J’accepteAller au contenu principalAller au pied de pageAide à la navigationLa destination audio de Radio‑Canada RéglagesApparenceAutoClaireSombreCe paramètre vous permet de modifier le jeu de couleurs de l’interface (Photo d’archives)PHOTO : Radio-Canada / Sébastien PrieurLe président d'Autobus DM-Boréal inc croit que Québec ne doit pas laisser tomber les transporteurs par autobus qu'il a obligés d'acheter des véhicules chez Lion Électrique Dominic Maheux réagissait à la décision de Québec de ne pas réinvestir dans l’entreprise de fabrication d’autobus électrique Lion Électrique Le gouvernement doit nous soutenir d’une part au niveau de l’opération des véhicules [sachant que] leur financement au niveau du transport a été insuffisant [...] vient s’ajouter à ça le fait qu’on se retrouve avec des autobus qui sont orphelins avec des obligations financières en référence à l’incapacité de Lion Électrique d’offrir les réparations mécaniques des autobus qu’elle a vendus avec son obsession de développer Lion Électrique Je pense qu’il a une obligation morale de voir de s’asseoir avec nous et de discuter sérieusement Dominic Maheux a abordé la saga de l’entreprise Lion Électrique et des conséquences de l’arrêt de ses activités sur le renouvellement du parc des transporteurs et de la prise en charge des réparations mécaniques Électrification des transports : « Les cibles ne tiennent plus la route »Appli Radio-Canada OHdioTout un monde à écouter, partout où vous allez. Dominic Maheux réagissait à la décision de Québec de ne pas réinvestir dans l'entreprise de fabrication d'autobus électrique Lion Électrique Le gouvernement doit nous soutenir d'une part au niveau de l'opération des véhicules [sachant que] leur financement au niveau du transport a été insuffisant [...] vient s'ajouter à ça le fait qu'on se retrouve avec des autobus qui sont orphelins avec des obligations financières en référence à l'incapacité de Lion Électrique d'offrir les réparations mécaniques des autobus qu'elle a vendus Je pense qu'il a une obligation morale de voir de s'asseoir avec nous et de discuter sérieusement Dominic Maheux a abordé la saga de l'entreprise Lion Électrique et des conséquences de l'arrêt de ses activités sur le renouvellement du parc des transporteurs et de la prise en charge des réparations mécaniques croit que Québec ne doit pas laisser tomber les transporteurs par autobus qu'il a obligés d'acheter des véhicules chez Lion Électrique L’entreprise lasarroise a ajouté 14 membres à son équipe et passe à une cinquantaine d’employés la pénurie de main-d’oeuvre l’affecte peu et elle souhaite poursuivre sa croissance L’entreprise conçoit de A à Z leurs habitations ils se sont lancés dans la construction de multilogements Le bois qui est utilisé pour bâtir les logements vient à 100% du Québec et en grande majorité de l’Abitibi-Témiscamingue Les retombées économiques locales des activités de Maison Nordique sont estimées à 8 millions de dollars par année L’entreprise prévoit encore augmenter ce chiffre avec une hausse de 20% de sa production cette année C’EST PROTÉGER NOTRE CULTURE ET NOTRE ÉCONOMIE © 2025 Tous droits révervés - TVA Abitibi-Temiscamingue Représentant au développement des affaires (vente) Représentante au développement des affaires (vente) Coordonnatrice au développement des affaires et à la création numérique J’accepteAller au contenu principalAller au pied de pageAide à la navigationPublicité La destination d’information de Radio-Canada En décembre 2020, l’entreprise Gabriel Aubé inc., notamment spécialisée dans le béton préparé, la vente d'agrégats, le transport par fardier et le déneigement, a entrepris le dynamitage du terrain situé à flanc de colline au nord de La Sarre afin d’y exploiter une carrière pour produire des granulats. Le problème, c'est que l’entreprise a commencé à exploiter cette zone sans autorisation de la CPTAQ ni du ministère de l'Environnement. Pour qu’une entreprise exploite une carrière, la Loi sur la qualité de l'environnement prévoit qu’elle doit détenir une autorisation du ministère de l’Environnement avant le début des travaux. Le Ministère a reçu plusieurs plaintes de riverains. Il a finalement délivré deux constats d’infraction et a édicté deux sanctions administratives pécuniaires de 5000 $ chacune. La première sanction a été édictée en avril 2024, car l'entreprise a exploité cette zone sans avoir obtenu l’autorisation de la part du ministère de l’Environnement. La deuxième sanction édictée en juillet 2024 concerne l’impact de l’exploitation sur les cours d’eau. L’entreprise a fait des travaux sur la rive d'un cours d’eau intermittent sans autorisation. On parle de déboisement, de creusage, et il y a même une portion d’un cours d’eau intermittent qui a été complètement détruite parce qu'il se trouve maintenant dans la carrière, indique Annie Cassista, directrice régionale du contrôle environnemental de l'Abitibi-Témiscamingue et du Nord-du-Québec. Pour se remettre en conformité avec la loi, l’entreprise a depuis lors déposé une demande d'autorisation, mais celle-ci est pour le moment jugée incomplète. Une fois que les documents complémentaires auront été envoyés, les analystes du Ministère étudieront la conformité de la demande avec le règlement sur les carrières et les sablières. Il y a des normes qui concernent les vibrations, le bruit, la gestion des poussières, explique Annie Cassista. L’entreprise ayant commencé l’exploitation sans autorisation, elle va également devoir corriger son manquement. Une possibilité consisterait à remettre les milieux détruits en état. Si ce n’est pas possible de remettre en état, à ce moment-là, nous, on va analyser les mesures d’atténuation qui peuvent être mises en œuvre, mais on peut exiger une compensation financière pour les milieux qui ont été détruits, explique la directrice régionale du contrôle environnemental. S’il n’y a pas de mise en conformité de l’exploitation de la carrière, d’autres recours sont possibles pour le MELCCFP. Des avis d’exécution et des ordonnances émis par le Ministère peuvent obliger l'entreprise à effectuer des travaux pour corriger la situation. Il sera aussi possible d’engager un recours pénal. Par ailleurs, l'aménagement et l’exploitation de cette carrière se sont aussi faits dans l’illégalité aux yeux de la Commission de la protection du territoire agricole du Québec (CPTAQ). La gravière se trouve sur un terrain défini comme zone agricole par le gouvernement du Québec. Exploiter une zone agricole à une autre fin que l’agriculture nécessite une autorisation de la CPTAQ. En octobre 2022, la CPTAQ a émis une ordonnance pour dénoncer l’infraction. Il était alors reproché à l’entreprise d’avoir utilisé cette zone sans droit ni autorisation. Cette ordonnance réclamait aussi l’arrêt immédiat de l’exploitation. Pourtant, au moins deux témoins affirment que l’activité sur le site n’a pas cessé. L’entreprise Gabriel Aubé inc. a tenté de régulariser sa situation en juin 2023 en présentant une demande officielle d'utilisation de la zone à une fin autre que l’agriculture, soit pour l’exploitation d’une carrière. Dans son dossier, l’entreprise reçoit le soutien de la Ville de La Sarre, qui indique qu'aucun autre espace du territoire ne répond à leur critère et que l'utilisation de ce lot est conforme à la réglementation municipale. La Commission indique également que faire droit à la demande créerait un précédent susceptible de générer un effet d’entraînement pour des demandes similaires, ce qui n’est pas souhaitable dans ce milieu agro-forestier. Malgré ce refus d’autorisation, l’entreprise Gabriel Aubé inc. a continué à exploiter la carrière. Elle a finalement présenté une nouvelle demande d’autorisation à la CPTAQ en février 2024. Les avocats de l’entreprise ont alors insisté sur le caractère unique de ce site en Abitibi, une région au relief plutôt plat. Les affleurements rocheux y sont rares, peut-on lire dans le compte rendu de la Commission sur l’étude de la demande d’autorisation. Elle ajoute que seules quatre carrières dans la région produisent des granulats utilisés pour la fabrication du béton bitumineux. La plus proche de La Sarre se trouve à 120 kilomètres. Les avocats ont également fait valoir quelques modifications dans le projet et soulignent l’amélioration du relief pour diverses formes d’agriculture et la faible empreinte au sol des talus par rapport à celle occupée actuellement par des pentes relativement fortes. La Commission est alors revenue sur sa décision initiale, considérant cette fois-ci que la demande modifiée laissera un relief plus favorable à la pratique de l’agriculture. Évidemment, ce gain ne se concrétisera pas au cours de la prochaine décennie. Plusieurs années seront requises avant le retour de l’agriculture sur le site de la carrière. Cependant, le gain est tellement important qu’il justifie l’attente. Après plus de trois ans d’exploitation illégale de cette zone, l’entreprise Gabriel Aubé inc. a finalement vu sa demande être acceptée le 28 mars 2024 et pourra exploiter la carrière légalement pendant 10 ans. Il demeure que l’entreprise est toujours en infraction vis-à-vis du ministère de l'Environnement. Contactée, l’entreprise Gabriel Aubé inc. n’a pas donné suite à nos demandes d’entrevue. Mathilde Blayo a travaillé avec différents médias en France avant de rejoindre Radio-Canada en Abitibi-Témiscamingue en 2024. Elle affectionne la couverture terrain pour la rencontre avec les gens. Elle est aussi présente à l'antenne en remplacement sur des chroniques. Ouvrir en mode plein écranLe site de la gravière exploitée par l’entreprise Gabriel Aubé inc., au nord de La Sarre. Mathilde BlayoPublié le 7 novembre 2024 à 6 h 48 HAEÉcouter l’article | 7 minutesLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale, une technologie basée sur l’intelligence artificielle.L’entreprise Gabriel Aubé inc. a exploité pendant des années une gravière au nord de La Sarre, le long de la route 393, sans avoir obtenu d'autorisation de la Commission de la protection du territoire agricole (CPTAQ). Cette autorisation lui a été accordée en mars 2024 après quatre ans d'exploitation. Depuis, l'entreprise a reçu deux constats d'infraction du ministère de l'Environnement, de la Lutte contre les changements climatiques, de la Faune et des Parcs (MELCCFP). En décembre 2020, l’entreprise Gabriel Aubé inc., notamment spécialisée dans le béton préparé, la vente d'agrégats, le transport par fardier et le déneigement, a entrepris le dynamitage du terrain situé à flanc de colline au nord de La Sarre afin d’y exploiter une carrière pour produire des granulats. Le problème, c'est que l’entreprise a commencé à exploiter cette zone sans autorisation de la CPTAQ ni du ministère de l'Environnement. Pour qu’une entreprise exploite une carrière, la Loi sur la qualité de l'environnement prévoit qu’elle doit détenir une autorisation du ministère de l’Environnement avant le début des travaux. Le Ministère a reçu plusieurs plaintes de riverains. Il a finalement délivré deux constats d’infraction et a édicté deux sanctions administratives pécuniaires de 5000 $ chacune. La première sanction a été édictée en avril 2024, car l'entreprise a exploité cette zone sans avoir obtenu l’autorisation de la part du ministère de l’Environnement. Ouvrir en mode plein écranL'exploitant de cette gravière n'a pas obtenu une autorisation de la Commission de la protection du territoire agricole du Québec au préalable. La deuxième sanction édictée en juillet 2024 concerne l’impact de l’exploitation sur les cours d’eau. L’entreprise a fait des travaux sur la rive d'un cours d’eau intermittent sans autorisation. On parle de déboisement, de creusage, et il y a même une portion d’un cours d’eau intermittent qui a été complètement détruite parce qu'il se trouve maintenant dans la carrière, indique Annie Cassista, directrice régionale du contrôle environnemental de l'Abitibi-Témiscamingue et du Nord-du-Québec. Pour se remettre en conformité avec la loi, l’entreprise a depuis lors déposé une demande d'autorisation, mais celle-ci est pour le moment jugée incomplète. Une fois que les documents complémentaires auront été envoyés, les analystes du Ministère étudieront la conformité de la demande avec le règlement sur les carrières et les sablières. Il y a des normes qui concernent les vibrations, le bruit, la gestion des poussières, explique Annie Cassista. L’entreprise ayant commencé l’exploitation sans autorisation, elle va également devoir corriger son manquement. Une possibilité consisterait à remettre les milieux détruits en état. Si ce n’est pas possible de remettre en état, à ce moment-là, nous, on va analyser les mesures d’atténuation qui peuvent être mises en œuvre, mais on peut exiger une compensation financière pour les milieux qui ont été détruits, explique la directrice régionale du contrôle environnemental. S’il n’y a pas de mise en conformité de l’exploitation de la carrière, d’autres recours sont possibles pour le MELCCFP. Ouvrir en mode plein écranLe site de la gravière exploitée au nord de La Sarre par l’entreprise Gabriel Aubé inc. Des avis d’exécution et des ordonnances émis par le Ministère peuvent obliger l'entreprise à effectuer des travaux pour corriger la situation. Il sera aussi possible d’engager un recours pénal. Par ailleurs, l'aménagement et l’exploitation de cette carrière se sont aussi faits dans l’illégalité aux yeux de la Commission de la protection du territoire agricole du Québec (CPTAQ). La gravière se trouve sur un terrain défini comme zone agricole par le gouvernement du Québec. Exploiter une zone agricole à une autre fin que l’agriculture nécessite une autorisation de la CPTAQ. En octobre 2022, la CPTAQ a émis une ordonnance pour dénoncer l’infraction. Il était alors reproché à l’entreprise d’avoir utilisé cette zone sans droit ni autorisation. Cette ordonnance réclamait aussi l’arrêt immédiat de l’exploitation. Pourtant, au moins deux témoins affirment que l’activité sur le site n’a pas cessé. L’entreprise Gabriel Aubé inc. a tenté de régulariser sa situation en juin 2023 en présentant une demande officielle d'utilisation de la zone à une fin autre que l’agriculture, soit pour l’exploitation d’une carrière. Dans son dossier, l’entreprise reçoit le soutien de la Ville de La Sarre, qui indique qu'aucun autre espace du territoire ne répond à leur critère et que l'utilisation de ce lot est conforme à la réglementation municipale. La CPTAQ a toutefois refusé cette demande. Pour cette instance, ce terrain en zone agricole est propice à la sylviculture, et avec l’exploitation d’une carrière, on ne peut s’attendre qu’à une dégradation du milieu ne permettant pas d’espérer un retour à l’agriculture [ou à la sylviculture] à moyen ni même à long terme, indique le compte rendu de la Commission sur l’étude de la demande d’autorisation. La Commission indique également que faire droit à la demande créerait un précédent susceptible de générer un effet d’entraînement pour des demandes similaires, ce qui n’est pas souhaitable dans ce milieu agro-forestier. Malgré ce refus d’autorisation, l’entreprise Gabriel Aubé inc. a continué à exploiter la carrière. Ouvrir en mode plein écranLa gravière exploitée sans autorisation par l’entreprise Gabriel Aubé inc. se situe au nord de La Sarre. Elle a finalement présenté une nouvelle demande d’autorisation à la CPTAQ en février 2024. Les avocats de l’entreprise ont alors insisté sur le caractère unique de ce site en Abitibi, une région au relief plutôt plat. Les affleurements rocheux y sont rares, peut-on lire dans le compte rendu de la Commission sur l’étude de la demande d’autorisation. Elle ajoute que seules quatre carrières dans la région produisent des granulats utilisés pour la fabrication du béton bitumineux. La plus proche de La Sarre se trouve à 120 kilomètres. Les avocats ont également fait valoir quelques modifications dans le projet et soulignent l’amélioration du relief pour diverses formes d’agriculture et la faible empreinte au sol des talus par rapport à celle occupée actuellement par des pentes relativement fortes. La Commission est alors revenue sur sa décision initiale, considérant cette fois-ci que la demande modifiée laissera un relief plus favorable à la pratique de l’agriculture. Évidemment, ce gain ne se concrétisera pas au cours de la prochaine décennie. Plusieurs années seront requises avant le retour de l’agriculture sur le site de la carrière. Cependant, le gain est tellement important qu’il justifie l’attente. Après plus de trois ans d’exploitation illégale de cette zone, l’entreprise Gabriel Aubé inc. a finalement vu sa demande être acceptée le 28 mars 2024 et pourra exploiter la carrière légalement pendant 10 ans. Il demeure que l’entreprise est toujours en infraction vis-à-vis du ministère de l'Environnement. Contactée, l’entreprise Gabriel Aubé inc. n’a pas donné suite à nos demandes d’entrevue. Crimes et délits. Une étudiante portée disparue retrouvée morte à Ottawa. Publié hier à 17 h 36 HAE Une étudiante portée disparue retrouvée morte à OttawaLe Haut-Commissariat de l'Inde à Ottawa a identifié Vanshika Saini comme une étudiante indienne Politique provinciale. Danielle Smith promet un référendum en 2026. Publié hier à 21 h 33 HAE Danielle Smith promet un référendum en 2026La question du séparatisme pourrait y figurer Élections fédérales Canada 2025. Le candidat libéral de Windsor demande un recomptage judiciaire. Publié hier à 19 h 41 HAE Le candidat libéral de Windsor demande un recomptage judiciaireÉlections Canada a trouvé des erreurs dans les rapports des bureaux de vote locaux Célébrités. Le gala du Met en met plein la vue une fois de plus. Publié hier à 23 h 01 HAE Le gala du Met en met plein la vue une fois de plusSelon le New York Times la place au dîner coûte 75 000 dollars américains Politique fédérale. Don Davies choisi comme chef intérimaire du NPD. Publié à 0 h 50 HAE Don Davies choisi comme chef intérimaire du NPDLe parti de gauche a été réduit à seulement sept sièges lors des élections fédérales du 28 avril Chargement en coursInfolettre ICI AbitibiUne fois par jour recevez l’essentiel de l’actualité régionale Abonnez-vous à notre infolettre pour ne rien manquer Cette autorisation lui a été accordée en mars 2024 après quatre ans d'exploitation l'entreprise a reçu deux constats d'infraction du ministère de l'Environnement de la Lutte contre les changements climatiques notamment spécialisée dans le béton préparé le transport par fardier et le déneigement a entrepris le dynamitage du terrain situé à flanc de colline au nord de La Sarre afin d’y exploiter une carrière pour produire des granulats c'est que l’entreprise a commencé à exploiter cette zone sans autorisation de la CPTAQ ni du ministère de l'Environnement Pour qu’une entreprise exploite une carrière la Loi sur la qualité de l'environnement prévoit qu’elle doit détenir une autorisation du ministère de l’Environnement avant le début des travaux Le Ministère a reçu plusieurs plaintes de riverains Il a finalement délivré deux constats d’infraction et a édicté deux sanctions administratives pécuniaires de 5000 $ chacune La première sanction a été édictée en avril 2024 car l'entreprise a exploité cette zone sans avoir obtenu l’autorisation de la part du ministère de l’Environnement La deuxième sanction édictée en juillet 2024 concerne l’impact de l’exploitation sur les cours d’eau L’entreprise a fait des travaux sur la rive d'un cours d’eau intermittent sans autorisation et il y a même une portion d’un cours d’eau intermittent qui a été complètement détruite parce qu'il se trouve maintenant dans la carrière directrice régionale du contrôle environnemental de l'Abitibi-Témiscamingue et du Nord-du-Québec Pour se remettre en conformité avec la loi l’entreprise a depuis lors déposé une demande d'autorisation mais celle-ci est pour le moment jugée incomplète Une fois que les documents complémentaires auront été envoyés les analystes du Ministère étudieront la conformité de la demande avec le règlement sur les carrières et les sablières Il y a des normes qui concernent les vibrations L’entreprise ayant commencé l’exploitation sans autorisation elle va également devoir corriger son manquement Une possibilité consisterait à remettre les milieux détruits en état Si ce n’est pas possible de remettre en état on va analyser les mesures d’atténuation qui peuvent être mises en œuvre mais on peut exiger une compensation financière pour les milieux qui ont été détruits explique la directrice régionale du contrôle environnemental S’il n’y a pas de mise en conformité de l’exploitation de la carrière d’autres recours sont possibles pour le MELCCFP Des avis d’exécution et des ordonnances émis par le Ministère peuvent obliger l'entreprise à effectuer des travaux pour corriger la situation Il sera aussi possible d’engager un recours pénal l'aménagement et l’exploitation de cette carrière se sont aussi faits dans l’illégalité aux yeux de la Commission de la protection du territoire agricole du Québec (CPTAQ) La gravière se trouve sur un terrain défini comme zone agricole par le gouvernement du Québec Exploiter une zone agricole à une autre fin que l’agriculture nécessite une autorisation de la CPTAQ la CPTAQ a émis une ordonnance pour dénoncer l’infraction Il était alors reproché à l’entreprise d’avoir utilisé cette zone sans droit ni autorisation Cette ordonnance réclamait aussi l’arrêt immédiat de l’exploitation au moins deux témoins affirment que l’activité sur le site n’a pas cessé a tenté de régulariser sa situation en juin 2023 en présentant une demande officielle d'utilisation de la zone à une fin autre que l’agriculture soit pour l’exploitation d’une carrière l’entreprise reçoit le soutien de la Ville de La Sarre qui indique qu'aucun autre espace du territoire ne répond à leur critère et que l'utilisation de ce lot est conforme à la réglementation municipale La CPTAQ a toutefois refusé cette demande ce terrain en zone agricole est propice à la sylviculture et avec l’exploitation d’une carrière on ne peut s’attendre qu’à une dégradation du milieu ne permettant pas d’espérer un retour à l’agriculture [ou à la sylviculture] à moyen ni même à long terme indique le compte rendu de la Commission sur l’étude de la demande d’autorisation La Commission indique également que faire droit à la demande créerait un précédent susceptible de générer un effet d’entraînement pour des demandes similaires ce qui n’est pas souhaitable dans ce milieu agro-forestier a continué à exploiter la carrière Elle a finalement présenté une nouvelle demande d’autorisation à la CPTAQ en février 2024 Les avocats de l’entreprise ont alors insisté sur le caractère unique de ce site en Abitibi une région au relief plutôt plat peut-on lire dans le compte rendu de la Commission sur l’étude de la demande d’autorisation Elle ajoute que seules quatre carrières dans la région produisent des granulats utilisés pour la fabrication du béton bitumineux La plus proche de La Sarre se trouve à 120 kilomètres Les avocats ont également fait valoir quelques modifications dans le projet et soulignent l’amélioration du relief pour diverses formes d’agriculture et la faible empreinte au sol des talus par rapport à celle occupée actuellement par des pentes relativement fortes La Commission est alors revenue sur sa décision initiale considérant cette fois-ci que la demande modifiée laissera un relief plus favorable à la pratique de l’agriculture ce gain ne se concrétisera pas au cours de la prochaine décennie Plusieurs années seront requises avant le retour de l’agriculture sur le site de la carrière le gain est tellement important qu’il justifie l’attente Après plus de trois ans d’exploitation illégale de cette zone a finalement vu sa demande être acceptée le 28 mars 2024 et pourra exploiter la carrière légalement pendant 10 ans Il demeure que l’entreprise est toujours en infraction vis-à-vis du ministère de l'Environnement n’a pas donné suite à nos demandes d’entrevue Mathilde Blayo a travaillé avec différents médias en France avant de rejoindre Radio-Canada en Abitibi-Témiscamingue en 2024 Elle affectionne la couverture terrain pour la rencontre avec les gens Elle est aussi présente à l'antenne en remplacement sur des chroniques Le Haut-Commissariat de l'Inde à Ottawa a identifié Vanshika Saini comme une étudiante indienne La question du séparatisme pourrait y figurer Élections Canada a trouvé des erreurs dans les rapports des bureaux de vote locaux la place au dîner coûte 75 000 dollars américains Le parti de gauche a été réduit à seulement sept sièges lors des élections fédérales du 28 avril a exploité pendant des années une gravière au nord de La Sarre sans avoir obtenu d'autorisation de la Commission de la protection du territoire agricole (CPTAQ) Le projet de mosquée est né d’une volonté des acteurs locaux d’attirer et de retenir de nouveaux travailleurs dans le secteur. À l'occasion de la Grande Séduction en Abitibi-Ouest, une opération de recrutement de personnel de la santé lancée en 2022, des soignants étrangers sont venus travailler dans la région. Le collectif de la Grande Séduction s’était jusque-là assuré de proposer des logements équipés ainsi que des services de garderie, mais l’absence de lieu de culte pouvait poser problème. Dans le passé, c’est arrivé qu’on ait des départs de médecins, de spécialistes, qui sont allés dans d’autres villes parce qu’on n’avait pas cette infrastructure-là, raconte Sylvain Trudel, président de la Grande Séduction en Abitibi-Ouest. En août dernier, une infirmière a quitté la région pour une autre localité d’Abitibi-Témiscamingue dotée d’une mosquée. Et là, on a dit que c'était la dernière infirmière qu'on perdait pour cette raison-là, explique Sylvain Trudel. La décision a alors été prise d’ouvrir une mosquée à La Sarre. La Ville a très rapidement donné son accord. 100 000 $ ont été récoltés grâce à un don privé de 80 000 $ et à 20 000 $ de la Grande Séduction. Puis, le 15 août 2024, quatre mois après le lancement du projet, la mosquée a ouvert ses portes au centre-ville. Pour Sylvain Trudel, établir cette mosquée en ville est aussi une question d’égalité. Dans nos professionnels qu’on recrute souvent en Afrique, on a des musulmans, mais on a aussi des catholiques. Les catholiques sont chanceux, ils ont une grande église qui est vide, ils ont de la place, constate Sylvain Trudel. Pour les musulmans, il manquait cette infrastructure-là, et on trouvait essentiel qu’ils puissent pratiquer leur religion de façon régulière ici sans avoir à faire de la route pour aller à Rouyn. Pour assurer le fonctionnement de la mosquée, un OBNL, l'Association culturelle des musulmans de La Sarre, a été fondé. Cette association tient un registre des membres, estimés à 35. Chacun obtient une clé qui lui donne accès au lieu de culte en tout temps. À l’intérieur, il y a la salle de prière et une salle réservée aux ablutions, un rituel de purification qui précède la prière. Des exemplaires du Coran sont mis à disposition des fidèles, de même que des tapis de prière. Abdelghani El Fakir est médecin à Montréal, mais il vient régulièrement en Abitibi-Ouest en soutien aux équipes de La Sarre. Je suis vraiment heureux parce que c'est un endroit de ressourcement, de recueillement et de paix. J’ai la chance d'avoir ma maison pas loin et je viens régulièrement faire mes prières ici, raconte-t-il. Pour lui, ne pas avoir eu de lieu communautaire pour faire la prière du vendredi, la plus importante de la semaine pour les musulmans, c’était comme être amputé de quelque chose. Yaya Mané est arrivé d’Afrique de l’Ouest il y a un an. Pour lui aussi, l’absence de lieu de culte représentait un vide. C’est difficile à expliquer, mais c'est un sentiment où tu sens comme un vide. Tu ressens le manque d’accomplir quelque chose de vraiment important. La mosquée n’a pas d’imam attitré. Les fidèles se désignent à tour de rôle pour mener la prière, selon leur degré de connaissance des textes coraniques et la qualité de leur locution. Ce lieu de culte est aussi un lieu de reconnexion avec une culture et des traditions du pays quitté. Avec l'ouverture de la mosquée, Yaya Mané se dit maintenant en mesure d'envisager un avenir à long terme en Abitibi-Ouest. Au début, c’était difficile. Je me disais : \"Je ne pense pas que je vais rester à La Sarre\" pour beaucoup plus de facteurs. Mais ça, c’est un point vraiment essentiel, puis je me sens à la maison, assure-t-il, tout sourire. Ouvrir en mode plein écranSylvain Trudel, de la Grande Séduction en Abitibi-Ouest, en compagnie d'Abdelghani El Fakir, de Yaya Mané et d'Abdou Kamara. Mathilde BlayoPublié le 7 décembre 2024 à 7 h 42 HAEÉcouter l’article | 5 minutesLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale, une technologie basée sur l’intelligence artificielle.À La Sarre, une mosquée a été officiellement inaugurée vendredi au centre-ville. Ce lieu de culte vient répondre à un besoin d’une partie des nouveaux arrivants de la région. Ouverte depuis le mois d’août, elle compte déjà une trentaine de fidèles réguliers. Le projet de mosquée est né d’une volonté des acteurs locaux d’attirer et de retenir de nouveaux travailleurs dans le secteur. À l'occasion de la Grande Séduction en Abitibi-Ouest, une opération de recrutement de personnel de la santé lancée en 2022, des soignants étrangers sont venus travailler dans la région. Le collectif de la Grande Séduction s’était jusque-là assuré de proposer des logements équipés ainsi que des services de garderie, mais l’absence de lieu de culte pouvait poser problème. Dans le passé, c’est arrivé qu’on ait des départs de médecins, de spécialistes, qui sont allés dans d’autres villes parce qu’on n’avait pas cette infrastructure-là, raconte Sylvain Trudel, président de la Grande Séduction en Abitibi-Ouest. En août dernier, une infirmière a quitté la région pour une autre localité d’Abitibi-Témiscamingue dotée d’une mosquée. Ouvrir en mode plein écranSylvain Trudel, président du Comité citoyen à l'origine de la mobilisation de la Grande Séduction en Abitibi-Ouest. (Photo d'archives) Et là, on a dit que c'était la dernière infirmière qu'on perdait pour cette raison-là, explique Sylvain Trudel. La décision a alors été prise d’ouvrir une mosquée à La Sarre. La Ville a très rapidement donné son accord. 100 000 $ ont été récoltés grâce à un don privé de 80 000 $ et à 20 000 $ de la Grande Séduction. Puis, le 15 août 2024, quatre mois après le lancement du projet, la mosquée a ouvert ses portes au centre-ville. Pour Sylvain Trudel, établir cette mosquée en ville est aussi une question d’égalité. Dans nos professionnels qu’on recrute souvent en Afrique, on a des musulmans, mais on a aussi des catholiques. Les catholiques sont chanceux, ils ont une grande église qui est vide, ils ont de la place, constate Sylvain Trudel. Pour les musulmans, il manquait cette infrastructure-là, et on trouvait essentiel qu’ils puissent pratiquer leur religion de façon régulière ici sans avoir à faire de la route pour aller à Rouyn. Pour assurer le fonctionnement de la mosquée, un OBNL, l'Association culturelle des musulmans de La Sarre, a été fondé. Cette association tient un registre des membres, estimés à 35. Chacun obtient une clé qui lui donne accès au lieu de culte en tout temps. À l’intérieur, il y a la salle de prière et une salle réservée aux ablutions, un rituel de purification qui précède la prière. Des exemplaires du Coran sont mis à disposition des fidèles, de même que des tapis de prière. Ouvrir en mode plein écranDes exemplaires du Coran sont à la disposition des fidèles, de même que des tapis de prière. Abdelghani El Fakir est médecin à Montréal, mais il vient régulièrement en Abitibi-Ouest en soutien aux équipes de La Sarre. Je suis vraiment heureux parce que c'est un endroit de ressourcement, de recueillement et de paix. J’ai la chance d'avoir ma maison pas loin et je viens régulièrement faire mes prières ici, raconte-t-il. Pour lui, ne pas avoir eu de lieu communautaire pour faire la prière du vendredi, la plus importante de la semaine pour les musulmans, c’était comme être amputé de quelque chose. Yaya Mané est arrivé d’Afrique de l’Ouest il y a un an. Pour lui aussi, l’absence de lieu de culte représentait un vide. C’est difficile à expliquer, mais c'est un sentiment où tu sens comme un vide. Tu ressens le manque d’accomplir quelque chose de vraiment important. La mosquée n’a pas d’imam attitré. Les fidèles se désignent à tour de rôle pour mener la prière, selon leur degré de connaissance des textes coraniques et la qualité de leur locution. Ce lieu de culte est aussi un lieu de reconnexion avec une culture et des traditions du pays quitté. Avec l'ouverture de la mosquée, Yaya Mané se dit maintenant en mesure d'envisager un avenir à long terme en Abitibi-Ouest. Au début, c’était difficile. Je me disais : "Je ne pense pas que je vais rester à La Sarre" pour beaucoup plus de facteurs. Mais ça, c’est un point vraiment essentiel, puis je me sens à la maison, assure-t-il, tout sourire. elle compte déjà une trentaine de fidèles réguliers Le projet de mosquée est né d’une volonté des acteurs locaux d’attirer et de retenir de nouveaux travailleurs dans le secteur À l'occasion de la Grande Séduction en Abitibi-Ouest une opération de recrutement de personnel de la santé lancée en 2022 des soignants étrangers sont venus travailler dans la région Le collectif de la Grande Séduction s’était jusque-là assuré de proposer des logements équipés ainsi que des services de garderie mais l’absence de lieu de culte pouvait poser problème c’est arrivé qu’on ait des départs de médecins qui sont allés dans d’autres villes parce qu’on n’avait pas cette infrastructure-là président de la Grande Séduction en Abitibi-Ouest une infirmière a quitté la région pour une autre localité d’Abitibi-Témiscamingue dotée d’une mosquée on a dit que c'était la dernière infirmière qu'on perdait pour cette raison-là La décision a alors été prise d’ouvrir une mosquée à La Sarre La Ville a très rapidement donné son accord 100 000 $ ont été récoltés grâce à un don privé de 80 000 $ et à 20 000 $ de la Grande Séduction quatre mois après le lancement du projet la mosquée a ouvert ses portes au centre-ville établir cette mosquée en ville est aussi une question d’égalité Dans nos professionnels qu’on recrute souvent en Afrique ils ont une grande église qui est vide et on trouvait essentiel qu’ils puissent pratiquer leur religion de façon régulière ici sans avoir à faire de la route pour aller à Rouyn Pour assurer le fonctionnement de la mosquée l'Association culturelle des musulmans de La Sarre Cette association tient un registre des membres Chacun obtient une clé qui lui donne accès au lieu de culte en tout temps il y a la salle de prière et une salle réservée aux ablutions un rituel de purification qui précède la prière Des exemplaires du Coran sont mis à disposition des fidèles Abdelghani El Fakir est médecin à Montréal mais il vient régulièrement en Abitibi-Ouest en soutien aux équipes de La Sarre Je suis vraiment heureux parce que c'est un endroit de ressourcement J’ai la chance d'avoir ma maison pas loin et je viens régulièrement faire mes prières ici ne pas avoir eu de lieu communautaire pour faire la prière du vendredi la plus importante de la semaine pour les musulmans c’était comme être amputé de quelque chose Yaya Mané est arrivé d’Afrique de l’Ouest il y a un an l’absence de lieu de culte représentait un vide mais c'est un sentiment où tu sens comme un vide Tu ressens le manque d’accomplir quelque chose de vraiment important La mosquée n’a pas d’imam attitré Les fidèles se désignent à tour de rôle pour mener la prière selon leur degré de connaissance des textes coraniques et la qualité de leur locution Ce lieu de culte est aussi un lieu de reconnexion avec une culture et des traditions du pays quitté Yaya Mané se dit maintenant en mesure d'envisager un avenir à long terme en Abitibi-Ouest Je me disais : \\\"Je ne pense pas que je vais rester à La Sarre\\\" pour beaucoup plus de facteurs Je me disais : \"Je ne pense pas que je vais rester à La Sarre\" pour beaucoup plus de facteurs une mosquée a été officiellement inaugurée vendredi au centre-ville Ce lieu de culte vient répondre à un besoin d’une partie des nouveaux arrivants de la région Les gens nous disaient souvent que c’était difficile de remonter à pied, affirme-t-elle. On a mis le projet sur pied avec la Ville de La Sarre, Loisir et Sports Abitibi-Témiscamingue et Tourisme Abitibi-Témiscamingue. Les coûts d’installation du remonte-pente s’élèvent à 200 000$. Les frais d’utilisation varient quant à eux en fonction de l’adresse des usagers. Les résidents de La Sarre doivent débourser 5 $ pour glisser contre 10 $ pour les non-résidents. Les coûts sont de 4 $ pour les adolescents de 13 à 17 ans contre le double pour ceux des autres villes. Les enfants de 12 ans et moins qui habitent à La Sarre peuvent utiliser la remontée mécanique gratuitement. La différence de coûts fait partie de notre entente avec la Ville de La Sarre. La municipalité nous soutient financièrement. Les résidents paient déjà une partie avec leurs taxes municipales, complète Rachel Luneau. Le remonte-pente donne accès aux quatre couloirs de glissade sur tube. Outre les descentes en tube, le club Beattie offre des activités de ski de fond, de raquettes, de vélo et de trottinette à neige. Des équipements sont disponibles pour location. Les pistes et sentiers sont pour le moment ouverts, bien que les risques de pluie verglaçante pourraient entraîner des fermetures samedi. Gabriel Poirier est bachelier en histoire de l'Université de Montréal. Il exerce le journalisme en Abitibi-Témiscamingue, sa région natale, où il couvre une gamme de sujets variés depuis septembre 2022. Ouvrir en mode plein écranLes familles de l'Abitibi-Ouest peuvent dévaler les pentes du Club Beattie de La Sarre. Gabriel PoirierPublié le 28 décembre 2024 à 7 h 25 HAEÉcouter l’article | 2 minutesLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale, une technologie basée sur l’intelligence artificielle.Le Club Beattie de La Sarre a inauguré son tout premier remonte-pente. Les jeunes de moins de 12 ans, de La Sarre, pourront dévaler gratuitement, mais le service sera payant pour tous les autres amateurs de glisse. La directrice générale du club, Rachel Luneau, croit que l’installation répond à un besoin. Certaines familles étaient fatiguées de marcher jusqu’au sommet de la pente. Les gens nous disaient souvent que c’était difficile de remonter à pied, affirme-t-elle. On a mis le projet sur pied avec la Ville de La Sarre, Loisir et Sports Abitibi-Témiscamingue et Tourisme Abitibi-Témiscamingue. Ouvrir en mode plein écranLe Club de golf Beattie loue différents équipements aux personnes qui pratiquent des sports d'hiver, rappelle Rachel Luneau. (Photo d'archives) Les coûts d’installation du remonte-pente s’élèvent à 200 000$. Les frais d’utilisation varient quant à eux en fonction de l’adresse des usagers. Les résidents de La Sarre doivent débourser 5 $ pour glisser contre 10 $ pour les non-résidents. Les coûts sont de 4 $ pour les adolescents de 13 à 17 ans contre le double pour ceux des autres villes. Les enfants de 12 ans et moins qui habitent à La Sarre peuvent utiliser la remontée mécanique gratuitement. La différence de coûts fait partie de notre entente avec la Ville de La Sarre. La municipalité nous soutient financièrement. Les résidents paient déjà une partie avec leurs taxes municipales, complète Rachel Luneau. Le remonte-pente donne accès aux quatre couloirs de glissade sur tube. Outre les descentes en tube, le club Beattie offre des activités de ski de fond, de raquettes, de vélo et de trottinette à neige. Des équipements sont disponibles pour location. Les pistes et sentiers sont pour le moment ouverts, bien que les risques de pluie verglaçante pourraient entraîner des fermetures samedi. croit que l’installation répond à un besoin Certaines familles étaient fatiguées de marcher jusqu’au sommet de la pente Les gens nous disaient souvent que c’était difficile de remonter à pied On a mis le projet sur pied avec la Ville de La Sarre Loisir et Sports Abitibi-Témiscamingue et Tourisme Abitibi-Témiscamingue Les coûts d’installation du remonte-pente s’élèvent à 200 000$ Les frais d’utilisation varient quant à eux en fonction de l’adresse des usagers Les résidents de La Sarre doivent débourser 5 $ pour glisser contre 10 $ pour les non-résidents Les coûts sont de 4 $ pour les adolescents de 13 à 17 ans contre le double pour ceux des autres villes Les enfants de 12 ans et moins qui habitent à La Sarre peuvent utiliser la remontée mécanique gratuitement La différence de coûts fait partie de notre entente avec la Ville de La Sarre La municipalité nous soutient financièrement Les résidents paient déjà une partie avec leurs taxes municipales Le remonte-pente donne accès aux quatre couloirs de glissade sur tube le club Beattie offre des activités de ski de fond de vélo et de trottinette à neige Des équipements sont disponibles pour location Les pistes et sentiers sont pour le moment ouverts bien que les risques de pluie verglaçante pourraient entraîner des fermetures samedi Gabriel Poirier est bachelier en histoire de l'Université de Montréal Il exerce le journalisme en Abitibi-Témiscamingue où il couvre une gamme de sujets variés depuis septembre 2022 Le Club Beattie de La Sarre a inauguré son tout premier remonte-pente mais le service sera payant pour tous les autres amateurs de glisse Il y a également un espace atelier réservé au Regroupement des artistes en arts visuels de l’Abitibi-Ouest (RAAVAO). Les sœurs Joanne et Stéphanie Hamelin, ainsi que le mari de Stéphanie, Simon Goudreau, ont monté ce projet pour tenter de répondre à des besoins de la ville de La Sarre. On démontre qu’on n’a pas besoin d’être dans une grande ville, ou d’être au centre-ville dans une mégalopole, pour avoir du talent puis pour avoir des services. On est capables d’offrir ce que toutes les autres places offrent, mais nous autres, on va l’avoir ici, on va l’avoir en région, souligne Simon Goudreau. Les propriétaires veulent valoriser les entrepreneurs et les produits locaux, notamment avec un café torréfié à Malartic par Torréfacteur sans frontière. Appli Radio-Canada OHdioTout un monde à écouter, partout où vous allez. Il y a également un espace atelier réservé au Regroupement des artistes en arts visuels de l’Abitibi-Ouest (RAAVAO) ont monté ce projet pour tenter de répondre à des besoins de la ville de La Sarre On démontre qu'on n'a pas besoin d'être dans une grande ville ou d'être au centre-ville dans une mégalopole pour avoir du talent puis pour avoir des services On est capables d'offrir ce que toutes les autres places offrent Les propriétaires veulent valoriser les entrepreneurs et les produits locaux notamment avec un café torréfié à Malartic par Torréfacteur sans frontière L’Accalmie Chez Juliette est un tout nouveau café avec des produits de pâtisserie et boulangerie artisanale Mais l’établissement dispose aussi d’une salle de réunion et de 15 chambres à louer pour les travailleurs touristes et étudiants de l’Abitibi-Témiscamingue C’est un phénomène qui s’en va en augmentant, on n’a jamais vu ça, raconte la directrice générale Josiane Michaud. Souvent, on avait des périodes d’accalmie, l’été, mais là, de moins en moins, on n’en a pas, c’est toujours à fond de train tout le temps. [...] C'est pas juste ici à La Sarre, mes collègues des autres secteurs le nomment aussi, ajoute la responsable. Dans le nouveau bâtiment, quatre appartements pourront accueillir des personnes durant un an. On va prendre le temps d’aller travailler toutes les lacunes, aller travailler les habiletés, aller travailler à fond avec les gens pour que, quand ils vont nous quitter, ils vont être vraiment prêts à partir, explique Josiane Michaud. Un appartement sera réservé aux pères avec enfants, qui se partageront l’espace pour pouvoir recevoir à tour de rôle leur enfant. On a beaucoup plus d'hommes dans nos services et ces hommes sont aussi des pères. Puis ces pères ne pouvaient pas amener leurs enfants ici, [alors] souvent, ça coupait les liens affectifs. Ils perdaient un peu le contact avec leurs enfants, c'était vraiment difficile pour eux, rapporte Mme Michaud. Permettre aux pères de recevoir leur enfant dans un espace adapté pourra aussi compter dans le rétablissement de ces personnes. Des places en hébergement de nuit d’urgence ont aussi été ajoutées. En plus des logements, l’agrandissement compte une grande salle où pourra se tenir la soupe populaire quotidienne. L’établissement reçoit une vingtaine de bénéficiaires par jour, et la petite cuisine qui les accueillait jusqu’à maintenant ne permettait pas de faire un travail d’accompagnement efficace. Les gens ne peuvent pas rester manger avec nous, ils prennent leur lunch et puis s’en vont. On brise un peu le lien, on ne peut pas prendre le temps avec ces gens-là de faire un accueil adéquat, une écoute active, explique Josiane Michaud. Avec ces nouveaux espaces d’accueil, les équipes de l'organisme pourront prendre le temps de créer des liens avec les bénéficiaires de la soupe populaire. Le bâtiment flambant neuf aura coûté 2,2 millions de dollars, soit 1,1 million de plus qu’attendu au départ, mais les partenaires du projet ont répondu présents. Ouvrir en mode plein écranLa directrice générale de la Maison du Compagnon, Josiane Michaud, se réjouit de l'agrandissement de son organisme qui pourra offrir plus de services. Mathilde BlayoPublié le 14 novembre 2024 à 18 h 24 HAEÉcouter l’article | 3 minutesLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale, une technologie basée sur l’intelligence artificielle.À La Sarre, la Maison du Compagnon a inauguré ses nouveaux locaux. L'établissement héberge déjà une dizaine de personnes, dans des appartements transitoires supervisés et un dortoir. Toutefois, l’agrandissement de la maison d’hébergement était devenu une nécessité face à l’augmentation des besoins. C’est un phénomène qui s’en va en augmentant, on n’a jamais vu ça, raconte la directrice générale Josiane Michaud. Souvent, on avait des périodes d’accalmie, l’été, mais là, de moins en moins, on n’en a pas, c’est toujours à fond de train tout le temps. [...] C'est pas juste ici à La Sarre, mes collègues des autres secteurs le nomment aussi, ajoute la responsable. Dans le nouveau bâtiment, quatre appartements pourront accueillir des personnes durant un an. On va prendre le temps d’aller travailler toutes les lacunes, aller travailler les habiletés, aller travailler à fond avec les gens pour que, quand ils vont nous quitter, ils vont être vraiment prêts à partir, explique Josiane Michaud. Un appartement sera réservé aux pères avec enfants, qui se partageront l’espace pour pouvoir recevoir à tour de rôle leur enfant. On a beaucoup plus d'hommes dans nos services et ces hommes sont aussi des pères. Puis ces pères ne pouvaient pas amener leurs enfants ici, [alors] souvent, ça coupait les liens affectifs. Ils perdaient un peu le contact avec leurs enfants, c'était vraiment difficile pour eux, rapporte Mme Michaud. Permettre aux pères de recevoir leur enfant dans un espace adapté pourra aussi compter dans le rétablissement de ces personnes. Des places en hébergement de nuit d’urgence ont aussi été ajoutées. En plus des logements, l’agrandissement compte une grande salle où pourra se tenir la soupe populaire quotidienne. L’établissement reçoit une vingtaine de bénéficiaires par jour, et la petite cuisine qui les accueillait jusqu’à maintenant ne permettait pas de faire un travail d’accompagnement efficace. Ouvrir en mode plein écranPlusieurs personnes étaient présentes à l'inauguration des nouveaux locaux de la Maison du Compagnon de La Sarre. Les gens ne peuvent pas rester manger avec nous, ils prennent leur lunch et puis s’en vont. On brise un peu le lien, on ne peut pas prendre le temps avec ces gens-là de faire un accueil adéquat, une écoute active, explique Josiane Michaud. Avec ces nouveaux espaces d’accueil, les équipes de l'organisme pourront prendre le temps de créer des liens avec les bénéficiaires de la soupe populaire. Le bâtiment flambant neuf aura coûté 2,2 millions de dollars, soit 1,1 million de plus qu’attendu au départ, mais les partenaires du projet ont répondu présents. l’agrandissement de la maison d’hébergement était devenu une nécessité face à l’augmentation des besoins C’est un phénomène qui s’en va en augmentant raconte la directrice générale Josiane Michaud on avait des périodes d’accalmie c’est toujours à fond de train tout le temps [...] C'est pas juste ici à La Sarre mes collègues des autres secteurs le nomment aussi quatre appartements pourront accueillir des personnes durant un an On va prendre le temps d’aller travailler toutes les lacunes aller travailler à fond avec les gens pour que ils vont être vraiment prêts à partir Un appartement sera réservé aux pères avec enfants qui se partageront l’espace pour pouvoir recevoir à tour de rôle leur enfant On a beaucoup plus d'hommes dans nos services et ces hommes sont aussi des pères Puis ces pères ne pouvaient pas amener leurs enfants ici Ils perdaient un peu le contact avec leurs enfants Permettre aux pères de recevoir leur enfant dans un espace adapté pourra aussi compter dans le rétablissement de ces personnes Des places en hébergement de nuit d’urgence ont aussi été ajoutées l’agrandissement compte une grande salle où pourra se tenir la soupe populaire quotidienne L’établissement reçoit une vingtaine de bénéficiaires par jour et la petite cuisine qui les accueillait jusqu’à maintenant ne permettait pas de faire un travail d’accompagnement efficace Les gens ne peuvent pas rester manger avec nous ils prennent leur lunch et puis s’en vont on ne peut pas prendre le temps avec ces gens-là de faire un accueil adéquat les équipes de l'organisme pourront prendre le temps de créer des liens avec les bénéficiaires de la soupe populaire Le bâtiment flambant neuf aura coûté 2,2 millions de dollars soit 1,1 million de plus qu’attendu au départ mais les partenaires du projet ont répondu présents la Maison du Compagnon a inauguré ses nouveaux locaux L'établissement héberge déjà une dizaine de personnes dans des appartements transitoires supervisés et un dortoir dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"Selon le document présenté jeudi l'impôt imposé aux propriétaires d’une maison moyenne de 184 248 $ augmentera de 94,88 $ par rapport à 2024 ce qui équivaut à une hausse d’environ 3,5 % Les taxes de services sur l’eau et la collecte de déchets ainsi que l’écotaxe resteront les mêmes qu’en 2024 L'administration municipale prévoit une réduction des dépenses municipales qui ne devrait pas toucher les services aux citoyens. En 2025, la Ville de La Sarre prévoit un budget de 1 448 300 $ pour faire l'acquisition d’un camion d'incendie. Cet achat fait partie des projets d'immobilisations de 2025, tout comme l’installation de compteurs d’eau dans les commerces et industries ainsi que l’aménagement du parc Rotary. Le programme triennal d'immobilisation 2025-2026-2027 de La Sarre prévoit des dépenses de 8 774 010 $ sur trois ans, dont 2 767 550 $ en 2025. La Ville prévoit financer environ 45 % de ces dépenses par un emprunt à long terme. Ouvrir en mode plein écranDes réductions des dépenses sont à prévoir à La Sarre sans toucher aux services à la population. (Photo d'archives) Annabel OuelletPublié le 20 décembre 2024 à 14 h 04 HAEÉcouter l’article | 2 minutesLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale une technologie basée sur l’intelligence artificielle.Les propriétaires à La Sarre verront leur impôt foncier augmenter en moyenne de 3,5 % en 2025 selon le budget 2025 adopté par le conseil municipal l'impôt imposé aux propriétaires d’une maison moyenne de 184 248 $ augmentera de 94,88 $ par rapport à 2024 ce qui équivaut à une hausse d’environ 3,5 % Les taxes de services sur l’eau et la collecte de déchets ainsi que l’écotaxe resteront les mêmes qu’en 2024 L'administration municipale prévoit une réduction des dépenses municipales qui ne devrait pas toucher les services aux citoyens. En 2025, la Ville de La Sarre prévoit un budget de 1 448 300 $ pour faire l'acquisition d’un camion d'incendie. Cet achat fait partie des projets d'immobilisations de 2025, tout comme l’installation de compteurs d’eau dans les commerces et industries ainsi que l’aménagement du parc Rotary. Le programme triennal d'immobilisation 2025-2026-2027 de La Sarre prévoit des dépenses de 8 774 010 $ sur trois ans, dont 2 767 550 $ en 2025. La Ville prévoit financer environ 45 % de ces dépenses par un emprunt à long terme. Selon le document présenté jeudi L'administration municipale prévoit une réduction des dépenses municipales qui ne devrait pas toucher les services aux citoyens la Ville de La Sarre prévoit un budget de 1 448 300 $ pour faire l'acquisition d’un camion d'incendie Cet achat fait partie des projets d'immobilisations de 2025 tout comme l’installation de compteurs d’eau dans les commerces et industries ainsi que l’aménagement du parc Rotary Le programme triennal d'immobilisation 2025-2026-2027 de La Sarre prévoit des dépenses de 8 774 010 $ sur trois ans dont 2 767 550 $ en 2025 La Ville prévoit financer environ 45 % de ces dépenses par un emprunt à long terme Les propriétaires à La Sarre verront leur impôt foncier augmenter en moyenne de 3,5 % en 2025 selon le budget 2025 adopté par le conseil municipal Le maire de La Sarre estime que la situation nécessite des explications de la part du président de l’organisation, Alain Grégoire, qui est aussi le maire de Dupuy. Il estime qu’un audit de gestion est nécessaire. Réalisée par un auditeur indépendant et à vos frais, celle-ci devra avoir comme mandat d’analyser l’efficacité de l’équipe et des systèmes de gestion de votre organisation, la situation actuelle ne pouvant pas perdurer davantage, explique le maire de La Sarre, Yves Dubé, dans sa lettre. Le maire de La Sarre mentionne que la Ville a déjà déploré par le passé le manque de collaboration de la part de la directrice générale, Mylène Joseph. Il précise que sa municipalité a reçu de nombreuses plaintes à l’égard de l’Office d’habitation et de sa direction générale depuis la diffusion du reportage de Radio-Canada. Considérant les besoins importants pour les familles à faible revenu en Abitibi-Ouest, il nous apparaît inconcevable que l’Office d’habitation du Lac Abitibi n’ait pas su apporter les ajustements nécessaires afin de combler rapidement les logements disponibles, écrit Yves Dubé, mentionnant avoir été surpris par l’ampleur de la situation décrite dans le reportage de Radio-Canada. La Ville de La Sarre réclame aussi la tenue d’une réunion d’urgence entre les élus des municipalités ayant des HLM gérés par l’Office d’habitation du Lac Abitibi, soit La Sarre, Palmarolle, Dupuy, La Reine et Normétal. La présente situation exige des actions rapides de votre part, et c’est ce que nous vous proposons, précise la lettre. Le président de l’Office d’habitation du Lac Abitibi, Alain Grégoire, n'a pas répondu à notre appel pour une entrevue. La Société d’habitation du Québec, qui gère les offices d’habitation, nous a mentionné par courriel avoir pris connaissance de la lettre envoyée par la Ville de La Sarre. Dans une courte réponse, la SHQ dit vouloir dispenser l’accompagnement nécessaire pour mettre en place les mesures correctives qui seront à la satisfaction de chacune des parties. Jean-Marc Belzile couvre l'actualité comme journaliste depuis plus de 15 ans en Abitibi-Témiscamingue. Il a joint l'équipe de Radio-Canada en 2018 comme journaliste-vidéaste à Rouyn-Noranda. Ouvrir en mode plein écranAu HLM de Normétal, il y avait au moins 2 logements inoccupés au 11 septembre dernier. (Photo d'archives) Jean-Marc BelzilePublié le 7 octobre 2024 à 17 h 26 HAEÉcouter l’article | 4 minutesLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale une technologie basée sur l’intelligence artificielle.La Ville de La Sarre interpelle dans une lettre le président de l’Office d’habitation du Lac Abitibi afin de réclamer un audit de gestion concernant son organisme Le maire Yves Dubé s'interroge sur les aptitudes et les compétences de l’actuelle directrice générale à gérer l’Office d’habitation Le maire de La Sarre estime que la situation nécessite des explications de la part du président de l’organisation, Alain Grégoire, qui est aussi le maire de Dupuy. Il estime qu’un audit de gestion est nécessaire. Réalisée par un auditeur indépendant et à vos frais, celle-ci devra avoir comme mandat d’analyser l’efficacité de l’équipe et des systèmes de gestion de votre organisation, la situation actuelle ne pouvant pas perdurer davantage, explique le maire de La Sarre, Yves Dubé, dans sa lettre. Le maire de La Sarre mentionne que la Ville a déjà déploré par le passé le manque de collaboration de la part de la directrice générale, Mylène Joseph. Il précise que sa municipalité a reçu de nombreuses plaintes à l’égard de l’Office d’habitation et de sa direction générale depuis la diffusion du reportage de Radio-Canada. Ouvrir en mode plein écranLe maire de La Sarre, Yves Dubé, réclame des explications de l'OMH du Lac Abitibi. (Photo d'archives) Photo : Radio-Canada / Jean-Michel Cotnoir Considérant les besoins importants pour les familles à faible revenu en Abitibi-Ouest, il nous apparaît inconcevable que l’Office d’habitation du Lac Abitibi n’ait pas su apporter les ajustements nécessaires afin de combler rapidement les logements disponibles, écrit Yves Dubé, mentionnant avoir été surpris par l’ampleur de la situation décrite dans le reportage de Radio-Canada. La Ville de La Sarre réclame aussi la tenue d’une réunion d’urgence entre les élus des municipalités ayant des HLM gérés par l’Office d’habitation du Lac Abitibi, soit La Sarre, Palmarolle, Dupuy, La Reine et Normétal. La présente situation exige des actions rapides de votre part, et c’est ce que nous vous proposons, précise la lettre. Le président de l’Office d’habitation du Lac Abitibi, Alain Grégoire, n'a pas répondu à notre appel pour une entrevue. La Société d’habitation du Québec, qui gère les offices d’habitation, nous a mentionné par courriel avoir pris connaissance de la lettre envoyée par la Ville de La Sarre. Dans une courte réponse, la SHQ dit vouloir dispenser l’accompagnement nécessaire pour mettre en place les mesures correctives qui seront à la satisfaction de chacune des parties. Radio-Canada révélait le 11 septembre dernier qu’en pleine crise du logement, plusieurs habitations à loyer modique, gérées par l’Office d’habitation du Lac Abitibi sont inoccupées en Abitibi-Ouest Le maire de La Sarre estime que la situation nécessite des explications de la part du président de l’organisation Il estime qu’un audit de gestion est nécessaire Réalisée par un auditeur indépendant et à vos frais celle-ci devra avoir comme mandat d’analyser l’efficacité de l’équipe et des systèmes de gestion de votre organisation la situation actuelle ne pouvant pas perdurer davantage Le maire de La Sarre mentionne que la Ville a déjà déploré par le passé le manque de collaboration de la part de la directrice générale Il précise que sa municipalité a reçu de nombreuses plaintes à l’égard de l’Office d’habitation et de sa direction générale depuis la diffusion du reportage de Radio-Canada Considérant les besoins importants pour les familles à faible revenu en Abitibi-Ouest il nous apparaît inconcevable que l’Office d’habitation du Lac Abitibi n’ait pas su apporter les ajustements nécessaires afin de combler rapidement les logements disponibles mentionnant avoir été surpris par l’ampleur de la situation décrite dans le reportage de Radio-Canada Pour le bien de nos citoyens les plus vulnérables nous sommes d’avis que des correctifs auraient dû être apportés dès le moment où des logements sont demeurés inoccupés la Ville de La Sarre s'interroge sur les aptitudes et les compétences de l’actuelle direction générale à gérer l’Office d’habitation du Lac Abitibi avec le discernement qui s’impose pour le bien des personnes moins bien nanties de l’Abitibi-Ouest ajoute Yves Dubé dans sa lettre en précisant qu’il s’interroge sur la volonté de l’organisme à collaborer avec les instances municipales de l’Abitibi-Ouest La Ville de La Sarre réclame aussi la tenue d’une réunion d’urgence entre les élus des municipalités ayant des HLM gérés par l’Office d’habitation du Lac Abitibi La présente situation exige des actions rapides de votre part Le président de l’Office d’habitation du Lac Abitibi n'a pas répondu à notre appel pour une entrevue La Société d’habitation du Québec qui gère les offices d’habitation nous a mentionné par courriel avoir pris connaissance de la lettre envoyée par la Ville de La Sarre la SHQ dit vouloir dispenser l’accompagnement nécessaire pour mettre en place les mesures correctives qui seront à la satisfaction de chacune des parties Jean-Marc Belzile couvre l'actualité comme journaliste depuis plus de 15 ans en Abitibi-Témiscamingue Il a joint l'équipe de Radio-Canada en 2018 comme journaliste-vidéaste à Rouyn-Noranda Radio-Canada révélait le 11 septembre dernier qu’en pleine crise du logement, plusieurs habitations à loyer modique, gérées par l’Office d’habitation du Lac Abitibi sont inoccupées en Abitibi-Ouest La Ville de La Sarre interpelle dans une lettre le président de l’Office d’habitation du Lac Abitibi Le maire Yves Dubé s'interroge sur les aptitudes et les compétences de l’actuelle directrice générale à gérer l’Office d’habitation Une présence qui a surpris des résidents notamment près de la rue Marcotte dans le secteur du domaine Trudel Le biologiste au ministère de l’Environnement rappelle que l’animal craint habituellement les humains le coyote est à la recherche de nourriture et s’approche un peu plus des résidences un coyote urbain avait été aperçu à plusieurs reprises l’hiver Le biologiste Jean Lapointe rappelle que les coyotes resteront à proximité des résidences s’ils ont accès à de la nourriture Jean Lapointe indique qu’un bol de nourriture était à sa disposition alors qu’il est conseillé de ne rien laisser à l’extérieur pour éviter ces visites il va se tanner et aller ailleurs pour trouver sa nourriture Les coyotes constituent un danger notamment pour les chats qui se promènent librement. Les pattes, le nez et les oreilles des loups sont plus larges que ceux des coyotes. Le biologiste affirme que le coyote est parfois confondu avec le loup. L’identification de l’animal est plus difficile en raison des hybrides de grands canidés. Aujourd’hui, c’est pire parce que le coyote qui était absent jadis au Québec est devenu abondant. Quand les deux espèces se rencontrent, il peut y avoir hybridation. Il peut aussi y avoir hybridation avec les chiens, décrit-il. Les coyotes constituent un danger notamment pour les chats qui se promènent librement Le biologiste affirme que le coyote est parfois confondu avec le loup L’identification de l’animal est plus difficile en raison des hybrides de grands canidés c’est pire parce que le coyote qui était absent jadis au Québec est devenu abondant Quand les deux espèces se rencontrent Il peut aussi y avoir hybridation avec les chiens Des coyotes ont été observés ces derniers jours dans des quartiers résidentiels de La Sarre dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"En 2020 l’entreprise Gabriel Aubé Inc a commencé à exploiter une carrière au nord de la municipalité sans les deux autorisations préalables de la part de la Commission de la protection du territoire agricole (CPTAQ) et du ministère de l'Environnement La Ville a refusé les demandes d’entrevue de Radio-Canada préférant répondre aux questions par courriel Dans son courriel, la Ville assure n’avoir pris connaissance de l’existence de la carrière exploitée illégalement par l’entreprise Gabriel Aubé Inc qu’en avril 2021, par le biais d’une alerte citoyenne. Elle aurait alors directement signalé la situation à la CPTAQ ainsi qu’au MELCCFP, dès avril 2021. Selon la Ville, cette intervention aurait permis à la Commission d’envoyer un avis d’infraction à Gabriel Aubé Inc en 2022, demandant l’arrêt de l’exploitation de la carrière. La Ville de La Sarre explique dans son courriel que : Les municipalités n’ont pas le pouvoir d’arrêter les opérations d’une carrière clandestine. Il s’agit d’une compétence provinciale. L’entreprise aurait alors engagé une firme de consultants, Ressources Environnement Inc., pour obtenir ses autorisations légales. La demande d’autorisation auprès de la CPTAQ a d’abord été déposée à la Ville. Dans le cadre de cette démarche, la Ville doit vérifier la conformité à la réglementation municipale en matière de zonage. De plus, la Ville a l’obligation de vérifier qu’aucun autre endroit, hors zonage agricole, n’est propice à l’exploitation d’une carrière sur son territoire. Ces deux éléments étaient conformes. Après un premier refus en 2023, la CPTAQ autorise finalement l’exploitation de la carrière en mars 2024. La Ville a alors considéré la carrière comme conforme, sans s’assurer qu’elle ait obtenu l’autorisation du ministère de l’Environnement. La Municipalité explique avoir présumé que le signalement au ministère suivait également son cours, rappelant que le ministère n’est pas tenu de rendre des comptes aux municipalités. Considérant la gravière conforme, la Ville a passé une commande à l’entreprise le 8 octobre 2024. Le 10 octobre, l’entreprise a demandé un numéro civique pour la gravière. La Ville de La Sarre a alors demandé une copie du certificat d’autorisation du MELCCFP. N’obtenant pas de réponse de l'entreprise, la Ville a demandé cette copie du certificat d’autorisation directement au ministère qui a répondu ne pas avoir ce document. En conséquence, la Ville de La Sarre indique qu’elle n’a pas émis de numéro civique pour la gravière de l’entreprise et n’a pas payé la commande effectuée le 8 octobre. La Ville a de nouveau exigé que l’entreprise régularise sa situation auprès du ministère de l’Environnement. Plusieurs riverains avaient aussi signifié des désagréments que provoque l’exploitation. Ceux-ci évoquent des nuisances sonores et vibrations importantes en dehors des heures autorisées par le règlement de la ville, notamment au milieu de la nuit. La Ville indique avoir mis en place un monitorage pour valider l’information reçue des citoyens. Malheureusement, la Ville n’a pas été en mesure de constater elle-même les nuisances sonores. Si elle assure ne pas mettre en doute la parole des citoyens, la Ville veut détenir des preuves de nuisances pour monter un dossier solide permettant d’émettre des constats d’infractions. Interrogée sur l'intérêt pour la Ville d’avoir cette carrière à proximité, celle-ci répond : Il y a de nombreux avantages à avoir une carrière légale à proximité. Cependant, la certification de cette carrière ne doit pas se faire aux dépens du bien-être des citoyens et de l’environnement. Ouvrir en mode plein écranL'exploitant de la gravière n'a pas obtenu au préalable une autorisation de la Commission de la protection du territoire agricole. Mathilde BlayoPublié le 8 novembre 2024 à 11 h 52 HAEÉcouter l’article | 5 minutesLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale une technologie basée sur l’intelligence artificielle.La Ville de La Sarre affirme avoir alerté les autorités provinciales dès 2021 qu'une gravière opérait illégalement sur son territoire La Municipalité a tout de même fait affaire avec l'entreprise Gabriel Aubé Inc quelques années plus tard mais refuse maintenant de payer ses factures tant qu'elle ne se sera pas conformée l’entreprise Gabriel Aubé Inc a commencé à exploiter une carrière au nord de la municipalité sans les deux autorisations préalables de la part de la Commission de la protection du territoire agricole (CPTAQ) et du ministère de l'Environnement La Ville a refusé les demandes d’entrevue de Radio-Canada préférant répondre aux questions par courriel Elle aurait alors directement signalé la situation à la CPTAQ ainsi qu’au MELCCFP, dès avril 2021. Selon la Ville, cette intervention aurait permis à la Commission d’envoyer un avis d’infraction à Gabriel Aubé Inc en 2022, demandant l’arrêt de l’exploitation de la carrière. Ouvrir en mode plein écranLes demandes d'entrevues de Radio-Canada ont été refusée. (Photo d'archives) La Ville de La Sarre explique dans son courriel que : Les municipalités n’ont pas le pouvoir d’arrêter les opérations d’une carrière clandestine. Il s’agit d’une compétence provinciale. L’entreprise aurait alors engagé une firme de consultants, Ressources Environnement Inc., pour obtenir ses autorisations légales. La demande d’autorisation auprès de la CPTAQ a d’abord été déposée à la Ville. Dans le cadre de cette démarche, la Ville doit vérifier la conformité à la réglementation municipale en matière de zonage. De plus, la Ville a l’obligation de vérifier qu’aucun autre endroit, hors zonage agricole, n’est propice à l’exploitation d’une carrière sur son territoire. Ces deux éléments étaient conformes. Après un premier refus en 2023, la CPTAQ autorise finalement l’exploitation de la carrière en mars 2024. La Ville a alors considéré la carrière comme conforme, sans s’assurer qu’elle ait obtenu l’autorisation du ministère de l’Environnement. La Municipalité explique avoir présumé que le signalement au ministère suivait également son cours, rappelant que le ministère n’est pas tenu de rendre des comptes aux municipalités. Ouvrir en mode plein écranLa gravière est exploitée par l’entreprise Gabriel Aubé Inc. Considérant la gravière conforme, la Ville a passé une commande à l’entreprise le 8 octobre 2024. Le 10 octobre, l’entreprise a demandé un numéro civique pour la gravière. La Ville de La Sarre a alors demandé une copie du certificat d’autorisation du MELCCFP. N’obtenant pas de réponse de l'entreprise, la Ville a demandé cette copie du certificat d’autorisation directement au ministère qui a répondu ne pas avoir ce document. En conséquence, la Ville de La Sarre indique qu’elle n’a pas émis de numéro civique pour la gravière de l’entreprise et n’a pas payé la commande effectuée le 8 octobre. La Ville a de nouveau exigé que l’entreprise régularise sa situation auprès du ministère de l’Environnement. Ouvrir en mode plein écranL'exploitation d'une gravière au nord de La Sarre a été dénoncée par des citoyens. Plusieurs riverains avaient aussi signifié des désagréments que provoque l’exploitation. Ceux-ci évoquent des nuisances sonores et vibrations importantes en dehors des heures autorisées par le règlement de la ville, notamment au milieu de la nuit. La Ville indique avoir mis en place un monitorage pour valider l’information reçue des citoyens. Malheureusement, la Ville n’a pas été en mesure de constater elle-même les nuisances sonores. Si elle assure ne pas mettre en doute la parole des citoyens, la Ville veut détenir des preuves de nuisances pour monter un dossier solide permettant d’émettre des constats d’infractions. Interrogée sur l'intérêt pour la Ville d’avoir cette carrière à proximité, celle-ci répond : Il y a de nombreux avantages à avoir une carrière légale à proximité. Cependant, la certification de cette carrière ne doit pas se faire aux dépens du bien-être des citoyens et de l’environnement. Dans son courriel, la Ville assure n’avoir pris connaissance de l’existence de la carrière exploitée illégalement par l’entreprise Gabriel Aubé Inc qu’en avril 2021 Elle aurait alors directement signalé la situation à la CPTAQ ainsi qu’au MELCCFP cette intervention aurait permis à la Commission d’envoyer un avis d’infraction à Gabriel Aubé Inc en 2022 demandant l’arrêt de l’exploitation de la carrière La Ville de La Sarre explique dans son courriel que : Les municipalités n’ont pas le pouvoir d’arrêter les opérations d’une carrière clandestine Il s’agit d’une compétence provinciale L’entreprise aurait alors engagé une firme de consultants pour obtenir ses autorisations légales La demande d’autorisation auprès de la CPTAQ a d’abord été déposée à la Ville la Ville doit vérifier la conformité à la réglementation municipale en matière de zonage la Ville a l’obligation de vérifier qu’aucun autre endroit n’est propice à l’exploitation d’une carrière sur son territoire Ces deux éléments étaient conformes la CPTAQ autorise finalement l’exploitation de la carrière en mars 2024 La Ville a alors considéré la carrière comme conforme sans s’assurer qu’elle ait obtenu l’autorisation du ministère de l’Environnement La Municipalité explique avoir présumé que le signalement au ministère suivait également son cours rappelant que le ministère n’est pas tenu de rendre des comptes aux municipalités Considérant la gravière conforme la Ville a passé une commande à l’entreprise le 8 octobre 2024 l’entreprise a demandé un numéro civique pour la gravière La Ville de La Sarre a alors demandé une copie du certificat d’autorisation du MELCCFP N’obtenant pas de réponse de l'entreprise la Ville a demandé cette copie du certificat d’autorisation directement au ministère qui a répondu ne pas avoir ce document la Ville de La Sarre indique qu’elle n’a pas émis de numéro civique pour la gravière de l’entreprise et n’a pas payé la commande effectuée le 8 octobre La Ville a de nouveau exigé que l’entreprise régularise sa situation auprès du ministère de l’Environnement Plusieurs riverains avaient aussi signifié des désagréments que provoque l’exploitation Ceux-ci évoquent des nuisances sonores et vibrations importantes en dehors des heures autorisées par le règlement de la ville La Ville indique avoir mis en place un monitorage pour valider l’information reçue des citoyens la Ville n’a pas été en mesure de constater elle-même les nuisances sonores Si elle assure ne pas mettre en doute la parole des citoyens la Ville veut détenir des preuves de nuisances pour monter un dossier solide permettant d’émettre des constats d’infractions Interrogée sur l'intérêt pour la Ville d’avoir cette carrière à proximité celle-ci répond : Il y a de nombreux avantages à avoir une carrière légale à proximité la certification de cette carrière ne doit pas se faire aux dépens du bien-être des citoyens et de l’environnement Dans son courriel, la Ville assure n’avoir pris connaissance de l’existence de la carrière exploitée illégalement par l’entreprise Gabriel Aubé Inc qu’en avril 2021 La Ville de La Sarre affirme avoir alerté les autorités provinciales dès 2021 qu'une gravière opérait illégalement sur son territoire La Municipalité a tout de même fait affaire avec l'entreprise Gabriel Aubé Inc quelques années plus tard mais refuse maintenant de payer ses factures tant qu'elle ne se sera pas conformée dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"Le responsable des communications à la Ville de La Sarre souligne que la Municipalité a reçu plusieurs signalements de citoyens préoccupés par la démarche de l'entreprise Ce qui est encore plus fâcheux et qui démontre la mauvaise foi des représentants c’est qu’eux disent aux citoyens qui les questionnent qu’ils ont toutes les réglementations qu’ils ont obtenu les permis de la Ville et ils l’ont même affirmé à la Sûreté du Québec C’est vraiment là que le bât blesse C’est de la fausse représentation Ils n’ont aucun permis et la Ville n’appuie pas ce genre de pratique-là malgré un avertissement explicite lui demandant de cesser ses activités l'entreprise poursuit son porte-à-porte sur le territoire de La Sarre Il demande aux citoyens de demeurer vigilants et leur recommande de ne pas accepter de recevoir les représentants de La famille Québec Alimentation à leur domicile Il évoque au passage le reportage de l'émission La facture ayant mis en lumière les tactiques de cette entreprise qui a été l'objet de nombreuses plaintes à l'Office de la protection du consommateur. De façon plus générale, M. D. Nickner estime qu’il importe de sensibiliser la population aux différentes formes de fraude qui sont en hausse ces derniers temps en Abitibi-Témiscamingue. On constate qu’il y a de plus en plus de fraudes chez nos citoyens, mais aussi partout en région, de différents types. Récemment on a eu de faux billets de spectacle. La Ville tient vraiment à rappeler aux citoyens d’être vigilants et si c’est des offres qui sont trop alléchantes, généralement, ce n’est pas bon signe. Il y a quelqu’un qui essaie d’avoir soit vos informations, soit votre argent, conclut-il. Avant son arrivée à Radio-Canada en 2020, Jean-Michel Cotnoir a amorcé sa carrière en journalisme au sein du Réseau des Sports, à Montréal. De retour en Abitibi-Témiscamingue, il n'hésite pas à se déplacer aux quatre coins de la région afin de rapporter des histoires inédites. Ouvrir en mode plein écranLa Ville de La Sarre met en garde les citoyens contre une entreprise qui fait du démarchage sans permis. (Photo d'archive) Jean-Michel CotnoirPublié le 12 février à 19 h 05 HAEÉcouter l’article | 3 minutesLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale une technologie basée sur l’intelligence artificielle.La Ville de La Sarre met en garde ses citoyens quant aux activités de l'entreprise La famille Québec Alimentation qui effectue présentement du porte-à-porte sur son territoire pour y vendre des boîtes de viande livrées à domicile Le responsable des communications à la Ville de La Sarre souligne que la Municipalité a reçu plusieurs signalements de citoyens préoccupés par la démarche de l'entreprise Ce qui est encore plus fâcheux et qui démontre la mauvaise foi des représentants c’est qu’eux disent aux citoyens qui les questionnent qu’ils ont toutes les réglementations qu’ils ont obtenu les permis de la Ville et ils l’ont même affirmé à la Sûreté du Québec Ils n’ont aucun permis et la Ville n’appuie pas ce genre de pratique-là malgré un avertissement explicite lui demandant de cesser ses activités l'entreprise poursuit son porte-à-porte sur le territoire de La Sarre Il demande aux citoyens de demeurer vigilants et leur recommande de ne pas accepter de recevoir les représentants de La famille Québec Alimentation à leur domicile De façon plus générale, M. D. Nickner estime qu’il importe de sensibiliser la population aux différentes formes de fraude qui sont en hausse ces derniers temps en Abitibi-Témiscamingue. On constate qu’il y a de plus en plus de fraudes chez nos citoyens, mais aussi partout en région, de différents types. Récemment on a eu de faux billets de spectacle. La Ville tient vraiment à rappeler aux citoyens d’être vigilants et si c’est des offres qui sont trop alléchantes, généralement, ce n’est pas bon signe. Il y a quelqu’un qui essaie d’avoir soit vos informations, soit votre argent, conclut-il. Le responsable des communications à la Ville de La Sarre Il évoque au passage le reportage de l'émission La facture ayant mis en lumière les tactiques de cette entreprise qui a été l'objet de nombreuses plaintes à l'Office de la protection du consommateur M. D. Nickner estime qu’il importe de sensibiliser la population aux différentes formes de fraude qui sont en hausse ces derniers temps en Abitibi-Témiscamingue On constate qu’il y a de plus en plus de fraudes chez nos citoyens Récemment on a eu de faux billets de spectacle La Ville tient vraiment à rappeler aux citoyens d’être vigilants et si c’est des offres qui sont trop alléchantes Il y a quelqu’un qui essaie d’avoir soit vos informations Avant son arrivée à Radio-Canada en 2020 Jean-Michel Cotnoir a amorcé sa carrière en journalisme au sein du Réseau des Sports il n'hésite pas à se déplacer aux quatre coins de la région afin de rapporter des histoires inédites Il évoque au passage le reportage de l'émission La facture ayant mis en lumière les tactiques de cette entreprise qui a été l'objet de nombreuses plaintes à l'Office de la protection du consommateur La Ville de La Sarre met en garde ses citoyens quant aux activités de l'entreprise La famille Québec Alimentation qui effectue présentement du porte-à-porte sur son territoire pour y vendre des boîtes de viande livrées à domicile La Foire d’automne, c’est une occasion qu’on donne aux producteurs de continuer à vider les jardins en fin de saison, souligne le chargé de projets en agroalimentaire à la SADC d’Abitibi-Ouest, Mathieu Guillemette, qui précise que la Foire d’automne a toujours lieu après le dernier marché public de Palmarolle. Mathieu Guillemette affirme qu’une grande variété de produits sera offerte aux visiteurs. Ce n’est pas forcément juste des [producteurs] maraîchers. Il va y avoir des maraîchers pour des légumes, il y a nos fromageries qui vont être présentes, il va y avoir du miel, du chocolat, du vin de miel, du [sic] mistelle de pommes. Il y a vraiment une belle variété de maraîchage et de transformation locale, dit-il. Mathieu Guillemette souligne l'importance de soutenir les producteurs locaux, qui ont vu le nombre d'abonnements aux divers paniers de produits diminuer cette année. Une bonne saison malgré tout, mais ils ont mis beaucoup d’efforts pour la mise en marché, sachant que toute la formule des paniers, à laquelle beaucoup adhèrent, il y a eu un petit peu moins de volume cette année, alors samedi, c’est une belle occasion de les soutenir et de soutenir notre économie locale, témoigne-t-il. Ouvrir en mode plein écranLa Foire d'automne est une occasion pour les producteurs de continuer à vider les potagers. (Photo d'archives) Jean-Michel CotnoirPublié le 21 septembre 2024 à 8 h 24 HAEÉcouter l’articleLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale, une technologie basée sur l’intelligence artificielle.La 4e Foire d’automne organisée par la SADC d’Abitibi-Ouest a lieu ce samedi, 21 septembre, sous la marquise de la Cité étudiante Polyno de La Sarre. Une quinzaine d’entreprises de l’Abitibi-Ouest, de Villebois et de Valcanton seront sur place afin de présenter leurs produits agroalimentaires. La Foire d’automne, c’est une occasion qu’on donne aux producteurs de continuer à vider les jardins en fin de saison, souligne le chargé de projets en agroalimentaire à la SADC d’Abitibi-Ouest, Mathieu Guillemette, qui précise que la Foire d’automne a toujours lieu après le dernier marché public de Palmarolle. Ouvrir en mode plein écranMathieu Guillemette est chargé de projets en agroalimentaire à la SADC d’Abitibi-Ouest. (Photo d'archives) Mathieu Guillemette affirme qu’une grande variété de produits sera offerte aux visiteurs. Ce n’est pas forcément juste des [producteurs] maraîchers. Il va y avoir des maraîchers pour des légumes, il y a nos fromageries qui vont être présentes, il va y avoir du miel, du chocolat, du vin de miel, du [sic] mistelle de pommes. Il y a vraiment une belle variété de maraîchage et de transformation locale, dit-il. Mathieu Guillemette souligne l'importance de soutenir les producteurs locaux, qui ont vu le nombre d'abonnements aux divers paniers de produits diminuer cette année. Une bonne saison malgré tout, mais ils ont mis beaucoup d’efforts pour la mise en marché, sachant que toute la formule des paniers, à laquelle beaucoup adhèrent, il y a eu un petit peu moins de volume cette année, alors samedi, c’est une belle occasion de les soutenir et de soutenir notre économie locale, témoigne-t-il. Une quinzaine d’entreprises de l’Abitibi-Ouest de Villebois et de Valcanton seront sur place afin de présenter leurs produits agroalimentaires c’est une occasion qu’on donne aux producteurs de continuer à vider les jardins en fin de saison souligne le chargé de projets en agroalimentaire à la SADC d’Abitibi-Ouest qui précise que la Foire d’automne a toujours lieu après le dernier marché public de Palmarolle Mathieu Guillemette affirme qu’une grande variété de produits sera offerte aux visiteurs Ce n’est pas forcément juste des [producteurs] maraîchers Il va y avoir des maraîchers pour des légumes il y a nos fromageries qui vont être présentes Il y a vraiment une belle variété de maraîchage et de transformation locale Mathieu Guillemette souligne l'importance de soutenir les producteurs locaux qui ont vu le nombre d'abonnements aux divers paniers de produits diminuer cette année mais ils ont mis beaucoup d’efforts pour la mise en marché il y a eu un petit peu moins de volume cette année c’est une belle occasion de les soutenir et de soutenir notre économie locale La 4e Foire d’automne organisée par la SADC d’Abitibi-Ouest a lieu ce samedi sous la marquise de la Cité étudiante Polyno de La Sarre dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"Cette ancienne sablière qui appartient à l’entreprise Gabriel Aubé inc est située au nord de la ville de La Sarre juste au-dessus de la rivière La Sarre Le ministère de l'Environnement indique qu'il a reçu un signalement de citoyens en mai 2022 au sujet de la présence de pneus dans cette ancienne sablière Une inspection a été réalisée le 8 juin 2022 sur le site La présence des pneus a été constatée et un avis de non-conformité a été émis le 28 juin 2022 Cet avis signifiait le manquement de l’entreprise par rapport à l’article 66 de la Loi sur la qualité de l’environnement pour avoir déposé ou rejeté des matières résiduelles ou permis leur dépôt ou leur rejet à un endroit autre qu’un lieu autorisé L’avis réclamait que l’entreprise prenne les mesures nécessaires pour se conformer à la loi le ministère de l’Environnement indique qu'il n’a jamais reçu de réponse pour cet avis pas plus que le plan correcteur demandé les pneus étaient toujours présents La présidente du Conseil régional de l'environnement de l'Abitibi-Témiscamingue (CREAT) rappelle qu’un pneu qui est déposé à l'air libre se dégrade Ça contient un paquet de contaminants [utilisés] pour la fabrication La durée de ce dépôt est particulièrement inquiétante Sur les images satellites disponibles sur Google Earth on voit que des pneus ont été déposés à l’extrémité sud de la sablière depuis au moins 2016 À chaque actualisation de ces images satellitaires la quantité de pneus a même augmenté Plus les pneus sont exposés longtemps plus ils ont des chances de se dégrader Ils sèchent et il y a des petites particules qui peuvent partir des pneus qui fait également mention de la présence potentielle d’une source d’eau potable dans le sous-sol L’ancienne sablière se trouve sur un lot qui appartient à l’entreprise Gabriel Aubé mais l’extrémité sud de la sablière dépasse la limite de ce lot et s’étend sur un lot qui appartient au ministère des Ressources naturelles et des Forêts C’est sur cette partie de l’ancienne sablière installée sur le lot du ministère que des pneus ont été déposés depuis au moins 2016 la Ville de La Sarre avait été alertée par un citoyen à propos de la présence de ces pneus et avait alors alerté le ministère des Ressources naturelles et des Forêts La Municipalité indique que le Ministère n’a jamais donné suite à cette alerte des employés municipaux se sont rendus sur place et ont constaté que les pneus étaient toujours là La Ville indique qu’à la suite de cette visite elle a de nouveau transmis ce dossier au ministère des Ressources naturelles et des Forêts ainsi qu’au ministère de l'Environnement Si le traitement du dossier prend du temps c’est à cause d’un manque de moyens Ça fait des années qu'on le dit dans les conseils régionaux de l’environnement : il y a un sous-financement au ministère de l'Environnement rappelant que le bureau régional de l’Abitibi-Témiscamingue gère également le Nord-du-Québec que ce soit au ministère des Ressources naturelles et des Forêts ou au ministère de l'Environnement Une entreprise fautive va avoir tendance – et là je ne veux pas les mettre toutes dans le même paquet – à dire que tout va bien Ce n’est pas le premier avis de non-conformité que reçoit l’entreprise Gabriel Aubé inc elle exploite illégalement une carrière au nord de La Sarre Sa situation est régularisée auprès de la Commission de la protection du territoire agricole du Québec (CPTAQ) mais pas auprès du ministère de l'Environnement n’a pas obtenu les autorisations nécessaires pour creuser et exploiter cette carrière Dans ce dossier comme dans celui des pneus les mesures prises par le ministère ne semblent pas suffisantes Le ministère de l'Environnement peut imposer des amendes mais elles ne sont pas très élevées : ce n’est pas très dissuasif L’entrepreneur va payer les amendes au lieu de nettoyer son site La présidente du CREAT regrette les choix de l’entreprise Gabriel Aubé inc. présente depuis très longtemps sur le territoire de l'Abitibi-Ouest Je voudrais faire appel à sa responsabilité de \"bon citoyen corporatif\" qui devrait utiliser les services qui existent en Abitibi-Ouest pour disposer de ses pneus usés au lieu de les déposer dans cette sablière-là qui est près de la rivière et qui possède un potentiel intéressant en eau potable Un centre de valorisation des matières résiduelles existe en effet à La Sarre. Contactée, l’entreprise n’a pas donné suite à notre demande d’entrevue. Ouvrir en mode plein écranL'emplacement où sont entreposés les pneus en date du 14 mai 2024 sur le site de la sablière. Photo : Gracieuseté de la Ville de La Sarre Mathilde BlayoPublié le 14 novembre 2024 à 14 h 30 HAEÉcouter l’article | 6 minutesLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale une technologie basée sur l’intelligence artificielle.Des pneus sont déposés illégalement depuis plusieurs années sur le site d’une ancienne sablière de l’entreprise Gabriel Aubé inc. Le ministère de l'Environnement a émis un avis de non-conformité en juin 2022 Cette ancienne sablière qui appartient à l’entreprise Gabriel Aubé inc est située au nord de la ville de La Sarre Le ministère de l'Environnement indique qu'il a reçu un signalement de citoyens en mai 2022 au sujet de la présence de pneus dans cette ancienne sablière Une inspection a été réalisée le 8 juin 2022 sur le site La présence des pneus a été constatée et un avis de non-conformité a été émis le 28 juin 2022 Cet avis signifiait le manquement de l’entreprise par rapport à l’article 66 de la Loi sur la qualité de l’environnement pour avoir déposé ou rejeté des matières résiduelles ou permis leur dépôt ou leur rejet à un endroit autre qu’un lieu autorisé L’avis réclamait que l’entreprise prenne les mesures nécessaires pour se conformer à la loi le ministère de l’Environnement indique qu'il n’a jamais reçu de réponse pour cet avis La présidente du Conseil régional de l'environnement de l'Abitibi-Témiscamingue (CREAT) rappelle qu’un pneu qui est déposé à l'air libre se dégrade Ça contient un paquet de contaminants [utilisés] pour la fabrication La durée de ce dépôt est particulièrement inquiétante on voit que des pneus ont été déposés à l’extrémité sud de la sablière depuis au moins 2016 Ouvrir en mode plein écranSur cette capture d'écran que nous avons réalisée l'espace d'entreposage des pneus a augmenté en 2023 Photo : Radio-Canada / Capture d'écran Google Earth Ouvrir en mode plein écranSur cette capture d'écran de Google Earth de 2016 plusieurs pneus sont entreposés à l’extrémité sud de la sablière Sur cette capture d'écran de Google Earth de 2016 Sur cette capture d'écran que nous avons réalisée À chaque actualisation de ces images satellitaires Ils sèchent et il y a des petites particules qui peuvent partir des pneus qui fait également mention de la présence potentielle d’une source d’eau potable dans le sous-sol L’ancienne sablière se trouve sur un lot qui appartient à l’entreprise Gabriel Aubé mais l’extrémité sud de la sablière dépasse la limite de ce lot et s’étend sur un lot qui appartient au ministère des Ressources naturelles et des Forêts C’est sur cette partie de l’ancienne sablière que des pneus ont été déposés depuis au moins 2016 la Ville de La Sarre avait été alertée par un citoyen à propos de la présence de ces pneus et avait alors alerté le ministère des Ressources naturelles et des Forêts Ouvrir en mode plein écranL'hôtel de ville de La Sarre La Municipalité indique que le Ministère n’a jamais donné suite à cette alerte des employés municipaux se sont rendus sur place et ont constaté que les pneus étaient toujours là La Ville indique qu’à la suite de cette visite elle a de nouveau transmis ce dossier au ministère des Ressources naturelles et des Forêts ainsi qu’au ministère de l'Environnement Ça fait des années qu'on le dit dans les conseils régionaux de l’environnement : il y a un sous-financement au ministère de l'Environnement rappelant que le bureau régional de l’Abitibi-Témiscamingue gère également le Nord-du-Québec que ce soit au ministère des Ressources naturelles et des Forêts ou au ministère de l'Environnement Une entreprise fautive va avoir tendance – et là je ne veux pas les mettre toutes dans le même paquet – à dire que tout va bien Ce n’est pas le premier avis de non-conformité que reçoit l’entreprise Gabriel Aubé inc elle exploite illégalement une carrière au nord de La Sarre Sa situation est régularisée auprès de la Commission de la protection du territoire agricole du Québec (CPTAQ) mais pas auprès du ministère de l'Environnement n’a pas obtenu les autorisations nécessaires pour creuser et exploiter cette carrière les mesures prises par le ministère ne semblent pas suffisantes Le ministère de l'Environnement peut imposer des amendes mais elles ne sont pas très élevées : ce n’est pas très dissuasif L’entrepreneur va payer les amendes au lieu de nettoyer son site La présidente du CREAT regrette les choix de l’entreprise Gabriel Aubé inc. présente depuis très longtemps sur le territoire de l'Abitibi-Ouest Je voudrais faire appel à sa responsabilité de "bon citoyen corporatif" qui devrait utiliser les services qui existent en Abitibi-Ouest pour disposer de ses pneus usés au lieu de les déposer dans cette sablière-là qui est près de la rivière et qui possède un potentiel intéressant en eau potable Contactée, l’entreprise n’a pas donné suite à notre demande d’entrevue. Cette ancienne sablière qui appartient à l’entreprise Gabriel Aubé inc Je voudrais faire appel à sa responsabilité de \\\"bon citoyen corporatif\\\" qui devrait utiliser les services qui existent en Abitibi-Ouest pour disposer de ses pneus usés au lieu de les déposer dans cette sablière-là Un centre de valorisation des matières résiduelles existe en effet à La Sarre l’entreprise n’a pas donné suite à notre demande d’entrevue Un centre de valorisation des matières résiduelles existe en effet à La Sarre Des pneus sont déposés illégalement depuis plusieurs années sur le site d’une ancienne sablière de l’entreprise Gabriel Aubé inc. Le ministère de l'Environnement a émis un avis de non-conformité en juin 2022 dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"Les feux se sont déclarés à deux endroits différents le premier dans le secteur de l'avenue du Chemin-de-Fer Est On parle d'un incendie de véhicule tout-terrain et de remorque L'incendie s'est concentré sur les deux équipements le revêtement extérieur d'un bâtiment a subi des dommages légers pendant la première intervention explique le sergent Jean-Raphaël Drolet porte-parole de la Sûreté du Québec (SQ) Les services d'urgence ont ensuite été avisés d’un autre début d’incendie cette fois-ci sur un abri en toile de la 7e Avenue Deux personnes ont été légèrement blessées en tentant d'éteindre les feux La Sûreté du Québec a ouvert une enquête pour tenter de déterminer les causes de ces incendies il n’y a pas d'éléments qui nous laissent croire qu'il peut y avoir un lien entre ces événements et ceux survenus dans les dernières semaines ou les derniers mois ici à La Sarre Ouvrir en mode plein écranLe premier incendie a détruit un véhicule tout-terrain et la remorque sur laquelle il reposait en plus de causer des dommages au revêtement extérieur d'un bâtimen Les policiers de la Sûreté du Québec enquêtent sur deux incendies suspects survenus à quelques minutes d'intervalle dans la nuit de lundi à mardi à La Sarre Les feux se sont déclarés à deux endroits différents On parle d'un incendie de véhicule tout-terrain et de remorque L'incendie s'est concentré sur les deux équipements le revêtement extérieur d'un bâtiment a subi des dommages légers pendant la première intervention Les services d'urgence ont ensuite été avisés d’un autre début d’incendie Ouvrir en mode plein écranUn début d'incendie a endommagé un abri en toile de la 7e Avenue Deux personnes ont été légèrement blessées en tentant d'éteindre les feux La Sûreté du Québec a ouvert une enquête pour tenter de déterminer les causes de ces incendies il n’y a pas d'éléments qui nous laissent croire qu'il peut y avoir un lien entre ces événements et ceux survenus dans les dernières semaines ou les derniers mois ici à La Sarre Les feux se sont déclarés à deux endroits différents Les policiers de la Sûreté du Québec enquêtent sur deux incendies suspects survenus à quelques minutes d'intervalle dans la nuit de lundi à mardi à La Sarre J’accepteAller au contenu principalAller au pied de pageAide à la navigationLa destination d’information de Radio-Canada 2:12Onde de choc à La Sarre après la destruction par le feu de plusieurs bâtiments historiquesAu Vidéojournal : une partie du centre-ville de La Sarre est parti en fumée et plusieurs locataires se retrouvent à la rue le pape François a effectué 47 voyages à l'étranger au moins 12 personnes sont mortes et une centaine d'autres ont été blessées lors des plus imposantes … la place St-Pierre accueille les fidèles alors … Harvard est dans le viseur de Donald Trump Il accuse cette prestigieuse université de ne pas … L'ONU estime que la bande de Gaza traverse la … arrivera à Washington dans les prochaines heures pour sa première … écoles … Québec a plusieurs projets d’infrastructure urgents dans son assiette comment doit-il naviguer à travers ce champ de mines … la police met en place un registre pour permettre aux résidents de partager les images de leurs … 4:57Sports express. Sports express. Contenu vidéo d’une durée de 4 minutes 57 secondes. Publié hier à 23 h 08 HAE Sports expressCapsule sports Express 23h00 entre les Roses de Montréal et le Rapide d'Ottawa dans la Super … L’équipe a réussi à se qualifier pour les séries … plus jeune équipe qualifiée pour les séries éliminatoires le libéral Mark Carney est élu premier ministre du Canada de l'Ontario et de l'Alberta quel enjeu de la campagne électorale est … l'Alberta produit et exporte la grande majorité du pétrole … Arrestations de présumés fraudeurs canadiens Le combat de boxe mortel de Jeanette Zacarias Zapata a été autorisé sur la base d’un rapport médical falsifié 44:03Santé publique. 5 ans. Contenu vidéo d’une durée de 44 minutes 3 secondes. Publié le 13 mars à 21 h 00 HAE 5 ansLa COVID-19 a marqué nos vies tensions sociales : les impacts sont toujours présents 43:04Industrie pharmaceutique. Chauve qui peut. Contenu vidéo d’une durée de 43 minutes 4 secondes. Publié le 6 mars à 21 h 00 HAE Chauve qui peutUne belle chevelure Les effets indésirables rares mais dévastateurs du finastéride 43:04Crime sexuel. Fuite parfaite. Contenu vidéo d’une durée de 43 minutes 4 secondes. Publié le 27 février à 21 h 00 HAE Fuite parfaiteEnquête a retrouvé le pasteur de Québec recherché par les autorités depuis plus de trois ans la famille d’une victime poursuit OceanGate pour l’implosion du Titan rendant l'accès aux soins et à la nourriture difficile pour les Canadiens peut faire rêver si on se fie aux croit les … qui a vendu des piscines plages pendant sept ans des propriétaires ont acheté des terrains dans un domaine privé des Laurentides des résidents d'Ahuntsic ont appris avec stupeur qu'ils ne pourraient plus accéder à leur ruelle … la Steinway Tower est le gratte-ciel le plus étroit du monde Une chercheuse hongroise a eu tout le mal du monde à en … les grenouilles et les salamandres ont beaucoup souffert de la disparition des milieux … on brûle la peau d'une centaine de joueuses et de joueurs pour savoir si la … leur consommation pourrait atteindre 12 % de l'électricité d'ici 2028 mais ces produits sont-ils tous nécessaires qui a enrichi la restauration de chez nous Doit-on craindre la grippe aviaire pour nos œufs Cette matière contamine de plus en plus les … Ottawa subventionne l'utilisation des engrais enrobés de polymère dans le cadre du Fonds … Environ 11 000 tonnes sont utilisées chaque année dans les … l'élevage de saumon en mer a le vent dans les voiles Avec l'accélération des changements climatiques Isabelle RicherIsabelle Richer démystifie les rouages du système de justice et vulgarise les grands enjeux qui s'y rattachent Toutes les informations nécessaires pour commencer la journée : l'actualité 24•60Comprendre les événements de la journée avec Anne-Marie Dussault Magazine d'information et de vulgarisation scientifique proposant des reportages sur divers sujets en science La semaine verteMagazine d’actualité agroalimentaire et forestière qui aborde les enjeux environnementaux et les innovations en gestion des ressources renouvelables Le téléjournal avec Céline GalipeauUn regard approfondi sur les sujets de l'heure et sur les grands enjeux auxquels la société est confrontée En direct avec Patrice RoyPatrice Roy fait le point sur les grandes nouvelles de la journée et les enjeux qui touchent les citoyens et citoyennes avec nos reporters nos analystes et les acteurs et actrices du jour en entrevue Zone infoGérald Fillion et ses commentateurs discutent des sujets chauds du jour tout en suivant l'actualité en développement La factureMagazine d’information sur les droits des citoyens en matière de consommation et enquêtes sur des problèmes vécus par les consommateurs Daniel Thibeault et son équipe vont au coeur des débats politiques qui font l'actualité Zone économieGérald Fillion aborde toutes les nouvelles économiques d'importance EnquêteMagazine d'investigation qui expose des pratiques douteuses et révèle des faits méconnus ou cachés sur des questions préoccupantes d’intérêt public Au Vidéojournal : une partie du centre-ville de La Sarre est parti en fumée et plusieurs locataires se retrouvent à la rue La valeur des projets d’investissement étrangers au Québec est en baisse notamment en raison de la guerre commerciale entre le Canada et les États-Unis « C’est plus difficile; l’accès au marché américain explique le président d’Investissement Québec International L'hôpital Maisonneuve-Rosemont est loin d'être le seul établissement vétuste dans le réseau de la santé C'est aussi le cas de l'hôpital Sainte-Croix de Drummondville La communauté du Centre-du-Québec milite pour la construction d'un nouveau bâtiment depuis plusieurs années arrivera à Washington dans les prochaines heures pour sa première rencontre avec le président américain Donald Trump Des négociations sur les tarifs sont-elles possibles et le président arrêtera-t-il de parler de l'annexion du Canada Maïka Sondarjee et Tasha Kheiriddin en débattent à «Zone info» Washington impose des tarifs de 100 % sur les films américains faits à l’étranger c'est le début de l'enquête publique du coroner sur le décès de Normand Meunier en mars 2024 L'homme avait reçu l'aide médicale à mourir après avoir développé une énorme plaie de lit lors d'un séjour à l'Hôpital de Saint-Jérôme La sélection des jurés a débuté lundi au procès hautement médiatisé à New York de P figure centrale du hip-hop accusé d'avoir mis son empire au service d'un système violent de trafic sexuel comme le rapporte notre journaliste Amélie Desmarais Écoutez dès 18 h le téléjournal animé par Patrice Roy Le cabinet de sécurité israélien a approuvé cette nuit un plan d'expansion des opérations militaires à Gaza des 2,4 millions de Palestiniens de ce territoire Le premier ministre Benyamin Nétanyahou a affirmé pendant la réunion de son cabinet de sécurité qu’il souhaitait « promouvoir le plan Trump visant au départ volontaire des habitants de Gaza » Assiégée et étouffée par un blocus israélien total depuis le 2 mars Les espèces exotiques envahissantes sont de plus en plus présentes et diversifiées dans les lacs et les rivières du Québec des plantes et des mollusques nuisent aux écosystèmes aquatiques et menacent les espèces qui y vivent réclament l'aide du gouvernement et des citoyens alors que s'amorcent les mises à l'eau On a fait le ménage dans les nouvelles provenant des États-Unis pour revenir en cinq points sur les 100 premiers jours de la présidence de Donald Trump les élèves du secondaire se portent moins bien qu’avant sur le plan psychologique Si les jeunes sont meilleurs pour reconnaître l’anxiété ont-ils les outils nécessaires pour y faire face Tour d’horizon en cette Semaine de la santé mentale La série britannique «Adolescence» a relancé le débat sur la propagation de contenu d’influenceurs masculinistes sur les réseaux sociaux Avec l’adoption du projet de loi 72 au Québec vous verrez des changements à l’épicerie et au restaurant Dès le 7 mai : pourboires calculés avant taxes rabais de 15 $ en cas d’erreur de prix et meilleure visibilité des prix à l’unité où la guerre fait rage depuis plus de trois ans contre la Russie une minute de silence est observée chaque jour à travers le pays un rituel décrété par le président Volodymyr Zelensky dans toutes les écoles primaires et secondaires le cellulaire sera interdit dans les classes durant les pauses et sur le terrain de l’école durant les pauses ou sur le terrain de l’école s'est exprimé le ministre de l'Éducation Bernard Drainville en conférence de presse Donald Trump a tenu son premier rassemblement politique depuis son élection On s'est invités dans cette ville du Michigan où il a eu lieu pour demander à ses partisans ce qu'ils pensent de ses 100 premiers jours au pouvoir On s'est invité dans cette ville du Michigan pour demander à ses partisans ce qu'ils pensent de ses 100 premiers jours au pouvoir transporte son cœur mécanique dans un petit sac à dos utilisés pour les services nuagiques et l’intelligence artificielle consomment des millions de litres d’eau chaque jour pour refroidir les équipements informatiques pourquoi les résultats ont-ils pris tant de temps à sortir et quel sera l’avenir du chef du Parti conservateur Pierre Poilievre ces questions sont revenues souvent à la suite des élections fédérales canadiennes nous avons publié une première version de cette vidéo où nous prenions en compte les derniers résultats Élections Canada a toutefois annoncé que la circonscription de Terrebonne avait finalement été remportée par le Bloc québécois Nous avons ajusté le montage de la vidéo afin d'être à jour à cette date On s’immerge dans un avant-midi de cueillette de clams avec Lison Éloquin à Pointe-aux-Outardes Le parti de Mark Carney n'a pas réussi à s’emparer d’une majorité de sièges à l’issue des élections fédérales Des luttes très serrées dans une trentaine de circonscriptions ont retardé l’annonce finale des résultats le pape François a effectué 47 voyages à l'étranger il avait multiplié les rencontres politiques et religieuses et avait visité la Mosquée bleue d'Istanbul ce qui avait symbolisé son intention de promouvoir le dialogue entre les religions les Turcs gardent un souvenir mitigé de son passage qui n'a pas permis de freiner le déclin de la religion catholique Le reportage de notre correspondante Marie-Ève Bédard au moins 12 personnes sont mortes et une centaine d'autres ont été blessées lors des plus imposantes frappes russes contre la capitale ukrainienne depuis l'été dernier Ces attaques surviennent alors que les pourparlers de paix semblent au point mort Des dizaines de milliers de fidèles affluent à la basilique St-Pierre pour se recueillir devant la dépouille du pape François Le reportage de notre correspondante à l'étranger Les obsèques du pape François auront lieu samedi la place St-Pierre accueille les fidèles alors que les cardinaux l'heure est aux hommages pour celui qui a dirigé l'église catholique pendant 12 ans Le mouvement de boycottage des voyages aux États-Unis profite à l'industrie du tourisme au pays qui s'attend à une saison estivale aussi achalandée que lors des années de pandémie c'est par choix que de nombreux Canadiens prendront leurs vacances ici C'est un exercice crucial qui permet de chiffrer les nombreuses promesses des chefs Le Parti libéral et le NPD ont finalement présenté leur cadre financier respectif à neuf jours du scrutin On ignore toujours quand les conservateurs présenteront le leur Si Mark Carney essaie de se distancier de Justin Trudeau les 130 milliards de dollars en nouvelles dépenses qu'il propose avec un déficit de 48 milliards au bout de quatre ans ont eu l'effet inverse Des milliers de jeunes Turcs restent mobilisés dans la rue et sur les campus universitaires pour dénoncer la dérive autoritaire du régime Erdogan ils sont à l'avant-poste de la contestation malgré les arrestations La question du coût de la vie a été peu soulevée pendant la campagne électorale monopolisée par la guerre tarifaire avec les États-Unis une ville durement touchée par les tarifs douaniers sur l'acier Il accuse cette prestigieuse université de ne pas avoir lutté contre l'antisémitisme lors de manifestations propalestiniennes Harvard refuse de se plier aux demandes du président Le conflit entre Israël et le Hamas ne cesse de s’aggraver L'ONU estime que la bande de Gaza traverse la pire situation humanitaire depuis le début de la guerre Écoutez le témoignage d’une médecin canadienne qui a travaillé un mois dans un hôpital de l'enclave palestinienne Donald Trump veut rouvrir la célèbre prison d'Alcatraz La prison avait fermé ses portes en 1963 à cause de la vétusté de ses bâtiments et du coût des rénovations Qu'est-ce qui pousse le président américain à demander sa réouverture J'en parle avec mes invités : le journaliste Piotr Smolar et le spécialiste de l'histoire américaine Francis Langlois Analyse de l'actualité avec nos panélistes : Louis Blouin Comment faire face à ces troubles mentaux qui conduisent à commettre des crimes incommensurables Est-ce possible de prévenir ces tragédies humaines médecin psychiatre surspécialisée en psychiatrie Comment en sommes-nous arrivés là et lesquels faut-il prioriser « On est à la croisée des chemins et il faut être plus rationnels » dit Fanny Tremblay-Racicot en entrevue aux côtés de Christian Savard à l'émission Zone économie Analyse de l'actualité avec nos panélistes : Rafaël Jacob Analyse de l'actualité avec nos panélistes : Stéphanie Chouinard Un article de La Presse dépeint une hausse de l'homophobie dans les écoles secondaires du Québec rejoignant les conclusions du groupe de recherche et d’intervention sociale de Montréal étudiant à la maîtrise en sociologie sur les masculinités et le féminisme Le premier ministre élu Mark Carney a tenu sa première conférence de presse Il a aussi confirmé qu'il irait à Washington mardi prochain pour rencontrer Donald Trump Les commentaires de Chantal Hébert et Paul Journet Analyse de l'actualité avec nos panélistes : Christine St-Pierre Mark Carney se prépare à rencontrer Donald Trump comment doit-il naviguer à travers ce champ de mines diplomatiques la police met en place un registre pour permettre aux résidents de partager les images de leurs caméras de surveillance ancien directeur général adjoint Sûreté du Québec Plus de deux millions de spectateurs étaient rassemblés pour un concert gratuit de la chanteuse Lady Gaga La soirée festive aurait pu virer au drame : la police a par la suite révélé qu'un attentat à la bombe avait été déjoué comme nous le raconte le journaliste indépendant Serge Boire Kent Hughes et Jeff Gorton rencontraient les médias lundi pour le bilan de la saison L’état-major du Canadien est satisfait de la direction prise par l'équipe et reste à l'affût pour tenter d'améliorer son groupe Quoi de mieux qu’une victoire à son premier match à domicile Les faits saillants du match du 3 mai 2025 entre la Victoire de Montréal et les Sirens de New York Les faits saillants du match du 3 mai 2025 entre les Roses de Montréal et le Rapide d'Ottawa dans la Super Ligue du Nord Faire bonne première impression n’est pas toujours facile… mais pour certaines joueuses L’heure est au bilan pour le Canadien de Montréal L’équipe a réussi à se qualifier pour les séries éliminatoires ce que beaucoup pensaient impossible en début de saison Voici ce que les joueurs avaient à dire sur leur année Alexandra Labelle et Catherine Dubois ont bien hâte aux séries de la LPHF Connaissez-vous la fiche des Leafs en séries lorsqu'ils sont en mesure d'éliminer leurs adversaires On lance le défi au multimillionnaire québécois Olivier Primeau de démêler toutes ses entreprises en deux minutes top chrono « Le gars du Beachclub » a acheté des permis d'exploitation d'eau de source et il dit qu'il a un plan pour faire de l’argent « à l’infini » avec ça L'entrepreneur s’avance aussi sur sa potentielle future carrière politique à l'Assemblée nationale et il revient sur la fois où il a mangé du pâté chinois avec Paris Hilton On a fait nos devoirs et on est allés fouiller dans sa vie numérique Les journalistes Julia Pagé et Pasquale Harrison-Julien reviennent sur les moments forts de la campagne avec l’équipe de Rad et des invités surprises Qui sera le nouveau premier ministre du Canada L’équipe de Rad et des invités surprises reviennent sur les moments forts de la campagne électorale Alessandra a été invitée sur le plateau de RDI pour parler de son reportage sur l'Alberta et le vote conservateur Plusieurs analystes ont attribué la victoire de Donald Trump à ses apparitions dans des balados populaires dont celui de Joe Rogan.Olivier s'est demandé : est-ce qu’on vit le même phénomène ici on a vu notamment Jagmeet Singh à Tout le monde s’haït Pierre Poilievre et Jonathan Pedneault au micro d'Olivier Primeau Yves-François Blanchet au What’s Up Podcast Pourquoi les politiciens délaissent-ils les médias traditionnels pour les balados Est-ce que vous vous en sortez avec le coût de la vie Ornella a posé la question à des jeunes de partout au Canada Elle en a profité pour leur demander sur quoi ils allaient baser leur vote aux élections fédérales Vous pouvez croire la comédienne Pascale de Blois quand elle explique pourquoi le président américain Donald Trump veut que le Canada devienne son 51e État (C'est nous qui avons écrit son texte.)En gros ce serait parce qu'il reluque nos ressources naturelles de l'Ontario et de l'Alberta quel enjeu de la campagne électorale est le plus important pour eux Alessandra et Florence se sont rendues à Fort McMurray en Alberta Elles voulaient comprendre comment la dépendance économique de la province aux énergies fossiles façonne le quotidien et la vision politique des gens là-bas Leur reportage est sur notre chaîne YouTube Avec ses sables bitumineux et ses pipelines l'Alberta produit et exporte la grande majorité du pétrole canadien le vote conservateur domine depuis des décennies Alessandra et Florence se sont rendues à Fort McMurray pour comprendre comment la dépendance économique de la province aux énergies fossiles façonne sa vision politique surtout en pleine guerre commerciale avec les États-Unis Au programme cette semaine : en plus de revenir sur des cas de désinformation observés le jour du scrutin nous évaluons l’impact de la participation grandissante des chefs de partis à des balados en période électorale Sans cesse attaquée dans la sphère conservatrice Wikipédia se trouve désormais dans la mire de l’administration Trump Notre invitée Ariane Labrèche met en contexte l’ampleur de la menace qui plane sur cette encyclopédie “libre” Est-ce que l’IA peut nous faire changer d’avis sur des sujets clivants Un test secret mené sur Reddit suscite la controverse Au programme cette semaine : de nombreuses publicités électorales frauduleuses circulent sur les plateformes de Meta dans le seul but d’arnaquer des Canadiens avec des fraudes à la cryptomonnaie.Après une période de boycott de deux ans le PLQ et le PQ se sont mis à racheter des publicités sur Metae et on revient sur la série documentaire Netflix Mauvaise Influence qui expose les côtés sombres des enfants influenceurs L'équipe des «Décrypteurs» vous convie à son balado filmé propositions des partis pour lutter contre la fraude et La vérif sur le débat des chefs Au programme cette semaine: une opération d’ingérence chinoise visant Mark Carney sur WeChat est-elle réellement en cours La campagne électorale telle que vécue par les modérateurs sur Reddit La petite histoire derrière un tweet qui a semé le chaos sur les marchés boursiers Discussion sur la frénésie des fans de Minecraft dans les salles de cinéma Vous cherchez à comprendre la signification d'une image virale sur le web Le site Know Your Meme est LA référence pour vous Au programme cette semaine: un point de bascule vient-il vraiment d’être franchi par l’IA On se pose la question alors que Chat GPT 4.5 a passé « haut la main » le célèbre test Turing la production de fausses bandes-annonces de films s’est « industrialisée » avec l’avènement de l’IA générative deux chaînes d’importance ont été démonétisées Discussion avec les journalistes français Pierre Plottu et Maxime Macé sur le combat des influenceurs et des influenceuses d'extrême droite pour imposer leurs idées sur le web et au sein de la société Au programme de cette semaine : anatomie de la prétendue « découverte » d’une ville secrète souterraine sous le plateau de Gizeh en Égypte une autre preuve du potentiel hautement viral de la pseudo-science Un site web consacré au chef conservateur Pierre Poilievre démontre (encore) à quel point l’IA pollue le web on fait le point le « Signalgate » qui a accaparé l’attention médiatique cette semaine et une mise à jour d’OpenAi a déclenché une frénésie « Studio Ghibli » Face à la qualité des contenus qui se dégradent et à la polarisation bien des utilisateurs veulent se détacher des réseaux comme Facebook Au programme de cette semaine: avec notre invité les brèches de sécurité liées aux applications sportives comme Strava la production massive et à bas prix de contenus étranges générés par IA (AI Slop) risque de bouleverser profondément le web tel qu’on le connaît la reconnaissance faciale se bute à un obstacle de taille au Canada et finalement on vous parle d’une tendance étrange sur TikTok Maïa et le fentanyl : Les ravages provoqués par les mélanges de drogue qui circulent en ce moment Les PFAS s’immiscent dans nos produits de soins personnels Relations amoureuses entre des psychologues et leurs anciennes clientes : le grand tabou rendant l'accès aux soins et à la nourriture difficile pour les Canadiens On vous révèle comment les entreprises de jeux vidéo collectent et revendent vos informations personnelles peut faire rêver si on se fie aux croit les publicités et témoignages sur les réseaux sociaux De nombreux consommateurs qui voulaient se lancer dans le domaine regrettent aujourd'hui d'avoir payé 5000 $ pour une formation qui n'est pas fidèle à ce qu'on leur avait vendu Une centaine de clients se sont retrouvés ainsi sans garantie avec des piscines parfois défectueuses l'un des actionnaires de Nova-Lagon relance le concept de piscines plages sous un nouveau nom Les copropriétaires d'un complexe de condos inondé trois fois en cinq ans qui a fait l'objet d'un reportage de La facture restent dans l'impasse malgré les promesses d'aide de la mairesse de Lachine Ils tentent de protéger leur immeuble à leurs frais et craignent de ne pas y arriver avant la prochaine pluie diluvienne Même si le promoteur s'était engagé à faire le raccordement électrique des terrains il refuse maintenant de payer la facture d'Hydro-Québec pour les alimenter en électricité Des clients qui ont critiqué des commerces sur le web se font poursuivre pour diffamation où des avis laissés sur Google ont déclenché une cascade de conséquences Alex Cicoria apprend qu'un prêt automobile de plus de 42 000 dollars a été accordé à son insu Un huissier sonne à sa porte pour saisir un véhicule qu'il ne possède pas C'est une situation qui arrive de plus en plus souvent car ce type de fraude est en progression au pays des résidents d'Ahuntsic ont appris avec stupeur qu'ils ne pourraient plus accéder à leur ruelle arrière sans avoir à payer Parce que leur ruelle venait d'être achetée par un entrepreneur Cette histoire abracadabrante vient de se conclure; les citoyens ont regagné l'usage de « leur » ruelle pour de bon Une équipe de La facture s'est intéressée au profil psychologique des fraudeurs Qui sont ces personnes qui font de la fraude leur mode de vie Votre vétérinaire a l'obligation de vous remettre une ordonnance si vous voulez acheter un médicament vétérinaire dans une pharmacie Certains vétérinaires sont cependant réticents à le faire et vont jusqu'à discréditer les pharmaciens ce qui est contraire au code des professions du Québec Trois pirates informatiques s’unissent pour combattre les fraudeurs en ligne Cette rare incursion dans le mode de fonctionnement des fraudeurs nous permet de mieux comprendre comment ils procèdent et comment se prémunir contre la fraude Il s’agit d’une adaptation d’un reportage de l’émission Marketplace de la CBC Le goût amer de certains médicaments cause des problèmes récurrents dans l'administration de soins ou de traitements Les chiens doués sont plus rares qu'on le croit Une chercheuse hongroise a eu tout le mal du monde à en dénicher une quarantaine sur la planète les grenouilles et les salamandres ont beaucoup souffert de la disparition des milieux humides On estime que près d'un milliard d'oiseaux meurent chaque année en se frappant contre des fenêtres ou des murs de verre en Amérique du Nord Tout le monde se souvient de notre émerveillement lors de l'éclipse solaire du 8 avril 2024 un événement rare qui a fait l'objet d'une expérience inusitée au Zoo de Granby on brûle la peau d'une centaine de joueuses et de joueurs pour savoir si la passion du jeu réduit la douleur Le tout premier médicament entièrement généré par intelligence artificielle franchit les essais cliniques de phase 2 pour le traitement d'une maladie pulmonaire mortelle Plusieurs outils diagnostiques utilisés en médecine n'ont pas la même efficacité sur toutes les couleurs de peau ou toutes les textures de cheveux On déconstruit le mythe du poids santé une fois pour toutes On visite l'une des rares fromageries universitaires en Amérique du Nord Le marché de la nutrition sportive est en pleine expansion.. On s'intéresse à l'immigration cambodgienne L'épicerie a voulu savoir si ces légumes étaient intéressants à cuisiner sur les plans nutritionnel et gustatif On s'offre un petit voyage en Europe pour découvrir des desserts pascals de Pologne L'épicerie vous donne quelques idées pour utiliser la noix de coco à son plein potentiel Cette matière contamine de plus en plus les sols comme le démontre une étude étonnante sur des parcelles de champs au Royaume-Uni Les paillis oxodégradables permettent aux agriculteurs dans les régions nordiques de produire du meilleur maïs Mais quel est l'impact de ces produits sur les sols agricoles Ottawa subventionne l'utilisation des engrais enrobés de polymère dans le cadre du Fonds d'action climatique à la ferme Mais l'enrobage de polymère laisse des microplastiques dans les champs Le plastique est un incontournable en agriculture Environ 11 000 tonnes sont utilisées chaque année dans les fermes au Québec Près de 30% de ces plastiques agricoles sont recyclés pour l'instant Mais des voix s'élèvent contre cette industrie qualifiée de polluante et de néfaste pour la survie des saumons sauvages Le Saint-Laurent est sous respirateur artificiel l'oxygène se raréfie et des experts étudient les répercussions de l'hypoxie sur les espèces marines Des agriculteurs québécois s’attaquent au problème de compactage de leurs sols Comme la production de sirop d'érable dépend de la météo et du climat des scientifiques se demandent quel est l'avenir de l'acériculture au Québec face aux changements climatiques L'eau d'érable concentrée est née d'un nouvel évaporateur qui permet la cuisson sous vide Le liquide légèrement doré conserve ainsi plus de nutriments que le sirop d'érable et son goût est plus subtil Troy Bright est un observateur aguerri des épaulards il note des observations sur le passage et le comportement de ces mammifères marins dans le nord de l'île de Vancouver Isabelle Richer démystifie les rouages du système de justice et vulgarise les grands enjeux qui s'y rattachent Toutes les informations nécessaires pour commencer la journée : l'actualité Comprendre les événements de la journée avec Anne-Marie Dussault Magazine d’actualité agroalimentaire et forestière qui aborde les enjeux environnementaux et les innovations en gestion des ressources renouvelables Un regard approfondi sur les sujets de l'heure Patrice Roy fait le point sur les grandes nouvelles de la journée et les enjeux qui touchent les citoyens et citoyennes avec nos reporters Gérald Fillion et ses commentateurs discutent des sujets chauds du jour tout en suivant l'actualité en développement Magazine d’information sur les droits des citoyens en matière de consommation et enquêtes sur des problèmes vécus par les consommateurs Gérald Fillion aborde toutes les nouvelles économiques d'importance Magazine d'investigation qui expose des pratiques douteuses et révèle des faits méconnus ou cachés sur des questions préoccupantes d’intérêt public selon le président d’Autobus DM - Boréal Inc (Photo d’archives)PHOTO : Radio-Canada / Martin GuindonLa mauvaise posture de l’entreprise québécoise Lion Électrique qui prévoit se mettre à l'abri de ses créanciers aura des impacts sur les transporteurs de la région C’est le cas pour l’entreprise Autobus DM - Boréal Inc qui compte une dizaine d’autobus électriques sur une flotte d’une cinquantaine de véhicules Le président Dominic Maheux ressent les contrecoups des difficultés de Lion Électrique depuis quelques semaines On a de la difficulté depuis plusieurs semaines à s’approvisionner en pièces et aussi au niveau du service On a vu partir plusieurs personnes avec qui on faisait affaire quotidiennement Il craint les conséquences en cas de véhicule en panne Un autobus électrique en moins sur le circuit scolaire pourrait entraîner un bris de service pour le Centre de services scolaire réussit à trouver des pièces chez d’autres fournisseurs mais les recherches peuvent s’avérer complexes si j’ai un problème de moteur électrique ou de batterie cite en exemple le président de l’entreprise de La Sarre Dominic Maheux demande au gouvernement d’agir face à la situation des transporteurs puisqu’ils ont été en quelque sorte obligés selon lui à se tourner vers Lion Électrique pour profiter d’une subvention gouvernementale C’est quand même des transporteurs qui ont embarqué dans le bateau avec le gouvernement et dans leur projet d’électrification c’est que le gouvernement mette ses culottes et qu’il nous soutienne dans ça Parce qu’il n’y a pas juste Lion Électrique actuellement Article | Lion Électrique prévoit se protéger de ses créanciers pour restructurer ses activitésAppli Radio-Canada OHdioTout un monde à écouter, partout où vous allez. C'est le cas pour l'entreprise Autobus DM - Boréal Inc qui compte une dizaine d'autobus électriques sur une flotte d’une cinquantaine de véhicules On a de la difficulté depuis plusieurs semaines à s'approvisionner en pièces et aussi au niveau du service Dominic Maheux demande au gouvernement d'agir face à la situation des transporteurs La mauvaise posture de l’entreprise québécoise Lion Électrique qui prévoit se mettre à l'abri de ses créanciers le restaurant Léo Pizza de La Sarre va reprendre ses activités au centre-ville Le restaurant a annoncé qu’il reprendra du service le 13 novembre prochain Le propriétaire Robert Thiffault affirme qu’il va mieux qu’avant Je ne vous cache pas que les trois derniers mois n’ont pas été faciles La pression ne tombe tranquillement pas vite et puis je suis dû peut-être pour quelques journées de repos Thiffault se réjouit également de constater que le personnel sera aussi de retour soulignant le soutien qu’il a eu de sa famille Les décombres témoignent de l’intensité de l’incendie qui a détruit plusieurs immeubles à La Sarre À une question sur ce qui l’a encouragé à reprendre du service je pense qu’on est quand même une bonne gang ajoutant que tous ses employés seront de retour dès l’ouverture du commerce Le restaurant a annoncé qu'il reprendra du service le 13 novembre prochain Le propriétaire Robert Thiffault affirme qu'il va mieux qu'avant Je ne vous cache pas que les trois derniers mois n'ont pas été faciles M. Thiffault se réjouit également de constater que le personnel sera aussi de retour soulignant le soutien qu'il a eu de sa famille À une question sur ce qui l'a encouragé à reprendre du service je pense qu'on est quand même une bonne gang ajoutant que tous ses employés seront de retour dès l'ouverture du commerce Rasé par un incendie au cours de l'été dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"Des modifications ont été apportées au marquage au sol et des bollards ont notamment été ajoutés dans le but de réduire la vitesse et de minimiser les risques d’accidents dans cette zone scolaire Les changements ont été faits à la suite de plusieurs bris sur nos feux de circulation On a aussi eu plusieurs requêtes des citoyens qui trouvaient cette intersection dangereuse parce que le monde roulait vite on a une de nos plus grosses écoles secondaires qui est à proximité : c’est près de 400 élèves et le tiers viennent à l’école en marchant On a décidé de faire un projet pilote et de mettre des bollards pour rétrécir la voie On aurait pu mettre des dos d’âne mais les études disent que l’effet d’entonnoir c’est ça qui contrôle le plus la vitesse de nombreux citoyens ont fait part de la difficulté de tourner à droite à l’intersection particulièrement pour les plus gros véhicules Le maire Yves Dubé reconnaît le problème mais affirme que la Ville veut prendre le temps d’analyser la situation avant d'apporter de nouveaux changements Notre équipe de travaux publics va regarder quelles modifications on pourrait faire On ne veut pas faire 150 modifications mais on veut vraiment étudier les circonstances et ce qui est problématique pour apporter des corrections éventuellement qui vont être souhaitables pour la population j’aime mieux dire : \"on l’a fait\" que \"on aurait donc dû le faire parce que l’inévitable est arrivé et quelqu’un s’est fait happer par un véhicule\" La Ville prévoit surveiller la situation jusqu’au 30 novembre prochain et apportera des changements si des problèmes d'envergure sont observés Rouyn-Noranda va réaménager l’intersection de la 15e Rue et du boulevard Rideau Ouvrir en mode plein écranL’intersection de la 5e Avenue et de la rue Principale à La Sarre a été réaménagée dans le but de renforcer la sécurité. Jean-Michel CotnoirPublié le 14 septembre 2024 à 11 h 31 HAEÉcouter l’article | 2 minutesLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale une technologie basée sur l’intelligence artificielle.Les citoyens de La Sarre qui circulent à l’intersection de la 5e Avenue et de la rue Principale doivent depuis peu composer avec de nouveaux aménagements sécuritaires Des modifications ont été apportées au marquage au sol et des bollards ont notamment été ajoutés dans le but de réduire la vitesse et de minimiser les risques d’accidents dans cette zone scolaire Ouvrir en mode plein écranLe maire de La Sarre Les changements ont été faits à la suite de plusieurs bris sur nos feux de circulation On a aussi eu plusieurs requêtes des citoyens qui trouvaient cette intersection dangereuse parce que le monde roulait vite on a une de nos plus grosses écoles secondaires qui est à proximité : c’est près de 400 élèves et le tiers viennent à l’école en marchant On a décidé de faire un projet pilote et de mettre des bollards pour rétrécir la voie mais les études disent que l’effet d’entonnoir de nombreux citoyens ont fait part de la difficulté de tourner à droite à l’intersection particulièrement pour les plus gros véhicules Le maire Yves Dubé reconnaît le problème mais affirme que la Ville veut prendre le temps d’analyser la situation avant d'apporter de nouveaux changements Notre équipe de travaux publics va regarder quelles modifications on pourrait faire mais on veut vraiment étudier les circonstances et ce qui est problématique pour apporter des corrections éventuellement qui vont être souhaitables pour la population j’aime mieux dire : "on l’a fait" que "on aurait donc dû le faire parce que l’inévitable est arrivé et quelqu’un s’est fait happer par un véhicule" La Ville prévoit surveiller la situation jusqu’au 30 novembre prochain et apportera des changements si des problèmes d'envergure sont observés Des modifications ont été apportées au marquage au sol et des bollards ont notamment été ajoutés dans le but de réduire la vitesse et de minimiser les risques d’accidents dans cette zone scolaire j’aime mieux dire : \\\"on l’a fait\\\" que \\\"on aurait donc dû le faire parce que l’inévitable est arrivé et quelqu’un s’est fait happer par un véhicule\\\" Rouyn-Noranda va réaménager l’intersection de la 15e Rue et du boulevard Rideau Les citoyens de La Sarre qui circulent à l’intersection de la 5e Avenue et de la rue Principale doivent depuis peu composer avec de nouveaux aménagements sécuritaires dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"L'individu aurait tenté de commettre un vol dans un commerce de la rue Principale vers 15 h 45 Il avait le visage dissimulé dans le capuchon de son chandail Il a menacé une employée avec un bâton et a demandé l’argent il a quitté les lieux avec des cartouches de cigarettes Après avoir ratissé le secteur pendant près de 30 minutes les policiers ont repéré le suspect et procédé à son arrestation Sa résidence a aussi été visée par une perquisition à La Sarre ainsi que les cigarettes volées sur place Le suspect devrait comparaître ce mardi par visioconférence pour une accusation de vol qualifié Ouvrir en mode plein écranLes policiers ont repéré le suspect quelques minutes après le vol Les policiers ont procédé à l'arrestation d'un homme de 20 ans relativement à un vol qualifié survenu à La Sarre L'individu aurait tenté de commettre un vol dans un commerce de la rue Principale vers 15 h 45 Il avait le visage dissimulé dans le capuchon de son chandail Il a menacé une employée avec un bâton et a demandé l’argent il a quitté les lieux avec des cartouches de cigarettes Après avoir ratissé le secteur pendant près de 30 minutes les policiers ont repéré le suspect et procédé à son arrestation Sa résidence a aussi été visée par une perquisition à La Sarre Le suspect devrait comparaître ce mardi par visioconférence pour une accusation de vol qualifié L'individu aurait tenté de commettre un vol dans un commerce de la rue Principale vers 15 h 45 Les policiers ont procédé à l'arrestation d'un homme de 20 ans relativement à un vol qualifié survenu à La Sarre Des élèves ont découvert leur nouvelle école : le Phénix-du-Savoir Le Phénix-du-Savoir a été construit à la suite d’un incendie qui a détruit le pavillon Victor-Cormier en 2019 des matériaux qui rappellent le bois et la couleur bleue mettent en valeur le nouveau bâtiment Avec les nouvelles normes au niveau de la construction des écoles on avait également deux locaux spécialisés Des locaux qui sont là également pour accueillir le service de garde Ce sont des espaces qui n’étaient pas nécessairement prévus quand on avait l’école Victor-Cormier directrice générale du Centre de services scolaires Lac Abitibi CSSLA Les élèves et le personnel n’ont pas pu réintégrer les locaux après l’incendie À la suite du feu de 2019 les élèves avaient été relocalisés au pavillon Académie de l’Assomption de La Sarre Il y aura donc moins de personnes dans ce bâtiment cette année de manquer d’espace dans l’école de l’Académie c’est un sentiment certainement cette année qui va être dissipé Ça va certainement permettre aussi à l’équipe-école de pouvoir travailler d’une façon un petit peu plus aisée dans le sens où parfois le manque d’espace crée aussi des problématiques Le Centre de services scolaire du Lac-Abitibi avait interpellé la population à la fin de l’année 2021 pour trouver le nom du nouveau pavillon La construction de l’école et la démolition de l’ancien bâtiment étaient évaluées à 18 millions de dollars. Je dois dire qu’avec certains ajouts qu’on a souhaité faire, dont la relocalisation de la patinoire avec la Municipalité, c’est un projet final qui dépasse les 20 millions, note la directrice générale du CSSLA. Elle souligne que plusieurs enseignants ont manifesté leur intérêt à y travailler. L’inauguration de l’école et des portes ouvertes seront organisées à une date ultérieure. Le Phénix-du-Savoir a été construit à la suite d’un incendie qui a détruit le pavillon Victor-Cormier en 2019 À la suite du feu de 2019 les élèves avaient été relocalisés au pavillon Académie de l’Assomption de La Sarre La construction de l’école et la démolition de l’ancien bâtiment étaient évaluées à 18 millions de dollars Je dois dire qu’avec certains ajouts qu’on a souhaité faire dont la relocalisation de la patinoire avec la Municipalité c’est un projet final qui dépasse les 20 millions Elle souligne que plusieurs enseignants ont manifesté leur intérêt à y travailler L’inauguration de l’école et des portes ouvertes seront organisées à une date ultérieure Le pavillon Victor-Cormier de l’école l’Envol renaît de ses cendres pour la rentrée scolaire 2024-2025 à La Sarre Des élèves ont découvert leur nouvelle école : le Phénix-du-Savoir dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"Le violent incendie a lourdement endommagé le restaurant Léo Pizza le Cinéma La Sarre et l'ancien Buffet Suco On a reçu un appel à 20 h 54 pour un incendie de bâtiment au restaurant Léo Pizza c'était un incendie qui était localisé dans la portion cuisine du restaurant Les pompiers ont tenté d'entrer à l'intérieur c'était un incendie qui était déjà très violent directeur de la lutte contre les incendies et de la sécurité civile de la Ville de La Sarre Les autres bâtiments touchés incluent un immeuble à vendre ayant déjà accueilli le bureau de comptables Raymond Chabot Grant Thornton ainsi qu'un bâtiment abritant un salon de coiffure et des logements c'est la Sûreté du Québec qui s'est occupé des gens mais plusieurs personnes ont perdu leur résidence Ils avaient tous évacué avant même l'arrivée des pompiers grâce à des passants qui ont vu les flammes Plusieurs citoyens se sont rendus sur les lieux lundi matin pour constater l’ampleur des dégâts Ça vient me chercher parce que c’était un bâtiment qui était ancien c’est l’endroit où on s’est rencontrés moi et ma conjointe Ce sont des souvenirs partis en fumée En visite chez une amie à La Sarre Amélie Hébert a quant à elle assisté Je suis quand même extrêmement troublée d’avoir assisté à ça J’avais une vision très proche parce qu’on était juste en face On a assisté à tout : les immeubles un après l’autre qui prenaient en feu [C’est] extrêmement triste de penser à tous les gens qui vivent en haut et qui n’ont plus de loyer J’espère que la Ville va les encadrer et qu’il va y avoir quelque chose de citoyen pour aider ces gens-là qui n'ont peut-être même pas d’assurance La Croix-Rouge confirme avoir pris en charge 12 personnes Les sinistrés auront droit à de l’aide pour l’hébergement l’alimentation et les vêtements pour 72 heures souligne que la Ville a ouvert des locaux pour accueillir les sinistrés dimanche soir Je vais rencontrer Luc Goudreau pour voir ce qui a été déployé et voir ce que la Ville peut apporter en support pour les familles ou les commerçants qui sont touchés a-t-il affirmé à Des matins en or La municipalité n'en est pas à son premier incendie cette année : le restaurant Chez Bordy et le magasin d'appareils électroniques Amison ont été la proie des flammes en mai dernier Mes pensées sont pour tous les sinistrés les pompiers étaient toujours sur les lieux Environ 45 pompiers des casernes de La Sarre Macamic et Sainte-Hélène-de-Mancebourg ont combattu le brasier Ouvrir en mode plein écranL'incendie a débuté au restaurant Léo Pizza puis s'est propagé aux trois bâtiments voisins Photo : Radio-Canada / Jean-François Perron ont été la proie des flammes dans la nuit de dimanche à lundi a lourdement endommagé le restaurant Léo Pizza le Cinéma La Sarre et l'ancien Buffet Suco On a reçu un appel à 20 h 54 pour un incendie de bâtiment au restaurant Léo Pizza c'était un incendie qui était localisé dans la portion cuisine du restaurant Les pompiers ont tenté d'entrer à l'intérieur c'était un incendie qui était déjà très violent directeur de la lutte contre les incendies et de la sécurité civile de la Ville de La Sarre Ouvrir en mode plein écranLes employés de la Ville de La Sarre étaient sur place ce matin Ouvrir en mode plein écranL'incendie a lourdement endommagé les restaurants Léo Pizza Ouvrir en mode plein écranLes panneaux indiquant les films à l'affiche au cinéma La Sarre ont visiblement résisté au feu Ouvrir en mode plein écranLa Sarre a perdu une partie importante de son patrimoine lors de l'incendie Ouvrir en mode plein écranL'incendie s'est déclaré peu avant 21h00 dimanche soir L'incendie a lourdement endommagé les restaurants Léo Pizza Les employés de la Ville de La Sarre étaient sur place ce matin Les autres bâtiments touchés incluent un immeuble à vendre ayant déjà accueilli le bureau de comptables Raymond Chabot Grant Thornton ainsi qu'un bâtiment abritant un salon de coiffure et des logements c'est la Sûreté du Québec qui s'est occupé des gens mais plusieurs personnes ont perdu leur résidence Ils avaient tous évacué avant même l'arrivée des pompiers grâce à des passants qui ont vu les flammes Ouvrir en mode plein écranLuc Goudreau est directeur du service incendie de La Sarre Plusieurs citoyens se sont rendus sur les lieux lundi matin pour constater l’ampleur des dégâts Ça vient me chercher parce que c’était un bâtiment qui était ancien c’est l’endroit où on s’est rencontrés moi et ma conjointe Ouvrir en mode plein écranLes citoyens sont nombreux à se rassembler pour mesurer les dégâts Je suis quand même extrêmement troublée d’avoir assisté à ça J’avais une vision très proche parce qu’on était juste en face On a assisté à tout : les immeubles un après l’autre qui prenaient en feu [C’est] extrêmement triste de penser à tous les gens qui vivent en haut et qui n’ont plus de loyer J’espère que la Ville va les encadrer et qu’il va y avoir quelque chose de citoyen pour aider ces gens-là qui n'ont peut-être même pas d’assurance La Croix-Rouge confirme avoir pris en charge 12 personnes Les sinistrés auront droit à de l’aide pour l’hébergement l’alimentation et les vêtements pour 72 heures souligne que la Ville a ouvert des locaux pour accueillir les sinistrés dimanche soir Je vais rencontrer Luc Goudreau pour voir ce qui a été déployé et voir ce que la Ville peut apporter en support pour les familles ou les commerçants qui sont touchés Ouvrir en mode plein écranLes employés de la Ville de La Sarre ont sécurisé les lieux les pompiers étaient toujours sur les lieux Environ 45 pompiers des casernes de La Sarre Macamic et Sainte-Hélène-de-Mancebourg ont combattu le brasier La municipalité n'en est pas à son premier incendie cette année : le restaurant Chez Bordy et le magasin d'appareils électroniques Amison ont été la proie des flammes en mai dernier C'était une demande du public de l'avoir illuminée. Donc, on a décidé de la faire plus tard le soir et l'avoir tout en lumière et en musique, explique Gaétan Therrien, président du comité de la Parade de Noël d'Abitibi-Ouest. C'est d'ailleurs au Participarc que le comité de la Parade de Noël installera de façon permanente le train ayant servi de décor au Paradis du Nord de la Troupe À Cœur ouvert de 2005 à 2011. L'année passée, on s'est servi [du train] comme démonstration sur notre village de Noël. On trouvait que c'était une façon pour nous de remercier la Troupe À Cœur ouvert d'avoir travaillé aussi fort aussi longtemps pour attirer la population, et de remercier les bénévoles, souligne Gaétan Therrien. Devant l'engouement de la population et des bénévoles face au train, que plusieurs prenaient en photo, le comité a pensé à l'installer de façon permanente au parc. Une structure représentant un pont sera construite pour accueillir le train, devenant un attrait touristique par le fait même. Les spectateurs de Dernier embarquement au Paradis, présenté par la Troupe durant l'été, ont remis un don de plus de 2000 $ pour réaliser ce projet. Le lendemain de la Parade de Noël, le 24 novembre, l'Harmonie Senior de l'École des arts de la scène organise deux représentations d'un concert sous le thème Les traditions de Noël. La trentaine de musiciens jouera sous la direction de Jocelyne Beaulieu. Puis, après avoir présenté le spectacle Festivitas pendant plusieurs années, la Troupe À Cœur ouvert revient à une formule plus intime pour les Fêtes cette année. Présenté en formule cabaret dans les locaux mêmes de la Troupe, Le Réveillon se veut un spectacle où se mélangeront sketches, contes de Noël, musique et chansons. On avait le goût de recréer l'intimité d'un réveillon, toutes les familles, c'est une belle tradition, donc cinq spectacles juste avant les Fêtes pour poursuivre notre belle tradition du temps des Fêtes en Abitibi-Ouest, souligne le président de la Troupe À Cœur ouvert, Donald Renault. Le Réveillon sera présenté le 20 décembre à 19 h ainsi que les 21 et 22 décembre à 15 h et 19 h, pour un total de cinq représentations. Marie-Hélène Paquin a commencé sa carrière de journaliste dans les journaux régionaux de l'Abitibi-Témiscamingue. En 2018, elle joint l'équipe de Radio-Canada, et en 2022, l'équipe de l'émission Des matins en or en tant que chroniqueuse culturelle. Ouvrir en mode plein écranLa Troupe À Cœur ouvert et le comité de la Parade de Noël d'Abitibi-Ouest unissent leurs forces pour créer une programmation des Fêtes à La Sarre. Photo : Radio-Canada / Marie-Hélène Paquin Marie-Hélène PaquinPublié le 30 septembre 2024 à 13 h 16 HAEÉcouter l’article | 3 minutesLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale, une technologie basée sur l’intelligence artificielle.Le comité de la Parade de Noël d'Abitibi-Ouest et la Troupe À Cœur ouvert de La Sarre font équipe pour offrir une programmation d'activités en vue du temps des Fêtes. En nouveauté cette année, la Parade de Noël sera présentée en soirée, le 23 novembre, entre le centre Le Retour et le Participarc. C'était une demande du public de l'avoir illuminée. Donc, on a décidé de la faire plus tard le soir et l'avoir tout en lumière et en musique, explique Gaétan Therrien, président du comité de la Parade de Noël d'Abitibi-Ouest. C'est d'ailleurs au Participarc que le comité de la Parade de Noël installera de façon permanente le train ayant servi de décor au Paradis du Nord de la Troupe À Cœur ouvert de 2005 à 2011. Ouvrir en mode plein écranLe Paradis du Nord relatait l’histoire de la colonisation de l’Abitibi-Témiscamingue. (Photo d'archives) L'année passée, on s'est servi [du train] comme démonstration sur notre village de Noël. On trouvait que c'était une façon pour nous de remercier la Troupe À Cœur ouvert d'avoir travaillé aussi fort aussi longtemps pour attirer la population, et de remercier les bénévoles, souligne Gaétan Therrien. Devant l'engouement de la population et des bénévoles face au train, que plusieurs prenaient en photo, le comité a pensé à l'installer de façon permanente au parc. Une structure représentant un pont sera construite pour accueillir le train, devenant un attrait touristique par le fait même. Les spectateurs de Dernier embarquement au Paradis, présenté par la Troupe durant l'été, ont remis un don de plus de 2000 $ pour réaliser ce projet. Le lendemain de la Parade de Noël, le 24 novembre, l'Harmonie Senior de l'École des arts de la scène organise deux représentations d'un concert sous le thème Les traditions de Noël. La trentaine de musiciens jouera sous la direction de Jocelyne Beaulieu. Puis, après avoir présenté le spectacle Festivitas pendant plusieurs années, la Troupe À Cœur ouvert revient à une formule plus intime pour les Fêtes cette année. Présenté en formule cabaret dans les locaux mêmes de la Troupe, Le Réveillon se veut un spectacle où se mélangeront sketches, contes de Noël, musique et chansons. On avait le goût de recréer l'intimité d'un réveillon, toutes les familles, c'est une belle tradition, donc cinq spectacles juste avant les Fêtes pour poursuivre notre belle tradition du temps des Fêtes en Abitibi-Ouest, souligne le président de la Troupe À Cœur ouvert, Donald Renault. Le Réveillon sera présenté le 20 décembre à 19 h ainsi que les 21 et 22 décembre à 15 h et 19 h, pour un total de cinq représentations. la Parade de Noël sera présentée en soirée entre le centre Le Retour et le Participarc C'était une demande du public de l'avoir illuminée on a décidé de la faire plus tard le soir et l'avoir tout en lumière et en musique président du comité de la Parade de Noël d'Abitibi-Ouest C'est d'ailleurs au Participarc que le comité de la Parade de Noël installera de façon permanente le train ayant servi de décor au Paradis du Nord de la Troupe À Cœur ouvert de 2005 à 2011 on s'est servi [du train] comme démonstration sur notre village de Noël On trouvait que c'était une façon pour nous de remercier la Troupe À Cœur ouvert d'avoir travaillé aussi fort aussi longtemps pour attirer la population Devant l'engouement de la population et des bénévoles face au train le comité a pensé à l'installer de façon permanente au parc Une structure représentant un pont sera construite pour accueillir le train devenant un attrait touristique par le fait même Les spectateurs de Dernier embarquement au Paradis présenté par la Troupe durant l'été ont remis un don de plus de 2000 $ pour réaliser ce projet l'Harmonie Senior de l'École des arts de la scène organise deux représentations d'un concert sous le thème Les traditions de Noël La trentaine de musiciens jouera sous la direction de Jocelyne Beaulieu après avoir présenté le spectacle Festivitas pendant plusieurs années la Troupe À Cœur ouvert revient à une formule plus intime pour les Fêtes cette année Présenté en formule cabaret dans les locaux mêmes de la Troupe Le Réveillon se veut un spectacle où se mélangeront sketches On avait le goût de recréer l'intimité d'un réveillon donc cinq spectacles juste avant les Fêtes pour poursuivre notre belle tradition du temps des Fêtes en Abitibi-Ouest souligne le président de la Troupe À Cœur ouvert Le Réveillon sera présenté le 20 décembre à 19 h ainsi que les 21 et 22 décembre à 15 h et 19 h pour un total de cinq représentations Marie-Hélène Paquin a commencé sa carrière de journaliste dans les journaux régionaux de l'Abitibi-Témiscamingue l'équipe de l'émission Des matins en or en tant que chroniqueuse culturelle Le comité de la Parade de Noël d'Abitibi-Ouest et la Troupe À Cœur ouvert de La Sarre font équipe pour offrir une programmation d'activités en vue du temps des Fêtes m’a dit qu’une équipe de 20 pompiers a rapidement procédé à l’extinction du brasier un résident est venu les aviser d’un deuxième incendie l’incendie a été maîtrisé rapidement et les dégâts sont minimes Une seule personne a été légèrement blessée en tentant d’éteindre le feu sur le VTT mais elle n’a pas été à l’hôpital puisque les événements sont considérés comme suspects comme le mentionne le sergent Jean-Raphaël Drolet On se rappelle notamment des incendies au restaurant Léo Pizza au cinéma et à plusieurs logements qui ont été la proie des flammes il y a à peine deux semaines ainsi qu’au restaurant Chez Bordy et d’autres bâtiments en mai dernier que ces incendies sont reliés aux événements de la nuit dernière donc la SQ appelle les citoyens à ne pas s’alarmer ou faire des amalgames ou encore de partir des rumeurs c’est tout de même un incident qui a secoué le voisinage les policiers n’ont arrêté aucun suspect dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"Le défi est de taille alors que l’hébergement offert par la Croix-Rouge doit s’estomper au bout de 72 heures Trouver 15 logements à La Sarre Il y a quelques places de disponibles dans les HLM de La Sarre mais il faut vraiment vérifier l’aspect transport pour s’assurer qu’ils peuvent se déplacer en voiture L’incendie de dimanche soir a détruit quatre bâtiments du centre-ville. Ces édifices abritaient 15 appartements et 13 loyers commerciaux dont le cinéma local et Léo Pizza ces pertes appauvrissent le paysage patrimonial de La Sarre comme le rappelait mardi matin l'agente Christiane Pichette à l'émission Des matins en or Les loyers sont très rares et c’est le cas aussi des loyers à prix abordables. Ce n’est pas tout le monde qui a les moyens de payer des loyers à 800 $ par mois. Il faut leur trouver des loyers à prix abordables, explique-t-il. Outre les dons de nourritures, de vêtements et d'objets, M. Dubé encourage les propriétaires qui ont des loyers vides à les rendre rapidement disponibles à un prix abordable. Les employés de la municipalité s’affairent aussi à rencontrer les sinistrés pour cerner leurs besoins et les aider à trouver de nouveaux articles de base, comme des meubles et des électroménagers. Tout le monde se mobilise. On espère éviter les traumatismes aux sinistrés. Ils ont tous perdu. La plupart des gens n’avaient pas d’assurance. C’est une catastrophe pour la Ville de La Sarre. Des organismes locaux, comme la maison St-André, mettent notamment l’épaule à la roue pour offrir des dons de nourritures et de vêtements. On va pouvoir donner soit un dépannage pour les aider à garnir leur garde-manger ou bien des bons d’achat pour l’épicerie à partager entre les sinistrés [...] Pour l’instant, les dons rentrent bien, ajoute la directrice générale, Karine Francœur, qui n'est toutefois pas en mesure de chiffrer le total des dons reçus. La Friperie au coin de l’entraide est également mobilisée, tout comme la Chambre de commerce et d’industrie d’Abitibi-Ouest, qui prévoit contacter ses membres touchés pour cibler leurs besoins. On a même des gens qui nous contactent pour des dons de meubles, complète le maire, Yves Dubé. On leur a dit d’attendre un peu. On a trouvé une place pour les entreposer, mais on veut d’abord connaître les besoins des gens avant de se ramasser avec beaucoup de meubles et d’électroménagers. Des dons monétaires sont également récoltés en ligne sur des plateformes comme GoFundMe. La députée d’Abitibi-Ouest, Suzanne Blais, a décliné notre demande d’entrevue. Par écrit, Mme Blais rappelle qu’elle s’est rendu lundi sur le site des décombres et qu’elle suit la situation de près. Ouvrir en mode plein écranLes décombres au lendemain de l'incendie. Gabriel PoirierPublié le 23 juillet 2024 à 13 h 31 HAEMis à jour le 23 juillet 2024 à 15 h 36 HAEÉcouter l’article | 4 minutesLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale une technologie basée sur l’intelligence artificielle.Environ 48 heures après la destruction d'une partie du centre-ville les employés de La Sarre tentent de reloger les sinistrés dans les habitations à loyers modiques (HLM) d'Abitibi-Ouest Le défi est de taille alors que l’hébergement offert par la Croix-Rouge doit s’estomper au bout de 72 heures Il y a quelques places de disponibles dans les HLM de La Sarre mais il faut vraiment vérifier l’aspect transport pour s’assurer qu’ils peuvent se déplacer en voiture comme le rappelait mardi matin l'agente Christiane Pichette à l'émission Des matins en or Les loyers sont très rares et c’est le cas aussi des loyers à prix abordables. Ce n’est pas tout le monde qui a les moyens de payer des loyers à 800 $ par mois. Il faut leur trouver des loyers à prix abordables, explique-t-il. Ouvrir en mode plein écranLes citoyens étaient nombreux à se rassembler pour mesurer les dégâts lundi matin. Outre les dons de nourritures, de vêtements et d'objets, M. Dubé encourage les propriétaires qui ont des loyers vides à les rendre rapidement disponibles à un prix abordable. Les employés de la municipalité s’affairent aussi à rencontrer les sinistrés pour cerner leurs besoins et les aider à trouver de nouveaux articles de base, comme des meubles et des électroménagers. Tout le monde se mobilise. On espère éviter les traumatismes aux sinistrés. Ils ont tous perdu. La plupart des gens n’avaient pas d’assurance. C’est une catastrophe pour la Ville de La Sarre. Des organismes locaux, comme la maison St-André, mettent notamment l’épaule à la roue pour offrir des dons de nourritures et de vêtements. On va pouvoir donner soit un dépannage pour les aider à garnir leur garde-manger ou bien des bons d’achat pour l’épicerie à partager entre les sinistrés [...] Pour l’instant, les dons rentrent bien, ajoute la directrice générale, Karine Francœur, qui n'est toutefois pas en mesure de chiffrer le total des dons reçus. Ouvrir en mode plein écranLe cinéma La Sarre est une perte totale après le violent incendie qui a fait rage dimanche soir. La Friperie au coin de l’entraide est également mobilisée, tout comme la Chambre de commerce et d’industrie d’Abitibi-Ouest, qui prévoit contacter ses membres touchés pour cibler leurs besoins. On a même des gens qui nous contactent pour des dons de meubles, complète le maire, Yves Dubé. On leur a dit d’attendre un peu. On a trouvé une place pour les entreposer, mais on veut d’abord connaître les besoins des gens avant de se ramasser avec beaucoup de meubles et d’électroménagers. Des dons monétaires sont également récoltés en ligne sur des plateformes comme GoFundMe. La députée d’Abitibi-Ouest, Suzanne Blais, a décliné notre demande d’entrevue. Par écrit, Mme Blais rappelle qu’elle s’est rendu lundi sur le site des décombres et qu’elle suit la situation de près. Le défi est de taille alors que l’hébergement offert par la Croix-Rouge doit s’estomper au bout de 72 heures L’incendie de dimanche soir a détruit quatre bâtiments du centre-ville. Ces édifices abritaient 15 appartements et 13 loyers commerciaux Les loyers sont très rares et c’est le cas aussi des loyers à prix abordables Ce n’est pas tout le monde qui a les moyens de payer des loyers à 800 $ par mois Il faut leur trouver des loyers à prix abordables M. Dubé encourage les propriétaires qui ont des loyers vides à les rendre rapidement disponibles à un prix abordable Les employés de la municipalité s’affairent aussi à rencontrer les sinistrés pour cerner leurs besoins et les aider à trouver de nouveaux articles de base comme des meubles et des électroménagers On espère éviter les traumatismes aux sinistrés La plupart des gens n’avaient pas d’assurance C’est une catastrophe pour la Ville de La Sarre mettent notamment l’épaule à la roue pour offrir des dons de nourritures et de vêtements On va pouvoir donner soit un dépannage pour les aider à garnir leur garde-manger ou bien des bons d’achat pour l’épicerie à partager entre les sinistrés [...] Pour l’instant qui n'est toutefois pas en mesure de chiffrer le total des dons reçus La Friperie au coin de l’entraide est également mobilisée tout comme la Chambre de commerce et d’industrie d’Abitibi-Ouest qui prévoit contacter ses membres touchés pour cibler leurs besoins On a même des gens qui nous contactent pour des dons de meubles On a trouvé une place pour les entreposer mais on veut d’abord connaître les besoins des gens avant de se ramasser avec beaucoup de meubles et d’électroménagers Des dons monétaires sont également récoltés en ligne sur des plateformes comme GoFundMe La députée d’Abitibi-Ouest a décliné notre demande d’entrevue Mme Blais rappelle qu’elle s’est rendu lundi sur le site des décombres et qu’elle suit la situation de près L'incendie de quatre bâtiments à La Sarre qui abritaient 15 logements et 13 locaux commerciaux Environ 48 heures après la destruction d'une partie du centre-ville les employés de La Sarre tentent de reloger les sinistrés dans les habitations à loyers modiques (HLM) d'Abitibi-Ouest La MRC et la Ville font beaucoup de choses pour l’Abitibi-Ouest, mais la population générale, parfois, elle n’est pas au courant de toutes les actions, des mises en action qui ont été faites. Dans le fond, on veut donner cette voix-là à tout le monde pour que les gens puissent nous dire, pendant une journée, pendant des ateliers participatifs, ce qu’ils en pensent, c’est quoi leurs besoins à eux, explique-t-elle. Plusieurs sujets, dont l’éducation, la santé et le logement, seront abordés. Le forum citoyen, qui se tiendra dans la salle Desjardins-Jean-Coutu, débutera par une conférence, suivie de plusieurs ateliers. Il faut une population active et qui a le goût de s’impliquer. Nous, on a le goût de s’impliquer en tant qu’organisme communautaire, en tant que citoyens retraités, la MRC, la Ville, mais on a besoin que notre population vienne nous aider, soutient Joanie Poliquin. Les inscriptions sont déjà ouvertes sur le site web de la SADC d’Abitibi-Ouest. La date limite pour s’inscrire est le 6 septembre et les citoyens doivent avoir 16 ans et plus pour participer. Ouvrir en mode plein écranLe forum, qui portera sur le développement social en Abitibi-Ouest, se tiendra à La Sarre. (Photo d'archives) Annabel OuelletPublié le 13 août 2024 à 12 h 48 HAEÉcouter l’article | 2 minutesLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale, une technologie basée sur l’intelligence artificielle.Le Regroupement des organismes communautaires d’Abitibi-Ouest (ROCAO) organise un forum citoyen le 14 septembre prochain à La Sarre. Le forum est un événement pour permettre aux citoyens de parler de leurs besoins en matière de développement social, selon Joanie Poliquin, porte-parole du ROCAO. Elle invite d’ailleurs la population à se présenter en grand nombre à l’événement. La MRC et la Ville font beaucoup de choses pour l’Abitibi-Ouest, mais la population générale, parfois, elle n’est pas au courant de toutes les actions, des mises en action qui ont été faites. Dans le fond, on veut donner cette voix-là à tout le monde pour que les gens puissent nous dire, pendant une journée, pendant des ateliers participatifs, ce qu’ils en pensent, c’est quoi leurs besoins à eux, explique-t-elle. Ouvrir en mode plein écranJoanie Poliquin est la porte-parole du Regroupement des organismes communautaires d’Abitibi-Ouest. Plusieurs sujets, dont l’éducation, la santé et le logement, seront abordés. Le forum citoyen, qui se tiendra dans la salle Desjardins-Jean-Coutu, débutera par une conférence, suivie de plusieurs ateliers. Il faut une population active et qui a le goût de s’impliquer. Nous, on a le goût de s’impliquer en tant qu’organisme communautaire, en tant que citoyens retraités, la MRC, la Ville, mais on a besoin que notre population vienne nous aider, soutient Joanie Poliquin. Les inscriptions sont déjà ouvertes sur le site web de la SADC d’Abitibi-Ouest. La date limite pour s’inscrire est le 6 septembre et les citoyens doivent avoir 16 ans et plus pour participer. Le forum est un événement pour permettre aux citoyens de parler de leurs besoins en matière de développement social Elle invite d’ailleurs la population à se présenter en grand nombre à l’événement La MRC et la Ville font beaucoup de choses pour l’Abitibi-Ouest elle n’est pas au courant de toutes les actions des mises en action qui ont été faites on veut donner cette voix-là à tout le monde pour que les gens puissent nous dire qui se tiendra dans la salle Desjardins-Jean-Coutu Il faut une population active et qui a le goût de s’impliquer on a le goût de s’impliquer en tant qu’organisme communautaire mais on a besoin que notre population vienne nous aider Les inscriptions sont déjà ouvertes sur le site web de la SADC d’Abitibi-Ouest La date limite pour s’inscrire est le 6 septembre et les citoyens doivent avoir 16 ans et plus pour participer Le Regroupement des organismes communautaires d’Abitibi-Ouest (ROCAO) organise un forum citoyen le 14 septembre prochain à La Sarre dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"On n’arrive pas à une conclusion pour déterminer une cause exacte indique le directeur de la sécurité incendie et de la sécurité civile On penche [comme hypothèse plausible] sur un début d’incendie qui aurait commencé dans le mur mitoyen qui séparait la cuisine du Buffet Suco et le restaurant Léo Pizza Les assureurs qui ont la charge des quatre immeubles détruits de l’avenue Principale ont également ouvert des enquêtes. La façon dont les bâtiments étaient construits et les matériaux qui ont été utilisés pour les construire, qui étaient vieux et qui étaient secs, tous ces éléments peuvent avoir contribué à ce que l’incendie soit plus fort et plus difficile à éteindre. Les débris de l’incendie sont toujours sur place, les propriétaires des immeubles ayant la responsabilité de nettoyer les dégâts avec leurs assureurs. Si les causes demeurent incertaines, l’aide continue de s’organiser à La Sarre tandis que la Municipalité tente de coordonner l’aide aux sinistrés. Les sinistrés, qui seraient maintenant tous relogés de façon temporaire, auraient reçu des options adaptées pour leur relogement, indique la Ville de La Sarre sur son site Internet. Les initiatives spontanées sont également monnaie courante. À l'instar de La Troupe à cœur ouvert, la fromagerie La Vache à Maillotte promet de verser des dons aux sinistrés. Ça vaut la peine, quand des épreuves surviennent, qu’on puisse redonner ce que nous avons déjà reçu. La Troupe compte verser certaines recettes de ses prestations de samedi et de dimanche aux sinistrés, alors que la fromagerie projette de distribuer ses recettes de vendredi au marché public de Palmarolle. On est une communauté où nous sommes proches l’un de l’autre, explique Jacquelin Sévigny, copropriétaire de l’entreprise. Il y a quelques semaines, nous avons subi une perte [d'alimentation en] eau et ce sont les entreprises entre elles qui nous ont aidés. M. Sévigny espère amasser la somme de 2000 $. Des campagnes de sociofinancement apparaissent également en ligne pour aider les sinistrés et les commerçants, notamment sur la plateforme GoFundMe. Ouvrir en mode plein écranSi les causes de l'incendie demeurent incertaines, l’aide continue de s’organiser à La Sarre, tandis que la Municipalité tente de coordonner l’aide aux sinistrés. (Photo d'archives) Gabriel PoirierPublié le 25 juillet 2024 à 17 h 19 HAEÉcouter l’article | 3 minutesLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale une technologie basée sur l’intelligence artificielle.Le service incendie de la Ville de La Sarre ignore toujours comment s’est déclenché le feu qui a rasé quatre édifices du centre-ville bien que rien ne laisse présumer un acte criminel pour le moment On n’arrive pas à une conclusion pour déterminer une cause exacte indique le directeur de la sécurité incendie et de la sécurité civile On penche [comme hypothèse plausible] sur un début d’incendie qui aurait commencé dans le mur mitoyen qui séparait la cuisine du Buffet Suco et le restaurant Léo Pizza La façon dont les bâtiments étaient construits et les matériaux qui ont été utilisés pour les construire, qui étaient vieux et qui étaient secs, tous ces éléments peuvent avoir contribué à ce que l’incendie soit plus fort et plus difficile à éteindre. Les débris de l’incendie sont toujours sur place, les propriétaires des immeubles ayant la responsabilité de nettoyer les dégâts avec leurs assureurs. Ouvrir en mode plein écranAu lendemain de l'incendie, les employés de la Ville de La Sarre étaient à l'œuvre pour sécuriser les lieux. (Photo d'archives) Si les causes demeurent incertaines, l’aide continue de s’organiser à La Sarre tandis que la Municipalité tente de coordonner l’aide aux sinistrés. Les sinistrés, qui seraient maintenant tous relogés de façon temporaire, auraient reçu des options adaptées pour leur relogement, indique la Ville de La Sarre sur son site Internet. Les initiatives spontanées sont également monnaie courante. À l'instar de La Troupe à cœur ouvert, la fromagerie La Vache à Maillotte promet de verser des dons aux sinistrés. Ça vaut la peine, quand des épreuves surviennent, qu’on puisse redonner ce que nous avons déjà reçu. La Troupe compte verser certaines recettes de ses prestations de samedi et de dimanche aux sinistrés, alors que la fromagerie projette de distribuer ses recettes de vendredi au marché public de Palmarolle. Ouvrir en mode plein écranLes recettes du bar de La Troupe à cœur ouvert pour son spectacle « Dernier embarquement au Paradis » seront remises à la Maison St-André. (Photo d'archives) On est une communauté où nous sommes proches l’un de l’autre, explique Jacquelin Sévigny, copropriétaire de l’entreprise. Il y a quelques semaines, nous avons subi une perte [d'alimentation en] eau et ce sont les entreprises entre elles qui nous ont aidés. M. Sévigny espère amasser la somme de 2000 $. Des campagnes de sociofinancement apparaissent également en ligne pour aider les sinistrés et les commerçants, notamment sur la plateforme GoFundMe. On n’arrive pas à une conclusion pour déterminer une cause exacte Les assureurs qui ont la charge des quatre immeubles détruits de l’avenue Principale ont également ouvert des enquêtes La façon dont les bâtiments étaient construits et les matériaux qui ont été utilisés pour les construire qui étaient vieux et qui étaient secs tous ces éléments peuvent avoir contribué à ce que l’incendie soit plus fort et plus difficile à éteindre Les débris de l’incendie sont toujours sur place les propriétaires des immeubles ayant la responsabilité de nettoyer les dégâts avec leurs assureurs l’aide continue de s’organiser à La Sarre tandis que la Municipalité tente de coordonner l’aide aux sinistrés qui seraient maintenant tous relogés de façon temporaire auraient reçu des options adaptées pour leur relogement indique la Ville de La Sarre sur son site Internet Les initiatives spontanées sont également monnaie courante À l'instar de La Troupe à cœur ouvert la fromagerie La Vache à Maillotte promet de verser des dons aux sinistrés qu’on puisse redonner ce que nous avons déjà reçu La Troupe compte verser certaines recettes de ses prestations de samedi et de dimanche aux sinistrés alors que la fromagerie projette de distribuer ses recettes de vendredi au marché public de Palmarolle On est une communauté où nous sommes proches l’un de l’autre nous avons subi une perte [d'alimentation en] eau et ce sont les entreprises entre elles qui nous ont aidés M. Sévigny espère amasser la somme de 2000 $ Des campagnes de sociofinancement apparaissent également en ligne pour aider les sinistrés et les commerçants Les assureurs qui ont la charge des quatre immeubles détruits de l’avenue Principale ont également ouvert des enquêtes Le service incendie de la Ville de La Sarre ignore toujours comment s’est déclenché le feu qui a rasé quatre édifices du centre-ville (Photo d’archives)PHOTO : Gracieuseté Ginette PoirierLe déplacement des sinistrés de l’incendie du 21 juillet qui a touché le centre-ville de La Sarre tire à sa fin C’est ce qu’indique la Municipalité qui rappelle que le feu a touché 22 résidents et 13 entreprises La Ville mentionne que grâce à la mobilisation des citoyens et des organismes de la MRC d’Abitibi-Ouest les sinistrés ont été rapidement pris en charge Elle précise que certains sinistrés sont à la recherche d’un logement permanent Elle ajoute que le restaurant Léo Pizza le cinéma La Sarre et le studio Candy Shop Tattoo évaluent les options qui s’offrent à eux Le directeur sécurité incendies et sécurité civile Luc Goudreau revient sur l’événement et explique que les débris sont encore là en attendant les enquêtes des assurances Incendie à La Sarre : la cause toujours inconnueAppli Radio-Canada OHdioTout un monde à écouter, partout où vous allez. Elle ajoute que le restaurant Léo Pizza le cinéma La Sarre et le studio Candy Shop Tattoo évaluent les options qui s'offrent à eux Le directeur sécurité incendies et sécurité civile Luc Goudreau revient sur l'événement et explique que les débris sont encore là en attendant les enquêtes des assurances Le déplacement des sinistrés de l’incendie du 21 juillet qui a touché le centre-ville de La Sarre tire à sa fin C'est ce qu'indique la Municipalité qui rappelle que le feu a touché 22 résidents et 13 entreprises Plusieurs citoyens avaient alors perdu leur logement et tous leurs biens. Plusieurs commerces avaient aussi brûlé. Pour aider les sinistrés, une mobilisation citoyenne avait été lancée. Des personnes de toute l'Abitibi-Ouest avaient alors fait des dons en argent, mais aussi du mobilier avec une telle générosité qu’il reste aujourd’hui du mobilier à donner. Les gens ont été hyper généreux et ça a été très apprécié de tout le monde. Dans le fond, les besoins des sinistrés ont été comblés. Puis c'est ça, maintenant la générosité des gens peut se propager à l'ensemble de la population, explique Alexandre D. Nickner, responsable de la communication à la Ville de La Sarre. Après les sinistrés, les organismes partenaires avaient aussi pu se servir dans ce stock de mobilier. Dans une optique zéro déchet, la Ville souhaite proposer ce qui reste à toute la population. Dans le fond, ce sont des dons des citoyens pour d’autres citoyens de La Sarre, rappelle Alexandre D. Nickner. La population a jusqu’au 16 novembre pour aller récupérer ce mobilier, à la Ressourcerie Le Filon vert, à La Sarre. Ouvrir en mode plein écranLes citoyens sont nombreux à se rassembler pour mesurer les dégâts de l'incendie de juillet dernier. (Photo d'archives) Mathilde BlayoPublié le 13 novembre 2024 à 6 h 11 HAEÉcouter l’article | 2 minutesLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale, une technologie basée sur l’intelligence artificielle.Le mobilier donné pour aider les sinistrés de l’incendie de La Sarre l'été passé est maintenant offert gratuitement à l’ensemble de la population. En juillet dernier, un violent incendie a ravagé plusieurs bâtiments dans le centre-ville de La Sarre. Plusieurs citoyens avaient alors perdu leur logement et tous leurs biens. Plusieurs commerces avaient aussi brûlé. Pour aider les sinistrés, une mobilisation citoyenne avait été lancée. Des personnes de toute l'Abitibi-Ouest avaient alors fait des dons en argent, mais aussi du mobilier avec une telle générosité qu’il reste aujourd’hui du mobilier à donner. Ouvrir en mode plein écranL'incendie a lourdement endommagé les restaurants Léo Pizza, le Cinéma La Sarre et l'ancien Buffet Suco. (Photo d'archives) Les gens ont été hyper généreux et ça a été très apprécié de tout le monde. Dans le fond, les besoins des sinistrés ont été comblés. Puis c'est ça, maintenant la générosité des gens peut se propager à l'ensemble de la population, explique Alexandre D. Nickner, responsable de la communication à la Ville de La Sarre. Après les sinistrés, les organismes partenaires avaient aussi pu se servir dans ce stock de mobilier. Dans une optique zéro déchet, la Ville souhaite proposer ce qui reste à toute la population. Dans le fond, ce sont des dons des citoyens pour d’autres citoyens de La Sarre, rappelle Alexandre D. Nickner. La population a jusqu’au 16 novembre pour aller récupérer ce mobilier, à la Ressourcerie Le Filon vert, à La Sarre. un violent incendie a ravagé plusieurs bâtiments dans le centre-ville de La Sarre Plusieurs citoyens avaient alors perdu leur logement et tous leurs biens Plusieurs commerces avaient aussi brûlé une mobilisation citoyenne avait été lancée Des personnes de toute l'Abitibi-Ouest avaient alors fait des dons en argent mais aussi du mobilier avec une telle générosité qu’il reste aujourd’hui du mobilier à donner Les gens ont été hyper généreux et ça a été très apprécié de tout le monde les besoins des sinistrés ont été comblés maintenant la générosité des gens peut se propager à l'ensemble de la population responsable de la communication à la Ville de La Sarre les organismes partenaires avaient aussi pu se servir dans ce stock de mobilier Dans une optique zéro déchet la Ville souhaite proposer ce qui reste à toute la population ce sont des dons des citoyens pour d’autres citoyens de La Sarre La population a jusqu’au 16 novembre pour aller récupérer ce mobilier Le mobilier donné pour aider les sinistrés de l’incendie de La Sarre l'été passé est maintenant offert gratuitement à l’ensemble de la population Les compétiteurs provenaient du Québec, de l’Ontario, du Nouveau-Brunswick et des États-Unis, et plusieurs n’en étaient pas à leurs premiers parcours. La PG Expédition était de retour après un an d’absence. L'édition actuelle a été organisée en hommage au fondateur Pierre Germain qui, atteint d’un cancer du pancréas, avait réalisé son rêve de tenir une course de traîneaux à chiens en février 2022. L’appel à la célébration a été entendu. Pour Lyne Rochette, la femme de Pierre Germain, cette édition est vraiment particulière. Oh mon Dieu! C'est beaucoup d'émotions cette année, beaucoup de fierté, parce qu'il y a quand même beaucoup d'heures de travail derrière tout ça, a-t-elle confié. Parmi les mushers, Sabrina Bernier, de Saint-Vital-de-Clermont, a pris le départ de la course de 40 milles. L'objectif? Le faire le plus proche de 4 heures. Il y a deux ans, je l'ai fait en 4 heures 23 minutes. Là, j'aimerais être plus proche du 4 heures, a-t-elle mentionné avant le départ. Guillaume Mercier était lui aussi du départ des 40 milles. Son objectif était plutôt modeste et consistait principalement à y participer pour le plaisir. Il souligne d’ailleurs que son attelage ne sert pas qu’aux compétitions. Outre les courses, je fais beaucoup d'expéditions aussi. La région de l'Abitibi est propice à ça. Il y a beaucoup de terres publiques et de la Couronne, alors je me promène et j'explore, confie le musher. Rémy Leduc, pour sa part, a choisi de s’élancer pour la course des 100 milles. Fort d’une vingtaine d’années d’expérience comme musher, il a fait le trajet du Nouveau-Brunswick avec sa conjointe et avec deux équipes de dix chiens. Les chiens, c’est tellement vrai tout le temps! Tu ne peux pas leur mentir et ils ne racontent pas de menteries non plus. Ça force à vivre dans le moment, ça rend humble et j’adore ça, affirme-t-il. Après La Sarre, ils mettront le cap vers le Michigan pour une autre expédition. J’ai des chiens de deux ans que j’essaie de calmer. À cet âge, ils ne savent pas bien se gérer : j’essaie de voir si je peux les calmer. On va voir si ça va marcher, dit-il. Le public était aussi au rendez-vous pour encourager les 260 chiens et les mushers. On voulait encourager les mushers et leurs chiens et que les enfants puissent voir cette compétition, dit une mère accompagnée de son petit Billy qui, lui, n’en avait que pour les chiens. Ils sont tellement beaux. Ils courent tellement vite! laisse-t-il tomber, hypnotisé par le concert cacophonique des aboiements. Pour rendre possible la PG Expédition, l'organisation peut aussi compter sur l'implication de 150 bénévoles. Dawson y participe fidèlement depuis la première année. Il rêve de prendre le départ de la course un jour. Ça m’a toujours passionné depuis que je suis tout petit. [...] Ça m’a permis d’en apprendre plus, de parler avec des coureurs. Journaliste à la radio de Radio-Canada en Abitibi-Témiscamingue, Lise Millette a décliné le métier sous toutes ses plateformes, écrit, radio et télévision. Elle a été auparavant journaliste à La Presse canadienne et présidente de la Fédération professionnelle des journalistes du Québec (FPJQ). Ouvrir en mode plein écranLe départ de la course PG Expédition à La Sarre. Le départ de la troisième PG Expédition a été donné samedi matin sur le coup de 9 h au parc équestre de La Sarre par une vingtaine de degrés sous zéro. Le froid, loin de miner le moral des concurrents, avait tout pour fouetter l’enthousiasme dans une fébrilité ponctuée de nombreux aboiements. Deux courses ont été prévues simultanément, soit une boucle de 100 milles entre La Sarre et La Reine et une autre boucle de 40 milles entre La Sarre et Dupuy. Les compétiteurs provenaient du Québec, de l’Ontario, du Nouveau-Brunswick et des États-Unis, et plusieurs n’en étaient pas à leurs premiers parcours. Ouvrir en mode plein écranUn musher sur un lac avec son attelage. La PG Expédition était de retour après un an d’absence. L'édition actuelle a été organisée en hommage au fondateur Pierre Germain qui, atteint d’un cancer du pancréas, avait réalisé son rêve de tenir une course de traîneaux à chiens en février 2022. Ouvrir en mode plein écranPierre Germain caressait le rêve d'une grande course de chiens de traîneau. Pour Lyne Rochette, la femme de Pierre Germain, cette édition est vraiment particulière. Oh mon Dieu! C'est beaucoup d'émotions cette année, beaucoup de fierté, parce qu'il y a quand même beaucoup d'heures de travail derrière tout ça, a-t-elle confié. Ouvrir en mode plein écranSabrina Bernier avant le départ pour une distance de 40 milles lors de la PG Expédition. Parmi les mushers, Sabrina Bernier, de Saint-Vital-de-Clermont, a pris le départ de la course de 40 milles. L'objectif? Le faire le plus proche de 4 heures. Il y a deux ans, je l'ai fait en 4 heures 23 minutes. Là, j'aimerais être plus proche du 4 heures, a-t-elle mentionné avant le départ. Guillaume Mercier était lui aussi du départ des 40 milles. Son objectif était plutôt modeste et consistait principalement à y participer pour le plaisir. Il souligne d’ailleurs que son attelage ne sert pas qu’aux compétitions. Outre les courses, je fais beaucoup d'expéditions aussi. La région de l'Abitibi est propice à ça. Il y a beaucoup de terres publiques et de la Couronne, alors je me promène et j'explore, confie le musher. Rémy Leduc, pour sa part, a choisi de s’élancer pour la course des 100 milles. Fort d’une vingtaine d’années d’expérience comme musher, il a fait le trajet du Nouveau-Brunswick avec sa conjointe et avec deux équipes de dix chiens. Les chiens, c’est tellement vrai tout le temps! Tu ne peux pas leur mentir et ils ne racontent pas de menteries non plus. Ça force à vivre dans le moment, ça rend humble et j’adore ça, affirme-t-il. Après La Sarre, ils mettront le cap vers le Michigan pour une autre expédition. J’ai des chiens de deux ans que j’essaie de calmer. À cet âge, ils ne savent pas bien se gérer : j’essaie de voir si je peux les calmer. On va voir si ça va marcher, dit-il. Ouvrir en mode plein écranKevin Larivière est sur la ligne de départ pour la boucle de 100 milles de la PG Expédition. Le public était aussi au rendez-vous pour encourager les 260 chiens et les mushers. On voulait encourager les mushers et leurs chiens et que les enfants puissent voir cette compétition, dit une mère accompagnée de son petit Billy qui, lui, n’en avait que pour les chiens. Ils sont tellement beaux. Ils courent tellement vite! laisse-t-il tomber, hypnotisé par le concert cacophonique des aboiements. Pour rendre possible la PG Expédition, l'organisation peut aussi compter sur l'implication de 150 bénévoles. Dawson y participe fidèlement depuis la première année. Il rêve de prendre le départ de la course un jour. Ça m’a toujours passionné depuis que je suis tout petit. [...] Ça m’a permis d’en apprendre plus, de parler avec des coureurs. Deux courses ont été prévues simultanément soit une boucle de 100 milles entre La Sarre et La Reine et une autre boucle de 40 milles entre La Sarre et Dupuy Les compétiteurs provenaient du Québec du Nouveau-Brunswick et des États-Unis et plusieurs n’en étaient pas à leurs premiers parcours La PG Expédition était de retour après un an d’absence L'édition actuelle a été organisée en hommage au fondateur Pierre Germain qui atteint d’un cancer du pancréas avait réalisé son rêve de tenir une course de traîneaux à chiens en février 2022 L’appel à la célébration a été entendu cette édition est vraiment particulière C'est beaucoup d'émotions cette année parce qu'il y a quand même beaucoup d'heures de travail derrière tout ça a pris le départ de la course de 40 milles je l'ai fait en 4 heures 23 minutes j'aimerais être plus proche du 4 heures a-t-elle mentionné avant le départ Guillaume Mercier était lui aussi du départ des 40 milles Son objectif était plutôt modeste et consistait principalement à y participer pour le plaisir Il souligne d’ailleurs que son attelage ne sert pas qu’aux compétitions La région de l'Abitibi est propice à ça Il y a beaucoup de terres publiques et de la Couronne a choisi de s’élancer pour la course des 100 milles Fort d’une vingtaine d’années d’expérience comme musher il a fait le trajet du Nouveau-Brunswick avec sa conjointe et avec deux équipes de dix chiens Tu ne peux pas leur mentir et ils ne racontent pas de menteries non plus ça rend humble et j’adore ça ils mettront le cap vers le Michigan pour une autre expédition J’ai des chiens de deux ans que j’essaie de calmer ils ne savent pas bien se gérer : j’essaie de voir si je peux les calmer Le public était aussi au rendez-vous pour encourager les 260 chiens et les mushers On voulait encourager les mushers et leurs chiens et que les enfants puissent voir cette compétition dit une mère accompagnée de son petit Billy qui hypnotisé par le concert cacophonique des aboiements Pour rendre possible la PG Expédition l'organisation peut aussi compter sur l'implication de 150 bénévoles Dawson y participe fidèlement depuis la première année Il rêve de prendre le départ de la course un jour Ça m’a toujours passionné depuis que je suis tout petit [...] Ça m’a permis d’en apprendre plus Journaliste à la radio de Radio-Canada en Abitibi-Témiscamingue Lise Millette a décliné le métier sous toutes ses plateformes Elle a été auparavant journaliste à La Presse canadienne et présidente de la Fédération professionnelle des journalistes du Québec (FPJQ) Le départ de la troisième PG Expédition a été donné samedi matin sur le coup de 9 h au parc équestre de La Sarre par une vingtaine de degrés sous zéro avait tout pour fouetter l’enthousiasme dans une fébrilité ponctuée de nombreux aboiements dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"Cette fermeture qui s'étend de l'avenue Langlois à la jonction des routes 111 Est-2e rue Est est causée par des travaux de reconstruction d'un égout pluvial Les automobilistes sont invités à emprunter l'avenue Langlois Les travaux devraient être terminés vers 21h Ouvrir en mode plein écranLes travaux sont prévus durant la journée de dimanche qui s'étend de l'avenue Langlois à la jonction des routes 111 Est-2e rue Est est causée par des travaux de reconstruction d'un égout pluvial Les automobilistes sont invités à emprunter l'avenue Langlois Les travaux devraient être terminés vers 21h une portion de la 2e rue Est sera complètement fermée durant la journée de dimanche Les gens ont vraiment répondu rapidement à l'invitation pour soutenir La Ressource pour personnes handicapées avec ce brunch bénéfice, - Normand Lagrange, parrain de l'événement. Il souligne au passage que La Sarre renoue ainsi avec une formule annuelle qui avait été suspendue depuis la pandémie de COVID-19. Plusieurs autres événements sont prévus un peu partout dans la région d’ici le téléthon de la Ressource qui se tiendra le dimanche 26 janvier prochain. M. Lagrange se promet d'y assister en compagnie de son neveu qui a déjà pu compter sur les services de la Ressource. Il insiste sur l'importance de cet organisme. La Ressource vient offrir du matériel, notamment pour permettre aux gens qui sont handicapés de pouvoir faire des activités avec des gens qui n’ont pas de handicap, pour qu’ils puissent être ensemble. Donc, cette ressource est super importante pour pouvoir compléter des mailles dans le filet et pour aider à soutenir les besoins là de de nos gens, ajoute M. Lagrange. Le 28e téléthon régional, sous le thème Illuminons l’avenir sera présenté au Théâtre du cuivre de Rouyn-Noranda et diffusé sur les ondes de Noovo Abitibi-Témiscamingue ou encore le site de La Ressource. Ouvrir en mode plein écranDes œufs, des patates, du bacon, bénévoles au service de participants. Photo : Radio-Canada / Stéphanie Blanchet Lise MillettePublié le 12 janvier à 11 h 58 HAEÉcouter l’articleLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale, une technologie basée sur l’intelligence artificielle.Le brunch bénéfice pour La Ressource pour personnes handicapées Abitibi-Témiscamingue et Nord-du-Québec a fait salle comble à La Sarre. L'ensemble des billets ont été vendus a assuré Normand Lagrange, directeur général de la MRC d'Abitibi-Ouest. Les gens ont vraiment répondu rapidement à l'invitation pour soutenir La Ressource pour personnes handicapées avec ce brunch bénéfice, - Normand Lagrange, parrain de l'événement. Ouvrir en mode plein écranNormand Lagrange, directeur général de la MRC d'Abitibi-Ouest. Il souligne au passage que La Sarre renoue ainsi avec une formule annuelle qui avait été suspendue depuis la pandémie de COVID-19. Plusieurs autres événements sont prévus un peu partout dans la région d’ici le téléthon de la Ressource qui se tiendra le dimanche 26 janvier prochain. M. Lagrange se promet d'y assister en compagnie de son neveu qui a déjà pu compter sur les services de la Ressource. Il insiste sur l'importance de cet organisme. La Ressource vient offrir du matériel, notamment pour permettre aux gens qui sont handicapés de pouvoir faire des activités avec des gens qui n’ont pas de handicap, pour qu’ils puissent être ensemble. Donc, cette ressource est super importante pour pouvoir compléter des mailles dans le filet et pour aider à soutenir les besoins là de de nos gens, ajoute M. Lagrange. Ouvrir en mode plein écranPlusieurs artistes, accompagnés de musiciens lors d'une édition précédente du Téléthon de La Ressource. Le 28e téléthon régional, sous le thème Illuminons l’avenir sera présenté au Théâtre du cuivre de Rouyn-Noranda et diffusé sur les ondes de Noovo Abitibi-Témiscamingue ou encore le site de La Ressource. L'ensemble des billets ont été vendus a assuré Normand Lagrange directeur général de la MRC d'Abitibi-Ouest Les gens ont vraiment répondu rapidement à l'invitation pour soutenir La Ressource pour personnes handicapées avec ce brunch bénéfice Il souligne au passage que La Sarre renoue ainsi avec une formule annuelle qui avait été suspendue depuis la pandémie de COVID-19 Plusieurs autres événements sont prévus un peu partout dans la région d’ici le téléthon de la Ressource qui se tiendra le dimanche 26 janvier prochain Lagrange se promet d'y assister en compagnie de son neveu qui a déjà pu compter sur les services de la Ressource Il insiste sur l'importance de cet organisme La Ressource vient offrir du matériel notamment pour permettre aux gens qui sont handicapés de pouvoir faire des activités avec des gens qui n’ont pas de handicap pour qu’ils puissent être ensemble cette ressource est super importante pour pouvoir compléter des mailles dans le filet et pour aider à soutenir les besoins là de de nos gens sous le thème Illuminons l’avenir sera présenté au Théâtre du cuivre de Rouyn-Noranda et diffusé sur les ondes de Noovo Abitibi-Témiscamingue ou encore le site de La Ressource Le brunch bénéfice pour La Ressource pour personnes handicapées Abitibi-Témiscamingue et Nord-du-Québec a fait salle comble à La Sarre Sophie Mediavilla-Rivard | 22 juillet 2024 Il s’agit du deuxième incendie d’importance en l’espace de quelques mois dans la localité.  le restaurant Chez Bordy et le magasin électronique Amison avaient été détruits L’intervention du Service incendie a débuté un peu avant 21 heures Macamic et Dupuy ont combattu l’incendie les éléments de l’enquête ne mènent pas à une cause criminelle mentionne le directeur de Sécurité incendie et sécurité civile à la Ville de La Sarre L’événement crée une onde de choc dans la communauté Une équipe des travaux publics de la Ville de La Sarre s’affaire depuis ce matin, à nettoyer les environs assistée des pompiers pour éviter toute reprise d’incendie.  affirme que son administration va tout faire pour que les entrepreneurs reconstruisent et pour relocaliser les résidents qui ont tout perdu Quatre immeubles de la rue Principale de La Sarre ont été ravagés par les flammes dimanche soir mais le feu laisse sans logis les locataires de 15 logements et affecte travailleurs et propriétaires de 13 locaux commerciaux Les occupants avaient évacué les lieux avant même l’arrivée des pompiers peu avant 22 h dimanche soir Ils ont été aidés par des passants ayant aperçu les flammes en premier L’incendie a d’abord éclaté dans une pizzeria avant de s’étendre au reste de l’édifice et ensuite aux immeubles voisins qui se trouvaient au cœur du centre historique de cette municipalité d’un peu moins de 8000 habitants Une travailleuse sociale de la Sûreté du Québec ainsi que la Croix-Rouge seront sur place pour aider les sinistrés Ces derniers auront droit à une aide pour de l’hébergement de l’alimentation et des vêtements pour les 72 heures suivant l’incident 1:42Incendie de La Sarre : l'aide s'organise pour les locataires qui ont tout perduAu Vidéojournal : la Ville tente de reloger les sinistrés après l'incendie qui a détruit 15 logements et 13 locaux commerciaux Au Vidéojournal : la Ville tente de reloger les sinistrés après l'incendie qui a détruit 15 logements et 13 locaux commerciaux Les autres sinistrés sont hébergés par des personnes de leur entourage la Ville de La Sarre et plusieurs organismes de la MRC d’Abitibi-Ouest ont rapidement pris en charge les personnes touchées mentionne le directeur de sécurité incendie et sécurité civile pour la ville de La Sarre Une campagne de dons a été lancée pour recueillir de l’argent des meubles et différentes ressources pour la relocalisation La Maison Saint-André a aussi offert des vêtements et de l’aide alimentaire aux sinistrés 13 entreprises avaient également été la proie des flammes Le restaurant Léo Pizza fait présentement des travaux et installations pour une éventuelle relocalisation Et les débris de l’incendie n’ont toujours pas été nettoyés puisque c’est la responsabilité des propriétaires et que les démarches de réclamation avec les assureurs se poursuivent Trois jours plus tard, le 10 octobre, la Fédération des locataires d'habitations à loyer modique du Québec réclamait la mise sous tutelle de l’Office d’habitation du Lac-Abitibi. La Société d’habitation du Québec, qui accompagne les offices d’habitation, confirme le départ de Mylène Joseph. La Société d’habitation du Québec (SHQ) n’émettra pas de commentaires à propos des motifs qui l’ont amenée à prendre cette décision, écrit l’organisation dans un courriel. Le conseil d’administration de l’office d’habitation, en collaboration avec la SHQ, a déjà entamé un processus d’embauche afin de pourvoir le poste vacant, ajoute la Société d’habitation du Québec par courriel. Ouvrir en mode plein écranLe HLM Monseigneur Desroches à La Sarre est administré par l’Office d’habitation Lac Abitibi. (Photo d'archives) Jean-Marc BelzilePublié le 6 novembre 2024 à 11 h 22 HAEÉcouter l’article | 2 minutesLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale une technologie basée sur l’intelligence artificielle.La directrice générale de l’Office d’habitation du Lac-Abitibi Radio-Canada révélait en septembre qu’en pleine crise du logement plusieurs habitations à loyer modique (HLM) gérées par l’Office d’habitation étaient inoccupées en Abitibi-Ouest La Société d’habitation du Québec, qui accompagne les offices d’habitation, confirme le départ de Mylène Joseph. La Société d’habitation du Québec (SHQ) n’émettra pas de commentaires à propos des motifs qui l’ont amenée à prendre cette décision, écrit l’organisation dans un courriel. Le conseil d’administration de l’office d’habitation, en collaboration avec la SHQ, a déjà entamé un processus d’embauche afin de pourvoir le poste vacant, ajoute la Société d’habitation du Québec par courriel. Trois jours plus tard, le 10 octobre, la Fédération des locataires d'habitations à loyer modique du Québec réclamait la mise sous tutelle de l’Office d’habitation du Lac-Abitibi qui accompagne les offices d’habitation confirme le départ de Mylène Joseph La Société d’habitation du Québec (SHQ) n’émettra pas de commentaires à propos des motifs qui l’ont amenée à prendre cette décision écrit l’organisation dans un courriel Le conseil d’administration de l’office d’habitation a déjà entamé un processus d’embauche afin de pourvoir le poste vacant ajoute la Société d’habitation du Québec par courriel Trois jours plus tard, le 10 octobre, la Fédération des locataires d'habitations à loyer modique du Québec réclamait la mise sous tutelle de l’Office d’habitation du Lac-Abitibi La directrice générale de l’Office d’habitation du Lac-Abitibi dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"Le comité a lancé jeudi matin sa deuxième campagne de financement dont l’objectif est de 750 000 dollars Déjà 660 000 dollars ont été amassés notamment auprès des entreprises du secteur L’initiative a vu le jour en 2021, lorsque le Centre intégré de santé et de services sociaux de l’Abitibi-Témiscamingue (CISSS-AT) a annoncé la fermeture de la moitié des lits d’hospitalisations en raison d’un manque important de main-d'œuvre fermez la moitié des lits de l’hôpital président de la Mobilisation de la Grande séduction Quand on se présentait autant à nos partenaires financiers qu’à la population tout le monde connaît l’importance de le faire Ça a été formidable pour ça ça a été un ralliement extraordinaire 54 infirmiers et infirmières provenant de l’international se sont installés en Abitibi-Ouest avec leur famille La rétention actuelle du personnel en soins infirmiers qui a été recruté est aux environ de 90 % La venue des nouveaux professionnels permet maintenant de rouvrir des lits d'hospitalisation à l'Hôpital de La Sarre on a la capacité d’hospitaliser 20 personnes et ça c’est une grande nouvelle en précisant que les enfants pourront aussi être hospitalisés près de chez eux La première campagne de financement de la Grande séduction a permis d’amasser plus d’un million de dollars Cette somme a permis de mettre en place des projets pour répondre aux principales préoccupations des nouveaux arrivants : l’accès à un logement et à des places en garderie on s’est fait donner des meubles par la population Tous les nouveaux arrivants sont arrivés dans un logement meublé literie et épicerie pour 24 heures Toutes les 50 familles sont arrivées avec ce kit-là que personne d’autre au Québec n'a réussi à faire l’accueil de la population a fait la différence dans l’intégration des nouveaux arrivants de la place qu’elle a faite aux gens qui viennent de l'extérieur le conjoint ou la conjointe vient travailler dans nos industries On apporte un surplus de main-d’oeuvre dont on a besoin Le fait d’avoir ce fonds territorial, ça existe ailleurs, mais pas aussi intense que le nôtre. Ça fait 6000 $ pour partir, ça coûte très cher l’ameublement pour partir un service de garde alors c’est un bon coup de main pour nous aider, explique Bianca Matte, directrice générale du CPE Les Petits chatons qui agit comme bureau coordonnateur. L'équipe de la Mobilisation de la Grande séduction d’Abitibi-Ouest a d’ailleurs annoncé l’ouverture d’un troisième service de garde communautaire de 12 places dès la semaine prochaine. Avec acharnement, on travaille à essayer de changer le cours de l’histoire, conclut le président Sylvain Trudel. Avec les informations de Jean-Michel Cotnoir. Diplômée en journalisme de l'Université d'Ottawa, Annie-Claude Luneau couvre l'actualité de l'Abitibi-Témiscamingue depuis plus de 15 ans. Elle est journaliste à Radio-Canada à Rouyn-Noranda depuis 2011. Elle a animé l'émission Région zéro 8 sur ICI Première de 2015 à 2018, avant de devenir responsable des affectations et lancer le premier Vidéojournal au pays en 2020. Ouvrir en mode plein écranSylvain Trudel, président de la Mobilisation de La Grande Séduction Abitibi-Ouest, croit que le programme incitatif est amené à un autre niveau. Annie-Claude LuneauPublié le 9 janvier à 15 h 16 HAEÉcouter l’article | 4 minutesLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale une technologie basée sur l’intelligence artificielle.La Mobilisation de la Grande séduction d’Abitibi-Ouest poursuit ses efforts pour recruter 100 infirmières d’ici 2026 et ainsi sauver ses soins de santé Le comité a lancé jeudi matin sa deuxième campagne de financement notamment auprès des entreprises du secteur en raison d’un manque important de main-d'œuvre président de la Mobilisation de la Grande séduction Ouvrir en mode plein écranLa mobilisation à La Sarre pour attirer des infirmières porte ses fruits Photo : Radio-Canada / Patrick Andre Perron Quand on se présentait autant à nos partenaires financiers qu’à la population tout le monde connaît l’importance de le faire 54 infirmiers et infirmières provenant de l’international se sont installés en Abitibi-Ouest avec leur famille La rétention actuelle du personnel en soins infirmiers qui a été recruté est aux environ de 90 % La venue des nouveaux professionnels permet maintenant de rouvrir des lits d'hospitalisation à l'Hôpital de La Sarre Ouvrir en mode plein écranLa présidente-directrice générale du CISSS-AT Caroline Roy a confirmé la réouverture de lits en santé mentale en médecine générale et en pédiatrie à l'Hôpital de La Sarre on a la capacité d’hospitaliser 20 personnes et ça c’est une grande nouvelle en précisant que les enfants pourront aussi être hospitalisés près de chez eux Cette somme a permis de mettre en place des projets pour répondre aux principales préoccupations des nouveaux arrivants : l’accès à un logement et à des places en garderie on s’est fait donner des meubles par la population Tous les nouveaux arrivants sont arrivés dans un logement meublé Toutes les 50 familles sont arrivées avec ce kit-là que personne d’autre au Québec n'a réussi à faire l’accueil de la population a fait la différence dans l’intégration des nouveaux arrivants de la place qu’elle a faite aux gens qui viennent de l'extérieur Ouvrir en mode plein écranLa population bénéficie de la mobilisation selon le maire de La Sarre On apporte un surplus de main-d’oeuvre dont on a besoin Le fait d’avoir ce fonds territorial, ça existe ailleurs, mais pas aussi intense que le nôtre. Ça fait 6000 $ pour partir, ça coûte très cher l’ameublement pour partir un service de garde alors c’est un bon coup de main pour nous aider, explique Bianca Matte, directrice générale du CPE Les Petits chatons qui agit comme bureau coordonnateur. Ouvrir en mode plein écranBianca Matte est directrice générale du CPE Les Petits chatons. L'équipe de la Mobilisation de la Grande séduction d’Abitibi-Ouest a d’ailleurs annoncé l’ouverture d’un troisième service de garde communautaire de 12 places dès la semaine prochaine. Avec acharnement, on travaille à essayer de changer le cours de l’histoire, conclut le président Sylvain Trudel. Le comité a lancé jeudi matin sa deuxième campagne de financement L’initiative a vu le jour en 2021, lorsque le Centre intégré de santé et de services sociaux de l’Abitibi-Témiscamingue (CISSS-AT) a annoncé la fermeture de la moitié des lits d’hospitalisations La première campagne de financement de la Grande séduction a permis d’amasser plus d’un million de dollars Le fait d’avoir ce fonds territorial ça coûte très cher l’ameublement pour partir un service de garde alors c’est un bon coup de main pour nous aider directrice générale du CPE Les Petits chatons qui agit comme bureau coordonnateur L'équipe de la Mobilisation de la Grande séduction d’Abitibi-Ouest a d’ailleurs annoncé l’ouverture d’un troisième service de garde communautaire de 12 places dès la semaine prochaine on travaille à essayer de changer le cours de l’histoire Avec les informations de Jean-Michel Cotnoir Diplômée en journalisme de l'Université d'Ottawa Annie-Claude Luneau couvre l'actualité de l'Abitibi-Témiscamingue depuis plus de 15 ans Elle est journaliste à Radio-Canada à Rouyn-Noranda depuis 2011 Elle a animé l'émission Région zéro 8 sur ICI Première de 2015 à 2018 avant de devenir responsable des affectations et lancer le premier Vidéojournal au pays en 2020 La Mobilisation de la Grande séduction d’Abitibi-Ouest poursuit ses efforts pour recruter 100 infirmières d’ici 2026 et ainsi sauver ses soins de santé [Gaël Huot], en ayant entretenu plusieurs rôles auprès du vendeur, s’est retrouvé en situation de conflit d’intérêts et n’a pas pris les mesures nécessaires [pour éviter une telle situation], précise la décision rendue le 26 juin dernier par le comité de discipline de l’Organisme d’autoréglementation du courtage immobilier du Québec (OACIQ). L’OACIQ reproche à cet agent d’immeubles d’avoir continué à représenter son client pendant plusieurs mois alors qu’il aurait dû résilier le contrat qu’il avait signé pour le représenter. M. Huot avait négocié un délai de 120 jours pour obtenir son financement hypothécaire, tandis que la norme est habituellement de 14 jours. Ce point a poussé le comité à conclure que le courtier a clairement privilégié ses intérêts au détriment de ceux de son client. Gaël Huot a décliné notre demande d’entrevue, le comité de discipline n'ayant pas encore décidé de sa sanction. Par écrit, son avocat, François-Michel Gagnon, rappelle que son client a acquis cette maison à un prix conforme à celui du marché et qu’il l’habite toujours comme sa résidence familiale. Cette transaction a été faite à la satisfaction du vendeur. Le vendeur a réitéré à maintes reprises sa satisfaction envers le travail de M. Huot, mais le comité de discipline considère que ces éloges n’infirment pas l’infraction déontologique. Cet élément pourrait toutefois atténuer la sanction qui sera éventuellement imposée à l'agent d'immeubles. Le comité de discipline attribue aussi d’autres manquements à Gaël Huot, comme le fait d’avoir négocié le prix de vente avant de produire son avis de divulgation. Il a également présenté sa promesse d'achat en même temps que son avis de divulgation, rendant ainsi cet avis totalement inutile et hors délai, selon la décision. Conçu par l'OACIQ, l'avis de divulgation est un formulaire utilisé par les courtiers pour dévoiler leurs intérêts dans le contexte d'une transaction. M. Huot a déboursé 330 000 $ pour obtenir cette maison, affichée à 369 000 $ en octobre 2020. Cette somme à la baisse a tout de même réjoui le vendeur, qui espérait obtenir un montant semblable en vendant sa demeure à un tiers étant donné l’absence de rémunération pour le courtier. Ouvrir en mode plein écranUn courtier immobilier de La Sarre s'est placé en situation de conflit d'intérêts lors d'une transaction amorcée en décembre 2020. (Photo d'archives) Photo : Radio-Canada / Olivia Laperrière-Roy Gabriel PoirierPublié le 11 juillet 2024 à 19 h 02 HAEÉcouter l’article | 3 minutesLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale, une technologie basée sur l’intelligence artificielle.Le courtier de La Sarre Gaël Huot s’est placé en situation de conflit d’intérêts en achetant la maison d’un de ses clients au printemps 2021. C’est la conclusion à laquelle aboutit le comité de discipline de son organisme professionnel, malgré les bons mots de son client. Le vendeur, dont l’identité est protégée par une ordonnance de non-publication, a tenté en vain de se départir de sa maison pendant plus d’un an. Il a finalement consenti à la céder en décembre 2020 à l’agent d’immeuble Gaël Huot, qu’il avait embauché deux mois plus tôt pour le représenter auprès d’acheteurs potentiels. [Gaël Huot], en ayant entretenu plusieurs rôles auprès du vendeur, s’est retrouvé en situation de conflit d’intérêts et n’a pas pris les mesures nécessaires [pour éviter une telle situation], précise la décision rendue le 26 juin dernier par le comité de discipline de l’Organisme d’autoréglementation du courtage immobilier du Québec (OACIQ). L’OACIQ reproche à cet agent d’immeubles d’avoir continué à représenter son client pendant plusieurs mois alors qu’il aurait dû résilier le contrat qu’il avait signé pour le représenter. M. Huot avait négocié un délai de 120 jours pour obtenir son financement hypothécaire, tandis que la norme est habituellement de 14 jours. Ce point a poussé le comité à conclure que le courtier a clairement privilégié ses intérêts au détriment de ceux de son client. Ouvrir en mode plein écranLe siège social de l'OACIQ, qui est l'autorité en matière de courtage immobilier au Québec, est situé à Brossard. (Photo d'archives) Gaël Huot a décliné notre demande d’entrevue, le comité de discipline n'ayant pas encore décidé de sa sanction. Par écrit, son avocat, François-Michel Gagnon, rappelle que son client a acquis cette maison à un prix conforme à celui du marché et qu’il l’habite toujours comme sa résidence familiale. Cette transaction a été faite à la satisfaction du vendeur. Le vendeur a réitéré à maintes reprises sa satisfaction envers le travail de M. Huot, mais le comité de discipline considère que ces éloges n’infirment pas l’infraction déontologique. Cet élément pourrait toutefois atténuer la sanction qui sera éventuellement imposée à l'agent d'immeubles. Le comité de discipline attribue aussi d’autres manquements à Gaël Huot, comme le fait d’avoir négocié le prix de vente avant de produire son avis de divulgation. Il a également présenté sa promesse d'achat en même temps que son avis de divulgation, rendant ainsi cet avis totalement inutile et hors délai, selon la décision. Conçu par l'OACIQ, l'avis de divulgation est un formulaire utilisé par les courtiers pour dévoiler leurs intérêts dans le contexte d'une transaction. M. Huot a déboursé 330 000 $ pour obtenir cette maison, affichée à 369 000 $ en octobre 2020. Cette somme à la baisse a tout de même réjoui le vendeur, qui espérait obtenir un montant semblable en vendant sa demeure à un tiers étant donné l’absence de rémunération pour le courtier. dont l’identité est protégée par une ordonnance de non-publication a tenté en vain de se départir de sa maison pendant plus d’un an Il a finalement consenti à la céder en décembre 2020 à l’agent d’immeuble Gaël Huot qu’il avait embauché deux mois plus tôt pour le représenter auprès d’acheteurs potentiels en ayant entretenu plusieurs rôles auprès du vendeur s’est retrouvé en situation de conflit d’intérêts et n’a pas pris les mesures nécessaires [pour éviter une telle situation] précise la décision rendue le 26 juin dernier par le comité de discipline de l’Organisme d’autoréglementation du courtage immobilier du Québec (OACIQ) L’OACIQ reproche à cet agent d’immeubles d’avoir continué à représenter son client pendant plusieurs mois alors qu’il aurait dû résilier le contrat qu’il avait signé pour le représenter M. Huot avait négocié un délai de 120 jours pour obtenir son financement hypothécaire tandis que la norme est habituellement de 14 jours Ce point a poussé le comité à conclure que le courtier a clairement privilégié ses intérêts au détriment de ceux de son client Gaël Huot a décliné notre demande d’entrevue le comité de discipline n'ayant pas encore décidé de sa sanction rappelle que son client a acquis cette maison à un prix conforme à celui du marché et qu’il l’habite toujours comme sa résidence familiale Cette transaction a été faite à la satisfaction du vendeur Le vendeur a réitéré à maintes reprises sa satisfaction envers le travail de M. Huot mais le comité de discipline considère que ces éloges n’infirment pas l’infraction déontologique Cet élément pourrait toutefois atténuer la sanction qui sera éventuellement imposée à l'agent d'immeubles Le comité de discipline attribue aussi d’autres manquements à Gaël Huot comme le fait d’avoir négocié le prix de vente avant de produire son avis de divulgation Il a également présenté sa promesse d'achat en même temps que son avis de divulgation rendant ainsi cet avis totalement inutile et hors délai l'avis de divulgation est un formulaire utilisé par les courtiers pour dévoiler leurs intérêts dans le contexte d'une transaction M. Huot a déboursé 330 000 $ pour obtenir cette maison affichée à 369 000 $ en octobre 2020 Cette somme à la baisse a tout de même réjoui le vendeur qui espérait obtenir un montant semblable en vendant sa demeure à un tiers étant donné l’absence de rémunération pour le courtier Le courtier de La Sarre Gaël Huot s’est placé en situation de conflit d’intérêts en achetant la maison d’un de ses clients au printemps 2021 C’est la conclusion à laquelle aboutit le comité de discipline de son organisme professionnel Des infirmiers et infirmières recrutés en Afrique ont été victimes d’intimidation et de dénigrement au cégep de l’Abitibi-Témiscamingue et dans les hôpitaux de la région où ils ont été formés selon un rapport obtenu par Le Devoir auprès de l’organisme chargé de fournir du soutien pédagogique Une situation qui a mené à une vague d’échecs au printemps 2024 Les exemples de remarques racistes et humiliantes se succèdent dans le rapport lourdement caviardé dans lequel témoignent une dizaine de ces futurs soignants formés à Amos et La Sarre l’enseignante aurait commencé en disant : “Il paraît qu’en Afrique lit-on dans le document obtenu en vertu de la loi sur l’accès à l’information « D’autres ont parlé d’insultes de la part de l’enseignante (“vous êtes nuls une enseignante « criait sur les étudiants dans le couloir et les traitait d’incapables » Elle leur aurait dit qu’elle allait montrer au ministère de l’Immigration de la Francisation et de l’Intégration (MIFI) qu’il n’aurait jamais dû les recruter les étudiants avaient l’impression que le but de l’enseignante était d’éliminer certains d’entre eux Cumulant plusieurs années d’expérience dans leur pays ils faisaient partie de la Phase 3 du programme chapeauté par le MIFI visant à recruter 1000 infirmiers et infirmières — 1500 à terme — diplômés hors Canada (IDHC) pour venir en renfort dans le réseau de la santé québécois le Consortium en soins infirmiers du Cégep du Vieux Montréal qui a reçu jusqu’ici près de 2 millions de dollars pour accompagner les cégeps dans le programme a dépêché deux employés en Abitibi pour répondre à une crise Cette visite a eu lieu cinq mois après qu’il a pris connaissance d’une vague d’échecs — 16 dans une cohorte de 40 — et de vidéos diffusées sur Facebook dans lesquelles les étudiants ont relaté les injustices subies Bien que contenant des constats préoccupants le rapport de la visite n’a pas été transmis au ministère ni au cégep de l’Abitibi qui indique qu’il le destinait à ses gestionnaires et à ses employés Ils disent avoir entendu le personnel dire « Est-ce qu’on avait besoin d’aller les chercher en Afrique Certains ont appris leur échec à leur stage dans le couloir de l’unité de soins certains étudiants ont parlé « d’acharnement » de la part d’une enseignante qui cherchait à tout prix à les coincer notamment en les bombardant de questions sans leur donner le temps de répondre La totalité des étudiants mentionnent qu’ils n’avaient pas vu toute la matière du cours préalable à leur stage ce qui a été reconnu par la conseillère pédagogique « Plusieurs étudiants n’ont pas eu d’évaluations de mi-session ce que le cégep confirme pour motif de manque de temps ou d’horaires qui ne concordent pas » Les situations qui ont été relatées en bonne partie semblent être surtout des enjeux de perception Plusieurs de ces étudiants à qui Le Devoir a parlé ont confié avoir été plongés dans une grande détresse Ils ont alors perdu leur assurance médicale les allocations hebdomadaires du MIFI — un peu plus de 600 $ y compris les frais de garde et de transport — et la possibilité de travailler comme préposés aux bénéficiaires Un grand nombre d’entre eux se sont ainsi retrouvés sans revenus avec plusieurs bouches à nourrir « J’ai été obligé de vivre chez un ami et d’aller aux banques alimentaires Même si certains de ces infirmiers exclus se font proposer un emploi de préposé aux bénéficiaires le processus d’embauche et d’obtention du permis de travail fermé peut prendre plus de six mois un délai durant lequel ils n’ont aucun revenu Les étudiants rapportent qu’ils ont tenté d’ouvrir un dialogue avec les enseignantes problématiques — elles sont parties depuis — de même qu’avec la conseillère pédagogique et la coordonnatrice responsable de cette deuxième cohorte qu’accueillait le cégep Mais leur détresse n’a pas été prise au sérieux alors qu’ils vivaient des “situations traumatisantes” en stage » Ils n’auraient jamais été informés de la possibilité de déposer une plainte ni d’obtenir une reprise avant d’avoir finalement décidé de s’exprimer publiquement sur les réseaux sociaux le directeur de la formation continue du cégep de l’Abitibi dit avoir réagi rapidement aux critiques des étudiants Les mécanismes de plainte leur auraient alors été expliqués Aucune plainte déposée n’a toutefois été retenue « Les situations qui ont été relatées en bonne partie semblent être surtout des enjeux de perception » Il assure avoir agi « avec diligence » dès qu’il a été informé de la vague d’échecs au printemps dernier Le MIFI affirme pour sa part avoir « rapidement mobilisé les partenaires concernés pour mettre en place une offre de reprise » les enseignants ont de la frustration parce que peut-être que [les étudiants] ne vont pas assez vite à leur goût la reprise n’a toutefois démarré que cinq mois plus tard laissant dans l’intervalle les étudiants dans des situations critiques alertés par la vague d’échecs et les vidéos Facebook des plaintes ont été déposées à la Commission des droits de la personne et des droits de la jeunesse et au Protecteur du citoyen Des députés locaux ont également été informés de la situation Quand il s’est fait demander s’il était au courant des allégations de racisme renvoyant la balle au Cégep de l’Abitibi-Témiscamingue la directrice adjointe au projet de formation et de recrutement à l’international des IDHC du Consortium ne nie pas les allégations de racisme et les problèmes survenus au cégep de l’Abitibi-Témiscamingue Elle assure toutefois que c’est « un cas isolé » les hôpitaux ont peut-être des attentes trop élevées et les enseignants n’ont pas d’expérience avec des candidats africains il y [en] a qui ont des fois des propos déplacés ou désagréables » ajoutant toutefois qu’elle n’a pas la responsabilité des milieux cliniques on voulait s’assurer que les enseignants qui sont auprès de ces étudiants-là » Mme Sgambato précise toutefois que la responsabilité du Consortium est limitée Julien Pierre Arsenault ne cache pas que les « allégations » des étudiants ont généré une crise à son cégep « C’est pas le fun de voir ça sur les médias sociaux Nos enseignants s’investissent énormément dans la réussite des étudiants donc je ne cacherai pas que ça a pu être pris un peu comme une claque au visage pour certains il y a des étudiants qui rencontrent encore certaines difficultés d’autres formes d’accompagnement pour s’assurer vraiment de les soutenir le plus possible dans leurs études dans la première cohorte accueillie en 2023 37 étudiants sur 39 ont réussi leur formation et que 34 d’entre eux ont réussi l’examen de l’Ordre des infirmières et des infirmiers du Québec je serais prêt à repartir à 200 % dans l’organisation d’une nouvelle cohorte puis on dit que ça peut être super avantageux pour et bénéfique pour notre communauté Une enseignante aurait dit à un étudiant : « Je ne te sens pas » L’étudiant lui demande si elle voit des difficultés sur lesquelles il faut travailler Un étudiant mentionne avoir vécu une « situation humiliante » quand on lui a demandé d’aller chercher un banc et qu’il ne le trouvait pas car il le connaissait sous le nom de tabouret ou d’échelle Le personnel sur le plancher aurait ri de l’étudiant en disant : « Même ça Plusieurs parlent des enseignantes qui les rabaissent les mettant dans un état de panique et leur donnant un sentiment de diminution de l’estime de soi Certains n’ont pas pu finir leurs journées de stage en apprenant leur échec dans le couloir de l’unité Les étudiants nous informent des changements fréquents de notes sur Omnivox Ils expriment l’incompréhension et la méfiance que ces situations ont causées La totalité des étudiants dit passer beaucoup de temps à effectuer le travail de préposé aux bénéficiaires lorsqu’ils sont en stage en plus de leurs tâches comme stagiaire en soins infirmiers j’ai vu à la télé le feu à l’école et j’ai appelé mon ministre de l’Éducation c’était Jean-François Roberge et il m’a dit : “On ne vous laissera pas tomber” on avait le OK pour reconstruire l’école a raconté la députée d’Abitibi-Ouest La reconstruction s’est conclue juste à temps pour la rentrée des classes à la fin de l’été et a coûté 25,7 millions de dollars on avait l’impression que le monde s’effondrait on voulait offrir des services de qualité on n’a pas vu que ça pouvait être une belle opportunité on s’est aperçu qu’on pouvait s’en servir comme levier et aujourd’hui on voit le résultat que ça donne directrice générale du Centre de services scolaire du Lac-Abitibi Le pavillon Phénix-du-Savoir est ainsi la première école construite en Abitibi-Ouest depuis 1990. C’est aussi la première école de nouvelle génération du gouvernement caquiste construite en Abitibi-Témiscamingue C’est vraiment différent de ce qu’on est habitués de voir ne serait-ce que le degré de clarté le bois qui rend les pièces plus chaleureuses le son qui est plus feutré qui permet une meilleure qualité au niveau de l’audition Ce sont vraiment des caractéristiques avec lesquelles on est heureux de pouvoir offrir cet environnement-là à nos gens L’inauguration a été un moment rempli d’émotions pour les membres du personnel scolaire qui ont perdu une bonne partie de leur matériel et de leurs souvenirs dans l’incendie Une enseignante me disait : “Écoute c’est tellement agréable d'enseigner dans cette école Elle avait un petit moment d’émotion quand elle me racontait ça et on m’a expliqué par la suite qu’elle était à Victor-Cormier quand le bâtiment a pris feu raconte le ministre de l’Éducation qui était sur place pour l’occasion c’est un moyen pour permettre à nos élèves d’aller au bout de leur potentiel La science le dit : “Si tu te sens bien à un endroit Ouvrir en mode plein écranLe ministre Bernard Drainville et la députée Suzanne Blais sont accueillis par les directrices adjointes du pavillon Phénix-du-Savoir a été officiellement inauguré mercredi après-midi en présence du ministre de l’Éducation et j’ai appelé mon ministre de l’Éducation et il m’a dit : “On ne vous laissera pas tomber” Ouvrir en mode plein écranInauguration de l’École de l’Envol au Centre de services scolaire du Lac-Abitibi on avait l’impression que le monde s’effondrait on n’a pas vu que ça pouvait être une belle opportunité on s’est aperçu qu’on pouvait s’en servir comme levier et aujourd’hui directrice générale du Centre de services scolaire du Lac-Abitibi Ouvrir en mode plein écranLe gymnase du nouveau pavillon Phénix-du-Savoir C’est vraiment différent de ce qu’on est habitués de voir le bois qui rend les pièces plus chaleureuses le son qui est plus feutré qui permet une meilleure qualité au niveau de l’audition Ce sont vraiment des caractéristiques avec lesquelles on est heureux de pouvoir offrir cet environnement-là à nos gens L’inauguration a été un moment rempli d’émotions pour les membres du personnel scolaire qui ont perdu une bonne partie de leur matériel et de leurs souvenirs dans l’incendie Ouvrir en mode plein écranLes casiers des élèves au nouveau pavillon Phénix-du-Savoir de La Sarre Une enseignante me disait : “Écoute c’est tellement agréable d'enseigner dans cette école Elle avait un petit moment d’émotion quand elle me racontait ça et on m’a expliqué par la suite qu’elle était à Victor-Cormier quand le bâtiment a pris feu c’est un moyen pour permettre à nos élèves d’aller au bout de leur potentiel La science le dit : “Si tu te sens bien à un endroit Le bâtiment, qui accueille près de 200 élèves, a été construit à la suite de l’incendie qui a ravagé le pavillon Victor-Cormier, en 2019 La reconstruction s’est conclue juste à temps pour la rentrée des classes à la fin de l’été et a coûté 25,7 millions de dollars Le pavillon Phénix-du-Savoir est ainsi la première école construite en Abitibi-Ouest depuis 1990. C’est aussi la première école de nouvelle génération du gouvernement caquiste construite en Abitibi-Témiscamingue Le bâtiment, qui accueille près de 200 élèves, a été construit à la suite de l’incendie qui a ravagé le pavillon Victor-Cormier, en 2019 PHOTO : GracieusetéDeux étudiantes en soins préhospitaliers d'urgence sillonnent à vélo les rues de La Sarre cet été le fruit d’une entente entre l’organisme Dessercom qui offre des services préhospitaliers d'urgence et la Ville de La Sarre L’étudiante paramédicale Elsa Coulombe participe à cette expérience qu’elle trouve enrichissante « On se promène en ville et on a du fun à dire bonjour aux gens puis à se promener et faire le tour de la ville responsable du projet et de la formation chez Dessercom rappelle qu’il s’agit avant tout d’étudiantes paramédicales et elles vont assurer une certaine sécurité à la population lors des événements qui se déroulent à La Sarre Ce sont des étudiantes qui se promènent en ville pour donner des soins si on voit une chute dans un parc ou s’il y a des blessés dans les événements elles vont pouvoir intervenir et donner les soins appropriés aux gens David Hamelin-Pelletier parle aussi du vélo utilisé et des équipements que les étudiantes doivent avoir en main pour intervenir Des cadets paramédicaux à La Sarre à l’été 2024Appli Radio-Canada OHdioTout un monde à écouter, partout où vous allez. L'étudiante paramédicale Elsa Coulombe participe à cette expérience qu'elle trouve enrichissante On se promène en ville et on a du fun à dire bonjour aux gens rappelle qu’il s’agit avant tout d'étudiantes paramédicales et elles vont assurer une certaine sécurité à la population lors des événements qui se déroulent à La Sarre si on voit une chute dans un parc ou s'il y a des blessés dans les événements Deux étudiantes en soins préhospitaliers d'urgence sillonnent à vélo les rues de La Sarre cet été L'expérience est une première en région le fruit d’une entente entre l’organisme Dessercom qui offre des services préhospitaliers d'urgence et la Ville de La Sarre This website is using a security service to protect itself from online attacks The action you just performed triggered the security solution There are several actions that could trigger this block including submitting a certain word or phrase You can email the site owner to let them know you were blocked Please include what you were doing when this page came up and the Cloudflare Ray ID found at the bottom of this page Les ménages qui habitent dans un HLM paient 25 % de leurs revenus pour le logement. Pour être admissible à un HLM en Abitibi-Ouest, une personne seule ne peut gagner plus de 25 000 $ et le revenu du ménage ne doit pas dépasser 37 000 $ pour une famille de 4 ou 5 personnes. Certains HLM exigent aussi un âge minimum, comme c’est le cas à Palmarolle. Ces logements libres coûtent cher puisque c’est la municipalité qui paie en partie pour les frais. Le déficit est payé à 90 % par la Société d’habitation du Québec (SHQ), et à 10 % par les municipalités. Des municipalités qui, dans la plupart des cas, n’ont pas énormément d’argent. C’est l’Office d’habitation (OH) du lac Abitibi qui gère les HLM de La Sarre, Palmarolle, La Reine, Normétal et Dupuy. Selon les responsables, 15 logements sur 104 sont libres. Après vérifications, Radio-Canada a pu constater que ce chiffre est sous-estimé. Il y a plus d’une vingtaine de logements qui sont inoccupés, dont certains près du centre-ville de La Sarre. La directrice générale de l’OH, Mylène Joseph, précise que ces logements sont libres puisqu’il n’y a pas de demandes dans ces municipalités. Interrogée à savoir si les critères pouvaient être modifiés, elle assure que tous les scénarios sont envisagés. Cette situation est malheureuse, mais n’est pas exceptionnelle quand il s’agit d’immeubles à bonne distance des services. Nous continuons de travailler avec l’Office en place pour trouver des solutions et permettre dès que possible la location de ces logements. Des assouplissements sont aussi possibles et permettent également de favoriser les locations, explique pour sa part la Société d’habitation du Québec (SHQ) par courriel. À la Fédération des locataires des HLM du Québec, on estime que les critères auraient dû être modifiés. Moi, je sais que je reçois des appels de locataires qui disent qu’ils sont admissibles, mais qui n'arrivent pas à appliquer. Ils ne comprennent pas pourquoi ils n’étaient pas sur la liste d’attente alors qu’il y a des logements vacants. La directrice générale de l’Office d’habitation du lac Abitibi, Mylène Joseph, estime pour sa part que la relation avec les différents villages est bonne, précisant que chaque municipalité a un représentant au sein du conseil d’administration (CA) de l’Office. Ce même CA a tout de même adopté le 13 juin 2023 une résolution pour rappeler aux municipalités qu’elles n’ont aucun pouvoir décisionnel. Il est résolu d’envoyer une lettre aux municipalités/villes leur expliquant que malgré leur contribution de 10 %, les décisions concernant les HLM reviennent à l’OHLA uniquement, peut-on lire dans le procès-verbal. Le Comité consultatif des résidents (CCR) créé en 2019 pour représenter les résidents des HLM au sein du conseil d’administration de l’OH est aussi d’avis que l’information est difficile à obtenir. Le président Jacques Mailhoux dit avoir pris la décision de s’impliquer pour comprendre ce qui peut expliquer ces logements inhabités. Quand on entend le monde nous dire ou nous téléphoner pour nous dire : “On voudrait avoir un loyer, mais on n’est pas capable de rejoindre la DG”. Ça me met en feu bien raide, j’ai de la misère à accepter ça, explique-t-il. Le comité tente depuis mars 2023 d’obtenir des réponses auprès de la directrice générale de l’Office d’habitation du lac Abitibi, Mylène Joseph, mais la communication est très difficile. En mars 2023, le CCR a d’abord demandé les procès-verbaux et les ordres du jour des rencontres du conseil d’administration de l’Office municipal d’habitation. La directrice générale leur répond alors qu’ils doivent passer par la Loi sur l’accès à l’information. Nous ne pouvons vous transmettre les documents sans respecter ce processus, écrit-elle le 27 avril 2023. Lors d’un entretien téléphonique avec Radio-Canada le 9 septembre dernier, elle réitère cette position. La demande du CCR est pourtant légitime et n’a pas à passer par l’accès à l’information. C’est écrit directement dans la Loi. Ce qui est écrit noir sur blanc, c’est que le CCR a le droit d’avoir accès aux procès-verbaux, de rencontrer aussi le conseil d’administration une fois par année, explique Patricia Viannay, coordonnatrice de la Fédération des locataires des HLM du Québec. C’est finalement après des mois de démarches des membres du CCR et l’intervention de la Fédération des locataires d'habitations à loyer modique du Québec qu’ils ont reçu les procès-verbaux en décembre 2023. Toutefois, à ce jour, le comité n’a toujours pas pu consulter, comme le prévoit la loi, le rapport annuel et le budget de l’Office d’habitation du lac Abitibi. Le guide de gestion du logement social prévoit aussi que l’Office d’habitation doit financer le CCR à raison de 30 $ par logement par année pour permettre d’organiser des activités au profit des locataires, mais l’Office d’habitation du lac Abitibi refuse de fournir cet argent au comité. Il n’y a pas moyen d’avoir notre argent d’association pour fonctionner. Il faut que ce soit les locataires qui déboursent de leurs poches pour une activité et ils attendent ensuite pour se faire rembourser, mais ça peut être long, explique la secrétaire du comité, Blaise Boisvert. Questionnée à ce sujet, la directrice générale de l’OH, Mylène Joseph, n’a pas voulu répondre, affirmant qu’il s’agit d’une question en lien avec la gestion interne. En théorie, il n’y a pas de raison que ce soit l’Office qui gère elle-même l’argent. En fait l’Office fait juste recevoir l’argent de la SHQ pour la donner aux associations, affirme pour sa part Patricia Viannay. Le conflit actuel entre les membres du Comité des résidents et la directrice générale de l’Office d'habitation fait en sorte que les résidents ne sont plus représentés au conseil d’administration, mais le dialogue est aussi nul entre les deux parties depuis plus d’un an. La Loi sur la SHQ prévoit que deux ou trois locataires siègent au conseil d'administration d'un office d'habitation, mais dans le cas du lac Abitibi, aucun locataire n’est présent. Jacques Mailhoux et Blaise Boisvert précisent que les membres élus de leur organisation n’ont jamais été invités à participer. Mylène Joseph dit refuser les nominations du CCR puisque, selon elle, leurs élections n’étaient pas conformes. Ils empêchaient des gens de voter, qui avaient pourtant le droit de voter, explique-t-elle. De leur côté, Blaise Boisvert et Jacques Mailhoux assurent que tout a été fait dans les règles. Ils précisent par ailleurs avoir demandé à l’Office d'habitation la liste complète des locataires, comme le prévoit la loi, mais que la directrice a refusé de leur donner cette information. La députée d’Abitibi-Ouest, Suzanne Blais, dit avoir été avisée du taux d’occupation des HLM et des tensions entre les résidents et la directrice générale de l’OH, mais a refusé de commenter. Je suis au fait de la problématique et on continue de travailler avec les acteurs concernés pour trouver des solutions et permettre dès que possible la location de ces logements. Des assouplissements sont aussi possibles et permettent également de favoriser les locations, nous a fait savoir son bureau par courriel. La MRC d’Abitibi-Ouest a aussi refusé de commenter la situation. La MRC précise par courriel avoir eu des discussions avec les deux offices d’habitation de la localité, soit l'Office municipal d'habitation Arc-en-ciel et l'Office d’habitation Lac Abitibi. La MRC mentionne que le comité n’intervient pas dans la gestion interne des différents promoteurs. Le président du CCR, Jacques Mailhoux, dit avoir déposé une plainte à la Société d’habitation du Québec, mais qu'elle n'a abouti à aucun changement. Pour que la plainte soit valable, il faut que chaque personne fasse une plainte. Ce sont des personnes âgées. Comme le HLM à Normétal, il y a une personne sur 20 loyers qui a un ordinateur, le monde ne veut pas toucher à ça, ça leur fait peur. On est leurs représentants, on devrait être capable de les représenter, mais non, eux autres, c’est personne par personne, précise-t-il. Jacques Mailhoux déplore que dans le conflit actuel entre lui et l’Office d’habitation, ce soient les locataires qui en paient le prix. En pleine crise du logement, plusieurs habitations à loyer modique (HLM) gérées par l’Office d’habitation du lac Abitibi sont inoccupées en Abitibi-Ouest. Une situation qui perdure depuis des années et aucune solution n’a été trouvée. Ouvrir en mode plein écranAu moins deux logements sont inoccupés au HLM de Normétal. Jean-Marc BelzilePublié le 11 septembre 2024 à 6 h 20 HAEÉcouter l’article | 11 minutesLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale, une technologie basée sur l’intelligence artificielle.Dans la petite municipalité de La Reine qui compte un peu plus de 300 habitants, 11 habitations à loyer modique (HLM) sont disponibles, mais seulement cinq sont occupées. Plusieurs de ces logements sont vides depuis plusieurs années. La mairesse Fanny Dupras-Rossier précise qu’elle a tenté à quelques reprises d’obtenir des explications, mais sans succès. On pose des questions, mais c’est difficile d’obtenir des réponses claires, explique-t-elle. À Palmarolle, 3 des 10 logements en HLM ne sont pas occupés. Depuis longtemps. À Palmarolle, on peut lire dans le plan d’action de la municipalité 2015-2017 qu’il s’agissait déjà d’un problème. La municipalité réclamait des changements en proposant de sensibiliser les administrateurs du HLM afin qu’ils abaissent l’âge d’admissibilité à 55 ans. L'Office d'habitation du Lac Abitibi précise avoir abaissé en 2022 l'âge minimum à 50 ans pour les HLM d'Abitibi-Ouest. Les ménages qui habitent dans un HLM paient 25 % de leurs revenus pour le logement. Pour être admissible à un HLM en Abitibi-Ouest, une personne seule ne peut gagner plus de 25 000 $ et le revenu du ménage ne doit pas dépasser 37 000 $ pour une famille de 4 ou 5 personnes. Certains HLM exigent aussi un âge minimum, comme c’est le cas à Palmarolle. Ces logements libres coûtent cher puisque c’est la municipalité qui paie en partie pour les frais. Le déficit est payé à 90 % par la Société d’habitation du Québec (SHQ), et à 10 % par les municipalités. Des municipalités qui, dans la plupart des cas, n’ont pas énormément d’argent. C’est l’Office d’habitation (OH) du lac Abitibi qui gère les HLM de La Sarre, Palmarolle, La Reine, Normétal et Dupuy. Selon les responsables, 15 logements sur 104 sont libres. Après vérifications, Radio-Canada a pu constater que ce chiffre est sous-estimé. Il y a plus d’une vingtaine de logements qui sont inoccupés, dont certains près du centre-ville de La Sarre. La directrice générale de l’OH, Mylène Joseph, précise que ces logements sont libres puisqu’il n’y a pas de demandes dans ces municipalités. Interrogée à savoir si les critères pouvaient être modifiés, elle assure que tous les scénarios sont envisagés. Cette situation est malheureuse, mais n’est pas exceptionnelle quand il s’agit d’immeubles à bonne distance des services. Nous continuons de travailler avec l’Office en place pour trouver des solutions et permettre dès que possible la location de ces logements. Des assouplissements sont aussi possibles et permettent également de favoriser les locations, explique pour sa part la Société d’habitation du Québec (SHQ) par courriel. À la Fédération des locataires des HLM du Québec, on estime que les critères auraient dû être modifiés. Dans d’autres offices, ça s’est vu, il y a une possibilité par décret d’augmenter le plafond de revenus admissibles lorsqu’on n’arrive pas à louer les logements. Ça s’est fait dans plusieurs régions, dont dernièrement en Gaspésie. Il faut que des démarches soient entreprises pour que ces logements ne restent pas vides alors qu’on est en pleine crise du logement, explique la coordonnatrice Patricia Viannay qui dit aussi recevoir des appels de citoyens mécontents d’Abitibi-Ouest. Moi, je sais que je reçois des appels de locataires qui disent qu’ils sont admissibles, mais qui n'arrivent pas à appliquer. Ils ne comprennent pas pourquoi ils n’étaient pas sur la liste d’attente alors qu’il y a des logements vacants. La directrice générale de l’Office d’habitation du lac Abitibi, Mylène Joseph, estime pour sa part que la relation avec les différents villages est bonne, précisant que chaque municipalité a un représentant au sein du conseil d’administration (CA) de l’Office. Ce même CA a tout de même adopté le 13 juin 2023 une résolution pour rappeler aux municipalités qu’elles n’ont aucun pouvoir décisionnel. Il est résolu d’envoyer une lettre aux municipalités/villes leur expliquant que malgré leur contribution de 10 %, les décisions concernant les HLM reviennent à l’OHLA uniquement, peut-on lire dans le procès-verbal. Ouvrir en mode plein écranLe pavillon de l’Ouest à La Sarre avait des logements inoccupés. Le Comité consultatif des résidents (CCR) créé en 2019 pour représenter les résidents des HLM au sein du conseil d’administration de l’OH est aussi d’avis que l’information est difficile à obtenir. Le président Jacques Mailhoux dit avoir pris la décision de s’impliquer pour comprendre ce qui peut expliquer ces logements inhabités. Quand on entend le monde nous dire ou nous téléphoner pour nous dire : “On voudrait avoir un loyer, mais on n’est pas capable de rejoindre la DG”. Ça me met en feu bien raide, j’ai de la misère à accepter ça, explique-t-il. Le comité tente depuis mars 2023 d’obtenir des réponses auprès de la directrice générale de l’Office d’habitation du lac Abitibi, Mylène Joseph, mais la communication est très difficile. En mars 2023, le CCR a d’abord demandé les procès-verbaux et les ordres du jour des rencontres du conseil d’administration de l’Office municipal d’habitation. La directrice générale leur répond alors qu’ils doivent passer par la Loi sur l’accès à l’information. Ouvrir en mode plein écranJacques Mailhoux, le président du CCR avec Blaise Boisvert, la secrétaire. Nous ne pouvons vous transmettre les documents sans respecter ce processus, écrit-elle le 27 avril 2023. Lors d’un entretien téléphonique avec Radio-Canada le 9 septembre dernier, elle réitère cette position. La demande du CCR est pourtant légitime et n’a pas à passer par l’accès à l’information. C’est écrit directement dans la Loi. Ce qui est écrit noir sur blanc, c’est que le CCR a le droit d’avoir accès aux procès-verbaux, de rencontrer aussi le conseil d’administration une fois par année, explique Patricia Viannay, coordonnatrice de la Fédération des locataires des HLM du Québec. C’est finalement après des mois de démarches des membres du CCR et l’intervention de la Fédération des locataires d'habitations à loyer modique du Québec qu’ils ont reçu les procès-verbaux en décembre 2023. Toutefois, à ce jour, le comité n’a toujours pas pu consulter, comme le prévoit la loi, le rapport annuel et le budget de l’Office d’habitation du lac Abitibi. Le guide de gestion du logement social prévoit aussi que l’Office d’habitation doit financer le CCR à raison de 30 $ par logement par année pour permettre d’organiser des activités au profit des locataires, mais l’Office d’habitation du lac Abitibi refuse de fournir cet argent au comité. Il n’y a pas moyen d’avoir notre argent d’association pour fonctionner. Il faut que ce soit les locataires qui déboursent de leurs poches pour une activité et ils attendent ensuite pour se faire rembourser, mais ça peut être long, explique la secrétaire du comité, Blaise Boisvert. Questionnée à ce sujet, la directrice générale de l’OH, Mylène Joseph, n’a pas voulu répondre, affirmant qu’il s’agit d’une question en lien avec la gestion interne. En théorie, il n’y a pas de raison que ce soit l’Office qui gère elle-même l’argent. En fait l’Office fait juste recevoir l’argent de la SHQ pour la donner aux associations, affirme pour sa part Patricia Viannay. Le conflit actuel entre les membres du Comité des résidents et la directrice générale de l’Office d'habitation fait en sorte que les résidents ne sont plus représentés au conseil d’administration, mais le dialogue est aussi nul entre les deux parties depuis plus d’un an. Ouvrir en mode plein écranLe HLM de Dupuy avait un logement inoccupé lors du passage de l'équipe de Radio-Canada. La Loi sur la SHQ prévoit que deux ou trois locataires siègent au conseil d'administration d'un office d'habitation, mais dans le cas du lac Abitibi, aucun locataire n’est présent. Jacques Mailhoux et Blaise Boisvert précisent que les membres élus de leur organisation n’ont jamais été invités à participer. Mylène Joseph dit refuser les nominations du CCR puisque, selon elle, leurs élections n’étaient pas conformes. Ils empêchaient des gens de voter, qui avaient pourtant le droit de voter, explique-t-elle. De leur côté, Blaise Boisvert et Jacques Mailhoux assurent que tout a été fait dans les règles. Ils précisent par ailleurs avoir demandé à l’Office d'habitation la liste complète des locataires, comme le prévoit la loi, mais que la directrice a refusé de leur donner cette information. On a essayé avec la Société d’habitation du Québec de les asseoir ensemble, ça n’a rien donné à date. La Société d’habitation du Québec a enfin pris la décision de vraiment plus analyser la situation, car la directrice se sent harcelée par les locataires qui veulent absolument s’impliquer et les locataires se sentent harcelés par la directrice qui ne veut visiblement rien savoir, explique pour sa part Patricia Viannay, qui tente depuis plus d’un an d’agir à titre de médiatrice dans ce conflit. La députée d’Abitibi-Ouest, Suzanne Blais, dit avoir été avisée du taux d’occupation des HLM et des tensions entre les résidents et la directrice générale de l’OH, mais a refusé de commenter. Je suis au fait de la problématique et on continue de travailler avec les acteurs concernés pour trouver des solutions et permettre dès que possible la location de ces logements. Des assouplissements sont aussi possibles et permettent également de favoriser les locations, nous a fait savoir son bureau par courriel. La MRC d’Abitibi-Ouest a aussi refusé de commenter la situation. La MRC précise par courriel avoir eu des discussions avec les deux offices d’habitation de la localité, soit l'Office municipal d'habitation Arc-en-ciel et l'Office d’habitation Lac Abitibi. Ouvrir en mode plein écranLes bureaux de la MRC Abitibi-Ouest, à La Sarre. La MRC mentionne que le comité n’intervient pas dans la gestion interne des différents promoteurs. Le président du CCR, Jacques Mailhoux, dit avoir déposé une plainte à la Société d’habitation du Québec, mais qu'elle n'a abouti à aucun changement. Pour que la plainte soit valable, il faut que chaque personne fasse une plainte. Ce sont des personnes âgées. Comme le HLM à Normétal, il y a une personne sur 20 loyers qui a un ordinateur, le monde ne veut pas toucher à ça, ça leur fait peur. On est leurs représentants, on devrait être capable de les représenter, mais non, eux autres, c’est personne par personne, précise-t-il. Jacques Mailhoux déplore que dans le conflit actuel entre lui et l’Office d’habitation, ce soient les locataires qui en paient le prix. La mairesse Fanny Dupras-Rossier précise qu’elle a tenté à quelques reprises d’obtenir des explications mais c’est difficile d’obtenir des réponses claires 3 des 10 logements en HLM ne sont pas occupés on peut lire dans le plan d’action de la municipalité 2015-2017 qu’il s’agissait déjà d’un problème La municipalité réclamait des changements en proposant de sensibiliser les administrateurs du HLM afin qu’ils abaissent l’âge d’admissibilité à 55 ans L'Office d'habitation du Lac Abitibi précise avoir abaissé en 2022 l'âge minimum à 50 ans pour les HLM d'Abitibi-Ouest Les ménages qui habitent dans un HLM paient 25 % de leurs revenus pour le logement Pour être admissible à un HLM en Abitibi-Ouest une personne seule ne peut gagner plus de 25 000 $ et le revenu du ménage ne doit pas dépasser 37 000 $ pour une famille de 4 ou 5 personnes Certains HLM exigent aussi un âge minimum comme c’est le cas à Palmarolle Ces logements libres coûtent cher puisque c’est la municipalité qui paie en partie pour les frais Le déficit est payé à 90 % par la Société d’habitation du Québec (SHQ) et à 10 % par les municipalités n’ont pas énormément d’argent C’est l’Office d’habitation (OH) du lac Abitibi qui gère les HLM de La Sarre 15 logements sur 104 sont libres Radio-Canada a pu constater que ce chiffre est sous-estimé Il y a plus d’une vingtaine de logements qui sont inoccupés dont certains près du centre-ville de La Sarre La directrice générale de l’OH précise que ces logements sont libres puisqu’il n’y a pas de demandes dans ces municipalités Interrogée à savoir si les critères pouvaient être modifiés elle assure que tous les scénarios sont envisagés mais n’est pas exceptionnelle quand il s’agit d’immeubles à bonne distance des services Nous continuons de travailler avec l’Office en place pour trouver des solutions et permettre dès que possible la location de ces logements Des assouplissements sont aussi possibles et permettent également de favoriser les locations explique pour sa part la Société d’habitation du Québec (SHQ) par courriel À la Fédération des locataires des HLM du Québec on estime que les critères auraient dû être modifiés il y a une possibilité par décret d’augmenter le plafond de revenus admissibles lorsqu’on n’arrive pas à louer les logements Ça s’est fait dans plusieurs régions Il faut que des démarches soient entreprises pour que ces logements ne restent pas vides alors qu’on est en pleine crise du logement explique la coordonnatrice Patricia Viannay qui dit aussi recevoir des appels de citoyens mécontents d’Abitibi-Ouest je sais que je reçois des appels de locataires qui disent qu’ils sont admissibles Ils ne comprennent pas pourquoi ils n’étaient pas sur la liste d’attente alors qu’il y a des logements vacants La directrice générale de l’Office d’habitation du lac Abitibi estime pour sa part que la relation avec les différents villages est bonne précisant que chaque municipalité a un représentant au sein du conseil d’administration (CA) de l’Office Ce même CA a tout de même adopté le 13 juin 2023 une résolution pour rappeler aux municipalités qu’elles n’ont aucun pouvoir décisionnel Il est résolu d’envoyer une lettre aux municipalités/villes leur expliquant que malgré leur contribution de 10 % les décisions concernant les HLM reviennent à l’OHLA uniquement Le Comité consultatif des résidents (CCR) créé en 2019 pour représenter les résidents des HLM au sein du conseil d’administration de l’OH est aussi d’avis que l’information est difficile à obtenir Le président Jacques Mailhoux dit avoir pris la décision de s’impliquer pour comprendre ce qui peut expliquer ces logements inhabités Quand on entend le monde nous dire ou nous téléphoner pour nous dire : “On voudrait avoir un loyer mais on n’est pas capable de rejoindre la DG” j’ai de la misère à accepter ça Le comité tente depuis mars 2023 d’obtenir des réponses auprès de la directrice générale de l’Office d’habitation du lac Abitibi mais la communication est très difficile le CCR a d’abord demandé les procès-verbaux et les ordres du jour des rencontres du conseil d’administration de l’Office municipal d’habitation La directrice générale leur répond alors qu’ils doivent passer par la Loi sur l’accès à l’information Nous ne pouvons vous transmettre les documents sans respecter ce processus écrit-elle le 27 avril 2023 Lors d’un entretien téléphonique avec Radio-Canada le 9 septembre dernier La demande du CCR est pourtant légitime et n’a pas à passer par l’accès à l’information C’est écrit directement dans la Loi c’est que le CCR a le droit d’avoir accès aux procès-verbaux de rencontrer aussi le conseil d’administration une fois par année coordonnatrice de la Fédération des locataires des HLM du Québec C’est finalement après des mois de démarches des membres du CCR et l’intervention de la Fédération des locataires d'habitations à loyer modique du Québec qu’ils ont reçu les procès-verbaux en décembre 2023 le comité n’a toujours pas pu consulter le rapport annuel et le budget de l’Office d’habitation du lac Abitibi Le guide de gestion du logement social prévoit aussi que l’Office d’habitation doit financer le CCR à raison de 30 $ par logement par année pour permettre d’organiser des activités au profit des locataires mais l’Office d’habitation du lac Abitibi refuse de fournir cet argent au comité Il n’y a pas moyen d’avoir notre argent d’association pour fonctionner Il faut que ce soit les locataires qui déboursent de leurs poches pour une activité et ils attendent ensuite pour se faire rembourser explique la secrétaire du comité la directrice générale de l’OH affirmant qu’il s’agit d’une question en lien avec la gestion interne il n’y a pas de raison que ce soit l’Office qui gère elle-même l’argent En fait l’Office fait juste recevoir l’argent de la SHQ pour la donner aux associations Le conflit actuel entre les membres du Comité des résidents et la directrice générale de l’Office d'habitation fait en sorte que les résidents ne sont plus représentés au conseil d’administration mais le dialogue est aussi nul entre les deux parties depuis plus d’un an La Loi sur la SHQ prévoit que deux ou trois locataires siègent au conseil d'administration d'un office d'habitation Jacques Mailhoux et Blaise Boisvert précisent que les membres élus de leur organisation n’ont jamais été invités à participer Mylène Joseph dit refuser les nominations du CCR puisque leurs élections n’étaient pas conformes Blaise Boisvert et Jacques Mailhoux assurent que tout a été fait dans les règles Ils précisent par ailleurs avoir demandé à l’Office d'habitation la liste complète des locataires mais que la directrice a refusé de leur donner cette information On a essayé avec la Société d’habitation du Québec de les asseoir ensemble ça n’a rien donné à date La Société d’habitation du Québec a enfin pris la décision de vraiment plus analyser la situation car la directrice se sent harcelée par les locataires qui veulent absolument s’impliquer et les locataires se sentent harcelés par la directrice qui ne veut visiblement rien savoir qui tente depuis plus d’un an d’agir à titre de médiatrice dans ce conflit dit avoir été avisée du taux d’occupation des HLM et des tensions entre les résidents et la directrice générale de l’OH Je suis au fait de la problématique et on continue de travailler avec les acteurs concernés pour trouver des solutions et permettre dès que possible la location de ces logements nous a fait savoir son bureau par courriel La MRC d’Abitibi-Ouest a aussi refusé de commenter la situation La MRC précise par courriel avoir eu des discussions avec les deux offices d’habitation de la localité soit l'Office municipal d'habitation Arc-en-ciel et l'Office d’habitation Lac Abitibi La MRC mentionne que le comité n’intervient pas dans la gestion interne des différents promoteurs dit avoir déposé une plainte à la Société d’habitation du Québec mais qu'elle n'a abouti à aucun changement il faut que chaque personne fasse une plainte il y a une personne sur 20 loyers qui a un ordinateur le monde ne veut pas toucher à ça on devrait être capable de les représenter Jacques Mailhoux déplore que dans le conflit actuel entre lui et l’Office d’habitation ce soient les locataires qui en paient le prix Dans la petite municipalité de La Reine qui compte un peu plus de 300 habitants 11 habitations à loyer modique (HLM) sont disponibles Plusieurs de ces logements sont vides depuis plusieurs années plusieurs habitations à loyer modique (HLM) gérées par l’Office d’habitation du lac Abitibi sont inoccupées en Abitibi-Ouest Une situation qui perdure depuis des années et aucune solution n’a été trouvée Dans ces ateliers, ils apprennent à faire des recettes. On travaille ici à la réadaptation alors on veut qu’ils apprennent à faire des recettes qu'ils pourront recréer, chez eux, en appartement, explique la directrice générale, Véronique Lessard. Avec ces nouvelles chambres, le Trait d'Union peut accueillir jusqu'à douze pensionnaires, dont quatre en logements supervisés. Ce sont toutes des personnes autonomes, mais avec des problèmes de santé mentale quand même importants, dit-elle. Parfois, c’est juste une période de leur vie qui va moins bien. Parfois, c’est juste le temps que leur médication soit ajustée. On a aussi des cas judiciaires quand une ordonnance du Tribunal les oblige à rester ici. Les fonds de 5000 $ remis au Trait d'Union de La Sarre proviennent du gouvernement du Québec. Ouvrir en mode plein écranL'organisme veut adapter ses locaux pour ses pensionnaires ayant des problèmes d'autonomie. (Photo d'archives) Gabriel PoirierPublié le 19 juillet 2024 à 15 h 10 HAEÉcouter l’article | 2 minutesLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale, une technologie basée sur l’intelligence artificielle.À La Sarre, l’organisme communautaire le Trait d'Union compte agrandir ses locaux pour les adapter à ses pensionnaires, qui sont des personnes avec des problèmes d'autonomie liés à leur santé mentale. L'organisme qui a ouvert quatre chambres additionnelles en novembre a besoin de mener ces travaux pour faciliter la tenue de ses ateliers de cuisine collective. Dans ces ateliers, ils apprennent à faire des recettes. On travaille ici à la réadaptation alors on veut qu’ils apprennent à faire des recettes qu'ils pourront recréer, chez eux, en appartement, explique la directrice générale, Véronique Lessard. Avec ces nouvelles chambres, le Trait d'Union peut accueillir jusqu'à douze pensionnaires, dont quatre en logements supervisés. Ce sont toutes des personnes autonomes, mais avec des problèmes de santé mentale quand même importants, dit-elle. Parfois, c’est juste une période de leur vie qui va moins bien. Parfois, c’est juste le temps que leur médication soit ajustée. On a aussi des cas judiciaires quand une ordonnance du Tribunal les oblige à rester ici. Les fonds de 5000 $ remis au Trait d'Union de La Sarre proviennent du gouvernement du Québec. L'organisme qui a ouvert quatre chambres additionnelles en novembre a besoin de mener ces travaux pour faciliter la tenue de ses ateliers de cuisine collective On travaille ici à la réadaptation alors on veut qu’ils apprennent à faire des recettes qu'ils pourront recréer le Trait d'Union peut accueillir jusqu'à douze pensionnaires mais avec des problèmes de santé mentale quand même importants c’est juste une période de leur vie qui va moins bien c’est juste le temps que leur médication soit ajustée On a aussi des cas judiciaires quand une ordonnance du Tribunal les oblige à rester ici Les fonds de 5000 $ remis au Trait d'Union de La Sarre proviennent du gouvernement du Québec l’organisme communautaire le Trait d'Union compte agrandir ses locaux pour les adapter à ses pensionnaires qui sont des personnes avec des problèmes d'autonomie liés à leur santé mentale Le Centre des services scolaire Lac-Abitibi a été contacté en décembre. Contrairement à ce que l’on peut penser, une école alternative ce n’est pas nécessairement privé, ça peut s’inscrire dans l’organisation. Nous on aimerait s’organiser avec le Centre de services scolaire et on a eu une belle ouverture, mentionne Karine Péladeau, membre du comité fondateur, précisant toutefois qu’il reste encore tout un processus à franchir. Une rencontre s’est déjà tenue en décembre, puis en tournée à la mi-janvier à Roquemaure, une autre aura lieu le 28 janvier à La Sarre et une autre le 7 février à Palmarolle. On souhaite mettre de l’avant une pédagogie de nature. On vise à reconnecter les enfants avec leur environnement extérieur, avec des classes qui se font dehors. On vise davantage le sud de l'Abitibi-Ouest, parce que c'est quelque chose qui est un peu plus difficile à faire si on était par exemple en plein milieu de la Sarre, mentionne Karine Péladeau. Le groupe demeure réaliste dans ses ambitions et avance que l’objectif pourrait être d’ouvrir deux classes de 15 élèves pour commencer. Ces classes pourraient même faire partie d’une école déjà existante ou alors dans un établissement séparé. C'est à discuter avec le Centre des services scolaires parce que les deux sont possibles, mais ça va dépendre vraiment de la disponibilité des locaux et de la direction. Est-ce qu'on va avoir une direction seulement pour l'école? Probablement pas, ajoute Mme Péladeau. Plusieurs démarches doivent encore être accomplies par le comité fondateur. Pour le moment, les rencontres se poursuivent pour présenter le modèle et répondre aux questions soulevées pour démystifier ce modèle. L’école alternative ne veut pas dire que l’enfant fait ce qu’il veut. Au contraire, étant donné que le cadre est un peu plus laissé à l'interprétation et à la créativité des enseignants, on a besoin d'avoir une structure qui est encore plus claire. On suit le programme du ministère de l’Éducation et les enfants vont devoir passer les mêmes examens, assure Karine Péladeau. Ouvrir en mode plein écranL'objectif du comité est de développer une pédagogie nature et des classes à l'extérieur. Lise MillettePublié le 25 janvier à 11 h 52 HAEÉcouter l’article | 3 minutesLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale, une technologie basée sur l’intelligence artificielle.Un groupe de parents souhaite ouvrir une école alternative en Abitibi-Ouest. Les démarches ont été entamées en novembre 2023. Le réseau des écoles publiques alternatives du Québec (RÉPAQ) apporte son appui afin d’élaborer un plan d’action pour mettre en oeuvre un véritable projet pour la rentrée 2026. Le Centre des services scolaire Lac-Abitibi a été contacté en décembre. Contrairement à ce que l’on peut penser, une école alternative ce n’est pas nécessairement privé, ça peut s’inscrire dans l’organisation. Nous on aimerait s’organiser avec le Centre de services scolaire et on a eu une belle ouverture, mentionne Karine Péladeau, membre du comité fondateur, précisant toutefois qu’il reste encore tout un processus à franchir. Une rencontre s’est déjà tenue en décembre, puis en tournée à la mi-janvier à Roquemaure, une autre aura lieu le 28 janvier à La Sarre et une autre le 7 février à Palmarolle. On souhaite mettre de l’avant une pédagogie de nature. On vise à reconnecter les enfants avec leur environnement extérieur, avec des classes qui se font dehors. On vise davantage le sud de l'Abitibi-Ouest, parce que c'est quelque chose qui est un peu plus difficile à faire si on était par exemple en plein milieu de la Sarre, mentionne Karine Péladeau. Ouvrir en mode plein écranLe projet vise notamment à connecter les enfants avec l'environnement extérieur. (Photo d'archives) Photo : getty images/istockphoto / jacoblund Le groupe demeure réaliste dans ses ambitions et avance que l’objectif pourrait être d’ouvrir deux classes de 15 élèves pour commencer. Ces classes pourraient même faire partie d’une école déjà existante ou alors dans un établissement séparé. C'est à discuter avec le Centre des services scolaires parce que les deux sont possibles, mais ça va dépendre vraiment de la disponibilité des locaux et de la direction. Est-ce qu'on va avoir une direction seulement pour l'école? Probablement pas, ajoute Mme Péladeau. Plusieurs démarches doivent encore être accomplies par le comité fondateur. Pour le moment, les rencontres se poursuivent pour présenter le modèle et répondre aux questions soulevées pour démystifier ce modèle. L’école alternative ne veut pas dire que l’enfant fait ce qu’il veut. Au contraire, étant donné que le cadre est un peu plus laissé à l'interprétation et à la créativité des enseignants, on a besoin d'avoir une structure qui est encore plus claire. On suit le programme du ministère de l’Éducation et les enfants vont devoir passer les mêmes examens, assure Karine Péladeau. Le réseau des écoles publiques alternatives du Québec (RÉPAQ) apporte son appui afin d’élaborer un plan d’action pour mettre en oeuvre un véritable projet pour la rentrée 2026 Le Centre des services scolaire Lac-Abitibi a été contacté en décembre Contrairement à ce que l’on peut penser une école alternative ce n’est pas nécessairement privé ça peut s’inscrire dans l’organisation Nous on aimerait s’organiser avec le Centre de services scolaire et on a eu une belle ouverture précisant toutefois qu’il reste encore tout un processus à franchir Une rencontre s’est déjà tenue en décembre puis en tournée à la mi-janvier à Roquemaure une autre aura lieu le 28 janvier à La Sarre et une autre le 7 février à Palmarolle On souhaite mettre de l’avant une pédagogie de nature On vise à reconnecter les enfants avec leur environnement extérieur On vise davantage le sud de l'Abitibi-Ouest parce que c'est quelque chose qui est un peu plus difficile à faire si on était par exemple en plein milieu de la Sarre Le groupe demeure réaliste dans ses ambitions et avance que l’objectif pourrait être d’ouvrir deux classes de 15 élèves pour commencer Ces classes pourraient même faire partie d’une école déjà existante ou alors dans un établissement séparé C'est à discuter avec le Centre des services scolaires parce que les deux sont possibles mais ça va dépendre vraiment de la disponibilité des locaux et de la direction Est-ce qu'on va avoir une direction seulement pour l'école Plusieurs démarches doivent encore être accomplies par le comité fondateur les rencontres se poursuivent pour présenter le modèle et répondre aux questions soulevées pour démystifier ce modèle L’école alternative ne veut pas dire que l’enfant fait ce qu’il veut étant donné que le cadre est un peu plus laissé à l'interprétation et à la créativité des enseignants on a besoin d'avoir une structure qui est encore plus claire On suit le programme du ministère de l’Éducation et les enfants vont devoir passer les mêmes examens Un groupe de parents souhaite ouvrir une école alternative en Abitibi-Ouest Les démarches ont été entamées en novembre 2023 dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"La gorge nouée par l’émotion a dû interrompre son discours à quelques occasions lors de la cérémonie tenue lundi à la Cité étudiante Polyno Il voit enfin se concrétiser son rêve de doter la population d’Abitibi-Ouest d’un terrain multisport extérieur de qualité C'est un travail de longue haleine et on aboutit enfin à la première pelletée de terre. C'est un travail de huit ans pour convaincre les différents intervenants locaux et  régionaux et même le gouvernement du Québec Le projet consiste à remplacer la piste d’athlétisme actuelle par une toute nouvelle infrastructure de qualité L’anneau de 400 mètres comptera six couloirs de course en revêtement synthétique Toutes les disciplines de l’athlétisme pourront y être pratiquées La population mérite une installation de qualité au même titre que celles des autres villes de région Et il y a des sports qui sont en attente de revenir sur scène l'association de soccer adulte qui n'a pas de terrain aux normes une nouvelle fréquentation du site et des compétitions d’athlétisme de haut niveau Les travaux confiés ce printemps à TEM Entrepreneur Général d’Amos doivent commencer la semaine prochaine et se terminer d’ici le printemps 2025. Québec assume les deux tiers de la facture, soit 2,2 millions $, par le biais du Programme de soutien aux infrastructures sportives et récréatives scolaires et d’enseignement supérieur. La députée d’Abitibi-Ouest, Suzanne Blais, espère que toute la population saura en profiter. Ce qui est intéressant, c'est que lorsque les plateaux ne sont pas utilisés par les élèves, c’est la communauté qui pourra les utiliser. Les gens vont venir faire une marche parce que c'est un beau tapis synthétique. Même des gens en fauteuil roulant pourront aussi l’utiliser. C’est un plus pour la communauté, affirme-t-elle. Le comité de relance de la piste d’athlétisme a quant à lui recueilli 1 million $ dans la communauté. Le Centre de services scolaire du Lac-Abitibi injecte 500 000 $, et la Ville de La Sarre, 100 000 $. Des partenaires privés, dont l’entreprise forestière West Fraser et des citoyens, ont aussi contribué au financement. Les premiers bénéficiaires seront les élèves du Centre de services scolaire du Lac-Abitibi, rappelle le directeur général adjoint Yves Dubé. C’est vraiment une plus-value pour nos élèves. Avec les installations haut de gamme qu'on va avoir, on croit bien qu'on va susciter l'intérêt du sport parascolaire, pour nos jeunes qui vont décider de bouger plus. Et la population pourra aussi l’utiliser en toute sécurité, avec un éclairage en soirée, souligne M. Dubé. Un système d’éclairage est prévu, dont le financement est assumé par la Ville de La Sarre. Les jeunes pourront venir s’exercer ici, s’amuser et avoir du plaisir. La population aussi. C’est une belle avancée pour la Ville de La Sarre, mais aussi pour l’Abitibi-Ouest, croit le maire suppléant Réjean Fournier. La pratique de l’athlétisme connaît déjà un fort engouement en Abitibi-Ouest, où l’on retrouve le seul club civil de la région, le Club Tracklass. Celui-ci est passé d’une douzaine de membres avant la pandémie, à une cinquantaine aujourd’hui, dont 39 qui viennent d’Abitibi-Ouest. La toute nouvelle infrastructure permettra au club de poursuivre son élan et à ses membres d’améliorer leurs performances à la course grâce à une véritable piste en revêtement synthétique. Ils ont tous hâte à l'année prochaine. Quand on dit que la piste arrive dans le bon timing. L'année prochaine, ils vont revenir sur une vraie piste. Ils ne courront plus sur le gravier. On n’aura pas de misère à motiver les jeunes à venir, affirme Marcel Bouchard, président du Club Tracklass. Ce dernier voit grand. Épaulé par le seul entraîneur certifié en athlétisme de la région, Brian Bégin, il rêve d’une concentration sport en Abitibi-Ouest dans les prochaines années. À Radio-Canada depuis 2021, Martin Guindon cumule plus de 25 ans d'expérience comme journaliste en Abitibi-Témiscamingue. Tous les sujets qui touchent l'actualité locale et régionale le passionnent. Il affectionne la couverture terrain pour la rencontre avec les gens de tous les horizons. Martin GuindonPublié le 3 juin 2024 à 18 h 31 HAEÉcouter l’article | 5 minutesLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale une technologie basée sur l’intelligence artificielle.Le coup d’envoi est donné pour les travaux de réfection de la piste d’athlétisme de La Sarre Le nouveau terrain multisport construit au coût de 3,4 millions $ offrira aussi une surface gazonnée éclairée pour la pratique de sports extérieurs a dû interrompre son discours à quelques occasions lors de la cérémonie tenue lundi à la Cité étudiante Polyno Il voit enfin se concrétiser son rêve de doter la population d’Abitibi-Ouest d’un terrain multisport extérieur de qualité C'est un travail de longue haleine et on aboutit enfin à la première pelletée de terre C'est un travail de huit ans pour convaincre les différents intervenants locaux et  régionaux et même le gouvernement du Québec Le projet consiste à remplacer la piste d’athlétisme actuelle par une toute nouvelle infrastructure de qualité L’anneau de 400 mètres comptera six couloirs de course en revêtement synthétique Toutes les disciplines de l’athlétisme pourront y être pratiquées Ouvrir en mode plein écranLe terrain multisport offrira une piste d'athlétisme et un espace gazonné au centre pour la pratique de sports extérieurs tels que le soccer et l'ultimate Infrastructures sportives en Abitibi-TémiscamingueConsulter le dossier completSuivreSuivreLa population mérite une installation de qualité au même titre que celles des autres villes de région Et il y a des sports qui sont en attente de revenir sur scène une nouvelle fréquentation du site et des compétitions d’athlétisme de haut niveau Québec assume les deux tiers de la facture, soit 2,2 millions $, par le biais du Programme de soutien aux infrastructures sportives et récréatives scolaires et d’enseignement supérieur. La députée d’Abitibi-Ouest, Suzanne Blais, espère que toute la population saura en profiter. Ouvrir en mode plein écranLa députée d'Abitibi-Ouest, Suzanne Blais, discute avec Gilles Rochette, vice-président du comité de relance de la piste d'athlétisme de La Sarre. Ce qui est intéressant, c'est que lorsque les plateaux ne sont pas utilisés par les élèves, c’est la communauté qui pourra les utiliser. Les gens vont venir faire une marche parce que c'est un beau tapis synthétique. Même des gens en fauteuil roulant pourront aussi l’utiliser. C’est un plus pour la communauté, affirme-t-elle. Le comité de relance de la piste d’athlétisme a quant à lui recueilli 1 million $ dans la communauté. Le Centre de services scolaire du Lac-Abitibi injecte 500 000 $, et la Ville de La Sarre, 100 000 $. Des partenaires privés, dont l’entreprise forestière West Fraser et des citoyens, ont aussi contribué au financement. Les premiers bénéficiaires seront les élèves du Centre de services scolaire du Lac-Abitibi, rappelle le directeur général adjoint Yves Dubé. Ouvrir en mode plein écranYves Dubé, directeur général adjoint du Centre de services scolaire du Lac-Abitibi, se réjouit de voir enfin le projet aboutir. C’est vraiment une plus-value pour nos élèves. Avec les installations haut de gamme qu'on va avoir, on croit bien qu'on va susciter l'intérêt du sport parascolaire, pour nos jeunes qui vont décider de bouger plus. Et la population pourra aussi l’utiliser en toute sécurité, avec un éclairage en soirée, souligne M. Dubé. Un système d’éclairage est prévu, dont le financement est assumé par la Ville de La Sarre. Les jeunes pourront venir s’exercer ici, s’amuser et avoir du plaisir. La population aussi. C’est une belle avancée pour la Ville de La Sarre, mais aussi pour l’Abitibi-Ouest, croit le maire suppléant Réjean Fournier. La pratique de l’athlétisme connaît déjà un fort engouement en Abitibi-Ouest, où l’on retrouve le seul club civil de la région, le Club Tracklass. Celui-ci est passé d’une douzaine de membres avant la pandémie, à une cinquantaine aujourd’hui, dont 39 qui viennent d’Abitibi-Ouest. La toute nouvelle infrastructure permettra au club de poursuivre son élan et à ses membres d’améliorer leurs performances à la course grâce à une véritable piste en revêtement synthétique. Ils ont tous hâte à l'année prochaine. Quand on dit que la piste arrive dans le bon timing. L'année prochaine, ils vont revenir sur une vraie piste. Ils ne courront plus sur le gravier. On n’aura pas de misère à motiver les jeunes à venir, affirme Marcel Bouchard, président du Club Tracklass. Ce dernier voit grand. Épaulé par le seul entraîneur certifié en athlétisme de la région, Brian Bégin, il rêve d’une concentration sport en Abitibi-Ouest dans les prochaines années. La gorge nouée par l’émotion Les travaux confiés ce printemps à TEM Entrepreneur Général d’Amos doivent commencer la semaine prochaine et se terminer d’ici le printemps 2025 Québec assume les deux tiers de la facture par le biais du Programme de soutien aux infrastructures sportives et récréatives scolaires et d’enseignement supérieur espère que toute la population saura en profiter c'est que lorsque les plateaux ne sont pas utilisés par les élèves c’est la communauté qui pourra les utiliser Les gens vont venir faire une marche parce que c'est un beau tapis synthétique Même des gens en fauteuil roulant pourront aussi l’utiliser C’est un plus pour la communauté Le comité de relance de la piste d’athlétisme a quant à lui recueilli 1 million $ dans la communauté Le Centre de services scolaire du Lac-Abitibi injecte 500 000 $ dont l’entreprise forestière West Fraser et des citoyens Les premiers bénéficiaires seront les élèves du Centre de services scolaire du Lac-Abitibi rappelle le directeur général adjoint Yves Dubé C’est vraiment une plus-value pour nos élèves Avec les installations haut de gamme qu'on va avoir on croit bien qu'on va susciter l'intérêt du sport parascolaire pour nos jeunes qui vont décider de bouger plus Et la population pourra aussi l’utiliser en toute sécurité Un système d’éclairage est prévu dont le financement est assumé par la Ville de La Sarre Les jeunes pourront venir s’exercer ici C’est une belle avancée pour la Ville de La Sarre croit le maire suppléant Réjean Fournier La pratique de l’athlétisme connaît déjà un fort engouement en Abitibi-Ouest où l’on retrouve le seul club civil de la région Celui-ci est passé d’une douzaine de membres avant la pandémie dont 39 qui viennent d’Abitibi-Ouest La toute nouvelle infrastructure permettra au club de poursuivre son élan et à ses membres d’améliorer leurs performances à la course grâce à une véritable piste en revêtement synthétique Ils ont tous hâte à l'année prochaine Quand on dit que la piste arrive dans le bon timing On n’aura pas de misère à motiver les jeunes à venir Épaulé par le seul entraîneur certifié en athlétisme de la région il rêve d’une concentration sport en Abitibi-Ouest dans les prochaines années Martin Guindon cumule plus de 25 ans d'expérience comme journaliste en Abitibi-Témiscamingue Tous les sujets qui touchent l'actualité locale et régionale le passionnent Il affectionne la couverture terrain pour la rencontre avec les gens de tous les horizons Les travaux confiés ce printemps à TEM Entrepreneur Général d’Amos doivent commencer la semaine prochaine et se terminer d’ici le printemps 2025 Le coup d’envoi est donné pour les travaux de réfection de la piste d’athlétisme de La Sarre Le nouveau terrain multisport construit au coût de 3,4 millions $ offrira aussi une surface gazonnée éclairée pour la pratique de sports extérieurs