduction moyenne de 52,72 $ par jour pour les quelque 2600 familles qui sont inscrites à un tel service de garde
La Ville du Grand Sudbury a annoncé mardi que les frais de garde pour les enfants de moins de 6 ans pour les services qui participent au Système pancanadien d’apprentissage et de garde des jeunes enfants ont été réduits à 22 $ par jour
avec l’objectif de réduire ça à 10 $ par jour d’ici 2026
dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"La police indique qu’elle pense qu’il s’agissait d’une attaque ciblée
Des agents de police et des secouristes ont été dépêchés dans une maison de la rue Lansdowne dimanche après-midi après avoir été informés de la présence d’un véhicule suspect garé dans le garage de la propriété
Les pompiers ont pu accéder à une camionnette Dodge Ram noire dans laquelle ils ont trouvé un homme mort
la police a arrêté une femme de 23 ans pour complicité de meurtre après les faits
Les détectives ont déclaré qu’ils pensent que la femme était la conductrice au moment de l’incident et qu’elle est celle qui a caché le véhicule dans la propriété de la rue Lansdowne
Dans un communiqué de presse publié vendredi
la police a annoncé l’arrestation des trois autres personnes
Il s’agit de deux femmes âgées de 22 et 25 ans et d’un homme de 23 ans
Elles ont toutes été inculpées de complicité de meurtre après les faits
les quatre personnes avaient l’habitude de se rendre dans la propriété où le corps a été retrouvé
Ouvrir en mode plein écranLes détectives demandent aux membres de la communauté disposant d’un équipement de vidéosurveillance dans la zone de l’incident de visionner les images et de contacter la police pour lui communiquer toute information pertinente
Désiré KafundaPublié le 11 avril à 14 h 38 HAEÉcouter l’article | 2 minutesLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale
une technologie basée sur l’intelligence artificielle.Le Service de police de la ville du Grand Sudbury a arrêté quatre personnes en lien avec l’homicide d’un homme de 21 ans
Il poursuit ses recherches pour retrouver le tireur présumé
La police indique qu’elle pense qu’il s’agissait d’une attaque ciblée
Des agents de police et des secouristes ont été dépêchés dans une maison de la rue Lansdowne dimanche après-midi après avoir été informés de la présence d’un véhicule suspect garé dans le garage de la propriété
Les pompiers ont pu accéder à une camionnette Dodge Ram noire dans laquelle ils ont trouvé un homme mort
Ouvrir en mode plein écranDes policiers ont été postés dimanche près d’une maison de la rue Lansdowne à Sudbury
la police a arrêté une femme de 23 ans pour complicité de meurtre après les faits
Les détectives ont déclaré qu’ils pensent que la femme était la conductrice au moment de l’incident et qu’elle est celle qui a caché le véhicule dans la propriété de la rue Lansdowne
Dans un communiqué de presse publié vendredi
la police a annoncé l’arrestation des trois autres personnes
Il s’agit de deux femmes âgées de 22 et 25 ans et d’un homme de 23 ans
Elles ont toutes été inculpées de complicité de meurtre après les faits
les quatre personnes avaient l’habitude de se rendre dans la propriété où le corps a été retrouvé
La police indique qu’elle pense qu’il s’agissait d’une attaque ciblée
Le Service de police de la ville du Grand Sudbury a arrêté quatre personnes en lien avec l’homicide d’un homme de 21 ans
dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"La disposition dérogatoire permet aux législatures provinciales d'ignorer temporairement certaines parties de la Charte canadienne des droits et libertés
La lettre signée par les 13 maires détaille plusieurs demandes
notamment le pouvoir de démanteler les campements
d'interdire la consommation de drogues en plein air et d'imposer la réhabilitation involontaire des toxicomanes et le traitement de la santé mentale
certains résidents de Sudbury estiment qu’il faut avoir recours à d’autres moyens existants pour trouver une solution au problème de toxicomanie sans que les droits fondamentaux soient bafoués
ancien candidat au conseil municipal de Sudbury
suggère de renforcer la loi sur la santé mentale existante
La Loi sur la santé mentale de l'Ontario régit l'évaluation
le traitement et les soins des personnes souffrant de problèmes de santé mentale
Elle établit un équilibre entre les droits individuels et le besoin de soins
en particulier lorsqu'une personne n'est pas en mesure de prendre des décisions concernant son traitement
Il faut donner à la loi sur la santé mentale ce dont elle a besoin pour aider les personnes qui ne peuvent pas prendre ces décisions pour elles-mêmes
Lorsque nous ciblons les personnes non logées souffrant de dépendances
nous détournons l'attention des véritables problèmes sociaux auxquels nos sociétés sont confrontées
La présence de campements dans nos villes n'est pas le problème de fond
C'est le symptôme d'une déchirure plus profonde de notre tissu social
Il suggère que la Ville se concentre sur le renforcement des services de santé mentale et d'aide aux toxicomanes existants
ainsi que sur la construction de logements et de refuges plus abordables
Le groupe Black Lives Matter Sudbury a lancé une campagne d'envoi de lettres intitulée Des maisons et non des menottes pour s'opposer à l'utilisation de la disposition dérogatoire
Le groupe invite le conseil municipal à réorienter le budget de 180 M$ proposé pour la construction de nouveaux locaux pour la police vers des logements durables et des ressources essentielles en matière de santé mentale
Plus de 100 personnes ont signé la pétition en moins de 24 heures
le Grand Sudbury peut créer un environnement plus inclusif et solidaire qui protège la dignité et les droits de tous les résidents
tout en s'attaquant à la sécurité communautaire d'une manière durable et équitable
a écrit le groupe dans une lettre adressée au maire
Santé publique Sudbury et districts a proposé des solutions fondées sur des données probantes qui remettent en question certains aspects de la lettre du maire
Santé publique Sudbury et districts a écrit que les experts en traitement de la toxicomanie du monde entier affirment qu'un ingrédient essentiel du succès est la volonté de changer
Lorsque les gens sont contraints de suivre un traitement contre leur gré
il y a peu de chances qu'ils réussisses
Ce service de santé publique a également recommandé des programmes visant à réduire la stigmatisation des personnes confrontées à des problèmes de santé mentale
Il a appelé au maintien et à l'extension des politiques et des services de réduction des risques
ainsi qu'à la mise en place d'options de traitement faciles d'accès
le maire du Grand Sudbury a fait valoir que les stratégies actuelles sont inefficaces et que la Ville a besoin de plus d'outils pour aider les personnes souffrant de toxicomanie
Je leur réponds que je ne peux rien faire parce qu'ils ont le droit de décider pour eux-mêmes
ils n'ont pas la capacité de décider pour eux-mêmes
La Charte n'a jamais été conçue pour accorder ce type de droits aux personnes souffrant d'une grave dépendance mentale et qui sont manifestement mal en point
Il a ajouté que l'invocation de la disposition dérogatoire n'a pas pour but d'incarcérer les gens
Ouvrir en mode plein écranDes personnes sans domicile fixe utilisent ce type d'espace pour échapper aux intempéries ou consommer de la drogue
Quelques jours après que le maire du Grand Sudbury
et les maires de 12 municipalités de l'Ontario eurent demandé au premier ministre d'invoquer la disposition dérogatoire pour lutter contre les campements de sans-abri
plusieurs groupes et résidents de Sudbury font part de leurs préoccupations
La disposition dérogatoire permet aux législatures provinciales d'ignorer temporairement certaines parties de la Charte canadienne des droits et libertés
notamment le pouvoir de démanteler les campements
d'interdire la consommation de drogues en plein air et d'imposer la réhabilitation involontaire des toxicomanes et le traitement de la santé mentale
certains résidents de Sudbury estiment qu’il faut avoir recours à d’autres moyens existants pour trouver une solution au problème de toxicomanie sans que les droits fondamentaux soient bafoués
suggère de renforcer la loi sur la santé mentale existante
La Loi sur la santé mentale de l'Ontario régit l'évaluation
le traitement et les soins des personnes souffrant de problèmes de santé mentale
Elle établit un équilibre entre les droits individuels et le besoin de soins
en particulier lorsqu'une personne n'est pas en mesure de prendre des décisions concernant son traitement
Ouvrir en mode plein écranPour s'attaquer au problème du sans-abrisme
le groupe Black Lives Matter de Sudbury demande que l'on construise plus de logements abordables
Il faut donner à la loi sur la santé mentale ce dont elle a besoin pour aider les personnes qui ne peuvent pas prendre ces décisions pour elles-mêmes
Lorsque nous ciblons les personnes non logées souffrant de dépendances
nous détournons l'attention des véritables problèmes sociaux auxquels nos sociétés sont confrontées
La présence de campements dans nos villes n'est pas le problème de fond
C'est le symptôme d'une déchirure plus profonde de notre tissu social
Il suggère que la Ville se concentre sur le renforcement des services de santé mentale et d'aide aux toxicomanes existants
Le groupe Black Lives Matter Sudbury a lancé une campagne d'envoi de lettres intitulée Des maisons et non des menottes pour s'opposer à l'utilisation de la disposition dérogatoire
Le groupe invite le conseil municipal à réorienter le budget de 180 M$ proposé pour la construction de nouveaux locaux pour la police vers des logements durables et des ressources essentielles en matière de santé mentale
Plus de 100 personnes ont signé la pétition en moins de 24 heures
le Grand Sudbury peut créer un environnement plus inclusif et solidaire qui protège la dignité et les droits de tous les résidents
tout en s'attaquant à la sécurité communautaire d'une manière durable et équitable
a écrit le groupe dans une lettre adressée au maire
Santé publique Sudbury et districts a proposé des solutions fondées sur des données probantes qui remettent en question certains aspects de la lettre du maire
Santé publique Sudbury et districts a écrit que les experts en traitement de la toxicomanie du monde entier affirment qu'un ingrédient essentiel du succès est la volonté de changer
Lorsque les gens sont contraints de suivre un traitement contre leur gré
Ce service de santé publique a également recommandé des programmes visant à réduire la stigmatisation des personnes confrontées à des problèmes de santé mentale
Il a appelé au maintien et à l'extension des politiques et des services de réduction des risques
ainsi qu'à la mise en place d'options de traitement faciles d'accès
le maire du Grand Sudbury a fait valoir que les stratégies actuelles sont inefficaces et que la Ville a besoin de plus d'outils pour aider les personnes souffrant de toxicomanie
Ouvrir en mode plein écran« En tant que maire du Grand Sudbury
je reconnais les luttes profondes qu'endurent chaque jour les personnes confrontées à l'itinérance
aux problèmes de santé mentale et à la toxicomanie
Ce ne sont pas des problèmes qui peuvent être résolus facilement
et ils ne peuvent pas non plus être ignorés »
Photo : Capture d'écran/Youtube/Premier of Ontario
Je leur réponds que je ne peux rien faire parce qu'ils ont le droit de décider pour eux-mêmes
ils n'ont pas la capacité de décider pour eux-mêmes
La Charte n'a jamais été conçue pour accorder ce type de droits aux personnes souffrant d'une grave dépendance mentale et qui sont manifestement mal en point
Il a ajouté que l'invocation de la disposition dérogatoire n'a pas pour but d'incarcérer les gens
La disposition dérogatoire permet aux législatures provinciales d'ignorer temporairement certaines parties de la Charte canadienne des droits et libertés
La lettre signée par les 13 maires détaille plusieurs demandes
et les maires de 12 municipalités de l'Ontario eurent demandé au premier ministre d'invoquer la disposition dérogatoire pour lutter contre les campements de sans-abri
coordonnateur des services de logement au Centre de santé communautaire du Grand Sudbury
plaide pour des solutions urgentes et adaptées à la crise de l’itinérance qui touche la région
(Photo d’archives)PHOTO : CBC/Markus SchwabeCitoyens
experts et candidats aux élections fédérales dans le Grand Sudbury étaient réunis mercredi soir pour un débat au format unique présenté par le YWCA
L’organisme a fait appel à des experts pour parler des enjeux électoraux en lien avec la violence basée sur le genre
les obstacles pour les immigrants et les réfugiés
le logement et le sans-abrisme et les services de garde abordables
on leur laissait la parole pour qu’ils puissent poser des questions aux candidats
coordonnateur des services de logement au Centre de santé communautaire du Grand Sudbury et l’un des experts de la soirée
est revenu sur son expérience avec l’équipe de Jonction 11-17
L'organisme a fait appel à des experts pour parler des enjeux électoraux en lien avec la violence basée sur le genre
on leur laissait la parole pour qu'ils puissent poser des questions aux candidats
coordonnateur des services de logement au Centre de santé communautaire du Grand Sudbury et l'un des experts de la soirée
est revenu sur son expérience avec l'équipe de Jonction 11-17
dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"Une trentaine de manifestants
incluant des politiciens provinciaux et fédéraux
ont participé au traditionnel et dernier cri de ralliement de l’organisme
La militante Sophia Mathur participe aux manifestations depuis l’âge de 11 ans
mais elle s’apprête à quitter la région pour un parcours universitaire
La jeune femme de 18 ans estime qu’elle passe le flambeau aux prochains environnementalistes de la communauté
Je pars de la région de Sudbury en sachant que j’ai mis en œuvre des changements
Mlle Mathur va continuer son combat pour l’environnement avec le cabinet d’avocats Ecojustice
Des militants poursuivent leurs rassemblements pour le climat à Sudbury
Climat : 7 jeunes Ontariens accusent en appel la province de violer leurs droits
un élève de 11e année à l’école secondaire St Benedict
participe pour la deuxième fois au rassemblement
Il pense que la fin des manifestations de Fridays for future n’empêchera pas le militantisme environnemental de continuer dans la ville du nickel
J’en fais beaucoup pour l’environnement
même s’il n’y a plus de Friday’s for future
Il espère que la Ville du Grand Sudbury atteindra ses objectifs de carboneutralité, avant l’année 2050. La municipalité avait annoncé qu’elle n’était pas encore en voie d’y parvenir
Samuel Sweet est encouragé par Salma Mohammed qui participe elle aussi au rassemblement
Elle encourage les jeunes à s’impliquer et demande que leur avenir soit pris en considération lorsque l’on prend des initiatives sur l’environnement
Elle espère que d’autres jeunes de Sudbury seront capables de continuer le combat pour la protection de l’environnement
Ouvrir en mode plein écranDes militants de l’organisme environnemental Friday’s for future ont participé à leur dernier rassemblement vendredi
un organisme du Grand Sudbury qui milite pour l’environnement a organisé sa dernière manifestation vendredi
incluant des politiciens provinciaux et fédéraux
ont participé au traditionnel et dernier cri de ralliement de l’organisme
La militante Sophia Mathur participe aux manifestations depuis l’âge de 11 ans
mais elle s’apprête à quitter la région pour un parcours universitaire
La jeune femme de 18 ans estime qu’elle passe le flambeau aux prochains environnementalistes de la communauté
Ouvrir en mode plein écranSophia Mathur donne son discours lors du dernier rassemblement environnemental de l’organisme Friday’s for future
Je pars de la région de Sudbury en sachant que j’ai mis en œuvre des changements
un élève de 11e année à l’école secondaire St Benedict
participe pour la deuxième fois au rassemblement
Il pense que la fin des manifestations de Fridays for future n’empêchera pas le militantisme environnemental de continuer dans la ville du nickel
même s’il n’y a plus de Friday’s for future
Ouvrir en mode plein écranSamuel Sweet espère que le militantisme environnemental de Sudbury s’éternise
Samuel Sweet est encouragé par Salma Mohammed qui participe elle aussi au rassemblement
Ouvrir en mode plein écranSalma Mohammed est accompagnée d’un jeune activiste pour l’environnement lors du dernier rassemblement de l’organisme Friday’s for future
Elle encourage les jeunes à s’impliquer et demande que leur avenir soit pris en considération lorsque l’on prend des initiatives sur l’environnement
Elle espère que d’autres jeunes de Sudbury seront capables de continuer le combat pour la protection de l’environnement
Mlle Mathur va continuer son combat pour l’environnement avec le cabinet d’avocats Ecojustice
Des militants poursuivent leurs rassemblements pour le climat à Sudbury
Climat : 7 jeunes Ontariens accusent en appel la province de violer leurs droits
Il espère que la Ville du Grand Sudbury atteindra ses objectifs de carboneutralité, avant l’année 2050. La municipalité avait annoncé qu’elle n’était pas encore en voie d’y parvenir
Les travaux de démantèlement de la supercheminée devraient suivre directement et la démolition durera environ cinq ans.
Dans un communiqué, Vale Base Metals rappelle que ces structures ne fonctionnaient plus. La supercheminée est inactive depuis 2020.
Les deux ont été mises hors service après l’achèvement des travaux du Plan de réduction des émissions atmosphériques (Clean AER).
La compagnie minière assure que le démantèlement se fera selon des protocoles de sécurité stricts. La diminution des perturbations pour la communauté sera également une priorité.
La minière souhaite recueillir les propositions des habitants pour célébrer la supercheminée.
Elle voudrait que cette cheminée continue de résonner au sein de la communauté qu'elle a longtemps façonnée.
David Lesbarrères, résident de Sudbury travaillant pour Environnement Canada, reconnaît que la supercheminée de Sudbury est un symbole de l'économie de Sudbury par le développement des mines, mais qu'elle est aussi un symbole de la pollution de l'environnement.
Elle est apparue pour que toutes les pollutions et les nuages de fumée ne restent pas à Sudbury, mais s'en aillent beaucoup plus loin, affirme-t-il.
L’écologiste et professeur associé à l'Université Laurentienne Daniel Campbell ajoute que les effets de la grande cheminée de la ville du nickel se sont fait ressentir jusque dans l’est de l'Amérique du Nord, où ils ont produit des pluies acides.
Avec le démantèlement de la supercheminée, on va démontrer que l'on continue avec le cheminement environnemental, que l'on continue de protéger notre territoire.
M. Campbell note une évolution dans la sauvegarde de l’environnement.
Dans les années 1970, on pensait que cette cheminée était une solution, dit-il.
David Lesbarrères fait remarquer que les choses ont évolué aussi et que la supercheminée n’est plus à la mode.
Beaucoup d'efforts ont été fournis pour réduire les émissions de sulfates et d'autres polluants, explique-t-il.
Il n’y a plus d'émanations de gaz, ce qui fait que cette cheminée [est devenue ] obsolète.
Margaret Julian habite le quartier de Copper Cliff depuis 40 ans.
Sa résidence se trouve à moins de 5 km de la supercheminée du Grand Sudbury.
Elle confie que cette cheminée, la deuxième plus haute au monde, lui manquera beaucoup.
Quand nous voyagions dans le Sud, au retour à Sudbury, c'était le point de repère que mes enfants voyaient à l'arrivée, dit-elle.
Elle se rappelle également que ce monument a été une source d'emploi importante pour de nombreux habitants de la ville.
Elle se félicite toutefois qu'il existe aujourd'hui d'autres moyens modernes pour réduire la pollution.
C'est une énorme quantité de pollution qui a été réduite, nos enfants ne sentent plus de soufre dans l’air lorsqu’ils sont en récréation à l’école, conclut Margaret Julian en se réjouissant.
Ouvrir en mode plein écranVue spectaculaire de la supercheminée de la minière Vale à Sudbury (Photo d'archives)
Venant NshimyumurwaPublié le 6 septembre 2024 à 5 h 57 HAEÉcouter l’article | 4 minutesLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale, une technologie basée sur l’intelligence artificielle.L'entreprise Vale Base Metals a annoncé mercredi qu’elle allait commencer le démantèlement de deux cheminées à Sudbury, dont l’emblématique supercheminée de la fonderie de Copper Cliff, qui mesure 381 m de haut.
La minière commencera par démonter la plus petite des deux cheminées. La fin du démantèlement est prévue pour 2025.
Les travaux de démantèlement de la supercheminée devraient suivre directement et la démolition durera environ cinq ans.
Dans un communiqué, Vale Base Metals rappelle que ces structures ne fonctionnaient plus. La supercheminée est inactive depuis 2020.
Ouvrir en mode plein écranConstruite en 1972, la grande cheminée de Sudbury sera démolie d'ici 2030.
Les deux ont été mises hors service après l’achèvement des travaux du Plan de réduction des émissions atmosphériques (Clean AER).
La compagnie minière assure que le démantèlement se fera selon des protocoles de sécurité stricts. La diminution des perturbations pour la communauté sera également une priorité.
La minière souhaite recueillir les propositions des habitants pour célébrer la supercheminée.
Elle voudrait que cette cheminée continue de résonner au sein de la communauté qu'elle a longtemps façonnée.
David Lesbarrères, résident de Sudbury travaillant pour Environnement Canada, reconnaît que la supercheminée de Sudbury est un symbole de l'économie de Sudbury par le développement des mines, mais qu'elle est aussi un symbole de la pollution de l'environnement.
Elle est apparue pour que toutes les pollutions et les nuages de fumée ne restent pas à Sudbury, mais s'en aillent beaucoup plus loin, affirme-t-il.
Ouvrir en mode plein écranLa supercheminée de Sudbury représente la force économique de la ville qui est sortie de terre par la découverte des minéraux, selon David Lesbarrères.
L’écologiste et professeur associé à l'Université Laurentienne Daniel Campbell ajoute que les effets de la grande cheminée de la ville du nickel se sont fait ressentir jusque dans l’est de l'Amérique du Nord, où ils ont produit des pluies acides.
Avec le démantèlement de la supercheminée, on va démontrer que l'on continue avec le cheminement environnemental, que l'on continue de protéger notre territoire.
M. Campbell note une évolution dans la sauvegarde de l’environnement.
Dans les années 1970, on pensait que cette cheminée était une solution, dit-il.
David Lesbarrères fait remarquer que les choses ont évolué aussi et que la supercheminée n’est plus à la mode.
Beaucoup d'efforts ont été fournis pour réduire les émissions de sulfates et d'autres polluants, explique-t-il.
Il n’y a plus d'émanations de gaz, ce qui fait que cette cheminée [est devenue ] obsolète.
Margaret Julian habite le quartier de Copper Cliff depuis 40 ans.
Sa résidence se trouve à moins de 5 km de la supercheminée du Grand Sudbury.
Elle confie que cette cheminée, la deuxième plus haute au monde, lui manquera beaucoup.
Quand nous voyagions dans le Sud, au retour à Sudbury, c'était le point de repère que mes enfants voyaient à l'arrivée, dit-elle.
Ouvrir en mode plein écranMargaret Julian, une résidente de Copper Cliff, affirme que la supercheminée qui est tout près de là où elle habite lui manquera.
Elle se rappelle également que ce monument a été une source d'emploi importante pour de nombreux habitants de la ville.
Elle se félicite toutefois qu'il existe aujourd'hui d'autres moyens modernes pour réduire la pollution.
C'est une énorme quantité de pollution qui a été réduite, nos enfants ne sentent plus de soufre dans l’air lorsqu’ils sont en récréation à l’école, conclut Margaret Julian en se réjouissant.
La minière commencera par démonter la plus petite des deux cheminées
La fin du démantèlement est prévue pour 2025
Les travaux de démantèlement de la supercheminée devraient suivre directement et la démolition durera environ cinq ans
Vale Base Metals rappelle que ces structures ne fonctionnaient plus
La supercheminée est inactive depuis 2020
Les deux ont été mises hors service après l’achèvement des travaux du Plan de réduction des émissions atmosphériques (Clean AER)
La compagnie minière assure que le démantèlement se fera selon des protocoles de sécurité stricts
La diminution des perturbations pour la communauté sera également une priorité
La minière souhaite recueillir les propositions des habitants pour célébrer la supercheminée
Elle voudrait que cette cheminée continue de résonner au sein de la communauté qu'elle a longtemps façonnée
résident de Sudbury travaillant pour Environnement Canada
reconnaît que la supercheminée de Sudbury est un symbole de l'économie de Sudbury par le développement des mines
mais qu'elle est aussi un symbole de la pollution de l'environnement
Elle est apparue pour que toutes les pollutions et les nuages de fumée ne restent pas à Sudbury
L’écologiste et professeur associé à l'Université Laurentienne Daniel Campbell ajoute que les effets de la grande cheminée de la ville du nickel se sont fait ressentir jusque dans l’est de l'Amérique du Nord
Avec le démantèlement de la supercheminée
on va démontrer que l'on continue avec le cheminement environnemental
que l'on continue de protéger notre territoire
M. Campbell note une évolution dans la sauvegarde de l’environnement
on pensait que cette cheminée était une solution
David Lesbarrères fait remarquer que les choses ont évolué aussi et que la supercheminée n’est plus à la mode
Beaucoup d'efforts ont été fournis pour réduire les émissions de sulfates et d'autres polluants
Il n’y a plus d'émanations de gaz
ce qui fait que cette cheminée [est devenue ] obsolète
Margaret Julian habite le quartier de Copper Cliff depuis 40 ans
Sa résidence se trouve à moins de 5 km de la supercheminée du Grand Sudbury
c'était le point de repère que mes enfants voyaient à l'arrivée
Elle se rappelle également que ce monument a été une source d'emploi importante pour de nombreux habitants de la ville
Elle se félicite toutefois qu'il existe aujourd'hui d'autres moyens modernes pour réduire la pollution
C'est une énorme quantité de pollution qui a été réduite
nos enfants ne sentent plus de soufre dans l’air lorsqu’ils sont en récréation à l’école
conclut Margaret Julian en se réjouissant
L'entreprise Vale Base Metals a annoncé mercredi qu’elle allait commencer le démantèlement de deux cheminées à Sudbury
dont l’emblématique supercheminée de la fonderie de Copper Cliff
dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"Il s'agit du dernier bâtiment qui doit être acheté et démoli pour créer l'espace nécessaire à la construction d'un nouvel aréna et d'un centre d'événements
Wacky Wings est le seul commerce dont le propriétaire a refusé de le vendre à la Ville l'année dernière
Les autres immeubles environnants ont été démolis au cours des derniers mois
La Ville devra éventuellement payer en plus des dommages-intérêts pour l'expropriation
Le propriétaire conserve le droit de demander une indemnisation supplémentaire en vertu de la Loi sur l'expropriation
directeur général de la Croissance et de l'Infrastructure du Grand Sudbury
la Loi sur l'expropriation est utile pour accélérer les projets
mais elle ne permet pas nécessairement d'agir rapidement
il faudra probablement attendre plusieurs années avant de connaître le résultat final
À la question du conseiller municipal Mark Signoretti qui voulait savoir si les avantages de la démolition de ces propriétés l'emportaient sur les coûts
M. Cecutti a répondu que l'impact positif du projet ne se ferait sentir qu'à long terme
Les retombées ne seront pas nécessairement évidentes le jour de l'ouverture du centre événementiel et
le développement privé suivra quelques années plus tard
la Ville du Grand Sudbury a dépensé environ 16 M$ pour acheter et démolir des propriétés du centre-ville
La Ville du Grand Sudbury a officiellement choisi un cabinet d'architectes pour le nouvel aréna et le centre d'événements
La firme torontoise B-B-B Architects a été retenue pour concevoir le projet de 200 M$ en partenariat avec la firme locale J.L. Richards and Associates
Ils sont bien connus de tous les membres du conseil de Sudbury et
s’est félicité Mark Signoretti
D’après le reportage d’Aya Dufour
Le propriétaire du restaurant Wacky Wings au centre-ville du Grand Sudbury recevra au moins 2,4 M$ de la Ville pour son expropriation
car il s'agit de la valeur de la propriété sur le marché immobilier
Il s'agit du dernier bâtiment qui doit être acheté et démoli pour créer l'espace nécessaire à la construction d'un nouvel aréna et d'un centre d'événements
Wacky Wings est le seul commerce dont le propriétaire a refusé de le vendre à la Ville l'année dernière
Les autres immeubles environnants ont été démolis au cours des derniers mois
La Ville devra éventuellement payer en plus des dommages-intérêts pour l'expropriation
Le propriétaire conserve le droit de demander une indemnisation supplémentaire en vertu de la Loi sur l'expropriation
directeur général de la Croissance et de l'Infrastructure du Grand Sudbury
la Loi sur l'expropriation est utile pour accélérer les projets
mais elle ne permet pas nécessairement d'agir rapidement
il faudra probablement attendre plusieurs années avant de connaître le résultat final
À la question du conseiller municipal Mark Signoretti qui voulait savoir si les avantages de la démolition de ces propriétés l'emportaient sur les coûts
Cecutti a répondu que l'impact positif du projet ne se ferait sentir qu'à long terme
Les retombées ne seront pas nécessairement évidentes le jour de l'ouverture du centre événementiel et
le développement privé suivra quelques années plus tard
la Ville du Grand Sudbury a dépensé environ 16 M$ pour acheter et démolir des propriétés du centre-ville
La Ville du Grand Sudbury a officiellement choisi un cabinet d'architectes pour le nouvel aréna et le centre d'événements
La firme torontoise B-B-B Architects a été retenue pour concevoir le projet de 200 M$ en partenariat avec la firme locale J.L
Il s'agit du dernier bâtiment qui doit être acheté et démoli pour créer l'espace nécessaire à la construction d'un nouvel aréna et d'un centre d'événements
Le propriétaire du restaurant Wacky Wings au centre-ville du Grand Sudbury recevra au moins 2,4 M$ de la Ville pour son expropriation
car il s'agit de la valeur de la propriété sur le marché immobilier
SUDBURY – Le conseil d’administration de la Place des Arts (PDA) du Grand Sudbury a adopté une nouvelle vision d’affaires visant à assurer sa pérennité
fermeture du service de restauration et création d’un institut figurent parmi les orientations de l’organisme pour les prochaines années
« La PDA est dorénavant gérée comme une petite entreprise. On demeure un organisme à but non lucratif mais on initie des projets pour générer des revenus », confie Denis J. Bertrand qui assure le rôle de directeur général par intérim depuis quatre mois.
« On n’attend pas de savoir quelle va être l’orientation du prochain programme de subvention
il est essentiel de recruter davantage selon M
Bertrand : « On va de l’avant avec ces projets mais
au fur et à mesure qu’on avance avec ça
il faut embaucher du personnel. »
Il y a quelques mois, ONFR apprenait que la Place des Arts accusait un déficit de près de 500 000 $ et que son bistro ne générait pas de profits
la fermeture du service de restauration du bistro
Le bistro assumera uniquement ses rôles de traiteur et de service de bar à compter du mois de décembre : « Autrement dit, si tu rentres dans la Place des Arts aujourd’hui et que tu veux un sandwich, il n’y en aura pas. »
on compte l’application de frais additionnels de 25 % ainsi qu’un tarif majoré à temps et demi pour toute demande de service reçue dans les sept jours précédant un événement
« C’est juste un bon sens de business »
président du conseil d’administration de la Place des Arts
L’organisme a aussi procédé à une révision des tarifs de location de salle
« Les tarifs actuels de la PDA ne couvrent pas les dépenses réelles nécessaires pour opérer les espaces »
après avoir entrepris une étude afin de comparer les tarifs de location des installations de la PDA avec ceux en vigueur chez d’autres lieux de diffusion des arts de la scène en ville
« Notre première analyse démontre que les tarifs de la PDA sont largement inférieurs à ceux de nos homologues régionaux
bien que nos salles bénéficient d’une meilleure infrastructure et d’équipements de haute qualité. »
Pour accroître l’attraction autour de la PDA
le conseil d’administration a approuvé à l’unanimité la création d’un institut de professionnalisation artistique et culturel (IPAC)
Il s’agit d’une des initiatives visant à faire de la PDA « une plaque tournante pour les arts
la culture et le patrimoine non seulement au niveau local
mais au niveau provincial et national »
Sa mission : « soutenir le développement artistique et professionnel des artistes
des travailleuses et des travailleurs de ces secteurs par l’entremise de programmes annuels qui répondront à leurs besoins. »
Cet institut sera composé de deux volets : développement de compétence et développement artistique
il s’agira notamment de rendre disponibles des formations en gestion et développement de stratégie pour les professionnels de l’industrie
d’ateliers pratiques pour les métiers techniques
d’outils pour l’organisation d’évènements culturels ou encore le partage de ressources entre organismes et pairs
on parle de mettre en place des résidences artistiques
des soutiens aux artistes et des stages de création
« L’objectif n’est pas de retirer ni remplacer ce qui existe déjà
mais plutôt de mutualiser les ressources et de rassembler les initiatives de chacun sous une bannière commune »
souligne-t-on dans un autre document obtenu par ONFR
Prochaine étape : mettre sur pied un comité afin de guider le développement du projet
Bien qu’il n’y ait pas encore de date pour son lancement
l’institut devrait officiellement démarrer en 2025-2026 après une année de développement et un possible projet pilote
« En tant que destination de choix pour les arts
la culture et le perfectionnement professionnel
l’Institut attirera des visiteurs de tout l’Ontario et d’ailleurs
ce qui contribuera à accroître la demande dans les hôtels
les restaurants et les magasins de détail de la région. »
Ce projet s’inscrit dans le cadre du renouvellement du Plan directeur du centre-ville du Grand Sudbury et l’énoncé économique 2024
Le président du conseil d’administration se veut enthousiaste concernant la situation financière actuelle de l’établissement qui a fêté ses deux ans en avril dernier et qui perdait, au même moment, son directeur général.
Lapierre a fait savoir que les chiffres de l’année 2024 seront présentés lors de l’assemblée générale annuelle en janvier : « On va voir ce que ça va nous apporter mais je peux dire que c’est mieux que l’an passé. »
Et d’ajouter : « Statistiquement
ça peut prendre jusqu’à cinq ans avant de voir du profit. »
Celui qui est aussi conseiller municipal pour la ville du Grand Sudbury souhaite lancer un message aux sceptiques : « Si vous vous vous inquiétez au sujet de la PDA
vous allez voir que vous aurez du fun! »
« On a augmenté nos revenus grâce aux locations et on a des clients externes qui nous ont déjà indiqué une volonté d’accroître leur utilisation de nos espaces
2024 a été une bonne année et on anticipe que 2025 sera encore meilleure »
Bertrand qui ajoute qu’il ne serait pas là s’il ne croyait pas en l’avenir de la Place des Arts
dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"Dans un communiqué
la Ville affirme que l'initiative contribuera à créer un environnement sûr pour les transports en commun
ce qui a été mentionné comme une préoccupation par le personnel et les passagers
Le service de transport en commun GOVA lancera également une campagne d'éducation publique pour fournir des informations supplémentaires aux usagers
Ouvrir en mode plein écranLa Ville du Grand Sudbury dit vouloir améliorer la sécurité dans les autobus et s'attaquer à l'évasion tarifaire
La Ville du Grand Sudbury dit vouloir améliorer la sécurité dans les autobus en ayant des employés responsables de l’application des règlements à bord
La Ville veut ainsi s'attaquer aux problèmes qui perturbent les services de transport en commun et à la question de l'évasion tarifaire
la Ville affirme que l'initiative contribuera à créer un environnement sûr pour les transports en commun
ce qui a été mentionné comme une préoccupation par le personnel et les passagers
Le service de transport en commun GOVA lancera également une campagne d'éducation publique pour fournir des informations supplémentaires aux usagers
La Ville veut ainsi s'attaquer aux problèmes qui perturbent les services de transport en commun et à la question de l'évasion tarifaire
dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"Elsie Ekoto
est l’illustration parfaite du succès de cette initiative
Elle est devenue gestionnaire des finances au Carrefour francophone de Sudbury en passant par l’épreuve de la Foire de l’emploi francophone du Grand Sudbury
qui se tient virtuellement chaque année
cette jeune femme s’est d’abord installée à Ottawa
où elle était à la recherche d’un emploi
Pendant que j’étais dans mes recherches […]
j’ai reçu un lien qui me parlait de la foire de l’emploi du Grand Sudbury
c’était un peu serré parce que c’est vraiment la porte d’entrée de tous les immigrants
Mme Ekoto révèle que l’aspect virtuel de cette activité lui a facilité la tâche
Donc je n’avais pas besoin de me déplacer à Sudbury pour y participer
Elle se rappelle aussi avoir été mise directement en contact avec les employeurs et avoir eu l’occasion de participer à du speed-jobbing
un procédé lors duquel un candidat doit convaincre un employeur en quelques minutes qu’il est la personne la plus qualifiée pour le poste offert
C’est comme ça qu’elle a rencontré son employeur actuel
Certains organismes francophones locaux soutiennent que la foire est un outil nécessaire pour les communautés de la région
C’était vraiment important de développer une initiative qui nous permettait de mettre en relation les employeurs francophones ou bilingues avec des chercheurs d’emploi francophones parce que les réseaux existants à l’époque ne le permettaient pas
souligne la coordonnatrice en promotion de la santé au Centre de santé communautaire du Grand Sudbury
Nous savons que l’emploi est un facteur extrêmement important dans la qualité de vie des personnes
que ça prend un emploi pour survivre économiquement
mais aussi pour sentir qu’on réalise son potentiel et qu’on contribue à notre communauté
Pour le coordonnateur du Réseau de soutien à l’immigration francophone du Nord de l’Ontario
la foire a le potentiel de contribuer à la rétention des nouveaux arrivants
On a nos 300 nouveaux résidents permanents francophones de 2024 qui ont dit : \"Je veux m’établir à Sudbury\" et qu’on peut retenir à travers cette foire
Ça permet vraiment de répondre à une de leurs principales priorités en arrivant
qui est d’avoir de l’argent qui rentre
elle a une liste d’astuces pour les nouveaux arrivants qui aimeraient décrocher un emploi comme elle l'a fait
être quand même à l’affût de l’information
ne pas attendre que les choses viennent à soi-même
La Foire de l’emploi francophone du Grand Sudbury se déroule du 12 au 14 mars
Avec les informations d'Elsie Miclisse et de Chris St-Pierre
est devenue gestionnaire des finances au Carrefour francophone de Sudbury en passant par la foire de l’emploi de Sudbury
Désiré KafundaPublié le 13 mars à 9 h 05 HAEÉcouter l’article | 4 minutesLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale
une technologie basée sur l’intelligence artificielle.De nouveaux arrivants francophones se tournent vers la foire de l’emploi du Grand Sudbury pour trouver du travail et pour s’intégrer à leur société d’accueil
est l’illustration parfaite du succès de cette initiative
Elle est devenue gestionnaire des finances au Carrefour francophone de Sudbury en passant par l’épreuve de la Foire de l’emploi francophone du Grand Sudbury
cette jeune femme s’est d’abord installée à Ottawa
Pendant que j’étais dans mes recherches […]
j’ai reçu un lien qui me parlait de la foire de l’emploi du Grand Sudbury
c’était un peu serré parce que c’est vraiment la porte d’entrée de tous les immigrants
Mme Ekoto révèle que l’aspect virtuel de cette activité lui a facilité la tâche
Donc je n’avais pas besoin de me déplacer à Sudbury pour y participer
Lancer l’écoute|6 minElle se rappelle aussi avoir été mise directement en contact avec les employeurs et avoir eu l’occasion de participer à du speed-jobbing
un procédé lors duquel un candidat doit convaincre un employeur en quelques minutes qu’il est la personne la plus qualifiée pour le poste offert
C’est comme ça qu’elle a rencontré son employeur actuel
Certains organismes francophones locaux soutiennent que la foire est un outil nécessaire pour les communautés de la région
C’était vraiment important de développer une initiative qui nous permettait de mettre en relation les employeurs francophones ou bilingues avec des chercheurs d’emploi francophones parce que les réseaux existants à l’époque ne le permettaient pas
souligne la coordonnatrice en promotion de la santé au Centre de santé communautaire du Grand Sudbury
Ouvrir en mode plein écranMonique Beaudoin
du Centre de santé communautaire du Grand Sudbury
estime que la Foire de l’emploi francophone vient en aide aux communautés francophones de la région
Nous savons que l’emploi est un facteur extrêmement important dans la qualité de vie des personnes
que ça prend un emploi pour survivre économiquement
mais aussi pour sentir qu’on réalise son potentiel et qu’on contribue à notre communauté
Pour le coordonnateur du Réseau de soutien à l’immigration francophone du Nord de l’Ontario
la foire a le potentiel de contribuer à la rétention des nouveaux arrivants
On a nos 300 nouveaux résidents permanents francophones de 2024 qui ont dit : "Je veux m’établir à Sudbury" et qu’on peut retenir à travers cette foire
Ça permet vraiment de répondre à une de leurs principales priorités en arrivant
coordonnateur du Réseau de soutien à l’immigration francophone du Nord de l’Ontario
mise sur la foire de l’emploi de Sudbury pour garder de nouveaux arrivants dans la région
elle a une liste d’astuces pour les nouveaux arrivants qui aimeraient décrocher un emploi comme elle l'a fait
être quand même à l’affût de l’information
ne pas attendre que les choses viennent à soi-même
La Foire de l’emploi francophone du Grand Sudbury se déroule du 12 au 14 mars
On a nos 300 nouveaux résidents permanents francophones de 2024 qui ont dit : \\\"Je veux m’établir à Sudbury\\\" et qu’on peut retenir à travers cette foire
De nouveaux arrivants francophones se tournent vers la foire de l’emploi du Grand Sudbury pour trouver du travail et pour s’intégrer à leur société d’accueil
dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"Il a toutefois refusé de dévoiler les raisons précises de ce congédiement
qui a été annoncé mardi soir
je ne veux pas rentrer dans des détails personnels
Il affirme que M. Archer a fait un bon travail pendant les huit années où il a été en poste
mais le conseil a jugé qu’il était temps de passer à un nouveau leadership et avec une nouvelle voix
Le maire confirme que la Ville est tenue de verser une indemnité de départ à M. Archer
selon les termes du contrat signé par un conseil municipal précédent
Ed Archer a reçu un salaire de 297 160 $ en 2023
en plus d’avantages imposables de 11 136 $
La municipalité se mettra à la recherche d'un successeur immédiatement
Nous recherchons quelqu'un qui soit enthousiaste à l'idée d'être ici
qui ait envie d'être ici et de vivre dans notre ville
occupera le rôle de directeur général par intérim
Avec les informations de Jonathan Pinto de CBC et d'Éric Robitaille
Ouvrir en mode plein écranLa Ville du Grand Sudbury a mis fin au contrat de son directeur général
Le directeur général de la Ville du Grand Sudbury
a confirmé à Radio-Canada que c'est le conseil municipal qui a décidé de mettre fin à son contrat
Il a toutefois refusé de dévoiler les raisons précises de ce congédiement
je ne veux pas rentrer dans des détails personnels
Archer a fait un bon travail pendant les huit années où il a été en poste
mais le conseil a jugé qu’il était temps de passer à un nouveau leadership et avec une nouvelle voix
Le maire confirme que la Ville est tenue de verser une indemnité de départ à M
selon les termes du contrat signé par un conseil municipal précédent
Ed Archer a reçu un salaire de 297 160 $ en 2023
en plus d’avantages imposables de 11 136 $
La municipalité se mettra à la recherche d'un successeur immédiatement
Nous recherchons quelqu'un qui soit enthousiaste à l'idée d'être ici
qui ait envie d'être ici et de vivre dans notre ville
occupera le rôle de directeur général par intérim
Avec les informations de Jonathan Pinto de CBC et d'Éric Robitaille
Il a toutefois refusé de dévoiler les raisons précises de ce congédiement
n'est plus à l'emploi de la Municipalité
a confirmé à Radio-Canada que c'est le conseil municipal qui a décidé de mettre fin à son contrat
dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"Le premier ministre ontarien
en a fait l’annonce lundi après-midi à Naughton
La Ville utilisera l’argent pour moderniser le réseau des eaux usées du secteur de Lively-Walden
Ce projet permettra de créer immédiatement 585 logements
a précisé le maire du Grand Sudbury
et ouvrira la voie à des milliers d'autres
la députée néo-démocrate de Nickel Belt affirme qu'il s'agit d'un investissement qui n'a que trop tardé
France Gélinas affirme qu'il a toujours été de la responsabilité de la province de réparer l'usine de traitement des eaux
Ouvrir en mode plein écranLe maire du Grand Sudbury
a déclaré que l'investissement de la province
aidera la Ville à surpasser ses objectifs en matière de logement
Le gouvernement de l’Ontario versera jusqu’à 34,9 millions de dollars à la Ville du Grand Sudbury pour l’amélioration des infrastructures de gestion des eaux usées
permettant ainsi de soutenir la construction de milliers de logements
en a fait l’annonce lundi après-midi à Naughton
La Ville utilisera l’argent pour moderniser le réseau des eaux usées du secteur de Lively-Walden
Ce projet permettra de créer immédiatement 585 logements
et ouvrira la voie à des milliers d'autres
la députée néo-démocrate de Nickel Belt affirme qu'il s'agit d'un investissement qui n'a que trop tardé
France Gélinas affirme qu'il a toujours été de la responsabilité de la province de réparer l'usine de traitement des eaux
Le gouvernement de l’Ontario versera jusqu’à 34,9 millions de dollars à la Ville du Grand Sudbury pour l’amélioration des infrastructures de gestion des eaux usées
dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"Pour se rendre à Moncton
rencontré à l’aéroport
Il croit que des vols vers d’autres villes de l’est du Canada
permettraient entre autres aux voyageurs d’économiser du temps
en évitant les escales à Toronto
M. Mayer accueille avec joie la nouvelle liaison entre Sudbury et Calgary qui sera offerte par WestJet de juin à octobre 2025.
Ça ne peut pas faire de tort, affirme pour sa part James Callaway, un autre voyageur, au sujet de l'ajout de vols.
Le Nord de l’Ontario est vaste, alors plus de liaisons aériennes c’est assurément mieux.
Pour sa part, Mike Heald aimerait voir des vols vers des destinations internationales.
En raison de l’endroit où on est situé et comme nous sommes la plus grande ville du Nord de l’Ontario, je crois qu’on devrait avoir un aéroport international, a-t-il déclaré.
Il a profité par le passé de vols offerts par la compagnie aérienne Sunwing vers le sud depuis Sudbury. Cette commodité me manque.
Christopher Pollesel, responsable de l'expérience des passagers et de la sécurité aérienne à l'aéroport du Grand Sudbury, affirme que des efforts sont menés pour offrir plus de vols.
Nous savons que la demande se situe au niveau domestique, vers l'Ouest du Canada ainsi que vers d'autres aéroports importants.
Il explique que l’aéroport a préparé une étude de rentabilité qui est partagée avec les compagnies aériennes qui desservent déjà le Grand Sudbury ainsi qu’à d’autres entreprises.
Nous voulons continuer à stimuler la croissance de nos services aériens ici à l'aéroport, poursuit-il.
M. Pollesel assure que l’aéroport du Grand Sudbury est en mesure d’accueillir davantage de voyageurs.
Il souligne que les travaux menés actuellement pour améliorer la zone d’attente pour les voyageurs devraient être achevés d’ici le temps des Fêtes.
Avec les informations de Sacha-Wilky Merazil
Miguelle-Éloïse est journaliste pour Radio-Canada depuis 2018. Après avoir travaillé pendant près de sept ans dans le Nord de l'Ontario, elle est de retour dans son Bas-Saint-Laurent natal depuis mars 2025. Elle s'intéresse entre autres à l'éducation, à la politique, à l'histoire, à la musique, à la recherche scientifique et aux jeux vidéo.
Ouvrir en mode plein écranBruce Mayer aimerait qu'il y ait davantage de vols entre Sudbury et des villes du Québec et des Maritimes.
Miguelle-Éloïse LachancePublié le 19 novembre 2024 à 17 h 30 HAEÉcouter l’article | 3 minutesLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale
une technologie basée sur l’intelligence artificielle.Des voyageurs espèrent que l’aéroport du Grand Sudbury ajoutera prochainement des vols vers davantage de destinations après l’annonce d’une nouvelle liaison vers Calgary
Il croit que des vols vers d’autres villes de l’est du Canada
permettraient entre autres aux voyageurs d’économiser du temps
Ça ne peut pas faire de tort, affirme pour sa part James Callaway, un autre voyageur, au sujet de l'ajout de vols.
Le Nord de l’Ontario est vaste, alors plus de liaisons aériennes c’est assurément mieux.
En raison de l’endroit où on est situé et comme nous sommes la plus grande ville du Nord de l’Ontario, je crois qu’on devrait avoir un aéroport international, a-t-il déclaré.
Il a profité par le passé de vols offerts par la compagnie aérienne Sunwing vers le sud depuis Sudbury. Cette commodité me manque.
Christopher Pollesel, responsable de l'expérience des passagers et de la sécurité aérienne à l'aéroport du Grand Sudbury, affirme que des efforts sont menés pour offrir plus de vols.
Nous savons que la demande se situe au niveau domestique, vers l'Ouest du Canada ainsi que vers d'autres aéroports importants.
Ouvrir en mode plein écranChristopher Pollesel confirme qu'il y a aussi une demande pour des vols vers des destinations soleil.
Il explique que l’aéroport a préparé une étude de rentabilité qui est partagée avec les compagnies aériennes qui desservent déjà le Grand Sudbury ainsi qu’à d’autres entreprises.
Nous voulons continuer à stimuler la croissance de nos services aériens ici à l'aéroport, poursuit-il.
M. Pollesel assure que l’aéroport du Grand Sudbury est en mesure d’accueillir davantage de voyageurs.
Il souligne que les travaux menés actuellement pour améliorer la zone d’attente pour les voyageurs devraient être achevés d’ici le temps des Fêtes.
M. Mayer accueille avec joie la nouvelle liaison entre Sudbury et Calgary qui sera offerte par WestJet de juin à octobre 2025
alors plus de liaisons aériennes c’est assurément mieux
Mike Heald aimerait voir des vols vers des destinations internationales
En raison de l’endroit où on est situé et comme nous sommes la plus grande ville du Nord de l’Ontario
je crois qu’on devrait avoir un aéroport international
Il a profité par le passé de vols offerts par la compagnie aérienne Sunwing vers le sud depuis Sudbury
responsable de l'expérience des passagers et de la sécurité aérienne à l'aéroport du Grand Sudbury
affirme que des efforts sont menés pour offrir plus de vols
Nous savons que la demande se situe au niveau domestique
vers l'Ouest du Canada ainsi que vers d'autres aéroports importants
Il explique que l’aéroport a préparé une étude de rentabilité qui est partagée avec les compagnies aériennes qui desservent déjà le Grand Sudbury ainsi qu’à d’autres entreprises
Nous voulons continuer à stimuler la croissance de nos services aériens ici à l'aéroport
M. Pollesel assure que l’aéroport du Grand Sudbury est en mesure d’accueillir davantage de voyageurs
Il souligne que les travaux menés actuellement pour améliorer la zone d’attente pour les voyageurs devraient être achevés d’ici le temps des Fêtes
Miguelle-Éloïse est journaliste pour Radio-Canada depuis 2018
Après avoir travaillé pendant près de sept ans dans le Nord de l'Ontario
elle est de retour dans son Bas-Saint-Laurent natal depuis mars 2025
Elle s'intéresse entre autres à l'éducation
à la recherche scientifique et aux jeux vidéo
M. Mayer accueille avec joie la nouvelle liaison entre Sudbury et Calgary qui sera offerte par WestJet de juin à octobre 2025
Des voyageurs espèrent que l’aéroport du Grand Sudbury ajoutera prochainement des vols vers davantage de destinations après l’annonce d’une nouvelle liaison vers Calgary
SUDBURY – L’ambassadeur de France au Canada
à l’occasion de la Semaine de la francophonie
C’est la première fois en 37 ans qu’un ambassadeur du pays de Molière fait le déplacement dans la ville du nickel
Ils étaient une trentaine de personnes à l’hôtel de ville de Sudbury pour assister au lever de drapeau de la Francophonie internationale et celui de la France
Une réception aura également lieu ce mardi soir à la Place des Arts
« En Ontario et plus particulièrement à Sudbury
cette Journée internationale de la Francophonie a une résonance particulière puisque ce lever de drapeau fait naturellement écho à celui du drapeau franco-ontarien hissé pour la première fois à l’Université de Sudbury en 1975 et chaque année depuis »
Miraillet dans un discours précédant le lever de drapeaux
Dans une allocution précédant les levers de drapeaux
a rappelé le caractère exceptionnel de la visite du dignitaire de France : « C’est la première visite d’un ambassadeur de France à Sudbury au 21e siècle »
Selon ce dernier, auquel a succédé Federico Dudet en novembre 2023
il y aurait environ 600 personnes originaires de France dans le Grand Sudbury
Michel Miraillet a mis en avant la volonté de la France de se rendre dans des communautés hors Québec où la Francophonie occupe encore une place importante
« Célébrer la francophonie à Ottawa ou Québec
a-t-il indiqué en précisant que ses derniers déplacements protocolaires dans le cadre de la Journée internationale de la Francophonie étaient en Nouvelle-Écosse et à Winnipeg
celui-ci indique que « cela n’a rien à voir avec le contexte politique actuel »
à savoir l’effondrement des relations canado-américaines et le rapprochement du Canada et de l’Europe (le premier déplacement international du premier ministre Mark Carney a été la France)
Il a fait savoir que sa visite avait bien pour but de rapprocher encore plus la France et Sudbury et d’écouter les suggestions de la communauté
Le dignitaire a rappelé que la signature de l’Entente France-Ontario
a posé de premières bases pour des partenariats stratégiques
Miraillet a aussi souligné le pôle minier de la région du Grand Sudbury : « Nous avons fait beaucoup d’efforts pour convaincre pas mal de start ups et nos grandes entreprises minières comme Orano de ne pas seulement s’intéresser aux mines d’uranium du nord de la Saskatchewan. »
l’ambassadeur souhaite aussi que des ententes interuniversitaires voient le jour entre la France et les établissements de Sudbury
« Je suis allé voir l’Université Laurentienne pour voir un peu
C’est très étonnant parce que nos écoles sont en lien avec l’Afrique du Sud et l’Australie
l’Université de Lorraine ou l’Université de Lyon comme étant des partenaires potentiels pour l’éducation aux métiers des mines
« pour lui dire qu’il y a de vraies possibilités de travailler ensemble
avec les universités de la région Rhône-Alpes
c’est-à-dire Grenoble qui est un énorme pôle pour l’ingénierie
Lyon 2 qui sont réputées mondialement pour leurs formations en sciences humaines ou en médecine. »
Miraillet estime qu’il s’agit d’un début et que les potentiels partenariats pourraient s’étendre à d’autres établissements ailleurs en France
Il évoque aussi d’autres possibilités d’échanges comme « permettre à des étudiants qui viennent de l’Université de Sudbury de faire une partie de leur parcours en France et d’avoir un double diplôme. »
Parmi les personnalités publiques présentes pour l’événement
Paul Lefebvre et la conseillère municipale
Le maire Paul Lefebvre a rappelé l’importance de la relation France-Canada : « Cette relation se reflète ici
nous continuons à entretenir des liens étroits avec les communautés francophones du monde entier y compris avec la France. »
Après avoir rappelé son rôle en tant que présidente de l’association parlementaire de la Francophonie pour l’Ontario
France Gélinas a tenu à saluer le caractère des immigrants de France
« Ça m’a permis d’établir des liens avec des députés de la France et peu importe le domaine dans lequel on s’attarde
les gens de la France arrivent toujours bien préparés
avec des solutions et prêts à aider et ça on l’apprécie beaucoup »
Cette stratégie a été influencée par les appels à l’action de la Commission de vérité et réconciliation en matière de santé ainsi par les Lignes directrices concernant les relations avec les communautés autochtones de 2018 du ministère de la Santé et des Soins de longue durée
Santé publique Sudbury et districts s’efforce de collaborer avec les peuples autochtones de la région afin de trouver notre voie ensemble
Les mesures décrites dans le Cadre correspondent aux quatre orientations de la stratégie et obligent le Conseil de Santé à :
Référence : 4 Population indienne inscrite selon le sexe et la résidence 2016
Affaires autochtones et du Nord Canada; et Recensement 2016
Chaque communauté des Premières Nations est unique
a ses propres besoins et possède ses propres caractéristiques démographiques
et tout en vivant des difficultés différentes
La Nation métisse de l’Ontario a un bureau à Sudbury pour servir les citoyens métis du Grand Sudbury
Santé publique Sudbury et districts compte de multiples et divers partenariats de longue date avec des organismes offrant des services aux Premières Nations et aux Autochtones
Nous sommes engagés à communiquer des renseignements
à assurer la prestation de services et à mener des recherches
La promotion d’une bonne santé et de la prévention des blessures
des maladies et des affections nous réunit en tant que partenaires
Pour en apprendre plus sur l’engagement auprès des Autochtones à Santé publique Sudbury et districts, veuillez composer le 705.522.9200 (sans frais : 1.866.522.9200) ou écrire à indigenousengagement@phsd.ca.
J’en connais qui attendent depuis des années pour une greffe d’organe, dont des jeunes, déclare-t-il.
Il souligne que la sensibilisation doit continuer pour que de nombreuses personnes s’inscrivent pour faire un don d’organe.
Du 1er janvier au 31 mars cette année, nous avons eu cinq dons d’organes, deux à Sudbury, deux à Thunder Bay et un à North Bay, révèle M. Horan.
Or, le besoin est beaucoup plus grand, selon lui.
Je ne sais pas exactement combien de personnes attendent parce que c’est confidentiel, mais je n’aurais pas peur de dire qu’au moins 20 personnes dans la région de Sudbury attendent une greffe d’organe.
Normalement, la mission du club Irish Heritage est de veiller à ce que nous puissions maintenir une présence patrimoniale irlandaise à Sudbury, en promouvant les événements culturels avec les Irlandais et leurs descendants, explique Frank Horan.
Mais le club a créé le comité pour la sensibilisation au don d’organes en 1999 après que le fils de l’un de ses membres fondateurs soit mort en attendant une greffe, mentionne-t-il.
Depuis, nous promouvons, en général, une vie saine et sécuritaire dans la région de Sudbury, poursuit M. Horan.
Michel Babin, un résident de Sudbury, a reçu un rein en 2004 et collabore avec le club Irish Heritage en invitant les gens à faire un don d'organes.
J’étais sous dialyse depuis novembre 2002. On m’a par la suite appelé pour aller recevoir un rein à London, explique M. Babin.
Il reste toujours reconnaissant envers le bienfaiteur qui lui a donné un rein.
Je ne connais pas celui qui m'a donné le rein. C’est un homme qui est mort à 41 ans. J'ai envoyé une lettre pour le remercier, mais je n’ai pas eu de suite, déclare-t-il.
Michel Babin observe bien les indications des médecins et se porte bien.
Je prends des médicaments toutes les 12 heures et je vais pour les prises de sang chaque deux mois pour le contrôle du phosphore, du potassium et du sodium dans mon corps, je suis vraiment bien, affirme-t-il.
Je peux aller n'importe où, je n’ai pas de restriction d'alimentation excepté la pamplemousse qui a des interactions indésirables avec les médicaments que je prends, ajoute-t-il.
Donna Stewart s’est jointe au club Irish Heritage pour parler des bienfaits du don d’organes et de tissus.
Elle était accompagnée de son fils Patrick Moroso qui a reçu une greffe de rein l'année dernière.
Nous avons eu beaucoup de chance. Patrick n’a été sous dialyse que pendant moins de trois mois, il a reçu un organe le 31 mai dernier, et il va très bien, déclare Donna Stewart.
Patrick Moroso travaille à temps plein avec Teranorth, il est retourné au travail un peu plus de deux mois après la greffe.
Les médecins étaient un peu inquiets qu’il veuille le faire si tôt, mais mon fils avait hâte d’y aller. Il se sent mieux aujourd’hui; merci à la famille du donneur d’avoir rendu cela possible.
Le club Irish Heritage de Sudbury souligne qu'environ 1 400 personnes en Ontario attendent une transplantation d'organes.
Venant NshimyumurwaPublié le 15 avril à 18 h 26 HAEÉcouter l’articleLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale, une technologie basée sur l’intelligence artificielle.Le club Irish Heritage de Sudbury a tenu mardi sa rencontre, désormais annuelle depuis 26 ans, pour sensibiliser la population du Grand Sudbury au don d’organes et de tissus. Le club affirme qu’il y a un grand besoin d’organes dans la région.
Beaucoup de patients attendent impatiemment de recevoir une greffe d’organes, indique Frank Horan, président du comité de sensibilisation au don d’organes au sein du club Irish Heritage de Sudbury.
J’en connais qui attendent depuis des années pour une greffe d’organe, dont des jeunes, déclare-t-il.
Il souligne que la sensibilisation doit continuer pour que de nombreuses personnes s’inscrivent pour faire un don d’organe.
Du 1er janvier au 31 mars cette année, nous avons eu cinq dons d’organes, deux à Sudbury, deux à Thunder Bay et un à North Bay, révèle M. Horan.
Je ne sais pas exactement combien de personnes attendent parce que c’est confidentiel, mais je n’aurais pas peur de dire qu’au moins 20 personnes dans la région de Sudbury attendent une greffe d’organe.
Normalement, la mission du club Irish Heritage est de veiller à ce que nous puissions maintenir une présence patrimoniale irlandaise à Sudbury, en promouvant les événements culturels avec les Irlandais et leurs descendants, explique Frank Horan.
Ouvrir en mode plein écranFrank Horan, président du comité de sensibilisation au don d’organes au sein de l’organisme Irish Heritage Club, encourage les gens à faire un don d’organes, car la région a beaucoup de patients qui en ont besoin.
Mais le club a créé le comité pour la sensibilisation au don d’organes en 1999 après que le fils de l’un de ses membres fondateurs soit mort en attendant une greffe, mentionne-t-il.
Depuis, nous promouvons, en général, une vie saine et sécuritaire dans la région de Sudbury, poursuit M. Horan.
Michel Babin, un résident de Sudbury, a reçu un rein en 2004 et collabore avec le club Irish Heritage en invitant les gens à faire un don d'organes.
J’étais sous dialyse depuis novembre 2002. On m’a par la suite appelé pour aller recevoir un rein à London, explique M. Babin.
Ouvrir en mode plein écranMichel Babin a reçu une greffe de rein en 2004 après avoir été sous dialyse pendant un peu plus de deux ans. Il affirme qu’il se porte bien.
Il reste toujours reconnaissant envers le bienfaiteur qui lui a donné un rein.
Je ne connais pas celui qui m'a donné le rein. C’est un homme qui est mort à 41 ans. J'ai envoyé une lettre pour le remercier, mais je n’ai pas eu de suite, déclare-t-il.
Michel Babin observe bien les indications des médecins et se porte bien.
Je prends des médicaments toutes les 12 heures et je vais pour les prises de sang chaque deux mois pour le contrôle du phosphore, du potassium et du sodium dans mon corps, je suis vraiment bien, affirme-t-il.
Je peux aller n'importe où, je n’ai pas de restriction d'alimentation excepté la pamplemousse qui a des interactions indésirables avec les médicaments que je prends, ajoute-t-il.
Ouvrir en mode plein écranLes participants à la rencontre ont suivi les témoignages de ceux qui ont reçu une greffe d'organes.
Donna Stewart s’est jointe au club Irish Heritage pour parler des bienfaits du don d’organes et de tissus.
Elle était accompagnée de son fils Patrick Moroso qui a reçu une greffe de rein l'année dernière.
Nous avons eu beaucoup de chance. Patrick n’a été sous dialyse que pendant moins de trois mois, il a reçu un organe le 31 mai dernier, et il va très bien, déclare Donna Stewart.
Patrick Moroso travaille à temps plein avec Teranorth, il est retourné au travail un peu plus de deux mois après la greffe.
Les médecins étaient un peu inquiets qu’il veuille le faire si tôt, mais mon fils avait hâte d’y aller. Il se sent mieux aujourd’hui; merci à la famille du donneur d’avoir rendu cela possible.
Le club Irish Heritage de Sudbury souligne qu'environ 1 400 personnes en Ontario attendent une transplantation d'organes.
Beaucoup de patients attendent impatiemment de recevoir une greffe d’organes
président du comité de sensibilisation au don d’organes au sein du club Irish Heritage de Sudbury
J’en connais qui attendent depuis des années pour une greffe d’organe
Il souligne que la sensibilisation doit continuer pour que de nombreuses personnes s’inscrivent pour faire un don d’organe
Du 1er janvier au 31 mars cette année
deux à Thunder Bay et un à North Bay
Je ne sais pas exactement combien de personnes attendent parce que c’est confidentiel
mais je n’aurais pas peur de dire qu’au moins 20 personnes dans la région de Sudbury attendent une greffe d’organe
la mission du club Irish Heritage est de veiller à ce que nous puissions maintenir une présence patrimoniale irlandaise à Sudbury
en promouvant les événements culturels avec les Irlandais et leurs descendants
Mais le club a créé le comité pour la sensibilisation au don d’organes en 1999 après que le fils de l’un de ses membres fondateurs soit mort en attendant une greffe
une vie saine et sécuritaire dans la région de Sudbury
a reçu un rein en 2004 et collabore avec le club Irish Heritage en invitant les gens à faire un don d'organes
J’étais sous dialyse depuis novembre 2002
On m’a par la suite appelé pour aller recevoir un rein à London
Il reste toujours reconnaissant envers le bienfaiteur qui lui a donné un rein
Je ne connais pas celui qui m'a donné le rein
C’est un homme qui est mort à 41 ans
J'ai envoyé une lettre pour le remercier
Michel Babin observe bien les indications des médecins et se porte bien
Je prends des médicaments toutes les 12 heures et je vais pour les prises de sang chaque deux mois pour le contrôle du phosphore
je n’ai pas de restriction d'alimentation excepté la pamplemousse qui a des interactions indésirables avec les médicaments que je prends
Donna Stewart s’est jointe au club Irish Heritage pour parler des bienfaits du don d’organes et de tissus
Elle était accompagnée de son fils Patrick Moroso qui a reçu une greffe de rein l'année dernière
Patrick n’a été sous dialyse que pendant moins de trois mois
il a reçu un organe le 31 mai dernier
Patrick Moroso travaille à temps plein avec Teranorth
il est retourné au travail un peu plus de deux mois après la greffe
Les médecins étaient un peu inquiets qu’il veuille le faire si tôt
mais mon fils avait hâte d’y aller
Il se sent mieux aujourd’hui; merci à la famille du donneur d’avoir rendu cela possible
Le club Irish Heritage de Sudbury souligne qu'environ 1 400 personnes en Ontario attendent une transplantation d'organes
Le club Irish Heritage de Sudbury a tenu mardi sa rencontre
pour sensibiliser la population du Grand Sudbury au don d’organes et de tissus
Le club affirme qu’il y a un grand besoin d’organes dans la région
dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"Mardi matin
les policiers avaient été appelés à une résidence de la rue Elm où l'on avait signalé une agression armée en cours
Un homme de 42 ans et un autre de 26 ans ont été arrêtés et ont notamment été accusés de possession d'arme dans un dessein dangereux
Une perquisition des lieux a permis non seulement de retrouver des armes qui auraient été utilisées pendant l'altercation
mais aussi ce qu'on croit être du fentanyl et de la cocaïne
pour une valeur totale évaluée à 135 000 $
Des drogues très toxiques détectées dans la région de Sudbury
Ouvrir en mode plein écranLe Service de police du Grand Sudbury a saisi un peu plus d'un kilo de ce qui semble être de la cocaïne dans une résidence
Photo : Service de police du Grand Sudbury
La Police du Grand Sudbury a saisi une importante quantité de drogues dans le cadre d'une enquête sur une violente altercation survenue plus tôt cette semaine
les policiers avaient été appelés à une résidence de la rue Elm où l'on avait signalé une agression armée en cours
Un homme de 42 ans et un autre de 26 ans ont été arrêtés et ont notamment été accusés de possession d'arme dans un dessein dangereux
Une perquisition des lieux a permis non seulement de retrouver des armes qui auraient été utilisées pendant l'altercation
mais aussi ce qu'on croit être du fentanyl et de la cocaïne
pour une valeur totale évaluée à 135 000 $
Des drogues très toxiques détectées dans la région de Sudbury
La Police du Grand Sudbury a saisi une importante quantité de drogues dans le cadre d'une enquête sur une violente altercation survenue plus tôt cette semaine
SUDBURY – Isabelle Carignan est la nouvelle récipiendaire du Prix de la francophonie de l’Association canadienne-française de l’Ontario (ACFO) du Grand Sudbury cette année, succédant ainsi à Germaine Paquette
Le Prix a été remis dans le cadre du traditionnel banquet de la francophonie organisé dans le cadre du Jour des Franco-Ontariens
La présence d’Isabelle Carignan a été remarquée à ce Banquet auquel elle s’est rendue mercredi soir pour la première fois depuis son arrivée à Sudbury en 2011
quelques heures après avoir également assisté au lever de drapeau à l’Université de Sudbury
Mme Carignan se dit honorée d’avoir été nominée et de recevoir ce prestigieux prix reconnaissant l’engagement et les contributions d’une personne francophone de la région depuis 1983
« Je suis Québécoise à l’origine et le fait de recevoir un Prix comme ça ici en Ontario
« Lorsque je suis arrivée à Sudbury, j’étais loin de mes racines et de mes références culturelles et la communauté francophone m’a permis de me sentir un peu plus chez moi »
continue-t-elle en citant spécifiquement l’appui de mentors comme les professeurs de l’Université Laurentienne Michèle Minor-Corriveau
Louise Bourgeois ou encore le défunt Ali Reguigui
elle fait partie de l’équipe en enseignement en milieu scolaire du département Éducation de l’Université TÉLUQ et est également professeure associée à l’Université Laurentienne depuis 2012
Celle qui est aussi administratrice à l’Association canadienne-française pour l’avancement des sciences (ACFAS) écrit des chroniques dans la revue professionnelle québécoise Vivre le primaire laquelle est destinée aux enseignants et futurs enseignants
C’est après avoir contacté Geneviève Carpentier
que le projet a pu voir le jour : « Je lui ai dit que ce serait bien qu’on ait une chronique qui parle des minorités francophones à travers le Canada et elle a dit oui à cette idée-là »
Cette chronique intitulée Les minorités francophones en action paraît quatre fois par an depuis trois ans
de l’Alberta ou encore du Manitoba qui sont publiées : « Le fait qu’on ait trois pages dans cette revue québécoise qui fait de la place pour le milieu minoritaire
La professeure est aussi chercheuse associée du Groupe de recherche en littératie médiatique multimodale (LMM)
du Collectif de recherche sur la continuité des apprentissages en lecture et en écriture (CLÉ) et du Centre de recherche interuniversitaire sur la formation et la profession enseignante (CRIFPE)
Isabelle Carignan compte aussi la création de capsules vidéos expliquant la chirurgie cardiaque
« C’est parce que et je suis didacticienne du français et je m’intéresse beaucoup à la compréhension et
les patients sont comme des élèves qui sont en apprentissage »
le seul chirurgien cardiaque francophone d’Horizon Santé‑Nord (HSN)
elle se lance dans un projet qui la rendra fière
on a commencé à discuter et je me suis rendu compte qu’il y avait beaucoup de choses à faire dans ce domaine-là donc on s’est alliés pour créer des vidéos expliquant la chirurgie cardiaque non seulement aux patients qui vont subir une opération
mais aussi pour leur famille. »
Ces capsules ont par la suite été intégrées dans des cours de l’École de médecine du nord de l’Ontario (EMNO) dans le cadre d’un module sur la santé cardiovasculaire
c’est vraiment de faire la différence
c’est de faire en sorte que tout ce qui est en lien avec la francophonie en milieu francophone puisse être valorisé »
celle-ci consacre bénévolement son temps depuis deux ans au Sénat de l’Université de Sudbury
lequel étudie et approuve la programmation de l’établissement qui accueillera ses premiers étudiants en 2025
« Ça me permet de participer à la création de l’université unilingue francophone par pour et avec les francophones dans le Nord »
précise la Franco-Ontarienne d’adoption qui est également professeure associée à l’établissement depuis 2021
Celle qui est mère de deux jeunes enfants dit également avoir été sollicitée pour développer des opportunités pour le Théâtre du Nouvel Ontario (TNO) et la Librairie Panache de la Place des Arts : « On aimerait travailler sur la médiation culturelle et développer davantage l’aspect de la culture avec les écoles. »
celle-ci écrit également des chroniques dans le Journal Le Voyageur ou encore s’implique en tant que chargée des relations publiques au conseil des parents d’élèves de l’école de ses enfants
Le prix de l’essence à la station-service Costco était de presque 3 cents de moins que dans les autres stations-service de Sudbury.
À la station Shell sur l’avenue Notre-Dame, le litre d’essence avait baissé de presque 17 cents par rapport au prix de la veille.
Des clients faisaient la queue un peu avant 9 heures pour remplir les réservoirs de leurs véhicules.
Je me rendais à la salle de sport au centre-ville et en passant par ici, j’ai vu que l’essence n’était pas chère, alors je me suis arrêté pour faire le plein, déclare Kaelyn Mills, une automobiliste.
L’adolescente de 20 ans estime que le prix de l’essence était élevé.
Je pense que c'est un peu plus abordable pour tout le monde.
Tatiana Hampson, une autre automobiliste, ne peut cacher sa joie en remarquant que le litre d’essence coûte 1,28 $. Que c’est agréable de voir les prix du carburant baisser !, s’exclame-t-elle.
Elle souligne qu’il est maintenant possible d’économiser un peu d’argent pour l’achat d’autres produits à l’épicerie.
Normalement, faire le plein de ma voiture coûte environ 80 $ et je viens de le faire pour environ 50 $; c'est une grande différence.
Un employé d’une station-service Petro-Canada, Aldrin Mathew, pense que c’est une bonne chose que les prix de l’essence soient revus à la baisse.
Le prix a diminué à la suite de la taxe carbone qui a été supprimée hier. Nous avons reçu un message nous annonçant une baisse de 20 cents, explique-t-il.
Selon lui, les clients sont contents, mais il y en a qui, en apprenant la nouvelle, se demandent s’il ne s’agit pas d’un poisson d’avril.
Aldrin Mathew explique qu’il n’a pas encore rempli son véhicule.
Peut-être que le prix baissera encore de quelques centimes. C’est ce que j’attends, confie-t-il.
Un autre résident de Sudbury, Paul Maley, trouve que la baisse des prix du carburant est une mesure globalement positive.
Selon lui, les émissions du Canada sont parmi les plus faibles du monde.
Il est donc bon que nous soyons enfin récompensés pour cela, estime-t-il.
M. Maley pense que cette baisse devrait aider la plupart des Canadiens.
Je me demande s’il ne s’agit pas d’un stratagème pour influencer les votes en perspective des prochaines élections, conclut-il.
Ouvrir en mode plein écranDans plusieurs stations-service de Sudbury, le prix de l’essence a diminué d’environ 20 cents le litre, mardi matin.
Venant NshimyumurwaPublié le 1 avril à 16 h 56 HAEÉcouter l’article | 3 minutesLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale, une technologie basée sur l’intelligence artificielle.Des automobilistes du Grand Sudbury ont bien accueilli la baisse du prix de l’essence et du diesel qu’ils ont observée à la pompe mardi matin.
Dans plusieurs stations-service, le prix de l’essence a diminué d’environ 20 cents le litre.
Le prix de l’essence à la station-service Costco était de presque 3 cents de moins que dans les autres stations-service de Sudbury.
Ouvrir en mode plein écranLe prix de l’essence chez Costco à Sudbury était de 1 219 $ le litre mardi.
À la station Shell sur l’avenue Notre-Dame, le litre d’essence avait baissé de presque 17 cents par rapport au prix de la veille.
Des clients faisaient la queue un peu avant 9 heures pour remplir les réservoirs de leurs véhicules.
Je me rendais à la salle de sport au centre-ville et en passant par ici, j’ai vu que l’essence n’était pas chère, alors je me suis arrêté pour faire le plein, déclare Kaelyn Mills, une automobiliste.
L’adolescente de 20 ans estime que le prix de l’essence était élevé.
Tatiana Hampson, une autre automobiliste, ne peut cacher sa joie en remarquant que le litre d’essence coûte 1,28 $. Que c’est agréable de voir les prix du carburant baisser !, s’exclame-t-elle.
Elle souligne qu’il est maintenant possible d’économiser un peu d’argent pour l’achat d’autres produits à l’épicerie.
Normalement, faire le plein de ma voiture coûte environ 80 $ et je viens de le faire pour environ 50 $; c'est une grande différence.
Un employé d’une station-service Petro-Canada, Aldrin Mathew, pense que c’est une bonne chose que les prix de l’essence soient revus à la baisse.
Le prix a diminué à la suite de la taxe carbone qui a été supprimée hier. Nous avons reçu un message nous annonçant une baisse de 20 cents, explique-t-il.
Selon lui, les clients sont contents, mais il y en a qui, en apprenant la nouvelle, se demandent s’il ne s’agit pas d’un poisson d’avril.
Aldrin Mathew explique qu’il n’a pas encore rempli son véhicule.
Peut-être que le prix baissera encore de quelques centimes. C’est ce que j’attends, confie-t-il.
Un autre résident de Sudbury, Paul Maley, trouve que la baisse des prix du carburant est une mesure globalement positive.
Selon lui, les émissions du Canada sont parmi les plus faibles du monde.
Il est donc bon que nous soyons enfin récompensés pour cela, estime-t-il.
M. Maley pense que cette baisse devrait aider la plupart des Canadiens.
Je me demande s’il ne s’agit pas d’un stratagème pour influencer les votes en perspective des prochaines élections, conclut-il.
le prix de l’essence a diminué d’environ 20 cents le litre
Le prix de l’essence à la station-service Costco était de presque 3 cents de moins que dans les autres stations-service de Sudbury
À la station Shell sur l’avenue Notre-Dame
le litre d’essence avait baissé de presque 17 cents par rapport au prix de la veille
Des clients faisaient la queue un peu avant 9 heures pour remplir les réservoirs de leurs véhicules
Je me rendais à la salle de sport au centre-ville et en passant par ici
j’ai vu que l’essence n’était pas chère
alors je me suis arrêté pour faire le plein
L’adolescente de 20 ans estime que le prix de l’essence était élevé
Je pense que c'est un peu plus abordable pour tout le monde
ne peut cacher sa joie en remarquant que le litre d’essence coûte 1,28 $
Que c’est agréable de voir les prix du carburant baisser !
Elle souligne qu’il est maintenant possible d’économiser un peu d’argent pour l’achat d’autres produits à l’épicerie
faire le plein de ma voiture coûte environ 80 $ et je viens de le faire pour environ 50 $; c'est une grande différence
Un employé d’une station-service Petro-Canada
pense que c’est une bonne chose que les prix de l’essence soient revus à la baisse
Le prix a diminué à la suite de la taxe carbone qui a été supprimée hier
Nous avons reçu un message nous annonçant une baisse de 20 cents
se demandent s’il ne s’agit pas d’un poisson d’avril
Aldrin Mathew explique qu’il n’a pas encore rempli son véhicule
Peut-être que le prix baissera encore de quelques centimes
trouve que la baisse des prix du carburant est une mesure globalement positive
les émissions du Canada sont parmi les plus faibles du monde
Il est donc bon que nous soyons enfin récompensés pour cela
M. Maley pense que cette baisse devrait aider la plupart des Canadiens
Je me demande s’il ne s’agit pas d’un stratagème pour influencer les votes en perspective des prochaines élections
Des automobilistes du Grand Sudbury ont bien accueilli la baisse du prix de l’essence et du diesel qu’ils ont observée à la pompe mardi matin
Ça fait des années qu’on demande à la province de nous appuyer pour donner ses services d’appuis aux personnes vulnérables et avec des dépendances dans notre communauté
qui sera administré par l’hôpital Horizon Santé-Nord
permettra de bonifier le soutien que la Ville peut donner aux personnes vulnérables
Il mise notamment sur la collaboration entre les différents organismes locaux pour et aussi sur le projet pilote de logements abordables de la rue Lorraine
mais il souligne que le défi principal sera d’inciter les personnes ciblées à participer aux programmes offerts par la Ville
c’est ceux qui ne veulent pas accéder aux services
directeur des services sociaux et aux enfants de la ville du Grand Sudbury
a précisé que la Ville maintient un registre de personnes vulnérables qui seront ensuite orientées vers les services les mieux adaptés à leurs besoins
Ce financement change la donne pour notre communauté
qui ne figure pas dans la liste des villes ayant reçu le financement pour ouvrir un de ces carrefours AIDE
le directeur de santé aux services sociaux du district de Cochrane
Je suis un peu triste pour tous les organismes impliqués dans l’application
mais surtout pour les gens qui auraient eu besoin des soins au travers de la région de Cochrane
du Timiskaming et sur la côte de la baie James
Il souligne que leur proposition visait à centraliser les services de la région en mettant l'accent sur l'accès aux logements et le rétablissement à long terme
Cette approche aurait aussi permis de réduire la pression sur les services d'urgence de la région
C’était vraiment une solution communautaire
qu’on proposait avec un centre local à Timmins
Il déplore le manque de précision quant à la raison pour laquelle le projet pour Timmins n’a pas été retenu
le bureau du ministre de la Santé de l'Ontario n'a pas indiqué pour quelle raison la demande de Timmins avait été refusée
Il croit qu’un manque de soutien concernant l’emplacement prévu du centre a pu compromettre son admissibilité
Notre application était très détaillée; on avait de la bonne information
mais il y a eu un accrochage pour la communication sur l'emplacement
Les carrefours AIDE font partie d’un investissement provincial de 529 millions de dollars qui visent à offrir des services intégrés en santé mentale et en traitement des dépendances
des logements avec soutien et de l'aide à l’emploi
se réjouit de l'annonce de la création d'un carrefour d’aide aux sans-abri et de lutte contre les dépendances (carrefours AIDE) dans sa ville
l’absence de soutien alimente la déception
Ça fait des années qu’on demande à la province de nous appuyer pour donner ses services d’appuis aux personnes vulnérables et avec des dépendances dans notre communauté
qui sera administré par l’hôpital Horizon Santé-Nord
permettra de bonifier le soutien que la Ville peut donner aux personnes vulnérables
Ouvrir en mode plein écranLes projets retenus pour le Nord incluent ceux d’Horizon Santé-Nord (Grand Sudbury)
de l’Association canadienne pour la santé mentale d’Algoma (Sault-Sainte-Marie) et des Services de santé communautaires Maamwesying (Blind River
Sault-Sainte-Marie et Sagamok Anishnwabek)
Il mise notamment sur la collaboration entre les différents organismes locaux pour et aussi sur le projet pilote de logements abordables de la rue Lorraine
mais il souligne que le défi principal sera d’inciter les personnes ciblées à participer aux programmes offerts par la Ville
c’est ceux qui ne veulent pas accéder aux services
a précisé que la Ville maintient un registre de personnes vulnérables qui seront ensuite orientées vers les services les mieux adaptés à leurs besoins
Ouvrir en mode plein écranTyler Campbell souligne que le financement va permettre aux intervenants communautaires d'offrir du soutien à temps plein aux personnes vulnérables
Ce financement change la donne pour notre communauté
qui ne figure pas dans la liste des villes ayant reçu le financement pour ouvrir un de ces carrefours AIDE
le directeur de santé aux services sociaux du district de Cochrane
Je suis un peu triste pour tous les organismes impliqués dans l’application
mais surtout pour les gens qui auraient eu besoin des soins au travers de la région de Cochrane
du Timiskaming et sur la côte de la baie James
Il souligne que leur proposition visait à centraliser les services de la région en mettant l'accent sur l'accès aux logements et le rétablissement à long terme
Cette approche aurait aussi permis de réduire la pression sur les services d'urgence de la région
C’était vraiment une solution communautaire
qu’on proposait avec un centre local à Timmins
Il déplore le manque de précision quant à la raison pour laquelle le projet pour Timmins n’a pas été retenu
le bureau du ministre de la Santé de l'Ontario n'a pas indiqué pour quelle raison la demande de Timmins avait été refusée
Il croit qu’un manque de soutien concernant l’emplacement prévu du centre a pu compromettre son admissibilité
Notre application était très détaillée; on avait de la bonne information
Les carrefours AIDE font partie d’un investissement provincial de 529 millions de dollars qui visent à offrir des services intégrés en santé mentale et en traitement des dépendances
des logements avec soutien et de l'aide à l’emploi
La ministre de la Santé de l’Ontario, Sylvia Jones, a annoncé lundi la création de 18 nouveaux carrefours AIDE dans la province, dont 4 situés dans le Nord.
La ministre de la Santé de l’Ontario, Sylvia Jones, a annoncé lundi la création de 18 nouveaux carrefours AIDE dans la province, dont 4 situés dans le Nord.
se réjouit de l'annonce de la création d'un carrefour d’aide aux sans-abri et de lutte contre les dépendances (carrefours AIDE) dans sa ville
l’absence de soutien alimente la déception.