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Déplacer le centre ailleurs à Toronto pourrait par ailleurs s’avérer difficile, voire impossible, puisque les permis permettant aux centres de consommation supervisée d'exister sont rattachés à un emplacement précis. Ainsi, un nouveau permis serait requis, comme s'il s'agissait d'un nouveau centre.
Par contre, l'Ontario compte interdire l'ouverture de nouveaux centres dans la province dans un projet de loi qui sera déposé à l'automne.
Sarah Ovens, qui a participé au lancement du centre de Moss Park il y a sept ans, est ébranlée par le fait que l’endroit sera remplacé par un immeuble. On dirait que tout est transformé en immeuble en copropriété, dit-elle.
Le centre de Moss Park ne faisait pas partie des 10 centres annoncés [cette semaine], mais si rien ne change, il sera forcé de fermer en raison de la décision [du gouvernement], poursuit-elle.
C’est ma zone de sécurité, explique quant elle Riley Bisson.
La décision du gouvernement Ford de fermer les 10 centres d’ici un an augmentera de manière importante les risques de décès dans la province, d’après Jess Lyons, qui est infirmière au centre de consommation supervisée de Moss Park.
En entendant la nouvelle, Mme Lyons était hyper secouée. Elle a eu soudainement la nausée.
Toute la communauté de consommateurs de drogue et des personnes les aidant pensait que nous faisions des avancées, mais nous retournons maintenant à la case départ, souligne sa collègue, Erin Telgedi.
Le conseiller municipal du quartier Moss Park, Chris Moise, qui a lui-même travaillé dans la réduction des méfaits, note que des personnes continueront à consommer des drogues, même s’il n’y a plus de centres de consommation supervisée.
Ils consommeront des drogues dans nos parcs, nos ruelles et nos aires de jeux pour enfants, selon lui.
Aux gens qui s’inquiètent de l’existence des centres de consommation supervisée, du crime et de la consommation de drogues qui y est associée [je dis que] ces gens ne vont pas quitter les quartiers où ils connaissent d’autres personnes, explique Diana Chan McNally, une intervenante en réduction des méfaits à Toronto.
Les promoteurs du projet immobilier n’avaient pas répondu aux questions de Radio-Canada au moment d’écrire ces lignes.
Étienne Lajoie est journaliste à Radio-Canada depuis 2023. Il s'agit de son deuxième séjour à Radio-Canada, après un passage de deux ans au journal Le Devoir. Il s'intéresse particulièrement à l'urbanisme, à la politique et à l'éducation. Il est diplômé de l'Université Concordia.
2:25Riley Bisson est une patiente du centre de consommation supervisée du quartier Moss Park, à Toronto.
Étienne LajoiePublié le 23 août 2024 à 17 h 21 HAEMis à jour le 23 août 2024 à 18 h 34 HAEÉcouter l’article | 3 minutesLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale
une technologie basée sur l’intelligence artificielle.Riley Bisson ne sait pas ce qu’elle fera si le centre de consommation du quartier Moss Park
La fermeture du site se dessine bel et bien néanmoins
puisque l’immeuble sera démoli pour faire place à un immeuble en copropriété
Déplacer le centre ailleurs à Toronto pourrait par ailleurs s’avérer difficile, voire impossible, puisque les permis permettant aux centres de consommation supervisée d'exister sont rattachés à un emplacement précis. Ainsi, un nouveau permis serait requis, comme s'il s'agissait d'un nouveau centre.
Par contre, l'Ontario compte interdire l'ouverture de nouveaux centres dans la province dans un projet de loi qui sera déposé à l'automne.
Sarah Ovens, qui a participé au lancement du centre de Moss Park il y a sept ans, est ébranlée par le fait que l’endroit sera remplacé par un immeuble. On dirait que tout est transformé en immeuble en copropriété, dit-elle.
Le centre de Moss Park ne faisait pas partie des 10 centres annoncés [cette semaine], mais si rien ne change, il sera forcé de fermer en raison de la décision [du gouvernement], poursuit-elle.
C’est ma zone de sécurité, explique quant elle Riley Bisson.
La décision du gouvernement Ford de fermer les 10 centres d’ici un an augmentera de manière importante les risques de décès dans la province, d’après Jess Lyons, qui est infirmière au centre de consommation supervisée de Moss Park.
En entendant la nouvelle, Mme Lyons était hyper secouée. Elle a eu soudainement la nausée.
Toute la communauté de consommateurs de drogue et des personnes les aidant pensait que nous faisions des avancées, mais nous retournons maintenant à la case départ, souligne sa collègue, Erin Telgedi.
Ouvrir en mode plein écranLe centre de consommation supervisée du quartier Moss Park offre des services à la communauté depuis plusieurs années.
Le conseiller municipal du quartier Moss Park, Chris Moise, qui a lui-même travaillé dans la réduction des méfaits, note que des personnes continueront à consommer des drogues, même s’il n’y a plus de centres de consommation supervisée.
Aux gens qui s’inquiètent de l’existence des centres de consommation supervisée, du crime et de la consommation de drogues qui y est associée [je dis que] ces gens ne vont pas quitter les quartiers où ils connaissent d’autres personnes, explique Diana Chan McNally, une intervenante en réduction des méfaits à Toronto.
Les promoteurs du projet immobilier n’avaient pas répondu aux questions de Radio-Canada au moment d’écrire ces lignes.
Crimes et délits. Une étudiante portée disparue retrouvée morte à Ottawa. Publié à 17 h 36 HAE Une étudiante portée disparue retrouvée morte à OttawaLe Haut-Commissariat de l'Inde à Ottawa a identifié Vanshika Saini comme une étudiante indienne
Cinéma. Tarifs de Trump : stupeur et confusion dans l’industrie canadienne du cinéma. Publié à 16 h 42 HAE Tarifs de Trump : stupeur et confusion dans l’industrie canadienne du cinémaPlusieurs questions demeurent quant à l'application des tarifs de 100 % sur les films produits hors des É.-U
Politique provinciale. « Quebec, Canada! We’ll make a deal! », lance Donald Trump. Publié à 4 h 00 HAE « Quebec, Canada! We’ll make a deal! », lance Donald TrumpLa ministre québécoise Martine Biron a eu un échange avec le président américain au Vatican
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soutient le département de la Sécurité intérieure
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Chargement en coursInfolettre ICI OntarioUne fois par jour
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L’Ontario a annoncé cette semaine qu’il ordonnait la fermeture de 10 centres de consommation supervisée d’ici le 31 mars 2025
mais ses services pourraient cesser d’être offerts avant même la date butoir de la province en raison du projet immobilier
Déplacer le centre ailleurs à Toronto pourrait par ailleurs s’avérer difficile
puisque les permis permettant aux centres de consommation supervisée d'exister sont rattachés à un emplacement précis
l'Ontario compte interdire l'ouverture de nouveaux centres dans la province dans un projet de loi qui sera déposé à l'automne
qui a participé au lancement du centre de Moss Park il y a sept ans
est ébranlée par le fait que l’endroit sera remplacé par un immeuble
On dirait que tout est transformé en immeuble en copropriété
Le centre de Moss Park ne faisait pas partie des 10 centres annoncés [cette semaine]
il sera forcé de fermer en raison de la décision [du gouvernement]
La décision du gouvernement Ford de fermer les 10 centres d’ici un an augmentera de manière importante les risques de décès dans la province
qui est infirmière au centre de consommation supervisée de Moss Park
Toute la communauté de consommateurs de drogue et des personnes les aidant pensait que nous faisions des avancées
mais nous retournons maintenant à la case départ
Le conseiller municipal du quartier Moss Park
qui a lui-même travaillé dans la réduction des méfaits
note que des personnes continueront à consommer des drogues
même s’il n’y a plus de centres de consommation supervisée
Ils consommeront des drogues dans nos parcs
nos ruelles et nos aires de jeux pour enfants
Aux gens qui s’inquiètent de l’existence des centres de consommation supervisée
du crime et de la consommation de drogues qui y est associée [je dis que] ces gens ne vont pas quitter les quartiers où ils connaissent d’autres personnes
une intervenante en réduction des méfaits à Toronto
Les promoteurs du projet immobilier n’avaient pas répondu aux questions de Radio-Canada au moment d’écrire ces lignes
Étienne Lajoie est journaliste à Radio-Canada depuis 2023
Il s'agit de son deuxième séjour à Radio-Canada
après un passage de deux ans au journal Le Devoir
Il s'intéresse particulièrement à l'urbanisme
à la politique et à l'éducation
Il est diplômé de l'Université Concordia
Le Haut-Commissariat de l'Inde à Ottawa a identifié Vanshika Saini comme une étudiante indienne
Plusieurs questions demeurent quant à l'application des tarifs de 100 % sur les films produits hors des É.-U
La ministre québécoise Martine Biron a eu un échange avec le président américain au Vatican
Cette stratégie économisera de l'argent aux contribuables
Le président américain a affirmé qu'il continuera à faire pression pour que le Canada devienne le 51e État
L’Ontario a annoncé cette semaine qu’il ordonnait la fermeture de 10 centres de consommation supervisée d’ici le 31 mars 2025
Riley Bisson ne sait pas ce qu’elle fera si le centre de consommation du quartier Moss Park
« Je vais être dans un état désastreux
dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"Un aigle de Steller a élu domicile dans le parc national Terra Nova
à environ 150 kilomètres au nord-ouest de Saint-Jean
L'oiseau au plumage sombre est le seul connu de son espèce dans l'hémisphère occidental
selon une publication Facebook sur le compte du parc
Cet aigle est l'un des plus grands oiseaux de proie de la planète
avec une envergure d'environ 2,4 mètres
Il est donc légèrement plus grand que Gheorghe Muresan
la personne la plus grande à avoir joué pour la NBA
La photographe Sandra Moss a eu du mal à trouver les mots lorsqu'on lui a demandé d'expliquer ce qu'elle avait ressenti en voyant l'oiseau la semaine dernière
Je ne peux pas expliquer à quel point c'est excitant
C'est un sentiment incroyable de savoir que cet oiseau nous a choisis
Les aigles de Steller sont classés comme vulnérables par l'Union internationale pour la conservation de la nature
et il reste moins de 5000 adultes dans le monde
On les trouve généralement en Russie
au Japon et le long de la péninsule coréenne
mais des observations ont été signalées le long de la côte est de l'Amérique du Nord au cours des dernières années
Je n'aurais pas aimé avoir un animal de compagnie ou quoi que ce soit dans mes bras quand il était là'
les membres du Newfoundland and Labrador Birdwatching Group ont suivi ce qui est probablement le même aigle de Steller au fil des ans
Des photos le montrent en train de nicher dans la baie de Trinity en 2023
ou debout sur la glace flottante dans la vallée de Codroy plus tôt cette année
Les photos révèlent les rayures blanches caractéristiques de l'oiseau sur ses ailes
ainsi que son bec crochu incroyablement pointu
Sandra Moss a vu l'oiseau pour la première fois l'année dernière à Trinity
lors d'une excursion en bateau qu'elle avait réalisée spécialement parce que l'aigle avait été aperçu dans la région
Elle faisait partie des nombreux ornithologues qui ont été informés très tôt de l'arrivée de l'oiseau dans le parc Terra Nova
qui s'étend le long de la baie de Bonavista
Elle et son mari sont d'abord allés au parc en bateau
ils sont arrivés en voiture et elle a vu l'oiseau en train d'observer le paysage du haut d'un arbre
Dix minutes avant que les employés du parc verrouillent les portes d'entrée
Sandra Moss s'est déplacée rapidement et a pris environ 500 photos
Elle tremblait d'excitation lorsqu'elle est revenue à la voiture
c'est photographier les pygargues à tête blanche
Mais aucun pygargue à tête blanche n'approche la taille de cet oiseau
le parc national Terra Nova sera ouvert tous les jours jusqu'au 31 décembre
sauf à Noël et le lendemain de Noël
afin que les gens puissent tenter d'apercevoir l'invité exceptionnel
Ouvrir en mode plein écranUn aigle de Steller a élu domicile dans le parc national Terra Nova
à environ 150 kilomètres au nord-ouest de Saint-Jean de Terre-Neuve-et-Labrador
Photo : Sandra Moss Photography/Parc national Terra Nova
Un parc national de Terre-Neuve-et-Labrador a pris la décision inhabituelle d'ouvrir ses portes en hiver afin que les visiteurs puissent apercevoir son nouvel invité rare et impressionnant
Un aigle de Steller a élu domicile dans le parc national Terra Nova
à environ 150 kilomètres au nord-ouest de Saint-Jean
L'oiseau au plumage sombre est le seul connu de son espèce dans l'hémisphère occidental
Cet aigle est l'un des plus grands oiseaux de proie de la planète
Il est donc légèrement plus grand que Gheorghe Muresan
la personne la plus grande à avoir joué pour la NBA
La photographe Sandra Moss a eu du mal à trouver les mots lorsqu'on lui a demandé d'expliquer ce qu'elle avait ressenti en voyant l'oiseau la semaine dernière
Je ne peux pas expliquer à quel point c'est excitant
Les aigles de Steller sont classés comme vulnérables par l'Union internationale pour la conservation de la nature
et il reste moins de 5000 adultes dans le monde
au Japon et le long de la péninsule coréenne
mais des observations ont été signalées le long de la côte est de l'Amérique du Nord au cours des dernières années
Je n'aurais pas aimé avoir un animal de compagnie ou quoi que ce soit dans mes bras quand il était là'
Ouvrir en mode plein écranLa rivière Terra Nova
les membres du Newfoundland and Labrador Birdwatching Group ont suivi ce qui est probablement le même aigle de Steller au fil des ans
ou debout sur la glace flottante dans la vallée de Codroy plus tôt cette année
Les photos révèlent les rayures blanches caractéristiques de l'oiseau sur ses ailes
Sandra Moss a vu l'oiseau pour la première fois l'année dernière à Trinity
lors d'une excursion en bateau qu'elle avait réalisée spécialement parce que l'aigle avait été aperçu dans la région
Elle faisait partie des nombreux ornithologues qui ont été informés très tôt de l'arrivée de l'oiseau dans le parc Terra Nova
qui s'étend le long de la baie de Bonavista
Elle et son mari sont d'abord allés au parc en bateau
ils sont arrivés en voiture et elle a vu l'oiseau en train d'observer le paysage du haut d'un arbre
Ouvrir en mode plein écranLe parc national Terra Nova (Photo d'archives)
Dix minutes avant que les employés du parc verrouillent les portes d'entrée
Sandra Moss s'est déplacée rapidement et a pris environ 500 photos
Elle tremblait d'excitation lorsqu'elle est revenue à la voiture
c'est photographier les pygargues à tête blanche
Mais aucun pygargue à tête blanche n'approche la taille de cet oiseau
le parc national Terra Nova sera ouvert tous les jours jusqu'au 31 décembre
afin que les gens puissent tenter d'apercevoir l'invité exceptionnel
Chargement en coursInfolettre ICI AcadieUne fois par jour
Un aigle de Steller a élu domicile dans le parc national Terra Nova
Un parc national de Terre-Neuve-et-Labrador a pris la décision inhabituelle d'ouvrir ses portes en hiver afin que les visiteurs puissent apercevoir son nouvel invité rare et impressionnant
dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"Un texte de Lyne-Françoise Pelletier
Ramzi Shenouda répare des téléphones cellulaires et des tablettes dans l'édifice situé en face du centre d'injection supervisée The Works
Il affirme que les toxicomanes consomment leurs drogues aux yeux de tous dans la rue et qu'ils attirent de ce fait des trafiquants de drogue qui tentent de vendre leur marchandise aux passants
les toxicomanes intimident et agressent les commerçants
Une autre fois ils ont cambriolé ma voiture
Il ajoute que la rue est sale et sent mauvais parce que les toxicomanes qui campent près du centre d'injection supervisée urinent sur la pelouse et sur la chaussée
Shenouda souligne que ce secteur touristique du centre-ville n'est plus sécuritaire
Il en a assez et il n'est pas le seul à vouloir la fermeture du centre
L'élu a toujours été contre les centres d'injection supervisée qui
encouragent les gens à faire encore plus usage de drogues
Il veut que la province prenne ce dossier en main et qu'elle offre des programmes de désintoxication
Les centres d'injection supervisée produisent plus de toxicomanes
Ils doivent être sevrés de leurs drogues
La Ville de Toronto a reçu de nombreuses plaintes d'entrepreneurs
mais aussi de l'Université Ryerson et de citoyens habitant le quartier
Le conseiller municipal Joe Mihevc préside le Conseil de santé publique de Toronto
Il admet que la situation est loin d'être parfaite et que des solutions sont présentement à l'étude
Elles seront présentées lors de la prochaine réunion du conseil de santé en juin
Peut-être avons-nous besoin de prolonger les heures d'ouverture ou d'embaucher plus de personnel
L'élu réitère que les centres d'injection supervisée sont ouverts dans les secteurs où il y a une forte demande pour ces services
Le secteur autour de la place Dundas est un de ces lieux
La Ville de Toronto n'a pas l'intention de fermer ce centre pour le moment
Ouvrir en mode plein écranPhoto : Radio-Canada / Lyne-Françoise Pelletier
Prenez note que cet article publié en 2018 pourrait contenir des informations qui ne sont plus à jour
Le centre d'injection supervisée The Works est situé près de la place Dundas
un secteur touristique dans le centre-ville de Toronto
Les commerçants du quartier disent que les toxicomanes ont pris la rue d'assaut et que plus personne n'est en sécurité
Ramzi Shenouda répare des téléphones cellulaires et des tablettes dans l'édifice situé en face du centre d'injection supervisée The Works
les toxicomanes intimident et agressent les commerçants
Une autre fois ils ont cambriolé ma voiture
Il ajoute que la rue est sale et sent mauvais parce que les toxicomanes qui campent près du centre d'injection supervisée urinent sur la pelouse et sur la chaussée
Ouvrir en mode plein écranPhoto : Radio-Canada
Shenouda souligne que ce secteur touristique du centre-ville n'est plus sécuritaire
Il en a assez et il n'est pas le seul à vouloir la fermeture du centre
L'élu a toujours été contre les centres d'injection supervisée qui
encouragent les gens à faire encore plus usage de drogues
Il veut que la province prenne ce dossier en main et qu'elle offre des programmes de désintoxication
Les centres d'injection supervisée produisent plus de toxicomanes
La Ville de Toronto a reçu de nombreuses plaintes d'entrepreneurs
mais aussi de l'Université Ryerson et de citoyens habitant le quartier
Le conseiller municipal Joe Mihevc préside le Conseil de santé publique de Toronto
Il admet que la situation est loin d'être parfaite et que des solutions sont présentement à l'étude
Elles seront présentées lors de la prochaine réunion du conseil de santé en juin
Peut-être avons-nous besoin de prolonger les heures d'ouverture ou d'embaucher plus de personnel
L'élu réitère que les centres d'injection supervisée sont ouverts dans les secteurs où il y a une forte demande pour ces services
à conserver l’héritage historique du lieu tout en lui ajoutant une vraie dose de folie
le vice-président de la maison Dreweatts en charge de la vente déclare ainsi : « Aynhoe Park est vraiment une caverne d'Alibaba d’œuvres magnifiquement choisies
de la plus académique à la plus éclectique
Intitulé The Celebration of a Modern Grand Tour
cet ensemble résulte de la passion de toute une vie et d’une vision contemporaine d’une tradition qui aurait été à l’origine réservée aux échelons supérieurs de la société »
on trouve notamment un lit à baldaquin néogothique victorien datant de 1860
un moulage en plâtre provenant de l’ancien temple d'Athéna à Athènes estimé entre 10 000 et 15 000 £ ou encore une table sculptée en chêne au piètement en forme d’autruche estimée entre 1 500 et 2 500 £
dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"Les 14 plaignants affirment que les refuges de la Ville ne sont pas sécuritaires à cause de la pandémie et que l'ordre d'expulsion que les itinérants ont reçu cet été enfreint leurs droits et libertés
Ils sont appuyés dans leur cause par la Société torontoise de prévention contre les surdoses et la Coalition ontarienne contre la pauvreté
Les plaignants représentent les sans-abri qui ont élu domicile dans des tentes qu'ils ont installées dans des parcs et des ravins entourant la métropole depuis le printemps
Le règlement municipal qui interdit le camping dans les espaces verts de la ville est en jeu dans ces audiences qui étaient retransmises en direct au parc Moss
où l'un de ces campements a été érigé
Outre la pandémie, les plaignants évoquent la crise des opioïdes et la pénurie de logements abordables pour appuyer leurs arguments selon lesquels les parcs sont plus sécuritaires que les refuges de la métropole.
Les abris de la Ville sont dangereux selon eux à cause de leur surpopulation et des mesures contre la COVID-19, qui sont impossibles à appliquer selon eux.
L'avocat Selwyn Pieters cite le taux élevé des cas d'infection que ces établissements affichent depuis le début de la crise sanitaire et le risque de mortalité qui y est associé.
Selon les dernières données de Santé publique Toronto, 649 clients des refuges ont été contaminés par le coronavirus depuis le début de la pandémie, soit 3,2 % de l'ensemble des cas déclarés dans la Ville Reine.
Il existe par ailleurs, selon l'avocat, des dangers dans les refuges pour ceux qui ont des problèmes de santé mentale, sans compter les possibilités de s'y faire agresser ou voler. Les hôtels que la Ville a réquisitionnés au printemps sont en outre trop loin du centre-ville et les règles, trop strictes, selon lui.
Me Pieters soutient que la vie, la sécurité et la liberté des itinérants sont menacées si la Ville les force à quitter les campements qu'ils occupent. Les espaces verts représentent des lieux sécuritaires à leurs yeux, particulièrement en temps de pandémie, d'autant que la seconde vague risque d'être plus dommageable que la première, poursuit-il.
Si la courbe des infections poursuit sa progression vers le haut, la Ville n'aura pas le choix d'évacuer ses propres refuges et d'aménager des camps dans des parcs et des stades comme l'ont fait les autorités municipales en mars à New York.
Me Pieters demande donc que l'ordre d'évacuation des parcs de Toronto soit suspendu jusqu'à ce que l'OMS déclare que la pandémie soit terminée et que cet ordre ne s'applique pas seulement aux parcs qui sont occupés, mais bien à tous les autres.
Les avocats de la Ville soutiennent que les articles de la Charte canadienne des droits et libertés ne s'appliquent pas dans cette cause et qu'ils n'accordent aucun droit à quiconque de vivre dans des parcs urbains.
Les plaignants ont failli à leurs tâches de démontrer que les refuges n'étaient pas sécuritaires et ils sont incapables de prouver qu'il leur a été impossible de vivre dans l'un des refuges de Toronto, explique l'avocat Michael Sims.
Me Sims rappelle en outre que seulement 3 des 14 plaignants vivent de façon temporaire dans ces campements, mais qu'ils n'ont pu le prouver. Il ajoute que l'un d'eux a refusé l'offre de la Ville d'être logé dans un hôtel et un appartement du centre-ville, parce qu'il souhaitait un logement à deux chambres pour y loger son amie.
L'avocat insinue que les plaignants ne peuvent à eux seuls représenter l'avis des milliers de sans-abri qui sont logés dans des établissements de la Ville. Il souligne en outre qu'aucun des plaignants n'a un problème de dépendance à la drogue ou à l'alcool.
Le juge Paul Schabas, de la Cour supérieure de l'Ontario, le rappelle néanmoins à l'ordre en indiquant que cette demande d'injonction n'a rien à voir avec un recours collectif.
Les avocats de la Ville ont ensuite présenté des arguments pragmatiques sur les dangers que représente la vie dans des campements. Ils évoquent la sécurité des tentes et le risque associé à l'utilisation de barbecues ou de bonbonnes de gaz propane pour se nourrir ou se chauffer.
Il ajoute que les parcs sont généralement dépourvus de vespasiennes, de fontaines pour s'abreuver, de poubelles ou de boîtes de sécurité pour y déposer des seringues jetables.
L'aménagement de tentes dans les parcs pose un risque pour la santé et la sécurité des locataires et des citoyens, des enfants en particulier, à cause de la présence d'aiguilles souillées sur le sol, rappelle-t-il.
L'avocat rappelle que l'objectif du règlement municipal est d'éviter de criminaliser un groupe de sans-abri qui se trouve dans un état d'infraction, en envoyant des policiers pour les évacuer de force des parcs de la métropole.
Des hommes s'y masturbent le matin à la vue de tous alors que des parents envoient leurs enfants à l'école, souligne Me Sims.
L'avocat affirme que les refuges, quoiqu'imparfaits, sont plus sécuritaires que les campements en termes de sécurité et de conditions sanitaires, même en temps de pandémie.
La Ville n'a jamais dit qu'il n'y avait aucun cas de COVID-19 dans ses refuges, mais le risque d'y contracter le virus est plus bas que dans ces campements; il en va de même dans les hôtels et les appartements qu'elle loue à leur intention.
Dans leur droit de réplique, les avocats des demandeurs disent que la Ville peut en faire plus pour accommoder les sans-abri dans les parcs, en leur offrant toilettes portables, camions-citernes d'eau, poubelles et programmes de réduction des risques pour toxicomanes. Il est important d'identifier les besoins de chacun d'entre eux, poursuit Me Pieters.
Me Pieters reconnaît que certains itinérants refusent d'aller vivre dans les refuges et que leur choix est de rester à l'extérieur. Mais il suggère à la Ville d'ouvrir des refuges supplémentaires pour réduire la surpopulation dans ceux qu'elle possède et d'y faciliter l'implantation des mesures anti-COVID-19.
La Ville conclut qu'il est irréaliste d'ouvrir tous les parcs aux sans-abri. Les plaignants n'ont aucune preuve qui montre que les établissements de la Ville sont dangereux, précise Me Sims qui cite l'exemple de Vancouver, où des compromis ont permis d'éviter que des itinérants vivent dans des camps de fortune.
Dès le début des audiences, les avocats de la Ville avaient tenté de contrecarrer la demande d'injonction, parce que, selon eux, les experts que les plaignants citent dans leur requête sont biaisés et que leur expertise s'appuie davantage sur leur militantisme que sur des faits empiriques.
Ils avaient affirmé que les deux professionnels de la santé citaient en exemple les politiques de la Ville de Hamilton en matière d'itinérance. Or, elles n'ont rien à voir avec celles de la Ville de Toronto, selon Me Sims.
Le juge a pris note de l'interjection de la Ville, mais il ne rendra aucune décision à ce sujet avant son verdict concernant la demande d'injonction. Il a mis la cause en délibéré jusqu'à une date indéterminée.
Jean-Philippe Nadeau est journaliste à Radio-Canada depuis 1994. Il couvre au tribunal des causes civiles, commerciales et criminelles depuis 2007, de Kingston à London et de Hamilton à Barrie. Il adore la loi, sans avoir étudié le droit, et l'ambiance des procès, même si ce n'est pas facile au criminel. Son objectif serait de transmettre sa passion à la relève de Radio-Canada.
Les plaignants affirment que les refuges de la Ville ne sont pas sécuritaires à cause de la pandémie.
Ouvrir en mode plein écranLa Ville de Toronto demande aux itinérants d'aller se loger dans les refuges de la métropole pour des raisons de santé publique.
Jean-Philippe NadeauPublié le 1 octobre 2020 à 20 h 08 HAEPrenez note que cet article publié en 2020 pourrait contenir des informations qui ne sont plus à jour
deux groupes représentant des sans-abri demandent aux tribunaux une injonction pour faire suspendre l'ordre de la Ville de les expulser des parcs de la métropole en attendant que leur recours constitutionnel sur leurs droits soit entendu
Les 14 plaignants affirment que les refuges de la Ville ne sont pas sécuritaires à cause de la pandémie et que l'ordre d'expulsion que les itinérants ont reçu cet été enfreint leurs droits et libertés
Ils sont appuyés dans leur cause par la Société torontoise de prévention contre les surdoses et la Coalition ontarienne contre la pauvreté
Les plaignants représentent les sans-abri qui ont élu domicile dans des tentes qu'ils ont installées dans des parcs et des ravins entourant la métropole depuis le printemps
Ouvrir en mode plein écranLa Ville de Toronto a tenté sans succès cet été d'ordonner aux locataires des campements de quitter les lieux
parce que leurs défenseurs avaient déjà saisi les tribunaux
Coronavirus : la situation en OntarioConsulter le dossier completSuivreSuivreLe règlement municipal qui interdit le camping dans les espaces verts de la ville est en jeu dans ces audiences qui étaient retransmises en direct au parc Moss
Ouvrir en mode plein écranUne tente sert de logement de fortune sous une autoroute de Toronto.
Les abris de la Ville sont dangereux selon eux à cause de leur surpopulation et des mesures contre la COVID-19, qui sont impossibles à appliquer selon eux.
L'avocat Selwyn Pieters cite le taux élevé des cas d'infection que ces établissements affichent depuis le début de la crise sanitaire et le risque de mortalité qui y est associé.
Selon les dernières données de Santé publique Toronto, 649 clients des refuges ont été contaminés par le coronavirus depuis le début de la pandémie, soit 3,2 % de l'ensemble des cas déclarés dans la Ville Reine.
Il existe par ailleurs, selon l'avocat, des dangers dans les refuges pour ceux qui ont des problèmes de santé mentale, sans compter les possibilités de s'y faire agresser ou voler. Les hôtels que la Ville a réquisitionnés au printemps sont en outre trop loin du centre-ville et les règles, trop strictes, selon lui.
Ouvrir en mode plein écranSelwyn Pieters est l'un des avocats des plaignants dans cette cause.
Me Pieters soutient que la vie, la sécurité et la liberté des itinérants sont menacées si la Ville les force à quitter les campements qu'ils occupent. Les espaces verts représentent des lieux sécuritaires à leurs yeux, particulièrement en temps de pandémie, d'autant que la seconde vague risque d'être plus dommageable que la première, poursuit-il.
Si la courbe des infections poursuit sa progression vers le haut, la Ville n'aura pas le choix d'évacuer ses propres refuges et d'aménager des camps dans des parcs et des stades comme l'ont fait les autorités municipales en mars à New York.
Me Pieters demande donc que l'ordre d'évacuation des parcs de Toronto soit suspendu jusqu'à ce que l'OMS déclare que la pandémie soit terminée et que cet ordre ne s'applique pas seulement aux parcs qui sont occupés, mais bien à tous les autres.
Les avocats de la Ville soutiennent que les articles de la Charte canadienne des droits et libertés ne s'appliquent pas dans cette cause et qu'ils n'accordent aucun droit à quiconque de vivre dans des parcs urbains.
Les plaignants ont failli à leurs tâches de démontrer que les refuges n'étaient pas sécuritaires et ils sont incapables de prouver qu'il leur a été impossible de vivre dans l'un des refuges de Toronto, explique l'avocat Michael Sims.
Ouvrir en mode plein écranLes travailleurs sociaux ont souligné au printemps que les sans-abri sont très vulnérables pendant la pandémie.
Photo : La Presse canadienne / Colin Perkel
Me Sims rappelle en outre que seulement 3 des 14 plaignants vivent de façon temporaire dans ces campements, mais qu'ils n'ont pu le prouver. Il ajoute que l'un d'eux a refusé l'offre de la Ville d'être logé dans un hôtel et un appartement du centre-ville, parce qu'il souhaitait un logement à deux chambres pour y loger son amie.
Ouvrir en mode plein écranL'un des refuges temporaires aménagés pour les sans-abri de Toronto.
L'avocat insinue que les plaignants ne peuvent à eux seuls représenter l'avis des milliers de sans-abri qui sont logés dans des établissements de la Ville. Il souligne en outre qu'aucun des plaignants n'a un problème de dépendance à la drogue ou à l'alcool.
Le juge Paul Schabas, de la Cour supérieure de l'Ontario, le rappelle néanmoins à l'ordre en indiquant que cette demande d'injonction n'a rien à voir avec un recours collectif.
Les avocats de la Ville ont ensuite présenté des arguments pragmatiques sur les dangers que représente la vie dans des campements. Ils évoquent la sécurité des tentes et le risque associé à l'utilisation de barbecues ou de bonbonnes de gaz propane pour se nourrir ou se chauffer.
incendies de la mi-mars à la fin juillet, c'est une hausse de 450% par rapport à la même période l'an dernier","text":"Les pompiers ont dû y éteindre 55incendies de la mi-mars à la fin juillet, c'est une hausse de 450% par rapport à la même période l'an dernier"}}'>Les pompiers ont dû y éteindre 55 incendies de la mi-mars à la fin juillet, c'est une hausse de 450 % par rapport à la même période l'an dernier, explique Me Sims.
Ouvrir en mode plein écranLa Ville affirme que les campements ne sont pas conçus pour y vivre à temps plein durant de longues périodes, particulièrement durant la saison froide.
Il ajoute que les parcs sont généralement dépourvus de vespasiennes, de fontaines pour s'abreuver, de poubelles ou de boîtes de sécurité pour y déposer des seringues jetables.
L'aménagement de tentes dans les parcs pose un risque pour la santé et la sécurité des locataires et des citoyens, des enfants en particulier, à cause de la présence d'aiguilles souillées sur le sol, rappelle-t-il.
L'avocat rappelle que l'objectif du règlement municipal est d'éviter de criminaliser un groupe de sans-abri qui se trouve dans un état d'infraction, en envoyant des policiers pour les évacuer de force des parcs de la métropole.
Des hommes s'y masturbent le matin à la vue de tous alors que des parents envoient leurs enfants à l'école, souligne Me Sims.
Ouvrir en mode plein écranDes regroupements de tentes ont fait leur apparition au mois d'avril à Toronto, notamment près de l'association caritative Sanctuary.
L'avocat affirme que les refuges, quoiqu'imparfaits, sont plus sécuritaires que les campements en termes de sécurité et de conditions sanitaires, même en temps de pandémie.
La Ville n'a jamais dit qu'il n'y avait aucun cas de COVID-19 dans ses refuges, mais le risque d'y contracter le virus est plus bas que dans ces campements; il en va de même dans les hôtels et les appartements qu'elle loue à leur intention.
Dans leur droit de réplique, les avocats des demandeurs disent que la Ville peut en faire plus pour accommoder les sans-abri dans les parcs, en leur offrant toilettes portables, camions-citernes d'eau, poubelles et programmes de réduction des risques pour toxicomanes. Il est important d'identifier les besoins de chacun d'entre eux, poursuit Me Pieters.
Ouvrir en mode plein écranCertains militants contre la pauvreté jugent que la Ville n'en fait pas assez pour bien loger les sans-abri.
Me Pieters reconnaît que certains itinérants refusent d'aller vivre dans les refuges et que leur choix est de rester à l'extérieur. Mais il suggère à la Ville d'ouvrir des refuges supplémentaires pour réduire la surpopulation dans ceux qu'elle possède et d'y faciliter l'implantation des mesures anti-COVID-19.
La Ville conclut qu'il est irréaliste d'ouvrir tous les parcs aux sans-abri. Les plaignants n'ont aucune preuve qui montre que les établissements de la Ville sont dangereux, précise Me Sims qui cite l'exemple de Vancouver, où des compromis ont permis d'éviter que des itinérants vivent dans des camps de fortune.
Dès le début des audiences, les avocats de la Ville avaient tenté de contrecarrer la demande d'injonction, parce que, selon eux, les experts que les plaignants citent dans leur requête sont biaisés et que leur expertise s'appuie davantage sur leur militantisme que sur des faits empiriques.
Ils avaient affirmé que les deux professionnels de la santé citaient en exemple les politiques de la Ville de Hamilton en matière d'itinérance. Or, elles n'ont rien à voir avec celles de la Ville de Toronto, selon Me Sims.
Le juge a pris note de l'interjection de la Ville, mais il ne rendra aucune décision à ce sujet avant son verdict concernant la demande d'injonction. Il a mis la cause en délibéré jusqu'à une date indéterminée.
Chargement en coursInfolettre Info nationaleNouvelles
Les 14 plaignants affirment que les refuges de la Ville ne sont pas sécuritaires à cause de la pandémie et que l'ordre d'expulsion que les itinérants ont reçu cet été enfreint leurs droits et libertés
Outre la pandémie, les plaignants évoquent la crise des opioïdes et la pénurie de logements abordables pour appuyer leurs arguments selon lesquels les parcs sont plus sécuritaires que les refuges de la métropole
Les abris de la Ville sont dangereux selon eux à cause de leur surpopulation et des mesures contre la COVID-19
qui sont impossibles à appliquer selon eux
L'avocat Selwyn Pieters cite le taux élevé des cas d'infection que ces établissements affichent depuis le début de la crise sanitaire et le risque de mortalité qui y est associé
Selon les dernières données de Santé publique Toronto
649 clients des refuges ont été contaminés par le coronavirus depuis le début de la pandémie
soit 3,2 % de l'ensemble des cas déclarés dans la Ville Reine
des dangers dans les refuges pour ceux qui ont des problèmes de santé mentale
sans compter les possibilités de s'y faire agresser ou voler
Les hôtels que la Ville a réquisitionnés au printemps sont en outre trop loin du centre-ville et les règles
la sécurité et la liberté des itinérants sont menacées si la Ville les force à quitter les campements qu'ils occupent
Les espaces verts représentent des lieux sécuritaires à leurs yeux
particulièrement en temps de pandémie
d'autant que la seconde vague risque d'être plus dommageable que la première
Si la courbe des infections poursuit sa progression vers le haut
la Ville n'aura pas le choix d'évacuer ses propres refuges et d'aménager des camps dans des parcs et des stades comme l'ont fait les autorités municipales en mars à New York
Me Pieters demande donc que l'ordre d'évacuation des parcs de Toronto soit suspendu jusqu'à ce que l'OMS déclare que la pandémie soit terminée et que cet ordre ne s'applique pas seulement aux parcs qui sont occupés
Les avocats de la Ville soutiennent que les articles de la Charte canadienne des droits et libertés ne s'appliquent pas dans cette cause et qu'ils n'accordent aucun droit à quiconque de vivre dans des parcs urbains
Les plaignants ont failli à leurs tâches de démontrer que les refuges n'étaient pas sécuritaires et ils sont incapables de prouver qu'il leur a été impossible de vivre dans l'un des refuges de Toronto
Me Sims rappelle en outre que seulement 3 des 14 plaignants vivent de façon temporaire dans ces campements
Il ajoute que l'un d'eux a refusé l'offre de la Ville d'être logé dans un hôtel et un appartement du centre-ville
parce qu'il souhaitait un logement à deux chambres pour y loger son amie
L'avocat insinue que les plaignants ne peuvent à eux seuls représenter l'avis des milliers de sans-abri qui sont logés dans des établissements de la Ville
Il souligne en outre qu'aucun des plaignants n'a un problème de dépendance à la drogue ou à l'alcool
le rappelle néanmoins à l'ordre en indiquant que cette demande d'injonction n'a rien à voir avec un recours collectif
Les avocats de la Ville ont ensuite présenté des arguments pragmatiques sur les dangers que représente la vie dans des campements
Ils évoquent la sécurité des tentes et le risque associé à l'utilisation de barbecues ou de bonbonnes de gaz propane pour se nourrir ou se chauffer
incendies de la mi-mars à la fin juillet
c'est une hausse de 450% par rapport à la même période l'an dernier","text":"Les pompiers ont dû y éteindre 55incendies de la mi-mars à la fin juillet
c'est une hausse de 450% par rapport à la même période l'an dernier"}}\\\">Les pompiers ont dû y éteindre 55 incendies de la mi-mars à la fin juillet
c'est une hausse de 450 % par rapport à la même période l'an dernier
Il ajoute que les parcs sont généralement dépourvus de vespasiennes
de poubelles ou de boîtes de sécurité pour y déposer des seringues jetables
L'aménagement de tentes dans les parcs pose un risque pour la santé et la sécurité des locataires et des citoyens
à cause de la présence d'aiguilles souillées sur le sol
L'avocat rappelle que l'objectif du règlement municipal est d'éviter de criminaliser un groupe de sans-abri qui se trouve dans un état d'infraction
en envoyant des policiers pour les évacuer de force des parcs de la métropole
Des hommes s'y masturbent le matin à la vue de tous alors que des parents envoient leurs enfants à l'école
sont plus sécuritaires que les campements en termes de sécurité et de conditions sanitaires
La Ville n'a jamais dit qu'il n'y avait aucun cas de COVID-19 dans ses refuges
mais le risque d'y contracter le virus est plus bas que dans ces campements; il en va de même dans les hôtels et les appartements qu'elle loue à leur intention
les avocats des demandeurs disent que la Ville peut en faire plus pour accommoder les sans-abri dans les parcs
poubelles et programmes de réduction des risques pour toxicomanes
Il est important d'identifier les besoins de chacun d'entre eux
Me Pieters reconnaît que certains itinérants refusent d'aller vivre dans les refuges et que leur choix est de rester à l'extérieur
Mais il suggère à la Ville d'ouvrir des refuges supplémentaires pour réduire la surpopulation dans ceux qu'elle possède et d'y faciliter l'implantation des mesures anti-COVID-19
La Ville conclut qu'il est irréaliste d'ouvrir tous les parcs aux sans-abri
Les plaignants n'ont aucune preuve qui montre que les établissements de la Ville sont dangereux
précise Me Sims qui cite l'exemple de Vancouver
où des compromis ont permis d'éviter que des itinérants vivent dans des camps de fortune
les avocats de la Ville avaient tenté de contrecarrer la demande d'injonction
les experts que les plaignants citent dans leur requête sont biaisés et que leur expertise s'appuie davantage sur leur militantisme que sur des faits empiriques
Ils avaient affirmé que les deux professionnels de la santé citaient en exemple les politiques de la Ville de Hamilton en matière d'itinérance
elles n'ont rien à voir avec celles de la Ville de Toronto
Le juge a pris note de l'interjection de la Ville
mais il ne rendra aucune décision à ce sujet avant son verdict concernant la demande d'injonction
Il a mis la cause en délibéré jusqu'à une date indéterminée
Jean-Philippe Nadeau est journaliste à Radio-Canada depuis 1994
de Kingston à London et de Hamilton à Barrie
même si ce n'est pas facile au criminel
Son objectif serait de transmettre sa passion à la relève de Radio-Canada
À Toronto, deux groupes représentant des sans-abri demandent aux tribunaux une injonction pour faire suspendre l'ordre de la Ville de les expulser des parcs de la métropole en attendant que leur recours constitutionnel sur leurs droits soit entendu.
Nous mettons tout en œuvre pour rétablir le service dans les meilleurs délais.
mostly standalone story that includes just enough continuity and topical references to keep things interesting
And following last week’s fairly underwhelming installment
it’s great to see this season getting back to that proven formula
it was great to see Cartman’s multi-season experiment with Heidi backfire on him so spectacularly
one that shares all of his worst traits but also has “follow-through,” as Mr
Given how bored I was of this romance last season
it’s great to see things taking such a dark
I only hope we’ll see the final two episodes of the season build directly off of this one
I don’t know if Parker and Stone are planning a true multi-part finale to cap things off
but it does seem like there’s potential to further escalate matters now that Heidi has a colony of super-intelligent microorganisms living in her stomach
Her monstrous transformation may only be just beginning.Verdict"Moss Piglets" showcases South Park doing what it does best - telling a mostly standalone story about the kids getting into wacky shenanigans with a sprinkle of continuity and a dash of topical humor
While this episode dabbled in some familiar subject matter
it managed to deliver an entertaining take-down of the NFL and establish Heidi as a true force to be reckoned with
but there's potential to keep building from here
ont passé du bon temps au parc d'attraction en compagnie de leur famille..
une aubaine pour Disneyland Paris qui a visiblement attiré quelques stars ces derniers jours
Passionnée depuis toujours par le monde de Disney
Kate Moss s'est rendue dans le parc pour la première fois de sa vie
Elle a été accueillie par Panpan qui n'a pu s'empêcher de lui faire un énorme câlin
C'est l'un des plus beaux endroits au monde et je suis heureuse de pouvoir m'y promener tranquillement"
a déclaré la top accompagnée de sa fille Lila Grace et de son mari
Alexandra Vandernoot profitait d'une pause lors de sa tournée française pour la pièce de théâtre "Cher trésor" de Francis Véber
Faire une remarqueSur le même sujetPeopleLe ménage à trois de Cara (PHOTOS)
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certaines ont même traversé la Manche pour participer aux festivités
Si Stromae était LA star du défilé Valentino d'hier soir
aujourd'hui ce sont deux Britanniques qui ont fait forte impression dans la capitale : Kate Moss et Lewis Hamilton
Ils ont tous les deux assisté au défilé Louis Vuitton qui s'est déroulé à la verrière du Parc André Citroën
La célèbre icône de la mode, qui a fêté il y a quelques jours à peine ses 41 ans, nouvelle bougie qu'elle a soufflée en compagnie de son marie Jamie Hince à Londres
a été vue dans un immense manteau de fourrure
Kate Moss est apparue en train grande forme
On l'aurait prise pour une égérie L'Oréal "Kate Moss parce qu'elle le vaut bien"
Lewis Hamilton a été repéré en solo lors de son arrivée au défilé
chemise blanche et paire de lunettes de soleil sur le nez
le pilote de Formule 1 n'était pas accompagnée de sa sublime girlfriend
Est-ce qu'on parle de la coupe de cheveux de Lewis Hamilton
On avait depuis longtemps dans les parcs Disney des attractions consacrées aux plus gros succès ciné de la firme, mais désormais la nouvelle mode est au parcs d'attractions entièrement à thème
Outre le parc Harry Potter où l'on rêve tous d'aller
plusieurs autres parcs labellisés blockbusters sont en cours de préparation
On en connait qui vont se faire tout plein de pognon
Ça en fait des petites excursions à prévoir
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Nikkie Plessen, vous connaissez ? Peu connue en France, cette actrice, mannequin, et styliste hollandaise de 32 ans s’est offert une collaboration unique avec Disney pour sa collection printemps/été 2018
Alors quoi de mieux qu’un défilé à Disneyland Paris pour l’occasion
Nikkie Plessen a présenté sa collection NIKKIE
Selected by Kate Moss et DISNEY X NIKKIE dans une vitrine spectaculaire à Disneyland Paris en présence de Kate Moss et de l’icône néerlandaise Lil Kleine
Le défilé a été organisé à l’hôtel Disney’s Newport Bay Club pour une avant-première mondiale qui a été retransmise en direct un peu partout dans le monde
étaient également présents de part et d’autre de Kate Moss
Les plus chanceux ont donc pu croiser Kate Moss dans les allées du parc accompagnée de sa fille Lila Grace Moss
de sa filleule Stevie Lee et de son amie la coiffeuse de stars Nicole Clarke
Les enfants étaient bien évidemment vêtus dans des tenues NIK&NIK
Pour cette collaboration de la marque NIKKIE avec Disney
quel autre lieu aurait pu se prêter à une telle présentation que le parc Disneyland
s’est même permis une apparition surprise durant le show
un moyen unique de remercier celle qui a braqué les projecteurs sur lui
« Je ne peux pas exprimer à quel point je suis heureuse et reconnaissante de cette excellente collaboration avec Disney
mais je suis également reconnaissante envers tous les invités qui ont voyagé pour regarder le spectacle
tous les influenceurs internationaux et les modèles qui ont marché
Lil Kleine qui était si courageux et cool pour ouvrir la partie du défilé Donald Duck… On se sent comme une famille… et comme c’est mignon que Kate ait emmené sa fille Lila Grace pour profiter du spectacle… et puis le fait que cela soit diffusé en direct partout dans le monde… J’ai hâte de faire un tour dans le parc Disneyland avec mes enfants et de digérer tout ce qui s’est passé au cours des derniers jours
La collection Disney X NIKKIE est vendue dans le monde entier et est désormais disponible à Disneyland Paris dans la boutique Disney Fashion de Disney Village
dans la Bay Boutique de l’hôtel Disney’s Newport Bay Club et la Galerie Mickey du Disneyland Hotel et sur le site internet nikkie.com
Les prix des articles présents sur le site internet vont de 49€ pour un t-shirt à l’effigie de notre canard préféré jusqu’à 89€ pour la robe
Pièces de la collection disponible sur le site www.nikkie.com
Craquerez-vous pour une des ces pièces Donalissime
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