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Publié le 5 mai 2025 à 11:56 | Modifié le 5 mai 2025 à 11:56
Un foule de propriétaires et d'amateurs de voitures modifiées s'étaient donnés rendez-vous pour exhiber leurs bolides
La présence de quelques milliers de voitures a été signalée suscitant la curiosité des passants
Une vingtaine de policiers municipaux ont assuré la surveillance de l'événement
Aucun acte répréhensible n'a été noté.
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La destination d’information de Radio-Canada
dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"Il y a un an
l’homme de 66 ans choisissait l’aide médicale à mourir après avoir développé des plaies de lit à l’hôpital de Saint-Jérôme
Les audiences permettront à toute personne intéressée de s’exprimer concernant les circonstances de ce décès afin d’en analyser tous les facteurs contributifs
en vue d’émettre des recommandations pour prévenir des décès dans des circonstances similaires
Ce drame avait été mis en lumière par Radio-Canada à la suite d’une rencontre à son domicile
Normand Meunier était paralysé des bras et des jambes depuis 2022 à la suite d’une lésion de la moelle épinière
À la suite de ce séjour à l’hôpital
Meunier s’était aggravée au point où l’os et le muscle étaient exposés et visibles
Un trou béant de quelques centimètres de diamètre qui aurait pris plusieurs mois à cicatriser si toutes les conditions avaient été réunies
Le pronostic de son médecin était sombre
je ne serai pas un fardeau longtemps; comme disent les vieux
il vaut mieux donner un coup de pied sur la canisse
était reconnaissante des soins à domicile offerts quotidiennement depuis deux ans
mais dénonçait vivement ceux prodigués à l’hôpital qui n’auraient pas su prévenir la formation d’une plaie béante
Elle entend mener un combat pour améliorer les soins hospitaliers aux patients souffrant d’une lésion de la moelle épinière
Elle témoignera d'ailleurs lors des audiences publiques du coroner
Lorsqu’il s’est présenté à l’hôpital de Saint-Jérôme un jeudi du mois de janvier 2024
Normand Meunier ne s’attendait pas à se retrouver confiné sur une civière aux urgences pendant plusieurs jours
sans matelas adapté à son état
Un cas extrême qui met en lumière les souffrances vécues par des milliers de patients au Québec aux prises avec une plaie de lit
Selon les données du ministère de la Santé
plus de 3700 patients se retrouvent avec une plaie de pression chaque année dans les hôpitaux et les CHSLD du Québec
Selon les informations obtenues par Radio-Canada
la commissaire aux plaintes du CISSS des Laurentides est intervenue à nouveau ces derniers mois dans un autre dossier de plaie de pression à la suite de soins prodigués par le personnel infirmier de l'hôpital de Saint-Jérôme auprès de Nicole Mongeon
une personne âgée en perte d’autonomie
constate notamment que l’évaluation des risques réalisée à trois reprises (les 8 et 21 octobre
indiquait un risque élevé de développer des plaies de pression
NDLR) n’a pas été ajusté en conséquence
et aucune mesure préventive additionnelle n’a été documentée
Dans son rapport signé en janvier 2025
la commissaire indique par ailleurs qu'aucun formulaire de déclaration d’incident ou d’accident n’a été complété après la découverte de la plaie
L’analyse de votre signalement met en lumière des écarts par rapport aux pratiques attendues en prévention et en gestion des plaies de pression
qui a formulé une série de recommandations à la Direction des soins infirmiers du CISSS des Laurentides pour l’hôpital de Saint-Jérôme
Un suivi détaillé a été remis à la famille en mars dernier
les douleurs vécues par sa mère en raison de la plaie de lit étaient insoutenables
puis elle nous a demandé de faire quelque chose pour abréger ses souffrances
Il a fallu aller vers les soins palliatifs
C'était vraiment pas le fun en tant que famille qui a pris soin de ma grand-mère pendant approximativement quatre
c'est la base d'avoir les qualifications et la formation nécessaires
On ne parle pas d'un hôpital avec peu de services
on parle d'un hôpital à envergure régionale qui est celui de Saint-Jérôme
Pour le gériatre et professeur titulaire retraité de la Faculté de médecine de l’Université Laval
compte tenu de l'armada thérapeutique dont on dispose pour soulager les gens
il n'y a pas de raison en 2025 que les gens soient souffrants
La présence d’un autre cas documenté dans le même hôpital où feu M. Meunier a été hospitalisé indique l’ampleur du défi pour les soignants
Ça vous dit à quel point il y a plusieurs chats à fouetter dans le dossier de la prise en charge de patients hospitalisés
sachant ce qui est arrivé à monsieur Meunier
Comment ça se fait qu'un an plus tard
On a un peu l'impression d'avoir fait du surplace
Un constat d'inaction auquel en arrive aussi le porte-parole de Québec solidaire en matière de santé
on n’a pas tiré les leçons d’un cas qui a été très médiatisé
pour lequel le ministre [Christian Dubé] s’est excusé
pour lequel il a demandé une enquête
les plaies de pression sont de très bons marqueurs sur la lourdeur de la clientèle dans les hôpitaux
c'est une des problématiques qui nous démontrent à quel point la prise en charge est déficitaire chez ces patients-là
Le décès de la mère de Mme Thomas n’a fait l’objet d’aucun rapport de coroner
que d’autres cas de plaie de lit surviennent est à la fois tragique et peu surprenant
mais que cela se passe dans le même hôpital de Saint-Jérôme est alarmant
Si personne n’a retenu de leçon du drame pourtant très médiatisé de Normand Meunier
cela démontre l’ampleur de la tâche pour le réseau de la Santé
mais également l’urgence d’agir
déclare le député péquiste et porte-parole en matière de santé
De nombreux rapports de coroner consultés par Radio-Canada font état de recommandations afin d’améliorer la prise en charge de plaies de pression
que ce soit par les équipes de soins à domicile
les résidences privées pour aînés (RPA) et les CHSLD ou par les hôpitaux
la coroner Me Francine Danais est intervenue à au moins quatre reprises depuis un an et demi à la suite de décès faisant état de plaie surinfectée
La coroner recommandait notamment au CISSS de l’Outaouais une prise en charge plus rapide par le CLSC (...) au niveau des soins de plaies de pression et au niveau psychosocial ainsi que pour assurer la pérennité du Plan d’amélioration de la qualité des soins infirmiers en soutien à domicile (SAD)
L’Ordre des infirmiers et infirmières du Québec (OIIQ) et l’Ordre des infirmières et infirmiers auxiliaires du Québec (OIAQ) étaient également invités à revoir des dossiers et à prendre toutes les mesures jugées nécessaires et pertinentes en vue d’une meilleure protection de la vie humaine
le Protecteur du citoyen a publié ces derniers mois deux rapports d’enquête faisant état de lacunes dans le traitement des plaies de pression auprès de personnes souffrant d’une blessure de la moelle épinière
Une série de recommandations ont été formulées auprès du CIUSSS de la Capitale-Nationale et du CHU de Québec-Université Laval
l’organisme Moelle épinière et motricité Québec partage régulièrement des témoignages de ses membres aux prises avec des plaies en raison d’une prise en charge insuffisante
L’organisme entend témoigner lors des audiences du coroner au mois de mai
Daniel Boily travaille au service de l'information de Radio-Canada depuis les années 90
il se spécialise dans la préparation de reportages d'impact
Tour à tour journaliste à la recherche
ses contributions se retrouvent tant à la télévision qu'à la radio et sur le web
Il a participé à la mise à jour des Normes et pratiques journalistiques (NPJ) et anime régulièrement des ateliers de formation en journalisme
Davide Gentile est journaliste à Radio-Canada depuis 1997
Il a d'abord œuvré à la radio avant de faire le saut à la télévision
Il a été reporter aux affaires municipales à Montréal de 2005 à 2012
puis correspondant à l'Assemblée nationale de 2012 à 2016
Il s'intéresse aux enjeux liés au secteur de la santé au Québec et se retrouve ainsi en première ligne depuis que la pandémie de COVID-19 a éclaté
il contribue régulièrement à la radio et au web
À la veille d’audiences publiques du coroner dans la foulée du décès de Normand Meunier
Radio-Canada a découvert un autre cas de plaie de lit survenu à l’hôpital de Saint-Jérôme
Ouvrir en mode plein écranAnnie Thomas et ses fils Christophe et Marc-Olivier espèrent que le décès de leur proche Nicole Mongeon va servir à améliorer le traitement des plaies de lit dans les hôpitaux
le bureau du coroner du Québec tiendra des audiences publiques durant trois semaines pour faire la lumière sur le décès de Normand Meunier
l’homme de 66 ans choisissait l’aide médicale à mourir après avoir développé des plaies de lit à l’hôpital de Saint-Jérôme
Les audiences permettront à toute personne intéressée de s’exprimer concernant les circonstances de ce décès afin d’en analyser tous les facteurs contributifs
en vue d’émettre des recommandations pour prévenir des décès dans des circonstances similaires
Ce drame avait été mis en lumière par Radio-Canada à la suite d’une rencontre à son domicile
Ouvrir en mode plein écranSylvie Brosseau entend mener «un combat» pour améliorer les soins hospitaliers aux patients qui souffrent d’une lésion de la moelle épinière comme feu son conjoint
Normand Meunier était paralysé des bras et des jambes depuis 2022 à la suite d’une lésion de la moelle épinière
Meunier s’était aggravée au point où l’os et le muscle étaient exposés et visibles
Un trou béant de quelques centimètres de diamètre qui aurait pris plusieurs mois à cicatriser si toutes les conditions avaient été réunies
était reconnaissante des soins à domicile offerts quotidiennement depuis deux ans
mais dénonçait vivement ceux prodigués à l’hôpital qui n’auraient pas su prévenir la formation d’une plaie béante
Elle entend mener un combat pour améliorer les soins hospitaliers aux patients souffrant d’une lésion de la moelle épinière
Elle témoignera d'ailleurs lors des audiences publiques du coroner
Lorsqu’il s’est présenté à l’hôpital de Saint-Jérôme un jeudi du mois de janvier 2024
Normand Meunier ne s’attendait pas à se retrouver confiné sur une civière aux urgences pendant plusieurs jours
Un cas extrême qui met en lumière les souffrances vécues par des milliers de patients au Québec aux prises avec une plaie de lit
Selon les données du ministère de la Santé
plus de 3700 patients se retrouvent avec une plaie de pression chaque année dans les hôpitaux et les CHSLD du Québec
Ouvrir en mode plein écranSelon les données du ministère de la Santé
plus de 3700 patients se retrouvent avec une plaie de pression chaque année dans les hôpitaux et les CHSLD du Québec
la commissaire aux plaintes du CISSS des Laurentides est intervenue à nouveau ces derniers mois dans un autre dossier de plaie de pression à la suite de soins prodigués par le personnel infirmier de l'hôpital de Saint-Jérôme auprès de Nicole Mongeon
constate notamment que l’évaluation des risques réalisée à trois reprises (les 8 et 21 octobre
indiquait un risque élevé de développer des plaies de pression
et aucune mesure préventive additionnelle n’a été documentée
la commissaire indique par ailleurs qu'aucun formulaire de déclaration d’incident ou d’accident n’a été complété après la découverte de la plaie
L’analyse de votre signalement met en lumière des écarts par rapport aux pratiques attendues en prévention et en gestion des plaies de pression
qui a formulé une série de recommandations à la Direction des soins infirmiers du CISSS des Laurentides pour l’hôpital de Saint-Jérôme
Un suivi détaillé a été remis à la famille en mars dernier
Ouvrir en mode plein écranLa famille de Mme Thomas traverse une période de deuil à la suite du décès de Nicole Mongeon
les douleurs vécues par sa mère en raison de la plaie de lit étaient insoutenables
puis elle nous a demandé de faire quelque chose pour abréger ses souffrances
C'était vraiment pas le fun en tant que famille qui a pris soin de ma grand-mère pendant approximativement quatre
c'est la base d'avoir les qualifications et la formation nécessaires
On ne parle pas d'un hôpital avec peu de services
on parle d'un hôpital à envergure régionale qui est celui de Saint-Jérôme
Pour le gériatre et professeur titulaire retraité de la Faculté de médecine de l’Université Laval
compte tenu de l'armada thérapeutique dont on dispose pour soulager les gens
La présence d’un autre cas documenté dans le même hôpital où feu M
Meunier a été hospitalisé indique l’ampleur du défi pour les soignants
Ouvrir en mode plein écranJean-Pierre Beauchemin
gériatre retraité et professeur titulaire retraité de la Faculté de médecine de l’Université Laval
Ça vous dit à quel point il y a plusieurs chats à fouetter dans le dossier de la prise en charge de patients hospitalisés
sachant ce qui est arrivé à monsieur Meunier
Un constat d'inaction auquel en arrive aussi le porte-parole de Québec solidaire en matière de santé
on n’a pas tiré les leçons d’un cas qui a été très médiatisé
pour lequel le ministre [Christian Dubé] s’est excusé
les plaies de pression sont de très bons marqueurs sur la lourdeur de la clientèle dans les hôpitaux
c'est une des problématiques qui nous démontrent à quel point la prise en charge est déficitaire chez ces patients-là
Le décès de la mère de Mme Thomas n’a fait l’objet d’aucun rapport de coroner
que d’autres cas de plaie de lit surviennent est à la fois tragique et peu surprenant
mais que cela se passe dans le même hôpital de Saint-Jérôme est alarmant
Si personne n’a retenu de leçon du drame pourtant très médiatisé de Normand Meunier
cela démontre l’ampleur de la tâche pour le réseau de la Santé
déclare le député péquiste et porte-parole en matière de santé
De nombreux rapports de coroner consultés par Radio-Canada font état de recommandations afin d’améliorer la prise en charge de plaies de pression
que ce soit par les équipes de soins à domicile
les résidences privées pour aînés (RPA) et les CHSLD ou par les hôpitaux
la coroner Me Francine Danais est intervenue à au moins quatre reprises depuis un an et demi à la suite de décès faisant état de plaie surinfectée
La coroner recommandait notamment au CISSS de l’Outaouais une prise en charge plus rapide par le CLSC (...) au niveau des soins de plaies de pression et au niveau psychosocial ainsi que pour assurer la pérennité du Plan d’amélioration de la qualité des soins infirmiers en soutien à domicile (SAD)
L’Ordre des infirmiers et infirmières du Québec (OIIQ) et l’Ordre des infirmières et infirmiers auxiliaires du Québec (OIAQ) étaient également invités à revoir des dossiers et à prendre toutes les mesures jugées nécessaires et pertinentes en vue d’une meilleure protection de la vie humaine
directeur général de Moelle épinière et motricité Québec
le Protecteur du citoyen a publié ces derniers mois deux rapports d’enquête faisant état de lacunes dans le traitement des plaies de pression auprès de personnes souffrant d’une blessure de la moelle épinière
Une série de recommandations ont été formulées auprès du CIUSSS de la Capitale-Nationale et du CHU de Québec-Université Laval
l’organisme Moelle épinière et motricité Québec partage régulièrement des témoignages de ses membres aux prises avec des plaies en raison d’une prise en charge insuffisante
L’organisme entend témoigner lors des audiences du coroner au mois de mai
Crimes et délits. Une étudiante portée disparue retrouvée morte à Ottawa. Publié à 17 h 36 HAE Une étudiante portée disparue retrouvée morte à OttawaLe Haut-Commissariat de l'Inde à Ottawa a identifié Vanshika Saini comme une étudiante indienne
Cinéma. Tarifs de Trump : stupeur et confusion dans l’industrie canadienne du cinéma. Publié à 16 h 42 HAE Tarifs de Trump : stupeur et confusion dans l’industrie canadienne du cinémaPlusieurs questions demeurent quant à l'application des tarifs de 100 % sur les films produits hors des É.-U
Politique provinciale. « Quebec, Canada! We’ll make a deal! », lance Donald Trump. Publié à 4 h 00 HAE « Quebec, Canada! We’ll make a deal! », lance Donald TrumpLa ministre québécoise Martine Biron a eu un échange avec le président américain au Vatican
Donald Trump, président des États-Unis. Donald Trump dit qu’il est improbable que les É.-U. annexent le Canada. Publié à 15 h 12 HAE Donald Trump dit qu’il est improbable que les É.-U. annexent le CanadaLe président américain a affirmé qu'il continuera à faire pression pour que le Canada devienne le 51e État
Donald Trump, président des États-Unis. L’administration Trump veut donner 1000 $ aux sans-papiers qui s’« auto-expulsent ». Publié à 16 h 51 HAE L’administration Trump veut donner 1000 $ aux sans-papiers qui s’« auto-expulsent »Cette stratégie économisera de l'argent aux contribuables
soutient le département de la Sécurité intérieure
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Le Haut-Commissariat de l'Inde à Ottawa a identifié Vanshika Saini comme une étudiante indienne
Plusieurs questions demeurent quant à l'application des tarifs de 100 % sur les films produits hors des É.-U
La ministre québécoise Martine Biron a eu un échange avec le président américain au Vatican
Le président américain a affirmé qu'il continuera à faire pression pour que le Canada devienne le 51e État
Cette stratégie économisera de l'argent aux contribuables
Le décès tragique de Normand Meunier avait secoué le Québec en 2024
Cet homme paraplégique de 66 ans a eu recours à l'aide médicale à mourir après avoir enduré de graves souffrances à cause d'une plaie de pression majeure contractée lors d'un séjour à l'hôpital de Saint-Jérôme
Le coroner en chef lance des audiences publiques sur cette affaire lundi
Radio-Canada a découvert un autre cas de plaie de pression survenu au même hôpital
La famille de Nicole Mongeon raconte la difficile aventure de cet octogénaire afin de provoquer un changement
comme le rapporte notre journaliste Davide Gentile
«La probabilité qu’on ait une liquidation des actifs est très élevée.»
Lion Électrique sera très probablement liquidée à la suite du refus du gouvernement du Québec d’investir davantage de fonds publics dans l’entreprise
affirme le contrôleur désigné par le tribunal pour le constructeur de véhicules électriques
spécialiste en restructuration chez Deloitte
lors d’une audience devant la Cour supérieure
que l’aide gouvernementale aurait été une condition à toute vente de l’entreprise en difficulté
il est peu probable qu’un acheteur présente un plan de relance du constructeur de Saint-Jérôme
qui a demandé la protection de ses créanciers en décembre
«La probabilité qu’on ait une liquidation des actifs est très élevée»
Nadon a déclaré que l’annonce récente du gouvernement de ne plus injecter de fonds publics dans Lion Électrique avait été une «onde de choc» pour l’entreprise
Des reportages ont rapporté la semaine dernière qu’un groupe d’acheteurs cherchait à obtenir 24 millions $ de la province pour relancer le constructeur de véhicules électriques
Nadon a souligné que «rien n’indiquait» que les acheteurs seraient incapables d’obtenir ce financement avant la décision du gouvernement
À VOIR AUSSI | Malgré les files d’attente et le fiasco SAAQclic
la satisfaction de la clientèle est en hausse à la SAAQ
a annoncé mercredi soir sur les réseaux sociaux qu’il serait irresponsable d’offrir davantage de fonds publics à Lion
Elle a ensuite affirmé aux journalistes qu’elle se serait attendue à une plus grande implication du secteur privé
interrogé la semaine dernière au sujet de Lion Électrique
a évoqué le retour au pouvoir de Donald Trump
Il a suggéré que le Québec pourrait devoir assouplir ses objectifs d’électrification des transports
les États-Unis n’en faisant pas une priorité
Le Québec a déjà investi massivement dans Lion Électrique
Legault a indiqué que la province risquait de perdre environ 140 millions $ avec l’entreprise
Nadon a dit croire que le gouvernement a pris sa décision en raison de la «situation sociopolitique» avec les États-Unis
«limite l’expansion du plan d’affaires de Lion» et crée des «risques extrêmement importants» pour les perspectives de l’entreprise
Deloitte a commencé à contacter les liquidateurs et les encanteurs qui étaient auparavant intéressés par la vente des actifs de Lion Électrique
Ils ont été invités à soumettre des offres au cours de la fin de semaine
Nadon a dit espérer conclure une entente à présenter au tribunal lundi prochain
après l’annonce de la décision du gouvernement la semaine dernière
Il a précisé que l’entreprise était toujours en mesure de payer son personnel restant
mais qu’elle n’a pas pu payer le loyer de ses locaux au 1er mai
Lion Électrique fabriquait des autobus électriques d’écoliers et compte actuellement environ 1175 véhicules en circulation au Québec
l’entreprise a connu plusieurs vagues de licenciements l’an dernier et a cessé la production d’une usine en Illinois
avant de se placer sous la protection de ses créanciers en décembre
Un projet d’action collective intentée par les actionnaires de Lion Électrique contre les administrateurs et dirigeants de l’entreprise
qui allèguent qu’ils ont induit les investisseurs en erreur et ont présenté de manière inexacte la santé financière de l’entreprise
pourrait être entamé une fois l’entente finalisée
Un orignal a semé l’émoi dimanche en s’aventurant sur les terrains d’un quartier résidentiel de Saint-Jérôme
C’est vers 9h40 que l’animal a été aperçu par plusieurs personnes en pleine visite d’une maison à vendre sur le boulevard de Maisonneuve
«Le client m’a pointé l’orignal à travers la fenêtre
elle et ses clients ont pu sortir à l’extérieur pour filmer la bête qui se trouvait sur le gazon d’un voisin pendant que plusieurs voitures s’arrêtaient pour l’observer
On a décidé de rentrer parce que je viens des Laurentides et je sais que cet animal décide ce nous charger
La courtière immobilière Catherine Bélanger a aussi pu filmer l'animal
Le Service de police de la Ville de Saint-Jérôme (SPVSJ) a confirmé être intervenu sur cet événement
«On a fait affaire avec des agents de la faune qui ont endormi l’orignal et l’ont libéré dans la nature»
a précisé le lieutenant Jean-François Bouvrette
Bien qu’il s’agisse d’un événement «inhabituel»
le SPVSJ dit être déjà intervenu pour des cas semblables par le passé
car certains quartiers de la ville sont situés près de la forêt
Le gouvernement du Québec recommande d’appeler SOS Braconnage - Urgence Faune si vous croisez un orignal en milieu urbain
«Évitez de le stresser en le poursuivant en véhicule ou en formant des attroupements autour de lui
Un animal stressé peut réagir de manière imprévisible et représenter un danger»
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À compter de la prochaine rentrée scolaire (2025-2026)
de nouveaux programmes pédagogiques particuliers seront mis en place en première secondaire à la Polyvalente Saint-Jérôme
On connaît actuellement le programme international qui existe depuis longtemps et le sport études qui visent des élèves en particulier
le Centre de services scolaire de Rivière-du-Nord (CSSRDN) avait mis fin aux programmes régionaux dans le but de développer des programmes pour ses élèves et non uniquement pour l’élite
C’est à la suite d’un sondage qui a mené au constat que l’offre de programmes ne répondait pas aux futurs élèves
« Lorsque des jeunes ne faisaient pas partie du programme international ou du sport études
C’est pour cette raison qu’on voulait développer des programmes motivants pour tous les élèves
Qu’ils aient une motivation de venir à l’école et que ce soit plus agréable pour tous »
il ajoute que dans la majorité des écoles secondaires du CSSRDN
Les programmes pédagogiques particuliers qui seront gratuits et accessibles à tous sont: Volleyball
Les enseignants et enseignantes de première secondaire se sont inspirés de ce qui se faisait ailleurs pour proposer les programmes exploratoires
l’équipe souhaitait que tous les élèves aient accès à un programme pédagogique particulier
Le but est de rendre l’école plus équitable
On ne voulait plus que les élèves soient déçus et qu’ils puissent participer à un programme selon ses goûts et ses intérêts sans discrimination »
Il y a eu une portes ouvertes pour les futurs élèves et leurs parents et la présentation des programmes pédagogiques particuliers a été accueillie favorablement
tant par les futurs élèves que les parents
Égalité des chances: Tous les élèves de première secondaire sont acceptés et peuvent choisir leur spécialité en fonction de leurs intérêts peu importe leurs résultats scolaires et leur situation socio-économique
Ouverture à la différence et mixité sociale: Les élèves sont regroupés selon leur spécialité
mais ils sont mélangés dans les autres matières avec des élèves de s autres catégories de spécialités afin de les exposer à des personnes aux intérêts différents et de bâtir des liens au sein de la communauté
Respect du rythme de chacun:Les élèves qui vivent des difficultés en français ou mathématiques
reçoivent du soutien en sous-groupes lors de périodes ciblées alors que les élèves en douance qui font preuve d’autonomie et d’engagement pourront avoir un horaire à la carte et participer à deux spécialités et apprendre les autres matières à un rythme accéléré
Liberté d’explorer et avoir un parcours orientant : Les élèves expérimentent d’autres spécialités et sont libres de changer leur choix à chaque année scolaire
ce qui leur permettra d’apprendre à se connaître et découvrir ses intérêts
Merci pour cette belle visibilité de notre école dans votre journal
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C’est en scrollant nonchalamment sur Marketplace
des chaises et des patins à roulettes de seconde main
Un style reconnaissable au premier coup d’œil : Banksy
Mais comment une œuvre de l’un des artistes les plus subversifs et influents de notre époque s’est-elle retrouvée dans les Basses-Laurentides
Une intrigue trop improbable pour ne pas éveiller ma curiosité
encore marqué par les traces récentes d’un déménagement
dégage une sobriété qui évoque moins le minimalisme que l’installation en cours
trône l’objet de ma visite : un pochoir à la bombe sur un morceau de carton brun
figure mystérieuse et insaisissable de la scène artistique contemporaine
s’est fait connaître au tournant du millénaire pour ses critiques cinglantes du capitalisme
empreintes d’une satire mordante envers l’absurdité du marché de l’art
ont paradoxalement été intégrées à ce même marché qu’il dénonce
plusieurs atteignant des sommes exorbitantes lors de ventes aux enchères
souvent réalisés dans des lieux à forte charge symbolique
comme le mur de Cisjordanie ou les zones de guerre en Ukraine
emportant avec eux des pans entiers de murs découpés
Autour de lui s’est développée une véritable économie
un t-shirt des forces américaines et un dog tag autour du cou
Matthieu tranche avec l’image du marchand d’art à foulard de soie que l’on s’attend à rencontrer
Mais le jeune collectionneur maîtrise son sujet et ses yeux s’illuminent à l’idée de partager l’histoire de sa pièce
conçue à Londres par Banksy le 15 février 2003 dans le cadre d’une manifestation contre l’invasion de l’Irak
« Banksy a produit 200 exemplaires de chaque œuvre : Happy Chopper
tous distribués à la sortie des métros par ses acolytes
soit jetées dans la rue ou confisquées par la police
certaines pièces ont toutefois refait surface dans des ventes aux enchères à Florence et à Paris
une maison britannique a adjugé un exemplaire de Happy Chopper pour 9 200 livres sterling
provient d’un collectionneur et joaillier réputé du sud-ouest de la France
il déplie les documents qui certifient l’authenticité de l’œuvre
insistant sur l’importance cruciale d’une provenance irréprochable dans un marché saturé de contrefaçons
Tandis que nous scrutons l’œuvre sous verre
Matthieu attire mon attention sur les petites imperfections
ces détails qui témoignent de l’authenticité d’un Banksy
lui-même ayant été victime d’une contrefaçon lors de l’achat d’un autre Banksy à un galeriste véreux
Il se rappelle avec amertume le jour où Pest Control
l’organisme officiel d’authentification de l’artiste
lui a confirmé la fraude : « Un an et demi de procédures légales et plus de 10 000 euros partis en fumée
veillant scrupuleusement à obtenir des certificats d’authenticité
Arrivé à Saint-Jérôme en provenance de France il y a quelques mois à peine
Matthieu a dû se séparer de deux autres œuvres de Banksy issues de la même série pour financer son déménagement
Le transport de Happy Chopper s’est avéré être une opération délicate
un caisson hermétique et des assurances à coût prohibitif
sans oublier des délais interminables qui ont mis sa patience à rude épreuve
bien loin des salles d’enchères prestigieuses
Matthieu a simplement voulu tester l’intérêt du marché québécois
Mais il a vite essuyé critiques et scepticisme : « Beaucoup de haters : “Ton œuvre
une maison de vente aux enchères montréalaise l’a contacté
et son œuvre sera mise en vente en décembre
« Je ne cherche pas vraiment à faire de l’argent
admet-il avec un sourire qui trahit son attachement à l’œuvre
cela fait partie de son modus operandi : Matthieu n’acquiert que des œuvres qui lui tiennent à cœur
mais n’hésite pas à les revendre si une offre alléchante se présente
l’art est un jeu subtil entre passion et opportunités financières
mais nous vivons dans un monde où je dois également subvenir aux besoins de ma famille
Je suis bien conscient du marché tirant les ficelles de la spéculation
Matthieu confie ne pas avoir baigné dès son plus jeune âge dans l’univers de l’art
Ce n’est qu’au début de son service militaire qu’il découvre le film sur Jean-Michel Basquiat réalisé par Julian Schnabel
une rencontre qui éveillera en lui un véritable intérêt
attiré par des artistes engagés qui s’expriment au nom du peuple
Ancien membre des forces spéciales françaises
plongé au cœur des récents conflits dans lesquels la France était impliquée
L’art a joué un rôle salvateur dans la vie de Matthieu
particulièrement après avoir été grièvement blessé et perdu plusieurs frères d’armes
Accablé par l’enchaînement des missions en zone de combat
il a dû faire face à la dépression et au stress post-traumatique
« On peut dire que l’art m’a sauvé la vie »
l’énigme du Banksy à Saint-Jérôme trouve son explication
cette œuvre farouchement antiguerre résonne avec une gravité inattendue et étrangement cohérente
Rappelons que la Ville changera sa politique dès le 1er juin 2025
Le stationnement sera donc payant de 8 h à 17 h
propriétaire du restaurant Soleo situé sur la rue Saint-Georges
ça aura sans aucun doute un impact sur l'achalandage du midi
le retrait des midis gratuits pourrait convaincre les clients d'opter pour une chaîne de restaurants qui offre déjà un espace de stationnement sans frais
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Écoutez-nous en tout temps pour suivre l'actualité locale et régionale dans les Laurentides (103.9 - 101.3 - 104.9) et l'Est ontarien (102.1) ou téléchargez notre application mobile Cogeco Média.
D’une rare violence, cette agression a été filmée. Elle est arrivée lorsque les deux équipes rentraient vers leur vestiaire respectif, et le joueur qui en a été victime ne portait pas de casque. Selon des témoins, la victime s’est écroulée au sol dans une mare de sang. Et bien qu’il n’y ait pas de séquelles graves pour sa santé, sa saison de hockey a pris fin à cause de cette attaque.
Évidemment, tous les intervenants du milieu ont condamné ce geste d’une gravité sans nom.
Le président de la Fédération des clubs de hockey mineur de Saint-Jérôme, Steeve Charrette, a révélé que l’agresseur avait été suspendu sur-le-champ pour une durée indéterminée. Selon ce dernier, la suspension du joueur fautif, dont on doit préserver l’identité en raison de son âge, se poursuivra assurément la saison prochaine.
On ignore par ailleurs si le Directeur des poursuites criminelles et pénales portera des accusations.
Interrogé par TVA, le président de Hockey Laurentides-Lanaudière, Sylvain Bigras, a pour sa part qualifié la situation d’inacceptable. M. Bigras a ajouté qu’il faut essayer de voir ce qu’on aurait pu faire pour éviter que ça arrive.
Éric Pressault n’est pas d’accord avec HQ. Il affirme d’ailleurs avoir de la difficulté à dormir par les temps qui courent parce que, selon lui, cette agression aurait pu être évitée.
Catastrophé, M. Pressault raconte que le hockeyeur adolescent qui a été arrêté en février avait commis d’autres gestes extrêmement graves à la mi-novembre. Ça s’est passé durant un match opposant Saint-Jérôme à son équipe M18 de Deux-Montagnes.
Le film de ce premier incident montre un joueur de Deux-Montagnes qui pourchasse un défenseur de Saint-Jérôme en zone offensive dans les dernières secondes de la première période. Le joueur de Deux-Montagnes trébuche et entre en contact avec le gardien de Saint-Jérôme avant d’aboutir au fond du filet. Un joueur de Saint-Jérôme s’approche alors du filet et sert un coup de patin à la tête du joueur de Deux-Montagnes.
À cause de la piètre qualité de la prise de vue, on ne voit pas combien de coups de patin sont donnés. On entend toutefois la foule s’indigner instantanément et on voit les officiels intervenir sans la moindre hésitation pour expulser le joueur fautif. Ce dernier bouscule ensuite les juges de ligne avant de quitter la patinoire.
Notre banc était le plus éloigné de ce filet, donc je n’ai pas trop réagi sur le coup. Mais quand notre joueur est revenu au banc, il était furieux et sonné. Et il nous a dit que le joueur de Saint-Jérôme lui avait servi deux coups de patin à la tête. Quand il nous a montré son casque, on a constaté qu’il était fracassé, raconte Éric Pressault.
Asséner un coup de patin à un rival est l’un des gestes les plus graves qu’on puisse commettre au hockey. Imaginez que le coup soit en plus dirigé vers la tête.
J’ai des frissons rien qu’à y penser. Si le joueur de Saint-Jérôme avait raté la tête de peu, il aurait pu atteindre notre joueur au cou et le tuer, indique l’entraîneur adjoint.
Il est important ici de savoir que les demandes de révision ne peuvent être faites à la légère. Les entraîneurs bénévoles qui font une demande de révision doivent soumettre un dépôt de 200 $. Et si le comité de révision ne leur donne pas raison, HQ garde le montant.
Le 21 novembre, les membres du comité de révision vidéo ont rendu leur décision :
Considérant que le rapport de l’arbitre fait état d’un coup de patin et que la vidéo ne nous démontre pas que le joueur a donné deux coups de patin.
Considérant que le casque peut avoir été brisé lors de la chute sur le poteau des buts, et non sur le coup de patin, la vidéo ne permet pas de le déterminer.
Considérant que le joueur pousse le juge de ligne intentionnellement.
Le joueur reçoit les sanctions automatiques (8 matchs), selon le tableau des sanctions des règles administratives. Nous suggérons également que le comité de discipline de première instance (ligue) rencontre ce joueur afin de sensibiliser le jeune sur ses gestes posés sur la glace.
N’ayant pas eu gain de cause dans leur demande (Deux-Montagnes) perd son dépôt de 200 $ (politique de visionnement de vidéos).
Selon nos informations, le rapport des officiels faisait spécifiquement état d’un coup de patin à la tête donné avec force. Il indiquait par ailleurs que deux juges de ligne avaient été bousculés.
Il est quand même incroyable que le comité de révision n’ait pas jugé que des sanctions supplémentaires étaient appropriées. Et qu’il ait estimé que les inquiétudes soulevées par les entraîneurs de Deux-Montagnes étaient si peu sérieuses qu’elles justifiaient de les soulager de 200 $.
Et toujours selon nos sources, ni le comité de discipline de la ligue ni celui de la région n’ont interrogé l’agresseur parce que la réglementation ne les y obligeait pas.
On nous a écrit que la décision de Hockey Québec était finale et sans appel. Alors, on a conclu qu’on ne pouvait pas contester davantage, explique Éric Pressault.
Tout cela après avoir vu son joueur servir un coup de patin à la tête d’un adversaire!
Ce complément d’information aurait peut-être dû allumer un feu rouge quant au climat régnant au sein de cette formation et quant à la qualité de l’encadrement offerte aux joueurs.
Au total, 8 joueurs de la formation jérômienne ont été suspendus pour un total de 37 matchs cette saison! Et cela, sans tenir compte des sanctions additionnelles qui découleront du violent coup de bâton à la tête asséné à Blainville en février.
Ça fait beaucoup de suspensions et de gestes inacceptables pour une équipe de hockey dit récréatif.
Pour ajouter au caractère irréel de l’affaire, l’entraîneur-chef a une fois de plus écopé d’une extrême inconduite dans le cadre de la foire survenue à Blainville en février.
Cette histoire soulève énormément de questions.
Comment la Fédération des clubs de hockey mineur de Saint-Jérôme, qui a la réputation d’être rigoureuse, a-t-elle pu tolérer un entraîneur incompétent et ne pas remarquer que les joueurs de l’une de ses équipes se faisaient suspendre à tour de bras?
Et pourquoi le comité de discipline de la ligue Laurentides-Lanaudière ou le comité de discipline de cette région n’ont-ils pas allumé en constatant que l’équipe de Saint-Jérôme était hors de contrôle et que les rapports d’arbitres et les suspensions s’empilaient les uns sur les autres?
Comment la Ville de Blainville, qui est en train de rénover l’un de ses deux arénas, a-t-elle pu laisser les entrepreneurs adopter une configuration temporaire qui permet aux joueurs de deux équipes adverses de se croiser à l’extérieur de la patinoire après les matchs?
Au bout du compte, ce qu’il faut retenir, c’est qu’il y a un signal d’alarme clair qui a été lancé dès le départ et qui n’a pas été entendu.
Quand des entraîneurs bénévoles prennent la peine de sortir 200 $ de leurs poches pour faire savoir à leur fédération qu’un joueur constitue un réel danger pour ses pairs, la musique devrait cesser sur-le-champ, et tous les réflecteurs devraient immédiatement se braquer sur cette situation.
Les arbitres et les entraîneurs qui ont les pieds sur le terrain n’ont pas été pris au sérieux. C’est aussi simple que cela.
Ouvrir en mode plein écranUne violente agression au hockey a nécessité l'intervention de la police de Blainville après un match M18.
Martin LeclercPublié le 13 mars à 19 h 36 HAEÉcouter l’article | 10 minutesLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale, une technologie basée sur l’intelligence artificielle.Éric Pressault est entraîneur adjoint d’une équipe de hockey M18 de Deux-Montagnes. Il s’implique dans le hockey mineur depuis une dizaine d’années. Depuis quelques jours, il est incapable de dormir.
TVA Nouvelles publiait mardi une véritable histoire d’horreur. On apprenait alors qu’un hockeyeur de 16 ans a été arrêté le 13 février dernier. L’intervention de la police de Blainville est survenue après qu’un joueur d’une équipe de Saint-Jérôme eut asséné un violent coup de bâton à la tête d’un adversaire de Blainville au terme d’une rencontre disputée de 1er février.
D’une rare violence, cette agression a été filmée. Elle est arrivée lorsque les deux équipes rentraient vers leur vestiaire respectif, et le joueur qui en a été victime ne portait pas de casque. Selon des témoins, la victime s’est écroulée au sol dans une mare de sang. Et bien qu’il n’y ait pas de séquelles graves pour sa santé, sa saison de hockey a pris fin à cause de cette attaque.
Évidemment, tous les intervenants du milieu ont condamné ce geste d’une gravité sans nom.
Le président de la Fédération des clubs de hockey mineur de Saint-Jérôme, Steeve Charrette, a révélé que l’agresseur avait été suspendu sur-le-champ pour une durée indéterminée. Selon ce dernier, la suspension du joueur fautif, dont on doit préserver l’identité en raison de son âge, se poursuivra assurément la saison prochaine.
On ignore par ailleurs si le Directeur des poursuites criminelles et pénales portera des accusations.
Interrogé par TVA, le président de Hockey Laurentides-Lanaudière, Sylvain Bigras, a pour sa part qualifié la situation d’inacceptable. M. Bigras a ajouté qu’il faut essayer de voir ce qu’on aurait pu faire pour éviter que ça arrive.
Et toujours selon nos amis de TVA, Hockey Québec (HQ) a réagi à cette agression par écrit en ces termes : Nous n’acceptons pas ces comportements ailleurs en société. Pourquoi seraient-ils acceptés au hockey? Le pouvoir et la responsabilité de la fédération face aux comportements toxiques de certains adultes et membres ont certaines limites. Nous invitons donc les gens à porter plainte à la police et laisserons les autorités policières compléter leurs enquêtes.
Éric Pressault n’est pas d’accord avec HQ. Il affirme d’ailleurs avoir de la difficulté à dormir par les temps qui courent parce que, selon lui, cette agression aurait pu être évitée.
Catastrophé, M. Pressault raconte que le hockeyeur adolescent qui a été arrêté en février avait commis d’autres gestes extrêmement graves à la mi-novembre. Ça s’est passé durant un match opposant Saint-Jérôme à son équipe M18 de Deux-Montagnes.
Le film de ce premier incident montre un joueur de Deux-Montagnes qui pourchasse un défenseur de Saint-Jérôme en zone offensive dans les dernières secondes de la première période. Le joueur de Deux-Montagnes trébuche et entre en contact avec le gardien de Saint-Jérôme avant d’aboutir au fond du filet. Un joueur de Saint-Jérôme s’approche alors du filet et sert un coup de patin à la tête du joueur de Deux-Montagnes.
À cause de la piètre qualité de la prise de vue, on ne voit pas combien de coups de patin sont donnés. On entend toutefois la foule s’indigner instantanément et on voit les officiels intervenir sans la moindre hésitation pour expulser le joueur fautif. Ce dernier bouscule ensuite les juges de ligne avant de quitter la patinoire.
Notre banc était le plus éloigné de ce filet, donc je n’ai pas trop réagi sur le coup. Mais quand notre joueur est revenu au banc, il était furieux et sonné. Et il nous a dit que le joueur de Saint-Jérôme lui avait servi deux coups de patin à la tête. Quand il nous a montré son casque, on a constaté qu’il était fracassé, raconte Éric Pressault.
Asséner un coup de patin à un rival est l’un des gestes les plus graves qu’on puisse commettre au hockey. Imaginez que le coup soit en plus dirigé vers la tête.
J’ai des frissons rien qu’à y penser. Si le joueur de Saint-Jérôme avait raté la tête de peu, il aurait pu atteindre notre joueur au cou et le tuer, indique l’entraîneur adjoint.
À la fois stupéfaits et inquiets après avoir assisté à cette scène, les entraîneurs de Deux-Montagnes (l’entraîneur-chef Danny Despatie, Denis Bradley et M. Pressault) ont constaté que la feuille de match ne prévoyait que cinq matchs de suspension pour l’agresseur. Estimant la situation extrêmement grave, ils ont décidé de présenter une demande de révision vidéo au département de la sécurité des joueurs et des joueuses de Hockey Québec.
Il est important ici de savoir que les demandes de révision ne peuvent être faites à la légère. Les entraîneurs bénévoles qui font une demande de révision doivent soumettre un dépôt de 200 $. Et si le comité de révision ne leur donne pas raison, HQ garde le montant.
Le 21 novembre, les membres du comité de révision vidéo ont rendu leur décision :
Considérant que le rapport de l’arbitre fait état d’un coup de patin et que la vidéo ne nous démontre pas que le joueur a donné deux coups de patin.
Considérant que le casque peut avoir été brisé lors de la chute sur le poteau des buts, et non sur le coup de patin, la vidéo ne permet pas de le déterminer.
Considérant que le joueur pousse le juge de ligne intentionnellement.
Le joueur reçoit les sanctions automatiques (8 matchs), selon le tableau des sanctions des règles administratives. Nous suggérons également que le comité de discipline de première instance (ligue) rencontre ce joueur afin de sensibiliser le jeune sur ses gestes posés sur la glace.
N’ayant pas eu gain de cause dans leur demande (Deux-Montagnes) perd son dépôt de 200 $ (politique de visionnement de vidéos).
Selon nos informations, le rapport des officiels faisait spécifiquement état d’un coup de patin à la tête donné avec force. Il indiquait par ailleurs que deux juges de ligne avaient été bousculés.
Il est quand même incroyable que le comité de révision n’ait pas jugé que des sanctions supplémentaires étaient appropriées. Et qu’il ait estimé que les inquiétudes soulevées par les entraîneurs de Deux-Montagnes étaient si peu sérieuses qu’elles justifiaient de les soulager de 200 $.
Et toujours selon nos sources, ni le comité de discipline de la ligue ni celui de la région n’ont interrogé l’agresseur parce que la réglementation ne les y obligeait pas.
On nous a écrit que la décision de Hockey Québec était finale et sans appel. Alors, on a conclu qu’on ne pouvait pas contester davantage, explique Éric Pressault.
Mais là, avec le violent coup à la tête que le même joueur a asséné à Blainville au mois de février, on en est à deux gestes potentiellement fatals commis au cours de la même saison. Ce sont les gestes les plus violents que j’aie vus depuis que je suis impliqué dans le hockey! Mon but n’est pas de jeter de l’huile sur le feu ou d’ajouter à la controverse. Mais j’aimerais comprendre pourquoi notre avertissement n’a pas été pris au sérieux, dit-il.
En novembre dernier, le rapport du match opposant Saint-Jérôme à Deux-Montagnes révélait par ailleurs que l’entraîneur-chef de l’équipe de Saint-Jérôme avait été expulsé pour avoir menacé un officiel en lui disant qu’il allait sauter sur la patinoire pour lui montrer comment ça se passe. Ledit entraîneur aurait refusé cinq fois de quitter son banc avant de finalement obtempérer à la décision de l’arbitre.
Tout cela après avoir vu son joueur servir un coup de patin à la tête d’un adversaire!
Ce complément d’information aurait peut-être dû allumer un feu rouge quant au climat régnant au sein de cette formation et quant à la qualité de l’encadrement offerte aux joueurs.
Au total, 8 joueurs de la formation jérômienne ont été suspendus pour un total de 37 matchs cette saison! Et cela, sans tenir compte des sanctions additionnelles qui découleront du violent coup de bâton à la tête asséné à Blainville en février.
Ça fait beaucoup de suspensions et de gestes inacceptables pour une équipe de hockey dit récréatif.
Pour ajouter au caractère irréel de l’affaire, l’entraîneur-chef a une fois de plus écopé d’une extrême inconduite dans le cadre de la foire survenue à Blainville en février.
Cette histoire soulève énormément de questions.
Comment la Fédération des clubs de hockey mineur de Saint-Jérôme, qui a la réputation d’être rigoureuse, a-t-elle pu tolérer un entraîneur incompétent et ne pas remarquer que les joueurs de l’une de ses équipes se faisaient suspendre à tour de bras?
Et pourquoi le comité de discipline de la ligue Laurentides-Lanaudière ou le comité de discipline de cette région n’ont-ils pas allumé en constatant que l’équipe de Saint-Jérôme était hors de contrôle et que les rapports d’arbitres et les suspensions s’empilaient les uns sur les autres?
Comment la Ville de Blainville, qui est en train de rénover l’un de ses deux arénas, a-t-elle pu laisser les entrepreneurs adopter une configuration temporaire qui permet aux joueurs de deux équipes adverses de se croiser à l’extérieur de la patinoire après les matchs?
Au bout du compte, ce qu’il faut retenir, c’est qu’il y a un signal d’alarme clair qui a été lancé dès le départ et qui n’a pas été entendu.
Quand des entraîneurs bénévoles prennent la peine de sortir 200 $ de leurs poches pour faire savoir à leur fédération qu’un joueur constitue un réel danger pour ses pairs, la musique devrait cesser sur-le-champ, et tous les réflecteurs devraient immédiatement se braquer sur cette situation.
Les arbitres et les entraîneurs qui ont les pieds sur le terrain n’ont pas été pris au sérieux. C’est aussi simple que cela.
Donald Trump, président des États-Unis. L’administration Trump veut donner 1000 $ aux sans-papiers qui s’« auto-expulsent ». Publié à 16 h 51 HAE L’administration Trump veut donner 1000 $ aux sans-papiers qui s’« auto-expulsent »Cette stratégie économisera de l'argent aux contribuables, soutient le département de la Sécurité intérieure.
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Cette stratégie économisera de l'argent aux contribuables, soutient le département de la Sécurité intérieure.
Éric Pressault est entraîneur adjoint d’une équipe de hockey M18 de Deux-Montagnes. Il s’implique dans le hockey mineur depuis une dizaine d’années. Depuis quelques jours, il est incapable de dormir.
Une formation de hockey mineur de Saint-Jérôme est confrontée à une série de sanctions
allant possiblement jusqu’à sa possible dissolution
à la suite d’événements qui se sont déroulés samedi
un joueur du Bastion sans casque a été atteint d’un coup de bâton à la tête
dans un corridor menant aux vestiaires voisins de l’aréna en réparation
les joueurs sont contraints de marcher sur une rampe en caoutchouc
passer devant le restaurant de l’entrée principale
avant d’accéder aux vestiaires encore disponibles à la patinoire 1
« Il y a présentement trois joueurs et au moins un entraîneur qui sont suspendus indéfiniment
Nous sommes actuellement en processus de révision du dossier
Les événements se sont produits après la partie
En aucun temps la Fédération de hockey mineur de Saint- Jérôme ne cautionne des actes de violence de ses membres
il y a eu des discussions entre les deux fédérations (Blainville et Saint- Jérôme) pour la sécurité à la seule porte de sortie de la glace vers le vestibule et le corridor
mais cela n’excuse en rien le ou les gestes posés »
a commenté le directeur général de la FHMSJ
Selon d’autres témoignages obtenus du côté du Bastion
les parents de la victime veulent porter plainte contre le joueur jérômien
Une ambulance et trois voitures de policiers ont été demandées sur les lieux
Le dossier pourrait se retrouver à la Chambre de la jeunesse
Les policiers ont fait sortir les Lions par une porte secondaire de l’aréna 1 et ont effectué de la supervision dans le stationnement
« Avec notre comité de discipline maison et celui de Hockey Laurentides-Lanaudière
nous analysons la situation de tous les angles possibles et validons les témoignages
Nous voulons prendre les bonnes mesures et les appliquer de la bonne façon
Cela peut aller de joueurs bannis de notre fédération
il se peut que l’équipe soit dissoute et que les éléments non-suspendus soient dispersés dans les deux autres équipes de Saint-Jérôme de la catégorie impliquée »
Soulignons qu’un entraîneur-adjoint des Lions avait aussi été expulsé plus tôt dans la partie
Trois autres joueurs avaient aussi purgé des matchs lors de la joute précédant celles à Blainville
Il s'agit d'une opération qui a pris place sur la 100e avenue
après qu'un individu en crise ait eu des propos jugés comme inquiétants et menaçants
Selon les plus récentes informations du Service de police de la Ville de Saint-Jérôme
entraînant les policiers à établir un périmètre de sécurité avant de faire appel à l'individu afin qu'il se rende à l'extérieur
on nous mentionnait qu'une collaboration était sur le point d'arriver
il n'y a pas plus de détails entourant l'explication qui aurait mené aux propos
Vous souhaitez réagir? Vous êtes témoin d'un événement ou avez une histoire à nous partager? Écrivez à nos journalistes via nouvelles@cime.fm
Publié le 18 mars 2025 à 15:10 | Modifié le 18 mars 2025 à 15:29
une nouvelle mesure entrera en vigueur ; la première demi-heure sera sans frais en tout temps
vous permettant donc de récupérer un repas pour emporter sans payer de stationnement
C'est à compter du 1er juin 2025 que ce nouveau système de gestion du stationnement entrera en vigueur
divisant le territoire du centre-ville en trois zones
La zone rouge sera plus dispendieuse que les autres
se trouvant davantage au coeur de l'action
La période de tarification sera désormais du lundi au vendredi de 8h à 17h
Tout stationnement sera également renouvelable toutes les trois heures
Les véhicules électriques ou hybrides branchables munis d'une plaque verte pourront se stationner gratuitement dans les zones jaune et bleue
Les détenteurs d'une vignette de stationnement pour personnes handicapées ainsi que les automobiles munies d'une plaque d'immatriculation pour les anciens combattants auront un accès sans frais partout et en tout temps.
Environ 100 nouvelles bornes de paiement seront installées et reliées à l'application mobile Blinkay
Il sera possible de payer via l'application
par carte de crédit ou de débit et en argent comptant
Publié le 31 janvier 2025 à 13:46 | Modifié le 3 février 2025 à 09:26
C'est sur le boulevard La Salette vers 11 h 10 que s'est produit l'incident
Circulant en direction nord sur la route 117
la bétonnière a pris l'embranchement de la sortie vers ledit boulevard
avant de se renverser sur le viaduc.
le renversement du camion provoque une entrave importante sur la route pour une durée indéterminée
Les autorités sont sur place pour sécuriser la zone et rétablir la circulation dès que possible
La police de Saint-Jérôme nous a informé que le boulevard de la Salette est fermé dans les deux sens entre les boulevards Grignon et Roland-Godard
puis la sortie de la 117 pour prendre le boulevard La Salette
La fermeture pourrait durer encore plusieurs heures
Vous êtes témoin d'un événement ou avez une histoire à nous partager ? Écrivez à nos journalistes via nouvelles@cime.fm
Publié le 11 février 2025 à 16:00 | Modifié le 11 février 2025 à 16:24
C'est ce qu'a tenu à mentionner le maire de la Ville
pour démontrer l'importance de créer des logements lors du lancement du projet de construction d'une communauté carboneutre en milieu de journée le mardi 11 février
Le projet CLORIA situé en bordure de l'Île des Frères accueillera 135 unités locatifs
un supermarché Avril et un accès direct à des espaces verts qui ont été cèdé à Saint-Jérôme par le promoteur
Lors de cette pelletée de terre organisée devant les partenaires et médias
Bourcier s'est adressé à CIME pour aborder l'importance du projet
Les premiers locataires devraient être en mesure de s'installer dans l'immeuble vers la fin de l'été 2026
Publié le 20 mars 2025 à 16:40 | Modifié le 20 mars 2025 à 16:40
C'est ce que les policiers nous ont partagé aujourd'hui suite à la réception d'informations
L'enquête entoure une organisation de trafic de stupéfiants et de distribution de cannabis illicite
et vise à mettre un terme à une cellule de vente
Une trentaine de policiers participent à l'opération qui a permis jusqu'à présent de saisir du cannabis
Publié le 4 mars 2025 à 15:00 | Modifié le 4 mars 2025 à 15:03
C'est ce qu'elle a annoncé à ses membres et partenaires par courriel la fin de semaine précédente
alors que la fermeture se fera à compter du vendredi 7 mars
Nous adressons nos sincères remerciements à tous nos membres et clients
aux organismes de la région qui nous ont encouragés
à toutes les écoles qui sont passées chez nous et plus encore
C'est grâce à vous tous que Gym X a pu perdurer dans le temps et transmettre ses valeurs et sa passion à une large clientèle
La direction du Gym X a d'ailleurs mentionné à CIME une baisse substantielle de leurs ventes au cours des derniers mois.
C'est entre autres après l'annonce de la Ville de Saint-Jérôme au printemps 2024 que des répercussions se sont fait sentir
Rappelons que la Ville désire décontaminer le site de l’ancienne usine de la Dominion Rubber pour mettre sur pied un projet résidentiel de 1 000 logements
l'intervention sur le terrain inclut également une éventuelle démolition des installations du centre d'entraînement
ayant un impact direct sur l'achalandage des lieux
Louise Desjardins Aublet n’a aucun souvenir de cette journée de novembre où elle a frôlé la mort
la résidente de Val-David se rend au poste de police de Saint-Jérôme avec son conjoint
pour rencontrer ceux grâce à qui elle est encore là aujourd’hui
Mais lorsqu’elle entre dans la salle de conférence
c’est près d’une trentaine de personnes qui l’accueillent
ambulanciers et répartitrices (les pompiers sont absents) : ils ont tous contribué à son sauvetage
L’agente André-Anne Du Cap, de la Division actions proactives et affaires avec la communauté du Service de police de la Ville de Saint-Jérôme (SPVSJ)
« Il est rare que nous ayons la chance de prendre un moment pour s’arrêter
de se donner une tape dans le dos pour nos bons coups et de souligner l’impact positif de nos interventions dans la vie des gens
nous nous disions bien humblement : « je n’ai fait que mon travail »
ce travail a permis de sauver ce qu’il y a de plus précieux
de sauver la vie de Mme Louise Desjardins Aublet. »
L’agente Du Cap refait le récit des événements
les lignes 911 se mettent à sonner à la centrale d’appel de Saint-Jérôme
Les répartitrices Manon Leclerc et Camille Fréchette sont les premières à répondre
L’important volume d’appels leur fait croire qu’un événement majeur est en train de se dérouler
Une sortie de route vient de se produire dans la bretelle de la sortie 43-E
et quelqu’un serait coincé à l’intérieur
Même si l’endroit est sous la responsabilité de la Sûreté du Québec (SQ)
les répartitrices savent que le temps est compté
elles mettent tout en oeuvre pour que de l’aide arrive aussi vite que possible
Les policiers du SPVSJ se mettent en route
moins de 2 minutes et 30 secondes après l’appel
les duos composés par les agents Samuel Delisle et Christoph Gilbert
Nathaniel-Isaac Fournier et Jessica Guévin
ainsi que le sergent Samuel Thériault sont les premiers arrivés sur les lieux
Dans le ravin de la bretelle de sortie d’autoroute
il n’y a que le plancher et les roues du véhicule qui sortent de l’eau
Tessier et Forgues se jettent dans l’eau glacée
Ils mettent ainsi leur vie en jeu pour sauver le ou les occupants du véhicule
Soulignons que leur équipement pèse de 25 à 30 lbs… lorsqu’il est sec
les agents Fournier et Guévin préparent le matériel nécessaire pour une réanimation cardio-respiratoire
Puis les agentes Geneviève Guénette et Katherine Robertson arrivent sur place
L’agente Guénette s’occupe de la circulation
pendant que l’agente Robertson se jette aussi dans l’eau
Après de longues minutes à chercher dans l’eau opaque
l’agent Delisle parvient à trouver une dame qui flotte
Il l’extirpe de là et la remet aux agents Fournier et Fourgues
ils commencent les manoeuvres de réanimation
leur fait croire qu’il pourrait y avoir d’autres victimes
une première ambulance arrive sur les lieux
avec les ambulanciers François Gourde et Jean-Yves Deraps
Ils sont suivis de près par l’équipe des pompiers de Saint-Jérôme et une seconde ambulance
avec Véronique Desjardins et Alex Côté à bord
Les agents ont d’abord peu d’espoir de réanimer la victime
Mais ils font tout de même les manoeuvres de réanimation et
juste avant qu’arrivent les ambulances
Mme Desjardins Aublet n’avait que 30 % de chance de survivre
les policiers cherchent encore dans l’eau opaque
ils ont la crainte de tomber sur un autre corps
Gilbert et Thériault entreprennent de retourner
malgré le risque que celui-ci leur retombe dessus
ils constatent enfin qu’il n’y a pas d’autre victime
c’est quelque chose d’héroïque »
qui qualifie sa survie de « miracle »
« On a eu un party de Noël avant le temps
Il y a des gens que ça faisait longtemps que je n’avais pas vus ! »
Mme Desjardins Aublet a été dans le coma plusieurs jours après son accident
son mari a eu l’idée de faire jouer du Joe Dassin
Je lui ai dit : « si tu veux que je change de musique
C’est alors qu’elle a repris conscience
qui est aussi un policier retraité de Laval
tient à souligner le courage des policiers
« Vous avez risqué votre vie en plongeant
Vos gestes démontrent l’importance de la police
À leur tour, les policiers soulignent le « courage » et la « combativité » de Mme Desjardins Aublet
lorsqu’ils mettent leur vie en péril
pour mettre de côté leurs émotions et agir efficacement
qui a coordonné les policiers depuis le poste de police
« Pendant que certains ont la tête baissée
D’où l’importance du travail d’équipe »
que les policiers se permettent de vivre leurs émotions
ils discutent du fil des événements et partagent leur sentiment d’impuissance ou d’anxiété
Lieutenant Dupuis souligne qu’ils ont toujours accès à de l’aide psychologique
les policiers se côtoient de 50 à 60 heures par semaine
durant lesquelles ils ont tissé des liens et une confiance solides ensemble
Ils savent donc se coordonner rapidement et efficacement
sans se dédoubler ni sans perdre de précieuses secondes
« Ce n’est pas un travail d’équipe qu’on a fait cette journée-là
On est une équipe excessivement soudée et qui travaille bien ensemble »
C’est également une grande source de motivation lorsque leurs collègues sont dans une situation grave ou dangereuse
C'est la deuxième année consécutive que les joueurs de football organisent leur camp à Saint-Jérôme
La Ville invite donc les familles à se réunir pour célébrer leur retour le samedi 12 avril entre 12h et 16h
L'événement gratuit prendra place au centre sportif Claude-Beaulieu avec plusieurs défis et ateliers qui entourent le football
les joueurs des Alouettes seront présents pour rencontrer les fans
Source: Courtoisie de la Ville de Saint-Jérôme
« Accueillir une formation professionnelle de football dans notre ville est un grand privilège
Nous voulons que les citoyens puissent profiter du camp d’entraînement des Alouettes pour bouger
découvrir un nouveau sport ou voir de près leur équipe préférée en action
Publié le 19 mars 2025 à 17:51 | Modifié le 20 mars 2025 à 09:43
Les services d'urgence sont sur place et il est impossible de savoir quand la circulation reprendra au moment d'écrire ces lignes
La Sûreté du Québec ne souhaite pas commenter la situation à ce stade-ci
L'autoroute 15 Nord demeure fermée à la hauteur du boulevard du Grand-Héron et on ne sait toujours pas à quel moment les autorités procéderont à la réouverture
le trafic se fait sentir à partir de Mirabel en direction nord
Une opération policière est en cours.
son dossier revenait aujourd'hui devant le tribunal au Palais de justice de Saint-Jérôme pour déterminer le mode de procès
d'entrave à la justice et d'incitation au suicide
a choisi que le tout se déroule devant un juge et un jury
Rappelons qu'on lui reproche d'avoir conseillé à son amie
Elle aurait également tenté de toucher une somme de 2 M$ en assurance vie en mentant au coroner après la mort de son amie
Elle sera de retour devant la justice le 17 avril prochain pour déterminer s'il y aura d'abord une enquête préliminaire
Publié le 10 avril 2025 à 12:56 | Modifié le 10 avril 2025 à 13:29
Exo annonce aujourd'hui 19 trajets optimisés
principalement dans les villes de Saint-Jérôme et Mirabel
La phase 1 de cette refonte propose également une connexion au métro
Cette première étape permettra donc une meilleure connectivité entre Saint-Jérôme
notamment pour les étudiants qui rejoignent les cégeps de la couronne nord et de Laval
La deuxième phase du projet est prévue à l'automne prochain
alors que la refonte doit s'arrimer notamment
à l'antenne Deux-Montagnes du REM lors de sa mise en service
Les nouveaux trains de banlieue chinois d’exo sont de nouveau en difficulté. Mis en service l’été dernier après plusieurs retards, ils ont été retirés des rails ces dernières semaines en raison d’une défaillance qui causait des infiltrations d’eau sur des équipements électroniques, a appris La Presse.
Plusieurs usagers ont en effet remarqué ces derniers jours que les trains de l’entreprise chinoise CRRC, censés être plus confortables et surtout plus ergonomiques, ne circulaient plus sur la ligne numéro 12 allant jusqu’à Saint-Jérôme. Le transporteur avait annoncé leur arrivée en grande pompe en juin.
En réponse à nos questions, exo confirme avoir procédé à leur « retrait progressif » sur la ligne 12 Saint-Jérôme, « en raison d’une infiltration d’eau ayant affecté une composante électronique des opérateurs de portes au cours de la deuxième semaine de janvier ».
Les problèmes ont d’abord été décelés au début de l’hiver, alors que des portes n’ouvraient pas bien ou étaient dysfonctionnelles.
« On a remarqué, en gros, qu’il manquait un scellant au plancher dans certaines voitures, donc quand les gens entraient avec leurs bottes, l’eau coulait en dessous et ça touchait le reste des équipements », explique le directeur général d’exo, Sylvain Yelle.
« On s’est retournés de bord rapidement. Le fabricant nous a donné la méthode de correction, ce qu’on va faire, et puis tout remettre sur la route », promet M. Yelle. Si tout se passe bien, il estime que le retour progressif des trains pourrait avoir lieu vers la fin du mois de février, afin de terminer leur premier hiver en circulation.
Heureusement, exo ne prévoit pas d’impact sur la fréquence et le service ni sur le respect de l’horaire des circuits, les trains ayant été remplacés par des modèles 3000. Ces derniers circulent déjà entre autres sur la ligne Candiac.
Ce n’est pas le premier problème dans ce dossier. Exo avait commencé à recevoir les trains, dotés d’un système de communication à la fine pointe de la technologie, il y a près de trois ans. Or, leur arrivée sur le terrain a finalement pris beaucoup plus de temps que prévu en raison de problèmes techniques, comme nous l’avions rapporté précédemment.
Ils ont finalement commencé à circuler sur une base régulière au mois de juillet dernier, après des travaux sur la ligne Saint-Jérôme en juin. Initialement, ils devaient être mis en service à partir de juin 2019, mais les retards se sont multipliés.
Même au moment des premières livraisons, il y a quelques années déjà, en février 2022, exo avait indiqué que la mise en service commencerait « début 2023 », après un an d’intégration. L’échéance a ensuite été régulièrement reportée. À ce moment, les équipes d’experts avaient notamment détecté des problèmes de communication entre les voitures qui seraient maintenant résolus.
Une quarantaine de trains a été achetée, au total. La facture atteint quelque 200 millions de dollars.
Pour Sylvain Yelle, les problèmes du présent sont toutefois à distinguer de ceux qui ont été vécus dans les dernières années. « Ça a été un long projet, c’est vrai, mais on n’a pas eu de problème comme tel avec la fabrication. Ça a été compliqué parce que c’était la pandémie et que c’était en Chine. C’était plus ça qu’une question de qualité », illustre-t-il.
« C’est très rare qu’il n’arrive rien dans une opération aussi intense d’intégration de nouveau matériel roulant, mais cela dit, on pense qu’on n’aura plus d’autres problèmes de ce genre-là maintenant », ajoute au passage le gestionnaire, d’un ton optimiste.
À l’origine, la première commande dans cette affaire avait fait l’objet d’un appel d’offres il y a déjà plusieurs années, en 2015. Bombardier Transport en avait été le seul soumissionnaire, mais son prix était trop élevé au goût de l’Agence métropolitaine de transport, soit l’organisme qui a précédé exo. Le processus avait finalement été redémarré en abaissant le quota minimal de contenu canadien, ce qui avait permis à CRRC de proposer ses trains bien en deçà des estimations des fonctionnaires.
Avec Philippe Teisceira-Lessard, La Presse
L’espace ressemble à s’y méprendre à une grande quincaillerie avec son rayon de matériaux de construction, celui pour la cuisine, la déco, le sport et les jouets. Mais, en réalité, il s’agit de la boutique de réemploi de l’écocentre de Saint-Jérôme. Ici, tout est vendu pour quelques dollars. Une véritable caverne d’Ali Baba pour dénicher des trésors de seconde main.
Il est 9 h 30. Le magasin vient à peine d’ouvrir que déjà, les 35 espaces de stationnement sont occupés. Dans la bretelle d’accès menant à la cour du bâtiment, un homme traverse la barrière en voiture pour se débarrasser d’une table et de ses chaises des années 1990.
Tout juste derrière, un surplus de comptoirs de quartz provenant d’un manufacturier est empilé au soleil. Il y a des dalles en béton, des briques, des fenêtres. Un barbecue. Deux chaloupes. Des pelles, des skis, des bâtons de hockey, le filet qui va avec, des articles de jardin. C’est sans fin. Il faut des yeux tout le tour de la tête pour ne rien manquer. Bientôt, il y aura l’encan mensuel des antiquités. La moitié des profits ira à de l’aide alimentaire.
« Ici, on rescape les objets. On leur donne une deuxième chance au lieu de les envoyer au recyclage ou directement à l’enfouissement », explique Pierre Bruyère, directeur général de l’écocentre de Saint-Jérôme, le vaisseau amiral des quatre écocentres de la MRC de La Rivière-du-Nord.
En entraînant La Presse à travers les différentes sections, il explique que tout peut être revendu si c’est encore bon. Sur les tablettes, il y a une station pour tester les ampoules. Il y a une demande pour des bouteilles à peine entamées de graisse à moteur ou de lubrifiant à métal. Il y a des peluches parfaites pour les animaux de compagnie, des matelas, des causeuses en tissu, des chaises berçantes.
Le Québec compte près de 400 écocentres chapeautés par les municipalités, dont certains avec kiosque de revente. Mais, du fait de son ampleur, celui de Saint-Jérôme est le plus imposant.
« Normalement, pour des questions d’hygiène, tout ce qui est en tissu ou coussiné va directement à l’enfouissement. Nous, quand un matelas est propre ou qu’il arrive encore dans le sac d’achat, on se dit que c’est au client de décider. Ça coûte environ 25 $ le faire désinfecter. Il y a une demande de la part des organismes communautaires d’aide à l’hébergement », souligne M. Bruyère.
Dans le hangar, le jeune Mathis, issu d’un programme d’aide à l’emploi, trie des cartes de souhaits. Elles seront revendues pour quelques dizaines de cents à l’intérieur. Au total, l’écocentre assure du travail à 22 employés. Il y a aussi les bénévoles, des passionnés comme Ginette, qui s’occupe de la section bouquins. Ils seront relus au lieu d’être transformés en papier de toilette.
M. Bruyère raconte que l’écocentre enregistre une croissance de ses ventes depuis que Ginette vient faire son tour. « À 50 cents l’unité, une pile de livres est parfaite pour les vacances au chalet ou sur le bord de la mer. »
Chaque année, 125 000 personnes viennent à l’écocentre de la municipalité de Saint-Jérôme, dont la population est estimée à un peu plus de 80 000, selon le plus récent recensement fédéral.
Environ 25 000 personnes viennent pour jeter, 100 000 fréquentent la boutique de réemploi. Avec une facture moyenne de 11,25 $, l’écocentre estime à 225 000 le nombre annuel d’articles vendus.
Il est question de 350 tonnes métriques, pour des revenus annuels de 750 000 $, indique l’écocentre dans son rapport annuel. De ce montant, 120 dons qui ont été remis l’an dernier à 23 organismes, pour une valeur de 17 000 $, l’équivalent de 5,7 tonnes métriques.
À Saint-Jérôme, malgré le succès, l’un des obstacles à la croissance est le coût du transport et du traitement des produits dangereux non couverts par la responsabilité élargie des producteurs. La MRC de La Rivière-du-Nord appréhende une hausse de 200 000 $ des frais l’an prochain pour éliminer les produits de piscine, la colle, le ciment à joint, le calfeutrant, le scellant d’asphalte et les aérosols de nettoyage toxiques.
M. Bruyère pointe deux caissons remplis de sièges d’appoint pour enfants. Il y a ceux dont l’année de fabrication est encore valide, et les autres, voués à la transformation ou à l’enfouissement. M. Bruyère estime que ceux qui portent le sceau de sécurité du Canada pourraient être revendus après inspection1. Il croit qu’au même titre que les voitures usagées, il devrait y avoir un processus pour les inspecter et les remettre en circulation.
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PHOTO MARTIN TREMBLAY, ARCHIVES LA PRESSE/PHOTOMONTAGE LA PRESSE
Fin 2022, rien ne va plus en matière d’itinérance à Saint-Jérôme. Les besoins explosent au point où les ressources, incapables de répondre à la demande, en viennent à se nuire mutuellement. La crise est telle qu’elle force tout le monde à casser le moule. Récit d’une petite révolution qui a produit de beaux résultats.
À l’automne 2022, la Ville de Saint-Jérôme a interdit la construction d’abris temporaires et l’installation de tentes, un règlement contesté par la Clinique juridique itinérante et qui est actuellement devant les tribunaux. Depuis, la Ville a modifié son règlement pour permettre des tentes dans un espace déterminé, la nuit seulement.
Cela dit, l’approche adoptée dans la MRC Rivière-du-Nord, et plus particulièrement à Saint-Jérôme, est citée en exemple.
En 2018, Saint-Jérôme comptait 168 personnes en situation d’itinérance. Quatre ans plus tard, ce nombre était passé à 434. Or, les groupes communautaires en place étaient dépassés par la situation.
Il y avait trois organismes et trois visions différentes. La chicane était pognée et les usagers étaient instrumentalisés.
Squats, incendies, drogue, proxénétisme… Les résidants ne se sentaient plus en sécurité et la Ville était sous pression. Avec plus de 200 interventions policières par mois, le statu quo n’était plus possible. « C’était l’anarchie », observe Sylvain Pagé, adjoint au directeur général – Stratégies à la Ville de Saint-Jérôme.
En décembre 2021, le CISSS communique avec La Hutte, un organisme communautaire installé à Terrebonne. « Nous avions fait appel à leur expertise pour accompagner les groupes communautaires en place », explique Louis Rousseau.
Finalement, c’est La Hutte qui a pris le relais et qui a fait en quelques semaines ce qui, normalement, prend des années : bâtir une nouvelle ressource.
Pour mobiliser la communauté de Saint-Jérôme, il fallait susciter l’adhésion. « On a donc invité tout le monde – préfet, communauté d’affaires, élus, etc., à visiter La Hutte à Terrebonne pour comprendre comment ça fonctionnait », raconte le directeur général de l’organisme, François Savoie.
Pour construire une nouvelle ressource en itinérance de 56 places, avec des services, il fallait amasser 7 millions. « Quand on a signé le contrat avec l’entrepreneur, on n’avait pas un sou », se souvient en riant Louis Rousseau, du CISSS.
La Caisse populaire contribue à hauteur de 1,2 million, le plus grand don dans l’histoire des Laurentides. Autre petit miracle : le permis est délivré en l’espace de six mois, un délai impensable en temps normal. « L’adhésion de la haute direction permet de régler bien des problèmes », note Sylvain Pagé.
Les intervenants se rencontrent tous les mardis matins pour planifier et coordonner le projet et aplanir les obstacles. La clé : travailler ensemble autour d’un même objectif. En parallèle, la Ville intensifie la communication avec la population, affirme Sylvain Pagé. « On a fait du porte-à-porte, on informait les gens au fur et à mesure de l’évolution du projet. »
« La crise aura été une opportunité, car elle nous a forcés à nous mobiliser, affirme Louis Rousseau, du CISSS. Si ça va mal, tant mieux ! C’est une occasion de changement. »
Cette crise aura en outre forcé les intervenants à organiser les services autrement sur le terrain. « Au CISSS, on a détaché les ressources consacrées à l’itinérance de celles de la dépendance et on a formé l’équipe Espoir. Des médecins et des psychiatres travaillent dans la rue, ce qui était impensable avant », assure Louis Rousseau.
Cette équipe collabore avec l’escouade PACIFIQUE composée de quatre agents et d’un sergent qui travaillent, eux aussi, sur le terrain.
Aujourd’hui, il y a une meilleure coordination des services qui se traduit par une amélioration de la cohabitation.
Bien sûr, tout n’est pas réglé. Reste que les résidants de Saint-Jérôme voient des gens s’en sortir.
« Les questions sur l’itinérance sont devenues rarissimes aux assemblées du conseil de ville, observe Sylvain Pagé. Ce n’est pas parfait, mais c’est beaucoup mieux. »
On peut dire que l’expertise de François Savoie, directeur général de La Hutte, a compté pour beaucoup. Ancien gestionnaire du CIUSSS de Lanaudière, il dirige l’organisme communautaire depuis six ans. « J’ai été celui qui a donné et demandé de l’argent », note l’homme qui travaille en itinérance depuis 30 ans.
« La confiance est au cœur de ce modèle, affirme Louis Rousseau. On travailler en gang et aujourd’hui, on peut dire que la situation est inversée. C’est la Ville qui demande à La Hutte : alors, quels sont vos projets à venir ? »
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Le réputé entraîneur de natation Claudel Bélisle estime que le moment est venu de créer une piscine extérieure chauffée à Saint-Jérôme
Le responsable des activités aquatiques à l’Académie Lafontaine croit qu’il faut battre le fer pendant qu’il est chaud
alors que des travaux importants visent la refonte complète de la piscine de La Durantaye
il est d’actualité de considérer l’installation d’une piscine chauffée à Saint-Jérôme
L’octroi d’une subvention généreuse du gouvernement du Québec pour le remplacement de la piscine La Durantaye représente un bon moment pour présenter une valeur-ajoutée à l’offre de piscine extérieure
On sait que les grandes chaleurs débutent plus tôt
Les citoyens réclament l’ouverture des jeux d’eau
mais les piscines extérieures ouvrent rarement avant le 24 juin
dites standard des opérations de piscines municipales se situe entre la fin juin et la fête du Travail
On peut la prolonger et la devancer »
Comment en faire profiter à plus de gens
Pourquoi avons-nous maintenant plus de patinoires réfrigérées
où on construit même des toits au-dessus des patinoires
Parce qu’on veut prolonger la saison des patinoires et celle des utilisateurs
on construit des terrains de soccer ou de baseball synthétiques
on veut jouer même après une grosse pluie battante
ce que le terrain synthétique permet de faire »
Bélisle veut que les autorités adoptent la même approche envers les sports aquatiques
« Les écoles primaires ou secondaires à proximité pourraient bénéficier d’une ouverture hâtive au début juin
Le programme (Nagez pour survivre) pourrait y être offert
La disponibilité des piscines intérieures est limitée
La population pourrait bénéficier d’une piscine ouverte de jour
en semaine (à l’extérieur du congé scolaire)
Les heures d’ouverture à la population jérômienne sont très limitées et la municipalité ne possède pas d’installations aquatiques (autre que deux piscines extérieures). »
Un ajout de chauffe-eau servirait à plusieurs clientèles
« Des organismes pour aînés pourraient bénéficier d’activités conçues pour eux
Les équipes de natation pourraient s’entraîner à l’extérieur durant une partie de l’année
Cette idée répond à une clientèle grandissante
qui fréquente les piscines extérieures. »
le maire Marc Bourcier croit que l’idée n’est pas mauvaise
« Il est impossible d’avoir des surplus ou des sommes non-dépensées à la piscine La Durantaye selon les plans fixes
Il y en a qui nagent en pleine science fiction en rêvant à un chauffe-eau
les équipements prévus sont suffisants pour nos besoins »
Rappelons que le projet de rajeunissement annoncé l’été dernier devra bénéficier d’un budget de près de 19 millions de dollars
dont 9,9 M $ provenant du gouvernement du Québec
Le reste des travaux sera financé par la Ville de St-Jérôme
D’autres municipalités offrent des piscines extérieures chauffées
Bélisle veut démontrer que la démarche n’est pas superflue
plusieurs municipalités offrent des piscines extérieures chauffées pour le plaisir et l’utilité des résidents et des visiteurs
une piscine semi-olympique chauffée est en bordure de la rivière Saint-Charles
Au Parc Dollard-des Ormeaux : sur la rue de Verdun
cette piscine chauffée est idéale pour se rafraîchir durant l’été
boulevard de l’Entente et au Parc Notre-Dame-de-la-Garde : boulevard Champlain
ils disposent de 10 piscines extérieures chauffées réparties sur leur territoire
À Sherbrooke : les piscines extérieures À-la-Claire-Fontaine et du parc Nault sont chauffées
À Saint-Lazare : une piscine extérieure chauffée est accessible gratuitement aux résidents et aux visiteurs
La prolongation de la saison de baignade permettrait de profiter de la baignade dès le début du printemps et jusqu’à l’automne
« Le confort thermique optimal fait que l’eau reste à une température agréable (généralement entre 26 et 30°C)
notamment lors des matinées ou soirées plus fraîches
une eau à bonne température rend l’expérience plus plaisante
notamment pour les enfants et les personnes sensibles au froid
ce qui permet de prolonger les moments de détente en famille ou entre amis
Elle se trouve idéale pour la natation sportive
sans risque de refroidissement excessif. »
Bélisle évalue que l’apport technologique ne serait pas très difficile à implanter
échangeurs thermiques ou chauffages électriques sont parmi plusieurs solutions existantes pour chauffer l’eau
en fonction du budget et des besoins énergétiques
Je ne crois pas que remplacer une piscine construite dans les années 60
par une nouvelle piscine (plus grande et plus moderne)
elle est utilisée le même nombre de semaines dans une année. »
une piscine chauffée extérieure donnerait cette possibilité
j’espère qu’elle sera pensée à la clientèle à mobilité réduite
Je vous invite à écrire sur la Centrale du Citoyen et/ou de vous présenter au Conseil Municipal
Un entrepreneur de Laurentides qui a volé 120 000 $ en dépôts à une quinzaine de clients a été condamné jeudi à 15 mois de prison à domicile
Les victimes de Martin Dionne se sont retrouvées avec des cuisines démolies et des matériaux de mauvaise qualité
à un chef d’accusation de vol de plus de 5000 $ à l’égard de 17 personnes
alors qu’il dirigeait les compagnies Cabanons Laurentides et Cuisines et Salles de bains Mont-Tremblant
Il n’était pas détenteur d’une licence de la Régie du bâtiment du Québec (RBQ)
Selon l’exposé des faits présenté devant le Tribunal
Martin Dionne avait fait des soumissions de 303 933 $ pour les projets de rénovation de cuisine et de construction de cabanons des 17 victimes
« Certains travaux de faible valeur ont été effectués par les entreprises
la livraison de certains matériaux ou l’installation de certains cabinets de cuisine de mauvaise qualité »
les victimes ont dû engager d’autres entrepreneurs pour terminer des travaux à peine amorcés
La juge Kathlyn Gauthier a condamné Martin Dionne à 15 mois de prison à la maison et à une probation de deux ans
Il s’agit d’une recommandation commune du procureur de la Couronne
Me Alexandre Dubois et de l’avocat de la défense
Il sera interdit à Martin Dionne d’effectuer des travaux requérant une licence de la Régie du bâtiment
le voleur devra rembourser 97 727,25 $ à ses victimes
l’accusé et sa compagnie ont été condamnés à plus de 250 000 $ en constats d’infraction en vertu de la Loi sur le bâtiment
Des collègues de Milles-Isles et de Saint-Colomban ont également prêté main-forte et aidé au transport d'eau
le bâtiment étant situé dans un secteur sans eau
C'est une maison unifamiliale de la rue Rollande qui a passé au feu
selon ce que nous rapporte le Service de la sécurité incendie de la Ville de Saint-Jérôme
ils ont constaté un embrasement généralisé au niveau du rez-de-chaussée et du toit
Une pelle mécanique s'est rendue sur les lieux afin de défaire le bâtiment et permettre aux pompiers de maîtriser les flammes
Les causes de l'incendie demeurent inconnues au moment d'écrire ces lignes
Un petit véhicule de marque Honda transportant trois passagers circulait en direction sud près de la rue Paul-André
aurait perdu le contrôle du véhicule pour se retrouver dans la voie en sens inverse. Il est entré en collision avec une Mercedes
a été transporté à l'hôpital Sacré-Coeur. Il aurait possiblement fait une crise d'épilepsie après le choc
mais rien n'est confirmé et il n'y a pas plus de détails concernant son état de santé au moment d'écrire ces lignes
et les coussins gonflables ont été déployés dans les deux véhicules
qui ont été remorqués à la suite de l'accident
Vous voulez réagir ? Vous êtes témoin d'un événement ou avez une histoire à nous partager ? Écrivez à nos journalistes via nouvelles@cime.fm
Une patiente vulnérable face à des portes closes
« On n’a pas eu d’aide du tout à Saint-Jérôme »
une autre femme en situation d’itinérance s’est tournée vers l’hôpital de Saint-Jérôme pour interrompre sa grossesse
Mais l’établissement n’a pas voulu la prendre en charge
accompagnait Hélène1 aux urgences de l’hôpital de Saint-Jérôme
Victime de violence sexuelle et consommatrice de drogue
la trentenaire avait décidé de mettre fin à sa grossesse alors qu’elle entamait son troisième trimestre
« Elle a réalisé qu’avec la drogue qu’elle consommait
explique l’intervenante bénévole au Book Humanitaire
une ressource d’aide en itinérance dans les Laurentides
Hélène s’était rendue dans un centre hospitalier de Montréal le jour précédent pour procéder à l’avortement
l’expulsion du fœtus devait avoir lieu le lendemain
quand Hélène est arrivée à l’hôpital de Saint-Jérôme
le personnel lui a signifié que l’expulsion devrait se faire ailleurs
« La gynécologue en service a décidé que ça ne se passerait pas »
selon qui l’hôpital n’a donné aucune explication à l’appui de sa décision
les contractions d’Hélène avaient déjà commencé
Chantal Dumont raconte avoir passé « deux heures » avec la femme en pleurs
mais ils ne lui ont rien donné pour la douleur
Je lui ai fait signer les papiers pour qu’on ait un transport ambulancier vers Montréal
Hélène était bien connue du milieu hospitalier de Saint-Jérôme
Des intervenants de proximité du Centre intégré de santé et de services sociaux (CISSS) des Laurentides avaient coordonné les étapes de son interruption de grossesse
« On n’a pas eu d’aide du tout à Saint-Jérôme
l’Association des obstétriciens et gynécologues du Québec (AOGQ) a indiqué
par l’entremise d’une conseillère en relations publiques
qu’il faut « faire la distinction entre refus de soin et transfert dans un centre désigné pour des conditions particulières lorsqu’une expertise est requise »
le CISSS des Laurentides n’a pas souhaité réagir au dossier d’Hélène
L’organisme signale toutefois que dans des cas complexes d’interruptions de grossesse
en présence de toxicomanie ou de problèmes de santé mentale
« une orientation vers [le centre hospitalier désigné pour les cas complexes2] peut être envisagée »
Entre 35 et 45 interruptions de grossesse au troisième trimestre ont lieu annuellement
médecin spécialiste des interruptions de grossesse à risque
« Ce sont des situations très particulières et très complexes
qui se trouvent à la limite des soins qu’on peut donner »
explique celui qui défend le droit à l’avortement au Québec depuis plus de 50 ans
les cas d’avortements au troisième trimestre demeurent tabous chez certains gynécologues
qui ont l’autorisation de transférer ces patientes à un autre spécialiste ou un autre centre hospitalier
« Beaucoup de gens ne veulent pas être physiquement responsables de l’avortement »
la présence de facteurs comme la toxicomanie et l’itinérance complique la prise en charge des patientes dont la grossesse est avancée
« Mais on ne laisse pas le monde dans le trafic
les gynécologues qui transfèrent des cas d’avortement complexes au centre désigné le font parce qu’ils n’ont pas l’expertise nécessaire
Les gens peuvent avoir une mauvaise perception
c’est qu’on veut leur offrir la meilleure équipe de soins
les directives du ministère de la Santé et des Services sociaux (MSSS) ont changé
les cas complexes d’interruptions de grossesse au troisième trimestre sont tous envoyés au centre désigné de Montréal
Une situation comme celle d’Hélène ne pourrait donc plus se produire aujourd’hui
Le cas d’Hélène témoigne toutefois des injustices subies par les personnes en situation d’itinérance dans le système de santé
« C’est sûr que si ça avait été Madame Tout-le-Monde
Personne ne l’aurait laissée accoucher au milieu des urgences sans réagir
Rachel Lapierre avait planifié une rencontre avec des responsables du CISSS des Laurentides pour revenir sur les histoires d’Hélène et de Julie
« Si des cas comme les leurs se représentent
Prénoms fictifs pour protéger leur anonymat
est chargé de pratiquer les interruptions de grossesse au troisième trimestre
La Presse n’en divulgue pas l’emplacement exact
c'est le Café L'Atypique qui a récemment accueilli ses premiers clients en collaboration avec le CHSLD privé conventionné Louise-Faubert
Le café-bistro se veut une initiative qui permet à des jeunes adultes du programme d'intégration au travail du CISSS de travailler
Ces personnes vivent avec une déficience intellectuelle ou un trouble du spectre de l'autisme
autant pour les résidents du CHSLD que pour leur famille et les jeunes employés du café
On y trouve une variété de cafés spécialisés et d'autres boissons gratuites pour les résidents et leurs proches
Nous sommes extrêmement fiers de ce projet qui démontre notre engagement envers l’inclusion et la valorisation des personnes vivant avec une différence
Le Café L’Atypique est un exemple concret de la façon dont nous pouvons créer des environnements inclusifs et stimulants
présidente-directrice générale du CISSS des Laurentides
Un code noir a été déclenché à l’École polyvalente Saint-Jérôme, mercredi 23 octobre, vers 14 h 55. Une information avait été reçue que deux jeunes armés d’un couteau et d’une machette avaient été vus dans l’école.
Les deux jeunes mineurs ont été arrêtés et transportés au poste de police de la Ville de Saint-Jérôme. Le Service de police soutient qu’en aucun cas, la sécurité des occupants de l’école n’a été compromise durant cette opération qui n’a fait aucun blessé.
Les deux jeunes ont été rencontrés et interrogés par les enquêteurs du SPVSJ. Ils font face à des accusations de troubler la paix, méfait et possession d’une arme dans un dessein dangereux.
À la suite de l’interrogatoire, ils ont été libérés sur promesse de comparaître assortie de conditions qu’ils doivent respecter. Ils comparaîtront le 7 janvier 2025 au palais de justice de Saint-Jérôme, au tribunal de la jeunesse.
Le Service de police nous a confirmé que les deux jeunes ne fréquentaient pas l’École polyvalente Saint-Jérôme.
Mercredi 23 octobre 15 h: Un important déploiement policier s’est mis en branle autour de l’École polyvalente Saint-Jérôme. Un Code noir a été déclenché par mesure préventive. Ce code signifie le confinement pour tout le personnel et les élèves dans l’école.
Sur place, les forces de l’ordre ont pris charge de la situation. Ils demandaient aux parents et aux proches des élèves de ne pas se rendre à l’école pour ne pas perturber l’opération qui était en cours.
16 h 25: On annonçait que l’École polyvalente de Saint-Jérôme était sécurisée. Les policiers procédaient au déconfinement des élèves et du personnel en toute sécurité.
Les élèves ont été divisés en deux vagues pour le retour à la maison. Les élèves de la vague 1 étaient redirigés au Centre Notre-Dame, près de la l’école, où les parents pouvaient aller récupérer leurs enfants.
Pour les élèves de la vague 2, ils ont été dirigés vers leur transport scolaire habituel.
Nous avons voulu en savoir plus sur la sécurité dans les écoles. Nous avons demandé à la porte-parole du Centre de services scolaire de Rivière-du-Nord si les accès étaient surveillés? « Les accès empruntés par les élèves sont débarrés le matin à leur arrivée et lors des pauses. Sur l’heure du dîner, seule l’entrée principale est débarré. À l’extérieur de ces périodes, toutes les portes sont barrées, en tout temps », nous a expliqué Nadyne Brochu.
Elle ajoute aussi que pour assurer la sécurité, l’école dispose, chaque jour, d’une équipe de 25 personnes spécifiquement mandatées à la surveillance. À cette équipe s’ajoutent les membres du personnel qui s’assurent la sécurité de leur milieu et qui portent une attention particulière, en tout temps, au bon déroulement de la vie de l’école.
« Les policiers éducateurs sont très présents à l’école, comme dans toutes nos écoles secondaires. Ils assurent non seulement une surveillance, mais interviennent auprès des jeunes, les guident et les conseillent au besoin. Ils font partie de l’équipe », souligne-t-elle.
Si les élèves de l’École polyvalente de Saint-Jérôme ont pu regagner leur autobus lors de la 2e vague de dispersion, ceux qui transitaient au stationnement de l’institution pour se diriger à leur 2e segment de destination finale, ne l’ont toutefois pas eu facile.
Entre autres, le circuit d’autobus numéro 269 devait quitter Cap-Jeunesse après la fin des cours à 16 h. Or à 16 h 12, un courriel a été envoyé aux parents pour signifier l’annulation du transport. Plusieurs parents travaillant à l’extérieur de la région n’ont pu récupérer leur enfant avant 18 h ou plus tard à l’école secondaire du secteur Saint-Antoine.
Deux versions contradictoires ont circulé pour l’annulation : le courriel reçu parlait d’un manque de chauffeurs disponibles, alors qu’à l’intercom de l’école Cap-Jeunesse, « un problème au point de transfert de la Polyvalente » (i.e. le code noir) a été invoqué.
« Dans l’urgence que nous devions gérer à l’École polyvalente de Saint-Jérôme, il y a eu une erreur dans la transmission du premier message. Notre équipe a rectifié le tir dès qu’elle s’est rendue compte de son erreur. Ce petit délai est bien involontaire de notre part », a précisé Mme Brochu.
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l’Orchestre à vents Saint-Jérôme a célébré un moment historique : son 175e anniversaire
Il est le plus vieux orchestre à vents au Canada
l’orchestre invite toute la population à un concert anniversaire
le concert se tiendra à l’auditorium Germaine-Guèvremont du Cégep de Saint-Jérôme
ce concert permettra de découvrir ou de redécouvrir des œuvres emblématiques qui ont marqué l’histoire de l’orchestre
l’orchestre pourra compter sur la collaboration d’Histoire et Archives Laurentides (HAL)
On y présentera une exposition de photos et d’objets qui témoignent de l’histoire de l’ensemble musical
le président d’Histoire et Archives Laurentides
arrière-petit-fils du fondateur de l’orchestre
participera à l’animation de la soirée
il est recommandé d’acheter son billet à l’avance
Cet orchestre a enrichi la communauté jérômienne au fil des décennies avec des concerts variés chaque année
Une quarantaine de musiciens issus de trois générations forment l’orchestre actuel
Le 175e anniversaire est l’occasion de revivre les moments marquants de son histoire et de célébrer son héritage musical
Fondé en 1849 par le docteur Jules-Édouard Prévost
sous l’appellation de La Bande du docteur Jules
l’orchestre s’est adapté aux différents courants
c’est devenue la Fanfare de Saint-Jérôme et l’Harmonie de Saint-Jérôme
on a voulu un nom plus actuel et représentatif de ce que nous sommes : l’Orchestre à vents Saint-Jérôme
Le but était de se dissocier d’une fanfare
Ce nom reflète mieux la réalité d’aujourd’hui »
Le jeune docteur Prévost réunit une douzaine d’instrumentistes amateurs de Saint-Jérôme
le groupe répétait sous la direction du fondateur
Le docteur Prévost était lui-même flûtiste et clarinettiste
La formation offre des représentations annuelles depuis sa fondation
L’orchestre à vents réunit une quarantaine de musiciens représentant tous les instruments à vent accompagné d’une équipe de percussions qui assure le rythme
Il participe aussi à des compétitions annuelles comme le Festival des harmonies de Sherbrooke où
il récolte l’or à chacune de ses présences
« C’est un orchestre de très bon calibre
Beaucoup d’instrumentistes de l ‘orchestre sont passés par l’école secondaire Émilien-Frenette »
Cette dernière est reconnue pour son Harmonie
L’orchestre se distingue régulièrement lors de compétitions telles que le Festival des Harmonies et Orchestres Symphoniques du Québec et le MusicFest Québec
l’orchestre est dirigé par Jade Piché
Quoi : Concert de l’Orchestre à vents de Saint-Jérôme
Pour réserver, visitez le site web ovsj.ca ou contactez-nous à info@ovsj.ca
Publié le 14 mars 2025 à 11:59 | Modifié le 19 mars 2025 à 09:50
On apprenait l'été dernier que le Tigre Géant de la rue Saint-Georges deviendra le projet Liria
le début de la démolition était prévu pour l'automne
C'est finalement ce printemps que le chantier devrait débuter
la Ville de Saint-Jérôme confirme à CIME que les arbres ciblés pour abattage ont été retirés et qu'un lampadaire sur la rue Labelle sera également retiré le 17 mars prochain
Le début de la mobilisation pour l’ouverture du chantier
l’amorce des travaux et l’installation de la clôture de chantier devraient commencer dès la semaine du 24 mars ou la semaine suivante
il est encore impossible de connaître la date de livraison des logements
Le jeune de 15 ans aura quitté son domicile le lundi 6 janvier à 15 h pour aller chez un ami
et a par la suite quitté vers 19 h 30 mentionnant vouloir se diriger vers Montréal.
Nathan Maillé a les cheveux bruns longs au menton et les yeux bruns
il mesure 5 pieds 4 et pèse 119 livres. Au moment de sa disparition
il portait un manteau noir qu'il est possible de voir dans la photo de droite
L'adolescent est connu pour fréquenter les régions de Laval et Montréal
Toute personne ayant de l'information à son sujet peut communiquer avec la police de Saint-Jérôme en contactant le (450)432-1111 poste #7.
C’est un budget de 215,9 M$ pour 2025 qui a été adopté par le conseil de ville de Saint-Jérôme, le 10 décembre dernier. Lors de la présentation du budget, le maire a souligné la bonne planification budgétaire et la solide gestion des finances publiques.
Ainsi, la Ville de Saint-Jérôme limite la hausse des taxes foncières à 2 %, soit à la hauteur du taux d’inflation observé dans la région métropolitaine de Montréal. Pour une maison moyenne évaluée à 371 002 $, il s’agit d’une augmentation de 4,95 $ par mois du compte de taxes.
En 2025, le service de la dette à la charge de l’ensemble des contribuables atteindra 32,8 M$, ce qui représente 14,7 % du budget de fonctionnement. Dans la Politique de la gestion de la dette, le seuil maximum établi est à 16,5 %.
« Nous avons déployé diverses stratégies pour contrôler l’endettement de la Ville, au profit des générations futures. En favorisant le paiement au comptant des immobilisations, notamment pour le maintien des actifs, et en misant sur le développement industriel pour le remboursement de la dette, nous sommes persuadés que nous serons en mesure de réduire considérablement la dette au cours des prochaines années », explique Dominic Boyer, porte-parole de la commission des finances.
En hausse d’un peu moins de 7 % par rapport à 2024, les charges de fonctionnement de la Ville totaliseront 220,6 M$ pour l’année financière 2025. De ce montant, on estime que 16,6 M$ seront consacrés au déneigement, 7,2 M$ à l’aménagement des parcs et espaces verts, et 6,1 M$ au transport collectif.
«En plus des dépenses nécessaires au maintien des services déjà offerts, Saint-Jérôme est confrontée à des défis et des responsabilités qui ne cessent de croître en raison de son statut de capitale régionale. Que ce soit en matière de transition écologique, de mobilité, de sécurité ou d’itinérance, elle n’a d’autres choix que d’ajuster son budget pour faire face aux enjeux locaux », explique-t-on dans un communiqué.
Enfin, des revenus de 211,1 M$ sont prévus en 2025, ce qui représente une hausse de 5 % par rapport à l’exercice précédent. Si les taxes foncières demeurent la principale source de revenus de la Ville, des efforts sont réalisés pour diversifier les sources de revenus par des partenariats et des demandes de subventions. Les affectations et ajustements fiscaux, quant à eux, atteindront 9,5 M$.
Avec son nouveau quartier d’innovation industrielle, l’électrification des transports, la protection de nombreux parcs et la construction intensive de logements, Saint-Jérôme est en transformation. Un virage ambitieux lancé par l’administration du maire Marc Bourcier.
« Saint-Jérôme, c’est la fiancée la plus sollicitée des Laurentides ! »
Au bout du fil, Marc Bourcier, maire de la municipalité de 84 000 habitants, est convaincu… et convaincant. À 67 ans, après une carrière de 35 ans dans le monde de l’enseignement, M. Bourcier est enthousiaste et volubile lorsqu’il parle de « sa » ville.
« On va se le dire, Saint-Jérôme n’avait pas bonne presse », laisse-t-il tomber, en faisant référence entre autres à la tombée du maire précédent pour manœuvres électorales frauduleuses. « Mais aujourd’hui, je pense qu’on peut dire que le vent change de bord à Saint-Jérôme. »
Visiblement fier, M. Bourcier souhaite « donner une identité » à la ville, reconnue il y a deux ans par Statistique Canada comme la ville la plus verte au pays. Avec ses 125 parcs, dont le parc linéaire Le P’tit Train du Nord, le parc régional de la Rivière-du-Nord et le parc naturel du Lac-Jérôme, la municipalité s’est engagée à protéger ses oasis, ce qui inclut les zones humides.
« On développe un nouveau parc industriel sur 18 millions de pieds carrés, du côté ouest de notre territoire, mais la moitié est protégée, explique Marc Bourcier. C’est important. »
Ce n’est pas parce que les demandes n’affluent pas ; selon le maire, les demandes d’entreprises qui souhaitent s’implanter dans la ville sont « extrêmement nombreuses » et la sélection, rigoureuse.
On est très courtisés. Ce qu’on veut, c’est attirer des entreprises innovantes et créer un véritable écosystème.
Avec la présence de l’Institut du véhicule innovant, de l’Université du Québec en Outaouais, du Centre d’études professionnelles et celle du cégep, il y a déjà une synergie, indique M. Bourcier. « Il y a une synergie en termes de formation puisqu’elle unit toutes les industries et elle répond directement aux besoins de main-d’œuvre qualifiée pour le développement du parc industriel. »
Parmi ses autres défis, le maire, élu en novembre 2021, souhaite densifier le centre-ville, faciliter le transport actif, augmenter le nombre de places de stationnement et construire plus de logements. « On est dans un boum, souligne Marc Bourcier. On a construit 1200 logements, mais on veut augmenter la cadence. Si on veut freiner l’étalement, ça prend du logement. »
John Tittel, président du conseil de la Chambre de commerce et d’industrie de Rivière-du-Nord, abonde dans le même sens. Selon lui, le défi locatif est « énorme » … mais pas irréaliste. « On doit suivre le rythme, mais tout porte à croire que c’est faisable. »
Il ajoute dans la foulée que depuis quelques années, les élus sont en train de « redorer le blason de la ville ». Il s’en réjouit. « L’administration Bourcier fait de grands bonds, note-t-il. Les litiges ont été réglés avec quatre autres maires de villes avoisinantes et on a stoppé tout ce gaspillage de temps et d’énergie… »
Avec l’électrification des transports et le plan économique établi, j’ai l’impression qu’on pousse la ville dans le prochain siècle.
M. Tittel fait l’éloge de la centrale des affaires créée récemment pour répondre aux besoins des entrepreneurs, des marchands et des commerçants de Saint-Jérôme. Selon lui, ce nouveau « guichet unique », qui a pignon sur rue au centre-ville, soutient et aide les entreprises de façon concrète.
« C’est plus fluide et c’est bien organisé », dit-il.
Luc Guy, président et directeur général de Doppelmayr, l’un des plus gros fabricants de transport par câble dans le monde, évalue lui aussi positivement les relations avec Saint-Jérôme. « Depuis quelques années, on sent que la Ville met des efforts pour attirer de nouvelles entreprises, remarque-t-il. On sent une plus grande ouverture, une écoute, et ils ont des antennes. »
Il remarque l’accessibilité des ressources tout comme la rapidité du service.
Je trouve que le dialogue est bon et je sens qu’on met tout en œuvre pour trouver des solutions.
À Doppelmayr, entreprise établie en Autriche et installée à Saint-Jérôme depuis 1978, les affaires vont bien, confirme M. Guy. Le nombre d’employés est passé d’une centaine en 2020 à 150 aujourd’hui et le chiffre d’affaires a presque doublé en cinq ans.
« On a de beaux projets qui s’en viennent en 2025, affirme-t-il tout en refusant de donner plus de détails. Ce que je peux dire : l’industrie du ski va bien et beaucoup de stations sont en plein essor ! »
Le programme Techniques d’inhalothérapie du Cégep de Saint-Jérôme (CSTJ) accueillera sa deuxième cohorte à l’automne 2025
le seul de ce genre offert dans les régions des Laurentides et de Laval
suscite beaucoup d’intérêt auprès des élèves et des futurs professionnels de la santé
les étudiant.e.s en inhalothérapie bénéficient d’installations de pointe au CSTJ
des périodes d’observation sont intégrées au programme
suivies de six stages pratiques qui permettent une immersion progressive dans le milieu professionnel
les diplômés seront capables de diagnostiquer et de traiter des anomalies cardiorespiratoires
Leur expertise leur permettra d’intervenir auprès de patients de tous âges
Le CSTJ peut compter sur le Centre intégré de santé et de services sociaux (CISSS) des Laurentides pour assurer un arrimage optimal entre la formation offerte et les exigences du marché du travail
Grâce à la collaboration du CISSS des Laurentides
les étudiant.e.s ont été jumelés à des inhalothérapeutes et ont bénéficié d’une immersion en milieu professionnel
Les participant.e.s ont pu découvrir concrètement la réalité du métier et mieux comprendre les exigences de la profession
Cette initiative favorise une prise de décision éclairée quant à leur choix de carrière
Les inscriptions au programme sont toujours possibles
Le deuxième tour d’admission est ouvert jusqu’au 23 avril 2025
2025 /CNW/ - Les partenaires CLORIA Développement
QuoVadis Capital et le Fonds immobilier de solidarité FTQ sont fiers d'annoncer le début des travaux de CLORIA Île des Frères à Saint-Jérôme auquel se joint un Avril Supermarché Santé
Le projet constitue le deuxième d'une série d'autres à venir sous la signature Danū
qui établit un nouveau standard en matière d'habitation durable
où nature et accessibilité aux services s'harmonisent parfaitement
Étaient présents pour la symbolique pelletée de terre
Un projet s'intégrant parfaitement au milieu
chemin de la Rivière-du-Nord à Saint-Jérôme
en bordure du parc régional de la Rivière-du-Nord
CLORIA Île des Frères est bien plus qu'un immeuble résidentiel ; c'est un milieu de vie conçu pour répondre aux besoins des générations actuelles et futures
le projet mise sur une gestion énergétique innovante
des espaces verts accessibles et des lieux communs favorisant une communauté engagée
CLORIA Île des Frères accueillera un Avril Supermarché Santé
consolidant ainsi une vision intégrée du bien-être et du développement économique régional
CLORIA Île des Frères illustre concrètement l'engagement des partenaires envers une croissance urbaine réfléchie et responsable
en phase avec les priorités de la Ville de Saint-Jérôme en matière de développement durable et d'accessibilité au logement
Les premiers occupants pourront aménager à l'été 2026
Une deuxième phase sera prévue subséquemment et comptera 149 unités résidentielles
« Nous sommes fiers de ce projet qui incarne notre engagement à concevoir et à réaliser des immeubles performants
nous optimisons chaque étape du développement pour créer des milieux de vie adaptés à toutes les générations
Ce projet offrira une diversité de logements
au sein d'un environnement favorisant la biodiversité et le bien-être
avec des espaces verts et des potagers communautaires
Nous prévoyons poursuivre le développement du site pour en faire une communauté modèle
une prochaine phase devrait suivre sous peu avec 150 unités additionnelles
coprésident de Cloriacité et fondateur de CLORIA Développement
nous repensons la manière de construire pour créer des milieux de vie où chaque partie prenante est considérée
En intégrant la justice climatique au cœur de nos projets
nous prouvons qu'un immobilier responsable peut aussi être accessible
nous allions innovation et engagement en mesurant rigoureusement la performance de nos stratégies durables
Nous concevons des espaces résilients qui favorisent la santé
le bien-être et une gestion intelligente des ressources naturelles
tout en bâtissant des communautés prêtes pour l'avenir
plus durable et accessible pour tout type de ménages qui bénéficieront d'un lieu de vie stimulant dans les Hautes Laurentides
Il s'inscrit dans une série d'autres projets réalisés en copartenariat avec deux promoteurs qui ont à cœur de contribuer à contrer la pénurie de logements et à bâtir des milieux intégrant les meilleures pratiques d'immobilier durable
nous sommes engagés dans la transformation durable du marché et notre priorité est d'augmenter l'offre variée en logements rapidement
« En nous implantant dans la région des Laurentides
nous poursuivons notre mission de rapprocher les Québécois d'un mode de vie sain en rendant les produits naturels et biologiques accessibles au plus grand nombre de personnes. » - Serge Gauthier
Un projet conçu pour le bien-être des résidents
CLORIA Île des Frères offre le parfait équilibre entre la tranquillité d'un chez-soi et la vitalité d'une communauté engagée
où le respect de l'environnement est une priorité
La valeur ajoutée de la Signature Danū en construction durableCLORIA Île des Frères incarne l'innovation et la durabilité grâce à son approche intégrée en matière de performance environnementale et de résilience
À propos de Cloriacité Fondée en 2021, Cloriacité est le fruit d'une alliance stratégique entre deux remarquables entreprises : Cloria communautés connectées et Odacité Immobilier
Cette combinaison des forces de chaque entreprise permet à Cloriacité de développer et de gérer des projets immobiliers uniques et innovants alliant des espaces résidentiels et commerciaux adaptés au milieu d'implantation
Avec un portefeuille de plus de 600 unités résidentielles et de 100 locataires commerciaux (dont de grandes bannières nationales)
Cloriacité compte sur le travail exceptionnel d'une équipe de près d'une vingtaine de professionnels et d'une multitude de connaissances pointues et étendues du marché de l'immobilier
contribuant au succès de ses projets de construction résidentielle
réalisés dans un contexte de mixité urbaine
À propos de Quo Vadis CapitalQuo Vadis Capital est un leader de l'immobilier zéro-émission et certifié B Corp
prouvant depuis plus de 25 ans que performance et impact positif vont de pair
son modèle innovant démontre que bâtir durablement est aussi un levier économique
Quo Vadis Capital transforme l'immobilier en moteur de prospérité responsable
Il appuie le démarrage de projets immobiliers au Québec tant dans les secteurs résidentiels
qu'industriel et il privilégie une approche de développement fondée sur les facteurs ESG (Environnementaux
Sociaux et de Gouvernance) menant à des projets durables. Au 31 décembre 2024
il comptait 25 projets immobiliers en développement ou en construction d'une valeur de 5 milliards $; 82 immeubles en gestion d'actifs et 5 millions de pi2 de terrain à vocation industrielle à développer
Il cumulait des investissements dans plus de 200 projets à vocation sociale et abordable totalisant quelque 9 000 unités résidentielles au fil des ans
Le Fonds immobilier est membre de Bâtiment durable Québec
SOURCE Le Fonds de Solidarité des Travailleurs du Québec (FTQ)
Renseignements : Chantale Baar, Communications Chantale Baar, [email protected] / 514 992-6463; Josée Lagacé, Fonds immobilier de solidarité FTQ, [email protected] / 514 707-5180
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Modernisation, expansion, diversification. Sustana, l’entreprise qui englobe l’historique papetière La Rolland, maintient le cap pour atteindre la réduction maximale des pertes de sa matière brute et poursuivre sur la voie du développement durable.
« On est vraiment devenus une entreprise d’économie circulaire : on crée des produits avec ce qui revient dans le bac de recyclage », annonce tout de go Patricia Bergeron, directrice corporative aux communications chez Sustana.
Fondée par la famille Rolland, la papetière La Rolland fait partie du paysage des Laurentides depuis 1882. Son édifice de briques rouges, sur lequel on peut lire « Cie Papier Rolland 1882 » peint en blanc, est emblématique.
L’entreprise étant passée aux mains de Sustana en 2014, son nom a disparu en février dernier, malgré les protestations de certains acteurs du milieu, dont la Ville et l’organisme Histoires et Archives Laurentides.
Selon Patricia Bergeron, le changement de nom n’a pas créé trop de remous. Elle ajoute qu’il demeure officieusement au cœur des activités. « Légalement, ça aurait été compliqué de tout changer, dit-elle. Et le nom reste écrit sur la façade de l’édifice. »
La refonte de la marque fait partie de la stratégie de l’entreprise établie au Wisconsin qui consiste à miser sur l’économie circulaire. La fibre produite est utilisée pour faire du papier, du carton, des papiers d’emballage, des gobelets.
« Nous sommes la seule usine au Québec à faire le recyclage de contenants multicouches », souligne Mme Bergeron, en poste depuis le printemps dernier.
Les résidus, eux, sont de plus en plus utilisés – et mieux. L’objectif est d’arriver à ne rien perdre du tout.
On est dans une phase d’augmentation de la capacité, mais aussi dans une phase d’innovation, toujours dans un esprit d’amélioration continue. On a des projets sur la table pour continuer à trouver des façons de maximiser notre matière première pour diversifier la gamme de produits.
L’un des prochains défis de Sustana est lié au changement de la consigne, au Québec. En effet, dès mars 2025, de nouveaux types de contenants seront consignés comme le verre, le plastique et le carton multicouche. De nouveaux investissements sont planifiés pour augmenter la capacité de production, entre autres à l’usine de Lévis, explique Mme Bergeron.
Si l’utilisation de l’intelligence artificielle est limitée pour le moment chez Sustana à Saint-Jérôme, cela pourrait changer dans l’avenir. « C’est à évaluer », dit la directrice.
Les opérations sont assurées par plus de 330 employés à Saint-Jérôme et la capacité totale des usines québécoises (Saint-Jérôme, Lévis et Lachine) atteint près de 300 000 tonnes de papier recyclé.
Dans la région laurentienne, les liens sont forts entre l’entreprise et la communauté, assure Patricia Bergeron.
« On est hyper présents depuis le début, note-t-elle. On est très impliqués à Saint-Jérôme entre autres à travers le conseil d’administration de l’hôpital et avec Centraide Laurentides. On s’applique à être une bonne entreprise citoyenne et on souhaite s’impliquer encore davantage. »
Elle rappelle que de nombreuses familles de la région, de père en fils par exemple, font partie du personnel. Cela renforce le sentiment d’appartenance et l’importance de s’ancrer au territoire.
Les dirigeants de Génik ont une obsession : renverser le retard du Québec en automatisation. Une obsession payante… Le spécialiste en conception et fabrication d’équipements de production automatisée a un carnet de commandes bien garni, une croissance doublée en un an, de nouveaux locaux et des embauches en vue.
« Pour nous, automatiser veut dire réduire les accidents de travail, augmenter la qualité des produits et hausser la productivité. À ceux qui y voient des pertes d’emplois, je leur fais remarquer que si les entreprises ne bougent pas, elles vont tout simplement fermer parce qu’elles ne seront plus compétitives. Dans plusieurs pays comme le Mexique, il y a plus de robots par habitant qu’au Canada », illustre Patrick Gariépy, vice-président innovation technologique et actionnaire de Génik.
Dans les affaires depuis 32 ans à Saint-Jérôme, Génik a évolué au fil des ans. Si, au début, le cœur de son marché était l’automobile, ce dernier représente maintenant 30 % de son chiffre d’affaires. Génik s’est diversifié et est actif dans les industries du bois, du métal, de l’énergie, de l’agroalimentaire et… de la filière batterie.
Le statu quo n’existe pas chez nous. Il n’y a pas un projet pour lequel on a jeté l’éponge. On rend possibles tous les projets d’automatisation, même les plus complexes.
Les innovations de Génik se retrouvent partout et il arrive qu’elles soient copiées par des concurrents à l’étranger. « En Chine, même si on a des brevets, c’est difficile à défendre ! On ne s’inquiète pas trop du plagiat, car l’idée est de toujours être en avant de la parade », soutient Patrick Gariépy.
L’esprit inventif est valorisé chez Génik. Au point où les experts dans ces domaines reçoivent les mêmes salaires que les gestionnaires.
Pour s’assurer de lendemains tout aussi créatifs, l’équipementier mise sur la relève avec l’Université Génik. « Nous avons des ententes avec des établissements scolaires, formations professionnelles, cégeps et universités. Nous recevons des stagiaires pour leur projet de fin d’études. On leur propose des sujets de projets concrets pour leurs travaux scolaires. Nous sommes un gros terrain de jeu pour qui s’intéresse à l’automatisation et à la robotique », image Patrick Gariépy.
Le nerf de la guerre reste toutefois l’aspect financier. Génik met tout en œuvre pour guider ses clients dans ce processus. « Ce n’est pas toujours simple, car sans financement, l’entreprise peut retarder son projet d’automatisation, ce qui va avoir une incidence sur sa productivité. Oui, il y a des programmes d’aide, mais c’est difficile de savoir quel programme peut s’appliquer et le processus d’accès est parfois long », témoigne la femme d’affaires.
Si le marché local est important pour Génik, l’entreprise s’affaire également à l’international et compte quelques projets dans le monde.
C’est au cours d’une soirée 5 à 7, ce mercredi soir 23 octobre à Saint-Jérôme, que l’illustre citoyen feu Robert Vermette passera à l’histoire, alors qu’un pavillon de la patinoire Bleu Blanc Bouge sera officiellement nommé en son honneur.
Plus exactement, le chalet de prêts d’équipement de la glace réfrigérée extérieure portera dorénavant le nom de pavillon Robert « Bob » Vermette.
Lors de l’annonce officielle du projet, à la dernière séance du conseil municipal jérômien, le président de la Commission des sports, M. Jean Désormeaux, avait les yeux humides en se remémorant la vie de M. Vermette.
Pour son fils Richard Vermette, penser à une telle marque de reconnaissance pour son défunt père reste très apprécié.
« Nous sommes très honorés, dans la famille Filiatrault-Vermette, de voir cette commémoration prendre forme. Le parc Honorine-Melançon faisait lieu de deuxième demeure pour lui. Bob a été reconnu pour un peu des deux, soit le hockey et la balle. Les plus jeunes et les aînés pourront s’informer sur lui ou se souvenir de son passage ici, qui laisse une empreinte indélébile », a estimé l’ancien joueur des Cheminots et des Rapidos.
Lorsque l’aréna Melançon a changé de vocation en 2016, Robert Vermette m’avait confié ne pas vouloir déménager.
« Je n’apprendrai pas le fonctionnement de nouveaux tableaux indicateurs à l’aréna Rivière-du-Nord ou au Centre sportif Saint-Antoine. Ma place, c’était Melançon ou chez nous », avait-il tranché.
Bravo belle initiative de la ville mr Vermette est une légende rare
Dans le souci de créer un avenir durable et un milieu de vie inclusif
le conseil municipal de Saint-Jérôme a lancé le processus pour l’adoption de son nouveau plan d’urbanisme et de mobilité durable
C’est lors d’une assemblée extraordinaire tenue le 17 décembre que ce processus a été lancé
Cette révision du plan d’urbanisme dévoile la nouvelle vision de développement et de mise en valeur du territoire
L’adoption des projets de règlement d’urbanisme devrait se faire lors d’une assemblée du conseil en début d’année
de nombreuses étapes ont été réalisées pour nous aider à bâtir une vision unique et commune pour notre ville
Notre plan d’urbanisme et les règlements dataient de 2010 et ne reflétaient plus les réalités économiques
sociales et environnementales du territoire
Le moment était donc venu de nous redéfinir et de revamper notre image selon un urbanisme bienveillant
Ce plan est une feuille de route essentielle pour guider nos actions en aménagement du territoire
avec la conviction qu’il a été élaboré avec chaque partie prenante tout au long du processus »
Marc Bourcier ajoutait que cette vision est basée sur les saines habitudes de vie et la lutte aux changements climatiques
Le nouveau plan se déclinera en trois grandes orientations d’aménagement sur une perspective de 15 ans (2025-2040) :
avait fait l’objet d’une grande démarche participative intitulée « Vivons Saint-Jérôme »
La communauté s’était exprimée sur les grandes stratégies : la croissance et les milieux de vie inclusifs
Le conseil municipal a choisi de réaliser la révision de son plan d’urbanisme en collaboration avec l’ensemble des partenaires et des acteurs qui participent à la transformation du territoire
À travers diverses activités collaboratives et des tables sectorielles
ceux-ci ont pu partager leurs préoccupations et leurs attentes qui pourraient faire partie des nouvelles orientations du plan d’urbanisme et de mobilité urbaine de la Ville
plus d’une centaine d’idées et près de 40 mémoires ont été déposés dans le cadre de la démarche « Vivons Saint-Jérôme »
« Dans le cadre de cette démarche participative
nous sommes allés au-delà des exigences légales en matière de consultation publique pour donner à tous les citoyens plusieurs tribunes pour se faire entendre
ce sont plus de 500 personnes qui ont participé à la démarche et je tiens sincèrement à les remercier pour leur contribution à faire de Saint-Jérôme une ville meilleure »
a mentionné la conseillère Nathalie Lasalle
porte-parole de la commission de l’aménagement et du contrôle du territoire
la nouvelle vision commune de l’aménagement du territoire sera mise en application dans les règlements d’urbanisme
les plans d’implantation et d’intégration architecturale
les usages conditionnels et la démolition d’immeubles font partie de la réglementation en cours de révision
La Ville estime que cette nouvelle réglementation saura répondre aux attentes des citoyens et des différentes parties
Dans le cadre du processus de révision du plan d’urbanisme
« Le nouveau cadre réglementaire nous permettra pour les années à venir de mieux contrôler la planification et le développement de notre ville tout en tenant compte des besoins croissants en matière de logement
de mobilité et d’aménagement des espaces publics
Saint-Jérôme se positionne ainsi résolument dans une démarche de modernisation et de transition écologique
avec l’objectif de devenir un modèle de développement urbain durable et innovant »
Conformément à la Loi sur l’aménagement et l’urbanisme
le nouveau cadre réglementaire doit faire l’objet de plusieurs étapes d’adoption
dont la délivrance d’un certificat de conformité de la MRC de La Rivière-du-Nord
L’entrée en vigueur est prévue à l’été 2025
Pour suivre les prochaines étapes de l’adoption : citedepossibilites.ca/vivons-saint-jerome
Commencer donc par faire des logements à des prix abordables au de faire des condo, ce n’est pas pour tout le monde. Beaucoup d endroit pourrait faire l affaires.
– Le Service de police de la Ville de Saint-Jérôme a inauguré son nouveau bureau des enquêtes criminelles
Situé dans les anciens locaux de la Gendarmerie royale du Canada (GRC)
le bâtiment poursuit sa mission de sécurité publique tout en s’adaptant aux besoins actuels de la communauté et des forces de l’ordre
C’est en 2021 que la Ville de Saint-Jérôme entamait des procédures pour faire l’acquisition du bâtiment de la rue Mgr Dubois où logeait la GRC jusqu’en 2018, moment où les activités ont cessé.
Lors de l’événement, il a été souligné que ce nouvel espace représente bien plus qu’un simple réaménagement, il s’inscrit pleinement dans l’identité et l’histoire de la ville.
« Ayant grandi à deux pas d’ici, je me souviens encore de l’arrivée de la GRC dans ces locaux. Ce lieu, ancré depuis toujours dans la sécurité publique, poursuit aujourd’hui cette mission sous une nouvelle forme, modernisée et adaptée aux défis contemporains », a affirmé le maire Marc Bourcier.
Le nouveau bureau des enquêtes criminelles a été conçu pour favoriser l’efficacité, la collaboration et l’innovation. Il comprend également des espaces spécialement aménagés pour les victimes et les témoins.
Le hall d’entrée a été entièrement repensé afin de créer une atmosphère sécurisante, conviviale et chaleureuse, permettant aux personnes concernées de se sentir en confiance.
« Ce nouvel environnement, équipé de technologies de pointe, répond aux standards les plus modernes et offre à nos enquêteurs des conditions de travail optimales, favorisant ainsi leur efficacité et leur engagement », a ajouté le maire Bourcier.
L’inauguration a réuni plusieurs dignitaires, dont le maire Marc Bourcier, qui a conclu en rappelant l’importance de cette infrastructure pour la Ville de Saint-Jérôme : « La ville se développe, les besoins évoluent, et nos services, notamment en matière de sécurité publique, doivent s’adapter en conséquence. Cette nouvelle structure représente une avancée majeure qui renforce nos capacités d’enquête et encourage l’arrivée de nouveaux enquêteurs », a-t-il souligné.
Les marcheurs entameront alors un parcours de 5 km en boucle vers le quartier des Sports (rues René-Gascon
Filion et Melançon) pour terminer le circuit à la place des Festivités