Deux personnes inanimées ont été repêchées dans le fleuve Saint-Laurent La cause de leur décès est toujours inconnue les services d’urgence ont été sollicités aux alentours de 14 h après avoir reçu un appel concernant la découverte de ces corps inanimés dans le fleuve Saint-Laurent C’est le service de sécurité incendie de la ville de Longueuil qui a extirpé les deux corps de l’eau avant de constater leur décès sur les lieux de même que l’identité et l’âge des victimes Des enquêteurs et des spécialistes en identification judiciaire se sont rendus sur place afin de faire la lumière sur les circonstances de l’évènement Une enquête a été confiée à la Sûreté du Québec (SQ) conjointement avec le Service de police de l’agglomération de Longueuil rédactrice de contenu promotionnel3 mai 2025 à 06h00Raymonde April photographie (à gauche) | Marie-Alice Dumont Contenu commandité | Musée du Bas-Saint-LaurentDu 20 juin au 7 septembre prochain le Musée du Bas-Saint-Laurent présentera sa toute nouvelle exposition : Marie-Alice Dumont À travers l’objectif de ces deux photographes issues de générations différentes faisant écho à des thèmes qui traversent le temps en noir et blanc comme en couleur.Marie-Alice Dumont originaire de Saint-Alexandre-de-Kamouraska est l’une des premières femmes photographes professionnelles de l’Est du Québec elle a constitué un impressionnant fonds de près de 10 000 négatifs on retrouve de nombreux portraits de gens de la région notamment le travail féminin en milieu rural le fonds contient des objets ayant appartenu à Dumont ─ trépied a été invitée en résidence de création afin d’explorer ce fonds d’archives Son regard actuel crée des ponts inattendus avec les images de Dumont révélant une sensibilité et une intimité partagée où les thèmes de la ruralité et de la mémoire occupent une place centrale cette exposition itinérante poursuivra sa route à travers différentes institutions culturelles du Québec Pour prendre part à cette exposition rétrospective, ponctuée de regards contemporains, visitez le site du Musée ↪ Voir tous les articles ⇒ Mission+ musées Les contenus commandités sont des contenus\npromotionnels produits par ou pour les clients\nannonceurs des Coops de l’information Les journalistes\nde la salle de rédaction ne participent pas à la création\nde ces contenus Les corps de deux personnes ont été repêchés dans le fleuve Saint-Laurent à Boucherville les services d’urgence ont été appelés vers 14h concernant deux corps inanimés aperçus dans le fleuve Saint-Laurent Les corps des deux personnes ont été repêchés par le service de sécurité incendie de Longueuil Puisque les causes et circonstances de ces décès demeurent à déterminer l’enquête a été confiée à la Sûreté du Québec (SQ) Des enquêteurs et des techniciens de l'identité judiciaire se sont rendus sur place pour faire la lumière sur cet évènement Bienvenue dans la section commentaires! Notre objectif est de créer un espace pour un discours réfléchi et productif. En publiant un commentaire, vous acceptez de vous conformer aux Conditions d'utilisation comme il arrive fréquemment au printemps (ici le Service de police de la Ville de Québec (SPVQ) a fermé la rue Dalhousie à la circulation entre la côte de la Montagne et l’entrée du traversier La raison de cette entrave à la circulation était un débordement du fleuve «On invite les citoyens à éviter le secteur» Plusieurs policiers se sont déplacés sur les lieux pour assurer la fluidité de la circulation et rediriger les automobilistes Plus de 30 millimètres de pluie sont tombés sur la région mardi ce qui a fait monter le niveau des rivières la municipalité a mis en place des équipes pour surveiller la situation et intervenir en cas de besoin.Les seuils critiques ont été atteints tôt mercredi matin dans le secteur du Brûlé (rivière Jaune) et du lac Neigette «Les indicateurs montrent que la progression a commencé à baisser et que tout devrait rentrer dans l’ordre dans les prochaines heures» porte-parole du ministère de la Sécurité publique (MSP) un pont situé sur l’avenue Jacques-Bédard a été fermé à la circulation en raison du niveau préoccupant de la rivière Saint-Charles le niveau de la rivière Chaudière devrait monter jusqu’à jeudi après-midi Le cours d’eau devrait rester dans le seuil de surveillance et ne pas atteindre le seuil d’inondation mineur le seuil d’inondation mineur ne cause pas toujours des inondations dans les maisons Souvent il y a des inondations dans des zones inondables et cela peut causer des fermetures de route par exemple Victoria Baril a rejoint l’équipe du Soleil à l'été 2022 elle a développé un intérêt particulier pour tout ce qui entoure les affaires policières Victoria était professeure de danse et recherchiste en veille médiatique Journaliste de l'Initiative de journalisme local a su laisser sa trace dans l’histoire de l’Église après 12 ans à la tête du Vatican Son influence s’est répandue un peu partout dans le monde Le Diocèse de Sainte-Anne-de-la-Pocatière s’est inspiré de l’homme de 88 ans afin de toujours s’améliorer D’après l’évêque du diocèse le 266e pape a apporté beaucoup à l’Église catholique en étant proche des gens et en s’engageant auprès des pauvres des prisonniers et des réfugiés «Il a vécu sa mission comme pape avec beaucoup de simplicité» Il mentionne qu’il a renoncé à certains protocoles qui entourent habituellement le personnage du pape je pense que ça a été fort l’autorité n’est pas appelée uniquement comme un pouvoir qui se centre sur le message du Christ d’amour et de paix» Le pape François a été un réformateur Il a changé certaines structures de l’Église pour qu’elle soit plus consultative et participative Il a aussi travaillé à changer les mentalités pour que l’Église soit plus accueillante pour tous Dans le même ordre d’idée que le pape qui a rendu le programme de l’Église plus missionnaire présent pour les gens et ouvert aux choix le Diocèse a aussi évolué ces dernières années développé une assemblée de consultations pour échanger sur divers questionnements actuels au lieu que l’évêque seul ne prenne des décisions près de 80 personnes de différentes paroisses participent maintenant à des discussions autour d’une même question ce qui est très intéressant et enrichissant selon Mgr Goudreault Le Diocèse a aussi développé des initiatives pour soutenir les personnes en situation de pauvreté il a réalisé des activités auprès des jeunes adultes et des familles afin de les éveiller à la présence de Dieu Pierre Goudreault ignore qui succèdera au pape François c’est que Mgr Bergoglio a donné une belle impulsion à une église en transformation bien qu’il ait donné une impulsion ça nous appartient à tous et à toutes de continuer cette œuvre-là» «Le pape François a tracé un chemin qui fait qu’on ne peut plus retourner en arrière Celui qui va poursuivre va avoir sa personnalité mais je pense qu’il va sûrement être inspiré par ce que le pape François a semé» qui a reçu ce titre du Saint-Père il y a sept ans Mgr Goudreault a vu le pontife pour la dernière fois en décembre 2024 Il se rappellera de lui comme d’une personne accueillante attentive et ayant un bon sens de l’humour l’archevêque du Diocèse de Rimouski a souligné que la mort du pape était pour lui «une perte immense» Il a aussi indiqué que la famille diocésaine de Rimouski se joignait à l'Église catholique dans le monde entier qui pleure la disparition d'un pasteur sensible Pour partager votre opinion vous devez être connecté La Société historique de Rivière-du-Loup accueillera Jean-René Thuot Sa conférence «À la rencontre des artisans du bâti religieux La construction des églises bas-laurentiennes sous le régime britannique (1760-1867)» aura lieu à la Maison de la culture La MRC de Rivière-du-Loup rappelle aux propriétaires de puits privés qu’il est important de procéder à l’analyse préventive de leur eau afin de s’assurer qu’elle soit propre à la consommation Des analyses effectuées dans le cadre des projets d’acquisition de connaissances sur les eaux souterraines du Québec (PACES) Surveillez votre boîte courriel afin de confirmer votre identification à deux facteurs Le fleuve Saint-Laurent réserve toujours suffisamment de secrets pour que l’on continue d’en explorer les profondeurs Le chasseur d’épaves de Rimouski travaille sur son projet le plus personnel en carrière grâce auquel il espère faire découvrir certains des plus grands vestiges qui se cachent au fond des eaux.  Après deux séries sur les ondes d’Historia trois documentaires sur le mythique paquebot Empress of Ireland qui s’est échoué près de Rimouski en 1914 et plusieurs livres Samuel Côté sentait que l’appétit des diffuseurs pour la chasse aux épaves était limité «Il n’y avait pas d’intérêt pour une nouvelle série Mais il reste trop de choses dont je n’ai pas pu parler dans mes précédents projets alors j’ai décidé de la produire moi-même» C’est ainsi qu’est née l’idée de Chasseurs d’épaves et cie. une série historique dont le tournage a débuté l’été dernier et que M Côté souhaite pouvoir diffuser gratuitement sur YouTube à l’automne 2026 Son auteur promet de traiter de sujets «passionnants et percutants» dont il n’avait jamais eu l’occasion de parler dans un cadre télévisuel «On va traiter de sujets qui sont très audacieux et que je n’ai pas pu aborder dans mes autres séries C’est le projet pour lequel j’ai le moins de budget mais le plus de liberté alors je compte bien en profiter.» Parmi les thèmes qui seront abordés dans cette nouvelle partie de chasse aux épaves la localisation de la travée centrale du pont de Québec qui est tombée au fond du fleuve pendant les travaux en 1916 et celle du grand filet d’acier qui protégeait l’estuaire du Saint-Laurent des sous-marins pendant la Seconde Guerre mondiale sont deux objectifs que Samuel Côté souhaite ardemment pouvoir réaliser «Je suis resté sur mon appétit quand on est allé sous le pont de Québec pour une autre émission Ça fait longtemps que je veux voir la travée et ça m’est resté en tête On a fait nos devoirs et on espère y arriver cet été» Pour ce qui est du dispositif militaire du milieu du XXe siècle le mystère reste entier sur sa position exacte Après des fouilles exhaustives dans les archives de l’armée canadienne et grâce à d’autres sources historiques l’historien bas-laurentien et son équipe se sentent d’attaque pour une véritable chasse au trésor au large de Gaspé On va devoir se baser sur des témoignages et des photos d’époque Il n’existe pas de carte avec un ''X'' dessus mais on sait qu’énormément de matériel militaire a été jeté dans le fleuve à cet endroit.» montée et même portée à l’écran par Samuel Côté Le jeune père de famille occupera tous les rôles sauf un : fidèle à son habitude c’est bizarre pour un chasseur d’épaves de ne pas plonger pour aller voir les épaves mais je ne me sens pas bien dans l’eau profonde avec un masque Je suis l’un des rares au monde dans ce cas-là Ses acolytes Lysanne Des Landes et Francis Pouliot avec qui il a collaboré sur d’autres projets Ils pourront compter sur l’équipement dernier cri de Fjord Marine une entreprise de Saguenay spécialisée dans la navigation et la plongée sous-marine «On va être mieux équipés que jamais cette fois-ci On va pouvoir faire des images extraordinaires avec un drone sous-marin» ajoutant qu’il cherche toujours de nouveaux partenaires financiers Vous avez des informations à nous communiquer à propos de cette histoire Écrivez-nous à l'adresse ou appelez-nous directement au 1 800-63SCOOP Québec a annoncé plus de 300 M$ d’investissements pour les infrastructures routières dans la région du Bas-Saint-Laurent pour les deux prochaines années On retrouve dans la liste d’importants projets dont la poursuite du chantier de l’autoroute 85 Le prolongement de l’autoroute 20 entre Notre-Dame-des-Neiges et Le Bic est aux abonnés absents La somme investie dans les routes du Bas-Saint-Laurent cette année est de 69 M$ inférieure à celle qui avait été accordée en 2024 «La fluctuation se fait en fonction des différents projets et de leur avancée L’autoroute 85 a un tronçon en chantier en ce moment alors que l’année dernière explique Maïté Blanchette Vézina Cette dernière a réalisé cette annonce au nom de la ministre des Transports Les citoyennes et citoyens qui attendaient des investissements pour le prolongement de l’autoroute 20 vers l’est seront déçus «C’était important de finaliser les chantiers qui étaient débutés Dès que les sommes pourront être disponibles c’est un dossier qui est priorisé par notre gouvernement» Les sommes nécessaires ne sont pas au rendez-vous bien que des contrats aient été accordés par le passé «Nous au Québec on met des sommes importantes dans l’entretien du réseau Le gouvernement fédéral se désinvestit depuis quelques années On a besoin que le fédéral s’investisse» souligne la ministre responsable de la région du Bas-Saint-Laurent Elle souhaite réactiver les discussions avec le nouveau gouvernement fédéral au pouvoir afin qu’il s’implique dans le financement des infrastructures routières québécoises On retrouve aussi dans la liste du ministère des Transports et de la Mobilité durable pour 2026-2027 : la poursuite des travaux de construction du pont rouge à Saint-Clément l’asphaltage de trois secteurs totalisant 5,7 km sur l’autoroute 20 à Rivière-du-Loup et à Notre-Dame-du-Portage l’asphaltage de l’autoroute 20 entre les kilomètres 483 et 490 à Saint-André-de-Kamouraska et Saint-Alexandre-de-Kamouraska la réfection du pont D’Amours à Rivière-du-Loup la reconstruction du pont d’Estcourt sur la route 289 au-dessus de la rivière Saint-François à Pohénégamook l’amélioration de la sécurité sur la route 132 entre Notre-Dame-des-Neiges et Rimouski et la reconstruction du pont sur le chemin Principal à Saint-Elzéar-de-Témiscouata le gouvernement du Québec avait investi plus de 444 M$ sur deux ans afin d’entretenir et d’améliorer le réseau routier au Bas-Saint-Laurent Il s’agissait de deux années chargées en travaux sur l’autoroute 85 entre Saint-Antonin et Saint-Honoré-de-Témiscouata les sommes consenties à l’amélioration des routes de la région se chiffraient à 424 M$ la famille représente une grosse couette bien douillette dans laquelle se réfugier par temps gris frères et sœurs seront invités à se coller sous une courtepointe d’activités chaleureuses Le Cégep de Rivière-du-Loup ajoute la natation à sa carte de disciplines en sport étudiant Disponible dès l'automne 2025 pour les Portageuses et les Portageurs du Cégep cette nouveauté offrira aux élèves-athlètes la possibilité de participer à cinq compétitions par année et de bénéficier de deux pratiques par semaine (Montréal) Les conditions météo sont propices à la formation d’orages dangereux pouvant produire des rafales causant des dommages et même des tornades dans certaines régions au nord et au sud du fleuve Saint-Laurent en raison de variations soudaines de températures Environnement Canada a émis plusieurs alertes de vent et de pluie verglaçante ainsi que plusieurs veilles d’orages violents mardi après-midi Les conditions sont propices à la formation de tornades dans les régions de Laval de Chaudière-Appalaches et dans une partie de la Montérégie et de l’Estrie qui apportent une masse d’air chaude pour cette période de l’année » et « il y a un front froid plus au nord qui apporte du temps beaucoup plus froid vers le sud » a indiqué le météorologue pour Environnement Canada qui oscillait au-dessus de 20 degrés Celsius mardi après-midi dans certaines régions devrait chuter rapidement près du point de congélation mercredi matin donc des orages qui se sont déjà développés et qui vont continuer à se développer pendant l’après-midi et en soirée Ces orages sont potentiellement violents » a expliqué le météorologue pour Environnement Canada l’agence fédérale a indiqué que la région pourrait subir « des rafales destructrices à 110 km/h » et « de la grosse grêle pouvant atteindre 4 cm de diamètre » entre 10 et 20 millimètres de pluie sont attendus alors que « les températures chuteront très rapidement près du point de congélation lors du passage d’un front froid et la pluie se transformera en pluie verglaçante » Hydro-Québec rapportait aux alentours de 20 h que plus de 100 000 foyers québécois n’avaient plus de courant principalement dans les régions qui étaient aussi concernées par les alertes d’Environnement Canada Les travaux de réfection de la piste cyclable de la Voie maritime du Saint-Laurent qui relie la ville de Sainte-Catherine à celle de Saint-Lambert seront finalement lancés le 12 mai prochain C’est ce qu’a annoncé mercredi la Communauté métropolitaine de Montréal (CMM) Celle-ci s’était entendue en février avec la Corporation de gestion de la Voie maritime du Saint-Laurent l’organisme fédéral responsable de cette longue bande de terre entre Montréal et la Rive-Sud La voie cyclable en question fera 13,4 kilomètres et desservira aussi Delson le chantier de la promenade fluviale devait être lancé l’automne dernier mais des « enjeux avec l’admissibilité de certains soumissionnaires » avaient ralenti le processus La première phase s’étendra du 12 mai au 15 août Elle touchera d’abord le tronçon situé entre Saint-Lambert et l’Estacade On retrouve actuellement de la poussière de pierre sur ce segment qui sera asphalté et muni d’une nouvelle fondation Une deuxième phase suivra entre la mi-août et le début décembre avec le réasphaltage du reste de la piste cyclable entre l’Estacade et Sainte-Catherine dont la planification n’a toutefois pas encore débuté on prévoit aussi l’aménagement de haltes et de mobilier urbain le long du parcours Coût total du projet : 6,9 millions de dollars Comme le tout impliquera la circulation de « nombreux véhicules lourds » sur une voie très étroite plusieurs partenaires seront impliqués pour tenter de minimiser les risques pour la sécurité Parmi eux : le constructeur retenu Roxboro Excavation mais aussi la Société du parc Jean-Drapeau Les Ponts Jacques Cartier et Champlain Incorporée Les tronçons de la promenade fluviale devront être fermés au public lorsqu’ils seront en travaux d’où l’idée de faire en deux phases afin de minimiser les impacts La piste cyclable de l’Estacade demeurera toutefois accessible tout au long du processus Quant au lien entre cyclable Saint-Lambert et le parc Jean-Drapeau il pourra continuer d’être utilisé pendant les travaux sauf pendant la période du Grand Prix de Formule 1 l’île Notre-Dame devant être fermée au public entre le 7 et le 20 juin L’accès au RécréoParc et à la zone nautique il est prévu que la promenade fluviale rénovée puisse accueillir « certaines épreuves » des Championnats du monde sur route de l’Union cycliste internationale (UCI) qui se tiendront à Montréal en septembre 2026 la métropole avait accueilli les premiers Championnats du monde sur route tenus à l’extérieur de l’Europe qui assure la traverse de Saint-Siméon/Rivière-du-Loup La direction de la traverse Rivière-du-Loup/Saint-Siméon doit retarder le début de sa saison en raison de « problèmes techniques » Tous les départs prévus le 17 avril sont annulés et ceux du 18 avril demeurent incertains « Une mise à jour de la situation sera faite mercredi en fin de journée » indique la traverse sur ses réseaux sociaux L’année 2025 représente la 62ᵉ saison de navigation pour le NM Trans-Saint-Laurent des contenus marketing présentés par et pour nos annonceurs des chiens sont traités aux petits oignons par un  heureux passionné qui passe récupérer les compagnons poilus en minibus avant de prendre la direction de son auberge à Sainte-Luce Ils embarquent dans l’autobus et vont prendre leur place pratiquement seuls Je vais les attacher et ensuite on part à l’auberge» lance le propriétaire de l’Auberge canine et féline chez Steph il a effectué le voyagement des chiens avec sa propre voiture ou avec une camionnette lorsque sa maison lui servait de garderie lors de l’ouverture de son auberge en juillet 2024 d’acquérir un autobus pour faciliter le transport Il explique également qu’en plus de donner un grand coup de main aux propriétaires cette façon de faire coupe court au sentiment d’abandon plus rapidement entre le chien et son maître «C’est beaucoup moins stressant pour les chiens en arrivant à l’auberge C’est vraiment comme pour un enfant qui arriverait seul à la rentrée scolaire Ça fait peur d’arriver seul quand tu ne connais personne.» • Écoutez aussi cet épisode balado tiré de l'émission de Richard Martineau, diffusée sur les plateformes QUB et simultanément sur le 99.5 FM Montréal : Ce service de transport n’est toutefois qu’une petite partie de tout ce qu’il a mis en place afin d’assurer le confort de ses pensionnaires poilus qui sont chouchoutés dans cette auberge Il tenait d'ailleurs à ce que ces derniers puissent être en liberté dans un espace spacieux où le confort règne coussins ainsi qu’à un écran géant pour n’énumérer que quelques commodités de cette auberge qui peut accueillir entre 20 à 30 chiens simultanément tout dépendant de leur grosseur et de leur tempérament.  «Je voulais absolument m’assurer qu’ils soient bien Ce n’est pas une vie de passer ses journées dans une cage La seule place où on a des «box» c’est dans la cafétéria pour être certain que les repas restent sécuritaires explique celui dont l'auberge comprend également une garderie féline en plus d'offrir un service de toilettage sont d’ailleurs de plus en plus sollicités depuis l’ouverture de l’auberge qui affichait notamment complet lors du week-end de Pâques qui dit même recevoir deux à trois nouveaux toutous par jour estime que cela est dû au fait qu’il s’assure «Je considère que ce sont deux choses différentes et je pense que c’est ce qui fait la différence à la fin de la journée ma récompense c’est de pouvoir m’asseoir devant la télé avec eux et en profiter» J’accepteAller au contenu principalAller au pied de pageAide à la navigationPublicité La destination d’information de Radio-Canada dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"Rassemblés vers 17 h devant les bureaux de la députée de Rimouski Maïté Blanchette Vézina les manifestants ont d’abord scandé des slogans avant d'emprunter le boulevard Jessop puis la rue Saint-Germain Organisée dans le cadre de la deuxième édition de la grève sociale au Bas-Saint-Laurent cette manifestation clôt une journée de mobilisation et d’ateliers à travers la région sous la thématique Le logement Ça va mal au niveau du logement au Bas-Saint-Laurent co-coordonnatrice du Comité Logement Bas-Saint-Laurent qui organise l'événement ils ne déménagent plus parce qu'ils n'ont plus d'autres options On peut imaginer qu’il y a plein de gens qui restent dans des logements insalubres qui restent avec des propriétaires qui les intimident quotidiennement parce qu'ils ont nulle part d’autre où aller Son organisme soutient que des investissements dans le logement social sont indispensables à la sortie de crise qui sévit dans la région c'est vraiment important que l'on construise des coopératives des OBNL d'habitation qui sont basés sur le revenu des gens les locataires ont généralement davantage de contrôle sur leur milieu de vie à l'intérieur de ces modèles d’habitation Quand c'est les gens qui vivent quelque part qui s'occupent du logement il y a de meilleures chances que ce ne soit pas insalubre Des groupes de défense des droits des locataires montréalais ont aussi participé au rassemblement L’organisatrice communautaire Marie-Ève d'Entremont qui travaille au comité logement du Plateau-Mont-Royal à Montréal explique qu'il était important pour les employés de son organisme de se déplacer dans la région pour pour montrer leur soutien aux enjeux spécifiques locaux Tout en reconnaissant que les réalités à Montréal et à Rimouski diffèrent on connaît depuis très longtemps : la montée de l'itinérance Il faut que ce soit mis de l'avant parce qu’il faut que les mesures soient prises maintenant avant que ça atteigne des niveaux comme ceux qu'on a à Montréal ou à Québec l’agente de développement pour la Table de concertation des groupes de femmes du Bas-Saint-Laurent dont l’organisme prend part activement à la grève sociale rappelle la précarité accrue que vivent les femmes et les personnes trans en matière de logement ça veut dire que les personnes qui sont victimes de violence conjugale ne peuvent pas se reloger Cette situation les expose à un risque accru de violences et de féminicide Ces personnes vivent aussi en général de plus faibles revenus ce qui les rend moins compétitives dans la recherche d’un appartement ou plus à même de subir des discriminations Les logements sont tout à fait inadaptés pour le revenu Une personne qui cherche un 4 et demi à Rimouski ça ressemble à 1200-1300 $ par mois ce n'est vraiment pas abordable pour les femmes de la région La co-coordonnatrice du Comité Logement Bas-Saint-Laurent explique que la grève sociale au Bas-Saint-Laurent permet aux organismes communautaires participants de se rencontrer et de s’éduquer sur différentes thématiques touchant les droits sociaux comme la justice pour les personnes migrantes la défense des services sociaux et de la santé et le droit au logement elles parlent toutes de la même chose elles parlent de politique d'austérité de politiques discriminatoires envers les personnes immigrantes envers même les familles qui ont de la misère à se loger. Ouvrir en mode plein écranPlus d’une soixantaine de personnes et des groupes communautaires solidaires ont marché dans les rues de Rimouski pour demander à Québec d’investir davantage dans le logement social Photo : Radio-Canada / Raphaëlle Ainsley-Vincent Plus d’une soixantaine de personnes ont manifesté mercredi soir dans les rues de Rimouski pour demander à Québec d’investir davantage dans le logement social face aux logements locatifs trop rares ou inabordables dans la région Des groupes communautaires solidaires du Bas-Saint-Laurent et même de Montréal ont pris part au rassemblement Rassemblés vers 17 h devant les bureaux de la députée de Rimouski Maïté Blanchette Vézina les manifestants ont d’abord scandé des slogans avant d'emprunter le boulevard Jessop puis la rue Saint-Germain cette manifestation clôt une journée de mobilisation et d’ateliers à travers la région sous la thématique Le logement Ça va mal au niveau du logement au Bas-Saint-Laurent co-coordonnatrice du Comité Logement Bas-Saint-Laurent qui organise l'événement ils ne déménagent plus parce qu'ils n'ont plus d'autres options On peut imaginer qu’il y a plein de gens qui restent dans des logements insalubres qui restent avec des propriétaires qui les intimident quotidiennement parce qu'ils ont nulle part d’autre où aller Son organisme soutient que des investissements dans le logement social sont indispensables à la sortie de crise qui sévit dans la région c'est vraiment important que l'on construise des coopératives des OBNL d'habitation qui sont basés sur le revenu des gens Ouvrir en mode plein écranCassandre Vassart-Courteau la co-coordonnatrice du Comité Logement Bas-Saint-Laurent qui organise la manifestation affirme que des investissements dans le logement social sont indispensables dans la région les locataires ont généralement davantage de contrôle sur leur milieu de vie à l'intérieur de ces modèles d’habitation Des groupes de défense des droits des locataires montréalais ont aussi participé au rassemblement Ouvrir en mode plein écranL’organisatrice communautaire Marie-Ève d'Entremont (à gauche) qui travaille au comité logement du Plateau-Mont-Royal a fait la route avec ses collègues pour participer à la manifestation à Rimouski et démontrer leur solidarité L’organisatrice communautaire Marie-Ève d'Entremont qui travaille au comité logement du Plateau-Mont-Royal à Montréal explique qu'il était important pour les employés de son organisme de se déplacer dans la région pour pour montrer leur soutien aux enjeux spécifiques locaux Tout en reconnaissant que les réalités à Montréal et à Rimouski diffèrent on connaît depuis très longtemps : la montée de l'itinérance Il faut que ce soit mis de l'avant parce qu’il faut que les mesures soient prises maintenant avant que ça atteigne des niveaux comme ceux qu'on a à Montréal ou à Québec Lancer l’écoute|16 minLes femmes et les personnes trans : grandes victimesEn marchant avec le contingent l’agente de développement pour la Table de concertation des groupes de femmes du Bas-Saint-Laurent dont l’organisme prend part activement à la grève sociale rappelle la précarité accrue que vivent les femmes et les personnes trans en matière de logement ça veut dire que les personnes qui sont victimes de violence conjugale ne peuvent pas se reloger Cette situation les expose à un risque accru de violences et de féminicide Ces personnes vivent aussi en général de plus faibles revenus ce qui les rend moins compétitives dans la recherche d’un appartement ou plus à même de subir des discriminations Ouvrir en mode plein écranÉmilie Laliberté agente de développement de la Table de concertation des groupes de femmes du Bas-Saint-Laurent Les logements sont tout à fait inadaptés pour le revenu Une personne qui cherche un 4 et demi à Rimouski ce n'est vraiment pas abordable pour les femmes de la région La co-coordonnatrice du Comité Logement Bas-Saint-Laurent explique que la grève sociale au Bas-Saint-Laurent permet aux organismes communautaires participants de se rencontrer et de s’éduquer sur différentes thématiques touchant les droits sociaux la défense des services sociaux et de la santé et le droit au logement envers même les familles qui ont de la misère à se loger. Cinéma. Tarifs de Trump : stupeur et confusion dans l’industrie canadienne du cinéma. Publié à 16 h 42 HAE Tarifs de Trump : stupeur et confusion dans l’industrie canadienne du cinémaPlusieurs questions demeurent quant à l'application des tarifs de 100 % sur les films produits hors des É.-U Donald Trump, président des États-Unis. L’administration Trump veut donner 1000 $ aux sans-papiers qui s’« auto-expulsent ». Publié à 16 h 51 HAE L’administration Trump veut donner 1000 $ aux sans-papiers qui s’« auto-expulsent »Cette stratégie économisera de l'argent aux contribuables soutient le département de la Sécurité intérieure Crimes et délits. Une étudiante portée disparue retrouvée morte à Ottawa. Publié à 17 h 36 HAE Une étudiante portée disparue retrouvée morte à OttawaLe Haut-Commissariat de l'Inde à Ottawa a identifié Vanshika Saini comme une étudiante indienne Politique provinciale. « Quebec, Canada! We’ll make a deal! », lance Donald Trump. Publié à 4 h 00 HAE « Quebec, Canada! We’ll make a deal! », lance Donald TrumpLa ministre québécoise Martine Biron a eu un échange avec le président américain au Vatican Donald Trump, président des États-Unis. Donald Trump dit qu’il est improbable que les É.-U. annexent le Canada. Publié à 15 h 12 HAE Donald Trump dit qu’il est improbable que les É.-U. annexent le CanadaLe président américain a affirmé qu'il continuera à faire pression pour que le Canada devienne le 51e État Chargement en coursInfolettre ICI Bas Saint LaurentUne fois par jour recevez l’essentiel de l’actualité régionale Abonnez-vous à notre infolettre pour ne rien manquer Rassemblés vers 17 h devant les bureaux de la députée de Rimouski Maïté Blanchette Vézina Organisée dans le cadre de la deuxième édition de la grève sociale au Bas-Saint-Laurent Plusieurs questions demeurent quant à l'application des tarifs de 100 % sur les films produits hors des É.-U Cette stratégie économisera de l'argent aux contribuables Le Haut-Commissariat de l'Inde à Ottawa a identifié Vanshika Saini comme une étudiante indienne La ministre québécoise Martine Biron a eu un échange avec le président américain au Vatican Le président américain a affirmé qu'il continuera à faire pression pour que le Canada devienne le 51e État Les circonstances et les causes des décès sont encore à déterminer Deux corps ont été repêchés du fleuve Saint-Laurent à la hauteur de Boucherville dimanche après-midi Les deux corps ont été aperçus près de l'Île Grosbois une île qui est située dans le parc national des Îles-de-Boucherville La Sûreté du Québec (SQ) a été appelée en support au Service de police de l'agglomération de Longueuil vers 14h L'enquête a été confiée à la SQ afin de déterminer les causes des deux décès Ils n'ont pas de lien entre eux à première vue Odyssée dans les profondeurs hypoxiques du Saint-LaurentUn texte de France BeaudoinPhotographies par Pier GagnéPublié le 5 avril 2025 | Mis à jour le 6 avril 2025PartagerOuvrir la fenêtre de partageFermer la fenêtre de partageLien copié 11 novembre 2024. En ce jour du Souvenir, l’équipe de scientifiques qui se trouve à bord du navire de recherche Coriolis II, au large de Rimouski, s’apprête à vivre un moment mémorable. Ils vont pour la toute première fois explorer les profondeurs du Saint-Laurent et découvrir la face cachée d’un univers sous-marin qui leur était jusque-là inaccessible. « On a déjà eu quelques images, des photographies à certains endroits, mais là, on va vraiment se balader au fond du Saint-Laurent et observer ce qui s'y passe. » Le chef de mission, Ludovic Pascal, étudie l’itinéraire du Coriolis II. Photo : Radio-Canada / Pier GagnéL’objectif : mieux comprendre l’hypoxie et son impact sur les organismes vivants qui peuplent le chenal Laurentien, une longue vallée sous-marine qui se jette dans l’océan Atlantique. Dans l'imaginaire collectif des océanographes, une zone hypoxique ressemble à un désert, explique Gwénaëlle Chaillou, professeure en océanographie chimique à l’ISMER. Mais est-ce bien le cas? Ils en auront le cœur net grâce au ROV Astrid, un immense robot sous-marin contrôlé à distance et muni de caméras et d’instruments de mesure. Il sera les yeux et les mains des chercheurs. « On connaît mieux la surface de Mars actuellement avec [le robot] Perseverance. Astrid, c'est notre Perseverance. » Le ROV Astrid est muni de caméras et d’instruments de mesure. Photo : Radio-Canada / Pier GagnéLe ROV Astrid descend lentement jusqu’à 300 mètres sous l’eau, là où l’oxygène se fait de plus en plus rare. Dans la salle de contrôle du navire, le pilote manipule délicatement le robot. L'attente est longue. L’équipe à bord du Coriolis II est fébrile. Les premières images apparaissent enfin à l’écran, sous l'œil attentif de Gwénaëlle Chaillou. Il y a de la vie, des crustacés, des crabes, des anémones, quelques poissons de fond. À mon avis, quand on creuse dans le sédiment, il n’y a plus grand-chose parce que c'est tout de suite des sédiments très réduits. C'est un habitat très spécifique, dans lequel les bactéries se sentent bien, dans lequel la macro-faune ou la faune se sent un peu moins bien. Le Saint-Laurent à bout de souffleLe Saint-Laurent à bout de souffleCe que voient les chercheurs n’est qu’une infime partie d’une zone beaucoup plus vaste dans le Saint-Laurent qui est sous-oxygénée de manière chronique. La surface de cette zone a triplé entre 2003 et 2021 et couvre maintenant l’équivalent de 10 000 kilomètres carrés. Elle s’étend de Tadoussac jusqu’à Anticosti dans tout le chenal Laurentien. Le taux d’oxygène dissous dans ces eaux profondes est en chute libre. De 2019 à 2020, la concentration en oxygène a diminué de près de la moitié, atteignant un creux historique de 10 % de saturation. Sous le seuil de 20 % de saturation d’oxygène, plusieurs espèces ne peuvent pas survivre. L’oxygène est essentiel au fonctionnement des écosystèmes marins. La zone hypoxique débute à Tadoussac et s’étend jusqu’à Anticosti.  Photo : Radio-Canada / Christian GoupilLe ROV Astrid poursuit son exploration dans les profondeurs du Saint-Laurent. Il s’oriente à partir de points GPS déterminés par les chercheurs et prélève des échantillons de sédiments. Il explore, il filme, on prend des photos en même temps, explique Gwénaëlle Chaillou. Cela fait 40 ans que le Saint-Laurent est étudié. Il y avait des données, mais pas d'images. Donc là, on associe les deux à une résolution qu'on n'a jamais faite encore. Le robot se dirige au-dessus d’une zone de sédiments blanchâtres, des pockmarks. Du méthane s’en échappe, ce qui exacerbe la consommation d’oxygène. Il prend également des mesures du taux d’oxygénation à différentes profondeurs. Les données recueillies laissent les chercheurs perplexes. « Ce qui me surprend, c'est l'épaississement de la zone hypoxique. Il y a une vingtaine d'années, on trouvait la limite hypoxique théorique à 270 mètres de profondeur. Et là, on l'a vue à 150 mètres. L'épaisseur, donc le volume d'eau sous-oxygéné, semble avoir augmenté. » Autrement dit, les organismes marins ont de moins en moins accès à un habitat oxygéné, apte à les accueillir. Leur milieu de vie rétrécit. Selon l’océanographe physicien Peter Galbraith de Pêches et Océans Canada, le Saint-Laurent fait présentement face à un trio infernal : température, oxygène dissous, acidification. Les pires conditions jamais observées, précise-t-il. Jusqu’au milieu des années 1990, les apports en nutriments urbains et agricoles étaient responsables d’environ la moitié de la perte d’oxygène dans le chenal. Puis tout a basculé avec les bouleversements climatiques et l’augmentation des températures. La couche profonde du Saint-Laurent provenait d’un mélange de masses d’eau : les eaux froides et bien oxygénées du courant du Labrador et les eaux plus chaudes du Gulf Stream. Or, depuis les années 2000, le courant chaud domine. 100 % de la masse d’eau profonde à la hauteur de Rimouski provient maintenant des eaux chaudes du Gulf Stream, comme le montre cette animation créée pour la Semaine verte par le graphiste Christian Goupil. « Si la contribution de la masse d'eau du sud augmente, on vient diminuer la concentration d'oxygène parce que le mélange est plus chaud. Les micro-organismes, les organismes qui sont dans le Saint-Laurent, vont respirer, et cette respiration va consommer l'oxygène, donc le réservoir initial va diminuer. » Ces micro-organismes dégradent les matières organiques et produisent du dioxyde de carbone qui s’accumule dans les eaux profondes. Cela contribue à l’acidification de l’eau. On a maintenant des records de conditions acides à la station de Rimouski, précise Peter Galbraith. L'acidification du Saint-Laurent est beaucoup plus rapide que la moyenne mondiale. Dans un milieu plus acide, l’eau devient corrosive, ce qui nuit à la capacité de certaines espèces de produire des squelettes ou des coquilles à partir du carbonate de calcium. La plus grande proportion d’eau chaude dans le chenal Laurentien fait aussi grimper la température des eaux profondes. Peter Galbraith est chercheur scientifique en océanographie physique à l’Institut Maurice-Lamontagne à Mont-Joli. Pêches et Océans Canada Photo : Radio-Canada / Pier Gagné« En 2022, on a battu un record plus que centenaire. On était à 7,1 degrés Celsius en moyenne sur tout le golfe. Avec des endroits beaucoup plus chauds dépassant les 8 degrés Celsius. » Plus l’eau se réchauffe, plus les bactéries consomment de l’oxygène et plus elles rejettent du CO2. Un véritable cercle vicieux. Piero Calosi étudie les effets de l’hypoxie sur la physiologie des espèces benthiques qui peuplent le fond du chenal Laurentien. Ces petits organismes, au cœur de la diète des poissons, vivent à la surface et dans les premiers centimètres des sédiments. Véritables jardiniers sous-marins, ils font de la bioturbation, un processus biologique important. Ils travaillent, mélangent et oxygènent les sédiments et remettent en circulation dans la colonne d'eau les éléments dégradés et oxydés par l'action des bactéries. Parce qu’ils ont une mobilité réduite, ils sont directement touchés par la dégradation de leur habitat et la sous-oxygénation. « La réduction de l’abondance des organismes, de leur taille, la capacité de reproduction de certaines espèces et leurs déplacements, c'est clairement inquiétant. On risque d'avoir des pertes de biodiversité importantes, plus qu'on pourrait s'imaginer, surtout plus vite qu'on peut s'imaginer. » Piero Calosi est professeur en physiologie évolutive et changements globaux marins à l’Université du Québec à Rimouski (UQAR). Photo : Radio-Canada / Pier GagnéLe sort que l’avenir réserve aux espèces commerciales de poissons et de crustacés est, lui, plus contrasté. Des espèces commerciales, comme le flétan du Groenland et la morue du nord du golfe, sont touchées par l’hypoxie. Et le professeur en océanographie biologique à l’ISMER, Dominique Robert, anticipe à moyen terme une diminution des stocks de crabe des neiges dans tout le golfe du Saint-Laurent. Le sébaste, lui, semble à première vue mieux tolérer la sous-oxygénation des eaux profondes. Ce poisson rouge vif, presque disparu du Saint-Laurent au début des années 1990, fait un retour en force. Mais sa vitalité pourrait n’être que temporaire, puisqu’elle repose sur des stocks de crevettes nordiques que son appétit vorace menace. D'autres changements s’annoncent plutôt positifs. Le réchauffement généralisé de la région favorise ainsi l’expansion de certaines espèces à forte valeur, comme le homard qu'on retrouve maintenant dans presque tous les secteurs du golfe du Saint-Laurent, rapporte le professeur en océanographie biologique. Le thon rouge est aussi revenu de façon assez importante. Pour donner un second souffle aux milieux qui souffrent d’hypoxie, des chercheurs évoquent l'idée de les réoxygéner artificiellement. Le concept a d’ailleurs été mis à l'essai en Suède, dans le fjord Byfjorden, un bassin de 7 kilomètres carrés atteignant jusqu’à 50 mètres de profondeur. Le fjord est hypoxique, voire souvent anoxique. L’oxygène dissous est alors complètement absent dans la zone profonde. Le professeur émérite en océanographie physique Anders Stigebrandt a dirigé un projet expérimental de géo-ingénierie, il y a 15 ans, pour réoxygéner artificiellement ce bassin. Une grande plateforme a été aménagée au milieu du fjord, à partir de laquelle, pendant deux ans, l’eau de surface, plus oxygénée, a été mélangée aux eaux profondes. Anders Stigebrandt professeur émérite en océanographie physique, Université de Göteborg, Suède Photo : Radio-Canada / Henrik Norrthon « L’anoxie est disparue et la macrofaune benthique est revenue coloniser les sédiments.  » D’autres projets de réoxygénation de la mer Baltique sont sur la table à dessin. Le groupe européen Lhyfe veut construire, en mer, un site de production d’hydrogène vert rattaché à un parc éolien. Le procédé de fabrication de l'hydrogène produirait de l’oxygène qui pourrait être injecté dans les fonds marins. Pour le professeur en océanographie Douglas Wallace de l’Université Dalhousie, le problème de l’hypoxie est tel que le moment est effectivement venu de se tourner vers la géo-ingénierie pour protéger les écosystèmes marins. Douglas Wallace, chercheur en sciences et technologies océaniques, Université Dalhousie, Nouvelle-Écosse. Photo : Radio-Canada / France BeaudoinIl souhaite tester un concept d’oxygénation artificielle semblable au modèle suédois, en pleine ville d’Halifax, dans le bassin Bedford. Cette baie fermée souffre d’hypoxie saisonnière et représente à son avis l’endroit idéal pour observer et évaluer les conséquences de la réoxygénation. Verrait-on la biodiversité augmenter? Ça devrait être le cas, comme en Suède, affirme-t-il. S'il y a une chance d'avoir un impact positif ou de minimiser les impacts négatifs, nous devrions le faire. Le scientifique voit plus grand encore. On pourrait, selon lui, profiter d’un projet prévu dans l’ouest de Terre-Neuve pour réoxygéner le chenal Laurentien au Québec. Une usine d’hydrogène et d’ammoniac verts doit être construite à Stephenville, dans l’ouest de Terre-Neuve. Le sous-produit, l’oxygène, pourrait être envoyé par pipeline, directement dans le golfe du Saint-Laurent, comme le montre cette autre animation de Christian Goupil.. Cela demande de la rigueur scientifique, une ingénierie poussée, de la modélisation. L’oxygène se mélangerait aux eaux et se déplacerait lentement vers l’estuaire, 800 kilomètres plus loin. Il mettrait environ quatre ans à se rendre dans les zones hypoxiques, explique Douglas Wallace. Si la géo-ingénierie comme solution à l’hypoxie dans le Saint-Laurent semble possible à réaliser sur le plan technique, le concept soulève inquiétudes et questionnements dans le milieu scientifique. « On n’a aucune idée de ce que la réintroduction d'oxygène va provoquer. On redéstabilise le système pour quelque chose que nous, on croit mieux. Collectivement, souhaite-t-on aller vers ça sans savoir où ça nous mène? Je m'interroge sur ces questions-là, qui sont d'ordre éthique. » Gwénaëlle Chaillou est océanographe chimique et professeure de chimie marine à l'Institut des sciences de la mer de Rimouski (ISMER-UQAR). Photo : Radio-Canada / Pier GagnéLa perte de la biodiversité marine a un coût pour l'écosystème, pour la pêche commerciale et pour tous ceux qui dépendent de l'océan pour leur subsistance, rétorque son collègue à l’Université Dalhousie. On ne peut plus se contenter d’étudier le problème et laisser quelqu’un d’autre le régler, dit-il. Le reportage de France Beaudoin et de Pier Gagné sera présenté à l'émission La semaine verte samedi à 17 h (18 h 30 HA) sur ICI TÉLÉ. Les vidéos animés dans ce texte sont toutes de Christian Goupil, designer graphique. Un document réalisé par Radio-Canada Info Le pape François a été emmené vers son ultime lieu de repos à travers les rues … les nombreux photographes croquent parfois des portraits inusités … À l’occasion du centenaire du Cercle Molière Elle permet de stabiliser les prix et d’assurer un approvisionnement constant … La flotte ne serait pas prête pour un conflit majeur Découverte se penche sur l'appétit énergétique de cette industrie en rapide … Le niveau de violence a monté d’un cran au centre de détention de Québec Le Beauceron Henry Perreault fait partie de ceux qui perpétuent ce savoir-faire … Notre journaliste Alain Labelle fait le point sur notre connaissance de … Le pape François a été emmené vers son ultime lieu de repos à travers les rues de Rome les nombreux photographes croquent parfois des portraits inusités des chefs est le gardien d’une tradition de plus en plus rare Elle permet de stabiliser les prix et d’assurer un approvisionnement constant au monde entier Découverte se penche sur l'appétit énergétique de cette industrie en rapide croissance Le Beauceron Henry Perreault fait partie de ceux qui perpétuent ce savoir-faire propre à l’identité régionale Notre journaliste Alain Labelle fait le point sur notre connaissance de l’alzheimer avec 5 experts québécois comme bien d'autres zones marines dans le monde prend de l'ampleur avec les changements climatiques des chercheurs québécois ont eu accès aux profondeurs sous-oxygénées du chenal Laurentien afin de mieux comprendre les conséquences de l’hypoxie Et pour donner un second souffle aux milieux hypoxiques des scientifiques évoquent l'idée de les réoxygéner artificiellement l’équipe de scientifiques qui se trouve à bord du navire de recherche Coriolis II s’apprête à vivre un moment mémorable Ils vont pour la toute première fois explorer les profondeurs du Saint-Laurent et découvrir la face cachée d’un univers sous-marin qui leur était jusque-là inaccessible des photographies à certains endroits on va vraiment se balader au fond du Saint-Laurent et observer ce qui s'y passe L’objectif : mieux comprendre l’hypoxie et son impact sur les organismes vivants qui peuplent le chenal Laurentien une longue vallée sous-marine qui se jette dans l’océan Atlantique Dans l'imaginaire collectif des océanographes une zone hypoxique ressemble à un désert professeure en océanographie chimique à l’ISMER Ils en auront le cœur net grâce au ROV Astrid un immense robot sous-marin contrôlé à distance et muni de caméras et d’instruments de mesure Il sera les yeux et les mains des chercheurs On connaît mieux la surface de Mars actuellement avec [le robot] Perseverance Le ROV Astrid descend lentement jusqu’à 300 mètres sous l’eau là où l’oxygène se fait de plus en plus rare le pilote manipule délicatement le robot L’équipe à bord du Coriolis II est fébrile Les premières images apparaissent enfin à l’écran sous l'œil attentif de Gwénaëlle Chaillou il n’y a plus grand-chose parce que c'est tout de suite des sédiments très réduits C'est un habitat très spécifique dans lequel les bactéries se sentent bien dans lequel la macro-faune ou la faune se sent un peu moins bien Le fond du Saint-Laurent révèle ses mystères Ce que voient les chercheurs n’est qu’une infime partie d’une zone beaucoup plus vaste dans le Saint-Laurent qui est sous-oxygénée de manière chronique La surface de cette zone a triplé entre 2003 et 2021 et couvre maintenant l’équivalent de 10 000 kilomètres carrés Elle s’étend de Tadoussac jusqu’à Anticosti dans tout le chenal Laurentien Le taux d’oxygène dissous dans ces eaux profondes est en chute libre la concentration en oxygène a diminué de près de la moitié atteignant un creux historique de 10 % de saturation Sous le seuil de 20 % de saturation d’oxygène plusieurs espèces ne peuvent pas survivre L’oxygène est essentiel au fonctionnement des écosystèmes marins Le ROV Astrid poursuit son exploration dans les profondeurs du Saint-Laurent Il s’oriente à partir de points GPS déterminés par les chercheurs et prélève des échantillons de sédiments Cela fait 40 ans que le Saint-Laurent est étudié on associe les deux à une résolution qu'on n'a jamais faite encore Le robot se dirige au-dessus d’une zone de sédiments blanchâtres ce qui exacerbe la consommation d’oxygène Il prend également des mesures du taux d’oxygénation à différentes profondeurs Les données recueillies laissent les chercheurs perplexes Le robot se dirige au-dessus d’une zone de sédiments blanchâtres c'est l'épaississement de la zone hypoxique on trouvait la limite hypoxique théorique à 270 mètres de profondeur donc le volume d'eau sous-oxygéné les organismes marins ont de moins en moins accès à un habitat oxygéné Selon l’océanographe physicien Peter Galbraith de Pêches et Océans Canada le Saint-Laurent fait présentement face à un trio infernal : température Les pires conditions jamais observées Jusqu’au milieu des années 1990 les apports en nutriments urbains et agricoles étaient responsables d’environ la moitié de la perte d’oxygène dans le chenal Puis tout a basculé avec les bouleversements climatiques et l’augmentation des températures La couche profonde du Saint-Laurent provenait d’un mélange de masses d’eau : les eaux froides et bien oxygénées du courant du Labrador et les eaux plus chaudes du Gulf Stream 100 % de la masse d’eau profonde à la hauteur de Rimouski provient maintenant des eaux chaudes du Gulf Stream comme le montre cette animation créée pour la Semaine verte par le graphiste Christian Goupil 100 % de la masse d’eau profonde à la hauteur de Rimouski provient maintenant des eaux chaudes du Gulf Stream Si la contribution de la masse d'eau du sud augmente on vient diminuer la concentration d'oxygène parce que le mélange est plus chaud les organismes qui sont dans le Saint-Laurent et cette respiration va consommer l'oxygène donc le réservoir initial va diminuer Ces micro-organismes dégradent les matières organiques et produisent du dioxyde de carbone qui s’accumule dans les eaux profondes Cela contribue à l’acidification de l’eau On a maintenant des records de conditions acides à la station de Rimouski L'acidification du Saint-Laurent est beaucoup plus rapide que la moyenne mondiale ce qui nuit à la capacité de certaines espèces de produire des squelettes ou des coquilles à partir du carbonate de calcium La plus grande proportion d’eau chaude dans le chenal Laurentien fait aussi grimper la température des eaux profondes On était à 7,1 degrés Celsius en moyenne sur tout le golfe Avec des endroits beaucoup plus chauds dépassant les 8 degrés Celsius plus les bactéries consomment de l’oxygène et plus elles rejettent du CO2 Piero Calosi étudie les effets de l’hypoxie sur la physiologie des espèces benthiques qui peuplent le fond du chenal Laurentien au cœur de la diète des poissons vivent à la surface et dans les premiers centimètres des sédiments mélangent et oxygènent les sédiments et remettent en circulation dans la colonne d'eau les éléments dégradés et oxydés par l'action des bactéries Parce qu’ils ont une mobilité réduite ils sont directement touchés par la dégradation de leur habitat et la sous-oxygénation La réduction de l’abondance des organismes la capacité de reproduction de certaines espèces et leurs déplacements On risque d'avoir des pertes de biodiversité importantes Le sort que l’avenir réserve aux espèces commerciales de poissons et de crustacés est comme le flétan du Groenland et la morue du nord du golfe Et le professeur en océanographie biologique à l’ISMER anticipe à moyen terme une diminution des stocks de crabe des neiges dans tout le golfe du Saint-Laurent semble à première vue mieux tolérer la sous-oxygénation des eaux profondes presque disparu du Saint-Laurent au début des années 1990 Mais sa vitalité pourrait n’être que temporaire puisqu’elle repose sur des stocks de crevettes nordiques que son appétit vorace menace D'autres changements s’annoncent plutôt positifs Le réchauffement généralisé de la région favorise ainsi l’expansion de certaines espèces à forte valeur comme le homard qu'on retrouve maintenant dans presque tous les secteurs du golfe du Saint-Laurent rapporte le professeur en océanographie biologique Le thon rouge est aussi revenu de façon assez importante Une grande plate-forme a été aménagée au milieu du fjord Byfjorden Pour donner un second souffle aux milieux qui souffrent d’hypoxie des chercheurs évoquent l'idée de les réoxygéner artificiellement Le concept a d’ailleurs été mis à l'essai en Suède un bassin de 7 kilomètres carrés atteignant jusqu’à 50 mètres de profondeur L’oxygène dissous est alors complètement absent dans la zone profonde Le professeur émérite en océanographie physique Anders Stigebrandt a dirigé un projet expérimental de géo-ingénierie pour réoxygéner artificiellement ce bassin Une grande plateforme a été aménagée au milieu du fjord a été mélangée aux eaux profondes L’anoxie est disparue et la macrofaune benthique est revenue coloniser les sédiments D’autres projets de réoxygénation de la mer Baltique sont sur la table à dessin Le groupe européen Lhyfe veut construire un site de production d’hydrogène vert rattaché à un parc éolien Le procédé de fabrication de l'hydrogène produirait de l’oxygène qui pourrait être injecté dans les fonds marins Pour le professeur en océanographie Douglas Wallace de l’Université Dalhousie le problème de l’hypoxie est tel que le moment est effectivement venu de se tourner vers la géo-ingénierie pour protéger les écosystèmes marins Il souhaite tester un concept d’oxygénation artificielle semblable au modèle suédois Cette baie fermée souffre d’hypoxie saisonnière et représente à son avis l’endroit idéal pour observer et évaluer les conséquences de la réoxygénation S'il y a une chance d'avoir un impact positif ou de minimiser les impacts négatifs profiter d’un projet prévu dans l’ouest de Terre-Neuve pour réoxygéner le chenal Laurentien au Québec Une usine d’hydrogène et d’ammoniac verts doit être construite à Stephenville pourrait être envoyé par pipeline directement dans le golfe du Saint-Laurent comme le montre cette autre animation de Christian Goupil. Avec un peu de rigueur scientifique et de l’ingénierie il serait possible de réoxygéner le chenal Laurentien au Québec L’oxygène se mélangerait aux eaux et se déplacerait lentement vers l’estuaire Il mettrait environ quatre ans à se rendre dans les zones hypoxiques Si la géo-ingénierie comme solution à l’hypoxie dans le Saint-Laurent semble possible à réaliser sur le plan technique le concept soulève inquiétudes et questionnements dans le milieu scientifique On n’a aucune idée de ce que la réintroduction d'oxygène va provoquer On redéstabilise le système pour quelque chose que nous souhaite-t-on aller vers ça sans savoir où ça nous mène La perte de la biodiversité marine a un coût pour l'écosystème pour la pêche commerciale et pour tous ceux qui dépendent de l'océan pour leur subsistance rétorque son collègue à l’Université Dalhousie On ne peut plus se contenter d’étudier le problème et laisser quelqu’un d’autre le régler Le reportage de France Beaudoin et de Pier Gagné sera présenté à l'émission La semaine verte samedi à 17 h (18 h 30 HA) sur ICI TÉLÉ Les vidéos animés dans ce texte sont toutes de Christian Goupil France Beaudoin est journaliste depuis 35 ans Elle fait partie de l'équipe de La semaine verte depuis 2007 après avoir été journaliste et présentatrice pendant 17 ans à RDI au Téléjournal Ontario ainsi qu'à la radio de Radio-Canada.En 2022 le New-York Festivals TV & Film Awards a remis à France Beaudoin un prix dans la catégorie environnement et écologie elle a été récipiendaire du Prix d'excellence en journalisme économique et financier pour un documentaire intitulé « La gestion de l'offre au Québec » elle a reçu l'Astéria d'or au Deauville Green Awards pour l'émission spéciale « Le Saint-Laurent un géant fragile. »Elle a également été finaliste au Prix Roberval en 2021 et au Prix Gémeaux en 2012 et 2010.France Beaudoin a enseigné le journalisme à la Cité collégiale d'Ottawa le réalisateur Pier Gagné a suivi une formation en histoire et en journalisme à l'Université Laval de Québec documentaires et docu-fictions pour différentes chaînes de télévision dont TVA il a réalisé différentes émissions d'affaires publiques Découverte et depuis 6 ans à La Semaine verte Le transport maritime sur le fleuve Saint-Laurent est un mode d’acheminement parmi les plus propres cette voie navigable qui donne aux Québécois un accès au reste de la planète devrait être utilisée davantage passe entre autres par des carburants plus verts de même que par une plus grande concertation entre nos gouvernements 80 % des biens qu’on consomme au quotidien passent par le fleuve » PDG de la Société de développement économique du Saint-Laurent (SODES) reçoit annuellement la visite d’environ 9000 navires des traversiers et des navires de croisière l’industrie maritime représente 24 000 emplois directs et indirects et génère des revenus d’environ 500 millions de dollars Un navire rempli équivaut à environ 1000 semi-remorques cite en exemple le grand patron de la SODES L’un des corridors les plus achalandés en la matière est la route 138 qui relie Montréal à la Côte-Nord Mathieu St-Pierre n’a rien contre les semi-remorques Mais il croit que le transport maritime mérite plus de place dans un modèle de logistique de transport moderne Il doit y avoir une vraie vision de logistique et de mobilité durable Les régions doivent se réunir et choisir un cocktail de modes de transport Ce n’est pas vrai que le transport maritime est l’unique voie Mais il faut l’intégrer davantage et ajuster l’ensemble de la chaîne logistique la SODES et différents partenaires sont à compléter la deuxième phase de leur projet de partage et d’échange de données maritimes etc.) devra numériser ses informations et les partager Ces données seront accessibles en temps réel on vise à accroître la fluidité des marchandises On veut éliminer les goulots qui ralentissent le mouvement des biens Il y a toujours un risque de ralentissement que ce soit à cause d’un bris ou d’un retard Ce type de partage et d’échange de données maritimes serait une première au Canada Pareilles initiatives existent aux États-Unis (programme Flow) Un des autres éléments qui feront du fleuve Saint-Laurent un axe de transport encore plus écologique est l’utilisation de combustibles verts la majorité des armateurs utilisent du diesel Mais un nombre croissant d’entre eux se tournent vers d’autres sources d’énergie qui mise de plus en plus sur le gaz naturel liquide (GNL) pour propulser une partie de sa flotte qui possède une vingtaine de navires reliant le sud du Québec à l’Arctique table sur la bicarburation (GNL + diesel) depuis maintenant huit ans les émissions de gaz à effet de serre (GES) du GNL sont inférieures de 20 % à celles du diesel car le réseau de ravitaillement de GNL n’existait pas Le Port de Montréal et le Port de Québec y ont cru et ont embarqué dans le projet Mais on ne peut pas encore miser sur une propulsion à 100 % avec du GNL pour la simple raison que c’est encore peu répandu Daniel Côté sent chez les armateurs une volonté de réduire leur empreinte carbone par l’entremise de nouveaux combustibles le biodiesel est l’une des avenues possibles « Mais il coûte de deux à trois fois plus cher que le diesel régulier C’est l’œuf ou la poule : on veut être plus verts une entreprise de Québec qui possède 40 remorqueurs sur le fleuve Saint-Laurent mais aussi dans l’Ouest canadien et les Antilles s’intéresse également aux sources d’énergie vertes Sa flotte de sept remorqueurs en Colombie-Britannique fonctionne à la HVO laquelle jouit d’un généreux crédit carbone dans cette province progressiste La HVO est produite à partir d’huiles et de graisses renouvelables « On a ouvert une première brèche dans l’Ouest canadien ou bien un carburant à base de plastique non recyclable » porte-parole de cette entreprise établie à Québec déplore le coordonnateur d'Action populaire Rimouski-Neigette On aurait espéré une augmentation beaucoup plus significative étant donné la hausse du coût de la vie le salaire minimum ne permet actuellement pas aux travailleurs et aux travailleuses de couvrir leurs besoins de base et plusieurs d’entre eux devront se tourner vers les banques alimentaires On parle des besoins essentiels : payer son loyer explique-t-il en soulignant que ce calcul n’inclut pas la possibilité de faire des sorties occasionnelles ni d’épargner On a tendance à penser que c'est des jeunes mais ça touche l'ensemble de la population active partout au Québec ça signifie que les femmes sont contraintes de rester dans une situation de pauvreté qui est plus importante agente de développement pour la Table de concertation des groupes de femmes du Bas-Saint-Laurent Selon les plus récentes données de l’Institut de la statistique du Québec les femmes représentent 55 % des personnes rémunérées au salaire minimum dans la province Carol-Ann Kack soutient que des obstacles supplémentaires s'ajoutent pour les femmes au Bas-Saint-Laurent en raison notamment du manque de transport collectif en milieu rural qui fait augmenter la dépendance à l’auto de la crise du logement qui frappe la région et du fait que les emplois les mieux rémunérés sont souvent plus typiquement masculins Les emplois dans les industries de la région qui offrent de bonnes rémunérations malgré un faible niveau de scolarité sont accessibles principalement pour les hommes ce qui a pour conséquence de restreindre les femmes qui ne détiennent pas de diplôme au secteur des services principalement où le salaire minimum est très courant Dans une région où on a besoin d'une voiture c'est extrêmement difficile d'y arriver 30 000 $ par année avant impôts il ne reste pas grand-chose par mois si on a besoin d'une voiture C'est le cumul de ces conditions qui fait en sorte que la situation est particulièrement difficile surtout quand on sait que les femmes vont avoir des charges domestiques supplémentaires Cette hausse n’aura pas d’impact majeur du côté des patrons pense le coprésident de la Chambre de commerce et de l’industrie Rimouski-Neigette Quand il arrive des surprises comme quand il y a eu la pandémie les gens ne sont pas préparés à ça Tu vas peut-être augmenter légèrement tes prix Simon St-Pierre est d’avis que cette hausse salariale peut même avoir des retombées économiques : En montant un peu les salaires les gens vont plus dépenser dans la région Pour les 217 000 Québécois et Québécoises qui travaillent au salaire minimum cette hausse représente une augmentation du revenu disponible qui pourrait aller jusqu'à 484 $ cette année Ouvrir en mode plein écranLe salaire minimum passe de 15,75 $ à 16,10 $ l'heure aujourd'hui au Québec Le salaire minimum est passé de 15,75 $ à 16,10 $ l'heure au Québec jeudi à la Chambre de commerce de Rimouski-Neigette on indique que cette hausse aura peu d’impact sur les entrepreneurs elle est jugée insuffisante par des groupes communautaires au Bas-Saint-Laurent déplore le coordonnateur d'Action populaire Rimouski-Neigette On aurait espéré une augmentation beaucoup plus significative étant donné la hausse du coût de la vie le salaire minimum ne permet actuellement pas aux travailleurs et aux travailleuses de couvrir leurs besoins de base et plusieurs d’entre eux devront se tourner vers les banques alimentaires On parle des besoins essentiels : payer son loyer explique-t-il en soulignant que ce calcul n’inclut pas la possibilité de faire des sorties occasionnelles ni d’épargner On a tendance à penser que c'est des jeunes mais ça touche l'ensemble de la population active partout au Québec Ouvrir en mode plein écranLe coordonnateur d'Action populaire Rimouski-Neigette ça signifie que les femmes sont contraintes de rester dans une situation de pauvreté qui est plus importante agente de développement pour la Table de concertation des groupes de femmes du Bas-Saint-Laurent Selon les plus récentes données de l’Institut de la statistique du Québec les femmes représentent 55 % des personnes rémunérées au salaire minimum dans la province Carol-Ann Kack soutient que des obstacles supplémentaires s'ajoutent pour les femmes au Bas-Saint-Laurent en raison notamment du manque de transport collectif en milieu rural qui fait augmenter la dépendance à l’auto de la crise du logement qui frappe la région et du fait que les emplois les mieux rémunérés sont souvent plus typiquement masculins Les emplois dans les industries de la région qui offrent de bonnes rémunérations malgré un faible niveau de scolarité sont accessibles principalement pour les hommes ce qui a pour conséquence de restreindre les femmes qui ne détiennent pas de diplôme au secteur des services principalement Dans une région où on a besoin d'une voiture C'est le cumul de ces conditions qui fait en sorte que la situation est particulièrement difficile surtout quand on sait que les femmes vont avoir des charges domestiques supplémentaires Lancer l’écoute|7 minLes commerçants et les entrepreneurs s’ajustent à l’augmentationCette hausse n’aura pas d’impact majeur du côté des patrons pense le coprésident de la Chambre de commerce et de l’industrie Rimouski-Neigette Quand il arrive des surprises comme quand il y a eu la pandémie Tu vas peut-être augmenter légèrement tes prix Simon St-Pierre est d’avis que cette hausse salariale peut même avoir des retombées économiques : En montant un peu les salaires les gens vont plus dépenser dans la région Pour les 217 000 Québécois et Québécoises qui travaillent au salaire minimum cette hausse représente une augmentation du revenu disponible qui pourrait aller jusqu'à 484 $ cette année Cette hausse de 35 cents du taux général du salaire minimum annoncée par le ministre du Travail, Jean Boulet, en janvier dernier est la plus faible augmentation des sept dernières années Cette hausse de 35 cents du taux général du salaire minimum annoncée par le ministre du Travail, Jean Boulet, en janvier dernier est la plus faible augmentation des sept dernières années Le salaire minimum est passé de 15,75 $ à 16,10 $ l'heure au Québec jeudi dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"À ce stade-ci le SPVM n'est pas en mesure de dire si ces événements qui se sont produits dans un intervalle d'une heure et demie il n'y a pas eu de blessés et personne n'a dû être évacué Le premier de ces incendies s'est déclaré peu avant trois heures du matin dans une résidence à vendre inoccupée et en rénovation du boulevard O'Brien près de la rue Cléroux dans Saint-Laurent Le 911 a reçu un appel à cet effet à 2 h 50 Selon les premières informations du SPVM un suspect a tenté de mettre le feu à la porte de garage de la maison a fracassé les fenêtres de la façade et a fait des graffitis L'individu a pris la fuite à pied et est recherché par les policiers Un témoin a été interrogé par les policiers relativement à cette affaire Les dommages causés à la maison sont minimes et du matériel incendiaire a été trouvé sur les lieux deux commerces situés à quelques mètres de distance sur l'avenue Dollard Le premier de ces commerces est situé près de la rue Chartrand et le second Des suspects seraient arrivés à bord d'un véhicule pour mettre le feu à ces commerces Comme dans le cas du méfait survenu dans Saint-Laurent des fenêtres ont été fracassées Des spécialistes en scènes d'incendies du SPVM tenteront lundi de faire progresser les enquêtes en lien avec ces trois incendies criminels Ouvrir en mode plein écranCette maison inoccupée de l'arrondissement de Saint-Laurent a été la cible d'un incendie criminel vers 3 h du matin dans la nuit de dimanche à lundi Le Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) enquête dans les arrondissements de Saint-Laurent et de LaSalle à la suite de trois incendies criminels survenus très tôt le SPVM n'est pas en mesure de dire si ces événements il n'y a pas eu de blessés et personne n'a dû être évacué Le premier de ces incendies s'est déclaré peu avant trois heures du matin dans une résidence à vendre inoccupée et en rénovation du boulevard O'Brien Le 911 a reçu un appel à cet effet à 2 h 50 un suspect a tenté de mettre le feu à la porte de garage de la maison a fracassé les fenêtres de la façade et a fait des graffitis L'individu a pris la fuite à pied et est recherché par les policiers Un témoin a été interrogé par les policiers relativement à cette affaire Les dommages causés à la maison sont minimes et du matériel incendiaire a été trouvé sur les lieux Ouvrir en mode plein écranLa fenêtre d'une maison incendiée a été fracassée deux commerces situés à quelques mètres de distance sur l'avenue Dollard Le premier de ces commerces est situé près de la rue Chartrand et le second Des suspects seraient arrivés à bord d'un véhicule pour mettre le feu à ces commerces Comme dans le cas du méfait survenu dans Saint-Laurent Des spécialistes en scènes d'incendies du SPVM tenteront lundi de faire progresser les enquêtes en lien avec ces trois incendies criminels Chargement en coursInfolettre Info nationaleNouvelles 52 % des Québécois souhaitent visiter le Bas-Saint-Laurent au cours des trois prochaines années Ces données confirment l’attrait grandissant pour notre région où le fleuve les grands espaces et les saveurs locales sont à l’honneur « Plusieurs Québécois ont redécouvert notre région pendant la pandémie président-directeur général de Tourisme Bas-Saint-Laurent Le récent sondage commandé par l’organisation révèle que 57 % des répondants ont déjà visité la région c’est la nature et les paysages qui attirent la beauté du territoire et ses points de vue sont les principales raisons de leur visite Rimouski (38 %) et Rivière-du-Loup (35 %) sont les destinations les plus visitées 27 % des répondants considèrent que l’offre touristique de la région est plus intéressante que celle des autres destinations québécoises les activités en nature et la proximité du fleuve répondent aux attentes de la clientèle prendre le temps semble aussi faire mouche Sept personnes sur dix la trouvent attrayante Les routes touristiques régionales gagnent également en notoriété Près de 21 % des personnes sondées connaissent au moins une des trois routes thématiques Leurs motivations : admirer les panoramas (68 %) découvrir les produits locaux (37 %) et explorer le patrimoine (31 %) Tourisme Bas-Saint-Laurent investit plus de 2,5 M$ par an pour promouvoir sa marque au Québec et autant à l’extérieur de la province avec l’appui du Québec maritime a vu sa fréquentation bondir de 50 % avec plus de 364 000 visiteurs Une dizaine de projets issus de la MRC de Kamouraska bénéficient d’un appui financier du Fonds de soutien à l’innovation du Bas-Saint-Laurent ils illustrent la diversité et la force d’innovation du territoire ce qui témoigne de la vitalité et de l’esprit novateur qui anime notre région » présidente du conseil d’administration du Collectif régional de développement du Bas-Saint-Laurent ces projets permettront d’acquérir de nouvelles compétences Parmi les 36 projets retenus à l’échelle du Bas-Saint-Laurent ils participent à une enveloppe totale de 2,23 M$ injectée par le Fonds à laquelle s’ajoutent des apports privés et publics pour un investissement global de plus de 6,6 M$ les entreprises À travers champs et Agroénergie de l’Est – coop de solidarité ont été sélectionnées reconnu pour ses ferments utilisés dans les microbrasseries Le Kamouraska mycologique et Potions boréales qui profiteront de ce soutien Graphie 222 et Fou du cochon mettront à profit ce financement pour innover dans leurs domaines respectifs « Je suis heureuse que ces nombreuses initiatives voient le jour dans le Bas-Saint-Laurent grâce à la participation financière de notre gouvernement » déclare la ministre Maïté Blanchette Vézina soulignant l’impact de l’innovation sur l’économie locale La saison du lien maritime entre Saint-Siméon et Rivière-du-Loup devait débuter le 17 avril mais lors de la remise en service de la rampe d’embarquement du quai de Saint-Siméon la STQ a constaté des pertes de pression aux vérins hydrauliques «La problématique a été identifiée par une entreprise spécialisée en hydraulique Il s’agit d’un problème au niveau des joints d’étanchéité des vérins» La Société ne «peut s’avancer sur une date précise» pour le début de la saison du Trans Saint-Laurent «étant donné qu’elle doit valider la disponibilité des pièces» «Mais tout porte à croire qu’elles pourraient l’être rapidement» «Il est assuré que nous ne pourrons pas reprendre le service cette semaine Nous aurons plus de détails à venir pour la suite» la saison du Trans Saint-Laurent avait pris fin prématurément à la suite d’un bris sur le système hydraulique de la rampe du côté de Rivière-du-Loup Le lien maritime s’était arrêté le 15 décembre alors que la saison devait finir le 2 janvier 2025 Félix Lajoie est un journaliste issu de la cuvée de l'été 2021 des stages Le Soleil/Coop Zone il est de retour dans son Charlevoix natal afin de couvrir l'Est de la grande région de Québec Le Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) enquête sur une tentative d’incendie criminel qui s’est produite cette nuit Un appel logé au 9-1-1 vers 2 h 50 a mis le SPVM sur la piste d’un début d’incendie criminel à une résidence en rénovation située sur l’avenue O’Brien Un suspect a été vu en train de mettre le feu à la porte de garage de la résidence Il aurait brisé des vitres et fait des graffitis avant de prendre la fuite L’incendie a été maîtrisé par les pompiers Des objets incendiaires ont été retrouvés sur les lieux L’enquête a été transférée à l’unité des incendies criminels du SPVM La scène est protégée et les enquêteurs se rendront sur les lieux dans la matinée Un témoin a été rencontré et il n’y a eu aucune arrestation dans ce dossier Ajuster la taille du texte en cliquant sur les boutons plus bas Ajuster le style visuel du site en sélectionnant l'option qui convient des choix plus bas: HomeActualités › Le Marché Saint-Laurent ouvre une seconde boutique au Palais des .. Le Palais des congrès de Montréal est heureux d’annoncer l’ouverture d’une boutique du Marché Saint-Laurent dans sa galerie commerciale entre café branché et vitrine de l’artisanat québécois célèbre la créativité d’ici et offre aux touristes d’affaires internationaux autant qu’à la population montréalaise une expérience unique combinant design Cette ouverture témoigne de l’objectif commun du Palais et du Marché Saint-Laurent de célébrer la « montréalité » auprès du plus grand nombre Après le succès de sa première boutique inaugurée en juin 2022 dans le Vieux-Montréal le Marché Saint-Laurent poursuit sa mission d’offrir aux touristes et à la communauté locale des produits qui encapsulent la culture québécoise à travers une sélection d’articles soigneusement sélectionnés pour leur qualité Mettant en valeur les talents créatifs du Québec l’espace moderne et inspirant du Palais des congrès promet une expérience authentique et pleine de découvertes L’union entre le Palais des congrès de Montréal et le Marché Saint-Laurent reflète une volonté partagée de célébrer et promouvoir le savoir-faire local Stratégiquement située dans la galerie commerciale du Palais la boutique se veut un îlot coloré et chaleureux au cœur de l’effervescence du Palais souvent en quête de souvenirs authentiques y découvriront des produits originaux et responsables qui racontent Montréal Montréalais et Montréalaises y trouveront des idées originales pour des cadeaux ou les achats bien-être du quotidien à travers une sélection évolutive d’articles adaptés aux saisons et aux événements se déroulant au Palais des congrès la qualité et le partage de valeurs communes le Marché Saint-Laurent s’entoure de collaborateurs triés sur le volet des accessoires et une collaboration spéciale pour un sirop d’érable exclusif telles que la murale pop et colorée de Whatisadam viennent compléter l’ambiance dynamique et accueillante du lieu ce concept a été imaginé par Florence Girod communication et tourisme depuis plus de 30 ans propriétaire du salon Suite 105 par Glam dans le Vieux-Montréal depuis 20 ans ils ambitionnent de faire du Marché Saint-Laurent bien plus qu’une simple boutique : un espace vivant faisant la part belle à la richesse de la culture québécoise et au talent des artisans et designers locaux Le Marché Saint-Laurent fait rayonner ce que Montréal a d’unique : son talent créatif sa culture vibrante et son savoir-faire exceptionnel En accueillant cette nouvelle boutique au Palais des congrès nous renforçons notre engagement à faire vivre un moment authentique et inspirant à nos visiteurs et visiteuses et incarnons parfaitement notre mission de célébrer la “montréalité” sous toutes ses formes C’est en tissant ces liens entre culture locale et rayonnement international que nous célébrons pleinement l’essence de Montréal présidente-directrice générale du Palais des congrès de Montréal Il était tout naturel pour nous de nous installer au Palais des congrès de Montréal La qualité et la diversité des événements qui s’y déroulent font de ce lieu un véritable carrefour où Montréalais et voyageurs d’affaires internationaux se rencontrent Cette effervescence reflète parfaitement notre mission : mettre en valeur la culture créative de Montréal à travers des produits conçus et fabriqués de manière responsable offrant ainsi aux visiteurs une expérience authentique qui raconte l’histoire unique de notre ville © Palais des congrès de Montréal 2025. Une création de Webit Interactive dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"Cette expansion majeure fera passer la superficie de l’aire protégée de 1245 km² à près de 4500 km² un projet qui a pour objectif de protéger l’habitat naturel du béluga Ça permettra de protéger les milieux naturels d’autres espèces comme le rorqual commun et le rorqual bleu ainsi que des habitats fragiles a annoncé à Québec le ministre de l’Environnement et du Changement climatique du Canada au côté du ministre québécois de l’Environnement de la Lutte contre les changements climatiques Le parc marin reliera désormais les deux rives du Saint-Laurent l’aire protégée s’étendra de la Petite-Rivière-Saint-François dans la région administrative de la Capitale-Nationale les nouvelles délimitations du parc rejoindront les régions administratives de Chaudière-Appalaches et du Bas-Saint-Laurent de la municipalité de Saint-Jean-Port-Joli jusqu’au parc national du Bic Le gouvernement du Québec vise à protéger 30 % des zones maritimes et côtières d’ici 2030 un peu plus de 10 % du milieu marin de la province bénéficie de cette protection d’après le ministère de l’Environnement Une  « bonne participation  » aux séances du parc marin du Saguenay–Saint-Laurent Pour atteindre ces objectifs, les deux gouvernements du Canada et du Québec ont d’autres projets de conservation dans leur mire, à commencer par un parc marin entre la réserve nationale de l’archipel de Mingan et l’île d’Anticosti. En combinant ce projet et celui du parc marin du Saguenay–Saint-Laurent, le ministre Steven Guilbeault espère atteindre une protection de 19 % du territoire marin d’ici 2030. La création de ce nouveau parc marin en est à ses balbutiements. Les consultations et les études pour créer une aire préliminaire viennent d’être lancées. Si tout va bien, dans deux ans, on vous annoncera la création de ce parc, a fait savoir le ministre Steven Guilbeault en conférence de presse. En marge de cette rencontre, le grand chef de la Nation huronne-wendat, Pierre Picard, a dénoncé l’attitude irrespectueuse des ministres Benoit Charette et Steven Guilbeault, qui auraient ignoré le protocole d’accueil wendat lors de l’annonce. « Leur refus de respecter le protocole d’accueil wendat est inacceptable. Il est de coutume, lors d’annonces ou de la tenue d’événements concernant les Premières Nations, d’inviter le grand chef de la Nation à prononcer une allocution d’accueil », a déploré le grand chef Pierre Picard dans un communiqué. Le grand chef regrette que ces protocoles établis soient ignorés dans un contexte où la réconciliation est mise en avant par les deux gouvernements. Anne-Sophie Roy est journaliste depuis 2019. Après un début de carrière à 24 heures et à TVA, elle est reporter numérique à Radio-Canada depuis 2023. Elle s'intéresse tout particulièrement à l'économie, la consommation, les enjeux sociaux et le patrimoine. Ouvrir en mode plein écranLe béluga est un emblème du fleuve Saint-Laurent. Anne-Sophie RoyPublié le 7 mars à 12 h 14 HAEÉcouter l’article | 3 minutesLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale une technologie basée sur l’intelligence artificielle.Les gouvernements du Québec et du Canada ont annoncé un agrandissement du parc marin du Saguenay–Saint-Laurent de près de quatre fois sa superficie actuelle au cours des prochaines années Cette expansion majeure fera passer la superficie de l’aire protégée de 1245 km² à près de 4500 km² un projet qui a pour objectif de protéger l’habitat naturel du béluga Ouvrir en mode plein écranLe parc marin du Saguenay–Saint-Laurent sera près de quatre fois plus grand ont annoncé les ministres Steven Guilbeault et Benoit Charette Ça permettra de protéger les milieux naturels d’autres espèces comme le rorqual commun et le rorqual bleu ainsi que des habitats fragiles a annoncé à Québec le ministre de l’Environnement et du Changement climatique du Canada au côté du ministre québécois de l’Environnement Le parc marin reliera désormais les deux rives du Saint-Laurent l’aire protégée s’étendra de la Petite-Rivière-Saint-François dans la région administrative de la Capitale-Nationale les nouvelles délimitations du parc rejoindront les régions administratives de Chaudière-Appalaches et du Bas-Saint-Laurent de la municipalité de Saint-Jean-Port-Joli jusqu’au parc national du Bic Le gouvernement du Québec vise à protéger 30 % des zones maritimes et côtières d’ici 2030 un peu plus de 10 % du milieu marin de la province bénéficie de cette protection Pour atteindre ces objectifs, les deux gouvernements du Canada et du Québec ont d’autres projets de conservation dans leur mire, à commencer par un parc marin entre la réserve nationale de l’archipel de Mingan et l’île d’Anticosti. En combinant ce projet et celui du parc marin du Saguenay–Saint-Laurent, le ministre Steven Guilbeault espère atteindre une protection de 19 % du territoire marin d’ici 2030. Ouvrir en mode plein écranL'île d'Anticosti, sur laquelle se trouve la chute Vauréal, a été ajoutée à la Liste du patrimoine mondial de l'UNESCO. La création de ce nouveau parc marin en est à ses balbutiements. Les consultations et les études pour créer une aire préliminaire viennent d’être lancées. Si tout va bien, dans deux ans, on vous annoncera la création de ce parc, a fait savoir le ministre Steven Guilbeault en conférence de presse. En marge de cette rencontre, le grand chef de la Nation huronne-wendat, Pierre Picard, a dénoncé l’attitude irrespectueuse des ministres Benoit Charette et Steven Guilbeault, qui auraient ignoré le protocole d’accueil wendat lors de l’annonce. Ouvrir en mode plein écranLe grand chef de la Nation huronne-wendat, Pierre Picard. « Leur refus de respecter le protocole d’accueil wendat est inacceptable. Il est de coutume, lors d’annonces ou de la tenue d’événements concernant les Premières Nations, d’inviter le grand chef de la Nation à prononcer une allocution d’accueil », a déploré le grand chef Pierre Picard dans un communiqué. Le grand chef regrette que ces protocoles établis soient ignorés dans un contexte où la réconciliation est mise en avant par les deux gouvernements. Chargement en coursInfolettre ICI QuébecUne fois par jour Cette expansion majeure fera passer la superficie de l’aire protégée de 1245 km² à près de 4500 km² Une  « bonne participation  » aux séances du parc marin du Saguenay–Saint-Laurent les deux gouvernements du Canada et du Québec ont d’autres projets de conservation dans leur mire à commencer par un parc marin entre la réserve nationale de l’archipel de Mingan et l’île d’Anticosti En combinant ce projet et celui du parc marin du Saguenay–Saint-Laurent le ministre Steven Guilbeault espère atteindre une protection de 19 % du territoire marin d’ici 2030 La création de ce nouveau parc marin en est à ses balbutiements Les consultations et les études pour créer une aire préliminaire viennent d’être lancées on vous annoncera la création de ce parc a fait savoir le ministre Steven Guilbeault en conférence de presse a dénoncé l’attitude irrespectueuse des ministres Benoit Charette et Steven Guilbeault qui auraient ignoré le protocole d’accueil wendat lors de l’annonce « Leur refus de respecter le protocole d’accueil wendat est inacceptable lors d’annonces ou de la tenue d’événements concernant les Premières Nations d’inviter le grand chef de la Nation à prononcer une allocution d’accueil » a déploré le grand chef Pierre Picard dans un communiqué Le grand chef regrette que ces protocoles établis soient ignorés dans un contexte où la réconciliation est mise en avant par les deux gouvernements Anne-Sophie Roy est journaliste depuis 2019 Après un début de carrière à 24 heures et à TVA elle est reporter numérique à Radio-Canada depuis 2023 Elle s'intéresse tout particulièrement à l'économie Les gouvernements du Québec et du Canada ont annoncé un agrandissement du parc marin du Saguenay–Saint-Laurent de près de quatre fois sa superficie actuelle au cours des prochaines années dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"La grande partie du financement permettra à Saint-Laurent de s'offrir un camion neuf de l'année 2026 La Municipalité de Saint-Laurent cherche à remplacer son camion de pompiers actuel, âgé de près de 20 ans. La guerre tarifaire du Canada contre les États-Unis avait créé de l'anxiété au sein de la Municipalité qui tente d'en acheter un nouveau. La Municipalité luttait également pour obtenir un financement gouvernemental pour son service d'incendie se disant mal équipée pour combattre les feux les 40 000 $ que reçoit Winnipeg Beach serviront à l'achat d’un camion de pompiers spécialisé qui pourra transporter le bateau du Service d'incendie qui fait près de 5 mètres de long Nous voulons nous assurer que nos premiers intervenants disposent de l'équipement dont ils ont besoin pour protéger les familles manitobaines dans les communautés de toute la province a déclaré Glen Simard dans le communiqué Nous sommes fiers de soutenir les municipalités dans l'achat de nouveaux camions de pompiers et d'équipements qui assureront votre sécurité Le financement s’inscrit dans le cadre du Programme de croissance un projet de financement d'infrastructure de 42 millions de dollars Ouvrir en mode plein écranLe camion de pompiers de Saint-Laurent va avoir 20 ans La province du Manitoba investit plus de 500 000 $ pour l'achat de nouveaux camions de pompiers dans les municipalités rurales de Saint-Laurent et de Winnipeg Beach indique le ministre des Relations municipales et avec le Nord permettra à Saint-Laurent de s'offrir un camion neuf de l'année 2026 La Municipalité luttait également pour obtenir un financement gouvernemental pour son service d'incendie se disant mal équipée pour combattre les feux les 40 000 $ que reçoit Winnipeg Beach serviront à l'achat d’un camion de pompiers spécialisé qui pourra transporter le bateau du Service d'incendie Nous voulons nous assurer que nos premiers intervenants disposent de l'équipement dont ils ont besoin pour protéger les familles manitobaines dans les communautés de toute la province Nous sommes fiers de soutenir les municipalités dans l'achat de nouveaux camions de pompiers et d'équipements qui assureront votre sécurité Le financement s’inscrit dans le cadre du Programme de croissance un projet de financement d'infrastructure de 42 millions de dollars Chargement en coursInfolettre ICI ManitobaUne fois par jour La Municipalité de Saint-Laurent cherche à remplacer son camion de pompiers actuel, âgé de près de 20 ans. La guerre tarifaire du Canada contre les États-Unis avait créé de l'anxiété au sein de la Municipalité qui tente d'en acheter un nouveau. La province du Manitoba investit plus de 500 000 $ pour l'achat de nouveaux camions de pompiers dans les municipalités rurales de Saint-Laurent et de Winnipeg Beach L’accident est survenu à la hauteur de la montée Robert Deux personnes ont été transportées à l’hôpital vendredi à la suite de l’écrasement d’un hydravion dans une rivière près de Saint-Basile-le-Grand L'une d'entre elles est morte des suites de ses blessures le service de police Richelieu-Saint-Laurent a reçu plusieurs appels signalant un avion renversé dans la rivière Richelieu Les services d’incendie de la municipalité ont été dépêchés sur les lieux pour porter secours aux victimes à bord d’embarcations porte-parole de la Régie intermunicipale de police Richelieu-Saint-Laurent La police rapporte qu’un des deux hommes à bord de l’avion a réussi à se sortir de l’appareil où il a été pris en charge par les services ambulanciers tandis que l’autre occupant est resté coincé à l’intérieur de l’avion la police a confirmé que l’homme pris dans l’appareil a été évacué et transporté vers un centre hospitalier Son décès a été constaté plus tard au centre hospitalier selon la sergente de la Sûreté du Québec (SQ) La route 223 à la hauteur de McMasterville a été bloquée jusqu’à Saint-Basile-le-Grand et des enquêteurs criminels se sont rendus sur les lieux bien qu’aucun «élément de nature criminelle n'ait été observé pour le moment» Le Bureau de la sécurité des transports du Canada a également ouvert une enquête pour comprendre les circonstances de l’accident Les enquêteurs de la division des enquêtes sur les crimes majeurs de la SQ ont aussi été dépêchés sur les lieux dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"Ils avaient tenté de sonner l’alarme avant de découvrir en mai que certains panneaux de plafond recouverts de morceaux de béton étaient soutenus par une ossature métallique détachée et fortement corrodée directement au-dessus des quais d'embarquement Ces informations ont pu être exposées au grand jour à la suite d’une demande d’accès à l’information de CBC qui a permis de connaître le contenu de courriels internes La station St-Laurent a été fermée du 17 au 22 mai en vue de la réalisation de ces travaux correctifs Les responsables du transport en commun de la Ville d’Ottawa ont d’abord décrit le problème comme étant des tuiles du plafond endommagées en raison de fuites. Plus tard, ils ont trouvé que des tiges d'acier corrodées les maintenaient en place Une note destinée au conseil municipal expliquait que les ouvriers avaient trouvé des débris sur le dessus de certains panneaux qui semblaient être des fuites de boue de béton Elle indiquait aussi que l’infiltration d’eau avait provoqué une délamination mineure de la face inférieure du tunnel c'est-à-dire une séparation des couches de béton Mais des courriels indiquaient que certaines zones du plafond du tunnel présentaient une délamination trop importante et trop profonde pour être réparée avec l’équipement habituel Un rapport a également souligné que les supports de l’ossature du plafond présentaient une insuffisance structurelle Les courriels internes obtenus par CBC laissent penser aussi que des responsables s’inquiétaient pour la sécurité des usagers décrivant le problème comme un risque associé à la chute de débris du plafond suspendu [pouvant] heurter un membre du public ou du personnel Ils ont demandé aux ingénieurs d’approuver ce risque après les réparations des morceaux de béton étaient tombés du tunnel sur les voies du train léger en janvier CBC News a découvert que certains points problématiques étiquetés comme urgents en 2020 n’ont été réparés que cette année soit après la chute des morceaux de béton Un porte-parole de la Ville d’Ottawa a déclaré à CBC qu’un ingénieur en structure avait effectué Ce dernier avait jugé que les risques avaient été atténués avec succès La Ville a également omis de procéder à une inspection complète de la structure du tunnel alors qu’elle aurait dû le faire en 2022 invoquant les importants travaux de construction de la gare routière située au-dessus Mais des risques ont de nouveau été découverts un mois plus tard La Ville a souligné que la structure est sécuritaire à la suite des réparations faites au mois de mai d’autres travaux sont prévus pour l’année prochaine Les fonctionnaires municipaux et le Groupe de Transport Rideau (GTR) qui est responsable de l’entretien du train léger savaient dès le 1er mai qu’il y avait des problèmes avec le plafond de la station St-Laurent selon ce qui a été permis d’apprendre à la lecture des courriels Un ordre de travaux a même été donné ce jour-là après que des inspecteurs eurent trouvé une tuile de plafond détachée au-dessus du quai d'embarquement en direction de l’est L’ordre demandait de remettre en place le coin du panneau déplacé C’est à ce moment que le GTR a choisi de mettre en place des inspections bihebdomadaires à la station St-Laurent Bien que trois autres stations aient déjà fait l’objet d’inspections bihebdomadaires le GTR a dit avoir effectué une inspection unique du plafond de la station St-Laurent en février 2023 Dans un courriel envoyé le 8 mai bien que la station St-Laurent ait le même type d’installations que les trois autres il avait été décidé de ne pas y effectuer d'inspections régulières car aucun problème de panneau de plafond détaché ou tombé n’a été signalé Le GTR a indiqué qu’il allait s’occuper de tous les problèmes de panneaux observés afin de prévenir tout dommage ou toute blessure aux personnes ou aux biens la Ville a ajouté que chaque actif a son propre régime d’inspection selon son fonctionnement et des éléments de conception Elle a ajouté que les inspections bihebdomadaires à certaines stations ne sont pas liées aux travaux en cours à la station St-Laurent ou à son entretien général Le Groupe de transport Rideau n’a pas répondu à la demande d’entrevue de CBC Problèmes à la station St-Laurent : OC Transpo mènera plus d’inspections Dans un courriel envoyé le 16 mai soit la veille de la fermeture de la station St-Laurent le gestionnaire des systèmes ferroviaires Matt Pieters a signalé à ses collègues les dommages causés par l’eau sur le plafond Cet avertissement n’avait rien à voir avec l’ordre de travaux du 1er mai a précisé M. Pieters à CBC jeudi Ce problème faisait plutôt partie d’un ordre de travaux du 14 mai après que le personnel eut trouvé de l’eau sur la plateforme et des taches d’eau sur les tuiles au-dessus d’un autre endroit Je suis préoccupé par la stabilité de la structure et j'ai soulevé la question de la sécurité cet après-midi précisant que le GTR allait procéder à un contrôle approfondi plus tard dans la nuit lors du retrait d’une autre tuile pour s’assurer que la structure est sécuritaire Plus tard dans la nuit, le Groupe de transport Rideau a découvert un problème qui semble être à l’origine de la fermeture de la station St-Laurent pendant cinq jours Les tuiles en question ont été enlevées... c'est le morceau de béton trouvé sur l'une des tuiles a écrit un responsable des opérations du GTR La Ville a engagé un ingénieur pour effectuer une inspection urgente Il a indiqué avoir trouvé plusieurs endroits au-dessus des deux quais où du béton et d’autres débris étaient tombés sur des panneaux de plafond L’ingénieur pense que les débris de béton sont du coulis de ciment durci qui s’est infiltré à travers des boîtes encastrées dans le béton du tunnel l’ingénieur a indiqué que cela s’était très probablement produit pendant la construction commencée en 2022 et achevée en décembre 2023 Cela signifie que du béton est probablement resté sur certaines dalles pendant au moins cinq mois Selon le rapport de l’ingénieur les dalles de plafond comportant des morceaux de béton étaient également retenues par des tuyaux et des cadres corrodés dans certaines zones dont certaines étaient décrites comme détachées avec des cadres métalliques sévèrement et fortement corrodés Un autre rapport d’ingénieur indiquait que le système de soutien du plafond était en état passable-mauvais entraînant une inadéquation structurelle quelques heures avant la réouverture de la station St-Laurent le 22 mai les autorités municipales ont été informées d’une découverte surprenante : un morceau d’ossature de plafond qui pendait au-dessus du bord du quai Ils l’ont qualifié de danger pour la sécurité Ce morceau de métal pendait près de l’une des trois zones où les ouvriers avaient placé un treillis métallique temporaire sur un décollement profond Nous avons escaladé le béton détaché mais il y a des zones délaminées qui présentent un risque mais qui sont trop grandes et trop profondes pour être enlevées a expliqué un membre du personnel dans un courriel envoyé le 21 mai Après avoir examiné certains documents remis par CBC le conseiller municipal Wilson Lo a déclaré que la situation semblait plus grave que ce qui avait été décrit initialement également membre de la Commission du transport en commun s'est dit préoccupé par le fait que les derniers problèmes étaient cachés par les panneaux du plafond et qu'ils n'ont pas été détectés pendant un certain temps Je suis heureux que les dalles de plafond aient été là pour les attraper [les débris] mais le fait que cela se produise est désagréable à apprendre En réponse à l'absence d'inspections régulières le conseiller Lo a déclaré qu'il s'agissait d'une attitude incroyablement irresponsable Et je voudrais vraiment savoir qui a pris une telle décision Le ministère des Transports de l’Ontario exige que les tunnels soient inspectés tous les deux ans conformément au Manuel d'inspection des structures de l'Ontario (OSIM) La Ville a reporté l’inspection complète de l’OSIM prévue pour 2022 en raison des travaux importants de construction Dans les jours qui ont suivi la fermeture en mai il semble que les responsables aient cherché à accélérer et à « donner la priorité à l’OSIM La Ville d’Ottawa a décliné la demande d’entrevue de CBC Dans une déclaration envoyée par courriel la directrice de la gestion des actifs de la Ville a déclaré que les inspections de l'OSIM sont en cours et qu'elles seront terminées en 2024 notamment en travaillant sur des plans pour réparer les infiltrations d'eau et en continuant à surveiller la structure en béton Il n'y a aucune obligation d'accélérer les travaux Tous les travaux de réhabilitation identifiés dans le cadre de ce travail sont prévus pour 2025 M. Pieters a réaffirmé que la station continue d'être sécuritaire pour les voyageurs et le personnel Avec les informations de Priscilla Ki Sun Hwang Ouvrir en mode plein écranLe matin du 17 mai les préposés à l'entretien ont signalé au personnel du transport en commun la présence de ce «morceau de béton trouvé sur une tuile» Photo : Ville d'Ottawa par l'entremise d'une demande d'accès à l'information Des courriels internes révèlent que plusieurs fonctionnaires de la Ville d’Ottawa étaient préoccupés par la stabilité de la structure du plafond de la station St-Laurent avant même le début des travaux en mai Ils avaient tenté de sonner l’alarme avant de découvrir en mai que certains panneaux de plafond recouverts de morceaux de béton étaient soutenus par une ossature métallique détachée et fortement corrodée Ces informations ont pu être exposées au grand jour à la suite d’une demande d’accès à l’information de CBC qui a permis de connaître le contenu de courriels internes Ouvrir en mode plein écranLes inspecteurs ont découvert des problèmes dans la structure du plafond notamment un «élément d'ossature de plafond détaché» à certains endroits Ouvrir en mode plein écranUne ossature métallique corrodée soutient les dalles de plafond au-dessus des quais de la station St-Laurent Une note destinée au conseil municipal expliquait que les ouvriers avaient trouvé des débris sur le dessus de certains panneaux qui semblaient être des fuites de boue de béton Elle indiquait aussi que l’infiltration d’eau avait provoqué une délamination mineure de la face inférieure du tunnel c'est-à-dire une séparation des couches de béton Mais des courriels indiquaient que certaines zones du plafond du tunnel présentaient une délamination trop importante et trop profonde pour être réparée avec l’équipement habituel Un rapport a également souligné que les supports de l’ossature du plafond présentaient une insuffisance structurelle Les courriels internes obtenus par CBC laissent penser aussi que des responsables s’inquiétaient pour la sécurité des usagers décrivant le problème comme un risque associé à la chute de débris du plafond suspendu [pouvant] heurter un membre du public ou du personnel Ils ont demandé aux ingénieurs d’approuver ce risque après les réparations Ouvrir en mode plein écranCette photo jointe à un courriel interne de la Ville d'Ottawa montre des morceaux de béton tombés sur les voies du train léger à la station St-Laurent le 2 janvier 2024 des morceaux de béton étaient tombés du tunnel sur les voies du train léger en janvier CBC News a découvert que certains points problématiques étiquetés comme urgents en 2020 n’ont été réparés que cette année Un porte-parole de la Ville d’Ottawa a déclaré à CBC qu’un ingénieur en structure avait effectué La Ville a également omis de procéder à une inspection complète de la structure du tunnel alors qu’elle aurait dû le faire en 2022 invoquant les importants travaux de construction de la gare routière située au-dessus Mais des risques ont de nouveau été découverts un mois plus tard La Ville a souligné que la structure est sécuritaire à la suite des réparations faites au mois de mai d’autres travaux sont prévus pour l’année prochaine qui est responsable de l’entretien du train léger savaient dès le 1er mai qu’il y avait des problèmes avec le plafond de la station St-Laurent selon ce qui a été permis d’apprendre à la lecture des courriels Un ordre de travaux a même été donné ce jour-là après que des inspecteurs eurent trouvé une tuile de plafond détachée au-dessus du quai d'embarquement en direction de l’est L’ordre demandait de remettre en place le coin du panneau déplacé C’est à ce moment que le GTR a choisi de mettre en place des inspections bihebdomadaires à la station St-Laurent Bien que trois autres stations aient déjà fait l’objet d’inspections bihebdomadaires le GTR a dit avoir effectué une inspection unique du plafond de la station St-Laurent en février 2023 Ouvrir en mode plein écranIl s'agit de l'un des endroits temporairement protégés par un treillis métallique en mai bien que la station St-Laurent ait le même type d’installations que les trois autres il avait été décidé de ne pas y effectuer d'inspections régulières car aucun problème de panneau de plafond détaché ou tombé n’a été signalé Le GTR a indiqué qu’il allait s’occuper de tous les problèmes de panneaux observés afin de prévenir tout dommage ou toute blessure aux personnes ou aux biens la Ville a ajouté que chaque actif a son propre régime d’inspection selon son fonctionnement et des éléments de conception Elle a ajouté que les inspections bihebdomadaires à certaines stations ne sont pas liées aux travaux en cours à la station St-Laurent ou à son entretien général Le Groupe de transport Rideau n’a pas répondu à la demande d’entrevue de CBC le gestionnaire des systèmes ferroviaires Matt Pieters a signalé à ses collègues les dommages causés par l’eau sur le plafond Cet avertissement n’avait rien à voir avec l’ordre de travaux du 1er mai Ce problème faisait plutôt partie d’un ordre de travaux du 14 mai après que le personnel eut trouvé de l’eau sur la plateforme et des taches d’eau sur les tuiles au-dessus d’un autre endroit Je suis préoccupé par la stabilité de la structure et j'ai soulevé la question de la sécurité cet après-midi précisant que le GTR allait procéder à un contrôle approfondi plus tard dans la nuit lors du retrait d’une autre tuile pour s’assurer que la structure est sécuritaire Ouvrir en mode plein écranUn travailleur à la station St-Laurent du train léger examine les tuiles du plafond Les tuiles en question ont été enlevées... c'est le morceau de béton trouvé sur l'une des tuiles a écrit un responsable des opérations du GTR La Ville a engagé un ingénieur pour effectuer une inspection urgente Il a indiqué avoir trouvé plusieurs endroits au-dessus des deux quais où du béton et d’autres débris étaient tombés sur des panneaux de plafond L’ingénieur pense que les débris de béton sont du coulis de ciment durci qui s’est infiltré à travers des boîtes encastrées dans le béton du tunnel l’ingénieur a indiqué que cela s’était très probablement produit pendant la construction commencée en 2022 et achevée en décembre 2023 Cela signifie que du béton est probablement resté sur certaines dalles pendant au moins cinq mois les dalles de plafond comportant des morceaux de béton étaient également retenues par des tuyaux et des cadres corrodés dans certaines zones dont certaines étaient décrites comme détachées avec des cadres métalliques sévèrement et fortement corrodés Un autre rapport d’ingénieur indiquait que le système de soutien du plafond était en état passable-mauvais quelques heures avant la réouverture de la station St-Laurent le 22 mai les autorités municipales ont été informées d’une découverte surprenante : un morceau d’ossature de plafond qui pendait au-dessus du bord du quai Ils l’ont qualifié de danger pour la sécurité Ouvrir en mode plein écranLa photo de gauche montre un «décollement sévère» du béton au «Joint D» au-dessus de la voie du train léger en direction est à la station St-Laurent La photo de droite montre « un écaillage et un décollement très importants du côté est du "Joint D"» sur la même voie Ce morceau de métal pendait près de l’une des trois zones où les ouvriers avaient placé un treillis métallique temporaire sur un décollement profond mais il y a des zones délaminées qui présentent un risque mais qui sont trop grandes et trop profondes pour être enlevées a expliqué un membre du personnel dans un courriel envoyé le 21 mai Après avoir examiné certains documents remis par CBC le conseiller municipal Wilson Lo a déclaré que la situation semblait plus grave que ce qui avait été décrit initialement également membre de la Commission du transport en commun s'est dit préoccupé par le fait que les derniers problèmes étaient cachés par les panneaux du plafond et qu'ils n'ont pas été détectés pendant un certain temps Ouvrir en mode plein écranLe conseiller municipal Je suis heureux que les dalles de plafond aient été là pour les attraper [les débris] mais le fait que cela se produise est désagréable à apprendre En réponse à l'absence d'inspections régulières le conseiller Lo a déclaré qu'il s'agissait d'une attitude incroyablement irresponsable Et je voudrais vraiment savoir qui a pris une telle décision Le ministère des Transports de l’Ontario exige que les tunnels soient inspectés tous les deux ans conformément au Manuel d'inspection des structures de l'Ontario (OSIM) La Ville a reporté l’inspection complète de l’OSIM prévue pour 2022 en raison des travaux importants de construction il semble que les responsables aient cherché à accélérer et à « donner la priorité à l’OSIM La Ville d’Ottawa a décliné la demande d’entrevue de CBC a déclaré que les inspections de l'OSIM sont en cours et qu'elles seront terminées en 2024 notamment en travaillant sur des plans pour réparer les infiltrations d'eau et en continuant à surveiller la structure en béton Il n'y a aucune obligation d'accélérer les travaux Tous les travaux de réhabilitation identifiés dans le cadre de ce travail sont prévus pour 2025 Pieters a réaffirmé que la station continue d'être sécuritaire pour les voyageurs et le personnel Chargement en coursInfolettre ICI Ottawa-GatineauUne fois par jour Ils avaient tenté de sonner l’alarme avant de découvrir en mai que certains panneaux de plafond recouverts de morceaux de béton étaient soutenus par une ossature métallique détachée et fortement corrodée La station St-Laurent a été fermée du 17 au 22 mai en vue de la réalisation de ces travaux correctifs Les responsables du transport en commun de la Ville d’Ottawa ont d’abord décrit le problème comme étant des tuiles du plafond endommagées en raison de fuites. Plus tard, ils ont trouvé que des tiges d'acier corrodées les maintenaient en place Problèmes à la station St-Laurent : OC Transpo mènera plus d’inspections Plus tard dans la nuit, le Groupe de transport Rideau a découvert un problème qui semble être à l’origine de la fermeture de la station St-Laurent pendant cinq jours Comme la glace tarde à se former sur le Saint-Laurent, l’interaction entre les eaux relativement chaudes et l’air crée cette fumée.  Pour observer le phénomène à son meilleur, il faut se lever tôt, prévient la météorologue. C’est le matin, lorsque les mercures sont bas, que les contrastes de température sont les plus importants.  Le propriétaire de la compagnie de production vidéo et de photographie Tipou Productions abonde dans le même sens. Jean-Philip Grenier adore le froid et la photo hivernale en particulier.  À son avis, pour réussir un cliché de brouillard de mer, il faut d’abord privilégier les points de vue en hauteur, qui permettent d’offrir dimension et profondeur au phénomène. On peut voir des colonnes, des genres de tornades de fumée comme ça, s’enthousiasme-t-il. La longueur focale associée à la photo est aussi importante. Un cellulaire permet difficilement de capter à son plein potentiel la fumée. Choisir un objectif de 200 millimètres permet une meilleure captation.  S’adapter au froid en s’habillant chaudement et en se munissant de plusieurs batteries chargées complète sa série de trucs.  Braver les éléments, ça rend l’expérience spéciale. Ça te permet de voir des choses que les autres ne voient pas, conclut Jean-Philip Grenier en rêvant à de nouveaux vortex polaires, en Antarctique ou au Groenland cette fois-ci.  Bénédicte Filippi travaille à ICI Côte-Nord depuis 2013. Elle a d'abord fait ses armes à la radio comme chroniqueuse, recherchiste et réalisatrice. Aujourd'hui secrétaire de rédaction, elle retourne à ce qui l'anime depuis toujours, le journalisme écrit. Ouvrir en mode plein écranDu vent balaie la fumée de mer qui se dégage de la baie de Sept-Îles. Photo : Radio-Canada / Marc-Antoine Mageau Bénédicte FilippiPublié le 22 janvier à 8 h 18 HAEMis à jour le 22 janvier à 8 h 20 HAEÉcouter l’article | 2 minutesLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale, une technologie basée sur l’intelligence artificielle.Êtes-vous de celles et ceux qui ont remarqué cette fumée qui enveloppe le Saint-Laurent ces jours-ci? Pour les météorologues, cette brume de mer est synonyme de temps glacial. Pour les photographes, elle rime avec beauté. Environnement Canada explique qu’il s’agit d’un brouillard d’évaporation. Il survient lorsqu’une masse d’air froid, comme celle qui englobe la Côte-Nord ces jours-ci, entre en contact avec un plan d’eau, indique la météorologue Kathleen Ménard-Leclerc. Comme la glace tarde à se former sur le Saint-Laurent, l’interaction entre les eaux relativement chaudes et l’air crée cette fumée.  Ouvrir en mode plein écranMême si la brume de mer est plus importante au matin, elle était bien visible le 21 janvier dernier au coucher du soleil. Pour observer le phénomène à son meilleur, il faut se lever tôt, prévient la météorologue. C’est le matin, lorsque les mercures sont bas, que les contrastes de température sont les plus importants.  Le propriétaire de la compagnie de production vidéo et de photographie Tipou Productions abonde dans le même sens. Jean-Philip Grenier adore le froid et la photo hivernale en particulier.  Ouvrir en mode plein écranLe cellulaire capte difficilement la fumée de mer en raison de sa longueur focale limitée. À son avis, pour réussir un cliché de brouillard de mer, il faut d’abord privilégier les points de vue en hauteur, qui permettent d’offrir dimension et profondeur au phénomène. On peut voir des colonnes, des genres de tornades de fumée comme ça, s’enthousiasme-t-il. La longueur focale associée à la photo est aussi importante. Un cellulaire permet difficilement de capter à son plein potentiel la fumée. Choisir un objectif de 200 millimètres permet une meilleure captation.  Ouvrir en mode plein écranLe brouillard de mer enveloppe les îles de la baie de Sept-Îles. S’adapter au froid en s’habillant chaudement et en se munissant de plusieurs batteries chargées complète sa série de trucs.  Braver les éléments, ça rend l’expérience spéciale. Ça te permet de voir des choses que les autres ne voient pas, conclut Jean-Philip Grenier en rêvant à de nouveaux vortex polaires, en Antarctique ou au Groenland cette fois-ci.  Chargement en coursInfolettre ICI Côte-NordUne fois par jour Environnement Canada explique qu’il s’agit d’un brouillard d’évaporation Il survient lorsqu’une masse d’air froid comme celle qui englobe la Côte-Nord ces jours-ci indique la météorologue Kathleen Ménard-Leclerc Comme la glace tarde à se former sur le Saint-Laurent l’interaction entre les eaux relativement chaudes et l’air crée cette fumée.  Pour observer le phénomène à son meilleur que les contrastes de température sont les plus importants.  Le propriétaire de la compagnie de production vidéo et de photographie Tipou Productions abonde dans le même sens Jean-Philip Grenier adore le froid et la photo hivernale en particulier.  pour réussir un cliché de brouillard de mer il faut d’abord privilégier les points de vue en hauteur qui permettent d’offrir dimension et profondeur au phénomène des genres de tornades de fumée comme ça La longueur focale associée à la photo est aussi importante Un cellulaire permet difficilement de capter à son plein potentiel la fumée Choisir un objectif de 200 millimètres permet une meilleure captation.  ça rend l’expérience spéciale Ça te permet de voir des choses que les autres ne voient pas conclut Jean-Philip Grenier en rêvant à de nouveaux vortex polaires en Antarctique ou au Groenland cette fois-ci.  Bénédicte Filippi travaille à ICI Côte-Nord depuis 2013 Elle a d'abord fait ses armes à la radio comme chroniqueuse Aujourd'hui secrétaire de rédaction elle retourne à ce qui l'anime depuis toujours Êtes-vous de celles et ceux qui ont remarqué cette fumée qui enveloppe le Saint-Laurent ces jours-ci cette brume de mer est synonyme de temps glacial La présence du homard dans les eaux nord-côtières est en croissance depuis plusieurs années Les Nord-Côtiers en ont plus que marre de ne pas pouvoir profiter du garde-manger du Saint-Laurent qui est dans leur cours et ils ne sont pas les seuls pour réclamer l’accès aux ressources marines pour tous les Québécois Membre du Comité des pêcheurs sportifs en eaux salées de la Minganie il milite depuis de nombreuses années pour un accès à la pêche récréative Le groupe avait déposé un mémoire sur la question à Pêches et Océans dans le cadre de consultations qui s’étaient tenues sur la Côte-Nord en 2017 Cormier s’était aussi rendu à Ottawa pour rencontrer le sous-ministre des Pêches plus de 300 personnes ont marché dans les rues de Havre-Saint-Pierre L’événement n’a pas obtenu l’attention médiatique espérée « Je pense que j’étais rendu à ma quatrième [marche] et je m’étais dit que je n’allais plus embarquer là-dedans « Le prochain coup qu’on va faire quelque chose soit exercer ce qu’on revendique : aller pêcher dans une baie le faire bouillir sur place et le manger là le Comité est en démarche pour s’allier aux actions de l’organisme Ensemble pour un accès aux ressources marines l’organisme a commencé une série de rencontres d’information cet automne Il en a d’ailleurs tenu une qui a attiré une quarantaine de personnes à Baie-Comeau Il veut rassembler le plus de membres possible auprès des instances gouvernementales (voir autre texte) Pêches et Océans a remis plus de 25 000 $ en amendes à des Nord-Côtiers de la raie et du flétan de l’Atlantique ce n’est pas Pêches et Océans qui a mis ça l’a Ça a été mis là par le créateur de la planète et on n’a pas accès à ça » qui qualifie les récentes amendes de « complètement ridicules » « Il y a des pays qui sont plus développés tout le monde a accès aux ressources (…) Le gouvernement t’empêche de te nourrir de tes propres moyens Le Cayen raconte qu’après une tempête une foule de palourdes se sont retrouvées échouées sur la terre puisque même si le froid les avait gelées pratiquement instantanément elles étaient encore bonnes à la consommation Selon des données de l’Institut de recherche en économie 81 % des 427 millions de dollars de produits marins exportés par le Québec ont pris le chemin des États-Unis « On ruine notre richesse pour l’envoyer aux Américains et nous autres Jean-Claude Cormier rappelle que les Nord-Côtiers ont longtemps pêché pour leur subsistance « Nos racines viennent de là sur la Côte-Nord parce qu’il y avait de la faune et de la flore C’est dans notre génétique de s’alimenter avec ce qu’il y a à portée de nos mains Cormier estime que le gouvernement serait gagnant d’autoriser la pêche sportive en eaux salées afin de pouvoir établir un cadre à la pratique « C’est rendu que c’est plus criminel manger un homard faisant référence à la légalisation de la marijuana parce qu’il sait qu’il n’y retournera plus Les citoyens pêcheurs de partout au Québec se regroupent Consultez l'édition de la semaine - 30 avril 2025 dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"Pas moins de 142 postes sont abolis en plus de 41 postes supplémentaires supprimés l'automne dernier indique le CISSS par voie de communiqué Cet organisme de santé précise qu'une centaine des 142 postes sont déjà vacants et qu'il va accompagner les personnes touchées par ces abolitions de postes Le CISSS indique que différentes mesures permettront également des gains d'efficience et d'efficacité administrative sans toutefois donner davantage de détails à ce sujet L'organisme ajoute que ces mesures d'optimisation visent à assurer une gestion rigoureuse et responsable de [ses] ressources tout en maintenant l'accès aux soins et services essentiels à la population Selon la Fédération interprofessionnelle de la santé du Québec (FIQ) qui représente les infirmières et les inhalothérapeutes au Bas-Saint-Laurent une soixantaine des postes vacants abolis se trouvent dans les services cliniques Ça devrait être plus des postes administratifs aussi mais ce n’est pas impossible que ce soit des postes vacants d’infirmière d’infirmière auxiliaire ou d’inhalothérapeute Une prochaine rencontre sera prévue pour nous donner plus d'informations à ce sujet Il ajoute que les compressions annoncées jeudi auront un impact sur les soins à la population malgré tout S’il n’y a plus d’agente administrative dans les départements ces tâches-là doivent être faites par les infirmières et les infirmiers Ce sont des minutes et des heures qu’on va passer dans les papiers plutôt qu'à donner des soins à la population la députée de Rivière-du-Loup–Témiscouata Il faut quand même comprendre qu’il y a eu des coupes de postes de semaine pour pouvoir en ouvrir le soir et les fins de semaine c’est que les bonnes personnes soient aux bonnes places et qui représente le personnel de bureau les techniciens et les professionnels de l'administration au CISSS du Bas-Saint-Laurent L’anxiété va embarquer pour tous nos membres On pensait que ça allait être plus précis C’est comme si on était juste une colonne de chiffres Il ne faut pas oublier qu’on travaille avec des gens qui sont malades J’aurais aimé avoir plus d’information avant Le CISSS précise dans son communiqué que d'autres mesures sont en cours d'analyse par Santé Québec et que l'impact définitif de ces mesures sur [sa] situation financière pour 2024-2025 sera connu plus tard L'organisme de santé de la région a refusé notre demande d'entrevue La FIQ a toutefois eu des échos au sujet des compressions à venir lors d’une rencontre avec le PDG du CISSS du Bas-Saint-Laurent le CISSS envisage une révision du cadre financier des maisons des aînés de Rimouski et de Rivière-du-Loup en plus de maintenir le gel du nombre de places d’hébergement dans les ressources de type familial destinées aux personnes qui ont une déficience intellectuelle Rappelons que le CISSS du Bas-Saint-Laurent doit retrancher 34 millions de dollars de son budget d'ici le 31 mars 2025. De son côté, le porte-parole de Santé Québec, Jean-Nicolas Aubé, confirme que l’organisme poursuit son analyse. Ce n’est pas un exercice qui est simple, ajoute-t-il. Il refuse toutefois de commenter les compressions annoncées par le CISSS du Bas-Saint-Laurent. C’est leur droit de gestion et leur décision, précise-t-il. Avec la collaboration d'Isabelle Damphousse et de Patrick Bergeron Originaire de la vallée de la Matapédia, Mathieu se passionne pour tous les sujets qui ont un impact sur la vie des résidents du Bas-Saint-Laurent. Il cumule près de 20 ans d'expérience à Radio-Canada et est détenteur d'un baccalauréat en journalisme de l'Université Laval. Ouvrir en mode plein écranLe CISSS du Bas-Saint-Laurent doit retrancher 34 millions de dollars de son budget d'ici le 31 mars 2025 à la demande de Santé Québec. Mathieu BergerPublié le 13 mars à 10 h 35 HAEMis à jour le 13 mars à 17 h 12 HAEÉcouter l’article | 5 minutesLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale une technologie basée sur l’intelligence artificielle.Le Centre intégré de santé et de services sociaux (CISSS) du Bas-Saint-Laurent annonce l'abolition de 183 postes « principalement » administratifs dans le cadre de son plan de retour à l'équilibre budgétaire Pas moins de 142 postes sont abolis en plus de 41 postes supplémentaires supprimés l'automne dernier Cet organisme de santé précise qu'une centaine des 142 postes sont déjà vacants et qu'il va accompagner les personnes touchées par ces abolitions de postes Le CISSS indique que différentes mesures permettront également des gains d'efficience et d'efficacité administrative sans toutefois donner davantage de détails à ce sujet L'organisme ajoute que ces mesures d'optimisation visent à assurer une gestion rigoureuse et responsable de [ses] ressources tout en maintenant l'accès aux soins et services essentiels à la population Selon la Fédération interprofessionnelle de la santé du Québec (FIQ) qui représente les infirmières et les inhalothérapeutes au Bas-Saint-Laurent Ça devrait être plus des postes administratifs aussi mais ce n’est pas impossible que ce soit des postes vacants d’infirmière d’infirmière auxiliaire ou d’inhalothérapeute Une prochaine rencontre sera prévue pour nous donner plus d'informations à ce sujet Ouvrir en mode plein écranLe porte-parole de la FIQ du Bas-Saint-Laurent Il ajoute que les compressions annoncées jeudi auront un impact sur les soins à la population malgré tout S’il n’y a plus d’agente administrative dans les départements ces tâches-là doivent être faites par les infirmières et les infirmiers Ce sont des minutes et des heures qu’on va passer dans les papiers plutôt qu'à donner des soins à la population Il faut quand même comprendre qu’il y a eu des coupes de postes de semaine pour pouvoir en ouvrir le soir et les fins de semaine c’est que les bonnes personnes soient aux bonnes places et Ouvrir en mode plein écranLa députée de Rivière-du-Loup–Témiscouata Photo : Radio-Canada / Sylvain Roy Roussel L’anxiété va embarquer pour tous nos membres C’est comme si on était juste une colonne de chiffres Il ne faut pas oublier qu’on travaille avec des gens qui sont malades J’aurais aimé avoir plus d’information avant Ouvrir en mode plein écranLa présidente locale du syndicat APTS au Bas-Saint-Laurent Le CISSS précise dans son communiqué que d'autres mesures sont en cours d'analyse par Santé Québec et que l'impact définitif de ces mesures sur [sa] situation financière pour 2024-2025 sera connu plus tard L'organisme de santé de la région a refusé notre demande d'entrevue La FIQ a toutefois eu des échos au sujet des compressions à venir lors d’une rencontre avec le PDG du CISSS du Bas-Saint-Laurent le CISSS envisage une révision du cadre financier des maisons des aînés de Rimouski et de Rivière-du-Loup en plus de maintenir le gel du nombre de places d’hébergement dans les ressources de type familial destinées aux personnes qui ont une déficience intellectuelle De son côté, le porte-parole de Santé Québec, Jean-Nicolas Aubé, confirme que l’organisme poursuit son analyse. Ce n’est pas un exercice qui est simple, ajoute-t-il. Il refuse toutefois de commenter les compressions annoncées par le CISSS du Bas-Saint-Laurent. C’est leur droit de gestion et leur décision, précise-t-il. Pas moins de 142 postes sont abolis en plus de 41 postes supplémentaires supprimés l'automne dernier Rappelons que le CISSS du Bas-Saint-Laurent doit retrancher 34 millions de dollars de son budget d'ici le 31 mars 2025 confirme que l’organisme poursuit son analyse Ce n’est pas un exercice qui est simple Il refuse toutefois de commenter les compressions annoncées par le CISSS du Bas-Saint-Laurent C’est leur droit de gestion et leur décision Originaire de la vallée de la Matapédia Mathieu se passionne pour tous les sujets qui ont un impact sur la vie des résidents du Bas-Saint-Laurent Il cumule près de 20 ans d'expérience à Radio-Canada et est détenteur d'un baccalauréat en journalisme de l'Université Laval Rappelons que le CISSS du Bas-Saint-Laurent doit retrancher 34 millions de dollars de son budget d'ici le 31 mars 2025 Le Centre intégré de santé et de services sociaux (CISSS) du Bas-Saint-Laurent annonce l'abolition de 183 postes « principalement » administratifs dans le cadre de son plan de retour à l'équilibre budgétaire Le Saint-Laurent au bord de l'asphyxieLe Saint-Laurent au bord de l'asphyxie De La semaine vertePartager comme plusieurs zones marines dans le monde est littéralement sous respirateur artificiel L’oxygène se raréfie dans certaines zones : un phénomène appelé hypoxie qui s’accélère avec les changements climatiques.Une odyssée sous-marine a permis à des chercheurs québécois d’avoir accès aux profondeurs hypoxiques du chenal Laurentien et de mieux comprendre les répercussions de l'hypoxie sur les espèces qui peuplent les milieux marins et sur l’industrie des pêches.Pour donner un second souffle aux milieux touchés par l'hypoxie des chercheurs évoquent par ailleurs l'idée de les réoxygéner artificiellement Un concept qui ne fait pas l’unanimité dans le milieu scientifique Journaliste : France BeaudoinRéalisateur : Pier Gagné À lire : Odyssée dans les profondeurs hypoxiques du Saint-Laurent Cette matière contamine de plus en plus les sols comme le démontre une étude étonnante sur des parcelles de champs au Royaume-Uni 12 minutes 6 secondes12:06Les paillis oxodégradables permettent aux agriculteurs dans les régions nordiques de produire du meilleur maïs Mais quel est l'impact de ces produits sur les sols agricoles Ottawa subventionne l'utilisation des engrais enrobés de polymère dans le cadre du Fonds d'action climatique à la ferme Mais l'enrobage de polymère laisse des microplastiques dans les champs 10 minutes 42 secondes10:42Le plastique est un incontournable en agriculture Environ 11 000 tonnes sont utilisées chaque année dans les fermes au Québec Près de 30% de ces plastiques agricoles sont recyclés pour l'instant 40 minutes 4 secondes40:04Dans les Maritimes l'élevage de saumon en mer a le vent dans les voiles Mais des voix s'élèvent contre cette industrie qualifiée de polluante et de néfaste pour la survie des saumons sauvages 43 minutes 4 secondes43:04Les grands défis de la vallée de l’Okanagan Moissonneurs solidaires double sa distribution de légumes Des boisés plus résistants aux intempéries Et un regard sur l’agriculture du haut des airs La canneberge est devenue un fleuron de l’agriculture québécoise mais son expansion ne fait pas l’unanimité Le travail de ses journalistes est célébré des nouvelles écrites aux reportages en passant par les enquêtes En moyenne 2,5 M de kg de produits de l’érable sont importés des États-Unis au Canada chaque année est littéralement sous respirateur artificiel L’oxygène se raréfie dans certaines zones : un phénomène appelé hypoxie qui s’accélère avec les changements climatiques.Une odyssée sous-marine a permis à des chercheurs québécois d’avoir accès aux profondeurs hypoxiques du chenal Laurentien et de mieux comprendre les répercussions de l'hypoxie sur les espèces qui peuplent les milieux marins et sur l’industrie des pêches.Pour donner un second souffle aux milieux touchés par l'hypoxie des chercheurs évoquent par ailleurs l'idée de les réoxygéner artificiellement Un concept qui ne fait pas l’unanimité dans le milieu scientifique Journaliste : France BeaudoinRéalisateur : Pier Gagné À lire : Odyssée dans les profondeurs hypoxiques du Saint-Laurent Les paillis oxodégradables permettent aux agriculteurs dans les régions nordiques de produire du meilleur maïs Le plastique est un incontournable en agriculture Les grands défis de la vallée de l’Okanagan dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"La décision a été annoncée jeudi après-midi par voie de communiqué À la suite d'une consultation faite auprès de ses membres Tourisme Bas-Saint-Laurent conclut que de se retirer du processus pour le moment constitue la meilleure solution afin de permettre à la Ville de Rivière-du-Loup et les acteurs concernés de poursuivre leurs démarches pour le maintien de la traverse Cette position était d'ailleurs partagée par l'organisme qui refuse par ailleurs toute demande d'entrevue en lien avec ce désistement Sur papier, le comité de valorisation se voulait une manière de redynamiser le secteur de la Pointe de Rivière-du-Loup, qui fera ses adieux dès 2028 au lien fluvial qui le relie à Saint-Siméon. Précédemment, tant la Ville de Rivière-du-Loup que la Chambre de commerce de la MRC ont signalé qu'ils ne participeraient pas aux activités du comité de valorisation. Faire autrement reviendrait selon eux à cautionner la décision du gouvernement du Québec, qu'ils ont pourfendue à plus d'une reprise. Le mois dernier, le pdg de Tourisme Bas-Saint-Laurent, Pierre Lévesque, prédisait même que ce comité pourrait bien ne jamais voir le jour en raison de la grogne qu'a suscité l'annonce du déménagement du traversier au port de Gros-Cacouna. Il réclamait lui aussi la publication des documents qui ont guidé Québec dans son choix. Bachelier en Études internationales, Édouard est journaliste à Rimouski depuis juin 2022. Il aime aller à la rencontre des gens et entendre leurs histoires. Il se passionne pour les affaires politiques et municipales. Ouvrir en mode plein écranPar communiqué, l'organisme annonce qu'il « cesse toute démarche » en lien avec le comité qu'il était censé piloter. (Photo d'archives) l'organisme annonce qu'il « cesse toute démarche » en lien avec le groupe de travail annoncé le même jour que le déménagement du service de traversier à Cacouna à partir de 2028 La décision a été annoncée jeudi après-midi par voie de communiqué À la suite d'une consultation faite auprès de ses membres Tourisme Bas-Saint-Laurent conclut que de se retirer du processus pour le moment constitue la meilleure solution afin de permettre à la Ville de Rivière-du-Loup et les acteurs concernés de poursuivre leurs démarches pour le maintien de la traverse Cette position était d'ailleurs partagée par l'organisme qui refuse par ailleurs toute demande d'entrevue en lien avec ce désistement La traverse Bas-Saint-Laurent–Saint-Siméon entre deux vaguesConsulter le dossier completSuivreSuivreNouveau pavé dans la marePrécédemment, tant la Ville de Rivière-du-Loup que la Chambre de commerce de la MRC ont signalé qu'ils ne participeraient pas aux activités du comité de valorisation. Faire autrement reviendrait selon eux à cautionner la décision du gouvernement du Québec, qu'ils ont pourfendue à plus d'une reprise. Le mois dernier, le pdg de Tourisme Bas-Saint-Laurent, Pierre Lévesque, prédisait même que ce comité pourrait bien ne jamais voir le jour en raison de la grogne qu'a suscité l'annonce du déménagement du traversier au port de Gros-Cacouna. Il réclamait lui aussi la publication des documents qui ont guidé Québec dans son choix. La décision a été annoncée jeudi après-midi par voie de communiqué Sur papier, le comité de valorisation se voulait une manière de redynamiser le secteur de la Pointe de Rivière-du-Loup, qui fera ses adieux dès 2028 au lien fluvial qui le relie à Saint-Siméon tant la Ville de Rivière-du-Loup que la Chambre de commerce de la MRC ont signalé qu'ils ne participeraient pas aux activités du comité de valorisation Faire autrement reviendrait selon eux à cautionner la décision du gouvernement du Québec qu'ils ont pourfendue à plus d'une reprise prédisait même que ce comité pourrait bien ne jamais voir le jour en raison de la grogne qu'a suscité l'annonce du déménagement du traversier au port de Gros-Cacouna Il réclamait lui aussi la publication des documents qui ont guidé Québec dans son choix Édouard est journaliste à Rimouski depuis juin 2022 Il aime aller à la rencontre des gens et entendre leurs histoires Il se passionne pour les affaires politiques et municipales Sur papier, le comité de valorisation se voulait une manière de redynamiser le secteur de la Pointe de Rivière-du-Loup, qui fera ses adieux dès 2028 au lien fluvial qui le relie à Saint-Siméon Tourisme Bas-Saint-Laurent ne veut plus rien savoir pour l'instant du comité de valorisation de la Pointe de Rivière-du-Loup qu'il était censé piloter. Après avoir pris un « pas de recul » l'organisme annonce qu'il « cesse toute démarche » en lien avec le groupe de travail annoncé le même jour que le déménagement du service de traversier à Cacouna à partir de 2028 dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"La région participait pour la première fois à l'exercice mené par le ministère de la Santé et des Services sociaux (MSS) Le Ministère a effectué ce type de recensement en 2018 et en 2022 mais le Bas-Saint-Laurent n'a pas participé à l'exercice Il est donc difficile d'établir un élément de comparaison Ce troisième recensement sur l'itinérance hébergée permet toutefois d'avoir un portrait de la situation au Bas-Saint-Laurent dans la nuit du 23 avril 2024 date à laquelle ce dénombrement a été effectué dans 16 régions du Québec On y apprend que 29 des 31 points de service offrant notamment de l'hébergement aux itinérants sur le territoire ont pris part à l'exercice de dénombrement Ils ont déclaré héberger au moment du dénombrement 106 personnes en situation d'itinérance sur une capacité d'accueil de 177 personnes le MSS précise que ce rapport est effectué dans le cadre de la Politique nationale de lutte à l'itinérance et qu'il permet une meilleure compréhension du phénomène de l'itinérance hébergée d'identifier les besoins des personnes touchées et de soutenir les efforts collectifs pour lutter contre cette réalité complexe Le MSS note d'ailleurs dans son rapport une augmentation de 15 % du nombre de personnes en situation d'itinérance hébergées entre octobre 2022 et avril 2024 dans 13 régions du Québec qui ont pris part aux deux dénombrements Seules les régions du Bas-Saint-Laurent de la Gaspésie et du Nord du Québec y participaient pour la première fois en 2024 les auteurs insistent d'ailleurs sur l'importance d'augmenter la capacité des communautés à loger les personnes en situation d'itinérance La Ville de Rimouski dispose d'ailleurs d'un projet de centre d'hébergement d'urgence qui devrait voir le jour cet été Le rapport du ministère recense aussi le nombre de logements sociaux disponibles par région depuis 2018 l'offre de logements sociaux a augmenté de 3 % de 2018 à 2023 au Bas-Saint-Laurent avec 4274 logements sociaux disponibles en 2023 contre 4131 logements en 2018 Le nombre de mois d'attente pour obtenir ce type de logement est quant à lui passé de 18 à 15 mois lors de la même période Le document rappelle également des données de Statistique Canada de 2021 qui recensait 3395 personnes ayant des besoins impérieux en matière de logement au Bas-Saint-Laurent Les auteurs définissent ces citoyens comme étant des personnes qui éprouvent des besoins en termes d'abordabilité de taille ou de qualité de leurs logements et qui n'ont pas les revenus nécessaires pour se reloger de manière abordable Québec effectuera un autre exercice de dénombrement des itinérants le 15 avril prochain, mais de façon beaucoup plus large cette fois-ci. Le MSS mettra à profit toutes les régions du Québec afin de dénombrer également les personnes qui dorment dans la rue. Le Bas-Saint-Laurent participera également pour la première fois à ce type de dénombrement qui devrait permettre, toujours selon le MSS, de mettre en lumière l'itinérance visible avec des stratégies comme le sillonnage, les questionnaires et la collecte de données auprès des ressources d'hébergement. Questionné à ce sujet en juillet 2024, le directeur des services en santé mentale et dépendance pour le CISSS du Bas-Saint-Laurent, Éric St-Jean, qualifiait l'exercice de grande concertation entre les intervenants du réseau, les organismes communautaires, la Sûreté du Québec. Ouvrir en mode plein écranPrès de 30 organismes qui offrent notamment de l'hébergement aux itinérants au Bas-Saint-Laurent ont participé à cet exercice pour la première fois. (Photo d'archives) Mathieu BergerPublié le 4 avril à 17 h 16 HAEMis à jour le 4 avril à 17 h 23 HAEÉcouter l’article | 5 minutesLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale une technologie basée sur l’intelligence artificielle.Québec a recensé 106 personnes itinérantes hébergées au Bas-Saint-Laurent lors d'un dénombrement effectué en avril 2024 La région participait pour la première fois à l'exercice mené par le ministère de la Santé et des Services sociaux (MSS) Le Ministère a effectué ce type de recensement en 2018 et en 2022 mais le Bas-Saint-Laurent n'a pas participé à l'exercice Il est donc difficile d'établir un élément de comparaison Ce troisième recensement sur l'itinérance hébergée permet toutefois d'avoir un portrait de la situation au Bas-Saint-Laurent dans la nuit du 23 avril 2024 date à laquelle ce dénombrement a été effectué dans 16 régions du Québec On y apprend que 29 des 31 points de service offrant notamment de l'hébergement aux itinérants sur le territoire ont pris part à l'exercice de dénombrement Ils ont déclaré héberger au moment du dénombrement 106 personnes en situation d'itinérance sur une capacité d'accueil de 177 personnes Ouvrir en mode plein écranUn autre dénombrement sera effectué le 15 avril partout au Québec afin de recenser également les gens qui dorment dans la rue le MSS précise que ce rapport est effectué dans le cadre de la Politique nationale de lutte à l'itinérance et qu'il permet une meilleure compréhension du phénomène de l'itinérance hébergée d'identifier les besoins des personnes touchées et de soutenir les efforts collectifs pour lutter contre cette réalité complexe Le MSS note d'ailleurs dans son rapport une augmentation de 15 % du nombre de personnes en situation d'itinérance hébergées entre octobre 2022 et avril 2024 dans 13 régions du Québec qui ont pris part aux deux dénombrements de la Gaspésie et du Nord du Québec y participaient pour la première fois en 2024 les auteurs insistent d'ailleurs sur l'importance d'augmenter la capacité des communautés à loger les personnes en situation d'itinérance Ouvrir en mode plein écranLe centre d'hébergement pour itinérants de Rimouski doit ouvrir ses portes cet été au 95 Le rapport du ministère recense aussi le nombre de logements sociaux disponibles par région depuis 2018 l'offre de logements sociaux a augmenté de 3 % de 2018 à 2023 au Bas-Saint-Laurent avec 4274 logements sociaux disponibles en 2023 contre 4131 logements en 2018 Le nombre de mois d'attente pour obtenir ce type de logement est quant à lui passé de 18 à 15 mois lors de la même période Le document rappelle également des données de Statistique Canada de 2021 qui recensait 3395 personnes ayant des besoins impérieux en matière de logement au Bas-Saint-Laurent Les auteurs définissent ces citoyens comme étant des personnes qui éprouvent des besoins en termes d'abordabilité de taille ou de qualité de leurs logements et qui n'ont pas les revenus nécessaires pour se reloger de manière abordable Le Bas-Saint-Laurent participera également pour la première fois à ce type de dénombrement qui devrait permettre, toujours selon le MSS, de mettre en lumière l'itinérance visible avec des stratégies comme le sillonnage, les questionnaires et la collecte de données auprès des ressources d'hébergement. Questionné à ce sujet en juillet 2024, le directeur des services en santé mentale et dépendance pour le CISSS du Bas-Saint-Laurent, Éric St-Jean, qualifiait l'exercice de grande concertation entre les intervenants du réseau, les organismes communautaires, la Sûreté du Québec. La région participait pour la première fois à l'exercice mené par le ministère de la Santé et des Services sociaux (MSS) La Ville de Rimouski dispose d'ailleurs d'un projet de centre d'hébergement d'urgence qui devrait voir le jour cet été Québec effectuera un autre exercice de dénombrement des itinérants le 15 avril prochain mais de façon beaucoup plus large cette fois-ci Le MSS mettra à profit toutes les régions du Québec afin de dénombrer également les personnes qui dorment dans la rue Le Bas-Saint-Laurent participera également pour la première fois à ce type de dénombrement qui devrait permettre de mettre en lumière l'itinérance visible avec des stratégies comme le sillonnage les questionnaires et la collecte de données auprès des ressources d'hébergement Questionné à ce sujet en juillet 2024 le directeur des services en santé mentale et dépendance pour le CISSS du Bas-Saint-Laurent qualifiait l'exercice de grande concertation entre les intervenants du réseau Québec effectuera un autre exercice de dénombrement des itinérants le 15 avril prochain Québec a recensé 106 personnes itinérantes hébergées au Bas-Saint-Laurent lors d'un dénombrement effectué en avril 2024 La région participait pour la première fois à l'exercice mené par le ministère de la Santé et des Services sociaux (MSS) C’est maintenant officiel : la piste cyclable de la Voie maritime du Saint-Laurent sera remise à neuf dans les prochains mois Réfection et modernisation sont au programme tant et si bien que l’axe pourra être mis à profit dans le cadre des Championnats du monde de cyclisme sur route en 2026 La Communauté métropolitaine de Montréal (CMM) s’est entendue avec la Corporation de gestion de la Voie maritime du Saint-Laurent l’organisme fédéral responsable de cette longue bande de terre sise entre Montréal et sa Rive-Sud La responsabilité reviendra à la CMM d’exploiter – et revitaliser – la promenade fluviale du Grand Montréal La CMM a mandaté l’entreprise Roxboro Excavation pour assurer la réfection et la modernisation des 13,4 km de l’axe emprunté par de nombreux cyclistes La dizaine de kilomètres reliant l’estacade du pont Champlain à Sainte-Catherine Sera aussi réalisée la « modernisation » du tronçon est « Il aura droit à une nouvelle fondation et à un asphaltage » « Ces travaux permettront d’offrir aux cyclistes une infrastructure sécuritaire et de qualité » Les travaux devront être réalisés entre le « dégel et le 15 novembre [2025] » directeur de la transition écologique et de l’innovation à la CMM Le chantier devait être lancé l’automne dernier mais des « enjeux avec l’admissibilité de certains soumissionnaires » ont ralenti le processus Co-instigateur à l’été 2024 d’une pétition demandant le réasphaltage de cette piste cyclable Marc-Antoine Desjardins s’est réjoui de l’annonce c’était en fin de vie utile depuis très longtemps » Desjardins fait montre de certaines réserves : « Qui dit travaux dit retards dépassements de coûts… J’attends de voir comment tout ça va s’orchestrer » Il espère que les travaux seront réalisés « avec l’idée en tête de nuire le moins possible aux usagers » Une deuxième phase au projet de promenade fluviale prévoit l’aménagement de haltes et la disposition de mobilier urbain le long du parcours Cette opération sera lancée au moment opportun « On voulait que la portion cyclable se fasse en 2025 » en priorité Parce que la promenade fluviale mise à niveau pourra également accueillir certaines épreuves des Championnats du monde de cyclisme sur route qui seront présentés à Montréal en septembre 2026 « Ces Championnats seront le plus grand évènement que la métropole aura connu depuis les Jeux olympiques de 1976 » La crème du cyclisme masculin et féminin est attendue pour l’occasion La Presse n’avait pas été en mesure d’obtenir plus d’information sur l’épreuve Montréal avait accueilli les premiers Championnats du monde sur route tenus à l’extérieur de l’Europe Dans une formule imagée comme il en avait l’habitude le chroniqueur de La Presse Pierre Foglia avait écrit qu’il « était beau et rose comme s’il venait de faire l’amour » après son triomphe au sprint final L’épreuve itinérante – l’une des plus prestigieuses courses d’un jour du calendrier cycliste – est disputée chaque année dans un endroit différent elle aura lieu pour la toute première fois en Afrique le Rwanda ayant été retenu comme pays hôte La plupart des 25 postes de cadres en moins serait des postes vacants ou des postes occupés par des personnes qui partent à la retraite Ces chiffres ont aussi été confirmés par la Fédération interprofessionnelle de la santé du Québec (FIQ) à qui la restructuration a été présentée mardi Ce remaniement survient quelques jours après l'annonce de l'abolition de 183 postes, « principalement » administratifs le 13 mars Le CISSS planifiait sur cette restructuration depuis 2 ans Cette réorganisation de la haute direction a été entamée lors de l'entrée en poste du président-directeur général Le CISSS du Bas-Saint-Laurent explique que cette restructuration a été teintée par l'effort de retour à l'équilibre budgétaire même si elle n'y est pas directement liée le CISSS ne peut confirmer les économies qui seront réalisées avec cette réorganisation de la haute direction La porte-parole de la FIQ pour le Bas-Saint-Laurent croit quant à elle que cette mesure mènera fort probablement aussi à une réorganisation du travail pour les employés du CISSS C'est dur de dire où seront les impacts autant auprès de nos membres que [pour] la population ajoutant que la restructuration nécessitera des ajustements pour le personnel Isabelle est journaliste pour Radio-Canada depuis 2007 Elle a travaillé dans les provinces maritimes et dans l'Ouest canadien avant de déposer ses valises au Bas-Saint-Laurent en 2012 Dotée d'un esprit curieux et touche-à-tout Isabelle se qualifie comme une généraliste de l'information qui n'hésite jamais à creuser au fond des sujets d'actualité en journalisme économique et financier de l'Université Laval Miguelle-Éloïse est journaliste pour Radio-Canada depuis 2018 Après avoir travaillé pendant près de sept ans dans le Nord de l'Ontario elle est de retour dans son Bas-Saint-Laurent natal depuis mars 2025 Elle s'intéresse entre autres à l'éducation à la recherche scientifique et aux jeux vidéo Ouvrir en mode plein écranLa réorganisation de l'organigramme a été présentée aux 310 cadres du CISSS du Bas-Saint-Laurent ainsi qu'à la Fédération interprofessionnelle de la santé du Québec mardi Une réorganisation de l'organigramme du Centre intégré de santé et de services sociaux (CISSS) du Bas-Saint-Laurent mènera à l'abolition de 170 postes de cadres La plupart des 25 postes de cadres en moins serait des postes vacants ou des postes occupés par des personnes qui partent à la retraite Ces chiffres ont aussi été confirmés par la Fédération interprofessionnelle de la santé du Québec (FIQ) à qui la restructuration a été présentée mardi Cette réorganisation de la haute direction a été entamée lors de l'entrée en poste du président-directeur général, Jean-Christophe Carvalho, il y a deux ans. Le CISSS du Bas-Saint-Laurent explique que cette restructuration a été teintée par l'effort de retour à l'équilibre budgétaire, même si elle n'y est pas directement liée. Pour l'instant, le CISSS ne peut confirmer les économies qui seront réalisées avec cette réorganisation de la haute direction. La porte-parole de la FIQ pour le Bas-Saint-Laurent, Cindie Soucy, croit quant à elle que cette mesure mènera fort probablement aussi à une réorganisation du travail pour les employés du CISSS. C'est dur de dire où seront les impacts, autant auprès de nos membres que [pour] la population, a-t-elle exprimé, ajoutant que la restructuration nécessitera des ajustements pour le personnel. Ce remaniement survient quelques jours après l'annonce de l'abolition de 183 postes, « principalement » administratifs le 13 mars Une réorganisation de l'organigramme du Centre intégré de santé et de services sociaux (CISSS) du Bas-Saint-Laurent mènera à l'abolition de 170 postes de cadres prenez-vous en charge les risques liés… CNESST La productivité durable : la clé pour diversifier vos… INVESTISSEMENT QUÉBEC Pour une approche du patrimoine rassurante Ministère de la Culture et des Communications Myral Condominiums : un projet immobilier majestueux sur la… Myral Condominiums Owl’s Head Habitat : Un nouveau mode de… Owl's Head Habitat Une nouvelle alliance stratégique au service des gens… Le Centrexpo Promutuel Assurance Exportation façon lavalloise : s’adapter pour mieux prospérer Laval économique Lancement du thé glacé FUZE : une excellente nouvelle… Coca-Cola Canada L’IA et la rémunération globale : naviguer dans un… Normandin Beaudry Tourisme Outaouais – Hôtel-Casino du Lac-Leamy pour vos… Tourisme Outaouais Le Centre-du-Québec : un excellent rapport qualité-prix pour un… Tourisme Centre-du-Québec il faut comparer les émissions qu’on génère avec celles qu’on évite L'OPEP+ jouait jusqu'à récemment sur la raréfaction de l'offre pour doper les prix Le fabricant de Saint-Hyacinthe augmente son chiffre d’affaires au Québec et en Ontario Le parc d'attractions rouvrira ses portes le 14 juin prochain Les actions de Berkshire Hathaway chutent alors que le PDG Buffett passe le relais à Abel La légende fait de lui un buveur de Coca-Cola invétéré