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l'idée d'un hôtel flottant pour loger les travailleurs du terminal de gaz naturel liquéfié Woodfibre LNG faisait polémique à Squamish
Woodfibre en demande un deuxième à la province
Ces travailleurs ne transitent même pas par la ville
J’ai été surpris de la demande d’un deuxième floatel
on est quand même plus vert et environnemental
alors c’est certain qu’il y aura une opposition
l'idée d'un hôtel flottant pour loger les travailleurs du terminal de gaz naturel liquéfié Woodfibre LNG faisait polémique à Squamish
Le bateau s'y est finalement rendu et
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dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"L’entreprise a affirmé dans un communiqué qu’elle avait soumis une demande aux autorités de réglementation pour ancrer un autre navire à côté de celui qu’elle a déjà pour héberger des employés
L’approbation du premier hôtel flottant avait semé la controverse après que le District de Squamish eut voté pour refuser d’octroyer un permis à Woodfibre GNL à cause d’inquiétudes en matière de sécurité et de gestion des déchets
le Bureau des évaluations environnementales de la Colombie-Britannique est intervenu pour autoriser l'hôtel flottant
Woodfibre GNL sommé de déployer un hôtel flottant à Squamish
Des scientifiques vont étudier les effets sur la santé de la centrale GNL de Squamish
un second navire devrait être soumis au même processus d’examen réglementaire que le MV Isabelle X
qui est ancré à environ 7 km de Squamish
Woodfibre GNL assure dans son communiqué que
tout impact sur le marché du logement et la circulation
ainsi que des pressions supplémentaires sur les services publics et de santé locaux
Il est clair que le Canada cherche à diversifier ses marchés énergétiques
c'est exactement ce que Woodfibre GNL va faire : il rendra plus de gaz naturel liquéfié canadien disponible aux marchés asiatiques
Si le second hôtel flottant est approuvé
Bridgemans Services Group se verra confier le contrat
C’est la même entreprise qui avait obtenu et rénové le MX Isabelle X
La fin de la construction des installations de Woodfibre GNL est prévue pour 2027
Le site produira 2,1 million de tonnes de gaz naturel liquéfié pour exportation chaque année
Avec des informations de La Presse canadienne
Ouvrir en mode plein écranLa fin de la construction des installations de Woodfibre GNL est prévue pour 2027
Photo : La Presse canadienne / Darryl Dyck
Woodfibre GNL espère créer un deuxième hôtel flottant sur le site de son projet de gaz naturel liquéfié près de Squamish
L’entreprise a affirmé dans un communiqué qu’elle avait soumis une demande aux autorités de réglementation pour ancrer un autre navire à côté de celui qu’elle a déjà pour héberger des employés
L’approbation du premier hôtel flottant avait semé la controverse après que le District de Squamish eut voté pour refuser d’octroyer un permis à Woodfibre GNL à cause d’inquiétudes en matière de sécurité et de gestion des déchets
le Bureau des évaluations environnementales de la Colombie-Britannique est intervenu pour autoriser l'hôtel flottant
un second navire devrait être soumis au même processus d’examen réglementaire que le MV Isabelle X
Woodfibre GNL assure dans son communiqué que
tout impact sur le marché du logement et la circulation
ainsi que des pressions supplémentaires sur les services publics et de santé locaux
Il est clair que le Canada cherche à diversifier ses marchés énergétiques
c'est exactement ce que Woodfibre GNL va faire : il rendra plus de gaz naturel liquéfié canadien disponible aux marchés asiatiques
C’est la même entreprise qui avait obtenu et rénové le MX Isabelle X
La fin de la construction des installations de Woodfibre GNL est prévue pour 2027
Le site produira 2,1 million de tonnes de gaz naturel liquéfié pour exportation chaque année
Donald Trump, président des États-Unis. Carney à Washington : « On ne veut pas revivre un moment Zelensky ». Publié à 4 h 00 HAE Carney à Washington : « On ne veut pas revivre un moment Zelensky »Le premier ministre canadien doit éviter les dérapages lors de sa rencontre avec Donald Trump
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L’entreprise a affirmé dans un communiqué qu’elle avait soumis une demande aux autorités de réglementation pour ancrer un autre navire à côté de celui qu’elle a déjà pour héberger des employés
Woodfibre GNL sommé de déployer un hôtel flottant à Squamish
Des scientifiques vont étudier les effets sur la santé de la centrale GNL de Squamish
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Le Haut-Commissariat de l'Inde à Ottawa a identifié Vanshika Saini comme une étudiante indienne
La question du séparatisme pourrait y figurer
Élections Canada a trouvé des erreurs dans les rapports des bureaux de vote locaux
Le président américain a affirmé qu'il continuera à faire pression pour que le Canada devienne le 51e État
Woodfibre GNL espère créer un deuxième hôtel flottant sur le site de son projet de gaz naturel liquéfié près de Squamish
pour y installer jusqu'à 900 travailleurs
Deux alpinistes ont été grièvement blessés après un éboulement dans les zones d’escalades du mont Chief
blessée par des pierres qui chutaient des parois abruptes du mont
ont été transportées en centre hospitalier dans un état critique
«Il semble qu'ils aient été frappés par une pierre qui tombait alors qu'ils escaladaient» une paroi rocheuse
responsable des recherches et du sauvetage de Squamish
l’homme se serait accroché à un rocher qui se serait détaché
tandis que la jeune femme a vu une de ses jambes écrasées dans la chute de la pierre
Il a fallu le recours à un hélicoptère du Service des incendies et forêt de la Colombie-Britannique pour procéder au sauvetage des deux grimpeurs
transportés à l’hôpital par avion pour soigner de blessures graves
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On ne remarque pas tout de suite que le bâtiment du Squamish Lil’wat Cultural Centre (SLCC) a été conçu pour évoquer la forme d’une longue maison squamish et d’un Istken
dès les premières minutes du visionnement du court métrage qui accueille les visiteurs
c’est surtout le désir des nations Skwxwú7mesh (squamish) et Lilwat7úl (lil’wat) d’unir leurs forces pour préserver et mieux faire connaître leurs cultures traditionnelles
un ambassadeur culturel propose aux visiteurs une incursion dans son univers au moyen d’un chant traditionnel au son du tambour et d’histoires liées à différents objets
tissage et œuvres d’art deviennent le point de départ de récits tantôt plus personnels
où des plats inspirés des Premières Nations
comme un taco de bannique garni de chili de chevreuil
on découvre les produits de l’entreprise Skwálwen Botanicals
créés à partir de plantes indigènes de la nation squamish récoltées à la main par des femmes
le Four Seasons Whistler propose un massage inspiré par cette gamme de produits
a développé le soin avec la fondatrice de la marque
Le Sacred Space Journey débute sur le dos plutôt que sur le ventre
Un soin des pieds vise « à les ancrer dans la terre »
La thérapeute remonte ensuite le corps dans une série de mouvements lents et fluides
de la griffe du diable et de l’églantier »
qui dit souhaiter rendre hommage aux Premières Nations
« ainsi qu’à tout ce qu’elles font pour la terre »
Afin de faire plus amples connaissances avec les nations du secteur
un laissez-passer pour le Squamish Lil’wat Cultural Centre est inclus dans le soin de 80 minutes
Pour profiter de la vue exceptionnelle à 360 degrés du PEAK 2 PEAK
La télécabine inaugurée en décembre 2008 parcourt une distance de 4,4 kilomètres entre les monts Blackcomb et Whistler
la culture autochtone est célébrée : certaines télécabines sont décorées par des artistes issus des Premières Nations
un code QR permet d’en savoir plus sur les créateurs
Qui a dit qu’il fallait faire du ski pour maîtriser l’art de l’après-ski
le Bearfoot Bistro est parfait pour savourer un cocktail… ou plusieurs
le sens du spectacle est aussi important que les saveurs
L’un des grands plaisirs de Marc Des Rosiers
directeur du marketing et des communications et de son équipe : faire vivre l’expérience du sabrage du champagne — ou bulles locales — aux visiteurs
The Ice Room propose aussi aux convives d’enfiler des parkas (prêtés sur place) pour aller boire un verre de vodka dans un bar de glace
Concocté par le chef québécois Dominic Fortin
le menu du Bearfoot Bistro change régulièrement
« J’utilise beaucoup de produits canadiens
Comme Marc Des Rosiers et bien d’autres Québécois tombés amoureux des montagnes
Dominic Fortin a du mal à quitter Whistler
il est revenu prendre les commandes des fourneaux il y a un an et demi
c’est comme si c’était Noël pendant cinq mois
L’autrice était l’invitée de Tourism Whistler et de Destination British Columbia
qui n’ont eu aucun droit de regard sur ce texte
• Pour plonger dans l’histoire du village, c’est au modeste Whistler Museum & Archives Society qu’il faut faire escale
On y remonte le temps jusqu’aux années 1950
• On ne s’attend pas à tomber sur un écrin de la trempe de l’Audain Art Museum dans un village de ski
On y trouve depuis 2016 des œuvres du XVIIIe siècle à nos jours
dont certaines d’artistes phares comme Emily Carr
• Inaugurée à l’été 2018, Vallea Lumina transforme une promenade en sentier en randonnée fantastique
l’expérience immersive est aussi possible en hiver
• Le Four Seasons Whistler se trouve à distance de marche du village et du pied des pentes
Le spa du Four Seasons Whistler a remporté le prix du meilleur spa de villégiature au Canada en 2024 lors des World Spa Awards
• Depuis 2010, le Scandinave Spa voit défiler des visiteurs de différents coins du monde
Si l’expérience thermale est semblable à celle proposée par son grand frère de Mont-Tremblant
les sapins de Douglas y côtoient les thuyas géants
• À la nouvelle Braidwood Tavern
On adore l’atmosphère montagnarde de l’endroit
• Pour se sustenter au sommet du mont Blackcomb : le restaurant Christine’s On Blackcomb
• Au sommet du mont Whistler, l’Umbrella bar
• Il est possible de tester le bobsleigh et le skeleton au Whistler Olympic Park
mais aussi de pratiquer la raquette et le ski de fond
Pour ceux qui tiennent à skier, mieux vaut acheter ses billets en ligne. Le forfait journalier de Whistler Blackcomb est le plus avantageux pour les clients qui prévoient de skier entre 1 à 10 jours exclusivement à Whistler Blackcomb
Il permet d’économiser jusqu’à 65 % par rapport aux billets de remontée mécanique pour les clients qui l’achètent avant la saison
tout en leur donnant la possibilité de choisir les jours où ils veulent skier
Des forfaits pour l’an prochain seront en vente à compter de mars
Pour la plupart des amateurs de plein air au pays
Squamish est un nom qui fait grandement rêver
Cette petite ville située entre Vancouver et Whistler
ses activités hivernales et ses nombreux sentiers de randonnée
À lire aussi - Kathmandu : un manteau biodégradable et des nouveautés écoresponsables
Entourés de montagnes imposantes dans une nature riche et grande
Espaces y a parcouru le chemin Sea To Summit (traduction libre : de la mer jusqu’au sommet) dans le parc provincial de Shannon Falls
Notre objectif : le sommet de cette montagne perchée à 885 mètres au-dessus du niveau de la mer
offrant un point de vue à couper le souffle (littéralement
si on s’y rend à pied et non en gondole) sur le fjord Howe Sound
la forêt côtière et les montagnes avoisinantes.
réputée pour ses montées abruptes et ses vues saisissantes
nous a rapidement prouvé qu'elle était à la hauteur des attentes
Le premier kilomètre s’est avéré être un vrai défi cardio
mais la montée vaut toutefois l’effort
Une fois passée cette dure étape parsemée de rochers qui longent un ruisseau
on se retrouve sur une partie plus calme du trajet
ancrés dans un tapis de terre moelleuse.
Juste assez longtemps pour reprendre son souffle et être récompensé par un premier point de vue qui nous amène sous la gondole
En poursuivant son chemin dans cette nature ornée de mousse verdoyante
l’atmosphère devient presque féerique avec à la beauté des lieux
la lumière filtrée à travers les feuillages et la sensation d’être tout petit à côté de la majestuosité de ce qui nous entoure
garni de racines d'arbres et de rochers glissants sous mes pieds
nous rappelle à chaque pas que cette randonnée ne devrait pas être sous-estimée
Certains segments sont particulièrement complexes et nécessite un plan d’attaque avant de se lancer dans la montée
Mais cet aspect qui touche un peu plus à la logistique de l’activité rend étonnamment l'effort physique un peu plus supportable : par où vais-je passer
Quelle racine semble la plus solide pour m’accrocher
Cette roche est-elle fiable pour y poser mon pied
Des questions qu’on se pose normalement lorsqu’on marche en forêt
mais qui deviennent d’autant plus importantes lorsque la possibilité d’une chute sur ce sentier escarpé est présent
on croise à plusieurs reprises des vues spectaculaires sur les montagnes environnantes et sur la baie en contrebas
des endroits parfaits pour s’arrêter
reprendre mon souffle et admirer le paysage
on y croise aussi une belle chute d’eau cristalline qui s’écoule entre la pierre et les conifères
La dernière section de la randonnée
comprend certaines parties où l’on doit s’accrocher à des chaînes pour grimper plus haut et atteindre finalement le sommet
la vue panoramique sur l'océan bleuté
les îles et les montagnes foisonnantes est tout simplement incroyable
cantine en terrasse et autres chemins de randonnée : tout y est pour profiter du grand air
L’endroit parfait pour se reposer après avoir dépassé ses limites
Car bien que la randonnée Sea To Summit soit exigeante
les randonneurs persévérants
qui sont d’ailleurs nombreux dans les sentiers
vous diront à coup sûr qu’elle mérite l’acharnement
Et à quoi bon aller en nature si l’on n’est pas prêt à sortir un peu de sa zone de confort
si vous êtes de passage dans cette capitale du plein air et que vous recherchez une aventure alliant défi physique et paysages mémorables
on ne peut que vous recommander cette randonnée
* Ce voyage a été rendu possible grâce à la marque de vêtements de plein air Kathmandu.
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le gouvernement fédéral a annoncé un investissement de 17,4 millions de dollars pour la construction de 44 logements locatifs à Squamish
Le financement sera fourni sous forme de prêts à faible taux d'intérêt entièrement remboursables dans le cadre du Programme de prêts pour la construction d'appartements
L'annonce a été faite par Patrick Weiler
député fédéral de West Vancouver--Sunshine Coast--Sea to Sky Country
au nom de l'honorable Nathaniel Erskine-Smith
ainsi que par l'honorable Joanne Thompson
l'ensemble résidentiel Artemis sera composé d'un immeuble de 6 étages offrant 44 appartements locatifs pour les ménages à revenu faible ou modeste
L'immeuble sera conçu dans un souci de durabilité
avec des matériaux et des systèmes écoénergétiques pour réduire au minimum son impact environnemental
L'immeuble fait partie de la collectivité de Finch Drive et offrira des commodités courantes
L'ensemble devrait être achevé d'ici la fin de 2025
la construction de logements locatifs n'a pas suivi le rythme de la croissance des villes et de la population
le parc locatif existant diminue depuis des décennies et se fait vieillissant
le gouvernement fédéral a lancé le Programme de prêts pour la construction d'appartements dans le but de contribuer à la construction de logements locatifs partout au pays
Il est essentiel d'accroître l'offre globale de logements locatifs pour créer des collectivités plus fortes et plus dynamiques où les gens peuvent être fiers de vivre
« Investir dans le logement abordable ne consiste pas qu'à injecter de l'argent dans le béton
Il s'agit d'investir dans le bien-être de la population canadienne
Les futurs résidents de l'ensemble résidentiel Artemis auront accès à un chez-soi sûr et confortable
Nous continuons d'aider la population de Squamish en prenant des mesures qui font une réelle différence. » - Patrick Weiler
« C'est avec fierté que Diamond Head Development s'associe à la SCHL pour offrir des logements locatifs abordables dont Squamish a grandement besoin
nous créons la collectivité la plus respectueuse de l'environnement de la région de Sea to Sky
Ce quartier conçu judicieusement compte des logements construits selon les normes de durabilité les plus élevées
Notre objectif est d'inspirer d'autres promoteurs à adopter cette norme de construction et à aider à rendre la ville de Squamish plus durable. » - Jason Wood
Personnes-ressources pour les médias : Sofia Ouslis, Ministère du Logement, de l'Infrastructure et des Collectivités, [email protected]; Relations avec les médias, Société canadienne d'hypothèques et de logement, [email protected]
Ne pas vendre ou partager mes informations personnelles:
des ascensions extrêmes en trad ont eu lieu à Squamish au Canada
non loin de la célébrissime « Cobra crack »
Elle avait été jugée par Berthod sensiblement du même niveau (8b+)
La voie avait aussi été répétée par le jeune Connor Herson (21 ans) l’an dernier
*** Connor Herson et Didier Berthod libèrent « The Shark » : Les deux derniers cités ne sont pas en reste
la légende Suisse Didier Berthod annonçant une ascension de son projet du moment « The Shark »
quelques semaines après la première ascension par Connor Herson
Berthod avait invité le jeune talent californien à essayer le projet avec lui
Le grimpeur suisse annonce que la difficulté de la voie est du même niveau que « Cobra Crack » et « Crack of Destiny »
« L’itinéraire est situé sur le Chief à Squamish
Il se trouve dans le secteur du Grand Wall
Il s’agit d’une fissure de 20 mètres de long qui traverse une arche très raide
Elle commence par une sorte d’escalade en mur protégée par trois spits avant d’atteindre la fissure
c’est une fissure de la taille d’un doigt qui s’ouvre ensuite pour devenir plus large
puis commence une section en opposition super cool avec de mauvais pieds
il y a quelques verrous avec les mains et les poings
La dernière section est un mélange de verrous de doigts
de mains et un mouvement en opposition avec la fissure qui constitue le crux
Quelles sont les différences entre ces 3 fissures
« Crack of Destiny » et « Cobra » sont des fissures à doigts classiques
« Cobra » est plus un défi de rési car la section dure ne fait que 13 mouvements; « Destiny » est plus long
Mais le « Shark » est un mélange sympa de différents types de fissures
des doigts au poing (il y a même un coincement de coude au début !)
Elle est aussi beaucoup plus raide que les deux autres
et à cet égard le type d’escalade est très proche d’une voie d’escalade sportive très raide
Et l’effort serait plus proche d’une voie d’endurance que d’un défi de rési
A number of extreme trad climbs have recently been ticked in Squamish
and we’d like to tell you all about them
*** Ben Harnden repeats ‘Crack of Destiny’: one of Squamish’s local climbers and a trad expert has just completed a repeat (3rd ascent) of ‘Crack of Destiny’
freed by the inevitable Didier Berthod last summer
which delivers crack climbing of the purest style
Berthod judged both to be of a similar level (8b+)
The route was also repeated by young Connor Herson (21) last year
*** Connor Herson and Didier Berthod free ‘The Shark’: The last two mentioned are not to be outdone
with Swiss legend Didier Berthod announcing the send of his current project ‘The Shark’
a few weeks after Connor Herson’s first ascent
Berthod had invited the young Californian talent to try out the project with him
The Swiss climber announced that the difficulty of the route was on a par with ‘Cobra Crack’ and ‘Crack of Destiny’
« The route is located in the Chief in Squamish
It’s a 20-meter long crack that traverses a super steep arch
It starts with some kind of face climbing protected by three bolts and then reaches the crack
At the beginning it’s a finger-sized crack that opens up to baggy fingers
On this section there is a ramp on the right for your feet and that helps a lot
and then starts a super cool layback section with poor feet
At some point you can have some hand and fist jams
What are the differences between these 3 cracks
‘Crack of Destiny’ and ‘Cobra’ are kinda classic finger cracks
Cobra is more a power endurance challenge because the hard section is only 13 moves
But the ‘Shark’ is a cool mix of plenty of different types of jamming
from finger to fist (there is even one chicken wing at the beginning!)
and in this regard the type of climbing is very close to a very steep sport climbing route
And the effort would be more like an endurance route than a power endurance challenge
Il est relié aux sentiers adaptés Miki's Magic et Cardrona, offrant au total 9 kilomètres de sentiers adaptés aux amateurs de vélos de montagne de toutes les habiletés.
Les vélos de montagne adaptés sont des vélos spécialisés, conçus pour les cyclistes ayant des besoins de mobilité variés. Ils sont notamment équipés de roues supplémentaires, de manivelles et de sièges personnalisés.
Il existe quatre types de vélo tout terrain adaptés pouvant être utilisés sur le sentier South Coaster : le cross-country, le tout-terrain, le tout-terrain à genoux et le tout électrique.
La province a offert un financement de 180 000 $ pour le sentier et a collaboré avec la Squamish off-road cycling association (SORCA), une association qui fait la promotion du cyclisme tout terrain à Squamish, pour réaliser le projet.
La SORCA travaille en étroite collaboration avec le personnel de BC Parks depuis environ six ans pour concrétiser ce sentier, a déclaré Ian Lowe, directeur général de la SORCA.
Au départ, l'objectif du sentier était d'offrir une expérience nettement améliorée aux cyclistes moins expérimentés. BC Parks a voulu en faire un sentier capable d’accueillir des vélos de montagne adaptés, pour qu’un large éventail de cyclistes puissent l’emprunter.
Le nouveau sentier répond à un besoin croissant d'accès aux sentiers de vélo de montagne dans la région de Sea to Sky, qui demeure une destination prisée des visiteurs.
Tout le monde devrait avoir accès aux loisirs de plein air, et ces sentiers offrent un moyen de découvrir la joie et la beauté de notre région, déclare le maire de Squamish, Armand Hurford.
La Kootenay adaptative sport association, fondée en 2011, fait la promotion de sports pour les personnes de tous les âges et de tous les niveaux.
L’Association a publié des lignes directrices sur les modifications à apporter aux sentiers de vélo de montagne pour accueillir des cyclistes qui pratiquent le sport en vélo adapté.
C’est un sentier un peu plus large et on améliore aussi la visibilité. [...] la majorité des cyclistes sur des vélos tout terrain adaptés ont une vision limitée à environ 1,20 m du sol. Il faut donc s'assurer que le sentier est accessible et sécuritaire.
La situation s'est améliorée au cours des 5 à 10 dernières années. C'est certainement mieux qu'avant.
En matière d'accessibilité, je pense que l'avantage et le résultat indirect sont tout simplement une plus grande inclusion. Nous élargissons les possibilités pour les plus jeunes, les personnes âgées actives disposant d'équipements moins coûteux et les familles.
La Colombie-Britannique veut rendre les parcs de la Colombie-Britannique plus inclusifs et accessibles.
Le premier sentier de vélo tout terrain adapté spécialement conçu en Colombie-Britannique, le sentier Spine, dans les Kootenays, a accueilli ses premiers visiteurs en 2017.
Dominique Lévesque est journaliste et réalisatrice à Vancouver. Elle couvre l'actualité britanno-colombienne depuis 24 ans et s'intéresse particulièrement aux questions de société.
Ouvrir en mode plein écranLe sentier de vélo de montagne adapté South Coaster, à Squamish, est maintenant ouvert.
Photo : Fourni par le ministère de l'Environnement et des Parcs de la C.-B.
Dominique LévesquePublié le 27 avril à 9 h 42 HAEÉcouter l’article | 4 minutesLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale, une technologie basée sur l’intelligence artificielle.La municipalité de Squamish, en Colombie-Britannique, considérée comme la Mecque du vélo de montagne, dispose maintenant d’un sentier aménagé tout particulièrement pour les cyclistes ayant des besoins particuliers et ceux qui ont moins d’expérience.
Le nouveau sentier South Coaster, dans le parc provincial Alice Lake, fait 1 kilomètre et est plus large et moins cahoteux.
Il est relié aux sentiers adaptés Miki's Magic et Cardrona, offrant au total 9 kilomètres de sentiers adaptés aux amateurs de vélos de montagne de toutes les habiletés.
Les vélos de montagne adaptés sont des vélos spécialisés, conçus pour les cyclistes ayant des besoins de mobilité variés. Ils sont notamment équipés de roues supplémentaires, de manivelles et de sièges personnalisés.
Ouvrir en mode plein écranLes vélos de montagne adaptés peuvent notamment être équipés de roues supplémentaires, de manivelles et de sièges personnalisés.
Il existe quatre types de vélo tout terrain adaptés pouvant être utilisés sur le sentier South Coaster : le cross-country, le tout-terrain, le tout-terrain à genoux et le tout électrique.
La province a offert un financement de 180 000 $ pour le sentier et a collaboré avec la Squamish off-road cycling association (SORCA), une association qui fait la promotion du cyclisme tout terrain à Squamish, pour réaliser le projet.
La SORCA travaille en étroite collaboration avec le personnel de BC Parks depuis environ six ans pour concrétiser ce sentier, a déclaré Ian Lowe, directeur général de la SORCA.
Au départ, l'objectif du sentier était d'offrir une expérience nettement améliorée aux cyclistes moins expérimentés. BC Parks a voulu en faire un sentier capable d’accueillir des vélos de montagne adaptés, pour qu’un large éventail de cyclistes puissent l’emprunter.
Le nouveau sentier répond à un besoin croissant d'accès aux sentiers de vélo de montagne dans la région de Sea to Sky, qui demeure une destination prisée des visiteurs.
Tout le monde devrait avoir accès aux loisirs de plein air, et ces sentiers offrent un moyen de découvrir la joie et la beauté de notre région, déclare le maire de Squamish, Armand Hurford.
Ouvrir en mode plein écranLe premier sentier de vélo tout terrain adapté spécialement conçu en Colombie-Britannique, le sentier Spine, dans les Kootenays, a ouvert ses portes en 2017.
La Kootenay adaptative sport association, fondée en 2011, fait la promotion de sports pour les personnes de tous les âges et de tous les niveaux.
L’Association a publié des lignes directrices sur les modifications à apporter aux sentiers de vélo de montagne pour accueillir des cyclistes qui pratiquent le sport en vélo adapté.
C’est un sentier un peu plus large et on améliore aussi la visibilité. [...] la majorité des cyclistes sur des vélos tout terrain adaptés ont une vision limitée à environ 1,20 m du sol. Il faut donc s'assurer que le sentier est accessible et sécuritaire.
La situation s'est améliorée au cours des 5 à 10 dernières années. C'est certainement mieux qu'avant.
En matière d'accessibilité, je pense que l'avantage et le résultat indirect sont tout simplement une plus grande inclusion. Nous élargissons les possibilités pour les plus jeunes, les personnes âgées actives disposant d'équipements moins coûteux et les familles.
Ouvrir en mode plein écranLa Colombie-Britannique a promis d’investir 21,5 millions de dollars sur cinq ans pour accroître et améliorer les possibilités de loisirs de plein air dans la province.
Le premier sentier de vélo tout terrain adapté spécialement conçu en Colombie-Britannique, le sentier Spine, dans les Kootenays, a accueilli ses premiers visiteurs en 2017.
fait 1 kilomètre et est plus large et moins cahoteux
Il est relié aux sentiers adaptés Miki's Magic et Cardrona
offrant au total 9 kilomètres de sentiers adaptés aux amateurs de vélos de montagne de toutes les habiletés
Les vélos de montagne adaptés sont des vélos spécialisés
conçus pour les cyclistes ayant des besoins de mobilité variés
Ils sont notamment équipés de roues supplémentaires
de manivelles et de sièges personnalisés
Il existe quatre types de vélo tout terrain adaptés pouvant être utilisés sur le sentier South Coaster : le cross-country
le tout-terrain à genoux et le tout électrique
La province a offert un financement de 180 000 $ pour le sentier et a collaboré avec la Squamish off-road cycling association (SORCA)
une association qui fait la promotion du cyclisme tout terrain à Squamish
La SORCA travaille en étroite collaboration avec le personnel de BC Parks depuis environ six ans pour concrétiser ce sentier
l'objectif du sentier était d'offrir une expérience nettement améliorée aux cyclistes moins expérimentés
BC Parks a voulu en faire un sentier capable d’accueillir des vélos de montagne adaptés
pour qu’un large éventail de cyclistes puissent l’emprunter
Le nouveau sentier répond à un besoin croissant d'accès aux sentiers de vélo de montagne dans la région de Sea to Sky
qui demeure une destination prisée des visiteurs
Tout le monde devrait avoir accès aux loisirs de plein air
et ces sentiers offrent un moyen de découvrir la joie et la beauté de notre région
fait la promotion de sports pour les personnes de tous les âges et de tous les niveaux
L’Association a publié des lignes directrices sur les modifications à apporter aux sentiers de vélo de montagne pour accueillir des cyclistes qui pratiquent le sport en vélo adapté
C’est un sentier un peu plus large et on améliore aussi la visibilité
[...] la majorité des cyclistes sur des vélos tout terrain adaptés ont une vision limitée à environ 1,20 m du sol
Il faut donc s'assurer que le sentier est accessible et sécuritaire
La situation s'est améliorée au cours des 5 à 10 dernières années. C'est certainement mieux qu'avant
je pense que l'avantage et le résultat indirect sont tout simplement une plus grande inclusion
Nous élargissons les possibilités pour les plus jeunes
les personnes âgées actives disposant d'équipements moins coûteux et les familles
La Colombie-Britannique veut rendre les parcs de la Colombie-Britannique plus inclusifs et accessibles
Le premier sentier de vélo tout terrain adapté spécialement conçu en Colombie-Britannique
a accueilli ses premiers visiteurs en 2017
Dominique Lévesque est journaliste et réalisatrice à Vancouver
Elle couvre l'actualité britanno-colombienne depuis 24 ans et s'intéresse particulièrement aux questions de société
considérée comme la Mecque du vélo de montagne
dispose maintenant d’un sentier aménagé tout particulièrement pour les cyclistes ayant des besoins particuliers et ceux qui ont moins d’expérience
Mejdi Schalck est venu à bout de « Dreamcatcher »
l’un des plus beaux 9a de la planète
Mejdi Schalck a fait parler la poudre en clippant le relais de « Dreamcatcher » 9a à Squamish
est l’un des 9a les plus célèbres au monde
cette performance représente bien plus qu’un simple accomplissement : elle est le symbole d’une période de ressourcement après une saison marquée par sa non-qualification pour les Jeux Olympiques de Paris 2024
« Cette voie a toujours été dans un coin de ma tête
juste après avoir réussi l’ascension de « Dreamcatcher »
« Je me souviens qu’il y a des années
j’avais regardé la vidéo de Chris Sharma faisant la première ascension
Quand je suis arrivé au pied de cette ligne et que je l’ai vue pour la première fois en vrai
c’est avec une certaine émotion que Mejdi a appréhendé cette ligne iconique
Équipée par Chris Sharma et Sonnie Trotter dans un grand mur granitique très déversant
cette voie très athlétique parcourt une rampe qu’il faut remonter en tenant des plats fuyants
Mejdi est rapidement parvenu à enchaîner l’ensemble des sections
L’ascension de « Dreamcatcher » n’est pas qu’une simple performance à ajouter à son carnet de croix ; il s’agit surtout d’une forme de thérapie pour Mejdi
Après avoir échoué à se qualifier pour les Jeux Olympiques (une véritable désillusion pour lui)
il a ressenti le besoin de s’éloigner de Paris et de se recentrer
je voulais découvrir un nouvel endroit pour essayer de me vider l’esprit
les dernières semaines ont été difficiles pour moi… Aller à Squamish a été l’une des meilleures décisions que j’ai prises »
connu pour ses parois de granite imposantes et ses blocs mondialement réputés
a offert à Mejdi un cadre parfait pour renouer avec l’essence même de l’escalade
souvent surnommée la « Mecque » de l’escalade au Canada
« J’ai passé un très bon moment à grimper ici »
tout en laissant entendre que ce voyage a été enrichi par d’autres exploits sur les blocs de la région
bien que « Dreamcatcher » ait été son principal objectif
Son séjour canadien a également été l’occasion pour lui de s’adonner à sa discipline de prédilection : le bloc
« J’ai aussi fait un peu de bloc pendant ce voyage
j’ai hâte de vous en dire plus bientôt »
Alors que la déception des Jeux Olympiques reste dans son esprit
cette escapade à Squamish marque peut-être le début d’un nouveau chapitre pour Mejdi Schalck
Le Chambérien a su transformer sa frustration en une expérience positive et enrichissante
prouvant une fois de plus sa résilience indéniable
et le monde de l’escalade attend avec impatience ses prochaines réalisations
c’est avec une satisfaction méritée que Mejdi peut savourer son succès sur l’une des plus belles voies de la planète
en gardant les yeux rivés vers de nouveaux horizons
Une vidéo de son ascension de « Dreamcatcher » est en cours de réalisation
promettant de partager bientôt les images de cette performance
# Actualités PG# Univers Falaisecroix en falaise
mejdi schalck
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Squamish se situe au confluent de l'océan
ce qui fait de cette ville de la Colombie-Britannique la «capitale canadienne des sports de plein air»
de ski ou encore de vélo de montagne y convergent pour profiter de la nature à l'état pur
Les voiliers aux voilures déployées sont poussés par un vent puissant au pied des majestueuses montagnes: l'évasé mont Murchison
le Stawamus Chief et sa paroi de granit imposante
le mont Garibaldi et son glacier qui survit à un été caniculaire
Tout aventurier sent les fourmis envahir ses jambes à la vue de cet immense terrain de jeu en bordure de la route montagneuse qui mène à Squamish - l'autoroute 99
Le stationnement de gravier est rempli de véhicules aux plaques d'immatriculation des quatre coins du continent: Alaska
L'escalade attire à Squamish des grimpeurs du monde entier
la vue imprenable sur la baie et le nombre incalculable de voies qu'on y trouve ont fait sa renommée au fil des ans
Heureusement que le président de Canada West Mountain School inspire une confiance absolue
Avec son sac rempli pour une journée de grimpe - cordes
il chemine dans la forêt pluviale entre les pruches et les cèdres géants couverts de lichen et semble connaître par coeur les quelque 500 voies de l'endroit
Squamish en compte le double si l'on ajoute celles du Stawamus Chief - second monolithe de granit de tout le Commonwealth pour la hauteur
Kim et Jeremy Chrislip analysent leur prochain parcours
Leur chien Sam est couché sur un tas de corde
On est venus passer la semaine précisément pour cette raison
Il y a des voies complètement verticales qui sont tout de même de niveau débutant
ce qui est plutôt rare en escalade extérieure
C'est sûrement ce que Yosemite était il y a 50 ans»
un endroit qui ne manque pourtant pas de choix en matière d'escalade
«Les gens viennent de partout dans le monde pour profiter de ces montagnes
on attend un groupe de six personnes avec des gens de Los Angeles
il ne l'a pas quitté et a été à même de constater le boom touristique qu'a connu la ville forestière
«On a commencé à sentir l'intérêt augmenter il y a 10 ans
notamment avec les Jeux olympiques de 2010
«Les gens viennent courir dans les sentiers
on confirme qu'il y a bel et bien eu un engouement nouveau après les Jeux d'hiver
l'organisation estime qu'environ 66 000 personnes visitent le centre d'information touristique chaque année et avance que les complexes hôteliers observent une augmentation annuelle constante d'environ 8,3 % de leur clientèle
«Le taux d'occupation des hôtels a augmenté de 58 % entre 2011 et 2017 et le nombre de visiteurs au centre d'information a bondi de 189 % depuis les Jeux de 2010»
directrice du marketing à Tourism Squamish
«On est à moins d'une heure de route de Vancouver et de Whistler
à l'embouchure du fjord Howe et à la porte de huit parcs provinciaux
On peut dire que Squamish est une fusion unique de paysages accidentés
de panoramas époustouflants et de la culture de la côte Ouest
On peut jouer dans l'océan et explorer les montagnes dans la même journée»
Smoke Bluffs offre des panoramas imprenables sur ce qui fait la renommée de la municipalité de 17 000 habitants
on peut admirer le vaste terrain de jeu des amateurs de vélo de montagne pour qui les options sont multiples
À droite de l'autoroute qui zigzague dans le paysage s'élève le Stawamus Chief
lieu de prédilection pour grimper et faire de la randonnée
Le sentier qui mène jusqu'au premier des trois sommets est très abrupt et exigeant
mais la vue à couper le souffle vaut la sueur et la douleur
Derrière le Chief se cachent les impressionnantes chutes Shannon et la télécabine Sea to Sky qui transporte les visiteurs à la crête du mont Habrich
même si la vue au point culminant n'a rien à lui envier
réjouit les amateurs de photo et d'égoportraits
tandis que le Summit Lodge permet de se désaltérer et de se remplir la panse devant un paysage grandiose
les amateurs d'eau vive s'éclatent en kayak ou en rafting sur la tumultueuse rivière Squamish qui
lorsqu'elle se jette dans la glaciale baie de Howe
devient le terrain de jeu des amateurs de kitesurf et de planche à voile
Les vents puissants et constants ont d'ailleurs valu son nom à Squamish
qui en langue autochtone signifie «vents forts» ou «mère des vents»
Un nom qui rappelle aussi que c'est la tribu des Squohomish qui est la première à avoir occupé ces lieux exceptionnels
Squamish est un peu victime de sa popularité spontanée et les infrastructures touristiques suffisent difficilement à la demande en haute saison
Pour les stationnements à proximité des montagnes
il faut arriver tôt ou compter sur sa bonne étoile pour qu'une place se libère
La bonne nouvelle est que la majorité des stationnements sont gratuits et que les options d'activités sont nombreuses pour trouver un plan B dans les environs
Des visites organisées en partance de Vancouver ou Whistler permettent aussi de découvrir la région
Pour se ressourcer dans la nature ou carburer à l'adrénaline
Bon à savoir: les amateurs de magasinage et de fêtes nocturnes pourraient cependant être déçus: à Squamish
et le soir on dort à poings fermés sous un ciel magnifiquement étoilé
Les adeptes du vélo de montagne sont servis avec 200 km de sentiers et 288 parcours répartis dans quatre grands secteurs: Alice Lake/Garibaldi Highlands
Les sentiers sauvages sont variés et sauront plaire aux adeptes de tous les styles
Les familles trouveront leur compte grâce aux magnifiques paysages des randonnées pour débutants
se lanceront dans des parcours plus techniques avec des dénivelés à pic et des sections périlleuses
La télécabine Sea to Sky fonctionne toute l'année
Elle hisse les visiteurs au sommet du mont Habrich
où la vue panoramique est simplement spectaculaire
notamment à partir du pont suspendu et de sa terrasse
où des concerts sont occasionnellement présentés en soirée
divers sentiers permettent de se balader sur 1,6 km
il est aussi possible de s'aventurer sur le parcours de via ferrata
Cette randonnée sur paroi rocheuse avec prises métalliques sécurisées permet une immersion totale
même sans expérience d'alpinisme ni aptitudes extraordinaires
sauf peut-être celle de maîtriser son vertige
Les options pour s'évader dans la nature de la façon la plus simple qui soit - en marchant - sont nombreuses
L'incontournable randonnée est celle du Stawamus Chief: un parcours de 7 km
difficile en raison du dénivelé très prononcé
La vue au sommet apporte une entière satisfaction
Vous croiserez de nombreux grimpeurs et la randonnée peut se poursuivre vers deux autres sommets
La randonnée Sea to Summit est l'option sportive pour se rendre au même sommet que la télécabine: un aller simple abrupt de 9 km qui transporte les plus aguerris dans une forêt hypnotisante au son des chutes Shannon
Une option moins difficile est celle de la Four Lakes Trail
Plus facile encore: la Squamish Oceanfront Trail
c'est pourquoi elle attire tant d'adeptes du kitesurf et de la planche à voile
est l'endroit idéal pour la pratique des sports de voile
offre un lieu de départ de choix pour les kitesurfeurs et planchistes qui volent par douzaines sous leurs cerfs-volants lors des belles journées
Soyez prévenu: la combinaison de néoprène est essentielle pour survivre à une chute dans l'eau glaciale
les cours d'eau entourant Squamish réjouissent les amateurs d'eau vive
que ce soit à bord d'un bateau de rafting ou d'un kayak
Non seulement les rivières sont riches en défis
mais les paysages qui les bordent sont d'une beauté immense
Plusieurs options de descentes sont offertes
Ainsi vous pouvez opter pour une balade paisible ou encore pour une descente sur la plus puissante rivière de la Colombie-Britannique
Pour la plupart des amateurs de plein air du pays
Squamish est un nom qui donne envie de faire son sac à dos
Cette petite ville située entre Vancouver et Whistler
ses activités hivernales et ses nombreux sentiers de randonnée pédestre
Entourés de montagnes imposantes dans une nature riche et majestueuse
nous avons parcouru le Sea to Summit Trail (traduction libre: de la mer jusqu’au sommet) dans le parc provincial de Shannon Falls.
Notre objectif: atteindre le sommet de cette montagne perchée à 885 mètres au-dessus du niveau de la mer
offrant un point de vue à couper le souffle (littéralement
si on s’y rend à pied et non en téléphérique) sur le fjord Howe Sound
la forêt côtière et les montagnes avoisinantes
réputée pour ses montées abruptes et ses vues saisissantes
nous a rapidement prouvé qu'elle était à la hauteur de nos attentes
Le premier kilomètre s’est avéré être un vrai défi cardio
Une fois passée cette dure étape parsemée de rochers qui longent un ruisseau
Juste assez longtemps pour reprendre son souffle et être récompensé par un premier point de vue qui nous amène sous la gondole
En poursuivant son chemin dans cette nature ornée de mousse verdoyante
l’atmosphère devient presque féerique devant la beauté des lieux
la lumière qui filtre à travers les feuillages et la sensation d’être tout petit à côté de la majesté de ce qui nous entoure
ponctué de racines d'arbres et de rochers glissants sous mes pieds
nous rappelle à chaque pas que cette randonnée ne devrait pas être sous-estimée
Certains segments sont particulièrement complexes et nécessitent un plan d’attaque avant de se lancer dans la montée
Mais cet aspect qui touche un peu plus à la logistique de l’activité rend étonnamment l'effort physique un peu plus supportable: par où vais-je passer
Quelle racine semble la plus solide pour m’accrocher
Des questions qu’on se pose normalement lorsqu’on marche en forêt
mais qui deviennent d’autant plus importantes devant la possibilité d’une chute sur ce sentier escarpé
on croise à plusieurs reprises des vues spectaculaires sur les montagnes environnantes et sur la baie en contrebas
on croise aussi une belle chute d’eau cristalline qui s’écoule entre la pierre et les conifères
comprend certaines parties où l’on doit s’accrocher à des chaînes pour grimper plus haut et atteindre finalement le sommet
les îles et les montagnes foisonnantes est tout simplement incroyable
cantine en terrasse et autres chemins de randonnée: tout y est pour profiter du grand air
L’endroit parfait pour se reposer après avoir dépassé ses limites
Car bien que la randonnée Sea to Summit soit exigeante
qui sont d’ailleurs nombreux dans les sentiers
vous diront à coup sûr qu’elle mérite l’acharnement
Et à quoi bon aller en nature si l’on n’est pas prêt à sortir un peu de sa zone de confort
si vous êtes de passage dans cette capitale du plein air et que vous recherchez une aventure alliant défi physique et paysages mémorables
on ne peut que vous recommander cette randonnée
un incontournable de la région.
Ce voyage a été rendu possible grâce à la Kathmandu
À lire aussi : Kathmandu : un manteau biodégradable et des nouveautés écoresponsables
dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"Selon un communiqué de Woodfibre
la société a reçu un ordre de conformité de l'agence provinciale qui l'oblige à déplacer le navire de son amarrage au large de Nanaimo
vers une zone désignée dans la baie Howe
Le District de Squamish doit encore délivrer un permis d'utilisation temporaire autorisant l'ancrage du « floatel » au large du chantier de Woodfibre GNL lancé par Christy Clark en 2016
une compagnie privée filiale de l’entreprise singapourienne Pacific Energy Corp
un rapport d'inspection du Bureau des évaluations environnementales indique que le projet prévoit que tous les travailleurs qui ne vivaient pas à Squamish avant le 20 septembre 2023 doivent résider dans l'hôtel flottant
à moins qu'ils n'aient obtenu une dérogation
L'inspection a révélé qu'environ 300 travailleurs vivaient dans un camp de construction à Port Mellon
que 30 étaient logés dans des hôtels de Squamish et que 87 ne vivaient dans aucun de ces lieux
Le document indique que ces logements ne sont pas conformes au certificat d'évaluation environnementale de Woodfibre pour le projet
Le navire flottant est entré dans les eaux de la Colombie-Britannique en janvier après un voyage de 40 jours depuis l'Estonie
où il avait été transformé pour abriter des réfugiés ukrainiens
Un rapport du personnel du District de Squamish concernant le permis d'utilisation du navire est inscrit à l'ordre du jour du conseil municipal mardi
Les élus de Squamish ont voté à trois contre quatre contre un permis d'un an lors d'une réunion en mai
les opposants au projet ont exprimé des inquiétudes concernant la sécurité des femmes
la gestion des déchets et des risques de pollution
demandé au personnel de travailler avec Woodfibre pour que le dépôt de garantie du navire soit de 10 millions de dollars
Ouvrir en mode plein écranLe navire de croisière « floatel » qui doit héberger les quelque 600 travailleurs venus construire l'usine de gaz liquéfié Woodfibre LNG près de Squamish
Photo : La Presse canadienne / Darryl Dick
Le Bureau des évaluations environnementales de la Colombie-Britannique a ordonné à l’entreprise de gaz naturel liquéfié Woodfibre GNL de déployer un navire de croisière rénové pour accueillir des travailleurs près de Squamish
la société a reçu un ordre de conformité de l'agence provinciale qui l'oblige à déplacer le navire de son amarrage au large de Nanaimo
une compagnie privée filiale de l’entreprise singapourienne Pacific Energy Corp
un rapport d'inspection du Bureau des évaluations environnementales indique que le projet prévoit que tous les travailleurs qui ne vivaient pas à Squamish avant le 20 septembre 2023 doivent résider dans l'hôtel flottant
à moins qu'ils n'aient obtenu une dérogation
L'inspection a révélé qu'environ 300 travailleurs vivaient dans un camp de construction à Port Mellon
que 30 étaient logés dans des hôtels de Squamish et que 87 ne vivaient dans aucun de ces lieux
Le document indique que ces logements ne sont pas conformes au certificat d'évaluation environnementale de Woodfibre pour le projet
Le navire flottant est entré dans les eaux de la Colombie-Britannique en janvier après un voyage de 40 jours depuis l'Estonie
où il avait été transformé pour abriter des réfugiés ukrainiens
Ouvrir en mode plein écranReprésentation artistique du projet d'hôtel flottant dans la Baie Howe
Un rapport du personnel du District de Squamish concernant le permis d'utilisation du navire est inscrit à l'ordre du jour du conseil municipal mardi
Les élus de Squamish ont voté à trois contre quatre contre un permis d'un an lors d'une réunion en mai
les opposants au projet ont exprimé des inquiétudes concernant la sécurité des femmes
la gestion des déchets et des risques de pollution
demandé au personnel de travailler avec Woodfibre pour que le dépôt de garantie du navire soit de 10 millions de dollars
Le District de Squamish doit encore délivrer un permis d'utilisation temporaire autorisant l'ancrage du « floatel » au large du chantier de Woodfibre GNL lancé par Christy Clark en 2016
dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"Dans un communiqué
la Gendarmerie royale du Canada (GRC) a déclaré que les alpinistes devaient revenir vendredi
la GRC de Squamish et l’équipe de recherche et de sauvetage de Squamish (SSAR) tentent de repérer le groupe
le brouillard épais et le risque d'avalanche ont rendu les recherches difficiles
ce dernier a été vu pour la dernière fois vendredi matin sur un terrain très difficile près du pic Atwell
un sommet de 2655 mètres situé juste au sud du mont Garibaldi
alpinistes disparus sont hautement qualifiés","text":"Les troisalpinistes disparus sont hautement qualifiés"}}\">Les trois alpinistes disparus sont hautement qualifiés
affirme le responsable de l'équipe de recherche
Il ne s'agit pas de personnes qui sont sorties pour se promener tranquillement ou pour escalader le Grouse Grind","text":"Nous parlons d'escalade avec des cordes
Il ne s'agit pas de personnes qui sont sorties pour se promener tranquillement ou pour escalader le Grouse Grind"}}\">Ils pratiquent l'escalade avec des cordes
Il ne s'agit pas de personnes qui sont sorties pour se promener tranquillement ou pour escalader le Grouse Grind
Il s'agit d'une sortie d'alpinisme sérieuse
la GRC a demandé l'aide de l'équipe de recherche et de sauvetage de Squamish
qui a alors commencé son enquête
les sauveteurs ont tenté d’accéder à l'endroit
mais les recherches ont été annulées en raison des conditions météorologiques
L'équipe de recherche et de sauvetage de Squamish a également essayé de faire voler un drone pour retrouver les personnes disparues et a demandé l'aide d'un hélicoptère militaire
mais ni l'un ni l'autre n'ont pu faire face aux conditions météo
Des équipes de recherche et de sauvetage de Whistler et de la côte nord apportent également leur soutien à l'équipe
Toutes ces mesures ont été jugées dangereuses et ont finalement été interrompues
La dernière communication connue avec le groupe remonte à vendredi matin
selon l'équipe de recherche et de sauvetage de Squamish
C’est difficile dans ce secteur-là
la communication est souvent un problème
Le silence radio ne permet donc de faire aucune supposition pour l’instant
Les sauveteurs se tiendront prêts à intervenir lundi
en attendant une amélioration des conditions météorologiques afin de se rendre dans la zone en toute sécurité
nous ne pourrons malheureusement pas nous rendre dans cette zone
Il rappelle à tous ceux qui se rendent sur les sentiers que les conditions hivernales prévalent encore dans les montagnes et que les opérations de recherche et de sauvetage sont difficiles par mauvais temps
Les hélicoptères ne peuvent pas voler en ce moment
ce qui ralentit les opérations de recherche et de sauvetage
Les gens doivent donc bien réfléchir à ce qu'ils font
Ouvrir en mode plein écranLe parc provincial Garibaldi
centré autour du sommet volcanique de 2678 mètres du mont Garibaldi
est un endroit populaire pour la randonnée
situé à moins d'une centaine de kilomètres au nord de Vancouver
Des opérations de recherche et de sauvetage sont en cours pour retrouver trois alpinistes expérimentés qui ne sont pas revenus de leur excursion du mont Garibaldi
la Gendarmerie royale du Canada (GRC) a déclaré que les alpinistes devaient revenir vendredi
la GRC de Squamish et l’équipe de recherche et de sauvetage de Squamish (SSAR) tentent de repérer le groupe
le brouillard épais et le risque d'avalanche ont rendu les recherches difficiles
ce dernier a été vu pour la dernière fois vendredi matin sur un terrain très difficile près du pic Atwell
un sommet de 2655 mètres situé juste au sud du mont Garibaldi
alpinistes disparus sont hautement qualifiés","text":"Les troisalpinistes disparus sont hautement qualifiés"}}'>Les trois alpinistes disparus sont hautement qualifiés
affirme le responsable de l'équipe de recherche
Il ne s'agit pas de personnes qui sont sorties pour se promener tranquillement ou pour escalader le Grouse Grind","text":"Nous parlons d'escalade avec des cordes
Il ne s'agit pas de personnes qui sont sorties pour se promener tranquillement ou pour escalader le Grouse Grind"}}'>Ils pratiquent l'escalade avec des cordes
Il s'agit d'une sortie d'alpinisme sérieuse
la GRC a demandé l'aide de l'équipe de recherche et de sauvetage de Squamish
les sauveteurs ont tenté d’accéder à l'endroit
mais les recherches ont été annulées en raison des conditions météorologiques
Ouvrir en mode plein écranLe Pic Atwell (à droite) sur le mont Garibaldi
L'équipe de recherche et de sauvetage de Squamish a également essayé de faire voler un drone pour retrouver les personnes disparues et a demandé l'aide d'un hélicoptère militaire
mais ni l'un ni l'autre n'ont pu faire face aux conditions météo
Des équipes de recherche et de sauvetage de Whistler et de la côte nord apportent également leur soutien à l'équipe
Toutes ces mesures ont été jugées dangereuses et ont finalement été interrompues
La dernière communication connue avec le groupe remonte à vendredi matin
selon l'équipe de recherche et de sauvetage de Squamish
Le silence radio ne permet donc de faire aucune supposition pour l’instant
Les sauveteurs se tiendront prêts à intervenir lundi
en attendant une amélioration des conditions météorologiques afin de se rendre dans la zone en toute sécurité
Il rappelle à tous ceux qui se rendent sur les sentiers que les conditions hivernales prévalent encore dans les montagnes et que les opérations de recherche et de sauvetage sont difficiles par mauvais temps
Les hélicoptères ne peuvent pas voler en ce moment
ce qui ralentit les opérations de recherche et de sauvetage
Les gens doivent donc bien réfléchir à ce qu'ils font
alpinistes disparus sont hautement qualifiés","text":"Les troisalpinistes disparus sont hautement qualifiés"}}\\\">Les trois alpinistes disparus sont hautement qualifiés
Il ne s'agit pas de personnes qui sont sorties pour se promener tranquillement ou pour escalader le Grouse Grind"}}\\\">Ils pratiquent l'escalade avec des cordes
Pascale-Anouk Rivest-Gadbois, qui habite Squamish depuis 20 ans, y voit des avantages. Je trouve ça excitant parce que ça nous donne plus d'opportunités de rencontres et de diversité culturelle, dit-elle, en évoquant les nouveaux visages dans sa communauté. Elle estime que les valeurs communautaires et liées au respect de la nature et de l’environnement restent inchangées.
Elle déplore toutefois des changements à Squamish, à cause du coût des loyers et des activités extérieures qui font pourtant l'attrait de la région. Ça coûte de gros gros sous, aller faire du ski à Whistler, vélo de montagne, tout ça, explique-t-elle.
C’est de toute beauté de voir ce à quoi on a accès et dans quel environnement nos enfants vont grandir. C'est exceptionnel, je dirais presque que ça n’a pas de prix, mais c'est ça, le problème, c'est que ça n’a pas de prix! Donc, il faut faire des choix.
Ces choix sont pourtant devenus impossibles pour une certaine partie de la population. Le gros problème de Squamish, c’est le logement. C’est très cher, admet la directrice de la Squamish Community Housing Society, Sarah Ellis.
Sarah Ellis espère que le projet de logements abordables de la zone de Northyards, à quelques kilomètres du centre-ville, sera accepté par BC Housing. Elle se réjouit également de l’annonce récente de 7 millions de dollars de la Société canadienne d'hypothèques et de logement pour accélérer la construction de logements à Squamish.
Pourtant, à Squamish, il y a déjà des logements en cours de construction. De nombreux projets sont en cours, comme celui de Finch Drive. En tout, il y aura 250 appartements, maisons en rangée, duplex et logements, tous carboneutres, dont certains à partir de cette année.
Jason Wood, qui habite Squamish depuis 20 ans, dit que la communauté est se transforme depuis cinq ans, notamment avec l’arrivée de nouveaux restaurants et de commerces. Il espère que l'aménagement du front de mer se concrétisera. Il souhaite aussi que le réseau de transport se développe, tout en protégeant l’environnement.
Armand Hurford croit toutefois que sa ville arrive à garder son essence. Selon lui, les personnes qui vivent à Squamish ont fait le choix conscient d’y habiter malgré les difficultés et vont donc tout faire pour en profiter. Elles luttent pour vivre dans un endroit très cher et pour maximiser les avantages d'être ici, c'est-à-dire vivre le style de vie, l'impact [social], la création d'une communauté artistique, constate-t-il.
Squamish est florissante, mais elle ne l'est pas parce que c'est facile.
Squamish semble donc être une municipalité encore appréciée pour son sens de la communauté et ses initiatives locales. Toutefois, avec une augmentation de 50 % de la population prévue d’ici 15 ans, il reste à savoir comment ces valeurs seront transformées.
Sans vouloir être pessimiste, Pascale-Anouk Rivest-Gadbois, se pose tout de même des questions. À long terme, je ne sais pas ce que ça va donner. Je ne sais pas si ça va changer les valeurs fondamentales de ce que Squamish représente, conclut-elle.
Julie Landry est journaliste multiplateforme et formatrice à Radio-Canada depuis plus de 25 ans. Installée à Vancouver depuis 20 ans, cette Acadienne aime particulièrement couvrir les dossiers concernant la francophonie et les histoires qui ont une composante humaine.
Ouvrir en mode plein écranLes nouveaux développements continuent de pousser à Squamish, mais ne suffisent pas à répondre à la demande.
Quel que soit l’endroit où on porte le regard à Squamish, il y a des grues et de la construction : c'est le symbole d’une municipalité en pleine croissance, en changement.
Pascale-Anouk Rivest-Gadbois, qui habite Squamish depuis 20 ans, y voit des avantages. Je trouve ça excitant parce que ça nous donne plus d'opportunités de rencontres et de diversité culturelle, dit-elle, en évoquant les nouveaux visages dans sa communauté. Elle estime que les valeurs communautaires et liées au respect de la nature et de l’environnement restent inchangées.
Ouvrir en mode plein écranLa résidente de Squamish Pascale-Anouk Rivest-Gadbois adore sa communauté. « On est vraiment des gens avec des valeurs ancrées qui sont très profondes, très similaires, des gens qui apprécient, qui valorisent la nature, qui veulent respecter l'environnement. »
Elle déplore toutefois des changements à Squamish, à cause du coût des loyers et des activités extérieures qui font pourtant l'attrait de la région. Ça coûte de gros gros sous, aller faire du ski à Whistler, vélo de montagne, tout ça, explique-t-elle.
C’est de toute beauté de voir ce à quoi on a accès et dans quel environnement nos enfants vont grandir. C'est exceptionnel, je dirais presque que ça n’a pas de prix, mais c'est ça, le problème, c'est que ça n’a pas de prix! Donc, il faut faire des choix.
Ces choix sont pourtant devenus impossibles pour une certaine partie de la population. Le gros problème de Squamish, c’est le logement. C’est très cher, admet la directrice de la Squamish Community Housing Society, Sarah Ellis.
% en cinq ans, et le prix de l’immobilier a augmenté d’à peu près la même proportion, ce qui est vraiment extraordinaire","text":"Le prix des loyers a augmenté de près de 50% en cinq ans, et le prix de l’immobilier a augmenté d’à peu près la même proportion, ce qui est vraiment extraordinaire"}}'>Le prix des loyers a augmenté de près de 50 % en cinq ans, et le prix de l’immobilier a augmenté à peu près dans la même proportion, ce qui est vraiment extraordinaire, constate-t-elle.
Ouvrir en mode plein écran« C'est un endroit magnifique. Beaucoup de gens veulent y vivre. D'une certaine manière, notre plus grande réussite est aussi notre plus grand défi », affirme Sarah Ellis, de la Squamish Community Housing Society.
Sarah Ellis espère que le projet de logements abordables de la zone de Northyards, à quelques kilomètres du centre-ville, sera accepté par BC Housing. Elle se réjouit également de l’annonce récente de 7 millions de dollars de la Société canadienne d'hypothèques et de logement pour accélérer la construction de logements à Squamish.
Pourtant, à Squamish, il y a déjà des logements en cours de construction. De nombreux projets sont en cours, comme celui de Finch Drive. En tout, il y aura 250 appartements, maisons en rangée, duplex et logements, tous carboneutres, dont certains à partir de cette année.
Ouvrir en mode plein écranLe chantier de Finch Dr, sur un flanc de montagne, fournira 250 logements de type varié qui seront tous carboneutres. Les premiers seront disponibles dès cet automne.
Le promoteur Jason Wood, président de Diamond Head Development, a dû aussi faire sa part pour lutter contre la crise du logement. Finch Drive est dotée d'un immeuble locatif abordable, à la demande du district de Squamish","text":"Une partie du développement Finch Drive est dotée d'un immeuble locatif abordable, à la demande du district de Squamish"}}'>Une partie du complexe Finch Drive est dotée d'un immeuble locatif abordable, à la demande du District de Squamish, explique-t-il.
Jason Wood, qui habite Squamish depuis 20 ans, dit que la communauté est se transforme depuis cinq ans, notamment avec l’arrivée de nouveaux restaurants et de commerces. Il espère que l'aménagement du front de mer se concrétisera. Il souhaite aussi que le réseau de transport se développe, tout en protégeant l’environnement.
Toutes les difficultés liées à la croissance créent un réel casse-tête pour les autorités. Le maire du district de Squamish, Armand Hurford, qui est né dans la communauté, a bien vu la ville changer au fil des années. Il soutient que, à la vitesse de ce changement, les problèmes arrivent souvent vite, mais que les solutions prennent du temps. En plus du logement, il évoquent des problèmes de recrutement et de rétention de personnel.
Armand Hurford croit toutefois que sa ville arrive à garder son essence. Selon lui, les personnes qui vivent à Squamish ont fait le choix conscient d’y habiter malgré les difficultés et vont donc tout faire pour en profiter. Elles luttent pour vivre dans un endroit très cher et pour maximiser les avantages d'être ici, c'est-à-dire vivre le style de vie, l'impact [social], la création d'une communauté artistique, constate-t-il.
Squamish semble donc être une municipalité encore appréciée pour son sens de la communauté et ses initiatives locales. Toutefois, avec une augmentation de 50 % de la population prévue d’ici 15 ans, il reste à savoir comment ces valeurs seront transformées.
Sans vouloir être pessimiste, Pascale-Anouk Rivest-Gadbois, se pose tout de même des questions. À long terme, je ne sais pas ce que ça va donner. Je ne sais pas si ça va changer les valeurs fondamentales de ce que Squamish représente, conclut-elle.
Quel que soit l’endroit où on porte le regard à Squamish
il y a des grues et de la construction : c'est le symbole d’une municipalité en pleine croissance
Je trouve ça excitant parce que ça nous donne plus d'opportunités de rencontres et de diversité culturelle
en évoquant les nouveaux visages dans sa communauté
Elle estime que les valeurs communautaires et liées au respect de la nature et de l’environnement restent inchangées
Elle déplore toutefois des changements à Squamish
à cause du coût des loyers et des activités extérieures qui font pourtant l'attrait de la région
C’est de toute beauté de voir ce à quoi on a accès et dans quel environnement nos enfants vont grandir
je dirais presque que ça n’a pas de prix
Ces choix sont pourtant devenus impossibles pour une certaine partie de la population
admet la directrice de la Squamish Community Housing Society
et le prix de l’immobilier a augmenté d’à peu près la même proportion
ce qui est vraiment extraordinaire","text":"Le prix des loyers a augmenté de près de 50% en cinq ans
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et le prix de l’immobilier a augmenté à peu près dans la même proportion
Sarah Ellis espère que le projet de logements abordables de la zone de Northyards
à quelques kilomètres du centre-ville
Elle se réjouit également de l’annonce récente de 7 millions de dollars de la Société canadienne d'hypothèques et de logement pour accélérer la construction de logements à Squamish
il y a déjà des logements en cours de construction
dont certains à partir de cette année
président de Diamond Head Development
a dû aussi faire sa part pour lutter contre la crise du logement
Finch Drive est dotée d'un immeuble locatif abordable
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dit que la communauté est se transforme depuis cinq ans
notamment avec l’arrivée de nouveaux restaurants et de commerces
Il espère que l'aménagement du front de mer se concrétisera
Il souhaite aussi que le réseau de transport se développe
tout en protégeant l’environnement
Toutes les difficultés liées à la croissance créent un réel casse-tête pour les autorités
a bien vu la ville changer au fil des années
il évoquent des problèmes de recrutement et de rétention de personnel
Armand Hurford croit toutefois que sa ville arrive à garder son essence
les personnes qui vivent à Squamish ont fait le choix conscient d’y habiter malgré les difficultés et vont donc tout faire pour en profiter
Elles luttent pour vivre dans un endroit très cher et pour maximiser les avantages d'être ici
la création d'une communauté artistique
mais elle ne l'est pas parce que c'est facile
Squamish semble donc être une municipalité encore appréciée pour son sens de la communauté et ses initiatives locales
avec une augmentation de 50 % de la population prévue d’ici 15 ans
il reste à savoir comment ces valeurs seront transformées
se pose tout de même des questions. À long terme
Je ne sais pas si ça va changer les valeurs fondamentales de ce que Squamish représente
Julie Landry est journaliste multiplateforme et formatrice à Radio-Canada depuis plus de 25 ans
Installée à Vancouver depuis 20 ans
cette Acadienne aime particulièrement couvrir les dossiers concernant la francophonie et les histoires qui ont une composante humaine
ce qui est vraiment extraordinaire"}}\">Le prix des loyers a augmenté de près de 50 % en cinq ans
à la demande du district de Squamish"}}\">Une partie du complexe Finch Drive est dotée d'un immeuble locatif abordable
Longtemps considérée comme une simple halte entre Vancouver et Whistler
la municipalité de Squamish est aujourd'hui une destination vivante où de plus en plus de personnes souhaitent s'installer
le fait de faire partie des 20 communautés ayant la plus forte croissance au Canada apporte son lot de difficultés
dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"Dans le quartier de Kitsilano
un secteur résidentiel paisible et recherché aux abords de l’eau
les duplex et les maisons unifamiliales côtoient depuis un peu plus d’un an un immense chantier
Des tours allant jusqu’à 56 étages
installées aux abords du pont Burrard
là où se trouvait jusqu'à maintenant un terrain boisé
Je savais qu’on allait éventuellement y construire quelque chose
l’existence de ce projet monstre visant à héberger jusqu’à 12 000 personnes dans quelque 6000 appartements locatifs
Eve Munro s’est battue pour convaincre la Ville et le promoteur immobilier d’en réduire l’ampleur
Atteignant une densité 13 fois plus grande que celle du centre-ville de Vancouver et 8 fois plus forte que celle de Manhattan
est le plus grand projet immobilier jamais réalisé par une Première Nation au Canada
Ça va faire venir le centre-ville de ce côté-ci du pont Burrard
pour qui le projet est unique non seulement en raison de sa taille
mais aussi par le caractère particulier du terrain : une réserve autochtone en plein cœur de la ville
Comme ce terrain appartient entièrement à la Nation Squamish
ce projet n’est pas obligé de suivre le même processus de réglementation publique
explique la chercheuse de l’Université Simon Fraser
C’est ce qui a permis, en un temps record et grâce à un prêt de 1,4 milliard de dollars du gouvernement fédéral
La ville de Vancouver a été érigée sur des terres non cédées qui appartenaient aux Nations Musqueam
Des membres de la Nation Squamish ont vécu dans le village de Sen̓áḵw
quand le gouvernement provincial de l’époque les a forcés à partir
Plusieurs familles ont été évacuées par barge vers d’autres secteurs plus au nord
Après des décennies de bataille devant les tribunaux
la Cour fédérale du Canada a redonné le contrôle d’une parcelle de territoire près du pont Burrard à la Première Nation Squamish en 2003
La communauté voit aujourd’hui ce terrain de 4,7 hectares comme une façon d’assurer sa prospérité
Le projet Sen̓áḵw est né en 2019 à la suite d’un référendum lors duquel 87 % des membres de la Nation Squamish qui l'ont appuyé
À travers la société de développement économique Nch’ḵay̓
il espère voir la Nation Squamish atteindre son indépendance économique tout en s’attaquant à l'importante crise du logement qui sévit au sein de la communauté de quelque 4000 membres dispersés dans 23 villages
De l’ensemble des logements construits
250 seront subventionnés pour être loués à des membres de la nation à très bas prix
les peuples autochtones du Grand Vancouver sont passés de négligés à force incontournable en matière de développement immobilier
On verra bientôt une situation où il ne se fera plus d’aménagement sans partenariat avec une ou plusieurs Premières Nations à Vancouver
C’est devenu une obligation profonde dans la culture et même dans la politique d'urbanisme
L’urbaniste cite deux autres projets d’envergure prévus sur des terres appartenant au gouvernement fédéral et qui visent
à travers un partenariat avec les nations Squamish
à créer de véritables quartiers
On fait le constat que les Premières Nations d’ici existent
ont toujours existé et vont toujours être-là
C’est tout un changement de paradigme auquel on assiste en quelques années
qui a été maire de 2018 à 2022
est l’un de ceux qui se sont rangés derrière la Nation Squamish en négociant une entente de service avec les promoteurs
Il s’agissait du principal obstacle qui aurait pu freiner le projet
la Ville n’ayant aucun autre moyen d’influencer sa planification
car ce projet remplissait mes objectifs de construire plus de logements locatifs et de promouvoir la réconciliation
Des citoyens comme Eve Munro ont toutefois critiqué l'entente
qu'ils disaient avoir été signée derrière des portes closes sans tenir compte de l'incidence sur les quartiers avoisinants
et ils l’ont contestée devant les tribunaux
La juge a néanmoins admis la légitimité de leurs inquiétudes et souligné l’absence de forum pour en faire part à d'autres
les opposants faisaient plutôt preuve de mauvaise foi
car ils refusent toute augmentation de la densité dans leur quartier
– et je cite– le caractère de leur quartier
Le racisme existe; ça ressort lorsque les gens pensent qu’ils ont quelque chose à perdre et qu'ils ne se sentent pas responsables des actions passées de l'État envers ce qui a été officiellement qualifié comme un génocide ici
au Canada.","text":"Des gens nous ont dit qu’on était en train de transformer leur quartier en ghetto
qu’on détruisait– et je cite– le caractère de leur quartier
au Canada."}}\">Des gens nous ont dit qu’on était en train de transformer leur quartier en ghetto
qu’on détruisait – et je cite – le caractère de leur quartier
La cour rejette la contestation d’une association concernant le projet immobilier Sen̓áḵw
Vers le plus gros projet immobilier autochtone à Vancouver
La réalité est plus complexe que cela
pour qui le malaise entourant le passé entre Autochtones et allochtones a réduit des voix discordantes au silence
au détriment de la planification urbaine
J’aurais espéré que la réconciliation n’empêche pas les discussions
mais sont aussi confus sur ce que ça signifie
Est-ce que ça signifie que quand des Premières Nations tentent de développer un projet commercial
d’autres intérêts ne devraient pas être pris en compte
il ne fait toutefois aucun doute qu’il s’agit d’un projet de réconciliation
à travers Nch'ḵay̓ et son partenaire
d’engranger des bénéfices de plus de 20 milliards de dollars
La Nation espère que son approche servira de modèle à d’autres communautés ailleurs au pays
Avec le développement de grands projets immobiliers viennent aussi des promesses d’emplois pour ses membres et des revenus à long terme pour répondre à ses besoins grandissants
On a une crise de la santé publique dans notre communauté
on fait face à de la pauvreté et on a encore des étudiants qui ont des difficultés dans le système scolaire
On doit aussi augmenter nos budgets annuels pour l’éducation postsecondaire
parce que de plus en plus de nos jeunes poursuivent leurs études
qui ajoute : C’est le genre de choses auxquelles nous devons penser pour assurer notre avenir
Notre dossier : Logements pour Autochtones - Vivre à l'étroit
« Nous le méritons » : la Nation Squamish vote pour un mégaprojet immobilier
Établi à Vancouver, Francis Plourde couvre l'actualité de la Colombie-Britannique depuis plus de 15 ans. Journaliste multiplateforme, il est spécialisé dans les affaires publiques et la politique provinciale.
Ouvrir en mode plein écranLe projet, qui, une fois terminé, comportera 11 tours d'habitation, transformera la densité au sud du centre-ville de Vancouver.
Francis PlourdePublié le 31 mars 2024 à 9 h 40 HAEÉcouter l’article | 8 minutesLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale
une technologie basée sur l’intelligence artificielle.À Vancouver
la Nation Squamish est en train de transformer le paysage de la métropole
la Première Nation a l’ambition de devenir le plus influent promoteur immobilier de la région
un secteur résidentiel paisible et recherché aux abords de l’eau
les duplex et les maisons unifamiliales côtoient depuis un peu plus d’un an un immense chantier
là où se trouvait jusqu'à maintenant un terrain boisé
Je savais qu’on allait éventuellement y construire quelque chose
Ouvrir en mode plein écranDes travailleurs s'affairent sur le chantier de construction de Sen̓áḵw
Photo : Autre banques d'images / Justine Beaulieu-Poudrier
l’existence de ce projet monstre visant à héberger jusqu’à 12 000 personnes dans quelque 6000 appartements locatifs
Eve Munro s’est battue pour convaincre la Ville et le promoteur immobilier d’en réduire l’ampleur
Atteignant une densité 13 fois plus grande que celle du centre-ville de Vancouver et 8 fois plus forte que celle de Manhattan
est le plus grand projet immobilier jamais réalisé par une Première Nation au Canada
Lancer l’écoute|12 minÇa va faire venir le centre-ville de ce côté-ci du pont Burrard
mais aussi par le caractère particulier du terrain : une réserve autochtone en plein cœur de la ville
Comme ce terrain appartient entièrement à la Nation Squamish
ce projet n’est pas obligé de suivre le même processus de réglementation publique
explique la chercheuse de l’Université Simon Fraser
Ouvrir en mode plein écranLe porte-parole de la Nation Squamish
en compagnie du premier ministre Justin Trudeau (à droite) en juillet 2022 à Vancouver
lors de la cérémonie de la première pelletée de terre du projet
La ville de Vancouver a été érigée sur des terres non cédées qui appartenaient aux Nations Musqueam
Des membres de la Nation Squamish ont vécu dans le village de Sen̓áḵw
quand le gouvernement provincial de l’époque les a forcés à partir
Plusieurs familles ont été évacuées par barge vers d’autres secteurs plus au nord
Ouvrir en mode plein écranDes membres de la Nation Squamish au tournant du XXe siècle
Ouvrir en mode plein écranPhoto aérienne de la réserve indienne numéro 6
Photo : Autre banques d'images / Francis Plourde
Ouvrir en mode plein écranLes rives de False Creek en 1915
à mesure que la ville de Vancouver prenait de l'expansion
les peuples autochtones ont été repoussés pour faire de la place aux nouveaux arrivants
Ouvrir en mode plein écranDes résidents du village de Senakw lors de leur expulsion par barge
Les habitants ont reçu l'instruction de monter à bord et ont reçu une compensation de l'agent des Indiens
La barge a été remorquée jusqu'à la réserve de Capilano
Des résidents du village de Senakw lors de leur expulsion par barge
Des membres de la Nation Squamish au tournant du XXe siècle
Après des décennies de bataille devant les tribunaux
la Cour fédérale du Canada a redonné le contrôle d’une parcelle de territoire près du pont Burrard à la Première Nation Squamish en 2003
La communauté voit aujourd’hui ce terrain de 4,7 hectares comme une façon d’assurer sa prospérité
Le projet Sen̓áḵw est né en 2019 à la suite d’un référendum lors duquel 87 % des membres de la Nation Squamish qui l'ont appuyé
Ouvrir en mode plein écranLes terrains récupérés et développés par les Squamish à Vancouver sont particulièrement bien situés
À travers la société de développement économique Nch’ḵay̓
il espère voir la Nation Squamish atteindre son indépendance économique tout en s’attaquant à l'importante crise du logement qui sévit au sein de la communauté de quelque 4000 membres dispersés dans 23 villages
250 seront subventionnés pour être loués à des membres de la nation à très bas prix
les peuples autochtones du Grand Vancouver sont passés de négligés à force incontournable en matière de développement immobilier
On verra bientôt une situation où il ne se fera plus d’aménagement sans partenariat avec une ou plusieurs Premières Nations à Vancouver
C’est devenu une obligation profonde dans la culture et même dans la politique d'urbanisme
Ouvrir en mode plein écranL'urbaniste Meg Holden
s'intéresse au rôle des Premières Nations sur les terres fédérales Jericho
L’urbaniste cite deux autres projets d’envergure prévus sur des terres appartenant au gouvernement fédéral et qui visent
à travers un partenariat avec les nations Squamish
On fait le constat que les Premières Nations d’ici existent
ont toujours existé et vont toujours être-là
C’est tout un changement de paradigme auquel on assiste en quelques années
est l’un de ceux qui se sont rangés derrière la Nation Squamish en négociant une entente de service avec les promoteurs
Il s’agissait du principal obstacle qui aurait pu freiner le projet
la Ville n’ayant aucun autre moyen d’influencer sa planification
car ce projet remplissait mes objectifs de construire plus de logements locatifs et de promouvoir la réconciliation
Des citoyens comme Eve Munro ont toutefois critiqué l'entente
qu'ils disaient avoir été signée derrière des portes closes sans tenir compte de l'incidence sur les quartiers avoisinants
et ils l’ont contestée devant les tribunaux
La juge a néanmoins admis la légitimité de leurs inquiétudes et souligné l’absence de forum pour en faire part à d'autres
les opposants faisaient plutôt preuve de mauvaise foi
car ils refusent toute augmentation de la densité dans leur quartier
– et je cite– le caractère de leur quartier
Le racisme existe; ça ressort lorsque les gens pensent qu’ils ont quelque chose à perdre et qu'ils ne se sentent pas responsables des actions passées de l'État envers ce qui a été officiellement qualifié comme un génocide ici
au Canada.","text":"Des gens nous ont dit qu’on était en train de transformer leur quartier en ghetto
qu’on détruisait– et je cite– le caractère de leur quartier
au Canada."}}'>Des gens nous ont dit qu’on était en train de transformer leur quartier en ghetto
qu’on détruisait – et je cite – le caractère de leur quartier
Le racisme existe; ça ressort lorsque les gens pensent qu’ils ont quelque chose à perdre et qu'ils ne se sentent pas responsables des actions passées de l'État envers ce qui a été officiellement qualifié comme un génocide ici
pour qui le malaise entourant le passé entre Autochtones et allochtones a réduit des voix discordantes au silence
J’aurais espéré que la réconciliation n’empêche pas les discussions
mais sont aussi confus sur ce que ça signifie
Est-ce que ça signifie que quand des Premières Nations tentent de développer un projet commercial
d’autres intérêts ne devraient pas être pris en compte
Ouvrir en mode plein écranEve Munro est présidente de l'association des résidents de Kits Point
Après avoir subi un revers en Cour provinciale
les résidents espèrent que leurs craintes en ce qui a trait à la congestion routière et au manque d'infrastructures seront non fondées
il ne fait toutefois aucun doute qu’il s’agit d’un projet de réconciliation
d’engranger des bénéfices de plus de 20 milliards de dollars
La Nation espère que son approche servira de modèle à d’autres communautés ailleurs au pays
Avec le développement de grands projets immobiliers viennent aussi des promesses d’emplois pour ses membres et des revenus à long terme pour répondre à ses besoins grandissants
On a une crise de la santé publique dans notre communauté
on fait face à de la pauvreté et on a encore des étudiants qui ont des difficultés dans le système scolaire
On doit aussi augmenter nos budgets annuels pour l’éducation postsecondaire
parce que de plus en plus de nos jeunes poursuivent leurs études
qui ajoute : C’est le genre de choses auxquelles nous devons penser pour assurer notre avenir
Chargement en coursInfolettre Info nationaleNouvelles
C’est ce qui a permis, en un temps record et grâce à un prêt de 1,4 milliard de dollars du gouvernement fédéral
au Canada."}}\\\">Des gens nous ont dit qu’on était en train de transformer leur quartier en ghetto
La cour rejette la contestation d’une association concernant le projet immobilier Sen̓áḵw
Vers le plus gros projet immobilier autochtone à Vancouver
Notre dossier : Logements pour Autochtones - Vivre à l'étroit
« Nous le méritons » : la Nation Squamish vote pour un mégaprojet immobilier
Francis Plourde couvre l'actualité de la Colombie-Britannique depuis plus de 15 ans
il est spécialisé dans les affaires publiques et la politique provinciale
La nation Squamish émerge en tant que figure de proue dans le secteur immobilier à Vancouver
la communauté autochtone se lance dans la création de véritables quartiers
laissant sa marque dans une ville où sa présence était autrefois discrète
Ce reportage de Francis Plourde explore les promesses et les défis qui accompagnent ces ambitions monumentales
offrant un regard sur une transformation urbaine sans précédent
dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"Tracey Saxby
cofondatrice de l'organisation My Sea to Sky
mène la charge contre l’implantation de l’usine dans la région depuis 2014
elle revenait d’une manifestation pour dénoncer le projet
Ils vont extraire du gaz dans le nord de la province
On crée une nouvelle industrie de combustibles fossiles à un moment où on fait face à une crise climatique
a tenté de freiner le projet d'exportation de gaz naturel liquéfié par des voies légales
avec deux cas qui sont en cours pour limiter les effets du projet sur la faune et sur la flore locales
des résidents partagent le point de vue de la militante
GNL alors qu’on devrait se tourner vers des énergies renouvelables","text":"Je crois que le monde prend une tout autre direction présentement
et c’est un peu étrange pour nous de choisir le GNL alors qu’on devrait se tourner vers des énergies renouvelables"}}\">Je crois que le monde prend une tout autre direction présentement
et c’est un peu étrange pour nous de choisir le GNL alors qu’on devrait se tourner vers des énergies renouvelables
Alyssa Noël s'inquiète pour sa part des effets du camp de travail
C’est alarmant d’envoyer un aussi gros groupe de nouveaux résidents
Il y a des enjeux associés à ces camps
évoquant les risques que ces camps présentent pour la sécurité de femmes autochtones
une préoccupation soulevée par le groupe Justice for Girls
salue pour sa part l’arrivée du projet
c’est toujours bon pour l’économie
Woodfibre LNG a déjà souligné que son projet créera plus de 650 emplois durant sa construction et plus d'une centaine pendant 25 ans
Tracey Saxby croit que l’imposition du projet a probablement poussé des résidents de Squamish à élire un conseil municipal critique de ce dernier en octobre 2022
Alors que le projet semble être en voie de se concrétiser
cherche plus que jamais à limiter les répercussions de l'usine sur la communauté
Ce qui distingue Squamish des autres villes côtières où il y a eu des projets de GNL
c'est que celles-ci souhaitaient ces projets pour leur développement économique
Ça ne fait pas partie des aspirations de la communauté
On s’est retrouvé avec les pièces qui sont tombées entre les craques des processus provinciaux et fédéraux
qui fait observer que trop peu d’attention a été portée aux effets de l’arrivée massive de travailleurs dans la communauté
Le maire redoute notamment les conséquences sur le logement
dont le taux d’inoccupation se situe à 0,4 %
soit bien en deçà du seuil recommandé
Les décisions des ordres de gouvernement provincial et fédéral laissent une marge de manœuvre étroite à la Municipalité de Squamish
que ce dernier n’hésitera toutefois pas à utiliser
Le zonage est le seul outil dont la Ville dispose pour aborder les enjeux de logements
d’afflux démographique et des questions sociales
la question du permis pour le camp de construction
ainsi que celui de l'amarrage du traversier
qui attend sagement sur les rives de Vancouver pour éventuellement être acheminé vers Squamish
le maire tient mordicus à ce que la population soit consultée sur l’émission de ces permis avant de les valider
car il estime qu'elle n’a pas été suffisamment prise en compte aux étapes des évaluations provinciales et fédérales
Interrogé sur les potentielles retombées économiques du projet
boom and bust\\" [croissance-décroissance]
donc les gens viendront durant la construction et repartiront","text":"L’extraction de ressources
fait du \\"boom and bust\\" [croissance-décroissance]
donc les gens viendront durant la construction et repartiront"}}\">L’extraction de ressources
fait du \"boom and bust\" [croissance-décroissance]
donc les gens viendront durant la construction et repartiront
ajoutant que ses aspirations pour la ville sont plutôt récréotouristiques
Alors que le tunnel de 9 km qui transportera le GNL commence à être creusé, Tracey Saxby a bon espoir de voir le vent tourner en faveur des opposants alors que le gouvernement américain a mis sur pause les projets de gaz naturel liquéfié en janvier dernier.
On doit faire la même chose. On demande aux gouvernements d’annuler les permis pour ce projet tant que la construction n’a pas encore été complétée.
Fortis BC, l'entreprise partenaire de Woodfibre LNG dans le projet, défend les efforts qui ont été entrepris pour répondre aux inquiétudes liées au logement. Par voie écrite, Fortis BC précise que le fait de réunir tous les travailleurs dans un camp et un navire prévu à cet effet répond aux attentes des populations locales qui ont été consultées.
En ce qui concerne la sécurité des camps, l’entreprise dit avoir développé un guide de conduite des travailleurs qui précise les attentes par rapport aux employés sur la consommation de drogue, d’alcool ainsi que sur le comportement hors des heures de travail.
L’entreprise souligne aussi que la présence du tunnel sous terre limitera l’impact du pipeline sur la faune et la flore locale de l’estuaire.
Radio-Canada a écrit à Woodfibre LNG, l'entreprise à qui l'on doit l'usine, pour obtenir ses commentaires, sans obtenir de réponse.
Catherine Dib est journaliste, rédactrice et recherchiste depuis plus de sept ans à Radio-Canada. Établie en Colombie-Britannique, elle a travaillé pour des émissions de radio, le téléjournal et des balados à l'échelle nationale et régionale.
Ouvrir en mode plein écranLa construction du terminal de Woodfibre LNG est bel et bien lancée, mais des opposants espèrent toujours freiner sa finalisation ou, à tout le moins, limiter ses répercussions sur la communauté de Squamish.
dans les cartons depuis plus d’une dizaine d'années
la Municipalité de Squamish et des groupes de citoyens espèrent encore limiter les répercussions du projet mastodonte sur leur communauté
cofondatrice de l'organisation My Sea to Sky
mène la charge contre l’implantation de l’usine dans la région depuis 2014
elle revenait d’une manifestation pour dénoncer le projet
On crée une nouvelle industrie de combustibles fossiles à un moment où on fait face à une crise climatique
a tenté de freiner le projet d'exportation de gaz naturel liquéfié par des voies légales
milite depuis 10 ans pour préserver la baie Howe et faire barrière à Woodfibre LNG
Ouvrir en mode plein écranBien que la mobilisation ne semble pas aussi importante qu'au début du projet
comme durant la manifestation de 300 personnes de novembre 2016
Tracey Saxby estime que l'opposition se manifeste autrement
des résidents partagent le point de vue de la militante
GNL alors qu’on devrait se tourner vers des énergies renouvelables","text":"Je crois que le monde prend une tout autre direction présentement
et c’est un peu étrange pour nous de choisir le GNL alors qu’on devrait se tourner vers des énergies renouvelables"}}'>Je crois que le monde prend une tout autre direction présentement
et c’est un peu étrange pour nous de choisir le GNL alors qu’on devrait se tourner vers des énergies renouvelables
Alyssa Noël s'inquiète pour sa part des effets du camp de travail
C’est alarmant d’envoyer un aussi gros groupe de nouveaux résidents
évoquant les risques que ces camps présentent pour la sécurité de femmes autochtones
une préoccupation soulevée par le groupe Justice for Girls
Ouvrir en mode plein écranKayla Mak reconnaît qu'elle ne suit plus les étapes de réalisation du projet pas à pas
mais elle considère qu'il n'est pas en adéquation avec la situation de crise climatique actuelle
Tracey Saxby croit que l’imposition du projet a probablement poussé des résidents de Squamish à élire un conseil municipal critique de ce dernier en octobre 2022
Alors que le projet semble être en voie de se concrétiser
cherche plus que jamais à limiter les répercussions de l'usine sur la communauté
Ouvrir en mode plein écranLe maire de Squamish
souhaite offrir une occasion aux résidents de se prononcer davantage sur le projet par l'intermédiaire de consultations entourant l'émission des permis de zonage
Ce qui distingue Squamish des autres villes côtières où il y a eu des projets de GNL
c'est que celles-ci souhaitaient ces projets pour leur développement économique
Ça ne fait pas partie des aspirations de la communauté
On s’est retrouvé avec les pièces qui sont tombées entre les craques des processus provinciaux et fédéraux
qui fait observer que trop peu d’attention a été portée aux effets de l’arrivée massive de travailleurs dans la communauté
Le maire redoute notamment les conséquences sur le logement
dont le taux d’inoccupation se situe à 0,4 %
Ouvrir en mode plein écranL'hôtel flottant sera utilisé pour loger les centaines de travailleurs de Woodfibre LNG
il attend la délivrance du permis qui lui permettra de s'installer près de Squamish
Photo : La Presse canadienne / Jeff Vinnick/Bridgemans
Les décisions des ordres de gouvernement provincial et fédéral laissent une marge de manœuvre étroite à la Municipalité de Squamish
que ce dernier n’hésitera toutefois pas à utiliser
d’afflux démographique et des questions sociales
qui attend sagement sur les rives de Vancouver pour éventuellement être acheminé vers Squamish
le maire tient mordicus à ce que la population soit consultée sur l’émission de ces permis avant de les valider
car il estime qu'elle n’a pas été suffisamment prise en compte aux étapes des évaluations provinciales et fédérales
le projet de Woodfibre LNG ne concorde pas nécessairement avec le développement de Squamish comme destination récréotouristique
qui se trouve à deux pas du cadre enchanteur de la baie Howe
est de plus en plus prisée par les amoureux du grand air
Interrogé sur les potentielles retombées économiques du projet
donc les gens viendront durant la construction et repartiront","text":"L’extraction de ressources
fait du \"boom and bust\" [croissance-décroissance]
donc les gens viendront durant la construction et repartiront"}}'>L’extraction de ressources
fait du "boom and bust" [croissance-décroissance]
ajoutant que ses aspirations pour la ville sont plutôt récréotouristiques
Ouvrir en mode plein écranTracey Saxby jette un regard plein d'espoir sur l'estuaire du fleuve Squamish
Sa restauration des dernières années a permis le retour de plusieurs espèces
Elle craint que ce projet soit un retour à la case départ
On doit faire la même chose. On demande aux gouvernements d’annuler les permis pour ce projet tant que la construction n’a pas encore été complétée.
Fortis BC, l'entreprise partenaire de Woodfibre LNG dans le projet, défend les efforts qui ont été entrepris pour répondre aux inquiétudes liées au logement. Par voie écrite, Fortis BC précise que le fait de réunir tous les travailleurs dans un camp et un navire prévu à cet effet répond aux attentes des populations locales qui ont été consultées.
En ce qui concerne la sécurité des camps, l’entreprise dit avoir développé un guide de conduite des travailleurs qui précise les attentes par rapport aux employés sur la consommation de drogue, d’alcool ainsi que sur le comportement hors des heures de travail.
L’entreprise souligne aussi que la présence du tunnel sous terre limitera l’impact du pipeline sur la faune et la flore locale de l’estuaire.
Radio-Canada a écrit à Woodfibre LNG, l'entreprise à qui l'on doit l'usine, pour obtenir ses commentaires, sans obtenir de réponse.
et c’est un peu étrange pour nous de choisir le GNL alors qu’on devrait se tourner vers des énergies renouvelables"}}\\\">Je crois que le monde prend une tout autre direction présentement
Woodfibre LNG a déjà souligné que son projet créera plus de 650 emplois durant sa construction et plus d'une centaine pendant 25 ans
boom and bust\\\\" [croissance-décroissance]
fait du \\\\"boom and bust\\\\" [croissance-décroissance]
donc les gens viendront durant la construction et repartiront"}}\\\">L’extraction de ressources
fait du \\\"boom and bust\\\" [croissance-décroissance]
On demande aux gouvernements d’annuler les permis pour ce projet tant que la construction n’a pas encore été complétée
l'entreprise partenaire de Woodfibre LNG dans le projet
défend les efforts qui ont été entrepris pour répondre aux inquiétudes liées au logement
Fortis BC précise que le fait de réunir tous les travailleurs dans un camp et un navire prévu à cet effet répond aux attentes des populations locales qui ont été consultées
En ce qui concerne la sécurité des camps
l’entreprise dit avoir développé un guide de conduite des travailleurs qui précise les attentes par rapport aux employés sur la consommation de drogue
d’alcool ainsi que sur le comportement hors des heures de travail
L’entreprise souligne aussi que la présence du tunnel sous terre limitera l’impact du pipeline sur la faune et la flore locale de l’estuaire
Radio-Canada a écrit à Woodfibre LNG
rédactrice et recherchiste depuis plus de sept ans à Radio-Canada
elle a travaillé pour des émissions de radio
le téléjournal et des balados à l'échelle nationale et régionale
Alors que le tunnel de 9 km qui transportera le GNL commence à être creusé, Tracey Saxby a bon espoir de voir le vent tourner en faveur des opposants alors que le gouvernement américain a mis sur pause les projets de gaz naturel liquéfié en janvier dernier
dans les cartons depuis plus d’une dizaine d'années
la Mecque de l’escaladeLes falaises vertigineuses qui entourent la ville de Squamish
représentent des destinations d'escalade de classe mondiale qui sont prisées des grimpeurs de la région
Une communauté grandissante et solidaire avec laquelle je me suis entretenue à même les parois de granite
Gravir le « Chef »À une heure de route de Vancouver
aux abords de Squamish se trouve l'un des plus grands monolithes de granite du monde
Notre excursion débute au pied de la paroi rocheuse de 700 m du mont Stawamus Chief
communément appelé Chief (chef en français)
qui attire des grimpeurs venant des quatre coins du monde
La falaise est d’une hauteur impressionnante
mais ce n’est pas ce qui en fait sa renommée
C’est plutôt rare dans le monde d’avoir cette forme d'accès à une grande falaise comme ça
de haute qualité","text":"On peut y aller en flip-flops [sandales de plage]
de haute qualité"}}'>On peut y aller en flip-flops [sandales de plage]
C’est plutôt rare dans le monde d’avoir cette forme d'accès à une grande falaise comme ça
Paul McSorley est un professionnel de l’escalade dite traditionnelle
c'est-à-dire celle où seules des protections amovibles sont utilisées pour s’assurer
il profite régulièrement des quelque 400 voies établies sur le mont Chief
Pour découvrir ces populaires fentes naturelles
je me suis donc munie d'un harnais et adjoint l’aide d’un guide afin de descendre en rappel une paroi de 45 m
cette voie d'escalade sur le mont Malamute surplombe les eaux turquoise de la baie Howe
Pour les deux grimpeurs professionnels qui m’accompagnent
c’est ma dose d'adrénaline pour la semaine
J’observe les deux grimpeurs glisser leurs mains et leurs pieds à l’intérieur des brèches qui découpent la roche pour remonter la falaise
« J'ai fait de l'escalade dans le monde entier
mais je pense que Squamish possède le meilleur granite de la planète
qui est grimpeur professionnel et l’acolyte de Paul McSorley
ajoute tout de même avec un sourire que son opinion est peut-être bien un peu partiale
étant donné qu’il grimpe sur les parois de la région depuis qu’il a 9 ans
est expliquée par Paul McSorley comme une forme de communion avec la roche
un moment unique dans la montée où on se perd et on oublie tout
Un autre type d’escalade pratiqué par nos deux grimpeurs est le solo intégral
c'est-à-dire sans corde pour les retenir si une chute survient
L’activité demande donc une concentration de tous les instants
comme l’explique le professionnel : C'est un peu comme du yoga
« Ce n'est pas un sport pour chercher de l'adrénaline
C'est une activité où il faut être sage et avoir une bonne connaissance de soi
Les accidents peuvent arriver; la roche peut céder
Will Stanhope me montre du doigt un morceau de la paroi qui s'est détaché quelques jours seulement avant notre tournage
L’escaladeur était lui-même sur ce pan de la falaise récemment
la réputation dangereuse du sport vient principalement de certains films d’escalade qu’il qualifie de stupides
Beaucoup d’entre eux sont morts lors d’avalanches
et certains lors de chutes sur des falaises
Des pertes qui ont affecté leur vision de la vie
les beaux endroits que l'on peut visiter..
C’est repousser ses limites personnelles et se remettre en question
qui est l’une des deux athlètes canadiennes qualifiées pour ce sport aux Jeux olympiques de Tokyo
l’escalade est plus qu’un simple sport; c’est un style de vie
L’esprit de solidarité est ce qui lui plaît le plus dans cette discipline
vous contre la roche; ce n'est pas vous contre quelqu'un d'autre
C'est donc une communauté qui offre un soutien incroyable
qu’Alannah Yip a grimpé pour la toute première fois
Alannah Yip n’est pas la seule à être tombée amoureuse de ce sport
le nombre de grimpeurs a augmenté rapidement
Certaines voies sur le Chief sont tellement populaires qu’il faut parfois attendre plusieurs heures avant de pouvoir grimper
Les deux athlètes en appellent à de meilleures infrastructures pour accueillir le nombre croissant de personnes qui veulent grimper à l'extérieur
Les compétitions et les séances d'entraînement pour les athlètes se passent sur les murs intérieurs du Richmond Olympic Oval
Alannah Yip continue toutefois de pratiquer l’escalade extérieure
car c’est un moyen important pour elle de se détendre
Il n'y a pas de pression comme pour les compétitions d'escalade en salle
c'est juste un moyen de me connecter à la nature et de me ressourcer
Une fois passée l'excitation de me retrouver dans les airs
je comprends ces grimpeurs : la vue est époustouflante et le calme s'installe en moi
les montagnes de la région invitent à l’escalade
Que ce soit pour l’exploration ou pour la compétition
mais je suis déjà impatiente d’y retourner
un incendie monstre ravage le tiers de la ville de Rimouski..
Le pape François a été emmené vers son ultime lieu de repos à travers les rues …
les nombreux photographes croquent parfois des portraits inusités …
À l’occasion du centenaire du Cercle Molière
Elle permet de stabiliser les prix et d’assurer un approvisionnement constant …
La flotte ne serait pas prête pour un conflit majeur
comme bien d'autres zones marines dans le monde
Découverte se penche sur l'appétit énergétique de cette industrie en rapide …
Le niveau de violence a monté d’un cran au centre de détention de Québec
Le pape François a été emmené vers son ultime lieu de repos à travers les rues de Rome
les nombreux photographes croquent parfois des portraits inusités des chefs
est le gardien d’une tradition de plus en plus rare
Elle permet de stabiliser les prix et d’assurer un approvisionnement constant au monde entier
comme bien d'autres zones marines dans le monde
Découverte se penche sur l'appétit énergétique de cette industrie en rapide croissance
Les falaises vertigineuses qui entourent la ville de Squamish
représentent des destinations d'escalade de classe mondiale qui sont prisées des grimpeurs de la région
Notre excursion débute au pied de la paroi rocheuse de 700 m du mont Stawamus Chief
communément appelé Chief (chef en français)
La falaise est d’une hauteur impressionnante
mais ce n’est pas ce qui en fait sa renommée
C’est plutôt rare dans le monde d’avoir cette forme d'accès à une grande falaise comme ça
de haute qualité","text":"On peut y aller en flip-flops [sandales de plage]
de haute qualité"}}\">On peut y aller en flip-flops [sandales de plage]
C’est plutôt rare dans le monde d’avoir cette forme d'accès à une grande falaise comme ça
Paul McSorley est un professionnel de l’escalade dite traditionnelle
c'est-à-dire celle où seules des protections amovibles sont utilisées pour s’assurer
il profite régulièrement des quelque 400 voies établies sur le mont Chief
Pour découvrir ces populaires fentes naturelles
je me suis donc munie d'un harnais et adjoint l’aide d’un guide afin de descendre en rappel une paroi de 45 m
Pour les deux grimpeurs professionnels qui m’accompagnent
c’est une petite excursion très facile
c’est ma dose d'adrénaline pour la semaine
J’observe les deux grimpeurs glisser leurs mains et leurs pieds à l’intérieur des brèches qui découpent la roche pour remonter la falaise
J'ai fait de l'escalade dans le monde entier
mais je pense que Squamish possède le meilleur granite de la planète
qui est grimpeur professionnel et l’acolyte de Paul McSorley
ajoute tout de même avec un sourire que son opinion est peut-être bien un peu partiale
étant donné qu’il grimpe sur les parois de la région depuis qu’il a 9 ans
est expliquée par Paul McSorley comme une forme de communion avec la roche
un moment unique dans la montée où on se perd et on oublie tout
Un autre type d’escalade pratiqué par nos deux grimpeurs est le solo intégral
c'est-à-dire sans corde pour les retenir si une chute survient
: tu es mort!","text":"Si tu tombes
ça y est: tu es mort!"}}\">Si tu tombes
L’activité demande donc une concentration de tous les instants
Il s’agit d’un sport méditatif
comme l’explique le professionnel : C'est un peu comme du yoga
Ce n'est pas un sport pour chercher de l'adrénaline
C'est une activité où il faut être sage et avoir une bonne connaissance de soi
Les accidents peuvent arriver; la roche peut céder
Will Stanhope me montre du doigt un morceau de la paroi qui s'est détaché quelques jours seulement avant notre tournage
L’escaladeur était lui-même sur ce pan de la falaise récemment
la réputation dangereuse du sport vient principalement de certains films d’escalade qu’il qualifie de stupides
Beaucoup d’entre eux sont morts lors d’avalanches
Des pertes qui ont affecté leur vision de la vie
c'est la vie pour moi; c'est l'amitié
C’est repousser ses limites personnelles et se remettre en question
qui est l’une des deux athlètes canadiennes qualifiées pour ce sport aux Jeux olympiques de Tokyo
l’escalade est plus qu’un simple sport; c’est un style de vie
L’esprit de solidarité est ce qui lui plaît le plus dans cette discipline
C'est donc une communauté qui offre un soutien incroyable
C’est à l'âge de 6 ans
qu’Alannah Yip a grimpé pour la toute première fois
Je l'ai observé faire des compétitions
grimper et réussir sur la scène mondiale
Alannah Yip n’est pas la seule à être tombée amoureuse de ce sport
Depuis les 10 dernières années
le nombre de grimpeurs a augmenté rapidement
Certaines voies sur le Chief sont tellement populaires qu’il faut parfois attendre plusieurs heures avant de pouvoir grimper
Les deux athlètes en appellent à de meilleures infrastructures pour accueillir le nombre croissant de personnes qui veulent grimper à l'extérieur
Les compétitions et les séances d'entraînement pour les athlètes se passent sur les murs intérieurs du Richmond Olympic Oval
Alannah Yip continue toutefois de pratiquer l’escalade extérieure
car c’est un moyen important pour elle de se détendre
Il n'y a pas de pression comme pour les compétitions d'escalade en salle
c'est juste un moyen de me connecter à la nature et de me ressourcer
Une fois passée l'excitation de me retrouver dans les airs
je comprends ces grimpeurs : la vue est époustouflante et le calme s'installe en moi
les montagnes de la région invitent à l’escalade
Que ce soit pour l’exploration ou pour la compétition
cette activité sait unir les grimpeurs
L’aventure est à peine terminée
mais je suis déjà impatiente d’y retourner
Selon Wilson Williams, porte-parole de la Première Nation Squamish, il s'agit d'un nom que la communauté utilise depuis des siècles : Il existe une histoire très profonde avec notre peuple.
Le mont Garibaldi a été nommé par un capitaine de navire britannique dans les années 1860 en l’honneur du général italien Giuseppe Garibaldi, qui a joué un rôle clé dans l'unification de l'Italie.
Le Bureau des noms géographiques de la Colombie-Britannique répertorie 12 lieux commémorant le général italien, dont la ville de Garibaldi, le lac Garibaldi et Garibaldi Creek.
Il est peu probable que Garibaldi ait visité la Colombie-Britannique, indique une lettre Trent Thomas, toponymiste du Bureau des noms géographiques adressée au maire et au conseil du district régional de Squamish.
En Colombie-Britannique, le Bureau des noms géographiques nomme les lieux et gère les noms de lieux officiels de la province.
Sous la Direction générale du patrimoine, le Bureau des noms géographiques tient à jour la liste des noms officiels passés et présents de la Colombie-Britannique, et gère les changements de noms.
Avant 1980, ces décisions étaient prises au niveau fédéral.
Source : Bureau des noms géographiques de la Colombie-Britannique
Le mont Garibaldi est situé à l’intérieur du parc provincial du même nom, entre les villes de Squamish et de Whistler, du côté est de la rivière Cheakamus.
Pour le peuple Squamish, cette montagne est sacrée. Cela commence par l'une de nos grandes légendes selon laquelle notre peuple a survécu à une grande inondation, il y a longtemps, raconte Wilson Williams.
L’histoire orale du peuple Squamish indique que pendant cette inondation, les eaux sont montées à un point tel que seuls cette montagne et quelques autres sommets plus hauts sont restés au-dessus de l'eau.
Notre peuple est allé au sommet de Nch'ḵay̓ et y a attaché nos canots à l'aide de cordes de cèdre. [...] C'est l'une des nombreuses montagnes de la région qui a aidé à préserver et à sauver [notre peuple].
Le lieu est également important pour les cérémonies, la navigation et la cueillette de nourriture, entre autres, du peuple Squamish.
Sea to Sky, c'est un rappel de ce que [le mont] représente pour notre peuple","text":"Chaque fois que les gens regardent à l’extérieur ou prennent la route Sea to Sky, c'est un rappel de ce que [le mont] représente pour notre peuple"}}\">Chaque fois que les gens regardent à l’extérieur ou prennent la route Sea to Sky, c'est un rappel de ce que [le mont] représente pour notre peuple, indique Wilson Williams.
Le Bureau des noms géographiques attend les commentaires du district régional de Squamish avant le 31 décembre.
De son côté, le conseil du district régional se rassemble mardi soir pour discuter du changement de nom.
Avec les informations de Dominique Lévesque
Jennifer Magher est journaliste à Vancouver. Elle est arrivée en Colombie-Britannique en 2023 après une carrière en ingénierie. Elle s'intéresse particulièrement aux sujets scientifiques et aux données.
Ouvrir en mode plein écranLe mont Garibaldi, que la Première Nation Squamish souhaite renommer Nch’ḵay̓, est à environ 30 km de Squamish et Whistler.
Jennifer MagherPublié le 3 octobre 2023 à 16 h 58 HAEPrenez note que cet article publié en 2023 pourrait contenir des informations qui ne sont plus à jour.
La Première Nation de Squamish a déposé une demande auprès du Bureau des noms géographiques de la Colombie-Britannique afin que le nom du mont Garibaldi soit changé pour Nch'ḵay̓ de manière à mieux refléter l’héritage autochtone du lieu.
Signifiant endroit sale en langue Sḵwx̱wú7mesh sníchim, le nom est tiré de le couleur boueuse qui caractérise la rivière Cheakamus, située tout près du mont, en raison des débris volcaniques qui colorent l'eau et le paysage.
Selon Wilson Williams, porte-parole de la Première Nation Squamish, il s'agit d'un nom que la communauté utilise depuis des siècles : Il existe une histoire très profonde avec notre peuple.
Le mont Garibaldi a été nommé par un capitaine de navire britannique dans les années 1860 en l’honneur du général italien Giuseppe Garibaldi, qui a joué un rôle clé dans l'unification de l'Italie.
Le Bureau des noms géographiques de la Colombie-Britannique répertorie 12 lieux commémorant le général italien, dont la ville de Garibaldi, le lac Garibaldi et Garibaldi Creek.
Il est peu probable que Garibaldi ait visité la Colombie-Britannique, indique une lettre Trent Thomas, toponymiste du Bureau des noms géographiques adressée au maire et au conseil du district régional de Squamish.
Ouvrir en mode plein écranLe général italien Giuseppe Garibaldi.
En Colombie-Britannique, le Bureau des noms géographiques nomme les lieux et gère les noms de lieux officiels de la province.
Sous la Direction générale du patrimoine, le Bureau des noms géographiques tient à jour la liste des noms officiels passés et présents de la Colombie-Britannique, et gère les changements de noms.
Avant 1980, ces décisions étaient prises au niveau fédéral.
Source : Bureau des noms géographiques de la Colombie-Britannique
Le mont Garibaldi est situé à l’intérieur du parc provincial du même nom, entre les villes de Squamish et de Whistler, du côté est de la rivière Cheakamus.
Pour le peuple Squamish, cette montagne est sacrée. Cela commence par l'une de nos grandes légendes selon laquelle notre peuple a survécu à une grande inondation, il y a longtemps, raconte Wilson Williams.
L’histoire orale du peuple Squamish indique que pendant cette inondation, les eaux sont montées à un point tel que seuls cette montagne et quelques autres sommets plus hauts sont restés au-dessus de l'eau.
Notre peuple est allé au sommet de Nch'ḵay̓ et y a attaché nos canots à l'aide de cordes de cèdre. [...] C'est l'une des nombreuses montagnes de la région qui a aidé à préserver et à sauver [notre peuple].
Le lieu est également important pour les cérémonies, la navigation et la cueillette de nourriture, entre autres, du peuple Squamish.
Ouvrir en mode plein écranPlusieurs endroits en Colombie-Britannique portent le nom Garibaldi, dont un parc provincial, une municipalité et un lac.
Sea to Sky, c'est un rappel de ce que [le mont] représente pour notre peuple","text":"Chaque fois que les gens regardent à l’extérieur ou prennent la route Sea to Sky, c'est un rappel de ce que [le mont] représente pour notre peuple"}}'>Chaque fois que les gens regardent à l’extérieur ou prennent la route Sea to Sky, c'est un rappel de ce que [le mont] représente pour notre peuple, indique Wilson Williams.
Le Bureau des noms géographiques attend les commentaires du district régional de Squamish avant le 31 décembre.
De son côté, le conseil du district régional se rassemble mardi soir pour discuter du changement de nom.
Avec les informations de Dominique Lévesque
Signifiant endroit sale en langue Sḵwx̱wú7mesh sníchim
le nom est tiré de le couleur boueuse qui caractérise la rivière Cheakamus
en raison des débris volcaniques qui colorent l'eau et le paysage
porte-parole de la Première Nation Squamish
il s'agit d'un nom que la communauté utilise depuis des siècles : Il existe une histoire très profonde avec notre peuple
Le mont Garibaldi a été nommé par un capitaine de navire britannique dans les années 1860 en l’honneur du général italien Giuseppe Garibaldi
qui a joué un rôle clé dans l'unification de l'Italie
Le Bureau des noms géographiques de la Colombie-Britannique répertorie 12 lieux commémorant le général italien
Il est peu probable que Garibaldi ait visité la Colombie-Britannique
toponymiste du Bureau des noms géographiques adressée au maire et au conseil du district régional de Squamish
le Bureau des noms géographiques nomme les lieux et gère les noms de lieux officiels de la province
Sous la Direction générale du patrimoine
le Bureau des noms géographiques tient à jour la liste des noms officiels passés et présents de la Colombie-Britannique
ces décisions étaient prises au niveau fédéral
Le mont Garibaldi est situé à l’intérieur du parc provincial du même nom
entre les villes de Squamish et de Whistler
du côté est de la rivière Cheakamus
Cela commence par l'une de nos grandes légendes selon laquelle notre peuple a survécu à une grande inondation
L’histoire orale du peuple Squamish indique que pendant cette inondation
les eaux sont montées à un point tel que seuls cette montagne et quelques autres sommets plus hauts sont restés au-dessus de l'eau
Notre peuple est allé au sommet de Nch'ḵay̓ et y a attaché nos canots à l'aide de cordes de cèdre
[...] C'est l'une des nombreuses montagnes de la région qui a aidé à préserver et à sauver [notre peuple]
Le lieu est également important pour les cérémonies
la navigation et la cueillette de nourriture
c'est un rappel de ce que [le mont] représente pour notre peuple","text":"Chaque fois que les gens regardent à l’extérieur ou prennent la route Sea to Sky
c'est un rappel de ce que [le mont] représente pour notre peuple"}}\\\">Chaque fois que les gens regardent à l’extérieur ou prennent la route Sea to Sky
c'est un rappel de ce que [le mont] représente pour notre peuple
Le Bureau des noms géographiques attend les commentaires du district régional de Squamish avant le 31 décembre
le conseil du district régional se rassemble mardi soir pour discuter du changement de nom
Jennifer Magher est journaliste à Vancouver
Elle est arrivée en Colombie-Britannique en 2023 après une carrière en ingénierie
Elle s'intéresse particulièrement aux sujets scientifiques et aux données
c'est un rappel de ce que [le mont] représente pour notre peuple"}}\">Chaque fois que les gens regardent à l’extérieur ou prennent la route Sea to Sky
La Première Nation de Squamish a déposé une demande auprès du Bureau des noms géographiques de la Colombie-Britannique afin que le nom du mont Garibaldi soit changé pour Nch'ḵay̓ de manière à mieux refléter l’héritage autochtone du lieu
Je me sentais en sécurité, aimée et détendue. Ces souvenirs sont vraiment très importants pour moi. Au début de la vingtaine, j'ai travaillé comme guide de plein air et je me suis rendu compte que j’avais vraiment envie de passer du temps sur la terre et à l'extérieur, se souvient-elle.
Aujourd’hui, Leigh Joseph détient un doctorat en ethnobotanique de l’Université de Victoria. Et ce qui l’a guidée pour écrire ce livre, c’est sa volonté de partager les connaissances sur les plantes, mais d’un point de vue squamish.
Son livre illustré présente ainsi une série de plantes et d’arbres qui sont source de guérison et de nourriture pour les Autochtones de la côte ouest. Chacune de ces plantes est illustrée délicatement au fil des pages et s’accompagne de conseils pour construire sa propre collection apothicaire.
Ça va bien au-delà de la simple utilisation des plantes, explique-t-elle en entrevue.
C’était très important de travailler avec ma communauté, ses mentors et ses enseignants afin de vraiment comprendre la dimension culturelle de ce que signifie être en relation avec la terre et les plantes.
Held by the land (en anglais seulement) est aussi une manière pour cette mère de famille et entrepreneure de rendre hommage à sa famille qui, marquée par le traumatisme des pensionnats pour Autochtones, a passé l’essentiel de sa vie à guérir, plutôt qu'à transmettre aux générations suivantes.
On y retrouve aussi des notes sur la façon de récolter en toute conscience et de se connecter à la terre, des recettes d'huiles infusées et de pommades et un glossaire botanique. L’ouvrage vient avec un jeu de 45 cartes présentant les plantes autochtones et leurs propriétés.
Dans un sac à dos, un panier, ou dans la cuisine, Leigh Joseph rêve que son livre devienne un accompagnateur pour tous les amoureux de la nature.
Pourtant, donner accès à ces secrets à tout le monde comporte des risques. Comment s’assurer que certaines personnes malintentionnées n’en abusent pas et ne se lancent pas dans une cueillette frénétique?
Leigh Joseph y a pensé, bien sûr.
Il est important de garder ça à l'esprit. On a une responsabilité lorsqu’on publie des livres. Je me suis demandé ce que j’allais partager, ce que je n’allais pas dire. Ces questions ont fait partie de tout le processus, détaille-t-elle, indiquant qu’elle a eu ces discussions avec d'autres détenteurs de connaissances autochtones sur les informations à partager et la manière de les partager.
L’autrice rappelle aussi qu’au début du livre, beaucoup d'informations sont données sur la façon de ne pas exercer de pression sur les plantes sauvages, sur la manière de cultiver ces plantes soi-même, pour éviter de déposséder le territoire de cette richesse.
Ainsi, si le livre est bien sûr dédié aux membres de sa communauté pour les aider à se reconnecter aux plantes et au territoire, Leigh Joseph espère aussi intéresser les non-Autochtones pour les guider vers une relation respectueuse avec les plantes.
Sagittaire latifolié, cèdre rouge, épicéa, bois piquant, ou encore grand plantain… Un nombre impressionnant d’espèces sont répertoriées.
Le nom de chaque plante figure aussi en langue squamish dans le livre. Leigh Joseph y tenait, car elle sait que les langues autochtones sont grandement en danger en ce moment.
Ne parlant pas le squamish, elle a consulté sa sœur et d’autres membres de la communauté qui, eux, ont des connaissances dans le domaine. Ils l’ont ainsi aidée à traduire le nom des plantes, mais aussi à indiquer la prononciation de la version squamish.
L’autrice évoque aussi dans son livre l’impact du colonialisme sur les connaissances botaniques des Premières Nations. Nous avons perdu notre accès au territoire avec la colonisation et l’accès à ces plantes qui faisaient partie de notre pharmacopée, dit-elle.
Leigh Joseph s'est déplacée dans le cadre de ses études et de la publication de ce livre, y compris au Jardin botanique de Montréal. Ce processus l'amène à vouloir rester humble.
Je peux apporter les compétences que je possède, sans pour autant me contenter de dire que j'ai la bonne méthode ou que ce qui fonctionne chez les Squamish fonctionnera dans une autre communauté. Je pense qu’il faut avoir cette humilité et cette ouverture à l'apprentissage, explique l’autrice.
Journaliste spécialisée pour Espaces autochtones. Delphine Jung a travaillé dans plusieurs quotidiens français avant d'arriver au Québec. Elle est journaliste à Radio-Canada depuis 2018.
Ouvrir en mode plein écranLeigh Joseph est passionnée par la botanique depuis son plus jeune âge.
Enfant, Leigh Joseph passait des heures à cueillir des herbes et des plantes dans le jardin de son grand-oncle et sa grand-tante. Un lien unique et fort s’est alors créé entre elle et la terre.
Je me sentais en sécurité, aimée et détendue. Ces souvenirs sont vraiment très importants pour moi. Au début de la vingtaine, j'ai travaillé comme guide de plein air et je me suis rendu compte que j’avais vraiment envie de passer du temps sur la terre et à l'extérieur, se souvient-elle.
Aujourd’hui, Leigh Joseph détient un doctorat en ethnobotanique de l’Université de Victoria. Et ce qui l’a guidée pour écrire ce livre, c’est sa volonté de partager les connaissances sur les plantes, mais d’un point de vue squamish.
Ouvrir en mode plein écranLe nom de chaque plante est indiqué en anglais, mais aussi en squamish.
Son livre illustré présente ainsi une série de plantes et d’arbres qui sont source de guérison et de nourriture pour les Autochtones de la côte ouest. Chacune de ces plantes est illustrée délicatement au fil des pages et s’accompagne de conseils pour construire sa propre collection apothicaire.
Ça va bien au-delà de la simple utilisation des plantes, explique-t-elle en entrevue.
C’était très important de travailler avec ma communauté, ses mentors et ses enseignants afin de vraiment comprendre la dimension culturelle de ce que signifie être en relation avec la terre et les plantes.
Held by the land (en anglais seulement) est aussi une manière pour cette mère de famille et entrepreneure de rendre hommage à sa famille qui, marquée par le traumatisme des pensionnats pour Autochtones, a passé l’essentiel de sa vie à guérir, plutôt qu'à transmettre aux générations suivantes.
Ouvrir en mode plein écranL'épicéa est l'un des arbres qui figurent dans le livre de Leigh Joseph. (Photo d'archives)
On y retrouve aussi des notes sur la façon de récolter en toute conscience et de se connecter à la terre, des recettes d'huiles infusées et de pommades et un glossaire botanique. L’ouvrage vient avec un jeu de 45 cartes présentant les plantes autochtones et leurs propriétés.
Dans un sac à dos, un panier, ou dans la cuisine, Leigh Joseph rêve que son livre devienne un accompagnateur pour tous les amoureux de la nature.
Pourtant, donner accès à ces secrets à tout le monde comporte des risques. Comment s’assurer que certaines personnes malintentionnées n’en abusent pas et ne se lancent pas dans une cueillette frénétique?
Il est important de garder ça à l'esprit. On a une responsabilité lorsqu’on publie des livres. Je me suis demandé ce que j’allais partager, ce que je n’allais pas dire. Ces questions ont fait partie de tout le processus, détaille-t-elle, indiquant qu’elle a eu ces discussions avec d'autres détenteurs de connaissances autochtones sur les informations à partager et la manière de les partager.
Ouvrir en mode plein écranLes airelles poussent dans plusieurs régions nordiques. (Photo d'archives)
L’autrice rappelle aussi qu’au début du livre, beaucoup d'informations sont données sur la façon de ne pas exercer de pression sur les plantes sauvages, sur la manière de cultiver ces plantes soi-même, pour éviter de déposséder le territoire de cette richesse.
Ainsi, si le livre est bien sûr dédié aux membres de sa communauté pour les aider à se reconnecter aux plantes et au territoire, Leigh Joseph espère aussi intéresser les non-Autochtones pour les guider vers une relation respectueuse avec les plantes.
Sagittaire latifolié, cèdre rouge, épicéa, bois piquant, ou encore grand plantain… Un nombre impressionnant d’espèces sont répertoriées.
Ne parlant pas le squamish, elle a consulté sa sœur et d’autres membres de la communauté qui, eux, ont des connaissances dans le domaine. Ils l’ont ainsi aidée à traduire le nom des plantes, mais aussi à indiquer la prononciation de la version squamish.
Ouvrir en mode plein écranUn cèdre rouge de l'ouest dans la région de Revelstoke au sud-est de la Colombie-Britannique. (Photo d'archives)
L’autrice évoque aussi dans son livre l’impact du colonialisme sur les connaissances botaniques des Premières Nations. Nous avons perdu notre accès au territoire avec la colonisation et l’accès à ces plantes qui faisaient partie de notre pharmacopée, dit-elle.
Leigh Joseph s'est déplacée dans le cadre de ses études et de la publication de ce livre, y compris au Jardin botanique de Montréal. Ce processus l'amène à vouloir rester humble.
Je peux apporter les compétences que je possède, sans pour autant me contenter de dire que j'ai la bonne méthode ou que ce qui fonctionne chez les Squamish fonctionnera dans une autre communauté. Je pense qu’il faut avoir cette humilité et cette ouverture à l'apprentissage, explique l’autrice.
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Leigh Joseph passait des heures à cueillir des herbes et des plantes dans le jardin de son grand-oncle et sa grand-tante
Un lien unique et fort s’est alors créé entre elle et la terre
Ces souvenirs sont vraiment très importants pour moi
j'ai travaillé comme guide de plein air et je me suis rendu compte que j’avais vraiment envie de passer du temps sur la terre et à l'extérieur
Leigh Joseph détient un doctorat en ethnobotanique de l’Université de Victoria
Et ce qui l’a guidée pour écrire ce livre
c’est sa volonté de partager les connaissances sur les plantes
Son livre illustré présente ainsi une série de plantes et d’arbres qui sont source de guérison et de nourriture pour les Autochtones de la côte ouest
Chacune de ces plantes est illustrée délicatement au fil des pages et s’accompagne de conseils pour construire sa propre collection apothicaire
Ça va bien au-delà de la simple utilisation des plantes
C’était très important de travailler avec ma communauté
ses mentors et ses enseignants afin de vraiment comprendre la dimension culturelle de ce que signifie être en relation avec la terre et les plantes
Held by the land (en anglais seulement) est aussi une manière pour cette mère de famille et entrepreneure de rendre hommage à sa famille qui
marquée par le traumatisme des pensionnats pour Autochtones
a passé l’essentiel de sa vie à guérir
plutôt qu'à transmettre aux générations suivantes
On y retrouve aussi des notes sur la façon de récolter en toute conscience et de se connecter à la terre
des recettes d'huiles infusées et de pommades et un glossaire botanique
L’ouvrage vient avec un jeu de 45 cartes présentant les plantes autochtones et leurs propriétés
Leigh Joseph rêve que son livre devienne un accompagnateur pour tous les amoureux de la nature
donner accès à ces secrets à tout le monde comporte des risques
Comment s’assurer que certaines personnes malintentionnées n’en abusent pas et ne se lancent pas dans une cueillette frénétique
Il est important de garder ça à l'esprit
On a une responsabilité lorsqu’on publie des livres
Je me suis demandé ce que j’allais partager
Ces questions ont fait partie de tout le processus
indiquant qu’elle a eu ces discussions avec d'autres détenteurs de connaissances autochtones sur les informations à partager et la manière de les partager
L’autrice rappelle aussi qu’au début du livre
beaucoup d'informations sont données sur la façon de ne pas exercer de pression sur les plantes sauvages
sur la manière de cultiver ces plantes soi-même
pour éviter de déposséder le territoire de cette richesse
si le livre est bien sûr dédié aux membres de sa communauté pour les aider à se reconnecter aux plantes et au territoire
Leigh Joseph espère aussi intéresser les non-Autochtones pour les guider vers une relation respectueuse avec les plantes
ou encore grand plantain… Un nombre impressionnant d’espèces sont répertoriées
Le nom de chaque plante figure aussi en langue squamish dans le livre
car elle sait que les langues autochtones sont grandement en danger en ce moment
elle a consulté sa sœur et d’autres membres de la communauté qui
Ils l’ont ainsi aidée à traduire le nom des plantes
mais aussi à indiquer la prononciation de la version squamish
L’autrice évoque aussi dans son livre l’impact du colonialisme sur les connaissances botaniques des Premières Nations
Nous avons perdu notre accès au territoire avec la colonisation et l’accès à ces plantes qui faisaient partie de notre pharmacopée
Leigh Joseph s'est déplacée dans le cadre de ses études et de la publication de ce livre
y compris au Jardin botanique de Montréal
Ce processus l'amène à vouloir rester humble
Je peux apporter les compétences que je possède
sans pour autant me contenter de dire que j'ai la bonne méthode ou que ce qui fonctionne chez les Squamish fonctionnera dans une autre communauté
Je pense qu’il faut avoir cette humilité et cette ouverture à l'apprentissage
Journaliste spécialisée pour Espaces autochtones
Delphine Jung a travaillé dans plusieurs quotidiens français avant d'arriver au Québec
Elle est journaliste à Radio-Canada depuis 2018
découverte du lien spirituel entre les Premières Nations et la terre… Leigh Joseph
ethnobotaniste et membre de la nation Squamish
publie un guide sur les plantes autochtones qui ont une importance culturelle sur la côte pacifique
Un plongeon presque poétique dans le monde végétal de cette nation de l’ouest du pays
dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"« La journée de la fusion est un jour très important pour Sḵwx̱wú7mesh úxwumixw
c’est-à-dire la communauté de notre Nation Squamish »
conseiller élu et porte-parole de la Nation Squamish
ce moment où le gouvernement est arrivé et a pris des terres et des ressources à notre peuple
La fusion a permis une stabilité et un espoir
Cette unité a réellement protégé notre culture
je suis certain que beaucoup de familles auraient probablement disparu
plus de 40 chefs et délégués squamish se sont réunis au bureau du ministère des Affaires indiennes
tels que l’arrière-grand-père de Sxwíxwtn (Wilson Williams)
mais n'avaient pas le droit de pratiquer le droit
les chefs et les délégués ont réussi à faire reconnaître par le gouvernement fédéral leur fusion
et l'entité politique qu'est la Nation Squamish
J'ai grandi en entendant des histoires sur la fusion par mon arrière-grand-père
directeur de la réconciliation et des initiatives autochtones à l’Université Simon Fraser
Je regarde toujours [la Nation] Squamish comme un exemple de la façon dont vous pouvez reconstruire votre nation
Il explique que les plans étaient en discussion pendant une décennie
la police avait expulsé des résidents squamish de Sen̓áḵw
et avait brûlé leurs habitations
Les politiques gouvernementales de l'époque continuaient de réduire les terres des réserves pour de nombreuses communautés autochtones
Les dirigeants squamish avaient écrit une lettre à Duncan Campbell Scott
surintendant adjoint du ministère des Affaires indiennes
lui demandant de reconnaître leur fusion
Syeta'xtn (Chris Lewis) explique que certains signataires ont passé le message à d’autres Premières Nations sur la nécessité d'unir leurs forces contre les politiques de la Couronne
Son arrière-grand-père a participé à la signature de 1923 et a ensuite dirigé des alliances politiques pour protéger les droits des Autochtones pendant des décennies
Beaucoup de dirigeants d'autres nations de la Colombie-Britannique et du Canada l'invitaient à aider leurs nations à protéger leurs droits et leurs titres et à se maintenir en tant que peuples
précise Sxwíxwtn (Wilson Williams)
Ce n'était pas seulement pour la fusion
mais pour protéger les droits et les titres des peuples autochtones
la Nation Squamish est composée de 23 villages
La Première Nation prévoit de souligner la journée de la fusion par un mois de célébrations publiques en juillet
Les événements prévus comprennent des concerts
des cérémonies et quelques annonces surprises
Il s'agit vraiment de se rassembler comme nous l'avons fait pour la fusion [...] pour faire perdurer l’espoir pendant encore 100 ans
Ouvrir en mode plein écranDes chefs et des délégués de 16 communautés sḵwx̱wú7mesh (Squamish) se tiennent avec des représentants du gouvernement canadien devant l'édifice du ministère des Affaires indiennes
les communautés ont fusionné en une seule entité politique
La journée de la fusion est célébrée chaque année le 23 juillet
Photo : Fournie par le musée de North Vancouver
Prenez note que cet article publié en 2023 pourrait contenir des informations qui ne sont plus à jour
la Nation Squamish prévoit des célébrations pour marquer les 100 ans de la fusion de 16 de ses villages
faite dans le but de former une seule entité politique
La journée de la fusion sera célébrée le 23 juillet
« La journée de la fusion est un jour très important pour Sḵwx̱wú7mesh úxwumixw
c’est-à-dire la communauté de notre Nation Squamish »
conseiller élu et porte-parole de la Nation Squamish
ce moment où le gouvernement est arrivé et a pris des terres et des ressources à notre peuple
La fusion a permis une stabilité et un espoir
Cette unité a réellement protégé notre culture
plus de 40 chefs et délégués squamish se sont réunis au bureau du ministère des Affaires indiennes
tels que l’arrière-grand-père de Sxwíxwtn (Wilson Williams)
les chefs et les délégués ont réussi à faire reconnaître par le gouvernement fédéral leur fusion
et l'entité politique qu'est la Nation Squamish
Ouvrir en mode plein écranDes célébrations au Youth Powwow de la Nation Squamish
J'ai grandi en entendant des histoires sur la fusion par mon arrière-grand-père
directeur de la réconciliation et des initiatives autochtones à l’Université Simon Fraser
Je regarde toujours [la Nation] Squamish comme un exemple de la façon dont vous pouvez reconstruire votre nation
Il explique que les plans étaient en discussion pendant une décennie
la police avait expulsé des résidents squamish de Sen̓áḵw
Les politiques gouvernementales de l'époque continuaient de réduire les terres des réserves pour de nombreuses communautés autochtones
Les dirigeants squamish avaient écrit une lettre à Duncan Campbell Scott
surintendant adjoint du ministère des Affaires indiennes
Syeta'xtn (Chris Lewis) explique que certains signataires ont passé le message à d’autres Premières Nations sur la nécessité d'unir leurs forces contre les politiques de la Couronne
Son arrière-grand-père a participé à la signature de 1923 et a ensuite dirigé des alliances politiques pour protéger les droits des Autochtones pendant des décennies
Beaucoup de dirigeants d'autres nations de la Colombie-Britannique et du Canada l'invitaient à aider leurs nations à protéger leurs droits et leurs titres et à se maintenir en tant que peuples
mais pour protéger les droits et les titres des peuples autochtones
la Nation Squamish est composée de 23 villages
La Première Nation prévoit de souligner la journée de la fusion par un mois de célébrations publiques en juillet
Les événements prévus comprennent des concerts
des cérémonies et quelques annonces surprises
Il s'agit vraiment de se rassembler comme nous l'avons fait pour la fusion [...] pour faire perdurer l’espoir pendant encore 100 ans
« La journée de la fusion est un jour très important pour Sḵwx̱wú7mesh úxwumixw
la Nation Squamish prévoit des célébrations pour marquer les 100 ans de la fusion de 16 de ses villages
La journée de la fusion sera célébrée le 23 juillet
dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"Le programme Waste Alleviating Gel (WAG) a été mis en place par le groupe de grimpeurs Squamish Access Society (SAS)
Il est parrainé par des entreprises du secteur de l'escalade
De petits sacs sont mis à la disposition des grimpeurs. Ils peuvent y faire leurs besoins
qu’ils peuvent refermer et emporter pour en disposer de manière appropriée
et l'escalade en fait partie","text":"L'utilisation de l'arrière-pays dans le sud-ouest de la Colombie-Britannique et dans le corridor Sea-to-Sky a explosé
et l'escalade en fait partie"}}\">L'utilisation de l'arrière-pays dans le sud-ouest de la Colombie-Britannique et dans le corridor Sea-to-Sky a explosé
Nous constatons de plus en plus que les excréments humains posent des problèmes
surtout sur les falaises les plus reculées
ce sont généralement les chiens qui trouvent les excréments dans la forêt
au pied des falaises populaires fréquentées par les grimpeurs
un grimpeur atteint une petite corniche à mi-chemin sur son parcours vers le sommet pour découvrir que quelqu'un s'est soulagé à cet endroit
une des propriétaires du magasin de matériel d’escalade Climb On
n'attribue pas la responsabilité du problème des excréments humains dans la région à la communauté de grimpeurs
Une grande partie de ces déchets vient
des personnes qui campent ou vivent dans leur véhicule et découle de la popularité grandissante de la région
Katy Holm précise que les sacs destinés aux grimpeurs n'ont rien à voir avec les petits sacs fragiles que les gens utilisent pour ramasser les excréments de leur animal de compagnie
On n'a pas l'impression qu'il est souillé
Elle ajoute que l'utilisation de ces sacs est une pratique courante dans de nombreuses destinations d'escalade aux États-Unis
Ceux qui ont déjà voyagé ne verront pas cela comme quelque chose de nouveau
mais [...] d'autres auront des difficultés à l'adopter
Ben Webster estime que ce sera un changement d'habitude pour certains membres de la communauté de grimpeurs que de commencer à faire ses besoins dans des sacs et de les transporter hors de la forêt
cinq stations distributrices ont déjà été installées sur des lieux d'escalade
et elles ont déjà dû être réapprovisionnées
Quatre autres devraient être prêtes au cours des deux prochaines semaines
Nous sommes impatients que les gens prennent [les sacs]
et peut-être qu'ils auront le courage de dire à leurs amis qu'ils les ont utilisés
D'après les informations de Rafferty Baker
Ouvrir en mode plein écranLes sacs sont destinés à être utilisés directement
puis scellés et jetés de manière appropriée
Photo : Emilisa Frirdich/Squamish Access Society
lancé à l'intention des grimpeurs dans la région de Squamish
vise à réduire la quantité d’excréments humains sur les falaises et dans la forêt
Le programme Waste Alleviating Gel (WAG) a été mis en place par le groupe de grimpeurs Squamish Access Society (SAS)
Il est parrainé par des entreprises du secteur de l'escalade
De petits sacs sont mis à la disposition des grimpeurs
qu’ils peuvent refermer et emporter pour en disposer de manière appropriée
Ouvrir en mode plein écranLe sac à excréments humains contient une poudre qui transforme le liquide en gel
Photo : Ben Webster/Squamish Access Society
et l'escalade en fait partie","text":"L'utilisation de l'arrière-pays dans le sud-ouest de la Colombie-Britannique et dans le corridor Sea-to-Sky a explosé
et l'escalade en fait partie"}}'>L'utilisation de l'arrière-pays dans le sud-ouest de la Colombie-Britannique et dans le corridor Sea-to-Sky a explosé
Nous constatons de plus en plus que les excréments humains posent des problèmes
surtout sur les falaises les plus reculées
ce sont généralement les chiens qui trouvent les excréments dans la forêt
au pied des falaises populaires fréquentées par les grimpeurs
un grimpeur atteint une petite corniche à mi-chemin sur son parcours vers le sommet pour découvrir que quelqu'un s'est soulagé à cet endroit
une des propriétaires du magasin de matériel d’escalade Climb On
n'attribue pas la responsabilité du problème des excréments humains dans la région à la communauté de grimpeurs
des personnes qui campent ou vivent dans leur véhicule et découle de la popularité grandissante de la région
Katy Holm précise que les sacs destinés aux grimpeurs n'ont rien à voir avec les petits sacs fragiles que les gens utilisent pour ramasser les excréments de leur animal de compagnie
Elle ajoute que l'utilisation de ces sacs est une pratique courante dans de nombreuses destinations d'escalade aux États-Unis
Ceux qui ont déjà voyagé ne verront pas cela comme quelque chose de nouveau
mais [...] d'autres auront des difficultés à l'adopter
Ben Webster estime que ce sera un changement d'habitude pour certains membres de la communauté de grimpeurs que de commencer à faire ses besoins dans des sacs et de les transporter hors de la forêt
cinq stations distributrices ont déjà été installées sur des lieux d'escalade
et elles ont déjà dû être réapprovisionnées
Quatre autres devraient être prêtes au cours des deux prochaines semaines
et peut-être qu'ils auront le courage de dire à leurs amis qu'ils les ont utilisés
D'après les informations de Rafferty Baker
Le programme Waste Alleviating Gel (WAG) a été mis en place par le groupe de grimpeurs Squamish Access Society (SAS)
et l'escalade en fait partie"}}\\\">L'utilisation de l'arrière-pays dans le sud-ouest de la Colombie-Britannique et dans le corridor Sea-to-Sky a explosé
lancé à l'intention des grimpeurs dans la région de Squamish
dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"Ça signifie une étape qu’on attend depuis longtemps vers la construction de notre école
présidente de l’Association des parents d’élèves de l’École Les Aiglons qui ne dissimule pas sa joie
c’était loin d’être gagné d’avance : J’avoue qu’on avait perdu un peu espoir parce qu’on attendait année après année
mais on est rendu donc ça fait que nos efforts ont valu la peine
Elle évoque la longue attente et les défis de trouver un bon terrain étant donné la popularité de Squamish auprès des promoteurs immobiliers
C’est cher comme ville en général
Le Conseil scolaire francophone de la Colombie-Britannique a franchi l’étape de l’achat de quatre terrains résidentiels
Il vise désormais une demande de nouveau zonage auprès de la Ville de Squamish pour obtenir les droits de construire une école sur le site de 3 hectares
Le terrain ciblé sera d’ailleurs plus accessible pour les membres de la communauté : C’est vraiment au milieu de la ville
Le gouvernement provincial a accordé un peu plus de 28 millions de dollars au Conseil scolaire francophone pour ce projet qui permettra à l'école de mieux répondre aux besoins croissants de la communauté
Stéphane Perron, un des parents codemandeurs dont le nom se retrouve sur la première page du jugement, est père d'enfants qui fréquentaient d'ailleurs l'École Les Aiglons.
L’école, démarrée en 1996, compose avec une grande demande au sein de la communauté.
On loue un terrain de Capilano University, puisque c’était assez petit, on a dû ajouter six portatifs pour accommoder les élèves, précise la présidente qui avoue que l’établissement francophone était rendu au bout de ses ressources. Elle espère voir une école apparaître sur le terrain d’ici quatre à cinq ans, mais elle reconnaît que c’est une estimation optimiste.
Ouvrir en mode plein écranDes élèves de l'École Les Aiglons, à Squamish
Catherine DibPublié le 14 décembre 2023 à 21 h 53 HAEÉcouter l’article | 3 minutesLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale
une technologie basée sur l’intelligence artificielle.Prenez note que cet article publié en 2023 pourrait contenir des informations qui ne sont plus à jour
Petite école deviendra éventuellement grande
Un financement de Victoria a permis l’achat d’un terrain à Squamish qui pourrait servir à installer un nouveau bâtiment accueillant l’École Les Aiglons
un établissement francophone accueillant des élèves de la maternelle à la 9e année
Ça signifie une étape qu’on attend depuis longtemps vers la construction de notre école
présidente de l’Association des parents d’élèves de l’École Les Aiglons qui ne dissimule pas sa joie
c’était loin d’être gagné d’avance : J’avoue qu’on avait perdu un peu espoir parce qu’on attendait année après année
mais on est rendu donc ça fait que nos efforts ont valu la peine
Elle évoque la longue attente et les défis de trouver un bon terrain étant donné la popularité de Squamish auprès des promoteurs immobiliers
Le Conseil scolaire francophone de la Colombie-Britannique a franchi l’étape de l’achat de quatre terrains résidentiels
Il vise désormais une demande de nouveau zonage auprès de la Ville de Squamish pour obtenir les droits de construire une école sur le site de 3 hectares
Le terrain ciblé sera d’ailleurs plus accessible pour les membres de la communauté : C’est vraiment au milieu de la ville
Le gouvernement provincial a accordé un peu plus de 28 millions de dollars au Conseil scolaire francophone pour ce projet qui permettra à l'école de mieux répondre aux besoins croissants de la communauté
Stéphane Perron, un des parents codemandeurs dont le nom se retrouve sur la première page du jugement, est père d'enfants qui fréquentaient d'ailleurs l'École Les Aiglons.
Ouvrir en mode plein écranAvec le temps, l'établissement a dû recourir à des classes de classe mobiles pour répondre à la demande croissante comme on peut le voir sur cette photo de 2017.
L’école, démarrée en 1996, compose avec une grande demande au sein de la communauté.
On loue un terrain de Capilano University, puisque c’était assez petit, on a dû ajouter six portatifs pour accommoder les élèves, précise la présidente qui avoue que l’établissement francophone était rendu au bout de ses ressources. Elle espère voir une école apparaître sur le terrain d’ici quatre à cinq ans, mais elle reconnaît que c’est une estimation optimiste.
Ça signifie une étape qu’on attend depuis longtemps vers la construction de notre école
un des parents codemandeurs dont le nom se retrouve sur la première page du jugement
est père d'enfants qui fréquentaient d'ailleurs l'École Les Aiglons
compose avec une grande demande au sein de la communauté
on a dû ajouter six portatifs pour accommoder les élèves
précise la présidente qui avoue que l’établissement francophone était rendu au bout de ses ressources
Elle espère voir une école apparaître sur le terrain d’ici quatre à cinq ans
mais elle reconnaît que c’est une estimation optimiste
un établissement francophone accueillant des élèves de la maternelle à la 9e année
dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"Le premier incident a eu lieu vers 10 h 30 quand une femme qui courrait sur le sentier a été attaquée après avoir surpris deux ours
écrit le service de conservation de la faune sur son fil Twitter
La deuxième attaque a été signalée alors que les agents de conservation étaient en route après avoir été avertis de la première
Les agents de conservation pensent qu'une ourse et son petit de plus de 1 an sont en cause dans les deux cas
Les agents ont fouillé le secteur pendant plusieurs heures jeudi
mais n'ont pas trouvé les ours en question
Des affiches et des barrières ont été installées à l'entrée des sentiers par les agents de conservation
et le public est invité à les respecter pour sa propre sécurité
Les deux femmes attaquées ont été soignées à l'hôpital pour des blessures qui ne mettaient pas leur vie en danger
selon un message Twitter du service de conservation de la faune de la Colombie-Britannique
Les agents de conservation invitent toute personne qui voit un ours à communiquer avec eux
Ouvrir en mode plein écranLe sentier de l'estuaire de Squamish est fermé à la suite de deux incidents entre des ours et des humains jeudi
Prenez note que cet article publié en 2022 pourrait contenir des informations qui ne sont plus à jour
Le service de conservation de la faune de la Colombie-Britannique a fermé le réseau de sentiers de l'estuaire de Squamish jusqu'à nouvel ordre
deux femmes ont été attaquées par un ours noir dans deux incidents séparés
Le premier incident a eu lieu vers 10 h 30 quand une femme qui courrait sur le sentier a été attaquée après avoir surpris deux ours
écrit le service de conservation de la faune sur son fil Twitter
La deuxième attaque a été signalée alors que les agents de conservation étaient en route après avoir été avertis de la première
Les agents de conservation pensent qu'une ourse et son petit de plus de 1 an sont en cause dans les deux cas
Les agents ont fouillé le secteur pendant plusieurs heures jeudi
mais n'ont pas trouvé les ours en question
Des affiches et des barrières ont été installées à l'entrée des sentiers par les agents de conservation
et le public est invité à les respecter pour sa propre sécurité
Les deux femmes attaquées ont été soignées à l'hôpital pour des blessures qui ne mettaient pas leur vie en danger
Les agents de conservation invitent toute personne qui voit un ours à communiquer avec eux
Le premier incident a eu lieu vers 10 h 30 quand une femme qui courrait sur le sentier a été attaquée après avoir surpris deux ours
Le service de conservation de la faune de la Colombie-Britannique a fermé le réseau de sentiers de l'estuaire de Squamish jusqu'à nouvel ordre
dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"Patricia Heinztman
la mairesse de la municipalité d’environ 18 000 âmes
explique que sa petite ville peine à répondre aux besoins que crée cette arrivée de nouveaux habitants
la ville a vu plus de 2000 personnes s’installer chez elle
Squamish est une des quatre régions métropolitaines de recensement qui croissent le plus rapidement au Canada
D’après les résultats qu’a obtenus Statistique Canada
il y a aussi des milliers de Britanno-Colombiens du Grand Vancouver qui s’éloignent des grands centres urbains pour s’installer en région
« Je crois qu’ils partent principalement en raison du coût des logements »
cette arrivée massive se fait ressentir aussi sur le marché de l’immobilier
La mairesse constate que les problèmes économiques dans le Grand Vancouver ont des conséquences sur les villes avoisinantes
« Ça vient certainement augmenter le prix des logements ici »
qui espère que la province prendra en compte les villes rurales des alentours lorsque viendra le moment de prendre des décisions pour le Grand Vancouver
Parmi les autres conséquences de cet afflux dans la région
la mairesse remarque aussi que l'autoroute devient très achalandée pendant les longs congés
que les artères plus souvent bloquées et que les places de stationnement se font plus rares
« Nous devons penser à des solutions pour diminuer la circulation sur les routes »
Ouvrir en mode plein écranLa ville de Squamish en Colombie-Britannique
Prenez note que cet article publié en 2018 pourrait contenir des informations qui ne sont plus à jour
une petite ville en périphérie de Vancouver
est en train de devenir un lieu de prédilection pour les nouveaux habitants de la région
la mairesse de la municipalité d’environ 18 000 âmes
explique que sa petite ville peine à répondre aux besoins que crée cette arrivée de nouveaux habitants
la ville a vu plus de 2000 personnes s’installer chez elle
Squamish est une des quatre régions métropolitaines de recensement qui croissent le plus rapidement au Canada
D’après les résultats qu’a obtenus Statistique Canada
il y a aussi des milliers de Britanno-Colombiens du Grand Vancouver qui s’éloignent des grands centres urbains pour s’installer en région
« Je crois qu’ils partent principalement en raison du coût des logements »
cette arrivée massive se fait ressentir aussi sur le marché de l’immobilier
La mairesse constate que les problèmes économiques dans le Grand Vancouver ont des conséquences sur les villes avoisinantes
« Ça vient certainement augmenter le prix des logements ici »
qui espère que la province prendra en compte les villes rurales des alentours lorsque viendra le moment de prendre des décisions pour le Grand Vancouver
Parmi les autres conséquences de cet afflux dans la région
la mairesse remarque aussi que l'autoroute devient très achalandée pendant les longs congés
que les artères plus souvent bloquées et que les places de stationnement se font plus rares
« Nous devons penser à des solutions pour diminuer la circulation sur les routes »
On n’a pas de laboratoire de chimie, on n’a pas de gymnase, on n’a pas de bibliothèque importante pour des idées et des passions de secondaire.
Elle ajoute que dans de plus grandes écoles, des cours de théâtre ou des équipes de sport sont créés, des éléments qui sont difficiles à mettre en place aux Aiglons à cause du petit nombre d’élèves, selon elle.
Pascale Anouk Rivest-Gadbois explique qu’aux Aiglons, les élèves doivent généralement décider s’ils restent à l’école francophone ou s’ils optent pour l’école intermédiaire anglophone de la région après la 6e année, pour la suite de leur cheminement scolaire.
Elle admet que plusieurs amis et camarades de classe de Charlotte ont choisi l’école anglophone, un choix qu’elle qualifie de plus évident.
C’est un âge où c’est tellement important de savoir que tu as une meilleure amie et que tu as un groupe qui te comprend.
De son côté, le jeune Matéo Binette, justement en 6e année aux Aiglons, a pris la décision avec ses parents de rester à l’école francophone, même si, selon lui, la majorité de ses camarades de classe la quitteront pour l’école intermédiaire anglophone en 7e année.
Son père, Patrice Binette, estime que dans des petites classes, les élèves bénéficient d’une plus grande attention des professeurs, mais il est aussi conscient que cette décision peut avoir des conséquences sur la vie sociale de son fils. Matéo va rester aussi longtemps que ses amis restent, tranche-t-il.
Christine McLeod, dont la fille est dans la même classe que Charlotte Gadbois-Schuett, est convaincue que le CSF travaille pour trouver un terrain qui pourrait accueillir une nouvelle école à Squamish.
Elle croit cependant qu’il est possible d’en faire plus pour motiver les élèves à avoir envie de poursuivre leur secondaire à l’école francophone, comme cela a été le cas pour les quatre élèves de 8e année.
Son vœu serait que l’école, le CSF et d’autres organismes de la communauté francophone joignent leurs forces pour engager les jeunes à rester aux Aiglons, et plus largement dans le système francophone.
De son côté, le CSF est heureux de la croissance du programme à l'École Les Aiglons.
Dans une déclaration par courriel, il affirme que les discussions en lien avec l'achat d'un terrain à Squamish sont complexes et comportent de nombreuses parties prenantes.
L’objectif, selon lui, demeure de construire une école de la maternelle à la 12e année pouvant accueillir environ 300 élèves.
Actuellement, L'École Les Aiglons, qui compte environ 130 élèves, est installée dans l'ancien bâtiment de l’Université Capilano, à côté de l’École secondaire Howe Sound.
Raluca Tomulescu est journaliste à Vancouver. Elle s'intéresse particulièrement aux affaires publiques et aux questions sociales. Avant de travailler à Vancouver, elle a été journaliste à ICI Regina, en Saskatchewan.
Ouvrir en mode plein écranCharlotte Gadbois-Schuett rêve de pouvoir finir son secondaire en français à l'École Les Aiglons, à Squamish.
Raluca TomulescuPublié le 8 décembre 2021 à 8 h 12 HAEPrenez note que cet article publié en 2021 pourrait contenir des informations qui ne sont plus à jour.
Des parents et des élèves francophones de Squamish, en Colombie-Britannique, se réjouissent que L’École du Conseil scolaire francophone (CSF) Les Aiglons offre depuis cet automne un programme secondaire de la 7e à la 9e année. Ils rêvent cependant d’une toute nouvelle école pour que les jeunes puissent poursuivre leur cheminement en français en 10e, 11e et 12e années et bénéficier d’une expérience comparable à celle de leurs camarades anglophones.
Charlotte Gadbois-Schuett est en 8e année à l’École Les Aiglons, qu’elle fréquente depuis la maternelle. Elle a bon espoir d’y rester pour la 9e année également, mais d’y continuer à partir de la 10e année sera difficile, selon elle.
Sa mère, Pascale Anouk Rivest-Gadbois, partage son sentiment. Elle croit qu’il est important que Charlotte ait une éducation francophone aussi longtemps que possible [...] autant pour le côté bilingue que culturel. Toutefois, celle-ci ne doit pas se faire au détriment de la qualité générale de l’expérience, insiste-t-elle, considérant que la classe de 8e année de Charlotte ne compte que quatre élèves, qui partagent souvent un local avec les élèves de 7e année.
On n’a pas de laboratoire de chimie, on n’a pas de gymnase, on n’a pas de bibliothèque importante pour des idées et des passions de secondaire.
Elle ajoute que dans de plus grandes écoles, des cours de théâtre ou des équipes de sport sont créés, des éléments qui sont difficiles à mettre en place aux Aiglons à cause du petit nombre d’élèves, selon elle.
Pascale Anouk Rivest-Gadbois explique qu’aux Aiglons, les élèves doivent généralement décider s’ils restent à l’école francophone ou s’ils optent pour l’école intermédiaire anglophone de la région après la 6e année, pour la suite de leur cheminement scolaire.
Elle admet que plusieurs amis et camarades de classe de Charlotte ont choisi l’école anglophone, un choix qu’elle qualifie de plus évident.
C’est un âge où c’est tellement important de savoir que tu as une meilleure amie et que tu as un groupe qui te comprend.
Ouvrir en mode plein écranLe jeune Matéo Binette, entouré de ses parents, a pris la décision de rester aux Aiglons en 7e année.
De son côté, le jeune Matéo Binette, justement en 6e année aux Aiglons, a pris la décision avec ses parents de rester à l’école francophone, même si, selon lui, la majorité de ses camarades de classe la quitteront pour l’école intermédiaire anglophone en 7e année.
Son père, Patrice Binette, estime que dans des petites classes, les élèves bénéficient d’une plus grande attention des professeurs, mais il est aussi conscient que cette décision peut avoir des conséquences sur la vie sociale de son fils. Matéo va rester aussi longtemps que ses amis restent, tranche-t-il.
Christine McLeod, dont la fille est dans la même classe que Charlotte Gadbois-Schuett, est convaincue que le CSF travaille pour trouver un terrain qui pourrait accueillir une nouvelle école à Squamish.
Elle croit cependant qu’il est possible d’en faire plus pour motiver les élèves à avoir envie de poursuivre leur secondaire à l’école francophone, comme cela a été le cas pour les quatre élèves de 8e année.
Ouvrir en mode plein écranChristine McLeod est d'avis qu’il est possible d’en faire plus pour motiver les élèves à avoir envie de poursuivre leur secondaire à l’École Les Aiglons de Squamish.
Son vœu serait que l’école, le CSF et d’autres organismes de la communauté francophone joignent leurs forces pour engager les jeunes à rester aux Aiglons, et plus largement dans le système francophone.
De son côté, le CSF est heureux de la croissance du programme à l'École Les Aiglons.
Dans une déclaration par courriel, il affirme que les discussions en lien avec l'achat d'un terrain à Squamish sont complexes et comportent de nombreuses parties prenantes.
L’objectif, selon lui, demeure de construire une école de la maternelle à la 12e année pouvant accueillir environ 300 élèves.
Actuellement, L'École Les Aiglons, qui compte environ 130 élèves, est installée dans l'ancien bâtiment de l’Université Capilano, à côté de l’École secondaire Howe Sound.
Charlotte Gadbois-Schuett est en 8e année à l’École Les Aiglons
qu’elle fréquente depuis la maternelle
Elle a bon espoir d’y rester pour la 9e année également
mais d’y continuer à partir de la 10e année sera difficile
eannée alors je devrai aller dans une autre école
Mais peut-être que les3e ou 4eannées pourront continuer [à l’école francophone] jusqu’à la 12eannée","text":"Je pense que pour ma classe
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ils ne vont pas être prêts pour une 10e année alors je devrai aller dans une autre école
Mais peut-être que les 3e ou 4e années pourront continuer [à l’école francophone] jusqu’à la 12e année
Elle croit qu’il est important que Charlotte ait une éducation francophone aussi longtemps que possible [...] autant pour le côté bilingue que culturel
celle-ci ne doit pas se faire au détriment de la qualité générale de l’expérience
considérant que la classe de 8e année de Charlotte ne compte que quatre élèves
qui partagent souvent un local avec les élèves de 7e année
on n’a pas de bibliothèque importante pour des idées et des passions de secondaire
Elle ajoute que dans de plus grandes écoles
des cours de théâtre ou des équipes de sport sont créés
des éléments qui sont difficiles à mettre en place aux Aiglons à cause du petit nombre d’élèves
Pascale Anouk Rivest-Gadbois explique qu’aux Aiglons
les élèves doivent généralement décider s’ils restent à l’école francophone ou s’ils optent pour l’école intermédiaire anglophone de la région après la 6e année
pour la suite de leur cheminement scolaire
Elle admet que plusieurs amis et camarades de classe de Charlotte ont choisi l’école anglophone
un choix qu’elle qualifie de plus évident
C’est un âge où c’est tellement important de savoir que tu as une meilleure amie et que tu as un groupe qui te comprend
justement en 6e année aux Aiglons
a pris la décision avec ses parents de rester à l’école francophone
la majorité de ses camarades de classe la quitteront pour l’école intermédiaire anglophone en 7e année
les élèves bénéficient d’une plus grande attention des professeurs
mais il est aussi conscient que cette décision peut avoir des conséquences sur la vie sociale de son fils
Matéo va rester aussi longtemps que ses amis restent
dont la fille est dans la même classe que Charlotte Gadbois-Schuett
est convaincue que le CSF travaille pour trouver un terrain qui pourrait accueillir une nouvelle école à Squamish
Elle croit cependant qu’il est possible d’en faire plus pour motiver les élèves à avoir envie de poursuivre leur secondaire à l’école francophone
comme cela a été le cas pour les quatre élèves de 8e année
à les convaincre d'ouvrir un secondaire
On a commencé à en parler quand ma fille était en 5eannée
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et sans vraiment les emballer et leur montrer qu’on veut les garder
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qu’on perde même un de ces quatre élèves"}}\\\">On a passé beaucoup de temps à travailler avec le CSF et avec les élèves
On a commencé à en parler quand ma fille était en 5e année
qu’on perde même un de ces quatre élèves
Son vœu serait que l’école
le CSF et d’autres organismes de la communauté francophone joignent leurs forces pour engager les jeunes à rester aux Aiglons
et plus largement dans le système francophone
Je pense qu’on doit travailler en tant qu'adulte autour d’eux pour créer la vision dans leur cerveau pour qu’ils tiennent pour acquis qu’ils vont rester
qu’ils soient excités de rester","text":"Quels cours d’option ils aimeraient
qu’est-ce qu’ils font en 10e année à Pemberton
qu’ils soient excités de rester"}}\\\">Quels cours d’option ils aimeraient
qu’ils soient excités de rester
le CSF est heureux de la croissance du programme à l'École Les Aiglons
il affirme que les discussions en lien avec l'achat d'un terrain à Squamish sont complexes et comportent de nombreuses parties prenantes
demeure de construire une école de la maternelle à la 12e année pouvant accueillir environ 300 élèves
qui compte environ 130 élèves
est installée dans l'ancien bâtiment de l’Université Capilano
à côté de l’École secondaire Howe Sound
Raluca Tomulescu est journaliste à Vancouver
Elle s'intéresse particulièrement aux affaires publiques et aux questions sociales
elle a été journaliste à ICI Regina
Mais peut-être que les3e ou 4eannées pourront continuer [à l’école francophone] jusqu’à la 12eannée"}}\">Je pense que pour ma classe
qu’on perde même un de ces quatre élèves"}}\">On a passé beaucoup de temps à travailler avec le CSF et avec les élèves
qu’ils soient excités de rester"}}\">Quels cours d’option ils aimeraient
Des parents et des élèves francophones de Squamish
se réjouissent que L’École du Conseil scolaire francophone (CSF) Les Aiglons offre depuis cet automne un programme secondaire de la 7e à la 9e année
Ils rêvent cependant d’une toute nouvelle école pour que les jeunes puissent poursuivre leur cheminement en français en 10e
11e et 12e années et bénéficier d’une expérience comparable à celle de leurs camarades anglophones
en raison d’une forte opposition de la part d’environnementalistes
Nous jugeons que ce qui est arrivé est un acte de vandalisme délibéré
a indiqué l'inspectrice de la GRC de Squamish
Le téléphérique n'était pas en activité au moment de l'incident et personne n'a été blessé
Heureusement qu'il n'y avait personne à bord
Le résultat aurait été catastrophique
BC Park a fermé trois sentiers qui se trouvent en dessous du téléphérique et où des cabines sont tombées
Il s’agit des sentiers Sea to Summit
Shannon Falls Connector et Upper Shannon Falls
La GRC se demande si ces sentiers auraient pu être empruntés par la personne responsable de cet acte de vandalisme pour accéder à l'une des échelles qui se trouvent sur les pylônes et qui servent à faire l'entretien et les inspections hebdomadaires du téléphérique
Nous savons que des randonneurs se sont rendus au sommet de la montagne ce matin
Nous demandons à ces gens de nous contacter
car ils pourraient avoir été témoins de quelque chose
a dit Kara Triance en confirmant que le secteur est présentement considéré comme une scène de crime
La GRC signale qu'elle enquête avec l'aide de WorkSafeBC et Technical Safety BC
L'entreprise propriétaire du téléphérique mènera également son enquête et elle sera aidée de l'entreprise qui a fabriqué le câble
la GRC les évalue à plus d'un million de dollars
sans compter la perte de revenus importante causée par la fermeture prolongée du téléphérique
Ouvrir en mode plein écranLa plupart des 30 cabines du téléphérique sont maintenant sur le sol
Prenez note que cet article publié en 2019 pourrait contenir des informations qui ne sont plus à jour
en raison d’une forte opposition de la part d’environnementalistes
Nous jugeons que ce qui est arrivé est un acte de vandalisme délibéré
a indiqué l'inspectrice de la GRC de Squamish
Le téléphérique n'était pas en activité au moment de l'incident et personne n'a été blessé
Heureusement qu'il n'y avait personne à bord
Ouvrir en mode plein écranLa Gendarmerie royale du Canada considère que la rupture du câble du téléphérique Sea to Sky est un acte de vandalisme
BC Park a fermé trois sentiers qui se trouvent en dessous du téléphérique et où des cabines sont tombées
La GRC se demande si ces sentiers auraient pu être empruntés par la personne responsable de cet acte de vandalisme pour accéder à l'une des échelles qui se trouvent sur les pylônes et qui servent à faire l'entretien et les inspections hebdomadaires du téléphérique
Nous demandons à ces gens de nous contacter
car ils pourraient avoir été témoins de quelque chose
a dit Kara Triance en confirmant que le secteur est présentement considéré comme une scène de crime
La GRC signale qu'elle enquête avec l'aide de WorkSafeBC et Technical Safety BC
L'entreprise propriétaire du téléphérique mènera également son enquête et elle sera aidée de l'entreprise qui a fabriqué le câble
la GRC les évalue à plus d'un million de dollars
sans compter la perte de revenus importante causée par la fermeture prolongée du téléphérique
L’installation, en activité depuis 2014, est une attraction touristique importante dans la région, mais sa construction s’est faite dans la polémique
L’installation, en activité depuis 2014, est une attraction touristique importante dans la région, mais sa construction s’est faite dans la polémique
La Gendarmerie royale du Canada croit que quelqu’un a délibérément coupé le câble du téléphérique Sea to Sky de Squamish, entraînant la chute au sol de la plupart des 30 cabines tôt samedi matin
dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"Il s’agit de l’une des plus importantes chutes de pierres survenues sur l'imposant mur de granite depuis les 60 dernières années
affirme le directeur du Center for Natural Hazards (Centre des catastrophes naturelles) de l’Université Simon-Fraser
Lorsqu’elles se réchauffent au cours de la journée
ce qui peut provoquer la rupture de morceaux de roche
Une étude menée au parc national de Yosemite
montre que ces types de chutes de pierres se produisent généralement pendant les heures les plus chaudes de la journée
Paul Adam rappelle que des chutes de pierre peuvent également survenir la nuit
Les secteurs de Grand Wall et de Western Dihedrals ainsi que la zone d'escalade de blocs située sous ces falaises sont fermés au public jusqu’à nouvel ordre
affirme que la chute de pierres s'était produite juste après minuit
L’incident aurait autrement pu causer bien des dommages
Il est difficile d'imaginer qu'il n'y aurait pas eu de décès si cela s'était produit pendant la journée
La Gendarmerie royale du Canada ne signale aucun blessé
plusieurs témoins ont observé de petites chutes de pierres alors qu’ils s’aventuraient sur le Chief
un éboulement semblable a entraîné la fermeture d’une partie de Grand Wall
Si l’événement précédent était préoccupant
dont le Backside Trail qui mène aux trois sommets du mont Chief
Les secteurs Grand Wall et Western Dihedrals sont fermés au public jusqu’à nouvel ordre
Ouvrir en mode plein écranLe Stawamus Chief
s'élève à plus de 700 mètres au-dessus des eaux du détroit de Howe
Prenez note que cet article publié en 2021 pourrait contenir des informations qui ne sont plus à jour
Il s’agit de l’une des plus importantes chutes de pierres survenues sur l'imposant mur de granite depuis les 60 dernières années
affirme le directeur du Center for Natural Hazards (Centre des catastrophes naturelles) de l’Université Simon-Fraser
Lorsqu’elles se réchauffent au cours de la journée
Une étude menée au parc national de Yosemite
montre que ces types de chutes de pierres se produisent généralement pendant les heures les plus chaudes de la journée
Paul Adam rappelle que des chutes de pierre peuvent également survenir la nuit
Les secteurs de Grand Wall et de Western Dihedrals ainsi que la zone d'escalade de blocs située sous ces falaises sont fermés au public jusqu’à nouvel ordre
Ouvrir en mode plein écranUn grimpeur a photographié le résultat de l'éboulement survenu au mont Chief
Photo : Facebook/Anders Ourom/Squamish Rock Climbing
affirme que la chute de pierres s'était produite juste après minuit
L’incident aurait autrement pu causer bien des dommages
Il est difficile d'imaginer qu'il n'y aurait pas eu de décès si cela s'était produit pendant la journée
La Gendarmerie royale du Canada ne signale aucun blessé
plusieurs témoins ont observé de petites chutes de pierres alors qu’ils s’aventuraient sur le Chief
un éboulement semblable a entraîné la fermeture d’une partie de Grand Wall
Si l’événement précédent était préoccupant
dont le Backside Trail qui mène aux trois sommets du mont Chief
Il s’agit de l’une des plus importantes chutes de pierres survenues sur l'imposant mur de granite depuis les 60 dernières années
D’importantes chutes de pierres entraînent la fermeture de plusieurs zones d’escalade du mont Chief, à Squamish, en Colombie-Britannique, considéré comme étant la Mecque des grimpeurs au Canada.
dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"La manifestation de trois jours a mis en vedette la culture de la nation Squamish à travers la nourriture
la danse et le couronnement des princesses du pow-wow
ont été choisies pour représenter leur nation jusqu'au pow-wow de l'année prochaine
dit que les honneurs sont décernés aux jeunes qui manifestent le désir de s'impliquer dans la communauté
et de promouvoir leur culture et leurs traditions
La nourriture est au coeur de la culture autochtone
La famille Baker est chargée de la cuisson du saumon pendant les trois jours du pow-wow
contribuant ainsi à nourrir les milliers de visiteurs
L'activité qui a attiré la plus grande foule est le concours de danse
Il existe plusieurs types de danse dans les Premières Nations
Mikayla Seto a remporté la deuxième place du concours de jingle féminin
Ses amis et elle ont expliqué l’importance des beaux costumes de danse
Les costumes sont sacrés. Si vous prenez soin de votre tenue
le pow-wow offre un environnement propice à la guérison
un lieu où les gens peuvent se réunir pour exprimer leur chagrin et leur joie
Une des nombreuses activités joyeuses
a été la danse de la pomme de terre
Les batteurs Star Child ont aussi offert une prestation. L'un d'eux
il travaillait à sensibiliser davantage la population aux Autochtones atteints d'autisme et à apporter un soutien émotionnel aux survivants des pensionnats
D'après un photoreportage de Maggie Macpherson
Ouvrir en mode plein écranCélébrations de la culture autochtone au Youth Pow-Wow de la nation Squamish
Des milliers de personnes ont visité le centre des aînés de la nation Squamish à West Vancouver
La manifestation de trois jours a mis en vedette la culture de la nation Squamish à travers la nourriture
Ouvrir en mode plein écranTerrena Charlie est sacrée nouvelle princesse de la nation Squamish au 32e pow-wow annuel des jeunes à West Vancouver
ont été choisies pour représenter leur nation jusqu'au pow-wow de l'année prochaine
dit que les honneurs sont décernés aux jeunes qui manifestent le désir de s'impliquer dans la communauté
Ouvrir en mode plein écranWilfred Baker (à droite) et son fils Wilfred Baker fils préparent le saumon
La famille Baker est chargée de la cuisson du saumon pendant les trois jours du pow-wow
contribuant ainsi à nourrir les milliers de visiteurs
Ouvrir en mode plein écranUn membre de la nation Squamish danse lors du pow-wow à West Vancouver
L'activité qui a attiré la plus grande foule est le concours de danse
Il existe plusieurs types de danse dans les Premières Nations
Ouvrir en mode plein écranMikayla Seto et sa mère ont passé une année complète à travailler sur les perles pour ses habits de cérémonie
Mikayla Seto a remporté la deuxième place du concours de jingle féminin
Ses amis et elle ont expliqué l’importance des beaux costumes de danse
Ouvrir en mode plein écranDes femmes participent à la danse de la patate
le pow-wow offre un environnement propice à la guérison
un lieu où les gens peuvent se réunir pour exprimer leur chagrin et leur joie
Ouvrir en mode plein écranLes batteurs Star Child
rassemblés lors du pow-wow à West Vancouver
Les batteurs Star Child ont aussi offert une prestation
il travaillait à sensibiliser davantage la population aux Autochtones atteints d'autisme et à apporter un soutien émotionnel aux survivants des pensionnats
D'après un photoreportage de Maggie Macpherson
La manifestation de trois jours a mis en vedette la culture de la nation Squamish à travers la nourriture
dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"Selon la Ville de Vancouver
il s'agit du plus important projet immobilier mené par une Première Nation au Canada
Le projet de développement Sen̓áḵw prévoit la construction de 11 immeubles
qui permettront de créer 6000 unités résidentielles locatives et abordables dans le quartier de Kitsilano
Il sera établi sur une parcelle de 4,7 hectares de terres
la Cour fédérale du Canada a redonné en 2003 le contrôle de cette parcelle de territoire à la Première Nation Squamish
La communauté n’a donc pas besoin de l’accord de la Ville pour aller de l’avant avec son projet de développement
mais cet accord permet de rendre l’espace vivable
grâce aux infrastructures municipales
La Ville s’engage ainsi à fournir un accès à ses services d’égout
d'électricité au futur complexe immobilier
Elle promet également d’améliorer les voies piétonnes
Il générera des milliards de dollars à la Première Nation
les Squamish ont été forcés de quitter leur territoire
Nous vivions en harmonie sur ces terres et tout a changé lorsque le gouvernement de la Colombie-Britannique nous a expropriés et déplacés
Nous allons être de nouveau visibles sur nos propres terres à Vancouver et sur l’un des sites de notre village
Ce projet permettra ainsi à la Ville de Vancouver d’avancer vers la réconciliation
Les colonisateurs comme moi ont tellement de choses à faire pour réparer les injustices
Une partie des logements du complexe immobilier seront réservés aux membres de la Première Nation Squamish
La construction devrait débuter cet été et se terminer d’ici 2027
Ouvrir en mode plein écranJusqu'à 10 000 personnes devraient pouvoir habiter dans ces tours
qui seront construites au sud du pont Burrard de Vancouver
La Première Nation Squamish a signé un accord avec la Ville de Vancouver pour faire avancer un projet de développement immobilier majeur au pied du pont Burrard
Cette étape lui donne accès à des infrastructures municipales essentielles sur une portion du territoire de la communauté autochtone
il s'agit du plus important projet immobilier mené par une Première Nation au Canada
Le projet de développement Sen̓áḵw prévoit la construction de 11 immeubles
qui permettront de créer 6000 unités résidentielles locatives et abordables dans le quartier de Kitsilano
Il sera établi sur une parcelle de 4,7 hectares de terres
la Cour fédérale du Canada a redonné en 2003 le contrôle de cette parcelle de territoire à la Première Nation Squamish
La communauté n’a donc pas besoin de l’accord de la Ville pour aller de l’avant avec son projet de développement
mais cet accord permet de rendre l’espace vivable
Ouvrir en mode plein écranLes taxes de propriété seront comparables à celles de la Ville de Vancouver sur ce territoire
La Ville s’engage ainsi à fournir un accès à ses services d’égout
d'électricité au futur complexe immobilier
Elle promet également d’améliorer les voies piétonnes
Il générera des milliards de dollars à la Première Nation
les Squamish ont été forcés de quitter leur territoire
Nous vivions en harmonie sur ces terres et tout a changé lorsque le gouvernement de la Colombie-Britannique nous a expropriés et déplacés
Nous allons être de nouveau visibles sur nos propres terres à Vancouver et sur l’un des sites de notre village
Ce projet permettra ainsi à la Ville de Vancouver d’avancer vers la réconciliation
Les colonisateurs comme moi ont tellement de choses à faire pour réparer les injustices
Une partie des logements du complexe immobilier seront réservés aux membres de la Première Nation Squamish
La construction devrait débuter cet été et se terminer d’ici 2027
dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"La Gendarmerie royale du Canada (GRC) dit que l’homme
campait avec un groupe d’amis près de la route de service Ashlu Forest
quand il est tombé dans l’eau vers 1 h dimanche
le groupe l’a rapidement perdu de vue
Les équipes de recherche et de sauvetage ont entrepris des recherches dimanche à l’aide d’un hélicoptère et d’une équipe canine dans l’espoir de retrouver le disparu dont l’identité n’a pas encore été révélée
La recherche a été difficile et dangereuse en raison des niveaux des eaux élevés et du courant fort en raison de la fonte des neiges printanières
un pantalon gris et un chandail à capuchon de marque Adidas au moment de sa disparition
Ouvrir en mode plein écranLa rivière Squamish vue de la route de service Ashlu Forest
Les recherches doivent reprendre lundi pour retrouver un Kényan qui a été emporté par les eaux tumultueuses de la rivière Squamish
La Gendarmerie royale du Canada (GRC) dit que l’homme
campait avec un groupe d’amis près de la route de service Ashlu Forest
quand il est tombé dans l’eau vers 1 h dimanche
Les équipes de recherche et de sauvetage ont entrepris des recherches dimanche à l’aide d’un hélicoptère et d’une équipe canine dans l’espoir de retrouver le disparu dont l’identité n’a pas encore été révélée
La recherche a été difficile et dangereuse en raison des niveaux des eaux élevés et du courant fort en raison de la fonte des neiges printanières
un pantalon gris et un chandail à capuchon de marque Adidas au moment de sa disparition
Avec les informations de La Presse canadienne
La Gendarmerie royale du Canada (GRC) dit que l’homme
dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"C'est le premier décès cette année et on espère que ça va être le dernier
mais disons que c'est un peu tôt en saison
Selon Avalanche Canada, l'accident s'est produit quand la victime et une femme de 26 ans escaladaient de la glace dans le comté albertain de Kananaskis, au nord de Sparwood, en Colombie-Britannique.
Le directeur général d'Avalanche Canada, Gilles Valade, ajoute que les deux personnes avaient fini de grimper et amorçaient leur descente lorsqu’elles ont été emportées par une coulée de neige venue d'en haut. Elles ont été entraînées dans un ravin. La femme a été partiellement ensevelie, mais a pu être sauvée. L’homme, complètement recouvert de neige, a succombé.
Malheureusement, c'est une situation qui semble se répéter assez régulièrement en début de saison,
André-Jean Maheu, prévisionniste d’avalanche de l’équipe de recherche et sauvetage de Squamish, estime que l’excitation du début de saison des activités de neige l’emporte souvent sur les mesures de prudence.
Souvent, dit-il, les gens sont excités de voir de la neige et commencent à faire de l'escalade de glace, [mais] en début de saison, on n'a pas nécessairement accès à toute l'information qu'on pourrait avoir durant l'hiver.
Bien qu’il soit tôt pour enregistrer un premier décès dû à une avalanche, Avalanche Canada rappelle que ces accidents ont eu lieu dans le passé. D'après le prévisionniste André-Jean Maheu, s'il y a suffisamment de neige pour faire du ski, il y a suffisamment de neige pour produire des avalanches.
Par ailleurs, le risque d’avalanche est d’autant plus commun avec l’escalade de glace, dit Gilles Valade, qui affirme que c’est la saison idéale pour cette activité.
L’avalanche est déclenchée naturellement, et non par les grimpeurs.
En hauteur, il y a peu de neige accompagnée de vent : Contrairement aux skieurs, planchistes et motoneigistes, explique-t-il, les grimpeurs de glace sont souvent sous des régions où il y a des avalanches.
Ce qui les expose différemment aux risques. En ski, en planche ou en motoneige, les amateurs de neige se promènent dans des terrains ou des côtes qui peuvent produire des avalanches. Par contre, en escalade, le grimpeur se trouve sur la glace et les accumulations de neige se situent au-dessus d’eux.
Les équipes de prévisionnistes et de sauvetage martèlent le même message : prudence !. Gilles Valade rappelle qu’il faut être formé, bien équipé et avoir une bonne compréhension des conditions avant de s’aventurer en montagne.
On est en début de saison. Il faut être très prudent parce qu'on n'est pas encore habitué à se sensibiliser aux avalanches.
Une saison n’étant pas une autre, il est difficile de prédire à quoi s’attendre cette année.
On ne peut pas se baser sur l'année dernière ou les prévisions météorologiques, lance M. Valade. Cependant, le directeur d’Avalanche Canada cite différents éléments qui vont influer sur la saison des avalanches, soit la quantité de la neige, la température à laquelle elle tombe, mais aussi le vent.
La saison dernière, de l’automne 2022 au printemps, Avalanche Canada avait comptabilisé 15 décès dans l’Ouest canadien, alors que la moyenne annuelle des 10 dernières années oscille autour de 11 vies perdues. On avait quand même des manteaux neigeux problématiques l'an dernier, donc on espère que cette année ça va aller mieux, se souvient Gilles Valade.
Avec les informations recueillies par Wildinette Paul
Noémie Moukanda est l'animatrice du Téléjournal week-end.
Ouvrir en mode plein écranAvalanche Canada se dit attristé du décès d'un grimpeur de la Colombie-Britannique en Alberta et présente ses condoléances à sa famille.
Noémie MoukandaPublié le 13 novembre 2023 à 18 h 56 HAEPrenez note que cet article publié en 2023 pourrait contenir des informations qui ne sont plus à jour
La Gendarmerie royale du Canada (GRC) confirme que l’alpiniste de 29 ans qui a perdu la vie lors d’une avalanche samedi dans le parc provincial Peter Lougheed en Alberta venait de Squamish
C'est le premier décès cette année et on espère que ça va être le dernier
mais disons que c'est un peu tôt en saison
Le directeur général d'Avalanche Canada, Gilles Valade, ajoute que les deux personnes avaient fini de grimper et amorçaient leur descente lorsqu’elles ont été emportées par une coulée de neige venue d'en haut. Elles ont été entraînées dans un ravin. La femme a été partiellement ensevelie, mais a pu être sauvée. L’homme, complètement recouvert de neige, a succombé.
Malheureusement, c'est une situation qui semble se répéter assez régulièrement en début de saison,
André-Jean Maheu, prévisionniste d’avalanche de l’équipe de recherche et sauvetage de Squamish, estime que l’excitation du début de saison des activités de neige l’emporte souvent sur les mesures de prudence.
Souvent, dit-il, les gens sont excités de voir de la neige et commencent à faire de l'escalade de glace, [mais] en début de saison, on n'a pas nécessairement accès à toute l'information qu'on pourrait avoir durant l'hiver.
Ouvrir en mode plein écranUne avalanche a surpris deux grimpeurs de glace dans le parc provincial Peter Lougheed du comté de Kananaskis en Alberta.
Photo : La Presse canadienne / Jeff McIntosh
Bien qu’il soit tôt pour enregistrer un premier décès dû à une avalanche, Avalanche Canada rappelle que ces accidents ont eu lieu dans le passé. D'après le prévisionniste André-Jean Maheu, s'il y a suffisamment de neige pour faire du ski, il y a suffisamment de neige pour produire des avalanches.
Par ailleurs, le risque d’avalanche est d’autant plus commun avec l’escalade de glace, dit Gilles Valade, qui affirme que c’est la saison idéale pour cette activité.
L’avalanche est déclenchée naturellement, et non par les grimpeurs.
En hauteur, il y a peu de neige accompagnée de vent : Contrairement aux skieurs, planchistes et motoneigistes, explique-t-il, les grimpeurs de glace sont souvent sous des régions où il y a des avalanches.
Ce qui les expose différemment aux risques. En ski, en planche ou en motoneige, les amateurs de neige se promènent dans des terrains ou des côtes qui peuvent produire des avalanches. Par contre, en escalade, le grimpeur se trouve sur la glace et les accumulations de neige se situent au-dessus d’eux.
Les équipes de prévisionnistes et de sauvetage martèlent le même message : prudence !. Gilles Valade rappelle qu’il faut être formé, bien équipé et avoir une bonne compréhension des conditions avant de s’aventurer en montagne.
On est en début de saison. Il faut être très prudent parce qu'on n'est pas encore habitué à se sensibiliser aux avalanches.
Une saison n’étant pas une autre, il est difficile de prédire à quoi s’attendre cette année.
On ne peut pas se baser sur l'année dernière ou les prévisions météorologiques, lance M. Valade. Cependant, le directeur d’Avalanche Canada cite différents éléments qui vont influer sur la saison des avalanches, soit la quantité de la neige, la température à laquelle elle tombe, mais aussi le vent.
La saison dernière, de l’automne 2022 au printemps, Avalanche Canada avait comptabilisé 15 décès dans l’Ouest canadien, alors que la moyenne annuelle des 10 dernières années oscille autour de 11 vies perdues. On avait quand même des manteaux neigeux problématiques l'an dernier, donc on espère que cette année ça va aller mieux, se souvient Gilles Valade.
C'est le premier décès cette année et on espère que ça va être le dernier
Selon Avalanche Canada, l'accident s'est produit quand la victime et une femme de 26 ans escaladaient de la glace dans le comté albertain de Kananaskis
Le directeur général d'Avalanche Canada
ajoute que les deux personnes avaient fini de grimper et amorçaient leur descente lorsqu’elles ont été emportées par une coulée de neige venue d'en haut
Elles ont été entraînées dans un ravin
La femme a été partiellement ensevelie
c'est une situation qui semble se répéter assez régulièrement en début de saison
prévisionniste d’avalanche de l’équipe de recherche et sauvetage de Squamish
estime que l’excitation du début de saison des activités de neige l’emporte souvent sur les mesures de prudence
les gens sont excités de voir de la neige et commencent à faire de l'escalade de glace
on n'a pas nécessairement accès à toute l'information qu'on pourrait avoir durant l'hiver
Bien qu’il soit tôt pour enregistrer un premier décès dû à une avalanche
Avalanche Canada rappelle que ces accidents ont eu lieu dans le passé
D'après le prévisionniste André-Jean Maheu
s'il y a suffisamment de neige pour faire du ski
il y a suffisamment de neige pour produire des avalanches
le risque d’avalanche est d’autant plus commun avec l’escalade de glace
qui affirme que c’est la saison idéale pour cette activité
L’avalanche est déclenchée naturellement
il y a peu de neige accompagnée de vent : Contrairement aux skieurs
les grimpeurs de glace sont souvent sous des régions où il y a des avalanches
Ce qui les expose différemment aux risques
les amateurs de neige se promènent dans des terrains ou des côtes qui peuvent produire des avalanches
le grimpeur se trouve sur la glace et les accumulations de neige se situent au-dessus d’eux
Les équipes de prévisionnistes et de sauvetage martèlent le même message : prudence !
Gilles Valade rappelle qu’il faut être formé
bien équipé et avoir une bonne compréhension des conditions avant de s’aventurer en montagne
Il faut être très prudent parce qu'on n'est pas encore habitué à se sensibiliser aux avalanches
Une saison n’étant pas une autre
il est difficile de prédire à quoi s’attendre cette année
On ne peut pas se baser sur l'année dernière ou les prévisions météorologiques
le directeur d’Avalanche Canada cite différents éléments qui vont influer sur la saison des avalanches
la température à laquelle elle tombe
Avalanche Canada avait comptabilisé 15 décès dans l’Ouest canadien
alors que la moyenne annuelle des 10 dernières années oscille autour de 11 vies perdues
On avait quand même des manteaux neigeux problématiques l'an dernier
donc on espère que cette année ça va aller mieux
Noémie Moukanda est l'animatrice du Téléjournal week-end
Selon Avalanche Canada, l'accident s'est produit quand la victime et une femme de 26 ans escaladaient de la glace dans le comté albertain de Kananaskis
La Gendarmerie royale du Canada (GRC) confirme que l’alpiniste de 29 ans qui a perdu la vie lors d’une avalanche samedi dans le parc provincial Peter Lougheed en Alberta venait de Squamish
dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"La Première Nation de Squamish s’est opposée à une décision de Pêches et Océans Canada en 2014
qui augmentait sa part de saumon de 20 000 à 30 000 poissons
alléguant que ce n'était pas suffisant
L’organisme fédéral avait également augmenté les quotas de la Première Nation pour le saumon du Pacifique et le saumon rose
La Première Nation de Squamish a donc demandé une révision judiciaire
car elle demandait un quota de 70 000 saumons rouges pour des fins de subsistance et de cérémonie
Dans la décision publiée mercredi
la juge de la Cour fédérale Ann Marie McDonald a jugé que le directeur régional de Pêches et Océans avait « pris une décision raisonnable de manière équitable qui respecte les limites constitutionnelles de sa discrétion »
La Première Nation de Squamish affirme que sa part d’environ 5 saumons rouges par personne est insuffisante aux besoins de la communauté
Elle note également que cette part est inférieure à celle de 48 saumons par personne accordée à d’autres groupes autochtones
Le jugement indique que la Première Nation de Squamish n’a pas réussi à démontrer que le nombre est inadéquat et n’a pas abordé la question de savoir « pourquoi d’autres poissons ne peuvent pas satisfaire les besoins de la communauté »
Le saumon rouge est considéré comme un poisson de valeur pour sa saveur riche et sa chair ferme
Pêches et Océans Canada a déclaré en septembre 2017 que seulement 1,5 million de saumons rouges étaient revenus frayer dans le fleuve Fraser
soit bien moins que les 4,4 millions prévus
Ouvrir en mode plein écranL'effondrement inattendu de la population de saumon rouge du fleuve Fraser en 2009 a entraîné une enquête fédérale
Une Première Nation de la Colombie-Britannique qui demandait un plus important quota du saumon rouge
La Première Nation de Squamish s’est opposée à une décision de Pêches et Océans Canada en 2014
qui augmentait sa part de saumon de 20 000 à 30 000 poissons
L’organisme fédéral avait également augmenté les quotas de la Première Nation pour le saumon du Pacifique et le saumon rose
La Première Nation de Squamish a donc demandé une révision judiciaire
car elle demandait un quota de 70 000 saumons rouges pour des fins de subsistance et de cérémonie
la juge de la Cour fédérale Ann Marie McDonald a jugé que le directeur régional de Pêches et Océans avait « pris une décision raisonnable de manière équitable qui respecte les limites constitutionnelles de sa discrétion »
La Première Nation de Squamish affirme que sa part d’environ 5 saumons rouges par personne est insuffisante aux besoins de la communauté
Elle note également que cette part est inférieure à celle de 48 saumons par personne accordée à d’autres groupes autochtones
Le jugement indique que la Première Nation de Squamish n’a pas réussi à démontrer que le nombre est inadéquat et n’a pas abordé la question de savoir « pourquoi d’autres poissons ne peuvent pas satisfaire les besoins de la communauté »
Le saumon rouge est considéré comme un poisson de valeur pour sa saveur riche et sa chair ferme
Pêches et Océans Canada a déclaré en septembre 2017 que seulement 1,5 million de saumons rouges étaient revenus frayer dans le fleuve Fraser
soit bien moins que les 4,4 millions prévus
La Première Nation de Squamish s’est opposée à une décision de Pêches et Océans Canada en 2014
Le temps de préparation spirituelle qu'est l’avent est aussi marqué par le silence. Les soeurs se concentrent plus sur la prière et ont moins de communications avec l'extérieur, notamment avec leur famille.
Puis, les huit jours avant Noël se célèbrent tout en douceur avec les antiennes Ô, un chant qui introduit le sommet de leur prière du soir et qui peut être répété à la fin du cantique. Du 17 au 23 décembre, chaque jour a son antienne particulière.
Ces antiennes sont tirées de l’Ancien Testament et expriment l’anticipation de l’arrivée du Sauveur, raconte sœur Marie Étienne.
Elle explique que, contrairement aux gens qui font leurs décorations de Noël tôt et les enlèvent tôt, les dominicaines contemplatives installent leurs décorations, dont la crèche sous l’arbre, vers le 22 ou le 23 décembre.
décembre","text":"Dans le monde, on peut se laisser emporter par les célébrations qui arrivent avant Noël, mais pour nous, Noël, ça commence vraiment la soirée du 24décembre"}}\">Dans le monde, on peut se laisser emporter par les célébrations qui arrivent avant Noël, mais pour nous, Noël, ça commence vraiment la soirée du 24 décembre, explique sœur Marie Étienne.
La veille de Noël, se passe toujours dans la prière en célébrant l’annonce de la venue du Sauveur.
venia, qui est une prostration au sol","text":"Nous nous réunissons pour faire une annonce solennelle de la venue de Jésus [...] puis nous faisons une venia, qui est une prostration au sol"}}\">Nous nous réunissons pour faire une annonce solennelle de la venue de Jésus [...] puis nous faisons une venia, qui est une prostration au sol, raconte sœur Marie Étienne.
Ensuite, les sœurs vont dans la chapelle pour y chanter les vigiles de Noël suivies de la messe de minuit. Puis commencent huit jours de célébrations de Noël.
Passer Noël loin de la famille n’est facile pour personne. Pour ne pas se sentir trop loin de leur famille, chaque sœur apporte un peu de sa tradition à Noël.
Sœur Marie Étienne raconte que, pour certaines sœurs, il y a des chants de Noël qu’il faut absolument chanter. Pour d'autres, ce sont les mets traditionnels qui permettent de se sentir chez soi. Soeur Marie Étienne, par exemple, a demandé à ce qu’il y ait de la tourtière à Noël et du sucre à la crème.
On essaie d’intégrer des choses qui signifient Noël pour les différentes sœurs. [...] Ça enrichit l’expérience de Noël pour tout le monde.
Après la messe de minuit, les moniales, malgré la fatigue de leur longue journée de prière, se réunissent pour célébrer un peu comme tout le monde.
ans prennent un verre et vont se coucher et les plus jeunes restent éveillées un peu plus longtemps","text":"Les sœurs de 80ans prennent un verre et vont se coucher et les plus jeunes restent éveillées un peu plus longtemps"}}\">Les sœurs de 80 ans prennent un verre et vont se coucher, et les plus jeunes restent éveillées un peu plus longtemps, dit sœur Marie Étienne en riant.
Les cadeaux qui ont été placés sous l'arbre de Noël avec une sculpture de l’Enfant-Jésus se donnent le lendemain.
Parfois, ce sont les sœurs qui s'échangent des cadeaux, parfois nous achetons des choses utiles pour la communauté comme des vêtements de travail. [...] L’année passée, nous avons reçu un filet de badminton avec des raquettes, dit-elle, le sourire aux lèvres.
Si la fête de Noël est une occasion pour les moniales dominicaines de célébrer, leur regard reste tourné vers Pâques.
Pâques, c’est la résurrection du Christ, c’est l’accomplissement du Salut. Mais la venue du Sauveur est importante, mais sans le mystère de Pâques, ce n’est pas complet, dit sœur Marie Étienne.
Monia Blanchet est vidéojournaliste à Radio-Canada à Vancouver. Elle réalise des sujets visuels publiés sur le web, les réseaux sociaux et diffusés la télévision. Elle s'intéresse particulièrement à des sujets de société qui mettent l'accent sur l'humain et l'engagement communautaire.
Ouvrir en mode plein écranLe monastère Queen of Peace est situé à une vingtaine de minutes du centre-ville de Squamish, au milieu des montagnes et de la forêt.
Monia BlanchetPublié le 20 décembre 2023 à 8 h 58 HAEPrenez note que cet article publié en 2023 pourrait contenir des informations qui ne sont plus à jour.
Au monastère Queen of Peace, dans la vallée du haut Squamish, une douzaine de moniales se préparent tranquillement à célébrer la fête de Noël tout en partageant les traditions de chacune des membres de la communauté.
La mission des moniales dominicaines contemplatives est une vie de prière. Elles choisissent de vivre dans des lieux propices au silence, comme au monastère Queen Of Peace, au coeur de la nature qui se déploie sur les terres ancestrales de la nation Squamish.
C’est donc tout en prières qu'elles se préparent à la fête de Noël. dimanches avant Noël","text":"C’est dans la célébration des psaumes et de la messe qu’on entre dans le rythme de la saison de l’avent. [...] Le temps de l’avent commence 4dimanches avant Noël"}}'>C’est dans la célébration des psaumes et de la messe qu’on entre dans le rythme de la saison de l’avent. [...] Le temps de l’avent commence quatre dimanches avant Noël, explique sœur Marie Étienne.
3:08Le temps de préparation spirituelle qu'est l’avent est aussi marqué par le silence. Les soeurs se concentrent plus sur la prière et ont moins de communications avec l'extérieur, notamment avec leur famille.
Puis, les huit jours avant Noël se célèbrent tout en douceur avec les antiennes Ô, un chant qui introduit le sommet de leur prière du soir et qui peut être répété à la fin du cantique. Du 17 au 23 décembre, chaque jour a son antienne particulière.
Ces antiennes sont tirées de l’Ancien Testament et expriment l’anticipation de l’arrivée du Sauveur, raconte sœur Marie Étienne.
0:37Soeur Marie Étienne chante, en anglais, l'antienne « Ô Roi des nations, seule joie de l'âme humaine, ô pierre angulaire de l'arche de la création, viens sauver ceux que tu as façonnés avec la poussière de la terre ».
Elle explique que, contrairement aux gens qui font leurs décorations de Noël tôt et les enlèvent tôt, les dominicaines contemplatives installent leurs décorations, dont la crèche sous l’arbre, vers le 22 ou le 23 décembre.
décembre","text":"Dans le monde, on peut se laisser emporter par les célébrations qui arrivent avant Noël, mais pour nous, Noël, ça commence vraiment la soirée du 24décembre"}}'>Dans le monde, on peut se laisser emporter par les célébrations qui arrivent avant Noël, mais pour nous, Noël, ça commence vraiment la soirée du 24 décembre, explique sœur Marie Étienne.
La veille de Noël, se passe toujours dans la prière en célébrant l’annonce de la venue du Sauveur.
venia, qui est une prostration au sol","text":"Nous nous réunissons pour faire une annonce solennelle de la venue de Jésus [...] puis nous faisons une venia, qui est une prostration au sol"}}'>Nous nous réunissons pour faire une annonce solennelle de la venue de Jésus [...] puis nous faisons une venia, qui est une prostration au sol, raconte sœur Marie Étienne.
Ensuite, les sœurs vont dans la chapelle pour y chanter les vigiles de Noël suivies de la messe de minuit. Puis commencent huit jours de célébrations de Noël.
Passer Noël loin de la famille n’est facile pour personne. Pour ne pas se sentir trop loin de leur famille, chaque sœur apporte un peu de sa tradition à Noël.
Sœur Marie Étienne raconte que, pour certaines sœurs, il y a des chants de Noël qu’il faut absolument chanter. Pour d'autres, ce sont les mets traditionnels qui permettent de se sentir chez soi. Soeur Marie Étienne, par exemple, a demandé à ce qu’il y ait de la tourtière à Noël et du sucre à la crème.
On essaie d’intégrer des choses qui signifient Noël pour les différentes sœurs. [...] Ça enrichit l’expérience de Noël pour tout le monde.
Après la messe de minuit, les moniales, malgré la fatigue de leur longue journée de prière, se réunissent pour célébrer un peu comme tout le monde.
ans prennent un verre et vont se coucher et les plus jeunes restent éveillées un peu plus longtemps","text":"Les sœurs de 80ans prennent un verre et vont se coucher et les plus jeunes restent éveillées un peu plus longtemps"}}'>Les sœurs de 80 ans prennent un verre et vont se coucher, et les plus jeunes restent éveillées un peu plus longtemps, dit sœur Marie Étienne en riant.
Les cadeaux qui ont été placés sous l'arbre de Noël avec une sculpture de l’Enfant-Jésus se donnent le lendemain.
Ouvrir en mode plein écranSoeur Marie Étienne a choisi de vivre au monastère Queen of Peace de Squamish après un séjour de trois mois qui se terminait par la fête de Noël.
Parfois, ce sont les sœurs qui s'échangent des cadeaux, parfois nous achetons des choses utiles pour la communauté comme des vêtements de travail. [...] L’année passée, nous avons reçu un filet de badminton avec des raquettes, dit-elle, le sourire aux lèvres.
Si la fête de Noël est une occasion pour les moniales dominicaines de célébrer, leur regard reste tourné vers Pâques.
Pâques, c’est la résurrection du Christ, c’est l’accomplissement du Salut. Mais la venue du Sauveur est importante, mais sans le mystère de Pâques, ce n’est pas complet, dit sœur Marie Étienne.
La mission des moniales dominicaines contemplatives est une vie de prière
Elles choisissent de vivre dans des lieux propices au silence
au coeur de la nature qui se déploie sur les terres ancestrales de la nation Squamish
C’est donc tout en prières qu'elles se préparent à la fête de Noël
dimanches avant Noël","text":"C’est dans la célébration des psaumes et de la messe qu’on entre dans le rythme de la saison de l’avent
[...] Le temps de l’avent commence 4dimanches avant Noël"}}\\\">C’est dans la célébration des psaumes et de la messe qu’on entre dans le rythme de la saison de l’avent
[...] Le temps de l’avent commence quatre dimanches avant Noël
Le temps de préparation spirituelle qu'est l’avent est aussi marqué par le silence
Les soeurs se concentrent plus sur la prière et ont moins de communications avec l'extérieur
où il revient pour nous sauver encore et il y a une venue de tous les jours: Jésus dans l’autre
Dieu dans le moment","text":"On essaie de vivre cette anticipation de la venue de Jésus
Il y a la venue historique d’il y a 2020ans
Dieu dans le moment"}}\\\">On essaie de vivre cette anticipation de la venue de Jésus
Il y a la venue historique d’il y a 2020 ans
où il revient pour nous sauver encore et il y a une venue de tous les jours : Jésus dans l’autre
les huit jours avant Noël se célèbrent tout en douceur avec les antiennes Ô
un chant qui introduit le sommet de leur prière du soir et qui peut être répété à la fin du cantique
chaque jour a son antienne particulière
Ces antiennes sont tirées de l’Ancien Testament et expriment l’anticipation de l’arrivée du Sauveur
contrairement aux gens qui font leurs décorations de Noël tôt et les enlèvent tôt
les dominicaines contemplatives installent leurs décorations
vers le 22 ou le 23 décembre
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les sœurs vont dans la chapelle pour y chanter les vigiles de Noël suivies de la messe de minuit
Puis commencent huit jours de célébrations de Noël
décembre est la fête de Saint-Étienne
puis c’est la fête de l’évangéliste Saint-Jean
et nous continuons à chanter des psaumes qui parlent de la venue de Jésus
à célébrer la naissance du Christ","text":"Le 26décembre est la fête de Saint-Étienne
à célébrer la naissance du Christ"}}\\\">Le 26 décembre est la fête de Saint-Étienne
à célébrer la naissance du Christ
Passer Noël loin de la famille n’est facile pour personne
Pour ne pas se sentir trop loin de leur famille
chaque sœur apporte un peu de sa tradition à Noël
il y a des chants de Noël qu’il faut absolument chanter
ce sont les mets traditionnels qui permettent de se sentir chez soi
a demandé à ce qu’il y ait de la tourtière à Noël et du sucre à la crème
On essaie d’intégrer des choses qui signifient Noël pour les différentes sœurs
[...] Ça enrichit l’expérience de Noël pour tout le monde
malgré la fatigue de leur longue journée de prière
se réunissent pour célébrer un peu comme tout le monde
ans prennent un verre et vont se coucher et les plus jeunes restent éveillées un peu plus longtemps","text":"Les sœurs de 80ans prennent un verre et vont se coucher et les plus jeunes restent éveillées un peu plus longtemps"}}\\\">Les sœurs de 80 ans prennent un verre et vont se coucher
et les plus jeunes restent éveillées un peu plus longtemps
Les cadeaux qui ont été placés sous l'arbre de Noël avec une sculpture de l’Enfant-Jésus se donnent le lendemain
ce sont les sœurs qui s'échangent des cadeaux
parfois nous achetons des choses utiles pour la communauté comme des vêtements de travail
nous avons reçu un filet de badminton avec des raquettes
Si la fête de Noël est une occasion pour les moniales dominicaines de célébrer
leur regard reste tourné vers Pâques
c’est la résurrection du Christ
c’est l’accomplissement du Salut
Monia Blanchet est vidéojournaliste à Radio-Canada à Vancouver
Elle réalise des sujets visuels publiés sur le web
les réseaux sociaux et diffusés la télévision
Elle s'intéresse particulièrement à des sujets de société qui mettent l'accent sur l'humain et l'engagement communautaire
[...] Le temps de l’avent commence 4dimanches avant Noël"}}\">C’est dans la célébration des psaumes et de la messe qu’on entre dans le rythme de la saison de l’avent
Découvrez comment les moniales dominicaines contemplatives célèbrent Noël tout en gardant des traditions
Dieu dans le moment"}}\">On essaie de vivre cette anticipation de la venue de Jésus
les soeur du monastères Queen of Peace chantent les antiennes
des refrains qui introduit une prière et qui peut être répété à la fin
ça commence vraiment la soirée du 24décembre"}}\">Dans le monde
qui est une prostration au sol"}}\">Nous nous réunissons pour faire une annonce solennelle de la venue de Jésus [...] puis nous faisons une venia
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une douzaine de moniales se préparent tranquillement à célébrer la fête de Noël tout en partageant les traditions de chacune des membres de la communauté
dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"L’ordre
décrit comme « critique »
concerne les propriétés autour du lac Downton dans la vallée Bridge River et notamment autour des lacs Gun et Lajoie
près de la communauté de Gold Bridge
L’incendie a plus que doublé de taille depuis lundi lorsqu’il s’est dirigé vers l’est le long des flancs de montagne au-dessus du lac Gun où se trouvent plus de 200 chalets
Le feu de forêt mesure 8,75 kilomètres carrés mardi soir
La Gendarmerie royale du Canada appuyée par des agences provinciales s’assurera que l’évacuation des résidents se fasse le plus rapidement possible
Les évacués doivent emprunter la route vers Gold Bridge
Il est recommandé de rester avec des amis ou de la famille
car le nombre de logements disponibles dans ces communautés est limité
Ouvrir en mode plein écranLe feu de 8,75 kilomètres carrés autour du lac Downton progresse rapidement mardi soir
Le District régional de Squamish-Lillooet a ordonné mardi aux résidents des alentours d'un secteur du lac Downton
de quitter immédiatement leurs logements en raison d'un important feu de forêt
concerne les propriétés autour du lac Downton dans la vallée Bridge River et notamment autour des lacs Gun et Lajoie
L’incendie a plus que doublé de taille depuis lundi lorsqu’il s’est dirigé vers l’est le long des flancs de montagne au-dessus du lac Gun où se trouvent plus de 200 chalets
Le feu de forêt mesure 8,75 kilomètres carrés mardi soir
Feux de forêt au CanadaConsulter le dossier completSuivreSuivreLa Gendarmerie royale du Canada appuyée par des agences provinciales s’assurera que l’évacuation des résidents se fasse le plus rapidement possible
Les évacués doivent emprunter la route vers Gold Bridge
Il est recommandé de rester avec des amis ou de la famille
car le nombre de logements disponibles dans ces communautés est limité
Le District régional de Squamish-Lillooet a ordonné mardi aux résidents des alentours d'un secteur du lac Downton
de quitter immédiatement leurs logements en raison d'un important feu de forêt
Dans une déclaration envoyée par courriel
Walmart précise que des problèmes comme des disputes verbales et physiques
des fuites d'eaux usées et l'utilisation de propane et de génératrices ont mené à sa décision
les véhicules ne pourront être garés dans le stationnement du Walmart pendant plus de trois heures
Nous compatissons à la crise du logement qui sévit actuellement au Canada et n'avons pas pris cette décision à la légère
nos stationnements existent pour répondre aux besoins à court terme des clients
et nous ne sommes pas en mesure d'offrir un stationnement à long terme
Encore beaucoup de gens dorment dans leur véhicule à Squamish
Pénurie de logements : Ucluelet adopte une approche innovatrice
Cette dernière restriction signifie qu'il y a de moins en moins d'endroits où dormir pour les personnes qui vivent dans un véhicule
qui vit dans une fourgonnette à Squamish depuis près 24 ans
est membre du groupe de défense Vehicle Residents of Squamish Advocacy Group
Il y a vraiment eu une culture de la vie en fourgonnette à Squamish
elle risque de voir des agents municipaux venir lui demander de déplacer son véhicule
La vie libre qui m'attirait tant s'est transformée en une vie de clandestinité et de stress
Thomasina Pidgeon ajoute que les gens choisissent le nomadisme automobile pour diverses raisons : ils ont été exclus du marché actuel de la location ou de l’achat immobilier
ils le font pour d’autres raisons financières ou pour des raisons de santé mentale
ils visitent la région et veulent dormir sur place plutôt qu'à l'hôtel..
préfèrent tout simplement ce mode de vie
Thomasina Pidgeon dit qu'elle a essayé de rester dans des terrains de camping
mais que ceux-ci imposent des limites à la durée du séjour et qu'elle a été expulsée parce qu'elle avait dépassé la durée d'accueil
Les terrains de camping sont également payants
Ce grand nombre de véhicules allait forcément avoir un impact à un moment ou à un autre
comme la propriété de Walmart est privée
l'entreprise a le droit de prendre cette décision
Armand Hurford indique que la Municipalité ne connaît pas le nombre exact de personnes qui vivent dans leur véhicule à Squamish
Le maire dit que la solution au problème comporte plusieurs volets et qu'il faut d'abord comprendre pourquoi les gens vivent dans leur véhicule et traiter chaque situation en conséquence
Il reconnaît que les personnes qui font du camping récréatif
celles qui n'ont pas les moyens de s'offrir un logement traditionnel et les populations vulnérables utilisent leur véhicule comme logement
L'objectif de la Municipalité est de travailler de manière acharnée sur le logement abordable
la population de Squamish a augmenté de 22 %
soit d'environ 4000 personnes par rapport à 2016
combinée au faible nombre de logements abordables
dans laquelle de plus en plus de personnes sont obligées de vivre dans des camionnettes
Ouvrir en mode plein écranLes personnes qui vivent dans des fourgonnettes
des véhicules récréatifs ou d'autres véhicules à Squamish
n'ont pratiquement plus d'endroits où se garer pour la nuit
Les personnes qui vivent dans leur véhicule à Squamish
à une soixantaine de kilomètres au nord de Vancouver
ne pourront plus se garer la nuit dans le stationnement du Walmart local après que le magasin à grande surface a annoncé qu'il n'autoriserait plus le stationnement à long terme
Walmart précise que des problèmes comme des disputes verbales et physiques
des fuites d'eaux usées et l'utilisation de propane et de génératrices ont mené à sa décision
les véhicules ne pourront être garés dans le stationnement du Walmart pendant plus de trois heures
Nous compatissons à la crise du logement qui sévit actuellement au Canada et n'avons pas pris cette décision à la légère
nos stationnements existent pour répondre aux besoins à court terme des clients
et nous ne sommes pas en mesure d'offrir un stationnement à long terme
Cette dernière restriction signifie qu'il y a de moins en moins d'endroits où dormir pour les personnes qui vivent dans un véhicule
qui vit dans une fourgonnette à Squamish depuis près 24 ans
est membre du groupe de défense Vehicle Residents of Squamish Advocacy Group
Il y a vraiment eu une culture de la vie en fourgonnette à Squamish
elle risque de voir des agents municipaux venir lui demander de déplacer son véhicule
La vie libre qui m'attirait tant s'est transformée en une vie de clandestinité et de stress
Thomasina Pidgeon ajoute que les gens choisissent le nomadisme automobile pour diverses raisons : ils ont été exclus du marché actuel de la location ou de l’achat immobilier
ils le font pour d’autres raisons financières ou pour des raisons de santé mentale
ils visitent la région et veulent dormir sur place plutôt qu'à l'hôtel..
Ouvrir en mode plein écranThomasina Pidgeon et sa fille Cedar
Thomasina Pidgeon dirige une entreprise à Squamish
mais elle dit qu'elle ne peut toujours pas se permettre de payer un logement
Thomasina Pidgeon dit qu'elle a essayé de rester dans des terrains de camping
mais que ceux-ci imposent des limites à la durée du séjour et qu'elle a été expulsée parce qu'elle avait dépassé la durée d'accueil
Les terrains de camping sont également payants
Ce grand nombre de véhicules allait forcément avoir un impact à un moment ou à un autre
l'entreprise a le droit de prendre cette décision
Armand Hurford indique que la Municipalité ne connaît pas le nombre exact de personnes qui vivent dans leur véhicule à Squamish
affirme que le district travaille « énergiquement » à la création de logements abordables dans la communauté
Le maire dit que la solution au problème comporte plusieurs volets et qu'il faut d'abord comprendre pourquoi les gens vivent dans leur véhicule et traiter chaque situation en conséquence
Il reconnaît que les personnes qui font du camping récréatif
celles qui n'ont pas les moyens de s'offrir un logement traditionnel et les populations vulnérables utilisent leur véhicule comme logement
L'objectif de la Municipalité est de travailler de manière acharnée sur le logement abordable
la population de Squamish a augmenté de 22 %
soit d'environ 4000 personnes par rapport à 2016
combinée au faible nombre de logements abordables
dans laquelle de plus en plus de personnes sont obligées de vivre dans des camionnettes
Encore beaucoup de gens dorment dans leur véhicule à Squamish
Pénurie de logements : Ucluelet adopte une approche innovatrice
ne pourront plus se garer la nuit dans le stationnement du Walmart local après que le magasin à grande surface a annoncé qu'il n'autoriserait plus le stationnement à long terme
le paysage donne l'impression d'être à des lieues d'un McDonald's
le parc provincial du Lac-Alice se trouve à peine à 10 km du centre de Squamish
les sentiers de vélo de montagne et les deux plages attirent autant les visiteurs que les gens du coin
Annick Tremblay fait un peu partie des deux groupes
La Québécoise arrive dans sa voiture surmontée d'un support à vélos - comme la majorité des voitures ici
Annick était loin de penser qu'elle habiterait un jour à Squamish
quand elle est arrivée en Colombie-Britannique
elle avait à peine entendu parler de ce joyau
reconnu il n'y a pas si longtemps comme «l'endroit où tu prends de l'essence entre Vancouver et Whistler»
dans son paradis sportif qu'elle n'entend pas quitter de sitôt
«Je suis venue à Vancouver parce que je voulais découvrir cette ville qui est leader en termes d'environnement
et c'est un domaine dans lequel j'ai étudié
c'est pour la qualité de vie et le contact avec la nature.»
Annick passait le plus clair de son temps dans la nature
elle «avait tellement la piqûre» qu'elle a décidé de se rapprocher des montagnes
un rêve pour l'ancienne skieuse du Rouge et Or de l'Université Laval
C'est une ambiance très touristique et festive»
mais c'est à Squamish qu'ils décident de s'installer
c'est plus facile d'avoir une vie normale.»
Annick aime viscéralement son Québec natal
mais elle a découvert dans sa ville d'adoption un mode de vie qu'elle ne retrouve pas dans la Belle Province
Je pense que la grande différence avec le Québec
C'est sûrement ce qui fait en sorte qu'il y a beaucoup plus de spontanéité
est-ce qu'on va faire du vélo de montagne?"
entre autres parce que tout est plus loin.»
elle glisse sa planche à pagaie maintenant gonflée jusque sur l'eau
Le temps est venteux et le fond de l'air est frais
conditions fréquentes dans son nouveau coin de pays
les kayakistes et baigneurs profitent du soleil qui a réchauffé l'eau du lac ces dernières semaines
tout le monde est venu pour les mêmes raisons et partage les mêmes passions
On est tous attirés par la même chose: le plein air
les gens sont en train de faire des activités sportives
j'avais souvent de la difficulté à me trouver des partenaires de sport.»
90 % de son réseau social est constitué de..
«Je ne sais pas combien de temps je vais vivre ici
Je pense que ce sera tant que ma famille et mes amis ne seront pas tous venus me visiter»
dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"Dans leur étude
la volcanologue Catherine Hickson et son collègue Conner Morison
de l'Université de Saint-Andrews à Édimbourg
veulent rappeler aux Britanno-Colombiens qu’ils vivent dans une région où l'activité volcanique existe
les tremblements de terre et les feux de forêt
L’étude publiée dans la revue Canadian Journal of Earth Sciences (en anglais) note que les caractéristiques physiques de la ceinture volcanique
en partie à cause de la fonte rapide des calottes glaciaires
N'oublions pas qu'il s'agit d'un volcan potentiellement actif
la fonte des glaces dans les parties élevées du volcan associée à l'utilisation du mont Garibaldi
notamment pour les Jeux olympiques d'hiver en 2010
laissent entrevoir qu'il y aura un accroissement des glissements de terrain et des lahars
soit des coulées boueuses d'origine volcanique
les probabilités que le mont Garibaldi entre en éruption sont très faibles de mon vivant et probablement de celui de mes enfants
Catherine Hickson et Conner Morison pointent du doigt le Canada
car ils estiment que le pays ne surveille pas suffisamment ses volcans
volcanologue à la Commission géologique du Canada
et le manque de financement justifient la rareté des recherches
le volcan le plus facile d’accès
mais il faut quand même le soutien d'un hélicoptère pour aller dans certains endroits
Le volcanologue affirme pourtant que dans les deux dernières années
la Commission géologique du Canada a reçu du financement pour étudier des volcans
puisqu'il s'agit d'un des volcans les plus dangereux au pays
Les volcans sont classés en trois catégories : actifs
La dernière éruption date d'environ10 000 ans
Il ajoute que la Commission géologique du Canada développe
un système d'interférométrie SAR ou technique InSAR
Cette technique de cartographie permet de surveiller des volcans à distance depuis l’espace
notamment le mont Garibaldi en Colombie-Britannique
Des satellites passent au-dessus de la Colombie-Britannique à intervalles réguliers et prennent des images et des données physiques du sol
on peut voir si les volcans ou le sol autour des volcans bougent
Yannick Le Moigne poursuit en expliquant qu'en cas de remontée de magma vers la surface
celui-ci se fraye un chemin à travers la croûte terrestre
Ces changements sont ainsi visibles depuis l’espace grâce à cette surveillance par InSAR
Au mois de janvier 2023, des scientifiques du Centre de recherche sur les dangers naturels de l'Université Simon Fraser ont lancé un questionnaire à destination du public britanno-colombien
Ils souhaitaient connaître les lacunes des connaissances des résidents quant aux risques posés par les volcans
Le sondage est accessible jusqu’au 31 mars 2023
mais le volcanologue explique que plus de 2400 réponses ont été collectées et il y a des réponses plutôt encourageantes
édimestre et réalisatrice associée au numérique à Vancouver
elle a fait de la Colombie-Britannique sa province d'adoption en 2020
elle touche à tous les domaines liés à l'actualité britanno-colombienne et s'intéresse aux questions sociales
Ouvrir en mode plein écranLe mont Garibaldi est à environ 30 km de Whistler et Squamish
un volcan dormant du sud-ouest de la Colombie-Britannique
représenterait la plus grande menace d'éruption volcanique pour les habitants et infrastructures de la région allant de Whistler à Vancouver
la volcanologue Catherine Hickson et son collègue Conner Morison
de l'Université de Saint-Andrews à Édimbourg
veulent rappeler aux Britanno-Colombiens qu’ils vivent dans une région où l'activité volcanique existe
les tremblements de terre et les feux de forêt
en partie à cause de la fonte rapide des calottes glaciaires
la fonte des glaces dans les parties élevées du volcan associée à l'utilisation du mont Garibaldi
notamment pour les Jeux olympiques d'hiver en 2010
soit des coulées boueuses d'origine volcanique
les probabilités que le mont Garibaldi entre en éruption sont très faibles de mon vivant et probablement de celui de mes enfants
volcanologue à la Commission géologique du Canada
et le manque de financement justifient la rareté des recherches
mais il faut quand même le soutien d'un hélicoptère pour aller dans certains endroits
Le volcanologue affirme pourtant que dans les deux dernières années
la Commission géologique du Canada a reçu du financement pour étudier des volcans
Les volcans sont classés en trois catégories : actifs
La dernière éruption date d'environ10 000 ans
Il ajoute que la Commission géologique du Canada développe
un système d'interférométrie SAR ou technique InSAR
Cette technique de cartographie permet de surveiller des volcans à distance depuis l’espace
Des satellites passent au-dessus de la Colombie-Britannique à intervalles réguliers et prennent des images et des données physiques du sol
Ouvrir en mode plein écranUn satellite utilisant la technique InSAR
en développement à la Commission géologique du Canada
Photo : Fournie par Ressources naturelles Canada
Yannick Le Moigne poursuit en expliquant qu'en cas de remontée de magma vers la surface
celui-ci se fraye un chemin à travers la croûte terrestre
Ces changements sont ainsi visibles depuis l’espace grâce à cette surveillance par InSAR
Ils souhaitaient connaître les lacunes des connaissances des résidents quant aux risques posés par les volcans
Le sondage est accessible jusqu’au 31 mars 2023
mais le volcanologue explique que plus de 2400 réponses ont été collectées et il y a des réponses plutôt encourageantes
L’étude publiée dans la revue Canadian Journal of Earth Sciences (en anglais) note que les caractéristiques physiques de la ceinture volcanique
Au mois de janvier 2023, des scientifiques du Centre de recherche sur les dangers naturels de l'Université Simon Fraser ont lancé un questionnaire à destination du public britanno-colombien
représenterait la plus grande menace d'éruption volcanique pour les habitants et infrastructures de la région allant de Whistler à Vancouver
dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"« Franchement
a expliqué Wolfgang Richter qui est à l'origine de ce projet appelé « Garibaldi at Squamish » et dont l'idée remonte à une vingtaine d'années
Sa station de ski aurait 23 remonte-pentes et 124 pistes
d'accéder plus facilement à l'arrière-pays
Le projet fait l'objet d'un processus d'évaluation environnemental du gouvernement
Des portes ouvertes organisées à Squamish jeudi permettent au public de mieux comprendre son initiative
Ouvrir en mode plein écranUn telesiège à la station de ski Big White en Colombie-Britannique
Prenez note que cet article publié en 2015 pourrait contenir des informations qui ne sont plus à jour
a expliqué Wolfgang Richter qui est à l'origine de ce projet appelé « Garibaldi at Squamish » et dont l'idée remonte à une vingtaine d'années
Sa station de ski aurait 23 remonte-pentes et 124 pistes
d'accéder plus facilement à l'arrière-pays
Le projet fait l'objet d'un processus d'évaluation environnemental du gouvernement
Des portes ouvertes organisées à Squamish jeudi permettent au public de mieux comprendre son initiative
Un promoteur veut construire une immense station de ski munie d'hôtels et de logements privés au nord de Squamish en Colombie-Britannique. Le projet de 5,2 milliards de dollars situé sur la crête Brohm aura un effet sur le paysage sauvage de la région
dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"Les deux victimes s'en sont sorties avec des coupures et des ecchymoses
L'attaque a eu lieu jeudi soir vers 20 h dans la zone de Garibaldi Estates
Des agents de la faune de la Colombie-Britannique ont expliqué avoir installé un piège pour l'ours
Les attaques d'ours territoriaux sont rares à Squamish
l'ours avait été vu au milieu d'arbres fruitiers et des déchets non protégés
Le district de Squamish a indiqué que la recherche de nourriture a conduit à une activité « extrêmement élevée » d'ours noirs dans le secteur
Il recommande aux résidents de Squamish d'être prudents et de protéger leurs déchets
Prenez note que cet article publié en 2016 pourrait contenir des informations qui ne sont plus à jour
Deux résidents de Squamish ont été blessés après avoir été attaqués par un ours noir territorial sur les escaliers à l'arrière de leur maison
Les deux victimes s'en sont sorties avec des coupures et des ecchymoses
L'attaque a eu lieu jeudi soir vers 20 h dans la zone de Garibaldi Estates
Des agents de la faune de la Colombie-Britannique ont expliqué avoir installé un piège pour l'ours
Les attaques d'ours territoriaux sont rares à Squamish
l'ours avait été vu au milieu d'arbres fruitiers et des déchets non protégés
Le district de Squamish a indiqué que la recherche de nourriture a conduit à une activité « extrêmement élevée » d'ours noirs dans le secteur
Il recommande aux résidents de Squamish d'être prudents et de protéger leurs déchets
Deux résidents ont été légèrement blessés par un ours derrière leur maison à Squamish en Colombie-Britannique
car les ours se nourrissent beaucoup ces temps-ci en vue de leur hibernation
Il y a des académies pour les chanteurs et pour les magiciens
mais il y a aussi des académies pour les grimpeurs
Compte rendu de l’école éphémère de grimpe d’Arc’teryx
qui tient ses classes chaque année à Squamish
À lire aussi - Les meilleurs cafés-escalade à découvrir au Québec
Il faut dire que celle-ci est plutôt difficile à manquer dans la ville de 20 000 habitants : un immense dôme ainsi que plusieurs kiosques occupent tout un parc du centre-ville, quelques rues sont fermées et un stationnement pour vélos est même installé temporairement. Sans compter que le logo de l’archéoptéryx est visible partout en ville pour quelques heures.
Puisque des cliniques de formation peuvent sembler extraordinaires — ou très ordinaires! — sur papier, quoi de mieux que d’en tester quelques-unes? C’est ce que nous avons fait pour vous faire bénéficier de quelques pépites de conseils prodigués par certains des athlètes présents.
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Pas de chance pour une des participantes : tôt en journée, elle se cogne très sérieusement le coude droit, assez fort pour en avoir les doigts engourdis – elle prend donc le chemin de l’urgence. Un rappel que même durant une clinique, des accidents peuvent survenir.
La preuve que la formation fonctionne? Pendant un bon moment, Alannah a échangé avec un des participants, Steve; peu de temps après, il a enchaîné sa toute première 5.11a à vue. Le cri de victoire qu’il a lâché à la fin lui a valu une salve d’applaudissements de la part de toute notre équipe.
Conseil de pro: pour éviter les blessures, il faut se réchauffer, peu importe son niveau.
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À lire aussi - Les 7 commandements pour éviter de se blesser en escalade
À 23 ans seulement, ce grimpeur de bloc compte parmi les plus forts de la planète, et il a déjà enchaîné une poignée de V16 et un grand nombre de V15. Durant son bref passage à Squamish, malgré des conditions météo ordinaires, il a complété un V14 en peu de temps, pendant une semaine de « repos ».
Conseil de pro : si vous ne réussissez pas un bloc au premier essai, travaillez le problème en commençant par la fin.
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Avec lui, ce n’est qu’après une longue révision de tous les aspects de sécurité de l’escalade que les participants s’attaquent au rocher. Et Will, avec son œil avisé, repère vite les faiblesses ou les erreurs des participants. Une position de corde hasardeuse ici, un mauvais transfert de poids par là-bas : rien ne lui échappe.
L’énergie et la motivation de Will se communiquent bientôt au petit groupe, et chacun des participants va tenter, au fil des heures, de repousser ses limites. Le titre de la clinique s’avère bien choisi : tout le monde semble extrêmement motivé à l’idée de continuer à progresser après la journée.
Conseil de pro : il faut rester motivé(e), mais il faut pousser ses limites en toute sécurité (ou en toute connaissance des risques).
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Ce qui est fascinant dans ces ateliers – et c’est un phénomène qui s’est produit dans toutes les cliniques –
c’est qu’on passe d’une portion qui se veut assez théorique et encadrée à des échanges beaucoup plus informels sur toutes sortes de choses
De quoi rendre beaucoup plus humains ces athlètes qu’on ne connaît souvent qu’à travers des écrans
Notons que ce sont probablement les grimpeurs débutants et intermédiaires qui vont bénéficier le plus de ce genre de clinique : les athlètes ont fourni une foule de trucs et de tactiques pouvant s’avérer utiles
Si on n’obtient pas un certificat d’académicien de la grimpe après trois jours de formation intensive
une chose est sûre : entre les rappels sur la sécurité
les trucs pour mieux performer et la motivation contagieuse des participants
il est difficile de ne pas se sentir comme un diplômé de la grimpe en repartant de là
On se voit à la 16e cuvée de l’académie l’été 2023
Cette fin de semaine de célébrations sous le signe de l’oiseau-dinosaure était aussi l’occasion de lancer un programme unique d’Arc’teryx
qui vise à promouvoir le recyclage et la réutilisation
le manufacturier veut tendre vers la fabrication de produits plus « circulaires » pour réduire l’utilisation de matériel
Arc’teryx veut aider à prolonger la durée de vie des produits déjà sur le marché
où les consommateurs peuvent apporter des vêtements troués ou usés pour tenter de les faire réparer
On peut entre autres faire appliquer du déperlant sur un vieil imper-respirant
faire évaluer un vêtement pour déterminer s’il est possible de le réparer ou encore apprendre à mieux prendre soin de pièces techniques
Ces boutiques nouveau genre se trouvent déjà à New York et Toronto
alors que Pékin et Tokyo auront les leurs sous peu; rien n’est prévu pour le Québec ou l’est du Canada pour l’instant
L’entreprise souligne que ces sites de réparation répondront à la demande
L’auteur était l’invité d’Arc’teryx
À lire aussi - 8 endroits de rêve à explorer l'été en Colombie-Britannique
dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"Le règlement
qui interdirait de dormir dans une tente ou un véhicule sur les terres publiques
sera discuté par le conseil du district mardi
les contrevenants risqueront des amendes allant jusqu’à 5000 $
Les autorités précisent qu’il ne s’agit pour l’instant que d’une proposition et assurent que la réglementation vise les campeurs saisonniers et non les résidents de Squamish qui vivent dans leur véhicule toute l’année
il y a une quarantaine de personnes dans cette situation à Squamish
mais certains habitants estiment qu’ils sont plutôt entre 200 et 300
Thomasina Pidgeon a choisi d’adopter un mode de vie lui permettant de vivre pleinement son côté plus nomade
Sa fille de 12 ans et elle vivent aujourd’hui à Squamish dans une fourgonnette Toyota Sienna transformée
« Le district me dit que je ne peux plus vivre dans ma fourgonnette
sauf si je la conduis très loin de la ville
Elle reconnaît que certains campeurs agissent de manière irresponsable dans la région
qui est très populaire auprès des adeptes de plein air
Elle craint toutefois que le règlement
n'ait des conséquences négatives imprévues
Thomasina Pidgeon a donc lancé une pétition cette semaine
dans laquelle elle propose certaines modifications à apporter au règlement
près de 1500 personnes y ont apposé leur nom
le règlement proposé ne touche pas ceux qui vivent « paisiblement » dans leur véhicule
« Il y a des gens qui visitent notre communauté et qui choisissent de vivre dans leur fourgonnette
nous demandons qu’ils respectent les règles exigeant qu’ils ne laissent pas de traces de leur passage. »
Nous souhaitons trouver un équilibre entre les besoins des visiteurs et ceux de nos résidents
Nous voulons prendre en charge la minorité qui cause des problèmes
La mairesse affirme que certains visiteurs sont bruyants et laissent des déchets derrière eux
Certaines personnes qui vivent dans leur véhicule comprennent les motivations du district
mais considèrent qu’il est nécessaire de trouver une façon de distinguer les habitants des visiteurs
« Quand je regarde le règlement proposé
qui fait partie du regroupement Vehicle Residents of Squamish Advocacy Group
Il propose d’instaurer un système de permis
« Peut-être qu’il faudrait payer certains frais
un petit montant représentatif de l’espace occupé
mais qui permettrait d’indiquer qu’une personne a le droit de se trouver à un certain endroit »
La solution des permis est également mise de l’avant dans la pétition de Thomasina Pidgeon
Ouvrir en mode plein écranThomasina Pidgeon et sa fille habitent à Squamish dans une fourgonnette Toyota Sienna qui a été aménagée pour y vivre
certains considèrent que les règles proposées menacent le mode de vie de ceux qui vivent dans leur véhicule
qui interdirait de dormir dans une tente ou un véhicule sur les terres publiques
sera discuté par le conseil du district mardi
les contrevenants risqueront des amendes allant jusqu’à 5000 $
Les autorités précisent qu’il ne s’agit pour l’instant que d’une proposition et assurent que la réglementation vise les campeurs saisonniers et non les résidents de Squamish qui vivent dans leur véhicule toute l’année
il y a une quarantaine de personnes dans cette situation à Squamish
mais certains habitants estiment qu’ils sont plutôt entre 200 et 300
Thomasina Pidgeon a choisi d’adopter un mode de vie lui permettant de vivre pleinement son côté plus nomade
Sa fille de 12 ans et elle vivent aujourd’hui à Squamish dans une fourgonnette Toyota Sienna transformée
« Le district me dit que je ne peux plus vivre dans ma fourgonnette
sauf si je la conduis très loin de la ville
Elle reconnaît que certains campeurs agissent de manière irresponsable dans la région
qui est très populaire auprès des adeptes de plein air
n'ait des conséquences négatives imprévues
Thomasina Pidgeon a donc lancé une pétition cette semaine
dans laquelle elle propose certaines modifications à apporter au règlement
près de 1500 personnes y ont apposé leur nom
le règlement proposé ne touche pas ceux qui vivent « paisiblement » dans leur véhicule
« Il y a des gens qui visitent notre communauté et qui choisissent de vivre dans leur fourgonnette
nous demandons qu’ils respectent les règles exigeant qu’ils ne laissent pas de traces de leur passage
Nous souhaitons trouver un équilibre entre les besoins des visiteurs et ceux de nos résidents
Nous voulons prendre en charge la minorité qui cause des problèmes
La mairesse affirme que certains visiteurs sont bruyants et laissent des déchets derrière eux
Certaines personnes qui vivent dans leur véhicule comprennent les motivations du district
mais considèrent qu’il est nécessaire de trouver une façon de distinguer les habitants des visiteurs
Il propose d’instaurer un système de permis
« Peut-être qu’il faudrait payer certains frais
un petit montant représentatif de l’espace occupé
mais qui permettrait d’indiquer qu’une personne a le droit de se trouver à un certain endroit »
La solution des permis est également mise de l’avant dans la pétition de Thomasina Pidgeon
Alors que le district de Squamish envisage de limiter le camping sauvage sur son territoire
selon le Centre des opérations d'urgence de Squamish
Cette montagne se trouve dans un parc provincial très apprécié des randonneurs et des grimpeurs situé entre Vancouver et Whistler en Colombie-Britannique
Un morceau de rocher d'environ 1000 mètres cubes s'est détaché de la montagne dans le secteur North Wall du sommet Nord
près de la voie d'escalade Northern Lights
Une évaluation géotechnique a été complétée et à 16 h la Gendarmerie royale du Canada (GRC) a annoncé que les lieux de l'incident étaient trop instables pour permettre d'y envoyer une équipe de chercheurs
« Quand le rocher s'est détaché
il a frappé la face de la montagne à plusieurs endroits
a expliqué l'inspecteur Davis Wendall
un hélicoptère de la GRC devait transporter une équipe chargée de faire une nouvelle évaluation des risques
Rien n'indique que des gens ont été touchés
rien n'indique que quelqu'un serait pris dans le secteur
mais nous faisons tout en notre pouvoir pour tenter de déterminer si c'est le cas »
La GRC demande d'ailleurs à toute personne qui connaît quelqu'un qui devait faire de la randonnée
ou de l'escalade dans le secteur et qui ne répond pas à l'appel de communiquer avec elle
La GRC doit également questionner quatre grimpeurs qui se trouvaient sur la face de la montagne au moment du glissement de rocher afin d'établir s'ils ont vu d'autres personnes dans le secteur
Les policiers communiquent aussi avec les propriétaires des voitures stationnées près de la zone du glissement pour s'assurer qu'elles répondent à l'appel
qui traverse la municipalité de Squamish et longe le parc provincial Stawamush Chief
mais certains chemins locaux sont fermés
selon le Centre des opérations d'urgence de Squamish
Cette montagne se trouve dans un parc provincial très apprécié des randonneurs et des grimpeurs situé entre Vancouver et Whistler en Colombie-Britannique
Ouvrir en mode plein écranDeux grimpeurs sur la paroi du Stawamus Chief dimanche
Ouvrir en mode plein écranUn hélicoptère s'approche de l'endroit où un rocher s'est détaché de la face de la montagne Stawamus Chief à Squamish
Ouvrir en mode plein écranLe morceau de rocher s'est détaché près du sommet Nord du Chief pour s'écraser beaucoup plus bas
Ouvrir en mode plein écranUn nuage de poussière causé par un glissement de rocher au monolithe Chief à Squamish
Ouvrir en mode plein écranLe rocher a frappé la face de la montagne à plusieurs reprises et a causé un glissement de terrain qui a emporté plusieurs arbres
Ouvrir en mode plein écranLa destruction causée par le glissement de terrain à la base de la montagne
Ouvrir en mode plein écranUn hélicoptère de la GRC a transporté une équipe près de la face de la montagne pour qu'elle y effectue une évaluation des risques
Ouvrir en mode plein écranUn hélicoptère s'envole vers le site de l'éboulement avec une équipe chargée d'évaluer la stabilité du site
Ouvrir en mode plein écranDes ambulances et des équipes de recherches et sauvetage en alerte à la base de la montagne dimanche après-midi
Un hélicoptère de la GRC a transporté une équipe près de la face de la montagne pour qu'elle y effectue une évaluation des risques
Deux grimpeurs sur la paroi du Stawamus Chief dimanche
Un morceau de rocher d'environ 1000 mètres cubes s'est détaché de la montagne dans le secteur North Wall du sommet Nord
près de la voie d'escalade Northern Lights
Une évaluation géotechnique a été complétée et à 16 h la Gendarmerie royale du Canada (GRC) a annoncé que les lieux de l'incident étaient trop instables pour permettre d'y envoyer une équipe de chercheurs
il a frappé la face de la montagne à plusieurs endroits
un hélicoptère de la GRC devait transporter une équipe chargée de faire une nouvelle évaluation des risques
Rien n'indique que des gens ont été touchés
mais nous faisons tout en notre pouvoir pour tenter de déterminer si c'est le cas »
La GRC demande d'ailleurs à toute personne qui connaît quelqu'un qui devait faire de la randonnée
ou de l'escalade dans le secteur et qui ne répond pas à l'appel de communiquer avec elle
La GRC doit également questionner quatre grimpeurs qui se trouvaient sur la face de la montagne au moment du glissement de rocher afin d'établir s'ils ont vu d'autres personnes dans le secteur
Les policiers communiquent aussi avec les propriétaires des voitures stationnées près de la zone du glissement pour s'assurer qu'elles répondent à l'appel
qui traverse la municipalité de Squamish et longe le parc provincial Stawamush Chief
Un glissement de rocher a eu lieu sur le monolithe Stawamus Chief, à Squamish
Un glissement de rocher a eu lieu sur le monolithe Stawamus Chief, à Squamish
Un glissement de rocher a eu lieu sur le monolithe Stawamus Chief, à Squamish
dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"Nous sommes tellement heureux que
nous puissions transporter nos invités au sommet de la montagne sur un tout nouveau câble
s'est réjoui le directeur général de Sea-to-Sky
Kirby Brown lors de l'annonce de sa réouverture
Les derniers mois ont été tumultueux
Ç'a été beaucoup d'apprentissages
beaucoup de jours douloureux et de chagrin
nous sommes sur le point de rouvrir et ça fait du bien
L'entreprise offre d'ailleurs un rabais de 50 % pour les billets achetés aux guichets sur place toute la journée du 14 février
L'ancien câble, long de 4,4 km, a été délibérément coupé par des vandales
selon la Gendarmerie royale du Canada (GRC)
L'enquête qui a suivi est d'ailleurs toujours en cours
Un événement qui a été et qui reste choquant
Des inspections certifiées par Technical Safety BC étaient prévues les jours précédant la réouverture
et le nouveau téléphérique est muni d’un système de sécurité de pointe
utilisé dans les endroits hautement sécurisés
Trente nouvelles cabines ont été installées sur le nouveau câble principal
La construction de cette attraction touristique importante s’est faite dans la polémique en 2014
en raison d’une forte opposition de la part des environnementalistes
Ouvrir en mode plein écranLe téléphérique Sea-to-Sky est de nouveau ouvert
après avoir été fermé six mois en raison d'un acte de vandalisme
Prenez note que cet article publié en 2020 pourrait contenir des informations qui ne sont plus à jour
nous puissions transporter nos invités au sommet de la montagne sur un tout nouveau câble
s'est réjoui le directeur général de Sea-to-Sky
Kirby Brown lors de l'annonce de sa réouverture
nous sommes sur le point de rouvrir et ça fait du bien
L'entreprise offre d'ailleurs un rabais de 50 % pour les billets achetés aux guichets sur place toute la journée du 14 février
Ouvrir en mode plein écranLes visiteurs étaient nombreux vendredi matin lors de la réouverture du téléphérique
L'enquête qui a suivi est d'ailleurs toujours en cours
Un événement qui a été et qui reste choquant
Des inspections certifiées par Technical Safety BC étaient prévues les jours précédant la réouverture
et le nouveau téléphérique est muni d’un système de sécurité de pointe
utilisé dans les endroits hautement sécurisés
Trente nouvelles cabines ont été installées sur le nouveau câble principal
en raison d’une forte opposition de la part des environnementalistes
L'ancien câble, long de 4,4 km, a été délibérément coupé par des vandales
La construction de cette attraction touristique importante s’est faite dans la polémique en 2014
Les visiteurs peuvent à nouveau monter à bord du téléphérique Sea-to-Sky pour se rendre au sommet d'une montagne qui surplombe Squamish, en Colombie-Britannique. Le téléphérique a été fermé pendant six mois après avoir été victime d'un acte de vandalisme
dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"La Gendarmerie royale du Canada (GRC) a reçu un appel vers 4h lundi et s’est immédiatement rendue sur les lieux
où elle mène une enquête aux côtés d’autres organismes
notamment le Service de police de West Vancouver
les autorités poursuivent leurs recherches dans le secteur
la fumée des feux de forêt qui enveloppe la province depuis plusieurs jours rend la tâche plus ardue
Sans donner de détails sur l’endroit où le câble a été coupé
elle explique que le ou les responsables ont dû grimper au sommet d’une tour pour y arriver
les 30 cabines du téléphérique se sont effondrées après que le câble eut été coupé par des vandales
Aucune accusation n’a été portée dans le cadre de l’enquête qui s'en est suivie
Le téléphérique a rouvert six mois plus tard
Cet événement reflète celui de l'année dernière de manière très étrange
remarque le directeur général du Sea-to-Sky
Le fait que cet événement se produit deux fois démontre la motivation de l'individu qui veut nous mettre à genoux
Le nouveau téléphérique est muni d’un système de détection de mouvements qui a été déclenché pendant la nuit
qui a accès aux images captées par des caméras de surveillance installées le long du câble
affirme avoir vu de [ses] propres yeux exactement ce qui s'est passé
L’individu n'a montré aucune considération pour sa propre vie
Il s'agit d'un coup dur à encaisser pour la communauté de Squamish
selon le propriétaire de la via ferrata à Squamish
C'est terrible, pour moi, pour mon industrie, pour notre ville, pour tout le monde. Ça n'a aucun bon sens, c'est complètement incroyable, a-t-il dit au micro de l'émission Phare Ouest.
L'installation est un attrait majeur dans la région et emploie plus de 110 personnes
la majorité à temps plein, ce qui en fait l'un des plus importants employeurs du corridor Sea-to-Sky.
C'est beaucoup plus qu'une entreprise privée
C’est un bien social pour notre communauté et c’est le bien touristique le plus important ici
Les autorités ne se prononcent pas sur la motivation possible des vandales
croit qu’elle pourrait être liée à des questions environnementales
pour moi c’est de l’écoterrorisme
La construction du téléphérique s’est faite dans la controverse en 2014
en raison d’une forte opposition de la part de groupes environnementalistes
Avec des informations de Rhianna Schmunk
Établie en Colombie-Britannique depuis 5 ans, Geneviève Lasalle a été journaliste à Vancouver et à Victoria. Elle est aujourd'hui réalisatrice numérique, responsable de projets variés comme le Vidéojournal et la série Nature humaine
« L’individu n'a montré aucune considération pour sa propre vie »
dit le DG du téléphérique au sujet des images captées durant l'acte de vandalisme
Le câble du téléphérique Sea-to-Sky a été coupé dans la nuit
Photo : Radio-Canada / Marc-Antoine Bélanger
Un an après avoir été vandalisé
une attraction touristique prisée de Squamish
a de nouveau été coupé dans un geste délibéré
La Gendarmerie royale du Canada (GRC) a reçu un appel vers 4h lundi et s’est immédiatement rendue sur les lieux
où elle mène une enquête aux côtés d’autres organismes
les autorités poursuivent leurs recherches dans le secteur
la fumée des feux de forêt qui enveloppe la province depuis plusieurs jours rend la tâche plus ardue
Sans donner de détails sur l’endroit où le câble a été coupé
elle explique que le ou les responsables ont dû grimper au sommet d’une tour pour y arriver
Ouvrir en mode plein écranUne photo transmise par la GRC montre une cabine du téléphérique écrasée dans les montagnes
les 30 cabines du téléphérique se sont effondrées après que le câble eut été coupé par des vandales
Aucune accusation n’a été portée dans le cadre de l’enquête qui s'en est suivie
Cet événement reflète celui de l'année dernière de manière très étrange
remarque le directeur général du Sea-to-Sky
Le fait que cet événement se produit deux fois démontre la motivation de l'individu qui veut nous mettre à genoux
Ouvrir en mode plein écranIl s'agit d'un geste délibéré
confirme l'agente de la GRC Sascha Banks lors d'un point de presse
Le nouveau téléphérique est muni d’un système de détection de mouvements qui a été déclenché pendant la nuit
qui a accès aux images captées par des caméras de surveillance installées le long du câble
affirme avoir vu de [ses] propres yeux exactement ce qui s'est passé
L’individu n'a montré aucune considération pour sa propre vie
Ouvrir en mode plein écranLa rupture du câble du téléphérique Sea-to-Sky en août 2019 est considérée comme un acte de vandalisme par la GRC
Il s'agit d'un coup dur à encaisser pour la communauté de Squamish
selon le propriétaire de la via ferrata à Squamish
L'installation est un attrait majeur dans la région et emploie plus de 110 personnes
ce qui en fait l'un des plus importants employeurs du corridor Sea-to-Sky
C'est beaucoup plus qu'une entreprise privée
C’est un bien social pour notre communauté et c’est le bien touristique le plus important ici
Ouvrir en mode plein écranLe téléphérique Sea-to-Sky a rouvert le 14 février 2020
Les autorités ne se prononcent pas sur la motivation possible des vandales
croit qu’elle pourrait être liée à des questions environnementales
La construction du téléphérique s’est faite dans la controverse en 2014
en raison d’une forte opposition de la part de groupes environnementalistes
La Gendarmerie royale du Canada (GRC) a reçu un appel vers 4h lundi et s’est immédiatement rendue sur les lieux
Le téléphérique a rouvert six mois plus tard
C'est terrible, pour moi, pour mon industrie, pour notre ville, pour tout le monde. Ça n'a aucun bon sens, c'est complètement incroyable, a-t-il dit au micro de l'émission Phare Ouest.
Établie en Colombie-Britannique depuis 5 ans, Geneviève Lasalle a été journaliste à Vancouver et à Victoria. Elle est aujourd'hui réalisatrice numérique, responsable de projets variés comme le Vidéojournal et la série Nature humaine
Un an après avoir été vandalisé
« L’individu n'a montré aucune considération pour sa propre vie »
dit le DG du téléphérique au sujet des images captées durant l'acte de vandalisme
dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"Nous entamons aujourd’hui le processus de guérison pour les survivants et pour tous les enfants qui ont fréquenté l’établissement et qui ne sont jamais rentrés à la maison
souligne le conseiller de la nation squamish Khelsilem
Le pensionnat a hébergé des enfants autochtones des communautés Tsleil-Waututh
Musqueam et Squamish de 1899 à 1959
le commissaire aux Autochtones de la Colombie-Britannique a décrit l'établissement comme un piège mortel
selon le centre d'histoire et de dialogue sur les pensionnats autochtones (Indian Residential School History and Dialogue Centre)
Des épidémies de varicelle ont ravagé ses locaux surpeuplés
et le pensionnat a été condamné deux ans avant sa fermeture définitive
Plusieurs personnes croient que les pensionnats sont de l’histoire lointaine
rappelle la chef de la nation Tsleil-Waututh
Mon père a été interné à St Paul
Les dernières semaines ont été traumatisantes pour de nombreux membres de nos communautés
les aînés réclament cette enquête
Nous recherchons la vérité parce qu’il y a encore beaucoup d'inconnues
le représentant de l’archidiocèse catholique de Vancouver
a salué la force et la résilience des survivants
reconnaissant d’emblée la contribution dommageable et historique de l’Église dans la gestion des pensionnats
Nous sommes inspirés par le soin que portent les nations autochtones envers les membres de leur communauté
À la suite de la découverte de sépultures à Kamloops, l'archevêque avait présenté ses excuses et promis de fournir toute documentation pertinente sur les pensionnats
L’appui de l’Église est important pour Wayne Sparrow
Nous ne guérirons que si nous travaillons ensemble
Les démarches seront guidées par trois principes
selon le conseiller squamish Khelsilem : les communautés établiront la stratégie d’enquête
le savoir des survivants et des aînés sera mis à contribution
et les pratiques autochtones auront préséance sur les technologies qui peuvent être considérées comme envahissantes
Radio-Canada a appris que le gouvernement fédéral nommera un « interlocuteur spécial » pour étudier la meilleure façon de procéder à une enquête criminelle dans le dossier des pensionnats pour Autochtones
La nouvelle survient alors qu’Ottawa annonce l’octroi de 321 millions de dollars pour le soutien des communautés autochtones marquées par les pensionnats
quelque 100 millions de dollars en deux ans seront consacrés à la démolition ou à la remise en état de bâtiments d'anciens pensionnats situés dans des communautés autochtones
La nation Squamish utilisera ces fonds et de l’aide financière offerte par la Colombie-Britannique pour mener ses fouilles
Khelsilem réclame que tous les ordres de gouvernements donnent un financement adéquat pour soutenir les objectifs et les aspirations des peuples autochtones
Il leur demande aussi d’aider les communautés à surmonter les défis sociaux et économiques causés par des politiques discriminatoires qui les ont accablées pendant si longtemps
St Paul's : le pensionnat pour Autochtones oublié de North Vancouver
Tsleil-Waututh et Musqueam croient que la recherche de vérité sur le seul pensionnat pour Autochtones du Grand Vancouver est le point de départ vers la guérison des communautés
Ouvrir en mode plein écranUn mémorial conçu par un survivant sur le terrain de l'ancien pensionnat pour Autochtones St Paul
la nation Squamish lance une enquête sur l’ancien pensionnat St Paul
Nous entamons aujourd’hui le processus de guérison pour les survivants et pour tous les enfants qui ont fréquenté l’établissement et qui ne sont jamais rentrés à la maison
Le pensionnat a hébergé des enfants autochtones des communautés Tsleil-Waututh
le commissaire aux Autochtones de la Colombie-Britannique a décrit l'établissement comme un piège mortel
Des épidémies de varicelle ont ravagé ses locaux surpeuplés
et le pensionnat a été condamné deux ans avant sa fermeture définitive
Le destin tragique des victimes de pensionnats pour AutochtonesConsulter le dossier completSuivreSuivreAnnonces de découvertes de sépultures anonymes près d'anciens pensionnats pour Autochtones au CanadaDébut du widget
Passer le widget ?_iframe]:mx-auto [&_>_iframe]:block [&_>_iframe]:w-full">Fin du widget
Retourner au début du widget ?À la recherche de la véritéPlusieurs personnes croient que les pensionnats sont de l’histoire lointaine
Les dernières semaines ont été traumatisantes pour de nombreux membres de nos communautés
Nous recherchons la vérité parce qu’il y a encore beaucoup d'inconnues
le représentant de l’archidiocèse catholique de Vancouver
a salué la force et la résilience des survivants
reconnaissant d’emblée la contribution dommageable et historique de l’Église dans la gestion des pensionnats
Nous sommes inspirés par le soin que portent les nations autochtones envers les membres de leur communauté
Ouvrir en mode plein écranLe pensionnat St Paul a hébergé des enfants autochtones des communautés Tsleil-Waututh
Photo : Centre national pour la vérité et la réconciliation (CNVR)
L’appui de l’Église est important pour Wayne Sparrow
Nous ne guérirons que si nous travaillons ensemble
Les démarches seront guidées par trois principes
selon le conseiller squamish Khelsilem : les communautés établiront la stratégie d’enquête
le savoir des survivants et des aînés sera mis à contribution
et les pratiques autochtones auront préséance sur les technologies qui peuvent être considérées comme envahissantes
Ouvrir en mode plein écranCette carte postale des années 1920 montre le pensionnat pour Autochtones St Paul's
quelque 100 millions de dollars en deux ans seront consacrés à la démolition ou à la remise en état de bâtiments d'anciens pensionnats situés dans des communautés autochtones
Khelsilem réclame que tous les ordres de gouvernements donnent un financement adéquat pour soutenir les objectifs et les aspirations des peuples autochtones
Il leur demande aussi d’aider les communautés à surmonter les défis sociaux et économiques causés par des politiques discriminatoires qui les ont accablées pendant si longtemps
Nous entamons aujourd’hui le processus de guérison pour les survivants et pour tous les enfants qui ont fréquenté l’établissement et qui ne sont jamais rentrés à la maison
À la suite de la découverte de sépultures à Kamloops, l'archevêque avait présenté ses excuses et promis de fournir toute documentation pertinente sur les pensionnats
Radio-Canada a appris que le gouvernement fédéral nommera un « interlocuteur spécial » pour étudier la meilleure façon de procéder à une enquête criminelle dans le dossier des pensionnats pour Autochtones
La nouvelle survient alors qu’Ottawa annonce l’octroi de 321 millions de dollars pour le soutien des communautés autochtones marquées par les pensionnats
La nation Squamish utilisera ces fonds et de l’aide financière offerte par la Colombie-Britannique pour mener ses fouilles
St Paul's : le pensionnat pour Autochtones oublié de North Vancouver
Portée par les découvertes récentes de sépultures non marquées autour de pensionnats autochtones
Tsleil-Waututh et Musqueam croient que la recherche de vérité sur le seul pensionnat pour Autochtones du Grand Vancouver est le point de départ vers la guérison des communautés.