Voir tous les taux Voir tous les termes Voir toutes les provinces Voir toutes les ville *L’approbation est soumise à une assurance contre les défauts de paiement des prêts hypothécaires à ratio élevé D’autres conditions et restrictions s’appliquent Courtier en hypothèques : Colombie-Britannique #X300823 Maison de courtage d’hypothèques : Québec 605058 Voir toutes les calculatrices Obtenez des conseils approfondis sur le processus hypothécaire au Canada de la part… Vous cherchez à acheter une maison au Canada Revenez à l’essentiel avec les guides des experts hypothécaires sur nesto.ca Parcourez les guides sur les types de prêts hypothécaires et de marges de… Dans un contexte dominé par l’instabilité géopolitique et les incertitudes économiques leader des prêts hypothécaires en ligne au… Le renouvellement d’un prêt hypothécaire peut être une source d’excitation et d’anxiété Le marché immobilier peut être intimidant pour les nouveaux acheteurs et lorsque vous recherchez des… Que vous cherchiez à acheter une maison unifamiliale Pour comprendre le financement hypothécaire au Canada il faut avoir une bonne connaissance de ce… Avant d’entamer le processus d’achat d’une propriété il est essentiel de comprendre ce qu’est un… Les termes hypothécaires et les périodes d’amortissement sont deux éléments essentiels de tout prêt hypothécaire… Les récents ajustements de taux de la Banque du Canada ont fait évoluer l’accessibilité au… Obtenir un prêt hypothécaire peut constituer un défi pour de nombreux candidats à l’accession à… Les outils financiers à votre disposition sur le marché immobilier canadien peuvent considérablement améliorer votre… il existe de nombreux prêteurs hypothécaires pour répondre à divers besoins des loyers et de la croissance de l’emploi Nous vous partagerons également nos 5 meilleurs quartiers de Toronto en utilisant les mêmes critères Pour trouver un logement abordable en Ontario nous avons examiné les prix des logements et des loyers ainsi que le coût de la vie et les possibilités d’emploi dans la province Sarnia est située dans le sud-ouest de l’Ontario sur les rives du lac Huron et tout près de la frontière américaine Elle possède une forte scène théâtrale et musicale et une belle sélection de restaurants le long de Michigan Avenue L’abordabilité des logements de Sarnia en fait l’endroit idéal pour élever une famille dans cette ville qui compte plus de 100 parcs Le coût de la vie est de 20 % inférieur à la moyenne de l’Ontario Coût mensuel moyen d’un appartement d’une chambre à coucher en ville : 1 084 $ Thunder Bay est une ville moderne située dans le nord-ouest de l’Ontario C’est une ville idéale pour profiter du plein air du lac et des nombreux sentiers récréatifs de la région Elle est bordée par deux villes historiques : Fort William et Port Arthur L’achat d’une maison à Thunder Bay est beaucoup plus abordable que dans la plupart des villes de taille similaire en Ontario et la ville a le loyer le moins cher en Ontario Le coût de la vie est de 32 % inférieur à la moyenne de l’Ontario Coût mensuel moyen d’un appartement d’une chambre à coucher en ville : 1 010 $ Également connue sous le nom de Grand Sudbury depuis sa fusion en 2001 cette ville offre de nombreuses options de maisons bon marché à ses résidents Située à environ 400 km au nord de Toronto Sudbury est une excellente option pour les amateurs de plein air et ceux qui recherchent une ville de taille moyenne avec une main-d’œuvre dynamique Coût mensuel moyen d’un appartement d’une chambre à coucher en ville : 1 043 $ figure dans notre top 5 des endroits bon marché où vivre en Ontario Située à une courte distance en voiture de Détroit elle offre de bonnes possibilités d’emploi et des communautés dynamiques d’artistes de retraités et de propriétaires de start-up Bien qu’il s’agisse toujours de l’un des endroits les moins chers de l’Ontario le marché du logement devient de plus en plus compétitif alors assurez-vous de visiter cette région avant que les prix des maisons n’augmentent trop Le coût de la vie est de 22 % inférieur à la moyenne de l’Ontario Coût mensuel moyen d’un appartement d’une chambre à coucher en ville : 1 413 $ Lieu idéal pour les familles à la recherche d’excellentes possibilités d’éducation pour leurs enfants London abrite certaines des universités et écoles secondaires les plus réputées de l’Ontario London est connue sous le nom de « ville forestière » pour ses forêts et ses nombreux parcs Bien que le coût de la vie ne soit que de 17 % inférieur à la moyenne de l’Ontario London reste l’une des villes les plus abordables de la province Le coût de la vie est inférieur de 17 % à la moyenne de l’Ontario Coût mensuel moyen d’un appartement d’une chambre à coucher en ville : 1 478 $ Située sur les rives de la baie de Kempenfelt Barrie a connu une augmentation des prix de l’immobilier au cours des dernières années Cette ville d’environ 150 000 habitants organise également l’un des plus grands festivals d’art en plein air de l’Ontario Le coût de la vie est inférieur de 10 % à la moyenne ontarienne Coût mensuel moyen d’un appartement d’une chambre à coucher : 1 650 $ est une ville charmante et historique située à l’extrémité est du lac Ontario Connue pour son panorama exceptionnel au bord de l’eau son centre-ville pittoresque et ses établissements d’enseignement postsecondaire réputés Avec une population d’environ 136 000 habitants Kingston offre l’atmosphère d’une petite ville avec les commodités d’une grande ville Le coût de la vie est inférieur de 19 % à la moyenne ontarienne Coût mensuel moyen d’un appartement d’une chambre à coucher : 1 537 $ St Catharines devrait certainement figurer sur votre liste la ville offre une qualité de vie élevée à un coût raisonnable Avec une population d’environ 133 000 habitants mais pas trop petite non plus – l’équilibre parfait pour ceux qui recherchent un style de vie de banlieue sans sacrifier les commodités de la ville Le coût de la vie est inférieur de 20 % à la moyenne ontarienne Coût mensuel moyen d’un appartement d’une chambre à coucher : 1 396 $ l’une des plus grandes villes du nord de l’Ontario offre à la fois la beauté de la nature et les commodités de la ville Ses habitants apprécient le fait qu’ils peuvent jouir d’un mode de vie paisible tout en ayant facilement accès à toutes les commodités dont ils ont besoin Que vous soyez à la recherche d’un endroit idéal pour élever une famille ou d’une communauté paisible pour prendre votre retraite North Bay vaut vraiment la peine d’être considérée Le coût de la vie est inférieur de 25 % à la moyenne ontarienne Coût mensuel moyen d’un appartement d’une chambre à coucher : 1 398 $ Située sur les rives de la rivière St Marys et à la frontière des États-Unis la ville est connue pour sa beauté naturelle et sa communauté très soudée Avec une population d’un peu plus de 70 000 habitants Sault-Sainte-Marie offre un cadre de vie agréable et intime avec de nombreuses commodités et des possibilités de croissance et de développement La ville est une plaque tournante pour diverses industries son coût de la vie peu élevé par rapport à d’autres villes canadiennes en fait une option intéressante pour ceux qui cherchent à économiser de l’argent sans sacrifier le confort Le coût de la vie est inférieur de 26 % à la moyenne ontarienne Coût mensuel moyen d’un appartement d’une chambre à coucher : 1 157 $ Si on ne peut égaler ou battre le taux de la compétition East Danforth est un quartier dynamique et diversifié de Toronto Situé près de la jonction de deux autoroutes principales Danforth Est offre un accès facile au centre-ville de Toronto et à d’autres parties de la ville Vous trouverez également une grande selection de restaurants ainsi qu’une scène artistique et musicale active Le coût de la vie est inférieur de 6 % à la moyenne de Toronto Coût mensuel moyen d’un appartement d’une chambre à coucher dans ce quartier de Toronto : 1 850 $ Keelesdale-Eglinton West est un quartier diversifié et accueillant de l’ouest de Toronto portugais et italiens le long d’Eglinton Avenue West et de Keele Street Le quartier abrite également plusieurs parcs et espaces verts ce qui en fait un endroit idéal pour se détendre et profiter du plein air Avec son emplacement pratique et son atmosphère culturelle riche Keelesdale-Eglinton West est un endroit idéal pour se sentir chez soi Le coût de la vie est de 10 % inférieur à la moyenne de Toronto Coût mensuel moyen d’un appartement d’une chambre à coucher dans ce quartier de Toronto : 2 178 $ Quartier idéal pour les jeunes professionnels et les primo-accédants, Harwood est un quartier branché situé dans l’est de Toronto, en Ontario. Situé à côté du quartier le plus « cool » de Toronto, The Junction Harwoord offre un mélange de propriétés résidentielles à faible et à forte densité ainsi que de nombreux espaces verts et une gamme d’options de restauration Le coût de la vie est inférieur de 7 % à la moyenne de Toronto Coût mensuel moyen d’un appartement d’une chambre à coucher dans ce quartier de Toronto : 2 013 $ Bayview Woods – Steeles est une communauté familiale située dans le nord de Toronto Ce quartier est connu pour ses maisons à bas prix ses nombreux parcs et installations de loisirs et son accès pratique aux transports en commun La communauté est très sûre et accueillante ce qui en fait un endroit idéal pour élever une famille Le coût de la vie est inférieur de 15 % à la moyenne de Toronto Coût mensuel moyen d’un appartement d’une chambre à coucher dans ce quartier de Toronto : 2 375 $ Certaines parties du centre-ville de Toronto sont plus abordables que d’autres où le prix moyen des maisons est nettement inférieur à celui du reste de la ville Vérifiez également les parties est et ouest de la vieille ville pour trouver des loyers moins chers Le coût de la vie est inférieur de 8 % à la moyenne de Toronto Coût mensuel moyen d’un appartement d’une chambre à coucher dans ce quartier de Toronto : 2 450 $ En quelques clics vous aurez accès à nos meilleurs taux vous pourrez appliquer en ligne pour votre hypothèque en quelques minutes nesto Inc. Cabinet en courtage hypothécaire. Ontario #13044, Saskatchewan #316917, Nouveau-Brunswick #180045101, Nouvelle-Écosse #2022-3000221; maison de courtage d’hypothèques Québec #605058; Colombie-Britannique nesto ne favorise aucune institution financière en comparant les taux pour les utilisateurs – les taux sont classés du plus bas au plus élevé nesto n’est ni endossé ni commandité par aucune des institutions financières présentes sur son site Web Veuillez noter que les « conseillers » sont des professionnels agréés et qu’ils correspondent aux titres suivants selon la province : Sous-courtier hypothécaire/courtier hypothécaire en Colombie-Britannique Associé hypothécaire/courtier hypothécaire en Alberta Associé/courtier hypothécaire en Saskatchewan Vendeur/fonctionnaire autorisé au Manitoba Agent hypothécaire/courtier hypothécaire en Ontario Associé hypothécaire/courtier hypothécaire au Nouveau-Brunswick Associé hypothécaire/courtier hypothécaire en Nouvelle-Écosse ou Courtier hypothécaire à Terre-Neuve-et-Labrador J’accepteAller au contenu principalAller au pied de pageAide à la navigationPublicité La destination d’information de Radio-Canada L’Unité de prévention des gangs de rue du Service de police de Toronto (Integrated Gang Prevention Task Force) mise sur le projet Engage416 depuis septembre 2020 en s'impliquant dans les 12 quartiers où la violence est la plus présente. Ceux-ci sont concentrés dans le nord-ouest de la Ville. Le projet Engage416 est le fruit de 31 consultations publiques avec des citoyens des quartiers les plus touchés par l’activité des gangs de rue. L'Unité de prévention des gangs de rue estime avoir interagi avec résidents","text":"plus de 1400résidents"}}\">plus de 1400 résidents de ces communautés grâce au porte-à-porte. La communauté est au centre des solutions. Mme Roizman et ses collègues posent des questions aux résidents des quartiers les plus touchés par la violence armée et les gangs de rue de Toronto et leur offrent du soutien que ce soit au niveau du logement, de l'éducation, de l'emploi ou de la santé mentale. Cette aide est disponible pour tous les membres du ménage pour tenter de prévenir le gangstérisme, la violence armée et la traite de personnes, notamment, peu importe l'âge. Les agents prennent en note leurs coordonnées pour les référer à des partenaires communautaires. L'équipe collabore entre autres avec Yorktown Family Services et la Société d’habitation communautaire de Toronto pour venir en aide à ces résidents. personnes ont accepté notre aide et participent à notre programme de parrainage","text":"Un peu plus de 820personnes ont accepté notre aide et participent à notre programme de parrainage"}}\">Un peu plus de 820 personnes ont accepté notre aide et participent à notre programme de parrainage, affirme Mme Roizman. Il y a beaucoup d'intérêt, ajoute-t-elle. Le programme de parrainage est une partie du projet Engage416 mis en place par l'Unité. Il vient principalement en aide aux Torontois qui sont en liberté sous caution. Plusieurs d'entre eux font face à des accusations liées aux armes à feu et aux gangs, explique Mme Roizman. Les policiers en uniforme qui font les contrôles de conformité des conditions de libération ont maintenant des conversations plus approfondies avec ces personnes. Ils proposent notre programme. Les interactions s'améliorent, poursuit-elle. La majorité des références du programme proviennent de ces échanges. Engage416 sont opérationnelles depuis la semaine dernière","text":"Les équipes de quartier du projet Engage416 sont opérationnelles depuis la semaine dernière"}}\">Les équipes de quartier du projet Engage416 sont opérationnelles depuis la semaine dernière, confirme Mme Roizman. Ils travaillent avec les communautés des 12 quartiers à risque. Chaque équipe, qui s'occupe de quatre quartiers, est formée de policiers, de résidents de la communauté, de représentants d'organismes de services sociaux, d'enseignants et d'employeurs. La police de Toronto espère que ces équipes seront l'écho des personnes qui vivent dans ces quartiers en vue d'améliorer leurs relations. On veut donner une voix à la communauté, dit Mme Roizman. À terme, on veut se retirer et laisser le groupe s'autogérer, ajoute-t-elle. Marcell Wilson, un ancien membre d'un gang de rue à Toronto, remet en question l'efficacité de l'approche policière. Il a entendu parler du projet, mais selon le cofondateur du mouvement One By One, l'initiative devrait être menée par des membres de la communauté. Il ne met pas en doute l'aide apporté aux plus de 800 Torontois depuis le début de ce projet, mais le porte-à-porte de policiers armés n'est pas la voie à suivre, selon le cofondateur du groupe de prévention des gangs de rue. Il est inquiet pour la sécurité des résidents de ces quartiers quand les agents se présenteront à la porte. Le travail de la police est l'intervention pas la prévention. Des organismes comme les nôtres servent de ponts entre les autorités et les membres de la communauté, dit M. Wilson. Son équipe et lui travaillent auprès de Torontois de tous âges, mais il porte une attention particulière aux jeunes de 6 à 29 ans. Selon des sondages menés par le groupe de policiers auprès des communautés visées, la pauvreté, le manque d'activités stimulantes et les problèmes familiaux sont les trois facteurs qui contribuent principalement au climat de peur dans lequel ils vivent. Le niveau de peur est très élevé à Toronto. ans","text":"Le recrutement [dans les gangs de rue] commence aussi tôt qu'à 8ans"}}\">Le recrutement [dans les gangs de rue] commence aussi tôt qu'à 8 ans, affirme Mme Roizman. L'équipe tente justement de cibler ces familles pour leur venir en aide avant que les enfants gravitent autour des gangs de rue présents dans le quartier. Le quartier, la famille, les amis, plusieurs éléments de la vie quotidienne de ces gens ont un impact sur la sécurité et leur risque de joindre un gang de rue, explique Mme Roizman. La pauvreté est un énorme facteur dans la création de gangs. Le manque d'espoir, le manque d'opportunités d'emploi et le racisme jouent tous un rôle, ajoute M. Wilson. À mon époque, on était dans un gang de rue pour subvenir à nos besoins, de nos jours c'est pour se faire une réputation, pense-t-il. Le visage du gangstérisme a changé. C'est seulement lorsqu'il a été atteint par une balle à 19 ans qu'il a commencé à remettre en question son mode de vie, raconte l'homme qui a maintenant 42 ans. Nous devons nous unir en tant que Canadiens pour résoudre ce problème. Cette culture de violence ne fait aucun sens. Je me sentais responsable de ce qui se passait [avec les gangs de rue]. En tant que Torontois, nous ne voulons pas voir nos fils et nos filles mourir de cette façon, lance-t-il. Nathan Baya, 23 ans, a grandi dans le quartier Jane et Finch. Il y est depuis que sa famille a immigré de la République démocratique du Congo. Il a réellement commencé à découvrir sa communauté à 12 ans, dit-il. Grâce aux gens autour de moi, j'ai été protégé de plusieurs choses, dit le fondateur du groupe Jane Street Speaks. Pour encourager sa communauté, M. Baya collabore avec le centre commercial Jane Finch Mall, un endroit populaire du quartier, pour afficher des photos et des citations de résidents qui se sont démarqués par leur succès comme des artistes et des diplômés. On doit vivre une vie qui inspire les autres à vivre. Il n'y a pas d'opportunités. [...] On a besoin de plus de ressources pour la santé mentale, les arts et l'emploi, par exemple, ajoute le résident. On doit travailler ensemble. Il faut créer nos propres projets et nos propres initiatives. L'homme de 23 ans veut changer la réputation de son quartier en mettant en lumière ses étoiles. Il espère inspirer tous les passants près du centre commercial du quartier de Jane et Finch. Cependant, M. Baya ne croit pas que l'approche de l'Unité de prévention des gangs de rue soit la façon la plus efficace d'améliorer la situation. Il dit n'avoir jamais entendu parler du groupe ni l'avoir vu dans le quartier de Jane et Finch. Comme M. Wilson, il reconnaît qu'il reste encore beaucoup de travail à faire pour améliorer les relations entre la police de Toronto et les citoyens des quartiers où il y a une surveillance policière particulière. Quand la police vient, on ne se sent pas bien, avoue-t-il. Ce genre de projet n'est pas idéal pour nous parce que la police n'a pas un bon rapport avec Jane et Finch. Je préfère qu'on donne directement l'argent aux gens qui travaillent et qui vivent dans la communauté, ceux qui sont établis d'une manière amicale où nous pouvons échanger confortablement, conclut-il. Myriam Eddahia couvre l'actualité sous tous ses angles sur toutes les plateformes. Elle couvre notamment les nouvelles de dernière heure, la politique, les enjeux internationaux, les affaires municipales, la justice sociale et l'art et la culture. Elle est aussi passionnée de basketball. Ouvrir en mode plein écranL’Unité de prévention des gangs de rue du Service de police de Toronto se concentre sur 12 quartiers particulièrement touchés. Myriam EddahiaPublié le 21 juin 2021 à 5 h 21 HAEPrenez note que cet article publié en 2021 pourrait contenir des informations qui ne sont plus à jour. L’Unité de prévention des gangs de rue du Service de police de Toronto fait du porte-à-porte pour tenter d'aider les résidents des quartiers touchés par la violence. Son travail sur le terrain permettra-t-il de tisser des liens? Des Torontois qui vivent dans ces communautés ont des inquiétudes. Il y a eu au moins 154 fusillades à Toronto depuis le début de l'année. Ce nombre s'élève à 462 pour l'an dernier. L’Unité de prévention des gangs de rue du Service de police de Toronto (Integrated Gang Prevention Task Force) mise sur le projet Engage416 depuis septembre 2020 en s'impliquant dans les 12 quartiers où la violence est la plus présente. Ceux-ci sont concentrés dans le nord-ouest de la Ville. Ouvrir en mode plein écranBien que les objectifs de la prévention des gangs de rue soient difficiles, la policière Julia Roizman estime que c'est l'occasion d'avoir un impact positif sur la vie de nombreux résidents. Le projet Engage416 est le fruit de 31 consultations publiques avec des citoyens des quartiers les plus touchés par l’activité des gangs de rue. L'Unité de prévention des gangs de rue estime avoir interagi avec résidents","text":"plus de 1400résidents"}}'>plus de 1400 résidents de ces communautés grâce au porte-à-porte. La communauté est au centre des solutions. Mme Roizman et ses collègues posent des questions aux résidents des quartiers les plus touchés par la violence armée et les gangs de rue de Toronto et leur offrent du soutien que ce soit au niveau du logement, de l'éducation, de l'emploi ou de la santé mentale. Cette aide est disponible pour tous les membres du ménage pour tenter de prévenir le gangstérisme, la violence armée et la traite de personnes, notamment, peu importe l'âge. Les agents prennent en note leurs coordonnées pour les référer à des partenaires communautaires. L'équipe collabore entre autres avec Yorktown Family Services et la Société d’habitation communautaire de Toronto pour venir en aide à ces résidents. Ouvrir en mode plein écranUn agent de la police de Toronto discute avec un groupe de jeunes. Photo : Radio-Canada / Marie-Michelle Lauzon personnes ont accepté notre aide et participent à notre programme de parrainage","text":"Un peu plus de 820personnes ont accepté notre aide et participent à notre programme de parrainage"}}'>Un peu plus de 820 personnes ont accepté notre aide et participent à notre programme de parrainage, affirme Mme Roizman. Il y a beaucoup d'intérêt, ajoute-t-elle. Le programme de parrainage est une partie du projet Engage416 mis en place par l'Unité. Il vient principalement en aide aux Torontois qui sont en liberté sous caution. Plusieurs d'entre eux font face à des accusations liées aux armes à feu et aux gangs, explique Mme Roizman. Les policiers en uniforme qui font les contrôles de conformité des conditions de libération ont maintenant des conversations plus approfondies avec ces personnes. Ils proposent notre programme. Les interactions s'améliorent, poursuit-elle. La majorité des références du programme proviennent de ces échanges. Engage416 sont opérationnelles depuis la semaine dernière","text":"Les équipes de quartier du projet Engage416 sont opérationnelles depuis la semaine dernière"}}'>Les équipes de quartier du projet Engage416 sont opérationnelles depuis la semaine dernière, confirme Mme Roizman. Ils travaillent avec les communautés des 12 quartiers à risque. Chaque équipe, qui s'occupe de quatre quartiers, est formée de policiers, de résidents de la communauté, de représentants d'organismes de services sociaux, d'enseignants et d'employeurs. La police de Toronto espère que ces équipes seront l'écho des personnes qui vivent dans ces quartiers en vue d'améliorer leurs relations. On veut donner une voix à la communauté, dit Mme Roizman. À terme, on veut se retirer et laisser le groupe s'autogérer, ajoute-t-elle. Ouvrir en mode plein écranMarcell Wilson, ancien gangster, a fondé le mouvement One by One pour parler aux jeunes de son expérience et les aider à sortir de la violence. Marcell Wilson, un ancien membre d'un gang de rue à Toronto, remet en question l'efficacité de l'approche policière. Il a entendu parler du projet, mais selon le cofondateur du mouvement One By One, l'initiative devrait être menée par des membres de la communauté. Il ne met pas en doute l'aide apporté aux plus de 800 Torontois depuis le début de ce projet, mais le porte-à-porte de policiers armés n'est pas la voie à suivre, selon le cofondateur du groupe de prévention des gangs de rue. Il est inquiet pour la sécurité des résidents de ces quartiers quand les agents se présenteront à la porte. Le travail de la police est l'intervention pas la prévention. Des organismes comme les nôtres servent de ponts entre les autorités et les membres de la communauté, dit M. Wilson. Son équipe et lui travaillent auprès de Torontois de tous âges, mais il porte une attention particulière aux jeunes de 6 à 29 ans. Selon des sondages menés par le groupe de policiers auprès des communautés visées, la pauvreté, le manque d'activités stimulantes et les problèmes familiaux sont les trois facteurs qui contribuent principalement au climat de peur dans lequel ils vivent. Le niveau de peur est très élevé à Toronto. ans","text":"Le recrutement [dans les gangs de rue] commence aussi tôt qu'à 8ans"}}'>Le recrutement [dans les gangs de rue] commence aussi tôt qu'à 8 ans, affirme Mme Roizman. L'équipe tente justement de cibler ces familles pour leur venir en aide avant que les enfants gravitent autour des gangs de rue présents dans le quartier. Le quartier, la famille, les amis, plusieurs éléments de la vie quotidienne de ces gens ont un impact sur la sécurité et leur risque de joindre un gang de rue, explique Mme Roizman. La pauvreté est un énorme facteur dans la création de gangs. Le manque d'espoir, le manque d'opportunités d'emploi et le racisme jouent tous un rôle, ajoute M. Wilson. À mon époque, on était dans un gang de rue pour subvenir à nos besoins, de nos jours c'est pour se faire une réputation, pense-t-il. C'est seulement lorsqu'il a été atteint par une balle à 19 ans qu'il a commencé à remettre en question son mode de vie, raconte l'homme qui a maintenant 42 ans. Nous devons nous unir en tant que Canadiens pour résoudre ce problème. Cette culture de violence ne fait aucun sens. Je me sentais responsable de ce qui se passait [avec les gangs de rue]. En tant que Torontois, nous ne voulons pas voir nos fils et nos filles mourir de cette façon, lance-t-il. Nathan Baya, 23 ans, a grandi dans le quartier Jane et Finch. Il y est depuis que sa famille a immigré de la République démocratique du Congo. Il a réellement commencé à découvrir sa communauté à 12 ans, dit-il. Grâce aux gens autour de moi, j'ai été protégé de plusieurs choses, dit le fondateur du groupe Jane Street Speaks. Ouvrir en mode plein écranPour changer les mentalités des gens de son quartier, Nathan Baya a affiché des photos et citations de résidents inspirants qui se sont démarqués par leur succès. Pour encourager sa communauté, M. Baya collabore avec le centre commercial Jane Finch Mall, un endroit populaire du quartier, pour afficher des photos et des citations de résidents qui se sont démarqués par leur succès comme des artistes et des diplômés. On doit vivre une vie qui inspire les autres à vivre. Il n'y a pas d'opportunités. [...] On a besoin de plus de ressources pour la santé mentale, les arts et l'emploi, par exemple, ajoute le résident. On doit travailler ensemble. Il faut créer nos propres projets et nos propres initiatives. L'homme de 23 ans veut changer la réputation de son quartier en mettant en lumière ses étoiles. Il espère inspirer tous les passants près du centre commercial du quartier de Jane et Finch. Cependant, M. Baya ne croit pas que l'approche de l'Unité de prévention des gangs de rue soit la façon la plus efficace d'améliorer la situation. Il dit n'avoir jamais entendu parler du groupe ni l'avoir vu dans le quartier de Jane et Finch. Comme M. Wilson, il reconnaît qu'il reste encore beaucoup de travail à faire pour améliorer les relations entre la police de Toronto et les citoyens des quartiers où il y a une surveillance policière particulière. Quand la police vient, on ne se sent pas bien, avoue-t-il. Ce genre de projet n'est pas idéal pour nous parce que la police n'a pas un bon rapport avec Jane et Finch. Je préfère qu'on donne directement l'argent aux gens qui travaillent et qui vivent dans la communauté, ceux qui sont établis d'une manière amicale où nous pouvons échanger confortablement, conclut-il. Donald Trump, président des États-Unis. Carney à Washington : « On ne veut pas revivre un moment Zelensky ». Publié à 4 h 00 HAE Carney à Washington : « On ne veut pas revivre un moment Zelensky »Le premier ministre canadien doit éviter les dérapages lors de sa rencontre avec Donald Trump Politique provinciale. Hôpital Maisonneuve-Rosemont : Québec débloque les fonds pour lancer les travaux. Publié à 6 h 51 HAE Hôpital Maisonneuve-Rosemont : Québec débloque les fonds pour lancer les travauxQuébec alloue aussi des fonds pour la reconstruction de l’Hôtel-Dieu d’Arthabaska Crimes et délits. Une étudiante portée disparue retrouvée morte à Ottawa. Publié hier à 17 h 36 HAE Une étudiante portée disparue retrouvée morte à OttawaLe Haut-Commissariat de l'Inde à Ottawa a identifié Vanshika Saini comme une étudiante indienne Élections fédérales Canada 2025. Le candidat libéral de Windsor demande un recomptage judiciaire. Publié hier à 19 h 41 HAE Le candidat libéral de Windsor demande un recomptage judiciaireÉlections Canada a trouvé des erreurs dans les rapports des bureaux de vote locaux Entrepreneuriat. La microbrasserie Pit Caribou évite la faillite. Publié hier à 18 h 09 HAE La microbrasserie Pit Caribou évite la failliteLes créanciers de la microbrasserie ont accepté lundi la proposition concordataire qui leur a été soumise Chargement en coursInfolettre Info nationaleNouvelles Abonnez-vous à notre infolettre pour ne rien manquer Il y a eu au moins 154 fusillades à Toronto depuis le début de l'année Ce nombre s'élève à 462 pour l'an dernier L’Unité de prévention des gangs de rue du Service de police de Toronto (Integrated Gang Prevention Task Force) mise sur le projet Engage416 depuis septembre 2020 en s'impliquant dans les 12 quartiers où la violence est la plus présente Ceux-ci sont concentrés dans le nord-ouest de la Ville Keelesdale-Eglinton West et Rexdale","text":"Ces quartiers ont été choisis parce qu’ils connaissent le plus haut taux de violence armée et de violence de gangs de rue comme Jane Heights Keelesdale-Eglinton West et Rexdale"}}\\\">Ces quartiers ont été choisis parce qu’ils connaissent le plus haut taux de 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principalement en aide aux Torontois qui sont en liberté sous caution Plusieurs d'entre eux font face à des accusations liées aux armes à feu et aux gangs Les policiers en uniforme qui font les contrôles de conformité des conditions de libération ont maintenant des conversations plus approfondies avec ces personnes La majorité des références du programme proviennent de ces échanges Engage416 sont opérationnelles depuis la semaine dernière","text":"Les équipes de quartier du projet Engage416 sont opérationnelles depuis la semaine dernière"}}\\\">Les équipes de quartier du projet Engage416 sont opérationnelles depuis la semaine dernière Ils travaillent avec les communautés des 12 quartiers à risque de représentants d'organismes de services sociaux La police de Toronto espère que ces équipes seront l'écho des personnes qui vivent dans ces quartiers en vue d'améliorer leurs relations On veut donner une voix à la communauté on veut se retirer et laisser le groupe s'autogérer un ancien membre d'un gang de rue à Toronto remet en question l'efficacité de l'approche policière mais selon le cofondateur du mouvement One By One l'initiative devrait être menée par des membres de la communauté Il ne met pas en doute l'aide apporté aux plus de 800 Torontois depuis le début de ce projet mais le porte-à-porte de policiers armés n'est pas la voie à suivre selon le cofondateur du groupe de prévention des gangs de rue Il est inquiet pour la sécurité des résidents de ces quartiers quand les agents se présenteront à la porte Le travail de la police est l'intervention pas la prévention Des organismes comme les nôtres servent de ponts entre les autorités et les membres de la communauté Son équipe et lui travaillent auprès de Torontois de tous âges mais il porte une attention particulière aux jeunes de 6 à 29 ans Selon des sondages menés par le groupe de policiers auprès des communautés visées le manque d'activités stimulantes et les problèmes familiaux sont les trois facteurs qui contribuent principalement au climat de peur dans lequel ils vivent Le niveau de peur est très élevé à Toronto ans","text":"Le recrutement [dans les gangs de rue] commence aussi tôt qu'à 8ans"}}\\\">Le recrutement [dans les gangs de rue] commence aussi tôt qu'à 8 ans L'équipe tente justement de cibler ces familles pour leur venir en aide avant que les enfants gravitent autour des gangs de rue présents dans le quartier plusieurs éléments de la vie quotidienne de ces gens ont un impact sur la sécurité et leur risque de joindre un gang de rue La pauvreté est un énorme facteur dans la création de gangs le manque d'opportunités d'emploi et le racisme jouent tous un rôle on était dans un gang de rue pour subvenir à nos besoins de nos jours c'est pour se faire une réputation Le visage du gangstérisme a changé C'est seulement lorsqu'il a été atteint par une balle à 19 ans qu'il a commencé à remettre en question son mode de vie Nous devons nous unir en tant que Canadiens pour résoudre ce problème Cette culture de violence ne fait aucun sens Je me sentais responsable de ce qui se passait [avec les gangs de rue] nous ne voulons pas voir nos fils et nos filles mourir de cette façon Il y est depuis que sa famille a immigré de la République démocratique du Congo Il a réellement commencé à découvrir sa communauté à 12 ans j'ai été protégé de plusieurs choses dit le fondateur du groupe Jane Street Speaks M. Baya collabore avec le centre commercial Jane Finch Mall pour afficher des photos et des citations de résidents qui se sont démarqués par leur succès comme des artistes et des diplômés On doit vivre une vie qui inspire les autres à vivre [...] On a besoin de plus de ressources pour la santé mentale Il faut créer nos propres projets et nos propres initiatives L'homme de 23 ans veut changer la réputation de son quartier en mettant en lumière ses étoiles Il espère inspirer tous les passants près du centre commercial du quartier de Jane et Finch M. Baya ne croit pas que l'approche de l'Unité de prévention des gangs de rue soit la façon la plus efficace d'améliorer la situation Il dit n'avoir jamais entendu parler du groupe ni l'avoir vu dans le quartier de Jane et Finch il reconnaît qu'il reste encore beaucoup de travail à faire pour améliorer les relations entre la police de Toronto et les citoyens des quartiers où il y a une surveillance policière particulière Ce genre de projet n'est pas idéal pour nous parce que la police n'a pas un bon rapport avec Jane et Finch Je préfère qu'on donne directement l'argent aux gens qui travaillent et qui vivent dans la communauté ceux qui sont établis d'une manière amicale où nous pouvons échanger confortablement Myriam Eddahia couvre l'actualité sous tous ses angles sur toutes les plateformes Elle couvre notamment les nouvelles de dernière heure Elle est aussi passionnée de basketball Le premier ministre canadien doit éviter les dérapages lors de sa rencontre avec Donald Trump Québec alloue aussi des fonds pour la reconstruction de l’Hôtel-Dieu d’Arthabaska Le Haut-Commissariat de l'Inde à Ottawa a identifié Vanshika Saini comme une étudiante indienne Élections Canada a trouvé des erreurs dans les rapports des bureaux de vote locaux Les créanciers de la microbrasserie ont accepté lundi la proposition concordataire qui leur a été soumise Keelesdale-Eglinton West et Rexdale"}}\">Ces quartiers ont été choisis parce qu’ils connaissent le plus haut taux de violence armée et de violence de gangs de rue comme Jane Heights \\"est-ce que vous vous sentez en sécurité dans votre quartier?\\" Je pense que personne ne leur pose la question","text":"On leur demande:\\"Comment ça va?\\" \\"est-ce que vous vous sentez en sécurité dans votre quartier?\\" Je pense que personne ne leur pose la question"}}\">On leur demande :\"Comment ça va?\" \"est-ce que vous vous sentez en sécurité dans votre quartier?\" Je pense que personne ne leur pose la question L'Unité de prévention des gangs de rue estime avoir interagi avec résidents","text":"plus de 1400résidents"}}\">plus de 1400 résidents de ces communautés grâce au porte-à-porte personnes ont accepté notre aide et participent à notre programme de parrainage","text":"Un peu plus de 820personnes ont accepté notre aide et participent à notre programme de parrainage"}}\">Un peu plus de 820 personnes ont accepté notre aide et participent à notre programme de parrainage Engage416 sont opérationnelles depuis la semaine dernière","text":"Les équipes de quartier du projet Engage416 sont opérationnelles depuis la semaine dernière"}}\">Les équipes de quartier du projet Engage416 sont opérationnelles depuis la semaine dernière ans","text":"Le recrutement [dans les gangs de rue] commence aussi tôt qu'à 8ans"}}\">Le recrutement [dans les gangs de rue] commence aussi tôt qu'à 8 ans L’Unité de prévention des gangs de rue du Service de police de Toronto fait du porte-à-porte pour tenter d'aider les résidents des quartiers touchés par la violence Son travail sur le terrain permettra-t-il de tisser des liens Des Torontois qui vivent dans ces communautés ont des inquiétudes.