Masquer A Savièse les propriétaires de vignes refusent de regrouper leurs parcelles À Savièse (VS) les propriétaires de vignes refusent de regrouper leurs parcelles / 19h30 / 2 min / le 25 mars 2025 Pour obtenir des subventions destinées à moderniser le vignoble valaisan un regroupement des parcelles serait nécessaire à Savièse qui visait également à améliorer la rentabilité du vignoble en créant de plus grandes unités de production Morcelé au fil des générations par des héritages et des successions le vignoble de Savièse est partagé entre 1900 propriétaires Son regroupement aurait permis de diminuer les coûts de production mais 55% des propriétaires s'y sont opposés témoigne mardi dans le 19h30 de la RTS Julien Richard secrétaire du groupement d’intérêt viticole de Savièse le vote contre le projet est dû à l'insécurité et à la peur de perdre au change "Le projet présenté était mal ficelé et mal communiqué" La densité de parcelles à l’hectare est phénoménale c'était de réduire ce nombre à trois ou quatre par hectare" qui a porté ce projet de regroupement pendant huit ans avec le soutien du canton et de la Confédération Sylvain Dumoulin souligne que le statu quo est problématique: "Beaucoup de vignes sont abandonnées ou arrachées les exploitants et les propriétaires continueront d'abandonner des parcelles." la branche et les pouvoirs publics ont prévu d'injecter 170 millions de francs dans la modernisation du vignoble les routes d'accès et le renouvellement des ceps ces fonds ne sont disponibles que pour les productions d'au moins 3000 mètres carrés une grande majorité des vignes valaisannes ne pourra pas en bénéficier souligne le conseiller d'Etat Christophe Darbellay: "Si on ne fait pas de remaniement parcellaire sur une situation comme celle de Savièse La Confédération avait d’ailleurs fait de cela une condition sine qua non." L'élu du Centre ajoute qu'il faudra étudier des alternatives mais que d'autres communes pourraient être prioritaires pour recevoir ces fonds la question du remaniement parcellaire se pose désormais pour les autres communes valaisannes Les propriétaires devront bientôt décider s'ils souhaitent redécouper leurs terres pour bénéficier des subventions professionnaliser et moderniser la viticulture valaisanne Certains propriétaires valaisans laissent leurs vignes à l'abandon Une pratique pourtant illégale pour des raisons sanitaires Le Valais envisage d'investir 140 millions pour moderniser son vignoble De plus en plus de vignes sont bradées ou abandonnées en Valais Apprendre que ces fous d’un Valais authentique étaient 26 n’est pas la seule surprise de cet ouvrage qui nous invite dans leur bulle Là-haut, ces Vaudois, Neuchâtelois, Genevois et Français ont capté son essence, intégré ses humanités, suivi ses rites et adopté ses rythmes. Les coulisses joyeuses d’une fête villageoise. La lessive à la rivière. La montée à l’alpage. Jusqu’à l’existence qui laisse ses marques, creusant les visages. Ou courbant l’échine du père qui amène le cercueil de son enfant mort au cimetière. Dans «L’École de Savièse, autrement», elles posent un regard neuf, redéfinissent le territoire d’action, les dynamiques de groupe. Et déconstruisent quelques idées tenaces. Le fil est édifiant sans s’interdire d’être vivant. Il est aussi global sans nier les individualités. Première surprise: il y en a 26! Cette École de Savièse rapidement réduite à une poignée d’artistes est en fait… une nébuleuse. Une vraie force de frappe. Avec des peintres, mais pas que. Des hommes, mais pas que. L’ouvrage nous mène à la rencontre picturale et biographique d’artistes peu croisées, rarement citées, dont la Nyonnaise Julia Bonnard (1860-1927). Ou les filles d’artistes. Comme leurs épouses, dont la Genevoise Marguerite Vallet-Gilliard. Et là… deuxième réajustement scientifique: Savièse n’est pas le seul port d’attache de ces archéologues d’une authenticité rêvée. Ils s’éparpillent entre le val d’Hérens, le val d’Anniviers ou encore Saas Fee et Zermatt. Et si cette transhumance embrasse un ailleurs, elle signifie aussi une rupture. Des surprises éclairées par leurs recherches, il y en a encore. Notamment photographiques. Ces artistes, on les voit vivre. Travailler. Se réunir. Se prendre en photo. Ou se tirer le portrait. Un peu comme si on était avec eux, dans cette bulle intemporelle qui a fait école. Mais aussi une part de l’image de la Suisse. «L’École de Savièse, autrement», Maéva Besse et Isaline Pfefferlé. Éd. art&fiction, 324 p. L’ouvrage «L’Ecole de Savièse, autrement» met en valeur nombre d’artistes et de lieux où ils sont allés peindre. Comme ici Fritz Edouard Huguenin Lassauguette, «Aux Haudères, Val d’Hérens», 1898.Musée Jenisch Vevey, Julien GremaudSur l’École de Savièse Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler. La Municipalité de Savièse accueille un nouvel accrochage temporaire Au cœur de son espace d’exposition situé dans les combles de la Maison de Commune elle propose de découvrir les œuvres de Germaine Boy Elle célèbre ainsi les 140 ans de la naissance de l’artiste en lui dédiant une exposition pour la première fois de l’histoire Partageant sa vie durant 50 ans entre Paris et le Valais l’artiste parisienne a cependant été oubliée de toute publication scientifique Mais comment a-t-elle pu passer entre les mailles du filet collaboratrice scientifique auprès de la Municipalité de Savièse Les œuvres présentées à Savièse proviennent en partie du Musée d’art du Valais à Sion qui détient une collection liée à "L’École de Savièse" Le reste appartient à des collectionneurs privés originaires de Suisse Germaine Boy est très décorative et illustrative elle a baigné dans la mouvance de l’Art nouveau Un contexte artistique centré sur les motifs l’ornementation ainsi que sur la décoration Des influences qui se ressentent dans son travail tant parisien que dans ceux effectués lors de ses passages en Valais Cette exposition temporaire est rattachée au phénomène appelé "École de Savièse" Ce dernier désigne la vingtaine d’artistes qui dans le sillage d’Ernest Biéler se sont succédé en Valais entre 1880 et 1930 Avec son restaurant ouvert récemment à Savièse le Valaisan a été nommé meilleur jeune chef de Suisse par le Guide Michelin et au binôme managérial formé avec son épouse Créez-vous un compte gratuitement et retrouvez les contenus que vous avez sauvegardés Ce résumé peut avoir été écrit avec l'assistance d’une IA générative. En savoir plus une étoile Michelin et une étoile verte dans la foulée puis cette année le Prix Michelin du jeune chef décerné par Blancpain: Gilles Varone connaît depuis l’ouverture de son restaurant dans son Valais natal Après avoir travaillé dans les cuisines londoniennes d’Anton Mosimann c’est au centre de Savièse qu’il met en scène une cuisine gourmande axée sur le terroir et la plus durable possible Une approche défendue côté salle par son épouse Letizia Agés tous deux de 29 ans et ensemble depuis 2013 ils partagent le goût d’entreprendre et l’acceptation des longues journées que le secteur de la restauration implique Lire aussi: Au Guide Michelin, la gastronomie suisse au firmament Les droits de douane compliquent les affaires des entreprises suisses Les multiples transferts de l'attaquant belge Romelu Lukaku ont généré plusieurs centaines de milliers d'euros que ses anciens clubs formateurs essayent encore de récupérer président de l’Association suisse d’assurances président d’Economiesuisse et Martin Hirzel Accédez au meilleur du journalisme suisse avec notre offre combinée Le Temps & Heidi.news Le remaniement parcellaire des vignes saviésannes a été balayé hier soir par les vignerons de la commune 55% d’entre eux ont dit non à ce projet pilote qui visait a rassembler les petits parcelles pour faciliter leur exploitation Une douche froide pour les autorités communales et cantonales viticulteur et nouveau président de la Chambre Valaisanne d’Agriculture La rédaction Canal9 | Die Redaktion Kanal9 © 2025 Copyright Designed by Canal9's technical team Nous utilisons des cookies pour vous offrir une meilleure expérience sur notre site. Paramètres Wir verwenden Cookies, um Ihnen eine beste Erfahrung auf unserer Seite zu bieten. Einstellungen Ce site Web utilise des cookies afin de vous offrir la meilleure expérience utilisateur possible. Les informations des cookies sont stockées dans votre navigateur et remplissent des fonctions telles que vous reconnaître lorsque vous revenez sur notre site web et aider notre équipe à comprendre quelles sections du site web vous trouvez les plus intéressantes et utiles. Diese Website verwendet Cookies, damit wir Ihnen die bestmögliche Benutzererfahrung bieten können. Cookie-Informationen werden in Ihrem Browser gespeichert und dienen dazu, Sie wiederzuerkennen, wenn Sie auf unsere Website zurückkehren, und unserem Team zu helfen, zu verstehen, welche Bereiche der Website Sie am interessantesten und nützlichsten finden. Certains cookies sont nécessaires au bon fonctionnement du site. Einige Cookies sind für das reibungslose Funktionieren der Website erforderlich. 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Bitte aktivieren Sie die unbedingt erforderlichen Cookies, damit wir Ihre Einstellungen speichern können. est remise en lumière à Savièse Du Boy dont on fait les artistes / le 5 décembre 2024 Germaine Boy (1884-1971) est une artiste française qui travaille sur le motif en Valais entre 1910 et 1950 environ l'Espace d'exposition de la collection communale met en lumière son travail jusqu'au 27 juillet 2025 dans une exposition intitulée "Germaine Boy - Entre Paris et le Valais" La peintre française Germaine Boy était éprise du Valais Elle venait chaque année passer l'été à Savièse et peindre la nature et les paysages une quarantaine de ces peintures reviennent en Suisse et sont acquises par le Musée d’art du Valais Oubliée lors de l'écriture de l'histoire du singulier phénomène culturel de l'École de Savièse qui désigne les artistes peintres ayant trouvé l'inspiration à Savièse ou y ayant vécu Germaine Boy est une artiste qui participe pourtant au développement d'une iconographie régionale et à la diffusion de l'image rurale du Valais à l'extérieur du canton "J'avais envie de commencer par l'oeuvre qui a un petit peu tout changé la conseillère communale en charge du dicastère de la culture et moi-même avons été approchées par un marchand d'art qui nous a montré cette très belle oeuvre de Germaine Boy intitulée 'Savièse Suisse' qui représente une procession de Saviésannes" raconte dans l'émission Vertigo du 5 décembre Isaline Pfefferlé conservatrice/collaboratrice scientifique et curatrice de l'exposition Isaline Pfefferlé et Annie Héritier découvrent donc le travail magnifique de l'artiste qu'elles ne connaissent pas et qui ne figure pas dans les livres "On a réfléchi un petit peu et on s'est dit que ce n'était pas parce qu'elle n'était pas dans les livres qu'elle ne méritait pas d'attention" Les deux femmes commencent alors des recherches et une véritable enquête afin de rendre à Germaine Boy la place qui lui est due "Elle s'est concentrée vraiment sur les sujets et a complètement délaissé le contexte "La représentation est ancrée dans la réalité Contrairement à d'autres artistes de l'Ecole de Savièse Germaine Boy ne tombe pas dans l'idéalisation elle accorde un intérêt ethnographique au travail des champs" Germaine Boy retrouve sa véritable place d'artiste dans cette exposition inédite Espace d'exposition de la collection communale Une exposition et un ouvrage offrent un nouveau regard sur l’Ecole de Savièse Ce phénomène qui a vu plusieurs artistes hors canton représenter les paysages et personnages du Valais à la fin du 19e et le début de 20e siècle Viviane Givord Nous utilisons des cookies pour vous offrir une meilleure expérience sur notre site um Ihnen eine beste Erfahrung auf unserer Seite zu bieten Ce site Web utilise des cookies afin de vous offrir la meilleure expérience utilisateur possible Les informations des cookies sont stockées dans votre navigateur et remplissent des fonctions telles que vous reconnaître lorsque vous revenez sur notre site web et aider notre équipe à comprendre quelles sections du site web vous trouvez les plus intéressantes et utiles damit wir Ihnen die bestmögliche Benutzererfahrung bieten können Cookie-Informationen werden in Ihrem Browser gespeichert und dienen dazu welche Bereiche der Website Sie am interessantesten und nützlichsten finden Certains cookies sont nécessaires au bon fonctionnement du site Einige Cookies sind für das reibungslose Funktionieren der Website erforderlich nous ne pouvons pas enregistrer vos préférences Cela signifie que chaque fois que vous visitez ce site vous devrez activer ou désactiver à nouveau les cookies können wir Ihre Einstellungen nicht speichern die Cookies erneut aktivieren oder deaktivieren müssen Ce site Web utilise Google Analytics pour collecter des informations anonymes telles que le nombre de visiteurs sur le site et les pages les plus populaires L'activation de ce cookie nous aide à améliorer notre site web Veuillez activer les cookies strictement nécessaires afin que nous puissions enregistrer vos préférences Bitte aktivieren Sie die unbedingt erforderlichen Cookies damit wir Ihre Einstellungen speichern können Maéva Besse et Isaline Pfefferlé croisent 26 trajectoires picturales dans le Valais des années 1884-1939 Il serait aussi possible de parler d’absence totale de logique Alors qu’en peinture «l’école de Savièse» s’éloigne de plus en plus dans le temps; au moment où le goût général dédaigne ce genre de tableaux régionalistes; tandis que la cote de certains des noms cités s’effondre sur le marché Un catalogue raisonné en deux volumes de Jean-Charles Giroud est paru fin 2023 sur l’œuvre d’Edouard Vallet Et voici qu’un tandem d’historiennes politiquement correctes jusqu’à la caricature se charge chez art&fiction de l’ensemble du sujet Il s’agit de «replacer l’école dans une perspective de déconstruction où les artistes sont appréhendé.e.s sans hiérarchie.» Ne vous cabrez pas tout de suite sur vos pattes arrière Il y a beaucoup à retenir du texte des deux auteurs (ou autrices) Maéva Besse et Isaline Pfefferlé L’iconographie se révèle par ailleurs novatrice Il se trouve non seulement là reproduites des œuvres jamais vues mais encore toute une documentation photographique d’époque en partie inédite qui marque l’entrée d’un éditeur confidentiel dans le difficile domaine du «beau livre» se cache en effet un énorme travail de recherche en amont Le mouvement peut ainsi se retrouver mis dans son contexte historique avec les projecteurs braqués non plus sur les protagonistes mais ceux et surtout celles qui passaient jusqu’ici pour de simples comparses D’où une vision chorale où chacun tient sa partition «La sortie de la messe à Savièse» d’Ernest Biéler Ici l’Histoire n’a pas eu besoin de se voir réécrite C’est bien là le moment où le Vaudois Ernest Biéler a eu la révélation C’était là son chemin de Damas à la saint Paul moins la chute de cheval ou plutôt ici de mulet «Je me mis à peindre à Savièse pour la première fois N’oublions pas que c’était un événement de se rendre en Valais; on mettait quatre heures de chemin de fer de Lausanne à Sion.» Notez qu’avec les actuelles pannes des CFF D’où l’idée d’un phalanstère pour se retrouver en montagne dans un lieu préservé des méfaits de la civilisation Un paradis rustique avec plein de traditions immémoriales Les Français ont dû au même moment avoir une impression identique en se retrouvant à Pont-Aven même si Maéva et Isaline préfèrent la comparaison avec la forêt de Fontainebleau Un endroit dont les seuls personnages restaient pourtant des arbres centenaires… Marguerite Burnat-Provins a aussi donné quelques affiches Notez la présence du mulet!DR.Biéler va bientôt faire école De nombreux collègues (un mot épicène) viendront à Savièse ou dans ses environs immédiats La figure humaine jouera pour eux un rôle important Il y aura une concentration sur les femmes les enfants et les beaux vieillards bien ridés C’étaient après tout eux qui se chargeaient de transmettre la mémoire et les codes de vie Une existence tournée à la fois vers l’église et le travail des champs Que de «sorties de messe» chez les représentants de l’«école de Savièse» (en écrivait au départ «de Savièze») C’était d’ailleurs bien ainsi que tout avait commencé La première composition mahousse sur le sujet de Biéler conservée aujourd’hui au MCB-a de Lausanne et l’usage massif des cernes noirs qui vont finir par accorder le fond et la forme nous demeurions plutôt chez Biéler dans une sorte d’académisme en plein air Le Neuchâtelois Edmond Bille a aussi fait la publicité du canton.DR.Il y a très peu eu de Valaisans dans l’«école de Savièse» d’autant plus que Raphy d’Allèves ne fait pas partie de toutes les listes canoniques Tout le monde n’admet pas les mêmes figures sous prétexte que plusieurs artistes se sont laissés attirer par d’autres villages L’essentiel reste de noter qu’il s’agit là d’une production essentiellement exogène avec un gros apport genevois et protestant Des gens extérieurs sont venus se dépouiller des oripeaux de la civilisation industrielle que ne souligne pas ici le tandem d’autrices la bourgade bretonne s’est retrouvée promue capitale de la modernité il s’agit d’une crispation sur des traditions également picturales Il ne faut pas oublier que «l’école de Savièse» naît et se développe alors que l’Europe occidentale connaît l’impressionnisme Il s’agit donc d’une survivance dans un canton tenant de la réserve d’Indiens Le Biéler mat peignant avec des cernes noirs à la tempera Il continuera ainsi jusque dans les années 1940.DR.Maéva Besse et Isaline Pfefferlé ont tenu à remettre au premier plan des figures jusqu’ici jugées secondaires Mais aussi quelques hommes ayant passé sous les radars à une époque où il n’y en avait pourtant pas Avez-vous jamais entendu parler de Germaine Boy d’Albert Silvestre ou de Berthe Roten-Calpini il convient de remédier à ces oublis dans une vision au ras des pâquerettes de l’histoire de l’art il n’existe plus de niveau esthétique et par conséquent plus de hiérarchie celle-ci contredit la volonté actuelle de tout aplatir comme si le monde devait se voir unifié avec un fer à repasser Il me semble pourtant permis d’affirmer qu’un gros petit quelque chose sépare Ernest Biéler ou Edouard Vallet des compositions laborieuses de Paul Virchaux Il existe de même quelques années-lumière entre Marguerite Burnat-Provins et les toiles pour le moins médiocres d’une Valentine Métin-Gilliard tout se doit de rester neutre (sauf la Suisse!) Edouard Vallet a beaucoup donné dans la gravure,DR.Il s’agit néanmoins d’un livre important publié dans un ouvrage toilé d’un beau rouge en dépit de l’obligatoire langage inclusif Une prudence peut-être face à un canton supposé homophobe mais elles éclairent au lieu de ressembler comme souvent à un fouillis universitaire J’y ai vu en Béotien de simples taches de plusieurs nuances d’orange sur fond blanc La Valaisanne Maëlle Cornut «dialogue depuis ses débuts avec les réflexions féministes en jetant un regard critique sur les normes de féminité et de masculinité façonnées par le patriarcat Elle porte une attention particulière à la déconstruction des mécanismes de domination dans une perspective intersectionnelle en croisant les notions de race de genre et d’exploitation du vivant.» C’est curieux Il me semble avoir déjà entendu ce discours quelque part Trajectoires croisées de 26 artistes en Valais» Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler. La rédaction vous propose éluGéraldine Varone,1221 voix, élue ce regroupement d’artistes qui s’est formé dès la fin du XIXème siècle pour représenter le plateau saviésan a été largement documenté par les spécialistes Et deux historiennes de l’art – Isaline Pfefferlé et Maéva Besse – ont décidé de s’emparer dans un livre qui vient de paraître. «L’école de Savièse autrement» ressort de l’anonymat de nombreuses personnalités "En montant une exposition avec la municipalité de Savièse et la Ville d'Aigle nous avons remarqué de nombreuses lacunes historienne de l’art et curatrice indépendante.  On en savait donc peu sur des artistes mentionnés dans certains documents car ils ont moins intéressé les chercheurs Un point d'autant plus vrai en ce qui concerne les femmes Celles-ci avaient peu accès aux institutions "et donc un style moins académique qui ne correspond pas forcément aux standards esthétiques" A cela s'ajoute un autre paramètre : le temps à disposition elles menaient souvent une vie de famille en parallèle" Conséquence : leur production était souvent moins abondante avec le risque qu'elle soit moins remarquée "En l'absence de quelqu'un pour collectionner leur oeuvre elles tombaient facilement dans l'oubli après leur décès" même si elles étaient parfois reconnues de leur vivant.  les femmes qui pourraient être rattachées à l'Ecole de Savièse ne sont pas les seules à être passées sous les radars La thèse de ces historiennes de l'art : plusieurs artistes rattachés à l’Ecole de Savièse ont été "Car leurs créations n'ont pas assez plu de leur vivant ou après leur disparition." A cela peuvent s'ajouter plusieurs autres facteurs comme un manque de notoriété. C'est ainsi que Maéva Besse et Isaline Pfefferlé ont décidé de s'éloigner d'une approche esthétique "Nous avons donc essayé de mettre de côté ce que l'on peut ou l'on a pu considérer comme 'beau' pour prendre en compte le contexte de ces oeuvres" Elles ont ainsi choisi de considérer d'autres critères comme le lien avec le Valais de ces artistes les liens qui les unissent - entre eux et avec Ernest Biéler le plus célèbre - et la période de production de leurs créations "L'idée nous a permis de désigner au moins 26 artistes comme des 'personnalités rattachées à l'Ecole de Savièse' contre la quinzaine de peintres que l'on dénombre généralement" Pour trouver les données manquantes les deux chercheuses se sont rendues dans des archives se sont penchées sur des articles de presse et ont même rencontré des descendants Le résultat : un ouvrage de plus de 300 pages avec une iconographie en partie inédite Et elles le soulignent : elles n'auraient pas pu mener à bien leur projet sans les études qui avaient été menées précédemment et l'appui de leurs auteurs "Nous sommes simplement dans une démarche d'augmentation des recherches qui ont été faites auparavant" glisse Isaline Pfefferlé.Leur approche est soutenue par la municipalité de Savièse et Pascal Ruedin l’ancien directeur des Musées cantonaux Il a écrit la préface de "L'Ecole de Savièse dans laquelle il décrit la réflexion que l'ouvrage contient comme "historiquement objective" Une forme de passage de témoin.  par | 14 novembre, 2024 | Actualités, Gastronomie, Styles de vie par | 18 mars, 2025 | , , Ainsi peut-on qualifier Anne-Marie Philippe Car la rédactrice en chef des suppléments suisses de Paris Match et Elle s’est illustrée non seulement dans le journalisme Le chef anglo-israélien nous parle des challenges de l’ouverture de son premier restaurant en dehors de Londres de sa collaboration avec le Mandarin Oriental par | 15 mars, 2025 | , , un parfum nous enveloppe autant qu’il nous dévoile Cérébrale – L’Eau Papier Une création Diptyque qui mêle vapeur de riz Les newsLe chef Gilles Varone se confie en interviewUn mois de folie Deux points d’un coup au GaultMillau et «Jeune chef de l’année» du Michelin le GaultMillau 2025 vous a décerné deux points d’un coup vous avez reçu le «Young chef award» parrainé par Blancpain lors de la cérémonie du Michelin Suisse 2025 Surtout dans un petit village et dans un restaurant qui n’est soutenu par personne C’est plutôt encourageant pour la future génération Alors qu’il est de plus en plus difficile de trouver des jeunes motivés Pensez-vous que les jeunes se rendent compte de l’investissement en temps et en énergie que ce succès représente Les jeunes sont souvent trompés par ce qu’ils voient sur les réseaux sociaux et à la télévision Ils ont ainsi l’illusion que tout le monde peut cuisiner comme un étoilé Ils ne voient donc souvent pas qu’une récompense est le résultat d’un travail acharné une récompense est un facteur de motivation très important pour s'intéresser à nos métiers est-ce que ces titres et ces distinctions ont un effet Lorsque le GaultMillau nous avait nommé «Découverte de l’année» je pense que perdre une étoile ou un point n’a pas un effet négatif dans les mêmes proportions Car la visibilité acquise continue à porter ses fruits vous avez enregistré beaucoup de réactions c’est un facteur de motivation qui nous permettra d’atteindre nos objectifs de développement Je pense notamment à ce jeune collaborateur qui sort d’apprentissage c’est difficile dans une brigade où tout va vite et où tout le monde communique en anglais Chaque distinction démontre que l’investissement en vaut la peine Est-ce que ces reconnaissances vont changer quelque chose L’intérêt d’un titre soutenu par un sponsor est ailleurs J’ai déjà eu des contacts bénéfiques qui pourraient déboucher sur des repas à quatre mains avec des chefs d'autres pays et nous donner une visibilité à l’étranger puisque ces titres ne sont pas décernés qu’en Suisse notamment en matière de partage de valeurs comme l’écoresponsabilité et le local ce titre nous montre que le travail paie et qu’il faut croire en ses rêves Quatre candidats figurent sur la liste socialiste de Savièse pour les élections communales de cet automne Il s'agit tout d'abord du conseiller communal sortant et député-suppléant au Grand-Conseil Valentin Aymon Il sera accompagné de Nadia Brahovic qui en est à sa première expérience politique de l'ancienne conseillère générale de la Ville de Sion Aline Baeriswyl responsable des projets au sein de l'Association valaisanne des EMS et du Groupement valaisan des CMS La table de l'exécutif saviésan est actuellement composé de 5 Centristes la section UDC de Savièse a désigné ses candidats en vue des élections communales du 13 octobre prochain pour renforcer son siège au sein du Conseil communal et renouveler la confiance envers la vice-juge sortante vice-juge sortante et employée dans une étude d’avocat assume la présidence de la section UDC de Savièse et du district de Sion Elle connaît bien les problématiques juridiques et se montre à l’écoute de la population conseiller communal sortant en charge de l’agriculture et de la bourgeoisie viticulteur de profession et passionné par l’élevage de la race d’Hérens qui occupe actuellement le poste de président de la commission de la santé et du social Il a siégé durant une législature au Conseil communal en assurant la présidence de l’EMS et de l’aménagement du territoire Ce dernier est directeur d’une structure associative dans le domaine social sociales et d’engagement au sein des collectivités publiques souhaite apporter à la population saviésanne un choix de personnes compétentes engagées et affirmées pour relever les défis de la vie locale notamment le développement d’une mobilité adaptée pour des villages et non pour une ville l’harmonisation des prestations entre les jeunes et les personnes âgées le renforcement du pouvoir d’achat pour les familles Les défis sont nombreux afin que cette commune ne devienne pas une cité-dortoir candidat au conseil communal (sortant) et Bruno Perroud Les NewsLa belle nouvelle cuisine de la p’tite maisonÀ Savièse Margaux et Jeremy Chapuis ont repris le resto de Gilles Varone Margaux et Jeremy Chapuis ont repris le 8 mai dernier le restaurant où Gilles Varone a explosé au grand public et on apprécie l'ambiance détendue qu'il instaure Après la décoration sobre et tamisée souhaitée par Gilles Varone tableaux rigolos et jolis bouquets de fleurs («cueillis ce matin dans le jardin») qui nous font nous sentir à la maison Et si le couple souhaite «avant tout s'amuser et faire plaisir à leurs clients sans chercher une quelconque note ou étoile» l'amuse-bouche associe crémeux de courgette au basilic légère sauce à la fraise et lamelles croquantes de courgette crue des tomates cerises multicolores émondées et confites sur leur sauce le tout entourant un palet d'aubergine fondante vêtue d'une sauce barbecue Une eau de tomate légèrement gélifiée donne un peu de vigueur au tout incarnée par cet omble en croûte de pain déposé sur un gourmandissime beurre blanc au fumet de poisson le fenouil se décline en croquante salade aux câpres dont l'équilibre parfaitement trouvé démontre la maîtrise technique de la cheffe formée à l'Ecole hôtelière de Genève puis passée notamment à La Chaumière de Serge Labrosse et au Neptune du temps de Nicolas Darnauguilhem Le riz au lait à la cerise et noix de macadamia Alors que l'on se délecte d'un gamay valaisan sélectionné avec soin par Jeremy arrive le plat principal: une volaille tendrement cuite et à la peau croustillante escortée d'une savoureuse ratatouille enlacée dans une lamelle de courgette et le jus de volaille servi à table se déguste à la cuillère.. et se sauce avec le pain de la Boulangerie 1955 de St-Pierre-de-Clages située en face de l'ancien restaurant du couple Chapuis Embarqués dans un menu enchanteur - tout en restant accessible aux épicuriens d'un soir - on se réjouit de voir arriver la cheffe avec le dessert: un riz au lait revisité à la cerise et à la noix de macadamia Margaux et Jeremy Chapuis ont plaisir à cuisiner pour leurs hôtes >> www.ptitemaison.ch >> www.ptitemaison.ch coup de foudre en ValaisSommelière de Gilles Varone l'ex-comptable éblouit à Savièse et fait les beaux jours du Valais vinicole «Je n'ai pas tout de suite réalisé l'importance de ce côté-ci de mon travail Mais il y a une réelle différence entre la dégustation professionnelle lors de laquelle je profite pleinement.» Rencontrée autour d'un plat d'aubergines au tofu au Sil'o ce restaurant thaï situé à deux pas de la gare de Sion Lise n'éludera aucune question et se penchera avec passion sur son parcours et ses défis à suivre et ainsi de créer une carte de cave de zéro Nous avons des sensibilités vinicoles similaires et ils m'ont permis de m'éclater aussi en dehors des vins.» Car pour la sommelière son métier ne se limite pas au sacro-saint jus de raisin fermenté la rhubarbe pochée et sa glace au safran des Touristes trouvaient la réplique dans un saké à la fraise alors que le mariage cerise-réglisse-estragon dialoguait malicieusement avec une bière à la cerise Le duo a pu compter sur Lise à la réouverture du restaurant en 2022 «Les vins suisses offrent une diversité folle Où donc Lise Donier-Meroz apprécie-t-elle s'attabler dans son canton? «Je ne sais jamais si c'est en Valais ou sur Vaud, mais j'ai eu un gros coup de cœur pour la Maison Le Maguet (14/20) Elle cite aussi les Collines (14/20) de François-Xavier Lemploy et Maud Lemploy à La Sage (ci-dessus) et le Petit-Lac à Sierre la voilà en route chez Sandrine Caloz à Miège chez Romain Favre à Chippis… C'est chez ce dernier qu'elle a dégusté cette rèze (vin blanc alpin rarissime) élevée en amphore dont elle nous parle grand sourire Un coup de foudre qui lui a donné l'envie de créer sa propre cuvée tu ouvres des instants de vie en découvrant celle de ces artisans de la vigne L'étiquette du vin que vinifie Lise Donier-Meroz est réalisée avec la petite sœur graphiste de cette dernière La centaine de bouteilles sortira dans les premiers mois de 2025 À l'écouter raconter «son» Valais viticole on a de la peine à croire que l'aînée de sa fratrie de trois est arrivée dans ce canton il y a trois ans à peine qu'elle avait commencé sa vie professionnelle comme comptable et souhaitait continuer dans les ressources humaines au Restaurant L'Enclume (3 étoiles Michelin à Cartmel qui lui a fait découvrir le monde de la sommellerie Lise passe beaucoup de temps avec le chef sommelier du restaurant qui lui suggère le poste de commise sommelière Elle accepte et commence en parallèle les cours du WSET (ndlr: Wine & Spirit Education Trust un organisme international formateur dans le monde du vin et des spiritueux) elle est sur la liste d'attente pour passer l'examen du Master of Sommelier «J'attends ce coup de téléphone avec impatience!» Le restaurant L'Enclume, à Cartmel, a été obtenu la meilleure note possible au classement La Liste 2025, aux côtés du Cheval Blanc de Peter Knogl Le chef Simon Rogan fait des merveilles à L'Enclume: son canard vieilli à sec choux de printemps et sauce infusée à l'aspérule odorante entre deux prises de notes et quelques morceaux de tofu on passe en revue la playlist musicale de Lise Et c'est lorsqu'elle évoque ses artistes préférées (Taylor Swift Zao de Sagazan) qu'on lui demande si elle se revendique féministe je ne suis pas favorable à instaurer des quotas sur les cartes mais il se trouve que de plus en plus de vigneronnes élaborent de grands vins alors je valorise leur travail.» Une conviction forte qui permet à l'amateur ou à l'amatrice de vin de découvrir des noms - encore - peu connus on aborde la question des passions de l'intéressée la réponse fuse: l'histoire des différents cépages On sourit lorsqu'elle développe sur l'humagne blanche raisin d'origine valaisanne dont «on trouve trace dès l'an 1313» dans les Alpes Une région dans laquelle sont produits de «sublimes vins en place une poignée à la fin de sa carte ainsi qu'un dans ses accords Une preuve de confiance de la part de Gilles Varone envers qui la sommelière est reconnaissante: «C'est une chance extraordinaire de travailler au quotidien avec un chef exigeant qui a autant d'ambition et qui met tout en œuvre pour les atteindre Gilles me pousse tous les jours à m'améliorer je lui dois beaucoup.» C'est lorsque l'on s'attable à Savièse et qu'on la laisse nous guider que l'on se rend compte de la facilité et de la passion qu'entretient Lise Un coup de cœur récent? Le célèbre chasselas Dézaley Chemin de Fer, de la famille Massy à Epesses Le restaurant Gilles Varone à Savièse lise-donier-meroz-sommeliere-restaurant-gilles-varone-saviese-valais Où donc Lise Donier-Meroz apprécie-t-elle s'attabler dans son canton? «Je ne sais jamais si c'est en Valais ou sur Vaud, mais j'ai eu un gros coup de cœur pour la Maison Le Maguet (14/20) Elle cite aussi les Collines (14/20) de François-Xavier Lemploy et Maud Lemploy à La Sage (ci-dessus) et le Petit-Lac à Sierre Le restaurant L'Enclume, à Cartmel, a été obtenu la meilleure note possible au classement La Liste 2025, aux côtés du Cheval Blanc de Peter Knogl Un coup de cœur récent? Le célèbre chasselas Dézaley Chemin de Fer, de la famille Massy à Epesses Le restaurant Gilles Varone à Savièse C’est l’aboutissement d’un rêve d’enfant Depuis ses premiers modèles réduits réalisés à l’âge de 13 ans a fait en sorte que ce rêve devienne réalité il s’envole pour les États-Unis où il assiste pour la première fois à un rassemblement de constructeurs amateurs près de Chicago Vingt ans s’écoulent avant qu’il commande son avion en kit un peu comme on le ferait pour un meuble du géant suédois La caisse du kit arrive à Savièse en avril 2018 Six ans et des milliers d’heures de travail plus tard Yannick Bovier est fier de son avion baptisé "Spirit of Sion" L'avion a été héliporté au mois de mai jusqu'au hangar Farner sur l'aéroport de Sion L'atelier de 60 m² prévu dans la villa de Savièse devenait trop exigu "L'appareil fait 9,70 mètres d'envergure et 8 mètres de long environ C'est un petit avion monomoteur assez grand qui permet de transporter quatre personnes et 50 kilos de bagages" précise Yannick Bovier en entrant dans le hangar L'avion est terminé à 95% car je suis en train de travailler sur le moteur C'est tout un assemblage qui petit à petit se concrétise." Yannick Bovier nous ouvre les portes papillon de son avion "à la Lamborghini" "L'intérieur de l'avion n'est pas encore aménagé Il reste encore beaucoup de travail au niveau électrique pour raccorder tous ces instruments." Le Valaisan reconnaît que c'est une activité très chronophage "Ce qu'il y a de plus compliqué avec ce projet ce n'est pas de construire l'avion ses amis et de garder un certain équilibre J'ai eu la chance d'avoir une épouse fantastique qui m'a toujours soutenu et qui m'a même aidé car il faut être à deux pour de nombreuses étapes c'est aussi un projet de couple." Le premier kit livré à Savièse pour la construction de cet avion sont les empennages soit les surfaces placées à l'arrière des ailes ou de la queue d'un avion pour lui donner de la stabilité "On ne naît pas constructeur d'avion "Le kit est organisé de telle façon qu'on commence par les parties les moins techniques et on acquiert cette connaissance petit à petit avec les parties les plus compliquées." Yannick Bovier rappelle que les premiers pilotes dans les années 1900 étaient également des constructeurs amateurs "La personne qui rêvait de voler devait d'abord construire son avion Je vois notre démarche un peu comme un retour aux sources : on fait le cheminement complet Yannick Bovier la partage avec son épouse Vasita qui a participé à la construction Et ils côtoient aussi toute une communauté de passionnés on ne s’improvise pas constructeur d’avion L’opération est très réglementée "C'est très surveillé On ne construit pas son avion comme ça et on part voler Il y a beaucoup de papiers à faire et beaucoup de contrôles On a un conseiller de construction qui vient voir régulièrement l'avion L'Office fédéral de l'aviation civile donne son autorisation finale Le constructeur surveille également le tout mais qui est quand même bien entouré" Un premier vol est prévu au printemps prochain Avec ses 260 chevaux et ses 2000 km d’autonomie devrait lui permettre de naviguer partout en Europe et même s'aventurer dans le reste du monde À ceux qui lui reprochent de contribuer à l'émission de CO2 avec ce projet le pilote rappelle qu'une étude menée par l'Office fédéral de l'environnement en 2013 indique que l'aviation légère n'émet que 0,07% de CO2 À noter encore que pour construire un avion amateur il faut compter entre 50'000 et 200'000 francs L'aventure de Yannick et Vasita Bovier est à suivre ici. est célébrée avec solennité à Savièse en Valais veut qu'à tour de rôle l'un de cinq villages de la commune organise cet événement annuel la prise des bannières et celle de l'esponton - une demi-pique militaire - marquent le début de la célébration avec la grand-messe et la procession pour point culminant de la journée Le Saint-Sacrement placé dans l'ostensoir est alors porté à travers les rues du village et la procession s'arrête à des reposoirs décorés de fleurs la Fête-Dieu n'en conserve pas moins une signification profondément religieuse La preuve en 1959 avec les images de l'émission Objectif 59 Ce document d'archives est malheureusement muet La procession de l'hostie sacrée dans les rues de la ville Un rituel très important pour la communauté catholique Partagez vos archives sur notrehistoire.ch et contribuez à illustrer l'histoire de la Suisse romande RecettePréparez un riz au lait délicieux à la cerisePartager la trentenaire déploie un talent manifeste en cuisine ses plats jouent avec les textures et les couleurs pour notre plus grand bonheur www.ptitemaison.ch Riz au lait à la cerise Margaux Chapuis Savièse la p'tite maison