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On y lit 2 hours en anglais seulement, sans texte équivalent en français. Il s'agit d'un manquement aux obligations linguistiques de la Ville de Moncton, estime Mathieu Gérald Caissie.
Dans cette rue, quatre autres panneaux rédigés uniquement en anglais sont installés. D'autres ont été relevés par le Cercle acadien de la langue française sur les rues Alma, Cameron et King, au centre-ville.
Interrogée à ce sujet, la Ville de Moncton explique qu'elle a retiré de ses ateliers municipaux les gabarits de panneaux unilingues qui servent à les créer afin qu'il n'y en ait pas de nouveaux d'installés.
Elle n’a toutefois aucun plan pour recenser et remplacer les panneaux unilingues installés par le passé. Elle invite plutôt ses résidents à l’aider à les localiser en remplissant un formulaire sur son site web.
Elle s’engage à les remplacer selon les signalements qu’elle recevra.
Pourtant, ce n’est pas la première fois que l’absence du français sur des panneaux de stationnement de la Ville de Moncton est dénoncée.
En janvier 2022, Shirley MacLean, la commissaire aux langues officielles du Nouveau-Brunswick, avait demandé à la Ville de remplacer tous ses panneaux de stationnement non entièrement bilingues dans un délai raisonnable.
La Ville lui a répondu quelques mois plus tard que l’adoption d’un nouvel arrêté qui devait réglementer la circulation et le stationnement permettra une révision complète du contenu de nos panneaux [de circulation et de stationnement].
La commissaire a jugé satisfaisante la réponse de la Ville et a fermé le dossier peu de temps après. Or, trois ans plus tard, la situation n'est toujours pas réglée.
Pour Michel Doucet, professeur émérite spécialiste en droits linguistiques, le délai accordé à la Ville par la commissaire est arrivé à échéance.
Si la Ville ne s'est pas conformée aux exigences ou à ce qu'elle s'était engagée à faire dans sa [réponse en 2022], c'est à la commissaire à ce moment-ci de faire un suivi pour s'assurer qu'il y a conformité de la part de la Ville, estime-t-il.
De son côté, la mairesse par intérim de la ville, Paulette Thériault, déplore que des panneaux unilingues anglais aient été installés dans une ville officiellement bilingue comme Moncton et qu'il n'aient pas été remplacés.
La commissaire avait certainement raison. Puis nous, comme Ville, on doit être organisés pour pouvoir s'assurer que ce genre de situation ne se reproduise pas, croit Mme Thériault.
Le Cercle acadien de la langue française invite la Ville de Moncton à accorder une prédominance au français en le plaçant en haut ou à gauche de l’anglais sur une partie des panneaux de signalisation routière qu’elle gère.
Ouvrir en mode plein écranCe panneau de stationnement a été photographié le 1er mai 2025 sur la rue King à Moncton et a depuis lors été remplacé par un panneau rédigé dans les deux langues officielles.
Ce panneau n’est pas conforme à la réglementation municipale, indique Mathieu Gérald Caissie, porte-parole et fondateur du Cercle acadien de la langue française, rencontré devant un panneau de stationnement unilingue sur la rue Portledge à Moncton.
Ouvrir en mode plein écranUn panneau de stationnement installé sur la rue Portledge à Moncton.
On y lit 2 hours en anglais seulement, sans texte équivalent en français. Il s'agit d'un manquement aux obligations linguistiques de la Ville de Moncton, estime Mathieu Gérald Caissie.
Dans cette rue, quatre autres panneaux rédigés uniquement en anglais sont installés. D'autres ont été relevés par le Cercle acadien de la langue française sur les rues Alma, Cameron et King, au centre-ville.
Interrogée à ce sujet, la Ville de Moncton explique qu'elle a retiré de ses ateliers municipaux les gabarits de panneaux unilingues qui servent à les créer afin qu'il n'y en ait pas de nouveaux d'installés.
Elle n’a toutefois aucun plan pour recenser et remplacer les panneaux unilingues installés par le passé. Elle invite plutôt ses résidents à l’aider à les localiser en remplissant un formulaire sur son site web.
Elle s’engage à les remplacer selon les signalements qu’elle recevra.
Pourtant, ce n’est pas la première fois que l’absence du français sur des panneaux de stationnement de la Ville de Moncton est dénoncée.
En janvier 2022, Shirley MacLean, la commissaire aux langues officielles du Nouveau-Brunswick, avait demandé à la Ville de remplacer tous ses panneaux de stationnement non entièrement bilingues dans un délai raisonnable.
Ouvrir en mode plein écranShirley MacLean en décembre 2023 à Fredericton lors du dévoilement de son rapport annuel.
La Ville lui a répondu quelques mois plus tard que l’adoption d’un nouvel arrêté qui devait réglementer la circulation et le stationnement permettra une révision complète du contenu de nos panneaux [de circulation et de stationnement].
La commissaire a jugé satisfaisante la réponse de la Ville et a fermé le dossier peu de temps après. Or, trois ans plus tard, la situation n'est toujours pas réglée.
Pour Michel Doucet, professeur émérite spécialiste en droits linguistiques, le délai accordé à la Ville par la commissaire est arrivé à échéance.
Si la Ville ne s'est pas conformée aux exigences ou à ce qu'elle s'était engagée à faire dans sa [réponse en 2022], c'est à la commissaire à ce moment-ci de faire un suivi pour s'assurer qu'il y a conformité de la part de la Ville, estime-t-il.
Ouvrir en mode plein écranMichel Doucet, juriste spécialisé en droits linguistiques. (Photo d'archives)
De son côté, la mairesse par intérim de la ville, Paulette Thériault, déplore que des panneaux unilingues anglais aient été installés dans une ville officiellement bilingue comme Moncton et qu'il n'aient pas été remplacés.
La commissaire avait certainement raison. Puis nous, comme Ville, on doit être organisés pour pouvoir s'assurer que ce genre de situation ne se reproduise pas, croit Mme Thériault.
Le Cercle acadien de la langue française invite la Ville de Moncton à accorder une prédominance au français en le plaçant en haut ou à gauche de l’anglais sur une partie des panneaux de signalisation routière qu’elle gère.
Politique provinciale. Danielle Smith promet un référendum en 2026. Publié à 18 h 28 HAE Danielle Smith promet un référendum en 2026La question du séparatisme pourrait y figurer
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Donald Trump, président des États-Unis. Donald Trump dit qu’il est improbable que les É.-U. annexent le Canada. Publié à 15 h 12 HAE Donald Trump dit qu’il est improbable que les É.-U. annexent le CanadaLe président américain a affirmé qu'il continuera à faire pression pour que le Canada devienne le 51e État
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Ce panneau n’est pas conforme à la réglementation municipale
porte-parole et fondateur du Cercle acadien de la langue française
rencontré devant un panneau de stationnement unilingue sur la rue Portledge à Moncton
sans texte équivalent en français
Il s'agit d'un manquement aux obligations linguistiques de la Ville de Moncton
quatre autres panneaux rédigés uniquement en anglais sont installés
D'autres ont été relevés par le Cercle acadien de la langue française sur les rues Alma
la Ville de Moncton explique qu'elle a retiré de ses ateliers municipaux les gabarits de panneaux unilingues qui servent à les créer afin qu'il n'y en ait pas de nouveaux d'installés
Elle n’a toutefois aucun plan pour recenser et remplacer les panneaux unilingues installés par le passé
Elle invite plutôt ses résidents à l’aider à les localiser en remplissant un formulaire sur son site web
Elle s’engage à les remplacer selon les signalements qu’elle recevra
ce n’est pas la première fois que l’absence du français sur des panneaux de stationnement de la Ville de Moncton est dénoncée
la commissaire aux langues officielles du Nouveau-Brunswick
avait demandé à la Ville de remplacer tous ses panneaux de stationnement non entièrement bilingues dans un délai raisonnable
La Ville lui a répondu quelques mois plus tard que l’adoption d’un nouvel arrêté qui devait réglementer la circulation et le stationnement permettra une révision complète du contenu de nos panneaux [de circulation et de stationnement]
La commissaire a jugé satisfaisante la réponse de la Ville et a fermé le dossier peu de temps après
la situation n'est toujours pas réglée
professeur émérite spécialiste en droits linguistiques
le délai accordé à la Ville par la commissaire est arrivé à échéance
Si la Ville ne s'est pas conformée aux exigences ou à ce qu'elle s'était engagée à faire dans sa [réponse en 2022]
c'est à la commissaire à ce moment-ci de faire un suivi pour s'assurer qu'il y a conformité de la part de la Ville
déplore que des panneaux unilingues anglais aient été installés dans une ville officiellement bilingue comme Moncton et qu'il n'aient pas été remplacés
on doit être organisés pour pouvoir s'assurer que ce genre de situation ne se reproduise pas
Le Cercle acadien de la langue française invite la Ville de Moncton à accorder une prédominance au français en le plaçant en haut ou à gauche de l’anglais sur une partie des panneaux de signalisation routière qu’elle gère
La question du séparatisme pourrait y figurer
Le Haut-Commissariat de l'Inde à Ottawa a identifié Vanshika Saini comme une étudiante indienne
Plusieurs questions demeurent quant à l'application des tarifs de 100 % sur les films produits hors des É.-U
Le président américain a affirmé qu'il continuera à faire pression pour que le Canada devienne le 51e État
La ministre québécoise Martine Biron a eu un échange avec le président américain au Vatican
Même si la Ville de Moncton a l'obligation de communiquer avec le public dans les deux langues officielles
plusieurs panneaux de stationnement qu'elle a installés dans ses rues ne sont qu'en anglais
C'est pourtant un problème qui avait été signalé aux autorités municipales il y a plus de trois ans
Notre chroniqueur Philippe Mercure et notre photographe François Roy traversent le pays à la rencontre des électeurs canadiens
Rita Flore Kamjom offre son regard de nouvelle arrivante sur les réalités canadiennes
de gros flocons de neige mouillée tombent sur Moncton
Je l’aborde pour lui demander si je peux lui poser quelques questions
Son cours commence dans… Elle consulte son téléphone
Elle s’est installée à Moncton avec ses quatre enfants depuis un peu plus d’un an
Et elle a bien l’intention de rester ici après ses études en traduction
l’hiver est dur par rapport à là d’où je viens
Rita Flore Kamjom ne pourra pas voter aux prochaines élections fédérales
Mais elle compte bien se reprendre aux suivantes
La rencontre donne l’occasion de recueillir le regard d’une nouvelle arrivante sur les réalités canadiennes… vues des Maritimes
Mais ce n’est pas tout le monde qui réagit comme ça avec les Noirs
Disons que je vais à l’église avec mes enfants et que je m’installe sur un banc
Si quelqu’un a laissé son portefeuille sur ce banc
Je sais qu’il faut du temps pour que les mentalités changent
Accueil Actualités Deux nouveaux projets pour améliorer le réseau de pistes cyclables à Moncton
La coordinatrice du transport actif à Moncton
Moncton a longtemps été le paradis des automobilistes
Les cyclistes étaient au mieux tolérés et au pire
perçus comme de véritables nuisances publiques
Mais le temps a fait son œuvre et les habitudes des citoyens ont changé
le transport actif a la cote et les autorités municipales tentent de s’adapter à la nouvelle réalité
le département du transport actif multiplie les actions et les projets pour permettre à ceux qui veulent se débarrasser de leur voiture de le faire
le groupe dirigé par Leslie Tse dispose d’environ un million de dollars pour améliorer la sécurité des cyclistes
Un pas de géant avait été franchi l’été dernier avec l’installation de mesures pour réduire la vitesse des voitures
l’ajout de poteaux pour séparer les pistes cyclables et l’utilisation de peinture verte plutôt voyante pour délimiter les voies réservées aux vélos
deux projets majeurs seront lancés afin de rendre la municipalité encore plus sécuritaire pour les adeptes de méthode alternative de transport et pour mieux connecter différentes parties d’un réseau qui ne cesse d’étendre ses tentacules
Le premier projet consistera à installer des cônes pour séparer les pistes cyclables de la rue sur la promenade McLaughlin
«C’est une section où on a refait le micro surfaçage l’an passé et on y a ajouté une ligne double de séparation avec la route
on va ajouter le même genre de poteaux verts qu’on a pu voir sur la promenade Killam et le boulevard Vaughan Harvey l’an dernier»
coordinatrice du transport actif à la Ville de Moncton
Ces poteaux ne seront en place que durant la belle saison et seront enlevés avant l’hiver
«Ce corridor est vraiment occupé avec notamment trois écoles (l’Odyssée
Le Mascaret et Claudette-Bradshaw) et une garderie
La promenade McLaughlin est aussi un corridor très utilisé pour les gens qui veulent se rendre à l’Université de Moncton ou à l’hôpital (CHU Dr George-L.-Dumont)»
«On a eu beaucoup de demandes pour améliorer les pistes cyclables dans ce secteur
surtout pour la sécurité des jeunes qui vont à l’école.»
la municipalité va installer des nouveaux feux de circulation à l’intersection de la promenade McLaughlin et de la rue Léopold-Belliveau
On va aussi allonger la piste cyclable jusqu’à la rue Xavier (la traverse pour piétons des écoles Le Mascaret et Claudette-Bradshaw)
Le deuxième grand projet verra le jour sur la rue St
entre l’avenue Sixth et le chemin Milner (l’entrée du parc du Centenaire)
les gens ont remarqué le changement de configuration entre Sixth et Wellington après le resurfaçage de la rue St
La voie de gauche a été enlevée pour être remplacée par une piste cyclable»
on ajoutera une ligne double pour élargir encore un peu plus la piste cyclable et on ajoutera des poteaux verts pour la séparation
le département du transport actif profitera des travaux qui seront réalisés pour améliorer le réseau de pistes cyclables dans le coin
Rappelons que le conseil municipal a autorisé un projet commercial qui comprendra notamment une station-service
un café et une épicerie la semaine dernière
un carrefour giratoire sera installé à la sortie de la Transcanadienne et on ajoutera des feux de circulation
On aménagera également des sentiers polyvalents sous les ponts afin d’améliorer la sécurité des cyclistes et des piétons
Ces ajouts permettront un meilleur accès aux sentiers du parc Mapleton et une connexion directe au futur quartier de Vision du futur juste à côté
D’autres mesures pour réduire la vitesse des voitures dans certains secteurs (comme surélever les traverses pour piétons ou des dos d’âne) seront aussi mises en place dans certains secteurs
La ville de Moncton compte présentement 44 kilomètres de pistes cyclables
Alex Mercier a tranché en prolongation
Juraj Pekarcik a totalisé un but et deux aides et les Wildcats de Moncton ont balayé les Huskies en vertu d'une victoire de 4-3
Mercier a mis un terme à cette série à 4:17 de la période supplémentaire
Il s'agissait de son deuxième but de la rencontre
Les Wildcats affronteront en finale de la Ligue de hockey junior Maritimes Québec (LHJMQ) les gagnants de la série entre l'Océanic de Rimouski et les Cataractes de Shawinigan
Ils sont en quête d'un premier titre depuis 2010
Caleb Desnoyers et Alex Mercier ont aussi touché la cible pour les Wildcats
qui n'ont perdu qu'une fois en 13 rencontres depuis le début des éliminatoires
Rudy Guimond a repoussé 32 rondelles
Alexis Lemire et Rémi Gélinas ont assuré la réplique des Huskies
tandis que Samuel Meloche a effectué 36 rondelles
Les Wildcats n'ont pas perdu de temps pour prendre les devants dans cette rencontre
alors que Desnoyers a inscrit son neuvième des éliminatoires à 4:17 du premier vingt
les Huskies se sont ressaisis après le premier entracte
Steiner a créé l'égalité après seulement 21 secondes de jeu en deuxième
puis Lemire a donné les devants aux favoris locaux à 3:41 du deuxième engagement
Les réjouissances ont toutefois été de courte durée puisque les Wildcats ont inscrit deux buts rapides avant la fin de l'engagement
Mercier a ramené les deux équipes sur un pied d'égalité avec 1:59 à écouler en deuxième lors d'une séquence en avantage numérique
puis Pekarcik a replacé les Wildcats devant à 38 secondes de l'entracte
Gélinas a ensuite forcé la tenue de la prolongation à 18:10 de la troisième période
Les Cataractes égalent la série contre l'Océanic
Isaac Ménard a inscrit son premier but des éliminatoires et les Cataractes ont gagné 3-2 en deuxième prolongation pour créer l'égalité 2-2 dans leur série contre l'Océanic
L'Océanic menait 2-0 dans cette série
Brogan McNeil et Kody Dupuis ont fait scintiller la lumière rouge pour les Cataractes
Jordan Tourigny s'est fait complice de deux buts et Mathys Fernandez a stoppé 39 lancers
Basile Sansonnens et Maxime Coursol ont marqué pour l'Océanic
William Lacelle a été bombardé de 52 tirs
Le prochain match de cette série aura lieu vendredi
L'homme a été transporté à l'hôpital. On ne craint pas pour sa vie, selon la police.
Le suspect s'est enfui des lieux du crime et n'avait pas encore été retrouvé jeudi après-midi. Les enquêteurs ont appris qu'un VUS rouge, qui pourrait être un Toyota Rav 4, a été vu s'approchant de la résidence où la victime a été blessée quelques minutes avant les coups de feu.
Un passager, qui avait le visage masqué, est sorti du véhicule et est revenu peu de temps après. Le véhicule a quitté les lieux avant l’arrivée des policiers, complète la GRC dans un communiqué publié jeudi.
La police croit qu'il s'agit d'un incident isolé et qu'il n'y a pas de danger pour le public. La GRC continue d'enquêter pour retrouver le suspect. Elle demande l'aide des résidents du quartier qui ont des caméras de vidéosurveillance.
Margaux Tertre est journaliste à Radio-Canada Acadie depuis novembre 2022. Auparavant, elle a travaillé dans plusieurs médias français. Elle est actuellement journaliste web à Moncton.
Margaux TertrePublié le 1 mai à 14 h 37 HAEMis à jour le 1 mai à 15 h 10 HAEÉcouter l’article | 2 minutesLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale, une technologie basée sur l’intelligence artificielle.Un homme de 45 ans a été blessé par balle mercredi soir sur la rue Vail, près de la promenade Elmwood à Moncton.
La GRC a été appelée sur les lieux pour une fusillade vers 18 h 30. Sur place, ils ont trouvé la victime avec des blessures qui correspondent à celles faites par une arme à feu.
L'homme a été transporté à l'hôpital. On ne craint pas pour sa vie, selon la police.
Le suspect s'est enfui des lieux du crime et n'avait pas encore été retrouvé jeudi après-midi. Les enquêteurs ont appris qu'un VUS rouge, qui pourrait être un Toyota Rav 4, a été vu s'approchant de la résidence où la victime a été blessée quelques minutes avant les coups de feu.
Un passager, qui avait le visage masqué, est sorti du véhicule et est revenu peu de temps après. Le véhicule a quitté les lieux avant l’arrivée des policiers, complète la GRC dans un communiqué publié jeudi.
La police croit qu'il s'agit d'un incident isolé et qu'il n'y a pas de danger pour le public. La GRC continue d'enquêter pour retrouver le suspect. Elle demande l'aide des résidents du quartier qui ont des caméras de vidéosurveillance.
La GRC a été appelée sur les lieux pour une fusillade vers 18 h 30
ils ont trouvé la victime avec des blessures qui correspondent à celles faites par une arme à feu
L'homme a été transporté à l'hôpital
Le suspect s'est enfui des lieux du crime et n'avait pas encore été retrouvé jeudi après-midi
Les enquêteurs ont appris qu'un VUS rouge
a été vu s'approchant de la résidence où la victime a été blessée quelques minutes avant les coups de feu
est sorti du véhicule et est revenu peu de temps après
Le véhicule a quitté les lieux avant l’arrivée des policiers
complète la GRC dans un communiqué publié jeudi
La police croit qu'il s'agit d'un incident isolé et qu'il n'y a pas de danger pour le public
La GRC continue d'enquêter pour retrouver le suspect
Elle demande l'aide des résidents du quartier qui ont des caméras de vidéosurveillance
Margaux Tertre est journaliste à Radio-Canada Acadie depuis novembre 2022
elle a travaillé dans plusieurs médias français
Elle est actuellement journaliste web à Moncton
Un homme de 45 ans a été blessé par balle mercredi soir sur la rue Vail
Accueil Actualités Moncton: un homme blessé par balle lors d’une fusillade
Un homme a été blessé par balle mercredi soir lors d’une fusillade survenue à Moncton
des agents de la GRC se sont rendus sur les lieux de l’incident qui s’est déroulé sur la rue Vail
les policiers ont retrouvé un homme de 45 ans qui avait été blessé par balle
Des ambulanciers et des pompiers du Service incendies de Moncton ont également été dépêchés sur place et ont reçu le feu vert pour se rendre sur les lieux une fois que la police est parvenue à sécuriser le secteur
La victime a été transportée à l’hôpital et son état de santé demeure inconnu pour l’instant
la GRC n’avait pas dévoilé si un suspect avait été identifié ou mis en état d’arrestation
Ici on litLe portail livres de Radio-Canada
un espace entièrement dédié à la littérature et à l'écriture
Le plus grand festival littéraire en Atlantique a pris fin dimanche
le Salon du livre de Bonaventure a été un succès pour son retour
Le lieu est conçu pour présenter le 9e art et le faire vivre
cette dystopie de la Belge Jacqueline Harpman est devenue populaire sur les réseaux sociaux
des dizaines d’auteurs d’un peu partout et des milliers de visiteurs
Le plus grand festival littéraire en Atlantique a pris fin dimanche
après 10 journées bien remplies
Cette édition 2025 a su rejoindre un public de tous les âges
selon la directrice générale Ariane Savoie
Le festival a attiré environ 6000 personnes cette année
qui a mêlé écrivains et DJs lors d’une soirée festive
Le comité organisateur se réjouit de l'accueil du public
j’ai entendu des mots [comme] renouvellement
Ariane Savoie est la directrice générale du Festival Frye
Photo : Radio-Canada/Myriam Breau Grâce à Frye
très fort dans la communauté littéraire est en train de se tisser
L’auteur louisianais Chase Cormier ne retient que du positif de sa première expérience au Festival Frye
J’adore toute l’expérience
toutes les belles rencontres que j’ai eues avec des auteurs que j’admire
Je reviendrais juste pour assister aux évènements
même si on ne m’invite pas comme auteur
Chase Cormier Photo : Radio-Canada/Myriam Breau À peine la fête littéraire clôturée
la directrice générale pense déjà à l'année prochaine
On pense à l’année prochaine depuis 6 mois
ce qui fait en sorte qu’une édition n’est jamais semblable à celle qui l’a précédée
D’après le reportage de Myriam Breau
un jeune médecin suit un destin tracé pour lui
Thomas se remémore son plus bel anniversaire : à cinq ans
sa mère lui a fait la meilleure des poutines
Comment vivent les Québécois ordinaires ayant une valeur nette de plus d'un million de dollars
L'amie de mon père raconte l'histoire de Maria
Ce nouveau roman brosse un portrait grinçant du milieu littéraire
a été le point de départ de la quête identitaire de l'autrice-compositrice-interprète
En pleine promotion pour son ouvrage Le rêve de Marc Aurèle
Frédéric Lenoir plaide pour l'initiation des enfants à la philosophie
Ce rendez-vous donne une place à la littérature
mais aussi à la création et aux arts sous toutes leurs formes
Mariana Mazza rencontre différentes personnes de l’industrie littéraire
allant des artistes qui lui présentent leur bibliothèque aux ..
Lilia Hassaine propose un rendez-vous littéraire en partenariat avec les médias francophones publics
Karyne Lefebvre plonge au cœur de l'univers littéraire d'un auteur ou d'une autrice ou encore d'une personnalité
Sébastien Dulude et Guy Marchamps parlent de l'écriture de poèmes
Le texte de Michel Trépanier a séduit le jury
La liste préliminaire du Prix de la nouvelle Radio-Canada 2025 est dévoilée
Plus de 300 artistes investiront la rue Saint-Denis du 23 au 25 mai pour le 14e Festival BD de Montréal
La prochaine saison de Duceppe proposera aussi des pièces de Catherine-Anne Toupin et de Nathalie Doummar
Richard Ste-Marie fait se rencontrer deux de ses personnages principaux
Plus de 10 000 personnes ont pris part aux activités
Prix de la création Voir cette section
Combat des livres jeunesse Voir cette section
Combat national des livres Voir cette section
Accueil Actualités Un homme grièvement blessé dans une collision avec un véhicule de la GRC à Moncton
L’équipe d’intervention en cas d’incident grave (SiRT) a ouvert une enquête après qu’un homme a subi de graves blessures lors d’une collision impliquant un véhicule de la GRC
l’incident s’est produit alors que des agents de la GRC répondaient à un appel concernant un conducteur possiblement en état d’ébriété
un véhicule de la GRC est entré en collision avec une voiture sur le chemin Upper Mountain
qui n’était pas lié à l’intervention policière en cours
a été gravement blessé et transporté à l’hôpital
Un agent de la GRC a également été hospitalisé pour des blessures mineures
En raison de la gravité des blessures subies par la personne civile
la SiRT – l’organisme chargé d’enquêter sur les incidents graves impliquant des policiers au Nouveau-Brunswick et en Nouvelle-Écosse – a pris en charge l’enquête
La SiRT intervient notamment dans les cas de décès
d’agression sexuelle ou de violence entre partenaires intimes liés à des actions policières
L’organisme agit de façon indépendante sous la direction d’une directrice civile qui détient le pouvoir exclusif de recommander ou non le dépôt d’accusations à la suite de ses enquêtes
les Monctonniens ont eu fort à faire pour remporter la victoire
à 4 min 17 secondes en prolongation
l'attaquant a été choisi la deuxième étoile du match
Il avait permis aux siens de combler le retard de 2 à 1 en deuxième période
alors que Moncton semblait en difficulté
les Wildcats ont travaillé d'arrache-pied pour obtenir la victoire
Ce n'est pas facile de jouer contre l'une des quatre meilleures équipes de la ligue et de gagner en quatre parties, fait remarquer le mentor. Trois des quatre duels se sont conclus par un but d'écart.
Il ajoute que, pour réussir, il faut trouver une façon de gagner. L'important est de repartir avec le gain.
Moncton a gagné 27 de ses 28 dernières joutes, dont 15 de suite en fin de saison.
Alex Mercier explique que l'équipe ne regarde pas trop en avant.
On a pris la série une partie à la fois, affirme-t-il, en utilisant l'un des plus vieux clichés du monde du sport. C'est un bon feeling.
De retour à la maison, les Wildcats vont prendre un peu de repos avant de recommencer à s'entraîner.
C'est bon de gagner en quatre parties, car on pourra récupérer, souligne Gardiner MacDougall.
Moncton commencera la série à domicile, mais ne connaît pas encore son adversaire. L'autre demi-finale entre Shawinigan et Rimouski est à égalité 2 à 2 et se terminera au plus tôt le 4 mai.
La finale ne devrait pas commencer avant le 10 mai parce que le Centre Avenir est occupé par le spectacle musical Come from away, du 7 au 9 mai.
Si Rimouski devait se qualifier pour la finale, Moncton serait assuré de participer au tournoi de la coupe Mémorial, car l'Océanic est l'équipe hôtesse de l'événement.
Si Shawinigan battait Rimouski en demi-finale, les Wildcats devraient absolument remporter le Trophée Gilles-Courteau afin d'obtenir son billet pour le championnat national.
La dernière participation des Wildcats pour le championnat des séries remonte au printemps 2010. Ils avaient défait les Sea Dogs de Saint-Jean en 6 parties.
Moncton a remporté le titre des séries de la LHJMQ en 2006 et en 2010.
Journaliste spécialisé en sports pour Radio-Canada depuis des années, François Le Blanc suit le parcours des athlètes, des entraîneurs et des équipes sportives de l'Atlantique.
Ouvrir en mode plein écranÉtienne Morin, à droite, pourchasse Lars Steiner, des Huskies, lors du 4e match de la finale de la LHJMQ.
Photo : Jean Lapointe / Huskies de Rouyn-Noranda
François Le BlancPublié le 1 mai à 13 h 46 HAEÉcouter l’articleLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale
une technologie basée sur l’intelligence artificielle.Pour la première fois depuis 2010
les Wildcats de Moncton participeront à la finale de la Ligue de hockey junior Maritimes Québec (LHJMQ)
Ils se sont qualifiés en balayant les coriaces Huskies de Rouyn-Noranda en quatre parties lors de la demi-finale
les Monctonniens ont eu fort à faire pour remporter la victoire
l'attaquant a été choisi la deuxième étoile du match
Il avait permis aux siens de combler le retard de 2 à 1 en deuxième période
les Wildcats ont travaillé d'arrache-pied pour obtenir la victoire
Il ajoute que, pour réussir, il faut trouver une façon de gagner. L'important est de repartir avec le gain.
Moncton a gagné 27 de ses 28 dernières joutes, dont 15 de suite en fin de saison.
Ouvrir en mode plein écranDyllan Gill (en blanc, au centre) porte les couleurs des Wildcats, mais il est toujours très apprécié à Rouyn-Noranda. Il a reçu les félicitations de plusieurs de ses anciens coéquipiers.
Photo : Radio-Canada / Jean-Michel Cotnoir
Alex Mercier explique que l'équipe ne regarde pas trop en avant.
On a pris la série une partie à la fois, affirme-t-il, en utilisant l'un des plus vieux clichés du monde du sport. C'est un bon feeling.
De retour à la maison, les Wildcats vont prendre un peu de repos avant de recommencer à s'entraîner.
C'est bon de gagner en quatre parties, car on pourra récupérer, souligne Gardiner MacDougall.
Moncton commencera la série à domicile, mais ne connaît pas encore son adversaire. L'autre demi-finale entre Shawinigan et Rimouski est à égalité 2 à 2 et se terminera au plus tôt le 4 mai.
La finale ne devrait pas commencer avant le 10 mai parce que le Centre Avenir est occupé par le spectacle musical Come from away, du 7 au 9 mai.
Ouvrir en mode plein écranLe Centre Avenir ne sera pas disponible avant le 10 mai pour les Wildcats.
Si Rimouski devait se qualifier pour la finale, Moncton serait assuré de participer au tournoi de la coupe Mémorial, car l'Océanic est l'équipe hôtesse de l'événement.
Si Shawinigan battait Rimouski en demi-finale, les Wildcats devraient absolument remporter le Trophée Gilles-Courteau afin d'obtenir son billet pour le championnat national.
La dernière participation des Wildcats pour le championnat des séries remonte au printemps 2010. Ils avaient défait les Sea Dogs de Saint-Jean en 6 parties.
Moncton a remporté le titre des séries de la LHJMQ en 2006 et en 2010.
Mercredi soir, encore une fois
Ce n'est pas facile de jouer contre l'une des quatre meilleures équipes de la ligue et de gagner en quatre parties, fait remarquer le mentor. Trois des quatre duels se sont conclus par un but d'écart
Moncton a gagné 27 de ses 28 dernières joutes
On a pris la série une partie à la fois
en utilisant l'un des plus vieux clichés du monde du sport
les Wildcats vont prendre un peu de repos avant de recommencer à s'entraîner
Moncton commencera la série à domicile
mais ne connaît pas encore son adversaire
L'autre demi-finale entre Shawinigan et Rimouski est à égalité 2 à 2 et se terminera au plus tôt le 4 mai
La finale ne devrait pas commencer avant le 10 mai parce que le Centre Avenir est occupé par le spectacle musical Come from away
Si Rimouski devait se qualifier pour la finale
Moncton serait assuré de participer au tournoi de la coupe Mémorial
car l'Océanic est l'équipe hôtesse de l'événement
Si Shawinigan battait Rimouski en demi-finale
les Wildcats devraient absolument remporter le Trophée Gilles-Courteau afin d'obtenir son billet pour le championnat national
La dernière participation des Wildcats pour le championnat des séries remonte au printemps 2010
Ils avaient défait les Sea Dogs de Saint-Jean en 6 parties
Moncton a remporté le titre des séries de la LHJMQ en 2006 et en 2010
Journaliste spécialisé en sports pour Radio-Canada depuis des années
François Le Blanc suit le parcours des athlètes
des entraîneurs et des équipes sportives de l'Atlantique
Mercredi soir, encore une fois
Ce n'est pas facile de jouer contre l'une des quatre meilleures équipes de la ligue et de gagner en quatre parties, fait remarquer le mentor. Trois des quatre duels se sont conclus par un but d'écart
Accueil Actualités Les étudiants de l’Université de Moncton face à des hausses «insensées»
L’Université de Moncton va de nouveau augmenter de 3% ses droits de scolarité l’an prochain
la décision est mal accueillie par les étudiants
dans le cadre de l’adoption du budget de fonctionnement 2025-2026 par le Conseil de l’Université
Un léger surplus de 141 000$ est attendu pour cet exercice
réagit la présidente de la Fédération étudiante du campus universitaire de Moncton (FÉCUM) Emma Raphaelle
Présente lors de la réunion du Conseil de l’Université
Elle n’hésite pas à parler de hausses «insensées»
car ce ne sont pas que les frais de scolarité qui vont devenir plus salés
«Il y a une augmentation des frais connexes de 20% en sciences infirmières
Et une augmentation du prix du stationnement plus importante pour les étudiants que pour les membres du corps professoral.»
La FÉCUM juge que cette hausse était prévisible et représente «l’option facile» pour l’institution d’enseignement
les droits de scolarité avaient augmenté de 3% cette année
un étudiant canadien payait 8029$ en droits de scolarité
ils devront respectivement débourser 241$ et 441$ supplémentaires
La nouvelle ne s’était pas encore répandue dans les couloirs du Centre étudiant de l’Université lundi en début d’après-midi: c’est l’Acadie Nouvelle qui a appris à plusieurs étudiants que leurs frais de scolarité allaient augmenter l’an prochain
Mais les quelques personnes questionnées étaient unanimement opposées à cette idée
il fera partie des personnes les plus affectées et ne comprend pas la justification de ces hausses répétées
Ce serait la responsabilité de l’Université de faire un effort pour rendre ça plus abordable pour les étudiants.»
La FÉCUM a justement des idées d’«efforts» que l’Université pourrait faire
«Plusieurs membres du corps professoral doivent faire du travail administratif
et il reçoivent ce qu’on appelle des crédits de dégrèvement pour cela
Sauf qu’on est énormément au-dessus de la quantité maximale de crédits prévue dans la convention collective
C’est une dépense énorme qui ne devrait pas être faite.»
les crédits de dégrèvement représentent 5,3 millions $
mais la présidente de la FÉCUM n’a pas réussi à savoir quelle partie de cette somme était concernée
«J’aimerais vraiment que les gouverneurs réalisent que le public-cible de l’Université de Moncton
Il faudrait commencer à un moment ou à un autre à prioriser leurs besoins»
Selon le vice-recteur à l’administration et aux ressources humaines Gabriel Cormier
l’Université de Moncton n’a pas le choix d’aller chercher davantage d’argent dans les poches des étudiants
«On n’est pas à l’abri de l’augmentation de nos coûts nous non plus
Notre facture d’électricité au campus de Moncton a monté de 325 000$…»
L’Université prévoit aussi une diminution des inscriptions l’an prochain
Gabriel Cormier estime donc que les étudiants continueront d’assumer la même part du budget de l’institution
Il rappelle que l’Université de Moncton propose encore les droits de scolarité les moins élevés au Nouveau-Brunswick
et que le budget de bourses a été bonifié de près de 600 000$ au campus de Moncton
alors qu’«on a des investissements à faire en infrastructures»
dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"L’augmentation de 3 % l'an prochain équivaut à 240,87 $ par année de plus pour les étudiants canadiens
La facture est encore plus salée pour les étudiants étrangers
qui devront débourser 441,42 $ supplémentaires
Cette hausse porte les droits de scolarité des étudiantes canadiens à 8269 $ pour l’année scolaire 2024-2025 à l’Université de Moncton et à 15 155 $ pour les étudiants étrangers
Le vice-recteur à l’administration et aux ressources humaines
explique que l'augmentation est nécessaire afin de pallier l’inflation
l’achat de matériel et de services
et d'assurer un budget équilibré
Plus des trois quarts du budget de l’université servent aux salaires
On n’est pas à l’abri de l’augmentation des coûts
Nos salaires augmentent […] Avec les hausses d’Énergie NB
notre facture d’électricité a monté de 325 000 $
Gabriel Cormier rappelle que l’Université de Moncton a encore les frais de scolarité les moins élevés de la province
On essaie de garder la hausse le plus bas possible
La plupart des autres universités au Nouveau-Brunswick ont fait du 3,5 %
du 4 % ou du 5 % les dernières années
Le budget 2025-2026 prévoit aussi des bonifications pour les services aux étudiants
incluant des bourses et de l'accompagnement pédagogique
le budget des bourses au campus de Moncton augmentera de 600 000 $
mais on a quand même investi certaines portions dans des bourses
La Fédération étudiante du campus de l’Université de Moncton (FÉCUM) dénonce vivement cette hausse des frais de scolarité
ça peut faire une immense différence dans la vie des étudiants
dit la présidente Emma Raphaëlle
Les étudiants trouvent cela vraiment déplorable
Ils viennent nous voir tout le temps pour nous parler de cela et savoir ce qu’on fait concrètement pour débattre de ces frais de scolarité là
La FÉCUM qualifie l’augmentation des frais d’inscription d’option facile et clame que d’autres avenues auraient été envisageables pour équilibrer le budget
L'une d'elles aurait été de réduire le nombre de crédits de dégrèvement
actuellement en surutilisation au sein de l’institution
Ces crédits – qui engendrent des coûts additionnels – sont accordés pour libérer le personnel enseignant des classes afin d'effectuer d'autres tâches
La FÉCUM évalue que la valeur de ces crédits représente actuellement plus de 5,3 millions de dollars par année
Il y a certains départements où à trois [employés]
Ce n’est pas bien géré et ce n’est pas conforme à la convention collective qui a été signée
Radio-Canada a fait une demande d’entrevue à l’Association des bibliothécaires
professeures et professeurs de l’Université de Moncton (ABPPUM)
mais n’avait pas eu de réponse au moment de l’écriture de cet article
Interrogé pour savoir si l’option de la réduction de crédits de dégrèvement était envisageable
le vice-recteur Gabriel Cormier atteste que ce genre de changement ne se fait pas du jour au lendemain
C’est quelque chose qu’on explore
Il y a du travail à faire sur ce plan-là
Les étudiants étrangers accusent le coup
Ce sont eux qui seront le plus touchés par l'augmentation de la rentrée prochaine
D'autant plus que ce ne sont pas les seuls coûts en hausse
Il y a le coût de l’épicerie ou même du loyer pour certaines personnes
alors c’est quand même une augmentation significative par rapport aux étudiants canadiens
déplore la présidente de l’Association des étudiants internationaux au campus universitaire de Moncton
C’est devenu un cercle vicieux. Ça fait plusieurs années que ça se reproduit, dit Jovial Orlachi Osundu. On n’arrive pas à expliquer ce qui le justifie.
Pascale Savoie-Brideau est journaliste à Radio-Canada Acadie depuis 2019. Elle couvre l'actualité des quatre provinces de l'Atlantique.
Ouvrir en mode plein écranLe budget 2025-2026 de l’Université de Moncton, adopté le 12 avril, affiche un surplus de 141 000 $ qui sera réparti entre les trois campus.
L’augmentation de 3 % l'an prochain équivaut à 240,87 $ par année de plus pour les étudiants canadiens
La facture est encore plus salée pour les étudiants étrangers
qui devront débourser 441,42 $ supplémentaires
Cette hausse porte les droits de scolarité des étudiantes canadiens à 8269 $ pour l’année scolaire 2024-2025 à l’Université de Moncton et à 15 155 $ pour les étudiants étrangers
Le vice-recteur à l’administration et aux ressources humaines
explique que l'augmentation est nécessaire afin de pallier l’inflation
Plus des trois quarts du budget de l’université servent aux salaires
On n’est pas à l’abri de l’augmentation des coûts
Nos salaires augmentent […] Avec les hausses d’Énergie NB
notre facture d’électricité a monté de 325 000 $
Ouvrir en mode plein écranGabriel Cormier rappelle que l'inflation touche également les universités
Gabriel Cormier rappelle que l’Université de Moncton a encore les frais de scolarité les moins élevés de la province
La plupart des autres universités au Nouveau-Brunswick ont fait du 3,5 %
Le budget 2025-2026 prévoit aussi des bonifications pour les services aux étudiants
incluant des bourses et de l'accompagnement pédagogique
le budget des bourses au campus de Moncton augmentera de 600 000 $
mais on a quand même investi certaines portions dans des bourses
La Fédération étudiante du campus de l’Université de Moncton (FÉCUM) dénonce vivement cette hausse des frais de scolarité
ça peut faire une immense différence dans la vie des étudiants
Les étudiants trouvent cela vraiment déplorable
Ils viennent nous voir tout le temps pour nous parler de cela et savoir ce qu’on fait concrètement pour débattre de ces frais de scolarité là
Ouvrir en mode plein écranEmma Raphaëlle a participé à la réunion du conseil
pour dénoncer vivement les 3 % et faire valoir la parole étudiante
La FÉCUM qualifie l’augmentation des frais d’inscription d’option facile et clame que d’autres avenues auraient été envisageables pour équilibrer le budget
L'une d'elles aurait été de réduire le nombre de crédits de dégrèvement
actuellement en surutilisation au sein de l’institution
Ces crédits – qui engendrent des coûts additionnels – sont accordés pour libérer le personnel enseignant des classes afin d'effectuer d'autres tâches
La FÉCUM évalue que la valeur de ces crédits représente actuellement plus de 5,3 millions de dollars par année
Il y a certains départements où à trois [employés]
Ce n’est pas bien géré et ce n’est pas conforme à la convention collective qui a été signée
Radio-Canada a fait une demande d’entrevue à l’Association des bibliothécaires
professeures et professeurs de l’Université de Moncton (ABPPUM)
mais n’avait pas eu de réponse au moment de l’écriture de cet article
Interrogé pour savoir si l’option de la réduction de crédits de dégrèvement était envisageable
Ce sont eux qui seront le plus touchés par l'augmentation de la rentrée prochaine
D'autant plus que ce ne sont pas les seuls coûts en hausse
Il y a le coût de l’épicerie ou même du loyer pour certaines personnes
alors c’est quand même une augmentation significative par rapport aux étudiants canadiens
déplore la présidente de l’Association des étudiants internationaux au campus universitaire de Moncton
Ouvrir en mode plein écranJovial Orlachi Osundu dit que plusieurs étudiants ont communiqué avec son association pour manifester leur mécontentement
C’est devenu un cercle vicieux. Ça fait plusieurs années que ça se reproduit, dit Jovial Orlachi Osundu. On n’arrive pas à expliquer ce qui le justifie.
L’augmentation de 3 % l'an prochain équivaut à 240,87 $ par année de plus pour les étudiants canadiens
Ça fait plusieurs années que ça se reproduit
On n’arrive pas à expliquer ce qui le justifie
Pascale Savoie-Brideau est journaliste à Radio-Canada Acadie depuis 2019
Elle couvre l'actualité des quatre provinces de l'Atlantique
L’Université de Moncton a adopté son budget pour l’année 2025-2026, samedi, en affichant un surplus de 141 000 $. À la rentrée scolaire prochaine, les étudiants seront frappés par une hausse de 3 % des droits de scolarité, pour une deuxième année d'affilée
dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"Dans un courriel aux parents
le District scolaire francophone Sud (DSFS) explique que cette décision n’a pas été prise facilement
car ces jeunes musiciens ont mis beaucoup d’efforts à préparer ce voyage
Ils devaient participer au festival international Heritage Festival à New York
explique que le district est responsable de la sécurité des élèves et des membres du personnel pendant ces voyages
Dans le contexte sociopolitique actuel aux États-Unis
nous ne voulons courir aucun risque pouvant compromettre leur sécurité ni les exposer à des situations potentiellement imprévisibles
Elle ajoute avoir eu des discussions avec le ministère de l’Éducation et du Développement de la petite enfance
nous avons jugé plus prudent de suspendre ce déplacement
Le DSFS a envoyé des déclarations similaires par courriel à Radio-Canada
mais a refusé une demande d'entrevue pour s'expliquer plus en détail
Le ministère de l'Éducation n'a pas répondu à notre demande de commentaire
Dans un point de presse consacré à un autre sujet
la première ministre confirme qu'il n'y a pas à l'heure actuelle de directive du gouvernement d'annuler les voyages scolaires vers les États-Unis
Susan Holt souhaite laisser la décision aux écoles et aux districts
Le voyage des élèves de l’harmonie de l’école L’Odyssée était le seul voyage du district scolaire prévu aux États-Unis
Radio-Canada a rencontré mercredi quelques élèves de cet orchestre, qui avaient appris la nouvelle la veille.
C’est décevant. C’est neuf jours avant le voyage, c’est déjà planifié, payé! soutient Sadie MacMillan.
C’était vraiment une surprise quand on a eu le message. Et quand ils nous l’ont dit aussi hier [mardi], c'était le 1er avril, on pensait tous que c’était un poisson d’avril, explique Olivia Mackinnon.
Selon Abriel Henry Seebach, les élèves n’étaient pas inquiets à l'idée de se rendre aux États-Unis.
Pour la majorité des gens, je ne crois pas vraiment que c’était une préoccupation. Beaucoup plus pour les parents : il y a eu des sentiments de crainte par rapport à ça, dit-il.
Certains élèves de 12e année en sont à leur dernière année avec l’orchestre et sont déçus de voir que cette occasion leur échappe. Ils auraient aimé être consultés dans le processus décisionnel. Ils espèrent que d’autres festivals de musique au pays pourront les accueillir avant la fin de l’année scolaire.
Shawn Amberman est parent d'un des élèves de l'harmonie. Il regrette que la décision du district ait été prise unilatéralement.
Idéalement, les parents des musiciens de L’Odyssée, on aurait aimé être consultés, être un peu au courant des risques avant qu’une décision soit prise, explique-t-il, déçu.
Il aurait aimé que la décision d'envoyer les élèves soit prise par les familles, au cas par cas. Il déplore que les jeunes soient privés de ce qu'il qualifie d'occasion inédite d'apprentissage.
Dans une lettre adressée à la directrice générale du District, le député de la circonscription où se trouve l'école, le libéral Alexandre Cédric Doucet écrit que la décision du district le fait sourciller.
Il demande au District de revenir sur sa décision. Alors qu’il est vrai que la situation géopolitique est inquiétante, nous ne pouvons pas [nous] permettre d’empêcher aux enfants de participer à cet événement, et ce, surtout que la décision a été faite sans consultation auprès des parents.
Avec les informations de Katherina Boucher
Marie-Emma Parenteau est rédactrice au web pour ICI Acadie depuis trois ans. Elle a travaillé dans la région de Campbellton. Elle est maintenant établie dans la Péninsule acadienne.
3:11L'école L'Odyssée à Moncton (Photo d'archives)
Marie-Emma ParenteauPublié le 2 avril à 15 h 00 HAEMis à jour le 2 avril à 18 h 51 HAEÉcouter l’article | 5 minutesLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale
une technologie basée sur l’intelligence artificielle.Quelques jours avant leur départ
les élèves de l’harmonie de l’école L’Odyssée de Moncton ont appris qu'ils ne pourront finalement pas se rendre à New York
en raison du contexte politique avec les États-Unis
le District scolaire francophone Sud (DSFS) explique que cette décision n’a pas été prise facilement
car ces jeunes musiciens ont mis beaucoup d’efforts à préparer ce voyage
Ils devaient participer au festival international Heritage Festival à New York
explique que le district est responsable de la sécurité des élèves et des membres du personnel pendant ces voyages
Dans le contexte sociopolitique actuel aux États-Unis
nous ne voulons courir aucun risque pouvant compromettre leur sécurité ni les exposer à des situations potentiellement imprévisibles
Ouvrir en mode plein écranMonique Boudreau
directrice générale du District scolaire francophone Sud (Photo d'archives)
Elle ajoute avoir eu des discussions avec le ministère de l’Éducation et du Développement de la petite enfance
nous avons jugé plus prudent de suspendre ce déplacement
Le DSFS a envoyé des déclarations similaires par courriel à Radio-Canada
mais a refusé une demande d'entrevue pour s'expliquer plus en détail
Le ministère de l'Éducation n'a pas répondu à notre demande de commentaire
Dans un point de presse consacré à un autre sujet
la première ministre confirme qu'il n'y a pas à l'heure actuelle de directive du gouvernement d'annuler les voyages scolaires vers les États-Unis
Susan Holt souhaite laisser la décision aux écoles et aux districts
Le voyage des élèves de l’harmonie de l’école L’Odyssée était le seul voyage du district scolaire prévu aux États-Unis
Radio-Canada a rencontré mercredi quelques élèves de cet orchestre, qui avaient appris la nouvelle la veille.
C’est décevant. C’est neuf jours avant le voyage, c’est déjà planifié, payé! soutient Sadie MacMillan.
C’était vraiment une surprise quand on a eu le message. Et quand ils nous l’ont dit aussi hier [mardi], c'était le 1er avril, on pensait tous que c’était un poisson d’avril, explique Olivia Mackinnon.
Ouvrir en mode plein écranCertains élèves de l'harmonie de l'école L'Odyssée de Moncton. Ils ont appris mardi la «mauvaise nouvelle», soit l'annulation de leur voyage vers New York la semaine prochaine.
Selon Abriel Henry Seebach, les élèves n’étaient pas inquiets à l'idée de se rendre aux États-Unis.
Pour la majorité des gens, je ne crois pas vraiment que c’était une préoccupation. Beaucoup plus pour les parents : il y a eu des sentiments de crainte par rapport à ça, dit-il.
Certains élèves de 12e année en sont à leur dernière année avec l’orchestre et sont déçus de voir que cette occasion leur échappe. Ils auraient aimé être consultés dans le processus décisionnel. Ils espèrent que d’autres festivals de musique au pays pourront les accueillir avant la fin de l’année scolaire.
Shawn Amberman est parent d'un des élèves de l'harmonie. Il regrette que la décision du district ait été prise unilatéralement.
Idéalement, les parents des musiciens de L’Odyssée, on aurait aimé être consultés, être un peu au courant des risques avant qu’une décision soit prise, explique-t-il, déçu.
Ouvrir en mode plein écranShawn Amberman regrette que les parents n'aient pas été plus consultés dans la décision du district d'annuler le voyage de son enfant à New York.
Il aurait aimé que la décision d'envoyer les élèves soit prise par les familles, au cas par cas. Il déplore que les jeunes soient privés de ce qu'il qualifie d'occasion inédite d'apprentissage.
Dans une lettre adressée à la directrice générale du District, le député de la circonscription où se trouve l'école, le libéral Alexandre Cédric Doucet écrit que la décision du district le fait sourciller.
Il demande au District de revenir sur sa décision. Alors qu’il est vrai que la situation géopolitique est inquiétante, nous ne pouvons pas [nous] permettre d’empêcher aux enfants de participer à cet événement, et ce, surtout que la décision a été faite sans consultation auprès des parents.
Radio-Canada a rencontré mercredi quelques élèves de cet orchestre
C’est neuf jours avant le voyage
C’était vraiment une surprise quand on a eu le message
Et quand ils nous l’ont dit aussi hier [mardi]
on pensait tous que c’était un poisson d’avril
les élèves n’étaient pas inquiets à l'idée de se rendre aux États-Unis
je ne crois pas vraiment que c’était une préoccupation
Beaucoup plus pour les parents : il y a eu des sentiments de crainte par rapport à ça
Certains élèves de 12e année en sont à leur dernière année avec l’orchestre et sont déçus de voir que cette occasion leur échappe
Ils auraient aimé être consultés dans le processus décisionnel
Ils espèrent que d’autres festivals de musique au pays pourront les accueillir avant la fin de l’année scolaire
Shawn Amberman est parent d'un des élèves de l'harmonie
Il regrette que la décision du district ait été prise unilatéralement
les parents des musiciens de L’Odyssée
on aurait aimé être consultés
être un peu au courant des risques avant qu’une décision soit prise
Il aurait aimé que la décision d'envoyer les élèves soit prise par les familles
Il déplore que les jeunes soient privés de ce qu'il qualifie d'occasion inédite d'apprentissage
Dans une lettre adressée à la directrice générale du District
le député de la circonscription où se trouve l'école
le libéral Alexandre Cédric Doucet écrit que la décision du district le fait sourciller
Il demande au District de revenir sur sa décision
Alors qu’il est vrai que la situation géopolitique est inquiétante
nous ne pouvons pas [nous] permettre d’empêcher aux enfants de participer à cet événement
surtout que la décision a été faite sans consultation auprès des parents
Marie-Emma Parenteau est rédactrice au web pour ICI Acadie depuis trois ans
Elle a travaillé dans la région de Campbellton
Elle est maintenant établie dans la Péninsule acadienne
les élèves de l’harmonie de l’école L’Odyssée de Moncton ont appris qu'ils ne pourront finalement pas se rendre à New York
Le voyage à New York de l’harmonie de l’école L’Odyssée de Moncton est annulé par le district scolaire qui avance des raisons de sécurité
dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"L’institut Fraser a comparé
les taux de crimes violents et de crimes contre les biens par 100 000 habitants dans les principales zones urbaines du Canada et des États-Unis
se basant sur des données pour la période de 2019-2022
Moncton arrive au 2e rang du classement des villes en Atlantique et en Nouvelle-Angleterre ayant le plus haut taux de crimes violents
Saint-Jean à Terre-Neuve-et-Labrador occupe le 9e rang et Saint-Jean au Nouveau-Brunswick
directeur général de Downtown Moncton centre-ville
n’est pas surpris de ces données
C’est sûr qu’avec des projets de grandes villes, viennent des problèmes de grandes villes.
On a vu une hausse des vols à l'étalage, particulièrement dans les entreprises au centre-ville, le vandalisme et ces choses-là. Oui, ça c'est vraiment un problème.
Patrick Richard ajoute que les entreprises choisissent de modifier leurs heures d’ouverture, surtout en soirée, ou doivent embaucher plus de personnels pour faire face à cette violence.
Selon cette étude de l’Institut Fraser, Moncton arrive en tête de classement des crimes contre les biens, en Atlantique et en Nouvelle-Angleterre.
Marcel Robichaud habite au centre-ville. Il n’est pas surpris d'entendre les résultats de cette étude. L’été dernier, il s’est fait voler deux bicyclettes.
Autant c’était choquant, mais ça fait un peu partie de la vie d’être dans le centre-ville, dit-il en ajoutant qu’il essaie aussi de ne pas oublier de verrouiller sa voiture.
Des fois, si tu oublies de barrer la porte de l’auto, ils vont voler ce qu’ils peuvent, que ça soit du change ou des petits items, [...] ça nous est arrivé de temps en temps.
Mohammed Chehaibi est chauffeur de taxi depuis 2015. Il explique que la ville a bien changé depuis ce temps, par sa population et ses infrastructures.
Le mois passé, quelqu’un a embarqué dans la voiture et a pris tous les papiers et une tablette [...] heureusement il n'a pas brisé aucune chose, dit-il en ajoutant que quelqu’un a aussi déjà cassé la vitre de la porte de son taxi.
Dans une déclaration, la GRC du Nouveau-Brunswick émet des réserves sur la façon de comparer la criminalité entre différentes juridictions et ici, deux pays distincts.
Elle affirme que les statistiques analysées par l’Institut Fraser peuvent être affectées par les façons différentes que les forces policières traitent des infractions.
Par exemple, certaines juridictions peuvent traiter certaines infractions en utilisant des règlements municipaux ou d'autres dispositions provinciales, plutôt que des infractions au Code criminel, écrit l’inspecteur Jonathan White, officier responsable des opérations au détachement de Codiac de la GRC.
Toutefois, le plus récent rapport de la GRC montre que les signalements sont à la hausse à Moncton, avec 7173 incidents signalés depuis le début de l’année, comparativement à 6668 pour la même période en 2024.
Le nombre de signalements augmente d'année en année. Il est passé de 36 104 en 2019 à 43 893 en 2023, pour la GRC Codiac.
L’inspecteur White ajoute que comme beaucoup d’autres régions du pays, la région de Moncton est confrontée à plusieurs problèmes complexes, comme la hausse de l'itinérance, la toxicomanie et les problèmes de santé mentale.
La GRC encourage la population à signaler tout incident et affirme prendre tous les appels au sérieux, pour identifier les tendances et allouer les ressources de manière efficace.
D’après les informations de Rachel Gauvin
2:44Moncton occupe le 2e rang en Atlantique et en Nouvelle-Angleterre ayant le plus haut taux de crimes violents.
Marie-Emma ParenteauPublié le 2 avril à 4 h 59 HAEÉcouter l’article | 5 minutesLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale
une technologie basée sur l’intelligence artificielle.Une récente étude de l’Institut Fraser montre que Moncton fait piètre figure en termes de violence
L'organisme a analysé la criminalité entre différentes villes canadiennes et américaines
mais la GRC du Nouveau-Brunswick émet des réserves quant aux résultats
les taux de crimes violents et de crimes contre les biens par 100 000 habitants dans les principales zones urbaines du Canada et des États-Unis
se basant sur des données pour la période de 2019-2022
Moncton arrive au 2e rang du classement des villes en Atlantique et en Nouvelle-Angleterre ayant le plus haut taux de crimes violents
Saint-Jean à Terre-Neuve-et-Labrador occupe le 9e rang et Saint-Jean au Nouveau-Brunswick
directeur général de Downtown Moncton centre-ville
directeur général de Downtown Moncton Centre-ville
C’est sûr qu’avec des projets de grandes villes, viennent des problèmes de grandes villes.
On a vu une hausse des vols à l'étalage, particulièrement dans les entreprises au centre-ville, le vandalisme et ces choses-là. Oui, ça c'est vraiment un problème.
Patrick Richard ajoute que les entreprises choisissent de modifier leurs heures d’ouverture, surtout en soirée, ou doivent embaucher plus de personnels pour faire face à cette violence.
Selon cette étude de l’Institut Fraser, Moncton arrive en tête de classement des crimes contre les biens, en Atlantique et en Nouvelle-Angleterre.
Marcel Robichaud habite au centre-ville. Il n’est pas surpris d'entendre les résultats de cette étude. L’été dernier, il s’est fait voler deux bicyclettes.
Ouvrir en mode plein écranMarcel Robichaud, résident du centre-ville de Moncton, s'est fait voler récemment deux bicyclettes dans sa résidence.
Autant c’était choquant, mais ça fait un peu partie de la vie d’être dans le centre-ville, dit-il en ajoutant qu’il essaie aussi de ne pas oublier de verrouiller sa voiture.
Des fois, si tu oublies de barrer la porte de l’auto, ils vont voler ce qu’ils peuvent, que ça soit du change ou des petits items, [...] ça nous est arrivé de temps en temps.
Mohammed Chehaibi est chauffeur de taxi depuis 2015. Il explique que la ville a bien changé depuis ce temps, par sa population et ses infrastructures.
Le mois passé, quelqu’un a embarqué dans la voiture et a pris tous les papiers et une tablette [...] heureusement il n'a pas brisé aucune chose, dit-il en ajoutant que quelqu’un a aussi déjà cassé la vitre de la porte de son taxi.
Dans une déclaration, la GRC du Nouveau-Brunswick émet des réserves sur la façon de comparer la criminalité entre différentes juridictions et ici, deux pays distincts.
Ouvrir en mode plein écranDepuis le début de l'année, le détachement Codiac de la GRC, qui couvre le Grand Moncton, a enregistré 7173 incidents signalés. (Photo d'archives)
Elle affirme que les statistiques analysées par l’Institut Fraser peuvent être affectées par les façons différentes que les forces policières traitent des infractions.
Par exemple, certaines juridictions peuvent traiter certaines infractions en utilisant des règlements municipaux ou d'autres dispositions provinciales, plutôt que des infractions au Code criminel, écrit l’inspecteur Jonathan White, officier responsable des opérations au détachement de Codiac de la GRC.
Toutefois, le plus récent rapport de la GRC montre que les signalements sont à la hausse à Moncton, avec 7173 incidents signalés depuis le début de l’année, comparativement à 6668 pour la même période en 2024.
Incidents signalés depuis le début de 2025.
Le nombre de signalements augmente d'année en année. Il est passé de 36 104 en 2019 à 43 893 en 2023, pour la GRC Codiac.
L’inspecteur White ajoute que comme beaucoup d’autres régions du pays, la région de Moncton est confrontée à plusieurs problèmes complexes, comme la hausse de l'itinérance, la toxicomanie et les problèmes de santé mentale.
La GRC encourage la population à signaler tout incident et affirme prendre tous les appels au sérieux, pour identifier les tendances et allouer les ressources de manière efficace.
Moncton est la deuxième ville au Canada qui affiche le taux d’accroissement démographique le plus élevé
Patrick Richard est d’avis qu’il ne faut pas oublier cet aspect important
lorsqu’on compare la criminalité avec d’autres agglomérations
C’est sûr qu’avec des projets de grandes villes
viennent des problèmes de grandes villes
On a vu une hausse des vols à l'étalage
particulièrement dans les entreprises au centre-ville
Patrick Richard ajoute que les entreprises choisissent de modifier leurs heures d’ouverture
ou doivent embaucher plus de personnels pour faire face à cette violence
Selon cette étude de l’Institut Fraser
Moncton arrive en tête de classement des crimes contre les biens
Il n’est pas surpris d'entendre les résultats de cette étude
il s’est fait voler deux bicyclettes
mais ça fait un peu partie de la vie d’être dans le centre-ville
dit-il en ajoutant qu’il essaie aussi de ne pas oublier de verrouiller sa voiture
si tu oublies de barrer la porte de l’auto
que ça soit du change ou des petits items
[...] ça nous est arrivé de temps en temps
Mohammed Chehaibi est chauffeur de taxi depuis 2015
Il explique que la ville a bien changé depuis ce temps
quelqu’un a embarqué dans la voiture et a pris tous les papiers et une tablette [...] heureusement il n'a pas brisé aucune chose
dit-il en ajoutant que quelqu’un a aussi déjà cassé la vitre de la porte de son taxi
la GRC du Nouveau-Brunswick émet des réserves sur la façon de comparer la criminalité entre différentes juridictions et ici
Elle affirme que les statistiques analysées par l’Institut Fraser peuvent être affectées par les façons différentes que les forces policières traitent des infractions
certaines juridictions peuvent traiter certaines infractions en utilisant des règlements municipaux ou d'autres dispositions provinciales
plutôt que des infractions au Code criminel
écrit l’inspecteur Jonathan White
officier responsable des opérations au détachement de Codiac de la GRC
le plus récent rapport de la GRC montre que les signalements sont à la hausse à Moncton
avec 7173 incidents signalés depuis le début de l’année
comparativement à 6668 pour la même période en 2024
Le nombre de signalements augmente d'année en année
Il est passé de 36 104 en 2019 à 43 893 en 2023
L’inspecteur White ajoute que comme beaucoup d’autres régions du pays
la région de Moncton est confrontée à plusieurs problèmes complexes
la toxicomanie et les problèmes de santé mentale
La GRC encourage la population à signaler tout incident et affirme prendre tous les appels au sérieux
pour identifier les tendances et allouer les ressources de manière efficace
Moncton est la deuxième ville au Canada qui affiche le taux d’accroissement démographique le plus élevé
Une récente étude de l’Institut Fraser montre que Moncton fait piètre figure en termes de violence
L'organisme a analysé la criminalité entre différentes villes canadiennes et américaines
a le deuxième plus haut taux de crimes violents de l'Atlantique et de la Nouvelle-Angleterre
dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"Le conseil municipal de Moncton vient d’accorder un contrat de 5,3 millions de dollars à l’entreprise Eastco Construction pour installer une canalisation d’eaux pluviales et asphalter à neuf environ un kilomètre de la Main
de la rue Mechanic jusqu’à la limite de Dieppe
Nous reconnaissons qu’il y aura un impact
directeur du service municipal d’ingénierie
Les travaux devraient commencer vers la fin d'avril et se terminer vers le début de septembre
On prévoit de permettre la circulation routière dans les deux sens pendant la plus grande partie des travaux
Certaines voies seront fermées par moments
Les automobilistes devront notamment faire un important détour pour éviter
Moncton recense en moyenne de 15 000 à 25 000 passages de véhicules chaque jour dans cette rue
Il y aura un fort impact sur la communauté locale
mais nous allons essayer d’être aussi efficaces que possible
Plus tôt nous pourrons finir ce travail
La première étape comprend l'installation de sections de canalisation pour déverser les eaux pluviales dans la rivière Petitcodiac
Les travaux progresseront vers la rue St. George et le long de la rue Main au fur et à mesure des étapes suivantes
En détournant les eaux de pluie de l’usine d’assainissement des eaux usées
on espère réduire les risques que des pluies abondantes entraînent un déversement d’eaux usées
Les travaux vont commencer vers la fin d’avril dans les environs de l’hôtel Château Moncton
René Lagacé a expliqué au conseil municipal qu'ils vont entraîner la fermeture d’une partie du sentier riverain pendant environ deux mois
Les gens devront alors circuler sur le trottoir de la Main
on procédera à des travaux d’asphaltage sur les sections de la rue Main qui ne seront pas reconstruites pour la nouvelle canalisation
ce qui va entraîner une diminution temporaire du nombre de voies de circulation
Les autorités municipales s’attendent à fermer l’angle des rues Main et King d’ici juillet
à faire un détour pendant environ un mois
La circulation routière est généralement moins intense en juillet
étant donné les vacances et l’absence de nombreux étudiants
On veut aussi remplacer certaines infrastructures anciennes
notamment des canalisations d’égout en briques construites il y a plus d’un siècle
La Municipalité prévoit de maintenir l’accès du public aux entreprises situées le long de la rue Main
L’entrepreneur recevra une prime de 1500 $ par jour s’il termine les travaux avant le 5 septembre ou une pénalité équivalente pour chaque jour de retard après cette date
D’après un reportage de Shane Magee
Ouvrir en mode plein écranCette partie de la rue Main à Moncton sera reconstruite cet été pour l'installation d'une canalisation d'eaux pluviales
l’une des plus achalandées reliant les villes de Moncton et de Dieppe
va subir d’importants travaux qui vont perturber la circulation pendant quelques mois cet été
Le conseil municipal de Moncton vient d’accorder un contrat de 5,3 millions de dollars à l’entreprise Eastco Construction pour installer une canalisation d’eaux pluviales et asphalter à neuf environ un kilomètre de la Main
de la rue Mechanic jusqu’à la limite de Dieppe
directeur du service municipal d’ingénierie
Les travaux devraient commencer vers la fin d'avril et se terminer vers le début de septembre
directeur du service municipal d’ingénierie à Moncton
On prévoit de permettre la circulation routière dans les deux sens pendant la plus grande partie des travaux
Certaines voies seront fermées par moments
Les automobilistes devront notamment faire un important détour pour éviter
Moncton recense en moyenne de 15 000 à 25 000 passages de véhicules chaque jour dans cette rue
Il y aura un fort impact sur la communauté locale
mais nous allons essayer d’être aussi efficaces que possible
Ouvrir en mode plein écranLa séparation des égouts de la rue St
La première étape comprend l'installation de sections de canalisation pour déverser les eaux pluviales dans la rivière Petitcodiac
George et le long de la rue Main au fur et à mesure des étapes suivantes
En détournant les eaux de pluie de l’usine d’assainissement des eaux usées
on espère réduire les risques que des pluies abondantes entraînent un déversement d’eaux usées
Ouvrir en mode plein écranLa canalisation d'eau pluviale sera installée à partir de l'angle des rues Main et King vers l'est jusqu'au stationnement du Château Moncton où elle déversera l'eau dans la Petitcodiac
Les travaux vont commencer vers la fin d’avril dans les environs de l’hôtel Château Moncton
René Lagacé a expliqué au conseil municipal qu'ils vont entraîner la fermeture d’une partie du sentier riverain pendant environ deux mois
on procédera à des travaux d’asphaltage sur les sections de la rue Main qui ne seront pas reconstruites pour la nouvelle canalisation
ce qui va entraîner une diminution temporaire du nombre de voies de circulation
Ouvrir en mode plein écranLes travaux comprennent l'asphaltage d'environ un kilomètre de la Main
Les autorités municipales s’attendent à fermer l’angle des rues Main et King d’ici juillet
La circulation routière est généralement moins intense en juillet
étant donné les vacances et l’absence de nombreux étudiants
notamment des canalisations d’égout en briques construites il y a plus d’un siècle
La Municipalité prévoit de maintenir l’accès du public aux entreprises situées le long de la rue Main
L’entrepreneur recevra une prime de 1500 $ par jour s’il termine les travaux avant le 5 septembre ou une pénalité équivalente pour chaque jour de retard après cette date
Le conseil municipal de Moncton vient d’accorder un contrat de 5,3 millions de dollars à l’entreprise Eastco Construction pour installer une canalisation d’eaux pluviales et asphalter à neuf environ un kilomètre de la Main
dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"L’organisme basé à Saint-Jean publie chaque mois un tableau de bord sur l’itinérance dans les trois plus grandes villes de la province
Le portrait du mois dernier démontre que la situation empire à Moncton : 507 personnes étaient dans une situation d’itinérance qualifiée de chronique. C’est 63 % de plus qu’en mars 2024. Le chiffre a plus que doublé par rapport à avril 2023.
Pour être en situation d'itinérance chronique, il faut avoir passé au moins six mois dans la rue au cours de la dernière année ou avoir vécu des expériences d’itinérances récurrentes au cours des trois dernières années pour une période cumulative d’au moins 18 mois.
Cette définition ne comprend donc pas toutes les personnes qui se trouvent en situation d’itinérance, par exemple les gens qui viennent d’être expulsés de leur logement ou qui dorment chez des amis depuis peu.
Pendant ce temps 276 personnes en situation d’itinérance chronique ont été recensées à Saint-Jean, soit une hausse de 68 % depuis mars 2024, et 195 personnes ont été recensées à Fredericton, une augmentation de 14 %.
Andrea Anne, la coordonnatrice du Comité directeur des sans-abris du Grand Moncton, qui rassemble de nombreuses organisations qui œuvrent auprès de ces personnes, indique que plusieurs choses peuvent expliquer cette hausse.
Elle mentionne notamment l’augmentation des loyers, les difficultés économiques vécues par une partie de la population et aussi par la croissance rapide du Grand Moncton.
Moncton est la ville qui grandit le plus rapidement. Notre population est plus grande que les autres [villes], dit-elle.
Le conseiller Charles Léger, qui représente le quartier 2 au conseil municipal de Moncton, reconnaît que ces statistiques sont préoccupantes.
C’est sûr que c’est une situation que l’on continue de voir chaque mois. Il y a des gens qui arrivent dans notre région, dit-il en entrevue, en ajoutant que la crise reste très visible dans la communauté.
Mais cet élu note que des progrès sont faits depuis trois ou quatre ans à Moncton. Selon lui, la communauté est mieux outillée qu’avant.
Charles Léger donne l’exemple des logements construits et rénovés par l’organisme Marée montante ou encore du centre Passerelle vers le logement.
Ce dernier se trouve dans un ancien centre communautaire de la rue Saint-George et aide à orienter les personnes en situation d’itinérance vers les ressources disponibles.
C’est très difficile pour quelqu'un qui n’est pas très impliqué de voir une différence. Mais moi je le vois, les organismes le voient aussi. Il y a un espoir et un sens beaucoup plus positif. La réalité, c’est qu’on va continuer pendant plusieurs années avec cette situation, malheureusement. Mais il y a des progrès.
Pascal Raiche-Nogue est journaliste multiplateforme pour ICI Acadie à Moncton. Il a travaillé dans la presse écrite francophone pendant une décennie avant de se joindre à l'équipe d'ICI Acadie en 2021.
Ouvrir en mode plein écranUn homme se dirige vers la Maison Nazareth, un refuge de 84 lits en hiver, 64 en été. L'incapacité de payer un logement, même une chambre, jette des centaines de personnes à la rue à Moncton.
Pascal Raiche-NoguePublié le 18 avril à 4 h 50 HAEÉcouter l’article | 4 minutesLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale
une technologie basée sur l’intelligence artificielle.La crise de l’itinérance continue de s’aggraver à Moncton
Plus de 500 personnes étaient en situation d'itinérance chronique en mars
selon les plus récentes données du Human Development Council
L’organisme basé à Saint-Jean publie chaque mois un tableau de bord sur l’itinérance dans les trois plus grandes villes de la province
Pour être en situation d'itinérance chronique, il faut avoir passé au moins six mois dans la rue au cours de la dernière année ou avoir vécu des expériences d’itinérances récurrentes au cours des trois dernières années pour une période cumulative d’au moins 18 mois.
Cette définition ne comprend donc pas toutes les personnes qui se trouvent en situation d’itinérance, par exemple les gens qui viennent d’être expulsés de leur logement ou qui dorment chez des amis depuis peu.
Pendant ce temps 276 personnes en situation d’itinérance chronique ont été recensées à Saint-Jean, soit une hausse de 68 % depuis mars 2024, et 195 personnes ont été recensées à Fredericton, une augmentation de 14 %.
Ouvrir en mode plein écranAndrea Anne est la coordonnatrice du Comité directeur des sans-abris du Grand Moncton
Photo : Radio-Canada / Pascal Raiche-Nogue
Andrea Anne, la coordonnatrice du Comité directeur des sans-abris du Grand Moncton, qui rassemble de nombreuses organisations qui œuvrent auprès de ces personnes, indique que plusieurs choses peuvent expliquer cette hausse.
Elle mentionne notamment l’augmentation des loyers, les difficultés économiques vécues par une partie de la population et aussi par la croissance rapide du Grand Moncton.
Le conseiller Charles Léger, qui représente le quartier 2 au conseil municipal de Moncton, reconnaît que ces statistiques sont préoccupantes.
C’est sûr que c’est une situation que l’on continue de voir chaque mois. Il y a des gens qui arrivent dans notre région, dit-il en entrevue, en ajoutant que la crise reste très visible dans la communauté.
Mais cet élu note que des progrès sont faits depuis trois ou quatre ans à Moncton. Selon lui, la communauté est mieux outillée qu’avant.
Ouvrir en mode plein écranCharles Léger est le conseiller municipal qui représente le quartier, ce qui comprend le centre-ville.
Charles Léger donne l’exemple des logements construits et rénovés par l’organisme Marée montante ou encore du centre Passerelle vers le logement.
Ce dernier se trouve dans un ancien centre communautaire de la rue Saint-George et aide à orienter les personnes en situation d’itinérance vers les ressources disponibles.
C’est très difficile pour quelqu'un qui n’est pas très impliqué de voir une différence. Mais moi je le vois, les organismes le voient aussi. Il y a un espoir et un sens beaucoup plus positif. La réalité, c’est qu’on va continuer pendant plusieurs années avec cette situation, malheureusement. Mais il y a des progrès.
L’organisme basé à Saint-Jean publie chaque mois un tableau de bord sur l’itinérance dans les trois plus grandes villes de la province
Le portrait du mois dernier démontre que la situation empire à Moncton : 507 personnes étaient dans une situation d’itinérance qualifiée de chronique. C’est 63 % de plus qu’en mars 2024. Le chiffre a plus que doublé par rapport à avril 2023
Pour être en situation d'itinérance chronique
il faut avoir passé au moins six mois dans la rue au cours de la dernière année ou avoir vécu des expériences d’itinérances récurrentes au cours des trois dernières années pour une période cumulative d’au moins 18 mois
Cette définition ne comprend donc pas toutes les personnes qui se trouvent en situation d’itinérance
par exemple les gens qui viennent d’être expulsés de leur logement ou qui dorment chez des amis depuis peu
Pendant ce temps 276 personnes en situation d’itinérance chronique ont été recensées à Saint-Jean
soit une hausse de 68 % depuis mars 2024
et 195 personnes ont été recensées à Fredericton
la coordonnatrice du Comité directeur des sans-abris du Grand Moncton
qui rassemble de nombreuses organisations qui œuvrent auprès de ces personnes
indique que plusieurs choses peuvent expliquer cette hausse
Elle mentionne notamment l’augmentation des loyers
les difficultés économiques vécues par une partie de la population et aussi par la croissance rapide du Grand Moncton
Moncton est la ville qui grandit le plus rapidement
Notre population est plus grande que les autres [villes]
qui représente le quartier 2 au conseil municipal de Moncton
reconnaît que ces statistiques sont préoccupantes
C’est sûr que c’est une situation que l’on continue de voir chaque mois
Il y a des gens qui arrivent dans notre région
en ajoutant que la crise reste très visible dans la communauté
Mais cet élu note que des progrès sont faits depuis trois ou quatre ans à Moncton
la communauté est mieux outillée qu’avant
Charles Léger donne l’exemple des logements construits et rénovés par l’organisme Marée montante ou encore du centre Passerelle vers le logement
Ce dernier se trouve dans un ancien centre communautaire de la rue Saint-George et aide à orienter les personnes en situation d’itinérance vers les ressources disponibles
C’est très difficile pour quelqu'un qui n’est pas très impliqué de voir une différence
Il y a un espoir et un sens beaucoup plus positif
c’est qu’on va continuer pendant plusieurs années avec cette situation
Pascal Raiche-Nogue est journaliste multiplateforme pour ICI Acadie à Moncton
Il a travaillé dans la presse écrite francophone pendant une décennie avant de se joindre à l'équipe d'ICI Acadie en 2021
Le portrait du mois dernier démontre que la situation empire à Moncton : 507 personnes étaient dans une situation d’itinérance qualifiée de chronique. C’est 63 % de plus qu’en mars 2024. Le chiffre a plus que doublé par rapport à avril 2023
La crise de l’itinérance continue de s’aggraver à Moncton
Plus de 500 personnes étaient en situation d'itinérance chronique en mars
dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"Pour le premier trimestre de l’année
qui s’est terminé le 31 mars
la Ville de Moncton a délivré 209 permis de construction
Leur valeur totale atteint 198,6 millions de dollars
plus du triple de leur valeur au premier trimestre en 2024
La valeur totale des projets institutionnels et gouvernementaux s’élève à 120,6 millions de dollars
dont 112,1 millions sont consacrés à la phase 2 du Centre d'entreprise des sciences de l'Atlantique
au 330 de l’avenue Université
Un total de 111 permis ont été délivrés pour des projets résidentiels
pour une valeur combinée de 62,6 millions de dollars
Ces constructions représentent 420 nouveaux logements à venir à Moncton
deux fois et demie leur nombre à cette période l’an dernier
Il y avait eu 164 nouveaux logements au premier trimestre de 2024
dans le secteur de l’immobilier commercial et industriel
on compte 37 permis de construction atteignant une valeur de 14,7 millions de dollars
Moncton avait délivré 129 permis d’une valeur totale de 22,5 millions de dollars
À la même période en 2024
c’étaient 189 permis pour une valeur de 56,5 millions de dollars
D’après le reportage d’Allie Chouinard
elle est passée de 22 millions de dollars à près de 200 millions de dollars
Ouvrir en mode plein écranUne tour d'habitation en construction au centre-ville de Moncton
Photo : Radio-Canada / Alexandre Silberman
La valeur des permis de construction atteint des sommets dans la plus grande ville du Nouveau-Brunswick
la Ville de Moncton a délivré 209 permis de construction
Leur valeur totale atteint 198,6 millions de dollars
plus du triple de leur valeur au premier trimestre en 2024
La valeur totale des projets institutionnels et gouvernementaux s’élève à 120,6 millions de dollars
dont 112,1 millions sont consacrés à la phase 2 du Centre d'entreprise des sciences de l'Atlantique
Un total de 111 permis ont été délivrés pour des projets résidentiels
pour une valeur combinée de 62,6 millions de dollars
Ces constructions représentent 420 nouveaux logements à venir à Moncton
deux fois et demie leur nombre à cette période l’an dernier
Il y avait eu 164 nouveaux logements au premier trimestre de 2024
dans le secteur de l’immobilier commercial et industriel
on compte 37 permis de construction atteignant une valeur de 14,7 millions de dollars
Moncton avait délivré 129 permis d’une valeur totale de 22,5 millions de dollars
c’étaient 189 permis pour une valeur de 56,5 millions de dollars
Pour le premier trimestre de l’année
elle est passée de 22 millions de dollars à près de 200 millions de dollars
dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"Parce qu’elles sont d’ordinaire réputées vides
elles ne font pas l’objet d’un entretien régulier
bien souvent déclenchés par des sans-abris
les pompiers doivent intervenir sans savoir si les structures des maisons en question sont stables ou non
c'est exactement ça la cause [l’itinérance]
C'est quelqu'un qui avait le besoin d'être à l'abri de l'environnement et qui a créé un feu quelconque pour se réchauffer
Donc un pompier qui va dans une maison puis que le plancher s'écrase
c'est extrêmement dangereux pour le pompier
Pour M. Landry, c’est l’accroissement du sans-abrisme dans la ville de Moncton qui conduit à une augmentation des incursions dans les maisons abandonnées.
La situation des sans-abris dans notre région, c'est quelque chose qu'on n'avait pas 20 ans passé, explique-t-il.
George Cormier est le directeur général de Marée montante, un organisme de Moncton qui a reçu du financement de la ville, du gouvernement provincial et d’Ottawa pour construire des logements destinés aux sans-abris.
Il s’agit d'appartements d’une chambre à coucher. Depuis le début de son initiative, Marée montante a construit 120 logements dans lesquels sont logés 120 personnes qui autrement, seraient dans la rue.
Selon M. Cormier, depuis que Marée montante a commencé à construire des logements à Moncton, les besoins n’ont cessé d’augmenter.
Lorsqu’on a commencé notre projet, les meilleures estimations étaient qu'il y avait à peu près 125 à 150 itinérants. On a logé 120 et puis il en existe 300 ou 400 maintenant, donc le chiffre ne cesse d'augmenter, explique-t-il.
Le chiffre augmente à une cadence plus rapide que nous pouvons construire des logements. Donc, il y a un problème évidemment.
Si les itinérants en viennent à s’introduire dans des maisons abandonnées, c’est donc, selon George Cormier, d’une part parce qu’il n’existe pas suffisamment de logements pour eux et d’autre part parce que les refuges ne sont pas la meilleure solution pour tous.
On parle de refuge, on parle d’un endroit où on va placer son lit dans une pièce, où ce que ton voisin est à 3 ou 4 pieds de toi. Et puis il y a des questions de sécurité, d'intimidation, de confort, d'être un peu comme des fourmis dans un logement, explique-t-il.
Il y a des gens qui choisissent de ne pas y aller. Puis, ils n’ont aucun endroit où aller, donc ils cherchent à trouver des maisons abandonnées.
George Cormier souhaite davantage de financement pour construire plus rapidement des maisons et sortir tout aussi rapidement des personnes de la rue.
En attendant que l’on parvienne, éventuellement, à tous les sortir de la rue, nombre de sans-abris continuent à s’introduire dans des maisons abandonnées.
Le service d’incendie de la ville de Moncton a identifié une cinquantaine de maisons sur une liste, selon Conrad Landry. Elles sont inspectées de manière régulière et à titre préventif.
Scott Hopper et Christopher Jackson constituent une des équipes qui inspectent les maisons abandonnées de Moncton. Ils sont tous les deux agents de prévention des incendies.
Ils transportent du matériel de menuiserie tels que du contreplaqué, des tournevis ou encore une échelle dont ils se servent dans leur tournée d’inspection hebdomadaire des maisons abandonnées, afin de barricader celles qui doivent l’être.
Nous nous assurons que les endroits sont sécurisés autrement ils deviennent dangereux […] pour les bâtiments avoisinants, car ils représentent un risque d'incendie plus élevé, dangereux pour les pompiers, explique Christopher Jackson.
Il peut ne pas y avoir de cloisons sèches, des trous dans les planchers [...] des tuyaux et des câbles qui pendent. Ce sont des obstacles pour les pompiers, ce sont des dangers.
Au-delà du danger que peuvent représenter les maisons abandonnées pour les pompiers, Scott Hopper se désole de leur multiplication à un moment où le manque de logement se fait criant.
Nous avons une crise du logement dans ce pays, cette ville, cette province, vous avez des logements vacants qui ne devraient pas l’être, explique-t-il.
Cinquante, soixante bâtiments, ça semble peu à première vue, mais en réalité, ce n’est pas négligeable.
Pour les deux hommes, les propriétaires des maisons laissées à l’abandon doivent se souvenir que l’immobilier est assujetti à Moncton et au Nouveau-Brunswick à des normes et des règlements.
Des normes et des règlements qui, s’ils étaient plus rigoureusement appliqués par les propriétaires des maisons abandonnées, permettraient au service d’incendie de la ville de Moncton de se concentrer sur d’autres enjeux.
Nouemsi Njiké est journaliste à Radio Canada-RDI depuis 2022. Il était auparavant journaliste à la salle des nouvelles de Radio Canada à Windsor et à la radio de Radio Canada à Toronto. Il s'intéresse à une varité de questions du moment qu'elles sont traitées en profondeur.
2:46Les sans-abris y allument souvent des feux pour l'extinction desquels les pompiers risquent parfois des accidents.
Nouemsi NjikéPublié le 9 avril à 4 h 58 HAEÉcouter l’article | 6 minutesLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale
une technologie basée sur l’intelligence artificielle.S'il est vrai que les pompiers sont formés
certains des environnements dans lesquels ils doivent le faire peuvent s'avérer plus dangereux que d'autres
qui n'ont cessé de se multiplier au fil du temps à Moncton
font partie de ces environnements dangereux
Parce qu’elles sont d’ordinaire réputées vides
elles ne font pas l’objet d’un entretien régulier
Ouvrir en mode plein écranPour Conrad Landry
c'est parce que les itinérants ont besoin d'endroits pour se mettre au chaud qu'ils s'introduisent dans des maisons abandonnées
bien souvent déclenchés par des sans-abris
c'est exactement ça la cause [l’itinérance]
C'est quelqu'un qui avait le besoin d'être à l'abri de l'environnement et qui a créé un feu quelconque pour se réchauffer
Donc un pompier qui va dans une maison puis que le plancher s'écrase
c'est extrêmement dangereux pour le pompier
Ouvrir en mode plein écranLes sans-abris y allument souvent des feux pour l'extinction desquels les pompiers rsiquent parfois des accidents
La situation des sans-abris dans notre région, c'est quelque chose qu'on n'avait pas 20 ans passé, explique-t-il.
George Cormier est le directeur général de Marée montante, un organisme de Moncton qui a reçu du financement de la ville, du gouvernement provincial et d’Ottawa pour construire des logements destinés aux sans-abris.
Il s’agit d'appartements d’une chambre à coucher. Depuis le début de son initiative, Marée montante a construit 120 logements dans lesquels sont logés 120 personnes qui autrement, seraient dans la rue.
Selon M. Cormier, depuis que Marée montante a commencé à construire des logements à Moncton, les besoins n’ont cessé d’augmenter.
Lorsqu’on a commencé notre projet, les meilleures estimations étaient qu'il y avait à peu près 125 à 150 itinérants. On a logé 120 et puis il en existe 300 ou 400 maintenant, donc le chiffre ne cesse d'augmenter, explique-t-il.
Le chiffre augmente à une cadence plus rapide que nous pouvons construire des logements. Donc, il y a un problème évidemment.
Ouvrir en mode plein écranGeorge Cormier, le directeur général de Marée Montante
Si les itinérants en viennent à s’introduire dans des maisons abandonnées, c’est donc, selon George Cormier, d’une part parce qu’il n’existe pas suffisamment de logements pour eux et d’autre part parce que les refuges ne sont pas la meilleure solution pour tous.
On parle de refuge, on parle d’un endroit où on va placer son lit dans une pièce, où ce que ton voisin est à 3 ou 4 pieds de toi. Et puis il y a des questions de sécurité, d'intimidation, de confort, d'être un peu comme des fourmis dans un logement, explique-t-il.
Il y a des gens qui choisissent de ne pas y aller. Puis, ils n’ont aucun endroit où aller, donc ils cherchent à trouver des maisons abandonnées.
Ouvrir en mode plein écranLes agents de prévention des incendies se déplacent notamment avec du contreplaqué pour bloquer les entrées des maisons abandonnées.
En attendant que l’on parvienne, éventuellement, à tous les sortir de la rue, nombre de sans-abris continuent à s’introduire dans des maisons abandonnées.
Le service d’incendie de la ville de Moncton a identifié une cinquantaine de maisons sur une liste, selon Conrad Landry. Elles sont inspectées de manière régulière et à titre préventif.
Ouvrir en mode plein écranLes petits points bleus représentent les dizaines de maisons abandonnées de la ville de Moncton.
Photo : Gracieuseté du bureau d'incendie de Moncton
Scott Hopper et Christopher Jackson constituent une des équipes qui inspectent les maisons abandonnées de Moncton. Ils sont tous les deux agents de prévention des incendies.
Ils transportent du matériel de menuiserie tels que du contreplaqué, des tournevis ou encore une échelle dont ils se servent dans leur tournée d’inspection hebdomadaire des maisons abandonnées, afin de barricader celles qui doivent l’être.
Nous nous assurons que les endroits sont sécurisés autrement ils deviennent dangereux […] pour les bâtiments avoisinants, car ils représentent un risque d'incendie plus élevé, dangereux pour les pompiers, explique Christopher Jackson.
Il peut ne pas y avoir de cloisons sèches, des trous dans les planchers [...] des tuyaux et des câbles qui pendent. Ce sont des obstacles pour les pompiers, ce sont des dangers.
Au-delà du danger que peuvent représenter les maisons abandonnées pour les pompiers, Scott Hopper se désole de leur multiplication à un moment où le manque de logement se fait criant.
Nous avons une crise du logement dans ce pays, cette ville, cette province, vous avez des logements vacants qui ne devraient pas l’être, explique-t-il.
Ouvrir en mode plein écranChristopher Jackson (à gauche) et Scott Hopper (à droite) font régulièrement le tour des maisons abandonnées de Moncton pour s'assurer qu'elles demeurent inaccessibles.
Cinquante, soixante bâtiments, ça semble peu à première vue, mais en réalité, ce n’est pas négligeable.
Pour les deux hommes, les propriétaires des maisons laissées à l’abandon doivent se souvenir que l’immobilier est assujetti à Moncton et au Nouveau-Brunswick à des normes et des règlements.
Des normes et des règlements qui, s’ils étaient plus rigoureusement appliqués par les propriétaires des maisons abandonnées, permettraient au service d’incendie de la ville de Moncton de se concentrer sur d’autres enjeux.
Parce qu’elles sont d’ordinaire réputées vides
Pour M. Landry, c’est l’accroissement du sans-abrisme dans la ville de Moncton qui conduit à une augmentation des incursions dans les maisons abandonnées
La situation des sans-abris dans notre région
c'est quelque chose qu'on n'avait pas 20 ans passé
George Cormier est le directeur général de Marée montante
un organisme de Moncton qui a reçu du financement de la ville
du gouvernement provincial et d’Ottawa pour construire des logements destinés aux sans-abris
Il s’agit d'appartements d’une chambre à coucher
Marée montante a construit 120 logements dans lesquels sont logés 120 personnes qui autrement
depuis que Marée montante a commencé à construire des logements à Moncton
les besoins n’ont cessé d’augmenter
Lorsqu’on a commencé notre projet
les meilleures estimations étaient qu'il y avait à peu près 125 à 150 itinérants
On a logé 120 et puis il en existe 300 ou 400 maintenant
Le chiffre augmente à une cadence plus rapide que nous pouvons construire des logements
Si les itinérants en viennent à s’introduire dans des maisons abandonnées
d’une part parce qu’il n’existe pas suffisamment de logements pour eux et d’autre part parce que les refuges ne sont pas la meilleure solution pour tous
on parle d’un endroit où on va placer son lit dans une pièce
où ce que ton voisin est à 3 ou 4 pieds de toi
Et puis il y a des questions de sécurité
d'être un peu comme des fourmis dans un logement
Il y a des gens qui choisissent de ne pas y aller
ils n’ont aucun endroit où aller
donc ils cherchent à trouver des maisons abandonnées
George Cormier souhaite davantage de financement pour construire plus rapidement des maisons et sortir tout aussi rapidement des personnes de la rue
nombre de sans-abris continuent à s’introduire dans des maisons abandonnées
Le service d’incendie de la ville de Moncton a identifié une cinquantaine de maisons sur une liste
Elles sont inspectées de manière régulière et à titre préventif
Scott Hopper et Christopher Jackson constituent une des équipes qui inspectent les maisons abandonnées de Moncton
Ils sont tous les deux agents de prévention des incendies
Ils transportent du matériel de menuiserie tels que du contreplaqué
des tournevis ou encore une échelle dont ils se servent dans leur tournée d’inspection hebdomadaire des maisons abandonnées
afin de barricader celles qui doivent l’être
Nous nous assurons que les endroits sont sécurisés autrement ils deviennent dangereux […] pour les bâtiments avoisinants
car ils représentent un risque d'incendie plus élevé
Il peut ne pas y avoir de cloisons sèches
des trous dans les planchers [...] des tuyaux et des câbles qui pendent
Au-delà du danger que peuvent représenter les maisons abandonnées pour les pompiers
Scott Hopper se désole de leur multiplication à un moment où le manque de logement se fait criant
Nous avons une crise du logement dans ce pays
vous avez des logements vacants qui ne devraient pas l’être
ça semble peu à première vue
les propriétaires des maisons laissées à l’abandon doivent se souvenir que l’immobilier est assujetti à Moncton et au Nouveau-Brunswick à des normes et des règlements
s’ils étaient plus rigoureusement appliqués par les propriétaires des maisons abandonnées
permettraient au service d’incendie de la ville de Moncton de se concentrer sur d’autres enjeux
Nouemsi Njiké est journaliste à Radio Canada-RDI depuis 2022
Il était auparavant journaliste à la salle des nouvelles de Radio Canada à Windsor et à la radio de Radio Canada à Toronto
Il s'intéresse à une varité de questions du moment qu'elles sont traitées en profondeur
Pour M. Landry, c’est l’accroissement du sans-abrisme dans la ville de Moncton qui conduit à une augmentation des incursions dans les maisons abandonnées
S'il est vrai que les pompiers sont formés
certains des environnements dans lesquels ils doivent le faire peuvent s'avérer plus dangereux que d'autres
qui n'ont cessé de se multiplier au fil du temps à Moncton
Les maisons abandonnées à Moncton présentent un danger d'incendie pour les pompiers
dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"Le vote est passé avec une majorité de neuf
qui a refusé de nous accorder une entrevue
Lors de la séance du conseil municipal
il a exprimé sa déception face à ce qu’il perçoit comme une obligation d’Ottawa d’adopter ces modifications au règlement de zonage
C’est que l’adoption de quatre logements de plein droit par terrain résidentiel est un prérequis pour les grandes villes et les collectivités urbaines qui souhaitent accéder au Fonds pour accélérer la construction de logements
C’est aussi l’une des conditions pour accéder au Fonds canadien pour les infrastructures liées au logement
L'urbaniste principal à la ville de Moncton Josh Davies estime que
la Municipalité aurait pu perdre jusqu’à 75 millions $
Les terrains qui ont besoin d’infrastructures avec de hauts coûts
de l’infrastructure avec de grands prix… ça serait pratiquement prohibitif
On a besoin de l’argent du fédéral et de la province pour concevoir et pour installer l’infrastructure afin de créer des développements dans ces terrains
la Ville a beaucoup de terrains à exploiter
mais elle a besoin de ces fonds si elle veut améliorer son offre de logement abordable alors que le prix des logements a doublé en 10 ans
mais on a besoin de terrains avec de l’infrastructure
on peut [développer] ces terrains-là
Les zones ciblées jusqu’à maintenant pour ce financement sont les Terrains d’avenir
soit les terres boisées près de l'Université de Moncton
ainsi que le secteur est du ruisseau Humphrey et la rue St-George
La permission de construire des habitations à quatre logements sur tout le territoire résidentiel de la Municipalité devrait augmenter la densité et faciliter l’accès à des propriétés plus abordables
s’est levé pour défendre la proposition lors de la séance
Il se sent soulagé que les modifications aient été adoptées
La crise du logement et de l’abordabilité est ce qui l’a amené au conseil municipal
Ça fait toute ma vie que je suis à Moncton
puis de voir beaucoup de gens comme moi-même être forcés de déménager ou être incapables d'acheter une maison à Moncton
de vivre dans la ville où ils veulent vivre
c’est pour ça que je voulais appuyer le changement ici
croit qu’il était temps que ce genre de décision soit prise
Je pense qu’on a peut-être été gâtés un peu au Nouveau-Brunswick de pouvoir vivre
choisir des quartiers [...] mais je pense qu’on est un monde en mutation et qu’on va devoir s’adapter
On ne peut pas continuer de vivre comme on vit et de survivre
Mais plusieurs voix se sont levées contre le projet lors de la séance
Certains craignent la baisse de la valeur des propriétés et la perte du caractère propre aux quartiers
Certains ont également peur que certains logements préexistants soient divisés afin d’en faire des locations à court terme
Paulette Thériault comprend ces inquiétudes
mais croit qu’il faut être nuancé
mais il ne faut pas mélanger les deux
Cela n’inquiète pas l'urbaniste Josh Davies, qui ne croit pas que ces démolitions vont se concrétiser.
Ça va surtout être des logements additionnels, vu les coûts qui sont associés au développement des habitations à quatre logements.
Katherina Boucher s'est joint à l'équipe de Radio-Canada Acadie à l'automne 2024 après avoir travaillé dans le domaine des communications gouvernementales. Équipée d'une formation en journalisme et en anthropologie, elle s'intéresse à la manière dont les enjeux individuels s'inscrivent dans de plus grandes tendances.
3:41L'urbaniste principal de la ville de Moncton, Josh Davies a défendu les modifications à l'Arrêté de zonage lors d'une audience publique le 22 avril.
Katherina BoucherPublié le 23 avril à 6 h 44 HAEMis à jour le 23 avril à 8 h 30 HAEÉcouter l’article | 5 minutesLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale
une technologie basée sur l’intelligence artificielle.Le conseil municipal de Moncton a tranché : les habitations à quatre logements seront permises dans toutes ses zones résidentielles
Le vote est passé avec une majorité de neuf
qui a refusé de nous accorder une entrevue
il a exprimé sa déception face à ce qu’il perçoit comme une obligation d’Ottawa d’adopter ces modifications au règlement de zonage
C’est que l’adoption de quatre logements de plein droit par terrain résidentiel est un prérequis pour les grandes villes et les collectivités urbaines qui souhaitent accéder au Fonds pour accélérer la construction de logements
C’est aussi l’une des conditions pour accéder au Fonds canadien pour les infrastructures liées au logement
L'urbaniste principal à la ville de Moncton Josh Davies estime que
la Municipalité aurait pu perdre jusqu’à 75 millions $
urbaniste principal à la Ville de Moncton (Photo d'archives)
Les terrains qui ont besoin d’infrastructures avec de hauts coûts
de l’infrastructure avec de grands prix… ça serait pratiquement prohibitif
On a besoin de l’argent du fédéral et de la province pour concevoir et pour installer l’infrastructure afin de créer des développements dans ces terrains
la Ville a beaucoup de terrains à exploiter
mais elle a besoin de ces fonds si elle veut améliorer son offre de logement abordable alors que le prix des logements a doublé en 10 ans
mais on a besoin de terrains avec de l’infrastructure
Les zones ciblées jusqu’à maintenant pour ce financement sont les Terrains d’avenir
soit les terres boisées près de l'Université de Moncton
Ouvrir en mode plein écranLes Terrains d'avenir de Moncton
La permission de construire des habitations à quatre logements sur tout le territoire résidentiel de la Municipalité devrait augmenter la densité et faciliter l’accès à des propriétés plus abordables
s’est levé pour défendre la proposition lors de la séance
Il se sent soulagé que les modifications aient été adoptées
La crise du logement et de l’abordabilité est ce qui l’a amené au conseil municipal
Ouvrir en mode plein écranPatrick Pilon croit qu'il était important de faire valoir l'abordabilité dans la discussion
Il était le seul dans la vingtaine à être présent au conseil municipal
Ça fait toute ma vie que je suis à Moncton
puis de voir beaucoup de gens comme moi-même être forcés de déménager ou être incapables d'acheter une maison à Moncton
de vivre dans la ville où ils veulent vivre
c’est pour ça que je voulais appuyer le changement ici
croit qu’il était temps que ce genre de décision soit prise
Ouvrir en mode plein écranPaulette Thériault croit qu'il était temps pour Moncton d'adopter un arrêté qui fait la promotion de la densité
Je pense qu’on a peut-être été gâtés un peu au Nouveau-Brunswick de pouvoir vivre
choisir des quartiers [...] mais je pense qu’on est un monde en mutation et qu’on va devoir s’adapter
Mais plusieurs voix se sont levées contre le projet lors de la séance
Certains craignent la baisse de la valeur des propriétés et la perte du caractère propre aux quartiers
Certains ont également peur que certains logements préexistants soient divisés afin d’en faire des locations à court terme
Ouvrir en mode plein écranIl ne sera pas nécessaire
dans le cas des habitations à quatre logements de cette zone
de réserver un espace pour du stationnement hors rue
Paulette Thériault comprend ces inquiétudes
Cela n’inquiète pas l'urbaniste Josh Davies, qui ne croit pas que ces démolitions vont se concrétiser.
Ça va surtout être des logements additionnels, vu les coûts qui sont associés au développement des habitations à quatre logements.
Le vote est passé avec une majorité de neuf
Une autre inquiétude : si la Ville de Fredericton vient d’adopter des modifications similaires, elle dispose d'un règlement qui ne permet pas la démolition d’un logement préexistant pour en construire un à quatre unités
alors que le règlement de la Ville de Moncton le permettrait
Cela n’inquiète pas l'urbaniste Josh Davies
qui ne croit pas que ces démolitions vont se concrétiser
Ça va surtout être des logements additionnels
vu les coûts qui sont associés au développement des habitations à quatre logements
Katherina Boucher s'est joint à l'équipe de Radio-Canada Acadie à l'automne 2024 après avoir travaillé dans le domaine des communications gouvernementales
Équipée d'une formation en journalisme et en anthropologie
elle s'intéresse à la manière dont les enjeux individuels s'inscrivent dans de plus grandes tendances
Une autre inquiétude : si la Ville de Fredericton vient d’adopter des modifications similaires, elle dispose d'un règlement qui ne permet pas la démolition d’un logement préexistant pour en construire un à quatre unités
Le conseil municipal de Moncton a tranché : les habitations à quatre logements seront permises dans toutes ses zones résidentielles
Le Conseil municipal de Moncton a approuvé des modifications de zonage pour permettre des habitations à quatre logements dans tous les secteurs résidentiels afin de favoriser la densification urbaine
À leur arrivée, les policiers ont affronté un homme qui n’était pas collaboratif, indique François Côté, sergent d’état-major à la GRC de Codiac.
Les policiers ont dû utiliser un pistolet à impulsion électrique à plusieurs reprises pour calmer l’individu. Ce dernier n’était pas armé.
L’homme de 40 ans de Moncton a été arrêté sur les lieux et placé en détention. Il a comparu vendredi au palais de justice de Moncton. Il a été accusé de vol qualifié et d'avoir eu la figure couverte par un masque dans un dessein criminel.
Personne n’a été blessé au cours des événements.
Nadia Gaudreau est journaliste pour Radio-Canada depuis 2012. Elle a occupé divers rôles à la station de Moncton et est maintenant secrétaire de rédaction web. Elle s'intéresse aux questions politiques et sociales.
Ouvrir en mode plein écranLa GRC a arrêté un homme qui essayait de commettre un vol dans cette succursale de la banque TD à Moncton le 24 avril.
Nadia GaudreauPublié le 25 avril à 12 h 15 HAEÉcouter l’article | 2 minutesLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale, une technologie basée sur l’intelligence artificielle.Un homme a essayé – en vain – de voler une banque en plein jour au centre-ville de Moncton jeudi.
Le détachement de Codiac de la GRC a reçu un appel vers 14 h 20 pour empêcher un vol qualifié à la banque TD de la rue Main.
À leur arrivée, les policiers ont affronté un homme qui n’était pas collaboratif, indique François Côté, sergent d’état-major à la GRC de Codiac.
Les policiers ont dû utiliser un pistolet à impulsion électrique à plusieurs reprises pour calmer l’individu. Ce dernier n’était pas armé.
L’homme de 40 ans de Moncton a été arrêté sur les lieux et placé en détention. Il a comparu vendredi au palais de justice de Moncton. Il a été accusé de vol qualifié et d'avoir eu la figure couverte par un masque dans un dessein criminel.
Personne n’a été blessé au cours des événements.
Le détachement de Codiac de la GRC a reçu un appel vers 14 h 20 pour empêcher un vol qualifié à la banque TD de la rue Main
les policiers ont affronté un homme qui n’était pas collaboratif
sergent d’état-major à la GRC de Codiac
Les policiers ont dû utiliser un pistolet à impulsion électrique à plusieurs reprises pour calmer l’individu
Ce dernier n’était pas armé
L’homme de 40 ans de Moncton a été arrêté sur les lieux et placé en détention
Il a comparu vendredi au palais de justice de Moncton
Il a été accusé de vol qualifié et d'avoir eu la figure couverte par un masque dans un dessein criminel
Personne n’a été blessé au cours des événements
Nadia Gaudreau est journaliste pour Radio-Canada depuis 2012
Elle a occupé divers rôles à la station de Moncton et est maintenant secrétaire de rédaction web
Elle s'intéresse aux questions politiques et sociales
Un homme a essayé – en vain – de voler une banque en plein jour au centre-ville de Moncton jeudi
Les employés de ce bureau, un centre d'appels d'Exxon Mobil situé au 21 Ocean Limited Way à Moncton, ont appris la nouvelle mercredi.
Dans une déclaration envoyée par courriel, une porte-parole d'Exxon Mobil explique que la décision de fermer le bureau de Moncton n'a pas été prise à la légère. L'entreprise remercie ses travailleurs et justifie sa décision par le besoin de se concentrer sur d'autres centres d'affaires ailleurs dans le monde.
Dans une note du ministère de l'Éducation postsecondaire, de la Formation et du Travail datée du 9 avril et dont Radio-Canada a obtenu copie, on apprend qu'il n'y a pas de plan ou de possibilité de redéploiement du personnel au sein de l'entreprise.
L'entreprise, qui a contacté la province, s'est engagée à soutenir son personnel pendant cette période difficile. Travail NB prendra également contact avec l'entreprise pour lui offrir une aide supplémentaire.
Avec des informations de Frédéric Cammarano
Ouvrir en mode plein écranLe bureau d'Exxon Mobil à Moncton va fermer progressivement ses portes. 250 personnes vont perdre leur emploi.
Margaux TertrePublié le 10 avril à 16 h 20 HAEMis à jour le 10 avril à 16 h 56 HAEÉcouter l’article | 2 minutesLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale, une technologie basée sur l’intelligence artificielle.La totalité du bureau de Moncton de cette compagnie pétrolière va fermer progressivement ses portes à compter du mois de juin. Au total, 250 personnes vont perdre leur emploi.
Les licenciements vont s'étendre sur 18 mois. Ils se poursuivront jusqu’en décembre 2026.
Les employés de ce bureau, un centre d'appels d'Exxon Mobil situé au 21 Ocean Limited Way à Moncton, ont appris la nouvelle mercredi.
Dans une déclaration envoyée par courriel, une porte-parole d'Exxon Mobil explique que la décision de fermer le bureau de Moncton n'a pas été prise à la légère. L'entreprise remercie ses travailleurs et justifie sa décision par le besoin de se concentrer sur d'autres centres d'affaires ailleurs dans le monde.
Dans une note du ministère de l'Éducation postsecondaire, de la Formation et du Travail datée du 9 avril et dont Radio-Canada a obtenu copie, on apprend qu'il n'y a pas de plan ou de possibilité de redéploiement du personnel au sein de l'entreprise.
L'entreprise, qui a contacté la province, s'est engagée à soutenir son personnel pendant cette période difficile. Travail NB prendra également contact avec l'entreprise pour lui offrir une aide supplémentaire.
Avec des informations de Frédéric Cammarano
Les licenciements vont s'étendre sur 18 mois
Ils se poursuivront jusqu’en décembre 2026
un centre d'appels d'Exxon Mobil situé au 21 Ocean Limited Way à Moncton
Dans une déclaration envoyée par courriel
une porte-parole d'Exxon Mobil explique que la décision de fermer le bureau de Moncton n'a pas été prise à la légère
L'entreprise remercie ses travailleurs et justifie sa décision par le besoin de se concentrer sur d'autres centres d'affaires ailleurs dans le monde
Dans une note du ministère de l'Éducation postsecondaire
de la Formation et du Travail datée du 9 avril et dont Radio-Canada a obtenu copie
on apprend qu'il n'y a pas de plan ou de possibilité de redéploiement du personnel au sein de l'entreprise
s'est engagée à soutenir son personnel pendant cette période difficile
Travail NB prendra également contact avec l'entreprise pour lui offrir une aide supplémentaire
La totalité du bureau de Moncton de cette compagnie pétrolière va fermer progressivement ses portes à compter du mois de juin
250 personnes vont perdre leur emploi
une nouvelle qui réjouit la coprésidente du groupe
Nous avons salué la décision du recteur de l’Université
d’apporter la question à l’ordre du jour de l’Université
écrit Lise Ouellette à l’institution
Le recteur de l’Université tient rapidement à préciser sa pensée dans un courriel envoyé au président du Conseil de l’Université
Les membres de leur comité de suivi multiplient les interventions auprès des membres du Conseil de l’Université
Je me suis engagé à soumettre leur demande au Conseil et non d’initier un processus de changement du nom de notre université
explique Denis Prud’homme dans ce courriel
Il vote à la quasi-unanimité de ne pas aller de l’avant avec un processus de réflexion concernant la dénomination
partage son analyse au recteur de l'Université
Il écrit qu'avec la veille qu'il réalise sur les médias sociaux
il voit que la majorité de ceux et celles qui étaient silencieux se félicite de la décision de l'Université
Au sein de la communauté universitaire
visiblement déçus de la décision du Conseil de l’Université
se positionnent en faveur du changement de nom
Comme en témoigne cette image générée par intelligence artificielle censée représenter le Conseil de l'Université regardant et priant le général Monckton
l'un des responsables de la déportation des Acadiens
Celle-ci a été partagée sur les réseaux sociaux par des employés de l'institution et enregistrée par le directeur des communications
Et les employés qui se positionnent contre l’employeur
Malgré plusieurs lettres reçues de la part du comité de citoyens
la priorité de l'Université reste la mise sur pied d'un plan stratégique nommé Cap sur l’Avenir
En ce qui a trait au dossier du changement de nom
l'institution opte à ce moment-là pour le silence complet
Le président du Conseil de l’Université
aurait tout de même souhaité répondre par une lettre
aux critiques formulées à l’endroit de l’institution
une dizaine de jours après la décision :
Plusieurs accusent le Conseil de l’Université d’être frileux
de ne pas être tourné vers l’avenir
d’être méprisant envers les Acadiens
Plus de 2500 intervenants ont participé à la consultation de 18 mois [afin de préparer le plan stratégique]
Le nom de l’Université n’a été soulevé qu’à une seule occasion
Mais la direction décide de ne pas publier cette lettre à ce moment-là
Je suis d’avis que le timing n’est pas bon
J’ai surtout l’impression que nous risquons de mettre de l’huile sur le feu
La lettre est envoyée aux médias quatre mois plus tard
mais passe complètement inaperçue
Le comité de citoyens pour un changement de nom propose alors
une rencontre à l’administration pour discuter du dossier
l’Université ne répond pas
Denis Mallet écrit à Paul Ward qu’il est temps d’agir
Je pense qu’il est temps de leur envoyer une réponse
Pour le moment l’espace médiatique est uniquement occupé par les revendications du comité de citoyen
Il est temps de donner une position claire de l’Université sur ce dossier
La lettre de Denis Mallet est finalement publiée le 23 avril 2024
quatre mois après que l’Université de Moncton ait annoncé qu’elle ne changerait pas de nom
Cette sortie est toutefois éclipsée par le comité des citoyens qui, le même jour, publie sa propre analyse sur les coûts reliés à un changement de nom.
Dans les correspondances obtenues par Radio-Canada, des membres de la direction de l’Université de Moncton disent être victimes d’intimidation. Ta réponse à Lise [Ouellette] est la bonne. Ceci étant dit, je suis aussi très surpris par la teneur du courrier de Lise. Si ce n’est pas de l’intimidation c’est très proche, écrit dans un échange de courriel le président du Conseil de l’Université, Denis Mallet.
Nous avons demandé des précisions pour comprendre quelle était la source de ce sentiment d’intimidation. L’université a refusé notre demande d’entrevue. De son côté, Lise Ouellette dit que son but n’est pas de nuire à l’institution et que les correspondances ont toujours été cordiales.
L’Université parle d’intimidation une deuxième fois suite à la publication en juin 2024 d’une lettre d’opinion de l’ancien PDG de l’Assomption, Denis Losier, dans l’Acadie Nouvelle où il accuse l’Université d’avoir balayé du revers de la main les demandes de consultations.
Les chuchotements à l’égard de l’arrogance du président Denis Mallet et l’imposition d’une omerta aux membres du Conseil de l’Université risquent de miner la réputation de celle-ci.
Après la publication de ce texte d’opinion, la chancelière de l’Université, Louise Imbeault, envoie un message de réconfort à Denis Mallet.
Je suis vraiment désolée des propos de Denis Losier dans l’Acadie Nouvelle de ce matin. C’est plein de fausseté et tu ne mérites pas d’être ainsi apostrophé.
En mai 2024, cinq mois après la décision du Conseil de l’Université de ne pas aller de l’avant avec le changement de nom, un projet de réponses au sujet de la dénomination de l’Université de Moncton est présenté à la direction.
Plusieurs scénarios sont sur la table pour clore le dossier, notamment faire réagir le recteur Denis Prud’homme pour qu’il rappelle que l’université priorise la stratégie Cap sur l’avenir pour les cinq prochaines années.
Le recteur se positionne publiquement, il ne serait plus accusé de se cacher derrière les décisions du Conseil de l’Université. Avec l’intérêt d’un nouvel interlocuteur, l’intérêt des médias risque d’être plus grand.
Une autre option proposée était de laisser le dossier entre les mains de la direction des communications. Depuis mai dernier, l'Université n'a pas refait de sortie publique sur le changement de nom.
Au cours des 15 dernières années, Rachel a dirigé les journalistes de l'Atlantique à titre d'affectatrice de la salle des nouvelles. Elle est désormais de retour dans la salle des nouvelles.
Ouvrir en mode plein écranL'Université de Moncton a régulièrement gardé le silence concernant les demandes répétées de changement de nom.
Rachel GauvinPublié le 19 février à 4 h 42 HAEÉcouter l’article | 8 minutesLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale
une technologie basée sur l’intelligence artificielle.Une série d’échanges de courriels et de lettres depuis le 23 janvier 2023
obtenus en vertu d’une demande d’accès à l’information faite par Radio-Canada
montre que l’Université de Moncton a pris la décision de ne plus publiquement discuter du dossier du changement de nom et que plusieurs membres de l'institution disent avoir été victime d’intimidation
une nouvelle qui réjouit la coprésidente du groupe
Nous avons salué la décision du recteur de l’Université
d’apporter la question à l’ordre du jour de l’Université
Le recteur de l’Université tient rapidement à préciser sa pensée dans un courriel envoyé au président du Conseil de l’Université
Les membres de leur comité de suivi multiplient les interventions auprès des membres du Conseil de l’Université
Je me suis engagé à soumettre leur demande au Conseil et non d’initier un processus de changement du nom de notre université
explique Denis Prud’homme dans ce courriel
Il vote à la quasi-unanimité de ne pas aller de l’avant avec un processus de réflexion concernant la dénomination
Ouvrir en mode plein écranLe recteur de l'Université de Moncton
lors de la conférence de presse dévoilant le contenu du rapport sur la dénomination de l'institution acadienne
partage son analyse au recteur de l'Université
Il écrit qu'avec la veille qu'il réalise sur les médias sociaux
il voit que la majorité de ceux et celles qui étaient silencieux se félicite de la décision de l'Université
visiblement déçus de la décision du Conseil de l’Université
Comme en témoigne cette image générée par intelligence artificielle censée représenter le Conseil de l'Université regardant et priant le général Monckton
l'un des responsables de la déportation des Acadiens
Celle-ci a été partagée sur les réseaux sociaux par des employés de l'institution et enregistrée par le directeur des communications
Ouvrir en mode plein écranUne image générée par intelligence artificielle servant à illustrer la décision du Conseil des gouverneurs de l'Université de Moncton de ne pas changer le nom de l'institution
Et les employés qui se positionnent contre l’employeur
Malgré plusieurs lettres reçues de la part du comité de citoyens
la priorité de l'Université reste la mise sur pied d'un plan stratégique nommé Cap sur l’Avenir
l'institution opte à ce moment-là pour le silence complet
aurait tout de même souhaité répondre par une lettre
aux critiques formulées à l’endroit de l’institution
Plusieurs accusent le Conseil de l’Université d’être frileux
Plus de 2500 intervenants ont participé à la consultation de 18 mois [afin de préparer le plan stratégique]
Le nom de l’Université n’a été soulevé qu’à une seule occasion
le 9 décembre 2023 à l'Université de Moncton
Photo : Radio-Canada / Louis-Philippe Trozzo
Mais la direction décide de ne pas publier cette lettre à ce moment-là
Je suis d’avis que le timing n’est pas bon
J’ai surtout l’impression que nous risquons de mettre de l’huile sur le feu
La lettre est envoyée aux médias quatre mois plus tard
Le comité de citoyens pour un changement de nom propose alors
une rencontre à l’administration pour discuter du dossier
directeur des communications à l'Université de Moncton
Denis Mallet écrit à Paul Ward qu’il est temps d’agir
Je pense qu’il est temps de leur envoyer une réponse
Pour le moment l’espace médiatique est uniquement occupé par les revendications du comité de citoyen
Il est temps de donner une position claire de l’Université sur ce dossier
La lettre de Denis Mallet est finalement publiée le 23 avril 2024
quatre mois après que l’Université de Moncton ait annoncé qu’elle ne changerait pas de nom
Dans les correspondances obtenues par Radio-Canada, des membres de la direction de l’Université de Moncton disent être victimes d’intimidation. Ta réponse à Lise [Ouellette] est la bonne. Ceci étant dit, je suis aussi très surpris par la teneur du courrier de Lise. Si ce n’est pas de l’intimidation c’est très proche, écrit dans un échange de courriel le président du Conseil de l’Université, Denis Mallet.
Ouvrir en mode plein écranDenis Mallet, président du Conseil de l'Université de Moncton (à droite), en compagnie du recteur de l'Université.
Nous avons demandé des précisions pour comprendre quelle était la source de ce sentiment d’intimidation. L’université a refusé notre demande d’entrevue. De son côté, Lise Ouellette dit que son but n’est pas de nuire à l’institution et que les correspondances ont toujours été cordiales.
L’Université parle d’intimidation une deuxième fois suite à la publication en juin 2024 d’une lettre d’opinion de l’ancien PDG de l’Assomption, Denis Losier, dans l’Acadie Nouvelle où il accuse l’Université d’avoir balayé du revers de la main les demandes de consultations.
Les chuchotements à l’égard de l’arrogance du président Denis Mallet et l’imposition d’une omerta aux membres du Conseil de l’Université risquent de miner la réputation de celle-ci.
Après la publication de ce texte d’opinion, la chancelière de l’Université, Louise Imbeault, envoie un message de réconfort à Denis Mallet.
Je suis vraiment désolée des propos de Denis Losier dans l’Acadie Nouvelle de ce matin. C’est plein de fausseté et tu ne mérites pas d’être ainsi apostrophé.
En mai 2024, cinq mois après la décision du Conseil de l’Université de ne pas aller de l’avant avec le changement de nom, un projet de réponses au sujet de la dénomination de l’Université de Moncton est présenté à la direction.
Plusieurs scénarios sont sur la table pour clore le dossier, notamment faire réagir le recteur Denis Prud’homme pour qu’il rappelle que l’université priorise la stratégie Cap sur l’avenir pour les cinq prochaines années.
Le recteur se positionne publiquement, il ne serait plus accusé de se cacher derrière les décisions du Conseil de l’Université. Avec l’intérêt d’un nouvel interlocuteur, l’intérêt des médias risque d’être plus grand.
Une autre option proposée était de laisser le dossier entre les mains de la direction des communications. Depuis mai dernier, l'Université n'a pas refait de sortie publique sur le changement de nom.
Cette sortie est toutefois éclipsée par le comité des citoyens qui, le même jour, publie sa propre analyse sur les coûts reliés à un changement de nom
Dans les correspondances obtenues par Radio-Canada
des membres de la direction de l’Université de Moncton disent être victimes d’intimidation
Ta réponse à Lise [Ouellette] est la bonne
je suis aussi très surpris par la teneur du courrier de Lise
Si ce n’est pas de l’intimidation c’est très proche
écrit dans un échange de courriel le président du Conseil de l’Université
Nous avons demandé des précisions pour comprendre quelle était la source de ce sentiment d’intimidation
L’université a refusé notre demande d’entrevue
Lise Ouellette dit que son but n’est pas de nuire à l’institution et que les correspondances ont toujours été cordiales
L’Université parle d’intimidation une deuxième fois suite à la publication en juin 2024 d’une lettre d’opinion de l’ancien PDG de l’Assomption
dans l’Acadie Nouvelle où il accuse l’Université d’avoir balayé du revers de la main les demandes de consultations
Les chuchotements à l’égard de l’arrogance du président Denis Mallet et l’imposition d’une omerta aux membres du Conseil de l’Université risquent de miner la réputation de celle-ci
Après la publication de ce texte d’opinion
la chancelière de l’Université
envoie un message de réconfort à Denis Mallet
Je suis vraiment désolée des propos de Denis Losier dans l’Acadie Nouvelle de ce matin
C’est plein de fausseté et tu ne mérites pas d’être ainsi apostrophé
cinq mois après la décision du Conseil de l’Université de ne pas aller de l’avant avec le changement de nom
un projet de réponses au sujet de la dénomination de l’Université de Moncton est présenté à la direction
Plusieurs scénarios sont sur la table pour clore le dossier
notamment faire réagir le recteur Denis Prud’homme pour qu’il rappelle que l’université priorise la stratégie Cap sur l’avenir pour les cinq prochaines années
il ne serait plus accusé de se cacher derrière les décisions du Conseil de l’Université
Avec l’intérêt d’un nouvel interlocuteur
l’intérêt des médias risque d’être plus grand
Une autre option proposée était de laisser le dossier entre les mains de la direction des communications
l'Université n'a pas refait de sortie publique sur le changement de nom
Au cours des 15 dernières années
Rachel a dirigé les journalistes de l'Atlantique à titre d'affectatrice de la salle des nouvelles
Elle est désormais de retour dans la salle des nouvelles
Cette sortie est toutefois éclipsée par le comité des citoyens qui, le même jour, publie sa propre analyse sur les coûts reliés à un changement de nom
Une série d’échanges de courriels et de lettres depuis le 23 janvier 2023
montre que l’Université de Moncton a pris la décision de ne plus publiquement discuter du dossier du changement de nom et que plusieurs membres de l'institution disent avoir été victime d’intimidation
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dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"Samedi
ils ont reçu 13 appels de ce type et sept dimanche
chef des opérations du service des incendies de Moncton
Ça reste en quelque sorte dans la fourchette ou la moyenne qu’on a normalement
Un organisme affirmait lundi qu’environ 28 surdoses s’étaient produites au cours de la fin de semaine
cette affirmation s’est avérée fausse
Toutefois, si cette fin de semaine est considérée comme relativement normale, les pompiers ont remarqué que les personnes qui faisaient des surdoses d'opioïdes réagissaient différemment par rapport à d’habitude.
Dans ce genre de cas, les pompiers administrent du naloxone, aussi connu sous le nom de Narcan. Ce vaporisateur nasal est indiqué en cas de surdoses d'opioïdes, car il peut inverser rapidement et temporairement leurs effets.
Les personnes qui reviennent habituellement avec le Narcan ont mis plus de temps, nous avons dû utiliser plus de doses pour les faire revenir, ce qui peut indiquer que la drogue peut être mélangée à quelque chose d'autre. Ça pourrait être du fentanyl mélangé avec autre chose. Parfois le Narcan n'a pas le même effet avec ce genre de drogues, peu importe le mix, explique le chef des opérations des pompiers de Moncton.
En 2022, le service d’incendie de la ville rapportait que les coûts de ce médicament coûtait plus de 20 000 $ à la ville.
Pour le seul site de consommation de drogue surveillé de la province, Ensemble Moncton, il est difficile de savoir précisément les drogues qui sont achetées sur le terrain.
Moi je peux juste tester ce que les gens nous apportent. Ce n’est pas tous les gens qui font tester leurs substances. C’est un choix qu’on laisse à eux, explique Josué Goguen, coordinateur du site de prévention des surdoses.
L’organisme peut passer des semaines voire des mois sans que des clients fassent des surdoses dans leurs locaux et après on peut en avoir comme cinq, compare Josué Goguen.
On ne peut jamais prédire ce qui va se passer. [...] On est dans une crise d'opioïdes alors on fait ce qu’on peut pour aider les gens.
On est chanceux parce que sur notre site, comme on peut voir les surdoses arriver vite et on peut réagir vite et souvent on utilise juste de l’oxygène et ça c’est assez pour renverser la surdose. Donc on n'est pas toujours obligés d’utiliser du naloxone, poursuit le coordinateur des lieux.
Selon l’organisme, cela souligne l’importance et la nécessité d’avoir plus de sites de consommation de drogue sécuritaire afin de sauver des vies.
Avec des informations de Katherina Boucher
Ouvrir en mode plein écranUn vaporisateur de naloxone par voie nasale.
Margaux TertrePublié le 8 avril à 4 h 50 HAEÉcouter l’article | 4 minutesLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale
une technologie basée sur l’intelligence artificielle.En moyenne
les pompiers de Moncton sont amenés à intervenir sur 8 à 10 surdoses par jour dans la plus grande ville de la province
ils ont reçu 13 appels de ce type et sept dimanche
chef des opérations du service des incendies de Moncton
Ça reste en quelque sorte dans la fourchette ou la moyenne qu’on a normalement
Un organisme affirmait lundi qu’environ 28 surdoses s’étaient produites au cours de la fin de semaine
Toutefois, si cette fin de semaine est considérée comme relativement normale, les pompiers ont remarqué que les personnes qui faisaient des surdoses d'opioïdes réagissaient différemment par rapport à d’habitude.
Ouvrir en mode plein écranKeith Guptill est le chef des opérations des pompiers de Moncton.
Dans ce genre de cas, les pompiers administrent du naloxone, aussi connu sous le nom de Narcan. Ce vaporisateur nasal est indiqué en cas de surdoses d'opioïdes, car il peut inverser rapidement et temporairement leurs effets.
Les personnes qui reviennent habituellement avec le Narcan ont mis plus de temps, nous avons dû utiliser plus de doses pour les faire revenir, ce qui peut indiquer que la drogue peut être mélangée à quelque chose d'autre. Ça pourrait être du fentanyl mélangé avec autre chose. Parfois le Narcan n'a pas le même effet avec ce genre de drogues, peu importe le mix, explique le chef des opérations des pompiers de Moncton.
En 2022, le service d’incendie de la ville rapportait que les coûts de ce médicament coûtait plus de 20 000 $ à la ville.
Pour le seul site de consommation de drogue surveillé de la province, Ensemble Moncton, il est difficile de savoir précisément les drogues qui sont achetées sur le terrain.
Moi je peux juste tester ce que les gens nous apportent. Ce n’est pas tous les gens qui font tester leurs substances. C’est un choix qu’on laisse à eux, explique Josué Goguen, coordinateur du site de prévention des surdoses.
Ouvrir en mode plein écranJosué Goguen est coordinateur du site de prévention des surdoses.
L’organisme peut passer des semaines voire des mois sans que des clients fassent des surdoses dans leurs locaux et après on peut en avoir comme cinq, compare Josué Goguen.
On ne peut jamais prédire ce qui va se passer. [...] On est dans une crise d'opioïdes alors on fait ce qu’on peut pour aider les gens.
On est chanceux parce que sur notre site, comme on peut voir les surdoses arriver vite et on peut réagir vite et souvent on utilise juste de l’oxygène et ça c’est assez pour renverser la surdose. Donc on n'est pas toujours obligés d’utiliser du naloxone, poursuit le coordinateur des lieux.
Selon l’organisme, cela souligne l’importance et la nécessité d’avoir plus de sites de consommation de drogue sécuritaire afin de sauver des vies.
Keith Guptill estime que cette moyenne est sensiblement la même depuis un an environ. En mai 2023, les pompiers de Moncton rapportaient environ quatre à cinq appels quotidiens pour des surdoses
le chef pompier de la ville affirmait que ce type d’appels était en hausse de 40 % dans les trois dernières années
si cette fin de semaine est considérée comme relativement normale
les pompiers ont remarqué que les personnes qui faisaient des surdoses d'opioïdes réagissaient différemment par rapport à d’habitude
Ce vaporisateur nasal est indiqué en cas de surdoses d'opioïdes
car il peut inverser rapidement et temporairement leurs effets
Les personnes qui reviennent habituellement avec le Narcan ont mis plus de temps
nous avons dû utiliser plus de doses pour les faire revenir
ce qui peut indiquer que la drogue peut être mélangée à quelque chose d'autre
Ça pourrait être du fentanyl mélangé avec autre chose
Parfois le Narcan n'a pas le même effet avec ce genre de drogues
explique le chef des opérations des pompiers de Moncton
le service d’incendie de la ville rapportait que les coûts de ce médicament coûtait plus de 20 000 $ à la ville
Pour le seul site de consommation de drogue surveillé de la province
il est difficile de savoir précisément les drogues qui sont achetées sur le terrain
Moi je peux juste tester ce que les gens nous apportent
Ce n’est pas tous les gens qui font tester leurs substances
C’est un choix qu’on laisse à eux
coordinateur du site de prévention des surdoses
L’organisme peut passer des semaines voire des mois sans que des clients fassent des surdoses dans leurs locaux et après on peut en avoir comme cinq
On ne peut jamais prédire ce qui va se passer
[...] On est dans une crise d'opioïdes alors on fait ce qu’on peut pour aider les gens
comme on peut voir les surdoses arriver vite et on peut réagir vite et souvent on utilise juste de l’oxygène et ça c’est assez pour renverser la surdose
Donc on n'est pas toujours obligés d’utiliser du naloxone
cela souligne l’importance et la nécessité d’avoir plus de sites de consommation de drogue sécuritaire afin de sauver des vies
Keith Guptill estime que cette moyenne est sensiblement la même depuis un an environ. En mai 2023, les pompiers de Moncton rapportaient environ quatre à cinq appels quotidiens pour des surdoses
En 2019, ce taux s'était établi à 2 % à Moncton.
Une région métropolitaine de recensement (RMR) est formée d’une ou de plusieurs municipalités adjacentes situées autour d’un centre de population, aussi appelé le noyau. Une RMR doit avoir une population totale d’au moins 100 000 habitants.
Cette forte croissance n'est pas inédite cette année. Tous les ans depuis 2021, Moncton fait partie des agglomérations qui croissent le plus vite au Canada.
En 10 ans, la ville de Moncton à elle seule a accueilli 25 000 nouveaux résidents et s'approche désormais des 100 000 habitants, soit une hausse de 34 % de sa population.
C'est sans compter Dieppe, dont la population a augmenté de près de 10 000 personnes en 10 ans, et, dans une moindre mesure, Riverview, dont la population a augmenté de 2500 habitants depuis 2014.
La mairesse de Moncton, Dawn Arnold, se réjouit de cette croissance.
C’est incroyable, en fait, mais ce n'est pas une surprise, lance-t-elle. Pour elle, les nouveaux arrivants sont absolument nécessaires afin de résoudre les problèmes de main-d’œuvre.
Elle souligne au passage que la province perdra 130 000 travailleurs d’ici cinq ans. Actuellement, à Moncton, un travailleur sur six est un nouvel arrivant.
C’est 17 % de notre main-d'œuvre, alors c’est très important pour la collectivité, soutient Dawn Arnold. La croissance est vitale pour notre pérennité.
Évidemment, un flux considérable de nouveaux arrivants vient aussi avec son lot de difficultés, principalement au chapitre du logement et du transport.
Toutefois, Dawn Arnold affirme que la Ville travaille d’arrache-pied pour encourager la construction de logements et de maisons unifamiliales, l’aménagement de sous-sols et l'ajout de nouvelles unités dans des maisons déjà existantes.
La croissance suscite beaucoup d'inquiétude et de difficultés, mais, comme je l'ai toujours dit, nous préférons de loin relever les défis de la croissance plutôt que ceux du déclin.
Elle prévoit que cette croissance se poursuivra, mais elle espère qu’elle le fera à un rythme un peu plus lent.
C’est une croissance sans précédent! lance l’économiste David Campbell.
Il est lui aussi d’avis que la Ville de Moncton se trouve dans une bonne position et qu’il vaut mieux gérer les effets d’une croissance que ceux d’un déclin. Il affirme toutefois que la Ville devra multiplier les initiatives pour la construction de logements si elle veut répondre à la demande et continuer de croître.
Cet économiste souligne que la région du Grand Moncton se tire bien d'affaire avec des prix compétitifs sur le marché immobilier comparativement à d’autres régions au pays.
C'est une très bonne nouvelle pour la province que les gens viennent non seulement dans les grandes villes mais aussi dans de nombreuses autres petites villes de la province.
Selon lui, l’immigration est essentielle pour la province, qui recense toujours un nombre plus élevé de décès que de naissances.
La croissance d’une ville est toujours une bonne nouvelle, lance la présidente-directrice générale de la Chambre de commerce du Grand Moncton, Kim Wilson.
Il s'agit d'une source de bonnes affaires, croit-elle, mais il faut pouvoir répondre à la demande. Le défi, c’est de trouver la main-d’œuvre nécessaire pour soutenir la croissance. Ce n'est pas évident et c'est un des défis qu’on entend souvent de nos membres.
Il y aussi la question de la langue. Moncton est composée d’environ 33 % de francophones, selon les données de Statistique Canada de 2021. La mairesse n’est pas inquiète de voir ce taux diminuer en raison de l’immigration.
Nous savons que 39 % des immigrants qui arrivent ici sont francophones, ce qui est supérieur à la moyenne nationale, affirme-t-elle en indiquant que 89 % des nouveaux arrivants dans la ville parlent une des deux langues officielles.
Avec les informations d’Allie Chouinard, de Frédéric Cammarano et de Shaine Magee, de CBC
Ouvrir en mode plein écranUn immeuble à logements en construction au centre-ville de Moncton.
Entre le 1er juillet 2023 et le 1er juillet 2024, la population du Grand Moncton a augmenté de 5,1 %, derrière Calgary, en tête du palmarès, avec un taux de 5,8 %.
En 2019, ce taux s'était établi à 2 % à Moncton.
Une région métropolitaine de recensement (RMR) est formée d’une ou de plusieurs municipalités adjacentes situées autour d’un centre de population, aussi appelé le noyau. Une RMR doit avoir une population totale d’au moins 100 000 habitants.
Cette forte croissance n'est pas inédite cette année. Tous les ans depuis 2021, Moncton fait partie des agglomérations qui croissent le plus vite au Canada.
En 10 ans, la ville de Moncton à elle seule a accueilli 25 000 nouveaux résidents et s'approche désormais des 100 000 habitants, soit une hausse de 34 % de sa population.
C'est sans compter Dieppe, dont la population a augmenté de près de 10 000 personnes en 10 ans, et, dans une moindre mesure, Riverview, dont la population a augmenté de 2500 habitants depuis 2014.
La mairesse de Moncton, Dawn Arnold, se réjouit de cette croissance.
C’est incroyable, en fait, mais ce n'est pas une surprise, lance-t-elle. Pour elle, les nouveaux arrivants sont absolument nécessaires afin de résoudre les problèmes de main-d’œuvre.
Ouvrir en mode plein écranLa mairesse de Moncton, Dawn Arnold, le 28 novembre 2024.
Elle souligne au passage que la province perdra 130 000 travailleurs d’ici cinq ans. Actuellement, à Moncton, un travailleur sur six est un nouvel arrivant.
C’est 17 % de notre main-d'œuvre, alors c’est très important pour la collectivité, soutient Dawn Arnold. La croissance est vitale pour notre pérennité.
Évidemment, un flux considérable de nouveaux arrivants vient aussi avec son lot de difficultés, principalement au chapitre du logement et du transport.
Toutefois, Dawn Arnold affirme que la Ville travaille d’arrache-pied pour encourager la construction de logements et de maisons unifamiliales, l’aménagement de sous-sols et l'ajout de nouvelles unités dans des maisons déjà existantes.
La croissance suscite beaucoup d'inquiétude et de difficultés, mais, comme je l'ai toujours dit, nous préférons de loin relever les défis de la croissance plutôt que ceux du déclin.
Elle prévoit que cette croissance se poursuivra, mais elle espère qu’elle le fera à un rythme un peu plus lent.
C’est une croissance sans précédent! lance l’économiste David Campbell.
Il est lui aussi d’avis que la Ville de Moncton se trouve dans une bonne position et qu’il vaut mieux gérer les effets d’une croissance que ceux d’un déclin. Il affirme toutefois que la Ville devra multiplier les initiatives pour la construction de logements si elle veut répondre à la demande et continuer de croître.
Ouvrir en mode plein écranDavid Campbell croit que la municipalité va devoir multiplier les initiatives si elle veut relever les défis liés à l'arrivée massive de nouveaux résidents. (Photo d'archives)
Cet économiste souligne que la région du Grand Moncton se tire bien d'affaire avec des prix compétitifs sur le marché immobilier comparativement à d’autres régions au pays.
C'est une très bonne nouvelle pour la province que les gens viennent non seulement dans les grandes villes mais aussi dans de nombreuses autres petites villes de la province.
Selon lui, l’immigration est essentielle pour la province, qui recense toujours un nombre plus élevé de décès que de naissances.
La croissance d’une ville est toujours une bonne nouvelle, lance la présidente-directrice générale de la Chambre de commerce du Grand Moncton, Kim Wilson.
Il s'agit d'une source de bonnes affaires, croit-elle, mais il faut pouvoir répondre à la demande. Le défi, c’est de trouver la main-d’œuvre nécessaire pour soutenir la croissance. Ce n'est pas évident et c'est un des défis qu’on entend souvent de nos membres.
Ouvrir en mode plein écranL'hôtel de ville de Moncton.
Il y aussi la question de la langue. Moncton est composée d’environ 33 % de francophones, selon les données de Statistique Canada de 2021. La mairesse n’est pas inquiète de voir ce taux diminuer en raison de l’immigration.
Nous savons que 39 % des immigrants qui arrivent ici sont francophones, ce qui est supérieur à la moyenne nationale, affirme-t-elle en indiquant que 89 % des nouveaux arrivants dans la ville parlent une des deux langues officielles.
Avec les informations d’Allie Chouinard, de Frédéric Cammarano et de Shaine Magee, de CBC
Entre le 1er juillet 2023 et le 1er juillet 2024
la population du Grand Moncton a augmenté de 5,1 %
ce taux s'était établi à 2 % à Moncton
Une région métropolitaine de recensement (RMR) est formée d’une ou de plusieurs municipalités adjacentes situées autour d’un centre de population
Une RMR doit avoir une population totale d’au moins 100 000 habitants
Cette forte croissance n'est pas inédite cette année
Moncton fait partie des agglomérations qui croissent le plus vite au Canada
la ville de Moncton à elle seule a accueilli 25 000 nouveaux résidents et s'approche désormais des 100 000 habitants
soit une hausse de 34 % de sa population
dont la population a augmenté de près de 10 000 personnes en 10 ans
dont la population a augmenté de 2500 habitants depuis 2014
les nouveaux arrivants sont absolument nécessaires afin de résoudre les problèmes de main-d’œuvre
Elle souligne au passage que la province perdra 130 000 travailleurs d’ici cinq ans
un travailleur sur six est un nouvel arrivant
C’est 17 % de notre main-d'œuvre
alors c’est très important pour la collectivité
La croissance est vitale pour notre pérennité
un flux considérable de nouveaux arrivants vient aussi avec son lot de difficultés
principalement au chapitre du logement et du transport
Dawn Arnold affirme que la Ville travaille d’arrache-pied pour encourager la construction de logements et de maisons unifamiliales
l’aménagement de sous-sols et l'ajout de nouvelles unités dans des maisons déjà existantes
La croissance suscite beaucoup d'inquiétude et de difficultés
nous préférons de loin relever les défis de la croissance plutôt que ceux du déclin
Elle prévoit que cette croissance se poursuivra
mais elle espère qu’elle le fera à un rythme un peu plus lent
C’est une croissance sans précédent
lance l’économiste David Campbell
Il est lui aussi d’avis que la Ville de Moncton se trouve dans une bonne position et qu’il vaut mieux gérer les effets d’une croissance que ceux d’un déclin
Il affirme toutefois que la Ville devra multiplier les initiatives pour la construction de logements si elle veut répondre à la demande et continuer de croître
Cet économiste souligne que la région du Grand Moncton se tire bien d'affaire avec des prix compétitifs sur le marché immobilier comparativement à d’autres régions au pays
C'est une très bonne nouvelle pour la province que les gens viennent non seulement dans les grandes villes mais aussi dans de nombreuses autres petites villes de la province
l’immigration est essentielle pour la province
qui recense toujours un nombre plus élevé de décès que de naissances
La croissance d’une ville est toujours une bonne nouvelle
lance la présidente-directrice générale de la Chambre de commerce du Grand Moncton
mais il faut pouvoir répondre à la demande
c’est de trouver la main-d’œuvre nécessaire pour soutenir la croissance
Ce n'est pas évident et c'est un des défis qu’on entend souvent de nos membres
Moncton est composée d’environ 33 % de francophones
selon les données de Statistique Canada de 2021
La mairesse n’est pas inquiète de voir ce taux diminuer en raison de l’immigration
Nous savons que 39 % des immigrants qui arrivent ici sont francophones
ce qui est supérieur à la moyenne nationale
affirme-t-elle en indiquant que 89 % des nouveaux arrivants dans la ville parlent une des deux langues officielles
Avec les informations d’Allie Chouinard
de Frédéric Cammarano et de Shaine Magee
La croissance démographique de Moncton continue d'être parmi les plus fortes au pays
elle figure au 2e rang parmi les 10 régions métropolitaines au Canada qui affichent les taux d’accroissement démographique annuels les plus élevés
dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"L'équipe espère répéter son exploit de 2022 lorsqu'elle a remporté le titre canadien
L'entraîneur John DeCourcey explique qu'il a augmenté la cadence et l'intensité des séances d’entraînement après les célébrations du championnat régional
Le défenseur Jacob Veilleux en donne un aperçu
C'est sûr que John nous fait patiner un peu à la fin des pratiques pour faire sûr qu'on a du bon conditionnement
Ça va être une grande week-end à BC
Il faut faire sûr qu'on peut tenir pour toutes les parties et qu'on ne manque pas de souffle et d'énergie
qui cite en exemple le championnat de l'Atlantique
Les Flyers y ont joué cinq parties en quatre jours
Ils pourraient jouer sept matchs en sept jours au championnat national
C'est sûr que c'est difficile sur le corps
que tu es capable de récupérer assez rapidement parce qu’on est des jeunes
Les Flyers connaissent très peu les cinq autres équipes participantes
Moncton a participé à des tournois au Québec et en Nouvelle-Écosse et John DeCourcey a cependant dégagé une constante chez ses adversaires
Ces équipes ont un rythme de jeu plus rapide que celles de l'Atlantique et Moncton n'a pas ce genre de compétition dans la région
On joue contre de bons joueurs de partout au Canada
peut-être que tu vas jouer contre un joueur qui dans trois ou quatre ans va faire la LNH ou va se faire [repêcher] dans la LNH
Les joueurs sont fébriles et il y a un peu de nervosité dans l'air
C'est le premier national pour beaucoup de monde ici
Tristan Richard reconnaît que le calibre de jeu est élevé
mais il estime qu'une partie du succès repose sur le fait de s'imposer dès le début
Faire sûr d'être prêt mentalement et physiquement
il faut être présent et jouer du meilleur qu'on peut
Les Flyers s'envoleront samedi vers la Colombie-Britannique
Ils auront peu de temps pour s'adapter au décalage horaire
mais nous allons demander à nos joueurs de commencer à se coucher un peu plus tard cette semaine
Tout le monde joue son rôle et c'est ce qui fait en sorte qu'on a du succès
D’après un reportage de François Le Blanc
Ouvrir en mode plein écranLes Flyers de Moncton s'entraînent intensivement en prévision du championnat canadien
champions de l'Atlantique dans la catégorie des moins de 18 ans en hockey masculin
vont participer au championnat national qui commence lundi en Colombie-Britannique
L'équipe espère répéter son exploit de 2022 lorsqu'elle a remporté le titre canadien
L'entraîneur John DeCourcey explique qu'il a augmenté la cadence et l'intensité des séances d’entraînement après les célébrations du championnat régional
Le défenseur Jacob Veilleux en donne un aperçu
C'est sûr que John nous fait patiner un peu à la fin des pratiques pour faire sûr qu'on a du bon conditionnement
Il faut faire sûr qu'on peut tenir pour toutes les parties et qu'on ne manque pas de souffle et d'énergie
Les Flyers y ont joué cinq parties en quatre jours
Ouvrir en mode plein écranUn moment de repos durant une séance d'entraînement des Flyers de Moncton
C'est sûr que c'est difficile sur le corps
que tu es capable de récupérer assez rapidement parce qu’on est des jeunes
Les Flyers connaissent très peu les cinq autres équipes participantes
Moncton a participé à des tournois au Québec et en Nouvelle-Écosse et John DeCourcey a cependant dégagé une constante chez ses adversaires
Ces équipes ont un rythme de jeu plus rapide que celles de l'Atlantique et Moncton n'a pas ce genre de compétition dans la région
peut-être que tu vas jouer contre un joueur qui dans trois ou quatre ans va faire la LNH ou va se faire [repêcher] dans la LNH
Les joueurs sont fébriles et il y a un peu de nervosité dans l'air
Tristan Richard reconnaît que le calibre de jeu est élevé
mais il estime qu'une partie du succès repose sur le fait de s'imposer dès le début
Faire sûr d'être prêt mentalement et physiquement
il faut être présent et jouer du meilleur qu'on peut
Ils auront peu de temps pour s'adapter au décalage horaire
mais nous allons demander à nos joueurs de commencer à se coucher un peu plus tard cette semaine
Tout le monde joue son rôle et c'est ce qui fait en sorte qu'on a du succès
L'équipe espère répéter son exploit de 2022 lorsqu'elle a remporté le titre canadien
champions de l'Atlantique dans la catégorie des moins de 18 ans en hockey masculin
dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"L'usage de la langue française est de plus en plus important dans les conseils municipaux de Moncton et de Dieppe
Cette constatation ressort du mémoire de maîtrise d'Isabelle Bujold
étudiante à l'Université de Moncton
Son étude démontre aussi qu'il n'est pas toujours facile pour les conseillers de choisir de s'exprimer en français
Isabelle Bujold a assisté à plusieurs réunions des conseils municipaux de Dieppe et de Moncton
Elle a également interrogé plusieurs conseillers et employés municipaux afin de connaître leur position respective sur le français
l'évolution des mentalités a fait un bond gigantesque au sein des deux conseils municipaux où
le français était presque absent
se fait cependant en fonction d'enjeux précis
« Les conseillers francophones vont parler en français
c'est surtout pour parler de questions francophones »
On n'a plus peur de s'affirmer en français
mais on préfère encore utiliser l'anglais
« Le fait de choisir d'utiliser le français devant le conseil
il ne pourrait peut-être pas comprendre ce que je suis en train de dire
est-ce que je vais choisir de parler le français ou est-ce que je vais prendre l'anglais parce que je veux faire passer un message? »
grâce aux cours d'immersion française et de français
les probabilités que cette langue occupe une plus grande place au sein de ces conseils municipaux dans l'avenir augmentent
Ouvrir en mode plein écranRadio-CanadaPublié le 5 février 2007 à 13 h 24 HAEPrenez note que cet article publié en 2007 pourrait contenir des informations qui ne sont plus à jour
La langue française occupe une place plus importante qu'auparavant dans les conseils municipaux de la région de Moncton
selon une chercheuse qui a étudié la question
L'usage de la langue française est de plus en plus important dans les conseils municipaux de Moncton et de Dieppe
Cette constatation ressort du mémoire de maîtrise d'Isabelle Bujold
Son étude démontre aussi qu'il n'est pas toujours facile pour les conseillers de choisir de s'exprimer en français
Isabelle Bujold a assisté à plusieurs réunions des conseils municipaux de Dieppe et de Moncton
Elle a également interrogé plusieurs conseillers et employés municipaux afin de connaître leur position respective sur le français
l'évolution des mentalités a fait un bond gigantesque au sein des deux conseils municipaux où
se fait cependant en fonction d'enjeux précis
« Les conseillers francophones vont parler en français
c'est surtout pour parler de questions francophones »
On n'a plus peur de s'affirmer en français
« Le fait de choisir d'utiliser le français devant le conseil
il ne pourrait peut-être pas comprendre ce que je suis en train de dire
est-ce que je vais choisir de parler le français ou est-ce que je vais prendre l'anglais parce que je veux faire passer un message
grâce aux cours d'immersion française et de français
les probabilités que cette langue occupe une plus grande place au sein de ces conseils municipaux dans l'avenir augmentent
Chargement en coursInfolettre Info nationaleNouvelles
L'usage de la langue française est de plus en plus important dans les conseils municipaux de Moncton et de Dieppe
le juge en chef Wagner et les juges Côté et Martin ont été ravis d’échanger avec autant de personnes au cours de leur première journée à Moncton
Les juges ont répondu aux questions des représentants des médias au sujet du travail de la Cour et de son 150e anniversaire en 2025
Ils ont ensuite rencontré des étudiants et des professeurs de la Faculté de droit de l’Université de Moncton et de la Faculté de droit de University of New Brunswick pour s’entretenir au sujet du travail de la Cour
de l’accès à la justice et de l’indépendance de la magistrature
La journée s’est terminée avec une réception à l’hôtel de ville de Moncton
pour rencontrer des dignitaires de Moncton
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ils ont reçu 13 appels de ce type et 7 dimanche
Pour le seul site de consommation de drogue surveillé de la province
il est difficile de savoir précisément les drogues qui sont achetées sur le terrain
coordinateur du site de prévention des surdoses
le service d’incendie de la ville rapportait que les coûts de ce médicament se chiffraient à plus de 20 000 $ à la ville en raison de la quantité utilisée.\n
Les pompiers de Moncton sont amenés à intervenir sur 8 à 10 surdoses par jour
C'est la moyenne depuis environ un an
Dans la dernière année, ce comité a mandaté un groupe de travail pour évaluer de possibles noms qui pourraient convenir à l’Université. Rappelons que le groupe dénonce le fait que la plus grande université acadienne porte le nom d’un général britannique ayant joué un rôle crucial dans la déportation des Acadiens, Robert Monckton.
Ainsi, différents critères ont été établis pour évaluer le potentiel d’une quarantaine de noms.
Ces critères comprennent le reflet de l’identité acadienne de l’établissement, la mission francophone, le respect du réseau de l’établissement, la visibilité nationale et internationale, la simplicité du nom, la neutralité en évitant des consonances religieuses ou politiciennes, la pérennité et la caractéristique d’être un nom tourné vers l’avenir.
Parmi les noms étudiés, le comité recommande de soumettre au vote trois noms potentiels :
Il n’y en a pas de nom parfait, lance Adrien Bérubé, professeur émérite en géographie, ex-doyen de l’UMCE et membre du groupe de travail. Un nom répond à certains critères, à certaines qualités, mais on peut toujours trouver une personne ou une autre qui n'est pas d’accord avec ça.
Il explique que les trois noms proposés ont répondu à au moins six critères sur neuf et que ce processus d’évaluation des noms a été rigoureux. Ces critères ont été discutés lors d’une consultation publique avant de les utiliser pour évaluer les propositions.
Selon cette grille de critères, le nom d’Université de Moncton ne répond qu’à trois critères, soit la visibilité (rayonnement), la simplicité et la pérennité du nom.
Le nom Université Antonine-Maillet a obtenu le meilleur résultat (7,5 critères) tout comme Université Nouvelle-Acadie. Cependant, le groupe a choisi de ne pas proposer le nom d’une personne encore vivante, pour des raisons de consentement et parce que cela ne faisait pas partie de son mandat. Mais cette option pourrait toujours être analysée par l’établissement, dit Adrien Bérubé.
Pour Lise Ouellette, porte-parole du Comité citoyen pour un nouveau nom, obtenir l’avis de la population sur ces noms est une étape fondamentale.
La communauté a le droit de participer, c'est important qu'il y ait une réflexion publique sur la question du nom de l’Université.
Elle explique que le vote se fera en ligne, du 14 février au 22 mars. Un lien sera fourni sur les réseaux sociaux et à travers différents médias.
Un seul vote par adresse IP d’un appareil électronique sera comptabilisé.
Le vote est ouvert à toute personne qui s’intéresse à l’Université, peu importe où cette personne-là demeure, que ce soit ici au Nouveau-Brunswick, dans l'Atlantique, au Canada et même à l’international, ajoute Lise Ouellette.
L’objectif est de recevoir 5000 réponses à ce sondage. Les gens seront appelés à déterminer si chaque nom proposé est convenable pour l’établissement et à déterminer leur premier choix.
Au terme de ce vote, le groupe de travail déposera un rapport final qui sera remis à l’Université. Lise Ouellette espère que l’établissement voudra réévaluer la proposition d’un changement de nom.
On espère qu’il y aura dialogue, il n’est pas normal que la porte soit complètement fermée depuis longtemps. Là, c’est un comité citoyen, c’est la première fois que la communauté prend en charge ce dossier-là.
Par courriel, l’Université de Moncton dit avoir pris connaissance des propositions du groupe de travail, mais n'a rien à ajouter de nouveau pour le moment.
Avec les informations de Babatundé Lawani
Ouvrir en mode plein écranUn groupe de travail a analysé une quarantaine de noms pour remplacer celui de Moncton. (Photo d'archives)
Marie-Emma ParenteauPublié le 23 janvier à 14 h 19 HAEÉcouter l’article | 5 minutesLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale
une technologie basée sur l’intelligence artificielle.Un comité citoyen franchit une nouvelle étape dans sa quête d’un changement de nom de l’Université de Moncton
La population sera appelée à donner son avis sur trois noms retenus par un groupe de travail qui a analysé des dizaines de propositions
Dans la dernière année, ce comité a mandaté un groupe de travail pour évaluer de possibles noms qui pourraient convenir à l’Université. Rappelons que le groupe dénonce le fait que la plus grande université acadienne porte le nom d’un général britannique ayant joué un rôle crucial dans la déportation des Acadiens, Robert Monckton.
Ainsi, différents critères ont été établis pour évaluer le potentiel d’une quarantaine de noms.
Ces critères comprennent le reflet de l’identité acadienne de l’établissement, la mission francophone, le respect du réseau de l’établissement, la visibilité nationale et internationale, la simplicité du nom, la neutralité en évitant des consonances religieuses ou politiciennes, la pérennité et la caractéristique d’être un nom tourné vers l’avenir.
Parmi les noms étudiés, le comité recommande de soumettre au vote trois noms potentiels :
Il n’y en a pas de nom parfait, lance Adrien Bérubé, professeur émérite en géographie, ex-doyen de l’UMCE et membre du groupe de travail. Un nom répond à certains critères, à certaines qualités, mais on peut toujours trouver une personne ou une autre qui n'est pas d’accord avec ça.
Il explique que les trois noms proposés ont répondu à au moins six critères sur neuf et que ce processus d’évaluation des noms a été rigoureux. Ces critères ont été discutés lors d’une consultation publique avant de les utiliser pour évaluer les propositions.
Ouvrir en mode plein écranAdrien Bérubé, professeur émérite en géographie, ex-doyen de l’UMCE et membre du groupe de travail chargé d'évaluer les noms proposés.
Selon cette grille de critères, le nom d’Université de Moncton ne répond qu’à trois critères, soit la visibilité (rayonnement), la simplicité et la pérennité du nom.
Le nom Université Antonine-Maillet a obtenu le meilleur résultat (7,5 critères) tout comme Université Nouvelle-Acadie. Cependant, le groupe a choisi de ne pas proposer le nom d’une personne encore vivante, pour des raisons de consentement et parce que cela ne faisait pas partie de son mandat. Mais cette option pourrait toujours être analysée par l’établissement, dit Adrien Bérubé.
Pour Lise Ouellette, porte-parole du Comité citoyen pour un nouveau nom, obtenir l’avis de la population sur ces noms est une étape fondamentale.
La communauté a le droit de participer, c'est important qu'il y ait une réflexion publique sur la question du nom de l’Université.
Elle explique que le vote se fera en ligne, du 14 février au 22 mars. Un lien sera fourni sur les réseaux sociaux et à travers différents médias.
Un seul vote par adresse IP d’un appareil électronique sera comptabilisé.
Ouvrir en mode plein écranLise Ouellette, porte-parole du Comité citoyen pour un nouveau nom. (Photo d'archives)
Le vote est ouvert à toute personne qui s’intéresse à l’Université, peu importe où cette personne-là demeure, que ce soit ici au Nouveau-Brunswick, dans l'Atlantique, au Canada et même à l’international, ajoute Lise Ouellette.
L’objectif est de recevoir 5000 réponses à ce sondage. Les gens seront appelés à déterminer si chaque nom proposé est convenable pour l’établissement et à déterminer leur premier choix.
Au terme de ce vote, le groupe de travail déposera un rapport final qui sera remis à l’Université. Lise Ouellette espère que l’établissement voudra réévaluer la proposition d’un changement de nom.
Ouvrir en mode plein écranL'Université de Moncton détient trois campus, soit ceux d'Edmundston, de Shippagan et de Moncton. (Photo d'archives).
On espère qu’il y aura dialogue, il n’est pas normal que la porte soit complètement fermée depuis longtemps. Là, c’est un comité citoyen, c’est la première fois que la communauté prend en charge ce dossier-là.
Par courriel, l’Université de Moncton dit avoir pris connaissance des propositions du groupe de travail, mais n'a rien à ajouter de nouveau pour le moment.
Même si le conseil de l'Université a écarté l'idée d'un changement de nom en décembre 2023
le Comité citoyen pour un nouveau nom ne baisse pas les bras
ce comité a mandaté un groupe de travail pour évaluer de possibles noms qui pourraient convenir à l’Université
Rappelons que le groupe dénonce le fait que la plus grande université acadienne porte le nom d’un général britannique ayant joué un rôle crucial dans la déportation des Acadiens
différents critères ont été établis pour évaluer le potentiel d’une quarantaine de noms
Ces critères comprennent le reflet de l’identité acadienne de l’établissement
le respect du réseau de l’établissement
la visibilité nationale et internationale
la neutralité en évitant des consonances religieuses ou politiciennes
la pérennité et la caractéristique d’être un nom tourné vers l’avenir
le comité recommande de soumettre au vote trois noms potentiels :
professeur émérite en géographie
ex-doyen de l’UMCE et membre du groupe de travail
Un nom répond à certains critères
mais on peut toujours trouver une personne ou une autre qui n'est pas d’accord avec ça
Il explique que les trois noms proposés ont répondu à au moins six critères sur neuf et que ce processus d’évaluation des noms a été rigoureux
Ces critères ont été discutés lors d’une consultation publique avant de les utiliser pour évaluer les propositions
le nom d’Université de Moncton ne répond qu’à trois critères
la simplicité et la pérennité du nom
Le nom Université Antonine-Maillet a obtenu le meilleur résultat (7,5 critères) tout comme Université Nouvelle-Acadie
le groupe a choisi de ne pas proposer le nom d’une personne encore vivante
pour des raisons de consentement et parce que cela ne faisait pas partie de son mandat
Mais cette option pourrait toujours être analysée par l’établissement
porte-parole du Comité citoyen pour un nouveau nom
obtenir l’avis de la population sur ces noms est une étape fondamentale
La communauté a le droit de participer
c'est important qu'il y ait une réflexion publique sur la question du nom de l’Université
Elle explique que le vote se fera en ligne
Un lien sera fourni sur les réseaux sociaux et à travers différents médias
Un seul vote par adresse IP d’un appareil électronique sera comptabilisé
Le vote est ouvert à toute personne qui s’intéresse à l’Université
peu importe où cette personne-là demeure
au Canada et même à l’international
L’objectif est de recevoir 5000 réponses à ce sondage
Les gens seront appelés à déterminer si chaque nom proposé est convenable pour l’établissement et à déterminer leur premier choix
le groupe de travail déposera un rapport final qui sera remis à l’Université
Lise Ouellette espère que l’établissement voudra réévaluer la proposition d’un changement de nom
On espère qu’il y aura dialogue
il n’est pas normal que la porte soit complètement fermée depuis longtemps
c’est la première fois que la communauté prend en charge ce dossier-là
l’Université de Moncton dit avoir pris connaissance des propositions du groupe de travail
mais n'a rien à ajouter de nouveau pour le moment
Même si le conseil de l'Université a écarté l'idée d'un changement de nom en décembre 2023
Un comité citoyen franchit une nouvelle étape dans sa quête d’un changement de nom de l’Université de Moncton
dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"L’arrêté municipal
qui a franchi l’étape de la première lecture lundi
concerne toutes les zones résidentielles
Le zonage à l’heure actuelle n’y permet qu’un ou deux logements par maison
L’arrêté municipal prévoit aussi un allègement des restrictions sur les logements accessoires
tels que les appartements au sous-sol ou les pavillons de jardin
a souligné l’urbaniste principal Josh Davies
nous devons faire preuve de souplesse et adopter des approches qui ne soient pas uniformes
Nous sommes convaincus qu'elle peut fonctionner dans les quartiers nouveaux et existants
permettent la construction de bâtiments résidentiels à quatre logements
Le changement à venir à Moncton est une condition pour avoir accès à environ 15,5 millions de dollars provenant du fonds du gouvernement fédéral pour accélérer la construction de logements
Josh Davies a présenté aux conseillers municipaux une série d’exemples de maisons que les propriétaires pourraient modifier pour y ajouter des logements grâce au changement proposé
Il pourrait s’agir d’un appartement à une ou deux chambres ou simplement composé d’une seule pièce
L’arrêté municipal permettra des maisons à quatre logements sans terrain de stationnement sur les lieux pour les locataires si la propriété se trouve à moins de 400 mètres d’un arrêt d’autobus
Plusieurs membres du conseil municipal appuient l’arrêté municipal proposé
dont Susan Edgett qui le juge équilibré
La conception préoccupe certainement les gens
et je pense que vous avez maîtrisé cet aspect
Je crois donc que nous pouvons faire progresser ceci de manière positive
Le conseiller Charles Léger a demandé si les infrastructures actuelles pour l’eau et les égouts sont suffisantes pour le changement proposé
Le service municipal d’ingénierie juge qu’elles suffisent
Le conseiller municipal Bryan Butler parle toutefois de plusieurs problèmes
se demandent qui veillera sur le respect du code du bâtiment
Josh Davies a expliqué que les propriétaires devront toujours obtenir un permis et respecter le code du bâtiment pour ajouter des logements à leur maison
Les exigences du code du bâtiment et les coûts de construction limiteront probablement l’effet du changement de zonage
selon les employés municipaux qui s’attendent à une légère augmentation de la densité de la population
Si vous choisissez d'augmenter la densité sur place
nous avons mis en place les normes de conception et les mesures de contrôle nécessaires pour que cela ne se fasse pas au détriment des quartiers existants
Le comité d’urbanisme va se pencher sur l’arrêté municipal le 26 mars
une réunion publique à ce sujet est prévue dans le cadre de la réunion du conseil municipal du 22 avril
Ouvrir en mode plein écranDes maisons à deux logements (aussi appelées duplex) en construction dans le quartier nord de Moncton en 2023
Le conseil municipal de Moncton a franchi lundi la première étape vers l’autorisation des bâtiments résidentiels à quatre logements dans toute la ville
qui a franchi l’étape de la première lecture lundi
Le zonage à l’heure actuelle n’y permet qu’un ou deux logements par maison
L’arrêté municipal prévoit aussi un allègement des restrictions sur les logements accessoires
a souligné l’urbaniste principal Josh Davies
Ouvrir en mode plein écranDeux exemples de maisons qui pourraient être modifiées pour abriter jusqu'à quatre logements
permettent la construction de bâtiments résidentiels à quatre logements
Le changement à venir à Moncton est une condition pour avoir accès à environ 15,5 millions de dollars provenant du fonds du gouvernement fédéral pour accélérer la construction de logements
Josh Davies a présenté aux conseillers municipaux une série d’exemples de maisons que les propriétaires pourraient modifier pour y ajouter des logements grâce au changement proposé
Il pourrait s’agir d’un appartement à une ou deux chambres ou simplement composé d’une seule pièce
L’arrêté municipal permettra des maisons à quatre logements sans terrain de stationnement sur les lieux pour les locataires si la propriété se trouve à moins de 400 mètres d’un arrêt d’autobus
Plusieurs membres du conseil municipal appuient l’arrêté municipal proposé
La conception préoccupe certainement les gens
et je pense que vous avez maîtrisé cet aspect
Je crois donc que nous pouvons faire progresser ceci de manière positive
Le conseiller Charles Léger a demandé si les infrastructures actuelles pour l’eau et les égouts sont suffisantes pour le changement proposé
Le service municipal d’ingénierie juge qu’elles suffisent
Ouvrir en mode plein écranCarte indiquant en orange les zones où l’arrêté municipal permettrait de construire des bâtiments à quatre logements sans exiger de stationnement supplémentaire en raison de la proximité d’un arrêt d’autobus
Le conseiller municipal Bryan Butler parle toutefois de plusieurs problèmes
se demandent qui veillera sur le respect du code du bâtiment
Josh Davies a expliqué que les propriétaires devront toujours obtenir un permis et respecter le code du bâtiment pour ajouter des logements à leur maison
Les exigences du code du bâtiment et les coûts de construction limiteront probablement l’effet du changement de zonage
selon les employés municipaux qui s’attendent à une légère augmentation de la densité de la population
Si vous choisissez d'augmenter la densité sur place
nous avons mis en place les normes de conception et les mesures de contrôle nécessaires pour que cela ne se fasse pas au détriment des quartiers existants
Le comité d’urbanisme va se pencher sur l’arrêté municipal le 26 mars
une réunion publique à ce sujet est prévue dans le cadre de la réunion du conseil municipal du 22 avril
dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"L’équipement en question était vendu à la Ville par le biais de l’entreprise canadienne de distribution Cansel Survey Equipment
le conseiller Bryan Butler a demandé au directeur de l’ingénierie de la Ville de Moncton
s'il existait ou non un équivalent canadien pour cet achat
René Lagacé a expliqué que Trimble est le plus grand fournisseur dans le domaine pour ce type d’équipement GPS et que l’achat avait été choisi par souci d’efficacité
Moncton possède déjà de l’équipement de cette entreprise américaine
On essaie d’acheter à la même source lorsqu’il s’agit d’équipement
mais on est en ce moment en pleine complication tarifaire avec les États-Unis et je crois que ce serait bien de reporter cet achat un peu
lui a répondu le conseiller Bryan Butler
qui a ensuite proposé la motion pour le report de l’achat
On avait un rabais avec le fabricant pour cet achat
Il faudra demander si ce rabais sera toujours effectif malgré le report
a avisé René Lagacé avant le vote des conseillers
L’achat sera discuté à nouveau à la réunion du 18 février
La Ville assure qu'entre-temps elle va vérifier si une entreprise canadienne peut fournir un service similaire
Cette décision survient dans la mouvance de l’appel au boycottage des produits des États-Unis en raison de menaces de tarifs douaniers de 25 % sur les produits canadiens que laisse planer Donald Trump depuis plusieurs mois
Moncton demeure sur le qui-vive même si le Canada a obtenu lundi un sursis d’un mois sur les tarifs douaniers américains.
En ce moment, il n’y a aucun autre contrat en train d’être réévalué, mais on regarde la situation de près pour mieux comprendre comment les tarifs pourront nous affecter et quelles seront les alternatives dans ces cas, a commenté la directrice intérimaire des communications de la Ville de Moncton, Aloma Jardine.
Ouvrir en mode plein écranL'hôtel de ville de Moncton, au Nouveau-Brunswick (Photo d'archives)
Pascale Savoie-BrideauPublié le 5 février à 5 h 04 HAEÉcouter l’article | 3 minutesLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale
une technologie basée sur l’intelligence artificielle.Les conseillers de la Ville de Moncton ont voté à l’unanimité pour le report d’un achat d’un système GPS de la marque américaine Trimble estimé à 297 559 $ lors de la réunion du conseil municipal lundi soir
L’équipement en question était vendu à la Ville par le biais de l’entreprise canadienne de distribution Cansel Survey Equipment
le conseiller Bryan Butler a demandé au directeur de l’ingénierie de la Ville de Moncton
s'il existait ou non un équivalent canadien pour cet achat
René Lagacé a expliqué que Trimble est le plus grand fournisseur dans le domaine pour ce type d’équipement GPS et que l’achat avait été choisi par souci d’efficacité
Moncton possède déjà de l’équipement de cette entreprise américaine
On essaie d’acheter à la même source lorsqu’il s’agit d’équipement
Ouvrir en mode plein écranLe conseiller municipal Bryan Butler
mais on est en ce moment en pleine complication tarifaire avec les États-Unis et je crois que ce serait bien de reporter cet achat un peu
qui a ensuite proposé la motion pour le report de l’achat
Il faudra demander si ce rabais sera toujours effectif malgré le report
a avisé René Lagacé avant le vote des conseillers
L’achat sera discuté à nouveau à la réunion du 18 février
La Ville assure qu'entre-temps elle va vérifier si une entreprise canadienne peut fournir un service similaire
Cette décision survient dans la mouvance de l’appel au boycottage des produits des États-Unis en raison de menaces de tarifs douaniers de 25 % sur les produits canadiens que laisse planer Donald Trump depuis plusieurs mois
En ce moment, il n’y a aucun autre contrat en train d’être réévalué, mais on regarde la situation de près pour mieux comprendre comment les tarifs pourront nous affecter et quelles seront les alternatives dans ces cas, a commenté la directrice intérimaire des communications de la Ville de Moncton, Aloma Jardine.
L’équipement en question était vendu à la Ville par le biais de l’entreprise canadienne de distribution Cansel Survey Equipment
Moncton demeure sur le qui-vive même si le Canada a obtenu lundi un sursis d’un mois sur les tarifs douaniers américains
il n’y a aucun autre contrat en train d’être réévalué
mais on regarde la situation de près pour mieux comprendre comment les tarifs pourront nous affecter et quelles seront les alternatives dans ces cas
a commenté la directrice intérimaire des communications de la Ville de Moncton
Moncton demeure sur le qui-vive même si le Canada a obtenu lundi un sursis d’un mois sur les tarifs douaniers américains
Les conseillers de la Ville de Moncton ont voté à l’unanimité pour le report d’un achat d’un système GPS de la marque américaine Trimble estimé à 297 559 $ lors de la réunion du conseil municipal lundi soir
dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"Les Jeux d'été du Canada de 2029 doivent se tenir au Nouveau-Brunswick
selon la rotation prévue entre les provinces
La seule candidature est celle soumise conjointement par Moncton et Saint-Jean
Même si l'affaire semble déjà réglée
les rencontres tenues cette semaine sont essentielles
que la communauté est derrière les Jeux
coprésident pour Moncton au sein du comité organisateur des Jeux de 2029
C'est plus une évaluation de notre équipe
de notre stratégie et du legs des Jeux
on avait déjà passé les critères de base
présidente du comité d'évaluation
on va faire tout en notre possible pour que les Jeux demeurent dans les deux communautés
La visite des membres du Conseil des Jeux du Canada
le budget de 40 millions de dollars et les sites proposés pour tenir les compétitions
Le Nouveau-Brunswick a déjà promis de mettre sur la table 10 millions de dollars
le reste du financement proviendra des commanditaires
de Saint-Jean et de six localités de la région Fundy ont déjà donné leur accord
l'événement attirera plus de 20 000 visiteurs et des retombées économiques sont estimées à 200 millions de dollars
Les Jeux durent pendant deux semaines et accueillent 4600 athlètes
Il faut environ 5000 bénévoles pour la bonne tenue de l'événement multisports
L'organisation bicéphale n'est pas vue comme un obstacle selon le comité d'évaluation
C'est beaucoup pour une seule communauté en termes de budget
Nous sommes ici pour nous assurer que l'expérience des Jeux soit la même dans les deux communautés
les athlètes d'un même sport ne voyageront pas d'une ville à l'autre
mais le comité d'évaluation ne permet pas aux organisateurs de dévoiler publiquement où se tiendront la vingtaine de compétitions ni le partage entre les deux régions
la seule piscine réglementaire au Nouveau-Brunswick pour tenir les épreuves de natation se trouve à Saint-Jean
a accueilli des Coupes Canada de vélo de montagne
Radio-Canada Acadie a aussi surpris les évaluateurs en train de visiter l'Université de Moncton (où se trouvent le CEPS
les résidences étudiantes et le stade)
C'est dans cet amphithéâtre que se tiendrait la cérémonie d'ouverture
tandis que l'événement se clôturerait à Saint-Jean
Louis Léger veut que la tenue des Jeux soit un catalyseur pour les sportifs
On est choyé d'avoir les installations dans les deux villes
Il n'y aura pas de nouvelles constructions
ce n'est pas ça qui fait la différence
Le développement est vraiment au cœur de nos athlètes
Cependant, en coulisses, des critiques se font entendre. Par exemple, une candidature unique de Moncton aurait permis de donner des infrastructures nouvelles pour l'est de la province, comme une piscine de 50 mètres.
Il n'y a pas beaucoup de communautés dans la province qui veulent avoir une autre piscine de 50 m, soutient Louis Léger. La réalité, c'est que de rénover la piscine à Saint-Jean, c'est peut-être 25 millions dollars tandis que de construire une nouvelle piscine, on parle de 100 à 150 millions dollars.
Saint-Jean a déjà accueilli les Jeux d'été en 1985 tandis que le duo Bathurst-Campbellton a présenté la version hivernale en 2003.
La décision sur le projet Moncton-Saint-Jean sera connue en avril.
Ouvrir en mode plein écranLes co-présidents du comité des Jeux du Canada 2029, Moncton-Saint-Jean, Louis Léger (à gauche) et Bill MacMackin (à droite).
François Le BlancPublié le 23 février à 6 h 03 HAEÉcouter l’article | 5 minutesLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale
une technologie basée sur l’intelligence artificielle.Est-ce réaliste de tenir des Jeux du Canada dans deux villes séparées par 160 kilomètres
C'est l'une des nombreuses questions auxquelles devra répondre un comité d'évaluation qui était en tournée cette semaine à Moncton et à Saint-Jean pour déterminer la viabilité d'un tel projet
Les Jeux d'été du Canada de 2029 doivent se tenir au Nouveau-Brunswick
selon la rotation prévue entre les provinces
Ouvrir en mode plein écranLes derniers Jeux d'été ont eu lien à Niagara
L'édition 2025 se déroulera à Saint-Jean de Terre-Neuve
coprésident pour Moncton au sein du comité organisateur des Jeux de 2029
on va faire tout en notre possible pour que les Jeux demeurent dans les deux communautés
Ouvrir en mode plein écranCatherine Gosselin-Després
Comité d’évaluation des candidatures au Conseil des Jeux du Canada
le budget de 40 millions de dollars et les sites proposés pour tenir les compétitions
Ouvrir en mode plein écranLe Centre d'éducation physique et sportive de l'Université de Moncton abrite des gymnases et un stade intérieur et pourrait accueillir des épreuves
Le Nouveau-Brunswick a déjà promis de mettre sur la table 10 millions de dollars
de Saint-Jean et de six localités de la région Fundy ont déjà donné leur accord
Ouvrir en mode plein écranFrancis Charles Roussel vient de remettre le témoin à un coéquipier de l'équipe de relais du Nouveau-Brunswick aux Jeux du Canada en 2022
l'événement attirera plus de 20 000 visiteurs et des retombées économiques sont estimées à 200 millions de dollars
Les Jeux durent pendant deux semaines et accueillent 4600 athlètes
Il faut environ 5000 bénévoles pour la bonne tenue de l'événement multisports
L'organisation bicéphale n'est pas vue comme un obstacle selon le comité d'évaluation
C'est beaucoup pour une seule communauté en termes de budget
Nous sommes ici pour nous assurer que l'expérience des Jeux soit la même dans les deux communautés
les athlètes d'un même sport ne voyageront pas d'une ville à l'autre
mais le comité d'évaluation ne permet pas aux organisateurs de dévoiler publiquement où se tiendront la vingtaine de compétitions ni le partage entre les deux régions
la seule piscine réglementaire au Nouveau-Brunswick pour tenir les épreuves de natation se trouve à Saint-Jean
a accueilli des Coupes Canada de vélo de montagne
Radio-Canada Acadie a aussi surpris les évaluateurs en train de visiter l'Université de Moncton (où se trouvent le CEPS
C'est dans cet amphithéâtre que se tiendrait la cérémonie d'ouverture
tandis que l'événement se clôturerait à Saint-Jean
Louis Léger veut que la tenue des Jeux soit un catalyseur pour les sportifs
On est choyé d'avoir les installations dans les deux villes
Le développement est vraiment au cœur de nos athlètes
Ouvrir en mode plein écranLe Centre Aquatique Jeux du Canada de Saint-Jean, au Nouveau-Brunswick.
Il n'y a pas beaucoup de communautés dans la province qui veulent avoir une autre piscine de 50 m, soutient Louis Léger. La réalité, c'est que de rénover la piscine à Saint-Jean, c'est peut-être 25 millions dollars tandis que de construire une nouvelle piscine, on parle de 100 à 150 millions dollars.
Saint-Jean a déjà accueilli les Jeux d'été en 1985 tandis que le duo Bathurst-Campbellton a présenté la version hivernale en 2003.
La décision sur le projet Moncton-Saint-Jean sera connue en avril.
Les Jeux d'été du Canada de 2029 doivent se tenir au Nouveau-Brunswick
Cependant, en coulisses, des critiques se font entendre
une candidature unique de Moncton aurait permis de donner des infrastructures nouvelles pour l'est de la province
Il n'y a pas beaucoup de communautés dans la province qui veulent avoir une autre piscine de 50 m
c'est que de rénover la piscine à Saint-Jean
c'est peut-être 25 millions dollars tandis que de construire une nouvelle piscine
on parle de 100 à 150 millions dollars
Saint-Jean a déjà accueilli les Jeux d'été en 1985 tandis que le duo Bathurst-Campbellton a présenté la version hivernale en 2003
La décision sur le projet Moncton-Saint-Jean sera connue en avril
Cependant, en coulisses, des critiques se font entendre
Est-ce réaliste de tenir des Jeux du Canada dans deux villes séparées par 160 kilomètres
C'est l'une des nombreuses questions auxquelles devra répondre un comité d'évaluation qui était en tournée cette semaine à Moncton et à Saint-Jean pour déterminer la viabilité d'un tel projet
Cet argent doit notamment servir à faire des études de faisabilité, de la planification, des travaux de conception.
Fredericton laisse ensuite les établissements décider de comment ce financement sera réparti entre leurs différents campus.
L’Université de Moncton travaille à l’heure actuelle sur trois projets, un sur chaque campus.
Le recteur et vice-chancelier de l’établissement, Denis Prud’homme, explique que des discussions sont en cours à Shippagan avec la municipalité pour déménager la bibliothèque municipale sur le campus et y ajouter au-dessus des logements abordables ou de résidence étudiante.
À Edmundston, l’institution envisage de créer des logements abordables dans le bâtiment qui accueille le musée historique du Madawaska à l’heure actuelle. À l’intérieur, des unités commerciales pourraient également voir le jour.
Enfin à Moncton, l’Université souhaite construire une résidence étudiante de 180 places.
Ce financement-là va nous permettre d’accélérer, d’aller chercher des consultants qui vont permettre de finaliser ces plans d’analyses là pour être en mesure à l’automne de regarder ce qui est disponible au niveau du financement provincial et fédéral, explique le recteur.
Du côté de l’Université du Nouveau-Brunswick, on se félicite de recevoir ce financement.
Selon Bill Best, vice-président Administration et Finances, cet argent permet de prendre le temps de faire les choses comme il faut.
Ça nous permet de faire des recherches sur ce que cherchent les étudiants, où est ce qu’il vivent à l’heure actuelle et faire correspondre cela à ce qu’on construirait, explique Bill Best, qui insiste sur le fait que ces logements devront également être abordables pour les étudiants.
À l’heure actuelle, 20 % des étudiants vivent sur les campus de l’université, un nombre que l’institution cherche à faire augmenter.
Avec des informations d’Allyson Dubé
Ouvrir en mode plein écranL'Université de Moncton espère accélérer la construction de logements abordables pour ses étudiants sur ses trois campus dont ici à Edmundston. (Photo d'archives)
Margaux TertrePublié le 14 avril à 14 h 51 HAEÉcouter l’article | 3 minutesLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale, une technologie basée sur l’intelligence artificielle.Un financement d'1,1 million de dollars est accordé à l’Université de Moncton et l’Université du Nouveau-Brunswick pour les aider à faire avancer des projets de logement étudiant.
L’Université de Moncton touchera 568 900 $ et l’Université du Nouveau-Brunswick recevra 555 565 $.
Cet argent doit notamment servir à faire des études de faisabilité, de la planification, des travaux de conception.
Fredericton laisse ensuite les établissements décider de comment ce financement sera réparti entre leurs différents campus.
L’Université de Moncton travaille à l’heure actuelle sur trois projets, un sur chaque campus.
Le recteur et vice-chancelier de l’établissement, Denis Prud’homme, explique que des discussions sont en cours à Shippagan avec la municipalité pour déménager la bibliothèque municipale sur le campus et y ajouter au-dessus des logements abordables ou de résidence étudiante.
À Edmundston, l’institution envisage de créer des logements abordables dans le bâtiment qui accueille le musée historique du Madawaska à l’heure actuelle. À l’intérieur, des unités commerciales pourraient également voir le jour.
Ouvrir en mode plein écranLe recteur de l'Université de Moncton, Denis Prud'homme
Enfin à Moncton, l’Université souhaite construire une résidence étudiante de 180 places.
Ce financement-là va nous permettre d’accélérer, d’aller chercher des consultants qui vont permettre de finaliser ces plans d’analyses là pour être en mesure à l’automne de regarder ce qui est disponible au niveau du financement provincial et fédéral, explique le recteur.
Du côté de l’Université du Nouveau-Brunswick, on se félicite de recevoir ce financement.
Selon Bill Best, vice-président Administration et Finances, cet argent permet de prendre le temps de faire les choses comme il faut.
Ouvrir en mode plein écranEnviron 20% des étudiants de UNB vivent sur le campus, comme ici dans la résidence Magee à Fredericton. (Photo d'archives)
Ça nous permet de faire des recherches sur ce que cherchent les étudiants, où est ce qu’il vivent à l’heure actuelle et faire correspondre cela à ce qu’on construirait, explique Bill Best, qui insiste sur le fait que ces logements devront également être abordables pour les étudiants.
À l’heure actuelle, 20 % des étudiants vivent sur les campus de l’université, un nombre que l’institution cherche à faire augmenter.
L’Université de Moncton touchera 568 900 $ et l’Université du Nouveau-Brunswick recevra 555 565 $
Cet argent doit notamment servir à faire des études de faisabilité
Fredericton laisse ensuite les établissements décider de comment ce financement sera réparti entre leurs différents campus
L’Université de Moncton travaille à l’heure actuelle sur trois projets
Le recteur et vice-chancelier de l’établissement
explique que des discussions sont en cours à Shippagan avec la municipalité pour déménager la bibliothèque municipale sur le campus et y ajouter au-dessus des logements abordables ou de résidence étudiante
l’institution envisage de créer des logements abordables dans le bâtiment qui accueille le musée historique du Madawaska à l’heure actuelle
des unités commerciales pourraient également voir le jour
l’Université souhaite construire une résidence étudiante de 180 places
Ce financement-là va nous permettre d’accélérer
d’aller chercher des consultants qui vont permettre de finaliser ces plans d’analyses là pour être en mesure à l’automne de regarder ce qui est disponible au niveau du financement provincial et fédéral
Du côté de l’Université du Nouveau-Brunswick
on se félicite de recevoir ce financement
vice-président Administration et Finances
cet argent permet de prendre le temps de faire les choses comme il faut
Ça nous permet de faire des recherches sur ce que cherchent les étudiants
où est ce qu’il vivent à l’heure actuelle et faire correspondre cela à ce qu’on construirait
qui insiste sur le fait que ces logements devront également être abordables pour les étudiants
20 % des étudiants vivent sur les campus de l’université
un nombre que l’institution cherche à faire augmenter
Un financement d'1,1 million de dollars est accordé à l’Université de Moncton et l’Université du Nouveau-Brunswick pour les aider à faire avancer des projets de logement étudiant
passant de 145 699 résidents à 188 036 résidents
la croissance démographique a été de 5,1 %
La hausse de la population a des répercussions sur l'achalandage des autobus de Codiac Transpo. En un an, le nombre d'utilisateurs a augmenté de 36 % pour dépasser les 2 millions de passages
L’octroi fédéral, annoncé vendredi par les ministres Dominic LeBlanc et Ginette Petitpas Taylor ainsi que par la mairesse Dawn Arnold
est tiré du Fonds pour le transport en commun du Canada
cette injection de 11,5 millions de dollars dans le Grand Moncton est un financement prévisible et à long terme
de remplacer ou de moderniser les infrastructures de transport en commun et de les maintenir en bon état
Moncton recevra au total 9 863 450 $ de fonds fédéraux
La Ville de Dieppe va percevoir 1 656 670 $ durant cette décennie
Ottawa affirme aussi que l’amélioration du réseau de transport collectif pour qu’il soit plus près des résidents stimulera l’ajout de logements abordables
le fédéral annonçait que les collectivités désirant obtenir du financement tiré du Fonds pour le transport en commun du Canada allaient devoir prendre des mesures pour accroître directement l'offre de logements là où elle est le plus nécessaire
le gouvernement fédéral a engagé plus de 30 milliards de dollars pour des projets de transport en commun et de transport actif
Ces investissements historiques ont permis de réaliser près de 2000 projets dans tout le pays
Infrastructures et Collectivités Canada
La région de Moncton est l’une de celles dont la population a grandi le plus rapidement
2:15Les autobus du transport en commun Codiac de la Ville de Moncton fonctionnent au diesel
Les réseaux de transport en commun de Moncton et Dieppe
recevront un financement du fédéral de 11,5 millions de dollars pour les 10 prochaines années
passant de 145 699 résidents à 188 036 résidents
la croissance démographique a été de 5,1 %
est tiré du Fonds pour le transport en commun du Canada
cette injection de 11,5 millions de dollars dans le Grand Moncton est un financement prévisible et à long terme
de remplacer ou de moderniser les infrastructures de transport en commun et de les maintenir en bon état
Moncton recevra au total 9 863 450 $ de fonds fédéraux
La Ville de Dieppe va percevoir 1 656 670 $ durant cette décennie
Ottawa affirme aussi que l’amélioration du réseau de transport collectif pour qu’il soit plus près des résidents stimulera l’ajout de logements abordables
le fédéral annonçait que les collectivités désirant obtenir du financement tiré du Fonds pour le transport en commun du Canada allaient devoir prendre des mesures pour accroître directement l'offre de logements là où elle est le plus nécessaire
le gouvernement fédéral a engagé plus de 30 milliards de dollars pour des projets de transport en commun et de transport actif
Ces investissements historiques ont permis de réaliser près de 2000 projets dans tout le pays
La hausse de la population a des répercussions sur l'achalandage des autobus de Codiac Transpo. En un an, le nombre d'utilisateurs a augmenté de 36 % pour dépasser les 2 millions de passages
L’octroi fédéral, annoncé vendredi par les ministres Dominic LeBlanc et Ginette Petitpas Taylor ainsi que par la mairesse Dawn Arnold
recevront un financement du fédéral de 11,5 millions de dollars pour les 10 prochaines années
Ottawa investit 11,5 millions de dollars pour améliorer les infrastructures de transport public à Moncton et Dieppe
dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"L'accident s'est produit vers 1 h 34 vendredi
le conducteur aurait perdu le contrôle de son véhicule qui aurait quitté la chaussée et percuté un poteau électrique
Malgré l'intervention des premiers répondants
le conducteur est décédé sur les lieux de l'incident
a été grièvement blessé et transporté à l'hôpital
D'après un communiqué de la GRC publié vendredi après-midi
Une portion de l'avenue Morton a dû être fermée à la circulation pendant quelques heures pendant la nuit afin de permettre le travail des premiers répondants
Un enquêteur de la GRC ainsi qu'un employé du Bureau du coroner collaborent à l'enquête
Une autopsie devra être pratiquée pour connaître la cause exacte de la mort du conducteur
Ouvrir en mode plein écranLes poursuites policières sont des opérations dangereuses et encadrées
Photo : getty images/istockphoto / Daniel Tadevosyan
Un homme de 23 ans est décédé dans la nuit de jeudi à vendredi à l'intersection entre l'avenue Morton et la rue Pascal-Poirier à Moncton après que son véhicule ait percuté un poteau électrique
L'accident s'est produit vers 1 h 34 vendredi
le conducteur aurait perdu le contrôle de son véhicule qui aurait quitté la chaussée et percuté un poteau électrique
Malgré l'intervention des premiers répondants
le conducteur est décédé sur les lieux de l'incident
a été grièvement blessé et transporté à l'hôpital
D'après un communiqué de la GRC publié vendredi après-midi
Une portion de l'avenue Morton a dû être fermée à la circulation pendant quelques heures pendant la nuit afin de permettre le travail des premiers répondants
Un enquêteur de la GRC ainsi qu'un employé du Bureau du coroner collaborent à l'enquête
Une autopsie devra être pratiquée pour connaître la cause exacte de la mort du conducteur
L'accident s'est produit vers 1 h 34 vendredi
Un homme de 23 ans est décédé dans la nuit de jeudi à vendredi à l'intersection entre l'avenue Morton et la rue Pascal-Poirier à Moncton après que son véhicule ait percuté un poteau électrique
dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"Le propriétaire de l’entreprise Move Scooter Rental
assure qu’une centaine de plus seront bientôt déployés
Ce dernier a mené son entreprise pendant trois saisons dans la capitale néo-écossaise, mais un récent partenariat de la ville avec une autre entreprise de trottinettes électriques l'a poussé à relocaliser ses activités
J’ai déménagé avec ma famille à Moncton spécifiquement dans l’intention d’y mener mes activités et de permettre un nouveau mode de transport amusant dans la ville
La location des trottinettes électriques de Move Scooter Rental se fait par le biais d’une application mobile
Les utilisateurs doivent être âgés d’au moins 14 ans
porter leur propre casque protecteur et ne pas rouler sur les trottoirs
Steven McArthur prévoit sous peu la location de près de 200 casques protecteurs ajustables
l’utilisateur doit envoyer une photo par le biais de l’application de l’emplacement où il a stationné son véhicule
d’assurer que les trottinettes électriques ne trainent pas sur les trottoirs ou dans les rues
Il ajoute qu’une technologie de l’intelligence artificielle est en développement afin de prévenir les stationnements inappropriés
lui et son équipe se déplacent pour faire bouger les trottinettes électriques lorsque les gens contactent l’entreprise pour se plaindre de l’endroit où elles ont été laissées
Le règlement municipal sur l’utilisation des rues de Moncton ne mentionne pas le mot trottinette électrique
Steven McArthur dit que puisque la ville de Moncton n’a pas de règlement empêchant la location de ce type de véhicules
il a mis sa flotte à disposition dans les rues sans demander de permis ou discuter avec la ville
On avait fait la même chose à Halifax
Une porte-parole de la Ville de Moncton a refusé une demande d’entrevue de CBC
mais a envoyé une déclaration par courriel
La ville effectue en ce moment une étude sur la stratégie de transport électrique qui pourrait conduire à une révision des règlements afin de clarifier les normes relatives aux appareils de transport mobile électrique
a écrit la porte-parole Aloma Jardine
Cette étude doit être présentée au conseil municipal d’ici la fin du mois de juin
La Ville avait aussi déclaré à CBC l'automne dernier ne pas être prête à s’engager dans un partenariat pour ce type de service dans un avenir proche
Elle avait mentionné que lorsque ce serait le cas
un appel d’offres ouvert à tous serait lancé aux entreprises
Les trottoirs sont destinés uniquement aux piétons et les routes de la ville ne sont pas adaptées aux véhicules micromobiles électroniques en raison de l’infrastructure routière existante
avait à ce moment écrit un employé de la ville dans un courriel
Steven McArthur dit de son côté ne pas avoir communiqué avec la Ville et ne pas avoir l’intention de le faire
mais affirme être ouvert à travailler avec elle et espère qu’elle le contactera
D’après le reportage de Rhythm Rathi
Ouvrir en mode plein écranDes trottinettes électroniques au centre-ville de Moncton
Une entreprise de trottinettes électriques d’Halifax a récemment relocalisé ses activités à Moncton où elle gère sans permis sa flotte de 150 bolides présente un peu partout dans les rues de la ville néo-brunswickoise
Le propriétaire de l’entreprise Move Scooter Rental
assure qu’une centaine de plus seront bientôt déployés
J’ai déménagé avec ma famille à Moncton spécifiquement dans l’intention d’y mener mes activités et de permettre un nouveau mode de transport amusant dans la ville
Ouvrir en mode plein écranUne carte de la région sur l'application de l'entreprise affiche les trottinettes électriques disponibles
La location des trottinettes électriques de Move Scooter Rental se fait par le biais d’une application mobile
Les utilisateurs doivent être âgés d’au moins 14 ans
Steven McArthur prévoit sous peu la location de près de 200 casques protecteurs ajustables
l’utilisateur doit envoyer une photo par le biais de l’application de l’emplacement où il a stationné son véhicule
d’assurer que les trottinettes électriques ne trainent pas sur les trottoirs ou dans les rues
Lancer l’écoute|13 minIl ajoute qu’une technologie de l’intelligence artificielle est en développement afin de prévenir les stationnements inappropriés
lui et son équipe se déplacent pour faire bouger les trottinettes électriques lorsque les gens contactent l’entreprise pour se plaindre de l’endroit où elles ont été laissées
Le règlement municipal sur l’utilisation des rues de Moncton ne mentionne pas le mot trottinette électrique
Steven McArthur dit que puisque la ville de Moncton n’a pas de règlement empêchant la location de ce type de véhicules
il a mis sa flotte à disposition dans les rues sans demander de permis ou discuter avec la ville
Ouvrir en mode plein écranSteven McArthur affirme que l’entreprise Move Scooter Rental enregistre environ 150 trajets d'utilisateurs par jour à Moncton
Une porte-parole de la Ville de Moncton a refusé une demande d’entrevue de CBC
mais a envoyé une déclaration par courriel
La ville effectue en ce moment une étude sur la stratégie de transport électrique qui pourrait conduire à une révision des règlements afin de clarifier les normes relatives aux appareils de transport mobile électrique
Cette étude doit être présentée au conseil municipal d’ici la fin du mois de juin
La Ville avait aussi déclaré à CBC l'automne dernier ne pas être prête à s’engager dans un partenariat pour ce type de service dans un avenir proche
Elle avait mentionné que lorsque ce serait le cas
un appel d’offres ouvert à tous serait lancé aux entreprises
Les trottoirs sont destinés uniquement aux piétons et les routes de la ville ne sont pas adaptées aux véhicules micromobiles électroniques en raison de l’infrastructure routière existante
avait à ce moment écrit un employé de la ville dans un courriel
Steven McArthur dit de son côté ne pas avoir communiqué avec la Ville et ne pas avoir l’intention de le faire
mais affirme être ouvert à travailler avec elle et espère qu’elle le contactera
Le propriétaire de l’entreprise Move Scooter Rental
Ce dernier a mené son entreprise pendant trois saisons dans la capitale néo-écossaise, mais un récent partenariat de la ville avec une autre entreprise de trottinettes électriques l'a poussé à relocaliser ses activités
Une entreprise de trottinettes électriques d’Halifax a récemment relocalisé ses activités à Moncton où elle gère sans permis sa flotte de 150 bolides présente un peu partout dans les rues de la ville néo-brunswickoise
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3:41Moncton approuve les habitations à quatre logementsLe Conseil municipal de Moncton a approuvé des modifications de zonage pour permettre des habitations à quatre logements dans tous les secteurs résidentiels afin de favoriser la densification urbaine
le pape François a effectué 47 voyages à l'étranger
au moins 12 personnes sont mortes et une centaine d'autres ont été blessées lors des plus imposantes …
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Arrestations de présumés fraudeurs canadiens
Le combat de boxe mortel de Jeanette Zacarias Zapata a été autorisé sur la base d’un rapport médical falsifié
44:03Santé publique. 5 ans. Contenu vidéo d’une durée de 44 minutes 3 secondes. Publié le 13 mars à 21 h 00 HAE 5 ansLa COVID-19 a marqué nos vies
tensions sociales : les impacts sont toujours présents
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Les effets indésirables rares mais dévastateurs du finastéride
43:04Crime sexuel. Fuite parfaite. Contenu vidéo d’une durée de 43 minutes 4 secondes. Publié le 27 février à 21 h 00 HAE Fuite parfaiteEnquête a retrouvé le pasteur de Québec
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la famille d’une victime poursuit OceanGate pour l’implosion du Titan
rendant l'accès aux soins et à la nourriture difficile pour les Canadiens
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qui a vendu des piscines plages pendant sept ans
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l'élevage de saumon en mer a le vent dans les voiles
Avec l'accélération des changements climatiques
Isabelle RicherIsabelle Richer démystifie les rouages du système de justice et vulgarise les grands enjeux qui s'y rattachent
Toutes les informations nécessaires pour commencer la journée : l'actualité
24•60Comprendre les événements de la journée avec Anne-Marie Dussault
Magazine d'information et de vulgarisation scientifique proposant des reportages sur divers sujets en science
La factureMagazine d’information sur les droits des citoyens en matière de consommation et enquêtes sur des problèmes vécus par les consommateurs
Le téléjournal avec Céline GalipeauUn regard approfondi sur les sujets de l'heure
et sur les grands enjeux auxquels la société est confrontée
En direct avec Patrice RoyPatrice Roy fait le point sur les grandes nouvelles de la journée et les enjeux qui touchent les citoyens et citoyennes avec nos reporters
nos analystes et les acteurs et actrices du jour en entrevue
Zone infoGérald Fillion et ses commentateurs discutent des sujets chauds du jour tout en suivant l'actualité en développement
Daniel Thibeault et son équipe vont au coeur des débats politiques qui font l'actualité
La semaine verteMagazine d’actualité agroalimentaire et forestière qui aborde les enjeux environnementaux et les innovations en gestion des ressources renouvelables
Zone économieGérald Fillion aborde toutes les nouvelles économiques d'importance
EnquêteMagazine d'investigation qui expose des pratiques douteuses et révèle des faits méconnus ou cachés sur des questions préoccupantes d’intérêt public
Écoutez dès 18 h le téléjournal animé par Patrice Roy
Les espèces exotiques envahissantes sont de plus en plus présentes et diversifiées dans les lacs et les rivières du Québec
des plantes et des mollusques nuisent aux écosystèmes aquatiques et menacent les espèces qui y vivent
réclament l'aide du gouvernement et des citoyens alors que s'amorcent les mises à l'eau
Éric Duhaime a lancé officiellement sa campagne en vue de l'élection partielle dans Arthabaska
Le chef du Parti conservateur du Québec mise sur la circonscription pour faire son entrée à l'Assemblée nationale
Il n'était pas le seul chef de parti sur le terrain; Paul St-Pierre Plamondon
qu'aura lieu la première rencontre bilatérale entre Mark Carney et Donald Trump
Le président américain prépare le terrain en vue de sa rencontre avec le premier ministre et
il a réitéré sa menace de faire du Canada le 51e État américain
tout en semblant rejeter le recours à la force pour y arriver
Donald Trump a aussi parlé de tarifs douaniers
de Constitution et de l'option d'un troisième mandat qu'il dit écarter
Le téléjournal suit tout de suite après Tout le monde en parle
Un missile tiré par les Houthis du Yémen est tombé ce matin près de l'aéroport international de Tel-Aviv
Terre-Neuve-et-Labrador a un nouveau premier ministre : John Hogan a été élu par le Parti libéral pour succéder à Andrew Furey
qui avait causé la surprise en annonçant sa démission à la tête de la province
qui sera assermenté au cours des prochains jours
s'est notamment engagé à finaliser la nouvelle entente de principe signée avec Québec à propos de Churchill Falls et à obtenir « ce qu'il y a de mieux » pour sa province
le Canada s'était donné pour cible de ne vendre que des véhicules neufs électriques à compter de 2035
alors que cette industrie avait le vent dans les voiles au Québec il n'y a encore que quelques semaines
le retrait de certains incitatifs financiers à l’achat de véhicules électriques ainsi que leurs prix qui demeurent élevés entraînent la baisse des ventes dans ce marché
selon des acteurs du milieu de l’automobile
Marc Bélanger et Mario Roy ont croisé le fer à Laval
lors du premier débat de la course à la chefferie du Parti libéral du Québec (PLQ)
Cet événement a donné un peu de visibilité à cette course lancée à la mi-janvier mais éclipsée par les élections fédérales
Les omnipraticiens du Québec ont rejeté la dernière proposition du gouvernement Legault en vue de l'entente-cadre qui définit leurs conditions de pratique
Les 18 associations de la fédération qui les représente ont adopté une résolution à l'unanimité en ce sens
On a fait le ménage dans les nouvelles provenant des États-Unis pour revenir en cinq points sur les 100 premiers jours de la présidence de Donald Trump
les élèves du secondaire se portent moins bien qu’avant sur le plan psychologique
Si les jeunes sont meilleurs pour reconnaître l’anxiété
ont-ils les outils nécessaires pour y faire face
Tour d’horizon en cette Semaine de la santé mentale
La série britannique «Adolescence» a relancé le débat sur la propagation de contenu d’influenceurs masculinistes sur les réseaux sociaux
Avec l’adoption du projet de loi 72 au Québec
vous verrez des changements à l’épicerie et au restaurant
Dès le 7 mai : pourboires calculés avant taxes
rabais de 15 $ en cas d’erreur de prix et meilleure visibilité des prix à l’unité
où la guerre fait rage depuis plus de trois ans contre la Russie
une minute de silence est observée chaque jour à travers le pays
un rituel décrété par le président Volodymyr Zelensky
dans toutes les écoles primaires et secondaires
le cellulaire sera interdit dans les classes
durant les pauses et sur le terrain de l’école
durant les pauses ou sur le terrain de l’école
s'est exprimé le ministre de l'Éducation Bernard Drainville en conférence de presse
Donald Trump a tenu son premier rassemblement politique depuis son élection
On s'est invités dans cette ville du Michigan où il a eu lieu pour demander à ses partisans ce qu'ils pensent de ses 100 premiers jours au pouvoir
On s'est invité dans cette ville du Michigan pour demander à ses partisans ce qu'ils pensent de ses 100 premiers jours au pouvoir
transporte son cœur mécanique dans un petit sac à dos
utilisés pour les services nuagiques et l’intelligence artificielle
consomment des millions de litres d’eau chaque jour pour refroidir les équipements informatiques
pourquoi les résultats ont-ils pris tant de temps à sortir et quel sera l’avenir du chef du Parti conservateur Pierre Poilievre
ces questions sont revenues souvent à la suite des élections fédérales canadiennes
nous avons publié une première version de cette vidéo où nous prenions en compte les derniers résultats
Élections Canada a toutefois annoncé que la circonscription de Terrebonne
avait finalement été remportée par le Bloc québécois
Nous avons ajusté le montage de la vidéo afin d'être à jour à cette date
On s’immerge dans un avant-midi de cueillette de clams avec Lison Éloquin à Pointe-aux-Outardes
Le parti de Mark Carney n'a pas réussi à s’emparer d’une majorité de sièges à l’issue des élections fédérales
Des luttes très serrées dans une trentaine de circonscriptions ont retardé l’annonce finale des résultats
le pape François a effectué 47 voyages à l'étranger
il avait multiplié les rencontres politiques et religieuses et avait visité la Mosquée bleue d'Istanbul
ce qui avait symbolisé son intention de promouvoir le dialogue entre les religions
les Turcs gardent un souvenir mitigé de son passage
qui n'a pas permis de freiner le déclin de la religion catholique
Le reportage de notre correspondante Marie-Ève Bédard
au moins 12 personnes sont mortes et une centaine d'autres ont été blessées lors des plus imposantes frappes russes contre la capitale ukrainienne depuis l'été dernier
Ces attaques surviennent alors que les pourparlers de paix semblent au point mort
Des dizaines de milliers de fidèles affluent à la basilique St-Pierre pour se recueillir devant la dépouille du pape François
Le reportage de notre correspondante à l'étranger
Les obsèques du pape François auront lieu samedi
la place St-Pierre accueille les fidèles alors que les cardinaux
l'heure est aux hommages pour celui qui a dirigé l'église catholique pendant 12 ans
Le mouvement de boycottage des voyages aux États-Unis profite à l'industrie du tourisme au pays
qui s'attend à une saison estivale aussi achalandée que lors des années de pandémie
c'est par choix que de nombreux Canadiens prendront leurs vacances ici
C'est un exercice crucial qui permet de chiffrer les nombreuses promesses des chefs
Le Parti libéral et le NPD ont finalement présenté leur cadre financier respectif à neuf jours du scrutin
On ignore toujours quand les conservateurs présenteront le leur
Si Mark Carney essaie de se distancier de Justin Trudeau
les 130 milliards de dollars en nouvelles dépenses qu'il propose avec un déficit de 48 milliards au bout de quatre ans ont eu l'effet inverse
Des milliers de jeunes Turcs restent mobilisés dans la rue et sur les campus universitaires pour dénoncer la dérive autoritaire du régime Erdogan
ils sont à l'avant-poste de la contestation malgré les arrestations
La question du coût de la vie a été peu soulevée pendant la campagne électorale
monopolisée par la guerre tarifaire avec les États-Unis
une ville durement touchée par les tarifs douaniers sur l'acier
Il accuse cette prestigieuse université de ne pas avoir lutté contre l'antisémitisme lors de manifestations propalestiniennes
Harvard refuse de se plier aux demandes du président
Le conflit entre Israël et le Hamas ne cesse de s’aggraver
L'ONU estime que la bande de Gaza traverse la pire situation humanitaire depuis le début de la guerre
Écoutez le témoignage d’une médecin canadienne qui a travaillé un mois dans un hôpital de l'enclave palestinienne
Analyse de l'actualité avec nos panélistes : Louis Blouin
arrivera à Washington dans les prochaines heures pour sa première rencontre avec le président américain Donald Trump
Des négociations sur les tarifs seront-elles possibles et le président arrêtera-t-il de parler de l'annexion du Canada
Maïka Sondarjee et Tasha Kheiriddin en débattent à Zone Info
Comment faire face à ces troubles mentaux qui conduisent à commettre des crimes incommensurables
Est-ce possible de prévenir ces tragédies humaines
médecin psychiatre surspécialisée en psychiatrie
Comment en sommes-nous arrivés là et lesquels faut-il prioriser
« On est à la croisée des chemins et il faut être plus rationnels »
dit Fanny Tremblay-Racicot en entrevue aux côtés de Christian Savard à l'émission Zone économie
Analyse de l'actualité avec nos panélistes : Rafaël Jacob
Analyse de l'actualité avec nos panélistes : Stéphanie Chouinard
Un article de La Presse dépeint une hausse de l'homophobie dans les écoles secondaires du Québec
rejoignant les conclusions du groupe de recherche et d’intervention sociale de Montréal
étudiant à la maîtrise en sociologie sur les masculinités et le féminisme
Le premier ministre élu Mark Carney a tenu sa première conférence de presse
Il a aussi confirmé qu'il irait à Washington mardi prochain pour rencontrer Donald Trump
Les commentaires de Chantal Hébert et Paul Journet
Les États-Unis et l’Ukraine ont conclu une entente minière qui garantit à Kiev un engagement économique des américains sur son territoire
Le pays détient environ 6 % de toutes les ressources minières mondiales
Un accord salué par Volodymyr Zelensky comme étant équitable
titulaire de la Chaire d'études ukrainiennes à l'université d'Ottawa
Mark Carney se prépare à rencontrer Donald Trump
comment doit-il naviguer à travers ce champ de mines diplomatiques
la police met en place un registre pour permettre aux résidents de partager les images de leurs caméras de surveillance
ancien directeur général adjoint Sûreté du Québec
Plus de deux millions de spectateurs étaient rassemblés
pour un concert gratuit de la chanteuse Lady Gaga
La soirée festive aurait pu virer au drame : la police a par la suite révélé qu'un attentat à la bombe avait été déjoué
comme nous le raconte le journaliste indépendant Serge Boire
Mark Carney affrontera son premier gros défi en tant que nouveau premier ministre du Canada
Les commentaires de Gilles Duceppe et David Heurtel
L'industrie du cinéma est la dernière cible de Donald Trump
Le président américain menace d'imposer des tarifs douaniers de 100 % sur les films produits à l'extérieur des États-Unis
Quel serait l'impact d'une telle mesure sur l'industrie cinématographique canadienne
Les réactions d'Olivier Bourque et de Bernard Larivière
président de l'AQTIS (Association québécoise des techniciens et techniciennes de l’image et du son)
Le procès de Sean « Diddy » Combs
Et comme il s'agit d'un des rappeurs américains les plus prospères de l'histoire de la musique
journaliste et critique au Hollywood Reporter
est une prison où 25 000 détenus cohabitent dans des conditions extrêmes et où ont été envoyés plus de 250 migrants expulsés par Donald Trump
Lucas Menget nous propose une incursion dans cet endroit construit par Nayib Bukele dans le contexte de sa guerre contre les gangs
Kent Hughes et Jeff Gorton rencontraient les médias lundi pour le bilan de la saison
L’état-major du Canadien est satisfait de la direction prise par l'équipe et reste à l'affût pour tenter d'améliorer son groupe
Quoi de mieux qu’une victoire à son premier match à domicile
Les faits saillants du match du 3 mai 2025 entre la Victoire de Montréal et les Sirens de New York
Les faits saillants du match du 3 mai 2025
entre les Roses de Montréal et le Rapide d'Ottawa dans la Super Ligue du Nord
Faire bonne première impression n’est pas toujours facile… mais pour certaines joueuses
L’heure est au bilan pour le Canadien de Montréal
L’équipe a réussi à se qualifier pour les séries éliminatoires
ce que beaucoup pensaient impossible en début de saison
Voici ce que les joueurs avaient à dire sur leur année
Alexandra Labelle et Catherine Dubois ont bien hâte aux séries de la LPHF
Connaissez-vous la fiche des Leafs en séries lorsqu'ils sont en mesure d'éliminer leurs adversaires
L'attaquante de la Victoire de Montréal a toujours eu le rêve d'ouvrir son propre café
elle est la barista officielle de l'équipe
On lance le défi au multimillionnaire québécois Olivier Primeau de démêler toutes ses entreprises en deux minutes top chrono
« Le gars du Beachclub » a acheté des permis d'exploitation d'eau de source
et il dit qu'il a un plan pour faire de l’argent « à l’infini » avec ça
L'entrepreneur s’avance aussi sur sa potentielle future carrière politique à l'Assemblée nationale
et il revient sur la fois où il a mangé du pâté chinois avec Paris Hilton
On a fait nos devoirs et on est allés fouiller dans sa vie numérique
Les journalistes Julia Pagé et Pasquale Harrison-Julien reviennent sur les moments forts de la campagne avec l’équipe de Rad et des invités surprises
Qui sera le nouveau premier ministre du Canada
L’équipe de Rad et des invités surprises reviennent sur les moments forts de la campagne électorale
Alessandra a été invitée sur le plateau de RDI pour parler de son reportage sur l'Alberta et le vote conservateur
Plusieurs analystes ont attribué la victoire de Donald Trump
à ses apparitions dans des balados populaires
dont celui de Joe Rogan.Olivier s'est demandé : est-ce qu’on vit le même phénomène ici
on a vu notamment Jagmeet Singh à Tout le monde s’haït
Pierre Poilievre et Jonathan Pedneault au micro d'Olivier Primeau
Yves-François Blanchet au What’s Up Podcast
Pourquoi les politiciens délaissent-ils les médias traditionnels pour les balados
Est-ce que vous vous en sortez avec le coût de la vie
Ornella a posé la question à des jeunes de partout au Canada
Elle en a profité pour leur demander sur quoi ils allaient baser leur vote aux élections fédérales
Vous pouvez croire la comédienne Pascale de Blois quand elle explique pourquoi le président américain Donald Trump veut que le Canada devienne son 51e État
(C'est nous qui avons écrit son texte.)En gros
ce serait parce qu'il reluque nos ressources naturelles
de l'Ontario et de l'Alberta quel enjeu de la campagne électorale est le plus important pour eux
Alessandra et Florence se sont rendues à Fort McMurray en Alberta
Elles voulaient comprendre comment la dépendance économique de la province aux énergies fossiles façonne le quotidien et la vision politique des gens là-bas
Leur reportage est sur notre chaîne YouTube
Avec ses sables bitumineux et ses pipelines
l'Alberta produit et exporte la grande majorité du pétrole canadien
le vote conservateur domine depuis des décennies
Alessandra et Florence se sont rendues à Fort McMurray
pour comprendre comment la dépendance économique de la province aux énergies fossiles façonne sa vision politique
surtout en pleine guerre commerciale avec les États-Unis
Au programme cette semaine : en plus de revenir sur des cas de désinformation observés le jour du scrutin
nous évaluons l’impact de la participation grandissante des chefs de partis à des balados en période électorale
Sans cesse attaquée dans la sphère conservatrice
Wikipédia se trouve désormais dans la mire de l’administration Trump
Notre invitée Ariane Labrèche met en contexte l’ampleur de la menace qui plane sur cette encyclopédie “libre”
Est-ce que l’IA peut nous faire changer d’avis sur des sujets clivants
Un test secret mené sur Reddit suscite la controverse
Au programme cette semaine : de nombreuses publicités électorales frauduleuses circulent sur les plateformes de Meta dans le seul but d’arnaquer des Canadiens avec des fraudes à la cryptomonnaie.Après une période de boycott de deux ans
le PLQ et le PQ se sont mis à racheter des publicités sur Metae et on revient sur la série documentaire Netflix Mauvaise Influence qui expose les côtés sombres des enfants influenceurs
L'équipe des «Décrypteurs» vous convie à son balado filmé
propositions des partis pour lutter contre la fraude et La vérif sur le débat des chefs
Au programme cette semaine: une opération d’ingérence chinoise visant Mark Carney sur WeChat est-elle réellement en cours
La campagne électorale telle que vécue par les modérateurs sur Reddit
La petite histoire derrière un tweet qui a semé le chaos sur les marchés boursiers
Discussion sur la frénésie des fans de Minecraft dans les salles de cinéma
Vous cherchez à comprendre la signification d'une image virale sur le web
Le site Know Your Meme est LA référence pour vous
Au programme cette semaine: un point de bascule vient-il vraiment d’être franchi par l’IA
On se pose la question alors que Chat GPT 4.5 a passé « haut la main » le célèbre test Turing
la production de fausses bandes-annonces de films s’est « industrialisée » avec l’avènement de l’IA générative
deux chaînes d’importance ont été démonétisées
Discussion avec les journalistes français Pierre Plottu et Maxime Macé sur le combat des influenceurs et des influenceuses d'extrême droite pour imposer leurs idées sur le web et au sein de la société
Au programme de cette semaine : anatomie de la prétendue « découverte » d’une ville secrète souterraine sous le plateau de Gizeh en Égypte
une autre preuve du potentiel hautement viral de la pseudo-science
Un site web consacré au chef conservateur Pierre Poilievre démontre (encore) à quel point l’IA pollue le web
on fait le point le « Signalgate » qui a accaparé l’attention médiatique cette semaine et une mise à jour d’OpenAi a déclenché une frénésie « Studio Ghibli »
Face à la qualité des contenus qui se dégradent et à la polarisation
bien des utilisateurs veulent se détacher des réseaux comme Facebook
Au programme de cette semaine: avec notre invité
les brèches de sécurité liées aux applications sportives comme Strava
la production massive et à bas prix de contenus étranges générés par IA (AI Slop) risque de bouleverser profondément le web tel qu’on le connaît
la reconnaissance faciale se bute à un obstacle de taille au Canada et finalement on vous parle d’une tendance étrange sur TikTok
Maïa et le fentanyl : Les ravages provoqués par les mélanges de drogue qui circulent en ce moment
Les PFAS s’immiscent dans nos produits de soins personnels
Relations amoureuses entre des psychologues et leurs anciennes clientes : le grand tabou
rendant l'accès aux soins et à la nourriture difficile pour les Canadiens
On vous révèle comment les entreprises de jeux vidéo collectent et revendent vos informations personnelles
peut faire rêver si on se fie aux croit les publicités et témoignages sur les réseaux sociaux
De nombreux consommateurs qui voulaient se lancer dans le domaine regrettent aujourd'hui d'avoir payé 5000 $ pour une formation qui n'est pas fidèle à ce qu'on leur avait vendu
Une centaine de clients se sont retrouvés ainsi sans garantie avec des piscines parfois défectueuses
l'un des actionnaires de Nova-Lagon relance le concept de piscines plages sous un nouveau nom
Les copropriétaires d'un complexe de condos inondé trois fois en cinq ans
qui a fait l'objet d'un reportage de La facture
restent dans l'impasse malgré les promesses d'aide de la mairesse de Lachine
Ils tentent de protéger leur immeuble à leurs frais et craignent de ne pas y arriver avant la prochaine pluie diluvienne
Même si le promoteur s'était engagé à faire le raccordement électrique des terrains
il refuse maintenant de payer la facture d'Hydro-Québec pour les alimenter en électricité
Des clients qui ont critiqué des commerces sur le web se font poursuivre pour diffamation
où des avis laissés sur Google ont déclenché une cascade de conséquences
Alex Cicoria apprend qu'un prêt automobile de plus de 42 000 dollars a été accordé à son insu
Un huissier sonne à sa porte pour saisir un véhicule qu'il ne possède pas
C'est une situation qui arrive de plus en plus souvent
car ce type de fraude est en progression au pays
des résidents d'Ahuntsic ont appris avec stupeur qu'ils ne pourraient plus accéder à leur ruelle arrière sans avoir à payer
Parce que leur ruelle venait d'être achetée par un entrepreneur
Cette histoire abracadabrante vient de se conclure; les citoyens ont regagné l'usage de « leur » ruelle pour de bon
Une équipe de La facture s'est intéressée au profil psychologique des fraudeurs
Qui sont ces personnes qui font de la fraude leur mode de vie
Votre vétérinaire a l'obligation de vous remettre une ordonnance si vous voulez acheter un médicament vétérinaire dans une pharmacie
Certains vétérinaires sont cependant réticents à le faire et vont jusqu'à discréditer les pharmaciens
ce qui est contraire au code des professions du Québec
Trois pirates informatiques s’unissent pour combattre les fraudeurs en ligne
Cette rare incursion dans le mode de fonctionnement des fraudeurs nous permet de mieux comprendre comment ils procèdent et comment se prémunir contre la fraude
Il s’agit d’une adaptation d’un reportage de l’émission Marketplace de la CBC
Le goût amer de certains médicaments cause des problèmes récurrents dans l'administration de soins ou de traitements
Les chiens doués sont plus rares qu'on le croit
Une chercheuse hongroise a eu tout le mal du monde à en dénicher une quarantaine sur la planète
les grenouilles et les salamandres ont beaucoup souffert de la disparition des milieux humides
On estime que près d'un milliard d'oiseaux meurent chaque année en se frappant contre des fenêtres ou des murs de verre en Amérique du Nord
Tout le monde se souvient de notre émerveillement lors de l'éclipse solaire du 8 avril 2024
un événement rare qui a fait l'objet d'une expérience inusitée au Zoo de Granby
on brûle la peau d'une centaine de joueuses et de joueurs pour savoir si la passion du jeu réduit la douleur
Le tout premier médicament entièrement généré par intelligence artificielle franchit les essais cliniques de phase 2 pour le traitement d'une maladie pulmonaire mortelle
Plusieurs outils diagnostiques utilisés en médecine n'ont pas la même efficacité sur toutes les couleurs de peau ou toutes les textures de cheveux
On déconstruit le mythe du poids santé une fois pour toutes
On visite l'une des rares fromageries universitaires en Amérique du Nord
Le marché de la nutrition sportive est en pleine expansion..
On s'intéresse à l'immigration cambodgienne
L'épicerie a voulu savoir si ces légumes étaient intéressants à cuisiner sur les plans nutritionnel et gustatif
On s'offre un petit voyage en Europe pour découvrir des desserts pascals de Pologne
L'épicerie vous donne quelques idées pour utiliser la noix de coco à son plein potentiel
Cette matière contamine de plus en plus les sols
comme le démontre une étude étonnante sur des parcelles de champs au Royaume-Uni
Les paillis oxodégradables permettent aux agriculteurs dans les régions nordiques de produire du meilleur maïs
Mais quel est l'impact de ces produits sur les sols agricoles
Ottawa subventionne l'utilisation des engrais enrobés de polymère dans le cadre du Fonds d'action climatique à la ferme
Mais l'enrobage de polymère laisse des microplastiques dans les champs
Le plastique est un incontournable en agriculture
Environ 11 000 tonnes sont utilisées chaque année dans les fermes au Québec
Près de 30% de ces plastiques agricoles sont recyclés pour l'instant
Mais des voix s'élèvent contre cette industrie qualifiée de polluante et de néfaste pour la survie des saumons sauvages
Le Saint-Laurent est sous respirateur artificiel
l'oxygène se raréfie et des experts étudient les répercussions de l'hypoxie sur les espèces marines
Des agriculteurs québécois s’attaquent au problème de compactage de leurs sols
Comme la production de sirop d'érable dépend de la météo et du climat
des scientifiques se demandent quel est l'avenir de l'acériculture au Québec face aux changements climatiques
L'eau d'érable concentrée est née d'un nouvel évaporateur qui permet la cuisson sous vide
Le liquide légèrement doré conserve ainsi plus de nutriments que le sirop d'érable et son goût est plus subtil
Troy Bright est un observateur aguerri des épaulards
il note des observations sur le passage et le comportement de ces mammifères marins dans le nord de l'île de Vancouver
Isabelle Richer démystifie les rouages du système de justice et vulgarise les grands enjeux qui s'y rattachent
Toutes les informations nécessaires pour commencer la journée : l'actualité
Comprendre les événements de la journée avec Anne-Marie Dussault
Magazine d’information sur les droits des citoyens en matière de consommation et enquêtes sur des problèmes vécus par les consommateurs
Un regard approfondi sur les sujets de l'heure
Patrice Roy fait le point sur les grandes nouvelles de la journée et les enjeux qui touchent les citoyens et citoyennes avec nos reporters
Gérald Fillion et ses commentateurs discutent des sujets chauds du jour tout en suivant l'actualité en développement
Magazine d’actualité agroalimentaire et forestière qui aborde les enjeux environnementaux et les innovations en gestion des ressources renouvelables
Gérald Fillion aborde toutes les nouvelles économiques d'importance
Magazine d'investigation qui expose des pratiques douteuses et révèle des faits méconnus ou cachés sur des questions préoccupantes d’intérêt public
dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"Les régions francophones de la province ont décidé d’envoyer des libéraux à Ottawa
Certains candidats ont remporté des victoires écrasantes
comment content que je suis d’avoir eu de nouveau la confiance des gens de notre belle circonscription
C’est un privilège de servir sa communauté
a-t-il dit à ses partisans réunis à Shediac
qui est notamment ministre du Commerce international
croit que les tensions entre le Canada et les États-Unis ont été un facteur déterminant
Il y a beaucoup d'inquiétudes économiques et culturelles face à la souveraineté de notre pays
je suis convaincu que [...] les Canadiens vont se tourner encore une fois vers le Parti libéral et vers le premier ministre Carney
le libéral Serge Cormier a remporté une victoire écrasante dans Acadie-Bathurst
Il attribue ce succès à son travail de député et aussi au fait qu’il est parfois prêt à adopter des positions qui diffèrent de celles de son parti
C’est ça être député
C’est représenter les gens qui nous ont élus
j’ai toujours voulu être honnête dans ce sens-là
Les gens d’Acadie-Bathurst m’ont donné confiance pour un autre mandat
Serge Cormier avait exigé haut et fort le départ de Justin Trudeau, à la mi-décembre, tout comme ses collègues néo-brunswickois Wayne Long et René Arseneault.
À la fin de la journée, ce qu’on veut, c’est un nouveau départ. Et je pense que c’est ça que Mark Carney incarne. Un nouveau départ, un chef avec une nouvelle vision, avec une feuille de route qui n’est aucunement questionnable, a-t-il affirmé.
Toujours dans le nord du Nouveau-Brunswick, le libéral Guillaume Deschênes-Thériault a eu des sueurs froides pendant une partie de la soirée électorale. Il a finalement eu le dessus sur le conservateur Michel Morin dans Madawaska—Restigouche.
Le plus important, c'est le résultat final, a souligné le nouveau député fédéral, qui succède à René Arseneault.
Guillaume Deschênes-Thériault croit qu'il peut attribuer sa victoire à son prédécesseur.
Je me sens léger, mais confiant de passer le flambeau à quelqu'un de calibre, a d'ailleurs indiqué l'ex-député Arseneault, présent au rassemblement libéral à Kedgwick.
La présidente du Conseil du Trésor et ancienne ministre, Ginette Petitpas Taylor, a été réélue dans Moncton-Dieppe. Une circonscription urbaine où elle a rapidement creusé une avance confortable face au conservateur Jocelyn Dionne.
Devant ses partisans rassemblés au centre-ville de Moncton, elle a confié qu’elle eu un peu chaud en début de soirée.
Je peux vous dire que lorsque j’étais à la maison avec mon mari et que les premières boîtes de scrutin sont arrivées, j’étais un peu triste. Et je commençais à être un peu nerveuse, a-t-elle dit en riant.
Elle a remercié les électeurs de lui avoir fait confiance.
Je vais travailler d’arrache-pied pour m’assurer qu’on va bien représenter [la circonscription] et m'assurer que Dieppe et Moncton ont la juste part des fonds qu’on doit avoir.
Les observateurs s’attendaient à ce que l’on assiste à une chaude lutte dans Miramichi—Grand Lake, où s’affrontaient deux anciens députés conservateurs.
C’est bel et bien ce qui s’est produit dans cette énorme circonscription qui comprend des communautés francophones, anglophones et autochtones.
Le conservateur Mike Dawson et la libérale Lisa Harris ont été au coude-à-coude pendant toute la soirée.
C'est finalement le candidat conservateur qui a eu le dessus. Peu après 1 h, il avait une avance de 583 voix (soit à peine 1,6 %) lorsque son adversaire libérale s'est rendue à son rassemblement afin de concéder la victoire.
Le Parti conservateur a tiré son épingle du jeu dans l’ouest et dans le centre de la province.
Richard Bragdon a été réélu facilement dans Tobique—Mactaquac, à l’instar de John Williamson dans Saint-Jean—Sainte-Croix.
Dans Fundy Royal, le conservateur Rob Moore a lui aussi été réélu avec plus de 50 % des votes.
C’est un énorme privilège de représenter les gens de Fundy Royal. J’ai hâte de retourner travailler pour vous et d’œuvrer pour bâtir un avenir meilleur et plus prospère, a-t-il dit sur sa page Facebook.
Le député libéral sortant Wayne Long a pour sa part remporté son pari et a été réélu dans Saint-Jean—Kennebecasis.
Au cours des dernières années, ce député n’a pas hésité à critiquer son propre gouvernement et Justin Trudeau. Ses commentaires lui ont même valu d’être expulsé de comités parlementaires.
Wayne Long avait d’abord annoncé qu’il ne se représenterait pas, mais avait changé d’idée après l’arrivée de Mark Carney à la tête des libéraux.
Le libéral David Myles, un chanteur qui faisait une première incursion en politique fédérale, a été élu à Fredericton—Oromocto. Avec plus de 60 % des votes, il a devancé l’ex-député provincial Brian Macdonald avec une avance confortable.
Avec des informations de Frédéric Cammarano et de Jacques Poitras (CBC)
2:26Le ténor libéral Dominic LeBlanc a été réélu, comme la plupart des députés sortants qui briguaient un autre mandat.
Pascal Raiche-NoguePublié le 29 avril à 0 h 04 HAEÉcouter l’article | 6 minutesLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale
une technologie basée sur l’intelligence artificielle.Le Parti libéral et le Parti conservateur ont réussi à maintenir leurs acquis partout au Nouveau-Brunswick
Les régions francophones de la province ont décidé d’envoyer des libéraux à Ottawa
Certains candidats ont remporté des victoires écrasantes
comment content que je suis d’avoir eu de nouveau la confiance des gens de notre belle circonscription
C’est un privilège de servir sa communauté
a-t-il dit à ses partisans réunis à Shediac
Élections fédérales Canada 2025Consulter le dossier completSuivreSuivreCe ténor libéral
croit que les tensions entre le Canada et les États-Unis ont été un facteur déterminant
Il y a beaucoup d'inquiétudes économiques et culturelles face à la souveraineté de notre pays
je suis convaincu que [...] les Canadiens vont se tourner encore une fois vers le Parti libéral et vers le premier ministre Carney
Ouvrir en mode plein écranLe libéral Serge Cormier n'a jamais été en difficulté
le libéral Serge Cormier a remporté une victoire écrasante dans Acadie-Bathurst
Il attribue ce succès à son travail de député et aussi au fait qu’il est parfois prêt à adopter des positions qui diffèrent de celles de son parti
C’est représenter les gens qui nous ont élus
j’ai toujours voulu être honnête dans ce sens-là
Les gens d’Acadie-Bathurst m’ont donné confiance pour un autre mandat
À la fin de la journée, ce qu’on veut, c’est un nouveau départ. Et je pense que c’est ça que Mark Carney incarne. Un nouveau départ, un chef avec une nouvelle vision, avec une feuille de route qui n’est aucunement questionnable, a-t-il affirmé.
Ouvrir en mode plein écranLe député de Madawaska—Restigouche, Guillaume Deschênes-Thériault.
Toujours dans le nord du Nouveau-Brunswick, le libéral Guillaume Deschênes-Thériault a eu des sueurs froides pendant une partie de la soirée électorale. Il a finalement eu le dessus sur le conservateur Michel Morin dans Madawaska—Restigouche.
Le plus important, c'est le résultat final, a souligné le nouveau député fédéral, qui succède à René Arseneault.
Guillaume Deschênes-Thériault croit qu'il peut attribuer sa victoire à son prédécesseur.
Je me sens léger, mais confiant de passer le flambeau à quelqu'un de calibre, a d'ailleurs indiqué l'ex-député Arseneault, présent au rassemblement libéral à Kedgwick.
Ouvrir en mode plein écranGinette Petitpas Taylor a été réélue dans Moncton-Dieppe.
La présidente du Conseil du Trésor et ancienne ministre, Ginette Petitpas Taylor, a été réélue dans Moncton-Dieppe. Une circonscription urbaine où elle a rapidement creusé une avance confortable face au conservateur Jocelyn Dionne.
Devant ses partisans rassemblés au centre-ville de Moncton, elle a confié qu’elle eu un peu chaud en début de soirée.
Je peux vous dire que lorsque j’étais à la maison avec mon mari et que les premières boîtes de scrutin sont arrivées, j’étais un peu triste. Et je commençais à être un peu nerveuse, a-t-elle dit en riant.
Elle a remercié les électeurs de lui avoir fait confiance.
Je vais travailler d’arrache-pied pour m’assurer qu’on va bien représenter [la circonscription] et m'assurer que Dieppe et Moncton ont la juste part des fonds qu’on doit avoir.
Ouvrir en mode plein écranLisa Harris et Mike Dawson se sont livré une lutte acharnée. Ils ont été au coude-à-coude pendant toute la soirée électorale.
Les observateurs s’attendaient à ce que l’on assiste à une chaude lutte dans Miramichi—Grand Lake, où s’affrontaient deux anciens députés conservateurs.
C’est bel et bien ce qui s’est produit dans cette énorme circonscription qui comprend des communautés francophones, anglophones et autochtones.
Le conservateur Mike Dawson et la libérale Lisa Harris ont été au coude-à-coude pendant toute la soirée.
C'est finalement le candidat conservateur qui a eu le dessus. Peu après 1 h, il avait une avance de 583 voix (soit à peine 1,6 %) lorsque son adversaire libérale s'est rendue à son rassemblement afin de concéder la victoire.
Ouvrir en mode plein écranLe député sortant Richard Bragdon a été réélu dans Tobique-Mactaquac. (Source : Facebook)
Le Parti conservateur a tiré son épingle du jeu dans l’ouest et dans le centre de la province.
Richard Bragdon a été réélu facilement dans Tobique—Mactaquac, à l’instar de John Williamson dans Saint-Jean—Sainte-Croix.
Dans Fundy Royal, le conservateur Rob Moore a lui aussi été réélu avec plus de 50 % des votes.
C’est un énorme privilège de représenter les gens de Fundy Royal. J’ai hâte de retourner travailler pour vous et d’œuvrer pour bâtir un avenir meilleur et plus prospère, a-t-il dit sur sa page Facebook.
Ouvrir en mode plein écranLe député Wayne Long est l’un des premiers députés libéraux à avoir critiqué publiquement Justin Trudeau (archives)
Le député libéral sortant Wayne Long a pour sa part remporté son pari et a été réélu dans Saint-Jean—Kennebecasis.
Au cours des dernières années, ce député n’a pas hésité à critiquer son propre gouvernement et Justin Trudeau. Ses commentaires lui ont même valu d’être expulsé de comités parlementaires.
Wayne Long avait d’abord annoncé qu’il ne se représenterait pas, mais avait changé d’idée après l’arrivée de Mark Carney à la tête des libéraux.
Le libéral David Myles, un chanteur qui faisait une première incursion en politique fédérale, a été élu à Fredericton—Oromocto. Avec plus de 60 % des votes, il a devancé l’ex-député provincial Brian Macdonald avec une avance confortable.
Avec des informations de Frédéric Cammarano et de Jacques Poitras (CBC)
Chargement en coursInfolettre PolitiquePour mieux comprendre les enjeux politiques de l’heure
Les régions francophones de la province ont décidé d’envoyer des libéraux à Ottawa
Serge Cormier avait exigé haut et fort le départ de Justin Trudeau, à la mi-décembre
tout comme ses collègues néo-brunswickois Wayne Long et René Arseneault
Et je pense que c’est ça que Mark Carney incarne
avec une feuille de route qui n’est aucunement questionnable
Toujours dans le nord du Nouveau-Brunswick
le libéral Guillaume Deschênes-Thériault a eu des sueurs froides pendant une partie de la soirée électorale
Il a finalement eu le dessus sur le conservateur Michel Morin dans Madawaska—Restigouche
a souligné le nouveau député fédéral
qui succède à René Arseneault
Guillaume Deschênes-Thériault croit qu'il peut attribuer sa victoire à son prédécesseur
mais confiant de passer le flambeau à quelqu'un de calibre
a d'ailleurs indiqué l'ex-député Arseneault
présent au rassemblement libéral à Kedgwick
La présidente du Conseil du Trésor et ancienne ministre
a été réélue dans Moncton-Dieppe
Une circonscription urbaine où elle a rapidement creusé une avance confortable face au conservateur Jocelyn Dionne
Devant ses partisans rassemblés au centre-ville de Moncton
elle a confié qu’elle eu un peu chaud en début de soirée
Je peux vous dire que lorsque j’étais à la maison avec mon mari et que les premières boîtes de scrutin sont arrivées
Et je commençais à être un peu nerveuse
Elle a remercié les électeurs de lui avoir fait confiance
Je vais travailler d’arrache-pied pour m’assurer qu’on va bien représenter [la circonscription] et m'assurer que Dieppe et Moncton ont la juste part des fonds qu’on doit avoir
Les observateurs s’attendaient à ce que l’on assiste à une chaude lutte dans Miramichi—Grand Lake
où s’affrontaient deux anciens députés conservateurs
C’est bel et bien ce qui s’est produit dans cette énorme circonscription qui comprend des communautés francophones
Le conservateur Mike Dawson et la libérale Lisa Harris ont été au coude-à-coude pendant toute la soirée
C'est finalement le candidat conservateur qui a eu le dessus
il avait une avance de 583 voix (soit à peine 1,6 %) lorsque son adversaire libérale s'est rendue à son rassemblement afin de concéder la victoire
Le Parti conservateur a tiré son épingle du jeu dans l’ouest et dans le centre de la province
Richard Bragdon a été réélu facilement dans Tobique—Mactaquac
à l’instar de John Williamson dans Saint-Jean—Sainte-Croix
le conservateur Rob Moore a lui aussi été réélu avec plus de 50 % des votes
C’est un énorme privilège de représenter les gens de Fundy Royal
J’ai hâte de retourner travailler pour vous et d’œuvrer pour bâtir un avenir meilleur et plus prospère
Le député libéral sortant Wayne Long a pour sa part remporté son pari et a été réélu dans Saint-Jean—Kennebecasis
ce député n’a pas hésité à critiquer son propre gouvernement et Justin Trudeau
Ses commentaires lui ont même valu d’être expulsé de comités parlementaires
Wayne Long avait d’abord annoncé qu’il ne se représenterait pas
mais avait changé d’idée après l’arrivée de Mark Carney à la tête des libéraux
un chanteur qui faisait une première incursion en politique fédérale
a été élu à Fredericton—Oromocto
il a devancé l’ex-député provincial Brian Macdonald avec une avance confortable
Serge Cormier avait exigé haut et fort le départ de Justin Trudeau, à la mi-décembre
Le Parti libéral et le Parti conservateur ont réussi à maintenir leurs acquis partout au Nouveau-Brunswick
Les libéraux ont conservé les régions acadiennes
les conservateurs ont dominé les zones rurales anglophones
et les petits partis comme le NPD et les Verts ont vu leur influence chuter
Accueil Actualités Madeleine Dubé nommée chancelière de l’Université de Moncton
en compagnie du recteur de l’Université de Moncton
la nouvelle chancelière de l’Université de Moncton
Elle succède à Louise Imbeault qui occupe maintenant le poste de lieutenante-gouverneure du Nouveau-Brunswick
Mme Dubé est devenue la dixième personne à recevoir cette distinction
Elle occupera ce poste au cours des cinq prochaines années
J.-Louis Lévesque et Mgr Norbert Robichaud
Celle-ci a toutefois beaucoup gravité dans l’entourage de l’Université de Moncton
elle qui a notamment occupé la fonction de vice-rectrice du campus d’Edmundston
«Mme Dubé est une femme d’exception qui porte l’Université de Moncton et l’Acadie dans son cœur
Sa grande expertise et sa proximité avec nos communautés seront un grand atout pour notre institution» a souligné Denis Mallet
Reconnue par les gens du Madawaska pour sa grande implication communautaire
Madeleine Dubé a aussi été une figure politique proéminente au Nouveau-Brunswick
Elle a été députée pendant près d’une vingtaine d’années au cours desquelles elle a notamment été ministre de la Santé
la Médaille du jubilé de la reine Elizabeth II
le Prix commémoratif Raoul Léger de l’Association des travailleurs sociaux du Nouveau-Brunswick
le Prix d’excellence national de l’Association canadienne des travailleurs sociaux pour service exceptionnel
«Je suis très touchée d’avoir été nommée chancelière de notre université
Mme Imbeault était la dernière chancelière
alors ce sera de grandes chaussures à remplir
le nom de Madeleine Dubé a été mentionné lors de sondages ou de discussions en lien avec le poste de chancelière
«Ça a fait son petit bonhomme de chemin et voilà
j’ai su que mon nom allait être apporté au conseil des gouverneurs.»
Lorsqu’on lui a finalement confirmé la nouvelle
Mme Dubé ne pouvait pas refuser ce qu’elle considère comme un grand honneur
«J’ai toujours eu l’Université de Moncton à cœur
Je suis une diplômée de l’Université de Moncton
J’ai toujours été très près de l’université
Son apport dans le développement de notre communauté
Le fait que les francophones et les Acadiens aient été en mesure d’accéder à plus de postes
ça vient de l’éducation que l’on a eue de notre université.»
«C’est un grand moteur économique et il représente notre avenir.»
Le promoteur a donc l’obligation de les remplir avant de poursuivre son projet, souligne Bill Budd, directeur du développement et de la planification à la Ville de Moncton.
Les bâtiments seront construits dans une zone inondable.
L'une des conditions d'approbation du projet Gateway Towers est que le constructeur inclut des mesures d'atténuation.
Il doit également élaborer un plan détaillé de paysagement qui permettra l'accès au parc Riverain aux membres du public.
Le promoteur du projet, John Lafford, s’est cependant montré rassurant à la sortie de la salle de réunion.
Ce développement, parce qu’il est en vertical, aura moins d’impact pour l’environnement. Ce qui n’est pas le cas pour un autre en horizontal.
Le mécontentement se lisait sur le visage des dizaines de citoyens qui ont assisté à la rencontre municipale, qui se déroulait au Centre Avenir.
Ces personnes réclamaient l'imposition d'un moratoire et la tenue d'une étude d’impact environnemental et social.
Elles demandaient aussi que le projet fasse l'objet de discussions publiques approfondies.
C’est sûr qu’on est déçu. Soyons francs, on était pas mal certain que le conseil municipal allait adopter la proposition pour ce développement.
Ce qu’on souhaite maintenant, c’est d'avoir suffisamment soulevé d'inquiétudes pour que, peut être finalement, qu’on ait des garanties que le reste du parc riverain va rester intouchable, poursuit-elle.
La salle du Centre Avenir allouée à la réunion du conseil municipal, en raison des travaux en cours à l'hôtel de ville, était pleine à craquer.
Les discussions qui ont duré plus de deux heures traduisaient l’intérêt que revêt le projet Gateway pour les élus municipaux et les citoyens.
Maintenant que le projet des tours Gateway a été adopté, le promoteur prévoit entamer le nettoyage du site avant la fin de l'année.
Les travaux de construction des deux tours de 17 étages au sud du boulevard Assomption débuteront en 2025. Ils devraient durer de trois à quatre ans.
Babatundé Lawani est journaliste multiplateforme à Radio Canada Acadie à Moncton depuis 2022. Avant cela, il a travaillé pendant une décennie dans la presse écrite, audiovisuelle et numérique en Côte d'Ivoire.
Ouvrir en mode plein écranUn aperçu des immeubles de 17 étages proposés au centre-ville à l'intersection du boulevard Assomption et de la rue Foundry.
Babatundé LawaniPublié le 8 octobre 2024 à 5 h 55 HAEÉcouter l’article | 3 minutesLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale, une technologie basée sur l’intelligence artificielle.Le projet controversé de deux tours de 17 étages à Moncton ira finalement de l’avant suite à l'approbation du conseil municipal.
Il a été approuvé après un vote de sept conseillers contre trois. Ce développement a toutefois été assorti de 19 conditions.
Le promoteur a donc l’obligation de les remplir avant de poursuivre son projet, souligne Bill Budd, directeur du développement et de la planification à la Ville de Moncton.
Les bâtiments seront construits dans une zone inondable.
L'une des conditions d'approbation du projet Gateway Towers est que le constructeur inclut des mesures d'atténuation.
Il doit également élaborer un plan détaillé de paysagement qui permettra l'accès au parc Riverain aux membres du public.
Le promoteur du projet, John Lafford, s’est cependant montré rassurant à la sortie de la salle de réunion.
Ce développement, parce qu’il est en vertical, aura moins d’impact pour l’environnement. Ce qui n’est pas le cas pour un autre en horizontal.
Le mécontentement se lisait sur le visage des dizaines de citoyens qui ont assisté à la rencontre municipale, qui se déroulait au Centre Avenir.
Ces personnes réclamaient l'imposition d'un moratoire et la tenue d'une étude d’impact environnemental et social.
C’est sûr qu’on est déçu. Soyons francs, on était pas mal certain que le conseil municipal allait adopter la proposition pour ce développement.
Ce qu’on souhaite maintenant, c’est d'avoir suffisamment soulevé d'inquiétudes pour que, peut être finalement, qu’on ait des garanties que le reste du parc riverain va rester intouchable, poursuit-elle.
La salle du Centre Avenir allouée à la réunion du conseil municipal, en raison des travaux en cours à l'hôtel de ville, était pleine à craquer.
Ouvrir en mode plein écranDe nombreuses personnes ont assisté à la consultation publique qui était tenue au Centre Avenir en raison de rénovations à l'hôtel de ville.
Les discussions qui ont duré plus de deux heures traduisaient l’intérêt que revêt le projet Gateway pour les élus municipaux et les citoyens.
Maintenant que le projet des tours Gateway a été adopté, le promoteur prévoit entamer le nettoyage du site avant la fin de l'année.
Les travaux de construction des deux tours de 17 étages au sud du boulevard Assomption débuteront en 2025. Ils devraient durer de trois à quatre ans.
Il a été approuvé après un vote de sept conseillers contre trois
Ce développement a toutefois été assorti de 19 conditions
Le promoteur a donc l’obligation de les remplir avant de poursuivre son projet
directeur du développement et de la planification à la Ville de Moncton
Les bâtiments seront construits dans une zone inondable
L'une des conditions d'approbation du projet Gateway Towers est que le constructeur inclut des mesures d'atténuation
Il doit également élaborer un plan détaillé de paysagement qui permettra l'accès au parc Riverain aux membres du public
s’est cependant montré rassurant à la sortie de la salle de réunion
aura moins d’impact pour l’environnement
Ce qui n’est pas le cas pour un autre en horizontal
Le mécontentement se lisait sur le visage des dizaines de citoyens qui ont assisté à la rencontre municipale
Ces personnes réclamaient l'imposition d'un moratoire et la tenue d'une étude d’impact environnemental et social
Elles demandaient aussi que le projet fasse l'objet de discussions publiques approfondies
C’est sûr qu’on est déçu
on était pas mal certain que le conseil municipal allait adopter la proposition pour ce développement
c’est d'avoir suffisamment soulevé d'inquiétudes pour que
qu’on ait des garanties que le reste du parc riverain va rester intouchable
La salle du Centre Avenir allouée à la réunion du conseil municipal
en raison des travaux en cours à l'hôtel de ville
Les discussions qui ont duré plus de deux heures traduisaient l’intérêt que revêt le projet Gateway pour les élus municipaux et les citoyens
Maintenant que le projet des tours Gateway a été adopté
le promoteur prévoit entamer le nettoyage du site avant la fin de l'année
Les travaux de construction des deux tours de 17 étages au sud du boulevard Assomption débuteront en 2025
Ils devraient durer de trois à quatre ans
Babatundé Lawani est journaliste multiplateforme à Radio Canada Acadie à Moncton depuis 2022
il a travaillé pendant une décennie dans la presse écrite
audiovisuelle et numérique en Côte d'Ivoire
Le projet controversé de deux tours de 17 étages à Moncton ira finalement de l’avant suite à l'approbation du conseil municipal
Moncton l’a toutefois échappé belle. L’équipe menait 4 à 0 avant que Baie-Comeau effectue une remontée pour égaliser la partie en 3e période.
Les Wildcats ont finalement enfoncé le dernier clou dans le cercueil du Drakkar avec le but victorieux de Preston Lounsbury avec 7 minutes à jouer dans la rencontre.
En se qualifiant ainsi pour les demi-finales de la LHJMQ, les troupes de Gardiner MacDougall poursuivent leur marche vers le trophée Gilles-Courteau.
Jeremy Boucher, un partisan de la première heure des Wildcats, espère aussi qu’il s’agit d’une autre étape qui permettra à l’équipe de se hisser au sommet de la Ligue canadienne de hockey.
L’équipe qu’ils ont cette année est vraiment formidable, ils sont intenses sur la glace, toujours dans la face des joueurs, lance M. Boucher. Quand M. Irving a acheté l’équipe [...], il a dit que son but était d’amener la Coupe Memorial à Moncton et je pense que cette année, c’est notre meilleure chance.
Bien qu’il soit d’avis que les Wildcats sont la meilleure équipe au pays et qu’ils méritent de remporter la Coupe Memorial, le directeur général de Dowtown Moncton Centre-ville, Patrick Richard, ignore si cette année sera la bonne.
Quoi qu'il arrive, si les Wildcats restent sur leur lancée, la fièvre des séries va s'emparer de la ville, ajoute Patrick Richard.
On voit des gens. On voit des vagues et des vagues de personnes, des familles, des amis qui se présentent au centre-ville. Ils vont prendre un verre ou manger avant ou après la partie, ils se déplacent au centre-ville, ça crée une ambiance et une vitalité, s'enthousiasme M. Richard, qui avoue être un partisan des Wildcats.
Installé en face du Centre Avenir, le Dandelion Café confirme remarquer que davantage de personnes se promènent dans le centre-ville en après-midi quand les Wildcats ont un match en soirée.
On voit beaucoup plus de trafic, de gens qui marchent. Je pense que ça contribue à l’activité économique de la ville parce que ça amène beaucoup de gens de l’Île-du-Prince-Édouard et de la Nouvelle-Écosse, du nord [du Nouveau-Brunswick], explique la barista du café, Chloe Bernier.
Chose certaine, si les prouesses du joueur étoile Caleb Desnoyers et de ses coéquipiers des Wildcats permettent à l’équipe de Robert Irving de passer en finales de la LHJMQ, les retombées continueront à se faire ressentir au centre-ville, prédit Patrick Richard.
À chaque ronde qu’ils franchissent, ça représente des impacts économiques pour nos marchands, dit-il.
Justin Dupuis est journaliste web et secrétaire de rédaction. Il a travaillé au sein de plusieurs entreprises de presse pendant près de 15 ans avant de se joindre à l'équipe d'ICI Acadie en 2023.
Ouvrir en mode plein écranMoncton vibre au rythme du hockey alors que les Wildcats affronteront les Huskies de Rouyn-Noranda lors de la demi-finale de la LHJMQ.
Justin DupuisPublié le 20 avril à 6 h 34 HAEÉcouter l’article | 3 minutesLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale, une technologie basée sur l’intelligence artificielle.Avec la victoire des Wildcats face au Drakkar de Baie-Comeau vendredi, la fièvre du hockey se fait de plus en plus ressentir à Moncton, particulièrement auprès des entrepreneurs du centre-ville.
Vendredi, les Wildcats de Moncton étaient à Baie-Comeau où ils ont remporté le cinquième match de la série face au Drakkar par la marque de 5 à 4.
Moncton l’a toutefois échappé belle. L’équipe menait 4 à 0 avant que Baie-Comeau effectue une remontée pour égaliser la partie en 3e période.
Ouvrir en mode plein écranGardiner MacDougall, nommé entraîneur-chef des Wildcats de Moncton en mai 2024, espère emporter son équipe jusqu'à la Coupe Memorial. (Photo d'archives)
Les Wildcats ont finalement enfoncé le dernier clou dans le cercueil du Drakkar avec le but victorieux de Preston Lounsbury avec 7 minutes à jouer dans la rencontre.
En se qualifiant ainsi pour les demi-finales de la LHJMQ, les troupes de Gardiner MacDougall poursuivent leur marche vers le trophée Gilles-Courteau.
Ouvrir en mode plein écranJeremy Boucher se décrit comme partisan de la première heure des Wildcats de Moncton et il espère que l'équipe remportera cette année la Coupe Memorial.
Jeremy Boucher, un partisan de la première heure des Wildcats, espère aussi qu’il s’agit d’une autre étape qui permettra à l’équipe de se hisser au sommet de la Ligue canadienne de hockey.
L’équipe qu’ils ont cette année est vraiment formidable, ils sont intenses sur la glace, toujours dans la face des joueurs, lance M. Boucher. Quand M. Irving a acheté l’équipe [...], il a dit que son but était d’amener la Coupe Memorial à Moncton et je pense que cette année, c’est notre meilleure chance.
Bien qu’il soit d’avis que les Wildcats sont la meilleure équipe au pays et qu’ils méritent de remporter la Coupe Memorial, le directeur général de Dowtown Moncton Centre-ville, Patrick Richard, ignore si cette année sera la bonne.
Ouvrir en mode plein écranLe directeur général de Dowtown Moncton Centre-ville, Patrick Richard, affirme que les commerçants profitent d'un achalandage accru lorsque les Wildcats disputent un match à domicile.
Quoi qu'il arrive, si les Wildcats restent sur leur lancée, la fièvre des séries va s'emparer de la ville, ajoute Patrick Richard.
On voit des gens. On voit des vagues et des vagues de personnes, des familles, des amis qui se présentent au centre-ville. Ils vont prendre un verre ou manger avant ou après la partie, ils se déplacent au centre-ville, ça crée une ambiance et une vitalité, s'enthousiasme M. Richard, qui avoue être un partisan des Wildcats.
Ouvrir en mode plein écranChloe Boucher, barista du Dandelion Café, dit constater davantage de piétons au centre-ville avant les matchs des Wildcats.
Installé en face du Centre Avenir, le Dandelion Café confirme remarquer que davantage de personnes se promènent dans le centre-ville en après-midi quand les Wildcats ont un match en soirée.
On voit beaucoup plus de trafic, de gens qui marchent. Je pense que ça contribue à l’activité économique de la ville parce que ça amène beaucoup de gens de l’Île-du-Prince-Édouard et de la Nouvelle-Écosse, du nord [du Nouveau-Brunswick], explique la barista du café, Chloe Bernier.
Chose certaine, si les prouesses du joueur étoile Caleb Desnoyers et de ses coéquipiers des Wildcats permettent à l’équipe de Robert Irving de passer en finales de la LHJMQ, les retombées continueront à se faire ressentir au centre-ville, prédit Patrick Richard.
À chaque ronde qu’ils franchissent, ça représente des impacts économiques pour nos marchands, dit-il.
les Wildcats de Moncton étaient à Baie-Comeau où ils ont remporté le cinquième match de la série face au Drakkar par la marque de 5 à 4
Moncton l’a toutefois échappé belle
L’équipe menait 4 à 0 avant que Baie-Comeau effectue une remontée pour égaliser la partie en 3e période
Les Wildcats ont finalement enfoncé le dernier clou dans le cercueil du Drakkar avec le but victorieux de Preston Lounsbury avec 7 minutes à jouer dans la rencontre
En se qualifiant ainsi pour les demi-finales de la LHJMQ
les troupes de Gardiner MacDougall poursuivent leur marche vers le trophée Gilles-Courteau
un partisan de la première heure des Wildcats
espère aussi qu’il s’agit d’une autre étape qui permettra à l’équipe de se hisser au sommet de la Ligue canadienne de hockey
L’équipe qu’ils ont cette année est vraiment formidable
Quand M. Irving a acheté l’équipe [...]
il a dit que son but était d’amener la Coupe Memorial à Moncton et je pense que cette année
Bien qu’il soit d’avis que les Wildcats sont la meilleure équipe au pays et qu’ils méritent de remporter la Coupe Memorial
le directeur général de Dowtown Moncton Centre-ville
si les Wildcats restent sur leur lancée
la fièvre des séries va s'emparer de la ville
On voit des vagues et des vagues de personnes
des amis qui se présentent au centre-ville
Ils vont prendre un verre ou manger avant ou après la partie
ça crée une ambiance et une vitalité
qui avoue être un partisan des Wildcats
le Dandelion Café confirme remarquer que davantage de personnes se promènent dans le centre-ville en après-midi quand les Wildcats ont un match en soirée
Je pense que ça contribue à l’activité économique de la ville parce que ça amène beaucoup de gens de l’Île-du-Prince-Édouard et de la Nouvelle-Écosse
si les prouesses du joueur étoile Caleb Desnoyers et de ses coéquipiers des Wildcats permettent à l’équipe de Robert Irving de passer en finales de la LHJMQ
les retombées continueront à se faire ressentir au centre-ville
À chaque ronde qu’ils franchissent
ça représente des impacts économiques pour nos marchands
Justin Dupuis est journaliste web et secrétaire de rédaction
Il a travaillé au sein de plusieurs entreprises de presse pendant près de 15 ans avant de se joindre à l'équipe d'ICI Acadie en 2023
Avec la victoire des Wildcats face au Drakkar de Baie-Comeau vendredi
la fièvre du hockey se fait de plus en plus ressentir à Moncton
particulièrement auprès des entrepreneurs du centre-ville
dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"Les athlètes du Nouveau-Brunswick n'auront pas besoin de voyager loin pour les Jeux du Canada 2029
puisque les épreuves se dérouleront obligatoirement dans leur province
les villes de Moncton et de Saint-Jean présenteront une candidature conjointe afin d'accueillir cet événement sportif
Celle-ci devrait être acceptée puisqu'aucune autre ville de la province n'a levé la main pour présenter les jeux
Les deux plus grandes villes de la province affirment qu'il est logique d'unir leurs forces pour présenter une candidature conjointe
Le coprésident du comité de candidature
a affirmé que Moncton accueillera la cérémonie d'ouverture tandis que Saint-Jean se chargera de la cérémonie de clôture
il y a tout ce qu'il faut pour accueillir les événements
y compris la piscine de 50 mètres à Saint-Jean
qui sera remise à neuf en prévision des jeux
Il ajoute que Dieppe possède des installations de vélo de montagne incroyables et qu'il serait donc logique d'y tenir ces événements
La décision du comité concernant les lieux exacts des compétitions devrait être connue d'ici le mois d'avril
Nous espérons recevoir une réponse officielle
Comme nous disposons de toutes les installations
nous pourrons nous concentrer sur le développement de nos athlètes et sur le développement du système sportif au Nouveau-Brunswick
Environ 4600 athlètes spécialisés dans une vingtaine de sports différents
leurs entraîneurs et plus de 5000 bénévoles devraient être présents aux Jeux du Canada
Le coût total de l'accueil des Jeux avoisine les 40 millions de dollars
Il estime que les retombées économiques se situeront autour des 200 millions de dollars
comme c'était le cas lors des Jeux précédents
D'après les informations d'Hannah Rudderham de CBC
Ouvrir en mode plein écranL'événement va entraîner des travaux de rénovation du Centre aquatique de Saint-Jean
Moncton et Saint-Jean au Nouveau-Brunswick vont déposer une candidature conjointe pour accueillir les Jeux du Canada en 2029
Les athlètes du Nouveau-Brunswick n'auront pas besoin de voyager loin pour les Jeux du Canada 2029
puisque les épreuves se dérouleront obligatoirement dans leur province
les villes de Moncton et de Saint-Jean présenteront une candidature conjointe afin d'accueillir cet événement sportif
Celle-ci devrait être acceptée puisqu'aucune autre ville de la province n'a levé la main pour présenter les jeux
Les deux plus grandes villes de la province affirment qu'il est logique d'unir leurs forces pour présenter une candidature conjointe
a affirmé que Moncton accueillera la cérémonie d'ouverture tandis que Saint-Jean se chargera de la cérémonie de clôture
il y a tout ce qu'il faut pour accueillir les événements
y compris la piscine de 50 mètres à Saint-Jean
qui sera remise à neuf en prévision des jeux
Il ajoute que Dieppe possède des installations de vélo de montagne incroyables et qu'il serait donc logique d'y tenir ces événements
Ouvrir en mode plein écranLouis Léger est coprésident du comité de candidature
La décision du comité concernant les lieux exacts des compétitions devrait être connue d'ici le mois d'avril
Nous espérons recevoir une réponse officielle
nous pourrons nous concentrer sur le développement de nos athlètes et sur le développement du système sportif au Nouveau-Brunswick
Environ 4600 athlètes spécialisés dans une vingtaine de sports différents
leurs entraîneurs et plus de 5000 bénévoles devraient être présents aux Jeux du Canada
Le coût total de l'accueil des Jeux avoisine les 40 millions de dollars
Il estime que les retombées économiques se situeront autour des 200 millions de dollars
comme c'était le cas lors des Jeux précédents
D'après les informations d'Hannah Rudderham de CBC
Les athlètes du Nouveau-Brunswick n'auront pas besoin de voyager loin pour les Jeux du Canada 2029
Antoine Roy, Jérémy Michel (deux fois), Nathaël Roy et Rémy Anglehart ont marqué les buts des Aigles Bleus.
Moncton avait pris l'avance en première période, 2-0, avec un but spectaculaire d'Antoine Roy, puis un autre de Jérémy Michel.
Mais les Huskies ont ensuite repris du poil de la bête. Declan McDonnell et Nathan Dunkley (deux fois) ont marqué pour Saint Mary's, prenant l'avance 3-2.
L’entraîneur-chef des Aigles Bleus, Derek Cormier, a donné des conseils à ses joueurs.
On sait qu’on peut marquer des goals. Ce n’est pas d’essayer quelque chose de différent, c’est juste de jouer de la bonne manière et faire les bonnes choses, explique M. Cormier.
Les Aigles Bleus sont ensuite revenus en force en troisième période. Lorsque Nathaël Roy a marqué, les joueurs de Moncton ont connu un regain d’énergie.
Je pense que ça nous a donné un gros deuxième souffle, si on peut dire. Après ça, un gros quatrième but est venu. Par la suite, on voulait juste continuer à mettre de la pression. On ne voulait pas rester en arrière, indique le capitaine des Aigles Bleus, Mika Cyr.
Remy Anglehart et Jérémy Michel ont ensuite marqué, consacrant la victoire des Aigles Bleus.
Chaque joueur dans cette équipe croit à nos chances de gagner, souligne Rémy Anglehart, nommé joueur du match. Je pense qu’après la deuxième, on s’est dit : \"Les boys, on recommence à jouer au hockey comme en première période.\" Puis, on est revenus en force et on a montré ce qu’on est capables de faire.
Les Aigles Bleus vont affronter les Reds de l’Université du Nouveau-Brunswick en finale. Le premier match aura lieu dimanche dans le Centre Aitken, à Fredericton. Le deuxième aura lieu à Moncton mardi. Si un troisième match s'avère nécessaire, il sera présenté jeudi dans la capitale provinciale.
Pierre-Philippe LeBlanc est journaliste depuis 2002. Il est affecté au web et couvre la région de l'Atlantique.
Ouvrir en mode plein écranLes Aigles Bleus de l'Université de Moncton en action devant le filet des Huskies de Saint Mary's le 6 mars à Moncton. Les Aigles ont remporté la victoire 5-3.
Les Aigles Bleus de l'Université de Moncton retournent à la finale de hockey masculin du Sport universitaire de l'Atlantique et gagnent une participation au prochain championnat canadien USports.
Les Aigles Bleus ont éliminé les Huskies de Saint Mary's par la marque de 5-3 lors du cinquième match de la demi-finale devant quelque 1200 spectateurs à l'aréna J.-Louis-Lévesque, à Moncton.
Antoine Roy, Jérémy Michel (deux fois), Nathaël Roy et Rémy Anglehart ont marqué les buts des Aigles Bleus.
Moncton avait pris l'avance en première période, 2-0, avec un but spectaculaire d'Antoine Roy, puis un autre de Jérémy Michel.
Mais les Huskies ont ensuite repris du poil de la bête. Declan McDonnell et Nathan Dunkley (deux fois) ont marqué pour Saint Mary's, prenant l'avance 3-2.
L’entraîneur-chef des Aigles Bleus, Derek Cormier, a donné des conseils à ses joueurs.
On sait qu’on peut marquer des goals. Ce n’est pas d’essayer quelque chose de différent, c’est juste de jouer de la bonne manière et faire les bonnes choses, explique M. Cormier.
Les Aigles Bleus sont ensuite revenus en force en troisième période. Lorsque Nathaël Roy a marqué, les joueurs de Moncton ont connu un regain d’énergie.
Je pense que ça nous a donné un gros deuxième souffle, si on peut dire. Après ça, un gros quatrième but est venu. Par la suite, on voulait juste continuer à mettre de la pression. On ne voulait pas rester en arrière, indique le capitaine des Aigles Bleus, Mika Cyr.
Ouvrir en mode plein écranDes Aigles Bleus de l'Université de Moncton devant leur filet durant le match les opposant aux Huskies de Saint Mary's, le 6 mars, à Moncton.
Remy Anglehart et Jérémy Michel ont ensuite marqué, consacrant la victoire des Aigles Bleus.
Chaque joueur dans cette équipe croit à nos chances de gagner, souligne Rémy Anglehart, nommé joueur du match. Je pense qu’après la deuxième, on s’est dit : "Les boys, on recommence à jouer au hockey comme en première période." Puis, on est revenus en force et on a montré ce qu’on est capables de faire.
Les Aigles Bleus vont affronter les Reds de l’Université du Nouveau-Brunswick en finale. Le premier match aura lieu dimanche dans le Centre Aitken, à Fredericton. Le deuxième aura lieu à Moncton mardi. Si un troisième match s'avère nécessaire, il sera présenté jeudi dans la capitale provinciale.
Les Aigles Bleus ont éliminé les Huskies de Saint Mary's par la marque de 5-3 lors du cinquième match de la demi-finale devant quelque 1200 spectateurs à l'aréna J.-Louis-Lévesque
Nathaël Roy et Rémy Anglehart ont marqué les buts des Aigles Bleus
Moncton avait pris l'avance en première période
Mais les Huskies ont ensuite repris du poil de la bête
Declan McDonnell et Nathan Dunkley (deux fois) ont marqué pour Saint Mary's
L’entraîneur-chef des Aigles Bleus
a donné des conseils à ses joueurs
On sait qu’on peut marquer des goals
Ce n’est pas d’essayer quelque chose de différent
c’est juste de jouer de la bonne manière et faire les bonnes choses
Les Aigles Bleus sont ensuite revenus en force en troisième période
les joueurs de Moncton ont connu un regain d’énergie
Je pense que ça nous a donné un gros deuxième souffle
on voulait juste continuer à mettre de la pression
Remy Anglehart et Jérémy Michel ont ensuite marqué
Chaque joueur dans cette équipe croit à nos chances de gagner
Je pense qu’après la deuxième
on recommence à jouer au hockey comme en première période.\\\" Puis
on est revenus en force et on a montré ce qu’on est capables de faire
Les Aigles Bleus vont affronter les Reds de l’Université du Nouveau-Brunswick en finale
Le premier match aura lieu dimanche dans le Centre Aitken
Le deuxième aura lieu à Moncton mardi
Si un troisième match s'avère nécessaire
il sera présenté jeudi dans la capitale provinciale
Pierre-Philippe LeBlanc est journaliste depuis 2002
Il est affecté au web et couvre la région de l'Atlantique
on recommence à jouer au hockey comme en première période.\" Puis
Les Aigles Bleus de l'Université de Moncton retournent à la finale de hockey masculin du Sport universitaire de l'Atlantique et gagnent une participation au prochain championnat canadien USports
dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"La clinique
doit bientôt ouvrir au coin des rues Weldon et St
George dans un édifice autrefois occupé par la lunetterie Hakim Optical
l’organisme Downtown Moncton Centre-Ville a convié ses membres à une session d’information afin que les instigateurs du projet offrent un aperçu des services qu’ils comptent offrir
C'est l'organisme RECAP Health Services qui ouvrira la clinique
la direction de RECAP n'a pas souhaité donné plus de détails sur les services qui y seront offerts
Nous sommes dans les derniers préparatifs et nous communiquons ainsi régulièrement auprès des organisations locales et des entreprises voisines
ont affirmé dans un courriel des représentants de RECAP
L'organisme ajoute vouloir tisser des liens forts avec ses partenaires afin de fournir des services dont le centre-ville a besoin et que davantage d'informations seront partagées une fois les préparatifs de la clinique terminés
Un porte-parole du ministère de la Santé indique que la clinique devrait offrir une gamme complète de traitements pour les troubles liés à la consommation de substances, comme la thérapie de remplacement des opioïdes et des stimulants, pour les personnes qui souhaitent arrêter de consommer de la drogue.
Le ministre responsable des Services de santé mentale et de traitement de dépendances, Rob McKee, et des fonctionnaires du ministère de la Santé ont récemment rencontré les instigateurs du projet afin de discuter de leurs plans et d’une demande de financement présenté au gouvernement afin d’appuyer le centre.
Cette demande de financement est à l’étude, peut-on lire dans un courriel.
Marc Léger, propriétaire du Laundromat, un bar situé à proximité de la nouvelle clinique, est l’un des commerçants du quartier à s’être rendu à la session d’information organisée mercredi.
Il explique que les responsables du projet ont fait visiter la pharmacie et la clinique et ont présenté les bienfaits qu'auront l'approvisionnement sécuritaire pour les personnes avec des problèmes de dépendance.
Bien qu’il reconnaisse l’importance d’offrir ces services, il s’interroge sur le lieu choisi pour installer la clinique.
Je ne comprends pas l’emplacement. C’est tout près d’une école [Edith Cavell], on voit l’école de la bâtisse, c’est à peu près à 100 mètres.
Ça rajoute juste à l’ambiance qui était ici auparavant et ça nous aide pas à sortir de ça, dit-il en référence aux défis liés à l’itinérance que l’on peut observer dans le quartier depuis de nombreuses années.
Il ajoute que le service aurait gagné à être installé sur l’une des artères adjacentes, un peu plus à l’écart des commerçants du quartier.
Il cite en exemple Ensemble Moncton, un site d’injection supervisé sur la rue Weldon, et l’ancienne clinique de méthadone de la rue Cameron, fermé depuis peu. Situé à un jet de pierre de son commerce, ce centre de traitement offrait des services importants pour les personnes souffrant de dépendance dans le quartier.
La voisine immédiate de la nouvelle clinique, Robin Streb, co-propriétaire du fabricant de chocolat Larouère, dit elle aussi être inquiète.
En tant que citoyenne, je suis d’accord que nous avons besoin de ces programmes-là, surtout au centre-ville, j’appuie ça, ça vaut la peine de l’essayer, dit la commerçante, qui craint néanmoins les répercussions que la clinique pourrait avoir sur son entreprise.
Une possibilité serait de déménager si on trouve que ça ne fonctionne pas. Mais à part ça, c’est de garder un œil du côté de la sécurité, peut-être [installer] des caméras.
La promesse de la clinique d’avoir un employé sur place afin d’assurer la sécurité rassure quelque peu Mme Streb.
C’est tout nouveau, on attend de voir ce qui va se passer. En fait, j’ai hâte qu’ils s’installent parce que là on va voir ce qui se passe et on pourra arrêter de se poser des questions.
Charles Léger, conseiller municipal du quartier 2 de Moncton, dit avoir appris l’existence du projet via les réseaux sociaux en raison des inquiétudes que suscite la clinique, notamment au sein de la communauté d’affaires.
Selon lui, les règlements de zonage de la Ville de Moncton permettaient à cette clinique de s’installer sur la rue St. George.
Bien qu’il dise comprendre que l’emplacement de la clinique, situé à environ un pâté de maisons d’une école, puisse en déranger certains, le projet est situé en plein centre-ville, un secteur très fréquenté par les personnes avec des problèmes de dépendance.
Je pense que c’est très positif, mais c’est toujours difficile dû à là où sera l’emplacement dans une municipalité, dit-il.
Selon les informations dont il dispose, entre 15 et 20 professionnels de la santé travailleront dans la clinique.
Vu que de nombreux services pour les personnes vulnérables sont concentrés au centre-ville autour de la rue St. George, Charles Léger estime qu’à l’avenir, il faudra réfléchir à déployer ce genre de services ailleurs sur le territoire de la municipalité.
Dans le futur, c’est sûr que l’on pourrait imaginer qu’on ait deux ou trois autres cliniques comme ça dans d’autres endroits en ville, dit-il.
Il a été impossible de discuter avec les responsables de la nouvelle clinique et Ensemble Moncton et Downtown Moncton Centre-ville n’ont pas voulu commenter le projet.
Avec des informations de Babatundé Lawani
Ouvrir en mode plein écranUne clinique de traitement des dépendances ouvrira bientôt dans ce local situé au coin des rues Weldon et St. George, à Moncton.
Justin DupuisPublié le 31 janvier à 10 h 29 HAEMis à jour le 31 janvier à 12 h 03 HAEÉcouter l’article | 6 minutesLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale
une technologie basée sur l’intelligence artificielle.Un nouveau centre de traitement de la dépendance qui prescrira des opioïdes que les patients peuvent consommer sur place inquiète des entrepreneurs de la rue St
doit bientôt ouvrir au coin des rues Weldon et St
George dans un édifice autrefois occupé par la lunetterie Hakim Optical
l’organisme Downtown Moncton Centre-Ville a convié ses membres à une session d’information afin que les instigateurs du projet offrent un aperçu des services qu’ils comptent offrir
la direction de RECAP n'a pas souhaité donné plus de détails sur les services qui y seront offerts
Nous sommes dans les derniers préparatifs et nous communiquons ainsi régulièrement auprès des organisations locales et des entreprises voisines
ont affirmé dans un courriel des représentants de RECAP
L'organisme ajoute vouloir tisser des liens forts avec ses partenaires afin de fournir des services dont le centre-ville a besoin et que davantage d'informations seront partagées une fois les préparatifs de la clinique terminés
Ouvrir en mode plein écranLa Dre Sara Davidson dirige le centre de réadaptation River Stone à Fredericton. (Photo d'archives)
Un porte-parole du ministère de la Santé indique que la clinique devrait offrir une gamme complète de traitements pour les troubles liés à la consommation de substances, comme la thérapie de remplacement des opioïdes et des stimulants, pour les personnes qui souhaitent arrêter de consommer de la drogue.
Le ministre responsable des Services de santé mentale et de traitement de dépendances, Rob McKee, et des fonctionnaires du ministère de la Santé ont récemment rencontré les instigateurs du projet afin de discuter de leurs plans et d’une demande de financement présenté au gouvernement afin d’appuyer le centre.
Cette demande de financement est à l’étude, peut-on lire dans un courriel.
Marc Léger, propriétaire du Laundromat, un bar situé à proximité de la nouvelle clinique, est l’un des commerçants du quartier à s’être rendu à la session d’information organisée mercredi.
Ouvrir en mode plein écranMarc Léger, le propriétaire du Laundromat Espresso Bar, s'interroge sur le lieu choisi pour une nouvelle clinique de traitement des dépendances qui sera située aux coins des rues St. George et Weldon, près d'une école et des entreprises du quartier.
Il explique que les responsables du projet ont fait visiter la pharmacie et la clinique et ont présenté les bienfaits qu'auront l'approvisionnement sécuritaire pour les personnes avec des problèmes de dépendance.
Bien qu’il reconnaisse l’importance d’offrir ces services, il s’interroge sur le lieu choisi pour installer la clinique.
Je ne comprends pas l’emplacement. C’est tout près d’une école [Edith Cavell], on voit l’école de la bâtisse, c’est à peu près à 100 mètres.
Ça rajoute juste à l’ambiance qui était ici auparavant et ça nous aide pas à sortir de ça, dit-il en référence aux défis liés à l’itinérance que l’on peut observer dans le quartier depuis de nombreuses années.
Il ajoute que le service aurait gagné à être installé sur l’une des artères adjacentes, un peu plus à l’écart des commerçants du quartier.
Il cite en exemple Ensemble Moncton, un site d’injection supervisé sur la rue Weldon, et l’ancienne clinique de méthadone de la rue Cameron, fermé depuis peu. Situé à un jet de pierre de son commerce, ce centre de traitement offrait des services importants pour les personnes souffrant de dépendance dans le quartier.
Ouvrir en mode plein écranLa co-propriétaire de la chocolaterie Larouère, Robin Streb, s'inquiète de l'impact qu'une nouvelle clinique de traitement des dépendances pourrait avoir sur son entreprise.
La voisine immédiate de la nouvelle clinique, Robin Streb, co-propriétaire du fabricant de chocolat Larouère, dit elle aussi être inquiète.
En tant que citoyenne, je suis d’accord que nous avons besoin de ces programmes-là, surtout au centre-ville, j’appuie ça, ça vaut la peine de l’essayer, dit la commerçante, qui craint néanmoins les répercussions que la clinique pourrait avoir sur son entreprise.
Une possibilité serait de déménager si on trouve que ça ne fonctionne pas. Mais à part ça, c’est de garder un œil du côté de la sécurité, peut-être [installer] des caméras.
La promesse de la clinique d’avoir un employé sur place afin d’assurer la sécurité rassure quelque peu Mme Streb.
C’est tout nouveau, on attend de voir ce qui va se passer. En fait, j’ai hâte qu’ils s’installent parce que là on va voir ce qui se passe et on pourra arrêter de se poser des questions.
Charles Léger, conseiller municipal du quartier 2 de Moncton, dit avoir appris l’existence du projet via les réseaux sociaux en raison des inquiétudes que suscite la clinique, notamment au sein de la communauté d’affaires.
Selon lui, les règlements de zonage de la Ville de Moncton permettaient à cette clinique de s’installer sur la rue St. George.
Ouvrir en mode plein écranCharles Léger, conseiller municipal de la Ville de Moncton, croit que même si l'emplacement de la nouvelle clinique n'est pas idéal, celle-ci aura un impact positif dans la communauté. (Photo d'archives)
Bien qu’il dise comprendre que l’emplacement de la clinique, situé à environ un pâté de maisons d’une école, puisse en déranger certains, le projet est situé en plein centre-ville, un secteur très fréquenté par les personnes avec des problèmes de dépendance.
Je pense que c’est très positif, mais c’est toujours difficile dû à là où sera l’emplacement dans une municipalité, dit-il.
Selon les informations dont il dispose, entre 15 et 20 professionnels de la santé travailleront dans la clinique.
Vu que de nombreux services pour les personnes vulnérables sont concentrés au centre-ville autour de la rue St. George, Charles Léger estime qu’à l’avenir, il faudra réfléchir à déployer ce genre de services ailleurs sur le territoire de la municipalité.
Dans le futur, c’est sûr que l’on pourrait imaginer qu’on ait deux ou trois autres cliniques comme ça dans d’autres endroits en ville, dit-il.
Il a été impossible de discuter avec les responsables de la nouvelle clinique et Ensemble Moncton et Downtown Moncton Centre-ville n’ont pas voulu commenter le projet.
Un porte-parole du ministère de la Santé indique que la clinique devrait offrir une gamme complète de traitements pour les troubles liés à la consommation de substances
comme la thérapie de remplacement des opioïdes et des stimulants
pour les personnes qui souhaitent arrêter de consommer de la drogue
Le ministre responsable des Services de santé mentale et de traitement de dépendances
et des fonctionnaires du ministère de la Santé ont récemment rencontré les instigateurs du projet afin de discuter de leurs plans et d’une demande de financement présenté au gouvernement afin d’appuyer le centre
Cette demande de financement est à l’étude
un bar situé à proximité de la nouvelle clinique
est l’un des commerçants du quartier à s’être rendu à la session d’information organisée mercredi
Il explique que les responsables du projet ont fait visiter la pharmacie et la clinique et ont présenté les bienfaits qu'auront l'approvisionnement sécuritaire pour les personnes avec des problèmes de dépendance
Bien qu’il reconnaisse l’importance d’offrir ces services
il s’interroge sur le lieu choisi pour installer la clinique
C’est tout près d’une école [Edith Cavell]
on voit l’école de la bâtisse
c’est à peu près à 100 mètres
Ça rajoute juste à l’ambiance qui était ici auparavant et ça nous aide pas à sortir de ça
dit-il en référence aux défis liés à l’itinérance que l’on peut observer dans le quartier depuis de nombreuses années
Il ajoute que le service aurait gagné à être installé sur l’une des artères adjacentes
un peu plus à l’écart des commerçants du quartier
un site d’injection supervisé sur la rue Weldon
et l’ancienne clinique de méthadone de la rue Cameron
Situé à un jet de pierre de son commerce
ce centre de traitement offrait des services importants pour les personnes souffrant de dépendance dans le quartier
La voisine immédiate de la nouvelle clinique
co-propriétaire du fabricant de chocolat Larouère
je suis d’accord que nous avons besoin de ces programmes-là
qui craint néanmoins les répercussions que la clinique pourrait avoir sur son entreprise
Une possibilité serait de déménager si on trouve que ça ne fonctionne pas
c’est de garder un œil du côté de la sécurité
peut-être [installer] des caméras
La promesse de la clinique d’avoir un employé sur place afin d’assurer la sécurité rassure quelque peu Mme Streb
j’ai hâte qu’ils s’installent parce que là on va voir ce qui se passe et on pourra arrêter de se poser des questions
conseiller municipal du quartier 2 de Moncton
dit avoir appris l’existence du projet via les réseaux sociaux en raison des inquiétudes que suscite la clinique
notamment au sein de la communauté d’affaires
les règlements de zonage de la Ville de Moncton permettaient à cette clinique de s’installer sur la rue St
Bien qu’il dise comprendre que l’emplacement de la clinique
situé à environ un pâté de maisons d’une école
le projet est situé en plein centre-ville
un secteur très fréquenté par les personnes avec des problèmes de dépendance
Je pense que c’est très positif
mais c’est toujours difficile dû à là où sera l’emplacement dans une municipalité
entre 15 et 20 professionnels de la santé travailleront dans la clinique
Vu que de nombreux services pour les personnes vulnérables sont concentrés au centre-ville autour de la rue St
Charles Léger estime qu’à l’avenir
il faudra réfléchir à déployer ce genre de services ailleurs sur le territoire de la municipalité
c’est sûr que l’on pourrait imaginer qu’on ait deux ou trois autres cliniques comme ça dans d’autres endroits en ville
Il a été impossible de discuter avec les responsables de la nouvelle clinique et Ensemble Moncton et Downtown Moncton Centre-ville n’ont pas voulu commenter le projet
Un nouveau centre de traitement de la dépendance qui prescrira des opioïdes que les patients peuvent consommer sur place inquiète des entrepreneurs de la rue St
dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"La position de la FÉCUM est décisive maintenant
compte tenu de notre mandat et de la position de la population étudiante
on adopte la position d’être contre le changement de nom
le responsable des dossiers externes à la FÉCUM
1260 étudiants ont participé à la consultation sur les 3778 personnes éligibles
1116 étudiants ont voté contre l'idée d'un changement de nom et 144 étudiants ont voté en faveur
ce refus peut s’expliquer par plusieurs facteurs
Olivia Faerlotte est étudiante au programme préparatoire aux sciences de la santé (DSS)
le nom de l'institution a très peu d’effet sur les étudiants
Je pense que les gens ne veulent pas que le nom de l’Université change parce que ça ne les dérange pas et ça ne change rien pour eux
Mohamed Amine est un étudiant à la maitrise en environnement à l’université
Ayant déjà reçu un diplôme de l’établissement
il croit que le nom Université de Moncton a une valeur qu’il souhaite garder
on veut que le nom reste l’Université de Moncton
pour la réputation du nom de l’Université
explique que le changement de nom n’est pas une priorité pour la population étudiante
Je ne crois pas que c’est nécessairement que les étudiants sont 100 % contre
c’est surtout le fait de mettre l’énergie ou l’argent vers ce projet-là
Léonard Simard poursuit en expliquant que
les étudiants ont d’autres priorités telles que les frais de scolarité
le coût de la vie qui augmente et les stages non rémunérés dans certains programmes
Le besoin des étudiants en ce moment ce n’est pas de changer le nom de l’Université
Le comité citoyen pour un nouveau nom dit comprendre la réaction des étudiants face à la question du changement de nom
c’est à peu près ce genre d’appui là qui avait pour le changement de nom
Même quand ces changements de noms venaient des organisations étudiantes elles-mêmes
la porte-parole du comité citoyen pour un nouveau nom
le responsable des dossiers externe à la FÉCUM
note toutefois une augmentation des personnes étudiantes qui s’opposent au changement de nom depuis les dernières années
les étudiants avaient également été consultés sur un changement de nom
c’était autour de 80 % qui préféraient garder le nom de l’Université de Moncton et maintenant on voit que c’est 88 % explique-t-il
le comité citoyen pour un nouveau nom reste optimiste face aux résultats de ce sondage
Plus de 10 % de la population étudiante s’intéresse ou sont favorables à un changement aussi important qu’un changement de nom
c’est quand même un signe positif
garde sa volonté de ne pas entamer un processus de réflexion et de consultation à ce sujet
l’institution explique qu’elle veut plutôt se concentrer sur sa transformation pour répondre aux défis importants auxquels elle fait face
Notamment la réduction des cibles d’immigration et de continuer de proposer des droits de scolarité parmi les moins élevés au Canada
La consultation sur le changement de l'Université se tenait en même temps que l'élection à la tête de la FÉCUM
Emma Raphaelle a été élue avec 77,1 % des voix
5 des 6 postes du conseil d'administration ont été comblés
et Ophélie Chiasson ont été élus par acclamation
Ouvrir en mode plein écran1116 étudiants ont voté contre la possibilité d’un changement de nom de l’Université de Moncton
Un tiers des étudiants du campus de Moncton se sont exprimés sur un changement de nom de l'Université de Moncton lors des élections de la Fédération étudiante
La position de la FÉCUM est décisive maintenant
compte tenu de notre mandat et de la position de la population étudiante
on adopte la position d’être contre le changement de nom
le responsable des dossiers externes à la FÉCUM
1260 étudiants ont participé à la consultation sur les 3778 personnes éligibles
1116 étudiants ont voté contre l'idée d'un changement de nom et 144 étudiants ont voté en faveur
ce refus peut s’expliquer par plusieurs facteurs
Olivia Faerlotte est étudiante au programme préparatoire aux sciences de la santé (DSS)
le nom de l'institution a très peu d’effet sur les étudiants
Je pense que les gens ne veulent pas que le nom de l’Université change parce que ça ne les dérange pas et ça ne change rien pour eux
Mohamed Amine est un étudiant à la maitrise en environnement à l’université
Ayant déjà reçu un diplôme de l’établissement
il croit que le nom Université de Moncton a une valeur qu’il souhaite garder
on veut que le nom reste l’Université de Moncton
explique que le changement de nom n’est pas une priorité pour la population étudiante
Je ne crois pas que c’est nécessairement que les étudiants sont 100 % contre
c’est surtout le fait de mettre l’énergie ou l’argent vers ce projet-là
Ouvrir en mode plein écranLéonard Simard est en première année en ingénierie mécanique à l’Université de Moncton
les étudiants ont d’autres priorités telles que les frais de scolarité
le coût de la vie qui augmente et les stages non rémunérés dans certains programmes
Le besoin des étudiants en ce moment ce n’est pas de changer le nom de l’Université
Le comité citoyen pour un nouveau nom dit comprendre la réaction des étudiants face à la question du changement de nom
c’est à peu près ce genre d’appui là qui avait pour le changement de nom
Même quand ces changements de noms venaient des organisations étudiantes elles-mêmes
la porte-parole du comité citoyen pour un nouveau nom
le responsable des dossiers externe à la FÉCUM
note toutefois une augmentation des personnes étudiantes qui s’opposent au changement de nom depuis les dernières années
les étudiants avaient également été consultés sur un changement de nom
c’était autour de 80 % qui préféraient garder le nom de l’Université de Moncton et maintenant on voit que c’est 88 % explique-t-il
Ouvrir en mode plein écranMathieu Perron est le responsable des dossiers externes à la FÉÉCUM
le comité citoyen pour un nouveau nom reste optimiste face aux résultats de ce sondage
Plus de 10 % de la population étudiante s’intéresse ou sont favorables à un changement aussi important qu’un changement de nom
garde sa volonté de ne pas entamer un processus de réflexion et de consultation à ce sujet
l’institution explique qu’elle veut plutôt se concentrer sur sa transformation pour répondre aux défis importants auxquels elle fait face
Notamment la réduction des cibles d’immigration et de continuer de proposer des droits de scolarité parmi les moins élevés au Canada
La consultation sur le changement de l'Université se tenait en même temps que l'élection à la tête de la FÉCUM
Emma Raphaelle a été élue avec 77,1 % des voix
5 des 6 postes du conseil d'administration ont été comblés
et Ophélie Chiasson ont été élus par acclamation
La position de la FÉCUM est décisive maintenant
Un tiers des étudiants du campus de Moncton se sont exprimés sur un changement de nom de l'Université de Moncton lors des élections de la Fédération étudiante
La commission Deutsch, qui avait comme mission la création de l’université, recommande alors le nom de Notre-Dame.
Finalement, la commission Deutcsh ne l’a pas retenu. L’idée, c’était d’essayer d’éviter une association avec la religion ou la politique, explique Bernard Poirier qui a eu pour mandat d'étudier le changement de nom de l'université en 1978.
C’est finalement le père Clément Cormier, l’un des fondateurs de l'université avec Louis J. Robichaud, qui a convaincu tout le monde de choisir le nom Université de Moncton. Fier Acadien, il a toujours vu Moncton comme la ville d’avenir pour les francophones du Nouveau-Brunswick, et ce nom passerait mieux aux yeux des anglophones, croyait-il.
Selon Bernard Poirier, l’histoire a donné raison au père Clément Cormier. C’est encore un fait que sans l’Université de Moncton, le développement économique de la région et des Acadiens ne serait pas rendu au point où ils sont rendus maintenant.
Dans les années 1970, le débat sur le changement de nom refait surface à trois reprises. En 1972 et en 1975 des commissions suggèrent l'Université acadienne. En 1978, les associations étudiantes reviennent à la charge et proposent le nom d'Université de la Nouvelle Acadie. Chaque fois, l’Université de Moncton opte pour le statu quo.
En 1978, Bernard Poirier a encore le mandat d’étudier la question.
En 1990, le fondateur de la Fédération des Caisses populaires acadiennes, Martin Légère, lance un cri du cœur lors d’une assemblée générale de la Société de l’Acadie du Nouveau-Brunswick.
Donnez à notre université un nom digne de notre peuple.
La Société de l'Acadie du Nouveau-Brunswick, alors présidée par Réal Gervais, demande à l’institution d’étudier la question du changement du nom une nouvelle fois.
C’est sensiblement le même type de discours avec le même argumentaire, remarque M. Gervais.
Par contre, je crois qu’on n’a pas fait énormément de progrès au niveau de construire un dialogue constructif entre la direction de l’université et la communauté acadienne.
À cette époque, l’élite acadienne du Sud-Est s’oppose farouchement au changement de nom, incluant l’Association des anciens/nes, diplômés/es et amis/es de l’Université de Moncton et des maires de la région, dont le maire de Dieppe Bill Malenfant et le maire de Moncton, Léopold Belliveau, le premier Acadien à exercer cette fonction.
L’ancien premier ministre du Nouveau-Brunswick Louis J. Robichaud écrit même à la chancelière Antonine Maillet, qui était ouverte à l’idée du changement de nom.
Le conseil des gouverneurs de l'université rejette l’idée à l’unanimité.
En 2000, c’est au tour de la Fédération des étudiants de relancer le débat du changement de nom.
À l’époque, quatre noms sont proposés dans le rapport fait par Lizon Chiasson-Foulem : l’Université de l’Acadie, l’Université Pascal-Poirier, l’Université Champlain et l’Université Notre-Dame.
Cette fois, ce sont les étudiants qui rejettent à plus de 80 % l’idée d’un changement de nom lors d’un référendum.
C’est une des grandes déceptions de ma jeunesse.
René Boudreau, ancien président de la Fédération étudiante de l'Université de Moncton, rappelle que les étudiants étaient attachés au logo sur leurs vêtements et leur diplôme. Il ajoute que le débat reste émotif, même aujourd’hui.
Ce sont des institutions qui perdurent et qui ont une longue vie. Souvent on attache énormément d’importance à une courte histoire. Il y a toujours de l’espace pour changer et se transformer. Ceci étant dit, il faut le faire avec l’appui de la population, philosophe-t-il.
René Boudreau rappelle que le nom de l’Université de Moncton était un compromis lors de sa création en 1963, il n’est donc pas surpris que les Acadiens reviennent périodiquement à la charge avec la réflexion sur un changement de nom.
Ces dernières années, c’est dans la foulée d’un éditorial du militant Jean-Marie Nadeau dans le Moniteur acadien qu’un comité a vu le jour pour étudier la question une fois de plus.
Bernard Poirier est un peu surpris de voir le débat revenir toutes les décennies. Il croit que l’Université a été claire et que le dossier est clos.
La conclusion de tous ces gens-là c’était que non, on est établi, on a une réputation, il y a trop de risques à prendre du point de vue financier et on va maintenir notre décision qui avait été prise en 1963.
Suite au rapport de Maurice Basque et Stéphanie Chouinard, les dirigeants de l’Université ont encore choisi le statu quo.
Réal Gervais croit toutefois qu’il n’y a pas eu un véritable dialogue.
Un comité de citoyens qui milite pour que l’Université de Moncton change de nom n’abandonne pas ses démarches et dévoilera ses propositions jeudi. En attendant, découvrez quels noms ont été suggérés au cours de l’histoire.
Ouvrir en mode plein écranL'Université de Moncton en construction dans les années 1960.
Photo : Centre d'études acadiennes Anselme-Chiasson de l'Université de Moncton
Avant même la fondation de l'Université de Moncton en 1963, les Acadiens ne s’entendent pas sur le nom de la seule université francophone au Nouveau-Brunswick. Comment rassembler sous un même nom, les collèges classiques à la base de la fondation de l’Université de Moncton? Wolfville avait devancé les Acadiens, avec l’Université Acadia.
Ouvrir en mode plein écranUn monument en l'honneur de l'un des fondateurs de l'université, le père Clément-Cormier.
La commission Deutsch, qui avait comme mission la création de l’université, recommande alors le nom de Notre-Dame.
Finalement, la commission Deutcsh ne l’a pas retenu. L’idée, c’était d’essayer d’éviter une association avec la religion ou la politique, explique Bernard Poirier qui a eu pour mandat d'étudier le changement de nom de l'université en 1978.
Ouvrir en mode plein écranBernard Poirier a eu le mandat d'étudier le changement de nom de l'Université de Moncton en 1978.
C’est finalement le père Clément Cormier, l’un des fondateurs de l'université avec Louis J. Robichaud, qui a convaincu tout le monde de choisir le nom Université de Moncton. Fier Acadien, il a toujours vu Moncton comme la ville d’avenir pour les francophones du Nouveau-Brunswick, et ce nom passerait mieux aux yeux des anglophones, croyait-il.
Selon Bernard Poirier, l’histoire a donné raison au père Clément Cormier. C’est encore un fait que sans l’Université de Moncton, le développement économique de la région et des Acadiens ne serait pas rendu au point où ils sont rendus maintenant.
Ouvrir en mode plein écranLe père Clément Cormier est l'un des fondateurs de l'Université de Moncton.
Photo : Gracieuseté : Université de Moncton
Ouvrir en mode plein écranCe sont des étudiants de l'Université de Moncton qui ont mené la charge en lien avec le changement de nom dans les années 1970.
Dans les années 1970, le débat sur le changement de nom refait surface à trois reprises. En 1972 et en 1975 des commissions suggèrent l'Université acadienne. En 1978, les associations étudiantes reviennent à la charge et proposent le nom d'Université de la Nouvelle Acadie. Chaque fois, l’Université de Moncton opte pour le statu quo.
En 1978, Bernard Poirier a encore le mandat d’étudier la question.
Ma conclusion était qu’il y avait de gros risques que l’université perde beaucoup de ses adeptes et de ses supporters, ses [appuis] financiers francophones et anglophones. Ils ont appuyé l’Université de Moncton par des dons personnels, par des dons corporatifs, parce que c’était l’Université de Moncton, pas parce que ça portait le nom du général Monckton, mais à cause de la réputation de la performance de l’Université à travers le monde.
Ouvrir en mode plein écranEn 1990, Martin Légère, lance un cri du cœur lors d’une assemblée générale de la Société de l’Acadie du Nouveau-Brunswick et demande un nouveau nom pour l'Université de Moncton. (Photo d'archives)
En 1990, le fondateur de la Fédération des Caisses populaires acadiennes, Martin Légère, lance un cri du cœur lors d’une assemblée générale de la Société de l’Acadie du Nouveau-Brunswick.
Donnez à notre université un nom digne de notre peuple.
La Société de l'Acadie du Nouveau-Brunswick, alors présidée par Réal Gervais, demande à l’institution d’étudier la question du changement du nom une nouvelle fois.
C’est sensiblement le même type de discours avec le même argumentaire, remarque M. Gervais.
Ouvrir en mode plein écranRéal Gervais était président de la Société de l'Acadie du Nouveau-Brunswick en 1990, au moment de l'étude du changement de nom de l'Université de Moncton.
Par contre, je crois qu’on n’a pas fait énormément de progrès au niveau de construire un dialogue constructif entre la direction de l’université et la communauté acadienne.
À cette époque, l’élite acadienne du Sud-Est s’oppose farouchement au changement de nom, incluant l’Association des anciens/nes, diplômés/es et amis/es de l’Université de Moncton et des maires de la région, dont le maire de Dieppe Bill Malenfant et le maire de Moncton, Léopold Belliveau, le premier Acadien à exercer cette fonction.
Ouvrir en mode plein écranLouis J. Robichaud avait écrit personnellement à la chancelière de l'époque, Antonine Maillet.
L’ancien premier ministre du Nouveau-Brunswick Louis J. Robichaud écrit même à la chancelière Antonine Maillet, qui était ouverte à l’idée du changement de nom.
Ma chère Antonine, Je suis désolé de devoir m'adresser, en supplication, à la chancelière de notre Université. J'entends dire que tu souhaiterais rebaptiser l'Alma Mater de milliers de gradués sans les consulter, sans consulter les pionniers de l'Université de Moncton. À mon humble avis, ton projet tournerait au tragique. Si le père Clément savait ce qui se produit dans une petite coulisse, il reviendrait hanter ceux qui pensent qu'il a manqué de jugement.
Le conseil des gouverneurs de l'université rejette l’idée à l’unanimité.
En 2000, c’est au tour de la Fédération des étudiants de relancer le débat du changement de nom.
À l’époque, quatre noms sont proposés dans le rapport fait par Lizon Chiasson-Foulem : l’Université de l’Acadie, l’Université Pascal-Poirier, l’Université Champlain et l’Université Notre-Dame.
Cette fois, ce sont les étudiants qui rejettent à plus de 80 % l’idée d’un changement de nom lors d’un référendum.
C’est une des grandes déceptions de ma jeunesse.
René Boudreau, ancien président de la Fédération étudiante de l'Université de Moncton, rappelle que les étudiants étaient attachés au logo sur leurs vêtements et leur diplôme. Il ajoute que le débat reste émotif, même aujourd’hui.
Ouvrir en mode plein écranRené Boudreau est un ancien président de la Fédération étudiante du campus universitaire de Moncton, impliqué dans le débat sur le changement de nom
Ce sont des institutions qui perdurent et qui ont une longue vie. Souvent on attache énormément d’importance à une courte histoire. Il y a toujours de l’espace pour changer et se transformer. Ceci étant dit, il faut le faire avec l’appui de la population, philosophe-t-il.
René Boudreau rappelle que le nom de l’Université de Moncton était un compromis lors de sa création en 1963, il n’est donc pas surpris que les Acadiens reviennent périodiquement à la charge avec la réflexion sur un changement de nom.
Ouvrir en mode plein écranDepuis de nombreuses années, le nom de la plus grande université acadienne fait débat dans la société. (Photo d'archives)
Ces dernières années, c’est dans la foulée d’un éditorial du militant Jean-Marie Nadeau dans le Moniteur acadien qu’un comité a vu le jour pour étudier la question une fois de plus.
Bernard Poirier est un peu surpris de voir le débat revenir toutes les décennies. Il croit que l’Université a été claire et que le dossier est clos.
La conclusion de tous ces gens-là c’était que non, on est établi, on a une réputation, il y a trop de risques à prendre du point de vue financier et on va maintenir notre décision qui avait été prise en 1963.
Ouvrir en mode plein écranLes consultants embauchés par l'Université de Moncton afin d'examiner un possible changement de nom de l'institution acadienne estime à près de 4,6 millions de dollars le coût de ce processus.
Suite au rapport de Maurice Basque et Stéphanie Chouinard, les dirigeants de l’Université ont encore choisi le statu quo.
Réal Gervais croit toutefois qu’il n’y a pas eu un véritable dialogue.
Cette question-là ne s’éteindra pas avec la réponse du conseil des gouverneurs et du rapport. Elle va continuer à être présente et je crois que si on ne trouve pas une méthodologie, un processus qui va permettre des deux côtés du débat de s'asseoir, de discuter et d’échanger et à un moment donné, trouver un consensus sur le dossier, ça va revenir. Ce n’est pas un dossier qui est terminé, croit M. Gervais.
Avant même la fondation de l'Université de Moncton en 1963
les Acadiens ne s’entendent pas sur le nom de la seule université francophone au Nouveau-Brunswick
les collèges classiques à la base de la fondation de l’Université de Moncton
qui avait comme mission la création de l’université
la commission Deutcsh ne l’a pas retenu
c’était d’essayer d’éviter une association avec la religion ou la politique
explique Bernard Poirier qui a eu pour mandat d'étudier le changement de nom de l'université en 1978
C’est finalement le père Clément Cormier
l’un des fondateurs de l'université avec Louis J
qui a convaincu tout le monde de choisir le nom Université de Moncton
il a toujours vu Moncton comme la ville d’avenir pour les francophones du Nouveau-Brunswick
et ce nom passerait mieux aux yeux des anglophones
l’histoire a donné raison au père Clément Cormier
C’est encore un fait que sans l’Université de Moncton
le développement économique de la région et des Acadiens ne serait pas rendu au point où ils sont rendus maintenant
le débat sur le changement de nom refait surface à trois reprises
En 1972 et en 1975 des commissions suggèrent l'Université acadienne
les associations étudiantes reviennent à la charge et proposent le nom d'Université de la Nouvelle Acadie
l’Université de Moncton opte pour le statu quo
Bernard Poirier a encore le mandat d’étudier la question
Ma conclusion était qu’il y avait de gros risques que l’université perde beaucoup de ses adeptes et de ses supporters
ses [appuis] financiers francophones et anglophones
Ils ont appuyé l’Université de Moncton par des dons personnels
parce que c’était l’Université de Moncton
pas parce que ça portait le nom du général Monckton
mais à cause de la réputation de la performance de l’Université à travers le monde
le fondateur de la Fédération des Caisses populaires acadiennes
lance un cri du cœur lors d’une assemblée générale de la Société de l’Acadie du Nouveau-Brunswick
Donnez à notre université un nom digne de notre peuple
La Société de l'Acadie du Nouveau-Brunswick
alors présidée par Réal Gervais
demande à l’institution d’étudier la question du changement du nom une nouvelle fois
C’est sensiblement le même type de discours avec le même argumentaire
je crois qu’on n’a pas fait énormément de progrès au niveau de construire un dialogue constructif entre la direction de l’université et la communauté acadienne
l’élite acadienne du Sud-Est s’oppose farouchement au changement de nom
incluant l’Association des anciens/nes
diplômés/es et amis/es de l’Université de Moncton et des maires de la région
dont le maire de Dieppe Bill Malenfant et le maire de Moncton
le premier Acadien à exercer cette fonction
L’ancien premier ministre du Nouveau-Brunswick Louis J
Robichaud écrit même à la chancelière Antonine Maillet
qui était ouverte à l’idée du changement de nom
Je suis désolé de devoir m'adresser
à la chancelière de notre Université
J'entends dire que tu souhaiterais rebaptiser l'Alma Mater de milliers de gradués sans les consulter
sans consulter les pionniers de l'Université de Moncton
Si le père Clément savait ce qui se produit dans une petite coulisse
il reviendrait hanter ceux qui pensent qu'il a manqué de jugement
Le conseil des gouverneurs de l'université rejette l’idée à l’unanimité
c’est au tour de la Fédération des étudiants de relancer le débat du changement de nom
quatre noms sont proposés dans le rapport fait par Lizon Chiasson-Foulem : l’Université de l’Acadie
l’Université Champlain et l’Université Notre-Dame
ce sont les étudiants qui rejettent à plus de 80 % l’idée d’un changement de nom lors d’un référendum
C’est une des grandes déceptions de ma jeunesse
ancien président de la Fédération étudiante de l'Université de Moncton
rappelle que les étudiants étaient attachés au logo sur leurs vêtements et leur diplôme
Il ajoute que le débat reste émotif
Ce sont des institutions qui perdurent et qui ont une longue vie
Souvent on attache énormément d’importance à une courte histoire
Il y a toujours de l’espace pour changer et se transformer
il faut le faire avec l’appui de la population
René Boudreau rappelle que le nom de l’Université de Moncton était un compromis lors de sa création en 1963
il n’est donc pas surpris que les Acadiens reviennent périodiquement à la charge avec la réflexion sur un changement de nom
c’est dans la foulée d’un éditorial du militant Jean-Marie Nadeau dans le Moniteur acadien qu’un comité a vu le jour pour étudier la question une fois de plus
Bernard Poirier est un peu surpris de voir le débat revenir toutes les décennies
Il croit que l’Université a été claire et que le dossier est clos
La conclusion de tous ces gens-là c’était que non
il y a trop de risques à prendre du point de vue financier et on va maintenir notre décision qui avait été prise en 1963
Suite au rapport de Maurice Basque et Stéphanie Chouinard
les dirigeants de l’Université ont encore choisi le statu quo
Réal Gervais croit toutefois qu’il n’y a pas eu un véritable dialogue
Cette question-là ne s’éteindra pas avec la réponse du conseil des gouverneurs et du rapport
Elle va continuer à être présente et je crois que si on ne trouve pas une méthodologie
un processus qui va permettre des deux côtés du débat de s'asseoir
de discuter et d’échanger et à un moment donné
Ce n’est pas un dossier qui est terminé
Est-ce que la plus grande université acadienne devrait porter le nom du général qui a ordonné la Déportation
Le débat autour du nom de l’Université de Moncton refait surface toutes les décennies depuis sa fondation en 1963
Voici un retour dans le passé avec ceux qui ont fait partie de cette réflexion à différentes époques
Un comité de citoyens qui milite pour que l’Université de Moncton change de nom n’abandonne pas ses démarches et dévoilera ses propositions jeudi
découvrez quels noms ont été suggérés au cours de l’histoire
dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"Là
coprésident du comité Moncton-Saint-Jean
ce comité travaille d’arrache-pied pour montrer que ces municipalités peuvent accueillir ces jeux
En 2022, on apprenait que le Nouveau-Brunswick allait recevoir cette édition des Jeux du Canada
Les municipalités devaient montrer leur intérêt pour les accueillir
Moncton et Saint-Jean ont décidé de poser leur candidature ensemble et ont finalement été les seules à le faire
les meilleures jeunes athlètes du pays viendront à Moncton et à Saint-Jean pour les Jeux d'été du Canada 2029 et deux semaines de compétitions enlevantes
présidente du comité d’évaluation des candidatures au Conseil des Jeux du Canada
La ministre responsable du Sport et des Loisirs
affirme que cet événement aura d’importantes répercussions sur les plans économique et touristique
mais aussi sur celui du développement du sport et des athlètes néo-brunswickois
Ces jeux contribueront à promouvoir davantage notre belle province bilingue comme une destination touristique de choix
La province avait déjà annoncé l’an dernier qu’elle investirait 10,35 millions de dollars pour ces jeux, ce que plusieurs associations sportives trouvaient trop peu.
Toutefois, Isabelle Thériault précise que 2,25 millions de dollars seront aussi investis pour aider les athlètes grâce aux programmes de développement.
De son côté, la première ministre Susan Holt ajoute qu’au-delà des 10 millions octroyés, les organismes et les municipalités peuvent aussi faire une demande de subventions auprès de différents programmes.
S’il y a des infrastructures dans les communautés qui ont besoin d’un investissement, on a des programmes avec la Société de développement régional et le ministère des Transports et de l’Infrastructure dit-elle.
La première ministre croit que cette expérience aura un impact déterminant sur les jeunes athlètes du Nouveau-Brunswick et qu’elle permettra de faire découvrir les attraits de la province au reste du pays.
Ce sera un moment fort pour notre province, un moment d'unité!
Louis Léger précise que le budget de l’événement est estimé à près de 40 millions de dollars et que la province, le fédéral et les municipalités y contribueront, entre autres.
Louis Léger explique que, si ce montant peut paraître peu élevé comparativement à celui d’autres éditions des Jeux ailleurs au pays, les deux municipalités n’ont pas besoin de construire de nouvelles infrastructures. On est chanceux.
On a toutes les installations qui sont requises, excepté qu’il y en a qui ont besoin d’être améliorées et rénovées.
Il ajoute que la seule piscine de 50 mètres dans la province, à Saint-Jean, sera rénovée au coût estimé de 25 millions de dollars.
L’endroit précis où se déroulera chaque compétition n’a pas encore été divulgué, car il faut respecter le processus en place avec les fédérations sportives nationales, explique Louis Léger.
J’ai l’impression que, d’ici quelques mois, on sera capable de préciser quels sports vont être présentés dans chaque ville.
Néanmoins, il est évident que les sports aquatiques se dérouleront à Saint-Jean, et Louis Léger ajoute que le soccer et le vélo se dérouleront dans le Grand Moncton.
Ç'a été négocié en fonction des installations sportives qui sont là. Il fallait équilibrer, parce que c’est 4600 athlètes au total, en deux semaines.
Il précise que l’Université de Moncton sera transformée en village d’athlètes, de même que le campus de Saint-Jean de l’Université du Nouveau-Brunswick.
Avec les informations d’Alix Villeneuve
Ouvrir en mode plein écranLes Jeux du Canada auront lieu au Nouveau-Brunswick en 2029. (Photo d'archives)
Marie-Emma ParenteauPublié le 2 avril à 11 h 03 HAEMis à jour le 2 avril à 12 h 26 HAEÉcouter l’articleLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale
une technologie basée sur l’intelligence artificielle.C’est officiel : les villes de Moncton et de Saint-Jean accueilleront les Jeux du Canada 2029
Environ 4600 athlètes participeront à des compétitions pendant deux semaines
dans ces deux municipalités distantes de 160 km
ce comité travaille d’arrache-pied pour montrer que ces municipalités peuvent accueillir ces jeux
Les municipalités devaient montrer leur intérêt pour les accueillir
Moncton et Saint-Jean ont décidé de poser leur candidature ensemble et ont finalement été les seules à le faire
les meilleures jeunes athlètes du pays viendront à Moncton et à Saint-Jean pour les Jeux d'été du Canada 2029 et deux semaines de compétitions enlevantes
présidente du comité d’évaluation des candidatures au Conseil des Jeux du Canada
affirme que cet événement aura d’importantes répercussions sur les plans économique et touristique
mais aussi sur celui du développement du sport et des athlètes néo-brunswickois
Ces jeux contribueront à promouvoir davantage notre belle province bilingue comme une destination touristique de choix
Toutefois, Isabelle Thériault précise que 2,25 millions de dollars seront aussi investis pour aider les athlètes grâce aux programmes de développement.
Ouvrir en mode plein écranIsabelle Thériault, ministre responsable du Sport (à gauche), et la première ministre du Nouveau-Brunswick, Susan Holt (à droite).
De son côté, la première ministre Susan Holt ajoute qu’au-delà des 10 millions octroyés, les organismes et les municipalités peuvent aussi faire une demande de subventions auprès de différents programmes.
S’il y a des infrastructures dans les communautés qui ont besoin d’un investissement, on a des programmes avec la Société de développement régional et le ministère des Transports et de l’Infrastructure dit-elle.
La première ministre croit que cette expérience aura un impact déterminant sur les jeunes athlètes du Nouveau-Brunswick et qu’elle permettra de faire découvrir les attraits de la province au reste du pays.
Ce sera un moment fort pour notre province, un moment d'unité!
Louis Léger précise que le budget de l’événement est estimé à près de 40 millions de dollars et que la province, le fédéral et les municipalités y contribueront, entre autres.
Louis Léger explique que, si ce montant peut paraître peu élevé comparativement à celui d’autres éditions des Jeux ailleurs au pays, les deux municipalités n’ont pas besoin de construire de nouvelles infrastructures. On est chanceux.
On a toutes les installations qui sont requises, excepté qu’il y en a qui ont besoin d’être améliorées et rénovées.
Ouvrir en mode plein écranSaint-Jean possède la seule piscine olympique de la province, mais elle aura besoin d'importantes rénovations. (Photo d'archives)
Il ajoute que la seule piscine de 50 mètres dans la province, à Saint-Jean, sera rénovée au coût estimé de 25 millions de dollars.
L’endroit précis où se déroulera chaque compétition n’a pas encore été divulgué, car il faut respecter le processus en place avec les fédérations sportives nationales, explique Louis Léger.
J’ai l’impression que, d’ici quelques mois, on sera capable de préciser quels sports vont être présentés dans chaque ville.
Néanmoins, il est évident que les sports aquatiques se dérouleront à Saint-Jean, et Louis Léger ajoute que le soccer et le vélo se dérouleront dans le Grand Moncton.
Ç'a été négocié en fonction des installations sportives qui sont là. Il fallait équilibrer, parce que c’est 4600 athlètes au total, en deux semaines.
Il précise que l’Université de Moncton sera transformée en village d’athlètes, de même que le campus de Saint-Jean de l’Université du Nouveau-Brunswick.
En 2022, on apprenait que le Nouveau-Brunswick allait recevoir cette édition des Jeux du Canada
La province avait déjà annoncé l’an dernier qu’elle investirait 10,35 millions de dollars pour ces jeux, ce que plusieurs associations sportives trouvaient trop peu.
Isabelle Thériault précise que 2,25 millions de dollars seront aussi investis pour aider les athlètes grâce aux programmes de développement
la première ministre Susan Holt ajoute qu’au-delà des 10 millions octroyés
les organismes et les municipalités peuvent aussi faire une demande de subventions auprès de différents programmes
S’il y a des infrastructures dans les communautés qui ont besoin d’un investissement
on a des programmes avec la Société de développement régional et le ministère des Transports et de l’Infrastructure dit-elle
La première ministre croit que cette expérience aura un impact déterminant sur les jeunes athlètes du Nouveau-Brunswick et qu’elle permettra de faire découvrir les attraits de la province au reste du pays
Ce sera un moment fort pour notre province
Louis Léger précise que le budget de l’événement est estimé à près de 40 millions de dollars et que la province
le fédéral et les municipalités y contribueront
si ce montant peut paraître peu élevé comparativement à celui d’autres éditions des Jeux ailleurs au pays
les deux municipalités n’ont pas besoin de construire de nouvelles infrastructures
On a toutes les installations qui sont requises
excepté qu’il y en a qui ont besoin d’être améliorées et rénovées
Il ajoute que la seule piscine de 50 mètres dans la province
sera rénovée au coût estimé de 25 millions de dollars
L’endroit précis où se déroulera chaque compétition n’a pas encore été divulgué
car il faut respecter le processus en place avec les fédérations sportives nationales
on sera capable de préciser quels sports vont être présentés dans chaque ville
il est évident que les sports aquatiques se dérouleront à Saint-Jean
et Louis Léger ajoute que le soccer et le vélo se dérouleront dans le Grand Moncton
Ç'a été négocié en fonction des installations sportives qui sont là
parce que c’est 4600 athlètes au total
Il précise que l’Université de Moncton sera transformée en village d’athlètes
de même que le campus de Saint-Jean de l’Université du Nouveau-Brunswick
C’est officiel : les villes de Moncton et de Saint-Jean accueilleront les Jeux du Canada 2029
Environ 4600 athlètes participeront à des compétitions pendant deux semaines
dans ces deux municipalités distantes de 160 km
dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"Sa démission prend effet immédiatement
qui occupera ce rôle par intérim
mon engagement envers cette ville et tous les habitants de Moncton reste inébranlable
dit-elle dans une publication partagée sur Facebook où elle remercie les résidents de la ville pour leur confiance
mais simplement d'un nouveau chapitre de mon service à la communauté et au Canada
Avant d'être la première femme à occuper les fonctions de maire
Dawn Arnold a été conseillère générale à la Ville de Moncton pendant quatre ans
Elle a également été vice-présidente de l’Union des municipalités du Nouveau-Brunswick
de vice-présidente de l’Association des cités du Nouveau-Brunswick et de présidente du Comité de revitalisation du centre-ville de Moncton
l'a félicité pour sa nomination dans un communiqué partagé par la ville vendredi soir
mais notre mairesse adjointe et le Conseil continueront à diriger la Ville de Moncton d’une main de maître
L'ancien député libéral de la Nouvelle-Écosse
fait également partie des cinq nouveaux sénateurs nommés vendredi
Il a représenté les circonscriptions de Cole Harbour-Portland Valley et de Cole Harbour pendant plus de 10 ans. Il a annoncé sa retraite l'année dernière avant le déclenchement des élections provinciales.
Tony Ince a occupé plusieurs postes au sein des gouvernements de Stephen McNeil et d'Iain Rankin. Il été ministre des Affaires afro-néo-écossaises, de Communications Nouvelle-Écosse, de la Commission de la fonction publique et de ministre responsable du Bureau de l’équité et des initiatives contre le racisme.
Il a également cofondé et coprésidé le Congrès canadien des parlementaires noirs, un organisme de défense des droits des Canadiens noirs. Il a été membre de la commission scolaire afro-néo-écossaise et de la société de généalogie d’Africville, et a présidé le conseil consultatif afro-néo-écossais du Nova Scotia Community College.
Margaux TertrePublié le 7 mars à 16 h 14 HAEMis à jour le 7 mars à 17 h 13 HAEÉcouter l’article | 3 minutesLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale
une technologie basée sur l’intelligence artificielle.La mairesse de Moncton
a été nommée sénatrice par le premier ministre du Canada vendredi
Elle quitte ses fonctions qu'elle occupait depuis 2016
Ouvrir en mode plein écranPaulette Thériault est désormais mairesse de Moncton par intérim
mon engagement envers cette ville et tous les habitants de Moncton reste inébranlable
dit-elle dans une publication partagée sur Facebook où elle remercie les résidents de la ville pour leur confiance
mais simplement d'un nouveau chapitre de mon service à la communauté et au Canada
Avant d'être la première femme à occuper les fonctions de maire
Dawn Arnold a été conseillère générale à la Ville de Moncton pendant quatre ans
Elle a également été vice-présidente de l’Union des municipalités du Nouveau-Brunswick
de vice-présidente de l’Association des cités du Nouveau-Brunswick et de présidente du Comité de revitalisation du centre-ville de Moncton
l'a félicité pour sa nomination dans un communiqué partagé par la ville vendredi soir
mais notre mairesse adjointe et le Conseil continueront à diriger la Ville de Moncton d’une main de maître
L'ancien député libéral de la Nouvelle-Écosse
fait également partie des cinq nouveaux sénateurs nommés vendredi
Ouvrir en mode plein écranTony Ince a été député provincial de 2013 à 2024.
Photo : La Presse canadienne / Andrew Vaughan
Tony Ince a occupé plusieurs postes au sein des gouvernements de Stephen McNeil et d'Iain Rankin. Il été ministre des Affaires afro-néo-écossaises, de Communications Nouvelle-Écosse, de la Commission de la fonction publique et de ministre responsable du Bureau de l’équité et des initiatives contre le racisme.
Il a également cofondé et coprésidé le Congrès canadien des parlementaires noirs, un organisme de défense des droits des Canadiens noirs. Il a été membre de la commission scolaire afro-néo-écossaise et de la société de généalogie d’Africville, et a présidé le conseil consultatif afro-néo-écossais du Nova Scotia Community College.
Sa démission prend effet immédiatement
Il a représenté les circonscriptions de Cole Harbour-Portland Valley et de Cole Harbour pendant plus de 10 ans. Il a annoncé sa retraite l'année dernière avant le déclenchement des élections provinciales
Tony Ince a occupé plusieurs postes au sein des gouvernements de Stephen McNeil et d'Iain Rankin
Il été ministre des Affaires afro-néo-écossaises
de la Commission de la fonction publique et de ministre responsable du Bureau de l’équité et des initiatives contre le racisme
Il a également cofondé et coprésidé le Congrès canadien des parlementaires noirs
un organisme de défense des droits des Canadiens noirs
Il a été membre de la commission scolaire afro-néo-écossaise et de la société de généalogie d’Africville
et a présidé le conseil consultatif afro-néo-écossais du Nova Scotia Community College
Il a représenté les circonscriptions de Cole Harbour-Portland Valley et de Cole Harbour pendant plus de 10 ans. Il a annoncé sa retraite l'année dernière avant le déclenchement des élections provinciales
a été nommée sénatrice par le premier ministre du Canada vendredi
Elle quitte ses fonctions qu'elle occupait depuis 2016.