J’accepteAller au contenu principalAller au pied de pageAide à la navigationPublicité La destination d’information de Radio-Canada dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"CORRECTIONUne première version non corrigée de cet article a d’abord été publiée par erreur dimanche matin Bien que le texte ne comprenait pas d’inexactitudes quant aux faits il contenait des fautes et manquait de précision la phrase au-dessus de la photo de cette version a été modifiée Une version précédente indiquait de façon erronée que les Premières Nations de partout au pays auraient un droit de veto sur la construction d'un dépôt géologique pour les déchets nucléaires alors que ce sont deux Premières Nations des territoires à l'étude qui sont concernées Le chef de la Première Nation Chippewas de Nawash explique que les déchets seraient transportés sur le réseau d’autoroutes canadiennes traversant d’autres territoires autochtones ces Premières nations auraient donc aussi le droit de s’y opposer Si l'on pense au nombre de territoires de Premières nations que les déchets devraient traverser L'industrie nucléaire canadienne cherche depuis des décennies un lieu pour la gestion à long terme de dizaines de milliers de tonnes de déchets hautement radioactifs un projet évalué à 26 milliards de dollars La Société de gestion des déchets nucléaires (SGDN) un groupe industriel à but non lucratif a finalement ciblé deux communautés de l'Ontario : le canton d’Ignace Toutes deux se prononceront au cours de l'année sur la construction d'un dépôt géologique en profondeur pour conserver les déchets à jamais La Nation ojibwée de Saugeen se retrouve ainsi comme futur arbitre d'une aire potentielle de déchets nucléaires sur ses terres traditionnelles pour la deuxième fois en quelques années ses membres ont voté massivement contre la construction d'un dépôt en couches géologiques profondes à l'extérieur de Kincardine proposé par la société d’État Ontario Power Generation Le chef Nadjiwon estime que la proposition de la SGDN a plus de chances d'aboutir mais qu'elle reste difficile à faire accepter Je pense que les possibilités sont plus favorables mais cela ne veut pas dire que le projet sera accepté Le chef Nadijwon estime que le principal problème est la peur que suscite le matériel radioactif Il se souvient de la réaction du public à un projet de 2010 visant à transporter 16 chaudières nucléaires à vapeur contenant des éléments radioactifs à travers trois des Grands Lacs Ce projet prévoyait d'envoyer les chaudières de la centrale nucléaire de Bruce à Owen Sound un navire aurait transporté les éléments à travers les lacs Huron Érié et Ontario jusqu'au fleuve Saint-Laurent avant d’arriver à l'océan Atlantique et de rejoindre une installation en Suède la Commission canadienne de sûreté nucléaire avait déclaré que le projet ne présenterait que peu de risques pour la santé humaine ou l'environnement Il a alors été approuvé par Ottawa mais 16 communautés autochtones au Canada et aux États-Unis dont les Mohawks de Kahnawake et un certain nombre d'autres Premières Nations le long du trajet s'y sont opposées le projet est tombé à l’eau il est peu probable que toutes les Premières Nations concernées acceptent que des déchets radioactifs soient transportés à travers leurs territoires traditionnels Vous parlez de transporter des déchets nucléaires sur le réseau routier Je pense qu'il y a encore moins de chances Le chef Nadjiwon n'a pas voulu dévoiler ce qu’il pensait personnellement du projet de la SGDN d'enfouir les déchets nucléaires du pays en Ontario C'est une décision qui sera prise par les membres dans le cadre d’un référendum La SGDN a déclaré en 2022 qu'une fois le dépôt géologique construit quelque 30 000 chargements de déchets nucléaires devraient être déplacés de huit aires de stockage temporaire et traverser certaines des régions les plus peuplées du pays sur une période de 40 ans Le chef Conrad Ritchie de la Première Nation de Saugeen ne s’est pas non plus aventuré sur cette question Il s’est plutôt contenté de dire que la décision aura des répercussions pendant les décennies et les siècles à venir Ce sont nos petits-enfants et nos arrière- arrière-petits-enfants qui hériteront du fait que nous sommes égoïstes ou non dans notre façon de vivre aujourd'hui la question de l'enfouissement des déchets radioactifs divise également la communauté Certains pensent que cela apporterait de nouveaux emplois tandis que d’autres croient que les risques sont trop grands Les subventions accordées par l'industrie nucléaire canadienne ont déjà permis à la ville de faire de nombreux investissements qu'il s'agisse de nouveaux équipements pour les pompiers volontaires ou de fonds supplémentaires pour les projets d'infrastructure municipale Le chef Nadjiwon affirme pour sa part que l'argent a aidé le programme de construction de maisons de la communauté Nous avons du mal à en construire deux","text":"Nous devons construire 10maisons par an Nous avons du mal à en construire deux"}}\">Nous devons construire 10 maisons par an Nous avons du mal à en construire deux Il ajoute que si les subventions de l'industrie nucléaire devaient disparaître demain sa communauté trouvera d’autres solutions Les Premières Nations de deux sites à l'étude décideront si elles souhaitent accueillir l'installation Ouvrir en mode plein écranUne partie du combustible nucléaire usé qui pourrait être enfoui dans la municipalité de South Bruce est actuellement stockée à la centrale nucléaire de Bruce Un projet d’enfouissement de déchets nucléaires risque de ne jamais voir le jour en Ontario même si la Première Nation à qui appartient le territoire sur lequel il est proposé vote en faveur Une première version non corrigée de cet article a d’abord été publiée par erreur dimanche matin Bien que le texte ne comprenait pas d’inexactitudes quant aux faits il contenait des fautes et manquait de précision la phrase au-dessus de la photo de cette version a été modifiée Une version précédente indiquait de façon erronée que les Premières Nations de partout au pays auraient un droit de veto sur la construction d'un dépôt géologique pour les déchets nucléaires alors que ce sont deux Premières Nations des territoires à l'étude qui sont concernées Le chef de la Première Nation Chippewas de Nawash explique que les déchets seraient transportés sur le réseau d’autoroutes canadiennes traversant d’autres territoires autochtones ces Premières nations auraient donc aussi le droit de s’y opposer Si l'on pense au nombre de territoires de Premières nations que les déchets devraient traverser L'industrie nucléaire canadienne cherche depuis des décennies un lieu pour la gestion à long terme de dizaines de milliers de tonnes de déchets hautement radioactifs un projet évalué à 26 milliards de dollars La Société de gestion des déchets nucléaires (SGDN) a finalement ciblé deux communautés de l'Ontario : le canton d’Ignace Ouvrir en mode plein écranLes déchets nucléaires seraient tous transportés par voie terrestre sur le réseau d'autoroutes canadiennes Toutes deux se prononceront au cours de l'année sur la construction d'un dépôt géologique en profondeur pour conserver les déchets à jamais La Nation ojibwée de Saugeen se retrouve ainsi comme futur arbitre d'une aire potentielle de déchets nucléaires sur ses terres traditionnelles ses membres ont voté massivement contre la construction d'un dépôt en couches géologiques profondes à l'extérieur de Kincardine proposé par la société d’État Ontario Power Generation mais qu'elle reste difficile à faire accepter Je pense que les possibilités sont plus favorables mais cela ne veut pas dire que le projet sera accepté Le chef Nadijwon estime que le principal problème est la peur que suscite le matériel radioactif Il se souvient de la réaction du public à un projet de 2010 visant à transporter 16 chaudières nucléaires à vapeur contenant des éléments radioactifs à travers trois des Grands Lacs Ce projet prévoyait d'envoyer les chaudières de la centrale nucléaire de Bruce à Owen Sound un navire aurait transporté les éléments à travers les lacs Huron Érié et Ontario jusqu'au fleuve Saint-Laurent avant d’arriver à l'océan Atlantique et de rejoindre une installation en Suède la Commission canadienne de sûreté nucléaire avait déclaré que le projet ne présenterait que peu de risques mais 16 communautés autochtones au Canada et aux États-Unis dont les Mohawks de Kahnawake et un certain nombre d'autres Premières Nations le long du trajet s'y sont opposées il est peu probable que toutes les Premières Nations concernées acceptent que des déchets radioactifs soient transportés à travers leurs territoires traditionnels Vous parlez de transporter des déchets nucléaires sur le réseau routier Le chef Nadjiwon n'a pas voulu dévoiler ce qu’il pensait personnellement du projet de la SGDN d'enfouir les déchets nucléaires du pays en Ontario C'est une décision qui sera prise par les membres dans le cadre d’un référendum La SGDN a déclaré en 2022 qu'une fois le dépôt géologique construit quelque 30 000 chargements de déchets nucléaires devraient être déplacés de huit aires de stockage temporaire et traverser certaines des régions les plus peuplées du pays sur une période de 40 ans Ouvrir en mode plein écranSchéma d'un dépôt géologique en profondeur réalisé par la Société de gestion des déchets nucléaires Photo : Société de gestion des déchets nucléaires Le chef Conrad Ritchie de la Première Nation de Saugeen ne s’est pas non plus aventuré sur cette question Il s’est plutôt contenté de dire que la décision aura des répercussions pendant les décennies et les siècles à venir Ce sont nos petits-enfants et nos arrière- arrière-petits-enfants qui hériteront du fait que nous sommes égoïstes ou non dans notre façon de vivre aujourd'hui la question de l'enfouissement des déchets radioactifs divise également la communauté tandis que d’autres croient que les risques sont trop grands Les subventions accordées par l'industrie nucléaire canadienne ont déjà permis à la ville de faire de nombreux investissements qu'il s'agisse de nouveaux équipements pour les pompiers volontaires ou de fonds supplémentaires pour les projets d'infrastructure municipale Le chef Nadjiwon affirme pour sa part que l'argent a aidé le programme de construction de maisons de la communauté Nous avons du mal à en construire deux","text":"Nous devons construire 10maisons par an Nous avons du mal à en construire deux"}}'>Nous devons construire 10 maisons par an Il ajoute que si les subventions de l'industrie nucléaire devaient disparaître demain Politique provinciale. Danielle Smith promet un référendum en 2026. Publié à 18 h 28 HAE Danielle Smith promet un référendum en 2026La question du séparatisme pourrait y figurer Crimes et délits. Une étudiante portée disparue retrouvée morte à Ottawa. Publié à 17 h 36 HAE Une étudiante portée disparue retrouvée morte à OttawaLe Haut-Commissariat de l'Inde à Ottawa a identifié Vanshika Saini comme une étudiante indienne Donald Trump, président des États-Unis. Donald Trump dit qu’il est improbable que les É.-U. annexent le Canada. Publié à 15 h 12 HAE Donald Trump dit qu’il est improbable que les É.-U. annexent le CanadaLe président américain a affirmé qu'il continuera à faire pression pour que le Canada devienne le 51e État Élections fédérales Canada 2025. Le candidat libéral de Windsor demande un recomptage judiciaire. Publié à 19 h 41 HAE Le candidat libéral de Windsor demande un recomptage judiciaireÉlections Canada a trouvé des erreurs dans les rapports des bureaux de vote locaux Chargement en coursInfolettre ICI OntarioUne fois par jour recevez l’essentiel de l’actualité régionale Abonnez-vous à notre infolettre pour ne rien manquer Une première version non corrigée de cet article a d’abord été publiée par erreur dimanche matin Nous avons du mal à en construire deux"}}\\\">Nous devons construire 10 maisons par an La question du séparatisme pourrait y figurer Le Haut-Commissariat de l'Inde à Ottawa a identifié Vanshika Saini comme une étudiante indienne Le président américain a affirmé qu'il continuera à faire pression pour que le Canada devienne le 51e État Élections Canada a trouvé des erreurs dans les rapports des bureaux de vote locaux Plusieurs questions demeurent quant à l'application des tarifs de 100 % sur les films produits hors des É.-U Les Premières Nations de deux sites à l'étude décideront si elles souhaitent accueillir l'installation Au moins 217 employés d'une centrale nucléaire qu'exploite l'entreprise privée Bruce Power auraient été exposés à une fuite radioactive estime la Commission canadienne de sûreté nucléaire (CCSN) Cet incident est survenu en novembre dernier durant des travaux de remise à neuf réalisés à la centrale nucléaire Il s'agirait du pire incident de contamination à survenir dans une centrale nucléaire au pays Selon les premières analyses menées en janvier les employés affectés n'auraient pas été exposés à une radiation dépassant la limite permise mais la CCSN laisse entendre dans un rapport rendu public hier que les travailleurs ont peut-être été exposés à des radiations plus importantes Les employés ont d'ailleurs subi des tests d'urine au cours des dernières semaines l'organisme responsable de réglementer l'utilisation de l'énergie et des matières nucléaires au pays affirme que les travailleurs ont été exposés à des radiations de type alpha L'incident est survenu environ un mois après que la CCSN eut renouvelé pour une période de cinq ans les permis d'exploitation d'un réacteur nucléaire de Bruce Power Cette société exploite deux centrales nucléaires Bruce Power est la seule entreprise privée au pays qui exploite une centrale nucléaire Les radiations ont été contenues à l'intérieur de la centrale nucléaire et aucun dommage n'a été causé à l'environnement Cet incident sera abordé à la prochaine réunion de la Commission La députée du NPD Judy Wasylycia-Leis s'est dite «estomaquée» hier d'apprendre qu'un tel incident soit survenu à la centrale nucléaire C'est certainement très inquiétant pour les travailleurs de cette centrale Il faut une enquête approfondie pour savoir pourquoi cela s'est produit Et il faut que la CCSN rende publiques toutes les informations à ce sujet» Le NPD s'oppose à toute expansion de l'industrie nucléaire au pays Le député libéral Geoff Regan a abondé dans le même sens «Cet incident soulève beaucoup de questions Pourquoi sommes-nous informés seulement maintenant Quelles précautions ont été prises pour protéger le public et pour que cela ne se reproduise plus Ce sont des questions que nous pourrions poser au ministre responsable si le premier ministre n'avait pas prorogé le Parlement» Les arbres sont un élément important de l’environnement leurs racines s’enfoncent profondément dans le sol et le maintiennent en place sert d’habitat aux oiseaux et aux animaux et donne de l’ombre lors des journées chaudes et ensoleillées De nombreux arbres poussant ensemble forment une forêt un écosystème important riche en biodiversité lorsqu’une forêt est complètement abattue des personnes comme Doug McCallum se mobilisent pour protéger et planter autant d’arbres que possible et pour inciter d’autres personnes à faire de même Il a créé un groupe au sein de sa communauté pour soutenir la cause et tout a commencé lorsqu’il a remarqué que de grandes sections d’arbres étaient coupées Arbres nouvellement plantés à côté d’une forêt « J’ai commencé tout cela il y a trois ans Il y avait beaucoup d’abattages d’arbres à Kincardine et deux d’entre nous ont créé un groupe Facebook intitulé « Kincardinites Concerned for Our Trees » (Les Kincardinois soucieux de leurs arbres) » Il a commencé par s’adresser au conseil municipal pour demander la mise en place d’un règlement visant à mettre un terme aux coupes à blanc Les coupes à blanc sont parfois pratiquées pour faire de la place dans une zone spécifique pour des lotissements des terres agricoles ou d’autres types d’aménagements « L’un des conseillers municipaux m’a contacté et m’a dit qu’il ne pouvait pas faire grand-chose à l’époque pour mettre fin à la coupe à blanc mais qu’il nous demandait si nous voulions planter des arbres dans un parc qui n’était plus utilisé » Alors qu’il espérait qu’un règlement serait mis en place pour mettre fin aux coupes à blanc comme l’ont fait de nombreuses communautés voisines il s’est tourné vers la plantation d’arbres Des bénévoles creusent un trou dans un parc local j’ai commandé cent jeunes arbres à la Pine River Watershed Initiative et nous les avons plantés dans le parc Riggin le Rotary Club a fait don de 50 arbres assez grands et nous avons organisé une journée de plantation d’arbres avec eux » Les efforts de plantation d’arbres ne se sont pas arrêtés là Doug s’est vu offrir des arbres par des propriétaires qui en avaient beaucoup sur leur terrain Lorsque les dons en argent ont commencé à affluer il a acheté d’autres jeunes arbres pour les planter dans le parc Riggin « J’ai donc lancé un appel à volontaires sur notre groupe Facebook demandant si quelqu’un souhaitait se porter volontaire pour m’aider à former un groupe à but non lucratif dont le seul objectif était de planter des arbres et des fleurs sauvages afin de renaturaliser des endroits à Kincardine » C’est alors que Doug et quelques autres ont formé un groupe à but non lucratif appelé Kincardine Naturalization Projects Bénévoles des projets de naturalisation de Kincardine « Lorsque j’ai demandé des volontaires l’année dernière nous avons aidé ce groupe à démarrer en organisant des plantations d’arbres » Afin de collecter des fonds pour acheter des arbres et du matériel de plantation le groupe a organisé des tombolas dont les prix ont été offerts par des dizaines d’entreprises locales La tombola de l’année dernière a permis de récolter environ 2 000 dollars qui ont été consacrés à des projets de naturalisation et à l’achat d’arbres et de nichoirs Le trio travaille ensemble à la demande de subventions et de parrainages au choix des arbres indigènes à planter et à leur emplacement ainsi qu’aux entretiens avec les écologistes et autres experts environnementaux de la région ils ont organisé une opération de plantation d’arbres et Doug dit qu’ils s’attendaient à ce que 15 volontaires se présentent « Nous avons fini par obtenir une soixantaine de bénévoles C’était impressionnant de voir le nombre de personnes qui se sont présentées Tout le monde était heureux et tous étaient là pour la même raison : remettre des arbres dans notre communauté Les projets de naturalisation de Kincardine collaborent avec leur municipalité locale pour planter des arbres dans les parcs qui sont sous-utilisés De la création du groupe Facebook en 2020 à l’organisation d’une plantation d’arbres ce printemps Doug affirme qu’ils ont parcouru un long chemin mais qu’il leur reste encore beaucoup à faire je pensais qu’il n’y aurait que moi et quelques autres personnes qui planteraient des arbres mais cela a vraiment pris de l’ampleur Les gens semblent vraiment intéressés par cette activité » Avec quelques parcs supplémentaires dans leur communauté locale qui ne sont pas adaptés au football au baseball ou à d’autres activités récréatives en plein air Doug dit qu’ils peuvent probablement prévoir plusieurs autres saisons de plantation d’arbres ils travaillent avec le conseil et le personnel municipal pour aménager un sentier dans l’un des parcs où ils ont planté des arbres afin que les gens puissent se promener dans le parc et en profiter La motivation de Doug pour lancer les projets de naturalisation de Kincardine est ancrée dans l’importance des forêts pour l’environnement « Certaines personnes considèrent une forêt comme un simple bouquet d’arbres Mais une forêt est un grand écosystème – il y a beaucoup de choses qui y vivent des tortues et toutes sortes d’animaux sauvages attrapent des insectes et s’occupent de leurs petits Une forêt est un écosystème totalement connecté Chaque chose a sa raison d’être et son rôle » Doug explique que la communauté est très intéressée par l’idée d’augmenter le nombre d’arbres dans leur communauté en participant à des événements de plantation d’arbres Des personnes de tous âges viennent apporter leur aide de quelque manière que ce soit Chaque forêt peut également être le seul habitat proche pour certaines espèces « La multitude d’espèces d’arbres et de plantes nourrit une multitude d’espèces qui en dépendent toutes qu’il s’agisse d’un certain type d’arbre portant un certain type de chenille qu’un certain type d’oiseau aime manger c’est un terrain plat qui ne contient rien d’autre que de la terre » la coupe à blanc perturbe un grand nombre de processus naturels c’est qu’il n’y a plus de drainage naturel Mais lorsqu’il n’y a plus d’arbres on se retrouve avec un tas de fossés de drainage qui évacuent l’eau sous forme d’onde de tempête vers les rivières ce qui provoque l’érosion et bien d’autres problèmes » Lorsqu’une forêt a été coupée à blanc près de la maison de Doug la faune sauvage s’est mise à errer partout Les gens ont remarqué que les renards erraient dans toute la municipalité qu’ils avaient l’air malades et blessés et qu’ils se faisaient renverser par les voitures Ils mouraient de faim parce qu’il n’y avait rien à manger tout ce qu’ils avaient l’habitude de manger avait disparu Ils ont fini par aller en ville à la recherche de restes de nourriture » Doug continue de plaider pour la mise en place d’un règlement le groupe se concentre sur la plantation d’autres arbres ce printemps afin de commencer à fournir un habitat à d’autres espèces « Nous voulons planter des arbres qui aideront les autres espèces qui vivent dans la région des plantes et des fleurs sauvages qui sont originaires de cette région Nous essayons d’acheter le plus possible de produits locaux notamment auprès de pépinières qui cultivent des arbres originaires de l’Ontario » Leur stratégie est simple : planter des espèces indigènes et leur donner les meilleures chances possibles de survivre et de prospérer « Après avoir retiré les racines de la motte nous creusons un trou d’environ un tiers de la taille du pot et nous l’enterrons au même niveau que lorsqu’il était planté dans le pot Nous essayons de ne pas planter après le 10 mai parce qu’il semble que nous soyons plus souvent confrontés à des situations de sécheresse qu’auparavant il pleuvait jusqu’à la fin du mois de mai il semble qu’il n’y ait plus autant de pluie au printemps » Après avoir rempli la terre autour des racines et tassé le sol autour de la base Doug explique qu’il y a quelques autres choses à faire pour donner à l’arbre en croissance une bonne chance de survie Chaque étape de la plantation de l’arbre est soigneusement étudiée pour lui donner les meilleures chances de survie « Nous ne voulons pas planter un arbre et le voir mourir c’est pourquoi nous mettons du paillis autour de la base de l’arbre » Ils prévoient également d’utiliser des nattes en écorce de noix de coco et de les fixer autour de l’arbre pour aider à retenir l’humidité et empêcher les mauvaises herbes de pousser autour de la base de l’arbre afin d’éviter la concurrence d’autres plantes Ils espèrent également faire parvenir au parc un grand bidon d’eau afin de pouvoir arroser les arbres en cas de sécheresse Si vous vous préoccupez des arbres et des forêts de votre communauté et que vous voulez faire quelque chose « Découvrez quels sont les besoins de votre communauté il y a de fortes chances qu’il y ait un groupe de personnes qui se sentent concernées et qui veulent faire quelque chose Ils voudront peut-être créer des règlements pour empêcher que cela ne se produise Mais il y aura aussi des gens qui voudront planter des arbres simplement parce que c’est une bonne chose à faire Les personnes qui se soucient de l’environnement savent que nous devons faire quelque chose parce que le climat est en train de changer » Une fois que vous avez trouvé des personnes désireuses de passer à l’action l’étape suivante consiste à prendre contact avec votre administration locale « La première chose à faire est de déterminer la quantité de plantes que vous pouvez planter dans votre communauté Prenez contact avec votre mairie et découvrez quels conseillers seraient intéressés pour vous aider Ils peuvent encourager d’autres personnes à s’impliquer Vous devez avoir du soutien pour ce que vous faites » Que votre groupe décide de planter des arbres des fleurs sauvages ou d’autres projets environnementaux Doug explique qu’il est important que le projet soit gérable On nous a donné quelques jeunes arbres pour commencer alors commencez petit si c’est tout ce que vous pouvez obtenir au début décidez de votre mandat et déterminez quels arbres et plantes sont indigènes à votre région Au fur et à mesure que vous devenez une organisation vous devez devenir un groupe à but non lucratif afin de pouvoir commencer à demander des subventions et des financements il faut être une organisation légitime pour faire une demande » Pattern Energy et Armow Wind sont fiers de parrainer les projets de naturalisation de Kincardine qui finance les projets de naturalisation de Kincardine pour notre projet Savage Park des herbes et des fleurs sauvages indigènes Nous espérons que ce parc deviendra un espace communautaire dont tout le monde pourra profiter » Alors que de nombreuses villes sont confrontées au vieillissement de leurs infrastructures 2024 est l'occasion de célébrer des étapes importantes Tous droits réservés © Pattern Energy 2025 Δdocument.getElementById( "ak_js_1" ).setAttribute( "value" (English version available here) Au cours des dernières semaines, une série d’articles parus dans les médias australiens a présenté l’Ontario comme un modèle de politique climatique et énergétique La nouvelle a fait son chemin jusque dans la province canadienne le chef de l’opposition libérale – l’équivalent du Parti conservateur en Australie – ait présenté les plans de l’Ontario en matière d’énergie nucléaire comme un exemple à suivre Pour les Ontariens bien au fait de la saga énergétique qui continue de se déployer devant eux, autant en matière d’électricité que d’énergie en général, l’idée que leur province soit un exemple sur le plan des politiques énergétiques est pour le moins farfelue Le chef de l’opposition au Parlement australien semble avoir une compréhension très limitée de l’histoire et de l’état actuel de la politique de l’électricité, de l’énergie et du climat en Ontario. Un bon point de départ serait les retards et dépassements de coûts liés au programme initial de construction de 20 réacteurs nucléaires de la province Ces retards et dépassements, qui se sont étalés des années 1960 au début des années 1990, ont entraîné la faillite d’Ontario Hydro, la compagnie d’électricité appartenant à la province. Son successeur, Ontario Power Generation (OPG), n’a pu être rendu économiquement viable qu’en déchargeant sur les contribuables près de 21 milliards $ en dettes Le gouvernement actuel de l’Ontario, dirigé par le premier ministre conservateur Doug Ford, semble déterminé à ignorer l’expérience de ces provinces et sa propre histoire de mégaprojets nucléaires ratés. Le plan énergétique gouvernemental de juillet 2023 prévoit la remise en état de six réacteurs de la centrale de Bruce (appartenant à OPG) et de quatre réacteurs de la centrale de Darlington Le coût total de ces projets n’est pas encore connu, mais une estimation globale de plus de 100 milliards $ ne serait pas irréaliste Cette estimation de 100 milliards $ suppose aussi que les choses se déroulent comme prévu, ce qui est rarement le cas pour les projets liés au nucléaire la Commission de l’énergie de l’Ontario – doivent mettre en œuvre comme les panneaux solaires et le stockage locaux et qu’elles augmenteront au cours des prochaines années Un processus rationnel et transparent donnerait la priorité aux options présentant les risques économiques technologiques et de sécurité les plus faibles ne devraient être envisagées que s’il peut être démontré que les options moins risquées ont été pleinement optimisées et développées dans le cadre du processus de planification La trajectoire actuelle de l’Ontario va dans la direction opposée Suivre son exemple serait une grave erreur Vous pouvez reproduire cet article d’Options politiques en ligne ou dans un périodique imprimé, sous licence Creative Commons Attribution. Vous pouvez reproduire cet article d’Options politiques en ligne ou dans un périodique imprimé, en suivant nos lignes directrices. Originellement publié sur le site Web d'Options politiques octobre 4 This work is licensed under a Creative Commons Attribution-NoDerivatives 4.0 International License Vous n'en pouvez plus d'attendre que les glaces fondent afin d'enfin enfourcher votre planche Ces 10 « spots » de surf du Canada vous remettront d'aplomb Considéré par plusieurs comme la « meilleure destination de surf en Amérique du nord », le village de Tofino, situé sur la côte ouest de l'île de Vancouver offre une grande variété de plages (Long Beach et Chesterman sont les plus courues chez les débutants) une atmosphère détendue et une vaste sélection d'hébergements en bord de mer Crédit photo: MPora la municipalité de Kincardine possède une plage surfable qui peut facilement rivaliser avec les endroits côtiers Sachez qu'à cet endroit les vagues sont sujettes à la température pouvant monter jusqu'à trois mètres de hauteur Un endroit unique si vous êtes un amateur de surf de lac Crédit photo: Scott Parent Situées à environ une heure et demie de Winnipeg les Sturgeon Falls offrent une grande diversité de vagues qui plairont aux surfeurs de tous les niveaux les eaux se réchauffent permettant de partir à l'assaut des vagues en surf le village d'Ingonish est un coin reculé du pays qui permet aux surfeurs de dévaler des vagues assez importantes surtout lors de tempêtes et en hiver La plage est très pittoresque et offre une vue magnifique sur le Cape Breton Highlands National Park Cette large plage de galets se trouve sur l'île de Vancouver et permet d'y camper ou d'y faire une grande randonnée mais de jolies gauches et droites attendent les surfeurs patients Crédit photo: Holly Edmonds À lire aussi: Top 10 des meilleurs endroits pour faire du kitesurf Située à 40 minutes à l'ouest de Calgary cette rivière tumultueuse possède plusieurs spots de surf les surfeurs peuvent venir se délier les jambes et apprécier une bonne session de surf de rivière Crédit photo: Bishop Habitat 67 est le nom d'une vague stationnaire située à Montréal dans les rapides de Lachine La vague est créée par le mouvement rapide de l'eau qui va frapper les rochers sous l'eau créant une vague qui peut atteindre jusqu'à deux mètres Les kayakistes d'eau vivre comme les surfeurs de rivière viennent s'y amuser même si la qualité de l'eau est discutable.. Crédit photo: KSF À 25 minutes au sud d'Halifax se trouve la petite ville côtière de Lawrencetown Beach Ce village héberge une sympathique communauté de surfeurs venus apprécier la côte atlantique et ses belles vagues (surtout de soir) Lawrencetown Beach est une bande de sable faisant face au Sud qui se déroule sur une distance de 1,5 kilomètres et qui offre également de belles randonnées en plus d'être surveillée par le Nova Scotia Lifeguarding Service Crédit photo: Tim Krochak plusieurs spots de surf existent à Terre-Neuve le vent est fort et beaucoup de tempêtes perturbent la surface des eaux Ces variations météorologiques provoquent la formation des vagues qui viennent s'échouer sur les côtes faisant de cette région un coin parfait pour le surf La région de Deadman's Bay offre de surprenantes vagues Sachez toutefois que ces endroits sont plus recommandables pour les surfeurs aguerris Crédit: Neil McFadden La rive nord de cet énorme lac est parfaite pour attraper quelques vagues Si une combinaison thermique est un indispensable pensez également à regarder les conditions météorologiques puisque les vagues peuvent dépasser les trois mètres de hauteur Les spots les plus connus pour surfer le lac Supérieur sont : Lester River Crédit photo: Bob Tema À voir aussi: Surfer la vague chez Oasis Surf à Brossard L’installation du parc éolien flottant de Kincardine La cinquième et dernière éolienne Vestas V174-9.5 MW de 180 mètres de haut du projet développé par l’espagnol Cobra Grupo a été connectée à ses lignes d’ancrages sur le site a annoncé First Subsea qui fournissait notamment les connecteurs pour l’amarrage de la plateforme Windar L’entreprise précise qu’elle reviendra plus tard dans l’été pour participer à l’installation des systèmes de protection des câbles (CPS) dynamiques la première installée en 2018 par Bourbon Subsea Services était une petite éolienne 2 MW à installer la série de cinq éoliennes de 9.525 MW Les opérations de raccordement au mouillage étaient effectuées par le navire de travaux Nicobar Avec une capacité de 50 MW, le parc de Kincardine sera le plus grand parc éolien flottant à sa mise en service. Il a recours aux flotteurs métalliques produits en Espagne par l’usine Windar d’Avilés et le chantier Navantia de Fene Ces derniers ont déjà travaillé sur les projets Hywind © Un article de la rédaction de Mer et Marine. Reproduction interdite sans consentement du ou des auteurs je devais poursuivre la présentation de la suite des magnifiques meubles du Dr Phaneuf mais je n’ai pu résister à cette belle figurine de la compagnie Lladro Nous en sommes donc à ce vaisselier de la compagnie ontarienne Malcolm Furniture deux villes où furent en production les usines de la compagnie L’écossais Andrew Malcolm et son ami de la même région du nord de l’Angleterre traversèrent plusieurs crises économiques et de grandes difficultés d’exploitation pendant ces nombreuses années de production Leur recherche constante d’amélioration de la qualité de leurs produits d’ébénisterie les a conduits à une renommée telle que l’histoire du mobilier ontarien ne peut passer outre l’épopée de ces deux hommes Je n’ai pu m’empêcher de penser à ces quelques membres de la famille Farrar venus du Vermont conquérir le marché de la céramique canadienne en établissant ici même à Saint-Jean les nombreuses poteries dont l’histoire de notre ville ne peut désormais se dissocier convenons qu’une carrière qui débute par un travail de bureau (il était comptable) et qui se poursuit par l’acquisition d’une usine de meubles la carrière professionnelle de John Molson (brasseur montréalais de la bière du même nom) un autre écossais important dans l’histoire du Canada Il n’est pas rare de trouver chez les antiquaires de chez nous des meubles provenant de ces usines ontariennes mais dont la qualité d’exécution nous laisse croire qu’ils sont d’origine américaine Nous n’avons rien à envier à la production de nos voisins du sud Je ne serais même pas étonné que de grandes usines de meubles au Massachusetts au ailleurs aux États-Unis aient comme fondateur un Ontarien ou même un propriétaire canadien de l’est du pays la Nouvelle-Écosse a aussi une renommée très enviable lorsqu’il s’agit de nommer de grands ébénistes qui ont fait la notoriété de cette province des Maritimes les prix de ces ensembles de salle à manger décrochent facilement des valeurs très élevées chez les revendeurs les prix demandés sont très certainement moindres chez nos voisins de l’Ontario étant donné la grande quantité de pièces qu’il est encore possible d’y dénicher le choix pour des hommes comme le Dr Georges Phaneuf d’acheter des meubles canadiens demeure encore aujourd’hui judicieux cet ensemble de salle à manger comprenant une table un buffet bas et 6 ou 8 chaises dont deux à bras L’ensemble a beau être remarquable par sa qualité de fabrication sa place dans notre histoire nationale et sa propriété ancienne par un homme important de chez nous pas sa place dans la nouvelle résidence de ses propriétaires actuels Qui sait quelle sera son histoire à partir de sa revente dans quelques semaines Une vingtaine de choristes de l'Ensemble vocal de l'Écluse s'envoleront en France pour participer… chante Céline Dion depuis 2022 sur plusieurs scènes de la province… La sixième édition du Potluck littéraire aura lieu le dimanche 4 mai Plateforme EZ Newzsite par Textuel et TolléDonnées météo fournies par OpenWeatherMap dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"Un texte de Marie-Hélène Ratel il est possible de surfer en eau douce en Ontario sans avoir à se déplacer beaucoup peu de gens le savent : la première image qui vient en tête en pensant à ce sport est souvent l’océan sur les rives du lac Huron au sud de la péninsule Bruce est devenu un lieu très convoité par les surfeurs depuis quelques années Les passionnés de surf consultent de façon compulsive les prévisions météo parce que la qualité des vagues dépend entièrement de la direction et de la force des vents C’est en constatant le développement d’une culture du surf dans la région que Tara Coates a ouvert la première boutique de location de planches Elle remarque maintenant que l’engouement pour le sport prend de l'ampleur Tara Coates s'est d'ailleurs donné une mission : communiquer sa passion pour le surf en eau douce avec le plus de monde possible Les gens n’ont pas besoin de voyager loin Ils peuvent conduire deux heures et surfer des vagues fantastiques Les surfeurs viennent pour la plupart de la grande région de Toronto Une communauté locale est aussi en train de se créer a développé sa passion pour le surf sur les Grands Lacs au cours des deux dernières années il aime se retrouver sur le bord de l’eau bleue du lac Huron Il faut travailler dur pour avoir de belles vagues Septembre est un mois particulièrement achalandé pour les surfeurs mais c'est en hiver que les vagues sont les plus fortes Il s'agit en effet de la plus importante saison de surf pour ceux qui ont les reins assez solides alors qu'ils doivent affronter les intempéries Le surfeur Aurélien Bouché-Pillon carbure à cette adrénaline il a immigré aux États-Unis il y a 12 ans il contribue grandement à faire rayonner la culture du surf sur les Grands Lacs Les routes peuvent être plus dangereuses que les vagues surtout lors de périodes de grande chaleur 2:50Le surf en eau douce gagne en popularité en Ontario et dans le nord des États-Unis Prenez note que cet article publié en 2018 pourrait contenir des informations qui ne sont plus à jour La culture du surf se développe rapidement en Ontario De nombreux adeptes de partout en province et du nord des États-Unis sont fréquemment à la recherche des meilleures vagues sur les Grands Lacs il est possible de surfer en eau douce en Ontario sans avoir à se déplacer beaucoup peu de gens le savent : la première image qui vient en tête en pensant à ce sport est souvent l’océan Ouvrir en mode plein écranL'hiver est la saison de prédilection des surfeurs Les vagues se font beaucoup plus rares en été sur les rives du lac Huron au sud de la péninsule Bruce est devenu un lieu très convoité par les surfeurs depuis quelques années Les passionnés de surf consultent de façon compulsive les prévisions météo parce que la qualité des vagues dépend entièrement de la direction et de la force des vents C’est en constatant le développement d’une culture du surf dans la région que Tara Coates a ouvert la première boutique de location de planches Elle remarque maintenant que l’engouement pour le sport prend de l'ampleur Ouvrir en mode plein écranSurfSup Eco Shop la première boutique de surf à Kincardine à offrir des locations de planches Tara Coates s'est d'ailleurs donné une mission : communiquer sa passion pour le surf en eau douce avec le plus de monde possible Les surfeurs viennent pour la plupart de la grande région de Toronto Une communauté locale est aussi en train de se créer Ouvrir en mode plein écranLa plupart des surfeurs se connaissent et se retrouvent régulièrement Ryan Osman a développé sa passion pour le surf sur les Grands Lacs il y a deux ans a développé sa passion pour le surf sur les Grands Lacs au cours des deux dernières années il aime se retrouver sur le bord de l’eau bleue du lac Huron Septembre est un mois particulièrement achalandé pour les surfeurs alors qu'ils doivent affronter les intempéries Ouvrir en mode plein écranKincardine sur les rives du lac Huron est un endroit de prédilection pour les surfeurs Le surfeur Aurélien Bouché-Pillon carbure à cette adrénaline il contribue grandement à faire rayonner la culture du surf sur les Grands Lacs Les routes peuvent être plus dangereuses que les vagues surtout lors de périodes de grande chaleur Toutes les actualités Tous les guides d'achats Notre sélection des meilleures batteries externes pour ordinateur portable Comment aménager une centrale solaire hors réseau Toutes les fiches pédagogiques Superphénix : l'histoire tourmentée du méga réacteur nucléaire à neutrons rapides français Comment fonctionne une batterie sodium-ion Ne ratez plus les dernières actualités énergetiques L’ancrage dans la baie d’Aberdeen de la sixième et dernière éolienne du projet offshore de Kincardine est achevé de la plus grande ferme éolienne flottante du monde le projet offshore flottant de Kincardine est Il devrait générer annuellement environ 218 GWh (gigawattheures) d’électricité verte ce qui correspond à la consommation moyenne de 55.000 ménages écossais Le projet a été développé par Kincardine Offshore Wind une filiale de l’entreprise portugaise Pilot Offshore Renewables qui en a confié le design la construction et la mise en service à la compagnie madrilène Cobra Wind.C’est le consortium espagnol Navantia-Windar qui a conçu et fabriqué les fondations flottantes semi-submersibles Elles ont été transportées jusqu’au port de Rotterdam où les turbines ont été montées sur les plateformes avant d’être remorquées jusqu’à la baie d’Aberdeen Jusqu’ici, le record de puissance des parcs offshore flottants était détenu par le projet Hywind, développé par l’énergéticien norvégien Equinor (auparavant Statoil) et l’investisseur emirati Masdar qui en détient 25%. Construit également en Ecosse près d’Aberdeen, il comprend 5 turbines Siemens-Gamesa de 6 MW dotées de pales de 75 mètres Il affiche donc une capacité totale de 30 MW.Kincardine ne détiendra pas le nouveau record pendant longtemps Equinor développe en effet au large de la Norvège un projet de 88 MW : Hywind Tampen Les experts estiment que les projets éoliens flottants sont amenés à se développer fortement au cours des prochaines années le long des côtes européennes Les emplacements disponibles pour les turbines ancrées sur les fonds marins sont en effet limités par la profondeur de ceux-ci : 50 mètres maximum Le Royaume-Uni qui accueillera bientôt la COP26 en Ecosse s’est fixé un objectif de 1 GW d’éolien flottant d’ici 2030 En France, un premier démonstrateur de 2 MW baptisé Floatgen équipé d’une fondation flottante semi-submersible conçue par la société française Ideol et construite par Bouygues a été assemblée en 2017 dans le port de Saint-Nazaire puis remorquée jusqu’au site d’essai situé à 22 km du littoral Les premiers kilowattheures produits ont été injectés dans le réseau national en septembre 2018 Floatgen est toujours la seule et unique turbine offshore de France Inutile de dire que le pays compte un retard évident dans le développement de l’éolien maritime Il mise notamment sur le développement des fermes offshore flottantes pour le résorber La mer Méditerranée bénéficie d’un gisement conséquent pour l’installation de parcs éoliens flottants en raison de ses régimes de vent très favorables et réguliers et de la profondeur de ses fonds marins qui plongent rapidement au-delà de 60m 3 projets de fermes pilotes flottantes sont prévus dans la zone La suite de votre contenu après cette annonce Réalisez des devis et trouvez des artisans dans toute la France Installez votre pompe à chaleur et comparez les prix des artisans Blackout en Espagne : et si c'était une stupide erreur humaine Voiture électrique : la folle course aux mégawatts des fabricants et réseaux de bornes de recharge Réseau électrique 100 % renouvelables : l'Espagne y arrive pour la première fois en semaine Vous souhaitez installer des panneaux photovoltaïques Nos autres articles sur le sujet éolien Panneaux solaires issus du travail forcé : le Royaume-Uni n'en importera plus Solaire5 mai 2025  Des panneaux solaires au milieu de rails : le premier système ferrovoltaïque au monde entre en service Solaire5 mai 2025  Ces éoliennes flottantes françaises s'équipent de refuges de biodiversité marine Éolien4 mai 2025  Prix de l'électricité : pourquoi il pourrait varier selon les régions en Allemagne Éolien3 mai 2025  Énergies renouvelables intermittentes et changement climatique : un combo à haut risque Solaire3 mai 2025  Le soleil peut recharger directement cet ordinateur portable dévoilé par Lenovo Solaire3 mai 2025  Stockage d'énergie : cette STEP flambant neuve affiche un rendement record de 82% Hydraulique2 mai 2025  Ce prototype d’éolienne flottante de 150 mètres va être assemblé à Brest Éolien2 mai 2025  Des terres rares produites à La Rochelle, en France, comment est-ce possible ? 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supérieure avec cinq « grandes » éoliennes de près de 10 MW qui doivent être déployées pour en faire le plus grand champ éolien flottant au monde Elles sont supportées par des flotteurs métalliques produits en Espagne par l’usine Windar d’Avilés et le chantier Navantia de Fene (Toronto) Une communauté autochtone a rejeté par une écrasante majorité l’entreposage souterrain de déchets nucléaires près du lac Huron signant vraisemblablement du même coup la mort de ce projet de plusieurs milliards de dollars politiquement controversé Après un an de consultations et plusieurs jours de vote a annoncé vendredi soir que 85 % des inscrits avaient refusé d’accepter un dépôt géologique en profondeur à la centrale nucléaire de Bruce Seulement 170 des votants ont approuvé le projet contre 1058 opposants « Nous n’avons pas été consultés lors de l’implantation de l’industrie nucléaire sur notre territoire la production d’énergie nucléaire à Anishnaabekiing a eu de nombreux impacts sur notre communauté Le géant des services publics de la province voulait construire cette installation à 680 mètres sous terre à environ 1,2 kilomètre du lac Huron pour l’entreposage permanent des déchets radioactifs de faible et moyenne activité Le projet avait été provisoirement approuvé en mai 2015 Si Kincardine était un « hôte volontaire » la proximité relative du bunker avec le lac Huron a déclenché un contrecoup ailleurs au Canada et aux États-Unis les écologistes et des dizaines de collectivités ont exprimé leur opposition Les gouvernements fédéraux successifs ont refusé de donner une approbation définitive a suspendu le processus — le dernier d’une série de retards pour le projet — pour garantir l’adhésion des nations autochtones de la région Le promoteur qui a toujours maintenu que le substrat rocheux stable pouvait contenir en toute sécurité les déchets nucléaires a dit qu’il respectait la décision de la communauté autochtone « Ontario Power Generation explorera d’autres options et collaborera avec les principales parties prenantes pour développer un autre processus de sélection d’un emplacement a dit son président et chef de la direction Tout nouveau processus comprendra un engagement envers les peuples autochtones et les municipalités intéressées Selon l’un des chefs de la nation Saugeen Ojibway ce vote représente un « jalon historique et [une] victoire capitale » pour sa communauté « Nous avons travaillé pendant de nombreuses années pour que notre droit à exercer notre juridiction sur notre territoire et le consentement libre préalable et éclairé de notre peuple soient reconnus Nous n’avons pas demandé que ces déchets soient créés et entreposés sur notre territoire Anoquot a ajouté que le vote a aussi montré la nécessité d’une nouvelle solution pour les déchets dangereux comme l’a récemment annoncé le ministère ontarien de l’Énergie ils représentent des contrats d'environ 1 milliard de dollars car on pourra en construire à la chaîne professeur associé au Département de génie physique de Polytechnique Montréal qui peut alimenter tout un village ou une petite ville deviendra-t-il la pierre angulaire du bouquet énergétique de demain Quatre provinces ont déjà accepté de collaborer entre elles pour faire progresser le dossier des PRM : le Nouveau-Brunswick L'Ontario serait le précurseur de ce projet avec la construction d’un petit réacteur sur le site nucléaire de Darlington d’ici 2028 Rappelons qu’environ 60 % de l’électricité produite en Ontario provient déjà de l’énergie nucléaire La société Bruce Power gère les huit réacteurs des centrales Bruce A et Bruce B La société Ontario Power Generation (OPG) exploite la centrale de Darlington est en bout de course et devrait fermer en 2026 après des reports successifs pour tenter de prolonger sa durée de vie d’importants travaux de réfection sont prévus d’ici là Le renouvellement de son parc nucléaire confirme l’économiste Jean-Thomas Bernard Les remises en état et les fermetures d'installations nucléaires vont engendrer des déficits de capacité à moyen terme c’est un peu le sujet brûlant que les gouvernements se renvoient successivement On aurait pu le prévoir il y a une dizaine d’années car les experts qui étudiaient la situation savaient qu’on s’en allait vers l’électrification des transports savaient qu’on produisait des GES avec le gaz naturel constate le professeur expert en nucléaire Guy Marleau l’attitude attentiste n’a fait qu'aggraver la situation Et ça ne concerne pas seulement l’Ontario on attend toujours l’urgence pour réagir on va toujours avoir besoin d’une source constante d'énergie et si on ne peut pas compter sur l’hydroélectrique c’est le nucléaire pour réduire la production de gaz à effet de serre À la différence d’une centrale au gaz naturel qui peut se construire en six mois et être opérationnelle rapidement une infrastructure nucléaire requiert davantage de capitaux et de procédures lourdes en permis spéciaux De la planification jusqu’à l’acceptation à la mise en chantier et la construction ils peuvent atteindre 10 milliards de dollars et on utilise ce qui est moins cher à un moment donné Selon les projections des besoins énergétiques, l’Ontario devra construire une nouvelle infrastructure d’envergure pour compenser la fermeture de Pickering Dans l’état actuel du système énergétique soit 12 milliards de kWh pour répondre à la demande des 20 prochaines années la Société indépendante d'exploitation du réseau d'électricité de la province Un appel d’offres doit être publié dans les prochains mois pour la construction d'une nouvelle infrastructure L'approvisionnement de remplacement doit pouvoir répondre à la forte demande dans la région de Toronto et de l'Est de l'Ontario.","text":"[Celles à remplacer] sont également situées dans une région très peuplée L'approvisionnement de remplacement doit pouvoir répondre à la forte demande dans la région de Toronto et de l'Est de l'Ontario."}}\">[Celles à remplacer] sont également situées dans une région très peuplée L'approvisionnement de remplacement doit pouvoir répondre à la forte demande dans la région de Toronto et de l'Est de l'Ontario Sans se prononcer sur le profil de cette nouvelle structure (hydroélectricité M. Devereaux se contente de mentionner la longue expérience de l’Ontario en matière de nucléaire et l'enthousiasme des gouvernements fédéral et provinciaux pour ce secteur Le gouvernement fédéral promeut le nucléaire en spécifiant qu’il fournit 78 000 emplois directs et indirects au Canada et génère 17 milliards de dollars par année dans l’économie canadienne le gouvernement Ford met en avant le fait que la technologie des PRM qu’elle entend développer a le pouvoir de stimuler les efforts d'électrification et de décarbonisation de l'Ontario Les petits réacteurs modulaires représentent la prochaine génération d'innovation nucléaire avec le potentiel de contribuer à la lutte contre le changement climatique et à la croissance économique ancienne commissaire à l'environnement de l'Ontario et cheffe adjointe du Parti vert de l'Ontario s’est ralliée à la cause du nucléaire pour des questions environnementales En supposant que l’on réussisse à régler les questions de sécurité nous devrions continuer à exploiter Bruce et Darlington car nous nous sommes déjà engagés à payer une énorme somme d'argent tout en critiquant le problème des déchets nucléaires Des voix se sont élevées dès les prémices du projet de site de stockage pour exprimer des doutes quant à la sécurité de tels enfouissements. En juin 2021, le Canada comptait environ 3,1 millions de grappes de combustible usagé en stockage temporaire, selon les données publiées par la Société de gestion des déchets nucléaires (SGDN). L'augmentation du nucléaire devrait être telle dans le prochain demi-siècle, qu'elle nécessitera 620 expéditions par camion chaque année, soit environ une à deux expéditions par jour pour transporter les futurs déchets radioactifs vers les sites d'enfouissement, selon la SGDN. Il n'y a pas de source d'énergie sans problème. Certes, il y a des risques avec le nucléaire, mais les risques des changements climatiques sont encore plus grands. Le partenariat annoncé en décembre entre Hitachi Nuclear Energy, BWXT Canada Ltd. et Synthos Green Energy ajouterait un nouveau type de réacteur à la flotte ontarienne. Comme ce sont des plus petits réacteurs, la sûreté intrinsèque est de meilleure qualité, explique le professeur Marleau. Le réacteur est conçu de telle sorte qu’il ne peut jamais y avoir d’accident grave, assure-t-il. Des sûretés intrinsèques du cœur font qu’on évite des événements aussi désastreux que celui de Fukushima : en cas d’accident, précise le professeur, ces réacteurs s’éteignent et se refroidissent automatiquement, même sans eau de refroidissement. L'avenir du nucléaire repose notamment sur la capacité des entreprises à fournir des preuves tangibles en matière de sécurité, d'efficacité et de coûts. Le nucléaire peut donner l’impression que tout est sous contrôle jusqu’au moment où plus rien n’est sous contrôle, et là ça devient la catastrophe, conclut l'expert en politiques énergétiques Pierre-Olivier Pineau. Ouvrir en mode plein écranBruce Power est propriétaire et exploitant des centrales nucléaires de Bruce-A et Bruce-B, situées à Kincardine, sur la rive est du lac Huron, en Ontario. Photo : La Presse canadienne / Colin Perkel Maud CucchiPublié le 10 janvier 2022 à 5 h 30 HAEPrenez note que cet article publié en 2022 pourrait contenir des informations qui ne sont plus à jour Et si l’ennemi d’hier devenait l’allié de demain Autrefois honni avec Tchernobyl et Fukushima le nucléaire revient en force dans la balance énergétique Il permet de produire de l’électricité en émettant peu de CO2 comme l’a récemment annoncé le ministère ontarien de l’Énergie ils représentent des contrats d'environ 1 milliard de dollars professeur associé au Département de génie physique de Polytechnique Montréal deviendra-t-il la pierre angulaire du bouquet énergétique de demain L'Ontario serait le précurseur de ce projet avec la construction d’un petit réacteur sur le site nucléaire de Darlington d’ici 2028 Rappelons qu’environ 60 % de l’électricité produite en Ontario provient déjà de l’énergie nucléaire La société Bruce Power gère les huit réacteurs des centrales Bruce A et Bruce B La société Ontario Power Generation (OPG) exploite la centrale de Darlington Ouvrir en mode plein écranLa centrale nucléaire de Pickering a été mise en service en 1971 Photo : La Presse canadienne / Darren Calabrese est en bout de course et devrait fermer en 2026 après des reports successifs pour tenter de prolonger sa durée de vie d’importants travaux de réfection sont prévus d’ici là Les remises en état et les fermetures d'installations nucléaires vont engendrer des déficits de capacité à moyen terme c’est un peu le sujet brûlant que les gouvernements se renvoient successivement On aurait pu le prévoir il y a une dizaine d’années car les experts qui étudiaient la situation savaient qu’on s’en allait vers l’électrification des transports savaient qu’on produisait des GES avec le gaz naturel constate le professeur expert en nucléaire Guy Marleau l’attitude attentiste n’a fait qu'aggraver la situation on va toujours avoir besoin d’une source constante d'énergie et si on ne peut pas compter sur l’hydroélectrique c’est le nucléaire pour réduire la production de gaz à effet de serre À la différence d’une centrale au gaz naturel qui peut se construire en six mois et être opérationnelle rapidement une infrastructure nucléaire requiert davantage de capitaux et de procédures lourdes en permis spéciaux ils peuvent atteindre 10 milliards de dollars et on utilise ce qui est moins cher à un moment donné Ouvrir en mode plein écranDoug Ford a souvent indiqué être « partisan de l'électricité produite en Ontario et des emplois créés en Ontario » soit 12 milliards de kWh pour répondre à la demande des 20 prochaines années la Société indépendante d'exploitation du réseau d'électricité de la province Un appel d’offres doit être publié dans les prochains mois pour la construction d'une nouvelle infrastructure L'approvisionnement de remplacement doit pouvoir répondre à la forte demande dans la région de Toronto et de l'Est de l'Ontario.","text":"[Celles à remplacer] sont également situées dans une région très peuplée L'approvisionnement de remplacement doit pouvoir répondre à la forte demande dans la région de Toronto et de l'Est de l'Ontario."}}'>[Celles à remplacer] sont également situées dans une région très peuplée L'approvisionnement de remplacement doit pouvoir répondre à la forte demande dans la région de Toronto et de l'Est de l'Ontario Sans se prononcer sur le profil de cette nouvelle structure (hydroélectricité Devereaux se contente de mentionner la longue expérience de l’Ontario en matière de nucléaire et l'enthousiasme des gouvernements fédéral et provinciaux pour ce secteur Le gouvernement fédéral promeut le nucléaire en spécifiant qu’il fournit 78 000 emplois directs et indirects au Canada et génère 17 milliards de dollars par année dans l’économie canadienne le gouvernement Ford met en avant le fait que la technologie des PRM qu’elle entend développer a le pouvoir de stimuler les efforts d'électrification et de décarbonisation de l'Ontario Les petits réacteurs modulaires représentent la prochaine génération d'innovation nucléaire avec le potentiel de contribuer à la lutte contre le changement climatique et à la croissance économique ancienne commissaire à l'environnement de l'Ontario et cheffe adjointe du Parti vert de l'Ontario s’est ralliée à la cause du nucléaire pour des questions environnementales En supposant que l’on réussisse à régler les questions de sécurité nous devrions continuer à exploiter Bruce et Darlington car nous nous sommes déjà engagés à payer une énorme somme d'argent tout en critiquant le problème des déchets nucléaires Ouvrir en mode plein écranUne grappe de combustible nucléaire En juin 2021, le Canada comptait environ 3,1 millions de grappes de combustible usagé en stockage temporaire, selon les données publiées par la Société de gestion des déchets nucléaires (SGDN). L'augmentation du nucléaire devrait être telle dans le prochain demi-siècle, qu'elle nécessitera 620 expéditions par camion chaque année, soit environ une à deux expéditions par jour pour transporter les futurs déchets radioactifs vers les sites d'enfouissement, selon la SGDN. Il n'y a pas de source d'énergie sans problème. Certes, il y a des risques avec le nucléaire, mais les risques des changements climatiques sont encore plus grands. Le partenariat annoncé en décembre entre Hitachi Nuclear Energy, BWXT Canada Ltd. et Synthos Green Energy ajouterait un nouveau type de réacteur à la flotte ontarienne. Comme ce sont des plus petits réacteurs, la sûreté intrinsèque est de meilleure qualité, explique le professeur Marleau. Le réacteur est conçu de telle sorte qu’il ne peut jamais y avoir d’accident grave, assure-t-il. Des sûretés intrinsèques du cœur font qu’on évite des événements aussi désastreux que celui de Fukushima : en cas d’accident, précise le professeur, ces réacteurs s’éteignent et se refroidissent automatiquement, même sans eau de refroidissement. L'avenir du nucléaire repose notamment sur la capacité des entreprises à fournir des preuves tangibles en matière de sécurité, d'efficacité et de coûts. Le nucléaire peut donner l’impression que tout est sous contrôle jusqu’au moment où plus rien n’est sous contrôle, et là ça devient la catastrophe, conclut l'expert en politiques énergétiques Pierre-Olivier Pineau. 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Le gouvernement ontarien multiplie les points de presse depuis la publication de ces prévisions à la mi-octobre Il faut penser au-delà des cycles électoraux de quatre ans Nous sommes en train de réfléchir aux 25 prochaines années La province s’est lancée dans la plus grande expansion nucléaire de l'histoire canadienne mais des experts craignent que ce soit trop peu trop tard On n'a qu'à penser aux centrales nucléaires économiste spécialisé en énergie à l’Université d’Ottawa Située à l’est de Toronto, la centrale nucléaire de Pickering – qui fournit à elle seule 14 % de l'électricité de l'Ontario – sera hors service à compter de la fin 2026 jusqu'au milieu des années 2030 Un échéancier semblable est envisagé pour la construction de trois nouveaux petits réacteurs à la centrale de Darlington Le gouvernement de Doug Ford a aussi annoncé, l’an dernier, un projet d’expansion du complexe nucléaire de Bruce L’ajout d’une troisième centrale (surnommée Bruce C) permettrait de presque doubler sa capacité de production d’électricité mais la province n’a pas donné d’échéancier précis pour sa mise en service Pendant les travaux de réfection de la centrale de Pickering une partie de la production d'électricité dépendra du gaz naturel directeur de la planification des ressources de la SIERE Nous envisageons aussi un rôle pour le gaz naturel à long terme à mesure que nous ajoutons au réseau plus de sources intermittentes telles que les énergies solaire et éolienne Le ministre Lecce insiste sur le fait que le gaz naturel n’est utilisé que dans de rares scénarios comme lors des journées d’hiver les plus froides de l’année environ 13 % de la production d’électricité en Ontario venait de centrales alimentées aux combustibles fossiles la façon de combler ce manque d'énergie qui évidemment émettent des gaz à effet de serre et c'est ça qu'on veut combattre en préconisant l'électricité souligne l’économiste Jean-Thomas Bernard Pourquoi cette volte-face? Selon le ministre Lecce, les contrats signés sous l’ancien gouvernement libéral étaient trop coûteux et contraignants. Annuler ces projets a permis à l’Ontario d’économiser en fin de compte près de 800 millions de dollars, souligne-t-il. Les énergies renouvelables sont importantes et peuvent être abordables, maintenant que nous avons une capacité de stockage. Avant, nous n'avions pas d'endroit pour entreposer cette électricité, affirme Stephen Lecce. Questionné sur les quelque 6 milliards de dollars que le gouvernement dépense annuellement pour garder les tarifs d’électricité bas, le ministre répond que les subventions sont toujours nécessaires pour l’instant, mais qu’il compte éventuellement les éliminer. Vous pourriez avoir le réseau électrique le plus propre au monde, mais si les familles s’appauvrissent en raison des prix de l’énergie, je suis désolé, mais je ne considère tout simplement pas cela comme une option viable, lance-t-il. Un autre facteur qui contribuera à la flambée de la demande : l'intelligence artificielle et la prolifération des centres de données. Ils sont très énergivores et ils sont de plus en plus nombreux, affirme M. Devereaux. Ils utilisent beaucoup d’électricité, et ce, 24 heures sur 24, 7 jours sur 7 en raison de leur puissance de calcul, mais aussi pour alimenter leurs systèmes de refroidissement. Selon les projections de la SIERE, la consommation d’électricité des centres de données bondira à 14 térawattheures d’ici 2038. Par contre, au-delà des 13 prochaines années, l’organisme présume que cette demande restera stable, ce qui pourrait ne pas être le cas. Tout dépendra de la façon dont l’économie va se décarboniser. Certaines études que nous avons examinées estiment que la demande d’électricité en Ontario doublera, affirme David Devereaux. Philippe de Montigny est journaliste et chef du bureau économique de Radio-Canada à Toronto. Il collabore régulièrement aux émissions Zone économie et Le National Hebdo, diffusées sur les ondes de RDI. La demande d’électricité augmentera de 75 % au cours des 25 prochaines années, selon un rapport. 2:37Bruce Power est propriétaire et exploitant des centrales nucléaires Bruce-A et Bruce-B situées à Kincardine, sur la rive est du lac Huron, en Ontario. Philippe de MontignyPublié le 4 janvier à 4 h 00 HAEMis à jour le 4 janvier à 17 h 02 HAEÉcouter l’article | 6 minutesLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale une technologie basée sur l’intelligence artificielle.La demande en électricité en Ontario a augmenté cette année pour la première fois en deux décennies L'électrification des industries et des transports jumelée à une forte croissance démographique fera bondir cette demande de 75 % d'ici 2050 selon la Société indépendante d'exploitation du réseau d'électricité la province a produit environ 149 térawattheures d’électricité selon les estimations de l’organisme qui gère le réseau électrique C’est comme si on ajoutait au réseau électrique quatre villes et demie de la taille de Toronto Il faut penser au-delà des cycles électoraux de quatre ans Nous sommes en train de réfléchir aux 25 prochaines années Ouvrir en mode plein écranLe ministre ontarien de l'Énergie et de l'Électrification Photo : Radio-Canada / Philippe de Montigny Bureau économiqueConsulter le dossier completSuivreSuivreTrop peu trop tard?La province s’est lancée dans la plus grande expansion nucléaire de l'histoire canadienne On n'a qu'à penser aux centrales nucléaires économiste spécialisé en énergie à l’Université d’Ottawa Ouvrir en mode plein écranLa centrale nucléaire de Pickering L’ajout d’une troisième centrale (surnommée Bruce C) permettrait de presque doubler sa capacité de production d’électricité mais la province n’a pas donné d’échéancier précis pour sa mise en service Pendant les travaux de réfection de la centrale de Pickering une partie de la production d'électricité dépendra du gaz naturel Nous envisageons aussi un rôle pour le gaz naturel à long terme à mesure que nous ajoutons au réseau plus de sources intermittentes telles que les énergies solaire et éolienne Le ministre Lecce insiste sur le fait que le gaz naturel n’est utilisé que dans de rares scénarios comme lors des journées d’hiver les plus froides de l’année environ 13 % de la production d’électricité en Ontario venait de centrales alimentées aux combustibles fossiles qui évidemment émettent des gaz à effet de serre et c'est ça qu'on veut combattre en préconisant l'électricité Pourquoi cette volte-face? Selon le ministre Lecce, les contrats signés sous l’ancien gouvernement libéral étaient trop coûteux et contraignants. Annuler ces projets a permis à l’Ontario d’économiser en fin de compte près de 800 millions de dollars, souligne-t-il. Ouvrir en mode plein écranLe sud de l'Ontario compte déjà certains des plus grands parcs éoliens au pays. Les énergies renouvelables sont importantes et peuvent être abordables, maintenant que nous avons une capacité de stockage. Avant, nous n'avions pas d'endroit pour entreposer cette électricité, affirme Stephen Lecce. Questionné sur les quelque 6 milliards de dollars que le gouvernement dépense annuellement pour garder les tarifs d’électricité bas, le ministre répond que les subventions sont toujours nécessaires pour l’instant, mais qu’il compte éventuellement les éliminer. Vous pourriez avoir le réseau électrique le plus propre au monde, mais si les familles s’appauvrissent en raison des prix de l’énergie, je suis désolé, mais je ne considère tout simplement pas cela comme une option viable, lance-t-il. Ouvrir en mode plein écranC'est dans cette salle de commande que la SIERE coordonne en temps réel la production, l'exportation, l'importation et le transport d'électricité partout en Ontario. Un autre facteur qui contribuera à la flambée de la demande : l'intelligence artificielle et la prolifération des centres de données. Ils sont très énergivores et ils sont de plus en plus nombreux, affirme M. Devereaux. Ils utilisent beaucoup d’électricité, et ce, 24 heures sur 24, 7 jours sur 7 en raison de leur puissance de calcul, mais aussi pour alimenter leurs systèmes de refroidissement. Ouvrir en mode plein écranDavid Devereaux est directeur de la planification des ressources de la Société indépendante d'exploitation du réseau d'électricité. Selon les projections de la SIERE, la consommation d’électricité des centres de données bondira à 14 térawattheures d’ici 2038. Par contre, au-delà des 13 prochaines années, l’organisme présume que cette demande restera stable, ce qui pourrait ne pas être le cas. Tout dépendra de la façon dont l’économie va se décarboniser. Certaines études que nous avons examinées estiment que la demande d’électricité en Ontario doublera, affirme David Devereaux. Le ministre y voit un défi de taille qui le motive à en faire plus. Le gouvernement ontarien multiplie les points de presse depuis la publication de ces prévisions à la mi-octobre Située à l’est de Toronto, la centrale nucléaire de Pickering – qui fournit à elle seule 14 % de l'électricité de l'Ontario – sera hors service à compter de la fin 2026 jusqu'au milieu des années 2030 Un échéancier semblable est envisagé pour la construction de trois nouveaux petits réacteurs à la centrale de Darlington Le gouvernement de Doug Ford a aussi annoncé, l’an dernier, un projet d’expansion du complexe nucléaire de Bruce les contrats signés sous l’ancien gouvernement libéral étaient trop coûteux et contraignants Annuler ces projets a permis à l’Ontario d’économiser en fin de compte près de 800 millions de dollars Les énergies renouvelables sont importantes et peuvent être abordables maintenant que nous avons une capacité de stockage nous n'avions pas d'endroit pour entreposer cette électricité Questionné sur les quelque 6 milliards de dollars que le gouvernement dépense annuellement pour garder les tarifs d’électricité bas le ministre répond que les subventions sont toujours nécessaires pour l’instant mais qu’il compte éventuellement les éliminer Vous pourriez avoir le réseau électrique le plus propre au monde mais si les familles s’appauvrissent en raison des prix de l’énergie mais je ne considère tout simplement pas cela comme une option viable Un autre facteur qui contribuera à la flambée de la demande : l'intelligence artificielle et la prolifération des centres de données Ils sont très énergivores et ils sont de plus en plus nombreux Ils utilisent beaucoup d’électricité 7 jours sur 7 en raison de leur puissance de calcul mais aussi pour alimenter leurs systèmes de refroidissement la consommation d’électricité des centres de données bondira à 14 térawattheures d’ici 2038 au-delà des 13 prochaines années l’organisme présume que cette demande restera stable Tout dépendra de la façon dont l’économie va se décarboniser Certaines études que nous avons examinées estiment que la demande d’électricité en Ontario doublera Philippe de Montigny est journaliste et chef du bureau économique de Radio-Canada à Toronto Il collabore régulièrement aux émissions Zone économie et Le National Hebdo La demande en électricité en Ontario a augmenté cette année pour la première fois en deux décennies L'électrification des industries et des transports fera bondir cette demande de 75 % d'ici 2050 selon la Société indépendante d'exploitation du réseau d'électricité La demande d’électricité augmentera de 75 % au cours des 25 prochaines années La demande d'électricité en Ontario devrait augmenter de 75 % d'ici 2050 selon les prévisions de la Société indépendante d'exploitation du réseau d'électricité Qu'est-ce que ça représente concrètement et comment allons-nous y arriver dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"Un texte de Claudine Brulé Le plus important risque mentionné est lié aux dépassements de coûts des travaux similaires par le passé à la centrale de Bruce Power ou encore à la centrale de Pickering ont fini par coûter beaucoup plus cher que prévu Le budget a été multiplié par cinq dans le cas des travaux pour prolonger la durée de vie de l'unité A de la centrale de Pickering au début des années 2000 assure que le projet de remise à neuf de 10 réacteurs nucléaires en Ontario respecte les échéanciers et le budget de 25 milliards de dollars Les travaux ont commencé avec un premier réacteur remis en état à la centrale de Darlington Neuf autres suivront d'ici 2033 à Darlington mais aussi à la centrale exploitée par Bruce Power à Kincardine Le Bureau de la responsabilité financière a analysé les risques mais n'a pas déterminé s'ils sont susceptibles de se matérialiser Il a aussi conclu que les travaux de remise à neuf effectués sur 10 réacteurs nucléaires dans les prochaines années auront des répercussions sur le prix de l'électricité le Bureau de la responsabilité financière estime qu'il en coûtera au bout du compte 17 % plus cher pour produire de l'énergie aux centrales de Darlington et de Bruce Power affirme que l'étude du BRF comporte trop d'erreurs Ils ignorent l'offre du Québec de nous vendre l'électricité pour le tiers du prix de la remise en état des réacteurs nucléaires ontariens Les travaux de remise à neuf doivent prolonger de 30 ans la vie des réacteurs eux qui autrement auraient cessé la production dans les prochaines années Ouvrir en mode plein écranUne réplique du réacteur numéro deux de la centrale nucléaire de Darlington Prenez note que cet article publié en 2017 pourrait contenir des informations qui ne sont plus à jour Le Bureau de la responsabilité financière (BRF) estime que les 25 milliards de dollars prévus pour la remise en état des réacteurs nucléaires dans la province permettront d'assurer une production d'énergie abordable et avec peu d'impact sur l'environnement Mais c'est aussi un projet qui présente de multiples risques Le plus important risque mentionné est lié aux dépassements de coûts des travaux similaires par le passé à la centrale de Bruce Power ou encore à la centrale de Pickering ont fini par coûter beaucoup plus cher que prévu Le budget a été multiplié par cinq dans le cas des travaux pour prolonger la durée de vie de l'unité A de la centrale de Pickering au début des années 2000 assure que le projet de remise à neuf de 10 réacteurs nucléaires en Ontario respecte les échéanciers et le budget de 25 milliards de dollars Les travaux ont commencé avec un premier réacteur remis en état à la centrale de Darlington Neuf autres suivront d'ici 2033 à Darlington mais aussi à la centrale exploitée par Bruce Power à Kincardine Le Bureau de la responsabilité financière a analysé les risques mais n'a pas déterminé s'ils sont susceptibles de se matérialiser Ouvrir en mode plein écranLa centrale nucléaire de Darlington Il a aussi conclu que les travaux de remise à neuf effectués sur 10 réacteurs nucléaires dans les prochaines années auront des répercussions sur le prix de l'électricité le Bureau de la responsabilité financière estime qu'il en coûtera au bout du compte 17 % plus cher pour produire de l'énergie aux centrales de Darlington et de Bruce Power Ouvrir en mode plein écranPrix de l'énergie nucléaire en mégawatt-heure Photo : Bureau de la responsabilité financière affirme que l'étude du BRF comporte trop d'erreurs Ils ignorent l'offre du Québec de nous vendre l'électricité pour le tiers du prix de la remise en état des réacteurs nucléaires ontariens Les travaux de remise à neuf doivent prolonger de 30 ans la vie des réacteurs eux qui autrement auraient cessé la production dans les prochaines années Le Bureau de la responsabilité financière (BRF) estime que les 25 milliards de dollars prévus pour la remise en état des réacteurs nucléaires dans la province permettront d'assurer une production d'énergie abordable et avec peu d'impact sur l'environnement dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"Lundi leur avocat a avancé que la loi ontarienne sur l'énergie verte est inconstitutionnelle parce qu'elle ignore l'impact des éoliennes sur la santé des résidents affirme que certains de ses voisins souffrent du bruit et des vibrations émises par les éoliennes  Le mal qui en résulte s'appelle l'irritation prononcée Le président du mouvement Safe Wind Energy for all Residents affirme que c'est une condition médicale sérieuse et non un simple état d'esprit Les symptômes sont sévères : la privation de sommeil la haute pression et même des problèmes cognitifs et de mémoires Ce sont toutefois les familles qui doivent prouver l'effet nocif des éoliennes pour la santé et non les compagnies exploitantes qui doivent défendre leur sécurité La réglementation actuelle n'a pas de sens La construction des grands parcs éoliens au cœur du débat est déjà entamée à Goderich Ouvrir en mode plein écran Phase un du plus grand projet éoliens au Canada Prenez note que cet article publié en 2014 pourrait contenir des informations qui ne sont plus à jour Le gouvernement de l'Ontario cherche aujourd'hui a convaincre la cour de la constitutionalité de parcs éoliens  Quatre familles ontariennes remettent en question les projets dans le cadre d'audience qui se déroule à London leur avocat a avancé que la loi ontarienne sur l'énergie verte est inconstitutionnelle parce qu'elle ignore l'impact des éoliennes sur la santé des résidents affirme que certains de ses voisins souffrent du bruit et des vibrations émises par les éoliennes  Le mal qui en résulte s'appelle l'irritation prononcée Le président du mouvement Safe Wind Energy for all Residents affirme que c'est une condition médicale sérieuse et non un simple état d'esprit Les symptômes sont sévères : la privation de sommeil la haute pression et même des problèmes cognitifs et de mémoires Ce sont toutefois les familles qui doivent prouver l'effet nocif des éoliennes pour la santé et non les compagnies exploitantes qui doivent défendre leur sécurité La réglementation actuelle n'a pas de sens La construction des grands parcs éoliens au cœur du débat est déjà entamée à Goderich Chargement en coursInfolettre ICI Ottawa-GatineauUne fois par jour  Quatre familles ontariennes remettent en question les projets dans le cadre d'audience qui se déroule à London dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"C'est quatre ans plus tard que la date initiale prévue pour le début des travaux.  Notre entente renouvelée avec Bruce Power nous assure de 6300 MW d'une électricité non polluante et à faible prix Six des huit réacteurs seront remis en état au coût de 13 milliards de dollars qui est entrée en service à la fin des années 1970 produit environ le tiers de l'électricité consommée en Ontario promet que le report du début des travaux mènera à des économies moyennes de 66 $ par an pour les abonnés en tirant profit au maximum de la durée de vie de chaque réacteur La province a présentement un surplus d'électricité Quant à la centrale de Darlington, les travaux de rénovation doivent commencer à la fin de l'année prochaine. L'Ontario possède aussi une centrale à Pickering, mais elle doit fermer ses portes pour de bon en 2020.  Les trois centrales produisent actuellement de 50 % à 65 % de l'électricité consommée dans la province. Le gouvernement libéral a jonglé dans le passé avec l'idée d'ajouter des réacteurs à sa centrale de Darlington Le porte-parole conservateur en matière d'énergie John Yakabuski a affirmé qu'il était « grand temps » qu'une décision soit prise quant au nucléaire comment la province pourra rénover ses réacteurs sans recourir à des sources d'électricité plus polluantes comme le gaz naturel en raison des différents programmes d'énergie renouvelable des libéraux Ouvrir en mode plein écranLa centrale nucléaire Bruce Prenez note que cet article publié en 2015 pourrait contenir des informations qui ne sont plus à jour C'est quatre ans plus tard que la date initiale prévue pour le début des travaux Notre entente renouvelée avec Bruce Power nous assure de 6300 MW d'une électricité non polluante et à faible prix Ouvrir en mode plein écranLe ministre ontarien de l'Énergie Six des huit réacteurs seront remis en état qui est entrée en service à la fin des années 1970 produit environ le tiers de l'électricité consommée en Ontario promet que le report du début des travaux mènera à des économies moyennes de 66 $ par an pour les abonnés en tirant profit au maximum de la durée de vie de chaque réacteur La province a présentement un surplus d'électricité Le min @Bob_Chiarelli promet que tous les dépassements de coût des rénovations des réacteurs CANDU seront assumés par Bruce Power #onrc Le porte-parole conservateur en matière d'énergie John Yakabuski a affirmé qu'il était « grand temps » qu'une décision soit prise quant au nucléaire comment la province pourra rénover ses réacteurs sans recourir à des sources d'électricité plus polluantes comme le gaz naturel en raison des différents programmes d'énergie renouvelable des libéraux Politique provinciale. Danielle Smith promet un référendum en 2026. Publié à 20 h 42 HAE Danielle Smith promet un référendum en 2026La question du séparatisme pourrait y figurer C'est quatre ans plus tard que la date initiale prévue pour le début des travaux.  Quant à la centrale de Darlington, les travaux de rénovation doivent commencer à la fin de l'année prochaine. L'Ontario possède aussi une centrale à Pickering, mais elle doit fermer ses portes pour de bon en 2020.  Les trois centrales produisent actuellement de 50 % à 65 % de l'électricité consommée dans la province. Le gouvernement libéral a jonglé dans le passé avec l'idée d'ajouter des réacteurs à sa centrale de Darlington Le min @Bob_Chiarelli promet que tous les dépassements de coût des rénovations des réacteurs CANDU seront assumés par Bruce Power #onrc Quant à la centrale de Darlington, les travaux de rénovation doivent commencer à la fin de l'année prochaine. L'Ontario possède aussi une centrale à Pickering, mais elle doit fermer ses portes pour de bon en 2020.  Les trois centrales produisent actuellement de 50 % à 65 % de l'électricité consommée dans la province. Le gouvernement libéral a jonglé dans le passé avec l'idée d'ajouter des réacteurs à sa centrale de Darlington Après des années de tergiversation, le gouvernement ontarien confirme que la centrale nucléaire Bruce à Kincardine dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"Les 19 réacteurs CANDU canadiens encore en fonction produisent chaque année 90 000 grappes de combustibles irradiés On estime qu’il y aura d’ici quelques années 5 millions de grappes hautement radioactives qui s’accumuleront sur le territoire canadien Ces grappes sont si dangereuses qu’il suffirait d’y être exposé quelques minutes pour recevoir des doses de rayonnement mortelles Lorsque le combustible des centrales quitte le réacteur il dégage tellement de chaleur qu’on doit plonger les grappes dans des piscines de refroidissement pendant près d’une décennie Ce n’est qu’après toutes ces années passées dans l’eau qu’on les transfère vers des sites de stockage à sec Les déchets radioactifs sont alors encapsulés dans des structures de béton armé construites à quelques mètres des réacteurs les déchets radioactifs les plus dangereux se trouvent à l’ancienne centrale nucléaire Gentilly-2 Même si la centrale d’Hydro-Québec est fermée depuis six ans on trouve toujours sur le site 130 000 grappes de combustible irradié Le problème est que ces silos de béton sont des solutions temporaires Ils ont une espérance de vie de 50 ans alors que les matières fissiles qu’ils contiennent demeurent radioactives pendant des centaines de milliers d’années le gouvernement fédéral a créé la Société de gestion des déchets nucléaires (SGDN) pour trouver une solution à long terme à ce problème; une solution qui soit socialement acceptable techniquement sûre et économiquement viable Après avoir lancé une série de consultations publiques cette société à but non lucratif a décidé de construire un « tombeau nucléaire » Il est question d’enterrer les déchets les plus radioactifs à un demi-kilomètre sous terre Ce tombeau doit isoler et confiner les déchets nucléaires pour une période indéfinie Construire ce dépôt géologique profond prendra plusieurs années et coûtera 23 milliards de dollars Conformément au principe du « pollueur-payeur » les producteurs et les propriétaires de déchets sont responsables du financement du projet Énergie Nouveau-Brunswick et Énergie atomique du Canada versent des cotisations annuelles pour la construction du futur tombeau nucléaire canadien Tous les pays producteurs d’énergie nucléaire sont présentement à la recherche du site idéal pour construire leur tombeau nucléaire on trouve actuellement des déchets de haute activité dans quatre provinces canadiennes : le Manitoba La SGDN veut regrouper ces déchets dans un seul site Pour construire le tombeau nucléaire canadien cette agence sans but lucratif cherche des volontaires des communautés qui souhaiteraient accueillir le dépôt géologique sur leur territoire Après qu'elle eut lancé l’invitation en 2010 22 communautés canadiennes ont manifesté un intérêt C’est que le tombeau nucléaire canadien va générer d’importantes retombées économiques les villes participantes doivent s'engager dans un long processus de sélection Elles doivent avoir un bon système de transport elles doivent consulter leurs populations respectives et obtenir l’appui des communautés autochtones elles doivent avoir un sous-sol particulier qui puisse accueillir ces déchets en toute sécurité il ne reste plus que cinq villes encore à l’étude Manitouwadge et Hornepayne sont dans le Nord de l’Ontario; Huron-Kinloss et South Bruce sont près du lac Huron la SGDN a commencé ses premiers forages à Ignace On prévoit que l’analyse géologique des cinq sites encore à l’étude prendra plus d’une décennie C’est qu’on recherche un site qui a une géologie particulière Le tombeau sera excavé dans un roc extrêmement solide Ce dépôt géologique doit résister non seulement aux tremblements de terre mais aussi à une épaisseur de glace des murs de glace de 3 km vont recouvrir le tombeau au cours de la prochaine ère glaciaire Pour éviter que les grappes irradiées ne soient écrasées par le poids des glaciers la SGDN travaille sur plusieurs méthodes de confinement On enferme les grappes de combustible dans 100 000 cercueils d’acier au carbone on recouvre ces cercueils d’une mince couche de cuivre on enferme le cylindre de cuivre dans une boîte qui a la forme d’un sarcophage Les parois de ce sarcophage sont en bentonite une poudre d’argile qui gonfle au contact de l’eau Si les produits radioactifs parviennent à s’échapper de leur confinement il restera une dernière barrière d’isolement Le tombeau sera construit à 500 mètres sous terre Les produits de fission qui s’échapperaient de leur cercueil mettraient plusieurs milliers d’années pour remonter à la surface Il s’écoulerait alors suffisamment de temps pour qu’ils perdent leurs propriétés radioactives Une fois le site définitif aura été sélectionné il faudra transférer près de 5 millions de grappes hautement radioactives vers le tombeau nucléaire canadien On estime que cela va prendre 40 ans pour acheminer toutes ces grappes vers le dépôt géologique Plusieurs scénarios sont à l’étude il n’est pas question de les faire transiter par bateaux Les déchets hautement radioactifs canadiens vont donc voyager par trains ou par camions Si les déchets doivent être acheminés par la route près de 600 camions de transport s'y consacreront chaque année le transport nécessiterait une soixantaine de trains par année Ces déchets sont des matières nucléaires à risque élevé un plan d’urgence ainsi qu'un permis de transport de la Commission canadienne de sûreté nucléaire sont requis Pour sortir le combustible des centrales nucléaires on utilise des colis qui répondent aux exigences de l’Agence internationale de l’énergie atomique ces colis passent une série de tests qui démontrent la force de leur blindage : on les fait tomber d’une hauteur de 9 mètres et on les immerge dans 200 mètres d’eau Ces colis doivent aussi être à l’épreuve des flammes et résister à des feux de 800 degrés Celsius La SGDN nous dit que ces colis sont parfaitement étanches et que les usagers de la route n'ont pas à craindre pour leur sécurité lorsqu'ils croisent un convoi nucléaire Mais pour des raisons de sécurité l’itinéraire de ces convois ne sera pas rendu public Le reportage de Daniel Carrière et Éric Lemyre a été diffusé à l’émission Découverte Ouvrir en mode plein écranDes réservoirs d'entreposage de déchets nucléaires au complexe nucléaire de Bruce Photo : La Presse canadienne / John Flesher (Archives) Prenez note que cet article publié en 2019 pourrait contenir des informations qui ne sont plus à jour Que doit-on faire des déchets les plus dangereux de nos centrales nucléaires Le Canada planifie la construction d'un site d'entreposage souterrain à toute épreuve en Ontario qui pourra même résister aux glaciers qui le recouvriront dans des milliers d'années Les 19 réacteurs CANDU canadiens encore en fonction produisent chaque année 90 000 grappes de combustibles irradiés On estime qu’il y aura d’ici quelques années 5 millions de grappes hautement radioactives qui s’accumuleront sur le territoire canadien Ces grappes sont si dangereuses qu’il suffirait d’y être exposé quelques minutes pour recevoir des doses de rayonnement mortelles Ouvrir en mode plein écranUne grappe de combustible CANDU Lorsque le combustible des centrales quitte le réacteur il dégage tellement de chaleur qu’on doit plonger les grappes dans des piscines de refroidissement pendant près d’une décennie Ce n’est qu’après toutes ces années passées dans l’eau qu’on les transfère vers des sites de stockage à sec Les déchets radioactifs sont alors encapsulés dans des structures de béton armé construites à quelques mètres des réacteurs les déchets radioactifs les plus dangereux se trouvent à l’ancienne centrale nucléaire Gentilly-2 Même si la centrale d’Hydro-Québec est fermée depuis six ans on trouve toujours sur le site 130 000 grappes de combustible irradié Ouvrir en mode plein écranConstruction de deux imposants modules Canstor Le problème est que ces silos de béton sont des solutions temporaires alors que les matières fissiles qu’ils contiennent demeurent radioactives pendant des centaines de milliers d’années le gouvernement fédéral a créé la Société de gestion des déchets nucléaires (SGDN) pour trouver une solution à long terme à ce problème; une solution qui soit socialement acceptable techniquement sûre et économiquement viable Après avoir lancé une série de consultations publiques cette société à but non lucratif a décidé de construire un « tombeau nucléaire » Il est question d’enterrer les déchets les plus radioactifs à un demi-kilomètre sous terre Ce tombeau doit isoler et confiner les déchets nucléaires pour une période indéfinie Construire ce dépôt géologique profond prendra plusieurs années et coûtera 23 milliards de dollars Conformément au principe du « pollueur-payeur » les producteurs et les propriétaires de déchets sont responsables du financement du projet Énergie Nouveau-Brunswick et Énergie atomique du Canada versent des cotisations annuelles pour la construction du futur tombeau nucléaire canadien Tous les pays producteurs d’énergie nucléaire sont présentement à la recherche du site idéal pour construire leur tombeau nucléaire on trouve actuellement des déchets de haute activité dans quatre provinces canadiennes : le Manitoba La SGDN veut regrouper ces déchets dans un seul site Pour construire le tombeau nucléaire canadien des communautés qui souhaiteraient accueillir le dépôt géologique sur leur territoire Après qu'elle eut lancé l’invitation en 2010 22 communautés canadiennes ont manifesté un intérêt C’est que le tombeau nucléaire canadien va générer d’importantes retombées économiques les villes participantes doivent s'engager dans un long processus de sélection Elles doivent avoir un bon système de transport elles doivent consulter leurs populations respectives et obtenir l’appui des communautés autochtones elles doivent avoir un sous-sol particulier qui puisse accueillir ces déchets en toute sécurité il ne reste plus que cinq villes encore à l’étude Manitouwadge et Hornepayne sont dans le Nord de l’Ontario; Huron-Kinloss et South Bruce sont près du lac Huron Ouvrir en mode plein écranLes cinq sites encore à l'étude pour la construction du dépôt la SGDN a commencé ses premiers forages à Ignace On prévoit que l’analyse géologique des cinq sites encore à l’étude prendra plus d’une décennie C’est qu’on recherche un site qui a une géologie particulière Le tombeau sera excavé dans un roc extrêmement solide Ce dépôt géologique doit résister non seulement aux tremblements de terre des murs de glace de 3 km vont recouvrir le tombeau au cours de la prochaine ère glaciaire Ouvrir en mode plein écranLes forages à Ignace Pour éviter que les grappes irradiées ne soient écrasées par le poids des glaciers la SGDN travaille sur plusieurs méthodes de confinement On enferme les grappes de combustible dans 100 000 cercueils d’acier au carbone on recouvre ces cercueils d’une mince couche de cuivre Ouvrir en mode plein écranUn cercueil d'acier recouvert de cuivre qui sert à stocker les grappes de combustible on enferme le cylindre de cuivre dans une boîte qui a la forme d’un sarcophage une poudre d’argile qui gonfle au contact de l’eau Si les produits radioactifs parviennent à s’échapper de leur confinement il restera une dernière barrière d’isolement Le tombeau sera construit à 500 mètres sous terre Les produits de fission qui s’échapperaient de leur cercueil mettraient plusieurs milliers d’années pour remonter à la surface Il s’écoulerait alors suffisamment de temps pour qu’ils perdent leurs propriétés radioactives Ouvrir en mode plein écranUn sarcophage de bentonite Une fois le site définitif aura été sélectionné il faudra transférer près de 5 millions de grappes hautement radioactives vers le tombeau nucléaire canadien On estime que cela va prendre 40 ans pour acheminer toutes ces grappes vers le dépôt géologique il n’est pas question de les faire transiter par bateaux Les déchets hautement radioactifs canadiens vont donc voyager par trains ou par camions Si les déchets doivent être acheminés par la route près de 600 camions de transport s'y consacreront chaque année le transport nécessiterait une soixantaine de trains par année Ces déchets sont des matières nucléaires à risque élevé un plan d’urgence ainsi qu'un permis de transport de la Commission canadienne de sûreté nucléaire sont requis Pour sortir le combustible des centrales nucléaires on utilise des colis qui répondent aux exigences de l’Agence internationale de l’énergie atomique ces colis passent une série de tests qui démontrent la force de leur blindage : on les fait tomber d’une hauteur de 9 mètres et on les immerge dans 200 mètres d’eau Ces colis doivent aussi être à l’épreuve des flammes et résister à des feux de 800 degrés Celsius La SGDN nous dit que ces colis sont parfaitement étanches et que les usagers de la route n'ont pas à craindre pour leur sécurité lorsqu'ils croisent un convoi nucléaire l’itinéraire de ces convois ne sera pas rendu public Chargement en coursInfolettre Info nationaleNouvelles Les 19 réacteurs CANDU canadiens encore en fonction produisent chaque année 90 000 grappes de combustibles irradiés Le reportage de Daniel Carrière et Éric Lemyre a été diffusé à l’émission Découverte dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"L'agence fédérale a envoyé une lettre à ce sujet jeudi aux sociétés ontariennes Ontario Power Generation (centrales de Pickering et de Darlington) et Bruce Power (centrale de Kincardine) ainsi qu'à Hydro-Québec (centrale de Gentilly-2) et à Énergie Nouveau-Brunswick (centrale de Point Lepreau) La missive presse ces exploitants de se pencher particulièrement sur « les risques externes les incendies et les conditions atmosphériques extrêmes » La Commission canadienne de sûreté nucléaire leur demande de lui soumettre un rapport d'ici le 1er avril et de compléter l'examen de leurs installations et pratiques d'urgence d'ici le 29 avril Les exploitants OPG et Bruce Power ont affirmé jusqu'à maintenant que leurs centrales étaient équipées d'un système relais d'urgence au diesel Les analystes ajoutent que l'activité sismique est très faible en Ontario demande au fédéral de tenir compte des leçons tirées au Japon dans l'évaluation environnementale du projet de nouveaux réacteurs à la centrale de Darlington Des audiences publiques débutent à ce sujet lundi Le gouvernement ontarien maintient toutefois son intention de construire au moins deux nouveaux réacteurs d'ici une dizaine d'années malgré les protestations des environnementalistes Ouvrir en mode plein écranLa centrale de Pickering est au nombre des installations visées Photo : La Presse canadienne / Kevin Frayer Prenez note que cet article publié en 2011 pourrait contenir des informations qui ne sont plus à jour La Commission canadienne de sûreté nucléaire ordonne aux exploitants des centrales du pays de passer en revue leurs mesures de sécurité L'agence fédérale a envoyé une lettre à ce sujet jeudi aux sociétés ontariennes Ontario Power Generation (centrales de Pickering et de Darlington) et Bruce Power (centrale de Kincardine) ainsi qu'à Hydro-Québec (centrale de Gentilly-2) et à Énergie Nouveau-Brunswick (centrale de Point Lepreau) La missive presse ces exploitants de se pencher particulièrement sur « les risques externes les incendies et les conditions atmosphériques extrêmes » La Commission canadienne de sûreté nucléaire leur demande de lui soumettre un rapport d'ici le 1er avril et de compléter l'examen de leurs installations et pratiques d'urgence d'ici le 29 avril Les exploitants OPG et Bruce Power ont affirmé jusqu'à maintenant que leurs centrales étaient équipées d'un système relais d'urgence au diesel Les analystes ajoutent que l'activité sismique est très faible en Ontario demande au fédéral de tenir compte des leçons tirées au Japon dans l'évaluation environnementale du projet de nouveaux réacteurs à la centrale de Darlington Des audiences publiques débutent à ce sujet lundi Le gouvernement ontarien maintient toutefois son intention de construire au moins deux nouveaux réacteurs d'ici une dizaine d'années malgré les protestations des environnementalistes L'agence fédérale a envoyé une lettre à ce sujet jeudi aux sociétés ontariennes Ontario Power Generation (centrales de Pickering et de Darlington) et Bruce Power (centrale de Kincardine) Inscrivez-vous gratuitement à la newsletter de Transitions & Énergies Renouvelables, Sciences & techno par les cinq éoliennes flottantes que le constructeur danois Vestas vient d’installer à 15 km au large des côtes écossaises sont les plus puissantes au monde Réunies avec deux autres éoliennes plus petites ces cinq géantes de 190 mètres de haut formeront le parc de Kincardine au large d’Aberdeen Il devrait approvisionner à terme 55.000 foyers en électricité L’Ecosse qui a longtemps profité et profite encore de l’exploitation de gisements de gaz et de pétrole en mer du nord prépare le remplacement des énergies fossiles Elle bénéficie pour cela de conditions de vent très favorables aux éoliennes marines pendant une grande partie de l’année elles sont fixées sur des structures métalliques… flottantes qui sont elles-mêmes ancrées par des câbles au fond marin Les éoliennes flottantes présentent plusieurs avantages Elles peuvent être installées beaucoup plus loin des côtes et par des fonds plus profonds que les éoliennes marines fixées Cela nécessité également moins de travaux qui nuisent à la faune marine on ne voit plus les éoliennes de la côte pour le plus grand bonheur des touristes la mer est moins fréquentée par les embarcations et enfin les vents sont plus puissants et plus réguliers aujourd’hui les éoliennes marines en général et flottantes en particulier produisent une électricité particulièrement coûteuse le prix d’achat garanti pour l’électricité produite par les éoliennes marines fixées est de l’ordre de 150 euros le mégawatt heure trois fois le prix du marché et quatre fois celui de l’électricité nucléaire Les coûts de production des éoliennes flottantes sont encore supérieurs de l’ordre de 35 à 40% du temps à son niveau nominal pour les éoliennes fixées et de 40 à 50% pour les éoliennes flottantes contre 25% pour l’éolien terrestre les éoliennes marines seront devenues en 2050 la plus importante source de production d’électricité en Europe Mais la géographie et les fonds marins ne mettent pas tous les pays sur un pied d’égalité le Royaume-Uni est d’ores et déjà le numéro un mondial de l’éolien marin avec une production de 11 gigawatts –l’équivalent d’une petite dizaine de réacteurs nucléaires Elle devrait quadrupler dans vingt ans bénéficiant de conditions de vent très favorables et de fonds marins peu profonds le long des côtes Ce n’est pas le cas en France où dans la plupart des zones favorables en terme de vent avec le poids du nucléaire dans la production électrique pourquoi il n’y a aujourd’hui aucun parc éolien marin en activité en France Registre : , , , , Dans la Face cachée de la sobriété (éditions de l’Aube) Florent Laroche s’interroge sur les limites de la sobriété Pourquoi nous ne parviendrons pas à décarboner les économies avec les technologies dont nous disposons aujourd’hui et pourquoi il ne .. Les réseaux électriques sont fragilisés quand la part de production provenant des renouvelables intermittents (solaire et éolien) devient importante a finalement tenu compte des critiques virulentes et nombreuses contre la Programmation pluriannuelle de l’énergie .. Une défaillance majeure du réseau à haute tension de la péninsule ibérique a provoqué lundi 28 avril en fin de .. le satellite Biomass quittera la Terre depuis le port spatial européen de Kourou Lire les magazines Acheter un magazine papier Acheter un magazine numérique Découvrir les offres d‘abonnement Imprimer le formulaire d’abonnement Accéder à mon compte client S’inscrire à la newsletter Transitions & Énergies Foire aux questions Contacter le service client Contacter la rédaction Vidéos de Transitions & Energies Agenda Transitions & Energies – Copyright © 2025 Êtes-vous sûr de vouloir vous déconnecter et sera composé de deux structures de 800 MWh chacune Engagé dans la transition énergétique et la production d’énergies renouvelables, la société Amp Energy, basée à Toronto, au Canada est ainsi à la tête de ce projet d’envergure et qui s’annonce comme le plus grand système de stockage en Europe La construction de ces deux imposantes installations qui verront le jour sur les communes de Hunterston et Kincardine a été validé le 5 ja nvier par le gouvernement local comme l’a annoncé Amp Energy dans un communiqué la semaine dernière L’énergie ainsi stockée sera gérée par Intelligence Artificielle via Amp X la plateforme énergétique numérique dédiée de la société Amp Energy avec l’ambition de fournir de l’électricité à l’ensemble de la ceinture centrale écossaise le Scottish Green Battery Complex pourrait permettre de générer jusqu’à 1’750 GWh par an d’énergie renouvelable en Ecosse et de les transférer vers d’autres régions du Royaume-Uni Le complexe devrait entrer en fonction à l’horizon avril 2024 Il s’agit-là d’un des projets menés par Amp Energy qui travaille également au développement de parc éoliens et photovoltaïques avec système de stockage dans d’autres régions du Royaume-Uni Des travaux de développement d’hydrogène vert Amp investit de manière significative dans une infrastructure verte indispensable à la transition du Royaume-Uni vers un réseau entièrement décarboné » vice-président des marchés mondiaux chez Amp « Nos projets soutiennent non seulement la croissance de la production d'énergie renouvelable en Écosse mais ils offrent également une alternative aux coûteuses mises à niveau du réseau de transport pour les consommateurs » La Dodge Charger EV n'aime pas que l'on claque le capot Uber va mettre en circulation des milliers de taxis autonomes La Rivian R2 sera équipée de batteries LGES dont la capacité est « six fois supérieure » Le nouveau système de batterie de BMW prend forme Les constructeurs automobiles allemands sont à la traîne face aux VE chinois pourraient construire ensemble une plateforme pour voitures autonomes A quoi ressemble le nouveau Skoda Elroq : l'analyse d'InsideEVs Le parc éolien flottant d’Hywind Tampen d’Equinor a été officiellement lancé par le prince Haakon de Norvège et le Premier ministre Jonas Gahr Støre il a été mis en route progressivement cette année devenant le plus puissant parc éolien flottant au monde Il s'agit également du premier parc éolien en Norvège qui ambitionne d'attribuer 30 GW d'ici 2040 Le parc d’Hywind Tampen est original à deux titres en particulier il n’a pas pour vocation d’alimenter le réseau terrestre mais à fournir 35% des besoins énergétiques de cinq plateformes des champs pétrolier et gazier de Snorre et Gufalks à 140 km des côtes norvégiennes il utilise une technologie peu commune de flotteurs en béton de type Spar longs de 107.5 mètres et développés par Statoil (devenu Equinor) Les sous-structures sont coulées dans du béton reprenant la technologie utilisée pour les pieds de la plateforme géante Troll Les flotteurs sont presque entièrement immergés par des fonds de 260 à 300 mètres et retenus par des systèmes ancrages à succion fournis par Kværner La découpe de la première tôle du flotteur du parc éolien pilote de Culzean Elle a été réalisée par la société sidérurgique grecque Lykomitros Steel SA spécialiste de l'acier dans l'éolien en mer Il s’agira du premier flotteur conçu par la société américano-française Ocergy à soutenir une éolienne Il portera une turbine Vestas V112 de 3 MW ancrée à 2 km à l’ouest de la plateforme du champ gazier de Culzean lui-même situé à 230 km au large des côtes d’Aberdeen (Ecosse) qui devrait être opérationnel d’ici fin 2025 permettra de couvrir environ 20% des besoins de cette grande installation qui se divise en trois plateformes offshore reliées entre-elles par des passerelles Ocergy avec une filiale à Aix-en-Provence (Ocergie) a été fondée en 2019 par trois associés : Dominique Roddier (CEO) Christian Cermelli (COO) et Alexia Aubault (CTO) Ces ingénieurs français ont développé pendant plusieurs années le flotteur d’éolienne Windfloat de Principle Power Inc (PPI) notamment déployé au Portugal (Windfloat Atlantic) en Ecosse (Kincardine) et bientôt en France (Eoliennes flottantes du Golfe du Lion Ocergy a conçu un flotteur léger semi-submersible à trois lignes d'ancrages avec trois colonnes verticales raccordées en étoile à une colonne centrale par des poutres il a été optimisé pour des turbines de 15 à 22 MW Il adopte une conception modulaire utilisant un système de brides pour faciliter la phase d’industrialisation L’idée est de favoriser le contenu local et de pouvoir assembler les flotteurs dans un maximum de ports Lykomitros Steel SA devrait fournir les modules qui seront probablement assemblés à proximité du parc Nos villes sont en constante évolution et regorgent de potentiels passionnants et inexploités Nous existons pour aider les gens à tout naviguer La ville amusante de Kincardine affirme que lorsque vous êtes sur son territoire « les pantalons sont toujours facultatifs » Kincardine est une ville aux fortes racines et au patrimoine écossais Cela signifie que le kilt traditionnel constitue toujours un code vestimentaire acceptable « Vous avez trouvé la destination écossaise de l'Ontario », déclare Visitez Kincardine des pièces de théâtre et bien plus encore ont amusé et séduit les résidents et les visiteurs de Kincardine depuis des générations La charmante petite ville est située sur les rives du lac Huron Il dispose d'une plage de surf de sable et d'une promenade pittoresque. Oui, vous pouvez surfer en Ontario, et La plage de la gare de Kincardine est un point chaud populaire pour cela Le centre-ville au bord du lac regorge de boutiques Derniers Articles Cette ville de l'Ontario accueille un marché de Noël européen Cette charmante ville du « vieux monde » en Ontario est utilisée dans des films et des émissions de télévision Un post partagé par Kincardine Scottish Festival (@kinscotfest) Il existe de charmants B&B et motels pour vous reposer si vous prévoyez une escapade d'une nuit vous pouvez assister au festival écossais et aux Highland Games de la ville chaque mois de juillet Et si cela ne vous suffit pas, vous pouvez également visiter le charmante petite ville de Fergus, Ontario Fergus remonte aux années 1800 : la ville a été officiellement fondée en 1833 Le centre-ville historique regorge de bâtiments en pierre calcaire naturelle de boutiques uniques et d'excellents restaurants donnant aux habitants et aux visiteurs un petit avant-goût de l'Écosse Si vous n’avez pas de projets de voyage à l’horizon Il y a tant d’endroits uniques à découvrir ici même dans notre province Abonnez-vous à notre newsletter pour des offres exclusives La newsletter de Curiocity contient les offres les recommandations et les conseils que vous souhaitez réellement voir - directement dans votre boîte de réception deux fois par semaine En m'inscrivant, j'accepte les Termes & Confidentialité