«La probabilité qu’on ait une liquidation des actifs est très élevée.»
Lion Électrique sera très probablement liquidée à la suite du refus du gouvernement du Québec d’investir davantage de fonds publics dans l’entreprise
affirme le contrôleur désigné par le tribunal pour le constructeur de véhicules électriques
spécialiste en restructuration chez Deloitte
lors d’une audience devant la Cour supérieure
que l’aide gouvernementale aurait été une condition à toute vente de l’entreprise en difficulté
il est peu probable qu’un acheteur présente un plan de relance du constructeur de Saint-Jérôme
qui a demandé la protection de ses créanciers en décembre
«La probabilité qu’on ait une liquidation des actifs est très élevée»
Nadon a déclaré que l’annonce récente du gouvernement de ne plus injecter de fonds publics dans Lion Électrique avait été une «onde de choc» pour l’entreprise
Des reportages ont rapporté la semaine dernière qu’un groupe d’acheteurs cherchait à obtenir 24 millions $ de la province pour relancer le constructeur de véhicules électriques
Nadon a souligné que «rien n’indiquait» que les acheteurs seraient incapables d’obtenir ce financement avant la décision du gouvernement
À VOIR AUSSI | Malgré les files d’attente et le fiasco SAAQclic
la satisfaction de la clientèle est en hausse à la SAAQ
a annoncé mercredi soir sur les réseaux sociaux qu’il serait irresponsable d’offrir davantage de fonds publics à Lion
Elle a ensuite affirmé aux journalistes qu’elle se serait attendue à une plus grande implication du secteur privé
interrogé la semaine dernière au sujet de Lion Électrique
a évoqué le retour au pouvoir de Donald Trump
Il a suggéré que le Québec pourrait devoir assouplir ses objectifs d’électrification des transports
les États-Unis n’en faisant pas une priorité
Le Québec a déjà investi massivement dans Lion Électrique
Legault a indiqué que la province risquait de perdre environ 140 millions $ avec l’entreprise
Nadon a dit croire que le gouvernement a pris sa décision en raison de la «situation sociopolitique» avec les États-Unis
«limite l’expansion du plan d’affaires de Lion» et crée des «risques extrêmement importants» pour les perspectives de l’entreprise
Deloitte a commencé à contacter les liquidateurs et les encanteurs qui étaient auparavant intéressés par la vente des actifs de Lion Électrique
Ils ont été invités à soumettre des offres au cours de la fin de semaine
Nadon a dit espérer conclure une entente à présenter au tribunal lundi prochain
après l’annonce de la décision du gouvernement la semaine dernière
Il a précisé que l’entreprise était toujours en mesure de payer son personnel restant
mais qu’elle n’a pas pu payer le loyer de ses locaux au 1er mai
Lion Électrique fabriquait des autobus électriques d’écoliers et compte actuellement environ 1175 véhicules en circulation au Québec
l’entreprise a connu plusieurs vagues de licenciements l’an dernier et a cessé la production d’une usine en Illinois
avant de se placer sous la protection de ses créanciers en décembre
Un projet d’action collective intentée par les actionnaires de Lion Électrique contre les administrateurs et dirigeants de l’entreprise
qui allèguent qu’ils ont induit les investisseurs en erreur et ont présenté de manière inexacte la santé financière de l’entreprise
pourrait être entamé une fois l’entente finalisée
engagée et branchée sur les grands événements de chez nous
CIME est la référence pour l'actualité des Laurentides et l'Est Ontarien
Publié le 5 mai 2025 à 11:56 | Modifié le 5 mai 2025 à 11:56
Un foule de propriétaires et d'amateurs de voitures modifiées s'étaient donnés rendez-vous pour exhiber leurs bolides
La présence de quelques milliers de voitures a été signalée suscitant la curiosité des passants
Une vingtaine de policiers municipaux ont assuré la surveillance de l'événement
Aucun acte répréhensible n'a été noté.
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Les clients réclamaient la réapparition de cette institution du centre-ville de Toulouse
C’est le retour d’une institution du centre-ville de Toulouse
le Saint-Jérôme a été inauguré vendredi 10 janvier 2025
Un grand retour, après un peu plus d’un an de changement d’enseigne. Pendant un temps, l’établissement était devenu Chez Joseph
Mais les clients réclamaient le retour du Saint-Jérôme
Ils ont été écoutés : en ce début d’année
c’est donc une équipe entièrement renouvelée ou presque qui officie au Saint-Jérôme
la décoration a aussi été repensée pour mieux correspondre à l’esprit du Saint-Jérôme originel
On peut déjeuner ou dîner sur place
on propose le verre de vin à quatre euros pour accompagner un plat et un dessert et on offre le café
c’est tapas et viande à partager. »
« On propose aussi la chasse du moment
toutes les viandes sont d’origine française et servies avec une salade
« On a aussi mis en place un accord viande et vin
avec un tarif bouteille plus intéressant qu’à la carte »
Le Saint-Jérôme propose une belle carte de vins
avec des références de petits producteurs
On peut aussi déguster des bières
des cocktails (certains sans alcool) et des shots
dont une partie a été spécialement imaginée pour l’établissement
le Saint-Jérôme passe en mode Happy hour de 18 heures à 19h30
avec des tarifs sur les pintes de bière
Avec un bonus tous les lundis : pour chaque bouteille de vin achetée
une seconde offerte (et le même principe pour les pichets de bière)
La nouvelle équipe du Saint-Jérôme a aussi bien l’intention d’en faire un lieu festif et convivial
De nombreuses animations sont ainsi programmées : quiz
mais aussi présence d’un DJ les vendredis et samedis soirs
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L’église Saint-Jérôme de Marseille, située place Pélabon dans le 13e arrondissement, est la cible récurrente d’actes malveillants. Déjà victime récemment de dégradations sur sa balustrade, avec une partie des colonnes démolies il y a quelques jours, l’édifice religieux a cette fois subi une intrusion ce mercredi 20 novembre.
Un incident constaté par Martine Lillo, membre du conseil paroissial de Saint-Jérôme, qui a rapidement remarqué "le bâton de gauche dégondée".
Malgré cette effraction, aucun vol ni dégât à l’intérieur de l’église n’ont été signalés. Cependant, les habitants du quartier se disent tristes et en colère.
"Ça me fait très mal, parce que je suis née dans ce quartier. Mes enfants ont été baptisés, mes parents quand ils sont décédés, sont passés dans cette église", témoigne, attristée, Sophie, retraitée de 62 ans. Même réaction pour Hélène, 66 ans, présente elle aussi sur le parvis de l'église.
Désormais, les représentants du quartier demandent des mesures concrètes. Avec des fidèles du lieu, ils se sont réunis mercredi soir et réclament "davantage de moyens sur les caméras".
"Saint-Jérôme est doté de seulement deux caméras pour 10.000 habitants, ce qui est très peu", souligne Florian Grisy, président du Comité d'intérêt de quartier de Saint-Jérôme.
La municipalité est propriétaire de l’église et est responsable des travaux de rénovation. La ville est aussi chargée de déposer plainte afin de protéger son patrimoine religieux.
En attendant les résultats de l’enquête, la police municipale effectue des patrouilles régulières afin de surveiller les lieux et rassurer les riverains.
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La destination d’information de Radio-Canada
dossiers en profondeur et analyses."},{"@type":"NewsArticle","articleBody":"Il y a un an
l’homme de 66 ans choisissait l’aide médicale à mourir après avoir développé des plaies de lit à l’hôpital de Saint-Jérôme
Les audiences permettront à toute personne intéressée de s’exprimer concernant les circonstances de ce décès afin d’en analyser tous les facteurs contributifs
en vue d’émettre des recommandations pour prévenir des décès dans des circonstances similaires
Ce drame avait été mis en lumière par Radio-Canada à la suite d’une rencontre à son domicile
Normand Meunier était paralysé des bras et des jambes depuis 2022 à la suite d’une lésion de la moelle épinière
À la suite de ce séjour à l’hôpital
Meunier s’était aggravée au point où l’os et le muscle étaient exposés et visibles
Un trou béant de quelques centimètres de diamètre qui aurait pris plusieurs mois à cicatriser si toutes les conditions avaient été réunies
Le pronostic de son médecin était sombre
je ne serai pas un fardeau longtemps; comme disent les vieux
il vaut mieux donner un coup de pied sur la canisse
était reconnaissante des soins à domicile offerts quotidiennement depuis deux ans
mais dénonçait vivement ceux prodigués à l’hôpital qui n’auraient pas su prévenir la formation d’une plaie béante
Elle entend mener un combat pour améliorer les soins hospitaliers aux patients souffrant d’une lésion de la moelle épinière
Elle témoignera d'ailleurs lors des audiences publiques du coroner
Lorsqu’il s’est présenté à l’hôpital de Saint-Jérôme un jeudi du mois de janvier 2024
Normand Meunier ne s’attendait pas à se retrouver confiné sur une civière aux urgences pendant plusieurs jours
sans matelas adapté à son état
Un cas extrême qui met en lumière les souffrances vécues par des milliers de patients au Québec aux prises avec une plaie de lit
Selon les données du ministère de la Santé
plus de 3700 patients se retrouvent avec une plaie de pression chaque année dans les hôpitaux et les CHSLD du Québec
Selon les informations obtenues par Radio-Canada
la commissaire aux plaintes du CISSS des Laurentides est intervenue à nouveau ces derniers mois dans un autre dossier de plaie de pression à la suite de soins prodigués par le personnel infirmier de l'hôpital de Saint-Jérôme auprès de Nicole Mongeon
une personne âgée en perte d’autonomie
constate notamment que l’évaluation des risques réalisée à trois reprises (les 8 et 21 octobre
indiquait un risque élevé de développer des plaies de pression
NDLR) n’a pas été ajusté en conséquence
et aucune mesure préventive additionnelle n’a été documentée
Dans son rapport signé en janvier 2025
la commissaire indique par ailleurs qu'aucun formulaire de déclaration d’incident ou d’accident n’a été complété après la découverte de la plaie
L’analyse de votre signalement met en lumière des écarts par rapport aux pratiques attendues en prévention et en gestion des plaies de pression
qui a formulé une série de recommandations à la Direction des soins infirmiers du CISSS des Laurentides pour l’hôpital de Saint-Jérôme
Un suivi détaillé a été remis à la famille en mars dernier
les douleurs vécues par sa mère en raison de la plaie de lit étaient insoutenables
puis elle nous a demandé de faire quelque chose pour abréger ses souffrances
Il a fallu aller vers les soins palliatifs
C'était vraiment pas le fun en tant que famille qui a pris soin de ma grand-mère pendant approximativement quatre
c'est la base d'avoir les qualifications et la formation nécessaires
On ne parle pas d'un hôpital avec peu de services
on parle d'un hôpital à envergure régionale qui est celui de Saint-Jérôme
Pour le gériatre et professeur titulaire retraité de la Faculté de médecine de l’Université Laval
compte tenu de l'armada thérapeutique dont on dispose pour soulager les gens
il n'y a pas de raison en 2025 que les gens soient souffrants
La présence d’un autre cas documenté dans le même hôpital où feu M. Meunier a été hospitalisé indique l’ampleur du défi pour les soignants
Ça vous dit à quel point il y a plusieurs chats à fouetter dans le dossier de la prise en charge de patients hospitalisés
sachant ce qui est arrivé à monsieur Meunier
Comment ça se fait qu'un an plus tard
On a un peu l'impression d'avoir fait du surplace
Un constat d'inaction auquel en arrive aussi le porte-parole de Québec solidaire en matière de santé
on n’a pas tiré les leçons d’un cas qui a été très médiatisé
pour lequel le ministre [Christian Dubé] s’est excusé
pour lequel il a demandé une enquête
les plaies de pression sont de très bons marqueurs sur la lourdeur de la clientèle dans les hôpitaux
c'est une des problématiques qui nous démontrent à quel point la prise en charge est déficitaire chez ces patients-là
Le décès de la mère de Mme Thomas n’a fait l’objet d’aucun rapport de coroner
que d’autres cas de plaie de lit surviennent est à la fois tragique et peu surprenant
mais que cela se passe dans le même hôpital de Saint-Jérôme est alarmant
Si personne n’a retenu de leçon du drame pourtant très médiatisé de Normand Meunier
cela démontre l’ampleur de la tâche pour le réseau de la Santé
mais également l’urgence d’agir
déclare le député péquiste et porte-parole en matière de santé
De nombreux rapports de coroner consultés par Radio-Canada font état de recommandations afin d’améliorer la prise en charge de plaies de pression
que ce soit par les équipes de soins à domicile
les résidences privées pour aînés (RPA) et les CHSLD ou par les hôpitaux
la coroner Me Francine Danais est intervenue à au moins quatre reprises depuis un an et demi à la suite de décès faisant état de plaie surinfectée
La coroner recommandait notamment au CISSS de l’Outaouais une prise en charge plus rapide par le CLSC (...) au niveau des soins de plaies de pression et au niveau psychosocial ainsi que pour assurer la pérennité du Plan d’amélioration de la qualité des soins infirmiers en soutien à domicile (SAD)
L’Ordre des infirmiers et infirmières du Québec (OIIQ) et l’Ordre des infirmières et infirmiers auxiliaires du Québec (OIAQ) étaient également invités à revoir des dossiers et à prendre toutes les mesures jugées nécessaires et pertinentes en vue d’une meilleure protection de la vie humaine
le Protecteur du citoyen a publié ces derniers mois deux rapports d’enquête faisant état de lacunes dans le traitement des plaies de pression auprès de personnes souffrant d’une blessure de la moelle épinière
Une série de recommandations ont été formulées auprès du CIUSSS de la Capitale-Nationale et du CHU de Québec-Université Laval
l’organisme Moelle épinière et motricité Québec partage régulièrement des témoignages de ses membres aux prises avec des plaies en raison d’une prise en charge insuffisante
L’organisme entend témoigner lors des audiences du coroner au mois de mai
Daniel Boily travaille au service de l'information de Radio-Canada depuis les années 90
il se spécialise dans la préparation de reportages d'impact
Tour à tour journaliste à la recherche
ses contributions se retrouvent tant à la télévision qu'à la radio et sur le web
Il a participé à la mise à jour des Normes et pratiques journalistiques (NPJ) et anime régulièrement des ateliers de formation en journalisme
Davide Gentile est journaliste à Radio-Canada depuis 1997
Il a d'abord œuvré à la radio avant de faire le saut à la télévision
Il a été reporter aux affaires municipales à Montréal de 2005 à 2012
puis correspondant à l'Assemblée nationale de 2012 à 2016
Il s'intéresse aux enjeux liés au secteur de la santé au Québec et se retrouve ainsi en première ligne depuis que la pandémie de COVID-19 a éclaté
il contribue régulièrement à la radio et au web
À la veille d’audiences publiques du coroner dans la foulée du décès de Normand Meunier
Radio-Canada a découvert un autre cas de plaie de lit survenu à l’hôpital de Saint-Jérôme
Ouvrir en mode plein écranAnnie Thomas et ses fils Christophe et Marc-Olivier espèrent que le décès de leur proche Nicole Mongeon va servir à améliorer le traitement des plaies de lit dans les hôpitaux
le bureau du coroner du Québec tiendra des audiences publiques durant trois semaines pour faire la lumière sur le décès de Normand Meunier
l’homme de 66 ans choisissait l’aide médicale à mourir après avoir développé des plaies de lit à l’hôpital de Saint-Jérôme
Les audiences permettront à toute personne intéressée de s’exprimer concernant les circonstances de ce décès afin d’en analyser tous les facteurs contributifs
en vue d’émettre des recommandations pour prévenir des décès dans des circonstances similaires
Ce drame avait été mis en lumière par Radio-Canada à la suite d’une rencontre à son domicile
Ouvrir en mode plein écranSylvie Brosseau entend mener «un combat» pour améliorer les soins hospitaliers aux patients qui souffrent d’une lésion de la moelle épinière comme feu son conjoint
Normand Meunier était paralysé des bras et des jambes depuis 2022 à la suite d’une lésion de la moelle épinière
Meunier s’était aggravée au point où l’os et le muscle étaient exposés et visibles
Un trou béant de quelques centimètres de diamètre qui aurait pris plusieurs mois à cicatriser si toutes les conditions avaient été réunies
était reconnaissante des soins à domicile offerts quotidiennement depuis deux ans
mais dénonçait vivement ceux prodigués à l’hôpital qui n’auraient pas su prévenir la formation d’une plaie béante
Elle entend mener un combat pour améliorer les soins hospitaliers aux patients souffrant d’une lésion de la moelle épinière
Elle témoignera d'ailleurs lors des audiences publiques du coroner
Lorsqu’il s’est présenté à l’hôpital de Saint-Jérôme un jeudi du mois de janvier 2024
Normand Meunier ne s’attendait pas à se retrouver confiné sur une civière aux urgences pendant plusieurs jours
Un cas extrême qui met en lumière les souffrances vécues par des milliers de patients au Québec aux prises avec une plaie de lit
Selon les données du ministère de la Santé
plus de 3700 patients se retrouvent avec une plaie de pression chaque année dans les hôpitaux et les CHSLD du Québec
Ouvrir en mode plein écranSelon les données du ministère de la Santé
plus de 3700 patients se retrouvent avec une plaie de pression chaque année dans les hôpitaux et les CHSLD du Québec
la commissaire aux plaintes du CISSS des Laurentides est intervenue à nouveau ces derniers mois dans un autre dossier de plaie de pression à la suite de soins prodigués par le personnel infirmier de l'hôpital de Saint-Jérôme auprès de Nicole Mongeon
constate notamment que l’évaluation des risques réalisée à trois reprises (les 8 et 21 octobre
indiquait un risque élevé de développer des plaies de pression
et aucune mesure préventive additionnelle n’a été documentée
la commissaire indique par ailleurs qu'aucun formulaire de déclaration d’incident ou d’accident n’a été complété après la découverte de la plaie
L’analyse de votre signalement met en lumière des écarts par rapport aux pratiques attendues en prévention et en gestion des plaies de pression
qui a formulé une série de recommandations à la Direction des soins infirmiers du CISSS des Laurentides pour l’hôpital de Saint-Jérôme
Un suivi détaillé a été remis à la famille en mars dernier
Ouvrir en mode plein écranLa famille de Mme Thomas traverse une période de deuil à la suite du décès de Nicole Mongeon
les douleurs vécues par sa mère en raison de la plaie de lit étaient insoutenables
puis elle nous a demandé de faire quelque chose pour abréger ses souffrances
C'était vraiment pas le fun en tant que famille qui a pris soin de ma grand-mère pendant approximativement quatre
c'est la base d'avoir les qualifications et la formation nécessaires
On ne parle pas d'un hôpital avec peu de services
on parle d'un hôpital à envergure régionale qui est celui de Saint-Jérôme
Pour le gériatre et professeur titulaire retraité de la Faculté de médecine de l’Université Laval
compte tenu de l'armada thérapeutique dont on dispose pour soulager les gens
La présence d’un autre cas documenté dans le même hôpital où feu M
Meunier a été hospitalisé indique l’ampleur du défi pour les soignants
Ouvrir en mode plein écranJean-Pierre Beauchemin
gériatre retraité et professeur titulaire retraité de la Faculté de médecine de l’Université Laval
Ça vous dit à quel point il y a plusieurs chats à fouetter dans le dossier de la prise en charge de patients hospitalisés
sachant ce qui est arrivé à monsieur Meunier
Un constat d'inaction auquel en arrive aussi le porte-parole de Québec solidaire en matière de santé
on n’a pas tiré les leçons d’un cas qui a été très médiatisé
pour lequel le ministre [Christian Dubé] s’est excusé
les plaies de pression sont de très bons marqueurs sur la lourdeur de la clientèle dans les hôpitaux
c'est une des problématiques qui nous démontrent à quel point la prise en charge est déficitaire chez ces patients-là
Le décès de la mère de Mme Thomas n’a fait l’objet d’aucun rapport de coroner
que d’autres cas de plaie de lit surviennent est à la fois tragique et peu surprenant
mais que cela se passe dans le même hôpital de Saint-Jérôme est alarmant
Si personne n’a retenu de leçon du drame pourtant très médiatisé de Normand Meunier
cela démontre l’ampleur de la tâche pour le réseau de la Santé
déclare le député péquiste et porte-parole en matière de santé
De nombreux rapports de coroner consultés par Radio-Canada font état de recommandations afin d’améliorer la prise en charge de plaies de pression
que ce soit par les équipes de soins à domicile
les résidences privées pour aînés (RPA) et les CHSLD ou par les hôpitaux
la coroner Me Francine Danais est intervenue à au moins quatre reprises depuis un an et demi à la suite de décès faisant état de plaie surinfectée
La coroner recommandait notamment au CISSS de l’Outaouais une prise en charge plus rapide par le CLSC (...) au niveau des soins de plaies de pression et au niveau psychosocial ainsi que pour assurer la pérennité du Plan d’amélioration de la qualité des soins infirmiers en soutien à domicile (SAD)
L’Ordre des infirmiers et infirmières du Québec (OIIQ) et l’Ordre des infirmières et infirmiers auxiliaires du Québec (OIAQ) étaient également invités à revoir des dossiers et à prendre toutes les mesures jugées nécessaires et pertinentes en vue d’une meilleure protection de la vie humaine
directeur général de Moelle épinière et motricité Québec
le Protecteur du citoyen a publié ces derniers mois deux rapports d’enquête faisant état de lacunes dans le traitement des plaies de pression auprès de personnes souffrant d’une blessure de la moelle épinière
Une série de recommandations ont été formulées auprès du CIUSSS de la Capitale-Nationale et du CHU de Québec-Université Laval
l’organisme Moelle épinière et motricité Québec partage régulièrement des témoignages de ses membres aux prises avec des plaies en raison d’une prise en charge insuffisante
L’organisme entend témoigner lors des audiences du coroner au mois de mai
Politique provinciale. Danielle Smith promet un référendum en 2026. Publié hier à 21 h 33 HAE Danielle Smith promet un référendum en 2026La question du séparatisme pourrait y figurer
Crimes et délits. Une étudiante portée disparue retrouvée morte à Ottawa. Publié hier à 17 h 36 HAE Une étudiante portée disparue retrouvée morte à OttawaLe Haut-Commissariat de l'Inde à Ottawa a identifié Vanshika Saini comme une étudiante indienne
Élections fédérales Canada 2025. Le candidat libéral de Windsor demande un recomptage judiciaire. Publié hier à 19 h 41 HAE Le candidat libéral de Windsor demande un recomptage judiciaireÉlections Canada a trouvé des erreurs dans les rapports des bureaux de vote locaux
Politique fédérale. Don Davies choisi comme chef intérimaire du NPD. Publié à 0 h 50 HAE Don Davies choisi comme chef intérimaire du NPDLe parti de gauche a été réduit à seulement sept sièges lors des élections fédérales du 28 avril
Donald Trump, président des États-Unis. Donald Trump dit qu’il est improbable que les É.-U. annexent le Canada. Publié hier à 15 h 12 HAE Donald Trump dit qu’il est improbable que les É.-U. annexent le CanadaLe président américain a affirmé qu'il continuera à faire pression pour que le Canada devienne le 51e État.
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Il y a un an, l’homme de 66 ans choisissait l’aide médicale à mourir après avoir développé des plaies de lit à l’hôpital de Saint-Jérôme.
Les audiences permettront à toute personne intéressée de s’exprimer concernant les circonstances de ce décès afin d’en analyser tous les facteurs contributifs, et ce, en vue d’émettre des recommandations pour prévenir des décès dans des circonstances similaires.
Ce drame avait été mis en lumière par Radio-Canada à la suite d’une rencontre à son domicile, quelques jours avant ses adieux.
Camionneur de métier, Normand Meunier était paralysé des bras et des jambes depuis 2022 à la suite d’une lésion de la moelle épinière.
À la suite de ce séjour à l’hôpital, la plaie au fessier de M. Meunier s’était aggravée au point où l’os et le muscle étaient exposés et visibles. Un trou béant de quelques centimètres de diamètre qui aurait pris plusieurs mois à cicatriser si toutes les conditions avaient été réunies, selon les experts consultés. Le pronostic de son médecin était sombre.
Je ne veux pas être un fardeau. Puis d'une manière ou d'une autre, avec les avis médicaux, je ne serai pas un fardeau longtemps; comme disent les vieux, il vaut mieux donner un coup de pied sur la canisse!
Lorsqu’il s’est présenté à l’hôpital de Saint-Jérôme un jeudi du mois de janvier 2024, Normand Meunier ne s’attendait pas à se retrouver confiné sur une civière aux urgences pendant plusieurs jours, sans matelas adapté à son état.
Un cas extrême qui met en lumière les souffrances vécues par des milliers de patients au Québec aux prises avec une plaie de lit.
Selon les données du ministère de la Santé, plus de 3700 patients se retrouvent avec une plaie de pression chaque année dans les hôpitaux et les CHSLD du Québec.
Selon les informations obtenues par Radio-Canada, la commissaire aux plaintes du CISSS des Laurentides est intervenue à nouveau ces derniers mois dans un autre dossier de plaie de pression à la suite de soins prodigués par le personnel infirmier de l'hôpital de Saint-Jérôme auprès de Nicole Mongeon, une personne âgée en perte d’autonomie.
Dans son analyse, la commissaire adjointe, Geneviève Côté, constate notamment que l’évaluation des risques réalisée à trois reprises (les 8 et 21 octobre, puis le 4 novembre 2024), indiquait un risque élevé de développer des plaies de pression.
Le PTI (plan thérapeutique infirmier, NDLR) n’a pas été ajusté en conséquence, et aucune mesure préventive additionnelle n’a été documentée, écrit-on.
Dans son rapport signé en janvier 2025, la commissaire indique par ailleurs qu'aucun formulaire de déclaration d’incident ou d’accident n’a été complété après la découverte de la plaie.
L’analyse de votre signalement met en lumière des écarts par rapport aux pratiques attendues en prévention et en gestion des plaies de pression, conclut Mme Côté, qui a formulé une série de recommandations à la Direction des soins infirmiers du CISSS des Laurentides pour l’hôpital de Saint-Jérôme.
Un suivi détaillé a été remis à la famille en mars dernier.
Pour Annie Thomas, les douleurs vécues par sa mère en raison de la plaie de lit étaient insoutenables. À un moment donné, elle s'est mise à hurler, puis elle nous a demandé de faire quelque chose pour abréger ses souffrances, qu’elle n’en pouvait plus. Il a fallu aller vers les soins palliatifs.
C'était vraiment pas le fun en tant que famille qui a pris soin de ma grand-mère pendant approximativement quatre, cinq ans, partage le petit-fils Christophe Neveu.
Pour l’aîné Marc-Olivier, c'est la base d'avoir les qualifications et la formation nécessaires, surtout dans des contextes comme ça. On ne parle pas d'un hôpital avec peu de services, on parle d'un hôpital à envergure régionale qui est celui de Saint-Jérôme.
Pour le gériatre et professeur titulaire retraité de la Faculté de médecine de l’Université Laval, Jean-Pierre Beauchemin, compte tenu de l'armada thérapeutique dont on dispose pour soulager les gens, il n'y a pas de raison en 2025 que les gens soient souffrants.
La présence d’un autre cas documenté dans le même hôpital où feu M. Meunier a été hospitalisé indique l’ampleur du défi pour les soignants.
Ça vous dit à quel point il y a plusieurs chats à fouetter dans le dossier de la prise en charge de patients hospitalisés, sachant ce qui est arrivé à monsieur Meunier, dit le gériatre retraité.
Comment ça se fait qu'un an plus tard, on a encore un peu, entre guillemets, les mêmes carences? On a un peu l'impression d'avoir fait du surplace.
Un constat d'inaction auquel en arrive aussi le porte-parole de Québec solidaire en matière de santé, Vincent Marissal. Ça m’indique que, malheureusement, on n’a pas tiré les leçons d’un cas qui a été très médiatisé, pour lequel le ministre [Christian Dubé] s’est excusé, pour lequel il a demandé une enquête, se désole le député.
De l’avis de Jean-Pierre Beauchemin, les plaies de pression sont de très bons marqueurs sur la lourdeur de la clientèle dans les hôpitaux. C'est comme le canari dans la mine, c'est une des problématiques qui nous démontrent à quel point la prise en charge est déficitaire chez ces patients-là.
Le décès de la mère de Mme Thomas n’a fait l’objet d’aucun rapport de coroner.
De nombreux rapports de coroner consultés par Radio-Canada font état de recommandations afin d’améliorer la prise en charge de plaies de pression, que ce soit par les équipes de soins à domicile, les résidences privées pour aînés (RPA) et les CHSLD ou par les hôpitaux.
En Outaouais, par exemple, la coroner Me Francine Danais est intervenue à au moins quatre reprises depuis un an et demi à la suite de décès faisant état de plaie surinfectée.
La coroner recommandait notamment au CISSS de l’Outaouais une prise en charge plus rapide par le CLSC (...) au niveau des soins de plaies de pression et au niveau psychosocial ainsi que pour assurer la pérennité du Plan d’amélioration de la qualité des soins infirmiers en soutien à domicile (SAD).
L’Ordre des infirmiers et infirmières du Québec (OIIQ) et l’Ordre des infirmières et infirmiers auxiliaires du Québec (OIAQ) étaient également invités à revoir des dossiers et à prendre toutes les mesures jugées nécessaires et pertinentes en vue d’une meilleure protection de la vie humaine.
De son côté, le Protecteur du citoyen a publié ces derniers mois deux rapports d’enquête faisant état de lacunes dans le traitement des plaies de pression auprès de personnes souffrant d’une blessure de la moelle épinière.
Une série de recommandations ont été formulées auprès du CIUSSS de la Capitale-Nationale et du CHU de Québec-Université Laval.
Pour sa part, l’organisme Moelle épinière et motricité Québec partage régulièrement des témoignages de ses membres aux prises avec des plaies en raison d’une prise en charge insuffisante. L’organisme entend témoigner lors des audiences du coroner au mois de mai.
La question du séparatisme pourrait y figurer.
Le Haut-Commissariat de l'Inde à Ottawa a identifié Vanshika Saini comme une étudiante indienne.
Élections Canada a trouvé des erreurs dans les rapports des bureaux de vote locaux, selon Irek Kusmierczyk.
Le parti de gauche a été réduit à seulement sept sièges lors des élections fédérales du 28 avril.
Le président américain a affirmé qu'il continuera à faire pression pour que le Canada devienne le 51e État.
Au début du mois de mai, le bureau du coroner du Québec tiendra des audiences publiques durant trois semaines pour faire la lumière sur le décès de Normand Meunier, survenu le 29 mars 2024.
À la veille d’audiences publiques du coroner dans la foulée du décès de Normand Meunier, Radio-Canada a découvert un autre cas de plaie de lit survenu à l’hôpital de Saint-Jérôme.
Une intrigue trop improbable pour ne pas éveiller ma curiosité.
Après quelques échanges avec le vendeur, me voilà devant sa porte. Matthieu, d’abord méfiant, demande à voir ma carte de presse. Prudence oblige. Son condo, encore marqué par les traces récentes d’un déménagement, dégage une sobriété qui évoque moins le minimalisme que l’installation en cours. Et là, contre un mur immaculé, trône l’objet de ma visite : un pochoir à la bombe sur un morceau de carton brun, méticuleusement encadré.
Banksy, figure mystérieuse et insaisissable de la scène artistique contemporaine, s’est fait connaître au tournant du millénaire pour ses critiques cinglantes du capitalisme, de la guerre et des inégalités. Certaines de ses œuvres, empreintes d’une satire mordante envers l’absurdité du marché de l’art, ont paradoxalement été intégrées à ce même marché qu’il dénonce, plusieurs atteignant des sommes exorbitantes lors de ventes aux enchères.
Ses pochoirs, souvent réalisés dans des lieux à forte charge symbolique, comme le mur de Cisjordanie ou les zones de guerre en Ukraine, sont devenus des objets de convoitise, parfois volés en pleine nuit, emportant avec eux des pans entiers de murs découpés. Autour de lui s’est développée une véritable économie, où se côtoient œuvres authentiques, contrefaçons et imitations.
La mi-trentaine, les bras musclés et tatoués, un t-shirt des forces américaines et un dog tag autour du cou, Matthieu tranche avec l’image du marchand d’art à foulard de soie que l’on s’attend à rencontrer.
Mais le jeune collectionneur maîtrise son sujet et ses yeux s’illuminent à l’idée de partager l’histoire de sa pièce. Le pochoir en question, Happy Chopper, fait partie de la série Wrong War, conçue à Londres par Banksy le 15 février 2003 dans le cadre d’une manifestation contre l’invasion de l’Irak. « Banksy a produit 200 exemplaires de chaque œuvre : Happy Chopper, Grim Reaper, et Bomb Hugger, tous distribués à la sortie des métros par ses acolytes. À l’époque, ça ne valait presque rien. »
Aujourd’hui, ces œuvres sont devenues rares. Peu ont survécu au rassemblement, soit jetées dans la rue ou confisquées par la police. Ces dernières années, certaines pièces ont toutefois refait surface dans des ventes aux enchères à Florence et à Paris. Récemment, une maison britannique a adjugé un exemplaire de Happy Chopper pour 9 200 livres sterling, soit environ 16 500 dollars canadiens.
Celui de Matthieu, qu’il détient depuis 2021, provient d’un collectionneur et joaillier réputé du sud-ouest de la France. D’un geste délicat, il déplie les documents qui certifient l’authenticité de l’œuvre, insistant sur l’importance cruciale d’une provenance irréprochable dans un marché saturé de contrefaçons. La première vente de cette pièce, en 2004, ne s’élevait qu’à 150 livres. Depuis, sa valeur n’a cessé d’augmenter. Il est le cinquième propriétaire.
Tandis que nous scrutons l’œuvre sous verre, Matthieu attire mon attention sur les petites imperfections, ces détails qui témoignent de l’authenticité d’un Banksy.
Matthieu en sait quelque chose, lui-même ayant été victime d’une contrefaçon lors de l’achat d’un autre Banksy à un galeriste véreux. Il se rappelle avec amertume le jour où Pest Control, l’organisme officiel d’authentification de l’artiste, lui a confirmé la fraude : « Un an et demi de procédures légales et plus de 10 000 euros partis en fumée. » Depuis, il ne traite qu’avec des experts reconnus, veillant scrupuleusement à obtenir des certificats d’authenticité.
Arrivé à Saint-Jérôme en provenance de France il y a quelques mois à peine, Matthieu a dû se séparer de deux autres œuvres de Banksy issues de la même série pour financer son déménagement. Le transport de Happy Chopper s’est avéré être une opération délicate, exigeant des autorisations officielles, un caisson hermétique et des assurances à coût prohibitif, sans oublier des délais interminables qui ont mis sa patience à rude épreuve.
Sur Marketplace, bien loin des salles d’enchères prestigieuses, Matthieu a simplement voulu tester l’intérêt du marché québécois. Mais il a vite essuyé critiques et scepticisme : « Beaucoup de haters : “Ton œuvre, c’est une fausse”, “Dégage ça d’ici!”, “Tu n’as pas de documentation” ». Malgré quelques offres sérieuses, aucune transaction n’a abouti. Finalement, une maison de vente aux enchères montréalaise l’a contacté, et son œuvre sera mise en vente en décembre. À qui la chance?
« Je ne cherche pas vraiment à faire de l’argent. J’adorerais qu’elle reste ici », admet-il avec un sourire qui trahit son attachement à l’œuvre. Pourtant, cela fait partie de son modus operandi : Matthieu n’acquiert que des œuvres qui lui tiennent à cœur, mais n’hésite pas à les revendre si une offre alléchante se présente. Pour lui, l’art est un jeu subtil entre passion et opportunités financières.
« L’art devrait être accessible à tous, mais nous vivons dans un monde où je dois également subvenir aux besoins de ma famille. Je suis bien conscient du marché tirant les ficelles de la spéculation. »
Né d’un père boxeur professionnel, étudiant peu motivé, mais sportif aguerri, Matthieu confie ne pas avoir baigné dès son plus jeune âge dans l’univers de l’art. Ce n’est qu’au début de son service militaire qu’il découvre le film sur Jean-Michel Basquiat réalisé par Julian Schnabel, une rencontre qui éveillera en lui un véritable intérêt.
« J’ai deux facettes qui s’opposent. Dans l’armée, on se positionne souvent à droite, avec un fort sentiment patriotique. Mais à travers l’art, je m’identifie davantage à gauche, attiré par des artistes engagés qui s’expriment au nom du peuple, comme Andy Warhol ou Keith Haring », révèle-t-il avec conviction.
Ancien membre des forces spéciales françaises, il a été déployé en Afghanistan, au Mali et au Niger, plongé au cœur des récents conflits dans lesquels la France était impliquée.
L’art a joué un rôle salvateur dans la vie de Matthieu, particulièrement après avoir été grièvement blessé et perdu plusieurs frères d’armes. Accablé par l’enchaînement des missions en zone de combat, il a dû faire face à la dépression et au stress post-traumatique, trouvant dans l’art une échappatoire.
« On peut dire que l’art m’a sauvé la vie », admet-il avec aplomb.
Ainsi, l’énigme du Banksy à Saint-Jérôme trouve son explication. Dans le salon de cet ancien soldat, cette œuvre farouchement antiguerre résonne avec une gravité inattendue et étrangement cohérente.
À compter de la prochaine rentrée scolaire (2025-2026)
de nouveaux programmes pédagogiques particuliers seront mis en place en première secondaire à la Polyvalente Saint-Jérôme
On connaît actuellement le programme international qui existe depuis longtemps et le sport études qui visent des élèves en particulier
le Centre de services scolaire de Rivière-du-Nord (CSSRDN) avait mis fin aux programmes régionaux dans le but de développer des programmes pour ses élèves et non uniquement pour l’élite
C’est à la suite d’un sondage qui a mené au constat que l’offre de programmes ne répondait pas aux futurs élèves
« Lorsque des jeunes ne faisaient pas partie du programme international ou du sport études
C’est pour cette raison qu’on voulait développer des programmes motivants pour tous les élèves
Qu’ils aient une motivation de venir à l’école et que ce soit plus agréable pour tous »
il ajoute que dans la majorité des écoles secondaires du CSSRDN
Les programmes pédagogiques particuliers qui seront gratuits et accessibles à tous sont: Volleyball
Les enseignants et enseignantes de première secondaire se sont inspirés de ce qui se faisait ailleurs pour proposer les programmes exploratoires
l’équipe souhaitait que tous les élèves aient accès à un programme pédagogique particulier
Le but est de rendre l’école plus équitable
On ne voulait plus que les élèves soient déçus et qu’ils puissent participer à un programme selon ses goûts et ses intérêts sans discrimination »
Il y a eu une portes ouvertes pour les futurs élèves et leurs parents et la présentation des programmes pédagogiques particuliers a été accueillie favorablement
tant par les futurs élèves que les parents
Égalité des chances: Tous les élèves de première secondaire sont acceptés et peuvent choisir leur spécialité en fonction de leurs intérêts peu importe leurs résultats scolaires et leur situation socio-économique
Ouverture à la différence et mixité sociale: Les élèves sont regroupés selon leur spécialité
mais ils sont mélangés dans les autres matières avec des élèves de s autres catégories de spécialités afin de les exposer à des personnes aux intérêts différents et de bâtir des liens au sein de la communauté
Respect du rythme de chacun:Les élèves qui vivent des difficultés en français ou mathématiques
reçoivent du soutien en sous-groupes lors de périodes ciblées alors que les élèves en douance qui font preuve d’autonomie et d’engagement pourront avoir un horaire à la carte et participer à deux spécialités et apprendre les autres matières à un rythme accéléré
Liberté d’explorer et avoir un parcours orientant : Les élèves expérimentent d’autres spécialités et sont libres de changer leur choix à chaque année scolaire
ce qui leur permettra d’apprendre à se connaître et découvrir ses intérêts
Merci pour cette belle visibilité de notre école dans votre journal
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Le CIQ Cuques Saint Jerome organise un vide-greniers le dimanche 29 septembre 2024
Retrouvez environ une cinquantaine d’exposants
sur la plateforme multisport de l’école élémentaire de Cuques
Les stands du vide-greniers sont prioritairement ouverts aux résidents du quartier puis à tous les Aixois (après finalisation des premières inscriptions
environ un mois avant la clôture des réservations)
dans sa volonté de faire revenir la nature en ville
a porté la réalisation d’un jardin partagé intégré au sentier biodiversité et bien-être du campus de Saint-Jérôme (13e)
une dynamique universitaire et étudiante autour du bien-être et de la santé est en fort développement sur le campus de St Jérôme
La réalisation d’un sentier de découverte de la nature est l’une des concrétisations les plus significatives
ce jardin partagé viendra compléter un projet qui comprend déjà deux kilomètres de sentier de découverte de la nature
d’une butte écologique à l’état naturel et d’observatoires de la biodiversité
Ce jardin partagé permettra de fournir des aliments locaux gratuitement aux étudiantes et étudiants dans le respect d’une approche écologique de la culture saisonnière des fruits et des légumes
L’Association Naturaliste Universitaire de Marseille composée d'étudiantes
d’étudiants et d’enseignants-chercheurs de l’Institut Méditéranéen de Biodiversité et d'Écologie
ainsi que des personnels d’Aix-Marseille Université
assurera la mise en œuvre et l’animation autour de la biodiversité de ce projet
Avec la mise en œuvre de son plan de développement d'une agriculture urbaine raisonnable et de proximité
la Ville de Marseille renouvelle son engagement pour les porteurs de projets qui s’inscrivent dans ce cadre en mettant à leur disposition des terrains
en proposant un accompagnement méthodologique et une aide technique
66 jardins partagés et 14 jardins familiaux
la Ville de Marseille poursuit ses engagements pour offrir à toutes les Marseillaises et tous les Marseillais un cadre de vie apaisé et des espaces végétalisés
a inauguré l’Année Jubilaire 2025 à la cathédrale de Saint-Jérôme
Choisie comme l’un des deux lieux dispensateurs de l’indulgence plénière dans le diocèse
la cathédrale invite les fidèles à vivre un chemin de grâce à travers la réconciliation et le renouveau spirituel tout au long de cette année jubilaire
La diversité de l’engagement des chrétiens se révèle à travers de grands évènements ou des projets locaux
au service du Bien commun ou par l’évangélisation
MONTRÉAL — Le dossier des agressions sexuelles commises sur des enfants par des prêtres et employés du diocèse fusionné Saint-Jérôme – Mont-Laurier ne cesse de prendre de l’ampleur
la demande d’action collective avait été déposée en novembre 2023 au nom de Paul Dancause et ses deux frères contre le prêtre Maurice Valois et d’une deuxième victime
un homme identifié sous les initiales M.D
agressé de l’âge de 12 à 14 ans par le prêtre Gérard Lambert
La demande d’action collective a été accueillie en septembre 2024
Le document de la procédure déposé plus tôt cette semaine fait maintenant état de 24 victimes
exposent en détails bouleversants les méfaits qu’ils ont subis alors qu’ils étaient pré-adolescents et adolescents
L’action collective vise en tout sept religieux et deux employés laïcs
l’abbé Clarence Léveillé
le prêtre Édouard Léonard
et les employés «Monsieur Dalpé» – dont la victime ne connaissait pas le prénom – et Roger Lapierre
Tous ces suspects sauf un sont aujourd’hui décédés
dans les paroisses Sainte-Marguerite et Notre-Dame-de-la-Garde
selon ce que l’on peut lire sur le site web du diocèse
Ce sont toutefois les instances – aussi ciblées par la demande d’action collective – qui devront répondre de ces actes
en l’occurrence les deux diocèses de Saint-Jérôme et de Mont-Laurier
et l’Évêque de ce nouveau diocèse non pas en tant qu’individu
le terme employé pour désigner l’entité juridique que représente l’évêché
Les deux premiers prêtres qui avaient originalement été visés ont tous deux été traduits en justice
Maurice Valois avait plaidé coupable en 1991 à des accusations d’attentat à la pudeur et de grossière indécence
tel que le formulait à l’époque le Code criminel
avait plaidé coupable en 1994 à de multiples accusations d’agression sexuelle
d’attentat à la pudeur et de grossière indécence
mais était décédé avant de connaître sa sentence
les évêques impliqués à l’époque avaient cherché à étouffer ces affaires lorsqu’elles étaient portées à leur attention et
s’étaient contentés d’assigner les religieux concernés dans une autre paroisse
Les autorités ecclésiastiques savaient
Le cas de Paul Dancause et de ses deux frères
aussi agressés par Maurice Valois dans les années 1960
ne laisse aucun doute sur la connaissance des faits par les autorités ecclésiastiques
Une lettre rédigée par un travailleur social qui avait reçu le témoignage des trois frères alors qu’ils étaient en foyer d’accueil
avait été remise à l’évêque de l’époque
Émilien Frenette (décédé en 1983)
qui avait étouffé l’affaire et déplacé le prêtre dans une autre région
Cette lettre du travailleur social avait été saisie par les policiers dans le cadre de l’enquête qui avait mené aux accusations portées contre le prêtre Valois
avait écrit un livre intitulé «Les voleurs d’enfance» à l’issue du procès
Affaire étouffée par l’évêque
Au moment du dépôt de la demande
Paul Dancause avait témoigné par voie de communiqué à l’effet que ses trois enfants et son épouse avaient souffert de ses comportements et que le troisième membre de la fratrie s’était enlevé la vie
nous n’étions que des enfants
mais nous avons réussi à dénoncer les agressions
aucune suite n’a été donnée à notre dénonciation
J’en ai parlé avec l’évêque de Saint-Jérôme qui m’a alors demandé de garder le silence
Il m’a même blâmé pour les gestes d’agressions sexuelles que j’avais subis par un membre de son diocèse»
Bien que la demande comporte maintenant 24 noms
les avocats s’attendent à ce que d’autres victimes ayant été agressées entre 1940 et 2022 se manifestent
La demande introductive d’instance vise des dommages et intérêts pécuniaires et punitifs atteignant 600 000 $ pour chacune des victimes éventuelles
Blâme sévère envers l’Église
Elle est sans complaisance envers les autorités cléricales: «Bien que les Défendeurs savaient que des agressions sexuelles avaient été commises sur le territoire du Diocèse de SJML (NDLR: Saint-Jérôme – Mont-Laurier) par leurs préposés
ceux-ci ont omis d’enquêter et de sévir à l’encontre des personnes fautives alors qu’ils avaient l’obligation de le faire selon le droit canonique
Les Défendeurs ont plutôt choisi d’ignorer leur propre droit interne pour faire prévaloir la culture du silence.»
«En plus des graves manquements quant à leurs propres obligations d’agir
les Défendeurs ont fait défaut de prendre les mesures qui s’imposent afin que les agresseurs connus et identifiés soient dénoncés aux autorités laïques.»
Le document poursuit: «En choisissant de déplacer leurs préposés fautifs de manière à ce qu’ils préservent leurs fonctions
les Défendeurs ont participé à construire et à favoriser une culture du secret entourant la commission des actes répréhensibles et ont commis
une faute civile directe qui les rend également responsables des préjudices subis par les membres du Groupe.»
le récit relaté des différents abus sexuels perpétrés sur le territoire du Diocèse de SJML par les préposés des Défendeurs illustre qu’il ne s’agit pas de gestes isolés
mais plutôt de gestes répétés
commis par plusieurs préposés des Défendeurs à l’égard d’un nombre important de fidèles
lesquels étaient en grande majorité mineurs au moment des faits
sur une période non négligeable d’au moins soixante (60) ans»
L’action collective intentée contre le diocèse de Saint-Jérôme-Mont-Laurier peut aller de l’avant
Toutes les personnes ayant été agressées sexuellement
du nouveau diocèse de Saint-Jérôme-Mont-Laurier ou encore des précédents diocèses de Saint-Jérôme ou de Mont-Laurier
peuvent s’inscrire à cette action collective
Au terme d’un procès ou encore si une entente intervient entre les parties
une indemnisation financière pourrait leur être accordée
que le juge Granosik a accordé le statut de représentant des victimes dans cette affaire
a déclaré avoir été agressé sexuellement par l’abbé Maurice Valois
Il était alors âgé de 15 ans et l’aîné de sa famille
dans la demande d’autorisation présentée en novembre 2023
dans une maison abandonnée de Saint-Colomban ou encore à la plage
ces gestes n’étaient « pas péché »
Il enjoignait ses victimes de ne révéler à quiconque les gestes commis
sans quoi ils iraient à l’école de réforme et lui
Un des trois frères Dancause s’est depuis suicidé
« Je suis content que l’action collective puisse aller de l’avant »
dans un communiqué diffusé par le cabinet Arsenault Dufresne Wee Avocats
« Trop d’enfants ont été abusés sexuellement par les prêtres de l’Église catholique
Les dommages causés aux victimes sont immenses
j’espère que les personnes pouvant s’inscrire oseront enfin dénoncer. »
Les avocats spécialisés dans les actions collectives ont indiqué que « 18 autres victimes se sont manifestées pour s’inscrire à l’action collective »
Le représentant des victimes réclame des dommages pécuniaires et punitifs de 600 000 $
Il demande aussi que le diocèse soit condamné à indemniser les autres personnes qui s’inscriront à l’action collective qui est maintenant autorisée
L’évêque de Saint-Jérôme-Mont-Laurier
a indiqué qu’il ne commenterait pas l’autorisation que vient d’accorder le juge Lukasz Granozik
« C’est le processus qui se poursuit »
« Le processus judiciaire peut débuter »
a annoncé l’avocat des victimes Antoine Duranleau-Hendrickx
lorsqu’un juge autorise une action collective
« tous les faits devront [ensuite] être prouvés dans le cadre d’un éventuel procès
à moins que les parties parviennent à conclure une entente hors cour »
le diocèse de Mont-Laurier a perdu une partie de son territoire lors de l’érection du diocèse de Saint-Jérôme en 1951
Les deux diocèses ont toutefois été fusionnés en 2022
étaient « unis en la personne du même évêque »
ce dernier est devenu le premier évêque du diocèse de Saint-Jérôme-Mont-Laurier
Selon la plus récente édition de l’Annuaire de l’Église catholique au Canada
le nouveau diocèse de Saint-Jérôme-Mont-Laurier compte 64 paroisses
a lancé Victor-David Mbuyi Bipungu à son épouse..
La source nord-américaine d'information religieuse en français
© 2021 Conception Web TED et ED.
© 2021 Conception Web TED et ED
Un orignal a semé l’émoi dimanche en s’aventurant sur les terrains d’un quartier résidentiel de Saint-Jérôme
C’est vers 9h40 que l’animal a été aperçu par plusieurs personnes en pleine visite d’une maison à vendre sur le boulevard de Maisonneuve
«Le client m’a pointé l’orignal à travers la fenêtre
elle et ses clients ont pu sortir à l’extérieur pour filmer la bête qui se trouvait sur le gazon d’un voisin pendant que plusieurs voitures s’arrêtaient pour l’observer
On a décidé de rentrer parce que je viens des Laurentides et je sais que cet animal décide ce nous charger
La courtière immobilière Catherine Bélanger a aussi pu filmer l'animal
Le Service de police de la Ville de Saint-Jérôme (SPVSJ) a confirmé être intervenu sur cet événement
«On a fait affaire avec des agents de la faune qui ont endormi l’orignal et l’ont libéré dans la nature»
a précisé le lieutenant Jean-François Bouvrette
Bien qu’il s’agisse d’un événement «inhabituel»
le SPVSJ dit être déjà intervenu pour des cas semblables par le passé
car certains quartiers de la ville sont situés près de la forêt
Le gouvernement du Québec recommande d’appeler SOS Braconnage - Urgence Faune si vous croisez un orignal en milieu urbain
«Évitez de le stresser en le poursuivant en véhicule ou en formant des attroupements autour de lui
Un animal stressé peut réagir de manière imprévisible et représenter un danger»
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Rappelons que la Ville changera sa politique dès le 1er juin 2025
Le stationnement sera donc payant de 8 h à 17 h
propriétaire du restaurant Soleo situé sur la rue Saint-Georges
ça aura sans aucun doute un impact sur l'achalandage du midi
le retrait des midis gratuits pourrait convaincre les clients d'opter pour une chaîne de restaurants qui offre déjà un espace de stationnement sans frais
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Un code noir a été déclenché à l’École polyvalente Saint-Jérôme, mercredi 23 octobre, vers 14 h 55. Une information avait été reçue que deux jeunes armés d’un couteau et d’une machette avaient été vus dans l’école.
Les deux jeunes mineurs ont été arrêtés et transportés au poste de police de la Ville de Saint-Jérôme. Le Service de police soutient qu’en aucun cas, la sécurité des occupants de l’école n’a été compromise durant cette opération qui n’a fait aucun blessé.
Les deux jeunes ont été rencontrés et interrogés par les enquêteurs du SPVSJ. Ils font face à des accusations de troubler la paix, méfait et possession d’une arme dans un dessein dangereux.
À la suite de l’interrogatoire, ils ont été libérés sur promesse de comparaître assortie de conditions qu’ils doivent respecter. Ils comparaîtront le 7 janvier 2025 au palais de justice de Saint-Jérôme, au tribunal de la jeunesse.
Le Service de police nous a confirmé que les deux jeunes ne fréquentaient pas l’École polyvalente Saint-Jérôme.
Mercredi 23 octobre 15 h: Un important déploiement policier s’est mis en branle autour de l’École polyvalente Saint-Jérôme. Un Code noir a été déclenché par mesure préventive. Ce code signifie le confinement pour tout le personnel et les élèves dans l’école.
Sur place, les forces de l’ordre ont pris charge de la situation. Ils demandaient aux parents et aux proches des élèves de ne pas se rendre à l’école pour ne pas perturber l’opération qui était en cours.
16 h 25: On annonçait que l’École polyvalente de Saint-Jérôme était sécurisée. Les policiers procédaient au déconfinement des élèves et du personnel en toute sécurité.
Les élèves ont été divisés en deux vagues pour le retour à la maison. Les élèves de la vague 1 étaient redirigés au Centre Notre-Dame, près de la l’école, où les parents pouvaient aller récupérer leurs enfants.
Pour les élèves de la vague 2, ils ont été dirigés vers leur transport scolaire habituel.
Nous avons voulu en savoir plus sur la sécurité dans les écoles. Nous avons demandé à la porte-parole du Centre de services scolaire de Rivière-du-Nord si les accès étaient surveillés? « Les accès empruntés par les élèves sont débarrés le matin à leur arrivée et lors des pauses. Sur l’heure du dîner, seule l’entrée principale est débarré. À l’extérieur de ces périodes, toutes les portes sont barrées, en tout temps », nous a expliqué Nadyne Brochu.
Elle ajoute aussi que pour assurer la sécurité, l’école dispose, chaque jour, d’une équipe de 25 personnes spécifiquement mandatées à la surveillance. À cette équipe s’ajoutent les membres du personnel qui s’assurent la sécurité de leur milieu et qui portent une attention particulière, en tout temps, au bon déroulement de la vie de l’école.
« Les policiers éducateurs sont très présents à l’école, comme dans toutes nos écoles secondaires. Ils assurent non seulement une surveillance, mais interviennent auprès des jeunes, les guident et les conseillent au besoin. Ils font partie de l’équipe », souligne-t-elle.
Si les élèves de l’École polyvalente de Saint-Jérôme ont pu regagner leur autobus lors de la 2e vague de dispersion, ceux qui transitaient au stationnement de l’institution pour se diriger à leur 2e segment de destination finale, ne l’ont toutefois pas eu facile.
Entre autres, le circuit d’autobus numéro 269 devait quitter Cap-Jeunesse après la fin des cours à 16 h. Or à 16 h 12, un courriel a été envoyé aux parents pour signifier l’annulation du transport. Plusieurs parents travaillant à l’extérieur de la région n’ont pu récupérer leur enfant avant 18 h ou plus tard à l’école secondaire du secteur Saint-Antoine.
Deux versions contradictoires ont circulé pour l’annulation : le courriel reçu parlait d’un manque de chauffeurs disponibles, alors qu’à l’intercom de l’école Cap-Jeunesse, « un problème au point de transfert de la Polyvalente » (i.e. le code noir) a été invoqué.
« Dans l’urgence que nous devions gérer à l’École polyvalente de Saint-Jérôme, il y a eu une erreur dans la transmission du premier message. Notre équipe a rectifié le tir dès qu’elle s’est rendue compte de son erreur. Ce petit délai est bien involontaire de notre part », a précisé Mme Brochu.
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© 2025 Tous droits réservés. Journal Le Nord.
Louise Desjardins Aublet n’a aucun souvenir de cette journée de novembre où elle a frôlé la mort
la résidente de Val-David se rend au poste de police de Saint-Jérôme avec son conjoint
pour rencontrer ceux grâce à qui elle est encore là aujourd’hui
Mais lorsqu’elle entre dans la salle de conférence
c’est près d’une trentaine de personnes qui l’accueillent
ambulanciers et répartitrices (les pompiers sont absents) : ils ont tous contribué à son sauvetage
L’agente André-Anne Du Cap, de la Division actions proactives et affaires avec la communauté du Service de police de la Ville de Saint-Jérôme (SPVSJ)
« Il est rare que nous ayons la chance de prendre un moment pour s’arrêter
de se donner une tape dans le dos pour nos bons coups et de souligner l’impact positif de nos interventions dans la vie des gens
nous nous disions bien humblement : « je n’ai fait que mon travail »
ce travail a permis de sauver ce qu’il y a de plus précieux
de sauver la vie de Mme Louise Desjardins Aublet. »
L’agente Du Cap refait le récit des événements
les lignes 911 se mettent à sonner à la centrale d’appel de Saint-Jérôme
Les répartitrices Manon Leclerc et Camille Fréchette sont les premières à répondre
L’important volume d’appels leur fait croire qu’un événement majeur est en train de se dérouler
Une sortie de route vient de se produire dans la bretelle de la sortie 43-E
et quelqu’un serait coincé à l’intérieur
Même si l’endroit est sous la responsabilité de la Sûreté du Québec (SQ)
les répartitrices savent que le temps est compté
elles mettent tout en oeuvre pour que de l’aide arrive aussi vite que possible
Les policiers du SPVSJ se mettent en route
moins de 2 minutes et 30 secondes après l’appel
les duos composés par les agents Samuel Delisle et Christoph Gilbert
Nathaniel-Isaac Fournier et Jessica Guévin
ainsi que le sergent Samuel Thériault sont les premiers arrivés sur les lieux
Dans le ravin de la bretelle de sortie d’autoroute
il n’y a que le plancher et les roues du véhicule qui sortent de l’eau
Tessier et Forgues se jettent dans l’eau glacée
Ils mettent ainsi leur vie en jeu pour sauver le ou les occupants du véhicule
Soulignons que leur équipement pèse de 25 à 30 lbs… lorsqu’il est sec
les agents Fournier et Guévin préparent le matériel nécessaire pour une réanimation cardio-respiratoire
Puis les agentes Geneviève Guénette et Katherine Robertson arrivent sur place
L’agente Guénette s’occupe de la circulation
pendant que l’agente Robertson se jette aussi dans l’eau
Après de longues minutes à chercher dans l’eau opaque
l’agent Delisle parvient à trouver une dame qui flotte
Il l’extirpe de là et la remet aux agents Fournier et Fourgues
ils commencent les manoeuvres de réanimation
leur fait croire qu’il pourrait y avoir d’autres victimes
une première ambulance arrive sur les lieux
avec les ambulanciers François Gourde et Jean-Yves Deraps
Ils sont suivis de près par l’équipe des pompiers de Saint-Jérôme et une seconde ambulance
avec Véronique Desjardins et Alex Côté à bord
Les agents ont d’abord peu d’espoir de réanimer la victime
Mais ils font tout de même les manoeuvres de réanimation et
juste avant qu’arrivent les ambulances
Mme Desjardins Aublet n’avait que 30 % de chance de survivre
les policiers cherchent encore dans l’eau opaque
ils ont la crainte de tomber sur un autre corps
Gilbert et Thériault entreprennent de retourner
malgré le risque que celui-ci leur retombe dessus
ils constatent enfin qu’il n’y a pas d’autre victime
c’est quelque chose d’héroïque »
qui qualifie sa survie de « miracle »
« On a eu un party de Noël avant le temps
Il y a des gens que ça faisait longtemps que je n’avais pas vus ! »
Mme Desjardins Aublet a été dans le coma plusieurs jours après son accident
son mari a eu l’idée de faire jouer du Joe Dassin
Je lui ai dit : « si tu veux que je change de musique
C’est alors qu’elle a repris conscience
qui est aussi un policier retraité de Laval
tient à souligner le courage des policiers
« Vous avez risqué votre vie en plongeant
Vos gestes démontrent l’importance de la police
À leur tour, les policiers soulignent le « courage » et la « combativité » de Mme Desjardins Aublet.
Comment les policiers font-ils, lorsqu’ils mettent leur vie en péril, pour mettre de côté leurs émotions et agir efficacement ?
C’est après, lorsque la tension retombe, que les policiers se permettent de vivre leurs émotions. Dans le vestiaire ou avec leur conjointe, ils discutent du fil des événements et partagent leur sentiment d’impuissance ou d’anxiété, me confient quelques policiers. Lieutenant Dupuis souligne qu’ils ont toujours accès à de l’aide psychologique.
Aussi, les policiers se côtoient de 50 à 60 heures par semaine, durant lesquelles ils ont tissé des liens et une confiance solides ensemble. Ils savent donc se coordonner rapidement et efficacement, sans se dédoubler ni sans perdre de précieuses secondes. « Ce n’est pas un travail d’équipe qu’on a fait cette journée-là. C’est un travail de famille. On est une équipe excessivement soudée et qui travaille bien ensemble », explique l’agent Fournier.
C’est également une grande source de motivation lorsque leurs collègues sont dans une situation grave ou dangereuse. « Sur les ondes, tu l’entends dans leur voix. Tu sais qu’ils ont besoin de monde, et qu’ils ont besoin de toi là-bas, peu importe ce que tu fais », souligne l’agent Fournier.
Une formation de hockey mineur de Saint-Jérôme est confrontée à une série de sanctions, allant possiblement jusqu’à sa possible dissolution, à la suite d’événements qui se sont déroulés samedi, 1er février, à l’aréna Blainville 2.
Selon des témoins, un joueur du Bastion sans casque a été atteint d’un coup de bâton à la tête, par un Jérômien, dans un corridor menant aux vestiaires voisins de l’aréna en réparation. Le Blainvillois a été coupé et saignait. En raison de travaux à la patinoire 2, les joueurs sont contraints de marcher sur une rampe en caoutchouc, passer devant le restaurant de l’entrée principale, avant d’accéder aux vestiaires encore disponibles à la patinoire 1.
Selon d’autres témoignages obtenus du côté du Bastion, les parents de la victime veulent porter plainte contre le joueur jérômien. Une ambulance et trois voitures de policiers ont été demandées sur les lieux. Le dossier pourrait se retrouver à la Chambre de la jeunesse, vu qu’il s’agit d’adolescents. Les policiers ont fait sortir les Lions par une porte secondaire de l’aréna 1 et ont effectué de la supervision dans le stationnement, pour que les esprits se calment.
Soulignons qu’un entraîneur-adjoint des Lions avait aussi été expulsé plus tôt dans la partie. Trois autres joueurs avaient aussi purgé des matchs lors de la joute précédant celles à Blainville.
– Le Service de police de la Ville de Saint-Jérôme a inauguré son nouveau bureau des enquêtes criminelles
Situé dans les anciens locaux de la Gendarmerie royale du Canada (GRC)
le bâtiment poursuit sa mission de sécurité publique tout en s’adaptant aux besoins actuels de la communauté et des forces de l’ordre
C’est en 2021 que la Ville de Saint-Jérôme entamait des procédures pour faire l’acquisition du bâtiment de la rue Mgr Dubois où logeait la GRC jusqu’en 2018, moment où les activités ont cessé.
Lors de l’événement, il a été souligné que ce nouvel espace représente bien plus qu’un simple réaménagement, il s’inscrit pleinement dans l’identité et l’histoire de la ville.
« Ayant grandi à deux pas d’ici, je me souviens encore de l’arrivée de la GRC dans ces locaux. Ce lieu, ancré depuis toujours dans la sécurité publique, poursuit aujourd’hui cette mission sous une nouvelle forme, modernisée et adaptée aux défis contemporains », a affirmé le maire Marc Bourcier.
Le nouveau bureau des enquêtes criminelles a été conçu pour favoriser l’efficacité, la collaboration et l’innovation. Il comprend également des espaces spécialement aménagés pour les victimes et les témoins.
Le hall d’entrée a été entièrement repensé afin de créer une atmosphère sécurisante, conviviale et chaleureuse, permettant aux personnes concernées de se sentir en confiance.
« Ce nouvel environnement, équipé de technologies de pointe, répond aux standards les plus modernes et offre à nos enquêteurs des conditions de travail optimales, favorisant ainsi leur efficacité et leur engagement », a ajouté le maire Bourcier.
L’inauguration a réuni plusieurs dignitaires, dont le maire Marc Bourcier, qui a conclu en rappelant l’importance de cette infrastructure pour la Ville de Saint-Jérôme : « La ville se développe, les besoins évoluent, et nos services, notamment en matière de sécurité publique, doivent s’adapter en conséquence. Cette nouvelle structure représente une avancée majeure qui renforce nos capacités d’enquête et encourage l’arrivée de nouveaux enquêteurs », a-t-il souligné.
son candidat à la mairie pour les élections de novembre 2025
Il s’agit du conseiller municipal du quartier 11
C’est devant un parterre d’environ 200 personnes
que les huit conseillers qui forment le parti Avenir Saint-Jérôme ont présenté leur candidat pour briguer la mairie
Martin Pigeon a souligné qu’il voulait travailler dans un esprit de collaboration
« Je n’en peux plus de constater que l’on ne parle pas des grands oubliés de notre ville : les payeurs de taxes
Il faut prendre des mesures tangibles dans un esprit de collaboration
Je veux interpeller les instances provinciales pour travailler ensemble
Je veux assurer une gestion responsable des finances publiques »
a souligné Martin Pigeon devant ses partisans
« Les défis sont nombreux et je veux être la voix des citoyens
Je veux planifier l’avenir de Saint-Jérôme
qui compte 11 années de politique municipale à son actif
a été élu en 2021 dans Bellefeuille et avait auparavant été conseiller municipal de 2005 à 2013
il est porte-parole de la commission du développement économique et de l’électrification des transports et siège à la commission des finances et de la gouvernance de la ville de Saint-Jérôme
Il est également le représentant de la Ville à la Chambre de commerce et d’industrie de Rivière-du-Nord
les huit membres d’Avenir Saint-Jérôme étaient tous avec l’équipe du maire Marc Bourcier sous le parti du même nom
Bourcier soulignait : « Le parti d’Avenir Saint-Jérôme s’éteint dès maintenant
Tous ses candidats siégeront au conseil municipal en tant qu’indépendants
Il n’y aura pas de ligne de parti à suivre
Les candidats seront libres de parler au nom des citoyens qu’ils représentent. » M
Bourcier avait également exprimé son intention de ne faire qu’un seul mandat
« Tous les conseillers s’étaient engagés à le faire
Mais j’aurais voulu que ce soit autrement »
Pigeon dit vouloir « apporter un renouveau à la tête du parti »
« La décision de quitter le parti et de faire un seul mandat
on voulait nous assurer de maintenir le parti
Pigeon a ajouté qu’il souhaitait que le parti reste uni
il a souligné que tout le monde pourra s’exprimer en toute liberté
nous avons été témoins des hauts et des bas de la politique municipale
L’un a mis à mal notre image et notre réputation et l’autre l’a réparé
il est grand temps de la réorienter »
les élus d’Avenir Saint-Jérôme travaillent d’arrache-pied au conseil de ville pour le bien-être des citoyens
le soutien de l’économie locale et la protection de l’environnement
afin de vous proposer une plateforme à la hauteur de ce que les Jérômiens méritent »
Le maire Bourcier ne ferme pas la porte à se représenter
Il se donne jusqu’à la fin de l’automne pour annoncer sa décision
il n’y a pas grand monde qui parle d’élections municipales
Nous sommes à 13 mois des élections de 2025
Il y a eu tout un renouveau lors de l’élection de 2021
le renouveau du renouveau sera difficile à faire
L’important pour moi est que la Ville aille bien et continue d’aller bien »
Il ajoute qu’il prendra sa décision selon quatre possibilités qu’il avait nommées lors de l’assemblée du conseil municipal de juin dernier.
Les conseillers, Dominic Boyer, Jean Junior Desormeaux, Ronald Raymond, Stéphane Joyal, Michel Gagnon et Martin Pigeon, en plus des conseillères Carla Pierre Paul et Nathalie LaSalle forment le parti Avenir Saint-Jérôme.
Les conseillers André Marion et Mario Fauteux ont quitté le parti Avenir Saint-Jérôme et siègent maintenant comme indépendants.
Les deux autres membres qui forment le conseil actuel, Marc-Antoine Lachance et Jacques Bouchard ont été élus avec le parti Mouvement jérômien.
Le maire Marc Bourcier n’est plus affilié à aucun parti.
Vous avez des commentaires ? Écrivez-nous france.poirier@journallenord.com
Le style distinctif de Parmigianino, avec ses figures incroyablement allongées et son air de raffinement combiné à une subversion inattendue de l’espace, a ouvert la voie au développement du style connu plus tard sous le nom de maniérisme. Avec sa composition extrêmement verticale, son pinceau luxuriant et sa palette chatoyante, cette peinture émerveille les spectateurs depuis près de 500 ans.
C’est un budget de 215,9 M$ pour 2025 qui a été adopté par le conseil de ville de Saint-Jérôme, le 10 décembre dernier. Lors de la présentation du budget, le maire a souligné la bonne planification budgétaire et la solide gestion des finances publiques.
Ainsi, la Ville de Saint-Jérôme limite la hausse des taxes foncières à 2 %, soit à la hauteur du taux d’inflation observé dans la région métropolitaine de Montréal. Pour une maison moyenne évaluée à 371 002 $, il s’agit d’une augmentation de 4,95 $ par mois du compte de taxes.
En 2025, le service de la dette à la charge de l’ensemble des contribuables atteindra 32,8 M$, ce qui représente 14,7 % du budget de fonctionnement. Dans la Politique de la gestion de la dette, le seuil maximum établi est à 16,5 %.
« Nous avons déployé diverses stratégies pour contrôler l’endettement de la Ville, au profit des générations futures. En favorisant le paiement au comptant des immobilisations, notamment pour le maintien des actifs, et en misant sur le développement industriel pour le remboursement de la dette, nous sommes persuadés que nous serons en mesure de réduire considérablement la dette au cours des prochaines années », explique Dominic Boyer, porte-parole de la commission des finances.
En hausse d’un peu moins de 7 % par rapport à 2024, les charges de fonctionnement de la Ville totaliseront 220,6 M$ pour l’année financière 2025. De ce montant, on estime que 16,6 M$ seront consacrés au déneigement, 7,2 M$ à l’aménagement des parcs et espaces verts, et 6,1 M$ au transport collectif.
«En plus des dépenses nécessaires au maintien des services déjà offerts, Saint-Jérôme est confrontée à des défis et des responsabilités qui ne cessent de croître en raison de son statut de capitale régionale. Que ce soit en matière de transition écologique, de mobilité, de sécurité ou d’itinérance, elle n’a d’autres choix que d’ajuster son budget pour faire face aux enjeux locaux », explique-t-on dans un communiqué.
Enfin, des revenus de 211,1 M$ sont prévus en 2025, ce qui représente une hausse de 5 % par rapport à l’exercice précédent. Si les taxes foncières demeurent la principale source de revenus de la Ville, des efforts sont réalisés pour diversifier les sources de revenus par des partenariats et des demandes de subventions. Les affectations et ajustements fiscaux, quant à eux, atteindront 9,5 M$.
Dans le souci de créer un avenir durable et un milieu de vie inclusif
le conseil municipal de Saint-Jérôme a lancé le processus pour l’adoption de son nouveau plan d’urbanisme et de mobilité durable
C’est lors d’une assemblée extraordinaire tenue le 17 décembre que ce processus a été lancé
Cette révision du plan d’urbanisme dévoile la nouvelle vision de développement et de mise en valeur du territoire
L’adoption des projets de règlement d’urbanisme devrait se faire lors d’une assemblée du conseil en début d’année
de nombreuses étapes ont été réalisées pour nous aider à bâtir une vision unique et commune pour notre ville
Notre plan d’urbanisme et les règlements dataient de 2010 et ne reflétaient plus les réalités économiques
sociales et environnementales du territoire
Le moment était donc venu de nous redéfinir et de revamper notre image selon un urbanisme bienveillant
Ce plan est une feuille de route essentielle pour guider nos actions en aménagement du territoire
avec la conviction qu’il a été élaboré avec chaque partie prenante tout au long du processus »
Marc Bourcier ajoutait que cette vision est basée sur les saines habitudes de vie et la lutte aux changements climatiques
Le nouveau plan se déclinera en trois grandes orientations d’aménagement sur une perspective de 15 ans (2025-2040) :
avait fait l’objet d’une grande démarche participative intitulée « Vivons Saint-Jérôme »
La communauté s’était exprimée sur les grandes stratégies : la croissance et les milieux de vie inclusifs
Le conseil municipal a choisi de réaliser la révision de son plan d’urbanisme en collaboration avec l’ensemble des partenaires et des acteurs qui participent à la transformation du territoire
À travers diverses activités collaboratives et des tables sectorielles
ceux-ci ont pu partager leurs préoccupations et leurs attentes qui pourraient faire partie des nouvelles orientations du plan d’urbanisme et de mobilité urbaine de la Ville
plus d’une centaine d’idées et près de 40 mémoires ont été déposés dans le cadre de la démarche « Vivons Saint-Jérôme »
« Dans le cadre de cette démarche participative
nous sommes allés au-delà des exigences légales en matière de consultation publique pour donner à tous les citoyens plusieurs tribunes pour se faire entendre
ce sont plus de 500 personnes qui ont participé à la démarche et je tiens sincèrement à les remercier pour leur contribution à faire de Saint-Jérôme une ville meilleure »
a mentionné la conseillère Nathalie Lasalle
porte-parole de la commission de l’aménagement et du contrôle du territoire
la nouvelle vision commune de l’aménagement du territoire sera mise en application dans les règlements d’urbanisme
les plans d’implantation et d’intégration architecturale
les usages conditionnels et la démolition d’immeubles font partie de la réglementation en cours de révision
La Ville estime que cette nouvelle réglementation saura répondre aux attentes des citoyens et des différentes parties
Dans le cadre du processus de révision du plan d’urbanisme
« Le nouveau cadre réglementaire nous permettra pour les années à venir de mieux contrôler la planification et le développement de notre ville tout en tenant compte des besoins croissants en matière de logement
de mobilité et d’aménagement des espaces publics
Saint-Jérôme se positionne ainsi résolument dans une démarche de modernisation et de transition écologique
avec l’objectif de devenir un modèle de développement urbain durable et innovant »
Conformément à la Loi sur l’aménagement et l’urbanisme
le nouveau cadre réglementaire doit faire l’objet de plusieurs étapes d’adoption
dont la délivrance d’un certificat de conformité de la MRC de La Rivière-du-Nord
L’entrée en vigueur est prévue à l’été 2025
Pour suivre les prochaines étapes de l’adoption : citedepossibilites.ca/vivons-saint-jerome
Commencer donc par faire des logements à des prix abordables au de faire des condo
Beaucoup d endroit pourrait faire l affaires
Un des deux suspects a été arrêté sur les lieux
Un élève de la polyvalente de Saint-Jérôme a été menacé par deux autres adolescents armés de couteaux et de machettes mercredi après-midi
ce qui a provoqué le déclenchement d'un confinement par mesure préventive à cette école secondaire
mais a rapidement été localisé par les autorités
Son âge n'avait pas encore été précisé au moment d'écrire ces lignes
a indiqué le Service de police de la Ville de Saint-Jérôme à Noovo Info
«On ne sait pas si ce sont des élèves de la polyvalente où s’ils sont d’autres écoles»
Les deux individus ont été conduits au poste de police pour être interrogés
Les événements ont eu lieu vers 14h30; le «code noir» – le surnom pour un protocole de confinement – a été déclenché vers 14h55
le confinement a empêché l’accès à l’école pendant l’opération policière
Le Service de police de la Ville de Saint-Jérôme a demandé aux parents de ne pas se présenter sur place pour faciliter le travail de ses agents
a écrit la police de Saint-Jérôme dans une publication sur Facebook
 
Les autorités ont envoyé les élèves au Centre Notre-Dame
pour permettre aux parents de récupérer leurs enfants
«Les élèves dont les parents viennent à l'habitude les chercher à l'école
vous pourrez attendre vos enfants tel qu'à l'habitude»
Publié le 31 janvier 2025 à 13:46 | Modifié le 3 février 2025 à 09:26
C'est sur le boulevard La Salette vers 11 h 10 que s'est produit l'incident
Circulant en direction nord sur la route 117
la bétonnière a pris l'embranchement de la sortie vers ledit boulevard
avant de se renverser sur le viaduc.
le renversement du camion provoque une entrave importante sur la route pour une durée indéterminée
Les autorités sont sur place pour sécuriser la zone et rétablir la circulation dès que possible
La police de Saint-Jérôme nous a informé que le boulevard de la Salette est fermé dans les deux sens entre les boulevards Grignon et Roland-Godard
puis la sortie de la 117 pour prendre le boulevard La Salette
La fermeture pourrait durer encore plusieurs heures
Vous êtes témoin d'un événement ou avez une histoire à nous partager ? Écrivez à nos journalistes via nouvelles@cime.fm
L’espace ressemble à s’y méprendre à une grande quincaillerie avec son rayon de matériaux de construction
il s’agit de la boutique de réemploi de l’écocentre de Saint-Jérôme
Une véritable caverne d’Ali Baba pour dénicher des trésors de seconde main
Le magasin vient à peine d’ouvrir que déjà
les 35 espaces de stationnement sont occupés
Dans la bretelle d’accès menant à la cour du bâtiment
un homme traverse la barrière en voiture pour se débarrasser d’une table et de ses chaises des années 1990
un surplus de comptoirs de quartz provenant d’un manufacturier est empilé au soleil
Il faut des yeux tout le tour de la tête pour ne rien manquer
La moitié des profits ira à de l’aide alimentaire
On leur donne une deuxième chance au lieu de les envoyer au recyclage ou directement à l’enfouissement »
directeur général de l’écocentre de Saint-Jérôme
le vaisseau amiral des quatre écocentres de la MRC de La Rivière-du-Nord
En entraînant La Presse à travers les différentes sections
il explique que tout peut être revendu si c’est encore bon
il y a une station pour tester les ampoules
Il y a une demande pour des bouteilles à peine entamées de graisse à moteur ou de lubrifiant à métal
Il y a des peluches parfaites pour les animaux de compagnie
Le Québec compte près de 400 écocentres chapeautés par les municipalités
celui de Saint-Jérôme est le plus imposant
tout ce qui est en tissu ou coussiné va directement à l’enfouissement
quand un matelas est propre ou qu’il arrive encore dans le sac d’achat
Ça coûte environ 25 $ le faire désinfecter
Il y a une demande de la part des organismes communautaires d’aide à l’hébergement »
Elles seront revendues pour quelques dizaines de cents à l’intérieur
l’écocentre assure du travail à 22 employés
Ils seront relus au lieu d’être transformés en papier de toilette
Bruyère raconte que l’écocentre enregistre une croissance de ses ventes depuis que Ginette vient faire son tour
une pile de livres est parfaite pour les vacances au chalet ou sur le bord de la mer
125 000 personnes viennent à l’écocentre de la municipalité de Saint-Jérôme
dont la population est estimée à un peu plus de 80 000
Environ 25 000 personnes viennent pour jeter
100 000 fréquentent la boutique de réemploi
l’écocentre estime à 225 000 le nombre annuel d’articles vendus
indique l’écocentre dans son rapport annuel
120 dons qui ont été remis l’an dernier à 23 organismes
Daphnée Champagne est conseillère en communication pour la société de récupération RECYC-QUÉBEC
« 10 % des écocentres font de la réparation de différents articles
C’est en ligne directe avec la loi sur le droit à la réparation
La société a lancé un programme de 14,3 millions pour financer du réemploi et des ateliers de réparation et de démontage
l’un des obstacles à la croissance est le coût du transport et du traitement des produits dangereux non couverts par la responsabilité élargie des producteurs
La MRC de La Rivière-du-Nord appréhende une hausse de 200 000 $ des frais l’an prochain pour éliminer les produits de piscine
le scellant d’asphalte et les aérosols de nettoyage toxiques
Bruyère pointe deux caissons remplis de sièges d’appoint pour enfants
Il y a ceux dont l’année de fabrication est encore valide
voués à la transformation ou à l’enfouissement
Bruyère estime que ceux qui portent le sceau de sécurité du Canada pourraient être revendus après inspection1
Il croit qu’au même titre que les voitures usagées
il devrait y avoir un processus pour les inspecter et les remettre en circulation
Vous avez une suggestion de reportage pour notre rubrique Planète bleue
D’une rare violence, cette agression a été filmée. Elle est arrivée lorsque les deux équipes rentraient vers leur vestiaire respectif, et le joueur qui en a été victime ne portait pas de casque. Selon des témoins, la victime s’est écroulée au sol dans une mare de sang. Et bien qu’il n’y ait pas de séquelles graves pour sa santé, sa saison de hockey a pris fin à cause de cette attaque.
Évidemment, tous les intervenants du milieu ont condamné ce geste d’une gravité sans nom.
Le président de la Fédération des clubs de hockey mineur de Saint-Jérôme, Steeve Charrette, a révélé que l’agresseur avait été suspendu sur-le-champ pour une durée indéterminée. Selon ce dernier, la suspension du joueur fautif, dont on doit préserver l’identité en raison de son âge, se poursuivra assurément la saison prochaine.
On ignore par ailleurs si le Directeur des poursuites criminelles et pénales portera des accusations.
Interrogé par TVA, le président de Hockey Laurentides-Lanaudière, Sylvain Bigras, a pour sa part qualifié la situation d’inacceptable. M. Bigras a ajouté qu’il faut essayer de voir ce qu’on aurait pu faire pour éviter que ça arrive.
Éric Pressault n’est pas d’accord avec HQ. Il affirme d’ailleurs avoir de la difficulté à dormir par les temps qui courent parce que, selon lui, cette agression aurait pu être évitée.
Catastrophé, M. Pressault raconte que le hockeyeur adolescent qui a été arrêté en février avait commis d’autres gestes extrêmement graves à la mi-novembre. Ça s’est passé durant un match opposant Saint-Jérôme à son équipe M18 de Deux-Montagnes.
Le film de ce premier incident montre un joueur de Deux-Montagnes qui pourchasse un défenseur de Saint-Jérôme en zone offensive dans les dernières secondes de la première période. Le joueur de Deux-Montagnes trébuche et entre en contact avec le gardien de Saint-Jérôme avant d’aboutir au fond du filet. Un joueur de Saint-Jérôme s’approche alors du filet et sert un coup de patin à la tête du joueur de Deux-Montagnes.
À cause de la piètre qualité de la prise de vue, on ne voit pas combien de coups de patin sont donnés. On entend toutefois la foule s’indigner instantanément et on voit les officiels intervenir sans la moindre hésitation pour expulser le joueur fautif. Ce dernier bouscule ensuite les juges de ligne avant de quitter la patinoire.
Notre banc était le plus éloigné de ce filet, donc je n’ai pas trop réagi sur le coup. Mais quand notre joueur est revenu au banc, il était furieux et sonné. Et il nous a dit que le joueur de Saint-Jérôme lui avait servi deux coups de patin à la tête. Quand il nous a montré son casque, on a constaté qu’il était fracassé, raconte Éric Pressault.
Asséner un coup de patin à un rival est l’un des gestes les plus graves qu’on puisse commettre au hockey. Imaginez que le coup soit en plus dirigé vers la tête.
J’ai des frissons rien qu’à y penser. Si le joueur de Saint-Jérôme avait raté la tête de peu, il aurait pu atteindre notre joueur au cou et le tuer, indique l’entraîneur adjoint.
Il est important ici de savoir que les demandes de révision ne peuvent être faites à la légère. Les entraîneurs bénévoles qui font une demande de révision doivent soumettre un dépôt de 200 $. Et si le comité de révision ne leur donne pas raison, HQ garde le montant.
Le 21 novembre, les membres du comité de révision vidéo ont rendu leur décision :
Considérant que le rapport de l’arbitre fait état d’un coup de patin et que la vidéo ne nous démontre pas que le joueur a donné deux coups de patin.
Considérant que le casque peut avoir été brisé lors de la chute sur le poteau des buts, et non sur le coup de patin, la vidéo ne permet pas de le déterminer.
Considérant que le joueur pousse le juge de ligne intentionnellement.
Le joueur reçoit les sanctions automatiques (8 matchs), selon le tableau des sanctions des règles administratives. Nous suggérons également que le comité de discipline de première instance (ligue) rencontre ce joueur afin de sensibiliser le jeune sur ses gestes posés sur la glace.
N’ayant pas eu gain de cause dans leur demande (Deux-Montagnes) perd son dépôt de 200 $ (politique de visionnement de vidéos).
Selon nos informations, le rapport des officiels faisait spécifiquement état d’un coup de patin à la tête donné avec force. Il indiquait par ailleurs que deux juges de ligne avaient été bousculés.
Il est quand même incroyable que le comité de révision n’ait pas jugé que des sanctions supplémentaires étaient appropriées. Et qu’il ait estimé que les inquiétudes soulevées par les entraîneurs de Deux-Montagnes étaient si peu sérieuses qu’elles justifiaient de les soulager de 200 $.
Et toujours selon nos sources, ni le comité de discipline de la ligue ni celui de la région n’ont interrogé l’agresseur parce que la réglementation ne les y obligeait pas.
On nous a écrit que la décision de Hockey Québec était finale et sans appel. Alors, on a conclu qu’on ne pouvait pas contester davantage, explique Éric Pressault.
Tout cela après avoir vu son joueur servir un coup de patin à la tête d’un adversaire!
Ce complément d’information aurait peut-être dû allumer un feu rouge quant au climat régnant au sein de cette formation et quant à la qualité de l’encadrement offerte aux joueurs.
Au total, 8 joueurs de la formation jérômienne ont été suspendus pour un total de 37 matchs cette saison! Et cela, sans tenir compte des sanctions additionnelles qui découleront du violent coup de bâton à la tête asséné à Blainville en février.
Ça fait beaucoup de suspensions et de gestes inacceptables pour une équipe de hockey dit récréatif.
Pour ajouter au caractère irréel de l’affaire, l’entraîneur-chef a une fois de plus écopé d’une extrême inconduite dans le cadre de la foire survenue à Blainville en février.
Cette histoire soulève énormément de questions.
Comment la Fédération des clubs de hockey mineur de Saint-Jérôme, qui a la réputation d’être rigoureuse, a-t-elle pu tolérer un entraîneur incompétent et ne pas remarquer que les joueurs de l’une de ses équipes se faisaient suspendre à tour de bras?
Et pourquoi le comité de discipline de la ligue Laurentides-Lanaudière ou le comité de discipline de cette région n’ont-ils pas allumé en constatant que l’équipe de Saint-Jérôme était hors de contrôle et que les rapports d’arbitres et les suspensions s’empilaient les uns sur les autres?
Comment la Ville de Blainville, qui est en train de rénover l’un de ses deux arénas, a-t-elle pu laisser les entrepreneurs adopter une configuration temporaire qui permet aux joueurs de deux équipes adverses de se croiser à l’extérieur de la patinoire après les matchs?
Au bout du compte, ce qu’il faut retenir, c’est qu’il y a un signal d’alarme clair qui a été lancé dès le départ et qui n’a pas été entendu.
Quand des entraîneurs bénévoles prennent la peine de sortir 200 $ de leurs poches pour faire savoir à leur fédération qu’un joueur constitue un réel danger pour ses pairs, la musique devrait cesser sur-le-champ, et tous les réflecteurs devraient immédiatement se braquer sur cette situation.
Les arbitres et les entraîneurs qui ont les pieds sur le terrain n’ont pas été pris au sérieux. C’est aussi simple que cela.
Ouvrir en mode plein écranUne violente agression au hockey a nécessité l'intervention de la police de Blainville après un match M18.
Martin LeclercPublié le 13 mars à 19 h 36 HAEÉcouter l’article | 10 minutesLa version audio de cet article est générée par la synthèse vocale, une technologie basée sur l’intelligence artificielle.Éric Pressault est entraîneur adjoint d’une équipe de hockey M18 de Deux-Montagnes. Il s’implique dans le hockey mineur depuis une dizaine d’années. Depuis quelques jours, il est incapable de dormir.
TVA Nouvelles publiait mardi une véritable histoire d’horreur. On apprenait alors qu’un hockeyeur de 16 ans a été arrêté le 13 février dernier. L’intervention de la police de Blainville est survenue après qu’un joueur d’une équipe de Saint-Jérôme eut asséné un violent coup de bâton à la tête d’un adversaire de Blainville au terme d’une rencontre disputée de 1er février.
D’une rare violence, cette agression a été filmée. Elle est arrivée lorsque les deux équipes rentraient vers leur vestiaire respectif, et le joueur qui en a été victime ne portait pas de casque. Selon des témoins, la victime s’est écroulée au sol dans une mare de sang. Et bien qu’il n’y ait pas de séquelles graves pour sa santé, sa saison de hockey a pris fin à cause de cette attaque.
Évidemment, tous les intervenants du milieu ont condamné ce geste d’une gravité sans nom.
Le président de la Fédération des clubs de hockey mineur de Saint-Jérôme, Steeve Charrette, a révélé que l’agresseur avait été suspendu sur-le-champ pour une durée indéterminée. Selon ce dernier, la suspension du joueur fautif, dont on doit préserver l’identité en raison de son âge, se poursuivra assurément la saison prochaine.
On ignore par ailleurs si le Directeur des poursuites criminelles et pénales portera des accusations.
Interrogé par TVA, le président de Hockey Laurentides-Lanaudière, Sylvain Bigras, a pour sa part qualifié la situation d’inacceptable. M. Bigras a ajouté qu’il faut essayer de voir ce qu’on aurait pu faire pour éviter que ça arrive.
Et toujours selon nos amis de TVA, Hockey Québec (HQ) a réagi à cette agression par écrit en ces termes : Nous n’acceptons pas ces comportements ailleurs en société. Pourquoi seraient-ils acceptés au hockey? Le pouvoir et la responsabilité de la fédération face aux comportements toxiques de certains adultes et membres ont certaines limites. Nous invitons donc les gens à porter plainte à la police et laisserons les autorités policières compléter leurs enquêtes.
Éric Pressault n’est pas d’accord avec HQ. Il affirme d’ailleurs avoir de la difficulté à dormir par les temps qui courent parce que, selon lui, cette agression aurait pu être évitée.
Catastrophé, M. Pressault raconte que le hockeyeur adolescent qui a été arrêté en février avait commis d’autres gestes extrêmement graves à la mi-novembre. Ça s’est passé durant un match opposant Saint-Jérôme à son équipe M18 de Deux-Montagnes.
Le film de ce premier incident montre un joueur de Deux-Montagnes qui pourchasse un défenseur de Saint-Jérôme en zone offensive dans les dernières secondes de la première période. Le joueur de Deux-Montagnes trébuche et entre en contact avec le gardien de Saint-Jérôme avant d’aboutir au fond du filet. Un joueur de Saint-Jérôme s’approche alors du filet et sert un coup de patin à la tête du joueur de Deux-Montagnes.
À cause de la piètre qualité de la prise de vue, on ne voit pas combien de coups de patin sont donnés. On entend toutefois la foule s’indigner instantanément et on voit les officiels intervenir sans la moindre hésitation pour expulser le joueur fautif. Ce dernier bouscule ensuite les juges de ligne avant de quitter la patinoire.
Notre banc était le plus éloigné de ce filet, donc je n’ai pas trop réagi sur le coup. Mais quand notre joueur est revenu au banc, il était furieux et sonné. Et il nous a dit que le joueur de Saint-Jérôme lui avait servi deux coups de patin à la tête. Quand il nous a montré son casque, on a constaté qu’il était fracassé, raconte Éric Pressault.
Asséner un coup de patin à un rival est l’un des gestes les plus graves qu’on puisse commettre au hockey. Imaginez que le coup soit en plus dirigé vers la tête.
J’ai des frissons rien qu’à y penser. Si le joueur de Saint-Jérôme avait raté la tête de peu, il aurait pu atteindre notre joueur au cou et le tuer, indique l’entraîneur adjoint.
À la fois stupéfaits et inquiets après avoir assisté à cette scène, les entraîneurs de Deux-Montagnes (l’entraîneur-chef Danny Despatie, Denis Bradley et M. Pressault) ont constaté que la feuille de match ne prévoyait que cinq matchs de suspension pour l’agresseur. Estimant la situation extrêmement grave, ils ont décidé de présenter une demande de révision vidéo au département de la sécurité des joueurs et des joueuses de Hockey Québec.
Il est important ici de savoir que les demandes de révision ne peuvent être faites à la légère. Les entraîneurs bénévoles qui font une demande de révision doivent soumettre un dépôt de 200 $. Et si le comité de révision ne leur donne pas raison, HQ garde le montant.
Le 21 novembre, les membres du comité de révision vidéo ont rendu leur décision :
Considérant que le rapport de l’arbitre fait état d’un coup de patin et que la vidéo ne nous démontre pas que le joueur a donné deux coups de patin.
Considérant que le casque peut avoir été brisé lors de la chute sur le poteau des buts, et non sur le coup de patin, la vidéo ne permet pas de le déterminer.
Considérant que le joueur pousse le juge de ligne intentionnellement.
Le joueur reçoit les sanctions automatiques (8 matchs), selon le tableau des sanctions des règles administratives. Nous suggérons également que le comité de discipline de première instance (ligue) rencontre ce joueur afin de sensibiliser le jeune sur ses gestes posés sur la glace.
N’ayant pas eu gain de cause dans leur demande (Deux-Montagnes) perd son dépôt de 200 $ (politique de visionnement de vidéos).
Selon nos informations, le rapport des officiels faisait spécifiquement état d’un coup de patin à la tête donné avec force. Il indiquait par ailleurs que deux juges de ligne avaient été bousculés.
Il est quand même incroyable que le comité de révision n’ait pas jugé que des sanctions supplémentaires étaient appropriées. Et qu’il ait estimé que les inquiétudes soulevées par les entraîneurs de Deux-Montagnes étaient si peu sérieuses qu’elles justifiaient de les soulager de 200 $.
Et toujours selon nos sources, ni le comité de discipline de la ligue ni celui de la région n’ont interrogé l’agresseur parce que la réglementation ne les y obligeait pas.
On nous a écrit que la décision de Hockey Québec était finale et sans appel. Alors, on a conclu qu’on ne pouvait pas contester davantage, explique Éric Pressault.
Mais là, avec le violent coup à la tête que le même joueur a asséné à Blainville au mois de février, on en est à deux gestes potentiellement fatals commis au cours de la même saison. Ce sont les gestes les plus violents que j’aie vus depuis que je suis impliqué dans le hockey! Mon but n’est pas de jeter de l’huile sur le feu ou d’ajouter à la controverse. Mais j’aimerais comprendre pourquoi notre avertissement n’a pas été pris au sérieux, dit-il.
En novembre dernier, le rapport du match opposant Saint-Jérôme à Deux-Montagnes révélait par ailleurs que l’entraîneur-chef de l’équipe de Saint-Jérôme avait été expulsé pour avoir menacé un officiel en lui disant qu’il allait sauter sur la patinoire pour lui montrer comment ça se passe. Ledit entraîneur aurait refusé cinq fois de quitter son banc avant de finalement obtempérer à la décision de l’arbitre.
Tout cela après avoir vu son joueur servir un coup de patin à la tête d’un adversaire!
Ce complément d’information aurait peut-être dû allumer un feu rouge quant au climat régnant au sein de cette formation et quant à la qualité de l’encadrement offerte aux joueurs.
Au total, 8 joueurs de la formation jérômienne ont été suspendus pour un total de 37 matchs cette saison! Et cela, sans tenir compte des sanctions additionnelles qui découleront du violent coup de bâton à la tête asséné à Blainville en février.
Ça fait beaucoup de suspensions et de gestes inacceptables pour une équipe de hockey dit récréatif.
Pour ajouter au caractère irréel de l’affaire, l’entraîneur-chef a une fois de plus écopé d’une extrême inconduite dans le cadre de la foire survenue à Blainville en février.
Cette histoire soulève énormément de questions.
Comment la Fédération des clubs de hockey mineur de Saint-Jérôme, qui a la réputation d’être rigoureuse, a-t-elle pu tolérer un entraîneur incompétent et ne pas remarquer que les joueurs de l’une de ses équipes se faisaient suspendre à tour de bras?
Et pourquoi le comité de discipline de la ligue Laurentides-Lanaudière ou le comité de discipline de cette région n’ont-ils pas allumé en constatant que l’équipe de Saint-Jérôme était hors de contrôle et que les rapports d’arbitres et les suspensions s’empilaient les uns sur les autres?
Comment la Ville de Blainville, qui est en train de rénover l’un de ses deux arénas, a-t-elle pu laisser les entrepreneurs adopter une configuration temporaire qui permet aux joueurs de deux équipes adverses de se croiser à l’extérieur de la patinoire après les matchs?
Au bout du compte, ce qu’il faut retenir, c’est qu’il y a un signal d’alarme clair qui a été lancé dès le départ et qui n’a pas été entendu.
Quand des entraîneurs bénévoles prennent la peine de sortir 200 $ de leurs poches pour faire savoir à leur fédération qu’un joueur constitue un réel danger pour ses pairs, la musique devrait cesser sur-le-champ, et tous les réflecteurs devraient immédiatement se braquer sur cette situation.
Les arbitres et les entraîneurs qui ont les pieds sur le terrain n’ont pas été pris au sérieux. C’est aussi simple que cela.
Donald Trump, président des États-Unis. Donald Trump dit qu’il est improbable que les É.-U. annexent le Canada. Publié hier à 15 h 12 HAE Donald Trump dit qu’il est improbable que les É.-U. annexent le CanadaLe président américain a affirmé qu'il continuera à faire pression pour que le Canada devienne le 51e État
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TVA Nouvelles publiait mardi une véritable histoire d’horreur
On apprenait alors qu’un hockeyeur de 16 ans a été arrêté le 13 février dernier
L’intervention de la police de Blainville est survenue après qu’un joueur d’une équipe de Saint-Jérôme eut asséné un violent coup de bâton à la tête d’un adversaire de Blainville au terme d’une rencontre disputée de 1er février
cette agression a été filmée
Elle est arrivée lorsque les deux équipes rentraient vers leur vestiaire respectif
et le joueur qui en a été victime ne portait pas de casque
la victime s’est écroulée au sol dans une mare de sang
Et bien qu’il n’y ait pas de séquelles graves pour sa santé
sa saison de hockey a pris fin à cause de cette attaque
tous les intervenants du milieu ont condamné ce geste d’une gravité sans nom
Le président de la Fédération des clubs de hockey mineur de Saint-Jérôme
a révélé que l’agresseur avait été suspendu sur-le-champ pour une durée indéterminée
dont on doit préserver l’identité en raison de son âge
se poursuivra assurément la saison prochaine
On ignore par ailleurs si le Directeur des poursuites criminelles et pénales portera des accusations
le président de Hockey Laurentides-Lanaudière
a pour sa part qualifié la situation d’inacceptable
Bigras a ajouté qu’il faut essayer de voir ce qu’on aurait pu faire pour éviter que ça arrive
Hockey Québec (HQ) a réagi à cette agression par écrit en ces termes : Nous n’acceptons pas ces comportements ailleurs en société
Pourquoi seraient-ils acceptés au hockey
Le pouvoir et la responsabilité de la fédération face aux comportements toxiques de certains adultes et membres ont certaines limites
Nous invitons donc les gens à porter plainte à la police et laisserons les autorités policières compléter leurs enquêtes
Éric Pressault n’est pas d’accord avec HQ
Il affirme d’ailleurs avoir de la difficulté à dormir par les temps qui courent parce que
cette agression aurait pu être évitée
Pressault raconte que le hockeyeur adolescent qui a été arrêté en février avait commis d’autres gestes extrêmement graves à la mi-novembre
Ça s’est passé durant un match opposant Saint-Jérôme à son équipe M18 de Deux-Montagnes
Le film de ce premier incident montre un joueur de Deux-Montagnes qui pourchasse un défenseur de Saint-Jérôme en zone offensive dans les dernières secondes de la première période
Le joueur de Deux-Montagnes trébuche et entre en contact avec le gardien de Saint-Jérôme avant d’aboutir au fond du filet
Un joueur de Saint-Jérôme s’approche alors du filet et sert un coup de patin à la tête du joueur de Deux-Montagnes
À cause de la piètre qualité de la prise de vue
on ne voit pas combien de coups de patin sont donnés
On entend toutefois la foule s’indigner instantanément et on voit les officiels intervenir sans la moindre hésitation pour expulser le joueur fautif
Ce dernier bouscule ensuite les juges de ligne avant de quitter la patinoire
Notre banc était le plus éloigné de ce filet
donc je n’ai pas trop réagi sur le coup
Mais quand notre joueur est revenu au banc
Et il nous a dit que le joueur de Saint-Jérôme lui avait servi deux coups de patin à la tête
on a constaté qu’il était fracassé
Asséner un coup de patin à un rival est l’un des gestes les plus graves qu’on puisse commettre au hockey
Imaginez que le coup soit en plus dirigé vers la tête
J’ai des frissons rien qu’à y penser
Si le joueur de Saint-Jérôme avait raté la tête de peu
il aurait pu atteindre notre joueur au cou et le tuer
À la fois stupéfaits et inquiets après avoir assisté à cette scène
les entraîneurs de Deux-Montagnes (l’entraîneur-chef Danny Despatie
Pressault) ont constaté que la feuille de match ne prévoyait que cinq matchs de suspension pour l’agresseur
Estimant la situation extrêmement grave
ils ont décidé de présenter une demande de révision vidéo au département de la sécurité des joueurs et des joueuses de Hockey Québec
Il est important ici de savoir que les demandes de révision ne peuvent être faites à la légère
Les entraîneurs bénévoles qui font une demande de révision doivent soumettre un dépôt de 200 $
Et si le comité de révision ne leur donne pas raison
le joueur qui a donné deux coups de patin à la tête d'un joueur a reçu cinq matchs de suspension
Si cette information est bien celle fournie dans le rapport des officiels
je me permets d'émettre une certaine réserve sur les conséquences suite à cet évènement
Le père de famille en moi et le représentant de Hockey Canada que je suis par ma formation d'entraîneur ne peut qu'être outré par la sanction donnée au joueur (de Saint-Jérôme)
ce genre de geste devrait immédiatement mener au bannissement de ce joueur de toute activité liée au hockey
cela lui permettra de revenir au jeu bien avant la fin de la saison et Dieu sait ce que le joueur fera lors du prochain affrontement entre nos deux équipes
écrit Éric Pressault dans une note accompagnant la demande de révision
les membres du comité de révision vidéo ont rendu leur décision :
Considérant que le rapport de l’arbitre fait état d’un coup de patin et que la vidéo ne nous démontre pas que le joueur a donné deux coups de patin
Considérant que le casque peut avoir été brisé lors de la chute sur le poteau des buts
la vidéo ne permet pas de le déterminer
Considérant que le joueur pousse le juge de ligne intentionnellement
Le joueur reçoit les sanctions automatiques (8 matchs)
selon le tableau des sanctions des règles administratives
Nous suggérons également que le comité de discipline de première instance (ligue) rencontre ce joueur afin de sensibiliser le jeune sur ses gestes posés sur la glace
N’ayant pas eu gain de cause dans leur demande (Deux-Montagnes) perd son dépôt de 200 $ (politique de visionnement de vidéos)
le rapport des officiels faisait spécifiquement état d’un coup de patin à la tête donné avec force
Il indiquait par ailleurs que deux juges de ligne avaient été bousculés
Il est quand même incroyable que le comité de révision n’ait pas jugé que des sanctions supplémentaires étaient appropriées
Et qu’il ait estimé que les inquiétudes soulevées par les entraîneurs de Deux-Montagnes étaient si peu sérieuses qu’elles justifiaient de les soulager de 200 $
ni le comité de discipline de la ligue ni celui de la région n’ont interrogé l’agresseur parce que la réglementation ne les y obligeait pas
On nous a écrit que la décision de Hockey Québec était finale et sans appel
on a conclu qu’on ne pouvait pas contester davantage
avec le violent coup à la tête que le même joueur a asséné à Blainville au mois de février
on en est à deux gestes potentiellement fatals commis au cours de la même saison
Ce sont les gestes les plus violents que j’aie vus depuis que je suis impliqué dans le hockey
Mon but n’est pas de jeter de l’huile sur le feu ou d’ajouter à la controverse
Mais j’aimerais comprendre pourquoi notre avertissement n’a pas été pris au sérieux
le rapport du match opposant Saint-Jérôme à Deux-Montagnes révélait par ailleurs que l’entraîneur-chef de l’équipe de Saint-Jérôme avait été expulsé pour avoir menacé un officiel en lui disant qu’il allait sauter sur la patinoire pour lui montrer comment ça se passe
Ledit entraîneur aurait refusé cinq fois de quitter son banc avant de finalement obtempérer à la décision de l’arbitre
Tout cela après avoir vu son joueur servir un coup de patin à la tête d’un adversaire
Ce complément d’information aurait peut-être dû allumer un feu rouge quant au climat régnant au sein de cette formation et quant à la qualité de l’encadrement offerte aux joueurs
8 joueurs de la formation jérômienne ont été suspendus pour un total de 37 matchs cette saison
sans tenir compte des sanctions additionnelles qui découleront du violent coup de bâton à la tête asséné à Blainville en février
Ça fait beaucoup de suspensions et de gestes inacceptables pour une équipe de hockey dit récréatif
Pour ajouter au caractère irréel de l’affaire
l’entraîneur-chef a une fois de plus écopé d’une extrême inconduite dans le cadre de la foire survenue à Blainville en février
Cette histoire soulève énormément de questions
Comment la Fédération des clubs de hockey mineur de Saint-Jérôme
qui a la réputation d’être rigoureuse
a-t-elle pu tolérer un entraîneur incompétent et ne pas remarquer que les joueurs de l’une de ses équipes se faisaient suspendre à tour de bras
Et pourquoi le comité de discipline de la ligue Laurentides-Lanaudière ou le comité de discipline de cette région n’ont-ils pas allumé en constatant que l’équipe de Saint-Jérôme était hors de contrôle et que les rapports d’arbitres et les suspensions s’empilaient les uns sur les autres
qui est en train de rénover l’un de ses deux arénas
a-t-elle pu laisser les entrepreneurs adopter une configuration temporaire qui permet aux joueurs de deux équipes adverses de se croiser à l’extérieur de la patinoire après les matchs
c’est qu’il y a un signal d’alarme clair qui a été lancé dès le départ et qui n’a pas été entendu
Quand des entraîneurs bénévoles prennent la peine de sortir 200 $ de leurs poches pour faire savoir à leur fédération qu’un joueur constitue un réel danger pour ses pairs
et tous les réflecteurs devraient immédiatement se braquer sur cette situation
Les arbitres et les entraîneurs qui ont les pieds sur le terrain n’ont pas été pris au sérieux
Martin Leclerc a appris à connaître et à apprécier le hockey sous toutes ses facettes
Affecté à la couverture du sport professionnel - et surtout du hockey - depuis plus de 25 ans
il a aussi développé un vaste réseau de contacts dans ce milieu
il partage ses observations avec les lecteurs de Radio-Canada Sports sous forme de chroniques
Le Haut-Commissariat de l'Inde à Ottawa a identifié Vanshika Saini comme une étudiante indienne
La question du séparatisme pourrait y figurer
Élections Canada a trouvé des erreurs dans les rapports des bureaux de vote locaux
Le parti de gauche a été réduit à seulement sept sièges lors des élections fédérales du 28 avril
Le président américain a affirmé qu'il continuera à faire pression pour que le Canada devienne le 51e État
Éric Pressault est entraîneur adjoint d’une équipe de hockey M18 de Deux-Montagnes
Il s’implique dans le hockey mineur depuis une dizaine d’années
l’entreprise qui englobe l’historique papetière La Rolland
maintient le cap pour atteindre la réduction maximale des pertes de sa matière brute et poursuivre sur la voie du développement durable
« On est vraiment devenus une entreprise d’économie circulaire : on crée des produits avec ce qui revient dans le bac de recyclage »
directrice corporative aux communications chez Sustana
la papetière La Rolland fait partie du paysage des Laurentides depuis 1882
sur lequel on peut lire « Cie Papier Rolland 1882 » peint en blanc
L’entreprise étant passée aux mains de Sustana en 2014
malgré les protestations de certains acteurs du milieu
dont la Ville et l’organisme Histoires et Archives Laurentides
le changement de nom n’a pas créé trop de remous
Elle ajoute qu’il demeure officieusement au cœur des activités
Et le nom reste écrit sur la façade de l’édifice
La refonte de la marque fait partie de la stratégie de l’entreprise établie au Wisconsin qui consiste à miser sur l’économie circulaire
La fibre produite est utilisée pour faire du papier
« Nous sommes la seule usine au Québec à faire le recyclage de contenants multicouches »
L’objectif est d’arriver à ne rien perdre du tout
On est dans une phase d’augmentation de la capacité
toujours dans un esprit d’amélioration continue
On a des projets sur la table pour continuer à trouver des façons de maximiser notre matière première pour diversifier la gamme de produits
L’un des prochains défis de Sustana est lié au changement de la consigne
de nouveaux types de contenants seront consignés comme le verre
De nouveaux investissements sont planifiés pour augmenter la capacité de production
Si l’utilisation de l’intelligence artificielle est limitée pour le moment chez Sustana à Saint-Jérôme
Les opérations sont assurées par plus de 330 employés à Saint-Jérôme et la capacité totale des usines québécoises (Saint-Jérôme
Lévis et Lachine) atteint près de 300 000 tonnes de papier recyclé
les liens sont forts entre l’entreprise et la communauté
On est très impliqués à Saint-Jérôme entre autres à travers le conseil d’administration de l’hôpital et avec Centraide Laurentides
On s’applique à être une bonne entreprise citoyenne et on souhaite s’impliquer encore davantage
Elle rappelle que de nombreuses familles de la région
Cela renforce le sentiment d’appartenance et l’importance de s’ancrer au territoire
Publié le 4 mars 2025 à 15:00 | Modifié le 4 mars 2025 à 15:03
C'est ce qu'elle a annoncé à ses membres et partenaires par courriel la fin de semaine précédente
alors que la fermeture se fera à compter du vendredi 7 mars
Nous adressons nos sincères remerciements à tous nos membres et clients
aux organismes de la région qui nous ont encouragés
à toutes les écoles qui sont passées chez nous et plus encore
C'est grâce à vous tous que Gym X a pu perdurer dans le temps et transmettre ses valeurs et sa passion à une large clientèle
La direction du Gym X a d'ailleurs mentionné à CIME une baisse substantielle de leurs ventes au cours des derniers mois.
C'est entre autres après l'annonce de la Ville de Saint-Jérôme au printemps 2024 que des répercussions se sont fait sentir
Rappelons que la Ville désire décontaminer le site de l’ancienne usine de la Dominion Rubber pour mettre sur pied un projet résidentiel de 1 000 logements
l'intervention sur le terrain inclut également une éventuelle démolition des installations du centre d'entraînement
ayant un impact direct sur l'achalandage des lieux
qui a coûté l’usage des deux jambes a un adolescent de Saint-Jérôme au printemps dernier
va écoper de l’une des peines les plus sévères imposées par tribunal de la jeunesse
Selon une suggestion commune entre la Couronne et la défense
le jeune homme pourrait être condamné à 21 mois d’incarcération dans un milieu fermé
à sept mois sous surveillance en collectivité
Ce placement sous garde fait partie des peines les plus sévères imposées par le tribunal de la jeunesse
qui était âgée de 15 ans au moment des faits
a pris une tournure dramatique le 31 mai 2024 lorsqu’elle a été attaquée par deux autres jeunes armés d’un marteau et d’un couteau dans une rue située près de la Polyvalente de Saint-Jérôme
et la lame du couteau lui a sectionné la moelle épinière
anéantissant les ambitions sportives du jeune homme
qui s’est adressée au tribunal à travers une lettre lue par la procureure de la Couronne
a fait état des répercussions de l’agression
En plus de la perte de l’usage de ses jambes
l’adolescent a dû subir de multiples interventions chirurgicales en plus d’entreprendre une longue réadaptation
et sa famille et lui ont subi un changement radical de vie
La juge a pris la suggestion commune en délibéré
Elle fera état de sa décision le 2 décembre prochain
Il aura fallu 30 000 heures et 37 employés pour réaliser en trois ans le nouveau plan d’urbanisme de Saint-Jérôme. C’est lors de la dernière assemblée du conseil, le 18 février dernier, que les élus ont adopté le nouveau plan d’urbanisme et de mobilité.
La Ville avait sa vision. « On partait du fait qu’on voulait densifier le centre-ville. À partir de la densification du centre-ville, il fallait modifier le périmètre urbain. Où s’arrêtait la densification ? », souligne le maire Marc Bourcier.
Voici les six priorités pour la refonte du plan d’urbanisme et de mobilité :
Selon le directeur de l’urbanisme de la Ville de Saint-Jérôme, Aurélien Borie, une refonte de l’ancien plan d’urbanisme était nécessaire. « Il fallait aller à l’envers des paradigmes et la vieille mentalité. Il fallait que ça change. Ça datait de 2010. Il fallait un cadre. L’urbanisme attendait que le conseil veuille aller de l’avant. Il a fallu bousculer plusieurs règlements et le conseil avait aussi cette volonté », explique M. Borie.
« Notre administration trouvait important de faire des consultations publiques, mais il faut la participation de la Ville et des fonctionnaires. Lors de ces consultations, ils étaient sur place pour répondre aux questions des citoyens. Pour changer, ça prend du vouloir et ça prend du coeur », souligne Nathalie Lasalle, présidente de la Commission de l’urbanisme.
« Il y a eu une appropriation. On voulait changer le plan d’urbanisme. C’est notre outil de travail et on était content de le changer. La magie s’opère quand il y a un ADN commun de pensées, parce qu’on avait la même lecture du Saint-Jérome de demain. Ce qu’on retrouve dans ce nouveau plan, c’est ce qu’on avait imaginé », ajoute M. Borie.
Pour le maire Bourcier, l’immobilier et l’étalement urbain ne sont jamais payants pour une ville. « Avant nous, on avait autorisé du développement urbain qui grugeait nos parcs et ce n’est pas payant. Les tuyaux et les installations sanitaires, ce n’est pas avantageux pour une ville. »
Aujourd’hui, nous récoltons déjà les fruits de notre labeur, avec d’autres villes qui reconnaissent la qualité du plan d’urbanisme et viennent s’inspirer de notre approche avant-gardiste, nous positionnant comme un modèle à suivre pour la majorité des municipalités.👍
parrainé par la Ligue de Hockey d’Excellence du Québec (LHEQ)
mettra aux prises 22 formations élites de la relève provinciale
du jeudi 13 février au dimanche 16 février
dans l’enceinte des deux glaces de l’aréna régional de la Rivière-du-Nord
Celui qui dirige aussi les Cheminots estime que les représentants locaux pourront encore plus démontrer leurs aptitudes en cette 4e édition
car la cohorte actuelle des Sélects regroupe un bon noyau
on dispose d’une belle édition qui progresse bien
Ce serait un long shot de leur prédire le trophée du tournoi
mais je dirais que nous possédons l’alignement pour être compétitif à chaque partie
ce qui nous permet de rendre ça serré au tableau indicateur
L’important sera de gagner la 3e partie au calendrier
celle qui nous permettra d’accéder à la ronde éliminatoire
Je pense que le club de Martin Huard peut avoir comme objectif d’atteindre le carré d’as »
a prédit l’ex-champion de la Coupe Memorial avec Granby
Si le capitaine Émile Fugère a souligné que ses coéquipiers et lui s’attendent à voir des partisans qui viendront encourager les Sélects du Nord en grand nombre
a indiqué que les amateurs sont conviés à du très haut calibre
« On parle des meilleurs clubs M17 de 20 régions qui couvrent tout le territoire du Québec
Ce n’est pas rien de recevoir cet excellent spectacle chez nous. »
Si l’horaire s’amorcera ce jeudi sur le coup de 8 h 30, la cérémonie d’ouverture s’ébranlera plus tard à 16 h 50, en prélude à l’affrontement entre les Harfangs de Sherbrooke et les Sélects du Nord, à la patinoire 1. Les demi-finales et la grande finale auront lieu dimanche 16 février
« Nous sommes heureux d’accueillir autant de joueurs prometteurs dans nos installations de qualité
à qui je souhaite la meilleure des chances
je rappelle que ce n’est pas toujours l’équipe la plus talentueuse qui gagne
mais celle qui demeure la plus soudée en tout temps »
a rappelé le président de la Régie intermunicipale de l’aréna régional Rivière-du-Nord
président de la Commission des sports à Saint-Jérôme
a salué « l’implication des nombreux bénévoles
qui font de ce tournoi une fierté des Jérômiens »
l’ancien joueur des Saguenéens et des Foreurs Olivier Morin
à titre de vice-président du CA des Sélects
a soulevé le fait que le hockey forme des bons jeunes adultes
tant au sein de son organisme que sur la glace
« Je suis la preuve vivante que le hockey
devenu officiellement notre sport national
sur patin comme dans la vie : bon tournoi ! »
a scandé celui qui est aujourd’hui avocat criminaliste à Saint-Jérôme
Publié le 11 février 2025 à 16:00 | Modifié le 11 février 2025 à 16:24
C'est ce qu'a tenu à mentionner le maire de la Ville
pour démontrer l'importance de créer des logements lors du lancement du projet de construction d'une communauté carboneutre en milieu de journée le mardi 11 février
Le projet CLORIA situé en bordure de l'Île des Frères accueillera 135 unités locatifs
un supermarché Avril et un accès direct à des espaces verts qui ont été cèdé à Saint-Jérôme par le promoteur
Lors de cette pelletée de terre organisée devant les partenaires et médias
Bourcier s'est adressé à CIME pour aborder l'importance du projet
Les premiers locataires devraient être en mesure de s'installer dans l'immeuble vers la fin de l'été 2026
Deux jeunes armés d’un couteau et d’une machette ont été vus dans l’école polyvalente Saint-Jérôme mercredi vers 14 h 55, a indiqué le Service de police de la Ville de Saint-Jérôme (SPVSJ).
« Le personnel et les élèves ont été rapidement confinés dans l’école, explique le SPVSJ. En aucun cas la sécurité des occupants de l’école n’a été compromise durant cette opération, qui n’a fait aucun blessé. »
Deux jeunes d’âge mineur « qui pourraient être reliés à l’événement » ont été arrêtés, ajoute le SPVSJ. Pour le moment, le service de police ne peut pas confirmer si des accusations seront portées contre les suspects. « L’enquête est toujours en cours », affirmait-il en début de soirée.
Le déconfinement a été entamé aux alentours de 16 h 30. L’incident a forcé l’annulation d’une partie du transport scolaire en fin de journée.
ne sollicitera pas un second mandat lors des élections municipales en novembre 2025
il souligne avoir mûrement réfléchi sa décision
Le maire explique vouloir profiter de sa famille et prendre soin de sa santé
« C’est une décision que j’ai mûrement réfléchie et je suis content parce que j’ai l’impression de laisser la maison en ordre
Marc Bourcier avait annoncé qu’il ne ferait qu’un seul mandat
« J’avais déclaré publiquement que je ne serais là que pour un seul mandat
engagé à faire preuve d’honnêteté et de transparence
Sa grande déception aura été que les membres du conseil qui ont fait campagne avec lui ne l’ont pas suivi dans cette démarche
« Je souhaitais que tous deviennent indépendants
comme il avait été convenu lorsque nous nous sommes présentés en 2021
Certains ont décidé de conserver le parti [Avenir Saint-Jérôme] pour la prochaine campagne électorale
J’aurais aimé un conseil sans ligne de parti
mais il semble que ce n’était pas l’avis de tous »
Le maire Bourcier s’était donné comme mission de rétablir la réputation de Saint-Jérôme
« Il était urgent comme communauté de se redonner confiance
de se rebâtir une crédibilité voire une notoriété
le vent a vraiment tourné pour Saint-Jérôme
« Il y a plusieurs projets de construction partout en ville
de nombreuses réfections de routes et d’infrastructures
une sécurisation accrue dans les rues et une bienveillance à l’égard des personnes en situation d’itinérance grâce à l’arrivée de La Hutte »
C’est avec beaucoup de fierté qu’il parle aussi du projet de la patinoire réfrigérée couverte des Canadiens
projet qu’il chérissait depuis ses années d’enseignant avec ses élèves
La venue des Alouettes de Montréal pour leur camp d’entrainement pendant trois ans fait aussi partie des bonnes raisons pour lesquelles on parle de Saint-Jérôme
Le maire est aussi content de la programmation culturelle estivale riche et gratuite ainsi que la valorisation du Km 0
« La création de notre Centrale des affaires
la construction imminente du Centre de formation en innovation
une nouvelle caserne de pompiers à l’ouest de la 15
la future bibliothèque centrale Desjardins
un ancien dépotoir transformé en parc naturel doté d’un terrain de baseball
voilà des projets dont je suis si fier ! »
Il ajoute à ces projets l’acquisition prochaine de l’ancienne voie ferrée abandonnée qui créera le lien est-ouest avec le parc linéaire du P’tit Train du Nord
Différentes politiques ont aussi été créées depuis trois ans : une politique de la langue française
une première au Québec selon lui; une politique environnementale; une politique de gestion de la dette et un tout nouveau plan d’urbanisme et de mobilité durable qui permettra de créer encore plus de logements à Saint-Jérôme
ma priorité aura été de forger l’avenir de Saint-Jérôme
démocratiquement soutenu par les membres du conseil de ville
Je souligne que mon travail a été facilité par l’excellent travail d’employés municipaux remarquables et dévoués
réunis au Quartier 50+ pour le traditionnel souper des Fêtes
que le maire Marc Bourcier a fait part de sa décision de ne pas solliciter un nouveau mandat lors des élections municipales de 2025
« Je souhaitais leur annoncer en premier
que le chef du parti Mouvement jérômien et candidat à la mairie en 2025
a tenu à réagir sur la décision de Marc Bourcier
« Je tiens à remercier le maire pour son implication et son travail
il a su tenir sa promesse d’être inclusif et d’intégrer des gens de tous les horizons dans la discussion politique
Il a rapidement marqué un changement de ton
particulièrement après l’ancienne administration municipale
ce qui a été bénéfique pour la démocratie, » a déclaré Rémi Barbeau
« Je tiens à saluer son engagement politique et son dévouement pour notre magnifique Saint-Jérôme
Nous partageons des préoccupations communes
J’ai l’intention de reprendre le flambeau sur ce dossier fondamental pour le bien-être des Jérômiennes et des Jérômiens. »
a lui aussi tenu à rendre hommage au maire
« Sa détermination et sa passion pour sa ville ont fait en sorte qu’il aura réussi à faire passablement tout ce qu’il voulait en un mandat
ce qui aurait dû en prendre deux normalement
on se doit d’accoler le nom de Marc Bourcier à côté. »
Il s'agit d'une opération qui a pris place sur la 100e avenue
après qu'un individu en crise ait eu des propos jugés comme inquiétants et menaçants
Selon les plus récentes informations du Service de police de la Ville de Saint-Jérôme
entraînant les policiers à établir un périmètre de sécurité avant de faire appel à l'individu afin qu'il se rende à l'extérieur
on nous mentionnait qu'une collaboration était sur le point d'arriver
il n'y a pas plus de détails entourant l'explication qui aurait mené aux propos
Vous souhaitez réagir? Vous êtes témoin d'un événement ou avez une histoire à nous partager? Écrivez à nos journalistes via nouvelles@cime.fm
Les élèves et le personnel de la polyvalente de Saint-Jérôme ont été confinés à l’intérieur de leurs locaux
après que deux adolescents armés d’un couteau et d’une machette eurent menacé l’un des étudiants de l’établissement.
lorsque les policiers ont été avisés qu’un élève de l’école aurait été menacé par deux jeunes armés
l’un était en possession d’un couteau et l’autre d’une machette
On ignore si les deux suspects fréquentent la polyvalente de Saint-Jérôme ou non
les policiers sont parvenus à mettre la main au collet de l’un des deux adolescents sur le terrain de l’école
Le deuxième suspect a pris la fuite et un «code noir» a été déclenché
provoquant le confinement des élèves et du personnel à l’intérieur de l’établissement
Un large périmètre de sécurité a été établi autour de l’établissement scolaire et de nombreux policiers se trouvaient sur place en fin d’après-midi pour fouiller la polyvalente
afin de retrouver l’autre suspect impliqué dans cette affaire
La police de Saint-Jérôme a finalement pu arrêter le deuxème suspect en fin d'après-midi et le déconfinement a pu commencer vers 16h30
Personne n’a été blessé lors des événements
Rappelons que c’est devant ce même établissement scolaire qu’un adolescent de 15 ans avait eu la moelle épinière sectionnée lors d’une attaque sauvage à coups de couteau et de marteau perpétrée par deux jeunes de 16 et 17 ans en mai dernier
La jeune victime se déplace encore aujourd’hui en fauteuil roulant et ses chances de marcher à nouveau un jour sont minces
Les marcheurs entameront alors un parcours de 5 km en boucle vers le quartier des Sports (rues René-Gascon, Ouimet, Filion et Melançon) pour terminer le circuit à la place des Festivités. Prévoir environ 1 h 30 de marche.
La 50e édition du très populaire tournoi M13 de Saint-Jérôme honorera à la fois cinq bâtisseurs de la première heure
en plus de procéder au remodelage de ses activités tenues à l’aréna régional de la Rivière-du-Nord
La compétition de renom célébrera l’implication d’André Binette
Jacques Charbonneau et Robert Rioux lors d’une cérémonie hommage
en prélude au match d’ouverture de 13 h 30 qui impliquera l’équipe du RFEQ de Gatineau et des Lions AA de Saint-Jérôme
« On veut honorer les efforts de ces pionniers de la compétition
Un hommage spécial sera aussi rendu à l’arbitre Marc Saint-Pierre
C’est entre autres grâce à des gens comme eux que la tradition du tournoi pee-wee se perpétue
Nous sommes certains que le tournoi se tiendra encore pendant des nombreuses années
alors que la Fédération de hockey mineur de Saint-Jérôme garde un œil sur la compétition
En réunissant le tournoi pee-wee (M13) et atome (M11) à l’aréna de la Rivière-du-Nord
nous avons limité les dépenses et effectué des économies d’échelle
en achetant notamment les équipements en un plus gros volume »
membre du comité des six organisateurs de l’événement annuel
Quelques parties auront tout de même lieu au Centre sportif du secteur Saint-Antoine, pour permettre la présentation du volumineux calendrier.
« Nous recevrons huit équipes de catégorie AA, douze BB, quatorze A, douze B et neuf de classe C. Il y aura des formations de la majorité des régions du Québec, qui convergeront chez nous. Plusieurs jeunes, au cours des années, ont marqué l’époque où le tournoi se déroulait aux arénas Melançon et mineur [Jacques-Locas], jusqu’à nos jours à l’aréna régional de la Rivière-du-Nord », a-t-il ajouté.
Au niveau organisationnel, le tournoi pee-wee (U13) a aussi consolidé ses opérations.
« Il n’y a plus de slogan, ni de président d’honneur. Nous avons aussi fusionné les personnages des mascottes Ti-Wee (M13) et Tommy (M11). Elle deviendra Ti-Tom pour représenter les deux tournois. Nous voulons offrir une continuité, en instaurant une cérémonie de remerciement à la place », a laissé savoir M. Girard.
Plutôt qu’oublier des noms de marque, les dirigeants du tournoi ont décidé d’étaler sur plusieurs années les hommages rendus aux bâtisseurs.
Quand à elle, cette dernière classique se tiendra du 27 janvier au 2 février 2025.
@BV : Des bénévoles de la première heure seront remerciés en marge du 50e tournoi pee-wee (M13) de Saint-Jérôme.
La Boutique du Méridien 74 sur la rue Duvernay a rouvert ses portes après des rénovations dues à un incendie
L’équipe du COFFRET accueille de nouveau la population pour offrir des vêtements
des objets de cuisine et de maison à de meilleurs prix
« Nous sommes prêts à recevoir de nouveau des dons pour la Boutique et ainsi collaborer à un meilleur partage des biens qui peuvent être réutilisés. » La boutique est ouverte du lundi au jeudi de 9 h à 16 h et le vendredi de 9 h à 14 h
ont plaidé coupables aux trois chefs d’accusation auxquels ils faisaient face
Les deux jeunes accusés d’avoir ayant violemment agressé un élève de la Polyvalente de Saint-Jérôme en juin dernier ont plaidé coupables vendredi après-midi au palais de justice de Saint Jérôme
voie de fait grave et complot pour voie de fait
Les deux jeunes étaient présents dans le box des accusés
l’audience a été suspendue puisque l’un des jeunes avait une attitude «nonchalante»
Une évaluation psychiatrique à l’institut Philippe-Pinel a été demandée pour l’un des accusés
Les observations au sujet de la peine sont fixées au 23 octobre
les accusés ont publié des vidéos sur le réseau social Snapshat avec leurs armes (couteau et marteaux) pour intimider la victime
Un conflit durait depuis plusieurs mois entre la victime et les accusés
L’agression a eu lieu à 11:55 devant l’école le vendredi 31 mai
l’un des accusés s’est filmé sur Snapshat montrant du sang sur sa main et son arme
La victime a reçu un coup de marteau ainsi que deux coups de couteau lors de l’évènement
Sa moelle épinière a été atteinte et il a moins de 10% de chance de pouvoir un jour remarcher
l’un des accusés avait affirmé ne pas regretter son geste et que la victime le méritait
Considérant la gravité des gestes et les conséquences sur la victime, la couronne a demandé une peine de détention sous garde à vue
Publié le 18 mars 2025 à 15:10 | Modifié le 18 mars 2025 à 15:29
une nouvelle mesure entrera en vigueur ; la première demi-heure sera sans frais en tout temps
vous permettant donc de récupérer un repas pour emporter sans payer de stationnement
C'est à compter du 1er juin 2025 que ce nouveau système de gestion du stationnement entrera en vigueur
divisant le territoire du centre-ville en trois zones
La zone rouge sera plus dispendieuse que les autres
se trouvant davantage au coeur de l'action
La période de tarification sera désormais du lundi au vendredi de 8h à 17h
Tout stationnement sera également renouvelable toutes les trois heures
Les véhicules électriques ou hybrides branchables munis d'une plaque verte pourront se stationner gratuitement dans les zones jaune et bleue
Les détenteurs d'une vignette de stationnement pour personnes handicapées ainsi que les automobiles munies d'une plaque d'immatriculation pour les anciens combattants auront un accès sans frais partout et en tout temps.
Environ 100 nouvelles bornes de paiement seront installées et reliées à l'application mobile Blinkay
Il sera possible de payer via l'application
par carte de crédit ou de débit et en argent comptant
Publié le 19 mars 2025 à 17:51 | Modifié le 20 mars 2025 à 09:43
Les services d'urgence sont sur place et il est impossible de savoir quand la circulation reprendra au moment d'écrire ces lignes
La Sûreté du Québec ne souhaite pas commenter la situation à ce stade-ci
L'autoroute 15 Nord demeure fermée à la hauteur du boulevard du Grand-Héron et on ne sait toujours pas à quel moment les autorités procéderont à la réouverture
le trafic se fait sentir à partir de Mirabel en direction nord
Une opération policière est en cours.
Un entrepreneur de Laurentides qui a volé 120 000 $ en dépôts à une quinzaine de clients a été condamné jeudi à 15 mois de prison à domicile. Les victimes de Martin Dionne se sont retrouvées avec des cuisines démolies et des matériaux de mauvaise qualité.
L’homme de 50 ans a plaidé coupable jeudi, au palais de justice de Saint-Jérôme, à un chef d’accusation de vol de plus de 5000 $ à l’égard de 17 personnes. Martin Dionne a sévi entre 2020 et 2021, alors qu’il dirigeait les compagnies Cabanons Laurentides et Cuisines et Salles de bains Mont-Tremblant.
Il n’était pas détenteur d’une licence de la Régie du bâtiment du Québec (RBQ).
Selon l’exposé des faits présenté devant le Tribunal, Martin Dionne avait fait des soumissions de 303 933 $ pour les projets de rénovation de cuisine et de construction de cabanons des 17 victimes. À la signature des contrats respectifs, il a empoché 123 000 $ en dépôt.
« Certains travaux de faible valeur ont été effectués par les entreprises, notamment la démolition de cuisine, la livraison de certains matériaux ou l’installation de certains cabinets de cuisine de mauvaise qualité », indique l’exposé des faits.
Sans nouvelles de Martin Dionne, les victimes ont dû engager d’autres entrepreneurs pour terminer des travaux à peine amorcés.
La juge Kathlyn Gauthier a condamné Martin Dionne à 15 mois de prison à la maison et à une probation de deux ans. Il s’agit d’une recommandation commune du procureur de la Couronne, Me Alexandre Dubois et de l’avocat de la défense, Me Karam Mahrez.
Il sera interdit à Martin Dionne d’effectuer des travaux requérant une licence de la Régie du bâtiment.
Également, le voleur devra rembourser 97 727,25 $ à ses victimes.
Dans ses dossiers pénaux, l’accusé et sa compagnie ont été condamnés à plus de 250 000 $ en constats d’infraction en vertu de la Loi sur le bâtiment.
MONTRÉAL – Dans le cadre de son Centre d’identification et de perfectionnement (CIP), le CF Montréal a annoncé mardi l’ajout d’un nouveau club partenaire parmi ses rangs, le Club de Soccer Les Ambassadeurs de Saint-Jérôme.
Le Club de Soccer de Saint-Jérôme, fondé en 2011, regroupe aujourd’hui 1700 membres.
« Nous sommes enthousiastes d’accueillir les Ambassadeurs de Saint-Jérôme comme nouveau club partenaire, a déclaré le directeur de l’Académie Marinos Papageorgopoulos. Le Club de Soccer de Saint-Jérôme est un club actif dans le développement des joueurs et joueuses de soccer dans sa région. Nous sommes impatients à l’idée de l’aider à grandir et de commencer à travailler avec lui dans sa communauté. »
Le CF Montréal a désormais 14 clubs partenaires au sein du CIP soit le FC Laval, l’AS Brossard, le CS St-Lazare Hudson, le FC Loro, Soccer Pointe-Claire, le CS Montréal Centre, le CS Trident, le CS Lanaudière-Nord, le CS Roussillon, le Revolution FC, le CS Les Cosmos de Granby, le Club de Soccer Soulanges, le Club de Soccer Optimum de Victoriaville et le Club de Soccer Les Ambassadeurs de Saint-Jérôme.
Lancé le 2 juillet 2019, le CIP est un programme de développement et d’identification mis sur pied par l’Académie du Club et ses éducateurs. Cette initiative comprend des visites chez les clubs partenaires et s’inscrit dans une volonté de partage de la pédagogie et de la méthodologie de l’Académie afin de renforcer les liens avec la communauté du soccer québécois.
Une patiente vulnérable face à des portes closes
« On n’a pas eu d’aide du tout à Saint-Jérôme »
Deux ans avant Julie1, une autre femme en situation d’itinérance s’est tournée vers l’hôpital de Saint-Jérôme pour interrompre sa grossesse. Mais l’établissement n’a pas voulu la prendre en charge.
À la fin du mois de septembre 2023, Chantal Dumont, intervenante, accompagnait Hélène1 aux urgences de l’hôpital de Saint-Jérôme. Victime de violence sexuelle et consommatrice de drogue, la trentenaire avait décidé de mettre fin à sa grossesse alors qu’elle entamait son troisième trimestre, une intervention rare, mais bien légale au Québec.
« Elle a réalisé qu’avec la drogue qu’elle consommait, le bébé serait voué à une vie horrible », explique l’intervenante bénévole au Book Humanitaire, une ressource d’aide en itinérance dans les Laurentides.
Hélène s’était rendue dans un centre hospitalier de Montréal le jour précédent pour procéder à l’avortement. Une fois la grossesse avortée, l’expulsion du fœtus devait avoir lieu le lendemain, à l’hôpital de Saint-Jérôme, selon Chantal Dumont.
« C’était prévu à l’horaire », affirme-t-elle.
Pourtant, quand Hélène est arrivée à l’hôpital de Saint-Jérôme, le personnel lui a signifié que l’expulsion devrait se faire ailleurs. « La gynécologue en service a décidé que ça ne se passerait pas », affirme Chantal Dumont, selon qui l’hôpital n’a donné aucune explication à l’appui de sa décision.
Or, les contractions d’Hélène avaient déjà commencé, dénonce l’intervenante. Chantal Dumont raconte avoir passé « deux heures » avec la femme en pleurs, aux urgences de l’hôpital.
[Hélène] voulait juste que ça arrête, mais ils ne lui ont rien donné pour la douleur. Je lui ai fait signer les papiers pour qu’on ait un transport ambulancier vers Montréal, et le bébé était en train de sortir.
Selon nos informations, Hélène était bien connue du milieu hospitalier de Saint-Jérôme. Des intervenants de proximité du Centre intégré de santé et de services sociaux (CISSS) des Laurentides avaient coordonné les étapes de son interruption de grossesse, d’après Chantal Dumont. « On n’a pas eu d’aide du tout à Saint-Jérôme. Pas un peu d’aide. Zéro », affirme-t-elle.
Sans commenter le cas précis d’Hélène, l’Association des obstétriciens et gynécologues du Québec (AOGQ) a indiqué, par l’entremise d’une conseillère en relations publiques, qu’il faut « faire la distinction entre refus de soin et transfert dans un centre désigné pour des conditions particulières lorsqu’une expertise est requise ».
Tout comme l’AOGQ, le CISSS des Laurentides n’a pas souhaité réagir au dossier d’Hélène. L’organisme signale toutefois que dans des cas complexes d’interruptions de grossesse, en présence de toxicomanie ou de problèmes de santé mentale, « une orientation vers [le centre hospitalier désigné pour les cas complexes2] peut être envisagée ».
Entre 35 et 45 interruptions de grossesse au troisième trimestre ont lieu annuellement, explique le Dr Jean Guimond, médecin spécialiste des interruptions de grossesse à risque. « Ce sont des situations très particulières et très complexes, qui se trouvent à la limite des soins qu’on peut donner », explique celui qui défend le droit à l’avortement au Québec depuis plus de 50 ans.
Selon le médecin, les cas d’avortements au troisième trimestre demeurent tabous chez certains gynécologues, qui ont l’autorisation de transférer ces patientes à un autre spécialiste ou un autre centre hospitalier. « Beaucoup de gens ne veulent pas être physiquement responsables de l’avortement », suggère-t-il. Selon lui, la présence de facteurs comme la toxicomanie et l’itinérance complique la prise en charge des patientes dont la grossesse est avancée.
« Mais on ne laisse pas le monde dans le trafic. Elles sont déjà itinérantes. Quand elles nous demandent quelque chose, on a l’obligation de les aider », affirme le Dr Jean Guimond.
Selon le Dr Dominique Tremblay, porte-parole de l’AOGQ, les gynécologues qui transfèrent des cas d’avortement complexes au centre désigné le font parce qu’ils n’ont pas l’expertise nécessaire.
Les gens peuvent avoir une mauvaise perception, en disant qu’on refuse de s’occuper d’eux, mais en réalité, c’est qu’on veut leur offrir la meilleure équipe de soins.
Après le cas d’Hélène, les directives du ministère de la Santé et des Services sociaux (MSSS) ont changé. Depuis juin 2024, les cas complexes d’interruptions de grossesse au troisième trimestre sont tous envoyés au centre désigné de Montréal, et ce, de la mort fœtale à l’expulsion, explique le Dr Guimond.
Une situation comme celle d’Hélène ne pourrait donc plus se produire aujourd’hui, estime-t-il.
Le cas d’Hélène témoigne toutefois des injustices subies par les personnes en situation d’itinérance dans le système de santé, selon Rachel Lapierre, directrice du Book Humanitaire. « C’est sûr que si ça avait été Madame Tout-le-Monde, elle n’aurait pas été reçue comme ça, dénonce-t-elle. Personne ne l’aurait laissée accoucher au milieu des urgences sans réagir. »
Rachel Lapierre avait planifié une rencontre avec des responsables du CISSS des Laurentides pour revenir sur les histoires d’Hélène et de Julie, mais les responsables l’ont annulée, affirme-t-elle. Depuis, Mme Lapierre est sans nouvelles. « Si des cas comme les leurs se représentent, on fait quoi ? », se demande-t-elle.
1. Prénoms fictifs pour protéger leur anonymat
2. Un centre hospitalier en particulier, situé à Montréal, est chargé de pratiquer les interruptions de grossesse au troisième trimestre. La Presse n’en divulgue pas l’emplacement exact, pour assurer la sécurité des patientes.
Dans le cadre de son programme triennal d’immobilisations (PTI) 2025-2026-2027
les travaux routiers demeurent la priorité de la Ville de Saint-Jérôme
Un total de 58 projets et des investissements de 232 M$ sont prévus au cours des trois prochaines années
Ces investissements visent « l’amélioration de la qualité de vie des citoyens
la modernisation des routes et le maintien des infrastructures municipales »
Plus de 97 M$ seront consacrés au maintien des infrastructures existantes
« Les priorités établies dans le PTI illustrent notre volonté d’assurer un milieu de vie de qualité à la hauteur des attentes et des besoins des Jérômiens
tout en tenant compte de la capacité de payer des contribuables
Cette planification nous permettra d’assurer la pérennité de nos actifs et de moderniser nos infrastructures pluviales et d’égout
Nous avons également pris la décision d’injecter
des sommes colossales pour la réfection des routes
l’entretien de réseaux cyclables et la sécurité routière
Quelque 40 M$ sont prévus à cet effet pour les trois prochaines années
ajoutant que les travaux routiers demeurent la priorité du conseil
Des sommes importantes seront également attribuées à la gestion des débordements
à la sécurisation des réseaux d’égout et d’aqueduc
et à la réfection de la prise d’eau et d’ouvrages connexes (usine de filtration
« Les changements climatiques entraînent une augmentation continue de la fréquence et de l’intensité des épisodes de pluie
Nos réseaux d’égout ne pouvant gérer une si grande quantité d’eau
pour y faire face et réduire notre vulnérabilité
que d’investir pour rendre notre ville plus résiliente et réduire les impacts sur nos infrastructures et la collectivité
Ce sont donc plus de 50 M$ sur trois ans qui y seront consacrés »
Le programme triennal prévoit aussi des investissements dédiés à de nouveaux projets
Le conseil municipal a donné son accord à la création d’une Régie intermunicipale de sécurité incendie
C’est le conseiller Michel Gagnon qui en a fait la proposition
Une demande d’autorisation sera transmise au ministère des Affaires municipales et de l’Habitation (MAMH) afin d’entériner la démarche
L’entrée en vigueur de la nouvelle régie est prévue pour 2026
On se souvient que la Ville de Prévost et la Municipalité de Saint-Hippolyte avaient aussi ont voté en faveur de la création d’une Régie intermunicipale de sécurité incendie
lors de la séance régulière de leurs conseils municipaux respectifs
les lundi 11 et mardi 12 novembre derniers
Il ne manquait plus que la signature de Saint-Jérôme
qui avait elle-même commandé l’étude de fusion des services
pour le lancement officiel du projet d’unification des forces des sapeurs
Le conseil municipal a adopté un règlement décrétant une appropriation à même le fonds de parcs et terrains de jeux au montant de 800 000 $
Cette somme servira à la construction d’une plateforme d’observation au parc Jean-Guy-Décarie
Ce projet est proposé par le conseiller Mario Fauteux
Comme l’explique ce dernier : « Ce projet vise à offrir une attraction originale et invitante pour contempler le vaste panorama du parc naturel du Lac-Jérôme et du parc Jean-Guy-Décarie
les observateurs auront une vision 360 degrés de la ville et même au-delà. »
L’adoption n’était pas unanime puisque les conseillers Stéphane Joyal
Martin Pigeon et Nathalie LaSalle ont voté contre
André Marion et Mario Fauteux ont voté pour
Le conseiller Dominic Boyer et la conseillère Carla Pierre-Paul étaient absents
Le conseil municipal a modifié le règlement relatif aux animaux afin d’augmenter le nombre de chats permis par résidence
Les citoyens amoureux des chats pourront désormais posséder quatre animaux
C’est la conseillère Nathalie Lasalle qui en a fait la proposition
La Ville de Saint-Jérôme souhaite agrandir le site de dépôt à neige de la rue Valmont par la construction d’une nouvelle aire d’entreposage et d’un bassin de traitement conformes aux normes du ministère de l’Environnement
proposé par le conseiller Jacques Bouchard
a été adopté pour la réalisation des travaux
une entente de délégation de pouvoirs aux fins de vérification de l’intégrité des entreprises avec l’Autorité des marchés publics (AMP)
la Division de l’optimisation des contrats et de l’éthique de la Ville de Saint-Jérôme (DOCE) travaille en collaboration avec l’AMP pour assurer l’efficacité des actions menées en matière d’intégrité et d’éthique
Proposée par le conseiller municipal Martin Pigeon
l’entente est reconduite pour une période d’un an
La Ville de Saint-Jérôme deviendra propriétaire d’un nouveau terrain d’une superficie de 13,2 hectares
souhaite faire don de son terrain à la Ville dans le but de le protéger à perpétuité
Cette initiative permettra à la Ville de poursuivre ses démarches de protection des milieux naturels et de contribuer à l’atteinte des cibles de conservation de la Trame verte et bleue établies dans son plan de conservation et de mise en valeur des milieux naturels
Piché a été conseiller municipal de 1977 à 1997 sous la gouverne de cinq maires
Son petit-fils est venu s’adresser au conseil afin de rendre hommage à son grand-père et demander à la Ville de reconnaître son apport en recommandant de nommer un parc sportif en son hommage
est recherchée par le Service de police de l’agglomération de Longueuil (SPAL)
Elle pourrait se trouver sur le territoire de Saint-Jérôme
L’adolescente a été vue pour la dernière fois le 6 janvier
les yeux bleus et un porte un anneau noir au niveau du nez
Toute personne qui aperçoit Amézyane Blanchette est priée de contacter le 911
son dossier revenait aujourd'hui devant le tribunal au Palais de justice de Saint-Jérôme pour déterminer le mode de procès
d'entrave à la justice et d'incitation au suicide
a choisi que le tout se déroule devant un juge et un jury
Rappelons qu'on lui reproche d'avoir conseillé à son amie
Elle aurait également tenté de toucher une somme de 2 M$ en assurance vie en mentant au coroner après la mort de son amie
Elle sera de retour devant la justice le 17 avril prochain pour déterminer s'il y aura d'abord une enquête préliminaire