J’accepteAller au contenu principalAller au pied de pageAide à la navigationPublicité La destination d’information de Radio-Canada dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"Les autorités sanitaires demandent aux personnes ayant visité le magasin Walmart situé avenue Sims entre 15 h 45 à 18 h 45 de surveiller l'apparition de symptômes Les symptômes de la rougeole sont la fièvre l'écoulement nasal et les yeux rouges De petites taches blanches peuvent apparaître à l'intérieur de la bouche et de la gorge et une éruption cutanée rouge au visage peut apparaître entre 3 et 7 jours après l’apparition des symptômes La SHA demande aux personnes qui présentent des symptômes d'appeler le 811 un médecin ou une infirmière praticienne Les autorités sanitaires conseillent aux personnes qui présentent des symptômes de ne pas se rendre dans une clinique La rougeole est très contagieuse. Il n'y a pas de remède connu, mais elle peut être prévenue efficacement par la vaccination. Les vaccins peuvent être obtenus gratuitement pour toute personne née après 1970 et âgée de plus de 12 mois 12 cas de rougeole avaient été confirmés en Saskatchewan depuis le début de l'année un seul cas avait été signalé dans la province Ouvrir en mode plein écranLes autorités sanitaires demandent aux personnes ayant visité le magasin Walmart à Weyburn de surveiller l'apparition éventuelle de symptômes L’Autorité de la santé de la Saskatchewan (SHA) met le public en garde contre une possible exposition à la rougeole à Weyburn Les autorités sanitaires demandent aux personnes ayant visité le magasin Walmart situé avenue Sims Les symptômes de la rougeole sont la fièvre De petites taches blanches peuvent apparaître à l'intérieur de la bouche et de la gorge et une éruption cutanée rouge au visage peut apparaître entre 3 et 7 jours après l’apparition des symptômes La SHA demande aux personnes qui présentent des symptômes d'appeler le 811 Les autorités sanitaires conseillent aux personnes qui présentent des symptômes de ne pas se rendre dans une clinique 12 cas de rougeole avaient été confirmés en Saskatchewan depuis le début de l'année un seul cas avait été signalé dans la province Donald Trump, président des États-Unis. Carney à Washington : « On ne veut pas revivre un moment Zelensky ». Publié à 4 h 00 HAE Carney à Washington : « On ne veut pas revivre un moment Zelensky »Le premier ministre canadien doit éviter les dérapages lors de sa rencontre avec Donald Trump Indicateurs économiques. Recul des exportations canadiennes vers les États-Unis sous le poids des tarifs douaniers. Publié à 9 h 27 HAE Recul des exportations canadiennes vers les États-Unis sous le poids des tarifs douaniersLes exportations canadiennes vers les États-Unis ont affiché une baisse marquée de 6,6 % en mars Politique provinciale. Entente de principe entre le gouvernement Legault et les travailleuses des CPE. Publié à 9 h 45 HAE Entente de principe entre le gouvernement Legault et les travailleuses des CPELes 13 000 travailleuses des CPE devront se prononcer sous peu Politique provinciale. Hôpital Maisonneuve-Rosemont : Québec débloque les fonds pour lancer les travaux. Publié à 8 h 50 HAE Hôpital Maisonneuve-Rosemont : Québec débloque les fonds pour lancer les travauxQuébec alloue aussi des fonds pour la reconstruction de l’Hôtel-Dieu d’Arthabaska Crimes et délits. Une étudiante portée disparue retrouvée morte à Ottawa. Publié hier à 17 h 36 HAE Une étudiante portée disparue retrouvée morte à OttawaLe Haut-Commissariat de l'Inde à Ottawa a identifié Vanshika Saini comme une étudiante indienne Chargement en coursInfolettre ICI SaskatchewanUne fois par jour recevez l’essentiel de l’actualité régionale Abonnez-vous à notre infolettre pour ne rien manquer Les autorités sanitaires demandent aux personnes ayant visité le magasin Walmart situé avenue Sims La rougeole est très contagieuse. Il n'y a pas de remède connu, mais elle peut être prévenue efficacement par la vaccination. Les vaccins peuvent être obtenus gratuitement pour toute personne née après 1970 et âgée de plus de 12 mois Le premier ministre canadien doit éviter les dérapages lors de sa rencontre avec Donald Trump Les exportations canadiennes vers les États-Unis ont affiché une baisse marquée de 6,6 % en mars Les 13 000 travailleuses des CPE devront se prononcer sous peu Québec alloue aussi des fonds pour la reconstruction de l’Hôtel-Dieu d’Arthabaska Le Haut-Commissariat de l'Inde à Ottawa a identifié Vanshika Saini comme une étudiante indienne This website is using a security service to protect itself from online attacks The action you just performed triggered the security solution There are several actions that could trigger this block including submitting a certain word or phrase You can email the site owner to let them know you were blocked Please include what you were doing when this page came up and the Cloudflare Ray ID found at the bottom of this page Fred et Teresa Sandeski demandent aujourd’hui une prolongation de son séjour, afin que Fred puisse rester dans l’établissement, compte tenu de leur état de santé fragile à tous les deux. J'en suis au dernier stade de la [bronchopneumopathie chronique obstructive]. J'ai du mal à marcher 3 mètres sans avoir à m'asseoir pour reprendre mon souffle, raconte Fred Sandeski. On me dit simplement d'utiliser les soins à domicile, de rentrer chez moi et de mourir. Teresa Sandeski, elle-même en fauteuil roulant et paralysée à partir de la taille, affirme qu’elle est physiquement incapable de prendre soin de son mari. Teresa Sandeski dit que le séjour de son mari, âgé de 71 ans, n’est plus couvert par les programmes sociaux. Les évaluations de l’Autorité de la santé de la Saskatchewan (SHA) n’ont pas tenu compte des antécédents médicaux complexes de mon mari, notamment une opération à cœur ouvert par le passé et une capacité pulmonaire très faible, affirme-t-elle. Le ministère de la Santé et la SHA ont indiqué, dans un communiqué publié lundi, qu’ils étaient en contact avec M. Sandeski pour discuter des services appropriés. Ce dernier affirme que les seules options qui lui ont été proposées sont de recevoir des soins à domicile limités ou de verser un acompte de 3000 $ pour intégrer une maison de retraite privée, un montant que le couple ne peut pas se permettre de payer, malgré les subventions gouvernementales. Nous ne demandons pas la charité, nous voulons un coup de main. Les membres de la communauté ont organisé un rassemblement mercredi, à 13 h, à Weyburn, pour témoigner leur soutien au couple. Teresa Sandeski précise qu’il ne s’agit pas d’une manifestation, mais d’un geste de solidarité, un appel à l’aide et à la compassion. Fred travaille dans la communauté depuis 20 ans comme défenseur des personnes handicapées, des obstacles à l’emploi [...] Il a fait tout cela bénévolement, sans jamais recevoir d’argent du gouvernement. Et aujourd’hui, ils n’ont même pas la décence de lui offrir un lit pour qu’il puisse mourir dignement, s'exclame Teresa Sandeski. Avec les informations d'Aishwarya Dudha et de Peter Mills Édith Boisvert est journaliste en Saskatchewan. Elle a commencé à Radio-Canada en 2023 à Calgary, en Alberta. Elle affectionne particulièrement la radio et la photographie. Elle suit de près les enjeux sociaux tels que la crise des opioïdes, l'itinérance, ainsi que les questions entourant les communautés autochtones. Ouvrir en mode plein écranFred Sandeski a fondé le Community Low Income Center de Weyburn, un organisme à but non lucratif qui offre du soutien et des ressources aux personnes qui font face à des difficultés financières. Édith BoisvertPublié le 15 avril à 10 h 23 HAEÉcouter l’article | 3 minutesLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale, une technologie basée sur l’intelligence artificielle.Fred Sandeski, un habitant de Weyburn, une ville située au sud-est de Regina, sera expulsé de sa maison de soins mercredi. En 2023, il a reçu la médaille du jubilé de platine de Sa Majesté la reine Élisabeth II pour son engagement auprès des personnes en situation d’itinérance. Atteint de bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO), d’épilepsie et de déficience visuelle, Fred Sandeski s’est installé temporairement en maison de soins pendant que sa conjointe, Teresa Sandeski, se remettait d’une opération à un rein. Fred et Teresa Sandeski demandent aujourd’hui une prolongation de son séjour, afin que Fred puisse rester dans l’établissement, compte tenu de leur état de santé fragile à tous les deux. J'en suis au dernier stade de la [bronchopneumopathie chronique obstructive]. J'ai du mal à marcher 3 mètres sans avoir à m'asseoir pour reprendre mon souffle, raconte Fred Sandeski. On me dit simplement d'utiliser les soins à domicile, de rentrer chez moi et de mourir. Teresa Sandeski, elle-même en fauteuil roulant et paralysée à partir de la taille, affirme qu’elle est physiquement incapable de prendre soin de son mari. Teresa Sandeski dit que le séjour de son mari, âgé de 71 ans, n’est plus couvert par les programmes sociaux. Les évaluations de l’Autorité de la santé de la Saskatchewan (SHA) n’ont pas tenu compte des antécédents médicaux complexes de mon mari, notamment une opération à cœur ouvert par le passé et une capacité pulmonaire très faible, affirme-t-elle. Le ministère de la Santé et la SHA ont indiqué, dans un communiqué publié lundi, qu’ils étaient en contact avec M. Sandeski pour discuter des services appropriés. Ce dernier affirme que les seules options qui lui ont été proposées sont de recevoir des soins à domicile limités ou de verser un acompte de 3000 $ pour intégrer une maison de retraite privée, un montant que le couple ne peut pas se permettre de payer, malgré les subventions gouvernementales. Nous ne demandons pas la charité, nous voulons un coup de main. Les membres de la communauté ont organisé un rassemblement mercredi, à 13 h, à Weyburn, pour témoigner leur soutien au couple. Teresa Sandeski précise qu’il ne s’agit pas d’une manifestation, mais d’un geste de solidarité, un appel à l’aide et à la compassion. Fred travaille dans la communauté depuis 20 ans comme défenseur des personnes handicapées, des obstacles à l’emploi [...] Il a fait tout cela bénévolement, sans jamais recevoir d’argent du gouvernement. Et aujourd’hui, ils n’ont même pas la décence de lui offrir un lit pour qu’il puisse mourir dignement, s'exclame Teresa Sandeski. Atteint de bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO) d’épilepsie et de déficience visuelle Fred Sandeski s’est installé temporairement en maison de soins pendant que sa conjointe se remettait d’une opération à un rein Fred et Teresa Sandeski demandent aujourd’hui une prolongation de son séjour afin que Fred puisse rester dans l’établissement compte tenu de leur état de santé fragile à tous les deux J'en suis au dernier stade de la [bronchopneumopathie chronique obstructive] J'ai du mal à marcher 3 mètres sans avoir à m'asseoir pour reprendre mon souffle On me dit simplement d'utiliser les soins à domicile elle-même en fauteuil roulant et paralysée à partir de la taille affirme qu’elle est physiquement incapable de prendre soin de son mari Teresa Sandeski dit que le séjour de son mari n’est plus couvert par les programmes sociaux Les évaluations de l’Autorité de la santé de la Saskatchewan (SHA) n’ont pas tenu compte des antécédents médicaux complexes de mon mari notamment une opération à cœur ouvert par le passé et une capacité pulmonaire très faible Le ministère de la Santé et la SHA ont indiqué qu’ils étaient en contact avec M. Sandeski pour discuter des services appropriés Ce dernier affirme que les seules options qui lui ont été proposées sont de recevoir des soins à domicile limités ou de verser un acompte de 3000 $ pour intégrer une maison de retraite privée un montant que le couple ne peut pas se permettre de payer malgré les subventions gouvernementales Les membres de la communauté ont organisé un rassemblement mercredi pour témoigner leur soutien au couple Teresa Sandeski précise qu’il ne s’agit pas d’une manifestation un appel à l’aide et à la compassion Fred travaille dans la communauté depuis 20 ans comme défenseur des personnes handicapées des obstacles à l’emploi [...] Il a fait tout cela bénévolement sans jamais recevoir d’argent du gouvernement ils n’ont même pas la décence de lui offrir un lit pour qu’il puisse mourir dignement Édith Boisvert est journaliste en Saskatchewan Elle a commencé à Radio-Canada en 2023 à Calgary Elle affectionne particulièrement la radio et la photographie Elle suit de près les enjeux sociaux tels que la crise des opioïdes ainsi que les questions entourant les communautés autochtones sera expulsé de sa maison de soins mercredi il a reçu la médaille du jubilé de platine de Sa Majesté la reine Élisabeth II pour son engagement auprès des personnes en situation d’itinérance The page you are looking for has either moved or no longer exists Find support in your community Make a donation Learn about The Salvation Army Contact us We are using cookies to give you the best experience on our website You can find out more about which cookies we are using or switch them off in settings This website uses cookies so that we can provide you with the best user experience possible Cookie information is stored in your browser and performs functions such as recognising you when you return to our website and helping our team to understand which sections of the website you find most interesting and useful Strictly Necessary Cookie should be enabled at all times so that we can save your preferences for cookie settings we will not be able to save your preferences This means that every time you visit this website you will need to enable or disable cookies again Or, de nombreux résidents craignent que le bruit et l'aspect visuel de ces structures nuisent à leur qualité de vie. Je pense que vivre à proximité d'un parc commercial d'éoliennes va être dévastateur pour notre mode de vie, s’inquiète Amanda Krisa, une habitante de Weyburn. La valeur de nos propriétés va s'effondrer, car qui voudra de ma maison si elle est entourée d'éoliennes et de bruit? redoute pour sa part Kim Bradey. Les opposants au projet craignent notamment que le bruit émis par les éoliennes ait des répercussions sur leur santé. Du côté d’Enbridge, on indique que le bruit cumulatif causé par le parc éolien sera inférieur à 40 décibels à l’intérieur des résidences, soit un niveau semblable au bruit qu'émet un réfrigérateur ou un ordinateur. L’entreprise albertaine s’appuie également sur une étude de Santé Canada faite en 2014 qui souligne qu’il n’existe aucune preuve permettant de lier des problèmes de santé humaine et l'exposition à des éoliennes. Enbridge rappelle toutefois que le projet de Seven Stars Energy est encore en phase préliminaire. L’entreprise assure qu’elle demeurera à l’écoute des inquiétudes des deux communautés. Vous savez, nous avons annoncé le projet il y a un mois et demi. Nous commençons à recevoir des commentaires sur le bruit, les marges de recul ou d'autres sujets. Je pense que c'est à nous de nous asseoir avec les individus ou les groupes et d'en discuter, affirme le directeur du développement de l’énergie pour le Canada à Enbridge, Alex McNichol. Malgré les voix qui s’opposent au parc d’éoliennes, d’autres habitants se disent, quant à eux, en faveur du projet. Un tel débat met le préfet de la Municipalité de Weyburn, Norm McFadden, dans une situation qu’il juge déplaisante. Nous représentons tous les membres de la municipalité rurale. Nous représentons ceux qui sont contre, nous représentons ceux qui sont pour. Et il y a toujours des gens au milieu qui ne se soucient ni de l'un ni de l'autre. Nous sommes donc dans une situation très difficile, déplore-t-il. Une pétition demandant à freiner ou déplacer le projet de Seven Stars Energy avait déjà récolté plus de 2000 signatures jeudi. Passionné de l'image, Vincent commence à travailler pour Radio-Canada, à Regina, en 2012 comme caméraman-monteur puis vidéojournaliste. En 2015, il part bourlinguer en Europe pour se concentrer sur la photographie. De retour en Saskatchewan en 2020, Vincent retrouve d'abord le poste de caméraman-monteur avant de devenir journaliste. Depuis 2022, Vincent occupe le poste de réalisateur numérique. 2:07Les opposants au projet craignent notamment que le bruit émis par les éoliennes ait des répercussions sur leur santé. (Photo d'archives) Vincent H. TurgeonPublié le 15 août 2024 à 18 h 15 HAEÉcouter l’article | 3 minutesLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale une technologie basée sur l’intelligence artificielle.Le projet de parc éolien Seven Stars Energy n’a pas encore vu le jour que il s’attire les critiques de plusieurs habitants de Weyburn Or, de nombreux résidents craignent que le bruit et l'aspect visuel de ces structures nuisent à leur qualité de vie. Je pense que vivre à proximité d'un parc commercial d'éoliennes va être dévastateur pour notre mode de vie, s’inquiète Amanda Krisa, une habitante de Weyburn. La valeur de nos propriétés va s'effondrer, car qui voudra de ma maison si elle est entourée d'éoliennes et de bruit? redoute pour sa part Kim Bradey. Les opposants au projet craignent notamment que le bruit émis par les éoliennes ait des répercussions sur leur santé. Du côté d’Enbridge, on indique que le bruit cumulatif causé par le parc éolien sera inférieur à 40 décibels à l’intérieur des résidences, soit un niveau semblable au bruit qu'émet un réfrigérateur ou un ordinateur. L’entreprise albertaine s’appuie également sur une étude de Santé Canada faite en 2014 qui souligne qu’il n’existe aucune preuve permettant de lier des problèmes de santé humaine et l'exposition à des éoliennes. Enbridge rappelle toutefois que le projet de Seven Stars Energy est encore en phase préliminaire. L’entreprise assure qu’elle demeurera à l’écoute des inquiétudes des deux communautés. Vous savez, nous avons annoncé le projet il y a un mois et demi. Nous commençons à recevoir des commentaires sur le bruit, les marges de recul ou d'autres sujets. Je pense que c'est à nous de nous asseoir avec les individus ou les groupes et d'en discuter, affirme le directeur du développement de l’énergie pour le Canada à Enbridge, Alex McNichol. Malgré les voix qui s’opposent au parc d’éoliennes, d’autres habitants se disent, quant à eux, en faveur du projet. Un tel débat met le préfet de la Municipalité de Weyburn, Norm McFadden, dans une situation qu’il juge déplaisante. Nous représentons tous les membres de la municipalité rurale. Nous représentons ceux qui sont contre, nous représentons ceux qui sont pour. Et il y a toujours des gens au milieu qui ne se soucient ni de l'un ni de l'autre. Nous sommes donc dans une situation très difficile, déplore-t-il. Une pétition demandant à freiner ou déplacer le projet de Seven Stars Energy avait déjà récolté plus de 2000 signatures jeudi. Annoncé en juin dernier le projet est chapeauté par l’entreprise Enbridge et un consortium de six Premières Nations 46 éoliennes doivent être mises en activité dans les municipalités rurales de Weyburn et de Griffin d’ici 2027 de nombreux résidents craignent que le bruit et l'aspect visuel de ces structures nuisent à leur qualité de vie Je pense que vivre à proximité d'un parc commercial d'éoliennes va être dévastateur pour notre mode de vie La valeur de nos propriétés va s'effondrer car qui voudra de ma maison si elle est entourée d'éoliennes et de bruit Les opposants au projet craignent notamment que le bruit émis par les éoliennes ait des répercussions sur leur santé on indique que le bruit cumulatif causé par le parc éolien sera inférieur à 40 décibels à l’intérieur des résidences soit un niveau semblable au bruit qu'émet un réfrigérateur ou un ordinateur L’entreprise albertaine s’appuie également sur une étude de Santé Canada faite en 2014 qui souligne qu’il n’existe aucune preuve permettant de lier des problèmes de santé humaine et l'exposition à des éoliennes Enbridge rappelle toutefois que le projet de Seven Stars Energy est encore en phase préliminaire L’entreprise assure qu’elle demeurera à l’écoute des inquiétudes des deux communautés nous avons annoncé le projet il y a un mois et demi Nous commençons à recevoir des commentaires sur le bruit Je pense que c'est à nous de nous asseoir avec les individus ou les groupes et d'en discuter affirme le directeur du développement de l’énergie pour le Canada à Enbridge Malgré les voix qui s’opposent au parc d’éoliennes Un tel débat met le préfet de la Municipalité de Weyburn dans une situation qu’il juge déplaisante Nous représentons tous les membres de la municipalité rurale Nous représentons ceux qui sont contre Et il y a toujours des gens au milieu qui ne se soucient ni de l'un ni de l'autre Nous sommes donc dans une situation très difficile Une pétition demandant à freiner ou déplacer le projet de Seven Stars Energy avait déjà récolté plus de 2000 signatures jeudi Vincent commence à travailler pour Radio-Canada en 2012 comme caméraman-monteur puis vidéojournaliste il part bourlinguer en Europe pour se concentrer sur la photographie Vincent retrouve d'abord le poste de caméraman-monteur avant de devenir journaliste Vincent occupe le poste de réalisateur numérique Annoncé en juin dernier Le projet de parc éolien Seven Stars Energy n’a pas encore vu le jour que Le projet de parc éolien Seven Stars Energy n’a pas encore vu le jour que déjà Accueil Sports Tigres: Mulligan et Massé ont forcé la main à LeBlanc Samuel Massé n'aura finalement fait que passer chez les Tigres de Campbellton qui l'ont échangé aux Red Wings de Weyburn dans le Circuit junior A de la Saskatchewan Parce qu’ils souhaitaient aller jouer dans l’Ouest du pays les Tigres de Campbellton n’ont pas eu le  choix d’échanger les attaquants Tysin Mulligan et Samuel Massé celui de Massé déçoit puisque l’organisation comptait beaucoup sur la contribution de cet attaquant obtenu dans la transaction qui a envoyé Kiefer Lyons à West Kent Le directeur général Charles LeBlanc a échangé (séparément) les deux joueurs à la même formation du Circuit junior A de la Saskatchewan Les Tigres ont obtenu en retour des considérations futures ou si vous préférez des compensations monétaires «Mulligan nous avait déjà annoncé à la fin de la dernière saison qu’il voulait s’en retourner dans l’Ouest il voulait que je l’échange à l’équipe de son coin de pays il m’a finalement fait savoir qu’il abandonnait le hockey J’ai prévenu le DG de Weyburn (Cody Mapes) de tout ça mais il a quand même voulu faire l’échange» raconte LeBlanc au sujet de l’Albertain qui a récolté 15 points (7-8) en 22 matchs la saison dernière a produit pas moins de 52 points (13-39) en 52 duels avec les Steamers c’est clair que ça fait un trou dans notre alignement Il ne voulait pas jouer pour nous et il m’a dit qu’il avait une entente avec Olivier Filion comme quoi il n’était pour jouer qu’une seule saison dans notre ligue C’était soit que je l’échangeais à un club de l’Ouest ou encore que je le perdais pour rien à une équipe de la BCHL Mais juste au cas où il changerait d’idée en cours de route j’ai une entente  avec Weyburn de me le retourner si jamais il demande à revenir dans les Maritimes» Rappelons que la BCHL est une ligue indépendante et qu’elle n’a donc pas à passer par le processus d’une transaction pour obtenir des joueurs Charles LeBlanc doit évidemment convaincre à tout prix Manix Sarrasin de se présenter à Campbellton Ce dernier a été acquis la semaine dernière des Red Wings de Fredericton Le problème c’est que Sarrasin semble avoir perdu le goût de jouer au hockey et qu’il se fait donc tirer l’oreille ces jours-ci par LeBlanc et quelques joueurs de l’équipe afin de lui faire changer d’idée LeBlanc tient à préciser qu’il n’est pas le seul DG de la LHM à composer avec ce problème «C’est un phénomène qui prend de plus en plus d’ampleur dans la société Les jeunes d’aujourd’hui n’ont pas le même sentiment d’appartenance comme nous l’avions dans le temps puis peuvent très bien tout abandonner pour essayer d’autre chose.» ils ne s’attachent qu’à ce qui est bon pour eux au moment présent C’est pourquoi ils changent d’idée continuellement c’est ainsi que les choses vont aujourd’hui et c’est à nous je cris que ça va juste continuer à prendre de l’ampleur» Le camp d’entraînement des Tigres s’amorce mercredi J’accepteAller au contenu principalAller au pied de pageAide à la navigationLa destination audio de Radio‑Canada RéglagesApparenceAutoClaireSombreCe paramètre vous permet de modifier le jeu de couleurs de l’interface Les enseignants de la province ont rejeté massivement l’accord de principe conclu entre le syndicat et le gouvernement Près de 92 % des membres de la Fédération des enseignants (STF) ont voté les 8 et 9 mai 90% ont voté contre l’offre du gouvernement L’enseignante à l’école Weyburn Comprehensive School Leah-Marie Fornwald croit que ce résultat envoie un message clair à la province que l’offre sur la table n’était pas satisfaisante Entretien | Les enseignants votent à 90% pour le rejet de l’accord de principeAppli Radio-Canada OHdioTout un monde à écouter, partout où vous allez. L'enseignante à l'école Weyburn Comprehensive School Leah-Marie Fornwald croit que ce résultat envoie un message clair à la province que l'offre sur la table n'était pas satisfaisante Les enseignants de la province ont rejeté massivement l'accord de principe conclu entre le syndicat et le gouvernement Près de 92 % des membres de la Fédération des enseignants (STF) ont voté les 8 et 9 mai 90% ont voté contre l'offre du gouvernement Jusqu’à maintenant, l’ancien des Vikings de Saint-Eustache s’adapte tranquillement au jeu « rapide et physique » de la SJHL. Statistiquement, il n’a récolté que quatre points, dont un but, en 14 matchs, mais remplir le filet adverse n’a jamais été son mandat. Je suis davantage un gars défensif, qui va gagner ses mises au jeu et jouer en désavantage numérique, considère celui qui idolâtre Antoine Roussel, un énergique attaquant des Canucks de Vancouver. Pour l’instant, il est encore trop tôt pour déterminer où il jouera l’an prochain. Pendant la saison morte, il en discutera avec son conseiller Serge Payer, mais demeurer à Weyburn s’avère être une option plus qu’intéressante. J’aime vraiment ça. C’est une très belle place pour mon développement personnel. Maintenant qu’il est établi à Weyburn et qu’il a pris ses aises dans le giron des Red Wings, Mathieu Bélanger raconte en riant les imprévus qui ont marqué son arrivée en Saskatchewan. Le moins que l’on puisse dire, c’est que tout ne s’est pas déroulé comme prévu… Initialement, il devait porter les couleurs des Bombers de Flin Flon, une formation qui compte cinq Québécois dans son alignement, dont quelques amis de Mathieu Bélanger. Au début, ça allait bien, mais après réflexion, ce n’était peut-être pas le meilleur endroit pour mon développement personnel, avoue le centre gaucher. Finalement, il a trouvé refuge chez une employée des Red Wings, qui hébergeait déjà le défenseur américain Anthony Chambers. Comme le dit le vieil adage, tout est bien qui finit bien. Journaliste depuis 2015, Charles Lalande a fait ses débuts à Radio-Canada en 2018. Après un séjour en Saskatchewan, il est à Ottawa depuis 2021. Il couvre l'actualité dans son ensemble, avec un intérêt particulier pour les sports. 1:45Mathieu Bélanger s'est établi à Weyburn dans l'espoir de décrocher une bourse d'études aux États-Unis. Charles LalandePublié le 5 novembre 2019 à 17 h 48 HAEPrenez note que cet article publié en 2019 pourrait contenir des informations qui ne sont plus à jour. À 18 ans, le hockeyeur Mathieu Bélanger a un objectif bien précis : décrocher une bourse d’études pour évoluer dans une université américaine et jouer dans la prestigieuse NCAA. Pour y arriver, il a choisi l’été dernier de mettre le cap sur la Ligue de hockey junior de la Saskatchewan (SJHL), jugeant que les Prairies lui offriraient une meilleure visibilité auprès des recruteurs. Désireux d’améliorer son apprentissage de la langue de Shakespeare, le centre des Red Wings de Weyburn a choisi de s’inscrire à l’école anglaise plutôt que de suivre des cours à distance dans un cégep québécois. L’étudiant en 12e année dit bien se débrouiller, et qu’en cas de besoin, il peut compter sur l’aide de ses coéquipiers ou de sa famille de pension pour bien se faire comprendre. Ouvrir en mode plein écranDans un vestiaire regroupant des joueurs des quatre provinces de l'Ouest et deux Américains, le Québécois Mathieu Bélanger a su bien s'intégrer au sein du groupe. Jusqu’à maintenant, l’ancien des Vikings de Saint-Eustache s’adapte tranquillement au jeu « rapide et physique » de la SJHL. Statistiquement, il n’a récolté que quatre points, dont un but, en 14 matchs, mais remplir le filet adverse n’a jamais été son mandat. Je suis davantage un gars défensif, qui va gagner ses mises au jeu et jouer en désavantage numérique, considère celui qui idolâtre Antoine Roussel, un énergique attaquant des Canucks de Vancouver. Pour l’instant, il est encore trop tôt pour déterminer où il jouera l’an prochain. Pendant la saison morte, il en discutera avec son conseiller Serge Payer, mais demeurer à Weyburn s’avère être une option plus qu’intéressante. J’aime vraiment ça. C’est une très belle place pour mon développement personnel. Maintenant qu’il est établi à Weyburn et qu’il a pris ses aises dans le giron des Red Wings, Mathieu Bélanger raconte en riant les imprévus qui ont marqué son arrivée en Saskatchewan. Le moins que l’on puisse dire, c’est que tout ne s’est pas déroulé comme prévu… Initialement, il devait porter les couleurs des Bombers de Flin Flon, une formation qui compte cinq Québécois dans son alignement, dont quelques amis de Mathieu Bélanger. Au début, ça allait bien, mais après réflexion, ce n’était peut-être pas le meilleur endroit pour mon développement personnel, avoue le centre gaucher. Ouvrir en mode plein écranMathieu Bélanger a célébré son 18e anniversaire le 9 septembre dernier. À son arrivée à Weyburn, il a été confié à une famille de pension qui l’a accueilli à bras ouverts. Deux adultes, deux enfants, une famille bien normale. Un jour, alors qu’il était dans la salle de musculation, il a reçu un message texte de son entraîneur-chef et directeur général, Rich Pilon, lui disant d’aller chercher ses effets personnels afin de « laisser un peu d’air » à cette famille. Finalement, il a trouvé refuge chez une employée des Red Wings, qui hébergeait déjà le défenseur américain Anthony Chambers. Comme le dit le vieil adage, tout est bien qui finit bien. Désireux d’améliorer son apprentissage de la langue de Shakespeare le centre des Red Wings de Weyburn a choisi de s’inscrire à l’école anglaise plutôt que de suivre des cours à distance dans un cégep québécois L’étudiant en 12e année dit bien se débrouiller il peut compter sur l’aide de ses coéquipiers ou de sa famille de pension pour bien se faire comprendre Les seules fois que je parle français c’est quand j’appelle mes parents ou mes chums de Mirabel (rires).","text":"J’avais quand même une bonne base en arrivant ici mais d’être le seul francophone de mon équipe m’oblige à parler en anglais 24heures sur24 c’est quand j’appelle mes parents ou mes chums de Mirabel (rires)."}}\\\" lang=\\\"fr\\\">J’avais quand même une bonne base en arrivant ici mais d’être le seul francophone de mon équipe m’oblige à parler en anglais 24 heures sur 24 c’est quand j’appelle mes parents ou mes chums de Mirabel (rires) l’ancien des Vikings de Saint-Eustache s’adapte tranquillement au jeu « rapide et physique » de la SJHL il n’a récolté que quatre points mais remplir le filet adverse n’a jamais été son mandat qui va gagner ses mises au jeu et jouer en désavantage numérique considère celui qui idolâtre Antoine Roussel un énergique attaquant des Canucks de Vancouver il est encore trop tôt pour déterminer où il jouera l’an prochain il en discutera avec son conseiller Serge Payer mais demeurer à Weyburn s’avère être une option plus qu’intéressante C’est une très belle place pour mon développement personnel Maintenant qu’il est établi à Weyburn et qu’il a pris ses aises dans le giron des Red Wings Mathieu Bélanger raconte en riant les imprévus qui ont marqué son arrivée en Saskatchewan c’est que tout ne s’est pas déroulé comme prévu… il devait porter les couleurs des Bombers de Flin Flon une formation qui compte cinq Québécois dans son alignement dont quelques amis de Mathieu Bélanger ce n’était peut-être pas le meilleur endroit pour mon développement personnel il a été confié à une famille de pension qui l’a accueilli à bras ouverts alors qu’il était dans la salle de musculation il a reçu un message texte de son entraîneur-chef et directeur général lui disant d’aller chercher ses effets personnels afin de « laisser un peu d’air » à cette famille Il a donc séjourné à l’hôtel pendant un peu plus d’une semaine le temps que son équipe lui trouve un nouveau toit 12 se cherchait une pension.","text":"Étant donné que je suis allergique aux arachides [et] aux poils de chat et de chien des dirigeants de l’équipe allaient voir les partisans pour leur dire que le numéro12 se cherchait une pension."}}\\\" lang=\\\"fr\\\">Étant donné que je suis allergique aux arachides [et] aux poils de chat et de chien des dirigeants de l’équipe allaient voir les partisans pour leur dire que le numéro 12 se cherchait une pension il a trouvé refuge chez une employée des Red Wings qui hébergeait déjà le défenseur américain Anthony Chambers Charles Lalande a fait ses débuts à Radio-Canada en 2018 Il couvre l'actualité dans son ensemble avec un intérêt particulier pour les sports c’est quand j’appelle mes parents ou mes chums de Mirabel (rires)."}}\" lang=\"fr\">J’avais quand même une bonne base en arrivant ici des dirigeants de l’équipe allaient voir les partisans pour leur dire que le numéro12 se cherchait une pension."}}\" lang=\"fr\">Étant donné que je suis allergique aux arachides [et] aux poils de chat et de chien le hockeyeur Mathieu Bélanger a un objectif bien précis : décrocher une bourse d’études pour évoluer dans une université américaine et jouer dans la prestigieuse NCAA il a choisi l’été dernier de mettre le cap sur la Ligue de hockey junior de la Saskatchewan (SJHL) jugeant que les Prairies lui offriraient une meilleure visibilité auprès des recruteurs Le Québécois Mathieu Bélanger s'est établi à Weyburn dans l'espoir de décrocher une bourse d'études aux États-Unis dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"L'entreprise céréalière appartenait à des fermiers depuis 1976 chaque action sera rachetée 17,25 $ dans une transaction de 94,6 millions de dollars Un peu moins de 80 % des fermiers votants ont donné leur accord à la vente qui a également obtenu le soutien du conseil d'administration Un groupe de détracteurs s'est cependant opposé à cette transaction et avait auparavant fait appel à la justice pour que d'autres pistes soient explorées avant d'autoriser la vente à Parrish & Heimbecker L'accord a été déposé devant la Cour du Banc de la Reine de la Saskatchewan qui examinera le dossier à partir du 5 mars Weyburn Inland pourrait changer de propriétaire d'ici le 10 mars Ouvrir en mode plein écranLes silos de grains de l'entreprise Weyburn Inland Prenez note que cet article publié en 2014 pourrait contenir des informations qui ne sont plus à jour Les actionnaires du silo terminal Weyburn Inland ont donné leur accord pour vendre la société à Parrish & Heimbecker de Winnipeg L'entreprise céréalière appartenait à des fermiers depuis 1976 chaque action sera rachetée 17,25 $ dans une transaction de 94,6 millions de dollars Un peu moins de 80 % des fermiers votants ont donné leur accord à la vente qui a également obtenu le soutien du conseil d'administration Un groupe de détracteurs s'est cependant opposé à cette transaction et avait auparavant fait appel à la justice pour que d'autres pistes soient explorées avant d'autoriser la vente à Parrish & Heimbecker L'accord a été déposé devant la Cour du Banc de la Reine de la Saskatchewan qui examinera le dossier à partir du 5 mars Weyburn Inland pourrait changer de propriétaire d'ici le 10 mars Chargement en coursInfolettre ICI ManitobaUne fois par jour L'entreprise céréalière appartenait à des fermiers depuis 1976 Les actionnaires du silo terminal Weyburn Inland ont donné leur accord pour vendre la société à Parrish & Heimbecker de Winnipeg dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"Les renards devront apprendre à être autonomes dans la nature avant d'être relâchés directrice de la réhabilitation au refuge Salthaven Wildlife West Bien que les personnes qui ont amené les renards croyaient bien faire Mme Lawrence croit plutôt que les petits animaux ont été kidnappés Souvent les gens trouvent des renards et croient qu'ils sont orphelins ou abandonnés quand ce n'est pas le cas doivent maintenant amorcer une réadaptation d'environ six mois Ils seront transférés bientôt dans un refuge plus grand où ils apprendront les rudiments de la vie animale Les trois renards ont également besoin de médicaments avant d'être relâchés Le refuge espère collecter environ 500 $ en ce sens doivent maintenant amorcer une réhabilitation d’environ six mois Prenez note que cet article publié en 2016 pourrait contenir des informations qui ne sont plus à jour Après avoir été trouvés la semaine dernière près de Weyburn trois jeunes renards recevront l'aide de Salthaven Wildlife West Le refuge tient cependant à sensibiliser les gens quant aux comportements des renards souvent différents des animaux domestiques devront apprendre à être autonomes dans la nature avant d'être relâchés directrice de la réhabilitation au refuge Salthaven Wildlife West Bien que les personnes qui ont amené les renards croyaient bien faire Mme Lawrence croit plutôt que les petits animaux ont été kidnappés Souvent les gens trouvent des renards et croient qu'ils sont orphelins ou abandonnés quand ce n'est pas le cas devront apprendre à être autonomes dans la nature avant d’être relâchés doivent maintenant amorcer une réadaptation d'environ six mois Ils seront transférés bientôt dans un refuge plus grand où ils apprendront les rudiments de la vie animale Ouvrir en mode plein écranLes trois renards ont également besoin de médicaments avant d’être relâchés Le refuge espère collecter environ 500 $ en ce sens Les trois renards ont également besoin de médicaments avant d'être relâchés Crimes et délits. Une étudiante portée disparue retrouvée morte à Ottawa. Publié hier à 17 h 36 HAE Une étudiante portée disparue retrouvée morte à OttawaLe Haut-Commissariat de l'Inde à Ottawa a identifié Vanshika Saini comme une étudiante indienne. Chargement en coursInfolettre ICI SaskatchewanUne fois par jour, recevez l’essentiel de l’actualité régionale. Abonnez-vous à notre infolettre pour ne rien manquer. Les renards, âgés d'environ dix semaines, devront apprendre à être autonomes dans la nature avant d'être relâchés, selon Megan Lawrence, directrice de la réhabilitation au refuge Salthaven Wildlife West. Bien que les personnes qui ont amené les renards croyaient bien faire, Mme Lawrence croit plutôt que les petits animaux ont été kidnappés, plutôt que secourus. Les renards, bien que rusés, doivent maintenant amorcer une réadaptation d'environ six mois. Ils seront transférés bientôt dans un refuge plus grand, où ils apprendront les rudiments de la vie animale. Les trois renards ont également besoin de médicaments avant d'être relâchés. Le refuge espère collecter environ 500 $ en ce sens. Le premier ministre canadien doit éviter les dérapages lors de sa rencontre avec Donald Trump. Les exportations canadiennes vers les États-Unis ont affiché une baisse marquée de 6,6 % en mars. Les 13 000 travailleuses des CPE devront se prononcer sous peu. Québec alloue aussi des fonds pour la reconstruction de l’Hôtel-Dieu d’Arthabaska. Le Haut-Commissariat de l'Inde à Ottawa a identifié Vanshika Saini comme une étudiante indienne. Après avoir été trouvés la semaine dernière près de Weyburn, trois jeunes renards recevront l'aide de Salthaven Wildlife West, un refuge pour animaux de Regina, avant d'être remis en liberté. Le refuge tient cependant à sensibiliser les gens quant aux comportements des renards, souvent différents des animaux domestiques. À la uneEn continuBalados (nouvelle fenêtre)FrançaisFRAccueilArtsLivresExpériences psychédéliques en Saskatchewan Wonder Drug : LSD in the Land of Living Skies une bande dessinée sur l'histoire du LSD en Saskatchewan présente les expériences psychédéliques du psychiatre Humphry Osmond Celui-ci a pratiqué à l'Hôpital de Weyburn dans les années 50 Le récit est ancré dans le travail de recherche d’Erika Dyck historienne et professeure à l'Université de la Saskatchewan le psychiatre anglais Humphry Osmond quitte Londres pour s’installer à Weyburn pour y devenir directeur clinique de l'hôpital psychiatrique La Saskatchewan suscite alors l'intérêt de chercheurs et de médecins aux quatre coins du globe Sous l’égide du premier ministre saskatchewanais de l'époque la province se dote d’un des premiers systèmes d’assurance maladie au monde La psychiatrie est alors en pleine transformation : de nouvelles molécules créées en laboratoire permettent de traiter les patients atteints de psychose Alors qu'ils étaient jusque-là mis à l'écart dans des asiles leur état de santé était amélioré grâce à ces nouveaux médicaments Humphry Osmond s'intéresse à une autre molécule Il croit que le LSD représente une piste de recherche pour comprendre ce qui se passe dans le cerveau pendant une psychose Humphry Osmond en fait l’essai d’abord sur lui-même et ses collègues qui à leur tour font des expériences avec leurs épouses et leurs amis L'historienne Erika Dyck dévoile les expériences qui se sont tenues lors de soirées mondaines données par le Dr Humphry Osmond dans cette petite ville de la Saskatchewan des années 50 de jeunes médecins et leurs amis consomment du LSD pour comprendre les rouages du cerveau humain fait découvrir de multiples histoires méconnues notamment la conception architecturale d’un hôpital psychiatrique les traitements au LSD pour traiter l'alcoolisme et les expériences psychédéliques dans une Première Nation de la Saskatchewan on croise des figures incontournables du mouvement psychédélique comme l’auteur Aldous Huxley le poète Allen Ginsberg ou le psychologue Timothy Leary mais aussi des politiciens tels que le premier ministre de la Saskatchewan Tommy Douglas et un jeune Bob Rae avant qu’il ne devienne premier ministre de l’Ontario En plus du travail de recherche exhaustif d’Erika Dyck la bande dessinée est scénarisée par l’auteur Hugh D.A Goldring et illustrée par l’artiste nicole marie burton Ils m'ont demandé d'en faire quelque chose qui soit historiquement exact et qui puisse rejoindre différents types de public La bande dessinée Wonder Drug : LSD in the Land of Living Skies est publiée par la maison d’édition Between the Lines Recul des exportations canadiennes vers les États-Unis sous le poids des tarifs … Recul des exportations canadiennes vers les États-Unis sous le poids des tarifs douaniers. Publié il y a 46 minutes. Les exportations canadiennes vers les États-Unis ont affiché une baisse marquée de 6,6 % en mars Tarifs sur le cinéma : inquiétude à Toronto, ville de tournage favorite des Américains Tarifs sur le cinéma : inquiétude à Toronto, ville de tournage favorite des Américains. Publié il y a 4 heures. Plusieurs milliards sont dépensés chaque année dans la Ville Reine pour la production de films Carney à Washington : « On ne veut pas revivre un moment Zelensky » Carney à Washington : « On ne veut pas revivre un moment Zelensky ». Publié il y a 6 heures. Le premier ministre canadien doit éviter les dérapages lors de sa rencontre avec Donald Trump Chute de popularité du Parti vert, la faute à la droite? Chute de popularité du Parti vert, la faute à la droite?. Publié il y a 2 heures. Créé en 1983 le Parti vert du Canada cherche à remonter la pente de sa défaite aux élections Les festivals de région, des tremplins pour les artistes émergents Les festivals de région, des tremplins pour les artistes émergents. Publié il y a 6 heures. Ils contribuent notamment à la découvrabilité d’artistes négligés par les algorithmes des plateformes Infolettre RCIOù que vous soyez dans le monde Radio Canada International est le service multilingue de CBC/Radio-Canada qui vous permet d'explorer et de comprendre et de prendre du recul sur la réalité de la société canadienne ainsi que sur ses valeurs démocratiques et culturelles.​ Vous pouvez nous écrire à l'adresse suivante : Tous droits réservés © Société Radio‑Canada 2025 Une bande dessinée sur l'histoire du LSD présente les expériences psychédéliques en Saskatchewan La Saskatchewan investissait dans la recherche sur les drogues psychédéliques dans les années 1950 Les réformes du système de santé exigeaient que l'on aille au-delà des méthodes traditionnelles de recherche La psychiatrie est alors en pleine transformation : de nouvelles molécules créées en laboratoire permettent de traiter les patients atteints de psychose une bande dessinée sur l'histoire du LSD en Saskatchewan Celui-ci a pratiqué à l'Hôpital de Weyburn dans les années 50 Un regroupement et un syndicat pointent les restrictions budgétaires actuelles du gouvernement du Québec Le parti de gauche a été réduit à seulement sept sièges lors des élections fédérales du 28 avril qui tentait d'entrer illégalement au Canada Chelsea Poorman et Noelle O’Soup avaient été retrouvées au printemps 2022 La plaignante a commencé à témoigner vendredi dernier Plusieurs questions demeurent quant à l'application des tarifs de 100 % sur les films produits hors des É.-U Le président américain a affirmé qu'il continuera à faire pression pour que le Canada devienne le 51e État Le parti confirme qu'il ne financerait plus les universités qui « promeuvent ou tolèrent » l'antisémitisme On pourrait éventuellement envisager de produire du sang « sur mesure » Les Ontariens Bill et Sandra Barlow ont été coincés en Amérique latine Des canons du 19e siècle ont aussi été découverts Ashlee Shingoose est la quatrième victime d'un tueur en série Plusieurs milliards sont dépensés chaque année dans la Ville Reine pour la production de films Ils contribuent notamment à la découvrabilité d’artistes négligés par les algorithmes des plateformes les cardinaux seront réunis à huis clos pour élire le successeur du pape François cela est notamment dû à l’incertitude économique Selon des médecins de l'hôpital Sainte-Croix leur établissement est aussi vétuste que Maisonneuve-Rosemont Le premier ministre de l'Ontario sollicite l'appui de Mark Carney pour la conception d'un tunnel sous la 401 dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"« Il a toujours été mon roc a appris récemment que son cancer s’était répandu dans son corps et qu’il ne lui restait que quelques mois à vivre Le couple était déjà fiancé mais Jennifer May explique que cette terrible nouvelle l’a poussée à précipiter la cérémonie Jennifer May et ses deux garçons ont alors décidé d’organiser un mariage simple avec une dizaine d’invités Elle a publié sur les réseaux sociaux un message pour recevoir des conseils sur l’organisation du mariage la nouvelle s’est rapidement répandue dans sa communauté de 10 000 résidents dans le sud de la province Une dame que Jennifer May surnomme « l'ange terrestre » a répondu à l'appel de la fiancée sur les réseaux sociaux en lui faisant prendre de l'expansion les membres de la communauté se sont mobilisés pour rassembler ce qu’il fallait pour le mariage : robe pour la mariée les bijoux et même les services de photographie On ne sait jamais tout ce dont on dispose dans une petite ville jusqu’au jour où l'on a un besoin Le couple a finalement échangé les anneaux devant 65 personnes à la salle Captain’s Hall à Weyburn Jennifer May dit être réconfortée par toute cette générosité et espère avoir l’occasion d'aider sa communauté à son tour dans le futur la nouvelle mariée dit être frappée par la force de ces garçons ses enfants lui disent : « Papa sera à un meilleur endroit Aussi court que son mariage puisse être On ne se concentre pas sur les choses négatives On se contente d’apprécier la compagnie de l’un et de l’autre » Ouvrir en mode plein écranJason Court et Jennifer May se sont mariés le 14 février en présence de 65 personnes à la salle Captain’s Hall à Weyburn Prenez note que cet article publié en 2019 pourrait contenir des informations qui ne sont plus à jour Jennifer May a été agréablement surprise par le dévouement des habitants de Weyburn en Saskatchewan qui ont participé à l'organisation d'un mariage inoubliable pour elle et son fiancé qui n'a que quelques mois à vivre a appris récemment que son cancer s’était répandu dans son corps et qu’il ne lui restait que quelques mois à vivre mais Jennifer May explique que cette terrible nouvelle l’a poussée à précipiter la cérémonie Jennifer May et ses deux garçons ont alors décidé d’organiser un mariage simple avec une dizaine d’invités Elle a publié sur les réseaux sociaux un message pour recevoir des conseils sur l’organisation du mariage la nouvelle s’est rapidement répandue dans sa communauté de 10 000 résidents dans le sud de la province Une dame que Jennifer May surnomme « l'ange terrestre » a répondu à l'appel de la fiancée sur les réseaux sociaux en lui faisant prendre de l'expansion les membres de la communauté se sont mobilisés pour rassembler ce qu’il fallait pour le mariage : robe pour la mariée les bijoux et même les services de photographie Le couple a finalement échangé les anneaux devant 65 personnes à la salle Captain’s Hall à Weyburn Jennifer May dit être réconfortée par toute cette générosité et espère avoir l’occasion d'aider sa communauté à son tour dans le futur la nouvelle mariée dit être frappée par la force de ces garçons ses enfants lui disent : « Papa sera à un meilleur endroit On ne se concentre pas sur les choses négatives On se contente d’apprécier la compagnie de l’un et de l’autre » « Il a toujours été mon roc dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"\n\nLes membres de l'exécutif de SUMA ainsi que les directeurs régionaux et des villes qui constituent le conseil d'administration doivent être des élus municipaux selon le directeur général de l'Association Le cycle d'élection de l'Association suit donc celui des élections municipales La présidente sortante occupera le poste jusqu'à l'assermentation du nouveau maire de Weyburn Elle avait été élue en février 2013 devenant la première femme à présider l'Association Un président par intérim sera désigné à fin du mois de novembre en attendant le congrès annuel de SUMA en février C'est là que les autres membres de l'exécutif seront également élus à l'exception du vice-président des villes qui sera choisi par 16 maires de la province le 18 novembre Les directeurs des différentes régions qui constituent une partie du conseil d'administration seront élus lors d'élections partielles durant une tournée régionale du 10 au 25 novembre Certains directeurs risquent d'être reconduits puisqu'ils sont toujours des élus municipaux tandis que d'autres postes devront inévitablement changer de main Les directeurs qui représentent les principales villes de la province sont quant à eux nommés par leurs villes respectives Saskatoon et Regina ont deux représentants tandis que les municipalités de Moose Jaw et Prince Albert ont un seul représentant Ouvrir en mode plein écranUn homme dépose son vote dans une urne de scrutin L'Association des municipalités urbaines de la Saskatchewan (SUMA) devra se trouver un nouveau président après les élections municipales du 26 octobre n'a pas été réélue mairesse de Weyburn et devra donc céder sa place ainsi que les directeurs régionaux et des villes selon le directeur général de l'Association Le cycle d'élection de l'Association suit donc celui des élections municipales La présidente sortante occupera le poste jusqu'à l'assermentation du nouveau maire de Weyburn devenant la première femme à présider l'Association Un président par intérim sera désigné à fin du mois de novembre en attendant le congrès annuel de SUMA en février C'est là que les autres membres de l'exécutif seront également élus à l'exception du vice-président des villes qui sera choisi par 16 maires de la province le 18 novembre seront élus lors d'élections partielles durant une tournée régionale du 10 au 25 novembre Certains directeurs risquent d'être reconduits puisqu'ils sont toujours des élus municipaux tandis que d'autres postes devront inévitablement changer de main Les directeurs qui représentent les principales villes de la province sont quant à eux nommés par leurs villes respectives Saskatoon et Regina ont deux représentants tandis que les municipalités de Moose Jaw et Prince Albert ont un seul représentant dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"Bastion conservateur depuis plus de dix ans Weyburn reste toutefois le berceau du NPD et porte encore les traces du père de l'assurance-maladie Sa statue a été érigée en 2010 au centre-ville La ville se trouve dans la circonscription de Souris-Moose Mountain, qui a été un peu modifiée depuis les dernières élections L'ancien premier ministre saskatchewanais a représenté Weyburn pendant près de 20 ans à Regina avant de fonder le NPD à Ottawa Le néo-démocrate de coeur Kim Thorsen s'est présenté à quatre reprises aux élections provinciales dont deux fois dans la circonscription voisine où siégeait M. Douglas Il se souvient très bien de la création du NPD en 1961 « C'était dans l'enthousiasme nous étions certains que la révolution était arrivée! » Tommy Douglas était prêcheur à l'Église baptiste de Weyburn avant de se lancer en politique Le pasteur Doug Loden est aujourd'hui honoré d'être en poste dans la même église que celui qui a été nommé la plus grande personnalité canadienne en 2004 dans le cadre d'un concours mené par CBC est certaine que le Tommy Douglas serait le premier à se réjouir d'une telle situation « Il trouverait cela merveilleux Il a travaillé très fort pour cela » Mme Walter souligne que ce serait l'aboutissement d'un travail de longue haleine commencé il y a plus de 50 ans Avec les informations de Dominique Brunet-Vaudrin     Pour consulter la fiche électorale sur votre appareil mobile, cliquez ici. Prenez note que cet article publié en 2015 pourrait contenir des informations qui ne sont plus à jour qui était depuis belle lurette un territoire bleu le Nouveau Parti démocratique (NPD) a des chances de remporter les élections fédérales Bastion conservateur depuis plus de dix ans Weyburn reste toutefois le berceau du NPD et porte encore les traces du père de l'assurance-maladie Sa statue a été érigée en 2010 au centre-ville L'ancien premier ministre saskatchewanais a représenté Weyburn pendant près de 20 ans à Regina avant de fonder le NPD à Ottawa s'est présenté à quatre reprises aux élections provinciales dont deux fois dans la circonscription voisine où siégeait M Il se souvient très bien de la création du NPD en 1961 nous étions certains que la révolution était arrivée Élections Canada 2015Consulter le dossier completSuivreSuivreTommy Douglas était prêcheur à l'Église baptiste de Weyburn avant de se lancer en politique Le pasteur Doug Loden est aujourd'hui honoré d'être en poste dans la même église que celui qui a été nommé la plus grande personnalité canadienne en 2004 dans le cadre d'un concours mené par CBC est certaine que le Tommy Douglas serait le premier à se réjouir d'une telle situation Mme Walter souligne que ce serait l'aboutissement d'un travail de longue haleine commencé il y a plus de 50 ans     Chargement en coursInfolettre Info nationaleNouvelles La ville se trouve dans la circonscription de Souris-Moose Mountain, qui a été un peu modifiée depuis les dernières élections     Pour consulter la fiche électorale sur votre appareil mobile, cliquez ici. Pour consulter la fiche électorale sur votre appareil mobile, cliquez ici. Pour la première fois, une campagne électorale fédérale est le théâtre d'une lutte à trois dans le choix du futur gouvernement fédéral. Fort d'une vague orange au Québec aux élections fédérales de 2011 et d'un gouvernement provincial en Alberta Fort d'une vague orange au Québec aux élections fédérales de 2011 et d'un gouvernement provincial en Alberta le Nouveau Parti démocratique a des chances de remporter les élections fédérales Les autorités ont indiqué qu’il s’agissait de la première fois que les policiers de la Ville des Ponts étaient face à une situation impliquant des armes en 3D les autorités ont procédé à l’arrestation d’un homme de 26 ans pour les mêmes raisons Les deux suspects font face à de nombreuses accusations notamment de fabrication d'armes à feu et de possession dans le but d'en faire le trafic La police de Saskatoon s’est dite particulièrement préoccupée par la situation car les armées saisies lors de l'arrestation ne comportaient pas de numéro de série Ceci les rend impossibles à retrouver si elles sont utilisées pour commettre un crime La Gendarmerie royale du Canada (GRC) a soulevé les mêmes préoccupations du côté de Weyburn Le contrôleur des armes à feu de la Saskatchewan dit qu'il était conscient que de plus en d'armes en 3D sont créées dans la province Il attribue cette hausse à la facilité d’accès aux imprimantes 3D Robert Freberg rappelle également que ces armes sont souvent munies de pièces ou de matériel qui ne répondent pas aux exigences ce qui les rend dangereuses pour les utilisateurs il est illégal de fabriquer des armes à feu sans détenir de permis de fabrication La Saskatchewan modifie un projet de loi pour protéger les propriétaires d’armes à feu La Saskatchewan a l'un des taux les plus élevés de crimes violents commis avec des armes à feu Ouvrir en mode plein écranLes éléments saisis par la police de Saskatoon en janvier (archives) Prenez note que cet article publié en 2022 pourrait contenir des informations qui ne sont plus à jour les armes illégales produites par des imprimantes 3D sont de plus en plus fréquentes au Canada Le phénomène est maintenant bien présent en Saskatchewan Les autorités ont indiqué qu’il s’agissait de la première fois que les policiers de la Ville des Ponts étaient face à une situation impliquant des armes en 3D les autorités ont procédé à l’arrestation d’un homme de 26 ans pour les mêmes raisons Les deux suspects font face à de nombreuses accusations notamment de fabrication d'armes à feu et de possession dans le but d'en faire le trafic La police de Saskatoon s’est dite particulièrement préoccupée par la situation car les armées saisies lors de l'arrestation ne comportaient pas de numéro de série Ceci les rend impossibles à retrouver si elles sont utilisées pour commettre un crime La Gendarmerie royale du Canada (GRC) a soulevé les mêmes préoccupations du côté de Weyburn Le contrôleur des armes à feu de la Saskatchewan dit qu'il était conscient que de plus en d'armes en 3D sont créées dans la province Il attribue cette hausse à la facilité d’accès aux imprimantes 3D Robert Freberg rappelle également que ces 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de la région Certaines personnes ont rapporté avoir vu des meutes allant jusqu'à 15 coyotes et s'inquiètent pour leurs enfants tandis que les éleveurs craignent que leurs animaux Nous ne voulons pas exterminer les coyotes Il faut aider Mère Nature un peu [...] parce que leur nombre est élevé Les chasseurs doivent également fournir les coordonnées du propriétaire du terrain où chaque animal a été tué pour éviter que certaines personnes essaient d'être payées pour des coyotes abattus ailleurs Les municipalités rurales de Estevan et de Cymri offrent elles aussi une récompense aux chasseurs de coyotes Norm Mcfadden précise que le programme devrait continuer jusqu'à l'automne et que le nombre de coyotes abattus ou aperçus en déterminera la fin la chute du prix des fourrures de coyote explique en partie l'augmentation de leur population le vendeur de fourrure ontarien Fur Haversters Auction Inc vendait ces fourrures 120 $ en moyenne et à l'été 2022 ce prix avait chuté à un peu moins de 35 $ Le président de l'Association des trappeurs de la Saskatchewan, Don Gordon, explique cette baisse du prix par une diminution de la demande, notamment depuis que des joueurs comme Canada Goose se sont retirés du marché de la fourrure. il doute qu'elle encourage les chasseurs à faire l'effort de cibler spécifiquement les coyotes Je vois mal les gens se lancer là-dedans parce que les fourrures ne valent presque plus rien Nature Saskatchewan est aussi sceptique quant à l'effet de ces primes et affirme que les recherches prouvent que les animaux plus faibles sont abattus ce qui profite aux plus forts qui se reproduisent en plus grand nombre Les autorités conseillent aux personnes qui se trouvent à proximité d'un coyote de ne pas courir mais plutôt de lever les mains au-dessus de la tête de crier et de frapper des mains pour l'effrayer Ouvrir en mode plein écranLes chasseurs sont récompensés quand ils prouvent leurs prises en rapportant une paire de pattes de coyote Photo : Associated Press / Damian Dovarganes Prenez note que cet article publié en 2023 pourrait contenir des informations qui ne sont plus à jour Certaines municipalités du sud-est de la Saskatchewan offrent désormais une prime de 20 $ pour chaque coyote abattu dans la région Les chasseurs sont récompensés quand ils prouvent leurs prises en rapportant une paire de pattes de cet animal selon le préfet de la municipalité rurale de Weyburn Il explique que Weyburn a pris la décision de mettre cet incitatif en vigueur par crainte pour les troupeaux et les familles de la région Certaines personnes ont rapporté avoir vu des meutes allant jusqu'à 15 coyotes et s'inquiètent pour leurs enfants tandis que les éleveurs craignent que leurs animaux Il faut aider Mère Nature un peu [...] parce que leur nombre est élevé Les chasseurs doivent également fournir les coordonnées du propriétaire du terrain où chaque animal a été tué pour éviter que certaines personnes essaient d'être payées pour des coyotes abattus ailleurs Les municipalités rurales de Estevan et de Cymri offrent elles aussi une récompense aux chasseurs de coyotes Norm Mcfadden précise que le programme devrait continuer jusqu'à l'automne et que le nombre de coyotes abattus ou aperçus en déterminera la fin vendait ces fourrures 120 $ en moyenne et à l'été 2022 ce prix avait chuté à un peu moins de 35 $ il doute qu'elle encourage les chasseurs à faire l'effort de cibler spécifiquement les coyotes Je vois mal les gens se lancer là-dedans parce que les fourrures ne valent presque plus rien Nature Saskatchewan est aussi sceptique quant à l'effet de ces primes et affirme que les recherches prouvent que les animaux plus faibles sont abattus Les autorités conseillent aux personnes qui se trouvent à proximité d'un coyote de ne pas courir mais plutôt de lever les mains au-dessus de la tête Les chasseurs sont récompensés quand ils prouvent leurs prises en rapportant une paire de pattes de cet animal Le président de l'Association des trappeurs de la Saskatchewan, Don Gordon, explique cette baisse du prix par une diminution de la demande, notamment depuis que des joueurs comme Canada Goose se sont retirés du marché de la fourrure. dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"Une cérémonie est prévue mercredi après-midi à Weyburn une ville située à 117 km au sud-est de Regina pour le dévoilement d'une statue de l'ancien premier ministre Tommy Douglas Tommy Douglas a été premier ministre de la Saskatchewan de 1944 à 1961 avant de devenir le premier chef du NPD du Canada Celui qui a été député de Weyburn pendant près de trente ans est considéré comme le père de l'assurance-maladie Le bronze de Tommy Douglas a été fait par la sculptrice d'origine tchèque Lea Vivot qui après avoir été soignée à la suite d'un accident de la route a constaté avec surprise qu'elle n'avait pas à payer l'hôpital Elle a alors voulu rendre hommage à celui qui a défendu l'idée d'instaurer un régime public de santé au Canada Mme Vivot a contacté la Ville de Weyburn qui a accepté de payer les matériaux pour faire un bronze en l'honneur de Tommy Douglas La statue est installée au centre-ville de la localité Ouvrir en mode plein écranTommy Douglas à Ottawa en 1966 Photo : La Presse canadienne / Chuck Mitchell Prenez note que cet article publié en 2010 pourrait contenir des informations qui ne sont plus à jour L'acteur Kiefer Sutherland dévoile une statue en l'honneur de son grand-père qui a été premier ministre de la Saskatchewan de 1944 à 1961 avant de devenir le premier chef du NPD du Canada Une cérémonie est prévue mercredi après-midi à Weyburn une ville située à 117 km au sud-est de Regina pour le dévoilement d'une statue de l'ancien premier ministre Tommy Douglas Tommy Douglas a été premier ministre de la Saskatchewan de 1944 à 1961 avant de devenir le premier chef du NPD du Canada Celui qui a été député de Weyburn pendant près de trente ans est considéré comme le père de l'assurance-maladie Le bronze de Tommy Douglas a été fait par la sculptrice d'origine tchèque Lea Vivot qui après avoir été soignée à la suite d'un accident de la route a constaté avec surprise qu'elle n'avait pas à payer l'hôpital Elle a alors voulu rendre hommage à celui qui a défendu l'idée d'instaurer un régime public de santé au Canada qui a accepté de payer les matériaux pour faire un bronze en l'honneur de Tommy Douglas La statue est installée au centre-ville de la localité Une cérémonie est prévue mercredi après-midi à Weyburn Nous mettons tout en œuvre pour rétablir le service dans les meilleurs délais Le printemps est bel et bien là et pour alterner entre jours de pluie et beau temps rien de mieux que des looks et accessoires multifonctions.  Le Guide Marie Claire a choisi pour vous les meilleures offres promotionnelles du moment en matière de mode, incluant les codes promo pour le mois de mai Suivez ces conseils pour rester tendance à moindre coût.  Chic et intemporelle, la marque Anne Weyburne est en 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