La Ville de Chambly invite les familles à découvrir les défis des écureuils un parcours interactif installé tout l’hiver dans les sentiers du parc naturel des Ruisseaux Ne manquez pas cette occasion de profiter de la nature tout en vous amusant dans nos nouveaux sentiers Accueil / Sports Il s’agit d’un coin vert dans le coeur de Chambly quoi de mieux que de respirer le grand air au parc naturel des Ruisseaux Une promenade de près de cinq kilomètres vous y attend Julie Beauregard est prête à s’élancer Un bâton de marche attaché à chaque poignet la Chamblyenne est équipée pour une grande boucle à côté du parc des Ruisseaux Je suis très contente que la Ville ait décidé de le baliser en ajoutant un fond pour la piste la sportive voit le changement avec les récents travaux « Cela fait sept ans que j’habite à Chambly et lorsqu’on passait par là tout est bien balisé avec des chemins bien marqués pour les marcheurs C’est vrai que plusieurs arbres ont été abattus les premières dizaines de mètres parcourues dans le parc permettent de se rappeler que le printemps approche grâce aux piaillements des oiseaux utilisateur quasi quotidien du parc des Ruisseaux Il n’y a presque plus de boisés où marcher à Chambly alors c’est un endroit que j’apprécie énormément j’aurais aimé que la piste soit plus longue Alors je la fais deux fois à chaque sortie Le sentier approche les cinq kilomètres et se fait en un peu moins d’une heure il peut être parcouru par les petits et grands avec un détail non négligeable Des animations pour les plus jeunes sont proposées tout au long du parcours avec des histoires drôles des défis de mimes ou encore un concours de saut Des panneaux présentent aussi la flore qui se dresse le long du chemin « On vient souvent ici pour la tranquillité et les paysages Le parcours propose des boucles avant de rejoindre le parc Fonrouge il est recommandé d’avoir un cellulaire avec un minimum de charge pour se guider avec la fonction boussole ou le GPS sur le navigateur J’accepteAller au contenu principalAller au pied de pageAide à la navigationPublicité La destination d’information de Radio-Canada dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"Environ 300 000 $ seront nécessaires pour le réaménagement du pavillon principal et l'achat de nouveaux équipements Les nouvelles installations devraient être pleinement opérationnelles en 2025 rapporte le copropriétaire de Miel des Ruisseaux le bâtiment d'accueil emporté par les flammes ne sera pas reconstruit alors que l'espace sert désormais de stationnement on y faisait la dégustation lors des visites je ne dis pas qu'on ne reconstruira pas un pavillon d'accueil on a tout réaménagé de l'autre côté et les gens sont très satisfaits [...] La visite n'est aucunement altérée même amélioré avec les ajouts qu'on a faits de l'autre côté Les activités qui prenaient place dans l'ancien pavillon d'accueil comme l'étiquetage des bocaux et la transformation du miel en produits dérivés seront transférées dans le bâtiment principal de l'entreprise Après les semaines de la construction il y a un entrepreneur qui vient nous faire une nouvelle sortie extérieure et on refait un niveau de bâtiment mais dans le moment ce n'est pas fait encore Les quelque 400 ruches n’avaient pas été touchées par l’incendie mais la production des abeilles est néanmoins partie en fumée On a perdu toute notre production de miel qui était en cours d'étiquetage tout ce qui était déjà étiqueté Ça a été quand même assez complexe En attendant l'installation des nouveaux équipements On leur envoie notre miel qui est en barils ils emballent le miel qu'on leur a demandé Pascal Girard est passionné par la politique municipale les dossiers économiques et les sports Il a œuvré au journal Le Quotidien pendant une quinzaine d'années avant de joindre Radio-Canada en 2019 Il est président du Cercle de presse du Saguenay Ouvrir en mode plein écranPatrick Fortier est le copropriétaire de Miel des Ruisseaux Environ 300 000 $ seront nécessaires pour le réaménagement du pavillon principal et l'achat de nouveaux équipements. Les nouvelles installations devraient être pleinement opérationnelles en 2025, rapporte le copropriétaire de Miel des Ruisseaux, Patrick Fortier. Toutefois, le bâtiment d'accueil emporté par les flammes ne sera pas reconstruit, alors que l'espace sert désormais de stationnement. Ouvrir en mode plein écranEn mai, le bâtiment que l'entreprise utilisait pour faire la transformation de son miel avait été complètement ravagé par les flammes. Photo : Radio-Canada / Annie-Claude Brisson On l'aimait beaucoup cette salle-là, on l'avait à cœur. C'est quand on accueillait des groupes, on y faisait la dégustation lors des visites, se remémore Patrick Fortier. C'est une décision économique, je ne dis pas qu'on ne reconstruira pas un pavillon d'accueil, mais dans le moment, on a tout réaménagé de l'autre côté et les gens sont très satisfaits [...]. La visite n'est aucunement altérée, c'est pareil, même amélioré avec les ajouts qu'on a faits de l'autre côté, explique le copropriétaire. Ouvrir en mode plein écranEnviron 300 000 $ seront investis pour réaménager le pavillon principal et acheter de nouveaux équipements. Les activités qui prenaient place dans l'ancien pavillon d'accueil, comme l'étiquetage des bocaux et la transformation du miel en produits dérivés, seront transférées dans le bâtiment principal de l'entreprise. Après les semaines de la construction, il y a un entrepreneur qui vient nous faire une nouvelle sortie extérieure et on refait un niveau de bâtiment. [...] On rajoute un étage. Il va y avoir des bureaux, la salle de production pour l'hydromel, tout ce qui est pour l'emballage du miel, ça va se faire là, mais dans le moment ce n'est pas fait encore, poursuit Patrick Fortier. Les quelque 400 ruches n’avaient pas été touchées par l’incendie, mais la production des abeilles est néanmoins partie en fumée. On a perdu toute notre production de miel qui était en cours d'étiquetage, tout ce qui était déjà étiqueté, l'inventaire, les étiquettes, tout l'hydromel. Ça a été quand même assez complexe, se souvient-il. Ouvrir en mode plein écranEn attendant l’arrivée de nouveaux équipements, l’entreprise collabore avec une miellerie de Portneuf pour mettre en pot sa production. En attendant l'installation des nouveaux équipements, la miellerie Miel & Co, située à Portneuf, a accepté de donner un coup de main. On leur envoie notre miel qui est en barils, dans des sacs alimentaires. On leur envoie ça par transport. Selon notre commande de la semaine, ils emballent le miel qu'on leur a demandé, explique Patrick Fortier. Donald Trump, président des États-Unis. Carney à Washington : « On ne veut pas revivre un moment Zelensky ». Publié à 4 h 00 HAE Carney à Washington : « On ne veut pas revivre un moment Zelensky »Le premier ministre canadien doit éviter les dérapages lors de sa rencontre avec Donald Trump Politique provinciale. Entente de principe entre le gouvernement Legault et les travailleuses des CPE. Publié à 9 h 45 HAE Entente de principe entre le gouvernement Legault et les travailleuses des CPELes 13 000 travailleuses des CPE devront se prononcer sous peu Politique provinciale. Hôpital Maisonneuve-Rosemont : Québec débloque les fonds pour lancer les travaux. Publié à 8 h 50 HAE Hôpital Maisonneuve-Rosemont : Québec débloque les fonds pour lancer les travauxQuébec alloue aussi des fonds pour la reconstruction de l’Hôtel-Dieu d’Arthabaska Indicateurs économiques. Recul des exportations canadiennes vers les États-Unis sous le poids des tarifs douaniers. Publié à 9 h 27 HAE Recul des exportations canadiennes vers les États-Unis sous le poids des tarifs douaniersLes exportations canadiennes vers les États-Unis ont affiché une baisse marquée de 6,6 % en mars Crimes et délits. Une étudiante portée disparue retrouvée morte à Ottawa. Publié hier à 17 h 36 HAE Une étudiante portée disparue retrouvée morte à OttawaLe Haut-Commissariat de l'Inde à Ottawa a identifié Vanshika Saini comme une étudiante indienne Chargement en coursInfolettre ICI Saguenay–Lac-Saint-JeanUne fois par jour recevez l’essentiel de l’actualité régionale Abonnez-vous à notre infolettre pour ne rien manquer Environ 300 000 $ seront nécessaires pour le réaménagement du pavillon principal et l'achat de nouveaux équipements Le premier ministre canadien doit éviter les dérapages lors de sa rencontre avec Donald Trump Les 13 000 travailleuses des CPE devront se prononcer sous peu Québec alloue aussi des fonds pour la reconstruction de l’Hôtel-Dieu d’Arthabaska Les exportations canadiennes vers les États-Unis ont affiché une baisse marquée de 6,6 % en mars Le Haut-Commissariat de l'Inde à Ottawa a identifié Vanshika Saini comme une étudiante indienne Même si le pavillon d’accueil de Miel des Ruisseaux à Alma a été détruit par les flammes en mai l’entreprise s’est remise sur pied et un plan de reconstruction est déjà en branle La Ville de Chambly et l’organisme Plein Air Chambly invite la population à participer à une marche nocturne qui se déroulera au parc naturel des Ruisseaux La Ville mentionne que la marche débutera dans le stationnement du parc Fonrouge et se poursuivra dans les sentiers du parc naturel des Ruisseaux Les citoyens sont invités à apporter leurs lampes frontales ou lanternes sans flamme pour illuminer la marche Aucune inscription n’est requise et l’événement est gratuit La Ville de Chambly souligne que la marche sera reportée au samedi 1er février Le copropriétaire de Miel des Ruisseaux Patrick Fortier a retrouvé son sourire « On va se relever! » avait aussitôt déclaré le copropriétaire de Miel des Ruisseaux suivant l’incendie qui a ravagé une partie des installations de son entreprise le 31 mai dernier À peine un mois après l’incident un plan de reconstruction est déjà en branle le long de la route du Lac les copropriétaires Patrick Fortier et Shirley Tremblay ont décidé de ne pas reconstruire le bâtiment emporté par les flammes qui servait notamment de pavillon d’accueil L’espace qu’il occupait sera plutôt utilisé pour du stationnement supplémentaire puisque « de toute façon Les activités qui avaient cours à l’arrière de l’ancien pavillon d’accueil notamment l’étiquetage des bocaux et la transformation du miel en produits dérivés seront transférées dans le bâtiment principal de l’entreprise Celui-ci devra toutefois subir quelques modifications afin qu’il soit possible d’y produire du miel crémeux de la cire d’abeille ainsi que les paquets cadeaux de Miel des Ruisseaux « Nous allons agrandir par l’intérieur en continuant le plancher de la mezzanine jusqu’à l’autre mur Ça revient à dire qu’on va construire un 2e étage au bâtiment. » Le réaménagement du bâtiment principal incluant l’achat des équipements de remplacement nécessitera un investissement d’environ 300 000 $ La production du miel n’a pas été touchée par l’incendie ce qui permet à la miellerie d’Alma de maintenir à flot l’approvisionnement de ses détaillants en attendant l’installation des nouveaux équipements d’empotage et d’étiquetage ces deux étapes doivent être effectuées à Portneuf où une miellerie du coin a accepté de donner un coup de main à Miel des Ruisseaux.  Patick Fortier ajoute que la visite de l’Économusée de Miel des Ruisseaux l’Économusée de l’Apiculteur n’a pas non plus été affectée par le brasier « La visite reste intégrale exactement comme avant avec la réalité virtuelle les éléments d’interprétation Les nouvelles installations de Miel des Ruisseaux devraient être pleinement opérationnelles en 2025 Le resto-bar La Grenouille est à vendre Un service dont l’absence se fera sentir à Alma François Lavoie nouveau directeur général de Val-Jalbert Un courriel de confirmation vous a été envoyé Merci de vous êtes abonné à notre infolettre un courriel de confirmation vous a été envoyé La Ville de Chambly a inauguré le parc naturel des Ruisseaux en présence de plus de 1300 citoyens et partenaires est le fruit d’une vision collective et d’un effort de préservation environnementale présenté dans le cadre du budget participatif 2020 par monsieur Paul-Étienne Roy a vu le jour grâce à la vente de terrains industriels permettant ainsi l’acquisition des terres nécessaires Ce parc devient un symbole de l’engagement de la Ville à préserver et enrichir son territoire naturel L’inauguration a eu lieu en présence de nombreux citoyens venus également participer à la Grande Marche de Chambly dans le cadre du Grand défi Pierre Lavoie déjà adopté par la population depuis les derniers mois s’inscrit dans les efforts environnementaux de la Ville en ligne avec sa Politique environnementale 2022 visant à augmenter la superficie des espaces naturels protégés de 4,8 km² d’ici 2030 le parc naturel des Ruisseaux permet aux citoyens de profiter pleinement de la nature en offrant des activités sportives toute l’année On y retrouve près de 5 km de sentier pédestre 12 km de sentiers pour les vélos à roues surdimensionnées et 6 km de sentiers de ski de fond Les sentiers du parc portent fièrement le nom de Chamblyens et Chamblyennes ayant marqué l’histoire locale par leur engagement envers la nature Il est possible de découvrir leurs biographies et photos grâce à un panneau commémoratif dans le parc Accueil / Actualités C’est ce matin que la population s’est réunie pour l’inauguration du parc naturel des Ruisseaux le projet avait été développé dans le cadre du premier projet du budget participatif de Chambly Une enveloppe de 100 000 $ était dédiée à la bonification du projet du parc-nature Fonrouge le projet est la conception et l’aménagement de sentiers pédestres signalisés Il représente un investissement de 1,1 M$ de la part de la Ville L’inauguration a été suivie de la Grande marche Pierre Lavoie plusieurs centaines de personnes ont pris d’assaut les sentiers du parc La pollution a été constatée ce jeudi matin La peinture s’est retrouvée dans le ruisseau des Combes et du Palon après avoir été déversée dans un collecteur communal PartagerLes gardes-faune et le Service de l’environnement ont été informés.DRVictoria Martin Temps de lecture : 1 minTemps de lecture : 1 minDe la peinture provenant d’un chantier s’est retrouvée dans le ruisseau des Combes et du Palon à Prez-vers-Noréaz, après avoir été déversée dans un collecteur communal. Dans le canton, un ruisseau est pollué tous les trois joursLa pollution a été constatée ce matin, relaye la plateforme d’information iSarine Les gardes-faune et le Service de l’environnement ont été informés Sarine Le Conseil communal de Gibloux a récemment présenté au législatif un projet immobilier à Rossens Prévu entre l’église et l’Auberge du Barrage ce concept regroupe plusieurs propriétaires Économie Broye Glâne dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"La section touchée abritait notamment l’économusée C’est aussi à cet endroit que le miel et l’hydromel étaient produits L’incendie a ravagé tout au complet évalue les pertes à environ 1 million de dollars il indique que le brasier a été soudain On n’était plus capable de rentrer Le feu était intense","text":"Nous étions à l’extérieur pour la pause et de la fumée s’est échappée Le feu était intense"}}\">Nous étions à l’extérieur pour la pause et de la fumée s’est échappée j'ai vu par une sortie d'évacuation de ventilateur que de la fumée blanche sortait On a essayé de rentrer et puis [on n'était] pas capable personne n’a été blessé grâce à cette sortie momentanée il y avait des employés qui travaillaient qui s'affairaient à faire de l'étiquetage et de l'empotage ça a démarré comme une bombe » Une trentaine de pompiers se sont affairés à éteindre le brasier permettant de limiter les dégâts L’heure est maintenant à l’enquête pour le Service de prévention des incendies de la Ville d’Alma ce sont les gens sur place qui nous ont appelé pour confirmer qu'il y avait un début d'incendie La première équipe qui est arrivée sur place a confirmé le feu de bâtiment On a fait une générale pour mobiliser le plus de pompiers possibles avec une trentaine de pompiers caserne24 de la régie intermunicipale du secteur sud","text":"Aux alentours de 10h15 caserne24 de la régie intermunicipale du secteur sud"}}\">Aux alentours de 10 h 15 caserne 24 de la régie intermunicipale du secteur sud L’heure est maintenant à l’enquête pour son équipe C'est de valider le début de l'incendie On a une équipe qui a débuté la recherce l’incendie semble d’origine électrique Le copropriétaire affirme que les réserves de miel étaient situées dans un second bâtiment qui est intact L’entreprise devra cependant commander de nouveaux bocaux et des étiquettes afin de reprendre la distribution dans les épiceries On va être un bout sans être capable d'empotter On va demander à notre clientèle d'être patiente L’incendie a forcé momentanément la fermeture de la route du Lac Ouest Avec les informations de Nicolas St-Pierre et d'Annie-Claude Brisson Vicky Boutin a travaillé à Edmonton De retour dans sa région natale depuis 2006 son intérêt pour la photo donne une couleur aux projets qu'elle réalise La section touchée abritait notamment l’économusée. C’est aussi à cet endroit que le miel et l’hydromel étaient produits. Ouvrir en mode plein écranUne partie du travail des 25 dernières années de Miel des ruisseaux s’est envolée en fumée lundi matin. Je regardais les bâtiments, j'ai vu par une sortie d'évacuation de ventilateur que de la fumée blanche sortait. On a essayé de rentrer et puis [on n'était] pas capable, la grosse chaleur, ajoute l'entrepreneur. Heureusement, personne n’a été blessé grâce à cette sortie momentanée. « Quinze minutes avant, il y avait des employés qui travaillaient, qui s'affairaient à faire de l'étiquetage et de l'empotage, ça a démarré comme une bombe », raconte Patrick Fortier. Une trentaine de pompiers se sont affairés à éteindre le brasier, permettant de limiter les dégâts. L’heure est maintenant à l’enquête pour le Service de prévention des incendies de la Ville d’Alma. L’heure est maintenant à l’enquête pour son équipe. C'est de valider le début de l'incendie, la nature. On a une équipe qui a débuté la recherce, indique-t-il. Selon Patrick Fortier, à première vue, l’incendie semble d’origine électrique. Ouvrir en mode plein écranSelon le propriétaire de Miel des ruisseaux, Patrick Fortier, des employés travaillaient dans le bâtiment 15 minutes avant le début de l’incendie. Personne n'a été blessé. Le copropriétaire affirme que les réserves de miel étaient situées dans un second bâtiment qui est intact. L’entreprise devra cependant commander de nouveaux bocaux et des étiquettes afin de reprendre la distribution dans les épiceries, ce qui devrait prendre quelques semaines. Déjà, l'équipe est en mode solution. Pour le miel, c'est un coup dur. On va être un bout sans être capable d'empotter. Faut se réorganiser temporairement, ailleurs ou dans le bâtiment, j'imagine. On va demander à notre clientèle d'être patiente. L’incendie a forcé momentanément la fermeture de la route du Lac Ouest, lundi, à Alma, où est situé le bâtiment. La section touchée abritait notamment l’économusée Le feu était intense"}}\\\">Nous étions à l’extérieur pour la pause et de la fumée s’est échappée caserne24 de la régie intermunicipale du secteur sud"}}\\\">Aux alentours de 10 h 15 Une partie des installations de l’entreprise Miel des ruisseaux a été complètement détruite par les flammes lundi la grande connexion : épisode 3/4 du podcast Comme un poisson sous l’eau | Radio France Votre expérience sur le site radiofrance.fr risque d’être dégradée ©Getty - Patrick Pleul/dpa-Zentralbild/ZB Civelles ©Getty - Patrick Pleul/dpa-Zentralbild/ZB Série Certaines resteront toute leur vie dans le même cours d’eau d’autres parcourront des milliers de kilomètres jusqu’aux océans Mais les cycles naturels sont aujourd’hui gravement perturbés par les actions humaines Nous partons explorer les destinées de poissons qui peuplent nos rivières leurs cycles biologiques extraordinaires nous font pénétrer quelques secrets de l’histoire des écosystèmes et de la grande connexion qui relie les cours d’eau et les océans La surface de l’eau apparaît à la plupart d’entre nous comme un miroir qui empêche de voir l’intensité de la vie qui se déploie sous l’eau nous partons à la pêche (une pêche « no kill ») et apprenons à voir à travers le miroir Le scientifique Bill François est aussi un pêcheur naturaliste de terrain : « Le monde aquatique est caché sous la surface de l'eau et quand on n'a pas l'occasion d'y plonger il y a des moyens de voir ce qui se passe en dessous Il faut d'abord idéalement une casquette et des lunettes polarisantes qui vont supprimer les reflets on voit un peu moins notre monde à nous et on voit un peu plus le monde qui est caché sous la surface professeur d’écologie marine au Museum d’histoire naturelle est un spécialiste des poissons migrateurs et notamment des anguilles dont il étudie le cycle biologique extraordinaire qui commence en mer des Sargasses dans l’Atlantique pour remonter jusqu’aux amonts de tous les fleuves du monde « On a affaire à une espèce qui est apparue sur Terre il y a 70 millions d'années c'est à dire avant la disparition des dinosaures Les anguilles ont survécu à la cinquième extinction Mais elles pourraient bien ne pas survivre aux humains Elles sont aujourd’hui en grand danger d’extinction du fait de leur surexploitation pour la consommation humaine — dans leur forme de civelles ou d’anguilles adultes — à cause des barrages et des centrales hydroélectriques qui les empêchent de migrer président de l’Association Défense des Milieux Aquatiques en Nouvelle-Aquitaine nous alerte sur l’importance de protéger efficacement ce poisson fascinant Les écosystèmes marins sont aussi nourris par le cycle des rivières et leurs apports en nutriments nous rencontrons Lilian Haristoy qui explore depuis plusieurs années le gouf de Capbreton Ce grand canyon sous-marin est un lieu de vie pour des milliers d’espèces de poissons (thons fous de bassan) et de grands mammifères marins (dauphins baleines à bosse…) à proximité des côtes landaises et espagnoles Cette richesse de vie existe entre autres grâce à l’influence de l’Adour le fleuve qui se déverse à proximité dans l’océan apportant tous les nutriments nécessaires à la chaîne alimentaire des espèces océaniques du Gouf Lilian Haristoy : « Cet écosystème fonctionne avec une pièce maîtresse au milieu : l’anchois C'est un petit poisson qui fait quelques centimètres à peine mais qui est la proie d'une majorité des prédateurs qui sont présents sur le Gouf L’anchois se reproduit et grandit dans des eaux saumâtres donc il lui faut obligatoirement de l'eau douce S’il est dans le destin naturel de certains poissons de migrer en revanche les poissons d’eau douce appartenant aux rivières continentales ont toujours été endémiques à chaque région du monde Mais cette répartition naturelle a été bouleversée par les actions humaines qui étudie la géographie de la biodiversité a mené une étude pour mesurer ces changements : « La distribution des poissons d'eau douce à l'échelle globale était due jusqu'à aujourd'hui uniquement aux forces géologiques naturelles de la Terre l'humain est arrivé et a changé les règles du jeu C'est à dire qu'on est devenu une force géologique suffisamment importante pour déplacer les poissons d'eau douce Ses résultats viennent apporter des preuves nouvelles à l’hypothèse scientifique de l’Anthropocène Thiphaine Coste nous emmène découvrir les espèces de poissons domestiquées par l’homme et glisser notre main dans le bassin aux caresses.. professeur en écologie marine du Museum d’histoire naturelle maître de conférence en biogéographie au Museum d’histoire naturelle de Paris laboratoire Borea (biologie des organismes et des écosystèmes aquatiques) médiatrice scientifique à l’Aquarium de Paris Lucie Grunstein : lecture des extraits de Vingt mille lieues sous les mers Jules Verne et Eloquence de la sardine de Bill François Merci aussi à Adrien Ariès de la Fédération de pêche de Paris Épisode 2/4 : Des écailles au génome Épisode 4/4 : Fraterniser avec les cétacés Nouvelle-Calédonie : 50 ans de moratoire sur l'exploitation minière sous-marine Nouvelle-Calédonie : 50 ans de moratoire sur l'exploitation minière sous-marine Après des décennies de protection, les tortues marines vont (un peu) mieux Pesticides : malgré les alertes, une utilisation toujours en hausse Marine Calmet : transformer le droit pour protéger les océans La narse de Nouvialle : une zone humide menacée par des projets de carrière Nous mettons tout en œuvre pour rétablir le service dans les meilleurs délais Le maire Stéphane Boyer s’est engagé à entreprendre une démarche visant à revoir la planification du secteur voisinant avec le site où s’implantera le complexe Trudel Studios À la séance du conseil municipal du mardi 6 février une recommandation sera déposée à l’effet d’en confier le mandat à la direction générale Boyer répondait en quelque sorte à Alexandre Choquet biologiste du Conseil régional de l’environnement (CRE) de Laval l’environnementaliste réclamait «une planification détaillée du secteur Val-des-Ruisseaux qui respecte la capacité de support des écosystèmes en reconnaissant notamment que la gestion écologique et durable des eaux pluviales fait partie intégrante du concept d’écoquartier» et son équipe auront ainsi à prendre en considération les préoccupations citoyennes exprimées lors de la consultation entourant le changement d’affectation d’un vaste terrain qui permettra l’exploitation de méga-studios de cinéma en bordure de l’avenue Marcel-Villeneuve à l’est de l’autoroute 25 «Si un projet de cette envergure présente des bénéfices majeurs, je comprends que cela puisse aussi soulever des préoccupations», a reconnu le maire au lendemain de l’adoption des modifications réglementaires au schéma d’aménagement Le mandat a pour double objectif d’assurer une «intégration harmonieuse avec le quartier résidentiel» projeté au sud du site industriel nouvellement créé et de réviser l’«approche» municipale en matière de «mise en valeur» et de «protection du secteur agricole avoisinant» je vais souhaiter que cette révision puisse se faire en consultant soulignant au passage les «questions fort pertinentes soulevées» en consultation publique Le débat des dernières semaines a également incité le maire de Laval à «lancer un nouveau chantier de réflexion» quant à l’avenir des terres en culture situées à l‘extérieur du périmètre de la zone agricole permanente ces terres cultivées en zone blanche couvrent plus de 200 hectares dans le seul secteur de Saint-François c’était d’ailleurs le cas du site qui accueillera la future cité du cinéma «Monsieur le maire a dit que cette consultation lui a permis de faire sa sortie publique de la semaine dernière Il annonce même ce soir [mardi 30 janvier] un nouveau chantier de réflexion sur les terres agricoles pour peut-être augmenter la superficie des terres cultivées à Laval et agrandir le territoire protégé [Il] me semble que la première affaire que tu ne fais pas c’est d’enlever 2,2 millions de pieds carrés de terres qui ont déjà été cultivées elle et son collègue Claude Larochelle votaient contre la modification au schéma d’aménagement qui allait être entérinée à 15 voix contre 2 ont-ils maintenu en évoquant la cité du cinéma les policiers de l’Équipe intégrée de lutte contre le trafic d’armes… Rejoindre l’ensemble des citoyens de Laval par notre réseau de diffusion unique constitué de publications imprimées et par une présence importante dans la communauté et dans les réseaux sociaux Un incendie s’est déclaré aux environs de 10h15 ce matin dans un immeuble commercial de la route du Lac ouest Un incendie s’est déclaré aux environs de 10h15 ce matin dans un immeuble commercial de la route du Lac ouest « Les services d’urgence ont été appelés à se rendre à trois petits bâtiments commerciaux de la route du Lac ouest Seulement un des bâtiments avait pris feu Il n’y a toutefois eu aucun blessé et le feu est maintenant maîtrisé » indique la porte-parole de la Sûreté du Québec ce sont les installations de l’entreprise Miel des Ruisseaux qui sont concernées dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"Le ruisseau passait à travers des tuyaux en acier sous l'établissement ce qui empêchait les saumons cohos et kétas de remonter le ruisseau pour frayer comme ils le faisaient depuis des millénaires Le conseiller municipal Richard Lee se réjouit qu'on ait fait appel à des experts et à Mark Angelo ancien directeur du Rivers Institute du BCIT qui s’efforce de restaurer le cours d’eau depuis plus de 50 ans L'équilibre entre les besoins d'une ville en pleine croissance et ceux d'une zone naturelle prospère n'est pas le fruit du hasard d'étudiants du BCIT et de bénévoles Mark Angelo a coordonné des activités de dépollution et planté des milliers d’arbres le long des berges du ruisseau Guichon qui alimente le ruisseau Still Il avait été dépouillé de sa végétation riveraine Il était rempli d'ordures et de débris C'était littéralement un ruisseau mort raconte-t-il à propos de l'était du ruisseau Guichon Lors de la construction du campus de Burnaby dans les années 1960 750 mètres du cours d’eau ont été scellés sous terre la Ville de Burnaby a installé un ponceau qui permet aux poissons de nager dans le ruisseau sous le Deer Lake Parkway Mais les saumons étaient bloqués par un déversoir de 2 m initialement construit pour pousser l’eau vers les tuyaux souterrains le sol s’est effondré sur 3 m de profondeur près du centre de loisirs de l'école en raison de l'érosion du tuyau d’acier par le ruisseau Le directeur de l'amélioration des installations du BCIT n'était pas surpris par l'effondrement expliquant que c'était l’occasion de ramener le ruisseau à la surface Là où des ponceaux étaient encore nécessaires les tuyaux en tôle ondulée ont été remplacés par du béton ce qui permet aux poissons de passer en sécurité Les équipes du BCIT ont installé une échelle à saumons qui permettra aux saumons kétas de passer devant l'emplacement du déversoir le ruisseau Guichon fait partie des dizaines d'anciens cours d'eau du Grand Vancouver qui étaient utilisées par le saumon coho et le saumon kéta avant qu'ils ne soient recouverts d'asphalte c'est la première saison de migration au cours de laquelle les saumons pourront parcourir toute la longueur du ruisseau par leurs propres moyens Malgré le passage dégagé et des infrastructures facilitant la remontée des saumons la faune sauvage peut mettre plusieurs années avant de s’approprier le ruisseau à nouveau D'après le biologiste de la Fondation Raincoast Conservation David Scott les chercheurs devront attendre plusieurs cycles de vie du saumon kéta pour évaluer s’il revient véritablement frayer leur cycle de vie est d'environ trois à quatre ans c'est qu'ils peuvent réagir très fortement à la restauration Mark Angelo affirme que le travail de restauration a déjà permis à la faune de se réapproprier les lieux des loutres et parfois même des ours près du ruisseau Le ruisseau a littéralement commencé à reprendre vie Le biologiste Scott souligne que beaucoup de ruisseaux ont été ensevelis avec le développement des villes : Chaque fois que nous pouvons ramener les ruisseaux à la surface et recréer l'habitat du saumon qui existait auparavant D'après des informations de Isaac Phan Nay Ouvrir en mode plein écranL'année dernière l'Institut de technologie de la Colombie-Britannique a installé un passage à poissons le long du ruisseau Guichon pour permettre aux saumons de migrer dans la rivière a été ramenée à la surface pour que les saumons puissent s'y frayer un chemin Le cours d'eau était enfoui sous un campus de l'Institut de Technologie de la Colombie-Britannique (BCIT) depuis les années 1960 Le ruisseau passait à travers des tuyaux en acier sous l'établissement ce qui empêchait les saumons cohos et kétas de remonter le ruisseau pour frayer comme ils le faisaient depuis des millénaires Le conseiller municipal Richard Lee se réjouit qu'on ait fait appel à des experts et à Mark Angelo qui s’efforce de restaurer le cours d’eau depuis plus de 50 ans L'équilibre entre les besoins d'une ville en pleine croissance et ceux d'une zone naturelle prospère n'est pas le fruit du hasard Mark Angelo a coordonné des activités de dépollution et planté des milliers d’arbres le long des berges du ruisseau Guichon qui alimente le ruisseau Still ancien directeur du River Institute du BCIT dirige la restauration du ruisseau Guichon depuis plus de 50 ans Il avait été dépouillé de sa végétation riveraine raconte-t-il à propos de l'était du ruisseau Guichon Lors de la construction du campus de Burnaby dans les années 1960 750 mètres du cours d’eau ont été scellés sous terre la Ville de Burnaby a installé un ponceau qui permet aux poissons de nager dans le ruisseau sous le Deer Lake Parkway Mais les saumons étaient bloqués par un déversoir de 2 m initialement construit pour pousser l’eau vers les tuyaux souterrains le sol s’est effondré sur 3 m de profondeur près du centre de loisirs de l'école en raison de l'érosion du tuyau d’acier par le ruisseau Le directeur de l'amélioration des installations du BCIT expliquant que c'était l’occasion de ramener le ruisseau à la surface Là où des ponceaux étaient encore nécessaires les tuyaux en tôle ondulée ont été remplacés par du béton ce qui permet aux poissons de passer en sécurité Les équipes du BCIT ont installé une échelle à saumons qui permettra aux saumons kétas de passer devant l'emplacement du déversoir le ruisseau Guichon fait partie des dizaines d'anciens cours d'eau du Grand Vancouver qui étaient utilisées par le saumon coho et le saumon kéta avant qu'ils ne soient recouverts d'asphalte Ouvrir en mode plein écranUn nouveau tronçon du ruisseau Guichon émerge de sous la terre Photo : Radio-Canada / Institut de Technologie de la Colombie-Britannique c'est la première saison de migration au cours de laquelle les saumons pourront parcourir toute la longueur du ruisseau par leurs propres moyens Malgré le passage dégagé et des infrastructures facilitant la remontée des saumons la faune sauvage peut mettre plusieurs années avant de s’approprier le ruisseau à nouveau D'après le biologiste de la Fondation Raincoast Conservation David Scott les chercheurs devront attendre plusieurs cycles de vie du saumon kéta pour évaluer s’il revient véritablement frayer leur cycle de vie est d'environ trois à quatre ans c'est qu'ils peuvent réagir très fortement à la restauration Mark Angelo affirme que le travail de restauration a déjà permis à la faune de se réapproprier les lieux des loutres et parfois même des ours près du ruisseau Le ruisseau a littéralement commencé à reprendre vie Le biologiste Scott souligne que beaucoup de ruisseaux ont été ensevelis avec le développement des villes : Chaque fois que nous pouvons ramener les ruisseaux à la surface et recréer l'habitat du saumon qui existait auparavant D'après des informations de Isaac Phan Nay Chargement en coursInfolettre ICI Colombie-BritaniqueUne fois par jour Le ruisseau passait à travers des tuyaux en acier sous l'établissement a été ramenée à la surface pour que les saumons puissent s'y frayer un chemin Le cours d'eau était enfoui sous un campus de l'Institut de Technologie de la Colombie-Britannique (BCIT) depuis les années 1960 dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"En ce matin d’été trois étudiants en sciences environnementales se faufilent entre de hautes herbes comme la température ou le taux d'oxygène consciencieusement compilés sur une tablette En fond sonore : les chants des oiseaux et les bruissements de la forêt mais pas aussi froide que les mois précédents L’étudiant explique qu’il mesure le débit du ruisseau Colwood dont la température ce jour-là est de 13 °C Nous mesurons la largeur et la profondeur de l'eau et nous avons un débitmètre que nous utilisons pour mesurer la vitesse car elles peuvent donner une idée de la quantité d'eau que le ruisseau déverse dans la lagune À deux pas de là se trouve le magnifique refuge d’oiseaux migrateurs de la Lagune‑d’Esquimalt de 134 hectares Les deux ruisseaux étudiés s’y déversent La Lagune-d'Esquimalt est un refuge fédéral d'oiseaux migrateurs où vivent une poignée d'oiseaux de rivage C'est également très important pour les peuples des Premières Nations comme les Esquimalt et les Songhees car ils entretiennent des relations avec ces terres et ces ressources en eau depuis des milliers d'années Robert White reconnaît qu’il ne pensait pas qu’il aimerait autant travailler dehors et récolter des données dans la nature mais également un compteur d'oxygène dissous pour mesurer les niveaux d'oxygène dans la rivière et la température de l'eau Le groupe prélève aussi des échantillons de sédiments de la rivière et les teste grâce à des appareils fluorescents à rayons X pour savoir quels sont les métaux lourds présents dans l’eau Les étudiants consignent également les poissons rencontrés et les animaux aperçus sur des caméras de sentier comme des cerfs des canards colverts et un cormoran à aigrettes Le débit peut affecter l'habitat aquatique les organismes aquatiques qui vivent dans le ruisseau nous pouvons mieux comprendre comment ils se déplacent et se diluent dans l'eau lorsque nous connaissons la mesure du débit d'un ruisseau il sera possible de comparer les données et de comprendre les effets du changement climatique Son camarade Coelton Dayle explique que leur mission a été de mettre en place des données de base et des protocoles d'échantillonnage pour que les mesures continuent d'être collectées dans les années à venir Coelton Dayle considère que ce projet étudiant est une façon d'aider et de redonner en contribuant à la protection de l’environnement Je pense simplement que c'est important parce que [ces ruisseaux] sont ici depuis longtemps bien avant nous et je ne pense pas que nous devrions vraiment modifier quoi que ce soit ce projet leur permet d'acquérir des compétences qu'ils comptent bien mettre en œuvre dans leurs futurs emplois Robert White assure quant à lui que de simples citoyens peuvent aussi surveiller les ruisseaux dans leur voisinage tout ce que vous avez à faire est simplement d'aller au ruisseau voir quelles conditions vous pouvez remarquer Il ajoute que pour une analyse scientifique plus avancée il faut des équipements tels qu’un multimètre ils peuvent certainement trouver des groupes près de chez eux qui sont mieux équipés pour accomplir ces tâches car le problème numéro un avec ce genre de choses Le District régional de la capitale (CRD) n'a pas répondu à nos questions sur l'état des ruisseaux dans la région avant la publication de cet article Mélinda Trochu est vidéojournaliste à Victoria Elle a posé ses valises sur l'île de Vancouver en 2020 après avoir travaillé en tant que journaliste indépendante pour de nombreux médias francophones en France Elle a également travaillé pour CBC North à Yellowknife Elle s'intéresse aux questions autochtones et sociales ainsi qu'à tous les sujets d'intérêt public Ouvrir en mode plein écranDes étudiants de l'Université Royal Roads surveillent des ruisseaux et la qualité de l'eau sur leur campus dans le cadre de leurs études en sciences environnementales surveillent deux ruisseaux qui coulent sur leur campus De nombreuses données sont collectées le long des ruisseaux Colwood et Hatley dans le but de garder l'œil sur cet écosystème fragile trois étudiants en sciences environnementales se faufilent entre de hautes herbes consciencieusement compilés sur une tablette En fond sonore : les chants des oiseaux et les bruissements de la forêt mais pas aussi froide que les mois précédents L’étudiant explique qu’il mesure le débit du ruisseau Colwood dont la température ce jour-là est de 13 °C et nous avons un débitmètre que nous utilisons pour mesurer la vitesse car elles peuvent donner une idée de la quantité d'eau que le ruisseau déverse dans la lagune À deux pas de là se trouve le magnifique refuge d’oiseaux migrateurs de la Lagune‑d’Esquimalt de 134 hectares La Lagune-d'Esquimalt est un refuge fédéral d'oiseaux migrateurs où vivent une poignée d'oiseaux de rivage C'est également très important pour les peuples des Premières Nations comme les Esquimalt et les Songhees car ils entretiennent des relations avec ces terres et ces ressources en eau depuis des milliers d'années Robert White reconnaît qu’il ne pensait pas qu’il aimerait autant travailler dehors et récolter des données dans la nature mais également un compteur d'oxygène dissous pour mesurer les niveaux d'oxygène dans la rivière et la température de l'eau Le groupe prélève aussi des échantillons de sédiments de la rivière et les teste grâce à des appareils fluorescents à rayons X pour savoir quels sont les métaux lourds présents dans l’eau Les étudiants consignent également les poissons rencontrés et les animaux aperçus sur des caméras de sentier comme des cerfs des canards colverts et un cormoran à aigrettes Ouvrir en mode plein écranTrois des étudiants de l'Université Royal Roads qui participent à la surveillance des deux ruisseaux en 2024 : Robert White Coelton Dayle et Ivan Niegas (de gauche à droite) Le débit peut affecter l'habitat aquatique nous pouvons mieux comprendre comment ils se déplacent et se diluent dans l'eau lorsque nous connaissons la mesure du débit d'un ruisseau il sera possible de comparer les données et de comprendre les effets du changement climatique Son camarade Coelton Dayle explique que leur mission a été de mettre en place des données de base et des protocoles d'échantillonnage pour que les mesures continuent d'être collectées dans les années à venir Ouvrir en mode plein écranLes données sont collectées à 19 points de surveillance le long de deux ruisseaux qui tous deux se déversent dans la Lagune-d'Esquimalt Coelton Dayle considère que ce projet étudiant est une façon d'aider et de redonner en contribuant à la protection de l’environnement 1:42Des étudiants de l'Université Royal Roads surveillent des ruisseaux et la qualité de l'eau dans le cadre de leurs études ce projet leur permet d'acquérir des compétences qu'ils comptent bien mettre en œuvre dans leurs futurs emplois Robert White assure quant à lui que de simples citoyens peuvent aussi surveiller les ruisseaux dans leur voisinage tout ce que vous avez à faire est simplement d'aller au ruisseau Il ajoute que pour une analyse scientifique plus avancée il faut des équipements tels qu’un multimètre ils peuvent certainement trouver des groupes près de chez eux qui sont mieux équipés pour accomplir ces tâches car le problème numéro un avec ce genre de choses Le District régional de la capitale (CRD) n'a pas répondu à nos questions sur l'état des ruisseaux dans la région avant la publication de cet article des étudiants de l’Université Royal Roads surveillent deux ruisseaux qui coulent sur leur campus Le but : avoir un œil sur cet écosystème fragile des étudiants de l’Université Royal Roads surveillent deux ruisseaux qui coulent sur leur campus dans le but de garder l'œil sur cet écosystème fragile La seconde phase de travaux d’aménagement de sentiers pédestres du parc naturel des Ruisseaux de Chambly est amorcée depuis le 11 mars dernier s’échelonnant de mars à septembre prochains permettra la réalisation des boucles 4 et 5 L’aménagement des sentiers pédestres du parc naturel des Ruisseaux approchera alors de sa touche finale La Ville de Chambly souligne toutefois que le parc sera considéré comme un chantier Il demeurera donc fermé à la population pendant la durée des travaux les sentiers seront voués à un usage quatre saisons La Municipalité souligne qu’ils pourront être empruntés à l’année par les promeneurs et accueillir les raquetteurs en hiver Les trois premières boucles avaient été réalisées à l’automne 2023 Le nouveau réseau des sentiers pédestres totalisera environ quatre kilomètres La Ville aura recours à l’installation d’infrastructures telles que trottoirs de bois le parc naturel des Ruisseaux est le plus grand parc de la municipalité Le parc découle notamment de la vente de terrains industriels laquelle a permis d’acquérir des parcelles de terre permettant sa concrétisation Les sentiers pédestres s’ajouteront à l’ensemble des activités hivernales de plein air notamment les 6 kilomètres de sentiers de ski de fond et les 12 kilomètres de sentiers de vélo à pneus surdimensionnés dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"Depuis plusieurs jours de nombreux résidents du secteur remarquent que l’eau du ruisseau de Green (Green's Creek) semble plus trouble qu’à l’habitude dans un groupe de discussion réservé au voisinage écrit avoir vu une eau décolorée et senti quelque chose d'étrange en traversant un pont piétonnier qui enjambe le cours d’eau qui est sous la responsabilité de la Commission de la capitale nationale (CCN) Le ministère de l’Environnement de la Protection de la nature et des Parcs a confirmé plus tôt cette semaine que son Centre d'action en cas de déversements avait été informé de l'eau trouble qui coule dans le ruisseau de Green Nous avons depuis déterminé que le stationnement non pavé à l'entrée sud du site [de la cimenterie] Lafarge est la source des sédiments observés dans le ruisseau a écrit un porte-parole du ministère à CBC Le ministère ajoute qu’il n’a détecté aucun déversement ni perturbation opérationnelle au niveau de la carrière ainsi que dans les zones de production de béton et d’asphalte de l'entreprise L'incident a été considéré par le ministère comme un problème de drainage municipal et a confié l'enquête à la Ville d’Ottawa la directrice des services linéaires de l'eau et des services à la clientèle de la Ville d'Ottawa note que son enquête préliminaire a permis d’identifier que la source du déversement était une zone de lavage et de rinçage de camions de ciment L'eau utilisée pour nettoyer les camions s'écoulait vers le fossé voisin puis jusqu'au ruisseau de Green à proximité La Ville a assuré qu'elle travaillait avec l’entreprise pour garantir que des mesures correctives et des protections appropriées soient en place pour prévenir de futurs événements La municipalité veut aussi s’assurer que le déversement a été contenu et nettoyé Il faut s'assurer que tout futur lavage et rinçage des véhicules soit protégé et que des mesures de contrôle des sédiments et de l'érosion soient en place afin que les eaux usées et le ruissellement soient captés sur place et ne pénètrent plus dans les fossés et les ruisseaux à proximité Le ruisseau de Green et les sentiers récréatifs qui le bordent appartiennent à la CCN La société d'État affirme qu'elle était au courant de l'incident et qu'elle travaillait avec les autorités compétentes Elle n’a fourni aucun autre renseignement ses registres montrent que les rejets d'eau de sa propriété en amont du ruisseau restent entièrement conformes aux limites que nous autorisent nos permis Dans une déclaration envoyée par courrier électronique à CBC l’entreprise a indiqué que les matériaux en question qui se sont écoulés sont constitués de poussière de route de sédiments de calcaires et de fins résidus de béton générés par les activités de la société La Ville d’Ottawa n'a émis aucun avis public concernant l'incident le déversement de produits ou résidus de ciment et béton dans un cour d'eau a le potentiel de modification des niveaux de pH de l'eau ce qui peut nuire à la vie aquatique et à l'environnement l'ingestion ou le contact direct avec des eaux usées altérées par ce genre de produits peut provoquer une irritation de la peau et des yeux des problèmes respiratoires et des brûlures chimiques potentielles en particulier à des concentrations plus élevées Plusieurs terrains de football extérieurs et un dôme sportif se situent à proximité du ruisseau de Green l'entreprise Lafarge a déclaré être consciente de l'inquiétude du public face à l’incident Nous comprenons les questions de la communauté et nous fournirons bientôt une mise à jour pour garantir la transparence et répondre à toutes les préoccupations en suspens Ouvrir en mode plein écranL'incident a été considéré par le ministère comme un « problème de drainage municipal » et a confié l'enquête à la Ville d’Ottawa Les activités de la cimenterie Lafarge Canada sont à l’origine de l’apparition soudaine d’une eau trouble dans un cour d'eau à proximité selon la Ville et le ministère de l'Environnement de l'Ontario de nombreux résidents du secteur remarquent que l’eau du ruisseau de Green (Green's Creek) semble plus trouble qu’à l’habitude dans un groupe de discussion réservé au voisinage écrit avoir vu une eau décolorée et senti quelque chose d'étrange en traversant un pont piétonnier qui enjambe le cours d’eau qui est sous la responsabilité de la Commission de la capitale nationale (CCN) de la Protection de la nature et des Parcs a confirmé plus tôt cette semaine que son Centre d'action en cas de déversements avait été informé de l'eau trouble qui coule dans le ruisseau de Green Nous avons depuis déterminé que le stationnement non pavé à l'entrée sud du site [de la cimenterie] Lafarge est la source des sédiments observés dans le ruisseau a écrit un porte-parole du ministère à CBC Le ministère ajoute qu’il n’a détecté aucun déversement ni perturbation opérationnelle au niveau de la carrière ainsi que dans les zones de production de béton et d’asphalte de l'entreprise L'incident a été considéré par le ministère comme un problème de drainage municipal et a confié l'enquête à la Ville d’Ottawa la directrice des services linéaires de l'eau et des services à la clientèle de la Ville d'Ottawa note que son enquête préliminaire a permis d’identifier que la source du déversement était une zone de lavage et de rinçage de camions de ciment L'eau utilisée pour nettoyer les camions s'écoulait vers le fossé voisin puis jusqu'au ruisseau de Green à proximité La Ville a assuré qu'elle travaillait avec l’entreprise pour garantir que des mesures correctives et des protections appropriées soient en place pour prévenir de futurs événements La municipalité veut aussi s’assurer que le déversement a été contenu et nettoyé Ouvrir en mode plein écranMarilyn Journeaux directrice des services d'eau à la Ville d'Ottawa (Photo d'archives) Il faut s'assurer que tout futur lavage et rinçage des véhicules soit protégé et que des mesures de contrôle des sédiments et de l'érosion soient en place afin que les eaux usées et le ruissellement soient captés sur place et ne pénètrent plus dans les fossés et les ruisseaux à proximité Le ruisseau de Green et les sentiers récréatifs qui le bordent appartiennent à la CCN La société d'État affirme qu'elle était au courant de l'incident et qu'elle travaillait avec les autorités compétentes ses registres montrent que les rejets d'eau de sa propriété en amont du ruisseau restent entièrement conformes aux limites que nous autorisent nos permis Dans une déclaration envoyée par courrier électronique à CBC l’entreprise a indiqué que les matériaux en question qui se sont écoulés sont constitués de poussière de route de sédiments de calcaires et de fins résidus de béton générés par les activités de la société La Ville d’Ottawa n'a émis aucun avis public concernant l'incident le déversement de produits ou résidus de ciment et béton dans un cour d'eau a le potentiel de modification des niveaux de pH de l'eau ce qui peut nuire à la vie aquatique et à l'environnement l'ingestion ou le contact direct avec des eaux usées altérées par ce genre de produits peut provoquer une irritation de la peau et des yeux des problèmes respiratoires et des brûlures chimiques potentielles en particulier à des concentrations plus élevées Plusieurs terrains de football extérieurs et un dôme sportif se situent à proximité du ruisseau de Green l'entreprise Lafarge a déclaré être consciente de l'inquiétude du public face à l’incident Nous comprenons les questions de la communauté et nous fournirons bientôt une mise à jour pour garantir la transparence et répondre à toutes les préoccupations en suspens Chargement en coursInfolettre ICI Ottawa-GatineauUne fois par jour sont à l’origine de l’apparition soudaine d’une eau trouble dans un cour d'eau à proximité selon la Ville et le ministère de l'Environnement de l'Ontario dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"Un texte de Benoit Clément Une dizaine de groupes communautaires ont participé au projet Qualité de l'eau du bassin Columbia (CBWQ) depuis 2007 explique qu’ils ont étudié de nombreux facteurs pour déterminer quel genre de pression est exercée sur les cours d’eau « Nous avons analysé la présence de macro-invertébrés benthiques de petits animaux qui vivent dans le fond des cours d’eau » nous avons surveillé la température des ruisseaux ainsi que la vitesse et le débit du cours d’eau » Les données récoltées par les scientifiques citoyens peuvent ensuite être utilisées par des organisations dans les milieux universitaires pour la recherche ou par les gouvernements pour élaborer des politiques sur l’environnement Laura Duncan croit que les ruisseaux sont souvent ignorés dans les études sur les cours d’eau en Colombie-Britannique « Les petits cours d’eau réagissent beaucoup plus rapidement aux changements ou à la pollution que les fleuves Ils peuvent donc nous donner une idée de ce qui va bientôt toucher les grands cours d’eau » Elle note aussi que c'est l'endroit où les saumons vont frayer d'où l'importance d'en connaître davantage sur la santé des ruisseaux Ces scientifiques citoyens ont reçu une formation de deux jours d’Environnement Canada sur le protocole du Réseau canadien de biosurveillance aquatique pour assurer l'intégrité scientifique des données récoltées Ouvrir en mode plein écranDes groupes communautaires ont amassé des données sur des dizaines de cours d’eau dans le sud-est de la Colombie-Britannique Prenez note que cet article publié en 2018 pourrait contenir des informations qui ne sont plus à jour Des scientifiques citoyens ont passé 11 ans à étudier des ruisseaux dans le Kootenay dans le sud-est de la Colombie-Britannique Les données de leur recherche sont maintenant offertes en ligne et peuvent notamment aider à formuler de meilleures politiques environnementales Une dizaine de groupes communautaires ont participé au projet Qualité de l'eau du bassin Columbia (CBWQ) depuis 2007 explique qu’ils ont étudié de nombreux facteurs pour déterminer quel genre de pression est exercée sur les cours d’eau « Nous avons analysé la présence de macro-invertébrés benthiques de petits animaux qui vivent dans le fond des cours d’eau » nous avons surveillé la température des ruisseaux ainsi que la vitesse et le débit du cours d’eau » Ouvrir en mode plein écranLe bassin du fleuve Columbia comprend des centaines de ruisseaux En mauve,huit des cours d’eau qu’ont étudiés les participants au projet Qualité de l'eau du bassin Columbia Les données récoltées par les scientifiques citoyens peuvent ensuite être utilisées par des organisations dans les milieux universitaires pour la recherche ou par les gouvernements pour élaborer des politiques sur l’environnement Ouvrir en mode plein écranUn text mené sur l’eau de la rivière St Laura Duncan croit que les ruisseaux sont souvent ignorés dans les études sur les cours d’eau en Colombie-Britannique « Les petits cours d’eau réagissent beaucoup plus rapidement aux changements ou à la pollution que les fleuves Ils peuvent donc nous donner une idée de ce qui va bientôt toucher les grands cours d’eau » Elle note aussi que c'est l'endroit où les saumons vont frayer d'où l'importance d'en connaître davantage sur la santé des ruisseaux Ces scientifiques citoyens ont reçu une formation de deux jours d’Environnement Canada sur le protocole du Réseau canadien de biosurveillance aquatique pour assurer l'intégrité scientifique des données récoltées Ouvrir en mode plein écranAvec les changements climatiques les scientifiques croient que l’écosystème des ruisseaux est de plus en plus à risque Des scientifiques citoyens ont passé 11 ans à étudier des ruisseaux dans le Kootenay La Ville de Chambly souhaite informer la population que la seconde phase de travaux d’aménagement de sentiers pédestres du parc naturel des Ruisseaux sera amorcée dès le lundi 11 mars 2024 Lien connexe : Carte de présentation des sentiers projetés Soutenez une rédaction professionnelle au service de la Bretagne et des Bretons Afin de bénéficier de l'ensemble des services du Télégramme pensez à valider votre adresse email depuis l'email que nous vous avons envoyé Elle a fait l’objet d’un aménagement et d’un embellissement L’inauguration de la rue des Ruisseaux a eu lieu en présence de nombreux élus et de la population. (Photo Municipalité de Quessoy)Samedi 26 avril, la rue des Ruisseaux avec 12 à 13 enseignes ou activités artisanales Cela fait désormais 20 ans que les élus ont engagé la requalification du centre-bourg de Quessoy marquant le commencement de cette métamorphose Des pavés en granit sont venus embellir le centre « Nous avons fait le choix de prolonger les pavés sur une partie de la rue des Ruisseaux avec un système autobloquant permettant l’infiltration des eaux pluviales » Et d’ajouter : « Nous avions trois objectifs dans l’aménagement de cette rue Lui redonner son activité d’antan avec des commerces-services de santé l’aménager en sécurisant les déplacements doux vers Le Clos-Quentin et gérer les eaux pluviales sur son périmètre par de l’infiltration. » Pour l’instant deux commerces sont en activité : la couturière et l’auto-école La rue a été mise en sens unique et des trottoirs spacieux ont été créés avec des matériaux différents pour bien les identifier Ils vont permettre de faciliter les déplacements doux vers les services et lieux d’activités comme la ludothèque ou le conservatoire de musique Le coût de l’aménagement de la rue des Ruisseaux s’élève à 600 291,51 € et touchée 388 733 € de subventions (État la rue des Ruisseaux aménagée et inaugurée l’Espace des Ruisseaux a été inauguré et baptisé Espace Abbé-Zéphirin-Rault Ce dernier aura marqué de son empreinte son passage sur la commune L’espace Zéphirin-Rault a été inauguré en présence de nombreux élus et de la population (Municipalité de Quessoy)Cet espace consacré en majeure partie à l’enfance et à la jeunesse a été ainsi dénommé en hommage à l’abbé Zéphirin Rault après avoir été directeur d’école d’Uzel pendant 18 ans « Depuis que nous avons annoncé ce projet plusieurs personnes m’ont parlé de l’abbé avec une grande émotion sa modestie et sa disponibilité ont marqué les esprits » Il retrace : « Le presbytère est ouvert les enfants du bourg investissent la salle à manger transformée en salle de jeu La première pharmacie de la commune est au presbytère il achète une salle et du matériel pour la troupe des Écureuils : funambulisme clown… Il achète aussi le premier car scolaire en 1952 et met en place des cours ménagers et une association d’aide familiale On peut dire qu’il a été un prêtre progressiste et novateur son dynamisme a contribué à la renommée de la commune » L’abbé décédera en 1991 après une retraite bien méritée de neuf ans à Créhen et aura désormais son nom sur un des bâtiments emblématiques de la commune Quessoy : l’Espace des Ruisseaux devient Espace Zéphirin-Rault La Ville de Chambly souhaite informer les citoyens de la progression des travaux entourant la création de sentiers pédestres au parc naturel des Ruisseaux La carte nationale élaborée par les chercheurs à partir des données départementales fait apparaître 680 000 kilomètres de cours d’eaux Mais certains territoires sont recouverts de filaments bleus quand d’autres n’en comportent presque aucun Tout est rentré dans l’ordre à Vayrac les routes fermées ce week-end à cause des pluies abondantes étaient de nouveau accessibles. La route de la Dordogne avait été inondée en partie au niveau de l’entrée du camping municipal par la sortie des fossés en bord de route a été évacué avant l’inondation de la route au lendemain des intempéries qui ont touché une bonne partie du Lot de nombreux ruisseaux ont débordé dans le département coupant des routes et empêchant les automobilistes à avancer Si la rivière Dordogne n’a pas débordé treize personnes ont dû être évacuées du restaurant la Gabare Les clients venus déjeuner se sont retrouvés bloqués au moment de quitter l’établissement situés à côté d’un plan d’eau avaient quant à eux été totalement épargnés par l’inondation Les clients et le personnel avaient été évacués vers la salle des fêtes en attendant l’arrivée des proches pour venir les chercher le maire du village avait assuré "qu’il n’y avait pas de péril ou de catastrophe" L’incident n’avait pas fait de victimes Vous souhaitez suivre ce fil de discussion Souhaitez-vous recevoir une notification lors de la réponse d’un(e) internaute à votre commentaire l'agriculture a détruit les fossés l'eau s'évacue ou elle peut Le citoyen Jean-Claude Vaillant ne reconnait pas le projet du budget participatif voté en 2020 par la population au parc naturel des Ruisseaux à Chambly l’homme a consacré bénévolement de nombreuses heures à aménager le boisé du parc-nature autrefois nommé Fonrouge Le citoyen de la rue Hertel avait lui-même financé l’achat d’un snowdog machine compacte pouvant servir à taper un sentier en espace restreint Il y a notamment développé et entretenu respectivement plusieurs kilomètres de sentiers pour les piétons skieurs de fond ainsi que pour les cyclistes de vélo à pneus surdimensionnés (fat bike) dans le cadre du premier projet du budget participatif de Chambly le projet de création d’un parc proposant des activités familiales en plein air pour les quatre saisons en gardant comme vocation la conservation de la nature en place Le citoyen chamblyen se dit aujourd’hui « bouleversé » face aux travaux qui ont commencé Après avoir mis tant de temps et d’efforts pour préserver le milieu naturel « j’avais envie de pleurer dans le bois Il parle « d’abattage d’arbres inutile » alors il avance qu’il était question d’un projet dans la « continuité » avec le « moins d’impacts » possibles Ils saccagent tout quand ils entrent dans le bois Il remet en question le résultat à venir du projet du budget participatif qu’il juge dénaturé de sa proposition initiale il ne répond pas à la demande des utilisateurs « la grande majorité des propositions figurant dans la présentation sont intégrées au projet Il est difficile pour moi de nommer des différences Je trouve surtout que nous nous sommes arrimés exactement au même objectif Elle indique cependant qu’il est « impossible d’arriver à copier à l’identique » une proposition comme celles reçues dans le cadre d’un budget participatif « Les impondérables sont nombreux et souvent les projets soumis sont à l’étape de concept ou d’idéation » Ils sont en tain de faire des sentiers de style SÉPAQ » Il reproche l’aspect « urbain » que prendrait le parc Lors de la séance du conseil municipal de la semaine dernière Jean-Claude Vaillant s’est fait entendre Alexandra Labbé s’avoue surprise de l’intervention du citoyen « Je comprends que certains citoyens puissent avoir des attentes différentes par rapport aux projets municipaux surtout dans le cadre d’un projet qui se travaille aussi étroitement avec la population Seule la phase 1 du document de présentation était prise en considération pour le vote du public « Le projet tel que proposé n’aurait pas dépassé 100 000 $ Pas besoin de dépenser un million pour avoir des sentiers seule la phase 1 du document de présentation était prise en considération pour le vote du public On parle d’un budget de 100 000 $ qui s’intègre à un projet municipal représentant un investissement de 1,1 M$ » Jean-Claude Vaillant revient sur le mot » naturel » dans la toponymie du parc naturel des Ruisseaux la salle Marcel-Pagnol a accueilli une réunion de travail du comité de pilotage (Copil) des ruisseaux couverts Présidée par Henri Chalvidan cette rencontre a permis de faire un point sur l’état des ruisseaux couverts du nord du Gard et sur les actions à mettre en place Henri Chalvidan a notamment souligné que "ces ruisseaux ont été construits à peu près à la même époque une précision importante pour comprendre leur état de dégradation actuel" Le ruisseau couvert de La Forge à Bessèges a été identifié comme une priorité pour les travaux à venir Un diagnostic a également permis de mettre en lumière plusieurs zones sensibles notamment sur Molières-sur-Cèze où une intervention est nécessaire a d’ailleurs posé la question des potentielles mauvaises surprises : "Des choses qu’on pourrait découvrir ?" Henri Chalvidan a répondu avec pragmatisme : "Bien sûr Les modélisations 3D présentées lors de cette réunion ont impressionné les participants notamment en raison de leur précision Des outils qui ont permis d’étayer les diagnostics et les propositions de travaux à mettre en œuvre à l’avenir Le vice-président du conseil départemental et maire honoraire très alerte sur la question durant ses mandats à la tête de l’ancienne cité minière a rappelé au préfet "les difficultés à financer tous les travaux et le poids pour nos communes" invitant à faire remonter au plus haut niveau le facteur risque qui doit être traité collectivement a rappelé les inquiétudes partagées par l’ensemble des participants : "Pour La Grand-Combe nous sommes sur les mêmes préoccupations que mes collègues à savoir la mise en sécurité qui nécessite des travaux et donc des moyens a salué le soutien technique du Sivu en ces termes : "Merci au travail fait par le Sivu On s’est retrouvé en situation d’urgence et merci pour cet appui technique en lien direct avec un bassin d’exhaure de mine et les habitants sont restés avec deux mètres d’eau dans leurs caves." Cette réunion a permis de poser les bases d’un plan d’action pour les mois à venir avec des propositions de financement et des étapes à définir dans le cadre des futurs plans d’action notamment le Papi (programme d’actions de prévention des inondations) Un total de 11 000 œufs de truite a été implanté dans les ruisseaux Cacouna et Paul-Boisvert dans le cadre d’une activité de conservation avec les élèves de secondaire 5 du programme GARAF le projet a été mené par trois élèves de la classe de l’enseignante Stéphanie Roux ils avaient comme mission de diriger leurs camarades pour implanter les œufs dans les ruisseaux le groupe d’élèves a été placé en isolement préventif en raison de cas de COVID-19 Résultat : les adolescents n’ont pas pu se déplacer sur le site d’autres enseignants et techniciens ont décidé d’enfiler leur salopette et leurs bottes de pluie pour prendre en charge l’activité Si certains se sont occupés des manipulations d’autres filmaient les faits et gestes de leurs collègues pour que les élèves puissent observer à distance on a décidé de faire un direct avec les élèves j’ouvre mon cours dans mon classroom  pour avoir un visuel Ils ont un lien vers GoPro live pour visionner en direct» les œufs ont été placés dans des caissettes Ces dernières ont été déposées dans le ruisseau ciblé «Les œufs ont été fécondés dans une pisciculture avec les œufs de la femelle et le spermatozoïde du mâle On a 36 heures pour les déposer dans l’eau C’est pour ça qu’on n’a pas pu attendre les élèves Les élèves pouvaient interagir avec les intervenants sur le terrain «On aimerait que les élèves soient là avec nous Ils vont pouvoir le continuer au printemps On le fait aujourd’hui pour qu’ils puissent faire le suivi» les élèves pourront retourner sur le terrain afin de calculer le pourcentage de réussite L’exercice avait déjà été fait il y a quelques années on poursuit notre travail de suivi et d’entretien on insère des œufs de truite dans notre frayère pour qu’une population puisse être conservée coordonnateur du GARAF (Groupe d’aide pour la recherche et l’aménagement de la faune) Rappelons que le GARAF a pour mission de développer les apprentissages et atteindre la réussite éducative tout en mobilisant les apprentissages pour répondre à une problématique environnementale fils de feu Frank Joseph Cline et de feu Antoinette Th… est décédée à l’âge de 76 ans madame Monique Parenteau fille de feu Lucien Parenteau et de feu Imelda Lema… 1928-2025 Au CIUSSS MCQ-Centre Christ-Roi de Nicolet Plateforme EZ Newzsite par Textuel et TolléDonnées météo fournies par OpenWeatherMap dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"L’école fait face à une éclosion de COVID-19 depuis la fin de la relâche scolaire Onze personnes y ont été déclarées positives parmi lesquelles dix élèves et un membre du personnel Quatre bulles-classes ont été retirées de l’école et plus d'une centaine d'élèves sont actuellement en quarantaine préventive Les frères et sœurs des élèves de ces bulles-classes scolarisés à l’école des Deux-Ruisseaux sont aussi en isolement préventif C’est la première fois en Outaouais qu’une telle clinique est déployée dans une école par le Centre intégré de santé et de services sociaux (CISSS) de l’Outaouais Ce service est offert en projet pilote pour répondre plus adéquatement à la demande de parents qui pourraient vouloir faire tester leur enfant qui ne fait pas partie des bulles-classes retirées peut-on lire dans une lettre envoyée aux parents Le projet pilote vise à améliorer l’accessibilité aux tests de dépistage dans ce contexte de demande accrue La clinique mobile ouvrira ses portes à l’école des Deux-Ruisseaux les 12, 13 et 14 mars soit dès vendredi à 15 h jusqu' au dimanche 17 h La prise de rendez-vous pour se faire tester pourra se faire en ligne La directrice du Centre de services scolaire des Portages-de-l'Outaouais (CSSPO) espère que cette clinique mobile facilitera l’accès au dépistage des élèves on voulait donner un accès plus facile améliorer l’accès au test de dépistage c’est plus complexe de se rendre à une clinique et pour certains élèves c’est peut-être plus stressant d’aller ailleurs que dans son milieu scolaire Le président du conseil d'établissement de l’école des Deux-Ruisseaux également parent d’un élève salue l'initiative de la Santé publique et de l’école Je trouve que c'est une bonne idée d’avoir une clinique mobile qui va venir à l’école Je pense que c’est un bon moyen pour un La Santé publique a déjà prévenu que les places seront limitées pour le dépistage au sein de la clinique mobile et que la priorité sera donnée aux élèves qui ont eu un contact étroit avec les enfants qui sont actuellement en quarantaine nous aimerions que cette clinique de dépistage soit utilisée en priorité par des enfants qui ont possiblement eu des contacts à risque - par exemple si votre enfant a joué pendant la semaine de relâche avec un enfant qui est présentement en isolement - et pour les gens pour qui il est plus difficile de se déplacer dans les cliniques permanentes a indiqué le CISSS de l’Outaouais Selon les dernières données de la Santé publique du Québec 17 écoles de l’Outaouais rapportent un ou plusieurs cas actifs de COVID-19 présentement Ouvrir en mode plein écranOnze personnes ont été testées positives à la COVID-19 et quatre classes ont été fermées à l'école des Deux-Ruisseaux de Gatineau Prenez note que cet article publié en 2021 pourrait contenir des informations qui ne sont plus à jour Une clinique mobile de dépistage ouvrira ses portes L’école fait face à une éclosion de COVID-19 depuis la fin de la relâche scolaire Onze personnes y ont été déclarées positives parmi lesquelles dix élèves et un membre du personnel Quatre bulles-classes ont été retirées de l’école et plus d'une centaine d'élèves sont actuellement en quarantaine préventive Les frères et sœurs des élèves de ces bulles-classes scolarisés à l’école des Deux-Ruisseaux sont aussi en isolement préventif C’est la première fois en Outaouais qu’une telle clinique est déployée dans une école par le Centre intégré de santé et de services sociaux (CISSS) de l’Outaouais COVID-19 : tout sur la pandémieConsulter le dossier completSuivreSuivreCe service est offert en projet pilote pour répondre plus adéquatement à la demande de parents qui pourraient vouloir faire tester leur enfant qui ne fait pas partie des bulles-classes retirées peut-on lire dans une lettre envoyée aux parents Le projet pilote vise à améliorer l’accessibilité aux tests de dépistage dans ce contexte de demande accrue La clinique mobile ouvrira ses portes à l’école des Deux-Ruisseaux les 12 soit dès vendredi à 15 h jusqu' au dimanche 17 h espère que cette clinique mobile facilitera l’accès au dépistage des élèves c’est plus complexe de se rendre à une clinique et pour certains élèves c’est peut-être plus stressant d’aller ailleurs que dans son milieu scolaire Le président du conseil d'établissement de l’école des Deux-Ruisseaux salue l'initiative de la Santé publique et de l’école Je trouve que c'est une bonne idée d’avoir une clinique mobile qui va venir à l’école La Santé publique a déjà prévenu que les places seront limitées pour le dépistage au sein de la clinique mobile et que la priorité sera donnée aux élèves qui ont eu un contact étroit avec les enfants qui sont actuellement en quarantaine nous aimerions que cette clinique de dépistage soit utilisée en priorité par des enfants qui ont possiblement eu des contacts à risque - par exemple si votre enfant a joué pendant la semaine de relâche avec un enfant qui est présentement en isolement - et pour les gens pour qui il est plus difficile de se déplacer dans les cliniques permanentes Selon les dernières données de la Santé publique du Québec 17 écoles de l’Outaouais rapportent un ou plusieurs cas actifs de COVID-19 présentement L’école fait face à une éclosion de COVID-19 depuis la fin de la relâche scolaire L’état d’un pont dans le boisé est trop incertain pour laisser l’endroit accessible Dans un plaidoyer pour la simplicité et le gros bon sens les citoyens présents ont réclamé un accès aux sentiers le caractère dangereux de cette infrastructure est tout simplement exagéré et plusieurs ont clairement indiqué que la signalisation municipale ne les empêchera aucunement de passer La soirée d'information se déroulait dans le gymnase de l'école du Touret qui n’est propriétaire des lieux que depuis 2014 indique ne pas connaître l’auteur de cet ouvrage et ainsi ignorer les charges maximales prévues lors de la construction Un nouveau pont pourrait coûter jusqu’à 150 000 $ et aucun budget n’est disponible pour le moment directrice de l’arrondissement des Nations Un citoyen a informé que le pont avait été construit à l’origine par le Comité d’hygiène et d’aménagement des rivières Magog et Saint-François Un autre a appelé à des « réparations raisonnables » et une action en toute simplicité pour rendre à nouveau l’accès disponible prévoit procéder à une étude cet été pour mieux connaître le terrain et les infrastructures qu’elle a acquises pour ensuite faire une demande budgétaire à l’automne On parle donc d’une réalisation pour « l’année 2024 et les suivantes » avec un possible phasage des interventions Pourquoi est-ce qu’on peut pas marcher dans le bois La directrice d’arrondissement a indiqué que la Ville se doit de respecter plusieurs normes elle doit notamment s’assurer de la sécurité des lieux qu’elle rend accessibles au public L’endroit compte en effet un autre ponceau les deux fermetures venant ainsi limiter considérablement les déplacements dans le boisé certains ont indiqué pouvoir simplement éviter les ponts en traversant le ruisseau et d’autres n’avaient absolument aucune intention de renoncer à leur promenade « On mettrait une pancarte grosse comme ça marquée ‘’accès interdit’' les services municipaux voient dans la situation actuelle une « opportunité de repenser le positionnement des sentiers » afin d’éviter les milieux plus sensibles Environ 90 % du boisé est zoné conservation et on retrouve des milieux humides à plusieurs endroits Une autre partie présente un zonage récréatif et un lot plus restreint qui donne accès au boisé par le nord est encore une propriété privée considérée comme une aire d’intérêt écologique protégée Des négociations avec le propriétaire pour obtenir une servitude de passage seront aussi réalisées L'un des sentiers du parc des Deux-Ruisseaux À l’ouverture officielle des parcs de la Ville on aura sans doute une meilleure idée des accès permis ou interdits La Ville a reconnu avoir été initialement « plus catholique que le pape » dans ses interdictions L’idée de former un comité citoyen pour assurer la protection du boisé à l’image de celui du Boisé Beckett par exemple a été évoquée afin d’impliquer les citoyens dans la gestion des lieux et de trouver des moyens d’arriver à des actions concrètes notamment contrôler la présence de motorisés dans le boisé Une vigie citoyenne serait en effet une « très bonne idée » Rémi Léonard est journaliste aux affaires municipales à La Tribune depuis l’été 2021 il débute en journalisme à la radio avant de se tourner vers l’écrit et de se spécialiser dans la couverture des enjeux municipaux et de société Ce petit cours d'eau est le seul que je connaisse sur la rive nord qui empeste réellement à l'automne. Il sent le saumon en décomposition, explique Zo Ann Morten, directrice de l’organisation à but non lucratif. Si l'odeur en ferait fuir plus d'un, pour elle, c’est un signe d’espoir : les poissons ont eu la chance de pondre leurs œufs et dans certains cas, les petits ont eu la chance de vivre ici pendant une année entière. Après quelques minutes de marche, une bénévole s’exclame :Un poisson mort ! Une fois qu'elle l'a sorti de l’eau avec délicatesse, Zo Ann Morten procède à l'inspection de la carcasse. C’est ce qu’elle surnomme passer du temps avec les morts. La nécropsie permet de recueillir des informations importantes quant à la santé des saumons. La femelle découverte n’a pas eu la chance de déposer ses œufs dans le gravier. Elle est probablement morte en raison de la qualité de l'eau, avance Zo Ann Morten. Ici, l’impact de la civilisation se fait sentir, car, lorsque la pluie ruisselle vers nos systèmes d’évacuation d’eaux pluviales, elle entraîne tout résidu de pétrole, de pneus, de pièces de voitures, ou encore de débris provenant des maisons et contamine les cours d’eau affirme-t-elle. Nous essayons de voir ce qui a un effet négatif sur les cours d’eau et sur la vie qu'ils abritent, puis nous essayons de corriger certaines des erreurs du passé. Sur la rivière Lynn, à quelques kilomètres de là, Dolores Parker, une bénévole du programme, rappelle que cette rivière n’est plus dans son état naturel et que les courants y sont trop forts pour les saumons Coho qui passent une année entière dans le cours d’eau. Pour permettre le frai des Coho, les Streamkeepers ont créé des endroits plus calmes, pour faire des abris pour les petits saumons, indique-t-elle. La résidente de North Vancouver s’estime chanceuse de vivre à proximité de cette espèce et d’avoir pu dans sa jeunesse pêcher à bord d’un canoë avec son père. Elle s’inquiète du déclin des saumons et espère un jour pouvoir retourner pêcher avec ses petits enfants. Cela me rend heureuse d’être capable d’aider un peu. Pêches et Océans Canada (MPO) ne dispose pas des ressources nécessaires pour surveiller toutes les populations [de saumon] en permanence, explique Diana Dobson, biologiste spécialiste de l'évaluation des stocks de saumon à MPO. C’est pourquoi le gouvernement encourage les collaborations avec les communautés. Protéger l’habitat de ces poissons n’est pas un problème simple pour la biologiste, car les mesures pour y parvenir ne doivent pas être relever uniquement du niveau fédéral, mais aussi du niveau municipal et provincial. Selon Diana Dobson, la question se formule plutôt ainsi : Comment accomplir une intervention collective? Zo Ann Morten espère susciter un intérêt pour le saumon du Pacifique. C'est une occasion d’en apprendre davantage sur cette créature dont la décomposition est un apport nutritif important pour plusieurs espèces. Les saumons eux-mêmes sont loin de se douter de leur valeur dans le monde, ajoute-t-elle avec le sourire. Nous aimons leur accorder cette valeur en les accueillant chez nous, en les comptant et en nous informant de leur bien-être. Camille Vernet est réalisatrice-vidéaste à Radio-Canada. Elle réalise en Colombie-Britannique des sujets visuels publiés sur le web, les réseaux sociaux et diffusés à la radio et la télévision. Elle s'intéresse particulièrement à des sujets de société et aux problèmes environnementaux liés aux changements climatiques. Ouvrir en mode plein écran« Si ce n'était de Sally, d'autres Streamkeepers et moi qui nous nous soucions de ce ruisseau, il pourrait facilement être négligé », explique Zo Ann Morten, la directrice du Pacific Streamkeepers Federation (à gauche sur la photo). Camille VernetPublié le 23 décembre 2021 à 8 h 09 HAEPrenez note que cet article publié en 2021 pourrait contenir des informations qui ne sont plus à jour. Plusieurs rivières et ruisseaux du Grand Vancouver accueillent des populations de saumons sauvages. Entourés de civilisation, ces cours d’eau sont essentiels à leur survie. Les « gardiens des ruisseaux », un groupe de bénévoles, en assurent la protection grâce à plusieurs initiatives appuyées par Pêches et Océans Canada. Munies de bâtons, trois membres de la Pacific Streamkeepers Federation sondent le ruisseau de Mapplewood, à North Vancouver. Ce petit cours d'eau est le seul que je connaisse sur la rive nord qui empeste réellement à l'automne. Il sent le saumon en décomposition, explique Zo Ann Morten, directrice de l’organisation à but non lucratif. Si l'odeur en ferait fuir plus d'un, pour elle, c’est un signe d’espoir : les poissons ont eu la chance de pondre leurs œufs et dans certains cas, les petits ont eu la chance de vivre ici pendant une année entière. 2:53Sally a rejoint la Pacific Streamkeepers Federation en tant que bénévole. Une occasion pour cette retraitée d’en apprendre davantage sur le saumon du Pacifique, une espèce emblématique en Colombie-Britannique. Après quelques minutes de marche, une bénévole s’exclame :Un poisson mort ! Une fois qu'elle l'a sorti de l’eau avec délicatesse, Zo Ann Morten procède à l'inspection de la carcasse. C’est ce qu’elle surnomme passer du temps avec les morts. La nécropsie permet de recueillir des informations importantes quant à la santé des saumons. La femelle découverte n’a pas eu la chance de déposer ses œufs dans le gravier. Elle est probablement morte en raison de la qualité de l'eau, avance Zo Ann Morten. Ici, l’impact de la civilisation se fait sentir, car, lorsque la pluie ruisselle vers nos systèmes d’évacuation d’eaux pluviales, elle entraîne tout résidu de pétrole, de pneus, de pièces de voitures, ou encore de débris provenant des maisons et contamine les cours d’eau affirme-t-elle. Nous essayons de voir ce qui a un effet négatif sur les cours d’eau et sur la vie qu'ils abritent, puis nous essayons de corriger certaines des erreurs du passé. Ouvrir en mode plein écranLes infrastructures sont très proches de plusieurs rivières dans le Grand Vancouver. Celles-ci servent de lieu de reproduction à des saumons du Pacifique réintroduit grâce à une écloserie. Sur la rivière Lynn, à quelques kilomètres de là, Dolores Parker, une bénévole du programme, rappelle que cette rivière n’est plus dans son état naturel et que les courants y sont trop forts pour les saumons Coho qui passent une année entière dans le cours d’eau. Pour permettre le frai des Coho, les Streamkeepers ont créé des endroits plus calmes, pour faire des abris pour les petits saumons, indique-t-elle. 1:04Dolores Parker, ancienne enseignante en maternelle et aujourd'hui bénévole parmi les Streamkeepers de la rive nord, offre quelques conseils pour protéger les saumons qui se reproduisent près des villes. La résidente de North Vancouver s’estime chanceuse de vivre à proximité de cette espèce et d’avoir pu dans sa jeunesse pêcher à bord d’un canoë avec son père. Elle s’inquiète du déclin des saumons et espère un jour pouvoir retourner pêcher avec ses petits enfants. Cela me rend heureuse d’être capable d’aider un peu. Ouvrir en mode plein écranLa création d’un habitat pour la reproduction du saumon Coho a permis le retour de ce poisson dans la rivière Lynn. Pêches et Océans Canada (MPO) ne dispose pas des ressources nécessaires pour surveiller toutes les populations [de saumon] en permanence, explique Diana Dobson, biologiste spécialiste de l'évaluation des stocks de saumon à MPO. C’est pourquoi le gouvernement encourage les collaborations avec les communautés. Protéger l’habitat de ces poissons n’est pas un problème simple pour la biologiste, car les mesures pour y parvenir ne doivent pas être relever uniquement du niveau fédéral, mais aussi du niveau municipal et provincial. Selon Diana Dobson, la question se formule plutôt ainsi : Comment accomplir une intervention collective? Ouvrir en mode plein écranLe saumon est une espèce essentielle. Il s'agit d'un bon indicateur de la santé de l'écosystème, explique la biologique Diana Dobson de Pêches et Océans Canada. Zo Ann Morten espère susciter un intérêt pour le saumon du Pacifique. C'est une occasion d’en apprendre davantage sur cette créature dont la décomposition est un apport nutritif important pour plusieurs espèces. Les saumons eux-mêmes sont loin de se douter de leur valeur dans le monde, ajoute-t-elle avec le sourire. Nous aimons leur accorder cette valeur en les accueillant chez nous, en les comptant et en nous informant de leur bien-être. Crimes et délits. Une étudiante portée disparue retrouvée morte à Ottawa. Publié hier à 17 h 36 HAE Une étudiante portée disparue retrouvée morte à OttawaLe Haut-Commissariat de l'Inde à Ottawa a identifié Vanshika Saini comme une étudiante indienne. Chargement en coursInfolettre ICI Colombie-BritaniqueUne fois par jour, recevez l’essentiel de l’actualité régionale. Abonnez-vous à notre infolettre pour ne rien manquer. Munies de bâtons, trois membres de la Pacific Streamkeepers Federation sondent le ruisseau de Mapplewood, à North Vancouver. Le premier ministre canadien doit éviter les dérapages lors de sa rencontre avec Donald Trump. Les 13 000 travailleuses des CPE devront se prononcer sous peu. Les exportations canadiennes vers les États-Unis ont affiché une baisse marquée de 6,6 % en mars. Québec alloue aussi des fonds pour la reconstruction de l’Hôtel-Dieu d’Arthabaska. Le Haut-Commissariat de l'Inde à Ottawa a identifié Vanshika Saini comme une étudiante indienne. Sally a rejoint l'équipe des North Shore Streamkeepers en tant que bénévole. Une opportunité pour cette retraitée d’en apprendre davantage sur le saumon du Pacifique, une espèce iconique en Colombie-Britannique. L’ancienne enseignante de maternelle, Dolores Parker et aujourd'hui bénévole pour les North Shore Streamkeepers. Elle offre quelques conseils pour protéger les saumons qui se reproduisent proche des villes. Plusieurs rivières et ruisseaux du Grand Vancouver accueillent des populations de saumons sauvages. Entourés de civilisation, ces cours d’eau sont essentiels à leur survie. Les « gardiens des ruisseaux », un groupe de bénévoles, en assurent la protection grâce à plusieurs initiatives appuyées par Pêches et Océans Canada. est de documenter ces organismes vivants avant qu'ils ne disparaissent en même temps que les glaciers Les résultats de ces analyses ont été publiés mercredi et jeudi dans deux études parues dans les revues Nature et Nature Microbiology Les scientifiques y montrent que ces ruisseaux présentent une grande diversité microbienne "Les ruisseaux glaciaires sont les écosystèmes d'eau douce les plus extrêmes de la planète" On ne s'attendait pas à trouver une grande diversité dans ces conditions Les températures dans les ruisseaux sont proches de zéro et les nutriments y sont rares Ils ne reçoivent presque pas de lumière du soleil en hiver et sont en revanche exposés à un fort rayonnement UV en été il existe une biodiversité remarquable parmi le microbiome vivant dans ces ruisseaux Ces bactéries sont de véritables championnes de la survie elles ont développé différentes stratégies Certaines ont formé des films protecteurs qui les protègent des forts rayonnements UV d'autres peuvent utiliser simultanément différentes sources d'énergie le microbiome bactérien des ruisseaux glaciaires est unique Il se distingue nettement de celui des glaciers il est également frappant de constater que de nombreuses bactéries n'apparaissent que dans une chaîne de montagnes donnée En Nouvelle-Zélande et en Équateur notamment les scientifiques ont trouvé de nombreuses bactéries qui n'existent à aucun autre endroit L'étude du microbiome des ruisseaux glaciaires est une course contre la montre "Or c'est une biodiversité que l'on ne voit pas mais sans laquelle la biodiversité que nous voyons c'est-à-dire celle des plantes et des animaux le répertoire génétique de ces bactéries est en outre d'une grande importance Les scientifiques y recherchent par exemple des enzymes actives à très basse température qui pourraient donc être utiles dans les processus industriels par exemple dans le nettoyage du linge ou la fabrication du papier Ces micro-organismes pourraient en outre contribuer au développement de nouveaux antibiotiques et jouer un rôle-clé dans la lutte contre les antibiorésistances "Nous devons explorer cette boîte à outils génétique avant que les ruisseaux glaciaires ne disparaissent" Les bactéries résistantes peuvent rester dans le corps des années 35 nouvelles espèces de bactéries découvertes chez des patient.es bâlois.es Des bactéries capables de manger la pollution aux dioxines des sols Environnement : combien y a-t-il de ruisseaux et de rivières en France 16% des départements ont carrément rayé de la carte la moitié de leurs rivières ou ruisseaux départementaux (photo d'illustration le 17 mars 2024) - SYLVESTRE / MAXPPP Avec la nouvelle cartographie le 17 mars 2024) - SYLVESTRE / MAXPPP Environnement : combien y a-t-il de ruisseaux et de rivières en France Il ne s'agit pas d'un phénomène lié à la sécheresse mais d'une interprétation différente de ce qui les définit avec des conséquences bien réelles en matière de protection de la nature Tous les observateurs ne sont pas d’accord entre eux, quant au nombre de ruisseaux et de rivières en France. Selon la nouvelle carte nationale des cours d’eau établie par des chercheurs de l'Institut national de recherche sur l’alimentation la France métropolitaine compte plus de deux millions de ruisseaux ce qui fait 680 000 km de cours d’eau au total c’est que lorsqu’on compare ce bilan avec les tracés qui figuraient jusqu’ici sur les cartes IGN il apparaît qu’un quart des cours d’eau français ont tout simplement disparu sans aucun lien avec des phénomènes de sécheresse  Où sont passés ces ruisseaux et rivières qui n’apparaissent plus sur la carte ils se sont perdus dans les méandres d’une nouvelle définition du cours d’eau qui date de la loi de 2015 Cette définition établit qu’un cours d’eau doit répondre à trois critères : posséder un lit d’origine naturel être alimenté par une autre source que la pluie et avoir un débit suffisant une majeure partie de l’année Il se trouve que cette notion de débit suffisant varie selon les services départementaux qui sont missionnés pour faire les inventaires Résultat : 20% des départements ont comptabilisé plus de cours d’eau qu’il y a 10 ans Inversement 16% des départements ont carrément rayé de la carte la moitié de leurs rivières ou ruisseaux départementaux essentiellement parce qu’il s’agit de ruisseaux intermittents donc qui s'assèchent une partie de l’année **>>Biodiversité menacée dans les rivières françaises : "Quelque chose ne va pas dans nos petits cours d'eau", alerte WWF Cette différence d'interprétation pose un problème car elle donne sur le papier des cartes incohérentes avec des cours d’eau dont le tracé disparaît en traversant certains départements et réapparaît plus loin Les chercheurs ont totalisé 1500 cas de discontinuité de cours d’eau en France sur la nouvelle carte Ensuite cela entraîne des inégalités dans la protection des écosystèmes aquatiques en France Les cours d’eau sont théoriquement protégés des pollutions ou de certains aménagements mais encore faut-il que ces cours d'eau aient une existence officielle soulignent ainsi que plus de la moitié des ruisseaux situés en amont de rivières importantes pour les écosystèmes la qualité de leur eau n’est donc plus protégée de façon réglementaire et des pollutions pourraient se propager Ces scientifiques réclament donc une remise en cohérence de la cartographie des cours d’eau en France Carnet rose exceptionnel : des bébés tortues caouannes sont nés à Saint-Cyprien Santé : pour diminuer la consommation d'alcool, des chercheurs britanniques proposent de réduire la taille des pintes de bière Éruptions volcaniques : grâce à une nouvelle technique d’imagerie, des chercheurs arrivent à voir dans les entrailles d'un volcan Recherche contre le cancer : l’intelligence artificielle peut prédire certaines mutations d'une tumeur Après Chido, la difficile adaption scolaire des enfants mahorais scolarisés en métropole Au Maroc, on récupère l'eau de brouillard pour lutter contre la sécheresse Charente : pour sauver le fleuve, de l'eau pourrait être puisée dans le fleuve de la Dordogne en Corrèze Écologie, opposition des générations et contrecoup écologique. Cours "oasis" : comment repenser les cours de récréation face aux fortes chaleurs ? La feuille de route énergétique de la France est-elle à la hauteur ? Les informés de l'éco du samedi 3 mai Antoine Cherrier accueille les acheteurs au milieu des légumes de saison le maraîchage de Méline Charouit et Antoine Cherrier s’éveille au printemps La Ville de Chambly informe les citoyens de la progression des travaux entourant la création de sentiers pédestres au parc naturel des Ruisseaux La Ville souligne que les travaux entourant les boucles 1 2 et 3 seront en grande partie terminés le 22 décembre correspondant à 70 % du circuit pédestre total de 3,5 km La municipalité mentionne qu’une seconde phase sera réalisée de mai à septembre 2024 Les sentiers pédestres resteront fermés jusqu’à l’automne 2024 puisque des travaux demeurent toujours à compléter avant leur ouverture officielle De la signalisation devra être installée avant l’ouverture afin d’orienter les différents usagers Des travaux concernant la construction de passerelles de bois se dérouleront durant la période hivernale mais ces derniers n’auront pas d’impact sur les activités hivernales habituelles La Ville de Chambly demande à la population de ne pas s’aventurer dans les sentiers de randonnée avant leur ouverture officielle les sentiers hivernaux de vélos à pneus surdimensionnés (fatbike) et de ski de fond seront accessibles conditionnellement aux conditions météorologiques This website is using a security service to protect itself from online attacks The action you just performed triggered the security solution There are several actions that could trigger this block including submitting a certain word or phrase You can email the site owner to let them know you were blocked Please include what you were doing when this page came up and the Cloudflare Ray ID found at the bottom of this page "Histoire d’un ruisseau" : les bonnes ondes d'Elisée Reclus 1865 - © RMN-Grand Palais (Musée d’Orsay) / Hervé Lewandowski Le Ruisseau noir 1865 - © RMN-Grand Palais (Musée d’Orsay) / Hervé Lewandowski "Histoire d’un ruisseau" : les bonnes ondes d'Elisée Reclus Publié le vendredi 31 janvier 2025 Élisée Reclus publie “Histoire d’un ruisseau” qui mêle observation scientifique d’un cours d’eau et description poétique de notre rapport à notre environnement proche Quel portrait de la nature surgit-il dans ce texte  Et quels échos en demeurent-ils dans l’écologie d’aujourd’hui  En 1869 paraissait en France un texte inclassable à la croisée des sciences de la nature de la géographie et de la poésie politique : Histoire d’un ruisseau par le géographe anarchiste Elisée Reclus En suivant le cours d’un ruisseau tantôt clair Reclus dessine en méandres le croquis d’une pensée environnementale naissante et se pose la question du rapport des sociétés à la nature “Sciences Chrono” écarte aujourd’hui les branches qui nous séparent de ce ruisseau et d’une onde à l’autre se demande ce qu’il nous reste de la pensée d’Elisée Reclus Extrait du chapitre “L’irrigation” tiré du livre Histoire d’un ruisseau (1881) d’Elisée Reclus Parution : Histoire d’un ruisseau suivi de Du sentiment de la nature dans les sociétés modernes par Elisée Reclus, présentation Valérie Chansigaud, 2023 Élisée Reclus, une pensée foisonnante (Isabelle Louviot, Cairn, 2022) Révolution, évolution, progrès et régrès chez Élisée Reclus (Philippe Pelletier, Arts et Savoir, 2019) Élisée Reclus ou l’émouvance du monde (La Revue des idées, 2014) Événement : “Les Reclusiennes”, festival annuel à Sainte-Foy-la-Grande consacré à la pensée d’Elisée Reclus Sur les sentiers de la liberté : Henry David Thoreau et Elisée Reclus Mathématiques indiennes : de l'Indus au sinus Procès du singe : Darwin à la barre Galilée et les mathématiques, depuis que le monde est nombre Edwin Hubble : une galaxie peut en cacher un billion d’autres L’Angola, nouvelle porte d’entrée des Occidentaux en Afrique François, le pape des périphéries Le Cotentin : paysans, paysages et légendes Le couloir stratégique du commerce mondial autour de la mer Rouge Polémique à l’Assemblée nationale française autour de la nouvelle carte du Maroc Marie Tharp et la tectonique des plaques : une recherche sans faille Mme Lortie n’a pas caché que l’inauguration des établissements Eurêka et de Val-des-Ruisseaux est très significatif pour tout un milieu «Ouvrir une école permet d’enlever un peu de pression sur les autres doivent user de stratégies pour augmenter leur capacité d’accueil entre leurs murs mentionne dans un communiqué Louise Lortie nous travaillons ardemment afin d’accélérer le processus d’ouvertures de nouvelles écoles et nous nous réjouissons que les pourparlers avec la Ville s’intensifient en ce sens.» La ministre Charbonneau souligne que la Commission scolaire fait face à une croissance constante de sa clientèle et cette tendance se poursuivra au cours des 10 prochaines années «Plusieurs projets de construction et d’agrandissement sont en cours afin d’augmenter la capacité d’accueil des élèves sur le territoire lavallois.» s’est réjoui également de la présence de deux nouvelles écoles sur le territoire «L’ouverture d’une école est toujours un moment heureux Laval reconnaît l’important besoin d’espaces avec lequel la Commission scolaire de Laval doit composer et nous sommes fiers de collaborer avec elle dans la recherche de terrains.» dont l’ouverture a eu lieu en août dernier lors de la rentrée scolaire L’école de Val-des-Ruisseaux est située au 650 La directrice Manon Dumaresq mise sur des projets intégrateurs la santé globale et la valorisation de la diversité secteur Pont-Viau et Christian Vaillancourt en assume la direction qui abritait auparavant un établissement pour le secondaire a été complètement réaménagé pour être converti en une école primaire qui accueille également un Centre de pédiatrie sociale Cet organisme contribue au développement global des enfants et des adolescents qui présentent des problèmes de développement socialisation ou santé en milieu défavorisé La construction a été possible grâce au financement du ministère de l’Éducation et de l’Enseignement supérieur ainsi qu’à une étroite collaboration entre la CSDL et la Ville C’est l’aspect inhabituel que prend parfois le cours d’eau qui a servi de bougie d’allumage à ce projet de recherche. Le parc Beauséjour, c’est un endroit où on prend des marches, où on fait du vélo, du ski de fond, souligne Richard St-Louis, professeur de chimie de l’environnement à l’UQAR. En longeant le ruisseau de la Savane, je me suis rendu compte qu’il y avait une couleur qui le distinguait des autres : un fond orangé, un peu couleur rouille, qu’on ne voit pas dans les autres ruisseaux du parc. Des odeurs émanent également du cours d'eau. Après avoir observé ce phénomène, Richard St-Louis a décidé d’effectuer une étude préliminaire qui a permis de détecter des concentrations anormalement élevées de fer et de manganèse. On en trouve normalement dans les ruisseaux, mais là, c’était en quantité beaucoup plus importante, note Karine Blouin, chargée de projet pour l'Organisme des bassins versants. Ça dépassait les critères de protection de la vie aquatique. Des traces d’arsenic ont également été décelées. Ces données préliminaires ont mené au projet de recherche lancé cet automne par le laboratoire du professeur St-Louis et par l’OBV du nord-est du Bas-Saint-Laurent. Cette étude vise entre autres à déterminer d’où proviennent les contaminants détectés dans le ruisseau pour ensuite entreprendre des actions afin de protéger le cours d’eau et les espèces qui y vivent. Le ruisseau de la Savane longe un ancien lieu d’enfouissement sanitaire et se trouve à proximité de l’autoroute 20, deux sources de contamination potentielles. Il traverse également des terres agricoles, une autre hypothèse étudiée par les chercheurs pour expliquer les traces de métaux lourds détectées dans le ruisseau de la Savane. On a vraiment des points d'échantillonnage répartis sur tout le ruisseau pour déterminer d’où vient exactement la source de la contamination, explique Karine Blouin. Des échantillons prélevés près du canyon des Portes de l’Enfer, un endroit qui n’est pratiquement pas touché par les actions humaines, servent de référence pour déterminer si les pressions d’origine anthropique sont à l’origine de la contamination. Les scientifiques souhaitent aussi déterminer si la jonction du ruisseau de la Savane et de la rivière Rimouski sert de refuge thermique pour les poissons qui y vivent. Un refuge thermique, c’est un espace où l’eau est plus fraîche en permanence, explique Karine Blouin. Quand il y a de grosses canicules et que la température de l’eau de la rivière monte énormément, ce sont des endroits où les poissons vont pouvoir aller se rafraîchir. Si la confluence des deux cours d’eau sert effectivement de refuge thermique, les effets sur les poissons qui vont s’y rafraîchir pourraient donc être importants. Selon l’OBV, toutes les conditions sont réunies pour former un refuge thermique à cet endroit. L’été prochain, des observations et des mesures de températures permettront de déterminer si c’est effectivement le cas. L’étude se déroulera sur les trois prochaines années. À la lumière des résultats, des mesures devraient ensuite être mises en œuvre. Est-ce que ça pourrait être des plantations proches du site d’enfouissement pour essayer de retenir les métaux lourds? Est-ce que ça pourrait être des traitements faits dans le ruisseau? Ou simplement de la sensibilisation? On est encore à l’étape où on attend pour déterminer quelles actions on pourrait entreprendre, dit Karine Blouin. La chargée de projet ajoute que les données recueillies pourraient aussi servir à guider les gestionnaires d’autres rivières à saumons de la province. Ce n’est pas le seul ruisseau qui passe à travers un lieu d’enfouissement et qui se jette dans une rivière importante comme la rivière Rimouski. Ça sert un peu de modèle pour déterminer aussi ce qui se passe ailleurs et ce qu’on peut faire pour résoudre les problèmes. Pour mener à terme leur étude, l’OBV et l'UQAR ont reçu une subvention de 250 000 $ du ministère de l’Environnement du Canada. Les chercheurs sont toujours à la recherche d'un étudiant à la maîtrise en biologie pour compléter leur équipe. Avec la collaboration d'Isabelle Damphousse Journaliste pour Radio-Canada depuis 2018, Michaële s'intéresse à l'histoire de la région et aux histoires des gens qui l'habitent. Elle aime traiter de sujets qui touchent l'environnement, la culture et le développement régional. 2:35Écoutez le reportage d'Isabelle Damphousse au Téléjournal Est-du-Québec. Photo : Organisme de bassins versants du nord-est du Bas-Saint-Laurent Michaële Perron-LanglaisPublié le 17 décembre 2023 à 5 h 00 HAEÉcouter l’article | 5 minutesLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale, une technologie basée sur l’intelligence artificielle.Prenez note que cet article publié en 2023 pourrait contenir des informations qui ne sont plus à jour. La présence de métaux lourds dans le ruisseau de la Savane, qui se jette dans la rivière Rimouski, inquiète des chercheurs de l’UQAR et de l’Organisme des bassins versants du nord-est du Bas-Saint-Laurent. Ils craignent notamment les effets de cette contamination sur les populations de poissons de la rivière, notamment celles de saumons. Une équipe de chimistes et de biologistes mène actuellement une étude afin d'en apprendre davantage sur les sources de contamination du ruisseau et sur leurs conséquences sur la vie aquatique. C’est l’aspect inhabituel que prend parfois le cours d’eau qui a servi de bougie d’allumage à ce projet de recherche. Le parc Beauséjour, c’est un endroit où on prend des marches, où on fait du vélo, du ski de fond, souligne Richard St-Louis, professeur de chimie de l’environnement à l’UQAR. En longeant le ruisseau de la Savane, je me suis rendu compte qu’il y avait une couleur qui le distinguait des autres : un fond orangé, un peu couleur rouille, qu’on ne voit pas dans les autres ruisseaux du parc. Des odeurs émanent également du cours d'eau. Ouvrir en mode plein écranLe ruisseau de la Savane prend parfois une teinte orangée. Après avoir observé ce phénomène, Richard St-Louis a décidé d’effectuer une étude préliminaire qui a permis de détecter des concentrations anormalement élevées de fer et de manganèse. On en trouve normalement dans les ruisseaux, mais là, c’était en quantité beaucoup plus importante, note Karine Blouin, chargée de projet pour l'Organisme des bassins versants. Ça dépassait les critères de protection de la vie aquatique. Des traces d’arsenic ont également été décelées. Ces données préliminaires ont mené au projet de recherche lancé cet automne par le laboratoire du professeur St-Louis et par l’OBV du nord-est du Bas-Saint-Laurent. Cette étude vise entre autres à déterminer d’où proviennent les contaminants détectés dans le ruisseau pour ensuite entreprendre des actions afin de protéger le cours d’eau et les espèces qui y vivent. Le ruisseau de la Savane longe un ancien lieu d’enfouissement sanitaire et se trouve à proximité de l’autoroute 20, deux sources de contamination potentielles. Il traverse également des terres agricoles, une autre hypothèse étudiée par les chercheurs pour expliquer les traces de métaux lourds détectées dans le ruisseau de la Savane. Ouvrir en mode plein écranLe ruisseau de la Savane se jette dans la rivière Rimouski près du pont de l'autoroute 20. On a vraiment des points d'échantillonnage répartis sur tout le ruisseau pour déterminer d’où vient exactement la source de la contamination, explique Karine Blouin. Des échantillons prélevés près du canyon des Portes de l’Enfer, un endroit qui n’est pratiquement pas touché par les actions humaines, servent de référence pour déterminer si les pressions d’origine anthropique sont à l’origine de la contamination. Les scientifiques souhaitent aussi déterminer si la jonction du ruisseau de la Savane et de la rivière Rimouski sert de refuge thermique pour les poissons qui y vivent. Un refuge thermique, c’est un espace où l’eau est plus fraîche en permanence, explique Karine Blouin. Quand il y a de grosses canicules et que la température de l’eau de la rivière monte énormément, ce sont des endroits où les poissons vont pouvoir aller se rafraîchir. Ouvrir en mode plein écranLes contaminants présents dans le ruisseau de la Savane pourraient avoir des effets sur les saumons de la rivière Rimouski. (Photo d'archives) Photo : Fédération du saumon de l'Atlantique/Nick Hawkins et Tom Cheney Si la confluence des deux cours d’eau sert effectivement de refuge thermique, les effets sur les poissons qui vont s’y rafraîchir pourraient donc être importants. Selon l’OBV, toutes les conditions sont réunies pour former un refuge thermique à cet endroit. L’été prochain, des observations et des mesures de températures permettront de déterminer si c’est effectivement le cas. L’étude se déroulera sur les trois prochaines années. À la lumière des résultats, des mesures devraient ensuite être mises en œuvre. Est-ce que ça pourrait être des plantations proches du site d’enfouissement pour essayer de retenir les métaux lourds? Est-ce que ça pourrait être des traitements faits dans le ruisseau? Ou simplement de la sensibilisation? On est encore à l’étape où on attend pour déterminer quelles actions on pourrait entreprendre, dit Karine Blouin. La chargée de projet ajoute que les données recueillies pourraient aussi servir à guider les gestionnaires d’autres rivières à saumons de la province. Ce n’est pas le seul ruisseau qui passe à travers un lieu d’enfouissement et qui se jette dans une rivière importante comme la rivière Rimouski. Ça sert un peu de modèle pour déterminer aussi ce qui se passe ailleurs et ce qu’on peut faire pour résoudre les problèmes. Pour mener à terme leur étude, l’OBV et l'UQAR ont reçu une subvention de 250 000 $ du ministère de l’Environnement du Canada. Les chercheurs sont toujours à la recherche d'un étudiant à la maîtrise en biologie pour compléter leur équipe. Chargement en coursInfolettre ICI Bas Saint LaurentUne fois par jour Une équipe de chimistes et de biologistes mène actuellement une étude afin d'en apprendre davantage sur les sources de contamination du ruisseau et sur leurs conséquences sur la vie aquatique C’est l’aspect inhabituel que prend parfois le cours d’eau qui a servi de bougie d’allumage à ce projet de recherche c’est un endroit où on prend des marches professeur de chimie de l’environnement à l’UQAR je me suis rendu compte qu’il y avait une couleur qui le distinguait des autres : un fond orangé qu’on ne voit pas dans les autres ruisseaux du parc Des odeurs émanent également du cours d'eau Après avoir observé ce phénomène Richard St-Louis a décidé d’effectuer une étude préliminaire qui a permis de détecter des concentrations anormalement élevées de fer et de manganèse On en trouve normalement dans les ruisseaux c’était en quantité beaucoup plus importante chargée de projet pour l'Organisme des bassins versants Ça dépassait les critères de protection de la vie aquatique Des traces d’arsenic ont également été décelées Ces données préliminaires ont mené au projet de recherche lancé cet automne par le laboratoire du professeur St-Louis et par l’OBV du nord-est du Bas-Saint-Laurent Cette étude vise entre autres à déterminer d’où proviennent les contaminants détectés dans le ruisseau pour ensuite entreprendre des actions afin de protéger le cours d’eau et les espèces qui y vivent Le ruisseau de la Savane longe un ancien lieu d’enfouissement sanitaire et se trouve à proximité de l’autoroute 20 deux sources de contamination potentielles Il traverse également des terres agricoles une autre hypothèse étudiée par les chercheurs pour expliquer les traces de métaux lourds détectées dans le ruisseau de la Savane On a vraiment des points d'échantillonnage répartis sur tout le ruisseau pour déterminer d’où vient exactement la source de la contamination Des échantillons prélevés près du canyon des Portes de l’Enfer un endroit qui n’est pratiquement pas touché par les actions humaines servent de référence pour déterminer si les pressions d’origine anthropique sont à l’origine de la contamination Les scientifiques souhaitent aussi déterminer si la jonction du ruisseau de la Savane et de la rivière Rimouski sert de refuge thermique pour les poissons qui y vivent c’est un espace où l’eau est plus fraîche en permanence Quand il y a de grosses canicules et que la température de l’eau de la rivière monte énormément ce sont des endroits où les poissons vont pouvoir aller se rafraîchir Si la confluence des deux cours d’eau sert effectivement de refuge thermique les effets sur les poissons qui vont s’y rafraîchir pourraient donc être importants toutes les conditions sont réunies pour former un refuge thermique à cet endroit des observations et des mesures de températures permettront de déterminer si c’est effectivement le cas L’étude se déroulera sur les trois prochaines années des mesures devraient ensuite être mises en œuvre Est-ce que ça pourrait être des plantations proches du site d’enfouissement pour essayer de retenir les métaux lourds Est-ce que ça pourrait être des traitements faits dans le ruisseau On est encore à l’étape où on attend pour déterminer quelles actions on pourrait entreprendre La chargée de projet ajoute que les données recueillies pourraient aussi servir à guider les gestionnaires d’autres rivières à saumons de la province Ce n’est pas le seul ruisseau qui passe à travers un lieu d’enfouissement et qui se jette dans une rivière importante comme la rivière Rimouski Ça sert un peu de modèle pour déterminer aussi ce qui se passe ailleurs et ce qu’on peut faire pour résoudre les problèmes l’OBV et l'UQAR ont reçu une subvention de 250 000 $ du ministère de l’Environnement du Canada Les chercheurs sont toujours à la recherche d'un étudiant à la maîtrise en biologie pour compléter leur équipe Michaële s'intéresse à l'histoire de la région et aux histoires des gens qui l'habitent Elle aime traiter de sujets qui touchent l'environnement la culture et le développement régional La présence de métaux lourds dans le ruisseau de la Savane inquiète des chercheurs de l’UQAR et de l’Organisme des bassins versants du nord-est du Bas-Saint-Laurent Ils craignent notamment les effets de cette contamination sur les populations de poissons de la rivière Ils craignent notamment les effets de cette contamination sur la population de saumons dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"La tempête post-tropicale a renversé plus de 400 arbres sur le sentier Baille Ard et les voies navigables qui le traversent mettant en péril les habitats de certaines espèces de poissons Certaines zones du sentier étaient impraticables mais des équipes de l'extérieur de la province et des bénévoles de Sydney ont dégagé des arbres qui posaient des risques pour la sécurité du public et des animaux Beaucoup de poissons viennent frayer en ce moment opérateur de tronçonneuse au sein de l’organisme environnemental ACAP au Cap-Breton Ils essaient d'aller en amont et de frayer donc avoir des arbres qui bloquent les ruisseaux S'il y a quoi que ce soit qui peut entraver la survie ou entraver le mode de vie d'un animal nous intervenons et nous essayons de les aider un peu le vice-président de l’Association du sentier Baille Ard est très reconnaissant pour l’aide de bénévoles le long du sentier de trois kilomètres Il remarque que leur base de bénévoles vieillit la majorité des membres ayant environ 70 ans Le groupe était dépassé par la gravité des dégâts et ne savait pas par où commencer L'Association a lancé un appel au ministère des Ressources naturelles Quarante pompiers forestiers sont arrivés de Québec munis de tronçonneuses et se sont mis au travail Jeanne Bellavance-Morin fait partie de l'équipe qui a travaillé 12 heures par jour pour dégager des centaines d'arbres tombés une ville sur la rive nord du fleuve Saint-Laurent Certains arbres sont plus difficiles à gérer car ils sont tombés les uns sur les autres Mais nous veillons vraiment à rester en sécurité et à ne pas couper d'arbres trop dangereux pour nous tout en dégageant les sentiers pour tout le monde Les équipes ont été appelées il y a deux semaines pour se concentrer sur l'abattage des arbres qui présentaient un risque de chute dans les parcs et les cours d'école c'est la gratitude des gens que nous avons aidés L'équipe du Québec doit rentrer chez elle vendredi L'aide a été très appréciée mais Dennis Shea remarque qu'il reste encore beaucoup à faire pour restaurer le sentier pédestre dans son état d'avant Fiona Nous avons du nettoyage à faire le long du sentier donc il faudra probablement au moins une autre année pour arriver où l'on veut être Les arbres fraîchement coupés ne seront pas gaspillés Le groupe les placera le long des berges des cours d'eau qui inondent parfois le sentier Avec les informations de Emily Latimer de CBC Ouvrir en mode plein écranJeanne Bellavance-Morin est venue au sein d'une équipe de 40 pompiers forestiers qui ont voyagé de Québec pour nettoyer les arbres tombés au Cap-Breton après le passage de la tempête post-tropicale Fiona Prenez note que cet article publié en 2022 pourrait contenir des informations qui ne sont plus à jour a rouvert après avoir été bloqué depuis le passage de Fiona La tempête post-tropicale a renversé plus de 400 arbres sur le sentier Baille Ard et les voies navigables qui le traversent mettant en péril les habitats de certaines espèces de poissons Certaines zones du sentier étaient impraticables mais des équipes de l'extérieur de la province et des bénévoles de Sydney ont dégagé des arbres qui posaient des risques pour la sécurité du public et des animaux opérateur de tronçonneuse au sein de l’organisme environnemental ACAP au Cap-Breton le vice-président de l’Association du sentier Baille Ard est très reconnaissant pour l’aide de bénévoles le long du sentier de trois kilomètres Il remarque que leur base de bénévoles vieillit la majorité des membres ayant environ 70 ans Le groupe était dépassé par la gravité des dégâts et ne savait pas par où commencer L'Association a lancé un appel au ministère des Ressources naturelles Quarante pompiers forestiers sont arrivés de Québec munis de tronçonneuses et se sont mis au travail Jeanne Bellavance-Morin est venue de Havre-Saint-Pierre Jeanne Bellavance-Morin fait partie de l'équipe qui a travaillé 12 heures par jour pour dégager des centaines d'arbres tombés Certains arbres sont plus difficiles à gérer car ils sont tombés les uns sur les autres Mais nous veillons vraiment à rester en sécurité et à ne pas couper d'arbres trop dangereux pour nous tout en dégageant les sentiers pour tout le monde Les équipes ont été appelées il y a deux semaines pour se concentrer sur l'abattage des arbres qui présentaient un risque de chute dans les parcs et les cours d'école c'est la gratitude des gens que nous avons aidés L'équipe du Québec doit rentrer chez elle vendredi mais Dennis Shea remarque qu'il reste encore beaucoup à faire pour restaurer le sentier pédestre dans son état d'avant Fiona Nous avons du nettoyage à faire le long du sentier donc il faudra probablement au moins une autre année pour arriver où l'on veut être Les arbres fraîchement coupés ne seront pas gaspillés Chargement en coursInfolettre ICI AcadieUne fois par jour, recevez l’essentiel de l’actualité régionale. La tempête post-tropicale a renversé plus de 400 arbres sur le sentier Baille Ard et les voies navigables qui le traversent, mettant en péril les habitats de certaines espèces de poissons. Certaines zones du sentier étaient impraticables, mais des équipes de l'extérieur de la province et des bénévoles de Sydney ont dégagé des arbres qui posaient des risques pour la sécurité du public et des animaux. Beaucoup de poissons viennent frayer en ce moment, dans ces cours d'eau, explique Morgan Campbell, opérateur de tronçonneuse au sein de l’organisme environnemental ACAP au Cap-Breton. Ils essaient d'aller en amont et de frayer, donc avoir des arbres qui bloquent les ruisseaux, ce n'est pas une bonne chose pour eux, dit-il. S'il y a quoi que ce soit qui peut entraver la survie ou entraver le mode de vie d'un animal, nous intervenons et nous essayons de les aider un peu. Dennis Shea, le vice-président de l’Association du sentier Baille Ard, est très reconnaissant pour l’aide de bénévoles le long du sentier de trois kilomètres. Il remarque que leur base de bénévoles vieillit, la majorité des membres ayant environ 70 ans. Le groupe était dépassé par la gravité des dégâts et ne savait pas par où commencer. L'Association a lancé un appel au ministère des Ressources naturelles, qui a livré un cadeau incroyable, selon le vice-président. Quarante pompiers forestiers sont arrivés de Québec munis de tronçonneuses et se sont mis au travail. Jeanne Bellavance-Morin fait partie de l'équipe qui a travaillé 12 heures par jour pour dégager des centaines d'arbres tombés. Elle est venue de Havre-Saint-Pierre, une ville sur la rive nord du fleuve Saint-Laurent. Certains arbres sont plus difficiles à gérer, car ils sont tombés les uns sur les autres, explique-t-elle. Mais nous veillons vraiment à rester en sécurité et à ne pas couper d'arbres trop dangereux pour nous, tout en dégageant les sentiers pour tout le monde. Les équipes ont été appelées il y a deux semaines pour se concentrer sur l'abattage des arbres qui présentaient un risque de chute dans les parcs et les cours d'école. Ce qui m’a le plus marquée, c'est la gratitude des gens que nous avons aidés, dit Jeanne Bellavance-Morin. L'équipe du Québec doit rentrer chez elle vendredi. L'aide a été très appréciée, mais Dennis Shea remarque qu'il reste encore beaucoup à faire pour restaurer le sentier pédestre dans son état d'avant Fiona. Nous avons du nettoyage à faire le long du sentier, donc il faudra probablement au moins une autre année pour arriver où l'on veut être, dit-il Les arbres fraîchement coupés ne seront pas gaspillés. Le groupe les placera le long des berges des cours d'eau qui inondent parfois le sentier. Un sentier pédestre populaire de Sydney, en Nouvelle-Écosse, a rouvert après avoir été bloqué depuis le passage de Fiona. VienneLussac-les-ChâteauxVienne : une pollution mortelle aux nitrites à Lussac-les-ChâteauxVienne : une pollution mortelle aux nitrites à Lussac-les-ChâteauxAbonnésCet article est réservé aux abonnés numériques. début avril 2025 dans un cours d’eau de Lussac-les-Châteaux on aperçoit des poissons morts remontés en surface flottant en surface dans un ruisseau à Lussac-les-Châteaux… Ce 1er avril 2025 Ce propriétaire d’un étang a constaté cette situation des riverains du ruisseau des Grands Moulins ont donné l’alerte face à cette surmortalité subite de poissons informant la Fédération de pêche de la Vienne des observations et comptages de poissons morts sont opérés en plusieurs endroits sur différents ruisseaux de la commune Les investigations ont permis de remonter à la source de la pollution Poissons et invertébrés aquatiques ont été empoisonnés par de l’azote liquide s’échappant d’une cuve d’une exploitation agricole en amont s’écoule de l’engrais chimique dans les fossés qui s’est déversé dans les ruisseaux jusque dans la Vienne Selon Jules Boisseau, juriste à France Nature Environnement (FNE) Nouvelle-Aquitaine la fuite provient « d’une cuve d’engrais azotée qui n’a pas été déclarée conformément à la réglementation ICPE agricole » c’est une cuve sans double peau de 130 m3 soit une contenance de 10.000 litres d’azote liquide Cette cuve de modèle ancien aurait dû être installée dans un bac de rétention pour éviter les fuites. » Des analyses de l’eau dans les ruisseaux ont permis de déceler des concentrations de nitrites de 20 à 40 mg/l soit 200 à 400 fois la dose supportée par des truites fario par exemple La Fédération de pêche de la Vienne confirme « une importante pollution ». Elle a porté plainte contre X auprès du procureur de la République à Poitiers. Vienne Nature et France Nature Environnement (FNE) Nouvelle-Aquitaine ont fait de même La catastrophe écologique est d’une telle ampleur que le Pôle régional environnemental du tribunal judiciaire de La Rochelle a pris un référé pénal environnemental le 16 avril 2025 C’est la première fois que cette mesure judiciaire est activée dans l’ex-Poitou-Charentes « Le référé pénal environnemental est effectivement une première pour notre juridiction procureure adjointe au parquet de La Rochelle prévue par l’article 216-13 du Code de l’environnement permet au juge des libertés et de la détention d’ordonner des mesures urgentes et exécutoires par provision pour C’est ainsi que l’exploitant dont la cuve présente un défaut d’étanchéité a été enjoint et ce afin de faire cesser un dommage environnemental déjà important. À ce jour l’exploitant agricole disposait de 72 heures pour appliquer ces mesures d’urgence (vidanger la cuve d’azote stocker le liquide dans un contenant étanche sous peine d’une amende de 2.000 € par jour au-delà des 72 heures notamment aux fins d’évaluer les responsabilités les conséquences de la fuite sur le milieu et les possibilités de remise en état » précise la procureure chargée du contentieux environnemental > À LIRE AUSSI. Eau potable dans la Vienne : comment le chlorothalonil n’est plus un problème la catastrophe écologique est sans précédent d’autant plus que « le ruisseau des Grands Moulins était un des rares du département à être classé en bon état écologique » « Une concentration en nitrite est mortelle pour les espèces les plus sensibles comme la truite fario à partir de 0,1 mg par litre » Les analyses d’eau ont révélé des concentrations de nitrite de l’ordre de 20 à 40 mg par litre soit 200 à 400 fois plus fortes que celle supportée par ces truites. Le fait que la pollution parte du haut du bassin-versant a causé des dégâts sur de longues distances « On avait une excellente population de truites dans ce cours d’eau jusqu’à cette pollution passive Toute la partie aval a été sacrifiée. » Selon lui il faudra des années avant que le milieu naturel ne retrouve un état écologique sain : « Quand la qualité de l’eau sera redevenue normale on pourra repeupler avec des truites qui sont des espèces matrimoniales Mais des espèces comme la loche devra se réintroduire naturellement et cela peut prendre des dizaines d’années pour qu’elle le recolonise ! » > À LIRE AUSSI. Tritium dans l’eau potable de la Vienne : ce qu’il faut savoir Pour cette victime qui utilise son plan d’eau « c’est un préjudice de plusieurs milliers d’euros mais ce n’est pas quantifiable Le technicien de rivière m’a dit qu’il faudrait au moins cinq années pour que l’étang reprenne vie » Près d’un mois après le début du déversement de nitrites l’eau de ces ruisseaux de Lussac-les-Châteaux est limpide Cette pollution aux nitrites à Lussac-les-Châteaux est suivie par le Pôle régional environnemental du tribunal judiciaire de La Rochelle Ce Pôle régional environnemental est spécifiquement dédié au traitement des atteintes à l’environnement Il centralise les dossiers liés à l’environnement en lien avec les services de l’État comme l’OFB (Office français de la biodiversité) Le référé pénal environnemental est une mesure d’urgence prise par la justice Il permet au juge pénal d’ordonner toutes mesures utiles afin de faire cesser les atteintes à l’environnement Contrairement aux actions classiques en justice le référé vise à obtenir une décision rapide généralement en quelques jours ou quelques semaines Le juge des libertés et de la détention (JLD) peut agir à la requête du procureur de la République agissant d’office ou à la demande de l’autorité administrative de la victime ou d’une association agréée de protection de l’environnement Vient ensuite le temps de l’instruction de l’affaire pour en déterminer les faits et responsabilités le tribunal de Bayonne avait pris un référé pénal environnemental le 14 août 2024 pour suspendre immédiatement les travaux de pose de câbles électriques sous-marins dans le golfe de Gascogne faute d’études d’impact sur les mammifères marins Retrouvez tous nos contenus et notre journal en numériqueTéléchargez gratuitement l'app vient d’obtenir son diplôme de docteure en médecine générale et accédez à l'intégralité de nos articles sur le site et l'application mobile Les eaux vives ont un rôle unique dans le soutien de la biodiversité mondiale Bien que l'importance des cours d'eau permanents soit bien reconnue la valeur et le devenir des rivières et ruisseaux non pérennes - qui cessent périodiquement de couler - ont tendance à être négligés Tous les jours, un nouvel épisode du balado En 5 minutes. Bienvenue dans la section commentaires! Notre objectif est de créer un espace pour un discours réfléchi et productif. En publiant un commentaire, vous acceptez de vous conformer aux Conditions d'utilisation De gauche à droite : Shirley Tremblay nouvelle propriétaire; André Boivin ancien propriétaire et Patrick Fortier L’entreprise d’Alma Miel des Ruisseaux/Sauces et Marinades DG s’est portée acquéreur des Vinaigrettes Vio un agrandissement de 1 M$ a été réalisé et deux emplois seront créés L’entente a été signée le 23 décembre dernier toute la production de Vinagrettes Vio sera transférée à Alma d’ici le mois de février cette acquisition était tout à fait naturelle puisque le miel est un ingrédient clé de Vinaigrettes Vio depuis plusieurs années « Ça faisait un an qu’on était en pourparlers c’est complémentaire à Marinades DG puisque ce sont les mêmes contenants Ça va nous permettre d’intégrer notre miel dans les recettes » Le miel de Miel des Ruisseaux pourra du même coup voyager partout au Québec puisque les produits de Vinaigrettes Vio sont déjà listés dans toutes les épiceries IGA et Maxi Le montant de la transaction n’a pas été dévoilé en raison d’une clause de confidentialité Patrick Fortier souligne que des investissements de plus de 1 M$ ont été nécessaires de son côté notamment pour des travaux d’agrandissements de 7 000 pieds² « La nouvelle partie nous permet de séparer les abeilles complètement de la section alimentaire Ça nous permet notamment de conserver un coin qui regroupe les marinades et la vinaigrette On a aussi un entrepôt qui nous permet d’accueillir l’huile en vrac » D’ici à ce que Vinaigrettes Vio déménage à Alma l’ancien propriétaire André Boivin demeurera dans l’entourage de l’entreprise afin d’assurer la transition Vinaigrettes Vio produit quatre variétés de trempettes et de vinaigrettes : salade du chef les nouveaux propriétaires n’envisagent pas de créer de nouvelles saveurs Miel des Ruisseaux assure par ailleurs qu’elle n’entend pas augmenter sa production de miel Elle sera en mesure d’en produire assez pour la nouvelle entreprise Merci de vous êtes abonné à notre infolettre.