J’accepteAller au contenu principalAller au pied de pageAide à la navigationPublicité La destination d’information de Radio-Canada dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"C’est ce que révèlent des documents juridiques obtenus par CBC Selon le mandat de perquisition obtenu par WorkSafeBC l'organisme responsable de la santé et sécurité au travail en Colombie-Britannique est soupçonné d’infractions à la Loi sur les accidents de travail Le mandat de perquisition obtenu en décembre par WorkSafeBC concerne un incident survenu en octobre Une grue qui transportait des tuyaux métalliques a perdu le contrôle de sa charge et deux tuyaux sont tombés à environ 50 mètres du sol près d'une clôture adjacente à une route C‘est le même chantier qui a été le théâtre d’un accident mortel en février 2024 lorsqu'une grue à tour a laissé tomber sa charge écrasant une femme travaillant au sol avait deux enfants et était originaire du Mexique Il s'agit de la troisième enquête menée par l'unité des enquêtes sur la sécurité au travail et la santé de WorkSafeBC CBC a aussi révélé des allégations de défaillance de la gestion de la sécurité sur l'immense chantier de construction d'Oakridge WorkSafeBC avait affirmé qu'un échec systémique dans la gestion de la santé et de la sécurité au travail avait été observé sur le chantier de construction nie les allégations et affirme que l'entreprise s'engage à assurer le plus haut niveau de sécurité Cette dernière a demandé que sa volonté de collaborer soit notée dans les documents officiels WorkSafeBC affirme que les trois enquêtes sont toujours en cours Aucune accusation n'a été déposée et aucune des allégations n'a été prouvée devant le tribunal Ouvrir en mode plein écranLe chantier de construction du gigantesque projet immobilier situé près du centre commercial Oakridge fait l'objet d'une troisième enquête sur la sécurité au travail Une troisième enquête sur des allégations de violations de la sécurité au travail au chantier de construction du gigantesque projet immobilier situé près du centre commercial Oakridge C’est ce que révèlent des documents juridiques obtenus par CBC l'organisme responsable de la santé et sécurité au travail en Colombie-Britannique est soupçonné d’infractions à la Loi sur les accidents de travail Le mandat de perquisition obtenu en décembre par WorkSafeBC concerne un incident survenu en octobre Une grue qui transportait des tuyaux métalliques a perdu le contrôle de sa charge et deux tuyaux sont tombés à environ 50 mètres du sol près d'une clôture adjacente à une route Ouvrir en mode plein écranUne nouvelle réglementation sur les grues à tour est entrée en vigueur en Colombie-Britannique le 1er octobre 2024 Photo : La Presse canadienne / Sean Kilpatrick avait deux enfants et était originaire du Mexique Il s'agit de la troisième enquête menée par l'unité des enquêtes sur la sécurité au travail et la santé de WorkSafeBC CBC a aussi révélé des allégations de défaillance de la gestion de la sécurité sur l'immense chantier de construction d'Oakridge WorkSafeBC avait affirmé qu'un échec systémique dans la gestion de la santé et de la sécurité au travail avait été observé sur le chantier de construction nie les allégations et affirme que l'entreprise s'engage à assurer le plus haut niveau de sécurité Cette dernière a demandé que sa volonté de collaborer soit notée dans les documents officiels WorkSafeBC affirme que les trois enquêtes sont toujours en cours Aucune accusation n'a été déposée et aucune des allégations n'a été prouvée devant le tribunal Crimes et délits. Une étudiante portée disparue retrouvée morte à Ottawa. Publié à 17 h 36 HAE Une étudiante portée disparue retrouvée morte à OttawaLe Haut-Commissariat de l'Inde à Ottawa a identifié Vanshika Saini comme une étudiante indienne Cinéma. Tarifs de Trump : stupeur et confusion dans l’industrie canadienne du cinéma. Publié à 16 h 42 HAE Tarifs de Trump : stupeur et confusion dans l’industrie canadienne du cinémaPlusieurs questions demeurent quant à l'application des tarifs de 100 % sur les films produits hors des É.-U Politique provinciale. « Quebec, Canada! We’ll make a deal! », lance Donald Trump. Publié à 4 h 00 HAE « Quebec, Canada! We’ll make a deal! », lance Donald TrumpLa ministre québécoise Martine Biron a eu un échange avec le président américain au Vatican Donald Trump, président des États-Unis. L’administration Trump veut donner 1000 $ aux sans-papiers qui s’« auto-expulsent ». Publié à 16 h 51 HAE L’administration Trump veut donner 1000 $ aux sans-papiers qui s’« auto-expulsent »Cette stratégie économisera de l'argent aux contribuables soutient le département de la Sécurité intérieure Donald Trump, président des États-Unis. Donald Trump dit qu’il est improbable que les É.-U. annexent le Canada. Publié à 15 h 12 HAE Donald Trump dit qu’il est improbable que les É.-U. annexent le CanadaLe président américain a affirmé qu'il continuera à faire pression pour que le Canada devienne le 51e État Chargement en coursInfolettre ICI Colombie-BritaniqueUne fois par jour recevez l’essentiel de l’actualité régionale Abonnez-vous à notre infolettre pour ne rien manquer C’est ce que révèlent des documents juridiques obtenus par CBC C‘est le même chantier qui a été le théâtre d’un accident mortel en février 2024 lorsqu'une grue à tour a laissé tomber sa charge Le Haut-Commissariat de l'Inde à Ottawa a identifié Vanshika Saini comme une étudiante indienne Plusieurs questions demeurent quant à l'application des tarifs de 100 % sur les films produits hors des É.-U La ministre québécoise Martine Biron a eu un échange avec le président américain au Vatican Cette stratégie économisera de l'argent aux contribuables Le président américain a affirmé qu'il continuera à faire pression pour que le Canada devienne le 51e État La Ville de Saint-Lazare a présenté visant la modification de plusieurs règlements d’urbanisme afin de permettre l’implantation d’un projet domiciliaire dans le secteur de la rue Oakridge élaboré selon l’approche « Growing Greener » repose sur une planification qui combine développement résidentiel et conservation environnementale et se veut être le premier projet du genre sur le territoire de Saint-Lazare Selon la mairesse Geneviève Lachance ce projet s’inscrit dans une démarche amorcée il y a plusieurs années « Je sais que pour certaines personnes dans le secteur d'Oakridge ça fait longtemps qu'on en parle Il y a eu plusieurs réunions pour la municipalisation d'Oakridge il y a plusieurs années » Elle rappelle que le développement dans le secteur Ouest avait été mis en pause en 2017 afin d’assurer une meilleure planification et de prendre en compte les enjeux environnementaux « On savait qu’il y avait de la pression pour le développement et on voulait s’assurer qu’avec la réglementation on pouvait protéger l’environnement parce que c’est un secteur à haute valeur écologique » En plus d'un important couvert forestier le secteur compte plusieurs milieux humides et constitue un habitat pour de nombreuses espèces floristiques mammifères et oiseaux à statut précaire On y retrouve également une zone de recharge aquifère L'approche Growing Greener permet également de minimiser le déboisement nécessaire et de protéger les milieux naturels et la biodiversité tout en maintenant un cadre de vie agréable pour les résidents cette approche innovante a été retenue en 2022 notamment dans le Règlement sur les plans d’aménagement d’ensemble (PAE) afin de favoriser de nouveaux projets immobiliers qui sont respectueux de l’environnement « Le projet a évolué de façon significative depuis 2017 où le promoteur voulait un projet traditionnel qui occupait pratiquement toute la zone avec beaucoup plus de résidences » Après plusieurs concessions de part et d’autre la Ville se dit satisfaite que le projet final respecte les valeurs de Saint-Lazare et mette l’environnement en priorité la zone visée par le promoteur sera soumise à l’obligation de conserver au moins 70 % de sa superficie sous forme d’espaces naturels 30 % sera cédé à la Ville de Saint-Lazare qui prévoit y aménager des sentiers pour permettre aux citoyens d’avoir un accès sécuritaire à la nature tout en protégeant la biodiversité Le projet domiciliaire prévoit la construction de 60 maisons unifamiliales sur des terrains d’une superficie minimale de 1 500 m² Les travaux seront réalisés de manière progressive chaque phase devant être complétée à 75 % avant le début de la suivante trois phases ont été prévues Cette approche assure un développement progressif et bien encadré intégrant des mesures de conservation tout en favorisant une gestion efficace des infrastructures Un suivi rigoureux sera assuré par un biologiste afin de garantir le respect des engagements environnementaux Toute construction devra se conformer à des critères stricts en matière d’abattage d’arbres et de reboisement et des pénalités pourront être appliquées en cas de non-respect En ce qui concerne l’approvisionnement en eau potable des analyses ont confirmé que le réseau municipal d’aqueduc est en mesure d’alimenter les nouvelles habitations sans compromettre les besoins des résidences existantes le raccordement des résidences de la rue Oakridge au réseau municipal permettra un accès stable à une eau de qualité et renforcera la sécurité incendie dans le secteur un premier projet de règlement a été adopté à la majorité le 11 mars dernier lors de la séance régulière du conseil municipal Sous réserve de la décision du conseil municipal le second projet de règlement pourrait être adopté lors de la prochaine séance prévue le 8 avril son adoption est prévue pour le 13 mai Son entrée en vigueur devrait avoir lieu au courant de l’été après la réception du certificat de conformité de la MRC de Vaudreuil-Soulanges Pour partager votre opinion vous devez être connecté lorsqu'une grue à tour a laissé tomber sa charge avait deux enfants et était originaire du Mexique Les observations proviennent de documents judiciaires obtenus par CBC à propos d’un mandat de perquisition sur l’incident de multiples déclarations faites par l'entrepreneur principal du projet indiquent que le site est trop grand [qu'il est] incapable de le contrôler et qu’il subit des pressions Le document décrit les raisons de l’enquête de WorkSafeBC sur le chantier et le géant de la construction établi en Ontario EllisDon a commis des violations répétées à haut risque [en matière de sécurité au travail] pour lesquelles des contrôles étaient connus L'approche globale de l'employeur en matière de santé et de sécurité s'est avérée inefficace ce qui a créé un échec systématique dans la gestion de la santé et de la sécurité au travail EllisDon n'a pas été en mesure de contrôler et de gérer les zones d'exclusion et les travaux en hauteur ni de coordonner en toute sécurité les activités de travail sur le terrain Grâce à une demande d'accès à l'information, CBC a découvert une série de plaintes de travailleurs concernant la sécurité sur le chantier entre le 1er janvier 2023 et le 29 février 2024 un porte-parole d'EllisDon a nié ces allégations et a déclaré que l'entreprise s'engage[ait] à assurer le plus haut niveau de sécurité Une nouvelle réglementation sur les grues à tour est entrée en vigueur en Colombie-Britannique le 1er octobre Elle devrait permettre à WorkSafeBC de mieux savoir où et quand les grues à tour sont utilisées dans la province et de s'assurer qu'elles sont manœuvrées par des travailleurs qualifiés les employeurs doivent informer WorkSafeBC deux semaines avant d'installer de repositionner et de démonter des grues à tour Ils doivent également informer l'agence de la date des travaux de la personne chargée de les superviser et des qualifications du superviseur WorkSafeBC a procédé à un examen et à des consultations afin d'aborder les questions de sécurité après une série d'incidents concernant des grues Parmi les recommandations en matière de stratégie figurent un examen du programme de certification des grutiers et l'agrandissement de l'équipe d'inspection des grues de l'agence Le réaménagement de 6,5 milliards de dollars du site Oakridge occupe environ huit pâtés de maisons et comprend 14 tours en cours de construction qui offriront 3000 logements Les promoteurs Westbank et Quadreal décrivent le projet qui comprend 300 magasins et un énorme parc à la fois comme l'un des plus grands développements de l'histoire de Vancouver et l'un des réaménagements les plus monumentaux actuellement en cours en Amérique du Nord Ouvrir en mode plein écranLa charge d'une grue est tombée d'environ 25 étages le 21 février 2024 près du centre commercial Oakridge Photo : La Presse canadienne / Ethan Cairns l'organisme de réglementation des lieux de travail de la Colombie-Britannique affirme qu'un « échec systémique dans la gestion de la santé et de la sécurité au travail » a été observé au chantier de construction du gigantesque projet immobilier situé près du centre commercial Oakridge lorsqu'une grue à tour a laissé tomber sa charge avait deux enfants et était originaire du Mexique Les observations proviennent de documents judiciaires obtenus par CBC à propos d’un mandat de perquisition sur l’incident de multiples déclarations faites par l'entrepreneur principal du projet indiquent que le site est trop grand [qu'il est] incapable de le contrôler et qu’il subit des pressions Le document décrit les raisons de l’enquête de WorkSafeBC sur le chantier et le géant de la construction établi en Ontario EllisDon a commis des violations répétées à haut risque [en matière de sécurité au travail] pour lesquelles des contrôles étaient connus L'approche globale de l'employeur en matière de santé et de sécurité s'est avérée inefficace ce qui a créé un échec systématique dans la gestion de la santé et de la sécurité au travail EllisDon n'a pas été en mesure de contrôler et de gérer les zones d'exclusion et les travaux en hauteur ni de coordonner en toute sécurité les activités de travail sur le terrain un porte-parole d'EllisDon a nié ces allégations et a déclaré que l'entreprise s'engage[ait] à assurer le plus haut niveau de sécurité Ouvrir en mode plein écranLa nouvelle réglementation sur les grues à tour est entrée en vigueur en Colombie-Britannique le 1er octobre Une nouvelle réglementation sur les grues à tour est entrée en vigueur en Colombie-Britannique le 1er octobre Elle devrait permettre à WorkSafeBC de mieux savoir où et quand les grues à tour sont utilisées dans la province et de s'assurer qu'elles sont manœuvrées par des travailleurs qualifiés les employeurs doivent informer WorkSafeBC deux semaines avant d'installer de repositionner et de démonter des grues à tour Ils doivent également informer l'agence de la date des travaux de la personne chargée de les superviser et des qualifications du superviseur WorkSafeBC a procédé à un examen et à des consultations afin d'aborder les questions de sécurité après une série d'incidents concernant des grues Parmi les recommandations en matière de stratégie figurent un examen du programme de certification des grutiers et l'agrandissement de l'équipe d'inspection des grues de l'agence Le réaménagement de 6,5 milliards de dollars du site Oakridge occupe environ huit pâtés de maisons et comprend 14 tours en cours de construction qui offriront 3000 logements Les promoteurs Westbank et Quadreal décrivent le projet qui comprend 300 magasins et un énorme parc à la fois comme l'un des plus grands développements de l'histoire de Vancouver et l'un des réaménagements les plus monumentaux actuellement en cours en Amérique du Nord Ce chantier a été le théâtre d’un accident mortel en février 2024 Grâce à une demande d'accès à l'information, CBC a découvert une série de plaintes de travailleurs concernant la sécurité sur le chantier entre le 1er janvier 2023 et le 29 février 2024 Ce chantier a été le théâtre d’un accident mortel en février 2024 l'organisme de réglementation des lieux de travail de la Colombie-Britannique affirme qu'un « échec systémique dans la gestion de la santé et de la sécurité au travail » a été observé au chantier de construction du gigantesque projet immobilier situé près du centre commercial Oakridge dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"WorkSafeBC a envoyé un agent sur les lieux pour enquêter sur ce qui s'est produit Elle a indiqué qu'elle ne divulguerait pas de détails spécifiques sur l'incident tant que son enquête ne serait pas terminée C'est le dernier en date d'une vague d'accidents concernant des grues sur les chantiers du Grand Vancouver, dont un accident mortel sur le chantier d'Oakridge, en février lorsqu'une travailleuse a été tuée après qu'une grue eut lâché son chargement sur un bâtiment la défaillance mécanique d'une grue de chantier a entraîné la fermeture temporaire des routes environnantes et de la station de SkyTrain VCC-Clark voisine La nouvelle réglementation permettra à WorkSafeBC de mieux savoir où et quand les grues à tour sont utilisées dans la province et de s'assurer qu'elles sont manœuvrées par des travailleurs qualifiés les employeurs doivent informer WorkSafeBC deux semaines avant d'installer WorkSafeBC a procédé à un examen et à des consultations afin d'aborder les questions de sécurité après une série d'incidents concernant des grues L'examen a abouti à cette nouvelle réglementation et à une stratégie visant à améliorer la sécurité des grues en Colombie-Britannique Parmi les recommandations de la stratégie figurent un examen du programme de certification des grutiers et l'agrandissement de l'équipe d'inspection des grues de l'agence L'incident mortel survenu à Oakridge Park en février fait toujours l'objet d'une enquête par WorkSafeBC Grâce à une demande d'accès à l'information, CBC a découvert une série de plaintes de travailleurs concernant la sécurité sur le chantier entre le 1er janvier 2023 et le 29 février 2024 WorkSafeBC dit qu'elle enquête sur un incident concernant une grue survenu sur le terrain de l’énorme projet de construction Oakridge mercredi après-midi soit au lendemain de l’entrée en vigueur d’une nouvelle réglementation provinciale sur les grues à tour WorkSafeBC a envoyé un agent sur les lieux pour enquêter sur ce qui s'est produit Elle a indiqué qu'elle ne divulguerait pas de détails spécifiques sur l'incident tant que son enquête ne serait pas terminée lorsqu'une travailleuse a été tuée après qu'une grue eut lâché son chargement sur un bâtiment la défaillance mécanique d'une grue de chantier a entraîné la fermeture temporaire des routes environnantes et de la station de SkyTrain VCC-Clark voisine La nouvelle réglementation permettra à WorkSafeBC de mieux savoir où et quand les grues à tour sont utilisées dans la province et de s'assurer qu'elles sont manœuvrées par des travailleurs qualifiés WorkSafeBC a procédé à un examen et à des consultations afin d'aborder les questions de sécurité après une série d'incidents concernant des grues L'examen a abouti à cette nouvelle réglementation et à une stratégie visant à améliorer la sécurité des grues en Colombie-Britannique Parmi les recommandations de la stratégie figurent un examen du programme de certification des grutiers et l'agrandissement de l'équipe d'inspection des grues de l'agence L'incident mortel survenu à Oakridge Park en février fait toujours l'objet d'une enquête par WorkSafeBC WorkSafeBC a envoyé un agent sur les lieux pour enquêter sur ce qui s'est produit C'est le dernier en date d'une vague d'accidents concernant des grues sur les chantiers du Grand Vancouver, dont un accident mortel sur le chantier d'Oakridge, en février Grâce à une demande d'accès à l'information, CBC a découvert une série de plaintes de travailleurs concernant la sécurité sur le chantier entre le 1er janvier 2023 et le 29 février 2024 WorkSafeBC dit qu'elle enquête sur un incident concernant une grue survenu sur le terrain de l’énorme projet de construction Oakridge mercredi après-midi This website is using a security service to protect itself from online attacks The action you just performed triggered the security solution There are several actions that could trigger this block including submitting a certain word or phrase You can email the site owner to let them know you were blocked Please include what you were doing when this page came up and the Cloudflare Ray ID found at the bottom of this page la branche américaine d’Orano a annoncé vouloir construire une usine d’enrichissement à Oak Ridge dans le cadre de la volonté du pays de sécuriser sa chaîne d’approvisionnement Le projet demandera plusieurs milliards de dollars d’investissements 2,7 milliards de dollars  avaient été débloqués pour renforcer la chaîne d’approvisionnement en combustible nucléaire domestique Orano USA a annoncé vouloir construire une nouvelle installation d’enrichissement d’uranium par centrifugation de pointe à Oak Ridge « Nous sommes très fiers de nous associer au Département de l’énergie des États-Unis (DOE) pour nettoyer et convertir l’un de leurs sites et le réaffecter à l’une des installations d’enrichissement d’uranium les plus grandes et les plus modernes du pays » Le projet demandera un investissement de plusieurs milliards de dollars qui devrait être soutenu par les autorités américaines Le Fonds pour l’énergie nucléaire du Tennessee a déjà approuvé un financement à hauteur de 60 millions de dollars « La décision finale d’investissement dépendra de l’obtention du soutien du gouvernement fédéral de l’obtention d’une licence de la Commission de réglementation nucléaire des États-Unis (NRC) et de l’approbation du conseil d’administration d’Orano » a détaillé Nicolas Maës sur un post Linkedin Cette décision finale est attendue pour la fin de l’année 2025 Des retombées économiques et sociales pour le Tennessee L’annonce a été faite mercredi 4 septembre en présence de nombreux représentants de la région puisque le projet représente le plus gros investissement de l’histoire du Tennessee l’installation devrait avoir une superficie d’environ 700 000 m2 faisant de cette usine d’enrichissement l’une des plus grandes d’Amérique du Nord Le projet permettra de créer plus de 300 emplois ce qui stimulera considérablement l’économie locale « Chaque fois que vous apportez des centaines d’emplois à une communauté en particulier s’ils sont hautement qualifiés et bien rémunérés cela améliore l’ensemble de la main-d’œuvre de la région C’est en partie la raison pour laquelle c’est si important » « Des centaines de Tennesseans auront accès à de meilleures opportunités d’emploi pour leurs familles Cela améliore la vie des gens de la communauté Orano a aussi largement investi dans ces installations le conseil d’administration d’Orano avait validé le projet d’extension de capacité d’enrichissement de l’usine Georges Besse 2 Nicolas Maës a fait le point aussi sur ce projet et a annoncé que « le projet d’extension de l’usine d’enrichissement Georges Besse II est en bonne voie les étapes du projet ayant été franchies avec le démarrage de la construction cet été La première production de l’extension est prévue en 2028 comme prévu Image : Photo lors de l’annonce d’Orano en présence des gouverneurs et du président directeur général d’Orano USA Des ressources pour développer ses connaissances sur l’énergie nucléaire Une association de femmes et d'hommes pour faire avancer le nucléaire Les analyses de nos sections techniques pour nourrir le débat public Des rendez-vous pour discuter des dernières avancées du nucléaire Une présence pour enrichir les débats sur l’énergie nucléaire L'information de référence sur l'énergie nucléaire Votre espace adhérent Sfen fait peau neuve pendant les fêtes Vous pourrez vous y connecter de nouveau à la mi-janvier (Toronto) La Baie d’Hudson a annoncé avoir mis à pied 41 employés dans le cadre d’une restructuration de la chaîne de magasins porte-parole de la chaîne de grands magasins a confirmé la réduction des effectifs dans un courriel mais n’a pas répondu aux questions sur les postes touchés ou les villes où se trouvent les employés mis à pied Elle a expliqué que ces coupes étaient le résultat de « vents contraires difficiles » qui ont frappé le secteur de la vente au détail Bien que la décision de mettre à pied les employés ait été difficile à prendre elle affirme qu’il s’agissait d’une mesure nécessaire pour l’entreprise établie à Toronto Le détaillant a licencié environ 1 % de ses effectifs en avril dernier puis a procédé à un nombre indéterminé de suppressions d’emplois au cours de l’été lorsque sa société mère HBC s’est préparée à céder certaines de ses marques à une nouvelle entité appelée Saks Global il a également annoncé qu’il renonçait à son projet d’exploiter un magasin dans le parc Oakridge réaménagé à Vancouver Il est ensuite tombé sur la travailleuse L’incident fait toujours l’objet d’une enquête de la part de WorkSafeBC Grâce à une demande d'accès à l’information CBC/Radio-Canada a obtenu les rapports de toutes les plaintes faites sur le chantier d’Oakridge mené par l’entrepreneur principal EllisDon au coin de la rue Cambie et de la 41e West entre le 1er janvier 2023 et le 29 février 2024 un travailleur a signalé que deux grues étaient entrées en contact Selon les règles de la Colombie-Britannique pour les grues celles qui sont en activité dans des zones qui se chevauchent doivent avoir des limites claires Il doit également y avoir des procédures opérationnelles clairement écrites pour empêcher des collisions des chutes de charges ou le déplacement de grues un agent de sécurité de WorkSafeBC a signalé qu’une grue avait tenté de soulever un mur de 24 mètres Le mur s’est ensuite cassé en deux Aucun blessé n'a été signalé la défaillance d’une grue a conduit à la chute d’un bloc d'une hauteur de 27 mètres sur un toit du chantier Les blocs sont des équipements lourds situés à l’extrémité du câble et utilisés pour soulever et déplacer des charges la grue a continué à être utilisée pour le reste de la journée et l’incident n’a été signalé à WorkSafeBC et à EllisDon que le lendemain matin Les documents décrivent aussi les appels qui ont eu lieu le jour où Yuridia Flores est morte Une personne a appelé pour signaler qu’un câble s’était cassé et qu’il y avait du bois partout sur la route la charge avait chuté d'environ 25 étages WorkSafeBC a reçu la plainte anonyme d’un travailleur qui disait qu’il y avait très peu de protection au-dessus de leurs têtes peu de surveillance et peu ou pas de sécurité Une autre plainte faisait état d’un quasi-accident soit un événement qui aurait pu entraîner des blessures une semaine après la mort de la travailleuse mais les détails du document ont été caviardés CBC a contacté EllisDon pour avoir des commentaires WorkSafeBC ne souhaite pas commenter l’incident mortel arguant que l'enquête est toujours en cours En ce qui concerne les quasi-accidents signalés l’agence provinciale assure que tous les incidents sont inspectés et que les résultats sont communiqués aux travailleurs sur le chantier directrice des services de prévention sur le terrain de WorkSafeBC assure que les incidents sont signalés à l’agence provinciale Nous sommes allés sur ce chantier à plusieurs reprises Elle ajoute que WorkSafeBC a confiance dans la surveillance d'EllisDon sur le chantier d’Oakridge qui emploie 1700 travailleurs par jour [EllisDon] a un plan de sécurité spécifique solide sur le chantier et une forte surveillance [...] Nous communiquons avec l'employeur pour nous assurer qu'il effectue tout ce travail conformément à notre règlement il y a eu quatre incidents liés à des grues importants dans le Grand Vancouver cette année En 2021, l’effondrement d’une grue à Kelowna avait fait cinq morts WorkSafeBC a recommandé de nouvelles procédures de sécurité notamment la révision du programme de certification des grutiers de la Colombie-Britannique et l'augmentation de la fréquence des inspections des grues Avec les informations de Jon Hernandez et Tarnjit Parmar Ouvrir en mode plein écranLe 21 février 2024 la charge d'une grue est tombée d'environ 25 étages Des travailleurs du chantier de construction Oakridge ont signalé de multiples quasi-accidents concernant des grues des mois avant l'accident mortel d'une travailleuse Ils avaient notamment signalé la défaillance d’une grue L'incident n’a été révélé aux responsables du chantier que le lendemain matin L’incident fait toujours l’objet d’une enquête de la part de WorkSafeBC Grâce à une demande d'accès à l’information CBC/Radio-Canada a obtenu les rapports de toutes les plaintes faites sur le chantier d’Oakridge mené par l’entrepreneur principal EllisDon au coin de la rue Cambie et de la 41e West entre le 1er janvier 2023 et le 29 février 2024 un travailleur a signalé que deux grues étaient entrées en contact Selon les règles de la Colombie-Britannique pour les grues celles qui sont en activité dans des zones qui se chevauchent doivent avoir des limites claires Il doit également y avoir des procédures opérationnelles clairement écrites pour empêcher des collisions des chutes de charges ou le déplacement de grues un agent de sécurité de WorkSafeBC a signalé qu’une grue avait tenté de soulever un mur de 24 mètres la défaillance d’une grue a conduit à la chute d’un bloc d'une hauteur de 27 mètres sur un toit du chantier Les blocs sont des équipements lourds situés à l’extrémité du câble et utilisés pour soulever et déplacer des charges la grue a continué à être utilisée pour le reste de la journée et l’incident n’a été signalé à WorkSafeBC et à EllisDon que le lendemain matin Les documents décrivent aussi les appels qui ont eu lieu le jour où Yuridia Flores est morte Une personne a appelé pour signaler qu’un câble s’était cassé et qu’il y avait du bois partout sur la route WorkSafeBC a reçu la plainte anonyme d’un travailleur qui disait qu’il y avait très peu de protection au-dessus de leurs têtes peu de surveillance et peu ou pas de sécurité Une autre plainte faisait état d’un quasi-accident soit un événement qui aurait pu entraîner des blessures une semaine après la mort de la travailleuse mais les détails du document ont été caviardés CBC a contacté EllisDon pour avoir des commentaires WorkSafeBC ne souhaite pas commenter l’incident mortel arguant que l'enquête est toujours en cours En ce qui concerne les quasi-accidents signalés l’agence provinciale assure que tous les incidents sont inspectés et que les résultats sont communiqués aux travailleurs sur le chantier directrice des services de prévention sur le terrain de WorkSafeBC assure que les incidents sont signalés à l’agence provinciale Nous sommes allés sur ce chantier à plusieurs reprises Elle ajoute que WorkSafeBC a confiance dans la surveillance d'EllisDon sur le chantier d’Oakridge [EllisDon] a un plan de sécurité spécifique solide sur le chantier et une forte surveillance [...] Nous communiquons avec l'employeur pour nous assurer qu'il effectue tout ce travail conformément à notre règlement il y a eu quatre incidents liés à des grues importants dans le Grand Vancouver cette année WorkSafeBC a recommandé de nouvelles procédures de sécurité notamment la révision du programme de certification des grutiers de la Colombie-Britannique et l'augmentation de la fréquence des inspections des grues Yuridia Flores, une mère de deux enfants originaire du Mexique, a été tuée le 21 février quand une grue distributrice à tour sur le chantier d’Oakridge a perdu son chargement contre un immeuble En 2021, l’effondrement d’une grue à Kelowna avait fait cinq morts Yuridia Flores, une mère de deux enfants originaire du Mexique, a été tuée le 21 février quand une grue distributrice à tour sur le chantier d’Oakridge a perdu son chargement contre un immeuble ont signalé de multiples quasi-accidents concernant des grues des mois avant l'accident mortel d'une travailleuse quand un bloc s'était écrasé sur un toit L'incident n’a été révélé aux responsables du chantier que le lendemain matin dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"Matthew Trudeau responsable de l'information publique des pompiers n'a pas pu détailler le contenu de la charge sinon qu'elle était tombée d'environ 25 étages Il a précisé qu'environ 1700 travailleurs avaient été évacués du site Les pompiers ont été appelés sur la rue Cambie qui a été interdite à la circulation entre la 41e et la 45e Avenue Ouest Du bois et des matériaux qui se sont détachés ont pénétré différents étages Nos équipes sont en train de sécuriser les lieux Les pompiers ont quitté les lieux vers 18 h 30 L'identification de la victime relève du Service des coroners l'organisme provincial de réglementation des lieux de travail a déclaré avoir été informé du grave incident vers 15 h et que son équipe d'enquête a été mobilisée Chute d’une grue à Kelowna : la GRC demande une inculpation pour négligence criminelle Des travailleurs blessés sur un chantier de construction au centre-ville de Vancouver directeur commercial de la section locale de l’Union internationale des opérateurs ingénieurs dit avoir entendu parler de l’incident impliquant une grue à tour sur le site d'Oakridge Nos pensées vont aux travailleurs sur le site et aux familles des personnes touchées Cela nous rappelle la nécessité d'améliorer l'environnement réglementaire au plus haut niveau avec une application adéquate Cet incident mortel s'est produit deux jours après que la Gendarmerie royale du Canada (GRC) eut recommandé qu’une inculpation pour négligence criminelle ayant entraîné la mort soit prononcée dans l'affaire de l'effondrement d’une grue survenu à Kelowna en 2021 Cinq personnes avaient alors trouvé la mort Avec les informations de Karin Larsen et de Gian Paolo Mendoza Ouvrir en mode plein écranLa grue s'est effondrée sur cet immeuble en construction de la rue Cambie Un travailleur qui se trouvait au niveau du sol a perdu la vie lorsque la charge d'une grue s'est effondrée mercredi après-midi sur un immeuble en construction situé près du centre commercial Oakridge a confirmé le Service des incendies de Vancouver n'a pas pu détailler le contenu de la charge sinon qu'elle était tombée d'environ 25 étages Il a précisé qu'environ 1700 travailleurs avaient été évacués du site Les pompiers ont été appelés sur la rue Cambie qui a été interdite à la circulation entre la 41e et la 45e Avenue Ouest Ouvrir en mode plein écranLa charge tombée a tué une personne et brisé des fenêtres du bâtiment en construction selon le Service des incendies de Vancouver Du bois et des matériaux qui se sont détachés ont pénétré différents étages Nos équipes sont en train de sécuriser les lieux Les pompiers ont quitté les lieux vers 18 h 30 L'identification de la victime relève du Service des coroners l'organisme provincial de réglementation des lieux de travail a déclaré avoir été informé du grave incident vers 15 h et que son équipe d'enquête a été mobilisée directeur commercial de la section locale de l’Union internationale des opérateurs ingénieurs dit avoir entendu parler de l’incident impliquant une grue à tour sur le site d'Oakridge Nos pensées vont aux travailleurs sur le site et aux familles des personnes touchées Cela nous rappelle la nécessité d'améliorer l'environnement réglementaire au plus haut niveau avec une application adéquate Cet incident mortel s'est produit deux jours après que la Gendarmerie royale du Canada (GRC) eut recommandé qu’une inculpation pour négligence criminelle ayant entraîné la mort soit prononcée dans l'affaire de l'effondrement d’une grue survenu à Kelowna en 2021 Cinq personnes avaient alors trouvé la mort Chute d’une grue à Kelowna : la GRC demande une inculpation pour négligence criminelle Des travailleurs blessés sur un chantier de construction au centre-ville de Vancouver Un travailleur qui se trouvait au niveau du sol a perdu la vie lorsque la charge d'une grue s'est effondrée mercredi après-midi sur un immeuble en construction situé près du centre commercial Oakridge dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"Dans ce procès civil les avocats des plaignants doivent démontrer que leurs 28 clients ont fait les frais d'expériences psychiatriques drogués et humiliés lors de leur internement à l'ancien asile Oak Ridge de 1965 à 1983 était le directeur clinique à Oak Ridge de 1973 à 1978 à l'exception d'une année sabbatique qu'il a prise pour voyager Il y avait fait sa résidence en psychiatrie sous la supervision du Dr Elliott Barker qu'il a ensuite remplacé avait dit dans ses arguments d'ouverture que les programmes litigieux auxquels étaient soumis les patients de son client avaient reçu à l'époque l'aval de la communauté scientifique et des autorités de la province Le Dr Maier affirme par ailleurs à la barre des témoins que les drogues controversées comme le LSD et le DTT étaient administrées sur une base volontaire D'anciens pensionnaires ont plutôt déclaré qu'ils n'avaient pas eu le choix de se soumettre aux traitements Les traitements psychiatriques à Oak Ridge étaient similaires à de la torture, selon un expert consistait selon lui à développer l'empathie chez les psychopathes et les schizophrènes à perturber leur défense psychologique et à provoquer des sautes d'humeur Ces drogues neuroleptiques permettaient de relâcher leurs émotions réprimées pour qu'ils en discutent par la suite dans des thérapies de groupe que nous organisions Le Dr Maier souligne que les soins qu'il prodiguait à ses patients étaient bénéfiques Ils étaient novateurs pour l'époque compte tenu de l'avancée de la médecine psychiatrique Il ne s'agissait donc pas d'expériences sur des cobayes comme le laisse entendre la défense des plaignants Il en était de même avec le recours à la capsule : cette cellule insonorisée en forme de dôme dans laquelle on enfermait quatre à cinq individus nus pour les forcer à communiquer entre eux parce que les patients partageaient rarement leurs émotions Les psychopathes ont tendance à éviter le regard des autres nous voulions stimuler leurs facultés sensorielles sans qu'ils soient distraits par des facteurs extérieurs comme la lumière ou le bruit Le Dr Maier reconnaît que la capsule ne comportait qu'une toilette et que les parois étaient munies de pailles pour qu'ils puissent se nourrir en liquides durant une semaine les pensionnaires pouvaient discuter des émotions qu'ils avaient ressenties en leur présence durant leur confinement Nos patients avaient une propension à s'isoler pour se protéger ce qui ne facilitait jamais leur guérison.. nos traitements mettaient donc l'accent sur les relations interpersonnelles Le psychiatre confirme que les patients récalcitrants étaient mis en confinement solitaire pour les calmer ou protéger le personnel et les autres pensionnaires D'autres étaient retenus par des contentions sur les étages L'une des méthodes consistait à attacher par le poignet un patient turbulent à un autre plus docile avec des menottes l'individu violent avait les deux poignets menottés à son ceinturon pour l'empêcher de se débattre Le Dr Maier confirme que les cellules des patients étaient davantage des chambres avec un mobilier et une fenêtre en plexiglas Ils pouvaient voir ce qui se passait dans la cour ou admirer des oiseaux dans le ciel Il reconnaît que les pensionnaires avaient des chemises d'hôpital inaltérables pour éviter qu'ils n'utilisent le tissu pour s'adonner à l'automutilation L'établissement possédait toutefois deux cellules où les lits étaient encastrés dans le béton pour dissuader les patients de se servir d'un lit en métal pour s'infliger des blessures Il ajoute que les patients n'étaient jamais privés de sommeil et que personne ne se plaignait à ce sujet auprès du personnel Le Dr Maier qui est interrogé par son avocat affirme par ailleurs que la transparence était de mise et que ses traitements n'étaient pas tenus secrets Il affirme que la presse était invitée à Oak Ridge pour écrire des articles à ce sujet Nous avions également en résidence des étudiants en travail social et en sciences infirmières Il souligne que la GRC avait été mise au courant des traitements au LSD et qu'elle avait même demandé des échantillons d'urine de certains patients afin que la Couronne puisse utiliser leurs résultats dans des procédures judiciaires Les pensionnaires acceptaient volontiers de donner leur urine Déshabillé, drogué : un témoignage accablant contre l'ancien asile de Penetanguishene Me Black a projeté en fin d'après-midi certaines photos des pensionnaires et du personnel d'Oak Ridge. On y voit par exemple des patients lors des thérapies de groupe ou dans des activités à l'extérieur. Nous allions parfois en pique-nique sur l'île Beausoleil dans la baie Georgienne, se souvient le Dr Maier. D'autres photos montrent des pensionnaires dans des séances de yoga ou de méditation; d'autres où ils sont en train de jouer au souque à la corde sur les terrains de l'asile. Vous pouvez voir qu'ils avaient du plaisir, a-t-il conclu. Jean-Philippe Nadeau est journaliste à Radio-Canada depuis 1994. Il couvre au tribunal des causes civiles, commerciales et criminelles depuis 2007, de Kingston à London et de Hamilton à Barrie. Il adore la loi, sans avoir étudié le droit, et l'ambiance des procès, même si ce n'est pas facile au criminel. Son objectif serait de transmettre sa passion à la relève de Radio-Canada. Ouvrir en mode plein écranL'institut Oak Ridge de Penetanguishine dans les années 1970 Jean-Philippe NadeauPublié le 18 juin 2019 à 20 h 47 HAEPrenez note que cet article publié en 2019 pourrait contenir des informations qui ne sont plus à jour L'un des anciens psychiatres de l'asile de Penetanguishene s'est défendu mardi d'avoir administré des traitements expérimentaux à ses patients dans les années 1970 Une vingtaine d'ex-pensionnaires poursuivent les Drs Gary Maier et Elliott Barker et la province pour les soins qu'ils y ont reçus sur une période de 20 ans Un juge avait autorisé en 2017 leur recours de 25 millions de dollars après avoir comparé ces traitements à des actes de torture les avocats des plaignants doivent démontrer que leurs 28 clients ont fait les frais d'expériences psychiatriques drogués et humiliés lors de leur internement à l'ancien asile Oak Ridge de 1965 à 1983 était le directeur clinique à Oak Ridge de 1973 à 1978 à l'exception d'une année sabbatique qu'il a prise pour voyager Il y avait fait sa résidence en psychiatrie sous la supervision du Dr Elliott Barker qu'il a ensuite remplacé Ouvrir en mode plein écranLe Dr Gary Maier Photo : Radio-Canada / Jean-Philippe Nadeau avait dit dans ses arguments d'ouverture que les programmes litigieux auxquels étaient soumis les patients de son client avaient reçu à l'époque l'aval de la communauté scientifique et des autorités de la province Le Dr Maier affirme par ailleurs à la barre des témoins que les drogues controversées comme le LSD et le DTT étaient administrées sur une base volontaire D'anciens pensionnaires ont plutôt déclaré qu'ils n'avaient pas eu le choix de se soumettre aux traitements consistait selon lui à développer l'empathie chez les psychopathes et les schizophrènes à perturber leur défense psychologique et à provoquer des sautes d'humeur Ces drogues neuroleptiques permettaient de relâcher leurs émotions réprimées pour qu'ils en discutent par la suite dans des thérapies de groupe que nous organisions Le Dr Maier souligne que les soins qu'il prodiguait à ses patients étaient bénéfiques Ils étaient novateurs pour l'époque compte tenu de l'avancée de la médecine psychiatrique Il ne s'agissait donc pas d'expériences sur des cobayes comme le laisse entendre la défense des plaignants Ouvrir en mode plein écranLe Dr Gary Maier est l'un des deux anciens psychiatres de l'asile Oak Ridge poursuivis dans cette affaire Il en était de même avec le recours à la capsule : cette cellule insonorisée en forme de dôme dans laquelle on enfermait quatre à cinq individus nus pour les forcer à communiquer entre eux parce que les patients partageaient rarement leurs émotions Les psychopathes ont tendance à éviter le regard des autres nous voulions stimuler leurs facultés sensorielles sans qu'ils soient distraits par des facteurs extérieurs comme la lumière ou le bruit Le Dr Maier reconnaît que la capsule ne comportait qu'une toilette et que les parois étaient munies de pailles pour qu'ils puissent se nourrir en liquides durant une semaine les pensionnaires pouvaient discuter des émotions qu'ils avaient ressenties en leur présence durant leur confinement Nos patients avaient une propension à s'isoler pour se protéger ce qui ne facilitait jamais leur guérison.. Le psychiatre confirme que les patients récalcitrants étaient mis en confinement solitaire pour les calmer ou protéger le personnel et les autres pensionnaires D'autres étaient retenus par des contentions sur les étages L'une des méthodes consistait à attacher par le poignet un patient turbulent à un autre plus docile avec des menottes l'individu violent avait les deux poignets menottés à son ceinturon pour l'empêcher de se débattre Ouvrir en mode plein écranLe Centre de santé mentale de Penetanguishine a remplacé l'asile Oak Ridge Le Dr Maier confirme que les cellules des patients étaient davantage des chambres avec un mobilier et une fenêtre en plexiglas Il reconnaît que les pensionnaires avaient des chemises d'hôpital inaltérables pour éviter qu'ils n'utilisent le tissu pour s'adonner à l'automutilation Ouvrir en mode plein écranUne aile psychiatrique de l'Institut psychiatrique de Penetanguishine dans les années 1990 L'établissement possédait toutefois deux cellules où les lits étaient encastrés dans le béton pour dissuader les patients de se servir d'un lit en métal pour s'infliger des blessures Il ajoute que les patients n'étaient jamais privés de sommeil et que personne ne se plaignait à ce sujet auprès du personnel Le Dr Maier qui est interrogé par son avocat affirme par ailleurs que la transparence était de mise et que ses traitements n'étaient pas tenus secrets Il affirme que la presse était invitée à Oak Ridge pour écrire des articles à ce sujet Nous avions également en résidence des étudiants en travail social et en sciences infirmières Ouvrir en mode plein écranLes avocats qui représentent les Drs Gary Maier et Elliott Barker dans cette cause Il souligne que la GRC avait été mise au courant des traitements au LSD et qu'elle avait même demandé des échantillons d'urine de certains patients afin que la Couronne puisse utiliser leurs résultats dans des procédures judiciaires Me Black a projeté en fin d'après-midi certaines photos des pensionnaires et du personnel d'Oak Ridge. On y voit par exemple des patients lors des thérapies de groupe ou dans des activités à l'extérieur. Nous allions parfois en pique-nique sur l'île Beausoleil dans la baie Georgienne, se souvient le Dr Maier. D'autres photos montrent des pensionnaires dans des séances de yoga ou de méditation; d'autres où ils sont en train de jouer au souque à la corde sur les terrains de l'asile. Vous pouvez voir qu'ils avaient du plaisir, a-t-il conclu. Chargement en coursInfolettre ICI OntarioUne fois par jour Les traitements psychiatriques à Oak Ridge étaient similaires à de la torture, selon un expert Déshabillé, drogué : un témoignage accablant contre l'ancien asile de Penetanguishene Me Black a projeté en fin d'après-midi certaines photos des pensionnaires et du personnel d'Oak Ridge On y voit par exemple des patients lors des thérapies de groupe ou dans des activités à l'extérieur Nous allions parfois en pique-nique sur l'île Beausoleil dans la baie Georgienne D'autres photos montrent des pensionnaires dans des séances de yoga ou de méditation; d'autres où ils sont en train de jouer au souque à la corde sur les terrains de l'asile Vous pouvez voir qu'ils avaient du plaisir Jean-Philippe Nadeau est journaliste à Radio-Canada depuis 1994 de Kingston à London et de Hamilton à Barrie même si ce n'est pas facile au criminel Son objectif serait de transmettre sa passion à la relève de Radio-Canada L'un des anciens psychiatres de l'asile de Penetanguishene s'est défendu mardi d'avoir administré des traitements expérimentaux à ses patients dans les années 1970 Une vingtaine d'ex-pensionnaires poursuivent les Drs Gary Maier et Elliott Barker et la province pour les soins qu'ils y ont reçus sur une période de 20 ans Un juge avait autorisé en 2017 leur recours de 25 millions de dollars après avoir comparé ces traitements à des actes de torture Dans cette poursuite, une trentaine de plaignants doivent convaincre le juge Ed Morgan de la Cour supérieure de l'Ontario que les traitements qu'ils ont subis durant leur internement à Penentanguishene représentaient des actes de torture comme l'a soutenu le juge Paul Perell qui a autorisé leur recours en 2017. Le Dr Bradford soutient que les traitements qui étaient administrés à l'asile Oak Ridge étaient inappropriés et contraires aux conventions de Helsinki et de Genève. C'étaient des traitements expérimentaux pour l'époque, il s'agissait d'une approche coercitive et non thérapeutique, explique-t-il. Depuis le début du procès il y a un mois, d'anciens pensionnaires ont témoigné qu'ils avaient été drogués, brutalisés, humiliés et traités comme des cobayes. L'un des traitements consistait à regrouper dans un espace exigu cinq ou six patients aux comportements antagonistes et à les déshabiller afin de créer ou d'exacerber leurs symptômes d'anxiété et leurs hallucinations. On pensait en théorie que ces traitements allaient briser ces individus pour mieux changer leur personnalité et mieux les guérir, poursuit le Dr Bradford. Or, le Dr Bradford affirme que ces techniques étaient en vogue à l'époque parmi les services de renseignement américains pour lessiver le cerveau des détenus afin de les forcer à confesser un crime. Ces drogues étaient toxiques et dangereuses en particulier chez des sujets vulnérables, parce qu'elles accentuent les états de psychose ou créent des psychoses chez ceux qui n'en souffrent pas. La province et la défense des deux psychiatres affirment que ces traitements étaient plutôt conventionnels compte tenu de la médecine psychiatrique à l'époque et que les patients s'y soumettaient de façon volontaire. Même s'ils étaient volontaires, ces méthodes étaient illégitimes et n'avaient aucun mérite scientifique, souligne le Dr Bradford. Le Dr Bradford confirme que ceux qui ont subi de tels traitements éprouvent probablement des séquelles à long terme depuis leur sortie de l'institution. Cela dépend du nombre de fois qu'ils y ont passé en confinement solitaire et de la durée de chaque période de confinement. Le psychiatre se dit en outre convaincu que les médecins à l'époque savaient que ces traitements auraient des effets dommageables sur la santé mentale de leurs patients. Il concède toutefois que ces psychiatres n'étaient peut-être pas en mesure de faire une distinction entre leurs méthodes et des actes de torture. Il reconnaît que certains pensionnaires s'en sont mieux sortis que d'autres à leur retour dans la communauté, parce qu'ils étaient plus résilients, mais cela ne signifie pas pour autant qu'ils ont moins souffert que les autres durant leur internement. La résilience ne peut [toutefois] être évoquée comme un argument valable pour dire qu'aucun mal ne leur a été causé, conclut-il, en faisant allusion à l'avocate de la province qui laissait entendre mardi que le plaignant R. D. avait surmonté son alcoolisme et sa pyromanie après trois séjours dans l'institution. Ce sera au tour des avocats des Drs Maier et Barker et ceux de la province d'appeler leurs propres experts à la barre des témoins à la mi-juin. Les deux médecins n'assistent pas aux audiences. Le Dr Barker, qui vit en Ontario, n'est plus en état de se déplacer. Il est représenté par des curateurs dans cette cause. Le Dr Maier habite maintenant au Wisconsin. Certains anciens pensionnaires sont par ailleurs décédés et ils sont représentés par leurs exécuteurs testamentaires. D'autres sont toujours en détention, soit en prison soit dans un centre de santé mentale de la province. Ouvrir en mode plein écranL'institut Oak Ridge de Penetanguishine dans les années 1970. Jean-Philippe NadeauPublié le 29 mai 2019 à 19 h 25 HAEPrenez note que cet article publié en 2019 pourrait contenir des informations qui ne sont plus à jour. À Toronto, un expert a soutenu mercredi devant les tribunaux que les traitements que d'anciens pensionnaires ont reçus de 1965 à 1983 à l'ancien asile Oak Ridge de Penetanguishene étaient contraires aux conventions internationales. Le Dr John Bradford témoigne pour la défense d'une trentaine d'Ontariens qui poursuivent la province et deux anciens médecins pour 25 millions de dollars. Le Dr John Bradford est un psychiatre de renommée internationale spécialisé dans les déviances. Il est le témoin clef des avocats d'une trentaine d'anciens patients des Drs Gary Maier et Elliott Barker, qui ne pratiquent plus aujourd'hui la psychiatrie. Dans cette poursuite, une trentaine de plaignants doivent convaincre le juge Ed Morgan de la Cour supérieure de l'Ontario que les traitements qu'ils ont subis durant leur internement à Penentanguishene représentaient des actes de torture comme l'a soutenu le juge Paul Perell qui a autorisé leur recours en 2017. Ouvrir en mode plein écranLe Dr John Bradford (à droite) au côté de l'avocat des plaignants, Joel Rochon. Le Dr Bradford soutient que les traitements qui étaient administrés à l'asile Oak Ridge étaient inappropriés et contraires aux conventions de Helsinki et de Genève. C'étaient des traitements expérimentaux pour l'époque, il s'agissait d'une approche coercitive et non thérapeutique, explique-t-il. Depuis le début du procès il y a un mois, d'anciens pensionnaires ont témoigné qu'ils avaient été drogués, brutalisés, humiliés et traités comme des cobayes. L'un des traitements consistait à regrouper dans un espace exigu cinq ou six patients aux comportements antagonistes et à les déshabiller afin de créer ou d'exacerber leurs symptômes d'anxiété et leurs hallucinations. On pensait en théorie que ces traitements allaient briser ces individus pour mieux changer leur personnalité et mieux les guérir, poursuit le Dr Bradford. Ouvrir en mode plein écranUne aile psychiatrique de l'Institut psychiatrique de Penetanguishene dans les années 1990. Or, le Dr Bradford affirme que ces techniques étaient en vogue à l'époque parmi les services de renseignement américains pour lessiver le cerveau des détenus afin de les forcer à confesser un crime. Ces drogues étaient toxiques et dangereuses en particulier chez des sujets vulnérables, parce qu'elles accentuent les états de psychose ou créent des psychoses chez ceux qui n'en souffrent pas. La province et la défense des deux psychiatres affirment que ces traitements étaient plutôt conventionnels compte tenu de la médecine psychiatrique à l'époque et que les patients s'y soumettaient de façon volontaire. Même s'ils étaient volontaires, ces méthodes étaient illégitimes et n'avaient aucun mérite scientifique, souligne le Dr Bradford. Ouvrir en mode plein écranLes avocats qui représentent les Drs Gary Maier et Elliott Barker dans cette cause. Le Dr Bradford confirme que ceux qui ont subi de tels traitements éprouvent probablement des séquelles à long terme depuis leur sortie de l'institution. Cela dépend du nombre de fois qu'ils y ont passé en confinement solitaire et de la durée de chaque période de confinement. Le psychiatre se dit en outre convaincu que les médecins à l'époque savaient que ces traitements auraient des effets dommageables sur la santé mentale de leurs patients. Il concède toutefois que ces psychiatres n'étaient peut-être pas en mesure de faire une distinction entre leurs méthodes et des actes de torture. Il reconnaît que certains pensionnaires s'en sont mieux sortis que d'autres à leur retour dans la communauté, parce qu'ils étaient plus résilients, mais cela ne signifie pas pour autant qu'ils ont moins souffert que les autres durant leur internement. Ouvrir en mode plein écranR. D., qui tient à garder l'anonymat, est l'un des nombreux plaignants dans cette poursuite civile. La résilience ne peut [toutefois] être évoquée comme un argument valable pour dire qu'aucun mal ne leur a été causé, conclut-il, en faisant allusion à l'avocate de la province qui laissait entendre mardi que le plaignant R. D. avait surmonté son alcoolisme et sa pyromanie après trois séjours dans l'institution. Ce sera au tour des avocats des Drs Maier et Barker et ceux de la province d'appeler leurs propres experts à la barre des témoins à la mi-juin. Les deux médecins n'assistent pas aux audiences. Le Dr Barker, qui vit en Ontario, n'est plus en état de se déplacer. Il est représenté par des curateurs dans cette cause. Le Dr Maier habite maintenant au Wisconsin. Certains anciens pensionnaires sont par ailleurs décédés et ils sont représentés par leurs exécuteurs testamentaires. D'autres sont toujours en détention, soit en prison soit dans un centre de santé mentale de la province. Chargement en coursInfolettre Info nationaleNouvelles Le Dr John Bradford est un psychiatre de renommée internationale spécialisé dans les déviances Il est le témoin clef des avocats d'une trentaine d'anciens patients des Drs Gary Maier et Elliott Barker qui ne pratiquent plus aujourd'hui la psychiatrie une trentaine de plaignants doivent convaincre le juge Ed Morgan de la Cour supérieure de l'Ontario que les traitements qu'ils ont subis durant leur internement à Penentanguishene représentaient des actes de torture comme l'a soutenu le juge Paul Perell qui a autorisé leur recours en 2017 Le Dr Bradford soutient que les traitements qui étaient administrés à l'asile Oak Ridge étaient inappropriés et contraires aux conventions de Helsinki et de Genève C'étaient des traitements expérimentaux pour l'époque il s'agissait d'une approche coercitive et non thérapeutique Depuis le début du procès il y a un mois d'anciens pensionnaires ont témoigné qu'ils avaient été drogués humiliés et traités comme des cobayes L'un des traitements consistait à regrouper dans un espace exigu cinq ou six patients aux comportements antagonistes et à les déshabiller afin de créer ou d'exacerber leurs symptômes d'anxiété et leurs hallucinations On pensait en théorie que ces traitements allaient briser ces individus pour mieux changer leur personnalité et mieux les guérir le Dr Bradford affirme que ces techniques étaient en vogue à l'époque parmi les services de renseignement américains pour lessiver le cerveau des détenus afin de les forcer à confesser un crime Ces drogues étaient toxiques et dangereuses en particulier chez des sujets vulnérables parce qu'elles accentuent les états de psychose ou créent des psychoses chez ceux qui n'en souffrent pas La province et la défense des deux psychiatres affirment que ces traitements étaient plutôt conventionnels compte tenu de la médecine psychiatrique à l'époque et que les patients s'y soumettaient de façon volontaire ces méthodes étaient illégitimes et n'avaient aucun mérite scientifique Le Dr Bradford confirme que ceux qui ont subi de tels traitements éprouvent probablement des séquelles à long terme depuis leur sortie de l'institution Cela dépend du nombre de fois qu'ils y ont passé en confinement solitaire et de la durée de chaque période de confinement Le psychiatre se dit en outre convaincu que les médecins à l'époque savaient que ces traitements auraient des effets dommageables sur la santé mentale de leurs patients Il concède toutefois que ces psychiatres n'étaient peut-être pas en mesure de faire une distinction entre leurs méthodes et des actes de torture Il reconnaît que certains pensionnaires s'en sont mieux sortis que d'autres à leur retour dans la communauté parce qu'ils étaient plus résilients mais cela ne signifie pas pour autant qu'ils ont moins souffert que les autres durant leur internement La résilience ne peut [toutefois] être évoquée comme un argument valable pour dire qu'aucun mal ne leur a été causé en 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identifier et combler les lacunes en matière de sécurité des grues Parmi les principales recommandations figurent la révision du programme de certification des grutiers et l'amélioration de la formation des superviseurs des opérateurs et des personnes chargées du montage et du démontage des grues De nouvelles réglementations sur la fréquence des inspections des grues ont été suggérées ainsi que l'augmentation du nombre d'inspecteurs de grues de WorkSafeBC WorkSafeBC indique qu'elle a élaboré ces plans de sécurité après avoir réuni 130 individus et groupes un ouvrier du bâtiment tué dans l'effondrement d'une grue à Kelowna a déclaré qu'il a fallu du temps avant que ces mesures se concrétisent Beaucoup de changements sont nécessaires et il y a eu beaucoup d'accidents depuis celui de Kelowna J'ai hâte que les choses changent pour que personne ne connaisse ce que j'endure a-t-il ajouté responsable des services de prévention de WorkSafeBC la supervision et les pratiques de travail nécessaires pour assurer la sécurité des travailleurs dans un environnement de travail qui évolue constamment Ouvrir en mode plein écranCinq personnes avaient trouvé la mort après l'effondrement d'une grue sur un bâtiment à Kelowna Photo : La Presse canadienne / Alistair Waters Ces recommandations étaient attendues depuis longtemps de la section locale 115 de l'Union internationale des ingénieurs d’exploitation (IUOE) D'après un communiqué de WorkSafeBC datant d'avril les accidents du travail et les maladies professionnelles 175 travailleurs de la Colombie-Britannique en2023","text":"ont coûté la vie à175 travailleurs de la Colombie-Britannique en2023"}}'>ont coûté la vie à 175 travailleurs de la Colombie-Britannique en 2023 les maladies professionnelles étaient toujours en 2023 la première cause de mortalité des travailleurs dont48 à la suite d'une exposition à l'amiante","text":"entraînant la mort de93 d'entre eux dont48 à la suite d'une exposition à l'amiante"}}'>entraînant la mort 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drogues comme le LSD l'isolement en cellule et l'enfermement prolongé des pensionnaires dans une capsule Le recours avait été amorcé en 2000 au nom de Danny Joanisse D'autres anciens patients d'Oak Ridge se sont ensuite joints à lui Joanisse est décédé peu avant Noël 2019 La seconde partie du procès portera maintenant sur le montant des indemnités à verser aux plaignants lequel a été fixé pour l'instant à 25 millions de dollars Un premier juge avait accepté en 2017 un recours contre l'ancien asile pour des traitements psychiatriques qu'il avait comparés à des actes de torture le ministère du Procureur général de l'Ontario s’est refusé à tout commentaire parce que la province est en train d'étudier attentivement le verdict durant la période qui lui est accordée pour décider d'interjeter appel du jugement ou non D'après les informations de Jean-Philippe Nadeau Prenez note que cet article publié en 2020 pourrait contenir des informations qui ne sont plus à jour Un tribunal ontarien donne raison à 28 anciens pensionnaires du défunt asile OakRidge de Penetanguishine en statuant qu'ils ont bien été torturés au cours de leur internement de 1965 à 1983 La poursuite visait les psychiatres à la retraite le juge écrit que la province et les deux médecins ont enfreint leurs obligations fiduciaires en soumettant leurs patients à trois programmes expérimentaux contre leur gré Les thérapies controversées concernaient notamment des injections de drogues comme le LSD l'isolement en cellule et l'enfermement prolongé des pensionnaires dans une capsule Le recours avait été amorcé en 2000 au nom de Danny Joanisse D'autres anciens patients d'Oak Ridge se sont ensuite joints à lui La seconde partie du procès portera maintenant sur le montant des indemnités à verser aux plaignants lequel a été fixé pour l'instant à 25 millions de dollars Un premier juge avait accepté en 2017 un recours contre l'ancien asile pour des traitements psychiatriques qu'il avait comparés à des actes de torture le ministère du Procureur général de l'Ontario s’est refusé à tout commentaire parce que la province est en train d'étudier attentivement le verdict durant la période qui lui est accordée pour décider d'interjeter appel du jugement ou non D'après les informations de Jean-Philippe Nadeau La poursuite visait les psychiatres à la retraite Un tribunal ontarien donne raison à 28 anciens pensionnaires du défunt asile OakRidge de Penetanguishine en statuant qu'ils ont bien été torturés au cours de leur internement de 1965 à 1983 dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"REMARQUE : Ce texte contient des informations qui pourraient troubler certains lecteurs les plaignants ont affirmé qu'ils avaient été torturés drogués et humiliés au cours de leur internement à l'ancien asile Oak Ridge de 1965 à 1983 Le juge qui a autorisé leur recours avait comparé les traitements qu'ils y avaient reçus à des actes de torture Les traitements controversés concernaient notamment les médications à l'alcool les injections de drogues comme le LSD le recours à une capsule de détention et le programme MAP Les psychopathes et les patients schizophrènes représentaient la majorité des criminels aliénés de l'institution durant cette période contre-interroge à la barre des témoins le Dr Gary Maier un psychiatre septuagénaire semi-retraité qui vit aujourd'hui à Madison au Wisconsin le Dr Gary Maier reconnaît qu'il n'était pas encore membre de son ordre professionnel lorsqu'il a été embauché à Oak Ridge à titre de directeur clinicien de 1973 à 1978 le Dr Elliott Barker était le mentor du Dr Maier qui avait fait sa résidence en psychiatrie à Penetanguishene Le psychiatre ajoute qu'il n'avait pas d'expérience pour injecter des drogues neuroleptiques comme le LSD ou le DTT à des patients atteints de troubles de la personnalité ou des psychopathes Je connaissais seulement les effets du LSD sur des alcooliques Le Dr Maier reconnaît aujourd'hui que le LSD pouvait provoquer de l'anxiété Il affirme qu'il ne connaissait pas non plus le recours contesté à la capsule dans laquelle cinq à six patients étaient enfermés nus durant une semaine pour les obliger à interagir Ce traitement avait été élaboré par le Dr Barker La défense des plaignants soutient qu'il n'existait aucune méthode du genre dans le monde la capsule à Oak Ridge était la seule au Canada Me Jervis profite de l'instant pour indiquer à la cour que le Dr Barker avait étudié à Pékin les effets du lessivage des cerveaux chez les prisonniers en Chine Le Dr Barker avait une théorie selon laquelle la maladie mentale résultait d'une incapacité à communiquer avec autrui Le Dr Maier ajoute qu'il était en revanche au courant de l'existence du programme MAP qui consistait à rassembler dans une pièce des patients qui avaient passé deux ou trois jours en confinement solitaire et à leur demander de ne pas bouger sous peine d'être renvoyés en isolement prolongé pour une nouvelle période Seuls les patients schizophrènes violents étaient envoyés en confinement solitaire La défense des plaignants soutient plutôt que n'importe quel pensionnaire pouvait être soumis au MAP même pour un simple écart de conduite avec un enseignant de l'établissement Le Dr Maier assure toutefois que ces traitements étaient novateurs compte tenu de l'avancée de la psychiatrie à l'époque et qu'il ne s'agissait en aucun cas de soins psychiatriques expérimentaux Il ajoute que les traitements contre la schizophrénie étaient quasi inexistants et que les drogues antipsychotiques au début des années 1960 en étaient encore qu'à leur début Le psychiatre rejette par ailleurs les allégations selon lesquelles les pensionnaires étaient privés de sommeil Les lumières restaient allumées dans la capsule ou les cellules de confinement solitaire pour que les gardiens puissent les surveiller en tout temps afin qu'il ne leur arrive rien de grave Le psychiatre ajoute qu'il n'a jamais entendu parler de cas d'agressions sexuelles dans la capsule entre des adultes et des mineurs Le procès a démontré que deux adolescents de 14 et 17 ans y avaient été enfermés Le Dr Maier se défend par ailleurs d'avoir tenté de s'opposer à la commission d'examen lorsqu'elle décidait de remettre en liberté des pensionnaires qui avaient refusé de se soumettre aux programmes thérapeutiques du Dr Barker à Oak Ridge Le chemin de la liberté n'était accessible qu'à ceux qui participaient à ces programmes? Le Dr Maier reconnaît toutefois qu'il n'a pas suivi l'approche Maxwell Jones un modèle thérapeutique conventionnel qui reposait sur quatre principes: le volontariat Il était donc entendu que les patients se soumettaient volontairement aux différents programmes qu'ils consentaient à prendre leurs médicaments mais qu'ils avaient le choix de les interrompre sous la direction du personnel médical Me Jervis cite le cas de l'un de ses clients dont il reprend le témoignage de l'époque alors qu'il est aux prises avec d'horribles douleurs : Je vous supplie Dr Maier d'interrompre vos traitements Le Dr Maier reconnaît qu'il n'interrompait presque jamais les traitements lorsque les patients lui en faisaient la demande les soins étaient administrés sur une base volontaire mais nous continuions à les prodiguer jusqu'au bout parce que nous pensions qu'ils étaient bénéfiques et qu'ils donnaient de bons résultats Il précise que ces traitements étaient basés sur les recherches du Dr Elliott Barker Nous ne cherchions pas à changer leur personnalité mais à baisser plutôt leur défense psychologique pour mieux étudier leur personnalité et les soigner dans des thérapies de groupe Des experts avaient déclaré plus tôt à la barre du procès que les traitements au LSD avaient finalement été abandonnés parce qu'ils ne comportaient aucun mérite scientifique Des expériences psychédéliques de grande envergure conduites en 1975 et en 1976 ont mis fin aux traitements au LSD à l'ancien asile de Penetanguishene Le Dr Maier sera éventuellement renvoyé en 1978 après avoir injecté de fortes doses de LSD à un premier groupe de 26 patients en 1975 puis à un second contingent de 12 pensionnaires l'année suivante L'objectif consistait à faire partager en groupe les émotions de ceux qui s'étaient prêtés à l'expérience afin qu'ils apprennent à se comprendre collectivement et à mieux se connaître eux-mêmes dans le cadre de leur thérapie À la répétition de l'exercice exaspérés et inquiets pour leur sécurité avaient empêché le personnel médical de pénétrer dans l'institution parce que de nombreux patients se promenaient en transe et en liberté sur les étages Des responsables du ministère avaient alors été dépêchés sur les lieux Les gardiens m'avaient interdit à moi et mon personnel l'entrée à l'établissement si bien que la haute-direction de l'hôpital m'avait demandé de quitter Oak Ridge pour toujours Peu de professionnels de la santé pour veiller sur l'ancien asile de Penetanguishene Le Dr Maier admet enfin que certains articles qu'il avait rédigés en 1979 pour des revues scientifiques américaines et canadiennes sur des traitements psychiatriques aux aliénés n'avaient pas été publiés, parce qu'ils soulevaient de sérieuses questions d'éthique médicale. Aux États-Unis, la communauté scientifique entretenait à l'époque des préjugés contre l'utilisation de drogues de rue comme le LSD, alors je ne suis pas surpris que mes articles aient suscité la critique, mais cela ne signifie pas que nos traitements étaient controversés pour autant, conclut-il. Jean-Philippe NadeauPublié le 19 juin 2019 à 19 h 50 HAEPrenez note que cet article publié en 2019 pourrait contenir des informations qui ne sont plus à jour L'un des deux psychiatres poursuivis au civil par d'anciens patients du défunt institut de Penetnaguishene a reconnu mercredi qu'il agissait presque toujours contre leur volonté même s'ils le suppliaient de mettre fin à ses traitements controversés une poursuite de 25 millions de dollars que 28 pensionnaires de l'asile avaient déposée contre la province et les Drs Gary Maier et Elliott Barker REMARQUE : Ce texte contient des informations qui pourraient troubler certains lecteurs les plaignants ont affirmé qu'ils avaient été torturés drogués et humiliés au cours de leur internement à l'ancien asile Oak Ridge de 1965 à 1983 Le juge qui a autorisé leur recours avait comparé les traitements qu'ils y avaient reçus à des actes de torture Les traitements controversés concernaient notamment les médications à l'alcool le recours à une capsule de détention et le programme MAP Les psychopathes et les patients schizophrènes représentaient la majorité des criminels aliénés de l'institution durant cette période contre-interroge à la barre des témoins le Dr Gary Maier un psychiatre septuagénaire semi-retraité qui vit aujourd'hui à Madison au Wisconsin le Dr Gary Maier reconnaît qu'il n'était pas encore membre de son ordre professionnel lorsqu'il a été embauché à Oak Ridge à titre de directeur clinicien de 1973 à 1978 le Dr Elliott Barker était le mentor du Dr Maier qui avait fait sa résidence en psychiatrie à Penetanguishene Le psychiatre ajoute qu'il n'avait pas d'expérience pour injecter des drogues neuroleptiques comme le LSD ou le DTT à des patients atteints de troubles de la personnalité ou des psychopathes Le Dr Maier reconnaît aujourd'hui que le LSD pouvait provoquer de l'anxiété Il affirme qu'il ne connaissait pas non plus le recours contesté à la capsule dans laquelle cinq à six patients étaient enfermés nus durant une semaine pour les obliger à interagir Ce traitement avait été élaboré par le Dr Barker La défense des plaignants soutient qu'il n'existait aucune méthode du genre dans le monde la capsule à Oak Ridge était la seule au Canada Me Jervis profite de l'instant pour indiquer à la cour que le Dr Barker avait étudié à Pékin les effets du lessivage des cerveaux chez les prisonniers en Chine Le Dr Barker avait une théorie selon laquelle la maladie mentale résultait d'une incapacité à communiquer avec autrui Le Dr Maier ajoute qu'il était en revanche au courant de l'existence du programme MAP qui consistait à rassembler dans une pièce des patients qui avaient passé deux ou trois jours en confinement solitaire et à leur demander de ne pas bouger sous peine d'être renvoyés en isolement prolongé pour une nouvelle période Seuls les patients schizophrènes violents étaient envoyés en confinement solitaire La défense des plaignants soutient plutôt que n'importe quel pensionnaire pouvait être soumis au MAP même pour un simple écart de conduite avec un enseignant de l'établissement Le Dr Maier assure toutefois que ces traitements étaient novateurs compte tenu de l'avancée de la psychiatrie à l'époque et qu'il ne s'agissait en aucun cas de soins psychiatriques expérimentaux Il ajoute que les traitements contre la schizophrénie étaient quasi inexistants et que les drogues antipsychotiques au début des années 1960 en étaient encore qu'à leur début Le psychiatre rejette par ailleurs les allégations selon lesquelles les pensionnaires étaient privés de sommeil Les lumières restaient allumées dans la capsule ou les cellules de confinement solitaire pour que les gardiens puissent les surveiller en tout temps afin qu'il ne leur arrive rien de grave Le procès a démontré que deux adolescents de 14 et 17 ans y avaient été enfermés Ouvrir en mode plein écranDes pensionnaires d'Oak Ridge étaient déshabillés et confinés à plusieurs dans la « capsule » durant des jours Le Dr Maier se défend par ailleurs d'avoir tenté de s'opposer à la commission d'examen lorsqu'elle décidait de remettre en liberté des pensionnaires qui avaient refusé de se soumettre aux programmes thérapeutiques du Dr Barker à Oak Ridge Le chemin de la liberté n'était accessible qu'à ceux qui participaient à ces programmes? Le Dr Maier reconnaît toutefois qu'il n'a pas suivi l'approche Maxwell Jones un modèle thérapeutique conventionnel qui reposait sur quatre principes: le volontariat Il était donc entendu que les patients se soumettaient volontairement aux différents programmes qu'ils consentaient à prendre leurs médicaments mais qu'ils avaient le choix de les interrompre sous la direction du personnel médical est l'un des nombreux plaignants dans cette poursuite civile dont il reprend le témoignage de l'époque alors qu'il est aux prises avec d'horribles douleurs : Je vous supplie Dr Maier d'interrompre vos traitements Le Dr Maier reconnaît qu'il n'interrompait presque jamais les traitements lorsque les patients lui en faisaient la demande les soins étaient administrés sur une base volontaire mais nous continuions à les prodiguer jusqu'au bout parce que nous pensions qu'ils étaient bénéfiques et qu'ils donnaient de bons résultats Il précise que ces traitements étaient basés sur les recherches du Dr Elliott Barker Nous ne cherchions pas à changer leur personnalité mais à baisser plutôt leur défense psychologique pour mieux étudier leur personnalité et les soigner dans des thérapies de groupe Des experts avaient déclaré plus tôt à la barre du procès que les traitements au LSD avaient finalement été abandonnés parce qu'ils ne comportaient aucun mérite scientifique Des expériences psychédéliques de grande envergure conduites en 1975 et en 1976 ont mis fin aux traitements au LSD à l'ancien asile de Penetanguishene Le Dr Maier sera éventuellement renvoyé en 1978 après avoir injecté de fortes doses de LSD à un premier groupe de 26 patients en 1975 puis à un second contingent de 12 pensionnaires l'année suivante L'objectif consistait à faire partager en groupe les émotions de ceux qui s'étaient prêtés à l'expérience afin qu'ils apprennent à se comprendre collectivement et à mieux se connaître eux-mêmes dans le cadre de leur thérapie Ouvrir en mode plein écranUne aile de l'Institut psychiatrique de Penetanguishine dans les années 1990 avaient empêché le personnel médical de pénétrer dans l'institution parce que de nombreux patients se promenaient en transe et en liberté sur les étages Des responsables du ministère avaient alors été dépêchés sur les lieux Les gardiens m'avaient interdit à moi et mon personnel l'entrée à l'établissement si bien que la haute-direction de l'hôpital m'avait demandé de quitter Oak Ridge pour toujours Le Dr Maier admet enfin que certains articles qu'il avait rédigés en 1979 pour des revues scientifiques américaines et canadiennes sur des traitements psychiatriques aux aliénés n'avaient pas été publiés, parce qu'ils soulevaient de sérieuses questions d'éthique médicale. Aux États-Unis, la communauté scientifique entretenait à l'époque des préjugés contre l'utilisation de drogues de rue comme le LSD, alors je ne suis pas surpris que mes articles aient suscité la critique, mais cela ne signifie pas que nos traitements étaient controversés pour autant, conclut-il. REMARQUE : Ce texte contient des informations qui pourraient troubler certains lecteurs Peu de professionnels de la santé pour veiller sur l'ancien asile de Penetanguishene Le Dr Maier admet enfin que certains articles qu'il avait rédigés en 1979 pour des revues scientifiques américaines et canadiennes sur des traitements psychiatriques aux aliénés n'avaient pas été publiés parce qu'ils soulevaient de sérieuses questions d'éthique médicale la communauté scientifique entretenait à l'époque des préjugés contre l'utilisation de drogues de rue comme le LSD alors je ne suis pas surpris que mes articles aient suscité la critique mais cela ne signifie pas que nos traitements étaient controversés pour autant L'un des deux psychiatres poursuivis au civil par d'anciens patients du défunt institut de Penetnaguishene a reconnu mercredi qu'il agissait presque toujours contre leur volonté même s'ils le suppliaient de mettre fin à ses traitements controversés une poursuite de 25 millions de dollars que 28 pensionnaires de l'asile avaient déposée dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"C'était au tour de la province de se défendre vendredi dans cette poursuite de 25 millions de dollars La province qui était propriétaire de l'ancien asile a toujours dit dans ce procès que les traitements qui y étaient administrés à l'époque étaient novateurs compte tenu des avancées de la psychiatrie et que les patients n'étaient pas du tout traités comme des cobayes Déshabillé, drogué : un témoignage accablant contre l'ancien asile de Penetanguishene Elle a projeté à la cour un film indépendant réalisé dans les années 1970 qui montre les conditions de vie dans l'asile On y entend la narratrice expliquer les traitements médicaux et les différents programmes de réhabilitation des pensionnaires Les traitements controversés concernaient notamment les traitements à l'alcool les injections de drogues comme le LSD et l'enfermement prolongé de pensionnaires dans une capsule l'un des traitements que les deux intimés dans cette poursuite administraient à certains pensionnaires à l'époque Des patients de l'établissement témoignent dans le film de leur expérience en affirmant que leur internement a permis d'améliorer leur sort et de changer leur vie Les psychopathes et les schizophrènes représentaient la majorité des criminels aliénés de l'établissement Ils avaient été déclarés inaptes à subir un procès pour le crime pour lequel ils avaient été arrêtés a appelé à la barre George Kaytayto un ancien haut responsable de l'hôpital de Penetanguishine auquel était rattaché l'asile Oak Ridge L'ancien administrateur a expliqué que le film du Collège Canadore de North Bay est l'un des rares documents visuels sur Oak Ridge qui ait survécu Kaytayto a souligné que les vidéos de l'établissement psychiatrique n'existent plus parce qu'elles étaient constamment effacées pour être réutilisées Il a affirmé que de nombreux dossiers médicaux de patients ont été détruits conformément à la consigne en vigueur à l'époque Beaucoup de dossiers ont été jetés lorsque le programme de réhabilitation a été abandonné Des expériences psychédéliques de grande envergure ont mis fin aux traitements controversés qui étaient prodigués aux détenus d'Oak Ridge Il a par ailleurs précisé que les notes personnelles que les résidents écrivaient durant leur séjour n'étaient jamais conservées Seuls les dossiers qui avaient été envoyés aux archives de l'Ontario ont survécu de nos jours Kaytayto a affirmé que de toute façon les dossiers médicaux existants ne contiennent pas tous les renseignements sur les traitements qui étaient administrés aux patients d'Oak Ridge Il a souligné que 16 employés de l'asile (psychiatres etc.) qui sont nommés dans la poursuite sont décédés si bien qu'il ne reste plus personne pour témoigner des événements qui se déroulaient au sein de l'établissement Kaytayto a reconnu que l'établissement manquait d'effectifs à cause d'un problème de financement mais aussi d'embauche et de rétention de professionnels Il a souligné que le ministère de la Santé était au courant des traitements qui étaient administrés dans l'institution l'établissement avait une capacité de 1500 lits mais qu'il n'a jamais compté plus de 1260 résidents en même temps L'administrateur à la retraite a ajouté qu'il ignore si d'anciens pensionnaires se sont plaints au cours des 20 dernières années L'asile ne faisait aucun suivi lorsque les résidents étaient relâchés dans la communauté si bien qu'il était difficile de les retracer puisque la direction n'avait pas leurs adresses Kaytayto a déclaré à la défense des plaignants qu'il ne savait pas si la direction de l'asile n'avait montré à l'équipe de tournage du Collège Canadore que ce qu'elle voulait bien lui montrer Il a répété qu'il ignorait si le Dr Maier avait imposé des restrictions sur le tournage la réalisation et la distribution du documentaire Je n'étais pas là au moment du tournage mais je doute qu'on leur ait laissé la permission de filmer les réactions des patients qui étaient en traitement Le Dr Maier refusait d'interrompre les traitements controversés à l'asile Oak Ridge M. Kaytayto a reconnu que l'ombudsman de la province avait ouvert une enquête en 1978 sur les pratiques de l'asile, mais a dit ignorer si le Dr Maier avait ordonné au personnel et aux patients de se taire. L'ombudsman avait passé 36 heures au sein de l'établissement au cours de trois visites. Il avait notamment conclu que les psychopathes y étaient traités contre toute attente avec succès. Jean-Philippe NadeauPublié le 5 octobre 2019 à 7 h 24 HAEPrenez note que cet article publié en 2019 pourrait contenir des informations qui ne sont plus à jour le procès civil contre l'ancien asile de Penetanguishene a montré qu'il ne reste presque plus aucune archive de l'établissement si bien qu'il est difficile de prouver si des actes de tortures s'y sont bien produits Une vingtaine d'anciens pensionnaires d'Oak Ridge soutiennent qu'ils ont été humiliés drogués et torturés au cours de leur internement entre 1965 et 1983 C'était au tour de la province de se défendre vendredi dans cette poursuite de 25 millions de dollars La province qui était propriétaire de l'ancien asile a toujours dit dans ce procès que les traitements qui y étaient administrés à l'époque étaient novateurs compte tenu des avancées de la psychiatrie et que les patients n'étaient pas du tout traités comme des cobayes Elle a projeté à la cour un film indépendant réalisé dans les années 1970 qui montre les conditions de vie dans l'asile On y entend la narratrice expliquer les traitements médicaux et les différents programmes de réhabilitation des pensionnaires Les traitements controversés concernaient notamment les traitements à l'alcool les injections de drogues comme le LSD et l'enfermement prolongé de pensionnaires dans une capsule l'un des traitements que les deux intimés dans cette poursuite administraient à certains pensionnaires à l'époque Des patients de l'établissement témoignent dans le film de leur expérience en affirmant que leur internement a permis d'améliorer leur sort et de changer leur vie Les psychopathes et les schizophrènes représentaient la majorité des criminels aliénés de l'établissement Ils avaient été déclarés inaptes à subir un procès pour le crime pour lequel ils avaient été arrêtés Ouvrir en mode plein écranUne aile de l'Institut psychiatrique de Penetanguishene dans les années 1990 un ancien haut responsable de l'hôpital de Penetanguishine auquel était rattaché l'asile Oak Ridge L'ancien administrateur a expliqué que le film du Collège Canadore de North Bay est l'un des rares documents visuels sur Oak Ridge qui ait survécu Ouvrir en mode plein écranGeorge Kaytayto était l'administrateur de l'hôpital de Penetanguishine de 1986 à 2005 Kaytayto a souligné que les vidéos de l'établissement psychiatrique n'existent plus parce qu'elles étaient constamment effacées pour être réutilisées Il a affirmé que de nombreux dossiers médicaux de patients ont été détruits conformément à la consigne en vigueur à l'époque Beaucoup de dossiers ont été jetés lorsque le programme de réhabilitation a été abandonné Des expériences psychédéliques de grande envergure ont mis fin aux traitements controversés qui étaient prodigués aux détenus d'Oak Ridge Il a par ailleurs précisé que les notes personnelles que les résidents écrivaient durant leur séjour n'étaient jamais conservées Seuls les dossiers qui avaient été envoyés aux archives de l'Ontario ont survécu de nos jours Kaytayto a affirmé que de toute façon les dossiers médicaux existants ne contiennent pas tous les renseignements sur les traitements qui étaient administrés aux patients d'Oak Ridge Il a souligné que 16 employés de l'asile (psychiatres etc.) qui sont nommés dans la poursuite sont décédés si bien qu'il ne reste plus personne pour témoigner des événements qui se déroulaient au sein de l'établissement Kaytayto a reconnu que l'établissement manquait d'effectifs à cause d'un problème de financement mais aussi d'embauche et de rétention de professionnels Il a souligné que le ministère de la Santé était au courant des traitements qui étaient administrés dans l'institution l'établissement avait une capacité de 1500 lits mais qu'il n'a jamais compté plus de 1260 résidents en même temps Ouvrir en mode plein écranLe Centre de santé mentale de Penetanguishene a remplacé l'asile Oak Ridge L'administrateur à la retraite a ajouté qu'il ignore si d'anciens pensionnaires se sont plaints au cours des 20 dernières années L'asile ne faisait aucun suivi lorsque les résidents étaient relâchés dans la communauté si bien qu'il était difficile de les retracer puisque la direction n'avait pas leurs adresses Kaytayto a déclaré à la défense des plaignants qu'il ne savait pas si la direction de l'asile n'avait montré à l'équipe de tournage du Collège Canadore que ce qu'elle voulait bien lui montrer avec ses avocats lors de son témoignage le 19 juin 2019 Il a répété qu'il ignorait si le Dr Maier avait imposé des restrictions sur le tournage la réalisation et la distribution du documentaire mais je doute qu'on leur ait laissé la permission de filmer les réactions des patients qui étaient en traitement M. Kaytayto a reconnu que l'ombudsman de la province avait ouvert une enquête en 1978 sur les pratiques de l'asile, mais a dit ignorer si le Dr Maier avait ordonné au personnel et aux patients de se taire. L'ombudsman avait passé 36 heures au sein de l'établissement au cours de trois visites. Il avait notamment conclu que les psychopathes y étaient traités contre toute attente avec succès. C'était au tour de la province de se défendre vendredi dans cette poursuite de 25 millions de dollars Déshabillé, drogué : un témoignage accablant contre l'ancien asile de Penetanguishene Le Dr Maier refusait d'interrompre les traitements controversés à l'asile Oak Ridge Kaytayto a reconnu que l'ombudsman de la province avait ouvert une enquête en 1978 sur les pratiques de l'asile mais a dit ignorer si le Dr Maier avait ordonné au personnel et aux patients de se taire L'ombudsman avait passé 36 heures au sein de l'établissement au cours de trois visites Il avait notamment conclu que les psychopathes y étaient traités contre toute attente avec succès le procès civil contre l'ancien asile de Penetanguishene a montré qu'il ne reste presque plus aucune archive de l'établissement si bien qu'il est difficile de prouver si des actes de tortures s'y sont bien produits Une vingtaine d'anciens pensionnaires d'Oak Ridge soutiennent qu'ils ont été humiliés dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"La firme a déposé un prospectus provisoire devant les autorités boursières qui représente un premier pas avant que ses actions soient cotées à la Bourse de Toronto la chaîne Aritzia propose des vêtements et des accessoires de mode pour adolescentes et femmes âgées de 15 à 45 ans L'entreprise détient 75 magasins -- 58 au Canada et 17 aux États-Unis -- et vend ses produits en ligne depuis 2012 Elle espère doubler ses revenus pour qu'ils atteignent 1,2 milliard de dollars d'ici 2021 Ouvrir en mode plein écranUn magasin Artizia Prenez note que cet article publié en 2016 pourrait contenir des informations qui ne sont plus à jour Plus de 30 ans après avoir ouvert son premier magasin dans le centre commercial Oakridge le détaillant de mode Aritzia a décidé de faire le saut de société privée à société publique La firme a déposé un prospectus provisoire devant les autorités boursières qui représente un premier pas avant que ses actions soient cotées à la Bourse de Toronto la chaîne Aritzia propose des vêtements et des accessoires de mode pour adolescentes et femmes âgées de 15 à 45 ans L'entreprise détient 75 magasins -- 58 au Canada et 17 aux États-Unis -- et vend ses produits en ligne depuis 2012 Elle espère doubler ses revenus pour qu'ils atteignent 1,2 milliard de dollars d'ici 2021 La firme a déposé un prospectus provisoire devant les autorités boursières qui représente un premier pas avant que ses actions soient cotées à la Bourse de Toronto Plus de 30 ans après avoir ouvert son premier magasin dans le centre commercial Oakridge dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"Offert aux élèves de 9e année de l'école secondaire Oakridge le programme « The Art of Math » a été conçu par la directrice du département des arts visuels de l'école et l'enseignante de mathématiques et responsable de la réussite des élèves c'est la première fois dans l'histoire du système scolaire public de l'Ontario que ces matières sont enseignées conjointement « Nous essayons d'encourager une meilleure compréhension des deux disciplines et d'encourager les élèves à réaliser que rien ne se passe isolément et que vous pouvez trouver différents liens entre différentes choses par exemple l'art et les mathématiques » Il n'y a donc aucune séparation entre les deux disciplines pendant les cours des élèves de sections différentes suivent la même formation les élèves du volet théorique travaillent donc aux côtés des élèves du volet appliqué sur les mêmes projets Les élèves fabriquent actuellement des planches à roulettes ils doivent représenter un paysage de leur choix en mettant en pratique leurs habiletés en peinture ce sont à leurs compétences en mathématiques que les élèves doivent faire appel pour représenter une suite mathématique « C'est un modèle sur lequel ils ont réfléchi et ils doivent représenter à la fois un motif et un graphique linéaire » Les élèves essaient aussi de comprendre comment les modèles changent et adaptent leur concept en conséquence Une compréhension améliorée Les résultats chez les élèves ne se sont pas fait attendre Evelyn Armstrong explique qu'elle a toujours eu des difficultés en mathématiques « C'est le genre de classe qui vous incite à vous lever le matin parce que vous ne savez jamais comment il va se passer C'est une façon vraiment amusante de rendre les mathématiques plus simples » Hannah McBride n'apprécie pas non plus beaucoup les mathématiques Ce cours lui permet de voir la matière différemment « Je suppose que ça rend les maths plus faciles pour moi Il y a des choses en mathématiques qui se rapportent à l'art ce serait différents types de crayons; pour les maths ce serait différents types de chiffres » Cela m'a aidée à voir qu'il y a des similitudes entre les deux matières Les enseignantes ont aussi remarqué une meilleure collaboration entre les élèves « Cela va au-delà des deux curriculums des compétences qu'ils peuvent emporter partout avec eux » L'école secondaire Oakridge surveille de près les résultats des 40 élèves de la classe et il y a fort à parier que l'expérience fera des émules ailleurs dans la province Ouvrir en mode plein écranDes formules mathématiques Prenez note que cet article publié en 2017 pourrait contenir des informations qui ne sont plus à jour Dans une province préoccupée par l'enseignement des mathématiques un nouveau programme offert dans une école secondaire de London propose d'allier maths et arts pour améliorer le rendement des élèves Offert aux élèves de 9e année de l'école secondaire Oakridge le programme « The Art of Math » a été conçu par la directrice du département des arts visuels de l'école et l'enseignante de mathématiques et responsable de la réussite des élèves c'est la première fois dans l'histoire du système scolaire public de l'Ontario que ces matières sont enseignées conjointement « Nous essayons d'encourager une meilleure compréhension des deux disciplines et d'encourager les élèves à réaliser que rien ne se passe isolément et que vous pouvez trouver différents liens entre différentes choses Ouvrir en mode plein écranJenni Van Kestren (à g.) et Laura Briscoe transforment la façon des élèves d'apprendre les mathématiques grâce au programme « The Art oh Math » Il n'y a donc aucune séparation entre les deux disciplines pendant les cours des élèves de sections différentes suivent la même formation les élèves du volet théorique travaillent donc aux côtés des élèves du volet appliqué sur les mêmes projets Les élèves fabriquent actuellement des planches à roulettes ils doivent représenter un paysage de leur choix en mettant en pratique leurs habiletés en peinture ce sont à leurs compétences en mathématiques que les élèves doivent faire appel pour représenter une suite mathématique « C'est un modèle sur lequel ils ont réfléchi et ils doivent représenter à la fois un motif et un graphique linéaire » Les élèves essaient aussi de comprendre comment les modèles changent et adaptent leur concept en conséquence Ouvrir en mode plein écranLes élèves fabriquent des planches à roulettes utilisant leurs habiletés artistiques et leurs compétences en mathématiques Les résultats chez les élèves ne se sont pas fait attendre Evelyn Armstrong explique qu'elle a toujours eu des difficultés en mathématiques « C'est le genre de classe qui vous incite à vous lever le matin C'est une façon vraiment amusante de rendre les mathématiques plus simples » Hannah McBride n'apprécie pas non plus beaucoup les mathématiques Ce cours lui permet de voir la matière différemment « Je suppose que ça rend les maths plus faciles pour moi Il y a des choses en mathématiques qui se rapportent à l'art ce serait différents types de crayons; pour les maths Cela m'a aidée à voir qu'il y a des similitudes entre les deux matières Ouvrir en mode plein écranLa vision des mathématiques d'Evelyn Amstromg (à g.) et Hannah McBride a complètement changé depuis qu'elles suivent le cours Les enseignantes ont aussi remarqué une meilleure collaboration entre les élèves des compétences qu'ils peuvent emporter partout avec eux » L'école secondaire Oakridge surveille de près les résultats des 40 élèves de la classe et il y a fort à parier que l'expérience fera des émules ailleurs dans la province Donald Trump, président des États-Unis. Donald Trump dit qu’il est improbable que les É.-U. annexent le Canada. Publié à 15 h 12 HAE Donald Trump dit qu’il est improbable que les É.-U. annexent le CanadaLe président américain a affirmé qu'il continuera à faire pression pour que le Canada devienne le 51e État. Chargement en coursInfolettre ICI OntarioUne fois par jour, recevez l’essentiel de l’actualité régionale. Abonnez-vous à notre infolettre pour ne rien manquer. Offert aux élèves de 9e année de l'école secondaire Oakridge, le programme « The Art of Math » a été conçu par la directrice du département des arts visuels de l'école, Laura Briscoe, et l'enseignante de mathématiques et responsable de la réussite des élèves, Jenni Van Kestren. Selon les deux enseignantes, c'est la première fois dans l'histoire du système scolaire public de l'Ontario que ces matières sont enseignées conjointement. « Nous essayons d'encourager une meilleure compréhension des deux disciplines et d'encourager les élèves à réaliser que, dans le monde réel, rien ne se passe isolément et que vous pouvez trouver différents liens entre différentes choses, par exemple l'art et les mathématiques », explique Laura Briscoe. Il n'y a donc aucune séparation entre les deux disciplines pendant les cours. En outre, des élèves de sections différentes suivent la même formation. En classe, les élèves du volet théorique travaillent donc aux côtés des élèves du volet appliqué sur les mêmes projets. Les élèves fabriquent actuellement des planches à roulettes. Chacun fait sa planche. Sur l'un des côtés, ils doivent représenter un paysage de leur choix en mettant en pratique leurs habiletés en peinture. De l'autre, ce sont à leurs compétences en mathématiques que les élèves doivent faire appel pour représenter une suite mathématique. « C'est un modèle sur lequel ils ont réfléchi et ils doivent représenter à la fois un motif et un graphique linéaire », mentionne Jenni Van Kestren. Les élèves essaient aussi de comprendre comment les modèles changent et adaptent leur concept en conséquence, poursuit Mme Briscoe. Les résultats chez les élèves ne se sont pas fait attendre. Evelyn Armstrong explique qu'elle a toujours eu des difficultés en mathématiques, mais que, depuis qu'elle suit le programme, son monde a changé. « C'est le genre de classe qui vous incite à vous lever le matin. C'est un cours très stimulant, parce que vous ne savez jamais comment il va se passer. C'est une façon vraiment amusante de rendre les mathématiques plus simples », affirme la jeune fille. Hannah McBride n'apprécie pas non plus beaucoup les mathématiques. Ce cours lui permet de voir la matière différemment. « Je suppose que ça rend les maths plus faciles pour moi. Il y a des choses en mathématiques qui se rapportent à l'art, comme les échelles : dans l'art, ce serait différents types de crayons; pour les maths, ce serait différents types de chiffres », illustre-t-elle. Cela m'a aidée à voir qu'il y a des similitudes entre les deux matières. Maintenant, tout en maths a du sens pour moi. Les enseignantes ont aussi remarqué une meilleure collaboration entre les élèves, qui apprennent les uns des autres. « Cela va au-delà des deux curriculums. Ils apprennent la collaboration, le leadership, la communication, des compétences qu'ils peuvent emporter partout avec eux », souligne Mme Van Kesteren. L'école secondaire Oakridge surveille de près les résultats des 40 élèves de la classe et il y a fort à parier que l'expérience fera des émules ailleurs dans la province. Le Haut-Commissariat de l'Inde à Ottawa a identifié Vanshika Saini comme une étudiante indienne. Plusieurs questions demeurent quant à l'application des tarifs de 100 % sur les films produits hors des É.-U. La ministre québécoise Martine Biron a eu un échange avec le président américain au Vatican. Cette stratégie économisera de l'argent aux contribuables, soutient le département de la Sécurité intérieure. Le président américain a affirmé qu'il continuera à faire pression pour que le Canada devienne le 51e État. Dans une province préoccupée par l'enseignement des mathématiques, un nouveau programme offert dans une école secondaire de London, en Ontario, propose d'allier maths et arts pour améliorer le rendement des élèves. Oak Ridge National Laboratory is among the world’s premier research institutions, empowering leaders and teams to pursue breakthroughs in an environment marked by operational excellence and engagement with the communities where we live and work. More than 7,000 scientists, engineers, technicians, and support staff representing more than 70 nations form a dynamic culture of innovation at Oak Ridge National Laboratory.  We strengthen America through discovery science enabled by multidisciplinary teams and powerful research tools, translating advancements to address national priorities. Building on our expertise and capabilities in materials, neutron science, nuclear science, and high-performance computing, we bridge the gap from fundamental research to real-world deployment, delivering breakthroughs that move innovations from the laboratory to national impact. We advance technologies to ensure secure, affordable, and reliable energy to fuel the nation’s economic growth and energy independence. Our teams develop solutions across the full energy landscape—from generation and grid modernization to energy storage and end-use technologies—supporting the Department of Energy’s mission and America’s energy future. We accelerate the transition of research into real-world applications to drive economic prosperity, reduce costs, and give US industries an edge. Through strategic partnerships, technology transfer, and support for entrepreneurship, we foster innovation networks that create jobs, grow industries, and strengthen America's global competitiveness. We protect America’s future through scientific and technological breakthroughs that secure critical infrastructure and address emerging threats. Leveraging ORNL’s unique capabilities, we deliver solutions that safeguard the nation’s people, infrastructure, and economy against evolving security challenges. Collaborations are critical to modern science and engineering, and Oak Ridge National Laboratory engages in various types of collaboration with a range of organizations. From private industry, to academia, to state and local governments, various types of organizations tap into ORNL's rare expertise and resources. “At the top of the list of ORNL strengths is the ability to deliver, to do great work and to actually get things done that matter to the country and to the world.” Your Ads Privacy ChoicesIMDb La suite de votre contenu après cette annonce Les chercheurs américains du laboratoire national d’Oak Ridge ont mis au point un électrolyte solide mince et flexible Une découverte qui pourrait bien changer l’avenir de l’industrie automobile Avec une mise en application dans le monde réel la densité énergétique des batteries pourrait être doublée Une équipe de l’Oak Ridge National Laboratory (ORNL) vient de publier une étude passionnante sur les électrolytes cette substance conductrice est indispensable au bon fonctionnement d’une batterie L’électrolyte permet de faire passer les ions entre l’anode et la cathode les scientifiques ont cherché à déterminer l’épaisseur idéale de l’électrolyte afin d’optimiser la conduction ionique et la résistance structurelle Les électrolytes solides actuels utilisent un polymère plastique qui conduit les ions mais leur conductivité est bien inférieure à celle des électrolytes liquides C’est pourquoi certaines entreprises s’intéressent aussi aux électrolytes semi-solides Les chercheurs de l’ORNL se sont concentrés sur la technologie à l’état solide réputée pour son haut potentiel en termes de sécurité le caractère inflammable de l’électrolyte liquide est souvent critiqué Les scientifiques ont donc mis au point un électrolyte solide à base de sulfure avec une conductivité ionique comparable à celle de l’électrolyte liquide « cette découverte est très intéressante car les composés sulfurés créent un chemin conducteur qui permet au lithium de se déplacer dans les deux sens pendant le processus de charge/décharge » Ils ont également découvert que « le poids moléculaire du liant polymère est essentiel à la fabrication de films d’électrolytes solides durables » les chercheurs expliquent que « les films fabriqués à partir de liants légers avec des chaînes de polymères plus courtes n’ont pas la force nécessaire pour rester en contact avec le matériau électrolytique » les films fabriqués à partir de liants plus lourds ont une intégrité structurelle plus élevée L’objectif de l’étude était de « minimiser le liant polymère parce qu’il ne conduit pas les ions » « La seule fonction du liant est de fixer les particules d’électrolyte dans le film L’utilisation d’une plus grande quantité de liant améliore la qualité du film mais réduit la conduction des ions l’utilisation d’une quantité moindre de liant améliore la conduction des ions mais compromet la qualité du film » Cette étude permettra probablement le développement de batteries nouvelle génération à l’état solide la densité énergétique pourrait être doublée pour atteindre « au moins 500 Wh/kg » De telles cellules devraient pouvoir augmenter la densité énergétique (et donc la durée d’utilisation entre deux processus de charge) dans les véhicules électriques mais aussi dans les ordinateurs portables ou les smartphones Découvrez nos thématiques voiture électrique équipements & services et bien d’autres Voiture électrique2 mai 2025  Interviews24 avril 2025  Voiture électrique2 mai 2025  Batterie25 avril 2025  Recharger les voitures électriques et hybrides28 avril 2025  Aides à l'achat d'une voiture électrique ou hybride17 mars 2025  Aides à l'achat d'une voiture électrique ou hybride17 mars 2025  Aides à l'achat d'une voiture électrique ou hybride17 mars 2025  Automobile Propre informe et accompagne les lecteurs vers une mobilité plus respectueuse de l'environnement en fournissant des actualités des essais et des conseils sur les véhicules électriques et hybrides Copyright © Automobile Propre - Tous droits réservés - Un site édité par Saabre SAS, une société du groupe Brakson Nos journalistes sélectionnent pour vous les articles essentiels de votre secteur Votre demande d’inscription a bien été prise en compte une expertise stratégique et passionnante au cœur de MBDA Ingénieur logiciel LABVIEW pour bancs optroniques F/H Cybersécurité : stoppez les cyber attaques en direct Vivez l’expérience du wargame pour déjouer le plan des hackers Supervisez les usages de l'IA de votre structure et des collaborateurs Décrypter les nouvelles réglementations européennes liées à l'IA et leurs impacts opérationnels Parcours métier Data Protection Officer (DPO) Acquérir l'ensemble des compétences nécessaires aux DPO Appréhender les notions fondamentales du RGPD 2.2 du référentiel de compétences des DPO "Oppenheimer" : les cobayes du projet Manhattan Votre expérience sur le site radiofrance.fr risque d’être dégradée Publié le mercredi 19 juillet 2023 à 07h19 Un scientifique au Oak Ridge National Laboratory Il raconte la conception de la bombe atomique En parallèle de la création de l'arme nucléaire des expériences méconnues ont été pratiquées sur des cobayes humains : à leur insu des doses de plutonium leur ont été injectées dans le blockbuster éponyme qui sort aujourd'hui dans les salles obscures et avec elle la façon dont l'industrie et l'innovation américaine au service de la recherche scientifique à Los Alamos où des milliers de scientifiques ont œuvré à la création de la première bombe atomique Cillian Murphy, dans la tête de Robert Oppenheimer les détails passés sous silence dans l'histoire de cette prouesse technologique En transformant l'énergie nucléaire en arme les responsables du projet Manhattan savent pertinemment que la radioactivité risque de poser des problèmes de santé majeurs et vont donc afin de mieux comprendre les effets de la radioactivité et l’enquête de la journaliste d’investigation Eileen Welsome pour que la lumière soit faite sur cette affaire : dans une série d’articles publiés dans The Albuquerque Tribune la journaliste révèle au grand jour la façon dont les créateurs de la bombe atomique ont réalisé des tests sur des cobayes humains vous devez accepter les cookies Publicité.Ces cookies permettent à nos partenaires de vous proposer des publicités et des contenus personnalisés en fonction de votre navigation de votre profil et de vos centres d'intérêt regrette avec inquiétude le général Leslie Grove les États-Unis commencent à prendre peur : à en croire plusieurs sources l'Allemagne nazie pourrait bien être en train de développer une bombe d'une puissance encore jamais vue les États-Unis décident de se lancer dans la conception de leur propre arme nucléaire : ce sera le projet Manhattan au vu des enjeux et de l’échelle de l'opération (pharaonique elle mobilisera plus de 130 000 personnes) réalisent la nécessité de mesurer l’impact des radiations sur le corps humain “Jamais auparavant un si grand nombre d'individus n'a été exposé à autant de radiations” le directeur du Laboratoire métallurgique de Chicago Robert Oppenheimer (1904-1967), l’architecte du Projet Manhattan dont ils confient la responsabilité au docteur Stafford L L'objectif de cette division est d’étudier les risques liés aux radiations mais également afin d’établir les doses de tolérance maximales auxquels peuvent être exposés les scientifiques qui travaillent à la conception de la bombe nucléaire Les premiers tests sont réalisés sur des animaux Les résultats ont beau prouver la dangerosité du matériel radioactif des expériences doivent être pratiquées sur des humains et décision est prise d’injecter du plutonium à des patients civils le projet Manhattan est compartimenté : les sites des expériences sont répartis sur plusieurs localisations à travers les États-Unis sur le site de Oak Ridge*,* dans le Tennessee Il écrira par la suite à un de ses collègues : “Je pense que nous aurons accès à un matériel clinique considérable ici et nous espérons faire [des expériences sur] un certain nombre de sujets." d'importance majeure dans le projet Manhattan © Getty - Galerie Bilderwelt Ebb Cade et dix-sept autres cobayesLe premier sujet de cette expérience est un ouvrier afro-américain de 53 ans Il travaille en tant que mélangeur de ciment dans une entreprise de construction d'Oak Ridge et est hospitalisé suite à un accident de voiture lui injectent 4,7 microgrammes de plutonium et lui donnent pour nom de code HP-12 le HP faisant référence à Produit Humain ("Human Product") Les blessures d'Ebb Cade ne sont pas traitées immédiatement les chercheurs préférant le faire attendre cinq jours afin de prélever des fragments d’os pour réaliser des biopsies Sans lui expliquer pour quelle raison ils agissent de la sorte toujours pour y vérifier l'incidence du plutonium dont les médecins savent qu'il peut se stocker dans les os le malheureux finit par sortir de lui-même de l’hôpital Il déménagera quelque temps plus tard au Tennessee où il mourra d’une crise cardiaque huit ans plus tard mais certainement pas le dernier à subir les expérimentations du projet Manhattan dix-sept autres personnes font les frais de ces expériences Plusieurs patients atteints de cancer se voient injecter lorsque l'Albuquerque Tribune révèle l’existence de ces expériences ordonne la création d’un comité pour faire la lumière sur l’affaire Des milliers de documents sont déclassifiés et des auditions effectuées Et les scientifiques encore en vie hésitent quant à eux entre réfutations une des scientifiques ayant participé à ces expériences assurait ainsi que les responsables du projet "étaient toujours à la recherche de quelqu'un qui avait une sorte de maladie terminale ou qui allait subir une amputation Tout cela n’a pas été fait pour tourmenter les gens ou bien les rendre malades et misérables C’était pour découvrir des informations précieuses Le fait que ces injections aient permis de récupérer d'importantes données devrait faire l’objet d’une sorte de mémorial plutôt qu’être quelque chose de honteux !” les cas identifiés d’injection au plutonium tendent à prouver le contraire Ebb Cade avait été admis justement parce qu'il était “en bonne santé” plusieurs d’entre elles n’étaient pas mourantes : en 1945 a ainsi reçu une dose de plutonium avant que les médecins ne réalisent que le cancer de l'estomac qui lui avait été diagnostiqué n’était en réalité qu’un ulcère bénin qui subit une piqure de plutonium : les médecins annonce à leurs parents que l’injection puis le retrait de tissus osseux font partie du traitement comme le soulignera le rapport du Comité sur les expériences de radiations sur des humains en 1995 : “En aucun cas il n’y avait d’espoir de voir ces patients-sujets bénéficier médicalement de ces injections” Certes, les expériences ont permis de produire des résultats : là où les scientifiques s’attendaient à voir le corps humain rejeter, par les excréments, 90 % des matériaux radioactifs injectés, ils découvrent que 90 % du plutonium est resté dans les tissus osseux. Ces résultats sont établis dès 1946 mais les expériences continueront d’être menées longtemps après la fin de la Seconde Guerre mondiale à mesure que s’installait la guerre froide onze patients du Massachusetts General Hospital reçurent une injection d’uranium afin de vérifier quelle quantité de matériel radioactif les reins stockaient Si le comité mis en place par Bill Clinton a permis de faire - en partie - la lumière sur ces expériences et de dédommager les familles des victimes Le cloisonnement et le secret du projet n’a pas permis d'identifier et de dissocier avec certitude ceux qui ignoraient l'ampleur des expériences (de nombreux médecins ne connaissaient pas la teneur des produits qu’ils injectaient) de ceux qui en avaient une pleine connaissance Les regrets de Robert Oppenheimer, le père de la bombe atomique plusieurs preuves laissent penser que le responsable scientifique du Projet Manhattan savait que ces expériences prenaient place Dans une lettre de 1944 adressé à Louis Hempelmann il fait ainsi savoir qu’il ne souhaite pas que ce type d’expériences soient menées au complexe du Nouveau-Mexique Robert Oppenheimer aurait également validé le départ de cargaisons d’uranium et de plutonium à destination d'établissements médicaux affiliés au projet Manhattan Le biopic de Nolan ignore évidemment ce sujet trop peu important à l'échelle de ce qu'a représenté la création de la bombe atomique un détail dans la grande fresque du Projet Manhattan Cuba : le dictateur et le révolutionnaire Les nouveaux mots du dico Le monde en 1936 Histoire et numérique, les images du passé au défi du présent La voix de Paul Tillard, survivant de Mauthausen, le dernier des camps de la mort De bronze et d'or, l'art khmer dans tous ses États La société Kairos Power a commencé la construction d'une nouvelle centrale nucléaire à Oak Ridge dans le Tennessee Elle doit accueillir le premier réacteur de 4e génération du pays mais aussi d'une unité de démonstration Les États-Unis rattrapent leur retard dans le nucléaire. Si le pays figure parmi les pionniers de cette technologie, cela fait plusieurs années que leur niveau de compétence stagne. À tel point que des nations comme la Chine ou l'Inde sont devenues plus performantes que lui Mais un projet doit permettre de redorer le blason américain l'unité porte les espoirs de Kairos Power de mieux appréhender sa technologie il n'alimentera pas le réseau électrique "Hermes est une étape cruciale vers le déploiement d'une technologie de réacteur avancée qui a le potentiel de transformer notre paysage énergétique" le cofondateur de Kairos Power dans un communiqué "Les leçons que nous tirerons de la construction et de l'exploitation de ce réacteur seront d'une valeur inestimable pour permettre une innovation continue dans notre programme d'essais et accélérer les progrès de Kairos Power en vue d'offrir une véritable certitude en matière de coûts à nos clients." la construction et l'exploitation d'une centrale nucléaire sont des points cruciaux puisque les frais de mise en œuvre et d'entretien représentent le coût principal de l'énergie nucléaire une version non nucléaire d'Hermes sera également construite s'affiche comme un banc d'essai à partir duquel les ingénieurs pourront librement étudier le fonctionnement de la machine initiale sans se soucier des radiations CPPAP : 1025 Y 90268 - © PRISMA MEDIA - LOUIS HACHETTE GROUP 2025 TOUS DROITS RÉSERVÉS Le supercalculateur XK7 Titan repose sur une architecture hybride qui associe 299.008 processeurs AMD Opteron avec 18.688 processeurs graphiques Nvidia Tesla K20 Une solution destinée à augmenter la puissance de calcul sans faire grimper la consommation énergétique Inscrivez-vous à la lettre d'information La quotidienne pour recevoir toutes nos dernières Actualités une fois par jour vient de vivre 3 semaines dans une famille aux États-Unis Pas dans une famille inconnue aux yeux de ses parents ni de ses grands-parents ses grands-parents ont travaillé au centre nucléaire d'Oakridge durant quelques années Ils ont vécu dans le Tennessee et ont sympathisé là-bas avec la famille Adler Ils se sont tellement liés d'amitié que l'un de leur fils est venu à Saint-Lys vivre plusieurs semaines dans la famille Sicard puis cela a été le tour pour l'un des garçons de partir outre-Atlantique chez le fils Adler… Ce lien franco-américain se poursuit aujourd'hui avec les petits enfants sans passer par un organisme qui programme des séjours linguistiques payants Cyril a vécu le quotidien de la famille de Delaney qui ne parle pas un mot de français «Mais sa tante le parlait très bien.» confie le jeune Saint-Lysien Il a mangé de bons hamburgers mais aussi de la ratatouille est allé à la montagne car il a fait aussi très chaud en juillet dans le Tennessee Des vacances dépaysantes et formatrices Cet élève du collège Léo Ferré se sent plus à l'aise avec la langue anglaise maintenant d'autant que sa correspondante Delaney vient de passer 10 jours chez lui à Saint-Lys La famille américaine est aussi venue faire son tour de France : du Mont-Saint-Michel aux plages du débarquement en passant par la capitale et le château de Chambord «Delaney a très envie d'apprendre le français maintenant !» confie Cyril qui va correspondre via internet avec elle dans les mois à venir vivra dans quelques années très certainement cette même aventure Souhaitez-vous recevoir une notification lors de la réponse d’un(e) internaute à votre commentaire Ce communiqué de presse contient des éléments multimédias. 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