Le défenseur de 23 ans Luca Schmutz quitte le EHC Wiki-Münsingen Il y avait passé trois saisons complètes avec la formation de 1ère Ligue et y avait enregistré 18 points en 86 matchs >>> >>> Planète HockeyRoute de Monseigneur-Besson 81700 Fribourg Contacts et communiqués de presse:info@planetehockey.com Politique de confidentialité Planète Hockey ne peut exister que grâce à la présence de la publicité Merci donc de bien vouloir couper votre logiciel Adblock pour notre siteet de revenir ultérieurement Toute l'équipe de Planète Hockey vous remercie pour votre compréhension Nous utilisons des cookies pour vous offrir la meilleure expérience sur notre site. 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Mis à jour: 31.07.2023, 10h104Un couple de cigognes nichent sur le toit de l’hôpital psychiatrique de Münsingen (BE).YVAIN GENEVAY«Chaque jour, j’ouvre les fenêtres et je salue les cigognes sur le toit d’en face. Parfois, elles me répondent en craquetant. Parfois pas.» Sabine von der Heyden est physiothérapeute au centre psychiatrique de Münsingen. Sa salle de travail, située sous les combles, donne juste sur un nid. Elle est donc aux premières loges pour observer l’oiseau majestueux. Des cigognes en Suisse? Eh oui! Et elles sont toujours plus nombreuses. L’une des colonies se trouve non loin de Berne. «Le premier couple – arrivé en 2017 – a suscité un énorme intérêt, se rappelle Barbara Aeschlimann, réceptionniste et habitante de Münsingen. Une rencontre a même été organisée avec un spécialiste, surnommé le «père des cigognes». La salle était bondée et il n’y avait pas assez de chaises pour tout le monde.» Nourriture: insectes, vers, amphibiens et petits mammifères Habitat: zones agricoles, zones humides, cours d’eau, lacs et agglomérations Depuis, le retour de l’échassier est scruté avec impatience. Les plus précoces arrivent dès février et se mettent en couple. «Pendant la parade, on peut en voir jusqu’à sept tournoyant dans les airs au même endroit. C’est impressionnant!» s’émerveille Gaby Stranner, employée du petit magasin «Farbtupfer». Souvent considérées comme monogames, les cigognes sont en réalité fidèles à leur nid. Si les deux partenaires y reviennent, ils restent ensemble pour la saison. Si l’un d’entre eux s’égare ou meurt en chemin, le ou la survivante cherchera une autre âme sœur pour se reproduire. Une colonie de cigognes s’est installée sur les toits de la clinique psychiatrique bernoise de Münsingen.YVAIN GENEVAYLa croissance de la colonie – tous les toits sont désormais occupés – peut toutefois entraîner des rivalités. «Un couple s’était installé dans un arbre. Une troisième cigogne les a attaqués. Après la bagarre en vol, l’un des oiseaux est tombé au sol. Blessé, il a été pris en charge par le garde forestier», raconte Gaby Stranner. Une fois les territoires délimités, les couples construisent ou consolident leur nid. La femelle pond entre trois à six œufs. Et les deux parents couvent à tour de rôle. Un mois plus tard, les petits voient le jour. Tous n’atteindront toutefois pas l’âge adulte. La femelle de la maison 22 a, par exemple, pondu cinq œufs, mais au final, seuls trois jeunes oiseaux prendront leur envol. «C’est normal. Ça fait partie de la nature», souligne Monika Kilchenmann, également réceptionniste. Et de se souvenir d’une saison particulièrement rude. «C’était l’une des premières. Beaucoup de jeunes sont morts à cause des intempéries. Et ça a été presque intolérable pour la population. On a reçu énormément de coups de fil de personnes inquiètes, qui avaient vu les décès grâce à nos webcams.» «Je sortais du centre en skateboard, quand un jeune est tombé juste devant moi. On l’a remis à un centre de soin. Et il a survécu.» Stefan Pfister a, lui, eu l’occasion de sauver l’un de ces cigogneaux. «Je sortais du centre en skateboard, quand un jeune est tombé juste devant moi. On l’a récupéré dans une bassine bleue et remis à un centre de soin. Et il a survécu.» Comme beaucoup d’autres patients, il aime les observer. «C’est hyperintéressant. Les cigognes restent impassibles sous le soleil comme sous la pluie et même la grêle. Et les petits grandissent supervite.» Une observation partagée par André Ott, également patient du centre. «Les jeunes deviennent très rapidement indépendants. Ils vont chercher leur nourriture eux-mêmes avec leurs parents dans les champs dès qu’ils atteignent une taille adulte.» Sa rencontre la plus impressionnante? C’est quand il a vu une trentaine de cigognes voler au-dessus d’un champ. «Normalement, elles se déplacent seulement en famille, par groupe de trois à cinq.» Pour une psychologue du centre, rien d’étonnant à cette passion. «Les cigognes ont un effet positif sur les patients, car elles regardent vers le haut. Vers l’avenir.» La population de Münsingen suit attentivement la vie des échassiers sur les webcams installées sur les toits.DRLes patients et les employés rencontrés sont généralement enthousiastes par rapport aux cigognes. Des désagréments sont toutefois notés, comme le bruit nocturne. Certains, encore, se montrent indifférents. À l’image de Bruno Aebsicher. L’employé du centre ne s’y intéresse pas. Mais il plaint les services d’entretien. Les cigognes ont tendance à salir les toits avec leurs déjections. «Un nid a aussi dû être démonté parce qu’il devenait trop lourd pour la toiture. À la place, un plus petit a été déposé.» La cohabitation entre l’homme et la cigogne se passe donc bien. Et la colonie pourra continuer à nicher dans la région. Président de l’association Cigogne Suisse, Tobias Salathé nous raconte les péripéties de ces oiseaux majestueux en terres helvétiques. Quelle est l’histoire des cigognes en Suisse? Les cigognes ont presque disparu au milieu du XXe siècle. Le dernier couple sauvage a niché en 1949. Max Bloesch a alors décidé de les réintroduire. L’instituteur fait venir des oiseaux d’Alsace, puis d’Algérie, et leur construit une volière sur les bords de l’Aar, en amont de Soleure. Très bien. Plusieurs antennes ont été mises sur pied. La population n’a cessé d’augmenter depuis. À la fin des années 60, les premiers couples sont relâchés. Ils continuent d’être nourris jusque dans les années 90. Depuis, toutes les cigognes sont entièrement sauvages. Nous en avons recensé plus de 900. Ils nichent sur le Plateau, plutôt du côté alémanique. C’est là qu’il y a eu le plus de programmes de réinsertion. Une colonie importante existe toutefois à Avenches (VD). Oui, quoique de moins en moins. Traditionnellement, elles prennent leur envol à partir de mi-juillet. Les cigognes descendent vers Genève, puis la Camargue. Après avoir traversé les Pyrénées, elles continuent jusqu’à Gibraltar et hivernent dans le Sahel et l’Afrique occidentale. Avec le changement climatique, certaines s’arrêtent dans le sud de l’Espagne. D’autres restent même en Suisse. La cohabitation avec l’homme est parfois délicate. Une fois, un couple s’est installé sur une grue. Le propriétaire n’a pas pu l’utiliser, car l’espèce est protégée. Mais un autre phénomène est plus problématique. Les cigognes confondent de plus en plus souvent les déchets avec de la nourriture. Elles les ingèrent et les donnent à leurs petits. Nombre d’entre eux ont été retrouvés morts, l’estomac rempli de plastique. Elles posent de moins en moins de problèmes. Les lignes problématiques ont été mieux isolées. Comme quoi, il y a aussi de bonnes nouvelles. L’hivernage des cigognes en Suisse indique aussi que nos paysages sont en (relative) bonne santé puisqu’elles y trouvent suffisamment de nourriture. Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler. «C’est notre onzième défaite d’un goal On a au moins pris un point au match aller et on aurait pu faire pareil constatait l’entraîneur du Star Forward après la défaite de son équipe sur la glace de Wiki-Münsingen (2-1) Alors que les hommes des Eaux Minérales ne parvenaient pas à effacer le gardien bernois ils se faisaient piéger sur leur troisième box-play (17e) Les hôtes avaient toutes les peines à tromper la vigilance du gardien Thibaud Sauthier une seconde fois avant qu’un problème de communication dans les rangs morgiens ne leur permette de doubler la marque (39e) Les Vaudois ranimaient l’espoir de jouer un mauvais tour à Münsingen grâce à une réussite de Piquerez (51e) ils ne parvenaient pas à pousser leurs hôtes en prolongations.. qui était au HC Wiki-Münsingen depuis 2011 Il a été joueur pendant 10 ans ( 163 goals et 182 assists) et entraîneur adjoint ces deux dernières années il avait également remplacé pendant plusieurs mois Chris Rohrer estime qu’il est temps de changer et d’apporter un peu d’air frais Il part donc pour Langnau où il entraînera désormais les U13 Top Il revient ainsi à l’endroit où il a lui-même commencé à jouer au hockey sur glace en tant que junior – une affaire de cœur le club bernois annonce que l’autre entraîneur adjoint il entraînera désormais les U15 Top du CP Berne Nous mettons tout en œuvre pour rétablir le service dans les meilleurs délais Président du Comité de Jumelage de Beaupréau Dominique Bioteau et son équipe préparent activement les célébrations qui vont marquer fin août les 30 ans d’échanges et d’amitiés entre Beaupréau et Münsingen Plusieurs animations sont au programme des festivités qui se dérouleront du jeudi 25 au lundi 29 août Lire dans notre édition du mardi 23 février