Lors de la journée de «Célébration de la créativité»
l’Institut gabonais de l’image et du son (IGIS) a présenté les cinéastes et comédiens soutenus par l’État en 2024
ministre de la Communication et des Médias
et les professionnels du cinéma appellent à une industrialisation pour faire du septième art un levier culturel et économique important
La ministre Laurence Ndong et les responsables de l’IGIS
matériel et humain de l’Institut gabonais de l’image et du son (IGIS) au cours de l’année 2024
au ministre de la Communication et des Médias
a permis d’accompagner une quinzaine de cinéastes et comédiens gabonais
«Votre créativité constitue l’âme du cinéma gabonais
À l’IGIS nous sommes fiers de vous accompagner et de contribuer à vos côtés à l’épanouissement de vos projets
Bien que nos moyens puissent parfois paraître limités
repose sur un partenariat sincère et constructif»
Nadine Otsobogho pour sa série «Les cavaleurs et les siffleurs» ; les studios Montparnasse pour «Le cœur des hommes»
le jeune Giovanni Allogho qui a réçu un soutien moral de l’IGIS pour l’avant-première de son film «Mermaid»
et également plusieurs réalisateurs de la maison sur des capsules intitulées «Que sont nos amis devenus» permettant de mettre en lumière des hommes et des femmes ayant fait vivre le cinéma gabonais dans le passé
«Nous avons également porté des comédiens gabonais sur la scène internationale à travers des œuvres comme «Ewusu» qui est une création originale de Canal+»
Cette rencontre annuelle dénommée ‘’Célébration de la créativité’’ a permis à Laurence Ndong
patronne de la tutelle gouvernementale du secteur
de saluer l’engagement des producteurs privés gabonais
«Vous avez su convaincre par la qualité de vos projets et votre engagement à produire des œuvres porteuses de sens
À celles et ceux qui ont concrétisé leurs ambitions avec succès
Vous êtes la preuve vivante que lorsqu’on allie créativité
Vos réalisations incarnent le dynamisme de notre secteur audiovisuel et sont une source d’inspiration pour toute une génération»
a déclaré la ministre de la Communication et des Médias
le cinéma et l’audiovisuel ne sont pas de simples industries
«Ce sont des leviers puissants pour transmettre nos valeurs
éduquer nos populations et renforcer la cohésion sociale
C’est pourquoi nous continuerons à œuvrer pour faire du cinéma gabonais un pilier de notre identité culturelle et de notre rayonnement mondial»
est à la portée des animateurs de ce secteur des industries culturelles et créatives
cette aide est exclusivement destinée aux entreprises structurées
capables de présenter des projets viables et bien élaborés
«Je vous invite donc à prendre le temps de formaliser vos idées
à bâtir des fondations solides et à vous inscrire dans une démarche professionnelle
nous avons les moyens de transformer vos rêves en réalités durables»
a souligné le ministre de la communication
l’un des doyens du monde du cinéma indépendant gabonais
«Le concept d’industrialisation induit de facto une production de masse
nous devons mener une refonte structurelle et réglementaire afin de déboucher sur la proposition d’un modèle économique viable
Le secteur cinématographique peut générer énormément d’emplois»
L’IGIS va démarrer l’année 2025 avec de nouvelles productions
«Si en 2024 nous avons soutenu quatre séries
en 2025 nous nous devons d’en soutenir six ou sept
en 2025 nous avons pour obligation d’en soutenir deux ou trois»
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représentant une part record de 15 % du total des livraisons.« Skoda Auto a poursuivi sur sa lancée de..
Lors de la clôture du premier festival du cinéma chinois au Gabon
la ministre Laurence Ndong a appelé à un partenariat structurant entre les grandes maisons de production chinoises et l’Institut gabonais de l’image et du son (IGIS)
Une initiative qui pourrait transformer l’industrie cinématographique gabonaise en un levier de développement économique et culturel
La ministre Laurence Ndong et l’ambassadeur de Chine au Gabon
lors de la clôture de la première édition du festival du cinéma chinois au Gabon
la ministre de la Communication et des Médias
a exprimé son souhait de voir émerger une collaboration entre les grandes maisons de production cinématographique chinoise et l’Institut gabonais de l’image et du son (IGIS)
nous avons appris à régler et renforcer notre compréhension mutuelle
C’est pourquoi je réitère avec force notre souhait de voir naître un partenariat structurant entre les grandes maisons de production chinoise et l’Institut gabonais de l’image et du son»
ce partenariat pourrait transformer l’industrie cinématographique gabonaise en un moteur économique et culturel
tout en offrant des opportunités inédites aux jeunes talents du pays
«Je formule également le vœu que ce festival devienne un rendez-vous annuel incontournable
Un espace où nos deux cultures continueront de se rencontrer et où nos peuples continueront de s’enrichir mutuellement»
l’IGIS a pour mission de promouvoir la production audiovisuelle gabonaise et de protéger l’identité culturelle nationale
comédien et producteur primé à l’international
Ce partenariat avec la Chine pourrait offrir une nouvelle impulsion à la vision de l’institut
le roman "L’aigle de Libreville" a été présenté à la presse le 30 avril dernier à Libreville
L’ambassade d’Italie au Gabon vient d'organiser la première rencontre du groupe d’amitié italo-gabonais
réunissant les anciens étudiants gabonais ayant fait leurs études supérieures en Italie
L’organisation patronale des médias (Opam) a célébré hier en différé à Libreville la Journée internationale de la liberté de la presse
L'association des sages-femmes du Gabon (ASFG) a célébré
la Journée internationale des sages-femmes ayant pour thème cette année "Sage-femme indispensable devant chaque crise"
présidente de l’ONG "Cri de Cœur contre le harcèlement en milieu scolaire" (CCHS)
La Société des boissons rafraîchissantes du Gabon (Sobraga) et l’Institut des techniques avancées (ITA) ont signé
(Le Nouveau Gabon) - Serge Abessolo a pris officiellement fonction ce 7 janvier 2022 comme directeur général de l’Institut gabonais de l’image et du Son (Igis)
Il a été porté à la tête de cette structure par le gouvernement lors du conseil des ministres du 17 décembre dernier
devra utiliser son expérience dans le domaine cinématographique pour porter haut le cinéma gabonais et accompagner des projets du secteur
« L’Igis n’a pas les mêmes prérogatives qu’à l’époque où on était scène assis
on est plus dans l’accompagnement des projets
Nous allons nous mettre très rapidement au travail par le biais d’un appel à projets pour susciter des projets de films et de séries parce qu’en ce qui me concerne
je compte m’inspirer de ce qu’ont fait mes prédécesseurs »
on ait d’autres séries gabonaises qui soient diffusées sur la télévision gabonaise
Et l’Igis se doit d’accompagner tous les réalisateurs qui ont des projets dans ce sens pour alimenter notre télévision aussi »
on part sur une base de travail de disponibilité
c’est tout ça qui fait la beauté d’une œuvre cinématographique »
il y a beaucoup de choses à faire en production ou en coproduction
Et il utilisera également ses relations dans le monde cinématographique pour atteindre les objectifs qu’il s’est fixés
Serge Abessolo s’est plusieurs fois illustré dans le cinéma africain et plus récemment dans la série sénégalaise « Impact »
ou encore dans la série ivoirienne « Ma Famille »
en remplacement du Centre national du cinéma (Cenaci)
l’Igis a pour mission de développer la production cinématographique et audiovisuelle gabonaise
l’Igis était sans directeur général depuis environ deux ans
Pour nous contacter: c o n t a c t [@] lenouveaugabon
Une voiture électrique pollue-t-elle plus ou moins qu'une voiture thermique
Il est difficile de répondre à cette question
compte tenu des nombreuses variables en jeu
Hyundai Motor Company et Kia Corporation vont toutefois tenter de donner une réponse aussi précise que possible à cette vieille question
Elles le feront grâce à une nouvelle plateforme numérique appelée Integrated Greenhouse Gas Information System (IGIS) qui contrôlera et quantifiera la quantité de CO2 produite tout au long du cycle de vie d'une voiture
La plateforme du groupe Hyundai est basée sur l'analyse du cycle de vie d'un modèle et prend en compte de nombreux aspects pour évaluer son impact environnemental
Hyundai surveille également l'ensemble de la chaîne d'approvisionnement pour prendre un instantané des émissions de CO2 associées aux composants individuels et de la consommation d'énergie des installations de production dans le monde entier
La plate-forme modulaire mondiale Hyundai E-GMP
la plateforme numérique s'appuie sur un système de blockchain qui certifie l'exactitude et la sécurité des données
ce qui rend très difficile la modification des informations recueillies
Hyundai a décidé de développer cette méthode de calcul de l'impact environnemental de ses voitures pour plusieurs raisons
pour certifier son engagement dans la lutte contre les émissions de CO2 et disposer d'un outil fiable lui permettant de démontrer quand elle atteindra effectivement la neutralité carbone annoncée pour 2045
Hyundai pourra également analyser tous les aspects de la production automobile afin d'améliorer l'efficacité de tous les processus
Et ce n'est pas tout : l'entreprise a fait savoir que grâce à cet outil d'évaluation utile
elle sera également en mesure de réagir rapidement à l'arrivée de nouvelles réglementations environnementales
en comprenant facilement comment réagir pour s'adapter aux nouvelles normes imposées dans différentes parties du monde
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première mondiale de son nouveau pick-up D-Max EV
L'Europe veut interdire la fibre de carbone
La famille princière de Liechtenstein continue à étendre ses acquisitions dans les Alpes
neveu de l’actuel souverain de la Principauté
vient de s’offrir le château de Marschlins
Lire aussi : Fiançailles du prince Josef-Emanuel de Liechtenstein
Le journal local Südostschweiz a révélé que le château de Marschlins
surnommé le «château de conte de fées»
venait de changer de propriétaire le 2 août 2021
L’information a ensuite été confirmée par les registres de cadastre fournis à l’agence Keystone-ATS
Le château de Marschlins appartient dorénavant au prince Rudolph de Liechtenstein
dont le domicile officiel se trouve à Istanbul
Le prince Rudolph a épousé Tılsım Tanberk en Turquie en 2012
la princesse Laetitia et le prince Karl Ludwig qui viennent de fêter leurs 6 ans
Le prince Rudolph et son épouse ont perdu leur première enfant
Ce sont les héritiers de l’industriel qui viennent de vendre le château
L’avant-première du court-métrage «Ovi» de Marlène Alene a eu lieu le 18 septembre à Libreville
en présence de la ministre de la Communication
Cette production de l’Institut gabonais de l’image et du son (IGIS)
selon la jeune cinéaste gabonaise qui présente son œuvre comme un cri pour la dignité des enfants en vue d’une prise de conscience collective sur l’esclavage des enfants
Laurence Ndong posant avec les acteurs du court-métrage Ovi
L’institut gabonais de l’image et du son (IGIS) a présenté le 18 septembre 2024
«Ovi» un court-métrage d’une durée de 26 minutes
retraçant la vie d’une adolescente béninoise de 15 ans venue travailler comme femme de ménage chez un couple et qui s’avère être la fille du mari
ce film s’inscrit dans la thématique de l’enfant apatride issu d’un amour interdit et qui murit le rêve d’être comme les autres enfants
mais qui ne l’a pas parce que sa maman de son temps s’est vue arracher ses documents administratifs
ces personnes qui nous entourent et qui vivent au tour de nous que souvent on ignore
mais qui vivent des situations assez touchantes qui méritent d’être racontées et d’être d’énoncées»
avant d’ajouter : «J’ai appris en Afrique de l’Ouest et j’ai très vite été touchée par le fait de voir des enfants travailler très jeunes et ça a attiré mon attention»
Marlène Alene a appris qu’il y a beaucoup d’enfants nés de jeunes filles venues pour travailler comme aide dans les maisons
Une situation qui est très souvent difficilement gérée au sein de la famille
Ovi est un cri pour la dignité des enfants
le respect de leur droit et pour une prise de conscience collective sur une pratique qui ne doit plus avoir de place dans notre société»
La présentation des acteurs au cours de l’avant-premier
il y a tellement de problèmes soulevés dans ce court-métrage «qui sensibilise pour améliorer les conditions de vie des enfants
pour améliorer les conditions de traitement et de faire attention à nos voisins
à ceux qui vivent avec nous parce qu’ils traversent des situations souvent que nous ne pouvons même pas soupçonner
mais en leur prêtant attention on devient cette main tendue qui les aide à envisager l’avenir sous de meilleurs jours»
a souligné le ministre de la Communication
le réalisateur suscitera auprès des spectateurs des émotions de prise de conscience sur les personnes apatrides notamment les enfants
Le court-métrage Ovi et six autres productions gabonaises sont nominés au festival de cinéma les Écrans noirs qui se tiendra au Cameroun dans quelques semaines
Selon les autorités cela prouve que le cinéma gabonais se porte bien et a encore de beaux jours devant lui
Le rendez-vous culturel annuel du cinéma africain
baptisé « les Escales Documentaires de Libreville » se tiendra cette année du 20 au 25 novembre 2017
Le directeur de l’institut gabonais du son et de l’image (IGIS)
Henri Joseph Koumba et Charles Le Gargasson
l’attaché Culturel et directeur de l’institut français du Gabon ont animé une conférence de presse ce 15 novembre à Libreville
afin de présenter l’événement aux hommes et femmes de médias
cette 12e édition des Escales Documentaires de Libreville aura trois temps forts : l’organisation des ateliers pour les amateurs sur le thème « Comment tourner un documentaire
» ; une table ronde sur la production et la diffusion du documentaire et la cérémonie de remise des trophées
dont le plus convoité est le prix international Charles Mensah
Une trentaine de documentaires sont au programme
« Maman Colonelle » de Dieudo Hamadi (RDC)
« Les silences de Lydie » d’Aissata Ouarma (Burkona Faso) et « Vivre riche » de l’Ivoirien Joël Akafou
Voir le site des Ecales Documentaires de Libreville
les Escales Documentaires de Libreville ont mis à l’honneur des films émouvants
Elles nous ont fait voyager dans un genre cinématographique qui ne cesse de s’épanouir et de s’affirmer en un univers riche et multiple »
L’attaché Culturel français à Libreville et DG de l’IFG
a tenu à préciser d’emblée que l’entrée à la salle de diffusion des films sera entièrement gratuite
On annonce notamment parmi les personnalités des médias internationaux présentes aux Escales Documentaires de Libreville
Directeur des relations internationales de Radio France
Quelques extraits des oeuvres projetées :
ON EST TOUS PYGMÉES : Hélène CHARPENTIER / Gabon – France / 2017 / 26mn
GIRLS DON’T FLY : Monica GRASSI / Ghana – Australie – Allemagne / 2016 / 90mn
KIMPA VITA (La mère de la révolution africaine) : Ne KUNDA NLADA / RDC / 2016 / 77mn
Ali Reynald Radjoumba et les représentants de l’Institut gabonais de l’image et du son (IGIS) ont procédé à la signature d’une convention à l’auditorium de la maison Georges Rawiri
Il était question pour les deux entités de faire une cession de droits de la série gabonaise Hôtel coco laquelle sera bientôt diffusée sur les antennes de la chaîne nationale pour le grand bonheur des cinéphiles
C’est en présence de plusieurs officiels que la signature de la cession des droits de diffusion a été faite
la directrice générale de la Communication
représentant le ministre Pascal Houangni Ambouroue empêché
du président du Conseil d’administration de l’IGIS
En vue de donner plus de visibilité à la production locale mais également de promouvoir l’industrie cinématographique gabonaise
le directeur général du Groupe Gabon Télévisions
Ali Reynald Radjoumba a procédé à la signature d’une convention avec l’IGIS
« le cinéma a la capacité de changer positivement le public à travers les messages qu’il véhicule et d’éveiller les consciences »
Notons que la série « Hôtel Coco » est née en 2019 et compte plus d’une cinquantaine de comédiens
la série compte une dizaine d’épisodes de 13 minutes
c’est que c’est une série qui se veut très gabonaise
Et même au niveau des thématiques que nous abordons
on n’hésite pas à faire ressortir l’identité du Gabon dans la série »
Nul doute que sa diffusion sera bien accueillie par les férus de séries gabonaises en vogue ces derniers mois
Les champs obligatoires sont indiqués avec *
" Les autorités soupçonnent cependant que le mouvement ait é..
Aunce preuve n'a été avancé alors pk privé 6500 gabonais de..
La société Canal + Gabon a prêté son cadre à la cérémonie de diffusion de l’avant-première du court-métrage intitulé ‘’OVI’’
une fiction de 26 minutes réalisée par Marlène Alene
Ce court-métrage diffusé en langue française et produit par l’Institut gabonaise de l’image et du son (IGIS)
aborde plusieurs thématiques à savoir l’exploitation des jeunes filles
la quête d’identité et les inégalités sociales
‘’OVI’’ est inspiré de faits réels et vécus
La diffusion de l’avant-première de ‘’OVI’’ s’est faite en présence du ministre de la Communication et des médias
Porte-parole du gouvernement de la transition
‘’OVI’’ est une jeune fille béninoise de 15 ans qui vit avec sa mère Fémi dans une mangrove de la Lowé
un cadre connu pour son naturel et sa captivité
symbolisant la dualité entre l’isolement et l’aspiration à une vie meilleure
Malgré leurs difficultés et l’absence de documents administratifs
Son oncle Hervé va par la suite la conduire en ville pour travailler comme femme de ménage chez un couple gabonais
venue faire un contrôle médical dans la capitale
‘’OVI’’ découvre par la suite que le Chef de la famille Mbala est en réalité son père biologique
mais les histoires des petites gens qui nous entourent mérite aussi d’être racontées et d’être vues à l’écran
La thématique principale de mon court-métrage traite de ces petites gens-là
très souvent sans repères ni perspectives d’avenir à l’image de cette jeune fille
La véritable question que nous devons nous poser est de savoir comment donner à ces enfants une boussole dans la vie
la réalisatrice et scénariste de ‘’OVI’’.
« A travers l’histoire de cette adolescente de 15 ans la réalisatrice
nous invite à plonger dans un univers où les violences abusives se cachent derrière les murs des foyers
‘’OVI’’ est un cri pour la dignité des enfants
pour le respect de leurs droits et pour une prise de conscience collective de ces pratiques qui ne doivent plus avoir de place dans nos sociétés »
Je suis convaincue qu’à travers cette histoire
des milliers de personnes vont être touchées et sortir de leur silence et par la suite on aura un autre regard
d’affection et surtout avec une main tendue à l’endroit des personnes qui vivent ces situations
Ce qui permettra de corriger le mal que nous leur infligeons pour qu’ils envisagent enfin un autre avenir »
le ministre de la Communication et des médias.
Marlène Alene a commencé ses études au Gabon avant de s’envoler pour le Bénin où elle a obtenu une Licence professionnelle en réalisation cinéma/télévision et Écriture de scénarios à l’Institut supérieur des métiers de l’audiovisuel (ISMA)
pour participer à l’atelier d’écriture ‘’Ecrire à Bangui’’ de l’Association LETIBEAFRICA
Après plusieurs expériences d’Assistante réalisatrice dans la série ‘’Parent mode d’emploi’’ de Samantha Biffot en 2015
en passant par le documentaire ‘’Sur le fil Du Zénith’’ de Nathalie Pontallier en 2020
elle écrit et réalise en 2018 une mini-série ‘’Epopolia’’ produite par OPVStyle de Sedrygue Soungani
diffusée sur la chaîne de télévision nationale du Gabon
Son premier film d’école lui a valu le second prix UNICEF Bénin
Son film de soutenance a été sélectionné au First short de Yaoundé en 2015
Marlène Alene a travaillé pour la chaîne d’Informations en Continu Gabon
Elle est agent à l’Institut gabonais de l’image et du son depuis 2018
Elliott Ana Merveille et Darina Stone Mikala
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Le Directeur général de l’Institut gabonais de l’image et du son
Serge Abessolo a procédé ce jeudi 2 novembre au lancement du premier clap de la nouvelle série gabonaise « Le cavaleur et les siffleurs »
Une série de 12 X 26 minutes de Nadine Otsobogo qui sera bientôt disponible sur les écrans
Serge Abessolo procédant au clap départ de la série Le cavaleur et les siffleurs
la série gabonaise «Le cavaleur et les siffleurs » sera bientôt sur les écrans des télévisions
Le clap départ a été donné ce jeudi 2 novembre 2023 par le directeur général de l’Institut gabonais de l’image et du son (IGIS)
«Il s’agit d’une série de la réalisatrice gabonaise Nadine Otsobogo que nous soutenons dans ce projet parce que dans nos missions nous nous devons également d’accompagner les réalisateurs gabonais
Il s’agit donc de sa future série Le cavaleur et les siffleurs
Une série de 12 X 26 mn qui sera bientôt disponible»
cette série policière tient sur 8 semaines de tournage avec des techniciens locaux et africains
«Nous développons ce projet ensemble depuis 3 ans
On a tout fait pour mettre ce projet sur pied et aujourd’hui on est à l’IGIS la maison du cinéma dont le directeur général est Serge Abessolo
le camarade de tous les cinéastes africains
Le cavaleur et les siffleurs est un polar torride et surnaturel mettant aux prises une brillante policière
un jeune flic incontrôlable aux méthodes parfois limite
L’Institut gabonais de l’image et du son (IGIS) a pour mission de développer la production cinématographique et audiovisuelle gabonaise
afin de relever l’un des défis majeurs d’aujourd’hui qui est la protection et la promotion de son identité culturelle dans un monde globalisé
«C’est vrai que nous ne communiquons pas beaucoup
mais les choses se font tranquillement en silence ici à l’IGIS parce qu’en marge de cette série
l’IGIS a produit une série 100% gabonaise avec un jeune réalisateur qui s’appelle Jeremy Tchoua »
a expliqué le directeur général de l’IGIS avant d’ajouter : «la série sera disponible donc dès la fin du mois de novembre parce que ça prend beaucoup de temps entre la préparation et le tournage
ça fait un an et quelques mois et cette série sera bientôt disponible sur nos écrans parce que nous allons faire des séries d’abord pour la télévision gabonaise»
Alors que la structure n’était plus représentée lors des rencontres officielles que par son président du conseil d’administration depuis deux ans au moins
l’Institut gabonais de l’image et du son (IGIS) a un nouveau directeur général en la personne du comédien
humoriste et producteur Constant Serge Abessolo
qui promet de se mettre rapidement au travail avec l’aide de ses prédécesseurs
Orphelin d’un directeur général depuis deux ans au moins
l’Institut gabonais de l’image et du son (IGIS) vient de renouer avec la normalité
Alors que la structure n’était plus représentée lors des rencontres officielles que par son président du conseil d’administration
un nouveau DG a été nommé vendredi 17 décembre en Conseil des ministres
humoriste et producteur qui cumule plusieurs distinctions cinématographiques internationales ces dernières années
voient cette nomination comme «une récompense méritée» pour un des acteurs majeurs de la culture gabonaise et un de ses plus célèbres ambassadeurs hors des frontières
l’intéressé y voit une lourde responsabilité
Toutefois il ne boude pas son plaisir et se réjouit de la confiance placée en sa personne par les autorités gabonaises
Il y a beaucoup de choses à faire à l’IGIS
que ce soit en production ou en coproduction
le réseau qu’on a tissé et les relations établies au fil du temps et dans divers pays»
confie-t-il ce samedi 18 décembre à Gabonreview
le nouveau patron de l’IGIS n’entend pas le faire seul
à l’instar d’Henri Joseph Koumba Bididi aujourd’hui à la retraite
À la suite de la récente signature de la convention de cession des droits avec l’Institut gabonais de l’image et du son (IGIS)
la première chaîne de télévision publique va diffuser l’intégralité de la série nommée lors de la 27e édition du Fespaco
Une première pour une série télévisée gabonaise depuis plusieurs années
Poignée mains entre le DG de Gabon Télévisions (à gauche)
Nommée lors de la 27e édition du Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou (Fespaco)
la série «Hôtel Coco» réalisée par Fernand Lepoko sera désormais diffusée sur Gabon 1ère
l’annonce a néanmoins été faite le 14 juin dernier par Ali Reynald Radjoumba
l’annonce de cette diffusion intervient à la suite de la signature de la convention de cession des droits avec l’IGIS
S’il s’est réjoui de l’aboutissement de ces négociations
d’autant qu’il s’agit pour lui d’une continuité de la relation qui existait déjà dans le passé entre leurs deux institutions
le directeur général du groupe des télévisions publiques s’est également félicité de cet accord pour son rôle social
«Le cinéma a la capacité de changer positivement le public à travers les messages qu’il véhicule et d’éveiller les consciences
C’est ce qui justifie notre appui aux responsables de l’IGIS
et qui donne lieu à la présente collaboration qui nous permettra sans doute d’atteindre nos objectifs»
Régis Massimba a tenu à rappeler que premier partenaire de l’entité dont il assure la présidence du conseil d’administration
«Nous sommes obligés d’être ensemble
Nous n’avons pas le choix que de travailler ensemble
a-t-il martelé lors de la cérémonie de signature de la convention à la Maison Georges Rawiri
figure légendaire des planches et du grand écran
Celui que des générations de Gabonais connaissaient sous le tendre surnom d’«Oncle Didine» a livré son ultime représentation à l’hôpital militaire Omar Bongo Ondimba
terrassé par la maladie après une carrière flamboyante marquée par 29 films et trois séries télévisées
Le rideau est ainsi tombé sur une vie d’exception qui aura marqué l’histoire culturelle du Gabon
Dans la matinée de ce dimanche 5 janvier 2024
s’est éteinte une brillante étoile du firmament culturel gabonais
cet homme que des générations entières ont affectueusement appelé «Oncle Didine»
a rendu son dernier souffle à l’hôpital d’instruction des armées Omar Bongo Ondimba dit hôpital militaire de Libreville
L’information a été confirmée par Serge Abessolo
directeur de l’Institut gabonais de l’image et du son (Igis)
il souffrait d’un cancer et attendait une relative stabilisation de la maladie en vue d’une évacuation sanitaire à l’étranger
a donné de l’argent et des instructions en vue de cette évacuation»
Comme un dernier acte d’une pièce magistralement jouée pendant plus de quatre décennies
son départ va absolument laisser le public orphelin d’un talent rare
d’une présence irremplaçable ayant marqué l’histoire du septième art gabonais de son empreinte indélébile
De l’église Sainte Thérèse aux projecteurs : l’histoire d’un destin extraordinaire
Le destin de Prince de Capistran semblait écrit dans les étoiles dès sa naissance
dans l’humble église Sainte Thérèse d’Angone
un village aujourd’hui absorbé par la ville d’Oyem
résonnait déjà comme un présage de grandeur
fruit d’une promesse sacrée entre son père
il a grandi en étant bercé par la spiritualité qui allait imprégner toute son existence
Dans ce qui apparaît aujourd’hui comme une magnifique ironie du destin
cet enfant de l’église devint une figure emblématique des arts dramatiques
il a illuminé les écrans de sa présence charismatique
transformant chaque rôle en une performance mémorable
De son interprétation magistrale dans «L’Auberge du salut» à son rôle pionnier dans «Le Singe fou» (1984-1985)
chacune de ses apparitions était un don au public
Son talent a même transcendé les frontières nationales lorsqu’en 1988
il devint le premier acteur gabonais à jouer dans une production internationale
incarnant le personnage de Joseph dans la série allemande «Albert Schweitzer»
L’héritage d’un prince : entre grandeur et amertume
Deux sourires complices qui racontent 45 ans de cinéma gabonais
Hier dans le même cadre (‘’Les Couilles de l’Éléphant’’)
qui annonce que son « Oncle Didine » est parti rejoindre les étoiles
Prince de Capistran laisse derrière lui des souvenirs aussi riches que complexes
derrière les projecteurs et les applaudissements
être comme un «paria dans son propre pays» a porté jusqu’à ses derniers jours le poids d’une reconnaissance trop tardive
Les dernières années de sa vie ont en tout cas été un combat contre diverses maladies dont celle de Parkinson et une hernie ayant touché sa prostate et nécessité une intervention chirurgicale au Centre hospitalier universitaire d’Owendo (CHUO)
Il menait ainsi une lutte silencieuse ayant mit en exergue la fragilité de la condition d’artiste au Gabon
la mobilisation d’une chaîne de solidarité en mai 2023 et le soutien récent du président Brice Clotaire Oligui Nguema pour une évacuation sanitaire n’ont pu empêcher l’inexorable
le recevait à son bureau il y a moins de six mois
ravivant un certain soutien de sa corporation
c’est tout un pan de l’histoire culturelle gabonaise qui s’effondre
Prince de Capistran emporte avec lui non seulement des décennies de souvenirs précieux
mais aussi les rêves et les espoirs d’une génération d’artistes qui voyaient en lui un phare dans la nuit
Comme on dit dans l’industrie du spectacle «The show must go on
L’ancien animateur télé Regis Massimba vient de sauter le pas de la politique
l’ancienne gloire de la chaine privée TéleAfrica plus connu sous le pseudonyme de Quizz master Regis Iboga Power
a été confirmé ce lundi 11 octobre dans son engagement à servir les couleurs du Parti démocratique gabonais (PDG
Regis Massimba avait été nommé en qualité de président du conseil d’administration de l’Institut Gabonais de l’Image et du Son (IGIS) le 29 avril par Ali Bongo à la suite d’un conseil des ministres
Une promotion qui visiblement a donné des idées à l’animateur et comédien aux multiples talents d’entrer lui aussi
officiellement dans l’arène politique
C’est désormais chose faite pour celui qui était jusque-là connu pour être apolitique même s’il officiait dans les grands shows politiques du parti qui dirige de mains de fer le Gabon depuis plus d’un demi-siècle
Une entrée en politique que le responsable de l’IGIS assurera dans la province de l’Ogooué-Lolo dont il est originaire
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Soumettre des corrections
Régie Binto Media
L’univers cinématographique gabonais s’est enrichi d’une nouvelle série intitulée «O’Balango»
Coproduction de Tchoua Production et de l’Institut gabonais de l’image et du son (Igis)
la série a récemment été présentée en avant-première à Libreville
O’Balango (oublié) décrit certains faits de la société gabonaise
La série «O’Balango» sera diffusée sur la télévision nationale
«O’Balango c’est une série d’à peu près 15 épisodes pour le moment
tournée avec une jeune équipe dynamique du Gabon
C’est une série qui démarrer fin février sur Gabon 1ere»
la série est une coproduction de Tchoua Production et de l’Institut gabonais de l’image et du son (Igis)
Elle met en exergue le rythme de vie des Gabonais
les choix auxquels ils sont souvent confrontés et fait un focus des choses essentielles souvent rangées aux oubliettes
Elle verra son homme succomber au charme de sa propre amie
qui s’était rendue disponible pendant qu’elle était en voyage
«Je pense que c’est une série qui va bousculer parce qu’on a essayé de mettre de la qualité à la gabonaise
Une nouvelle série qui va briller sur le continent africain»
a commenté Jérémie Tchoua face aux responsables de l’Igis qui parlent pour leur par d’«un renouveau du cinéma gabonais avec la jeune génération qui prend place» et du ministre de la Communication et des Médias qui rêve des futurs beaux jours du cinéma gabonais
«Nous devons avoir notre propre festival au niveau du Gabon et je vous assure
nous allons sortir quelque chose de génial»
«Merci d’avoir pris votre temps pour être là ce soir pour célébrer notre cinéma
Nous ne voulons pas faire du cinéma pour du cinéma
mais nous utilisons cela comme un moyen de communication»
étoile montante du cinéma gabonais a été nommé vendredi en conseil des ministres au poste de Directeur général de l’Institut gabonais du son et de l’image (IGIS) où il retrouve Régis Massimba
une autre étoile de la communication au Gabon comme président du conseil d’administration (PCA)
Serge Abessolo a joué dans plusieurs séries télé
Sa toute dernière est Mami Wata : le mystère d’Iveza et dans des séries panafricaines comme Cacao et Impact
Régis Massimba ancien animateur vedette sur la radio panafricaine Africa N°1 est aussi un acteur du cinéma
Il a tenu l’un des premiers grands rôles dans le film gabonais « Le collier du Makoko »
le cinéma gabonais survie grâce à des productions indépendantes
Les productions de l’IGIS sont de plus en plus rares
Régis Massimba qui a connu ses heures de gloire sur la Radio Africa N°1 (la radio panaficaine) et Télé Africa (chaîne privée de télévision gabonaise) a été nommé jeudi en conseil des ministres au poste de président du conseil d’administration de l’Institut gabonais du son et de l’image (IGIS)
C’est l’un des plus grands postes auquel accède cet ancien grand animateur et maître de cérémonie qui a récemment annoncé sa retraite en qualité d’animateur
Régis Massimba est aussi très célèbre sous son petit nom Quizz Master Regis ou Iboga Power
Il a embrassé les métiers du cinéma depuis plusieurs années déjà
Il a joué plusieurs rôles dans plusieurs films dont le Collier de Makoko du cinéaste gabonais
L’IGIS rongé par la bureaucratie peine cependant à s’imposer comme le vecteur du cinéma au Gabon
FELICITATIONS POUR CETTE NOMINATION À REGIS MASSIMA
TALENTIEUX ET FIDEL IL SAURA ENCADRER FAIRE FEDERER CETTE JEUNESS
Mes félicitations à toi mon frère… Tu mérites d’être à ce poste Car tu as un palmarès bien connu de tous
cela peut aussi se célébrer sur la Croisette
Un anniversaire qui coïncide avec la sélection en compétition de La Cage de Robert Darène
premier film de l’Afrique sub-saharienne à avoir eu cet honneur
le Gabon promeut ses images au marché du film à Cannes grâce à l’Institut gabonais du son et de l’image (IGIS)
Le cinquantenaire du cinéma gabonais se fête également sur la Croisette avec la présence du l’Institut gabonais du son et de l’image (IGIS) – nouvelle appellation du Centre national du cinéma gabonais – au marché du film à Cannes pour la deuxième année consécutive
Un anniversaire qui coïncide avec celui de la présence en compétition officielle du film franco-gabonnais La Cage de Robert Darène qui représentait le Gabon au Festival de Cannes en 1963
Une première pour un film originaire de l’Afrique sub-saharienne
La fiction sera d’ailleurs projetée ce mardi à Cannes
figure au générique du long métrage dont il fut également l’un des co-scénaristes
Quelques décennies et des pellicules plus tard,le Gabon a décidé de promouvoir activement sa cinématographie au moment où il fête son cinquantenaire
Une rétrospective de ce cinéma est d’ailleurs proposée pour l’occasion
« L’IGIS a sélectionné des films majeurs (De La Cage aux Couilles de l’éléphant de Henri Joseph Koumba Bididi en passant par Les tams tams se sont tus de Philippe Mory
Identité de Pierre-Marie Dong ou encore Ilombe de Charles Mensah et Christian Gavary
Nous avons pu retrouver des films qui avaient disparu
Des oeuvres qui rencontrent bien évidemment celles d’aujourd’hui »
des séries télévisées et des longs métrages »
« Nous recherchons également des partenariats pour financer des projets qui nécessitent un appui important »
la coproduction est devenue l’une des signatures de l’IGIS
Plusieurs projets sont actuellement en cours
notamment avec le cinéaste angolais Orando Fortunato ou le réalisateur sud-africain
les cinémas d’Afrique doivent être présents
les nouvelles productions gabonaises intéressent
« Ce qui va nous inciter à produire davantage et avec beaucoup d’exigence
car à Cannes les productions doivent correspondre à un standard mondial »
« Il y a une modernité qui s’est exprimée dès les premiers films dans l’écriture
quels que soient les lieux qui ont servi de décors
par exemple dans la façon d’appréhender les questions identitaires comme elles l’ont été dans La Cage ou dans Identité.»
Le Centre national du cinéma gabonais existe depuis 1975
« Il y a une véritable volonté de l’Etat de développer le cinéma
Quand je discute avec des collègues d’autres pays
Le cinéma construit la mémoire d’un pays et cela n’a pas de prix
La politique publique est déterminante dans la création cinématographique
L’Etat nous permet de développer des projets de séries télévisées
de pouvoir nous impliquer dans des coproductions africaines et de participer de manière relativement importante à des productions de long métrage.»
le budget alloué à l’IGIS est de 500 millions de francs CFA consacrés à la production et à la promotion des oeuvres
Des aides dont le cinéma « indépendant » gabonais bénéficie également
Un cinéma que l’IGIS souhaite porter en l’aidant à surmonter ses faiblesses techniques et scénaristiques
« Ce sont de jeunes cinéastes qui ne sont pas dans un circuit public
trouvent des financements auprès de commerçants et de particuliers
L’IGIS souhaite par ailleurs organiser la profession et le secteur « afin de le renforcer et de pouvoir mieux s’ouvrir aux autres »
Un des points du « Plan stratégique du Gabon émergent »
Son volet consacré au développement de l’audiovisuel et du cinéma prévoit notamment « la réhabilitation et la construction de salles
en tenant compte de la démographie – nous avions une dizaine sur l’étendue du territoire mais deux salles à Libreville ont rouvert – la création d’un fonds de soutien au cinéma et à l’audiovisuel »
Ce dernier aspect constitue une autre raison de la présence du Gabon au marché du film : le pays espère attirer des tournages
la réalisatrice française Josée Dayan a choisi d’y planter ses caméras pour le téléfilm Le clan des Lanzac
Des majors américaines seraient également intéressés par cette destination qui se signale
Autre moyen de nourrir le dynamisme de l’industrie cinématographique gabonais : le Festival « Escales documentaires » de Libreville
La prochaine édition se tiendra en novembre
un appel à projets est lancé et « permet de découvrir de nouveaux talents »
le responsable de l’IGIS espère « voir les réalisateurs gabonais trouver de plus en plus leur autonomie
notamment parce que les ressources publiques ne sont pas illimitées »
on peut intéresser des producteurs de grand calibre et ça permettrait de rendre disponibles les ressources existantes pour accompagner d’autres projets et d’autres réalisateurs
Les cinéastes gabonais peuvent bien évidemment compter sur notre aide qui est fondamentale
l’IGIS a produit une dizaine de documentaires
trois séries télévisées et co-produit deux longs métrages
Surpris de la nomination de leur président et porte-parole
au poste de conseiller du directeur général de l’Institut gabonais de l’image et du son (Igis)
le collège des présidents de la Confédération des syndicats des régies financières et des administrations assimilées(Cosyrefaa) a dénoncé
cette mesure assimilée à une atteinte grave à la démocratie
à l’Etat de droit et aux libertés syndicales
Nommé en conseil des ministres du 12 juin courant au poste de conseiller du directeur général de l’Institut gabonais de l’image et du son (IGIS)
par ailleurs président et porte-parole de la confédération des syndicats des régies financières et administrations assimilées (Cosyref) a refusé cette nomination
Il la considère comme une manœuvre sordide ourdie contre lui pour l’empêcher de dénoncer les détournements massifs de deniers publics commis par des fossoyeurs de l’Etat
ses camarades membres du collège des présidents de cette confédération ont condamné cette initiative
la qualifiant d’«atteinte grave à la démocratie
à l’état de droit et aux libertés syndicales»
«La Cosyrefaa interpelle humblement le président de la République
la communauté nationale et internationale sur les dérives visant à restreindre les libertés syndicales au Gabon et plus précisément au sein du ministère de l’Economie et des Finances»
a déclaré le 1er vice-président de la confédération
affirmant que cette manœuvre vise à éloigner son leader de l’arène syndicale
Se réservant le droit d’épuiser toutes les voies de recours pour garder Wilfried Erisco Mvou Ossialas au sein du ministère
Carlos Roberto Otounga n’a pas manqué de rappeler que la Cosyrefaa est un partenaire de l’Etat et que le Gabon est signataire de nombreux traités internationaux visant à protéger l’activité syndicale qui est encadrée par des textes supranationaux et nationaux
Il a notamment cité les conventions de l’OIT N°87
article 3 alinéa 2 qui stipule que «les autorités publiques doivent s’abstenir de toutes interventions de nature à limiter ce droit ou en entraver l’exercice légal» ; la convention OIT n°151
partie II article 4 alinéa 1 qui stipule que «les agents publics doivent bénéficier d’une protection adéquate contre tous actes de discrimination tendant à porter atteinte à la liberté syndicale»
Sur la base des textes nationaux ; la Loi n° 8/91 du 26 septembre 1991 portant statut général des fonctionnaires à son article 21 stipule que «l’exercice des droits syndicaux y compris celui du droit de grève est reconnu aux fonctionnaires … » et l’article 63 dispose que
«les nominations à certaines hautes fonctions de responsabilité
sont prononcées par décret pris en conseil des ministres sur une liste d’aptitude par spécialité
conformément à la constitution et aux statuts particuliers
et sous réserve que l’emploi en cause existe et qu’il soit effectivement vacant»
cette nomination est davantage perçue une sanction qu’une quelconque promotion
à l’éloignant du ministère de l’Economie et des finances
UN VRAI QUI SAIT DIRE NON AU SYSTEME BONGO
CAR IL SAIT BIEN QUE C’EST UNE NOMINATION PIEGE
IL SERA MIT AU PLACARD AU PROCHAIN CONSEIL DES RIGOLOS ET DES EXPERTS EN DETOURNEMENTS DES FONDS PUBLIC
Je ne comprends pas bien ce qui se passe dans cette affaire
Cet agent du ministère de l’Economie et des Finances
est aussi expert dans la production des images et du son
Ou bien le Gabon est toujours en manque de cadres comme en 1963
…ou l’instituteur à jouer le rôle du technicien des Postes et Télécommunications
parce qu’il y avait un manque criard de spécialistes de premier ordre dans toutes les contrées d’un Gabon à peine indépendant
Ne peuvent-ils pas avoir raison lorsqu’on assiste à des événements de cette sorte
s’ils trouvent des indices s’opposant à une telle nomination dans les procédures en vigueur
Gabon (Gabonactu.com) – L’Institut français du Gabon ex CCF
avec la collaboration de l’Institut gabonais de l’Image et du Son (IGIS)
la 9ème édition des Escales Documentaires de Libreville
autour du thème « diversité des thèmes et de provenance des films »
« L’organisation de cet événement est un moment pathétique en matière de films documentaires en Afrique et dans le monde entier »
Directeur général de l’institut gabonais de l’image et du son (IGIS)
L’événement brasse plus de 20 000 spectateurs
Il est rehaussé par la formation des jeunes talents et les échanges entre professionnels et amateurs du film documentaire
Les Escales documentaires de Libreville se sont imposées dans le paysage culturel gabonais en élargissant leurs territoires et leurs publics
La manifestation qui grandi d’une année à l’autre est soutenue par une forte mobilisation des acteurs locaux et internationaux
Ce festival est le fruit d’un partenariat entre l’Institut gabonais de l’Image et du Son (IGIS) et l’Institut français (IF)
Au fil des années et à partir d’objectifs partagés
cette collaboration s’est enrichie et renforcée
passant d’un simple accueil des projections à un partenariat privilégié
(Le Nouveau Gabon) - L’Institut gabonais de l’image et du son (Igis) en partenariat avec la mairie de Libreville organise une compétition baptisée « Le concours Citoyen Filmeur
Citoyen acteur » qui va réunir des images de Libreville et ses environs faites avec des téléphones portables
Ne sont autorisés à concourir que les amateurs
les étudiants en communication et audiovisuel
Les participants devront réaliser une vidéo d’une durée de 3 minutes maximum
thèmes et inspiration doivent être en rapport avec la qualité de la vie à Libreville et ses environs
Les vidéos doivent impérativement être tournées avec la caméra insérée dans un téléphone mobile
Elles doivent être une création personnelle et peuvent être montées à l’intérieur ou à l’extérieur du téléphone
est de familiariser les citoyens à la réflexion et à l’action sur la qualité de la vie urbaine en s'appuyant sur les différentes opportunités numériques (web
Les dix meilleurs films seront proposés à la diffusion en salle pendant l’événement cinématographique dénommé « Escales documentaires de Libreville » du 23 au 29 novembre
L’Institut gabonais de l’image et du son (Igis) et l’Institut français du Gabon (IFG) ont offert à la banque d’images un espace de promotion tout au long de la 10e édition des Escales documentaires de Libreville (EDL) et au-delà de l’événement
c’est aujourd’hui une quinzaine de jeunes photographes et plus de 30 000 photographies abordant diverses thématiques
Une expérience qui lui vaut de bénéficier d’une belle réputation
cette banque d’images reste encore peu connue
Raison pour laquelle l’Institut gabonais de l’image et du son (Igis) et l’Institut français du Gabon (IFG) ont tenu à lui offrir une visibilité en lui consacrant une exposition
«Il se trouve que notre agence est plus connue à l’extérieur que dans son propre pays
Une raison pourrait le justifier : nous arrivons à vendre dans d’autres pays
bien que nous tenons à mettre de la valeur et une certaine exigence à ce que nous faisons
Du matériel utilisé à la formation de nos jeunes
qui ne nous permet pas de vendre au prix pratiqué sur le plan national»
Sur les 80 photos fournies à l’occasion de la 10e édition des Escales documentaires de Libreville (EDL)
32 sont exposées jusqu’au 18 décembre prochain
le public a la possibilité de découvrir ou redécouvrir le travail des photographes et de discuter avec eux
«C’est toujours un honneur d’être sollicité pour un évènement à caractère international
Etant entendu qu’Afrikimages a une vocation panafricaine
nous estimons que le documentaire n’est pas loin de ce que nous faisons
qui contribue également à la sauvegarde de la mémoire
d’instants que nos objectifs arrêtent et figent dans le temps
pour qu’ils soient appréciés par le public»
Si les photographes d’Afrikimages agency présents à l’ouverture de l’exposition ont littéralement été pris d’assaut par le public qui cherchait à décoder
comprendre ou tirer quelques enseignements sur des photos précises
c’est parce que leur qualité suscite l’admiration
«Il est important que les Gabonais sachent que c’est dans leur pays qu’existe la première banque d’images d’Afrique centrale
nous sommes capables d’exposer dans des domaines aussi variés que le sport
de même que dans tous les aspects de la vie