John Matte a été surpris quand son agent lui a proposé un concert… dans un lac souterrain en Suisse
Jouer sur les rives du lac de Saint-Léonard a été une expérience « inoubliable » pour le musicien montréalais
Visite du plus grand lac souterrain d’Europe
propose une activité unique en son genre : un concert sur les rives d’un lac souterrain
« On met les spectateurs dans une grande barque
et ils peuvent assister au concert des musiciens qui sont sur la rive du lac »
avec une acoustique difficile à retrouver ailleurs
du groupe montréalais folk Franklin Electric
a donné un spectacle au lac de Saint-Léonard l’été dernier
« Mon agent m’en a parlé alors que je jouais dans un château tchèque
je me suis inquiété parce que je suis claustrophobe
Matte a immédiatement vu que la cave spacieuse était à mille lieues de la claustrophobie
Ils m’ont laissé sur les rives pour un test de son
Ça m’a fait penser à des châteaux en Europe où j’avais joué
Savioz a lancé les spectacles quand il est entré en poste en 2010
« On m’avait demandé d’enregistrer un disque dans la grotte
L’idée de spectacles me trottait dans la tête
Il y a une douzaine de spectacles chaque année
pour une centaine de spectateurs à la fois
Il est aussi possible d’organiser des apéritifs privés sur le lac
agrémentés de duos de musique classique ou rock
La grotte a été formée il y a 12 000 ans par l’action de la pluie percolant de la colline surplombant le site
Elle a érodé une roche poreuse contenue entre deux roches étanches
raconte un fascinant récit géologique à l’entrée de la grotte
un espace s’est formé entre l’eau et le sommet de la grotte
Les gens des environs savaient qu’il y avait un espace entre l’eau et le sommet de la grotte
mais il a fallu un séisme en 1946 pour qu’il devienne navigable
l’armée suisse a fait la reconnaissance de grottes comme forteresses en cas d’invasion allemande et a réalisé la première cartographie officielle de la grotte
un bateau part du quai situé à l’entrée de la grotte
en français et en anglais (si nécessaire) à la trentaine de touristes à bord
on peut voir des épaves coulées volontairement
On raconte par exemple que les paysans y mettaient des bouteilles de fendant
à rafraîchir dans la mare à l’entrée de la grotte
quand le niveau de l’eau était élevé avant le séisme de 1946
Et aussi que les jeunes femmes qui ne trouvaient pas de mari allaient s’y recueillir le soir de Noël
pour voir le visage de leur futur époux dans le reflet de la lune sur le lac
La réservation en ligne est obligatoire et souvent
les visites affichent complet des jours à l’avance
l’hiver étant réservé aux travaux de consolidation de la grotte et d’entretien des infrastructures électriques et de ventilation
Les concurrents de Saint-Léonard au titre de plus grand lac souterrain d’Europe sont une ancienne mine de sel en Autriche
qui a été utilisée durant la Seconde Guerre mondiale comme centre de fabrication d’avions Messerschmidtt
mais la mine de sel n’est pas naturelle et à Majorque
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La destination d’information de Radio-Canada
Peu avant 5 h, lundi, un appel a été fait au 911 pour prévenir qu'une personne avait été blessée par un objet tranchant dans une résidence de la rue Belherbe.
Quand les policiers sont arrivés sur place, ils ont trouvé l'homme de 57 ans qui a été conduit à l'hôpital dans un état critique, a expliqué Mariane Allaire Morin, porte-parole du SPVM. L'état du blessé s'est depuis stabilisé.
Les policiers, assistés par Urgences-santé, ont ensuite mené une importante opération qui s'est soldée en fin de matinée par l'arrestation d'un homme. Ce dernier devait être interrogé par les enquêteurs en cours de journée.
Les policiers ont ensuite découvert, à l'intérieur de la résidence, le corps inanimé d'un homme dont l'identité n'a pas encore été révélée.
Aucune des résidences voisines n'a dû être évacuée.
À Radio-Canada.ca depuis 2009, Anne Marie Lecomte était journaliste auparavant à Radio Canada International et chroniqueuse au magazine Châtelaine.
Ouvrir en mode plein écranL'opération menée par le SPVM lundi matin a mené à la découverte du corps inanimé d'un homme dans une résidence de l'arrondissement de Saint-Léonard.
Anne Marie LecomtePublié le 31 mars à 10 h 41 HAEMis à jour le 31 mars à 13 h 56 HAEÉcouter l’article | 2 minutesLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale, une technologie basée sur l’intelligence artificielle.Le Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) a procédé à l'arrestation d'un suspect, lundi, au terme d'une opération qui a mené à la découverte du corps inanimé d'un homme dans une résidence de l'arrondissement de Saint-Léonard.
Un autre homme de 57 ans a été blessé par arme blanche au haut du corps dans cette affaire.
Peu avant 5 h, lundi, un appel a été fait au 911 pour prévenir qu'une personne avait été blessée par un objet tranchant dans une résidence de la rue Belherbe.
Quand les policiers sont arrivés sur place, ils ont trouvé l'homme de 57 ans qui a été conduit à l'hôpital dans un état critique, a expliqué Mariane Allaire Morin, porte-parole du SPVM. L'état du blessé s'est depuis stabilisé.
Les policiers, assistés par Urgences-santé, ont ensuite mené une importante opération qui s'est soldée en fin de matinée par l'arrestation d'un homme. Ce dernier devait être interrogé par les enquêteurs en cours de journée.
Les policiers ont ensuite découvert, à l'intérieur de la résidence, le corps inanimé d'un homme dont l'identité n'a pas encore été révélée.
Aucune des résidences voisines n'a dû être évacuée.
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Un autre homme de 57 ans a été blessé par arme blanche au haut du corps dans cette affaire
un appel a été fait au 911 pour prévenir qu'une personne avait été blessée par un objet tranchant dans une résidence de la rue Belherbe
Quand les policiers sont arrivés sur place
ils ont trouvé l'homme de 57 ans qui a été conduit à l'hôpital dans un état critique
a expliqué Mariane Allaire Morin
L'état du blessé s'est depuis stabilisé
ont ensuite mené une importante opération qui s'est soldée en fin de matinée par l'arrestation d'un homme
Ce dernier devait être interrogé par les enquêteurs en cours de journée
à l'intérieur de la résidence
le corps inanimé d'un homme dont l'identité n'a pas encore été révélée
Aucune des résidences voisines n'a dû être évacuée
Anne Marie Lecomte était journaliste auparavant à Radio Canada International et chroniqueuse au magazine Châtelaine
Le premier ministre canadien doit éviter les dérapages lors de sa rencontre avec Donald Trump
Québec alloue aussi des fonds pour la reconstruction de l’Hôtel-Dieu d’Arthabaska
Le Haut-Commissariat de l'Inde à Ottawa a identifié Vanshika Saini comme une étudiante indienne
Les 13 000 travailleuses des CPE devront se prononcer sous peu
La question du séparatisme pourrait y figurer
Le Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) a procédé à l'arrestation d'un suspect
au terme d'une opération qui a mené à la découverte du corps inanimé d'un homme dans une résidence de l'arrondissement de Saint-Léonard
Une centaine de pompiers ont été mobilisés
pour combattre un important incendie dans un bâtiment industriel de l’arrondissement de Saint-Léonard
l'intervention de 4e alarme était toujours en cours
et la possibilité d'aggravation était peu probable
d'après le Service de sécurité incendie de Montréal (SIM)
dans un bâtiment industriel de deux étages situé sur la rue du Creusot près de la rue Magloire
Personne n’a été blessé et personne n’a dû être évacué
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Des coups de feu ont été entendus près d’une résidence du quartier Saint-Léonard
Deux voitures avaient aussi été incendiées peu de temps auparavant à cette même adresse
L’évènement s’est déroulé vers minuit sur la rue Jonquet
près de l’intersection avec la rue Grasset
« Il y a des impacts de projectiles sur la résidence et des douilles ont été localisées au sol »
porte-parole du Service de Police de la Ville de Montréal (SPVM)
Aucun blessé n’a été signalé et il n’y a pas eu d’arrestation pour le moment
Des techniciens en identité judiciaire se sont rendus sur place
Les enquêteurs vont visionner les images des caméras de surveillance et rencontrer des témoins pour tenter de comprendre les raisons qui ont mené à ces coups de feu
deux véhicules ont été la cible d’un incendie criminel à cette même adresse
Mais le lien entre ces deux évènements n’a pas encore été confirmé
Il s'agit du deuxième incident à cette adresse en deux jours
Le Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) mène une enquête après que des coups de feu ont été tirés sur une résidence de l'arrondissement de Saint-Léonard vers minuit samedi soir
les agents ont répondu à un appel au 911 sur la rue Jonquet
Lorsque la police est arrivée sur les lieux
elle a observé des impacts de projectiles sur la résidence et des douilles sur le sol»
Aucune blessure n'a été signalée et aucune arrestation n'a été effectuée
Les enquêteurs prévoient de rencontrer des témoins et d'examiner les images de surveillance pour déterminer ce qui s'est passé
Il s'agit du deuxième incident à cette adresse en deux jours: deux véhicules ont également été la cible d'incendies criminels vendredi
Le corps policier enquête pour savoir si ces incidents sont liés
Des coups de feu ont été entendus au cours de la nuit de samedi à dimanche dans le quartier Saint-Léonard
Les policiers sont intervenus vers minuit sur la rue Jonquet
près de la rue Grasset à la suite d’un appel au 911
Des impacts de projectiles ont été repérés sur la résidence et des douilles ont été retrouvées au sol
«Personne n’a été blessé et il n’y a aucune arrestation pour le moment»
a mentionné le porte-parole du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM)
Deux incendies criminels de véhicules sont survenus à la même adresse dans la nuit de jeudi à vendredi
«Deux incendies criminels et aujourd’hui des coups de feu
les enquêteurs vont aller faire des vérifications auprès de la famille et des gens qui restent là pour savoir ce qui se passe.»
«Est-ce que par exemple ça pourrait être une erreur de la part des suspects qui ont fait feu devant la résidence
c’est que c’est la même adresse dans un laps de temps très rapproché
Ça laisse présager que c’est cette résidence-là ou les gens qui demeurent à l’intérieur qui sont visés par les suspects.»
Des techniciens en identité judiciaire seront mobilisés dans le but de comprendre les circonstances de ces coups de feu
Personne n'a été blessé et aucun suspect n'a été arrêté. Une scène de crime a été établie.
Deux jours plus tôt, deux véhicules ont été incendiés à la même adresse, a confirmé le SPVM à Radio-Canada.
Les enquêteurs vont rencontrer les différents témoins et visionner des caméras vidéo afin de déterminer la ou les raisons ayant mené à ces coups de feu, a précisé M. Couture.
Ouvrir en mode plein écranDeux jours plus tôt, deux véhicules ont été incendiés à la même adresse.
Charles SéguinPublié le 13 avril à 2 h 40 HAEMis à jour le 13 avril à 3 h 09 HAEÉcouter l’article | 1 minuteLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale, une technologie basée sur l’intelligence artificielle.Le Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) enquête sur des coups de feu tirés tard samedi sur une résidence de l'arrondissement Saint-Léonard.
Vers minuit, les policiers se sont rendus sur la rue Jonquet, près de la rue Grasset. Ils ont constaté des impacts de projectiles sur la résidence ainsi que des douilles au niveau du sol, a indiqué le porte-parole du SPVM, Manuel Couture.
Personne n'a été blessé et aucun suspect n'a été arrêté. Une scène de crime a été établie.
Deux jours plus tôt, deux véhicules ont été incendiés à la même adresse, a confirmé le SPVM à Radio-Canada.
Les enquêteurs vont rencontrer les différents témoins et visionner des caméras vidéo afin de déterminer la ou les raisons ayant mené à ces coups de feu, a précisé M. Couture.
les policiers se sont rendus sur la rue Jonquet
Ils ont constaté des impacts de projectiles sur la résidence ainsi que des douilles au niveau du sol
a indiqué le porte-parole du SPVM
Personne n'a été blessé et aucun suspect n'a été arrêté
Une scène de crime a été établie
deux véhicules ont été incendiés à la même adresse
a confirmé le SPVM à Radio-Canada
Les enquêteurs vont rencontrer les différents témoins et visionner des caméras vidéo afin de déterminer la ou les raisons ayant mené à ces coups de feu
Charles Séguin est diplômé de l'Université du Québec à Montréal en journalisme et est récipiendaire du Prix d'excellence pour étudiants UNESCO de Liberté de la presse Canada (2024)
Avant de se joindre à l'équipe numérique de Radio-Canada en 2024
il est passé par le journal étudiant Montréal Campus et par les journaux Accès et Le Nord
Le Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) enquête sur des coups de feu tirés tard samedi sur une résidence de l'arrondissement Saint-Léonard
Plus d’une centaine de pompiers ont été déployés dans l’arrondissement de Saint-Léonard
pour combattre un incendie qui s’est déclenché dans un bâtiment commercial
s’est déclenché dans une bâtisse de Villeray
Le brasier s’est déclenché aux alentours de 12 h 30
dans un bâtiment industriel de deux étages à l’intersection des rues Creusot et Magloire
rapporte le Service de sécurité incendie de Montréal (SIM)
plus de 120 pompiers et 45 unités ont été mobilisés pour combattre le feu
il était encore préférable d’éviter le secteur en raison d’une fumée dense
Un autre incendie s’est déclenché tôt dimanche
C’est un bâtiment commercial de la rue Jean-Talon
mais le feu a été rapidement maîtrisé par les pompiers
« Au moins un foyer d’incendie a été localisé à l’intérieur de nature suspecte »
porte-parole du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM)
Le dossier a donc été transféré à la section des incendies criminels du SPVM afin de faire la lumière sur les circonstances entourant l’évènement
Un individu en crise aurait poignardé lundi à Montréal deux hommes
avant de se barricader pendant plus de six heures dans une résidence qui ferait office de repaire pour les consommateurs de drogue
à laquelle participaient plusieurs policiers lourdement armés
Dans la maison où il s’était barricadé au petit matin
les forces de l’ordre ont découvert le corps inanimé d’un homme qui n’a pas encore été identifié
Les policiers avaient d’abord été appelés à se rendre dans cette résidence de la rue Belherbe
pour un homme s’étant fait poignarder en fin de nuit
la victime gravement blessée se trouvait à l’extérieur
Le quinquagénaire a été transporté à l’hôpital dans un état critique
mais son état de santé se serait stabilisé au cours de la matinée
si bien que les médecins ne craignent plus pour sa vie
L’auteur de l’attaque se serait ensuite barricadé dans la maison
Un important périmètre de sécurité a été érigé autour de la résidence et les policiers du groupe tactique d’intervention ont pris position autour
L’opération s'est terminée un peu plus de six heures plus tard avec l’arrestation du suspect
C’est en inspectant l’intérieur de la maison que les policiers ont découvert le corps inanimé d’une autre victime ayant été poignardée mortellement
Selon les informations recueillies par Le Journal
la résidence où s’est joué le drame est dans les mains du Curateur public du Québec depuis quelques années en raison de l’état de santé de son propriétaire
un repaire pour les consommateurs de drogue
Frustrés par cet inquiétant achalandage et craignant qu’un drame ne survienne
des citoyens auraient alerté les autorités à diverses reprises
«Je suis extrêmement fâchée parce que tout ça aurait pu être évité»
qui ne veut pas être identifiée par crainte de représailles
Elle raconte notamment avoir déjà vu un homme menacer un autre avec un long couteau l’été dernier
Il s’agissait du sixième meurtre à être commis à Montréal depuis le début de l’année
Vous avez des informations à nous communiquer à propos de cette histoire
Écrivez-nous à l'adresse ou appelez-nous directement au 1 800-63SCOOP
dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"Un appel à la centrale 911 a alerté les patrouilleurs du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) peu après 19 h
Lorsque les policiers sont arrivés sur les lieux
la conductrice du véhicule accidenté
Des manœuvres de réanimation ont été effectuées sur la victime
qui a été transportée au centre hospitalier
le véhicule circulait à haute vitesse sur le boulevard Lacordaire
avant que la conductrice ne perde le contrôle de sa voiture et ne termine sa course sur un lampadaire
Aucune autre personne n'a été blessée
Un périmètre de sécurité a été installé pour permettre aux enquêteurs du module collision de faire les vérifications nécessaires
La police a rencontré les témoins de l'accident
et visionnera aussi les images des caméras de surveillance du secteur dans les prochains jours
Ouvrir en mode plein écranL'accident a eu lieu samedi vers 19 h
à l'angle du boulevard Lacordaire et de la rue Jarry
Photo : Radio-Canada / Kolya Hubacek-Guilbault
Une grave collision est survenue samedi vers 19 h 15 sur le boulevard Lacordaire
Un appel à la centrale 911 a alerté les patrouilleurs du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) peu après 19 h
Lorsque les policiers sont arrivés sur les lieux
Des manœuvres de réanimation ont été effectuées sur la victime
qui a été transportée au centre hospitalier
le véhicule circulait à haute vitesse sur le boulevard Lacordaire
avant que la conductrice ne perde le contrôle de sa voiture et ne termine sa course sur un lampadaire
Ouvrir en mode plein écranL'accident a eu lieu samedi vers 19h15 à l'angle du boulevard Lacordaire et de la rue Jarry
Un périmètre de sécurité a été installé pour permettre aux enquêteurs du module collision de faire les vérifications nécessaires
La police a rencontré les témoins de l'accident
et visionnera aussi les images des caméras de surveillance du secteur dans les prochains jours
Politique provinciale. Entente de principe entre le gouvernement Legault et les travailleuses des CPE. Publié à 9 h 21 HAE Entente de principe entre le gouvernement Legault et les travailleuses des CPELes 13 000 travailleuses des CPE devront se prononcer sous peu
Un appel à la centrale 911 a alerté les patrouilleurs du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) peu après 19 h
Les 13 000 travailleuses des CPE devront se prononcer sous peu
Une grave collision est survenue samedi vers 19 h 15 sur le boulevard Lacordaire
Un trentenaire se trouve entre la vie et la mort après avoir été poignardé au haut du corps dans sa voiture vendredi
Des agents du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) ont été dépêchés vers 16 h 45 sur la rue Jean-Rivard
en raison d’un homme inconscient dans sa voiture
ils ont retrouvé l’homme âgé de 39 ans inconscient et « blessé au haut du corps par un objet tranchant »
La victime a été transportée en centre hospitalier dans un état critique
et des enquêteurs ont été envoyés sur les lieux pour comprendre les circonstances de l’évènement
Une octogénaire est décédée après que son véhicule est entré en collision avec un lampadaire samedi soir dans l’arrondissement de Saint-Léonard
les policiers du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) ont été appelés à se rendre sur les lieux de l’impact
qui circulait à haute vitesse sur le boulevard
a fini sa course dans un lampadaire après une perte de contrôle
Des manœuvres de réanimation ont été effectuées avant qu’elle soit envoyée à l’hôpital pour y traiter des blessures sérieuses
Son décès a finalement été confirmé en matinée
Un périmètre de sécurité a été érigé afin de permettre aux enquêteurs de faire la lumière sur l’événement
et des images de caméra de surveillance seront consultées
Sur les quatre personnes qui ont nécessité une intervention
dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"L'attaque est survenue mardi soir
au moment où le couple rentrait à sa résidence de la rue Descartes à la suite d'une sortie
C'est à ce moment que les suspects s'en sont pris à eux
Au moins un coup de feu a été tiré lors de l'agression
selon l'agente Caroline Chèvrefils du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM)
Les victimes n'ont cependant pas été blessées par balle
Ils avaient tous les deux des blessures au haut du corps causées par la force physique
Personne n'avait été blessé par balle
Ils ont été transportés en centre hospitalier pour des blessures ne mettant pas leurs vies en danger
a précisé l'agente Chèvrefils
Les suspects ont rapidement pris la fuite à bord d'un véhicule avant l'arrivée des policiers sur les lieux
Les enquêteurs tentent de comprendre ce qui s'est passé et surtout les raisons pour lesquelles ces individus s'en sont pris à ces gens
Selon des informations obtenues par Radio-Canada
il s'agirait d'un couple sans histoire qui n’aurait aucun lien avec le crime organisé
La police poursuit son enquête pour tenter de déterminer le mobile de cette agression
Ouvrir en mode plein écranL'agression s'est produite devant la résidence du couple
dans un secteur résidentiel paisible de Saint-Léonard
Un homme de 82 ans et une femme de 71 ans ont été blessés mardi soir après avoir été agressés devant leur résidence par un groupe d'individus
au moment où le couple rentrait à sa résidence de la rue Descartes à la suite d'une sortie
C'est à ce moment que les suspects s'en sont pris à eux
Au moins un coup de feu a été tiré lors de l'agression
selon l'agente Caroline Chèvrefils du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM)
Les victimes n'ont cependant pas été blessées par balle
Ils avaient tous les deux des blessures au haut du corps causées par la force physique
Ils ont été transportés en centre hospitalier pour des blessures ne mettant pas leurs vies en danger
Les suspects ont rapidement pris la fuite à bord d'un véhicule avant l'arrivée des policiers sur les lieux
Les enquêteurs tentent de comprendre ce qui s'est passé et surtout les raisons pour lesquelles ces individus s'en sont pris à ces gens
il s'agirait d'un couple sans histoire qui n’aurait aucun lien avec le crime organisé
La police poursuit son enquête pour tenter de déterminer le mobile de cette agression
Un homme de 82 ans et une femme de 71 ans ont été blessés mardi soir après avoir été agressés devant leur résidence par un groupe d'individus
Un homme a été arrêté en lien avec une agression armée commise envers un couple de personnes âgées qui rentrait à sa résidence la semaine dernière
lorsqu’un coup de feu est entendu sur la rue Descartes
Le ou les auteurs de l’agression auraient pris la fuite à bord d’un véhicule avant l’arrivée des agents
le Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) a annoncé qu’un homme de 29 ans a finalement été appréhendé vendredi soir dernier relativement à cette affaire
Il a comparu au palais de justice de Montréal pour faire face à des accusations d’avoir déchargé intentionnellement une arme à feu
de possession d’une arme en vue de commettre une infraction
puisque le Service de police de la Ville de Montréal croit qu’un ou plusieurs autres suspects pourraient être impliqués
Toute personne ayant de l’information à propos de cet incident est priée de contacter le 911 ou son poste de quartier
Il est aussi possible de joindre la ligne Info-Crime de façon confidentielle au 514-393-1133 ou sur le web
Un homme de 57 ans a succombé à ses blessures après avoir été victime d’une attaque par objet tranchant
Un suspect a été arrêté par le Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) et transporté en centre de détention
L’attaque présumée a eu lieu dans un logement de la rue Belherbe
Le SPVM a reçu un appel concernant l’évènement vers 4 h 45
ils ont trouvé le corps de l’homme inanimé
qui a été transporté en centre hospitalier
Une enquête se poursuit dans le secteur où a été constatée la mort de la victime
dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"Vers 0 h 15
un appel a été reçu au 911 pour un véhicule incendié dans un stationnement résidentiel sur la rue Copernic
qui ne fait état d’aucune arrestation
Selon les premiers éléments d’information
au moins un suspect aurait été vu sur les lieux
Des témoins seront rencontrés par les policiers
Le véhicule a été remorqué pour une expertise
Ouvrir en mode plein écranSelon les premières informations recueillies par les policiers
au moins un suspect aurait été vu sur les lieux
Les policiers du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) tentent de retrouver le ou les auteurs d’un incendie criminel dans l’arrondissement Saint-Léonard
un appel a été reçu au 911 pour un véhicule incendié dans un stationnement résidentiel sur la rue Copernic
Des témoins seront rencontrés par les policiers
Le véhicule a été remorqué pour une expertise
en plein milieu d’un documentaire où on montrait la vie d’enfants d’immigrants italiens à Montréal
Des souvenirs non sollicités jaillissaient
C’est le passionnant documentaire de Félix Rose
À partir de séquences d’archives et de témoignages
ce film raconte la bataille qu’ont menée en 1968 et en 1969 des Canadiens français de Saint-Léonard et des militants nationalistes pour avoir des écoles françaises plutôt que des écoles bilingues
comme le souhaitaient les Italo-Canadiens installés dans cette toute nouvelle municipalité
Ce combat opposait le militant Raymond Lemieux au promoteur Mario Barone
l’homme qui a littéralement créé cette nouvelle ville
Les images en noir et blanc sont saisissantes
surgir dans les champs avec en toile de fond la nouvelle autoroute Métropolitaine
La bataille est un documentaire troublant sur une page capitale de notre Histoire : la fin mouvementée de la Révolution tranquille
qui mènera à la fondation du Parti québécois
tricoté à travers le récit de deux familles que tout oppose
on passe des enjeux familiaux à ceux du débat national
elle qui se méfiait de l’étranger avait épousé un Italien
mais ne voulait surtout pas que nous ressemblions à des « wops » de Saint-Léonard
a exigé que nous habitions un quartier francophone
Ma sœur et moi serions de bonnes petites Québécoises sans particularités
j’entendais à la radio le son de l’époque : Bill 63 sur la langue d’enseignement
mes parents posséderont leur carte de membre du PQ naissant
Mon cousin et moi passions de longues heures à dessiner
Mais au moment où nous allions entrer au secondaire
une chicane homérique est survenue entre ma mère et Edna
Ma mère était révoltée que sa belle-sœur ait choisi d’envoyer son fils à l’école anglaise
j’étais séparée de mon cousin « radioactif »
Ma mère interdisait à mon père de parler à son frère
les actions et l’intransigeance de leur père ont fait fuir leurs proches
ça prenait cette dose de détermination pour mener un combat plus grand que soi…
racontent comment leur famille était traquée
Leur maison fut incendiée à quelques reprises par des cocktails Molotov
La bataille de Saint-Léonard ne s’est pas éteinte avec 1969
Les dommages collatéraux de cette période effervescente se jouaient parallèlement dans l’intimité de plusieurs familles
La lutte pour le français s’est incarnée politiquement
nous nous sommes occupés à rattraper ce temps perdu — sans ma mère
profitant d’Egedio et d’Edna au maximum : ils sont morts l’an dernier
Mon cousin et moi sommes allés ensemble en Vénétie sur les traces de nos pères pour un bouleversant pèlerinage
Son parcours scolaire anglophone n’aura pas fait de mon cousin un moins bon Québécois
Mon parcours exclusivement francophone ne fait pas de moi une personne fermée comme ma mère l’était
Mon père a été la principale victime de cette rupture
J’aurais dû aller voir ce film avec mon cousin…
La force du documentaire de Félix Rose est de montrer l’intime et l’Historique
Les évènements qu’il décrit ont contribué à cette idée que la place du français doit être protégée par la loi
Les répercussions sont fondamentales pour le Québec actuel
des générations de néo-Québécois font leur vie en français
et raisonnablement concernées par l’avenir du Québec
ils préparent leur séance annuelle de fabrication familiale de tourtières
Il s'agit du sixième meurtre à survenir sur le territoire de la métropole depuis le début de l'année
Après une opération policière de plusieurs heures
le Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) confirme lundi midi qu'un homme a été retrouvé sans vie - poignardé à mort - dans une résidence de la rue Belherbe dans l'arrondissement Saint-Léonard
Il est présentement interrogé par des enquêteurs
L'intervention policière du SPVM a débuté au cours de la nuit après un appel fait au 911 pour signaler un homme blessé par arme blanche dans une résidence de la rue Belherbe
L'homme a été rapidement conduit à l'hôpital alors que son état de santé était jugé critique
la vie de l'homme ne serait plus en danger
Ayant reçu des informations selon lesquelles l'auteur de l'agression à l'arme blanche était toujours dans la résidence de la rue Belherbe et qu'il pouvait y avoir possiblement un ou d'autres blessés
avec le Groupe tactique d'intervention (GTI) et des maîtres-chiens
un périmètre de sécurité et a tenté des négociations avec le suspect
les policiers du GTI ont réussi à localiser le suspect au sous-sol
Ce dernier n’a pas résisté à son arrestation
Il a été par la suite interrogé par les enquêteurs au centre opérationnel
Il s'agit du sixième meurtre à survenir sur le territoire de la métropole depuis le début de l'année
Toujours selon des informations recueillies par Noovo Info
l’endroit où a eu lieu l’attaque serait connu
pour être fréquenté par des consommateurs de stupéfiants
On apprend que l'opération a d'ailleurs été relativement complexe en raison de l'encombrement des lieux
Des policiers ont dû enjamber des meubles et des déchets afin de procéder à l'arrestation du suspect
En collaboration avec Audrey Bonaque pour Noovo Info
« On parle toujours de la loi 101, de la nécessité de protéger le français au Québec, mais on ne questionne jamais d’où ça vient, les politiques linguistiques », lance le réalisateur Félix Rose. On se souvient de Camille Laurin
le père de la Charte de la langue française
Ce qu’il a accompli était le résultat de luttes sociales et ouvrières dont on a perdu de vue les racines
Comment se fait-il qu’on ne se souvienne pas de Saint-Léonard
Comment se fait-il qu’un conflit aussi important soit passé sous silence
La crise linguistique qui se joue au sortir des années 1960 constitue un prélude à ce qui allait se mettre en place dans la suite des choses
montre Félix Rose dans La bataille de Saint-Léonard
Il est rare qu’un documentaire trouve à faire son chemin jusque dans les salles de cinéma
À voir la réception chaleureuse qui est faite partout au Québec à Félix Rose
il apparaît évident que le sujet de la langue au Québec continue de passionner
une municipalité autonome et toute nouvelle en périphérie de Montréal
allait devenir contre toute attente un des champs de bataille d’une grave crise sociopolitique
« Je viens d’une famille du milieu ouvrier »
me répète à quelques reprises Félix Rose en entrevue
était associée de près aux revendications de ce milieu
aux efforts pour connaître des conditions de vie meilleures
C’est le mérite du documentaire signé par Félix Rose
porté par un remarquable travail de recherche dans les archives
de rappeler aux consciences d’aujourd’hui les termes des conflits sociaux qui se jouent autour de la question de la langue et du monde populaire
dans le prolongement d’une remise en question des modalités de l’exploitation de la majorité
Le premier ministre Daniel Johnson avait envisagé
de dépenser un milliard de dollars par année pour instruire 1,2 million de francophones en français pour les voir ensuite ne pas prendre les moyens nécessaires pour qu’ils ne soient pas des citoyens de seconde zone dans leur propre province
la mort de Johnson en fonction ne va pas arranger les choses
affirme une conception de la vie attachée d’abord à la défense des droits individuels
Pour les citoyens qui entendent faire instruire leurs enfants en anglais
il s’agit d’une question de libre-choix individuel
« Personne ne s’attendait à ce que ça dégénère »
Pour bien camper les camps qui s’affrontent
La bataille de Saint-Léonard s’articule autour des deux figures
élevé par une mère qui parle anglais à la maison
cet architecte n’était en rien destiné à s’intéresser à la question linguistique
où il dessine une église et un magnifique aréna
Lemieux découvre que tout doit se faire en anglais
Comment expliquer cette situation d’infériorisation de la majorité en son propre pays
Raymond Lemieux va se passionner pour la question de la place du français en société
explique à la caméra du documentariste qu’au moment d’examiner les bulletins de notes de ses enfants
cet architecte militant se préoccupait de tout
mais en affirmant que l’anglais n’était pas important
« Il avait la conviction que sa société pourrait vivre en français
« Le bilinguisme tel qu’il est pratiqué sur l’île de Montréal actuellement »
déclare Raymond Lemieux dans une entrevue d’époque
« mène à plus ou moins long terme à l’anglicisation avancée
le documentaire cerne la vie d’un immigrant italien né à Naples
Mario Barone arrive au pays après la guerre
tout en s’évitant de surcroît le service militaire
Barone hérite d’emplois dont personne ne veut
il sépare ce qui doit être enfoui de ce qui doit être brûlé
Barone n’a pas le courage de prendre le tramway
Il craint trop que les gens disent que les nouveaux arrivants
cet homme devient entrepreneur en construction
C’est lui qui perce dans les champs les rues de Saint-Léonard
porté par la promesse d’un avenir commun meilleur
Pour pousser plus loin sa vision du développement
Il devient le proche conseiller du maire de Saint-Léonard
« Il souhaite changer les règlements de zonage pour pouvoir construire plus haut »
C’est une conception purement capitaliste de la vie en société qu’il affirme avec conviction
À l’heure où nous vivons une profonde crise du logement
Félix Rose fait remarquer qu’un homme tel que Mario Barone a construit
quantité de demeures solides et fonctionnelles qui sont toujours debout
« Ce ne serait pas même imaginable aujourd’hui
Il a logé bien du monde qui avait besoin d’un toit
ce n’étaient pas de belles maisons qu’il construisait
Ses constructions sont destinées à la classe ouvrière
Personne pourtant ne s’intéresse à ce qui se passe dans ces banlieues qui poussent comme des champignons
« Il n’y a même pas d’archives filmées de Saint-Léonard en train de se construire »
« Les seules images que je possède du Saint-Léonard d’avant la crise viennent de la famille Barone
personne ne s’attendait à ce qu’elle trouble la quiétude de ce quartier
Les Italo-Québécois souhaitaient une éducation bilingue
il est troublant d’entendre des enfants expliquer qu’il leur est impensable de considérer qu’ils pourraient un jour travailler en français
« Les Italiens constataient comme tout le monde que
pour connaître de meilleures conditions de vie
« Les Italiens ont subi les stigmates de la crise de Saint-Léonard durant des années
s’est retrouvée instrumentalisée dans un épisode de luttes sociales et politiques dont nous aurions avantage à mieux comprendre les termes pour ne pas en reproduire les erreurs
Personne ne s’attend à ce que ça dégénère »
Le réalisateur croit à raison qu’il y a beaucoup à apprendre encore de cette crise à une époque où l’immigration se trouve injustement montrée du doigt pour expliquer tous les malheurs et que la langue n’est plus envisagée que sous un angle culturel
La bataille de Saint-Léonard prendra l’affiche le 11 octobre
Une femme de 71 ans et un homme de 82 ans ont été blessés lors d’une agression au cours de laquelle un coup de feu a été tiré mardi soir dans l’arrondissement de Saint-Léonard
le Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) a été alerté vers 21h30 pour un coup de feu entendu sur la rue Descartes
Les policiers qui se sont déplacés sur les lieux ont localisé les deux victimes avec des blessures au haut du corps causées par la force physique
selon la porte-parole du SPVM Caroline Chèvrefils
ont été transportés en centre hospitalier pour soigner des blessures qui ne mettent pas leur vie en danger
le couple aurait été agressé par plus d’un suspect
alors qu’au moins un coup de feu a été tiré au cours de l’événement
les suspects ont pris la fuite à bord d’un véhicule avant l’arrivée des policiers
qui précise que le mobile de l’agression demeure inconnu pour le moment
Des enquêteurs du SPVM ainsi que des techniciens en identité judiciaire devaient se déplacer sur les lieux pour analyser la scène et tenter de déterminer les circonstances de cette agression
Des témoins ont été rencontrés par les policiers qui ont également vérifié si des caméras de surveillance auraient capté la scène de l’agression
Un homme de 76 ans est toujours dans un état critique
après avoir été percuté par un automobiliste
Le conducteur du véhicule a pris la fuite après la collision
rapporte le Service de police de la Ville de Montréal (SPVM)
les policiers du SPVM ont été appelés à se rendre sur la rue Bélanger
afin de porter secours à une personne gravement blessée au haut du corps
il semblerait que l’homme ait été percuté par un véhicule et que la personne conduisant le véhicule a pris la fuite suite à la collision »
La victime a rapidement été prise en charge par les autorités et transportée en centre hospitalier
Des agents enquêteurs en collision et reconstitutionnistes ont été dépêchés sur place en fin de soirée afin d’éclaircir les circonstances entourant l’évènement
Des témoins ont été rencontrés sur place et les autorités ont procédé à la vérification des caméras de surveillance
Un piéton dans la soixantaine a été happé par un automobiliste à Longueuil
Le Service de police de l’agglomération de Longueuil (SPAL) a été appelé à intervenir vers 19 h 50 sur le boulevard Nobert
La victime présentait un état de conscience instable
Il a été pris en charge et transporté en centre hospitalier
Les agents du SPAL demandent à tous témoins de contacter le 911 afin d’aider à l’enquête
L’intersection avait été sécurisée à la suite des faits
mais la circulation y est désormais rétablie
dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"Ce chapitre fascinant de l’histoire québécoise est au cœur du documentaire La bataille de Saint-Léonard
la ville de Saint-Léonard (devenue un arrondissement de Montréal en 2002)
est secouée par une crise linguistique qui va transformer la société québécoise
Ce conflit oppose des parents francophones exigeant des écoles exclusivement françaises à des familles d’origine italienne
qui défendent le maintien d’un enseignement bilingue pour leurs enfants
Je pense que la crise de Saint-Léonard a été oubliée parce qu’elle s’est soldée par une sorte d’échec : on a appliqué le libre choix [de la langue d’enseignement] avec le Bill 63
Ce sera seulement corrigé plus tard avec Camille Laurin et l’arrivée de la loi 101
Le réalisateur a découvert ce chapitre de l'histoire pendant le tournage de son documentaire Les Rose, sur l'histoire de sa famille militante, dont son père Paul Rose, membre du FLQ.
On se souvient des gens qui réussissent des choses, mais on se souvient souvent très peu des gens qui ont labouré le terrain avant, comme Raymond Lemieux et Mario Barone.
Rien ne prédestinait Raymond Lemieux et Mario Barone à croiser le fer à la fin des années 1960 à Saint-Léonard. Le premier est un architecte qui a vu le jour à Montréal en 1933 d’un père anglophone de descendance canadienne-française et d’une mère d’origine irlandaise, tous deux nés aux États-Unis.
Le second a quitté l’Italie pour la métropole québécoise après la Deuxième Guerre mondiale, travaillant d’abord dans un dépotoir avant de devenir un entrepreneur immobilier prospère. C’est d’ailleurs lui qui a développé Saint-Léonard, bâtissant des dizaines et des dizaines de duplex sur des terres désertes dont personne ne voulait.
C’est en travaillant dans les usines que Raymond Lemieux s’est rendu compte du fossé qui séparait les anglophones et les francophones dans l’échelle sociale.
ll a compris que la langue des riches était l’anglais et que la langue des pauvres était le français, explique Félix Rose. Il a épousé une francophone et est devenu un francophile, un défenseur de la langue française.
De son côté, Mario Barone n’avait rien contre le français, une langue qu’il a tenu à apprendre dès son arrivée au Québec et qu’il a imposée à ses cinq enfants. Toutefois, il tenait énormément à l'anglais, qui était la langue des patrons d’entreprise, la clé pour accéder à un statut supérieur.
À la fin des années 1960, le conflit prend de l’ampleur, avec comme protagonistes Mario Barone, récemment élu conseiller municipal de Saint-Léonard, et Raymond Lemieux, qui fonde en 1968 le Mouvement pour l’intégration scolaire (MIS) qui milite pour les écoles exclusivement françaises.
Le 10 septembre marquera l’apogée violent de cette lutte sur la langue d’enseignement alors qu’une manifestation pacifique dégénère en émeute.
Vandalisme, incendies, échauffourées... Une centaine de personnes seront blessées et le maire de Saint-Léonard, Léo Ouellet, va décréter l'application de la Loi sur les émeutes, alors que Raymond Lemieux sera arrêté et accusé de sédition (il sera acquitté plus tard). Le lendemain, Mario Barone sera la cible d’une attaque à la bombe dans sa propre maison.
Deux mois plus tard, le premier ministre Jean-Jacques Bertrand – successeur de son collègue de l'Union nationale Daniel Johnson – adoptera la Loi sur la protection de la langue française au Québec, ou le Bill 63, qui rend l’enseignement du français obligatoire dans les écoles de langue anglaise, mais accorde aussi aux parents le droit de choisir la langue d’instruction de leurs enfants. Raymond Lemieux a perdu son combat.
C’est un peu ironique, parce que l’Union nationale a longtemps été le parti des francophones. Mais Bertrand vient d’une famille libérale, c’était probablement le plus fédéraliste des gens à l’Union nationale, explique Félix Rose. Il y avait aussi une volonté électorale d’avoir le vote des Anglais, qui n’avaient jamais voté pour l’Union nationale.
Au-delà du combat politique, le film de Félix Rose met en lumière les effets du militantisme sur la vie personnelle de ceux qui portent le combat, souvent au détriment de leur carrière et de leur famille.
Raymond Lemieux et Mario Barone ont choisi de se battre pour leurs convictions, mais pas forcément pour leur famille. Du côté des Lemieux, ça brise la famille, et du côté des Barone, ils se retrouvent avec un attentat à la bombe à la maison. Ça crée des traumatismes.
Ce dernier espère que son documentaire saura redonner leur place dans l’histoire à ses deux protagonistes, tout en agissant comme mise en garde. Je voulais éclairer le passé pour mieux comprendre le présent. On vit encore les mêmes débats aux niveaux de la langue, de l’immigration, explique-t-il. J'espère que ça va inviter au dialogue et montrer aussi jusqu'où ça peut aller si on ne fait pas attention.
Ouvrir en mode plein écranLa manifestation du 10 septembre 1969 contre les écoles bilingues à Saint-Léonard a dégénéré en émeute.
Charles RiouxPublié le 11 octobre 2024 à 4 h 00 HAEÉcouter l’article | 6 minutesLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale
une technologie basée sur l’intelligence artificielle.Raymond Lemieux et Mario Barone : deux noms pratiquement effacés des mémoires
mais dont la lutte acharnée en 1969 autour de la langue d’enseignement dans les écoles a jeté les assises de la loi 101
Ce chapitre fascinant de l’histoire québécoise est au cœur du documentaire La bataille de Saint-Léonard
la ville de Saint-Léonard (devenue un arrondissement de Montréal en 2002)
est secouée par une crise linguistique qui va transformer la société québécoise
Ce conflit oppose des parents francophones exigeant des écoles exclusivement françaises à des familles d’origine italienne
qui défendent le maintien d’un enseignement bilingue pour leurs enfants
Je pense que la crise de Saint-Léonard a été oubliée parce qu’elle s’est soldée par une sorte d’échec : on a appliqué le libre choix [de la langue d’enseignement] avec le Bill 63
Ce sera seulement corrigé plus tard avec Camille Laurin et l’arrivée de la loi 101
On se souvient des gens qui réussissent des choses, mais on se souvient souvent très peu des gens qui ont labouré le terrain avant, comme Raymond Lemieux et Mario Barone.
Rien ne prédestinait Raymond Lemieux et Mario Barone à croiser le fer à la fin des années 1960 à Saint-Léonard. Le premier est un architecte qui a vu le jour à Montréal en 1933 d’un père anglophone de descendance canadienne-française et d’une mère d’origine irlandaise, tous deux nés aux États-Unis.
Le second a quitté l’Italie pour la métropole québécoise après la Deuxième Guerre mondiale, travaillant d’abord dans un dépotoir avant de devenir un entrepreneur immobilier prospère. C’est d’ailleurs lui qui a développé Saint-Léonard, bâtissant des dizaines et des dizaines de duplex sur des terres désertes dont personne ne voulait.
Ouvrir en mode plein écranRaymond Lemieux, architecte, défenseur de la langue française et porte-parole du Mouvement pour l'intégration scolaire (MIS).
C’est en travaillant dans les usines que Raymond Lemieux s’est rendu compte du fossé qui séparait les anglophones et les francophones dans l’échelle sociale.
ll a compris que la langue des riches était l’anglais et que la langue des pauvres était le français, explique Félix Rose. Il a épousé une francophone et est devenu un francophile, un défenseur de la langue française.
De son côté, Mario Barone n’avait rien contre le français, une langue qu’il a tenu à apprendre dès son arrivée au Québec et qu’il a imposée à ses cinq enfants. Toutefois, il tenait énormément à l'anglais, qui était la langue des patrons d’entreprise, la clé pour accéder à un statut supérieur.
Ouvrir en mode plein écranMario Barone prend la parole lors d'un rassemblement.
À la fin des années 1960, le conflit prend de l’ampleur, avec comme protagonistes Mario Barone, récemment élu conseiller municipal de Saint-Léonard, et Raymond Lemieux, qui fonde en 1968 le Mouvement pour l’intégration scolaire (MIS) qui milite pour les écoles exclusivement françaises.
Le 10 septembre marquera l’apogée violent de cette lutte sur la langue d’enseignement alors qu’une manifestation pacifique dégénère en émeute.
Vandalisme, incendies, échauffourées... Une centaine de personnes seront blessées et le maire de Saint-Léonard, Léo Ouellet, va décréter l'application de la Loi sur les émeutes, alors que Raymond Lemieux sera arrêté et accusé de sédition (il sera acquitté plus tard). Le lendemain, Mario Barone sera la cible d’une attaque à la bombe dans sa propre maison.
Lancer l’écoute|8 minDeux mois plus tard, le premier ministre Jean-Jacques Bertrand – successeur de son collègue de l'Union nationale Daniel Johnson – adoptera la Loi sur la protection de la langue française au Québec, ou le Bill 63, qui rend l’enseignement du français obligatoire dans les écoles de langue anglaise, mais accorde aussi aux parents le droit de choisir la langue d’instruction de leurs enfants. Raymond Lemieux a perdu son combat.
C’est un peu ironique, parce que l’Union nationale a longtemps été le parti des francophones. Mais Bertrand vient d’une famille libérale, c’était probablement le plus fédéraliste des gens à l’Union nationale, explique Félix Rose. Il y avait aussi une volonté électorale d’avoir le vote des Anglais, qui n’avaient jamais voté pour l’Union nationale.
Ouvrir en mode plein écranLe réalisateur Félix Rose
La décision du ministre Bertrand sera vivement contestée dans les années qui suivent. Après sa défaite aux mains de Robert Bourassa en 1970, le Parti libéral du Québec, puis le Parti québécois travailleront à rectifier le tir, ce qui aboutira à l’adoption en 1977 de la Charte de la langue française, ou loi 101. Celle-ci stipule notamment que l’enseignement en français devient obligatoire pour les immigrants et immigrantes.
Au-delà du combat politique, le film de Félix Rose met en lumière les effets du militantisme sur la vie personnelle de ceux qui portent le combat, souvent au détriment de leur carrière et de leur famille.
Raymond Lemieux et Mario Barone ont choisi de se battre pour leurs convictions, mais pas forcément pour leur famille. Du côté des Lemieux, ça brise la famille, et du côté des Barone, ils se retrouvent avec un attentat à la bombe à la maison. Ça crée des traumatismes.
Ce dernier espère que son documentaire saura redonner leur place dans l’histoire à ses deux protagonistes, tout en agissant comme mise en garde. Je voulais éclairer le passé pour mieux comprendre le présent. On vit encore les mêmes débats aux niveaux de la langue, de l’immigration, explique-t-il. J'espère que ça va inviter au dialogue et montrer aussi jusqu'où ça peut aller si on ne fait pas attention.
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Ce chapitre fascinant de l’histoire québécoise est au cœur du documentaire La bataille de Saint-Léonard
Le réalisateur a découvert ce chapitre de l'histoire pendant le tournage de son documentaire Les Rose
On se souvient des gens qui réussissent des choses
mais on se souvient souvent très peu des gens qui ont labouré le terrain avant
Rien ne prédestinait Raymond Lemieux et Mario Barone à croiser le fer à la fin des années 1960 à Saint-Léonard
Le premier est un architecte qui a vu le jour à Montréal en 1933 d’un père anglophone de descendance canadienne-française et d’une mère d’origine irlandaise
Le second a quitté l’Italie pour la métropole québécoise après la Deuxième Guerre mondiale
travaillant d’abord dans un dépotoir avant de devenir un entrepreneur immobilier prospère
C’est d’ailleurs lui qui a développé Saint-Léonard
bâtissant des dizaines et des dizaines de duplex sur des terres désertes dont personne ne voulait
C’est en travaillant dans les usines que Raymond Lemieux s’est rendu compte du fossé qui séparait les anglophones et les francophones dans l’échelle sociale
ll a compris que la langue des riches était l’anglais et que la langue des pauvres était le français
Il a épousé une francophone et est devenu un francophile
un défenseur de la langue française
Mario Barone n’avait rien contre le français
une langue qu’il a tenu à apprendre dès son arrivée au Québec et qu’il a imposée à ses cinq enfants
il tenait énormément à l'anglais
qui était la langue des patrons d’entreprise
la clé pour accéder à un statut supérieur
récemment élu conseiller municipal de Saint-Léonard
qui fonde en 1968 le Mouvement pour l’intégration scolaire (MIS) qui milite pour les écoles exclusivement françaises
Le 10 septembre marquera l’apogée violent de cette lutte sur la langue d’enseignement alors qu’une manifestation pacifique dégénère en émeute
Une centaine de personnes seront blessées et le maire de Saint-Léonard
va décréter l'application de la Loi sur les émeutes
alors que Raymond Lemieux sera arrêté et accusé de sédition (il sera acquitté plus tard)
Mario Barone sera la cible d’une attaque à la bombe dans sa propre maison
le premier ministre Jean-Jacques Bertrand – successeur de son collègue de l'Union nationale Daniel Johnson – adoptera la Loi sur la protection de la langue française au Québec
qui rend l’enseignement du français obligatoire dans les écoles de langue anglaise
mais accorde aussi aux parents le droit de choisir la langue d’instruction de leurs enfants
parce que l’Union nationale a longtemps été le parti des francophones
Mais Bertrand vient d’une famille libérale
c’était probablement le plus fédéraliste des gens à l’Union nationale
Il y avait aussi une volonté électorale d’avoir le vote des Anglais
qui n’avaient jamais voté pour l’Union nationale
La décision du ministre Bertrand sera vivement contestée dans les années qui suivent
Après sa défaite aux mains de Robert Bourassa en 1970
puis le Parti québécois travailleront à rectifier le tir
ce qui aboutira à l’adoption en 1977 de la Charte de la langue française
Celle-ci stipule notamment que l’enseignement en français devient obligatoire pour les immigrants et immigrantes
le film de Félix Rose met en lumière les effets du militantisme sur la vie personnelle de ceux qui portent le combat
souvent au détriment de leur carrière et de leur famille
Raymond Lemieux et Mario Barone ont choisi de se battre pour leurs convictions
ils se retrouvent avec un attentat à la bombe à la maison
Ce dernier espère que son documentaire saura redonner leur place dans l’histoire à ses deux protagonistes
Je voulais éclairer le passé pour mieux comprendre le présent
On vit encore les mêmes débats aux niveaux de la langue
J'espère que ça va inviter au dialogue et montrer aussi jusqu'où ça peut aller si on ne fait pas attention
Le réalisateur a découvert ce chapitre de l'histoire pendant le tournage de son documentaire Les Rose
Un chapitre fascinant de l’histoire québécoise, qui a jeté les assises de la loi 101, est au cœur du documentaire de Félix Rose La bataille de Saint-Léonard
le réalisateur a épluché et documenté un conflit entre les francophones et les italophones qui n’étaient pas d’accord au sujet de la langue d’enseignement dans les écoles du quartier au cours des années 60
« Les Italiens représentaient 40 % de la population à Saint-Léonard et ça a créé un choc culturel dans les écoles »
Raymond Lemieux et Mario Barone : deux noms pratiquement effacés des mémoires
mais dont la lutte acharnée en 1969 autour de la langue d’enseignement dans les écoles a jeté les assises de la loi 101
C’est un appel au 911 vers 0 h 30, jeudi, qui a mené les policiers dans un stationnement de la rue Pascal-Gagnon, à Saint-Léonard, où ils ont découvert les corps du fils et de sa mère à bord d’un véhicule recherché par la police.
Des manœuvres de réanimation ont été tentées sur ces personnes. Malheureusement, leur décès a été constaté sur place, a expliqué l’agente du SPVM Véronique Dubuc.
Présentement, on considère ces décès comme des morts suspectes, a ajouté Mme Dubuc, qui a précisé plus tard que l'enquête avait été confiée au Bureau des enquêtes indépendantes (BEI), sans en préciser la raison.
Par conséquent, aucun commentaire supplémentaire ne sera fait par le SPVM sur cette affaire.
Dans un communiqué publié peu de temps après, la Sûreté du Québec a annoncé qu’elle avait été mandatée pour prêter assistance au BEI dans cette enquête.
Le BEI enquête sur le volet de l'intervention policière du SPVM effectuée préalablement, alors que la Sûreté du Québec a été chargée d'analyser la scène et d’éclaircir les causes et circonstances entourant ces deux décès. L’enquête se poursuit, précise le communiqué.
Stéphane Bordeleau est journaliste depuis 1998. Diplômé en science politique à l'Université de Montréal, il a écrit pour plusieurs émissions d'information à la télévision de Radio-Canada avant de se joindre à l'équipe du site Nouvelles de Radio-Canada.ca, où il couvre l'actualité quotidienne depuis plus de vingt ans.
Ouvrir en mode plein écranLes deux personnes se trouvaient dans un VUS stationné dans un espace industriel de l'arrondissement Saint-Léonard.
Le SPVM avait signalé leur disparition mardi dans les médias et avait même dépêché un poste de commandement dans Saint-Léonard pour contribuer aux recherches.
C’est un appel au 911 vers 0 h 30, jeudi, qui a mené les policiers dans un stationnement de la rue Pascal-Gagnon, à Saint-Léonard, où ils ont découvert les corps du fils et de sa mère à bord d’un véhicule recherché par la police.
Des manœuvres de réanimation ont été tentées sur ces personnes. Malheureusement, leur décès a été constaté sur place, a expliqué l’agente du SPVM Véronique Dubuc.
Présentement, on considère ces décès comme des morts suspectes, a ajouté Mme Dubuc, qui a précisé plus tard que l'enquête avait été confiée au Bureau des enquêtes indépendantes (BEI), sans en préciser la raison.
Par conséquent, aucun commentaire supplémentaire ne sera fait par le SPVM sur cette affaire.
Dans un communiqué publié peu de temps après, la Sûreté du Québec a annoncé qu’elle avait été mandatée pour prêter assistance au BEI dans cette enquête.
Le BEI enquête sur le volet de l'intervention policière du SPVM effectuée préalablement, alors que la Sûreté du Québec a été chargée d'analyser la scène et d’éclaircir les causes et circonstances entourant ces deux décès. L’enquête se poursuit, précise le communiqué.
Le SPVM avait signalé leur disparition mardi dans les médias et avait même dépêché un poste de commandement dans Saint-Léonard pour contribuer aux recherches
C’est un appel au 911 vers 0 h 30
qui a mené les policiers dans un stationnement de la rue Pascal-Gagnon
où ils ont découvert les corps du fils et de sa mère à bord d’un véhicule recherché par la police
Des manœuvres de réanimation ont été tentées sur ces personnes
leur décès a été constaté sur place
a expliqué l’agente du SPVM Véronique Dubuc
on considère ces décès comme des morts suspectes
qui a précisé plus tard que l'enquête avait été confiée au Bureau des enquêtes indépendantes (BEI)
aucun commentaire supplémentaire ne sera fait par le SPVM sur cette affaire
Dans un communiqué publié peu de temps après
la Sûreté du Québec a annoncé qu’elle avait été mandatée pour prêter assistance au BEI dans cette enquête
Le BEI enquête sur le volet de l'intervention policière du SPVM effectuée préalablement
alors que la Sûreté du Québec a été chargée d'analyser la scène et d’éclaircir les causes et circonstances entourant ces deux décès
Stéphane Bordeleau est journaliste depuis 1998
Diplômé en science politique à l'Université de Montréal
il a écrit pour plusieurs émissions d'information à la télévision de Radio-Canada avant de se joindre à l'équipe du site Nouvelles de Radio-Canada.ca
où il couvre l'actualité quotidienne depuis plus de vingt ans
Les agents du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) ont découvert la nuit dernière les corps sans vie de Lucia Giovanna Arcuri
à bord d’un véhicule utilitaire sport dans un stationnement de l’arrondissement Saint-Léonard
Un homme dans la vingtaine a été blessé par projectiles d’arme à feu mercredi soir dans un appartement de Saint-Léonard
Les agents du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) sont intervenus vers 23 h dans le logement de la rue Saint-Zotique
Ils localisent sur place un homme de 23 ans
La victime était consciente lors de son transport à l’hôpital et on ne craint pas pour sa vie
un homme de 24 ans et une adolescente de 17 ans
n’ont pas été blessés lors de la fusillade
Il n’y a aucune arrestation en lien avec cet évènement pour le moment
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Un cours du baccalauréat en géographie fait découvrir les secrets de ce joyau de notre patrimoine naturel
son court de tennis et ses modules de jeux pour enfants
le parc Pie-XII de Saint-Léonard ressemble
À quelques mètres de ces installations se trouve toutefois une attraction qui sort de l’ordinaire: l’entrée de l’un des principaux joyaux souterrains du Québec
cette caverne est unique au monde par son origine glaciotectonique
c’est-à-dire qu’elle a été formée grâce au poids et aux déplacements de la calotte glaciaire qui recouvrait alors l’île de Montréal
et non par l’action de l’eau qui dissout le calcaire
comme c’est le cas pour la grande majorité des cavernes
elle a été aménagée pour le public au tournant des années 1980 et a obtenu le statut de patrimoine naturel régional en 1989
La découverte de nouvelles galeries en 2017 a fait passer les dimensions de la caverne de 40 mètres à plus de 400 mètres
«Ce joyau demeure malgré tout méconnu de la grande majorité de la population»
Par un beau mercredi matin d’octobre, le professeur avait invité les étudiantes et étudiants de son cours Reliefs et structures terrestres à visiter la caverne. Ce cours de première année au baccalauréat en géographie se veut une introduction à la géomorphologie
c’est-à-dire qu’il présente les principaux événements géologiques responsables des grands reliefs du globe
nous faisons des expéditions au mont Royal
dans les basses-terres du Saint-Laurent et en Beauce»
Olivier Caron est accompagné de deux sommités dans le domaine: le professeur associé du Département de géographie Jacques Schroeder et le spéléologue Daniel Caron [NDLR: Daniel et Olivier Caron n’ont pas de lien de parenté]
les trois experts expliquent au groupe l’origine de la grotte
nous enfilons nos casques de spéléologie munis d’une lampe frontale
non parce qu’il vous protégerait si le plafond de la caverne venait à s’effondrer
mais parce que certains passages sont si étroits que vous risquez de vous cogner la tête»
Le spéléologue nous ouvre l’entrée de la caverne
barrée par deux cadenas qui visent autant à assurer la sécurité des passants trop curieux qu’à éviter le vandalisme – des dommages ont été causés aux murs de la grotte il y a quelques années
Nous entrons dans la partie de la caverne connue avant 2017
Olivier Caron attire notre attention sur la roche qui forme les murs du souterrain
«Le calcaire date d’il y a 450 millions d’années
on peut en déduire qu’il a été formé par l’accumulation de sédiments
les roches sédimentaires ont été injectées de magma
qui s’est infiltré par des fractures ou entre les strates
on peut observer la nette ligne de démarcation entre le calcaire qui n’a pas été injecté par le magma et le filon-couche de magma»
Le professeur nous invite ensuite à explorer les galeries découvertes après 2017
Le groupe doit toutefois se scinder en deux
nous devons ramper à travers d’étroits passages
et un faux pas causerait une chute de quelques mètres
une corde fixée à la roche nous permet de conserver notre équilibre
Au bout de ces passages étroits se trouve une immense galerie
au plafond beaucoup plus haut que celui de la caverne historique
«Nous nous trouvons présentement à six mètres sous le niveau du sol
nous aurions eu de l’eau jusqu’à la poitrine
Cela démontre la sécheresse qui frappe les eaux souterraines du Québec depuis quelques décennies.»
Bien que la caverne s’étale encore sur quelques centaines de mètres
notre visite se termine dans cette galerie
Jacques Schroeder nous invite à regarder le reste des passages au loin
Des visites éducatives de la caverne sont organisées par Spéléo Québec tous les étés
« Ils sont en train de brimer des droits fondamentaux
le droit qu’on a d’éduquer nos enfants comme on veut
« Ce n’est pas la culture anglaise qui est menacée au Québec
[Les Canadiens français se battent pour] leurs droits fondamentaux de vivre pleinement dans leur langue notamment dans les domaines du travail
L’État doit choisir entre deux conceptions du Québec
C’est ce que raconte La bataille de Saint-Léonard
Ce documentaire s’inscrit déjà dans la liste des quelques films qu’il faut voir pour comprendre le Québec d’hier
mais également pour comprendre celui d’aujourd’hui
raconte la crise linguistique de Saint-Léonard
l’un des principaux affrontements à l’origine de la loi 101
pour connaître ce pan de l’histoire du Québec
Mais à voir également parce que ce film est d’une troublante actualité
La bataille de Saint-Léonard met en lumière l’affrontement entre Mario Barone
qui défend la primauté absolue des droits individuels
qui défend l’idée que l’on puisse les limiter pour assurer la survie d’une petite nation française en Amérique du Nord
Il continue dans nos cégeps où la liberté de choix a des conséquences : il y a 17,4 % d’anglophones sur l’île de Montréal
mais 48 % des diplômes de cégep y sont décernés en anglais
Il continue dans le monde du travail où la place du français comme langue commune diminue constamment2
d’où la nécessité de la loi 96 qui renforce la francisation des entreprises
où l’on doit légiférer pour protéger l’accès aux ondes radio et aux plateformes numériques par la chanson française3
Il continue dans le monde de la télé où il faut
légiférer pour favoriser la découvrabilité des œuvres produites dans la langue commune du Québec4
le débat de fond est le même qu’à Saint-Léonard : qu’est-ce qui prime
la liberté individuelle et la liberté d’entreprise ou plutôt le droit d’une collectivité de protéger sa capacité de vivre en français
C’est tout le drame de ces batailles : sur le principe
Ce sont donc les conséquences du libre choix qui nous aident à trancher
de la science politique : « … entre le fort et le faible
c’est la liberté qui opprime et la loi qui affranchit »
c’est la liberté qui opprime et la loi qui affranchit
est un outil exceptionnel pour mieux comprendre le rapport du Québec à la religion
rend quant à lui hommage aux idéaux et à la bravoure de nos plus grands héros
nous rappelle que les nations progressent grâce au courage d’hommes et de femmes qui s’engagent en politique et qui en paient parfois un prix fort
Ce documentaire nous rappelle aussi qu’aujourd’hui
une conception absolutiste des droits individuels équivaut à consacrer l’anglais langue commune
Près de 70 % des images de La bataille de Saint-Léonard sont des images d’archives qui coûtent une fortune
Bien peu de producteurs peuvent se les payer
surtout quand ils doivent les acheter à Radio-Canada ou à l’Office national du film qui sont à la fois les plus grands détenteurs d’archives audiovisuelles québécoises et ceux dont les prix sont les plus élevés
nous avons le talent pour bien la raconter
mais nos artistes n’ont pas les moyens de payer pour y avoir accès
les licences pour utilisation à perpétuité étant hors de prix (100 $ la seconde !)
les producteurs n’achètent généralement qu’une licence pour cinq ans
Les films disparaissent des écrans au bout de cette période
car ils n’ont plus le droit d’y être diffusés
C’est ce qui arrivera aux séries documentaires Le dernier felquiste en 2025 et Québec Rock : Offenbach vs Corbeau en 2029
Elles disparaîtront des écrans de cinéma et de télévision
Avis aux élus : il y a une belle réforme à faire dans le monde des archives
Au moins cinq véhicules ont été incendiés dans l’arrondissement de Saint-Léonard
L’évènement est survenu à l’intersection des rues du Champ-d’Eau et Louis-Sicard
L’incendie s’est déclaré vers 20 h 50 dans un véhicule et s’est propagé ensuite aux autres véhicules ainsi qu’à un bâtiment situé à proximité
Le feu a été maîtrisé et aucune personne n’a été blessée
L’enquête sera effectuée par le module des incendies criminels du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM)
L’équipe se rendra sur place pour analyser la situation et établir les causes de l’incendie
prenez-vous en charge les risques liés…
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en compagnie des chargées de projets de Construction Pépin Fortin
Isabelle Laroche et Marie-Ève Roberge-Chaput
de la directrice générale de la Municipalité
d’un garage et l’implantation de trois dômes pour l’entreposage d’abrasif pourra aller de l’avant vers la mi-février à l’arrière du bâtiment qui abrite l’hôtel de ville et la bibliothèque municipale depuis 2017
L'édifice de 160 pieds par 140 doit être livré en décembre 2025
Il comprendra cinq portes en façade qui serviront pour la caserne des pompiers
le garage municipal sera doté de trois portes fermées et d’un abri couvert d’une quarantaine de pieds de largeur
L’appentis servira pour entreposer de la machinerie durant l’hiver
parce que si on entre les véhicules à l’intérieur durant l’hiver
explique le maire de Saint-Léonard-d’Aston
des espaces de rangement et des salles de lavage et de séchage des équipements sont également aménagés
Des espaces partagés seront aussi disponibles pour les deux services municipaux
soit une salle de formation et une salle à manger avec cuisinette
Les trois dômes seront quant à eux d’une dimension de 40 pieds par 60 pour le sel pur
de 60 par 80 pour le mélange de sable et de sel et un autre de 50 par 70 pour de l’entreposage d'équipements
Le tout prendra place sur le site qui a été libéré par le déménagement de l'écocentre qui a été reconstruit juste à côté
Les anciens bâtiments du MTQ qui sont encore sur place disparaîtront également pour faire place aux nouvelles infrastructures
Tout a d’ailleurs été prévu pour maximiser l’utilisation du site
les trois sections seront séparées par une clôture et des accès sont prévus pour chacune d’entre elles
L’accès au garage des travaux publics se fera par le rang Saint-Joseph et celui des pompiers par la rue de l’Exposition
L’entrée de l'écocentre sera quant à lui située sur la rue Principale
Le projet représente un investissement de l’ordre de 9,6 millions de dollars
soit le montant du contrat qui a été octroyé à l’entreprise Pépin Fortin Construction qui a remporté le processus d’appel d’offres lancé cet été
Un montant nettement inférieur à l'évaluation initiale de 16,1 millions qui avait été faite par l’architecte
La signature du contrat a été confirmée après la réception d’une lettre de la ministre des Affaires municipales et de l’Habitation (MAMH)
confirmant que le projet est admissible à une aide financière de 7 095 900 $ dans le cadre du volet 1 du Programme d’amélioration et de construction d’infrastructures municipales (PRACIM)
Une subvention qu’est venu annoncer le député de Nicolet-Bécancour
en présence des membres du conseil municipal et des représentants de différentes entreprises impliquées dans le projet
Un règlement d’emprunt de 11,5 millions de dollars a déjà été adopté par le conseil municipal lors de la séance spéciale du 18 novembre pour prévoir le financement du projet intégré pour la sécurité incendie et la voirie
Cette somme est plus élevée que le montant nécessaire
mais elle permettra d’avancer les fonds pour la durée des travaux
puisque la subvention sera versée une fois que tout sera terminé
«On en prend toujours un peu plus au cas où il y a des imprévus
on va emprunter ce dont on a besoin quand ça sera le temps du règlement d’emprunt permenant»
La vente d’immeubles municipales fait aussi partie du montage financier afin de réduire la facture du projet
Un premier montant de 80 000 $ a pu être mis de côté grâce à la vente du terrain de l’ancien club de croquet qui a été démoli il y a deux ans pour y construire des blocs appartements
La caserne et le garage municipal actuels feront également l’objet d’une vente au prix du marché
«On sait qu’actuellement ça se vend toujours un peu plus cher
mais on est allé conservateur avec le prix de l'évaluation actuelle»
Celui s’attend à être en mesure d’aller chercher environ 700 000 $ à 800 000 $ en vendant les deux bâtiments pour lesquels il y aurait déjà beaucoup d’intérêt dans la communauté
La quote-part de la desserte incendie des municipalités de Grand-Saint-Esprit et de Sainte-Monique
qui relève de Saint-Léonard-d’Aston depuis déjà deux ans
servira également à réduire les différents paiements qui seront étalés sur plusieurs années
Le projet de caserne comporte d’ailleurs une porte supplémentaire que celle qui n'était plus aux normes près de la voie ferrée
Ceci vise à prévoir les besoins futurs ou pour ajouter des services si jamais Saint-Léonard-d’Aston dessert d’autres municipalités des alentour
Donald Martel a également profité de sa présence pour annoncer une aide financière de près de 6,2 millions provenant du Programme d’infrastructures municipales d’eau (PRIMEAU) et ainsi gonfler à 13 millions le soutien accordé par le gouvernement du Québec
Celle-ci servira à éponger une partie des travaux de renouvellement des conduites sous le 9e Rang ainsi que sous les rues Germain
Dubé et Dauth qui ont eu lieu l'été dernier au coût d’environ neuf millions de dollars
«Il y a tout près de deux kilomètres de conduites qui ont été remplacées
on a le pluvial et le sanitaire alors qu’on avait juste un unitaire avant
Il y a deux secteurs où il reste une couche de finition à faire
Il restera donc environ trois semaines à un mois de travaux à finir au printemps.»
Un autre projet d’infrastructure est également sur la table à Saint-Léonard-d’Aston
soit le remplacement de l’usine de traitement des eaux
le projet d’une hauteur de 15 millions devrait se faire en 2026 ou en 2027
qui indique que le projet sera subventionné à 95 %
On la déménage de place et on va grossir parce qu’il nous manquait de réserve d’eau
Ça nous donne notre quantité d’eau dont on aura besoin pour le futur.»
Sébastien Lacroix travaille comme journaliste depuis 2005
principalement sur la rive sud de Trois-Rivières
mais également en Mauricie et dans la région de Sorel-Tracy
Il s'est joint à l'équipe du Nouvelliste en 2020 comme journaliste affecté aux actualités générales
Les policiers de Montréal ont découvert un homme poignardé dans un véhicule à Saint-Léonard
les autorités du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) ont été appelées à se rendre sur la rue Jean-Rivard
elles ont repéré un homme inconscient et assis dans une voiture
Il a été «gravement blessé au haut du corps avec un objet tranchant»
La victime a été transportée dans un centre hospitalier dans un état critique
Les policiers ont confirmé samedi que l'homme se trouve désormais dans un état stable
Les circonstances entourant cet événement sont toujours inconnues par les policiers
La scène de crime a été protégée et les enquêteurs sont en direction afin de mieux comprendre ce qui s’est passé
Accueil / Actualités
C’est le 7 décembre prochain qu’aura lieu le défilé du père Noël
Tout le monde est donc convié à venir assister à la septième édition du Défilé de Noël Desjardins de Saint-Léonard-d’Aston
Le défilé débutera à 17h et empruntera les grandes artères du village. Pour plus d’informations, consultez le Facebook de St-Léo en famille via le https://www.facebook.com/stleoenfamille
Ces activités sont rendues possibles grâce à la participation des caisses Desjardins Godefroy
de la Municipalité de Saint-Léonard-d’Aston
ainsi que de nombreux bénévoles et partenaires
Accueil / Infolettre
La construction du nouveau bâtiment qui abritera le garage municipal et la caserne de Saint-Léonard-d’Aston s’amorcera à la mi-février
L’entrepreneur (Pépin Fortin Construction) achèvera les travaux à la mi-décembre
à laquelle se grefferont trois dômes pour l’entreposage d’abrasifs
prendra place au 444 rue de l’Exposition
à l’arrière de l’hôtel de ville et de la bibliothèque
Elle occupera un espace de 140 X 160 pieds et comprendra cinq portes de garage pour les pompiers et trois portes de garage pour les Travaux publics
il y aura un appentis avec une ouverture de 40 pieds
C’est à cet endroit que la Municipalité entreposera
En ce qui concerne l’aménagement intérieur
des espaces de rangement et des bureaux administratifs
ainsi qu’une salle de lavage et de séchage pour les équipements des pompiers du côté de la caserne
Des espaces partagés seront à la disposition des deux services municipaux
Le projet représente un investissement totalisant 9,53 M$
financé à 70% par le gouvernement du Québec via le Programme d’amélioration et de construction d’infrastructures municipales (PRACIM)
L’aide financière gouvernementale pourra atteindre 7 095 900$
La nouvelle a été officialisée par le député de Nicolet-Bécancour
au nom de la ministre des Affaires municipales Andrée Laforest
lors d’une conférence de presse tenue le 9 janvier
« La filière batterie se développe à Bécancour et c’est important de se mettre beau et d’être attractif
ne manquant pas de souligner que depuis 2023
des aides financières totalisant 56,3 M$ ont été annoncées dans sa circonscription
je me suis donné comme mission d’être le défenseur des petites municipalités
Les investissements réalisés auront des impacts pour plusieurs années
Un violent incendie a ravagé tôt ce matin l’entreprise Doucet et fils
@ Crédit photo Eric Beaupré / Vingt55 Tous droits réservés
La première alarme a été déclenchée peu avant 7h30
À l’arrivée des premières équipes de pompiers
le feu s’était déjà propagé à une grande partie de l’usine
directeur du service incendie de Saint-Léonard-d’Aston
« Les flammes et la fumée envahissaient l’ensemble du bâtiment
nous avons rapidement demandé l’entraide des municipalités voisines
a précisé le chef Frédérick Marcotte alors que les pompiers combattaient toujours l’incendie
Une cinquantaine de pompiers ont été mobilisés pour maîtriser l’incendie
l’électricité a été coupée dans le secteur
facilitant le travail des équipes sur place
Une pelle mécanique a également été utilisée pour abattre certaines parties de la structure
jugées instables et menaçant de s’effondrer
La route 155 a été temporairement fermée à la circulation
Des employés du ministère des Transports du Québec (MTQ) et des bénévoles du SIUCQ ont été dépêchés sur place pour contrôler le trafic et établir un détour sécurisé autour du périmètre d’intervention
Personne n’a été blessé lors de l’incident
l’entreprise Doucet et fils subit une perte totale
Les causes de l’incendie demeurent pour l’instant inconnues
« Une enquête est en cours pour déterminer l’origine du sinistre »
espérant faire la lumière sur les circonstances qui ont conduit à la destruction complète de l’usine familiale
Information et demandes publicitaires mediaweb@vingt55.com
Communiqués et nouvelles nouvelles@vingt55.com
Administration et comptabilité comptabilite@vingt55.com
dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"À Saint-Léonard
la pression s’est accumulée sur les employés municipaux au cours des dernières années
Pour une petite municipalité comme la nôtre
c'est d'être toujours à l'affût de tout
et on n'est pas capables d'être à l'affût de tout
C’est sûr qu’il y a toujours des dossiers qu’on met de côté
parce qu’il y a toujours des dossiers plus prioritaires
Saint-Léonard-de-Portneuf compte un peu moins de 1200 habitants
alors que Saint-Raymond en compte 11 000
Cela fait donc toute une différence sur les revenus fonciers que la petite municipalité collecte annuellement
Avec les difficultés qu'on a en termes de main-d'œuvre
faire un regroupement avec une autre ville
ça va aider notre petite ville à pouvoir prendre de l'expansion
la fusion de sa municipalité avec sa voisine est naturelle
Ça fait longtemps que Saint-Léonard et Saint-Raymond parlent ensemble
précisant que Saint-Raymond et Saint-Léonard partagent déjà le même service de sécurité incendie
Saint-Léonard nous a demandé de s'occuper de la question des loisirs pour les familles
on a quelqu'un de chez nous qui va s'occuper de l'urbanisme à Saint-Léonard
Est-ce qu'on peut prendre ces deux villes-là et en faire une ville encore plus vivante
Claude Duplain croit que Saint-Raymond aussi gagnerait à fusionner avec Saint-Léonard
C'est un territoire qui est excessivement beau et il y a un potentiel de développement
Les deux conseils municipaux ont adopté chacun une résolution pour demander au ministère des Affaires municipales et de l’Habitation d’étudier la faisabilité et les impacts d’une fusion
au bout desquels la population et les conseillers municipaux des deux villages seront consultés et devront se prononcer
Le professeur François Des Rosiers s’intéresse depuis longtemps au phénomène des fusions municipales
Il explique que le MAMH étudiera une chose en particulier durant ses travaux : la comptabilité entre les deux municipalités
Il faut que les municipalités aient un objectif commun de développement
une vision commune de développement des intérêts communs
Celui qui enseigne au Département de finance
assurance et immobilier de l’Université Laval estime que le cas de Saint-Léonard témoigne de préoccupations partagées par de nombreuses petites municipalités à l'heure actuelle
Il y a une préoccupation majeure dans les régions où il y a beaucoup de petites municipalités
des petites municipalités rurales n’arrivent pas à joindre les deux bouts et n’ont pas les moyens de fournir les services à leur population
l'augmentation du coût des services et notamment du coût de la main-d'œuvre
expliquant que la mise en commun des ressources permet souvent de mieux financer les services offerts à leurs citoyens
Fusions municipales : la réflexion plus vive que jamais en Matanie
Un pas de plus vers une fusion de Saint-Félix-de-Dalquier avec Amos
Flavie Sauvageau est journaliste à Radio-Canada depuis 2020. Après des études en économie, elle a travaillé dans les stations de Montréal et de Trois-Rivières, avant de joindre l'équipe de Québec en 2022. Elle s'intéresse particulièrement au développement local et régional, notamment dans la MRC de Portneuf.
2:28Les municipalités de Saint-Léonard et se Saint-Raymond ont demandé au Ministère des Affaires municipales et de l'Habitation d'étudier la faisabilité et les impacts de leur fusion éventuelle.
Flavie SauvageauPublié le 2 septembre 2024 à 6 h 02 HAEÉcouter l’article | 4 minutesLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale
une technologie basée sur l’intelligence artificielle.Les municipalités de Saint-Léonard-de-Portneuf et de Saint-Raymond songent sérieusement à unir leurs destinées en fusionnant
Un cas qui illustre les problèmes de main-d’œuvre et de ressources auxquels font face plusieurs petites municipalités rurales
la pression s’est accumulée sur les employés municipaux au cours des dernières années
Pour une petite municipalité comme la nôtre
et on n'est pas capables d'être à l'affût de tout
C’est sûr qu’il y a toujours des dossiers qu’on met de côté
parce qu’il y a toujours des dossiers plus prioritaires
Ouvrir en mode plein écranLe maire de Saint-Raymond
pensent tous deux que leurs municipalités seraient gagnantes en s'unissant
Saint-Léonard-de-Portneuf compte un peu moins de 1200 habitants
Cela fait donc toute une différence sur les revenus fonciers que la petite municipalité collecte annuellement
Avec les difficultés qu'on a en termes de main-d'œuvre
ça va aider notre petite ville à pouvoir prendre de l'expansion
la fusion de sa municipalité avec sa voisine est naturelle
Ça fait longtemps que Saint-Léonard et Saint-Raymond parlent ensemble
précisant que Saint-Raymond et Saint-Léonard partagent déjà le même service de sécurité incendie
Saint-Léonard nous a demandé de s'occuper de la question des loisirs pour les familles
on a quelqu'un de chez nous qui va s'occuper de l'urbanisme à Saint-Léonard
Est-ce qu'on peut prendre ces deux villes-là et en faire une ville encore plus vivante
Claude Duplain croit que Saint-Raymond aussi gagnerait à fusionner avec Saint-Léonard
C'est un territoire qui est excessivement beau et il y a un potentiel de développement
Les deux conseils municipaux ont adopté chacun une résolution pour demander au ministère des Affaires municipales et de l’Habitation d’étudier la faisabilité et les impacts d’une fusion
au bout desquels la population et les conseillers municipaux des deux villages seront consultés et devront se prononcer
Le professeur François Des Rosiers s’intéresse depuis longtemps au phénomène des fusions municipales
Il explique que le MAMH étudiera une chose en particulier durant ses travaux : la comptabilité entre les deux municipalités
Il faut que les municipalités aient un objectif commun de développement
une vision commune de développement des intérêts communs
Ouvrir en mode plein écranFrançois Des Rosiers explique que le gouvernement provincial va surtout s'attarder à la compatibilité entre les deux municipalités
Celui qui enseigne au Département de finance
assurance et immobilier de l’Université Laval estime que le cas de Saint-Léonard témoigne de préoccupations partagées par de nombreuses petites municipalités à l'heure actuelle
Il y a une préoccupation majeure dans les régions où il y a beaucoup de petites municipalités
des petites municipalités rurales n’arrivent pas à joindre les deux bouts et n’ont pas les moyens de fournir les services à leur population
l'augmentation du coût des services et notamment du coût de la main-d'œuvre
expliquant que la mise en commun des ressources permet souvent de mieux financer les services offerts à leurs citoyens
Chargement en coursInfolettre ICI QuébecUne fois par jour
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Fusions municipales : la réflexion plus vive que jamais en Matanie
Un pas de plus vers une fusion de Saint-Félix-de-Dalquier avec Amos
Flavie Sauvageau est journaliste à Radio-Canada depuis 2020
Après des études en économie
elle a travaillé dans les stations de Montréal et de Trois-Rivières
avant de joindre l'équipe de Québec en 2022
Elle s'intéresse particulièrement au développement local et régional
Les municipalités de Saint-Léonard-de-Portneuf et de Saint-Raymond songent sérieusement à unir leurs destinées en fusionnant
Cinquante ans après la crise linguistique de Saint-Léonard
le réalisateur Félix Rose revient sur ces évènements en donnant la parole aux proches de deux principaux leaders des groupes concernés et s’intéresse aux stigmates laissés dans les cœurs
dire « J’ai fait mes recherches » avait un potentiel hautement explosif
Faire ses recherches est à la base de tout travail solide
C’est le sentiment qui nous habite après avoir vu La bataille de Saint-Léonard
documentaire consacré aux évènements de 1967 à 1969 ayant conduit les élites et politiciens québécois à se pencher sur la question de la langue française
Le conflit émerge lorsque les parents de la communauté italienne du quartier tentent par tous les moyens de continuer à faire instruire leurs enfants en anglais
les citoyens francophones mettent leur poids pour accentuer l’éducation en français
L’intervention du gouvernement de l’Union nationale par l’adoption de la loi 63 donnant aux parents l’entière liberté du choix de la langue d’instruction met alors le feu aux poudres
La qualité de la recherche évoquée plus haut
on la trouve d’abord dans la recherche du matériel
Le réalisateur a passé sept ans à fouiller les archives et chutes de films consacrées à cette crise pour en déterrer des perles visuelles
D’un quartier isolé au milieu des champs à une émeute sanglante sur la colline Parlementaire à Québec
en passant par des plans de brigadiers scolaires faisant traverser les enfants avec une palette où on lit le mot « Arrêt » (ou « Arrêt stop ») et l’occupation de l’école Aimé-Renaud
Rose a sorti des ténèbres d’innombrables archives jamais vues
Son travail est allé bien au-delà des images génériques habituelles et fait la démonstration que la crise de Saint-Léonard ne se résume pas qu’à des émeutes et des bagarres
mais qu’elle est constituée de nombreuses strates
le passage le plus saisissant survient lorsque l’annonceur Gaétan Montreuil présente un reportage sur les évènements sur le même ton que le soir où il a lu le manifeste du FLQ en octobre 1970
Le travail de recherche est tout aussi remarquable dans le nombre de personnes interviewées et leur proximité avec les deux leaders
Mario Barone (chez les Italiens) et Raymond Lemieux (chez les Québécois francophones)
on ressent la souffrance intérieure des héritiers
L’ambiance n’est pas belliqueuse ni appuyée
le réalisateur se sert d’un évènement très connu des années 1960
comme élément référentiel à la crise de Saint-Léonard
« La communauté italienne a le sentiment que le cri de de Gaulle a donné un coup de fouet aux mouvements nationaliste et linguistique »
On laissera cette question aux spécialistes
Réjouissons-nous du fait que ce film apporte de l’eau au moulin à un segment de l’histoire récente
Mario Barone et des membres de leurs familles
Les deux corps retrouvés la nuit dernière dans un véhicule garé dans un stationnement d’un secteur industriel de l’arrondissement de Saint-Léonard
sont ceux d’une septuagénaire et de son fils portés disparus depuis deux jours
le Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) a annoncé jeudi midi que les corps de Lucia Giovanna Arcuri
et a demandé aux médias de retirer les avis de disparition
C’est vers minuit 30 qu’un citoyen a fait un appel au 911 invitant les policiers à se rendre dans un stationnement situé sur la rue Pascal-Gagnon
les patrouilleurs ont découvert les deux corps dans un VUS
le SPVM a publié un communiqué signalant la disparition de la septuagénaire et de son fils
affichant leur photo et décrivant leur VUS noir de marque Infiniti
arborant la même plaque d’immatriculation que le véhicule dans lequel les corps ont été retrouvés
Arcuri a été vu pour la dernière fois le mardi 15 octobre vers 9 h 30 dans un commerce de restauration situé sur le boulevard Perras
Arcuri a tenu des propos inquiétants avant sa disparition »
« Le dernier contact établi avec Mme Arcuri a eu lieu le mardi 15 octobre en avant-midi via téléphone
Mme Arcuri souffre d’un début de pertes de mémoire
Elle a quitté sans sa médication et sa cane dont elle a besoin
il n’est pas dans ses habitudes de sortir de chez elle »
« Les enquêteurs ont des motifs raisonnables de croire que Mme Arcuri et son fils seraient ensemble
Les enquêteurs et les proches craignent pour leur santé et sécurité »
Un poste de commandement mobile a été déployé mercredi près de l’intersection du boulevard Viau et de la rue Valéry dans l’arrondissement de Saint-Léonard
Des enquêteuses et enquêteurs de l’Équipe dédiée aux disparitions
aux recherches de famille et aux enlèvements parentaux (EDRE) étaient sur place afin d’échanger avec la population et des patrouilleurs ont fait du porte-à-porte dans le quartier
le SPVM considérait toujours ces décès comme des morts suspectes
il pourrait s’agir d’un meurtre suivi d’un suicide
Il semblerait qu’au moins une des deux personnes soit morte étranglée
les techniciens paramédicaux d’Urgences-santé ont pratiqué des manœuvres de réanimation
On ignore exactement à quand remontent les décès
Puisque les deux victimes faisaient l’objet d’une enquête de disparition par le SPVM
le Bureau des enquêtes indépendantes (BEI) a déclenché une enquête
Pour joindre Daniel Renaud, composez le 514 285-7000, poste 4918, écrivez à denaud@lapresse.ca ou écrivez à l’adresse postale de La Presse
En choisissant de s’établir à Saint-Léonard en 1964
l’architecte Raymond Lemieux ne savait pas que cette décision allait changer l’histoire du Québec
«Sa lutte pour l’école française a pavé la voie à la loi 101 même si celle-ci arrivera bien après la crise de Saint-Léonard»
qui a réalisé un documentaire sur cet épisode clé de l’histoire du Québec qui sera diffusé sous format d’une heure le 10 janvier à TVA
En fondant le Mouvement pour l’intégration scolaire en 1968
visant à intégrer les nouveaux arrivants dans le système scolaire francophone
Lemieux prendra la tête d’un mouvement qui culminera par une émeute le 10 septembre 1969
Plusieurs personnes seront blessées par les forces policières et lui-même sera accusé de «tentative de sédition» à cette occasion
il prendra sa retraite de la vie publique et on n’entendra plus parler de lui
Raymond Lemieux avait accordé une longue entrevue au documentariste un an avant sa mort
L’ancien militant apparaît aigri devant la caméra du documentariste
commente-t-il au sujet des lois linguistiques de l’époque
permettant aux parents de choisir la langue d’enseignement de leurs enfants
les trois quarts des élèves étaient inscrits dans des écoles anglaises au début des années 1960
Les familles voyaient dans cette langue un outil d’ascension sociale
Une dimension incarnée par le témoignage des descendants du conseiller municipal Mario Barone
un immigrant italien qui a fait carrière dans la construction
En voyant le gouvernement de Jean-Jacques Bertrand adopter la loi 63
Barone remporte la bataille des écoles bilingues
mais au prix de sacrifices familiaux très lourds
incluant l’explosion d’une bombe dans son sous-sol..
à laquelle a participé le felquiste Paul Rose
pavera la voie à d’autres manifestations en faveur de l’enseignement en français
le gouvernement de Robert Bourassa adoptera la loi 22 pour pallier les lacunes de la loi 63
mais elle sera elle-même jugée insuffisante par René Lévesque
Le documentariste a mis la main sur une grande quantité de films qui permettent de plonger dans la réalité de l’époque
«J’ai mis sept ans à le tourner et à rassembler les images»
Une des forces du film réside dans les scènes du Montréal des années 1960
«Nous avons recueilli des films qui n’avaient jamais été diffusés en faisant appel aux familles»
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c’est l’histoire de francophones et d’Italo-Montréalais qui se sont affrontés lors d’une manifestation qui a tourné à l’émeute
sur la question de la langue d'enseignement
Il souligne que cette histoire a été l’occasion de se pencher sur deux thèmes principaux importants au Québec : la langue et l’immigration
Il raconte comment s’est créé Saint-Léonard avec un afflux important dû à l’immigration italienne et où
l’éducation était donnée en anglais et en français
Mais en raison de la volonté d’un seul homme
le français s’est imposé dans les cours d’école
Et cela a créé des tensions jusqu’à l’implosion
« Les Italiens et les francophones se retrouvent dans les rues et se battent
ce qui devient la bataille de Saint-Léonard
[...] Les images vont faire le tour du monde
Félix Rose explique également pourquoi il était important pour lui de raconter cette histoire et relate le fil chronologique des événements
Il raconte comment s’est créé Saint-Léonard avec un afflux important dû à l'immigration italienne et où
Les Italiens et les francophones se retrouvent dans les rues et se battent
Le réalisateur Félix Rose présente le documentaire La bataille de Saint-Léonard
sur la question de la langue d'enseignement
Il souligne que cette histoire a été l’occasion de se pencher sur deux thèmes principaux importants au Québec : la langue et l’immigration
Saint-Léonard-d’Aston ira de l’avant avec la construction d’une nouvelle caserne
qui abritera aussi le nouveau garage des Travaux publics
Le projet coûtera 9,53M$ au lieu des 16,1M$ évalués au départ
« On a ouvert les soumissions le 29 août et ça a sorti 40% plus bas que l’évaluation faite par les architectes
On est en train de finaliser le dossier auprès du gouvernement du Québec pour notre approbation de financement
On attend une subvention de 70% du programme d’aide financière PRACIM (Programme d’amélioration et de construction d’infrastructures municipales) »
Le projet complet comprend une nouvelle caserne incendie
un garage municipal et trois dômes pour l’entreposage d’abrasifs
Les nouvelles infrastructures prendront place au 444
soit tout juste derrière l’hôtel de ville
« On parle d’un bâtiment assez grand; de 140 pieds par 160 pieds
« Ça inclut cinq portes de garage pour les pompiers et trois portes de garage pour les Travaux publics
C’est à cet endroit qu’on entreposera les camions à neige
celui qui servira d’entrepôt pour les Travaux publics aura 50 x 70 pieds
Celui qui accueillera le sable et le sel mélangés pour l’entretien des routes l’hiver aura 60 x 80 pieds
Un seul des bâtiments actuellement présents sur le site demeurera en place
Il s’agit de celui servant de chenil pour les animaux errants et utilisé pour l’entreposage des pièces d’aqueduc
en lien avec les activités de l’éco-centre
Ils ne sont plus requis puisque l’éco-centre lui-même déménage sur le terrain voisin
Les travaux à cet effet sont d’ailleurs déjà commencés
On remplit à pleine capacité tout le site arrière de l’hôtel de ville
et on a repensé [la configuration des] entrées
la municipalité procédera à la vente d’immeubles
Elle s’est déjà défaite de l’ancien club de croquet situé sur la rue Principale
L’ancienne caserne et l’ancien garage municipal seront quant à eux mis en vente lorsqu’ils seront libérés
soit vers la fin de 2025 ou au début de 2026
la municipalité s’attend à ce qu’il lui reste environ 2M$ à financer par règlement d’emprunt dont le terme reste encore à déterminer
« On va évaluer l’impact financier qu’il y aura sur les comptes de taxes
parce qu’on a aussi d’autres travaux en cours »
la décennie des années 1960 a été foisonnante dans toutes les sphères de la société québécoise
Les exemples sont nombreux : nationalisation de l’électricité
Et… la crise linguistique de Saint-Léonard là-dedans
elle se trouve en retrait des autres grands évènements
Peut-être parce que son crescendo arrive à la toute fin de la décennie
cette crise possède tous les ingrédients pour constituer un des éléments phares de la décennie
Elle a mené à l’adoption de la loi 63 prônant un libre choix de la langue d’enseignement chez les parents d’enfants d’âge scolaire
Une loi rapidement honnie qui a mené à l’adoption de la loi 22
qui fait du français la langue officielle dans le travail et l’administration publique sous les libéraux de Robert Bourassa
et enfin à la loi 101 dans le premier mandat du Parti québécois
il ne fait aucun doute que les racines de la loi 101 se trouvent dans cette crise
« Le mérite de la loi 101 revient avec raison à Camille Laurin
mais les politiciens adoptent souvent une loi à la suite d’une pression publique
à l’approche de la sortie de son documentaire La bataille de Saint-Léonard
Cette crise survient à la fin de 1967 lorsque la commission scolaire Jérôme-Le Royer décide de mettre fin au projet d’écoles bilingues largement fréquentées par les enfants de la communauté italienne et dans lesquelles l’anglais prédomine
les membres de cette communauté veulent absolument que leurs enfants apprennent l’anglais
Cela suscite l’indignation de francophones qui créent le Mouvement pour l’intégration scolaire (MIS)
qui fait élire des conseillers aux élections scolaires à l’automne 1968
Le conflit dégénère à l’automne 1968 avec l’occupation de l’école Aimé-Renaud destinée à devenir anglaise (elle restera francophone jusqu’à l’ouverture de la polyvalente Antoine-de-Saint-Exupéry en 1972) et à l’automne 1969 avec manifestations et émeutes
Félix Rose raconte cette histoire en donnant la parole à deux familles qui l’ont vécue : celle de Raymond Lemieux
entrepreneur italien appuyant sa communauté
car il ne fait pas qu’aborder les enjeux linguistiques et politiques
des conséquences personnelles que ce conflit a laissées
« Je m’intéresse beaucoup à l’impact du militantisme sur les familles »
Lemieux et Barone ont choisi de faire cette lutte-là
mais pas nécessairement leurs familles qui en ont subi les conséquences
Il est aussi très clair dans l’esprit du cinéaste que l’argumentaire des deux parties était compréhensible
mais je peux comprendre que dans ces années-là
les Italiens voulaient le meilleur pour leurs enfants
Mais on comprend aussi très bien les francophones de vouloir protéger leur langue et leur culture
C’est en travaillant sur son documentaire précédent
que le réalisateur s’est intéressé à cette question de Saint-Léonard
j’ai constaté que mon père avait manifesté à Saint-Léonard
J’ai voulu en faire un chapitre de mon film
mais j’ai constaté que la question était trop complexe
le sujet est encore plus dense que ce que le film de 108 minutes donne à voir
le réalisateur ne s’est pas avancé dans les méandres des mécanismes des commissions scolaires confessionnelles ni dans les différentes versions du projet de loi 85 et de la loi 63
car la trame narrative de son film en aurait été alourdie
Il était bien davantage attiré par les protagonistes du film
un personnage qu’il qualifie de « fascinant »
J’ai réalisé que personne ne connaissait cet homme au cœur de l’histoire
Raymond Lemieux apparaît quelques fois dans le film (les images ont été tournées en 2017)
son frère et son ex-femme qui témoignent surtout
qui fut aussi conseiller municipal à Saint-Léonard
Peut-on faire un parallèle entre ce film et les questions linguistiques qui refont surface au Québec depuis un moment
à savoir que la compréhension du passé aide à mieux comprendre le présent et à ne pas répéter les mêmes erreurs dans l’avenir
on sent une incompréhension par rapport à la langue et moi
Accueil Actualités Saint-Léonard: une équipe du Maine souhaite ériger un carrousel de glace record
les Northern Maine Ice Busters ont brisé le record du plus grand carrousel de glace pour la deuxième fois
Un carrousel de glace d’une largeur de 207 pieds sera taillé sur le fleuve Saint-Jean
C’est du moins ce que vise l’équipe des Northern Maine Ice Busters qui détient actuellement le record du plus grand carrousel de glace dans le monde
elle avait réalisé l’exploit avec un cercle de 1776 pieds de diamètre sur le Long Lake
Bien qu’ils aient déjà consolidé leur héritage dans le monde du carrousel de glace
ils font face à une compétition féroce de la part d’équipes du Minnesota
Le record du plus grand carrousel a d’ailleurs changé de main à plusieurs reprises depuis qu’il a été enregistré pour la première fois en Finlande
l’organisation a décidé de sculpter le premier carrousel de glace qui chevauchera deux pays
L’événement est prévu du 14 au 16 mars
«Nous essayons de faire un carrousel tous les deux ans
mais comme on détient encore le record cette année
on ne voulait pas nécessairement s’attaquer à notre propre record
Nous voulions faire quelque chose de différent
d’où l’idée d’établir un record à saveur internationale»
a expliqué la présidente de l’événement
ce genre de structure est sculptée sur un lac
Cette fois-ci elle sera réalisée sur une rivière
À l’instar des autres projets du genre réalisés dans le passé
des gens se rendent sur les lieux pour faire une estimation de la taille du futur carrousel
Une fois que les limites de la structure sont établies
une équipe se charge de découper la glace avec une tronçonneuse afin de détacher le carrousel du reste de la surface glacée
Par la suite il ne reste qu’à entreprendre la poussée à l’aide de moteurs afin de faire tourner le disque
Mme Pelletier ajoute qu’une fois que le disque est en mouvement
son élan lui permet de continuer à tourner
Une base de glace épaisse et solide est essentielle au succès d’un carrousel de glace
Les dernières mesures ont établi l’épaisseur de 24 pouces
selon les membres des Northern Maine Ice Busters
est suffisamment solide pour supporter l’équipement lourd
les bénévoles et les moteurs nécessaires pour sculpter et faire tourner le disque massif
un événement spécial sera organisé pour l’occasion
Différentes activités auront lieu au cours du week-end
car celui-ci aura lieu en marge du festival Spring Fling de Van Buren
Elle estime qu’une activité de la sorte permettra aux communautés des deux côtés de la frontière de se rassembler et de faire oublier quelque peu les tensions entre les deux pays en raison de la guerre commerciale que livre le gouvernement Trump à ses voisins canadiens
mais il faut montrer aux gens qu’il existe des événements de la sorte entre nos deux pays et qu’il n’y a pas de problème.»
Au moment de publier cet article, le périmètre de sécurité était toujours délimité, et les enquêteurs de la section des incendies criminels étaient sur place pour tenter d'élucider l'affaire.
Ouvrir en mode plein écranLes gicleurs de l'établissement avaient déjà éteint les flammes à l'arrivée des pompiers.
Patrick MacIntyrePublié le 6 octobre 2024 à 7 h 36 HAEÉcouter l’article | 1 minuteLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale, une technologie basée sur l’intelligence artificielle.Un incendie criminel s'est déclaré dans un établissement commercial de Saint-Léonard, dimanche matin, vers 3 h 25. À l'arrivée des pompiers, l'incendie avait déjà été éteint par les gicleurs du bâtiment, situé près de l'intersection de la rue Jean-Talon Est et du boulevard Langelier.
Selon un porte-parole du Service de police de la Ville de Montréal, personne n'a été blessé et aucune évacuation n'a été nécessaire. On a cependant remarqué un objet incendiaire à l'intérieur du commerce, dont la vitre avait été fracassée.
Au moment de publier cet article, le périmètre de sécurité était toujours délimité, et les enquêteurs de la section des incendies criminels étaient sur place pour tenter d'élucider l'affaire.
Selon un porte-parole du Service de police de la Ville de Montréal
personne n'a été blessé et aucune évacuation n'a été nécessaire
On a cependant remarqué un objet incendiaire à l'intérieur du commerce
dont la vitre avait été fracassée
le périmètre de sécurité était toujours délimité
et les enquêteurs de la section des incendies criminels étaient sur place pour tenter d'élucider l'affaire
Patrick MacIntyre est journaliste à Radio-Canada depuis 2024
Détenteur d'un baccalauréat en criminologie et d'un certificat en droit civil
il a travaillé quelques années dans le domaine de l'immigration avant de réorienter sa carrière
Dans les deux années précédant son arrivée à Radio-Canada
il a dirigé le média étudiant Quartier Libre et a effectué un stage à La Presse en plus d'étudier le journalisme à l'Université de Montréal
Un incendie criminel s'est déclaré dans un établissement commercial de Saint-Léonard
l'incendie avait déjà été éteint par les gicleurs du bâtiment
situé près de l'intersection de la rue Jean-Talon Est et du boulevard Langelier
Une mère et son fils sont portés disparus depuis mardi
et la police de Montréal demande l’aide de la population afin de les retracer
demeurent ensemble dans l’arrondissement de Saint-Léonard
Arcuri a été aperçu pour la dernière fois vers 9 h 30 le 15 octobre
situé non loin du boulevard Rodolphe-Forget
Selon le Service de police de la Ville de Montréal (SPVM)
il a tenu des « propos inquiétants » avant sa disparition
Le dernier contact avec Mme Arcuri a eu lieu au téléphone
La septuagénaire souffre de pertes de mémoire
Elle a quitté son domicile sans sa médication et sa canne dont elle a besoin
Le SPVM ajoute qu’il n’est pas dans ses habitudes de sortir de chez elle
Les enquêteurs ont des raisons de croire que la mère et son fils se trouveraient ensemble actuellement
Leurs proches craignent pour leur santé et leur sécurité
Giuseppe Arcuri mesure 1 m 75 (5 pi 9 po) et pèse 120 kg (269 lb)
Il a les cheveux courts gris et les yeux bleus
les yeux bleus et porte des lunettes de vue
le SPVM n’était pas en mesure de fournir des informations sur ce qu’elle portait lors de sa disparition
Toute personne ayant de l’information à leur sujet est priée de contacter le 911 ou son poste de quartier
Félix Rose s'attaque à un événement méconnu de l'histoire du Québec
Devant le grand casse-tête que représente l’histoire de la bataille de Saint-Léonard
Félix Rose a réussi à rassembler chacune des pièces du puzzle
d’entrevues ou de coupures de journaux s’unissent les uns aux autres
brossant le portrait limpide d’un événement clé sur la ligne du temps du Québec… et toujours d’actualité
dès les premières minutes de son documentaire
avec l’extrait d’un reportage où une journaliste résume le conflit linguistique en une seule question: «Les Néo-Canadiens qui s’installent au Québec
devraient-ils avoir le loisir d’exiger pour leurs enfants des écoles anglaises?»
la crise linguistique s’envenimera rapidement
entre des parents francophones et des membres de la communauté italienne
Deux clans qui habitent alors la ville de Saint-Léonard
Félix Rose présente d’emblée la position des deux camps en mettant en lumière leur chef respectif
un architecte francophile qui se révélera comme un grand défenseur de la langue française
qui s’est notamment impliqué en politique municipale afin de défendre sa communauté et son droit d’accéder à des écoles bilingues
Entre les archives d’une grande qualité et des entrevues réalisées récemment avec les proches des deux hommes
le film nous plonge au cœur de la crise tout en exposant ses répercussions
Avec un pied dans le passé et un autre dans le présent
Car la question de La bataille de Saint-Léonard n’est pas d’être pour ou contre l’une ou l’autre des deux parties
mais bien de réaliser l’importance que cette crise linguistique
a finalement prise dans le destin du Québec ainsi que dans la vie de M
En élevant son film — et lui-même — au-dessus du débat
Félix Rose laisse toute la place à l’Histoire
Celle que l’on (re)découvre à travers une panoplie d’archives méconnues ou
qu’on ne voit que trop rarement au petit comme au grand écran
Pensons notamment à celles sur la venue de Charles de Gaulle au Québec
qui nous offrent un point de vue différent sur le célèbre événement
C’est vraiment là où réside toute la beauté du documentaire: dans cette suite de vidéos
qui va bien au-delà de la simple illustration de faits
il est vrai que La bataille de Saint-Léonard connaît ici et là quelques longueurs
Mais aurait-il été possible de traverser ce pan de l’histoire avec autant de détails et d’humanité en moins de temps
Une chose est sûre: ce film propose une perspective trop souvent oubliée à propos des mouvements sociaux qui ont précédé l’adoption de la loi 101
Comme un miroir fort éclairant sur le passé et le présent
La bataille de Saint-Léonard est présenté au cinéma
Débarquée dans le grand monde du journalisme en pleine pandémie
elle couvre au quotidien le milieu culturel de Québec pour Le Soleil
qu’aura lieu le Défilé de Noël Desjardins dans les rues de Saint-Léonard-d’Aston