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(Photo d’archives)PHOTO : Radio-Canada / Sébastien PrieurLe président d'Autobus DM-Boréal inc
croit que Québec ne doit pas laisser tomber les transporteurs par autobus qu'il a obligés d'acheter des véhicules chez Lion Électrique
Dominic Maheux réagissait à la décision de Québec de ne pas réinvestir dans l’entreprise de fabrication d’autobus électrique Lion Électrique
Le gouvernement doit nous soutenir d’une part au niveau de l’opération des véhicules [sachant que] leur financement au niveau du transport a été insuffisant [...] vient s’ajouter à ça le fait qu’on se retrouve avec des autobus qui sont orphelins avec des obligations financières
en référence à l’incapacité de Lion Électrique d’offrir les réparations mécaniques des autobus qu’elle a vendus
avec son obsession de développer Lion Électrique
Je pense qu’il a une obligation morale de voir
de s’asseoir avec nous et de discuter sérieusement
Dominic Maheux a abordé la saga de l’entreprise Lion Électrique et des conséquences de l’arrêt de ses activités sur le renouvellement du parc des transporteurs et de la prise en charge des réparations mécaniques
Électrification des transports : « Les cibles ne tiennent plus la route »Appli Radio-Canada OHdioTout un monde à écouter, partout où vous allez.
Dominic Maheux réagissait à la décision de Québec de ne pas réinvestir dans l'entreprise de fabrication d'autobus électrique Lion Électrique
Le gouvernement doit nous soutenir d'une part au niveau de l'opération des véhicules [sachant que] leur financement au niveau du transport a été insuffisant [...] vient s'ajouter à ça le fait qu'on se retrouve avec des autobus qui sont orphelins avec des obligations financières
en référence à l'incapacité de Lion Électrique d'offrir les réparations mécaniques des autobus qu'elle a vendus
Je pense qu'il a une obligation morale de voir
de s'asseoir avec nous et de discuter sérieusement
Dominic Maheux a abordé la saga de l'entreprise Lion Électrique et des conséquences de l'arrêt de ses activités sur le renouvellement du parc des transporteurs et de la prise en charge des réparations mécaniques
croit que Québec ne doit pas laisser tomber les transporteurs par autobus qu'il a obligés d'acheter des véhicules chez Lion Électrique
L’entreprise lasarroise a ajouté 14 membres à son équipe
et passe à une cinquantaine d’employés
la pénurie de main-d’oeuvre l’affecte peu et elle souhaite poursuivre sa croissance
L’entreprise conçoit de A à Z leurs habitations
ils se sont lancés dans la construction de multilogements
Le bois qui est utilisé pour bâtir les logements vient à 100% du Québec et en grande majorité de l’Abitibi-Témiscamingue
Les retombées économiques locales des activités de Maison Nordique sont estimées à 8 millions de dollars par année
L’entreprise prévoit encore augmenter ce chiffre
avec une hausse de 20% de sa production cette année
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En décembre 2020, l’entreprise Gabriel Aubé inc., notamment spécialisée dans le béton préparé, la vente d'agrégats, le transport par fardier et le déneigement, a entrepris le dynamitage du terrain situé à flanc de colline au nord de La Sarre afin d’y exploiter une carrière pour produire des granulats.
Le problème, c'est que l’entreprise a commencé à exploiter cette zone sans autorisation de la CPTAQ ni du ministère de l'Environnement.
Pour qu’une entreprise exploite une carrière, la Loi sur la qualité de l'environnement prévoit qu’elle doit détenir une autorisation du ministère de l’Environnement avant le début des travaux.
Le Ministère a reçu plusieurs plaintes de riverains. Il a finalement délivré deux constats d’infraction et a édicté deux sanctions administratives pécuniaires de 5000 $ chacune.
La première sanction a été édictée en avril 2024, car l'entreprise a exploité cette zone sans avoir obtenu l’autorisation de la part du ministère de l’Environnement.
La deuxième sanction édictée en juillet 2024 concerne l’impact de l’exploitation sur les cours d’eau.
L’entreprise a fait des travaux sur la rive d'un cours d’eau intermittent sans autorisation. On parle de déboisement, de creusage, et il y a même une portion d’un cours d’eau intermittent qui a été complètement détruite parce qu'il se trouve maintenant dans la carrière, indique Annie Cassista, directrice régionale du contrôle environnemental de l'Abitibi-Témiscamingue et du Nord-du-Québec.
Pour se remettre en conformité avec la loi, l’entreprise a depuis lors déposé une demande d'autorisation, mais celle-ci est pour le moment jugée incomplète.
Une fois que les documents complémentaires auront été envoyés, les analystes du Ministère étudieront la conformité de la demande avec le règlement sur les carrières et les sablières. Il y a des normes qui concernent les vibrations, le bruit, la gestion des poussières, explique Annie Cassista.
L’entreprise ayant commencé l’exploitation sans autorisation, elle va également devoir corriger son manquement.
Une possibilité consisterait à remettre les milieux détruits en état. Si ce n’est pas possible de remettre en état, à ce moment-là, nous, on va analyser les mesures d’atténuation qui peuvent être mises en œuvre, mais on peut exiger une compensation financière pour les milieux qui ont été détruits, explique la directrice régionale du contrôle environnemental.
S’il n’y a pas de mise en conformité de l’exploitation de la carrière, d’autres recours sont possibles pour le MELCCFP.
Des avis d’exécution et des ordonnances émis par le Ministère peuvent obliger l'entreprise à effectuer des travaux pour corriger la situation. Il sera aussi possible d’engager un recours pénal.
Par ailleurs, l'aménagement et l’exploitation de cette carrière se sont aussi faits dans l’illégalité aux yeux de la Commission de la protection du territoire agricole du Québec (CPTAQ).
La gravière se trouve sur un terrain défini comme zone agricole par le gouvernement du Québec. Exploiter une zone agricole à une autre fin que l’agriculture nécessite une autorisation de la CPTAQ.
En octobre 2022, la CPTAQ a émis une ordonnance pour dénoncer l’infraction. Il était alors reproché à l’entreprise d’avoir utilisé cette zone sans droit ni autorisation.
Cette ordonnance réclamait aussi l’arrêt immédiat de l’exploitation.
Pourtant, au moins deux témoins affirment que l’activité sur le site n’a pas cessé.
L’entreprise Gabriel Aubé inc. a tenté de régulariser sa situation en juin 2023 en présentant une demande officielle d'utilisation de la zone à une fin autre que l’agriculture, soit pour l’exploitation d’une carrière.
Dans son dossier, l’entreprise reçoit le soutien de la Ville de La Sarre, qui indique qu'aucun autre espace du territoire ne répond à leur critère et que l'utilisation de ce lot est conforme à la réglementation municipale.
La Commission indique également que faire droit à la demande créerait un précédent susceptible de générer un effet d’entraînement pour des demandes similaires, ce qui n’est pas souhaitable dans ce milieu agro-forestier.
Malgré ce refus d’autorisation, l’entreprise Gabriel Aubé inc. a continué à exploiter la carrière.
Elle a finalement présenté une nouvelle demande d’autorisation à la CPTAQ en février 2024.
Les avocats de l’entreprise ont alors insisté sur le caractère unique de ce site en Abitibi, une région au relief plutôt plat. Les affleurements rocheux y sont rares, peut-on lire dans le compte rendu de la Commission sur l’étude de la demande d’autorisation.
Elle ajoute que seules quatre carrières dans la région produisent des granulats utilisés pour la fabrication du béton bitumineux. La plus proche de La Sarre se trouve à 120 kilomètres.
Les avocats ont également fait valoir quelques modifications dans le projet et soulignent l’amélioration du relief pour diverses formes d’agriculture et la faible empreinte au sol des talus par rapport à celle occupée actuellement par des pentes relativement fortes.
La Commission est alors revenue sur sa décision initiale, considérant cette fois-ci que la demande modifiée laissera un relief plus favorable à la pratique de l’agriculture. Évidemment, ce gain ne se concrétisera pas au cours de la prochaine décennie. Plusieurs années seront requises avant le retour de l’agriculture sur le site de la carrière. Cependant, le gain est tellement important qu’il justifie l’attente.
Après plus de trois ans d’exploitation illégale de cette zone, l’entreprise Gabriel Aubé inc. a finalement vu sa demande être acceptée le 28 mars 2024 et pourra exploiter la carrière légalement pendant 10 ans.
Il demeure que l’entreprise est toujours en infraction vis-à-vis du ministère de l'Environnement.
Contactée, l’entreprise Gabriel Aubé inc. n’a pas donné suite à nos demandes d’entrevue.
Mathilde Blayo a travaillé avec différents médias en France avant de rejoindre Radio-Canada en Abitibi-Témiscamingue en 2024. Elle affectionne la couverture terrain pour la rencontre avec les gens. Elle est aussi présente à l'antenne en remplacement sur des chroniques.
Ouvrir en mode plein écranLe site de la gravière exploitée par l’entreprise Gabriel Aubé inc., au nord de La Sarre.
Mathilde BlayoPublié le 7 novembre 2024 à 6 h 48 HAEÉcouter l’article | 7 minutesLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale, une technologie basée sur l’intelligence artificielle.L’entreprise Gabriel Aubé inc. a exploité pendant des années une gravière au nord de La Sarre, le long de la route 393, sans avoir obtenu d'autorisation de la Commission de la protection du territoire agricole (CPTAQ).
Cette autorisation lui a été accordée en mars 2024 après quatre ans d'exploitation. Depuis, l'entreprise a reçu deux constats d'infraction du ministère de l'Environnement, de la Lutte contre les changements climatiques, de la Faune et des Parcs (MELCCFP).
En décembre 2020, l’entreprise Gabriel Aubé inc., notamment spécialisée dans le béton préparé, la vente d'agrégats, le transport par fardier et le déneigement, a entrepris le dynamitage du terrain situé à flanc de colline au nord de La Sarre afin d’y exploiter une carrière pour produire des granulats.
Le problème, c'est que l’entreprise a commencé à exploiter cette zone sans autorisation de la CPTAQ ni du ministère de l'Environnement.
Pour qu’une entreprise exploite une carrière, la Loi sur la qualité de l'environnement prévoit qu’elle doit détenir une autorisation du ministère de l’Environnement avant le début des travaux.
Le Ministère a reçu plusieurs plaintes de riverains. Il a finalement délivré deux constats d’infraction et a édicté deux sanctions administratives pécuniaires de 5000 $ chacune.
La première sanction a été édictée en avril 2024, car l'entreprise a exploité cette zone sans avoir obtenu l’autorisation de la part du ministère de l’Environnement.
Ouvrir en mode plein écranL'exploitant de cette gravière n'a pas obtenu une autorisation de la Commission de la protection du territoire agricole du Québec au préalable.
La deuxième sanction édictée en juillet 2024 concerne l’impact de l’exploitation sur les cours d’eau.
L’entreprise a fait des travaux sur la rive d'un cours d’eau intermittent sans autorisation. On parle de déboisement, de creusage, et il y a même une portion d’un cours d’eau intermittent qui a été complètement détruite parce qu'il se trouve maintenant dans la carrière, indique Annie Cassista, directrice régionale du contrôle environnemental de l'Abitibi-Témiscamingue et du Nord-du-Québec.
Pour se remettre en conformité avec la loi, l’entreprise a depuis lors déposé une demande d'autorisation, mais celle-ci est pour le moment jugée incomplète.
Une fois que les documents complémentaires auront été envoyés, les analystes du Ministère étudieront la conformité de la demande avec le règlement sur les carrières et les sablières. Il y a des normes qui concernent les vibrations, le bruit, la gestion des poussières, explique Annie Cassista.
L’entreprise ayant commencé l’exploitation sans autorisation, elle va également devoir corriger son manquement.
Une possibilité consisterait à remettre les milieux détruits en état. Si ce n’est pas possible de remettre en état, à ce moment-là, nous, on va analyser les mesures d’atténuation qui peuvent être mises en œuvre, mais on peut exiger une compensation financière pour les milieux qui ont été détruits, explique la directrice régionale du contrôle environnemental.
S’il n’y a pas de mise en conformité de l’exploitation de la carrière, d’autres recours sont possibles pour le MELCCFP.
Ouvrir en mode plein écranLe site de la gravière exploitée au nord de La Sarre par l’entreprise Gabriel Aubé inc.
Des avis d’exécution et des ordonnances émis par le Ministère peuvent obliger l'entreprise à effectuer des travaux pour corriger la situation. Il sera aussi possible d’engager un recours pénal.
Par ailleurs, l'aménagement et l’exploitation de cette carrière se sont aussi faits dans l’illégalité aux yeux de la Commission de la protection du territoire agricole du Québec (CPTAQ).
La gravière se trouve sur un terrain défini comme zone agricole par le gouvernement du Québec. Exploiter une zone agricole à une autre fin que l’agriculture nécessite une autorisation de la CPTAQ.
En octobre 2022, la CPTAQ a émis une ordonnance pour dénoncer l’infraction. Il était alors reproché à l’entreprise d’avoir utilisé cette zone sans droit ni autorisation.
Cette ordonnance réclamait aussi l’arrêt immédiat de l’exploitation.
Pourtant, au moins deux témoins affirment que l’activité sur le site n’a pas cessé.
L’entreprise Gabriel Aubé inc. a tenté de régulariser sa situation en juin 2023 en présentant une demande officielle d'utilisation de la zone à une fin autre que l’agriculture, soit pour l’exploitation d’une carrière.
Dans son dossier, l’entreprise reçoit le soutien de la Ville de La Sarre, qui indique qu'aucun autre espace du territoire ne répond à leur critère et que l'utilisation de ce lot est conforme à la réglementation municipale.
La CPTAQ a toutefois refusé cette demande. Pour cette instance, ce terrain en zone agricole est propice à la sylviculture, et avec l’exploitation d’une carrière, on ne peut s’attendre qu’à une dégradation du milieu ne permettant pas d’espérer un retour à l’agriculture [ou à la sylviculture] à moyen ni même à long terme, indique le compte rendu de la Commission sur l’étude de la demande d’autorisation.
La Commission indique également que faire droit à la demande créerait un précédent susceptible de générer un effet d’entraînement pour des demandes similaires, ce qui n’est pas souhaitable dans ce milieu agro-forestier.
Malgré ce refus d’autorisation, l’entreprise Gabriel Aubé inc. a continué à exploiter la carrière.
Ouvrir en mode plein écranLa gravière exploitée sans autorisation par l’entreprise Gabriel Aubé inc. se situe au nord de La Sarre.
Elle a finalement présenté une nouvelle demande d’autorisation à la CPTAQ en février 2024.
Les avocats de l’entreprise ont alors insisté sur le caractère unique de ce site en Abitibi, une région au relief plutôt plat. Les affleurements rocheux y sont rares, peut-on lire dans le compte rendu de la Commission sur l’étude de la demande d’autorisation.
Elle ajoute que seules quatre carrières dans la région produisent des granulats utilisés pour la fabrication du béton bitumineux. La plus proche de La Sarre se trouve à 120 kilomètres.
Les avocats ont également fait valoir quelques modifications dans le projet et soulignent l’amélioration du relief pour diverses formes d’agriculture et la faible empreinte au sol des talus par rapport à celle occupée actuellement par des pentes relativement fortes.
La Commission est alors revenue sur sa décision initiale, considérant cette fois-ci que la demande modifiée laissera un relief plus favorable à la pratique de l’agriculture. Évidemment, ce gain ne se concrétisera pas au cours de la prochaine décennie. Plusieurs années seront requises avant le retour de l’agriculture sur le site de la carrière. Cependant, le gain est tellement important qu’il justifie l’attente.
Après plus de trois ans d’exploitation illégale de cette zone, l’entreprise Gabriel Aubé inc. a finalement vu sa demande être acceptée le 28 mars 2024 et pourra exploiter la carrière légalement pendant 10 ans.
Il demeure que l’entreprise est toujours en infraction vis-à-vis du ministère de l'Environnement.
Contactée, l’entreprise Gabriel Aubé inc. n’a pas donné suite à nos demandes d’entrevue.
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Cette autorisation lui a été accordée en mars 2024 après quatre ans d'exploitation
l'entreprise a reçu deux constats d'infraction du ministère de l'Environnement
de la Lutte contre les changements climatiques
notamment spécialisée dans le béton préparé
le transport par fardier et le déneigement
a entrepris le dynamitage du terrain situé à flanc de colline au nord de La Sarre afin d’y exploiter une carrière pour produire des granulats
c'est que l’entreprise a commencé à exploiter cette zone sans autorisation de la CPTAQ ni du ministère de l'Environnement
Pour qu’une entreprise exploite une carrière
la Loi sur la qualité de l'environnement prévoit qu’elle doit détenir une autorisation du ministère de l’Environnement avant le début des travaux
Le Ministère a reçu plusieurs plaintes de riverains
Il a finalement délivré deux constats d’infraction et a édicté deux sanctions administratives pécuniaires de 5000 $ chacune
La première sanction a été édictée en avril 2024
car l'entreprise a exploité cette zone sans avoir obtenu l’autorisation de la part du ministère de l’Environnement
La deuxième sanction édictée en juillet 2024 concerne l’impact de l’exploitation sur les cours d’eau
L’entreprise a fait des travaux sur la rive d'un cours d’eau intermittent sans autorisation
et il y a même une portion d’un cours d’eau intermittent qui a été complètement détruite parce qu'il se trouve maintenant dans la carrière
directrice régionale du contrôle environnemental de l'Abitibi-Témiscamingue et du Nord-du-Québec
Pour se remettre en conformité avec la loi
l’entreprise a depuis lors déposé une demande d'autorisation
mais celle-ci est pour le moment jugée incomplète
Une fois que les documents complémentaires auront été envoyés
les analystes du Ministère étudieront la conformité de la demande avec le règlement sur les carrières et les sablières
Il y a des normes qui concernent les vibrations
L’entreprise ayant commencé l’exploitation sans autorisation
elle va également devoir corriger son manquement
Une possibilité consisterait à remettre les milieux détruits en état
Si ce n’est pas possible de remettre en état
on va analyser les mesures d’atténuation qui peuvent être mises en œuvre
mais on peut exiger une compensation financière pour les milieux qui ont été détruits
explique la directrice régionale du contrôle environnemental
S’il n’y a pas de mise en conformité de l’exploitation de la carrière
d’autres recours sont possibles pour le MELCCFP
Des avis d’exécution et des ordonnances émis par le Ministère peuvent obliger l'entreprise à effectuer des travaux pour corriger la situation
Il sera aussi possible d’engager un recours pénal
l'aménagement et l’exploitation de cette carrière se sont aussi faits dans l’illégalité aux yeux de la Commission de la protection du territoire agricole du Québec (CPTAQ)
La gravière se trouve sur un terrain défini comme zone agricole par le gouvernement du Québec
Exploiter une zone agricole à une autre fin que l’agriculture nécessite une autorisation de la CPTAQ
la CPTAQ a émis une ordonnance pour dénoncer l’infraction
Il était alors reproché à l’entreprise d’avoir utilisé cette zone sans droit ni autorisation
Cette ordonnance réclamait aussi l’arrêt immédiat de l’exploitation
au moins deux témoins affirment que l’activité sur le site n’a pas cessé
a tenté de régulariser sa situation en juin 2023 en présentant une demande officielle d'utilisation de la zone à une fin autre que l’agriculture
soit pour l’exploitation d’une carrière
l’entreprise reçoit le soutien de la Ville de La Sarre
qui indique qu'aucun autre espace du territoire ne répond à leur critère et que l'utilisation de ce lot est conforme à la réglementation municipale
La CPTAQ a toutefois refusé cette demande
ce terrain en zone agricole est propice à la sylviculture
et avec l’exploitation d’une carrière
on ne peut s’attendre qu’à une dégradation du milieu ne permettant pas d’espérer un retour à l’agriculture [ou à la sylviculture] à moyen ni même à long terme
indique le compte rendu de la Commission sur l’étude de la demande d’autorisation
La Commission indique également que faire droit à la demande créerait un précédent susceptible de générer un effet d’entraînement pour des demandes similaires
ce qui n’est pas souhaitable dans ce milieu agro-forestier
a continué à exploiter la carrière
Elle a finalement présenté une nouvelle demande d’autorisation à la CPTAQ en février 2024
Les avocats de l’entreprise ont alors insisté sur le caractère unique de ce site en Abitibi
une région au relief plutôt plat
peut-on lire dans le compte rendu de la Commission sur l’étude de la demande d’autorisation
Elle ajoute que seules quatre carrières dans la région produisent des granulats utilisés pour la fabrication du béton bitumineux
La plus proche de La Sarre se trouve à 120 kilomètres
Les avocats ont également fait valoir quelques modifications dans le projet et soulignent l’amélioration du relief pour diverses formes d’agriculture et la faible empreinte au sol des talus par rapport à celle occupée actuellement par des pentes relativement fortes
La Commission est alors revenue sur sa décision initiale
considérant cette fois-ci que la demande modifiée laissera un relief plus favorable à la pratique de l’agriculture
ce gain ne se concrétisera pas au cours de la prochaine décennie
Plusieurs années seront requises avant le retour de l’agriculture sur le site de la carrière
le gain est tellement important qu’il justifie l’attente
Après plus de trois ans d’exploitation illégale de cette zone
a finalement vu sa demande être acceptée le 28 mars 2024 et pourra exploiter la carrière légalement pendant 10 ans
Il demeure que l’entreprise est toujours en infraction vis-à-vis du ministère de l'Environnement
n’a pas donné suite à nos demandes d’entrevue
Mathilde Blayo a travaillé avec différents médias en France avant de rejoindre Radio-Canada en Abitibi-Témiscamingue en 2024
Elle affectionne la couverture terrain pour la rencontre avec les gens
Elle est aussi présente à l'antenne en remplacement sur des chroniques
Le Haut-Commissariat de l'Inde à Ottawa a identifié Vanshika Saini comme une étudiante indienne
La question du séparatisme pourrait y figurer
Élections Canada a trouvé des erreurs dans les rapports des bureaux de vote locaux
la place au dîner coûte 75 000 dollars américains
Le parti de gauche a été réduit à seulement sept sièges lors des élections fédérales du 28 avril
a exploité pendant des années une gravière au nord de La Sarre
sans avoir obtenu d'autorisation de la Commission de la protection du territoire agricole (CPTAQ)
Le projet de mosquée est né d’une volonté des acteurs locaux d’attirer et de retenir de nouveaux travailleurs dans le secteur.
À l'occasion de la Grande Séduction en Abitibi-Ouest, une opération de recrutement de personnel de la santé lancée en 2022, des soignants étrangers sont venus travailler dans la région.
Le collectif de la Grande Séduction s’était jusque-là assuré de proposer des logements équipés ainsi que des services de garderie, mais l’absence de lieu de culte pouvait poser problème.
Dans le passé, c’est arrivé qu’on ait des départs de médecins, de spécialistes, qui sont allés dans d’autres villes parce qu’on n’avait pas cette infrastructure-là, raconte Sylvain Trudel, président de la Grande Séduction en Abitibi-Ouest.
En août dernier, une infirmière a quitté la région pour une autre localité d’Abitibi-Témiscamingue dotée d’une mosquée.
Et là, on a dit que c'était la dernière infirmière qu'on perdait pour cette raison-là, explique Sylvain Trudel.
La décision a alors été prise d’ouvrir une mosquée à La Sarre.
La Ville a très rapidement donné son accord. 100 000 $ ont été récoltés grâce à un don privé de 80 000 $ et à 20 000 $ de la Grande Séduction.
Puis, le 15 août 2024, quatre mois après le lancement du projet, la mosquée a ouvert ses portes au centre-ville.
Pour Sylvain Trudel, établir cette mosquée en ville est aussi une question d’égalité.
Dans nos professionnels qu’on recrute souvent en Afrique, on a des musulmans, mais on a aussi des catholiques. Les catholiques sont chanceux, ils ont une grande église qui est vide, ils ont de la place, constate Sylvain Trudel.
Pour les musulmans, il manquait cette infrastructure-là, et on trouvait essentiel qu’ils puissent pratiquer leur religion de façon régulière ici sans avoir à faire de la route pour aller à Rouyn.
Pour assurer le fonctionnement de la mosquée, un OBNL, l'Association culturelle des musulmans de La Sarre, a été fondé.
Cette association tient un registre des membres, estimés à 35. Chacun obtient une clé qui lui donne accès au lieu de culte en tout temps.
À l’intérieur, il y a la salle de prière et une salle réservée aux ablutions, un rituel de purification qui précède la prière.
Des exemplaires du Coran sont mis à disposition des fidèles, de même que des tapis de prière.
Abdelghani El Fakir est médecin à Montréal, mais il vient régulièrement en Abitibi-Ouest en soutien aux équipes de La Sarre.
Je suis vraiment heureux parce que c'est un endroit de ressourcement, de recueillement et de paix. J’ai la chance d'avoir ma maison pas loin et je viens régulièrement faire mes prières ici, raconte-t-il.
Pour lui, ne pas avoir eu de lieu communautaire pour faire la prière du vendredi, la plus importante de la semaine pour les musulmans, c’était comme être amputé de quelque chose.
Yaya Mané est arrivé d’Afrique de l’Ouest il y a un an. Pour lui aussi, l’absence de lieu de culte représentait un vide.
C’est difficile à expliquer, mais c'est un sentiment où tu sens comme un vide. Tu ressens le manque d’accomplir quelque chose de vraiment important.
La mosquée n’a pas d’imam attitré. Les fidèles se désignent à tour de rôle pour mener la prière, selon leur degré de connaissance des textes coraniques et la qualité de leur locution.
Ce lieu de culte est aussi un lieu de reconnexion avec une culture et des traditions du pays quitté.
Avec l'ouverture de la mosquée, Yaya Mané se dit maintenant en mesure d'envisager un avenir à long terme en Abitibi-Ouest.
Au début, c’était difficile. Je me disais : \"Je ne pense pas que je vais rester à La Sarre\" pour beaucoup plus de facteurs. Mais ça, c’est un point vraiment essentiel, puis je me sens à la maison, assure-t-il, tout sourire.
Ouvrir en mode plein écranSylvain Trudel, de la Grande Séduction en Abitibi-Ouest, en compagnie d'Abdelghani El Fakir, de Yaya Mané et d'Abdou Kamara.
Mathilde BlayoPublié le 7 décembre 2024 à 7 h 42 HAEÉcouter l’article | 5 minutesLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale, une technologie basée sur l’intelligence artificielle.À La Sarre, une mosquée a été officiellement inaugurée vendredi au centre-ville. Ce lieu de culte vient répondre à un besoin d’une partie des nouveaux arrivants de la région.
Ouverte depuis le mois d’août, elle compte déjà une trentaine de fidèles réguliers.
Le projet de mosquée est né d’une volonté des acteurs locaux d’attirer et de retenir de nouveaux travailleurs dans le secteur.
À l'occasion de la Grande Séduction en Abitibi-Ouest, une opération de recrutement de personnel de la santé lancée en 2022, des soignants étrangers sont venus travailler dans la région.
Le collectif de la Grande Séduction s’était jusque-là assuré de proposer des logements équipés ainsi que des services de garderie, mais l’absence de lieu de culte pouvait poser problème.
Dans le passé, c’est arrivé qu’on ait des départs de médecins, de spécialistes, qui sont allés dans d’autres villes parce qu’on n’avait pas cette infrastructure-là, raconte Sylvain Trudel, président de la Grande Séduction en Abitibi-Ouest.
En août dernier, une infirmière a quitté la région pour une autre localité d’Abitibi-Témiscamingue dotée d’une mosquée.
Ouvrir en mode plein écranSylvain Trudel, président du Comité citoyen à l'origine de la mobilisation de la Grande Séduction en Abitibi-Ouest. (Photo d'archives)
Et là, on a dit que c'était la dernière infirmière qu'on perdait pour cette raison-là, explique Sylvain Trudel.
La décision a alors été prise d’ouvrir une mosquée à La Sarre.
La Ville a très rapidement donné son accord. 100 000 $ ont été récoltés grâce à un don privé de 80 000 $ et à 20 000 $ de la Grande Séduction.
Puis, le 15 août 2024, quatre mois après le lancement du projet, la mosquée a ouvert ses portes au centre-ville.
Pour Sylvain Trudel, établir cette mosquée en ville est aussi une question d’égalité.
Dans nos professionnels qu’on recrute souvent en Afrique, on a des musulmans, mais on a aussi des catholiques. Les catholiques sont chanceux, ils ont une grande église qui est vide, ils ont de la place, constate Sylvain Trudel.
Pour les musulmans, il manquait cette infrastructure-là, et on trouvait essentiel qu’ils puissent pratiquer leur religion de façon régulière ici sans avoir à faire de la route pour aller à Rouyn.
Pour assurer le fonctionnement de la mosquée, un OBNL, l'Association culturelle des musulmans de La Sarre, a été fondé.
Cette association tient un registre des membres, estimés à 35. Chacun obtient une clé qui lui donne accès au lieu de culte en tout temps.
À l’intérieur, il y a la salle de prière et une salle réservée aux ablutions, un rituel de purification qui précède la prière.
Des exemplaires du Coran sont mis à disposition des fidèles, de même que des tapis de prière.
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Abdelghani El Fakir est médecin à Montréal, mais il vient régulièrement en Abitibi-Ouest en soutien aux équipes de La Sarre.
Je suis vraiment heureux parce que c'est un endroit de ressourcement, de recueillement et de paix. J’ai la chance d'avoir ma maison pas loin et je viens régulièrement faire mes prières ici, raconte-t-il.
Pour lui, ne pas avoir eu de lieu communautaire pour faire la prière du vendredi, la plus importante de la semaine pour les musulmans, c’était comme être amputé de quelque chose.
Yaya Mané est arrivé d’Afrique de l’Ouest il y a un an. Pour lui aussi, l’absence de lieu de culte représentait un vide.
C’est difficile à expliquer, mais c'est un sentiment où tu sens comme un vide. Tu ressens le manque d’accomplir quelque chose de vraiment important.
La mosquée n’a pas d’imam attitré. Les fidèles se désignent à tour de rôle pour mener la prière, selon leur degré de connaissance des textes coraniques et la qualité de leur locution.
Ce lieu de culte est aussi un lieu de reconnexion avec une culture et des traditions du pays quitté.
Avec l'ouverture de la mosquée, Yaya Mané se dit maintenant en mesure d'envisager un avenir à long terme en Abitibi-Ouest.
Au début, c’était difficile. Je me disais : "Je ne pense pas que je vais rester à La Sarre" pour beaucoup plus de facteurs. Mais ça, c’est un point vraiment essentiel, puis je me sens à la maison, assure-t-il, tout sourire.
elle compte déjà une trentaine de fidèles réguliers
Le projet de mosquée est né d’une volonté des acteurs locaux d’attirer et de retenir de nouveaux travailleurs dans le secteur
À l'occasion de la Grande Séduction en Abitibi-Ouest
une opération de recrutement de personnel de la santé lancée en 2022
des soignants étrangers sont venus travailler dans la région
Le collectif de la Grande Séduction s’était jusque-là assuré de proposer des logements équipés ainsi que des services de garderie
mais l’absence de lieu de culte pouvait poser problème
c’est arrivé qu’on ait des départs de médecins
qui sont allés dans d’autres villes parce qu’on n’avait pas cette infrastructure-là
président de la Grande Séduction en Abitibi-Ouest
une infirmière a quitté la région pour une autre localité d’Abitibi-Témiscamingue dotée d’une mosquée
on a dit que c'était la dernière infirmière qu'on perdait pour cette raison-là
La décision a alors été prise d’ouvrir une mosquée à La Sarre
La Ville a très rapidement donné son accord
100 000 $ ont été récoltés grâce à un don privé de 80 000 $ et à 20 000 $ de la Grande Séduction
quatre mois après le lancement du projet
la mosquée a ouvert ses portes au centre-ville
établir cette mosquée en ville est aussi une question d’égalité
Dans nos professionnels qu’on recrute souvent en Afrique
ils ont une grande église qui est vide
et on trouvait essentiel qu’ils puissent pratiquer leur religion de façon régulière ici sans avoir à faire de la route pour aller à Rouyn
Pour assurer le fonctionnement de la mosquée
l'Association culturelle des musulmans de La Sarre
Cette association tient un registre des membres
Chacun obtient une clé qui lui donne accès au lieu de culte en tout temps
il y a la salle de prière et une salle réservée aux ablutions
un rituel de purification qui précède la prière
Des exemplaires du Coran sont mis à disposition des fidèles
Abdelghani El Fakir est médecin à Montréal
mais il vient régulièrement en Abitibi-Ouest en soutien aux équipes de La Sarre
Je suis vraiment heureux parce que c'est un endroit de ressourcement
J’ai la chance d'avoir ma maison pas loin et je viens régulièrement faire mes prières ici
ne pas avoir eu de lieu communautaire pour faire la prière du vendredi
la plus importante de la semaine pour les musulmans
c’était comme être amputé de quelque chose
Yaya Mané est arrivé d’Afrique de l’Ouest il y a un an
l’absence de lieu de culte représentait un vide
mais c'est un sentiment où tu sens comme un vide
Tu ressens le manque d’accomplir quelque chose de vraiment important
La mosquée n’a pas d’imam attitré
Les fidèles se désignent à tour de rôle pour mener la prière
selon leur degré de connaissance des textes coraniques et la qualité de leur locution
Ce lieu de culte est aussi un lieu de reconnexion avec une culture et des traditions du pays quitté
Yaya Mané se dit maintenant en mesure d'envisager un avenir à long terme en Abitibi-Ouest
Je me disais : \\\"Je ne pense pas que je vais rester à La Sarre\\\" pour beaucoup plus de facteurs
Je me disais : \"Je ne pense pas que je vais rester à La Sarre\" pour beaucoup plus de facteurs
une mosquée a été officiellement inaugurée vendredi au centre-ville
Ce lieu de culte vient répondre à un besoin d’une partie des nouveaux arrivants de la région
Les gens nous disaient souvent que c’était difficile de remonter à pied, affirme-t-elle. On a mis le projet sur pied avec la Ville de La Sarre, Loisir et Sports Abitibi-Témiscamingue et Tourisme Abitibi-Témiscamingue.
Les coûts d’installation du remonte-pente s’élèvent à 200 000$. Les frais d’utilisation varient quant à eux en fonction de l’adresse des usagers. Les résidents de La Sarre doivent débourser 5 $ pour glisser contre 10 $ pour les non-résidents.
Les coûts sont de 4 $ pour les adolescents de 13 à 17 ans contre le double pour ceux des autres villes. Les enfants de 12 ans et moins qui habitent à La Sarre peuvent utiliser la remontée mécanique gratuitement.
La différence de coûts fait partie de notre entente avec la Ville de La Sarre. La municipalité nous soutient financièrement. Les résidents paient déjà une partie avec leurs taxes municipales, complète Rachel Luneau.
Le remonte-pente donne accès aux quatre couloirs de glissade sur tube.
Outre les descentes en tube, le club Beattie offre des activités de ski de fond, de raquettes, de vélo et de trottinette à neige. Des équipements sont disponibles pour location.
Les pistes et sentiers sont pour le moment ouverts, bien que les risques de pluie verglaçante pourraient entraîner des fermetures samedi.
Gabriel Poirier est bachelier en histoire de l'Université de Montréal. Il exerce le journalisme en Abitibi-Témiscamingue, sa région natale, où il couvre une gamme de sujets variés depuis septembre 2022.
Ouvrir en mode plein écranLes familles de l'Abitibi-Ouest peuvent dévaler les pentes du Club Beattie de La Sarre.
Gabriel PoirierPublié le 28 décembre 2024 à 7 h 25 HAEÉcouter l’article | 2 minutesLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale, une technologie basée sur l’intelligence artificielle.Le Club Beattie de La Sarre a inauguré son tout premier remonte-pente. Les jeunes de moins de 12 ans, de La Sarre, pourront dévaler gratuitement, mais le service sera payant pour tous les autres amateurs de glisse.
La directrice générale du club, Rachel Luneau, croit que l’installation répond à un besoin. Certaines familles étaient fatiguées de marcher jusqu’au sommet de la pente.
Les gens nous disaient souvent que c’était difficile de remonter à pied, affirme-t-elle. On a mis le projet sur pied avec la Ville de La Sarre, Loisir et Sports Abitibi-Témiscamingue et Tourisme Abitibi-Témiscamingue.
Ouvrir en mode plein écranLe Club de golf Beattie loue différents équipements aux personnes qui pratiquent des sports d'hiver, rappelle Rachel Luneau. (Photo d'archives)
Les coûts d’installation du remonte-pente s’élèvent à 200 000$. Les frais d’utilisation varient quant à eux en fonction de l’adresse des usagers. Les résidents de La Sarre doivent débourser 5 $ pour glisser contre 10 $ pour les non-résidents.
Les coûts sont de 4 $ pour les adolescents de 13 à 17 ans contre le double pour ceux des autres villes. Les enfants de 12 ans et moins qui habitent à La Sarre peuvent utiliser la remontée mécanique gratuitement.
La différence de coûts fait partie de notre entente avec la Ville de La Sarre. La municipalité nous soutient financièrement. Les résidents paient déjà une partie avec leurs taxes municipales, complète Rachel Luneau.
Le remonte-pente donne accès aux quatre couloirs de glissade sur tube.
Outre les descentes en tube, le club Beattie offre des activités de ski de fond, de raquettes, de vélo et de trottinette à neige. Des équipements sont disponibles pour location.
Les pistes et sentiers sont pour le moment ouverts, bien que les risques de pluie verglaçante pourraient entraîner des fermetures samedi.
croit que l’installation répond à un besoin
Certaines familles étaient fatiguées de marcher jusqu’au sommet de la pente
Les gens nous disaient souvent que c’était difficile de remonter à pied
On a mis le projet sur pied avec la Ville de La Sarre
Loisir et Sports Abitibi-Témiscamingue et Tourisme Abitibi-Témiscamingue
Les coûts d’installation du remonte-pente s’élèvent à 200 000$
Les frais d’utilisation varient quant à eux en fonction de l’adresse des usagers
Les résidents de La Sarre doivent débourser 5 $ pour glisser contre 10 $ pour les non-résidents
Les coûts sont de 4 $ pour les adolescents de 13 à 17 ans contre le double pour ceux des autres villes
Les enfants de 12 ans et moins qui habitent à La Sarre peuvent utiliser la remontée mécanique gratuitement
La différence de coûts fait partie de notre entente avec la Ville de La Sarre
La municipalité nous soutient financièrement
Les résidents paient déjà une partie avec leurs taxes municipales
Le remonte-pente donne accès aux quatre couloirs de glissade sur tube
le club Beattie offre des activités de ski de fond
de vélo et de trottinette à neige
Des équipements sont disponibles pour location
Les pistes et sentiers sont pour le moment ouverts
bien que les risques de pluie verglaçante pourraient entraîner des fermetures samedi
Gabriel Poirier est bachelier en histoire de l'Université de Montréal
Il exerce le journalisme en Abitibi-Témiscamingue
où il couvre une gamme de sujets variés depuis septembre 2022
Le Club Beattie de La Sarre a inauguré son tout premier remonte-pente
mais le service sera payant pour tous les autres amateurs de glisse
Il y a également un espace atelier réservé au Regroupement des artistes en arts visuels de l’Abitibi-Ouest (RAAVAO).
Les sœurs Joanne et Stéphanie Hamelin, ainsi que le mari de Stéphanie, Simon Goudreau, ont monté ce projet pour tenter de répondre à des besoins de la ville de La Sarre.
On démontre qu’on n’a pas besoin d’être dans une grande ville, ou d’être au centre-ville dans une mégalopole, pour avoir du talent puis pour avoir des services. On est capables d’offrir ce que toutes les autres places offrent, mais nous autres, on va l’avoir ici, on va l’avoir en région, souligne Simon Goudreau.
Les propriétaires veulent valoriser les entrepreneurs et les produits locaux, notamment avec un café torréfié à Malartic par Torréfacteur sans frontière.
Appli Radio-Canada OHdioTout un monde à écouter, partout où vous allez.
Il y a également un espace atelier réservé au Regroupement des artistes en arts visuels de l’Abitibi-Ouest (RAAVAO)
ont monté ce projet pour tenter de répondre à des besoins de la ville de La Sarre
On démontre qu'on n'a pas besoin d'être dans une grande ville
ou d'être au centre-ville dans une mégalopole
pour avoir du talent puis pour avoir des services
On est capables d'offrir ce que toutes les autres places offrent
Les propriétaires veulent valoriser les entrepreneurs et les produits locaux
notamment avec un café torréfié à Malartic par Torréfacteur sans frontière
L’Accalmie Chez Juliette est un tout nouveau café
avec des produits de pâtisserie et boulangerie artisanale
Mais l’établissement dispose aussi d’une salle de réunion et de 15 chambres à louer pour les travailleurs
touristes et étudiants de l’Abitibi-Témiscamingue
C’est un phénomène qui s’en va en augmentant, on n’a jamais vu ça, raconte la directrice générale Josiane Michaud.
Souvent, on avait des périodes d’accalmie, l’été, mais là, de moins en moins, on n’en a pas, c’est toujours à fond de train tout le temps. [...] C'est pas juste ici à La Sarre, mes collègues des autres secteurs le nomment aussi, ajoute la responsable.
Dans le nouveau bâtiment, quatre appartements pourront accueillir des personnes durant un an.
On va prendre le temps d’aller travailler toutes les lacunes, aller travailler les habiletés, aller travailler à fond avec les gens pour que, quand ils vont nous quitter, ils vont être vraiment prêts à partir, explique Josiane Michaud.
Un appartement sera réservé aux pères avec enfants, qui se partageront l’espace pour pouvoir recevoir à tour de rôle leur enfant.
On a beaucoup plus d'hommes dans nos services et ces hommes sont aussi des pères. Puis ces pères ne pouvaient pas amener leurs enfants ici, [alors] souvent, ça coupait les liens affectifs. Ils perdaient un peu le contact avec leurs enfants, c'était vraiment difficile pour eux, rapporte Mme Michaud.
Permettre aux pères de recevoir leur enfant dans un espace adapté pourra aussi compter dans le rétablissement de ces personnes.
Des places en hébergement de nuit d’urgence ont aussi été ajoutées.
En plus des logements, l’agrandissement compte une grande salle où pourra se tenir la soupe populaire quotidienne.
L’établissement reçoit une vingtaine de bénéficiaires par jour, et la petite cuisine qui les accueillait jusqu’à maintenant ne permettait pas de faire un travail d’accompagnement efficace.
Les gens ne peuvent pas rester manger avec nous, ils prennent leur lunch et puis s’en vont. On brise un peu le lien, on ne peut pas prendre le temps avec ces gens-là de faire un accueil adéquat, une écoute active, explique Josiane Michaud.
Avec ces nouveaux espaces d’accueil, les équipes de l'organisme pourront prendre le temps de créer des liens avec les bénéficiaires de la soupe populaire.
Le bâtiment flambant neuf aura coûté 2,2 millions de dollars, soit 1,1 million de plus qu’attendu au départ, mais les partenaires du projet ont répondu présents.
Ouvrir en mode plein écranLa directrice générale de la Maison du Compagnon, Josiane Michaud, se réjouit de l'agrandissement de son organisme qui pourra offrir plus de services.
Mathilde BlayoPublié le 14 novembre 2024 à 18 h 24 HAEÉcouter l’article | 3 minutesLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale, une technologie basée sur l’intelligence artificielle.À La Sarre, la Maison du Compagnon a inauguré ses nouveaux locaux. L'établissement héberge déjà une dizaine de personnes, dans des appartements transitoires supervisés et un dortoir.
Toutefois, l’agrandissement de la maison d’hébergement était devenu une nécessité face à l’augmentation des besoins.
C’est un phénomène qui s’en va en augmentant, on n’a jamais vu ça, raconte la directrice générale Josiane Michaud.
Souvent, on avait des périodes d’accalmie, l’été, mais là, de moins en moins, on n’en a pas, c’est toujours à fond de train tout le temps. [...] C'est pas juste ici à La Sarre, mes collègues des autres secteurs le nomment aussi, ajoute la responsable.
Dans le nouveau bâtiment, quatre appartements pourront accueillir des personnes durant un an.
On va prendre le temps d’aller travailler toutes les lacunes, aller travailler les habiletés, aller travailler à fond avec les gens pour que, quand ils vont nous quitter, ils vont être vraiment prêts à partir, explique Josiane Michaud.
Un appartement sera réservé aux pères avec enfants, qui se partageront l’espace pour pouvoir recevoir à tour de rôle leur enfant.
On a beaucoup plus d'hommes dans nos services et ces hommes sont aussi des pères. Puis ces pères ne pouvaient pas amener leurs enfants ici, [alors] souvent, ça coupait les liens affectifs. Ils perdaient un peu le contact avec leurs enfants, c'était vraiment difficile pour eux, rapporte Mme Michaud.
Permettre aux pères de recevoir leur enfant dans un espace adapté pourra aussi compter dans le rétablissement de ces personnes.
Des places en hébergement de nuit d’urgence ont aussi été ajoutées.
En plus des logements, l’agrandissement compte une grande salle où pourra se tenir la soupe populaire quotidienne.
L’établissement reçoit une vingtaine de bénéficiaires par jour, et la petite cuisine qui les accueillait jusqu’à maintenant ne permettait pas de faire un travail d’accompagnement efficace.
Ouvrir en mode plein écranPlusieurs personnes étaient présentes à l'inauguration des nouveaux locaux de la Maison du Compagnon de La Sarre.
Les gens ne peuvent pas rester manger avec nous, ils prennent leur lunch et puis s’en vont. On brise un peu le lien, on ne peut pas prendre le temps avec ces gens-là de faire un accueil adéquat, une écoute active, explique Josiane Michaud.
Avec ces nouveaux espaces d’accueil, les équipes de l'organisme pourront prendre le temps de créer des liens avec les bénéficiaires de la soupe populaire.
Le bâtiment flambant neuf aura coûté 2,2 millions de dollars, soit 1,1 million de plus qu’attendu au départ, mais les partenaires du projet ont répondu présents.
l’agrandissement de la maison d’hébergement était devenu une nécessité face à l’augmentation des besoins
C’est un phénomène qui s’en va en augmentant
raconte la directrice générale Josiane Michaud
on avait des périodes d’accalmie
c’est toujours à fond de train tout le temps
[...] C'est pas juste ici à La Sarre
mes collègues des autres secteurs le nomment aussi
quatre appartements pourront accueillir des personnes durant un an
On va prendre le temps d’aller travailler toutes les lacunes
aller travailler à fond avec les gens pour que
ils vont être vraiment prêts à partir
Un appartement sera réservé aux pères avec enfants
qui se partageront l’espace pour pouvoir recevoir à tour de rôle leur enfant
On a beaucoup plus d'hommes dans nos services et ces hommes sont aussi des pères
Puis ces pères ne pouvaient pas amener leurs enfants ici
Ils perdaient un peu le contact avec leurs enfants
Permettre aux pères de recevoir leur enfant dans un espace adapté pourra aussi compter dans le rétablissement de ces personnes
Des places en hébergement de nuit d’urgence ont aussi été ajoutées
l’agrandissement compte une grande salle où pourra se tenir la soupe populaire quotidienne
L’établissement reçoit une vingtaine de bénéficiaires par jour
et la petite cuisine qui les accueillait jusqu’à maintenant ne permettait pas de faire un travail d’accompagnement efficace
Les gens ne peuvent pas rester manger avec nous
ils prennent leur lunch et puis s’en vont
on ne peut pas prendre le temps avec ces gens-là de faire un accueil adéquat
les équipes de l'organisme pourront prendre le temps de créer des liens avec les bénéficiaires de la soupe populaire
Le bâtiment flambant neuf aura coûté 2,2 millions de dollars
soit 1,1 million de plus qu’attendu au départ
mais les partenaires du projet ont répondu présents
la Maison du Compagnon a inauguré ses nouveaux locaux
L'établissement héberge déjà une dizaine de personnes
dans des appartements transitoires supervisés et un dortoir
dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"Selon le document présenté jeudi
l'impôt imposé aux propriétaires d’une maison moyenne de 184 248 $ augmentera de 94,88 $ par rapport à 2024
ce qui équivaut à une hausse d’environ 3,5 %
Les taxes de services sur l’eau et la collecte de déchets ainsi que l’écotaxe resteront les mêmes qu’en 2024
L'administration municipale prévoit une réduction des dépenses municipales qui ne devrait pas toucher les services aux citoyens.
En 2025, la Ville de La Sarre prévoit un budget de 1 448 300 $ pour faire l'acquisition d’un camion d'incendie. Cet achat fait partie des projets d'immobilisations de 2025, tout comme l’installation de compteurs d’eau dans les commerces et industries ainsi que l’aménagement du parc Rotary.
Le programme triennal d'immobilisation 2025-2026-2027 de La Sarre prévoit des dépenses de 8 774 010 $ sur trois ans, dont 2 767 550 $ en 2025. La Ville prévoit financer environ 45 % de ces dépenses par un emprunt à long terme.
Ouvrir en mode plein écranDes réductions des dépenses sont à prévoir à La Sarre sans toucher aux services à la population. (Photo d'archives)
Annabel OuelletPublié le 20 décembre 2024 à 14 h 04 HAEÉcouter l’article | 2 minutesLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale
une technologie basée sur l’intelligence artificielle.Les propriétaires à La Sarre verront leur impôt foncier augmenter en moyenne de 3,5 % en 2025
selon le budget 2025 adopté par le conseil municipal
l'impôt imposé aux propriétaires d’une maison moyenne de 184 248 $ augmentera de 94,88 $ par rapport à 2024
ce qui équivaut à une hausse d’environ 3,5 %
Les taxes de services sur l’eau et la collecte de déchets ainsi que l’écotaxe resteront les mêmes qu’en 2024
L'administration municipale prévoit une réduction des dépenses municipales qui ne devrait pas toucher les services aux citoyens.
En 2025, la Ville de La Sarre prévoit un budget de 1 448 300 $ pour faire l'acquisition d’un camion d'incendie. Cet achat fait partie des projets d'immobilisations de 2025, tout comme l’installation de compteurs d’eau dans les commerces et industries ainsi que l’aménagement du parc Rotary.
Le programme triennal d'immobilisation 2025-2026-2027 de La Sarre prévoit des dépenses de 8 774 010 $ sur trois ans, dont 2 767 550 $ en 2025. La Ville prévoit financer environ 45 % de ces dépenses par un emprunt à long terme.
Selon le document présenté jeudi
L'administration municipale prévoit une réduction des dépenses municipales qui ne devrait pas toucher les services aux citoyens
la Ville de La Sarre prévoit un budget de 1 448 300 $ pour faire l'acquisition d’un camion d'incendie
Cet achat fait partie des projets d'immobilisations de 2025
tout comme l’installation de compteurs d’eau dans les commerces et industries ainsi que l’aménagement du parc Rotary
Le programme triennal d'immobilisation 2025-2026-2027 de La Sarre prévoit des dépenses de 8 774 010 $ sur trois ans
dont 2 767 550 $ en 2025
La Ville prévoit financer environ 45 % de ces dépenses par un emprunt à long terme
Les propriétaires à La Sarre verront leur impôt foncier augmenter en moyenne de 3,5 % en 2025
selon le budget 2025 adopté par le conseil municipal
Le maire de La Sarre estime que la situation nécessite des explications de la part du président de l’organisation, Alain Grégoire, qui est aussi le maire de Dupuy. Il estime qu’un audit de gestion est nécessaire.
Réalisée par un auditeur indépendant et à vos frais, celle-ci devra avoir comme mandat d’analyser l’efficacité de l’équipe et des systèmes de gestion de votre organisation, la situation actuelle ne pouvant pas perdurer davantage, explique le maire de La Sarre, Yves Dubé, dans sa lettre.
Le maire de La Sarre mentionne que la Ville a déjà déploré par le passé le manque de collaboration de la part de la directrice générale, Mylène Joseph. Il précise que sa municipalité a reçu de nombreuses plaintes à l’égard de l’Office d’habitation et de sa direction générale depuis la diffusion du reportage de Radio-Canada.
Considérant les besoins importants pour les familles à faible revenu en Abitibi-Ouest, il nous apparaît inconcevable que l’Office d’habitation du Lac Abitibi n’ait pas su apporter les ajustements nécessaires afin de combler rapidement les logements disponibles, écrit Yves Dubé, mentionnant avoir été surpris par l’ampleur de la situation décrite dans le reportage de Radio-Canada.
La Ville de La Sarre réclame aussi la tenue d’une réunion d’urgence entre les élus des municipalités ayant des HLM gérés par l’Office d’habitation du Lac Abitibi, soit La Sarre, Palmarolle, Dupuy, La Reine et Normétal.
La présente situation exige des actions rapides de votre part, et c’est ce que nous vous proposons, précise la lettre.
Le président de l’Office d’habitation du Lac Abitibi, Alain Grégoire, n'a pas répondu à notre appel pour une entrevue.
La Société d’habitation du Québec, qui gère les offices d’habitation, nous a mentionné par courriel avoir pris connaissance de la lettre envoyée par la Ville de La Sarre. Dans une courte réponse, la SHQ dit vouloir dispenser l’accompagnement nécessaire pour mettre en place les mesures correctives qui seront à la satisfaction de chacune des parties.
Jean-Marc Belzile couvre l'actualité comme journaliste depuis plus de 15 ans en Abitibi-Témiscamingue. Il a joint l'équipe de Radio-Canada en 2018 comme journaliste-vidéaste à Rouyn-Noranda.
Ouvrir en mode plein écranAu HLM de Normétal, il y avait au moins 2 logements inoccupés au 11 septembre dernier. (Photo d'archives)
Jean-Marc BelzilePublié le 7 octobre 2024 à 17 h 26 HAEÉcouter l’article | 4 minutesLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale
une technologie basée sur l’intelligence artificielle.La Ville de La Sarre interpelle dans une lettre le président de l’Office d’habitation du Lac Abitibi
afin de réclamer un audit de gestion concernant son organisme
Le maire Yves Dubé s'interroge sur les aptitudes et les compétences de l’actuelle directrice générale à gérer l’Office d’habitation
Le maire de La Sarre estime que la situation nécessite des explications de la part du président de l’organisation, Alain Grégoire, qui est aussi le maire de Dupuy. Il estime qu’un audit de gestion est nécessaire.
Réalisée par un auditeur indépendant et à vos frais, celle-ci devra avoir comme mandat d’analyser l’efficacité de l’équipe et des systèmes de gestion de votre organisation, la situation actuelle ne pouvant pas perdurer davantage, explique le maire de La Sarre, Yves Dubé, dans sa lettre.
Le maire de La Sarre mentionne que la Ville a déjà déploré par le passé le manque de collaboration de la part de la directrice générale, Mylène Joseph. Il précise que sa municipalité a reçu de nombreuses plaintes à l’égard de l’Office d’habitation et de sa direction générale depuis la diffusion du reportage de Radio-Canada.
Ouvrir en mode plein écranLe maire de La Sarre, Yves Dubé, réclame des explications de l'OMH du Lac Abitibi. (Photo d'archives)
Photo : Radio-Canada / Jean-Michel Cotnoir
Considérant les besoins importants pour les familles à faible revenu en Abitibi-Ouest, il nous apparaît inconcevable que l’Office d’habitation du Lac Abitibi n’ait pas su apporter les ajustements nécessaires afin de combler rapidement les logements disponibles, écrit Yves Dubé, mentionnant avoir été surpris par l’ampleur de la situation décrite dans le reportage de Radio-Canada.
La Ville de La Sarre réclame aussi la tenue d’une réunion d’urgence entre les élus des municipalités ayant des HLM gérés par l’Office d’habitation du Lac Abitibi, soit La Sarre, Palmarolle, Dupuy, La Reine et Normétal.
La présente situation exige des actions rapides de votre part, et c’est ce que nous vous proposons, précise la lettre.
Le président de l’Office d’habitation du Lac Abitibi, Alain Grégoire, n'a pas répondu à notre appel pour une entrevue.
La Société d’habitation du Québec, qui gère les offices d’habitation, nous a mentionné par courriel avoir pris connaissance de la lettre envoyée par la Ville de La Sarre. Dans une courte réponse, la SHQ dit vouloir dispenser l’accompagnement nécessaire pour mettre en place les mesures correctives qui seront à la satisfaction de chacune des parties.
Radio-Canada révélait le 11 septembre dernier qu’en pleine crise du logement, plusieurs habitations à loyer modique, gérées par l’Office d’habitation du Lac Abitibi sont inoccupées en Abitibi-Ouest
Le maire de La Sarre estime que la situation nécessite des explications de la part du président de l’organisation
Il estime qu’un audit de gestion est nécessaire
Réalisée par un auditeur indépendant et à vos frais
celle-ci devra avoir comme mandat d’analyser l’efficacité de l’équipe et des systèmes de gestion de votre organisation
la situation actuelle ne pouvant pas perdurer davantage
Le maire de La Sarre mentionne que la Ville a déjà déploré par le passé le manque de collaboration de la part de la directrice générale
Il précise que sa municipalité a reçu de nombreuses plaintes à l’égard de l’Office d’habitation et de sa direction générale depuis la diffusion du reportage de Radio-Canada
Considérant les besoins importants pour les familles à faible revenu en Abitibi-Ouest
il nous apparaît inconcevable que l’Office d’habitation du Lac Abitibi n’ait pas su apporter les ajustements nécessaires afin de combler rapidement les logements disponibles
mentionnant avoir été surpris par l’ampleur de la situation décrite dans le reportage de Radio-Canada
Pour le bien de nos citoyens les plus vulnérables
nous sommes d’avis que des correctifs auraient dû être apportés dès le moment où des logements sont demeurés inoccupés
la Ville de La Sarre s'interroge sur les aptitudes et les compétences de l’actuelle direction générale à gérer l’Office d’habitation du Lac Abitibi avec le discernement qui s’impose
pour le bien des personnes moins bien nanties de l’Abitibi-Ouest
ajoute Yves Dubé dans sa lettre en précisant qu’il s’interroge sur la volonté de l’organisme à collaborer avec les instances municipales de l’Abitibi-Ouest
La Ville de La Sarre réclame aussi la tenue d’une réunion d’urgence entre les élus des municipalités ayant des HLM gérés par l’Office d’habitation du Lac Abitibi
La présente situation exige des actions rapides de votre part
Le président de l’Office d’habitation du Lac Abitibi
n'a pas répondu à notre appel pour une entrevue
La Société d’habitation du Québec
qui gère les offices d’habitation
nous a mentionné par courriel avoir pris connaissance de la lettre envoyée par la Ville de La Sarre
la SHQ dit vouloir dispenser l’accompagnement nécessaire pour mettre en place les mesures correctives qui seront à la satisfaction de chacune des parties
Jean-Marc Belzile couvre l'actualité comme journaliste depuis plus de 15 ans en Abitibi-Témiscamingue
Il a joint l'équipe de Radio-Canada en 2018 comme journaliste-vidéaste à Rouyn-Noranda
Radio-Canada révélait le 11 septembre dernier qu’en pleine crise du logement, plusieurs habitations à loyer modique, gérées par l’Office d’habitation du Lac Abitibi sont inoccupées en Abitibi-Ouest
La Ville de La Sarre interpelle dans une lettre le président de l’Office d’habitation du Lac Abitibi
Le maire Yves Dubé s'interroge sur les aptitudes et les compétences de l’actuelle directrice générale à gérer l’Office d’habitation
Une présence qui a surpris des résidents notamment près de la rue Marcotte dans le secteur du domaine Trudel
Le biologiste au ministère de l’Environnement
rappelle que l’animal craint habituellement les humains
le coyote est à la recherche de nourriture et s’approche un peu plus des résidences
un coyote urbain avait été aperçu à plusieurs reprises l’hiver
Le biologiste Jean Lapointe rappelle que les coyotes resteront à proximité des résidences s’ils ont accès à de la nourriture
Jean Lapointe indique qu’un bol de nourriture était à sa disposition alors qu’il est conseillé de ne rien laisser à l’extérieur pour éviter ces visites
il va se tanner et aller ailleurs pour trouver sa nourriture
Les coyotes constituent un danger notamment pour les chats qui se promènent librement.
Les pattes, le nez et les oreilles des loups sont plus larges que ceux des coyotes.
Le biologiste affirme que le coyote est parfois confondu avec le loup. L’identification de l’animal est plus difficile en raison des hybrides de grands canidés. Aujourd’hui, c’est pire parce que le coyote qui était absent jadis au Québec est devenu abondant. Quand les deux espèces se rencontrent, il peut y avoir hybridation. Il peut aussi y avoir hybridation avec les chiens, décrit-il.
Les coyotes constituent un danger notamment pour les chats qui se promènent librement
Le biologiste affirme que le coyote est parfois confondu avec le loup
L’identification de l’animal est plus difficile en raison des hybrides de grands canidés
c’est pire parce que le coyote qui était absent jadis au Québec est devenu abondant
Quand les deux espèces se rencontrent
Il peut aussi y avoir hybridation avec les chiens
Des coyotes ont été observés ces derniers jours dans des quartiers résidentiels de La Sarre
dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"En 2020
l’entreprise Gabriel Aubé Inc a commencé à exploiter une carrière au nord de la municipalité
sans les deux autorisations préalables de la part de la Commission de la protection du territoire agricole (CPTAQ) et du ministère de l'Environnement
La Ville a refusé les demandes d’entrevue de Radio-Canada
préférant répondre aux questions par courriel
Dans son courriel, la Ville assure n’avoir pris connaissance de l’existence de la carrière exploitée illégalement par l’entreprise Gabriel Aubé Inc qu’en avril 2021, par le biais d’une alerte citoyenne.
Elle aurait alors directement signalé la situation à la CPTAQ ainsi qu’au MELCCFP, dès avril 2021. Selon la Ville, cette intervention aurait permis à la Commission d’envoyer un avis d’infraction à Gabriel Aubé Inc en 2022, demandant l’arrêt de l’exploitation de la carrière.
La Ville de La Sarre explique dans son courriel que : Les municipalités n’ont pas le pouvoir d’arrêter les opérations d’une carrière clandestine. Il s’agit d’une compétence provinciale.
L’entreprise aurait alors engagé une firme de consultants, Ressources Environnement Inc., pour obtenir ses autorisations légales. La demande d’autorisation auprès de la CPTAQ a d’abord été déposée à la Ville.
Dans le cadre de cette démarche, la Ville doit vérifier la conformité à la réglementation municipale en matière de zonage. De plus, la Ville a l’obligation de vérifier qu’aucun autre endroit, hors zonage agricole, n’est propice à l’exploitation d’une carrière sur son territoire. Ces deux éléments étaient conformes.
Après un premier refus en 2023, la CPTAQ autorise finalement l’exploitation de la carrière en mars 2024. La Ville a alors considéré la carrière comme conforme, sans s’assurer qu’elle ait obtenu l’autorisation du ministère de l’Environnement.
La Municipalité explique avoir présumé que le signalement au ministère suivait également son cours, rappelant que le ministère n’est pas tenu de rendre des comptes aux municipalités.
Considérant la gravière conforme, la Ville a passé une commande à l’entreprise le 8 octobre 2024.
Le 10 octobre, l’entreprise a demandé un numéro civique pour la gravière. La Ville de La Sarre a alors demandé une copie du certificat d’autorisation du MELCCFP. N’obtenant pas de réponse de l'entreprise, la Ville a demandé cette copie du certificat d’autorisation directement au ministère qui a répondu ne pas avoir ce document.
En conséquence, la Ville de La Sarre indique qu’elle n’a pas émis de numéro civique pour la gravière de l’entreprise et n’a pas payé la commande effectuée le 8 octobre. La Ville a de nouveau exigé que l’entreprise régularise sa situation auprès du ministère de l’Environnement.
Plusieurs riverains avaient aussi signifié des désagréments que provoque l’exploitation. Ceux-ci évoquent des nuisances sonores et vibrations importantes en dehors des heures autorisées par le règlement de la ville, notamment au milieu de la nuit.
La Ville indique avoir mis en place un monitorage pour valider l’information reçue des citoyens. Malheureusement, la Ville n’a pas été en mesure de constater elle-même les nuisances sonores.
Si elle assure ne pas mettre en doute la parole des citoyens, la Ville veut détenir des preuves de nuisances pour monter un dossier solide permettant d’émettre des constats d’infractions.
Interrogée sur l'intérêt pour la Ville d’avoir cette carrière à proximité, celle-ci répond : Il y a de nombreux avantages à avoir une carrière légale à proximité. Cependant, la certification de cette carrière ne doit pas se faire aux dépens du bien-être des citoyens et de l’environnement.
Ouvrir en mode plein écranL'exploitant de la gravière n'a pas obtenu au préalable une autorisation de la Commission de la protection du territoire agricole.
Mathilde BlayoPublié le 8 novembre 2024 à 11 h 52 HAEÉcouter l’article | 5 minutesLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale
une technologie basée sur l’intelligence artificielle.La Ville de La Sarre affirme avoir alerté les autorités provinciales dès 2021 qu'une gravière opérait illégalement sur son territoire
La Municipalité a tout de même fait affaire avec l'entreprise Gabriel Aubé Inc quelques années plus tard
mais refuse maintenant de payer ses factures tant qu'elle ne se sera pas conformée
l’entreprise Gabriel Aubé Inc a commencé à exploiter une carrière au nord de la municipalité
sans les deux autorisations préalables de la part de la Commission de la protection du territoire agricole (CPTAQ) et du ministère de l'Environnement
La Ville a refusé les demandes d’entrevue de Radio-Canada
préférant répondre aux questions par courriel
Elle aurait alors directement signalé la situation à la CPTAQ ainsi qu’au MELCCFP, dès avril 2021. Selon la Ville, cette intervention aurait permis à la Commission d’envoyer un avis d’infraction à Gabriel Aubé Inc en 2022, demandant l’arrêt de l’exploitation de la carrière.
Ouvrir en mode plein écranLes demandes d'entrevues de Radio-Canada ont été refusée. (Photo d'archives)
La Ville de La Sarre explique dans son courriel que : Les municipalités n’ont pas le pouvoir d’arrêter les opérations d’une carrière clandestine. Il s’agit d’une compétence provinciale.
L’entreprise aurait alors engagé une firme de consultants, Ressources Environnement Inc., pour obtenir ses autorisations légales. La demande d’autorisation auprès de la CPTAQ a d’abord été déposée à la Ville.
Dans le cadre de cette démarche, la Ville doit vérifier la conformité à la réglementation municipale en matière de zonage. De plus, la Ville a l’obligation de vérifier qu’aucun autre endroit, hors zonage agricole, n’est propice à l’exploitation d’une carrière sur son territoire. Ces deux éléments étaient conformes.
Après un premier refus en 2023, la CPTAQ autorise finalement l’exploitation de la carrière en mars 2024. La Ville a alors considéré la carrière comme conforme, sans s’assurer qu’elle ait obtenu l’autorisation du ministère de l’Environnement.
La Municipalité explique avoir présumé que le signalement au ministère suivait également son cours, rappelant que le ministère n’est pas tenu de rendre des comptes aux municipalités.
Ouvrir en mode plein écranLa gravière est exploitée par l’entreprise Gabriel Aubé Inc.
Considérant la gravière conforme, la Ville a passé une commande à l’entreprise le 8 octobre 2024.
Le 10 octobre, l’entreprise a demandé un numéro civique pour la gravière. La Ville de La Sarre a alors demandé une copie du certificat d’autorisation du MELCCFP. N’obtenant pas de réponse de l'entreprise, la Ville a demandé cette copie du certificat d’autorisation directement au ministère qui a répondu ne pas avoir ce document.
En conséquence, la Ville de La Sarre indique qu’elle n’a pas émis de numéro civique pour la gravière de l’entreprise et n’a pas payé la commande effectuée le 8 octobre. La Ville a de nouveau exigé que l’entreprise régularise sa situation auprès du ministère de l’Environnement.
Ouvrir en mode plein écranL'exploitation d'une gravière au nord de La Sarre a été dénoncée par des citoyens.
Plusieurs riverains avaient aussi signifié des désagréments que provoque l’exploitation. Ceux-ci évoquent des nuisances sonores et vibrations importantes en dehors des heures autorisées par le règlement de la ville, notamment au milieu de la nuit.
La Ville indique avoir mis en place un monitorage pour valider l’information reçue des citoyens. Malheureusement, la Ville n’a pas été en mesure de constater elle-même les nuisances sonores.
Si elle assure ne pas mettre en doute la parole des citoyens, la Ville veut détenir des preuves de nuisances pour monter un dossier solide permettant d’émettre des constats d’infractions.
Interrogée sur l'intérêt pour la Ville d’avoir cette carrière à proximité, celle-ci répond : Il y a de nombreux avantages à avoir une carrière légale à proximité. Cependant, la certification de cette carrière ne doit pas se faire aux dépens du bien-être des citoyens et de l’environnement.
Dans son courriel, la Ville assure n’avoir pris connaissance de l’existence de la carrière exploitée illégalement par l’entreprise Gabriel Aubé Inc qu’en avril 2021
Elle aurait alors directement signalé la situation à la CPTAQ ainsi qu’au MELCCFP
cette intervention aurait permis à la Commission d’envoyer un avis d’infraction à Gabriel Aubé Inc en 2022
demandant l’arrêt de l’exploitation de la carrière
La Ville de La Sarre explique dans son courriel que : Les municipalités n’ont pas le pouvoir d’arrêter les opérations d’une carrière clandestine
Il s’agit d’une compétence provinciale
L’entreprise aurait alors engagé une firme de consultants
pour obtenir ses autorisations légales
La demande d’autorisation auprès de la CPTAQ a d’abord été déposée à la Ville
la Ville doit vérifier la conformité à la réglementation municipale en matière de zonage
la Ville a l’obligation de vérifier qu’aucun autre endroit
n’est propice à l’exploitation d’une carrière sur son territoire
Ces deux éléments étaient conformes
la CPTAQ autorise finalement l’exploitation de la carrière en mars 2024
La Ville a alors considéré la carrière comme conforme
sans s’assurer qu’elle ait obtenu l’autorisation du ministère de l’Environnement
La Municipalité explique avoir présumé que le signalement au ministère suivait également son cours
rappelant que le ministère n’est pas tenu de rendre des comptes aux municipalités
Considérant la gravière conforme
la Ville a passé une commande à l’entreprise le 8 octobre 2024
l’entreprise a demandé un numéro civique pour la gravière
La Ville de La Sarre a alors demandé une copie du certificat d’autorisation du MELCCFP
N’obtenant pas de réponse de l'entreprise
la Ville a demandé cette copie du certificat d’autorisation directement au ministère qui a répondu ne pas avoir ce document
la Ville de La Sarre indique qu’elle n’a pas émis de numéro civique pour la gravière de l’entreprise et n’a pas payé la commande effectuée le 8 octobre
La Ville a de nouveau exigé que l’entreprise régularise sa situation auprès du ministère de l’Environnement
Plusieurs riverains avaient aussi signifié des désagréments que provoque l’exploitation
Ceux-ci évoquent des nuisances sonores et vibrations importantes en dehors des heures autorisées par le règlement de la ville
La Ville indique avoir mis en place un monitorage pour valider l’information reçue des citoyens
la Ville n’a pas été en mesure de constater elle-même les nuisances sonores
Si elle assure ne pas mettre en doute la parole des citoyens
la Ville veut détenir des preuves de nuisances pour monter un dossier solide permettant d’émettre des constats d’infractions
Interrogée sur l'intérêt pour la Ville d’avoir cette carrière à proximité
celle-ci répond : Il y a de nombreux avantages à avoir une carrière légale à proximité
la certification de cette carrière ne doit pas se faire aux dépens du bien-être des citoyens et de l’environnement
Dans son courriel, la Ville assure n’avoir pris connaissance de l’existence de la carrière exploitée illégalement par l’entreprise Gabriel Aubé Inc qu’en avril 2021
La Ville de La Sarre affirme avoir alerté les autorités provinciales dès 2021 qu'une gravière opérait illégalement sur son territoire
La Municipalité a tout de même fait affaire avec l'entreprise Gabriel Aubé Inc quelques années plus tard
mais refuse maintenant de payer ses factures tant qu'elle ne se sera pas conformée
dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"Le responsable des communications à la Ville de La Sarre
souligne que la Municipalité a reçu plusieurs signalements de citoyens préoccupés par la démarche de l'entreprise
Ce qui est encore plus fâcheux et qui démontre la mauvaise foi des représentants
c’est qu’eux disent aux citoyens qui les questionnent qu’ils ont toutes les réglementations
qu’ils ont obtenu les permis de la Ville et ils l’ont même affirmé à la Sûreté du Québec
C’est vraiment là que le bât blesse
C’est de la fausse représentation
Ils n’ont aucun permis et la Ville n’appuie pas ce genre de pratique-là
malgré un avertissement explicite lui demandant de cesser ses activités
l'entreprise poursuit son porte-à-porte sur le territoire de La Sarre
Il demande aux citoyens de demeurer vigilants et leur recommande de ne pas accepter de recevoir les représentants de La famille Québec Alimentation à leur domicile
Il évoque au passage le reportage de l'émission La facture ayant mis en lumière les tactiques de cette entreprise qui a été l'objet de nombreuses plaintes à l'Office de la protection du consommateur.
De façon plus générale, M. D. Nickner estime qu’il importe de sensibiliser la population aux différentes formes de fraude qui sont en hausse ces derniers temps en Abitibi-Témiscamingue.
On constate qu’il y a de plus en plus de fraudes chez nos citoyens, mais aussi partout en région, de différents types. Récemment on a eu de faux billets de spectacle. La Ville tient vraiment à rappeler aux citoyens d’être vigilants et si c’est des offres qui sont trop alléchantes, généralement, ce n’est pas bon signe. Il y a quelqu’un qui essaie d’avoir soit vos informations, soit votre argent, conclut-il.
Avant son arrivée à Radio-Canada en 2020, Jean-Michel Cotnoir a amorcé sa carrière en journalisme au sein du Réseau des Sports, à Montréal. De retour en Abitibi-Témiscamingue, il n'hésite pas à se déplacer aux quatre coins de la région afin de rapporter des histoires inédites.
Ouvrir en mode plein écranLa Ville de La Sarre met en garde les citoyens contre une entreprise qui fait du démarchage sans permis. (Photo d'archive)
Jean-Michel CotnoirPublié le 12 février à 19 h 05 HAEÉcouter l’article | 3 minutesLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale
une technologie basée sur l’intelligence artificielle.La Ville de La Sarre met en garde ses citoyens quant aux activités de l'entreprise La famille Québec Alimentation qui effectue présentement du porte-à-porte sur son territoire pour y vendre des boîtes de viande livrées à domicile
Le responsable des communications à la Ville de La Sarre
souligne que la Municipalité a reçu plusieurs signalements de citoyens préoccupés par la démarche de l'entreprise
Ce qui est encore plus fâcheux et qui démontre la mauvaise foi des représentants
c’est qu’eux disent aux citoyens qui les questionnent qu’ils ont toutes les réglementations
qu’ils ont obtenu les permis de la Ville et ils l’ont même affirmé à la Sûreté du Québec
Ils n’ont aucun permis et la Ville n’appuie pas ce genre de pratique-là
malgré un avertissement explicite lui demandant de cesser ses activités
l'entreprise poursuit son porte-à-porte sur le territoire de La Sarre
Il demande aux citoyens de demeurer vigilants et leur recommande de ne pas accepter de recevoir les représentants de La famille Québec Alimentation à leur domicile
De façon plus générale, M. D. Nickner estime qu’il importe de sensibiliser la population aux différentes formes de fraude qui sont en hausse ces derniers temps en Abitibi-Témiscamingue.
On constate qu’il y a de plus en plus de fraudes chez nos citoyens, mais aussi partout en région, de différents types. Récemment on a eu de faux billets de spectacle. La Ville tient vraiment à rappeler aux citoyens d’être vigilants et si c’est des offres qui sont trop alléchantes, généralement, ce n’est pas bon signe. Il y a quelqu’un qui essaie d’avoir soit vos informations, soit votre argent, conclut-il.
Le responsable des communications à la Ville de La Sarre
Il évoque au passage le reportage de l'émission La facture ayant mis en lumière les tactiques de cette entreprise qui a été l'objet de nombreuses plaintes à l'Office de la protection du consommateur
M. D. Nickner estime qu’il importe de sensibiliser la population aux différentes formes de fraude qui sont en hausse ces derniers temps en Abitibi-Témiscamingue
On constate qu’il y a de plus en plus de fraudes chez nos citoyens
Récemment on a eu de faux billets de spectacle
La Ville tient vraiment à rappeler aux citoyens d’être vigilants et si c’est des offres qui sont trop alléchantes
Il y a quelqu’un qui essaie d’avoir soit vos informations
Avant son arrivée à Radio-Canada en 2020
Jean-Michel Cotnoir a amorcé sa carrière en journalisme au sein du Réseau des Sports
il n'hésite pas à se déplacer aux quatre coins de la région afin de rapporter des histoires inédites
Il évoque au passage le reportage de l'émission La facture ayant mis en lumière les tactiques de cette entreprise qui a été l'objet de nombreuses plaintes à l'Office de la protection du consommateur
La Ville de La Sarre met en garde ses citoyens quant aux activités de l'entreprise La famille Québec Alimentation qui effectue présentement du porte-à-porte sur son territoire pour y vendre des boîtes de viande livrées à domicile
La Foire d’automne, c’est une occasion qu’on donne aux producteurs de continuer à vider les jardins en fin de saison, souligne le chargé de projets en agroalimentaire à la SADC d’Abitibi-Ouest, Mathieu Guillemette, qui précise que la Foire d’automne a toujours lieu après le dernier marché public de Palmarolle.
Mathieu Guillemette affirme qu’une grande variété de produits sera offerte aux visiteurs.
Ce n’est pas forcément juste des [producteurs] maraîchers. Il va y avoir des maraîchers pour des légumes, il y a nos fromageries qui vont être présentes, il va y avoir du miel, du chocolat, du vin de miel, du [sic] mistelle de pommes. Il y a vraiment une belle variété de maraîchage et de transformation locale, dit-il.
Mathieu Guillemette souligne l'importance de soutenir les producteurs locaux, qui ont vu le nombre d'abonnements aux divers paniers de produits diminuer cette année.
Une bonne saison malgré tout, mais ils ont mis beaucoup d’efforts pour la mise en marché, sachant que toute la formule des paniers, à laquelle beaucoup adhèrent, il y a eu un petit peu moins de volume cette année, alors samedi, c’est une belle occasion de les soutenir et de soutenir notre économie locale, témoigne-t-il.
Ouvrir en mode plein écranLa Foire d'automne est une occasion pour les producteurs de continuer à vider les potagers. (Photo d'archives)
Jean-Michel CotnoirPublié le 21 septembre 2024 à 8 h 24 HAEÉcouter l’articleLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale, une technologie basée sur l’intelligence artificielle.La 4e Foire d’automne organisée par la SADC d’Abitibi-Ouest a lieu ce samedi, 21 septembre, sous la marquise de la Cité étudiante Polyno de La Sarre.
Une quinzaine d’entreprises de l’Abitibi-Ouest, de Villebois et de Valcanton seront sur place afin de présenter leurs produits agroalimentaires.
La Foire d’automne, c’est une occasion qu’on donne aux producteurs de continuer à vider les jardins en fin de saison, souligne le chargé de projets en agroalimentaire à la SADC d’Abitibi-Ouest, Mathieu Guillemette, qui précise que la Foire d’automne a toujours lieu après le dernier marché public de Palmarolle.
Ouvrir en mode plein écranMathieu Guillemette est chargé de projets en agroalimentaire à la SADC d’Abitibi-Ouest. (Photo d'archives)
Mathieu Guillemette affirme qu’une grande variété de produits sera offerte aux visiteurs.
Ce n’est pas forcément juste des [producteurs] maraîchers. Il va y avoir des maraîchers pour des légumes, il y a nos fromageries qui vont être présentes, il va y avoir du miel, du chocolat, du vin de miel, du [sic] mistelle de pommes. Il y a vraiment une belle variété de maraîchage et de transformation locale, dit-il.
Mathieu Guillemette souligne l'importance de soutenir les producteurs locaux, qui ont vu le nombre d'abonnements aux divers paniers de produits diminuer cette année.
Une bonne saison malgré tout, mais ils ont mis beaucoup d’efforts pour la mise en marché, sachant que toute la formule des paniers, à laquelle beaucoup adhèrent, il y a eu un petit peu moins de volume cette année, alors samedi, c’est une belle occasion de les soutenir et de soutenir notre économie locale, témoigne-t-il.
Une quinzaine d’entreprises de l’Abitibi-Ouest
de Villebois et de Valcanton seront sur place afin de présenter leurs produits agroalimentaires
c’est une occasion qu’on donne aux producteurs de continuer à vider les jardins en fin de saison
souligne le chargé de projets en agroalimentaire à la SADC d’Abitibi-Ouest
qui précise que la Foire d’automne a toujours lieu après le dernier marché public de Palmarolle
Mathieu Guillemette affirme qu’une grande variété de produits sera offerte aux visiteurs
Ce n’est pas forcément juste des [producteurs] maraîchers
Il va y avoir des maraîchers pour des légumes
il y a nos fromageries qui vont être présentes
Il y a vraiment une belle variété de maraîchage et de transformation locale
Mathieu Guillemette souligne l'importance de soutenir les producteurs locaux
qui ont vu le nombre d'abonnements aux divers paniers de produits diminuer cette année
mais ils ont mis beaucoup d’efforts pour la mise en marché
il y a eu un petit peu moins de volume cette année
c’est une belle occasion de les soutenir et de soutenir notre économie locale
La 4e Foire d’automne organisée par la SADC d’Abitibi-Ouest a lieu ce samedi
sous la marquise de la Cité étudiante Polyno de La Sarre
dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"Cette ancienne sablière qui appartient à l’entreprise Gabriel Aubé inc
est située au nord de la ville de La Sarre
juste au-dessus de la rivière La Sarre
Le ministère de l'Environnement indique qu'il a reçu un signalement de citoyens en mai 2022 au sujet de la présence de pneus dans cette ancienne sablière
Une inspection a été réalisée le 8 juin 2022 sur le site
La présence des pneus a été constatée et un avis de non-conformité a été émis le 28 juin 2022
Cet avis signifiait le manquement de l’entreprise par rapport à l’article 66 de la Loi sur la qualité de l’environnement pour avoir déposé ou rejeté des matières résiduelles ou permis leur dépôt ou leur rejet à un endroit autre qu’un lieu autorisé
L’avis réclamait que l’entreprise prenne les mesures nécessaires pour se conformer à la loi
le ministère de l’Environnement indique qu'il n’a jamais reçu de réponse pour cet avis
pas plus que le plan correcteur demandé
les pneus étaient toujours présents
La présidente du Conseil régional de l'environnement de l'Abitibi-Témiscamingue (CREAT)
rappelle qu’un pneu qui est déposé à l'air libre se dégrade
Ça contient un paquet de contaminants [utilisés] pour la fabrication
La durée de ce dépôt est particulièrement inquiétante
Sur les images satellites disponibles sur Google Earth
on voit que des pneus ont été déposés à l’extrémité sud de la sablière depuis au moins 2016
À chaque actualisation de ces images satellitaires
la quantité de pneus a même augmenté
Plus les pneus sont exposés longtemps
plus ils ont des chances de se dégrader
Ils sèchent et il y a des petites particules qui peuvent partir des pneus
qui fait également mention de la présence potentielle d’une source d’eau potable dans le sous-sol
L’ancienne sablière se trouve sur un lot qui appartient à l’entreprise Gabriel Aubé
mais l’extrémité sud de la sablière dépasse la limite de ce lot et s’étend sur un lot qui appartient au ministère des Ressources naturelles et des Forêts
C’est sur cette partie de l’ancienne sablière
installée sur le lot du ministère
que des pneus ont été déposés depuis au moins 2016
la Ville de La Sarre avait été alertée par un citoyen à propos de la présence de ces pneus et avait alors alerté le ministère des Ressources naturelles et des Forêts
La Municipalité indique que le Ministère n’a jamais donné suite à cette alerte
des employés municipaux se sont rendus sur place et ont constaté que les pneus étaient toujours là
La Ville indique qu’à la suite de cette visite
elle a de nouveau transmis ce dossier au ministère des Ressources naturelles et des Forêts ainsi qu’au ministère de l'Environnement
Si le traitement du dossier prend du temps
c’est à cause d’un manque de moyens
Ça fait des années qu'on le dit dans les conseils régionaux de l’environnement : il y a un sous-financement au ministère de l'Environnement
rappelant que le bureau régional de l’Abitibi-Témiscamingue gère également le Nord-du-Québec
que ce soit au ministère des Ressources naturelles et des Forêts ou au ministère de l'Environnement
Une entreprise fautive va avoir tendance – et là
je ne veux pas les mettre toutes dans le même paquet – à dire que tout va bien
Ce n’est pas le premier avis de non-conformité que reçoit l’entreprise Gabriel Aubé inc
elle exploite illégalement une carrière au nord de La Sarre
Sa situation est régularisée auprès de la Commission de la protection du territoire agricole du Québec (CPTAQ)
mais pas auprès du ministère de l'Environnement
n’a pas obtenu les autorisations nécessaires pour creuser et exploiter cette carrière
Dans ce dossier comme dans celui des pneus
les mesures prises par le ministère ne semblent pas suffisantes
Le ministère de l'Environnement peut imposer des amendes
mais elles ne sont pas très élevées : ce n’est pas très dissuasif
L’entrepreneur va payer les amendes au lieu de nettoyer son site
La présidente du CREAT regrette les choix de l’entreprise Gabriel Aubé inc.
présente depuis très longtemps sur le territoire de l'Abitibi-Ouest
Je voudrais faire appel à sa responsabilité de \"bon citoyen corporatif\" qui devrait utiliser les services qui existent en Abitibi-Ouest pour disposer de ses pneus usés au lieu de les déposer dans cette sablière-là
qui est près de la rivière et qui possède un potentiel intéressant en eau potable
Un centre de valorisation des matières résiduelles existe en effet à La Sarre.
Contactée, l’entreprise n’a pas donné suite à notre demande d’entrevue.
Ouvrir en mode plein écranL'emplacement où sont entreposés les pneus en date du 14 mai 2024 sur le site de la sablière.
Photo : Gracieuseté de la Ville de La Sarre
Mathilde BlayoPublié le 14 novembre 2024 à 14 h 30 HAEÉcouter l’article | 6 minutesLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale
une technologie basée sur l’intelligence artificielle.Des pneus sont déposés illégalement depuis plusieurs années sur le site d’une ancienne sablière de l’entreprise Gabriel Aubé inc.
Le ministère de l'Environnement a émis un avis de non-conformité en juin 2022
Cette ancienne sablière qui appartient à l’entreprise Gabriel Aubé inc
est située au nord de la ville de La Sarre
Le ministère de l'Environnement indique qu'il a reçu un signalement de citoyens en mai 2022 au sujet de la présence de pneus dans cette ancienne sablière
Une inspection a été réalisée le 8 juin 2022 sur le site
La présence des pneus a été constatée et un avis de non-conformité a été émis le 28 juin 2022
Cet avis signifiait le manquement de l’entreprise par rapport à l’article 66 de la Loi sur la qualité de l’environnement pour avoir déposé ou rejeté des matières résiduelles ou permis leur dépôt ou leur rejet à un endroit autre qu’un lieu autorisé
L’avis réclamait que l’entreprise prenne les mesures nécessaires pour se conformer à la loi
le ministère de l’Environnement indique qu'il n’a jamais reçu de réponse pour cet avis
La présidente du Conseil régional de l'environnement de l'Abitibi-Témiscamingue (CREAT)
rappelle qu’un pneu qui est déposé à l'air libre se dégrade
Ça contient un paquet de contaminants [utilisés] pour la fabrication
La durée de ce dépôt est particulièrement inquiétante
on voit que des pneus ont été déposés à l’extrémité sud de la sablière depuis au moins 2016
Ouvrir en mode plein écranSur cette capture d'écran que nous avons réalisée
l'espace d'entreposage des pneus a augmenté en 2023
Photo : Radio-Canada / Capture d'écran Google Earth
Ouvrir en mode plein écranSur cette capture d'écran de Google Earth de 2016
plusieurs pneus sont entreposés à l’extrémité sud de la sablière
Sur cette capture d'écran de Google Earth de 2016
Sur cette capture d'écran que nous avons réalisée
À chaque actualisation de ces images satellitaires
Ils sèchent et il y a des petites particules qui peuvent partir des pneus
qui fait également mention de la présence potentielle d’une source d’eau potable dans le sous-sol
L’ancienne sablière se trouve sur un lot qui appartient à l’entreprise Gabriel Aubé
mais l’extrémité sud de la sablière dépasse la limite de ce lot et s’étend sur un lot qui appartient au ministère des Ressources naturelles et des Forêts
C’est sur cette partie de l’ancienne sablière
que des pneus ont été déposés depuis au moins 2016
la Ville de La Sarre avait été alertée par un citoyen à propos de la présence de ces pneus et avait alors alerté le ministère des Ressources naturelles et des Forêts
Ouvrir en mode plein écranL'hôtel de ville de La Sarre
La Municipalité indique que le Ministère n’a jamais donné suite à cette alerte
des employés municipaux se sont rendus sur place et ont constaté que les pneus étaient toujours là
La Ville indique qu’à la suite de cette visite
elle a de nouveau transmis ce dossier au ministère des Ressources naturelles et des Forêts ainsi qu’au ministère de l'Environnement
Ça fait des années qu'on le dit dans les conseils régionaux de l’environnement : il y a un sous-financement au ministère de l'Environnement
rappelant que le bureau régional de l’Abitibi-Témiscamingue gère également le Nord-du-Québec
que ce soit au ministère des Ressources naturelles et des Forêts ou au ministère de l'Environnement
Une entreprise fautive va avoir tendance – et là
je ne veux pas les mettre toutes dans le même paquet – à dire que tout va bien
Ce n’est pas le premier avis de non-conformité que reçoit l’entreprise Gabriel Aubé inc
elle exploite illégalement une carrière au nord de La Sarre
Sa situation est régularisée auprès de la Commission de la protection du territoire agricole du Québec (CPTAQ)
mais pas auprès du ministère de l'Environnement
n’a pas obtenu les autorisations nécessaires pour creuser et exploiter cette carrière
les mesures prises par le ministère ne semblent pas suffisantes
Le ministère de l'Environnement peut imposer des amendes
mais elles ne sont pas très élevées : ce n’est pas très dissuasif
L’entrepreneur va payer les amendes au lieu de nettoyer son site
La présidente du CREAT regrette les choix de l’entreprise Gabriel Aubé inc.
présente depuis très longtemps sur le territoire de l'Abitibi-Ouest
Je voudrais faire appel à sa responsabilité de "bon citoyen corporatif" qui devrait utiliser les services qui existent en Abitibi-Ouest pour disposer de ses pneus usés au lieu de les déposer dans cette sablière-là
qui est près de la rivière et qui possède un potentiel intéressant en eau potable
Contactée, l’entreprise n’a pas donné suite à notre demande d’entrevue.
Cette ancienne sablière qui appartient à l’entreprise Gabriel Aubé inc
Je voudrais faire appel à sa responsabilité de \\\"bon citoyen corporatif\\\" qui devrait utiliser les services qui existent en Abitibi-Ouest pour disposer de ses pneus usés au lieu de les déposer dans cette sablière-là
Un centre de valorisation des matières résiduelles existe en effet à La Sarre
l’entreprise n’a pas donné suite à notre demande d’entrevue
Un centre de valorisation des matières résiduelles existe en effet à La Sarre
Des pneus sont déposés illégalement depuis plusieurs années sur le site d’une ancienne sablière de l’entreprise Gabriel Aubé inc.
Le ministère de l'Environnement a émis un avis de non-conformité en juin 2022
dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"Les feux se sont déclarés à deux endroits différents
le premier dans le secteur de l'avenue du Chemin-de-Fer Est
On parle d'un incendie de véhicule tout-terrain et de remorque
L'incendie s'est concentré sur les deux équipements
le revêtement extérieur d'un bâtiment a subi des dommages légers pendant la première intervention
explique le sergent Jean-Raphaël Drolet
porte-parole de la Sûreté du Québec (SQ)
Les services d'urgence ont ensuite été avisés d’un autre début d’incendie
cette fois-ci sur un abri en toile de la 7e Avenue
Deux personnes ont été légèrement blessées en tentant d'éteindre les feux
La Sûreté du Québec a ouvert une enquête pour tenter de déterminer les causes de ces incendies
il n’y a pas d'éléments qui nous laissent croire qu'il peut y avoir un lien entre ces événements et ceux survenus dans les dernières semaines ou les derniers mois ici à La Sarre
Ouvrir en mode plein écranLe premier incendie a détruit un véhicule tout-terrain et la remorque sur laquelle il reposait
en plus de causer des dommages au revêtement extérieur d'un bâtimen
Les policiers de la Sûreté du Québec enquêtent sur deux incendies suspects survenus à quelques minutes d'intervalle dans la nuit de lundi à mardi à La Sarre
Les feux se sont déclarés à deux endroits différents
On parle d'un incendie de véhicule tout-terrain et de remorque
L'incendie s'est concentré sur les deux équipements
le revêtement extérieur d'un bâtiment a subi des dommages légers pendant la première intervention
Les services d'urgence ont ensuite été avisés d’un autre début d’incendie
Ouvrir en mode plein écranUn début d'incendie a endommagé un abri en toile de la 7e Avenue
Deux personnes ont été légèrement blessées en tentant d'éteindre les feux
La Sûreté du Québec a ouvert une enquête pour tenter de déterminer les causes de ces incendies
il n’y a pas d'éléments qui nous laissent croire qu'il peut y avoir un lien entre ces événements et ceux survenus dans les dernières semaines ou les derniers mois ici à La Sarre
Les feux se sont déclarés à deux endroits différents
Les policiers de la Sûreté du Québec enquêtent sur deux incendies suspects survenus à quelques minutes d'intervalle dans la nuit de lundi à mardi à La Sarre
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2:12Onde de choc à La Sarre après la destruction par le feu de plusieurs bâtiments historiquesAu Vidéojournal : une partie du centre-ville de La Sarre est parti en fumée et plusieurs locataires se retrouvent à la rue
le pape François a effectué 47 voyages à l'étranger
au moins 12 personnes sont mortes et une centaine d'autres ont été blessées lors des plus imposantes …
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Harvard est dans le viseur de Donald Trump
Il accuse cette prestigieuse université de ne pas …
L'ONU estime que la bande de Gaza traverse la …
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écoles … Québec a plusieurs projets d’infrastructure urgents dans son assiette
comment doit-il naviguer à travers ce champ de mines …
la police met en place un registre pour permettre aux résidents de partager les images de leurs …
4:57Sports express. Sports express. Contenu vidéo d’une durée de 4 minutes 57 secondes. Publié hier à 23 h 08 HAE Sports expressCapsule sports Express 23h00
entre les Roses de Montréal et le Rapide d'Ottawa dans la Super …
L’équipe a réussi à se qualifier pour les séries …
plus jeune équipe qualifiée pour les séries éliminatoires
le libéral Mark Carney est élu premier ministre du Canada
de l'Ontario et de l'Alberta quel enjeu de la campagne électorale est …
l'Alberta produit et exporte la grande majorité du pétrole …
Arrestations de présumés fraudeurs canadiens
Le combat de boxe mortel de Jeanette Zacarias Zapata a été autorisé sur la base d’un rapport médical falsifié
44:03Santé publique. 5 ans. Contenu vidéo d’une durée de 44 minutes 3 secondes. Publié le 13 mars à 21 h 00 HAE 5 ansLa COVID-19 a marqué nos vies
tensions sociales : les impacts sont toujours présents
43:04Industrie pharmaceutique. Chauve qui peut. Contenu vidéo d’une durée de 43 minutes 4 secondes. Publié le 6 mars à 21 h 00 HAE Chauve qui peutUne belle chevelure
Les effets indésirables rares mais dévastateurs du finastéride
43:04Crime sexuel. Fuite parfaite. Contenu vidéo d’une durée de 43 minutes 4 secondes. Publié le 27 février à 21 h 00 HAE Fuite parfaiteEnquête a retrouvé le pasteur de Québec
recherché par les autorités depuis plus de trois ans
la famille d’une victime poursuit OceanGate pour l’implosion du Titan
rendant l'accès aux soins et à la nourriture difficile pour les Canadiens
peut faire rêver si on se fie aux croit les …
qui a vendu des piscines plages pendant sept ans
des propriétaires ont acheté des terrains dans un domaine privé des Laurentides
des résidents d'Ahuntsic ont appris avec stupeur qu'ils ne pourraient plus accéder à leur ruelle …
la Steinway Tower est le gratte-ciel le plus étroit du monde
Une chercheuse hongroise a eu tout le mal du monde à en …
les grenouilles et les salamandres ont beaucoup souffert de la disparition des milieux …
on brûle la peau d'une centaine de joueuses et de joueurs pour savoir si la …
leur consommation pourrait atteindre 12 % de l'électricité d'ici 2028
mais ces produits sont-ils tous nécessaires
qui a enrichi la restauration de chez nous
Doit-on craindre la grippe aviaire pour nos œufs
Cette matière contamine de plus en plus les …
Ottawa subventionne l'utilisation des engrais enrobés de polymère dans le cadre du Fonds …
Environ 11 000 tonnes sont utilisées chaque année dans les …
l'élevage de saumon en mer a le vent dans les voiles
Avec l'accélération des changements climatiques
Isabelle RicherIsabelle Richer démystifie les rouages du système de justice et vulgarise les grands enjeux qui s'y rattachent
Toutes les informations nécessaires pour commencer la journée : l'actualité
24•60Comprendre les événements de la journée avec Anne-Marie Dussault
Magazine d'information et de vulgarisation scientifique proposant des reportages sur divers sujets en science
La semaine verteMagazine d’actualité agroalimentaire et forestière qui aborde les enjeux environnementaux et les innovations en gestion des ressources renouvelables
Le téléjournal avec Céline GalipeauUn regard approfondi sur les sujets de l'heure
et sur les grands enjeux auxquels la société est confrontée
En direct avec Patrice RoyPatrice Roy fait le point sur les grandes nouvelles de la journée et les enjeux qui touchent les citoyens et citoyennes avec nos reporters
nos analystes et les acteurs et actrices du jour en entrevue
Zone infoGérald Fillion et ses commentateurs discutent des sujets chauds du jour tout en suivant l'actualité en développement
La factureMagazine d’information sur les droits des citoyens en matière de consommation et enquêtes sur des problèmes vécus par les consommateurs
Daniel Thibeault et son équipe vont au coeur des débats politiques qui font l'actualité
Zone économieGérald Fillion aborde toutes les nouvelles économiques d'importance
EnquêteMagazine d'investigation qui expose des pratiques douteuses et révèle des faits méconnus ou cachés sur des questions préoccupantes d’intérêt public
Au Vidéojournal : une partie du centre-ville de La Sarre est parti en fumée et plusieurs locataires se retrouvent à la rue
La valeur des projets d’investissement étrangers au Québec est en baisse
notamment en raison de la guerre commerciale entre le Canada et les États-Unis
« C’est plus difficile; l’accès au marché américain
explique le président d’Investissement Québec International
L'hôpital Maisonneuve-Rosemont est loin d'être le seul établissement vétuste dans le réseau de la santé
C'est aussi le cas de l'hôpital Sainte-Croix de Drummondville
La communauté du Centre-du-Québec milite pour la construction d'un nouveau bâtiment depuis plusieurs années
arrivera à Washington dans les prochaines heures pour sa première rencontre avec le président américain Donald Trump
Des négociations sur les tarifs sont-elles possibles et le président arrêtera-t-il de parler de l'annexion du Canada
Maïka Sondarjee et Tasha Kheiriddin en débattent à «Zone info»
Washington impose des tarifs de 100 % sur les films américains faits à l’étranger
c'est le début de l'enquête publique du coroner sur le décès de Normand Meunier en mars 2024
L'homme avait reçu l'aide médicale à mourir après avoir développé une énorme plaie de lit lors d'un séjour à l'Hôpital de Saint-Jérôme
La sélection des jurés a débuté lundi au procès hautement médiatisé à New York de P
figure centrale du hip-hop accusé d'avoir mis son empire au service d'un système violent de trafic sexuel
comme le rapporte notre journaliste Amélie Desmarais
Écoutez dès 18 h le téléjournal animé par Patrice Roy
Le cabinet de sécurité israélien a approuvé cette nuit un plan d'expansion des opérations militaires à Gaza
des 2,4 millions de Palestiniens de ce territoire
Le premier ministre Benyamin Nétanyahou a affirmé pendant la réunion de son cabinet de sécurité qu’il souhaitait « promouvoir le plan Trump visant au départ volontaire des habitants de Gaza »
Assiégée et étouffée par un blocus israélien total depuis le 2 mars
Les espèces exotiques envahissantes sont de plus en plus présentes et diversifiées dans les lacs et les rivières du Québec
des plantes et des mollusques nuisent aux écosystèmes aquatiques et menacent les espèces qui y vivent
réclament l'aide du gouvernement et des citoyens alors que s'amorcent les mises à l'eau
On a fait le ménage dans les nouvelles provenant des États-Unis pour revenir en cinq points sur les 100 premiers jours de la présidence de Donald Trump
les élèves du secondaire se portent moins bien qu’avant sur le plan psychologique
Si les jeunes sont meilleurs pour reconnaître l’anxiété
ont-ils les outils nécessaires pour y faire face
Tour d’horizon en cette Semaine de la santé mentale
La série britannique «Adolescence» a relancé le débat sur la propagation de contenu d’influenceurs masculinistes sur les réseaux sociaux
Avec l’adoption du projet de loi 72 au Québec
vous verrez des changements à l’épicerie et au restaurant
Dès le 7 mai : pourboires calculés avant taxes
rabais de 15 $ en cas d’erreur de prix et meilleure visibilité des prix à l’unité
où la guerre fait rage depuis plus de trois ans contre la Russie
une minute de silence est observée chaque jour à travers le pays
un rituel décrété par le président Volodymyr Zelensky
dans toutes les écoles primaires et secondaires
le cellulaire sera interdit dans les classes
durant les pauses et sur le terrain de l’école
durant les pauses ou sur le terrain de l’école
s'est exprimé le ministre de l'Éducation Bernard Drainville en conférence de presse
Donald Trump a tenu son premier rassemblement politique depuis son élection
On s'est invités dans cette ville du Michigan où il a eu lieu pour demander à ses partisans ce qu'ils pensent de ses 100 premiers jours au pouvoir
On s'est invité dans cette ville du Michigan pour demander à ses partisans ce qu'ils pensent de ses 100 premiers jours au pouvoir
transporte son cœur mécanique dans un petit sac à dos
utilisés pour les services nuagiques et l’intelligence artificielle
consomment des millions de litres d’eau chaque jour pour refroidir les équipements informatiques
pourquoi les résultats ont-ils pris tant de temps à sortir et quel sera l’avenir du chef du Parti conservateur Pierre Poilievre
ces questions sont revenues souvent à la suite des élections fédérales canadiennes
nous avons publié une première version de cette vidéo où nous prenions en compte les derniers résultats
Élections Canada a toutefois annoncé que la circonscription de Terrebonne
avait finalement été remportée par le Bloc québécois
Nous avons ajusté le montage de la vidéo afin d'être à jour à cette date
On s’immerge dans un avant-midi de cueillette de clams avec Lison Éloquin à Pointe-aux-Outardes
Le parti de Mark Carney n'a pas réussi à s’emparer d’une majorité de sièges à l’issue des élections fédérales
Des luttes très serrées dans une trentaine de circonscriptions ont retardé l’annonce finale des résultats
le pape François a effectué 47 voyages à l'étranger
il avait multiplié les rencontres politiques et religieuses et avait visité la Mosquée bleue d'Istanbul
ce qui avait symbolisé son intention de promouvoir le dialogue entre les religions
les Turcs gardent un souvenir mitigé de son passage
qui n'a pas permis de freiner le déclin de la religion catholique
Le reportage de notre correspondante Marie-Ève Bédard
au moins 12 personnes sont mortes et une centaine d'autres ont été blessées lors des plus imposantes frappes russes contre la capitale ukrainienne depuis l'été dernier
Ces attaques surviennent alors que les pourparlers de paix semblent au point mort
Des dizaines de milliers de fidèles affluent à la basilique St-Pierre pour se recueillir devant la dépouille du pape François
Le reportage de notre correspondante à l'étranger
Les obsèques du pape François auront lieu samedi
la place St-Pierre accueille les fidèles alors que les cardinaux
l'heure est aux hommages pour celui qui a dirigé l'église catholique pendant 12 ans
Le mouvement de boycottage des voyages aux États-Unis profite à l'industrie du tourisme au pays
qui s'attend à une saison estivale aussi achalandée que lors des années de pandémie
c'est par choix que de nombreux Canadiens prendront leurs vacances ici
C'est un exercice crucial qui permet de chiffrer les nombreuses promesses des chefs
Le Parti libéral et le NPD ont finalement présenté leur cadre financier respectif à neuf jours du scrutin
On ignore toujours quand les conservateurs présenteront le leur
Si Mark Carney essaie de se distancier de Justin Trudeau
les 130 milliards de dollars en nouvelles dépenses qu'il propose avec un déficit de 48 milliards au bout de quatre ans ont eu l'effet inverse
Des milliers de jeunes Turcs restent mobilisés dans la rue et sur les campus universitaires pour dénoncer la dérive autoritaire du régime Erdogan
ils sont à l'avant-poste de la contestation malgré les arrestations
La question du coût de la vie a été peu soulevée pendant la campagne électorale
monopolisée par la guerre tarifaire avec les États-Unis
une ville durement touchée par les tarifs douaniers sur l'acier
Il accuse cette prestigieuse université de ne pas avoir lutté contre l'antisémitisme lors de manifestations propalestiniennes
Harvard refuse de se plier aux demandes du président
Le conflit entre Israël et le Hamas ne cesse de s’aggraver
L'ONU estime que la bande de Gaza traverse la pire situation humanitaire depuis le début de la guerre
Écoutez le témoignage d’une médecin canadienne qui a travaillé un mois dans un hôpital de l'enclave palestinienne
Donald Trump veut rouvrir la célèbre prison d'Alcatraz
La prison avait fermé ses portes en 1963 à cause de la vétusté de ses bâtiments et du coût des rénovations
Qu'est-ce qui pousse le président américain à demander sa réouverture
J'en parle avec mes invités : le journaliste Piotr Smolar et le spécialiste de l'histoire américaine Francis Langlois
Analyse de l'actualité avec nos panélistes : Louis Blouin
Comment faire face à ces troubles mentaux qui conduisent à commettre des crimes incommensurables
Est-ce possible de prévenir ces tragédies humaines
médecin psychiatre surspécialisée en psychiatrie
Comment en sommes-nous arrivés là et lesquels faut-il prioriser
« On est à la croisée des chemins et il faut être plus rationnels »
dit Fanny Tremblay-Racicot en entrevue aux côtés de Christian Savard à l'émission Zone économie
Analyse de l'actualité avec nos panélistes : Rafaël Jacob
Analyse de l'actualité avec nos panélistes : Stéphanie Chouinard
Un article de La Presse dépeint une hausse de l'homophobie dans les écoles secondaires du Québec
rejoignant les conclusions du groupe de recherche et d’intervention sociale de Montréal
étudiant à la maîtrise en sociologie sur les masculinités et le féminisme
Le premier ministre élu Mark Carney a tenu sa première conférence de presse
Il a aussi confirmé qu'il irait à Washington mardi prochain pour rencontrer Donald Trump
Les commentaires de Chantal Hébert et Paul Journet
Analyse de l'actualité avec nos panélistes : Christine St-Pierre
Mark Carney se prépare à rencontrer Donald Trump
comment doit-il naviguer à travers ce champ de mines diplomatiques
la police met en place un registre pour permettre aux résidents de partager les images de leurs caméras de surveillance
ancien directeur général adjoint Sûreté du Québec
Plus de deux millions de spectateurs étaient rassemblés
pour un concert gratuit de la chanteuse Lady Gaga
La soirée festive aurait pu virer au drame : la police a par la suite révélé qu'un attentat à la bombe avait été déjoué
comme nous le raconte le journaliste indépendant Serge Boire
Kent Hughes et Jeff Gorton rencontraient les médias lundi pour le bilan de la saison
L’état-major du Canadien est satisfait de la direction prise par l'équipe et reste à l'affût pour tenter d'améliorer son groupe
Quoi de mieux qu’une victoire à son premier match à domicile
Les faits saillants du match du 3 mai 2025 entre la Victoire de Montréal et les Sirens de New York
Les faits saillants du match du 3 mai 2025
entre les Roses de Montréal et le Rapide d'Ottawa dans la Super Ligue du Nord
Faire bonne première impression n’est pas toujours facile… mais pour certaines joueuses
L’heure est au bilan pour le Canadien de Montréal
L’équipe a réussi à se qualifier pour les séries éliminatoires
ce que beaucoup pensaient impossible en début de saison
Voici ce que les joueurs avaient à dire sur leur année
Alexandra Labelle et Catherine Dubois ont bien hâte aux séries de la LPHF
Connaissez-vous la fiche des Leafs en séries lorsqu'ils sont en mesure d'éliminer leurs adversaires
On lance le défi au multimillionnaire québécois Olivier Primeau de démêler toutes ses entreprises en deux minutes top chrono
« Le gars du Beachclub » a acheté des permis d'exploitation d'eau de source
et il dit qu'il a un plan pour faire de l’argent « à l’infini » avec ça
L'entrepreneur s’avance aussi sur sa potentielle future carrière politique à l'Assemblée nationale
et il revient sur la fois où il a mangé du pâté chinois avec Paris Hilton
On a fait nos devoirs et on est allés fouiller dans sa vie numérique
Les journalistes Julia Pagé et Pasquale Harrison-Julien reviennent sur les moments forts de la campagne avec l’équipe de Rad et des invités surprises
Qui sera le nouveau premier ministre du Canada
L’équipe de Rad et des invités surprises reviennent sur les moments forts de la campagne électorale
Alessandra a été invitée sur le plateau de RDI pour parler de son reportage sur l'Alberta et le vote conservateur
Plusieurs analystes ont attribué la victoire de Donald Trump
à ses apparitions dans des balados populaires
dont celui de Joe Rogan.Olivier s'est demandé : est-ce qu’on vit le même phénomène ici
on a vu notamment Jagmeet Singh à Tout le monde s’haït
Pierre Poilievre et Jonathan Pedneault au micro d'Olivier Primeau
Yves-François Blanchet au What’s Up Podcast
Pourquoi les politiciens délaissent-ils les médias traditionnels pour les balados
Est-ce que vous vous en sortez avec le coût de la vie
Ornella a posé la question à des jeunes de partout au Canada
Elle en a profité pour leur demander sur quoi ils allaient baser leur vote aux élections fédérales
Vous pouvez croire la comédienne Pascale de Blois quand elle explique pourquoi le président américain Donald Trump veut que le Canada devienne son 51e État
(C'est nous qui avons écrit son texte.)En gros
ce serait parce qu'il reluque nos ressources naturelles
de l'Ontario et de l'Alberta quel enjeu de la campagne électorale est le plus important pour eux
Alessandra et Florence se sont rendues à Fort McMurray en Alberta
Elles voulaient comprendre comment la dépendance économique de la province aux énergies fossiles façonne le quotidien et la vision politique des gens là-bas
Leur reportage est sur notre chaîne YouTube
Avec ses sables bitumineux et ses pipelines
l'Alberta produit et exporte la grande majorité du pétrole canadien
le vote conservateur domine depuis des décennies
Alessandra et Florence se sont rendues à Fort McMurray
pour comprendre comment la dépendance économique de la province aux énergies fossiles façonne sa vision politique
surtout en pleine guerre commerciale avec les États-Unis
Au programme cette semaine : en plus de revenir sur des cas de désinformation observés le jour du scrutin
nous évaluons l’impact de la participation grandissante des chefs de partis à des balados en période électorale
Sans cesse attaquée dans la sphère conservatrice
Wikipédia se trouve désormais dans la mire de l’administration Trump
Notre invitée Ariane Labrèche met en contexte l’ampleur de la menace qui plane sur cette encyclopédie “libre”
Est-ce que l’IA peut nous faire changer d’avis sur des sujets clivants
Un test secret mené sur Reddit suscite la controverse
Au programme cette semaine : de nombreuses publicités électorales frauduleuses circulent sur les plateformes de Meta dans le seul but d’arnaquer des Canadiens avec des fraudes à la cryptomonnaie.Après une période de boycott de deux ans
le PLQ et le PQ se sont mis à racheter des publicités sur Metae et on revient sur la série documentaire Netflix Mauvaise Influence qui expose les côtés sombres des enfants influenceurs
L'équipe des «Décrypteurs» vous convie à son balado filmé
propositions des partis pour lutter contre la fraude et La vérif sur le débat des chefs
Au programme cette semaine: une opération d’ingérence chinoise visant Mark Carney sur WeChat est-elle réellement en cours
La campagne électorale telle que vécue par les modérateurs sur Reddit
La petite histoire derrière un tweet qui a semé le chaos sur les marchés boursiers
Discussion sur la frénésie des fans de Minecraft dans les salles de cinéma
Vous cherchez à comprendre la signification d'une image virale sur le web
Le site Know Your Meme est LA référence pour vous
Au programme cette semaine: un point de bascule vient-il vraiment d’être franchi par l’IA
On se pose la question alors que Chat GPT 4.5 a passé « haut la main » le célèbre test Turing
la production de fausses bandes-annonces de films s’est « industrialisée » avec l’avènement de l’IA générative
deux chaînes d’importance ont été démonétisées
Discussion avec les journalistes français Pierre Plottu et Maxime Macé sur le combat des influenceurs et des influenceuses d'extrême droite pour imposer leurs idées sur le web et au sein de la société
Au programme de cette semaine : anatomie de la prétendue « découverte » d’une ville secrète souterraine sous le plateau de Gizeh en Égypte
une autre preuve du potentiel hautement viral de la pseudo-science
Un site web consacré au chef conservateur Pierre Poilievre démontre (encore) à quel point l’IA pollue le web
on fait le point le « Signalgate » qui a accaparé l’attention médiatique cette semaine et une mise à jour d’OpenAi a déclenché une frénésie « Studio Ghibli »
Face à la qualité des contenus qui se dégradent et à la polarisation
bien des utilisateurs veulent se détacher des réseaux comme Facebook
Au programme de cette semaine: avec notre invité
les brèches de sécurité liées aux applications sportives comme Strava
la production massive et à bas prix de contenus étranges générés par IA (AI Slop) risque de bouleverser profondément le web tel qu’on le connaît
la reconnaissance faciale se bute à un obstacle de taille au Canada et finalement on vous parle d’une tendance étrange sur TikTok
Maïa et le fentanyl : Les ravages provoqués par les mélanges de drogue qui circulent en ce moment
Les PFAS s’immiscent dans nos produits de soins personnels
Relations amoureuses entre des psychologues et leurs anciennes clientes : le grand tabou
rendant l'accès aux soins et à la nourriture difficile pour les Canadiens
On vous révèle comment les entreprises de jeux vidéo collectent et revendent vos informations personnelles
peut faire rêver si on se fie aux croit les publicités et témoignages sur les réseaux sociaux
De nombreux consommateurs qui voulaient se lancer dans le domaine regrettent aujourd'hui d'avoir payé 5000 $ pour une formation qui n'est pas fidèle à ce qu'on leur avait vendu
Une centaine de clients se sont retrouvés ainsi sans garantie avec des piscines parfois défectueuses
l'un des actionnaires de Nova-Lagon relance le concept de piscines plages sous un nouveau nom
Les copropriétaires d'un complexe de condos inondé trois fois en cinq ans
qui a fait l'objet d'un reportage de La facture
restent dans l'impasse malgré les promesses d'aide de la mairesse de Lachine
Ils tentent de protéger leur immeuble à leurs frais et craignent de ne pas y arriver avant la prochaine pluie diluvienne
Même si le promoteur s'était engagé à faire le raccordement électrique des terrains
il refuse maintenant de payer la facture d'Hydro-Québec pour les alimenter en électricité
Des clients qui ont critiqué des commerces sur le web se font poursuivre pour diffamation
où des avis laissés sur Google ont déclenché une cascade de conséquences
Alex Cicoria apprend qu'un prêt automobile de plus de 42 000 dollars a été accordé à son insu
Un huissier sonne à sa porte pour saisir un véhicule qu'il ne possède pas
C'est une situation qui arrive de plus en plus souvent
car ce type de fraude est en progression au pays
des résidents d'Ahuntsic ont appris avec stupeur qu'ils ne pourraient plus accéder à leur ruelle arrière sans avoir à payer
Parce que leur ruelle venait d'être achetée par un entrepreneur
Cette histoire abracadabrante vient de se conclure; les citoyens ont regagné l'usage de « leur » ruelle pour de bon
Une équipe de La facture s'est intéressée au profil psychologique des fraudeurs
Qui sont ces personnes qui font de la fraude leur mode de vie
Votre vétérinaire a l'obligation de vous remettre une ordonnance si vous voulez acheter un médicament vétérinaire dans une pharmacie
Certains vétérinaires sont cependant réticents à le faire et vont jusqu'à discréditer les pharmaciens
ce qui est contraire au code des professions du Québec
Trois pirates informatiques s’unissent pour combattre les fraudeurs en ligne
Cette rare incursion dans le mode de fonctionnement des fraudeurs nous permet de mieux comprendre comment ils procèdent et comment se prémunir contre la fraude
Il s’agit d’une adaptation d’un reportage de l’émission Marketplace de la CBC
Le goût amer de certains médicaments cause des problèmes récurrents dans l'administration de soins ou de traitements
Les chiens doués sont plus rares qu'on le croit
Une chercheuse hongroise a eu tout le mal du monde à en dénicher une quarantaine sur la planète
les grenouilles et les salamandres ont beaucoup souffert de la disparition des milieux humides
On estime que près d'un milliard d'oiseaux meurent chaque année en se frappant contre des fenêtres ou des murs de verre en Amérique du Nord
Tout le monde se souvient de notre émerveillement lors de l'éclipse solaire du 8 avril 2024
un événement rare qui a fait l'objet d'une expérience inusitée au Zoo de Granby
on brûle la peau d'une centaine de joueuses et de joueurs pour savoir si la passion du jeu réduit la douleur
Le tout premier médicament entièrement généré par intelligence artificielle franchit les essais cliniques de phase 2 pour le traitement d'une maladie pulmonaire mortelle
Plusieurs outils diagnostiques utilisés en médecine n'ont pas la même efficacité sur toutes les couleurs de peau ou toutes les textures de cheveux
On déconstruit le mythe du poids santé une fois pour toutes
On visite l'une des rares fromageries universitaires en Amérique du Nord
Le marché de la nutrition sportive est en pleine expansion..
On s'intéresse à l'immigration cambodgienne
L'épicerie a voulu savoir si ces légumes étaient intéressants à cuisiner sur les plans nutritionnel et gustatif
On s'offre un petit voyage en Europe pour découvrir des desserts pascals de Pologne
L'épicerie vous donne quelques idées pour utiliser la noix de coco à son plein potentiel
Cette matière contamine de plus en plus les sols
comme le démontre une étude étonnante sur des parcelles de champs au Royaume-Uni
Les paillis oxodégradables permettent aux agriculteurs dans les régions nordiques de produire du meilleur maïs
Mais quel est l'impact de ces produits sur les sols agricoles
Ottawa subventionne l'utilisation des engrais enrobés de polymère dans le cadre du Fonds d'action climatique à la ferme
Mais l'enrobage de polymère laisse des microplastiques dans les champs
Le plastique est un incontournable en agriculture
Environ 11 000 tonnes sont utilisées chaque année dans les fermes au Québec
Près de 30% de ces plastiques agricoles sont recyclés pour l'instant
Mais des voix s'élèvent contre cette industrie qualifiée de polluante et de néfaste pour la survie des saumons sauvages
Le Saint-Laurent est sous respirateur artificiel
l'oxygène se raréfie et des experts étudient les répercussions de l'hypoxie sur les espèces marines
Des agriculteurs québécois s’attaquent au problème de compactage de leurs sols
Comme la production de sirop d'érable dépend de la météo et du climat
des scientifiques se demandent quel est l'avenir de l'acériculture au Québec face aux changements climatiques
L'eau d'érable concentrée est née d'un nouvel évaporateur qui permet la cuisson sous vide
Le liquide légèrement doré conserve ainsi plus de nutriments que le sirop d'érable et son goût est plus subtil
Troy Bright est un observateur aguerri des épaulards
il note des observations sur le passage et le comportement de ces mammifères marins dans le nord de l'île de Vancouver
Isabelle Richer démystifie les rouages du système de justice et vulgarise les grands enjeux qui s'y rattachent
Toutes les informations nécessaires pour commencer la journée : l'actualité
Comprendre les événements de la journée avec Anne-Marie Dussault
Magazine d’actualité agroalimentaire et forestière qui aborde les enjeux environnementaux et les innovations en gestion des ressources renouvelables
Un regard approfondi sur les sujets de l'heure
Patrice Roy fait le point sur les grandes nouvelles de la journée et les enjeux qui touchent les citoyens et citoyennes avec nos reporters
Gérald Fillion et ses commentateurs discutent des sujets chauds du jour tout en suivant l'actualité en développement
Magazine d’information sur les droits des citoyens en matière de consommation et enquêtes sur des problèmes vécus par les consommateurs
Gérald Fillion aborde toutes les nouvelles économiques d'importance
Magazine d'investigation qui expose des pratiques douteuses et révèle des faits méconnus ou cachés sur des questions préoccupantes d’intérêt public
selon le président d’Autobus DM - Boréal Inc
(Photo d’archives)PHOTO : Radio-Canada / Martin GuindonLa mauvaise posture de l’entreprise québécoise Lion Électrique
qui prévoit se mettre à l'abri de ses créanciers
aura des impacts sur les transporteurs de la région
C’est le cas pour l’entreprise Autobus DM - Boréal Inc
qui compte une dizaine d’autobus électriques sur une flotte d’une cinquantaine de véhicules
Le président Dominic Maheux ressent les contrecoups des difficultés de Lion Électrique depuis quelques semaines
On a de la difficulté depuis plusieurs semaines à s’approvisionner en pièces et aussi au niveau du service
On a vu partir plusieurs personnes avec qui on faisait affaire quotidiennement
Il craint les conséquences en cas de véhicule en panne
Un autobus électrique en moins sur le circuit scolaire pourrait entraîner un bris de service pour le Centre de services scolaire
réussit à trouver des pièces chez d’autres fournisseurs
mais les recherches peuvent s’avérer complexes
si j’ai un problème de moteur électrique ou de batterie
cite en exemple le président de l’entreprise de La Sarre
Dominic Maheux demande au gouvernement d’agir face à la situation des transporteurs
puisqu’ils ont été en quelque sorte obligés selon lui à se tourner vers Lion Électrique pour profiter d’une subvention gouvernementale
C’est quand même des transporteurs qui ont embarqué dans le bateau avec le gouvernement et dans leur projet d’électrification
c’est que le gouvernement mette ses culottes et qu’il nous soutienne dans ça
Parce qu’il n’y a pas juste Lion Électrique actuellement
Article | Lion Électrique prévoit se protéger de ses créanciers pour restructurer ses activitésAppli Radio-Canada OHdioTout un monde à écouter, partout où vous allez.
C'est le cas pour l'entreprise Autobus DM - Boréal Inc
qui compte une dizaine d'autobus électriques sur une flotte d’une cinquantaine de véhicules
On a de la difficulté depuis plusieurs semaines à s'approvisionner en pièces et aussi au niveau du service
Dominic Maheux demande au gouvernement d'agir face à la situation des transporteurs
La mauvaise posture de l’entreprise québécoise Lion Électrique
qui prévoit se mettre à l'abri de ses créanciers
le restaurant Léo Pizza de La Sarre va reprendre ses activités au centre-ville
Le restaurant a annoncé qu’il reprendra du service le 13 novembre prochain
Le propriétaire Robert Thiffault affirme qu’il va mieux qu’avant
Je ne vous cache pas que les trois derniers mois n’ont pas été faciles
La pression ne tombe tranquillement pas vite et puis
je suis dû peut-être pour quelques journées de repos
Thiffault se réjouit également de constater que le personnel sera aussi de retour
soulignant le soutien qu’il a eu de sa famille
Les décombres témoignent de l’intensité de l’incendie qui a détruit plusieurs immeubles à La Sarre
À une question sur ce qui l’a encouragé à reprendre du service
je pense qu’on est quand même une bonne gang
ajoutant que tous ses employés seront de retour dès l’ouverture du commerce
Le restaurant a annoncé qu'il reprendra du service le 13 novembre prochain
Le propriétaire Robert Thiffault affirme qu'il va mieux qu'avant
Je ne vous cache pas que les trois derniers mois n'ont pas été faciles
M. Thiffault se réjouit également de constater que le personnel sera aussi de retour
soulignant le soutien qu'il a eu de sa famille
À une question sur ce qui l'a encouragé à reprendre du service
je pense qu'on est quand même une bonne gang
ajoutant que tous ses employés seront de retour dès l'ouverture du commerce
Rasé par un incendie au cours de l'été
dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"Des modifications ont été apportées au marquage au sol et des bollards ont notamment été ajoutés dans le but de réduire la vitesse et de minimiser les risques d’accidents dans cette zone scolaire
Les changements ont été faits à la suite de plusieurs bris sur nos feux de circulation
On a aussi eu plusieurs requêtes des citoyens qui trouvaient cette intersection dangereuse parce que le monde roulait vite
on a une de nos plus grosses écoles secondaires qui est à proximité : c’est près de 400 élèves et le tiers viennent à l’école en marchant
On a décidé de faire un projet pilote et de mettre des bollards pour rétrécir la voie
On aurait pu mettre des dos d’âne
mais les études disent que l’effet d’entonnoir
c’est ça qui contrôle le plus la vitesse
de nombreux citoyens ont fait part de la difficulté de tourner à droite à l’intersection
particulièrement pour les plus gros véhicules
Le maire Yves Dubé reconnaît le problème mais affirme que la Ville veut prendre le temps d’analyser la situation avant d'apporter de nouveaux changements
Notre équipe de travaux publics va regarder quelles modifications on pourrait faire
On ne veut pas faire 150 modifications
mais on veut vraiment étudier les circonstances et ce qui est problématique pour apporter des corrections éventuellement qui vont être souhaitables pour la population
j’aime mieux dire : \"on l’a fait\" que \"on aurait donc dû le faire parce que l’inévitable est arrivé et quelqu’un s’est fait happer par un véhicule\"
La Ville prévoit surveiller la situation jusqu’au 30 novembre prochain et apportera des changements si des problèmes d'envergure sont observés
Rouyn-Noranda va réaménager l’intersection de la 15e Rue et du boulevard Rideau
Ouvrir en mode plein écranL’intersection de la 5e Avenue et de la rue Principale à La Sarre a été réaménagée dans le but de renforcer la sécurité.
Jean-Michel CotnoirPublié le 14 septembre 2024 à 11 h 31 HAEÉcouter l’article | 2 minutesLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale
une technologie basée sur l’intelligence artificielle.Les citoyens de La Sarre qui circulent à l’intersection de la 5e Avenue et de la rue Principale doivent depuis peu composer avec de nouveaux aménagements sécuritaires
Des modifications ont été apportées au marquage au sol et des bollards ont notamment été ajoutés dans le but de réduire la vitesse et de minimiser les risques d’accidents dans cette zone scolaire
Ouvrir en mode plein écranLe maire de La Sarre
Les changements ont été faits à la suite de plusieurs bris sur nos feux de circulation
On a aussi eu plusieurs requêtes des citoyens qui trouvaient cette intersection dangereuse parce que le monde roulait vite
on a une de nos plus grosses écoles secondaires qui est à proximité : c’est près de 400 élèves et le tiers viennent à l’école en marchant
On a décidé de faire un projet pilote et de mettre des bollards pour rétrécir la voie
mais les études disent que l’effet d’entonnoir
de nombreux citoyens ont fait part de la difficulté de tourner à droite à l’intersection
particulièrement pour les plus gros véhicules
Le maire Yves Dubé reconnaît le problème mais affirme que la Ville veut prendre le temps d’analyser la situation avant d'apporter de nouveaux changements
Notre équipe de travaux publics va regarder quelles modifications on pourrait faire
mais on veut vraiment étudier les circonstances et ce qui est problématique pour apporter des corrections éventuellement qui vont être souhaitables pour la population
j’aime mieux dire : "on l’a fait" que "on aurait donc dû le faire parce que l’inévitable est arrivé et quelqu’un s’est fait happer par un véhicule"
La Ville prévoit surveiller la situation jusqu’au 30 novembre prochain et apportera des changements si des problèmes d'envergure sont observés
Des modifications ont été apportées au marquage au sol et des bollards ont notamment été ajoutés dans le but de réduire la vitesse et de minimiser les risques d’accidents dans cette zone scolaire
j’aime mieux dire : \\\"on l’a fait\\\" que \\\"on aurait donc dû le faire parce que l’inévitable est arrivé et quelqu’un s’est fait happer par un véhicule\\\"
Rouyn-Noranda va réaménager l’intersection de la 15e Rue et du boulevard Rideau
Les citoyens de La Sarre qui circulent à l’intersection de la 5e Avenue et de la rue Principale doivent depuis peu composer avec de nouveaux aménagements sécuritaires
dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"L'individu aurait tenté de commettre un vol dans un commerce de la rue Principale vers 15 h 45
Il avait le visage dissimulé dans le capuchon de son chandail
Il a menacé une employée avec un bâton et a demandé l’argent
il a quitté les lieux avec des cartouches de cigarettes
Après avoir ratissé le secteur pendant près de 30 minutes
les policiers ont repéré le suspect et procédé à son arrestation
Sa résidence a aussi été visée par une perquisition à La Sarre
ainsi que les cigarettes volées sur place
Le suspect devrait comparaître ce mardi par visioconférence pour une accusation de vol qualifié
Ouvrir en mode plein écranLes policiers ont repéré le suspect quelques minutes après le vol
Les policiers ont procédé à l'arrestation d'un homme de 20 ans relativement à un vol qualifié survenu à La Sarre
L'individu aurait tenté de commettre un vol dans un commerce de la rue Principale vers 15 h 45
Il avait le visage dissimulé dans le capuchon de son chandail
Il a menacé une employée avec un bâton et a demandé l’argent
il a quitté les lieux avec des cartouches de cigarettes
Après avoir ratissé le secteur pendant près de 30 minutes
les policiers ont repéré le suspect et procédé à son arrestation
Sa résidence a aussi été visée par une perquisition à La Sarre
Le suspect devrait comparaître ce mardi par visioconférence pour une accusation de vol qualifié
L'individu aurait tenté de commettre un vol dans un commerce de la rue Principale vers 15 h 45
Les policiers ont procédé à l'arrestation d'un homme de 20 ans relativement à un vol qualifié survenu à La Sarre
Des élèves ont découvert leur nouvelle école : le Phénix-du-Savoir
Le Phénix-du-Savoir a été construit à la suite d’un incendie qui a détruit le pavillon Victor-Cormier en 2019
des matériaux qui rappellent le bois et la couleur bleue mettent en valeur le nouveau bâtiment
Avec les nouvelles normes au niveau de la construction des écoles
on avait également deux locaux spécialisés
Des locaux qui sont là également pour accueillir le service de garde
Ce sont des espaces qui n’étaient pas nécessairement prévus quand on avait l’école Victor-Cormier
directrice générale du Centre de services scolaires Lac Abitibi CSSLA
Les élèves et le personnel n’ont pas pu réintégrer les locaux après l’incendie
À la suite du feu de 2019
les élèves avaient été relocalisés au pavillon Académie de l’Assomption de La Sarre
Il y aura donc moins de personnes dans ce bâtiment cette année
de manquer d’espace dans l’école de l’Académie
c’est un sentiment certainement cette année qui va être dissipé
Ça va certainement permettre aussi à l’équipe-école de pouvoir travailler d’une façon un petit peu plus aisée dans le sens où parfois
le manque d’espace crée aussi des problématiques
Le Centre de services scolaire du Lac-Abitibi avait interpellé la population à la fin de l’année 2021 pour trouver le nom du nouveau pavillon
La construction de l’école et la démolition de l’ancien bâtiment étaient évaluées à 18 millions de dollars. Je dois dire qu’avec certains ajouts qu’on a souhaité faire, dont la relocalisation de la patinoire avec la Municipalité, c’est un projet final qui dépasse les 20 millions, note la directrice générale du CSSLA.
Elle souligne que plusieurs enseignants ont manifesté leur intérêt à y travailler.
L’inauguration de l’école et des portes ouvertes seront organisées à une date ultérieure.
Le Phénix-du-Savoir a été construit à la suite d’un incendie qui a détruit le pavillon Victor-Cormier en 2019
À la suite du feu de 2019
les élèves avaient été relocalisés au pavillon Académie de l’Assomption de La Sarre
La construction de l’école et la démolition de l’ancien bâtiment étaient évaluées à 18 millions de dollars
Je dois dire qu’avec certains ajouts qu’on a souhaité faire
dont la relocalisation de la patinoire avec la Municipalité
c’est un projet final qui dépasse les 20 millions
Elle souligne que plusieurs enseignants ont manifesté leur intérêt à y travailler
L’inauguration de l’école et des portes ouvertes seront organisées à une date ultérieure
Le pavillon Victor-Cormier de l’école l’Envol renaît de ses cendres pour la rentrée scolaire 2024-2025 à La Sarre
Des élèves ont découvert leur nouvelle école : le Phénix-du-Savoir
dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"Le violent incendie
a lourdement endommagé le restaurant Léo Pizza
le Cinéma La Sarre et l'ancien Buffet Suco
On a reçu un appel à 20 h 54 pour un incendie de bâtiment au restaurant Léo Pizza
c'était un incendie qui était localisé dans la portion cuisine du restaurant
Les pompiers ont tenté d'entrer à l'intérieur
c'était un incendie qui était déjà très violent
directeur de la lutte contre les incendies et de la sécurité civile de la Ville de La Sarre
Les autres bâtiments touchés incluent un immeuble à vendre ayant déjà accueilli le bureau de comptables Raymond Chabot Grant Thornton ainsi qu'un bâtiment abritant un salon de coiffure et des logements
c'est la Sûreté du Québec qui s'est occupé des gens
mais plusieurs personnes ont perdu leur résidence
Ils avaient tous évacué avant même l'arrivée des pompiers grâce à des passants qui ont vu les flammes
Plusieurs citoyens se sont rendus sur les lieux lundi matin pour constater l’ampleur des dégâts
Ça vient me chercher parce que c’était un bâtiment qui était ancien
c’est l’endroit où on s’est rencontrés moi et ma conjointe
Ce sont des souvenirs partis en fumée
En visite chez une amie à La Sarre
Amélie Hébert a quant à elle assisté
Je suis quand même extrêmement troublée d’avoir assisté à ça
J’avais une vision très proche parce qu’on était juste en face
On a assisté à tout : les immeubles un après l’autre qui prenaient en feu
[C’est] extrêmement triste de penser à tous les gens qui vivent en haut et qui n’ont plus de loyer
J’espère que la Ville va les encadrer et qu’il va y avoir quelque chose de citoyen pour aider ces gens-là qui n'ont peut-être même pas d’assurance
La Croix-Rouge confirme avoir pris en charge 12 personnes
Les sinistrés auront droit à de l’aide pour l’hébergement
l’alimentation et les vêtements pour 72 heures
souligne que la Ville a ouvert des locaux pour accueillir les sinistrés dimanche soir
Je vais rencontrer Luc Goudreau pour voir ce qui a été déployé et voir ce que la Ville peut apporter en support pour les familles ou les commerçants qui sont touchés
a-t-il affirmé à Des matins en or
La municipalité n'en est pas à son premier incendie cette année : le restaurant Chez Bordy et le magasin d'appareils électroniques Amison ont été la proie des flammes en mai dernier
Mes pensées sont pour tous les sinistrés
les pompiers étaient toujours sur les lieux
Environ 45 pompiers des casernes de La Sarre
Macamic et Sainte-Hélène-de-Mancebourg ont combattu le brasier
Ouvrir en mode plein écranL'incendie a débuté au restaurant Léo Pizza
puis s'est propagé aux trois bâtiments voisins
Photo : Radio-Canada / Jean-François Perron
ont été la proie des flammes dans la nuit de dimanche à lundi
a lourdement endommagé le restaurant Léo Pizza
le Cinéma La Sarre et l'ancien Buffet Suco
On a reçu un appel à 20 h 54 pour un incendie de bâtiment au restaurant Léo Pizza
c'était un incendie qui était localisé dans la portion cuisine du restaurant
Les pompiers ont tenté d'entrer à l'intérieur
c'était un incendie qui était déjà très violent
directeur de la lutte contre les incendies et de la sécurité civile de la Ville de La Sarre
Ouvrir en mode plein écranLes employés de la Ville de La Sarre étaient sur place ce matin
Ouvrir en mode plein écranL'incendie a lourdement endommagé les restaurants Léo Pizza
Ouvrir en mode plein écranLes panneaux indiquant les films à l'affiche au cinéma La Sarre ont visiblement résisté au feu
Ouvrir en mode plein écranLa Sarre a perdu une partie importante de son patrimoine lors de l'incendie
Ouvrir en mode plein écranL'incendie s'est déclaré peu avant 21h00 dimanche soir
L'incendie a lourdement endommagé les restaurants Léo Pizza
Les employés de la Ville de La Sarre étaient sur place ce matin
Les autres bâtiments touchés incluent un immeuble à vendre ayant déjà accueilli le bureau de comptables Raymond Chabot Grant Thornton ainsi qu'un bâtiment abritant un salon de coiffure et des logements
c'est la Sûreté du Québec qui s'est occupé des gens
mais plusieurs personnes ont perdu leur résidence
Ils avaient tous évacué avant même l'arrivée des pompiers grâce à des passants qui ont vu les flammes
Ouvrir en mode plein écranLuc Goudreau est directeur du service incendie de La Sarre
Plusieurs citoyens se sont rendus sur les lieux lundi matin pour constater l’ampleur des dégâts
Ça vient me chercher parce que c’était un bâtiment qui était ancien
c’est l’endroit où on s’est rencontrés moi et ma conjointe
Ouvrir en mode plein écranLes citoyens sont nombreux à se rassembler pour mesurer les dégâts
Je suis quand même extrêmement troublée d’avoir assisté à ça
J’avais une vision très proche parce qu’on était juste en face
On a assisté à tout : les immeubles un après l’autre qui prenaient en feu
[C’est] extrêmement triste de penser à tous les gens qui vivent en haut et qui n’ont plus de loyer
J’espère que la Ville va les encadrer et qu’il va y avoir quelque chose de citoyen pour aider ces gens-là qui n'ont peut-être même pas d’assurance
La Croix-Rouge confirme avoir pris en charge 12 personnes
Les sinistrés auront droit à de l’aide pour l’hébergement
l’alimentation et les vêtements pour 72 heures
souligne que la Ville a ouvert des locaux pour accueillir les sinistrés dimanche soir
Je vais rencontrer Luc Goudreau pour voir ce qui a été déployé et voir ce que la Ville peut apporter en support pour les familles ou les commerçants qui sont touchés
Ouvrir en mode plein écranLes employés de la Ville de La Sarre ont sécurisé les lieux
les pompiers étaient toujours sur les lieux
Environ 45 pompiers des casernes de La Sarre
Macamic et Sainte-Hélène-de-Mancebourg ont combattu le brasier
La municipalité n'en est pas à son premier incendie cette année : le restaurant Chez Bordy et le magasin d'appareils électroniques Amison ont été la proie des flammes en mai dernier
C'était une demande du public de l'avoir illuminée. Donc, on a décidé de la faire plus tard le soir et l'avoir tout en lumière et en musique, explique Gaétan Therrien, président du comité de la Parade de Noël d'Abitibi-Ouest.
C'est d'ailleurs au Participarc que le comité de la Parade de Noël installera de façon permanente le train ayant servi de décor au Paradis du Nord de la Troupe À Cœur ouvert de 2005 à 2011.
L'année passée, on s'est servi [du train] comme démonstration sur notre village de Noël. On trouvait que c'était une façon pour nous de remercier la Troupe À Cœur ouvert d'avoir travaillé aussi fort aussi longtemps pour attirer la population, et de remercier les bénévoles, souligne Gaétan Therrien.
Devant l'engouement de la population et des bénévoles face au train, que plusieurs prenaient en photo, le comité a pensé à l'installer de façon permanente au parc. Une structure représentant un pont sera construite pour accueillir le train, devenant un attrait touristique par le fait même.
Les spectateurs de Dernier embarquement au Paradis, présenté par la Troupe durant l'été, ont remis un don de plus de 2000 $ pour réaliser ce projet.
Le lendemain de la Parade de Noël, le 24 novembre, l'Harmonie Senior de l'École des arts de la scène organise deux représentations d'un concert sous le thème Les traditions de Noël. La trentaine de musiciens jouera sous la direction de Jocelyne Beaulieu.
Puis, après avoir présenté le spectacle Festivitas pendant plusieurs années, la Troupe À Cœur ouvert revient à une formule plus intime pour les Fêtes cette année.
Présenté en formule cabaret dans les locaux mêmes de la Troupe, Le Réveillon se veut un spectacle où se mélangeront sketches, contes de Noël, musique et chansons.
On avait le goût de recréer l'intimité d'un réveillon, toutes les familles, c'est une belle tradition, donc cinq spectacles juste avant les Fêtes pour poursuivre notre belle tradition du temps des Fêtes en Abitibi-Ouest, souligne le président de la Troupe À Cœur ouvert, Donald Renault.
Le Réveillon sera présenté le 20 décembre à 19 h ainsi que les 21 et 22 décembre à 15 h et 19 h, pour un total de cinq représentations.
Marie-Hélène Paquin a commencé sa carrière de journaliste dans les journaux régionaux de l'Abitibi-Témiscamingue. En 2018, elle joint l'équipe de Radio-Canada, et en 2022, l'équipe de l'émission Des matins en or en tant que chroniqueuse culturelle.
Ouvrir en mode plein écranLa Troupe À Cœur ouvert et le comité de la Parade de Noël d'Abitibi-Ouest unissent leurs forces pour créer une programmation des Fêtes à La Sarre.
Photo : Radio-Canada / Marie-Hélène Paquin
Marie-Hélène PaquinPublié le 30 septembre 2024 à 13 h 16 HAEÉcouter l’article | 3 minutesLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale, une technologie basée sur l’intelligence artificielle.Le comité de la Parade de Noël d'Abitibi-Ouest et la Troupe À Cœur ouvert de La Sarre font équipe pour offrir une programmation d'activités en vue du temps des Fêtes.
En nouveauté cette année, la Parade de Noël sera présentée en soirée, le 23 novembre, entre le centre Le Retour et le Participarc.
C'était une demande du public de l'avoir illuminée. Donc, on a décidé de la faire plus tard le soir et l'avoir tout en lumière et en musique, explique Gaétan Therrien, président du comité de la Parade de Noël d'Abitibi-Ouest.
C'est d'ailleurs au Participarc que le comité de la Parade de Noël installera de façon permanente le train ayant servi de décor au Paradis du Nord de la Troupe À Cœur ouvert de 2005 à 2011.
Ouvrir en mode plein écranLe Paradis du Nord relatait l’histoire de la colonisation de l’Abitibi-Témiscamingue. (Photo d'archives)
L'année passée, on s'est servi [du train] comme démonstration sur notre village de Noël. On trouvait que c'était une façon pour nous de remercier la Troupe À Cœur ouvert d'avoir travaillé aussi fort aussi longtemps pour attirer la population, et de remercier les bénévoles, souligne Gaétan Therrien.
Devant l'engouement de la population et des bénévoles face au train, que plusieurs prenaient en photo, le comité a pensé à l'installer de façon permanente au parc. Une structure représentant un pont sera construite pour accueillir le train, devenant un attrait touristique par le fait même.
Les spectateurs de Dernier embarquement au Paradis, présenté par la Troupe durant l'été, ont remis un don de plus de 2000 $ pour réaliser ce projet.
Le lendemain de la Parade de Noël, le 24 novembre, l'Harmonie Senior de l'École des arts de la scène organise deux représentations d'un concert sous le thème Les traditions de Noël. La trentaine de musiciens jouera sous la direction de Jocelyne Beaulieu.
Puis, après avoir présenté le spectacle Festivitas pendant plusieurs années, la Troupe À Cœur ouvert revient à une formule plus intime pour les Fêtes cette année.
Présenté en formule cabaret dans les locaux mêmes de la Troupe, Le Réveillon se veut un spectacle où se mélangeront sketches, contes de Noël, musique et chansons.
On avait le goût de recréer l'intimité d'un réveillon, toutes les familles, c'est une belle tradition, donc cinq spectacles juste avant les Fêtes pour poursuivre notre belle tradition du temps des Fêtes en Abitibi-Ouest, souligne le président de la Troupe À Cœur ouvert, Donald Renault.
Le Réveillon sera présenté le 20 décembre à 19 h ainsi que les 21 et 22 décembre à 15 h et 19 h, pour un total de cinq représentations.
la Parade de Noël sera présentée en soirée
entre le centre Le Retour et le Participarc
C'était une demande du public de l'avoir illuminée
on a décidé de la faire plus tard le soir et l'avoir tout en lumière et en musique
président du comité de la Parade de Noël d'Abitibi-Ouest
C'est d'ailleurs au Participarc que le comité de la Parade de Noël installera de façon permanente le train ayant servi de décor au Paradis du Nord de la Troupe À Cœur ouvert de 2005 à 2011
on s'est servi [du train] comme démonstration sur notre village de Noël
On trouvait que c'était une façon pour nous de remercier la Troupe À Cœur ouvert d'avoir travaillé aussi fort aussi longtemps pour attirer la population
Devant l'engouement de la population et des bénévoles face au train
le comité a pensé à l'installer de façon permanente au parc
Une structure représentant un pont sera construite pour accueillir le train
devenant un attrait touristique par le fait même
Les spectateurs de Dernier embarquement au Paradis
présenté par la Troupe durant l'été
ont remis un don de plus de 2000 $ pour réaliser ce projet
l'Harmonie Senior de l'École des arts de la scène organise deux représentations d'un concert sous le thème Les traditions de Noël
La trentaine de musiciens jouera sous la direction de Jocelyne Beaulieu
après avoir présenté le spectacle Festivitas pendant plusieurs années
la Troupe À Cœur ouvert revient à une formule plus intime pour les Fêtes cette année
Présenté en formule cabaret dans les locaux mêmes de la Troupe
Le Réveillon se veut un spectacle où se mélangeront sketches
On avait le goût de recréer l'intimité d'un réveillon
donc cinq spectacles juste avant les Fêtes pour poursuivre notre belle tradition du temps des Fêtes en Abitibi-Ouest
souligne le président de la Troupe À Cœur ouvert
Le Réveillon sera présenté le 20 décembre à 19 h ainsi que les 21 et 22 décembre à 15 h et 19 h
pour un total de cinq représentations
Marie-Hélène Paquin a commencé sa carrière de journaliste dans les journaux régionaux de l'Abitibi-Témiscamingue
l'équipe de l'émission Des matins en or en tant que chroniqueuse culturelle
Le comité de la Parade de Noël d'Abitibi-Ouest et la Troupe À Cœur ouvert de La Sarre font équipe pour offrir une programmation d'activités en vue du temps des Fêtes
m’a dit qu’une équipe de 20 pompiers a rapidement procédé à l’extinction du brasier
un résident est venu les aviser d’un deuxième incendie
l’incendie a été maîtrisé rapidement et les dégâts sont minimes
Une seule personne a été légèrement blessée en tentant d’éteindre le feu sur le VTT
mais elle n’a pas été à l’hôpital
puisque les événements sont considérés comme suspects
comme le mentionne le sergent Jean-Raphaël Drolet
On se rappelle notamment des incendies au restaurant Léo Pizza
au cinéma et à plusieurs logements qui ont été la proie des flammes il y a à peine deux semaines
ainsi qu’au restaurant Chez Bordy et d’autres bâtiments en mai dernier
que ces incendies sont reliés aux événements de la nuit dernière
donc la SQ appelle les citoyens à ne pas s’alarmer ou faire des amalgames ou encore de partir des rumeurs
c’est tout de même un incident qui a secoué le voisinage
les policiers n’ont arrêté aucun suspect
dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"Le défi est de taille alors que l’hébergement offert par la Croix-Rouge doit s’estomper au bout de 72 heures
Trouver 15 logements à La Sarre
Il y a quelques places de disponibles dans les HLM de La Sarre
mais il faut vraiment vérifier l’aspect transport pour s’assurer qu’ils peuvent se déplacer en voiture
L’incendie de dimanche soir a détruit quatre bâtiments du centre-ville. Ces édifices abritaient 15 appartements et 13 loyers commerciaux
dont le cinéma local et Léo Pizza
ces pertes appauvrissent le paysage patrimonial de La Sarre
comme le rappelait mardi matin l'agente Christiane Pichette à l'émission Des matins en or
Les loyers sont très rares et c’est le cas aussi des loyers à prix abordables. Ce n’est pas tout le monde qui a les moyens de payer des loyers à 800 $ par mois. Il faut leur trouver des loyers à prix abordables, explique-t-il.
Outre les dons de nourritures, de vêtements et d'objets, M. Dubé encourage les propriétaires qui ont des loyers vides à les rendre rapidement disponibles à un prix abordable.
Les employés de la municipalité s’affairent aussi à rencontrer les sinistrés pour cerner leurs besoins et les aider à trouver de nouveaux articles de base, comme des meubles et des électroménagers.
Tout le monde se mobilise. On espère éviter les traumatismes aux sinistrés. Ils ont tous perdu. La plupart des gens n’avaient pas d’assurance. C’est une catastrophe pour la Ville de La Sarre.
Des organismes locaux, comme la maison St-André, mettent notamment l’épaule à la roue pour offrir des dons de nourritures et de vêtements.
On va pouvoir donner soit un dépannage pour les aider à garnir leur garde-manger ou bien des bons d’achat pour l’épicerie à partager entre les sinistrés [...] Pour l’instant, les dons rentrent bien, ajoute la directrice générale, Karine Francœur, qui n'est toutefois pas en mesure de chiffrer le total des dons reçus.
La Friperie au coin de l’entraide est également mobilisée, tout comme la Chambre de commerce et d’industrie d’Abitibi-Ouest, qui prévoit contacter ses membres touchés pour cibler leurs besoins.
On a même des gens qui nous contactent pour des dons de meubles, complète le maire, Yves Dubé. On leur a dit d’attendre un peu. On a trouvé une place pour les entreposer, mais on veut d’abord connaître les besoins des gens avant de se ramasser avec beaucoup de meubles et d’électroménagers.
Des dons monétaires sont également récoltés en ligne sur des plateformes comme GoFundMe.
La députée d’Abitibi-Ouest, Suzanne Blais, a décliné notre demande d’entrevue. Par écrit, Mme Blais rappelle qu’elle s’est rendu lundi sur le site des décombres et qu’elle suit la situation de près.
Ouvrir en mode plein écranLes décombres au lendemain de l'incendie.
Gabriel PoirierPublié le 23 juillet 2024 à 13 h 31 HAEMis à jour le 23 juillet 2024 à 15 h 36 HAEÉcouter l’article | 4 minutesLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale
une technologie basée sur l’intelligence artificielle.Environ 48 heures après la destruction d'une partie du centre-ville
les employés de La Sarre tentent de reloger les sinistrés dans les habitations à loyers modiques (HLM) d'Abitibi-Ouest
Le défi est de taille alors que l’hébergement offert par la Croix-Rouge doit s’estomper au bout de 72 heures
Il y a quelques places de disponibles dans les HLM de La Sarre
mais il faut vraiment vérifier l’aspect transport pour s’assurer qu’ils peuvent se déplacer en voiture
comme le rappelait mardi matin l'agente Christiane Pichette à l'émission Des matins en or
Les loyers sont très rares et c’est le cas aussi des loyers à prix abordables. Ce n’est pas tout le monde qui a les moyens de payer des loyers à 800 $ par mois. Il faut leur trouver des loyers à prix abordables, explique-t-il.
Ouvrir en mode plein écranLes citoyens étaient nombreux à se rassembler pour mesurer les dégâts lundi matin.
Outre les dons de nourritures, de vêtements et d'objets, M. Dubé encourage les propriétaires qui ont des loyers vides à les rendre rapidement disponibles à un prix abordable.
Les employés de la municipalité s’affairent aussi à rencontrer les sinistrés pour cerner leurs besoins et les aider à trouver de nouveaux articles de base, comme des meubles et des électroménagers.
Tout le monde se mobilise. On espère éviter les traumatismes aux sinistrés. Ils ont tous perdu. La plupart des gens n’avaient pas d’assurance. C’est une catastrophe pour la Ville de La Sarre.
Des organismes locaux, comme la maison St-André, mettent notamment l’épaule à la roue pour offrir des dons de nourritures et de vêtements.
On va pouvoir donner soit un dépannage pour les aider à garnir leur garde-manger ou bien des bons d’achat pour l’épicerie à partager entre les sinistrés [...] Pour l’instant, les dons rentrent bien, ajoute la directrice générale, Karine Francœur, qui n'est toutefois pas en mesure de chiffrer le total des dons reçus.
Ouvrir en mode plein écranLe cinéma La Sarre est une perte totale après le violent incendie qui a fait rage dimanche soir.
La Friperie au coin de l’entraide est également mobilisée, tout comme la Chambre de commerce et d’industrie d’Abitibi-Ouest, qui prévoit contacter ses membres touchés pour cibler leurs besoins.
On a même des gens qui nous contactent pour des dons de meubles, complète le maire, Yves Dubé. On leur a dit d’attendre un peu. On a trouvé une place pour les entreposer, mais on veut d’abord connaître les besoins des gens avant de se ramasser avec beaucoup de meubles et d’électroménagers.
Des dons monétaires sont également récoltés en ligne sur des plateformes comme GoFundMe.
La députée d’Abitibi-Ouest, Suzanne Blais, a décliné notre demande d’entrevue. Par écrit, Mme Blais rappelle qu’elle s’est rendu lundi sur le site des décombres et qu’elle suit la situation de près.
Le défi est de taille alors que l’hébergement offert par la Croix-Rouge doit s’estomper au bout de 72 heures
L’incendie de dimanche soir a détruit quatre bâtiments du centre-ville. Ces édifices abritaient 15 appartements et 13 loyers commerciaux
Les loyers sont très rares et c’est le cas aussi des loyers à prix abordables
Ce n’est pas tout le monde qui a les moyens de payer des loyers à 800 $ par mois
Il faut leur trouver des loyers à prix abordables
M. Dubé encourage les propriétaires qui ont des loyers vides à les rendre rapidement disponibles à un prix abordable
Les employés de la municipalité s’affairent aussi à rencontrer les sinistrés pour cerner leurs besoins et les aider à trouver de nouveaux articles de base
comme des meubles et des électroménagers
On espère éviter les traumatismes aux sinistrés
La plupart des gens n’avaient pas d’assurance
C’est une catastrophe pour la Ville de La Sarre
mettent notamment l’épaule à la roue pour offrir des dons de nourritures et de vêtements
On va pouvoir donner soit un dépannage pour les aider à garnir leur garde-manger ou bien des bons d’achat pour l’épicerie à partager entre les sinistrés [...] Pour l’instant
qui n'est toutefois pas en mesure de chiffrer le total des dons reçus
La Friperie au coin de l’entraide est également mobilisée
tout comme la Chambre de commerce et d’industrie d’Abitibi-Ouest
qui prévoit contacter ses membres touchés pour cibler leurs besoins
On a même des gens qui nous contactent pour des dons de meubles
On a trouvé une place pour les entreposer
mais on veut d’abord connaître les besoins des gens avant de se ramasser avec beaucoup de meubles et d’électroménagers
Des dons monétaires sont également récoltés en ligne sur des plateformes comme GoFundMe
La députée d’Abitibi-Ouest
a décliné notre demande d’entrevue
Mme Blais rappelle qu’elle s’est rendu lundi sur le site des décombres et qu’elle suit la situation de près
L'incendie de quatre bâtiments à La Sarre
qui abritaient 15 logements et 13 locaux commerciaux
Environ 48 heures après la destruction d'une partie du centre-ville
les employés de La Sarre tentent de reloger les sinistrés dans les habitations à loyers modiques (HLM) d'Abitibi-Ouest
La MRC et la Ville font beaucoup de choses pour l’Abitibi-Ouest, mais la population générale, parfois, elle n’est pas au courant de toutes les actions, des mises en action qui ont été faites. Dans le fond, on veut donner cette voix-là à tout le monde pour que les gens puissent nous dire, pendant une journée, pendant des ateliers participatifs, ce qu’ils en pensent, c’est quoi leurs besoins à eux, explique-t-elle.
Plusieurs sujets, dont l’éducation, la santé et le logement, seront abordés. Le forum citoyen, qui se tiendra dans la salle Desjardins-Jean-Coutu, débutera par une conférence, suivie de plusieurs ateliers.
Il faut une population active et qui a le goût de s’impliquer. Nous, on a le goût de s’impliquer en tant qu’organisme communautaire, en tant que citoyens retraités, la MRC, la Ville, mais on a besoin que notre population vienne nous aider, soutient Joanie Poliquin.
Les inscriptions sont déjà ouvertes sur le site web de la SADC d’Abitibi-Ouest. La date limite pour s’inscrire est le 6 septembre et les citoyens doivent avoir 16 ans et plus pour participer.
Ouvrir en mode plein écranLe forum, qui portera sur le développement social en Abitibi-Ouest, se tiendra à La Sarre. (Photo d'archives)
Annabel OuelletPublié le 13 août 2024 à 12 h 48 HAEÉcouter l’article | 2 minutesLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale, une technologie basée sur l’intelligence artificielle.Le Regroupement des organismes communautaires d’Abitibi-Ouest (ROCAO) organise un forum citoyen le 14 septembre prochain à La Sarre.
Le forum est un événement pour permettre aux citoyens de parler de leurs besoins en matière de développement social, selon Joanie Poliquin, porte-parole du ROCAO. Elle invite d’ailleurs la population à se présenter en grand nombre à l’événement.
La MRC et la Ville font beaucoup de choses pour l’Abitibi-Ouest, mais la population générale, parfois, elle n’est pas au courant de toutes les actions, des mises en action qui ont été faites. Dans le fond, on veut donner cette voix-là à tout le monde pour que les gens puissent nous dire, pendant une journée, pendant des ateliers participatifs, ce qu’ils en pensent, c’est quoi leurs besoins à eux, explique-t-elle.
Ouvrir en mode plein écranJoanie Poliquin est la porte-parole du Regroupement des organismes communautaires d’Abitibi-Ouest.
Plusieurs sujets, dont l’éducation, la santé et le logement, seront abordés. Le forum citoyen, qui se tiendra dans la salle Desjardins-Jean-Coutu, débutera par une conférence, suivie de plusieurs ateliers.
Il faut une population active et qui a le goût de s’impliquer. Nous, on a le goût de s’impliquer en tant qu’organisme communautaire, en tant que citoyens retraités, la MRC, la Ville, mais on a besoin que notre population vienne nous aider, soutient Joanie Poliquin.
Les inscriptions sont déjà ouvertes sur le site web de la SADC d’Abitibi-Ouest. La date limite pour s’inscrire est le 6 septembre et les citoyens doivent avoir 16 ans et plus pour participer.
Le forum est un événement pour permettre aux citoyens de parler de leurs besoins en matière de développement social
Elle invite d’ailleurs la population à se présenter en grand nombre à l’événement
La MRC et la Ville font beaucoup de choses pour l’Abitibi-Ouest
elle n’est pas au courant de toutes les actions
des mises en action qui ont été faites
on veut donner cette voix-là à tout le monde pour que les gens puissent nous dire
qui se tiendra dans la salle Desjardins-Jean-Coutu
Il faut une population active et qui a le goût de s’impliquer
on a le goût de s’impliquer en tant qu’organisme communautaire
mais on a besoin que notre population vienne nous aider
Les inscriptions sont déjà ouvertes sur le site web de la SADC d’Abitibi-Ouest
La date limite pour s’inscrire est le 6 septembre et les citoyens doivent avoir 16 ans et plus pour participer
Le Regroupement des organismes communautaires d’Abitibi-Ouest (ROCAO) organise un forum citoyen le 14 septembre prochain à La Sarre
dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"On n’arrive pas à une conclusion pour déterminer une cause exacte
indique le directeur de la sécurité incendie et de la sécurité civile
On penche [comme hypothèse plausible] sur un début d’incendie qui aurait commencé dans le mur mitoyen qui séparait la cuisine du Buffet Suco et le restaurant Léo Pizza
Les assureurs qui ont la charge des quatre immeubles détruits de l’avenue Principale ont également ouvert des enquêtes.
La façon dont les bâtiments étaient construits et les matériaux qui ont été utilisés pour les construire, qui étaient vieux et qui étaient secs, tous ces éléments peuvent avoir contribué à ce que l’incendie soit plus fort et plus difficile à éteindre.
Les débris de l’incendie sont toujours sur place, les propriétaires des immeubles ayant la responsabilité de nettoyer les dégâts avec leurs assureurs.
Si les causes demeurent incertaines, l’aide continue de s’organiser à La Sarre tandis que la Municipalité tente de coordonner l’aide aux sinistrés.
Les sinistrés, qui seraient maintenant tous relogés de façon temporaire, auraient reçu des options adaptées pour leur relogement, indique la Ville de La Sarre sur son site Internet.
Les initiatives spontanées sont également monnaie courante. À l'instar de La Troupe à cœur ouvert, la fromagerie La Vache à Maillotte promet de verser des dons aux sinistrés.
Ça vaut la peine, quand des épreuves surviennent, qu’on puisse redonner ce que nous avons déjà reçu.
La Troupe compte verser certaines recettes de ses prestations de samedi et de dimanche aux sinistrés, alors que la fromagerie projette de distribuer ses recettes de vendredi au marché public de Palmarolle.
On est une communauté où nous sommes proches l’un de l’autre, explique Jacquelin Sévigny, copropriétaire de l’entreprise. Il y a quelques semaines, nous avons subi une perte [d'alimentation en] eau et ce sont les entreprises entre elles qui nous ont aidés.
M. Sévigny espère amasser la somme de 2000 $.
Des campagnes de sociofinancement apparaissent également en ligne pour aider les sinistrés et les commerçants, notamment sur la plateforme GoFundMe.
Ouvrir en mode plein écranSi les causes de l'incendie demeurent incertaines, l’aide continue de s’organiser à La Sarre, tandis que la Municipalité tente de coordonner l’aide aux sinistrés. (Photo d'archives)
Gabriel PoirierPublié le 25 juillet 2024 à 17 h 19 HAEÉcouter l’article | 3 minutesLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale
une technologie basée sur l’intelligence artificielle.Le service incendie de la Ville de La Sarre ignore toujours comment s’est déclenché le feu qui a rasé quatre édifices du centre-ville
bien que rien ne laisse présumer un acte criminel pour le moment
On n’arrive pas à une conclusion pour déterminer une cause exacte
indique le directeur de la sécurité incendie et de la sécurité civile
On penche [comme hypothèse plausible] sur un début d’incendie qui aurait commencé dans le mur mitoyen qui séparait la cuisine du Buffet Suco et le restaurant Léo Pizza
La façon dont les bâtiments étaient construits et les matériaux qui ont été utilisés pour les construire, qui étaient vieux et qui étaient secs, tous ces éléments peuvent avoir contribué à ce que l’incendie soit plus fort et plus difficile à éteindre.
Les débris de l’incendie sont toujours sur place, les propriétaires des immeubles ayant la responsabilité de nettoyer les dégâts avec leurs assureurs.
Ouvrir en mode plein écranAu lendemain de l'incendie, les employés de la Ville de La Sarre étaient à l'œuvre pour sécuriser les lieux. (Photo d'archives)
Si les causes demeurent incertaines, l’aide continue de s’organiser à La Sarre tandis que la Municipalité tente de coordonner l’aide aux sinistrés.
Les sinistrés, qui seraient maintenant tous relogés de façon temporaire, auraient reçu des options adaptées pour leur relogement, indique la Ville de La Sarre sur son site Internet.
Les initiatives spontanées sont également monnaie courante. À l'instar de La Troupe à cœur ouvert, la fromagerie La Vache à Maillotte promet de verser des dons aux sinistrés.
Ça vaut la peine, quand des épreuves surviennent, qu’on puisse redonner ce que nous avons déjà reçu.
La Troupe compte verser certaines recettes de ses prestations de samedi et de dimanche aux sinistrés, alors que la fromagerie projette de distribuer ses recettes de vendredi au marché public de Palmarolle.
Ouvrir en mode plein écranLes recettes du bar de La Troupe à cœur ouvert pour son spectacle « Dernier embarquement au Paradis » seront remises à la Maison St-André. (Photo d'archives)
On est une communauté où nous sommes proches l’un de l’autre, explique Jacquelin Sévigny, copropriétaire de l’entreprise. Il y a quelques semaines, nous avons subi une perte [d'alimentation en] eau et ce sont les entreprises entre elles qui nous ont aidés.
M. Sévigny espère amasser la somme de 2000 $.
Des campagnes de sociofinancement apparaissent également en ligne pour aider les sinistrés et les commerçants, notamment sur la plateforme GoFundMe.
On n’arrive pas à une conclusion pour déterminer une cause exacte
Les assureurs qui ont la charge des quatre immeubles détruits de l’avenue Principale ont également ouvert des enquêtes
La façon dont les bâtiments étaient construits et les matériaux qui ont été utilisés pour les construire
qui étaient vieux et qui étaient secs
tous ces éléments peuvent avoir contribué à ce que l’incendie soit plus fort et plus difficile à éteindre
Les débris de l’incendie sont toujours sur place
les propriétaires des immeubles ayant la responsabilité de nettoyer les dégâts avec leurs assureurs
l’aide continue de s’organiser à La Sarre tandis que la Municipalité tente de coordonner l’aide aux sinistrés
qui seraient maintenant tous relogés de façon temporaire
auraient reçu des options adaptées pour leur relogement
indique la Ville de La Sarre sur son site Internet
Les initiatives spontanées sont également monnaie courante
À l'instar de La Troupe à cœur ouvert
la fromagerie La Vache à Maillotte promet de verser des dons aux sinistrés
qu’on puisse redonner ce que nous avons déjà reçu
La Troupe compte verser certaines recettes de ses prestations de samedi et de dimanche aux sinistrés
alors que la fromagerie projette de distribuer ses recettes de vendredi au marché public de Palmarolle
On est une communauté où nous sommes proches l’un de l’autre
nous avons subi une perte [d'alimentation en] eau et ce sont les entreprises entre elles qui nous ont aidés
M. Sévigny espère amasser la somme de 2000 $
Des campagnes de sociofinancement apparaissent également en ligne pour aider les sinistrés et les commerçants
Les assureurs qui ont la charge des quatre immeubles détruits de l’avenue Principale ont également ouvert des enquêtes
Le service incendie de la Ville de La Sarre ignore toujours comment s’est déclenché le feu qui a rasé quatre édifices du centre-ville
(Photo d’archives)PHOTO : Gracieuseté Ginette PoirierLe déplacement des sinistrés de l’incendie du 21 juillet qui a touché le centre-ville de La Sarre tire à sa fin
C’est ce qu’indique la Municipalité qui rappelle que le feu a touché 22 résidents et 13 entreprises
La Ville mentionne que grâce à la mobilisation des citoyens et des organismes de la MRC d’Abitibi-Ouest
les sinistrés ont été rapidement pris en charge
Elle précise que certains sinistrés sont à la recherche d’un logement permanent
Elle ajoute que le restaurant Léo Pizza
le cinéma La Sarre et le studio Candy Shop Tattoo évaluent les options qui s’offrent à eux
Le directeur sécurité incendies et sécurité civile Luc Goudreau revient sur l’événement et explique que les débris sont encore là en attendant les enquêtes des assurances
Incendie à La Sarre : la cause toujours inconnueAppli Radio-Canada OHdioTout un monde à écouter, partout où vous allez.
Elle ajoute que le restaurant Léo Pizza
le cinéma La Sarre et le studio Candy Shop Tattoo évaluent les options qui s'offrent à eux
Le directeur sécurité incendies et sécurité civile Luc Goudreau revient sur l'événement et explique que les débris sont encore là en attendant les enquêtes des assurances
Le déplacement des sinistrés de l’incendie du 21 juillet qui a touché le centre-ville de La Sarre tire à sa fin
C'est ce qu'indique la Municipalité qui rappelle que le feu a touché 22 résidents et 13 entreprises
Plusieurs citoyens avaient alors perdu leur logement et tous leurs biens. Plusieurs commerces avaient aussi brûlé.
Pour aider les sinistrés, une mobilisation citoyenne avait été lancée.
Des personnes de toute l'Abitibi-Ouest avaient alors fait des dons en argent, mais aussi du mobilier avec une telle générosité qu’il reste aujourd’hui du mobilier à donner.
Les gens ont été hyper généreux et ça a été très apprécié de tout le monde. Dans le fond, les besoins des sinistrés ont été comblés. Puis c'est ça, maintenant la générosité des gens peut se propager à l'ensemble de la population, explique Alexandre D. Nickner, responsable de la communication à la Ville de La Sarre.
Après les sinistrés, les organismes partenaires avaient aussi pu se servir dans ce stock de mobilier.
Dans une optique zéro déchet, la Ville souhaite proposer ce qui reste à toute la population.
Dans le fond, ce sont des dons des citoyens pour d’autres citoyens de La Sarre, rappelle Alexandre D. Nickner.
La population a jusqu’au 16 novembre pour aller récupérer ce mobilier, à la Ressourcerie Le Filon vert, à La Sarre.
Ouvrir en mode plein écranLes citoyens sont nombreux à se rassembler pour mesurer les dégâts de l'incendie de juillet dernier. (Photo d'archives)
Mathilde BlayoPublié le 13 novembre 2024 à 6 h 11 HAEÉcouter l’article | 2 minutesLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale, une technologie basée sur l’intelligence artificielle.Le mobilier donné pour aider les sinistrés de l’incendie de La Sarre l'été passé est maintenant offert gratuitement à l’ensemble de la population.
En juillet dernier, un violent incendie a ravagé plusieurs bâtiments dans le centre-ville de La Sarre.
Plusieurs citoyens avaient alors perdu leur logement et tous leurs biens. Plusieurs commerces avaient aussi brûlé.
Pour aider les sinistrés, une mobilisation citoyenne avait été lancée.
Des personnes de toute l'Abitibi-Ouest avaient alors fait des dons en argent, mais aussi du mobilier avec une telle générosité qu’il reste aujourd’hui du mobilier à donner.
Ouvrir en mode plein écranL'incendie a lourdement endommagé les restaurants Léo Pizza, le Cinéma La Sarre et l'ancien Buffet Suco. (Photo d'archives)
Les gens ont été hyper généreux et ça a été très apprécié de tout le monde. Dans le fond, les besoins des sinistrés ont été comblés. Puis c'est ça, maintenant la générosité des gens peut se propager à l'ensemble de la population, explique Alexandre D. Nickner, responsable de la communication à la Ville de La Sarre.
Après les sinistrés, les organismes partenaires avaient aussi pu se servir dans ce stock de mobilier.
Dans une optique zéro déchet, la Ville souhaite proposer ce qui reste à toute la population.
Dans le fond, ce sont des dons des citoyens pour d’autres citoyens de La Sarre, rappelle Alexandre D. Nickner.
La population a jusqu’au 16 novembre pour aller récupérer ce mobilier, à la Ressourcerie Le Filon vert, à La Sarre.
un violent incendie a ravagé plusieurs bâtiments dans le centre-ville de La Sarre
Plusieurs citoyens avaient alors perdu leur logement et tous leurs biens
Plusieurs commerces avaient aussi brûlé
une mobilisation citoyenne avait été lancée
Des personnes de toute l'Abitibi-Ouest avaient alors fait des dons en argent
mais aussi du mobilier avec une telle générosité qu’il reste aujourd’hui du mobilier à donner
Les gens ont été hyper généreux et ça a été très apprécié de tout le monde
les besoins des sinistrés ont été comblés
maintenant la générosité des gens peut se propager à l'ensemble de la population
responsable de la communication à la Ville de La Sarre
les organismes partenaires avaient aussi pu se servir dans ce stock de mobilier
Dans une optique zéro déchet
la Ville souhaite proposer ce qui reste à toute la population
ce sont des dons des citoyens pour d’autres citoyens de La Sarre
La population a jusqu’au 16 novembre pour aller récupérer ce mobilier
Le mobilier donné pour aider les sinistrés de l’incendie de La Sarre l'été passé est maintenant offert gratuitement à l’ensemble de la population
Les compétiteurs provenaient du Québec, de l’Ontario, du Nouveau-Brunswick et des États-Unis, et plusieurs n’en étaient pas à leurs premiers parcours.
La PG Expédition était de retour après un an d’absence. L'édition actuelle a été organisée en hommage au fondateur Pierre Germain qui, atteint d’un cancer du pancréas, avait réalisé son rêve de tenir une course de traîneaux à chiens en février 2022.
L’appel à la célébration a été entendu.
Pour Lyne Rochette, la femme de Pierre Germain, cette édition est vraiment particulière.
Oh mon Dieu! C'est beaucoup d'émotions cette année, beaucoup de fierté, parce qu'il y a quand même beaucoup d'heures de travail derrière tout ça, a-t-elle confié.
Parmi les mushers, Sabrina Bernier, de Saint-Vital-de-Clermont, a pris le départ de la course de 40 milles.
L'objectif? Le faire le plus proche de 4 heures. Il y a deux ans, je l'ai fait en 4 heures 23 minutes. Là, j'aimerais être plus proche du 4 heures, a-t-elle mentionné avant le départ.
Guillaume Mercier était lui aussi du départ des 40 milles. Son objectif était plutôt modeste et consistait principalement à y participer pour le plaisir. Il souligne d’ailleurs que son attelage ne sert pas qu’aux compétitions.
Outre les courses, je fais beaucoup d'expéditions aussi. La région de l'Abitibi est propice à ça. Il y a beaucoup de terres publiques et de la Couronne, alors je me promène et j'explore, confie le musher.
Rémy Leduc, pour sa part, a choisi de s’élancer pour la course des 100 milles. Fort d’une vingtaine d’années d’expérience comme musher, il a fait le trajet du Nouveau-Brunswick avec sa conjointe et avec deux équipes de dix chiens.
Les chiens, c’est tellement vrai tout le temps! Tu ne peux pas leur mentir et ils ne racontent pas de menteries non plus. Ça force à vivre dans le moment, ça rend humble et j’adore ça, affirme-t-il.
Après La Sarre, ils mettront le cap vers le Michigan pour une autre expédition.
J’ai des chiens de deux ans que j’essaie de calmer. À cet âge, ils ne savent pas bien se gérer : j’essaie de voir si je peux les calmer. On va voir si ça va marcher, dit-il.
Le public était aussi au rendez-vous pour encourager les 260 chiens et les mushers.
On voulait encourager les mushers et leurs chiens et que les enfants puissent voir cette compétition, dit une mère accompagnée de son petit Billy qui, lui, n’en avait que pour les chiens.
Ils sont tellement beaux. Ils courent tellement vite! laisse-t-il tomber, hypnotisé par le concert cacophonique des aboiements.
Pour rendre possible la PG Expédition, l'organisation peut aussi compter sur l'implication de 150 bénévoles. Dawson y participe fidèlement depuis la première année. Il rêve de prendre le départ de la course un jour.
Ça m’a toujours passionné depuis que je suis tout petit. [...] Ça m’a permis d’en apprendre plus, de parler avec des coureurs.
Journaliste à la radio de Radio-Canada en Abitibi-Témiscamingue, Lise Millette a décliné le métier sous toutes ses plateformes, écrit, radio et télévision. Elle a été auparavant journaliste à La Presse canadienne et présidente de la Fédération professionnelle des journalistes du Québec (FPJQ).
Ouvrir en mode plein écranLe départ de la course PG Expédition à La Sarre.
Le départ de la troisième PG Expédition a été donné samedi matin sur le coup de 9 h au parc équestre de La Sarre par une vingtaine de degrés sous zéro. Le froid, loin de miner le moral des concurrents, avait tout pour fouetter l’enthousiasme dans une fébrilité ponctuée de nombreux aboiements.
Deux courses ont été prévues simultanément, soit une boucle de 100 milles entre La Sarre et La Reine et une autre boucle de 40 milles entre La Sarre et Dupuy.
Les compétiteurs provenaient du Québec, de l’Ontario, du Nouveau-Brunswick et des États-Unis, et plusieurs n’en étaient pas à leurs premiers parcours.
Ouvrir en mode plein écranUn musher sur un lac avec son attelage.
La PG Expédition était de retour après un an d’absence. L'édition actuelle a été organisée en hommage au fondateur Pierre Germain qui, atteint d’un cancer du pancréas, avait réalisé son rêve de tenir une course de traîneaux à chiens en février 2022.
Ouvrir en mode plein écranPierre Germain caressait le rêve d'une grande course de chiens de traîneau.
Pour Lyne Rochette, la femme de Pierre Germain, cette édition est vraiment particulière.
Oh mon Dieu! C'est beaucoup d'émotions cette année, beaucoup de fierté, parce qu'il y a quand même beaucoup d'heures de travail derrière tout ça, a-t-elle confié.
Ouvrir en mode plein écranSabrina Bernier avant le départ pour une distance de 40 milles lors de la PG Expédition.
Parmi les mushers, Sabrina Bernier, de Saint-Vital-de-Clermont, a pris le départ de la course de 40 milles.
L'objectif? Le faire le plus proche de 4 heures. Il y a deux ans, je l'ai fait en 4 heures 23 minutes. Là, j'aimerais être plus proche du 4 heures, a-t-elle mentionné avant le départ.
Guillaume Mercier était lui aussi du départ des 40 milles. Son objectif était plutôt modeste et consistait principalement à y participer pour le plaisir. Il souligne d’ailleurs que son attelage ne sert pas qu’aux compétitions.
Outre les courses, je fais beaucoup d'expéditions aussi. La région de l'Abitibi est propice à ça. Il y a beaucoup de terres publiques et de la Couronne, alors je me promène et j'explore, confie le musher.
Rémy Leduc, pour sa part, a choisi de s’élancer pour la course des 100 milles. Fort d’une vingtaine d’années d’expérience comme musher, il a fait le trajet du Nouveau-Brunswick avec sa conjointe et avec deux équipes de dix chiens.
Les chiens, c’est tellement vrai tout le temps! Tu ne peux pas leur mentir et ils ne racontent pas de menteries non plus. Ça force à vivre dans le moment, ça rend humble et j’adore ça, affirme-t-il.
Après La Sarre, ils mettront le cap vers le Michigan pour une autre expédition.
J’ai des chiens de deux ans que j’essaie de calmer. À cet âge, ils ne savent pas bien se gérer : j’essaie de voir si je peux les calmer. On va voir si ça va marcher, dit-il.
Ouvrir en mode plein écranKevin Larivière est sur la ligne de départ pour la boucle de 100 milles de la PG Expédition.
Le public était aussi au rendez-vous pour encourager les 260 chiens et les mushers.
On voulait encourager les mushers et leurs chiens et que les enfants puissent voir cette compétition, dit une mère accompagnée de son petit Billy qui, lui, n’en avait que pour les chiens.
Ils sont tellement beaux. Ils courent tellement vite! laisse-t-il tomber, hypnotisé par le concert cacophonique des aboiements.
Pour rendre possible la PG Expédition, l'organisation peut aussi compter sur l'implication de 150 bénévoles. Dawson y participe fidèlement depuis la première année. Il rêve de prendre le départ de la course un jour.
Ça m’a toujours passionné depuis que je suis tout petit. [...] Ça m’a permis d’en apprendre plus, de parler avec des coureurs.
Deux courses ont été prévues simultanément
soit une boucle de 100 milles entre La Sarre et La Reine et une autre boucle de 40 milles entre La Sarre et Dupuy
Les compétiteurs provenaient du Québec
du Nouveau-Brunswick et des États-Unis
et plusieurs n’en étaient pas à leurs premiers parcours
La PG Expédition était de retour après un an d’absence
L'édition actuelle a été organisée en hommage au fondateur Pierre Germain qui
atteint d’un cancer du pancréas
avait réalisé son rêve de tenir une course de traîneaux à chiens en février 2022
L’appel à la célébration a été entendu
cette édition est vraiment particulière
C'est beaucoup d'émotions cette année
parce qu'il y a quand même beaucoup d'heures de travail derrière tout ça
a pris le départ de la course de 40 milles
je l'ai fait en 4 heures 23 minutes
j'aimerais être plus proche du 4 heures
a-t-elle mentionné avant le départ
Guillaume Mercier était lui aussi du départ des 40 milles
Son objectif était plutôt modeste et consistait principalement à y participer pour le plaisir
Il souligne d’ailleurs que son attelage ne sert pas qu’aux compétitions
La région de l'Abitibi est propice à ça
Il y a beaucoup de terres publiques et de la Couronne
a choisi de s’élancer pour la course des 100 milles
Fort d’une vingtaine d’années d’expérience comme musher
il a fait le trajet du Nouveau-Brunswick avec sa conjointe et avec deux équipes de dix chiens
Tu ne peux pas leur mentir et ils ne racontent pas de menteries non plus
ça rend humble et j’adore ça
ils mettront le cap vers le Michigan pour une autre expédition
J’ai des chiens de deux ans que j’essaie de calmer
ils ne savent pas bien se gérer : j’essaie de voir si je peux les calmer
Le public était aussi au rendez-vous pour encourager les 260 chiens et les mushers
On voulait encourager les mushers et leurs chiens et que les enfants puissent voir cette compétition
dit une mère accompagnée de son petit Billy qui
hypnotisé par le concert cacophonique des aboiements
Pour rendre possible la PG Expédition
l'organisation peut aussi compter sur l'implication de 150 bénévoles
Dawson y participe fidèlement depuis la première année
Il rêve de prendre le départ de la course un jour
Ça m’a toujours passionné depuis que je suis tout petit
[...] Ça m’a permis d’en apprendre plus
Journaliste à la radio de Radio-Canada en Abitibi-Témiscamingue
Lise Millette a décliné le métier sous toutes ses plateformes
Elle a été auparavant journaliste à La Presse canadienne et présidente de la Fédération professionnelle des journalistes du Québec (FPJQ)
Le départ de la troisième PG Expédition a été donné samedi matin sur le coup de 9 h au parc équestre de La Sarre par une vingtaine de degrés sous zéro
avait tout pour fouetter l’enthousiasme dans une fébrilité ponctuée de nombreux aboiements
dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"Cette fermeture
qui s'étend de l'avenue Langlois à la jonction des routes 111 Est-2e rue Est
est causée par des travaux de reconstruction d'un égout pluvial
Les automobilistes sont invités à emprunter l'avenue Langlois
Les travaux devraient être terminés vers 21h
Ouvrir en mode plein écranLes travaux sont prévus durant la journée de dimanche
qui s'étend de l'avenue Langlois à la jonction des routes 111 Est-2e rue Est
est causée par des travaux de reconstruction d'un égout pluvial
Les automobilistes sont invités à emprunter l'avenue Langlois
Les travaux devraient être terminés vers 21h
une portion de la 2e rue Est sera complètement fermée durant la journée de dimanche
Les gens ont vraiment répondu rapidement à l'invitation pour soutenir La Ressource pour personnes handicapées avec ce brunch bénéfice, - Normand Lagrange, parrain de l'événement.
Il souligne au passage que La Sarre renoue ainsi avec une formule annuelle qui avait été suspendue depuis la pandémie de COVID-19.
Plusieurs autres événements sont prévus un peu partout dans la région d’ici le téléthon de la Ressource qui se tiendra le dimanche 26 janvier prochain.
M. Lagrange se promet d'y assister en compagnie de son neveu qui a déjà pu compter sur les services de la Ressource. Il insiste sur l'importance de cet organisme.
La Ressource vient offrir du matériel, notamment pour permettre aux gens qui sont handicapés de pouvoir faire des activités avec des gens qui n’ont pas de handicap, pour qu’ils puissent être ensemble. Donc, cette ressource est super importante pour pouvoir compléter des mailles dans le filet et pour aider à soutenir les besoins là de de nos gens, ajoute M. Lagrange.
Le 28e téléthon régional, sous le thème Illuminons l’avenir sera présenté au Théâtre du cuivre de Rouyn-Noranda et diffusé sur les ondes de Noovo Abitibi-Témiscamingue ou encore le site de La Ressource.
Ouvrir en mode plein écranDes œufs, des patates, du bacon, bénévoles au service de participants.
Photo : Radio-Canada / Stéphanie Blanchet
Lise MillettePublié le 12 janvier à 11 h 58 HAEÉcouter l’articleLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale, une technologie basée sur l’intelligence artificielle.Le brunch bénéfice pour La Ressource pour personnes handicapées Abitibi-Témiscamingue et Nord-du-Québec a fait salle comble à La Sarre.
L'ensemble des billets ont été vendus a assuré Normand Lagrange, directeur général de la MRC d'Abitibi-Ouest.
Les gens ont vraiment répondu rapidement à l'invitation pour soutenir La Ressource pour personnes handicapées avec ce brunch bénéfice, - Normand Lagrange, parrain de l'événement.
Ouvrir en mode plein écranNormand Lagrange, directeur général de la MRC d'Abitibi-Ouest.
Il souligne au passage que La Sarre renoue ainsi avec une formule annuelle qui avait été suspendue depuis la pandémie de COVID-19.
Plusieurs autres événements sont prévus un peu partout dans la région d’ici le téléthon de la Ressource qui se tiendra le dimanche 26 janvier prochain.
M. Lagrange se promet d'y assister en compagnie de son neveu qui a déjà pu compter sur les services de la Ressource. Il insiste sur l'importance de cet organisme.
La Ressource vient offrir du matériel, notamment pour permettre aux gens qui sont handicapés de pouvoir faire des activités avec des gens qui n’ont pas de handicap, pour qu’ils puissent être ensemble. Donc, cette ressource est super importante pour pouvoir compléter des mailles dans le filet et pour aider à soutenir les besoins là de de nos gens, ajoute M. Lagrange.
Ouvrir en mode plein écranPlusieurs artistes, accompagnés de musiciens lors d'une édition précédente du Téléthon de La Ressource.
Le 28e téléthon régional, sous le thème Illuminons l’avenir sera présenté au Théâtre du cuivre de Rouyn-Noranda et diffusé sur les ondes de Noovo Abitibi-Témiscamingue ou encore le site de La Ressource.
L'ensemble des billets ont été vendus a assuré Normand Lagrange
directeur général de la MRC d'Abitibi-Ouest
Les gens ont vraiment répondu rapidement à l'invitation pour soutenir La Ressource pour personnes handicapées avec ce brunch bénéfice
Il souligne au passage que La Sarre renoue ainsi avec une formule annuelle qui avait été suspendue depuis la pandémie de COVID-19
Plusieurs autres événements sont prévus un peu partout dans la région d’ici le téléthon de la Ressource qui se tiendra le dimanche 26 janvier prochain
Lagrange se promet d'y assister en compagnie de son neveu qui a déjà pu compter sur les services de la Ressource
Il insiste sur l'importance de cet organisme
La Ressource vient offrir du matériel
notamment pour permettre aux gens qui sont handicapés de pouvoir faire des activités avec des gens qui n’ont pas de handicap
pour qu’ils puissent être ensemble
cette ressource est super importante pour pouvoir compléter des mailles dans le filet et pour aider à soutenir les besoins là de de nos gens
sous le thème Illuminons l’avenir sera présenté au Théâtre du cuivre de Rouyn-Noranda et diffusé sur les ondes de Noovo Abitibi-Témiscamingue ou encore le site de La Ressource
Le brunch bénéfice pour La Ressource pour personnes handicapées Abitibi-Témiscamingue et Nord-du-Québec a fait salle comble à La Sarre
Sophie Mediavilla-Rivard | 22 juillet 2024
Il s’agit du deuxième incendie d’importance en l’espace de quelques mois dans la localité.
le restaurant Chez Bordy et le magasin électronique Amison avaient été détruits
L’intervention du Service incendie a débuté un peu avant 21 heures
Macamic et Dupuy ont combattu l’incendie
les éléments de l’enquête ne mènent pas à une cause criminelle
mentionne le directeur de Sécurité incendie et sécurité civile à la Ville de La Sarre
L’événement crée une onde de choc dans la communauté
Une équipe des travaux publics de la Ville de La Sarre s’affaire
depuis ce matin, à nettoyer les environs
assistée des pompiers pour éviter toute reprise d’incendie.
affirme que son administration va tout faire pour que les entrepreneurs reconstruisent et pour relocaliser les résidents qui ont tout perdu
Quatre immeubles de la rue Principale de La Sarre
ont été ravagés par les flammes dimanche soir
mais le feu laisse sans logis les locataires de 15 logements et affecte travailleurs et propriétaires de 13 locaux commerciaux
Les occupants avaient évacué les lieux avant même l’arrivée des pompiers peu avant 22 h dimanche soir
Ils ont été aidés par des passants ayant aperçu les flammes en premier
L’incendie a d’abord éclaté dans une pizzeria avant de s’étendre au reste de l’édifice et ensuite aux immeubles voisins qui se trouvaient au cœur du centre historique de cette municipalité d’un peu moins de 8000 habitants
Une travailleuse sociale de la Sûreté du Québec ainsi que la Croix-Rouge seront sur place pour aider les sinistrés
Ces derniers auront droit à une aide pour de l’hébergement
de l’alimentation et des vêtements pour les 72 heures suivant l’incident
1:42Incendie de La Sarre : l'aide s'organise pour les locataires qui ont tout perduAu Vidéojournal : la Ville tente de reloger les sinistrés après l'incendie qui a détruit 15 logements et 13 locaux commerciaux
Au Vidéojournal : la Ville tente de reloger les sinistrés après l'incendie qui a détruit 15 logements et 13 locaux commerciaux
Les autres sinistrés sont hébergés par des personnes de leur entourage
la Ville de La Sarre et plusieurs organismes de la MRC d’Abitibi-Ouest ont rapidement pris en charge les personnes touchées
mentionne le directeur de sécurité incendie et sécurité civile pour la ville de La Sarre
Une campagne de dons a été lancée pour recueillir de l’argent
des meubles et différentes ressources pour la relocalisation
La Maison Saint-André a aussi offert des vêtements et de l’aide alimentaire aux sinistrés
13 entreprises avaient également été la proie des flammes
Le restaurant Léo Pizza fait présentement des travaux et installations pour une éventuelle relocalisation
Et les débris de l’incendie n’ont toujours pas été nettoyés
puisque c’est la responsabilité des propriétaires et que les démarches de réclamation avec les assureurs se poursuivent
Trois jours plus tard, le 10 octobre, la Fédération des locataires d'habitations à loyer modique du Québec réclamait la mise sous tutelle de l’Office d’habitation du Lac-Abitibi.
La Société d’habitation du Québec, qui accompagne les offices d’habitation, confirme le départ de Mylène Joseph. La Société d’habitation du Québec (SHQ) n’émettra pas de commentaires à propos des motifs qui l’ont amenée à prendre cette décision, écrit l’organisation dans un courriel.
Le conseil d’administration de l’office d’habitation, en collaboration avec la SHQ, a déjà entamé un processus d’embauche afin de pourvoir le poste vacant, ajoute la Société d’habitation du Québec par courriel.
Ouvrir en mode plein écranLe HLM Monseigneur Desroches à La Sarre est administré par l’Office d’habitation Lac Abitibi. (Photo d'archives)
Jean-Marc BelzilePublié le 6 novembre 2024 à 11 h 22 HAEÉcouter l’article | 2 minutesLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale
une technologie basée sur l’intelligence artificielle.La directrice générale de l’Office d’habitation du Lac-Abitibi
Radio-Canada révélait en septembre qu’en pleine crise du logement
plusieurs habitations à loyer modique (HLM) gérées par l’Office d’habitation étaient inoccupées en Abitibi-Ouest
La Société d’habitation du Québec, qui accompagne les offices d’habitation, confirme le départ de Mylène Joseph. La Société d’habitation du Québec (SHQ) n’émettra pas de commentaires à propos des motifs qui l’ont amenée à prendre cette décision, écrit l’organisation dans un courriel.
Le conseil d’administration de l’office d’habitation, en collaboration avec la SHQ, a déjà entamé un processus d’embauche afin de pourvoir le poste vacant, ajoute la Société d’habitation du Québec par courriel.
Trois jours plus tard, le 10 octobre, la Fédération des locataires d'habitations à loyer modique du Québec réclamait la mise sous tutelle de l’Office d’habitation du Lac-Abitibi
qui accompagne les offices d’habitation
confirme le départ de Mylène Joseph
La Société d’habitation du Québec (SHQ) n’émettra pas de commentaires à propos des motifs qui l’ont amenée à prendre cette décision
écrit l’organisation dans un courriel
Le conseil d’administration de l’office d’habitation
a déjà entamé un processus d’embauche afin de pourvoir le poste vacant
ajoute la Société d’habitation du Québec par courriel
Trois jours plus tard, le 10 octobre, la Fédération des locataires d'habitations à loyer modique du Québec réclamait la mise sous tutelle de l’Office d’habitation du Lac-Abitibi
La directrice générale de l’Office d’habitation du Lac-Abitibi
dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"Le comité a lancé jeudi matin sa deuxième campagne de financement
dont l’objectif est de 750 000 dollars
Déjà 660 000 dollars ont été amassés
notamment auprès des entreprises du secteur
L’initiative a vu le jour en 2021, lorsque le Centre intégré de santé et de services sociaux de l’Abitibi-Témiscamingue (CISSS-AT) a annoncé la fermeture de la moitié des lits d’hospitalisations
en raison d’un manque important de main-d'œuvre
fermez la moitié des lits de l’hôpital
président de la Mobilisation de la Grande séduction
Quand on se présentait autant à nos partenaires financiers qu’à la population
tout le monde connaît l’importance de le faire
Ça a été formidable pour ça
ça a été un ralliement extraordinaire
54 infirmiers et infirmières provenant de l’international se sont installés en Abitibi-Ouest avec leur famille
La rétention actuelle du personnel en soins infirmiers qui a été recruté est aux environ de 90 %
La venue des nouveaux professionnels permet maintenant de rouvrir des lits d'hospitalisation à l'Hôpital de La Sarre
on a la capacité d’hospitaliser 20 personnes et ça c’est une grande nouvelle
en précisant que les enfants pourront aussi être hospitalisés près de chez eux
La première campagne de financement de la Grande séduction a permis d’amasser plus d’un million de dollars
Cette somme a permis de mettre en place des projets pour répondre aux principales préoccupations des nouveaux arrivants : l’accès à un logement et à des places en garderie
on s’est fait donner des meubles par la population
Tous les nouveaux arrivants sont arrivés dans un logement meublé
literie et épicerie pour 24 heures
Toutes les 50 familles sont arrivées avec ce kit-là que personne d’autre au Québec n'a réussi à faire
l’accueil de la population a fait la différence dans l’intégration des nouveaux arrivants
de la place qu’elle a faite aux gens qui viennent de l'extérieur
le conjoint ou la conjointe vient travailler dans nos industries
On apporte un surplus de main-d’oeuvre dont on a besoin
Le fait d’avoir ce fonds territorial, ça existe ailleurs, mais pas aussi intense que le nôtre. Ça fait 6000 $ pour partir, ça coûte très cher l’ameublement pour partir un service de garde alors c’est un bon coup de main pour nous aider, explique Bianca Matte, directrice générale du CPE Les Petits chatons qui agit comme bureau coordonnateur.
L'équipe de la Mobilisation de la Grande séduction d’Abitibi-Ouest a d’ailleurs annoncé l’ouverture d’un troisième service de garde communautaire de 12 places dès la semaine prochaine.
Avec acharnement, on travaille à essayer de changer le cours de l’histoire, conclut le président Sylvain Trudel.
Avec les informations de Jean-Michel Cotnoir.
Diplômée en journalisme de l'Université d'Ottawa, Annie-Claude Luneau couvre l'actualité de l'Abitibi-Témiscamingue depuis plus de 15 ans. Elle est journaliste à Radio-Canada à Rouyn-Noranda depuis 2011. Elle a animé l'émission Région zéro 8 sur ICI Première de 2015 à 2018, avant de devenir responsable des affectations et lancer le premier Vidéojournal au pays en 2020.
Ouvrir en mode plein écranSylvain Trudel, président de la Mobilisation de La Grande Séduction Abitibi-Ouest, croit que le programme incitatif est amené à un autre niveau.
Annie-Claude LuneauPublié le 9 janvier à 15 h 16 HAEÉcouter l’article | 4 minutesLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale
une technologie basée sur l’intelligence artificielle.La Mobilisation de la Grande séduction d’Abitibi-Ouest poursuit ses efforts pour recruter 100 infirmières d’ici 2026 et ainsi sauver ses soins de santé
Le comité a lancé jeudi matin sa deuxième campagne de financement
notamment auprès des entreprises du secteur
en raison d’un manque important de main-d'œuvre
président de la Mobilisation de la Grande séduction
Ouvrir en mode plein écranLa mobilisation à La Sarre pour attirer des infirmières porte ses fruits
Photo : Radio-Canada / Patrick Andre Perron
Quand on se présentait autant à nos partenaires financiers qu’à la population
tout le monde connaît l’importance de le faire
54 infirmiers et infirmières provenant de l’international se sont installés en Abitibi-Ouest avec leur famille
La rétention actuelle du personnel en soins infirmiers qui a été recruté est aux environ de 90 %
La venue des nouveaux professionnels permet maintenant de rouvrir des lits d'hospitalisation à l'Hôpital de La Sarre
Ouvrir en mode plein écranLa présidente-directrice générale du CISSS-AT
Caroline Roy a confirmé la réouverture de lits en santé mentale
en médecine générale et en pédiatrie à l'Hôpital de La Sarre
on a la capacité d’hospitaliser 20 personnes et ça c’est une grande nouvelle
en précisant que les enfants pourront aussi être hospitalisés près de chez eux
Cette somme a permis de mettre en place des projets pour répondre aux principales préoccupations des nouveaux arrivants : l’accès à un logement et à des places en garderie
on s’est fait donner des meubles par la population
Tous les nouveaux arrivants sont arrivés dans un logement meublé
Toutes les 50 familles sont arrivées avec ce kit-là que personne d’autre au Québec n'a réussi à faire
l’accueil de la population a fait la différence dans l’intégration des nouveaux arrivants
de la place qu’elle a faite aux gens qui viennent de l'extérieur
Ouvrir en mode plein écranLa population bénéficie de la mobilisation selon le maire de La Sarre
On apporte un surplus de main-d’oeuvre dont on a besoin
Le fait d’avoir ce fonds territorial, ça existe ailleurs, mais pas aussi intense que le nôtre. Ça fait 6000 $ pour partir, ça coûte très cher l’ameublement pour partir un service de garde alors c’est un bon coup de main pour nous aider, explique Bianca Matte, directrice générale du CPE Les Petits chatons qui agit comme bureau coordonnateur.
Ouvrir en mode plein écranBianca Matte est directrice générale du CPE Les Petits chatons.
L'équipe de la Mobilisation de la Grande séduction d’Abitibi-Ouest a d’ailleurs annoncé l’ouverture d’un troisième service de garde communautaire de 12 places dès la semaine prochaine.
Avec acharnement, on travaille à essayer de changer le cours de l’histoire, conclut le président Sylvain Trudel.
Le comité a lancé jeudi matin sa deuxième campagne de financement
L’initiative a vu le jour en 2021, lorsque le Centre intégré de santé et de services sociaux de l’Abitibi-Témiscamingue (CISSS-AT) a annoncé la fermeture de la moitié des lits d’hospitalisations
La première campagne de financement de la Grande séduction a permis d’amasser plus d’un million de dollars
Le fait d’avoir ce fonds territorial
ça coûte très cher l’ameublement pour partir un service de garde alors c’est un bon coup de main pour nous aider
directrice générale du CPE Les Petits chatons qui agit comme bureau coordonnateur
L'équipe de la Mobilisation de la Grande séduction d’Abitibi-Ouest a d’ailleurs annoncé l’ouverture d’un troisième service de garde communautaire de 12 places dès la semaine prochaine
on travaille à essayer de changer le cours de l’histoire
Avec les informations de Jean-Michel Cotnoir
Diplômée en journalisme de l'Université d'Ottawa
Annie-Claude Luneau couvre l'actualité de l'Abitibi-Témiscamingue depuis plus de 15 ans
Elle est journaliste à Radio-Canada à Rouyn-Noranda depuis 2011
Elle a animé l'émission Région zéro 8 sur ICI Première de 2015 à 2018
avant de devenir responsable des affectations et lancer le premier Vidéojournal au pays en 2020
La Mobilisation de la Grande séduction d’Abitibi-Ouest poursuit ses efforts pour recruter 100 infirmières d’ici 2026 et ainsi sauver ses soins de santé
[Gaël Huot], en ayant entretenu plusieurs rôles auprès du vendeur, s’est retrouvé en situation de conflit d’intérêts et n’a pas pris les mesures nécessaires [pour éviter une telle situation], précise la décision rendue le 26 juin dernier par le comité de discipline de l’Organisme d’autoréglementation du courtage immobilier du Québec (OACIQ).
L’OACIQ reproche à cet agent d’immeubles d’avoir continué à représenter son client pendant plusieurs mois alors qu’il aurait dû résilier le contrat qu’il avait signé pour le représenter.
M. Huot avait négocié un délai de 120 jours pour obtenir son financement hypothécaire, tandis que la norme est habituellement de 14 jours. Ce point a poussé le comité à conclure que le courtier a clairement privilégié ses intérêts au détriment de ceux de son client.
Gaël Huot a décliné notre demande d’entrevue, le comité de discipline n'ayant pas encore décidé de sa sanction. Par écrit, son avocat, François-Michel Gagnon, rappelle que son client a acquis cette maison à un prix conforme à celui du marché et qu’il l’habite toujours comme sa résidence familiale. Cette transaction a été faite à la satisfaction du vendeur.
Le vendeur a réitéré à maintes reprises sa satisfaction envers le travail de M. Huot, mais le comité de discipline considère que ces éloges n’infirment pas l’infraction déontologique. Cet élément pourrait toutefois atténuer la sanction qui sera éventuellement imposée à l'agent d'immeubles.
Le comité de discipline attribue aussi d’autres manquements à Gaël Huot, comme le fait d’avoir négocié le prix de vente avant de produire son avis de divulgation. Il a également présenté sa promesse d'achat en même temps que son avis de divulgation, rendant ainsi cet avis totalement inutile et hors délai, selon la décision.
Conçu par l'OACIQ, l'avis de divulgation est un formulaire utilisé par les courtiers pour dévoiler leurs intérêts dans le contexte d'une transaction.
M. Huot a déboursé 330 000 $ pour obtenir cette maison, affichée à 369 000 $ en octobre 2020. Cette somme à la baisse a tout de même réjoui le vendeur, qui espérait obtenir un montant semblable en vendant sa demeure à un tiers étant donné l’absence de rémunération pour le courtier.
Ouvrir en mode plein écranUn courtier immobilier de La Sarre s'est placé en situation de conflit d'intérêts lors d'une transaction amorcée en décembre 2020. (Photo d'archives)
Photo : Radio-Canada / Olivia Laperrière-Roy
Gabriel PoirierPublié le 11 juillet 2024 à 19 h 02 HAEÉcouter l’article | 3 minutesLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale, une technologie basée sur l’intelligence artificielle.Le courtier de La Sarre Gaël Huot s’est placé en situation de conflit d’intérêts en achetant la maison d’un de ses clients au printemps 2021. C’est la conclusion à laquelle aboutit le comité de discipline de son organisme professionnel, malgré les bons mots de son client.
Le vendeur, dont l’identité est protégée par une ordonnance de non-publication, a tenté en vain de se départir de sa maison pendant plus d’un an. Il a finalement consenti à la céder en décembre 2020 à l’agent d’immeuble Gaël Huot, qu’il avait embauché deux mois plus tôt pour le représenter auprès d’acheteurs potentiels.
[Gaël Huot], en ayant entretenu plusieurs rôles auprès du vendeur, s’est retrouvé en situation de conflit d’intérêts et n’a pas pris les mesures nécessaires [pour éviter une telle situation], précise la décision rendue le 26 juin dernier par le comité de discipline de l’Organisme d’autoréglementation du courtage immobilier du Québec (OACIQ).
L’OACIQ reproche à cet agent d’immeubles d’avoir continué à représenter son client pendant plusieurs mois alors qu’il aurait dû résilier le contrat qu’il avait signé pour le représenter.
M. Huot avait négocié un délai de 120 jours pour obtenir son financement hypothécaire, tandis que la norme est habituellement de 14 jours. Ce point a poussé le comité à conclure que le courtier a clairement privilégié ses intérêts au détriment de ceux de son client.
Ouvrir en mode plein écranLe siège social de l'OACIQ, qui est l'autorité en matière de courtage immobilier au Québec, est situé à Brossard. (Photo d'archives)
Gaël Huot a décliné notre demande d’entrevue, le comité de discipline n'ayant pas encore décidé de sa sanction. Par écrit, son avocat, François-Michel Gagnon, rappelle que son client a acquis cette maison à un prix conforme à celui du marché et qu’il l’habite toujours comme sa résidence familiale. Cette transaction a été faite à la satisfaction du vendeur.
Le vendeur a réitéré à maintes reprises sa satisfaction envers le travail de M. Huot, mais le comité de discipline considère que ces éloges n’infirment pas l’infraction déontologique. Cet élément pourrait toutefois atténuer la sanction qui sera éventuellement imposée à l'agent d'immeubles.
Le comité de discipline attribue aussi d’autres manquements à Gaël Huot, comme le fait d’avoir négocié le prix de vente avant de produire son avis de divulgation. Il a également présenté sa promesse d'achat en même temps que son avis de divulgation, rendant ainsi cet avis totalement inutile et hors délai, selon la décision.
Conçu par l'OACIQ, l'avis de divulgation est un formulaire utilisé par les courtiers pour dévoiler leurs intérêts dans le contexte d'une transaction.
M. Huot a déboursé 330 000 $ pour obtenir cette maison, affichée à 369 000 $ en octobre 2020. Cette somme à la baisse a tout de même réjoui le vendeur, qui espérait obtenir un montant semblable en vendant sa demeure à un tiers étant donné l’absence de rémunération pour le courtier.
dont l’identité est protégée par une ordonnance de non-publication
a tenté en vain de se départir de sa maison pendant plus d’un an
Il a finalement consenti à la céder en décembre 2020 à l’agent d’immeuble Gaël Huot
qu’il avait embauché deux mois plus tôt pour le représenter auprès d’acheteurs potentiels
en ayant entretenu plusieurs rôles auprès du vendeur
s’est retrouvé en situation de conflit d’intérêts et n’a pas pris les mesures nécessaires [pour éviter une telle situation]
précise la décision rendue le 26 juin dernier par le comité de discipline de l’Organisme d’autoréglementation du courtage immobilier du Québec (OACIQ)
L’OACIQ reproche à cet agent d’immeubles d’avoir continué à représenter son client pendant plusieurs mois alors qu’il aurait dû résilier le contrat qu’il avait signé pour le représenter
M. Huot avait négocié un délai de 120 jours pour obtenir son financement hypothécaire
tandis que la norme est habituellement de 14 jours
Ce point a poussé le comité à conclure que le courtier a clairement privilégié ses intérêts au détriment de ceux de son client
Gaël Huot a décliné notre demande d’entrevue
le comité de discipline n'ayant pas encore décidé de sa sanction
rappelle que son client a acquis cette maison à un prix conforme à celui du marché et qu’il l’habite toujours comme sa résidence familiale
Cette transaction a été faite à la satisfaction du vendeur
Le vendeur a réitéré à maintes reprises sa satisfaction envers le travail de M. Huot
mais le comité de discipline considère que ces éloges n’infirment pas l’infraction déontologique
Cet élément pourrait toutefois atténuer la sanction qui sera éventuellement imposée à l'agent d'immeubles
Le comité de discipline attribue aussi d’autres manquements à Gaël Huot
comme le fait d’avoir négocié le prix de vente avant de produire son avis de divulgation
Il a également présenté sa promesse d'achat en même temps que son avis de divulgation
rendant ainsi cet avis totalement inutile et hors délai
l'avis de divulgation est un formulaire utilisé par les courtiers pour dévoiler leurs intérêts dans le contexte d'une transaction
M. Huot a déboursé 330 000 $ pour obtenir cette maison
affichée à 369 000 $ en octobre 2020
Cette somme à la baisse a tout de même réjoui le vendeur
qui espérait obtenir un montant semblable en vendant sa demeure à un tiers étant donné l’absence de rémunération pour le courtier
Le courtier de La Sarre Gaël Huot s’est placé en situation de conflit d’intérêts en achetant la maison d’un de ses clients au printemps 2021
C’est la conclusion à laquelle aboutit le comité de discipline de son organisme professionnel
Des infirmiers et infirmières recrutés en Afrique ont été victimes d’intimidation et de dénigrement au cégep de l’Abitibi-Témiscamingue et dans les hôpitaux de la région où ils ont été formés
selon un rapport obtenu par Le Devoir auprès de l’organisme chargé de fournir du soutien pédagogique
Une situation qui a mené à une vague d’échecs au printemps 2024
Les exemples de remarques racistes et humiliantes se succèdent dans le rapport lourdement caviardé dans lequel témoignent une dizaine de ces futurs soignants formés à Amos et La Sarre
l’enseignante aurait commencé en disant : “Il paraît qu’en Afrique
lit-on dans le document obtenu en vertu de la loi sur l’accès à l’information
« D’autres ont parlé d’insultes de la part de l’enseignante (“vous êtes nuls
une enseignante « criait sur les étudiants dans le couloir et les traitait d’incapables »
Elle leur aurait dit qu’elle allait montrer au ministère de l’Immigration
de la Francisation et de l’Intégration (MIFI) qu’il n’aurait jamais dû les recruter
les étudiants avaient l’impression que le but de l’enseignante était d’éliminer certains d’entre eux
Cumulant plusieurs années d’expérience dans leur pays
ils faisaient partie de la Phase 3 du programme chapeauté par le MIFI
visant à recruter 1000 infirmiers et infirmières — 1500 à terme — diplômés hors Canada (IDHC) pour venir en renfort dans le réseau de la santé québécois
le Consortium en soins infirmiers du Cégep du Vieux Montréal
qui a reçu jusqu’ici près de 2 millions de dollars pour accompagner les cégeps dans le programme
a dépêché deux employés en Abitibi pour répondre à une crise
Cette visite a eu lieu cinq mois après qu’il a pris connaissance d’une vague d’échecs — 16 dans une cohorte de 40 — et de vidéos diffusées sur Facebook dans lesquelles les étudiants ont relaté les injustices subies
Bien que contenant des constats préoccupants
le rapport de la visite n’a pas été transmis au ministère ni au cégep de l’Abitibi
qui indique qu’il le destinait à ses gestionnaires et à ses employés
Ils disent avoir entendu le personnel dire « Est-ce qu’on avait besoin d’aller les chercher en Afrique
Certains ont appris leur échec à leur stage dans le couloir de l’unité de soins
certains étudiants ont parlé « d’acharnement » de la part d’une enseignante qui cherchait à tout prix à les coincer
notamment en les bombardant de questions sans leur donner le temps de répondre
La totalité des étudiants mentionnent qu’ils n’avaient pas vu toute la matière du cours préalable à leur stage
ce qui a été reconnu par la conseillère pédagogique
« Plusieurs étudiants n’ont pas eu d’évaluations de mi-session
ce que le cégep confirme pour motif de manque de temps ou d’horaires qui ne concordent pas »
Les situations qui ont été relatées en bonne partie semblent être surtout des enjeux de perception
Plusieurs de ces étudiants à qui Le Devoir a parlé ont confié avoir été plongés dans une grande détresse
Ils ont alors perdu leur assurance médicale
les allocations hebdomadaires du MIFI — un peu plus de 600 $
y compris les frais de garde et de transport — et la possibilité de travailler comme préposés aux bénéficiaires
Un grand nombre d’entre eux se sont ainsi retrouvés sans revenus avec plusieurs bouches à nourrir
« J’ai été obligé de vivre chez un ami et d’aller aux banques alimentaires
Même si certains de ces infirmiers exclus se font proposer un emploi de préposé aux bénéficiaires
le processus d’embauche et d’obtention du permis de travail fermé peut prendre plus de six mois
un délai durant lequel ils n’ont aucun revenu
Les étudiants rapportent qu’ils ont tenté d’ouvrir un dialogue avec les enseignantes problématiques — elles sont parties depuis — de même qu’avec la conseillère pédagogique et la coordonnatrice responsable de cette deuxième cohorte qu’accueillait le cégep
Mais leur détresse n’a pas été prise au sérieux
alors qu’ils vivaient des “situations traumatisantes” en stage »
Ils n’auraient jamais été informés de la possibilité de déposer une plainte ni d’obtenir une reprise
avant d’avoir finalement décidé de s’exprimer publiquement sur les réseaux sociaux
le directeur de la formation continue du cégep de l’Abitibi
dit avoir réagi rapidement aux critiques des étudiants
Les mécanismes de plainte leur auraient alors été expliqués
Aucune plainte déposée n’a toutefois été retenue
« Les situations qui ont été relatées en bonne partie semblent être surtout des enjeux de perception »
Il assure avoir agi « avec diligence » dès qu’il a été informé de la vague d’échecs au printemps dernier
Le MIFI affirme pour sa part avoir « rapidement mobilisé les partenaires concernés pour mettre en place une offre de reprise »
les enseignants ont de la frustration parce que peut-être que [les étudiants] ne vont pas assez vite à leur goût
la reprise n’a toutefois démarré que cinq mois plus tard
laissant dans l’intervalle les étudiants dans des situations critiques
alertés par la vague d’échecs et les vidéos Facebook
des plaintes ont été déposées à la Commission des droits de la personne et des droits de la jeunesse et au Protecteur du citoyen
Des députés locaux ont également été informés de la situation
Quand il s’est fait demander s’il était au courant des allégations de racisme
renvoyant la balle au Cégep de l’Abitibi-Témiscamingue
la directrice adjointe au projet de formation et de recrutement à l’international des IDHC du Consortium
ne nie pas les allégations de racisme et les problèmes survenus au cégep de l’Abitibi-Témiscamingue
Elle assure toutefois que c’est « un cas isolé »
les hôpitaux ont peut-être des attentes trop élevées et les enseignants
n’ont pas d’expérience avec des candidats africains
il y [en] a qui ont des fois des propos déplacés ou désagréables »
ajoutant toutefois qu’elle n’a pas la responsabilité des milieux cliniques
on voulait s’assurer que les enseignants qui sont auprès de ces étudiants-là
» Mme Sgambato précise toutefois que la responsabilité du Consortium est limitée
Julien Pierre Arsenault ne cache pas que les « allégations » des étudiants ont généré une crise à son cégep
« C’est pas le fun de voir ça sur les médias sociaux
Nos enseignants s’investissent énormément dans la réussite des étudiants donc je ne cacherai pas que ça a pu être pris un peu comme une claque au visage pour certains
il y a des étudiants qui rencontrent encore certaines difficultés
d’autres formes d’accompagnement pour s’assurer vraiment de les soutenir le plus possible dans leurs études
dans la première cohorte accueillie en 2023
37 étudiants sur 39 ont réussi leur formation et que 34 d’entre eux ont réussi l’examen de l’Ordre des infirmières et des infirmiers du Québec
je serais prêt à repartir à 200 % dans l’organisation d’une nouvelle cohorte
puis on dit que ça peut être super avantageux pour et bénéfique pour notre communauté
Une enseignante aurait dit à un étudiant : « Je ne te sens pas
» L’étudiant lui demande si elle voit des difficultés sur lesquelles il faut travailler
Un étudiant mentionne avoir vécu une « situation humiliante » quand on lui a demandé d’aller chercher un banc et qu’il ne le trouvait pas
car il le connaissait sous le nom de tabouret ou d’échelle
Le personnel sur le plancher aurait ri de l’étudiant en disant : « Même ça
Plusieurs parlent des enseignantes qui les rabaissent
les mettant dans un état de panique et leur donnant un sentiment de diminution de l’estime de soi
Certains n’ont pas pu finir leurs journées de stage en apprenant leur échec dans le couloir de l’unité
Les étudiants nous informent des changements fréquents de notes sur Omnivox
Ils expriment l’incompréhension et la méfiance que ces situations ont causées
La totalité des étudiants dit passer beaucoup de temps à effectuer le travail de préposé aux bénéficiaires lorsqu’ils sont en stage
en plus de leurs tâches comme stagiaire en soins infirmiers
j’ai vu à la télé le feu à l’école
et j’ai appelé mon ministre de l’Éducation
c’était Jean-François Roberge
et il m’a dit : “On ne vous laissera pas tomber”
on avait le OK pour reconstruire l’école
a raconté la députée d’Abitibi-Ouest
La reconstruction s’est conclue juste à temps pour la rentrée des classes à la fin de l’été et a coûté 25,7 millions de dollars
on avait l’impression que le monde s’effondrait
on voulait offrir des services de qualité
on n’a pas vu que ça pouvait être une belle opportunité
on s’est aperçu qu’on pouvait s’en servir comme levier et aujourd’hui
on voit le résultat que ça donne
directrice générale du Centre de services scolaire du Lac-Abitibi
Le pavillon Phénix-du-Savoir est ainsi la première école construite en Abitibi-Ouest depuis 1990. C’est aussi la première école de nouvelle génération du gouvernement caquiste construite en Abitibi-Témiscamingue
C’est vraiment différent de ce qu’on est habitués de voir
ne serait-ce que le degré de clarté
le bois qui rend les pièces plus chaleureuses
le son qui est plus feutré qui permet une meilleure qualité au niveau de l’audition
Ce sont vraiment des caractéristiques avec lesquelles on est heureux de pouvoir offrir cet environnement-là à nos gens
L’inauguration a été un moment rempli d’émotions pour les membres du personnel scolaire qui ont perdu une bonne partie de leur matériel et de leurs souvenirs dans l’incendie
Une enseignante me disait : “Écoute c’est tellement agréable d'enseigner dans cette école
Elle avait un petit moment d’émotion quand elle me racontait ça et on m’a expliqué par la suite qu’elle était à Victor-Cormier quand le bâtiment a pris feu
raconte le ministre de l’Éducation
qui était sur place pour l’occasion
c’est un moyen pour permettre à nos élèves d’aller au bout de leur potentiel
La science le dit : “Si tu te sens bien à un endroit
Ouvrir en mode plein écranLe ministre Bernard Drainville et la députée Suzanne Blais sont accueillis par les directrices adjointes du pavillon Phénix-du-Savoir
a été officiellement inauguré mercredi après-midi en présence du ministre de l’Éducation
et j’ai appelé mon ministre de l’Éducation
et il m’a dit : “On ne vous laissera pas tomber”
Ouvrir en mode plein écranInauguration de l’École de l’Envol
au Centre de services scolaire du Lac-Abitibi
on avait l’impression que le monde s’effondrait
on n’a pas vu que ça pouvait être une belle opportunité
on s’est aperçu qu’on pouvait s’en servir comme levier et aujourd’hui
directrice générale du Centre de services scolaire du Lac-Abitibi
Ouvrir en mode plein écranLe gymnase du nouveau pavillon Phénix-du-Savoir
C’est vraiment différent de ce qu’on est habitués de voir
le bois qui rend les pièces plus chaleureuses
le son qui est plus feutré qui permet une meilleure qualité au niveau de l’audition
Ce sont vraiment des caractéristiques avec lesquelles on est heureux de pouvoir offrir cet environnement-là à nos gens
L’inauguration a été un moment rempli d’émotions pour les membres du personnel scolaire qui ont perdu une bonne partie de leur matériel et de leurs souvenirs dans l’incendie
Ouvrir en mode plein écranLes casiers des élèves au nouveau pavillon Phénix-du-Savoir de La Sarre
Une enseignante me disait : “Écoute c’est tellement agréable d'enseigner dans cette école
Elle avait un petit moment d’émotion quand elle me racontait ça et on m’a expliqué par la suite qu’elle était à Victor-Cormier quand le bâtiment a pris feu
c’est un moyen pour permettre à nos élèves d’aller au bout de leur potentiel
La science le dit : “Si tu te sens bien à un endroit
Le bâtiment, qui accueille près de 200 élèves, a été construit à la suite de l’incendie qui a ravagé le pavillon Victor-Cormier, en 2019
La reconstruction s’est conclue juste à temps pour la rentrée des classes à la fin de l’été et a coûté 25,7 millions de dollars
Le pavillon Phénix-du-Savoir est ainsi la première école construite en Abitibi-Ouest depuis 1990. C’est aussi la première école de nouvelle génération du gouvernement caquiste construite en Abitibi-Témiscamingue
Le bâtiment, qui accueille près de 200 élèves, a été construit à la suite de l’incendie qui a ravagé le pavillon Victor-Cormier, en 2019
PHOTO : GracieusetéDeux étudiantes en soins préhospitaliers d'urgence sillonnent à vélo les rues de La Sarre cet été
le fruit d’une entente entre l’organisme Dessercom qui offre des services préhospitaliers d'urgence et la Ville de La Sarre
L’étudiante paramédicale Elsa Coulombe participe à cette expérience qu’elle trouve enrichissante
« On se promène en ville et on a du fun à dire bonjour aux gens
puis à se promener et faire le tour de la ville
responsable du projet et de la formation chez Dessercom
rappelle qu’il s’agit avant tout d’étudiantes paramédicales et elles vont assurer une certaine sécurité à la population lors des événements qui se déroulent à La Sarre
Ce sont des étudiantes qui se promènent en ville pour donner des soins
si on voit une chute dans un parc ou s’il y a des blessés dans les événements
elles vont pouvoir intervenir et donner les soins appropriés aux gens
David Hamelin-Pelletier parle aussi du vélo utilisé et des équipements que les étudiantes doivent avoir en main pour intervenir
Des cadets paramédicaux à La Sarre à l’été 2024Appli Radio-Canada OHdioTout un monde à écouter, partout où vous allez.
L'étudiante paramédicale Elsa Coulombe participe à cette expérience qu'elle trouve enrichissante
On se promène en ville et on a du fun à dire bonjour aux gens
rappelle qu’il s’agit avant tout d'étudiantes paramédicales et elles vont assurer une certaine sécurité à la population lors des événements qui se déroulent à La Sarre
si on voit une chute dans un parc ou s'il y a des blessés dans les événements
Deux étudiantes en soins préhospitaliers d'urgence sillonnent à vélo les rues de La Sarre cet été
L'expérience est une première en région
le fruit d’une entente entre l’organisme Dessercom qui offre des services préhospitaliers d'urgence et la Ville de La Sarre
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Les ménages qui habitent dans un HLM paient 25 % de leurs revenus pour le logement. Pour être admissible à un HLM en Abitibi-Ouest, une personne seule ne peut gagner plus de 25 000 $ et le revenu du ménage ne doit pas dépasser 37 000 $ pour une famille de 4 ou 5 personnes. Certains HLM exigent aussi un âge minimum, comme c’est le cas à Palmarolle.
Ces logements libres coûtent cher puisque c’est la municipalité qui paie en partie pour les frais. Le déficit est payé à 90 % par la Société d’habitation du Québec (SHQ), et à 10 % par les municipalités. Des municipalités qui, dans la plupart des cas, n’ont pas énormément d’argent.
C’est l’Office d’habitation (OH) du lac Abitibi qui gère les HLM de La Sarre, Palmarolle, La Reine, Normétal et Dupuy. Selon les responsables, 15 logements sur 104 sont libres. Après vérifications, Radio-Canada a pu constater que ce chiffre est sous-estimé.
Il y a plus d’une vingtaine de logements qui sont inoccupés, dont certains près du centre-ville de La Sarre.
La directrice générale de l’OH, Mylène Joseph, précise que ces logements sont libres puisqu’il n’y a pas de demandes dans ces municipalités.
Interrogée à savoir si les critères pouvaient être modifiés, elle assure que tous les scénarios sont envisagés.
Cette situation est malheureuse, mais n’est pas exceptionnelle quand il s’agit d’immeubles à bonne distance des services. Nous continuons de travailler avec l’Office en place pour trouver des solutions et permettre dès que possible la location de ces logements. Des assouplissements sont aussi possibles et permettent également de favoriser les locations, explique pour sa part la Société d’habitation du Québec (SHQ) par courriel.
À la Fédération des locataires des HLM du Québec, on estime que les critères auraient dû être modifiés.
Moi, je sais que je reçois des appels de locataires qui disent qu’ils sont admissibles, mais qui n'arrivent pas à appliquer. Ils ne comprennent pas pourquoi ils n’étaient pas sur la liste d’attente alors qu’il y a des logements vacants.
La directrice générale de l’Office d’habitation du lac Abitibi, Mylène Joseph, estime pour sa part que la relation avec les différents villages est bonne, précisant que chaque municipalité a un représentant au sein du conseil d’administration (CA) de l’Office.
Ce même CA a tout de même adopté le 13 juin 2023 une résolution pour rappeler aux municipalités qu’elles n’ont aucun pouvoir décisionnel.
Il est résolu d’envoyer une lettre aux municipalités/villes leur expliquant que malgré leur contribution de 10 %, les décisions concernant les HLM reviennent à l’OHLA uniquement, peut-on lire dans le procès-verbal.
Le Comité consultatif des résidents (CCR) créé en 2019 pour représenter les résidents des HLM au sein du conseil d’administration de l’OH est aussi d’avis que l’information est difficile à obtenir.
Le président Jacques Mailhoux dit avoir pris la décision de s’impliquer pour comprendre ce qui peut expliquer ces logements inhabités.
Quand on entend le monde nous dire ou nous téléphoner pour nous dire : “On voudrait avoir un loyer, mais on n’est pas capable de rejoindre la DG”. Ça me met en feu bien raide, j’ai de la misère à accepter ça, explique-t-il.
Le comité tente depuis mars 2023 d’obtenir des réponses auprès de la directrice générale de l’Office d’habitation du lac Abitibi, Mylène Joseph, mais la communication est très difficile.
En mars 2023, le CCR a d’abord demandé les procès-verbaux et les ordres du jour des rencontres du conseil d’administration de l’Office municipal d’habitation. La directrice générale leur répond alors qu’ils doivent passer par la Loi sur l’accès à l’information.
Nous ne pouvons vous transmettre les documents sans respecter ce processus, écrit-elle le 27 avril 2023.
Lors d’un entretien téléphonique avec Radio-Canada le 9 septembre dernier, elle réitère cette position.
La demande du CCR est pourtant légitime et n’a pas à passer par l’accès à l’information.
C’est écrit directement dans la Loi. Ce qui est écrit noir sur blanc, c’est que le CCR a le droit d’avoir accès aux procès-verbaux, de rencontrer aussi le conseil d’administration une fois par année, explique Patricia Viannay, coordonnatrice de la Fédération des locataires des HLM du Québec.
C’est finalement après des mois de démarches des membres du CCR et l’intervention de la Fédération des locataires d'habitations à loyer modique du Québec qu’ils ont reçu les procès-verbaux en décembre 2023. Toutefois, à ce jour, le comité n’a toujours pas pu consulter, comme le prévoit la loi, le rapport annuel et le budget de l’Office d’habitation du lac Abitibi.
Le guide de gestion du logement social prévoit aussi que l’Office d’habitation doit financer le CCR à raison de 30 $ par logement par année pour permettre d’organiser des activités au profit des locataires, mais l’Office d’habitation du lac Abitibi refuse de fournir cet argent au comité.
Il n’y a pas moyen d’avoir notre argent d’association pour fonctionner. Il faut que ce soit les locataires qui déboursent de leurs poches pour une activité et ils attendent ensuite pour se faire rembourser, mais ça peut être long, explique la secrétaire du comité, Blaise Boisvert.
Questionnée à ce sujet, la directrice générale de l’OH, Mylène Joseph, n’a pas voulu répondre, affirmant qu’il s’agit d’une question en lien avec la gestion interne.
En théorie, il n’y a pas de raison que ce soit l’Office qui gère elle-même l’argent. En fait l’Office fait juste recevoir l’argent de la SHQ pour la donner aux associations, affirme pour sa part Patricia Viannay.
Le conflit actuel entre les membres du Comité des résidents et la directrice générale de l’Office d'habitation fait en sorte que les résidents ne sont plus représentés au conseil d’administration, mais le dialogue est aussi nul entre les deux parties depuis plus d’un an.
La Loi sur la SHQ prévoit que deux ou trois locataires siègent au conseil d'administration d'un office d'habitation, mais dans le cas du lac Abitibi, aucun locataire n’est présent.
Jacques Mailhoux et Blaise Boisvert précisent que les membres élus de leur organisation n’ont jamais été invités à participer.
Mylène Joseph dit refuser les nominations du CCR puisque, selon elle, leurs élections n’étaient pas conformes. Ils empêchaient des gens de voter, qui avaient pourtant le droit de voter, explique-t-elle.
De leur côté, Blaise Boisvert et Jacques Mailhoux assurent que tout a été fait dans les règles. Ils précisent par ailleurs avoir demandé à l’Office d'habitation la liste complète des locataires, comme le prévoit la loi, mais que la directrice a refusé de leur donner cette information.
La députée d’Abitibi-Ouest, Suzanne Blais, dit avoir été avisée du taux d’occupation des HLM et des tensions entre les résidents et la directrice générale de l’OH, mais a refusé de commenter.
Je suis au fait de la problématique et on continue de travailler avec les acteurs concernés pour trouver des solutions et permettre dès que possible la location de ces logements. Des assouplissements sont aussi possibles et permettent également de favoriser les locations, nous a fait savoir son bureau par courriel.
La MRC d’Abitibi-Ouest a aussi refusé de commenter la situation. La MRC précise par courriel avoir eu des discussions avec les deux offices d’habitation de la localité, soit l'Office municipal d'habitation Arc-en-ciel et l'Office d’habitation Lac Abitibi.
La MRC mentionne que le comité n’intervient pas dans la gestion interne des différents promoteurs.
Le président du CCR, Jacques Mailhoux, dit avoir déposé une plainte à la Société d’habitation du Québec, mais qu'elle n'a abouti à aucun changement.
Pour que la plainte soit valable, il faut que chaque personne fasse une plainte. Ce sont des personnes âgées. Comme le HLM à Normétal, il y a une personne sur 20 loyers qui a un ordinateur, le monde ne veut pas toucher à ça, ça leur fait peur. On est leurs représentants, on devrait être capable de les représenter, mais non, eux autres, c’est personne par personne, précise-t-il.
Jacques Mailhoux déplore que dans le conflit actuel entre lui et l’Office d’habitation, ce soient les locataires qui en paient le prix.
En pleine crise du logement, plusieurs habitations à loyer modique (HLM) gérées par l’Office d’habitation du lac Abitibi sont inoccupées en Abitibi-Ouest. Une situation qui perdure depuis des années et aucune solution n’a été trouvée.
Ouvrir en mode plein écranAu moins deux logements sont inoccupés au HLM de Normétal.
Jean-Marc BelzilePublié le 11 septembre 2024 à 6 h 20 HAEÉcouter l’article | 11 minutesLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale, une technologie basée sur l’intelligence artificielle.Dans la petite municipalité de La Reine qui compte un peu plus de 300 habitants, 11 habitations à loyer modique (HLM) sont disponibles, mais seulement cinq sont occupées. Plusieurs de ces logements sont vides depuis plusieurs années.
La mairesse Fanny Dupras-Rossier précise qu’elle a tenté à quelques reprises d’obtenir des explications, mais sans succès. On pose des questions, mais c’est difficile d’obtenir des réponses claires, explique-t-elle.
À Palmarolle, 3 des 10 logements en HLM ne sont pas occupés. Depuis longtemps. À Palmarolle, on peut lire dans le plan d’action de la municipalité 2015-2017 qu’il s’agissait déjà d’un problème. La municipalité réclamait des changements en proposant de sensibiliser les administrateurs du HLM afin qu’ils abaissent l’âge d’admissibilité à 55 ans. L'Office d'habitation du Lac Abitibi précise avoir abaissé en 2022 l'âge minimum à 50 ans pour les HLM d'Abitibi-Ouest.
Les ménages qui habitent dans un HLM paient 25 % de leurs revenus pour le logement. Pour être admissible à un HLM en Abitibi-Ouest, une personne seule ne peut gagner plus de 25 000 $ et le revenu du ménage ne doit pas dépasser 37 000 $ pour une famille de 4 ou 5 personnes. Certains HLM exigent aussi un âge minimum, comme c’est le cas à Palmarolle.
Ces logements libres coûtent cher puisque c’est la municipalité qui paie en partie pour les frais. Le déficit est payé à 90 % par la Société d’habitation du Québec (SHQ), et à 10 % par les municipalités. Des municipalités qui, dans la plupart des cas, n’ont pas énormément d’argent.
C’est l’Office d’habitation (OH) du lac Abitibi qui gère les HLM de La Sarre, Palmarolle, La Reine, Normétal et Dupuy. Selon les responsables, 15 logements sur 104 sont libres. Après vérifications, Radio-Canada a pu constater que ce chiffre est sous-estimé.
Il y a plus d’une vingtaine de logements qui sont inoccupés, dont certains près du centre-ville de La Sarre.
La directrice générale de l’OH, Mylène Joseph, précise que ces logements sont libres puisqu’il n’y a pas de demandes dans ces municipalités.
Interrogée à savoir si les critères pouvaient être modifiés, elle assure que tous les scénarios sont envisagés.
Cette situation est malheureuse, mais n’est pas exceptionnelle quand il s’agit d’immeubles à bonne distance des services. Nous continuons de travailler avec l’Office en place pour trouver des solutions et permettre dès que possible la location de ces logements. Des assouplissements sont aussi possibles et permettent également de favoriser les locations, explique pour sa part la Société d’habitation du Québec (SHQ) par courriel.
À la Fédération des locataires des HLM du Québec, on estime que les critères auraient dû être modifiés.
Dans d’autres offices, ça s’est vu, il y a une possibilité par décret d’augmenter le plafond de revenus admissibles lorsqu’on n’arrive pas à louer les logements. Ça s’est fait dans plusieurs régions, dont dernièrement en Gaspésie. Il faut que des démarches soient entreprises pour que ces logements ne restent pas vides alors qu’on est en pleine crise du logement, explique la coordonnatrice Patricia Viannay qui dit aussi recevoir des appels de citoyens mécontents d’Abitibi-Ouest.
Moi, je sais que je reçois des appels de locataires qui disent qu’ils sont admissibles, mais qui n'arrivent pas à appliquer. Ils ne comprennent pas pourquoi ils n’étaient pas sur la liste d’attente alors qu’il y a des logements vacants.
La directrice générale de l’Office d’habitation du lac Abitibi, Mylène Joseph, estime pour sa part que la relation avec les différents villages est bonne, précisant que chaque municipalité a un représentant au sein du conseil d’administration (CA) de l’Office.
Ce même CA a tout de même adopté le 13 juin 2023 une résolution pour rappeler aux municipalités qu’elles n’ont aucun pouvoir décisionnel.
Il est résolu d’envoyer une lettre aux municipalités/villes leur expliquant que malgré leur contribution de 10 %, les décisions concernant les HLM reviennent à l’OHLA uniquement, peut-on lire dans le procès-verbal.
Ouvrir en mode plein écranLe pavillon de l’Ouest à La Sarre avait des logements inoccupés.
Le Comité consultatif des résidents (CCR) créé en 2019 pour représenter les résidents des HLM au sein du conseil d’administration de l’OH est aussi d’avis que l’information est difficile à obtenir.
Le président Jacques Mailhoux dit avoir pris la décision de s’impliquer pour comprendre ce qui peut expliquer ces logements inhabités.
Quand on entend le monde nous dire ou nous téléphoner pour nous dire : “On voudrait avoir un loyer, mais on n’est pas capable de rejoindre la DG”. Ça me met en feu bien raide, j’ai de la misère à accepter ça, explique-t-il.
Le comité tente depuis mars 2023 d’obtenir des réponses auprès de la directrice générale de l’Office d’habitation du lac Abitibi, Mylène Joseph, mais la communication est très difficile.
En mars 2023, le CCR a d’abord demandé les procès-verbaux et les ordres du jour des rencontres du conseil d’administration de l’Office municipal d’habitation. La directrice générale leur répond alors qu’ils doivent passer par la Loi sur l’accès à l’information.
Ouvrir en mode plein écranJacques Mailhoux, le président du CCR avec Blaise Boisvert, la secrétaire.
Nous ne pouvons vous transmettre les documents sans respecter ce processus, écrit-elle le 27 avril 2023.
Lors d’un entretien téléphonique avec Radio-Canada le 9 septembre dernier, elle réitère cette position.
La demande du CCR est pourtant légitime et n’a pas à passer par l’accès à l’information.
C’est écrit directement dans la Loi. Ce qui est écrit noir sur blanc, c’est que le CCR a le droit d’avoir accès aux procès-verbaux, de rencontrer aussi le conseil d’administration une fois par année, explique Patricia Viannay, coordonnatrice de la Fédération des locataires des HLM du Québec.
C’est finalement après des mois de démarches des membres du CCR et l’intervention de la Fédération des locataires d'habitations à loyer modique du Québec qu’ils ont reçu les procès-verbaux en décembre 2023. Toutefois, à ce jour, le comité n’a toujours pas pu consulter, comme le prévoit la loi, le rapport annuel et le budget de l’Office d’habitation du lac Abitibi.
Le guide de gestion du logement social prévoit aussi que l’Office d’habitation doit financer le CCR à raison de 30 $ par logement par année pour permettre d’organiser des activités au profit des locataires, mais l’Office d’habitation du lac Abitibi refuse de fournir cet argent au comité.
Il n’y a pas moyen d’avoir notre argent d’association pour fonctionner. Il faut que ce soit les locataires qui déboursent de leurs poches pour une activité et ils attendent ensuite pour se faire rembourser, mais ça peut être long, explique la secrétaire du comité, Blaise Boisvert.
Questionnée à ce sujet, la directrice générale de l’OH, Mylène Joseph, n’a pas voulu répondre, affirmant qu’il s’agit d’une question en lien avec la gestion interne.
En théorie, il n’y a pas de raison que ce soit l’Office qui gère elle-même l’argent. En fait l’Office fait juste recevoir l’argent de la SHQ pour la donner aux associations, affirme pour sa part Patricia Viannay.
Le conflit actuel entre les membres du Comité des résidents et la directrice générale de l’Office d'habitation fait en sorte que les résidents ne sont plus représentés au conseil d’administration, mais le dialogue est aussi nul entre les deux parties depuis plus d’un an.
Ouvrir en mode plein écranLe HLM de Dupuy avait un logement inoccupé lors du passage de l'équipe de Radio-Canada.
La Loi sur la SHQ prévoit que deux ou trois locataires siègent au conseil d'administration d'un office d'habitation, mais dans le cas du lac Abitibi, aucun locataire n’est présent.
Jacques Mailhoux et Blaise Boisvert précisent que les membres élus de leur organisation n’ont jamais été invités à participer.
Mylène Joseph dit refuser les nominations du CCR puisque, selon elle, leurs élections n’étaient pas conformes. Ils empêchaient des gens de voter, qui avaient pourtant le droit de voter, explique-t-elle.
De leur côté, Blaise Boisvert et Jacques Mailhoux assurent que tout a été fait dans les règles. Ils précisent par ailleurs avoir demandé à l’Office d'habitation la liste complète des locataires, comme le prévoit la loi, mais que la directrice a refusé de leur donner cette information.
On a essayé avec la Société d’habitation du Québec de les asseoir ensemble, ça n’a rien donné à date. La Société d’habitation du Québec a enfin pris la décision de vraiment plus analyser la situation, car la directrice se sent harcelée par les locataires qui veulent absolument s’impliquer et les locataires se sentent harcelés par la directrice qui ne veut visiblement rien savoir, explique pour sa part Patricia Viannay, qui tente depuis plus d’un an d’agir à titre de médiatrice dans ce conflit.
La députée d’Abitibi-Ouest, Suzanne Blais, dit avoir été avisée du taux d’occupation des HLM et des tensions entre les résidents et la directrice générale de l’OH, mais a refusé de commenter.
Je suis au fait de la problématique et on continue de travailler avec les acteurs concernés pour trouver des solutions et permettre dès que possible la location de ces logements. Des assouplissements sont aussi possibles et permettent également de favoriser les locations, nous a fait savoir son bureau par courriel.
La MRC d’Abitibi-Ouest a aussi refusé de commenter la situation. La MRC précise par courriel avoir eu des discussions avec les deux offices d’habitation de la localité, soit l'Office municipal d'habitation Arc-en-ciel et l'Office d’habitation Lac Abitibi.
Ouvrir en mode plein écranLes bureaux de la MRC Abitibi-Ouest, à La Sarre.
La MRC mentionne que le comité n’intervient pas dans la gestion interne des différents promoteurs.
Le président du CCR, Jacques Mailhoux, dit avoir déposé une plainte à la Société d’habitation du Québec, mais qu'elle n'a abouti à aucun changement.
Pour que la plainte soit valable, il faut que chaque personne fasse une plainte. Ce sont des personnes âgées. Comme le HLM à Normétal, il y a une personne sur 20 loyers qui a un ordinateur, le monde ne veut pas toucher à ça, ça leur fait peur. On est leurs représentants, on devrait être capable de les représenter, mais non, eux autres, c’est personne par personne, précise-t-il.
Jacques Mailhoux déplore que dans le conflit actuel entre lui et l’Office d’habitation, ce soient les locataires qui en paient le prix.
La mairesse Fanny Dupras-Rossier précise qu’elle a tenté à quelques reprises d’obtenir des explications
mais c’est difficile d’obtenir des réponses claires
3 des 10 logements en HLM ne sont pas occupés
on peut lire dans le plan d’action de la municipalité 2015-2017 qu’il s’agissait déjà d’un problème
La municipalité réclamait des changements en proposant de sensibiliser les administrateurs du HLM afin qu’ils abaissent l’âge d’admissibilité à 55 ans
L'Office d'habitation du Lac Abitibi précise avoir abaissé en 2022 l'âge minimum à 50 ans pour les HLM d'Abitibi-Ouest
Les ménages qui habitent dans un HLM paient 25 % de leurs revenus pour le logement
Pour être admissible à un HLM en Abitibi-Ouest
une personne seule ne peut gagner plus de 25 000 $ et le revenu du ménage ne doit pas dépasser 37 000 $ pour une famille de 4 ou 5 personnes
Certains HLM exigent aussi un âge minimum
comme c’est le cas à Palmarolle
Ces logements libres coûtent cher puisque c’est la municipalité qui paie en partie pour les frais
Le déficit est payé à 90 % par la Société d’habitation du Québec (SHQ)
et à 10 % par les municipalités
n’ont pas énormément d’argent
C’est l’Office d’habitation (OH) du lac Abitibi qui gère les HLM de La Sarre
15 logements sur 104 sont libres
Radio-Canada a pu constater que ce chiffre est sous-estimé
Il y a plus d’une vingtaine de logements qui sont inoccupés
dont certains près du centre-ville de La Sarre
La directrice générale de l’OH
précise que ces logements sont libres puisqu’il n’y a pas de demandes dans ces municipalités
Interrogée à savoir si les critères pouvaient être modifiés
elle assure que tous les scénarios sont envisagés
mais n’est pas exceptionnelle quand il s’agit d’immeubles à bonne distance des services
Nous continuons de travailler avec l’Office en place pour trouver des solutions et permettre dès que possible la location de ces logements
Des assouplissements sont aussi possibles et permettent également de favoriser les locations
explique pour sa part la Société d’habitation du Québec (SHQ) par courriel
À la Fédération des locataires des HLM du Québec
on estime que les critères auraient dû être modifiés
il y a une possibilité par décret d’augmenter le plafond de revenus admissibles lorsqu’on n’arrive pas à louer les logements
Ça s’est fait dans plusieurs régions
Il faut que des démarches soient entreprises pour que ces logements ne restent pas vides alors qu’on est en pleine crise du logement
explique la coordonnatrice Patricia Viannay qui dit aussi recevoir des appels de citoyens mécontents d’Abitibi-Ouest
je sais que je reçois des appels de locataires qui disent qu’ils sont admissibles
Ils ne comprennent pas pourquoi ils n’étaient pas sur la liste d’attente alors qu’il y a des logements vacants
La directrice générale de l’Office d’habitation du lac Abitibi
estime pour sa part que la relation avec les différents villages est bonne
précisant que chaque municipalité a un représentant au sein du conseil d’administration (CA) de l’Office
Ce même CA a tout de même adopté le 13 juin 2023 une résolution pour rappeler aux municipalités qu’elles n’ont aucun pouvoir décisionnel
Il est résolu d’envoyer une lettre aux municipalités/villes leur expliquant que malgré leur contribution de 10 %
les décisions concernant les HLM reviennent à l’OHLA uniquement
Le Comité consultatif des résidents (CCR) créé en 2019 pour représenter les résidents des HLM au sein du conseil d’administration de l’OH est aussi d’avis que l’information est difficile à obtenir
Le président Jacques Mailhoux dit avoir pris la décision de s’impliquer pour comprendre ce qui peut expliquer ces logements inhabités
Quand on entend le monde nous dire ou nous téléphoner pour nous dire : “On voudrait avoir un loyer
mais on n’est pas capable de rejoindre la DG”
j’ai de la misère à accepter ça
Le comité tente depuis mars 2023 d’obtenir des réponses auprès de la directrice générale de l’Office d’habitation du lac Abitibi
mais la communication est très difficile
le CCR a d’abord demandé les procès-verbaux et les ordres du jour des rencontres du conseil d’administration de l’Office municipal d’habitation
La directrice générale leur répond alors qu’ils doivent passer par la Loi sur l’accès à l’information
Nous ne pouvons vous transmettre les documents sans respecter ce processus
écrit-elle le 27 avril 2023
Lors d’un entretien téléphonique avec Radio-Canada le 9 septembre dernier
La demande du CCR est pourtant légitime et n’a pas à passer par l’accès à l’information
C’est écrit directement dans la Loi
c’est que le CCR a le droit d’avoir accès aux procès-verbaux
de rencontrer aussi le conseil d’administration une fois par année
coordonnatrice de la Fédération des locataires des HLM du Québec
C’est finalement après des mois de démarches des membres du CCR et l’intervention de la Fédération des locataires d'habitations à loyer modique du Québec qu’ils ont reçu les procès-verbaux en décembre 2023
le comité n’a toujours pas pu consulter
le rapport annuel et le budget de l’Office d’habitation du lac Abitibi
Le guide de gestion du logement social prévoit aussi que l’Office d’habitation doit financer le CCR à raison de 30 $ par logement par année pour permettre d’organiser des activités au profit des locataires
mais l’Office d’habitation du lac Abitibi refuse de fournir cet argent au comité
Il n’y a pas moyen d’avoir notre argent d’association pour fonctionner
Il faut que ce soit les locataires qui déboursent de leurs poches pour une activité et ils attendent ensuite pour se faire rembourser
explique la secrétaire du comité
la directrice générale de l’OH
affirmant qu’il s’agit d’une question en lien avec la gestion interne
il n’y a pas de raison que ce soit l’Office qui gère elle-même l’argent
En fait l’Office fait juste recevoir l’argent de la SHQ pour la donner aux associations
Le conflit actuel entre les membres du Comité des résidents et la directrice générale de l’Office d'habitation fait en sorte que les résidents ne sont plus représentés au conseil d’administration
mais le dialogue est aussi nul entre les deux parties depuis plus d’un an
La Loi sur la SHQ prévoit que deux ou trois locataires siègent au conseil d'administration d'un office d'habitation
Jacques Mailhoux et Blaise Boisvert précisent que les membres élus de leur organisation n’ont jamais été invités à participer
Mylène Joseph dit refuser les nominations du CCR puisque
leurs élections n’étaient pas conformes
Blaise Boisvert et Jacques Mailhoux assurent que tout a été fait dans les règles
Ils précisent par ailleurs avoir demandé à l’Office d'habitation la liste complète des locataires
mais que la directrice a refusé de leur donner cette information
On a essayé avec la Société d’habitation du Québec de les asseoir ensemble
ça n’a rien donné à date
La Société d’habitation du Québec a enfin pris la décision de vraiment plus analyser la situation
car la directrice se sent harcelée par les locataires qui veulent absolument s’impliquer et les locataires se sentent harcelés par la directrice qui ne veut visiblement rien savoir
qui tente depuis plus d’un an d’agir à titre de médiatrice dans ce conflit
dit avoir été avisée du taux d’occupation des HLM et des tensions entre les résidents et la directrice générale de l’OH
Je suis au fait de la problématique et on continue de travailler avec les acteurs concernés pour trouver des solutions et permettre dès que possible la location de ces logements
nous a fait savoir son bureau par courriel
La MRC d’Abitibi-Ouest a aussi refusé de commenter la situation
La MRC précise par courriel avoir eu des discussions avec les deux offices d’habitation de la localité
soit l'Office municipal d'habitation Arc-en-ciel et l'Office d’habitation Lac Abitibi
La MRC mentionne que le comité n’intervient pas dans la gestion interne des différents promoteurs
dit avoir déposé une plainte à la Société d’habitation du Québec
mais qu'elle n'a abouti à aucun changement
il faut que chaque personne fasse une plainte
il y a une personne sur 20 loyers qui a un ordinateur
le monde ne veut pas toucher à ça
on devrait être capable de les représenter
Jacques Mailhoux déplore que dans le conflit actuel entre lui et l’Office d’habitation
ce soient les locataires qui en paient le prix
Dans la petite municipalité de La Reine qui compte un peu plus de 300 habitants
11 habitations à loyer modique (HLM) sont disponibles
Plusieurs de ces logements sont vides depuis plusieurs années
plusieurs habitations à loyer modique (HLM) gérées par l’Office d’habitation du lac Abitibi sont inoccupées en Abitibi-Ouest
Une situation qui perdure depuis des années et aucune solution n’a été trouvée
Dans ces ateliers, ils apprennent à faire des recettes. On travaille ici à la réadaptation alors on veut qu’ils apprennent à faire des recettes qu'ils pourront recréer, chez eux, en appartement, explique la directrice générale, Véronique Lessard.
Avec ces nouvelles chambres, le Trait d'Union peut accueillir jusqu'à douze pensionnaires, dont quatre en logements supervisés.
Ce sont toutes des personnes autonomes, mais avec des problèmes de santé mentale quand même importants, dit-elle. Parfois, c’est juste une période de leur vie qui va moins bien. Parfois, c’est juste le temps que leur médication soit ajustée. On a aussi des cas judiciaires quand une ordonnance du Tribunal les oblige à rester ici.
Les fonds de 5000 $ remis au Trait d'Union de La Sarre proviennent du gouvernement du Québec.
Ouvrir en mode plein écranL'organisme veut adapter ses locaux pour ses pensionnaires ayant des problèmes d'autonomie. (Photo d'archives)
Gabriel PoirierPublié le 19 juillet 2024 à 15 h 10 HAEÉcouter l’article | 2 minutesLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale, une technologie basée sur l’intelligence artificielle.À La Sarre, l’organisme communautaire le Trait d'Union compte agrandir ses locaux pour les adapter à ses pensionnaires, qui sont des personnes avec des problèmes d'autonomie liés à leur santé mentale.
L'organisme qui a ouvert quatre chambres additionnelles en novembre a besoin de mener ces travaux pour faciliter la tenue de ses ateliers de cuisine collective.
Dans ces ateliers, ils apprennent à faire des recettes. On travaille ici à la réadaptation alors on veut qu’ils apprennent à faire des recettes qu'ils pourront recréer, chez eux, en appartement, explique la directrice générale, Véronique Lessard.
Avec ces nouvelles chambres, le Trait d'Union peut accueillir jusqu'à douze pensionnaires, dont quatre en logements supervisés.
Ce sont toutes des personnes autonomes, mais avec des problèmes de santé mentale quand même importants, dit-elle. Parfois, c’est juste une période de leur vie qui va moins bien. Parfois, c’est juste le temps que leur médication soit ajustée. On a aussi des cas judiciaires quand une ordonnance du Tribunal les oblige à rester ici.
Les fonds de 5000 $ remis au Trait d'Union de La Sarre proviennent du gouvernement du Québec.
L'organisme qui a ouvert quatre chambres additionnelles en novembre a besoin de mener ces travaux pour faciliter la tenue de ses ateliers de cuisine collective
On travaille ici à la réadaptation alors on veut qu’ils apprennent à faire des recettes qu'ils pourront recréer
le Trait d'Union peut accueillir jusqu'à douze pensionnaires
mais avec des problèmes de santé mentale quand même importants
c’est juste une période de leur vie qui va moins bien
c’est juste le temps que leur médication soit ajustée
On a aussi des cas judiciaires quand une ordonnance du Tribunal les oblige à rester ici
Les fonds de 5000 $ remis au Trait d'Union de La Sarre proviennent du gouvernement du Québec
l’organisme communautaire le Trait d'Union compte agrandir ses locaux pour les adapter à ses pensionnaires
qui sont des personnes avec des problèmes d'autonomie liés à leur santé mentale
Le Centre des services scolaire Lac-Abitibi a été contacté en décembre.
Contrairement à ce que l’on peut penser, une école alternative ce n’est pas nécessairement privé, ça peut s’inscrire dans l’organisation. Nous on aimerait s’organiser avec le Centre de services scolaire et on a eu une belle ouverture, mentionne Karine Péladeau, membre du comité fondateur, précisant toutefois qu’il reste encore tout un processus à franchir.
Une rencontre s’est déjà tenue en décembre, puis en tournée à la mi-janvier à Roquemaure, une autre aura lieu le 28 janvier à La Sarre et une autre le 7 février à Palmarolle.
On souhaite mettre de l’avant une pédagogie de nature. On vise à reconnecter les enfants avec leur environnement extérieur, avec des classes qui se font dehors. On vise davantage le sud de l'Abitibi-Ouest, parce que c'est quelque chose qui est un peu plus difficile à faire si on était par exemple en plein milieu de la Sarre, mentionne Karine Péladeau.
Le groupe demeure réaliste dans ses ambitions et avance que l’objectif pourrait être d’ouvrir deux classes de 15 élèves pour commencer. Ces classes pourraient même faire partie d’une école déjà existante ou alors dans un établissement séparé.
C'est à discuter avec le Centre des services scolaires parce que les deux sont possibles, mais ça va dépendre vraiment de la disponibilité des locaux et de la direction. Est-ce qu'on va avoir une direction seulement pour l'école? Probablement pas, ajoute Mme Péladeau.
Plusieurs démarches doivent encore être accomplies par le comité fondateur. Pour le moment, les rencontres se poursuivent pour présenter le modèle et répondre aux questions soulevées pour démystifier ce modèle.
L’école alternative ne veut pas dire que l’enfant fait ce qu’il veut. Au contraire, étant donné que le cadre est un peu plus laissé à l'interprétation et à la créativité des enseignants, on a besoin d'avoir une structure qui est encore plus claire. On suit le programme du ministère de l’Éducation et les enfants vont devoir passer les mêmes examens, assure Karine Péladeau.
Ouvrir en mode plein écranL'objectif du comité est de développer une pédagogie nature et des classes à l'extérieur.
Lise MillettePublié le 25 janvier à 11 h 52 HAEÉcouter l’article | 3 minutesLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale, une technologie basée sur l’intelligence artificielle.Un groupe de parents souhaite ouvrir une école alternative en Abitibi-Ouest. Les démarches ont été entamées en novembre 2023.
Le réseau des écoles publiques alternatives du Québec (RÉPAQ) apporte son appui afin d’élaborer un plan d’action pour mettre en oeuvre un véritable projet pour la rentrée 2026.
Le Centre des services scolaire Lac-Abitibi a été contacté en décembre.
Contrairement à ce que l’on peut penser, une école alternative ce n’est pas nécessairement privé, ça peut s’inscrire dans l’organisation. Nous on aimerait s’organiser avec le Centre de services scolaire et on a eu une belle ouverture, mentionne Karine Péladeau, membre du comité fondateur, précisant toutefois qu’il reste encore tout un processus à franchir.
Une rencontre s’est déjà tenue en décembre, puis en tournée à la mi-janvier à Roquemaure, une autre aura lieu le 28 janvier à La Sarre et une autre le 7 février à Palmarolle.
On souhaite mettre de l’avant une pédagogie de nature. On vise à reconnecter les enfants avec leur environnement extérieur, avec des classes qui se font dehors. On vise davantage le sud de l'Abitibi-Ouest, parce que c'est quelque chose qui est un peu plus difficile à faire si on était par exemple en plein milieu de la Sarre, mentionne Karine Péladeau.
Ouvrir en mode plein écranLe projet vise notamment à connecter les enfants avec l'environnement extérieur. (Photo d'archives)
Photo : getty images/istockphoto / jacoblund
Le groupe demeure réaliste dans ses ambitions et avance que l’objectif pourrait être d’ouvrir deux classes de 15 élèves pour commencer. Ces classes pourraient même faire partie d’une école déjà existante ou alors dans un établissement séparé.
C'est à discuter avec le Centre des services scolaires parce que les deux sont possibles, mais ça va dépendre vraiment de la disponibilité des locaux et de la direction. Est-ce qu'on va avoir une direction seulement pour l'école? Probablement pas, ajoute Mme Péladeau.
Plusieurs démarches doivent encore être accomplies par le comité fondateur. Pour le moment, les rencontres se poursuivent pour présenter le modèle et répondre aux questions soulevées pour démystifier ce modèle.
L’école alternative ne veut pas dire que l’enfant fait ce qu’il veut. Au contraire, étant donné que le cadre est un peu plus laissé à l'interprétation et à la créativité des enseignants, on a besoin d'avoir une structure qui est encore plus claire. On suit le programme du ministère de l’Éducation et les enfants vont devoir passer les mêmes examens, assure Karine Péladeau.
Le réseau des écoles publiques alternatives du Québec (RÉPAQ) apporte son appui afin d’élaborer un plan d’action pour mettre en oeuvre un véritable projet pour la rentrée 2026
Le Centre des services scolaire Lac-Abitibi a été contacté en décembre
Contrairement à ce que l’on peut penser
une école alternative ce n’est pas nécessairement privé
ça peut s’inscrire dans l’organisation
Nous on aimerait s’organiser avec le Centre de services scolaire et on a eu une belle ouverture
précisant toutefois qu’il reste encore tout un processus à franchir
Une rencontre s’est déjà tenue en décembre
puis en tournée à la mi-janvier à Roquemaure
une autre aura lieu le 28 janvier à La Sarre et une autre le 7 février à Palmarolle
On souhaite mettre de l’avant une pédagogie de nature
On vise à reconnecter les enfants avec leur environnement extérieur
On vise davantage le sud de l'Abitibi-Ouest
parce que c'est quelque chose qui est un peu plus difficile à faire si on était par exemple en plein milieu de la Sarre
Le groupe demeure réaliste dans ses ambitions et avance que l’objectif pourrait être d’ouvrir deux classes de 15 élèves pour commencer
Ces classes pourraient même faire partie d’une école déjà existante ou alors dans un établissement séparé
C'est à discuter avec le Centre des services scolaires parce que les deux sont possibles
mais ça va dépendre vraiment de la disponibilité des locaux et de la direction
Est-ce qu'on va avoir une direction seulement pour l'école
Plusieurs démarches doivent encore être accomplies par le comité fondateur
les rencontres se poursuivent pour présenter le modèle et répondre aux questions soulevées pour démystifier ce modèle
L’école alternative ne veut pas dire que l’enfant fait ce qu’il veut
étant donné que le cadre est un peu plus laissé à l'interprétation et à la créativité des enseignants
on a besoin d'avoir une structure qui est encore plus claire
On suit le programme du ministère de l’Éducation et les enfants vont devoir passer les mêmes examens
Un groupe de parents souhaite ouvrir une école alternative en Abitibi-Ouest
Les démarches ont été entamées en novembre 2023
dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"La gorge nouée par l’émotion
a dû interrompre son discours à quelques occasions lors de la cérémonie tenue lundi à la Cité étudiante Polyno
Il voit enfin se concrétiser son rêve de doter la population d’Abitibi-Ouest d’un terrain multisport extérieur de qualité
C'est un travail de longue haleine et on aboutit enfin à la première pelletée de terre. C'est un travail de huit ans pour convaincre les différents intervenants locaux et régionaux et même le gouvernement du Québec
Le projet consiste à remplacer la piste d’athlétisme actuelle
par une toute nouvelle infrastructure de qualité
L’anneau de 400 mètres comptera six couloirs de course en revêtement synthétique
Toutes les disciplines de l’athlétisme pourront y être pratiquées
La population mérite une installation de qualité au même titre que celles des autres villes de région
Et il y a des sports qui sont en attente de revenir sur scène
l'association de soccer adulte qui n'a pas de terrain aux normes
une nouvelle fréquentation du site et des compétitions d’athlétisme de haut niveau
Les travaux confiés ce printemps à TEM Entrepreneur Général d’Amos doivent commencer la semaine prochaine et se terminer d’ici le printemps 2025.
Québec assume les deux tiers de la facture, soit 2,2 millions $, par le biais du Programme de soutien aux infrastructures sportives et récréatives scolaires et d’enseignement supérieur. La députée d’Abitibi-Ouest, Suzanne Blais, espère que toute la population saura en profiter.
Ce qui est intéressant, c'est que lorsque les plateaux ne sont pas utilisés par les élèves, c’est la communauté qui pourra les utiliser. Les gens vont venir faire une marche parce que c'est un beau tapis synthétique. Même des gens en fauteuil roulant pourront aussi l’utiliser. C’est un plus pour la communauté, affirme-t-elle.
Le comité de relance de la piste d’athlétisme a quant à lui recueilli 1 million $ dans la communauté. Le Centre de services scolaire du Lac-Abitibi injecte 500 000 $, et la Ville de La Sarre, 100 000 $. Des partenaires privés, dont l’entreprise forestière West Fraser et des citoyens, ont aussi contribué au financement.
Les premiers bénéficiaires seront les élèves du Centre de services scolaire du Lac-Abitibi, rappelle le directeur général adjoint Yves Dubé.
C’est vraiment une plus-value pour nos élèves. Avec les installations haut de gamme qu'on va avoir, on croit bien qu'on va susciter l'intérêt du sport parascolaire, pour nos jeunes qui vont décider de bouger plus. Et la population pourra aussi l’utiliser en toute sécurité, avec un éclairage en soirée, souligne M. Dubé.
Un système d’éclairage est prévu, dont le financement est assumé par la Ville de La Sarre.
Les jeunes pourront venir s’exercer ici, s’amuser et avoir du plaisir. La population aussi. C’est une belle avancée pour la Ville de La Sarre, mais aussi pour l’Abitibi-Ouest, croit le maire suppléant Réjean Fournier.
La pratique de l’athlétisme connaît déjà un fort engouement en Abitibi-Ouest, où l’on retrouve le seul club civil de la région, le Club Tracklass. Celui-ci est passé d’une douzaine de membres avant la pandémie, à une cinquantaine aujourd’hui, dont 39 qui viennent d’Abitibi-Ouest.
La toute nouvelle infrastructure permettra au club de poursuivre son élan et à ses membres d’améliorer leurs performances à la course grâce à une véritable piste en revêtement synthétique.
Ils ont tous hâte à l'année prochaine. Quand on dit que la piste arrive dans le bon timing. L'année prochaine, ils vont revenir sur une vraie piste. Ils ne courront plus sur le gravier. On n’aura pas de misère à motiver les jeunes à venir, affirme Marcel Bouchard, président du Club Tracklass.
Ce dernier voit grand. Épaulé par le seul entraîneur certifié en athlétisme de la région, Brian Bégin, il rêve d’une concentration sport en Abitibi-Ouest dans les prochaines années.
À Radio-Canada depuis 2021, Martin Guindon cumule plus de 25 ans d'expérience comme journaliste en Abitibi-Témiscamingue. Tous les sujets qui touchent l'actualité locale et régionale le passionnent. Il affectionne la couverture terrain pour la rencontre avec les gens de tous les horizons.
Martin GuindonPublié le 3 juin 2024 à 18 h 31 HAEÉcouter l’article | 5 minutesLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale
une technologie basée sur l’intelligence artificielle.Le coup d’envoi est donné pour les travaux de réfection de la piste d’athlétisme de La Sarre
Le nouveau terrain multisport construit au coût de 3,4 millions $ offrira aussi une surface gazonnée éclairée pour la pratique de sports extérieurs
a dû interrompre son discours à quelques occasions lors de la cérémonie tenue lundi à la Cité étudiante Polyno
Il voit enfin se concrétiser son rêve de doter la population d’Abitibi-Ouest d’un terrain multisport extérieur de qualité
C'est un travail de longue haleine et on aboutit enfin à la première pelletée de terre
C'est un travail de huit ans pour convaincre les différents intervenants locaux et régionaux et même le gouvernement du Québec
Le projet consiste à remplacer la piste d’athlétisme actuelle
par une toute nouvelle infrastructure de qualité
L’anneau de 400 mètres comptera six couloirs de course en revêtement synthétique
Toutes les disciplines de l’athlétisme pourront y être pratiquées
Ouvrir en mode plein écranLe terrain multisport offrira une piste d'athlétisme et un espace gazonné au centre pour la pratique de sports extérieurs tels que le soccer et l'ultimate
Infrastructures sportives en Abitibi-TémiscamingueConsulter le dossier completSuivreSuivreLa population mérite une installation de qualité au même titre que celles des autres villes de région
Et il y a des sports qui sont en attente de revenir sur scène
une nouvelle fréquentation du site et des compétitions d’athlétisme de haut niveau
Québec assume les deux tiers de la facture, soit 2,2 millions $, par le biais du Programme de soutien aux infrastructures sportives et récréatives scolaires et d’enseignement supérieur. La députée d’Abitibi-Ouest, Suzanne Blais, espère que toute la population saura en profiter.
Ouvrir en mode plein écranLa députée d'Abitibi-Ouest, Suzanne Blais, discute avec Gilles Rochette, vice-président du comité de relance de la piste d'athlétisme de La Sarre.
Ce qui est intéressant, c'est que lorsque les plateaux ne sont pas utilisés par les élèves, c’est la communauté qui pourra les utiliser. Les gens vont venir faire une marche parce que c'est un beau tapis synthétique. Même des gens en fauteuil roulant pourront aussi l’utiliser. C’est un plus pour la communauté, affirme-t-elle.
Le comité de relance de la piste d’athlétisme a quant à lui recueilli 1 million $ dans la communauté. Le Centre de services scolaire du Lac-Abitibi injecte 500 000 $, et la Ville de La Sarre, 100 000 $. Des partenaires privés, dont l’entreprise forestière West Fraser et des citoyens, ont aussi contribué au financement.
Les premiers bénéficiaires seront les élèves du Centre de services scolaire du Lac-Abitibi, rappelle le directeur général adjoint Yves Dubé.
Ouvrir en mode plein écranYves Dubé, directeur général adjoint du Centre de services scolaire du Lac-Abitibi, se réjouit de voir enfin le projet aboutir.
C’est vraiment une plus-value pour nos élèves. Avec les installations haut de gamme qu'on va avoir, on croit bien qu'on va susciter l'intérêt du sport parascolaire, pour nos jeunes qui vont décider de bouger plus. Et la population pourra aussi l’utiliser en toute sécurité, avec un éclairage en soirée, souligne M. Dubé.
Un système d’éclairage est prévu, dont le financement est assumé par la Ville de La Sarre.
Les jeunes pourront venir s’exercer ici, s’amuser et avoir du plaisir. La population aussi. C’est une belle avancée pour la Ville de La Sarre, mais aussi pour l’Abitibi-Ouest, croit le maire suppléant Réjean Fournier.
La pratique de l’athlétisme connaît déjà un fort engouement en Abitibi-Ouest, où l’on retrouve le seul club civil de la région, le Club Tracklass. Celui-ci est passé d’une douzaine de membres avant la pandémie, à une cinquantaine aujourd’hui, dont 39 qui viennent d’Abitibi-Ouest.
La toute nouvelle infrastructure permettra au club de poursuivre son élan et à ses membres d’améliorer leurs performances à la course grâce à une véritable piste en revêtement synthétique.
Ils ont tous hâte à l'année prochaine. Quand on dit que la piste arrive dans le bon timing. L'année prochaine, ils vont revenir sur une vraie piste. Ils ne courront plus sur le gravier. On n’aura pas de misère à motiver les jeunes à venir, affirme Marcel Bouchard, président du Club Tracklass.
Ce dernier voit grand. Épaulé par le seul entraîneur certifié en athlétisme de la région, Brian Bégin, il rêve d’une concentration sport en Abitibi-Ouest dans les prochaines années.
La gorge nouée par l’émotion
Les travaux confiés ce printemps à TEM Entrepreneur Général d’Amos doivent commencer la semaine prochaine et se terminer d’ici le printemps 2025
Québec assume les deux tiers de la facture
par le biais du Programme de soutien aux infrastructures sportives et récréatives scolaires et d’enseignement supérieur
espère que toute la population saura en profiter
c'est que lorsque les plateaux ne sont pas utilisés par les élèves
c’est la communauté qui pourra les utiliser
Les gens vont venir faire une marche parce que c'est un beau tapis synthétique
Même des gens en fauteuil roulant pourront aussi l’utiliser
C’est un plus pour la communauté
Le comité de relance de la piste d’athlétisme a quant à lui recueilli 1 million $ dans la communauté
Le Centre de services scolaire du Lac-Abitibi injecte 500 000 $
dont l’entreprise forestière West Fraser et des citoyens
Les premiers bénéficiaires seront les élèves du Centre de services scolaire du Lac-Abitibi
rappelle le directeur général adjoint Yves Dubé
C’est vraiment une plus-value pour nos élèves
Avec les installations haut de gamme qu'on va avoir
on croit bien qu'on va susciter l'intérêt du sport parascolaire
pour nos jeunes qui vont décider de bouger plus
Et la population pourra aussi l’utiliser en toute sécurité
Un système d’éclairage est prévu
dont le financement est assumé par la Ville de La Sarre
Les jeunes pourront venir s’exercer ici
C’est une belle avancée pour la Ville de La Sarre
croit le maire suppléant Réjean Fournier
La pratique de l’athlétisme connaît déjà un fort engouement en Abitibi-Ouest
où l’on retrouve le seul club civil de la région
Celui-ci est passé d’une douzaine de membres avant la pandémie
dont 39 qui viennent d’Abitibi-Ouest
La toute nouvelle infrastructure permettra au club de poursuivre son élan et à ses membres d’améliorer leurs performances à la course grâce à une véritable piste en revêtement synthétique
Ils ont tous hâte à l'année prochaine
Quand on dit que la piste arrive dans le bon timing
On n’aura pas de misère à motiver les jeunes à venir
Épaulé par le seul entraîneur certifié en athlétisme de la région
il rêve d’une concentration sport en Abitibi-Ouest dans les prochaines années
Martin Guindon cumule plus de 25 ans d'expérience comme journaliste en Abitibi-Témiscamingue
Tous les sujets qui touchent l'actualité locale et régionale le passionnent
Il affectionne la couverture terrain pour la rencontre avec les gens de tous les horizons
Les travaux confiés ce printemps à TEM Entrepreneur Général d’Amos doivent commencer la semaine prochaine et se terminer d’ici le printemps 2025
Le coup d’envoi est donné pour les travaux de réfection de la piste d’athlétisme de La Sarre
Le nouveau terrain multisport construit au coût de 3,4 millions $ offrira aussi une surface gazonnée éclairée pour la pratique de sports extérieurs