Un homme de 27 ans a été enlevé sous la menace d’une arme à Pfäffikon (ZH)
un sexagénaire connu pour ses théories complotistes
De nombreux agents ont participé à l'intervention de police
Un homme de 27 ans a vécu une expérience traumatisante le 13 février à Pfäffikon (ZH), lorsqu'un inconnu est monté dans sa voiture et l’a forcé, sous la menace d’une arme, à prendre la route
la victime a pu s’échapper du véhicule rapidement et alerter la police
l’agresseur est resté introuvable ce jour-là
les forces de l’ordre ont finalement interpellé un suspect le 28 février à Hittnau (ZH): un Suisse âgé de 64 ans
chez qui plusieurs armes et munitions ont été saisies
Cet homme ne serait pas un inconnu dans son quartier. D’après plusieurs témoins, il se serait radicalisé ces dernières années, et notamment depuis la pandémie du Covid-19
en s’intéressant à des théories du complot: «Dans une annonce immobilière
recherchait explicitement uniquement des candidats non vaccinés»
Le sexagénaire aurait également été en conflit avec la municipalité
la victime serait un employé communal de Pfäffikon (ZH)
L’arrestation a donné lieu à une importante intervention policière à Hittnau
avec rues bloquées et forte présence des forces spéciales
ont suivi l’opération sans explication officielle
Mais l'un d'entre eux n'a pas été surpris
se référant à un incident survenu le soir d'avant: «Un voisin m'a dit qu'il l'avait menacé alors qu'il promenait son chien.»
Un détail insolite a marqué l'intervention de vendredi
un coursier est arrivé et a été intercepté par la police
a apporté les deux pizzas.» Malgré cette scène cocasse
l’atmosphère est restée pesante dans le quartier
où l’inquiétude demeure quant aux motivations du suspect: «Nous n'avons pas été informés par la police ni par la municipalité
Je n’ai appris les circonstances de l’opération que par les médias.»
un individu qui nie toute légitimité à l’Etat («Staatsverweigerer») a enlevé un employé communal
Un expert rappelle que ces mouvements comptent des milliers d’individus
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C’est arrivé il y a quelques jours: un négateur de l’Etat («Staatsverweigerer» en allemand) aurait enlevé un employé communal dans l’arrière-pays zurichois
Mais le cas rappelle que les individus niant toute légitimité et toute autorité à l’Etat peuvent devenir dangereux
Les titres alémaniques de Tamedia ont interviewé à ce sujet Georg Otto Schmid
qui documente depuis les années 1990 les évolutions en Suisse de mouvements aussi variés que les grandes religions établies
les groupes ésotériques ou les négateurs de l’Etat
Le scientifique ne se dit pas surpris par l’enlèvement d’un employé de la commune de Pfäffikon (ZH)
qui s’occupait entre autres des poursuites pour factures impayées
«Le recours à la violence était prévisible
car l’agressivité augmente dans ces mouvements» de négateurs de l’Etat
des cas graves se sont déjà produits dans le passé
La pandémie de Covid-19 et l’hostilité opposée par certains milieux aux mesures sanitaires et aux restrictions de liberté ont mis en lumière le phénomène
Mais celui-ci n’a pas attendu le coronavirus: il existait déjà avant
«On parlait déjà avant beaucoup des ‘Reichsbürger’ («citoyens de l’Empire» en allemand
on a connaissance de négateurs de l’Etat depuis le début des années 2000
même si leur nombre est resté longtemps très réduit.»
L’un des éléments déclencheurs de la radicalisation des négateurs de l’Etat
c’est de vivre une expérience clé avec les autorités et/ou ses agents
lors de laquelle l’individu en question estime subir une «humiliation» ou un traitement «insupportable»
Il peut s’agir d’une «amende ou d’une autorisation refusée pour la construction d’une cabane de jardin – quelque chose que nous qualifierions de bricole
mais que les premiers concernés n’arrivent pas à surmonter.»
Et c’est là que les mesures sanitaires durant la pandémie de Covid-19 interviennent
«Des mesures étatiques comme l’obligation de port du masque ou celle de présenter un certificat ont entraîné des sentiments de ce type chez beaucoup de monde.» Des années plus tard
après avoir par exemple refusé de payer des factures
une poursuite et une saisie de biens par les autorités peuvent provoquer l’escalade
Les chiffres manquent sur le nombre de personnes partageant cette vision
Mais seules quelques centaines d’individus sont dangereux»
serait un homme et «dans la seconde moitié de sa vie»
«la frustration s’accumule au fil des ans et l’opinion se consolide toujours plus
les jeunes ont plutôt le sentiment de pouvoir encore trouver leur place dans la société»
«de jeunes femmes et hommes rejoignent aussi ces mouvements»
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Estampe représentant un marsouin dans le fleuve Yangtsé
tirée d’une page du «Sancai Tuhui» (en français
une encyclopédie chinois compilée par Wang Qi (1573 – 1620) et publiée en 1609 sous la dynastie Ming
président de l’Association suisse d’assurances
président d’Economiesuisse et Martin Hirzel
photographiée à Neuchâtel le 1er avril 2025
Le feu a pris dans un petit immeuble de Pfäffikon
L'incendie s'est déclaré dans cet immeuble de Pfäffikon mercredi peu avant minuit
un incendie a été signalé dans un immeuble de Pfäffikon
les secours ont constaté qu’un appartement du troisième étage était en feu et qu’il y avait plusieurs blessés
Certains ont été évacués par les pompiers avec leur échelle
L’incendie a été maîtrisé mais le bilan est très lourd. «Les blessés, un homme de 34 ans et une femme de 43 ans ainsi qu'une jeune fille de 14 ans et un garçon de 11 ans, ont été transportés à l'hôpital par les secours avec de graves brûlures», communique ce jeudi la police cantonale zurichoise
Un hébergement a été organisé pour les habitants
Une enquête a été ouverte pour tenter de déterminer les causes du drame
Un inconnu est monté à bord d'une voiture à Pfäffikon (ZH) et a forcé son conducteur de 27 ans à démarrer
La police zurichoise a arrêté un sexagénaire fin février
Étrange affaire que celle qui s'est produite jeudi 13 février à Pfäffikon (ZH)
Un Suisse de 27 ans a été kidnappé dans sa propre voiture
Alors qu'il s'installait dans son véhicule garé sur un parking
un inconnu est monté à bord et l'a forcé
La victime a réussi à s'échapper rapidement de sa voiture et à donner l'alerte
n'a pas pu être rattrapé le jour même
malgré la chasse à l'homme lancée par la police
Il aura fallu plusieurs jours d'enquête intensive de la police cantonale zurichoise et du ministère public pour identifier et localiser le kidnappeur
Il a fini par être arrêté le 28 février dernier
Une perquisition chez lui a permis en outre de mettre la main sur plusieurs armes et munitions
Quant aux motifs de cette agression et le contexte de cet enlèvement
Un fonctionnaire de Pfäffikon (ZH) a été enlevé par un «Staatsverweigerer»
un radical refusant l’autorité de l'État
Des voix s'élèvent pour une meilleure surveillance
L'auteur à l'origine de l'enlèvement est un fervent anti-vax et a des liens avec des groupes refusant de reconnaître l'autorité de l'État
Ces groupes sont formés d'individus qui rejettent la légitimité des autorités publiques
la Suisse - et parfois d'autres États - ne serait pas un véritable pays
mais une entreprise dirigée par des «forces occultes»
ces personnes refusent de payer leurs impôts et amendes
refusent de se plier aux lois et revendiquent un droit à l'autogouvernance
Certaines vont jusqu’à créer leurs propres documents d’identité ou à délivrer de faux «mandats d’arrêt» contre des fonctionnaires
Le phénomène a pris de l’ampleur en Suisse après la pandémie de Covid-19
s’inspirant de mouvements similaires observés en Allemagne (Reichsbürger)
en Autriche ou aux États-Unis (Sovereign Citizens)
les autorités s’inquiètent de leur potentiel de radicalisation
notamment à travers la détention d’armes et l’incitation à la désobéissance
le mécanicien possédait plusieurs armes à feu
sa radicalisation aurait débuté après la pandémie
mais personne ne l’aurait imaginé violent»
confie un responsable d’office des poursuites dans le quotidien alémanique
Face à la montée des menaces de ces groupes
Zurich a renforcé la sécurité de ses employés communaux et a sollicité le renseignement fédéral pour une surveillance accrue
Un instituteur de Pfäffikon s’est retrouvé dans le collimateur de parents conservateurs à cause de son orientation sexuelle. La direction l’a finalement poussé à partir.
108Daniel Brunner s’occupait d’une classe de 5e primaire à Pfäffikon jusqu’à ce que des parents s’en prennent à lui et à son cours d’éducation sexuelle. (image prétexte)Tamedia AGDepuis six ans, les cours d'éducation sexuelle sont obligatoires au niveau primaire à l'école publique zurichoise. C'est ce que veut le plan d’études alémanique Lehrplan 21. Les enseignants et enseignantes sont tenus de remplir leur mission avec prudence. Le sujet est délicat.
Daniel Brunner le sait. Peut-être même un peu plus que les autres. Cet enseignant primaire, qui s’appelle en réalité autrement, est homosexuel et vit en couple depuis vingt ans. Quand il était jeune, la gestion de son identité a été un défi pour lui.
C’est pour cela que ce qui lui est arrivé cette année scolaire à l’école Obermatt de Pfäffikon (ZH) le touche d’autant plus durement. Daniel Brunner a dû se défendre contre de violentes accusations émanant de parents conservateurs. Les accusations portaient sur ses cours d’éducation sexuelle. Elles sont pourtant toutes infondées, comme le confirme la direction de l’école, entre autres dans plusieurs lettres adressées aux parents et aux enseignants.
Le groupe de parents en question voyait dans l’homosexualité de l’enseignant un danger pour leur vision du monde. Le conflit s’est finalement soldé par un esclandre.
Le 12 février, la direction de l’école a annoncé à Daniel Brunner dans un courriel qu’elle se voyait contrainte, en accord avec son supérieur hiérarchique, le directeur de l’éducation, de mettre fin à la relation contractuelle. La raison ne serait pas les reproches concernant la qualité des cours d’éducation sexuelle. Mais plutôt «la manière dont tu gères ces reproches et les retours critiques».
Daniel Brunner, qui voulait enfin mettre un terme à ce cauchemar, a répondu au souhait exprimé dans le mail de trouver une solution à l’amiable. Aujourd’hui, il ne travaille plus à l’école.
Comment en est-on arrivé là? Pour tenter de comprendre, nous nous sommes entretenus ces dernières semaines avec plusieurs sources et avons analysé divers documents.
L’histoire commence après les vacances d’été 2023. Daniel Brunner entame la nouvelle année scolaire avec sa classe de 5e année. Ce quadragénaire en reconversion professionnelle, qui a quitté son emploi de développeur de logiciels en 2017, aime son métier et s’engage en conséquence.
L'école Obermatt est son premier lieu de travail en tant qu’enseignant. Il y a commencé en 2019. Il a déjà réussi à faire passer une première classe au niveau secondaire. Avec la deuxième, tout se déroule également comme prévu. Il sait certes que sa sexualité n’est pas bien perçue par une petite partie des parents. Mais il n’y attache pas une grande importance.
L’orientation sexuelle de l’enseignant n’était pas bien perçue par une partie des parents. (image prétexte)Tamedia AGIl prépare le cours d'éducation sexuelle à venir avec l’enseignante de 6e année, les contenus sont identiques. Le duo mise sur le même setting qu’il avait déjà utilisé – sans problème – il y a trois ans. Il s’agit des compétences de base, du champ entre l’amitié, l'amour et la sexualité. Quatre leçons par semaine. L’accent étant mis sur les questions posées par les élèves.
Il faut savoir que le plan d’études alémanique prescrit des compétences de base concrètes comme objectif pour les cours d’éducation sexuelle. Le corps enseignant est cependant libre d’organiser le chemin méthodologique pour y parvenir.
Daniel Brunner tient à ce que les choses puissent être dites. Les enfants ne sont pas censés rester dans l'ignorance, estime-t-il. Le climat dans la salle de classe doit également être sécurisant. Personne ne doit se moquer ou être exclu et ce qui a été dit ne doit pas être emporté dans la cour de récréation.
Avant les vacances d'automne déjà, un couple de parents, dont on sait qu’ils sont issus d'une Église libre et conservatrice, se montre inquiet. Daniel Brunner mène un entretien de deux heures avec les parents afin de dissiper leurs craintes. Il pense avoir été compris sur le fond et dans sa mission d’enseignement. Mais il se trompe.
Lorsque le 16 novembre, il communique aux élèves les objectifs d’apprentissage pour un examen d’éducation sexuelle, cela ne déclenche pas seulement l’indignation de la famille en question. Le mardi suivant, trois mères en colère se présentent devant la salle de classe. Elles exigent que leurs enfants soient dispensés du cours. Toutes trois ont une vision chrétienne du monde.
L’enseignant perplexe envoie le trio à la direction de l’école pour qu’elle clarifie la situation. La discussion est bruyante et houleuse, confirme Daniel Brunner qui précise que sa sexualité a également été évoquée durant cette discussion.
Le même scénario se répétera deux autres fois au cours des jours suivants. Daniel Brunner est accusé d’outrepasser ses compétences et de dissimuler le contenu des cours. Entre autres, parce qu’il refuse à une mère d’assister aux leçons.
Daniel Brunner, qui est toujours accompagné d’un assistant scolaire pour le cours en question, dévoile ses planifications et le matériel utilisé à la direction de l'école. Le 28 novembre, celle-ci rejette les reproches dans une lettre aux parents, dont nous avons eu connaissance, et atteste qu’il a «mis en œuvre le cours de manière adaptée à l'âge des élèves» et qu’il a «pleinement» rempli sa mission pédagogique.
Plus encore: la direction retient que certaines déclarations confinent à la «diffamation» et rappelle que l’école est obligatoire.
Le groupe de parents mécontents ne se laisse pas décourager. Au contraire, il élargit son cercle à trois couples de parents d'origine musulmane et rédige une lettre à l’attention de l’administration scolaire et du directeur de l’éducation.
Daniel Brunner a eu le droit de survoler le document de 13 pages. Dans celui-ci, ses cours d’éducation sexuelle sont disséqués dans les moindres détails. Il lui est notamment reproché d'avoir donné aux enfants la consigne de se masturber à la maison. Il leur aurait également prescrit de ne pas parler du contenu des leçons. Le ton général est le suivant: trop de choses, trop de franchise dans les discussions, trop de clandestinité vis-à-vis des parents.
Les affirmations se fondent sur des déclarations et des faits qui auraient été rapportés par les enfants, dont certains en dehors des cours d’éducation sexuelle et datant de l’année précédente.
Daniel Brunner réfute ces déclarations face à ses supérieurs, notamment à l’appui de documents écrits. Mais il sent que ce n'est plus l'enseignement qui est en jeu, mais sa personne. Il considère qu’une ligne rouge a été franchie.
Le 7 décembre, la direction de l’école informe les parents par écrit de la réception de la lettre et d’une discussion prévue entre la direction de l’école, le directeur de l’éducation et les parents réclamants. La missive explique par ailleurs qu’en janvier, Daniel Brunner sera remplacé par une étudiante de la Haute École pédagogique en raison d’une formation continue prévue depuis longtemps déjà.
Durant sa formation continue, l’enseignant, lourdement affecté par la situation sur le plan psychique, peut lâcher prise. Il est persuadé que la direction le soutiendra contre vents et marées. Mais il a tort.
Le 29 janvier, deux jours avant son retour prévu en classe, il est convoqué une nouvelle fois à l’école. Le directeur de l'éducation et la direction de l’école lui annoncent que de nouvelles discussions ont eu lieu avec les parents.
Il est de nouveau confronté à des reproches, comme le manque d’estime qu’il aurait envers les enfants. On lui confirme également que les parents le considèrent comme un danger pour leur vision du monde. On lui suggère de travailler sur un projet de l’administration scolaire jusqu'aux vacances de ski au lieu d'enseigner.
Daniel Brunner en conclut qu’il a perdu le contrôle de la situation et le soutien de ses supérieurs. C’est le moment où les émotions se déchargent. Après la réunion, il s’assoit dans sa salle de classe et pleure.
Comment continuer? L'enseignant décide de prendre un congé pour réfléchir aux conditions dans lesquelles il peut continuer à assurer la classe. Il sera en congé de maladie le 31 janvier pour les deux semaines qui précèdent les vacances.
Parallèlement, il s'associe au service de consultation de l’association des enseignants zurichois (ZLV). Le directeur de cette dernière lui conseille un avocat et se met à sa disposition comme médiateur pour la communication avec l’école.
Au sein du corps enseignant, où Daniel Brunner est perçu comme engagé et apprécié, la situation est vivement discutée. Les gens se parlent entre eux. Mais jusqu’à présent, aucune information officielle n’a été donnée.
Le 5 février, une lettre signée par la grande majorité du corps enseignant est envoyée à la direction de l’école, au directeur de l’éducation et à la commission scolaire. Dans cette missive, les enseignants affirment explicitement que Daniel Brunner est discriminé en raison de son homosexualité et qu’ils le soutiennent à 100%.
Dans sa lettre à la direction de l'école, le corps enseignant soutient son collègue. Les noms ont été caviardés pour protéger les personnes concernées.DRLes signataires posent par ailleurs une série de questions auxquelles ils souhaitent obtenir une réponse avant les vacances de ski.
La phrase finale est remarquable à cet égard: «Tant Daniel que nous, ses collègues, avons besoin de la certitude que vous le protégerez et que vous ferez clairement savoir à l’extérieur que de telles hostilités et agressions verbales ne doivent pas avoir lieu à Pfäffikon!»
Indépendamment de cela, la résistance s’organise aussi chez plusieurs parents. Ils craignent pour le bien-être pédagogique de leurs enfants. En effet, ces derniers doivent se passer d’un enseignant apprécié et reçoivent l’enseignement depuis le début de l'année par des remplaçants.
Le 6 février, un couple de parents confronte lors d'un entretien la direction de l'école à son soupçon que Daniel Brunner est devenu la cible des parents conservateurs en raison de son homosexualité. La direction lui confirme ses soupçons. Ils quittent la pièce avec l’impression que la direction de l’école est dépassée par les événements.
Le couple contacte alors le responsable de l’éducation de la Commune. Une conversation téléphonique s’ensuit, mais les parents considèrent cette attitude comme défensive. Plus tard, ils écriront même au président de l'école, Hanspeter Hugentobler (PEV).
Le fait que des parents d’élèves se soient exprimés et que le corps enseignant ait pris la défense de Daniel Brunner ne peut cependant plus arrêter le cours des événements. Le lundi 12 février, peu avant onze heures du soir, il reçoit le fameux courriel de la direction de l’école mentionné au début de cet article. Une copie est également envoyée au service de consultation du ZLV et au responsable de la formation.
On lui fait savoir qu’«une collaboration basée sur la confiance» n’est plus possible et que l’on se voit contraint de mettre fin à la relation de travail. Nous serions heureux de le faire d’un commun accord, précise le mail.
Daniel Brunner est informé pendant son congé maladie que l'on se voit contraint de mettre fin à son contrat de travail. Les noms ont été caviardés.DRLa direction de l’école ajoute: «Nous constatons que tu refuses le dialogue avec les parents et aussi avec nous. Ainsi, la recherche d’une solution viable n’est plus possible pour nous.» Elle poursuit en écrivant qu’elle informera oralement le corps enseignant le lendemain et les parents par écrit trois jours plus tard.
La direction de l’école met en œuvre cette annonce avec une cohérence remarquable. Mardi, elle réunit le corps enseignant et lui communique oralement sa décision, bien que Daniel Brunner ne se soit pas encore exprimé à ce sujet. Comme certains enseignants ne sont pas présents, elle envoie ensuite une lettre au corps enseignant.
Dans la missive, elle révèle non seulement sa décision, mais aussi des nouvelles: l’assistante de classe de Daniel Brunner aurait informé la direction qu’il était prêt à revenir après les vacances et à résilier son contrat de travail pour la fin de l’année scolaire.
La direction ajoute que cette proposition sera examinée en concertation avec Daniel Brunner. Elle estime toutefois que l’activité d’enseignement de ce dernier est critique en raison de la situation actuelle.
Le lendemain, l’avocat de Daniel Brunner réagit. Il dénonce d’emblée une multitude de violations du droit: atteinte à la réputation, refus du droit d’être entendu, violation du droit du personnel.
Néanmoins, dans une lettre datée du 14 février, la direction de l’école et le directeur de l’éducation informent les parents qu’un retour de l’enseignant n’est pas réaliste, car celui-ci n’entretient actuellement pas le dialogue avec la direction de l’école.
En ce qui concerne l’avenir, elle fait savoir que «les différentes perceptions et les discussions autour de la qualité pédagogique des cours d’éducation sexuelle ont été très éprouvantes pour toutes les personnes concernées.»
De son côté, Daniel Brunner ne voit plus d’avenir non plus. Par l’intermédiaire de son avocat, il fait finalement négocier la résiliation de son contrat, dont les modalités lui sont favorables. Il renonce à déposer une plainte.
Le 29 février, la direction de l’école, le directeur de l’éducation et le président de l’école communiquent le départ définitif de Daniel Brunner aux parents par le biais d’une lettre. Vu ce qui s’est passé, la tonalité semble bizarre et diamétralement opposée à la dernière missive.
«Nous avons le regret de vous informer que Monsieur Brunner a décidé de ne plus enseigner dans notre école et qu’il la quitte avec effet immédiat. Nous regrettons cette décision, car nous perdons avec lui un enseignant très engagé. […] Il s'est toujours montré ouvert au dialogue, même pendant son absence pour cause de maladie. Nous nous excusons auprès de M. Brunner et auprès de vous si nous nous sommes mal exprimés par le passé et si nos lettres ont pu être comprises différemment.»
Dans le cadre de notre enquête, nous avons envoyé à l’école toute une série de questions. Du côté de la direction de l’école, on ne s'exprime pas sur les détails de l’affaire. «Pour des raisons de protection de la personnalité, nous ne pouvons pas prendre position», explique ainsi le président de l'école, Hanspeter Hugentobler. Nous regrettons cette situation, se contente-t-il de dire.
L’école affirme également regretter que la communication concernant la volonté de dialogue de l’enseignant ait été contradictoire. «Nous maintenons ce que nous avons écrit dans la lettre aux parents du 29 février. Les cours d’éducation sexuelle de l'enseignant n’ont jamais donné lieu à des réclamations et il s’est toujours montré ouvert au dialogue, même pendant son absence pour cause de maladie. Nous regrettons d’avoir perdu un enseignant engagé.»
À la question de savoir si l’on pense avoir suffisamment protégé l’enseignant contre les attaques des parents, Hanspeter Hugentobler répond: «Savoir ce qui est suffisant est toujours une question d'opinion. Cela a certainement toujours été notre objectif.»
Il s’agirait désormais de rétablir la confiance, précise la direction. Récemment, les principales préoccupations auraient été discutées lors d’une soirée avec les parents. «Nous sommes par ailleurs heureux d’avoir trouvé une bonne solution de remplacement jusqu’aux vacances d’été. Parallèlement, nous travaillons actuellement au remplacement du poste pour la prochaine année scolaire.» (mmu)
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Arnhem (NL) – Freienbach Branch détient les droits sur toute une gamme de produits phytosanitaires
L'entreprise gère d´une part l'approvisionnement en principes actifs et
la vente et la livraison des produits phytosanitaires dans le monde entier
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Ce domaine propose des solutions autour des semences et des propriétés des plantes
de la protection chimique et biologique des cultures
de la lutte antiparasitaire et de l’agriculture numérique
Arnhem (NL) – Freienbach Branch est une filiale de BASF Agro B.V.
Arnhem (NL) - Freienbach Branch Huobstrasse 3 8808 Pfäffikon SZ Suisse
Tél.: +41 44 787 42 00 Fax: +41 44 787 42 01
L'ex-régie fédérale va commander pour plusieurs milliards de francs de nouvelles rames à deux étages pour les RER zurichois et vaudois
ainsi que pour la ligne RE33 entre Annemasse et Martigny
Elles doivent être mise en service dans les années 2030
Les CFF vont commander pour plusieurs milliards de francs 116 nouvelles rames à deux étages pour le RER zurichois et la Suisse romande
Ils ont lancé mercredi un appel d'offres public pour l'acquisition de ces véhicules
Ces trains devraient être mis en service dans les années 2030
Quelque 95 de ces véhicules circuleront sur les lignes du RER zurichois
Les véhicules prévus pour être utilisés en Suisse romande concerneront les lignes du RER Vaud et la ligne RE33 Martigny–Annemasse
Les rames acquises pour la Suisse romande et le RER zurichois se distingueront par leur couleur intérieure et extérieure
Les trains de la première génération du RER zurichois doivent être remplacés après 40 ans de bons et loyaux services
Il s'agit notamment des trains navettes à deux étages (DPZ) et des trains à deux étages destinés aux heures de grande affluence (HVZ-D)
Les nouveaux véhicules seront plus longs (150 m) que les DPZ de 100 mètres et offriront plus de 500 places assises
Avec la longueur maximale possible de 300 mètres
plus de 1000 places assises sont ainsi disponibles aux heures de pointe lorsque deux véhicules circulent en double traction
Chaque véhicule disposera de deux toilettes
Les trains circuleront à une vitesse maximale de 160 km/h
Le marché comprend également une option pour 84 véhicules supplémentaires
Ces trains supplémentaires sont nécessaires pour des aménagements de l’offre dans le cadre de l’étape d’aménagement 2035 de la Confédération
Les fabricants de matériel roulant intéressés peuvent soumettre une offre jusqu’au début 2025
La décision d’adjudication du marché sera probablement prise à la fin de l’année 2025
Les nouvelles rames devraient être mises en service dans les années 2030
un collègue qui travaille à l'antenne MétéoSuisse de Zurich
n'a pas encore fait l'expérience d'un véritable "Seegfrörni"
le nom donné en Suisse alémanique au phénomène des lacs qui gèlent
Les températures froides de ces jours-ci pourraient-elles suffire
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Numéros de service\nConseils d'experts en matière de météo et de climat
Prévisions météorologiques\n0900 162 666 *
Valeurs mesurées / Temps passé\n0900 162 406 *
Prévisions de météo aéronautique\n0900 162 767 *
*CHF 2.90 par minute à partir d'un poste fixe
Office fédéral de météorologie etde climatologie MétéoSuisse
Les températures glaciales actuelles (la nuit de vendredi à samedi a été la plus froide de l'hiver actuel dans une grande partie de la Suisse) compensent à peine la période de chaleur de la première semaine de janvier
de sorte que le mois de janvier est proche de la norme 1991-2020
Si l'on ajoute à cela un mois de décembre bien trop chaud
il n'est donc pas étonnant que les grands lacs du Plateau suisse soient jusqu'à présent en grande partie libres de glace
Les températures glaciales actuelles (la nuit de vendredi à samedi a été la plus froide de l'hiver actuel dans une grande partie de la Suisse) compensent à peine la période de chaleur de la première semaine de janvier
Si l'on ajoute à cela un mois de décembre bien trop chaud
il n'est donc pas étonnant que les grands lacs du Plateau suisse soient jusqu'à présent en grande partie libres de glace
Les lacs réagissent différemment au froid
plus il faut de froid pour qu'il gèle
Cela s'explique par le fait que toute la masse d'eau du lac doit d'abord être refroidie à environ 4 °C avant que la masse d'eau proche de la surface ne se refroidisse davantage et que le gel ne devienne possible
Les dénommés degrés-jours négatifs (DJN) se sont avérés être une mesure simple du froid nécessaire
les degrés-jours avec une température moyenne inférieure à 0 °C sont additionnés
un jour avec une température moyenne de -5°C donne 5 DJN
Cela s'explique par le fait que toute la masse d'eau du lac doit d'abord être refroidie à environ 4 °C avant que la masse d'eau proche de la surface ne se refroidisse davantage et que le gel ne devienne possible
Les dénommés degrés-jours négatifs (DJN) se sont avérés être une mesure simple du froid nécessaire
les degrés-jours avec une température moyenne inférieure à 0 °C sont additionnés
un jour avec une température moyenne de -5°C donne 5 DJN
le gel des lacs est encore bien loin pour la plupart des lacs
le lac de Pfäffikon pourrait encore geler d'ici la fin de l'hiver
avec des températures moyennes journalières de -5 °C
ce qui semble très improbable actuellement
La dernière fois que la glace a été praticable sur le lac de Pfäffikon
La vague de froid de l'époque avait entraîné plusieurs jours de températures moyennes journalières vers -15 °C en février
189 DJN ont été totalisés
La dernière fois que le lac de Pfäffikon a été au moins légèrement gelé
il devrait geler complètement une année sur deux
le lac de Pfäffikon pourrait encore geler d'ici la fin de l'hiver
avec des températures moyennes journalières de -5 °C
ce qui semble très improbable actuellement
La dernière fois que la glace a été praticable sur le lac de Pfäffikon
La vague de froid de l'époque avait entraîné plusieurs jours de températures moyennes journalières vers -15 °C en février
La dernière fois que le lac de Pfäffikon a été au moins légèrement gelé
il devrait geler complètement une année sur deux
les températures maximales journalières seront à nouveau à deux chiffres sur une grande partie du territoire
les 15 °C en plaine seront quasiment assurés
Même les gelées nocturnes
ne sont plus attendues vers le milieu de la semaine
Et la tendance future est clairement trop douce pour la saison
les températures maximales journalières seront à nouveau à deux chiffres sur une grande partie du territoire
les 15 °C en plaine seront quasiment assurés
De plus amples informations sur le gel des lacs
Attention : les stations de référence utilisées sont différentes de celles du tableau ci-dessus
ce qui fait que les valeurs NGT sont parfois différentes
De plus amples informations sur le gel des lacs
Attention : les stations de référence utilisées sont différentes de celles du tableau ci-dessus
ce qui fait que les valeurs NGT sont parfois différentes
La fonction de commentaires a été désactivée
Une fille de 11 ans a remarqué sa caméra alors qu'elle se changeait
Le Suisse de 39 ans se trouvait dans la cabine voisine
Il a été arrêté et a avoué avoir filmé plus de 20 femmes et filles
Il a auparavant tenté de s'échapper mais la fille et deux de ses amies l'ont poursuivi
Des passants ont pu stopper l'homme jusqu'à l'arrivée des agents
Sie gefährden sich selbst und werden ausfällig: In Alterszentren werden Alkoholiker zunehmend zum Problem
Das zeigt eine bislang unveröffentlichte Studie des Bundes
habe er ein ganzes Zweierli Roten ausgeschüttet
Doch sonst hat Heinz Kamber (Name geändert) sein Weinglas fest im Griff – und der Alkohol ihn
Nach dem Frühstück trinkt der 80-Jährige sein erstes Glas
Häufig sitzt Kamber ruhig an seinem Lieblingsfenster im Alterszentrum Waldfrieden in Pfäffikon ZH und beobachtet Vögel
«ich bin auch ein bisschen wie er: ein Vogel.» Doch der Vater von erwachsenen Kindern kann auch anders: Abends schimpft er die Pflegefachfrau manchmal eine «blöde Schlampe»
Vor der Pension hat Heinz Kamber ein Geschäft in der Region geführt
In seiner Freizeit spielte er Tanzmusik am Klavier
Beim Mittagessen im Alterszentrum sitzt Kamber immer alleine
Andere Bewohner schauen sich gemeinsam Filme an
Er trinkt den täglichen Tetrapak nicht wegen des Bouquets
Dieses sogenannte Pegeltrinken ist bei Menschen ab 65 Jahren am häufigsten verbreitet
sechs Prozent dieser Altersgruppe pflegen laut der Schweizerischen Gesundheitsbefragung 2017 einen chronisch-risikoreichen Konsum
Und viele dieser Menschen leben in Altersheimen oder werden von Spitex-Organisationen betreut
wenn ein Bewohner eine Flasche Wein trinkt und dann umkippt
Wie die Alterszentren in Zürich mit trinkenden Seniorinnen und Senioren umgehen
die Antworten befriedigten ihn aber nur so halb
Dass der Umgang mit Suchtproblemen die Alterszentren und Spitex-Organisationen vor immer grössere Probleme stellt
zeigt eine noch unveröffentlichte Studie des Bundesamtes für Gesundheit (BAG)
Der Tenor: Ältere Menschen mit Alkoholproblemen überfordern teilweise die Institutionen
Die trinkenden Senioren gefährden sich selbst
werden gegenüber ihren Betreuern ausfällig und belästigen ihre Mitbewohner
Unterschiedliche Faktoren akzentuieren derzeit das Problem in der Betreuung durch die Alterszentren und die Spitex
Es gibt immer mehr Seniorinnen und Senioren
dadurch steigt auch die Zahl der älteren Alkoholsüchtigen
Zudem wird das Problem laut der BAG-Studie verschärft
weil viele psychiatrische Kliniken ihre Langzeitabteilungen schlossen
Das führt zu einem Mehraufwand für die Alterszentren und die Spitex
Und: «Die Alkoholsucht bei älteren Menschen wurde lange verharmlost und tabuisiert»
Leiter der Zürcher Fachstelle zur Prävention des Suchtmittelmissbrauchs
Die vom BAG befragten Institutionen behandeln ältere Menschen mit Alkoholproblemen unterschiedlich
dass viele Alterszentren und Spitex-Organisationen bei dieser Thematik noch nicht weit sind – insbesondere bei der Früherkennung
«Die Strukturen in den Institutionen sind oftmals zu wenig ausgereift»
aber bei vielen sei das Thema weit unten auf der Prioritätenliste
Zudem seien die Haltungen unterschiedlich: Ist es okay
wenn ein Bewohner eine Flasche Wein trinkt und dann umfällt
Hierfür müsse es eine gemeinsame ethische Haltung geben sowie einen Handlungsplan
wie die Mitarbeitenden im Alltag mit den Alkoholproblemen der Bewohner umgehen sollen
Die Studie des Bundesamts für Gesundheit zeigt
dass spezialisierte Institutionen die herkömmlichen Alterszentren und die Spitex entlasten können
Aber viele solcher Einrichtungen hätten Wartelisten und könnten momentan keine Menschen mit Alkoholproblemen mehr aufnehmen
Im Kanton Zürich gibt es zwei solche spezialisierten öffentlichen Heime: eines in Zürich-Selnau
Heinz Kamber wohnt seit eineinhalb Jahren im Alterszentrum Waldfrieden oberhalb von Pfäffikon
Wie alle Bewohner mit Alkoholproblemen hat er eine Vereinbarung ausgefüllt
Wenn Heinz Kamber die abgemachten vier Gläser intus hat
Seine Frau bringt im Zweiwochentakt Nachschub
Die mit Filzstift beschrifteten Tetrapak lagern im Keller und werden von den Mitarbeitenden ausgeschenkt
Im Alterszentrum Waldfrieden ist ein kontrollierter Konsum das Ziel
Der Alkohol muss mit den Medikamenten kompatibel sein
das Verhalten der Trinkenden für die Bewohner und Mitarbeitenden erträglich
Mehr als die Hälfte der 34 Bewohnerinnen und Bewohner im Waldfrieden haben ein Alkoholproblem
die restlichen andere psychiatrische Diagnosen
Derzeit nimmt das Alterszentrum keine Menschen mit Alkoholsucht mehr auf
Bewohner mit psychischen Problemen hätten eine dünne Schutzschicht und seien oft von den Alkoholikern überfordert
«Heinz Kamber hätte es in einem gewöhnlichen Altersheim schwer»
Er könnte wegen seiner Sucht von den anderen Bewohnern ausgegrenzt werden
denn sie leitet auch noch ein konventionelles Alterszentrum
Dort sei übermässiger Alkoholkonsum selten ein Problem
«Wenn jemand eine Flasche Whisky pro Tag trinkt
bei älteren Menschen eine Alkoholproblematik zu identifizieren
Betroffene gingen oft zum Arzt und liessen die Symptome behandeln
die ihre Sucht maskierten: Verdauungsschwierigkeiten
Das eigentliche Problem – die Alkoholsucht – bleibe ungelöst
Bald führt Beratungen in der Zürcher Fachstelle für Alkoholprobleme durch
Vermittelt werden sie unter anderem durch die Spitex oder durch Angehörige
Die älteren Menschen hätten oft keine Struktur mehr
Dazu komme ein Mangel an menschlichen Beziehungen
Auch körperliche Umstände würden eine Sucht begünstigen: «Der Alkohol wirkt im Alter stärker und bleibt länger im Körper»
Bei den Beratungen der Zürcher Fachstelle für Alkoholprobleme arbeiten die Betroffenen in kleinen Schritten
den Hütedienst der Enkelkinder für einmal mit null Promille anzutreten
Für GLP-Gemeinderat Markus Baumann ist klar: Es braucht im ganzen Kanton Zürich Möglichkeiten für ältere Menschen mit Alkoholproblemen und eine verlässliche gemeinsame Linie
Sodass Menschen wie Heinz Kamber weiterhin an ihrem Lieblingsfenster sitzen können
Und vor allem so selbstbestimmt wie möglich
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sous la devise « Digital & green – create new value together »
Huawei a placé l’accent de son roadshow européen sur la numérisation
accompagné de ses partenaires SCRT & Telsys et Inginia
a fait escale à Lausanne et à Genève dans un premier temps
encadré dans ce même ordre par les partenaires Belsoft Infortix
Les solutions présentées couvraient des applications dans les secteurs de la santé et de la finance
de l’enseignement ainsi que des télécommunications et de l’informatique
L’innovation constituait le thème phare : son offre de solutions d’infrastructure LAN câblées et sans fil pour les réseaux d’entreprise a récemment valu à Huawei la distinction de leader dans le rapport Gartner® Magic Quadrant 2022
une solution de bout en bout pour les réseaux LAN
wi-fi et WAN dans le domaine professionnel a été présentée
l’automatisation et la programmabilité des réseaux
ont été mis à l’honneur également dans une salle d’exposition à l’aménagement ergonomique
Les élégants points d’accès WLAN AirEngine de Huawei étaient eux aussi alignés dans diverses tailles et exécutions
de même que le portefeuille complet de stockage OceanStor Dorado 2000/OceanProtect X3000 de Huawei
une solution de stockage d’entrée de gamme
primaire et de sauvegarde aidant les PME à implémenter des systèmes de stockage rentables et à relever les défis liés aux coûts d’exploitation et d’administration élevés d’un centre de calcul ainsi qu’à l’instabilité des systèmes de service
faire mention des centres de calcul Huawei à faible consommation d’énergie
qui ont recours à diverses technologies et approches écoénergétiques pour ménager les ressources et réduire les émissions de carbone
Équipés de systèmes de refroidissement et de gestion énergétique dernier cri ainsi que de matériel écoénergétique
ils réduisent l’empreinte écologique des centres de calcul
Huawei collabore notamment avec les plus grandes banques du monde et met à leur disposition des architectures de réseau intelligentes pour la transformation numérique dans le secteur financier
développe des plateformes de services IA destinées à l’interaction numérique ou encore des plateformes Big Data facilitant l’exploitation des immenses quantités de données grâce auxquelles les banques seront dorénavant à même de conseiller et de servir leurs clients de façon plus personnalisée
BASF augmente les salaires de ses collaboratrices et collaborateurs en Suisse de 1,5 % au total
C’est ce qui a été convenu par la direction de l’entreprise et la représentation du personnel de BASF
L’ajustement a lieu à titre rétroactif à compter du 1er janvier 2025
Il s'applique aux collaboratrices et collaborateurs des sites BASF de Bâle
L'affaire autour de l'enseignant poussé à la démission par la direction de son école pour ses cours d'éducation sexuelle va coûter cher à la commune zurichoise
«Il n'est pas vrai que les enseignants sont discriminés chez nous»
a déclaré Marco Hirzel (photo d'illustration)
Après avoir poussé le prof à se retirer, l'administration scolaire avait reconnu des irrégularités dans le processus. Avant que le directeur de l'Ecole primaire Obermatt ne démissionne à son tour
sous la pression de plusieurs partis et d'associations
affirmant que le prof n'avait pas dû quitter l'école en raison de son orientation sexuelle
La direction de l'école confirme que le conflit s'est aggravé et fait état de plusieurs «incidents tumultueux» avec des parents conservateurs près de l'école
«Nous voulons maintenant en tirer les leçons pour que cela ne se reproduise plus»
Il est d'ailleurs envisagé de confier les cours d'éducation sexuelle à des spécialistes externes
Schweizer wechseln oft in ein gebrochenes Deutsch
Die Szene spielte sich kürzlich in einem Postauto in Schaffhausen ab
sagte der arabisch aussehende Fahrgast in korrektem Deutsch
Darauf antwortete der Schweizer Chauffeur: «Du haben Halbtax?» Auch manche Bauarbeiter sprechen
als hätte Google-Translate ihre Sätze ausgespuckt
sagt der Schweizer dann zum portugiesischen Kollegen
Und ein Italiener bekommt bei einem Fehler vom Polier jeweils zu hören: «Du Doktor gehen jetzt
Fast schon legendär für den Gebrauch des sogenannten Idioten-Deutschs ist TV-Koch Daniel Bumann
Spricht er mit ausländischen Wirten oder Angestellten Klartext
rutscht er häufig sofort ins gebrochene Deutsch ab
sagte er etwa zu Wirtin Lucia im Restaurant Pizzeria da Franco
als er die mangelnde Vielfalt ihrer Sugos kritisierte
Um das Restaurant wieder auf Vordermann zu bringen
kannst du das noch perfekter machen.» Und bei Wirt Franco fragte er nach: «Bist du einverstanden Karte kleiner?»
Manche Schweizer ertappen sich auch im Alltag beim Deutsch-Radebrechen
«Ich frage meine Putzfrau zum Beispiel: ‹Kannst du putzen hier?› oder ‹Kannst du putzen heute Fenster?›»
im Job in der Gastronomie regelmässig ins Idioten-Deutsch gerutscht zu sein
«Ich sagte dem Kollegen aus dem Balkan etwa: ‹Du putze
Das einfache Deutsch sei oft besser verstanden worden
«Viele Mitarbeiter mit Migrationshintergrund tun sich sehr schwer mit deklinierten und konjugierten Formen.» Wären sie in normalem Hochdeutsch angewiesen worden
hätte er sich viel öfter wiederholen müssen
Bei Migranten kommt die Ausdrucksweise schlecht an
erlebten solche Situationen im Alltag häufig
wenn Schweizer im Gespräch mit ihnen ins Idioten-Deutsch wechseln.» Besonders erniedrigend sei dies
wenn sie ihre Worte dazu mit übertriebener Gestik und Mimik unterstrichen und immer lauter würden
So gäben sie auch gut integrierten Ausländern die Gelegenheit
«Das Duzen unbekannter Erwachsener ist tabu»
dass auf den Baustellen meistens eine einfache und klare
aber auch kollegiale und respektvolle Umgangsform vorherrscht»
Vizedirektor des Schweizerischen Baumeisterverbands
TV-Koch Daniel Bumann sagt: «Ich nenne das Küchensprache
denn in einer Küche werden immer nur kurze
klare und stichwortartige Ansagen gemacht.» Es bleibe schlichtweg keine Zeit
«Und leider ist es oftmals auch für einen Schweizer nicht einfach
Postauto distanziert sich vom Idioten-Deutsch
Laut Sprecherin Katharina Merkle sprechen die Chauffeure die Fahrgäste ausser in sehr touristischen Regionen in ortsüblicher Sprache an
Stelle der Chauffeur Verständnisprobleme fest
«Falls ein rudimentäres Deutsch der beste Weg ist
aber natürlich nicht von vornherein.» Merkle hält fest
dass Freundlichkeit und Respekt im Fahrdienst das A und O seien
«Das Duzen unbekannter Erwachsener ist tabu.»
Hier greift ein Bauarbeiter sprachlich so richtig daneben
wie der Ausschnitt aus «Otto – Der Film» zeigt:
La Confédération a reconduit à l’entreprise basée à Pfäffikon (SZ) le mandat de collecter la redevance auprès des ménages suisses
Le Département fédéral de l’environnement, des transports, de l’énergie et de la communication (DETEC) a prolongé le mandat de Serafe AG concernant la perception de la redevance de radio-télévision. La société, dont le siège est à Pfäffikon (SZ), a convaincu grâce à son concept de mise en œuvre.
Son offre présentait le meilleur rapport qualité-prix, écrit mardi l’Office fédéral de la communication (OFCOM). Serafe, qui avait repris le mandat de Billag au 1er janvier 2019, a soumis une offre prévoyant une rémunération de 158 millions de francs, soit 17,5 millions par année, pour toute la durée du contrat.
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L'Argentine Gabriela Sabatini a élu domicile à Pfäffikon, sur la commune schwytzoise fiscalement très avantageuse de Freienbach, annonce la presse locale, qui cite une source du contrôle des habitants.
L'ancienne no 3 mondiale, gagnante de l'US Open en 1990, suit les pas d'autres stars du tennis comme Roger Federer, Martina Hingis ou Belinda Bencic, également établies dans le district.
Après sa carrière de joueuse, Sabatini (44 ans) s'est lancée dans les affaires en sortant notamment une gamme de parfums.
La belle Argentine, retraitée des courts de tennis et aujourd'hui femme d'affaires, sera la voisine à Freienbach de Roger Federer et de Martina Hingis.
L'Argentine Gabriela Sabatini a élu domicile à Pfäffikon, sur la commune schwytzoise fiscalement très avantageuse de Freienbach, annonce la presse locale, qui cite une source du contrôle des habitants.
L'ancienne no 3 mondiale, gagnante de l'US Open en 1990, suit les pas d'autres stars du tennis comme Roger Federer, Martina Hingis ou Belinda Bencic, également établies dans le district.
Après sa carrière de joueuse, Sabatini (44 ans) s'est lancée dans les affaires en sortant notamment une gamme de parfums.
Dignitas pourra finalement pratiquer l'aide au suicide dans le bâtiment que l'organisation a acheté à Wetzikon (ZH)
Le Tribunal administratif zurichois a accepté mardi son recours
La commune de Wetzikon et une commission cantonale lui avaient interdit de transformer l'immeuble selon ses besoins
les autorités communales doivent accorder le permis de construire que le fondateur de Dignitas a demandé en vue des travaux de transformation
Minelli avait acquis l'immeuble en août 2008 afin de relouer le rez-de-chaussée à son organisation dans le but d'y pratiquer l'aide au suicide
Il a donc demandé une autorisation afin de transformer des ateliers et bureaux en espaces dévolus à Dignitas
La commune de Wetzikon lui a refusé ce droit en mars dernier
Minelli a aussitôt fait recours auprès de la commission cantonale de recours sur les constructions
Cette instance a rejeté son recours en juillet
Elle estimait que l'aide au suicide ne peut pas être autorisée à cet endroit car l'immeuble se trouve dans une zone d'habitation
Les autorités communales et la commission de recours craignaient que les activités de Dignitas n'influencent négativement la qualité de vie du quartier
une école professionnelle et un EMS se trouvent en effet à proximité de l'immeuble acquis par Ludwig A
les nuisances mises en exergue par la commission de recours ont certes un caractère "dérangeant pour l'habitat"
Mais elles n'entraînent a priori pas "un potentiel de conflit qui restreigne fortement un habitat calme et sain ou le rende impossible"
Et de rappeler que Dignitas exercera ses activités à l'intérieur du bâtiment
Des mesures "adéquates" sont en outre prévues pour diminuer le potentiel de conflit
les cercueils quitteront les lieux dans des véhicules banalisés et seront chargés directement dans le garage de l'immeuble
Sa décision peut encore être contestée auprès du Tribunal fédéral
Le Conseil fédéral souhaite mieux contrôler l'assistance au suicide - 28 octobre 09
Dossier sur l'aide au suicide sur le site de l'Office fédéral de la justice
Aide au suicide: la position de la Commission nationale d'éthique
Takeda avait finalisé en janvier la reprise de Shire
Au siège international de Shire à Zoug
le groupe japonais veut supprimer de 180 à 190 des 500 postes
Les employés restants seront transférés à Opfikon
a indiqué vendredi à AWP une porte-parole de Takeda
confirmant des informations du quotidien Neue Zürcher Zeitung
Le porte-parole a précisé que les chiffres avancés étaient des estimations et non définitifs
Le siège européen de Takeda à Opfikon va également faire les frais de la restructuration
avec la suppression de 80 à 90 postes sur environ 500
La procédure de consultation avec les représentants du personnel a été lancée lundi et se prolongera jusqu’au 27 mai
A lire aussi: A Neuchâtel, Shire garde son sang froid
Le groupe suisse de magasins d'habits a annoncé une faillite
Quelque 95 succursales et 700 postes sont concernés
13h09Le siège de la société à Pfaeffikon.La succursale de Charles Vögele aux Pays-Bas a fait faillite
Quelque 95 succursales vont fermer et 700 postes sont concernés
La succursale a déposé le bilan vendredi auprès du tribunal du district d'Amsterdam
Johan Westerhof et Hans Hendriks seront les liquidateurs
Ils seront en charge des opérations jusqu'à la fin de la procédure de faillite
Le principal actionnaire du groupe depuis décembre 2016
avait annoncé en septembre vouloir se concentrer sur la Suisse
Il considère ses marchés comme stratégiques pour la firme
L'entreprise sise à Pfäffikon (SZ) a démarré ses activités aux Pays-Bas en 1999
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L'accident d'autocar ayant tué 28 personnes
mardi soir près de Sierre est un des plus graves survenu en Suisse en trente ans
en 2010KeystoneLe plus meurtrier s'est produit en 1982 à Pfäffikon (ZH): 39 victimes
Rappel des principaux drames survenus depuis
13 mars 2012 Un accident dans le tunnel de l'autoroute A9 tue 28 personnes
dont 22 enfants âgés d'une douzaine d'années
Le car ramenait des écoliers belges après des vacances dans le val d'Anniviers (VS)
12 juin 2010 Un accident de car a coûté la vie à un couple de retraités canadiens à Reckingen (VS)
Vingt-huit autres personnes ont été blessées
21 octobre 2008Du côté italien du Grand-St-Bernard
l'accident d'un car rempli de fans neuchâtelois de la Juventus de Turin fait deux morts
le chauffeur de 81 ans et un passager de 56 ans
13 avril 2005 Un grave accident d'autocar fait 13 morts au Grand- St-Bernard près d'Orsières (VS)
avait fait plusieurs tonneaux avant de chuter dans un ravin
Ils voulaient aller à Savona (I) pour se rendre sur bateau de croisière
16 août 2003Un minibus transportant les membres d'un club de gymnastique féminin du canton de Bâle-Campagne fait une chute de 80 mètres sur la route du col du Gurnigel (BE)
Trois femmes perdent la vie et 13 autres sont blessées
un car transportant un groupe de 22 retraités bâlois dévale une pente de 50 mètres
Le chauffeur et l'un des passagers meurent
21 février 2000En route vers un camp de ski à Mels (SG)
un autocar entre en collision avec un véhicule d'entretien des routes
le chauffeur et 13 des 25 élèves à bord sont grièvement blessés au visage et au dos
15 mai 1998 Sur le versant sud du tunnel du San-Bernardino
un car tchèque dérape dans un virage en épingle à cheveux
défonce la barrière de sécurité et chute de 10 mètres dans le ravin
L'accident à Pian San Giacomo (GR) coûte la vie à deux des 34 passagers et en blesse 27
23 novembre 1995 Cinq Suissesses et deux Suisses périssent dans un grave accident de bus à Riversdale en Afrique du sud
Cinq autres passagers sont grièvement blessés
un bus d'un voyagiste suisse percute un train
Le bus transportait 18 voyageurs suisses ou allemands
26 février 1994Sur l'A13 près de Pian San Giacomo (GR)
Le chauffeur tente d'arrêter son véhicule
défonce la barrière de sécurité et finit sa course contre un arbre
Quatre jeunes passagers sont grièvement blessés et 16 autres légèrement
un bus aux plaques allemandes roulant trop vite sort de la route
fait plusieurs tonneaux et chute dans le lit du Tessin
Huit personnes sont tuées et une trentaine d'autres blessées
un autocar sort de la route dans un virage et se couche
trois personnes sont grièvement blessées et les 15 autres le sont légèrement
un autocar tombe d'un pont sur les voies de chemin de fer et prend feu
10 sont grièvement blessés et 25 légèrement
un car transportant 48 personnes sort de la route dans un virage en épingle à cheveux et fait une chute de 100 mètres dans un ravin
Trente-quatre jeunes Américains sont blessés
18 septembre 1983Une collision entre un car de voyage allemand et trois voitures coûte la vie à trois personnes à Montlingen (SG)
Sept des 17 personnes à bord sont blessées et hospitalisées
12 septembre 1982 A Pfäffikon (ZH) se déroule l'accident de car le plus meurtrier de Suisse
Sur un passage à niveau dont la barrière ne s'était pas abaissée
Seuls deux passagers survivent à la catastrophe
a officiellement annoncé l’abbaye d’Einsiedeln
La fin d’un feuilleton à rebondissements pour un endroit naturel très prisé
Ce sont deux petites îles schwytzoises prisées des riverains du lac de Zurich
Elles se trouvent dans la partie supérieure du lac
près de la digue entre Pfäffikon (SZ) et Rapperswil (SG)
la chapelle Saint-Martin et l’église Saints-Pierre-et-Paul
par un communiqué de l’abbaye d’Einsiedeln
de la réouverture de l’auberge d’Ufenau met fin à un suspense qui a débuté en 2002
Le projet initial a fait couler beaucoup d’encre: l’annexe de l’auberge devait être remplacée par un bâtiment dessiné par le célèbre architecte suisse Peter Zumthor
L’affaire a été portée jusqu’au Tribunal fédéral qui a donné raison aux opposants
Les Commissions fédérales pour la Protection de la nature et pour le Patrimoine culturel
ainsi que la Commission fédérale des Monuments historiques
avaient ensuite approuvé un autre concept d’utilisation
Sept millions de francs ont été investis dans la rénovation de l’auberge de l’île
Avec le soutien de l’Association des amis de l’île d’Ufenau
divers sources ont permis de financer les travaux: le canton de Schwytz (350’000 francs)
le district de Höfe (500’000 francs)
la commune de Freienbach (750’000 francs)
le canton de Saint-Gall et la ville de Rapperswil-Jona (175’000 francs chacun) ainsi que les communes proches de Wollerau et de Feusisberg
L’«auberge des deux corbeaux» (emblème de l’Abbaye d’Einsiedeln) a retrouvé sa vocation première
Le bâtiment de l’époque baroque a été entièrement rénové et offre une salle de 80 places
L’annexe et le jardin ont été maintenus dans leur aspect antérieur
Les tenanciers qui ont œuvré dans ces lieux jusqu’en 2007 sont même revenus sur place
Les rives de l’île ont également été assainies
afin de permettre un accès pour les fauteuils roulants et les poussettes dans la partie ouest
l’église Saints-Pierre-et-Paul et la chapelle Saint-Martin ont été restaurées
la compagnie de navigation du lac de Zurich fera à nouveau halte à Ufenau
L’île schwytzoise sera ainsi accessible deux fois par jour au départ de Pfäffikon (SZ)
Les traces de vie humaine sur l’île sont très anciennes
elle appartient à l’abbaye d’Einsiedeln depuis l’an 965
La chapelle Saint-Martin date du 7e siècle
qui repose sur les fondations d’un temple gallo-romain
Rédaction: redaction@cath.ch
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qui a accepté que Temps Présent l'accompagne dans son dernier voyage
Ceux qui veulent mourir se tournent vers Dignitas
L’association est accusée de profiter du «tourisme de la mort»
Elle a accepté exceptionnellement de nous ouvrir ses portes
La Suisse est le seul pays au monde qui permet aux étrangers de venir mourir sur son territoire
plus de mille personnes ont déjà fait le voyage à Zurich pour mourir avec Dignitas
fondée par l’avocat controversé Ludwig Minelli
Dignitas revendique ouvertement le droit au suicide pour une large catégorie de population
Ludwig Minelli n’a pour l’instant rien à se reprocher
Mais le tourisme de la mort pratiqué par Dignitas dérange
en particulier les politiques qui affirment «ne pas vouloir de ça chez nous»
même si la majorité de la population suisse est en faveur de l’assistance au suicide
Temps Présent a obtenu un accès quasi illimité au travail de Dignitas
très différent de celui d’Exit en Suisse romande
qui n’est pas en principe ouvert aux étrangers
Ce reportage exceptionnel nous emmène en Allemagne
pour tenter de mieux comprendre ce tourisme de la mort que certains reprochent à la Suisse
Temps présent a suivi les derniers jours de la Française Michèle Causse
déterminée à mourir comme elle l’avait choisi : le jour de son anniversaire
là ou Dignitas assure les accompagnements au suicide
Un reportage bouleversant sur cette assistance au suicide et son responsable Ludwig Minelli
mais que de nombreux interlocuteurs du film considèrent comme un visionnaire
Rediffusion le vendredi 18 février 2011 à 0h50 et lundi 21 février 2011 à 15h40 sur TSR2
Un reportage de Emmanuelle Bressan Blondeau et Jean-Bernard Menoud Image : Patrice Cologne Son : Beat Lambert Montage : Patrick Guignet
elle est la figure incontournable qui fait la couverture des magazines alémaniques
De Schweizer Illustrierte aux journaux de Coop ou de Migros
tout le monde s’arrache l’histoire de la coiffeuse de métier qui a remporté le concours de l’émission Deutschland sucht den Superstar
La chanteuse schwyzoise est devenue en quelques mois l’artiste incontournable du «Schlager»
mélange de pop et de musique folklorique dans l’espace germanophone
Elle figure en tête des mots les plus recherchés sur Google en 2013
La presse alémanique estime ses gages à 800 francs par minute lors de ses apparitions en public
qui s’inscrivent tout à fait dans la ligne de la pop allemande
ne la distinguent pas vraiment d’autres stars du genre outre-Rhin
Mais son attitude sans prétention et son sourire infatigable en ont fait un cas à part dans le monde des paillettes des émissions de divertissement
Elle a souvent rappelé qu’il y a un an elle travaillait chaque matin dans la boucherie familiale de Pfäffikon
celle qui a décroché un double disque d’or sait aussi se tenir à l’écart des médias quand il le faut
refusant d’apparaître en public avec son petit ami
le phénomène de la chanson alémanique en 2013 déclarait récemment se pincer chaque matin pour être sûre de ne pas rêver
Les classements des fêtes de lutte sont publiés sur le site esv.ch depuis mars 2006
Les résultats datant d’avant mars 2006 ont été ou seront encore saisis ultérieurement (auparavant
ceux-ci étaient publiés sur « schwingfeste.ch »)
le media indépendant duconseil en stratégie
CYLAD Consulting annonce l'acquisition de Seestatt Consulting & Interim Management AG
un cabinet suisse d'une quarantaine d'experts seniors domicilié à Pfäffikon en Suisse près de Zurich
de la conduite du changement et de la transformation digitale
une nouvelle branche de services d’intérim management et management de transition
en proposant des profils experts justifiant de nombreuses années à des postes de direction dans des entreprises industrielles et de services tous secteurs confondus
Cette nouvelle marque entend positionner le cabinet en complément de son métier de conseil classique avec
des services de management de transition senior
Après cette opération de croissance externe
dont vingt profils seniors et quarante experts seniors
le chef de projet peut être un des experts
une équipe de consultants peut bénéficier de l’expertise sectorielle ou fonctionnelle d’un des experts
Il y a de multiples synergies entre notre activité historique et l’activité de nos experts
Nous allons progressivement étendre cette nouvelle activité sur l’ensemble de nos géographies »
Vous avez une information dont le monde devrait entendre parler
écrivez en direct à la rédaction !
Soyez le premier à réagir à cette information
Après une plainte déposée en Californie en janvier 2025 pour discrimination raciale
le cabinet est attaqué en justice en Géorgie
cette fois pour discrimination liée « au genre et à la grossesse »
le CA du cabinet enregistre une hausse de 4 % par rapport au T1 2024
Il accuse toutefois une baisse de 15 % par rapport au 4e trimestre 2024 – lequel avait battu tous les records
Consultant au bureau new-yorkais de Bain durant 3 ans
Raffi Grinberg a puisé dans ses premiers jours au sein du cabinet pour rédiger le guide How To Be A Grown Up
L’heureuse élue se nomme Theano Liakopoulou
Aucun autre nouveau senior partner n’est répertorié pour la France
l’année 2024 aura été marquée par une hausse de 10 % de son chiffre d’affaires et des effectifs augmentés de 1 000 salariés au niveau mondial
Le cabinet vise en effet 2 milliards de dollars de conseil pro bono pour les 10 ans à venir
Bain accompagne notamment le Haut Commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR)
Le chiffre d’affaires du cabinet a atteint 572 millions d’euros
Simon-Kucher célèbre cette année ses 40 ans
Equity & Inclusion » n’existe plus dans sa configuration de 2024
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Jérôme Gautheret (Rome
L’archevêque italien Vincenzo Paglia lors d’une conférence de presse au palais présidentielle de San Salvador
MARVIN RECINOS / AFP Fabiano Antoniani avait eu mille vies
avant de revenir en Italie y travailler comme assureur
Mais c’était la musique qui l’avait rendu célèbre
il avait animé des centaines de soirées jusqu’à ce 13 juin 2014 où
en cherchant à ramasser son téléphone alors qu’il était au volant de sa voiture
il a percuté un véhicule arrivant en sens inverse
Fabiano n’avait pas mis sa ceinture de sécurité : il a traversé le pare-brise avant d’aller s’écraser sur le bas-côté
mais les séquelles sont terribles : tétraplégique et aveugle
il ne peut plus respirer qu’avec l’aide d’une machine
une petite localité sur les bords du lac de Zurich
après deux entretiens avec des médecins à qui il a réaffirmé sa volonté de mourir
Comme il ne pouvait plus boire par lui-même
celui-ci lui a été administré par intraveineuse
que Fabiano Antoniani a actionné le mécanisme
pour affirmer jusqu’au bout sa pleine liberté
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il était définitivement entré dans l’histoire du sport en signant aux JO de Vancouver le même doublé que huit ans plus tôt à Salt Lake City
le Saint-Gallois a convolé avec Yana Yanovskaya (25 ans)
la cérémonie a eu lieu dans le très beau château de Pfäffikon (canton de Zürich)
Seuls les intimes et les familles avaient été conviés
dont son inséparable pote du saut à skis
La mariée est arrivée dans une Rolls-Royce de 1930
le repas a eu lieu sur la terrasse du restaurant Luegeten de Pfäffikon
avec un coup d’œil unique sur la lac de Zürich
chaque invité a reçu une carte libellée d’un simple «Simon und Yana» pour y formuler des vœux
Son mariage sera-t-il un nouveau tremplin?